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1 (1934) Oeuvre scientifique
nt l'hypotonicité musculaire, le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, le signe du peaucier, la griffe s
ter volontairement un fort mouvement d'extension de la jambe sur la cuisse et donner à l'observateur l'impression que les
doit suivre la percussion du tendon en raidissant volontairement la cuisse et suggérer ainsi l'idée d'une abolition des réfl
es surviennent par crises et siègent tantôt à la jambe, tantôt à la cuisse , parfois à droite, parfois à gauche ; il cherche
ue, comme cela a lieu d'habitude à l'état normal, une flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du pi
normal, une flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse , du pied sur la jambe et des orteils sur le méta-
lysé, une excitation semblable donne lieu aussi à une flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pi
aussi à une flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la jambe, mais les orteils, au l
lexes, tels que la flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse , de la cuisse sur le bassin, que je me borne à me
e la flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin, que je me borne à men- tionner,
faire fermer les yeux. La jambe doit être légèrement fléchie sur la cuisse , et le pied reposera sur le lit par son bord ex
gens corpulents : 2" Le sujet est assis ; les jambes font avec les cuisses un angle obtus ; les pieds reposent sur le sol
e l'examiner couché sur le côté, la jambe légèrement fléchie sur la cuisse , l'extrémité du pied soutenue par la main gauche
le pli du coude, l'observateur, assis, fait appliquer à plat sur sa cuisse la main du sujet. Il est à noter que, dans ces co
uelques autres réflexes tendi- neux tels que ceux d'adduction de la cuisse , de flexion de la main et des doigts, d'extensi
porte sur le tendon tricipital ('). La flexion de la jambe sur la cuisse , consécutive à la percussion du tendon rotulien
e du condyle fémoral, donne lieu à une adduction très marquée de la cuisse paralysée, tandis que la môme manoeuvre du côté
On sait que l'excitation de la peau à la partie supéro-interne de la cuisse provoque un mouvement du testicule de bas en ha
estant principalement par une flexion du pied, de la jambe et de la cuisse ; ce mouvement est brusque, de faible amplitude e
t, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la jambe et de la cuisse . En ce qui concerne le premier groupe de réflex
l, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la jambe et de la cuisse sont manifestement exagérés. Les réflexes de ce
réflexogène plus étendue. La flexion du pied, de la jambe et de la cuisse est parfois portée à son degré le plus élevé (').
nairement circonscrite à la plante du pied, elle gagne la jambe, la cuisse et souvent elle envahit le tronc. En outre, il es
et ses pieds reposant sur le parquet, on excite les téguments de la cuisse ou de la jambe par la faradisation. Quand les r
es réflexes de défense sont exagérés, on constate d'habitude que la cuisse se fléchit sur le bassin, que le pied se détach
l ; exceptionnellement cependant on observe aussi une flexion de la cuisse , mais on a l'impression qu'il ne s'agit pas là d'
12). (') Dans certaines attitudes, l'excitation des téguments de la cuisse ou du tronc, au lieu d'un mou- vement de flexio
éflectivité, provoque généralement une flexion très prononcée de la cuisse , de la jambe et du pied (Bechtereff, Marie et F
l, les mouvements réflexes de flexion du pied, de la jambe et de la cuisse s'associent à la flexion des orteils, et à l'état
e temps exagé- rer la flexion réflexe du pied, de la jambe et de la cuisse et faire disparaître l'extension réflexe du gro
rès nettement quand on excite la peau de la partie supérieure de la cuisse ou de la partie inférieure de l'abdomen ; 3° de
agnostic (phénomène des orteils, mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, signe de la pronation, signe de M
les mouvements du membre inférieur et ceux du membre supérieur ; la cuisse et le bras se portent simultanément en avant et l
nt du bras n'est que la conséquence d'une propulsion exercée par la cuisse . .b) Lorsqu'étant debout, le malade tourne sur
u bras se faisant en sens inverse du mouvement de va-et-vient de la cuisse . Je ferai remarquer ensuite que si les mouvemen
a position horizontale. Dans cet acte, la flexion du bassin sur les cuisses et du tronc sur le bassin constitue le mouvemen
son accomplissement régulier nécessite l'extension préalable de la cuisse sur le bassin, mouvement qui est exécuté automati
de fait un effort pour se mettre sur son séant, du côté paralysé la cuisse exécute un mouvement de flexion sur le bassin e
pposé, le membre infé- rieur reste immobile ou que la flexion de la cuisse et le soulèvement du talon n'apparaissent que p
égie gauche organique un an après son début. Flexion combinée de la cuisse et du tronc à gauche. ion SÉMIOLOGIE lyser l'
son insertion supérieure ou à son insertion inférieure, fléchit la cuisse sur le bassin ou bien incline en avant le bassin
colonne vertébrale, on conçoit qu'un défaut d'immobilisation de la cuisse , dans l'acte en question, doive entraver l'inclin
aver l'inclinaison du tronc en avant et entrainer une flexion de la cuisse sur le bassin. Cette immobili- sation de la cui
ne flexion de la cuisse sur le bassin. Cette immobili- sation de la cuisse est obtenue par la mise en activité inconsciente
activité inconsciente ou sub-consciente des muscles qui étendent la cuisse sur le bassin. Je suppose que c'est la parésie
Ce phénomène, que j'ai appelé mouvement associé de la flexion de la cuisse dépendant, si mon interprétation est juste, d'un
préférence désigné sous la dénomination de flexion combinée de la. cuisse et du tronc qui exprime simplement et avec préc
Il est facile de comprendre pourquoi le mouvement de flexion de la cuisse se reproduit lorsque le malade, après s'être mis
s, pour être efficace, nécessite une immobilisation préalable de la cuisse . Les conditions sont donc semblables de part et d
juste, c'est que j'ai observé le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc dans plusieurs cas de sciatique où
onc dans plusieurs cas de sciatique où les muscles extenseurs de la cuisse sur le bassin étaient atrophiés. Du reste que ma
. Je dois faire remarquer qu'à l'état normal l'immobilisation de la cuisse parait être plus ou moins parfaite suivant les
me aisance et que, tandis que chez les uns, pen- dant cet acte, les cuisses restent appliquées sur le sol, chez les autres le
cte, les cuisses restent appliquées sur le sol, chez les autres les cuisses exécutent un mouvement plus ou moins marqué de fl
point de vue qui nous occupe, le mouvement de flexion combiné de la cuisse et du tronc ne peut être considéré comme patholo-
d'un côté que de l'autre. Le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc implique naturellement que les memb
ments divers bien différents du mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc. L'état des réflexes tendineux et d
ace. Je vous ai dit que le phénomène de « la flexion combinée de la cuisse et du tronc » de l'hémiplégie organique n'appar
ents, l'un conscient, c'est la flexion du tronc et du bassin sur la cuisse , l'autre subconscient, c'est l'extension de la
bassin sur la cuisse, l'autre subconscient, c'est l'extension de la cuisse sur le bassin, et que le phénomène dont je m'occu
n dans le mouvement subconscient, à la parésie des extenseurs de la cuisse . L'auto-suggestion ne doit guère avoir d'influenc
ts; voilà pourquoi sans doute le signe de la flexion combinée de la cuisse et du tronc manque dans l'hémiplégie hystérique
ommé l'un le signe du peaucier, l'autre la flexion combinée de la cuisse et du tronc. Hémiplégie hystérique. i° La par
signe du peaucier, ainsi que l'absence de la flexion combinée de la cuisse et du tronc. If0 SÉMIOLOGIE Hémiplégie or
res : le pied se relève et se fléchit sur la jambe, celle-ci sur la cuisse , la cuisse sur le bassin ; parfois une adductio
ed se relève et se fléchit sur la jambe, celle-ci sur la cuisse, la cuisse sur le bassin ; parfois une adduction de la cui
ur la cuisse, la cuisse sur le bassin ; parfois une adduction de la cuisse s'ajoute aux mouvements pré- cédents. L'attitud
réquent, mais il y a des cas où il affecte le type d'extension : la cuisse s'étend alors sur le bassin, la jambe sur la cuis
d'extension : la cuisse s'étend alors sur le bassin, la jambe sur la cuisse et le pied sur la jambe ; le membre inférieur t
tres mouvements réflexes, une flexion du pied, de la jambe et de la cuisse . S'agit-il là d'un réflexe identique dans sa na
nant à observer les mouvements exécutés par le pied, la jambe et la cuisse . Voici en quoi consistent ces réactions : sous
u fascia lata, une flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse , de la cuisse sur le bassin ; l'attitude en flexi
une flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin ; l'attitude en flexion se maintien
e approxima- tivement au genou, mais parfois elle s'étend même à la cuisse et à une partie plus ou moins vaste du tronc ;
la triple flexion, 128 ' SÉMIOLOGIE une irritation portant sur la cuisse est suivie d'une extension des trois segments.
t suivi d'une flexion du pied et d'une extension de la jambe sur la cuisse ; j'ai particu- lièrement observé cette modalit
a très bien décrite et d'une flexion du pied, de la jambe et de la cuisse . Ce sont là les mêmes mouvements que ceux qu'on
lante du pied, si elle peut provoquer un mouvement de flexion de la cuisse et de la jambe, ne donne jamais lieu à la flexi
Je crois utile d'appuyer sur ce point. Sans doute, le retrait de la cuisse et celui de la jambe qu'on peut observer alors
ds, le mou- vement réflexe de flexion du pied, de la jambe et de la cuisse associé à la flexion nette de tous les orteils,
vec mouvements spasmodiques intermittents accentuant la flexion des cuisses et des jambes, il est dit expressément que le réf
e tout le membre : flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse , de la cuisse sur le bassin, avec mouvements d'
re : flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin, avec mouvements d'adduction de l
isse, de la cuisse sur le bassin, avec mouvements d'adduction de la cuisse . » . Je reviens sur ce sujet dans un travail pu
xion que les réflexes tendineux des fléchisseurs de la jambe sur la cuisse n'étaient pas du tout au-dessus de la normale etp
qui déplacent brusquement les membres inférieurs, flé- chissent la cuisse , la jambe et le pied, les allongent ensuite avec
ns le décubitus latéral gauche, on excite la face postérieure de la cuisse droite : le membre inférieur droit se fléchit, le
s très accusés. Le pincement de la peau de la face antérieure de la cuisse détermine l'extension de la jambe et la contrac
ion du gros orteil, la triple flexion du pied, de la jambe et de la cuisse , et une contraction du tenseur du fascia lata. Le
x fois rencontré : flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse , de la cuisse sur le bassin. « Poursuivons pl
ré : flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin. « Poursuivons plus loin notre
e la triple flexion consécutive à une excitation de la jambe, de la cuisse ou de l'abdomen ne pourrait avoir que des inconvé
e signification que la triple flexion du pied, de la jambe et de la cuisse . M. Riddoch fait observer que la flexion réflexe
partie du stepping réflexe et qu'elle accompagne l'extension de la cuisse , de la jambe et du pied. Mais il est à remarquer
insi la quadruple flexion à l'état physiologique : la flexion de la cuisse , de la jambe et du pied ressortissant aux réfle
mple un sujet atteint d'une lésion de la voie pyramidale fléchit la cuisse et la jambe, il se produit en même temps une flex
ement, la flexion du pied entraîne une flexion de la jambe et de la cuisse . Ainsi les trois mouvements élémen- taires de f
à la contraction du couturier, qui est à la fois fléchisseur de la cuisse et de la jambe. Mais si maintenant nous opposon
s'assure que la flexion de la jambe est proportionnée à celle de la cuisse , et on a l'impression que ces deux mouvements ont
era à la flexion de la jambe une résistance plus grande, lorsque la cuisse sera étendue sur le bassin ; et inversement le
es deux points d'attache de ce muscle, produit par la flexion de la cuisse sur le bassin, diminue la résistance opposée à
que le mouvement conjugué apparait à l'occasion de la flexion de la cuisse . Évidemment, ce n'est plus le droit antérieur q
me du phénomène : tant que la jambe reste étendue, la flexion de la cuisse éloigne les points d'insertion supérieurs de la l
u lorsqu'il y a des rétractions fibro-tendineuses, la flexion de la cuisse entraîne inévitablement une flexion de la jambe.
tat physiologique : il est plus facile de fléchir la jambe quand la cuisse est fléchie que lorsqu'elle est étendue ; et un
e que lorsqu'elle est étendue ; et une flexion très prononcée de la cuisse a pour conséquence une flexion de la jambe ; l'ex
sont étendus ; et pour prendre un autre exemple, l'extension de la cuisse poussée à son extrême limite s'accompagne d'une
lièrement évident chez le lapin : si on saisit entre deux doigts la cuisse et si on imprime à ce seg- ment un mouvement de
ment, des mouvements d'extension et de flexion de la jambe et de la cuisse , d'abduction et d'adduction de la cuisse. La régi
exion de la jambe et de la cuisse, d'abduction et d'adduction de la cuisse . La région du genou n'est pas d'ailleurs la seu
h : on comprime le membre inférieur jusqu'à la partie moyenne de la cuisse d'une manière assez énergique pour produire une
es- uns de ces mouvements tels que l'abduction et l'adduction de la cuisse ne font pas partie des réflexes de défense. O
supérieure du corps en arrière, fléchit la jambe sur le pied et la cuisse sur la jambe et portant ainsi les genoux en avant
s accompli correctement : l'avant-bras est entraîné en dedans de la cuisse , et, de plus, le mouvement de supination est pl
constate que, dans le premier temps de la marche, la flexion de la cuisse sur le bassin est bien plus prononcée qu'à l'état
p- pliquer violemment sur le sol dénote l'extension démesurée de la cuisse . La flexion démesurée de la cuisse sur le bassi
note l'extension démesurée de la cuisse. La flexion démesurée de la cuisse sur le bassin est encore constatée au cours des
e dos, cherche à rappro- cher le talon de la fesse du même côté, la cuisse est d'abord fléchie de façon exagérée sur le ba
gérée sur le bassin, la jambe n'étant que légèrement fléchie sur la cuisse ; puis, dans un second temps, la jambe est fléchi
; puis, dans un second temps, la jambe est fléchie fortement sur la cuisse , et la cuisse retombe brusquement, de telle sorte
n second temps, la jambe est fléchie fortement sur la cuisse, et la cuisse retombe brusquement, de telle sorte que le pied
té à se mettre en marche. Or, dès son premier pas il est arrêté. La cuisse est fléchie, elle l'est brusquement et démesuréme
qui peut être la conséquence du mouvement démesuré de flexion de la cuisse . Aussi, lorsque le malade, ayant reposé brusque
par les deux mains, l'attire légèrement au moment où il soulève la cuisse . Il est aussi en état de marcher, sans l'assist
chissant dans une mesure appropriée les jambes sur les pieds et les cuisses sur les jambes ; c'est tout le corps, de la têt
orts pour se mettre sur son séant, il n'y réussit pas ; de plus les cuisses se fléchissent fortement sur le bassin, et les
cilement dans ces conditions, et dans leurs tentatives répétées les cuisses se plient quelquefois sur le bassin. Mais, dans
e nous décrivons ici comme trouble asynergique, cette flexion de la cuisse est frappante par son amplitude et sa constance
on, rapproché ce phé- nomène du mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc tyli SEMIOLOGIE décrit par nous d
à 60 centimètres environ au-dessus du sol : au début de l'acte, la cuisse se fléchit sur le bassin et la jambe ne s'étend q
léchit sur le bassin et la jambe ne s'étend que légère- ment sur la cuisse , puis l'extension de la jambe devient plus énergi
s la position primitive, on voit d'abord la jambe se fléchir sur la cuisse , tandis que la cuisse ne se meut que légèrement
e, on voit d'abord la jambe se fléchir sur la cuisse, tandis que la cuisse ne se meut que légèrement ; puis, lorsque la jamb
que légèrement ; puis, lorsque la jambe est en demi-flexion sur la cuisse , celle-ci s'étend brusquement sur le bassin et
e talon de la fesse en un seul temps, la flexion de la jambe sur la cuisse et celle de la cuisse sur le bassin se faisant
un seul temps, la flexion de la jambe sur la cuisse et celle de la cuisse sur le bassin se faisant simultanément. Il peut d
le membre dans la position primitive par extension simultanée de la cuisse et de la jambe. On conçoit que dans l'un et l'aut
e de l'asynergie, c'est que ce mouvement est décomposé : lorsque la cuisse est fléchie démesurément, la jambe ne l'est que
ans l'acte de la marche, la translation du corps à la flexion de la cuisse . L'immobilité de la partie supérieure du corps
qui les composent ? Passons au mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin. C'est un phénomène que j'avais ob
son insertion supérieure ou à son insertion inférieure, fléchit la cuisse sur le bassin ou bien incline en avant le bassin
colonne vertébrale, on conçoit qu'un défaut d'immobilisation de la cuisse dans l'acte en question doive entraver l'inclin
aver l'inclination du tronc en avant et entraîner une flexion de la cuisse sur le bassin. Cette immobilisation de la cuiss
une flexion de la cuisse sur le bassin. Cette immobilisation de la cuisse est obtenue par la mise en activité des muscles q
sse est obtenue par la mise en activité des muscles qui étendent la cuisse sur le bassin. Je suppose que c'est la parésie
provoque dans l'hémiplégie le mouvement associé de la flexion de la cuisse . Cette interprétation ne saurait être appliquée
malade n'associe pas ou associe mal le mouvement d'extension de la cuisse sur le bassin au mouvement de flexion du tronc.
e façon que les divers mouve- ments de flexion et d'extension de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
exion et d'extension de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la jambe sont exécutés simultanéme
autres. Ici, au contraire, ils s'opèrent séparément : au début, la cuisse se fléchit énergiquement, tandis que le fonctio
le mouve- ment précédent est terminé ; en un mot, la flexion de la cuisse sur le bassin et l'extension de la jambe sur la
lexion de la cuisse sur le bassin et l'extension de la jambe sur la cuisse ne sont pas synchrones. N'y a-t-il pas lieu de
avec celle du tabétique. Le malade, en même temps qu'il fléchit la cuisse , étend la jambe, porte le pied en avant d'une man
s frap- pante est la suivante : le sujet est couché sur le dos, les cuisses fléchies sur le bassin, les jambes légèrement f
sses fléchies sur le bassin, les jambes légèrement fléchies sur les cuisses , les pieds écartés l'un de l'autre. Quand le ma
n constate le signe de l'orteil, ainsi que le mouvement combiné de la cuisse et du bassin à droite, ainsi que le signe du pe
eil, le signe du peaucier, et le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin permettent de l'affirmer. De plus,
emi-flexion (1) le long du tronc, la main, à demi fléchie, regarde la cuisse par sa (') Les photographies de l'article de la
e- ments lents de glissement les uns contre les autres et contre la cuisse à laquelle ils s'appuient. Il y a en même temps
spasmes existent pourtant et on les remarque dans les muscles de la cuisse lorsque le sujet est couché. Celui-ci se plaint d
plaint du reste de crampes fréquentes des muscles postérieurs de la cuisse quand, accroupi ou à genoux, il veut se relever
upporter. n<M'i9K). 1. 1 z VI I DE LA FLEXION COMBINÉE DE LA CUISSE ET DU TRONC DANS LA CHORÉE DE SYDENHAM .1. Ba
sujets, atteints de chorée ) de Sydenham, la flexion combinée de la cuisse et du tronc. Je l'ai constatée dans certains ca
sol et à 60 centimètres au-devant du genou ; au début de l'acte, la cuisse se fléchit sur le bassin et la jambe ne s'étend
fléchit sur le bassin et la jambe ne s'étend que légèrement sur la cuisse , puis l'extension de la jambe devient plus éner
s la position primitive, on voit d'abord la jambe se fléchir sur la cuisse , tandis que la cuisse ne se meut que légèrement
e, on voit d'abord la jambe se fléchir sur la cuisse, tandis que la cuisse ne se meut que légèrement, puis, lorsque la jam
t que légèrement, puis, lorsque la jambe est en demi-flexion sur la cuisse , celle-ci s'étend brusquement sur le bassin et
ts pour se mettre sur son séant, il n'y parvient pas ; de plus, les cuisses se fléchissent fortement sur le bassin et les t
dans le décubitus et qu'il cherche à étendre énergi- quement les cuisses et à appliquer aussi étroitement que possible l
rfaite les mouve- ments de flexion de la jambe sur le pied et de la cuisse sur la jambe, qu'accomplit dans cet acte, pour
est surtout très accusée à la jambe et à la partie inférieure de la cuisse ; à la face, la sensibilité parait émoussée des
ue le malade, placé dans le décubitus dorsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse, replace
rsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse , replace le membre dans sa position pri- mitive
: à droite, le mouvement est à peu près normal, l'exten- sion de la cuisse sur le bassin et celle de la jambe sur la cuisse
'exten- sion de la cuisse sur le bassin et celle de la jambe sur la cuisse sont exécutées presque synergiquement et le tal
fférent : dans un premier temps la jambe s'étend brusquement sur la cuisse et le talon est éloigné du sol par une distance d
né du sol par une distance d'un décimètre; dans un second temps, la cuisse s'étend sur le bassin et le talon vient s'appliqu
corps et on constate à droite « le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc ». Les mouvements des membres supér
u tendon rotulien donne lieu à une contraction des adducteurs de la cuisse droite. Les réflexes achilléens sont normaux. L
gne des orteils ainsi que par le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin, bien plus que par l'affaiblissement
vier 1896, on constate que la malade a une tendance à maintenir les cuisses fléchies sur le bassin et les jambes fléchies sur
nir les cuisses fléchies sur le bassin et les jambes fléchies sur les cuisses , que les membres inférieurs présentent un peu d
spasmodiques accompagnés de douleurs qui accentuent la flexion des cuisses et des jambes. Les réflexes tendineux et le réfle
s membres inférieurs devient beaucoup plus forte. Des deux côtés la cuisse est en état de flexion, d'adduction et de rotat
t la jambe est fléchie au point que le talon est en contact avec la cuisse ; le pied est fléchi sur la jambe et les orteils
is, on ne parvient pas à étendre d'une façon complète la jambe sur la cuisse ni à porter la cuisse en rotation en dehors. De
étendre d'une façon complète la jambe sur la cuisse ni à porter la cuisse en rotation en dehors. De plus, ces tractions fon
roïde. 318 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE au sacrum, aux cuisses , aux jambes et aux pieds. Il y a de l'incontinenc
nts volitionnels des membres inférieurs sont totalement abolis. Les cuisses sont fortement fléchies sur le bassin et les jamb
sur le bassin et les jambes sont en état de flexion forcée sur les cuisses . Il y a une contracture telle des membres inférie
embre; l'excitabilité idio-musculaire est sensiblement exagérée aux cuisses et aux mollets ; le membre inférieur droit est
nt complètement paralysés, se sont contractures ; des deux côtés la cuisse est fléchie sur le bassin, et la jambe, en flex
la cuisse est fléchie sur le bassin, et la jambe, en flexion sur la cuisse , forme avec celle-ci un angle droit ; les tract
des douleurs et des mouvements spasmodiques ; la jambe fait avec la cuisse un angle aigu, mais le talon n'arrive pas au cont
la cuisse un angle aigu, mais le talon n'arrive pas au contact de la cuisse . Au mois d'avril 1897, il se forme une eschare
e très intense amenant une flexion permanente et très marquée de la cuisse sur le bassin ainsi que de la jambe sur la cuis
rès marquée de la cuisse sur le bassin ainsi que de la jambe sur la cuisse , accompagnée de douleurs qui se manifestaient pri
étaient en contact avec la paroi abdominale et les talons avec les cuisses . Pour Frzenhel, ces troubles sont dus, selon to
e atteint de paraplégie spasmodique avec flexion de la jambe sur la cuisse portée à un tel degré d'intensité que les tégum
res. De plus, je ferai remarquer que l'excitation des téguments des cuisses ou des jambes par le pincement, l'application d
érente de celle qu'on observe dans le tabes dorsal spasmodique. Les cuisses sont fléchies sur le bassin, et les jambes fléc
cuisses sont fléchies sur le bassin, et les jambes fléchies sur les cuisses ; cette flexion est plus ou moins prononcée, sui
er chez certains sujets par le pincement de la peau des jambes, des cuisses et même du tronc, par l'application d'un corps
osition du membre ('), mais ce sont les mouvements de flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
ouvements de flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la jambe qui le plus généralement
ux fesses, aux organes génitaux externes, à la face postérieure des cuisses et de la jambe droite, et à la région plantaire.
peu près le sens (flexion ou extension) des attitudes données. à la cuisse . La sensibilité examinée avec le diapason est a
e diapason est aussi fortement diminuée à la face postérieure de la cuisse , où la sensibilité superficielle est en partie co
ne grande étendue, mais, à la face postérieure de la fesse et de la cuisse , on observe une conservation relative de la sensi
uer qu'avec peine et grande raideur les mouvements de flexion de la cuisse sur le tronc et de la jambe sur la cuisse ; il
uvements de flexion de la cuisse sur le tronc et de la jambe sur la cuisse ; il étend au contraire facilement la cuisse sur
et de la jambe sur la cuisse ; il étend au contraire facilement la cuisse sur l'abdomen, la jambe sur la cuisse et le pie
nd au contraire facilement la cuisse sur l'abdomen, la jambe sur la cuisse et le pied sur la jambe ; dans tous les mouvement
x orteils ; la notion de position est conservée pour la jambe et la cuisse . 1 Deuxième malade (cinquième cas). S... Henri,
contre, des mouvements spasmodiques involontaires de flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
lontaires de flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la jambe ; ces mouvements, qui son
par le pincement ou par le froid et le chaud sur les jambes et les cuisses ; ces réflexes de défense s'observent également
ion du pied et le surlendemain elle peut fléchir les jambes sur les cuisses . Le 24 mars, le chaud et le froid commencent à
xes de défense qui consistent comme d'habitude en une flexion de la cuisse , de la jambe et du pied. Ces mouvements relativem
qui déplacent brusquement les membres infé- rieurs, fléchissent la cuisse , la jambe et le pied, les allongent ensuite avec
de perçoit une sensation désagréable lorsqu'on lui applique sur les cuisses un tube rempli de glace. L'anesthésie devient u
fs : la malade sent une piqûre d'huile camphrée qu'on lui fait à la cuisse droite ; la régression des troubles de la sensibi
faradique, un très léger mouvement de flexion et d'extension de la cuisse et de la jambe gauches. Après une nouvelle péri
la sensibilité consistant en hypoesthésie de la face antérieure des cuisses . La malade d'ailleurs n'en est pas incommodée e
vec contracture extrêmement accentuée. Pour fléchir la jambe sur la cuisse , il nous faut déployer une force considérable ;
réaction très nette consistant en une extension de la jambe et de la cuisse et provoquée par l'excitation du tronc jusqu'à
rd, ces sensations douloureuses gagnent la région postérieure de la cuisse des deux côtés ; elles apparaissent généralement
rche des réflexes de dé- fense, ne déterminent ni mouvement de la cuisse , ni mouvement de la jambe, ni flexion réflexe d
nne à la partie inférieure de l'abdomen et à la face antérieure des cuisses ; au-dessus, l'anesthésie instable au froid s'éte
s, mais plus marqué à droite, le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin à droite, une parésie de la corde
sont atteints primitivement et avec le plus d'intensité sont, à la cuisse : le triceps ; à la jambe : les muscles de la r
de la main et des doigts sont à peu près normales. La flexion de la cuisse sur le bassin est faible. Les muscles de la cui
La flexion de la cuisse sur le bassin est faible. Les muscles de la cuisse sont un peu atrophiés ; cependant l'extension et
atrophiés ; cependant l'extension et la flexion de la jambe sur la cuisse , du côté droit, sans être normales, s'exécutent a
urbation des réflexes tendineux : dans les muscles du bras et de la cuisse qui ont perdu leur excitabilité idio-musculaire,
té électrique : on voit, en effet, que les muscles du bras et de la cuisse qui sont inexcitables par la percussion et priv
alysies du bras observées à la suite de plaies par arme à feu de la cuisse (Weir-Mitchell, Morehouse et Keen); les cas d'i
t, consécutivement à une blessure de la partie supéro-externe de la cuisse droite, d'une claudication des plus marquées av
n du pied en dehors. Nous constatons de l'atrophie musculaire de la cuisse , sans trouble appréciable des réactions électri
e limitation des mouvements de flexion et de rotation interne de la cuisse sur le bassin qui ne semble pas en proportion ave
u de la blessure, elle peut être perceptible au genou, et même à la cuisse pour une blessure du pied, au coude et à l'épau
. Nous avons cherché à déterminer, chez nos malades, au bras, à la cuisse , au poignet et au cou-de-pied, l'amplitude des
des doigts que l'on recourbe en arc de cercle une surflexion de la cuisse (jambe étendue) qui dépasse de beaucoup l'angle
oit, une surflexion de la jambe combinée à de la sur- flexion de la cuisse , mouvement complexe dans lequel la cuisse s'accol
de la sur- flexion de la cuisse, mouvement complexe dans lequel la cuisse s'accole à la paroi abdominale et le talon à la
exemple de 3 à 6 centi- mètres plus petit que du côté sain ; à la cuisse , les différences sont fréquemment de 3 à 5 centim
s, par exemple certaines contractures en flexion de la jambe sur la cuisse . Au deuxième mécanisme semblent répondre particu-
sation de fatigue aux membres inférieurs et un engourdissement à la cuisse gauche. Ces troubles, assez longtemps stationna
encore quelques contractions spasmodiques et douloureuses dans les cuisses pendant les mouvements provoqués ou spontanés.
ntractures. Il arrive spontanément à fléchir un peu la jambe sur la cuisse , mais ce mouvement se fait très lentement. Il est
de temps en temps, les jambes se fléchissent involontaires sur les cuisses . Des deux côtés, trépidation épileptoïde parfai
ents actifs et passifs de flexion, d'abduction et de rotation de la cuisse sur le bassin s'opéraient des deux côtés beauco
Ils sont contracturés, en adduction, les jambes en extension sur la cuisse , les pieds en extension sur les jambes et il es
dique des membres inférieurs, principalement à la face interne de la cuisse et de la jambe ganches, on détermine des mouvem
jambe ganches, on détermine des mouvements spasmodiques réflexes ; la cuisse se fléchit sur le bassin et le talon se détache
les troubles de motilité ont été les moins marqués au début et, à la cuisse , sont plus accentués en avant qu'en arrière. Ce
'état de la malade qui est devenue capable de fléchir légèrement la cuisse gauche, de détacher ainsi le talon du lit et d'
du lit et d'exécuter un petit mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse ; les troubles de sensibilité se sont aussi att
t de janvier 1907, du côté gauche, les mouvements volontaires de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pi
uvements volontaires de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la jambe sont très étendus, quoi
, quoique encore laborieux. A droite la malade peut fléchir un peu la cuisse sur le bassin, mais elle est encore incapable d
le bassin, mais elle est encore incapable de fléchir la jambe sur la cuisse ; la raideur a beaucoup diminué. A la fin de
u à l'état normal, se trouva pris d'une crise aiguë. La fesse, la cuisse , le mollet droits, sont le siège de douleurs très
pendant 10 minutes, puis ce fut le tour de la partie médiane de la cuisse et, enfin celle du mollet. C'est ainsi que chaque
uyer sur une canne. On pratique cinq injections d'air chaud dans la cuisse : chacune de ces injections procure le calme pe
aux : le réflexe achilléen, normal à droite, est aboli à gauche. La cuisse gauche présente une amyo- trophie. Il existe un
rophie. Il existe un centimètre et demi de différence en faveur de la cuisse droite. Les articulations coxo-féinorales sont
ctions du système pyramidal (Id.). n5. De la flexion combinée de la cuisse et du tronc dans la chorée de Sydenham (Id.).
dans le torticolis spasmodique 270 VI. De la flexion combinée de la cuisse et du tronc dans la chorée de Sydenham... 274 V
2 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
endre insertion sur les os; c'est ce que Ton observe aux bras et à la cuisse , entre les deux faces correspondantes aux muscles
mbres par rapport aux grands muscles profonds. (Ex. : au bras et à la cuisse des triceps, à l'avant-bras les cubitaux et les e
ux. A l'intérieur de l'abdomen, le psoas iliaque, fléchisseur de la cuisse , se présente enveloppé dans une gaine fibreuse tr
arts de sa circonférence, elle est plus mince en dedans, surtout à la cuisse , au voisinage du bassin. Dans les points où s'exe
se distingue dans ses quatre fractions: la portion pelvi--fémorale,la cuisse , la jambe et le pied. i° Portionpelvi-fémorale
ges fibro-osseuses des petit et moyen fessiers et des rotateurs de la cuisse , solidement maintenus dans leur position. 20 Cu
rotateurs de la cuisse, solidement maintenus dans leur position. 20 Cuisse . ( pl. 718, 11. ) La grande aponévrose fémorale,
es aponévroses des adducteurs, de manière à partager verticalement la cuisse en trois groupes principaux, en avant les extense
ent leur nom d'iliaques externes au bassin, en celui de fémoraux à la cuisse . L'anneau crural, déforme ellipsoïde, en travers,
acée superficiellement clans le sillon des muscles fléchisseurs de la cuisse . Soumise à des alongemcns réitérés par l'extensio
de la cuisse. Soumise à des alongemcns réitérés par l'extension de la cuisse , la gaine est doublée par une couche d'un tissu j
assin, les vaisseaux ilio-fémoraux présentent, pour leur passage à la cuisse , d'abord un anneau fibreux, très résistant, fermé
t former tumeur sous la peau de la partie interne et supérieure de la cuisse . Les épancliemens urinaires produits par la ruptu
a cavité du bassin, en formant, sous les muscles de la fesse ou de la cuisse , des collections profondes dont le diagnostic est
reux axillaire, elles s'insinuent profondément dans l'épaisseur de la cuisse ou du bras; soit que la collection liquide, ayant
ue les observations auxquelles ils ont donné lieu, pour le bras et la cuisse , s'appliquent également, pour íes divisions secon
est bornée latéralement par les deux lignes déclives de flexion de la cuisse , qui continuent de chaque côté le pli de l'aine,
forme les sillons de flexion intermédiaires du périnée à chacune des cuisses . Dans toute cette surface, mais principalement au
ules sébacés, plus nombreux à la racine du scrotum, dans les plis des cuisses , et surtout au pourtour de l'anus. La matière gra
n fascia superficialis épais, continu de chaque côté avec celui de la cuisse , et en avant avec le dartos. Ce fascia, composé d
urs, et dans les plis de flexion des artérioles et des veinules de la cuisse . Les lymphatiques sous-cutanés, quoique assez nom
ure à celle du pubis. Cette ligne intermédiaire entre l'abdomen et la cuisse et qui trace leurs délimitations communes en indi
nnaître comparativement au canal de passage des gros vaisseaux cle la cuisse et à la superposition du canal inguinal dont le p
r de la crête iliaque et en bas le pli intermédiaire de la fesse à la cuisse ; transversalement elle est bornée en arrière par
ière et en dehors la grosse tubérosité sciatique pour entrer clans la cuisse , circonstance qui rend compte de la pression acci
xtrémité d'une phalange ou d'un os métacarpien. MEMRRE ARDOMINAL. cuisse . La cuisse se divise en cinq régions, dont une
e phalange ou d'un os métacarpien. MEMRRE ARDOMINAL. cuisse. La cuisse se divise en cinq régions, dont une sur chaque fa
lle est le siège. Enfin, par extension, on rapporte comme annexe à la cuisse , les deux faces de l'articulation fémoro-tibiale
a région poplitée. Ainsi considérée dans ses limites chirurgicales la cuisse , en forme de cône alongé, dont la base correspond
ata, étendu de l'épine iliaque au grand trochanter; en arrière, où la cuisse naît beaucoup plus bas, un second angle, ouvert e
r libre de ce muscle. Inférieurement, les limites chirurgicales de la cuisse isolée du genou, sont encore plus vagues. Habitue
de région de faîne, située à la partie antérieure et supérieure de la cuisse , de forme triangulaire ; elle est limitée en haut
n dedans, de l'épine iLaque vers le milieu de la partie interne de la cuisse ; dans cet espace est une légère dépression corre
n, configuration, délimitation. Formée par la partie antérieure de la cuisse , elle est vaguement limitée en haut et en dedans
aucoup plus mince sur cette face que dans le reste de l'étendue de la cuisse ; elle présente au milieu un sillon qui représent
on, configuration, délimitation. Étendue à toute la face interne delà cuisse , cette région est limitée, en haut, par le pli de
par la cloison aponévrotique interne qui sépare les adducteurs de la cuisse des fléchisseurs de la jambe. Extérieurement cett
de l'incision pour la ligature de l'artère à la partie moyenne de la cuisse . Au plan vasculaire profond se rapportent les gro
on vasculaire, est, en chirurgie, le plus important des muscles de la cuisse . Le faisceau vasculaire fémoral, dont la directio
est sensiblement verticale en travers jusqu'au tiers inférieur de la cuisse , quoique oblique d'avant en arrière clans toute s
ils se correspondent par leur partie moyenne au tiers supérieur de la cuisse . A la partie inférieure, les rapports redeviennen
tère. RÉGION FÉMORALE EXTERNE '. Formée par la face externe de la cuisse , elle est comprise de haut en bas entre le grand
ier plan est l'aponévrose superficielle, intermédiaire à celles de la cuisse et de la jambe, qu'elle réunit, et dont elle form
si rarement, qu'on doit, eu général, leur préférer l'amputation de la cuisse . RÉGION POPLITÉE Situation, configuration, dé
asses latérales formées par lecartement des muscles fléchisseurs à la cuisse , et des deux jumeaux à la jambe, et circonscrivan
concavité inférieure, indiquant le pli de flexion de la jambe sur la cuisse . Parties composantes. i° Peau. Lisse, fine, gar
° Couche musculaire. Elle se compose, en haut, des fléchisseurs de la cuisse ; en dehors, le biceps et le vaste externe; en ded
t à débrider de bonne heure par de longues incisions. De même qu'à la cuisse , il est souvent nécessaire de couper un peu l'apo
d'un cachet. Au contraire, pour les troncs artériels du bras et de la cuisse , éloignés des leviers osseux et roulant dans l'ép
pe des quatre doigts, la résistance des parties molles, sur-tout à la cuisse , fait que les doigts tracent en commun un sillon
es en ce point. (b) Au tiers supérieur ou à la partie moyenne de la cuisse , la compression est facile et efficace avec le co
ant mis dans le relâchement par la flexion mutuelle du tronc et de la cuisse , l'aorte peut être comprimée, sur la région lomba
mbres, comme dérivatif continu, dans les cas les plus variés. Pour la cuisse , le lieu délection est à sa partie inférieure et
du bras avec le tronc, du bras avec lavant-bras, de la jambe avec la cuisse à l'état de flexion forcée ; de la partie latéral
du corps différentes, telles que le bras et le tronc , la jambe et la cuisse , il y a peu à craindre la récidive, l'écartement
la jambe, et, pour le point le plus élevé, la partie inférieure de la cuisse : 3° il faut appliquer deux Ibis la po- 39 tas
depuis le canal ostéo-fibreux des adducteurs au quart inférieur de la cuisse , jusque sous l'arcade du soléaire sur la ligne mé
squ'à l'angle cl'écartement des muscles biceps et demi-tendineux à la cuisse . Cette incision , qui n'intéresse que la peau, es
bec de la sonde cannelée. Faire fléchir médiocrement la jambe sur la cuisse pour mettre les muscles clans le relâchement, pui
beaucoup plus haut, suivant le sillon cl'écartement des muscles de la cuisse , cle manière à atteindre une longueur de dix cent
ision de onze centimètres de longueur, qui, du quart inférieur cle la cuisse , point correspondant à l'origine cle l'artère, à
côté ou sur le dos, le membre abdominal placé sur sa face externe, la cuisse dans l'abduction et légèrement fléchie sur le bas
bduction et légèrement fléchie sur le bassin, la jambe fléchie sur la cuisse , et l'articulation supportée par un oreiller, la
comme il a été dit précédemment. 3° Incision latérale interne à la cuisse . (Procédé de M. Jobert.) L'objet de l'auteur es
e haut en bas et d'avant en arrière les trois quarts supérieurs de la cuisse avec une demi-torsion spirale de la partie moyenn
s toute l'étendue de chacune des plaies : i° au tiers inférieur de la cuisse , dans l'étendue du canal fémoro-poplité ou mieux
nal fémoro-poplité ou mieux un peu au-dessus; 20 au tiers moyen de la cuisse , préférablernent dans la portion de J'espace qui
épond à tous les cas urgens d'anévrismc ou de lésion traumatique à la cuisse , mais en outre elle est, pour les cas douteux, la
lésion. Manuel opératoire. i° Ligattire au tiers inférieur de la cuisse (pl. 3o,, fig. 4 et 5). lia cuisse étant couché
gattire au tiers inférieur de la cuisse (pl. 3o,, fig. 4 et 5). lia cuisse étant couchée sur son côté externe, légèrement fl
terne, légèrement fléchie sur le bassin, la jambe demi-fléchie sur la cuisse , la face antérieure du genou tournée vers l'opéra
suivant la ligne connue de l'artère, au milieu du plan interne de la cuisse pour son tiers inférieur. Le lieu reconnu, vu la
respond au plan perpendiculaire qui commence le tiers inférieur de la cuisse ; c'est-à-dire que la plaie s'étend également, par
ier l'artère fémorale à la partie moyenne ou au tiers supérieur de la cuisse . Sans doute, au point de vue chirurgical de l'ind
le couturier, on voit que, le muscle coupant la face antérieure de la cuisse en diagonale, le faisceau vasculaire plus profond
vaste interne et du couturier, où ce dernier muscle, qui contourne la cuisse en dedans, revêt dans ce sens les vaisseaux qui l
t plus profonds. Dans ce trajet, où le couturier inflexe contourne la cuisse en dedans tandis que les vaisseaux s'enfoncent su
ure du même espace, correspondant au plan mitoyen de la hauteur de la cuisse , l'incision doit longer le bord dit externe du co
Partie inférieure de l'espace sous le couturier (partie moyenne de la cuisse ). Procédé de M. Roux. Déprimer le sillon interméd
. Partie moyenne de l'espace sous le couturier (tiers supérieur de la cuisse ). Procédé de Desault. Inciser en deux temps la pe
artie supérieure de l'espace sous le couturier (quart supérieur de la cuisse ). Procédé de Hanter, modifié par M. Lisfranc. Dép
uire comme précédemment. 3° Ligature à l'extrémité supérieure de la cuisse (espace sous-aponé-vrotique). Procédé deScarpa.
de MM. Lizars et Harrisson. Le malade étant couché sur le ventre, la cuisse étendue et la plante du pied tournée en haut et e
lier l'artère. Procédé d Abernethy. Le malade couché sur le dos, la cuisse légèrement fléchie sur l'abdomen, et l'abdomen su
e. Parvenu sur le péritoine, faire fléchir de nouveau le ventre et la cuisse , soulever le bassin du côté de l'opération, si ce
cédé de sir A. Cooper. Le malade couché en supination, la tête et les cuisses légèrement fléchies sur le tronc, ce grand chirur
Modification de Sabatier. Pour un anévrisme au tiers supérieur de la cuisse , Sabatier, ayant établi une compression préalable
our des abcès du foie, et par Dupuytren pour des abcès profonds de la cuisse . TUMEURS. Rien de plus varié, mais aussi rien
ire à l'épaule et à la fesse, dans l'épaisseur de l'avant-bras, de la cuisse et de la jambe. Deux procédés opératoires sont
ne soudure des deux os cle la hanche avec flexion à angle droit de la cuisse sur le bassin et avec rotation du genou en dedans
is cle manière à former un angle droit saillant au côté externe de la cuisse . Il en résultait, pour le membre, un raccourcisse
cision transversale qui s'étendait au quart de la circonférence de la cuisse en n'intéressant que la peau. Les muscles étant d
ver la division cle l'os par fracture, en plaçant sous l'angle cle la cuisse une pyramide en bois dont le sommet tronqué était
ables. En comparant ces résultats à ceux que donne l'amputation de la cuisse on ne doit pas balancera rejeter la résection du
s longue et plus dangereuse que l'amputation dans la continuité de la cuisse . i° Procédé de Park. Pratiquer au-devant de l'a
e Moreau. Procédé de M. Sjme. La jambe fléchie à angle droit sur la cuisse , tracer au-dessus de la rotule une incision courb
on préférer l'ablation de la tête du fémur à la désarticulation de la cuisse , qui est elle-même une opération si grave. Manu
procédé consiste à pratiquer à la partie supérieure et externe de la cuisse une grande incision qui divise tous les tissus ju
et profonde se dirigeant vers la partie postérieure et interne de la cuisse . On obtient ainsi un large lambeau triangulaire q
vert, lier les artères qui fournissent du sang; puis, saisissant la cuisse , la porter en dedans et en haut en même temps qu'
a relevé ce lambeau et divisé la moitié postérieure de la capsule, la cuisse portée dans l'adduction et la flexion permettrait
use qu'on veut enlever. Il n'y aurait plus qu'à redonner ensuite à la cuisse une direction naturelle, et abaisser le lambeau p
i839). 5° Procédé de M. Jœger. Pratiquer sur le côté externe de la cuisse une incision longitudinale commençant de cinq cen
omique de l'avant-bras. Bras. Ce cpie nous dirons en détail pour la cuisse s'applique également à l'amputation du bras dans
que nous ayons à examiner, et diffèrent essentiellement de ceux de la cuisse parce que toutes leurs attaches, ou du moins les
onnablement assimiler à ces muscles longs et grêles qui parcourent la cuisse dans toute son étendue, du bassin à la jambe. A
est encore préférable, obliquement de dehors en dedans, comme pour la cuisse . Louis se contentait de couper perpendiculairem
st comprimée par un aide au pli de l'aîne ou au tiers inférieur de la cuisse ; le pied est soutenu par un autre aide. Méthode
reaction très prononcée, on tient la jambe fléchie légèrement sur la cuisse et appuyée sur un coussinet. Pour éviter les fusé
D'ÉLECTION. Historique. A. Paré voulait que la jambe fléchie sur la cuisse pendant l'amputation fût ensuite étendue afin de
e rétracteur, et pendant la cicatrisation fléchissait la jambe sur la cuisse pour diminuer l'impulsion des artères et la doule
Lisfranc trace au chirurgien les règles suivantes pour se baisser. La cuisse droite est fléchie à angle droit sur le bassin, l
uisse droite est fléchie à angle droit sur le bassin, la jambe sur la cuisse , le pied repose à plat sur le sol; la cuisse gauc
bassin, la jambe sur la cuisse, le pied repose à plat sur le sol; la cuisse gauche est fléchie à angle obtus sur le bassin, l
est fléchie à angle obtus sur le bassin, la jambe à angle aigu sur la cuisse , la tubérosité de l'ischion s'appuie sur le talon
les opérée de cette manière, il n'est pas rare d'observer, comme à la cuisse , la saillie et la dénudation des os par suite de
procédé que nous avons adopté, toutes les attaches des muscles de la cuisse sont conservées; la plaie présente une surface ré
eau. Pendant la durée de la cicatrisation la jambe est étendue sur la cuisse . Ce procédé n'est que la régularisation de celu
umens antérieurs ne laissera d'autre ressource que l'amputation de la cuisse ou dans les tubérosités du tibia. Du reste le pro
ation hardie fut cependant généralement préférée à l'amputation de la cuisse ou à la désarticulation du genou remise en honneu
mérite est d'éviter une opération plus périlleuse, l'amputation de la cuisse . Anatomie. Au-dessus du lieu d'élection, les fi
ribles, il est vrai; mais le sont-elles moins dans l'amputation de la cuisse , ou la désarticulation tibio-fémorale? La méthode
et de bas en haut, une courbe à concavité externe. AMPUTATION DE LA CUISSE DANS LA CONTINUITÉ. Généralités. L'amputation de
TION DE LA CUISSE DANS LA CONTINUITÉ. Généralités. L'amputation de la cuisse a toujours été prise comme type de toutes les a
auteurs anciens que très peu de renseignemens sur l'amputation de la cuisse en particulier, nous pouvons, sans craindre de no
l'expression d'une formule générale; aussi ne donnerons-nous pas à la cuisse , comme nous l'avons fait pour la jambe, une très
oyen-âge, il n'est fait aucune mention spéciale de l'amputation de la cuisse . Hippocrate et Héliodore en parlent d'une façon t
que le genou. Fabrice deHilden et surtoutGuillemeau, en parlant de la cuisse , recommandent de remonter la peau, de couper tout
ntrer enfin une doctrine vraiment scientifique sur l'amputation de la cuisse . J.-L. Petit, croyant que la saillie du fémur ten
seul coup les parties molles de la face interne et postérieure de la cuisse , de les laisser rétracter, et d'achever, à leur n
n égard. .Anatomie. La peau, assez lâchement unie aux fascias de la cuisse , ne présente d'adhérence marquée qu'à la région p
emière comprend la couche des muscles superficiels, qui parcourent la cuisse du bassin à la jambe : pour eux, le phénomène de
dedans. On n'a pas admis de lieu d'élection pour l'amputation de la cuisse : le plus bas possible est toujours le meilleur;
e de la hauteur à laquelle on ampute. Plus haut que le milieu de la cuisse , les dispositions anato-miques que nous avons sig
ou la petite pelote d'usage. Chélius recommande encore d'embrasser la cuisse au pli de l'aine avec les deux mains, et d'appliq
er la rétractilité musculaire, la jambe est légèrement fléchie sur la cuisse , et la cuisse sur le bassin. MÉTHODE CIRCULAIRE
lité musculaire, la jambe est légèrement fléchie sur la cuisse, et la cuisse sur le bassin. MÉTHODE CIRCULAIRE. L'opérateu
ligature paraît devoir se rapporter spécialement à l'amputation de la cuisse . De nos jours, M. Amus-sat a essayé avec succès d
ssi bien pour les petites artères. Quant au nombre des vaisseaux à la cuisse , au tiers inférieur on a l'artère fémorale, les p
après Louis. Les accidens les plus communs après l'amputation de la cuisse sont : l'hémorragie, le spasme du moignon, et les
a même manière. Procédé de Valentin. Le membre dans l'abduction, la cuisse étendue sur le bassin, la jambe fléchie sur la cu
l'abduction, la cuisse étendue sur le bassin, la jambe fléchie sur la cuisse , couper les chairs de la partie antérieure et int
rs de la partie antérieure et interne; le membre dans l'adduction, la cuisse fléchie sur le bassin, la jambe fléchie sur la cu
l'adduction, la cuisse fléchie sur le bassin, la jambe fléchie sur la cuisse , diviser les parties molles des faces externe et
ent en dehors pour le membre droit, en dedans pour le gauche. Pour la cuisse droite : saisir avec la main gauche les chairs du
s. Elles sont en grand nombre. Le procédé que Ravaton appliquait à la cuisse est le même que celui que nous avons donné pour l
eur réelle que par l'habileté de l'opérateur. Placé en dedans pour la cuisse droite, en dehors pour la cuisse gauche, à moins
l'opérateur. Placé en dedans pour la cuisse droite, en dehors pour la cuisse gauche, à moins que l'on ne soit ambidextre, fair
atre pouces) qui contourne le fémur et s'arrête sur l'axe moyen de la cuisse , en avant et en arrière; ce lambeau relevé, en ta
ui frappa tout d'abord et avec juste raison, dans l'amputation cle la cuisse , ce fut la saillie, la nécrose ou la carie de l'o
Lisfranc a souvent élevés contre la méthode à lambeaux appliquée à la cuisse , ont été partagés par le plus grand nombre des ch
ne peut pas soumettre à des règles déterminées. La structure cle la cuisse nous paraît réclamer éminemment la méthode circul
. Les combinaisons que Valent! n a proposées pour l'amputation cle la cuisse ont été repoussées comme inutiles, et, en outre,
une mort certaine plutôt que de porter le fer sur la continuité de la cuisse ou du bras. Toutefois il donne des préceptes pour
s Magius, et préfère la désarticulation du genou à l'amputation de la cuisse . Fabrice deHilden mentionne comme une opération
e la hanche quand la corruption gagnait les parties supérieures de la cuisse (fenioris) et du bras (brachii), et non pas, comm
n scapulo-humérale, Hoin de Dijon pratiquait celles du genou et de la cuisse . Il nous semble donc démontré par une suite non
e chirurgien manquait des instrumens convenables pour l'opérer sur la cuisse . En 1764 cette opération fut enfin pratiquée d'un
pouvant être recouverte, mieux vaudrait pratiquer l'amputation de la cuisse . Méthode ovalaire.—Procédé de M. Baudens(p\. 91
en de Touraine, pour un cas d'attrition de la partie supérieure de la cuisse par un timon de voiture; le malade guérit et a su
lation coxo-fémorale sont : l'attrition de la partie supérieure de la cuisse par un projectile ou à la suite d'un coup très vi
du fémur, revêtue par le psoas iliaque, forme, dans l'extension de la cuisse , une saillie globuleuse au-dessous de l'arcade fé
'abord attaqué en bas et en dedans, le ligament inter-articulaire, la cuisse portée dans l'abduction, s'enroulant sur la tête
du couteau. Si, au contraire, on attaque l'articulation en dehors, la cuisse doit être portée dans l'adduction; le ligament in
le pouce d'un aide; enfin la jambe soutenue par un autre aide, et la cuisse saisie par la main gauche de l'opérateur placé en
base pour en prolonger les angles en avant et en arrière : porter la cuisse dans l'abduction, ouvrir la capsule, couper le li
er le ligament ïnter-articulaire et luxer la tête de l'os, ramener la cuisse à sa direction naturelle et, par une incision dem
la tête du fémur sans essayer d'entrer dans l'articulation; porter la cuisse dans l'abduction, inciser le ligament inter-artic
ssin sur la demi-circonférence antérieure, interne et postérieure, la cuisse étendue et légèrement écartée : i° pratiquer d'ab
9, fig. 2). Le chirurgien est place en dehors du membre le long de la cuisse pour le côté gauche, et le long du tronc pour le
eu le plan sur lequel il repose; un aide soutient le membre étendu la cuisse légèrement fléchie sur le bassin. Tout étant disp
pli de l'aine, les bourses maintenues relevées vers l'autre côté, la cuisse étendue dans une demi-abduction, et le chirurgien
section des muscles en deux lambeaux latéraux. Placé en dedans de la cuisse , le chirurgien commence par une incision vertical
emière incision qui descende obliquement sur la face antérieure de la cuisse jusqu'à l'angle droit qui résulterait de la renco
ec la peau, les attaches des fessiers et les muscles antérieurs de la cuisse . 2° Abaisser en arrière une seconde incision obli
ère fémorale médiate-ment au milieu des chairs : enfin, saisissant la cuisse avec la main gauche, descendre avec le couteau su
écarter des points de pression des tiges iliaque et ischiatique de la cuisse artificielle qui devra servir à la section : ce q
ion, 243—246. — Au-dessus du lieu d'élection, 247. = Amputation de la cuisse ? 247—250. Amputations dans la contiguïté. Histo
N. 47. Région palmaire. 48. Région dorsale. MEMBRE ABDOMINAL. CUISSE . 49. Région inguino-fémorale. 50. Région fémo
culaire des attaches pelviennes du grand fessier et des muscles de la cuisse . En bas, le bord perineal du grand fessier est éc
transverse. 10. Section du sterno-pubien. 11. Naissance des deux cuisses . Tome 6. PL. 4. ANATOMIE CHIRURGICALE. LO
x ischiatiques. E. Loge du grand fessier inférieur (extenseur de la cuisse .) 19. Ses vaisseaux et ses nerfs fournis par le
Segment inférieur de l'aponévrose du grand oblique renversé sur la cuisse . 3. Muscle crémaster également renversé en ba,
15. Artères et veines inguino-abdominales. F. Surface interne de la cuisse recouverte par l'aponévrose fémorale d'envelopp
sseaux et de ses nerfs. I. Loge musculaire du droit antérieur de la cuisse , garnie de ses vaisseaux et de ses nerfs. K. P
supérieure de la loge du couturier. M. Loge du droit antérieur de la cuisse . 26. Extrémité supérieure coupée dans le point
ICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DE LA CUISSE ET DU BASSIN, VUS PAR LE PLAN INTERNE. ADULTE,
E. ADULTE, DEMI-NATURE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. CUISSE . A. Loge du couturier. 1,1. Vaisseaux sanguins.
e feuillet externe du couturier. B. Loge du droit antérieur de la cuisse , vue au profil. 4. Vaisseaux sanguins fournis p
roit interne. 6. Vaisseaux provenant des collatéraux internes de la cuisse . 7. Filamens nerveux émanés du nerf crural. D
sciatiques. JAMBE. A, B, C, D. Tendons des muscles internes de la cuisse ; A. Couturier; B. Droit interne; C. Demi-membra
u nerf tibial antérieur. FIGURE 2. Les muscles superficiels de la cuisse sont enlevés par leur extrémité inférieure. Il n'
A DIVERSES HAUTEURS. Figure i. — Plan de section horizontale de la cuisse , au-dessous du fascia-lata. Figure i. — Plan de s
. FIGURE 1. A. Corps du fémur. 1. Loge du droit antérieur de la cuisse . 2. Loge du couturier. 3. Loge du droit inter
ULTE, DEMI-NATURE. FIGURE 1. COMPRESSION DE L'ARTÈRE FÉMORALE. La cuisse est placée demi-fléchie sur un oreiller. La figur
ant sur le pli de l'aine, a toujours de la tendance à basculer sur la cuisse ; c'est pour obvier à cet effet qu'un bout de ban
tte d'opposition (E), qui s'applique en arrière sur les muscles de la cuisse , l'extrémité antérieure (F) supporte la tige à vi
ue externe et le tronc de la fémorale jusqu'à la partie moyenne de la cuisse . B. Artère hypogasirique. C. Artère fessier e
vec les branches anormales de l'iléo-lombaire ; puis elle arrive à la cuisse par une forte branche (f) vue au travers d'une éc
des deux triangles formés en haut par les muscles fléchisseurs de la cuisse , et en bas par les jumeaux. Deux instrumens sont
de l'artère. LIGATURE DE L'ARTÈRE FÉMORALE AU TIERS INFÉRIEUR DE LA CUISSE . L'opération est représentée à sa terminaison,
l est couché sur le dos, un peu incliné du côté de l'opérateur, et la cuisse légèrement fléchie. OPERATIONS. FIGURE \. L
équestre du fémur. La plaie étant pratiquée à la partie externe de la cuisse , et le fémur de nouvelle formation ouvert avec le
t. Nous avons représenté de préférence cette variété d'opération à la cuisse , où les fâcheux effets de l'ébranlement sont moin
oxo-fémorale. Figure 2. Grand couteau droit pour l'amputation de la cuisse . Figure 3. Grand couteau inter-osseux pour l'am
sur sa face postérieure, un aide de droite du chirurgien maintient la cuisse des deux mains , dont la droite (a) comprime en m
ci les détails de la plaie : (d) . Lambeau supérieur relevé vers la cuisse et maintenu par le pouce gauche de l'aide de dr
DES PARTIES COMPRISES SUR LA FIGURE. A. Extrémité inférieure de la cuisse , renfermant toutes ses parties molles et recouv
artie supérieure de l'appareil est une autre boîte de réception de la cuisse , qui présente deux bourrelets comme points d'appu
crurale. Un autre aide, dont les mains ne sont pas figurées, fixe la cuisse du malade. b. Main gauche du chirurgien qui fix
ier, Benard et Cie. TOME VI. PLANCHES 85 ET 80. AMPUTATIONS DE LA CUISSE . A DUI/TE D EM I -NATL1 \\Iv PLANCHE 85. AM
DUI/TE D EM I -NATL1 \\Iv PLANCHE 85. AMPUTATION CIRCULAIRE DE LA CUISSE A SA PARTIE INFÉRIEURE. (MEMBRE DB OIT.) figu
exercée par une pelotte à manche. e. Main d'un aide qui supporte la cuisse en dessous. f. Main d'un autre aide qui support
f. Main d'un autre aide qui supporte l'extrémité inférieure de la cuisse , tandis qu'il tient la jambe de l'autre main. g
dehors en dedans et. de bas en haut. PLANCHE 86 AMPUTATION DE LA CUISSE A DEUX LAMREAUX (interne et externe). (MEMBRE D
in gauche du chirurgien qui gouverne l'extrémité supé- rieure de la cuisse , la jambe au-delà étant supportée par un aide.
oraux dans les chairs. e. Main gauche du chirurgien qui gouverne la cuisse et lui im- prime les mouvemens convenables. f
ésenté sur la figure, le couteau s'incline en bas pour détacher de lâ cuisse le lambeau postérieur. a. Lambeau antérieur.
du lambeau antérieur. g. Main gauche du chirurgien qui gouverne la cuisse , la jambe au-delà étant supportée par un aide.
couteau, nous partageons en V l'incision externe, en laissant, sur la cuisse , un petit lambeau triangulaire. Désarticulation
ambeau interne relevé. h. Main gauche du chirurgien qui gouverne la cuisse amputée. i. Couteau tenu par la main droite du
ction des chairs sur le moignon, q. Plan de section des chairs sur la cuisse . r. Couteau tenu de la main droite du chirurgie
aire dans l'articulation fémoro-tibiale. Figure 7. Amputation de la cuisse par la méthode mixte. Section ovalaire de la peau
3 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
du système musculaire, prin- cipalement aux membres inférieurs. Les cuisses et les mollets, en effet, sont très volumineux
u ; leur consistance est élastique, normale. La circonférence de la cuisse mesurée à sa partie moyenne est de 55 centimètr
e 2 ou 3 kilogs seu- lement. Si on lui fait étendre la jambe sur la cuisse , on arrive facilement la fléchir ; inversement
temps très appréciable, qui pour certains muscles, notam- ment à la cuisse , dépasse parfois une minute. L'excitabilité farad
prononcés sur certains muscles, notamment les vastes internes de la cuisse , les jumeaux, les deltoïdes, etc. Avec des cour
ez intense (courant stabile) à travers un membre tout entier (bras, cuisse , jambe) on produit facile- ment l'apparition de
n- firmé. L'examen histologique d'un morceau du vaste externe de la cuisse droite a été pratiqué dans le service de M. Ray
ticu- lièrement faciles à constater sur les droits antérieurs de la cuisse , les vastes internes et externes, les jumeaux,
. Sur certains de ces muscles, notamment sur le vaste interne de la cuisse , on voyait au début de l'exploration se produir
cherches ont été faites principalement sur le droit antérieur de la cuisse , que nous avons choisi de préférence, parce qu'
scription de trois réac- tions électriques du droit antérieur de la cuisse avec des intermittences de fréquences différent
juillet {888. -Excitations faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse . - Chariot à 6 cm. 9/2. - A. Cuisse gauche. Inter
B. Cuisse droite. Interruptions 480 par minute (8 par seconde). - C. Cuisse gauche. Interruptions 660 par minute (11 par seco
rne. Pas de pied bot varus ni valgus. Mouvements très limités des cuisses et des jambes. Face. Ce qui frappe en premier l
it des petits pas très pressés, courts, ce qui est dû il ce que les cuisses sont raides et fléchies sur le bassin, les jambes
é des mouvements involontai- res qui fléchissent les jambes sur les cuisses , les cuisses-sur le bassin, et qui peuvent être
ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. dans la même direction, les cuisses rapprochées, les genoux collés, les jam- hes tr
prennent : les genoux, fléchis, frot- tent l'un contre l'autre, les cuisses sont fléchies sur le bassin, les jambes écartée
-bras fléchis, les mains unies. Les doigts enlacés reposent sur les cuisses . C'est la une posi- tion préférée, car ainsi le
oigts, même indépendance dans leurs mouvements. Les jambes et les cuisses sont presque tranquilles. Cou. tronc, face. La
ronc en avant, étend fortement les bras dans la même direction, les cuisses rappro- chées, les genoux collés, les jambes tr
sée en arrièrect raide, les jambes sont légèrement fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le bassin, les genoux presque
t raide, les jambes sont légèrement fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le bassin, les genoux presque collés l'un c
assin, les genoux presque collés l'un contre l'autre, ainsi que les cuisses , les pieds en varus équin, la malade marche sur
- quent. Au niveau du pubis des poils en assez grande quantité. Les cuisses sont à peu près normales : les jambes sont plut
ns latéra- les du pied, et en une légère flexion de la jambe sur la cuisse se produisant si- multanément et également des
archer si on le tient par le bras, alors tout le corps se raidit, les cuisses se fléchissent sur le bassin, les genoux rappro
A' le tracé des excitations produites sur le droit antérieur de la cuisse gauche de notre malade, avec des intermittences
, 25 sept. 1888. Réactions faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse gauche. Excitations courtes ; décontractions lent
a même feuille 2;) excitations différentes du droit antérieur de la cuisse gauche. Entre chaque ligne il s'est écoulé un t
aradiques de courte durée portant sur le muscle droit antérieur de la cuisse gauche ; décontractions lentes. Inter- ruptions
ations faites, le 22 août 1888, sur le muscle droit antérieur de la cuisse droite avec les trois bobines de l'appareil farad
aradiques de courte durée portant sur le muscle droit antérieur de la cuisse gauche ; décontractions lentes. Interrup- tions
e c'est ta règle en pareil cas (voir plus Imlll, section A). A la cuisse droite les troubles myotoniques étaient beaucoup
iques étaient beaucoup plus ac- centués, chez notre malade, qu'a la cuisse gauche. Pendant toute la durée de nos recherche
nique. Le trace suivant, fig. 14, pris sur le droit antérieur de la cuisse du côté droit, le même jour el dans les mêmes c
radiques de couite duiée portant sur le muscle droit aillérieut de la cuisse droite ; décon trac tiuns lentes. Inler- i upti
ets sur certains muscles, en particulier sur la vaste interne de la cuisse , el produisent dans les tracés recueillis sur ce
comme la ligure 15 l'inscription du muscle droit anté- rieur de la cuisse droite. En e reportant aux inscriptions analogues
(Maladie de Thomsen). Excitations faradiques du droit antérieur de la cuisse droite. Bobine à gros fil, écartée de 7 cm. 1/2 e
sept. 1888. - Excitations faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse ganeLe ; apparition des mouvements ondulatoires.
nt très marqué des hanches, en même temps qu'un écartement des deux cuisses à leur racine, dont les deux faces internes, au
e du sol à l'interligne articulaire du genou égale la hauteur de la cuisse prise de ce dernier pointa un travers de doigt
l'élargissement du diamètre Ii-(rocllan- térien et l'écartement des cuisses . L'élargissement des hanches entraîne l'aplatis
perdu 5 centimètres, juste la diminution en longueur qu'a subie la cuisse d'après nos mensurations com- paratives. Ces me
sacrum. Un autre rapport de la hauteur de la jambe avec celle de la cuisse , pris avec d'autres points de repère est égalem
du sol au pli fessier, ce qui donne 1 tête 1/2 à la longueur de la cuisse en arrière, 1 tète 1/2 ou 3/ de jambe puisque l
ctement deux tètes, ce qui est la longueur de la jambe, celle de la cuisse et distance que l'on retrouve ainsi au torse, de
tête du sujetest juste de 22 cent. 5. Cette mesure reportée sur la cuisse arrive au-dessus du grand trochanter comme chez
nce du sol au centre de la ro- tule. Je reporte cette mesure sur la cuisse , et du centre de la. rotule, mon compas doit at
ron cinq centimètres. Voyons maintenant le rapport de la jambe à la cuisse vue par sa face in- terne.et postérieure. De
ostérieure. De l'interligne articulaire du genou au pli fessier, la cuisse , d'après le ARTHROPA'11111 : ,S COXO-I'É11OHALG
3 cent. 7. C'est donc 33 cent. 7 que devrait avoir la hauteur de la cuisse , or elle ne mesure que 27 cen- timètres. Les
ques externes. D'où l'élargissement des hanches, l'écar- lement des cuisses et l'aplatissement des fesses que présente ce mal
du bassin a également comme conséquence le raccourcis- sement de la cuisse , et par suite la diminution de la taille. M. Char
erdu, et cette diminution de la taille s'est faite aux dépens de la cuisse raccourcie d'au- tant. C'est ainsi, Messieurs
euse du bassin. Des rétractions dans les muscles fléchisseurs de la cuisse sur le bassin, s'opposeront à l'extension compl
ne reste pas en arrière de la base de sustentation, il faut que les cuisses se placent en extension forcée. La paralysie
trouverait rejeté trop en arrière si le bassin, s'inclinant sur les cuisses , ne le ramenait en avant. Dans cette variété, grâ
pas en arrière de la base de sustentation du corps, il faut que les cuisses s'étendent fortement sur le bassin. Dans cette va
8 sept. 1888. - Excitations faradiques du muscle droit antérieur delà cuisse gauche provoquées aussitôt après celles de la lig
), 1" oct. 1888. Réactions faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse ; mouvements ondulatoires. A, B, C, côté gauche ;
tent l'ins- cription recueillie sur le muscle droit antérieur de la cuisse gauche, la bo- bine induite à gros fil écartée
t-à-dire pendant plus d'une minute. Le muscle droit antérieur de la cuisse droite examiné le même jour dans des conditions
sept. 1888. - Excitations faradiques du muscle droit antérieur de la cuisse droite. A et B, bobine à gros fil, écartée de 8 c
(Maladie de Thomsen). Excitations faradiques du droit antérieur de la cuisse . -Bobine à gros fil. -A, B, C, côté gauche : inte
Ces tracés A, B, C, ont été pris sur le muscle droit antérieur de la cuisse du côté gauche, une demi-heure après l'inscript
UVELLE iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. muscle DROIT antérieur DE la cuisse gauche (21 sept. 1888). ÉTUDE DE L'excitabilité
aradiques, c'est-à-dire le plus souvent les droits antérieurs de la cuisse . (A suivre) E. HUET, Ancien interne de la C
mbées, des glissades, des écarts, des sauts irréguliers. Parfois la cuisse est fléchie violemment sur le bassin et le choréi
se déplace vers la gauche ; cela est obtenu par l'adduction (16 la cuisse droite et l'abduction de la cuisse gauche. Ains
st obtenu par l'adduction (16 la cuisse droite et l'abduction de la cuisse gauche. Ainsi, l'axe du tronc et l'axe des memb
ago- nistes, c'est-à-dire les muscles fléchisseurs du bassin sur la cuisse et ex- tenseurs du genou. Les premiers sont pro
embres inférieurs plus que les supérieurs, frappait les bras et les cuisses plus que les avant-bras et les jambes, le côté dr
utre sans se détacher du sol, le genou est lé- gèrement fléchi, les cuisses en extension sur le bassin, le tronc est renversé
marche, les membres inférieurs restent accolés l'un à l'autre, les cuisses et le tronc forment une ligne oblique dirigée e
tête gardent la même attitude ; la main en pronation repose sur la cuisse : la jambe est fléchie ; le pied présente un ce
let 1888. - Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cuisse gauche. 1° à 5* Secousses de fermeture, F, et d
n. Fig. 28. Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cuisse chez un individu normal. (Réduit au 1/3.) ÉTU
août l8tt ? livcUaUUns galvaniques du muscle droit antérieur de la cuisse gauche. Secousses de fermeture et d'ouverture. Te
fit 188S. - Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cuisse gauche. Secousses de fermeture à An et à la par r
août 1588.- Excitations galvaniques du muscle droit antérieur do la cuisse gauche. Secousses de fermette et d'ouverture. (Ré
oût 1888. - Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cuisse gauche. Secousses de fermeture et d'ouverture à i
figures 32 et 33 ont été pris sur le muscle droit t antérieur de la cuisse droite qui, ainsi que nous l'avons déjà constaté
ion myotonique beaucoup plus accusés que le muscle homologue cle la cuisse gauche.) Il était facile de produire, chez notr
ient recueillis par un myographe placé sur le droit antérieur de la cuisse . Avec un courant de 22 milliampères il Cc. 33.
l août 188. Excitations galvaniques du muscle droit antérieur de la cuisse droite. Secousses de fermeture et d'ouverture au
de 111Omsell) ? 4 JUllltl 1888. Ëxcnauonssainnjues des muscles de la cuisse gauche ; mouvements ondulatoires. (Electrode ex
ment aux vastes internes et externes et aux droits antérieurs de la cuisse , aux jumeaux, aux deltoïdes, aux biceps, aux fl
un membre entier, le bras par exemple, ou un segment de membre, la cuisse , la jambe. On voit, alors, bientôt apparaître u
le bras, les vases internes, externes et droits antérieurs pour la cuisse , les gastrocnémiens pour la jambe, que l'on const
a jambe, anesthésie du tiers inférieur de la face antérieure ; à la cuisse , sensibilité diminuée sur la face externe. Memb
roit : au pied, anesthésie limitée aux orteils ; à la jambe et à la cuisse , l'anesthésie occupe les mêmes régions qu'à gau-
coude. Aux membres inférieurs elle s'élève jusqu'à la moitié de la cuisse (schéma) en respectant la voûte plantaire dans
trice (Pl. XL) pigmentée, vestige d'une ancienne bril- lure. A la cuisse , rien digne d'être noté. Examen électrique (pra
Membres inférieurs rétractés vers l'abdomen ; flexion complète des cuisses sur le bassin avec adduction ; les genoux tende
enoux tendent à s'entrecroiser. Flexion complète des jambes sur les cuisses . Les pieds sont en extension presque complète ave
ourt et surtout les jambes beaucoup trop longues rela- tivement aux cuisses . Les proportions les plus variées se trouvent dan
la fesse et non plus au pli fessier. La cinquième division coupe la cuisse , la sixième se trouve au-dessous du genou, au t
on de sept têtes et demie, que cette mesure égale la longueur de la cuisse de l'interligne articulaire au-dessus du grand
acine des organes, ce qui augmente un peu le torse aux dépens de la cuisse . D'autre part, la hauteur de la jambe est bien la
nnée, triplé à 7 ans, quadruplé à 12 ans et quintuplé il 20 ans. La cuisse acquiert 5 fois sa lon- gueur primitive. La jam
qu'on lui fait mal à l'os quand on serre vigoureusement le mollet, la cuisse ou le bras. La peau est insensible ; le tremble
ipalement le nerf crural et la partie du grand saphène situé sur la cuisse . J'ai vu en 1889, beaucoup de sujets atteints p
le calmait immédiatement la douleur qui siégeait à la jambe et à la cuisse , mais aussi la douleur qui résidait au bassin. Il
on. On, ne saurait nier la valeur artisti- que de cette statue, les cuisses surtout sont d'un très beau modelé et d'une for
re de statues de Bacchus ont ab- solument la tête, le bassin et les cuisses d'une femme ; un bas-relief du mu- sée national
ont manifestement dévelop- pés. Mais c'est surtout au bassin et aux cuisses que se trouvent les carac- tères féminins les p
. Les hanches sont larges et le tissu cellulaire abondant donne aux cuisses , épaisses à leur racine, un aspect fuselé et arro
4 (1913) Exposé des travaux scientifiques
XES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 29 jambe légèrement fléchie sur la cuisse , l'extrémité du pied soutenue par la main gauch
pli du coude, l'observa- teur, assis, fait appliquer à plal sur sa cuisse la main du sujet. Il est à noter que, dans ces
faire fermer les yeux. La jambe doit être légèrement fléchie sur la cuisse et le pied reposera sur le lit par son bord exter
divers autres mouvements réflexes tels qu'une flexion brusque de la cuisse sur le bassin, une contraction du tenseur du fasc
s nettement quand on excite la peau de la partie supé- rieure de la cuisse (ce qu'avait déjà vu Remak) ou de la partie inf
la recherche du « mouvement combiné de flexion du tronc et de la cuisse ». Pendant l'exécution de ces actes on voit les o
it en même temps à droite le phénomène de la flexion combinée de la cuisse et du tronc. Ce fait me suggère une idée analogue
et ses pieds reposant sur le parquet, on excite les téguments de la cuisse ou de la jambe par la faradisation. Quand les r
es réflexes de défense sont exagérés, on constate d'habitude que la cuisse se fléchit sur le bassin, que le pied se déta-
fixé au sol; exceptionnellement on observe aussi une flexion de la cuisse , mais alors on a l'impression qu'il ne s'agit p
est possible de hâter leur disparition en étendant la jambe sur la cuisse et en fléchissant le pied sur la jambe. Ordinai
its me paraissent exceptionnels. Mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc. Lorsque, étendu sur un plan résist
de fait un effort pour se mettre sur son séant, du côté paralysé la cuisse exécute un mouvement de flexion sur le bassin et
ie gauche organique un an après son début. - Flexion combinée de la cuisse et du tronc à gauche. tion supérieure ou à son
à gauche. tion supérieure ou à son insertion inférieure, fléchit la cuisse sur le bassin ou bien incline en avant le bassi
colonne vertébrale, on conçoit qu'un défaut d'immobilisation de la cuisse dans l'acte en ques- tion doive entraver l'incl
aver l'inclination du tronc en avant et entraîner une flexion de la cuisse sur le bassin. Cette immobilisation de la cuisse
une flexion de la cuisse sur le bassin. Cette immobilisation de la cuisse est obtenue par la mise en activité inconscient
activité inconsciente ou sub-consciente des muscles qui étendent la cuisse sur le bassin. Je suppose que c'est la parésie
ésigné de préférence sous la dénomination de flexion combinée de la cuisse et du tronc qui exprime simplement et avec précis
Il est facile de comprendre pourquoi le mouvement de flexion de la cuisse se reproduit lorsque le malade, après s'être mis
s, pour être efficace, nécessite une immobilisation préalable de la cuisse . De part et d'autre, les condi- tions sont donc
Je dois faire remarquer qu'à l'état normal l'immobilisation de la cuisse paraît être plus ou moins parfaite suivant les su
ec la même facilité; tandis que chez les uns, pendant cet acte, les cuisses restent appliquées sur le sol, chez les autres,
côtés de légères différences, le mouvement de flexion combiné de la cuisse HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 123 et du tronc ne peut
nt d'un côté que de l'autre. Le mouvement de flexion combinée de la cuisse et du tronc impli- que naturellement que les mu
er, le signe de la pronation, le mouvement combiné de flexion de la cuisse qui pourraient être re- produits jusqu'à un cer
, il en est tout autrement : le bras se meut très peu et parfois la cuisse et le bras se portent simul- tanément en avant;
du bras n'est que la consé- quence d'une propulsion exercée par la cuisse . , b) Lorsque, étant debout, le malade tourne s
ncement du bras en sens inverse du mouve- ment de va-et-vient de la cuisse . Je ferai observer ensuite que, si les mouvemen
la main est en- SYNDROME CÉRÉBELLEUX 137 traînée en dedans de la cuisse et, de plus, le mouvement de supination est plu
elle ne peut générale- ment s'effectuer sans aide, la flexion de la cuisse sur le bassin est bien plus prononcée qu'à l'ét
'appliquer violemment sur le sol dénote l'extension démesurée de la cuisse . La flexion démesurée de la cuisse sur le bassi
note l'extension démesurée de la cuisse. La flexion démesurée de la cuisse sur le bassin peut encore être constatée de la
té sur le genou de l'autre côté, il le porte au delà du but, sur la cuisse ; ce n'est parfois qu'après plusieurs mouvement
être la conséquence du mouvement démesuré de flexion exécuté par la cuisse . On peut remédier en partie à ce trouble en pre-
evant lui, et en l'atti- rant légèrement au moment où il fléchit la cuisse . Il est aussi en état de marcher, sans l'aide d
rfaite les mou- vements de flexion de la jambe sur le pied et de la cuisse sur la BABINSIiI. Io 116 AFFECTIONS DE L'EN
rts pour se mettre sur son séant, il n'y réussit pas ; de plus, les cuisses se fléchissent fortement FJG. 16. -ltlitmlc du
t situé à 60 centimètres au- dessus du sol : au début de l'acte, la cuisse se fléchit sur le bassin et la jambe ne s'étend
fléchit sur le bassin et la jambe ne s'étend que légèrement sur la cuisse ; puis l'exten- sion de la jambe devient plus é
position ! primitive, on voit d'abord la jambe se iléchir , sur la cuisse , tandis que celle-ci ne se meut ; que légèremen
; que légèrement ; puis, lorsque la jambe est en demi-flexion, la cuisse s'étend brusque- ment sur le bassin et le pied
, comme à l'état normal, la translation du tronc à la flexion de la cuisse . L'immobilité de la partie supérieure du corps,
i les composent ? P « Passons au mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin. C'est un phénomène que j'avais ob
buer le mouvement combiné à la parésie des muscles extenseurs de la cuisse . « Nous Ia0 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE avons b
malade n'associe pas ou associe mal le mouvement d'extension de la cuisse sur le bassin au mouve- ment de flexion du tron
lle façon que les divers mouvements de flexion et d'extension de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
exion et d'extension de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du pied sur la jambe sont exécutés simul- ta
autres. Ici, au contraire, ils s'opèrent séparément ; au début, la cuisse se fléchit énergiquement, tandis que le fonctio
mence seulement ou ne devient très apparent que lorsque celui de la cuisse est terminé : en un mot, la flexion de la cuiss
orsque celui de la cuisse est terminé : en un mot, la flexion de la cuisse sur le bassin et l'extension de la jambe sur la
lexion de la cuisse sur le bassin et l'extension de la jambe sur la cuisse ne sont pas synchrones. N'y a-t-il pas lieu de pe
lus frappante est la suivante : le sujet est couché sur le dos, les cuisses flé- chies sur le bassin, les jambes légèrement
es flé- chies sur le bassin, les jambes légèrement fléchies sur les cuisses , les pieds FIG, 19. Catalepsie cérébelleuse. Po
oite avec signe des orteils et mouve- ment combiné de flexion de la cuisse et du tronc; de l'hémiancsthésie occupant tout
usqu'au cou, prédominant à la jambe et à la partie inférieure de la cuisse et intéressant la sensibilité au tact et à la t
nd le malade, placé dans le décubitus dorsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse, remet
rsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse , remet le membre dans sa posi- tion primitive.
Neurologie (n5) une note intitulée : « De la flexion combinée de la cuisse et du tronc dans la chorée de Sydenham ». Voici
CHORÉE DE SYDENHAM 181 rée de Sydenham, la flexion combinée de la cuisse et du tronc. Je l'ai constatée dans certains ca
chorée où M. Babinski a trouvé le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin et prouve que dans la chorée de Sy
sions du système nerveux (troubles du tonus, flexion combinée de la cuisse et du tronc, modifications des réflexes tendine
ions du système pyramidal (Id.). t t5. De la flexion combinée de la cuisse et du troue dans la chorée de Sydenham (Ir(.).
117 Signe du peaucier II\) kj Mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc 120 Griffe de la main 123 Signe d
5 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
-à-dire il y a trois ans, en juillet 1886, le malade s'aperçut que sa cuisse gauche s'engourdissait davantage. Puis apparut un
tats identiques à la mensuration, les bras également, ainsi que les cuisses et les jambes. Le malade est d'ailleurs parfaitem
s et les muscles, savoir : les mâchoires, les épaules, les mains, les cuisses , les jambes ; elle y cause tantôt une douleur et
rise sans cause appréciable d'un gonflement assez considérable, de la cuisse et de la jambe droites. Il s'agissait d'une tuméf
nou que deux mois après l'accident. Tout d'abord il se fléchit sur la cuisse , le talon presque contre la fesse et il était imp
vant la sortie de la malade, lui proposèrent la désarticulation de la cuisse . Elle n'accepta pas, et deux jours avant la date
ulièrement en ce qui concerne la proposition de désarticulation de la cuisse , ont été reconnus faux, après informations prises
tres (27 cent, à droite, 29 cent, à gauche). Au tiers supérieur de la cuisse , cette différence n'est plus que de 1 centimètre
r n'est pas limitée à l'articulation, mais s'étend tout le long de la cuisse jusque dans lo ventre et bien qu'elle ne donne à
x comme précédemment. Douleur vive à la pression dans la région de la cuisse . 19 février.— L'hypoesthésie a disparu au membr
partie postérieure du bras. L'anesthésie a disparu à la jambe; à la cuisse elle s'est trans- formée, ainsi que dans la rég
it de la totalité du membre, soit d'un segment de ce membre, jambe ou cuisse , dans son entier. Elle ne prédomine point, ou du
normale, la gauche reste complètement paralysée; les mouvements de la cuisse se faisaient normalement. Fistule vésico-vaginale
ed est inerte dans la flexion et ne peut être relevé spontanément. La cuisse , qui avait été douloureuse au début, revient bien
nnaissance, qu'elle avait perdue depuis la délivrance. La jambe et la cuisse pouvaient remuer, mais non le pied ni les orteils
u bout de quinze jours, l'électrisation ramène les mouvements dans la cuisse droite, la jambe restant paralysée et insensible
ont bientôt place à une véritable paralysie delà jambe et du pied. La cuisse se fléchit surle bassin ; la pointe du pied se dé
membre inférieur gauche. Mouvements possibles dans la hanche et la cuisse . Redressement du pied impossible ; il tombe, semb
sous la même influence les muscles de la région postérieure et de la cuisse réagissent énergiquement. » On constate tous le
rieure de la fesse gauche. Il n'y eut point alors de douleurs dans la cuisse ni la jambe. Le traitement consista uniquement en
ise dans laquelle le sciatique se trouve facilement comprimé entre la cuisse et la chaise. Le malade n'était à peu près à son
t indirecte. Il existe un léger degré de diminution de volume de la cuisse et de la jambe du côté gauche, à peine appréciabl
peine d'un demi-centimètre en ce qui concerne la circonférence de la cuisse et de la jambe gauches comparativement avec le cô
tte région était enflée et violacée. A ce moment pas de douleurs à la cuisse ni à la fesse. Depuis l'âge de vingt ans jusqu'
cause de la douleur, l'adduction et l'abduction presque nulles ; à la cuisse , la résistance est conservée. Il n'y a pas d'atro
a résistance est conservée. Il n'y a pas d'atrophie des muscles de la cuisse ni de la fesse. — Pas de troubles trophiques. — A
ensibilité au tact conservée. Sensibilité à la douleur conservée à la cuisse , atténuée à la face externo de la jambe, exagérée
uleurs vagues dans les membres inférieurs et particulièrement dans la cuisse droite. La sciatique actuelle a débuté il y a dix
t. Actuellement, le malade souffre dans la partie postérieure de la cuisse et dans le mollet droit. Il existe un certain nom
plus vague, quoique non complètement absente. — Pas d'atrophie de la cuisse ni de la jambe. L'épaisseur de la couche adipeuse
ais sans disparaître. Trois ans après, les douleurs s'étendent à la cuisse . Il paraît donc établi que la douleur a été en re
: le point péronier, divers points sur le trajet du sciatique ; à la cuisse , le point fessier, le point trochantérien ; un po
cements dans le pied, la jambe et surtout la région postérieure de la cuisse . On constate un amaigrissement général du membre
On constate un amaigrissement général du membre inférieur droit. A la cuisse la circonférence mesure 1 centimètre et demi de m
mouvement et la résistance sont bien conservés dans les muscles de la cuisse , bien qu'il y ait un certain degré d'amaigrisseme
e faiblesse des fléchisseurs de la jambe et de quelques muscles de la cuisse , avec un amaigrissement en masse assez marqué des
itement une violente douleur qui, suivant la partie postérieure de la cuisse , descend le long de la partie externe de la jambe
sal du pied et point plantaire. La pression en masse des muscles delà cuisse et de la jambe est sensible. La recherche des p
us ou moins généralisé à tout le membre. La jambe se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'angle droit et la cuisse se relève inco
mbre. La jambe se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'angle droit et la cuisse se relève incomplètement vers l'abdomen. L'abduct
la cuisse se relève incomplètement vers l'abdomen. L'abduction de la cuisse s'exécute mieux que l'adduction; le malade croise
se s'exécute mieux que l'adduction; le malade croise difficilement la cuisse droite sur celle du côté opposé. . Les mouvements
in degré de parésie, il existe aussi de la contracture ; la jambe, la cuisse , le pied ne pré-, sentent aucune flaccidité; part
roubles de la sensibilité que le reste du membre, c'est-à-dire que la cuisse et la partie postero-interne de la jambe, trouble
en deux zones d'étendue inégale : la première, qui comprend toute la cuisse , la face interne et postero-interne de la jambe,
s apparaît un nouveau point douloureux qui siège à la naissance de la cuisse droite, entre l'ischion et le grand trochanter. P
eur droit. — La malade fléchit et étend sans peine et sans douleur la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse. La résis
sans peine et sans douleur la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse . La résistance aux mouvements de flexion et d'ext
pose sur la jambe saine. La jambe droite est légèrement ployée sur la cuisse et le pied repose par sa pointe sur le sol. Le ta
ur tout le corps des deux côtés sauf sur la face antéro-externe de la cuisse droite, où il existe une plaque d'anesthésie remo
son étendue une atrophie notable des muscles, qui va croissant de la cuisse à la jambe, atrophie que le tableau suivant indiq
— Points douloureux. (Les chiffres indiquent l'ordre d'apparition.) CUISSE . DROITE. GAUCHE. 5 cent, au-dessus de l'extrémi
surtout Température du pied malade. — du pied sain . — des deux cuisses 24°, 28°,4 30», électrique, on obtienne l
et s'avançait soutenu par deux personnes. En marchant, il levait les cuisses d'une façon excessive. Ce caractère nous frappa e
de la fesse, puis descendaient le long de la région postérieure de la cuisse et de la jambe et se montraient plus particulière
jambe et du pied sont compromis, tandis que les autres et ceux de la cuisse sont intacts... » Bien que cette description offr
ion des nerfs atteints (ordinairement le périnée, la face interne des cuisses ), des escharres au talon ; enfin le réflexe rotu-
nettes que vous pouvez constater dans les muscles des mollets et des cuisses . Il présente enfin tous les signes de l'ophthalmo
ntenue est entraînée en avant par son propre poids. Les muscles de la cuisse et du mollet, bien qu'ils ne paraissent pas atrop
rieure du tronc, paraissent au premier abord absolument indemnes. Les cuisses ont conservé leur forme normale, ainsi que les ja
male, ainsi que les jambes. La résistance à tous les mouvements de la cuisse , de la jambe et du pied est considérable des deux
nsidérable des deux côtés. Mais on remarque dans divers muscles de la cuisse et de la jambe, à droite et à gauche, des secouss
r les pouces. Mensurations : Jambe, partie moyenne du mollet. . Cuisse , tiers inférieur........ Avant-bras, tiers supé
qu'elle soit encore fort peu accentuée et qu'elle n'atteigne que les cuisses . Mais les symptômes de paralysie labio-glosso-lar
atrophie était prononcée au plus haut point au bras, à l'épaule, à la cuisse et à la jambe. Le ptosis était très accusé à gauc
as sont presque collés au corps, les mains reposent mollement sur les cuisses . Membre supérieur gauche. — Dynamomètre = 0. La
— Mensuration de la circonférence : Côté droit. Côté gauche. De la cuisse . . j à J cent, de lajotuie. 38 1/2 38 1/2 De la
gauche un méplat très apparent au niveau de la partie inférieure des cuisses ; on sent aisément le fémur à travers les muscles
s atrophiés. Enfin toutes les masses musculaires de la jambe et de la cuisse présentent une mollesse remarquable, sauf le grou
entraînée par son propre poids. La jambe se fléchit assez bien sur la cuisse , mais sans offrir de résistance. La flexion, l'ex
sans offrir de résistance. La flexion, l'extension, la rotation de la cuisse s'exécutent bien. Les adducteurs sont intacts.
inime. Action du triceps nulle, la jambe ne peut s'étendre sur la cuisse ; elle se fléchit incomplètement. Le malade ne peu
cuisse; elle se fléchit incomplètement. Le malade ne peut croiser la cuisse droite sur la cuisse gauche, et réciproquement. L
hit incomplètement. Le malade ne peut croiser la cuisse droite sur la cuisse gauche, et réciproquement. La flexion, l'extensio
gauche, et réciproquement. La flexion, l'extension, la rotation de la cuisse se font avec une force assez considérable. L'addu
a cuisse se font avec une force assez considérable. L'adduction de la cuisse est parfaite. L'abduction est un peu affaiblie.
ccusée au niveau des muscles des membres; à part les adducteurs de la cuisse , qui ont conservé leur puissance normale, il n'y
mbres inférieurs est très prononcée, particulièrement au niveau de la cuisse ; pour bien la mettre en relief il faut maintenir
u triceps est tel que le genou forme comme une forte saillie entre la cuisse et la partie supérieure de la jambe : on dirait u
érable. Il existe des secousses fibrillaires dans les muscles de la cuisse , du bras et de l'épaule ; elles sont peu fréquent
t-bras à 7 cent, de l'olécràne Bras à 12 cent, de l'olécràne. . . Cuisse . à 9 cent, de la rotule. à 23 cent, de la rot
ier soit contre un objet voisin, soit contre son corps, ou contre ses cuisses . Il ne porte plus sa main à sa bouche, par exempl
laires mais surtout du tissu cellulaire sous-cutané. La force de la cuisse est à peu près bien conservée; celle des membres
ple diminution d'excitabilité des autres muscles de la jambe et de la cuisse . A gauche réaction partielle de dégénérescence du
diminution de l'excitabilité des autres muscles de la jambe et de la cuisse . Ainsi dans ce cas, c'est à l'alcoolisme que vo
en bas âge de rougeole ; un autre âgé de onze ans a été amputé de la cuisse pour une tumeur blanche du genou; J'aînée, jeune
le bras et ne pouvait être étendu; la jambe était en extension sur la cuisse et ne pouvait être fléchie. La face était respect
la direction du muscle psoas et s'irradiant à la face interne de la cuisse et à la face antérieure de la jambe sur le trajet
ace antérieure de la jambe sur le trajet des muscles adducteurs de la cuisse et des extenseurs du pied. L'action de ces dernie
dedans et que sa jambe gauche avait plus de peine à se fléchir sur la cuisse . Enfin, il éprouvait dans le flanc gauche une rai
ontraction nerveuse dans le flanc gauche et à la partie interne de la cuisse n'a cessé de s'accentuer. Peu à peu, elle est dev
e. Il existe une légère hyperesthésie pour la chaleur au niveau de la cuisse gauche. L'ddorat, normal à l'examen, est, dit-e
6 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
, l'avant- bras, le pied et la jambe, tandis que pour le bras et la cuisse , les locali- sations seraient un peu différente
la plupart des muscles ; seuls les mouve- ments de flexion de la cuisse sur le bassin, d'adduction et d'abduction de la
lexion de la cuisse sur le bassin, d'adduction et d'abduction de la cuisse se font à peu près bien. La jambe soulevée, l
ns. La marche est très difficile ; le malade fléchit fortement la cuisse sur le bassin, de façon à soulever au-dessus du
simple des réactions électriques, mais dont le vaste interne de la cuisse des deux côtés, montrait aux courants galvaniques
ystème musculaire. Elle reste étendue dans son lit ; elle soulève ses cuisses avec ses mains pour tenir ses jambes en demi-fl
t d'autre part,il n'y a pas de mouvements de rotation externe de la cuisse (psoas prenant son point d'appui sur la colonne v
u- vent encore donner sont insuffisantes pour la mobilisation de la cuisse sur le bassin. Il en est de même, à peu de chos
assin. Il en est de même, à peu de chose près, pour les muscles de la cuisse , les mouvements de flexion et d'extension de la
cuisse, les mouvements de flexion et d'extension de la jambe sur la cuisse sont très faibles, la malade doit se servir de
rès faibles, la malade doit se servir de ses mains pour relever les cuisses et mettre les jambes en demi-llexion. 36 LONG
les déterminent un pied varus équin, une flexion de la jambe sur la cuisse . Parfois, mais très rarement ces déformations a
m.trche. ? s'l'aille de guêpe D. Maximum d'adduction des bras et des cuisses . 1 : , Flexion complète des membres et extensio
veloppée. , Marché. - Le malade marche sur la pointe des pieds, les cuisses fléchies sur le bassinet les jambes fléchies su
s, les cuisses fléchies sur le bassinet les jambes fléchies sur les cuisses , le thorax porté en avant : l/l) Ces deux malad
démarche myopa- thique. Mais grâce à la rétraction des muscles des cuisses , grâce à la rétrac- tion du mollet, 1° il n'exi
ève facilement sans avoir besoin de prendre un point d'appui. Les cuisses sont fléchies à angle droit sur le bassin, les ja
ies à angle droit sur le bassin, les jambes à angle droit t sur les cuisses , les pieds en équin légèrement varus. Etude dét
ion une sensation fibro-graisseuse, ils mesurent en circonférence : Cuisse : droite, 28 centimètres ; gauche, 25 centimètres
droit, 22 gauche, 22 La flexion passive complète de la jambe sur la cuisse est possible, se fait même avec hypotonie. La f
-, et est arrêtée par les rétractions des muscles postérieurs de la cuisse (biceps, muscles de la patte d'oie) qui font al
ant le biceps crural se contracter assez fortement. L'adduction des cuisses est possible et a conservé toute sa vigueur, mais
le malade ne peut résister à une adduction forcée. La flexion de la cuisse sur le bassin est facile : la cuisse peut s'appli
ction forcée. La flexion de la cuisse sur le bassin est facile : la cuisse peut s'appliquer contre la paroi abdpminale, ce
et tenseur du fascia lata). Cependant les muscles extenseurs de la cuisse sur le bassin ont conservé une certaine énergie.
tout marquée au niveau des fessiers, assez marquée au niveau de la cuisse (atrophie eu jarretière), moins marquée enfin a
ite prédominante à la racine des membres. ' Membre inf. gauche : 32 cuisse sup. 23 cuisse inf. 23 mollet. Membre inf. droi
e à la racine des membres. ' Membre inf. gauche : 32 cuisse sup. 23 cuisse inf. 23 mollet. Membre inf. droit : 33 » 2o » 2
ollet. Membre inf. droit : 33 » 2o » 24 » L'abduction passive des cuisses ne dépasse pas 30 centimètres entre les deux co
tive, au contraire, très faible. La flexion active et passive de la cuisse vers la jambe est un peu affaiblie. L'extension
jambe est un peu affaiblie. L'extension passive de la jambe sur la cuisse est complète à droite, limitée au contraire à g
nt di- minuée dans quelques muscles ; c'est le cas par exemple à la cuisse pour le vaste externe et surtout pour le vaste
mollet, c'est une flexion plus ou moins prononcée de la jambe sur la cuisse , c'est, beaucoup plus rarement, l'impossibilité
t ne peut se rele- verpar l'atrophie des muscles du bassin et de la cuisse . Mais notre malade a conservé une force muscula
années durant, mais les rétractions musculaires viennent fixer ses cuisses sur son bassin, ses jambes sur ses cuisses et i
aires viennent fixer ses cuisses sur son bassin, ses jambes sur ses cuisses et il peut ainsi abandonner le fauteuil auquel il
tion du biceps. Impossibilité d'extension de la jambe gauche sur la cuisse par rétraction musculaire. OBs. VI. M... Geor
très prononcée des membres supérieurs. Rétraction et flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse, pie
étraction et flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse , pied varus équin. Démarche en flexion forcée,
te d'une jambe sur l'autre, la jambe est en flexion complète sur la cuisse et le talon vient toucher l'ischion correspondant
malade, les jambes maigrissaient et aussi la partie inférieure des cuisses . Par la suite ces troubles s'accentuèrent très le
che sans effort les pieds du sol, mais fléchit trop la jambe sur la cuisse , le pied s'ap- pliquant sur toute la plante ou
tre la jambe très amaigrie et cylindrique et le tiers inférieur de la cuisse aussi amaigrie d'une part, et d'autre part les
e part, et d'autre part les fesses et les deux tiers supérieurs des cuisses qui sont vraiment athlétiques; et encore la parti
E 55 qui la connaît très bien, la jambe et le tiers inférieur de la cuisse sont très amaigris, tandis que les deux tiers s
isse sont très amaigris, tandis que les deux tiers supérieurs de la cuisse et les fesses ont simplement conservé leur volu
dducteurs, assez conservée dans les fléchisseurs de la jambe sur la cuisse , très faible quoiqu'encore assez conservée dans l
ion électri- que est éteinte ou très affaiblie dans les muscles des cuisses , des jambes et des pieds. Elle est presque part
ière) qui sépare le tiers inférieur des deux tiers supérieurs de la cuisse . Le toucher existe, mais la sensation est évide
dit : c'est chaud. Si on applique le même corps sur la racine de la cuisse , la malade dit : ça brûle ; elle ressent le même
'autant plus chaud, que l'on remonte davantage vers la racine de la cuisse . Pour les corps froids c'est absolument la même c
es membres et s'arrête souvent net- tement au tiers inférieur de la cuisse , par une dépression en jarretière. Précisément
otre malade. Les muscles de la jambe sont très atteints, ceux de la cuisse le sont beaucoup moins, et les muscles de la ce
fessier est bien moins pris que les muscles des jambes et ceux des cuisses . En effet dans ces derniers il n'y a plus de ré
ué dans les deux muscles gastrocnémiens ; quand le malade fléchit les cuisses , le même phénomène se manifeste, mais l'extensi
yotoniques que dans le faisceau externe de l'extenseur gauche de la cuisse . Les muscles du cou, qui participent aux mouvem
e, plus ou moins complète, des muscles de la région postérieure des cuisses , des muscles de la jambe et des pieds ; 2° Une
dissociée, qui occupe la partie médiane de la face postérieure des cuisses et des jambes, le bord externe de la jambe et du
l parvenait encore à exécuter de légers mou- vements de flexion des cuisses sur le bassin. Les masses musculaires de ces me
Aux membres inférieurs, les muscles de la région postérieure de la cuisse et tous les muscles de la jambe étaient paralysés
ectuaient sans force; les muscles fléchis- seurs de la jambe sur la cuisse étaient indemnes. Adroite, la paralysie intéres
ysie intéressait également les muscles de la face postérieure de la cuisse , ceux des mollets, ainsi que les extenseurs des
l'exploration des 86 RAYMOND muscles de la face postérieure de la cuisse , du jambier antérieur, des ex- tenseurs, des mu
poursuivait le long du tiers supérieur delà faceposté- rieure de la cuisse ; ses limites exactes se trouvent représentées sur
; à gauche, elle intéresse les muscles de la face postérieure de la cuisse et ceux de la jambe. A droite, elle affecte les
la partie médiane du tiers supérieur de la face pos- térieure de la cuisse , et dans une zone d'hypoesthésie, qui côtoie le b
ucteurs, les muscles des faces antérieure, externe et interne de la cuisse , par l'intermédiaire du nerf obturateur et du ner
ième paire lombaire, anime les muscles de la face postérieure de la cuisse , tous les muscles de la jambe et du pied, par l
lexus sacré : muscles fessiers ; muscles de la face postérieure des cuisses ; muscles des jambes et des pieds, tandis que les
ouvent elle envahit. la partie médiane de la face postérieure de la cuisse , plus rarement la partie médiane de la face pos
ties adjacentes de la région fessière et de la face postérieure de la cuisse . Incidemment, je vous rappelle que les testicul
lle de sept ans, atteinte aux bras et aux jambes, l'ad- duction des cuisses augmente de jour en jour. C'est ici que s'impose
ttes à l'écuyère garnies d'éperons et montant jusqu'au milieu de la cuisse . Ne soyons point trop surpris de celle tenue un
ds, entre autre celui de la partie moyenne de la face interne, à la cuisse , et le pli longi- tudinal qui sépare à la parti
s, et ceci suppose quelques muscles dans la moitié supérieure de la cuisse . On sent les battements artériels de la fémorale,
, très en flexion, remonte en arrière et plutôt en haut derrière la cuisse , les deux segments de mem- bres se trouvant réu
distale. Il y a sou- vent une atrophie plus ou moins marquée de la cuisse . La jambe est for- tement. fléchie. Le genou, é
ont très raccourcis, mais on ne dit pas ordinaire ment l'état de la cuisse . 1 Le tibia présente à son tiers supérieur, une
nt, où nous constatons, au contraire, la flexion de la jambe sur la cuisse , le pied en- roulé en varus, le tarse réduit il
auche, raccourci et en flexion, n'atteignait que le genou droit. La cuisse était légèrement raccourcie, le genou ankylosé
plante du pied regardant en haut et accolée à la face interne de la cuisse . Deux orteils seulement. Sur la ra- diographie,
ent, la position indiquée par M. Babinski, du décubitus dorsal, les cuisses fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuis
itus dorsal, les cuisses fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses , les pieds écartés l'un de l'autre. Il ne présent
si que lorsqu'on applique un tube renfermant de l'eau chaude sur la cuisse ou le bras gauches, le malade accuse parfois un
a plante du pied, à la région lombaire, à la face postérieure de la cuisse , la sensibilité aux trois modes persiste en par
hysté1'Ogène dans la fosse iliaque et sur la face antérieure de la cuisse droite. Du côté gauche encore, où se seraient p
e mit à courir à droite et à gauche au moment où elle atteignit ses cuisses ; et au moment où elle atteignit sa ceinture, i
gauche, provoquée par une contraction exa- gérée de la jambe sur la cuisse . Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIÈHE, T. XV
MODIQUE 395 corps pour l'immobiliser, le coude gauche appuyé sur la cuisse , l'assiette dans la main gauche qui tient aussi
nos photographies ne peu- vent donner qu'une idée très vague. Les cuisses sont rapprochées, la droite est en adduction et e
d'action des muscles hyperexcitables. Ex. : adduction forcée de la cuisse à droite, coïncidant avec l'augmentation de l'e
n électrisant les muscles du mollet et de la région postérieure de la cuisse avec un fort courant et des intermittences rare
ntrer dans un grand nombre de muscles du tronc et des membres (dos, cuisses , éminence thénar). Parfois aussi se montrent de
ément, dans ces muscles du mollet et de la région postérieure de la cuisse qui semblent se contracter trop et trop longtem
n malade qui cache sa figure dans ses mains. Le drap ramené sur les cuisses laisse entièrement à découvert le dos et les fe
trajet du sciatique, dans les fesses, dans la partie postérieure des cuisses et jusque dans les jambes. Elles étaient beauco
haque fesse et à la partie médiane de la face postérieure de chaque cuisse ; elle intéressait il la fois la sensibilité à l
476 RAYMOND prononcé à gauche . De ce côté, la circonférence de la cuisse mesurait 21/2 centimètres de moins qu'à droite.
ez voir qu'il est aussi moins vigoureux. Seuls les mouvements de la cuisse sur le bassin et les mouvements d'adduction des
ements de la cuisse sur le bassin et les mouvements d'adduction des cuisses s'opèrent encore avec une vigueur manifeste. Le
interne de la fesse, la partie médiane de la face postérieure de la cuisse et, à gauche seulement, la plante du pied. Plus t
terne de la fesse, à la partie médiane de la face postérieure de la cuisse et de la jambe et, à gauche, à la planté du pie
le même sens. En effet, les téguments de la face postérieure de la cuisse et de la jambe tirent leur innervation sensitiv
ensation d'engourdissement se propa- gea peu à peu à la jambe, à la cuisse , à la hanche. Le malade se mit à ressen- tir de
vements de latéralité. Les mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse se font sans vi- gueur, contrairement à ce qui
ieu pour les mouvements d'extension. Les mouvements d'adduction des cuisses paraissent être intacts. Au con- traire, les co
e parésie motrice, limitée aux muscles de la face postérieure de la cuisse , aux mus- cles de la jambe et du pied. Nous nou
à première vue. La mensuration, pratiquée à la partie moyenne de la cuisse , donne 58 centimètres de circonférence, à droite
a verge, du péri- née, de la partie avoisinante delà fesse et de la cuisse . En haut, cette zone d'anesthésie est limitée p
prolonge le long de la partie moyenne de la face postérieure de la cuisse , en se rétrécissant de plus en plus ; à la face
membre inférieur gau- che, au pied d'abord, puis à la jambe et à la cuisse suivis de près par des douleurs et par une paré
e motrice, très prononcée, des muscles de la face postérieure de la cuisse , des muscles de la jambe et du pied, à gauche.
ique poplité externe, et dans le domaine du grand sciati- que, à la cuisse . Abolition du réflexe achilléen. Douleurs int
e adjacente de la fesse, se prolongeant à la face postérieure de la cuisse , sous la forme d'une bande dont la largeur va en
olongeant le long de la partie médiane de la face postérieure de la cuisse , avec participation de la plante et de la partie
ans le pied gauche. Ces sensations anormales ont gagné la jambe, la cuisse et la hanche, du même côté. Elles ont fait plac
er, le malade est obligé de s'appuyer sur deux cannes. A gauche, la cuisse seule semble obéir à la volonté; la jambe est c
lle est prononcée surtout dans la loge musculaire postérieure de la cuisse et au mollet. La fesse gauche y participe, mais
me une masse inerte. Les mouvements de flexion et d'extension de la cuisse sur le bassin sont affaiblis, ceux d'adduction
re massive, prédo- minante aux muscles de la face postérieure de la cuisse et à ceux du mollet, et d'un abaissement de la
est surtout très accusée à la jambe et à la partie inférieure de la cuisse ; à la face, la sensibilité paraît émoussée des de
ue le malade, placé dans le décubitus dorsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse, replace
rsal, après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse , replace le membre dans sa position primitive,
e : à droite, le mouvement est à peu près normal, l'extension de la cuisse sur le bassin et celle de la jambe sur la cuiss
l'extension de la cuisse sur le bassin et celle de la jambe sur la cuisse sont exécutées presque synergiquement et le talon
férent : dans un premier temps, la jambe s'étend brusquement sur la cuisse et le talon est éloigné du sol par une distance
é du sol par une distance d'un décimètre ; dans un second temps, la cuisse s'étend sur le bassin et le talon vient s'appliqu
et on con- state, à droite, « le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du tronc ». Les mouvements des membres supér
tendon rotulien donne lieu à une contraction des adduc- teurs de la cuisse droite. Les réflexes achilléens sont normaux. Les
ttes, étend fortement les membres inférieurs et grimpe le long de ses cuisses comme un myopathique. Si on lui dit de s'asseoi
à ce moment le tronc se soulève à son tour formant un angle avec les cuisses . Enfin les membres inférieurs retombent sur le
d'autre trouble somatique appréciable qu'une légère atrophie de la cuisse gauche dont on se rend bien compte à la vue et au
LXIV et LXV). La déformation énorme du membre inférieur gauche (la cuisse et la jambe forment un angle ouvert en dehors d
aires en Russie, qui ont les jambes très prolongées par rapport aux cuisses (3). Mais le document le plus précieux que nous
7 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
de flexion et d'extension du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse , de la cuisse sur le bassin étaient conservés,
d'extension du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin étaient conservés, mais ils s'exé
à revenir dans le membre inférieur, d'abord dans les muscles de la cuisse , ensuite dans ceux des jambes, enfin dans ceux
er tout seul, ce qu'il ne fai- sait auparavant. Les jamhes et les cuisses sont encore amaigries; il y a de l'atrophie dif
.. Une atrophie également très sensible des vastes interne aux deux cuisses (PL III). Mensuration. Cuisse droite. Cuisse
ible des vastes interne aux deux cuisses (PL III). Mensuration. Cuisse droite. Cuisse gauche. A 0,09 centimèt. au-dess
interne aux deux cuisses (PL III). Mensuration. Cuisse droite. Cuisse gauche. A 0,09 centimèt. au-dessus du bord Au m
mi- nuée. Elle l'est plus dans ceux de la jambe que dans ceux de la cuisse . Plus dans le jumeau interne et jambier antérie
t intéressant ci signaler, très manifeste surtout aux muscles de la cuisse : à côté de réactions qualitatives normales pou
tif se produit un peu plus tard. Ainsi pour donner un exemple : , Cuisse droite Cuisse gauche Vaste interne. La première
un peu plus tard. Ainsi pour donner un exemple : , Cuisse droite Cuisse gauche Vaste interne. La première contraction
celui-là. Lorsqu'on percute brusquement les muscles du malade à la cuisse , ;1 la jambe ou aux bras, on provoque une contr
i persiste plusieurs secondes et ne dis- paraît que lentement. A la cuisse sur le droit antérieur la percussion donne lieu
. Après un temps d'arrêt variable, l'atrophie gagne les muscles des cuisses où elle frappe particulièrement le vaste interne.
égèrement des plantes.La mus- qui concerne la voûtées. culature des cuisses jambe gauche. Le La circonférence est d'un déve
La circonférence est d'un développe- genou droit (ancien max. de la cuisse ment considérable. traumatisme ) ne droite est
de se tenir sur ses pieds, et quand il s'es- sayait à marcher, les cuisses se serraient fortement l'une contre l'au- tre,
on debout. Au lit dans la position horizontale, on remarque que les cuisses sont rigides, tournées en dedans, les genoux se
u bord externe (pied équin-varus). A la palpation les mus- cles des cuisses et des jambes sont rigides et les tendons d'Achil
énergique quand on veut vaincre la con- tracture et la rigidité des cuisses et des jambes ; celle-ci se résout en parti- cu
lier quand l'enfant est tranquille ou distrait, alors quelquefois les cuisses s'écartent et les jambes se fléchissent, mais o
urs devient plus visi- ble par suite de la rigidité des muscles des cuisses et particulièrement des adducteurs qui maintien
uisses et particulièrement des adducteurs qui maintiennent les deux cuisses en adduction forcée avec rotation en dedans ; l
rgeur d'une pièce d'un centime au milieu de la région externe de la cuisse gauche, et une autre oblongue, linéaire ou peu
ar. Membres INFÉRIEURS.- Les régions fessières sont affaissées. Les cuisses sont amaigries sur leur face interne. La sailli
pied droit. La jambe a constam- ment une tendance à fléchir sur la cuisse , aussi le malade traîne-t-il ses orteils incurv
uls Pas de trépidation épileptoïde ni rotulienne. Les muscles des cuisses sont excitables par la percussion. Réactions ÉL
éralement squelettique dans la partie supérieure du corps jusqu'aux cuisses . Les muscles atrophiés sont symétriques; le bic
les de Montpellier (1) des considérations relatives à un zona de la cuisse . L'éruption avait été précédée de violentes doule
ndirent; et comme ils étaient disséminés sur toute la surface de la cuisse , il n'y avait pas à douter que plusieurs territ
de 1'lipoestliésie au tact, à la piqûre, à la température, sur la cuisse gauche, tandis que la sensibilité n'était en au
e, on comprend que l'altération portant au niveau métamérique de la cuisse gauche, les troubles sensitifs et cutanés Fig.
délicate, à la face antérieure des avant-bras, la face interne des cuisses , et surtout au thorax où les espaces intercosta
petit. Une tache semblable apparut ensuite à la face externe de la cuisse droite; deux au niveau du thorax en avant et un
le dos du pied de la jambe (fig. 1). A la face antéro-externe de la cuisse droite, une tache commençant au tiers supérieur
e la cuisse droite, une tache commençant au tiers supérieur de la cuisse et descendant jusqu'au-dessous du genou, large
âches sont légèrement déprimées. Atrophie en masse du bras, de la cuisse et de la jambe du côté droit, l'atrophie muscul
cique. Pas de syphilis. Le membre inférieur gauche est atrophié. La cuisse a 1 centimètre de moins en circonférence et 1 c
e du grand trochanter, descendant sur la face antéro- externe de la cuisse et de la jambe, et formant au-dessous du genou un
ion sous-claviculaire, les espaces inguinaux, la face interne de la cuisse ou les plis articulaires sont les lieux où ce mod
lanches. Quelques taches blanches sur les fesses. A la racine de la cuisse gauche, deux taches larges comme une pièce de 50
nçais el d'une femme arabe, nous avons découvert à la racine cle la cuisse droite une tache blanche ovalaire, un peu déchi
les. Le membre inférieur droit est dans une position spé- ciale; la cuisse est en adduction, légèrement fléchie sur lebassin
bassin, la jambe et le pied sont projetés en dehors, fléchis sur la cuisse sous un angle de 120° ; le pied en adduction et
membre inférieur présente également une position parti- culière. La cuisse est en abduction légèrement fléchie sur le bassin
es muscles de la région postérieure et de la région antérieure delà cuisse ont une coloration presque normale. La partie i
i; quand elle est prolongée les jambes et les masses saillantes des cuisses , augmentent de vo- lume. Au lit, elles diminuen
nt développées qu'elles empêchaient de voir ces or- ganes, même les cuisses étant écartées, la malade peut effectuer ses dive
re et de forme arrondie que la malade tient à pleine main entre ses cuisses , et par dessus ses vêtements. La peinture ne perm
uleurs du dos, du ventre et les irr'adiations douloureuses dans les cuisses diminuent. Le 18 août 1898, la malade n'a plus
du corps est la même que celle des sujets précédents ; seulement, les cuisses et le bas des jambes sont quelque peu oedématié
lement et de brûlure sur la face externe de la fesse droite, sur la cuisse et sur la ré- gion épigastrique. Elles ont disp
la région pectorale mais pas du tout sur l'abdomen, le pubis et les cuisses . L'épilation a continué jusqu'à la fin d'avril. C
u pied, les muscles des régions antéro-externe et postérieure de la cuisse . A l'autopsie, les lésions observées portaient
s intenses au niveau des muscles des extrémités. Les muscles' de la cuisse sont de coloration normale ou un peu pâles, tan
tre l'aspect du tronc, puissant, bien développé, entre l'aspect des cuisses et des bras aux saillies musculaires accusées et
: les muscles du mollet sont tardivement diminués de volume : à la cuisse les muscles pris sont le triceps dans son tiers i
peu écartées, comme s'il avait des échasses. La jambe est mince, la cuisse est atrophiée en jarretière. Aux membres supé
ICIELLES 333 II. Douleur. - A. Face antérieure. - Hyperalgésie à la cuisse gauche, à la région sus-claviculaire et à toute
la chaleur et à la jambe gauche dans la région périmalléolaire. A la cuisse droite hyperesthésie à la chaleur. B. Face po
t ; thermo- hyperesthésie à la fesse droite et aux deux tiers de la cuisse du même côté. Hyperesthésie au froid en ceintur
alade commence à ressentir des douleurs dans les jambes et dans les cuisses ; ces douleurs sont fulgurantes et se décla- re
tite plaque d'anesthésie au-dessus du genou à la face interne de la cuisse droite; anesthésie aux quatrième et cinquième ort
au milieu de la jambe ; plaque d'hypoesthésie au bord externe de la cuisse droite. B. Face postérieure. - Anesthésie plant
llant aux deux jambes depuis le tiers inférieur du bord interne de la cuisse jusqu'à la face externe de l'articulation du ge
gions lombaires et scapulaire. Ces douleurs irradient le long de la cuisse , il y a aussi des douleurs en b émiceinture du cô
. Hyperalgésie à la tête, au tronc, aux membres supérieurs, et à la cuisse gauche dans une petite zone à la face antéro-in
ent dans la perception du tact devient de l'anesthésie absolue à la cuisse dans une bande étroite, située sur la ligne méd
B. Face postérieure . - Hyperalgésie aux plantes des pieds et à la cuisse ; Dans la zone d'anesthésie ; elle s'étend atou
tendue du tronc et jusqu'à une ligue passant par le milieu des deux cuisses ; hyperesthé- sie au froid dans une bande s'éten
éthode dite d'lix-la-Clapelle, d'abord sur les jambes, puis sur les cuisses , puis sur le ventre, etc. A ce moment la pauvre
des spasmes qui siè- gent non seulement au mollet, mais encore à la cuisse . Après 10 minutes de marche, la jambe est entiè
fibrillaires spontanés au niveau des muscles de l'épaule, des deux cuisses et du membre supérieur gauche, et provoqués très
, aussitôt que le malade avait fait deux ou trois cents mètres. Les cuisses se sont aussi amaigries. Les crampes des mollets
muscles intercostaux présentent des contractions fibrillaires. Les cuisses sont amaigries, contractions fibrillaires en mass
petite vérole vers 10-12 ans, le choléra à 10 ans et une fracture de cuisse . N'aurait eu ni scarlatine, ni rougeole, ni fiè
Il y a un an, il aurait remarqué que ses mollets maigrissaient. Les cuisses ont commencé à maigrir peu près en même temps.
personnes maigres. Léger méplat à la face interne des muscles de la cuisse . Le malade plie facilement la cuisse. 368 G. ÉT
face interne des muscles de la cuisse. Le malade plie facilement la cuisse . 368 G. ÉTIENNE Mensuration 1/3 supérieure de
moyenne du bras droit 18 - gauche. ..... 20 partie moyenne de la cuisse droite .... 40 gauche.... 39 du mollet droit
repos, on constate clans tous les muscles, surtout dans ceux de la cuisse et du tronc, une série d'ondulations et de frémis
e avec celle des membres supérieurs. Circonférence partie moyenne cuisse droite 39.5 gauche 40 mollet droit 30 - gau
partie moyenne, 27 centimètres des deux côtés. Circonférence des cuisses à la partie moyenne, 53 centimètres des deux cô
scles de la face. Contraction fibrillaire des muscles, surtout à la cuisse . Sensibilité intacte. Outre cette particularité
aires. Dimensions : mollet gauche .. 27 cenlimètres. droit .. z Cuisse gauche 34 à 10 centimètres au-dessus de la rotule
- Tremblements fibrillaires. Le malade accuse des crampes dans les cuisses et les mollets. Face. Les muscles de la face
membres inférieurs (fig. H). , Circonférence, partie moyenne de la cuisse droite, 40 cent. 5 ; gauche, 42 centimètres.
r du pouce : à droite, o, contract. ; à gauche, 4 c. m. Triceps de la cuisse : à droite, 8,5 c. m., à gauche, 6 c. m. Extens
tout le membre inférieur portant sur les muscles de la jambe, de la cuisse , de la fesse et ne prédominant pas sur tel ou tel
érieur était notablement atrophié dans ses trois seg- ments (jambe, cuisse et fesse) ; toutefois l'atrophie prédominait mani
ider d'une canne pour marcher. L'amyotrophie porte sur la jambe, la cuisse , la fesse, elle est diffuse. Il n'y a pas de cont
io-tarsienne. Les muscles s'atrophièrent beaucoup au mollet et à la cuisse , la marche devint impossible. Après une saison il
ps, elle ressentait des douleurs ful- gurantes dans les genoux, les cuisses et les orteils, ainsi que des fourmille- ments
oique très émoussée, comme aux flancs, à la face antéro-externe de la cuisse Pu. vu TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABE
DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 411 droite; à la face interne de la cuisse gauche, la perception est normale. Il y a de l'
ieure. A la chaleur, hypoesthésie aux jambes, à la face externe des cuisses et à la main droite ; hyperesthésie à tout le t
ce postérieure. - A la chaleur, hyperesthésie à la face interne des cuisses et aux fesses. A la plante des pieds, la sensat
es deux aisselles ; hypoesthésie en hémi-catotte. A la racine de la cuisse gauche on observe dans la perception un retard de
a perception un retard de 1 seconde ; de 2 secondes au milieu de la cuisse , de 4 secondes au milieu de la jambe ; de deux
rsale du pied. A droite le retard est de 2 secondes au milieu de la cuisse et de la jambe ; de 4 secondes à la face dorsal
oula-l-elle, depuis un mois ou deux, l'enflure a peu à peu gagné la cuisse , sans toutefois causer la moindre douleur. » La
constater : Tout le membre inférieur droit, depuis la racine de la cuisse jusqu'aux orteils, est envahi par une enflure v
envahi par une enflure volumineuse, défigurant tous les con- tours. Cuisse , genou, jambe et pied disparaissent, noyés dans u
ites qui dénaturent les reliefs ordinaires de la région. Quant à la cuisse , c'est un énorme cylindre à peu près régu- lier
mbe saine qui conserve un irréprochable modelé. A la racine de la cuisse , nettement, l'enflure cesse. En avanl, le pli i
et à la jambe pendant plusieurs années et ayant récemment envahi la cuisse , telle était t cette prétendue phlébite. , Or
ait restée telle jusqu'à l'âge de 17 ans. Alors seulement, les deux cuisses furent envahies simul- tanément, et depuis près
ies simul- tanément, et depuis près de quatre ans, pieds, jambes et cuisses sont dé- formés à l'extrême, tuméfiés, boursouf
de la jambe (p. moy.).... 42 39 42 31 du genou 43 38 H 1 32 de la cuisse (p. moy.).... 52 48 titi 45 LE TROPHOEDÈiIIE CH
ns,était oedématié des deux mem- lires inférieurs, pieds, jambes et cuisses . Il mourut brusquement, parait-il, en 48 heures
quoi. Celui-ci, comme sa soeur, n'avait que des grosses jambes, les cuisses étaient respectées. Il aurait eu, de bonne heur
ié, affligé de la même façon des deux pieds et des deux jambes, les cuisses étant respectées. ' Arrière grand-père maternel
tion la plus ancienne de son enflure (jambe et pied). Au-dessus, la cuisse , l'oedème étant de date plus récente, l'anesthési
oedème mou des membres inférieurs accompagnées de douleurs dans les cuisses et dans les lombes. A la troisième poussée d'oedè
membres inférieurs. L'enflure était très développée au niveau de la cuisse , de la jambe, de la face dorsale du pied, nulle
présentant les caractères indiqués par M. Debove (considérable à la cuisse , à la jambe et sur le dos du pied, nul à la l'ess
. On a vu que dans notre exemple, il avait plusieurs fois envahi la cuisse , d'un seul ou de-deux côtés. * - .. En ra
'arrêtant soit au cou-de-pied, soit au genou, soit il la racine de la cuisse , affection indolore, apgrélique, chronique et p
hit un ou plusieurs seg- ments du corps (les pieds, les jambes, les cuisses ). , Si une seule moitié du métamère spinal est
re supérieur gauche. Toute la jambe gauche depuis la racine de la cuisse jusqu'aux orteils est envahie d'un oedème blanc
lets... 0,39 c. 0,52 c. » » du genou... 0,39 c. 0,50 c. o » de la cuisse à 0,20 c. au-dessus de la rotule .... 0,50 c. 0
sus de la rotule .... 0,50 c. 0,60 c. Circonférence au niveau de la cuisse .. 0,5, c. 0,66 c. La peau est blanche, sans ex
ntièrement conservée ; les mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse ne sont limités que par l'épaisseur de la peau,
nation de la marche dans ces conditions. La partie antérieure des cuisses est notablement amaigrie, particulière- ment à
8 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
aire. La plus saillante de ces oppositions peut se constater sur la cuisse oscil- lante vers le milieu du pas antérieur. N
marche ordinaire, il se produisait une saillie énorme au devant de la cuisse due à la contraction du quadriceps suivie de re
e se fléchit et se porte en arrière. Aussi la face antérieure de la cuisse est-elle aussi plate ici qu'elle est bombée dans
alon et devient à son tour l'agent de propulsion. Le modelé de la cuisse du membre portant est tout à fait caractéris- t
e la verticale (Fig. 9). L'effort musculaire se voit surtout à la cuisse du membre portant pen- dant le pas postérieur e
se, on constate en même temps que les muscles pos- térieurs de la cuisse sont contractés. Leur action doit avoir pour bu
111011S ueueris et sur la surface antérieure interne et externe de la cuisse gauche. L'éruption est partout uniforme et se c
e leurs régions centrales ont une surface rouge asséz lisse. Sur la cuisse et le naous veneris,lacouleur des plaques est d
n automne 1883, il constate une masse dure dans la profondeur de la cuisse . En 1881, crises gastriques tabétiques. Léger d
r d'une tumeur osseuse à la partie interne du tiers supérieur de la cuisse gauche : masse ovoïde, longue de Il centimè- tr
'un ostéome à cause du siège ? Jus- tement le tiers supérieur de la cuisse n'est-il pas le siège de prédilection des ostéome
tées osseuses qui vont de l'ossification de la partie externe de la cuisse dans la musculature de cette dernière, la protubé
de la région fessière, les muscles antérieurs et postérieurs de la cuisse , les muscles de la jambe, surtout les postérieurs
Le tronc est penché légèrement en avant par suite de l'ankylose des cuisses en flexion légère, les bras sont croisés sur la
ke- witch) par des bandes s'insérant sur le pubis et sur l'os de la cuisse , offrant ainsi l'aspect d'une clavicule abdomin
dominale, et, le plus souvent, par l'ossification des fessiers. Les cuisses restent légèrement fléchies sur le bassin. Cett
uisses restent légèrement fléchies sur le bassin. Cette flexion des cuisses jointe à celle du tronc, à la région lom- haire
ia lata, d'un des muscles postérieurs ou de la région interne de la cuisse , par l'ossification de la patte d'oie. Les ja
une grosse travée s'élevant en haut jusqu'au tiers inférieur de la cuisse et descendant en bas jusqu'au tiers supérieur de
du membre inférieur. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE q77 la cuisse : sa circonférence à quatre travers de doigt de l
ont plus sensibles que le dos des mains. Autour du 1 /3 moyen de la cuisse , de la jambe, de l'épaule et de l'avant- bras l
s segments du membre. Elle intéresse les masses mus- culaires de la cuisse , du mollet et de la jambe, et les os. La différ
résultait et d'une demi-flexion avec rétraction de la jambe sur la cuisse et d'un arrêt dedé- veloppement. Le pied formai
tes douleurs. Une large collection purulente s'était formée dans la cuisse droite près de l'articulation ; l'évacuation le s
toujours travaillé dans une cave humide. 11 A 18 ans chute sur la cuisse droite et claudication consécutive persistante
ant-bras continuèrent à se mouvoir librement. Enfin les bras et les cuisses devinrent absolument immobiles, ainsi que la mâch
talacti- formes. 1 10 Les adducteurs droits jusqu'au milieu de la cuisse , sont transformés en 280 ' ,\. WEILL ET J. NISS
icule abdominale. 12° La partie supérieure du droit antérieur de la cuisse droite. 130 Toute la partie inférieure et inter
6 juillet. L'infiltration diminue, la fièvre cesse, les muscles de la cuisse deviennent pâteux, la tumeur du vaste interne e
. Le 4 août. La région des adducteurs et la moitié inférieure de la cuisse gau- che sont transformées en une. tumeur pâteu
dans l'étendue de 3 centimètres. La tumeur du droit antérieur de la cuisse et du vaste interne est maintenant dure comme l
. OEdème du bras gauche à partir du milieu. Idem à la jambe et à la cuisse gauches, mais moins. Absence de mouvements de l
t à droite de la portion lombaire. Atrophie de la musculature de la cuisse droite ; une masse osseuse s'insérant sur l'épi
he horizontale du pubis, suit la direction du droit antérieur de la cuisse . Fémur épaissi et volumineux. Épais- sissement
ation complète. Il y a quelques semaines atteinte des muscles de la cuisse qui partent du bassin ; il s'y est formé une tu
droit antérieur et biceps ne dépasse pas la moitié supérieure de la cuisse , la cuisse est cependant d'une immobilité absolue
ieur et biceps ne dépasse pas la moitié supérieure de la cuisse, la cuisse est cependant d'une immobilité absolue. Ossificat
rois semaines, le processus s'est étendu à la hanche droite et à la cuisse , principalement aux adducteurs ; la tumeur est en
oit, l'avant-bras et la main gauches offrent une certaine mobilité. Cuisses fixées dans une légère flexion, la gauche dans
n rapport avec elles. Atrophie considérable de la musculature de la cuisse droite. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 29
e considérable des aponévroses. Masse osseuse considérable sur la cuisse gauche allant de la moitié anté- rieure de la c
u, du thorax, les muscles fessiers sont durs et raides ; ceux de la cuisse sont en grande partie ossifiés. Les muscles de
ceux de la cuisse sont en grande partie ossifiés. Les muscles de la cuisse droite, des jambes et des avant-bras, les muscles
tre le tronc. Avant-bras normaux. Dureté et raideur des muscles de la cuisse gauche et de la région ischiatique ; les muscle
gauche et de la région ischiatique ; les muscles ischiatiques, de la cuisse et de la jambe droites sont intacts. La jambe d
a jambe droite peut arriver jusqu'à l'angle droit avec le corps. La cuisse gauche fait un angle droit avec le tronc ; il en
n angle droit avec le tronc ; il en est de même de la jambe avec la cuisse . Le malade peut se promener dans la cham- bre,
oit des noyaux osseux dans leurs muscles. Pas de changement dans la cuisse gauche qui reste à angle droit sur I.i jambe. D
mal circonscrite, douloureuse à la pression. Rien ailleurs dans la cuisse et les os du bassin. Deux mois après, la tumeur e
erne du muscle couturier une plus petite. Rotation et abduction de la cuisse droite normales ; la flexion sur le tronc arriv
sur le tronc arrive jusqu'à 80°. La jambe droite se fléchit sur la cuisse de 50°. La motilité de l'articulation de la hanch
e bassin osseux et sa musculature externe sont normaux. Flexion des cuisses dans un angle de 140" environ. Les grands troch
ue le gauche. Les muscles de la région externe et postérieure de la cuisse gauche, avant tout la longue portion du biceps,
eux ; en 1882, dans les masséters ; en 1883, dans les muscles de la cuisse . Les noyaux osseux sont ronds, coniques, pointu
ose pointue à base large. Depuis un an, la rotation en dehors de la cuisse gauche est gênée sans que l'on puisse sentir un
ssière, sauf les grands fessiers qui sont atrophiés. Ankylose de la cuisse droite en adduction et rotation interne très accu
ongueur du membre inférieure droit 73 centimètres. Ankylose de la cuisse gauche, elle est plus épaisse par suite de format
formations osseuses plus abondantes- Mêmes transformations qu'il la cuisse droite. Les lames des semi-tendineux, semi-memb
osseuse, large comme la main, appartenant au droit antérieur de la cuisse , s'élève au-dessus des muscles de la cuisse. Long
u droit antérieur de la cuisse, s'élève au-dessus des muscles de la cuisse . Longueur du membre inférieur gauche 75 centimè
ure du tenseur du fascia lata gauche. A la partie postérieure de la cuisse droite, dans le tendon du biceps, ou trouve un no
intenses et de la dyspnée. Depuis 4 semaines, les adducteurs de la cuisse droite aussi étaient douloureux, de telle sorte
longue de 8 centimètres, attirée en haut daus la flexion du coude. Cuisse droite. Ankylose de la hanche et du genou en flex
auteur du gros orteil gauche, ne touche pas complètement le sol. La cuisse droite semble plus grosse que la gauche. Partie d
lité du pied droit moindre que celle de gauche. Circonférence de la cuisse , droite,44 centimètres,à gauche,34 ; au-dessous d
sait complètement au repos. Son siège était la région externe de la cuisse , depuis la partie moyenne jusqu'au trochan- ter
SSARD Ankylose du rachis. - Un an plus tard (1895) les douleurs des cuisses dis- parurent ; mais tout mouvement provoquait
e soudèrent les unes aux au- tres. Immobilisation du cou et de la cuisse gauche. - En août 1897, en plus des douleurs lo
leurs dans les hanches. Les mouvements du cou, du bras droit, do la cuisse gauche surtout étaient pénibles et^s'accompagna
ou- vements de la tête devinrent presque impossibles, et ceux de la cuisse gauche extrêmement limités. Les petites jointur
de torticolis. Toujours il la même époque, tandis que le cou et la cuisse gauche se sou- daient, les mouvements des deux
cuisse gauche se sou- daient, les mouvements des deux bras et de la cuisse droite devenaient un peu limités. Etat actuel
uf... de développer toute sa taille; 2° à l'ankylose en flexion de la cuisse gauche; la station sur la jambe gauche accentue
tte position, le membre infé- rieur droit est dans la rectitude, la cuisse gauche est maintenue en flexion par Nouv. Icono
auche, vertical, est dans la rectitude, la jambe est étendue sur la cuisse ankylosée, le corps est davantage penché en ava
e normal prend contact avec le plan par la partie posté- rieure des cuisses , des fesses, des épaules et de la tête. Mais Duf.
es soudés bout à bout ; deux seulement de ces seg- 1 t 1 111ellL, cuisse ou coionne UUlU"IUlIl1JU- sacrée redressée, peu
a tète est maintenue fixe il 16 centimètres au-dessus du plan; la cuisse ankylosée élève le genou de telle sorte que la
ue de 5 centimètres (Fig. 2). On invite Duf... à faire reposer sa cuisse gauche sur le plan ; il exécute un mouvement de
; il exécute un mouvement de sonnette autour de ses ischions ; la cuisse gauche (segment inférieur) repose sur la table,
ssoires. La mensuration de la cir- Fig. 3. - Duf... fait reposer sa cuisse gauche sur un plan. Le rachis tout entier est s
la droite (élévation du bassin à gauche, ankylose en flexion de la cuisse gauche) ; la distance en ligne droite de l'épine
on, le grand trochanter gauche est plus volumineux que le droit. La cuisse gauche forme avec le bassin un angle de 150° envi
e de 150° environ. Tous les mouvements spontanés ou provoqués de la cuisse gauche sont impossibles et toute tentative pour
a fesse gauche est plus petite que la droite. A gauche également la cuisse , et un peu le mollet, paraissent plus petites qu'
e gauche, et régulièrement irradie le long de la face externe de la cuisse et de la jambe gauche, jusqu'au-dessous du geno
malade étant couché, on le soulève quelque peu en portant en haut sa cuisse gauche ankylosée, pour toute tentative de flexi
s de la racine des membres sont douloureux à leur limite. Ainsi, la cuisse droite est assez mobile; le malade la fléchit de
achis, jusqu'au cou exclusivement. A ce moment les mouvements de la cuisse gauche provoquaient la « douleur des reins » et p
et pour éviter cette douleur, Duf... immobilisait volontairement sa cuisse gauche dans le degré de flexion qu'elle présent
ébrale s'est ankylosée de bas en haut, se rappelle très bien que sa cuisse gauche est devenuecomplètement immobile seulement
ns la troisième étape ; mais de la 2' à la 3', les mouvements de la cuisse gauche avaient déjà commencé à se limiter. La
consécutivement par : l'immobilisation du cou et de la tête, de la cuisse gauche, la limitation des mouvements du bras droi
oujours en avant du droit; par suite de l'ankylose en flexion de la cuisse sur le bassin. Lorsqu'au contraire, il repose s
e et le mem- bre inférieur gauche plus court est détaché du sol. La cuisse de ce côté, en flexion immuable sur le bassin,
t du genou droit. Ultérieurement (C) la jambe gauche s'étend sur la cuisse et le pied vient reposer à terre grâce à la fle
bre inférieur gauche vertical, la jambe étant en exten- sion sur la cuisse (D, E, F). 332 E. FEINDEL ET P. FROUSSARD ce
ET P. FROUSSARD ce qui implique la chute en avant du corps soudé Il cuisse (D). La fin du pas s'accomplit avec des mouveme
complit avec des mouvements normaux d'extension et de flexion de la cuisse et de la jambe droites (E, F). Suivant que la l
ion du membre gauche est simplifiée par la flexion permanente de la cuisse , et n'a besoin de s'accompagner d'aucun mouvement
ne peut pas tirer un aussi bon parti de l'ankylose en flexion de sa cuisse . Il est obligé de faire un mouvement de ro- tat
ris la jambe gauche. Cette torsion autour de la jambe droite porte la cuisse gauche en avant et en dehors de la droite. Il e
, il laisse glisser celui-ci à mi-jambe, retire la jambe droite (la cuisse de ce côté a conservé la plus grande partie de se
ds au-dessous du genou gauche; en fléchissant alors la jambe sur la cuisse , le pantalon est soulevé à la portée de la main
porte son corps en avant, ce qui (par suite de l'ankylose) porte sa cuisse gauche en arrière ; il exécute la fin du mouvem
endu de l'un l'autre. L'ischion droit et la partie supérieure de la cuisse gauche reposent seuls sur le bord de la chaise. L
sur l'extrémité gauche du bord de la chaise afin de permettre à sa cuisse gauche de se placer presque verticalement ; la
Duf... s'assied sur le bord du lit. Il place sa main droite sous sa cuisse droite, puis raidissant ses deux jambes, il se la
artie inférieure de son rachis, ligne droite, repose sur le lit. La cuisse gauche reste soulevée au- dessus du plan du lit
flexion du rachis supérieur sur le rachis inférieur, flexion de la cuisse soudée sur le bassin. Dans l'observation de Bauml
une maladie qui se termina par l'ankylose des deux hanches avec les cuisses en complète extension. Avant ma visite, IL L...
s'ankyloser, et toutes deux sont pri- ses la fois. Chez Duf..., la cuisse gauche seule est immobilisée; adroite, les mouv
mouvements sont encore possibles dans une assez large mesure. Celte cuisse gauche est fixée en flexion légère, comme il arri
ns la majorité des cas; le malade de Baumler avait au contraire les cuisses soudées en l'extension complète, dans le prolon
oreillers s'adaptent à la courbure cervico-dorsale, le genou et la cuisse gauche sont soulevés au-dessus du plan du lit.
par des douleurs qui siègent dans les mem- bres inférieurs (genoux, cuisses ). Puis les douleurs se portent dans la région l
cation des ligaments. pATHOGÉNIE DE LA CYPHOSE ET DE LA SOUDURE DES CUISSES EN FLEXION. On ne saurait être que très réservé
lisé au lit. De plus, notre malade nous a raconté que, alors que sa cuisse gauche était encore bien mobile, il la tenait p
chie au degré où elle est actuellement fixée ; l'extension de cette cuisse provoquait rapidement une fatigue douloureuse q
ue douloureuse que Duf... évitait en immobilisant volontairement sa cuisse , degré de flexion qu'elle présente actuellement ;
droite et en môme temps l'ankylose des hanches s'est faite avec les cuisses dans le prolonge- ment du corps immobilisé. Au
ez Duf... la topographie de l'irradiation sur la face externe de sa cuisse et de sa jambe gauche fait penser à un terri- t
inution de volume du deltoïde et du biceps droit, des muscles de la cuisse et du mollet gauche, semblent bien en relation av
t atteints ; le bras est atteint très violemment, les muscles de la cuisse aussi. Exostoses surtout au fémur. Microdactyli
alactite osseuse. Muscles abdominaux durs. Rigidité des muscles de la cuisse . Tous les autres muscles non cités ici sont plu
: A gauche 26 1/2, à droite 27 1/2, et à la partie moyenne de la cuisse , A gauche 42, à droite 43 1/2. La marche est
uction, les pieds restent éloignés de 25 centimètres. Flexion de la cuisse sur le tronc de 170°. Une légère flexion est po
atangienne.hattux'valgus congénital. Ossification puis- sante de la cuisse droite, on a la sensation d'une tumeur périostiqu
; elle soulève les muscles de la partie supérieure et externe de la cuisse . Circonférence à ce niveau 44 centimètres, 36 s
est bonne dans les muscles de la mimique, de l'avant-bras et de la cuisse . Analyse des urines en 1892 : Diminution des se
9 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
fant les sépare avec peine pour les soulever du plan horizontal. La cuisse gauche en particulier est moins grosse que la cui
horizontal. La cuisse gauche en particulier est moins grosse que la cuisse droite. Les pieds offrent un aspect spécial, in
NOUVELLE, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pose ses pieds. plat,. les cuisses ne. sont plus accolées l'une à l'autre et il peut
d'amyotrophie portant, pour l'observation I sur le bras droit et la cuisse gauche, pour l'observation II, sur le bras gauche
leur était émoussée, et par places très affaiblie aux jambes et aux cuisses , plus à gauche qu'à droite. ' Le malade ne prés
r le sommet du pouce elle est très faible. A la surface externe des cuisses la douleur est aiguë et désagréable. Par conséq
date une éruption semblable se montra à la face antérieure des deux cuisses , et le 2 août à la face postérieure des deux av
. Les fesses sont fortes et leur pannicule adipeux remonte haut. La cuisse est large en haut et s'amincit au genou. Les li
s sont survenus. On en voit encore les cicatrices, sur la fesse, la cuisse , le genou et la jambe, ainsi- qu'à l'avant-bras
ai ion de certaines parties du corps : les hanches, les fesses, les cuisses et les extrémités. La forme en est infan- tile,
riangle cur- viligne, bombé, constant dans le type féminin. 1 Les cuisses , chargées de graisse à leur racine, en dehors pri
ont franchement féminins. Angelo marche l'échiné un peu ployée, les cuisses fléchies sur les jambes, à petits pas, d'une al
s spontanées, il existe une hyperesthésie cuta- née au niveau de la cuisse et de la ses gauches, hyperesthésie qui se ma-
rtout dans la région lombaire. Enfin, la pression des muscles de la cuisse et notamment du quadriceps crural provoque égalem
passe le pli fessier' de quelques centimètres pour empiéter sur la cuisse ; enfin de l'hypoesthésie du bord externe du pi
tion. i Les mouvements d'extension et de flexion de la jambe sur la cuisse , de la cuisse sur le bassin s'exécutent égaleme
uvements d'extension et de flexion de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin s'exécutent également sans difficul
s non sans douleur. Les mouvements d'adduction et d'abduction de la cuisse , de rota- tation en dehors et en dedans dénoten
côtés, à des niveaux égaux. ; Au niveau de la partie moyenne de la cuisse , le pourtour du membre mesure 44 centimètres à
nt. Voyez avec quelle exagération sa jambe gauche se fléchit sur la cuisse , voyez comme le pied retombe sur le sol en deux
parésie des extenseurs du pied, des adducteurs et abducteurs de la cuisse ; une atrophie des mus- cles de la jambe et du
e pour cause les piqûres de morphine, que la malade se fait dans sa cuisse gauche au niveau du vaste externe et du droit a
inué, le droit, est normal. Douleur à la llexion de la jambe sur la cuisse . Hyperesthésie cutanée à la région fessière, so
u pied, à la partie inférieure de la co- lonne vertébrale. Sur la cuisse gauche, à la partie inféro-externe de la jambe et
ue impos- sible. On note, le 13 juin, des douleurs dans les -deux cuisses , qui tendent à prendre un caractère fulgurant e
à la surface de la peau, principalement à la face antérieure de la cuisse et la face interne du mollet droit, augmentait
la malade, on ne pouvait rechercher ni les points douloureux de la cuisse , ni le signe de Lasègue. Pourtant on pouvait co
membre infé ienr droit, ni l'étal du réflexe rotulien. Enfin, la cuisse était le siège d'un oedème marqué surtout à sa pa
marchait dans la rue, elle fut prise de douleurs très vives dans la cuisse droite. Il lui fut impos- sible de se tenir deb
mieux, mais elle éprouvait encore des douleurs assez vives dans la cuisse droite et au niveau du coccyx. Je n'ai pas eu de
pied gauche (février 1894), a successivement envahi la jambe et la cuisse . Plus lard (novembre 1894), le bras du même côt
mois de septembre 1894, il a été en proie il des douleurs dans les cuisses , les mollets, il duténesme anal ; sa puissance
té, pour envahir ensuite les parties homologues du côté opposé. Les cuisses restent épargnées ; les troubles vésicaux et re
lors elle est le plus souvent limitée à la partie postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-à-dire à une zone innervé
mitée aux muscles fessiers et à ceux de la région postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-à-dire à un ter- ritoire
l'anus, à la région fessière inférieure, à la face postérieure de la cuisse et des jambes, à la face plantaire des pieds (o
les de la région antérieure et des régions externe et interne de la cuisse ; elle est limitée aux muscles fes- siers et à c
tée aux muscles fes- siers et à ceux de la région postérieure de la cuisse , aux muscles des jam- bes et des pieds. 100 N
e une parésie, une para- lysie motrice incomplète des muscles de la cuisse , innervés par le crural, branche du plexus lomb
du sciatique, destinées aux muscles de la région postérieure de la cuisse et à ceux de la face postérieure de la jambe, p
le sciatique : paralysie des muscles de la région postérieure de la cuisse , de tous les muscles de la jambe et du pied ; ane
es de la jambe et du pied ; anesthésie de la face postérieure de la cuisse et de la jambe, de la région plantaire, ou de tou
moelle). f) Ces mêmes symptômes, plus une parésie des muscles de la cuisse , innervés par des branches (crural et obturateu
aux muscles fes- siers, aux muscles de la région postérieure de la cuisse , et à la totalité des muscles des jambes et des
éaction de dégénérescence. Les muscles delà face an- térieure de la cuisse , ainsi que les adducteurs restent indemnes. L'ane
chez la femme), à la région fessière, à la partie postérieure de la cuisse , il la par- SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE C
parésie des adducteurs et des muscles de la région antérieure de la cuisse , avec anesthésie incomplète, dans cette même ré
est resté ainsi jusqu'à la nuit du 11 au 12 août 1731. Que même sa cuisse et sa jambe gauches se retirèrent de façon qu'e
urs, del- toide, grand dentelé ; dans la flexion de la jambe sur la cuisse , celle-ci demeu- rant dans le voisinage de la v
scu- laire est toujours aux fléchisseurs (muscles postérieurs de la cuisse ). Les choses changent si la cuisse fléchie sur
seurs (muscles postérieurs de la cuisse). Les choses changent si la cuisse fléchie sur le bassin est maintenue horizontale.
paires lombaires s'accom- pagnerait, à la partie postérieure de la cuisse , d'une bande d'hyperes- thésie cutanée, suivant
ssière inférieure et la partie moyenne de la face postérieure de la cuisse . Ce territoire cruro-fessier se rétrécit de hau
tre part, que l'anesthésie se prolonge sur la face interne des deux cuisses , obliquement de bas en haut et de dehors en ded
is plusieurs années d'un eczéma récidivant du dessus des mains, des cuisses et des jambes. Anesthésie il la la douleur des
lloraa gau. che, dans les lombes, l'abdomen du côlé gauche, dans la cuisse gauche. Ces douleurs ont précédé de 24 heures l
: le 23 décembre, un petit groupe de vésicules au tiers moyen de la cuisse ; un autre à la face dor- sale du pouce; un trui
ien : le 21 janvier, après- de très vives douleurs au sein et il la cuisse , apparition d'un nouveau groupe de vésicules au-d
dessus du sein et de G ou nouveaux petits éléments vésiculeux de la cuisse ; enfin, le 26 janvier, apparition de nouveaux é
commence au niveau de l'épaule, pour se terminer il la moitié de la cuisse du côté correspondant; c'est dire qu'elle affec
région de l'abdomen des lomhes et de la hanche du même côté ; 3° la cuisse gauche dans ses 2/3 supérieurs environ ; 4° enfin
r l'incurvation des côtes : 50 la face externe 'et supérieure de la cuisse , où l'on remarque un placard ayant au moins l'éte
deconlluence. Une éruption de même nature se remarque encore sur la cuisse , surtout au niveau de la moitié externe, et au
t des cas de zona « double siégeant au thorax du côté droit et a la cuisse du côté opposé ». - Nulle part non plus; je n
est fléchi à angle droit sur le bras, la jambe à angle aigu sur la cuisse , le pied venant toucher la partie interne supér
a cuisse, le pied venant toucher la partie interne supérieure de la cuisse gauche. Ces contractures sont rigides, permanente
ymateux. Pas d'oedème, Il existe une contracture de la jambe sur la cuisse droite et de l'avant-bras sur le bras. Encéphal
vir de protecteurs. Il s'isole en outre la tête, le tronc et les cuisses avec trois demi-cylindres en cuivre, de 1 centi
n de l'aine gauche. Le bassin est large, ainsi que les hanches. Les cuisses sont grasses, ont une forme fuselée et des lign
s de la partie postérieure de la jambe; celle-ci est étendue sur la cuisse et la cuisse sur le bassin ». Dans la forme gra
e postérieure de la jambe; celle-ci est étendue sur la cuisse et la cuisse sur le bassin ». Dans la forme grave, la contra
tait le fait suivant : « Je plaçai, dit-il (3), une ligature sur la cuisse droite, de manière à comprimer les muscles, les
us accusées que précé- demment. Les jambes sont contracturées ; les cuisses en adduction; les jambes en rotation interne ;
ultation de l'hôpital St-Louis pour une ulcération qu'il porte à la cuisse gauche. Comme M. le professeur Fournier en récuse
27 mars 1895. Il existe au niveau de la partie inféro-externe de la cuisse gauche, il 8 centimètres de l'interligne articula
inférieurs des dilatations veineuses, peu prononcées au niveau des cuisses , très saillantes aux mollets (PI. XLYI). Toute
ès saillantes aux mollets (PI. XLYI). Toute la partie externe de la cuisse gauche est le siège d'un oedème blanc et dur, i
sont passés sans douleur. Stigmates. - Côté gauche. Au niveau de la cuisse sur laquelle siège l'ul- cération, dans une zon
'est pourtant pas sans prétention : il a sur les manches et sur les cuisses des crevés de cou- leur claire, sur la tôle un
he du tronc et à la partie supérieure de la face anté- rieure de la cuisse gauche. Ajoutons qu'on observe encore une petite
au pli fessier. Autour de l'eschare et à la partie su- périeure des cuisses il existe un semis de petites plaques gangreneuse
la jambe, les péroniers, les muscles de la région postérieure de la cuisse , le tenseur du fascia lata, le couturier, présent
assez facilement excepté le mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse , couché le malade ramène dillicileiiielit son v
du mollet, la droite n'a que 20 cent. 1/2 et 28 centi- mètres ; la cuisse gauche mesurée à trois endroits donne les chiffre
et comme re- croquevillée sur elle-même, les mains ramenées sur les cuisses , les deux pieds relevés sur les barreaux d'une
10 (1911) La pratique neurologique
s malades s'y livrent soit par la main, soit par un. frottement des cuisses ; quelquefois ils présentent d'autres manifestatio
onnexion nerveuse commune. Une irritation d un bouton d'acné, il la cuisse par exemple, provoque une sensation associée da
s autres régions, comme le dos du pied ou la face postérieure de la cuisse , il faut des différences de poids beau- coup pl
eval avec branches descendantes le long de la face. postérieure des cuisses jusqu'à leur tiers supérieur ou moyen; de la marg
ci-dessus mentionnées, la face postérieure du tiers inférieur de la cuisse , la face postérieure et moyenne de la jambe, la r
jambe, la ré- . 1. Pour certains auteurs, la face postérieure de la cuisse est innervée' par la 2° sa- crée; mais la 5° en
aux importants à cette région, ce qui explique - l'anesthésie de la cuisse par lésion de cette dernière racine... [ROUSSY.
s, c'est- à-dire la face interne et antérieure de la jambe et de la cuisse . Les limites supérieures précises de L,; sont e
(dans les névrites), ou des os. Le signe de Lasègue (flexion de la cuisse sur le bassin, la jambe étant en extension sur la
xion de la cuisse sur le bassin, la jambe étant en extension sur la cuisse ) est un moyen précieux de provoquer la douleur da
S DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 577 tifs répondent, au niveau de la cuisse , à la zone d'innervation cutanée du nerf fémoro
fessière, les organes génitaux externes, la partie supérieure de la cuisse . La névralgie s'accompagne de difficulté de la
s deux épines iliaques antérieures, l'autre à la face externe de la cuisse ; la douleur est localisée a la partie supé- rie
supé- rieure de la région externe et de la région postérieure de la cuisse et se prolonge jusqu'au genou. La 'IIlë1'algi
e anesthésie en forme de raquette à la face antr"ro-cxteI'l1e de la cuisse : parfois l'hyperesthésie s'observe au lieu d'a
rale se traduit par des douleurs il la partie antéro- interne de la cuisse , il la face antérieure; du genou, il la face inte
e obturatrice. Les douleurs sont localisées à la face interne de la cuisse jusqu'au genou. Le toucher vaginal et la pressi
erf au niveau du canal obturateur, les mouvements de rotation de la cuisse exagèrent les douleurs. Névralgie du nerf hon
occupent la région lombaire, la fesse, la partie postérieure de la cuisse . Les principaux points doulou- reux de Yatteix
moraux supérieur, moyen et inférieur il la partie postérieure de la cuisse , le point poplité il la partie externe du creux
la manoeuvre dite de Lasèguc. Lorsepie la jambe est fléchie sur la cuisse on peut amener une flexion étendue de la cuisse
est fléchie sur la cuisse on peut amener une flexion étendue de la cuisse sur le bassin, car dans cette condition le nerf
e est élans le relâchement; mais, quand la jambe est étendue sur la cuisse , on ne peut amener la flexion de la cuisse sur
jambe est étendue sur la cuisse, on ne peut amener la flexion de la cuisse sur le bassin sans causer de vives douleurs, ce q
hnique suivante. Le malade est couché dans le décubitus latéral, la cuisse à demi repliée sur le bassin présentant à l'opéra
il allongera ses jambes à demi, de façon qu'elles forment avec les cuisses un angle de 155" ouvert en bas, les pieds repos
malade de croiser les jambes et de placer sans la raidir l'une des cuisses sur l'autre. Le malade étant assis, l'observate
, l'observateur pourra s'asseoir à côté de lui et passer une de ses cuisses sous la cuisse du malade de façon à la soulever
pourra s'asseoir à côté de lui et passer une de ses cuisses sous la cuisse du malade de façon à la soulever et à laisser l
e rotulien par les procédés suivants : on passera la main sous la cuisse du malade et, en l'appuyant sur la cuisse du cô
passera la main sous la cuisse du malade et, en l'appuyant sur la cuisse du côté opposé, on soulèvera ainsi le membre à
nsi le membre à examiner en plaçant la jambe en demi-flexion sur la cuisse . On pourra encore placer le membre inférieur
membre inférieur en abduction et la jambe en demi-flexion sur la cuisse de telle façon que la face externe du genou rep
ation forcée et brusque en regardant le plafond Guttmann soulève la cuisse et la jambe avec deux serviettes Feix place le
s dans le relâchement en leur donnant l'altitude de flexion sur les cuisses a 1W u°, m;cis en pla- çant en même temps les c
exion sur les cuisses a 1W u°, m;cis en pla- çant en même temps les cuisses en abduction. Si l'on présente alors le tendon
endon rotulien, on voit, en outre de l'extension de la jambe sur la cuisse qui se produit du côté percuté, un mouvement prod
vement produit par la contraction des adducteurs qui rapprochent la cuisse de la ligne médiane : c'est le réflexe contrala
recherche du réflexe rotulien sur un malade couché : on soulève la cuisse en passant la main sous elle, ou bien on place
la main sous elle, ou bien on place la jambe en demi-flexion sur la cuisse et la cuisse en abduction sur le plan du lit. L
elle, ou bien on place la jambe en demi-flexion sur la cuisse et la cuisse en abduction sur le plan du lit. Le membre oppo
suivante : flexion à angle droit ou à angle aigu de la jambe sur la cuisse et abduction de la cuisse. Dans celle situation,
droit ou à angle aigu de la jambe sur la cuisse et abduction de la cuisse . Dans celle situation, la moindre contraction î
es cas, suivant Ganautt, une forte contraction des adducteurs de la cuisse ri droite et la percussion rotulienne du côté dro
ant couché ou assis, en plaçant sa jambe en demi-flexion sur la cuisse et en détermi- nant brusquement une flexion d
circulairement les deux mains autour de la partie inférieure de la cuisse , les deux pouces appuyant sur le bord supérieur
ndera de laisser ses bras pendants, les avant-bras reposant sur les cuisses . L'observateur pourra encore, que le malade soi
es libres motrices. Si la névrite porte sur la jambe et respecte la cuisse , les réflexes achilléens seuls seront touchés.
e, comme cela a lieu d'habitude il l'état normal, une flexion de la cuisse sur le bassin. de la jambe sur la cuisse, du pi
normal, une flexion de la cuisse sur le bassin. de la jambe sur la cuisse , du pied sur la jambe, et des orteils sur le mé
lysé, une excitation semblable donne lieu aussi à une flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du pied
aussi à une flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse , du pied sur la jambe, mais les orteils, au lie
t cherche à obtenir un relâchement des muscles de la jambe et de la cuisse . On procède alors il l'excitation de la plante du
consistent dans la flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse , de la cuisse sur le bassin et par une contract
s la flexion du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin et par une contraction du muscle
ontraction du muscle tenseur du fascia lata et des abducteurs de la cuisse . Si l'on réduit l'excitation de la plante du pied
e fémorale se tend et le vaste externe repoussé en avant donne à la cuisse une forme cylindrique. Ce réflexe du fascia lat
duit si Ion frotte avec la pointe d'une épingle la face interne des cuisses : on voit se produire une élévation brusque du
emment avec la main les masses musculaires de la face interne de la cuisse au-dessus du genou. [CROUZON.] 4M RÉFLEXES.
contractions fasciculaires des muscles de la rébion antérieure des cuisses et des mollets, se montrant il la fois dans le
e remet, en pronation dès qu'on la lâche. La flexion combinée de la cuisse et du tronc ne se voit pas dans l'hémiplégie né
mouvements réflexes et mouvements associés. Flexion combinée de la cuisse et du tronc. Babinski a décrit ce mouvement ass
). Ce phénomène qu'il a appelé mouvement associé de flexion de la cuisse , puis flexion combinée de la cuisse et du tronc,
vement associé de flexion de la cuisse, puis flexion combinée de la cuisse et du tronc, s'observe dans les conditions suiv
e fait un effort pour se mettre, sur son séant du côté paralysé, la cuisse exécute un mouvement de flexion sur le bassin et
opposé, le membre inférieur reste immobile ou que la flexion de la cuisse et le soulèvement du talon n'apparait que plus
que ce mouvement est du à la paralysie des muscles qui étendent la cuisse sur le bassin; ces muscles ont pour action d'im-
ant que le psoas iliaque se contracte pour fléchir le bassin sur la cuisse ; ces muscles étant parésiés, l'action du psoas
l'action du psoas iliaque devient prépondérante et la flexion de la cuisse sur le bassin se produit. Ce mécanisme est di
ti- Fie. 1. - Hémiplégie gauche organique. Flexion combinée de la cuisse et du tronc à gauche (Babinski, Gazelle des hôpit
normaux, il y aura inégalité dans les efforts des extenseurs de la cuisse sur le bassin. D'autre part, ce phénomène ne pe
s cas de sciatique où les mouvements des muscles exten- seurs de la cuisse sur le bassin étaient entravés. Signe du peauci
ène auquel il attache la même valeur qu'à la flexion combinée de la cuisse et du tronc. Ce phénomène [CROUZON.] Fig. 2.
des orteils ou l'excitation du mouvement combiné de Ik'.xion de la cuisse et du tronc; l'abduction lui parut plus fréquen
ieur qui se produit dans le mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse , c'est donc un mouvement associé. Pour mettre c
dur de préférence, il faut lui demander de fléchir la jambe sur la cuisse , et, pour amplifier l'effort dans ce mouvement,
la flexion par la pression de la main sur la face antérieure de la cuisse . On voit alors se produire un mouve- ment d'élé
'est néces- saire, et on cherche, en appliquant les mains sur ses cuisses , à empê- cher toute flexion des cuisses. Si l
liquant les mains sur ses cuisses, à empê- cher toute flexion des cuisses . Si la flexion se produit malgré tout ou, si
os, on prend ses deux membres intérieurs ei, on cherche à plier les cuisses sur le bassin sans fléchir la jambe sur la cuis
rche à plier les cuisses sur le bassin sans fléchir la jambe sur la cuisse ; c'est en réalité une manoeuvre absolument sem
, on sent insensiblement se produire une flexion de la jambe sur la cuisse . Cosigne de Kernig ne s'observe pas seulcment a
, il y a instinctivement un mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse . Le mouvement de s'asseoir sans fléchir la jambe
r la cuisse. Le mouvement de s'asseoir sans fléchir la jambe sur la cuisse ne peut se faire que par l'intervention de la vol
u déséquilibre qui s'établit entre les groupes des extenseurs de la cuisse , en état d'insuffisance active, et celle des mu
lombaire manifeste. La spasticité allant croissant, l'adduction des cuisses vient compliquer encore le déplacement du parap
le sommet de deux triangles Ù base opposée, le supérieur ayant les cuisses pour côtés, les jambes dessinant les contours d
isselles, ses membres inférieurs se placent en flexion légère de la cuisse sur le bassin, les genoux en adduction, les jam
réflexes avec signe de Babinsky en extension, de l'adduction de la cuisse , de la flexion de la cuisse avec atrophie en ja
nsky en extension, de l'adduction de la cuisse, de la flexion de la cuisse avec atrophie en jarretière, peu ou point de tr
iers (rotation en dehors du membre) . des muscles postérieurs de la cuisse (flexion de la jambe) et du groupe autero- exte
ollatérales du plexus sacré. Physiologie. Le grand fessier étend la cuisse sur le bassin et déter- mine sa rotation en deh
dehors. C'est, dit Duchenne, le plus énergique des extenseurs de la cuisse , c'est lui qui la porte le plus en arrière, et il
r le sol, la contraction du grand fessier produit l'abduction de la cuisse ; ce mouvement s'ef- fectue d'ailleurs sans éner
s sans énergie. ' Quand le grand fessier prend un point fixe sur la cuisse , il est un extenseur puissant du bassin et du t
nt obliques en bas et en arrière, ils déterminent l'abduction de la cuisse , sa rotation en dedans et un léger degré de fle
sont obliques en bas et en avant, ils déterminent l'abduction de la cuisse , sa rotation en dehors et un léger degré d'extens
traction du moyen fessier dans son ensemble amène l'abduction de la cuisse et sa rotation en dedans. Quand le moyen fess
essier prend son point fixe sur le bas- sin, il est abducteur de la cuisse et la porte en rotation en dedans. Quand il pre
côte paralysé doit se, porter en avant, le défaut d'abduction de la cuisse le fera frotter sur la face interne du membre i
turateur interne, le carré crural, sont des rotateurs directs de la cuisse en dehors. Le mouvement de rotation se produit
tion se produit pendant la flexion connue pendant l'extension de la cuisse . Lorsque les muscles se contractent, le sujet é
fessier. En plus de son action rotative, le pyramidal imprime il la cuisse un mouvement en arrière et, en dehors, c'est-à-
e. [G. GUILLAIN.] a43 ' . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. MUSCLES DE LA CUISSE . * Région antéro-externe. Tenseur du fasci
nant avec l'aponévrose fémorale, forment, à la partie externe de la cuisse , une bandelette résis- tante large de 4 à 6 cen
xterne de l'aponévrose fémorale et est extenseur de la jambe sur la cuisse , de plus il fléchit la cuisse et produit sa rot
e et est extenseur de la jambe sur la cuisse, de plus il fléchit la cuisse et produit sa rotation en dedans. La contraction
a et du psoas (rotateur en dehors) produit la flexion directe de la cuisse , mouvement important dans la marche. Quand le p
crure sous-jacente, il croise en diagonale la face antérieure de la cuisse et vient s'insérer sur la partie interne de l'e
nche du crural. Physiologie. - Le couturier fléchit la jambe sur la cuisse , fléchit la cuisse sur le hassin, détermine la
siologie. - Le couturier fléchit la jambe sur la cuisse, fléchit la cuisse sur le hassin, détermine la rotation en dehors de
chit la cuisse sur le hassin, détermine la rotation en dehors de la cuisse , tend la partie antéro-interne de l'aponévrose
son point fixe sur le fémur et sur le bassin, étend la jambe sur la cuisse et fléchit la cuisse sur le bassin. C'est par l
fémur et sur le bassin, étend la jambe sur la cuisse et fléchit la cuisse sur le bassin. C'est par le droit antérieur, qu
roit antérieur, qui s'insère sur l'os iliaque, que la flexion de la cuisse , peu énergique d'ailleurs, est produite. La contr
et l'empêche ainsi d'être pincé dans l'extension de la jambe sur la cuisse . Dans la paralysie du quadriceps, on constate q
plexus lombaire. Physiologie. Le droit interne est adducteur de la cuisse , fléchis- seur de la jambe sur la cuisse, rotat
nterne est adducteur de la cuisse, fléchis- seur de la jambe sur la cuisse , rotateur de la cuisse en dedans quand la jambe
la cuisse, fléchis- seur de la jambe sur la cuisse, rotateur de la cuisse en dedans quand la jambe est fléchie. Pectine
renant son point fixe sur le bassin, le pectine est adducteur de la cuisse , il la fléchit sur le bassin el lui imprime un mo
En prenant son point fixe sur le fémur, il fléchit le bassin sur la cuisse . Les adducteurs de la cuisse. Insertions. Les t
e fémur, il fléchit le bassin sur la cuisse. Les adducteurs de la cuisse . Insertions. Les trois adducteurs de la cuisse
Les adducteurs de la cuisse. Insertions. Les trois adducteurs de la cuisse s'étendent du bassin il la ligne âpre. Le premier
ysiologie. Le moyen et le petit adducteur amènent l'adduction de la cuisse , sa rotation en dehors et sa flexion sur le bassi
nent leur point fixe sur le fémur, ils fléchissent le bassin sur la cuisse . Le grand adducteur est adducteur de la cuisse, i
ent le bassin sur la cuisse. Le grand adducteur est adducteur de la cuisse , il détermine par son chef supérieur et son che
étermine par son chef supérieur et son chef moyen la rotation de la cuisse en dehors, par son chef inférieur la rotation e
e en dehors, par son chef inférieur la rotation en dedans, quand la cuisse a été préala- blement placée dans la rotation e
sque le cavalier combine l'adduction et la rotation en dedans de la cuisse pour serrer les flancs de sa monture sans la to
éperon. Les muscles adducteurs ont une action dans la flexion de la cuisse qui a lieu pendant la marche. Lorsqu'ils sont p
i-tendineux, le dell11-nH'lII- ht'ancuxf1¡\chissentlajalllbe sUl'la cuisse , étendent la cuisse sur le bassin. Pratique MO
11-nH'lII- ht'ancuxf1¡\chissentlajalllbe sUl'la cuisse, étendent la cuisse sur le bassin. Pratique MO ! ...5 fC. GUILLAI
e rotation ne sont pas pos- - sibles si la jambe est étendue sur la cuisse à cause de la disposition ana- tomique des liga
ition ana- tomique des ligaments du genou, ils se transmettent à la cuisse et le membre inférieur tourne en totalité; les
rennent leur point fixe sur la jambe, ils étendent le bassin sur la cuisse . L'extension de la hanche est très nécessaire pen
malade pour obvier il cet inconvénient fléchit énergique- ! lient la cuisse sur le bassin, il « steppe o. Quand l'extenseur c
hysiologie. - Le poplité fléchit avec peu d'énergie la jambe sur la cuisse et détermine à la jambe fléchie un mouvement de r
oint fixe sur la colonne et sur le bassin, produit la flexion de la cuisse sur le bassin et sa rotation en dehors. Le musc
n dehors. Le muscle tenseur du fascia lata amenant la flexion de la cuisse avec rotation en dedans, la contraction simultané
ée de ce muscle et du psoas iliaque produit la flexion simple de la cuisse ; ces muscles ont une action dans la marche. L
ne cyphose dorso-cervicale sans lordose lombaire compensatrice; les cuisses se placent en extension forcée pour que le cent
raux après une opération gynécologique; durant cette opération, les cuisses furent maintenues en flexion forcée et en abduc
es (voir pp. 542, 545, : ici9, 544). L'extension de la jambe sur la cuisse (quadriceps fémoral), la flexion de la cuisse sur
on de la jambe sur la cuisse (quadriceps fémoral), la flexion de la cuisse sur le bassin (psoas) sont abolis, d'où la diff
d ils existent, s'observent à la partie antérieure et interne de la cuisse , à la partie anlé- rieure et interne de l'artic
sque impossibles. Dans la marche le malade est obligé de fléchir la cuisse sur le bassin pour due la pointe du pied ne fro
ie, tels les deltoïdes, les muscles pos- térieurs et internes de la cuisse . D'autre part, certainement plus fré- quentes d
ion de l'avant-bras sur le bras, la rétraction de la jambe sur la cuisse . La palpation des muscles rétractés donne une s
dues à d'autres muscles et déterminer la flexion permanente de la cuisse , le genuvalguin, le pied valgus, le pied plat
laire avait disparu avant toute trace d'atrophie des muscles de lai cuisse dans deux cas sur cinq; Erb a signalé dans ses ob
méral, alors que les muscles, non seulement de la jambe, mais de la cuisse même ne présentaient encore aucune apparence d'at
YPER'CROPIIIQUI : . G85 se prennent ensuite; puis les muscles de la cuisse en commençant par le quadriceps crural, en part
ceps sural, quadriceps crural, muscles de la face postérieure de la cuisse , fessiers. Les muscles sacro-lombaires sont d'o
eux qu'ils peuvent la faiblesse des extenseurs de la jambe et de la cuisse et la lordose paralytique résultant de l'affaibli
iblissement de leurs muscles spinaux (Duchenne) ou extenseurs de la cuisse (Sacara). Ils avancent lentement, en se dandina
ors avec leurs mains le long de leurs jambes, puis le long de leurs cuisses et de leurs lombes, maintenant alternative- men
font pour se mettre debout une ascension analogue le long de leurs cuisses . Les mouvements sont quelquefois compliqués enc
- cles du mollet sont tardivement et modéré- ment atrophiés. A la cuisse , le triceps peut être atteint dans son tiers in
es et l'atrophie ne remonte jamais au delà du tiers inférieur de la cuisse (atro- phie « en jarretière ») ; à titre except
as de Charcot où le biceps était atteint, de Hoffmann où toute la cuisse était atrophiée, de Egger où les fes- siers par
('0'1, pieds creux et cambrés, orteils en grilles; atrophie des cuisses en jarretière, atrophie modérée des mains. 69
nt au bout d'une jambe mince, effilée, sans saillie du mollet. A la cuisse , l'atrophie, ne portant que sur le tiers inférieu
lace pour conserver leur équilibre. Ils marchent en steppant, les cuisses lan- cent, pour ainsi dire, à chaque pas la j
plus souvent des crampes dans les jambes, dans les mains, dans les cuisses . Les troubles de la sensibilité objective sont
nt est rapidement suivi par l'atrophie symé- trique des muscles des cuisses , du bassin et du dos. Cette atrophie frappe les
sur la jambe, puis gagne les fléchisseurs de la jambe et ceux de la cuisse , enfin les extenseurs en remontant de l'extrémi
oit par exemple assez souvent la jambe se fléchir modérément sur la cuisse . L'excitabilité mécanique des muscles est sou-
nd surtout les muscles de la fesse et de la partie supérieure de la cuisse . Cette règle n'est pas absolue et il n'est pas ra
nerf scia- tique, fessiers, muscles de la région postérieure de la cuisse et tous les muscles de la jambe; pour le plexus
pied et la marche en steppant; les muscles du mollet et ceux de la cuisse sont moins pris; les muscles des mains, des avant
ment douloureuse, des jambes, des doigts, de la bouche, puis des cuisses , de l'abdomen, des mains et des avant-bras; la pa
onsidérable ; elle peut remonter plus ou moins tardivement vers les cuisses ; auparavant elle envahit généralement les muscle
iaphragme; viscères; membres infé- rieurs rarement : pieds, jambes, cuisses ; évolution lente (sauf sclérose latérale amyotr
lILhlé1.i'lllC îles muscles, surtout rcux des membres inférieurs, cuisses el jambes, le « large l'on (le taureau ». ·.
e de faire, soit en le faisant coucher et en fléchissant a-demi ses cuisses sur le bassin et ses jambes sur ses cuisses ; d
fléchissant a-demi ses cuisses sur le bassin et ses jambes sur ses cuisses ; dans cette attitude on observe nettement des
son corps en arrière, comme pour bien « caler » son tronc sur ses cuisses et ses pieds sur le sol. Dans les cas peu accen
qu'un sujet normal par suite d'une exagération de la flexion de la cuisse , puis il le porte en avant, puis le repose brus-
même légèrement renversé en arrière par la flexion excessive de la cuisse , de sorte que dès le premier pas, le malade ne pe
onditions, un individu normal fléchira simultanément la jambe et la cuisse , le pied quittera le sol sans s'en écarter notabl
71 jusqu'à la fesse. Un asynergique cérébelleux fléchira d'abord la cuisse , la jambe restant étendue, et soulèvera ainsi t
il fléchira la jambe, et, dans un troi- sième temps, il étendra la cuisse et viendra brusquement frapper la terre -avec t
s muscles fessiers, en même temps qu'il fléchirait le tronc sur les cuisses par la contraction de ses fléchisseurs du tronc
e cérébelleux, ne pouvant associer la contraction des muscles de la cuisse à celle des muscles du tronc, fléchira ses cuis
des muscles de la cuisse à celle des muscles du tronc, fléchira ses cuisses par suite de la contraction de ses psoas agissa
du sol et à 60 centimètres en avant du genou. Au lieu de fléchir la cuisse et Rendre la jambe simultanément et progressive
e ferait [.A. LÉRI.] Fig. 6cL 7. Signe de la flexion combinée des cuisses et du bassin. - Le sujet étant couché, les bras
NCOORDINATIONS. un sujet normal, le cérébelleux fléchira d'abord la cuisse et soulèvera très haut le pied, puis, il étendr
inverse les mêmes mouvements, flexion de la jambe, extension de la cuisse , et frappera le sol par toute la plante du pied
e siège de cette chaise. Un individu normal fléchirait lentement la cuisse et la jambe en faisant glisser celle-ci le long
le-ci le long du rebord du siège; le cérébelleux fléchit d'abord la cuisse en élevant le genou bien plus haut qu'il n'est né
gique (B) laisse ses jambes étendues, le tronc seul se meut sur les cuisses ; il tomberait presque immédiatement s'il n'étai
normal, en même temps qu'il porte le tronc en arrière, fléchit les cuisses sur les jambes et les jambes sur les pieds pour m
dans l'étude de la démarche asynergiquc la flexion démesurée de la cuisse . L'adiadococinésie résulte aussi en grande part
si, le sujet étant couché sur le dos, on lui fléchit légèrement les cuisses sur le bassin et les jambes sur les cuisses, le
fléchit légèrement les cuisses sur le bassin et les jambes sur les cuisses , les pieds étant écartés l'un de l'autre, le cé
ade étant couché, main- tenir les pieds en l'air, les jambes et les cuisses demi fléchies. L asynergie peut être bilatérale
ment en faisant porter le pied sur le lit dans l'angle formé par la cuisse et la rotule, sur le milieu de la jambe, sur le
chir une jambe, l'élever de façon à la mettre à angle droit avec la cuisse , l'étendre et la reposer doucement; élever une ja
cement; élever une jambe allongée, la fléchir à angle, droit sur la cuisse , l'étendre; fléchir une jambe, la mettre à angl
uisse, l'étendre; fléchir une jambe, la mettre à angle droit sur la cuisse , l'étendre complètement en l'air, la reposer su
u contact du sol en lui faisant, dans la position assise, élever la cuisse , le genou fléchi, puis reposer le pied sur le s
me temps que le pied opposé se soulève du sol par une flexion de la cuisse , puis s'avance par une extension de la jambe; 2°
n appareil, formé essentiellement de deux gouttières, l'une pour la cuisse , l'autre pour la jambe, réunies au niveau du ge
culièrement aux muscles des mollets, et à la partie postérieure des cuisses , et par la suite aux muscles des membres supérieu
supérieurs; on les constate également au niveau de la jambe et delà cuisse . 2. Rigidité musculaire. La rigidité apparaît s
est très difficile : ils s'a- vancent en frottant les genoux et la cuisse l'une contre l'autre : quelque- fois, ta flexio
édiatement,' par un mouvement uniformément accéléré, jusque sur les cuisses où ils rebondissent et , oscillent; chez ceux q
ar participation des abaisseurs, les mains n'arrivent pas jusqu'aux cuisses ou y restent appliquées sans osciller. (Meige, Co
s fléchisseurs de la jambe, elle permet la flexion exagérée de la cuisse sur le bassin. Alors que, noir-. quand l'homme
que, noir-. quand l'homme est couché sur le dos, il peut fléchir la cuisse sur le bassin à 65° ou 75°, chez un tabétique,
genou, de faire toucher, avec les talons, la partie postérieure de la cuisse et de la fesse. L'hypotonie des adducteurs de
ure de la cuisse et de la fesse. L'hypotonie des adducteurs de la cuisse permet la position du grand po. CROUZON.1 rig
epose sur le sol par la face interne de la jambe, du genou et de la cuisse . Les extenseurs du pied, quand ils sont en hypo
nt en hypotonie, permettent une extension maxima de la jambe sur la cuisse , cette extension dépasse la ligne droite qui es
ligne droite qui est l'attitude normale ; il y a hyperextension et la cuisse peut faire, avec la jambe, un angle obtus ouver
n permet au malade de détacher le talon du plan du lit alors que la cuisse repose complètement sur le sol. Cette hypoton
les deux avant-bras. Ce signe, associé à la flexion combinée de la cuisse et du tronc, au phénomène des orteils, au signe
stinés à recueillir l'urine, de découvrir le malade, d'entourer les cuisses et l'abdomen de lainages ou de couver- tures et
t les mêmes. On observe exceptionnellement Fig. 1. = Phocomélie. La cuisse gauche fait à peu près . entièrement défaut ;
elativement minime au cou-de-pied et au genou, à la jambe et à la cuisse . Le pied des géants est semblable à celui des
teints les uns 'après les autres, le pied tout entier, la jambe, la cuisse même peuvent se sphacéler, soit d'emblée, soit se
équin spasmodique; la jambe est contracturée en demi-flexion sur la cuisse et la cuisse sur le bassin, les cuisses sont en
ique; la jambe est contracturée en demi-flexion sur la cuisse et la cuisse sur le bassin, les cuisses sont en adduction fo
turée en demi-flexion sur la cuisse et la cuisse sur le bassin, les cuisses sont en adduction forcée, les genoux se touchent
nsion modérée sur la jambe, en équin ou varus équin; la jambe et la cuisse sont aussi presque toujours en extension, raremen
gueur de la main. DG' X 2. Grande envergure. JI'L. Longueur de la cuisse . LN. Longueur. de la jambe au sommet de la mall
pas faire de biceps) ; du poignet, au-dessus des styloïdes; de la cuisse partie moyenne ; maxima du mollet; minima de
ps, soigneusement étendu. La main tombe verticalement le long de la cuisse , dans une position intermédiaire à la pronation
upérieurs, et les avant-bras et les jambes plus que les bras et les cuisses . La main elle pied sont relativement moins dévelo
urcissement excessif sur- tout du segment rhizomélique des membres ( cuisses et bras), il la défor- mation des mains en trid
ou larges, comme le deltoïde, les fessiers, le vaste interne de la cuisse , les jumeaux, etc., on choisira deux électrodes
amen avec ce pôle. Fin. 25 (d'après Erb). A. Points moteurs de la cuisse (face antérieure). 1. Nerf crural; - 2. Nerf obtu
creux poplité (point poplité), sur le trajet du nerf sciatique à la cuisse (points fémoraux inférieur, moyen et supérieur)
ut être remplacé par des plaques fixées sur les mollets, ou sur les cuisses , ou sur les avant-bras ; lorsque l'on veut agir
du petit doigt. In- nervation, physiologie, 555. Adducteurs de la cuisse . Innervation, physiologie, 544. Adiadococinés
ype, 769. Petite asynergie, 770. Signe de la flexion combinée des cuisses et du bassin, 771. Syn- drome cérébelleux de Ha
s doigts, innerva- tion, physiologie, 528. Flexion combinée de la cuisse et du tronc dans l'hémiplégie, 478. des cuisses
exion combinée de la cuisse et du tronc dans l'hémiplégie, 478. des cuisses et du bassin et asynergie cérébelleuse, 771.
o- gique, 475. MouvKMEXTsnMoctf'.s, 477. - Flexion combinée de la cuisse et du tronc, 478. - Signe du peaucier. 479. -
68. - de l'oreille externe. Innervation, physiologie, 58'1. - de la cuisse , para- lysies, 542. de la jambe, paralysies,
11 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
rtement très considérable entre les deux genoux. Les deux segments, cuisse et jambe, contribuent à la dé- formation. Les o
2°. Il fait plus lard un faux pas, tombe de sa hauteur et se casse la cuisse droite. 3° Ale en lui essayant un bas élastiq
os présentent une fragilité exceptionnelle puisqu'il s'est cassé la cuisse droite en tombant de sa hau- teur et qu'un band
ure de son corps. Le bras droit, le torse, le centre et le haut des cuisses sont nus. A ses pieds, un animal qui cument ico
ter que les muscles triceps fémoraux, extenseurs de la jambe sur la cuisse , sont dans le relâchement; de même pour les muscl
ent; de même pour les muscles fessiers, extenseurs du tronc sur les cuisses , de même aussi pour les masses sacro-lombaires
ation droite, n'ont rien il sup- porter. Station du tronc sur les cuisses . C'est par l'intermédiaire des deux seules cavi
u l'acia lata est manifestement tendu. L'équilibre du tronc sur les cuisses est ainsi assuré, comme je l'ai déjà dit, d'apr
par les ligaments et les muscles distendus (Fig. 19). Station des cuisses sur les tibias. Les deux fémurs reposent sur le
le long du corps, les mains au lieu de toucher la face externe des cuisses se plaçaient en avant. Celle distance augmente
quadrilatère aux angles arrondis. Le pli fessier est profond. Les cuisses sont bridées sur les côtés par la tension de l'ap
cu- laire complet. Mais les différences sont surtout frappantes aux cuisses . Elles ne semblent pas avoir le même volume. Vu
uisses. Elles ne semblent pas avoir le même volume. Vue de face, la cuisse de la jambe portante est étroite, son diamètre
i le diamètre antéro-postérieur s'en trouve-t- il augmenté. L'autre cuisse est, au contraire, presque uniformément arron-
lle parait beaucoup plus volumineuse. En outre, on remarque, sur la cuisse portante, les reliefs fort accentuésau- dessus
dée in- férieurement par un sillon profond et le bord interne de la cuisse la dé- borde de beaucoup latéralement. Le sillo
rgie ; par sa limite inférieure et externe, elle se confond avec la cuisse . Le sillon médian des reins est incurvé laté- r
in. En outre, si le membre est porté en avant, il y a flexion de la cuisse sur le bassin et contraction manifeste des fléc
ée des extenseurs de la jambe, destinée à empêcher la flexion de la cuisse sur la jambe. Mais si cette flexion de la cuiss
r la flexion de la cuisse sur la jambe. Mais si cette flexion de la cuisse sur la jambe s'accomplit, il arrive que les fesse
devient presque horizontal et la courbure des reins disparait. Les cuisses fléchies à angle droit sur le tronc reposent par
ésiste assez énergiquement, quand on veut flé- chir la jambe sur la cuisse ; au contraire elle n'oppose qu'une résistance
été absolument cons- tants la région antérieure et supérieure de la cuisse . Dans un premier examen l'eau chaude, l'eau a l
lume de ceux-ci, mesuré au centimètre, au niveau du mollet et de la cuisse est le même des deux côtés. Il n'y a donc pas d'a
obiles les uns sur les autres, la tête sur le tronc, le tronc sur les cuisses , les cuisses sur les jambes, et ces dernières m
sur les autres, la tête sur le tronc, le tronc sur les cuisses, les cuisses sur les jambes, et ces dernières mo- biles sur
aminons maintenant ce qui se passe dans la station du tronc sur les cuisses . Nous avons vu que les puissantes masses muscul
uadriceps fémoraux chargés d'assurer l'extension de la jambe sur la cuisse ; leur rôle étant inutile pour le main- tien de
Cependant elle ne peut pas contracter les muscles antérieurs de sa cuisse , sur laquelle on ne constate jamais 'les reliefs
, inutilité de l'action musculaire pour la station dû tronc sur les cuisses et des cuisses sur les genoux, puis trans- form
l'action musculaire pour la station dû tronc sur les cuisses et des cuisses sur les genoux, puis trans- formation du muscle
che. Les muscles antérieurs du bassin concourent à la flexion de la cuisse sur le bassin, nous n'avons pas à en parler. Ma
e, le peu d'accroissement des masses musculaires des mollets et des cuisses , en un mot t,coiisei,- vation apparente des for
des fessiers et retombe sur les parties latérales et supérieures des cuisses . Au MYOPATHIE PRIMITIVE GÉNÉRALISÉE 153 des
le a un point d'appui devant elle. Alors elle met les mains sur ses cuisses , puis penchant fortement le haut du corps en av
i se redresser sur ses membres inférieurs préalablement étendus. La cuisse gauche est sensiblement moins forte que la droite
crural) elle le tente inutilement à gauche. Cependant le volume des cuisses est à peu près égal des deux côtés. Au-dessous
e un gros paquet graisseux qui fait saillie sur la face externe de la cuisse . Celle-ci vue de face, semble élargie en ce poi
e des muscles, tant dans le mouvement de flexion de la jambe sur la cuisse que dans le mouvement d'abais- sement du pied (
des muscles. Notre malade en fournit de nouveaux exemples (fesses, cuisses ). Ces bourrelets adipeux peuvent, sui- vant les
st notablement diminuée ; pour certains muscles toutefois, ceux des cuisses notamment, les contractions minima n'apparaisse
l'excitabi- lité électrique sont très prononcées aux fesses et anx cuisses ; aux jam- bes elles sont moins accusées et port
e rendre compte s'il y a ou non contraction clans ce muscle). Les cuisses , bien qu'atrophiées notablement, paraissent relat
talon du lit et ne peut maintenir longtemps sa jambe étendue sur la cuisse quand le pied est soulevé. Les muscles posté- r
ès faibles, elle Ilécllit volontairement assez bien la jambe sur la cuisse , mais n'offre aucune résistance à son extension p
té; cette résistance surajoutée n'existe pas pour les muscles de la cuisse . 170 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
u atrophiée. Le diaphragme est intact. Le bassin est fléchi sur les cuisses et ne peut être redressé. Membres inférieurs. L
'anus apparaît béant dans un sillon interfessier très élargi. Les cuisses sont très amaigries. Les jambes et les pieds semb
détachées du tronc, même au repos, les avant-bras reposant sur les cuisses , pendant que le malade est assis ; dans ces con
issent vers 20mm ; il 0 C. encore très faibles. Les muscles de la cuisse sont notablement amaigris ; les extenseurs conser
uisent avec une énergie assez grande l'extension de la jambe sur la cuisse et s'opposent encore assez bien à sa flexion pa
le membre supérieur droit, grimpe avec la main gauche le long de la cuisse pour placer son poing sur la fesse gauche. Enfi
antôt par la pointe de l'un ou de l'autre. Le bassin fléchi sur les cuisses , l'abdomen très proéminent, la (1) Revue de méd
nt disparu. La circonférence des membres gauches (bras, avant-bras, cuisse , jambe) excède celle des membres droits de 1/4
onnaissables. Le condyle externe à disparu ; la jambe forme avec la cuisse un angle obtus ouvert en dehors. L'infiltration
gurantes typiques, localisées d'abord a la partie postérieure de la cuisse droite, et survenant sous forme de paroxysmes d
adaires. Un an après, les douleurs se sont montrées au niveau de la cuisse gauche, et, plus tard, au niveau des jambes (ré
mouvements involontaires cboréiformos dans les membres, inférieurs ( cuisses et jambes).- Ces mouvements amyotaxillties sont
tive, anesthésie complète dans les deux pieds. Dans les jambes, les cuisses et le tronc jusqu'à la région mammaire, les sen
elques douleurs moins vives du reste, clans la face postérieure des cuisses et encore dans la moitié inférieure seulement. Un
e inférieur gauche est dévié et déformé; la jambe se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'angle droit. Au contraire, l'extensio
a jambe est très déviée en dedans et son axe forme avec celui de la cuisse un an- gle obtus, ouvert en dedans, -dont le so
tude vicieuse très accusée : l'axe de la jambe forme avec celui de la cuisse un angle obtus ouvert en dehors. Le genou est p
nde intensité. Ces douleurs siégeaient dans les mollets et dans les cuisses . En même temps, sensation d'un corset de fer ét
tie postérieure de la 230 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE cuisse et dans toute la jambe, il gauche dans le mollet
normal dans les urines. Les membres inférieurs sont déformés; les cuisses sont le siège d'une infil- tration considérable
ugcâtrc. Le membre inférieur droit est d'un volume considérable, la cuisse est cylin- drique, toutes saillies ou dépressio
ion debout, possible pour le malade en s'appuyant sur une canne, la cuisse forme avec la jambe un angle il sommet externe.
s sont normaux. Les mensurations don- nent les résultats suivants : cuisse 51, cm., mollet fil cul. Le malade peut se teni
essous du genou, il s'agit d'un oedème vulgaire; au-dessus, dans la cuisse l'oedème est dur, impénétrable au doigt. On dirai
UE C UIRURGIC.1L 313 re en adduction, presque il angle droit sur la cuisse . L'ankylose du genou droit était complète, cell
au lit : il en était ainsi dans le cas de M. Nelaton, qui amputa la cuisse pour une arthropathie tabétique du genou, dans
in- gomyélique, le professeur Verneuil à la jambe et M. Poncet à la cuisse pour des arthrites suppurées consécutives à des
la région fessière, à une mince bande sur la face postérieure de la cuisse droite, puis s'accentuant à nouveau 372 NOUVELL
ère dont voici les phases successives. 12 mai. Flexion facile de la cuisse sur le bassin : adduction très légère du même s
e la tête sur la colonne vertébrale, 18. Station du tronc sur les cuisses , 19. Station des cuisses sur les jambes, 20.
rtébrale, 18. Station du tronc sur les cuisses, 19. Station des cuisses sur les jambes, 20. Station des jambes sur les
12 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
ns cette région, ainsi qu'au niveau de la partie supéro-extcrne de la cuisse droite; le poignet droit était aussi assez viol
s ulcéra- tions à la vulve et à la partie interne et supérieure des cuisses , il contracta la syphilis (1879). 1. L'observ
rs qui suivent l'attaque les douleurs de la mâchoire et surtout des cuisses et de la tête persistent avec une intensité tel
nt tout à coup souples, et purent être fléchies ou étendues sur les cuisses ; mais les pieds conservèrent l.enr 32 NOUVELLE
et de la jambe ne sont pas durs, % la jambe joue; facilement sur la cuisse au gré de la volonté. 0... peut imprimer même à,
rophie de la jambe gauche : les circonférences de la jambe et de la cuisse sont inférieures d'un centimètre à celles de l'
et comme recroque- villée sur elle-même, les mains ramenées sur les cuisses , les deux NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I PL. Vit
'il s'appuie le dos contre le dossier de la chaise, les muscles des cuisses et du tronc présentent des contractions continuel
groupes de muscles. C'est ainsi que, sa jambe étant étendue sur la cuisse , si on cherche à la fléchir tandis qu'il résist
fixées dans des gouttières plàtrées remontant jusqu'à la racine des cuisses . 30 juillet. Nouvelles tentatives d'extension e
non seulement un raccourcissement des muscles fléchisseurs de la cuisse , mais encore une sorte de rétraction du tissu fib
ntraction ayant eu lieu dans la position de la jambe fléchie sur la cuisse , l'action principale du , biceps s'était exercé
, mobile latéralement, s'élevant dans la flexion de la jambe sur la cuisse , s'abaissant dans l'extension. Cette saillie se
'il veut-'porter le pied gauche en avant, il est obligé de lever la cuisse très haut, sinon le pied traînerait à terre par l
région antérieure. Lorsque la contracture occupe les muscles de la cuisse , la jambe est fléchie sur la cuisse, soit compl
acture occupe les muscles de la cuisse, la jambe est fléchie sur la cuisse , soit complètement, soit dans une position inter-
a contracture des muscles de la hanche (coxalgie hystérique) met la cuisse dans la flexion sur le bassin et dans l'adduction
ieure etpar les tu- bercules quadrijumeaux. Il n'y avaitni genou ni cuisses du corps calleux, par conséquent point non plus
membres inférieurs, avec flexion à angle aigu des jambes sur les cuisses . Cette position vicieuse avait persisté autant de
raplégie spasmodique avec contracture des muscles postérieurs de la cuisse . Après la guérison, c'est-à-dire après la dispari
e. Elle était gênée par la rétraction des muscles postérieurs de la cuisse qui se tendaient comme des cordes rigides quand o
tique. Le ma- lade peut bien fléchir, étendre la jambe, le pied, la cuisse , et diriger le membre dans tous les sens, mais
de mon malade : 1° Fléchisseurs de la jambe; 2° fléchisseurs de la cuisse ; 3° fléchisseurs du pied et extenseurs des orte
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. gros orteil. Je le touche à la cuisse , au-dessous du genou, il localise l'impres- sio
l en est de même pour beaucoup d'autres points de la jambe et de la cuisse ; mais, par contre, la plupart du temps, mon mal
emarque pas moins une disproportion flagrante entre le tronc et les cuisses , ce qui est l'indice d'un arrêt de développement,
les crêtes osseuses en sont certainement augmentées de volume. Les cuisses , les fesses, ne présentent rien de particulier ;
les deux malléoles parais- sent élargies. La forme générale de la cuisse , de la jambe, du mollet, est parfaitement norma
tit de l'hôpital'. ° Ayant éprouvé de nouveau des douleurs dans les cuisses et dans les reins, au mois d'août de la même an
ois travers de doigts la ligne qui dessine les contours du torse; les cuisses sont un peu fléchies sur le bassin et les jambe
es cuisses sont un peu fléchies sur le bassin et les jambes sur les cuisses (Pl. XXXIX). La saillie postérieure correspond
A RÉGION LOMBAIRE. 195 en demi-flexion et en rotation en dehors des cuisses , soit dans la sta- tion debout, soit dans la ma
es très vives dans le côté droit; ces donleurs descendirent dans la cuisse jusqu'au genou. La jambe droite était devenue p
ent des orteils et remontaient jusqu'à la partie su- périeure de la cuisse . ' A la suite de ces douleurs, le deuxième orte
q ans, après quelques jours de grande fatigue, il lui sembla que la cuisse gauche était plus lourde, et se fatiguait plus fa
e de la gêne dans la marche et du gonflement progressif de toute la cuisse gauche. On diagnostiqua à cette époque une luxa
les mains légèrement ramenées en dedans reposent sur le devant des cuisses . La déformation des mains est vulgaire : elles
tent droits et pendants, les mains ne quittent guère le contact des cuisses . Quant aux genoux-, ils se fléchissent peu, ce
médecins, faisait défaut sur les faces antérieure et externe de la cuisse . Motilité complètement abolie dans ce membre; q
est normale dans tous ses modes, sauf pour la région' externe de la cuisse droite qui présente une zone d'anesthésie (inté
temps en temps dans le membre inférieur gauche, principalement à la cuisse , et plus encore à la face dorsale du pied. Cett
cis. L'anesthésie à la piqûre est variable suivant les régions. Aux cuisses , elle est surtout accentuée sur les faces antér
térieure et interne. Elle est plus con- sidérable aux jambes qu'aux cuisses : la face postérieure de la jambe droite est to
ers obstacles font trébucher le malade. Troubles trophiques. - La cuisse gauche est un peu moins volumineuse que la droi
out à la partie inférieure de celle région. A la partie moyenne des cuisses , la mensuration circulaire donne un centimètre
timètre de moins à gauche qu'à droite. Les masses musculaires de la cuisse et du mollet gauches sont aussi plus flasques à l
La peau est très légèrement épaissie sur la face postérieure de la cuisse gauche, par rapport à la même région du côté dr
atrices non pigmentées sur le tronc et les membres inférieurs. A la cuisse gauche on voit une cicatrice arrondie, non pigmen
es fibreuses, situées en dehors de l'articulation. Longueur de la cuisse , du grand trochanter à l'extrémité inférieure du
inférieure du fémur, 41. Circonférence à la partie moyenne de la cuisse , 5G. La peau de la cuisse est absolument normal
Circonférence à la partie moyenne de la cuisse, 5G. La peau de la cuisse est absolument normale. Au-dessus du genou se tro
ter et les rapprocher. Le mouvement de flexion et d'extension de la cuisse se fait avec une inten- sité parfaitement norma
ntaires ; des varices assez développées se voient aux jambes et aux cuisses . ' La face (pi. XLIX) présente un ovale très al
s résister à la flexion passive. Au contraire, les fléchisseurs de la cuisse onl une force à peu près normale. Il en est de
se : diamètre vertical, 6.5 ; transversal, 6.5. Circonférence de la cuisse à la partie moyenne, 36 des deux côtés. Largeur
ui d'un mamelon à l'autre mesure 1,330 millimètres. - Le bras et la cuisse ne présentent aucune hypertrophie, mais à parti
es mains. Les genoux sont notablement épais en comparaison avec les cuisses et les mollets. Voici quelques-unes des' mensur
13 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ue présente ce même membre inférieur gauche clans toutes ses parties, cuisse et jambe surtout. — La différence, à cet égard, e
e son étendue,ce dont témoignent suffisamment les chiffres suivants : cuisse gauche partie moyenne, 39 c. ; cuisse droite, par
samment les chiffres suivants : cuisse gauche partie moyenne, 39 c. ; cuisse droite, partie moyenne, 43 c. ; jambe gauche, par
te. M. Charcot (au malade) : Veuillez mettre à nu vos jambes et vos cuisses , dépouillez-vous de votre pantalon. Veuillez co
u membre inférieur droit, vous le voyez (fig.jl8)la musculature de la cuisse et de la jambe est bien celle d'un athlète, comme
ouvert en avant que (Même signiflcation des lettres dans le font la cuisse et la jambe droites. A' ,B', C ^ précédent.) mo
t.) montre au contraire 1 angle ouvert en ar- r rière que font la cuisse et la jambe gauches, ainsi que la tuméfaction app
membre inférieur gauche. Le contraste est vrai entre celle-ci et la cuisse , un angle obtus, ouvert en avant de façon à rappe
se ment très frappant. En effet, ce membre dans toute son étendue, cuisse , fesse et jambe, est très manifestement amaigri (
rieur gauche. lata (A) est relativement conservé li) A, Fesse. — B, Cuisse . — C, Jambe. portant toutefois tout particulièr
tant toutefois tout particulièrement sur les muscles antérieurs de la cuisse 1. Les croquis des fig. 18, 19, ,20, 21 ont été
de la fesse gauche comparée à la fesse droite (fig. 20), celle de la cuisse gauche surtout prononcée, je le répète encore une
uscles de l'extension (fig. 19 et 20). La différence entre les deux cuisses , après deux ans, est encore de deux centimètres e
s, comme c'est la règle en pareil cas, sur la région antérieure de la cuisse , était poussée déjà au plus haut degré. Toute tra
et sa prédominance très marquée sur les muscles antérieures de la ¦ cuisse . Seule, la théorie imaginée par Vulpian, que j'ai
ticularités du steppeur, c'est que dans la progression il fléchit ses cuisses à l'excès et élève ses pieds démesurément. Vous v
s il fléchit plus que cela ne se fait dans la marche physiologique la cuisse sur l'abdomen, et la jambe sur la cuisse, de faço
s la marche physiologique la cuisse sur l'abdomen, et la jambe sur la cuisse , de façon à soulever les pieds anormalement au-de
ci ce que cet examen permet de constater. Les deux jambes et les deux cuisses sont considérablement atrophiées. A gauche cette
timètres au-dessous de la rotule. 24 c. 29 c. Circonférence de la cuisse à 15 centimètres au-dessus de la rotule. 31 c. 29
centimètres au-dessus de la rotule. 31 c. 29 c. Circonférence de la cuisse au niveau de la racine du membre. 44 c. 43 c.
sont atrophiés. Les extenseurs plus encore que les fléchisseurs. A la cuisse , le triceps est très atrophié (Une partie seule d
nservée). Cependant de ce côté le malade peut étendre la jambe sur la cuisse et opposer, dans l'attitude fléchie, une certaine
s du mollet sont en partie conservés, surtout le jumeau interne. A la cuisse le triceps est aussi atrophié qu'à gauche : le va
complètement atrophié, ce qui fait que l'extension de la jambe sur la cuisse est complètement impossible. Aux deux cuisses l
ion de la jambe sur la cuisse est complètement impossible. Aux deux cuisses les adducteurs et les fléchisseurs (muscles posté
ontraction faible et encore par l'action de très forts courants. A la cuisse gauche, le droit antérieur et le vaste externe so
Les autres muscles, extenseurs des orteils, etc., sont normaux. A la cuisse droite, le droit antérieur, le vaste externe, l
ucune raison cet acte stu-pide. Les douleurs dans les jambes et les cuisses , les pituites, les insomnies, les rêves terrifian
énérative des muscles des membres inférieurs. C'est ainsi qu'aux deux cuisses le droit antérieur, le vaste externe,une partie d
la sensibilité, tandis qu'à droite, au contraire, ceux-ci occupent la cuisse et les deux tiers supérieurs de la jambe gauche ;
trajet du nerf sciatique à la fesse et sur la partie postérieure delà cuisse ; la région surtout douloureuse est encore aujourd
électriques, elles sont absolument nulles dans tous les muscles de la cuisse , de la jambe et du pied et après trois mois de te
nque et pour ce qui est de l'exploration électrique, elle amontré aux cuisses l'existence d'une réaction de dégénérescence très
le dos. Il me semblait que dans les pieds, dans les jambes, dans les cuisses , on me donnait par-ci par-là, des coups de coutea
ds, quelquefois dans les talons et aussi dans les mollets et dans les cuisses . Quelquefois il me semble que les douleurs se rej
, où les douleurs fulgurantes ne se sont pas montrées encore dans les cuisses , les pieds ni les jambes. Il est possible, en eff
rer, en effet, que les moindres tiraillements exercés sur la peau des cuisses , surtout à droite au voisinage de la zone hyperes
e provoquent des crampes qui se produisent de temps à autres dans les cuisses et dans les mollets ; pas de troubles vésicaux. L
l'œil gauche et une certaine douleur siégeant à la face interne de la cuisse du même côté ont été les seuls symptômes dont il
possible le tiraillement des parties molles de la face interne de la cuisse où existe une large plaque d'hyperes-thésie cutan
bsolue, interrompue seulement sur la face antérieure et interne de la cuisse , sur la face interne et antérieure de la jambe, s
st normal. plaque hyperesthésique occupe la partie inférieure de la cuisse gauche, au-dessus du creux du jarret. Goût aboli
fois sur les extenseurs et sur les fléchisseurs de la jambe et de la cuisse . La chute a été la conséquence d'un dérobement de
droite, tantôt dans la gauche ; je les sens aussi aux chevilles, aux cuisses ... M. Charcot. — Vous viennent-elles souvent ?
grandes blessures, seulement une petite plaie à la face externe de la cuisse droite, une autre au cuir chevelu dans la région
affecté, hémianesthé-im gauche. Hémiplégie gauche avec douleur à la cuisse , blepharospas-me û gauche, langue tirée adroite.
s l'ouverture béante de la cave. Il se fracture la jambe droite et la cuisse gauche. Il reste huit jours dans un état comateux
ressentait, dans toute l'étendue du membre supérieur droit et dans la cuisse ainsi que le genou du même côté, des douleurs viv
s occupaient, Pig. 72. Fig. 73. semble-t-il, toute retendue de la cuisse ; aujourd'hui elles se sont, si l'on peut ainsi p
à chaque instant troublée par de brusques flexions du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les jambes, assez analogues à
nt troublée par de brusques flexions du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les jambes, assez analogues à ce que l'on voi
tôt ce qui suit : on voit, au moment même où la malade se baisse, les cuisses se fléchir sur les jambes et le tronc se fléchir
te plus qu'un frère. Ce frère s'est fracturé plusieurs fois l'une des cuisses sous l'influence de causes banales, insuffisantes
que les jambes sont en permanence et symétriquement fléchies sur les cuisses et celles-ci sur le bassin. Cette attitude,ellene
i les masses musculaires, aux jambes particulièrement, mais aussi aux cuisses . Il ne s'agit pas là d'une simple émaciation, mai
réaction de dégénération bien nette sur les muscles antérieurs de la cuisse et sur les muscles péronniers et même,sur certain
alysie alcoolique. Dans ce cas, il y avait flexion de la jambe sur la cuisse , et de la cuisse sur le bassin élevée à un très h
. Dans ce cas, il y avait flexion de la jambe sur la cuisse, et de la cuisse sur le bassin élevée à un très haut degré. Cette
muscles du mollet étaient appliqués sur les muscles postérieurs de la cuisse . Voir : Brissaud, Des paralysies toxiques, thèse
es réflexes tendineux, portant sur l'avant-bras droit, surtout sur la cuisse et la jambe du môme côté, et qui paraît s'être dé
i paraît s'être développée très rapidement. Il y a sur la jambe et la cuisse de ce côté,comparées aux parties correspondantes
— de l'avant-bras droit, 25cc — avant-bras gauche, 27 ec — de la cuisse droite, 37cc — de la cuisse gauche, 39oc — de l
25cc — avant-bras gauche, 27 ec — de la cuisse droite, 37cc — de la cuisse gauche, 39oc — de la jambe droite, 32co — de la
plus faible que le membre correspondant. Puis cela a été le tour des cuisses . Mais, pour ce qui est des jambes, elles sont res
as gauche subissent exactement le même sort. Enfin, c'est le tour des cuisses où les fourmillements ainsi que l'atrophie muscul
nier lieu apparaissant dans les membres inférieurs où elle occupe les cuisses . Telle a été, d'une façon sommaire, l'évolution
on l'a dit, froide, rugueuse, écailleuse, d'une teinte violacée. Les cuisses présentent relativement un volume assez considéra
; les muscles fessiers sont également encore assez volumineux. Aux cuisses , et aux membres supérieurs, les réactions électri
u-dessous des chevilles, mais aussi en même temps dans la jambe et la cuisse gauches, le côté gauche du tronc et même de la tê
quefois lorsque, assis surune chaise, on s'est comprimé le nerf de la cuisse en dormant dans une mauvaise position. Elle se dé
ne fois debout j'ai failli tomber : il me semblait que ma jambe et ma cuisse droites étaient en coton; elle ne me portait pas
oudre; ainsi, chez un homme qui portait une toute petite plaie sur la cuisse gauche, la paralysie s'étendait à tout le membre
anesthésie cutanée qui occupe en avant la partie antéro-externe de la cuisse et de la jambe gauche, et s'étend en arrière sur
auche, et s'étend en arrière sur la fesse, sur le tiers externe de la cuisse , sur le tiers inférieur de la jambe et sur le pie
re, luisante, gaufrée, qui se voit au niveau du tiers inférieur de la cuisse gauche, un peu au dessus du genou. C'est la trace
ge plaque d'anesthésie occupant les faces antérieure et externe de la cuisse . Le rétrécissement du champ visuel persiste, mais
que l'atrophie est surtout prononcée sur les muscles antérieurs de la cuisse droite, où l'on voit se dessiner des secousses fi
de ce côté là : à gauche, au contraire, il est aboli ; par contre,la cuisse est ici beaucoup moins atrophiée et les secousses
toute l'étendue des jambes et des pieds et sur le quart inférieur des cuisses , les genoux y compris. Sur toutes les autres part
hésie est seulement relative : ainsi, sur les parties supérieures des cuisses , sur l'abdomen, la partie inférieure de la poitri
le fais maintenant, promener le thermocautère rougi sur la peau de la cuisse , sans qu'il en éprouve la moindre souffrance, et
t plus en jeu. Cependant une flexion à angle droit des jambes sur les cuisses et non plus à angle aigu comme autrefois persista
: 1° d'un raccourcissement des tendons des muscles fléchisseurs de la cuisse , et 2° de la rétraction du tissu cel-lulo-fibreux
dans le creux poplité la rigidité des fléchisseurs de la jambe sur la cuisse , et de plus cet examen fit éprouver dans cette ré
faut ajouter que dans ces paraplégies par compression, la flexion des cuisses sur le bassin et des jambes sur les cuisses est e
mpression, la flexion des cuisses sur le bassin et des jambes sur les cuisses est en général très prononcée (caractère commun,
et à la face. La zone anesthésique dépasse la ligne d'attaches de la cuisse ; sa limite remonte même un peu au-dessus de la f
e péri-scapulaire de celle qui circonscrit la partie supérieure de la cuisse . L'anesthésie des membres est profonde. On peut
14 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
arche, dit-il, était gênée par une douleur qu'il ressentait dans la cuisse droite; il marchait en boitillant. Vers huit he
le arrive également à fléchir de quelques degrés les jambes sur les cuisses . Le 10 juin, la malade peut s'asseoir sur le bord
s et plus étendus. Elle arrive aussi à fléchir successi- vement les cuisses sur le bassin et à les étendre simultanément sans
es mouvements spontanés de flexion et d'extension des jambes et des cuisses . La sensibilité cutanée était très notablement re
tir des élance- ments douloureux dans le cou-de-pied, le tibia, les cuisses , le long de la colonne vertébrale; une contract
observe, le plus sou- vent, en cas d'épilepsie spinale. La peau des cuisses esl anesthésiée presque en totalité, sauf sur l
enue est entraînée en avant par son propre poids. Les muscles de la cuisse et du mollet, bien qu'ils ne paraissent pas atr
re du tronc, paraissent au pre- mier abord absolument indemnes. Les cuisses ont conservé leur forme nor- male, ainsi que le
le, ainsi que les jambes. La résistance à tous les mouvements de la cuisse , de la jambe et du pied est considérable des deux
idérable des deux côtés. Mais on remarque dans divers muscles de la cuisse et de la jambe, à droite et à gau- che, des sec
t à quel point l'atrophie était prononcée au bras, à l'épaule, à la cuisse et à la jambe. Comme on peut le voir sur la pla
sont presque collés au corps, les mains reposent mollement sur les cuisses . Membre supérieur gauche. Dynamomètre = 0. La m
res inférieurs est'très prononcée, particulièrement au niveau de la cuisse ; pour bien la mettre en relief faut maintenir l
u triceps est tel que le genou forme comme une forte saillie entre la cuisse et la partie supérieure de la jambe : on dirait
Pl. V). Il existe des secousses fibrillaires dans les muscles de la cuisse , du bras et de l'épaule; elles sont peu fréquen
être pour une légère rupture musculaire d'un des adduc- teurs de la cuisse . Dans ses antécédents nous relevons que son père,
des stigmates que voici : , ` 4° Une hyperesthésie notable de la cuisse droite. 2° Un rétrécissement concentrique du ch
bouger son membre inférieur droit d'un centimètre (orteils, jambe, cuisse ). Le capitaine lui ordonna un bain chaud, une p
l'épaule gauche et ensuite du bras. Plus tard, le bras droit et les cuisses furent semblablement affectés. Enfin les symptô
tie supérieure des bras, et une légère atrophie des avant-bras. Les cuisses sont amaigries : excepté la goutte qui le tient
tale, ils retombent aussitôt, surtout le bras droit. La flexion de la cuisse sur le bassin ne peut atteindre l'angle droit;
n. Par suite de l'atrophie de ces derniers la surface externe de la cuisse semble aplatie; à ce niveau on sent aisément le
no-mastoïdiens devenus minces comme des cordes. L'abduction de la cuisse dans la station debout ne peut être produite qu'à
, la lésion est moins prononcée, mais se retrouve cependant sur les cuisses et aux genoux. Toutefois, à l'examen de la peau
es de peau saine, très rapprochés cependant au niveau des bras, des cuisses et de la partie inférieure du visage, moins nombr
siste en des mouvements alternatifs de flexion et d'extension de la cuisse et de la jambe. Quand la malade est assise, elle
st garni de poils de nombre, de couleur et de longueur normaux. Les cuisses sont sillonnées de plis à direction verti- cale
nes du bras el de la 176 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cuisse , dans les régions exactement symétriques, la peau
s adducteurs sont intacts et que les fléchisseurs delà jambe sur la cuisse possèdent encore une certaine puissance; le pou
r soit contre un objet voisin, soit contre son corps, ou contre ses cuisses . Il ne porte plus sa main à sa bouche, par exem
il s'agit d'une double rétraction des muscles de la jambe et de la cuisse ayant succédé à une contracture due à une myéli
La seconde observation concerne une réfraction des muscles de la cuisse gauche survenue à la suite d'une hémiplégie succé
chent facilement. UNS. I. Contracture des muscles postérieurs de la cuisse succédant à une hémiplégie. - Rétraction second
les phénomènes suivants : la jambe était entièrement fléchie sur la cuisse , le pied dans l'extension : un amaigrissement con
ltat aussi- tôt limité par la tension des muscles postérieurs de la cuisse . Les tendons qui limitent le creux poplité étai
z , OBs. II. Myélite transverse avec contracture des muscles de la cuisse . Rétraction musculaire consécutive avec flexion
la cuisse. Rétraction musculaire consécutive avec flexion des deux cuisses sur le bassin et des deux jambes sur les cuisse
c flexion des deux cuisses sur le bassin et des deux jambes sur les cuisses , les pieds étant en exten- sion. Section des te
contracture très prononcée des muscles des deux jambes et des deux cuisses . La malade occupait dans le lit une position ac
ts étaient impos- sibles. Les jambes demeuraient fléchies sur les cuisses et celles-ci étaient telle- ment pliées sur le
ion des muscles formant sous la peau de la région postérieure de la cuisse des cordes très appréciables. Au niveau du geno
étaient plus manifestes et plus accentuées du côté droit. Les deux cuisses présentaient aussi une attitude vicieuse, elles é
te, et l'obstacle venait manifestement des muscles antérieurs de la cuisse qu'on sentait et qui faisaient saillie sous la
portant, premièrement sur les tendons des muscles postérieurs de la cuisse au niveau du creux poplité, secondement sur les
poplité, secondement sur les attaches des muscles antérieurs de la cuisse au niveau du bassin. La première opération eu
nt de nouveau enlevées. La jambe gauche complètement étendue sur la cuisse resta sans appareil. Je fis un redressement aus
'essayer la station debout, je pus me convaincre que la flexion des cuisses était bien due à la rétraction des muscles anté
les deux bouts de la corde for- mée par les muscles sectionnés. Les cuisses furent immobilisées par un double spica en tarl
râce aux massages, il emploi de l'électricité sur les muscles de la cuisse , l'action musculaire s'est améliorée rapidement
ps, l'avant-bras en prona- tion, la paume de la main appliquée à la cuisse , les jambes rappro- chées, les pieds en équerre
s d'atrophie musculaire. La mensuration au niveau des jambes et des cuisses ne donne aucune différence de volume. Les membr
t constamment écartées et forment un angle aigu de 40» environ. Les cuisses sont presque toujours acco- lées l'une à l'autr
sont ren- versés en dehors, les jambes légèrement fléchies sur les cuisses (celles-ci étant presque dans leur attitude nor
epuis cette époque, des douleurs très aiguës et très rapides dans les cuisses . Une note paraissant datée de l'entrée, constat
sibilité : hyperesthésie cutanée, allant de la partie moyenne de la cuisse au niveau du cou-de-pied. En outre, plaques hyper
inférieurs au-dessus du plan du lit; la flexion des jambes sur les cuisses est très incomplète et très difficile, douloureus
s membres inférieurs sont contracturés en extension com- plète. Les cuisses et les jambes sont en adduction forcée, au contac
n bas; s'il s'agite, s'il incline la tête en arrière ou fléchit les cuisses , on voit s'indiquer une concavité cervicale et
usivement dans les membres inférieurs, le long des tibias, dans les cuisses ; elles durent plusieurs jours puis se calment pou
és ; il en est de même des mouvements de flexion des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, ainsi que des mou
de même des mouvements de flexion des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, ainsi que des mouvements d'extensi
éteinte. Lorsqu'on comprime fortement les masses musculaires de la cuisse , il accuse une sensation de contact. En certain
s présentent des plaques au niveau des genoux et des malléoles; aux cuisses les lésions sont moin- dres. Cette distribution
rimètre donne : jambes, il droite, 35 cent. z, il gauche, 33 cent.; cuisses , à droite, 42 cent., à gauche, 41 cent. 1/2. Le
ont assez forls, égaux de chaque côté. Les masses musculaires de la cuisse et du mollet sont fermes et dures. La force mus
auche est notablement différent du droit; à la partie moyenne de la cuisse gauche, la circonférence me- sure 40 centimètre
sous-cutanée. Les muscles des faces antérieure et postérieure de la cuisse sont très atrophiés. Le malade fléchit et étend d
tain degré d'adipose sous-cutanée, moins prononcée qu'à gauche. A la cuisse , les mouvements d'extension et de flexion de la
cuisse, les mouvements d'extension et de flexion de la jambe sur la cuisse sont plus aisés qu'à gauche; l'atrophie muscula
laire y est en effet moins prononcée de beaucoup. Les muscles de la cuisse sont le siège de trémulations fibrillaires très
fais maintenant, promener le thermo-cautère rougi sur la peau de la cuisse sans qu'il en éprouve la 1. Dlinor, licmal., Co
mbre. L'éruption s'est généralisée il tout le thorax et s'étend aux cuisses et au scrotum. On soupçonne qu'elle pourrait être
15 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ne affection caractérisée par une hyperextension de la jambe sur la cuisse . Signalée pour la première fois chez les nou- v
genou gauche, caractérisée par l'hyperexteusion de la jambe sur la cuisse ; cette attitude anormale s'est produite insidi
q orteils ; la plante a une légère tendance à regarder en dedans ; la cuisse est en légère flexion sur le bassin, la jambe l
t en légère flexion sur le bassin, la jambe légèrement fléchie sur la cuisse ; la hanche porte des cicatrices, au nombre de s
nférieur droit. L'examine-t-on de face, on constate que l'axe de la cuisse et de la jambe décrit une légère concavité tour
ticularité : c'est une tumeur située à la face antéro-externe de la cuisse : nous la décrivons ulté- rieurement. Enfin l
he de 83 centimètres. L'atrophie des muscles est très marquée, à la cuisse du moins ; la circonfé- rence prise à 5 centimè
essus de la rotule, est de 4 centimètres et demi plus petite sur la cuisse droite que sur la cuisse gauche (32 et demi pour
e 4 centimètres et demi plus petite sur la cuisse droite que sur la cuisse gauche (32 et demi pour l'une, 37 pour l'autre)
anche qui présente une ankylose absolue, avec flexion modérée de la cuisse sur le bassin : la rectitude du membre entraîne e
onne vertébrale ; cette ensellure n'est corrigée que si l'on met la cuisse en flexion. Par la palpation de l'articulation
formation du genou. La tumeur siège à la face antéro-externe de la cuisse , au niveau de l'extré- mité supérieure de celle
la possibilité d'une hyperextension considérable de la jambe sur la cuisse . Le malade étant étendu sur une table d'examen (r
cellent ; en particulier les muscles de la partie postérieure de la cuisse et de la jambe sont bien développés. En aucun p
le joué par celui-ci, puisqu'il existe à la partie supérieure de la cuisse gauche une pseudo- hernie musculaire; la ruptur
tirant sur le tibia; d'ordinaire atrophie inégale des muscles de la cuisse , plus marquée sur la face postérieure, laissant
t une consé- quence de l'ankylose de la hanche avec extension de la cuisse sur le bas- sin. On conçoit en effet, qu'en rai
ieur (schéma 1). Au contraire, y a-t-il ankylose avec flexion de la cuisse sur le bassin ? la cuisse est légèrement fléchi
ire, y a-t-il ankylose avec flexion de la cuisse sur le bassin ? la cuisse est légèrement fléchie pendant la marche, et l'ax
euse présentée par notre malade. Dans l'ankylose avec flexion de la cuisse sur le bassin, il n'y a pas tendance à la produ
tous les autres faits, mentionnés par cet auteur, la position de la cuisse n'est pas précisée; mais si l'on songe qu'il s'ag
suivante : dans la coxalgie guérie, l'ankylose avec extension de la cuisse entraine une tendance au genu recurvatum du côté
lui, un homme barbu, dont le gros ventre, étalé, retombant sur les cuisses , est la représentation exacte du ventre de batrac
ore armé de béquilles et s'avance sur un seul pied ; sa jambe et sa cuisse gauches repliées en flexion ne peuvent plus s'all
tronc, les parties intermédiaires, avant- bras et bras, ou jambe et cuisse , étant- avortées. Chez les hémimèles, au contra
ez les hémimèles, au contraire, le segment basal du membre, bras ou cuisse , est plus ou moins bien développé, mais les par
entent également une coloration anormale, plus foncée à gauche. Les cuisses , les mollets et les pieds sont parsemés à leur
vient toujours au même endroit un changement dans la coloration des cuisses , phénomène remarqué par le sujet lui-même. On voi
et lui-même. On voit alors apparaître aux faces antéro-internes des cuisses de larges plaques roses à bords déchiquetés, et
llimètres. Avant-bras droit, face antéro-externe : 7 millimètres. Cuisse gauche, face antéro-externe : 12 millimètres. Cui
7 millimètres. Cuisse gauche, face antéro-externe : 12 millimètres. Cuisse droite, face an- téro-externe : 7 millimètres.
du bras ; face externe de la jambe ; dos ; face antéro-externe de la cuisse ; thorax (parties supérieures de la face antéri
pare la crête iliaque du talon 3 têtes 1/4, dont 1 tête 3/4 pour la cuisse et 1 tête 1/2 pour la jambe, la distance qui sépa
xtrémité des doigts atteint-elle le milieu de la face interne de la cuisse . Ces proportions sont tout à fait modifiées chez
aut 2 tê- tes 1/2 au lieu de 3 têtes 1/4, dont partie égale pour la cuisse et la jambe, NOUVELLE Iconographie DE la SALPÜR
ROPOS D'UN CAS D'ACHONDROPLASIE 279 9 au lieu de 1 tète 3/4 pour la cuisse et i tête 1/2 pour la jambe (chiffre normal). L
te que l'extrémité des doigts arrive à peine à la nais- sance de la cuisse , au lieu d'atteindre son milieu (situation normal
omme adulte, l'extrémité du médius atteint le tiers inférieur de la cuisse , ici elle dépasse à peine l'é- pine iliaque ant
is surtout les segments occupés par les os longs, bras, avant-bras, cuisses et jambes; au contraire, les mains et les pieds
ointe de la main de Sicard (Pl. XL, C). ' Au membre inférieur, la cuisse (de l'épine iliaque antéro-supérieure à l'inter
imètres, à la ceinture 74, au niveau du grand trochanter 95, Lourde cuisse à la racine 53, tour du mollet 32. Ces chiffres
ombent dans le rang descendent au niveau du troi- sième tiers de la cuisse , l'extrémité des doigts restant à deux centimètre
, secousses fibrillaires à l'éminence thénar, à la face externe des cuisses . Rien d'anormal à l'examen électrique. Sensibilit
phiques d'aucune espèce de la peau ou des ongles. Les muscles de la cuisse et des jambes ont subi une atropliie extrêmement
ns le sang la filaire de Wucherer, Des piqûres furent répétées à la cuisse et au doigt ; mais dans lotis les examens le ré
nt avait 3 ans -la mère remarqua que le membre inférieur gauche, la cuisse surtout, paraissait plus volumineux que le droi
que des formes avan- tageuses : Vois comme notre Alice a de belles cuisses , avait-elle dit plus d'une fois à son mari Mais
née. La photo- graphie (PI. LXII) représente Alice à cette date. La cuisse du membre affecté mesure circulairement 10 cent
mètres en plus. En haut, l'augmentation de volume ne dépasse pas la cuisse ; elle s'arrête net, en avant, au pli de l'aine,
ième. 11 décembre. - Même état. Légère diminution de l'enflure à la cuisse , le matin, en raison d'un peu d'oedème qui s'ac
arquons d'abord le cantonnement de l'hypertrophie; ses limites à la cuisse semblent dictées d'une façon systématique. Son ar
tement, sans réaction et parait s'accroître encore actuellement. La cuisse , la jambe et le pied sont atteints au même degr
ré et l'affection s'arrête d'une façon très nette aux limites de la cuisse . L'augmentation de volume parait due surtout à l'
considérablement hypertrophiée. Le mollet a 0 m. 428 de tour et la cuisse 0 m. 415. Le membre inférieur sain est d'une ma
. Pendant la convalescence, le mollet a commencé à gonfler, puis la cuisse . La tuméfaction s'est ensuite étendue au pied.
ès, je me mis à la recherche du petit malade. Le mal a empiré. La cuisse mesure maintenant 0 m. 49, au lieu de 0 m.ld, l
arcot). Les jambes sont grosses, oedémaliées, aussi grosses que les cuisses . Le haut du corps, surtout, est atrophié. C'est u
tement abolie. L'anes- tbésie s'arrête à la partie supérieure de la cuisse , vers le tiers supérieur. Cependant, dès qu'on
l'ai dit plus haut, comme l'anestlié- sie, au tiers supérieur de la cuisse . ; Telle est, brièvement relatée, l'observation
contraire une hy- pertrophie énorme des jambes, des pieds et de la cuisse , à consistance dure et tendance très légèrement
t limitée en haut par une ligne circulaire au tiers inférieur de la cuisse (dens notre cas, au OBSERVATION DE TROPHOEDÈME
st plus long que le droit. L'hypertrophie est plus accentuée sur la cuisse que sur la jambe et sur le pied. Autant qu'on p
liqued'ailleurs' qu'à la racine du membre et la circonférence de la cuisse est à gauche de 38 centimètres et à droite de 3
raire, est en retrait, et ce retrait est d'autant plus accusé que les cuisses restent constamment en demi-flexion ; En outr
que les cuisses restent constamment en demi-flexion ; En outre la cuisse gauche est déviée fortement en dedans, tandis que
utre la cuisse gauche est déviée fortement en dedans, tandis que la cuisse droite se dévie un peu en dehors. Inversement la
en demi-flexion, ils descendent jusqu'à l'extrémité inférieure de la cuisse . Tel est le sujet dans la position debout. Lors
complètement ankylosé et sans mouvement possible sur le tronc ; les cuisses sont également tout d'une pièce avec le bassin et
ion, il est vrai, n'est pas complète ; la jambe ne peut faire avec la cuisse un angle maximum de plus de 450 à droite et 160
520 E. AfERT portionné, mais qu'en revanche la jambe et surtout la cuisse sont très diminuées de longueur. La petite tail
ore par un raccourcissement notable de la colonne vertébrale, de la cuisse et de la jambe. Aussi, sur les photogra- phies,
t.Aussi, outre la saignée du bras, dut-on lui ouvrir les veines des cuisses et des genoux, cruritnt quo que et popli- ' tum
16 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
as donnent des résultats identiques à la mensuration, les bras, les cuisses et les jambes également. Le malade est d'ailleu
s cicatrices étoilées, blanchâtres. Sur la peau de- la jambe, de la cuisse et du genou droit des bulles semblables se sont
oncé de contracture des avant-bras sur les bras, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, lequel à son tour
ture des avant-bras sur les bras, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, lequel à son tour se trouve immobi
LA GRAISSE. 33 membre inférieur, la différence est notable entre la cuisse et la jambe, de même qu'entre le haut et le bas
e une accumulation graisseuse à la partie supérieure et externe des cuisses , dont les femmes boschimanes présentent le maxi
Fig. 14. . Amas graisseux de la partie supérieure et externe de la cuisse chez doux sujets européens. DU ROLE DE LA GRAIS
nombre de 300 par minute. Elles se font d'une façon simultanée à la cuisse et au mollet, ou, du moins, le retard qu'elles
ut, soit qu'il fut assis, les jambes fléchies à angle droit sur les cuisses , et la plante des pieds reposant sur le sol.
posant sur une table; au membre inférieur, la face antérieure de la cuisse , un peu au-dessus de la rotule (le malade étant
e postérieure de l'avant- bras, soit sur la région antérieure de la cuisse . Pour évaluer le nombre des oscillations produi
e interfessière et parfaitement visible à distance même lorsque les cuisses sont rappro- chées. Il faut bien convenir que
sur lequel nous reviendrons, elles siègent à la partie interne des cuisses , il est assez difficile, il nous semble, de leu
ulée, une hystérique montrait après ses attaques, notamment sur les cuisses , des taches noires provenant des contusions que
des douleurs névralgil'ormes alternativement dans l'une et l'autre cuisse . De la déformation du tronc résulte un abaissem
i les douleurs en ceinture ont notablement diminué, mais celles des cuisses et des fesses sont très violentes. C'est dans l
t mise à grand'peine debout, à l'aide de ses mains appuyées sur ses cuisses , absolument comme pourrait faire un individu' a
légie. La force est conservée parfai- tement dans les jambes et les cuisses , sauf pour la résistance au mouvement passif d'
ur la résistance au mouvement passif d'extension de la jambe sur la cuisse . Cela provient, non pas d'une faiblesse des flé
ur les autres. Il n'existe pas de points douloureux aux fesses, aux cuisses , ni i au niveau des espaces intercostaux. On en
ERTÉBRALE. 81 en ceinture, sous forme de névralgie le long des deux cuisses et au niveau des fesses. Toute la marche des
l'adduction, le genou est entraîné vers la partie antérieure de la cuisse droite, et le pied prend la direction de l'équi
bras, on trouve 21 et demi du côté droit, 20 et demi à gauche; à la cuisse 40 et demi à droite, 38 et demi à gauche; à la
11 existe une légère hyperesthésie pour la chaleur au niveau de la cuisse gauche. ' L'odorat, normal à l'examen, esl, dit
sont les suivantes : 1° Les avant-bras allongés reposent sur les cuisses par leur bord cubital, les mains à demi fermées
es muscles des jambes, et de l'absence de contraction dans ceux des cuisses . Les réflexes tendineux sont abolis. Sensibilit
l'appui qu'on lui prête. Il y a presque impossibilité de remuer les cuisses et les jambes; pieds tombants. Elle se plaint de
, plier très légèrement les genoux, mais ne pent pas rapprocher ses cuisses du bassin. 146 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
ecommanda- tions de l'accoucheur de Lariboisière en font foi. Les cuisses et les jambes ne présentent rien de particulier à
nférieurs. Elle se tient assez bien sur ses jambes. Les muscles des cuisses sont amaigris et non atrophiés. Contractilité bie
niveau des chevilles. Puis vinrent des crampes dans la jambe et la cuisse , crampes très douloureuses, se répétant trois ou
douleur passait rapide comme l'éclair suivant la partie externe de la cuisse , l'a jambe et s'échappant par le talon ; il épr
est de mieux en mieux perçue; à partir de la moitié supérieure de la cuisse et du bras la douleur qu'elle occasionne est vi
e a été suivie de suppurations, et on voit encore aujourd'hui, à la cuisse gauche, la cicatrice d'un vieil abcès. Depuis l
des trois points suivants : fesse, mollet, partie postérieure de la cuisse . D'abord modérée, elle devient rapidement vive
fesse, point rétro-trochantérien, face postérieure et médiane de la cuisse , creux poplité, point péronier, mollet. Au niveau
localisant en ce point la souffrance. On peut fléchir impunément la cuisse sur le bassin, suivant le procédé de Lasègue, l
rmale. Le membre inférieur du côté malade est légèrement fléchi (la cuisse sur le bassin, la jambe sur la cuisse), dans une
ade est légèrement fléchi (la cuisse sur le bassin, la jambe sur la cuisse ), dans une attitude favorable à la diminution d
Si, par exemple, on dit au malade de fléchir sa jambe droite sur la cuisse , il le fait avec facilité et sans douleur jusqu'à
musculaire est aussi marquée qu'aupara- vant : il y a toujours à la cuisse et à la jambe un centimètre de diffé- rence au
ue nous l'avons déjà dit, que l'extension de la jambe droite sur la cuisse est incomplète et provoque une crise douloureus
, dans la station assise, de l'extension complète de lajambe sur la cuisse . Et cependant, malgré ces stigmates, le malade
eau est absolument identique. A droite comme à gauche, le genou, la cuisse , les organes génitaux externes ont un volume et
S FIGURES Amas graisseux de la partie supérieure et externe de la cuisse , 13,14. Articulation (Tracés représentatifs des
17 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ppées et l'on peut s'en apercevoir très facilement en regardant les cuisses de notre géant qui, au niveau du droit interne,
a former un vide losangique depuis les genoux jusque la racine des cuisses (V. PI. I). Les jambes sont assez bien proporti
hes se rejettent en arrière pour faire con- trepoids au ventre. Les cuisses n'existent guère qu'à l'état rudimentaire, et l
gueur des mains et des pieds respectifs, tandis que les bras et les cuisses sont encore plus réduits, les bras surtout ont,
s leur aspect, presque la moitié de la longueur des avant-bras, les cuisses ayant aproximativement la même longueur que les
utres articulations : du coude et de l'hu- mérus, du genou et de la cuisse ; pour ces articulations, les mouvements sont be
r ni étendre complètement l'avant-bras sur le bras, la jambe sur la cuisse et de même on n'obtient que des mouvements limi
nt que des mouvements limités en voulant lever le bras ou porter la cuisse sur l'abdomen. Les mouvements actifs du sujet son
UN cas d'achondroplasie 37 y compris le pouce, 11 centimètres) ; cuisse 21 centimètres, jambe 21 centi- mètres, pied 20
re, tandis qu'ordinairement ils atteignent le tiers inférieur de la cuisse . Il existe aux membres supérieurs une légère fl
inférieur droit : la longueur totale = 39 cm. 5, la longueur de la cuisse = 17 cm. 5, la longueur de la jambe = 19 centim
semblables, mais moins fortes. Pendant les crises dou- loureuses,la cuisse droite estle siège des douleurs rappelant celles
droit, surtout en ce qui concerne le mou- vement d'extension de la cuisse et de flexion du genou (il est possible que la
e malade se plaint de douleurs le long de la face postérieure de la cuisse et de la jambe droite et d'un engourdissement sur
t qu'il intervient une douleur le long de la face postérieure de la cuisse , de la jambe et du pied; les réflexes du tendon
du pied droit et des douleurs le long de la face postérieure de la cuisse , de la jambe et du pied droit, sont expliqués p
ression pouvait bien naître la douleur de la face postérieure de la cuisse et de la jambe, la pareslhé- sie du bord extern
s'irradiant vers la fesse gauche et vers la face anté- rieure de la cuisse . Depuis deux mois ces douleurs se sont propagées
e droite. Ce n'est que depuis quelques jours que les douleurs de la cuisse droite réapparurent et en plus des douleurs du
articulation de la hanche et du genou est lente et in- complète. La cuisse ne peut surmonter aucune résistance dans le mouve
aucune résistance dans le mouvement d'élévation. L'extension de la cuisse est assez bonne. L'adduction est plus faible, l
ymptômes débutèrent par la région sacrée et la face antérieure delà cuisse droite. (Quant aux douleurs du ventre qui ap- p
li de l'aine gauche, de la fesse gauche, à la face antérieure de la cuisse gauche, finalement à la face antérieure de la j
uleurs du côté droit sont de nouveau réappa- rues : au sacrum, à la cuisse etau genou. Le malade commença à maigrir. Les m
inférieur gauche, vers le genou, le long de la face postérieure de la cuisse . La douleur a atteint le maximum d'intensité da
s la région de la fesse gauche et sur la face postéro-interne de la cuisse gauche. Depuis 4 jours, les douleurs ont envahi
ndu sur le membre droit de telle façon que le tiers inférieur de la cuisse et la creux poplité reposent sur le dos du pied
loin apparaît douleur et résistance). Les muscles adducteurs de la cuisse résistent de même. Le pied et les orteils conserv
bassin, il se fait une distension des Ij muscles postérieurs de la cuisse et au moment où le tronc s'approche de ¡ la lig
emps, une suffisante distension des fléchisseurs de la jambe sur la cuisse ; et dans un second temps une contraction normale
distension on voit sur les bords inférieurs et pos- térieurs de la cuisse les tendons des semitendineux, semimembraneux et
ension ultérieure. Si on dépasse 70 degrés, la jambe fléchit sur la cuisse . ' Du côté malade, au contraire, la jambe fléch
., XII. (4) BARTHÉLÉMY l'anglais dit que la partie inférieure de la cuisse de cet oiseau « vault contre la chaleur des yeu
ieures. Ici l'atrophie musculaire commence au tiers infé- rieur des cuisses et il s'agit d'une véritable atrophie en jarretiè
ses aux extrémités inférieures sont très prononcées. La flexion des cuisses sur le bassin est normale, l'extension est affaib
uction. Les mouvements de flexion et d'extension de la jambe sur la cuisse sont très peu valides. Les réflexes rotuliens s
érosité du tibia on observe un mouvement brusque d'adduction de la, cuisse ; de même il existe un réflexe con : ro-latéral
rotulien d'un côté, l'on provoque un mouvement d'adduction dans la cuisse du côté opposé. Le réflexe achilléen est abol
ent abolie sur les nerfs et sur les mus- cles. Dans la région des cuisses , sur le droit interne et le droit externe, on not
ès 'inexcitable. Sur les autres muscles de la région supérieure des cuisses , 'il existe une diminution globale de l'excitabil
oureusement limitée aux pieds, aux jambes et au tiers inférieur des cuisses . Il s'agit donc d'une véritable atrophie en jar
FAMILIALE 115 vements de flexion et d'extension des jambes sur les cuisses sont encore pos- sibles. Les réflexes rotulie
forts courants dont nous disposons (30 m A.). Dans la région des cuisses ,on peut relever les mêmes altérations des contrac
ne s'arrête pas aux jambes, mais elle remonte plus haut, jusqu'aux cuisses , et ici encore il s'agit d'une véritable atrophie
u-dessus de la rotule. La flexion et l'extension de la jambe sur la cuisse se font assez bien, la flexion des cuisses sur
ension de la jambe sur la cuisse se font assez bien, la flexion des cuisses sur le bassin est normale, l'extension est affaib
e un peu au-dessous de la normale sur les muscles des fesses et des cuisses , exception faite pour le quadriceps antérieur qui
rme d'amyotrophie en manchette à l'avant-bras et en jarretière à la cuisse . Aux jambes les troubles trophiques sont plus a
ceps fémoral on provo- quait un mouvement brusque d'adduction de la cuisse du même côté. Eu résumé nous pouvons retenir qu
mouvements (la mieux conservée est l'extension et l'adduction de la cuisse , tandis que son abduction est abolie). La flexion
e aux mem- bres inférieurs qu'un mouvement d'adduction minime de la cuisse gauche, de rotation de la cuisse droite, d'exte
mouvement d'adduction minime de la cuisse gauche, de rotation de la cuisse droite, d'extension des genoux et des mouvements
embres inférieurs : à gauche abduc- tion et adduction minimes de la cuisse , abaissement du membre, mouve- ments minimes da
r de la queue de cheval pénétrait dans les muscles lombaires et de la cuisse ), ne peuvent être considérés que comme des exce
e supérieure du dos, la teinte marbrée de la peau des bras, jambes, cuisses elle cyanose des mains et des pieds. La plus légè
se produisent d'autres contractions musculaires qui fléchissent la cuisse , et parfois agitent tout le membre d'un trembleme
plus contrebalancé-(signe de Babinski de la-flexion combinée de la cuisse et du tronc). L'hystérique ignorant ce point de
pour offrir un point d'appui solide aux muscles fléchisseurs de la cuisse , immobiliser le bassin. Cette immo- bilisation
présentait entre autres le trouble suivant : pendant la marche, la cuisse gauche était immobilisée en flexion sur le bas-
anciens coxalgiques ankylosés en flexion ; dès qu'il s'arrêtait, la cuisse se remettait en posilion normale, en extension
res. De même le raccourcissement est du type rhizo- mélique, car la cuisse particulièrement est raccourcie. Elles sont très
es ; ce raccourcissement est fait particulièrement aux dépens de la cuisse . Les muscles sont développés et je dirai presque
rment. Membre inférieur droit. Trophie normale. Circonférence de la cuisse , à 24 centimètres de l'épine iliaque antérieure
ée. Membre inférieur gauche. - Trophie normale. Circonférence de la cuisse et de la jambe comme à droite. Les mouvements a
eure de l'abdomen, la face antérieure de la XXIII 21 314 FLATAU cuisse et de la jambe (on ne peut pas l'affirmer pour la
end pas compte non plus des mouvements des pieds, des genoux et des cuisses . Les vertèbres sont douloureuses il la pression.
du côté droit, mais surtout dans les muscles ad et abducteurs de la cuisse et extenseurs du genou gauche. Troubles sensitifs
tacle pourtant rend ces mouvements impossibles. L'ab- duction de la cuisse droite ne s'effectue pas du tout, l'abduction est
us les doigts en masse, ni ceux de l'articulation du genou et de la cuisse . Les troubles sensitifs atteignent en avant t j
, le toucher et l'excitation thermique sur la face antérieure de la cuisse droite et la moitié droite de l'abdomen). En avan
n ce qui concerne les mouvements des genoux ; aux articulations des cuisses les mouvements sont bien perçus. Escarre au déb
douleurs dans tous les orteils droits, sensation de brûlure dans la cuisse droite. Des paresthésies moins prononcées dans
sies douloureuses dans la moitié gauche de l'abdomen, dans les deux cuisses , douleur au sacrum et dans le côté gauche. Consti
t et l'engourdissement dans les orteils droits, de brûlures dans la cuisse droite. Dans la jambe gauche les paresthésies n'a
marquer des rétractions volonlaires des muscles abdo- minaux, de la cuisse , etc.). On a suggéré dans l'hypnose des états émo
bas, s'étend à la partie inférieure de la face posté- rieure de la cuisse gauche, partant de la région interne sous forme d
rtie inférieure du creux poplité, du nerf cutané posté- rieur de la cuisse , branche terminale de ce même petit sciatique ou
e la tonicité musculaire. (Les mouvements de complète flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, et d'by
de complète flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse , et d'byperextension des pieds sont possibles a
érieurs paraissent longs ; les épiphyses sont un peu grosses. Les cuisses sont grêles, avec une légère convexité antérieure
visible et palpable des diaphyses. La malade immobilise ses deux cuisses en demi-flexion, mais l'extension progressive,
ive, spontanée ou provoquée, est possible. A gauche cependant où la cuisse est non seulement en flexion mais encore en légèr
aux mouvements actifs, il réussit à exécuter la Oexion initiale de la cuisse sur le bassin, et de la jambe sur la cuisse. On
a Oexion initiale de la cuisse sur le bassin, et de la jambe sur la cuisse . On ne peut fournir d'indications précises sur
ue normale : l'extrémité de la main arrive au tiers supérieur de la cuisse ; de même le déve- loppement respectif du bras
un médecin. Holbein lui-même auraitsou- vent placé deux os dans la cuisse , et un seul dans la jambe. Au milieu du XIXe si
18 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
t que la jambe était disposée de façon à faire un angle obtus avec la cuisse . Cette luxation avait pour conséquence d'applique
s se montraient par crises, traversaient les genoux, les jambes ouïes cuisses « comme des éclairs. » D'un autre côté, elle ress
, apparaissant par crises, occu-pant tantôt toute la jambe, tantôt la cuisse , et persistant, pendant quarante-huit heures, ave
s bles-sés, l'un avait reçu un éclat d'obus qui avait pénétré dans la cuisse , et qu'il a fallu extraire. Chez le second, une b
u extraire. Chez le second, une balle avait également pénéiré dans la cuisse à une grande profondeur; le troisième avait reçu
ique, 1810, pages 184, 210 et 238. rois atteint d'une blessure à la cuisse sans phénomènes extrêmement graves en apparence.
laie du pied droit : amputation du pied.— Plaie contuse étendue de la cuisse gauche. — Tétanos onze jours après le traumatisme
é le 1er décembre par des éclats d'obus : 1 ' au pied droit ; 2° à la cuisse gauche. Les accidents du côté du pied ont nécessi
près de Sedan, se mani-festa chez un blessé qui avait une plaie de la cuisse par éclat d'obus : pris de convulsions tétaniques
En présence de désordres aussi graves, l'amputation immédiate de la cuisse était indiquée, mais l'extrême gravité de cette o
une plaie du genou par écrasement, ayant nécessité l'amputation de la cuisse , fut pris de tétanos et mourut au bout de six jou
sé le 1er décembre 1870, par des éclats d'obus, au pied droit et à la cuisse gauche. L'amputation du pied fut pratiquée le 2 d
tôt des troubles généraux que locaux. Jobert fait l'am-putation de la cuisse . — Un garçon de 19 ans tombe sur l'épaule gauche.
, car le gonflement avait envahi à la fois la moitié inférieure de la cuisse et le tiers supérieur de la jambe. (Ibid,, p. 165
: les plaques syphilitiques, localisées sur la par-lie antérieure des cuisses , avaient un diamètre très-varié, comme 5e année
après l'événement, on put constater une augmentation de volume de la cuisse gauche ; il y avait en même temps, dans Varticula
ux membres inférieurs : A UAULUt.. A IH'.Ulir Circonférence de la cuisse (tiers inférieur). 55 cent. 58,5 cent. — delà j
c assez de ra-pidité. — Vésicatoires aux mollets ; sinapismes sur les cuisses . 8 heures. P. 144 ; T. Y. 40°. Huit attaques de
. 82,5 cent. — du pied......... 23,5 — 24,5 — Circonférence de la cuisse (partie moyenne)............ 39 — 41,5 — Circ
X). Les pieds sont assez gros; leur pointe se dirige en dedans. — Les cuisses mesurent 25 centimètres de lon-gueur; les jambes,
s fesses, volumineuses, pendantes, cachent à peu près tout à fait les cuisses ; 2° que le bassin a encore une assez grande larg
tion normale ; il a 57 centimètres 1 /2 de lon-gueur, sur lesquels la cuisse en compte 16. L'articulation du pied présente cep
sexuelles, la verge, le scrotum, la partie su-périeure et interné des cuisses , sont recouvertes de squames d'un gris plus jaunâ
. — Vulvite consécutive. — Érysipèle de la face, puis des fesses, des cuisses , etc. — Marche de la température. — Gaérison des
mai. — P. 80; T. V. 57 ',5. Plusieurs plaques érysipélateuses sur la cuisse gauche. Etat général satisfaisant. —Soir : P. 80
. V. 37°,9. Nouvelles plaques érysipélateuses à la face interne de la cuisse gauche. —Soir : P. 90 ; T. Y. 38°. 8 mai. — P.
arité de sa marche, sa récidive à la face, son apparition tardive aux cuisses et aux fesses, c'est-à-dire dans le voisinage de
ses parties sont, pour ainsi dire, dans une attitude forcée. Ainsi la cuisse est fortement étendue sur le bassin, la jambe sur
Ainsi la cuisse est fortement étendue sur le bassin, la jambe sur la cuisse . Le pied offre la déformation de requin varus le
requin varus le plus prononcé. En outre, les muscles adducteurs de la cuisse sont, eux aussi, fortement contractures. En somme
tracture hystérique. Dans ce dernier cas, la flexion permanente de la cuisse et de la jambe, si j'en juge d'après mes observat
fiée pendant le sommeil chloroformique, les muscles des jambes et des cuisses sont notablement atrophiés, la contractilité 1
aviculaire. . — axillairc..... Sein.......... Bras..........• Cuisse .......... HOMMES 56 1 1 11 2 1 0 0 0 1
e la région fessière ; 2° vers le quart supérieur et postérieur de la cuisse ; 3° et 4° au niveau des condyles du fémur ; 5° e
biceps crural ; un autre vers le milieu de la face postérieure de la cuisse ; un à la partie supérieure du creux poplité; troi
a fesse; 2° vers l'union du tiers supérieur avec le tiers moyen de la cuisse ; 5° au niveau de la partie centrale du mollet.
ontméja La Planche XXXI représente une tumeur fibro-plastique de la cuisse dont nous avons pris la photographie dans le serv
e même pour les membres inférieurs, le pied, la jambe, le genou et la cuisse , mais à un moindre degré, sont plus froids du c
e la présence d'une petite tumeur à la partie antéro-supérieure de la cuisse droite, il se décida à entrer à l'hôpital de la P
n admission dans le service, M. Trélat en-leva la petite tumeur de la cuisse droite afin de connaître bistolo-giquement sa com
se plaint de douleurs siégeant à la partie moyenne et externe de la cuisse gauche. Le ventre mesure lm,12 ; on voit donc que
°,6 et 38°,6; le pouls entre 96 et 112. 17 nov. L'œdème a envahi la cuisse , les bourses et la verge. Le ventre égale lra,16.
19 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l cherche en particulier à se coucher sur le ventre et à étendre la cuisse gauche sur le bassin, il ressent des douleurs. Le
ouve aussi lorsqu'on cherche à étendre complètement la jambe sur la cuisse On réveille les douleurs en comprimant certains
e, la région de l'échancrure sciatique, la partie postérieure de la cuisse le long du sciatique, la partie externe du creu
douleurs. La flexion, l'abduction, l'adduction et la rotation de la cuisse sur le bassin peuvent être elfectués sans souff
particulière : le tronc est incliné à droite du côté opposé à la cuisse où siège la douleur, de telle façon que le corps
e davantage à droite. La jambe droite est légèrement fléchie sur la cuisse . Cette déformation du tronc ne peut être mo- di
érale du tronc persiste quand le malade est couché sur le dos et la cuisse gauche est fléchie sur le bassin ; il est impos
rs, que la flexion, l'abduction, l'adduction et la ro- tation de la cuisse sur le bassin peuvent être effectuées sans souf
e, la région de l'échancrure sciatique, la partie postérieure de la cuisse le long du sciatique, la partie externe du creu
mais encore tout autour de la hanche, à la partie postérieure de la cuisse et dans le jarret; il est alors obligé de se couc
partie antéro-intcrne de la jambe et la partie posté- rieure de la cuisse . U applique alors deux vésicatoires, puis trois
rangées de pointes de feu le long de la partie postérieure de la cuisse , puis quatre nouveaux vésicatoires en divers poin
douleur se fait sentir à la fesse, à la partie pos- térieure de la cuisse jusque dans le creux poplité, le long de la par
de ne peut se coucher sur le ventre, et quand il est sur le dos, la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin et la jamb
, la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin et la jambe sur la cuisse . La déformation que nous venons d'indiquer a co
u atrophiés. L'amyotrophie est surtout accentuée à la fesse et à la cuisse . Voici les résultais de la mensuration : -. DE
cou-de-pied et du genou droits, sauf l'extension de la jambe sur la cuisse , qui fait souffrir la malade, n'exaspèrent que
est de même de la flexion, de l'extension et de l'adduction de la cuisse droite; l'abduction de la cuisse est un peu doulo
'extension et de l'adduction de la cuisse droite; l'abduction de la cuisse est un peu douloureuse; mais ce mouvement peut
I (sciatique gauche) la jambe droite est légèrement fléchie sur la cuisse , et la plante des pieds porte à terre de deux c
L'hypéresthésie, quoique moindre, est également perceptible sur les cuisses , mais non sur la tête et les bras. Lorsqu'on
e-- mouvements variés avec les pieds, il allongeait et ramenait ses cuisses ensemble et isolément, il les levait toutes deu
était complètement courbé, si bien que la partie postérieure de la cuisse touchait le mollet. Quand, dans cette phase, le
r. Etat actuel. - Les réflexes palellaires sont très exagérés; la cuisse se soulève, et il va une secousse générale de tou
s yeux. Ces saccades consistent dans des flexions du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les jambes assez analogues à
cades consistent dans des flexions du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les jambes assez analogues à ce que l'on vo
yser voici ce.qu'on observe : au moment où la malade se baisse, les cuisses se fléchissent sur les jambes, et le tronc se f
oici ce qu'on observe : au moment où la gêne ap- pâtait on voit une cuisse fléchir sur la jambe, et le bassin sur la cuiss
pâtait on voit une cuisse fléchir sur la jambe, et le bassin sur la cuisse , en même temps le talon se soulève une ou plusieu
des oscillations, et aussi des flexions brusques du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les jambes. Pendant la march
ns, et aussi des flexions brusques du bassin sur les cuisses et des cuisses sur les jambes. Pendant la marche ces mouvement
on des côtes sur la crête iliaque ; puis dans les mus- cles de la cuisse , sur le côté gauche de la nuque, à l'avant-bras
moins élevé et descendit le long des faces internes et externes des cuisses , où du reste elle était très peu accusée. On n'
AIRE. 'lï8 de l'épaule, d'une constriction pénible éprouvée dans la cuisse droite et des paresthésies antérieures. Les tro
pendant la marche en restant semblables; il y a même flexion de la cuisse sur la jambe et du tronc en avant, suivis de re
que la malade, est au lit, elle peut bien étendre la jambe sur la cuisse , et elle résiste assez énergiquement lorsqu'on
e début, six sangsues aux apophyses mastoïdes, des sina- pismes aux cuisses ; dans la journée, il a pris 30 grammes d'eau-
s épingles dans les jambes et ->7-7 REVUE CRITIQUE. dans les cuisses , sans qu'elle se montrât sensible par le moindre
Keser sur Chaufat (Semaine méd.). « L'application d'un aimant à la cuisse droite, dit-il, abolit la sensibilité dans tout
sa chambre et on constata que le chien avait dévoré la moitié d'une cuisse de son maître défunt (Le Temps, 29 décembre 188
re et du bassin. a J'avais, dit-il, le bas du ventre et le haut des cuisses oorume serrés dans un filet à mailles étroites.
Il me semble, dit le malade, qu'on m'arrache tout à coup l'os de la cuisse et qu'aussitôt après on le remet en place avec
lacé dans le jarret marque, quand le malade fléchit la jambe sur la cuisse , 19 kilos du côté droit et 24 kilos du côté gau
et éclatant tout à coup « comme des fusées » dans les jambes et les cuisses . Dans leurs intervalles, il y a souvent des cra
es pre- mières douleurs fulgurantes, se manifestant surtout dans la cuisse droite; depuis ce temps, ces crises douloureuse
ut sont assez larges, à la face externe et au quart supérieur de la cuisse droite. Le tissu cicatriciel est ferme, assez d
taté un tremblement des muscles bien visible, surtout dans ceux des cuisses . Le trem- blement augmentant, l'animal ne pouva
ant au tremblement, il persistait encore avec prédominance dans les cuisses . Durant la troisième expérience, le tremblement
Le tremblement s'est propagé aux oreilles, lesquelles, après les cuisses , tremblent le plus. Sixième expérience. La dila
t. Puis viennent les tremblements des muscles et surtout ceux des cuisses et des oreilles. Chaque expérience durait quatr
tent debout, ce qui exige une violente contraction des muscles, les cuisses se rapprochent, les genoux sont en contact, les
rtées. Dans la marche les membres inférieurs sont demi-fléchis, les cuisses toujours rap- prochées ainsi que le genou et l'
sens musculaire. Atrophie de la jambe gauche dans les régions de la cuisse et du mollet; atrophie moindre à droite. iné- g
xcitabilité mécanique des extenseurs des doigts et des vastes de la cuisse . Réaction dégénérative du terri- toire du radia
re,dans les muscles des membres intérieurs et dans les vastes de la cuisse . Intégrité du facial à tous égards. Légers oedè
20 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
z qu'elle oppose une certaine force à la flexion de la jambe sur la cuisse , qu'elle relève bien la pointe de ses pieds et qu
type classique). Remarquez encore l'hypotonicité très marquée de la cuisse et de la jambe. Notez enfin que ni les masses m
coordination. Essaye-t-elle de fléchir ou d'étendre la jambe sur la cuisse ? Ces mouve- ments se font mal, la jambe étant
de grosses phlyctènes qui se sont produites à la face externe de la cuisse et aux malléoles gauches par le contact de sacs
pas a droite. La fesse gauche et la partie supérieure interne de la cuisse gauche ne sentent ni le froid, ni le chaud. 2
n du froid qu'elle avait gardée précédemment. La face interne de la cuisse garde longtemps une sensation de pression, comm
lui cité par Charcot (3). Il s'agit d'un homme de 40 ans,amputé de cuisse , chez lequel « le membre inférieur du côté oppo
- libre, et il tombe. 3° Couché, pour se mettre sur le séant, les cuisses fléchissent et les talons s'élèvent. Il a perdu
sur le sol. 4° Assis, pour toucher un objet du pied, la jambe et la cuisse se détendent en deux temps. - Ce dernier sign
ions du corps sont antéro-postérieures, dans la station assise, les cuisses relevées, les pieds reposant par le talon sur l
une exagération de la lordose lombaire, mais par l'extension de la cuisse sur le bassin. Cette attitude est maintenue par l
le bassin n'est pas porté en arrière et c'est par l'extension de la cuisse que se rétablit l'équilibre. Entraîné par le sacr
mation. Les trochanters sont en effet très saillants en dehors ; la cuisse à sa partie supérieure présente une largeur exa
ent entre eux un espace ovalaire allant de la partie supérieure des cuisses anormalement écartées aux malléoles internes. C
p plus considérable de la déformation, compensée par la flexion des cuisses sur le bassin et même dans les formes les plus
dans les formes les plus accusées par la flexion des jambes sur les cuisses , l'an- kylose faible n'existant guère qne dans
écartées, à pas inégaux, avec une flexion exagérée de la jambe sur la cuisse , dénotant une certaine asynergie delà marche ;
l'extension avec abduction des or- teils, la flexion combinée de la cuisse et du bassin, le signe du peaucier. Le foie et
laquelle de la pointe du pied lui montait jusqu'à la moi- tié de la cuisse . J'ai fait mes photographies (PI. XXVIII) et j'
t à aller mieux, quand il ressentit une douleur dans la fesse et la cuisse droites se prolongeant jusqu'au creux poplité.
alors des élancements qui partent de la fesse et descendent vers la cuisse . Entre les accès, le malade accuse une sensatio
x dans les muscles de la jambe et du pied, rarement dans ceux de la cuisse . Le réflexe patellaire droit est un peu plus vif
ement et prend dans son lit l'attitude dite en chien de fusil ; les cuisses sont fléchies sur le corps et les jambes fléchi
s cuisses sont fléchies sur le corps et les jambes fléchies sur les cuisses . Il est impossible d'étendre les jambes. Les or
mais en même temps on constatait une contracture des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin qui obligeait le mal
mps on constatait une contracture des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin qui obligeait le malade à prendre l
après, il prit dans son lit l'attitude dite en chien de fusil. Les cuisses sont fléchies sur le tronc et les jambes sur les
fusil. Les cuisses sont fléchies sur le tronc et les jambes sur les cuisses , l'extension est impossible. 226 VIGOUROUX E
la contracture très prononcée. La jambe est dans l'extension sur la cuisse , le pied dans l'extension forcée forme un pied-
e se coucher par terre, elle esquisse la flexion des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, puis s'effondre et
r terre, elle esquisse la flexion des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bassin, puis s'effondre et s'allonge d'un
une disposition nettement segmentaire : une main, un avant-bras, la cuisse ... (Cassirer). Les oedèmes ne donnent aucune sens
s, mais plus marqué à droite, le mouvement combiné de flexion de la cuisse et du bassin à droite, une parésie de la corde
ait plutôt d'un affaiblis- sement des extenseurs du bassin et de la cuisse . A cause de cet affaiblis- sement, le bassin s'
sé cette lordose du nom de lordose paralytique des extenseurs de la cuisse sur le bassin, et si l'on considère à nouveau les
ieure- ment àsa surface squelettique; les muscles postérieurs de la cuisse sont atro- phiés complètement, d'où l'inclinais
- phiés complètement, d'où l'inclinaison du bassin en avant sur les cuisses ; les réactions électriques des muscles des gou
is que celles des muscles du bassin et de la face postérieure de la cuisse sont disparues complètement ; les muscles de la
notre cas, est produite par l'atrophie des muscles extenseurs de la cuisse sur le bassin et vice-versa, par l'atrophie (1)
Nous trouvons le même état d'atrophie musculaire aux muscles de la cuisse , les fléchisseurs et les extenseurs sont très a
ne, il droite et à gauche de 18 centimètres. La circonférence de la cuisse au milieu est de 27 centimètres à droite et de
d'adduction et d'abduction sont bien conservés. Le malade relève la cuisse sur le bassin, dépassant la position verticale.
douleurs, il avait l'habitude de tenir les jambes fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le bassin, ne pouvant les éten
vait l'habitude de tenir les jambes fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le bassin, ne pouvant les étendre à cause de
ieurs la motilité est de même très réduite, le malade peut fléchir la cuisse sur le bassin et même l'appliquer sur l'abdomen
s il ne peut l'écarter. Le mouvement d'extension de la jambe sur la cuisse ne se fait plus, il existe seu- lement un très
t faire quelques légers mou- vements d'adduction et d'abduction des cuisses . Les mouvements actifs dans l'articulation tibi
lement une nuance quand on s'oppose à la flexion de la jambe sur la cuisse . La sensibilité générale, superficielle (tactil
a plante des pieds, on voit seulement un mouvement de flexion de la cuisse sur le bassin. La malade a les organes génitaux
re- couvert de poils abondants, la jambe sur toute sa surface et la cuisse sur la face postérieure sont recouvertes de poi
volume ou de longueur entre eux. Aucune atrophie muscu- laire à la cuisse , ni à la jambe. Les mouvements provoqués sont nor
s, les doigts, au lieu d'atteindre et de dépasser le mi- lieu de la cuisse , n'arrivent qu'au trochauter ou même la la crête
ique) que sur le suivant. Il est plus accusé, relativement, pour la cuisse et le bras, que pour la jambe et l'avant-bras, et
ambe et l'avant-bras, et n'intéresse que peu le pied et la main. La cuisse et le bras; normalement plus 488 PORAK ET DURAN
9 centimètres correspon- dait à un diamètre de 5 1/2 cent. pour la cuisse et de 3 1/2 pour la jambe. Dans une autre obser
ntimètres et son diamètre transversal 1,7 cent. ; la longueur de la cuisse ainsi que celle de la jambe : 2,6 cent. et leur
inuité des segments, transformant ainsi les bras, les jam- bes, les cuisses en petits cylindres courts superposés et compléta
souvent des déviations, des déformations plus ou moins marquées. La cuisse est généralement écartée avec concavité interne
alors que normalement la main devrait arriver au tiers moyen de la cuisse . Les membres inférieurs, épais, courts, aux mus
entué par le déve- loppement des muscles de la région externe de la cuisse et de la jambe qui exagère la convexité externe
ffecte souvent le type rhizomélique (P. Marie), c'est-à-dire que la cuisse et le bras, normalement plus longs que la jambe
iculaire, ce qui explique peut-être pourquoi la jambe forme avec la cuisse un angle ouvert en dedans. Fig. 4. f''oe<MS
phantiasiques. En remuant les bras, les avant-bras, les jambes et les cuisses , on reconnaissait manifestement qu'ils étaient
inime. La face dorsale de la main est arrondie. Sur l'abdomen et la cuisse droite on voit les cicatri- ces d'une brûlure.
e des membres sont plus courts que les mésoméliques (le bras. et la cuisse sont plus courts que l'avant-bras et la jambe).Da
aruette le bras = 12 centimètres, l'avant-bras = 15 centimètres, la cuisse = 21 centimètres, la jambe = 23 centimètres.Dans
le trouve que le bras = 13 centimètres,l'avant-bras =17 cent. 7, la cuisse = 23 centimètres, la jambe = 24 centimètres. Chez
laudius le bras = 11 centimètres, l'avant-bras = 15 centimètres, la cuisse = 1S centimètres, la jambe = 22 cent. 2. Dide et
e de connaître les mesures exactes, mais d'après la photographie la cuisse semble être plus courte que la jambe. Dans d'au
Parrot le bras = 15 centimètres, l'avant-bras = 14 centimètres ; la cuisse 22 centimètres, la jambe = 19 centimètres. Dans
imètres,Pavanl-bras = 14 centimètres. Il semble que dans ce cas, la cuisse est elle aussi plus longue que la jambe. Dans c
si chez le malade de Ces- tan,le bras = 13, l'avant-bras = 22, mais cuisse et la jambe sont éga- les. Dans le cas de Villa
inférieures : le bras = 11 cent. 1, l'avant-bras = Il cent. 1 ; la cuisse = 14 centimètres, la jambe = 15 centimètres. Il
suivantes le bras = 16 cent. 5 ; l'avant-bras = 16 centimètres ; la cuisse = 18. cent. 5, la jambe = 17 centimètres. La
siques est due à leur dégraissage incomplet. Fio. 7. Les os de la cuisse et de la jambe du même malade comparés à ceux d'u
l'interprétation des altérations présentées dans le bassin, dans la cuisse et dans la jambe. Nous avons déjà vu qu'on ne p
ent de la po- lydactylie et de la syndactylie. Seulement l'os de la cuisse faisait une saillie sous la peau qui rendait pr
sé indemnes les bras et les avant-bras tandis que les jambes et les cuisses sont si profondément lésées ? L'embryologie nous
re se rencontrent à la face antérieure et à la face postérieure des cuisses et sur les fesses. La palpation des os au nivea
t considérablement les mouvements d'abduc- tion et de flexion de la cuisse . Il attribue le développement particulièrement
inférieur droit, la jambe gauche est toujours à demi-fléchie sur la cuisse . En se reportant aux images radiographiques, ob
r. Le squelette de la jambe n'est pas moins modifié que celui de la cuisse . La longueur du tibia est de 27 centimètres, ce
la direction dans laquelle il avance (embarras aux mouvements de la cuisse , oedème, etc.). » Dans notre cas, le volume, la
veille pas de douleur par la percussion. Dans la station debout les cuisses sont un peu fléchies sur le bassin et les genou
21 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
sque- lette est malade, frappée au niveau des os de la jambe, de la cuisse , de la rotule, du bassin, et des mains ; la col
liquée sur la jambe gauche, saine, a une sensation de frais; sur la cuisse droite (malade) une sensation de tiède, et une
its que les altérations « pagétiques » sont marquées (PI. IV). La cuisse décrit une courbe à grand rayon à convexité antér
auche on ne relève aucune déformation fémorale. Les muscles de la cuisse sont manifestement plus atrophiés à droite qu'à
u niveau du quadriceps que des muscles de la loge postérieure de la cuisse . , Enfin, la chaleur locale est manifestement p
fémur gauche. Les mensurations comparées de la circonférence des cuisses droite et gau- che donnent les chiffres suivant
uvoir l'avant- bras et même les doigts ; elle peut aussi fléchir sa cuisse gauche, sa jambe,son pied, leur donner des mouv
resque normal (90). SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE 139 Les cuisses sont courtes, épaisses, un peu arquées en avant,
aussi aux articulations iléo-fémurales. Les muscles des fesses, des cuisses et des jambes sont extrêmement dévelop- pés, fo
s douleurs débutant à la plante du pied, et gagnant le mollet et la cuisse .- La névrose d'occupation des danseuses se cara
e (Remak). Eulenburg (54) a constaté une crampe du quadriceps de la cuisse chez un fabricant d'argenterie qui mettait une
ent.Stürtz (142) a vu une contraction des muscles postérieurs de la cuisse chez un tanneur et un perceur ; Edel (49) annot
(49) annoté la crampe des muscles antérieurs et posté- rieurs de la cuisse chez un tisserand qui actionnait son métier avec
nt et s'occuper à des travaux manuels. L'atrophie des muscles de la cuisse n'est pas extrême- ment marquée, et l'on peut o
tion en taille de guêpe. L'atrophie est extrêmement marquée pour la cuisse . Les réflexes rotuliens ne peuvent être obtenus
eurs et des mains lui permet encore de faire de petits travaux. Les cuisses , les quadriceps, sont très atrophiés, le réflex
sont pris également, mais de façon moins marquée que les bras. Les cuisses sont très atrophiées, surtout la gauche, dont le
onpoint survenu depuis deux ans masque l'atrophie mus- culaire. Les cuisses sont beaucoup plus atteintes que les bras ; le ma
bres inférieurs sont ankylosés en flexion, la jambe formant avec la cuisse un angle de 90°. L'atrophie est surtout marquée p
c la cuisse un angle de 90°. L'atrophie est surtout marquée pour la cuisse et le quadriceps. La face est prise, ainsi que
e rétractions avec ankylose du genou, et flexion de la jambe sur la cuisse . Le faciès ne présente pas d'altérations. Les mem
t de la racine du membre ; l'enfant ne peut étendre la jambe sur la cuisse et l'angle formé par les deux segments de membr
'angle formé par les deux segments de membre est au plus de 45°. La cuisse est assez mobile sur le bassin, mais ne peut êt
. Les membres inférieurs présentent un contraste frappant entre les cuisses amaigries et les mollets hypertrophiés et saill
Station assise. Pour s'asseoir, il se fléchit à angle droit sur ses cuisses et ses jambes où ses mains prennent point d'app
al. Les organes génitaux externes sont conformés normalement. Les cuisses sont hypertrophiées à leur partie antérieure et p
eux membres inférieurs sont à peu près dans la même situation ; les cuisses sont en demi-flexion sur le bassin, flexion iden-
action du tendon d'Achille, tendu et saillant. Les mouvements de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse ont pr
lant. Les mouvements de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse ont presque totalement disparu, ils se réduisen
la partie interne du triceps, à la partie tout inféro-externe de la cuisse . Les régions musculaires frappées ont une consi
ypertrophie et l'atrophie réparties inégalement dans la jambe et la cuisse , les troubles trophiques des extrémités, le pied-
appelle la forme d'une ellipse. Par leur incurvation antérieure les cuisses et les jambes sont courbées en avant. Cette déf
t considérablement atrophiée. La malade est étendue sur le dos, les cuisses en légère flexion d'abduction sur le bassin, le
ion d'abduction sur le bassin, les jambes en légère flexion sur les cuisses , les pieds en supination reposent sur leur bord
les lésions du nerf sciatique au niveau de la partie moyenne de la cuisse . La figure II montre au lecteur l'aspect de ce
complète ; elle est plus développée dans la région des hanches et des cuisses . \ Les muscles abdominaux sont flasques et évid
sans s'aider des bras ; il faut remarquer que les fléchisseurs des cuisses sur le bassin sont aussi parétiques. Le 19 mars
t assez améliorée, mais la parésie des mouvements des genoux et des cuisses sur le bassin est encore très considérable. A l
persisté à peu près une semaine ; puis sont venues des douleurs des cuisses et c'est seulement alors que ie malade s'est al
uin 1907, je ne peux trouver aucun autre symptôme que celui-ci : la cuisse droite est moins large que la gauche. Il n'y a
epen- dant, elle opère l'extension du genou droit, la flexion de la cuisse droite sur le bassin et la flexion dorsale du p
s vers les extrémités des membres : par exemple, les mouvements des cuisses sur le bassin sont plus affaiblis que ceux des
le appareil mécanique). Ces douleurs, provoquées par la flexion des cuisses sur le bassin, sont probablement, selon nous, u
ison des douleurs provoquées) de faire faire la flexion normale des cuisses sur le bassin (quand les genoux sont extendus),
jouent, dans le passage à la position assise, les fléchisseurs des cuisses sur le bassin. Comme on le voit, ce sont là les
revenue qu'à un degré presque infime. Couché, il ne peut fléchir la cuisse sur le bassin. Le malade peut maintenant se t
en comparaison avec le tronc ; il n'y a pas disproportion entre la cuisse et la jambe qui sont toutes les deux très lon-
s de la sensibilité sous forme de cuisson sur la face interne de la cuisse et une accentuation de la faiblesse motrice dans
sie tactile et à la douleur sur la face antérieure et interne de la cuisse , hypoesthésie tactile et à la douleur sur sa fa
haud et au froid sur les faces antérieure, externe et interne de la cuisse , avec, en arrière, une hypoesthésie très marquée.
articulation du genou. Anesthésie aux vibrations du diapason sur la cuisse droite ; à partir du ge- nou la perception des
a masse musculaire des deux membres (au niveau du tiers moyen de la cuisse six centimètres de circonférence en moins, du côt
présente le signe d'Abadie. Le long de la face inféro-interne de la cuisse droite, on note une cicatrice étendue due à une
eux membres avec anesthésie sur la face antérieure et interne de la cuisse droite, anesthésie également sur la plante des
a plante des pieds des deux côtés. La sensibilité est abolie sur la cuisse droite et sur la face plantaire des pieds. Aux
l était inseusible à tous les pince- ments qu'on lui faisait sur la cuisse ». Br... est soigné pendant 6 semaines à l'hôpi
bandit corse Bellacoscia, assis, tenant un fusil qui repose sur ses cuisses . S... professe une grande admiration pour cette
vraisemblablement en présence d'un pédéraste (sujet tatoué sur les cuisses ) et d'un corse. Ce dernier porte en effet le tato
sensibilité au tact et à la douleur semblait émoussée au niveau des cuisses et des jambes, mais l'émotivité et le défaut d'at
es supérieurs. Aux membres inférieurs la force des fléchisseurs de la cuisse et de la jambe est presque nulle, tandis que ce
Les membres inférieurs sont d'habitude en flexion, c'est-à-dire la cuisse fléchie sur l'abdomen, et la jambe sur la cuiss
n, c'est-à-dire la cuisse fléchie sur l'abdomen, et la jambe sur la cuisse . Mais cette attitude n'est pas fixe, la malade
à cause de l'abondance du tissu graisseux, mais ce sont surtout les cuisses qui sont énormes. La longueur des membres infér
e la malléole externe : D. 29 centimètres ; G. 28 centimètres. La cuisse , à 22 centimètres de l'épine iliaque : D. 55 cent
es de l'épine iliaque : D. 55 centimètres ; G. 55 centimètres. La cuisse , à 30 centimètres de l'épine iliaque : D. 47 cent
: 22 à G : 27). Membres inférieurs. - Pas d'attitudes vicieuses des cuisses et des jambes. Dans les pieds on voit que la co
out à droite ; cela résulte des mesures suivantes : Circonférence cuisse (15 cm. au-dessus du bord supérieur de la rotule)
le peut ètre artificiellement subluxée. Les mouvements actifs de la cuisse sur le bassin sont tous possibles et com- plets
urs, le patient ne peut pas tenir la jambe sur la même ligne que la cuisse , mais forme avec celle-ci un angle et se plie d
, mais forme avec celle-ci un angle et se plie d'autant plus que la cuisse est plus soulevée. Le patient ne peut pas étend
ulevée. Le patient ne peut pas étendre complètement la jambe sur la cuisse , mais il peut la fléchir entièrement. Lorsqu'on
ontracter avec force les masses des extenseurs du genou, sur chaque cuisse se forment deux ou trois saillies dures au-dess
complets, l'extension est incomplète. La force muscu- laire dans la cuisse est modérée; dans la jambe elle est presque nulle
une notable atrophie dans les masses musculaires du mollet et de la cuisse , qui sont d'une consistance tellement flasque,
encement « de genu recurvatum t. La mensuration donne : Pour la cuisse , 15 centimètres au-dessus du bord supérieur de la
plir, mais non dans toute leur étendue, les mouvements actifs de la cuisse dans les deux membres inférieurs. Il réussit avec
e que le patient peut développer dans les mouvements possibles (des cuisses et des jambes), est très faible. MU 43 654 AL
duire une atrophie associée à parésie des muscles des jambes et des cuisses surtout à droite ; ce trouble s'accrut jusqu'à
on de la force est beaucoup moins grande et pour les mouvements des cuisses sur le bassin il n'y a pas de dininution nette. L
s montrent maintenant une certaine force. Pour les mou- vements des cuisses sur le bassin et des genoux, il n'y a qu'une paré
tate une parésie considérable pour les mouvements des genoux et des cuisses sur le bassin. Il y a une parésie très marquée
'on fait fléchir un peu les genonx et si l'on tient avec la main la cuisse fixe, il ne peut soulever le pied ; c'est-à-dire
nou ne peut vaincre le poids de la jambe. Tous les mouve- ments des cuisses sur le bassin (extension, flexion, abduction, et
ple, être le plus développée dans les muscles de la hanche et de la cuisse . Au contraire, dans la polynévrite, la paralysi
22 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
le tronc projeté én avant par suite de son obliquité sur l'axe des cuisses et de la flexion de la colonne vertébrale, la t
limité ; il y a comme une ébauche de mouvement d'adduction dans la cuisse gauche, mais si on cherche à le provoquer, on e
remarque qu'elle marche comme les personnes normales,en mobilisant la cuisse sur le bassin, et non comme les malades de M. P
s étend faci- lement ; mais il résulte de la rotation externe de la cuisse que ces mouvements portent le pied d'un côté su
les fes- 32 RAYMOND ET BABONNEIX siers, ni dans les muscles de la cuisse et de la jambe aucun trouble des réac- tions él
cou et tronc, forment un angle ouvert en avant, les deux derniers : cuisse et jambe, forment un angle ouvert en arrière. L
cas où l'atrophie avait débuté entre 5 et 7 ans par les muscles des cuisses et des mains et avait été accompagnée de douleu
profondes mais superficielles, dans le membre inférieur droit et la cuisse gauche. L'attention de la malade étant attirée
27 centimètres. Différence : -f- 11 cent. 5. Circonférence de la cuisse droite : 75 cent. 5. Chez l'adulte normal : 48
ns atteint. Les reliefs musculaires des deux tiers supérieurs de la cuisse sont très marqués ; au contraire au tiers inférie
contracture. Celle-ci est surtout marquée dans les adducteurs de la cuisse et dans les muscles du mollet. Il est en effet
ent impossible de lutter contre l'état d'adduction permanente de la cuisse ; le tendon d'Achille d'autre part forme au nivea
sont relativement libres. Les mouvements passifs d'extension de la cuisse et de la jambe ont subi, eux aussi, une certain
sse et de la jambe ont subi, eux aussi, une certaine limitation. La cuisse ne peut être complètement étendue passivement e
, sans antécédents héréditaires ou familiaux notables, tombe sur la cuisse gauche et « tourne le pied » en patinant, en l'
ou-de-pied, puis à la jambe jusqu'au genou, puis en 1902 envahit la cuisse et la grande lèvre. Douleurs à la pres- sion au
âge de 13 ans la malade ressentit des douleurs dans la hanche et la cuisse gauches, en même temps qu'elle présentait un état
s ont envahi aussi la jambe. - 1 Concomitant avec ces douleurs la cuisse du côté gauche augmenta de vo- lume et cette au
YI11C Bcrlhauù. Paris SUR UN CAS DE 'Cli0PI10EDG11E CHRONIQUE 161 cuisse sont très développés. La limite supérieure de l'o
tation du membre qui n'inté- resse donc que le pied, la jambe et la cuisse . - Ainsi que nous l'avons déjà dit, l'augmentat
conférences comparatives des deux membres à plusieurs niveaux : ' Cuisse droite au niveau du pli Cuisse gauche au même niv
ux membres à plusieurs niveaux : ' Cuisse droite au niveau du pli Cuisse gauche au même niveau : inguinal : 0 m. 45. 0 m
même niveau : inguinal : 0 m. 45. 0 m. 575. A son milieu 0 m. 41. Cuisse gauche au même niveau : 0 m. 585. Genou droit
rté commença à souffrir de douleurs localisées dans la hanche et la cuisse gauche, puis aussi dans la jambe de ce même côté,
n accompagnée d'une éruption vésiculeuse apparut en même temps à la cuisse , puis plus tard à la jambe et au pied. Les orteil
région fessière ne participe pas à l'oedème. Il n'intéresse que la cuisse , jambe elle pied, respectant les orteils. On pe
`. Pendant les deux premières années l'aecième n'a intéressé'que la cuisse * SUR UN CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE 163 Seul
n de Follet, les troubles ont débuté par des douleurs vives dans la cuisse et les lombes ainsi que par l'oedème.Mais ce de
à mesure que l'on s'éloigne davantage de la racine du bras ou de la cuisse pour gagner les extrémités. Mais au poignet ou
lant d'un condyle à l'autre bride et sépare l'adipose diffuse de la cuisse de celle de la jambe ; ici, comme au membre sup
une accumulation maxima au niveau de la face supéro- externe de la cuisse , région qui est normalement chez la femme le sièg
ulaires, pression très pénible à la partie antérieure et moyennede la cuisse gauche ; suppression des réflexes tendineux ; s
mité, 3 centimètres de différence dans le périmètre du milieu de la cuisse , et un et demi au tiers supérieur de la z jambe
iste, du côté droit, une légère hypertrophie du vaste externe de la cuisse . Les fesses sont de volume inégal, la droite ét
re, un peu faible dans la flexion et l'extension de la' jambe. A la cuisse la flexion et l'adduction sont très affaiblies, l
pertrophie des grands obliques de l'abdomen, du vaste externe de la cuisse droite et peut-être de la fesse gauche. On n'obse
spect spécial rappelant les organes féminins. Les membres, sauf une cuisse déformée par deux fractures anciennes, sont 240
probable que c'est étant ivre qu'il s'est cassé à deux reprises la cuisse gauche. C'est également un accès subaigu d'alco
moignons longs tout au plus de 18 centimètres, de la grosseur d'une cuisse ordinaire, et en rapport avec l'obésité du suje
ure. L'extrémité inférieure de l'os fait saillie sous la peau. La cuisse gauche n'a que 4 centimètres ; les muscles ont le
'a que 4 centimètres ; les muscles ont leur insertion nor- male. La cuisse du côté droit n'est représentée que par un rudime
ire cutané existe. Membre inférieur droit. - Tous les muscles de la cuisse existent avec leurs insertions supérieures régu
face profonde de la peau de cette région. Membre inférieur gauche. Cuisse . Tout est normal ; mais il n'y a pas de courte
x un faisceau musculaire effilé qui part de la partie moyenne de la cuisse ; le jumeau externe, 3 fois plus développé que l
aut, en avant et en dedans, de sorte que l'extrémité inférieure de la cuisse est pour ainsi dire couchée sur la moitié de la
autre moitié de la jambe vient se placer dans l'angle formé par les cuisses , écartées, en dedans d'elles, à 4 ou 5 centimètre
nent aboutir juste au niveau du pli de jonction de la jambe avec la cuisse ou jarret. Le talon forme un moignon qui vient se
on qui vient se reposer sur la partie moyenne du bord interne de la cuisse . Le talon regarde en haut et en avant; le calca
'une hémimélie abdominale droite chez une petite fille de 3 ans. La cuisse est à peu près aussi longue et aussi volumineuse
ed pour mettre un appareil prothétique. Ce pied n'est rattaché à la cuisse que par du tissu fibro- élastique. Dissection
e pièce, le pied mis à part, sans articulation du genou. Est-ce une cuisse , est-ce une jambe ? Toujours est-il que ce segm
une femme de 58 ans, malade du service du Professeur Deje- rine. La cuisse est légèrement raccourcie, le genou est ankylosé
a plante du pied regardant en haut, accolée à la face interne de la cuisse ; il n'existe que deux orteils, avec leurs méta
u creux poplité ; une 2e au côté externe de la partie moyenne de la cuisse ; la 3e sur la fesse droite ; ces trois ecchymo
a avec infinité de petites taches sur les deux jam- bes et les deux cuisses , rapportée par Faisans, chez un vieillard de 67 a
us long que le droit, présente aussI1des)non13lies importantes : la cuisse est raccour- cie (33 cent.), le col du fémur fa
inférieure du fémur est élargie transversalement. L'abduction de la cuisse est impossible, ce qu'explique suffisamment la
fémur et le col se sont coudés jusqu'à l'angle très aigu, aussi la cuisse très raccourcie et remontée le long de l'os cox
épistaxis. M. Manec se disposait à appliquer quelques sangsues aux cuisses pour provoquer les règles, lorsqu'elles sont ve
n conservée. Aux membres inférieurs, au contraire, la flexion de la cuisse sur le bassin est très faible ainsi que l'exten
a jambe, particulièrement remarquable à la région postérieure ; aux cuisses , au quadriceps ; seul le vaste interne est légè
Deux ans plus tard,c'est-à-dire à l'age de ô ans, les jambes et les cuisses ont commencé à se tuméfier d'une façon symétriq
elle a refusé catégoriquement. Les circonférences des jambes et des cuisses donneront une idée de l'agran- dissement consid
n'existe pas de signe de Babinski, ni de flexion unilatérale de la cuisse et du bassin. Les pupilles réagissent bien et le
23 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
lus ma-nifestes ; elles sont, de plus, multiples. (Voy. Planche I.) Cuisse droite. La cuisse est complètement atrophiée. A s
elles sont, de plus, multiples. (Voy. Planche I.) Cuisse droite. La cuisse est complètement atrophiée. A sa partie moyenne,
tibia, évidemment émoussé. La jambe paraît un peu plus grosse que la cuisse . Les muscles du mollet existent encore un peu, ma
Chinois (voy. Planche 1); la jambe est assez fortement fléchie sur la cuisse et ne peut être étendue : aussi le malade affirme
ements de flexion et d'extension. Les fléchisseurs de la jambe sur la cuisse et les adducteurs de la cuisse, le couturier fonc
n. Les fléchisseurs de la jambe sur la cuisse et les adducteurs de la cuisse , le couturier fonctionnent encore un peu. Le mala
et ne réagissent pas, non plus le tendon d'Achille. Les muscles de la cuisse ne ré-pondent pas du tout, sauf le couturier, qui
en précédent : Des deux côtés, les muscles du pied, de la jambe, delà cuisse , qui se remuaient sous l'influence de la volonté,
a substance active appliquée à la surface d'une plaie au niveau de la cuisse de l'animal n'était pas absorbée et se trouvait p
rent sur tout le corps, principalement sur les épaules, le dos et les cuisses . De plus, éruptions fréquentes sur les épaules, à
ntroduire la sonde dans l'urèthre, la courbe embrassant le haut de la cuisse , jusque dans le cul-de-sac du bulbe. Deuxième t
ARCOME DÉVELOPPÉ A L'EXTRÉMITÉ INFÉRIEURE DU FÉMUR amputation de la cuisse . — mort par infection purulente Observation rec
dou-loureux ; en même temps, en examinant la partie inférieure de la cuisse , il constata, pour la première fois, la présence
issement des mouvements de flexion et d'ex-tension de la jambe sur la cuisse . Au mois d'avril 1871, c'est-à-dire environ deu
sir, finirent par se rejoindre vers la partie anléro-inférieure de la cuisse ; en même temps, celle qui siégeait à la partie e
st dans une position demi-fléchie. Au niveau du tiers inférieur de la cuisse droite et du genou du même côté, existe une tumeu
t corps avec le fémur, et soulève les muscles ainsi que la peau de la cuisse . Cette dernière est fortement tendue, luisante, c
he unique. — Ganglions inguinaux de volume normal. La flexion de la cuisse sur le bassin est impossible, ce qui tient bien c
lors, on voit distinctement les muscles de la partie antérieure de la cuisse glisser à la surface de la masse morbide et lui c
mes ne permettaient pas de différer plus longtemps l'amputation de la cuisse , qui était le seul mode de traitement auquel on p
t à la pression exercée par l'appareil sur la partie supérieure de la cuisse et le bassin ; en outre, le moignon est devenu un
il existe entre les masses musculaires de la face pos-térieure de la cuisse , une fusée purulente considérable, s'étendant par
la mort.—Dans l'interstice des muscles de la région postérieure de la cuisse , existe un vaste cloaque, re-montant jusqu'aux at
ar l'aponévrose fémorale et les muscles de la région antérieure de la cuisse (droit antérieur, vaste externe, vaste interne).
), ne sont pas étalés comme les muscles de la partie antérieure de la cuisse , mais ont conservé leur forme fasciculée. Quant à
est devenue grave, que parce qu'elle nécessitait une amputation de la cuisse très-près de la racine du membre. Aussi, au point
ous la trouvons dans l'état suivant: le membre inférieur gauche et la cuisse droite ayant acquis un dé-veloppement normal, la
L'extrémité inférieure libre, volumineuse, arrondie pendait entre les cuisses . (Voy. planche XVI.) La consistance de la tumeu
la matinée ; on aperçoit à la partie postérieure et supérieure de la cuisse droite et de la fesse du même côté, une rougeur é
de Sedlitz, une bouteille. 17 mars. L'érysipèle s'est étendu sur la cuisse droite jusqu'à son tiers inférieur. Pouls petit
ion. — La difformité porte surtout sur la jambe et le pied droits. La cuisse de ce côté offre un léger raccourcissement compar
pour la circonférence. Ainsi la mensuration donne, à la racine de la cuisse , 26 centimètres à gauche et 25 à droite; immédiat
r de l'autre ; ce qu'il fait en fléchissant fortement la jambe sur la cuisse , mais ce moyen est très-fatigant et il serait pos
lie en avant dans le vagin; il apparaît à la vulve, ou même entre les cuisses , lorsqu'elle est plus accentuée. On ne saurait
. Dans ce dernier cas, le col fait une saillie considérable entre les cuisses et tend à simuler l'hermaphrodisme, tant il resse
« J'accouche, prenez l'enfant ». En effet, la tête était entre les cuisses et l'accouchement se termina très-naturellement,
de suture enchevilléc. La malade ayant été reportée dans son lit, les cuisses furent rapprochées l'une de l'autre et maintenues
ur, ainsi aplatie, se montre par sa portion antérieure entre les deux cuisses lorsqu'on les écarte, et par sa portion la plus e
nd, comme un sac charnu sur la partie postérieure et supérieure de la cuisse gauche. La peau qui recouvre le pédicule de la
tude de la malade a quelque chose de bizarre (voy. Planche XXI) ! Les cuisses fléchies à angle droit sur le bassin, les talons
appareil spécial en gutta-percha pour le traite-ment des fractures de cuisse chez les enfants, par M. Guéniot; l'ap-pareil pou
ne série d'appareils destinés à obtenir la guérison des frac-tures de cuisse sans raccourcissement, par M. Beau, professeur à
n appréciable. Le tronc est lé-gèrement incliné du côté gauche, et la cuisse droite est fléchie sur le bassin dans la station
douleurs et de la gêne causée par la présence de la tu-meur entre les cuisses . — Située dans la cavité vaginale qu'elle remplit
pour les luxations du bras et huit semaines pour les luxations de la cuisse . Il prétend que le membre réduit n'est pas plus u
mais en rotation complète en dehors. Sa circonférence à la base de la cuisse est de 10 centimètres. Le membre inférieur gauc
e a une longueur de 75 millimètres, mais il est en demi-flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse. Il es
est en demi-flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse . Il est aussi en rotation en dehors. Sa circonfér
24 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
(fig. 4 et 6). Membres inférieurs. - Dans l'attitude habituelle, la cuisse droite est tléchie sur le bassin ; elle forme u
ue davantage. De plus, elle' est dans l'adduction et croisée sur la cuisse gauche (fig. 2 et 3). L'adduction est limitée;
mouvements des orteils sont faciles. A gauche, les mouvements de la cuisse sont un peu limités dans le sens de l'extension
xtension et de l'abduction; l'extension complète de la jambe sur la cuisse est impossible; les mouvements du pied et des o
erie. Il a laissé tomber un tranchet sur la partie inférieure de sa cuisse droite et s'est fait une plaie transversale qui
ril. - Deux furoncles l'un au côté du mamelon droit, l'autre sur la cuisse droite. Juillet. - Puberté. Le corps est toujou
État intellectuel ET moral.' 17 avant-bras, sur la face externe des cuisses et des jambes. Poils assez abondants sur la par
le droit; extension incomplète : il n'est pas possible de coller la cuisse sur le lit; abduction presque nulle; adduction
un peu fléchie, portée en dedans et le lalon est un peu relevé. La cuisse droite croise la gauche au-dessus de son genou
lions dans les aines. - A gauche, on peut fléchir successivement la cuisse sur l'abdomen, la jambe sur la cuisse. A droite
eut fléchir successivement la cuisse sur l'abdomen, la jambe sur la cuisse . A droite, ces mouve- ments se font aussi mais
rs sont très amaigris et conservent tou- jours la même attitude. La cuisse gauche est croisée sur la droite à angle droit
sion dans toute sa longueur. Il est encore possible de fléchir la cuisse droite sur le bassin. Le genou droit est en exten
rence entre les deux mem- bres . Membres inférieur...;, - Les cuisses sont arquées. Le dé- veloppement adipeux est tr
x est très prononcé. Gros pli profond a la partie moyenne de la cuisse et un autre moins pro- fond, moins long Ù 1 cen
s jambes sont égale- mcnt baumes. mais la lipoma- tose domine aux cuisses . Les pieds sont très gros, arrondis, bouffis
sur le bassin. Le pli de l'aine est creux. A la face interne des cuisses , il existe des masses empâtées, des pseudo-li
légère raideur des orteils. La jambe est légèrement fléchie sur la cuisse , tandis que la droite est il demi fléchie. La
s ont une forme naturelle. A droite et à gauche, même longueur. Les cuisses se fléchissent très bien sur le bassin, les pie
e aux membres inférieurs. Ceux-ci sont en flexion à angle aigu. Les cuisses fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuis
angle aigu. Les cuisses fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses . La contracture est tenace et très dif- ficile
nourrit suffisamment, prenant du lait en quantité normale. Les deux cuisses sont dans l'adduction et dans la flexion complè
contracture de la hanche est si prononcée qu'on ne peut étendre la cuisse sans faire crier la malade. Tout ce qu'on peut
aire crier la malade. Tout ce qu'on peut faire, c'est de ramener la cuisse dans l'axe du corps, dans une position interméd
ntracture est un peu moins prononcée ; on peut davantage fléchir la cuisse et la jambe. Eschares au début au niveau de la
; sous les aisselles graisse assez abondante. Membres inférieurs. Cuisses grasses ainsi que les mollets. Il existe partou
le ventre, le bassin et les membres inférieurs. Au lit, flexion des cuisses sur le bassin, flexion des jambes sur les cuiss
it, flexion des cuisses sur le bassin, flexion des jambes sur les cuisses . Genoux accolés l'un contre l'autre ; le malade p
dans leur ensemble, se portent en dehors. Lép... peut fléchir les cuisses presque à angle droit sur le bassin, il ne peut
sol. Dans la marche le tronc est incliné légèrement en avant, les cuisses et les jambes fortement fléchies, autant que dans
t paraplégie spasmodique. supérieurs, poils assez abondants sur les cuisses , peu abondants sur le pourtour des jambes. Poil
ronc, penché en avant et celle des membres inférieurs : flexion des cuisses en adduction très prononcée sur le bassin; flex
ncée sur le bassin; flexion des jambes en abduction forcée, sur les cuisses ; déforma- tion des pieds dont la pointe est ex
25 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
t tous les mouvements excepté un seul, l'extension de la jambe sur la cuisse . Les mouvements d'abduction et d'adduction de la
jambe sur la cuisse. Les mouvements d'abduction et d'adduction de la cuisse , de flexion de la cuisse sur le bassin et de la j
mouvements d'abduction et d'adduction de la cuisse, de flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse, les m
a cuisse, de flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse , les mouvements isolés du pied, les mouvements de
re la jambe placée en demi-flexion, il contracte les extenseurs de la cuisse en faisant glisser son talon sur le plan du lit,
se qu'une faible résistance à la flexion provoquée de la jambe sur la cuisse . En somme, bien qu'il y ait un peu d'affaibliss
ration donne : A droite : A gauche : A la partie supérieure de la cuisse ..... 48 cent. 52 cent. Au dessus du genou......
ensuration, il est facile de reconnaître que la face antérieure de la cuisse droite est considérablement aplatie, comme excavé
eps. Peut-être y a-t-il aussi un peu de refroidissement relatif de la cuisse et du genou, mais sans trouble accentué de la sen
hie simple, presque exclusivement localisée dans les extenseurs de la cuisse , avec modifications profondes, quantitatives seul
concerne le membre inférieur, c'est l'exten sion qui prédomine; la cuisse et la jambe sont étendues; le pied est dans la fl
st en rapport avec l'affection des articulations coxo-fémorales. A la cuisse , le triceps est beaucoup plus atrophié que la mas
xent alors ordinairement dans la flexion; ainsi, dans la coxalgie, la cuisse se fléchit sur le bassin ; dans l'arthrite fongue
ssin ; dans l'arthrite fongueuse du genou, la jambe se fléchit sur la cuisse , etc. On a longuement discuté sur la cause de c
t la nuit, siégeant à la partie inférieure de la fesse, le long de la cuisse et à la partie interne du genou. Il y a eu, à un
ère: mais lorsqu'elle est assise, il lui est impossible de croiser la cuisse droite sur la gauche, tandis qu'elle croise facil
cloniquespar suite desquelles la jambe était vivement fléchie sur la cuisse . Ajoutons que, chez notre malade, les douleurs fi
te peut-être aussi l'intervention spinale ; à chaque coup, on voit la cuisse droite entraînée vers la ligne médiane par un mou
a) Ainsi, dans le domaine du crural, les mouvements de flexion de la cuisse sur le bassin, effectués par le psoas iliaque, so
ut l'exécuter avec le membre gauche. 2° Les muscles postérieurs de la cuisse , fléchisseurs de la jambe. 3° Les muscles qui pro
st relatif aux muscles jumeaux et aux fléchisseurs de la jambe sur la cuisse . A gauche, l'effet de la faradisation est nul ; l
t en dire autant pour les jumeaux; donc la flexion de la jambe sur la cuisse et la flexion plantaire du pied pourront sans dou
n. La peau, au niveau du genou, et même de la partie inférieure de la cuisse , est luisante, lisse, et adhérente aux parties pr
e fixées dans des gouttières plâtrées remontant jusqu'à la racine des cuisses . 30 juillet. Nouvelles tentatives d'extension,
qu'elle est très accentuée, accompagnée de flexion de la jambe sur la cuisse et de longue durée, peut guérir ; 2° Mais, de mêm
t la contraction, ils sont durs comme de la pierre. Les triceps de la cuisse sont gros, saillants et noueux pendant les contra
qu'il appuie sur ses genoux, grimpant pour ainsi dire le long de ses cuisses pour arriver à reprendre la position verticale, a
sa main contre son corps ou la frotte à plusieurs reprises contre sa cuisse , dans des mouvements alternatifs de pronation et
ile qui, enlaçant sa jambe, ferait effort pour remonter le long de sa cuisse , et pendant ce temps, il parle du « ver solitaire
s trois ans d'une affection du genou; la jambe restait fléchie sur la cuisse ; les douleurs étaient in-supporlables ; quelques
racture musculaire qui élève le bassin du côté correspondant. 2° La cuisse est, par rapport au bassin, dans une situation ab
ation absolument fixe, de telle sorte que tout mouvement imprimé à la cuisse est immédiatement communiqué au bassin ; là encor
la coxalgie organique à la 3* période. — La jointure est immobile, la cuisse comme soudée au bassin dans une position à peu pr
alon. — De plus, veuillez le remarquer, le membre gauche lout entier, cuisse et jambe, est un peu moins volumineux que le droi
que c'est dans la position debout que l'inégalité de volume des deux cuisses et des deux jambes est le . mieux perceptible.
oits les plus hyperesthésiés ; on pouvait imprimer à la jambe et à la cuisse les mouvements les plus étendus sans être arrêtés
en produisant, pendant l'état somnambuiique, une légère torsion de la cuisse sur le bassin que nous sommes arrivés à ce résult
voiture lui passe sur le corps, au niveau de la partie supérieure des cuisses . — En général, à ce moment du rêve, le malade se
est dit de l'épaule on peut le répéter à propos de la fesse ou de la cuisse — produira à peine un léger sentiment d'engourdis
uivirent l'accident, le malade portait sur la partie antérieure de la cuisse droite et sur toute la partie inférieure de l'abd
). que nous ont fournis les témoins oculaires du drame. Mais si les cuisses et le bassin n'ont pas été écrasés sous le poids
in, 3 centimètres, et chez un autre malade, il y avait entre les deux cuisses une différence de S centimètres ; 2° il n'y a pas
une analgésie de toute la moitié gauche de la tète, du tronc et de la cuisse ; la piqûre est perçue comme un frôlement. A la j
26 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
pieds. Lorsqu'il s'agira d'étu- dier un membre entier, le bras, la cuisse par exemple, ou une partie plus épaisse encore,
ait être poussée à six ou huit, et peut-être même davantage,pour la cuisse ou le thorax. Mais ces difficultés ne sont pas
le avait disparu; enfin, la malade se plaignait de crampes dans les cuisses et dans les mollets. Ces modifications, tout en
constaté une anesthésie totale dans la moitié gauche du tronc, à la cuisse gauche, à la jambe et au pied droits. Je vous s
de a remarqué peu après le début de son affection que ses jambes, ses cuisses ^ même diminuaient (en ce temps ou peu après le
plus tard, Enée frappera son ennemi Turnus à la face interne de la cuisse droite, à mi-hauteur de celle-ci. Heureuse- men
t son rival et lui lance un javelot, qui, pénétrant au milieu de la cuisse , le met hors de combat. Peu après, Enée achève Tu
nt en- core traverser par les rayons X, mais plus difficilement. La cuisse est déjà trop épaisse. Je ne sache pas qu'on ai
us élevée, car il faut tenir compte de la flexiondes jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bas- sin. La tête est r
il faut tenir compte de la flexiondes jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bas- sin. La tête est régulièrement co
ormés et sains. Il n'en est pas de même des membres inférieurs. Les cuisses sont fléchies sur le bassin a envi- ron 45°. El
enoux sont accolés l'un à l'autre. Les jambes sont fléchies sur les cuisses . Il existe au niveau des creux popli- tés des r
ÈRE Quant aux mouvements passifs ils sont encore assez étendus à la cuisse , très limités au niveau des genoux à cause de l
resthésie très marquée des 2 pieds ; une hypoeslhésie des jambes et cuisses il partir du cou-de-pied ; un retard très manif
dissement des membres in- férieurs, on constate que les muscles des cuisses et des jambes ont conservé leur volume normal.
e un retard de la perception dou- 10Ul'eue. la partie interne de la cuisse droite et il la partie externe de la cuisse gau
. la partie interne de la cuisse droite et il la partie externe de la cuisse gauche. Le sens musculaire. est conservé ainsi
ne certaine mesure et on arrive à fléchir légèrementja jambe sur la cuisse . Le petit malade peut lui-même fléchir assez ai
la cuisse. Le petit malade peut lui-même fléchir assez aisément la cuisse sur l'abdomen, mais persuadé qu'il ne peut y ar
sorte de se suggestionner lui-même et prétend ne pouvoir relever la cuisse sans l'avoir d'abord fortement pincée. Du reste
t : il la façon d'un ressort. Les fléchisseurs de la jambe sur la cuisse ont quelque énergie mais une fai- ble extension
sont moins nettes aux jambes et à la face dorsale des pieds qu'aux cuisses . La face plantaire des pieds est un peu plus se
t meilleure que l'explo- ration porte sur un point plus éloigné des cuisses . La sensibilité est tout à fait normale au-dess
s bourrelet qui encercle la crête iliaque. ' ' De cette masse,les cuisses naissent comme deux bourgeons énormes que termi
aire, et une saillie énorme des fesses et du bassin en arrière. Les cuisses étant en demi-flexion,cette sail- lie est encor
nir et à maintenir chez un individu normal : c'est la flexion de la cuisse sur le bassin, la jambe étant en extension. Pour
aient une consistance (1) Si en effet on fléchit les jambes sur les cuisses , le même mouvement s'exécute sans douleurs, car
ur toute la ré- gion hypogastrique, sur les parties antérieures des cuisses et des jambes, sur les parties latérales du voi
condres, dans la région hypogastrique, sur la région antérieure des cuisses , des jambes, sur le visage, sur les bras et les a
xe rotulien est aboli, à droite il persiste un peu. Au niveau des cuisses , on voit encore se dessiner quelques faisceaux
re exécutés : a) Elever la jambe au-dessus du plan du lit; b) (La cuisse soulevée et reposant sur la main du médecin, la j
oulevée et reposant sur la main du médecin, la jambe fléchie sur la cuisse par son propre poids.) Etendre la jambe sur la
léchie sur la cuisse par son propre poids.) Etendre la jambe sur la cuisse . Les mouvements des muscles de la jambe étaient
t bien évident que la paralysie qui a porté sur le quadriceps de la cuisse droite a eu une durée relativement longue (3 mois
toï(liciiiie ; lrieclreicll cite une paralysie des adducteurs de la cuisse ; Marius Carre celle des muscles de la masse sac
Faure (1) ont de nouveau attiré l'attention (la jambe étendue sur la cuisse , la cuisse fléchie à angle droit sur le bassin)
t de nouveau attiré l'attention (la jambe étendue sur la cuisse, la cuisse fléchie à angle droit sur le bassin) on voit le m
tatons une tuméfaction occupant la face externe et supérieure de la cuisse gauche. Cette tuméfaction est globuleuse, allongé
re. . Une tumeur énorme siège à la face externe et supérieure de la cuisse gauche. Elle a son point culminant loin de l'ar
). La base de celte tumeur occupe toute la hauteur supérieure de la cuisse , donnant à celle-ci un élargissement monstrueux
nes dilatées, sans rougeur diffuse inflammatoire. Les muscles de la cuisse sonl amaigris. La longueur du membre inférieur
son. Cicatrite ancienne adhérente il l'os, au tiers supérieur de la cuisse gauche. Abcès de la malléole interne droite. Pa
-à-dire qu'il existe des traces de réaction de dégénérescence. A la cuisse , l'excitabilité électrique est sensi- PARALYSIE
uchés que les fléchisseurs, les muscles delà l'ace antérieure de la cuisse le sont plus que les muscles de la face postérieu
raux, ainsi qu'aux fléchisseurs des orteils, au vaste interne ai la cuisse . Elle a une tendance à respecter les jumeaux, l
ance à respecter les jumeaux, le soléaire, le droit antérieur de la cuisse . D'abord elle ne se traduit que par une grande
27 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
provoquant des mouvements énergiques d'extension de la jamhe sur la cuisse , la contraction des muscles de la cuisse et, qu
extension de la jamhe sur la cuisse, la contraction des muscles de la cuisse et, quelquefois, la flexion de la cuisse sur le
traction des muscles de la cuisse et, quelquefois, la flexion de la cuisse sur le bassin. Réflexes du tendon d'Achille aus
t, quelquefois, de légers mouvements d'extension des jambes sur les cuisses . Les réflexes tendineux des membres supérieurs
a moindre excitation d'un point quelconque de la face interne de la cuisse , depuis la base jusqu'au ge- nou ; ce réflexe e
llement exagéré que même les excitations sur la face extérieure des cuisses peuvent se provoquer. Force musculaire dans ses
exécute des mouvements d'extension et de flexion des jambes sur les cuisses , d'une façon normale, quand il est en décubitus
xes de défense qui consistent comme d'habitude en une flexion de la cuisse , de la jambe et du pied. Ces mouvements relative-
ant la marche, elles apparaissent dans le mol- let droit et dans la cuisse , puis dans la jambe gauche. Le malade,contraint s
ele- veurs du bord interne du pied) et à celle des adducteurs de la cuisse , qu'on doit attribuer le trouble, chute du bord
d) et du petit fessier ainsi que du moyen fessier (abducteurs de la cuisse ) qu'on doit attribuer l'embarras dans la marche v
Très rarement le malade était réveillé par de brusques flexions des cuisses sur le ventre. Les mouvements volontaires avaie
'abord dans les muscles des mollets et de la partie postérieure des cuisses , pouvant ensuite s'étendre aux muscles du tronc e
e flexion des orteils conjointement ou séparément, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le tronc. Ces mouvements son
eils conjointement ou séparément, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le tronc. Ces mouvements sont un peu plus int
rps avec flexion des membres inférieurs et flexion du tronc sur les cuisses . Quelquefois chacun de ses mouvements est isolé
ieurs. Alors surviennent des flexions des orteils, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le tronc, et tout revient, d
iennent des flexions des orteils, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur le tronc, et tout revient, de suite, à l'état
ONIES ESSENTIELLES 97 tension et de flexion, surtout la flexion des cuisses sur le tronc. Le tronc tombe quelquefois en ava
nombre des accès. Le tronc s'incline dans le lit en flexion sur les cuisses . Les membres inférieurs font des mouvements les
s attei- gnent l'union du tiers supérieur avec le tiers moyen de la cuisse . On pourrait faire les mêmes constatations pour
ns osseuses prédominaient aux extrémités distales des membres ; les cuisses , les jambes, les pieds et les mains étaient for
roximal de façon que l'index tibio-fémural est supérieur à 100. Les cuisses sont grosses et charnues, les jambes légèrement a
mais sans déformations particulières. Les muscles des fesses, des cuisses et des jambes sont très bien développés. Les pi
urcissement est aux dépens de la jambe z1.8 au lieu de 23) et de la cuisse , avec prépondérance de la micromélie rhizoméliq
nt exagéré des mol- lets. Du reste la musculature des fesses et des cuisses est puissante et contribue à donner à Frassi l'
entimètres que le droit : 75 pour 72 centimètres. La longueur de la cuisse droite : 48 centimètres ; gauche : 50 centimètres
imètres. Le membre inférieur : 65 centimètres. La circonférence de la cuisse : 57 centimètres (vers son milieu), celle de la
ce malade due en partie aussi à l'état de flexion des jambes sur la cuisse présenté par lui. Chez le troisième malade la m
particularités analogues. La jambe est beaucoup plus courte que la cuisse . Nulle part on ne trouve d'oedème. La motilit
le segment distal 1 (avant-bras, jambe). Le segment proximal (bras, cuisse ) est sensiblement ATOUVELIE ICONOGRAPHIE DE LA
ssu adipeux se montre fortement développé à l'abdomen, aux hanches, cuisses et mollets. Les mamelles sont très petites et t
sont plus marquées, on rencontre une plaque à la face externe de la cuisse droite et deux grandes plaques à la face antéri
ues. / Dans la discussion Pierre Marie remarqua que le bassin et la cuisse droite d'un de ces malades rappellent ce qu'on
homme, on voit de suite que ses jambes, par comparai- son avec les cuisses et tout le reste du corps, sont plus grosses que
arrière et aux chevilles et va en diminuant jusqu'aux genoux ; les cuisses ne sont pas oedématiées du tout. Il existe enco
elques cicatrices sur le 318 s BOKS , devant et le dedans de la cuisse droite, qu'il y a un léger eczéma clans les pli
l y a un léger eczéma clans les plis cutanés entre le scrotum et la cuisse et dans les aines. Ces cicatrices sont des reli
'a jamais souffert de rhu- matisme. L'existence de l'ulcération des cuisses donnait à penser qu'une anomalie du système ner
s les exemples donnés par Hope et French, on trouve de I'oedème aux cuisses . Puis chez un malade de Milroy il a été constat
ubles trophiques, tels que les petits ulcères sur les pieds et à la cuisse , la rugosité particulière de la peau, les papille
du foie. Il y a 23 ans, en sautant d'un train en marche, il a eu la cuisse . gauche écrasée. Le Dr Leblus ampute, à l'hôpit
mpute, à l'hôpital de Malines, le membre au quart infé- rieur de la cuisse et le réampute 20 jours plus tard au tiers inféri
nute. Les douleurs partent du milieu de la face posté- rieure de la cuisse et s'irradient dans toute l'extrémité inférieure
inférieur. La résistance aux mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse est très énergique,' celle aux mouvements d'ext
e immobile, cependant que les doigts des mains qui reposent sur les cuisses , font de petits mouvements de frottements, les un
ns en arrière pour se protéger. Il met alors la jambe droite sur la cuisse gauche, frappe de la main droite son pied droit
. La marche est en apparence normale. Pas de flexion combinée de la cuisse et du bassin. Les réflexes tendineux des radiaux,
tif com- pensateur. En ellet, l'atrophie des muscles extenseurs des cuisses sur le bassin produit une tendance à se pencher
s points d'appui sur les malléoles et grimper sur ses jambes et ses cuisses . Sensibilité. L'examen de la sensibilité a été
les de la partie postérieure de la jambe {genu recurvatvm) et de la cuisse . Les réflexes tendineux sont abolis aux membres
esque tout a fait. 12 août. La sensibilité de la face interne de la cuisse (tiers supérieur) est quelque peu revenue. 10
u'en se servant de ses mains. Atrophie musculaire à la jambe et aux cuisses . - La motilité active des membres inférieurs es
ndant 5 années, laissant jusqu'à présent des vestiges pigmentaires ( cuisse , avant-bras). Depuis le mois de janvier, le mal
le malade souffre de douleurs lombaires avec ir- radiations dans la cuisse gauche, survenant par accès, le malade étant obli
exes crémastériens sont abolis. Atrophie musculaire massive dans la cuisse et les jambes. Sensibilité tactile, douloureuse e
douleurs. 26. - Il garde l'attitude de la flexion des jambes sur la cuisse et de celle- ci sur le bassin. L'extension est
28 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
propre à éveiller l'attention : c'est un léger degré de flexion de la cuisse du côté malade. Le muscle psoas, contracture par
de volume. Je ne reviens pas sur ce que j'ai dit de la flexion de la cuisse . Ici, la palpation superficielle révèle une tumeu
a fluctuation dans la fosse iliaque, mais même renvoyer le flot de la cuisse dans la région de l'ilium. On peut considérer c
vient des lombes. Plusieurs ouvertures existent sur chacune des deux cuisses . Enfin quelques fistules se remarquent sur l'abdo
iaques, etc., peuvent être des causes d'erreur. La demi-flexion de la cuisse , caractère à peu près constant des abcès par cong
'anesthésie incomplète, d'une contraction subite des abducteurs de la cuisse au moment où je pince les téguments, quoique l'en
à son égard une chose assez piquante : cet enfant a eu un abcès de la cuisse qui n'était pas, je crois, lié à la lésion des ve
s après, un second abcès s'est développé à la partie antérieure de la cuisse . Cet abcès est isolé ; nous n'avons pas trouvé qu
isparition d'un abcès par congestion qui avait doublé le volume de la cuisse ; on avait employé les moxas et la compression; ce
nctionnel. On n'a encore rien tenté pour la guérison de l'abcès de la cuisse . M. Guersant se propose de faire ici une applicat
ade qui n'est pas dans les mêmes conditions. L'abcès volumineux de la cuisse remonte jusque dans la fosse iliaque. A l'époque
riété, moins grave que les abcès cruraux. La flexion permanente de la cuisse me fait penser que la collection a un prolongemen
on peut encore découvrir la lésion ; on est frappé de la brièveté des cuisses ; si l'on compare leur longueur à celle des jambe
, dans l'état sain, une différence de 1 centimètre à l'avantage de la cuisse . Si celle-ci se montre plus courte, une cause pat
nos enfants, ta longueur des jambes mesure 35 centimètres, celle des cuisses 25 centimètres seulement; la réduction est d'un p
à la vue l'écartement latéral du grand trochanter; en considérant la cuisse de face, on voit que son côté externe, le galbe d
st double. Si la saillie de la tête en arrière, dans la flexion de la cuisse , est alors peu prononcée, on est exposé à la conf
la station verticale ; il en résulte une obliquité très-prononcée des cuisses dans les luxations doubles ; elles se portent à l
cas d'attitude vicieuse. Souvent une légère flexion permanente de la cuisse accompagne la rotation du membre en dehors. III
xceptions. Les épines iliaques sont rapprochées du plan antérieur des cuisses . Celte circonstance a fait dire à Dupuylren, — en
s que dans l'état normal, les autres le sont autant. La flexion de la cuisse offre clans les deux cas la même amplitude ; Prav
ne soulève plus les parties molles de l'aine; mais, en fléchissant la cuisse , je la retrouve sur la face externe de l'os des î
us avons des signes de luxation évidente. Cette enfant est courte des cuisses , dont la longueur est réduite d'un cinquième ou d
titude particulière; c'est souvent une flexion et une adduction de la cuisse que le malade ne peut changer, et qui s'accompagn
ra cependant y avoir une ensellure lombaire causée par la flexion des cuisses , si la coxalgie a été double. (1) De l'orthomor
es différences dans la conformation, l'attitude, les mouvements de la cuisse . Cette condition ne me paraît point indispensable
ère. La réduction ne fut possible sur le cadavre qu'en imprimant à la cuisse un mouvement de flexion énorme. M. Malgaigne épro
Longtemps on a cru Dupuytren sur parole. Il ajoute qu'en refoulant la cuisse de bas en haut, on fait parcourir à la tête fémor
nte la claudication. Parfois aussi on voit une flexion permanente des cuisses , et l'ensellure lombaire est plus forte qu'elle n
er à cheval; il avait une ensellure lombaire énorme; l'écartement des cuisses était très-borné. J'ai pratiqué la section des mu
un appareil tendant à écarter les genoux. La flexion considérable des cuisses a été combattue par la section du tendon des psoa
e, me paraît présenter la complication que j'indique : la flexion des cuisses et leur adduction sont considérables; je ne puis
une coxalgie avec rétraction des muscles antérieurs et internes de la cuisse ; c'est un état qu'il faut traiter par les moyens
même sens étymologique que arpocpv), et Galien a dit diaslrophê de la cuisse , du rachis, pour désigner la courbure de ces part
iorem, brevius , varumque fit, et pes intus inclinatur (1). » « Si la cuisse est luxée en dedans, le membre est plus long que
lide, étendue du mollet à la fesse, maintient la jambe fléchie sur la cuisse ; à la naissance, il y avait même coniact de la cu
fléchie sur la cuisse; à la naissance, il y avait même coniact de la cuisse avec le mollet. Deux fois, à six semaines et à tr
uelles sont la conformation, la direction des os de la jambe et de la cuisse , leur longueur comparée à celle de l'autre membre
n lit dans Fernel qu'un soldat avait les os des jambes, des bras, des cuisses , mous et flexibles comme de la cire (1). Du temps
19. la jambe, Pavant-bras, avant le segment supérieur, le bras, la cuisse ; encore faut-il probablement faire une réserve po
ns le premier, du poids de la partie inférieure du membre, lorsque la cuisse est soulevée par l'action de ses muscles, du psoa
Les ligaments sont distendus; il se fait même des subluxations, à la cuisse , par exemple. Les genoux éprouvent deux sortes de
r, à l'avant-bras, le pectine, les premier et second adducteurs, à la cuisse , etc. Les muscles éprouvent encore des déplacem
res inférieurs sont tellement déviés, que les jambes forment avec les cuisses un angle droit saillant en dedans ; il y a un cro
il lui suffit de porter le bassin en arrière par la demi-flexion des cuisses et des genoux. Dans les cas graves, il n'en est p
ebout, de se reposer souvent couchée ou assise , le dos soutenu , les cuisses relevées, à demi-fléchies, pour ramener le haut d
utes celles qui produisent un certain degré de flexion permanente des cuisses , attitude dans laquelle les fémurs ne peuvent ê
ente une lordose lombo-dorsale causée par la flexion permanente de la cuisse ; en le faisant asseoir et courber en avant, vous
debout, le bassin se relève en arrière, à cause de l'obliquité de la cuisse en avant, et il se produit une lordose lombaire t
nt, à une certaine période de la maladie, d'appuyer les mains sur les cuisses pour se soustraire au malaise causé par la pressi
Marc-Aurèle Séverin (1) rapporte qu'une dame bossue ressentait à une cuisse de vives douleurs dont on la guérit en soutenant
29 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
le. Au contraire, la jambe gauche se maintenait en extension sur la cuisse ; par suite, le ma- lade était obligé d'imprime
mber sur le lit. Puis, les mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse étaient très limités, à gauche ; ainsi de ce cô
t par une rigidité spasmodique. C'est la flexion de la jambe sur la cuisse qui est la moins gênée. L'exaltation des réflex
eux membres inférieurs dénotent un certain degré d'émaciation de la cuisse et de la jambe gauche. Vous voilà au courant
à son segment sus-jacent : soit le bras avec l'avant-bras, soit la cuisse avec la jambe, soit le bras seul ou la cuisse seu
l'avant-bras, soit la cuisse avec la jambe, soit le bras seul ou la cuisse seule. L'hémimélie peut être unique, double, tr
rs, face antérieure du tronc et de l'abdomen, face antérieure de la cuisse gauche. Dans ces régions il existe également de
st impossible. Lorsqu'on maintient la malade par les épau- les, les cuisses sont écartées, légèrement fléchies sur les jambes
besogne, l'autre assis, le pied sur un billot de bois, soutenant sa cuisse gauche entre ses mains croisées (Fig. 3). Les
te, anesthésie à gauche, ne remontaient pas au-dessus du milieu des cuisses . Au bout de trois mois, le malade pouvait de no
la sensibilité est redevenue normale; les muscles du bras et de la cuisse ont récupéré leur intégrité fonctionnelle. Il est
téressait dans une mesure prépondérante les muscles rotateurs de la cuisse ; il existait toujours un peu d'hypoesthésie de ce
atrophie musculaire s'était reproduite; à droite, le pourtour de la cuisse mesurait 6 centimètres de moins et le mollet 4 ce
atient ne pouvait plus se servir de son membre inférieur droit ; la cuisse et la hanche étaient fixées en flexion légère.
isse le pied droit en avant, fléchissant légèrement la jambe sur la cuisse . Le pied en abduction repose sur le sol à la fo
est en rectitude, le pied droit en légère abduction. 'A gauche, la cuisse , qui repose sur le plan du lit par sa face intern
ntimètres au-dessus du plan du lit, et exé- cute un mouvement de la cuisse de dehors en dedans. A droite, les mouvements d
le mouvement inverse. Des mouvements de rotation se pas- sent à la cuisse . RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTIL
uvert en arrière. L'abduction est peu marquée. Les mouvements de la cuisse gauche sur le bassin'sont ceux d'un membre de p
e. Les poils en outre sont inégalement répartis, plus nombreux à la cuisse à droite qu'à gauche, à la jambe gauche qu'à la
postérieure que l'antérieure et les côtés, le cou, les fesses, les cuisses sur- x 24 338 CH. FÉRÉ tout à la face inter
onc, plus foncée encore à la base du cou et sur la face interne des cuisses s'élargissant graduellement en montant sur le cou
lose de la hanche droite. Atrophie des muscles de la fesse et de la cuisse . Circonférence : 15 centimètres au-dessus de la r
a cuisse. Circonférence : 15 centimètres au-dessus de la ro- tule ; cuisse droite, 42 centimètres ; cuisse gauche, 40 cent.
timètres au-dessus de la ro- tule ; cuisse droite, 42 centimètres ; cuisse gauche, 40 cent. 1/2; adipose con- sidérable de
imètres ; cuisse gauche, 40 cent. 1/2; adipose con- sidérable de la cuisse . Oiis. XII. Hémiplégie droite, aphasie, ankylos
membre inférieur, atrophie des muscles de la fesse. Circonférence : cuisse , 47 centimètres à droite, 46 centimètres à gauc
avec craquements de l'articulation de la hanche. Amyotrophie de la cuisse ; à gauche 40 centi- mètres ; à droite 40 centim
t à l'hémiplégie ; jambe droite contracturée en demi-flexion sur la cuisse . Arthrite- coxo-fémorale droite avec amyotrophi
Arthrite- coxo-fémorale droite avec amyotrophie de la fesse et de la cuisse particulièrement marquée au niveau du triceps :
énéralisée à tout le membre. Atrophie des muscles de fesse et de la cuisse . Circonférence, 15 cen- timètres au-dessus de l
la cuisse. Circonférence, 15 cen- timètres au-dessus de la rotule : cuisse droite, 43 centimètres ; gauche, 41 cen- timètr
iculation de la hanche. Atro- phie des muscles de la fesse et de la cuisse . Circonférence : cuisse droite, 35 ; cuisse gau
Atro- phie des muscles de la fesse et de la cuisse. Circonférence : cuisse droite, 35 ; cuisse gauche, 38, 15 centimètres
es de la fesse et de la cuisse. Circonférence : cuisse droite, 35 ; cuisse gauche, 38, 15 centimètres au-dessus de la rotule
ment sur les mus- cles de la fesse et de la partie supérieure de la cuisse . Chez tous aussi, l'articulation coxo-fémorale
IERRE JANET che nous donne comme circonférences principales : de la cuisse , à 15 cen- timètres au-dessus de l'interligne,
1/2. Les mêmes mesures sur la jambe droite donnent : longueur de la cuisse 38 centimètres, de la jambe 41 centimètres, en
ntimètres, de la jambe 41 centimètres, en tout 79 ; dimension de la cuisse aux mêmes points 43 et 44 centimètres, dimensions
1/2. En résumé la jambe gauche est plus courte de 9 centimètres, la cuisse gauche a toujours une circonférence plus grande q
onc par incurvation vertébrale. 378 E. BRISSAUD ET HENRY MEIGE La cuisse et la jambe sont très fortes. A première vue, la
assis par terre, la tête penchée en avant, les bras reposant sur les cuisses (Pl. XLIII). Lourdeur de tête plutôt que céph
losés (ankylose osseuse), dans la flexion,avec inclinaison des deux cuisses à droite et sail- lie des genoux du même côté,
de l'arthrite sèche. Le malade était resté les jambes pliées et les cuisses inclinées pendant la durée de la paralysie (2).
ncore une aiguille. Atrophie musculaire des jambes (PI.XLVIII). Les cuisses ont conservé leurvolume normal qui contraste fo
roies fixent ses genoux et lui donne un solide point d'appui sur la cuisse ; UN JOB MODERNE Atrophie musculaire chez un
roniers, créant des pieds-bots de formes variées. Les muscles de la cuisse , les fessiers, ceux de la ceinture scapulaire p
croisées sur la poitrine, sa tunique rele- vée pour montrer sur la cuisse gauche mise à nu une plaque rouge, pro- bableme
tiste a figuré la lésion cutanée sur la face su- péro-externe de la cuisse , contrairement à la tradition qui représente, con
érée. Le pied énorme, tuméfié à l'excès, n'a plus forme humaine. La cuisse au-dessus du genou, est en- tourée de linges. L
. LI. D.) Un vêtement sommaire couvre ses épaules et ses reins ; sa cuisse gau- che est entourée de linges. Mais tous ses
30 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
dans un accès; 3 de mammite ; l (le panaris; 1 de fracture de la cuisse ; 1 de fracture de l'avant-bras .- 1 d'en/.o ? '
ment palmés, ongles bien plantés. Membres inférieurs assez longs, cuisses fermes, jambes grêles ; pieds courts et plats.
de flammes. Quand on le secourut, on vit qu'il avait la main et la cuisse droites profon- dément brûlées. Il dut rester a
ée, quelques poils roux. Anus normal. Les bras, les avant-bras, les cuisses et les jambes sont recouverts d'un léger duvet.
sur la gauche, la main et l'avant-bras dans une légère flexion, la cuisse dans une légère flexion sur le bassin, la jambe
gère flexion sur le bassin, la jambe dans une légère flexion sur la cuisse . Première dent à 11 mois, dentition complète à
préhension est nulle. Membres inférieurs. Forme et volume normaux. Cuisse fléchie sur le bassin, jambe fléchie sur la cui
volume normaux. Cuisse fléchie sur le bassin, jambe fléchie sur la cuisse , le pied est en position normale sur la jambe.
r une chaise, on lui commande d'étendre à moitié les jambes sur les cuisses en laissant toutefois reposer ses pieds sur le
ol. Les jambes doivent alors former un angle obtus il 135° avec les cuisses . On conseille au malade de ne pas se raidir, de
de est couché, pour rechercher le réflexe, on passe la main sous la cuisse du malade, on soulève légère- ment celle-ci en
lâchement. Si l'on percute alors le tendon, la jambe s'étend sur la cuisse . Re/7exe contralateral des adducteurs (P. Marie
cherche du réflexe rotulien en lui faisant z écarter légèrement les cuisses . On voit alors il chaque per- cussion du tendon
l chaque per- cussion du tendon rotulien une adduction légère de la cuisse du côté opposé. Ce réflexe n'est bien apparent
place une des deux jambes, la droite par exemple, en flexion sur la cuisse et la cuisse en abduction. On percute alors le
deux jambes, la droite par exemple, en flexion sur la cuisse et la cuisse en abduction. On percute alors le tendon rotuli
percute alors le tendon rotulien gauche en soulevant légèrement la cuisse du malade, il se produit uue extension de la ja
droit le réflexe contralatéral qui consiste en une adduction de la cuisse . Réflexe achillèen. Le réflexe du tendon d'Achi
ie11. On chatouille avec une épingle la peau de la face interne des cuisses , on voit une élévation du testicule du côté cor
ondant. On doit pratiquer cet examen successivement sur chacune des cuisses pour observer chacun des réflexes. On peut les
façon à comprimer les masses muscu- laires de la face interne de la cuisse au-dessus du genou. Réflexes abdominal et niga.
de une des positions suivantes : a. Debout le bassin fléchi sur les cuisses , le corps penché en avant, les jambes éloignées
ûlure assez profonde sur la partie moyenne de la face externe de la cuisse droite (18 mars). Le Icr avril, alors que la pl
ance, pas d'hé- nmrrhoides. Bras glabres, avant-bras poils follets; cuisses glabres. Membres supérieurs et inférieurs bie
- tain plaisir, elle cause beaucoup mieux et mange facilement une cuisse de poulet apportée de chez elle. T. lt. 37° le ma
t se tenir debout. Il reste généralement assis sur une chaise. La cuisse est légèrement fléchie sur le bassin, la jamb
grêles ; le malade étant suspendu aux bras de l'infir- mière, les cuisses sont légè- rement fléchies sur le bassin, les
sses sont légè- rement fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses . Les pieds sont en équin très accusé ; les ge
- dit aucun mot. 1902. Ja)it;t'e) ? La contracture a augmenté : les cuisses et les jambes sont plus fléchies qu'autrefois,
urs s'est encore accentuée et a atteint le maximum possible : les cuisses sont fléchies de telle sorte que leur face antéri
n et que les jambes sont appliqués contre la face postérieure des cuisses . Le pied reste en attitude normale. Les membres
s joues, du nez, des paupières. Quant aux membres inférieurs, les cuisses sont compléte- ment fléchies sur le tronc, et l
la tête de l'humérus. Les jambes sont complétement fléchies sur les cuisses , collées contre elles, le talon reposant sur le
31 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
d'une sciatique double, avec hypoesthésie diffuse aux jambes et aux cuisses , atrophie muscu- laire sans altération des réac
érable de tous les segments du membre inférieur droit (pied, jambe, cuisse ), simple paré- sie pour tous les segments du ga
ésie pour tous les modes sur la partie antérieure des genoux et des cuisses ; léger oedème de la moitié inférieure de la jamb
assise, se tient renversée en arrière et les mains appuyées sur les cuisses . On ne trouve d'ailleurs aucune atrophie des gr
eux entre à l'hôpital pour des douleurs ayant siégé d'abord dans la cuisse gauche, 4 mois auparavant, et occupant actuelle
ns la cuisse gauche, 4 mois auparavant, et occupant actuellement la cuisse droite, avec irradiation jusqu'au milieu de la
n des mouvements de flexion, et à un moindre degré, d'abduction des cuisses , flasque, avec abolition des réflexes tendineux
e 4, 1895. 66 MAGALHAES LEMOS déformé, à cause de la grosseur des cuisses , qui sont en contact, il semble trop long, ce q
La malade est atteinte de paraplégie avec contracture en flexion des cuisses sur le bassin, et de la jambe sur la cuisse. L'
racture en flexion des cuisses sur le bassin, et de la jambe sur la cuisse . L'ankylose des articulations est com- plète et
au niveau des fesses, qui sont très proéminentes, et au niveau des cuisses et des jambes, où les reliefs muscu- laires son
peu la limite qui sé- pare le tiers supérieur du tiers moyen de la cuisse . Dimensions des différents segments des membres
ident. Les bras devraient être plus courts que les avant-bras ; les cuisses plus courtes que les jambes, ce qui n'est pas c
enu recurvatum . FiG. 1. Pieds, aspect extérieur. 142 KLIPPEL Cuisses à peu près normales. Membres inférieurs.- l'axe
inférieurs.- l'axe total du membre est en Z de baïonnette Axe de la cuisse , oblique en dedans. Axe de la jambe, oblique en
IMITIVE PROGRESSIVE loi 7 Il est à remarquer que l'anesthésie de la cuisse est limitée devant par une ligne courbe qui pas
ou à la pression, ont à peu près la même topographie. 158 NOICA cuisses . De même sur le dos des mains et sur la peau des
'oreille gauche. Il en existe au thorax, à l'abdomen, aux bras, aux cuisses , plus nombreuses d'une façon générale en arrièr
i et des secousses spas- modiques dans les masses musculaires de la cuisse et du'mollet : aphasie sen- sorielle, pas d'hém
des fléchisseurs. Bientôt, les jambes se placent en adduction, les cuisses en flexion sur le bassin, les jambes en flexion
les cuisses en flexion sur le bassin, les jambes en flexion sur les cuisses , les pieds en extension. La palpation des muscl
t s'accomplir complète- ment, la jambe forme un angle obtus avec la cuisse , les muscles posté- rieurs sont tendus et saill
et l'aspect de la malade caractéristique. En décubitus latéral, les cuisses complètement fléchies sur le bassin, les jambes
-mêmes, le mollet entrant en contact avec la face postérieure de la cuisse , les talons touchant les fesses, le tronc incurvé
s, du quadriceps fémoral, du groupe postérieur de la jambe ou de la cuisse fait pousser des cris au malade, on peut ma- la
dérable portant surtout sur les mollets et la partie inférieure des cuisses , permettront d'exclure une altération médullair
es plus scléreux sont naturellement ceux du groupe postérieur de la cuisse (biceps, demi-membraneux, demi-tendineux) et de l
che (6 cent. de largeur). Il y a un peu d'atrophie musculaire de la cuisse (38 à droite, 40 à gauche à la région moyenne) et
normale au bras ; diminuée un peu dans les muscles antérieurs de la cuisse , davantage dans les adducteurs, davantage encore
s adducteurs, davantage encore dans les mus- cles postérieurs de la cuisse ; abolie dans les muscles de la jambe. NOUVELLE
traction lente dans le biceps et tous les muscles postérieurs de la cuisse ; diminution et contrac- tion lente dans les mu
r, des adducteurs, du biceps et un peu des muscles antérieurs de la cuisse ; . L'excitation de la plante du pied provoque
u très allongée, réparties surtout sur le dos, sur le bras et sur les cuisses , ayant des dimensions très variables, depuis ce
étaient normaux : ceux de la face postérieure de la jambe et de la cuisse présentaient des lésions analogues à celles de
les filets cutanés examinés au niveau de la face postérieure de la cuisse et du genou, un ou deux seulement d'entre eux (
galement quelques libres fines dégénérées. Les autres nerfs examinés ( cuisse , fesse) étaient normaux. Chez le chien VIII,
ires cutanés, les nerfs de la face postérieure de la jambe et de la cuisse , les nerfs de la queue. Examens histologiques.
égénérescence des nerfs de la face postérieure de la jambe et de la cuisse , soit exclusivement dans le territoire cutané de
, à' ! a croupe, au périnée, à la queue, aux faces postérieures des cuisses et des jambes, à la région plantaire. Examens
côté droit, en aucun des filets des dif- férentes régions (plante, cuisse , périnée, queue). En une préparation sur six de
de la queue, de la fesse, du périnée, de la face postérieure de la cuisse et de la jambe. Examens HISTOLOGIQUES. Les gang
vons pu examiner que les nerfs cutanés de la face postérieure de la cuisse et du genou. Nous n'avons trouvé sur les dissoc
es fesses, de la fosse ischio-rectale, de la face postérieure de la cuisse et du genou, des deux côtés. Examens histologiq
t pu être examinés. Dans les filets de la peau de la fesse et de la cuisse gauche, nons n'avons pas noté de dégénérescence
obre 1901). Etat actuel. - A l'inspection,le malade se présente les cuisses en forte ad- duction et les genoux fléchis : Il
un peu l'attitude des coxalgiques. Les XIX 23 346 GIUNIO CATOLA cuisses sont de même un peu fléchies sur le bassin. Les p
'l'attitude décrite ; on arrive avec peine à écarter un peu les deux cuisses ser- rées l'une contre l'autre. Les membres inf
res supé- rieurs et du tronc ; elle est très émoussée au niveau des cuisses et disparaît totalement au niveau des genoux. M
au niveau des membres supérieurs. Diminution de la sensibilité aux cuisses et aux genoux. Sens stéréognostique aboli tandi
l'aide des mains. 354 GIUNI0 CATOLA La flexion, l'extension de la cuisse et de la jambe sont abolies. L'abduction est nu
cutanés. Le malade présente sur le tronc, la face posté- rieure des cuisses , la région deltoïdienne, la région maxillaire inf
s, en particu- lier nous signalons celle de la face postérieure des cuisses qui s'étend également sur les fesses, mais ne g
stèrent à peu près stationnaires. A cette époque, il se fracture la cuisse droite en luttant avec un camarade, fait un séj
à l'hôpital. Pendant sa convales- cence, il se casse de nouveau la cuisse droite en tombant d'une chaise et fait un secon
notable du tendon de l'ex- tenseur du gros orteil. Les muscles des cuisses , sans être nettement atrophiés sout cependant p
ans être nettement atrophiés sout cependant peu développés ; sur la cuisse droite (ancienne fracture) les masses musculair
suite d'un léger degré de varus. <; 'J La force musculaire des cuisses et des jambes est assez développée. Les mus- cl
genou gauche, il reporte la sensation à la moitié supérieure de la cuisse . Dans les parties où la sensibilité tactile com
des lésions nous prendrons le tronc du sciatique à mi-hauteur de la cuisse . , A un faible grossissement on remarque que l'
xtrêmement prononcé. Atrophie extrême des muscles des jambes et des cuisses plus marquée à la périphérie. Atrophie des membre
spèce de douleur. Pendant plusieurs anuées, elle a souffert dans la cuisse gauche de douleurs ayant tous les caractères de
s : Contractilité faradique abolie dans les muscles des jambes, des cuisses et des mains, diminuée aux avant-bras. La contrac
une paraplégie complète aux pieds et aux jambes, moins marquée aux cuisses , prédominant dans les fléchisseurs des divers seg
Légère hyperesthésie diffuse à la face antérieure des genoux et des cuisses . Léger oedème péri-malléolaire droit,pas de troub
32 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
scris de nouveau 20 sangsues, 2 vésicatoires, à la partie interne des cuisses . Potion calmante avec 1 grain extr. gomm. thébaïq
elé des masses de mélanose développées dans le tissu musculaire de la cuisse d'un cheval. 11 fallut une énorme quantité de liq
ce vice de conformation. Les jambes, au lieu d'être fléchies sur les cuisses , sont dans l'extension; les pieds PD, PG sont arc
quable : c'était une flexion de la jambe sur la face antérieure de la cuisse , un diastasis congénial du genou tel que les extr
és avec le plus grand soin, et voici les résultats de cet examen : La cuisse du côté difforme était à peu près du même volume
le cas actuel, les jambes, au lieu d'être fléchies en arrière sur les cuisses , sont restées étendues et appliquées sur la parti
tement qui, en s'opposant à l'écartement des pieds, des jambes et des cuisses , a pu déterminer la compression latérale du bassi
ière, « cette tumeur se prolonge sur le faisceau postérieur gauche ou cuisse de la moelle allongée qu'elle comte prime, mais s
uche, avait comprimé et déjeté à droite la protubérance annulaire, la cuisse gauche de la moelle allongée et le bulbe rachidie
mplacés par des caillots de sang, dans les muscles des mollets, de la cuisse chez les scorbutiques : j'en ai rencontré dans la
s infiltré ou ramassé en foyer, occupant les jambes et s'étehdant aux cuisses . Réflexions. — La déformation qu'a subie le foi
e grande pesanteur, un engourdissement qui se prolongeait le long des cuisses , des jambes et des pieds. Il attribua cet état à
s et les matières fécales s'étaient échappées involontairement. Les cuisses et les jambes sont sans mouvement, chaudes sans s
ade, survient un sentiment de pesanteur et d'engourdissement dans les cuisses , les jambes et les pieds : une heure après, invas
les évacuations sanguines. (Deux vésicatoires à la partie interne des cuisses .) —Le 2, pouls excessivement grêle; moiteur froid
rticulièrement aux genoux, qui sont rouges, tuméfiés, fléchis sur les cuisses , et qu'on est obligé de maintenir dans cette posi
res et temporo-maxillaires. Au milieu des muscles postérieurs de la cuisse , amas de matière crétacée gros comme une noisette
membres rares et faibles : le plus souvent décubitus sur le dos, les cuisses fléchies sur le bassin. De temps en temps, convul
Un abcès considérable occupait le tissu cellulaire sous-cutané de la cuisse gauche. La tumeur hypogastrique était une tumeur
marcher un malade qui aurait un foyer de sang dans l'épaisseur de la cuisse ou de la jambe? Tout le temps que le travail d'
la base. (Saignée au bras; deux vésicatoires à la partie interne des cuisses .) Le lendemain, la sensibilité de la peau est r
eaucoup à me louer des vésicatoires appliqués à la partie interne des cuisses ; et, depuis cette époque, cette région est pour m
phre, de musc et de nitre ; deux vésicatoires à la partie interne des cuisses .) Le 27 , il est moins mal; oppression moindre; p
(Deux sinapismes aux pieds; deux vésicatoires à la partie interne des cuisses . Potion camphrée nitrée.) Mort pendant la nuit.
usion de camomille.) — Le 28, prostration extrême. (Vésicatoire à une cuisse . Extrait de quinquina, demi-gros. ) Mort pendant
e, tendant à la péritonite. Deux vésicatoires à la partie interne des cuisses ; gomme arabique édul-corée , quart de lavement av
lles, à la Salpêtrière, une femme qui portait à la partie interne des cuisses 5 ou 6 productions cornées conoides d'un pouce à
ulant découvrir sur un cadavre l'artère fémorale au tiers moyen de la cuisse , et soulevant à cet effet le bord interne du musc
sous de la gaine du muscle couturier et occupait le tiers moyen de la cuisse . Voulant étudier la position de l'artère et de la
s plaquées de rouge: ils étaient tellement identiques à l'abcès de la cuisse , que je voulus m'assurer s'ils ne présentaient pa
la Maison royale de Santé un jeune allemand qui avait un œdème de la cuisse tellement douloureux, que je crus d'abord à une i
nte ; expectoration nulle : deux vésicatoires à la partie interne des cuisses . Mort le 9, vingt-huit jours après l'accouchement
it d'ailleurs aucun des caractères de la gangrène. Amputation de la cuisse a la suite d'un coup de feu. Le douzième jour, ac
ment amputé à la réunion du tiers moyen avec le tiers inférieur de la cuisse . Tout se passe à merveille pendant les douze prem
e âgée de 55 ans, qui portait à la partie supérieure et interne de la cuisse , un lipome énorme qui simulait un second ventre.
dense, infiltré et injecté. Au niveau des deux tiers supérieurs de la cuisse , aucune trace d'inflammation ou de fluxion quelco
re , avec de lafarine de moutarde ; frictions à la partie interne des cuisses et sur l'abdomen, avec une once d'onguent napolit
le plus parfait d'intégrité. F'ésicatoires à la partie interne des cuisses . Synapismes. Frictions avec trois onces d'onguent
l'acquit de ma conscience, deux vésicatoires à la partie interne des cuisses , huit grains de kermès minéral dans une potion. E
dent. Prescription : Cataplasmes synapisés ci la partie interne des cuisses . Potion avec camphre et éther. Mort pendant le
ate de quinine, 12 grains. Deux vésicatoires ci la partie interne des cuisses . Le 13, délire violent qui oblige de fixer la m
r tout aliment, et sur-tout deux vésicatoires à la partie interne des cuisses : c'est à ce dernier moyen que je rapporte en gra
la nuit. Prescription : Deux vésicatoires ci La partie interne des cuisses . Décoction blanche. Un quart de lavement avec dia
aitement consiste en de nouveaux vésicatoires à La partie interne des cuisses . Décoction blanche. Synapismes promenés le long d
e. Potion avec 12 grains de sulfate de quinine; deux vésicatoires aux cuisses ; limonade édulcorée. L'angoisse, les cris, l'agi
pieds, et s'étendent plus ou moins rapidement à ceux des jambes, des cuisses , de l'extrémité supérieure, aux parois abdominale
plante des pieds et s'étendent aux mollets, puis au côté externe des cuisses . Appelé à sept heures du soir, je trouvai la mala
t , crampes qui parcourent successivement les pieds, les jambes , les cuisses et les doigts. A la suite de ces crampes , le pou
eure trois quarts ; tout-à-coup , crampes dans les jambes et dans les cuisses : la respiration s'accélère; l'altération de la f
tout le corps; rigidité dans les membres; flexion des jambes sur les cuisses , et de celles-ci sur le bassin; un peu d'écume so
lériques: en même temps froid, face violacée, crampes des jambes, des cuisses et des poignets.Un médecin appelé prescrit des bo
e du corps. Vésicatoire le long du rachis et ci la partie interne des cuisses . Sangsues et ventouses à l'épigastre. Frictions a
n et la glace. Bain entier. Deux vésicatoires à la partie interne des cuisses . Sinapisme sur V épigastre. Du 14 au 16 , face
A soulever le muscle pectine , ce qui serait facile en maintenant la cuisse dans la demi-flexion. 3° A inciser la lame apon
urines sont involontaires. Deux vésicatoires à la partie interne des cuisses ; décoction de cpiinquina. Le lendemain, stupeu
uvre femme qui avait une incontinence d'urine. Elle portait entre les cuisses une tumeur sphéroïdale , du volume de la tête d'u
se située à l'hypogastre et accompagnée de varices considérables à la cuisse . La tumeur abdominale était formée, dit-il, par d
veau des sillons et sécrètent un liquide d'une odeur désagréable. Les cuisses sont à demi-fléchies sur l'abdomen, les jambes su
e. Les cuisses sont à demi-fléchies sur l'abdomen, les jambes sur les cuisses , et les orteils sont manifestement inclinés vers
s dans Varticulation du genou et dans le tissu cellulaire libre de la cuisse et de la jambe. Inflammation des vaisseaux lympha
es phlyctènes se remarquent à la face postérieure de la jambe et delà cuisse . La malade se plaint de la gorge : une couche pse
ais que nous trouverions une collection de pus dans l'épaisseur de la cuisse et delà jambe, entre les muscles et l'os ; mais j
cartée. Saisi par le froid, il éprouve une douleur vive dans toute la cuisse : on crut à une simple douleur rhumatismale. Bi
vasion, A l'ouverture , on trouva que le tissu cellulaire de toute la cuisse avait été envahi par la suppuration: les muscles
axonge camphrée. Bains de siège; 12 sangsues ¿1 la partie interne des cuisses , potion calmante. Le 25, pour la première fois,
re avait consisté dans des sangsues, des bains, deux vésicatoires aux cuisses , deux sinapismes. Diagnostic. En rapprochant l
uleurs à des vésicatoires appliqués la veille à la partie interne des cuisses . La persistance des accidents, le tableau des c
tifs, des demi-bains gélatineux , la suppression des vésicatoires aux cuisses qui seraient remplacés par un vésicatoire à la nu
ion, et donna pour motif de son entrée à l'hôpital une fracture de la cuisse gauche qu'elle s'était faite en voulant se lever
er de dessus sa chaise. On reconnut en effet au tiers inférieur de la cuisse , de ce côté, une fracture avec saillie en dehors
ur. Comme on se disposait à lui appliquer l'appareil des fractures de cuisse , on sentit une crépitation manifeste à la partie
e spontanée qui se déclara à la partie antérieure et supérieure de la cuisse , et qui, d'abord circonscrite, s'étendit bientôt
'extrême; décubitus sur le côté gauche; le tronc courbé en avant; les cuisses fléchies sous le ventre; tous les muscles sont da
place à la résolution (Dix sangsues aux jugulaires; vésicatoires aux cuisses ; glace sur la tête; tisane de tamarin avec additi
33 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
temps que l'ascension du tes- ticule il se produit la flexion de la cuisse sur le bassin. Les réflexes abdomi- naux sont e
ieux décrit autrefois par Tardieu sous le nom d'infundibulum. Les cuisses sont épaisses, la convergence des fémurs accusée.
Cie, Éditeurs. GIGANTISME acromégalique 12-1 Circonférence de la cuisse 0,1 du bord supérieur de 128 GALLAIS Nous som
ngue du cabinet de consultation, se cambre, se renverse, écarte les cuisses , croise les jambes et cache de ses bras son vis
développés. Les mains pendantes le long du corps, atteignent sur la cuisse un point situé à cinq centimètres au-dessus de la
tissu cellulo-adipeux était extrêmement développé aux fesses et aux cuisses (la circonférence maximum de la cuisse est de 0 m
développé aux fesses et aux cuisses (la circonférence maximum de la cuisse est de 0 m. 59). Mais il y a aussi une couche a
amment à la partie inférieure de l'abdomen et sur la face interne des cuisses , la pigmentation s'accentue. Il n'y a pas à son
3 ans, est tombé 168, nui'ouï avec son cheval qu'il a reçu sur la cuisse droite ; a présenté consécutivement de l'hémart
cen- timètres. Mollet gauche, 34 cent. 5; à droite, 34 cent. 5. Cuisse gauche, à 20 centimètres de la rotule, 43 centimè
est presque normale à droite, tandis qu'elle est diminuée à gauche ( cuisse et jambe). Réflexes tendineux abolis aux membre
ession. Troubles vaso-moteurs. - Refroidissement des extrémités. La cuisse et la jambe gauches sont plus froides que la cu
extrémités. La cuisse et la jambe gauches sont plus froides que la cuisse et la jambe droites. Sphincters. - Pas de troub
du cubital et la ;branche cutanée superfi- cielle du radial ; à la cuisse , les troncs du crural et du sciatique ; à la jamb
ux membres inférieurs, une parésie des muscles de la jambe et de la cuisse , prédominante à gauche. Contractions fibrillaires
ntre et 7 ans par les muscles des jambes, extension consécutive aux cuisses et aux membres supérieurs. Abolition des réflex
ns ; extension aux muscles de la jambe, de la face antérieure de la cuisse , de l'avant-bras. Abolition des ré- flexes tend
sont particulièrement mous au mollet et à la face postérieure de la cuisse . Les troubles moteurs sont toujours limités à la
re, il est tombant et ballant, la jambe ne peut être fléchie sur la cuisse , par contre elle peut être étendue avec force ; d
cuisse, par contre elle peut être étendue avec force ; de même à la cuisse ,les mouvements d'extension sur le bassin, d'abduc
ée gauche et il existe à la fesse et il la partie postérieure de la cuisse de l'anesthésie tactile douloureuse et thermique.
développées qu'à gauche (PI. XLVI). Les masses musculaires de la cuisse droite sont atrophiées, comme on le voit par le
26 VMINGAZZ1N1 pas à étendre complètement la jambe, ni à fléchir la cuisse (lorsque la jambe est étendue). Lorsqu'il est
ques an- nées de distance, également une atrophie des muscles de la cuisse . A gauche, aucun signe d'atrophie, sauf la tend
rtie aussi, l'abducteur du pouce, les fessiers et les muscles de la cuisse . Qu'on ajoute à cela, qu'il n'y a pas de trembl
supérieurs, et quel- ques années encore après, les fléchisseurs des cuisses s'affaiblirent, tout à fait comme dans le cas p
ulien était aboli bien qu'il n'y eût pas diminution de volume de la cuisse . Marinesco (1) ne croit pas que, pour expliquer
du tendon d'Achille s'y étaient conservés, bien que le volume de la cuisse eût déjà diminué. Malgré les recherches que j'a
ueur de la crête tibiale est légèrement rugueuse et irrégulière. La cuisse droite parait légèrement augmentée de volume dans
èrement écartés et l'extrémité des pieds est tournée en dehors : la cuisse et la jambe paraissent ne faire qu'un et décriv
le malade fauche. Quand les membres inférieurs sont rapprochés, la cuisse et la jambe droites forment ensemble un arc don
ar exemple (2) signale chez une malade une contusion sérieuse de la cuisse atteinte, mais il n'accorde pas d'importance à ce
ux. Il s'asseoit dans son lit, les jambes pliées légèrement sur les cuisses , les mains sur les genoux. Après avoir refusé d
au de la région lombo-sacrée et en avant sur la face antérieure des cuisses et des jambes. Ici, on dirait qu'elle est plus ma
la région lombaire ; elles se prolongeaient vers les fesses et les cuisses , et ne lui permettaient pas de faire le moindre m
a- lade voulut se lever; elle était ankylosée des hanches, avec les cuisses fléchies sur le bassin. Elle calcule que cet ét
; elle avait à ce mo- ment 38 ans d'âge et 23 ans de maladie. Des cuisses au sommet de la tête; elle est comme constituée d
et exten- sion, inclination latérale, rotation, sont abolis. Les cuisses , en demi-flexion et demi-abduction forcées et per
sale sur des coussins. Cou- chée, si on la prend solidement par les cuisses , il est facile de la tourner et retourner, d'un
s accentuée ; la distance verticale du menton au plan supérieur des cuisses est de 28 centimètres. L'épaule droite est doul
ieures sont en contact avec les côtes libres. La malade regarde ses cuisses . Les articulations des genoux et des coudes, an
iée comme un portefeuille ; son menton est venu se placer entre les cuisses , et comme l'ankylose de la tête est en ex- tens
32 grammes. Le panicule adipeux atteint à la face antérieure de la cuisse 3 cm. 5. L'artère fémorale contient de nombreus
reste du corps. L'oedème aurait envahi; par étapes, les jambes, les cuisses et les fesses. Elle est examinée et traitée à L
rophie. La petite lèvre droite est nettement visible entre les deux cuisses . Les membres inférieurs sont volumineux et inég
Les membres inférieurs sont volumineux et inégalement déformés. La cuisse droite est surtout augmentée à sa partie supéri
hypertrophie du membre inférieur gauche, surtout à la fesse et à la cuisse , l'emporte de beaucoup sur l'hypertrophie corre
rieur gauche est plus massif que le droit, on remarque que c'est la cuisse gauche surtout qui est très développée. Enfin l
a disposition segmentaire de la tuméfaction limitée aux jambes, aux cuisses et aux fesses, la marche ascendante^de l'affect
ce de godel t sous la pression du doigt, la forme cylindrique de la cuisse , l'absence de phénomènes douloureux et de cause
la poitrine. La taille rappelle celle d'une guêpe. Les fesses, les cuisses et les jambes ont un développement anor- mal.
e sa plastique spéciale (région des flancs, face supéro-externe des cuisses , pourtour du genou). C'est dans ces régions que
x divers degrés d'embonpoint. Chez l'une, les plis de la peau, à la cuisse , suivant les endroits pincés, étaient de 4 à 5 ce
34 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
it ; vomitif : ipéca. Au niveau du tiers inférieur et interne de la cuisse gauche, on trouve deux indurations sous-cutanée
lions inguinaux à gauche. La peau, .au-dessus des indurations de la cuisse , est moins rouge (hier frictions mercurielles s
s de la cuisse, est moins rouge (hier frictions mercurielles sur la cuisse ). - 14 oct. Suppression du bromure d'arsenic. A
tre sur l'Aimant de la thèse Bricon). 15 oct. Les indurations de la cuisse gauche diminuent ; la peau, à leur niveau, n'es
ouvre est re- couverte de légères pellicules. Les indurations de la cuisse gauche persistent toujours sans douleur ni roug
ée. 28 oct. La plaie de la langue va mieux; les indurations de la cuisse gauche et du cou ont complètement disparu, laissa
, brunes de la peau dont une, siégeant à la partie supérieure de la cuisse , présente en son centre une tache blanche comme
rcussion ne révèlent aucune lésion. A la partie antérieure des deux cuisses , on remarque des plaques rouges, larges environ
s plaques et surtout des points au tiers inférieur et interne de la cuisse , aux mollets et au pénil ; à leur niveau, se tr
arsu et Filliet. Fig. 1. - Ovale brisé. Fiq. 2. - Pli-cri pour la cuisse et la jambe. Fig. 3. - Pièce pour l'oreille.
persistent; elles sont surtout marquées à la face postérieure de la cuisse gauche et à la bouche, où elles sont presque co
rd externe du radius. Rien au cubitus. Membre inférieur droit. - La cuisse paraît un peu plus incurvée en dedans que celle
tent également deux petites aspérités. Membre inférieur gauche.A la cuisse , deux exostoses de la grosseur d'une aveline si
matin. - On applique un aimant en fer à che- val le long de chaque cuisse . 10 h. 45. - La sensibilité est revenue dans le
evenue dans les membres inférieurs en procédant de haut en bas, les cuisses d'a- bord, puis les jambes et enfin les pieds ;
il percevait la sensa- tion d'un courant d'air passant le long des cuisses . Au sur et à mesure que la sensibilité reparais
qu'affaiblie; en certains points (cuir chevelu, face externe de la cuisse ), les fortes piqûres sont seules perçues; le ch
r violacée des fesses avec large desqua- mation épidermique sur les cuisses . D'habitude la parole est assez libre, maintena
ie inférieure de l'abdomen, petites papules sur la face externe des cuisses et la partie inférieure du dos. Membres inférie
35 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une à la partie anté- rieure, l'autre à la partie postérieure de la cuisse , la troisième au 10 PATHOLOGIE NERVEUSE. nive
supérieur se terminant en arrière à l'omoplate. Anes- thésie de la cuisse , de la partie postérieure de la jambe. Anesthé-
, soit par des oscillations rythmiques perceptibles surtout dans la cuisse ; le trouble de la locomotion peut entraîner la
e la totalité du membre, soit d'un segment de ce membre, jambe ou cuisse , dans son entier. Elle ne prédomine point, ou d
e, -la gauche reste complètement paralysée ; les mouvements de la cuisse se faisaient normalement. Fistule vésico-vaginale
est inerte dans la flexion et ne peut être relevé spontanément. La cuisse , qui avait été doulou- reuse au début, revient
aissance, qu'elle avait perdue depuis la délivrance. La jambe et la cuisse pouvaient remuer, mais non le pied ni les ortei
bout de quinze jours, l'électrisation ramène les mouvements dans la cuisse droite, la jambe restant paralysée et insensible
bientôt place à une véritable paralysie de la jambe et du pied. La cuisse se fléchit sur le bassin; la pointe du pied se
membre inférieur gauche. Mouvements possibles dans la hanche et la cuisse . Redressement du pied impossible; il tombe, sem
s la même influence \ les muscles de la région postérieure et de la cuisse réagissent éner- giquement. » On constate tou
eure de la fesse gauche. Il n'y eut point alors de douleurs dans la cuisse ni la jambe. Le traitement consista uniquement
e dans laquelle le sciatique se trouve facilement comprimé entre la cuisse et la chaise. Le malade n'était à peu près à so
t indirecte. Il existe un léger degré de diminution de volume de la cuisse et de la jambe du côté gauche, à peine apprécia
ne d'un demi-centimètre en ce qui concerne la cir- conférence de la cuisse et de la jambe gauches comparativement avec le
région était enflée et violacée. A ce moment, pas de douleurs à la cuisse ni à la fesse. Depuis l'âge de vingt ans jusqu'
use de la douleur, l'adduction et l'abduction presque nulles ; à la cuisse , la résistance est conservée. Il n'y a pas d'at
résistance est conservée. Il n'y a pas d'atrophie des muscles de la cuisse ni de la fesse. - Pas de troubles hophiques. - Au
ibilité au tact conservée. Sensibilité ci la douleur conservée à la cuisse , atténuée à la face externe de la jambe, exagérée
s vagues dans les membres inférieurs, et particulière- ment dans la cuisse droite. La sciatique actuelle a débuté il y a d
Actuellement, le malade souffre dans la partie postérieure de la cuisse et dans le mollet droit.Il existe un certain nomb
plus vague, quoique non complètement absente. Pas d'atrophie de la cuisse ni de la jambe. L'épaisseur de la couche adipeu
ais sans'disparaître. Trois ans après, les douleurs s'étendent à la cuisse . Il parait donc établi que la douleur a été en
: le point péronier, divers points sur le trajet du sciatique; à la cuisse , le point fessier, le point trochan- térien ; u
ments dans le pied, la jambe et surtout la région postérieure de la cuisse . On constate un amaigrissement général du membr
n constate un amaigrissement général du membre inférieur droit.A la cuisse la circonférence mesure 1 centimètre et demi de
uvement et la résistance sont bien conservés dans les muscles de la cuisse , bien qu'il y ait un certain SUR UNE COMPLICATI
faiblesse des fléchisseurs de la jambe et de quelques muscles de la cuisse , avec un amaigrissement en masse assez marqué d
du pied et point plantaire. La pression en masse des muscles de la cuisse et de la jambe est sensible. La recherche des
us ou moins généralisé à tout le membre. La jambe se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'angle droit et la cuisse se relève in
mbre. La jambe se fléchit sur la cuisse jusqu'à l'angle droit et la cuisse se relève incomplètement vers l'abdomen. L'abdu
cuisse se relève incomplètement vers l'abdomen. L'abduction de la cuisse s'exécute mieux que l'adduction; le malade croise
'exécute mieux que l'adduction; le malade croise difficile- ment la cuisse droite sur celle du côté opposé. 1 Les mouvemen
n degré de parésie, il existe aussi de la contracture; la jambe, la cuisse , le pied ne présentent aucune flaccidité; par-
ubles de la sensibilité que le reste du membre, c'est-à-dire que la cuisse et la partie postéro-interne de la jambe, trouble
deux zones d'étendue iné- gale : la première, qui comprend toute la cuisse , la face interne et postéro-interne de la jambe
n et de flexion , directes du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse , et de la, cuisse sur .le bassin. Ils ressemble
directes du pied sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, et de la, cuisse sur .le bassin. Ils ressemblent beaucoup à la tré
se voit obligé, sans pouvoir s'y opposer, de fléchir violemment la cuisse sur le bassin, l'étendue de cette tlexion de la
cousse. La succession de plusieurs secousses rapproche davantage la cuisse de l'abdomen, mais elle reste divergente en deh
s'est depuis répété et a été suivi de flexion de la jambe et de la cuisse droites. Enfin en mars 1882, à la suite de reto
RAPIE ET DE THÉRAPEUTIQUE 261 L frottement la partie supérieure des cuisses du malade. La bai- gnoire est ainsi partagée en
fection actuelle débute le 23 janvier 1890 par des douleurs dans la cuisse gauche ; ultérieure- ment, le membre s'cedémati
36 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
onc, les seins, ont les mêmes dimensions. Membres inférieurs. Les cuisses et les jambes ne présen- tent pas de différence
es, d'abord, et surtout la gauche, se fléchissent lentement sur les cuisses , puis la malade pousse une sorte de renâclement
Le traitement employé chez notre malade (sinapismes répétés sur les cuisses et les jambes, purgatifs, glace sur la tête, su
les doigts. Le soir, au lit, elle a eu de l'engourdissement dans la cuisse gauche, des picote- ments du pied au genou. C
es bras et un peu les avant-bras,, i- ue et un peu le ventre et les cuisses sont devenus rouges roses On se rend bien compt
es sont pris de convulsions. Les jambes sont tantôt fléchies sur la cuisse , tantôt allongées; de temps en temps, elle élèv
teils fléchis sur les métatarsiens, le métatarse sur le tarse ; les cuisses sont croisées; les diffé- rents segments de ces
dans l'extension. Le gauche est dans la flexion et l'adduction : la cuisse est fléchie sur le bassin, la jam be sur la cui
l'adduction : la cuisse est fléchie sur le bassin, la jam be sur la cuisse au point que le talon est en contact avec la fe
plète. 9 heures. - La connaissance est revenue vers 8 heures. Les cuisses et les jambes sont fléchies, la cuisse droite est
revenue vers 8 heures. Les cuisses et les jambes sont fléchies, la cuisse droite est placée entre la jambe et la cuisse g
bes sont fléchies, la cuisse droite est placée entre la jambe et la cuisse gauches. Le bras gauche est étendu, le droit fl
oreilles et trois vésicatoires, l'un à la nuque, les autres sur les cuisses . Ces accidents ne se seraient dissipés qu'au bo
ccidité bien moins prononcée. Quand on cherche à le soulever par la cuisse , la jambe s'élève et le genou ne se ploie qu'en
ie, de telle sorte que la jambe n'est pas totalement fléchie sur la cuisse , quand le talon quitte le lit. t. Sensibilité
ccidité du bras et de la jambe du côté droit. De temps en temps, la cuisse correspondante est le siège de spas- mes sponta
te à sai- sir son crachoir. - Elle écarte légèrement la jambe et la cuisse droites ; c'est la malade elle-même qui attire
chose de raide (contracture des muscles). A la main, le genou et la cuisse gauches - côté contracture - paraissent plus fr
s. La température prise au-dessus du genou, à la face interne de la cuisse , avec le même instrument laissé à demeure penda
très-rigides. Membre inférieur. Il est dans l'adduction forcée. La cuisse est à demi-fléchie et collée sur la cuisse gauc
s l'adduction forcée. La cuisse est à demi-fléchie et collée sur la cuisse gauche qu'elle croise par sa partie moyenne. La
ie et dis- posée de telle sorte qu'elle fait un angle droit avec la cuisse gauche. Le pied est en varus ; les orteils sont
37 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
s en présentent quelques-unes irrégulièrement distri- buées sur les cuisses : à droite sur la face externe et Il partie infér
reuses, il en existe quelques-unes à la face externe des bras, à la cuisse droite. Enfin un noevus vasculaire assez étendu
la piqûre sur toute la surface du corps sauf au tiers supérieur des cuisses et à la main droite. Par contre les sensibilité
r. Si l'on prend isolément un petit tronc nerveux, par exemple à la cuisse un rameau sous-cutané du musculo-cutané externe
VI A Branche sous-cutanée du nerf musculo- cutané externe à la cuisse . B Dissection d'un nodule de la branche A.
s parties supérieures et internes des membres, tant au bras qu'à la cuisse , les régions pectorale, épigastrique, suspubien
comme rétracté. 44 P. E. LAUNOIS ET R. BENSAUDE Avec le haut des cuisses , le scrotum, jusqu'au périnée, est le siège d'une
z notre malade, on rencontrait le long de la face interne de chaque cuisse , un cordon saillant, dur, sinueux et bosselé qui
ines. De la masse inguinale descend, le long de la face interne des cuisses , un cordon induré (tronc lymphatique très proba
e l'avant-bras, de la région lombaire, de la ligne blanche et de la cuisse . La tumeur du cou causant au malade de la dysph
wagon à 22 ans. Chute d'un deuxième étage ci 24 ans. Fracture de la cuisse gau- che à 28 ans. A 30 ans, chute d'une barriq
5 jours en traitement. En 1857, il est atteint d'une fracture de la cuisse gauche. Après 4 à 5 mois de séjour à l'hôpital,
même temps il commença à éprouver dans les pieds, les jambes et les cuisses des douleurs aiguës lancinantes ou térébrantes
deux genoux. Les hanches sont difformes, luxées. On peut porter les cuisses dans tous les sens sans que les mouvements en soi
: 3t centimètres. Genou. G : 46 centimètres. Circonférence de la cuisse mesurée à 12 centimètres au-dessus du bord supé-
urée à 12 centimètres au-dessus du bord supé- rieur de la rotule. Cuisse droite : 37 centimètres. Cuisse gauche : 45 cen
bord supé- rieur de la rotule. Cuisse droite : 37 centimètres. Cuisse gauche : 45 centimètres. z LES OSTÉO-ARTHROPATH
lui explique, il examine son membre inférieur et s'aperçoit que sa cuisse est toute déformée. La hanche est devenue énorm
tra-articulaire. Les mouvements de latéralité sont très marqués. La cuisse est le siège d'un oedème dur où le doigt s'enfonc
ambe droite, atrophie plus marquée à la racine des membres, bras et cuisse . Le malade marche sans steppage mais se fatigue f
158 R. CESTAN surtout pour les muscles de la face postérieure de la cuisse . A gauche, les cou- rants galvaniques donnent d
externes de la jambe, dans les muscles de la face postérieure de la cuisse , dans les muscles du mollet, on constate avec la
qu'aux épaules, en février 1891, elle avait atteint l'origine de la cuisse . Il semble ainsi au ma- lade que tous ses membr
on voit que la jambe antérieure saine est légèrement fléchie sur la cuisse et que la jambe postérieure est presque en exte
émiplégie hystérique au contraire, point de flexion du genou sur la cuisse et de la cuisse au bassin, de même qu'il n'y a pa
ique au contraire, point de flexion du genou sur la cuisse et de la cuisse au bassin, de même qu'il n'y a pas d'éléva- tio
ssus des poi- gnets. Il existe de plus une tuméfaction dill'use des cuisses , des bras et de la moitié supérieure des avant-
nne, sacrée; à la face interne des bras et à la face antérieure des cuisses . Non. Iconographie DE la SALI'I : C1t11 : RI :
ndus à tout le membre : il est difficile de fléchir la jambe sur la cuisse au delà de l'angle droit. La marche se fait à p
es 244 P. E. LAUNOIS ET R. BENSAUDE également au niveau de chaque cuisse : l'une dans le triangle de Scarpa, l'autre à l
pour ne pas crier, met son mouchoir dans la bouche et comprime ses cuisses avec les mains ; de temps en temps elle souffre
haut, tantôt de haut en bas, particulièrement douloureuses dans les cuisses . Des douleurs lancinantes d'une intensité moind
des chevilles aux mollets : elles s'étendent quelquefois jusqu'aux cuisses en haut et jusqu'à l'extrémité des orteils en bas
ble trophique, et n'offrent pas trace d'incoordination motrice. La cuisse droite est aplatie d'avant en arrière. La peau es
est très grande cependant, malgré ces désordres articulaires. La cuisse du côté opposé est normale, l'articulation du gen
e l'attention soit attirée sur l'attitude qu'il doit conserver, les cuisses se mettent aussitôt à trembler, les genoux s'éc
se renverser en dehors. Lorsqu'on prescrit au malade de croiser les cuisses l'une sur l'autre, à peine le mouvement est-il
isses l'une sur l'autre, à peine le mouvement est-il exécuté que la cuisse qui est sur l'autre glisse peu à peu ; en somme
rapprochés. Si, dans ce dernier mouvement, il essaie de passer une cuisse brusquement pardessus l'autre, le'tronc est aus
parente, il est vrai, dans certains mus- cles, les adducteurs de la cuisse par exemple, les oscillations du corps sont éga
Babinski (entre autres : signes du peaucier, flexion combinée de la cuisse sur le bassin coïncidant avec projection en avant
ent les caractères acromégaliques, comme la longueur exagérée de la cuisse par rapport il celle de la jambe. Il manque d'a
à lt5 centimètres environ sur le bras, la main repos«à plat sur la cuisse . L'atrophie est manifeste : l'amaigrissement est
hypertrophié. Aux membres inférieurs, l'atrophie des muscles de la cuisse est notablement moins marquée qu'elle ne l'est
menés au contact, un léger intervalle sépare les faces internes des cuisses . Le tenseur du fascia lata est un peu hypertrophi
bre, redresser légèrement le tronc en fléchissant les jambes sur la cuisse ]; il tend à s'accrou- pir, abaisse son bassin e
ébral droit, mais bien celui du gauche. Le bras et l'avant-bras, la cuisse et la jambe droite restent immobiles, même lors
80, aujourd'hui 160. La sensibilité à la douleur, à la main et à la cuisse droite sont très atteintes, plus légèrement au-
de différences sensibles entre le vo- lume de ces deux membres. La cuisse droite mesure à la partie moyenne 41 centimètre
La cuisse droite mesure à la partie moyenne 41 centimètres 1/2, la cuisse gauche 41 centimètres à la partie moyenne du mo
es de l'épaule et abaissement de cette dernière ; les muscles de la cuisse sont également légèrement atrophiés. Le champ v
arrêtant soit au cou-de-pied, soit au genou, soit à la racine de la cuisse , affection indolore, apyrétique, chronique et per
ement augmenté de volume ; le mollet a la circonférence d'une forte cuisse ,soit 41 centimètres et demi à sa par- tie la pl
Le genou est empâté et a perdu sa forme, mais au-dessus de lui les cuisses ont sensiblement le même volume, 49 centimètres
t plus pro- fondément une masse qui ne se laisse pas déprimer. A la cuisse , on trouve la même dureté, mais à un degré moin
cutané est peu près la même sur le segment inférieur, respectant la cuisse . Du côté des ongles, rien à noter à ceux des gr
mme une pièce de 5 francs, ;i la partie inférieure et externe de la cuisse droite. 1 A la fin de cette même année, elle vi
bilité thermique au chaud et au froid,est intacte sur le tronc et les cuisses , diminuée notablement sur la jambe gauche, abol
mobile sous la peau, non dou- loureuse. Au tiers antérieur de la cuisse gauche une élevure grande comme une pièce de un
un franc et recouverte de longs poils bruns. A la face interne de la cuisse gauche, une tache pigmentaire foncée, une autre
uche, une élevure avec une touffe de poils. A la face interne de la cuisse droite, une tache noire, foncée, du diamètre d'
érateur se met derrière luy, et ayant engagé la tête entre les deux cuisses , il la luy fait un peu hausser. La. bouche du p
38 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
eurs de la jambe, de même que pour la hanche il y a une flexion de la cuisse sur le bassin. C'est contre ces contractures musc
des danseurs, M. . fut pris d'un intertrigo de la face interne de la cuisse gauche ; la marche fut impossible pendant trois j
geur, recouverte de pellicules furfuracées, sur la face interne de la cuisse et sur la moitié gauche du scrotum. Pendant les c
considérable dans le pli de l'aine gauche, sur la face interne de la cuisse du même côté et sur la partie correspondante du s
s le point où le scrotum se trouve mis au contact des téguments de la cuisse et que l'eczéma s'est déve¬loppé dans les limites
ppareil, ne peut remuer aucun membre, est complète¬ment ankylosé ; la cuisse est en demi-flexion sur le bassin, la jambe en de
se est en demi-flexion sur le bassin, la jambe en demi-flexion sur la cuisse ; le bras gauche est supporté par des coussins et
plus remarquable, c'est une hypertrophie considérable des ongles. La cuisse est grêle, le genou très-petit, la racine de la j
le ventre; les membres supérieurs, en particulier les avant-bras; les cuisses ; enfin les jambes où les croûtes sont très-ra¬re
dû à ce que la phalangine et la phalange ont disparu. • Rien sur la cuisse et la jambe gauches. Des cicatrices et des trajet
. Soif vive; peau sèche. P. 114 ; T. V. 59°,4. 22. Douleurs dans la cuisse droite, sans empâtement ni dilata-lions veineuses
; T. V. 38°,6. — Soir : P. 96; T. V, 38û,9. 23. Les douleurs de la cuisse ont presque disparu. Seins médio¬crement tendus.
nales et lombaires, douleurs parfois très-vives, s'irradiant vers les cuisses et le petit bassin, et rendant la marche pénible
e par M. Leroy, en 1866; s'irradient vers la région lombaire et les cuisses . Elle éprouve en outre continuellement un sentime
haut. La sensibilité à la douleur et au contact paraît conservée aux cuisses . Le froid produit une sensation pénible ; sur les
geaisons sur la partie antérieure de la poitrine, des avant-bras, des cuisses , sur les jambes, sans que d'ailleurs il n'y ait d
; parfois la malade rap¬porte au pied un contact qui a eu lieu sur la cuisse . La sensibilité à la pression des muscles est un
u'en 1868. Ces membres sont très-amai-gris (mollets, 19 centimètres ; cuisses , 30 centimètres). La sensibi¬lité au contact, au
des douleurs lombaires sourdes, s'irradianl vers la face interne des cuisses . Les seuls signes qu'elle présentât, au moment de
e de ces deux tu¬meurs est beaucoup plus considérable que celle de la cuisse . Voici, d'ailleurs, les résultats de la mensurati
être ramenée en dehors, de manière à former une ligne droite avec la cuisse . Elle peut se renverser complètement en dedans, d
peut se renverser complètement en dedans, de manière à faire avec la cuisse un angle droit. Mais, en dehors, elle ne dépasse
nâtre des téguments; œdème blanc des pieds, des jambes et surtout des cuisses ; infiltration du tissu cellullaire des fesses, d
epos, la jambe gauche, portée dans l'abduction extrême, forme avec la cuisse un angle obtus ; la droite, dans l'adduction, for
uction, forme aussi un angle obtus non pas avec le bord externe de la cuisse , mais avec son bord interne. Il résulte de cette
On fléchit avec facilité et à un degré inaccoutumé les jambes sur les cuisses ; les mouvements de latéralité en dedans pour la
t. Trismus ; douleur dans le cou ; dureté des muscles des jambes, des cuisses , de la paroi abdominale. De temps en temps, spasm
39 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ier par les mensurations, est dû au développement des deux segments cuisse et jambe - sans que l'un ou l'autre soit plus p
1NEA En ce qui concerne les membres inférieurs, on constate que les cuisses sont d'habitude demi.fléchies et il en est de m
es membres inférieurs est très réduite. Sur la partie externe de la cuisse droite on trouve un nodule ayant les di- mensio
à cause de la rétraction tendineuse des mus- cles postérieurs de la cuisse . En lui soulevant le membre supérieur et en le
Aux membres inférieurs, on constate que la flexion et l'extension des cuisses est réduite. Il en est de même pour les mouveme
région lombaire surtout, il y a des douleurs qui irradient dans la cuisse droite, et, il la la région de la nuque, des doul
-Ekaterininsky, se plaignant de douleurs au dos, aux épaules et aux cuisses . Il était malade depuis deux ans et séjourna à
aux diverses régions du corps, surtout à la région lombaire et aux cuisses ; en même temps, sans que le malade s'en soit aper
on des mouvements aux régions lombaire, dorsale, aux omoplates, aux cuisses et aux muscles occipitaux; NOUVELLE ICONOGRAPHI
s coudes et dans les articulations fémo- rales (jusqu'à 6Do : , les cuisses se fléchissent. Bruit de frottement et douleurs
symétrique des muscles autour des articulations des épaules et des cuisses . Le système nerveux est normal. La température
itée dans les articulations des épaules, dans les articulations des cuisses aussi bien que dans les autres articulations. L
ent à se cambrer et apparut l'ankylose dans les articulations de la cuisse gauche. Le malade continua d'exercer son métier d
ec bruit de frottement; il peut y avoir une ankylose complète ; les cuisses sont, pour la plupart, ankylosées en demi- flex
r laquelle on est obligé de le sonder. Sur la face antérieure de la cuisse gauche, à l'union de son tiers inférieur avec s
seconde partie, cellequi conCel'I1aI il les tumeurs osseuses de la cuisse gauche et de la poitrine, notre diagnos- tic. E
dynamie. Après la mort, on a enlevé des morceaux de la tumeur de la cuisse et de celle située dans le sein droit, qu'on a so
eux, sans le signe de Babinski, mais, avec une légère flexion de la cuisse sur la jambe. La malade subit une large trépana
t moins développé que le gauche),une voûte palatine ogivale et à la cuisse gauche un noevus pigmentaire caractérisé par de
la rotule; elles sont surtout disséminées sur la face externe de la cuisse et quelques-unes sur sa face postérieure (deux ti
sier. En bas elles empiètent à peine-sur la moitié inférieure de la cuisse . Quelques-unes sont très pâles et à peine visib
és, de longueur concordant avec celle du tarse et du métatarse. Les cuisses sont admirablement charpentées, mouvements articu
mbres inférieurs. Paraplégie complète avec contracture en flexion : cuisses fléchies sur le bassin, les jambes fortement fléc
cuisses fléchies sur le bassin, les jambes fortement fléchies sur les cuisses , la jambe droite en adduction sur la jambe gauc
tense. Impossibilité de provo- quer la déflexion de la jambe sur la cuisse ; rétraction musculo-tendineuse.. Flexion de la
cuisse; rétraction musculo-tendineuse.. Flexion de la jambe sur la cuisse : à droite, 75° ; à gauche, 63°. Flexion de la
jambe sur la cuisse : à droite, 75° ; à gauche, 63°. Flexion de la cuisse sur le bassin : à droite, 1` ? ,i° ; à gauche, 11
de cer- tains muscles. La piqûre de la peau de la face interne des cuisses provoque des mouvements fasciculaires des adduc
; mouvements de trombone de la langue ; flexion des jambes sur les cuisses , pied gauche en varus équin ; réflectivité exal
oxo-fémorale, on ne pouvait pas faire plus d'un angle droit avec la cuisse sur le plan horizontal de l'abdomen. En comparant
tait presque impossible, tant était grand l'angle que faisaient les cuisses avec les jambes. Quant l'hypotonie des articula l
, l'abdomen et les fesses, en descendant en bas jusqu'au milieu des cuisses ; on se sert d'abord par une légère couche d'ouat
oscille latéralement, on observe sous la peau de la hanche et de la cuisse une vraie chorée musculaire. Il est absolument
uand l'homme est debout, toutes les articulations du bassin sur les cuisses , des cuisses sur les jambes, des jambes sur les p
est debout, toutes les articulations du bassin sur les cuisses, des cuisses sur les jambes, des jambes sur les pieds, se tr
totalité, le genou en extension, que toute la masse musculaire de la cuisse et du bassin est dure pendant qu'il exécute ce
voilà sur quoi nous nous basons. 1° Quand l'homme normal soulève la cuisse en l'air, dès le début on voit et on sent sous
voit et on sent sous la main appliquée sur la face antérieure de la cuisse que le muscle quadriceps se contracte. Celle co
enons dans une de nos mains la masse muscu- laire postérieure de la cuisse , on sent alors dès le commencement du mouvement
nous lui plions le genou, ou quand nous lui baissons passivement la cuisse sur le bassin. 3° Quand l'homme normal soulève
vons vu que dès le début du mouvement les muscles postérieurs de la cuisse se contractent eux aussi, en même temps que les
culaire des membres inférieurs soit déjà molle et fiasque, quand la cuisse relevée passivement en l'air nepent pas dépasse
FHÎTf"nn : UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE 371 372 REBATTU Les cuisses sont courtes, épaisses, un peu arquées en avant;
r tenant celui-ci renversé, il raidit aussitôt les extenseurs de la cuisse , qui, à leur tour, empêchent le genou de fléchi
exécuter un vrai mouvement combiné : c'est-à-dire il faut fléchir la cuisse sur le bassin, la jambe sur la cuisse et renver
est-à-dire il faut fléchir la cuisse sur le bassin, la jambe sur la cuisse et renverser le pied, et dans un temps suivant,
e il se rend compte en tâtonnant que son talon touche la peau de la cuisse au-dessus du genou, il glisse alors son talon de
de haut en bas, en suivant progressivement la face antérieure de la cuisse , jus- qu'à ce qu'il arrive au genou, qu'il sent
lus fort qu'il ne faut. De même aussi, pour fléchir la jambe sur la cuisse , dans l'action de toucher avec un talon le geno
u opposé, il fléchit plus qu'il ne faut la jambe 494 NOICA sur la cuisse correspondante. De même pour marcher, il jette la
vec les yeux fermés, il commence à toucher la face antérieure de la cuisse au-dessus du genou qu'il veut atteindre, et puis
40 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
n autre phénomène: savoir l'augmentation considérable du volume de la cuisse qui était infiltrée. Les douleurs et la tuméfacti
vis à mon grand étonnement qu'il s'était fait dans l'épaisseur de la cuisse une hémorrhagie extrêmement considérable : le foy
i sur l'attitude ni sur la déviation du membre. La demi-flexion de la cuisse et la rotation du pied en dehors, qui sont l'effe
, quinze jours auparavant, et depuis cette époque les mouvemens de la cuisse étaient si douloureux, que cette malade rendait i
u fémur aux signes suivans : raccourcissement très considérable de la cuisse ; déviation de la pointe du pied en dehors, telle
du cadavre.—Je voulus apprécier l'influence du raccourcissement de la cuisse sur la direction de l'artère fémorale. Cette artè
té droit, et depuis cette époque éprouvait une douleur très vive à la cuisse droite. Symptômes: raccourcissement du membre ave
flexuosités m'a paru constante, et résulte du raccourcissement de la cuisse : le triangle formé en dedans par les adducteurs,
e teinte jaunâtre se voyaient dans les espaces intermusculaires de la cuisse . La fracture était intra-capsulaire fig. 2, 2': e
tation qu'a subi ce membre inférieur. Ainsi la face postérieure de la cuisse et de la jambe regardent en dedans; la tête du pé
réception de la tête déplacée. Les muscles rotateurs en dehors de la cuisse sont allongés et atrophiés ; le muscle psoas-ilia
et consé-quemment sollicité à la contraction, d'où, la flexion de la cuisse : la partie de l'action de ce muscle qui a pour r
gnes; le membre était porté dans l'adduction, la jambe fléchie sur la cuisse , la pointe du pied tourné en dehors; la rotation
douloureuses, commençant par les pieds et s'étendant aux genoux, aux cuisses , puis aux membres supérieurs : elles occupent sur
lade se tient couchée sur le côté gauche, les jambes fléchies sur les cuisses , et celles-ci sur le bassin. Depuis un mois, éc
le des maladies cancéreuses, que nous devrons ranger une tumeur de la cuisse , décrite avec beaucoup de soin par Boyer (i). Je
tées fig. ^ et b. La tumeur qui occupait la moitié inférieure de la cuisse , ayant nécessité l'amputation du membre, Boyer tr
une division principale de l'artère temporale. Au côté interne de la cuisse gauche, immédiatement au-dessus de l'articulation
is un an une douleur très vive à la partie interne et inférieure delà cuisse gauche. Là existait une tumeur du volume d'une no
n descendant de son lit, soutenue par deux personnes, elle se luxa la cuisse . MM. Dewlf et Boisduval constatèrent et réduisire
Il est vrai qu'on ne concevrait pas, dans cette théorie, pourquoi les cuisses , les jambes et les pieds, qui sont contigus chez
mbres inférieurs, en vertu de laquelle les jambes formaient, avec les cuisses , un angle extrêmement obtus, saillant à gauche,
canal alimentaire. On en voyait encore sous les aisselles, au pli des cuisses , sur les côtés du thorax et au creux des jarrets.
l'ombilic an pubis et dont le sommet arrondi était pendant entre les cuisses . L'anneau ombilical occupait le point le plus éle
ase arrondie du cône représenté par la tumeur; elle pendait entre les cuisses et était parcourue par des lignes noires que je r
ne douleur à l'abdomen. Depuis la nuit précédente, elle souffrait des cuisses , où je reconnus un érysipèle sans rougeur, que ré
malade, couchée sur le côté gauche, ayant les jambes fléchies sur les cuisses et celles-ci sur le bassin, la fesse droite relev
est allée encore exercer ses ravages sur la jambe. Le 29 juillet, la cuisse devint douloureuse ; pour fixer la cause morbifiq
M. G. ressentit des douleurs assez vives à la région lombaire et à la cuisse droites. Il les considéra comme rhumatismales ; m
redoublèrent d'intensité : elles occupaient la région lombaire et la cuisse droites, et remontaient souvent jusque sur le côt
volumineuse, douloureuse, étendue de l'aine au tiers inférieur de la cuisse , qui cesse dans le point précis où les vaisseaux
ction et les extravasations sanguines de la couche sous-cutanée. A la cuisse le tronc de la saphène interne était également le
nt leurs douleurs aux membres qu'ils n'ont plus. Le 27 décembre, la cuisse est vergetée , glacée dans ses deux tiers inférie
de l'artère fémorale peuvent être sentis dans toute la longueur de la cuisse . Ceux de l'artère poplitée ne sont pas perçus.
ortes d'avec les parties « vivantes, et j'ai vu que les muscles de la cuisse et de la jambe étaient réduits en bouillie rou-«
a jambe, ïi y avait plusieurs abcès gangreneux dans l'épaisseur de la cuisse , dans l'épaisseur des muscles; et au centre des a
e concentrent dans la jambe. Le dix-neuvième jour, l'amputation de la cuisse est pratiquée par M. Baffos. Elle a eu le succès
t décolorés, blancs, sans aucune trace de putréfaction. La peau de la cuisse est livide, avec décollement de l'épiderme, qui,
e putréfier. Cette lividité n'occupe pas toute la circonférence de la cuisse , mais on voit ça et là des espèces d'iles blanche
bilité complète du pied, de la jambe et de la moitié inférieure de la cuisse . 80 sangsues ont été appliquées sur la ligne de l
oumon comme d'une éponge. Cœur sain. Les muscles de la jambe, de la cuisse et du pied droit sont sains comme ceux d'un cadav
le caillot et les parois artérielles. Les artères collatérales de la cuisse n'ont pas été examinées. A la jambe, les artère
vemens de flexion, tantôt de mouvemens d'extension des jambes sur les cuisses . Tels étaient les caractères de cette paraplégi
sues derrière les oreilles, deux vésicatoires à la partie interne des cuisses , tartre stibié en lavage; potion avec extrait rés
te saignée de quatre onces, deux vésicatoires à la partie interne des cuisses . Le sang est aussi couenneux que celui des saigné
ssement de la peau de la face, et, par instans,douleur très vive à la cuisse gauche qui semble alterner avec la céphalalgie.
eux maux de tête qui alternent avec des douleurs non moins vives à la cuisse gauche. Les contractions ne sont plus limitées à
que la région postérieure des jambes touche la région postérieure des cuisses . Les orteils sont constamment portés dans le sens
me dans l'état suivant : jambes fortement fléchies en arrière sur les cuisses , et celles-ci en avant sur le bassin ; flexion p
tre les fesses. En même temps rigidité des muscles fléchisseurs de la cuisse sur le bassin et des jambes sur les cuisses. La r
muscles fléchisseurs de la cuisse sur le bassin et des jambes sur les cuisses . La rigidité s'arrête aux genoux; car les muscles
lles que leur apportent les fesses pour la flexion des jambes sur les cuisses , et la paroi antérieure de l'abdomen pour la flex
les cuisses, et la paroi antérieure de l'abdomen pour la flexion des cuisses sur le bassin: pour les prévenir autant que possi
t à la sensation de la brûlure, et qui s'étendaient aux jambes et aux cuisses . L'attitude des pieds était remarquable. Les orte
encore, mais incomplète, dans les muscles qui meuvent la jambe et la cuisse . La malade fut placée dans la division des gâte
ornée d'abord à la région lombaire, la douleur s'étendit bientôt à la cuisse droite,puis à la cuisse gauche, le long des nerfs
n lombaire, la douleur s'étendit bientôt à la cuisse droite,puis à la cuisse gauche, le long des nerfs sciatiques, et à la par
isse gauche, le long des nerfs sciatiques, et à la partie interne des cuisses . Les jambes et les pieds, d'abord respectés, ne t
rapporte principalement aux articulations du pied, du genou et de la cuisse . La malade compare ces douleurs à des milliers de
ntaires, douleurs très vives, continuelles aux pieds, aux jambes, aux cuisses et aux reins. Il semble à la malade qu'un feu la
nt une quinzaine de jours. Douleurs continuelles dans les reins , les cuisses , les jambes et les pieds. Elle redoute le plus lé
n des eschares ont remplacé les douleurs des reins ; les douleurs des cuisses et des pieds ont cessé. La malade ne se plaint qu
égénération graisseuse dans les muscles de la région postérieure delà cuisse seulement, à savoir dans les muscles demi tendine
la dégénération graisseuse des muscles de la région postérieure de la cuisse , et que démontrait physiologiqtien 1 eut la diffi
était notablement sensible aux pincemens, aux piqûres, et la peau des cuisses complètement insensible. La perception des impres
sensibles à tous les stimulans, il suffit d'appliquer sur la peau des cuisses le pot d'étain qui sert dans les hôpitaux de pot
, d'un muscle, de quelques faisceaux musculaires de la jambe ou de la cuisse , sans mouvement appréciable. Ces mouvemens attest
sur son fauteuil, il fallait étendre préalablement les jambes sur les cuisses et les maintenir violemment dans cette attitude.
ment compte de son état, et, comme elle avait éprouvé une fracture de cuisse , je lui fis raconter l'âge auquel la fracture ét
y, laquelle portait une espèce de corne à la partie postérieure de la cuisse gauche. La peau qui supporte la production corn
, qui portait depuis 16 ans, à la partie postérieure et interne de la cuisse droite, une production cornée. La corne heurtait
erne de la cuisse droite, une production cornée. La corne heurtait la cuisse gauche dans la progression et causait de très viv
ncontre au moins aussi souvent à la partie postérieure et interne des cuisses , au-dessus du creux du jarret, que dans toutes le
é dans cette idée, car les exemples de cornes à la partie interne des cuisses ont été fournies pour la plupart par des femmes d
ues-uns aux membres supérieurs, d'autres à la partie supérieure de la cuisse droite. Quelle était la nature de ces tumeurs? J'
ut dans le tissu cellulaire sous-cutané de la partie supérieure de la cuisse qu'abondent ces dégénérations par points ou tuber
mblables à celles de l'accouchement. Douleurs à la partie interne des cuisses . Besoin de manger ; soif. Cette femme, qui appe
ne de ces faces était antérieure; l'autre postérieure appuyait sur la cuisse droite; la troisième, interne, dépassait la vulve
it tellement cédé qu'elle formait une vraie bourse pendante entre les cuisses . Le doigt, porté au dessus de la tumeur, reconnai
que, depuis sa sortie de l'échancrure sciatique jusqu'au milieu de la cuisse . Elle raconte que ces douleurs, qui existaient de
e, des régions antérieures et latérales, des régions postérieures des cuisses ? Mais si ces douleurs révèlent le siège de la mal
dans l'articulation du genou et dans le tissu cellulaire libre de la cuisse et de la jambe. Inflammation des vaisseaux lympha
uite de phlébite. 11e liv., pl. i, n, ni, p. tg. — Amputation de la cuisse à la suite d'un coup de feu. Le douzième jour, ac
dans l'articulation du genou et dans le tissu cellulaire libre de la cuisse el delà jambe. Inflammation des vaisseaux lymphat
41 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
d'un nouveau-né, et la jambe se trouvait fléchie à angle droit sur la cuisse ; les mouvements de l'articulation du genou étaie
ysipélateuse des plis génito-cruraux et de la face supéro-interne des cuisses ;— suppuration abondante, verte ou rosée, souvent
ni à l'anus. — Les plis génito-cruraux et la face supéro-interne des cuisses sont le siège d'une rougeur érysipélateuse des pl
ence bi-mammaire....... ni — — ombilicale.......... 107 — — de la cuisse .......... 94 — — du genou........... 40 — — d
cun stigmate delà scrofule, et sa peau, fine et colorée, présente aux cuisses et aux jambes des varices superficielles dont la
linge imbibé d'eau de guimauve fut maintenu sur le périnée. Les deux cuisses furent toujours maintenues rapprochées par une se
ntenues rapprochées par une serviette, et les jambes fléchies sur les cuisses reposèrent sur un coussin rond placé sous les jar
ppeler spécialement l'attention. Lorsque la malade est couchée, les cuisses écartées, on ne se douterait certainement pas, si
ueuses considérables, qui s'étendent jusqu'à la partie supérieure des cuisses . Pas d'éruption dans d'autres régions. Le mal
ntelé gauche, et que les extenseurs du rachis et de la jambe sur la cuisse sont presque détruits. Cette atrophie n'a été pré
a été injectée, à l'aide de la seringue de Pravaz, sous la peau de la cuisse d'un chien, d'un lapin et d'une grenouille. Les t
lum, qui est représenté dans la pl. XII. Cette tumeur existait à la cuisse , chez une femme âgée de soixante-six ans : elle a
es spéciaux que présente ce gonflement; il diffère à la jambe et à la cuisse . A la jambe il est uniformément dur, vous sentire
mblent transformés en une masse de consistance presque ligneuse. A la cuisse la lésion paraît moins avancée, ou du moins prése
ur de l'épine iliaque au bord interne du pied. 97 97 Circonférence. Cuisse au niveau du pli génito-crural.............. 62 5
érence. Cuisse au niveau du pli génito-crural.............. 62 58 Cuisse partie moyenne (16 cent au dessus de la rotule).
ro-tibiale, presque complète, le tient coudé sous un angle de 8o°. La cuisse est pendante et possède des mouvements de rotatio
poignet — 12 c. 5 — i3 c. 5 — du métacarpe — i3c. — 17 c. — de la cuisse — 3 2 c. 5 — 34 c. 5 — du mollet — 24 c. — 27 c
la jambe gauche, — non paralysée — s'est fléchie énergiquement sur la cuisse . i3 décembre. Les attaques ont continué, durant
rieur gauche et à une partie du tronc. Cet érysipèle gagna ensuite la cuisse droite, la jambe et le pied du même côté, et, au
42 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
ité motrice. Elle avait débuté par le côté gauche (le bras, puis la cuisse ) ; il 2v ans, c'est-à-dire trois ans plus tard,
'air. Membres supérieurs. Au niveau de l'extrémité inférieure de la cuisse , les mus- cles sont atrophiés. Le bord interne
e de la cuisse, les mus- cles sont atrophiés. Le bord interne de la cuisse forme une ligne à concavité interne. A droite l
aux deux mollets. Le mollet gauche est notablement plus gros que la cuisse du même côté et l'un et l'autre atteignent le v
dans le service. Le mois suivant, il a accusé dans les bras et les cuisses , quelques sensations douloureuses, qui ont cédé a
certains muscles et surtout dit deltoïde droit et du triceps de la cuisse gnztcltc. L'observation de ce malade a été publ
point de vue spécial qui nous occupe ici. En effet au niveau de la cuisse gauche, précisément celle dans laquelle le mal ét
formant les trois sommets d'un trian- gle il la face externe de la cuisse , ainsi que cela se voit bien sur le dessin ci-con
noyaux contrastent vivement avec l'atrophie de tout le reste de la cuisse , dont presque tous les muscles sont considérabl
ée du malade à la Salpétrière. Rien de semblable ne s'observe il la cuisse droite qui est proportionnellement il peu près
gonflement énorme, fu- siforme, qui remonte jusqu'à mi-hauteur delà cuisse . (I'1. IXetX). Il mesure environ 22 centimètres
RS LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME S YR I NG OM YÉL1 Q UE 127 cuisses , les saillies musculaires sont admirablement cons
ation furfuracée avec démangeaisons; celles-ci ont provoqué sur les cuisses quel- ques lésions de grattage. On ne sent pas
suivant une ligne qui limiterait la moitié interne de l'aire de la cuisse . Toute la jambe et tout le pied sont Fig. J et
dissociation existe sauf sur le milieu de la face postérieure de la cuisse , et sur deux petits espaces situés l'un à la pa
l'éminence thénar se contractent à la main droite. Au niveau des cuisses , résistance et contractilité normales. Jambes.
sa cave, il fit un faux mouvement d'abduction brusque et forcée de la cuisse gauche en dehors et il éprouva aussitôt une dou
continua à marcher pendant 8 jours ; le mouvement de llexion de la cuisse sur le bassin étant très pénible, puis il fut o
1891, Arthropalhies de la hanche droite. Au mois d'avril 1891 la cuisse droite commença à enfler le soir. Le gonflement s
ment ; il put regagner à pied le chemin de fer. Le gonflement de la cuisse et de la hanche augmenta sans que le malade éprou
présente un élargissement des hanches, une obliquité excessive des cuisses en dedans et en bas, due il l'écartement qu'ell
étant réunis il reste un espace de plusieurs centimètres enlre les cuisses , les genoux et les jambes (pl. 1). Pour se teni
HROPATHIES TABÉTIQUES DES DEUX HANCHES Ec.irtement anormal des deux cuisses . J3ATTAILLE ET ....cIl ? ÉDITEURS Nouvelle
agne de contracture : les jambes se fléchissent par instant sur les cuisses , la raideur apparaît. Cependant dans les premie
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tracturés, les jambes demi-fléchies sur les cuisses . Quelques mouvements de flexion et d'extension
le redressement du pied sur la jambe. Les masses musculaires de la cuisse et de la jambe dans leur ensemble sont amaigries
donne lieu à plusieurs secousses convulsives dans les muscles de la cuisse ; La trépidation spinale est produite avec la pl
thésie manifeste sur la partie inférieure du tronc et sur les deux cuisses . Cette hyperesthésie a pour limite en haut la l
pas le caractère fulgurant, dans le dos, dans la partie interne des cuisses , les jambes, les pieds, sans localisation plus
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. impossible par ['hyperesthésie cutanée aux cuisses et par l'intensité des réflexes cutanés. Au pas
rçu comme douleur et non comme froid daus ces parties, et même a la cuisse gauche. A droite au contraire, le froid est par
suivant : ex- tension complète, rigidité permanente des muscles aux cuisses et aux jambes - cette rigidité est très marquée
la jambe en avant, avec plusieurs secousses du muscle triceps de la cuisse . La trépidation épileptoïde du pied est très faci
essentait dans toute l'étendue du membre supérieur droit et dans la cuisse ainsi que dans le genou du même côté, des douleur
asse les mains du médecin. Des lâches bleu-pourpre apparaissent aux cuisses . 25 juin. Pendant la nuit il survient un gonfle
43 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
idation épileptoïde. On remarque, en piquant la jambe et surtout la cuisse gauches, que la contraction réflexe se 'produit
résente des mouvements de latéralité assez prononcés. La peau de la cuisse gauche se montre beaucoup plus épaisse, quand on
ince entre deux doigts, que la peau des régions correspondantes de la cuisse droite. Il n'y a pas d'atrophie musculaire, o
sthésie à la piqûre dans les points suivants : face postérieure des cuisses ; moitié inférieure des faces externe et antéro-
es deux membres inférieurs. Les jambes sont plus atrophiées que les cuisses . Le triceps fémoral est bien conservé, le gros or
l'nn de l'autre. Bientôt la jambe droite se mit en demi-flexion, la cuisse se portant en adduction et en légère rotation e
cture spasmodique des muscles et à l'attitude vicieuse imposée à la cuisse gauche, une subluxation en haut de la tête du f
e de Brown-Séquard : hémiplégie droite presque complète, sauf il la cuisse pour les mouvements associés. Il faut noter que
rminé en outre des troubles sensitifs de la région antérieure de la cuisse , dont l'innervation ne relève pas du plexus sac
cutanés, on trouvait : de l'épaississement de la peau de l'une des cuisses , des lésions érythémateuses et ulcé- ratives de
rophie qui est plus pro- noncée dans les parties périphériques. Les cuisses paraissent tout à fait nor- males ; les jambes
eurs des chiffres normaux, sauf au niveau de quelques points sur la cuisse droite, où les plus forts courants faradiques n
t ailleurs la peau est absolument sèche. Les masses musculaires des cuisses et des bras paraissent diminuées de volume, mêm
mbres. Les avant-bras sont étendus sur les bras, les jambes sur les cuisses , de telle sorte que les quatre membres forment co
périeurs restent droits; les mains ne quittent guère le contact des cuisses et les genoux se fléchissent à peine, ce qui forc
ère le dos. Le membre inférieur était contracturé en extension : la cuisse étendue sur la jambe et sur le bassin : le pied
pointe du pied, de même quand on essaye de fléchir la jambe sur la cuisse . En soulevant tout le membre, on entraîne le ba
re, en bas, par le sillon courbe du pli fessier qui la sépare de la cuisse ; en dehors, par la saillie du grand trochanter; e
dû aux fibres charnues du muscle grand fessier qui descend vers la cuisse à laquelle appartient véritablement la partie l
vont de la peau à l'ischion et qui, l'empêchant de descendre versla cuisse , en augmentent la saillie. C'est dans cette m
dit, le pli fessierse perd avant d'atteindre la face externe de la cuisse , et il est remplacé par un plan incliné qui des
cuisse, et il est remplacé par un plan incliné qui descend vers la cuisse et ménage une transition entre les deux régions
- ronneau. Elle étoit complète, disent les maîtres de l'art, sur la cuisse , la jambe et le pied gauche, et incomplète sur
de presque tout mouvement agit avec facilité et avec force ; cette cuisse , cette jambe et ce pied qui n'éloient plus pour
et les muscles, savoir : les mâchoires, les épaules, les mains, les cuisses , les jambes; elle y cause tantôt une douleur et t
s une étendue de G à 7 centimètres, et dans la région interne de la cuisse vers la moitié inférieure; la région symétrique
pratiqua, après beaucoup d'hésitations, il est vrai, au niveau delà cuisse deux longues et profondes incisions ; l'hémorrhag
dehors, par le bord externe du flanc droit et le bord externe delà cuisse et en bas, par le genou droit. , Pour toutes
dehors par le bord externe du flanc droit et du bord externe de la cuisse (fit. 83, 84) et en bas et à droite par le geno
a fig.83. Dans celle dernière région (ombilic face antérieure de la cuisse droite) les scnsalions tactiles sont plutôt per
44 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
à toute la musculature d'un segment démem- bres : cela est net à la cuisse , dont la percussion du tendon rotulien fait con
bisme divergent. En février 1902, a eu une fracture spontanée de la cuisse gauche et est mort peu de temps après (20 février
réflexe planti-tibial ; le troisième enfin, dans les muscles de la cuisse qui fléchis- sent la jambe sur la cuisse et cel
in, dans les muscles de la cuisse qui fléchis- sent la jambe sur la cuisse et celle-ci sur le bassin, réflexe planti-crural.
s les muscles des orteils, dans ceux de la jambe et dans ceux de la cuisse . Ceci démontre que le réflexe plantaire peut être
tions portées successivement sur la peau du mollet, du genou, de la cuisse peuvent produire graphiquement les trois termes d
s par le grattage : A : de la plante gauche. B : de la peau de la cuisse gauche. 78 VERGER ET ABADIE la nature de ces
mpes au mollet. - L'amyotrophie du membre gauche est manifeste à la cuisse et à la fesse.Pas de troubles vasculaires, cyan
aux reins » . A l'âge de 28 ans, apparition de douleurs dans les cuisses quand il était cou- ché, disparaissant par la m
e, cou et tronc formant un angle ouvert en avant, les 2 inférieurs, cuisse et jambe, un angle ouvert en arrière. Vu de f
nués. Aux membres inférieurs : le malade étant au lit, présente les cuisses rap- prochées en adduction, les genoux serrés l
sements graisseux sur les hanches et à la partie supéro-externe des cuisses , qui rappellent le type morphologique féminin.
ns armes, arrive comme normalement un peu au-dessus du milieu de la cuisse , les doigts sont courts, mais leurs proportions
ement du membre inférieur droit portant sur le pied, la jambe et la cuisse ; il est régulier de sorte que le membre n'est po
se retrouve aux membres inférieurs, la jambe est plus longue que la cuisse . Cette disproportion n'est d'ailleurs pas la se
et les membres inférieurs, à l'exclusion cependant de la racine des cuisses . Cette pigmentation est formée de taches lenticul
des grandes lèvres, une très légère étendue de la face interne des cuisses et la partie toute supérieure dé la région anal
ttitude de lire, on lui fait regarder en bas, vers le milieu de ses cuisses , durant trois à cinq mi- nutes, ses yeux peuven
rillaires à l'éminence thénar, à la face et à la partie externe des cuisses . Mouvements ataxiques aux mèmbres supérieurs. S
(3) Loc. cit. 292 RYDEL laire des yeux; mêmes secousses dans la cuisse , dans la région lombaire et dans les éminences
e pelvienne ou scapulaire qu'au niveau des muscles du bras et de la cuisse . Examen histologique. - 1° Examen des muscles.
ceps, le deltoïde; aux membres inférieurs, le droit antérieur de la cuisse , le vaste interne, le biceps fémoral, le soléai
tre part, beaucoup plus intéressés que les muscles du bras et de la cuisse . 2° Examen du système nerveux. - Notre examen a
la main ; aux membres infé- rieurs, le sciatique et le crural à la cuisse , le tibial antérieur à la jambe, et en outre de
ale, la douleur augmentée. Au membre inférieur les adducteurs de la cuisse ont seuls conservé leur tonicité. Les psoas ne
de légers mouvements d'extension et de flexion de la jambe sur. la cuisse . Etat stationnaire pour les membres supérieurs. '
ur au moment de l'autopsie. III. Muscles- Muscles postérieurs de la cuisse droite. Très grosses altérations. Type de la ps
ucun ordre, multiplication des vaisseaux. Muscles postérieurs de la cuisse gauche. - Même dislocation totale avec prolifér
Même 446 LÈm ET N-ILSO.1 aspect que les muscles postérieurs de la cuisse , dégénérescence plus marquée encore; dispersion
frappe d'autant plus que cet homme est fortement musclé et que ses cuisses sont très volumi- neuses. Au point de vue fon
aste très manifeste entre les mollets et les formes athlétiques des cuisses . Le même contraste existe aux membres supérieur
assis longtemps, il éprouve au niveau de la partie postérieure des cuisses , dans les fesses et même dans le dos une sorte
ertain temps. A plusieurs reprises il s'est plaint d'avoir dans les cuisses et les mem- bre supérieurs une sorte de frémiss
t de l'avant-bras alors que la musculature était vo- lumineuse à la cuisse et à la jambe. Les muscles atrophiés présentaient
c tétanisation (durable réaction myotonique) pour les muscles de la cuisse . Depuis l'âge de 17 ans, cet homme a observé deux
i. Poses fatigantes indéfiniment conservées : jambes fléchies sur les cuisses , tronc penché en avant : vu de profil, son corp
y voit « un homme barbu dont le gros ventre étalé retombant sur les cuisses est la représentation exacte du « ventre de batra
vine à travers les vêtements et surtout par la position écartée des cuisses (1). ' En dehors des oeuvres d'art proprement d
un fauteuil, de- vant son lit, le ventre extrêmement distendu, les, cuisses gonflées d'oe- dème. On vient d'enfoncer un tro
dais où un' homme était assis sur une chaise, le torse nu jusqu'aux cuisses ; un aide maintenait les deux bras du patient a
45 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
dans les maladies ner- veuses, 187,j. Eosinate de sodium. 47 Î cuisses , principalement sur la face dorsale où il laisse
Mensuration des membres. 76 Idiotie et hémiplégie spasmodique. la cuisse et de la cuisse sur le bassin, doivent-ils vaincr
membres. 76 Idiotie et hémiplégie spasmodique. la cuisse et de la cuisse sur le bassin, doivent-ils vaincre une certaine
moindre degré, les mêmes caractères. Les mouvements provoqués de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du pi
uvements provoqués de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse , du pied sur la jambe, doivent vaincre une cert
orque Gabriel a eu plusieurs attaques consécu- tives, il marche les cuisses serrées l'une contre l'autre, les genoux se tou
mbaire, sur la face postérieure des bras et des avant-bras, sur les cuisses et les mollets; poils fins et courts sous les a
e commençant à envahir la ligne blanche et la face antérieure des cuisses . Poils longs et frisés aux aisselles. Quelques po
s ainsi que la région pubienne, les aines et la face antérieure des cuisses . Au visage, le collier de barbe s'est étendu su
née, autour de l'anus. Duvet très fourni à la face, postérieure des cuisses et sur la partie antéro-interne des jambes. D
re plus léger; les bras appliqués sur le corps et les mains sur les cuisses on ne note. pas de tremblement. B.. se lève rég
. Bras étendus, puis fléchis sur le bassin, jambes fléchies sur les cuisses . Quelques mou- vements de flexion, repos. - Apr
porte sa main à la bouche. Mouve- ments de mastication. Flexion des cuisses et de la colonne vertébrale. Repos. Après dou
mauvais, l'amaigrissement progresse, plus marqué au thorax. Sur les cuisses , on note quelques papules d'un rouge brunâtre,
e temps avant l'entrée les jambes commençaient à se fléchir sur les cuisses et les genoux à devenir raides : « La nuit, dit
. Les membres inférieurs sont incapables de tout mouve- ment. Les cuisses sont fléchies sur le bassin, les jambes sur les
ment. Les cuisses sont fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses , les pieds sur les jambes, le gauche est, de plus
reuse. Membres inférieurs : position constante en chien de fusil, cuisse assez développée faisant contraste avec le peu de
à cause de la rétraction des muscles de la région postérieure de la cuisse . Contracture du psoas-iliaque rendant impossibl
soas-iliaque rendant impossible les mouvements un peu étendus de la cuisse droite. Sternum enfoncé à son extrémité inférie
illaire inférieur est très proéminent. Contracture très intense des cuisses et des jambes, la contracture est vaincue plus
ans les aines. - Poils au périnée et à l'anus, assez abondants. Les cuisses sont couvertes de poils Les doux, testicules so
, courts, remontant vers l'ombilic, envahissant la face interne des cuisses , s'étendant sur la région périnéale jusqu'à l'a
46 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
té droit, hypoalgésie à la piqûre remontant jusqu'à la racine de la cuisse et plus marquée^ au-dessous du genou. Les sensa
est diminuéeaux deux membres inférieurs, et plus aux jambes qu'aux cuisses .- Il y a diminulion et perversion dela sensibil
nsibilité à la piqûre diminuée il droite et plus à la jambe qu'à la cuisse , légèrement diminuée à gauche ; 2, sensations t
des contractions douloureuses qui font plier la jambe droite sur la cuisse et celle-ci sur le bassin. Le malade, quoique s
des deux côtés, davantage du côté gauche, et plus aux jambes qu'aux cuisses ; 3, sensations thermiques : perverties surtout à
à droite qu'à gauche, sont plus marqués sur les jambes que sur les cuisses et l'abdomen, plus marqués du côté gauche que du
) sont plus marqués à gauche qu'à droite, et plus aux jambes qu'aux cuisses et à l'abdomen. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 9 côt
ontact n'est pas atteinte ; sensibilité à la piqûre diminuée sur la cuisse droite et sur la jambe gauche, très diminuée sur
u près également atteinte des deux côtés, et plus aux jambes qu'aux cuisses ; sensibilité thermique diminuée et pervertie s
vantageusement. Cet auteur recommande de fléchir les jambes sur les cuisses et la tête vers les genoux, en embrassant les g
la surface REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 45 antéro-externe de la cuisse , ayant leur origine dans une altération patholo
re mise sur le compte de l'affai- blissement des fléchisseurs de la cuisse , antagonistes des exten- seurs chargés de répon
stériens, et des troubles sensitifs de la face antéro-externe de la cuisse gauche. ' Archives, 2° série, t. XIII. 5 66 R
e à cinquième segments sacrés. Les troubles de la sensibilité de la cuisse gauche, bien limités, occupent une zone qui com
la paralysie plus intense, l'atrophie consécutive prédominante à la cuisse . Donc, il s'agit dans les deux cas d'une monopl
e membre inférieur sur le lit, et dans cette flexion combinée de la cuisse et du tronc, l'indice unique d'une lésion céréb
ntzwl6l., 1893) au niveau de la face antérieure et supérieure de la cuisse déterminait, d'abord la flexion des trois premi
le gros orteil s'étend, puis le pied se fléchit sur la jambe et la cuisse se fléchit sur le bassin. L'excitation légère d
lquefois, l'extension du genou : si l'excitation est trop forte, la cuisse généralement se fléchit sur le bassin. On trait
ts de flexion et d'extension s'étendent à la jambe droite et à la cuisse . Je constate en même temps quelques mouvements du
La plante brûle de moins en moins ; la flexion de la jambe sur la cuisse s'accentue, ainsi que la supination dela main dro
e mollet : mouvement de flexion et d'extension de la jambe et de la cuisse . Le pied ne fléchit plus -(- Il y a des boules
u droit : mouvements de flexion et d'exten- sion de la jambe sur la cuisse , de pronation et de supination du poignet droit
tez la peau de la cùisse : mouvements très étendus de flexion de la cuisse sur le bassin -E- La peau est -un peu raide ? Mou
a peau est -un peu raide ? Mouve- ments de rotation en dehors de la cuisse et du bras + La peau pique un peu + Crise de co
C CRISES PARAXYSTIQUES, ETC. 205 Sentez la chair, les muscles de la cuisse : mouvements de flexion et d'extension de la cu
s muscles de la cuisse : mouvements de flexion et d'extension de la cuisse + Les tiraillements. les noeuds disparaissent r
illements. les noeuds disparaissent rapidement. Sentez l'os de la cuisse : il est collé, dans l'articulation. Il me fait
mbe et au pied gauches. Les racines des membres, le bras comme la cuisse sont normaux; il n'existe aucune difformité du re
t-neuf ans ayant, quinze ans avant sa mort, subi l'amputation de la cuisse droite à la partie supérieure. On constate une
x jambes, encore moins dans les parties inférieures des bras et des cuisses , et bien conservée dans la partie supérieure de
uisses, et bien conservée dans la partie supérieure des bras et des cuisses . En outre il existe 9 taches au tronc, de coule
e violentes secousses. 18. Petite ecchymose à la face interne de la cuisse droite. Cessation du traitement bromuré à cause
Hier soir, elle a senti une légère douleur à la face interne de la cuisse gauche; en même temps, elle constatait qu'il s'ét
2. Légère teinte bleuâtre de la peau au-dessus de la nodosité de la cuisse gauche. Depuis aujourd'hui, grosseur semblable au
résente une légère desquamation de l'épiderme. 6. La nodosité de la cuisse gauche diminue. Celles du mollet gauche ont dis
moment; le poids a de nouveau augmenté (60 kg.). La nodosité à la cuisse gauche a entièrement disparu; à sa place, il re
cil., t. I, p. 248) « carac- térisée par la présence de bras ou de cuisses biendéveloppés, terminés par des doigts imparfa
s du tronc et des extrémités, sur- tout de l'épaule, du bras, de la cuisse et de la jambe. Certains muscles, comme le delt
plate, la partie supérieure du trapèze, et le vaste externe de la cuisse , présentent une hypertrophie prononcée qui, à rai
, dans la nuit du 9 mars, fut pris de vio- lentes douleurs dans les cuisses et subit consécutivement une paralysie des quat
47 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
s dans les genoux et on observe un peu d'atrophie des muscles de la cuisse ; les phénomènes douloureux signalés par le malade
t échappée du ventre entr'ouvert, et est venue pendre au devant des cuisses aussi bas que le permettait la longueur du mé-
ieure du côté gauche. Le signe du peaucier, la flexion combinée de la cuisse et du tronc font défaut. Pas de troubles de l
ralysés et atrophiés, mais pas au même degré, car les muscles de la cuisse , innervés par le nerf sciatique, et les muscles p
ster un peu aux mouvements pas- sifs d'extension de la jambe sur la cuisse . RD. complète dans les muscles des deux membres
: le membre entier en adduction, rapproché de la ligne médiane, la cuisse étendue sur le bassin, le genou étendu, le pied
ette attitude, on peut la décomposer en trois : une d'extension de la cuisse sur le bassin, produite par la contraction du g
ion du genou) et la contraction du grand fessier (exten- sion de la cuisse ),car ces centres réflexes ne se succèdent pas, il
8. ' xxi 11 158 NOICA chisseurs de la jambe, fléchisseurs de la cuisse ), tandis que les muscles dont la fonction est d
nt la fonction est d'allonger le membre inférieur (extenseurs de la cuisse , extenseurs de la jambe, fléchisseurs plantaires
ent, tandis que tout le membre est élevé en masse par flexion de la cuisse sur le bassin. Au membre supérieur il se produi
ans un segment quelconque du côté sain : avant-bras, bras, jambe ou cuisse non paralysés, que ce mouvement soit énergique d'
cuyère. Aussi il prend les mesures et note immédiatement : Tour des cuisses ... 0,61 ; tour de cou pour hausse-col, cravate,
e 71, ligue 20, lire : un petit naevus pileux à la face interne de la cuisse gauche. page 72, ligne 16, au lieu de Miron,
ès fiévreuse et ressentit une douleur in- tense et continue dans sa cuisse et dans sa jambe du côté droit, du liga- ment d
Son pouls battait 126, et sa respiration était de 52 par minute. La cuisse droite, la jambe, le pied, exactement à partir
rieur droit pensait provoquer une défaillance. Du côté gauche, la cuisse et la jambe étaient chaudes aussi, mais elles n
ait une large tuméfaction dou- loureuse à la face postérieure de la cuisse droite, et le genou droit était rouge, douloure
les bruits du coeur ; tous les viscères semblaient en bon état. La cuisse était alors moins enflée, et le genou moins vol
pès s'était développé sur les lèvres et sur le nez. L'enflure de la cuisse avait à peu près disparu, le genou semblait nor
s con- tours osseux au niveau du genou ne peuvent être perçus ; les cuisses sont très augmentées de volume, l'oedème s'éten
t de céphalée et avait une douleur le long de la face externe de la cuisse droite. A 9 heures du matin sa tem- pérature ét
était pas surélevé comme une plaque d'érysipèle. Les veines, sur la cuisse et sur la jambe, étaient de- venues plus visibl
Enfin, la PI. XLIV montre un mode de réduction de luxation de la cuisse . Les autres planches (il y en a 200) ne le cède
e la SALP$TRI8R8. T. XXI. Pl. XLIV RÉDUCTION DE LA LUXATION DE LA CUISSE (Pl. Ci]). Masson & Cie, Éditeurs Photo
alysie des jambes. Par contre, la motilité était conservée dans les cuisses . Aucune atteinte de l'état général. Du 30 avril
tu- lien peut provoquer la contraction des muscles adducteurs de la cuisse du côté opposé ; P. Marie (5),' quelques années
: chez certains hémiplégiques, la friction dé la face interne de la cuisse provoquait'la rétraction des deux testicules, p
ation de la plante du pied : flexion de la jambe et adduction de la cuisse , contrac- tion du tenseur du fascia lata du côt
rche, il s'appuie sur une canne, et avance sans que le tronc ni les cuisses n'exécutent aucun mouvement : tout se passe dans
ue sacrée, s'étendant un peu au périnée, et à la partie interne des cuisses . Aucune incoordination motrice, il se plaint seul
nt des membres durant l'immobilité. Plaques d'hyperesthésie sur les cuisses . Le sens musculaire et le sens des altitudes so
is provo- que en même temps une vive contraction des adducteurs des cuisses ,également forte des deux côtés. Le réflexe anal
ts passifs' brusques de flexion et d'exten- sion de la jambe sur la cuisse ; cette résistance disparaît complètement dans
robe d'un bleu céleste et son jupon blanc, et dé- couvre ainsi ses cuisses . Elle est debout, appuyée contre une femme qui
it la jambe depuis la pointe du pied jusqu'au tiers inférieur de la cuisse . Au-dessus de l'ouate je pratiquais un bandage
la blessure faite par le chirurgien qui emportait l'épiderme de la cuisse droite guérissait très rapidement. Jamais je n'ai
tion de plaques de gangrène cutanée sur la surface antérieure de la cuisse et sur la face externe de la jambe, plaques qui
le s'est débouchée par accident; le liquide a atteint la peau de ma cuisse . Je n'ai éprouvé aucune douleur ; lorsque je me
'une large eschare, cela est vrai ; mais vingt-cinq jours après, ma cuisse était guérie avec une cicatrice plane, sans ché
48 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
éritables seins, pendants, et à la région inférieure du ventre. Les cuisses sont rondes et effilées inférieurement. Avec cet
e en soute- nantie poids du corps à l'aide des bras appuyés sur les cuisses . Dans leur ensemble, l'attitude de ces malades
ent accolées en canons de fusil depuis la partie supé- rieure de la cuisse ou même depuis le bassin. Ce sont quelques-uns
son axe longitudinal. La blessure siégeait au tiers supérieur de la cuisse ; les douleurs et la paralysie étaient extrêmeme
quent. Dans le cas B, la blessure siégeait au tiers supérieur de la cuisse ; la paralysie.était incomplète, surtout dans le d
- tique externe ; atrophie importante des muscles postérieurs de la cuisse et du mollet. Dans le cas C, le sciatique avait
formation, degré le plus fréquent : lésion au tiers supérieur de la cuisse , paralysie très incomplète, amyotrophie marquée
egré léger ; dans l'un, la blessure sié- geait au tiers moyen de la cuisse , dans l'autre au creux poplité ; les dou- leurs
la posi- tion assise, douleurs dans les masses musculaires des deux cuisses . Pas de douleur à la palpation des masses muscu
Sensibilité tactile conser- vée. Sensibilité normale au niveau des cuisses . Pas de douleurs à la pression dans les mollets
des crises douloureuses dans les os, les muscles des jambes et des cuisses . Inappétence. Aurait eu depuis lors une températu
psychique flou ; nuit agitée. Douleurs dans les jambes et dans les cuisses . Douleurs à la pression dans la masse musculair
; crises douloureuses dans les os et les muscles des jambes et des cuisses , avec inappétence dans l'observa- tion VII. L
trée à la clinique, le sommeil a été très mauvais. Les douleurs aux cuisses et à la partie inférieure du dos ont été d'une te
ujourd'hui, douleurs très fortes, localisées au côté postérieur des cuisses , à la région sacrée, au creux poplité et aux moll
e frémissement des muscles, notamment des muscles posté- rieurs des cuisses et des masses sacro-lombaires, frémissement qui s
ez souvent des crampes ou des sensations de fourmillements dans les cuisses ou dans les jambes. Aucun tronc nerveux ne pr
des deux côtés ; celle des muscles anté- rieurs et postérieurs des cuisses est très faible, bien que les réflexes rotuliens
orte des deux côtés sur les mêmes muscles et nerfs. Les muscles des cuisses sont également très hypoexcitables, surtout ceux
ds et des jambes et une atrophie légère de la partie inférieure des cuisses . Cette atrophie est beaucoup plus prononcée du
ébuté par les parois du ventre qui faisait des plis tombant sur les cuisses . A ses parties cedématiées la malade sent des dou
sibilité douloureuse. Hyperesthésie aux extrémités inférieures. A h cuisse , il y a des zones d'hyperesthésie. Il n'y a pas
te affection, en parti- culier la contracture des adducteurs' de la cuisse , la marche sur la pointe des pieds et la strabi
on billet d'hôpital porte : plaie en séton de la face externe de la cuisse droite, plaie en séton de la région scapulaire po
cm.); ses dimensions contrastent avec l'atrophie considérable de la cuisse et de la jambe. Il est assez régulièrement sphé
on plus ou moins généralisée, dominant cependant aux seins, fesses, cuisses , région inférieure de l'abdomen et région sub-pu-
tement alité, couché sur le côté droit, les jambes fléchies sur les cuisses , les cuisses sur le bassin. A deux ou trois rep
couché sur le côté droit, les jambes fléchies sur les cuisses, les cuisses sur le bassin. A deux ou trois reprises, il ess
septembre 1916). Le tronc est courbé presque à angle droit sur les cuisses ,' et le malade ne peut pas le redresser. On voit
oit est normale. A gauche, la flexion volontaire de la jambe sur la cuisse est incomplète, et l'adduction provoque une dou
resté à terre, le tronc fléchi sur le bassin et les jambes sur les cuisses . Tout son corps était enseveli, sauf la tête. I
1916, accroupi sur la pointe des pieds, les jambes fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le tronc, a été enterré par
sur la pointe des pieds, les jambes fléchies sur les cuisses et les cuisses sur le tronc, a été enterré par un éboulement. To
ler simplement une douleur surtout à droite, pendant la flexion des cuisses sur le bassin. Les réflexes tendineux et cutané
49 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rès légèrement les pieds et les orteils. Les muscles adducteurs des cuisses sont contractés au point do ne permettre que tr
bilité normale aux organes génitaux. Sur la face antérieure de la cuisse et de la jambe droite, la sensation du toucher
uchement; cependant la piqûre est perçue à la face antérieure de la cuisse . L'application d'un corps froid aux membres sup
use. Sur la verge, le froid donne une sensation de chaud ; sur la cuisse gauche une sensation de froid. La perception des
côté externe de la jambe gauche et à la face antérieure des deux cuisses ; le chatouillement est perçu à la plante des pie
é- rieur gauche, persistance de la contracture aux adducteurs des cuisses , une miction volontaire. Se jour. Les mouvement
thorax et à l'abdomen ; elle s'est étendue à la face antérieure des cuisses . Mouvements réflexes très accen- tués. 10° jo
et à l'abdomen, elle est très prononcée à la face antérieure de la cuisse droite, moins à la cuisse gauche. Les mouvements
très prononcée à la face antérieure de la cuisse droite, moins à la cuisse gauche. Les mouvements continuent à s'accentuer
r moments des gémissements au malade, et le privent de sommeil. Les cuisses sont devenues douloureuses comme les bras. Mouv
he. Il éprouve des douleurs vives quand on passe le bassin sous les cuisses , mais il n'a pas la sensation du froid. Urine n
un corps froid y sont très douloureuses ; il en est de même sur les cuisses . Aux deux jambes, la piqûre est perçue d'une ma
s dorsales, pas de déformation. La contracture des adducteurs de la cuisse persiste. Le cathétérisme de la veille au soir
leva très bien la jambe gauche et tend le genou. La sensibilité des cuisses est redevenue normale. Aux jambes le toucher es
perçu un peu faiblemeut. Le froid est bien perçu à l'abdomen et aux cuisses , la sensation y est encore un peu douloureuse.
- IIyperesthésic des muscles des membres infé- rieurs, surtout à la cuisse droite. 0 gr. 02 d'extrait thébaïque le soir.
e Gaiffe, avec les éponges mouillées; appareil gradué au maximum. Cuisse droite, région antérieure, le courant est senti ;
nti ; mais il ne provoque pas de contractions. Même résultat à la cuisse gauche. Jambe droite : il sent faiblement le co
, d'une douleur vive en cercle autour du bassin et de la racine des cuisses , en même temps que de raideur dans les jambes e
es inférieurs provoquent des douleurs dans le bassin et au haut des cuisses , avec une sensation très grande de pesanteur.
i, au milieu de la région épigastrique. L'application du froid à la cuisse gauche et à l'abdomen pro- duit une sensation d
ue à la 12 1-) PATHOLOGIE NERVEUSE. jambe droite, elle l'est à la cuisse droite et légèrement à la jambe gauche. Tempéra
e au soir, retour des douleurs autour du bassin et de la racine des cuisses avec mouvement fébrile et frissons. Température
use est douloureuse. Le contact d'un corps froid est douloureux aux cuisses et sur l'abdomen; les corps chauds ne provoquen
me. 105° jour. Un corps froid, promené sur la face antérieure des cuisses , sur l'abdomen et la poitrine détermine de la dou
provoque encore des con- tractions réflexes dans les muscles de la cuisse . 167° jour. - Au moment de la visite, le malade
s un cas d'épilepsie symptomatique d'une lésion traumatique de la cuisse . Mandt 3, en opposition à ces succès partiels,
r dans cette pé- riode quelques contractures dans les muscles des cuisses , traduisant déjà, sinon une inflammation réelle,
'état antérieur de la contracture très prononcée des adducteurs des cuisses , contredit cette manière de voir, et il nous es
dans les extrémités inférieures, principa- lement les muscles de la cuisse (triceps et son muscle droit), sont peu ou poin
abdomen. Dans le décubitus abdominal, atteinte des fléchisseurs des cuisses , des fessiers, des carrés des lombes ; intégrit
ments, 1 avait été atteinte de tabes après traumatisme (fracture de cuisse ), 2 à la suite d'une terreur (saisie- gagerie,
50 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
, son genou gauche, le haut de la jambe et la partie inférieure de la cuisse corres-pondante, envahis par un gonflement indolo
de contracture ou de rétraction. L'émaciation est plus prononcée aux cuisses qu'aux mollets. Les mouvements volontaires sont à
, en raison dé la prédominance d'action des muscles postérieurs de la cuisse et 1 Je tiens de mon collègue, M. le docteur Bo
ue, quelques jours après le début des accidents, l'amaigrissement des cuisses était déjà appréciable. Les membres supérieurs
rs sont amaigris dans la totalité, l'atrophie est surtout marquée aux cuisses qui sont flasques et comme aplaties d'avant en ar
ement atteints. Ainsi, lorsque R... est assis, il ne peut fléchir les cuisses sur l'abdo-men ; il esquisse à peine ce mouvement
degré de maigreur relative, de flaccidité des muscles antérieurs à la cuisse gauche, une tendance mar- quée du tronc à s'inc
t dépendent surtout de la difficulté qu'elles éprouvent à écarter les cuisses . Ajoutons qu'il n'y a pas de tendance à la format
men. Quand on pince la peau sur un point quelconque des jambes ou des cuisses , ou lorsqu'on chatouille la plante des pieds, il
. X..., âgé de cinquante ans, a élé amputé à l'âge de vingt ans de la cuisse gauche. Depuis plusieurs mois, il ressentait dans
la contraction brusque et involontaire des muscles anté-rieurs de la cuisse , — vous voyez en même temps le pied porté tour à
ngourdissements dans le pied droit, la malade remarqua un jour que la cuisse de ce côté était considérablement tuméfiée', le m
r le pied, la jambe, le genou et même pour la partie inférieure de la cuisse . C'est la partie supérieure de la cuisse ainsi qu
r la partie inférieure de la cuisse. C'est la partie supérieure de la cuisse ainsi que la hanche, et comme siège précis, c'est
on telle, qu'il est porté du côté de la partie pos-téro-externe de la cuisse . Il se trouve situé à une distance d'en-viron 12
dans la rectitude (Voy. Planche VI.) Toute la partie interne de la cuisse , à partir de 8 centimètres au-dessus du condyle i
lus rapprochés du pli de l'aine, dépassent la partie antérieure de la cuisse et se prolongent même, sans l'atteindre, jusque v
jusque vers la partie latérale externe. Sur la partie externe de la cuisse se trouvent quelques bour-relets de peau, dans le
du membre, bourrelets s'effaçant par les mouvements. La forme de la cuisse est celle d'un cône tronqué. — La cuisse tout ent
mouvements. La forme de la cuisse est celle d'un cône tronqué. — La cuisse tout entière est raccourcie, et mesure depuis l'é
limité. Le mouve-ment d'abduction est le plus étendu, la jambe et la cuisse pouvant être placées entièrement sur leur partie
ceux décrits pour le membre opposé existent à la partie interne de la cuisse depuis le bord interne du genou jus-qu'au pli de
, s'étendant depuis le genou ainsi que depuis la partie interne de la cuisse jusqu'à quelques centimètres de l'épine iliaque a
es, se sont pro-duites les diverses fractures, aussi bien celle de la cuisse que celle des deux avant-bras, ne permettent pas
s................................. 0. 17 — à la partie moyenne delà cuisse .......... 0. 365 — à la jambe, un peu au-dessus
'entre eux ont été examinés; le couturier, le droit antérieur pour la cuisse ; à la jambe, les ju-meaux, le jambier antérieur,
ucoup de fatigue. A gauche, les muscles de la partie antérieure de la cuisse et ceux du mollet sont le siège de contractions f
ceaux primi-tifs. Les muscles des membres inférieurs (muscles de la cuisse , muscles plantaires) ont été examinés en plusieur
51 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
s démangeaisons, des boutons apparaissent aux bras, aux poignets, aux cuisses , sur la face. Ces boutons sont tout au plus au no
nt au-dessus du genou gauche, à la partie interne et inférieure de la cuisse ; quatre pus-tules, dont trois volumineuses et omb
qu'au dos et aux lombes ; on les observe rarement sur les bras et les cuisses . Elles sont d'une belle couleur rose, arrondies ;
s et les premières venues » se développe au cou, aux aisselles et aux cuisses , est avec fièvre ou sans » fièvre. Nécessairement
fondément situés ; mais c'est à la partie interne et supérieure de la cuisse , envi-ron à trois travers de doigt au-dessous de
gnée. La douleur lombaire peut s'irradier vers l'ombilic, le long des cuisses , ou encore, par en haut, le long de la Charcot.
ut des douleurs, la peau de la jambe et de la partie inférieure de la cuisse gauche a été recouverte de vési-cules d'herpès, d
1849, reçu une balle à la partie infé-rieure et postéro-externe de la cuisse . Quelque temps après la guérison de la plaie, sur
s et une ulcération gangreneuse du sacrum et de quelques points de la cuisse . Il faut donc distinguer les effets de l'irrita
ne grande plaque d'un brun très sombre ; les épaules et les bras, les cuisses surtout, dans leurs parties antérieures et extern
es sabots de devant et de derrière, à la face externe du milieu de la cuisse et de l'articulation du genou. De plus, en examin
ance qu'il présente sur le flanc gauche et la région supérieure de la cuisse du même côté, une large ecchymose violacée; on re
mais peu énergique et limité. La jambe peut de même se fléchir sur la cuisse et la cuisse sur le bassin; mais on peut, en dépl
gique et limité. La jambe peut de même se fléchir sur la cuisse et la cuisse sur le bassin; mais on peut, en déployant du rest
dérable. La malade, étendue sur son lit, peut fléchir et étendre la cuisse sur le bassin, la jambe sur la cuisse, le pied su
lit, peut fléchir et étendre la cuisse sur le bassin, la jambe sur la cuisse , le pied sur la jambe, et ces mouvements ont une
par M. le docteur Herschell. On essaye de calmer les douleurs de la cuisse droite à l'aide d'applications narcotiques et d'o
es, principalement par l'application d'un corps froid sur la peau des cuisses , les membres inférieurs sont pris de mouvements c
s, l'appétit persiste. L'application d'un corps froid sur la peau des cuisses ne provoque plus de mouve- ments convulsifs dan
tractions fibrillaires et fasciculaires des muscles des jambes et des cuisses . Il y a aussi assez souvent, même en dehors des é
s, des soubresauts des jam-bes qui se fléchissent brusquement sur les cuisses pour retomber presque aussitôt dans la résolution
nts de ses membres inférieurs : le pied sur la jambe, la jambe sur la cuisse , la cuisse sur le bassin. Plus de force dans le m
membres inférieurs : le pied sur la jambe, la jambe sur la cuisse, la cuisse sur le bassin. Plus de force dans le mouvement d'
retombe à peu près inerte. Les mouvements spontanés de flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du pied
s spontanés de flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse , du pied sur la jambe et des orteils sont tout à
duit un de ces mouvements, par exemple, la flexion de la jambe sur la cuisse , la malade ne peut pas étendre la jambe ; il faut
52 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
ur le dos, la par-lie supérieure du tronc soulevée , le thorax et les cuisses légère-ment fléchis sur l'abdomen, le chirurgien,
abdo-men mis dans le relâchement par la demi-flexion du thorax et des cuisses sur le ventre, le chirurgien commence par reconna
ne, par laquelle les vaisseaux fé-moraux sont conduits du bassin à la cuisse , qu'il faudrait ainsi désigner. Les rapports de
raneux, où elle est logée, et en partie aussi par les mouvemens de la cuisse sur le bassin. M. Laugier a rapporté l'histoire
viscères entraîne plus facilement la tumeur vers le ventre. Les deux cuisses seront fléchies sur le bassin, d'une part pour mi
ets qui sont à la face externe de l'écusson. Ce lien, passant sous la cuisse du côté où est la hernie, est surtout avantageux
r le côté, vers le bord d'un lit, placé obliquement sur le ventre, la cuisse de dessous fléchie, l'autre étendue, les deux fes
e ventre est appuyé sur un traversin qui soulève un peu le bassin; la cuisse de dessus est fléchie, celle de dessous étendue.
ion doivent être dans le relâchement, par la flexion du thorax et des cuisses . Ainsi, parmi les chirurgiens , les uns couchent
ssin soulevé par des oreillers, le tronc en situa-tion déclive et les cuisses maintenues écartées, l'opérateur fait écarter lar
e M. Bégin. Ce chirurgien fait placer le malade sur le côté droit, la cuisse droite fléchie, et la gauche, étendue, et porte u
. Procédé de M. Lisjranc. On fait étendre le malade sur le dos, les cuisses fléchies sur le tronc et les jambes sur les cuis-
e de l'hydrocèle. Incision. — Le malade étant placé sur le dos, les cuisses légè-rement fléchies sur le ventre et les jambes
les cuisses légè-rement fléchies sur le ventre et les jambes sur les cuisses , le chi-rurgien , la main droite armée d'un bist
ood. 1" Procédé de Douglas. Le malade étant couché sur le dos , les cuisses écartées et légèrement fléchies sur l'abdomen , l
au liquide qui s'écoule dans un bassin préalablement placé entre les cuisses du malade. Lorsque la tunique vaginale est vide,
enversé sur l'hy-pogastre, et les deux autres sur la face interne des cuisses . Il s'oc-cupa ensuite d'isoler les cordons et les
des boulettes de char-pie; on en met aussi entre le côté interne des cuisses et le scro-tum, pour le garantir du frottement. D
partie la plus large sur le pubis, pour éviter que le scrotum et les cuisses soient mouillés par ce liquide. La plupart des
lade horizontalement sur le bord gauche de son lit ou d'un divan, les cuisses un peu fléchies et écartées, et la tète soutenue
énis, par un second quart de cercle, il abaisse le pavillon entre les cuisses pour lui faire franchir la portion prostatique de
n ne peut être « aussi complètement que d'ordinaire abaissé entre les cuisses du « malade. Les mouvemens de rotation qu'on cher
n haut et que sapartie rectiligne soit au-dessous du ventre entre les cuisses , le pouce en dessus et l'indicateur et le médius
aient le second temps, qui consiste à renverser le pavillon entre les cuisses , avec tant de rapidité, qu'il semblait ne faire q
e alors d'attacher deux ru-bans aux anneaux, de les conduire sous les cuisses et de venir les fixer sur les côtés d'un bandage
seoir le malade sur le bord de son lit, le tronc fléchi en avant, les cuisses fléchies sur le tronc, et les pieds ap-puyés sur
le long du pénis, au pli des aines , sur les lesses et au dedans des cuisses . Ordinairement leur ouverture urétrale est unique
t sur le pénis, le scrotum, dans l'aine, ou à la partie interne de la cuisse , a été employée par Earle et A. Cooper avec succè
oche urinaire. Le malade, couché horizontalement, les jambes et les cuisses fléchies, est fixé par des aides, comme pour l'op
elève les bourses avec l'autre main. Le chirurgien, placé entre les cuisses du malade, applique le doigt indicateur de la mai
lit, la tête et la poitrine un peu élevées par des oreil-lers, et les cuisses légèrement fléchies, afin de mettre les parois du
t. vu. lorsque le pignon agit horizontalement, il est arrêté par la cuisse du malade; pour éviter cet inconvénient, M. Leroy
ischions, et de l'autre se confond avec les couches sous-cutanées des cuisses ; 4° La couche musculaire du périnée ren-ferme l'i
torze ans, un aide grand et vigoureux s'asseyait, sur une chaise, les cuisses et les genoux rapprochés, et recouverts d'un orei
de, étendu sur le dos, le siège porté sur le bord de l'oreiller , les cuisses relevées et écartées , les bras pendans et placés
es vigoureux, et l'on plaçait le malade comme précédem-ment sur leurs cuisses rapprochées et couvertes d'un oreiller, chacun d'
la partie postérieure du cou et conduits autour des aisselles et des cuisses , fixaient en-suite les talons rapprochés des fess
ssait la plaque avec la main gau-« che, l'inclinait vers l'aine et la cuisse droite du malade, dans « le but de faire saillir
il fallait entendre que la concavité du croissant fût dirigée vers la cuisse gauche, et ses extrémités vers l'aine et la tu-bé
rme de crois-sant dont les extrémités devaient être tournées vers les cuisses . Mais soit inattention, soit que l'on comprît que
s il parvint à découvrir que le mot coxee ne signifiait pas seulement cuisses , aines, etc., mais avait plus spécialement pour
au moins cinq aides : deux qui devront tenir la jambe fléchie sur la cuisse , et celle-ci fléchie sur le bassin à angle droit;
est placé sur le dos, la tête et la poitrine légèrement élevées, les cuisses et les jambes rapprochées, demi-fléchies, et sout
nement, il est bon d'avoir recours aux réfrigerans, appliqués sur les cuisses , l'hypogastre et la plaie; M. Velpeau conseille l
imer la verge par un aide et lui recommandait de l'abaisser entre les cuisses du malade, tendait en travers, avec la main gauch
es ; M. Velpeau croit que si la femme était placée sur le ventre, les cuisses et les jambes fléchies, il serait plus facile de
e siège pour le soulever, et l'on fait écar-ter et fléchir un peu les cuisses . Le chirurgien, placé à droite, dé-couvre les par
a-ver le travail de la nature ; aussi se borne-t-on alors à tenir les cuisses rapprochées , à prescrire le repos , les soins de
les huit premiers jours, rester étendue sur le dos dans son lit, les cuisses rapprochées. On la fera uriner avec une sonde tou
nir la femme pendant quelques jours au re-pos et au rapprochement des cuisses . Si rien ne vient entraver la guérison , vers le
ête et la poi-trine soulevées par des oreillers, et les jambes et les cuisses de-mi fléchies, afin démettre les muscles du vent
auche. On peut porter la main aux parties soit direc-tement entre les cuisses , soit en passant derrière la cuisse corres-pondan
ties soit direc-tement entre les cuisses, soit en passant derrière la cuisse corres-pondante ; dans l'un ou l'autre cas on y p
son siège repose sur le bord, et l'on fait soutenir les jambes et les cuisses demi fléchies par des aides, ou bien on lui fait
u à des exco-riations et des boutons ulcéreux à la partie interne des cuisses , des fesses et des organes génitaux externes.
a vulve. Ceux qui sortent par l'urètre doivent être assujettis sur la cuisse à l'aide d'un emplâtre. Une grosse sonde doit êtr
oins d'une extrême propreté, afin de protéger les grandes lèvres, les cuisses et les fesses contre l'Acreté des urines qui les
a prolapsus complet, le viscère a franchi la vulve, et pend entre les cuisses , recouvert par le vagin tout-à-fait retourné, et
: des tiraillemens très douloureux dans les aines, les lombes et les cuisses , par l'effet de la compres-sion qu'exercent les e
ois abdominales soient dans le relâchement ; ou bien sur le dos , les cuisses et les jambes fléchies et écartées, la tête et po
ême , de manière à étrangler le pédicule, et fixait cette canule à la cuisse . Ensuite, soir et matin, il augmentait la constri
, il confie les érignesà un aide instruit placé, comme lui, entre les cuisses de la femme, mais un peu à droite, tandis que lui
ître; outre que l'utérus fait saillie dans le vagin et pend entre les cuisses , au dehors de la vulve, il ne reste plus de vide
ble. C'est ainsi qu'on agit pour les cas de polypes pendans entre les cuisses , et dont le pédicule est très volumineux. Procé
, dans la même position que si l'on voulait appliquer le forceps; les cuisses et les jambes fléchies sont maintenues écartées p
u dans cette position par un aide : un second aide fixe d'une main la cuisse du malade, et de l'autre main appuie sur la jambe
ve. 6° L'ouverture de plusieurs abcès par congestion à l'aine, à la cuisse et au dos. Cette application , l'une des plus imp
r les épanche-mens dans les cavités et celle d'un abcès profond de la cuisse pour les collections dans l'épaisseur des tisstis
autres cas d'application. Soit, par exemple, un abcès profond à la cuisse ; comme, il arrive qu'une collection ne soit pas b
b-domen étant mis dans le relâchement, par la flexion du tronc et des cuisses sur le bassin, le chirurgien, qui renferme la tum
utre que l'anneau crural accidentel, formant, sous les tégumens de la cuisse , l'entrée du sac herniaire. Parties accessoires
se dans l'intérieur de la vessie. Le sujet est couché sur le dos, les cuisses con-venablement écartées ; un oreiller est placé
le (Leroy d'Étiolles) pour que le pignon ne soit pas arrêté par les cuisses . Les mors sont les mêmes que dans la figure 28. —
main gauche (c), réagit en sens inverse sur la face postérieure de la cuisse , et de sa main droite (b), pratique la section su
ringue, pour l'évacuation d'un abcès profond de la face externe de la cuisse . Ee retrait des parties molles indique que la suc
53 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
faisons pratiquer des frictions stimulantes sur les jambes et les cuisses , et nous leur faisons exécuter des mouvements d
s en plus, il offre un aspect squelettique. Ne pouvant allonger les cuisses à cause des contractures qui les maintiennent d
ns encore l'atrop.'ne toute particulière des musclés adducteurs des cuisses et du psoas-iliaque. Ces muscles, de couleur fe
que par leur section, tant à droite qu'à gauche, l'extension des cuisses sur le bassin du cadavre. D'une manière générale,
semble exister à un faible degré à partir de la partie moyenne des cuisses . Au tronc, à la face et aux mem- bres supérieur
és, couverts de poils qui commencent à noircir. Membre droit : la cuisse est à-peu-près fixée en demi-flexion et adducti
demi-flexion et adduction. La jambe est en flexion complète sur la cuisse et le pied est fléchi autant qu'il est possible
in avec légère adduction. La jambe est en flexion complète sur la cuisse , le pied en rotation externe forcée, la malléole
, au niveau du cou- de-pied ; les jambes sont demi-fléchies sur les cuisses . Ces dernières sont eu demi-flexion sur le bas
e membre inférieur droit est le siège d'une contracture intense. La cuisse est en demi-flexion sur le bassin, la jambe en
est en demi-flexion sur le bassin, la jambe en demi-flexion sur la cuisse , le pied en position normale. Si on essaye de f
sses où elle est confluente, puise elle a gagné la face interne des cuisses où elle est actuelle- '; ment très développée.
ur droit est sensiblement plus froid que le gauche Demi-flexion des cuisses et léger équinage surtout accentué à droite. Dé
ouvements con- vulsifs qui se sont ensuite manifestés à gauche. Les cuisses sont en adduction, les jambes en légère abducti
sont mobiles, mais occupent toujours la même position : flexion des cuisses sur le bassin et des jambes sur les cuisses. Le
position : flexion des cuisses sur le bassin et des jambes sur les cuisses . Les pieds sont régulièrement con- formés, les
Il est diffx'i'e de relever son poignet qui retombe de lui-même. La cuisse est également fléchie sur le bassin, la jambe s
ême. La cuisse est également fléchie sur le bassin, la jambe sur la cuisse et le pied est en position normale. Cet état n'
et laisse apparaître la saillie des condyles fémoraux. A droite, la cuisse est légèrement en rotation interne, la jambe en
e spas- modique très marquée, avec contracture très prononcée des cuisses , qui font avec l'abdomen un angle aigu; on ne peu
r en la soutenant sous les bras, elle s'affaisse sur elle-même, les cuisses restant dans t'adduo- tion ut au même oieat. le
ette voie, et par le périnée, la partie supérieure et interne de la cuisse gauche (9 novembre). Au niveau du bassin existe
dans la poche de son pantalon, laisse (lutter l'autre le long de sa cuisse gauche, détourne la tête avec une expression de
la main correspondante flotte le plus souvent inerte le long de la cuisse . Notons toutefois qu'il n'a jamais été paralysé
54 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
lons avec les mains, on dit à la malade de fléchir les jambes sur les cuisses , on constate que la jambe gauche est moins faible
aient sur les épaules, les jambes étaient légèrement fléchies sur les cuisses ; ou bien G... était assise et avait, appuyé sur s
e laisse retomber son corps sur le lit, relève sa chemise, écarte les cuisses ; — ou bien, s'adressant à l'un des assistants, e
le de service étant intervenue, G... lui a égratigné le visage et les cuisses et a essayé de la saisir à la vulve, dans l'inten
n grand cri : « Le voilà ! » rabaisse sa chemise, la relève, tâte ses cuisses , son ventre, regarde les personnes qui l'entouren
haut et se place derrière la tète ; la jambe gauche se fléchit sur la cuisse en croisant la jambe droite ; quelquefois, la jam
icularités suivantes : Membreinférieur:I1 est dans l'adduction ; la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin et la jambe
n ; la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin et la jambe sur la cuisse ; le pied est en varus équin ; les orteils sont én
haut (Pl. XXVIII). L'attitude du membre inférieur est différente : la cuisse est fléchie sur le bassin; la jambe est à angle d
a cuisse est fléchie sur le bassin; la jambe est à angle droit sur la cuisse et le pied en varus équin très-accentué. M... sou
a face, les oreilles, le cou, les bras, la poitrine, le ventre et les cuisses deviennent rouges ou rosés (érythème) ; la pressi
mbres inférieurs se dressent en l'air, s'entre-croisent doublement ( cuisses et jambes) de même que chez Rosalie Ler... (1). N
exerce une violente traction sur les manches de la camisole (1).— Les cuisses sont fortement fléchies sur le bassin et les geno
55 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
êmes; aux. membres inférieurs, ce sont les muscles antérieurs de la cuisse , c'est-à-dire les 1 L. Clarke. On locomotor ata
ivement les muscles du mollet et ceux de la partie antérieure de la cuisse , le membre infé- rieur, étant dans l'extension.
une pareille atti- tude"Jes muscles de la partie antérieure de- la cuisse sont relâchés, ceux du mollet sont tendus, et l
l'ataxie, de temps perdu des muscles de la partie antérieure de la cuisse et pos- térieure de la jambe sont fort petites
le même sens; tou- jours les muscles de la partie antérieure de la cuisse ont'' eu , dans des conditions identiques, un t
ns-nous, du relâchement des muscles de la partie antérieure de la cuisse . C'est pour contrebalancer les effets de l'inég
e favorisée par cette circonstance que les muscles antérieurs de la cuisse sont souvent relâchés, d'où une certaine brusqu
igts; les mains sont froides et cyanosées. Membres inférieurs Les cuisses sont fléchies à angle droit sur le bassin, dans
sieurs cicatrices superficielles. Le pied est plat et violacé. La cuisse droite est dans l'adduction et fléchie sur le bas
l'adduction et fléchie sur le bassin ; la jambe est fléchie sur la cuisse ; le pied est plat, en varus et violacé. Cicatr
ed est plat, en varus et violacé. Cicatrice à la face interne de la cuisse . La malade est incapable de se tenir sur ses ja
à 38° dans l'aisselle du côté sain. Sinapismes aux jambes et aux cuisses . - Purgation.-Lave- ment à la glycérine. Le s
ent, il est vrai. -Nouvelle application de l'aimant au niveau de la cuisse , pendant,, heures ? · ? Les jours suivants la
dement. Chez ces deux animaux, quatre mois plus tard, le bras et la cuisse du côté opposé à l'opération avaient environ si
tôme nouveau. En 1876, nouvelle tumeur à la partie supérieure de la cuisse droite ; en 1878, autre tumeur au-dessus de la
Izzscrition du phénomène du geîzoz4 ? l A, muscles antérieurs de la cuisse ;' - M P, muscles postérieurs de la cuisse. 1 "
muscles antérieurs de la cuisse;' - M P, muscles postérieurs de la cuisse . 1 " 1 1 . 200 ? <1 PATHOLOGIE ,INTERNE,IO
ractions ,des; muscles, antérieurs,.MA,.et postée rieurs, MP, de·la cuisse .^ JfI'Jb ? )q'IQ iih 61é111h ou ,rrr On peut, s
ogressif. Eschares aux grands trochanters et au sacrum ; oedème des cuisses et des pieds. En juin et juil- let, la températ
leurs muscles. L'infiltration, d'abord localisée aux mollets et aux cuisses augmentait graduellement et finis- REVUE DE phy
acture des inférieurs. Celle-ci consis- tait dans une adduction des cuisses avec flexion des jambes. Toute tentative de sép
) écarter-» J l)'lqf 1' : 1 q., 111111 ilàj j J J ? 4 1 - . les1 " cuisses rencontre une forte résistance..L'abduction -volo
? f'I'lllr'lllt l1 JU,¡I t. taire''estimpo'ssiblet La,flexion des, cuisses est normale.. Pen'-> f il- Ptilï Il '1\ lU I
aisi ,1 f l" 1111 il '. Il ? 1 iJ 1 l" Il .JI 1 , , . debout, les cuisses sont AHs 11 ;¡td4uctlOp,r la gauche plus que) l
'aplLi8'7'T,p.6J'aunëcontractiôntbilatérale desb b adducteurs de la cuisse qui paraît être une affection analogue. La mala
culation du coude, les bras fléchis à angle droit ; on trouvait les cuisses appliquées contre l'abdomen, et les jambes cont
t les cuisses appliquées contre l'abdomen, et les jambes contre les cuisses ; on trouvait la tête et le tronc tordus en arr
on voit le genou gauche, plus élevé, reposer sur le genou droit. La cuisse et la jambe sont fléchies l'une sur l'autre, à an
tre le malade se plaint du moindre contact au niveau du bras et des cuisses ; et, quand pour le déplacer dans son lit, on s
J'attitude suivante : les jambes sont tout à fait fléchies sur les cuisses , fléchies elles-mêmes sur le bassin ; les talon
périeure, il se plaçait à côté du nerf crural et descendait dans la cuisse avec lui, en passant sous l'arcade fémorale. Là,
peau des .».u.r,^ , . r . ? n..... · mrimtmt od 1J0 jambes et des cuisses se couvrir temporairement d une éruption papule
J .9X91191 at i o upi >vmq,pp tud si ' : rtRb e b antérieure des cuisses , se couvraient d une éruption n - f ! : 99a,)"t
)"Yé ? d'ûli fTdnb'I 299'I01 J1LI6 insmaiôgèl ub 2 ? bms'fa ? erned cuisses et des jambes so'uver' 1. 3r n zn 'éru'po'n m n
que le malade com- pare des coups de poi^riar'd^'et'quPsiè^ent aux cuisses . Elles se fixent sur un point et s'y succèdent
eb pduibait ! sur3ls : zparted charnues, soit aux mollets, soit aux cuisses ateadisparaissaitl au. z J6 ? iRSMPs, iqing[8
ucement, pendant environ dix secondes, sur le tiers supérieur de la cuisse le pôle négatif d'une tige d'acier fortement aima
ou- vements limités au côté gauche. Un aimant fut appliqué sur la cuisse gauche, et l'autre sur la région cervicale. Au bo
56 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
malade on voit les membres déjà fortement fléchis (la jambe sur la cuisse et celle-ci sur l'abdomen) se fléchir davantage
aux jambes ne sont nullement perçues ; la flexion très marquée des cuisses est seule reconnue par le malade. Il existe don
centimètres ; la même mensuration droite donne 85 centimètres ; la cuisse gauche présente un périmètre de 15 centimètres,
diffuse et dyssymétri- que de l'hypertrophie. Celle-ci porte sur la cuisse gauche (masses muscu- laires et fémur plus déve
rtie cette attitude foetale. ' Dans la station debout ou assise, sa cuisse gauche reste toujours re- pliée sur le ventre;
Parfois même l'hyperalgésie existe dans la région des fesses et des cuisses . On voit alors les malades retourner à leur lit p
imilée pour longtemps aux avant-bras ou aux bras, aux jambes ou aux cuisses , aux membranes mu- queuses. Mais il n'est pas r
urs musculaires au niveau des mollets; parésie des fléchisseurs des cuisses sur le bassin qui n'empêche pas le malade de ma
d'abord les pieds, puis les jambes, enfin la partie inférieure des cuisses , et cela avec une symétrie presque parfaite. A
trophie musculaire portant sur les jambes et le tiers inférieur des cuisses , toutes lésions parfaitement symétriques (PI. X
et péronière que sur la région postérieure. Fait très singulier, la cuisse n'est atrophiée que dans son tiers inférieur, l
iffe. Les jambes sont très atrophiées et l'atrophie atteint ici les cuisses , dans leur totalité (PI. XXXIII et XXXIV). Au
ires très visibles sur les muscles en voie d'atrophie, sur ceux de la cuisse pax exemple. La motilité est diminuée au pror
s et du cou-de-pied. Elle est au contraire conservée au genou, à la cuisse : les mouvements de flexion et d'extension de l
jambe, d'extension, de flexion, d'abduction et d'adduc- tion de la cuisse se font avec une étendue et une vigueur normales.
de même l'abduction et l'adduction, la flexion et l'extension de la cuisse sur le bassin se font avec une force certaineme
ait, quoique moins marqué, après la flexion de Pavant-bras et de la cuisse , ou après l'extension de la tête. Ces examens p
es ne sont qu'esquissés. La flexion, l'extension de la jambe sur la cuisse et de la cuisse sur le bassin, l'abduction de l
esquissés. La flexion, l'extension de la jambe sur la cuisse et de la cuisse sur le bassin, l'abduction de la cuisse, se fon
ambe sur la cuisse et de la cuisse sur le bassin, l'abduction de la cuisse , se font, mais sans force. Les adducteurs de la
uction de la cuisse, se font, mais sans force. Les adducteurs de la cuisse sont, par rapport aux autres muscles, remarquable
contact, douleur, sensibilité thermique. Au niveau des jambes et des cuisses , les troubles de la sensibilité superficielle s
anchissent quelquefois l'arcade crurale pour gagner la racine de la cuisse droite. D'autres fois, la malade compare ses im-
e plaint en outre des brûlures produites par les sinapismes sur les cuisses et les jam- bes. On constate de vastes phlyctèn
e pileuse. Sur diverses régions, en particu- lier aux lombes et aux cuisses , on trouve, à la palpation, de véritables névro-
ne particularité notable sur la peau des jambes. Dans la région des cuisses , on ne constate aucune disposition anormale ; l
raissent proportionnelles à celles du thorax de l'individu. Pour la cuisse , on obtient pour les deux côtés. : roui 23 35
57 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
poing. Sensibilité cutanée. — Vase plein d'eau chaude placé sur la cuisse droite. Il fait le geste de se laver la figure et
raient... Encore des soldats?... Ah! ces grenouilles, quelles grosses cuisses ..., on dit que c'est pas mauvais à manger... Bon!
voilà un qui me monte sur les jambes ; il grimpe, il grimpe après ma cuisse . Ah ! je la tiens. Tiens, sale bête, te voilà écr
e, te voilà écrasée (elle fait le geste d'écraser un insecte sur sa cuisse )..... Mais, j'ai encore un cafard après mon cou
vipère, à l'état de Rochefort. En plaçant un aimant au niveau de la cuisse droite, on assiste au développement d'une véritab
rmés par le mari et le médecin. Un jour il s'agit d'une blessure à la cuisse , un autre d'une plaie à la main. Plus tard, c'est
avant son mariage, il a éprouvé les premières douleurs au niveau delà cuisse gauche. Cette crise douloureuse a duré vingt-quat
siégeant dans les membres inférieurs au niveau des articulations, des cuisses et des mollets. Ces douleurs sont vives etcourtes
889, les douleurs localisées à gauche étaient surtout prononcées à la cuisse et à la jambe. Elles étaient devenues nettement l
acité motrice. Elle avait débuté par le côté gauche (le bras, puis la cuisse ) ; à vingt-cinq ans, c'est-à-dire trois ans plus
'air. Membres inférieurs. Au niveau de l'extrémité inférieure de la cuisse , les membres sont atrophiés. Le bord interne de l
ieure de la cuisse, les membres sont atrophiés. Le bord interne de la cuisse forme une ligne à concavité interne. A droite l'a
mollets. Le mollet gauche est notablement plus gros que le bas de la cuisse du même côté et l'un et l'autre atteignent le vol
Le pied est tombant. MENSURATIONS : Côté droit.". Côté gauche. Cuisse (à 28 cent, de l'épine iliaque antéro-supérieur
) ... 33 cent. 25 cant. Mouvements. L'extension et la flexion de la cuisse sur le bassin sont assez limitées. L'abduction et
n et l'adduction sont possibles. La jambe ne peut être étendue sur la cuisse . L'extension du pied est impossible, la fluxion e
note la perte de l'excitabilité pour certains muscles (triceps de la cuisse , muscles de la région postérieure, extenseurs de
r dans le service. Le mois suivant, il a accusé, dans les bras et les cuisses , quelques sensations douloureuses qui ont cédé au
de certains muscles et surtout du deltoïde droit et du triceps de la cuisse gauche. L'observation de ce malade a été publié
u point de vue spécial qui nous occupe ici. En effet, au niveau de la cuisse gauche, précisément celle dans laquelle le mal ét
erme, formant les trois sommets d'un triangle à la face externe de la cuisse , ainsi que cela se voit bien sur le dessin ci-con
es noyaux contrastent vivement avec l'atrophie de tout le reste de la cuisse , dont presque tous les muscles sont considérablem
rée du malade à la Salpêtrière. Rien de semblable ne s'observe à la cuisse droite qui est proportionnellement à peu près dan
côté, les membres inférieurs fléchis, posés à plat sur le lit et les cuisses en rotation, l'une en dedans, l'autre en dehors.
droite; engourdissement douloureux partant du pied et remontant à la cuisse , puis contracture des orteils, secousse et raideu
58 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
e. Selon M. Ba- binski, la jambe serait légèrement fléchie sur la cuisse , et la plante du pied reposerait sur le sol par
gnostique, devenu aujourd'hui classique en France. La flexion de la cuisse sur le bassin et la flexion de la jambe sur la
flexion de la cuisse sur le bassin et la flexion de la jambe sur la cuisse sont des positions favorables à la diminution d
point quelconque du trajet du nerf- La flexion de la jambe et de la cuisse sont à peu près impossibles. Cependant, quand l
active de ses muscles, on peut faire exé- cuter à la jambe et à la cuisse des mouvements passifs d'extension et de flexio
nsellure se manifeste, et le malade demande grâce. La flexion de la cuisse , lorsque la jambe est fléchie, peut être poussée
tremblement épileptoïde passager. La raideur de la jambe et de la cuisse ne permet pas de les fléchir facilement. Les mouv
e résultat est le même, quoique moins caractérisé. La jambe et la cuisse gauches sont notablement amaigries, pour ne pas
son lit, et alors seulement il se décide à fléchir la jambe sur la cuisse : Il peut se tenir debout en s'appuyant sur le
semble résulter de l'allongement t du membre. L'angle formé par la cuisse et la jambe est ouvert en dehors. L'allongement
té, ce qui contraste avec le spasme des muscles postérieurs de la cuisse . - Malgré l'abaissement de la crête iliaque g
l'espace ischio- trochantérien et de la face postéro-externe de la cuisse réveille dans ces points les anciennes douleurs
ires. Il existe fréquemment à la.partie supérieure et interne de la cuisse un point qui ne peut répondre qu'à une branche
le rebord costal du même côté s'abaisse vers la crête iliaque; la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin, et la jam
la cuisse est légèrement fléchie sur le bassin, et la jambe sur la cuisse . La douleur spasmodique de tout le membre infér
s souffrent de douleurs dans les muscles, surtout des bras et des cuisses et quelquefois du dos, les articulations étaient
ute l'étendue des membres inférieurs, sauf le tiers supérieur de la cuisse qui était un peu sensible ; néanmoins le malade
la sensibilité était revenue un peu à la partie su- périeure.de la cuisse . Mais bientôt l'état du malade s'empire, la cys
'1 l'autopsie d'un homme de io ans, mort de pneumonie, amputé de la cuisse gauche onze ans aupa- ravant, une atrophie asce
ait à un même degré les droits de l'abdomen, les adduc- teurs de la cuisse , le biceps brachial, le grand pectoral et le gast
s spasmes occupant le grand pectoral et les muscles rotateurs de la cuisse en dehors. La guérison s'effectua au bout de di
en sera quitte, d'aprèsles journaux locaux, avec une amputation de cuisse ! Le fait s'est passé à Béziers et on dit qu'ap
laires mais surtout du tissu cellulaire sous-cutané. La force de la cuisse est à peu près bien conservée; celle des membre
diminution d'excita- bilité des autres muscles de lajambe et de la cuisse . A gauche réaction partielle de dégénérescence
iminution de l'excitabilité des autres muscles de la jambe et de la cuisse . SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 323 , A
59 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ve- nir bleuâtre. « On court chercher un médecin, on me pique les cuisses à l'éther et je reprends ma respiration petit à
ants, de même ordre : 1° Femme, cinquante et un ans; douleurs de la cuisse droite, datant de deux ans, accompagnées de boi
né, qui se montre criblé de varicosités, pleines de sang lorsque la cuisse est fléchie, vides lorsqu'elle est étendue. D'a
s heures, qu'on lui tiraille la peau à la partie anté- rieure de la cuisse . Plaque d'anesthésie post-opératoire stationnaire
1897.) Observation de trouble de la sensibilité de Bernhardt à la cuisse ; par A. GOOD. (Neurolog. CenGralbl , XVII, 1898.
syndrome de Bernhardt d'unedouleur occupant ellaface externe de la cuisse et la jambe, le tout indiquant une névralgie du p
mains, à la face posté- 160 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. rieure de la cuisse , etc... Ne sont pas du tout sensibles, la paume
nts sont normale- ment colorés ; toutefois, à la face interne de la cuisse gauche et sur la face antérieure de la région d
en dedans - Elle fait des mouvements de flexion de la jambe sur la cuisse - Ça craque dans le genou ? Il y a encore des b
ibilité sous tous les modes est restaurée. 21-31 murs. Sentez votre cuisse : Les réactions continuent, identiques, plus in
AITEMENT MÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE. 215 peau, les muscles, l'os de la cuisse . La malade fléchit la cuisse sur le bassin, acc
RIE. 215 peau, les muscles, l'os de la cuisse. La malade fléchit la cuisse sur le bassin, accomplit aussi des mouvements d
nt des lan- cées très vives qui s'irradient jusqu'à la racine de la cuisse . La resensibilisation de la cuisse se fait par
rradient jusqu'à la racine de la cuisse. La resensibilisation de la cuisse se fait par segments perpendiculaires à l'axe d
on de la cuisse se fait par segments perpendiculaires à l'axe de la cuisse . Une seule fois, Zoé accuse nettement la sen- s
ttement la sen- sation d'un plan douloureux, brûlant, qui sépare la cuisse en deux dans le sens antéro-postérieur et verti
ue la malade a recouvré à peu près entièrement la sensibilité de la cuisse , mais d'une façon plus complète à la partie ext
aillements partant des reins et descendant jusqu'aux adducteurs des cuisses , puis des brûlures du vagin seulement avec pico
amedi, je sens mon pied et un peu la jambe, j'ai chaud + Je sens la cuisse , je sens la hanche + Je suis un peu énervée + c
l'ont souffrir quelques se- condes ; elle localise leur siège à la cuisse , la cheville, à la poi- trine. Mise en garde co
lle une crise dans les cabinets et présente à la face interne de la cuisse gauche, dans toute sa hauteur une large ecchymo
er auprès de lui un rosaire enroulé autour de ses hanches et de ses cuisses . Une aliénée citée par MM. Vallon et Marie se l
souffrait des sensations paresthésiques à la partie antérieure des cuisses , avec crises provoquées par les changements de
que le malade calma en fléchissant la région lombaire, sans que les cuisses prissent part à ce mouvement. J'appris alors qu
A droite, il descendait moins bas à la partie antéro-externe de la cuisse , s'étendait plus loin en dedans et en avant du
ite d'une cautérisation du col, siéger à la partie antérieure de la cuisse et s'exaspérer sous forme de crise au moindre e
les blessés sur le champ de bataille, qu'une balle lui traversa la cuisse gauche. Porté à l'ordre du jour pour sa belle con
lorsqu'une balle frappa notre regretté collègue et lui traversa la cuisse gauche. Le projectile n'atteignit heureusement au
e n'existe ni au visage, ni à la face antérieure et postérieure des cuisses , des jambes, mais elle est très marquée à la pl
lète. Les cuis- ses sont fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses , et l'en- semble est agité de secousses qui pro
rtout au niveau des côtes et sur la face antérieure des bras et des cuisses , les moindres attouchements provoquent une réac
- vais, l'amaigrissement progresse plus marqué au thorax. Sur les cuisses , on note quelques papules d'un rouge brunâtre, is
de la - dans les mypltles. liai, linor, 139. Trouble de la-, à la cuisse , par Good, 150 - A la douleur de la peau, par
60 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
- Persistance des fon- tanelles. - E1, ? /sipéle. - Phlegmon de la cuisse . Mort. Autopsie. - Composition et texture des g
te affection 1. Soignée ensuite pour un phlegmon considérable de la cuisse , phlegmon qui suppura forte- ment durant plusie
ïde du radius à l'extrémité du médius, 4 : 5 cent. Longueur de la cuisse , de l'épine iliaque antéro-supérieure au bord e
e contient ni sucre, ni albumine. - La température prise sur chaque cuisse avec un thermomètre de surface est de 3 ? t, à
rtrophie musculaire et non à un excès de graisse. Les muscles de la cuisse sont bien déve- loppés, contrairement à ceux du
és. Los membres inférieurs ont l'attitude suivante : 1° à gauche, cuisse fléchie directement et verticalement et jambo f
ue le talon vient reposer sur la partie supérieure et interne do la cuisse droite et répondre à la partie moyenne de l'ain
e et répondre à la partie moyenne de l'aine droite ; 2° à droite la cuisse est fléchie obliquement et en dehors du corps.
ent et en dehors du corps. La jambe est complètement fléchio sur la cuisse et le talon repose sur le grand trochanter. Lég
in. 15 février. L'enfant est couché dans le décubitus dorsal; les cuisses et les jambes fléchies ; il en est de même pour
Fin. 18. apparence, une amputation congénitale (ectromélie) de la cuisse au niveau de l'union du tiers moyen avec le tiers
unissent; l'une des rides ou sillons cutanés descend entre les deux cuisses et répondrait à peu près à une fente simulant v
a région lombaire, elle est dure, comme scléreuse, ainsi que sur la cuisse droite en dehors; sur la jambe, elle pré- sente
oit l'orifice de l'urèthre et le gland. - 7, nlamelon scrotal. - 8, Cuisse gauche. Le rein gauche est complètement absent;
partie gaucho du bassin, les faces latérale et posté- rieure de la cuisse gauche. Elle est blanchâtre, ferme au toucher,
ord infé- rieur du prépuce, puis gagne la partie inférieure do la cuisse ; elle présente, du pubis au gland, une épaisseur
ques ulcérations récentes, dont une sur la face antérieure de la cuisse droite et l'autre sur la malléole externe du mê
. Sugilla- tions violettes au niveau des flancs et de la racine des cuisses . Plastron sternal normal ; appendice xyphoide b
61 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ine (compression de la région hypogastrique,.adduction forcée des cuisses ), a été le point de départ d'une sorte d'inhibiti
ano-génitales et de la partie moyenne de la face postérieure de la cuisse ainsi que de la partie inférieure de la région fe
endu e, il s'étend, en effet, de l'épaule à la partie moyenne de la cuisse correspondante, le membre supérieur est envahi ju
. Ce malade se présente à Saint-Louis porteur d'une ulcération à la cuisse gauche. Cette plaie a 8' centimètres de longueu
des muscles fessiers et des muscles de la région postérieure de la cuisse , muscles qui sont les extenseurs du bassin sur
ettre au lit, quand il sent venir les attaques, il fléchità peinela cuisse , s'appuie à l'aide d'un coude sur l'oreiller, t
ntée. Le tonus, artifi ciellement exalté, du muscle extenseur de la cuisse que déterminent les contractions des muscles fl
vec le bout du pied; 3° Flexion du genou. - Pendant ce mouvement la cuisse ne doit pas faire d'oscillations à gauche et à
e doit pas faire d'oscillations à gauche et à droite; 4° Fléchir la cuisse sur le bassin, le genou étant fléchi. ? 5° Ad
bassin, le genou étant fléchi. ? 5° Adduction et abduction de la cuisse . Pendant ce mouve- ment ? 3 genou est fléchi, l
rsiste que la sensibilité du rachis et de la face postérieure de la cuisse droite. Hyperesthésie ovarienne des deux côtés ;
et les faces postérieures et internes de la moitié supé- rieure des cuisses , des deux côtés. Abolition du réflexe pharyngé,
flexion et d'extension peu marqués et de très faible amplitude à la cuisse et à la jambe, plus accentués aux pieds qui, to
de vue actuel, peut se résumer ainsi : les muscles adducteurs de la cuisse , ceux de ses faces antérieure, externe et inter
ombaire ; les mnscles fessiers, ceux de la région postérieure de la cuisse , ceux de la jambe et du pied, ainsi que le sphi
férieur et souvent alors elle se limite à la face postérieure de la cuisse et de la jambe, régions innervées par le nerf p
a paralysie se borne presque toujours aux muscles postérieurs de la cuisse et de la jambe, tous muscles innervés par des b
niveau de la région lombaire. Hyperesthésie cutanée au niveau de la cuisse et de la fesse gauche se manifestant au moindre a
int Damien, âgé de qua- rante et un ans, qui s'affaissa bientôt, la cuisse gauche traversée par une balle. Tandis que sur
calmer la malade. De temps en temps, douleurs fulgurantes dans les cuisses et aux orteils. La ma- lade eprouvait à cette é
plante, de trente à vingt secondes à la jambe jusqu'au genou. A la cuisse de cinq à trois secondes, et diminue à mesure q
or- donné compliqué, par exemple, fléchir le genou pendant que la cuisse reste en position verticale, son pied ne se renve
ouleurs ful- gurantes dans les jambes et à la partie inférieure des cuisses , dou- leurs fréquentes presque continuelles, sa
opie passagère. Au mois d'août 1893 douleurs fulgu- rantes dans les cuisses , dans les jambes et aux orteils. A cette époque
consoler. En 1888, premières douleurs fulgurantes dans la peau des cuisses et des fesses. Ces crises deviennent avec le te
e grande comme la main au mollet et sur la surface antérieure de la cuisse . Sur le reste de la jambe gauche anesthésie tac
d'hypoesthésie à la piqûre, sans retard de la perception, aux deux cuisses . Le froid et le chaud sont bien sentis. Phéno
ssis. Le malade étant assis, les genoux sont rejetés au dehors, les cuisses en abduction, le pied gauche renversé. Pour se
appréciés, surtout les mouvements d'adduction et d'abduction de la cuisse . Ces troubles sont à peu près égaux à gauche et à
en dehors. Si le ma- lade fait des abductions et adductions avec la cuisse , le genou étant fléchi, il se produit des mouve
uché ou assis, les genoux semblent normaux; quand il est debout, la cuisse forme avec la jambe un angle obtus ouvert en av
62 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
res inférieurs sont fléchis dans tous les segments, la jambe sur la cuisse , la cuisse sur le bassin. Le membre droit est p
s sont fléchis dans tous les segments, la jambe sur la cuisse, la cuisse sur le bassin. Le membre droit est plus fléchi qu
bilatéral, etc. A la suite de l'excitation de la face interne de la cuisse , il se produit une contraction homolatérale du
up avec le mouvement considéré. Ainsi la flexion de la jambe sur la cuisse est 1res faible, l'extension, au contraire, est
t normale. PACHIpII : NING11' INTERNE POST-TRAUMATIQUE. 83 A la cuisse la flexion ut l'abduction sont très bien conservé
gée de marcher uniquement avec les secours des fléchisseurs de la cuisse et des extenseurs de la jambe. Les réflexes des
n chtoridienne a gardé quelque sensibilité. Sur la face interne des cuisses , la sensibilité reparaît presque immédia- temen
ent sous le doigt. Le membre inférieur est contracté en flexion, la cuisse repliée il angle obtus sur le bassin, la jambe
uisse repliée il angle obtus sur le bassin, la jambe fléchie sur la cuisse , le pied est tlh ié en varus équin. La contract
avec une aiguille la peau de la partie postérieure et moyenne de la cuisse de haut en bas, vous obtenez une contraction du
aneux elle semi-tendineux ; parfois même la jambe se fléchit sur la cuisse . Plus rarement, les abducteurs de la jambe entr
et des orteils ; la zone ré- flexogène peut en ce cas partir de la cuisse même et aussi de la région fessière. 11 n'est p
és, tandis que d'autres étaient exagé- rés. Le réflexe cutané de la cuisse , qui d'ordinaire est diminué du côté hémiplégiq
ue la jambe appuie, sur le bord antérieur du siège et fasse avec la cuisse un angle d'environ 1 : ? Oo. Ce réflexe, conservé
isation, par exemple fixation du tronc dans l'action (le fléchir la cuisse sur le bassin ; en l'absence de cette fixation la
e à a 10 millim. ; on l'insère en lo- tallté dans les muscles de la cuisse ; quelques jours plus fard on en prend une parc
u grand trochanter consiste en une contraction des adducteurs de la cuisse quand le malade est couchésur le dos, les jambe
fessière quand le malade est couché sur le côté ; l'extension de la cuisse quand le patient est déboutées jam- bes légèrem
rieure du péroné, on provoque rotation et adduction en dedans de la cuisse avec mouvement en dehors do la jambe. 4° Le h
ics est la jambe, généralement le pied, le mollet, plus rarement la cuisse . En certains cas, la pares- thésie douloureuse
sont soule- vés en masse au-dessus du lit, avec flexion légère des cuisses sur le bassin, tantôt sont allongés en extensio
serve parfois des tremblements fibrillaires sur la face interne des cuisses : mais ce signe est inconstant. On observe égal
m, à la fesse, à la partie externe 222 SOCIÉTÉS SAVANTES. de la cuisse , de la jambe et du pied. Plus tard apparurent des
pour cause de gangrène sénile successivement subi une amputation de cuisse à la partie moyen- ne, et, unan plus tard,unc d
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 323 ans auparavant, l'amputation de la cuisse à la partie moyenne. Il est mort de phtisie pul
e peu de cellules lésées dans leurs rapports avec les muscles de la cuisse . Dans les deux observations, vacuolisation dans
ent; il n'y a ni trépidation, ni signes de Babinski. La jambe et la cuisse gauches surtout sont très amai- gries. Membre
corps; il existe une diffé- rence en moins de deux centimètres à la cuisse et d'un centi- mètre à la jambe gauche. Aux mem
lle de la jambe droite est de 3G ; celle de la gauche de 3 1/2. Les cuisses sont égales. En somme, l'atrophie atteint surto
63 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne concernaient que les muscles des jambes et quelques muscles des cuisses ; ainsi se trahissait chez les auteurs, cette i
étaient pos- sibles, sans le concours des muscles postérieurs de la cuisse , de ceux de la ceinture pelvienne et du tronc.
à des phénomènes de conpression. Dans tous les cas, il existe à la cuisse une zone dangereuse qu'il faut éviter chaque fo
nts, etc., et dont l'état semblait désespéré lorsqu'on lui fit à la cuisse une injection sous-cutanée de 12 centimètres cube
s, pour gagner progressivement les grands muscles des jambes et des cuisses . Les secousses fibrillaires ont été notées dans
ti. Seules, la tête et les jambes étaient intactes. Des épaules aux cuisses , le corps avait . été affreusement broyé. M.
iner sur son linge, elle mettait sa chemise, jupe et robe entre ses cuisses , de sorte que le tout touchait les parties géni
e que le tout touchait les parties génitales; puis elle serrait les cuisses l'une contre l'autre avec force en les frottant e
d'une autre façon; elle se suspendait aux arbres et se frottait ses cuisses , tenant'sa chemise serrée entre ses jambes. A l
errait les mains, croisait les bras, mais surtout elle frottait ses cuisses , de sorte qu'elle excitait de nouveau son ancie
troubles des réflexes du membre inférieur, s'étendant du pied à la cuisse qu'il est en train d'envahir. Le traitement thyro
ments des pieds et des mains ; incomplètement ceux des jambes, des cuisses , des bras, des épaules. Un premier séjour à la Sa
nou et qui guérit de sa prétendue psychose par une amputation de la cuisse . Parfois il est difficile de classer les faits
pour un délire post-opératoire et qui guérit par l'amputation de la cuisse . Depuis cette époque, il en a observé bien d'au
une énergique contraction des mus- cles de la face antérieure de la cuisse et de tous les gastrocné- miens. On le provoque
- miens. On le provoque en fléchissant rapidement la jambe sur la cuisse , ou le pied sur la jambe. Cette extension réflexe
ce que c'est le moment où les muscles de la face antérieure de la cuisse sont par là soumis à l'extension la plus vive. La
miens. Toujours, quand on provoque ce réflexe, les extenseurs de la cuisse et les gastrocnémiens se contractent simultanémen
mbe se traduit par la contraction simultanée des fléchisseurs de la cuisse et du pied : la jambe se fléchit sur la cuisse,
fléchisseurs de la cuisse et du pied : la jambe se fléchit sur la cuisse , le pied et les orteils, surtout le gros orteil,
pied, ou en comprimant entre les doigts delà main les muscles de la cuisse et les gastrocnémiens, parfois même en déplaçant
ambe étant étendue : ce déplacement tire sur les exten- seurs de la cuisse qui agissent, par voie réflexe, sur les fléchisse
es muscles antagonistes. A noter la synergie des fléchisseurs de la cuisse et du pied. C'est un réflexe qui s'ob- tient co
, mécaniquement, toutes les fois qu'on com- prime les muscles de la cuisse , et qui ne se produit ni par simple heurt des m
cuisse, et qui ne se produit ni par simple heurt des muscles de la cuisse , ni en choquant à l'aide du marteau le tendon p
fléchies, le médecin les écarte brusquement, les adduc- teurs de la cuisse subissent une extension qui détermine leur con-
lerne de la jambe droite. un autre à la partie supéro-interne de la cuisse du moine côté et une troisième sur une large ét
permet cependant par suite de coexistence de flexion combinée de la cuisse et du tronc et peut-être du signe de Babinski de
e membre inférieur gauche plus mal conformé montre à la place de la cuisse et du genou une masse globuleuse, la jambe n'a
de Babinski tantôt existe, tantôt non. A la pression de l'os de la cuisse droite apparaît une flexion exagérée des orteils
plus maigre. On nota en ce temps la rigidité et la faiblesse de la cuisse , delajambe, de la main et de l'avant-bras du cô
rs premières recherches : c'est que les muscles pos- térieurs de la cuisse ne sont pas inervés d'une façon diffuses par le
64 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
i-même que les avant-bras devenaient plus petits. Les jambes et les cuisses ne paraissent pas atrophiées. ' Le malade se pl
0, Lucie J... patinait à Saint- Pétersbourg quand elle tomba sur la cuisse gauche en « se tournant » le pied gauche en deh
alisée d'abord à la jambe gauche, envahit, quoi- que légèrement, la cuisse et la grande lèvre du même côté, et depuis un moi
core plus légère mais néanmoins certaine, la face postérieure de la cuisse du côté droit. Les mensurations faites respecti
r gagner progressive- ment, et par étapes circulaires, la jambe, la cuisse du même côté. Il s'étend même par l'intermédiai
l'intermédiaire de la région dorsale inférieure, à la racine de la cuisse du côté opposé. Cette évolution lente et toujours
neuses ; chaque segment est en flexion sur le segment supérieur ; les cuisses en abduction et rotation en dehors ; les pieds
laires apparentes quand on commande au malade des mou- vements. Aux cuisses cette atrophie est totale. Tous les mouvements so
LANNOIS ET POROT au niveau des mollets, la face antéro-externe des cuisses (V. figure topogr.). Pas de dissociation syring
auche arriver exactement au niveau du genou droit (Pl. XXV). - La cuisse droite, bien qu'un peu grêle, est normale dans so
nt quelques mouvements latéraux; dans la flexion de la jambe sur la cuisse , la jambe exécute un mouvement de rotation pronon
ncé et sa face interne va s'appliquer sur la face postérieure de la cuisse . L'ar- ticulation tibio-tarsienne est ankylosée
agère le valgus. La jambe semble avoir une certaine mobilité sur la cuisse . L'articulation du cou-de-pied est très mobile.
facilement avec un pilon prenant son appui sur ce qui représente la cuisse . La peau est normale sauf une légère cyanose et
PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE 145 des muscles des mollets et des cuisses . Ou coustate au niveau des cuisses des zones d'
5 des muscles des mollets et des cuisses. Ou coustate au niveau des cuisses des zones d'anesthésie sans dissociation de la
e des membres inférieurs bien pro- portionnée à la taille ; mais la cuisse est plus longue que la jambe. Ces déformations
a son importance. Sur la partie supérieure de la face externe de la cuisse gauche existe un gros noevus d'apparence chéloï
os noevus angiomateux d'apparence chéloïdienne qui se trouve sur la cuisse gauche. Nous n'insisterons pas sur l'Infantilis
die de Recklinghausen, ainsi que la présence d'un gros noevus de la cuisse gauche. Sans doute, elle n'a pas de tumeurs cut
rme incomplète. Or, outre la double pigmentation et le noevus de la cuisse , notre malade présente un visage rouge et coupe
ux très développés dans l'aine correspondante. Pas d'atrophie de la cuisse et de la jambe droites. Si l'on fait tenir le m
domen dont la peau retombe comme un épais tablier sur la racine des cuisses , à la région des lombes et aux fesses, en un mo
e de l'abdomen, la région lonlbo- fessière, la face postérieure des cuisses , etc., forme des masses lipoma- teuses à contou
s lui donne par places un aspect violacé. A la face postérieure des cuisses et au niveau de l'abdomen, la peau,au lieu d'êt
nt adipeux, la présence de masses graisseuses volumineuses (ventre, cuisses , bras), appartiennent au contraire à l'affectio
dine. 2. Pseudo-oedme catatonique léger. Lipomes s\ métriques des cuisses . Stupeur. (Après un mois de traitement par la
65 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt divers poids aux pieds; on lui commande de plier sa jambe sur la cuisse , ce qui pro- voque la contraction des muscles b
ans le membre inférieur, les mouvements sont moins com- plexes : la cuisse est fléchie à angle droit sur le bassin, puis, la
tion brusque qui, dans l'espèce, aurait pour résultat de fléchir la cuisse sur le bassin. Cette comparaison donne une très
tête et des membres supérieurs, on observe une légère flexion de la cuisse sur l'abdomen et de la jambe sur la cuisse; pui
une légère flexion de la cuisse sur l'abdomen et de la jambe sur la cuisse ; puis, le pied est ramené à terre, mais sans ph
igts sont nuls. Quant à son membre inférieur, il ne peut fléchir sa cuisse sur le bassin sans soutenir sa jambe avec la ma
le mouvement est très peu accentué. La flexion de la jambe sur la cuisse est possible en Ja soutenant un peu. Les mouvemen
la nuit du 11 au 12 août 1731. Que même LA FOI QUI GUÉRIT. 83 sa cuisse et sa jambe se retirèrent de façon qu'elle avoit
avec atrophie. « Mais, dit explicitement le narrateur, sa main, sa cuisse et sa jambe droite ne rengraissèrent pas dans l
le fonctionnel ne l'avait annoncé) que son membre inférieur gauche, cuisse , jambe et pied, ces deux derniers segments surt
tater. L'atrophie porte sur les muscles du pied, de la jambe, de la cuisse et de la fesse. Elle prédomine à la jambe; l'at
inférieur gauche intéressant les deux seg- ments du membre (jambe, cuisse et fesse), cette atrophie est très prononcée. C
résistance de la part du malade, les mouvements de la jambe, de la cuisse , du pied gauche sont un peu moins énergiques, m
être prévenue, elle a une tendance à appuyer ses deux mains sur la cuisse gauche. Les fléchisseurs du bassin sont un peu
rable aux mouvements passifs. De même la flexion de la jambe sur la cuisse est forte aussi. L'adduction est assez éner- gi
s. La consis- tance des fesses est normale; celle des muscles de la cuisse en général, et surtout de là partie postérieure
dans la poche de son pantalon, laisse flotter l'autre le long de sa cuisse gauche, détourne la tête avec une expression de
us souvent IDIOTIE CONGÉNITALE : TICS. 4 ! ) inerte le long de la cuisse . Notons toutefois qu'il n'a jamais été paralysé
que, des muscles 282 SOCIÉTÉS SAVANTES. du bassin, du rachis, des cuisses . Puis, au bout d'un temps plus ou moins long, v
ns le co urant de l'année 1889, l'atrophie apparaît aux jambes, aux cuisses , au tronc et s'accentue un peu plus aux membres s
'avril 1891 nous revoyons le ma- lade. L'atrophie des jambes, des cuisses , du tronc et des bras est très évidente; les fe
é, ce qui lui permet d'appuyer son tronc sur la face antérieure des cuisses et sur les genoux, de venir ainsi en aide aux m
un peu déjetés en dehors, reposent le plus habi- tuellement sur les cuisses par la face palmaire des mains dont le bord int
ivide. Les membres inférieurs pré- sentent une légère flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse ; pa
une légère flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse ; par rapport à leur écartement, ils sont dans
e entraîné en avant. Assis, les membres supérieurs reposent sur les cuisses , les mains en pronation. Le tremblement est lim
66 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
n'y aurait pas eu pénétration; l'éjaculation aurait eu lieu sur les cuisses . Pendant l'acte, mas- turbation. Aucun accident
suite de l'état de gâtisme, les fesses et la partie supérieure des cuisses sont le siège drnértlzènechronidue; au moment d
rée avec succès. [Grand'mère maternelle morte d'un carcinome à la cuisse ; grand-père mort de vieillesse à 98 ans et demi.
r oanche. - Lorsqu'on promène le doigt sur la face antérieure de la cuisse , en palpant le squelette profondément, on trouv
ur gauche. La tumeur qui occupe et déforme le tiers supérieur de la cuisse est constituée par une exostose dont le siège r
879. 8 mars. OEdème prononcé des pieds, modéré aux jambes, rien aux cuisses . 9 mars. Urine assez colorée, dépôt floconneux
e, sur le tronc, sur la paroi antérieure du thorax, à la racine des cuisses , sur les membres, mais dans le sens de l'extens
face, au tronc, à l'abdomen, au dos, aux fesses, et à la racine des cuisses . Depuis plusieurs jours, il y a une conjonctivi
'effaçant sous le doisrl. C'est il, l'hypogastrc et à la racine des cuisses qu'elle est le plus ;) ! l ! 1uente : elle est
pâle, discret, localisé au siège, à l'hypogastre et à la racine des cuisses , au ni- veau des régions contiguës où le contac
ant, envoyé en nourrice,' fut élevé au biberon; à un an il eut la cuisse gauche fracturée. Les convulsions apparurent
utre, l'existence d'un inlertrigo ancien oc- cupant les fesses, les cuisses et la région hypogastrique. Eu égard au début r
ste également sur le tronc, en avant et en arrière, à la racine des cuisses , au scrotum. Langue saburrale. Erection des pap
67 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re, sans trépidation spinale. Le mouvement associé de flexion de la cuisse sur le bassin existe à un très léger degré, mai
es persistaient douze minutes sur un fragment du côté externe de la cuisse enlevé. Les auteurs viennent d'observer dans le
pi- dement, les muscles de la jambe se sont atrophiés, ceux de la cuisse restant intacts. Depuis lors, l'état est resté st
ues, l'absence de D R. l'hyperesthésie de la face postérieure de la cuisse gauche et des faces antéro-externes des deux jamb
ées sur un meuble. Il fléchissait légèrement la jambe droite sur la cuisse en s'ap- puyant de tout son poids sur cette jam
ains, parfois à la plante des pieds, ..iL la face postérieure de la cuisse et de la jambe droite, à la face dorsale de l'a
: la mensuration, pratiquée au niveau de la partie moyenne des deux cuisses , donne pour toutes les deux 39 cent. 1/2. Il n'
ès supportables, au niveau de la partie moyenne et inférieure de la cuisse gauche. IL existerait aussi une sensation de fr
embres intérieurs, il n'y a pas de pied bot. ' MENSURATIONS DE LA CUISSE ET DE LA JAMBE. Cuisse droite à 14 centimètres
'y a pas de pied bot. ' MENSURATIONS DE LA CUISSE ET DE LA JAMBE. Cuisse droite à 14 centimètres au-dessus de la rotule, 4
e droite à 14 centimètres au-dessus de la rotule, 44 centi- mètres. Cuisse gauche à 14 centimètres au-dessus de la rotule,
eval lui faisait une double morsure, l'une au poignet; l'autre à la cuisse . A l'âge' de cinq ans, un coup de volant d'une
ibrillaires dans les membres, inférieurs. Mensurations des mesures. Cuisses : 13 centimètres au-dessus du bord supérieur de
eurs provoquées ou spontanées ( ? ) ressenties par le sujet dans la cuisse gauche et dans la sensation de froid du membre
e exagération des réflexes roluliens, une atrophie très nette'de la cuisse et de la jambe gauche par rapport à leurs congé
s membres inférieurs depuis les petits muscles des pieds jusqu'à la cuisse , son extension fatale et régulière aux membres
u ligament de Poupart, sauf à la partie antérieure et externe des cuisses où se distribuent les nerfs cutanés externes, ner
légèrement en rotation en'dehors, s'écarte de la ligne médiane;' la cuisse se fléchit sur le bassin et le pied se soulève
côté malade que du côté sain, tandis que la jambe se fléchit sur la cuisse , bien moins à droite qu'à gauche; le pied droit v
Journal, 13 février 1897.) L'anesthésie de la région externe de la cuisse peut être soit un symptôme isolé, soit le sympt
atroces dans le bas du dos, s'étendant à l'abdomen et le long des cuisses : la sensibilité du bas du tronc et des jambes ét
bout, dans la cour du quartier, le malade se fit une fracture de la cuisse gauche, pour laquelle tut traité à l'hôpital mi
deux côtés. 9° Existence à la partie supérieure et interne des doux cuisses , un peu au-dessous de l'anneau crural, d'une tu
ques présentés par le nommé L... sont anté- rieurs à sa fracture de cuisse et que son traumatisme n'a pas semblé exercer u
. Il ne me reste plus maintenant qu'à dire un mot de la fracture de cuisse surve- nue chez mon malade pendant sou séjour a
i-contre donne, du reste, une reproduction de la radiographie de sa cuisse , exécutée dans le laboratoire de physique de mo
amabilité du professeur Bergonié, qui a bien voulu radiographier la cuisse de Victor, sur un même cliché, à côté de celle
tronc : le membre inférieur était aussi en flexion, lajambe sur la cuisse . Il ne pouvait pas se mettre debout. Les convul
résistance pour la séparer quelque peu. La jambe en flexion sur la cuisse , celle-ci légèrement sur le bas- sin, le pied e
uche par terre, mais le pied droit se llexiontiait davantage sur la cuisse , en augmentant la contracture, le membre supéri
68 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
ouge foncé. Ailleurs, la teinte cireuse est moins pro- noncée ; aux cuisses et au dos, la peau est même rosée. La peau est
al rugueuse. Aux bras, il existe une sorte d'ic- thyose léger ; aux cuisses , elle est au contraire douce. Aux mains et aux
is l'hypochondre gauche jusqu'au tiers antérieur et supérieur de la cuisse pré- sente une coloration brun-verdâtre, colora
un-verdâtre, coloration-rouge brun de toute la partie interne de la cuisse , de la jambe et du pied du côté droit, sauf au
, ecchymoses à la partie antéro-externe et au tiers supérieur de la cuisse , sur la crête du tibia et au tiers moyen; du cô
bia et au tiers moyen; du côté gauche, sur la face antérieure de la cuisse et au tiers inférieur. Sur la partie antéro-int
l n'y a plus rien à la gorge. 27.- A la surface du tronc et sur les cuisses , éruption dis- crète de papules arrondies, un p
re naissante. Les poils com- mencent à gagner la partie interne des cuisses et sont abondants à l'anus. Les testicules, éga
Quelques- uns seulement sur les aines et à la partie supérieure des cuisses . Verge : circonférence 9b millimètres; longueur
elques-uns seulement sur les aines et il la partie supé- rieure des cuisses . La circonférence de la verge et sa longueur so
69 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
Education DE la parole. CLRIII poitrine, dos, côté, ventre, hanche cuisse , jambe, genou, mol- let, pied, talon, orteil.
externe des bras et avant-bras. Poils rares sur la face externe des cuisses . Poils cha- tains Irisés, peu longs, occupant t
racine. Testicules du volume d'un oeuf de pigeon. Bras, avant-bras, cuisses , fin duvet.Jambes, poils courts. Aisselles : po
on lombaire où il y a des poils fins. Poils assez abondants sur les cuisses et les jambes. Poils châtain foncé, longs, fris
/5 un peu plus gros. Poils abondants sur la face antéro-externe des cuisses et sur toutes les faces des jambes ; plus à dro
mineux, de la dimension d'un oeuf moyen de poule. Les fesses, les cuisses ainsi que les jambes sont glabres. Quelques poi
. Membres xi ouf DE QUELQUES formes DE nanisme. . inférieures : Cuisses très développées et adipeuses. . Sensibilité in
peux. Pas d'onychophagie. Membres inférieurs. Volume énorme. Les cuisses ont la forme d'un très gros cône renversé. Aucu
Aucune saillie muscu- laire n'est dessinée. La face postérieure des cuisses présente toute une série de plis horizontaux qu
72 kilog.) ainsi que la taille (1m32 et 18 ? 12), Les fosses et les cuisses sont comme mamelonnées. La partie inférieure de
ses et les cuisses sont comme mamelonnées. La partie inférieure des cuisses présente en dedans un gros bourrelet au-dessous
me. ' Membres inférieurs. - Fémurs légèrement tordus. En haut les cuisses ne se touchent pas et sont séparées de trois tra-
s : Ils sont le siège de déformations rachi- tiques accentuées. Les cuisses sont grosses, courtes ; les fémurs ont une incu
èvres, clitoris, hymen, normaux; périnée, anus, bras et avant-bras, cuisses et jambes, gla- bres. Examen fonctionnel. - L
glabres ; les membres sont recouverts d'un duvet, abondant sur les cuisses et les jambes ; 208 Puberté ; déchéance ; tuber
ongueur que dans son volume. Un léger duvet le recouvre de même. La cuisse est en extension sur le bassin, la jambe en ext
cuisse est en extension sur le bassin, la jambe en extension sur la cuisse , le pied en extension sur la jambe. Le membre e
70 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
ontant, en diminuant jusqu'à l'ombilic et descendant jusque sur les cuisses ; bourses pendantes surtout à gauche ; testicules
éralisées à tout le corps, le malade se frappe de la main gauche la cuisse gauche, puis survient un tapotement du talon du
e début, six sangsues aux apophyses mastoïdes, des sina- pismes aux cuisses ; dans la journée, il a pris 30 grammes d'eau-
ut sont assez larges, à la face externe et au quart supérieur de la cuisse droite. Le tissu cicatriciel est ferme, assez d
s allongés, mais tenus par les mains appuyées sur le ventre ; les cuisses rapprochées, les genoux en contact, les jambes re
e petites oscillations le tronc se tient à peu près droit, mais les cuisses sont rappro- chées, fléchies sur le bassin, et
e malade étant couché sur son lit, l'attitude est la suivante : les cuisses sont légèrement fléchies sur l'abdomen, les genou
'abdomen, les genoux rapprochés, les jambes un peu fléchies sur les cuisses ; les pointes des pieds fortement portées en ded
eut, par exemple, lever la jambe, elle se plie à angle droit sur la cuisse qui se plie elle-même à angle droit, ou même à
5. Gland un peu conique, méat normal. Poils assez abondants sur les cuisses , aux fesses et à l'anus. Quelques poils sur les
c en avant, étend fortement les bras dans la même direction ; les cuisses sont rapprochées, les genoux collés, les jambes t
tent debout, ce qui exige une violente contraction des muscles, les cuisses se rapprochent, les genoux sont en contact, les
rtées. Dans la marche les membres inférieurs sont demi-fléchis, les cuisses toujours rap- prochées ainsi que le genou et l'
interne des plis inguinaux, avec pigmentation de ces régions. Les cuisses sont très volumineuses, ainsi que les jambes; l
ntractiles. Nous fîmes appliquer des sinapismes sur les jambes, les cuisses et à la nuque, fric- tionner le tronc avec de l
inuer la congestion on applique des cata- plasmes sinapisés sur les cuisses et les mollets. Huit heures après la tentative
71 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LINIQUE NERVEUSE. mord son bras; la jambe droite est fléchie sur la cuisse et le membre inférieur droit est raide comme le
rps, les doigts dans la flexion; la jambe gauche est étendue sur la cuisse . Le malade reste dans cette situation sans pousse
ètre à gauche est de 27 centimètres et de 28 et demi à droite. A la cuisse , pas de différence sensible entre les deux côté
n quart d'heure après votre réveil, elles seront marquées sur votre cuisse gauche et saigneront ». Quatre minutes seulemen
ès cette auto-suggestion , une rougeur commence à apparaître à la cuisse gauche, puis après la période de gonflement, le n
atées, les deux dernières observées, celles du front et celle de la cuisse gauche se sont produites en des endroits qui n'
res dorsales, en deux endroits symétriques de la face in- terne des cuisses au-dessns des articulations du genou, au pénis,
nette des noyaux des fibrilles mus- culaires (droit antérieur de la cuisse , péroniers). Le processus parait avoir débuté p
elles. - Persistance des fon- tanelles. - Erysipèle. Phlegmon de la cuisse . - Mort. Autopsie. Composition et texture des g
te affection 1. Soignée ensuite pour un phlegmon considérable de la cuisse , phlegmon qui suppura forte- ment durant plusie
loide du radius à l'extrémité du médius, ,15 cent. Longueur de la cuisse , de l'épine iliaque antéro-supérieure au bord e
ne contient ni sucre, ni albumine. La température prise sur chaque cuisse avec un thermomètre de surface est de 3 ? t, à
stement atrophiées à gauche et l'amyotrophie porte sur la fesse, la cuisse et la jambe. Voici les chiffres qu'on obtient e
nt, ce que l'on peut contrôler en pla- çant sa main au-dessus de la cuisse près de l'articulation du genou; 2° que, dans c
s que se développa graduellement l'attitude présente (flexion des cuisses sur le bassin, des jambes sur les cuisses, pieds
ude présente (flexion des cuisses sur le bassin, des jambes sur les cuisses , pieds varus-équin) ; la parole ne devint mauva
moitié paralysées;- y a contracture des muscles posté- rieurs de la cuisse , qui fléchissent la jambe, et rigidité des 270
s. Un examen plus minutieux fit voir une rigidité des muscles de la cuisse et de la jambe, même lorsque D... était couché;
s deux genoux de manière que les jambes font un angle aigu avec les cuisses . L'articulation tibio-tarsienne et celle du gen
rtrophie musculaire et non à un excès de graisse. Les muscles de la cuisse sont bien déve- loppés, contrairement à ceux du
72 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
s dilatées. Encore quelques taches purpuriques sur l'abdomen et les cuisses . 6 mai. T. R. matin et soir : 37°. Depuis hier,
intestinale. 13 les deux cous-de-pied, sur la face antérieure de la cuisse gauche, sur la partie antérieure de l'abdomen,
ostérieure du thorax. On trouve de rares papules sur les fesses les cuisses , le sternum, le ventre, le bras gauche (face in
se. L'enfant marche avec difficulté, comme s'il souffrait, il a les cuisses fléchies, il faut lui tenir les deux mains. Il
marchant sur la pointe des pieds, les jambes sont droites, mais les cuisses sont infléchies; un peu de raideur dans les gen
me état de la sensibilité qui paraît seulement un peu obtuse sur la cuisse , sauf à la face postérieure. Réflexes normaux.
itrine comme s'il sentait son mal. On le met à terre, nu depuis les cuisses jusqu'au cou, il se débat en poussant un cri, l
le dos, mais elle persiste sur les fesses et la face antérieure des cuisses . La température qui a atteint 40°, 2 le soir de
ombreux poils courts, abon- dants surtout à la face postérieure des cuisses . Pénil couvert de poils châtains, frisés, ayant
les aines et toute la partie supé- rieure de la région interne des cuisses . Du pénil part une. traînée de poils peu fourni
urnie qui se prolonge jusqu'au-dessus de l'ombilic. Les fesses, les cuisses , surtout en arrière, sont très velues, de même
sico-pustuleuse, suivie de desquamation épidermique sur le haut des cuisses . Fiai actuel (17 novembre). Tête ovoïde, réguli
les épaules. Il n'y a ni duvet, ni poils sur le ventre, le dos, les cuisses , les aisselles, l'anus qui présente une petite
reins, ainsi que sur la partie supérieure et la face antérieure des cuisses , sont assez nom- breux à l'anus qui ne présente
73 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
en a observé un enfant de 13 ans, chez lequel l'accès débutait par la cuisse (2). Alexandre de Tralles fit cesser une épilepsi
ir sur la jambe droite seule. Droite. Gauche. Circonférence de la cuisse au niveau du pli de l'aine____ 41e,5 42e,5 Circ
deux membres inférieurs : A gauche. A droite. Circonférence de la cuisse au niveau du pli de l'aine....... 46e 51€ Cir
us d'un côté que de l'autre. Droit. Gauche. Circonférence de la cuisse au niveau de l'aine...... 42,5 47 Circonféren
nts choréiformes dans la marche. Gauche. Droit Circonférence delà cuisse au niveau du pli de l'aine....... 57 c 59,5 Cir
, ni de trépidation provoquée. Droit. Gauche. Circonférence de la cuisse au niveau de l'aine......... 47e 51e Cire, à 10
s, et plus froids qu'à gauche. Droit. Gauche. Circonférence de la cuisse au niveau du pli de l'aine____37e 39° Circonfér
qui tressaute, se balance plusieurs fois et retombe lourdement sur la cuisse , offrant l'attitude qu'il avait dans la première
utenir une lutte. — Sueurs froides abondantes, principalement sur les cuisses . Après un court repos, durant lequel la contrac
bres inférieurs. Le membre inférieur droit est dans l'extension; la cuisse est en outre dans l'adduction tandis que la jambe
l'épaule; — 2° le membre inférieur, qui était allongé, se fléchit, la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse; dans ce
était allongé, se fléchit, la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse ; dans ce mouvement, le talon seulement ou la plan
74 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hie avec parésie de la région qui englobe le bassin, les lombes, la cuisse , et s'accompagnant d'obésité. Elle porte d'ahor
pulaire, du système locomoteur du bras sur le tronc, du bras, de la cuisse . Finalement sont pris ceux des avant-bras et de
se trouvent dans la situation suivante : les mouvements actifs des cuisses sont pos- sibles quoique faibles ; ceux des jam
flexes patellaires n'existent pas. Les muscles de la jambe et de la cuisse sont douloureux à la pression des deux côtés. L
moindrie sur les pieds plus que dans la région de la jambe et de la cuisse . Certain mouvement des pieds, leur toucher et le
u périnée, avec élevures de la peau se propageant aux fesses et aux cuisses : l'épaisissement de la peau était énorme : les
érieur de la face REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 371 externe de la cuisse droite, sur une surface grande comme la paume d
ême temps que la plaque brûlante s'étendait à la face externe de la cuisse et que la douleur forçait le malade à s'arrêter
s tard, dans certaines situations, il ressent un élancement dans la cuisse du même côté; après une longue marche, une stat
engourdissement qui se montre à la face externe et antérieure de la cuisse , de la douleur à la pression ou à la suite d'ef
s et des ondulations des muscles de la région, des adducteurs -.des cuisses , et véritable tumulte dans les mollets. ,P. K.
K. LUI. LE TROUBLE DE la sensibilité de BERNHARDT au niveau DE la cuisse ; par S. LREeD. (Nezl1'olog, Centralbl., XLV, 1895
e (y. 28 et 30). Membres inférieurs. Dans l'attitude habituelle, la cuisse droite est fléchie sur le bassin ; elle forme u
due davantage. De plus, elle est dans l'adduction et croisée sur la cuisse gauche (fig. 26 et 27). L'adduction est limitée;
mouvements des orteils sont faciles. A gauche, les mouvements de la cuisse sont un peu limités dans le sens de l'extension
xtension et de l'abduction; l'extension complète de la jambe sur la cuisse est impossible; les mouvements du pied et des o
erie. Il a laissé tomber un tranchet sur la partie inférieure de sa cuisse droite et s'est fait une plaie transversale qui
vril. -Deux furoncles l'un au côté du mamelon droit, l'autre sur la cuisse droite. - Juillet. Puberté. Le corps est toujou
DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES. 455 avant-bras, sur la face externe des cuisses et des jambes. Poils assez abondants sur la par
le droit; extension incomplète : il n'est pas possible de coller la cuisse sur le lit; abduction presque nulle; adduction
un peu fléchie, portée en dedans et le talon est un peu relevé. La cuisse droite croise la gauche au-dessus de son genou
ité est normale dans les muscles fessiers ainsi que dans ceux de la cuisse , de la jambe et du pied. Exploration galvanique
sur une étendue égale à la largeur d'une pièce de cinq francs. A la cuisse , la sensibilité est normale. B. Cont1'actilité.
en extension ; la jambe se déplace aussi, fléchit légèrement sur la cuisse . Ces mouvements, peu étendus, sont inconscients
par Berger, 385. Sensibilité. Troubles de la de Bernhardl à la cuisse , pat Freud, 389. . Sensitifs. Les faisceaux d
75 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
. Il se couche sur le côté gauche, le bras droit est étendu vers la cuisse correspondante; le pouce est allongé sur les do
igts repliés en dedans. Le bras gauche a conservé son attitude. Les cuisses sont légèrement fléchies sur le bassin, et les
isses sont légèrement fléchies sur le bassin, et les jambes sur les cuisses . Tout le corps est rigide, sans différence entr
un phimosis prononcé, les organes génitaux sont réguliers. Les deux cuisses sont normales, quoique moins volumineuses peut-
ttachés au-dessus du pli lormé par la jonction de la jambe et de la cuisse . Fig. 39. HÉMIMÉLIE BI-ABDOMINALE. l.61 L
en avant et en dedans, de sorte que l'extrémité inférieure de la, cuisse est, pour ainsi dire, couchée sur la moitié de la
'autre moitié de la jambe vient se placer dans l'angle formé parles cuisses , écartées, en dedans d'elles, à 4 ou 5 cm. au-d
la hanche droite saillante. - Il difficilement, par petits pas, les cuisses en demi- . flexion.et.au bout de peu de temps i
sensiblement égaux. Les membres inférieurs sont contractures. Les cuisses sont t fléchies sur le bassin dans l'adduction,
articulations qui fonc- tionnent assez bien. Membres infédeurs. - Cuisses assez grosses, la droite est cependant un peu m
te est cependant un peu moins volumineuse que la gauche. Les deux cuisses , à .Cle'1711-C01t11·atCtLtl'(;eS, ne peuvent être
nt être coin- 336 Hydrocéphalie chronique. plètement étendues, la cuisse droite surtout est maintenue par une corde rigi
: 5 mois. Fontanelle antérieure oblitérée à 2 ans. Fracture de la cuisse . Rougeole avec accidents méningitiques à deux a
s aux aisselles. Tronc glabre. Fin duvet à la partie antérieure des cuisses et au-des- sous du pli fessier. Poils châtains
'oils assez nombreux sur les fesses et à la partie supérieure des cuisses . A l'école et à l'atelier les maîtres ne donnen
76 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ations à ce sujet. Il n'est pas rare devoir la peau des jambes et des cuisses se couvrir temporairement d'une éruption papuleus
rap-portée par le docteur Duncan, une éruption de zona apparut sur la cuisse du côté paralysé ; la paralysie motrice était sur
Pouls 120, temp. recl. 40°, 5. —Sur la poitrine, les avant-bras, les cuisses , la peau présenle un grand nombre de petites ecch
comme aux chevilles, à la face interne des genoux, des jambes ou des cuisses . Or.il importe de savoir reconnaître la significa
té droit (côté paralysé) ; riende semblable n'existe à gauche. Sur la cuisse droite, à la face interne, un peu au-dessous du g
frères de la province, que j'ai observée se contusionna violemment la cuisse gauche en tom-bant d'une voiture. Au bout de quel
même que cela avait lieu lors des accès, sont dans l'extension ; les cuisses sont étendues sur le bassin, les jambes sur les c
tension ; les cuisses sont étendues sur le bassin, les jambes sur les cuisses ; les pieds offrent l'attitude du pied bot varus
seulement aux phases ultérieures de la maladie, que la flexion de la cuisse et de la jambe prédomine sur l'extension. La con-
i-verses parties sont, pour ainsi dire, dans une attitude forcée : la cuisse est fortement étendue sur le bassin, la jambe sur
rcée : la cuisse est fortement étendue sur le bassin, la jambe sur la cuisse ; le pied offre la déformation du pied bot équin
équin taras le plus prononcé. En outre, les muscles adducteurs de la cuisse sont, eux aussi, fortement contractures. En somme
s inférieurs. sommeil chloroformique. Les muscles des jambes et des cuisses sont notablement atrophiés ; la contractilité far
, avait toujours été dans l'exten-sion, se fléchir brusquement sur la cuisse et lorsque la malade est revenue à elle, la contr
e degré. Nombreuses vergetures surle ventre, le dos, les fesses etlcs cuisses . Autopsie le 18 février. Les os, la dure-mère "
ent la coupe marinière. Dans cet instant, la jambe est étendue sur la cuisse , le pied fléchi sur la jambe, reproduisant d'une
par leurs extrémités. Simultanément, et dans la même propor-tion, la cuisse s'est fléchie sur le bassin, la jambe sur la cuis
e propor-tion, la cuisse s'est fléchie sur le bassin, la jambe sur la cuisse , de façon que le talon s'est mis presque en conta
emps l'histoire d'une dame qui, en tombant d'une voiture, avait eu la cuisse gauche vio-lemment contusionnée; au bout de quelq
77 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pper par des exercices appropriés les muscles chargés de fléchir la cuisse sur le bassin et d'étendre la jambe suivant l'art
haque par la chaleur, le massage, l'électricité; on fera fléchir la cuisse sur le bassin, plusieurs fois par heure, soit d
ation horizon- tale ; ou, le malade étant couché, on lui élèvera la cuisse soi-même en la laissant ensuite retomber rapide
e en la laissant ensuite retomber rapidement. Puis, maintenant la cuisse élevée, on priera le patient, assis ou couché, de
KERAVAL. XXX. Contribution A la paresthésie DES NERFS cutanés DE la CUISSE ; par Th. BENDA. (Neurolog. Centralbl. XVI. 1897
. Depuis trente ans, depuis la campagne d'Autriche, il ressent à la cuisse droite une légère brûlure qui progresse, surtou
à celle que produi- rait un sinapisme, occupe la face externe de la cuisse droite, du grand trochanter au condyle externe,
lation lésée (ceinture scapulaire, fesse et partie supérieure de la cuisse généralement) et qu'elle ne 122 I-) REVUE DE
la boisson lui troublait la vue, et un seul soldat fut blessé à la cuisse . La foule était énorme aux alentours de la case
ontractilité électrique absolument abolie dans les extenseurs de la cuisse , notablement diminuée dans les adducteurs et dans
ieurs envahissant les faces antérieure, externe et interne des deux cuisses et la face interne des jambes; le domaine du plex
gmenté d'intensilé; l'anesthésie a envahi la face posté- rieure des cuisses . Au niveau du sacrum se sont produites des esca
autres signalent des cas de folie consécutifs à une ampu- tation de cuisse , à des opérations sur l'utérus on ses annexes, à
e occupe le tronc, depuis la racine du cou jusqu'à la naissance des cuisses . C'est analogue à ce qu'on observe parfois dans
dans un accès d'anxiété, s'est jetée par la fenêtre, s'est brisé la cuisse et a dû être amputée. Cette opération, prati- q
eur est très abondante dans la région fessière, dans le dos et à la cuisse , et à un degré moindre dans la partie droite du
res supérieurs, dans le tiers supérieur de la jambe droite, dans la cuisse du même côté et dans la jambe gauche. Dans la t
du même côté et dans la jambe gauche. Dans la tête, le tronc et la cuisse droite, la sensibilité à la SYRINGOMYÉLIE. 28
"ésie dans toute la jambe gauche et dans le tiers inférieur de la cuisse , dans la partie dorsale des deux mains et dans un
uent des douleurs aux lombes, aux aines et à la face antérieure des cuisses . Tremble- ment des mains, avec sensation d'engo
s jambes; depuis un mois douleurs aiguës dans le bassin et dans les cuisses à propos des mouvements volontaires. L'examen r
sont limités. Craquements au genou gauche. Certaine atrophie de la cuisse et de la jambe droite avec diminution de l'exci
difie. Il existe un oedème considérable des membres inférieurs. Les cuisses sont le siège d'un purpura hémorrhagique très con
es, par 1 Onuf, 127. PA\OEl'In'&¡E des uel'fs cutanés de la CUisse , par Benda, 1] 8, I'ArRO ! '\GEf.uTnttatenHussi
78 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
elle ne repose que sur le siège; les deux bras, croisés derrière les cuisses , élèvent les deux jambes presque verticalement, e
t quelques instants une atti-tude bizarre, les mains passées sous les cuisses et les jambes levées perpen-diculairement. Souven
ce que l'on observe d'habitude, était immobilisé dans la flexion, la cuisse fléchie sur le bassin et la jambe sur la cuisse,
é dans la flexion, la cuisse fléchie sur le bassin et la jambe sur la cuisse , de telle façon que le talon touchait les fesses)
écrit des oscillations très marquées et très brusques. La jambe et la cuisse contracturées se fléchissent sur le bassin et tou
il est mis en lam-beaux. Les jambes sont dans la demi-flexion sur la cuisse , et le bassin subit des oscillations régulières d
hors autour de l'épaule ; les jambes sont forte-ment fléchies sur les cuisses , celles-ci sur le bassin, ou bien les extrémités
rsée brus-quement en arrière, tandis que les pieds, les jambes et les cuisses se re-courbent et sont lancés en arrière, puis fo
on, sans être désordonnés. Quant aux membres inférieurs, on voit la cuisse fléchie sur le bassin et la jambe sur la cuisse,
nférieurs, on voit la cuisse fléchie sur le bassin et la jambe sur la cuisse , parfois tout le membre est étendu; les orteils s
hagards ; le corps est comme ramassé sur lui-même, les jambes et les cuisses rappro-chées du tronc ; ou bien la malade est pla
n fit appliquer I. Duvernoy, loc. cit., obs. 16. des sangsues aux cuisses . Ce jour-là, les mêmes accidens reparurent à huit
acté, elle ne peut l'étendre ni le remuer; la partie antérieure de la cuisse est le siège de vives douleurs limitées par le ge
produire des craquements. La jambe était fléchie com-plètement sur la cuisse et le pied sur la jambe; mais ces mouvements de f
-heure, ayant les jambes pliées et si fortement appliquées contre les cuisses , qu'on ne pouvait les en écarter; quelquefois le
ans ce premier temps, le corps était penché, la partie antérieure des cuisses relevée vers l'abiiomen, le front incliné sur la
nsensible à une épingle enfoncéiî profouilément dans sesjimhes et ses cuisses . Deux jours après son arrivée, elle l'ut mise à
respirer à une jeune iille de dix-sept ans qu'il devait amputer de la cuisse , un mélange d'air et d'é-ther, cette jeune fille,
e laisse retomber son corps sur le lit, relève sa chemise, écarte les cuisses ; — ou bien, s'adressant à l'un des assistants, el
st impossible, malgré tous nos efforts, de fléchir les jambes sur les cuisses . A quatre heures du soir, et sans cause appréci
t conduit à des résultats identiques ; ainsi, la jambe fléchie sur la cuisse , la pression des muscles gastro-cnémiens amenait
sser des fils, des poils, des cheveux, porte vi-vement la main sur la cuisse et, ramenant son pantalon, il serre avec force po
entà lui dans la journée; il n'a gardé qu'un peu dégonflement dans la cuisse , du côté où l'injection dans la veine cru-rale av
mbre inférieur est dans l'adduction et l'extension, les muscles de la cuisse saillants,la rotule immobilisée. Le pied pré-sent
l'épaule ; — 2° le membre inférieur qui était allongé, se fléchit, la cuisse sur le bassin, et la plante du pied tout entière
t de môme en arrière et proches delà tête, sans que les genoux ni les cuisses , ni le ventre, ni l'estomac, ni aucune partie du
premièrement l'orteil, et puis le pied, et puis la jambe, et puis la cuisse , et puis le ventre, et puis la poitrine, et puis
Unjour, dit le père, étant dehors elle sentit une grande douleur à la cuisse droite au-dessus du genou; en y regardant, elle v
y regardant, elle vit qu'ede avait une énorme plaie en tra-vers de la cuisse . Elle eut ensuite une crise très violente et cont
uscep-tibles de mobilité, et se porte de rudes coups de poing sur les cuisses . Une femme qui cherche à la contenir est tellemen
79 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
'opéra-tion, elle dure toujours longtemps. Deux aides soutiennent les cuisses , deux autres écartent les grandes lèvres au moyen
elle-ment qu'il se trouve plus haut que l'abdomen et la poitrine; les cuisses sont rabattues du côté .du ventre et des parties
et des parties latérales du thorax; les jambes sont fléchies sur les cuisses ou étendues ; la tête repose sur un coussin. Cett
ut. Quand il s'agit d'une fistule située près du col de l'utérus, les cuisses doivent être très-fortement fléchies sur le ventr
écessaire de tant élever le bassin, ni de ren-verser si fortement les cuisses . Il y a deux avantages spéciaux à la position sac
ration est complètement libre, et n'est pas rendu plus étroit par les cuisses de la malade ; 1° les mains des aides ne projette
cuhitus latéral gauche. La malade est couchée sur le côté gauche, les cuisses fléchies à angle droit sur le bassin, la cuisse d
le côté gauche, les cuisses fléchies à angle droit sur le bassin, la cuisse droite un peu plus que la gauche; le bras gauche
sera retirée et nettoyée deux fois par jour. Enfin on place entre les cuisses un urinoir de femme, dont le col est rempli par u
les fibres su-perficielles de ce muscle. Ceci fait, on rapproche les cuisses de la malade, sans toutefois changer sa position,
opérée de soins minutieux; il la fait coucher sur le côté gauche, les cuisses fléchies, et le siège portant sur un coussin de c
roides oustyptiques sur l'hypogastre et sur la partie supérieiu'e des cuisses . L'omission de ces précautions a parfois été suiv
ation, une éruption intense sur les jambes, sur la partie externe des cuisses et sur les flancs, et il entretient cette éruptio
tent la patiente dans la position demi-assise et s'assoient entre ses cuisses ; d'autres la mettent sur un lit très-bas et s'as
er, telles que la lithotomie, la hernie étranglée, l'amputation de la cuisse , la ligature de la sous-clavière, etc. Chaque per
otomie par le procédé de M. Nélaton. Le malade est en supination, les cuisses légèrement fléchies. On incise la paroi abdominal
80 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
nt sans doute à ce qu'il se frotte liabituellemen les jambes et les cuisses l'une contre l'autre en plaçant les mains aux p
ants sous les aisselles et au pubis, plus rares sur les jambes, les cuisses , et les bras; léger duvet à la lèvre supérieure.
c'est principale- ment sur le ventre et à la partie postérieure des cuisses , à la région lombaire que l'éruption a été conf
n à la peau si ce n'est de l'érythème chro- nique des fesses et des cuisses dû au gâtisme; la partie inférieure du sacrum e
et abondants; duvet assez marqué sur les épaules, les flancs et les cuisses . - Peau blanche avec de nombreuses taches (vési
tam- ment. Depuis son admission, les jambes sont fléchies sur les cuisses , et les cuisses sur le ventre. Quand on le lève,
uis son admission, les jambes sont fléchies sur les cuisses, et les cuisses sur le ventre. Quand on le lève, il se tient 1
ères. - La peau, un peu rugueuse, offre un aspect furfuracé sur les cuisses et à la face externe des bras. - La dentition e
81 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
de l'avant-bras ; 1 pour e.LCitaliotl maniaque, 1 pour brûlures des cuisses (1), 1 pour appendicite (2), 8 pour entérite, 1
t se tenir debout. Il reste généralement assis sur une chaise. La cuisse est légèrement fléchie sur le bas- sin, la ja
La cuisse est légèrement fléchie sur le bas- sin, la jambe sur la cuisse ; les genoux se touchent et les jambes s'écart
grêles ; le malade étant suspendu aux bras de l'infir- mière, les cuisses sont légère- ment fléchies sur le bassin, les
sses sont légère- ment fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses . Les pieds sont en équin très accusé; les gen
es men- surations, sont courts. Ils sont infiltrés de graisse. La cuisse gauche paraît plus volumineuse que la droite. Les
ez difficiles à obtenir. Sa position naturelle étant accroupie, les cuisses sont fléchies sur le bassin, et les jambes sur
pie, les cuisses sont fléchies sur le bassin, et les jambes sur les cuisses . Avec beaucoup de peine, on peut arriver à les
de Babinski est en très légère extension. La région postérieure des cuisses présente un peu d'érythème des gâ- teux. La s
aisselles, le thorax, le ventre, les fesses, les bras, avant-bras, cuisses et jambes, le pénil sont glabres. Les grandes l
d'une adipose très accentuée, se continuant sur la face interne des cuisses . La constipation est opiniâtre; pas de chute du
82 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ontalement sur une table, si on lève la jambe étendue on fléchit la cuisse d'une venue, et dans ces conditions le bassin s
in. Vous pourrez aussi mesurer les mouvements passifs imprimés à la cuisse et au bassin par des angles; surtout si vous av
es deux angles qui indique l'exacte extensibilité des muscles de la cuisse ; a, l'angle plein quand on fléchit la cuisse; b,
lité des muscles de la cuisse; a, l'angle plein quand on fléchit la cuisse ; b, l'éléva- tion du bassin ; c, la différence
OGIQUES. réflexes tendineux. En général, l'angle de réflexion de la cuisse paraît moindre chez .l'enfant, les individus mu
lexe rotulien, parce que le crural, qui innerve les mus- cles de la cuisse , vient des deuxième et quatrième racines lom- A
ion A l'étiologie DU TROUBLE DE la sensibilité DE BER- NHARDT .1 LA cuisse ; par A. Dr LUZENDERGER. (Neurolog. Central6l.,
t l'auteur, en traversant rapidement ma cham- bre, je me heurtai la cuisse gauche contre un angle de mon bureau ; il en ré
ysé est animé, pendant qu'il parle, de mouvements particuliers : la cuisse se soulève, la jambe se fléchit sur la cuisse à
nts particuliers : la cuisse se soulève, la jambe se fléchit sur la cuisse à angle droit, le pied s'étend sur la jambe de
t accompa- gnés d'un mouvement subit d'extension de la jambe sur la cuisse qui porte la pointe du pied violemment en avant
l'excitabilité électrique des muscles extenseurs et adducteurs des cuisses ; abolition des réflexes patellaires; exagéra- t
e s'étend aux deux jambes, à l'exclusion de la face postérieure des cuisses et de la face externe des jambes (zone de distr
esthésie cutanée. La peau des jambes, jusqu'à la partie moyenne des cuisses , est rugueuse, rude au toucher. Elle est attein
action. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. Brûlure à la cuisse droite. » C'est un homme de taille moyenne, d'u
cas où l'affection a commencé par une atrophie considérable de la cuisse . Il importe de distinguer ces formes médullaire
la langue. Cas 10 : douleurs lancinantes à la partie moyenne de la cuisse gauche. Cas 11 : sensation d'engourdissement su
dorsale, car une excitation cutanée ou profonde de la racine de la cuisse provoque encore des contractions réflexes. Il est
ON A LA CONNAISSANCE DU TROUBLE DE LA SENSIBILITÉ DE BKRNHABDT A la cuisse ; par G. 11U : 3TEH. (LV8219'OIOIf. CC'1211'CIII.
es musées de Berlin, éprouve il la face externe et antérieure de la cuisse droite une brusque sensation de tension, d'engour
part du bassin et envahit la face antérieure et latérale de la même cuisse jusqu'au genou, pour se continuer par un senti-
sensation de piqûre sur toute la face antérieure et ^latérale de la cuisse droite; depuis le bassin jusqu'au bord externe
ientôt modératrice à son tour. Les mêmes accidents s'observent à la cuisse gauche, mais disparaissent spontanément. Il fallu
(le Becliterew, 52. Sensibilité. Troubles de la de Bernhardt à la cuisse , par Luzen- berger, 52; par Kcester, .191.'l'ro
83 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la peau du front; un mouchoir blanc serré autour des flancs et des cuisses couvre les parties mutilées; le reste du corps
t par accès (six à huit en 24 heures) dans le tiers inférieur de la cuisse droite ; les crises douloureuses, duraient en m
incapacité fonctionnelle totale; la peau du tiers infé- rieur de la cuisse était rouge, violacée, chaude, raidie; il était
ton dur. Il existait au tiers inférieur de la face antérieure de la cuisse jusqu'à un centimètre au-dessus de la rotule, e
e symétrique bilatérale avec atrophie des muscles des jambes et des cuisses , avec pieds en varus équin, oedème des extrémit
sse le bien voir. Si quelqu'un approche, il laisse retomber sur ses cuisses le jourual qui cache tout. Parfois il se promèn
Marie Simonetti, âgée de trente-deux ans, d'un coup de couteau à la cuisse et lui a tiré un coup de revolver il la tête; p
eurs. Cette contracture frappe les adducteurs et fléchisseurs de la cuisse et les fléchisseurs de la jambe. Les extré- mit
ré- sentent pas l'incurvation ordinaire dans le sexe féminin; les cuisses mesurent, à leur partie moyenne, 36 centimètres;
nce au niveau des genoux est de 29 centimètres 1/2. La longueur des cuisses , de l'épine iliaque antéro-supérieure à la poin
poils, si ce n'est quelques-uns à la partie anté¡ o-extel'1le des cuisses . La couche adipeuse sous-cutanée est relativement
u'en arrière, de sorte qu'ils restent accolés et pendants entre les cuisses . Ils offrent chacun une saillie très apparente su
PATHOLOGIE NERVEUSE. 307 sensation d'un courant d'air glacé sur la cuisse pendant les mou- vements, toutes les sensibilit
Lorsque Gabriel a eu plusieurs attaques consécutives, il marche les cuisses serrées l'une contre l'autre, les genoux se touch
et en bas, allant de l'arcade de Fallope à la partie moyenne de la cuisse ; cette sensation de brûlure s'accompagne de do
oedème de la région avec ecchymose très étendue occupant, pour la cuisse , toutes les régions postérieure et interne ; pour
irection est oblique de haut en bas et de dehors, en dedans, que la cuisse ou l'avant- bras présente un oedème et une ecch
A. Fenayuou. LIV. Les plis cutanés formés par les adducteurs de la cuisse dans la paralysie infantile, par J.-K.-A. WEl\T
es enfants bien nourris, on trouve toujours à la face interne de la cuisse , à trois ou quatre centimètres au-dessous du pé
il devient une dépression' légère à qui regardé les contours de la cuisse par devant. Cette fossette correspond anatomiqu
hez l'adulte aux deux tiers ou aux trois quarts de la hauteur de la cuisse , à peine au milieu chez les nourrissons. La fos
a modification de fonction des extenseurs et au développement de la cuisse . - Chez les enfants qui ne marchent point, les
- parativement aux extenseurs de la jambe. Le développement de la cuisse donne plus tard aux adducteurs un point d'applica
asme, contourne le vaste interne, au mveau de la face interne de la cuisse . P. 11ERAYAL. LV. Contribution à l'étiologie de
84 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
très volumineux. Cicatrice à la partie supérieure et antérieure de la cuisse gauche. Son intelligence atteint à peine la moy
tude de la sirène, corps tendu, jambes fléchies à angle droit sur les cuisses , bras gauche tourné. Durée quarante secondes. v
chée sur le côté gauche et sur le ventre, les jambes fléchies sur les cuisses , etc. Regard effrayé; pupilles très dilatées. Dur
emande à la malade de l'allonger on sent une légère résistance. Les cuisses sont très développées (42 centimètres à gauche, 4
arge graisseuse est générale ; proportionnellement, les jambes et les cuisses sont moins développées. H... mange bien; elle v
pied est souple. Le genou est raide; quand on fléchit la jambe sur la cuisse , on éprouve une certaine résistance et on entend
asque; le droit assez ferme. gauche. droit. Circonférence de la cuisse à 15 centimètres au-dessus de la rotule..........
x membres inférieurs; seuls, les pieds sont flasques. L'abduction des cuisses est impossible. On lui a fait avaler du potage,
t le long de l'épine du dos, et de là sur les hanches, et le long des cuisses jusqu'aux genoux ou jusqu'aux pieds. Après les pr
sur le dos d'une chaise, ensuite on frictionnedes muscles du dos, des cuisses et des jambes, et on place les pieds sur une deux
85 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
1 kg. 1884. 15 juin. éruption d'urticaire sur les avant-bras, les cuisses , le cou, la poitrine, le ventre, les lombes, les
ues jours l'enfant marche dif- ficilement, et paraît souffrir de la cuisse gauche qui est dans la flexion et l'adduction.
r la pointe du pied. Les mouvements de flexion et d'extension de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, sont
exion et d'extension de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse , sont possibles ; mais le pied est maintenu en
ion vésiculeuse sur fond rouge qui se prolonge vers la racine des cuisses ; clitoris très petit, non recouvert par le capuch
ravation pourtant de l'état général. Un petit abcès, découvert à la cuisse droite, est incisé : c'est à lui, sans doute, q
Vers la fin de la grossesse ap- parut de l'oedème des jambes et des cuisses ; rien aux mains, ni aux paupières : on ne peut
oils assez nombreux à la partie supérieure de la face in- terne des cuisses . Poils courts, assez rares, à l'anus. Poils Fig
t la voiture lui a passé sur le corps en contusionnant fortement la cuisse gauche. Il a eu très peur, avait la figure tout
s très amaigris aussi; les jambes sont for- tement fléchies sur les cuisses qui sont elles-mêmes fléchies sur le bassin ; l
n extension complète ; les mus- cles de la partie postérieure de la cuisse sont nettement at- teints de rétraction de leur
86 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
des parties supérieures aux parties inférieures, se montrent dans fa cuisse et la jambe droite. Pendant ce temps, le côté gau
, car le gonflement s'étendait à la fois à la moitié inférieure de la cuisse et au tiers supérieur de la jambe. En ces dernier
ailleurs, les mouvements de flexion et d'extension de la jambe sur la cuisse s'opéraient sans douleur et sans gêne bien manife
rmés. Les plus légers attouchements sont cependant bien perçus sur la cuisse et sur les jambes. Néanmoins, la notion de positi
es, la tuméfaction avait gagné le genou et la partie inférieure de la cuisse : elle était surtout prononcée au genou ; à parti
noncée au genou et elle s'étendait de là à la partie supérieure de la cuisse et à la partie supérieure de la jambe. Le médecin
e séjour dans le lit, elle avait à peu près complètement disparu à la cuisse et à la jambe. Seule, l'articulation du genou éta
la jointure. L'axe de la jambe est incliné en dedans et forme avec la cuisse un angle obtus, dont l'ouverture tend à se rétréc
qui se produisent dans l'arthrite sèche. L'extrémité inférieure de la cuisse et le tiers supérieur delà jambe sont un peu empâ
out prononcée ; elle s'étendait môme jusqu'àlapartie inférieure de la cuisse . La peau avait conservé sa couleur naturelle ; el
après l'événement, on put constater une augmentation de volume de la, cuisse gauche ; il y avait en même temps, dans l'articul
s et une ulcération gangreneuse du sacrum et de quelques points de la cuisse . ?« Il faut donc distinguer les effets de l'irr
lle ici l'attention : on voit assez souvent la peau des jambes et des cuisses se couvrir d'une éruption lichénoïde, confluente,
t-bras produit également la contracture; la même chose se produit aux cuisses . Le sterno-mastoïdien se contracture aussi sous
aradoxale ne peut se produire, lorsque, la jambe étant fléchie sur la cuisse , on rapproche avec la main les muscles du mollet
es plus accentués (Fig- 33), avec rigidité du genou et rotation de la cuisse , par suite de quoi la pointe du pied se place sou
87 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
comme dans la marche. - 2, flexion avec rota- tion en dehors de la cuisse , rotation en dedans de la hanche, flexion des ort
de Rolando, ils sont combinés avec la flexion de la jambe et de la cuisse . Avec des excitations minima, on peut encore diff
Leg, jambe ; - Mouth, bouche ; Fool, pied ; Toes, orteils; - Thigh, cuisse ; - Trunk, tronc; Upper, supérieur ; Lower, infér
2 a 3 centimètres de fer dans les muscles du dos et externes de la cuisse . Heureusement aucun organe important n'a été touc
es mus- cles du steppage, c'est-à-dire les muscles antérieurs de la cuisse , sont impuissants eux-mêmes à exécuter le mouve
uscles et les extenseurs delà jambe, c'est-à-dire les muscles de la cuisse . Ce n'est pas ce qu'on peut appeler, à propreme
que le malade a marché déjà depuis quelque temps, les muscles de la cuisse ne peuvent plus élever la jambe, le steppage de
est le plus considérable, sont, notez-le bien, les adducteurs de la cuisse , le vaste interne, le vaste externe, le droit a
oblique en bas et eh dedans et proémi- nant à la face interne de la cuisse . Avons nons affaire ici à un relief anormal car
e résistant qui maintient les muscles de la partie antérieure de la cuisse . Dans le relâchement du quadriceps, l'extré-
tre malade se tient debout, raide sur ses jambes, les muscles de sa cuisse droite sont contractés, ceux de sa cuisse gauch
jambes, les muscles de sa cuisse droite sont contractés, ceux de sa cuisse gauche restent flasques; et c'est aussi ce qui
les cobayes, le grand nerf scia- tique à la partie supérieure de la cuisse , le petit nerf sciatique qui n,a point été lésé
ur le bain lrpolaire on intercale une troisième électrode entre les cuisses du patient. Le bain dipolaire augmente l'excrét
ndée consiste dans l'intro- duction d'une canule sous la peau de la cuisse ou de la fesse, canule reliée par un tube en ca
n bas âge de rougeole ; un autre âgé de onze ans a été amputé de la cuisse pour une tumeurblanche du genou; l'aînée, jeune
bras et ne pouvait être étendu; la jambe était en extension sur la cuisse et ne pouvait être fléchie. La face était respe
e poing. Sensibilité cutanée Vase plein d'eau chaude placé sur la cuisse droite. Il fait le geste de se laver la figure
bres persista. A l'exception de légers mouvements de flexion de la cuisse et de la jambe, le membre inférieur droit était f
88 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
ieds et des mains, flexion et extension des jambes. Elévation de la cuisse dans la position horizontale. Porter la jambe gau
ui tendu. Barre fixe. — Barre à Om50 du sol. Tractions. Élever la cuisse et la jambe gauche tendue. Appui incliné, tendu e
et sauter à terre. Barre à lm60 du sol. Élévation alternative de la cuisse et de la jambe. S'élever sur la pointe des pieds
les mains. Changer la prise des mains. Élévation alternative delà cuisse et de la jambe. Élévation simultanée delà cuiss
n alternative delà cuisse et de la jambe. Élévation simultanée delà cuisse et de la jambe. Élévation et ôcartement latéral
e delà cuisse et de la jambe. Élévation et ôcartement latéral de la cuisse et de la jambe gauche. Elever les pieds à la ba
llongés. Môme mouvement, bras raccourcis. Élévation alternative de la cuisse et de la jambe. Élévation alternative des cuisses
on alternative de la cuisse et de la jambe. Élévation alternative des cuisses et des jambes. Élever simultanément la cuisse et
vation alternative des cuisses et des jambes. Élever simultanément la cuisse et la jambe. Élever simultanément les cuisses et
Élever simultanément la cuisse et la jambe. Élever simultanément les cuisses et les jambes. Monter avec les pieds et les mains
rovoquées par le sang desséché sur les poils, sur la face interne des cuisses ). — Les malades hystériques et épileptiques ont d
89 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
oncé, surtout au niveau des pieds et des jambes remontant jusqu'aux cuisses . Sur les extrémités de chaque premier métatarsi
tracturés, et en les soulevant, on fléchit aisément la jambe sur la cuisse , et celle- ci sur le bassin. Il est impossible,
esthésie de la queue, du périnée, des surfaces postéro-internes des cuisses , de la paralysie des deux sphincters. Quand la
s deux côtés. Depuis dix ans,, il éprouve des paresthésies dans les cuisses avec diminution de la sensibilité cutanée; il s
'asymétrie, au préjudice du côté droit, est surtout accusée sur les cuisses , la langue ; les lèvres beaucoup plus volumineu
sans doute à ce qu'il se frotte habituellement t les jambes et les cuisses l'une contre l'autre en plaçant les mains aux p
dants sous les aisselles et au pubis, plusrares sur les jambes, les cuisses , et les bras; léger duvet à la lèvre supérieure.
oupes musculaires est moins pronon" cée. Le cou est moins gros, les cuisses moins fortes, le biceps moins saillant que chez
ituellement tenus écartés les uns des autres et à demi fléchis. Les cuisses ont un volume considérable. Le triceps fémoral
pas atteindre des dimensions comparables à celles des muscles de la cuisse . Le pied est petit, sec, osseux. D'une façon gé
provoquer le transfert au moyen de la pilocarpine. On lui fait à la cuisse droite, du côté anesthésié, deux injections de
c'est principale- ment sur le ventre et à la partie postérieure des cuisses , à la région lombaire que l'éruption a été conl
n à la peau si ce n'est de l'érythème chro- nique des fesses et des cuisses dû au gâtisme; la partie inférieure du sacrum e
et abondants; duvet assez marqué surles épaules, les flancs et les cuisses . -.Peau blanche avec de nombreuses taches (vési
tam- ment. Depuis son admission, les jambes sont fléchies sur les cuisses , et les cuisses sur le ventre. Quand on le lève,
uis son admission, les jambes sont fléchies sur les cuisses, et les cuisses sur le ventre. Quand on le lève, il se tient as
avant-bras sur le bras; du pied sur la jambe, ou de la jambe sur la cuisse , ou bien encore l'élévation d'une épaule; d'aut
et anesthésie. Obtenu par l'application d'un barreau de fer sur la cuisse droite. Le transfert, dans ce cas, est des plus
90 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
non prévenu. Après avoir aspergé les flancs et la face interne des cuisses de R..., nous vîmes les régions se couvrir d'une
s muscles est bien conser- vée, excepté celle de fléchisseurs de la cuisse qui semble un peu diminuée. Il n'y a pas trace
uréthrales et de douleurs fulgurantes ; sensations de brûlure à la cuisse gauche. Vers le commencement de 1884, faiblesse
chée. Signe de Rom- bers. Anesthésie de la surface antérieure de la cuisse droite. Engourdissement des pieds. Douleurs ful
essé de visiter le malade. Il avait des sensations de brûlures à la cuisse gauche. Vers le commencement de 1884, après un
ne parait pas du tout diminuée. Toute la surface antérieure de la cuisse gauche, à savoir la région qui, à une époque an
u'il se fatigue, devient très fort en même temps qu'il s'étend à la cuisse . Les douleurs fulgurantes sont aggravées aussi
ait, elle se localisait, anesthésie. de la surface antérieure de la cuisse droite, région ayant été à une époque antérieur
ensité devenaient très forts, en même temps qu'ils s'étendaient aux cuisses . 8° Abolition des réflexes. L'absence des symp-
rouge foncé. Ailleurs, la teinte cireuse est moins pro- noncée; aux cuisses et au dos, la peau est même rosée. La peau est
l rugueuse. Aux bras, il existe une sorte d'ic- ttyose léger ;- aux cuisses , elle est au contraire douce. Aux mains et aux
, on lui dit de placer son pied à plat sur le lit en fléchissant la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse, on voi
ur le lit en fléchissant la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse , on voit que, malgré lui, dès que la cuisse com
ssin et la jambe sur la cuisse, on voit que, malgré lui, dès que la cuisse commence à se soulever, le jambier antérieur se
en flexion dorsale ; la crampe persistant, si l'on fait fléchir la cuisse sur le bassin, on voit survenir le mouvement as
e inférieure du corps était complète et portait sur les jambes, les cuisses , la vessie et le rectum, Aux douleurs de la rég
rps s'étendit jusqu'à la surface postérieure du tiers supérieur des cuisses . Je fis usage contre la gangrène de l'acide phé
lètement la motilité; la sensibilité s'étendait seulement jusqu'aux cuisses . Je lui ordonnai le traitement ordi- 428 CLINIQ
91 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
pital, la plus grave des opérations chirurgicales , une amputation de cuisse , exécutée sous l’inDuence du sommeil nerveux, san
re depuis deux ans, il réclame lui-même avec calme l’amputation de la cuisse . Cerialns symptômes fournis par l'auscultatiou fa
nez du malade couché dans la position horizontale, les jambes et les cuisses ne reposant pas sur le lit. Craignant les vives d
position qu’il occupe ; il se décide alors à laisser placer les deux cuisses dans l’abduction , malgré la vive douleur qu’il é
ofond silence, je pratique l’amputation à la parlie iiiféiieure de la cuisse , par la méthode à deux lambeaux. Pendant cette op
avaient l’air de chercher à voir la spatule. L'un des élèves pinça la cuisse environ deux minutes aeant l’amputation et demand
élèvo : « J’ai senti ce qu’on m’a « fait, et, la preuve, c’est que ma cuisse a été coupée au mo-e mentoù vous me demandiez si
roisième étage dans la cour, et s'est brisé, clans sa chute, les deux cuisses , la mâchoire et la clavicule de l'épaule gauche.
e mettre au monde un être semblable, fera tomber à l’instant même les cuisses et les jambes de l’enfant qu’elle porte? Personne
ble, puisse, par l’inlluence dc celte préoccupation, faire tomber les cuisses et les jambes de son enfant; mais je crois que, l
dans une immobilité complète. Ayant saturé de fluide les jambes, les cuisses et les doigts de la main, ils acquirent à leur to
en étaient privées. Je connais une jeune personne dont on a amputé la cuisse ; plusieurs fois elle s'est tenue et a fait quelq
! Uq médecio, de mes arais, m’a assuré avoir vu un officier, dont la cuisse avait été amputée, marcher jusiiu’au milieu de sa
çois un petit si^ne brun au-dessous du sein gauche et un autre sur la cuisse droite. A l’audition de ces paroles, une légère
s doigts : ils sentaient des eÎFets aux genoux, quand j'étais sur les cuisses ; au tibia, quand j’étîûs sur les genoux; aux pied
s). . fraIcLcur. . , JO — conire 1 14” A la partie supérieure de la cuisse , en dedans..........fr.ili-tipnr jn .... , ..
nr jn .... , ......iraitneur. . . lo—unanime, 1.1 Au milieu de la cuisse , en dedans, grande clialeur. 27 — id. 16° A la
dedans, grande clialeur. 27 — id. 16° A la pailie inférieure de la cuisse jusqu’aux .............UÉdeur. . . . 8-conlre2.
NIQUE. CAS DE CHIRURGIE. — Opérations sans douleur. Amputation de cuisse , 36. i Extraction de dents, 620. CAS DE MÉDECIN
— par le somnambulisme na turel, 140, 268, 501, 559. Amputation de cuisse , pratiquée, sans douleur pour le patient, par M.
92 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
un homme .puisse se tenir debout et marcher. Bassin fléchi sur les cuisses et ne REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 67 pouvan
uisses et ne REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 67 pouvant se relever. Cuisses maigres, jambes et pieds d'aspect nor- mal, sim
arrière le bras droit, il grimpe avec la main gauche le long de la cuisse et place le poing droit sur la fesse droite. Il
eurs très raides ne le soutiennent pas. Couché, on constate que les cuisses sont fortement accolées l'une à l'autre, on a p
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 139 moelleux qui soutient ainsi la cuisse et l'immobilise; la jambe de tout son poids, pe
suspendue en équilibre n'a donc plus de poids. On la fléchit sur la cuisse à un angle de 45 de sorte que les contractions
uscles lombaires n'agissent pas. Dans la station du tronc sur les cuisses , l'équilibre est instable par suite de la confo
t croire de prime abord, pour maintenir la station du tronc sur les cuisses . La ligne de gravité passe en arrière de l'axe
l'équilibre quand le tronc penche en avant. Quant à la station des cuisses sur le tibia, la ligne de gravité passant en av
me quadrilatère, à angles arrondis. Le pli fessier est profond. Les cuisses sont bridées latéralement par l'aponévrose. En
e de la faiblesse de ces muscles. Que l'équilibre du bassin sur les cuisses est main- tenu, non par les contractions des fe
icotements dans les pieds, les jambes et à la partie antérieure des cuisses . Cela s'accompagnait d'un certain degré de faib
es légers mouvements sont possibles; mou- vements d'adduction de la cuisse , de flexion de la jambe sur la cuisse. Mais ces
- vements d'adduction de la cuisse, de flexion de la jambe sur la cuisse . Mais ces mouvements sont lents, difficiles et ne
rtout bien con- servé, sauf au niveau de la partie antérieure de la cuisse gauche où il est un peu affaibli mais non aboli
main droite. Le 2 mars : L'atrophie des muscles, des jambes et des cuisses est très apparente. Les autres syptômes précéde
ments dans les pieds, dans les jambes et à la partie antérieure des cuisses , un certain degré de faiblesse des membres infé
ofonde; il contracte, le 18 janvier, un érysipèle phlegmoneux de la cuisse droite et succombe à cette complication au bout
également aux membres inférieurs. Assis, il se tient penché sur ses cuisses . Dans cette attitude il lui est impossible de m
93 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
'est une bonne idée.—Ou aux mollets ?— C'est tout aussi bien.— Ou aux cuisses ? — C'est peut-être mieux encore. — Ne pensez-vous
deuxième étage dans une cour pavée et ne réussit qu'à se fracturer la cuisse . On pouvait espérer qu'elle ne ferait pas de nouv
ition qu'elle avait eu pendant les derniers efforts, formant avec ses cuisses un berceau a un gros garçon de 5.100. La délivr
souffrance autrement que par lestrèslégers mouvements du bras et des cuisses dont nous avons parlé plus haut. Enfin, le 14,
entimètres de fer pénètrent dans les muscles du dos et externes de la cuisse . Heureusement aucun organe important n'a été to
1887. Elle débuta par des douleurs dites rhumatismales dans les deux cuisses ; ces docteurs, sans être très aiguës, durèrent d'
exécutait sans qu'elle eût à intervenir : elle ne se frottait pas les cuisses , comme elle le fait maintenant d'une façon irrési
elle ne porte la main A la vulve, se bornant A geindre, A serrer les cuisses , parfois A frictionner le bas-ventre, ce qui prod
s. Elle ne peut également s'empêcher de se frotter les reins et les cuisses . Quelquefois, espérant faire avorter la crise, el
ssi des douleurs à la partie supérieure, postérieure et externe de la cuisse droite; ces douleur; lancinantes n'exiftent pas a
a six ans, il aurait déjà accusé des douleuri semblables dans la même cuisse pendant une quinzaine de jours. La digestion est
latation notable du cœur droit. A la partie aotéro-supérieure de la cuisse droite cl à la face postérieure et externe, sensi
s de fourmillements ni d'engourdissements. Le malade peut soutenir la cuisse en l'air; la flexion de la cuisse et de la jambe
sements. Le malade peut soutenir la cuisse en l'air; la flexion de la cuisse et de la jambe sont possibles, mais les mouvement
ncore un peu incliné du cftté gauche. Il fléchit mieux la jambe el la cuisse en marchant. La pression de la cuisse ne détermin
Il fléchit mieux la jambe el la cuisse en marchant. La pression de la cuisse ne détermine plus de doulour. 2* suggestion. —
atelier de confection où elle cousait à la machine. Le mouvement des cuisses nécessaire dans ce genre de travail provoquait so
94 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ulcères aux jambes; on en voit quelques autres sur le corps et les cuisses , rondes et déprimées, probablement de rupia ou
main gaucheétreindreladroite. Elle remuait plus difficilement les cuisses . Toutefois, elle pouvait déplacer ses jambes, mai
èrement. On pouvait voir que les muscles des bras, des mains, des cuisses , des jambes et des pieds étaient bien conformés.
Mais, le lendemain, il éprouva des secousses involontaires dans les cuisses , quelque temps plus tard aussi dans les bras, et
oral, lesquelles se propageaient quelquefois aux muscles de l'autre cuisse et à ceux du tronc, particulièrement aux muscles
l'affection ; dans celle de Remak les premières secousses dans les cuisses se montrèrent pendant une paralysie avec ataxie
façon quelea pointe du` pied touche seule le sol et force ainsi 'la cuisse à se fléchir, légèrement sur le bassin et la ja
fléchir, légèrement sur le bassin et la jambe à se fléchir suri la cuisse .. Dans* une certaine position facile à trouver,
ontant, en diminuant jusqu'à l'ombilic et descendant jusque sur les cuisses ; bourses pendantes surtout à gauche ; testicules
éralisées à tout le corps, le malade se frappe de la main gauche la cuisse gauche, puis survient un tapotement du talon du
nifester. Il rougit très légèrement quand on lui pique fortement la cuisse . Le chatouillement du thorax produit un rire in
côtés une rigidité très prononcée. , Les muscles des jambes et des cuisses font lorsque les jambes sont étendues dans le l
ue tous les muscles du corps se raidir considérablement; ceux des cuisses surtout prennent une dureté extrême, et il ne peu
du corps, les avant-bras en demi-flexion, les mains placées sur les cuisses ou dans le voisinage des parties génitales. Les d
fération des noyaux du ti,su interstitiel des muscles triceps de la cuisse et péroniers, mais intégrité des noyaux des mus
sont longs, les doigs grêles et effilés comme ceux d'une femme. Les cuisses sont arrondies mais le bassin a plutôt la confo
eloppé et présente un hypospadios très accusé. Lorsqu'on écarte les cuisses on ne voit pas de scrotum, mais une espèce de v
95 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
la production des formes pathologiques. Normalement, sur l'os de la cuisse , la ligne âpre présente deux lèvres et un inter
énérale ce qui a trait aux varia- tions morphologique de l'os de la cuisse . On saisira les stades par lesquels passe un fé
sance chez un géant. (Société d'Anthropologie f8J0.) Le fémur. 71 cuisse dont la tonicité s'ajoute il celle des ligaments
dû à un tic que possède l'enfant de se frotter continuellement les cuisses l'une contre l'autre et le scrotum avec un talo
de la peau semblant être l'orifice d'une ancienne fistule ( ? ). Cuisses en parenthèse, peu musclées, recouvertes de duvet
assez longs; poils assez abondants sur les deux tiers externes des cuisses . Sur le pénil, poils noirs sur une largeur de G
osés il leur extrémité (pied et partie inférieure de la jambe). Les cuisses , fortement entrecroisées à leur partie moyenne,
ont fixées d'une façon constante dans cette atti- tude vicieuse. La cuisse droite est dans un état d'abduction plus marqué
sse droite est dans un état d'abduction plus marqué due celui de la cuisse gauche. Les deux cuisses sont fléchies sur le b
tat d'abduction plus marqué due celui de la cuisse gauche. Les deux cuisses sont fléchies sur le bassin; les jambes fléchie
ux cuisses sont fléchies sur le bassin; les jambes fléchies sur les cuisses , les deux pieds en varies très marqué : ces att
96 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
jambe fortement tendus ; on les sent à la partie postérieure de la cuisse . Les fléchisseurs de la jambe sur la cuisse sont
artie postérieure de la cuisse. Les fléchisseurs de la jambe sur la cuisse sont : le biceps fémoral, le semi-tendineux, le
tibia et à la rotule d'autre part ; ils sont aussi extenseurs de la cuisse sur le bassin. Donc si la jambe est étendue sur
urs de la cuisse sur le bassin. Donc si la jambe est étendue sur la cuisse et que l'on veuille fléchir la cuisse sur le ba
i la jambe est étendue sur la cuisse et que l'on veuille fléchir la cuisse sur le bassin, ce groupe de muscles sera nécess
n. Plus la jambe sera étendue, et plus vous essaierez de fléchir la cuisse sur le bassin, plus vous les tiraillerez. Mais ch
contracture douloureuse en flexion forcée de la jambe droite sur la cuisse , pied varus équin, et mutisme. Celui-ci dura vi
es quatre membres contracturés en flexion forcée de la jambe sur la cuisse , du bras sur le tronc et de l'avant- bras sur l
es de la face, du cou et du tronc, projections de la tête entre les cuisses , exophtalmie, dilata- tion pupillaire, cris et
le visage participe à l'atrophie, de même les fléchis- seurs de la cuisse ; il est également atteint d'imbécillité. B... in
es douleurs à la partie extérieure et à la partie postérieure de la cuisse et de la jambe du côté droit; ces douleurs, au
rès fort la région de la fesse droite, la surface postérieure de la cuisse , la partie extérieure de la jambe, la région do
ès qu'il cherche à abandonner le fauteuil sur lequel il repose, les cuisses et les jambes refusent de soutenir le poids du
lle que le corps était complètement recroquevillé sur lui-même; les cuisses étaient fléchies à angle aigu sur l'abdomen, le
angle aigu sur l'abdomen, les jambes pareillement fléchies sur les cuisses , de sorte que les pieds étaient mainte- nus con
de locomotion qu'il emploie aujourd'hui. Assis sur les fesses, les cuisses dirigées en dehors et les jambes en dedans de m
sse des quatre extrémités, amenant les talons jusqu'à la racine des cuisses et laissant derrière lui les mains appuyées sur
tenu par les aisselles (fig. 7), le tronc s'in- cline en avant, les cuisses entrent en adduction, les genoux se collent l'u
97 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
érie de groupes de muscles (extenseur de la jambe, adducteurs de la cuisse , muscles des membres supérieurs, muscu- lature
es vergetures abdo- minales s'étendant sur la partie supérieure des cuisses . Les pupilles sont dilatées, égales, régulières
la douleur un peu diminuée aux bras, sur les parties exter- nes des cuisses et des jambes où le malade ne peut pas localiser
s au tronc et aux membres supérieurs ; à t)' centimètres pour les cuisses et la jambe gauche ; à 8-10 centimètres pour la j
ux de bois, la machine à coudre, la bicyclette, par la pression des cuisses , par la rêverie, cette sorte d'onanisme psychiq
tion fatigante, est obligé pour marcher d'appuyer les mains sur les cuisses , les genoux étant en demi-flexion. Le petit nom
onus des pieds. Plantes voûtées. Hypertrophie vraie des muscles des cuisses et des jambes. Parésie du muscle droit ocu- lai
son oreiller, son traversin, puis se tenant couchée sur le dos, les cuisses écartées et derni-iléchies, elle prend ses drap
la secouait. Peu à peu, les muscles de la partie antérieure de la cuisse furent pris à leur tour ; la marche devint alors
Encore plus hyper- trophiés sont les muscles fessiers et ceux de la cuisse , surtout le vaste externe. Les gastrocnémiens a
s muscles sont d'une consistance molle, graisseuse. Le diamètre des cuisses est de 39, celui des mollets est de 43 centimèt
ave, il s'est seulement fait en tombant au gymnase, une fracture de cuisse qui a guéri sans laisser de trace. Jusqu'à l'âg
est incessamment attirée en arrière. La jambe droite fléchie sur la cuisse contracturée est le siège de contractions rythmiq
ûre, à la température légèrement émoussée, masses musculaires des cuisses et des jambes douloureuses à la pression ; pas d'
bres inférieurs que trois semaines environ après la* naissance. Les cuisses loi tement serrées l'une contre l'autre et pla-
do- SOCIÉTÉS SAVANTES. 499 minant au niveau des adducteurs. Les cuisses sont rapprochées, fixées l'une contre l'autre e
de ce membre était impossible. La jambe gauche était fléchie sur la cuisse , en rotation externe, de sorte que le pied vena
atteignit progressivement les deux pieds, les deux jambes, les deux cuisses ; elle suivit la même progression ascen- dante
98 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
en varus équin. Les mouvements sont moins prononcés au niveau de la cuisse . Néammoins la station est dillicile, la marche
r que du côté droit. Du côté gauche, les muscles fléchisseurs de la cuisse sont contractures et prennent l'aspect lorsqu'o
ande école. Il avril. - On constate une amyotrophie marquée de la cuisse gauche. Hydrothérapie. Juin. - On constate une
ctures généralisées des deux côtés, avec ilexion et adduction de la cuisse , pied bot en valgus équin. Exagé- ration des ré
uption a complètement envahi le tho., rax, l'abdomen, la racine des cuisses . Catarrhe oculaire et nasal très prononcé. T. R
iveau du liane gauche, mais persistent sur la face anté- rieure des cuisses ; légère diarrhée très fétide. - Battements du
? ,es inférieurs légèrement cagneux ; cicatrice de brû- lure sur la cuisse droite. Les réflexes semblent normaux ; pieds b
envahissant les aines, les bourses, et les parties supérieures des cuisses . Le scrotum est normal. Ver- ye assez bien déve
ls fins, assez abondants, sur la région lombaire, les fesses et les cuisses : poils fins sur la moitié postérieure des bras
99 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
tait la sensibilité normale sur ce point A la face antérieure do la cuisse droite, une plaque d'anesthésie de forme triangul
riangle, dont le sommet serait à la rotule et la base au milieu do la cuisse . Un peu au dessus, une zone plus petite où la sen
nde plaque d'enetthésie occupe presque toute la face antérieure de la cuisse gauche. Au niveau du genou gauche, une plaque all
croissantes. Il n'y a pas, dans ces derniers siècles, de remède qui cuisse rivaliser en énergie d'action et en étendue de cr
luxation externe. La contracture des adducteurs était telle que la cuisse droite contracturée et le genou doit étaient pres
che avec beaucoup d'appréhension et tient ses jambes fléchies sur ses cuisses , et les cuisses fléchies sur le bassin. La conf
p d'appréhension et tient ses jambes fléchies sur ses cuisses, et les cuisses fléchies sur le bassin. La confusion, cettes, é
s complète (à l'exception de la jambe et de la face postérieure de la cuisse ). C'est sur ce symptôme seul que je veux insister
pudeur. Un jour quelqu'un la voit embrasser sa poupée sur le haut des cuisses . On lui demande ce qu'elle fait ; elle répond que
uche, région sus-mamillaire gauche, ovaire gauche, face externe de la cuisse gauche, jambe gauche tout entière, colonne vertéb
mbaire, fesse gauche ; à droite seulement fesse et face externe de la cuisse . Voici la représentation schématique de ces point
région épigastrique, fesses, régions inguinales, parties externes des cuisses . Adrienne C... n'avait aucune zone hypnogène; J
t : le front et les pariétaux, le ventre tout entier, un point sur la cuisse gauche, un au-dessus de la rotule gauche et un da
droite est complètement aneslhésiée, ainsi que la face externe de la cuisse , tandis que la sensibilité reste intacte sur la f
este intacte sur la face externe de la jambe et la face interne de la cuisse . La sensibilité est normale au membre inférieur
100 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peau, sont immobilisés en contracture : au repos légère flexion des cuisses sur le bassin et des jambes sur les cuisses, le
epos légère flexion des cuisses sur le bassin et des jambes sur les cuisses , les genoux au contact, les molléoles internes so
l est impossible d'écarter les 48 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cuisses , les mouvements de la jambe sur la cuisse persist
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cuisses, les mouvements de la jambe sur la cuisse persistent dans une faible mesure, ceux du cou-
uses; l'oedème se montre fréquemment aux chevilles, aux jambes, aux cuisses , à certaines périodes même il atteint le scrotu
z spéciale. Elle se tient bien sur la jambe droite mais à gauche la cuisse est fléchie sur le bassin, le pied est retourné
sen- sible aux piqûres ; hypéresthésie à la partie supérieure de la cuisse à la hanche. Cette fois nous nous trouvons nett
sensations paresthésiques occu- pant un territoire limité d'une des cuisses . 4 observations. Guéri- son par les douches, le
mois déjà, le malade remarqua qu'il avait deux tumeurs, l'une à la cuisse et la seconde à la partie postérieure du membre
anter, au sacrum et à l'aine. Cette douleur s'irradie le long de la cuisse à la face antérieure. Le pli fessier n'est pas
ne légère ensellure lombaire existe; quand je veux faire mouvoir la cuisse , l'enfant crie que je lui fais mal. Jé n'entends
tions et ecchymoses, surtout prononcées et nombreuses au dos et aux cuisses . Des traces de coups et blessures que le malade p
ite d'une légère contusion le malade présenta une tuméfaction de la cuisse droite qui alla toujours en s'aggravant et offr
émacié, présente des taches livides cadavériques très étendues à la cuisse droite. Tout le membre inférieur droit présente
rieur droit présente une notable tuméfaction qui intéresse toute la cuisse et une bonne partie de la jambe, un oedème circ
aux organes génitaux. A la partie moyenne de la face externe de la cuisse une plaie gangreneuse d'une étendue de 15 centi-
te hypertrophie cesse au niveau du cou-de-pied; les jambes et les cuisses restent indemnes. Toujours comme à la main, tous
ité est normale. La malade se plaint seulement de lourdeur dans les cuisses et les jambes. Pas de troubles vésicaux ni rect
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