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1 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
s, ni aucune autre marque de vie. Cela a donné lieu à quelques-uns de croire et d’assurer que l’âme de cet homme sortait effec
’état extatique où il se trouvait pendant ses révélations (6). « Je croyais en quelque sorte toucher le dieu et sentir son
ur jeter les malades en somnambulisme. Nous savons seulement, et nous croyons l’avoir démontré antérieurement, que les friction
la connaissance que l’on avait alors de la vision somnambulique : « Croyez -vous, dit-il, que l’âme ne voie que par les yeux
s perturbations profondes du système nerveux. Les savants n’ont pas cru devoir, jusqu’à ce jour, protester contre l’exist
u]ilcK,p. !>“• „rande facilité. Pendant une nuit très-froide, il crut voir en dormant un enfant sc noyer. 11 s’étend au
ns cependant avec plaisir que des hommes d’une haute intelligence ont cru devoir, dans ces derniers temps, placer leur cons
s ont envisagé le somnambulisme comme un effet de l'imagination. Nous croyons cette prétention bien peu fondée. Une imagination
s d’août jusqu'à la fin de novembre. Une grande amélioration, qui fit croire à une guérison complète, apparut en décembre et j
e absolue : le visage est terne ; les extrémités sont glacées ; on la croirait privée de vie, si la respiration n'était pas râla
fatigue. Elle était restée plus de soixante heures sans manger et se croyait au lundi matin. Rien de remarquable jusqu’au 21
. Les souffrances du cœur ne sont pas totalement apaisées, mais je ne crois pas qu’on puisse jamais espérer de cette lésion u
ends. « En attendant l’honneur de son acceptation, je la prie de me croire un de ses membres les plus dévoués. « Paul CARP
connue puissante aujourd’hui, du mesmérisme sur les insensés que l’on croyait rebellesaux effets magnétiques. M. Capern affirme
M. le curé quelques messes pour le repos de l’âme du défunt, qu'elle croyait pouvoir être la cause de ces alarmes nocturnes. M
oilà, Monsieur, ce que j’ai pu recueillir à ce sujet. « Le géomètre croit aujourd’hui ce qu’il a vu et entendu; mais la dél
ver des discussions fâcheuses, ou de provoquer, en témoignant qu’on y croit , des souvenirs plus fâcheux encore. « h. g. »
ons soient trouvées fausses; je n’ai même aucun respect humain que je crois à ces faits et à un certain nombre d’autres du mê
is à ces faits et à un certain nombre d’autres du même genre; mais je crois que mon étal et mon habit m’imposent cette réserv
couchant ! Je restai confondu, les deux nègres ne voulaient pas en croire leurs yeux : Li ka ami, bon Dit ! disaient-ils en
bondit de rage et tourna vers le charmeur sa tète menaçante. « Nous crûmes Oléda perdu; mais, ô prodige! la gueule du monstr
toute la sincérité des sentiments religieux dont vous ôtes animé, je crois devoir vous en donner connaissance et vous engage
Votre Grandeur sur les craintes de déconsidération et autres, qu’elle croirait pouvoir peser sur moi, si je me posais dans le mo
ent toute ma profession de foi à ce sujet, et, sous ce rapport, je me crois à l’abri de toute atteinte ; je proteste donc enc
s, de M. de la Marne, de M. l'abbé Frère, etc., etc., de sorte que je crois avoir sur cette matière un peu plus de notions qu
ion de la loi pénale, de démontrer que magnétiseurs et somnambules ne croient pas en leur art et ne sauraient, non plus tpie de
dmettant môme que la mauvaise foi ne soit pas nécessaire , il suffit, croyons -nous, de se pénétrer du sens et du but de l’art.
e plus en plus apparente, et chacun est déjà fixé sur son opinion. On croit qu’il ne voit dans les'phénomènes magnétiques que
n circulation ont été offerts par l’auteur aux seules personnes qu’il croyait aptes à comprendre ses idées. C’est par hasard qu
ar hasard que l’un d’eux nous est tombé sous la main, et nous aurions cru aller contre les intentions de l’auteur en en rep
forces instinctives et vitales, et, enfin, avec la thérapeutique. Je crois que le magnétisme est un des chapitres de la scie
ympathie, d’une sorte d'affinité mystérieuse entre deux personnes. Je crois môme qu’on a cherché à l'expliquer, en la rattach
cependant les académiciens se moquaient alors ouvertement de ceux qui croyaient aux aérolithes; maintenant il n’v aurait point as
de résolution. Comme j’aime à agir franchement en toute, chose, j’ai cru devoir vous manifester aussi mes intentions à cet
uvent par hasard témoins de ses merveilleux effets, sont portées à le croire surnaturel; au contraire, le médecin qui a de l’i
t produit bien moins de scandale «pie Votre Grandeur ne semblerait le croire ; la grossesse et l'accouchement d une Jilie ne so
lement les malailies de l’espèce, comme généralement on semblerait le croire . C’est donc à tort qu ou les attribue communément
qu’elle peut être mise sans difficulté dans la balance. On peut donc croire , sans errer, qu’il est de cet agent ce qu’il est
me force d’en faire; j’y éprouve toujours une fatigue extrême. « Je crois qu’à l’aide du magnétisme, un malhonnête homme po
à n’en pas douter; mais ce sommeil était-il perceptif, comme l’avait cru notre liôte? Non. On dit avoir endormi par le m
re en question. Alors, Monseigneur, j’ai dû changer de parti, et j’ai cru mieux faire en copiant moi-même, pour pièces à l’
udrait-on qu’il ne fût rien resté de merveilleux dans sa nature, sans croire devoir l’attribuer aux esprits infernaux, par cel
dois vous avouer que le mémoire n’a point avancé ma conversion. Je ne crois pas qu’à la vue ou au contact d’une boucle de che
nt mutuellement de supercherie. En ce point, je suis très-porté à les croire sur parole. J’ai l’honneur d’être, avec les sen
et aux restrictions que l’interprétation du jugement et du mémoire a cru pouvoir y ajouter. « On fait, il est vrai, une
honte d’avoir tant attendu? Enessayant.de combler cette lacune, nous croyons satisfaire à un vœu .assez général ; car si le ma
y ait un recueil qui en suive les progrès, ot dans lequel ceux qui y croient , qui l’étudient et la pratiquent, puissent trouve
souvent injustes, que des incrédules, ou des gens qui ne veulent pas croire , ou le grand nombre qui s’oppose par intérêt aux
s de principes encore plus utiles. Pour que les faits racontés soient crus , examinés et étudiés plus facilement, il sera bon
t trop singuliers pour que les magnétiseurs puissent prétendre à être crus sur parole. L'homme qui raisonné veut marcher à l
end pas, il n’est pas moins vrai, comme l’a dit si bien Leopardi, que croire une chose parce qu’on l’a entendu dire, sans avoi
à, mettre de côté la peur et à se montrer à découvert, tous ceux qui croient et étudient dans le silence, hésitant à, se prono
, toutes les histoires merveilleuses sans preuves suffisantes, nous croyons que deux feuilles suffiront aux besoins de notre
âce à l’estime et aux sympathies que nous saurons nous captiver. Nous croyons qu’un bon moyen pour cela, ce sera d’apprécier av
ui ne se produit qu’à l’aide de compères. Qui donc, aujourd’hui, peut croire à-la sorcellerie et à la magie ? Parfaitement t
is au prince : « Tout à l’heure vous aurez des émotions; vos convives croiront ; si je le veux même, je les remplirai tous de ter
immortels. Une jeune dame, que la crainte n’agitait point (elle se croyait invulnérable), se soumit à l’épreuve nouvelle.
ays divers, soient un bouclier invulnérable aux sarcasmes de ceux qui croient que tous les phénomènes de la nature sont enfermé
Éveillée, on lui dit qu’elle avait chanté; elle ne voulut jamais le croire . « Je ne sais, dit-elle, que le premier vers de
nes présentes. Un jour, elle me dit : « 11 y a des personnes qui ne croient pas que je dors ; pour leur prouver que je suis i
ur de vous entretenir dans ma lettre du -> décembre dernier. Je le croyais depuis longtemps entre vos mains, lorsque le bure
près certains faits dont ils ne se rendaient pas bien compte, ils ont cru pouvoir en promettre certains autres qu’ils n’ava
tres qu’ils n’avaient pas expérimentés, et dont, par analogie, ils se croyaient sûrs, et ils n’ont pu les obtenir. Alors, Monseig
eur, dans votre honorée missive du 25 janvier, que vous ne pouvez pas croire , qu'à la vue ou au contact d'une boucle de cheveu
ouvait rire des décisions du Saint-Siège. En effet, Monseigneur, ne croyez -vous pas qu'au lien d’aller puiser leurs preuves
en reconnaissant l’existence des faits extraordinaires racontés, ont cru devoir les attribuer aux intelligences ou à l’enf
est nullement son affaire) ; que répondra-t-il, Monseigneur? Ceci, je crois ; car nous pouvons le pressentir par ce que nous r
le à nos semblables. » Si toutefois, Monseigneur, Votre Grandeur ne croyait pas devoir provoquer la mesure en question, qu’el
t nous donner tout pouvoir ou un pouvoir absolu sur les malades. Je crois à la loi divine, et je voudrais que les deux lois
e fin, et votre règne, Sire, ne sera pas effacé de l’histoire, car je crois que votre pouvoir et votre cœur émanent d’en haut
désirer que je vous communiquasse mes travaux et mes impressions ; je croirais faire preuve d’ingratitude en n’obéissant pas ii
des instants de trouble où les idées se brouillent, elle pourrait se croire tout à fait guérie. J'ai remarqué que l'action
uter, dit-elle, une tête si exactement semblable à la mienne, qu’elle croit voir double ; seulement la physionomie du disque
s plus convaincus de la réalité de leur mission, sont des gens que je crois parfaitement honorables, raisonnables et sérieux,
mais il faut bien les entendre et juger soi-même ; car, qui pourrait croire à la réalité d’un tel phénomène, sur le témoignag
ez depuis longtemps pour une personne assez raisonnable, pourrez-vous croire que ce soir là j’ai senti, ou du moins cru sentir
isonnable, pourrez-vous croire que ce soir là j’ai senti, ou du moins cru sentir, une main me saisir par le talon gauche. L
vient patroner un fait nouveau et extraordinaire : Dis-moi ce que tu crois , je te dirai quelle confiance je peux ajouter à t
e que celles de dimanche, car M. Debout a pris des précautions que je croyais inutiles, a imposé des conditions auxquelles je n
ent sur cette proie nouvelle ; que la science nous dise ce qu’il faut croire et jusqu’où il faut croire; qu’il faut éviter que
e ; que la science nous dise ce qu’il faut croire et jusqu’où il faut croire ; qu’il faut éviter que, par l’indifférence des ph
te au gré de votre pauvre volonté d’homme. Je gage que vous ne vous croyiez pas aussi puissant. Aussi vous riez, et nul n’a l
er le sapin dans son réduit. Nous fini écrivons, nous avons lu sans croire , essayé en riant, et vu avec terreur. Nous allons
l’expérience avait été tentée et couronnée d’un plein succès : on le croyait victime de quelque mystification, et il eût suffi
devait finir par séduire quelqu’un, et en somme les plus disposés à croire furent ceux qui d’habitude ne croient à rien. O
et en somme les plus disposés à croire furent ceux qui d’habitude ne croient à rien. On apporta un guéridon en chêne, et cin
d nous vîmes la table se mettre à tourner sur elle-même, marchant, je crois , vers le nord, et exécutant ses évolutions avec u
e tout à l’heure pour nos amis. La vitesse était prodigieuse. Je ne crois pas que la valse la plus échevelée puisse atteind
mp, et, comme ils ne trouvaient pas de table sous la main, l’un d’eux crut pouvoir la remplacer par un grand mannequin artic
gateurs indolents, qui aiment mieux nier que d’y aller voir. « Nous croyons que les résultats de cette découverte seront imme
uverte seront immenses pour la médecine ; car les académiciens qui ne croient point à l’existence du fluide nerveux ou magnétiq
sotte manie de primer (comme l'article plus haut cité semble le faire croire ), mais par amour pour la vérité du magnétisme , e
ns le cas où elle n'aurait pas été matériellement impossible; et nous croyons n’être pas plus mystifié que mystificateur. Tu.
s; mais la table s’était trompée avec l’expérimei ^e_ lui-même, qui croyait n’en avoir que quatre, pensant dépensé l’une de c
là pouvait bien n’être pas aussi extravagant qu’on était tenté de le croire , et rentrait peut-être dans un ordre typique, c’e
, mon cher Monsieur, il n’y a pas eu d’illusion possible, veuillez le croire ; l’expérience a duré trop longtemps, elle a été
aires de M“e 1,..., le guéridon s’est mis en mouvement ; mais qu’on a cru devoir appliquer à ce phénomène la théorie de la
et le phénomène nouveau qui se présente. Cette recommandation, je le crois , est de bon conseil. Les esprits sages, espé-rons
ut nommé et salué aussitôt d’un coup de marteau. Un bourgeois, qui se croyait bien malin et bien sûr aussi de dérouter l’esprit
is quand c’est moi, moi votre champion, qui vous parle, vous devez me croire sur parole; sinon vous n’êtes qu’une sotte ! J’ai
est un fait acquis, — mais sous le rapport de son application. Oui, croyez -le bien, on tentera de faire interdire la pratiqu
is, les rares amis du malheur qui suivaient sa marche tourmentée, ont cru que les abîmes allaient s’ouvrir et que l’arche s
ais elle l’atteint toujours. « Le vieil ennemi est abattu, il ne se croit pas vaincu, il prend une forme nouvelle; ne pouva
ui dore les moissons et les brûle ; mais, comme les éléments, nous le croyons bon, puissant et éternel. Si vous doutez de l'e
elle est l’espérance ! La puissance magnétique pourra un jour, je le crois , exercer la plus salutaire influence sur les jeun
uvelles, et, comme les enfants de la légende, les somnambules peuvent croire au réveil qu’un bon génie a soufflé sur leur fron
nts, ces êtres souffrants, dépaysés dans notre monde, que le vulgaire croit aveugles parce qu'ils regardent trop haut, que bl
r de la récolte, en voyant ses chariots ployer sous la moisson dorée, croirait qu'il doit ses richesses au seul moissonneur. Son
s à tous les hommes qui servirent la grande cause de l’humanité; nous croyons même qu’ils eurent la bonhomie de boire à la sant
froid paralytique, Il rend pour lui notre monde attrayant. Qui le croirait ? sa puissance magique Fait de l’aveugle un être c
onhomie la plus comique, M. Jobard conta une fable charmante, et nous crûmes pour un instant entendre le bon La Fontaine. Oui,
agnétisme propageront plus rapidement cette importante découverte, je crois de mon devoir de soumettre à vos lecteurs , si vo
l'état déplorable dans lequel la potion avait jeté sa fille, qu’elle croyait sur le point d’expirer. Cette pauvre femme avait
gnait que j’arrivasse trop tard pour porter secours à sa fille, qu’il croyait être sur le point d’expirer. A mon arrivée, je
ontre fréquemment son impuissance à combattre cette névrose, que j’ai cru devoir mettre encore sous les yeux de vos lecteur
un des arômes de Fourier; peut-être est-ce l’âme de la planète. Je le crois fruit des caloriques et des lumières, qui sont pr
notre prudent et savant secrétaire, m’ayant refusé de la sabine qu’il croyait nuisible au sujet, j’en fis avec de l’eau, etj’ob
pot-pourri sur les tables tournantes. « En voici un couplet : Jo crois que les Français sont fous. La lièvre tournante
ffensives, mais qui cessent de l’être si, comme je serais portée à le croire , elles établissent entre les âmes des Invisibles
’il y a peut-être en lui la source d’une épidémie morale ; mais je me crois par cela même obligée d’apporter au traitement de
s, ce que le monde ténébreux appelle des revenants. « Dans ceux qui croient à la possibilité de voir des esprits, cette idée
s elles-mêmes que de ceux par qui elles sont mises au jour. « Je me crois donc obligé de dire à ceux qui me liront, que l’h
re au rang des ouvriers du Seigneur. « Car s’il faisait tant que de croire à la possibilité de voir des esprits, il devrait
t tant que de croire à la possibilité de voir des esprits, il devrait croire à la possibilité d’en voir de mauvais comme de bo
Les hommes disent, pour la plupart, qu’ils attendent des preuves pour croire à quelque chose, et quand ils réclament des mirac
pour réfuter d’un seul trait l’aveugle désir de celui qui ne voudrait croire qu’à des miracles, et la fausse solution de ceux
Aujourd’hui, plus brillant encore, Ton nom rappelle ton passé. Je crois te voir, à ton aurore, Reprendre ton cours éclips
et propre. « Maintenant, et après ces considérations que nous avons cru devoir exposer ici, pour ne laisser aucun doute s
osition de l’auteur des réponses. On fit plusieurs tentatives dont je crus pouvoir d’avance annoncer l’insuccès, et qui ne d
oit s’inau-gurer sur la terre. Des personnes imbues de vieux préjugés croient au contraire que ces phénomènes sont une œuvre de
le feu du ciel. Enfin il en est qui, précisant les dangers qu’ils ont cru voir, ont formulé des objections relativement aux
r ceux qui ne mettent leur confiance qu’en Dieu? D’ailleurs, ceux qui croient aux démons croient aussi que certaines pratiques
nt leur confiance qu’en Dieu? D’ailleurs, ceux qui croient aux démons croient aussi que certaines pratiques ont le pouvoir de l
ne reculeront pas devant les fatigues imposées au catéchumène, et se croiront trop heureux d’acheter au prix de quelques tribul
ont donc rien qui doive nous effrayer. Ht si, comme tout nous le fait croire , la Providence a permis les rapports intellectuel
vidence a permis les rapports intellectuels entre les mondes, il faut croire que cette loi, comme toutes les autres, est inspi
al de Genève une lettre fort curieuse sur les tables tournantes. Nous croyons devoir donner un extrait de cette lettre, faisant
ité à la puissance magnétique de tant de gens, je suis convaincu ; je crois fermement à l’existence de ce phénomène, et pour
re que le temps vienne le confirmer et dessiller les yeux de ceux qui croient que tout est découvert parce qu’ils prennent l’ho
arce qu’ils prennent l’horizon pour les bornes du monde. « Veuillez croire à la haute considération avec laquelle j’ai l’hon
"' X*'** lit par 1rs pieds, sons le secours des yeux !... Personne ne croit à ce miracle, et je partage l’incrédulité général
: Messieurs, il s’agit ici d un fait surnaturel, auquel la science ne croit pas ; vous êtes en partie habitants d’Aix, cela s
rt eût été manifestement impossible. Pour moi qui ai vu et touché, je crois parfaitement à la transposition des sens, bien qu
licats et sensibles, ne donnent pas le moindre signe qui puisse faire croire qu’ils s’aperçoivent de ce qui se passe autour d’
uyées sur des phénomènes réels; nous les plaindrons seulement d’avoir cru que le diable y fût pour quelque chose, et d’avoi
il est sans doute appelé à la soulager ou à la guérir de maux qu’on a crus incurables, à resserrer ses liens sociaux et à co
appera peut-être longtemps encore aux hommes à théories, mais qui, je crois , a été de suite pressentie par la foule. Toujours
s; des milliers d'êtres qui, depuis leur enfance, entendaient, sans y croire , des sermons sur ce qui fait la base de toutes le
nellement. v Lorsque je débutais dans mes nouvelles expériences, je crus devoir distinguer les phénomènes que j’observais
qui ont été somnambulisées, mais encore beaucoup d’autres que nous ne croirions pas somnambulisables, participent plus ou moins à
lieu de la foule, à plus de trois cents pas de distance. « Veuillez croire , monsieur, que le charlatanisme est complètement
ndomptables. Pour ne désobliger personne, je laissais entendre que je croyais ; mais, au fond, rien du tout ! La dame de la mai
e, ces gentilles mains fluidiques, et déjà il m’était tout naturel de croire à quelque chose. Le sérieux des magnétiseurs fini
urtant par me gagner. Car... après cinq ou six minutes d’épreuves, je crus sentir... « — Bah ! me dis-je, je me sens le dé
fr. Je disais dernièrement que la plupart des écrivains médicaux se croient obligés de parler du magnétisme, pour éviter le r
tés par son action, sa présence. Que s’il arrive que quelques malades croient , pendant leurs crises, percevoir son odeur, un ef
n que placés à leurs côtés, ne sentent jamais rien. Les personnes qui croient sentir quelque cliose ne le doivent qu’à une aber
logiques ou trop amateurs du merveilleux, ont voulu soutenir? Peut-on croire à la transposition des sens? Peut-on penser que l
ce n’est certainement pas la malade : « elle n’y vit que du feu, » et croit à mon talent chirurgical bien plus qu’aux vertus
é le taxis magnétique; or, comme le taxis méthodique avait échoué, je crois pouvoir affirmer que le magnétisme a opéré plus q
rait été là qu’un aide, je le préfère cent fois au bistouri, et je ne crois pas que j’aurai beaucoup de contradicteurs. .. su
s minutes, voici qu’elle se met îi dire : « Tiens, c’est drôle ! je crois que je suis mieux. » Songez «à notre surprise !
tre lucidité, qui pourrait bien 11’être que passagère. — Ali ! vous croyez cela, vous. — Mais, oui. — Eli bien ! chacun
e magnétisme. — Mais vous n’avez rien éprouvé ? — Est-ce que vous croyez que l'eau qui dort ne noie pas aussi bien que cel
de M..... ■ i vol. in-8. Paris, 1853. De tout temps, l’humanité a cru à des Êtres supérieurs à l’homme, exerçant sur le
oins brillant clans les théogonies et les mytho-logies antiques, et a cru ne pouvoir assurer son triomphe qu’en rejetant pé
réaction qui allait ressusciter des sujets de discussion qu’on avait crus oubliés pour jamais. Un petit nombre d'hommes gra
rvit d’auxiliaire à la doctrine des Esprits : plusieurs magnétologues crurent ne pouvoir expliquer un certain nombre de phénomè
le de Jacob, et dont l’homme ne pourrait, sans un orgueil insensé, se croire le terme le plus élevé. De là à la possibilité de
t un rôle très-actif dans la vie humaine, et une infinité de gens qui croient se livrer à un plaisir fort innocent, ou même qui
e hasarder une explication quelconque. Même quand les faits où l’on croit découvrir une coopération des Esprits seraient nu
obable qu’il y avait un concours des esprits ; c’est ainsi qu’ils ont cru pouvoir expliquer la faculté de parler des langue
e de réfléchir sur la question des Esprits ; il servira même, nous le croyons , la cause du magnétisme, parce que les témoignage
ce qu’il sera. Je sais bien que, le rideau baissé, on ne voudra point croire à ce qu’on aura vu ; qu’importe ! la vie elle-mêm
s non prévenus ; je leur raconte un fait : je ne leur demande que «le croire à ma bonne foi. Quelques réflexions accompagner
parfaite sincérité de cette famille, si respectable à tous égards, je crus tout expliquer en admettant qu’ils avaient mal vu
nie mettaient dans l’alternative ou de rejeter leur témoignage, ou de croire à des phénomènes qui paraissaient en opposition a
des phénomènes principaux que présentait notre jeune somnambule. Je crois devoir dire qu'on lui demanda, quand je fus arriv
. Je crois devoir dire qu'on lui demanda, quand je fus arrivé, s’il croyait que l’attaque dût être assez longue pour qu’on eû
ve le long entretien qu’il eut avec son père sur ce sujet ; mais j’ai cru que le détail en serait ici tout à fait inutile.
qui avancent que, quand môme ils seraient témoins du fait, ils ne le croiraient pas plus pour cela, rendent raison de leur incréd
ons d’ailleurs sur la moralité du sujet, il est plus facile encore de croire à la jonglerie qu’à la transposition d’un sens. M
tin; en vain s’écrie-t-on que les concitoyens de ce médecin n’ont pas cru à son récit, et dit-on fort spirituellement qu’un
e, regardant comme une chimère l’observation de Pétetin, il refusa de croire le rapport que lui en fit un confrère sur le fait
appliquai à l’oreille : c Ah! ah! vert, s’écria-t-il, incrédule, qui croit que j’ai « besoin de mes yeux pour voir ! » « O
histoires qu’on en rapporte, et qui fasse aux historiens l’honneur de croire qu’ils ne sont ni des imposteurs ni des sots? M
ncipes de la théorie sur laquelle le savant auteur les a appuyées, je crois pouvoir les admettre en suivant une méthode rigou
e par la rétine nous est entièrement inconnue. « Nous avons lieu de croire , dit Reid, que les rayons de la lumière font quel
horoïde, elle peut faire l'office du miroir), et rien ne nous porte à croire que cette image réfléchie entre pour quelque chos
s causes premières, nous sommes de ceux qui ne nient pas d’abord, qui croient à la marche ascendante de l’intelligence humaine.
aralyse l’action d’un organe. « Avec quarante becs de gaz , il fait croire à l’obscurité : avec île l’eau, il fait boire du
lée, a voulu s’assurer, par un geste, de la vérité des contours qu’il croyait aussi admirer dans Fatma ; mais la volonté du pro
’empreinte des doigts laissés sur la boiserie et sur les tiroirs, 011 crut pouvoir conclure que le voleur demeurait dans la
et prétend avoir été triché, puis refuse au garçon de payer ce qu’il croit avoir gagné. « M. Philips cède et paie, puis il
cache derrière un rocher qu’il désigne (c’était une chaise), puis il croit ramasser des pierres, les lancer dans l’espace à
on : c’était de l’ammoniaque pur!... « Que dire après ces faits?... Croire , parce que la science est grande ; espérer, parce
surdmn, s'écriait saint Augustin. Plus heureux que le •converti, nous croyons ici à ce qui est rationnel et consolant. . L. T
e. C’est alors qu’il s’était trouvé avec ces deux hommes lorsqu’il se croyait en compagnie de deux loups. « Les onze assassin
elui d’un personnage historique mort depuis longtemps, et que nous ne croyons pas à propos de nommer, parce que nous n’avons pa
ommunication et l’invitation que vous avez bien voulu me faire, et de croire à mes sentiments de haute considération. « rost
de la brochure, reçue sans examen, pourrait lui occasionner, que j’ai cru devoir prendre la plume. .Te vais indiquer à mes
défaut de contradicteurs plus compétents , j’ose me présenter, et je croirais vous faire injure en sollicitant l’insertion de m
rédulité négative, qu’on le sache bien. On est crédule en refusant de croire , comme on est crédule en croyant. Ceux qui s'endo
onvictions indépendantes. Nous 11e conservons rien, parce que nous ne croyons à rien, et nous 11e croyons à rien parce que nous
us 11e conservons rien, parce que nous ne croyons à rien, et nous 11e croyons à rien parce que nous adoptons une fois pour tout
omme un autre quand on a commencé à parler des tables; j'ai refusé de croire avant d’avoir vu ; même après avoir vu, j’ai tenu
ait attendre : le chiffre inscrit sur le papier était zéro! Ceux (jui croient à une action involontaire voudront bien expliquer
ssi. « Il nie semble que ceci signifie bien quelque chose. Ceux qui croiraient que la combinaison des forces involontairement ex
-nerait-on encore ? La Société royale de Londres, « qui n’a >i pas cru manquer à sa dignité » en s'emparant de choses pa
que tout le monde respecte et pour lesquelles j’éprouve (on peut m’en croire ) autant de respect que qui que ce soit, se doiven
la réalité de ce qu’admet si positivement l’Écriture, il cesserait de croire ce qu’a dit Jésus. La science est et sera toujo
t pensé que la peur saisirait les chercheurs, si on parvenait à faire croire que l’agent magnétique pourrait bien venir du mal
d’une puissante vérité. En agitant tous les esprits faibles, ceux qui croient tout sans examen, on peut réduire au silence ce p
-être d’oser élever des doutes. Et cependant, nous l’avouons, nous ne croyons pas que le phénomène de la table tournante puisse
asse l’expression, avec recueillement. Quelle en est la cause ? Je la crois assez complexe ; mais il ne se rencontre dans les
de chapeaux sont presque tous de bonne foi, mais ils se trompent. Ils croient , par un acte de leur volonté ou par une émission
ne autre explication du fait, une autre théorie du phénomène, et nous croyons qu’il est nécessaire de chercher l’une et l’autre
« Est-ce bieu une force nouvelle qui vient de nous être révélée ? Je crois plutôt, pour mon compte, que c’est une manifestat
e portant lunettes et tablier de travail. Sur ce portrait, Vauturin crut reconnaître deux ouvriers travaillant dans la m
é de cet état étrange, désigné sous le nom de sommeil magnétique; n’y croyez -vous pas, et le tenez-vous d’une façon absolue, r
ar il la cite devant vous pour s’être fait remettre 5 fr., en faisant croire à un pouvoir imaginaire, étant endormie ou cemic
s la donnent en pleine connaissance de cause, et, à coup sûr, sans se croire le moins du monde victimes d’une escroquerie si f
e si facile à éviter. « 3“ Nous sommes encore accusées d’avoir fait croire à un pouvoir imaginaire; mais sait-on s’il est
leur disposition pour dé-ii couvrir et punir les coupables. » h Sans croire qu’il soit nécessaire d’attacher une somnambule à
uand Vauturin est venu me consulter, c’est que, probablement déjà, il croyait à mon pouvoir. 11 est donc venu à moi, il est arr
la quadrature du cercle ni du mouvement perpétuel. « Avec lui nous croyons que l’Académie de médecine a eu tort. lxs faits q
ute la grande et délicate question du magnétisme animal.» On pourrait croire , d’après cela, que Cuvier, Laplace, Berzélius, Hu
t tout un monde. C’est ainsi que M. Delaage a mis en épigraphe : « Je crois au magnétisme, mais non aux magnétiseurs. » On ne
t ; mais telle n’est assurément pas l’intention de l’auteur, car s’il croyait qu’il n’y a parmi nous personne d’honnête, il se
d'aucune impression déposée dans son esprit par le magnétiseur; il se croit affranchi de toute influence, il se flatte d’avoi
t est certain, je me retire de vous. Un autre encore me crie : — Je crois au magnétisme agent physique ; et lorsque vous vo
eu, et d’une voix flûtée et railleuse : «Monsieur le sénateur, vous croyez donc aux tables parlantes ? — Moi, madame ! Qui
’est-ce pas? — Certainement, madame, j’en fais tourner, mais je n’y crois pas. — Pourquoi donc en parlez-vous si souvent
raphe électrique : je fais jouer l’un et je me sers de l’autre sans y croire . — Comment! monsieur, vous ne croyez pas au tél
t je me sers de l’autre sans y croire. — Comment! monsieur, vous ne croyez pas au télégraphe électrique? — Non, madame.
é sans garantie ilu gouvernement, comme le daguerréotype. — Vous ne croyez peut-être pas non plus au daguerréotype? — Est-
croyez peut-être pas non plus au daguerréotype? — Est-ce que vous y croyez , madame ? — Certainement, j’ai fait faire mon
e; car si gracieuse et si jolie que vous soyez, madame, je ne saurais croire que le soleil soit assez galant pour descendre da
pour mon portrait, sans y rien comprendre, et, par conséquent, sans y croire ; car je ne crois que ce que je comprends : j’ai
sans y rien comprendre, et, par conséquent, sans y croire ; car je ne crois que ce que je comprends : j’ai eu le malheur de n
n ami, la terre tourne » ; je lui répondais sans hésiter : « Je ne le crois pas » ; car je sentais (pie la chose était imposs
pareilles erreurs à la jeunesse, car il y a de ces bonnes natures qui croient tout; quant à moi, je ne crois à rien, et j’ai to
car il y a de ces bonnes natures qui croient tout; quant à moi, je ne crois à rien, et j’ai toujours eu lieu de m’en félicite
e l’académicien et de l’homme d'Etat. — Vraiment, monsieur, vous ne croyez pas que la terre •tourne ? — Mais le croyez-vou
ment, monsieur, vous ne croyez pas que la terre •tourne ? — Mais le croyez -vous, madame? — Certainement; les savants.....
e femme qui se respecte, une femme qui a de la pudeur, ne devrait pas croire ¿.ces choses-là. — Et pourquoi donc, monsieur ?
acher cette merveille à aucune loi magnétique, comme sont portés à le croire MM. Begué et Xiffre. « Nous pourrions peut-être
ffre nous l’a donnée dans le Journal des Pyrénées du 21 juin, nous la croyons possible ; mais nous n’avons jamais pu obtenir do
bien plus merveilleux encore à nous apprendre. « Nous avons lieu de croire qu’il livrera bientôt à la publicité sa nouvelle
nges à donner au zèle de cet infatigable magnétiseur. « Veuillez me croire , monsieur le rédacteur, votre très-humble et très
nay). ÉTUDES ET THÉORIES. DES ESPRITS. (5° Article.) Vous qui croyez la chaîne des êtres terminée à l’homme, qu’il n’y
gueil, nous font redouter le jugement et la censure d’hommes que nous croyons placés très-haut dans l’estime des autres, et par
même manière; ils l’ont vu dans les scènes nocturnes du sabat; et je crois plus à la terreur de tous ces gens-là, à leur tém
âtre et le berger, et si nous voulions publier la liste des hommes qm crurent à Satan et qui le virent, on serait tout étonné d
on rôle n’a jamais été plus actif et mieux rempli. On serait tenté de croire que la mort du divin Sauveur n’a rien sauvé; car
nt dont on le savait porteur se retrouvait dans ses vêtements, on dut croire qu’il avait lui-même attenté à ses jours, ainsi q
ante : Vorneuil, 10 juillet 1853. a Monsieur le rédacteur, « Je croyais qu’on ne parlait plus des tables qui tournent, qu
merveilleux résultats de l’action de l’homme sur l’homme, et qui ont cru tout de suite qu'une table peut marcher, entendre
la touchent ; sans avoir remarqué que la nature, malgré sa puissance, croit encore devoir donner des muscles, un cerveau à to
urner la table, le mouvement involontaire s’opère, et des gens qui ne croient point au magnétisme crient au miracle, font lever
un peloton qu’un coup de patte vient de faire rouler? Le chat qui le croit animé le poursuit, mais recule effrayé quand son
icité du regard, et la conscience du bien que l’on veut faire. « Je crois donc que dans notre monde matériel, l’esprit de l
e aux maîtres dont les travaux nous ont tracé le chemin. S’il faut en croire M. Ba-ragnon, le magnétisme n’est, jusqu’à présen
a vie a été consacrée au bien de l’humanité. M. Baragnon peut-il donc croire que jusqu’ici le magnétisme n’a rien été; qu’à lu
extraordinaire ne peut exister qu’à condition d’être infinie, et qui croient nous faire une objection formidable en nous somma
dversaires du magnétisme qui, en criant au ridicule, au fanatisme, se croient dispensés d’examiner, et déclarent péremptoiremen
c’est marcher sous la bannière de ceux qui, en conspuant Mesmer, ont cru tuer le mesmérisme. A.-S. MORIN. Le Gérant :
ttre dans l’insensibilité à l’aide du magnétisme. « Est-ce que vous croyez que cela est possible ? » me dit-il, avec un air
essaire, que le dentiste, qui riait déjà sous cape, paraissait ne pas croire à la possibilité de produire l’insensibilité à l’
oigt, s’abaisse assez pour livrer passage au davier. Le magnétiseur croyait le moment propice ; mais ici encore il avait comp
après quoi la malade a dit se bien trouver, et s’est endormie. On a cru d’abord que c’était une faiblesse, réaction inévi
principales qu’établit M. le Dr Piégu (1) peuvent exister, et, je le crois , existent réellement, mais ne peuvent être admise
: « ....Quoique depuis un an vous n’ayez reçu de mes nouvelles, ne croyez pas, monsieur, que mon zèle pour la pratique et l
ile de convaincre la classe riche ou aisée, c’est-à-dire lettrée, qui croit que ce qui n’est pas enseigné dans les écoles n’e
presque moi-même, mes parents étant eux-mêmes pauvres. Cependant, je crois jouir d’une bonne réputation. Lorsqu’il y a quelq
tout ce que je viens de vous dire, monsieur, si vous mç connaissez et croyez que je sois utile à la société (non pas pour fair
, débite avec aplomb quelque banalité, se hâte de conclure, et semble croire que le lecteur ne peut rien demander de plus. 1
s écrivains qui, aujourd’hui, dissertent sur la nature de l’homme, ne croient pouvoir le faire sans s’occuper du magnétisme qu’
vouloir reprendre de plus belle le privilège d’occuper le public, je crois qu’il ne sera pas sans intérêt de rapporter ici l
oqueris-nc latinè? garda le silence le plus complet, ce qui permet de croire que l’instruction publique n’est pas fort avancée
ière puissance est démontrée comme étant naturelle, il est absurde de croire , comme cela s’est fait jusqu’alors, que le diable
à parler du diable? Je suis si plein de mou sujet, que l’on pourrait croire que je le vois partout sans pourtant oser le dépe
es de cette pauvre fille se disloquaient de telle sorte tpi’on eût pu croire à la rupture des tendons et des muscles; puis tou
a malade allait mourir; car sa gorge se serra tellement qu’on pouvait croire qu’une main puissante la comprimait avec effort.
que, cet homme est jésuite, ou d’une crédulité à toute épreuve. Je ne crois pas un mot. de tout ce qu’il nous dit. Conserve
marqués du doigt de Dieu pour le triomphe du magnétisme, j’hésitais à croire qu’il me fut possible de produire des effets semb
di de ce succès, que mes mains abandonnèrent son corps, je ne pouvais croire ce que je voyais et entendais. Ce moment me fit p
erac. FAITS ET EXPÉRIENCES. 1° LUCIDITÉ. — VUE A DISTANCE. Nous croyons être agréable à nos lecteurs en leur donnant conn
nes, 011 vint à parler magnétisme. Aucune des personnes présentés n’y croyait . Je leur proposai d’essayer de les convaincre, ce
dix minutes. Le fait, vérifié le lendemain, s’est trouvé exact. — Croyez -vous au magnétisme ? — Je ne sais pas ce que c’
chaîne de montre, j’en suis sûr. Alors cette dame s’écrie : — Je crois qu’il a raison. Elle me prend la bourse , l’ouv
qualité de ses prétendues dupes. « Mais de deux choses l’une: on le croira de bonne ou de mauvaise foi. « Dans le premier
enthousiasme, peut-être foi irraisonnée à l’espèce d’apostolat qu’il croyait naïvement avoir reçu de Dieu; mais aussi, austéri
foi, la prévention d’escroquerie devient inadmissible, et alors vous croirez à sa puissance ou bien dénierez; si elle est vain
s effet, n’enlèverait à Chevalier la confiance d’aucun de ceux qui se croient guéris par lui, ne leur persuaderait qu’ils souff
commun avec les pratiques somnambuliques de tous les charlatans. Je crois que mon nom, ma réputation, l’attrait de la nouve
; on me tiendra compte de mes efforts, et j’aurai mérité, j’aime à le croire , la sympathie de tous les gens de cœur. Baron D
relative aux tables tournantes. L’auteur, qui se dit médecin, u’a pas cru devoir se nommer. Son nom se serait cependant tro
. Faraday, Babinet, Foucault, Chevreul, etc., à l’exemple desquels il croit devoir protester contre une si grosse absurdité.
ec cette pensée qu’il a publié son article ; aussi M. du Potet a-t-il cru devoir adresser au journal en question la lettre
corde dépendu dans sa po-« clie. » Deschamps, quoique très-religieux, croyait à l'efficacité de ce talisman, et, depuis de nomb
ats qui ne pouvaient s’expliquer que par des causes plus difficiles à croire que le magnétisme. — Vous autres de la science
voiler la fourberie aux ignorants comme moi. Jusqu’à nouvel ordre, je crois au magnétisme sans croire aux magnétiseurs. « J
gnorants comme moi. Jusqu’à nouvel ordre, je crois au magnétisme sans croire aux magnétiseurs. « Je le menai voir un somnamb
oléons, nous comparons tout à Napoléon, nous datons de Napoléon, nous croyons que Napoléon nous porte bonheur : c’est donc au m
olonté, je faisais tomber cet homme qui est là devant nous? — Je ne croirais nullement, répondit-il, car on tombe sans être ma
des doigts qui le soutiennent. D’après mes propres observations, je crois pouvoir conclure que ce phénomène n’est déterminé
rsonnes qui le soulèvent sont gonflés d’air. Cette expérience fut, je crois , d’abord répétée en Angleterre, il y a peu d’anné
, et que l’on appliquât la force de six individus à cette planche. Il croyait qu’il était nécessaire que les porteurs communiqu
i permit à peine de me répondre : «Monsieur, i- me dit-elle enfin, je croyais que vous auriez bien voulu « endormir votre demoi
ade sentit dans les viscères de l’abdomen quelque chose d’étrange, et crut remarquer que la perte était moins forte; huit jo
à la folie... les tables font des fous... Voyez-vous ces sages qui se croient encore au temps de Galilée? Vous n’y ôtes plus, m
vant saint Augustin, soigneusement distinguer, savoir est : entendre, croire et opiner. « Celui-là entend qui comprend quelq
nd qui comprend quelque chose par des raisons certaines. * Celui-là croit , lequel, emporté par le poids de quelque grave et
sens. « Nous devons cc que nous entendons à la raison, ce que nous croyons à l’autorité, ce que nous opinons à l’erreur. »
2 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
ixe et nuageux, a rendu sa pensée d’une manière claire et concise. Il croit que le magnétisme est la cause du mouvement des m
ons formulées dans ce petit écrit émanent d’une personne endormie, on croirait que c’est l’œuvre d’un médecin. BRUYAS. Le Gé
illez, monsieur le baron, agréer l’assurance de mes sentiments, et me croire votre très-obéissant serviteur. Th. capern. (
t de créer un nouveau genre de charlatanisme. » D’autres affectent de croire au magnétisme : — « Mais, disent-ils, c’est un mo
imposant leur titre et leur autorité quand il s’agit de santé. On les croit , on adopte leur jugement sans s’informer en rien
Vous êtes tenus pour incompétents ; votre antagoniste est tout. On le croit , on est son ami ; dans le cas contraire, il s’imp
mme étrangère. « Le mari, surpris de cette hallucination, refuse de croire aux pressentiments de sa femme, mais elle menace
et n’ayant pas d’autre prétention. Est-ce que l’artiste, nous dit-on, croit à ses conceptions ? L’auteur du Petit Poucet crai
et il a le droit de semer les fictions à pleines mains. Mais il doit croire à son idée, ou bien, au lieu d’être un poète, il
x devant les dieux qu’il chantait; les auteurs des Mille et une Nuits croyaient cer- tainement aux fées; si Pygmalion devient a
t Eugène Sue; mais en le lisant, nous sommes devenu de ses amis; nous croyons le connaître et pouvoir répondre de sa sincérité.
l’incrédule encroûté, qui nous déclare que quand même il venait il ne croirait pas? Bon nombre d’anathèmes sont retombés comme
t la pré* vision, peu importe quant à la question qui nous occupe. Ne croit -on que ce qu’on explique?... Sans doute, en prévo
, lui semblent autant d’avant-coureurs de la catastrophe dont elle se croit menacée. Un concours étrange de circonstances l'a
est là le nœud de la question. Voyons comment il l’interprète. « Je crois , dit-il, avoir suffisamment démontré, pour des ho
eur avis s’étaient appuyés sur des raisonnements semblables, il est à croire que la théologie ne se serait pas mêlée du débat,
pro- visoircmeiit de facultés identiques à celles des somnambules? Croit -on que le fluide magnétique soit une force pureme
me quittant, il appela tous ses commis pour leur montrer un homme qui croyait avoir vu, et me dit r « Vous voyagez? Eh bien !
x d’une dame ; mais, d’après ce que l’on m’avait écrit, je dis que je croyais que la somnambule se trompait en prétendant que c
eu seul nous voit, et vous pouvez compter sur ma discrétion.'.... « Croyez -vous donc, monsieur le curé , que si la jeune fil
er qu’ils soient partout imités. Tandis que beaucoup de magnétistes croient que nons nous bornons à la seule expérimentation,
ser son orgueil ; n’attendant rien de la reconnaissance humaine, nous croyons seulement obéir à un devoir sacré. «Si vous gué
cette malade, nous disait, un médecin distingué, le major Cléver, je croirai tout possible, et signerai des deux mains tout co
re ; c’était, selon ces personnes, un jugement de haute raison, elles croyaient faire preuve d’une grande sagesse en insultant l’
erez et vous aurez des garde-robes, à ne pas les compter. » Vous ne croyiez point, vous vous découragiez sans cesse, mais ma
miste renommé de Paris, en injectant des nerfs avec du mercure, avait cru y voir un canal central, mais M. Raspail a démont
e des espèces de cordes élastiques agissant par vibration. Galien les croyait des tuyaux de la plus grande finesse, destinés à
ait pas été suivie de « l’épilepsie : car c’était son habitude, et je crois qu’il en agis-« sait ainsi parce qu’il avait rema
de vue qu’ils envisagent cette grande et importante question. « Je crois avoir suffisamment démontré, dans les deux dernie
grave désordre, ainsi que je viens de l’indiquer, on pourrait, je le crois , obtenir d’excellents résultats de l’acupuncture.
ndiqué par Mesmer. Voici, sur le massage, un extrait qu’on pourrait croire écrit exprès pour nous. « Le massage qui, à lui
t d’abord, et je ne masse que quand la magnétisation n’a pas suffi. Croiriez -vous, lecteurs, qu’un médecin magnétiseur est ven
, les dents serrées; il y avait congestion cérébrale et délire ; elle croyait voir encore les objets qui l’a- to.vu XIV. — N°
usiasme, il retrouve momentanément une force dont il ne se serait pas cru capable une heure auparavant. Cependant, comme le
à vous adresser. Si vous daignez la recevoir, comme nous aimons à le croire , je ne doute pas un seul instant du succès qui no
obstacles qu’il aura fallu vaincre pour établir le principe nouveau. Croyez -le bien, mon clier collègue, on citera nos noms c
ez donc, mon cher ami, l’assurance de mon inaltérable attachement, et croyez que je serai glorieux de vos propres œuvres. Ba
triomphante d’une lutte inévitable et bien plus prochaine que l’on ne croit . Ah! grands maîtres des écoles! vous haussez le
sant en présence des gens sincères qui ont selon vous la faiblesse de croire au magnétisme. Si c’est par ignorance que vous ag
ois, le trouvant endormi sur un coffre dans la cabine, ils lui firent croire qu’il était tombé par dessus le bord et l’exhortè
a tente et manifestement très-ennuyé par la canonnade. Ils lui firent croire qu’il était au feu, sur quoi il exprima une grand
nce qu’il était aussi léger qu’une plume. Nous avons toute raison c’e croire que le caractère de cette personne la plaçait au-
, complètement échoué. En conséquence, nous sommes fortement enclin à croire que la relation entre le mesmériseur et le somnam
phénomènes supérieurs du mesmérisme, extase, apparitions, etc., nous croyons que, sans les regarder comme le résultat de la fr
qu’on doute de l’indépendance de son caractère; mais il est permis de croire qu’il n’a pas vu assez de cas pour former sa conv
nes qu’elle répare; morale, elle agit sur l’âme, à laquelle elle fait croire , et qu’elle débarrasse de ses souillures ! Je p
ied, suivant le commandement qui en est fait. Beaucoup de personnes croient qu’une volonté ferme et soutenue est nécessaire à
i s’est passé. Des médiums. Des personnes douées de cette faculté croient que des esprits leur apparaissent et qu’ils nous
! « — 11 y aura absence d’esprit. » J’avoue que j’ai été tenté de croire que l’interlocuteur se trouvait précisément dans
trouvait précisément dans ce mauvais cas. En général, tous ceux qui croient à l’intervention des esprits ont une doctrine dif
terre n’existe pas, quoiqu’il admette un esprit des mondes. Les uns croient à l’immortalité de l’âme individuelle, les autres
par le comte de Lude. L’état dans lequel entrent les médiums n’est, croyons -nous, qu’un degré différent du somnambulisme et d
me tout le monde, j’essayai d’obtenir le phénomène nouveau, sans oser croire à sa réalité, tant il me paraissait en dehors des
personnes dont la bonne foi m’était connue et chez lesquelles j’avais cru remarquer une puissance plus grande. La table qui
cloison voisine de son lit font entendre des craquements qui feraient croire à leur dislocation complète. Ce jeune homme attri
cience infuse ! idées innées! criera-t-on. Qu’importe. J’aime micuv croire aux trésors intellectuels de l’esprit humain se m
sserait à une organisation supérieure. Quant à présent, je ne saurais croire qu’à des causes physiques inconnues encore, mais
e du somnambulisme magnétique et de ses plus éclatants phénomènes. On croirait ces lignes échappées de la plume de Deleuze ou de
t le nom qu’il lui donne et sur lequel nous ne le chicanerons pas, il crut , pour l’acquit de sa conscience et de sa raison,
tous leurs rapports, paraissent jouer ici le rôle principal. » Nous croyons surabondant de compléter la pensée de l’auteur en
science ! Qu’on en juge par l’histoire de la question présente. A en croire certains auteurs, il fallait regarder le mesméris
re que quant à celui-ci, tout en n’en contestant point les effets, il croit qu’il ne serait pas sans danger et sans témérité
ignorance et de l’abus qu’ils en peuvent faire? Résumons-nous. Nous croyons fermement que la mission des écrivains se rapport
tielles à l’existence de la société et au bonheur de l’humanité. Nous croyons que, dans les temps où l’esprit public est saisi
eur bien-être, la tranquillité de leur esprit et de leur corps, et se croient , à ce prix, amplement dédommagés des lumières don
Nous nous arrêterons là. Quelque incomplet que soit ce travail, nous croyons en avoir assez dit sur le remarquable ouvrage don
ent et leur parlaient. J’avais moi-mûme communication avec eux, et je crois même en avoir vu. Je n’ai jamais cru que mon ch
ommunication avec eux, et je crois même en avoir vu. Je n’ai jamais cru que mon chien et moi nous soyons égaux, ni dans l
le corps réduit à la môme nullité que les objets inanimés. Je ne me crois pas suffisamment éclairé encore pour donner mon v
même, mais je n’ai pu y réussir : les facultés extatiques me font, je crois , complètement défaut. C’est sans doute à l’aide
pas. Vous savez que l’enfance jouirait d’une seconde vue, si l’on en croit certains auteurs. Enfin tous ceux qui ont habité
r obstacle, celui qui arrête ordinairement les gens timorés, ceux qui croient qu’il n’y a rien au-delà du sensible. Vous êtes e
ttendue, si surnaturelle, que je ne sais pas comment je perçus, et je crois qu’il est impossible, faute de mots, de rendre
fait l’honneur de le mentionner clans le Journal du magnétisme, j’ai cru devoir vous donner quelques détails sur ce qui a
relation d’un pari ridicule entre deux médecins, à propos duquel j’ai cru devoir les combattre tous les deux, afin de prouv
t pas. Cette remarque mérite les réflexions des esprits sérieux. Je crois qu’une pensée accompagnée d’une intime conviction
a employé un autre argument qui est loin d’ètre concluant et que nous croyons devoir signaler. Le rituel ecclésiastique compte,
’il pourrait, par exemple, recourir à cette ruse dans le but de faire croire qu’il n’est pas un diable et d’inspirer une confi
ement qu’il s'y trouvait des caractères des trois époques. Nous avons cru devoir citer ce fait pour le mettre en balance av
ns de sages limites, pour le traitement médical. Voici comment nous croyons devoir classer l’emploi des nouveaux moyens de gu
par Mesmer, me parait mériter une étude sérieuse et approfondie. Je crois que l’on pourrait surtout retirer un immense avan
rte raison d’en expliquer la cause; bien plus, alors que le malade ne croit pas à sa maladie et se considère comme parfaiteme
on est plus morale encore que physique. D’après cela, on pourrait, je crois , en venir à classer les individus mordus dans dif
es sur les épaules et le long du bras, je la vis fermer lesyeux... Je crus tout d’abord que ce n’était que l’effet de la fat
e notre pauvre nature humaine que nous appelons notre raison, et pour croire , il faut que nous touchions. Tous étaient des inc
ide, dans une organisation souvent faible, qui se livre d’ailleurs et croit , dans le moindre trouble de ses sens, apercevoir
duquel son imagination le soumet. 11 obéira alors à un ordre que vous croirez n’avoir pas exprimé du tout et que réellement vou
brutale, sous forme d’argument, est celle-ci : Je vois, mais je ne crois pas, parce que cela ne doit pas être possible. Et
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne crois pas, parce (pie cela ne doit pas être possible. E
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne crois pas, parce que cela ne doit pas être possible. Et
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci ; Je vois, mais je ne crois pas, parce (pie cela ne doit pas être possible. E
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne crois pas, parce que cela ne doit pas être possible. Et
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne crois pas, parce (pie cela ne doit pas être possible. E
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci ; Je vois, mais je ne crois pas, parce (pie cela ne doit pas être possible. E
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne crois pas, parce que cela ne doit pas être possible. Et
idées trop métaphysiques des anciens sur la nature du principe vital, croit encore à l’existence de ce principe comme force e
de l’existence d'un agent impondérable dans l’organisme humain ; nous croyons que cette doctrine peut seule combler l’immense l
fut prise d’une diarrhée considérable et d’une fétidité extrême ; on crut qu’elle touchait à ses derniers moments; mais on
sources sont parfois merveilleuses. « Les personnes religieuses ont cru reconnaître dans cette cure inespérée l’intervent
ons de la science, il ne peut en être autrement. Les peuples sauvages croient bien que lorsque la lune est éclipsée, elle serai
ute la modestie de son auteur ; car, en la traduisant en style un peu cru , voilà ce qu’elle veut dire : L’art ne pouvait
des sauvages, ou à moi-même, qui n’ai pas l’habitude de hurler, et je crois que j’aurais réussi (1) L’Aeadémic avait bien c
e hurler, et je crois que j’aurais réussi (1) L’Aeadémic avait bien cru qu’après le hurlement do tous scs membres contre
n-être qu’elle n’avait pas encore éprouvé, et le moment que M. Masson croyait être celui de la dernière heure, était précisémen
abeur aussi. Ce n’est pas toujours une douce tâche, on peut nous en croire , que de disséquer des volumes entiers, pour ne re
’en fait de morale, d’économie politique ou de religion. Ou a peur de croire , et quand on croit on a peur de le dire. Aussi
d’économie politique ou de religion. Ou a peur de croire, et quand on croit on a peur de le dire. Aussi remercions-nous gra
aut intérêt et de l’étude sérieuse du philosophe et du maçon. Nous ne croyons pas exagérer en disant qu’au point, quoique impar
plus fervents n’accuseront pas M. Ragon de timidité, nous aimons à le croire , et franchement nous ne voyons pas ce que l’exige
ous prononcer sur cette question, nous nous bornerons à dire que nous croyons toute loi absolue à cet égard, formulée un peu pr
ndhuc sub judice lis est. M. Ragon explique d’une manière que nous croyons nouvelle, mais, en tout cas, fort ingénieuse, quo
ture, pareille au tonneau des fdles de Danaüs. Nous avons seulement cru devoir constátenme opinion que nous laissons à de
i de légères secousses nerveuses qui iront toujours en diminuant. — Croyez -vous que quatre magnétisations suffiront pour vou
Le 7, les vertiges ont cessé. Le 12, lourdeur générale. La malade croit que son époque menstruelle se prépare. Bain de pi
ieds sinapisé. A neuf heures, l’oppression est si forte que la malade croit étouffer. La face est d’un rouge violet, la peau
lir la vérité sur ce point. Dans le paragraphe dans lequel M. Ogier croit traiter et trancher en trois pages la question de
un mot. L’honorable M. Ogier prétend en outre que « tous ceux qui croient à l’intervention des esprits ont une doctrine dif
tte époque, par une personne qui a bien connu Javary, que-celui-ci se croyait animé par l’âme de Jésus-Christ. Quant à la cro
apportent les condamnations dont on vient de lire l’énoncé. 11 n’y a, croyons -nous, pour le moment, qu’un seul procès de cette
tes parts : Nous ne comprenons pas comment cela se fait, doue nous ne croyons pas.,. Est-ce que vous comprenez comment la vib
main se meut quand vous cherchez à la mouvoir? Pourquoi le fou qui se croit un ballon immense étoulfe-t-il en passant à trave
it a d’ailleurs cela de bon que pour exister il n’a pas besoin d’être cru ; il existe, donc il peut exister ; et qnelque ab
miracles à l’aide de gros barreaux aimantés ; là, c’est un autre qui croit dévier l’aiguille des boussoles avec son regard o
éral de la science, et qui intéressera nos lecteurs, nous aimons à le croire . G. GOVI. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). I
terniser des querelles. Le plus sage de nos médecins est celui qui ne croit point à la médecine et abandonne, par conscience,
. la main le bâton des anciens mages, mais une batte. Et pourtant ils croient posséder la sagesse ! « Voici en deux mots l’in
parler ainsi, et pour exalter chez vous le mérite que vous avez eu de croire à la vérité et de produire des œuvres de bien ; n
t de la tempête révolutionnaire. Pendant de longues années, on put le croire anéanti. Un petit nombre de sectateurs obscurs, f
ci : MAGNÉTOPHOCIE BOUTADE (1). Messieurs, depuis longtemps, je crois au magnétisme, Et je le sais par cœur,... comme
nétisme, Et je le sais par cœur,... comme mon catéchisme. Oui, je crois au principe actif, obéissant, Que Mesmer maîtri
ctif, obéissant, Que Mesmer maîtrisa de son doigt si puissant. Je crois que ce principe, — esprit, âme ou fluide, — Tou
L’esclave et le tyran,... peut-être aussi le singe. Voilà ce quo je crois . Sur ce, messieurs, salut!... Mais ne concluez
ompeux début, Que j'estimo votre art, que j’y sois favorable : Je crois au magnétisme, ainsi qu’on croit au diable... A
e art, que j’y sois favorable : Je crois au magnétisme, ainsi qu’on croit au diable... Ah ! ah! ce nom maudit vous réveil
gnalement du voleur d’une manière si complète, que la dame Philippe a cru reconnaître dans cette désignation l’un de ses lo
ait 10 fr., et qu’ayant remis à M. Mongruel une pièce de 20 fr., elle croyait que celui-ci en rendrait la moitié, mais qu’il la
donc, pour ne point passer pour des charlatans, que nous renoncions à croire à ce qui est vrai, à ce que la nature manifeste c
du magnétisme, au lieu de celle curative que j’ai employée ; mais je crois qu'en faisant usage de cette dernière, j’ai non d
c’est ce que je vais essayer de vous faire comprendre comme moi. Je crois , en effet, que tous ceux qui ont écrit sur la thé
lle est antérieure à. l’organique. « Les matérialistes, dit-il, qui croient pouvoir tout expliquer par une altération anatomi
rien ajouter. Votre opinion n’est point à faire à cet égard, et pour croire , nous n’avons tous qu’à consulter nos souvenirs d
ôt à l’usage de quelques tasses d’infusion de petite centaurée. Je me croyais complètement débarrassé, et mon médecin partageai
s avis ne différaient pas moins que les remèdes. Un savant docteur me croyait atteint de la pierre ; un autre, non moins savant
s frictions d’éther qui réussirent à merveille, et sans lesquelles je crois que je serais devenu enragé. Chaque jour on lui f
ncore, les douleurs revinrent plus vives que jamais, et telles que je crus devoir me lever de mon lit afin d’essayer si je p
endu, le mal était fait, et il était réellement si affreux, que je me croyais perdu ; et telle fut aussi l’impression qu’éprouv
lla minutieusement ma maladie, et m’indiqua le traitement qu’elle lui croyait approprié. Je le suivis très-scrupuleusement pend
on matérielle, cet argument pratique, si je puis m’exprimer ainsi, je croyais les devoir à l’appui de la démonstration théoriqu
personnes de venir se faire soigner par notre système, c’est qu’elles croient généralement que le sommeil est indispensable au
à la question suivante : Le diable n’y est pour rien, au moinsf Ne croyez pas que celte question nous soit adressée par des
à empêcher le retour de pareils faits. On l’isola complètement, et je crois même qu’il fut question de l’exorciser. Le Diable
talement : « Je ne veux pas de Satan ! Je ne veux pas de Satan ! » Il croyait que le magnétisme était aussi l’œuvre du démon.
us poursuivions de préférence, ils auront été désappointés. C’est, je crois , ce qu’il y a de plus certain. Seulement, il est
vérité et qui appelons le débat afin de la faire triompher, nous nous croyons obligés de répondre à M. Segond et de l’analyser
il paraît, rien à faire dans ce débat. Mais vous vous trompez si vous croyez lasser notre patience, et, pour répondre à chacun
ers mécaniciens de France, c’est-à-dire du monde. Et il y a aussi, je crois , à l’Académie des Sciences, une section de mécani
e le d. m. sacramentel a le droit et le devoir de conspuer ce fou qui croit ce qu’il voit, qui a le courage de le dire et l
i dont nous avons maintes fois constaté l’exactitude; et tout porte à croire que si la dame en question avait, dans son état d
ls la doivent indistinctement exercer. « La lettre que la société a cru devoir écrire en réponse à un article de Y Arista
, que la vertu de l’exorcisme est d’autant plus rare, qu’on semble la croire plus facile et plus commune. « On dirait, à l’e
suffisait pour chasser le démon par le nom de Dieu? Je ne peux pas le croire . » « Quoi ! le vénérable évêque qui a expérimen
qu’il fait dans une pièce voisine du lieu des expériences. Il est à croire que le R. P. Ventura était, dans cette occasion,
ille ainsi que les miennes, car je n’ai pas la sotte prétention de me croire infaillible. Je vois avec plaisir que M. de Mir
n homme avec mon frère, et, par le signalement qu’elle m’en donna, je crus reconnaître un moine capucin. Ce moine, interrogé
la bouche de mon frère et du P. Mario évoqué par mon feu frère. Je crois en avoir assez dit pour prouver que ce n’est pas
’autant plus d’importance à ce double et mutuel engagement, que je le crois comme un grand pas de fait vers un rapprochement,
magnétisme? A moins de ne pas avoir le sens commun, 011 11e peut pas croire à autre chose. Mais, s’il en est ainsi, comment s
u expliquer ces choses, mais on ne concevrait pas qu’il ne voulût pas croire à leur réalité! On n’entendrait jamais, si M. Seg
us avez raison sur certains faits que vous mettez eu discussion, vous croyez avoir anéanti ceux que vous ne connaissez pas,
yez avoir anéanti ceux que vous ne connaissez pas, auxquels vous ne croyez pas. Vous raisonnez très-bien sur le magné-lismc
d’en juger à la réprobation dont vous frappez, par exemple, ceux qui croient qu’on peut voir sans les yeux dans le somnambulis
e, chose que vous appelez une hérésie physiologique. i Nous savons, croyez -nous, tout aussi bien que vous, que c'est avec le
ut aussi bien que vous, que c'est avec les yeux que nous voyons. Nous croyons même aux causes finales; nous croyous fermement q
visibles; mais la chose n’est cependant pas aussi simple que vous le croyez . Sans parler encore du somnambulisme, ne vous arr
e voit jamais rien en songe, et qu’il est contraire au sens commun de croire le contraire. Eh bien ! monsieur, nous en sommes
preuves? Vous nous direz que vous ne l’avez jamais vu, que vous ne le croyez pas. Nous vous répondrons que nous l’avons vu un
liquer des phénomènes qu’on ne connaît pas, bien plus, auxquels on ne croit même pas? Ceci est encore une de ces contradictio
lectricité ! Qu’01111c lui parle plus de ces fadaises. C’était bon de croire à ces billevesées dans ces âges primitifs qu’il a
ype qui la caractérise; elle a tellement besoin d’avoir raison, de se croire dans l’ordre que, même dans ses écarts, elle empl
dit-il, liicn mieux que li > savantes considérations de ccu.\ qui croient avoir décou\ert la monomanie, peut servir de type
2° Mouvements et circulation rendus plus actifs chez un fœtus qu’on croyait mort. Parmi les innombrables services que le ma
nétisme est appelé à rendre à la médecine, il en est un sur lequel je crois devoir appeler l’attention des médecins magnétist
egrets à M. le baron du Potet, notre vénéré président, et le prier de croire , ainsi que vous, Monsieur, aux sentiments de haut
e et de ses recherches ? La réponse est trop naturelle pour que je me croie dans la nécessité de la formu- (1) Mémoire la à
ortés avec conscience par des esprits sans partialité. Mais comment croire ce qui est absurde? demande-t-on. Comment ajouter
nt ces conditions? Qui vous prouve, lui répondrai-je, que ce que vous croyez impossible l’est en effet ? Qui osera, comme Dieu
chantement. Un garçon de dix-sept ans est mordu par un chien qu’il ne croit pas enragé ; il en est quitte pour quelques déchi
iracles n’est pas plus de mise que la simple négation par laquelle il croit les anéantir, en disant vaguement que «de nombreu
s de M. Segond, il y en a autour de lui et des plus illustres, qui ne croient pas au-dessous de leur dignité et de leur science
e pure illusion. Mais, pour dire ici franchement notre pensée, nous croyons que toutes les lumières réunies des plus grands p
e classe d’hommes, égarés peut-être, suivant lui, dans une voie qu’il croit absurde, mais honorables après tout par leur cara
dont l’esprit a été frappé de la peur du diable verra des démons, le croira et se dira possédé. Celui qui s’est livré aux rêv
travail intérieur de son esprit suffit pour expliquer comment elle a cru voir et entendre tout ce qu’elle a raconté. Son e
gile du 15 juillet. « Vous accusez la généralité des médecins de ne croire qu’à l’existence de la matière. Cette accusation
pas assez versés dans la science de Mesmer pour nous prononcer. Nous croyons aux phénomènes extraordinaires du magnétisme, nou
i toute autre personne, en me voyant ainsi sans mouvement, 011 aurait cru à quelque syncope, on aurait couru chercher le mé
de notre thèse plus naturellement peut-être que n’aurait pu le faire croire la route un peu longue que nous avons choisie.
l cas, les passes de telle ou telle façon, en tel ou tel nombre. Nous croyons cette importance fort contestable, et, dans tous
it mieux qu’un autre, et comme il se fait des habitudes, il finit par croire que les procédés qu’il a adoptés sont supérieurs
très-grande importance au procédé que je viens de décrire, auquel je croyais une vertu toute spéciale, lorsqu’un jour d’hiver,
econnaître dans la caresse autre chose qu’une sensation de tact, pour croire à l’identité de sensation causée par des baisers
des gens qui pouffaient de rire de ce que ( un grand garçon comme moi croyait qu’on pouvait faire du bien à quelqu’un en lui ad
e les procédés magnétiques constituent — dès à présent — un art, nous croyons qu’on peut adresser d’utiles enseignements à ceux
e puissance héréditairement transmise et entretenue par l’usage. Nous croyons même que la race royale de France qui a commencé
les globules homœopathiques, et les frictions de la méthode Raspail, croit -on que le magnétisme, — c’est-à-dire la foi des m
Bien que nous n’ayons pas de certitude mathématique à cet égard, nous croyons , et nous avons déjà eu l’occasion de nous prononc
ncer sur ce sujet à propos des communications spirituelles (1). —Nous croyons au lien entre l’homme et des êtres extérieurs à l
— en priant nous-inêmo et en engageant le sujet à prier, si nous l’en croyons capable. La prière, en effet, pour celui qui a
et à la même heure qu’Elisée lui avait dit. § III. f 18. « L’enfant crut ; et étant un jour allé trouver son père, qui Cla
Nous connaissons une dame qui ne pratique pas le catholicisme et n’y croit pas, et qui, par un illogisme explicable, est par
s que deux ans après l'amélioration dont j'ai parlé et qui avait fuit croire à uuc guérison absolue, le mal avait reparu. 11
sent rayonnants de foi et de volonté dans l’acte de la bénédiction. Croit -on que nous hasardions beaucoup en attribuant au
i pense être en présence de l’ennemi de Dieu et des hommes, et qui se croit appelé à le combattre comme en un champ clos ; qu
ssionné résultant — du fanatisme allumé dans l’esprit de celui qui se croit le champion de Dieu — de la crainte suggérée par
faisait aucune distinction entre la somnambule et le démon dont il la croyait possédée. — Il déclare d’ailleurs qu’il ne songea
c la sensibilité magnétique. Généralement aussi, les faits qui font croire à la possession du sujet ou qui le font soupçonne
e qui aurait dû se passer entre le prêtre et le diable auquel nous ne croyons pas ; mais, comme magnétiste, nous pouvons affirm
traité de la question magnétique au point de vue démonologique. Nous croyons qu’il serait utile de considérer la question démo
é de l’argent, sous le prétexte d'un pouvoir imaginaire auquel il* ne croyaient pas eux-mêmes. Puis, d’autre part, on poursuit
n a jamais été plus dangereuse que celle-là, en France, vers l>3 ? Croyez -vous qu’alors celui qui avait la con- fiance de
z pas plus avancé pour obtenir une condamnation. » Voici comment je croirais devoir choisir le terrain de la (1) L'exercice
ité. XXV. — Conclusions. De ce que nous venons de dire, nous nous croyons en droit de conclure : Conclusion principale.
se manifestait spontanément. Dès qu’un individu en était atteint, ou croyait l’être, il quittait sa demeure pour errer à l’ave
nt à tous les moyens thérapeutiques connus. Cependant, s’il faut en croire la rumeur publique, la femme aurait été soumise à
res à 1111 mètre; elles 11e s’en rapprochent pas davantage, ce que je crois , par le souvenir de perceptions analogues, auxque
nt lui, il ne tarda pas à les voir surgir du sein des ténèbres, et il croyait les atteindre, quand elles firent place au vide.
; mes sensations res-« semblaient à celles d’un homme ivre. Tantôt je croyais en-« tendre des voix qui m’appelaient, tantôt je
s le « jouet de ces illusions qu’il faisait grand jour et que je ne h croyais jusqu’alors qu’aux déceptions de la nuit. « Cha
ns contre la fausseté desquelles on n’est point en garde à l’avance : croire , par exemple, qu’il existe une rivière là. où on
e, hors du sens commun. A cela, je répondrai qu’il faut avoir vu pour croire , et avoir été sous l’influence du ragle. » Cett
dernier phénomène, ce que l’on voit existe réellement ; ainsi, si on croit voir de l’eau, c’est qu’il s’est produit réelleme
disparaîtrait par suite d’un tremblement de terre. M. Lafontaine a cru devoir, pour rassurer la population, publier, cla
ment, aucune démonstration de nature à ébranler nos convictions. Nous croyons devoir soumettre à l’auteur ainsi qu’au public qu
our d’eux des phénomènes bizarres qu’à défaut d’autre explication ils croient pouvoir attribuer au démon ; ils ont l'imaginatio
r, sont renversés de peur; et comme la frayeur trouble la vue, chacun croit voir... des animaux fantastiques... dont il aurai
t ne pas renouveler la célèbre histoire de la Dent d’or. Nous avons cru pouvoir analyser tout son travail par cet aphoris
amais court, et on n’a rien à démêler avec la science. Qu’un malade croie entendre des roiæ dam son estomac, c’est, direz-v
en île pareil. En réfléchissant sur la création, nous sommes amenés à croire que l’échelle des êtres, qui s’élève depuis la mo
s intelligents; et, comme tout s’enchaîne dans la nature, nous devons croire aussi que quelques-unes de ces classes, et probab
n racontant l’histoire de notre globe, elle ne nous a fait une loi de croire qu’il n’existe pas d’autre globe pouvant, comme l
de Satan ? Si l’esprit prétend être un démon, nous ne devrons pas le croire : car, puisqu’il est réputé menteur, il peut très
arde comme démontré, use librement des lumières de sa raison, sans se croire tenu de fléchir devant une autorité quelconque. S
e s’imaginât que l’opération était faite, et pourtant elle ne pouvait croire que ce fût vrai. Alors on lui dit la vérité ; ell
ux ; il produisit d’ailleurs de singulières hallucinations; le malade croyait sentir l’odeur de rose et d’œillet. Le sulfate de
rir à la pratique du magnétisme. Tout dévoué à cette famille, je ne crus pas devoir m’y opposer; mais je restai désormais
arbres. Cette conception me conduisit à marquer d’autres endroits; je crus avoir fait une grande découverte, et j’en fis par
à des médications «{>ii peuvent leur coûter la \ie. Quelques-uns croient satisfaire aux règles de la prudence en n’accepta
Tes armes contre le somnambulisme. Tout somnambule, lucide ou non, se croit en état de résoudre péremptoirement et à première
able siège! Au bout d'un temps, toujours trop long pour le malade, il croit enfin l’avoir trouvé : il agit en conséquence, et
té extraordinaire et jouit de facultés exceptionnelles. M. de Séréa cru devoir faire une excursion sur la question des ta
es faits pareils ne s’étaient produits qu’une seule fois, on pourrait croire à quelque illusion de l’enfant ou des personnes q
ui en font eux-mômes l’objet de leur élude spéciale, pour que nous ne croyions pas avoir besoin de les entretenir de ce qu’ils s
tout nouveau à l’observation du penseur et de l’expérimentateur. Nous croyons donc utile d’appeler toute l’attention des magnét
assner, dit M. Gauthier, ne ressemblait pas à cet homme si simple; il croyait au diable, et, pour opérer des guérisons, il empl
ne voit personne qui ait opéré de pareils « prodiges, et déclare, le croirait -on, qu’ils sont l’œuvre du « diable! n « Ce qu’
laquelle tout le monde à peu près, et avec la meilleure foi possible, croit bien voir, et la plupart du temps, hélas! ou bien
ute sorte de pièges, et en fin de compte à peu près stérile. « Nous croyons que la science, la véritable science peut attendr
même, à l’aide des intérêts et des émotions qui sont mis en jeu. Nous croyons , après un examen assez opiniâtre du sujet, que di
e si tout y est naturel, sans mélange de divin, comme quelques-uns le croient . Le magnétisme, sans être renfermé dans un cercle
je vais le confesser de môme. Pendant presque toute ma vie, je n'ai cru qu’au giron de l'Ecole. Je n’avais, en fait d’idé
se réduisent ou non au mécanisme de notre machine. Des magnétiseurs croiront expliquer cette expérience par ce qu’ils appellen
. Mon corps était tout décomposé... » Cette mort, à laquelle 011 ne croyait pas, se vérifia tristement. Une lettre du pays ap
é en sursaut par le bruit d’un corps lourd tombant sur le parquet. Il crut que son frère avait glissé à bas de son lit et l’
oduire sans aides. Alors les doutes cesseraient de toutes parts et on croirait à nos œuvres. Baron DUPOTET. A monsieur Victo
eurs collègues. Pour mieux faire comprendre le sens de ce récit, je crois devoir signaler d’abord la nature des rapports qu
réaction soudaine, la chaleur s’y rétablit d’elle-même. Un instant je crus que la crise était passée. Mais je ne devais pas
médecin dans de certains cas donnés. C’est pourquoi je vous prie de croire à ma gratitude, en insérant dans votre feuille l’
ntérêt local du fait lui-même. En l’accueillant dans votre journal, croyez , Monsieur, aux sentiments de parfaite considérati
ndeurs et de richesses, de sciences, d’arts et de poésie, qu’on ose croire aux sorts, maléfices, sorciers ! faire appel à l’
nfant me fit tout d’abord m’v attacher. En ma qualité rie médecin, je crus devoir faire acte d’autorité en défendant la port
ncore, c’est être sage. Cependant, s’il ne faut pas trop facilement croire , il ne faut pas non plus trop facilement nier. Qu
ple téméraire. Il n’est pas de billevesées auxquelles le peuple n’ait cru . Que faut-il pour l’amener aux croyances les plus
t cours dans le populaire, uniquement en raison du nombre de ceux qui croient , on se composerait un petit ensemble de fort sing
ce qui fait la difficulté. Elle est trop dédaigneuse de ce qu’elle a cru n’être pas de sa dignité d’apprendre, c’est là so
uel-les, etc., ont été guéris par son seul attouchement, s’il faut en croire ses apologistes. Quelques malades retombèrent dan
dut s’en rapporter aux narrations qu’on lui en fit. De Haen, qui 11e croyait pas beaucoup à la magie, .avait établi à Vienne u
ies, soulage instantanément des douleurs, pourquoi se refuserait-on à croire que la faculté dont il est naturellement (doué ne
on des démons, mais aussi contre celle des esprits en général h et il croit pouvoir rendre compte de tous ces faits anormaux
térieux qui ont joué un si grand rôle, principalement en Amérique, il croit pouvoir les expliquer par une ventriloquie involo
marquer la place du raccordement, et qu’à examiner les doigts, on ne croirait pas qu’il y ait eu jamais d’accident. Il est bon
eprenait l’as- pect normal ; il y avait des jours où l’on aurait pu croire à une guérison parfaite. La malade en somnambulis
magnétisme a déjà publié des relations semblables d’individus qui se croient victimes de magnétisations à distance : nous en a
itude. De là naturellement liaine et désir de vengeance. Celui qui se croit victime de la sorcellerie, exaspéré par la douleu
un honneur compromettant et abdiquer la qualité de sorcier, on ne le croit pas ; ou bien, pour vérifier son caractère contes
vus, ne s’est jamais trouvé en contact avec eux, n’a aucun motif pour croire qu’il soit devenu l’objet de leur haine ; il ne
e ; il ne cite aucun lait, aucune circonstance qui puisse autoriser à croire que ces hommes s’occupent de lui. Ainsi, non seul
une relation dont chaque ligne est une preuve de folie. Si nous avons cru néanmoins devoir nous en occuper, c’est que ces e
ussir à les délivrer de l’obsession. 11 en est de même de ceux qui se croient possédés du démon : s’il se présente à eux un per
a déclaration est loin de suffire pour fournir une preuve. Si même il croit de bonne foi avoir produit le mal qu’il désirait,
stérieuses dirigées, selon toute apparence, contre lui ; cet homme se croit perdu, il voit déjà les puissances infernales se
tiseur, homme charmant, instruit et spirituel, qui a le travers de se croire sorcier. Bien des fois je l’ai invité à me donner
e responsable des égarements de quelques-uns de ses partisans qui ont cru pouvoir inconsidérément en exagérer la portée et
aucun rapport avec le magnétisme, nous l’insérons pourtant, car nous croyons à des attractions d’outre-tombe. Nous recherchero
té de fou, d’halluciné, de candidat à l’asile des aliénés, pour avoir cru que les phénomènes qui excitent maintenant l’atte
ette circonstance que ces terres étaient louées lors de sa mort qu’on croit être arrivée en 1816, peu de temps après la fin d
une âme, un esprit immortel, et de nier l’existence des esprits ; de croire à une autre vie, à un autre monde, et de nier les
habitants du inonde extérieur, lequel ne diffère pas autant qu’on le croit de celui-ci, car c’est exactement le même, moins
t cela comme les autres, mais ils n’essaient pas de l’expliquer. Nous croyons , nous, que ce sont autant de vues prises dans le
ancés dans la foi ; mais, comme il y a bon nombre de chenilles qui ne croient pas qu’elles deviendront papillons, il y a aussi
t papillons, il y a aussi beaucoup de bipèdes si matériels, qu’ils ne croient pas pouvoir devenir des esprits; cela leur semble
nc un monde réel pour notre esprit. Dieu n’a pas tant séparé qu’on le croit le monde matériel du monde spirituel, car nous vi
son ouvrage en deux parties : le dogme, c’est-à-dire ce que l’on doit croire , et le rituel, c’est-à-dire la manière d’opérer p
produire des effets magiques. Dès ces premières notions, nous nous croyons en droit de lui faire observer que sa magie n’est
et touché le grand Apollonius? Je ne suis ni assez halluciné pour le croire , ni assez peu sérieux pour l’affirmer. L’effet de
e j’ai vu clairement et distinctement sans rêves, et cela suffit pour croire à l’efficacité réelle des cérémonies magiques. Ma
r comment s’est formée la conviction de l’auteur qui n’a rien vu et a cru sur parole les anciens auteurs dont le témoignage
un homme de bon sens ne peut accepter que ce qui lui est démontré, ni croire à une science qui refuse de faire ses preuves. Qu
s infernales, n’était qu’une affreuse et vaine mo-merie. Puisqu'il se croit en droit de répudier comme chimérique toute cette
nt il s’exprime : « Pour ce qui est de l'alphabet des étoiles, nous croyons qu’il est facultatif, comme la configuration des
uite des progrès ultérieurs de nos connaissances. Dès à présent, nous croyons devoir faire remarquer qu’on est loin de s’accord
circulation rendus plus actifs par le magnétisme, chez un fœtus qu’on croyait mort, 353. Musique des esprits, 576, 620. Noc
3 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
découvertes que firent ces fous sublimes, fous dont Mesmer, qu’on le croie bien , n’a pas clos la liste. Mais c’est assez po
e converti depuis trois ans seulement à la cause du mesmérisme , nous croyons être suffisamment familiarisé avec elle. L’habitu
étudié plus que jamais. Nous l’avons étudié, et ajourd’hui nous nous croyons à môme de pouvoir en porter témoignage par la voi
ompléter. J’ai intitulé ces fragments Causeries sur te magnétisme. Je crois que les personnes qui s’occupent magnétiquement d
st sur le point de finir, au moment où , mécontent de vous-même, vous croirez n’avoir plus rien à attendre de la nature et de v
i nous anime; et, dans son orgueil et sa vanité, le médecin ordinaire croit qu’il est véritablement médecin. Oui, il aura vu
soulagée d’un énorme fardeau et se sentait guérie. Je n’osais encore croire à un changement si prompt. Je revins le lendemain
ouver la moindre fatigue. En un mot, la guérison était complète. J'ai cru devoir rapporter ce fait comme exemple de cure in
u cœur sépare souvent deux sentiments opposés. J’avais tort de ne pas croire , comme vous me le disiez, Madame, que le magnétis
appelait les vitres sales de sa prison. Mais aujourd’hui, Madame, je crois comme vous, c’est-à-dire fermement, que le magnét
ères aspirations, ses plus nobles élans, toute sa foi. Comme vous, je crois à cette sublime transformation qui la rend plus b
decine des passions, conseil que nous adressons, en passant, nous qui croyons fermement que les maladies de l’âme tuent les cin
pourtant quelques entêtés avaient encore l’outrecuidance de ne pas se croire tout à fait morts ; sans se laisser abattre par l
nce et frappés surtout du danger de l’abus qui peut en être fait, ont cru devoir en régulariser l’exercice. Il s’est glissé
ards du passé qui semblent s’éveiller d’un sommeil semi-séculaire, se croient très-malins en nous demandant ce que c’est que le
e, l’attraction , l’obéissance à la suggestion, etc. L’observateur se croit donc autorisé à la défiance , et même quand il ve
rconstances qui lui auraient échappé et qu’il jugera décisives, il se croira fondé à prononcer un jugement. En dehors de ces
’objecter l’insuccès unique, en feront l’objet de leurs railleries et croiront par là. être en droit de nier le magnétisme. C’es
’ayant pas la plus légère connaissance de ce qu’ils veulent examiner, croient que le magnétisme n’a pour but que de produire la
. Les Américains ont l’esprit chercheur ; chez eux , les savants ne croient pas déroger en s’informant de la réalité des fait
déroger en s’informant de la réalité des faits extraordinaires ; ils croient môme que leur devoir est d’être les premiers à re
s phénomènes. Le président Rosevelt les attribue à l’électricité ; il croit que les personnes les plus électriques sont les m
s cet état, il a fait un appel aux sens des hommes et les a engagés à croire à l’immortalité, lui-même sur- vivant au tomb
rique ne jugent aucun fait indigne de leur examen , et qu’elles ne se croient pas, comme celles d’Europe, obligées par le décor
es ses espérances. Son erreur (celle du médecin ) vient de ce qu’il croit que tout en nous est chimique, de ce que tous les
s les plus graves de morale et de religion. Plusieurs magnétistes ont cru trouver un moyen de décider la victoire au profit
demandai-je. — Sur moi-même, me répon-« dit-il. — Non seulement je ne crois pas au magnétisme, « mais encore, ajoutai-je, j’i
artagés sur la cause de ces faits insolites. La plupart inclinaient à croire qu’un voisin espiègle s’amusait ainsi à effrayer
uyet : « Tout en reconnaissant le mérite du travail de M. Guibert, je crois utile de signaler quelques erreurs relatives à ce
ent employés avec succès ; mais il est un fait pratique sur lequel je crois devoir appeler l’attention de la Société, c’est q
t l’espace de dix minutes chaque fois. « Il est une remarque que je crois nécessaire de faire à propos des fièvres intermit
voir de la combattre, dans la mesure de mes forces , en ce que je lui crois d’erroné. « Notre secrétaire a blâmé la méthode
u’on vient de vous lire. Je résume l’objection de M. Louyet, et je ne crois pas l’affaiblir. « On recommande, a-t-il dit, d
ence d’opinion entre MM. Guibert et Louyet à propos de la syncope, je crois que ce n’est qu’un malentendu qui tient au vague
ions établies par M. Petit d’Ormoy à l’occasion de la syncope, je les crois superflues. Dès l’instant qu’il y a perte de conn
umé ses moustaches, lorsqu’il s’est appliqué sur l’œil un lorgnon, il croit ne plus appartenir à la race commune, il oublie s
croit ne plus appartenir à la race commune, il oublie son origine, se croit supérieur aux gens qui ont le malheur de ne pouvo
etits, qui cheminent, rampent où se promènent sur le domaine que nous croyons appartenir îi un seul, en dedans de nous, le même
nomènes de la vie et la vie elle-même. Ils savent tout et on doit les croire . Je me garderai bien de contester en rien la soli
s et des fruits. Le temps est le grand agent qui détruit et réédifie. Croyons donc qu’il anéantira toutes les erreurs, tous les
ion. Comme l’ensemble du travail de M. Huguet ne nous permet pas de croire qu’il ait pu aboutir à cette dernière conclusion
es exercer, et même, ce qu’il y a de plus fâcheux, très-souvent il se croit lucide et il ne l’est pas; il prend pour la réali
is dont l’élocution est toujours nette et précise, nous ne pouvons le croire coupable d’un pareil amphigouri dont la responsab
unement que celle-ci continue de vivre dans un autre monde. Le lucide croit la voir telle qu’elle était sur terre, agissant a
, il en a ôté tout autrement. On y est parvenu à démontrer et à faire croire que les tables et autres objets magnétisés qui se
Il s’est rendu plusieurs fois au château des Tuileries, et si nous en croyons des personnes dignes de créance, là se seraient p
de notre époque; mais, quel qu’il soit, il nous afflige, et nous nous croyons obligé de le signaler aussi bien que de protester
ècle se matérialise de plus en plus, que l’Eglise n’a plus pour faire croire à une autre vie que la parole du passé, que la se
autorité du dogme, que celle de livres saints auxquels la plupart ne croient plus, quand tous les esprits en sont là etqu’il s
uffer des démonstrations aussi grandioses ! Mais l’Eglise, dira-t-on, croit au pouvoir de Satan, cet ennemi du genre humain,
: Je vous assure en vérité que les pierres môme parleraient qu’ils ne croiraient pas, et n’est-ce pas aussi pour eux qu’ont été pr
main qu’il raconta l’espièglerie qu’il avait faite. « Mais on ne le croit pas. Il est bien plus simple de croire à l’esprit
avait faite. « Mais on ne le croit pas. Il est bien plus simple de croire à l’esprit. » Dans cet article, M. Paul d’Ivoy
et s’est manifesté par trois coups frappés lentement sur une table. Croyez -vous que ces faits si étranges, si dignes d’atten
x , s’amuse à serrer la main d’une dame à son insu, afin de lui faire croire que cela vient d’un esprit et que cette dame le c
n de lui faire croire que cela vient d’un esprit et que cette dame le croie au grand amusement des assistants ; qu’un général
mène aussi curieux et de s’assurer du degré de force magnétique qu’il croyait posséder, mais que si l’on pensait que sa présenc
e, qui donna dès lors des preuves d’une grande lucidité. Mais, pour croire à ces faits comme à ceux du spiritualisme , il fa
ment méconnues, négligées, défigurées et ridiculisées. Pour arriver à croire , il ne faut pas faire comme M. le baron deP... av
u tant d'hommes de bonne foi. Ces hommes n’ont pas tous été, qu’on le croie bien, ce que nos sceptiques savants appellent des
Ils ont vu, examiné dans toute la plénitude de leurs sens, et ils ont cru à l'immortalité de l’àme, à l’existence des espri
le il avait été initié par .Jacob Behm, le prince des astrologues. Et croit -on que tous les grands poètes, Shakespeare , Milt
es, parmi lesquels Nostra-damus, traité avec des honneurs que nous ne croyons pas exagérés. La sixième est un choix d’horosco
la date déjà ancienne du livre ; mais il est encore assez peu connu, croyons -nous, en France, et les voies nouvelles de spirit
lement d’autre signification dans le passage de la Bible. Il indique, croyons -nous, une sorte de consultation des sorts, quelqu
e monde entier vivra autant que l'humanité, se soient laissés aller à croire à un tissu de chimères ? Non, cela n’est pas. Ces
es fortuites et secrètes ; mais, en l’absence de ces causes, nous les croyons fort rares. Comme conclusion, nous considérons
ire et sensible pour toute intelligence sans prévention. Il faut donc croire à une sorte de fatalisme comme les Orientaux et a
cachée à tous les yeux, et que nul n’a pu découvrir. Lecteur, vous croirez ce que vous voudrez de mon récit et de mes assert
esé, réglé dans la marche des astres et dans toute la nature. Où nous croyons voir la confusion, l’ordre existe ; où nous aperc
st si faible, si bornée, qu’elle ne peut saisir que des apparences et croit pourtant saisir la vérité. C’est que toujours int
te peu. Les hommes qui prédirent les plus grands événements ne furent crus de personne ; mais ils furent justifiés . par les
ux jusqu’ici n’ont pas eu un grand re-' tentissement, et tout porte à croire qu’ils n’ont aucuns chance d’être prochainement e
ur cette question l’attention de quelques personnages influents, nous croyons utile de combattre, pendant qu’il en est temps en
e combattre, pendant qu’il en est temps encore, une tendance que nous croyons funeste, et de prémunir nos amis contre les dange
r là des exemples, plutôt que dans quelques Etats despotiques qui ont cru devoir réglementer le magnétisme?.,, En premi
s où le seul emploi du magnétisme peut guérir promptement le malade , croit -on que le médecin se bornera à conseiller un pare
se rendent coupables d’actes frauduleux. Mais quand le somnambule se croit lucide, ou môme quand rien ne prouve sa mauvaise
sieur du Potet , président de la Société du Mesmérisme de Paris. Je crois de mon devoir, et dans l’intérêt de la Société du
issance; comme il était trop tard pour me procurer de la glace que je croyais nécessaire pour m’aider à dégager le cerveau, je
trait était fort exact au physique et au moral. « Hésitant encore à croire à cette découverte, je demandai par quels moyens
cachette ; cherchez dans tel et tel meuble ; il y a plus que vous ne croyez ; il y a quelques pièces d’or ; il y a aussi des
soient leurs titres. Encore une fois, quand aura-t-on le bon sens de croire que l’art de la médecine n’est pas une vaine scie
la disparition des races inférieures devant les races supérieures, il croit qu’en dehors des causes évidentes et palpables de
e aux sauvages que tous les fléaux que nous venons d’énumérer; — il croit qu’en dehors de toutes ces causes, les races supé
phes, académiciens de tout rang, tous les hommes enfin qui pensent ou croient penser, tous prendront la fièvre de propagande ,
ne intention bienveillante, très-énergique ; or, à cet égard, je vous crois dans les meilleures dispositions que je puisse re
s passes dans le même sens. « Au bout de sept à huit minutes, je la crus endormie et m’arrêtai.—Dormez-vous? lui dis-je, c
xprime le bien-être. « Dort-elle du sommeil magnétique?... je n’ose croire à tant de bonheur. Je prie tout bas son mari de l
elle ne sent plus rien du mal«qui l’a si longtemps affligée. Elle se croit enceinte de deux mois au moins ! « Que dois-je
tement employé ; il a suivi ce que dans ses appréciations libres il a cru le mieux ; c’était son droit, sauf toute juste ca
et il présente un plan de constitution de la science. Nous aimons à, croire que cette généreuse initiative ne sera pas sans f
nt, mais qui attend sa confirmation de l’exp'érience. Nous ne pouvons croire que telle soit l’opinion de M. Meunier. Dire qu’i
que inexplicables ou inexpliqués, ce qui revient au même, mais ils se croient obligés de repousser les phénomènes magnétiques,
onnantes, inespérées, dont les spectateurs, frappés d’admiration, ont cru , mais sans aucune raison solide, qu'elles n’a-
t tombe malade, perd connaissance, ne donne plus signe de vie ; on le croit mort. Un ami, animé d’une charité ardente, accour
s efforts , qu’il ne craint pas d’interpeller celui que tout le monde croit mort, et il attend avec confiance qu’à cette voix
orts; comme tous les extatiques, il se complaît dans sa vision, il se croit transporté dans un séjour imaginaire qu’il ne veu
le. Il n’est pas d’instants pourtant où le fait ne se produise. Je ne crois pus , je ne peux pas admettre ceci, cela; on ne m
oir insérer : A Monsieur le baron du Potet. Mon cher Maître, Je croirais manquer à mon devoir si je ne vous donnais pas co
, particulièrement do sang ; ils’est dirigé dans les voies basses. Je crois que, sans le magnétisme, il y aurait eu des hémor
u se réaliser trop de faits de prévision extraordinaires, pour ne pas croire à Jeanne d’Arc extatique, à Jeanne d’Arc inspirée
-elle pas dans le monde extérieur, des faits du domaine intérieur, ne crut -elle pas voir et entendre en dehors d’elle ce qui
n supérieur, au moins distinct de colle des expérimentateurs. Nous ne croyons pas pour cela à l’intervention d’un esprit ayant
stes ; c’est quelquefois une véritable dispute... Il y a donc lieu de croire encore que l’esprit agit quelquefois directement
uents, a parlé en termes plus sérieux des médiums et paraît disposé à croire àleur existence ; l’autre s’est fait le fidèl
nd. Je déclare que je ne mets pas en doute sa bonne foi, et que je ne crois cependant pas au pouvoir surnaturel de M. Hume. V
s l’intérêt de la religion. « Fort de cette autorisation, M. Hume a cru pouvoir, dans quelques soirées, donner des preuve
âtre qui attire à elle une aiguille d’acier, et l’aimant mort me fait croire à l’aimint vivant. On a tant ri des paradoxes don
côté des mers. « Je prends toutes les précautions oratoires dont je crois avoir besoin pour arriver au récit, car on répugn
rtout dans notre siècle éclairé au gaz. Heureux temps, où l’auditoire croyait à la pythonisse d’En-dor, au spectre de Brutus, a
tristement s’accrédite, On court, liélas I après la vérité. Ali! croyez -moi, l'erreur a son mérito! « Voltaire est un h
'erreur a son mérito! « Voltaire est un hypocrite d’incrédulité; il croyait à tout, quand il écrivait pour lui. Il croirait à
rite d’incrédulité; il croyait à tout, quand il écrivait pour lui. Il croirait à M. Hume, en 1857, surtout s’il avait assisté à
(1) Pnestcl fides supplomonlum sensuum dufectui. vous serez, je crois , de mon avis. Hier soir, je me trouvais chez un t
ntre une infinité d’autres, quelques-uns des articles que la presse a cru devoir consacrer à M. Hume. Les faits contenus da
ront-ils ? Oh ! pour ceux-là leur matérialisme sera confondu , et ils croiront dans le mutisme, en rougissant quelque peu de leu
re nous environne, Marchons en nous donnant la main. Aimer, c’est croire ; et nul mystère Pour le bonheur n’est plus pieux
é sur la terre, C’est un secret qui vient de3 cieux. (1) Ici nous croyons devoir supprimer un couplet qui n’a été écrit qu’
sse à un très-haut degré tous ceux qui s’occupent de magnétisme, nous croyons utile d’entrer à ce sujet dans quelques détails.
s que tant d’autres laissés impunis. Ces choix, qu’on serait tenté de croire faits au hasard, ont quelque chose de choquant, e
ue vous n’ayez pas absolument besoin que celui que vous voulez guérir croie au magnétisme , il faut tâcher doucement, habilem
’elle eût été jamais magnétisée, et de dire que ce qui avait pu faire croire au magnétisme avait été un jeu pour amuser différ
qui me réussirent assez bien. La plus curieuse de toutes, qui, je le crois , n’a pas été faite par d’autres que moi, est la s
si m’est-il arrivé d’enivrer complètement deux paysannes, qui avaient cru boire de l’eau-de-vie. Je magnétisai une fois la
nger de la viande impure de cochon , en place d’un hareng qu’il avait cru voir, et pour sc désaltérer, je lui fis boire un
es s’approchèrent de la jenne fille, et, lui voyant les yeux ouverts, crurent que c’était une supercherie. Pour leur prouver le
t se tordant, comme en colique de miserere ; si bien que le cornac se crut obligé de le calmer un peu en lui caressant l’épa
is , en homme de bonne foi, qui cherche sincèrement à. s’éclairer, il crut devoir prendre quelques renseignements sur ce qu’
vages particuliers et l’a soumis à certaines épreuves. Il y a lieu de croire que ces préparations ont quelque analogie avec le
de foudroiement, de catalepsie, et quelques autres, nous autorisent à croire qu’en exagérant la force dont dispose le magnétis
GYMNASTIQUE MAGNÉTIQUE. RELATION D’UN TRAITEMENT MAGNÉTIQUE. Nous croyons devoir insérer cott«relation empruntée aux procès
organe, la médecine substantielle est réduite à des palliatifs. On croirait peut-être que pour les cas chirurgicaux, oîi le m
qui nous a peut-être moins éloignés de notre but spécial qu’ils ne le croiront , et qui, dans tous les cas, ne nous a point écart
i? Non, elle est passive. L’imagination joue-t-ellc un rôle? Je ne le crois pas ; car, clans la profondeur du sommeil naturel
étisme la mieux établie. Souvent des magnétiseurs de très-bonne foi croient avoir produit des prodiges, et quand on examine a
veau, le monde des esprits. Je pressentais donc les médiums, aussi je crois en la puissance de M. Hume, parce qu’elle vient c
’heure était sûr de sa force et semblait me défier 1 Comment ne pas croire , lorsque l’on me vit dans un moment de puissance
er est d’exploiter l’ignorance. Mais ces chevaliers de l’éteignoir se croient en vain immobiles : eux aussi ils marchent avec l
ent sans qu’on le demande, sans qu’on pense à lui, sans même que l'on croie à son existence ; puis, s’il nous voit embarrassé
sseraient attendrir (si toutefois un inquisiteur en est capable), ils croiraient au progrès, et peut-être, dans un moment d’entraî
e éprouvait donc pour lui de la compassion, de la sympathie : elle le croyait susceptible de revenir au bien. Les proverbes qui
ges. Salut au progrès universel qui est confessé par ceux-mêmes qui croient en être les ennemis; au progrès qui a pour avant-
importe par quelle bouche ; le bien, n’importe par quelles mains! Et, croyez -le, celui qui tiendra haute et ferme cette banniè
te au progrès du magnétisme en Espagne. Mesdames et messieurs, On croit généralement que l’Espagne, mon pays natal, est e
antiques, Laissons, laissons tous les sceptiques Rire, tandis qu«nous croyons ; Dieu nous .accorde des oracles, Nos cures, p
e toute vue étrangère à la recherche de la vérité. Plus que jamais il croit , non pas encore à la science (nous reconnaissons
e à vos veilles ; « Instruisez-vous, aimez-vous, soyez bons.» Aht croyons -le. La prière est l'étude : Par le travail soyo
e ne nous les a pas refusés. Pourriez-vous nous dire si nous devons y croire ? » J’eus alors le récit de choses toutes parti
rend plus promptement sa circulation normale. M. Louyet, ayant paru croire , d'après le traitement indiqué pour les syncopes
elle restait la bouche ouverte, ne pouvant ni respirer, ni parler. Je crus comprendre aux sigues qu’elle me fit alors de la
me à prêter quelque attention à ces procédés, dans le cas même où ils croiraient devoir en employer d’autres. Dans la partie d
ux que nous avons rapportés dans notre article du 25 janvier, nous ne croyons pas devoir en donner le récit détaillé. Nous fero
es personnes qui jusqu’ici n’en ont parlé qu’avec un superbe dédain , croiront peut-être qu’il y a lieu à une sérieuse discussio
tudier les superstitions des Miau- tsé, tribu montagnarde, qui se croit aborigène, et chez laquelle on se livre la géoman
u votre pantacle pour vous représenter dans la science. — « Ah ! tu crois que je n’en ai pas. a 11 ouvre sa gibecière, en
produits en Amérique et en Europe dans ces dernières années? Vous ne croyez donc pas, comme tant de vos honorables confrères
à quatre ans environ que je m’occupe de ces curieuses expériences. Je croyais avoir semé un peu de bon grain dans ce nouveau ch
propriété de s’agiter et de tourner sous les mains des opérateurs. Je crus voir là le résultat d’une action nerveuse plus ou
ut connaître. Je songeai à ces beaux vers de notre poète Lemierre : Croire tout découvert est une erreur profonde, C'est pre
chez lequel ils opèrent la sensation d'une saveur ou d’une odeur, je crois qu'ils soutirent de la lumière astrale une essenc
r ministère pour détruire les serpents d«toute espèce, etc. a A les croire , un instinct merveilleux les entraîne d'abord ver
— Soit! si c’est le nom qu’il vous plaît de leur donner. — Je ne crois pas aux esprits. Mon mari, qui n’y croit pas non
ît de leur donner. — Je ne crois pas aux esprits. Mon mari, qui n’y croit pas non plus, s’est aventuré vainement à la décou
orte, et toujours elle reste solidement close. Si bien que moi qui ne croyais pas avant mes essais, je crois moins encore depui
dement close. Si bien que moi qui ne croyais pas avant mes essais, je crois moins encore depuis leur campagne perdue. — Ne
dix-sept ou dix-neuf jours. Je suis sans puissance, moi, sa mère!... Croyez -le, l'impuissance maternelle est la plus cruelle
L’un de nos magnétistes les plus distingués, le docteur du Planty, ne croyait point aux phénomènes du spiritualisme, et recherc
us le craignons, par nos lecteurs ; c’est que notre correspondant ait cru ne pas devoir donner son nom au public. Nous devo
e l'immortel philosophe d'Athènes. Autrefois j’aurais dit et j'aurais cru pouvoir prouver, non pas avec le talent et l'érui
alent et l'éruiiitiou de l'auteur, certaine partie de ce qu’il dit et croit prouver. Maintenant j’ai la persuasion, mieux ren
de vous terrifier, espèces de simulacres de diables, auxquels vous ne croyez pas, mais qui naturellement ont leurs électro-typ
une physique avancée, je n'en concevais l’explication naturelle. Je crois positivement aujourd'hui, d'après mes expériences
mes expériences, que rien n'existe sans un rayonnement fiuidique. Je crois que tonte action de la vie, action élcctro-puissa
attraction) a celui de rassembler et de composer? Est-ce que (si vous croyez ù l'âme, qui doit nécessairement séjourner quelqu
dres en même temps que les es-«prils iKisitifs, ceux qui ont besoin d« croire autant que ceux qui ont « besoin de connaître, ce
iseursqui s'imaginent, peut-être, communier avec elle, en refusant de croire au spiritualisme. Los rentres de ces deux sys
t et la rénovation de la vie. Nous, spiritualistes, plus que jamais croyons à l’immortalité de l’âme ; conservons la pensée p
pelons-nous qu'à l’époque même où un Egyptien fut tué et’mangé « tout cru pour s’ètre permis, dans une dispute, une railler
rrêté ces mangues en si beau chemin. Est-ce que véritablement vous ne croyez point au diable ? me demandera-t-on. Pour ma péro
aison, je déclare, une seconde fois, que je l’ai vu , mais que je n’y crois point comme on l’entend généralement. Je crois en
i vu , mais que je n’y crois point comme on l’entend généralement. Je crois en Dieu, c’est vous dire que, pour moi, son princ
plié no9 expériences, et toutes ont été concluantes. Alors nous avons cru au magnétisme, au somnambulisme et à tout ce qu’o
e la maladie de superstition, triste infirmité, plus grande qu'on 11e croit , ou bien ils ont été la dupe de jongleurs habiles
tés que ces questions présentent à son esprit? Non certainement. Nous croyons tout savoir, nous tranchons sur tout, et, dans no
ns, nous affirmons avec assurance, nous élevons des théories que nous croyons inébranlables et que bientôt les faits viennent r
nes qui ne savaient absolu ment rien-, et, à la suite de cela, qui le croirait , le Spiritual Tclegrapk cite une série de phénomè
e aux héros du surnaturel, se montrait très-réservé et très-disposé à croire ; il nefaisait pas la moindre objection, aussi Hom
est sorti. Il est toujours ainsi. Il ne discute pas, il exige qu’on croie , et il ne se manifeste pas devant les sceptiques
profondir le mode de sa vision. Il répugnait à ma raison cependant de croire à ces déplacements , à ces migrations momentanées
uelles je suis consultée; f en fais Cessai ; je les goûte quand je le crois utile, et je les change en totalité ou en partie,
uées de vices organiques. Quant à la cause de ces phénomènes, je la crois tout à fait magnétique, et je pense qu’elle est d
e pouvons qu’enregistrer ses témoignages sympathiques. Néanmoins nous croyons qu’il ne sera pas sans intérêt pour nos lecteurs
ne font que répéter ce qu’ont fait leurs devanciers ; et, bien qu’ils croient progresser, ils tournent dans un cercle fatal et
science, qui a été pour elle un poison mortel. Ce système, que nous croyons avoir exactement résumé, est aussi original que p
s profond respect et l’invoque comme une autorité souveraine, on doit croire qu’il ne la regarde pas comme une œuvre divine, c
qu’il n’a pu à cet égard avoir de renseignements certains. Et comment croire cet auteur qui ne dit pas un mot des sources auxq
la vérité dans son récit de la création ; donc il doit également être cru dans celui du paradis terrestre et de la chute de
t quel’auteur a été exact à cet égard, mais nullement qu’il doit être cru dans toutes les autres parties de son ouvrage , m
ne dirais-je pas de l'étrange folie D'un peuple d'esprits forts (pii croit à la magie, Oui. poursuivant partout les supers
s oracles, Tandis que, sur la foi d'un rêveur allemand, Ce peuple croit touchera son dernier moment; Et, malgré Babinet
e, tout cela n’est que Xétrange folie d'un peuple d’esprits forts qui croit à lu magie. Et si, au milieu de cette tendance
ne seraient que des dupes, des esprits atteints de l’étrange folie de croire à la magie et à des visions cornues? Ou vous av
médium américain à des tours de prestidigitation. Un moment on avait cru pouvoir user de telles explications, alors on a f
l’épouvante au grotesque. (. Ceux qui s’adonnent au merveilleux se croient spiritua-listes ; ils sont attachés à la matière,
net, les traiter de jongleries , de tours de gobelet, M. Paul divoy a cru voir là un retour, une réaction de l’opinion. Alo
s avaient dans ces apparences. Voilà un saint Thomas qui déclarait ne croire qu’après avoir vu et lorsque les circonstances fo
bien vu, de ses propres yeux vu, il se demande encore comment on peut croire à ce qu’il appelle ces apparences! Alors que faud
croire à ce qu’il appelle ces apparences! Alors que faudra-t-il pour croire ? Faut-il que, comme le M. Marphurius de Molière,
sûr que, le cas échéant, le rédacteur du Courrier de Paris voulût en croire ses yeux et ses sens, et qu’en allant montrer ses
tatés. M. Paul d’Ivoy dit que ceux qui s’adonnent au merveilleux se croient spiritualistes, mais qu’ils sont, contre tout eff
manque d’aussi peu de logique que de convenance. Nous avions toujours cru jusqu’à présent que la croyance à l’âme, à son im
res et leurs valets. Le vrai mérite pour ces messieurs est de ne rien croire ; ceux qui d en-trenousont des sens, voient, ente
qu’il a un savoir incontesté sur tout ce qui est d’ordre vulgaire, sc croit autorisé à traiter du haut de son mépris et de so
ible d’escamoter ; il faut de toute nécessité en faire quelque chose. Croira-t -on échapper à la difficulté en prononçant d’emblé
comprendre, deux fois au moins de bonne volonté comme il en faut pour croire tout bonnement aux merveilles dont elle a la prét
velle à leur conduite, ont pu en imposer à des hommes d’Etat que l’on croyait en garde contre toute espèce de surprise, à des m
-Jacques Rousseau, Mirabeau, Danton, M“” de Staël, etc., s’il faut en croire des signatures spontané- meut, librement appo
qui n’était point douteusfc, mais qui leur parut telle alors, ils se croyaient dans cet instant coupables aux yeux de Dieu et de
’il y ait déjà quinze ans d’écoulés, en me rappelant cette époque, je crois encore avoir sous les yeux ce terrible drame. » L
e de vains fantômes, il se figure que ses perceptions sont exactes et croit posséder la vérité. Le somnambule le plusjlucide,
u’il ne connaît pas, tandis que le somnambule qui a été lucide et qui croit encore l’être, même quand sa lucidité lui échappe
en rapport avec la plupart des membres du comité de cette Société, se croyait enceinte depuis trente-neuf mois, et demandait in
ntôt Goodall, qui s’assit dans le lit et se mit à interroger ce qu’il croyait être un esprit ; et, après avoir demandé que les
, rien qui la fit mouvoir. Les coups devenantdeplus en plus forts, je crus prudent de faire intervenir encore la couverture,
nt témoin, en la présence de M. Redman et d’autres médiums, nous fait croire à ce qui va suivre ; mais nous confessons que, sa
onna beaucoup pour m’être survenu sans que je m’en fusse aperçue : je crus même que tu avais fait ouvrir la fenêtre pendant
s et autres ingrédients que je trouve convenables, les remèdes que je crois propres à guérir, et que je les éprouve ensuite p
teindre. « Maintenant, que ce soit mon câme qui y aille, mais je ne crois pas qu’elle abandonne le corps, et tu m’assures q
ue je ne parle que pour eux, — ils auront trop tôt oublié qu’avant de croire au magnétisme, ils se sont moqués des merveilleus
J'en fus inquiété par suite de quelques points de ressemblance que je crus y trouver avec un commencement d'amaurose dont je
ée : je ne sais si je serais d’accord avec votre collaborateur. Je ne crois pas que les somnambules puissent émettre toute le
on varierait sans doute avec l’étatdes opérateurs. Mais plutôt que de croire ii une séparation complète, absolue, j’aime mieux
ment de l’â:ne des somnambules, je passe à ma deuxième thèse, dont je crois pouvoir aussi soutenir la vérité, concurremment a
arfaite santé, mais je continue néanmoins le traitement, car je ne le crois pas entièrement débarrassé de ces hôtes incommode
a fallu lutter contre une indiflérence à laquelle vous auriez peine à croire . A Lausanne cependant, après des efforts, je
ngement de ses facultés intellectuelles, « principalement parce qu'il croit à l’existence réelle et cor-« porelle du diable,,
est heureux pour cette pauvre clame qu’elle ait trouvé un médecin qui croyait au magnétisme et savait le pratiquer. Bien souven
les se mettent en rapport avec les objets éloignés ; quelques-uns ont cru qu’on ne pouvait rendre compte de ces étranges ph
s assistants qid savent parfaitement qu’au moment où le somnambule se croyait transporté à des distances immenses, il n’avait p
comme nous-’ savons, à n’en pouvoir douter, qu’au moment même où il;, croyait faire tous ces actes il était immobile à la même
e' et du corps n’est qu’une chimère, car le somnambule, bien qu’il se croie naviguer dans les mers lointaines, est ici sous 1
. « Maintenant, dit-elle, que ce soit mon âme qui y aille, mais je ne crois pas qu’elle abandonne le corps, et tu m’assures q
le ton tranchant de tant de somnambules qui, gâtés par les éloges, se croient en droit de résoudre souverainement toutes le
as de milieu entre séparation et non séparation : quand le somnambule croit voyager en Chine, son esprit y est-il réellement
er ainsi des phrases qui en définitive n’expriment rien. Nous avons cru devoir insister sur ce sujet, parce que bon nombr
ieur le baron, Je vous envoie la relation de quelques faits qui, je crois , ne peuvent manquer d’intéresser les lecteurs du
ce de cinq semaines environ, elle a retrouvé un sommeil cahne qu’elle croyait avoir perdu pour toujours. Attaques d'épilgpsie
tisme sous la forme la plus désintéressée ; fais-en ton profit, si tu crois qu'elle puisse être de quelque utilité à la scien
vantage de désabuser un nombreux public, qui, magnétiquement parlant, croit encore, hélas !' aux prétendues victoires académi
« Il , rue Geoffroy-Marie. « Paris, e«l*r octobre 1857. » Nous croyons parfaitement à la sincérité de M. Marcilletetà la
des phénomènes somnambuliques et spiritualistes, il faut à l’avance y croire , tandis que la foi implique au préalable une conv
à insuccès. Nous le disons encore, incrédules ! voulez-vous arriver à croire , voulez-vous vous édifier sur la valeur de forces
aculeusement détourné de sa route. Un oiseau mystérieux, s’il faut en croire le récit des journaux, aurait frappé trois fois l
trois points, chiffre égal aux trois avertissements mystérieux qu’il croit avoir reçus, et arrive, grâce à cette déviation ,
de cette prophétie ; Home parle rarement de ce qui doit arriver; Home croit cependant à la possibilité de prévoir, et il appe
ne sera peut-être pas sans intérêt de savoir qu’au seizième siècle on croyait à la possibilité de communiquer à distance, à l’a
au creuset de la pratique. Ses essais ont été concluants, et il s’est cru obligé de confesser sa foi. Aujourd'hui il fait p
rovoqués par le magnétisme artificiel ; la plupart de ses membres n’v croient même pas ; toutefois la société est loin de parta
en, M. Babinet, dit que M. Victor Hug«ne peut lui pardonner de ne pas croire aux tables tournantes et aux esprits pythons du d
algré mes efforts, je ne pus faire aucun mouvement des doigts : je le crus cassé. Vidé par un passant, mon bras fut relevé
ne pas l’inquiéter sur ses suites lorsque je serais loin d’elle. Je crois devoir faire connaître ce fait, quoiqu’il ne soit
ez à la matière. (N° 239, 4" série.) Je n’ai rien voulu dire, et je crois n’avoir rien dit de semblable , et le satirique e
s autre chose. Au reste, peut-être ai-je mal interprété, — et je le crois , — le sens attaché par M. le docteur Ordinair
it pris le change sur quelques passages de notre lettre, et qu’il ait cru devoir récriminer sur celle opposition injuste cl
gnétisme) dans scs principes et dans sa pratique. (Page h.) « 'Nous croyons que l’étude approfondie du magnétisme doit remet
rais osé me permettre d'aller aussi loin que lui. Il me doit donc, je crois , une absolution complète sur ce chef. Et d aill
t par les préjugés qui lui furent inculqués dans son enfance et qu’il croyait avoir dépouillés dans l'âge mûr : ceci est dans l
ambule de son observation. Notre honorable collègue, — et il l’est, croyons -nous, à plus d’un titre, — pense que, pour donner
y doit se bien persuader que nous ne sommes plus au temps où Puységur croyait devoir faire dresser des procès-verbaux de chacun
les laisser passer sans réponse. Avant d’aborder cette question, nous croyons devoir présenter quelques considérations sur les
e mêle de tout; c’est l'effet d’un sort jeté par quelque sorcier ; on croit connaître le coupable, on l’arrête, 011 le tortur
pas une raison pour lui donner le titre de naturel; mais nous devons croire qu’il est régi par d’autres lois que peut-être de
sance du fond du coeur (tome n , p. 197). Beaucoup de magnétiseurs ne croient pas au diable, et, par conséquent, ne peuvent pas
mons de la manière la plus positive que les magnétiseurs, soit qu’ils croient ou non au diable, regardent la magnétisation comm
rimé à la science nouvelle, nous avons pris la défense de ce que nous croyons vrai et enregistré dans notre journal un spécimen
rmi les personnes qui ont assisté ses démonstrations, il n’en est, je crois , aucune qui ait osé publier franchement, résolume
ront son utilité et sa valeur aux yeux de tout le monde. C’est, je le crois , de tous les moyens de propagande celui qui prése
èvre cérébrale amenée par un appauvrissement du système nerveux. Je crois que cet appauvrissement est moins à craindre que
uvrière, elle se sentit tout à coup atteinte par plusieurs pierres et crut d’abord qu’elles lui étaient lancées par quelqu’u
teurs, ou bien qu’ils étaient, comme chacun autour de moi semblait le croire , une manifestation spirituelle. Du reste, les ex
n est l’usage. Deux violons, un porte-voix en fer-blanc, et aussi, je crois bien me rappeler, un tambourin, gisent sur les ba
faits du magnétisme, je lui en citai plusieurs exemples qu’elle parut croire ; je lui proposai d’en essayer, ce qu’elle accepta
t chez elle ; il lui fut ordonné par son médecin, consciencieux je le crois , il lui fut ordonné, dis-je, des bains fort chers
qui avait soustrait la montre avoir peur de la somnambule, et qu’elle croyait que d'ici à quelques jours , l’on rapporterait la
. MORIN. l'incrédulité des savants jugée par arago. a Les Chinois croyaient que les apparitions des aérolithes étaient liées
e Folie-Méricourt, 61. » Réflexion sur ce qui précède. — M. Mathieu croit aux esprits dont il a attentivement, froidement,
On lit dans la Patrie du 22 septembre : n Faut-il ou ne faut-il pas croire aux pressentiments et à certains faits de l’ordre
ouleurs si atroces que les employés envoyèrent chercher un médecin et crurent à la réalité de l’empoisonnement. Il s’écoula une
). M. Auguez cite ensuite un grand nombre de faits dans lesquels il croit voir l’intervention d’êtres surhumains : quelle q
ls que le mouvement, le langage des tables. Il n’y a pas de raison de croire qu’il en doive être autrement des phénomènes plus
as (p. 146.) On ne s’explique pas cette contradiction ; nous aimons à croire que c’est dans ce dernier passage qu’est la vérit
4 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
es parlantes, autrement dit des communications spirituelles. « Nous croyons pouvoir raisonner de cette découverte sans avoir
ion nu à la discrétion d’un filou spirituel et rusé. « On a tort de croire que 1 esprit est là, dans la table qui vous parle
dans la table qui vous parle ; c’est comme si l’employé du télégraphe croyait que sou interlocuteur est derrière son cadran. 11
amais été expliqué d’une manière plausible et saisissable, comme nous croyons l’avoir fait, après une étude critique prolongée
xprime par sa voix comme il s’exprime par la main du medium, que nous croyons plus juste d’appeler èvocutcur. « Ce qui se pas
me nous l’a dit un esprit supérieur : « La vertu est une plante qui croit sur des escarpements ; « il faut gravir pour l'at
gnétisé. M. L..., marchand cafetier en cette ville, se présenta. Je crus remarquer une espèce de contrariété de la part du
10 heures et 6 minutes « qu’il est. „ _ Voyons donc, dit-il, je ne crois pas me tromper. » « On lui remit la montre dans
apparent, s’est réveillée plus animée; le dix-neuvième siècle, qui se croyait si positif, si froidement matérialiste, a vu surg
naissance do tous les secrets de la création ; la raison nous porte à croire , par analogie, que les êtres intelligents et étra
uer en rien le pourquoi de ces différences d’action, ils continuent à croire à l’infaillibilité de leur doctrine. Le champ e
aillent dans mille laboratoires à épurer et spiritualiser ce que nous croyons être les plus pures essences de la nature. C’est
s philosophes modernes? Que savent-ils sur celte matière? Hélas! nous croyons nous appartenir, et il n’en esi absolument rien.
vivants venant du dehors, et ayant puissance sur le domaine que nous croyons nous appartenir en propre. Je vais démontrer la p
e, ils la traduiront même en acte visible. C’est une grande erreur de croire que toujours les conceptions de notre esprit vien
iment? Quel est le messager invisible qui apporte la fatal» nouvelle? Croyez -vous qu’il soit possible à la matière de remplir
Baron DU POTET. (Ln mille prochainement.) Il y a des penseurs qui croient que l'antiquité connaissait presque tout ce qui n
tour de moi se répandit une clarté suave. Crois-« moi, Périclès, oui, crois -moi, dans ce calme de 1 ame, le « divin I'.sculap
se dépouillait de toute sensibilité et de-« meurait gisant. On l’eùt cru mort; aiguillon, piqûre, « brûlure même, il ne se
vous dormirez. La conversation générale s’engagea, et au moment où je crus que personne ne se défiait, sans le regarder, je
ut l’être, j’endormis mon sujet et lui fis la question suivante : — Croyez -vous qu’il y ait parmi nous des incrédules? — 1
exemple, ayant mis entre les mains du somnambule un verre à boire, il croyait tenir un coq de perdrix. Les pincettes furent tra
me dans le premier cas, l’action fut si rapide et si violente, que je crus la porte enfoncée et le sujet blessé. Les spectat
yai de nouveau, mais vainement. Je répéterai celte expérience, que je crois de la plus haute importance. Je termine ce long
par une forte émission d’électricité vitale. M. Bruyas dit : « Nous croyons la rotation de l’homme possible; mais nous n’avon
ons inouïes a donné lieu le mouvement des tables et autres objets. On croit ainsi se mettre en rapport avec des esprits bons
ar quelle illusion les imaginations, frappées de tous ces phénomènes, croient converser avec les esprits. On adresse à la table
ensée de l'auteur, mais elle n'est pas assez précise pour autoriser à croire que la magnétisation, telle que nous l’entendons,
ger de refaire l'éducation. Quant au magnétisme, dont on aurait pu le croire fervent adepte, il nous assure qu’il n’existe plu
dire, il n’est parvenu qu’à produire un galimatias prétentieux. Il a cru sans doute qu’un professeur de magie perdrait tou
ablement sur les petits incidents des toumements de tables. 11 paraît croire de la meilleure foi du monde qu’il a fait une déc
telligence, une individualité distincte de celle des opérateurs, on a cru pouvoir en conclure qu'il y avait intervention d’
forme d’un ellipsoïde allongé et non celle d’une orange, comme l’ont cru les savants qui ont mesuré les degrés du méridien
res i r;i. XII!. — V ISt. — 10 fCvhieh IS:,4. à toutes colles qn’on croyait avoir jusqu'à pré- , quVIle semble réveiller dans
oi à cet égard une i■ »i,viction profonde fondée sur des faits que je crois incontestables. 'i Dans le somnambulisme, l’àme
t du merveilleux, soit en stimulant le germe du fanatisme. Les uns se croyaient des dieux ou des messagers de la Divinité : on le
ant que vous ayez porté votre jugement sur cette affaire, veuillez me croire , Monsieur le baron, votre très-humble serviteur,
te maintenant beaucoup de partisans, et plus on expérimente, moins on croit que le magnétisme entre pour quelque chose dans s
tS. Palis, U juin ISô:.. Cette question des tables, qu’on pouvait croire éteinte au point de vue de la polémiqué, vient de
us recours à un medium, et j'appris que ce n'élait point, comme je le croyais , un ellet de ma propre imagination, mais bien un
une semblable pensée du haut de la chaire, et je confesse que je n’y croyais point; mais aujourd’hui elle se présente sous une
es songes. Combien pourrions-nous compter de fanatiques qui se sont crus des dieux ou des messagers de la Providence? L’
le citi. dans le monde des esprits et dans les enfers. » Si l’on en croit le rapport des médecins de Londres, l’ex-t '.se d
homme est dans une situation qui tient du sommeil et de la veille: il croit cependant qu'il est parfaitement éveillé, car ses
11 admettait des puissances intermédiaires entre Dieu et l’homme, et croyait que celui-ci pouvait, par un effort de son esprit
lère, ii la rage, aux blasphèmes, aux appétits désordonnés, vous vous croirez la plus misérable et la plus détestable de toutes
ressait à ses malades : « Qu’avez-vous? « —Telle infirmité. « — Croyez -vous que Dieu, qui nous envoie le mal, puisse l’O
uition médicale avec les somnambules, et l’expérience nous autorise à croire que la lucidité s'affaiblit ou disparait dans le
rps aura retenu quelques parcelles du principe immatériel ? Nous ne croyons pas qu’on ose arriver jusque-là ; il serait contr
que l’on attribue à nous ne savons quel agent mystérieux, et que l’on croit obtenir en imposant les mains d’une certaine faço
dans la nature, notre sollicitude ne s'est point alarmée. Nous avons cru que cette mode passerait bien vite dans notre pay
Aujourd'hui, N. T. C. nous ne sommes pas sans appréhensions, et nous croyons qu'il est de notre devoir de donner des avertisse
des pratiques absurdes, pleine» de périls, superstitieuses, que l’on croirait renouvelées du paganisme. n 11 y a sans doute d
ec les démons. Socrate conversait avec son démon familier, Pytha-gore croyait à l’âme du monde, qui anime, selon lui, les diffé
dont vous recherchez le commerce dans vos puériles expériences? Vous croyez donc que le Créateur a soumis ces sublimes esprit
des saintes Ecritures et sur l’enseignement de l’Eglise, nous avions cru que ces intelligences si parfaites étaient entre
i aspirez à l’amitié et à l’éternelle possession de Dieu, pouvez-vous croire qu’un commerce familier vous soit permis avec ceu
u vous consulter pour celle affaire? Ai Roger. C'élait dans l’été, je crois . M. i.e Président. F.t pour le second événement
condamnée comme les autres somnambules : mai-tous ont continué, j’ai cru que cela ne nous élait pas défendu. M. le Prési
e certain lemps ? qui le dit ? qui le précise ? Mme Roger dit qu'elle croit que c’est dans le courant de l’été dernier, mais
e poursuit, elles ne nous sont point parvenues. M' Jules Fay'rb. Je crois que ces pièces seraient d’une grande ulililé dans
, je demande alors qu’on remette la cause.... M. le Substitut. Nous croyons que ces pièces ne sont plus nécessaires eu présen
ladive, il n’y a que cela qui me soulage. SI. le Président. Et vous croyez que c’est voire «Iroil? M"' Roger. Je ne dis pa
. La justice cherche à s’éclairer par tous les moyens; il ne faut pas croire que la justice croie aux dons surnaturels des som
s’éclairer par tous les moyens; il ne faut pas croire que la justice croie aux dons surnaturels des somnambules ; mais en de
ansmet par voie d’hérédité, principe qui souffre peu d’exceptions. Je crois utile de faire observer ici, pour plus tard en ti
fonction de prédilection. Comme complément de cette observation, je crois nécessaire de mentionner que M. Seydcl n’a pas l'
s-remarquables, ils n’avaient pas été jusqu’au somnambulisme. Le mari crut que c’était une nouvelle maladie qui se déclarait
ur sensibilité magnétique ? D'après la théorie, 011 serait porté à le croire . Conséquemment, si au lieu de saignées on faisa
la manifestation de la sensibilité magnétique, comme semble le faire croire l'exemple suivant : X. —Me trouvant un dimanche
dessus mentionnés et de ceux bien plus nombreux que j’ai observés, je crois devoir conclure que la liquidité du sang, le brui
nstaté plusieurs fois sur des personnes sensibles au magnétisme. Je crois même devoir faire connaître les remarque' ingénie
s lois |>iiysi>->l>''i«|!-*sai>léc**:lniite9, j’aurais cru à voire découverte, si l'expérience n’élail vomie
e, est une forte présomption qu’il y sera lui-même accessible. J’ai cru remarquer que cette transmission héréditaire avai
lcmonslrimt. Sans sortir de mon sujet, il est un fait sur lequel je crois nécessaire d’appeler l’attention des magnétiseurs
es accompagne. Conclusion. Tels sont les points sur lesquels j’ai cru devoir appeler l’attention des magnétiseurs, pour
nt troublées. Après en avoir mûrement délibéré avec mon conseil, je crois devoir défendre à tous les ecclésiastiques de mon
ogé plusieurs prêtres et autres personnes recommandables, qui avaient cru pouvoir faire des expériences à ce sujet ou y ass
vination, pour prédire l’avenir, etc., etc. C'est une superstition de croire aux rêv es et de se régler sur ses songes. C’en e
s frappeurs, excitent toujours beaucoup de controverses. Ceux qui 11e croient pas accusent les autres de crédulité ; ceux qui c
Ceux qui 11e croient pas accusent les autres de crédulité ; ceux qui croient reprochent aux incrédules de manquer de fluide.
tout en priant Dieu, elles 11e négligent rien pour le faire oublier, croyez -vous que ces prières, même dites en latin, parvie
urait été éclatant, il regarde son expérience comme concluante, et il croit avoir réduit au néant le fameux phénomène des tab
r quelque lumière sur un sujet si intéressant et encore si obscur. Je crois donc devoir apporter aussi mon tribut d'observati
ouvrir d'épingles pour prouver le phénomène de l’insensibilité. S'ils croient faire des conversions au magnétisme, ils se tromp
oyances mystiques voient l’invisible... ils sont de bonne foi.... ils croient voir, cela leur suffit.....> Tous ces préten
qui préside à l’enlèvement des personnes est toute physique. M. Bégué croit , au contraire, que le concours d’un agent mystéri
ne sent presque pas l’impulsion des oigts qui le soutiennent. » Il croit pouvoir conclure, d’après cela, que le phénomène
le docteur Bégué sur l’importance du phénomène qui nous occupe. Il en croit les conséquences bien autrement importantes que c
r ce journal : Pans, 21 octobre ISS". Monsieur le rédacteur, Je crois remplir un devoir en livrant à la publicité les f
anifester et faire ainsi partager à l’assemblée une conviction que je croyais trop bien fondée pour n'être pas précieuse. O11
n au moins pratique. Pour nous, nous parlons comme témoin. Nous avons cru ne pas pouvoir taire les choses que nous avons vu
a jeté de si profondes racines parmi les prétendus esprits forts, qui croient se donner un fumet d’académicien en niant sans ex
enfance, n’avait point été réveillé; niais, dans son cauchemar, avait cru voir les faits qu’il avait racontés à son réveil.
ènes si pompeusement annoncés se sont présentés si timidement, que je crois devoir en féliciter les personnes inconnues qui s
squement burlesque dans les manœuvres de M. Delaroche, que je me suis cru à une représentation des Extases de M, IIochenez,
s. M. Aubin Gauthier était plutôt magnétologiste que praticien ; il crut dès l’abord au triomphe prochain de cette cause;
fanatisme le plus extravagant. L’halluciné peut de très-bonne foi se croire l’organe des esprits; l’exaltation de son cerveau
expérimentateurs, el qu’il y a seulement rotation, tout nous porte à croire que le mouvement est analogue à celui que produis
eux que de la reconnaissance et de la sympathie. Seulement nous nous croyons obligé, dans l’intérêt de la vérité, de mettre le
douloureux; la jeune fille me dit qu’elle était guérie et qu’elle se croyait en état de reprendre sa place. Le lendemain, les
urquoi ce retard ? A-t-il failli ii sa lucidité habituelle? Je lie le crois pas, et je pense que vous ne le croirez pas davan
lucidité habituelle? Je lie le crois pas, et je pense que vous ne le croirez pas davantage. La raison , le pourquoi et la caus
ommission de poursuivre leurs investigations jusqu’à leur terme. Nous croyons que les progrès de la science et les vrais intérê
nserver les illusions de la fausse science des écoles. N’allez point, croyez -moi, sans noviciat, chercher des réalités terribl
pératoires, mais les conditions morales qui assurent le succès. Je ne crois point que l’on doive suivre un autre chemin que c
réalité des phénomènes admirables que des savants persistent encore à croire au-dessous de leur examen. La cause du magnétisme
venge noblement le magnétisme des dédains par lesquels on a longtemps cru l’étouffer. Cette masse de suffrages éclairés, co
d'à-propos et même de nouveauté. En traitant un sujet qu’on aurait pu croire usé, tant il a été exploré, l’auteur a su être or
l’immortalité de l’âme y est soutenue par de nombreux arguments. Nous croyons utile de signaler quelques-unes des propositions
les autres propriétés. Quoique spiritualiste prononcé, M. Noizet ne croit pas avoir besoin, pour expliquer le phénomène si
, ni moins dignes d’être étudiés ; il réfute victorieusement ceux qui croient qu’après avoir prononcé le mot imagination, on a
— Prix : ïî fr. L’auteur de cette brochure est catholique, et il a cru pouvoir, sans manquer aux prescriptions de l’Égli
de rhétorique. Je terminerai par le récit d’une expérience qui, je crois , pourra servir à élucider la question. Je me tr
iments s’allie à celle de la naissance : il est marquis. Mais loin de croire déroger en exerçant la médecine magnétique, il s’
au bout de ce sacrifice. M. Winnen, sans cesser d’être aussi dévoué, crut qu’il pouvait concilier deux choses contraires :
nder un journal, dont le premier numéro paraîtra le 15 mai. Si vous croyez que pour montrer les progrès chaque jour croissan
augmenté, les facultés du bois progressent. « Les esprits forts ne croient pas même en Dieu ; ils ne croient qu’en eux, et,
ogressent. « Les esprits forts ne croient pas même en Dieu ; ils ne croient qu’en eux, et, au lieu d’étudier, ils trouvent pl
regarde comme incidente ; je nie bornerai ù dire seulement à ceux qui croient que les esprits voltigent autour de nous: que les
nge et l’absurde sont les fruits amers et mérités de l’abus. Quand on croit à l’existence des esprits, il faut admettre qu’il
ter, mais pour l'empècher de continuer ses cérémonies ; qu’il faisait croire à une puissance imaginaire dans le but de réalise
la réalité des faits et la cause qui lésa produits. Beaucoup de gens croient avoir résolu toutes les difficultés en niant tout
, il a donné beaucoup à réfléchir sur la témérité de ceux qui avaient cru pouvoir poser les limites du possible ; il a jeté
e grandeur, et l’a vengé des sarcasmes d’une fausse science qui avait cru pouvoir rejeter tout ce qui dépassait son pouvoir
it-il, que veut-il ? 11 ne daigne pas nous le dire, et nous devons le croire sur parole. Abonnons-nous d’abord, et... qui vivr
un jugement droit ; mais sous ces rugosités d’écorce, il circule, je crois , une sève active, abondante, qui peut donner lieu
de programme consigné ci-dessus dans l'article de son critique. 11 ne croit ni au diable, ni aux esprits; pour lui la cause d
, mon ami, M. A.-S. Morin, relate des expériences qui tendent à faire croire à un mode d’action inconnu : 1° Une table saupo
avoir la conscience, sous l'influence d’une volonté étrangère. Nous croyons que cette hypothèse peut expliquer, non-seulement
journalières, n’en sont pas moins des phénomènes vrais et réels. On croit donc d’ailleurs que les actes volontaires sont gé
r, l'expérience me semble avoir besoin de confirmation. J’ai toujours cru que les att ractions magnétiques avaient pour cau
comme des livres, font des vers ou composent de la musique. Nous ne croyons pas utile d’examiner chaque degré en particulier,
de formuler des indications sur la formation d'une bonne chaîne. Nous croyons que l’auteur anonyme de Comment l'esprit vient au
, autrement, pour le français, du domaine de la logomachie. nous ne croyons pas la vie intellectuelle bornée à l’humanité. No
déclarer, sans crainte de blesser un orgueil trop susceptible : nous croyons que l’homme n’est qu’un échelon inférieur de la s
de la série infinie d’intelligences qui s’élève jusqu’à Dieu. Nous croyons , sans connaître le mode de liaison des groupes en
t aussi naturelles que celles qui régissent le monde physique. Nous croyons que la mort de l’homme n'est qu’une transformatio
i ne s’anéantit pas par la destruction de ses organes palpables. Nous croyons que les morts sont bien vivants. Nous croyons q
ganes palpables. Nous croyons que les morts sont bien vivants. Nous croyons qu’ils peuvent encore entrer en relation avec les
entrer en relation avec les hommes vivants de la vie terrestre. Nous croyons , en un mot, il la communion des vivants et des mo
croyons, en un mot, il la communion des vivants et des morts. Nous croyons surtout que les faits qui résulteraient de ces lo
ment. Ainsi, il ne nous est jamais venu dans la pensée de dire : « Je crois que l’ai— « niant attire le fer; je crois que la
ns la pensée de dire : « Je crois que l’ai— « niant attire le fer; je crois que la résultante de deux forces « est dirigée su
les « lignes qui les représentent en grandeur et en direction ; je « crois que la somme des angles d’un triangle est égale à
’orthographe vulgaire. Mais le plus bizarre, c'est que notre Moïse ne croyait point aux miracles, et qu’il a, à vingt reprises
rlé. Je connais un groupe d’expérimentateurs qui a fini par ne plus croire aux dictées d’esprits, et qui ne demande plus dep
lusion collective est un fait beaucoup moins exceptionnel qu’on ne le croit . Le phénomène du mirage est le produit d’une illu
xplique. Tous voient un lac, dont une île, sur laquelle l’observateur croit stationner, est le centre. Presque toujours l'hal
able d’illusion collective m’a été cité par R1. I). Laverdau, (|ue je crois pouvoir nommer ici sans indiscrétion. Ce fait m'a
naturellement des imbéciles qui gobent la conclusion. On leur ferait croire que le tableau de la transfiguration, étant l'œuv
rire quoi que ce soit de blessant pour son ancien professeur, n’a pas cru devoir retirer son article. 11 s applaudit d ai
parent pour les générations futures, vous seriez trop émus, peut-être croiriez -vous que l'illusion s’est emparée de vos esprits
jours ; son ardeur à répandre le magnétisme était trop grande, car il croyait n’avoir jamais assez fait pour la science nouvell
la création, brillait à leur front comme marque de l’immortalité! « Croyez -le, chers collègues, la vie est belle et heureuse
: l’homme, dans cet état, revêt des attributs transcendants que l’on croirait empruntés à une nature supérieure ; à mesure que
pour le bien comme pour le mal, suivant l’usage bon ou mauvais qu’il croit devoir faire des nouveaux instruments mis à sa di
ténébreux, Voit clair, marche droit, est calme el vit heureux. On croit qu'en ce beau jour, pure, sonore, audible, Ici,
ences et connaissaient les causes et les effets des choses. Nul ne se croyait grand s’il n’avait touché à ce sol sacré. Cette t
te de famille ! Personne plus que moi n'a foi dans le magnétisme : je crois au succès de sa cause de toutes les forces de mon
crois au succès de sa cause de toutes les forces de mon âme, comme je crois à la perfectibilité humaine, au progrès, à la lib
rois à la perfectibilité humaine, au progrès, à la liberté ; comme je crois en Dieu de qui émanent toutes ces grandes et sain
yme, nous ne pouvons le trahir, mais chacun l'a nommé déjà; notre ami croit au magnétisme, donc c’est un jobard. Faillite a
t son squelette, Et l'Age adamite reflette, Comme un volcan qu’on croyait mort, Voyez : Pieu parle, el lo chaos Dévoile s
leurs dieux s’entredéchirèrent En causant do nouveaux malheurs. On crut h la philosophie: Forlc, mais trop froido, elle
tion qu’il s’était faite l’an dernier. La tâche était difficile. Nous croyons cependant qu’il n’est pas descendu de la hauteur
s a fondé Rome. A cette turlupinade, Notre malin s'écria : o Vous croyez qu’une ruado «Va nous réduire à quia ? a D’une si
ncé force épigrammes à l’adresse de son collègue Gregory, celui-ci se crut obligé de répondre ; mais au lieu de transformer
ais que l'imagination créole paraît avoir singulièrement exagérées. A croire certaines narrations évidemment empreintes d’enth
ant, instruit par ce qu’il avait \ u à Paris, M. Lacaussade n’a pas cru devoir abandonner les cures par le magnétisme, et
bord comme un inspiré, puis enfin comme un révélateur, et lui-même se croit plutôt chef de secte que glaneur de science. Ses
viennent ici ne guérissent point. C’est leur faute : c’est qu’ils ne croient point qu’on puisse guérir sans la matière, et qu’
e jouir d’une récompense aussi honorable qu’une médaille d’argent, je crois devoir vous en remercier particulièrement. Ma con
par forcer tous les médecins à m’accorder leur estime et le public à croire ce que je dis et ce que je fais. Celte espèce d’a
i curieux que précieux. J’ai énoncé, en effet, une supposition que je crois être la loi et le moyen par lesquels les somnambu
our m’enlever de mon temps, de mes forces et de ma fortune !... Je le crois , si ce que le Jury commence eût été fait il y a d
raiment ému de la marque de distinction dont votre illustre Société a cru devoir honorer mon peu de lumières dans la scienc
e suicider. Sa femme ne le voyant pas rentrer depuis plusieurs jours, crut qu’d avait mis son projet à exécution : elle alla
Afrique pourraient s’expliquer sans recourir au merveilleux, et nous croyons comme lui qu’ils rentrent dans la classe des phén
» Cette proposition ne me paraît pas hasardée, et je suis disposé à croire qu’elle est basée sur l’observation et sur l'enqu
lles, produit par quelque désorganisation physique. Aussi, je ne puis croire que ces aberrations sont répandues au point que l
immense, bril-« lante et conforme à tous vos désirs. » « Bonaparte crut que la bataille de Castiglione réalisait la prédi
tion de M. le comte de Schwerin est précédée d'un avant-propos que je crois devoir traduire ici en entier. 11 m’a semblé qu’o
n de mystique, rien de mystérieux, ainsi que beaucoup de personnes le croient ; que par les spasmes violents survenus journellem
voir rempli l’honorable mission que vous avez bien voulu lui confier, croirait manquer à son devoir si elle ne signalait au Jury
sur les tables tournantes, M. Roux réfute l’opinion des personnes qui croient se mettre en rapport avec des esprits, lorsqu’ell
Messieurs, dit-il, ce ne sont pas des choses à rire; je vous prie de croire qu’il se passe en moi je ne sais quoi qui s’est e
tude. M. Clément, bien loin d’adopter les conséquences que j a-vais cru devoir tirer des faits que je racontais, nie en p
ce mystique voient l'invisible ;..... ils sont de bonne foi.... ils croient voir, cela leur suffit.... » De sorte que me vo
intelligente , que j’appelle esprit. Voilà mon point de départ, et je crois qu’il ne suffit pas, pour le détruire, de me jete
ions avec les esprits, au moyen du fluide magnétique ; ils paraissent croire que tout n’est pas chimérique dans les phénomènes
le et si noble du magnétisme bien compris et bien pratiqué, ils ne se croient pas obligés de se roidir contre Y évidence des fa
et de proclamer sam hésitation et sans réticence cette vérité que je crois incontestable : Le fluide magnétique est le doü
somnambulisme, magie, tables parlantes, esprits frappeurs, etc. Je crois , monsieur le rédacteur, qu’un pareil langage, loi
L’incrédulité est une sorte de foi en "soi-même ; douter, c’est déjà croire ; rejeter tout, c’est le suprême orgueil, et les
ns un silence recueilli, le moment où reviendra lame du devin, qu’ils croient s'être séparée de son corps pour aller converser
vue d’événements passés et futurs, étrangers aux somnambules, il n’y croit pas. Parvenu là, le D'Comet l’arrête par une no
tastiques, d’une faculté réelle des somnambules naturels. » 3° Vous croyez peut-être que la transposition des sens existe? E
c, elles ne partent pas d’un point vrai : malheur à l’imprudent qui y croit !.... Malgré ces restrictions et de nombreuses o
une petite partie de leurs œuvres, 011 l’aura écouté comme un sage et cru comme un savant. J’estime que, dans ces conditi
et si le froid détruit les effets mesmériques et électriques, il faut croire que son action agit sur bien des cerveaux à l’end
ons épileptique, hystérique, nous lui donnons la rage.... Et qu’on ne croie pas ici que j’exagère, j’exprime une conviction p
ent conserveront leur conductibilité et l"assimilation électrique, je crois énoncer une vérité facile à saisir, toute de phys
animal frapper à distance son ennemi ou sa proie, 011 est autorisé à croire aux effets mesmériques à distance. SiHumboldtad
fût pas dans Paris, cette tentative remplissait presque mes vues ; je crus en conséquence ne plus devoir rien entreprendre.
ramènerait aux superstitions du moyen-âge, que plusieurs évêques ont cru devoir avertir les fidèles et leur interdire la r
ber le sarcasme du dédain sur les pauvres d’esprit qui voulaient bien croire que les tables tournaient par une autre cause que
t ici que de rendre témoignage à la vérité, ou du moins à ce que nous croyons , dans notre simple bon sens, devoir être la vérit
xercices de domination sur la force et la volonté d’un individu. Je crois qu’il serait difficile de trouver dans ce résulta
à l’inconnu, une prophétie vérifiée ou assez fatidique pour me faire croire à l'intervention d’un être surnaturel, et dans to
hallucination et manifestation fluidique de la folle du logis. Tel croit l'intervention diabolique, fait parler le démon.
nu el se fail raconter les histoires do l’autre monde. Tel autre se croit le pouvoir de l’évocation des esprits supérieurs
t avec eux un petit bout de conversation. — C’est commode. Celui-là croit être agité par l’âme de la terre, et il écrit là-
, des théories renversantes. Un autre, esprit fort, se moque et 11e croit rien.... sous sa main la table est immobile et mu
suivant sa foi, suivant cc qu’il tire de lui-même. Mais l’homme qui croit à la puissance de son âme et de sa volonté, qui n
elle nous suffira. » Mesmer , Aphor. 278. « Bienheureux ceux qui croiront en moi. car ils poseront les mains sur les malade
dépendissent du choc de quelque corps voisin. u 11 fallait donc ou croire que les esprits avaient réellement élu domicile d
treignit avec force. Trois « fois je fus réveillé par La même vision. Croyez ou ne croyez « pas, général, mais ma conviction e
force. Trois « fois je fus réveillé par La même vision. Croyez ou ne croyez « pas, général, mais ma conviction est arrêtée, j
serait une importante découverte, une éclatante vérité ; mais je n’y crois pas. » Eli bien, aujourd’hui, cet effet n’est p
que ceux-ci fument le tchibouk, les femmes recueillent une herbe qui croit entre les tombeaux, et quand elles en ont fait pr
arler de cette coutume, je n’avais rien lu à ce sujet, et je suis, je crois , le premier voyageur européen témoin de cette nui
lable à celui que je vous adresse. — Ce papier, comme on peut bien le croire , est de la force de tous ceux qui se délivrent en
s médicaments toxiques dont on l’a saturé. Symptômes généraux. — Je crois inutile de m'arrêter à l’élude des causes qui ava
renseignements qui me furent fournis sur l’affection primitive, j’ai cru reconnaître qu’il avait dû exister une conjonctiv
s n’amenèrent aucun résultat favorable, à tel point que l’un des deux crut devoir avertir la famille de l’état désespéré où
x néophytes inexpérimentés encore de la science régénératrice, que je crois devoir adresser le récit d’une expérience qui n’e
ons reçu votre aimable lettre avec grand plaisir ; nous commencions à croire que vous nous aviez oubliés. Vous nous avez pris
placé dans une seconde cassette de métal, d’argent autant que je puis croire . Cette cassette a été enlevée et est tombée en la
ire que le ür Gaddock me charge de chercher un enfant perdu, que l'on croit tombé dans un puits à charbon. Je vais le faire.
cours de l’écriture. Comme elle nommait l’auteur de la lettre, je pus croire un instant qu’elle le connaissait et qu'elle avai
. Respiration petite, ordinaire; pouls petit et un peu fréquent. Je crois avoir affaire à quelque état spasmodique tenant à
jet, par l’effet même de sa volonté, il ne répugne pas à la raison de croire qu’elle a été guérie par la confiance qu’elle a e
s demandes, cette tableauraitrépondu, et les opérateurs auraient bien cru et juré que ce n’était pas eux qui la faisaient m
té à reconnaître, dans l’espèce, l’intervention des esprits, qu’on ne croie pas que je conteste leur existence. La raison nou
Cette relation est de nature a intéresser vivement les personnes qui croient à l’intervention du malin esprit dans les opérati
rapprochement le plus exact qui ait été fait entre ces pratiques; on croirait presque à une copie, tant il y a de ressemblance
traité de la baguette divinatoire, mot qu’il ne prononce même pas, je crois , dans tout son ouvrage. Presque tous ceux qui se
de doute par des expériences. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, on croyait qu’en mettant les pôles d’une pile ou des pôles d
qu’à défaut d’académies, le public est aujourd’hui compétent. Nous croyons que l’Athénée et quelques autres établissements l
u rein (néphrite), bornée à un seul côté. Voici sur quels signes j’ai cru pouvoir établir mon diagnostic. Après une march
t un voyage qui ne m’a plus permis d'avoir de ses nouvelles ; mais je crois pouvoir affirmer que la guérison était presque ra
, la respiration nulle. Le3 parents, réunis à l’entour de son lit, la croyaient morte. Cette fille, âgée de vingt-deux ans, d’une
à discuter la doctrine, à publier les communications des esprits. On croit que ces manifestations vont régénérer l’humanité,
le; il me rapporta plusieurs exemples d’apparitions d’esprits, que je crois devoir vous communiquer. Le premier concerne un h
ranges. Le ministre remarqua que son père ava.it bonne mine, et il le crut parfaitement guéri. Quand ils arrivèrent près de
lle ne pouvait faire venir celle-ci. Je la regardai fixement, et je crus voir dans ses yeux le regard et l’expression de m
e sont des esprits) sont fort raisonnables, et ne demandent pas qu’on croie à moins de preuves palpables; ils disent à tous c
lques minutes une petite fille qu’on lui a apportée mourante et qu’on croyait perdue. î Ces Indiens prétendent que le choléra
té, il savait qu’il encourrait le blâme et le ridicule; mais qu’il se croyait assez fort pour résister. « Il fit ensuite rema
puis il n’a jamais éprouvé de sérieux retours de cette maladie. Il se croirait ingrat envers Tome XII!- — N» tîMî. — 25 septembr
ux qui couchaient dans les appartements voisins de sa chambre avaient cru ^entendre les hurlements d’un chien égaré rôdant
la salive ; seulement les bruits qui s'échappent de son estomac font croire que là est le siège de cette hémor-rhagie. Dans l
e bienveillant. Cependant je dis également avec bonne foi que je ne crois avoir omis rien de ce qui est nécessaire pour dia
mpreint de mobilité et ses gestes conservent une vivacité qui me fait croire que, rendue à des habitudes sédentaires, elle ne
point dictée non plus par le désir de faire parler de moi ou de faire croire à un pouvoir mensonger, afin d’en profiter. Je
ensonger, afin d’en profiter. Je dis ici ce qui est vrai, ce que je crois , et ma persuasion repose sur des faits. 11 est vr
, car.il ne faut qu’une pensée pour la déterminer. Nous tous qui nous croyons très-sains, nous n’agissons souvent que par les p
es et éclater les rires; seul il ne riait ni ne pleurait ; seul il ne croyait pas à ses paroles. Dans l'inspiration même, il av
tout à fait inconnue, et finit par s’endormir de telle façon qu’on la crut morte. La langue inconnue était apparemment celle
ement surnagé. Ceci rappelle uue femme i!e Freyberg qui, si l’on en croit Moller, en 1620, et en présence tle deux ministre
teur. Je pourrais encore citer une vingtaine d’apparitions, mais je crois qu’elles intéresseraient peu. M”* H... conserva j
levée au moment où je la regardais, pendant que je tenais la tôle, je crus trouver quelque rapport entre ce mouvement et cel
e vends trop cher mes coquilles : « Cent firmes! mais c’est à n’y pas croire . Je donne les miennes pour peu de chose, et 011 n
ve où beaucoup de canotiers s’ébattent en troublant ses eaux ; ils se croient tous des marins consommés. Pourquoi les contrarie
s bientôt je céderai la place que je me suis faite au soleil. Ali ! croyez -moi, vous tous qui cherchez la vérité, ne vous ab
its ; car ils sont implacables, ils vous méprisent, parce qu’ils vous croient faillies; prouvez-leur qu'ils ont tort. Ainsi p
omicile et que tout y est refroidi. Ah! je vous le dis, ceux que l’on croit morts sont pleins de vie ; vous pouvez bien tuer
itutions n’avaient pas sous les yeux les écrits de ce grand homme. Je crois bon de reproduire ici quelques-unes de ses pensée
ées ci-dessus. Je suis loin de les égaler sous ce rapport; mais je me crois supérieur en fait de magnétisme, et j’espère comp
a là un agent curatif supramondain. Mon incrédulité fut vaincue -, je crois maintenant à ce qu’on rapporte de M. Burt, fermie
le mesmérisme avant l'avénement de ce qu’on appelle le spiritualisme, croient maintenant que ces laits sont dus au mesmérisme.
depuis plusieurs années, depuis que j’ai observé le spiritualisme, je crois que le mesmérisme est un degré du spiritualisme
Est-ce que le triomphe du magnétisme n’est point notre seul but? Nous croirions , au contraire, n’avoir jamais assez créé de défen
voie. Et pourquoi donc ne dirai-je point ma pensée tout entière ? Je crois qu’il serait dangereux pour l’existence même du m
ns qu’elles donnent n’étaient point mises en pratique? Nous ne nous croyons point un grand pontife de la science nouvelle, et
à d'autre titre qu’àcelui de soldat de lu vérité ; que ceux donc qui croient être plus capables embouchent la trompette .et ch
r suite et leur ferous cortège ! Ah ! combien s’abusent ceux qui se croient mal placés au second rang. La renommée oblige, el
rouble et d’inquiétude; elle est comme la fortune, elle vend ce qu’on croit qu’elle donne. Mais tous veulent être chefs ou ro
rtifice à éblouir les yeux, c’est un feu roulant de mous-queterie, on croirait assister au siège d'une place forte , à peine a-t
la bonne chère et la toilette. Le mari, magnétiseur trop débonnaire, croit à la lucidité de sa femme, et s’empresse de lui a
ns sortir de l'incrédulité dédaigneuse et systématique où ils avaient cru longtemps devoir se renfermer, et arriver à l’exa
mnambules ne leur ont causé aucun mal ; il apporte son témoignage, il croit parce qu'il a vu ; il a observé avec soin, en pre
ir un critérium certain pour distinguer ce qu’ils voient de ce qu’ils croient voir. Après avoir lu le récit pompeux des merve
perstitions ; d’être des sectaires crédules, aveugles, fanatiques, de croire aux miracles, aux démoniaques, aux sorciers. S'il
t d’exister; qu’ensuite on n’est pas obligé, en admettant ce fait, de croire que l’aiguille soit une personne intelligente : q
fforcé d’en rendre le mécanisme simple, afin qu’il soit facile, et je crois avoir atteint le but. Désirant être libre d’agi
pour en être convaincu. — Comment se forme-t-il ? — Tout porte à croire qu’il est d’abord élaboré dans l’épaisseur des mu
: c’est plutôt une émanation qu’un fluide proprement dit. Les anciens croyaient que Dieu s’en était servi pour former l’univers p
tout cela est vrai, les miracles ont donc existé, et nous devons donc croire tout ce que l’histoire nous apprend sur ce sujet
même que celle qui, aujourd’hui, est remise entre nos mains. — Vous croyez donc à la possibilité de reproduire les phénomène
les tirer de leur erreur. Mais c’est assez pour une causerie, nous croyons d’ailleurs que nos gentils adversaires nous fourn
il y a chez lui deux hommes, le croyant et le savant ; le premier se croit enchaîné par une autorité souveraine qu’il n’est
le savant, au contraire, ne connaît pas de bornes à son activité, il croit pouvoir user légitimement de toutes les facultés
avions regardé comme des lois. Ainsi, pendant longtemps, 011 avait cru pouvoir expliquer l’ascension des liquides dans l
uestion de surnaturel n’implique -pas, comme beaucoup de personnes le croient , la question des esprits. S'il existe, en dehors
lois naturelles suffit pour le gouvernement du monde. M. de Gasparin croit pouvoir arrêter la liste des miracles en y compre
phénomènes étranges qui se passaient chez les convulsionnaires, on a cru pouvoir les expliquer; et, en les admettant, on n
aires, on a cru pouvoir les expliquer; et, en les admettant, on ne se croit pas tenu de les regarder comme des miracles que D
, je dis à mon camarade : ’J a Si nous nous battons aujourd’hui, je crois que le maré-« chai sera tué. » L’affaire s’engage
ntelligence de la veille? N’est-elle point effacée? Lorsqu’on devrait croire tout anéanti — excepté la vie des rêves — que tro
ette théorie est le fondement de tout le système de l’auteur, nous ne croyons pouvoir mieux en donner une idée à nos lecteurs q
de l’immatérialité de l’âme demeurerait intacte. M. Garcin n’a pas cru déroger en consacrant un chapitre à la question d
u somnambuliques, et provoque le rire chez ceux qui ne demandent qu’à croire . Cette légitime colère apaisée, l’hésitation me p
e faire plus et mieux que tel d’entre eux qui se distingue. Plusieurs croient que nous ne leur rendons pas justice. Ils se trom
' l’évêque, mais je me liàtai de nie rasseoir, ne voulant pas laisser croire à cet aventurier que je lui accordais quelque att
e encore d'une telle audace s’adressant à une femme de ma qualité. Je crus qu’il parlait à une autre, et je ne répondis pas.
rakin et les laquais n’en revenaient point. « Regardez-le sourire; il croit encore que j’ai rêvé tout « cela. « Enfin, nous
te semble marquée d’une certaine expression de fatalité. Du reste, il croit beaucoup aux sciences occultes, et je l’ai entend
seule qu’ils 11e surent point ouvrir. « M"" la duchesse de Bourbon croyait non-seulement au magnétisme, mais à la sympathie
serait-ce pas que, comme les vieux pécheurs, il a peur de l'enfer, et croit se repentir parce qu’il craint? En regardant auto
tincts? Qn n’ose y penser. 11 Quant à moi, je ne puis m'empêcher de croire aux effets du magnétisme après tout ce que j’ai v
original Persiste encor dans son délire, Il sera permis do lui dire Crois au magnétisme......animal. « M. Mesmer reçut M'
”* la duchesse de Bourbon, et fort bonne et fort spirituelle. Elle ne croyait point au magnétisme, et lorsque nous revînmes dîn
tout. Nous nous réunissions presque chaque jour pour des séances; j’y crois fortement et je désire voir cette croyance se pro
cette nouvelle, je fus altérée; tout était donc vrai. 11 fallait donc croire à ces illuminations de l’avenir, à ces révélation
eprésentation fidèle de cette époque. Nos successeurs hésiteront à le croire , ils ne comprendront pas comment des gens qui dou
rouve que c’est pour la femme Ségoin le souvenir d’un fait réel. Elle croit (personne ne l'a détrompée), elle croit avoir acc
souvenir d’un fait réel. Elle croit (personne ne l'a détrompée), elle croit avoir accom- pli une commission étant éveillée
es sans doute auront eu à constater des faits semblables ; mais je ne crois pas que l’attention se soit portée sur eux avec t
e toute personne qui en aura l'occasion à répéter), c’est que j'avais cru déjà remarquer au jeu cet usage d'une lucidité in
moyen-âge et le temps présent d’imbécillité pure et simple pour avoir cru aux divinations de gens éveillés, il faut une aut
rapporter à nos conjectures sur l’état crisiaquç imparfait; mais nous croyons qu'ils feront bien d’en étudier les circonslances
nt les serviteurs du Dieu très-haut. « — 11 savait bien qu'on ne le croirait pas. « — Alors cette somnambule n’inspirait don
en la démagnétisant, lui a rendu justice. « — Ainsi, pour nous, qui croyons à la Bible, le démon n’est pas étranger au magnét
l m’é-couta avec une vive attention, puis il s’exprima ainsi : c Je crois à tout ce que vous racontez. J’ai eu pour am* le
Monseigneur, répliquai-je, a trop d’esprit, trop de jugement pour le croire sérieusement, et j'ajoutai : Comment voulez-vous
Lui ayant demandé la cause de cette hilarité, elle répondit : . 'i Croiriez -vous, docteur, que ces trois messieurs sont venus
ant les yeux fermes, mais je suis en pleine vie magnétique. ,, — Ne croyez -vous pas le magnétisme venu de l’enfer, et œuvre
strats votre moyen de leur venir en aide ? « R. — Non, monsieur. Je croyais agir dans une bonne intention. J’ai aidé M. le ju
ai subi l’influence de personne. « m. j.e procureur oénéral. —Je le crois bien, sans.cela vous 11e seriez pas commissaire d
5 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
s : j’ai souri, j’ai rejeté ces contes des Mille et une Nuits, je les croyais tels, du moins. J’ai expérimenté pour m’assurer s
e, extase sont trois faits nouveaux dans notre monde. Les sciences se croyaient en repos, elles doivent changer de pivot si elles
distinctes, deux personnages à part dans le même individu, lorsqu’on croyait bien se connaître parce qu’on en avait étudié une
science, espères-tu par ton silence calculé faire reculer la vérité? Crois -tu qu’il n’y aura nul homme généreux qui osera
ions intenses, vienne à être piquée légèrement, immédiatement elle se croit entourée d’individus prêts à la frapper ; elle ve
meil incomplet, soit soumis à l’influence d’une odeur agréable; il se croira aussitôt transporté dans un magnifique jardin orn
intérêt ; mais en voici une autre bien autrement curieuse et qui, je crois , donne beaucoup de poids aux opinions que je vais
la tête, sans qu'il en résultât pour eux te moindre inconvénient. Je crois qu’il avait été content de moi, et qu’il me jugea
y remplissant les fonctions d’agent consulaire anglais. M. Petranchi croit que ces derviches possèdent des secrets naturels
emme Eulalie. M. Lardenois est affecté d’une monomanie qui consiste à croire que la santé de sa femme est très-sérieusement co
de M. Jolipointe, adorateur clandestin d’Eulalie !... car Jolipointe croit voir dans les confessions de la somnambule qu’il
Dieu, votre créateur, avec d’autant plus d’ardeur et de foi que vous croyez moins à la réalité de ce qui n’est plus qu’esprit
ton âme qui est la reproduction du divin Créateur ? Je vous prie de croire , mon cher maître, queje n’ajoute lien à cette rel
sseoir dans son coin. Reprenons la discussion : — Ainsi toi queje croyais un esprit indépendant de ceux qui te font agir, t
mbattu jusqu’aujourd’hui; mais j’avoue mon erreur, et comme lui je ne crois plus aux esprits, aux sorciers, aux revenants en
de la licence, nous avons dit avec le courage de la conviction : nous croyons , et nous tentons de faire partager aux autres not
ses pratiques des prières et des bonnes œuvres, elle cherche à faire croire qu’elle est inspirée de Dieu et que Dieu lui dévo
qu’un mois d’emprisonnement. [Droit.) Il y a beaucoup de gens qui croient très-fermement au magnétisme, qui en sont les plu
r un grand nombre de personnes éclairées, je me sens encouragé, et je crois utile de faire connaître à vos lecteurs des faits
nir du miracle, et je ne puis y penser sans frémir. Toutefois je dois croire au témoignage de mes sens, et je vais vous racont
nmoins nous avions appris qu’elle allait mieux et nous étions loin de croire que sa fin fût si prochaine. Je fus réveillé en s
out dévoué serviteur. Ogier. AVIS. Tous les magnétiseurs qui sc croiront des droits à la médaille de Mesmer sont priés de
es illustres ne firent point défaut à la nouvelle science. On pouvait croire que son éducation se ferait rapidement, confiée à
nté, et dont elle restera toujours la consolatrice et le soutien. Qui croit donc que son éducation ne s’est pas bien faite? Q
ais employer en grande abondance, je le prie d’agir à ma place. Il ne croyait peut-être pas du tout à l’arcane bienfaisant que
accusa une pièce d'or, M. Alexandre Dumas ae trouvait prèa de lui et croyait fortement que la dame dont il est question arail
it les mondes. Rappelle-toi ces mots... de l’apôtre... saint Paul, je crois : « ln Deo vivimus, movemus et sumus. » « Nous vi
faible raison. Ce jour viendra pourtant : jusque-là, ayez le désir de croire . Pour croire, sentez d’abord ! La croyance est un
. Ce jour viendra pourtant : jusque-là, ayez le désir de croire. Pour croire , sentez d’abord ! La croyance est une prière, et
vos enseignements, et dans sa mémoire à les bien apprendre. C’est, je crois , chez mon ami, aimable auteur de si jolies nouvel
Je pourrai te la donner par tant d’autres choses. Veux-tu donc, pour croire , torturer un pauvre esprit qui ne demande que lum
sprit qui ne demande que lumière ? et la trouve-t-on sur la terre, le crois -tu ? — Si tu ne te souviens pas du lieu, pourra
viens pas du lieu, pourrais-tu te rappeler l’époque ? — En 1841, je crois . En 1835, je fus mis en rapport avec celui qui m’
es dames de la cour. Pourquoy, comme elles, ne le voudriez-vous point croire ? Elles ont toujours en leur cœur secret instinct
on desuomato. Voilà de singulières prétentions qu’on ne devait pas se croire obligé de discuter au dix-neuvième siècle, et qu’
de porte : Voyez à côté. — Si les phénomènes moraux du spiritualisme croient avoir meilleur accueil à l’Académie des sciences
rnal lu Magnétisme (n° du 10 mai 1854) un article où nous n’avons pas cru nécessaire d’adopter l’hypothèse des esprits pour
crédulité presque niaise. Tout ce qui leur arrive par une voie qu’ils croient surnaturelle , ils ne le discutent pas. Les contr
avec l’ensemble des faits (1). Voilà les règles générales que nous croyons pouvoir donner à ceux qui voudront avoir chance d
très-commun, ^t qu'il est en général difficile è bien constater, nous croyons devoir en citer un assez frappant, et qui peut je
ins, si l’on pouvait, à première vue, deviner leurs ficelles. Et nous croyons possible, par des moyens physiques, même de faire
ent ; cependant, faute de dédoubler ainsi leur propre témoignage, ils croyaient avoir positivement constaté des mouvements sans c
on que M. du Potet veut imprimer aux études magnétiques. Nous avons cru devoir parler avec quelques développements de ce
l, est de ce dernier avis, et le motive ainsi : « Les personnes qui croient aux faits ont de quoi se satisfaire largement auj
e s’occupera pas plus des travaux de ses devanciers que M. Auzoux, et croira lui aussi que l’univers entier attend qu’il ait u
. Auzoux n’a voulu admettre aucun fait comme concluant. Il est donc à croire qu’il y a chez lui parti pris de persisterquand m
ique volontairement les écailles sur les yeux pour ne pas voir, et se croie par là autorisé à nier la lumiere. Mais il y a pl
puissant moyen curatif, il n’y aurait pas un grand danger. Peut-être croira-t -on que les médecins se contenteraient d’obtenir u
sance curative du magnétisme, sans vouloir s’en réserver le monopole? Croyez -vous qu’ils affirmeront publiquement la vérité: s
e leur intérêt personnel ne ferait pas reculer devant la vérité. Nous croyons au désintéressement, au dévouement des individus
as qu’on mette en doute leur bonne foi. Dans les sciences, on ne doit croire qu’à ce qui est prouvé. C’est donc non seulement
même ? Vous êtes comme saint Thomas, incrédule. Peut-être, comme lui, croirez -vous après avoir vu. Le docteur accepte la propos
ur la cornée transparente. Ceci n’était pas sur le programme. Je ne crois pas qu’avec de l'étude on puisse arriver à empêch
es à s’organiser de façon à procéder d’une manière plus scientifique, croit -on que nous voulions blâmer la marche adoptée par
ue nous n’examinons pas ici. Notre nom n’a aucune autorité, mais nous croyons ces idées utiles, et nous laissons l’initiative s
ulsions cloniques très-violentes. Je l’examinai avec attention, et je crus reconnaître qu’elle était hystérique. Voici, du r
le avait complètement perdu le souvenir de ce qui s’était passé. Elle croyait avoir dormi, et n’accusait qu’un sentiment de cou
veau les magnétiseurs, les écrivains de la cause, tous ceux enfin qui croient avoir quelques droits à une récompense, à envoyer
et signiHcative, exhalée par la manifestation: « Veux-.tu donc, pour croire , torturer un pauvre esprit qui ne demande que lum
sprit qui ne demande que lumière? Et, la trouve-t-on sur la terre, le crois -tu? » Cet effet se révèle également dans la for
e lourde, en fermant les yeux j’ai vu des images fantasmagoriques. Je crois que l'action de la substance a élé troublée parce
ficultés, nous n’en continuons... nous n’en continuerons pas moins de croire . Quelle conclusion abstraire de cette divergenc
étais lié dopuis de longues années, provoque en plaisantant et sans y croire , mes explorations cranioscopiques. Je constate ch
ste éminent a fort crûment établi que Socrate était fou , parce qu’il croyait converser avec son démon. Les mystiques répondent
de tous les temps et de tous les lieux; que les hommes y ont toujours cru ; qu'ils ont exercé une action considérable sur le
attentivement?... Je ne me rappelle plus quelle fut ma réponse, et je crois même n'en avoir fait aucune. » Ces perceptions
ues ? Les magnétistes qui rejettent le spiritualisme parce qu’ils n’y croient pas , et qu’ils n’acquièrent ex abrupto tout ce q
rnation ? Un poète a fait ressortir cette différence : L'esprit qui croit saisir la lueur éclipsée N'étreint, comme lxion
même conjointement à ce moyen de contrôle, il est un critérium que je crois le meilleur. Le tétragrainme qui forme notre vo
cette affaire? J’ai répondu : Pourquoi la cause en tout? Si l’on ne croit pas h la possibilité, uon plus qu’k l’efficacité
exercer l’industrie un peu ténébreuse de dormeur-magnétiseur. A l’en croire alors, il jouissait de vertus occultes extraordin
des improvisateurs. « Vous, Monsieur, qui professez une tendance à croire à... LA force vitale (1) . (terme panthéistique t
vos plaques de cuivre rouge. » J’obéis et mon mal disparut. M. Hébert croit expliquer cette vertu spécifique des métaux par l
. Je veux finir par l’exemple d’un pouvoir magnétique provenant, je crois ,, de la force attractive d’une masse liquide en m
is savoir si la vision de Charles avait été complète. Julie elle-même croyait que, sur la fin des phénomènes, il avait vu ce ha
ertir la famille contre le danger que vous reconnaissez. — On ne nous croirait pas, et l’on nous mettrait à la porte. — Comment
! Une consultation vient d’être faite pour mon oncle, que nous avons cru sur le bord de la tombe ! C’est bien drôle, allez
ritualisée (2) se fut dégagée de ce premier lien, Dieu ! moi qui ne crois pas aux esprits... c’en est un qui me parle (*)l.
ent par un sentiment vague de crainte ou d'cspérance que l’humanité a cru jusqu’à présent ; ce qui indique que La Vénératio
es, dans C état lucide, ont vu le soleil spirituel , et pour ceux qui croient à l’immortalité. les phénomènes que je viens d’ex
étiste, j’ai voulu combattre, autant que j’en suis capable, ce que je crois ses erreurs. J’ai tâché de le convaincre, parce q
e la maladie, ont surgi des règles de la santé. J’ai des raisons de croire que tels événements de la scène du monde actuel,
te fols, la clef lourna. Chacun haussa les épaules, sans vouloir en croire ses yeux. Quatre mois s'étant écoulés, LouisXVU
raisemblablement impossibles l’orgueil des savants non initiés. Qui croirait aujourd’hui l’histoire de ce roi de Médie arrivan
d, et il éprouve le besoin de marcher toute la journée. Devons-nous croire à une guérison, ou bien assistons-nous à un état
istons-nous à un état de transition simple? C’est ce qu’il serait, je crois , bien difficile d’avancer, et ce que l’avenir seu
prit et un corps. L’esprit est immortel. Or, il est contradictoire de croire à cette immortalité et de nier les relations que
faites un crime, à nous chenilles que nous sommes, de ne pas vouloir croire qu’un jour nous deviendrons papillons. A quoi bon
ous nous dites du monde extérieur, qui ne diffère pus autant qu’on te croit de celui-ci, car c’est exactement le même, moins
e ; mais la rive et la rivière sont deux et non un, comme vous l’avez cru . Un mot encore avant de finir. Vous avez écrit
hent la vérité : mais M. Amédée Latour préfère la pasqui-nade : il ne croit pas déroger en faisant monter Uippocrate sur les
Après avoir fait l’oraison funèbre de M. le professeur Gerdy, il a cru ne pouvoir offrir à cette âme colérique d’hécatom
chloroforme, imposer silence au cri des organes souffrants? M. Latour croit -il impossible de détruire le mal?... Ce n’est san
rononcer ce mot, il vous coule une sueur froide sur le front, et vous croyez voir se dresser devant vous les batteries formida
de ténèbres. Dans le doute, nous ne voyons pas pourquoi M. Latour se croit autorisé à chanter victoire. Tout ce qu’il peut a
e la médecine n’a pas à se glorifier du fait qu’il nous raconte. 11 croit terrasser le somnambulisme, et il ne prouve même
M. Gerdy, est mort de la phthisie pulmonaire, dont il ne s’est jamais cru atteint. Ainsi voilà un homme qui enseignait à gu
être suivi, mais ce n’est point un motif pour qu’il s’arrête s’il le croit et s’il est dans le vrai. Nous sommes au moment
des auteurs par lui cités, est l’état intellectuel d’une personne qui croit voir ou entendre ce que les autres no voient ni n
sidérons un objet trop éloigné ou trop peu éclairé. Mais quand ce que croit voir le som-uambule n’a aucun rapport avec la réa
notre arsenal de thérapeutique médicale et chirurgicale, et qui nous croyons les seuls bienfaiteurs de l’humanité souffrante.
apeutique. Avec cela et la garantie de nos diplômes, nous nous sommes crus en sûreté très-légale. Vers la fin de juin , j’
le temps de répondre à votre lettre du 14 du mois der-o nier, mais je crois devoir vous dire que madame Darrieau «a dû avoir
ès quoi il me dit que je pouvais m’en retourner à pied. Eli bien ! le croira-t -on ? mais le fait est certain , je renvoyai mon c
e, son aversion pour les moyens qui auraient pu la régénérer. 11 faut croire que le corps médical lui-même se sent bien malade
e provoquent que le dédain. Comment! voilà des hommes graves que l’on croyait tout dévoués à la science , n’ayant d’autre passi
tendre d'un trépied véridique qui a trahi tous ses collègues. J'avais cru , d’après ses premières indiscrétions, devoir divi
es, et môme contraires à nos pensées ou à nos opinions, ce qui a fait croire à l’intervention d’un tiers étranger. En admettan
stre avec soin. Nous lui devons la lettre du docteur Vandoni que nous croyons être agréablesànos lecteursen lacitant plus loin
vigoureuse guerre aux charlatans et aux imposteurs, et nous aimons à croire que, grâce aux efforts réunis de ces deux énergiq
des procès-verbaux de cette solennité. Nulle part, toutefois , nous croyons pouvoir le dire, les adhésions n’auront été plus
tions magnétiques, par ses dispensaires, mais nous avons l’orgueil de croire que bientôt nous ferons plus et mieux que l’Angle
e vie, la vérité s’y est introduite. « La Russie, que l’on pourrait croire en arrière du progrès, compte déjà un grand nombr
. — Ne sommes-nous pas rassurés sur nos destinées futures, si nous en croyons les spiri-tualistes ? — La rédemption n’est plus
tincte qui lui parut parfaitement naturelle, et qui lui dit : * Tu la crois fidèle; va voir dans sa malle, et tu y trouveras
. Recevez l’assurance de mes sentiments de bien sincère amitié , et croyez -moi toujours Votre affectionné collègue et ami,
ns mon isolement, l’anniversaire mémorable de l’illustre Mesmer, j’ai cru ne pouvoir mieux employer qu’en le consacrant à u
ait séparée par deux cents lieues de distance, sur ma demande si elle croyait la revoir bientôt, elle écrivit : « Dans deux ans
ntalement. Quand je donnai l’explication du tour, personne n’y voulut croire ; si j’avais averti mon monde, on y aurait cru bie
personne n’y voulut croire; si j’avais averti mon monde, on y aurait cru bien moins encore. C’était bien là, si je ne me t
expériences de tables, de me lancer dans le royaume des esprits, j’ai cru devoir me tenir strictement sur le terrain physio
La lecture de cette lettre me jeta dans un assez grand embarras. Je croyais bien être à même de constater une expérience somn
. Gudin, et malgré tout mon respect pour le somnambulisme, je ne puis croire qu’on puisse étendre un vernis sur une peinture f
né la ténébreuse cérémonie qui s’est passée dans sa classe même. Je crois donc, de toute justice, devoir rapporter en entie
elui qui était réuni dimanche dernier, car ceux qui font parade de ne croire que ce qu’ils peuvent mathématiquement voir font
donne ses fruits mûris dans l’ombre ; les meilleurs esprits que l’on croyait étouffés ou étiolés se dressent les mains pleines
cet automne, mais, cette fois, je ne pourrai quitter l’Angleterre. Je crois donc de mon devoir de vous envoyer quelques obser
ents très-forts, frapper même sur le plancher de manière à nous faire croire que la table se brisait ; traverser le salon dans
chez une dame qui est médium. Cet ami fut d’abord sceptique, et il a cru que c’était une supercherie. Mais, après beaucoup
ai remarqué une chose, c’est que souvent, après plusieurs lettres, on croit savoir le mot, et l’on attend la prochaine lettre
out le cercle , mais à uue autre, parce que le mot n’est pas ce qu on croyait . J’ai observé aussi qu’en général les réponses
singulier, qui a fait plus tard beaucoup de bien à, la malade. Je me crois fondé à dire que ce médium déclamant ne l’était q
rdinairement que l’un des deux cerveaux tandis que l'autre repose. Je crois même que dans le sommeil ordinaire, tandis que le
t usage le jour se repose, l’autre s’éveille et fait des songes. Je crois aussi, d’après ce que j’ai vu chez les somnambule
s sons, et cela sans en avoir aucunement conscience. Au contraire, il croit que tout cela vient d’autre part. Cetie théorie
ntaines de mille personnes, qui toutes en ont vu cent fois davantage, croient aux communications des esprits, et que, parmi ces
ce, mais aussi qu’il a le pouvoir tant soit peu magique , mais que je crois magnétique, d’agir tellement sur toute l’assistan
et, ce qui est plus étonnant, à l’insu des sujets de l’expérience. Je crois que ce dernier phénomène, c’est-à-dire le pouvoir
ron, le cas de seconde vue que j’ai été à même d’étudier, et que j’ai cru devoir être intéressant pour tes lecteurs de votr
sujet les manifestations du spiritualisme aux Etats-Unis. M. Chambers croit au magnétisme qu’il a étudié, et il a essayé de p
ut maintenant que la suggestion explique tout, mais il voudrait faire croire que ce sont les médiums qui nous ont enseigné les
des tables, etc., dans le sens de cette lettre, et j’ai tout lieu de croire que mon discours a reçu l’approbation unanime de
ut aperçu que sa sortie pouvait paraître quelque peu inconvenante, il crut la réparer en ajoutant : _ toi, sa sœur, est P/m
s où ils me dénieraient la faculté de le faire pour eux, ce que je ne crois pas : Que voulez-vous faire du magnétisme théra
ique aux corps savants, sorte de gens, dit Tardy de Montravel, qui ne croient pas, parce qu’ils ne veulent pas croire, soit qu’
t Tardy de Montravel, qui ne croient pas, parce qu’ils ne veulent pas croire , soit qu’ils pensent que le magnétisme est contra
d’un jugement trop précipité. Ceux-là, soyez-en bien persuadé, ne le croiront pas plus en voyant qu’en ne le voyant pas, et s’i
ligion contraire, se réserveraient les choix des juges?...... Ne vous croiriez -vous pas revenu au bon temps oul’évêque Cauchon
par suite des expériences qu’ils demandent, ont-ils la prétention de croire que leur nouvelle croyance, leur conversion aura
ires, dont les ramifications s’étendent si loin, ne voudront pas vous croire ; on travestira vos paroles, on en dénaturera le s
nt « disparaître; mais c’est toujours un retard, et qui sera (i long, croyez -moi. » J’ai rapporté in extenso ces réflexions
médecine des écoles, que revient cet humble rôle. Donc, si vous en croyez une voix amie, vous laisserez une large part du j
’hui, il y a peu d’en* semble, peu d’unité dans le camp mesmérien!... Croyez -vous que ce défaut d’union provienne seulement de
mp; peu près ; et si mon idée se réalise, ce qui ne peut se faire, je crois , qu’avec votre aide, je m’inscris le premier et p
mme lui, en lui indiquant les moyens qui lui ont le mieux réussi ; je crois que nous devons continuer à enrichir les collecti
s manifestations. vous seriez dans l’erreur : je DOfTF. et je (h'tirc croire , car cette croyance serait conso-lante et ferait
mme lui, en lui indiquant les moyens qui lui ont le mieux réussi ; je crois que nous devons continuer à enrichir les collecti
uel viennent aboutir une infinité de filons encore inconnus, que nous croyons de notre devoir d’étudier, de scruter assidûment
i, à démontrer. Aveugles sont ceux qui ne le veulent point voir. Nous croyons donc ne point lui nuire en lui adjoignant l’étude
us tard peut-être, on ne nous pardonnerait point. F.t nous aimons a croire que c’est seulement parce que la pensée de n>s
s laisse à penser le désappointement de MM. du conseil de santé qui croyaient déjà me tenir. Aussi, à présent que je sms maître
de erreur, pour n'en citer qu’une, due à la vieille théologie, est de croire que l’esprit humain, par le seul fait de son affr
corps, doit immédiatement tout savoir. Il y a beaucoup de gens que le croient , d’autres sont tombés dans l’excès contraire, le
pend de nous d’accélérer ou de ralentir. Beaucoup de gens refusent de croire aux esprits, ou bien ils les gratifient de menteu
enfant, elle lui répond, comme elle l’aurait fait ici, parce qu’elle croit être vraie. Si elle est assez sage pour reconnaît
tôt Goodall, qui s’assit dans lé lit, et se mit à interroger ce qu’il croyait être un esprit ; et, après avoir demandé que les
rien qui la fît mouvoir. Les coups devenant de plus en plus forts, je crus prudent de faire intervenir la couverture, et je
lle pour faire connaître les faits suivants que je constatai avant de croire aux. communations spirituelles. Je ne demande pas
revenu; que, par conséquent, elle ne s’était point fait saigner. Je crois nécessaire à présent de donner ici quelque explic
e de docte, cependant, avant de lire vos filandreuses diatribes, nous croyions qu’un diplôme de docteur avait réellement un peu
en effet, vos longues et lourdes paroles ? Que vous et vos pareils ne croyez pas et ne voulez pas croire au magnétisme. Eh ! q
rdes paroles ? Que vous et vos pareils ne croyez pas et ne voulez pas croire au magnétisme. Eh ! que nous importe votre incroy
ceux (dont le nombre déjà n’est pas petit) qui veulent le progrès et croient au magnétisme. En attendant, pour l’édification
est suivi d’un autre qui en est le véritable complément , et que nous croyons devoir donner aussi à nos lecteurs , avec le vigo
ici la bizarre profession de foi de l’illustre baron-docteur : « Je crois au magnétisme et je le propose comme moyen « util
le propose comme moyen « utile dans les seules mains des médecins. Je crois , en « conséquence, nécessaire d’appeler ânes, cha
s tous indistinctement ces soi-disant professeurs de « magnétisme. Je crois également opportun de discréditer « le magnétisme
ales , en en exa-« gérant, selon fart, les risques et les dangers. Je crois « qu’il convient de déclarer la clairvoyance des
decins et l’on ne guérisse pas sans « avoir le droit d’être guéri. Je crois enfin qu’il faut don-« ner à entendre à tous nos
de la sensibilité dans les parties primitivement afTectées, aussi je crus devoir l’envoyer prendre les eaux d’Enghien, d’où
ge à coups de lexique, ils se rebutent, et laissent là le livre. Nous croyons que M. Philips a mieux saisi le génie de notre la
enre (1) et aurait du moins en sa faveur la raison de l’usage. Nous croyons deviner que M. Philips voulant présenter de nouve
ayons débarrassé notre marche de tous les systèmes accessoires, nous croyons devoir dire un mot de l’hypothèse psy-cologique d
e la fiole, je n’ai pas trouvé la moindre apparence d’amertume, et je crois avoir le goût aussi délicat que celui de M"* d’Or
nnièmes correspondent à une dilution d’un numéro peu élevé. Si vous croyez , mon cher maître, qu'il y ait intérêt à ce qu 011
établissait qu’elle eût employé des manœuvres frauduleuses pour faire croire à l’existence d’un pouvoir imaginaire, et pour se
n des cheveux poussée à partir de Incident était blanche; car nous ne croyons pasquon ptfw¿“¡S ’" des cheveux déjà blancs puiss
e et tombe en cessant de « donner aucun signe de vie. Merveille ! 011 croyait la relever « morte, et on la releva guérie : la t
me cérébro-spinal ne sont point, comme on est généralement porté à le croire , des actes de pur instinct et qui se fassent sans
Ce point est le plus important de la théorie de M. Philips, et nous croyons ne pas devoir nous contenter de cet aperçu à prio
ue — cela résulte de la liaison entre la pensée et l'action, que nous croyons avoir démontrée dans ce paragraphe. Mais dès à
er quelques critiques. Mais, au point où nous en sommes parvenu, nous croyons avoir justifié ce que nous avons dit en commençan
à la fois et le plus puissant lorsque l'on peut l’employer, c’est de croire profondément à ce que l’on affirme ; c’est d’avoi
us fera connaître le résultat de ses études sur la lucidité , et nous croyons pouvoir lui prédire .une récompense qui vaudra bi
telligence me cause du trouble. « Dites-le-lui, répliqua Hopper. Ne croyez pas qu’il y ait ici matière à rire. Ce que je dés
Morlcaux, le 6 septembre 1856. FAITS. « Monsieur le baron, « Je crois "devoir vous donner connaissance d’un fait qui n’
ntir contre une confiance trop illimitée. Il y a autant de danger à croire trop aveuglément qu’à ne pas croire du tout, et c
imitée. Il y a autant de danger à croire trop aveuglément qu’à ne pas croire du tout, et c’est aux magnétiseurs que nous nous
it insciemment, et même plus que insciemment, malgré nous? Je ne le crois pas, et c’est ce que mon expérience constate. Voi
vant s’apprécier et connaître au juste sa propre valeur. S’il faut en croire le Journal of man de Cincinnati, cet immense prob
ance, de l’électro-biologie, de Y électricité intelligente, etc. Nous croyons devoir protester, dès le début, contre l’invasion
ers, suivant la nature des visions et des conversations. Parfois elle croyait entendre une musique délicieuse, et elle en répét
eu le temps que de jeter un rapide coup d’œil. — Ce jour-là, elle se crut Grecque, née à Athènes; sa physionomie et son lan
nt tout ce qu’elle éprouverait jusqu’à cette catastrophe. M. Cervello crut prudent de cacher aux parents cette prédiction ;
s dominants et de se faire ouvertement le champion de la vérité. Nous croyons donc devoir, au nom de tous les amis du magnétism
et tous manifestèrent leur satisfaction. « Comme il était permis de croire que M“' Ogier était en bonne voie de lucidité, d’
x que la société entière s’extasiait devant ses révélations, son mari crut devoir en profiter pour accroître et la curiosité
e porter à votre connaissance une découverte que j’ai faite et que je crois inconnue jusqu’à présent. « Il y a sept ou huit
magnétique il jouit de l’autorité d’un véritable classique. M. Lovy croit pouvoir fixer des bornes à l’essor du magnétisme,
pas et continue son œuvre désorganisatrice sous toutes les formes. Le croirait -on ? 11 y a à New-York un médecin français qui ti
l’influence de la doctrine de Mesmer sur les mœurs, les commissaires crurent devoir en faire la matière d’un rapport secret, d
le grand Apollonius de Thyanes? Je ne suis ni assez halluciné pour le croire , ni assez peu sérieux pour l’affirmer. L’effet de
e j’ai vu clairement et distinctement, sans rêve; et cela suffit pour croire à l'efficacité réelle des cérémonies magiques. J’
uffit pour croire à l'efficacité réelle des cérémonies magiques. J’en crois , d’ailleurs, la pratique dangereuse et nuisible ;
ie des magnétiseurs et de leur fin serait fort curieuse à faire; nous croyons qu’elle présenterait beaucoup plus de cas de suic
science et de l'amour de la vérité, ces expériences peuvent, nous le croyons , ouvrir des voies nouvelles. Les curieux fragment
docteur Esdaile sont de la plus scrupuleuse exactitude ; qu’il ne se croit pas compétent pour décider si le magnétisme convi
du sang s’arrêta tout à coup ; on fit appeler le médecin, qui fit, je crois , tout ce qu’on doit faire en pareil cas, c’est-à-
aient pas; je trouvai la malade très-faible et fort entreprise; je ne crois pas me tromper en jugeant qu’elle devait rester a
ensai de suite au magnétisme; et, pour faire valoir sa cause et faire croire à son extrême puissance, je ne crus pas devoir op
faire valoir sa cause et faire croire à son extrême puissance, je ne crus pas devoir opérer moi-même, certain d’avance du s
magnétistes , physiologistes, qui ont vu et entendu cependant, ne se croient pas encore suffisamment éclairés pour se prononce
Comme résumé de laits curieux et d’expériences remarquables, nous le croyons digne d’un intérêt sérieux ; mais, connue démonst
ontester l’existence, remarquez-le en passant; mais nous voulons bien croire que la brûlure existe ; ou, si vous l’aimez mie
voie de l’Amérique, de si étranges détails, Sérieusement, nous qui croyons sincèrement à la bonne foi et à la conviction de
us de lumière; nous lui dirons que son livre, excellent pour ceux qui croient déjà ce qu'il croit lui-même, est, pour nous autr
i dirons que son livre, excellent pour ceux qui croient déjà ce qu'il croit lui-même, est, pour nous autres Européens, ce que
agnétisée, et alors j’irai ta soigner. Après bien des hésitations, il crut pouvoir définir le genre de maladie. On lui dit a
it une fois, » et que je le poursuivisse dans le infime style, chacun croirait que c’est un miracle éclos, comme tous ceux surgi
re autres jours, le miracle de sa résurrection ! Cela vaut bien, je crois , le Chat botté ou la Belle aux cheveux d’or, et l
, elle eut le don de prévision porté à un très-haut degré, ce qui fit croire , comme c’était encore l’habitude à cette époque,
s le monas ère. Maisle diable u est un menteur que nous ne devons pas croire . Jeanne « Potière, âgée de quarante ans, fut amen
« Voici l’épisode de la bataille de Malplaquet, tel que nous avons cru devoir le présenter : « 11 y avait dans l’armée
a élè victime de son courage et qu'il figure au nombre de ceux qu’on croit morts. A lors elle tombe dans les convulsions du
N’y a-t-il que les choses expliquées, démontrées, auxquelles on doit croire ? En ce cas, le cercle de nos croyances serait bi
consolent les affligés, en leur démontrant la présence d’ètres qu’ils croyaient avoir perdus pour toujours, et ils font naître la
ppent à nos sens. Le nier, serait ressembler aux matérialistes qui ne croient qu’à ce qu’ils peuvent peser et dissoudre dans le
d’un ordre plus élevé. Les esprits qui viennent à nous , ou que nous croyons venir, ont une forme matérielle plus ou moins raf
er tous les sept ans, comme on l’affirme. Il est aussi raisonnable de croire que l’esprit survit à la dissolution du corps, qu
ue je ne pense pas qu’il pût y avoir le moindre danger pour nous : je crois plutôt que c’était un jeu dé la part des esprits,
s et les jambes sous les tables pour mieux Lire la vérification. Je crois ces explications suffisantes pour que les lecteur
ur et cher maître, « 11 est un fait qui m’est particulier et que je crois devoir faire parvenir à votre connaissance comme
r 1 aider à me soigner. Craignant de m’impressionner ou de me laisser croire que je courais quelques dangers, elle hésitait po
nait le vertige au cerveau et la défaillance au cœur. » Nous aimons à croire que M. Auguez a trop de bon sens pour se laisser
es sur cette matière, n'ont pas osé donner de définition. M. Auguez a cru pouvoir en donner deux, une de lui-même, et l’aut
ons de citer sont conformes à l’Évangile où Jésus dit : « Celui qui croira , fera ries choses pareilles anx miennes, et de pl
e monter à ma chambre et que je fus arrivée au pied de l’escalier, je crus que je no pourrais pas le franchir, tant je le
re dans une glace de Saint-Gobin. Les plus mal partagés sont ceux qui croient causer avec le démon, et ne causent qu’avec un mi
cience contre l’auteur de pareilles orgies, et rien de plus. Cçux qui croient aux apparitions des revenants, à des taches phosp
t, lui parut illuminée : Jeanne, tombant à genoux avec recueillement, croit entendre une voix qui lui dit : ci A« craignez ri
avec tant d’esprit, de hardiesse et de honne grâce, que toute la cour crut voir en elle quelque chose de divin. Elle promit
re sur « vous, plutôt que sur votre peuple ? » Charles VII, étonné, crut que , pour s’assurer de la vérité , il fallait d’
ville. Charles, qui, en la perdant, eût perdu sa dernière ressource, crut devoir profiter du courage d’une fille qui parais
tte fête tout l’éclat que mérite le sujet. Observations. Nous avons cru devoir insérer cette notice, bien qu’elle semble
s tribunaux les a tenus en garde contre l’un ou l’autre excès. Sans croire aveuglément aux merveilles du somnambulisme , et
Reims la profession beaucoup plus lucrative de somnambule. Si l’on en croit la prévention , elle donne, moyennant trois franc
èse attribue au démon (tel que l’E-glise catholique nous enseigne à y croire ) tous les faits et gestes des tables parlantes.
e multipliant. Pour l’admettre, il est clair qu’il faut commencer par croire au diable. Or, parmi tant de gens qui, de no« j
iques que de nom, combien n’y en a-t-il point qui, croyant à Dieu, ne croient pas Satan, mais le regardent comme une création p
est bien différent. Ainsi il ne faut pas qu’on nous accuse, nous qui croyons , de donner la pensée au bois ; il y aurait mépris
cet opuscule intitulée : te Guéridon poète.) 11 me fut impossible de croire que ces quatre vers émanassent du guéridon, et je
noms imaginaires, de manière à dérouter les personnes qui auraient pu croire à une véritable identité; bien plus, ce qu'il y a
uis longtemps on n’entend plus parler de l’iuquisition, on pouvait la croire supprimée ; sans doute, les progrès de la raison,
nse avoir besoin de recourir au démon ; bon nombre de magnétistes n’y croient pas ou n’y croient guère ; quant à ceux qui y cro
recourir au démon ; bon nombre de magnétistes n’y croient pas ou n’y croient guère ; quant à ceux qui y croient, ils ne jugent
magnétistes n’y croient pas ou n’y croient guère ; quant à ceux qui y croient , ils ne jugent certainement pas à propos de le fa
’énumérer constituent, suivant elle, une coupable fourberie : on doit croire dès lors qu’il ne s'agit que de la simulation de
à quelques égards, quant à l’ordonnance des séances publiques » nous croyons utile de présenter quelques observations sur la p
umise à la Société du mesmérisme qui „ après une mûre délibération, a cru devoir maintenir l’ordre: de ses séances ; voici
l s’attache à prouver que c'est une erreur depré-tendre qu’on ne doit croire que ce qu’on peut expliquer. Il a mille fois rais
aison , mais quelques lignes sur cette question auraient suffi ; il a cru devoir donner d’assez grands développements. Au s
L’auteur s'attache ensuite à dissiper les craintes des personnes qui croient dangereux de se soumettre au magnétisme, et qui p
affùwr, User, allirtr. Page 638, ligne 10, au lieu de voir, I isea croire . Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). ~ TABLE AN
direct, 361. Profession de foi burlesque d’un docteur italien, qui croit au magnetismo et le propose comme moyen utile, ma
6 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
es adorables créatures un degré de perfection encore plus exquis ; il crut concevoir la possibilité d’en faire presque des a
avis sont partagés sur ¡•on compte. M. Paul Dibon de S’il en faut croire les pieux écrivains qui jusqu’ici ont raconté la
es et par un esprit d’imitation par trop docile et peu éclairé, aient cru à cet égard s’affranchir des liens de la bienséan
s sortes d’embûches afin de les entraîner dans le vice. Nous qui ne croyons pas au diable, c’est-à-dire à un esprit assez pui
t les femmes danser toutes nues sur io mont Taygite. Cela étant, nous croyons que dans l'état de macération, d'exaltation et de
arlatan : c'est encore moins un prestidigitateur, lin moment on avait cru pouvoir le considérer comme tel, et il est une ci
dules, nullement sensitifs et impressionnables, qu'on le veuille bien croire . D’ailleurs. M. Home, ce jeune homme si frôle, si
alpé, comme c’était l'habitude, le sein nu de la pauvre Madeleine, on crut y reconnaître la fatale marque. Alors, dit de Bos
iers et des sorcières, montés sur un manche à balai rôti ? Nous ne le croyons pas. Qu’on remarque que, dans la plupart des proc
ions criminelles s’étaient établies entre eux. Ces faits, on peut les croire , on les comprend ; ils ne sont arrivés que trop s
s pendant leur tranquillité et en leurs accès, sur tout ce qu’ils ont cru pouvoir donner lumière à, ceste connoissance , on
le phénomène. N’obtenant pas de suite des résultats désirables, je crus devoir mettre le bras en catalepsie complète, en
à-dire d’un fluide émanant de nous-mêmes? Que ceux qui persistent à croire que tous ces phénomènes doivent être attribués à
aquelle exécrable action un diable en forme de chat (que la déposante croit être le même qui lui apparut sous le mûrier) se p
ience officielle lui ait donné droit de cité, et ce temps-là, nous le croyons , est prochain. Autrefois, cette grande vérité éta
lieu devant le Parlement de Normandie. Seulement, comme Dibon, il ne croit ni aux sorciers, ni à la magic, ni même aux phéno
s remarquables de la part dis religieuses qu'il vit et qui lui firent croire plus que jamais à leur possession. De Bosroger na
dra illusion... C’est possible, quant à la manière dont le somnambule croyait passer dans la pièce ; mais quant au transport lu
part). Cet état diffère essen- tiellement du somnambulisme, et je crois qu’aucun magné-tiste n’établit aujourd’hui de con
la rapidité de l’éclair, à plusieurs centaines de lieues. Nous avons cru remarquer une nuance, pour les opérations de 1 in
recouvra subitement la vue. — 0 mes amis, je vois, Et maitcnantje crois A cette faculté que j'ai tant combattue De touche
loin avec les yeux. Dieu! que c'est étonnant, inouï, merveilleux! Croyez -moi, ce n'est point un conte, San* sortir île m
sse de l’endurcissement scientifique, et cependant vous aurez peine à croire que le rédacteur et signataire des déclarations q
à briser sa carrière. Je dis présomption , car, malgré tout, je ne me crois pas fondé à mettre en doute 1e. bonne foi du prof
ant à M. Wiffis, il était trop loin pour y atteindre. Je fus seul, je crois , qui regardai sous la table, et je ne fi« part à
à m’accorder; je m’arrête donc : maintenant, à ceux qui refuseront de croire aux faits racontés ci-dessus, sur la foi de mon t
ne seule chose, c’est que moi-même j’aurais trouvé très-difficile d’y croire sur la foi du leur. Commit eux, j’ai voulu ne m'e
ez sourire de ce sourire maladif d’un homme qui a vu un revenant. Ils croient fermement au spiritualisme... >> Et plus
cte sembla personnel à M. G. de C., et notre honoc.tble collaborateur crut devoir m’opposer mes propres écrits pour me montr
dans cette exclusion des forces vives ; c’est pourquoi j’ai toujours cru de mon devoir de chercher à faire pénétrer dans l
en faveur de lanw decine des somnambules que M. Guibert de Clelles le croit . M quia pu entretenir notre estimable collaborate
les plus bril-ants sujets d’étude dans le ravissement religieux ; on croyait tair sainte Thérèse absorbée par l’amour divin. L
c’est imiter les MirvUle, les Raiset et autres démono-îâtres, qui se croient en droit d’attribuer à des puissances surhumaines
s il se sert d’une béquille par précaution, dit-il, car il ne pouvait croire à un soulagement si rapide. Vers la quinzième m
é dans mon esprit? Est-ce que je ne dois pas la vérité aux hommes qui croient en ma sincérité et en ma prudence ? La vérité e
aux anciennes églises, d’autres sont de création toute récente et se croient favorisées de révélations qui ne le cèdent en rie
n de conclure à l’impossibilité des mouvements sans contact ; mais je crois pouvoir affirmer que dans l’état actuel de nos co
■> probable que ses expériences ont été mal faites, et ce sera, je crois , la conclusion à laquelle s’arrêtera tout homme d
ponses la preuve lu’elles avaient pour auteur une intelligence, et il croit pou- papier : elleétatt vlerge de toute écrltur
ctuelle, grâce à laquelle il peut rappeler le souvenir d’objets qu’il croyait il jamais eflfecés de sa mémoire ; peut-être joui
e bonheur de connaître des médiums de la force de M. Girard , et nous croyons que le nombre en est bien restreint, si nous juge
a présence de» esprits corbillonneun, mais même de leur identité. croyait sûr, il se mit en rapports suivis avec les esprit
ture, lui assura que Frammanoleo n’existait pas (ce que tout le monde croira parfaitement) et qu’un mauvais esprit, nommé Sess
ttre qu’il les ait tirées de son propre fonds. Quant à la lutte qu’il croit établie entre les esprits qui se disputent sa pos
cours. Notre jugement nous tient toujours en garde et nous empêche de croire à la réalité de paroles articulées et de sons tra
voyons des personnages fantastiques, mais à la réalité desquels nous croyons tant que dure le rêve ; nous entendons leurs disc
ns il a conscience de n’être pour rien dans ce qu’il a écrit, il faut croire dès lors qu’il s’abuse et que, sans s’en douter,
re à nos lecteurs que M. Girard adopte les idées de M. de Mirville et croit , comme lui, que c’est le diable qui est l’auteur
Hollande, dans un écrit imprimé à Amsterdam. Nous, au contraire, nous croyons aux possessions, nous croyons à la bonne foi des
é à Amsterdam. Nous, au contraire, nous croyons aux possessions, nous croyons à la bonne foi des juges; et c’est dans le livre
ments contre lui. Faisons d’abord remarquer que toute l’antiquité a cru aux possessions : cette doctrine se lie à celle d
s en faveur de l’intervention des esprits. C’est ce que confirmerait, croyons -nous, k ne pouvoir en douter, la publication des
ue l’on entreprît ce travail. Dans l'état actuel des choses, nous croyons qu'aux yeux de tout homme un peu adonné aux expér
de la chair, « mais je m’en suis confessé, j’en ai fait pénitence, et crois « en avoir obtenu le pardon par mes prières; et,
présentant des caractères particuliers et attribuées aux esprits. Je crois pouvoir admettre, contrairement à l’opinion de l'
xaminons, et en admettant la possibilité dé semblables faits, nous ne croyons pas nous écarter de la routé du bon sens. Les don
ut jusqu’à terre. Eveillé par le brait de sa chute, le maître, qui le croit sinon tué, du moins peut-être dangereusement bles
M. de Mirville et avec M. le comte dé Résie. Ces derniers non plus ne croient pas au fluide magnétique contre lequel ils n’ont
du cadre du journal. Résulterait-il de là que M. de Guldenstubbé ne croit pas aux mauvais esprits? Non, sans doute. Il n’es
ctuelles, elles ne sont nullement incorporelles. » Cette opinion est, croyons -nous, celle de tout magnétiseur. Sur la questio
rc ac croupi soufflait le feu. « Le prince GortschakofF, ne pouvant croire au récit de son fidèle Gruyère, descendit à la cu
raille, contre le bois de son lit, contre tous ses meubles. M. X... croit aux esprits, et s’occupe avec passion de ce qu’on
aturément. D. Que penses-tu de l’avenir du magnétisme? R. Je le crois grand. i). Pourrais-tu donner quelques développ
aitement légitimes de la part de personnes qui n’ont aucun motif pour croire à de pareilles interventions, et auxquelles la pr
ni plus ni moins), afin d’augmenter leurs souffrances en leur faisant croire qu’elles n’auront pas de fin. Cette explicatiou e
rer la vérité, il perd tout titre à la confiance et ne peut plus Être cru même sur la qualité qu'il s'attribue, comment don
avec la nôtre, l’intégralité de notre être matériel ; mais aussi, je crois pouvoir affirmer que le sentiment intime de notre
iment que cette expérience avait fait naître en nous. h C’était, je crois , le 25 décembre 1851 que je donnai cette séance d
ous avait annoncées M. X... eurent lieu, et ce ne fut qu'alors que je crus sincèrement à la réalité du somnambulisme de M. X
ui est celui de la charité ; mais, pour mon compte particulier, je me crois extrêmement flatté de tous vos chapitres, qui sem
étisme , et cela contre ma volonté expresse. Je dis magnétisme, je le crois du moins. Voici, du reste, ce que j'éprouve : A l
de partie de l'humanité, dans tous les temps et dans tous les pays, a cru à l'existence îles esprits. Nous ne concevons pas
confond notre intelligence. « E. M. » LES ESPRITS. S'il faut en croire les bruits rapportés par /’Indépendant de la Char
ttribués à la supercherie. En lisant ce passage de son travail, on le croirait sorti de la plume d’un membre de l’Académie de mé
t elle le spectre d'un de ses parents morts; elle le toucha, elle crut , et mourut peu de temps après ; et elle fit le le
é des exploits extraordinaires qu’on attribue au médium américain. Je croyais , l’hiver dernier, que nous avions une indigestion
d à de magnifiques découvertes; mais, après avoir lu, on est tenté de croire que la seconde moitié du titre contient une gross
s grave. Pourquoi cet attirail de planètes et de signes du zodiaque ? Croit -il réellement que les sept planètes aient pris ch
s doute que le nombre des planètes est de beaucoup supérieur à ce que croyaient les anciens ; néanmoins, il ne fait aucune mentio
boiteux? M. S.ilali (etc.) consacre un chapitre aux somnambules, il croit à la lucidité, il est mécontent de bien des chose
s nous apprenez que cela proure l’action du magisme ; je veux bien le croire sur votre parole, car un homme qui a été au Brési
un nouveau mode de spéculer sur la crédulité publique. » J’aime à croire que ce portrait pou flatteur a été tracé par vous
utres corps. Voici quelques notions succinctes bien propres à faire croire que jamais ni la lumière, ni aucun des autres flu
s d’intelligence que celle du plus habile joueur. On craint trop de croire ; on se rassure en pensant aux tours de Robert Ho
magnétisme seraient vrais, quel parti utile pourrait-on en tirer ? Je crois qu’il n’y a pas grand parti utile à en tirer main
ique» du corps humain et des substances dites médicinales que vous ne croyez plus à leur puissance, ou du moins que ces puissa
rre les remèdes par lesquels ils guérissaient les malades; et vous ne croiriez pas à la médecine ? 11 est possible, soyez-en cer
qu'elle sera fixée, tous les obstacles disparaîtront, car le médecin croira parfaitement à l'efficacité du magnétisme qui lui
vre dans une situation semblable. — C’est dans ce moment, alors qu’il croyait tout espoir perdu pour son avenir, qu’un de ses a
mme certains descendants du sceptique Thomas : « Je verrais que je ne croirais pas ! » « Cependant j’ai assisté chez madame Mong
nouvelle encouragea les chercheurs de trésors. et. le lendemain, ils crurent être au bout de leurs peines. A peu près à la pro
de votre croyance en la médecine classique que vous défendez. Vous me croyez l’ennemi de cette dernière; vous vons trompez en
été traitée en vain par les hommes de l’art les plus éminents, je la croyais sourde pour tôtrte sa.vie. Je dois ajoater que
érit dit être un esprit. Peu m’importe ; je ne veux forcer personne à croire que cela est ou n’est pas. Les résultats satisfer
ncorder avec ceux de la religion qui émane de Dieu. Pourquoi ne pas croire au catholicisme? lYa-t-il pas, comme je viens de
n avec les membres. Vous l’avez trouvée hostile, méfiante, et vous la croyez votre ennemie! Question d’individus, question de
entes dans ces communications spirituelles que certes vous 11e pouvez croire être toutes le produit d'êtres sages, dignes et o
de ces traités composés par des hommes d’un grand mérite, M. Berjot a cru avec raison qu’on pouvait encore rendre des servi
convenablement cette tâche, d’avoir la volonté de faire le bien et de croire à l’efficacité de l’agent mesmérien : il faut enc
les âmes cet amour sacré de la vérité qui ne doit plus s’éteindre. Croyez -le Lien, chers et dignes collègues, le monde magn
andue sur le monde magnétique, et altérer nos joies; non pas que nous croyions que tout soit perdu, c’est un cri d’alarme seulem
cidé d’avance dans leur sagesse que les faits étaient impossibles, se croient par là dispensés d examiner et de discuter, nous
s encore bien longtemps que les académies traitaient de fous ceux qui croyaient aux aérolithes et prouvaient mathématiquement qu’
fous que leur maître Puysé-gur, ainsi que tous ceux qui s’obstinent à croire à toutes ces merveilles incroyables. Si donc no
encer sur nouveaux frais des tentatives aussi infructueuses ? — Ne le croyez pas. Les corps scientifiques, qu’il ne faut pas c
er, à encourager tout effort tendant à établir des principes que l'on croit vrais et qui portent l'homme à la recherche de vé
e route Faisons germer l’espoir en arrachant le doute, Ce lléau qui croit en tout lieu. A Mesmer. Toi, pour qui la natu
yer d'où n'émane aucun feu; Que Loyola prêche un noir démonisme : Croire à l'excès, c’est au moins croire un peu. Si l'u
Loyola prêche un noir démonisme : Croire à l'excès, c’est au moins croire un peu. Si l'un médit, si l'autre excommunie,
er une histoire Que ¡es chiens d'aujourd'hui n’auront pas peine à croire . Un de ces animaux, petit, niais vigilant, Ab
ns les détails importants de cette grande loi physiologique. (3) Je crois utile de remémorer aux lecteurs du Journal du Mag
d’acquérir ce vrai diapuson augmente avec les assurances que l'on.sa croit en droit d'asseoir au trône de son for intérieur.
au crayon plusieurs lignes qui furent trouvées dans le livre. — Je crois maintenant en vous, Alexis, reprit l’interlocuteu
einture enchâssée à ce bracelet représentant le monarque. Le tribunal crut devoir prononcer contre Alexis une condamnation à
rivé de la ressource si précieuse des séances publiques. L’autorité a cru devoir les interdire. On n'a fait aucun reproche
r de M. du Potet pour former une nouvelle société : nous voulons bien croire que le journaliste étranger, qui a accueilli tous
président Benoit-Champy, elles auraient été à juste raison indignées. Croiriez -vous que la fameuse Société des magnétiseurs est
aculté de voir le mal d’autrui et les remèdes, ni la prévision. 11 ne croit pas non plus au don des langues : mais nous devon
magnétique n’est qu’un dormeur qui sommeille, rêve et délire, comment croire qu’il soit doué de facultés extraordinaires? Comm
mpériale de Paris. Ceci ne doit pas faire entendre cependant que nous croyions aveuglément et en tout point aux opinions de Bodi
l’histoire des contradictions de l’esprit humain. Nous pouvions nous croire loin, bien loin du moyen âge, de ses superstition
eilleux poussé jusqu’à l'absurde. Que Bodin, malgré ses lumières, ait cru à la sorcellerie, comme beaucoup de ses contempor
s, il ne faudrait donc pas trop s’en étonner. De Thon, si éclairé, ne croit -il pas à l’astrologie judiciaire? Machiavel, à ta
les livres saints, Dieu se soit jamais applaudi de ces secours, et je crois bien plutôt qu’il a gémi de tant et de si grossiè
ue l’invraisemblable peut être quelquefois vrai. Et c’est ici le cas, croyons -nous. Prenons donc ce livre de Bodin et voyons d'
rale domine cet ouvrage , la croyance aux esprits. Et peut-on n’y pas croire ? C’est un dogme établi, consacré par toutes les r
tes sortes d’encouragements à mes compagnons, bien qu’en vérité je me crusse mort, eu voyant la terreur dont était saisi l
a pas l’envie de recommencer. » Ces faits et ces observations sont, croyons -nous, la meilleure justification que nous puissio
garous, saint Augustin l'ait observer avec bon sens qu’il ne faut pas croire que l’art ou la puissance du diable puisse change
il ¡rapporte l’opinion, que c’est une fascination. Et le sabbat, y croyez -vous aussi? nous ditam. Voici un point essentiel,
izarres cérémonies remontaient à une haute antiquité ; elles ont été, croit -on, une persistance du paganisme à travers les te
semblées qui avaient lieu tous les trois ans sur le mont Parnasse, on croit assister au sabbat nocturne de Satan, tel que l’o
nocturne de Satan, tel que l’ont décrit les auteurs du moyen âge ; on croit voir les accouplements honteux de sorciers et de
mettons pas comme démontrés, et nous pensons que les vols aériens que croyaient opérer les sorcières, après s’être enduit le corp
s erreurs admises par Bodin et par la plupart des démonographes. 11 a cru aussi et évidemment avec une bonne foi par trop c
l a été quelquefois réel. Les faits pour l’explication desquels Bodin croit l’intervention du démon indispensable sont opérés
as les esprits diables ou démons, ou, pour parler plus clairement, ne croient pas à une intervention redoutable et constante de
cile qu’on le pense de dire : celui-ci est bon, celui-là est mauvais. Croire aux catégories tranchées dans l’autre monde serai
vages qui immolent des victimes humaines pour apaiser leurs dieux, il croit honorer la divinité en envoyant le sorcier au bûc
de rester dans son lit pendant au moins trente-six heures. « Qui le croirait ? toutes les momeries absurdes ont trouvé créance
n sur son semblable, soit pour le tuer, soit pour le guérir ; mais je crois cependant devoir me confesser de l’infraction que
ouverte d’Ampère? Ne voyant pas circuler le fluide nerveux, ils n’y croyaient pas plus que le paysan qui ne voit pas passer le
voit pas passer le fluide élec-triqt« dans les fils du télégraphe ne croit à ce mécanisme. Ne p®ut-on pas dire que l’établ
ue les muscles, mais n’épuise pas la vie comme le profane vulgaire le croit sur la parole des scieurs de long et des portefai
en somnambulisme, j’ai dû avoir recours à la prière.... La prière, je crois qu’il n’y a pas beaucoup de cette médecine à la F
u s’est accompli, je suis porté à croire cette dernière comme j'ai dû croire aux autres. Enfin, moi qui sais à peine ce que
ependant, permettez-moi de vous en raconter encore un ou deux qui, je crois , méritent votre attention ; libre à vous de le je
ici de la très-bonne bière. C’est la seule boisson quej’aime; j’avais cru m’apercevoir que quand j’en buvais quelques verre
actions, fixées par des lois éternelles: que c’est un sot orgueil de croire que nous pouvons offenser Dieu; que tous les soi-
ie cet aveu d’un des hommes les plus savants de notre époque, et nous croyons que le moment n’est pas éloigné où les corps sava
l'âme humaine, savoir : la recherche de la vérité. » Nous aimons à croire que M. Babinet aura eu quelque motif particulier
cas, des individus ont pu voir dans des conditions anormales. Si l’on croit que ces attestations laissent à désirer, au moins
e relevée de ces deux coups également mortels ? On serait tenté de le croire : car un nouvel Hercule se dresse, armé de la mas
s : ils représentent des idées, et les idées gouvernent le monde. «Ne croyez pas, disait Bossuet au grand Dauphin son « élève,
e et d’essence entre les deux agents? 11 y aurait de la témérité à le croire ; car les effets, connus de l’agent nerveux qui s
question du magnétisme ; et j’y suis encouragé par deux motifs que je crois parfaitement rationnels. Depuis plus de soixant
imple curieux qui se livrent à des expériences de somnambulisme ; qui croient devoir rechercher si, dans certains états d’e
ts dont les magnétiseurs pourraient se faire une arme contre ceux qui croiraient superflu de tenter de nouvelles expériences,
iences, ou même d y assister. Pour moi, je n’hésite pas à le dire, je croirais manquer à mon devoir d’académicien si je refusais
qu’à présent, il n’avait été question de l'emploi du magnétisme. Nous croyons donc bien faire que de publier notre rapport, moi
nétisme à ce point de vue. Malgré cela, et sauf toutes réserves, uous croyons qu’il nous est possible de résoudre cette questio
, 10 avril 1858. « Mon cher confrère, « Voici ma réponse : « Je crois qu'unejeune fille de 18 ans, peut, en thèse géné-
r la conviction de ceux même qui étaient les plus déterminés à ne pas croire , car il est impossible à un mortel de faire de pa
nous savons que, I occasion aidant, il vous suffira d’avoir vu pour croire et pour le confesser hautement. au sujet des me
et, de l’autre, fluidiste. Est-ce bien cela? Dans l’affirmative, nous croyons que vos deux théories gagneraient quelque chose à
dressant à k de L... — Monsieur, dit-il, vous paraissez résolu à ne croire au-cnn des faits qu'on vous rapporte, et je me ga
et déjà je n'avais plus guère conscience de mon existence, lorsque je crus entendre des coups de pioche non loin de ma tête.
uxquels sont, exposés les somnambules naturels.. Souvent les. parents croient avoir assez fait en prenant quelques précautions
es temples de l’Éternel ; son orgueil croissant avec le succès, il se croira îe maître dumoilde. (.’est alors que le ciel l’ar
quinzaine de marches, les yeux à l’affût, l’oreille au guet, quand je crus entendre un bruit violent qui partait au-dessus d
me a été le point de mire de tous les faux esprits. Cent fois ils ont cru l’avoir tué; mais la vérité lie périt point ; on
de variétés dans les efl'ets. Pour plus de clarté et de méthode, nous croyons pouvoir les ranger en trois groupes principaux, s
édiction ou chercher la guérison de quelque maladie. Il ne faut pas croire que les frères de son ordre vissent avec plaisir
orien de l'ordre n’ose pas en fixer le chiffre, de peur de n’être pas cru . Pour l’arracher à l’empressement des populatio
n’y a rien de nouveau sous le soleil de la justice, ce procès, qui se croira peut-être une nouveauté, ne sera qu’une vieilleri
es, ainsi que ceux que présente l’état physique des somnambules, nous croyons que lacause en est naturelle et physique, et qu’o
laïques, dont un si grand nombre, hélas! professe le matérialisme et croit à peine à l’existence de Dieu et à ses propres de
pas de même des phénomènes si extraordinaires du somnambulisme. Nous croyons qu’il ne serait pas sans danger et sans témérité
rvations, d'expériences suivies, en un mot de présenter un fait. J’ai cru pouvoir en faire la narration sans me mettre en o
quant au rythme, ni quant à l'étendue. Je n’avais pas de raison pour croire qu’il y eût à la tète une congestion sanguine, ma
été pendant quelques heures tellement tranquille, qu’on aurait pu la croire endormie du sommeil ordinaire; elle avait été pri
S. ONZIÈME CAUSERIE. Patience et persévérance. {Suite.) Je ne crois pas que l’on ait encore poussé jusqu’au bout les
qui expérimente; mais si l’on continuait, qu’arriverait-il ? Nul, je crois , n'en sait rien encore. D’un autre côté, on ape
t quand, vous voulez toucher à cette machine, conduit par ce que vous croyez être des vérités, de sûres connaissances, vous me
ffections arrivées à un certain degré. Souvent, pourtant, on pourrait croire , en vous entendant, que vous pouvez faire chez no
reconnaissance et d’un sincère dévouement. Qu’on les poursuive, si on croit en avoir le droit, pour exercice illégal de la mé
nt le défenseur, a déclaré la cause entendue. M. le substitut n’a pas cru qu’il y eût contravention et a conclu au renvoi d
Baron du Poxet. Delphi, Indigna, 50 mors 1858. « Messieurs, Je crois remplir un devoir de conscience en vous faisant p
omnambules ; les plus lucides peuvent avoir des moments d’éclipse. Ne croyez donc jamais aveuglément ; vérifiez si vous le pou
on lui portait alors. Son système de religion était le panthéisme; il croyait à une quantité in- nombiablc d’êtres animés q
lques sciences naturelles, moins importants qu'on ne voulait le faire croire , puisque rien n’avait été positivement imaginé, e
rtain que ce qu’il convenait à chaque siècle d’appeler la vérité ; il croyait que les idées humaines recevaient de chaque époqu
nversations, le général I.amarlière demandai l’aide de camp : ,i Vous croyez donc à Mesmer, à Cagliostro et tutti « quanti ? —
sais. « Si quelqu’un me racontait cette scène d’évocation, je ne le croirais pas ; permis donc à ceux qui me liront, si par ha
onc à ceux qui me liront, si par hasard quelqu’un me lit, de ne pas y croire . On devine qu’elle fut le sujet de très-grands co
e de coquins qui s’entendaient à merveille, et ce pauvre cardinal qui croyait à tout, excepté au Dieu qui le nourrissait. Mais
on ne peut raisonnablement rien supposer de pareil. Toutefois, je ne crois ni aux sortilèges, ni aux évocations, ni aux devi
primait avec la plus grande facilité, et miss Harris, toute heureuse, crut que sa sœur était désormais hors de danger. h A
ore une fois avant que mon cercueil soit recouvert de terre. Alors tu croiras enfin au spiritualisme. » « Après avoir achevé
arte : mon ange conducteur m’attend. Adieu ! J’ai rempli ma promesse. Crois et espère ! » Le journal auquel nous empruntons
ait tout cequ’elleavu et éprouvé pendant cette longue crise, on ne la croirait pas. En conséquence , elle éprouve quelque répugn
ieux. » Observation. — D'après le récit qui,précède, il y a lieu de croire que la dame dont il s’agit s'est trouvée dans un
rouva un violent spasme et empira rapidement. A onze heures, nous crûmes qu’elle allait passer : le pouls était à peine se
rmée une génération entière de médecins,, gii faisaient profession de croire à ce qu’ils voyaient et touchaient seulement. Il
pas être confondu avec le corps. Aujourd’hui donc, un étudiant peut croire que l’âme existe et le dire tout haut, sans passe
ent avec violence-; on va ouvrir ; personne sur le palier. ^ "! «On crut d’abord1 â une plaisanterie, et chacun se mit en
le rez-de-chaussée jusqu’au grenier, au grand émoi des locataires qui crurent pour un moment à un second déluge universel. »
de là au débordement dont parle la Revue, et si les habitants ont cru un instant à un second déluge, cet instant adù êt
c les esprits , arrive à un état extatiforme, rêve les yeux ouverts , croit entendre des oracles et.retrace par l’écriture le
l’influence des> êtres moraux les uns siir tes autres, nows avons cru trouver une certaine affinité avec les doctrines
ectitude cette électricité vivante. Les savants voulaient, avant de croire au magnétisme, qu’on leur donnât d’abord un s
ulaient qu’on expliquât devant eux le magnétisme. Ils disaient : Aous croirons lorsque nous pourrons expliquer. S’ils attendent
écouvrir ses trésors. En parlant du somnambulisme, il dit : Peut-on y croire ? Non. Faut-il y croire ? Oui. Il a signalé un t
n parlant du somnambulisme, il dit : Peut-on y croire? Non. Faut-il y croire ? Oui. Il a signalé un trésor caché dans une fo
a En recevant mà lettre, vous serez sans cloute bien surpris, même je crois que vous ne pourrez pas vous rappeler qui je suis
rofession : d'avance je vous en demande pardon pour lui. Vous allez croire , monsieur ***- que je suis un apôtre du magnétism
ectables ; les Esprits américains ne sont pas en reste, comme on peut croire , et rétorquent à leurs agresseurs les imputations
nt à leurs agresseurs les imputations de mensonge et de légèreté. Que croire au milieu d’un tel gâchis? Comment discerner les
rité, les médiums et leurs inspirateurs n’ayant pas plus droit d’être crus sur parole, quand ils prononcent du haut de la pl
58. 20 Mon officier, mon commandant, mon gcn'ral,... ils vont, je crois , jusqu’à leur donner le titre do prince et d'alte
instant, vos yeux apercevront la plus grande merveille du monde. Vous croirez rêver, et ce ne sera point un rêve, mais la réali
ous croirez rêver, et ce ne sera point un rêve, mais la réalité. Vous croyez être simples, vous reconnaîtrez, à votre très-gra
ge, et vous allez voir le produit de ce feu mystérieux. Moi, je n’y crois pas, dit le premier, mais je ne veux pas essayer.
r, mais je ne veux pas essayer. Un second, non moins raisonnable, n’y croit pas non plus, maislapeur le saisit, il craint mon
douleur dans les parties qu’on a pincées ou brûlées, et s’en va sans croire au magnétisme et prend tout cela pour une mystifi
éro prochain.) DE LA SPÉCIALITÉ DE CERTAINS HOMMES. Pourquoi ne croirions -nous pas que chaque homme possède une spécialité,
tisme, sous ce titre : les Magnétiseurs Jugés par eux-mêmes, et qu’il croit être le coup de grâce de ce pauvre persécuté. «
ien malade , n’cst-ce pas ? dit une dame dont l’unique maladie est de croire qu’elle les a toutes. — Eh ! non , pas plus que
utes. — Eh ! non , pas plus que moi ; mais je comprends que vous le croyiez . Quand vous vous regardez dans une glace, vous me
lettre qu’on me permettra de reproduire ici : i' Oui, disait-il, je crois au magnétisme et au somnambulisme. Quand on a vu
utions, et qu’on n’oserait môme pas vous attaquer, si tous ceux qui y croient , avec raison , avaient, comme moi, la franchise d
oi, à cet égard , une conviction profonde fondée sur des faits que je crois incontestables. Peut-être un jour aurai-je le loi
n moquer huit jours plus tard, on ne sait plus au juste ce qu’on doit croire de ses affirmations'. Il ferait bien de mettre un
a fin que ce Sempronius est un chrétien renégat qui, comme le Diable, croit au christianisme, mais le hait et le combat avec
c’est que de dessein prémédité il s’acharne contre une religion qu’il croit vraie. Sempronius se vante de pouvoir, comme Ap
son indécision reflète celle de son évocateur, ce qui pourrait faire croire qu’a!ors comme actuellement, les esprits ne savai
et mon dévouement ne pouvait faire fléchir l’opinion des gens qui me croyaient dans l’erreur. Ce ne fut que petit à petit que je
r toutes les faveurs de l'Académie : il en est encore aujourd’hui, je crois , secrétaire perpétuel. Puis encore Burdin , le
re. Je ne sais si d’autres magnétistes voulurent gagner le prix; je crois , au contraire , qu’ils sentirent tous que cette a
de ce fameux prix, on en inséra l’annonce dans tous les journaux; je crois même, Dieu me pardonne, que beaucoup de médecins
Me voyez-vous par la nuque ?... M'apercevez-vous pur l’épigastre?... Croyez -vous au magnétisme... animal? Au Collège de Fra
salle un monsieur qui désirait se soumettre aux expériences et qu'on croyait susceptible de ressentir l'influence magnétique.
siège. Il se releva et se dirigea vers la commission ; il semblait se croire réintégré dans son état normal, et ne pas apercev
i etM. Collyer, et ajouta : « S’il dit que M. Collyer l’endort, je le croirai . » M. Collyer fit en conséquence une tentative. L
a fatigue du dos. M. Creen-wood lui ayant demandé combien de temps il croyait avoir dormi, il répondit : Environ dix minutes. I
it négativement. Il dit qu’il n’avait pas cherché à s’endormir, qu’il croyait même pouvoir rester éveillé, qu’il n’avait jamais
de quelques décimètres ; ce mouvement, que plusieurs auteurs avaient cru pouvoir attribuer à l’action du fluide magnétique
se promenait dans cette vaste cour. Six ou sept personnages que je crus gens de connaissance s’v trouvaient assis sur un
ficile à constater. De même qu’un menteur, force de mentir, finit par croire à ses mensonges, ainsi les enfants, à force de ré
à force de répéter les prodiges qu’on leur a soufflés, finissent par croire à leurs fables. Et le bon peuple, en voyant tant
et n’auraient pas eu plus de sens que des épiciers ? Je ne saurais le croire . — Les épiciers, Monsieur, ne les dédaignez poi
depuis que les livres de nos maîtres ont passé par leurs maips ; ils croient tous au lluide. Magendie et Dubois d Amiens leur
devrait intervenir contre ces petites gens, car, s’ils ont raison de croire , l’Académie a tort de nier , et on 11e devrait ja
s. Lorsque Mesmer, en présence des faits nouveaux qu’il produisait, croyait d’abord reconnaître l’action de l’aimant sur l’ho
é les sentiments peu fraternels qui les animent. Plus tard, Galvani crut à son tour découvrir une force voisine de l’élect
logie, contiendrait l’idée de l’unité de force. Od, si l’on en veut croire les érudits, que nous ne citons ici que pour mieu
des clefs n’a pas élé bien faite: mais les résultats tendent à faire croire qu’aucun de ions no serait un sensitif de haut ti
ds pendant son voyage. Voilà, mon très-honoré maître, un cas que je crois bien intéressant, un curieux et excellent sujet d
qui le roi disait avec humeur : Prenez donc garde (3) ! » Potemkin croyait aux oracles. Une tireuse de cartes lui ayant préd
rédit qu'il mourrait au mois de mars, et si, dans la jeunesse où l’on croit voir le ternie de sa destruction, il fit peu d’at
ce à un charlatan du nom de Damis qui promettait de faire de l’or. 11 crut à ce secret fort longtemps; malheureusement pour
magicien ; mais Duclos, qui a si souvent copié le duc de Saint-Simon, croyait , ainsi que lui, beaucoup trop légèrement aux accu
ette version est bien plus probable, et, dans le doute, il vaut mieux croire au meurtre d’un cheval qu’à celui d’un sorcier. C
ertain, c’est que cet homme si spirituel était superstitieux et qu’il croyait aux prédictions (I) Vie du prince Potemkin, par
it roi un jour. (1). » Autre document de la môme dame: «Gustave 111 croit beaucoup aux sciences occultes, et je l'ai entend
raconte Saint-Simon, pour se persuader qu’il n’y a pas de Dieu, et il croyait au diable j usqu’à espérer de le voir et de l’ent
votre journal à des faits qui ne sont pas nouveaux pour vous. Mais je crois qu’on doit, dans l’intérêt de toute science nouve
ue M. Robert, et, au lieu de dosage, il parle de régularisations ; il croit que le dosage est une chimère. Ainsi, de l’aveu m
é fait ce proverbe américain : Time is money. — Pauvres malades, vous croyez bénévolement qu’on a étudié la médecine pour vous
erses opinions; trois séances furent consacrées à la discussion. Nous croyons utile de rendre compte à nos lecteurs de cette in
gants pour duper des spectateurs crédules ou inexpérimentés, et faire croire à des interventions miraculeuses ; bien des faits
siteur d’une commission qui se consumera en efforts infructueux et se croira le droit de nier ce qu’elle n’aura pu voir, tandi
ennant rétribution ot à tout venant, sans s'informer si le consultant croit ou non ; on cite même des incrédules houspillés p
es milliers d'individus ont été dépouillés de leur argent et amenés à croire qu’ils conversaient avec les âmes de leurs amis d
7 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
e nom de magnétoscope, qui est complètement inconnu en France. Nous croyons pouvoir calmer les hoftoraWes regrets de notre ch
es effets annoncés du premier appareil que j’eus à ma disposition. Je crois avoir acquis la certitude que l’armature métalliq
er pour atteindre cet heureux et désiré résultat. Il les rencontrera, croyons -nous, dans les écrits du docteur Léger, édités pa
sseur non officiel. Qu’il parlât au nom de la science, comme Raspail, cru * bien, comme les magnétiseurs, qu’il se présentât
se communiquer et de s’accroître par les manipulations. Nous aimons à croire que cet ensemble de mots parfaitement amphigouriq
— Encore cette vieille plaisanterie ! Allop. — Vous voudriez faire croire que j'invente. — Voyons est-il «xact ou non que l
, l’assurance de l’opérateur, et ses affirmations. Commencez-vous à croire , avec le rapport de Bailly sur le magnétisme, qu’
Pour i.es illusions trompeuses de mon imagination!... Est-ce que vous croyez , Monsieur, que l'imagination n’est bonne qu’à fai
tout dévoué serviteur, « Frappart, d. m. p. » Quelques personnes croient que nous allons trop loin dans nos attaques contr
it très-lucide. « Malheureusement, c’était l’exception ; et puis je crois que, soumise tour à tour à des magnétiseurs diffé
qui vient de se passer à Liège : « Un jeune homme, M. M..., qui ne croyait pas au magnétisme, simulait en plaisantant les ge
e, et s’était enfin affaissé sur lui-même sans connaissance. « On crut d'abord qu'il continuait la comédie commencée ; m
de plus à présenter leurs admirateurs. Dans bien des cercles où l’on croit être en communication avec des esprits supérieurs
ire, ils ne réputent aucunement ce fait comme merveilleux , et ils se croient en droit d’affirmer que cette personne n’apas bes
quer en doute la sincérité du correspondant du Telegraph, nous devons croire qu’il accepte comme manifestations des Esprits le
t les assises. M. Lewis. — Il n’y a aucune preuve de nature à faire croire à qui que ce soit que cette femme ait jeté son en
i de la prévenue? M. Broughton. —Je 11e le puis, encore bien que je croie l’acte commis sous l’inspiration d’une sorte de f
communiquer et de s'accroître par les mani-« pulations. Nous aimons à croire que cet ensemble de mots « parfaitement amphigour
obtenus sont de nature démontrer : /V ceux des magnétiseurs qui ne croient pas fi l’homœopa-tliie, — l’activité des préparat
é des préparations liahnemanniennes ; A ceux des homœopathcs qui ne croient pas au magnétisme, — la lucidité des somnambules
gnétisme, — la lucidité des somnambules ; A ceux des savants qui ne croient ni au magnétisme, ni à l'hoincuopatlne, — l’exist
ave , et je déclare d'avance que — surtout dans les boutiques — je ne crois point aux grâces d’état. En trouvant dans la lu
Quant à nous, au lieu de nous effrayer comme M. Mabru, nous préférons croire que de pareilles intelligences n’ont pu se trompe
t en s’appuyant sur des faits? Seulement qu’on n'aille pas penser que croire au magnétisme, c’est nécessairement ajouter foi à
18/16, et vous verrez qu’au point de vue philosophique, ce qu'on peut croire du magnétisme ne trouble pas l'ordre des chos
de M. Devergie aux auteurs du rapport sur le viol en question : « Je crois qu’une jeune fille de dix-huit ans peut avoir été
orie qui ne sont pas encore bien établis. Quant à ceux qui ne peuvent croire que lorsqu’ils ont bien vu, je les engage à ne pa
ii de médecine de Gand. Cette brochure ayant été peu répandue, je crois être utile îi la science en tirant de l’oubli les
sœur étendue sur le seuil, toute mouillée, froide et inanimée. On la crut morte... Plus tard, interrogée par le médecin,
ces occultes, confia & ,\I. C.ahagnet, alors à Rambouillet, qu’il croyait qu’un somnambule lucide pouvait évoquer et voir l
avec quel respect ne doit-on pas combattre la conviction de ceux qui croient aux influences réciproques qui s’opèrent d’indivi
prétention de défendre le magnétisme, il faut que je dise ii ceux qui croient : Nous défendons nos convictions ; à ceux qui ne
ii ceux qui croient : Nous défendons nos convictions ; à ceux qui ne croient pas : Voyez ses effets. Les faits sont plus concl
tances précises, indiquant souvent des témoins respectables ; comment croire que ce ne soient que des fictions destinées à l’a
certaines personnes une telle soif de merveilleux , un tel besoin de croire , qu’elles ne peuvent se résigner à répudier les
e un écrivain passe du rôle d’historien à celui de romancier, on doit croire que, quand il dit avoir vu et qu’il signe, il eng
s fait l’honneur de me répondre. Je suis loin de m’en plaindre, et je crois que tout le monde comprendra son silence. Si le r
demandé l’adresse de Peau d'âne. Dès lors il n’y a pas de raison pour croire même que le médium Ad-disson existe réellement. T
onnaissance d’un jeune homme qui, par ignorance ou par entêtement, ne croyait pas à la vérité nouvelle. Je lui proposai plusieu
nt elle n’existerait pas. Ainsi, par cela seulement qu’elle est, nous croyons pouvoir dire qu’elle est matérielle ; seulement i
cule (Cicér., de Divin., lib. Il); Gicéron lui-même, qui cependant ne croit pas aux songes, averti pendant l’exil par l’ombre
creuse, il fouille et trouve un trésor. Un homme, dit Galien, qui croyait aux songes, rêve qu’une de ses jambes est de pier
s'expliquer que par l’intermédiaire de cet agent. Peut-être l’au-leur croyait -il ne pas avancer la question en rangeant ces phé
un rapprochement avec le magnétisme se présentant naturellement, j’ai cru devoir la saisii pour exposer franchement ma mani
ut chez les races colorées de ce pays, ne feront aucune difficulté de croire à ces états nerveux extraordinaires : quant aux i
concours frauduleux entre les deux indiens, mais il ajoute : il faut croire que ces individus jouissent occasionnellement de
l et remit les lunettes perdues. — L’auteur ajoute : Mon vieil ami ne croyait pas au pouvoir surnature] que s'attribuent les br
e était au cerveau, il y ressentait de violentes douleurs causées, je crois (le résultat Tohe XVlll. — N» 53. — 2« Séhie. — 1
me 1 « Mais où m’emporte l’ardeur de mon zèle ? Pardon, lecteur, je crois que je me suis laissé entraîner à une boutade de
ne pas me demander, m’empêchent présentement de te dire mon nom., je crois qu’il ne sera pas hors de propos de te faire conn
e lire un ouvrage sur un objet quelconque, je n'ai pas la bonhomie de croire les gens absolument sur parole, d’accepter aveugl
voulu faire remonter plus haut le principe de ces merveilles, et ont cru y voir une action directe de l’âme reprenant son
puisée la série des systèmes sur lesquels les disciples de Mesmer ont cru pouvoir établir sa doctrine; pas un ne peut r
nner un traité complet de la matière, niais exposer une théorie qu’il croit propre à rendre compte des faits du magnétisme et
l’auteur ne l’admet pas, et il est certain que dans les cas où l’on a cru la remarquer, le cri-siatpie prononçait des mots
bservations de M. Gro-mier. Il y a quelques années, 011 aurait pu les croire super-ducs et intempestives, tant la démonologie
Légende dorée. Il y a là une rechute humiliante. Quand tout le monde croyait aux possessions, elles étaient fort nombreuses; q
adie a pour cause unique la croyance à sa réalité, qu'il suffit de se croire possédé pour l’être, et que certains esprits faib
es cures que j’ai faites ici, je me borne à vous en citer une qui, je crois , est digne de votre attention. « lin garçon de
en d’autres, est assez connu ici, même de plusieurs médecins, si vous croyez devoir en parler dans votre cours, monsieur le ba
e, qui 11e manquera pas d’encourager vos auditeurs, si toutefois vous croyez devoir leur en faire part. i. Lue jeune veuve,
e ue magnétisai pas moi-même; vous me comprenez trop bien pour que je croie nécessaire de m'expliquer. «J’ai l’honneur d'êt
Anglais, peut-être un Anglais d'Ecosse, le pays de la seconde vue, a cru répondre au programme de l’Académie, ou à ce qu’i
défaut de ces précautions, on tend un piège au public en lui faisant croire qu’on cherche sincèrement à recueillir des lumièr
eptibilités de l’assemblée à laquelle il soumet son travail, qu’il se croit obligé de «’excuser de son audace ; il invoque le
s, il se reitranChe1 derrière l’autorité de savants illustres qui ont cru au magnétisme. «Pour le déterminer à braver, lui
ves ordinaires les faits du somnambulisme spontané et ceux même qu’il croit pouvoir admettre du somnambulisme artificiel ou m
que simulation et fourberie; son rapporteur, M. Dubois (d’Amiens), se croit dans une position inexpugnable quand il déclare q
s que nous remémore l’auteur, au milieu de beaucoup d’autres , Kepler croyait à l’astrologie , saint Thomas-d’Aquin, Origène, c
tres , Kepler croyait à l’astrologie , saint Thomas-d’Aquin, Origène, croyaient aux sortilèges, etc. Que beaucoup de fables se
omériques, et trompés par une identité de mots, les Pères de l’Eglise croyaient reconnaître dans ces démons les anges déchus de l
vinités cachées qu’il fallait adorer ou apaiser; ces philosophes s’en croyaient inspirés, et leurs pratiques extravagantes entret
là comme le scalpel do l’examen dépoétise tout : on ne peut même plus croire aux génies qui tirent les sonnettes et aspergent
du chloroforme, dont l'odeur s’était légèrement répandue, pour faire croire sans doute que j’avais besoin de cette drogue emp
des aspirations mal définies à la vie spirituelle. Nous pourrions, croyons -nous, et sans trop nous écarter du cadre de ce jo
s ces moments lucides, de délicate sensibilité intérieure, nous avons cru sentir en nous la vraie forme de l’âme, le plan v
otre âme dans sa beauté et son intégrité. « Voilà ce que nous avons cru sentir. Mais, en réalité, indépendamment de notre
st détruite; elle disparaît et l'on en perd jusqu’au souvenir. On n’y croit plus. u Que de fois l'ai-je sentie porter mon c
e : état très-rare pour nous, qui parlons ici, et rare aussi, nous le croyons , pour la plupart des hommes. Les retours de ce se
ure et sanctifie ? Je l’ignore pleinement. « Cependant il estbien à croire que, dans tous les états humains possibles, Dieu
ur ministère. C’est là une conséquence du régime de liberté. Ceux qui croient posséder des secrets merveilleux, et dont les pro
à laquelle il doit consacrer son lemps et son intelligence? Doit-oii croire aux influences réciproques qui s’opèrent d’indivi
dédain, mais la foule du public s’est divisée en deux camps, l'un qui croit aux mystérieuses influences du sommeil, l’autre q
t toujours distribuées; il est donc important que les magnétistes qui croient avoir îles droits ii la médaille, signalent promp
ujours son Corambé, fantôme qui «'évanouit, comme Euridyce, lorsqu’on croit le saisir et qui n'est pas en effet de co monde.
à diverses branches des sciences occultes. C’est à ce titre que nous croyons utile d’en entretenir nos lecteurs. Parmi les c
dont je n’avais pas la moindre idée et à laquelle j’aurais refusé de croire si les faits 113 se fussent pas passés sous mes y
adé qu’il avait mal vu. .Mais à trois mois de là, cet ami que j’avais cru si sûr et si dévoué, se trouva impliqué dans une
s regardèrent l’auteur comme un être surhumain. Il est donc permis de croire qu’ils attacheront à l’avenir bien moins d'import
peut produire le même fait par des moyens différents, il y a lieu de croire que si les prétendus miracles des Aïssaouas ne so
ertain qu’il accomplira tous lès miracles auxquels veulent nous faire croire les spirites, médiums, illuminés, magnétiseurs ,
n’est nullement magnétiseur, mais il a des raisons irréfutables pour croire à la puissance du magnétisme, ayant été Jui-mêrae
us sûrement sans doute que ne le ferait la drogue (de la créosote, je crois ) qu’on venait de lui ulonner, et je l'engage à pa
t tout ce qui est utile, de quelque part qu'il vienne. Nul ne peut se croire fondé à condamner d'avance un remède sans l’avoir
une manière désespérante, tant l’illusion était complète. Lh bien, le croira-t -on ? ces phénomènes si remarquables .¡qui, à eux
e de l’âme ou de l’esprit considéré alors comme synonyme de l’âme. Je crois , sans y attacher une grande im portance, que ment
n Elle ne le fut que d’une manière imparfaite, ou du moins nous nous crûmes fondés à penser ainsi. « La consultante lui dem
ntain, et la foule se disposait à aller porter secours à ceux qu’elle croyait dans le danger, lorsqu’on lui apprit qu’elle pouv
e terrain fréquenté par les Mesmer, les Deleuze et les Puységur. Nous croyons que les idées générales auront encore besoin long
chargés, et que nos maîtres, s’ils nous entendent, puissent toujours croire que nous sommes, sinon de dignes successeurs, du
on sur la présence réelle de l’esprit appelé. Mais ce ne sont pas là, croyons -nous, des raisons suffisantes pour nier la réalit
l’avoir fait. Nous avons assez de confiance dans son bon esprit pouï croire que, s’il vivait aujourd'hui, il reconnaîtrait qu
s réserves essentielles, l’article de Deleuze est excellent , et nous croyons ne pouvoir mieux clore cet article, qu’en lui
cette recherche et de découvrir ses motifs, s’il en a eus, comme nous croyons pouvoir le supposer. L. Lamothe. CONTROVERS
u n’auras pas mes os. Cette menace est vraiment tragique , et il faut croire que la Patrie avait compté sur les os de l’ancien
). Quant au magnétisme, il ne présente aucun argument nouveau ; il se croit fondé à tirer avantage de ce que son prix de 3,00
e par lui proposée. Nous regrettons que dans sa brochure il n’ait pas cru devoir modifier ces conditions qui font de son dé
réparait à jeter sur le cercueil les premières pelletées de terre, il crut entendre au fond de la fosse uu bruit étrange; st
du dans le trajet comme des coups frappés contre la bière, mais elles croyaient que c’était le cadavre qui ballottait. « Il est
vra subitement la vue. — 0 ! mes amis, j'y vois, Et maintenant je crois A cette faculté que j'ai tant combattue, De tou
loin avec les yeux ; Dieu que c'est étonnant, inouï, merveilleux! Croyez -moi, ce n'est point un conte ! Sans sortir de m
frement réfléchi sur ce qui m’avait d’abord para incompréhensible, je crus avoir trouvé le mot de l’énigme, — comme je le cr
ompréhensible, je crus avoir trouvé le mot de l’énigme, — comme je le crois encore plus que jamais en ce moment, — et je me m
a main droite sur le guéridon, ce meuble s'agite si violemment que je crois qu’il va se briser. « Tandis que les assistants
e que je venais de voir qu’il y a là-dessous un grand mystère, que je crois , je le répète, avoir à peu près approfondi, mystè
lesse et a cherché à établir que les peuples anciens ont eu raison de croire aux oracles dont les somnambules sont les héritie
De divin., 1.11, c. 56). — Enfin, quand même toute l’antiquité aurait cru à ce mode de révélation divine, nous n'y verrions
te et en donne une très-fausse idée. A l’entendre, on serait tenté de croire qu’il existait jadis des individus doués d’une sc
blier ensuite le résultat des opérations : si, comme nous aimons à le croire , il est favorable, cette publication ne pourra ma
contrôle ne peut avoir lieu , le phénomène est suspect, et l’on peut croire que celui qui se TOUE XV11I. — N° «O. — 2« Sébie.
, chercha quels organes pouvaient servir à produire ces résultats, et crut trouver dans les muscles péroniers l’appareil pro
, a fait parfois découvrir bien d’autres procédés employés pour faire croire à l’existence de coups mystérieux, et l’on ne peu
x moyens de produire des phénomènes plus significatifs, nous aimons à croire qu il n’en privera pas lacommission, qui, sans pr
une glace, ceux-ci d’une surface d'or comme (l) Celte maladie, j'ai cru doYoir la considérer comme une hystérie grave.
ques et qui en fait le fonds essentiel, alors même que les opérateurs croient ne pas s’en servir. La distance et le temps, él
s faits actuels et correspondants au moment même des opérations, nous croyons qu'il y a évocation , vue à distance , rapport. L
de police a été prononcé, ellem’a paru se réveiller spontanément. Je crois , sans pouvoir l’affirmer, que le sommeil n’était
, et, depuis lors, s’est fort bien portée. Je l’ai vue deux fois ; je crois qu’elle dormait. Elle a sauvé plus lard un de mes
femme. J’y suis allé sans confiance, j’en suis sorti convaincu. J'ai cru et je crois encore qu’elle dormait. » M. Morett
y suis allé sans confiance, j’en suis sorti convaincu. J'ai cru et je crois encore qu’elle dormait. » M. Moretton, bijoutie
dé une mèche de cheveux. Elle a été endormie par le docteur Murât. Je crois sincèrement qu’elle dormait. » M. Pierre-Margue
les moyens humains et surhumains pour la sauver. — Nous avons fait, croyez -le bien, tout ce qui est en notre pouvoir, nos vi
mystérieux (1), permettez-moi de répondre quelques mots à ce qu'il a cru devoir dire de moi ; je serai bref, pour ne pas a
toute responsabilité, toute participation. «Deux mots encore, je ne crois pas que M. Morin soit autorisé à dire : « Le médi
immédiatement cessé de prendre part à l’expérience. Ce qu'il y a, je crois , de plus positif, c'est que le médium, par une so
dissimulée, et c’est parce que je ne la lui ai pas dissimulée, que je crois devoir, pour être juste envers tout le monde, la
le baron, ainsi qu’aux lecteurs de votre estimable journal, que si je crois aux Esprits frappeurs, c’est que j’ai assisté à p
prits. Elle me dit que préalablement elle les consulterait... 11 faut croire que ces Esprits ont été aussi circonspects que ce
ieu peut actuellement présenter des faits plus significatifs, ou s’il croit pouvoir recommencer dans de meilleures conditions
évoir et de mesurer la portée, mais que quelques esprits s’exagèrent, croyons -nous, puisque l’antiquité connaissait beauooup de
oïit eit lieu contre des somnambules, sans qu’aucun indice autorise à croire qu’il s’agisse d'un système de poursuites; ce son
u hasard, la loi doit traiter de même tous les cas semblables. Nous croyons devoir mentionner un procès récent qui est propre
le particulier volé : il déclare être de Pontoise ; en le voyanton le croit sans peine arrivé de cette ville célèbre par ses
n, l’intention d’appeler et de remettre ainsi li*ut en question, nous croyons devoir omettre les détails et jiîême les noms des
découvrir par sa vue anormale, et fait part au consultant de ce qu’il croit apercevoir, ne fait pas autre chose que la divina
ude, sache qu’il trompe. De là une distinction essentielle : le devin croit -il ou non à son art? S’il n’y croit pas, et que n
istinction essentielle : le devin croit-il ou non à son art? S’il n’y croit pas, et que néanmoins il le pratique, il feint pa
l n’y croit pas, et que néanmoins il le pratique, il feint par là d’y croire , il employe des procédés qu’il sait inefficaces,
de manœuvres frauduleuses; il commet l'escroquerie. Mais si le devin croit à son art, il opère avec une conscience parfaitem
e avec une conscience parfaitement pure, il applique des moyens qu’il croit propres à atteindre le but proposé ; s’il répand
qui est condamné pour escroquerie, est regardé comme un infâme, on se croirait souillé par son contact. Mais, nous le demandons
possible. La nature n’a de bornes que pour les esprits étroits qui croient tout connaître, et qui, blessés dans leur amour-p
bientôt et vous vivrez longtemps encore... N’est-ce pas que vous m’en croyez ? Allons, donnez-moi votre main. Comme Blücher n
serin qui tient à prouver qu’il ne l’est pas autant qu’on pourrait le croire , etle quatrième enfin, un bouvreuil un peu moins
ême manière, avec autant de lucidité et d’à-propos. On aurait tort de croire que c’est là le fruit d’une éducation longue et c
il ne découvrira jamais le truc de M. Tréfeu. Mais Robert Houdin ne croit pas au magnétisme. Quant à moi, croyant ou non
istes spiritualistes nous a paru si faible, que nous n’avons pas même cru devoir les réfuter. Quoi qu’il en soit cependant,
re l’âme humaine, c'est-à-dire lame iiuli- \ iùuelle ? Nous ne Je croyons jtas, car la conséquence ne nous semble point rig
au moyen de l’entéléchic. Mais nous ne sommes d'aucune école, et nous croyons devoir répétor que nous ne cherchons il traiter c
d’œil une arme très-forte dans la main de nos adversaires ; mais nous croyons qu’elle sera plus forte encore dans la nôtre , lo
e aide; cette science toute nouvelle pour ainsi dire et qui cependant croit déjà pouvoir n ous enseigner que l’esprit est un,
i. Oui, j’ai vu Dieu, en 18«, comme l’homme vivant peut le vçir. Je crois ■nutHe dî dire >idVt était radleut : c'était t
e dos. Mais, quoique endormi, je devinai su pennée, et je me dis : il croit que je ne le vois pas, mais il se trompe ; le voi
bien là et je l’avais bien atteint de mon poing : jamais il n a voulu croire que je fusse endormi. N- 2. Sedan, 1827. — J’ét
vaut la peine de monter dessus; » mais à ce moment, mon frère, que je croyais encore auprès de moi et qui avait franchi le ruis
ts n’ont pu me faire dormir, malgré les promesses des somnambules. Je crois pourtant qu'une certaine personne m’aurait endorm
t pas eux-mêmes comment ils ont pu consentir : nous étions amis et je crois sincères. Dieu leur a dicté le mot oui, pour non
nes les révoquent en doute et que j’étais moi-même de ce nombre, j’ai cru qu’il était bon de consigner ici celui dont j’ai
ns de sa bouche et de ses narines, et ne sentit aucun souille. : elle crut donc que la malade était évanouie, et ne savait t
ent suffire pour produire de9 conversions; il y a des choses qu’on ne croit que quand on les a vues, et celui qui n’a pu en ê
de vision à travers les corps opaquês, réitère son défi insultant, et croit pouvoir d'avance triompher de l'impuissance du so
r réussi dans le genre de lucidité qui fait l’objet du prix Mabru, ne croit pas devoir accepter son défi ; mais elle offre de
magnétistes distingués; on nous a fait des objections auxquelles nous croyons utile de répondre ; 1° o Ce que vous proposez (
à rendre témoins des phénomènes dix, vingt, cent personnes, celles-là croiront , soit : mais celles qui n’auront pas vu, en seron
ur ceux, au contraire, qu’enflamme un saint amour de la vérité et qui croient remplir un devoir en propageant leurs convictions
veuf; —que de pressentiments précédèrent la mort de ma femme, que je croyais seulement indisposée ; j’éprouvais de la fatigue,
ndifférentes. *— Exempte. 10.—Dans un quartier nouveau pour moi, je crois couper au pluscourten prenant une certaine rue; t
e, un an d’avance. 3. — M. *** est repêché à la rivière. Quoique je crusse comme beaucoup d’autres qu'il fût parti clandesti
se mit à considérer attentivement le masque pâle. « Tout à coup, il crut remarquer un léger tressaillement des paupières,
à son tour ce phénomène étrange. Le médecin fut appelé, quoiqu’il ne crut pas le moins du monde à ce qu’ou lui disait avoir
suflla-tions, etc., 011 peut développer à un très-haut degré ce qu’on croit devoir appeler instinct dans l'animal, il pourrai
urprenante; mais la refermer après s’ôtre dessaisi du grain, cela, je crois , exige plus que de l’instinct et, en tout cas, co
moyens parfaitement naturels. Ces réserves étant bien entendues, nous croyons utile de continuer l’examen de ce qu'on pourrait
istincte ; la différence d’intensité des bruits peut facilement faire croire qu’ils viennent de différentes distances. M. Fl
des Esprits dont il est l’organe. Dernièrement un de ces docteurs a cru se tirer d’affaire en disant que, pour être admis
e foi hors nous et nos amis. On n’est pas honnête homme quand on ne croit pas à nos révélations. Commencez par nous croire
ête homme quand on ne croit pas à nos révélations. Commencez par nous croire sur parole, et puis, 'si vous êtes bien docile, o
'a- (1) Toutes les fois que la rédaction du Journal du Magnétisme a cru devoir critiquer des paroles, des actes ou des ou
urs idées préconçues, et je lui en suis plus reconnaissant qu’elle ne croit . Agréez, je vous prie. Monsieur le baron, l’ass
L’enfant s’endort. M. X... est étonné de ce résultat ; il ne peut y croire lui-même. Le magnétisme existerait-il réellement?
es mêmes accidents sans qu'une cause nouvelle fût intervenue. Je ne crois nullement à l’existence d’un fluide nouveau, d’un
e plus remarquable de tous les ouvrages de pure intuition; nous ne le croyons pas dangereux, parce que M. le baron du Potet ind
qu’il rencontre sur son passage, disent encore d’autres personnes qui croient devoir enchérir sur les premières. Enfin d’autr
mienne, et par conséquent plus agréable à notre divin Maître. » Je crois nécessaire d’ajouter que lesdites consultations o
Le premier médecin, après avoir exposé l'état de l’enfant, dit ne pas croire au fluide magnétique (l’existence du fluide est,
e le magnétisme répare le mal qu'il peut causer : il y a tout lieu de croire que si l’enfant dont il s’agit était confié aux s
érience qui aurait bien sa portée. «Pourma part, jene sais pas sije crois aumagnétisme ; mais je sais bien que j’aimerais à
is pas sije crois aumagnétisme ; mais je sais bien que j’aimerais à y croire . Ce n’est pas plus absurde, plus extraordinaire q
raintes sentimentales, il ne fallait pas trop y songer. Toutefois, je crois me rappeler que le congé fut demandé et obtenu et
sommes bien loin de faire aucune objection, il ajoute : Nous aimons à croire qu’il en est ainsi aujourd’hui. Il aime à croire,
oute : Nous aimons à croire qu’il en est ainsi aujourd’hui. Il aime à croire , mais il n’ose se prononcer.il a des doutes. La m
ut tellement déréglée et scandaleuse, que l'impératrice Marie-Thérèse crut devoir demander son renroi à la cour de Franco.
quoiqu’il s’en soit servi pour faire des dupes, il est probable qu’il croyait à la magie, et que c’est sérieusement qu’il pours
u somnambulisme et au moderne spiritualisme. Ce sont ceux-là que nous croyons utile de mentionner avec quelques détails. Cagl
aux alchimiques. C'est ainsi que Mesmer, lors de ses premiers essais, croyait reconnaître, dans le contact de barreaux aimantés
ifier le fait... On y envoya en effet : tout ce qu’on avait refusé de croire se trouva vrai. Le jeune homme embrassé par sa sœ
comment ils se sont retirés. Ce défaut d’explication nous autorise à croire (en supposant l’histoire véritable) que six indiv
e Journal (leux, trois mois et plus en sus de leur abonnement sans se croire plus tard engagées à. payer même les numéros reçu
aient Élisabeth, entendant quelqu’un remuer dans la maison de Schade, croient que c’est sa femme qui s’est levée, et frappent à
’on la lui avait frottée avec du vinaigre et des parfums, parce qu’on croyait qu’elle était évanouie. Elle se plaignit égalemen
r soutenir le contraire, personne d’entre eux, nous en sommes sûr, ne crut , du fond de son cœur, à cette inconcevable hypoth
és de l’âme et de ses facultés. Presque tous les philosophes grecs la croyaient matérielle. Les uns ne voyaient en elle qu'une
des temps beaucoup plus rapprochés, les premiers Pères de l’Eglise la croyaient aussi corporelle. Platon seid eut le mérite de
interrogent la matière, et que les autres niant un principe vital, se croient de véritables machines. Aujourd’hui une vérité
er de la matière et des organes du corps pourvoir et pour penser. Ils croiront comme nous que si nulle science au monde n’a pu j
e par la foi et aussi par les « inductions de l’analogie. Car comment croire que la création « s'arrête à nous et qu’ayant par
hiéroglyphes ne couvre pas de vaines chimères. M. Constant (nous ne croyons pas être indiscret en donnant son vrai nom à Elip
il n’atteste pas qu’il en ait été fait récemment, il y a tout lieu de croire qu’il aura adopté de confiance les assertions de
en alléguant îles prétextes futiles. J'ai donc de bonnes raison de croire que le prétendu prodige est chimérique et ne peut
s à distance , les envoûtements seront donc possibles, il faudra donc croire à ce pouvoir horrible attribué aux sorciers par l
n n’a jamais cité un seul cas de vampirisme dans les pays où l’on n’y croit pas ; de même, dès qu'on a cessé de poursuivre le
ins vraisemblables qu’une entrevue de Pythagore et de Daniel, on peut croire qu’il n’a pas de plus solides documents dans un c
la toute-puissance des anciens mages : c’est possible, mais on ne le croira que quand il en aura montré des échantillons. Ce
fondamentaux de l’E-glise, et proposer d’enfermer comme fous ceux qui croient que Dieu leur a parlé (p. 129), ce qui comprendra
proscrire l’examen en fait de religion. Ce sont, dit-il, des choses à croire ou à ne pas croire, « mais quiconque raisonnera l
en fait de religion. Ce sont, dit-il, des choses à croire ou à ne pas croire , « mais quiconque raisonnera là-dessus et voudra
ar là le droit de condamner ceux qui, avec une foi également robuste, croient autrement que nous. De quel droit M. Constant ose
a foi dans le diable. Il ne faudra même pas se moquer de l’enfant qui croit à Croquemitaine : c’est une affaire de foi, ça ne
orin assure qu'on n’a jamais vu de vampires dans les pays où l’on n’y croit pas. Comment veut-il qu’on y croie dans les pays
vampires dans les pays où l’on n’y croit pas. Comment veut-il qu’on y croie dans les pays 0(1 l’on n’en a jamais vus, lui qui
l qu’on y croie dans les pays 0(1 l’on n’en a jamais vus, lui qui n’y croirait pas s’il en voyait ? - La lumière astrale est,
ent ressusciter les querelles qui existèrent autrefois entre ceux qui croyaient à la magie et ceux qui en niaient la puissance. N
entraîne à des recherches qui amènent quelquefois la conviction. Qui croit au magnétisme doit croire ou croira bientôt à la
s qui amènent quelquefois la conviction. Qui croit au magnétisme doit croire ou croira bientôt à la magie; car il en est le po
ent quelquefois la conviction. Qui croit au magnétisme doit croire ou croira bientôt à la magie; car il en est le point de dép
i aller les choses et n’en voudrai point aux hommes honorables qui ne croiront point aux œuvres magiques. Baron du Potet.
nt la différence qui existe entre les parois des deux ventricules, je crois qu’il faut plutôt attribuer cette inégalité de te
omme. Le magnétisme devait nécessairement appeler son attention. Nous croyons faire plaisir à nos lecteurs en leur présentant q
cure et se convertit enfin eu une parole claire et distincte. Elle se croyait au bal. J’essayai de répondre à ce quelle disait
rémité éloi-guée d’un assez grand appartement. N’y a-t-il pas lieu de croire que les auditions et les perceptions dites mervei
observations qu’il vient de faire connaître. M. Des Etangs. « Je ne crois pas, comme M. Bûchez, qu'on puisse demander à
dès lors m'en tenir au doute philosophique. — M. Bûchez. Cette dame croyait -elle au magnétisme? — M. Des Etangs. Non, pas p
e artificiel et provoqué, outre qu’il a besoin de confirmation, je ne crois pas qu’on puisse en tirer médicalement parti (1).
qu’à cette époque est assez considérable pour que l’administration se croie suffisamment autorisée à prendre cette mesure, sa
ts comme des dévots ei ne pourraient supporter une objection ? On les croit trop confiants, on le leur dit, la vanité leur fa
on ? On les croit trop confiants, on le leur dit, la vanité leur fait croire à une injure; on n'est pas niais cependant, parce
umière, qu’un mirage trompeur bien propre à troubler l’entendement. Croyez -vous donc, Messieurs, que si nous jugions le temp
re un geste sans que la crisiaque ne l'indiquât avec exactitude. Je crois que dans le cas il y avait réellement vision et n
r. Est-il bien certain cependant que la phrénologie soit, comme il le croit , indispensable pour la production des faits qu’il
uterraine, prête vraiment au recueillement. «Vous me connaissez, je crois , assez pour avoir foi en mes paroles, vous savez
placer à un piano où elle se mit à jouer quelques pollcas. « Je me crus battu, et riais intérieurement des mes essais inf
e pour la première fois à une séance expérimentale de magnétisme. J’v croyais peu, pour ne pas dire point ; mais le fait qui vi
se termiua à minuit, et si je vous racontais ce que j’ai vu, vous me croiriez à peine. « Cependant, pour le fait qui m'est to
, au moins en partie, ce que, à tort ou h raison, nous avons toujours cru devoir repousser. Si donc quelques-uns de nos h
ogue prodigieuse des tables tournantes : pendant deux ans, on pouvait croire que toutes les têtes allaient tourner avecles tab
elle qu’on devait l’attendre d’un homme de bonne compagnie. On devait croire cette polémique terminée quant aux faits particul
e qu’il fut en mesure de présenter des laits plus significatifs, il a cru que l’insolence pouvait tenir lieu de bonnes rais
collaborateurs dans le dernier numéro (p. 306) , que tous ceux qui ne croient pas à ses merveilles y compris, sans doute, les s
nces, des lettres et des arts, 11“ 2, p. ¿30, 20 février 185â. Je les crois dignes de figurer à côté des assertions lumineuse
marcher ni même se tenir debout, et que si je le faisais marcher, ils croiraient au spiritualisme. J’y allai, et en moins de temps
qu’une telle opération aurait immédiatement des suites fatales. Je ne crus pas devoir suivre cet avis. Je pris la ligne de d
haussée-d’Antin, on parlait magnétisme. Lord Brougbam a déclaré qu’il croyait au magnétisme, et comme on s’en étonnait : « —O
eur dit en souriant le docteur, je vous remercie de votre insistance. Croyez que j’y suis bien sensible. Mais si dans notre pr
nomènes du magnétisme (1), cependant, comme les concurrents s’étaient crus obligés de les discuter, et que presque tous les
émons; il fait justice de ces honteuses superstitions dont on pouvait croire que la raison avait fait justice, etquedes spirit
en présence de la défaveur dont les corps savants l’ont frappé, il se croit obligé de demander, pour ainsi dire, pardon de so
tres que nous ne comprenons pas davantage, et auxquels cependant nous croyons . 11 n’est pas donné à l’homme d’expliquer ni de c
es nerveuses qui iront toujours en diminuant. n Sixième question. — Croyez -vous que quatre magnétisations suffiront pour vou
e 7. Les vertiges ont cessé. «Le 12. Lourdeur générale. — La malade croit que son époque menstruelle se prépare. — Bain de
e pieds sina-pisé. A 9 heures l’oppression est si forte que la malade croit étouffer. La face est d’un rouge violet, la peau
dont j’ai été témoin , témoin très-peu crédule, je vous l'assure. Je crois cependant que la science n’a qu'à gagner ii l’étu
venir de diverses directions et produits par différentes causes. Nous croyons utile de reproduire les explications données à ce
: plus poli et plus charitable que certains de nos adversaires, nous croyons qu’on peut discuter sans être obligé d’imputer à
nnons plus bas, était encore dû à la plume d’un docteur. Mais il faut croire que si M. Velpeau et MM. les académiciens ne lise
; et, comme dans les expériences magiques de M. du Potet, le sujet se croit être un personnage quelconque, et agit en conséqu
ître. « Vous voilà bien vengé des académiciens qui ne voulaient pas croire aux effets du magnétisme, du somnambulisme, de la
sie artificielle de Mesmer, de la biologie de Philipps; les voilà qui croient maintenant à Y hypnotisme (1) de James Braid et à
hôpital de Calcutta. Mais a beau mentir qui vient de loin! on n’a pas cru aux guérisons d’Esdaille. « Si Philipps, au lie
, non-seulement la discussion, mais le doute ou le rejet de ce que je croyais vrai ; toute controverse y a été toujours admise
uments, ceux que l’incrédulité nous allègue en général, je n’ai point cru devoir laisser passer scs articles, pensant qu'en
ie faire repentir de l'avoir aussi bien juge ? 11 y a tout lieu de le croire . (,>ue, désertant la question, il m'accable
8 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
ua avez soutenue toute votre yie semblait se calmer se ranime. Vous croyiez qu’après les çopbatsque vous avez livrés, le temp
de l’amertume qui déborde de vous eu ce moment? « Et mol aussi, je crois être un peu intuitifet jevousle dis : le triomphe
oire de l’idée et non le triomphe de ses défenseurs. Avez-vous jamais cru qu’on se faisait apôtre comme oii se fait avocat
récipices, n’ont qu’à suivre tout bêtement la grande route. K Je me crois intuitif et j’écoute toujours cette voix Intérieu
de sorcier. Et si je vous dis : le triomphe du magnétisme est proche, croyez (jue ce n’est pas sans avoir bien pesé la force e
vitjaniaisdanscettecomédieiiumaiuedontil est témoin, il soui'irait et croirait ([ue licn n’est séi'ieux. Non, il ne reste plus q
rois temps. En voilà une paumée 1 vont s’écrier les diplômés. Pour le croire il faudrait le voir, et encore 1 Précisément comm
océdé efficace contre la sorcellerie et la reviviscence de M. Doyère, Croirait -on qu'ils sont déjà plus d’un million en Amérique
érite cependant toute l’attention des hommes sérieux. Quant à moi, jo crois l’avoir envisagée sous presque toutes ses faces ;
rouler de fond on comble, et je ne pensai plus, comme on peut bien le croire , à la fondation de mon école. r.ai' si même la pe
es mots au s^jet de la phrénolo-magnétisation intra-utérine ; mais je crois que ipes observations seraient superflues, au moi
t à se faire sentir. Tous les médecins vont rire de ma prophétie et croire que je suis un de ces utopistes, un de ces enthou
la parole et lui demande comment il se trouve ; il me répond qu’il se croit dans le paradis, saisit aussitôt ma main et la po
ussilôl, secoue sa crête, crie et ciierche à s’échapppr. NouB avons cru devoir rapporter les essais de M. le docteur Mich
ibles. Dans les campagnes où le nom de magnétisme est inconnu, on a cru longtemps et l’on croit encore au pouvoir terribl
agnes où le nom de magnétisme est inconnu, on a cru longtemps et l’on croit encore au pouvoir terrible des jeteurs de îoz-î,'
(1855, p. (530), à propos d’une brochure du docteur Emile Roy qui se croyait obsédé par trois magnétiseurs ambulants, et a fai
la vengeance du propriétaire saisi, qui passait pour sorcier et qu’on croyait capable d’exercer sur l’acquéreur sa puissance ma
la pensée qui l’obsède prend un corps, ses sens sont troublés, et il croit voir le fantôme sous l’aspect traditionnel, c’est
é par son esnerai et destiné à servir d’instrument à sa vengeance, il croit ent«n-dre une voix terrible qui lui crie : Renüs-
, il y a hallucination de la vue et de l’ouïe. Mais comme l'halluciné croit à la réalité des objets dont il est impressionné,
jouer au fantôme, seul, à huis clos : cet acte prouve seulement qu’il croyait à son art, ce qui importe peu quant à l’appréciat
aie médecine. C’est un sujet grave à exanûner ; mais, quant à moi, je crois que nous tenons cette fois les Bouillaud, les Vel
il fut conduit à faire usage de ses facultés curatives : En 1662,11 crut éprouver une sorte d’inspiration, et entendre une
a puissance, qu’il allait quelquefois jusqu’à douter si tout ce qu'il croyait voirn’était pasune illusion; mais enfin, persuadé
t pas perdu, un peu de vie rovs reste. Dans un incendie, Iorsi(u'on croit le feu bien éteint par la quantité d’eau qiio l’o
ffc de nouveau : c'est ainsi que, dans les maladies aiguës, lorsqu’on croit tout détruit, anéanti, perdu et que le malade est
reille. L’hypnotisme n'est point une science, comme vous paraissez le croire ; c’est tout simplement un état de sommeil partic
faiicment constaté l’insensibilité 'des sbjels hypnotisés par tül, ne crut pas devoir rendre publics les faits qù’il avait o
e doute et les doulfeürs, peut-être me demanderez-vous, Madame, si je crois qu’il y ait dans le magnétisme, dans le somnambul
'atteution et les études des vrais amis de la science. « Non, je ne crois pas au surnaturel ; seulement je crois, avec Volt
de la science. « Non, je ne crois pas au surnaturel ; seulement je crois , avec Voltaire, ce grand doutpur des temps modern
temps modernes, c qu’il H y a plus de choics possibles f/ii'on ne le croit commu-n nément. » « Ce qui mo paraît presque su
ue cette objebtion oiseuse dans lA bouché deiê incrédules : Nous ne croyons pas au magnétisme ànimal, pài'ce iJUb 'celie scie
oürd’ljui que par des esprits malades avides de merveilles ; nous n’y croyons point, parce qiié l’élëctricité ailimale feSt une
ieds et goûter par les oreilles, cela devient un peu plus difficile i croire . Qu'est-ce, en ellet, (juc celte vision siu’natu-
t un nom dans le inonde, ils refusent par un scepticisme endémique de croire et de prêter leur concours, de peur que le monde
nts péristaltiqiies. Plusieurs célèbres médecins moururent sans avoir cru à la circulation du sang; leurs confrères aujourd
la circulation du sang; leurs confrères aujourd’liui ne veulent point croire à cette autre circulation du fluide univ ersel da
ion du fluide univ ersel dans tout notre organisme. Non, personne n'y croit , mais qu’on tâche au moins de nous donner des exp
jui leur est proipis? Les cspriUs forls, ceux qui jwnchont plutôt à croire quo- le liasuni il tout produit, et qui nient le
de l’Académie, mais après cent combats? Ne parlez point de Mabru ; croyez -moi, faites peu de cas des antagonistes : si un l
vous amuseriez-vous à lire son ouvrage et à en discuter le mérite 7 Croyez , Monsieur, que je vous suis très-reconnaissant de
imposition des mains. Jésus avait pourtant dit : Bienheureux ceuT qui croiront , car ils imposeronl Ift niftiiin (ur les malades
onvaincu, celui qui venait de me combattre, fier d'une victoire qu’il croyait avoir remportée, se redressait déjà avec oi^eil a
n soit, je m'étais armé de courage et j’agiss^s fortement. Quand je crus avoir suffisamment ^i (mon instinct ne me trompe
nabililô et les acciitenls nerveux qui pouvaient on ótre la suite, je crus nécessaire de la caluier, et, à cette fin, je lui
endre, ce qui, au premier abord, semblera impliquer contradiction, de croire qu'une parüe au moins des choses qui arrivent en
vécu parmi les Turcs (qui ne sont pas aussi Turcs qu’on veut bien le croire dans notre Occident), et qu'en outre j’ai pu me c
le ne tombât pas en descendant, je lui offris mou bras, Itii laissant croire que je ne le faisais que par pure politesse, et l
. (i Quevoulez-vous que fasse un souffle, un rien? dira l’abbé, qui croit cependant à la devise du pape Colona : spiritus f
ultes ou hermétiques. Il nous a montré ces faits que, hier encore, on croyait nouveaux ou controuvés, se produisant à toutes le
t à toutes les époques de l’histoire : chez les ascètes de l’Inde qui croient s’unifier avec la Divinité par la contemplation p
udit de voirlasciencpolîicielleaccueillir enfin ces phénomènes quelle croyait indignes de scs graves études, et il félicite les
ènes qui lui semblaient contraires à sa grande proposition et qu'elle croyait inexplicables, elle les nia. Cependant l’illustre
in de connaître les conduisait chez moi pour y chercher la vérité. Je crois que pas un d’entre eux n’est sorti de ma maison s
s impui.ssants qui ont des yeux dont le crislaijiii est dépoli et qui croient que leiirs livres vont être une barrière qui empê
d des voix qui l’empêchent de dormir et lui commandent d6- lire. Elle croit que ce sont des démons, et pour leur obéir, elle
ont de longs nez, ceux-là sont camards, mais tous ont la folie de se croire superbes et font sans cesse la roue. Je m'arrête.
tions, les antres accumulent des fiiits : et en magnétisnK, c’est, je crois , la marche la plus sûre pour arriver à la vérité,
s, était entré à l’hôpital, et sachant que ce duel avait eu lieu, .je crus uu instant que M. de X... venait consnlter pour c
i avait été blessé; mais comme il n'avait pas gardé la chambre, je le croyais guéri, et ne m’attendais nullement àcette consult
rtance. n Quant au magoétUme, et surtout au iDagaétisme animal, nom croyons que son action sur l’organisme s'est bornée jusqu
, afin de connaître précisément jusqu’à quälte époque cet auteur a pu croire que Ctiefion du magnétisme aniinai 4«r Carganimte
s hommes de laisser s'éteindre, sous le boisseau, la lumière que l’on crut y renfermer en 1784 et qu’ils supposent saDs dout
tat de somnambulisme et sous l'impression d’un rêve fâcheux (car elle croyait entendre, a-t-elle dit, des voleurs dans le greni
raison, car je ne sus point diriger le somnambulisme, bien que je me crusse fort savant ^ofs, parce que j’arais lu une fois m
avait diminué beaucoup à mon arrivée. Je la magnétisai de nouveau et crus pouvoir me promettre le succès le plus complet da
s rechtrcbes ; que nous n'avons jamaia eu la sotte prétention de nous croire infaillible, et qu'enfin uous nous inclinerons to
complet anéanlissement, noua dira-t-on, nous répugne trop pour ne pas croire à rÂaunçtrt^té. C'est aussi pour cela que l'hom
r, quand on nous l'aura fait reconnaître. Quoi qu'il en soit, nous ne croyons pas que notre théorie ne puisse soutenir la discu
t-être qu'elle n'est pas aussi dénuée de fondement qu’on veut bien le croire . Mais puisque nous ne pouvons malheureusemeat lui
veloppement nécessaire, nous nous contenterons de demander à ceux qui croient devoir nous combattre quant à la perception du pa
Bien, répliqueront nos adversaires, si, comme nous nous plaisons à le croire , ils aiment une discussion franche et loyale ; bi
discutons point pom* discuter, mais pour nous instruire ; et, loin de croire que nous avons tranché le nœud gordien, nous nous
les il- lusions de la jeunesse. Voulez-vous réussir dans le monde, croyez -moi, emboîtez le pas sur celui de votre papa, gar
l’.arl divin de gagner de l’argent : Ne le considérez pas autrement, croyez -moi, si vous voulez que la fortune ne vous soit p
point vers les régions de la science où le génie ne suffit pas seul. Croyez -moi, la gloire est une chimère, et nous sommes da
plus rares encore ; en livrant le magnétisme aux docteurs, l'Académie croit -elle, avec le diplôme, leur octroyer la vertu néc
échants et persévéré dans leurs recherches ( Si le corps médical se croit omniscient et invulnérale, qu’il prouve sa foi en
de de lail9 réels bien propres à soulager la misère humaine. M. Roger croit sans doute avoir fait beaucoup de mal au magnétis
les mains de Règoaud, il entra dans un tel accès de fut-eur, que tous crurent qu’il était devenu fou. Lorsqu’il fut tout à fait
ci accepta d'emblée; une seconde ne s'était pas écoulée que que M. se croyait et se voyait dans une joUe calèche emportée par d
s, quoique ayant les deux yeux grand ouverts. A chaque relais, M. *** croyait boire et manger, et sa physionomie dénotait la Jo
, quoique éveille, la clialeur ou le froid des boissons qu’il avait cru boire dans son voyage imaginaire. — Aujourd’hui,
n’ajoute pas foi à ses dénégations ; mais en revanche, s’il n’est pas cru , ses qualités soinnambuliqucs sont admirées, et n
ertifié. Nous l’avons trouvé tellement extraordinaire, que nous avons cru vous être agréable en vous le communiquant, surto
t ennemies. Chacune d'elles, s’attachant à un seul cdté de la vérité, croit nous la montrer tout entière sous cette face de p
lre-viugta fois, avant que les savants aient consenti à examiner et à croire à l'existence de ce phénomène; il s’est écoulé pl
ionnés, la jeune fille s’envole aux ailes d'un rêve. Le mari? Elle le croit . Le mariage ? Elle le croira. Non I non I L’éveil
ole aux ailes d'un rêve. Le mari? Elle le croit. Le mariage ? Elle le croira . Non I non I L’éveil du prismatique instinct de m
ilievoyo, incline leclief, invoque le Dieu, prescrit....... L’homme croit à la médecinc ou au médecin, on y tâche. L'enfa
L’homme croit à la médecinc ou au médecin, on y tâche. L'enfant ne croit qu’à la Mère : il n’interroge que sa physionomie,
iste éminent a fort crûment établi que Socraie était fou, parce qu’il croyait converser avec son démon. Les mystiques répondent
tous les lenips et de tous les lieux ; que les hommes y nnt toujours cru , qu’ils ont exercé une actimi considérable sur le
s grande gloire de Dieu. Ici soyez circonspcct, ce n’est pas assez de croire en Dieu et d’être convaincu de rimrnortalité de l
age, à toutes vos assertions ils répondent ceci : Je verrai que je ne croirai pas; ce que vout me racontez est impossible et co
erait perdu. Us vous l'ont dit, vous le savez : « Je verrai que je ne croirai point. » Telle est la maxime des sages de cette c
t ordinairement à Constantine que se pa^se l’action, el là il fait ou croit fiûre un épouvantable massacre dc Bédouins : en r
n d’une cloche voisine. Hier soir, un accès très-fort a eu lieu; il a cru qu’il était six heures du matin, il s’est habillé
Maury, membre de l’institut, est le seul savant de nos jours qui ail cru qu’une dissertation sur le magnétisme animal ne s
mme le plus savant qui ait jamais existé. Son autorité, à ce que nous croyons , ne peut avoir besoin d’aucune espèce de commenta
omment, dis-je, ces personnes peuvent-elles être assez compétentes et croire qu’on ait dit le dernier mot sur le somnambulisme
ous savons que MM. les membres de l’institut sont bien loin encore de croire à ce phénomène, mais ce n’est pas notre faute. Le
s élevées de l'espace et conversant dvecles esprits, etc... Je lui Cs croire un jour qu’il était mourant : bientôt sa tête se
mpliquant quelquefois celle qui est apparue en dernier lieu, et qu’on croit devoir considérer à tort ou à raison, comme la pl
ne dit d« a6iri lournantei, bous en av«j déjà assez parlé pour ne pas croire nécessaire d'y revenir ici. (2) Nous possédons
ules naturels ou artificiels. Indépendamment de ces expériences, je crois devoir mentionner en outre une série de faits qui
ment procède cet agent. Avant d’aborder cette question capitale, je crois devoir rectifier certaines données inexactes qni
l’insu du magnétiseur. C’est ce qui a donné lieu à l’eiTeur que j’ai cru devoir relever, dans l'intérêt de la science qui
endium, où toutes les opinions sur le magnétisme trouvent place, j’al cru faire chose agréable à la rédaction, en enrichiss
urants qui entraînent le faible vers le fort, et c’est si vrai que je crois que le magnétiseur prend une influence irrésistib
oduit rien? ji Un des plus grands génies de notre siècle, Cu-vier, ne croyait pas que l’imagination fût entièrement nécessaire,
nne magnétisée, une grande croyance également. Peut-on dire : Je ne crois pas, je ne croirai jamáis aux étranges phénomènes
ne grande croyance également. Peut-on dire : Je ne crois pas, je ne croirai jamáis aux étranges phénomènes du magnétisme, qua
, sans gravité, que l’on me fit connaître ce cas de somnambulisme. Je crois que, pour la fréquence plus grande,de même que po
et de guérir ses affections diverses ; là, des hommes de science qui croient y voir la synthèse de tout ce qui existe ; là, de
out ce qui existe ; là, des spiritualistes pleins de conviction , qui croient pouvoir trouver dans le magnétisme, dans le somna
ps. La science officielle refuse de nous reconnaître ; les savants se croient infaillibles comme le pape et ses cardinaux i mai
suit parvenu. Je suis, dans ma raison, ceriain du phénomène ; J‘y crois comme à mon être ; absolue est sa loi. Mais por
, Tonton, tontaine, tonton. Et cependant, rempli de morgue, Il 9« croit un Napoléon, Tonton, tonton, tontaine, lonlon.
collalnrateur M. Jebard. qui n’a pas élé suffisamment étudié. Nous croyons devo.. ïrir la voie à ceux qui voudront pénétrer
t pas vue se réveiller & une heure assez avancée de la journée, crurent devoir faire venir un médecin, lequel ordonna tou
agination qui se traduit. Pour tout dire, en nn root» â pous pouvions croire au stratagème d’im pseudonyme, noue clipfplierioB
que les craintes dont j’ai parlé plus haut n’ont aucun fondement. Je crois que cet état particnlier que je provoque chf*z pr
, état que personne n’est capable de distinguer de l’état naturel, je crois , dis-je, que cet état particulier est peu connu,
Si je parle de choses absentes, de choses que je ne puis toucher, ne croyez point que je les voie comme font quelques somnamb
e qu’il vous semble de votre panaris, et particulièrement ce que vous croyez le plus convenable pour sa guérison. R._Le doct
oint été initié à la science subUii» de Mesmer, j'étais peu disposé k croire à ses prodiges. n f a environ un mois., ajapt e
n mois se passe, et Marthe ne revenant pas au village, ses parents la crurent morte ou perdue. Mais le 31 mars, un paysan passa
Jésus eut oui cela, il dit au chef de la synagogue : Ne crains point, crois seulement. 37. Et il ne permit à personne de le
ut-être imprudent, (),> Jcsiiis ind«citi, > m'a dit lady — Je croie r[ua son dipldias esl d’une univeriltO (rAllemogn
rire. Mais vous-même, pmirsuit-elle par une pantomime éloquente, vous croyez avec raison à l’existence tle ces intelligences.
er son mal au capitaine dont il était le cavalier d'ordonnance, avait cru pouvoir se guérir lui-inûme, d’après les conseils
médical, puisque, comme vous le savez déjà, l’Académie de médecine a cru faire justice en me condanmant à l'amende, attend
st le magnétisme, et qui naturellement se jugent en droit de ne pas y croire , ridiculise et insulte les adeptes de cette scien
'il n’a jamais pu se décider à leur communiquer ; et, après tout, qni croit pouvoir me prouver l’absurdité de ma conviction l
ces agents dérive également d’une cause occulte?... Ces messieurs se croient donc bien savants et bien parfaits pour fouler au
la profondeur et la hauteur de cette énigme gigante^^que; mais je ne crois pas êlre téméraire en déclarant que, pour en trou
nous montre la terre promise, tous nous sentons, nous espérons, nous croyons , nous affirmons à notre manière la bonne nouvelle
aussi bien que maintenant. . OlABÉTÈS. J’arrive à la cure qui, je crois , est la plus belle que j’ai (1) L’isFiusMH «8»
s à l’avenir de prononcer sur le litige. D’ailleurs, n’allez pas me croire un transfuge de la physiologie : je m’attache à s
Riâaclion.) Les liaüucinations qui portent certains individus à se croire transforiaôs en animaux, ont été ilc tout temps a
qu’il put. M"” de Coulanges nous apprend que le marquis de Moue se croyait aussi changé en chien de chasse, il couvrait un d
et d’un bols de cerf, et II le courait la nuit en aboyant. 8i l’on croit la princesse Palatine, seconde femme du frère de
qu’on ne fait pas son métier de la critique bibliographique, on ne se croit pas dispensé d’étudier à fond un livre qn’on veut
a seul entendus (1). » (1) L. p. T. I, p. *48. Qu’on n'aille pas croire que la communication de penstic entre ¡’opérateur
s de nos appréciations des conclusions illogiques de M. Figuier, nous croyons devoir citer, rapprochée de cette négation formel
r lui faire comprendre, sans aucun moyen surnaturel (par Dieu ! je le crois bien), la pensée que le magnétiseur veut lui comm
roucher, else fiant àla logique d’esprits habitués à la science, il a cru pmdent de ne pas heurter de front des préjugés ac
prétendu fluide magnétique, qne les magnétistes se sont fourvoyés, je crois utile de signaler la seule voie qui me semble con
el rapport de solidarilé et de simultanéité, que l’on serait tenté de croire à l’unité de leur essence, si d’intimes et attent
parce que l’air est trop grossier pour les i«cevoir, mais nous devons croire qu’ils se manifestent sur la matière éthérée, qui
muabilité de l'âme, car son essence spirituelle ne nous permet pas de croire qu'eile puisse perdre des facultés innées ou acqu
dénégateurs de la thérapie infinitésimale disent sérieusement ; Je ne croyais pas à ce système ; avant de l’exclure, toutefois,
lle il faut l que règne le principe conservateur, j Eh bien 1 je le crois , le magnétisme et l’homéopathie tiennent par exce
ressives ), il ne m’a pas été permis d’apprécier ouvertement. Mais je crois que, médicalement (j’entends ainsi l’assurance d'
oint que le jour devient ombre, plutôt que de franchir l'obstacle. On croit hautement, en toute autre chose, it votre honneur
voilà tout. Tour moi, je l'avoue de ma raison la plus rédéchie, je crois ... li la lique. Je vous ai dit, j’ai tentó do v
te en laquelle la plupart des horames tombent, de faire difficulté de croire d’autrui ce qu’eux ne sauraient et ne voudraient
réserver il mes diverses relations, et, pour vousen remercier, je ne crois pas pouvoirmieux faire qu’en vous adressant de no
heureux du rétablissement de sa santé, je ne l'étais pas moins, on le croira sans peine, de la rapidité de mon succès. Veuil
née! » Puis il pose des prémisses, développe des propositions qu’il croit devoir conduire àla découverte (tu vrai. Après le
oir lues attentivement, je me suis dit : Encore un nouvel ouvrier qui croit apporter une pierre à l’édifice et ne fait qu’aji
d’étude qui depuis vingt ans absorbe nos méditations, à laquelle nous croyions peu jadis, mais que le magnétisme nous a fait tou
u magnétisme animal. Avant d’aborder directement cette question, je crois devoir relever plusieurs anomahes, contre-sena ou
églige de spécifier la nature de cette atmosphère ; mais j’ai lieu de croire qu’il entend parler d'une atmosphère fiuidique pr
as qu’ils aient conscience de cette obscurité, car les somnambules ne croient pas dormir, et tout ce qui choque leur raisonneme
ent naturellement de l’examen de ces phénomènes. Mais auparavant je crois devoir dire que j’ai suivi une marche diamétralem
ènes ; anjourd’tui que j’ai affaire en quelque sorte h un profane, je crois devoir entrer dans des détails plus explicites. •
bsorber la masse du fluide qui existait chez le sujet. J’ai lieu de croire que M. Warlomont n’avait nullement coanaissaace d
ité magnétique. Le résultat de cette expérience fut tel, que je dus croire que rinsensibllité ainsi produite ne résistait pa
courants électriques ; mais la note que la rédaction de votre journal crut devoir opposer h ma conclusion m’ayant porté à ré
de tout ce qui se rapportait à la science magnétique, j’hésitai à le croire , mais depuis, quelques faits, en m'éclairant plus
faits, en m'éclairant plus amplement, ont déirait mon hésitation. Je crois à cette possibilité, et voici. Monsieur le Baron,
pour rendre raison des résultats opposés que j’avais obtenus, d’où je crus pouvoir conclure que l’insensibilité magnétique n
donna un souvenir clair et précis de la seconde expérience, et je ne crois pas me tromper en attribuant l’insuccès il l'un (
ien reconnue de la personne dont j’ai parlé, ne mo permciiani pas tle croire (|ue sa miHhücle fui vicieuse, je crus soulenniii
lé, ne mo permciiani pas tle croire (|ue sa miHhücle fui vicieuse, je crus soulenniiit avoir mal saisi ses iiisiruciions. Pl
e sans aucun doute, et. celte fois encore, avec uu succès complet. Je crois cependant que, si j'avais été prévenu, j’aurais p
par l’auteur de l’iiiarnie. Si ce fait est vrai, et j’ai peine à le croire , il prouverait la possibilité de faire ressentir
s, notamment sur les épaules. Par le moyen de tels attouchements, ils croient , ô illusion! pouvoir transmettre leur volonté à l
de de son bâton et du bras de son compagnon ; à cette vue, M. B... se croit attrapé, ne pensant pas qu’un pareil homme puisse
tarde davantage une guérison que des magnétisations interrompues ; je crois que c’est à cette rigoureuse exactitude que je do
s ou moins grande impressionnabilité du malade. C’est une erreur de croire que les machines très-puissantes sont préférables
tention tle faire de nouvelles expériences par ce moyen ; mais je les crois inutiles, car j’obtiens par ma méthode ordinaire
t au bûcher; le dernier qui resterait d'entre eux, en se considérant, croirait sans doute qu’il est un grand génie. Les esprits
point. « Le moindre des astres n'est-il pa.? plus grand, si l’on eu croit les supputations astronomiques (1) ? Quoi ! un li
il faut être hébété pour pouvoir le penser. « Au contraire, il faut croire que de plus excellentes colonies peuplent ces lie
paissrs t''iii'l>res ne faut-il pas être aveuglé? Il faut, pour le croire , êlre enseveli comme les bêtes les plus stupides,
ophes. « Il faut encore examiner si ces êtres sont mortels. 11 faut croire qu’ils vivent longtemps dans une grande félicité
ieu, et de quelle espèce et figure sont ces choses. Il est naturel de croire que ces êtres ont un visage, un extérieur et un
us puissions ni les voir, ni les dt’finir au juste. Nous devons aussi croire que les habitants du ciel, qui vivent dans les ét
autant que la peinture diffère delà réalité de l’objet. Quelques-uns croient , et avec une apparente vérité, que, hors de ce ci
s sont sujettes au temps et par conséquent d’une courte durée. a Je crois que c'est là le Pluton dont les poëtes ont voulu
au mysticisme des Indiens, aux mystères des sanctuaires égyptiens. Ou croit assez généralement que les alchimistes travaillai
té le premier, et Van Belmont le dernier représentant. Les cabalistes croyaient à la possibilité de communiquer avec les intellig
elle des temps où nos orages poli- chcrclie la vérité partout où je crois la découvrir, et, quels que soient los écarts de
« üieu QUI PUMT us CftlHES SECRETS. « Le philfeophe qui parle ainsi croit certainement en Die«i. » (¡¡/ein, p. 3W.) tique
rincipe. Expliquons-nous sur cette restriction : Lst-ce que vous ne croiriez au spiritualisme qu’en précepte? —En origine? — E
us de plus déraisonnable, de plus inadmissible qu’aux choses que vous croyez ? Comnienl, dans i’invisible, durant desmillions e
vancées de votre analyse, cher confrère : déclineront-ellcs ce que je crois un des éléments dc la solution normale de l’énorm
le prouver, et bien, et mieux ; la sérénité de ma philosophie, que je crois positivement religieuse (1), n’est qu’à ce prix.
lii osoplies; u c’est que jo suis sulijugué par l’admiration. » Il se croit autorisé à en citer d'autres : Arcliytas, Pliilol
esse : mais que lea |)remieî's d’entre les poursuivants de la science croient s’abaisser des relatiuns intimes et de foi dans l
nnées pour justifier les tourments de leur âme et de leur corps et se croiraient possédés. Mais cette étude se fera, c’est la mine
i ensuite la qiiesliou psycholo-giquc. Avant d’entamer le débat, je crois devoir forinnler quelques principes exacts. Lor
de six I Comme on a pu s’en apercevoir par les restrictions que j’ai cru devoir établir relativement aux deux derniers fai
les phénomènes qui ont trait particulièrement au somnambulisme. Je crois devoir prévenir M. le D'Ordinaire, que je regarde
m’inspire, à son égard, qu’une profonde reconnaissance. Je le prie de croire qu’en relevant ses observations, je n'ai pas 1a m
donc plus restreinte qu’on ne le suppose communément, et lorsque nous croyons en jouir dans toute sa plénitude, nous ne sommes
pas sérieusement, j'aime à me le perauader, que M. Ordinaire préfère croire qu'un Esprit, habile messager, a porté la nouvell
cteurs, mais cette circonstance ne prouve pas qu’elle soit fausse; je croyais même l’avoir suffisamment démontrée dans mon Essa
pation, faire tomber les cuisses et les jambes de son enfant; mais je crois que, la mère étant dans ces dispositions d’esprit
e et phénomène ! et de trois. Ce n’est pas tout. ()) A moins des« croire en possession de la science infuse, il me semble
sairement à établir l’équilibre aussi bien entre les cerveaux, o(i je crois que les idées se forment plastiquement, qu’entre
eaucoup pratiqué le magnétisme et qu’il a peu lu les auteurs. Je l’en crois sur parole, et c’est pourquoi ses appréciations m
ne manière, être utile à l'étude du fait brut exposé fidèlement. Je crois que le praticien magnétiseur est dans le même cas
propre système nerveux, et le communiquer, mais la raison se refuse à croire qu’il peut produire à volonté mie siik/tiniv et l
er comme un électroscope, mais puisque M. d’Arbaud me l’assure, je le crois . Tous les corps de la nature s’invitent h l’équim
rd, la puissance de l’homme armé de cette force diyijie, Je Caisais croire à mon sujet les choses les plus extravagantes ; j
tre doctrine, et sa ’brce, mais d’une toute autre manière que vous le croyez . Vous dites : tous les êtres de la création, mi
ive qu’au point de départ, à la première goutte. Cher confrère, je ne crois pas k cela, quoique vitaliste. Faut-il raisonne
causes dynamiques, et c'est ce mdez. Si ma raison ne m'abuse pas, je crois ¿s des corps sont dues à la combinaison des compo
tal consiste dans une évolution, soit attractive, soit émissive. Je crois utile de répéter ce que j'en ai dit antérieuremen
seseirortsou aupoins en borner et nième en anéantirles résultât*. Je crois , malgré cela, que tout ami sincère de la vérité,
on sommeil il lui sembla qu’une voix forte t'appelait par son nom. Il crut s’éveiller et voirdevant lui un homme d'une taill
aient été indiquées, et réussit heureusement à les terminer. Quand 11 crut son gui suffisamment préparé, il s’approcha d’un
e. Elle fut consommée dans l’espace de quatre ou cinq ans, si l’on en croit le docteur Hyde, » Le marquis de Pastoret. [Zoroa
ui, s^t. 7.) Modifions-nous donc, réb^iiiio;)a-tipa^ ; ^pprçi}ons ^ croire , apprenons i vouloir- Croire et vouloir sont, p
onc, réb^iiiio;)a-tipa^ ; ^pprçi}ons ^ croire, apprenons i vouloir- Croire et vouloir sont, pour Tètre humain, deux des plus
de vous adresser une réponse que, dans l’intérêt des magnétiseurs, je crois devoir faire à un article qui a paru dans le n' 7
cette mystérieuse puissance, en rue prévenant toutefois qu’elle ne se croyait point sensible ; mais deux minutes me suffirent e
s bras levés retombaient comme s’ils eussent été privés de vie, et je crois qu’on eût pu piquer, pincer la chair sans rencont
parfait est en quelque sorte l'image de la vie naturelle, le sujet ne croit pas dormir; il agit absolument comme s'il était é
ltra du somnambulisme naturel et artificiel. Le sommeil nerveux. Je crois devoir formuler iclmon opinion à propos des phéno
oi, lorsqu’ils ont pour auteur le commun des martyrs. Maintenant je crois devoir révéler un fait qui a uue grande importanc
ne d’années que je m'occupe particulièrement du magnétisme animal. Je crois donc utilede prévenir les personnes qui seraient
ui out rajjport à la vloirvoyance. Piif:.NOM/:XES PARTicuuKRS. — Je crois dcvoir signaler quelques-uns des phénomènes que j
voir au dedans du corps des personnes. — Ce fait est exact, madame. — Croyez -vous que la vôtre serait capable de deviner si j’
alogue qui eut lieu entre la somnambule el nous. Mais, auparavant, je crois devoir déclarcrquela dite somnambule n’avait jama
mienne. —> Vous n’ignorez pas que cette dame est enceinte? — J'ai cru m’en apercevoir. — Pourriez-vous me dire si elle
onne. .. Voilà quels son t. les caractères de la vraie lucidité. Je crois devoir déclarer ici que mes somnambules ne m’ont
au laudanum, malgré la très-faible dose que j’en avais prise. Je ne crois pas avoir besoin d’analyser ce fait, qui parle as
fiées. Voyez où en est actuellement la science sacerdotale, nul n’y croit et ses propres ministres sont de la dernière impu
on sait si elle est douloureuse! A son réveil, elle n’en voulait rien croire ; il lui fallut montrer la pièce de conviction.
ilicment rintcnlion d'attaquer la divintlé du Chris(, loin de là, j'y crois plus que personne, mais Dieu lui-mème ne peut sc
nt nous ne citons que les pages sont assez connus pour que nous ayons cru pouvoir en agir ainsi. Saijs cloute qu’en magii
t ils ne démagnétisaient pas leurs malades après l'opération. Aussi croyons -nous que M. Lafontaine aurait mieux fait de reste
e, comme celle de tant d’autres, le préserve de la contagion, nous le croyons . Mais qu’il n’avance pas avec une assurance vraim
te ayant pour résultat un effet désiré. C’eat à tort qu’on pourrait croire qu'on ne se débarrasserait pas ainsi du fluide vi
e malade. Ce sont là des règles nouvelles, il est vrai, mais que nous croyons intéressantes, et c'est pcut-ôlrt à elles que nou
isir une partie des lois nécessaires au maintien de la lucidité, nous croyons bien faire de profiter et de faire profiter les a
iiiHis de labeur et de si précieux docuuiciils; à peine pourra-t-elle croire à cet enfantement douloureux que nous signalons c
iendront et le bien gétiéi-al qui en sera la conséquence. Ils ne nous croiront point aujourd'hui, mais demain nous appartient ;
a constancîc, son énergie détruisent ii la fin des •bstacles que l'on croyait invincible. Le magiiétistne, force vivante et i
. du Potet sur la peine que se donne la science officielle pour faire croire que l'hypnotisme n'est pas le magnétisme, 104. —
9 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
ferme; la machine s’ébranle : elle s’abîmera. L’école rétrograde se croit forte parce qu’elle a pour elle le passé ; mais o
façon à montrer combien il était ignorant sur cette question , j’ai cru devoir adresser au Rédacteur une note qui rectifi
emarquable sous plus d’un rappoft, son auteur , le Dr Henri Roger , a cru , j’en süis certain, donnef l’histoire bien exacte
f l’histoire bien exacte des différents moyens que l’art possédait ou croyait posséder pour anéahtir la douleur dans les opérat
té punissable par un châtiment exemplaire. Aussi les épithètes, qu’il croit sanglantes, et qui sont peut-être fort vraies : â
lle soit, et, sous ce rapport, la nôtre était irréprochable : il faut croire , et tout croire, encore!.... C’est par trop fort,
us ce rapport, la nôtre était irréprochable : il faut croire, et tout croire , encore!.... C’est par trop fort, et nous nous y
s ap- paritions qui résultaient du charme des py thonisscsP Pcut-on croire à dos récits, quelque circonstanciés qu’ils puiss
ndre insensé l’homme fort, en taisant naître en lui l’orgueil, car il croit alors que le ciel est ouvert devant lui, qu’il es
nscience, il ne lui reste pas un doute ; sa croyance est telle, qu’il croit à la possibilité d’une démonstration rigoureuse,
lucides voient tout cela, et bien d’autres choses..... Comment ne pas croire , dès lors, aux descriptions de M. Cahagnet? Cepen
it du cerveau d’un homme qui s’imagine des choses petites, mais qu’il croit grandes et sublimes , il aura le sort de ces livr
suitecomme chose indigesteet malsaine pourl’esprit. Cependant, nous croyons qu’on ira un jour très-avant dans la connaissance
gnet; j’émets seulement une opinion qui peut être erronée, mais queje crois vraie. Si mon langage a quelque chose de sévère ,
la lumière qui me manquait. Vainement j’ai demandé aux hommes que je croyais instruits, je n’ai pu rien apprendre sur ce que j
que chez l’homme résigné qui, tout en souffrant, s’humilie. Celui qui croit arriver de suite aux connaissances supérieures qu
é à subir la loi commune; car, moi le premier, je viens lui dire : Je crois que vous avez imaginé unParadis dans vos rêves d’
t ne peut admettre pour des vérités vos conceptions bizarres. Je vous crois dans l’erreur. DU POTET. Le Gérant : liÉBEKT
emcnt, ont été également guéris, car l’expérience commence à me faire croire que l’eau magnétisée que je donne, prise en plus
ecines , ont cédé par l’usage de mon eau. Je citerai trois cas que je croyais réfractaircs après l’usage d’une dizaine de boute
on, savoir: si la quantité d’eau magnétisée est indifférente; mais je crois pouvoir assurer que non , puisque tel cas où une
pour chasser la fièvre, deux ou trois ont rempli ce but. Cependant je crois que l’eau ne joue ici qu’un rôle secondaire, et q
dans le temps au sujet du Jury magnétique , afin d’encouragement. Je crois que l’usage de l’eau magnétisée, pour les fièvres
nétisme; et, depuis un mois, je travaille à ranimer un membre qui, je crois , eût été perdu sans l’heureuse faculté dont nous
aire des remèdes qui ont bien pu avoir « une action ultérieure, et je crois que l’améliora-« tion qui se manifeste peut en êt
es assistants. « M. William opéra d’abord sur un jeune homme qui se crut le général Taylor, puis sur trois autres qui se f
sme, et à ce titre son almanach aurait pu être utile. M. Cahagnet a cru pouvoir y insérer, sans notre assentiment, sans n
comment contrôler ses assertions d’une manière assez certaine pour se croire autorisé à attester la vérité d’un fait dont lui
régner en despote; c’est vous dire combien jo regrette que vous ayez cru pouvoir en affranchir les Arcanes. Vos dialogues
certes pas de rigueur en pareil cas, mais elle ne nuit jamais; et je crois qu’il eût été préférable que vous la négligeassie
le principe devance les conséquences. 11 paraît que vous n’avez pas cru cette marche applicable à l’étude de l’âme libre;
e contre, et d’opter pour la majorité. Je vous dis ceci, parce que je crois que vous vous êtes trop hâté, que vous n’avez pas
atérialistes, qu’ils attribuent dédaigneusement aux autres. J’ai dû croire , en lisant votre livre, que la doctrine y exposée
ceptibilité ne s’en alarme point : votre honneur n’est pas en jeu; je crois à la pénétration intime des esprits, à une commun
on prend un roman pour l'histoire, et que les- menteurs finissent par croire à leurs propres mensonges. Yous êtes trop instrui
e la part du magnétiseur ou du consultant. Il faudrait, pour que je crusse que l’ombre d’un mort est eifectivement apparue à
son discours et ses mouvements fussent traduits à des assemblées qui croiraient voir et entendre le personnage lui-même. Les disc
aissant échapper un profond soupir; puis il devint si calme que je le croyais mort, car il ne respirait presque pas. Je lui dem
u qu’on lui dît que j’avais magnétisé le malade, et qu’on lui laissât croire , au contraire, que ses prescriptions étaient caus
ement. Elle devint somnambule à la première séance. Cette personne ne croyait pas du tout au magnétisme ; une demoiselle l’avai
communiquer celle science, si utile el si belle, aux personnes que je crois capables de l’apprécier, et d’en faire usage. Je
rsonnes que je crois capables de l’apprécier, et d’en faire usage. Je crois que c’est là le but de la société dont je fais pa
est, messieurs, le résumé de l’état du magnétisme dans le monde. J’ai cru utile de vous donner ces détails, afin que vous n
ancière de la Société, qui est plus favorable qu’il n’y avait lieu de croire , a adopté à l’unanimité les deux mesures ci-après
c. Cette réduction est la plus large qu’on pût faire; la Société a cru pouvoir ainsi mettre à la portée de tous une coll
ant la tête d’un air sceptique, et disant d’un ton de défi qu’elle ne croira que ce qu’elle verra ; peu de temps après, le che
où il est réellement : dans le sein de la Faculté ; car il faut bien croire que l’erreur est parmi les gens qui prétendent, a
phénomène semblable , dans une source où je n’aurais certainement pas cru devoir trouver quelque chose de semblable, savoir
ie, je fis l’opération. Nous ne vîmes aucun signe d’insensibilité, je crois , jusqu’à ce que mon doigt pressât la pierre contr
l a été plus facilement agité que pendant les deux derniers jours. Je crois que cela provient d’avoir été examiné trop tard,
u de jours à rester. Il n’est pas revenu depuis le 20, ce qui porte à croire qu’il n’a plus souffert depuis lors. (La tuile
ise de ses travaux a provoqué plusieurs demandes. 11 y a tout lieu de croire que d’ici à quelques mois la propagation magnétiq
les tout ce qu’on nous a débité sur la magie des anciens, et que l’on croyait impossible. Les scènes du miroir magique et de ce
n, ce concours, cette conspiration de recherches et de travaux que je crois nécessaires pour surmonter tous les obstacles, et
mbulisme lucide, avec un monde et des êtres auxquels tout le monde ne croit pas. J'ai cependant assez vu et assez appris dans
conduite sans l’approuver en rien ; celui qui possède seul une chose croit ne la devoir à personne, il en jouit, et son orgu
« tèle », le monde, en général, ne demande pas mieux que de voir pour croire ensuite. « Je vous parlais dans ma dernière d’u
ée, il rendit uii camée antique de 10,000 fr. Rien que cela! « Vous croyez que l'héritier qui m'a raconté lo fait fut convai
t presque rempli de relations d’états concernant des personnes qui se croient obsédées par des magnétiseurs. Dans l’énumération
avec les homéopathes : nous pourrions presque leur reprocher d’y trop croire . Hahnemann a prescrit des magnétisations si faibl
conservaient avec le plus grand soin dans leurs églises. Si nous en croyons les auteurs anciens, les As-clépiades, héritiers
de son moyen curatif dans les maladies chroniques. Cependant il faut croire qu’Hippocrate avait quelques notions des procédés
lal pourrait à plus juste titre revendiquer ces résultats. Si nous en croyons l’opinion des somnambules les plus clairvoyants ,
onsomption trois mois après leur départ. Le fameux Michel Montaigne croyait aussi aux influences salutaires de ces émanations
é l’attention et la sollicitude de nos savants physiologistes. Nous croyons pouvoir affirmer a priori que le contact prolongé
s difficultés inévitables pour constater ce genre de contagion , nous croyons posséder des éléments suffisants pour appuyer nos
influences les plus délétères. Avant de terminer cet article, nous croyons utile de signaler à l’attention la dangereuse hab
te science s’évanouit; le savant est comme le dernier des hommes : il croit que tout se borne à des rêves, qu’il n’y a que de
’il opère un phénomène au-dessus de toute science académique. Et je crois on être arrivé à ce point. Placez près de moi u
rs, j’ai presque honte d’affirmer tous ces faits; que voulez-vous? je crois ce que j’ai vu, quoique rien de semblable ne soit
her mille moyens d’en conjurer la venue. Plusieurs somnambules, qu’on croit lucides, ont été consultés, et leurs avis et rece
ù, pleines de force , elles ont fait un effort puissant qui leur fait croire la maladie domptée, la mort éloignée. En présence
ésence de si douloureuses circonstances, est-il permis à un homme qui croit savoir des choses utiles, nécessaires, de se tair
gnétiser et guérir : j’ai douté ; j’ai magnétisé, j’ai guéri, et j’ai cru . Et alors j’ai étudié le magnétisme dans tous ses
sme les moyens de le combattre, il me les a fournis; et à ceux qui ne croient pas, parce que c’est le somnambulisme qui les don
’ai nié, j’ai douté comme vous; j’ai étudié, expé- rimenté, et j’ai cru . Faites comme moi, et puis vous prononcerez. Da
la natnre de la cause des perceptions dont je vais vous parler. Je ne croirai d’une manière absolue que lorsque j’aurai vu moi-
ésultats bien sensibles, mais sur les suites possibles duquel nous ne croyons pas devoir sitôt nous prononcer. « Nous nous so
convaincus, si des préjugés paralysent voire intelligence, si vous ne croyez pas..., au moins apprenez à douter, vous aurez fa
Le noble lord a dit à la Société, que, en consentant à la diriger, il croyait devoir lui faire l’historique de sa conversion; c
ulté exclusive de vision, ou transmission de pehiée. Pour ma part» je crois n une combinaison des deux facultés j qui s’exerc
iculier de prestidigitation. Il a beau faire la distinction, on ne le croit pas. Quand il ne fait que du magnétisme , ceux qu
e la Société des Sciences, etc., d’Orléans. Dans ces Etudes, l’auteur croit prouver, à l’aide de moyens dont nous allons parl
ces. Des faits sortis de nos mains sont là d’ailleurs pour nous faire croire à l’efficacité du magnétisme dans le choléra, et
médicaments agissant synergiquement avec la puissance vitale. Nous croyons donc que le magnétisme appliqué avec dévouement d
du signe magique, sa tête oscille d’une étrange manière; on pourrait croire qu’il s’échappe une flamme invisible de ce centre
ma pensée, par une bonne raison , c’est que mon esprit n’a jamais pu croire , jusqu’à ce jour, aux prodiges surhumains de la m
emin la sottise humaine, et peut-être l’inconséquence des gens qui se croient raisonnables. Interrogez chaque homme, parvenu à
orsqu’on la possède, l’implanter en autrui. Rien n’arréte l’homme qui croit , et le temps est passé où celui-ci n’osait franch
M. Morin nous a paru pénétré d’une conviction profonde; mais nous ne croyons point qu’il ait retrouvé la science elle-même. No
cause efficiente des phénomènes, la raison s’égare à la chercher : on croit , parce qu’on ne peut nier le témoignage des sens,
maux, et de ceux-ci entre eux. Résumant son argumentation, l’auteur croit pouvoir conclure : « i° Que de l’absence de tou
n, comme stupéfiant, peut et doit être provoquée autant de fois qu’on croira pouvoir y réussir, dans les nombreuses circonstan
ngea la face du monde en disant à de pauvres pêcheurs : « Veuillez et croyez , aimez votre prochain comme vous-même, pour l’amo
s, touchez-les au nom de mon père, ET ILS SERONT GUÉRIS. » Vouloir, croire , aimer! Ces simples paroles ne résument-elles pas
voix du prêtre aussi « sera la première à crier à tous : Vediixez et croyez ; « car, en vérité, je vous le dis, quiconque aura
qu’on lui avait faits, et des calomnies à l’adresse du magnétisme, je crus devoir la faire magnétiser en premier lieu par un
ie. Dans sa lettre du 3i mars 1848, M. Jobard vous disait : « qu’il croyait avoir trouvé le moyen de faire « des somnambules
sser le malade en question, et même d’autres malades que jusque là on croyait en bonne santé. Je fais écrire sans l’interrompre
s peuvent s’étendre, si tant est qu’elles aient des limites ; mais je crois que, dans l’état encore trop peu avancé de la sci
doit-elle pas précéder la virilité? Notre orgueil pourrait nous faire croire que nous sommes arrivés à cette époque , il n’en
rs traitements ont échoué dans cette terrible maladie, le ciel, je le crois ainsi, m’inspira l’heureuse idée de magnétiser mo
!... » en s’efforçant d’y porter la main. Je ne suis pas éloigné de croire qu’il ne ressentît pas les crampes aux jambes. (L
e dissimule pas tout ce que ce traitement laisse à désirer; mais j’ai cru devoir vous l’envoyer , tout incomplet qu’il est,
endu ou de graisse de supplicié ; aucunes drogues, aucuns parfums. Je crois que ceux qui se servent de ces derniers moyens sa
se passe ; mon organisation me paraît quelque peu enchaînée, je puis croire être une pièce essentielle, indispensable même, u
x superbe un morceau de musique inconnu de tous : celui-là même qu’il croyait avoir entendu. Puis, s'arrêtant, il écoute de nou
ur ses épaules, il mange bien, marche assez bien pour sa position. Je crois mon enfant sauvé, après avoir été condamné à Pa
nature qui jusqu’à présent nous soient connues. 11 ne faudrait pas croire pour ça que l’étude des phénomènes électro-physio
électro-physiologiques serait tout-à-fait inutile au magnétiseur, je crois , au contraire, que rien ne pourrait mieux l’aider
pital : 011 le magnétisait depuis une heure environ; je dis que je le croyais susceptible d’êtt-c opéré, mais qu’il y en avait
n proportion exacte de ce qu’il paraissait en savoir davantage, il se croyait lui-même plus ignorant. Souvent il regrettait les
faitencorede miracles. Un membre de notrelnstitut, M. Littré, semble croire qu’ils né se renouvelleront plus : c’est une erre
après tout, le docteur n’avait rien produit de nouveau, attendu qu’il croyait que le mesmérisme était aussi vieux que le monde.
, il y en a dix qui le défigurent; le public confianL en leur savoir, croit à leurs dires erronés, à leurs fausses assertions
elles, y a ajouté un chapitre sur le magnétisme mesmérien. Cet auteur croit à l’action vitale de l’homme sur son semblable. I
mal sembla d’abord répandre quelque jour sur ce sujet énigmatique. On crut que le frottement d’un homme par un autre, l’appo
détaillé en soixante séances. Il est à votre disposition, si vous le croyez nécessaire. Si je ne vous l’envoie pas, c’est que
médecins ont vu leurs remèdes rester sans effet. Et qu’on n’aille pas croire que le magnétisme ne convient qu’aux affections n
fets à la réalité desquels vous n'ajoutez pas foi, mais auxquels vous croirez comme nous y avons cru nous-mêmes , après avoir d
vous n'ajoutez pas foi, mais auxquels vous croirez comme nous y avons cru nous-mêmes , après avoir douté comme vous ; de vo
’autorité locale craignant que ce mystère ne cachât quelques méfaits, crut devoir s’en occuper : le préfet, le procureur do
rtèrent à Bellecoinbe. Leurs investigations n’ayant ancun succès, ils crurent que l’isolement, que l’absenco de l’influence du
éclairé, qui serait même, au besoin, un défenseur zélé. Cependant il croit qu’il n’y a nulle parité entre nos œuvres et cell
l me reconnut. 11 ne souffrait, dit-il, nulle part, et ne voidait pas croire qu’on l’eût opéré; il fallut l'en convaincre. En
t d’ascite, soit d’hydrocèle, produire une violenté perturbation : je crois que ce fut cette secousse et non le scalpel qui t
né des soins. Le. météorisme et les inégalités du ventre avaient fait croire à l’existence de tumeurs, etc., etc. L’écoulement
fié. Mais comment diable le magnétisme a-t-il réduit cette hernie? Je croyais pourtant la chirurgie à l’abri des attaques de Me
lait-il? M. do Puységur répondit en deux mots au siècle de Voltaire : Croyez , veuillez ( i ).' « Or, telle était alors la fi
rs prestiges, avaient essayé de défendre le paganisme expirant. On se crut en possession de cette puissance qu’avait pointe
connaître son opinion sur les voyants qui, pendant l'état de veille, croient apercevoir dans un globe de verre un ange qui rép
d parmi toutes celles que j’ai recueillies ; mais elles suffiront, je crois , pour constater la durée de cette disposition d’e
issaient beaucoup à désirer, et pour l’esprit et pour ln forme. Je ne croirais pas devoir en transcrire un échantillon, si, depu
de magnétique échappe à tous « les sens ; c’est par erreur qu’on a pu croire que la vue , le tact pou-« vaient avertir de sa p
ngement les choses, et pourvu qu’il y eût production de mouvement, on croyait tout de suite avoir trouvé la démonstration reche
omb et un sérieux tels que les plus consciencieux étaient obligés d’y croire , et devenaient eux-mêmes des propagateurs de semb
a de même comme auparavant. » Mesmer n’était certainement pas homme à croire à des faits de telle nature, mais peut être qu’on
y eut pourtant encore des hommes, pleins de mérite et de savoir, qui crurent avoir trouvé des rapports entre le mesmérisme et
d on emploie » des galvanomètres sensibles, » néanmoins M. Pouillet crut devoir protester (i ), et protesta eu son nom con
cros, étudiés par M. Despretz, el attribués par ce gavant, à ce qu’il croit , £1 une cause inconnue, ne sont autre chose que l
nt pas précisément l’ouvrage des chercheurs du mesmérisme, nous avons cru bien faire d’en parler, et de nous arrê-réter plu
l’édifice humain , et qui étaient dues à l’agent magnéti-tique, nous crûmes , parleur analogie avec l’électricité et le galvan
es pratiques du magnétisme, des preuves suffisamment concluantes pour croire l’existence de cette puissance occulte. Son espri
ntion de la divinité? Les hommes les plus religieux du xixe siècle ne croient plus guère aux miracles. Alors il se verra forcé,
qu’elles ont le pouvoir de produire la santé ou la maladie. Celui qui croit dans la Providence est récompensé suivant l’étend
ance de ces deux infortunés, donna des larmes à leur fin tragique, et crut qu’ils mouraient innocents. 11 fut encore confirm
violente réaction du système nerveux ne sont pas rares. Si l’on en croit Hérodote, le fils du roi Crésus , muet de naissan
ibuer ma guérison; car, étant protestants, ils n’avaient pas envie de croire au miracle (2) ». N’a-t-on pas vu des malades o
nnables pour ressentir tous les effets d’un médicament actif qu’elles croyaient avoir avalé, lorsqu’en réalité elle6 n’avaient pr
reconnue depuis un temps immémorial. Enfin, dans certains cantons 011 croit que le septième garçon ou la septième fille, et l
ns eu quelquefois l’occasion de nous en assurer, et tout nous porte à croire que ces pratiques se rapprochent dans la plupart
. (5) De l'incrédulité, p. 157. ou lorsque eux-mêmes cessèrent de croire à leur privilège. Cette propriété fut aussi att
evait les guérir. Ils se présentent devant lui. Vespasien, ne pouvant croire à ce pouvoir, refusa de les loucher; enfin, vainc
is fort peu salutaire. Les Egyptiens, les Hébreux , les Grecs môme, croyaient aux amulettes. Plutarque nous apprend que Périclè
toute humidité. Van llelmont (1) s’éleva contre ces prétentions, et crut reconnaître dans cette médication une influence m
ouvrit le chevalier Dygby qui obtint le plus de vogue. « On ne peut croire , dit Thouret (a), combien cette médecine singuliè
us ne connaissons pas encore l’esprit de l’article; mais tout porte à croire qu’il est favorable. Revue des Journaux. — Le T
’étaient point dépourvus de richesse et de sentiments élevés; mais on croit généralement que les vérités marchent seules; tan
que n’avaient point réalisé les hommes riches et titrés qui pourtant croyaient à ses principes. Après l'inauguration de la fêle
les. C’étaient des imbéciles, des mélancoliques, des hystériques, qui croyaient être possédés, parce qu’on les avait menacés; les
contre le vol et le meurtre. Les peuples voyant l’Église et le prince croire à la réalité de ces ex-travagancas, restaient inv
dont l’histoire fasse mention est celle des femmes argiennes, qui se croyaient changées en vaches, et qui furent guéries par le
ilés au somnambulisme, ou sommeil magnétiqne, sans qu’aucun d’eux ait cru pouvoir déclarer positivement que ces paroxysmes
tes sortes de personnes de faire à l’avenir l’office de ceux que l’on croit guérir les maladies par paroles et par bénédictio
qu’ils n’aient été auparavant examinés par l’évêque (5) ». Il faut croire aussi que plusieurs événements analogues à celui
l recourut en vain aux ressources de la médecine pour l’améliorer. 11 crut enfin reconnaître dans son état une véritable pos
des cures de Gassner. Encore imbu des préjugés de son siècle , il ne crut pouvoir expliquer ces guérisons merveilleuses, qu
11 ne découvrit dans ses traitements aucun procédé qui pût lui faire croire qu'il se servait du magnétisme animal. « Mon expé
ffets, et c’est là la cause de la superstition. C’est ainsi que si je crois en une statue de saint Pierre comme j’aurais cru
st ainsi que si je crois en une statue de saint Pierre comme j’aurais cru en saint Pierre lui-même, j’obtiendrai les mêmes
ivre hérétique et dangereux. guérisons furent constatées, et firent croire aux miracles. Des malades se rendirent, el se fir
-Médard, a été observé aussi chez des somnambules (i). Ilecquet (•?.) croit trouver l’explication de cette résistance aux cau
, dans leur admiration pour les effets merveilleux du magnétisme, ont cru pouvoir rattacher à leur système tous les prodige
s vertus en guérissant les proches de scs ennemis. 11 ne faudrait pas croire que M. de llovère recherche le riche; que lui imp
persécuteurs; aussi me ferai-je un devoir de démontrer à ceux qui ne croient pas, que le magnétisme est réel et vrai, et que s
usée du Louvre, un tableau de Mola, représentant une scène qu’on peut croire magnétique, tant l’attitude des personnages est s
tement ce qui vous en fait dédaigner l’étude. Plaignez-nous donc de croire aux merveilles et aux principes de leur reproduct
la nature vieillie, l’homme près du tombeau. Mais, que dis-je? Il se croit jeune; il jette un regard assassin sur de jeunes
te ravis, jeune homme, me pèseraient comme un crime. Artistes , qui croyez imiter la nature en empruntant â la couleur vos r
je vais vous préparer à des récits de merveilles : vous aurez peine à croire ; il faut pourtant vous en pénétrer, car je n’exa
que la nature a doué d’une foi vive et d’une âme ardente, se hâte de croire : le sage, doute. Nous nous rangerons modestement
es les médecins ont donné le nom de fièvres gastriques, et dont je me crus guéri. Cependant, soit que le principe du mal ne
Au mois de janvier i8/|5, toute cause de maladie ayant disparu, je me croyais radicalement guéri, lorsqu’à la fin du mois d’aoû
rtation fut longue et remplie des termes usuels de la médecine, où je crois vraiment qu’un laxicographe aurait perdu son lati
Il était évident qu’un des deux Esculapes était dans l’erreur; moi je crois , et il y a tout lieu de le penser, que tous deux,
oulagement dont je vous suis déjà redevable ( 1 ), et je vous prie de croire que ()) Pour la suite de ce traitement, voir ci
Société du mesmérisme de Paris. Jusqu’en ces dernières années, on croyait généralement que la mort de Mesmer élait arrivée
que sa peine redouble à chaque instant. L’être fait écoute peu : il croit tout savoir. Il n’emploie d’abord ses facultés qu
e cœur navré, en entendant sortir de la bouche de ces hommes , que je croyais philosophes, les paroles les plus choquantes, les
lté, croyant être poli, répondant à des affirmations de faits : Je le crois , puisque vous me le dites ; mais je verrais , que
: Je le crois, puisque vous me le dites ; mais je verrais , que je ne croirais pas. Puis, riant, gambadant, se moquant, ces homm
dis, en terminant cet article, ce que beaucoup de vous auront peine à croire , ce que nul homme étrangerau magnétisme nopourr
é avec un mélange d’une force incréée, que les anciens appelaient, je crois , esprit astral? Ne serait-elle qu'une lumière pur
est elle qui dira : Ceci est vrai, ceci est faux; voilà ce qu'il faut croire . Elle motivera son jugement, non sur des opinions
orces vives. — C’est une consultation de somnambule qu'on veut, ou ne croit pas à l'action du magnétisme; on se figure que le
règle; c’esl donc une erreur dont les suites sont très-graves, que de croire médecin tout somnambule qui s’annonce comme tel.
sent pas les malades qui les consultent à des accidents sérieux. Je crois donc, avec Deleuze, avec les médecins magnétistes
un habile magnétiseur. Poussés par l’instinct de conservation , ils crurent conjurer l’orage en recherchant l’alliance des pr
différents personnages; et surtout, sur les conséquences que M. Bush croit pouvoir en tirer. Mais, avant, nous suivrons l'au
dû servir de confirmation et d’appui à la vérité que la Providence a cru cohvenablc d’accorder à ceux qui la recherchent.
our soutenir sa thèse, G. Bush s’est réservé d’autres arguments qu’il croit bien victorieux. C’est une monnaie dont le savant
ovateur, comme un enfant, se trompe; il cherche d’abord un abri qu’il croit protecteur; il demande aux rois de la science de
Nous nous laissons aller à une illusion lorsque, apercevant ceux qui croient au magnétisme répandus en tous lieux, bous croyon
percevant ceux qui croient au magnétisme répandus en tous lieux, bous croyons toucher au motnent du triomphe. Cette petite armé
trangers aux fails qui conduisirent tant de malheureux au bûcher, ils croient , dans leur simplicité d’enfant, que les hommes d’
l’académie, vous virez en société d’encouragement. C’est bien; mais, croyez -moi, les magnétiseurs n’ont pas besoin d’être enc
r ne point; passer pour des esprits faibles, et se voir soupçonnés de croire qu’il existe un monde intellectüêl qtiî n’est que
cé formellement en faveur du magnétisme, disant que, non seulement il croyait au magnétisme et au somnambulisme, mais qu’il pro
veau saint Thomas, à l’endroit du mesmérisme, veuille nous obliger de croire aveuglément aux prétendues révélations de Swedenb
férule. Lorsqu’il est question du mesmérisme, il n’oblige personne à croire ; il dit seulement: cherchez, pratiquez, instruise
ge que, comme lui-même, on ferme les yeux de l’intelligence, et qu’on croie avec humilité. Eh bien! il y a ici pour les pen
lle, qui lui montra qu’il était dans un autre lieu ; un lieu où il ne croyait pas être. Or, si, pendant sa vision, il ignorait
rêté ; d’une détermination de voiler aux autres la lumière, lorsqu’on croit en être le foyer? Et l’idée ambitieuse d’impose
-t-elle pas fait rêver un nouveau Sinaï?... Nous regrettons de nous croire obligé de penser que ces formes nébuleuses résult
Elle révéla aussitôt l’objet de mes pensées. J’en fus bien étonné, et croyais que des choses aussi cachées ne pouvaient être co
osède au plus haut degré de perfection possible (car on ne saurait,je crois , aller plus loin: au-delà ce serait peut être la
10 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
ocrite allant au chevet du malade, lui parlant d’un Dieu auquel il ne croit point. Que ferait-il en imposant les mains? 11 aj
lons indiquer. Magnétiseurs qui ne savez faire que des livres, vous croyez agir beaucoup sur les esprits : bêlas! détrompez
rande majorité y puisa la croyance au magnétisme, et ce succès, qu’on croyait impossible à obtenir, est venu prouver qu’on étai
l’ancienne. Cependant elle s’en dit l’hérilière; mais nul ne le p‘iit croire , a moins qu’elle n’ait, comme certains grands hom
eille l'opinion que j’ai toujours eue du magnétisme. Je n’ai jamais cru qu’il fut possible de montrer un seul fait conclu
it plus justifier le dcdain stupide avec lequel les corps savants ont cru devoir accueillir les éternelles vérités mises en
her docteur, qu'en reviendrait l’idée! Allons donc, je ne pourrais le croire . Vous avez écrit voire petit projet de loi sans y
horreurs toutefois, était sur le point d’y éclater, parce que les uns croyaient et que les autres niaient, je voulus m’assurer pa
re d’admiration agitait l'assemblée, un incrédule s’est écrié: « On a cru remarquer que M. Laurent, trop rapproché delà som
spasme. Je me hâtai de la réveiller, bornant là mon premier essai. Je crois que cette jeune personne est aussi éminemment mag
doucis par des pratiques simples et toutes magnétiques. M. Laforgue croit que la prière est nécessaire pour obtenir des gué
si fortes, si violentes, que son mari, qui lui tenait le bras droit, crut qu’elle allait expirer. Il me demanda au nom de D
vangile selon saint Jean, chap. XIV, v. 12, 13, 11, il est dit: « Qui croira en moi fera ce que « je fais, et fera bien au del
e voisine qu'il reprend ses sens et oublie les dangers auxquels il se croyait exposé un instant auparavant. Une sueur froide l’
Les résultats obtenus par M. Malgaigne sont identiques. Si nous en croyons le souvenir des hommes, si nous nous en rapporton
et agréables pensées d'une extase, comme il y a beaucoup de sujets de croire qu’elle fut. Dans cet état donc qui le rendoit in
dangers. Ce résultat désastreux motiva le rejet de ces moyens, et fil croire qu’il n'était pas indifférent pour la conservatio
contenterons de lui retourner l’épitbète qu’il nous adresse, et nous croyons que cela sera beaucoup plus mérité. C est avec
de cette manière, et le Koran ne s’y opposant pas, le gouvernement a cru devoir, dans l’intérét de la population, accorder
lus que la plupart des étrangers que la curiosité attire auprès d’eux croient ordinairement faire preuve de leur grande supério
ier à la mosquée voisine. « Les musulmans ne sont pas les seuls qui croient à l’efficacité des moyens de guérison employés pa
la médecine en contiennent de nombreux exemples. Pour ma part, je me crois suffisamment autorisé à rapporter le fait suivant
s, et les coups qu’il porte s’adressent à ceux qui le torturent. Vous croyez pouvoir impunément introduire durant vingt ou tre
si véritablement deux principes opposés nous gouvernent, comme l'ont cru les anciens philosophes : l’un qui, principe du b
ce qu’il est devenu, où son corps a été entraîné. Il assure qu’il ne croyait point d’abord à une influence de cette sorte, et
n un premier pas a lieu vers la ligne blan- clie. Toute l’assemblée croit qu’il va s’y diriger de plus eu plus, mais il n’e
espoir s'empare de lui, que de grosses larmes coulent de scs yeux. On croit qu’un mauvais génie le pousse. Erreur! Par un eff
aucune conséquence rigoureuse des faits qui viennent de se passer. 11 croit qu’en cette circonstance la matière, obéissant pl
ciables pour lui-même et « pour d’autres personnes en bonne santé. Il croit pou-« voir arriver, de cette manière, à une conna
tête tranchée par les Arabes. » — Nous devons déclarer que nous ne croyons que la moitié de ce récit. Toute la partie dram
us traduira à son tribunal pour y rendre compte de vos meurtres. Nous croyons qu’elle ne vous infligera pas une légère amende,
festation de ce genre faite à Paris envers notre maître. — Ceux qui croiraient que nous faisons à la vieille médecine une guerre
ommes de l’art; on les punira sévèrement. Le peuple a la sottise de croire à la vertu de certaines plantes peu coûteuses que
mportance que si elle flatte leur orgueil. Le savant orgueilleux, qui croit embrasser d’un coup d'œil tous les phénomènes de
ommes ont dit à d’autres hommes : ce monde est votre proie; ils ont cru ces paroles, et ont resserré les liens qui nous e
'étrc plus faible que vous: la femme, voire compagne, qni a besoin de croire et d’aimer, et dont on a perverti l’intelligence
achorète; » Vous pourriez dire que des milliers ont été guéris; et je crois même que, de tontes les maladies connues, il y en
se. Il était adjoint à un sous-inspecteur aux revues ; aujourd’hui je crois qu’il est à Audi, rédacteur et imprimeur du journ
pe magnétique déposé sur le parcours des trois lignes circulaires. Il croit que ce fluide va être senti, et déterminera par c
’ici ce ne sont que des jennes gens sur qui on a expérimenté; on peut croire que leur système nerveux est plus influençable. V
les propriétés dont peut être revêtu l'agent magnétique pourraient croire que l'imagination des expérimentés a été ici la p
m-preinte de notre volonté. On levoitdonc clairement ici: ce que nous croyons , dans notre peu de connaissance, être inexplicabl
t qu’elle fait devrait imposer silence à ses antagonistes-nés. Qui le croirait pourtant? ils osent encore nier les faits si pate
s médecins sont instruits; quant à leur innocence, personne ne veut y croire . Toute cette cohorte saignante se félicite, se co
te se félicite, se congratule de l’inerédulité qu’elle affecte ; elle croit que son opinion prévaut au dehors, et que, quand
où elle eût beaucoup mieux fait d’upporter quelques « bons flacons du cru . Cette Mouche ne manque ni de ta- • lent, ni d'
s h nu certain Jean Raymond de ne pas ajouter foi % à ce qu’elle peut croire , elle, en qualité de mouche, et « elle me fait
laissé duper par de faux somnambules. Dans le premier cas, vous devez croire , parce que la vérité, qui est la vérité pour plus
i, comme saint Thomas, si, comme moi, vous eussiez vu et louché, vous croiriez . » Permettez-moi un conseil. Avant deux ans la
tendez! Dites : Je me rendrai à l’évidence; mais ne dites pas : Je ne crois pas, parce qne j’ai vu; car, en vérité, je vous l
lleurs nous ne lutterons pas contre notre conscience, puisque nous ne croyons pas; et aussitôt dit, aussitôt fait. Les fondateu
xprimant la frayeur et les angoisses dont elle était remplie; j’ai pu croire un instant qu’il y avait folie. « Enfin un somn
magnétisée la vertu des plantes qu’elle m’indiquait, en sorte qu’elle croyait boire, fendant son état de veille, une véritable
à une femme (Catherine Quéron), qui, pour avoir gardé des malades, se croyait capable de traiter des maladies. «On assure même,
ENCES MAGNÉTIQUES. Dans ses dernières expériences M. du Potet ayant cru découvrir une nouvelle loi magnétique, attendait
lle, et Rose Chéri reçoit les applaudissements qu’elle mérite. Vous croyez peut-être, lecteurs, que ce succès éclairera les
Ce fait, contraire aux données physiologiques régnantes, ne fut point cru , surtout à cause de son origine magnétique. Mais
tez et vous jugerez. Et d’abord, la Genèse en main, voici ce que je crois démêler de l’œuvre des six jours : Le front de
and 011 n’admet de création que les idées qu’on a émises, quand on ne croit pas à Dieu, comment rapporter au principe les oeu
ent, une crise de fureur se manifeslaii chez elles, et c’était iî les croire d’enfer venues. Selon les commères, c’était un so
tout comprendre avec voire clairvoyante et admirable sagesse ; et qui croyez avoir tout dit quand vous vous êtes écrié : c'est
et de ce que le magnétisme ne guérit pas tous les agonisants, il l’a cru impuissant à enrayer les maladies inflammatoires.
éprise la réserve; il ne doute de rien, nul obstacle ne le rebute; il croit que tout être est magnétisable par lui et toute m
ur m’atteindre, et ne restait tranquille que quand il me touchait. Je crus d’abord que la crainte que je m’éloignasse était
es à notre travail, nous dirons ici clairement, sans ambiguïté : Nous croyons à la magie. Et, pour appuyer notre croyance et la
esseins. Nous manquerions de courage si nous ne publiions ce que nous croyons vrai, par crainte des opinions contraires; car no
mme ayant quelque valeur. Mais peu m’importe ! je dois dire ce que je crois possible de réaliser avec la puissance découverte
ujet, l’opérateur cherche des yeux dans l’assemblée la persanne qu’il croit apte à sentir l’influence occulte du miroir et à
us rendrons compte successivement de toutes nos expériences. Qu’on ne croie point cependant que nous abandonnions l’étude des
t de là difficulté de marcher. Des douleurs dans le bas-ventre firent croire à une affection de cet organe, et les saignées fu
raissait à vue d’œil. Une crainte cependant affectait la malade: elle croyait avoir avalé beaucoup de pus et être ainsi empoiso
avant que la pensée et la réflexion aient pu s’exercer. Si nous en croyons les historiens, et nous avons toute raison de les
Si nous en croyons les historiens, et nous avons toute raison de les croire , des exemples sans nombre de sympathie comme d’an
nt fécondes en résultats : ce que nous en connaissons nous porte à le croire . Est-il possible de prévoir où ira cette scienc
tant pas les révélations outrecuidantes de certains cerveaux malades, croient cependant à quelque chose de supérieur et de divi
rise. « Qu’a-t-ellc d’extraordinaire? demandai-je. * _ Vous ne me croirez pas, me répondit-elle, si je ■ vous le dis. » »
. M’adressant a «ceux qui m’entouraient, je leur dis : « S’il fallait croire « aux prédictions de ces Bohémiens, tous les homm
el des temps modernes, s'occupait aussi des détails d’iutérieur. on a cru pendant longtemps qu’il était superstitieux. On
t tiers de lune, est remis à « la sienne vieil roi de la cape, et lui cru mort par ses « peuples soldais qui, dans ce temps
iction ; il en parla au colonel Abd.... « Je n’ai jamais voulu rien croire , lui dit-il ; mais je ■i conviens ici de lionne f
nulle part, et que nous seuls avons été à même de la connaître, nous croyons faire plaisir à nos lecteurs en la leur donnant e
que Bonaparte les ait admises, c’est ce qu’il nous est impossible de croire ; car, encore une fois, il n’était ni fataliste ni
s, et dont les convictions sont aussi pures que sincères. Je sais, je crois que, dans certains cas pathologiques, il est poss
credatis, quam nature opéra, uti ars ministra et sedula famulatur. Ne croyez pas la magie Être autre chose que l’œuvre de la n
tire, tremble de froid, verse des sueurs : magnétisme animal. Et ne croyez pas qu’ainsi je m’éloigne de l’unité ; non, je ne
rique. Quelle en est la source principale? N’est-ce pas le soleil? Où croyez -vous que l'homme absorbe plus de sucs, où la terr
u’il émane de différents corps. C’est plaisir de marcher ainsi: on se croirait dans un vaste cirque où chacun peut voir la scène
s’en seraient trouvées les témoins. Des faits analogues permettent de croire que le contact de ces lieux, de ces personnes, de
M. Gault; car j’ai la faiblesse de m’intéresser au magnétisme sans y croire , mais il m'intrigue. « — Un médecin magnétiseur
gue. « — Un médecin magnétiseur, car il y a des gens parmi nous qui croient au magnétisme, reprit le docteur Lebrun, m’a prop
agnétisme, et il a vu se révéler devant lui un phénomène auquel il ne croyait pas. Honneur à lui! Mais honneur aussi au dévou
de nous n’ira vous troubler, vous demander d’ouvrir vos portes. Vous croyiez faire du mal au magnétisme et déconsidérer ceux q
barrière, ôté vous-mêmes l’entrave qui l’empêchait de monter. Vous ne croyiez pas si bien faire, n’est-ce pas? Votre tapage, vo
dans leur route les générations du vieil fige. Ce fut la France qu’il crut digne de recevoir le dé| ôt de ces connaissances.
ici, Messieurs, me livrera des critiques et combattre tout ce que je crois faux ou mensonger ; mais il m'est permis de vous
rdifs, tentative insensée, Vous n’aboutirez qu’au néant, Vous qui croyez qu’on met des fers à la j>enséc Commç une digu
t un jour suivis de travaux plus sérieux; c’est donc une vie que nous croyons consacrée tout à la science. Mesmer était parmi
tiques, qui même a produit l’insensibilité, et que par cela seul nous croyions h jamais converti, vient aujourd'hui chanter les
sache réellement bon reste dans l’oubli. Est-ce mauvaise foi? Je ne crois point: M. Trousseau n’est pas de l’Académie. Es
l’application ou l’absorption de diverses substances auxquelles on ? cru reconnaître la qualité de remèdes (1). La magné
mployés en faveur de l’humanité. Avant de terminer cette lettre, je crois devoir vous faire part d’une surprenante guérison
s insensés partout; mais la terre s’en débarrasse petit à petit. Nous croyions que la race de ces monstres humains qui ensanglan
magnétisme contre les brûlures. J’en ai fait souvent l’épreuve, et je crois qu’il est convenable de donner à ces faits le plu
men est toujours relatif à l'avancement de la grossesse, et tout fait croire que, le rapport établi à terme, la somnambule épr
t, rapproché des phénomènes sensitifs propres à quelques plantes, fit croire à l’identité du principe vital chez tous les être
e le sulfuriquc. » Tribunaux. — Six mois de silence pouvaient faire croire que le ministère public avait abandonné les pours
otre expérience, nous indiquons à notre ami malade le remède que nous croyons devoir lui être salutaire? « Quelle est la diff
pables de fuir rien qu’à son approche.... Dans notre simplicité, nous croyions ces choses plus difficiles ; mais nous n’étions q
le camphre dissous dans l’éther apaise les névralgies temporales. Je crois plutôt que c’est l’étlicr, par la soustraction de
il pousse des vociférations et tombe dans une syncope telle qu’on le crut mort. Cependant l’opération s’acheva sans autres
cicns qui sont partisans de l'homceopathie. (Réclamations.) « Je ne crois pas que ce que je dis là soit sans intérêt. Je cr
ions.) « Je ne crois pas que ce que je dis là soit sans intérêt. Je crois qu’il y a beaucoup de personnes qui ont le tort d
intérêt. Je crois qu’il y a beaucoup de personnes qui ont le tort de croire à l’iioniœopatliic, et de croire qu’elle guérit s
coup de personnes qui ont le tort de croire à l’iioniœopatliic, et de croire qu’elle guérit souvent. Je demanderai si jamais l
nous dire si, dans son opinion, 011 devra continuer h faire comme je crois qu’on est oblige de le faire aujourd'hui, c’est-à
lesquels j’en citerai un qui fera rire; mais cela m’est égal ; .je crois rendre un service : je veux parler de l’emploi du
à son inique jugement. Nous marchons donc très-rapidement, et nous croyons qu’à la Chambre des Députés d’autres hommes avanc
autre qui est produit par la magnétisation, c’est l’artificiel. Je crois aussi à celui-ci, j’y crois autant qu’à Dieu ; ma
a magnétisation, c’est l’artificiel. Je crois aussi à celui-ci, j’y crois autant qu’à Dieu ; mais je ne crois pas aux somna
l. Je crois aussi à celui-ci, j’y crois autant qu’à Dieu ; mais je ne crois pas aux somnambules... « Je m’explique. « Un
l diminué?» Ce dernier répondit : « Oui, je le vois, et je ne le peux croire . » Ce qu’entendant, M. Laforgue lui ordonna de dé
e que, loin de partager l’opinion des savants et des philosophes, ils croyaient à l’existence du magnétisme, quoiqu’ils le consid
ni d’un coté ni de l'autre, homme à conviction comme je le suis, j’ai cru que le meilleur parti à prendre dans de pareilles
à qui m’adresserais-je lorsque les hommes dans leurs disputes, tous, croient avoir raison? lorsque, par un effet d’amour-propr
dit à des questions métaphysiques faites sur ma dictée. Mais qui le croirait ? Extrêmement difficile pour me prononcer sur un p
abscondi-disti hœc à sapientibus et revelasti ea parvulis. Si vous croyez , monsieur le président, que cette franche manifes
permet au docteur l’emploi, sans contrôle, de tel ou tel moyen qu’il croit le plus propre, n’est plus qu’une fiction. Il y a
ifique fontaine abreuve largement tous les habitants de la ferme, qui croient de tout leur cœur que le prêtre étranger est un s
bats révéleront quelques autres détails fort piquants, que uous avons cru devoir taire ici, mais dont un de nos plus spirit
rs moyens, nous aurions recours au magnétisme animal, dont nous osons croire qu’on obtiendrait de bous résultats. Nous disons
u savant Jobard, dont voici la morale : Mes ainis, vous pouvez m’en croire , Ce conte-ci n’est que l’histoire De tous les i
pas beaucoup au delà des lois physiques de l’organisation humaine. Je croyais alors que toute la médecine était dans la pharmac
e dites cl imprimées depuis quelque temps sur le magnétisme, que j'ai cru devoir ajourner la publication d'un livre que j'a
servir de mon bras et m’a rendu le libre usage de la parole. J’ose croire , qu’en continuant de recevoir ses séances, j’obti
sur tout : 1° en assignant un lieu de naissance autre que celui qu’on croyait ; 2° en fixant la date de la mort au 5 au lieu du
Cherbourg, qu’il fait suivre de ces justes réflexions : «Nous avons cru utile de rapporter ces faits, non-seulement parce
veur du magnétisme animal insérés dans notre recueil. » M. Lebouclier croit que nous sommes à une époque où toutes les scienc
ntipathie insurmontable qui existe de la médecine au magnétisme; nous croyons que le Créateur, en donnant aux hommes un moyen u
rier d’aller voir la malade et faire un essai du magnétisme, si je le croyais bon. Le docteur R*** ne me fit pas connaître la v
e la véritable situation des choses. « Le doc-« teur G*’*, me dit-il, croit à une affection fie la moelle « épinière; mais mo
ît cc n’a été que longtemps après que j’ai su dans quelle position on croyait la malade lorsqu’on vint inc chercher. On faisa
au magnétisme parce que l’état de la malade était désespéré, qu'on la croyait perdue. C’est ce que conseillent, en cll’et, quel
ade.... Si la vie n’était pas absolument en danger, comme j’aime k le croire , malgré le pronostic des médecins-consullants, du
t quand une fois nous nous sommes mis à diviniser un homme, nous le croyons sans examen; l'amour-propre étant, à couvert, la
à ce raisonnement que la divination doit naissance. Il ne faut pas croire que les superstitions anciennes aient été général
qu’une volonté arbitraire des dieux écrite sur le foie des victimes, crurent que ces mêmes victimes pouvaient aussi prédire le
sages. La plupart des philosophes grecs, et Aristote le premier, ont cru à l’art de prédire l’avenir par l’interprétation
tombeaux des saints pour les voir en songe et obtenir des visions; on croyait tellement aux révélations des songes, que dans le
e témoin devant le tribunal de police ; le magistrat me demanda si je croyais possible un enlèvement pareil ; je répondis que o
si, à l’égard de l'eau, il dit: « Comme il y a de bonnes raisons de croire que l’ha-lcine est imprégnée de fluide vital, je
ence matérielle appréciable. « Tous lesdits commissaires, médecins, croient aussi que l’arrière-traitement des personnes ains
s a paru corroborer l’assertion du docteur Esdaile. « La commission croit encore qu’un obstacle sérieux à l’application gén
’autres considérations, non moins sérieuses, auxquelles la commission crut de son devoir de faire attention. Admettant l'exi
né à un état d’impressionabilité morbide. Les cffmmissaires-méde-cins croient que ce point mérite une sérieuse attention. Si ce
es données positives sur cette importante question. « La commission croit devoir respectueusement exposer au gouvernement q
scrupuleusement possible les faits qui lui seraient présentés, elle a cru nécessaire de s’assembler chaque matin de sept he
ment désire que la commission pousse ses investigations jusqu’où elle croira devoir le faire. «En résumé, la commission est
peut-être pas sans un certain intérêt de circonstance. N’allez pas croire , par ces derniers npots, qu’il soit question du p
e vingtaine de lettres anonymes, dont les unes me disent que si je ne crois à ce que j’écris, je suis un charlatan; et les au
ois à ce que j’écris, je suis un charlatan; et les autres, que si j’y crois je suis un imbécile. Or, il faut que j’avoue un
à Monte-Cristo avec son somnambule Alexis. C’est jeudi dernier,'je crois , que l’invitation avait été faite. Depuis jeudi u
e vint l’idée de lui parler du pauvre malade, et je lui demandai s’il croyait pouvoir distinguer à distance. Il me répondit qu’
quç. vous voyez., i t— Un ho,mme déjà vieux ; non, je me trompe^ j’ai cru qu’il était vieux parce qu'il est noir, pas nègre
plus que de l’eau. I,e malade est atlciut d’une fièvre typhoïde. — Croyez -vous que le médecin somnambule, M. Victor Dumels,
ose pour lui? — Beaucoup plus que moi ; je ne suis pas médecin. — Croyez -vous qu’il ne soit pas trop tard de l’aller cherc
lire ce: que madame vient d’écrire ? lui demandai-je. — Oui, je lé crois , r — Savez-vous ouest le papier sur lequel elle
î -r—Très-bien. — Pourrez vous voir à travers la boîte? — Je le crois . » J’allai dans ma chambre, seul. J’enfermai un
nt j’avais été l’acteur, ou plutôt la machine vivante. C'est là, je crois , une remarque intéressante; car, lorsque nous dor
nerveuses qui m’elTrayaient à si juste, raison, et j’ai tout lieu de croire qu’elles ont à jamais disparu. Comment, monsieu
sme sc répande de lui-même dans le public et parmi les gens de l’art, croit qu actuellement un encouragement plus direct de l
ns a fait une telle impression sur 1 esprit de Sa Seigneurie, qu’elle croit nécessaire que le gouvernement prête à l’officier
alement l’attitude ultérieure de l’administration, et les pas qu’elle croira opportun de faire dans cette voie. J’ai l’honne
l est forcé de nier uniquement par des paroles. Sous ce rapport, je crois que nous sommes déjà dans la voie, le gouvernemen
x qui existe encore par rapport au magnétisme consiste en ce que l’on croit à l’intervention du dérnon dans la détermination
rls je puis y parvenir, tout en rendant grâce au Tout-Puissant, je me croirai richement récompensé par la seule pensée du bien
nce et la nature du démon, rien dans ce livre saint ne nous force à croire que l’homme peut avoir le démon a scs ordres pour
ence sur la On dernière de la pythonisse d’Endore, ce qui nous ferait croire que la devineresse n’était pas aussi abominable a
femme fut saisie en apercevant le prophète est assez pour nous faire croire que Samuel ne lui apparut pas en vertu de l’évoca
l vocem suamde terrd in prophétie delere tmpietatem gentis. Peut-on croire que l’Esprit saint aurait loué Samuel dans son ap
i d’autres, très-orthodoxes, qui nous disent qu’on n’est pas forcé de croire à l’intervention du démon dans les prodiges par l
procédés naturels sans le secours de Salan. Donc rien ne nous force à croire que les enchantements de Simonie magicien sont l’
vec cela que Simon n’avait aucune alliance avec le démon? J'aime à le croire . Les hommes n'abandonnent pas tout à coup un ordr
t fait les apôtres, ce qu’acommandé Jésus par ces paroles : «Ceux qui croiront en moi poseront les mains sur les malades, et les
es, et les malades seront guéris. » Qu’a fait de plus M. Laforgue? Il croit qu’en lui existe une vertu que sa pensée porte su
it qu’en lui existe une vertu que sa pensée porte sur les malades; il croit que l’intermédiaire de la religion est nécessaire
rivale dans ce nouveau dno. Jenny chanta « divinement en suédois, je crois , un air lent, comme « un hymne dont toutes les no
une dame qui était si sceptique à cet égard, « qu’elle ne voulut pas croire jusqu’à ce qu’elle eût vu «que deux voix étaient
-il, quand il prend la position voùlée où le tenait sa maladie; et il croit qu’il a été l’objet d’une cure remarquable autant
« line telle ignorance en vous vraiment m’attriste 1 « C'est un fait, croyez -le, le magnétisme existe. « lii ntùl des fai s
nana. (Suite.) Mais si, d’après l’Ecriture, rien ne nous oblige à croire que l’homme ait le démon à ses ordres, les livres
avons fait voir que, d'après les livres saints, on n'est pas forcé de croire que l'homme ait pouvoir sur le démon pour le fair
es. Et, puisqu’il en est ainsi, de quel droit prétend-on nous faire croire que Satan, obtempérant à la voix des magnétiseurs
agnétiques surpassent tellement l’imagination, qu’on est forcé de les croire surnaturels et diaboliques. Voici ma réponse :
à deux ou trois journaux industriels pour en savoir aussi long et en croire aussi peu que Voltaire et Diderot ; et puis, j'ai
dictionnaire auquel n’est pa» attaché le nom de Charles Nodier. Je ne crois point un fait parce qu’il est vraisemblable; je n
ent tout le contraire. Mais si nous n’avons qu’à nous prosterner et à croire , ne perdons pas de vue que les incrédules sont de
les ou de chaque individu !... Combien de fois se dit-on : Qui aurait cru cela? quel fléau sans nom ! quelle injustice du s
que d’être vrai. Je ne vous demande qu’une grâce, lecteur : c’est de croire que, si j'inventais, j'inventerais mieux, quelque
quatre personnes : mystérieuse faculté ou maladie, qu’on appelle, je crois la Loco......le nom m’échappe. « Quelques mois
ir de mes nouvelles. — La lettre était mol pour mot celle que j’avais cru lire et que j’avais redite de mémoire à mes amis.
rive dans les rues de me dire : Ah ! voilà monsieur un tel-, je ne le croyais pas ici. J’approche, je me trompais; mais je le r
e. » Et il m’embrassa et je lui montrai son nom sur mon papier, et il crut peut-être que je m’occupais de lui. Depuis dix an
ant que vous voudrez, j’étais comme vous incrédule, mais à présent je crois , et, qui plus est je crains. Je m’empressai de le
Je ne pusob-tenir que des paroles sans suite à travers lesquelles je crus comprendre qu’il prétendait avoir été magnétisé p
isme, ne prouve-t-elle pïts que le souverain ponlife est bien loin de croire le magnétisme l’ouvrage du démon? Mais passons ma
phénomènes magnétiques dans une séance, alors il sera en droit d’être cru sur l'intervention personnelle du démon dans le m
prendre pour réaliser nos désirs. Tel est le mince travail que j’ai cru devoir faire pour combattre certains préjugés qui
des artères. Son pouls étant très-faible par suite du sang perdu, je crus utile de lui administrer un cordial el de l’éveil
e et sera relatée le mois prochain. — Des faits qui précèdent je me crois autorisé à dire : qu’il a été démontré que les ma
r les hommes à son sentiment. Qu’ils sont à plaindre les hommes qui croient qu’en nous tout est mortel ; qu’ils sont ignorant
i les courants qui la parcourent? Non; et tu voudrais qu’on ne puisse croire aux esprits, comme s'il était possibe qu’ils fuss
que nous avons vu; mais enfin nous avons vu et nous sommes forcés de croire ; car rien n’est plus évident qu’un fait. Ce jeu
e par un individu sur un autre. M. Laporte ne voulut pas nous laisser croire que celte puissance était un privilège pour lui.
iculièrement. Elle se défend d’être l’organe de la superstition. Nous croyons pourtant qu’on ne peut qualifier autrement sa per
tat de veille, elle ne voulait pas entendre parler .l’opération (elle croyait que c’était le résultat d’un emplâtre fondant pen
teurs en apercevant le résultat. Je dis ces choses pour que l’on ne croie point à des dispositions de mon esprit ou de mon
it le doute des sceptiques? Je ne suis point facile à émouvoir, je ne crois point sans preuves, et dans aucune de mes expérie
rudence! arrière Alexis! et vous tous dormeurs et dormeuses, qui vous croyez lucides et captivez l’attention publique el l’adm
sions de pensées sont incertaines et échappent au moment même où vous croyez les tenir. Sur dix expériences, deux à peine sont
-ségurien n’avait obtenu; nous portions même notre suffisance jusqu’à croire que personne ne possédait mieux que nous l’art d’
t gravement s’asseoir dans un fauteuil placé sur la scène, nous avons cru voir une pythonisse venant rendre ses oracles.
des plusieurs d’entre les prodiges attribués au magnétisme animal, il croit devoir prendre un juste milieu dans l'exposé de s
, sans le loucher, et du simple regard môme pour l’endormir. D’aucuns croient môme possible de magnétiser par la simple volonlé
une disposition particulière chez l’individu, on sera plutôt enclin à croire que le somnambulisme magnétique esl l’effet d une
t ensuite spontanément. De sorte que, sans nier le fait, nous pouvons croire que le somnambulisme provoqué, dit-on, par le sim
ces, démontré. » Maisensuile, nous ne pourrons pas aussi facilement croire qu’une personne, dans l’état magnétique, ait la f
q ans, en France, on écrivait sur le même ton, el les savants d’alors croyaient être très-éclairés. Le magnétisme est tout autre
sez-le sur telle ou telle personne queje vous désignerai, et alors je croirai .» Et souvent le magnétiseur essaye en vain sa pui
rovoquèrent en répétant celle célèbre parole : « Si je ne vois, je ne croirai point. » Guérissez M°" W. et alors nous croirons.
Si je ne vois, je ne croirai point. » Guérissez M°" W. et alors nous croirons . M"10 W. avait un magasin bien connu des jeunes g
et de mauvaise foi, de propagateurs d’une doctrine à laquelle ils ne croient pas? Ah! cessons de montrer une telle inconséqu
Ceux qui ne savent pas assez doivent chercher el s’éclairer, ceux qui croient doivent étendre constamment leurs propres connais
ui espéraient y Irouver quelque vérilé utile à l’humanité. Qu’on ne croie pas cependant que je veuille interdire loule es
-il res-ler auprès de lui dix ou douze heures. Mais je m’arrête, je crois en avoir assez dit pour encourager ceux qui parla
et surtout du galvanisme, car c’est en partant de ce dernier que nous croyons pouvoir démontrer que le magnétisme vital n’offre
age à des faits que tant de gens nient faute de les connaître. Nous croyons donc, parce que nous nous en sommes assuré à sati
ra pas cette branche de Vanthropologie en perpétuelle jachère. Nous croyons avoir exposé rapidement, mais assez clairement po
e cet ensemble complexe de faits qu’on appelle magnétisme ; mais nous croyons trop à son amour de la vérité pour penser que, qu
connaissance, il ne cherchera pas à les expliquer. Tout en disant je crois , sa plume a trop de puissance pour qu’on dédaigne
exisle dans ce monde : il s’ogil de s’y initier. Dans ces recherches, croyez -le bien, magnétiseurs, je ne suis animé que d’une
our loi sans portée, lu ne sentiras aucune vibration dans les chairs; crois -le, ce serait pour loi un malheur si lu apercevai
gner l’emploi. — Le Corsaire du 27 novembre dit qu’on peut sûrement croire à l’insensibilité puisque le Constitululionnel l’
mble et faire quatre frictions. Elle me défendit de manger des fruits crus el des légumes, et m’ordonna les viandes saignant
nait la recherche du lieu où elle se débitait. Mais le 4 mars elle la crut nécessaire, et après avoir cherché plusieurs minu
naisons serait-elle rompue dans la créature la plus parfaite? Peut-on croire qu’il y ail une lacune dans l’admirable synthèse
r des impulsions dont ils ne paraissent pas avoir la conscience. Je crois qu’il est facile de démontrer que l'organe et la
r Dupuytren, M** Clotilde Saint-Marc, qui est morte maintenant, queje crois au somnambulisme. Je ne dis à personne de venir m
èglements relatifs à l’exercice de la médecine. La prévenue : Je ne croyais rien faire de contraire aux lois : j’agis de très
n faire de contraire aux lois : j’agis de très-bonne foi, et si je ne croyais pas à l’efficacité du somnambulisme je ne ferais
m’ont conduit à soupçonner l’existence de ce qu’on me présente, j’en crois alors à mon propre jugemenl, je médis, il y a là
it dévorer, le lui laissa sans lui faire le moindre mal ; on pourrait croire que les mouvements de la pensée de la femme s’éla
ur la mort de Mendelsbon. 348 Antimagnètisme (l')- M. le Dr Ordinaire croit que la double vue de Mme Hermann, Robert Houdin,
11 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
ière à vous salisfaire. Si le dévouement passé peut garantir le futur, croyez , Messieurs, que je répondrai à l’attente de votre
e leur chute précipitée devint l’objet de nos préoccupations, et nous crûmes la trouver dans l’élévation du prix d’abonnement
uvertes en cc genre se succèdent avec une rapidité qui pourrait faire croire à l’entente cordiale des sciences pour bannir la
rez la circulaire sur le magnétisme biotique, dont S. M. d’Autriche a cru bon d’établir les règles d’exercice légal dans la
happe pour l’intérêt et l’accroissement de la science mesmérique ; je croirais manquer à mon devoir de ne pas vous en envoyer l’
reurs, et ils nous disent à grande voix : faites-y endormir et nous croirons à votre science!.....Insensés qu’ils sont! ils
nos frères malades. Telle est la volonté de la divine providence, et, croyez -moi, que le magnétisme, ce don précieux du ciel,
es que j’ai traitées et guéries parle mesmérisme. Cet ouvrage est, je crois , le premier qu’on imprime dans notre péninsule; p
gréez ce pauvre mien hommage de l’amour que je nourris pour vous; et, croyez -moi, chaque fois que l’incrédulité téméraire et l
ation. La pauvre mère, très-affectée par les deux consultations, ne croyait pas posséder le puissant moyen de faire un prod
semble, coordonne des matériaux grossiers, est-il invisible? Je ne le crois pas. Il n’en est ainsi jusqu'à présent qu’à cause
i échappait aux regards se découvre, et des myriades d’êtres que l’on croyait pour toujours soustraits à notre vue, sont aperçu
ant. On niait avant ces recherches, et le savant sceptique ne pouvait croire à ces réalités. On se souvient qu’un simple pot
le étincelle cause, à grande distance, un incendie ; on la voit et on croit . Une étincelle, je n’ai point d'autre mot, part d
votre gré. — Va pour la terreur. — Eh bien ! en entrant ici, elle croira voir devant elle un abîme de feu. Les cinq minu
Potet était venu, il y a quelques années, exercer ses talents, nous croyions que le magnétisme était encore dans les limbes, l
de la manière la plus spirituelle cette cause étrange. Sans paraître croire à toutes les merveilles du magnétisme, il en a di
lisme. Si cette nouvelle est fondée, comme nous avons tout lieu de le croire , c’est encore un progrès. — M. le juge d’instru
es-unes, cependant, sont si bien attestées, que, si l’on refusait d’y croire , on serait obligé, pour être conséquent, de rejet
ueuse et si douce !... » — «Bah! » répondit brusquement le roi, qui croyait entendre un reproche toutes les fois qu’on pronon
que plus d’une fois il nous a semblé rêver, et que nous avons pu nous croire placé sous l’influence d’une de ces hallucination
mme Cheyroux, s’est effectivement mariée peu après celte entrevue. Je crois fermement au somnambulisme. (Adhésion dans l’audi
. Trois jours après mon enfant était morte! (Sensation prolongée.) Je crois de toute mon âme au magnétisme. » Celte déposit
venus du piège, ils n’en approcheront plus. — Il fallait leur laisser croire qu’il n’y avait rien dans le magnétisme que ce qu
s nos illustres savants, je les ai vus, entendus, compris, et jamais, croyez -le, vous ne les amènerez au magnétisme ; ce sont
droits exclusifs à l’application d’un certain ordre de faits ; car je crois qu’à divers égards, pour telles ou telles choses,
opposent ; et pour qui réfléchit un peu cela est si évident que je me crois dispensé de le prouver, autrement qu’en faisant r
que, sur laquelle j'ai si fréquemment insisté, avec peu de succès, je crois . Ces hommçs étaient capables de parler et d’agir,
leur tombait sur le corps nu. Les adversaires du magnétisme animal croiront probablement tout ceci sans peine, parce que c’es
s hommes ne souffraient point après tout ce qu'ils avaient subi. Je crois qu’on aurait pu torturer ces hommes à leur comple
’est tenue jeudi au soir, M. Huttmann a exposé les raisons qu’il a de croire que les propriétés extraordinaires du chloroforme
it dépendre du magnétiseur, carie magnétisé participe de sa vie. S’il croit en la vertu, en l’elli-eacité de certaine substan
près de trois semaines, et qui l’affaiblit tellement, que ses parents crurent qu’il allait mourir. Mais on ne m'avait point p
’air «pie de se soumettre plus longtemps à mes Soins, que son père ne croyait plus nécessaires. Cette interruption brusque fit
Celui-ci ditque non-seulement il ne sait pas, mais que de plus il ne croit pas à cette vertu singulière. Sollicité par nos p
ôt l’effet se dissipe ; trois fois je recommence et calme de même. Je crois alors devoir cesser pour ne pas trop fatiguer la
ordre organique plus profond que la malade ne le suppose, car elle ne croit avoir qu’un mal de tête. J’apprends qu’à tous ces
communiquer les faits curieux qu’ils auraient observés ; ce serait je crois le meilleur moyen de faire faire un pas à la scie
ourne vers ton père. Ici le mensonge règne et gouverne, les hommes ne croient plus qu’aux fictions, la •véirité leur fait peur,
tous les temps sont écrits, et lorsqu ils sont venus l’homme vulgaire croit qu’il conduit les événements, tandis qu’il ne fai
dans leur loge les francs-maçons chrétiens, persuadés que ceux-ci ne croient pas à la Trinité, qu’ils sont déistes comme eux,
ement. La graine, mêlée de tabac et de miel, se fume de même; et à en croire un ouvrage arabe qui traite de cette matière, on
t de les attribuer à des causes surnaturelles, ou de se refuser à les croire . L’inconnu n’est-il pas plus vaste encore que le
nt lieu tous les lundis; chaque membre y amène ceux de ses amis qu’il croit susceptibles de prendre intérêt à la chose, et ex
nvariable dans la marche de certains événements qu’on peut sans peine croire qu’ils sont écrits, qu’ils arrivent fatalement, p
e rendu à l’humanité et à la cause magnétique dans cette occasion, je crois pouvoir me permettre de vous demander votre prote
es considérations nous ont déterminé à répondre à M. Clapier que nous croyions à l’identité primordiale de l’agent magnétique ch
va donner la liberté à tout et à tous, même au magnétisme; mais je la crois impuissante à l'affranchir des préjugés, de l’ign
ne chose singulière que ce diplomate prussien soit si bien renseigné. Croiriez -vous qu'il a trouvé le moyen de savoir même ce qu
Madame, pourriez-vous voir ce que contient une boite fermée? — Je le crois . — Eh bien! c’est nu moyen de convaincre 1 académ
nde de la chercher, mais il est si difficile d’étudier, si commode de croire , que nous préférons nous prosterner devant l'aute
. — L’auteur du feuilleton de l'Union monarchique, du 21 février, a cru faire preuve de beaucoup d’esprit en introduisant
es femmes aériennes qui passent couchées sur des nuages ; comme je ne crois pas au magnétisme, comme je n’ai aucune sympathie
e la scène, etc. » Cette déclaration est signée Théodore Anne; nous croyons qu’il y a un n de trop dans le nom de ce savant c
, infirmité et misère! Et quant aux secrets de ma destinée future, je croirais profaner la Divinité, qui me les cache, si je les
les cache, si je les demandais à la créature. En fait d’avenir, je ne crois qu’à Dieu, à la liberté et à la vertu. — N’import
rois qu’à Dieu, à la liberté et à la vertu. — N’importe, me dit-elle, croyez ce qu’il vous plaira; quant à moi, je vois évid
nt d’une tendresse de regard et d’une lumière presque surnaturelle. — Croyez ce que vous voudrez, me dit-elle, vous n’en êtes
de ses aperçus, la précision de ses jugements, au point qu’on le peut croire lui-même fatiloque. Nous espérons que nos abonnés
lu, par hasard, quelque chose du magnétisme; elle nie demanda si j’y croyais . Oui, lui répondisse, et je vous y ferai croire s
e nie demanda si j’y croyais. Oui, lui répondisse, et je vous y ferai croire si vous voulez que je vous magnétise. Elle ne dem
on riant : respirez; je parie que votre point de côlé est passé. Et, croyez -vous qu’elle n’a plus rien ressenti? Son étonneme
rivée, et d’autres soins m’ont empêché de poursuivre cette idée. Je croyais tout fini, et pour l’honneur de la Société, ci-de
La conversation s’était prolongée; la jeune fille, invitée à danser, crut pouvoir confier son châle et son tablier, à la ga
oient également instruits ni également habiles. D'ailleurs j’aime à croire que dans le nombre des correspondants de la Socié
sont pas moins étranges que celles des autres. Si, comme je le dois croire , il esL plus fidèle dans son Extrait que dans ses
si elle l’a fait, à coup sûr je ne le lui avois pas conseillé. J’en crois M. Thouret, lorsqu’il assure que depuis le rappor
rendent compte de la destruction îles grandes Babylo-nes ; c’est, je crois , le moyen dont se sert la Providence pour les emp
ous les chats qui se trouvaient à sa portée. « Les voisins, dit-il, croyaient que je caressais leurs chats; au bout de quelque
is que ces animaux avaient péri sans cause apparente. » On pourrait croire , et M. Beckeinsteiner le pensa, que cette commoti
ait l’épreuve. La vache paraissait fort irritée, et elle m’aurait, je crois , éventré si je m’étais approché de nouveau; niais
faits précités leur bonne foi irait jusqu’à les dénaturer pour faire croire au développement d’accidents majeurs, et, peut-êt
possédais pas, et mon père, témoin de cette expérience, ne pouvait en croire ses yeux. Ce ne fut qu'un prélude; plusieurs fois
lt ébahie, aussi moult sanglante, car il sera tant fort que Dieu sera cru guerroyer avec lui. L’Eglise de Dieu se console t
’assoycra bien, moult sages règlements appelleront la paix. Dieu sera cru d’avec lui, tant prudent et sage sera le rejeton
en deux parts bien marquées. Mais c’est fait : lors, Dieu seul sera cru et la tierce part de la Gaule et encore la tierce
étisme et succédané de animal. Il a pour racine pîo«, vie. Nous ne le croyons pas appelé à un grand succès, parce que, signifia
est difficile d’entreprendre l’examen d’une œuvre si grandiose. Je ne crois même pas que les plus savants dans les mystères p
ès-pénible, et capable d’effrayer des magnétiseurs inexpérimentés. Je crus reconnaître la cause de ce désordre : le magnétis
rze dans la journée. Un de nos meilleurs médecins fit tout cc qu’il crut bon, et témoigna même ses regrets de l’in-suècès
réalisée. Ce dernier cas surtout, monsieur le baron, mériterait, je crois , une sérieuse attention; car il se présente bien
ssi de savoir des gens qui se complaisent dans leur ignorance, et qui croient en avoir fini avec une guérison extraordinaire
ntelligences hors ligne semble y naître ou s’y donner rendez-vous. On croirait que le régne du vieux continent va finir et que l
répète donc que j’ai seulement senti à moitié, et que je n’ai jamais cru intellectuellement. Mais dernièrement, il v eut e
les seuls mondes palpables, et pour l’emmagasinement desquelles nous croyons stupidement que l’espace a été créé, mais l’espac
urs s’abstiendraient-ils de toute autre intention particulière. Je le croirais à cause même de la simplicité du moyen. Cependa
ridicules dont on a souvent effrayé notre enfance, et que le peuple a crus , avaient un grand fonds de vérité : les ensorcelé
hoses étranges, et sur lesquelles d’autres avant moi, sans doute, ont cru plus sage de garder le silence. Je m’estimerai he
e oculaire, accompagnées de cuisson et autres symptômes, ce dont elle croyait avoir hérité de son enfant. — M“* M...., ayant
yon. 11 n’y a pas de séances publiques. Il y a assez de personnes qui croient au magnétisme, mais peu qui veulent l’avouer, moi
ou dix) que j’ai initiées et qui s’en occupent assez peu, je suis, je crois , seul à Valence ou dans les environs qui m’en occ
uteur moderne : « Quand on veut faire pénétrer des vérités que l'on croit utiles, on ne saurait mettre trop à profit pour l
Ainsi, exposer avec mesure et sans amertume ni aigreur ce que l’on croit être la vérité, le faire avec bienveillance même
l’homme sur les animaux (voyez t. m, p. 46 et 91), de nature à faire croire que la magnétisation pourrait servir à la domesti
les magnétisés de haut titre les voient distinctement; j’incline à le croire car c’est une propriété de transition nécessairem
tes, il n’y ait beaucoup d’exagération, et peut-être les 7?8, mais je crois aussi qu’il y a un fond de réalités, et je vais t
nt et non passibles de somnambulisme artificiel. Le magnétisme aurait cru discréditer sa secte en faisant cet aveu; il aura
rme noyé dans les charlataneries. Lorsque des savants, des inventeurs croient avoir trouvé des moyens suffisants, ils ne devrai
es galantes aux Idéologues, puis des Idéologues aux Généralistes, qui croient tout le monde magnétisable, le germe de la scienc
tisme. Nous l’avons montré à la plupart de nos amis de Paris, et nous croyons être agréables à ceux du dehors en leur en donnan
e, la superficie au contraire spongieuse et friable. Sa forme porte à croire qu'il remplissait la cavité de la matrice à la me
existe, à cet égard. Les médecins allemands ont pleinement raison d'y croire , malgré le scepticisme de la faculté de Paris, do
age : toutefois, on me signala de l’amélioration, ce dont moi-même je crus m’apercevoir. Encouragé par cet espoir, quoique l
pour recommencer dés que ses forces réparées le lui permettent. Il se croit ensorcelé et se désole sur sa position, lorsqu’il
(la clairvoyance), par une psychologie un peu mystérieuse, mais qu’il croit cependant fort naturelle, qui du moins n’admet pa
u'on peut songer à le combattre. « Ayez notre puissance et notre foi, croyez à la pureté de nos intentions, respectez la loi d
ait eu à vérifier. Voici ces conclusions : 1. M. d’Eisenstein avait cru remarquer que plusieurs de ses malades, somnambul
ts, quand la direction en était inaperçue. 2. M. d’Eisenstein avait cru constater que Léopoldine distinguait parfaitement
explication du fait constaté devant nous. » 3 M. d’Eisenstein avait cru remarquer que certaines personnes étaient douées
différentes n’ont rien établi de ce genre. 4. Le même savant avait cru remarquer que certaines personnes (le rapport les
er d'abord le genre de l’objet, ensuite son espèce; un certain nombre croit à la connivence des assistants; enfin quelques-un
mêmes expériences. Il est possible qu’il soit somnambule éveillé. Que croire de tout cela ?.... Dans tous les cas ces jongleur
magnétisai. En moins de cinq minutes cet homme robuste, exerçant, je crois , la profession de chaudronnier, fut dans un état
sans quelques souffrances. Bon courage; vous arriverez, au but: et je crois bien (pie vous ne l’auriez jamais atteint par les
œux et j’ai la confiance que ces vœux seront exaucés. Vous ne sauriez croire combien elle m’a inspiré d’inié-rèt, sa guérison
ns et les plus graves doctrines, peut-il se trouver une disposition à croire qui ne sc rencontre plus ailleurs? Puis; comment
cas, qu’ils la réservent à leurs adeptes et ne prétendent pas y faire croire le public; dans le second cas, qu’ils fassent com
s qui nous paraîtraient en opposition avec les vérités que nous avons cru reconnaître. Nous avons agi ainsi à l’égard de
hommes intelligents. En accueillant le travail de M. Charpignon nons croyons leur être agréable en même temps qu’utile. (t)
ensée. D’ailleurs cet auteur est trop sincère, trop homme de bien, il croit si fermement à la réalité des visions de ses voya
le dire, il était très-original; rien n’a été oublié, si bien que je croyais le voir moi-mème, tant le tableau en était saisis
e qui voit, et pour qui est familiarisé avec le somnambulisme on peut croire à une communication de pensée. Tout le reste en d
es une vérité profonde entrevue par plusd’un millier d’hommes.’ Je le crois , maisje crois aussi à la difficulté de les peindr
profonde entrevue par plusd’un millier d’hommes.’ Je le crois, maisje crois aussi à la difficulté de les peindre; il n’y a po
faits sont en rapports parfaits avec ces nouvelles données; mais nous croyons qu’il y aura de grandes divergences, et c’est là
Nous nous occupons sans relâche d’une série d'expériences que nous croyons propres à avancer la science magnétique. Cependan
dopta le principe des doses infi-nitésionales, n’est-il pas permis de croire qu’il était tombé dans la triste mélancolie que f
ous la voulez comme le médecin vitallste, cette crise, seulement vous croyez pouvoir la provoquer mieux que lui avec une fract
qui étonnent le plus. Et pourtant, la chose est plus simple qu’on ne croit le penser. Pourquoi, médecins allopathes, avez-
he : Connaissez-vous la puissance delà pensée sur l’organisme? Vous y croyez peu dans les faits ordinaires de la vie physiolog
t bien portantes, des modifications extraordinaires, et je lus prêt à croire à l’action des infinitésimaux. Mais la contre-épr
e me demande si on pourra trouver ma critique injuste ? Je ne puis le croire ; elle repose sur des principes tellement faciles
puisé dans la doctrine du vitalisme quelques-uns de ses principes, a cru pouvoir prétendre à se faire une doctrine général
11 y en a sept ou huit qui pratiquent et quatre-vingts, au moins, qui croient à la puissance curative do l’agent magnétique. Ch
ieur, de vous rappeler que j’ai un logement à votre disposition et de croire que le jour de votre arrivée à Niort sera un jour
. Hébert d’A-veney. Plusieurs personnes, trompées par rhomonymye, ont cru que c’était M. Hébert (de Garnay) et s’en sont ét
rougissent pas de s’en déclarer les partisans, et, pour preuve, nous croyons devoir reproduire une lettre fort spirituelle adr
dies. Sans blâmer sa méthode qui obtint de grands succès curatifs, je crois difficilement que, semblable à la médecine univer
les tumeurs. A cet effet je remplis une bouteille à bière, non de fer cru et privé de ses esprits par la fonderie et la for
eckensteiner, dont nous avons déjà mentionné les travaux magnétiques, croit pouvoir établir que ce lluide circule aussi entre
ayant répété sans succès toutes les expériences indiquées, je pouvais croire que mon scepticisme préventif m’empêchait de réus
e disposition suffît pour expliquer le fait en question, puisque l’on croyait , naguère encore, que les malades seuls étaient ma
sur l'organisation, sont des fails acquis à la science. Il reste, je crois , fort peu de personnes au courant des sciences, q
es habitudes qui régissent l’exercice de la médecine, que je n’ose en croire la possibilité, de bien longtemps encore. Quoi
r rapidement esquissé les différents systèmes qui tour à tour se sont cru la véritable loi pratique de la médecine, il me r
al dans lequel il puise ses médicaments. C’est assez maintenant, je crois , de doctrines, de systèmes, de remèdes ! Le médec
stinguer le pourquoi du changement nécessaire de la médication, il ne croira pas à tel système, pareeque ce système heurte c
science seule. Or l’homme de science est rarement progressiste, il ne croit que ce que l’école enseigne, il ne songe jamais à
strueux de systèmes mensongers, dont chaque sectateur, chose étrange, croit posséder la vérité dans son art et pense que l’er
toutes deux respectables. Nous ne doutons point de sa lionne foi; il croit cequ il dit et pensera que c’est nous qui sommes
aigner les sommités de la médecine pour courir chez les somnambules ? Croyez -vous que s’ils ne guérissaient aucun malade ils c
re, et celle de la quadrature du cercle ont fait d'hallucinés, qui se croyaient pourtant des gens fort sages? Les maladies n’agis
s, des récits qu’ils ont entendus, des lectures qu’ils ont faites, se croient magnétisés, jurent leurs grands dieux que des mag
ans doute, mais elle a des limites qui restent bien en deçà de ce que croient ces pauvres malades. Comment faire passer cette v
e peut pas toujours être reconnue. Grand Dieu! combien de fous qui se croient sages et. dont les erreurs monstrueuses agissent
ités. Ainsi le voudront toujours ceux que l'intérêt guide. Qu'on le croie bien, les faits que nous allons citer peuvent êtr
force des influences. Aujourd'hui personne ou presque persoune n’ose croire aux miracles, aux inspirations divines, aux posse
première fois un accès de fièvre magnétique assez fort, puisque je me crus alors menacé par ma famille tout entière, dont le
après ces visites chez les autorités, ordonnées par l’aréopage que je croyais maçonnique, je fus décrété par ce lâche tribunal
: « une gastro-entérite avec irritation cérébrale. » Et pourtant, il croit , il est entièrement convaincu, il allirme que ces
dans cette voie et l’on devient assassin. La voix mystérieuse qu’on croit entendre vous pousse el vous sollicite au meurtre
onnes qui ont » les mêmes facultés que la dame qui est ici; mais » on croit généralement, dans notre pays, que ces » voyants
de ce que nous aurons appris à cet égard. — Nous pensions qu’on ne croyait plus à l’influence des nombres; il n’en est pas a
nce des nombres; il n’en est pas ainsi. Nos gouvernants, s'il faut en croire certains bruits de comité, ont été effrayés de vo
. Ces observations préliminaires vous feront comprendre que nous ne croyons pas être dupes d’un visionnaire tour VII. — K° —
et la taquinerie firent presque tous les frais de nos entretiens. Je crus remarquer que c’était un parti pris par mon incon
voix, dis-je, devint plus sonore. Lorsque j’y fus un peu habitué, je crus comprendre qu’elle provenait du dehors,et prêtant
ur les débuts d'avoir un auxiliaire. Je suis d’autant plus porté à le croire que cette circonstance se trouve avoir une concor
et paraissait au contraire venir d’un côté diamétralement opposé. Je crus d’abord à une illusion de mes sens, mais je recon
ensée, et celle réflexion est basée sur l’étude de mes sensations. Je crois aujourd hui que si à cette époque j’eusse interro
cipons pas sur les événements, j’en parlerai en son lieu et place. Je crois devoir faire remarquer ici que les souffrances ph
e contribuais sans m’en douter à perpétuer ces effets merveilleux. Je crois que si j’eusse pu éloigner de mon esprit toutes l
aujourd’hui les penseurs de l’Amérique ! !. D’accord avec vous, je crois que l’Amérique a commencé à donner au monde des d
onner au monde des défenseurs courageux et éclairés de la vérité ; je crois que sous l’égide de la liberté et de la pure phil
e les suppôts aveugles ou hypocrites, et les fauteurs acharnés. Je le crois , et j’en félicite l’humanité: mais tout en croyan
oncernent notre spécialité. Disons d’abord que M. llenouard n’a pas cru devoir traiter la question du magnétisme; il n’en
igences : c’est l’empirisme-méthodique, ou l'expérience raisonnée. 11 croit qu’elle absorbera toutes les autres, parce qu’ell
u d’une manière positive si ces sensations iui étaient transmises. Je crois du moins qu’il ne les sentait que lorsqu'elles pr
cipe lorsque je ressenlU ces ff-ts, j'en ch. reliais naturellement la crus - d.-.ns les étnanm'ons de quelque corps rapproch
Je fus un jour appréhendé à la gorge d’une manière si violente que je crus qu’on en voulait a ma vie, et comme cet effet de
l ins la fuite m’est-il pour toujours enlevé? Hélas! je commence à le croire , car ici comme ailleurs je n’ai obtenu dans mon é
on, que ces phénomènes n’étaient pas de leur compétence et qu'ils n’y croyaient même pas. Cependant, je dois le dire, je fus fort
écouter le récit de mes sensations et les meilleures dispositions à y croire . Ce n’est pas que je n’aie eu avec eux quelques o
m’en plaindre, puisque cela prouve leur désir de s’éclairer, mais je crois les avoir réfutées victorieusement. Cependant i
vous qu’il soit possible de faire cesser cette influence ? Si vous le croyez , et que vous puissiez me diriger dans la voie qui
renseignements nous sont souvent demandés sur cette recherche. iNous croyons devoir publier la lettre suivante pour répondre a
he, et dit : ma...man. Ces premières articulations d’une voix qu’on croyait ne plus jamais entendre, firent naître la scène l
tics nouvelles; et le douzième jour la malade allait si bien, que je crus devoir laisser à M. Houlct le soin d’achever sa g
gnétiseurs. Telle est mon opinion sur la fusion des médecines ; je ne crois la conciliation possible que sur le terrain de la
recherches particulières la démonstration de l’intuition médicale, je crois devoir invoquer les témoignages les plus recom-ma
u’il a suivis d’après les prescriptions qu’il recevait en songe. « Je croyais , dit-il ( Orationes sacra;, p. 5?.5 ), toucher e
mais il n’était pas plus habile pour savoir ce qu’il ordonnerait. Je crus donc à propos d’appeler le gardien du temple d’Es
pris de telles précautions, nous osons dire que non seulement on doit croire aux phénomènes, mais qu’on est forcé d’y croire,
non seulement on doit croire aux phénomènes, mais qu’on est forcé d’y croire , sous peine de renoncer à son sens intime et à êt
e par cette fameuse doctrine d’un philosophe de mon espèce : «Je le crois , parce que vous l’avez vu ; « mais si je l’avai
crois, parce que vous l’avez vu ; « mais si je l’avais vu, je ne le croirais pas ; * si, dis-je, je vous répondais dans ce sen
ez tout mon édifice, disait un savant professeur de Strasbourg, si je croyais tout ce que je vois ; j'aurais la douleur d’avoir
tait permis de passer en revue les passions , il me serait facile, je crois , de vous convaincre qu’elles sont déterminées par
ui que je considère comme le plus intéressé dans cette affaire, et je crois qu’on le décidera difficilement à entrer en pourp
a recours à un terme de comparaison pour nous exprimer sa pensée? Je crois devoir adopter de préférence cetle.dernière cxpli
s l’atmosphère. » Hippocrale traite d’insensés ceux qui refusent de croire que deux âmes peuvent se réunir et s’identifier e
roy Saint-Hilaire (Rapport sur les jumeaux siamois), tellement, qu’on croirait qu'ils sont inus par une seule volonté. (je qui e
xercice. Elle est quelquefois sujette à beaucoup d’erreurs, qui, je crois , proviennent le plus ordinairement de la propensi
ont probablement observé ce phénomène que chez des sujets malades. Je crois que l’on peut sans crainte poser ce principe, sau
os médecins qui s’évertuent à rattacher nos maladies à la même cause, croiraient manquer à leurs principes s’ils modifiaient leur
la preuve, et de tout temps les mêmes effets ont été observés. » Je crois pouvoir admettre, d’après mes observations , que
dividu qui donne des séances publiques de magnétisme , mais c’est, je crois , seulement sous le rapport de la curiosité, tandi
ure si singulière, tellement extraordinaire, que nous refuserions d’y croire , si elle ne nous était rapportée avec tous les ca
ivré à des recherches sérieuses sur le mysticisme magnétique, et nous croyons qu’il aura beaucoup aidé à éclairer sur celte que
commencer par prouver un état de k coma, de sommeil simple, nous vous croirons « pour le reste. » Maintenant il vient exposer la
anise pas le mesmérisme : il ne dit point qu’il est propre à tout. 11 croit que les phénomènes les plus extraordinaires peuve
té, H. Parsons en discute la valeur par rapport au chloroforme. Il le croit bien préférable h ce dernier, qui, outre mille ac
dit qu’elle explique bien des choses auparavant incompréhensibles. Il croit que des milliers d’individus sont clairvoyants ét
e persiste, mais l’imagination est plus vive, en sorte que l’individu croit voir et entendre ce qu’il ne fait qu’imaginer. Le
ommeil naturel est aussi une espèce d état de détachement. M. Parsons croit que l’âme peut se séparer du corps, et aller dans
istence de l’électricité, 011 l’électrisera sur-le-champ, et alors il croira . Les inesméristes disent qu’ilspeuvent faire ce
speuvent faire certaines choses; qu’ils les fassent donc, cl on les croira , mais non avant. M. Levison recommandait aux méde
e, il maintient son opinion; jusqu’à ce qu’il ait des preuves, il n'y croira pas. C’est étonnant combien il y a, dans cette vi
urvu qu’il (M. burrows) soit présent à la lecture de la phrase. 11 ne croit rien de ce qu’a avancé M. Parsons, si ce n’est qu
e comme si c’était son'sang qui coulât; le cœur s’arrêta bientôt : il crut qu’il se mourait, et il mourut, quoiqu’on ne lui
ions sur le magnétisme, et proposer des Prix considérables à ceux qui croient pouvoir justifier des faits avancés, c’est là, po
uffre d’as- sez nombreuses exceptions pour que le docteur Poeti ait cru devoir y ajouter un correctif dans le chapitre su
s que ce malheureux a écrites, et, si la personne qui les a reçues se croyait autorisée à me le permettre, je me ferais un devo
les médecins voulaient faire saigner à blanc, ou purger à mort. Je crois , mon cher maître, que vous avez tort de répudier
puissance serait la justice de l'opprimé, et la punition du méchant; croyez -vous , par exemple, qu’une famille injustement dé
la misère par quelque puissant spoliateur, n’a pas d’action sur lui? Croyez -vous que toutes ces malédictions dirigées en fais
ttirer et faire baiser la terre à un inconnu placé à dix pas de vous, croyez -vous que ce soit là le maximum de la portée de vo
tremblant, la face décomposée, qu’il voyait l'approche de celui qu’il croyait son persécuteur, et qui certes ne lui voulait auc
coup. Celle-ci, du moins, s’imagine le bien ; c’est la seule qui ne croit point au mal. Cette différence est bonne à consta
ui, sans doute, lui rappelait l’objet de ses affections passées. Elle crut qu’il s'occupait d’elle, et la magnétisait. Il n’
allucination : à force de s’exagérer leur puissance, ils ont fini par croire à des possibilités qui n’étaient point dans leur
de lâ une série de faits bien propres à nous épouvanter, à nous faire croire que nous sommes le jouet d’un agent spirituel qui
12 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
tique exercent simultanément dans le traitement de nos maladies. Nous croyons avoir démontré dans l’article qui précède, que la
ion de tous les prodiges du magnétisme et du somnambulisme. Il faut croire qu’il en est de toutes les grandes découvertes, c
al, quand il n’est pas pour eux; « 3° Les esprits médiocres, qui ne croient pas qu’on puisse enfanter, parce qu’ils sont impu
ant d’aborder les travaux des fluidistes modernes. Sanchoniaton (i) croyait qu’il existait dans l’espace un esprit subtil, co
ade se met à japper, et il imite si bien le jappement du chien, qu’on croirait entendre cet animal. Après avoir jappé, il lape,
enger en lui jetant un sort, expression dont se servent les noirs qui croient aux sortilèges. Sa mère l’entretient dans cette d
m’abandonnes pour te joindre à mon ennemi. Dans d’autres instants, il croit voir sa femme, et lui adresse les paroles les plu
s les faits transcendants du magnétisme. Quelques hommes, dont nous croyions la raison assez forte, se sont laissé prendre à u
« gnétisme pour guérir les maladies, je fus étonné et « tenté de n’y croire qu’après avoir vu. « Douze années d’expérience
lorsque je cesse de vouloir elle n’agit plus... » Tout nous porte à croire qu’il n’y a dans la nature qu’un seul fluide qui
icité dont elles déterminent la production, et ce profond observateur croit pouvoir conclure, d'après scs expériences, que l’
’ils semblaient menacer les spectateurs; aussi quelques-uns d’eux ont cru que l’assassin revenait à la vie. » L’influence
célèbre magnétisle, qui mérite à tous égards notre vive sympathie, a cru devoir, après une longue expérience, modifier ses
er et La- (1) Journal du Magoél., t. VIII, p. 474. Ion laine, qui crurent avoir démontré une analogie parfaite entre l’aima
ériences contradictoires de MM. Pouillet, Becquerel et Desprelz, nous croyons qu’il est prudent de suspendre notre jugement jus
es. On nous répond : Vos somnambules voient le fluide, parce que vous croyez à son existence; el l’on ne fait pas attention qu
ns circulaire (ce que je considère comme une friction magnétique). Je crois avoir remarqué que c’est plus particulièrement à
récédente, âgée de vingt ans, d’un tempérament lymphatique, et que je crois scrofuleuse, est sujette, depuis l’âge de dix ans
re, elle assistait A une de mes séances avcc sa maîtresse, lorsque je crus remarquer qu’elle était disposée A dormir. Je l’e
destinée à une de ses sœurs, et qu’elle avait tanf souffert, qu’elle croyait mourir. Elle prendra demain la moitié delà plus
nétique. Les résultats que j'ai obtenus furent défavorables, car j’ai cru voir d’abord du charlatanisme de la part des somn
e sentis tout bouleversé, et, pour ainsi dire, ébahi, au point que je crois ne pas avoir eu même assez de présence d’esprit p
dont M. du Potet vient de nous parler; des soi-disant incrédules, qui croient malgré eux. Mais je ne compte nullement rester da
ti par la certitude irrécusable et écrasante, que tout ce que j’avais cru savoir jusqu’alors de notre organisation morale,
nner le sans façon de cette démarche de ma part auprès de vous, et de croire à l’assurance de la considération dictinguée avec
à cinq minutes, les muscles s’agitèrent à un tel point, qu’on eût pu croire qu’il avait le frisson. En même temps, la teinte
je rëncdütre-rais les mêmes difîictiltés â latte prévaloir èè quë je crois étfre une vérité. Sijediiais encore : Votre moral
-nous fermer les yeux ? i Novateurs, ne demandez jamais que l’on vous croie sur parole; justifiez votre croyanoe par des œuvr
es. Ceux qui exigent une foi aveugle sont des gens habiles ; ceux qui croient sans voir sont des insensés. Mais c’est ainsi-qu’
car, ayant élé dupes de bien des forn-bes, leur esprit se refusait de croire les gens sincères. . ' C’est cependant aux nova
t hommq illustre par ses adversaires, sont conçues de manière à faire croire que l’avidité était le mobjle dç ses actions. En
fille et lui a donné le nom de Rachel. Il sauve la vie à Ben-Sadi et croit obtenir sa grâce en rendant au comte Raoul la fam
ve dont il avait bit preuve jUsqUe^là, lorsque hbtre belle imprudente crut tout â coup rertiarquek1 chez son partner certain
l’attention des observateurs, et c’est à ce titre, Monsieur, que j’ai cru devoir vous adresser ces lignes. Veuillez agrée
ont révolutionner le monde. Apercevant la vérité grande et belle, ils croient que chacun va la voir comme elle est en effet. Er
u'ils rencontrent refroidissent bientôt leur zèle; et, sans cesser de croire , ils s’aperçoivent que la route est longue, et qu
e épigraphe d’un savant docteur : Doutez, expérimentez, voyez et vous croirez . Comment ignorer une science qui offre un si pu
ages et des brahmes. Initié aux mystères de l'Inde et de la Perse, il crut surprendre dans l’enthousiasme et dans l'extase l
N° 1 gd2 : d Des èbpïlts qui parlent, il y en a peu qui doitèht êtrè crus . Rien n’est plüs familier aux esprits qui parlent
prits qui parlent, qué de dire qu’unè chose est ceci ou cela; ear lis croient toiit savoir, et ils affirment solennellement qu’
Il m'à été démontré fhisièurt fdis'qüë les esprits, causant avec mol, croyaient réelleiüent être les hommes, sujets de lapénéée.
t ne savait pas le rôle que jouent les âmes dans le somnambulisme; il croyait , en isolant son sujet, le mettre à l’abri d’influ
’invention; et, comme nous nous laissons séduira par des contes, nous croyons aux mensonges; ils charment notre vie; les plus a
résultat, celui de vous égarer. Quelques magnétistes spiritualistti croient tenir la clef du ciel ; ce n’est qu’une moquerie,
la révélation des plus sublimes secrets. L’ignorant, comme le fou, croit souvent réel ce qui est dans ses rêves. L’un s’im
us invitons tous les magnétiseurs à nous faire part des moyens qu’ils croient les plus propres à l’obtention du résultat désiré
agnétisme, surtout sur des personnes de sexes différents. Ainsi, je crois que le9 conditions expresses de prudence sont un
en répandant davantage le noble exercice du magnétismei* Eh bien! je crois que non, et, à mon avis, peu de moyens ont été te
serait à vous de les étudier, de les comparer et de les proposer. Je crois que le moyen de poser dos questions dans un journ
la réponse qu’elle me fit : « Vous venez pour des papiers que vous croyez vous avoir été volés ;'ils ne sont qu’égarés, je
t clairement indiquées, et que la renommée a placées avec justice, je crois (car j’ai consulté l’une d’elles), au premier ran
pas plus impossible que ne l’a é^é celle du télégraphe électrique? jo crois mêdio que pous en tenonB depUis longtemps les fil
le champ pur et lumineux de la science mesmérique : 11 ne faut pas croire , disais-je alors , que l’étude des phénomènes éle
es électro-physiologiques soit tout à fait inutile au magnétiseur, je crois , au contraire, que rien ne pourrait mieux l’aider
rumeur publique, ne fut venue à leur secours. Il serait difficile, je crois , de rencontrer un exemple plus frappant de !a p
munication qui peut avoir quelque rapport avec le nôtre. Nous ne nous croyons pas assez savants pour aborder la question si pro
me pour letir propre satisfaction, et, enfin par des personnes qui ne croient pas ét n’ont jamais cru àü maghëtisme. Nous ne cr
ction, et, enfin par des personnes qui ne croient pas ét n’ont jamais cru àü maghëtisme. Nous ne craignons dône pas les dém
du contenu de cette lettre ? « — Non, monsieur, répondis-je ; je ne crois même « pas que cela puisse se faire. Je suis loin
e in-« crédule, mais je n’ai jamais vu de pareil résultat, et « je le croirai lorsque je le verrai. — Cependattt, « vous ajoute
es membres présents ne chercha à pénétrer notre secret. Seulement, je crois que presque tous furent persuadés que je les trom
ai les effet» qu’on veut çn dan» un but de trçmperie, parce que je ne crois ,pas, jusqu’à pre^ contraire, qM’uq magnétisé puis
e somnambule sans instruction, qui, à l’état de veille, élait loin de croire à la migration des âmes, puisqu’elle était très r
LA MÉDECINE. Audience du 27 mars. Plût au ciel que tous ceux qui croient à la diffusion des lumières eussent assisté aux d
eaucoup de gens ont secoué le joug salutaire delà foi religieuse, qui croient avec une confiance aveugle le premier charlatan v
ficacité du remède, et je dis à un voisin qui attendait avec moi : Je crois qu’une prière à Dieu vaudrait mieux que tout cela
des médicaments. » La somnambule lui prescrivit de manger de l’oignon cru avec du poivre et du sel, et trois grands bains p
second a5 fr. Il exigeait 10 fr. pour laisser parler à son maître. Il croit que sa femme dormait réellement quand elle était
ec une Française, j’en ai eu deux enfants. Ma femme m’a abandonné; je crois qu’elle est morte, d'après la somnambule et la
les effets du magnétisme que le prévenu préteud exercer. Ce témoin ne croit pas à la lucidité du somnambule; il émet l’opinio
prescrit de manger de l’ail, de l’oignon, des harengs saurs, des œufs crus , le tout sans pain ; un bain de trois heures par
u dit que l’on peut ressusciter par le magnétisme ; que saint Paul le croyait . Fourier, scieur de long à Lapécure, mari de l’
èse, parce qu’il m’a parlé d’astrologie judiciaire , de religion : je crois qu’une case lui manque au cerveau. Riéder inter
t a dit des choses qui ont étonné tous les assistants. Le Dr Jardou croit aux vertus du magnétisme. Le magnétisme peut calm
Le magnétisme peut calmer les douleurs de nerfs, l’hystérie, etc. 11 croit que le magnétiseur peut transmettre au magnétis
sa volonté. Il cite des exemples do lucidité extraordinaire. Mais il croit que Riéder ne peut être considéré comme exerçant
ndu médecin malgré lui. H aurait reçu de l’argent pour magnétiser (il croit en avoir le droit), et il l’aurait donné au peupl
st admis dans la science, que le tort de Riéder est peut-être de trop croire à ses vertus; mais qu’il est de la meilleure foi
t de nouvelles et sanglantes catastrophes à la ville de Vienne; on le croit d’autant plus volontiers, que ces prédications so
indispensable pour produire le somnambulisme ; je suis même disposé à croire que certains phénomènes somnambuliques, tels que
ne savait pas le rôle que jouent les « âmes dans le somnambulisme; il croyait , en isolant a son sujet, le mettre â l’abri d’inf
fluides étrangers. Quant â (effort commun de quatre magnétiseurs, je crois cette comparaison très-hasar-dée; car il m’est cl
de confiance que les autres. Plus modeste que vos extatiques, elle se croit incapable d’arriver an degré supérieur, c'est-à-d
Esdaile est chirurgien de la Présidence, par la nomination (directe, croyons -nous), du gouverneur-général. Parlant, il ne sera
endront et qu’ils s’empresseront de faire leur devoir, ou ce que nous croyons l’étre, dans cette affaire. Un établissement sépa
dant des lois divines; tandis qu’un grand nombre de chrétiens, qui se croient leurs supérieurs en toutes choses, qui plus est,
votre voleur. — Laissez donc! répondit d son tour la concierge, je ne crois pas aux magnétiseurs, et le mieux pour moi est de
étonne qu’un médecin aussi instruit qne notre correspondant d’Orléans croie au magnétisme. Il n’y a rien de sérieux à répondr
t que Swedenborg porte réellement malheur à ses partisans. Qui aurait cru , en effet, qu’un homme aussi grave que le profess
incontestablement l’idée d’une mystérieuse transcription mentale. » Croirait -on, après des observations si bien déduites, si l
son église. Quel malheur ! et quel abaissement pour lui, s’il se fût cru réduit à n’être plus qu’un homme distingué par de
ue ancien. Il remit en ordre les Livres sacrés que quelques critiques croient avoir été brûlés lors de l'incendie du Temple, so
s-caractéristique et prouve que le narrateur, Esdras si l’on veut, ne croyait pas, après avoir bu la liqueur mystérieuse, être
cette remarque eût été oiseuse, puérile, ridicule. Il était donc, il croyait donc être passé dans un état anormal ! Pensait-il
, d’un côté, l’abaissement de l’intelligence, et de l’autre... ? On croirait pouvoir affirmer que, dans nos siècles de lumière
artager les dangers, puisqu’il a voulu participer à la gloire. Nous croyons en avoir dit assez pour faire comprendre qu’on co
notre illustre maître, nous célébrions, par avance, notre triomphe. Croyez bien que nous n’exagérons en rien la moisson qui
nacent avant d’en venir aux mains? L’ignorance, Messieurs, car chacun croit avoir le bon droit pour lui; et la vérité, comme
igence dont nous voulons parler; vous ne nous ferez point l'injure de croire à sa possibilité; mais de celle mille fois plus p
t ! En nous voyant unis, nos contradicteurs ne pourront s’empêcher de croire que nous sommes dans le vrai; car c’est l’erreur
la parole; c’est un des faits merveilleux du magnétisme. Nous devons croire , dès lors, que lame dégagée de la matière perçoit
é- tisme, par et sur certaines organisations plus rares qu’on ne le croit . « Ne nous livrons pas à des expériences qui pe
rs conséquences peuvent seuls modifier ou détruire. « Bornons-nous, croyez moi, à bien comprendre et mettre en pratique ce m
te loi de la nature. « Voyez-la instinctivement exercer l’art qu’on croit nouveau, sur les enfants qu’elle enserre contre s
opté; par conséquent le dépôt n’est point accepté. » C'est à ne pas croire , et cependant cela est vrai. L’Académie de médec
aut jusqu’au fond de mon âme, Heureux comme aujourd'hui.... ; car j'y crois être cncor. La leclure do celte pièce, fréquemm
nt adoptés par les jeunes gens qui entrent dans la science. Vous avez cru connaître le principe de la vie ; c’était aussi u
gt; TOME IX. — W° 130. — JUILLET 1850. 12 Après do tels aveux, je crois qu’en effet nous ne sommes pas éloignes de nous e
restreins considérablement; voilà seulement en quoi nous différons. Croyez -moi, on a trop voulu matérialiser le magnétisme,
voulu matérialiser le magnétisme, qui est tout âme, tout esprit. On a cru le faire accepter plus facilement, en comparant l
s les contestez à l’âme, tout en reconnaissant cependant, j’aime à le croire , que c’est l’âme qui lance et qui dirige le fluid
me, pour entrer dans le monde de la vérité et du dévouement. J’aime ù croire , avec mes crisiaques, que le magnétisme est tout
ts à la Société mesmérienne fondée à Troyes, par M. Jules de Rovère , croient devoir, dans l’intérêt de la science et de la vér
vent, surgissaient sans qu’on pût leur assigner une raison d’être. On croirait voir dans ces causes d’arrêt une influence occult
mps ultérieurs la réalisation de la chose qu’il veut établir et qu’il croit apte à l’émancipation. Cette résistance occulte e
nement disparaître ; mais c’est toujours un retard, et qui sera long, croyez moi. Voici, du reste, les circonstances qui m’o
e bonne mémoire, faire ces tours de divination que llobert-Oudina, je crois , imaginés le premier, et qui onl été, depuis, cop
e sur les grands hommes, tels que César, Napoléon, Lamartine, qui ont cru aux horoscopes, aux sibylles ! Et pour prouver qu
heure connaître les motifs. Voici la liste des propositions qu’il a cru devoir vous soumettre relativement aux médailles
puleux exameu, y a vu de» titres réels aux encouragements du Jury. Il croit qu’un tribut d’éloges et de reconnaissance est dû
aient les propriétés qu’on attribuait au magnétisme. Les sots, qui se croient toujours les plus clairvoyants, virent dans les d
ravaux de M. Juffey nous semblent-ils dignes d’encouragement, et nous croyons que vous ferez un acte de haute équité en lui acc
un blâme doit-elle empêcher 1 accomplissement d’un devoir? Nous ne le croyons pas. M. Yallette, négociant à Poiliers, a contr
ine magnétique est la première des médecines, je suis fort loin de la croire d’une application universelle ni absolue; je croi
s fort loin de la croire d’une application universelle ni absolue; je crois , au contraire, qu’il faut y apporter beaucoup de
objet. Personne ne s’étant jusqu’alors occupé de celte question, je crois devoir prendre l’initiative d’une convocation, à
volée de coups, afin de vous faire perdre tout à fait l’esprit, qu’il croit déjà malade et détraqué; si vous étiez 'moins loi
une personne vient savoir ce que nous voulons. Moi, dans mon idée, je croyais avoir affaire à des lo-rettes, je dis : C’est ici
hef des magnétophobes, le rédacteur en chef de l’union médicale s’est cru obligé d’insulter les magnétistes à propos du pro
on discutée par mes honorables confrères Ordinaire et Perrier, je les crois résolues, et je les regarde comme la base de la d
que les passes étaient inutiles pour l’émission du fluide auquel ils croient , et que la volonté suffisait. Je ne pense pas que
nambule , dont l’infaillibilité, pendant dix traitements, m’a forcé à croire à sa parole comme à la parole de Dieu, pendant qu
avais rencontrés dans l’application du mesmérisme; il ne voulut pas y croire , et demanda à s’assurer par lui-même de ce qu’il
toyens Ordinaire et Perrier, au sujet de la médecine magnétique; nous croyons devoir en présenter le résumé à ceux qui ne lisen
, pour entrer dans le monde de « la vérité et du dévouement. J’aime à croire avec mes « crisiaques, que le magnétisme est tout
tique, à la guérison des maladies ( i). Le Christ a dit : « Celui qui croit en moi fera iui-même a les œuvres que je fais, et
défense du magnétisme, que devait-il faire en cette occurrence '!1 11 crut alors qu’il était de son devoir d’éveiller l’atte
iconque fait du magnétisme public, avecrétributjon ( i). Nous voulons croire du moins que les basses jalousies, les mesquines
rques de sympathie les plus honorables et les plus touchantes. Nous croyons être agréables à nos facteurs, en publiant les te
les merveilles qu’il nous a révélées. Mesmer et ses successeurs ont cru , mais probablement sans raison, que les phénomène
res. Mesmer ne s’est pas borné à imaginer le fluide magnétique : il a cru pouvoir déterminer la loi de ses mouvements et to
ent être contraires aux lois ordinaires de la nature; on est tenté de croire que l’on esl dupe de quelque illusion , qu’on est
dupe de quelque illusion , qu’on est séduit par quelque prestige; on croit involontairement à l’action de puissances surnatu
us avons assignées aux phénomènes naturels. Sans doute il ne faut pas croire ce qui répugne au bon sens et à la raison; mais n
s connaissances actuelles pour les limites de la raison. On refuse de croire à des choses que 1 on ne peut comprendre. Mais qu
Si l’on examine sévèrement tout ce que nous savons, tout ce que nous croyons fermement, si l’on observe bien la constitution d
es ses habitudes, nous sommes tentés de crier au miracle ou de ne pas croire , sans faire attention, que tout, à ce point de vu
? Bornons-nous à les observer, à les constater, et ne refusons pas de croire à des réalités que n’empêcheront pas nos dénégati
lement des phénomènes magnétiques, si le magnétisme est ou n’est pas. Croyez -vous au magnétisme? dit l’un. C’est une folie, ré
e jonglerie; il n’y a plus de miracles de nos jours, dit-il ; on ne croit plus ni aux sorciers ni aux oracles. Existe-t-i
dans les visions d’un organe en délire les présages de l’avenir; on a cru reconnaître dans un inintelligible et fantastique
e fait-il? que se passe-t-il? Nous l’ignorons. On est tenté de ne pas croire ; mais ces phénomènes ont été mille fois constatés
e à la dame dont il est question. J’excitai ses éclats de rire ; elle crut que je voulais plaisanter, que je ne parlais pas
it écrit, sans briser le cachet bien entendu, les mois suivants: Pour croire , il faudrait voir; telle était, en eflet, la phra
ire immédiatement, et ajouter, s’il se peut, à votre étonnement. Ne croyez pas toutefois que cette puissance extraordinaire
l ne le sait; on n’aperçoit aucun moyen de le découvrir ; on hésite à croire ce qu’on voit et ce qu’on entend; on ne songe pas
n principe immatériel, une âme servie par des organes, sont forcés de croire qu’il existe un lien insaisissable par lequel l’â
ui en entendait le récit partageait cette superstition ou refusait de croire ; il était superstitieux ou incrédule, homme simpl
les surprises et toutes les causes d’erreurs, mais ne refusons pas de croire à des réalités que nous voyons sans pouvoir nous
a cause ou du moins la loi de ces phénomènes que nous ne voulions pas croire . Les hommes ont cru, pendant des siècles, que la
loi de ces phénomènes que nous ne voulions pas croire. Les hommes ont cru , pendant des siècles, que la foudre annonçait la
ésident à tous ces miracles; nous serons honteux de n'avoir pas voulu croire que les somnambules pénètrent nos pensées et aper
arer, à la suite de ces visionnaires, de ces fanatiques aveugles, qui croient tout possible aux somnambules , qui descendent à
dent à leur suite dans les tombeaux, s’élèvent de là jusqu’aux cieux, croient pouvoir pénétrer avec eux jusqu’aux impénétrables
soumis aveuglément à toutes vos volontés et à vos caprices, a été, je crois , un peu exagéré; il n’existe pas au moins dans to
B"*a bien voulu nous permettre de déiacher ce morceau, qui contient, croyons -nous, ce qu’on a dit de plus fondé et de plus s
sez marquant dans la médecine pour que l’éditeur de VIllustration ait cru devoir souligner l’autorité de son savoir? Nous l
es poursuites , que beaucoup de gens, d’ailleurs fort honorables, ont cru qu’il s’agissait d’une persécution scientifique,
asse de brochures que vous avez fait remettre au tribunal ; vous avez cru , sans doute, qu’il en prendrait lecture et pourra
moin principal, ne s’était pas présentée à la première audience, je crois qu’elle n’esl pas présente encore aujourd’hui. Je
us tard, à Paris, nous racontions ces faits à un personnage que je ne crois pas devoir nommer, un comte, tristement célèbre d
de la Sibylle moderne ? — R. Oui. D. Ne cherchiez-vous pas à faire croire qu’elle guérissait les maladies?— Oui, c’était ma
avait la certitude que jetais réellement somnambule et lucide ; il a cru pouvoir me donner en confiance quelques blancs-se
13 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
serment de ce genre ne sera pas mieux tenu que tant d’autres. Nous croyons pouvoir affirmer par expérience, que les somnambu
clion des planètes ; il reconnaît la puissance de la volonté; mais il croit que, pour diriger l’action de celte volonté, il f
t il serait difficile de nier la salutaire influence. Nous ne pouvons croire que son analogie avec certaines pratiques magnéti
paraissaient si essentielles à observer, que les médecins de ce temps crurent devoir les re- (1) Galeni Opéra, ibid , p. 70.
du vulgaire tous les secrets de leur doctrine médicale. Si l'on en croit Apollonius de Tyanes (2), les Indiens obtenaient
rticle, ne nous permettent pas de poursuivre ces citations; mais nous croyons , d’après cet exposé, que le scepticisme des homme
un livre sur les faits mystérieux du magnétisme et de la magie, j’ai cru devoir placer le lecteur à mon point de départ, d
la plus essentielle sera réservée et publiée avec ces documents : je crois qu’elle serait déplacée dans ce Journal. Je com
nt laissés de fuir. J’aimais passionnément la lumière du soleil. Je crois que si l’on m’eût mis au cachot, on eût obtenu de
tement la mousse. Toute la nature avait pour moi des harmonies que je croyais ressenties par toutes les créatures. J’étais ravi
és, par l’emploi des procédés magnétiques, aide de ma volonté; car je croyais que, jusqu’à un certain point, ces faits pouvaien
e me résignais, le magnétisme s’était comme personnifié en moi, je me croyais un de ces flétris de par la science, portant sur
ce, lorsqu’il aperçoit le triomphe. Sa lâche, esl alors accomplie, il croit avoir été l’instrument de la Providence pour acco
t à la tourmente révolutionnaire ; ils étaient tous d’un certain âge, croyaient , mais prenaient pacifiquement leur parti, à la vu
s vont commencer, j’avais dormi sur des feuilles de roses! Je m’étais cru malheureux jusqu’alors; et enfin, tout près du po
ture, mais nageant en plein dans le fleuve de la science , à ce qu’il croit du moins. C’était donc un troisième degré d’ini
voir paraître devant moi tous les ministres de la mort, tous ceux qui croient que le inonde se gouverne par les lois inscrites
une roule où , bon gré malgré, nous serons contraints de marcher? Je crois à la destinée. On verra plus lard sur quoi je fon
es; ils vont prendre au milieu « des infirmités humaines celle qu’ils croient incu-« rable; tu la guériras sous leurs yeux, par
la foi, l'espérance et la charité ; lisez mes livres. » Puységur : « Croyez et veuillez, c’est la clef du magnétisme. » Oh! o
tre adresse, pour que vous me distinguiez comme un saint homme: je ne crois pas à la sainteté; mais je crois aux martyrs* je
tinguiez comme un saint homme: je ne crois pas à la sainteté; mais je crois aux martyrs* je crois à la souffrance; il fut un
t homme: je ne crois pas à la sainteté; mais je crois aux martyrs* je crois à la souffrance; il fut un temps où le dédain qu’
s divulguer des vérités propres à vous éclairer; mais lorsque vous me croirez méchant, je ne serai que juste. Je laisserai la c
mprunt à aucun livre, afin qu’il n’y ait aucun mélange; non que je me croie plus infaillible que tous, mais je veux prouver q
n bienfaisante du fluide, et , le lendemain, le vétérinaire n’en peut croire ses yeux en la retrouvant vivante. Cependant une
n, sur le magné.isme. C’était un des académiciens les plus loyaux. Il croyait à l’existence des effets physiologiques qu’il ava
ons pas douter de son origine magnétique. Cependant tout nous porte à croire que la plupart de ceux qui se livraient à ces pra
mystérieuses n’en soupçonnaient pas les propriétés, et si nous avons cru devoir rapporter à la médecine d'imagination le p
on de revenir à l’étude de ce procédé. De l'insufflation. Il faut croire que l’opinion généralement admise, que la respira
mpues. » Le père Gaspard Schott (2) reconnaît que de son temps l’on croyait aux influences salutaires de l'insufflation, mais
et exige un examen approfondi. « Ce procès, Messieurs, s’il faut en croire les appelants, aurait la plus immense portée; «
êt solennel sur la doctrine des Puységur et des Deleuze. « Il est à croire que le ministère public n’adoptera pas précisémen
us vous avons déjà fait observer, Messieurs, comment la défense avait cru devoir élargir les débats de cette affaire, en do
des faits incriminés. « C’est sous l’empire de cette idée que nous croyons devoir vous soumettre, Messieurs, quelques simple
res pour l’examen du magnétisme animal, dont le travail, s’il faut en croire les appelants, ne serait qu’une diatribe violente
ette merveilleuse et nouvelle science occulle, nouvelle, s’il faut en croire ses adeptes. « Or donc, il s’est rencontré des
nce dans cette affaire sépare le ministère public et la défense. A en croire le défenseur, les époux Mongruel seraient des mod
bord quels sont les effets du somnambulisme auxquels il est permis de croire de bonne foi. « En second lieu, si les époux Mo
modération et la réserve qui sont un devoir en pareil cas, et dont je crois ne m’èlrc jamais départi. On a bien voulu me donn
# contre l’esprit d’invention par ces gardiens du passé. Mesmer avait cru avoir à se plaindre des savants autrichiens, il v
années de fatigues, de luttes quotidiennes, de démarches stériles, il crut avoir déterminé l’Académie des sciences à examine
par le gouvernement commencèrent leur examen ; il es! difficile de croire qu’ils aient échappé à la prévention que ce précé
des partisans qui étaient les plus riches étaient les plus avares. Je crois que c’est ainsi en toutes choses, aussi vaut-il m
ans une sorte d’athénée, passage du Saumon. Cet établissement, que je croyais honorable, était tenu par Robert-Macaire et Bertr
peine. Mais j’étais si bon garçon, que j’en l is le premier. Je me croyais bien payé par les soixante ou quatre-vingts élève
ent la superstition pour cet animal à un point qu’il est difficile de croire . Dans le langage de ces nègres, le mot vaudoux si
cer des maléfices, malgré noire incompétence sur celte matière, nous' croyons pouvoir exprimer l'opinion qu’il y aurait faibles
. le présidert. Et vous a-t-elle demandé de l’argent ? Marinier. Je crois bien; elle voulait avoir 70 fr., mai» je n’ai con
ro, en définitive ? Marinier. Oui ; je l’espère, du moins ; mais je crois que ce n’est pas sa faute. (On rit.) Le jeune M
me causai! les douleurs dont je souffrais. M. le président. Et vous croyez à tout cela ? — R. Non; mais quand on est malade,
tique, mais pas pour l’endormir. D. Enfin vous l'endormiez? — R. Je crois que oui. D. Vous n'êtes pas sûre ? — 11. J'ai p
r l’endormir, alors je l’ai fait et elle s’est endormie; oh ! oui, je crois bien qu’elle dormait. Le sieur Jules Isaac reco
cheur; le public ne sait pas ce que c’est qu’un officier de santé, il croit que c’est un médecin de l’armée. le sieur maric
lles, rien n’est changé. Pendant que le public en masse est disposé à croire , elles seules résistent et s’obsli-nent à fermer
e; quant au magnétisme pur, dégagé de tout alliage psychologique , je crois que toute discussion devient oiseuse. Dire aujour
l s’agissait de lame et de ses facultés. M. Ilen-nequin dit qu’il 11e croyait pas au magnétisme animal, traita de dupes les par
il serait convaincu, que.son auditoire pourrait ne pas l’être, et le croire un compère. Enfin la raison majeure, la raison dé
le métal, les cachets et les soudures. » Mais la raison vraie , ne croyez -vous pas avec moi qu’elle serait plutôt celle-ci
alent leur propre ignorance au grand jour. Je connais des enfants qui croient être initiés, et qui disent : Venez, je vais vous
euls. Espèces d’imbéciles dont le monde fourmille, et qui pourtant se croient des litres à l’im- mortalité. Agissant sur des
hommages, comme cet âne de la fable qui portait des reliques. J’ai cru longtemps à la haute science de ces cerveaux fêlé
acles , vous êtes des rêveurs; vous n’êtes point sur la route où vous croyez marcher. L’homme qui sait dit peu ; mais it fait
el.... Les habitants de la terre verront maintenant, quoiqu ils ne le croient pas, que mourir c’est naître de nouveau.....» C
l'avantage de sa sincérité. C’est pourquoi nous avons toute raison de croire que le Solon que Davis nous présente est un Solon
i l( tles habitants des sphères célestes, nous sommes obli-|e gé de croire que Solon a oublié, pour 1111 instant, sa )n qual
be ; et l’on pourrait, paraphrasant sa pensée, lui dire : Ce que vous croyez est possible ; mais seulement cela n’est pas. L
érison complète. Plusieurs des témoins susnommés, interpellés s’ils croient avoir été victimes d’escroquerie de la part de Mm
édecins, et que sa femme a été guérie par elle d’un mal de sein qu’il croit avoir été un cancer. 180 m“” GouiiiER, demeuran
ndu plusieurs fois M. Chapelle faire l’éloge de M“' Rose ; dire qu’il croyait à sa lucidité, et que 9a femme se trouvait bien m
fs de prévention. Au lieu de suivre l’ordre du ministère public, nous croyons indispensable de commencer par réfuter l'imputati
e suivre, à travers les âges, la marche du magnétisme que nous devons croire aussi ancien que l'humanité. Sans doute, le défau
isme du dernier siècle, qui rejeta tout ce qu’il ne put expliquer, et crut par li prouver la supériorité de sa raison. Il ne
xtrêmes se place le philosophe qui, guidé par le doute méthodique, ne croit rien qui ne soit démontré, et est d’autant plus e
bienveillant pour le maguélisme, devint tout à fait hostile dès qu’il crut voir une concurrence s’élever contre ses privilèg
tout ce qui était étranger à son enseignement ? On serait tenté de le croire eu écoulaut le ministère public qui, évoquant les
stifier les épiIhètes acerbes et violentes dont le ministère public a cru devoir se servir. Pour la traiter d'infâme, il fa
s spéciaux ? Nullement ; il semble qu’il suffise d’affirmer pour être cru . On va plus loin, on exige que la prévenue démont
s de mie de pain de Corvisart, ou ces onguents miton-mi-taine dont on croit faire l’éloge en disant que s’ils ne font pas de
rait pu être le mobile d’un acte aussi odieux qu’insensé ? Et comment croire que ce jeune homme, après s’être accusé comme le
tement des malades; c’est là une mission grande et humaine qu'elle se croit appelée à remplir, et à laquelle elle se dévoue.
ent vrais, ils seraient encore sans conséquence dans la oause. Nous croyons avoir (ail justice de l’accusation d’escroquerie.
ucune responsabilité, pas plus que dans les cas nombreux où le malade croit devoir modifier l’ordonnance du médecin , soit d’
s, ingambes et dispos, vous certifier qu’ils se portent bien, faut-il croire aussi que nous tous qui voyons aujourd’hui leur s
se mettent à guérir. S'ils ont si peu réussi jusqu’à ce jour, U faut croire que leur science est bien au-dessous des intuitio
Rose Palrix de tous les griefs accumulés contre elle : bien plus, je crois vous avoir prouvé qu’elle mérite votre estime et
qu’elle salue avec enthousiasme du lilrc de bienfaitrice, ne pouvant croire que la vindicte publique ait à frapper une person
nce de cinquante esprits-forls, elle fut loin d’être concluante, à en croire la relation que lesdits esprits-forts se hâtèrent
renant qui s’esl produit celte semaine à Bath. « Un monsieur qui ne croyait point au mesmérisme, M. Manguin, voulut transmett
ait le magnétisme. Nous montrerons à nos antagonistes que ce qu’ils croient mort est plein de vie, et que jugement d’Académie
e (2) admettait dans l’homme un axe polaire, et (Nicolas de Locques(3) croyait que l'homme possédait, comme le grand monde, son
constances, faire la part de Y imagination. Mesmer et ses partisans croyaient encore que le son communiquait, propageait et aug
IIarmonie de Strasbourg, l’est également de mon action magnétique. Je crois à l’existence en moi d’une puissance; de cette cr
comme si, en nous quittant, vous emportiez tout avec vous. Mais non, croyez -moi; des intérêts opposés ont bien pu faire tombe
Swedenborg. I. Continuellement à la poursuite de ce fantôme qu ¡1 croit le bonheur et qu’il s’imagine toujours être sur l
un autre terrain que le sien, mais elle ne le détruit pas, et ce que croit l’homme ou ce qu’il espère reste toujours debout
rdinaire, lorsqu’il lui arrive d'être vraie; et nous sommes disposé à croire que l’action magnétique donne plus de force, de v
int, l’extatique de New-York est moins ferme que Swedenborg; il ne se croit pas tout à fait invincible, et avoue naïvement qu
de la direction de ses affaires, il fait une lourde bévue, en faisant croire par là qu’il fut mis à la tête de toute la Grèce,
normal. Pour bien établir la réalité de ce pouvoir chez Davis, nous croyons qu’il suffît de rappeler sommairement la circonst
uels il a soutiré, au moyen d’un phénomène bien connu , tout ce qu’il croit révéler. Sur ce point, Swedenborg était dans un
, et mieux et plus vite qu’autrefois. Mais le malade et l’assistance, croyez -vous qu’ils se fassent de M. le professeur la mêm
cravate, lit vous aussi, mon cher et savant ami, Monsieur Rigal, vous croyez être utile à vos confrères, avec votre nouveau sy
igal, il vous dira : Ce n’esl que ça? ça ne vaut pas davantage; il se croira quitte envers vous avec quelques pièces de menue
le ne sera pas condamnée. » L’oracle avail parlé; c’est ainsi qu’on croyait faciliter les investigations de la justice, et ar
« Interrogée au sortir du sommeil pour savoir combien de temps elle croyait avoir dormi, la patiente répondit : Environ deux
risons spontanées, que la crédulité a puissamment exagérées, nous les croyons fort limitées, et nous les rattachons spécialemen
ur la distance qu’il faut observer. Quant aux courants digitaux, nous croyons l’effet de la distance moins constant; et nous n’
hef-d’œuvre de Dieu, est encore inconnue des savants, et pourtant ils croient connaître l’homme en en ayant seulement étudié la
évision, instinct des remèdes, pénétration des pensées les plus se- croies , telles sont quelques-unes des réalités saisissan
ne sommes que les précurseurs d’un ordre nouveau; car nous ne pouvons croire à la chute du monde. Comprenez bien, Messieurs ,
au-dessus d’eux-mêmes et les rapprocher de Dieu. « Tel fut, nous le croyons , le but de l’Éternel en révélant ce suprême pouvo
Maint docteur, dans son rapport, De Mesmer plaignant le sort, Le croit mort ; Il a fort : Le bonhomme vit encor. L
our faire diversion aux entretiens didactiques, avec une fable de son cru , dite avec une bonhomie si malicieuse que les rir
e, Il faut l’assommer I — Moi, je vois, Dit l'un d'eux. — Moi, je crois , S'écrieun myope en colère, Que vous lui serv
nfin, quand le ballon fut prêt A se poser h terre, Il fallut bien croire et se taire; Hormis les aveugles pourtant, Qu
s il eût mieux valu le faire auparavant. Mes amis, vous pouvez m’en croire , Ce conte-ci n'est que l'histoire De tous les p
dre jusque dans les régions éthérées. « Oui, Mesdames et Messieurs, croyez -le bien, les apôtres de Mesmer triompheront de to
phes d’une composition, intitulée]’^« d'or, que M. le président avait cru prudent d’amputer et que nous ne reproduisons pas
, après les avoir savourés, sentiront l’immortalité de leur nature et croiront en Dieu. nÉBERT (de Garnay). W II. Plusieurs
Belgique. L’art. 18 de la loi du îa mars 1818 , en vertu duquel on croit pouvoir interdire le magnétisme, est ainsi conçu
do 5 francs. Cette loi est la seule dans laquelle le législateur a cru devoir poser des règles à l’exercice de l’art de
e curatif? Pour faire à cette demande une réponse satisfaisante, nous croyons utile de distinguer et de diviser ainsi la questi
; elle nous paraît d’une solution facile. Nous n’hési- Ions jias à croire que la magnétisation directe ne peut être déclaré
xercice de l’art médical, se sont trouvés d’autres magistrats qui ont cru y découvrir des actes tombant sous l’application
somnambuli-ques et autres de manœuvres frauduleuses destinées à faire croire à des événements chimériques. D une pari, donc,
aine étendue paraissant suffire à son développement. En analyse, nous croyons la position favorable, et maintenant que la lutte
ur la propagation de nos idées sur une large échelle, el lout porte à croire qu’on ne les abandonnera pas. Pour bien pénétre
écompté, ne saurait nous intéresser que comme spectacle (i). * Nous croyons que pour obtenir un résultat utile, efficace, le
continua-t-elle, comme je me sens bien près de vous!.... Attendez, je crois que je me dilate; je vois mieux, je respire plus
homme pour les gens que je heurtais en passant; mais pour moi, je ne crois pas que je m’appartenais à ce titre, en tout cas
e l'auras pas encore vu; il sc cachera sous des habits d’homme, et tu croiras parler à un homme, et son œil, ombragé par des so
ules de doute ; je ne suis point superstitieux, pourtant, eh bien! je croirais voir le malheur s’élever contre moi, si je contre
eux, 011 vertu d’un rapport établi naturellement? 11 est permis de croire à quelque sympathie semblable ; car l'effet cesse
e. Quant aux termes scientifiques dont Louise se servit, nous avons cru qu’il y avait communication de pensée entre elle
ns cru qu’il y avait communication de pensée entre elle et moi; je le croirais d’autant plus, qu’il me semblait dans ce moment q
sentiments divers que cette solennité a provoqués ; mais, si l’on en croit les on dit, il paraît que la fable de M. Jobard a
ux mentir à leur conscience que d’avouer un fait qui les déborde. Qui croient -ils donc tromper par celte continualion d’injures
motifs de nous réjouir. 111- IÎEKT (de Garnay). Tribunaux. — Nous croyions avoir fini avec les poursuites et débats judiciai
i avec les poursuites et débats judiciaires, mais nous avions tort de croire la campagne achevée. Voici la suite. TRIBUNAL D
mmet aucun délit; bien plus, son devoir est de les prescrire s’il les croit utiles au malade. L annonce et la vente de ces re
it secondée par d’adroits intermédiaires, et même, on aura peine à le croire , par un prêtre, M. Ilanz Theyer, curé de Scheinba
la malade, dans l’état de faiblesse où elle se trouvait. « On peut croire que si le Dr G. Ilays se fût rendu un compte exac
e, journal de Bordeaux, du 8 mai : « Nous ne sommes pas de ceux qui croient aveuglément aux merveilles; nous n’avons pas ajou
dieuse, que sa mère, qui la suivait à quelques pas , n’en put d’abord croire ses oreilles. La jeune somnambule disait des chan
savants. « Mesmer n’en est point l’inventeur, comme on pourrait le croire , mais il en est le révélateur moderne. « On obt
ir su s’affranchir du servage qu'impose la science ollieielle. J’ai cru devoir, Monsieur le baron, vous donner connaissan
ions.... Or, voici cc qu’on lit au paragraphe 29J de VOrganon : «Je crois nécessaire de parler encore ici du magnétisme ani
ience scientifique des pharmaciens, ceux-ci refusent de les exécuter. Croyez -vous que ce soient là des motifs propres à favori
alisme de votre moyen curateur vous impose l’obligation expresse de croire à 1 homéopathie et d'adopler ses formes posologiq
nais du 11 de ce mois, faisait aux magnétiseurs un reproche dont j'ai cru faire justice dans Y Abeille du i5. Mais dans \'O
s se trompent, et à faire du bien quand ils rencontrent juste. Je les crois sur parole, n’ayant moi-même aucune compétence en
ation d’appliquer le magnétisme à doses très-atlénuées. Nous aimons à croire que M. Taxil n’a eu sons la main qu’une édition c
ison instantanée rapportée par saint Luc, et citée par M. Taxil, nous croyons devoir encore citer les paroles pleines de réserv
oses très atténuées du magnétisme à M. Aubin-Gauthier, dont on aime à croire que nous n’avons de son excellent traité pratique
sable utilité des doses atténuées, des doses hahne-manniennes. Nous croyions à la retraite; ce n’en était qu’un simulacre. Si
ne suis pourtant pas de ceux qui doutent quand même, et pour me faire croire à l’une ou à l’autre de ces sciences, il suffit d
gieux, si la prédiction se réalise; cependant j’avoue que j’aime à ne croire aux choses que lorsqu’on m’a mis le doigt dessus.
n da : « Quand faudra-t-il vous délivrer?» Elle répondit : « Je crois qu’on peut le faire à présent. — Eh bien ! c’es
Après avoir lu avec attention ce livre remarquable, nous n’avons pas cru pouvoir en faire une appréciation plus juste que
upe du magnétisme. Vous m’avez même écrit, dans le temps, que vous me croyiez assez de force magnétique pour réussir dans des e
hommes de science, de littérature ou de connaissances générales, qui croyaient au magnétisme. Depuis longtemps j’ai eu l’intenti
ar celui-ci dormait, a copié l’écriture de Rizzio qu’il voyait, et je crois même que l’on pourra découvrir les pièces qu’il a
acé et suivi un homme qui, très-probablement, n’existe plus; et je ne crois pas qu’un songe puisse présenter de tels caractèr
; et, comme dans les expériences magiques de M. du Potet, le sujet se croit être un personnage quelconque, et agit ('n conséq
e même, et pour le mode de guérir cl pour le paiement. Eh bien ! le croiriez -vous, Monsieur, si nombreux que soient ces sortes
cidence des conditions et des résultats est même telle qu’on pourrait croire à une copie , bien qu’ils opérassent simultanémen
e l’électro-biologie, comme M. de Jourdain faisait de la prose.....On croirait que c’est là de l'ignorance; mais je suis persuad
hose sublime, pour une cause sainte, nous fait regretter que M. Fiske croie pouvoir renforcer son action au moyen de gestes e
'il fait à l'appui de sa théorie. S’il suffit do voir un fait pour le croire , c'est en s'adressant au sens qu’on peut réussir
er dans le sanctuaire de la science biologique. Il avait été induit à croire qu’en mettant un ivrogne en contact avec un bouto
ouvelle science de la biologie, science remplie d'intérêt saisissant, croient devoir exprimer leur satisfaction de la manière d
oilait ses mystères, cl, ail riglit lui-même, il se sentait disposé à croire qu’il était aisé de faire arriver tout le monde a
as. AU right! donc, ail right ! éveille-toi ! Au diable la bûche ! Je croirais presque qu’il n’est pas ivre-mort, poursuivait Ti
de toutes ses forces. Il y a eu bientôt, en moins de deux heures, je crois , un retour de chaleur, mais aussi d’efforts à vom
as acheté « le secret » de la prétendue « nouvelle science, » mais je crois l’avoir deviné, pour avoir écoulé et observé le p
est vrai que c’est, sinon ce que j’en sais, du moins tout ce que j’en crois . Ne voyez dans cette prétendue nouvelle science,
rt des vôtres , sur des personnes non « somnambulisées, et même, nous croyons , non « somnambulisables, je vous prie de qualifie
us servez? Moins avares que vous-mêmes, nous donnerions tout, et nous croirions bien faire!.... Halte-lâ! mes amis, il en est par
çà et là le grain que (1) Voyez la page 172 de ce volume. (2) Je crois avoir laissé assez de temps a tous les hommes qui
es les passes magnétiques dont ils ne connaissent pas l’objet. Ils ne croient pas vrais les faits que des hommes laborieux, con
e pas frappé d’une stupide incrédulité, quoiqu’on n’explique pas; 011 croit parce qu'on voit. De même, le simple mouvement
rce qu'on voit. De même, le simple mouvement du doigt devrait faire croire à un courant d’un fluide nerveux ou magnétique, l
urs vous entretiennent; observez-les de vos propres yeux, et vous les croirez . Vous finirez par les produire vous-mêmes, et les
. II. Tout est donc mystère autour de nous, et si nous ne devions croire que ce qu’il nous est donné d’expliquer, nous ne
us ne devions croire que ce qu’il nous est donné d’expliquer, nous ne croirions presque à rien. Mais puisque nous sommes forcés d
mmode : « la cautérisation de l’hélix » est si vile faite I mais nous croyons le magnétisme bien préférable, et en supposant qu
u point de vue pratique. ¡Notre devoir est de combattre cc que nous croyons être l’erreur partout où nous la rencontrons, de
lu avec beaucoup de soins vos petits essais..... et que nous avons cru devoir les entourer de quelques réflexions homé
nerveuses », et ce cadre n’est pas aussi restreint qu’on pourrait le croire . Le système nerveux se ramifie à l’infini : chacu
ous ne parlons pas de ces soi-disant docteurs qui disent ne vouloir « croire au magnétisme que lorsqu’il remettra une jambe ca
euillez avoir la bonté d’y réfléchir, Monsieur J. 15. Nous aimons à croire que vous ne nous rangez pas, malgré notre faibles
nt nous parlons. Éveillé, c’est autre chose. Alors, volontiers, on le croirait endormi, tant il semble absorbé dans une contempl
trouverez à l’endroit que je vous indique. » « Personne ne voulait croire à l’exactitude de ce renseignement, mais force
ir un instant pour lire, par la pensée, cette courte phrase : Je ne crois pas au magnétisme. « Yous y croirez maintenant,
ée, cette courte phrase : Je ne crois pas au magnétisme. « Yous y croirez maintenant, général, lui dit Alexis en souriant.
éliminaires, a enfin dit sa pensée; elle est claire et précise, il ne croit point au magnétisme, un sien ami a voulu l'endorm
Voilà déjà tant de fois que l’on nous enterre, que nous commençons à croire à notre immortalité. Ah ! Monsieur l’iourens, vou
a nature, et en sachant les mettre en jeu, est presque incroyable. On croit que Zoroastre a été leur chef. Il est possible qu
phénomènes produits, et plus encore par l’Ecriture. Voici comment ils crurent l’expliquer et la rendre de sensible. Admettant l
t Verbum, et Deus erat « Verbum. » I.es manichéens et les maguséens croyaient que la matière a la perception et le sentiment, e
ble à un petit souffle, frais ou tiède, dont les personnes sensitives croient sentir la douce haleine. Parfois ces êtres irrita
conçois vos agitations, mon ami, vous n’êtes pas de ces médecins qui croient n’avoir plus rien à apprendre, parce que la Facul
r il faut retourner à ces années déjà lointaines où on vous disait de croire à des êtres surnaturels , à une doctrine toute sp
s qui existent entre ces dogmes que vous avez rejetés quand vous avez cru avoir de la raison, et les nouvelles idées que le
x vous découragent; ce n’est pas à vous seul qu’il faut s’en prendre, croyez bien que l’individu sur lequel vous voulez agir e
t prêle pour la mestnérisalion des malades. « D’abord, le comité ne crut pas devoir prendre plus d’un magnétiseur, le secr
euse que, ayant admis des femmes au nombre des patients, nous avons cru tl«'-jà devoir employer une femme pour magnétiser
ambulisme mal développé, la crédulité des personnes trop empressées à croire au merveilleux. Qu’on sache bien que nous n’avons
ts convenablement dirigés, puisse rendre d’immenses services, nous ne croyons pas à leur infaillibilité, et nous ne saurions tr
re cadre restreint ne nous permet pas d“ décrire, mais il ne faut pas croire qu’il soit indispensable de produire ce sommeil p
oiqu’il n’y ait pas de lucidité véritable dans ce somnambulisme, nous croyons qu’on peut compter sur la guérison pourvu toutefo
u refroidissement du cadavre; et nous avons dit que des gens que l’on croyait bien morts, entendaient pourtant tout ce qui se d
faisait réussir ou échouer les entreprises, etc. a lit que l’on ne croie pas que la clientèle de cette prétendue sorcière
la lumière, a été nié par eux pendant quatre vingls ans, on ne voudra croire l’histoire; et lorsque, forcé d’admettre cette én
insi que l’espèce humaine, l’impression du magnétisme , mais nous les croyons incapables de transmettre notre fluide tel que no
5° Par l’eau. Dans tous les temps et chez tous les peuples, on a cru l’univers peuplé d’esprits, les uns bons, les aut
it d’après la nature de l’objet que l’on se proposait (2). Si l’on en croit saint Thomas d’Aquin (5), l’eau bénite avait le p
aint Macaire, qu’on amena à ce pieux solitaire une jeune femme qui se croyait changée en jument. Saint Macaire la fil plonger d
Non ; et, sans porter atteinte aux intentions de la Providence, nous croyons pouvoir affirmer qu’une eau consacrée avec la vol
merveilleux, que je craignais de me faire illusion , et je n’ai pu y croire qu’après des milliers d’expériences. » Le marquis
que soutenait le courage des guerriers. C’est à Pythagore, si l’on en croit Jamblique (2), que nous sommes redevables de l’in
est des aliénés à 1 état desquels la musique convient, il ne faut pas croire que toute sorte de musique puisse également réuss
tisme prétextèrent aussi qu’il n’existait pas ; mais le public ne les crut point, et le magnétisme continua son chemin. Ils
a qui ont soutenu l’un et l’autre : témoin celui qui a dit qu’il « ne croirait pas les faits qu’il produirait lui-même, » et qui
n accès de délire qui fit craindre un instant pour sa raison. Elle se croyait enterrée vivante, et il lui semblait voir la main
14 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
on magnétise. Il faut qu’il s’éloigne au plus vite. Eh bien, celui-là croit , il fait un article où il dit ce qu’il a éprouvé,
prépare souvent des orages. Redoublez de soins et d’attentions ; ne croyez point votre œuvre accomplie; agissez encore comme
vre VII, lettre x«l. « peu qu'il se voit surlc point de quitter. Il croit les . dieux, et il se souvient qu’il est homme; i
la vitalité humaine, est encore inconnue. Sont-elles (0 Nous avons cru devoir reproduire les passages les plus saillants
u’elle avait l’habitude de chanter pendant son état de somnambulisme, crurent que c'étaient des plaintes arrachées par la doule
Tait chair. (2) C’csi-i-dire la cltair s’est fj't c-piit. — Vous croyez à la puissance de l’électricité fixée dans l’aima
ropre bouche : tous sont soulagés, tous renaissent à l’espérance ! Ne croyez pas, pourtant, que tous vont ou peuvent guérir. H
t des ébauches; qui donc le fera ce livre? Un philosophe, un médecin, croyez -vous? Non, mais il viendra un homme qui, étudiant
ue la commission était composée o en majeure partie de ces hommes qui croient tout « savoir et ont inlérêt à ce que la science
écomposition, et s’étonne de ne l’y point trouver. Le philosophe se croit parvenu à la sagesse parce qu'à force d’études il
règles de conduite qui servent à le garantir de nouvelles chutes. Il croit connaître la vie, lui qui ne se connaît pas encor
mot suffit pour exciter sa colère. L’exemple des grands l’exalte; il croit sans doute être de la même étoffe et voudrait les
étoffe et voudrait les imiter; mais comment le pourrait-il? Ce qu’il croit saisir fuit, ce qu’il conçoit est le néant. Atten
t point assez de votre exemple. Les hommes veulent plus : ils veulent croire , car sans croyance et sans foi l'homme peut encor
Dieu seul. Ecoutez-moi. Jésus avait dit : « Bienheureux ceux qui croiront en moi, car ils poseront les mains sur les malade
nt les mains sur les malades, et les malades seront guéris. • Si vous croyez en lui, faites donc ce qu’il faisait. Vous avez l
e le bourreau ot la victime? Et s’il est une vérité physique qui fait croire en Dieu, qui prouve l'existence de l’âme, la lais
l’articulation du genou, cependant, •restait fermement contractée. Je crois inutile de donner les raisons qui m’ont engagé à
Sarlhe), pour la faire examiner par des médecins. Dans son village on croit qu’elle a été ensorcelée. Je compte aussi aller v
Iléhert, J’ai une communication scientifique à vous faire , que je crois inutile de vous recommander. M. Fromage, pharma
jet de curiosité; cela paraît si extraordinaire qu’on ne se résigne à croire qu’après avoir vu. Je suis du nombre : les plus s
ouche à la chaise, celle-ci se retire brusquement de dessous elle. Je croyais qu’elle n’agissait que sur les corps inanimés; pl
d’une chose si étrange. Mais le récit qu’elles en firent ne lut point cru des voisins qu’avaient attirés leurs cris. Deux
ciser (1) l’enfant, même d’ajouter foi à leurs récits ; ii douta, car croire ou nier sans examen ne sont point les éléments co
n des médecins. Cette opinion , ce conseil furent peu goûtés; comment croire malade celle qui présente les caractères les plus
t de dix minutes les yeux se fer-« nièrent, et j’en restai là. « Je crois que tous les meubles de la chambre sont » emprein
allut, dit-on, cent trente exemples pour que l’institut commençât à y croire . Ceci dit, reprenons notre récit, les réflexion
raisonnement, en cherchant à montrer une sorte de supériorité, je me croyais fort, j’étais devenu faible, et une humiliation q
science. Ils couvriront leur résistance d’un masque hypocrite où vous croirez voir la bonne foi, la fran-liise. On ira jusqu’à
plus rien. Un génie puissant enchaîne ta faculté. On dit, je n ose le croire , que tu eus peur à son approche, qu’il te glaça l
r ses propriétés? S’il en était autrement, c’est alors qu’il faudrait croire à quelque supercherie de sa part. Les savants v
s; continuation de la tisane, application d’un « cataplasme de persil cru et pilé sur le Bas de l’abdo-« men. Le 4, amélior
curieuses que je me ferai un devoir de vous communiquer, si vous les croyez capables d'intéresser vos nombreux lecteurs. Le
exprimée par l’organe de M. Arago, qui a lu une note à laquelle nous croyons devoir donner de la publicité. Elle aura sur les
tance qu’auprès de ceux qui sont avides de miracles, et qui veulent y croire quand même. (Débats.) « Dans la séance du 10 fé
ni déplace-« ment permanent ni déplacement momentané. « M. Tanehou croyait que Mllc Cottin avait la faculté « de distinguer
urs. —- CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Dent extraite sans douleur. — J’ai cru devoir vous exposer le fait suivant dans toute sa
cette opération n’eût-clle pas réclamé le secours de mes mains, je ne crois pas que j’eusse pu me faire illusion à la vue’de
préparai moi-même en conséquence. M. Garrison arriva peu après, et je crois pouvoir dire, sans crainte de contradiction, que
les réflexions qu’elle me faisait ne me paraissaient pas fondées. Je crois , lui dis-je, que vous avez tort de vous attrister
ai ce qui s’était passé et lui montrai la trace des coups qu’il avait cru m’adresser. A cette vue il se jeta à mes pieds, t
u malheur qui avait pensé arriver et implorant telle pénitence que je croirais devoir lui infliger. «Non, nonr m'écriai-je, je
’une petite « baguette qui tourne dans vos mains. C’est difficile à « croire . Toutefois, à la rigueur, on peut supposer « qu’i
r des effets infiniment grands. * Mais, direz-vous, les malades qui croient de telles absurdités sont de pauvres dupes; les h
e eût parlé à son imagination. Il faut quelque peu de simplicité pour croire qu’un globule, préparé d’après les formules d’Hab
m’accusera pas de partialité en faveur de l’homœopathie. Eh bien, je crois fermement qu’un médecin guérira plus tôt un malad
C’est alors qu’on lui apprend le stratagème dont elle est dupe. Vous croyez , Messieurs, qu’elle va reconnaître l’imposture de
econnaître l’imposture de la somnambule ; nullement : elle aime mieux croire que la femme de chambre a la même maladie que sa
e en erreur par une fausse interprétation des moyens employés. « Je crois qu’en face de pareils inconvénients il faut moins
rès ne pourront rien contre elle, car il est écrit : Heureux ceux qui croiront , car ilsposeivnt les mains sur les malades, et le
la forme et les principaux caractères de l’ouvrage en question. Je crois devoir ajouter, parce que le fait me parait ext
il phénomène dans le Journal du Magnétisme publié à Paris; je l’avais cru si extraordinaire que j’en avais douté jusqu’à ce
s ; toutes ces expériences enfin m’ont paru si claires que je me suis cru obligé de les avouer et de les faire connaître.
connaître. Et si j’apporte ici mon faible tribut d’hommages, c’est, croyez -moi, pour engager les indifférents, les incrédule
incrédules, à assister comme moi à des séances, à voir, à juger et à croire comme moi. Francisque Ducros. ( Tribune lyonn
l qui nous est réservé. Nous en avons cité de nombreux exemples; nous croyons devoir y joindre celui de l’infortuné Du-jarrier,
faux. Admettre la seconde vue naturelle dans ce cas, autant vaudrait croire que le canard de Vaucanson est un véritable canar
rt Moïse, l'homme de Dieu, et les magiciens, que les saints Pères ont cru pouvoir appeler les hommes du démon. • L’Ecritu
e en s’écriant : « Voyez, Mesdames, je marche; plus « de douleur : je Crois aü magnétisme, je marche. » Le l*c jaiîlet on vit
é dans le service de M. Andral. Après deux mois d’essais inutiles, il crut s’apercevoir que la maladie était du ressort de l
ne mettrez en doute ni ma bonne foi, « ni mon intelligence; mais je crois qu’il serait pru-« dent do ne pas les faire conna
utes parts s’élever contre vous une formidable opposition. On ne vous croit plus ; vous inspirez la peur, ou tout au moins la
ement convulsif, le sujet entrait dans un état tel qu’on aurait pu le croire possédé ; une fureur extrême, qui le faisait écum
gnétiques, il a mis fin à cette brillante exposition, dont nous avons cru devoir reproduire un écho dans notre Bulletin, ta
nue. Son cœur s’est v même soulevé à plusieurs reprises. « Prudenco croit marcher sur la glace, sur la corde, sur (les ch
ine à voir, tant elle est vraie dans les impressions pénibles qu’elle croit éprouver. « Un de nos jeunes élégants l’a condu
repentir, d’amour et de foi! Et quand, au milieu dé son extase, elle croit entendre la Vierge la menacer de sa colère si ell
les malades nécessiteux, les pauvres ou les personnes qui ne peuvent croire aveuglément à l’infaillibilité des médecins, qu’o
observation. Un passage des Mémoires de Saint-Simon pourrait faire croire que quelque Levantin, initié aux mystères de la m
nte. Je pris celle de le pouiller à ce récit et de lui dire ce que je crus lb pouvoir détourner d’ajouter foi et de s’amo-se
nes intellectuels. Sa longueur nous empêche de le transcrire, et nous croyons que, dans une séance publique, en présence d’une
in. C’est ainsi qu’ils payaient la dette de reconnaissance, et qu’ils croyaient en même temps plaire aux dieux. « Nous n’ayons
téreront ceux que les mauvaises passions dessèchent; les hommes ne so croiront plus maudits; ils reconnaîtront leur divine natur
les de Puységur ec les Deletrze' eiv initiant chaque jour ceux qui ne croient point au magnétisme, en tes rendant témoins de no
cet esprit de doute méthodique et seul raisonnable, qui consiste à ne croire ou à ne nier que lorsqu’on a bien vu, bien examin
aire ; « L’Emprière fils, négociant; « Ricard; « Pesnel, Vous croyez , lecteurs, que l’Académie de Médecine bilité? V
l, Vous croyez, lecteurs, que l’Académie de Médecine bilité? Vous croyez que l’Académie des Sciences va rechercher la natu
que l’on a flétri injustement des hommes honorables ! ce serait faire croire que l'on a quelque vertu ; mais, sur ce point, no
ueii de ma «découverte, jamais celui de ma personne. El, si « l’on ne croit point à cette découverte, on aévidem-« ment le pl
prétendu me couvrir tour « à tour. Lorsque je l’ai fait, c’est que je croyais de-« voir le faire. « Après leur refus je me su
la ruine des systèmes philosophiques, enseignait, sur des bases qu’il croyait libérales , la reconstitution des corps savants,
emèdes et des consolations qui ne se feront pas longtemps attendre. Croyez -nous, quand nous vous dirons que Dieu a donné à c
e d’extraits d’un livre qui est dans les mains de tout le monde. Nous croyons que les pratiques plus ou moins obscures des Grec
z; je ne sens rien, je n’ai nulle envie de dormir ; mais puisque vous croyez avoir un si immense pouvoir, essayez donc: je vou
avoir un si immense pouvoir, essayez donc: je vous préviens que je ne crois ni aux charmes, ni à la magie ; je doulc même du
olonté que l’on rencontrera, que ce soit un valet, un portefaix même. Crois -moi, lors môme que ses mains, scs habits exhalera
un aussi grand bienfait viendra chez toi ; c’est juste, tu ne pourras croire que tu as dû la vie à un moyen si simple, et tes
compte de ses œuvres; il faudra qu’il s’explique sur ce qu’il sait ou croit savoir ; son silence ne sera plus permis. Une vér
buste de Mesmer par Pigale. C’est là une nouvelle importante, car on croyait qu’il n’en existait point. Si la commission qui s
alière. — Une bonne Sœur d’hôpital, d'un esprit timoré, chaque nuit croit voir le diable, depuis qu’un magnétiseur s’est av
ômes. Elle court devant toutes les personnes de sa connaissance. Je crois qu’elle pourrait gagner le prix de course, car je
produisent à l’instant où la volonté se manifeste ; tout va bien, je crois la guérison certaine maintenant. 3 juillet. — L
es choses qu’ils ne connaissaient pas, et auxquelles ils ne pouvaient croire ; aussi m’ont-ils demandé a suivre toutes les mag
s et dort jusqu’à sept heures; les forces sont revenues; elle ne peut croire à tant de phénomènes. 9 juillet. — A une heure
’incurabilité du cas de maladie a été attesté par un grand médecin;¡g crois , Dieu me pardonne, que ce savant docteur est un d
en soit point pour eux comme pour le choléra; car on dit, je n’ose le croire , que vous n’en savez sur ce sujet pas plus que le
des hallucinations fréquentes? Les mots soulignés pourraient le faire croire . Quant à la chute sans accident, nous n’en sommes
d’en rechercher la cause, et l’auteur du Cours de nosologie clinique croit la trouver dans le fluide électrique. Ayant assis
ons. Notre auteur, s’appuyant sur les découvertes du docteur Coudret, croit qu’elles sont purement électriques; mais toute l’
ducation, et la morale offrant des principes à l'une et à l’autre, je crois ces trois objets inséparables pour le but que je
e de la république étant dans le cas d’administrer la justice, j’ai cru utile d’en donner également quelques notions. O
ambulisme lucide ont été fréquemment observés par des médecins qui ne croient point au magnétisme animal, on au moins ne s’en o
r participation. Vingt ans spectateurs oisifs de succès éclatants, on croyait leurs esprits désabusés ; mais c’était une erreur
ngtemps cherché la cause qui éternise cette dispute regrettable, nous croyons enfin l’avoir trouvée dans l’emploi de deux mots
er si un fluide dans lequel quelques physiciens et physiologistes ont cru reconnaître de l’analogie avec l’électricité étai
agies des jésuites Fiard et Boone ; de ces prélats étourdis et qui se croyaient infaillibles avant l'examen? Et les peurs do MM.
action névro-galvanique humaine non-seulement visible et palpable; je crois avoir rempli cette partie de mon engagement, mais
aux plus grandes opérations de la sorcellerie, au moyen desquelles il croyait fermement avoir exécuté en peu d'heures, transp
me et peut aussi se faire sans séparation. Il faut que ceux-là qui ne croient point que l’âme des sorciers se trunsporte confes
te à l’amour. Voilà pourquoi l'intelligence, qui n’est pas libre de croire ou de ne pas croire à telle ou telle vérité, est
à pourquoi l'intelligence, qui n’est pas libre de croire ou de ne pas croire à telle ou telle vérité, est rendue cependant res
s’apercevra de l’illusion qui portait les intelligences grossières à croire à l’existence d’un monde matériel. Et cette con
à la flexibilité des leviers ou autres éléments dos machines. « Je crus trancher la difficulté d’un coup, mon noble ami,
tu propre de chaque agent isolé de la sorte. « J'ai tenu parole, je crois ,cher et aimable comte; le fluide innervateur des
ssi distincts par leurs effets qu’inexplicables dans leurs causes. Ne croyait -on pas généralement, dans l’antiquité, que le reg
pour sa future épouse une affection si vive qu’il en tomba malade. Je crois bien qu’un portrait, assez ressemblant Justifiait
l’idée de tuer un de ses enfants, consulté par une autre femme qui se croit destinée à tuer son mari ou son petit- fils. A la
n est pendu s’il le tue sur le théâtre; ce qui fait que, dès qu il le croit blessé à mort, il lui donne un coup de pied et le
s que les cloches n’annonçassent la mort île plusieurs accouchées. On croira difficilement à quel point la terreur se répandai
t mis dans leur principe. Ce serait se moquer de la Providence que de croire qu’elle inspire contagicusement aux femmes le goû
ur où, pour la première fois, je m’occupai de magnétisme. C’était, je crois , au mois de septembre 1832; je me trouvais en ce
, mais réelle, que dirige une volonté puissante. J’avoue que pour y croire pleinement il faut avoir vu ces effets extraordin
rdre supérieur, on pourrait avec raison contester leur témoignage, et croire qu’ils sont dans l’erreur. Mais si, de toutes par
lui laisser le soin d’en développer toute la théorie; cependant j’ai cru devoir réunir dans cette note quelques idées qui
que ceux qui admettent un fluide magnétique animal soient disposés à croire qu’il est régi par les mômes lois que les autres
nt quelques principes ou aphorismes déjà avancés par Mesmer ou que je crois avoir reconnus par l’expérience. Nous les démontr
er ou repousser à sa volonté. Comment cela s'opère-t-il? En voici, je crois , une explication. Dans le sujet, la polarisation
t instant, ne m’a jamais paru naturel. » Plus loin elle ajoute : « Je crois no devoir pas entrer « dans les détails des diffé
on en « relirait l’épingle. Si l’on demandait à la patiente « où elle croyait qu’on la piquait, elle indiquait une « partie de
uérir;en imposant la main, animer le mourant! Grâce à ce Prométhéc, n croit à l’art divin; l’homme n’est plus athée, e cessan
s dévoilés, ne pouvait trouver grâce aux yeux de M. Couturier, qui no croit mieux faire que de répéter les accusations banale
rable-, car il est difficile de faire revenir des gens qui ont ou qui croient avoir été trompés. Robert Iloudin est bien plus h
s-nous? la vérité surtout. Eh bien, ayant môme but, mêmes pensées, je crois être ici votre interprète, quoique n’étant plus v
ulager. J’allais même me retirer après avoir conseillé tout ce que je croyais le plus propre à lui faire quelque bien, lorsqu’i
is bien, « disait-elle, qu’il n’y a point de sorciers... non, je « ne crois point aux sorciers, Dieu ne le permettrait « pas.
sence, et à son grand contentement, une telle quantité d’urine que je crus qu’un seul vase ne suffirait pas; je n'exagère pa
rai-je en dehors de la tourbe incrédule de ces êtres peu éclairés qui croient de prime-abord, et deviennent ridicules à force d
une seconde religion pour l’homme qu’elle éclaire de son flambeau; il croirait désormais blasphémer en niant ses sublimes effets
s ne sont que des machines caressantes on des esclaves soumises, vous croyez que la fausseté est le vice inhérent à leur natur
irkness, lui, ne veut pas se faire le champion du mesmérisme; mais il croit impossible de supporter impassiblement une tortur
serait restée dans l’oubli. Venez donc à notre aide, vous tous qui croyez au magnétisme et qui le regardez comme un moyen d
qu’enfin leur organisation est trop ressemblante à la nôtre pour les croire indignes de notre attention et de nos égards. I
’impuissance, et vous disent en face que si la vérité à laquelle vous croyez existait, elle eût déjà triomphé, car nous sommes
ue et quasi voltairicnne.—Et pourquoi M. Couturier ne daigne-t-il pas croire à l’existence de l’âme? « Parce qu’elle est sou
r pour faire surgir des sources. On faillit ne pas l’écouter; on ne croyait pas la chose possible, car les académiciens mômes
n de M. Paramclle, à découvrir des cours d’eau dans la localité où il croirait devoir faire l’application de sa théorie. Cela se
lante. « Les soirées du comte deC... attirèrent son attention. Elle crut d’abord avoir affaire à un émissaire de la propag
, qu’il magnétisait, lui annonce qu’elle rendra tel jour un tænia; il croit à cette prédiction, et convoque la commission cha
Alors , seulement alors , tous ces hommes sans courage et sans vertu croiront à l’existence de ce qu’ils ont nié. Mais voici
s de leurs somnambules dans les entrailles de ceux qui refusaient d’y croire . Ils échouèrent : c’était presque justice ; il eû
prétentions du congrès; et quant à ce qui peut survenir d’ici là, il croit que les magnétiseurs peuvent exercer tranquilleme
regardant comme plus dangereuses qu’utiles, fatales enfin. Nous nous croyons les instruments de la nature; la vie est notre ag
environ un an, voyant ses règles supprimées et son ventre grossi, se crut enceinte ; elle appela un médecin ; celui-ci, jug
habitais; en quittant la maison je cessai de la magnétiser : je ne la croyais pas malade. Un mois, deux mois et même plus s’éco
réputation pour le traitement de certaine maladie dont les femmes se croient souvent atteintes. Elle suivit divers traitements
à jeun, et le soir, une heure avant dîner, une demi-botte de cresson cru . Prendre tous les jours trois ou quatre tasses
res stupéfiants, c’est que des gens respectables ont le privilège d’y croire comme à leur existence. Nous nous contentons d’af
es affirment par écrit avoir vu cela, il serait ridicule de ne pas le croire . Ce qu’on fait à Cherbourg, et ce qui a été fai
ion d’un chaleureux plaidoyer en notre faveur. Les médecins d’Auxcrre croyaient avoir assomme le magnétisme ; mais la vérité ne m
s enrichies , augmentées par un magnétistebibliomane. Tous deux ne se croient -ils pas plus savanis que Mesmer ? Qui donc aujo
répandent en province avec les instruments vivants de leurs défaites. Croyez -vous qu’ils soient aux regrets du mal qu’ils ont
e qu’il fait, il ne cherche rien, car une vague idée le dirige; il ne croit ni ne doute, il ignore enlin s’il a les propriété
onfiants en eux-mômcs, qui, comme les apôtres, quoique pleins de foi, croient cependant qu’il leur manque encore des vertus ess
ion avait lieu dans un sens contraire à celui du magnétiseur, et j'ai cru y trouver la raison de certains phénomènes astron
ecteurs qui ont suivi nos recherches sur la petite Cottin. «.....Je crois vous faire plaisir en m’empressant de vous sign
ns une maison du faubourg Montmartre, une chambre dans les mansardes, crut apercevoir l’ombre d’un corps humain qui passait
ne me guide jamais d’après la science, mais d’après ma conscience; je crois donc fortement aux faits magnétiques. Eh bien , o
nce; je crois donc fortement aux faits magnétiques. Eh bien , oui, je crois qu’il y a des faits; je crois que la force magnét
ux faits magnétiques. Eh bien , oui, je crois qu’il y a des faits; je crois que la force magnétique augmente prodigieusement
magnétique augmente prodigieusement la force de vision de l’homme; je crois que ces faits sont constatés par un certain nombr
és par un certain nombre d’hommes très-sincères et très-chrétiens. Je crois que la généralité de ces faits sont des faits nat
t que jamais l’homme n’a manqué de la connaissance do ces secrets. Je crois que tout ce que nous avons vu dans le fond des te
es templesdu paganisme, à part la supercherie qui était manifeste, je crois que la magie et tant d’autres choses étaient tout
bée sous le joug, qu'il y a quelque chose au delà de la mort. Oui, je crois à cela de loul mou cœur. Mais c’est là, remarquez
animal. «M. Lacordaire, à l’exemple de beaucoup de grands esprits, croit au somnambulisme. Selon lui, le phénomène de seco
aveugle opiniâtreté nous fait gagner du terrain. Des hommes que l’on croyait étrangers à nos recherches, loin de reculer devan
n des iniquités doivent encore être commises, car nos antagonistes se croient à l’abri de toute censure, inattaquables enfin. M
éant un privilège, n’a-t-elle nullement voulu contraindre ceux qui ne croient point à la médecine à recevoir les soins du médec
ur. Us sont pris d’une sorte de vertige qui exclut la prudence. IU se croient forts parce qu’ils sont nombreux; mais les yeux s
nt pour vous considérer et voir que vous avez fait fausse roule? Vous croyez , dans votre orgueil, que l’on ne sait point qui v
el que l'humanité avait son code et scs lois écrites par Dieu... Vous croyez que ce qui était hier doit encore être demain, et
gent, montrez dans toute sa nudité le mobile qui vous fait agir. Vous croyez la vaincre et l’anéantir cette vérité. Ah ! vous
aines régions magnétiques. Les ouvragos mesmériens en abondent. Je me crois trop novice encore, messieurs, pour oser me mesur
ar exemple, est à l’épigastre, à l’occiput, aux genoux, etc., etc. Je crois , messieurs, que vous n’admettrez pas de semblable
du des somnambules parler latin, grec, hébreu , anglais, allemand. Je crois que c’est une erreur, messieurs. Si le sujet est
ènes magnétiques sans magnétisme. Quant à moi, mon esprit se refuse à croire que dans l’état de veille on puisse effectuer tou
dont nous sommes les apôtres, et des mira- des que nous opérons. Je crois , comme vous, à Invenir lu magnétisme; je crois, c
s que nous opérons. Je crois, comme vous, à Invenir lu magnétisme; je crois , comme vous, que ses sublimes cfl'ets envahiront
de ce fait dont le résultat certain sera d’amener bien des esprits à croire à une des facultés somnambuliques : l’assimilatio
vez bien rire ; et moi aussi z’en ai ri, mais il faut le voir pour le croire . « D. Mais enfin quels remèdes la somnambule vo
15 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
ordonnés exécutés avec une rapidité surprenante ; il m'a semblé qu’il croyait s’élever au moyen d’une corde. A ces mouvements,
urnai chez mon intendant que je trouvai en prières. » Pour ceux qui croient fermement à l’apparition des Esprits, ce fait ne
antes sans doute, mais moins prononcées qu’il le semble si je dois en croire cette phrase que vous adressez à notre honorable
à dire, maintenant, que je blâme ceux qui cherchent à fixer ce que je crois m-fixable ? Certès, non, les alchimistes ont long
e que je crois m-fixable ? Certès, non, les alchimistes ont longtemps cru trouver le grand arcane de la transmutation, et l
encouragement et tiè récompense ; il est donc nécessaire que ceux qui croient avoir quelques droits à cette distinction envoien
méthodiquement, car le magnétisme est une puissance terrible ! Nous croyons devoir reproduire ici les préceptes que nous avon
ion de pensée. S'éveillant alors sous l’action de cette idée, ils ont cru apercevoir réellement le prince Dimitri, ceci en
sions, etc...; » malgré cette note, disons-nous, nous nous plaisons à croire qu’il voudra bien revenir sur sa détermination et
mnambulisme- du mono-mane. Tantôt c’est un assassin qui entend et qui croit que tout le monde entend à travers les dalles du
ns, raconte l’histoire d’un Anglais, très-raisonnable d’ailleurs, qui croyait avoir rencontré un homme aveclequel il avait l'ai
IENNE. Les savants qui se sont occupés de la mystérieuse Égypte ont cru deviner la science profonde de ses mages; et dans
par semaine, la médecine Le Roy, sans oublier le vomitif. La malade croyait que, grâce à cette médication, elle guérirait en
moplate droite. Deux médecins consultés en cette grave circonstance crurent reconnaître un squirre du pylore, et un commencem
les phénomènes qui se manifestaient dans l’hypocondre gauche, qu’ils crurent être sympathiques et nerveux. Voici, en peu de
pondrai le plus tôt possible, explicitement et très-facilement, je le crois , à la critique de M. d’Arbaud, magnétiste instrui
journal le Temps, nous sommes heureux du langage bienveillant qu’il a cru devoir prendre ; nous n’attendions pas moins de l
silence; car je tiens à prouver aux partisans du spiritisme que si je crois devoir les combattre quand l’occasion s’en présen
des faits qui viennent, surtout aujourd’hui, boule- (1) Je voudrais croire , mais non croire aveuglément, bien entendu. Qu’on
nnent, surtout aujourd’hui, boule- (1) Je voudrais croire, mais non croire aveuglément, bien entendu. Qu’on me prouve donc p
ce d’obsession sous laquelle elle reste assez longtemps, elle ne peut croire qu’un mort lui ait véritablement apparu, et ne
sur les œuvres vulgaires, sur ce qui se fait chaque jour et que l’on croit simple et naturel, parce que cela parait facile.
ure emploie pour rétablir la santé et prolonger la vie. La science se croyait au sommet et nous montrons à ces savants éminents
y a deux hommes en nous; d’abord des chefs de société, qui ne doivent croire qu’avec poids et mesure; des fonctionnaires qui o
us maintenant comme particuliers; comme hommes libres de penser et de croire à notre guise, sans que les croyances de personne
ant du coq endiablé Nos troupeaux prennent la mouche : Tel, qu’on croyait accablé, Se relève ardent, farouche ! C’est a
rps académique S'obstine à l'incrédulité. Entre nous, je commence à croire Que ceux qui nous traitent de fous Sont bien plus
et dérisoire l Boire aux docteurs? et non, ma foi ! Ce serait plutôt, croyez -moi, A leurs malades qu'il faut boire. Mon re
t fit connaître les noms des personnes à qui le Jury magnétique avait cru devoir accorder des médailles et des mentions. Le
’enlèvement et au transport de la matière par ces Esprits auxquels je crois de toute mon âme, mais que je crois, aussi, bien
tière par ces Esprits auxquels je crois de toute mon âme, mais que je crois , aussi, bien loin de nos atteintes dans di s légi
urel que des théologiens, après des mystiques du philosophisme païen, croient l’efi'et d’une obsession démoniaque, tout comme l
lui bouchent les yeux ! Vraiment ils sont petits d’intelligence s’ils croient que l'homme va leur donner sa foi en abdiquant
eptes que jamais d’une science aussi merveilleuse et aussi étonnante. Croire aux phénomènes les plus sublimes et les plus tran
analogue, ils aient le devoir de faire honorer votre intégrité. Je crois aux coopérations de ces forces diverses (non comm
r les prouesses extraordinaires de la table du jeune Américain. Je ne crois pas que deux et deux font quatre : j’en suis cert
ui cette omission, et nous sommes persuadé que M. Bernard voudra bien croire qu’il n’y a rien de notre faute. Baron du Potet
ais il ne s’agit plus maintenant de crédulité. Ce que la superstition croyait aveuglément autrefois, la science maintenant le c
êtres passent souvent pour des sorciers dans les campagnes, et on les croit assez généralement capables d’exercer une influen
familles et des contrées. u 11 existe aussi des Tous dangereux qui croient à l’influence de l’esprit de ténèbres, et qui ne
vons dit des évocations diaboliques, et se bien garder surtout de les croire et de les imiter. « Pour commander aux forces é
nter les bains de mer comme un remède universel, une panacée, mais je crois cependant que s’ils ont été contre-indiqués souve
as question de magnétisme et c’était un confrère qui parlait. 11 faut croire que V Académie dut songer à choisir parmi ses mem
mirent à causer... de science, sans doute? il serait trop naïf de le croire , iis tinrent des propos qui n'étaient ni convenab
en doute la bonne foi de nos perçages ; mais quelques-uns pourraient croire que les sa-‘s de notre temps ont un double visage
ez donc le faire mourir plus vite, etc.?... Avec les personnes qui ne croient point au magnétisme, ils tranchent dans le vif, i
e, ils tranchent dans le vif, ils nient positivement le magnétisme. — Croyez -vous donc que si le magnétisme existait, nous ne
omme considérable qui lui affirmait les faits du magnétisme : — Je le crois parce que vous me le dites, mais je le verrais qu
le crois parce que vous me le dites, mais je le verrais que je ne le croirais pas. — Ici l’hypocrisie est patente, et nos Esc
ines maladies; ils le faisaient sans doute avec discrétion, mais sans croire se compromettre ni compromettre, la science. Jusq
tenir offre cela de particulier (pie, sauf le souille chaud, que j’ai cru devoir employer pendant un certain temps, il n’y
de ces derniers qui voudraient en faire l’essai, c’est-à-dire qui ne croiraient pas inutile de contrôler dans le sommeil ce qu’il
s ne soit pas rare, qu’il se présente même assez fréquemment', chacun crut que le dormeur jouait la cpmédie, et un rire fou
ne voudriez-vous pas auparavant répondre à quelques questions que je crois devoir vous poser? Tout en parlant ainsi, le ma
il plus profond et la clairvoyance plus complète. — Volontiers. — Croyez -vous maintenant au pouvoir du magnétisme? — Com
maintenant au pouvoir du magnétisme? — Comment pourrais-je ne pas y croire dans l’état où je suis? — Voudriez-vous bien ma
e ordinaire peut facilement se fourvoyer en pareille circonstance, je crois qu’il ne doit pas en être ainsi d’un médecin dont
ésors; mais c’était une sorte de mise en scène que .(lies rbabdomants croyaient utile et sur laquelle cer-croyaient même devoir r
istoire nous a conservés sans les expliquer. Dans son livre, M. Maury croit expliquer ce qu il n’a pas compris ; et l’Académi
nétisme est accueilli dans ce lieu plutôt que rejeté. Là les gens qui croient glorifieraient l'incrédulité s ils l’osaient, et
e finira point par être dangereux, et si la société pourra vivre sans croire à l'existence de 1 âme, à1 immoi-talité de l'agen
ve de leur esprit. Ignorant l’essence même des agents découverts, ils croient cependant les connaître, parce qu’ils en ont sais
leurs confrères les drôles de choses qu’ils avaient »«es. Qu’on ne croie pas que nous exagérions en rien ; les choses se s
tes d’alors faisaient dans les temples, loin des yeux du vulgaire? ne croit -on pas aujourd’hui, et ne paraît-il pas positif q
AZAR. Dans l’Asie Mineure, les Turcs, ainsi que les autres peuples, croient (sans aucun examen pourtant) au mauvais œil, c’es
rtout par les personnes qui s’occupent sérieusement de magnétisme. On croit communément que ce sont seulement les yeux bleuso
e toutes vertes. Cette question est exclusivement scientifique, et je crois qu'on parviendra un jour à prouver plus profondém
sage s'estîconservé beaucoup plus chez les Turcs. satisfaisante. Je crois que cette apposition du bleu magnétique contre le
point avec convoitise à la beauté de l’édifice même qui les porte. Je crois cependant que la véritable origine de ce préjugé
nte de substance odique, si nous n’avions une raison supérieure de le croire . Son organisme n'est-il pas le seul appareil asse
parvenir un Mémoire dont lu contenu mérite considération, nous avons cru que la publication pouvait en être utile. On a
x ! Cependant cette délicatesse ne dissimule en rien l’énormité qu’il croit avoir à réprouver. Si ma personne seule était e
é, le 3 avril 1312, sous Clément V, l’autorité de l’Eglise ordonna de croire que l’âme n’est que la forme substantielle du cor
en’en ai pasle temps et, de plus, je ne parle jamais que de ce que je crois connaître et de ce que j’ai préalablement étudié;
its modernes et journaliers tendant à prouver son existence réelle. Croyez -vous que celui qui,a dit qu’il n’y avait rien de
n’y avait rien de nouveau sous le soleil avait un peu raison ? Moi je crois que c’était un profond penseur, et, qu’en effet,
s révolutions, c’est celui de la destruction des livres, et, si je ne croyais au libre arbitre de l’homme, je dirais qu’il est
omène de ce genre d’avoir lieu quelquefois, mais non à volonté,—je le crois du moins,— car dans ce milieu les liens matériels
t il ne peut se passer pour cofbmuniquer avec le monde matériel. Je crois à la trinité humaine, c’est-à-dire au corps, à Y
orps, à Y âme (la vie), à Y esprit ou moi spirituel et immortel. Je crois que dans certains milieux ce moi peut être suffis
parent de cette matière, qui sert alors à d’autres combinaisons. Je crois encore que ce moi est immuable, c’est-à-dire inco
doué les hommes sous le rapport animique (ou du moi spirituel). Je crois aux médiums comme aux somnambules ; ce sont des ê
nint Paul. 1" epitre aux The.ssalonicims, cliap. V, vers. 23. Je ne crois pas à la réincarnation, parce que je n’en vois l'
iritistes, etc., n’ont pas été vues par moi, je ne les nie pas; je ne crois pas encore par la raison que je n’en comprends pa
is pas encore par la raison que je n’en comprends pas l’utilité. Je crois donc à l’existence du fluide magnétique et du moi
s, Cher collègue, depuis votre conversion à la pneumatologie, vou3 ne croyez probablement plus au fluide magnétique, et vous a
tables, des crayons, des chapeaux, etc. Jusque-là permettez-moi de croire aux médiums comme à des extatiques naturels dont
affligés dans cet état d’une surincarnation spirite. N’allez pas me croire l’ennemi du'spiritisme ou pneuma-tisme, parce que
tardera pas l’électricité d'nne ville à l’autre. M. Jules Recv, je crois , demande h prouver ce fait par son système de com
par un non moins vigoureux logicien qui. jusqu’à plus ample informé, croit devoir rapporter tous les phénomènes les plus tra
bond la table par dessus sa tête. Ils disent ainsi parce qu’ils le croient en toute conscience, et puis aussi parce qu’il se
s tour de force peuvent être pris ici comme chacun l’entendra; je les crois plus vrais et surtout plus polis que les mots tou
mme ils étaient énoncés. Mais outre que cela ne m’a nullement amené à croire à l’existence des Esprits, ni par conséquent à le
erait l’accuser de jonglerie, de fraude même à l'égard de gens qui le croient sincèrement doué de facultés médianiiuiques. Loin
et à ses co-religionnaires en spiritualisme l'aveu sincère que je les crois convaincus de la coopération îles Esprits dans le
pération îles Esprits dans les faits d’évolution en question :je veux croire aussi M. Squire très-innocent de toute supercheri
l’expérience. La même modification ou à peu près, cent pulsations je crois , a été, il est vrai, constatée par le docteur Lou
e à repousser le soupçon de jonglerie comme uue mauvaise pensée. Je crois donc m’éloigner également des opinions extrêmes e
nature à me former un commencement de foi. Je ne nie pas, mais je ne crois point. Quand à la seconde expérience, quoique j
evions pas tous payer généreusement notre tributàla grande famille. Croit -on se montrer « esprit fort » parce qu’on répète
nous avons besoin d’étudier sans cesse. Si, un instant, nous avons cru tenir le fil d’Ariane et être arrivés au bout, c’
e tomber sous mes yeux en place de tout autre. Mais qu’il n’aille pas croire que je l’attaque, que je veux engager une polémiq
. » C’était la question du magnétisme posée devant la science. J ai cru devoir relever le gant, et je me suis décidé à ce
n me demanda des conclusions formelles. Vous me connaissez assez pour croire que si ma pa- role avait été insinuante et modé
nuscrit, — l’autre. Il parle et soulève une tempête. On se lève; j’ai cru un instant que le magnétisme allait être battu tr
dier l’histoire ou la géographie d’un pays à l’existence duquel il ne croirait pas. — Le vote de la section médicale contient im
bises d’un avis ; arbitrare, — ar pour ad, bitare, se diriger vers, — croire , après observation; opinare, —opi pour ope (**),
utait pendant la profonde émotion où vous m'avez vu. Les Éphésiens le croyaient en délire, malgré leur désir extrême que sa proph
opos. — t Je comprends votre défiance, conti-nua-t-il. Vous ne pouvez croire à ce qui, même à Rome, est encore le secret de pe
sentant le cou pris de cette manière dans les anneaux glacés du naja, crut entrer dans la crise des dernières minutes. On l'
battre sur le cou de Nanny et la mordre. L’illusion fut poignante. On crut que la morsure était faite, que tout était fini,
s aux caprices et à la vanité du somnambule qui, dans son orgueil, se croit égal à la divinité. « Qu’il prenne bien garde,
nce les phénomènes que nous ne savons pas comprendre. .Un jour, je le crois , on ne définira plus ce que l’on désigne sous le
? L’examen auquel nous venons de nous livrer, a clairement déduit, je crois , au point de vue de la science antique, le mode e
frances, et de pouvoir se passer d'interrogation. Parfois, il sent ou croit sentir s’échapper de lui comme une vertu secrète,
bit saisissement. En causant avec ces messieurs, je leur dis que je croyais à la curabilité du mal; puis, tout à coup, j'ajou
s soient, ceux qui ne doutent pas de son pouvoir. C'est parce que j'y crois moi-mime, que je vous demanderai ceci : « Pour le
20 juin 1821. Après une prière commune, le prince reprit : — Vous croyez -vous déjà soulagée ? — « Oh ! oui, je le crois,
e reprit : — Vous croyez-vous déjà soulagée ? — « Oh ! oui, je le crois , d'une foi sincère ! — «Eh bien I levez-vous, e
ne larda pas à être exaucée. La nuit suivante, dans son sommeil, elle crut voir passer devant ses yeux un jeune homme en hab
oie de déduction. Passons au fait que l’on nous oppose. L'auteur le croit victorieux, parce que, comme les prédicateurs qui
n peu combien de gens parmi vo9 connaissances, vos amis, vos parents, croient aux magnétiseurs, aux tables tournantes, — écriva
e essentielle, exacte qui a guidé M. Fassy dans son travail : nous ne croyons mieux faire que de la diviser en trois points pri
e Mesmer, s'élanl occupé sérieusement du Magnétisme animal nous avons cru pouvoir le citer, malgré lc3 reproches d'inexacti
et de ses observations, méprisant des critiques qu’avec raison il ne croyait pas fondées, Mesmer communiqua son système aux Ac
ion de pensée. S’éveillant alors sous l’action de cette idée, ils ont cru apercevoir réellement le prince Dimitri, ceci en
r qui c’est. —Capitaine, vous savez que je ne suis pas poltron; je ne crois pas aux revenants; cependant j’avoue que je ne ti
Aujourd'hui que les séances de M. Home ont été racontées partout, je crois , sans m'écartcr en rien il'iin juste respect, pou
ts? — Soit ! si c est le nom qu’il vous plaît de leur donner. — Je ne crois pas aux Esprits. Mon mari, qui n’y croit pas non
laît de leur donner. — Je ne crois pas aux Esprits. Mon mari, qui n’y croit pas non plus, s’est aventuré vainement à la décou
orte, et toujours elle reste solidement close. Si bien que moi qui ne croyais pas avant mes essais, je crois moins encore depui
dement close. Si bien que moi qui ne croyais pas avant mes essais, je crois moins encore depuis leur campagne perdue. —Ne par
astie, vers le commencement du XII* siècle avant Jésus-Christ. Nous croyons utile de donner avant la traduction annoncée les
ns demeurait il « liaclitan, lorsque le prince, reposant sur son lit, crut le voir quitter son « arche ; il avait la forme d
emi qu’il lui i.> U,l combattre. * « Le basilicrogranmiate ne se crut saps doute pas préparé pour celte lutte, car il r
s le corps des pourceaux (saint Matthieu, ch. vji|, v. 31), « Je ne crois pas qu’aucun autre texte, continue A|. Cha--bas,
roduire un plus grand et déterminer une lignée de rachitiques. Vous croyez bonnement qu’on réformera cet art de mensonge et
soutenu, et tous vous Êtes destinés à subir le martyre. Les médecins croient être dans le vrai, ou plutôt ils pensent qu’en de
vous, modernes, ces extatiques qui passaient pour devins et que l’on croyait inspirés par la divinité? Notre médecine actuelle
e cette lettre adressée au directeur de la Revue Spiritualiste, et je crois que c’cst une prescription de délicatesse, une lo
’Arbaud : « M. le comte de Szapary, magnétistc très-renommé, qui ne croit pas aux esprits, annonce partout et hautement la
t pas aux Gentils : «Soyez juifs pour être chrétiens. » Il disait : « Croyez , et la foi vous éclairera sur les œuvres; vous qu
t vivre et périr avec l’empire, et (1) Trinité d'Athaxase. « Nous croyons on un Dieu non engendré, père el roi de toutes ch
ndré dès le commencement cl perpétckllemk.mt par le Père.... « Nous croyons aussi en l'Esprit, le Saint animant Imites choses
, aux matérialistes et aux alhées le repos de l’intelligence, car ils croient tout savoir et ils ne savent rien, pas même que l
mes des docteurs de la science on de la religion qui lui disaient : « Crois ceci, nous le voulons. » Aujourd’hui le monde mar
om des doctrinaires et excitaient la curiosité publique. On a dit, je crois , que rien n’était plus à craindre pour un novateu
se chantait sur l’air : Où allez-vous, Monsieur l’abbé ? Si l'on en croit certain docteur Spécifique est lin mot trompeur.
rés (1). » C’est un adversaire qui nous l’apprend, il est juste de le croire , mais que ne peut la passion ! Sa punition est de
nétiser. « L’avocat général au parlement de Dauphiné, M. de Servan, » crut se rendre l’écho des sentiments d’un grand nombre
dont elle faisait usage. Maintenant la raison publique se refuse à y croire , et tout ce qui s’y rattache est tombé dans un co
t moins répandue, et les charlatans qui s’y livraient furent reçus et crus jusqu’à la cour. On se rappelle la singulière ane
sonnes qui avaient habité l’Égypte et l’Inde, et qui avaient fini par croire à la magie, faute de pouvoir s’expliquer les pres
isait apparaître les personnages qu’il voulait, Ce n’est pas que nous croyions sérieusement à la seconde vue que procure le proc
t la vue des djinns, des efFries, et de tous les esprits auxquels ils croient d’autant plus fermement qu’ils s’imaginent avoir
ables, et les fellahs des environs du Caire, contrée dans laquelle il croit en abondance, en font usage dans leurs enchanteme
les mouvements violents des liras ou des mains nuisent plus qu'on ne croit à l'émission du uide magnétique humain. affecté
tout cela provient de la mêmeeawse, je le vois, si tu ne veux pas me croire et si lu penses que je me trompe, parce que les r
ire naître le phénomène des vibrations ou des ondulations, mais je ne crois pas que la transmission du fluide magnétique huma
re. 70. Homœopathio (l') et le magnétisme. Les médecins homœopathes croient au magnétisme, mais s’abstiennent d'en faire usag
16 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
à ellt seule à développer son esprit, car elle lui apprend à ne pas croire aveuglément au jugement des savants et lui donne
îtra erroné ; mais nous laisserons les magnétiseurs adopter ce qu’ils croiront le plus conforme à une saine doctrine. Nous dev
en, n'importe par quelles mains. Telle est notre devise. Qu’on ne croie point que nous voulions matérialiser le magnétism
gagements avec vous, ceux de vous guider encore, autant que vous m’en croirez capable, dans cette carrière nouvelle. Mes cher
aire qu’ils ne firent, et établir des principes plus certains. Nous croyons que le temps nous a dévolu cette tâche; nous la r
é morale. Est-il des êtres qui no sentent absolument rien? Je ne le crois pas; car, ayant fait des expériences extrêmement
et ce n’est que la répétition de ce curieux phénomène qui m’y a fait croire , quoique dans le principe les parents se fussent
ervé enfin dans les cas de maladies que nous avons eu à traiter. Mous croyons que c’est là la seule marche rationnelle. Dison
elle eut quatre heures de bon sommeil et le matin deux selles. On la croyait sauvée, je l’espérais aussi; mais ses médecins (i
étaient cinq), n'ayant pas été prévenus de l’essai que j’avais fait, crurent que la nature seule était cause de ce changement
accordé leur confiance. Je vais vous proposer ici les moyens que je crois les plus propres à jouir des avantages de ces déc
himie, de l’astronomie même, et vous verrez où elles nous conduisent. Croiriez -vous, par exemple, si vous n’en étiez avertis, qu
que celle de Mesmer aurait son tour; mais nous devons l’avouer, nous croyions que l'épreuve serait moins longue. Les savants, d
de juger le magnétisme, et que même il leur a dit que si lui (qui n'y croit pas) était convaincu de l'efficacité de cet agent
nt à un petit nombre d’adeptes zélés, nous avions, par approximation, cru devoir fixer le prix de l’abonnement à 15 fr. par
est parvenu un nombre d’abonnements qui excède celui sur lequel nous croyions pouvoir compter. Cet important résultat nous pe
tiel à sa liberté et à son bonheur? En effet, on uura de la peine à croire que vingt trois années d’eflbrls n’ayentpas pu dé
peu des dénégations du présent. Que ceux qui veulent s’instruire nous croient sincère ; c’est tout ce que nous demandons. Il
out à fait inattendues. C’esl ainsi qu’un jour une somnambule, que je croyais inactive d’esprit comme elle l'était du corps,
rait dans l'estomac et les intestins. Je fis cesser cet état que je croyais un désordre de ses idées; redevenue calme, elle p
étaient tellement accablantes qu’en en entendant l’exposition on dut croire qu’il serait condamné. Les crimes cachés n’écha
nt par une simple irritation de quelque organe, comme tout porte à le croire , cette irritation n'est, à son début, qu’une augm
distance. A entendre des dénégations aussi positives, on pourrait croire que c’est par une enquête sévère, des expériences
souvent en toute hâte chez moi, me priant d’y aller bien vite, car on croyait à tout instant qu’elle allait périr. Un soir qu
vec raison, de 1 inhabileté de leurs magnétiseurs, qui, de bonne foi, croyaient bien faire, mais agissaient trop. Dans toutes l
vous laisser en possession du 6ecret de Mesmer, »pii. vous pouvez le croire , est une grande découverte philosophique. » Jj€
ir embrassé tout l’enchaînement de ses principes; c’est pourquoi j’ai cru nécessaire de produire le système de la nature do
s yeux ; les images ou les pensées de l’homme ne le sont pas; mais je crois néanmoins que ces images ont une existence substa
Fils et le Saint-Esprit, demandez-leur s’il n’est pas raisonnable de croire (raisonnant par analogie) qu’il y ait dans la tot
ant aperçu qu’en magnétisant, soit pur distraction, soit parce que je croyais bien faire, les extrémités inférieures des person
é avec un état de bien-être inaccoutumé. Le foie, que l’on pourrait croire tout à fait insensible à cause de sa structure et
tte manière, l’expérience nous apprend qu’il y a bien peu de gens qui croient , vieux, ce qu’ils ont cru, jeunes. Il y a des i
apprend qu’il y a bien peu de gens qui croient, vieux, ce qu’ils ont cru , jeunes. Il y a des idées qui naissent avec nou
on singulière du somnambulisme magnétique. J’étais comme vous, je n’y croyais point; ma raison rejetait au loin toutes ses merv
; il n’a pas su, on ne lui a pas dit comment arrive le génie ! Ici, croyez -moi, l’étude, toujours l’étude ! Le repos n’est
rs travailler; ce n’est qu’à ce prix que la nature lui vend ce quon croit quelle lui donne: une supériorité marquée sur tou
hose 1h plus difficile est de savoir gouverner le somnambule. Vous le croyez tenir, mais c’est un Protée; aujourd’hui il esl c
urs, lève leurs doutes; l’orgueil commence alors à se développer; ils croient à leur mérite, prennent pour eux ¿veillés ce qui
esser d’être le maître. Mais vous n'êtes pas au bout. Ces somnambules croient toujours que vous leur cachez quelque chose; il
nent fie profiter de leur sommeil pour obtenir des révélations qu’ils croient sans prix, et s’imaginent que vous gagnez des mon
ne pouvez les convaincre, car, à chaque instant, on exalte ce qu’ils croient leur propre mérite. La fréquence des communicatio
voir jamais l’espérance de pouvoir remonter. Même à mon réveil, je ne croyais pas avoir remonté, a Le sentiment de l’espace, et
ité. Ceci pourtant m'effrayait moins que le prolongement du temps; je croyais quelquefois avoir vécu soixante-dix ou cent ans e
e chose dans les livres modernes, accompagnée d’une remarque que jp crois également vraie, c’est que Le livre tvdouiablc
lui montrai la tumeur que je venais de lui enlever; il ne voulait pas croire que ce fût la sienne, et il porta de suite la mai
, je n’y suis pas étranger, et, d’un autre, qu’il est peu de gens qui croient ce qu’ils lisent, quand il s’agit de fails de cel
le puisse s’en servir. Pour cela, il faut « faire d’autres gestes. Ne croyez pas cependant que « cette immobilité ne soit que
malade fut réveillée. On lui dit ce qu’on avait fait ; elle 11e nous crut pas d'abord, mais, voyant son fichu ensanglanté,
voyez que nos grands physiologistes ne connaissent point la vie, et, croyez -le, je ne touche ici que les plus petits faits pr
ux changement, d’une altération si profonde des lois de la vie ! Ne croyez point pourtant qu’il y ail destruction de quoique
t-être plus tard rendrons-nous compréhensibles tous ces faits. « Je crois nécessaire, dit Cabanis (1), de rappeler ici part
irais à Vécole si je savais trouver un maître plus habile, et ne m’en croirais point humilié. Le magnétisme n’est point pour moi
dans le magnétisme. Et, selon les somnambules, cette vie même où nous croyons être si fort éveillés, entendre, voir, goûter, fl
utenables et appuyées sur des faits qui les rendissent inattaquables, croyez -vous qu’on nous laisserait en liberté établir la
uverte? Vous n’oseriez l’assurer, ou plutôt il faudrait être fou pour croire à une tolérance non-seulement de la part du pouvo
de la part du pouvoir, mais des masses aveugles et fanatiques qui se croient éclairées par le passé et la sanction que les siè
nous donc dit, qu’avions-nous donc fait ? Mais simple que je suis, je croyais que l’erreur seule avait pour ennemis les prêtres
uand je vis |e traîneau entrer dans l’établissement des postes, je me crus pris et dirigé sur la route do la frontière. S’il
t plus dangereux pour toi que ce n’est pas un homme vulgaire et qu’on croira ce qu’il affirmera, car son caractère est franc e
’amers breuvages; de savants Allemands les ont préparés, et pourtant, croyez -moi, ils ne sont pas meilleurs. Voyez-vous ces
mare une lettre de voilure dont était porteur Balicle, et‘l’on avaii cru qu’il avait pu y ôlre précipité. Enfin , la somna
e cette somme, est douloureusement surpris de ne pas la trouver où il croyait l’avoir déposée. Ayant renvoyé la veille une dome
assurer de l’exactitude de la révélation, el trouve son argent, qu’il croyait bien perdu sans retour. — L’hiver dernier, M""
prié à la nature des « travaux de la société que notre collègue s’est cru obligé de « le lire en entier. C’est qu’en effet
orps incompré- Iicnsibles vont s’agiter d’une étrange manière. Vous croyez un repos prolongé nécessaire, indispensable, pour
ne maladie propre à exercer son savoir et sa patience; car, lorsqu'il croira au succès de ses efforts, les crises reparailro
t, et portaient leurs mains sur les parties de leurs membres qu’elles croyaient avoir été frappées. Deux mois el demi m’ont été
amenais ainsi, en reproduisant l’amé- lioration perdue, le malade ù croire à 1 efficacité du magnétisme. Cependant je ne p
chez M. Marcillet, la tête en feu, ne sachant plus que penser el que croire , car enfin Alexis avait dit vrai. Oui, le 1!) j
recommanda à ses camarades sur la roule que la garnison suivit, je crois , même jusqu’à Lisbonne. — L'est sans doute vous,
n’avoir pas eu soin de demander le nom de mon bienfaiteur; sans cela, croyez -le bien, j’aurais pris l'avance pour vous écrire
pas la qualité. Pour en avoir pris plus que rie raison, le diable, je crois , s’apparut à moi la semaine passée durant la nuit
pe que je laissai allumée dans ma chambre toute la nuit. « Comme je crois difficilement les contes qui se font ordinairem
nt ordinairement des apparitions d’esprits et de spectres, etc., je croyais encore ou que je dormais, ou «pic, du moins, si j
ent qu’ils étaient inaccessibles à toute espèce de crainte, qu’ils ne croyaient ni aux esprits ni aux revenants, et me parurent p
urs qui hasarderont de nier la production de ce coma. « Et qu’on ne croie pas, comme on le suppose fré- quemment, qu’il n
e une erreur de M. Du Potel, que je suppose involontaire. On pourrait croire , d’après lui, que non-seulement le magnétisme est
43 r. (d) Pour éviter tonie fausse interprétation de ces vers, j’ai cru devoir fair • Imprimer l’original, dont je donne
que je cherche à montrer: cette assemblée en est-elle digne? Jo ne le crois pas et je cesse de poursuivre. Eh ! vous, jeune
face, vous semblez illuminée. Votre mère accourt effrayée, elle vous croit en danger; erreur excusable! car l’action magnéti
-nous, vous saurez, car souvent, par imitatif , on fait ce dont on se croit incapable. Quelquefois aussi la révélation nous a
béquille, qui, lu nuit, dans un songe, m'est apparu II m'a dit : «Tu crois savoir « magnétiser ! Tu ne sais rien. Regarde-mo
i vu qu’il exécutait des choses surnaturelles. Eveillé, troublé, j’ai cru à mon rêve, je me suis mis à répéter ce que j’ava
te s’incline et s’arque. Vous me priez de cesser ! Vous vous rendez , croyez -vous au magnétisme maintenant? Jactance humaine,
, légèreté impardonnable, vous existez dans tous les pays. L’homme se croit fort parce qu’il a des doutes, tandis que celui q
s idées, et que, dociles à écouter la voix de l’expérience, ils ne se crussent point d’une grande habileté après avoir produit q
vu des personnes s’endormir promptement sous la main d’hommes qui se croyaient peu propres à devenir magnétiseurs. Plusieurs foi
fections, chaque médecin appelé donne un nom différent , selon qu’ils croient saisir la cause réelle des désordres et surtout l
ehors; elles étaient tellement abondantes, que la malade n’eu pouvait croire ses yeux. Ces premières déjections la soulagèrent
que, eussent inévitablement amené une lièvre «dynamique. Fallait-il croire à l'efllcacité des purgatifs? Non. On on avait us
ns une imagination troublée par la crainte Ce qui me ferait pencher à croire qu’il y a de véritables spectres, c’est ce qu’on
niers devoirs il ne troubla plus le repos de cette maison. Ceci je le crois sur la foi d’autrui; mais voici ce que je puis as
ltés refroidies peut-être, endormies cl seulement en germe. Nous ne croyons poinl forfaire à la raison en avançant ce qui pré
s diriger suivant le plus ou moins de force de notre volonté? Nous le croyons , nous, et ce principe ne nous semble devoir être
i s’offraient à leurs yeux, ei que d’ailleurs 011 ne voudrait pas les croire . Ramenées à I état normal, elles ne gardèrent p
le môme éionnement que tout le monde de ce qu’elle voyait. Nous ne croyons pas qu’on puisse mettre en doute celte expérience
lle impondérables (calorique, électricité, lumière, aimant)? Mesmer croyait que c’éiaii une propriété du corps animal, et par
i suivi, et au bout d’un mois, contre l'attente de ses proches qui le croyaient perdu, ce malade fut bien. Séance du 9 juillet.
. ■ Maintenant le magnétisme est partout; qu’en va-t-on faire? Vous croyez que la science va s’en occuper, l’étudicr? Pas (l
eu les hommes! Tenez : une princesse souffre, languit, se meurt; vous croyez qu’on va essayer de la soulager; vous vous trompe
vous donne à vous-môme de lagône et de la douleur. Vous ôtes fondé à croire qu’on va chercher dans le magnétisme une ressou
croire qu’on va chercher dans le magnétisme une ressource que vous croyez presque infaillible pour la guérir! Non, non; un
s hommes dont le vaste esprit embrasse toutes choses; mais ceux-là se croient peu savants qui le sont vraiment; ils sont comme
le sont vraiment; ils sont comme des demi-dieux qui veulent qu’on les croie hommes. Dans ce pays, des gens simples (mougiks
istinctement le jour de l’intelligence, je tracerai des règles que je crois exister, et je tâcherai d’établir les lois qui pr
ouvrir la bouche. J’essayai vainement de faire cesser ce mal, que je croyais passager. Après plusieurs heures, son état persis
endant en entrant chez lui je ne souffrais aucunement ; je ne pouvais croire à ce singulier phénomène. Je voulus m’assurer de
nt raconté le môme fait; j’avoue que pendant longtemps j’ai refusé de croire à leurs témoignages ainsi qu’au mien môme. Aujour
Martin, qui, par ouï-dire, connaissait un peu le mesmérisme, mais n’y croyait point, et décidément doutait de la praticabilité
vant être proportionnées à la punition méritée, on pourrait peut-être croire que le plus ou moins d'existence de chaque corps
m au ciel! Phrase frappante qui n’est peut-être qu'uue révélation I croyaient à la réalisation de bien des songes et à 1 accomp
en Italie et dans d’autres pays ouverts à la gloire et au génie, 011 croyait religieusement à ces choses. Pourrait-on dire que
quarante pieds. Eveillé par le bruit de sa chute, son maître, qui le croit s'non tué, du moins très-dangereusemeni blessé, e
is il a élé le spectateur de ses étonnants phénomènes, et pourtant il croit , parce qu’il rêve que chaque génération qui s’éco
s un grand partisan de celte nouvelle science, le célèbre Dcleuze, je crois , l’ayant rendu témoin de quelques expériences pro
r les heures ou vous faire suppléer près de l’un des deux malades. Ne croyez MANUEL DU MAGNÉTISEUR. (Suile.) pas que l’i
’une maladie nerveuse, mon traitement était agréé par le médecin ; il croyait au magnétisme, mais il jugeait qu’on devait donne
édai. Devais-je me fâcher contre un homme qui était de bonne foi, qui croyait au magnétisme, niais aussi à l’efficacité du moye
orgueil et une susceptibilité trop grande parfois pour être vaincue? Croyez -vous que dans cette circonstance le médecin était
imer la surprise où fut le marquis de Percy à cc discours. Ne pouvant croire ce qu’il entendait, il fit de nouveaux efforts po
l entendait, il fit de nouveaux efforts pour embrasser son ami, qu’il croyait le vouloir abuser, mais il n’embrassa que le vent
’avait dit Percy, ceux à qui il avait conté l’aventure commencèrent à croire qu’il en pouvait bien être quelque chose, parce q
iale. Ecoutons ce nouvel avocat : Nous vivons dans un temps où l’on croit peu aux miracles, et s’il y avait par-ci par-là q
u témoignage de ceux qui les attestent, c’est à peine si nous nous en croyons nous-mêtne, lorsqu'ils sc manifestent sous nos ye
que soit la rareté d’un phénomène, nous n’avons pas la folle idée de croire qu’il {Riisse intéresser chacun au môme degré. Le
s ses inscriptions, obtenu ses grades, il ne pourra se flatter d’êlre cru sur sa parole. Il n’est que le bonnet doctoral po
idité des somnambules serait l’indice et la première révélation. Nous croyons que la méthode employée dans les sciences pour la
e persuadera qu’ils finissent par mettre le doigt sur la vérité. Nous croyons qu’un médecin éclairé, el ils lesonl tous aujourd
et extraordinaires ; que de même ceux qui aujourd’hui refuseraient de croire à scs effets psychologiques ne l’empêcheraient pa
serait éternisée, en quelque sorte, par la voie de l'imprimerie, j’ai cru qu'en nia qualité do membre adhérent du congrès,
sur mon compte. « J’ai varié de mille façons ces expériences que je crois « très-peu connues, cl j’ai toujours réussi, lors
de son imagination, s’est engagé dans cette voie investigatrice qu'il croyait inexplorée. Mais retenu par des craintes légitime
é dans ce moment solennel. A Paris, ce centre des lumières, vous vous croyez forts parce que vous ôtes nombreux, parce que vou
obtenu qu’un seul résultat heureux accompagne de circonstances qu’il croit utile de rappeler. Une malheureuse femme, trait
tion d’in-filtrations du tissu cellulaire des jambes, adections qu il croit liées à une maladie du cœur. D’aulres membres p
i, son syslèmo, sa doctrine*, qu’il est venu ù l’esprit de tous de se croire aussi grands, plus grands que les maîtres, et de
esl extrêmement facile à tromper; sa bonne foi est si grande et il croit si fermement à l'impossibilité de lui résister qu
çons l’existence de ce sommeil qu après un examen attentif. Comment croire à une simulation....? Eh! mon Dieu, les honnêtes
x faits dont j’ai l’honneur de vous entretenir. Veuillez, Monsieur, croire aux sentiments respectueux de votre très-dévoué s
e; celte préoccupation le suivit dans son sommeil; au moment où il se croyait , dans un rêve, livré de nouveau à son travail, cl
alité et d'une vie future. Avant, j’étais matérialiste; je ne pnuva's croire à des écrits remplis d’allégories «t de mystères.
ée de l’avenir, et la mort était pour moi l'anéantissement du moi. Je croyais à un principe do toute existence, mais jms â autr
plus acharnés du magnétisme. Inutile de dire qu’il 110 voulut pas me croire , il refus.".il même de venir voir; enfin il se dé
me répondit-il, l'Acndémie verrait lofait qu’elle ne voudrait « pas y croire ; je vous conseille même de 11’en rien dire. » (Aq
Donné pur Mesmer ù M. le man/iiisde Puységur. » Il y a tout lieu de croire qu’avec des documents aussi précis la commission
baron Du Potel, qui auront lieu désormais au bureau du journal. Nous croyons faire plaisir â nos lecteurs en leur annonçant qu
’on a dédaignée, vous qui avez fait connaître des dangers que l’on ne croyait exister que dans votre esprit ; accourez, car vou
été plus sobre d’explications, et vos défenseurs seront ceux que vous croirez peu persuadés. Tout eo qui semble contradiction n
mais que de peines, que d’angoisses pour celui qui l’avait opéré ! Croyez -vous que l’on fut reconnaissant, que l’on rendit
ute maladie grave. Prononcez-vous alors, annoncez le succès si vous y croyez , et, dans le cas contraire, montrez la maladie, p
ar souvent la mort a rendu son arrêt, la vie s’en va, et lorsque vous croyez la tenir et la fixer il ne vous resle qu’un cadav
semble encore pour lui qu’un Dieu le soutiendra dans la lutte, car il croit qu’un Dieu s’occupe des affaires des hommes, et q
Si j’étais sorcier, magicien, je pourrais leur jeter un sort; car on croit ici aux sorciers. Malgré tout, je vais avoir un a
t, et au bout d’un mois de traitement la dame B..., que tout le monde croyait perdue, put reprendre ses occupations habituelles
et baisse son bras sans douleur, et fond en larmes de joie, car elle croyait l’usage de son membre perdu à tout jamais. LÉSI
e découverte, des hommes s’élever pour protester et pour mau- dire. Croyez -vous qu’ils soient mus par de nobles pensées, et
17 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
ir la syphilphobie, une forme d'hypocondrie dans laquelle les malades croient être syphilitiques. C'est un état psycho-pathique
trouvé d'exemples dans la littérature que j'ai pu consulter, mais je crois que les formes légères de cette manie se présente
puis pas exposer ma famille n de telles possibilités ». Lui aussi so croit un homme exceptionnel et il pense que la fatalité
ant six mois et plus, suivant la gravité du cas, et il y aura lieu de croire a une guérison complète. Tout d'abord un peu in
de mes suggestions ne s'affaiblit par la distance et par le temps, je crus que faute de mieux, une « séance à distance » lui
s endor- « mirez pendant une demi-heure. Durant ce sommeil, vous me croirez « à vos côtes, vous répétant les suggestions des
demander que « de vouloir bien m'écrire encore pour le même objet. « Croyez à ma profonde reconnaissance. « H. Mac... » J
imable Revue, fût absolument outrageante pour moi. je n'ai pas encore cru pouvoir la dédaigner. Gomme première réponse à ce
1889 : à la page 59 du Compte rendu de cette assemblée, on lit : - Je crois qu'en Belgique tout le monde est hypnotisable ».
nion et accumulé presque autant d'erreurs que de mots. Et que l'on ne croie pas qu'il s'agisse d'une note banale; assurément
; je prie mes honorables confrères de l'étranger, je les prie de bien croire que telles ne sont pas les formes ordinairement u
qu'elles contiennent une grande part de vérité. Il ne se refuse pas à croire à la possibilité des suggestions criminelles, car
is et l'École de Nancy ne sont pas aussi accentuées qu'on pourrait le croire . Souhaitons que bientôt la même entente puisse
on somnambulisme était réel ou simulé. En France, nos juges n'ont pas cru devoir s'attacher a ces considérations tout à fai
qui out exercé eu Afrique, eu est le signe révélateur. M. Mauthner croit que le sommeil naturel résulte d'uu trouble fonct
nt les effets les plus désastreux, notamment la surdi-mutité. Nous ne croyons pas inutile de publier les résultais d'une enquêt
us. — Soit jalousie, soit aveuglement, je suis seul, — du moins il le croit , — à ne pas être convaincu de sa haute compétence
, en éloquence comme en urbanité, comme en grammaire. Un moment, il a cru deviner sous mon dédain apparent une manœuvre hab
e fameux rapport que son auteur, par antiphrase, qualifie de modeste. Croyez -moi, vos lecteurs vous en sauront gré. Car ils de
ux jour le rdle que j'avais joué, bien malgré moi, dans le procès, je crus devoir, par une lettre insérée dans le numéro de
ort de? savants des innocents et des coupables. C'est pourquoi j'ai cru de mon devoir d'écrire ces quelques pages. J.
ue tous fussent devenus hailucinables si j'avais insisté. Or, je ne crois pas que l'on puisse raisonnablement soutenir que
e latent. L'hystérie, en effet, occupe un champ plus étendu que ne le croit M. Bernheim ; c'est ainsi que l'hystérie de l'hom
de l'hystérie. Pour toutes les raisons que je viens de résumer, je crois que les relations intimes qui relient l'hystérie
lente et continue de cette force sur une idée prédominante. • J'ai cru devoir rapporter aujourd'hui devant la Société, u
ements qu'elle fil et grâce aux affirmations négatives de son mari, à croire qu'elle était fictive. Quand celle profonde émoli
ois comme celte malade était bien décidée à essayer ce traitement, je crus qu'il serait bon de la faire assister à une séanc
e. » Ce vœu a été émis à l'unanimité, moins deux voix. Nous avons cru , messieurs, devoir relire.avec l'attention qu'ell
des assistants. * El il disait : « De même que nos législateurs ont cru faire chose utile et morale « en fermant les mais
unités scientifiques qu'il .-st jiermis de négliger. Nous n'avons pas cru pouvoir dédaigner à ce poinl l'opinion d'observat
lle mérite quelque attention. Méconnaître l'opinion du public est, je crois , aussi insensé que d'y attacher une trop grande i
s grands adversaires, naturellement, — vont plus loin encore : ils se croient obligés de prémunir le public contre l'influence
aires; de sorte que le nombre des susceptibles se montait à 98 %- -Je crois devoir attribuer celle différence de 6 % avec mes
La différence du chiffre de ma clinique et de ma clientèle privée, je crois pouvoir l'attribuer au plus grand sentiment de dé
ses ou des inclinations mauvaises, les deux cas suivants méritent, je crois , une attention spéciale : La nommée P.... âgée
our se redresser tant soit peu. Ce cas m'embarrassait beaucoup. Je ne croyais pas pouvoir le soulager beaucoup, et parfois je n
il n'y a pas suggestion), ou bien, impressionné par ce que je dis, il croira un moment (la suggestion a lieu}; mais le cerveau
pas suivie d'effet. De même si je dis : « Voici un chien. » Le sujet croit un instant ; le cerveau cherche à ébaucher l'imag
est paralysé! », ce quelqu'un, impressionné par ma parole, pourra me croire tout d'abord. Mais la paralysie ne se fait pas
i déposée. Si je dis à quelqu'un : c Voyez ce gros chien ! •, il me croira au premier abord, car il n'a aucune raison de ne
il me croira au premier abord, car il n'a aucune raison de ne pas me croire . L'idée du chien se présente à son esprit; il se
ai vu la troupe, le toit qui s'est écroulé. — Vous avez rêvé. — Je ne crois pas. J'étais levé. » J'insiste : « C'est un rêve
« C'est un rêve que vous avez eu. t II finit par me dire : « II faut croire , puisque j'étais à l'hôpital. » (A suivre.) S
que très peu de résultats chez un très petit nombre de sujets. Je ne crois pas à la réalité des faits d'hypnotisme qui nous
ffit pas de le nier, comme le fait M. Benedickt; il faut, si l'on n'y croit pas, le combattre par des faits aussi soigneuseme
ate. Notre pédagogie féminine excelle en ce genre de direction. Je ne crois pas qu'il en existe de plus riche, de plus pénétr
es se développant dans les limites des éléments nerveux excités. Je crois qu'après tout ce qui a été dit, il est inutile d'
é, regarde autour de lui, cherche où il est. « Où suis-je donc? Je me croyais à Paris. » 11 me raconte tout ce qu'il a vu, me d
rnheim, le caractère fondamental de l'hypnotisme. Mais il ne faut pas croire que les hypnotiques soient, comme on l'a dit, a l
re dont il soit possible de démontrer scientifiquement la réalité. Je crois qu'il n'est possible d'arriver à cette démonstrat
er que la suggestibilité du sujet en observation est exaltée. Jo ne crois pas pourtant qu'il faille exiger pour admettre qu
es; si en pareille circonsunce. j'avais toutes les raisons morales de croire à la sincérité du sujet en question, j'admettrais
érable que la guérison de l'épilepsie mérite de nous arrêter. Mais je crois qu'une affirmation aussi capitale, quelle que soi
arurent. J'ai autrefois fait trépaner des epileptiques et je les ai cru guéris; je me trompais, ils avaient seulement bén
ue, et cela chez quelques-uns de leurs malades seulement ; mais je ne crois pas qu'ils puissent affirmer que celte améliorati
es de mes idées personnelles sur celte question si iotéressante. Je crois que, pour que la question puisse être utilement é
tous les somnambules ne sont pas accessibles a ces suggestions, et je crois , i ce point de vue, qu'il faut diriser les hypnot
des manœuvres d'hypnotisme, ou qu'ils n'ont pas été hypnotisés. Je ne crois pas que cela soit suffisant ; je pense qu'il faut
es conséquences que lui au point de vue de la responsabilité. Je ne crois pas, du reste, toujours en me plaçant au point de
iminelles, je ne conteste pas les allégations de M- Déjerine, mais je crois que la divulgation de pareils faits, à l'occasion
gard et jetées en pâture à un public incompétent; efforçons-nous — je crois que c'est notre devoir — de ne pas en accroître l
j'en ai été profondément impressionné. Que certains de nos collègues croient qu'il est préférable de ne pas porter Jusqu'au gr
tous les méfaits imputables aux séances privées >. Nous pouvons, croyons -nous, messieurs, dire avec l'honorable M. Masoin
ualité pour exercer l'art de guérir : cette qualité donne le droit de croire qu'ils n'auront recours à ces pratiques que pour
ndique comme limite l'âge de dix-huit ans. Votre Conimission spéciale croit qu'il faut aller plus loin, et étendre la protect
qu'avec des sujets entraînés. Mais ayant eu à traiter des malades, je crus m'apercevoir qu'il n'était pas toujours nécessair
alors et aujourd'hui occupant de très hautes positions, qui n'ont pas cru se déshonorer an montant sur la scène pour épro
herches, ont pris les mêmes précautions contre la suggestion. Et nous croyons pouvoir l'affirmer avec certitude pour les plus r
duit uniquement au sommeil et à la simple suggestion. Voilà pourquoi, croyons -nous, beaucoup d'observateurs (et nous devons cit
somatiques, non seulement ne sont pas caractéristiques, comme on l'a cru , des diverses périodes de l'hypnotisme, ne justif
a mis en évidence ces phénomènes d'une façon telle qu'il nous a fait croire qu'ils ont été uniquement provoqués par lui. Cela
as déjà par la condition morbide. Et c'est une grande erreur que de croire qu'on pourrait instituer un cadre phénoménique ty
'hyper excitabilité neuro-musculaire, culano-musculaire, etc., elle a cru que ceux-ci étaient les vrais et les plus impoi-t
ologiques, auparavant inconnus. Ainsi, l'école de la Salpétrièrc, qui croyait avoir découvert des symptômes paihogno-moniques d
pas, dans son application, une chose si simple que voudrait le faire croire le professeur Ewald, de Berlin; loin de pouvoir c
t en pourrait bien tirer. La suite a prouvé que j'avais tort. Je ne crois pas qu'on puisse attribuer au traitement spécifiq
les alaxiques de l'hôpital Saint-Louis, ils ne paraissent guère, à en croire le professeur Charcot, être doués des mêmes rertu
facilité avec laquelle elle a pu être hypnotisée. Car il ne faut pas croire que l'on puisse toujours endormir des malades à l
ème, la cinquième ou même la sixième visite. Beaucoup de médecins qui croient à la suggestion et à l'hypnotisme, voyant pratiqu
prit, il est presque certain qu'il se retirera dégoûté et refusera de croire à la vérité d'aucune de nos assertions, tandis qu
ait parfaitement et avait perdu tout penchant pour les stimulants. Je crois que la guérison aurait pu être durable, mais malh
se rapportent spécialement à une clientèle privée, et on trouvera, je crois , que la bonne volonté et le désir de s'améliorer
s alors même que l'hypnose profonde eût été impossible chex lui, je crois qu'une suggestion bien faite à l'état de veille e
onté forte, afin de lui communiquer la force de la volonté; lui faire croire qu'il est moralement libre, maître de soi, afin q
aît être mal fondée; 6° L'expérience nous apprend qu'il est faux de croire à une soumission permanente de la volonté du mala
ndre compte de la valeur de la loi qui vient d'être votée. Si nous en croyons les conclusions de l'article suivant que nous emp
sa science, sur son habileté, sur sa prudence et sur son honneur. Je crois que le corps médical est digne de celle marque de
sions être dans la défense des prérogatives de notre profession, nous croyons devoir exprimer nos réserves sur un point. Il exi
que, quoique cet enfant fût imparfait, elle n'avait aucune raison de croire qu'elle ne serait pas plus heureuse une autre foi
nte, etc. D'ailleurs, les psychologues et les physiologistes modernes croient que le fœtus, longtemps avant de venir au monde,
veau de certains sujets les images de scènes et d'événements dont ils croient avoir été spectateurs, bien que ces événements n'
tel accent de sincérité que l'honorable magistrat qui l'avait entendu croyait que le fait avait réellement existé. Pour le détr
fait sortir la vérité de la bouche des enfants, et qu'on ne peut les croire capables d'inventer de telles histoires ou pousse
ions diurnes, à l'état de veille, à l'inanité desquelles le malade ne croit pas, n'existent pas dans le cours de celte intoxi
rité des personnes est hypnotisante, par conséquent suggestible. A en croire Liébeault, qui a une grande compétence en la mati
édulité extraordinaires à l'étal de veille. Ses compagnes lui faisant croire tout ce qu'elles voulaient, lui faisaient exécute
malfaiteurs, qui voyaient qu'on pouvait tenir la justice en échec, se croyaient autorisés à tout oser. Heureusement, le procès du
vérité du vieux proverbe : Bon chien chasse de race, » Jamais — je crois — on n'a rencontré meilleures preuves de la loi d
ns doute cela est vrai et rationnel dans une certaine mesure. Mais je crois qu'on a exagéré la théorie du surmenage contempor
sser par exemple un objet à terre. L'aspect déprimé du malade faisait croire à la sœur du service que le malade était dément.
bien marcher; le tremblement existe toujours dans la jambe droite. Il croit qu'il marche moins bien; il voudrait s'en retourn
d'un traitement approprié, l'épancbement se résorba assez vite, et je croyais en avoir fini avec cette malade, lorsqu'on vint m
en somnambulisme et parlait alors avec des êtres imaginaires; elle se croyait au ciel, voyait les personnes quelle avait connue
ait conformément à ses idées délirantes et au milieu dans lequel elle croyait être. Au réveil, elle ne se souvenait pas d'avoir
ppellerai en quelques mots les raisons pour lesquelles je continue de croire à la valeur du mot neurasthénio et du type qu'il
série d'observations cliniques ; c'est que, en effet, il ne faut pas croire , parce qu'il y a des neurasthéniques remuants, ir
es, morales ou intellectuelles oui ici la même valeur. En somme, je crois et continue à soutenir cette thèse que le mot neu
au moins si leur intelligence n'était pas atrophiée ou rudimentaire. Croyez -vous que l'homme qui baptise son fils Epaminonda*
renseignements précis sur eux. Ce devait être, on peut sans peine le croire , des êtres très suggestives et facilement malléab
s pages. A quoi bon? Ce serait toujours la même chose. D'ailleurs, je crois être arrivé au but que je me proposais, c'est-à-d
ntrainte de manger, malgré son impulsion à refuser les aliments. Je crois quo ce dernier résultat serait survenu plus têt s
as de M. Goix, avait son point de départ dans une auto-suggestion, je crois qu'un artifice utile pour dissiper l'entêtement d
qui la fil souffrir beaucoup; les larmes de sang cessèrent el elle se crut guérie. « Le 24, le 25, le 26, le même phénomèn
est »ur le point d'être guérie, elle va sortir de l'hôpital. Nous ne croyons pas, en présence de sa facile obéissance à la sug
paru. Il y a de cela environ six semaines. Il n'y a pas de raisons de croire qu'elles réapparaîtront; et, en tout cas, une nou
e quand nous lui mentions, c'est-à-dire que nous faisions semblant de croire qu'il y réussissait. J'anesthésiai ensuite par
roborer les déductions de M. Mesnet. Mais voici qui est nouveau, je crois . Cette dame est, nous venons de le dire, débarr
rer de conclusion définitive puisque le phénomène persiste; maïs j'ai cru qu'il était inutile d'attendre davantage pour sig
pour signaler au moins cet affaiblissement. Si, comme j'ai lieu de le croire , il allait s'accentuant, il serait assez légitime
de : PSEUDO-URTICAIRE DERMOGRAPHIQUE, montrant clairement ainsi, croyons -nous, que dans ce phénomène, le signe dermographi
e savants officiels et d'autres, c'est beaucoup plus vrai qu'on ne 1« croirait a première vue. Voyons les raisons invoquées à
l'organisme, c'est une maladie. » Mais on n'en continua pas moins à croire généralement que les affections mentales étaient
as moins très réels, et que j'avais constaté de visu, j'ai commencé à croire que mon scepticisme pour les phénomènes spi-ritiq
rès le livre de Janet sur {'Automatisme inconscient. Ce médium, qui croit écrire sous la dictée du Tasse ou de l'Arioste et
énergique, reste inactif et n'a plus conscience de ce qu'il fait : il croit alors agir sous la dictée d'une autre personne.
parle plus en latin; mats le public, qui ne fait pas cette critique, croit que le médium parle le latin par inspiration des
n trouverons l'explication plus exacte et moins merveilleuse qu'on ne croyait tout d'abord et, en attendant, gardons-nous de ce
royait tout d'abord et, en attendant, gardons-nous de cette erreur de croire que tous soient des simulateurs et nous seuls des
ose en plaques. Aujourd'hui je ne vous relaterai que deux cas qui, je crois , présentent quelque intérêt. Le premier est cel
t invétérée » de Macbeth eût été enlevée par des suggestions, mais je crois que beaucoup de troubles mentaux, effets de chagr
it le visage du sujet, sa tête était tombée de côté. Un instant je la crus morte; celte pensée venait de traverser mon espri
'action de la suggestion hypnotique sur les fonctions inhibitives, je croirais cette dernière alternative la plus probable. J'en
e pourrait pas trouver la vérification de celte manière de voir, j'ai cru reconnaître: !• un cas de condition seconde spont
giment. Par diverses suggestions à l'état de veille, ce clairon s'est cru nommé sous-lieutenant; il a du sa nomination, qui
mmandant G... le disait à son colonel, mais seulement 4 •/•» comme le croit M. le LV Liébeault, dont la haute compétence en c
e fermer les yeux sur une (elle situation? En vérité, je n'y veux pas croire . Car, enfin, je voudrais bien qu'on ne se borna
'on ose enfin envisager virilement un aussi terrible danger! Qu'on ne croie pas qu'il pourra être conjuré par l'inaction et l
touche à la paix des familles, à leur sécurité, à leur honneur. Je me crois tenu, en conscience, de dire, sur ce point, toute
ur cent peuvent être réduites a un automatisme absolu. Et que l'on ne croie pas qu'il faudra toujours prendre les allures d'u
n somnam-bulcs et suggestibles! Il n'importe. L'idée est jusle, je le crois du moins. J'attendrai patiemment qu'elle ail fait
place me manque, je le répète, pour proposer l'interprétation, que je crois la «ule possible et la seule exacte, de ces trois
ommençait i donner des signes de folie avec délire de persécution; il croyait voir trois individus qui, poignard en main, le po
rien et qu'il se trouve bien. Pour ne pas fatiguer, je dirai que je crus qu'il était temps et indiquai le traitement psych
s que je ne mentionne ni ne détaille pour ne pas trop m'étendre. Je crois donc et affirme avec conviction, d'après des fait
qui ont été « condamnés en deux instances pour escroquerie, M. Masoin croit devoir « exposer cette affaire devant l'Académie.
agements de ses chefs. Après des séances publiques d'hypnotisme, il crut remarquer qu'un de ses collègues, avec qui il ava
sibilité de pareils crimes, et je reproche trop vivement à ceux qui y croient de les affirmer mus preuves suffisantes, pour tom
ille d'une suggestibilité excesssive, que ses compagnes lui faisaient croire tout ce qu'elles voulaient. * Aussi, sa suggestib
plus complète. Je me permets de vous en soumettre quelques cas que je crois intéressants. I. — Une demoiselle A.... âgée de
paux faits à relever chez cette malade, ut, à la voir en cet étal, on croirait difllcilemcnt, au premier abord, que sa mémoire n
potents pour l'annuler**... Le jury représente la société même, il se croit au-dessus de la loi, sous prétexte qu'il se confo
ériodiquement une douzaine de citoyens, pris un peu au hasard, qui se croient autorisés à ne tenir aucun compte des lois prolec
ue la différence des points de vue produit ici des malentendus, et je crois à cette occasion devoir recommander à tous les le
ièrement propres à ce but, parce qu'elles jouent au naturel, qu'elles croient à leurs mensonges comme Tartarin de is Tarasc
germe résulté de la conjonction du spermatozoïde et de l'œuf. Nous ne croyons pas au libre arbitre, illusion provenant de la co
Etat qui finit par augmenter les habitudes de prostitution, par faire croire au public que la prostitution est nécessaire à ch
ns les jambes avec convulsions. Son médecin l'ausculte et la percute, croit trouver quelques indices suspects et lui demande:
mélancoliques — à se voir si bien surveillées de cette façon. Nous croyons mtér^essant de rappeler, en terminant ces quelque
de péripéties, de celle jeune femme, histoire assez curieuse que j'ai cru devoir raconter à la Société, et qui montre, une
n, mais curieux en ce qui concerne l'accouchement retardé el que j'ai cru intéressant de rapporter, car, s'il y a des accou
d'une femme mariée hypno-tisable, si elle aime son mari : On loi fait croire que l'on est le mari. De là l'air souriant de la
peut-être sincère quand il affirme que M"* G... l'aimait; il a pu le croire . Ce aont ses propres paroles. Bien de plus facile
mo suis longuement expliqué sur l'efficacité de cette précaution; j'y crois très peu; mais au Sénat, l'honorable M. Souparl,
voir ce qu'il faut entendre par les mou ¦ donnés en spectacle ». Je croyais la discussion épuisée sur ce point; elle a été lo
n étani admis — tomber sous le coup de la répres-on pénale, et j e ne crois pas qu'il fut possible de le dire plus clairement
— Je ne veux pas opposer ma compétence à celle de M. Heynen; mais je crois qu'il y a des cas où l'intervention de l'hypnotis
e pratiquer utilement! Telle est la portée de mon observation et je crois que l'intervention lu gouvernement serait de beau
ers incriminés par nos ancêtres. La malade dont je viens de parler se croyait victime d'un frisson, d'un refroidissement. En ré
tacle bienfaisant de la foi sereine et naïve. N'est-ce pas à ceux qui croient avec ht candeur de l'enfance que la vérité est pr
pas encore été dit assez souvent ni assez haut : « Soyez chrétiens et croyez aux miracles, si vous les trouvez réels et s'ils
18 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ériences qu'on pourra provoquer devant moi, je persisterai toujours à croire que l'hypnotisme n'existe pas. » Il est bon de
malheureux de ne se souvenir de rien de ce qui a précédé le crime, de croire que c'est lui-même qui en a conçu ridée, de se re
t point de suggestion, etc., etc. Réveillée et dans cet état que je crois pouvoir assimilera la condition seconde de Félida
de de Félida X... et de ses pareils, elle prend le pistolet et tue ou croit tuer M. O... Je prie M. Liébeault de la rendorm
jet » de M. Bernheim. Je ne sais si je ne me fais illusion, mais je crois qu'il y a là un moyen presque assuré de déjouer l
la morale, alors, j'aurais été absolument de son avis... ; mais s'il croit que nous pouvons nous désintéresser entièrement d
vec une confiance respectueuse, avec des égards presque révérencieux. Croyez -vous qu'il en serait ainsi, si les gens du monde
rtant volontiers de la polémique injurieuse, je dois avouer que si je croyais au niable, je serais convaincu qu'il a collaboré
c'est qu'un miracle, d'après le P. de Bonniot, le voici : « Nous nous croyons autorisé, écrit-il en soulignant les mots, à défi
adopté par un écrivain qui semble continuellement préoccupé de faire croire à ses lecteurs qu'il sait ce que c'est que la sci
ultitude qui peuplait notre France il y a quelques siècles; celle qui croyait aux revenants et qui, par contre, n'aurait jamais
vec une vitesse de 80 kilomètres à l'heure; celle qui n'eût pas voulu croire que la pensée de l'homme pût être jetée, en une s
evinrent flasques et la malade tomba dans un songe agréable ; elle se croyait au milieu de ses élèves et paraissait être très c
mars 12, en avril 15 et en mai seulement deux fois. M. Mey- nert croit avoir réussi à couper ces accès en employant, sui
me dans le cas de delirium tremens, n'a nullement les dangers qu'on a cru devoir lui attribuer. Je déshabitue généralement
trer dans l'ordre habituel des choses : ils sont alors bien tentés de croire que, en réalité, l'on n'en était jamais sorti.
e, en réalité, l'on n'en était jamais sorti. Nous ne sommes pas. je crois , au bout des étonnements que peut soulever l'hall
isé ou rendu négative la per-» ception de cette image... Un aliéné se croit en prison ; il voit » son cachot, son geôlier, la
voit le verre : mais ce n'est pas de l'eau comme on veut le lui faire croire ; c'est du vin gris, il est très bon, elle va le
elle a encore besoin, pensons-nous, d'être complétée. En effet, on a cru jusqu'ici que l'hallucination négative annulait c
n empêchant qu'elles ne fussent perçues parle cerveau. Eh bien ! nous croyons que c'est là une erreur : il y a perception visue
les se réalisent dans le moi inconscient, et, chose importante et, je crois , nouvelle, la personne objet de l'hallucination n
ion négative peut entrer en rapport avec le sujet, aux yeux duquel on croyait l'avoir fait entièrement disparaître. Si cela e
elles que nous donnons chaque jouraux somnambules ? Jusqu'ici, on a cru que la personne rendue invisible pour le sujet hy
avait suggéré de ne pas l'entendre. Or, j'ai montré le contraire ; je crois avoir prouvé que celui qui paraît ne pas voir, vo
il éprouve un accès de contrition sous l'influence des paroles qu'il croit entendre; ses yeux sont remplis de larmes, et si
nés à tromper les hommes. On a de tout temps objecté à l'Eglise que croire aux démons comme auteurs du mal, c'était encourir
rie est absurde. Mais quel mérite y aurait-il pour le P. de Bonniot a croire quelque chose qui ne serait pas absurde? Un savan
t » s'empresserait de tourner le dos. Les savants, en effet, avant de croire et d'affirmer, demandent de la logique et des pre
nt suffisamment armé pour refouler l'apparence dans la fiction, et il croit à la réalité du faux par l'impuissance où il est
» 2° Comment la conviction, ainsi produite, crée-t-elle ce qu'elle croit ? » S'il s'agit de l'efficacité de la convictio
ypnotisée : « Vous voulez manger; vous voulez danser; » aussitôt elle croit qu'elle veut manger, qu'elle veut danser ; la vol
pulsion semblable à l'instinct. L'hypnotisé veut, d'abord parce qu'il croit vouloir, puis parce qu'il veut déjà. Cette derniè
est déterminé par des motifs présentés à la raison » ? Nullement! Il croit pourtant procéder rationnellement. Il le croit,
on » ? Nullement! Il croit pourtant procéder rationnellement. Il le croit , comme croient les hypnotisés, et sans s'apercevo
ent! Il croit pourtant procéder rationnellement. Il le croit, comme croient les hypnotisés, et sans s'apercevoir, qu'en défin
ourtant il n'en est rien, car « l'hypnotisé veut, d'abord parce qu'il croit vouloir, puis parce qu'il veut déjà !» Le P. de B
bien de ceux qui se font honneur de répéter la fameuse parole : « Je crois , j'affirme, même quand c'est absurde, et parce qu
i occasionne des sensations douloureuses et pénibles, ce qui lui fait croire qu'ils sont tous plus ou moins gravement attaqués
rdeaux a interdit la continuation des séances de Donato, parce que je crois , comme vous, qu'il ne faut pas laisser les poison
, M. de Rasquinet, n'a pas été requise. Voici maintenant comment je crois qu'on peut expliquer ce cas et les cas analogues.
et de cet épisode et le malheureux insensé donr parle M. Delbœuf, qui croyait avoir le ventre rempli de grenouilles ou de crapa
nnement et l'observation m'en ont convaincu. Et alors, n'est-il pas à croire , n'cst-il pas infiniment probable que ces suggest
nt, grâce toujours ô la même opération mentale. Les élèves de Charcot croient pouvoir conclure que les second* sont devenus hys
n France. — Paris. 1826), Bertrand revient encore sur ce sujet : « Je crois , dit-il (p. 428), qu'il n'est personne, pour peu
part des sensations ressenties par la personne qui l'a endormie. Elle croyait boire quand cette personne buvait. Elle reconnais
ent cet accord complet qui a inspiré ncs doutes. M. Luys endormait ou croyait endormir sa malade er nous annonçait ensuite ce q
inaires de l'argumentation scientifique. A les entendre, on se serait cru , soit dans une assemblée politique où il s'agirai
nne pas aisément le change a un observateur expérimenté. Dés qu'il se croit seul, d'ailleurs, il est bien rare que le simulat
beaucoup qui se sont empressés de propager le fait erroné et même d'y croire , il s'en trouvera fort peu pour le démentir. La
ivement frappé; c'est celle de M. Laborde. Ce distingué physiologiste croit qu'il existe une contradiction préjudicielle entr
tations, pouls accéléré ; température à 40*, puis sueur abondante. On crut à un accès de fièvre intermittente. Cinq semaines
faits d'ataxie thérapeutique sont beaucoup plus fréquents qu'on ne le croit . Ils sont réels et se produisent malgré les indic
ns la grave question qui nous occupe, la question de l'hypnotisme, je crois devoir vous exposer d'abord quelques idées généra
par conséquent, moins de liberté. Telles sont les prémisses que j'ai cru devoir établir avant d'entrer dans les considérat
près. Ici, messieurs, je me range a l'avis de l'éjole de Nancy. Je crois que tout système nerveux quelconque est plus ou m
déterminent l'hypnotisme. Je n'ai pas toujours été de cet avis. J'ai cru de prime abord que c'étaient surtout certains suj
ue, dans ce cas du moins, il diminue ou supprime la liberté? Je ne le crois pas. Lame est le principe en nous des trois vies,
ui a recours, dans des cas déterminés, à l'influence hypnotique; nous croyons , enfin, que l'argumentation par laqucllconessayed
rps humain? Ce que nous ignorons dépasse, comme l'infini, ce que nous croyons savoir. Soyons modestes. Il faut donc attendre, e
t revu ce malade et sa santé se maintient parfaite. En résumé, nous croyons cette observation intéressante a deux points de v
mable etdésirable, en parle avec joie.yacquicsccdctoutson cœur. Et ne croyez pas. Monsieur le Docteur, qu'il s'arrête au raiso
uve place dans cet esprit transforme: Auparavant, me di-» satt-il, je croyais que tout m'était dû et je ne savais reconnaître a
-ïK quotidien** Aussi se rencontrc-t-îl moins de familles que l'on ne croit , au foyew desquelles le régime alimentaire soit r
e, Esquiros (t) se la pose. Voici en quels termes il la résout : « Je crois qu'on s'exagère beaucoup l'influence du sentiment
d'une tïrreur que tout concourt à faire naître, l'esprit s'égare; on croit voir, entendre, toucher le diable. Telle est l'or
ue. Quoique ceci soit tout â fait conforme a ma propre expérience, je crois néanmoins avoir observé qu'à un âge très avancé l
sort pas de son domaine en abordant ce sujet, sur lequel chacun a ou croit avoir un avis. C'est ce qui me décide. J'aurai ai
qu'on a dû éloigner tous les autres enfants; malgré son père, qui ne croit pas à l'homéopathie, elle a pris des globules et,
se, leur conviction s'est faite, et rien ne pourra l'ébranler. Ils se croient fondés à dire qu'elle a une base expérimentale, e
ojet qui avait formé de se livrer entièrement ù la psychologie. Il se croyait appelé! poser les fondements de cette science pou
s par lui et matérialisées, pour ainsi dire, si bien que le sujet les croit réelles. II voi-, devant lui un chien qui n'y est
voir; les autres ne cherchent pas à se rendre compte; d'autres enfin croient que cette voix et cette sensation émanent d'une a
e certaine association d'idées, voilà que bien des choses que nous re croyions ! pas avoir entendues reviennent distinctement à n
es choses se sont passées de même. La première fois, le magnétiseur a cru qu'elle dormait, et même, comme elle ne sortait p
s, où elle est restée but jours, Là, on aurait, à ce qu'elle raconte, cru qu'elle dormait. On lui appuyait sur la tetc et e
spécial, leur donnant l'apparence de certains états hypnotiques. Nous croyons , d'ailleurs, avoir suffisamment montré, par les d
ue" de date récente. Après nvoir institué le traitement classique, je crus , lorsque la période d'acuité eut j peu près compl
ravages que les projectiles ont faits dans une ville assiégée. Je ne crois pas qu'au moment actuel, aucune des théories qui
ler une prédisposition mor-'. bide jusqu'alors sommeillante ' Je ne crois pas que l'é;ar hypnotique constitue une maladie,
es plus absurdes et les plus ridicules; !e succès est a ce prix. Je crois qu'il ne se trouvera personne ici pour défendre c
rait pas la pratique de l'hypnotisme dam le* réunions privées. Je crois qu'ici il5 faut distinguer et distinguer surtou
dégage clairement des discussions qui ont eu lieu. Tout d'abord, je crois pouvoir constater qu'en provoquant ces discussion
reste. Tout en rcservjnt la question hygiénique, je persiste donc à croire que les faits allégués ne justifient pas une mesu
277). II faut lire de pareilles assertions dans l'original pour les; croire . Depuis près d'un siècle, tous ceux qui ont com
ment le croup et les angines couenneuses. Il est vrai que beaucoup le croient et le disent, mais ils se trompent. I.eur croyait
rai que beaucoup le croient et le disent, mais ils se trompent. I.eur croyait ce repose sur; des erreurs de diagnostic. Le vrai
ation diflicile. Ceux qui les observaient ne pouvaient refuser de les croire , ceux qui ne les connaissaient que par oui-dire l
ire annuel, dans son rapport général sur les prix décernés en 1S8S, a cru devoir consacrer, avec une grande larg;ur de vues
mieux. N'a pas été ramené à ma clinique. J'ai eu quelques raisons de croire qu'il a été guéri. 18.— 1" avril :s$8. — L... r
oux et soumis après quelques séances. On continue le traitement. Je crois devoir, aux observations précédentes, en ajouter
s défectuosités morales sont ? conséquence d'é;ats maladifs. Aussi je crois que la nouvelle méthode que j'ai employée, et que
e quelques expérimentateurs ont essayée, s'impose dans la science; je crois qu'elle est déjà la condamnation de ceux qui la c
e, 1886,lome XXIlI .desexpériences sur des sujets auxquels je faisais croire qu'ils avaient perdu leur tète. Je les mettais en
t cela avec la passivité d'un automate ? Peut-on se défendre enrin de croire que l'opérateur possède le philtre du magicien, q
chez l'hypnotisée explique bien des expériences qu'on a tout d'abord cru pouvoir invoquer en faveur de la suggestion menta
expériences qu'on pratique sur sa sensibilité, et il ne cesse pas de croire à son anesthésie. iaa Les images des régions an
Ceux qui s'adonnent n l'exercice illégal de la médecine pourraient croire qu il leur suffît, pour échapper ? l'application
ur cabinet. C'est là une erreur. La jurisprudence est établie, ci nul croyons utile de rappeler aux magnétiseurs, dans leur in:
est la cécité corticale (par lésion de Pecoree du cerveau). Mais je crois avoir démontré qu'il peut exister chez les hystér
pas me voir, mais qui. incapables de réaliser exactement cette idée, croient devoir s'ingénier à ne pas me *oir; ils croient,
xactement cette idée, croient devoir s'ingénier à ne pas me *oir; ils croient , pour répondre à la suggestion, devoir de bonne f
sont nnbi^ués comme leurs sensations. Il en est, je le veux bîea, qui croient que la suggestion leur commande de simuler. |e
e sourcille pas. Quand les assistants lui disent que je suis là, elle croit qu'on se moque d'elle, s'indigne et se fâche. Je
entiques. Avant de consigner les résultats de cette nécropsic, nous croyons devoir rappeler aussi brièvement que possible la
nit mois, dit-il... «Je me trouve mieux, déclare Lance, osant à peine croire à cette amélioration; maintenant, je verrai si, c
nerveux atrophiés, qu'elle aurait contribué a régénérer? Nous n'en croyons rien. Nous pensons plutôt que cette influence s'e
usage quotidien. Jean Sturm lui-même, — un humaniste, cependant, — ne crut pas pouvoir s'en passer. La verge y était solenne
r exerce sur les diverses modalités nerveuses de l'hypnotisé. Je me crois donc autorisé â inscrire ces faits de transmissio
feuille qu'elle venait d'écrire: elle eut une grande surprise, et ne crut à nos affirmations qu'en voyant sa signature, san
as tous, à un degré variable, une certaine crédivité qui nous porte à croire ce qu'on nous ditr.^/l » Notre première impress
Notre première impression, quand une assertion est formulée, c'est de croire ï l'enfant croit ce qu'on lui dit. L'expérience d
ression, quand une assertion est formulée, c'est de croire ï l'enfant croit ce qu'on lui dit. L'expérience de la vie. l'habit
: » machinalement, il y porte la main ; il est même des personnes qui croient en sentir la piqûre. » Oui, la crédivité persis
es assistants confirment, de bonne foi. votre dire. Non seulement ils croient entendre, mais ils entendent, ainsi que le prouve
cane ait suffi pour lui communiquer un tel pouvoir : C'est à n'y pas croire ! Jusqu'ici, l'expérience ne présente aucun int
es présentes s'accordent à lui certifier que la carte sur laquells il croit avoir éprouvé la sensation est bien celle que je
ndais des Druits de pas alors que personne ne passait près de moi: je croyais în'ctre mis en mouvement alors qu'il n'en était a
le vrai du faux, surtout pour ce qui touchait les bruits de pas. Je crois qu'une extension plus grande de cette notice n'es
traitement de certaines maladies nerveuses, que le l>" Bérillon a cru devoir fonder cette clinique. Le grand nombre des
mier^ dans la réussite de la suggestion. Quant au second, j'ûiclîne â croire que tout individu suffisamment préparé est apte à
istoire des sciences connaît des exemples de savants qui. après avoir cru observer un phénomène naturel, propre à soutenir
roduction des selles, etc., reposent sur des cassa analogues. Je me crois donc fondé â prétendre que pour bien réussir dana
ectuels, qu'ils soient hypnotiques ou post-hypnotiques. M. Delbœuf ne croit certainement pas que si le somnambule ne fait que
ait à me rembourser cinq florins qu'il ne medevait pas et refusait de croire que je lui avais donné cette suggestion. Il était
onnée de l'ancsthésie systématique ; cependant les auteurs précédents croient réfuter notre interprétation, qui est identique A
erreur provient simplement d'une confusion dans la terminologie. Je crois donc qu'il serait très utile de résumer, rela'.iv
sujet; le plus souvent, le sujet, par un phénomène d'auto-suggestion. croit continuer à voir les objets qu'on place derrière
rincipalement la partie consciente du phénomène qui est altérée. Je crois que la conclusion précédente, s'appuyant sur tant
d'anesthésie systématique. Ce terme a donné lieu à des méprises; on a cru sans doute que par anesthésie nous entendions par
et nous ne voulions parler que d'une anesthesie par inconscience. Je crois , du reste, avoir montré dernièrement que Fanes-th
ret à abandonner une terminologie qui donne lieu â des confusions. Je crois qu'on pourrait mettre de cote hallucination négat
malade a passé, arait pensé a une sclérose en plaques, s appuyant, je crois , sur ce fait que le tremblement était exagéré par
es désarmes, ou â peu près, en face de cette maladie. M. Lurs. — Je crois , comme M. Gaucher, que le diagnostic n'est pas do
nt. Trop de médecins ont malheureusement une regrettable tendance à croire qu'il n'y a que ce qu'ils font et que ce qu'ils c
gement dernier. Cci deux conditions étiologiques pourraient luire croire que ces phénomènes sont liés à une modification b
us conduire à un jugement erroné dans un sens ou dans l'autre. J'ai cru utile, en cette querelle, de vous faire connaître
moins n'est pas encore universellement démontrée, puisque Babinski a cru utile de revenir sur la question et de faire, en
savent combien j'admire l'œuvre de Charcot n'auront aucune peine à me croire ) que, non seulement le grand hypnotisme a précédé
er bientôt), c'est de trop généraliser ses premières observations, de croire que. par cela même qu'un fait était observé et bi
d'ailleurs, la valeur de ses observations particulières. Voilà, je crois , où se trouve la vérité ; telle est la note clini
lettre les termes de cette note ; en dépasserait certainement, je le crois , la pensée de l'auteur, à l'heure actuelle du moi
avec cela, il conserve un certain degré d'activité sensorielle. On a cru quelque temps que, dans cet état, toute suggestio
ntes, elle eut des rêves affreux qui la réveillaient en sursaut; elle croyait tomber dans un précipice. Lts secousses nerveuses
médecin qui soignait sa tante et qu'elle suivait le même régime; elle crut qu'elle aussi était perdue et qu'elle allait mour
n regard, l'inspection des parties les plus intimes du vêtement où il croit retrouver les traces d'une odieuse infidélité, il
tions, nous disait ce pauvre mari, étaient tellement absurdes, que je crus tout d'abord à de simples plaisanteries d'assez m
limite de la raison et de la folie, et que le vulgaire habituellement croit déserte, renferme des millions d'habitants. En ef
les et les communications dépourvues de contrôle scientifique. Nous croyons donc devoir soumettre de nouveau l'idée d'un Cong
bune de Genève, dans des articles remarquablement conçus et écrits, a cru devoir justifier l'opportunité de la mesure prise
tisables ? tous les sujets hypnotisables sont-ils des hystériques? Je crois pouvoir affirmer qu'il n'en est rien. On se tro
ie, pour ma part, à la conclusion actuelle de la Sal-pêtrière : je ne crois pas que tous les sujets hypnotisables soient des
1889). de tout ce que j'ai lu et de mes propres observations. Je crois , d'ailleurs, que personne ne songe à le nier, et
ment rapprocher des choses qui n'ont rien à voir ensemble, mais je ne crois pas que ce soit un sûr moyen de forcer les convic
ier médical, 188S. ici les arguments que j'ai donnés ailleurs, je crois pouvoir affirmer 3ue les différentes variétés d
complet et sans conteste. Ce serait une erreur grave et fâcheuse de croire que vous ne . pourrez guérir ou soulager par l'hy
ns où elle n'a pas été observée directement que je sache. Aussi ai-je cru utile d'appeler l'attention sur ce point. Les é
curieux phénomène qui est l'objet de cette observation ; et je ne la crois pas hérétique, parce qu'elle est fondée sur le pr
nférieures aux appétits. Tous aspirent au premier rang dont nul ne se croit indigne ; on croit sincèrement qu'il suffit qu'un
tits. Tous aspirent au premier rang dont nul ne se croit indigne ; on croit sincèrement qu'il suffit qu'une carrière sott ouv
19 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
'est pas. malheu-reu*emcnt, toujours suffisant pour nous permettre do croire Lombroso sans restriction, observateur aussi crit
ange (1) Dans le texte : Direction. ouvertement (1) à cet avis et croit que les mouvements du système nerveux central peu
s les doigts de la main droite de son voisin de gauche. Le lecteur le croira sans doute difficilement, et pourtant il n'en est
que c'est une seule et la même main qu'ils touchent tous les deux. Je crois possible que cette façon de tromperie engendre de
e exécutée par les personnes expérimentées dans l'art du batelage; je crois aussi qu'il est possible de glisser de la sorte s
n'est que si celle condition est remplie rigoureusement que l'on peut croire la déclaration que le médium n'a pas eu sur lui a
nemi du tabac par raison de santé ou par raison morale, Non c'est, je crois , de naissance. Je ne sais si, une fois devenu f
n colombophile qui fait autorité en la matière. « On aurait tort de croire , dit M. La Perre de Roo, que le pigeon messager,
de Greenwich, ils disparurent dans la direction de Londres, et je les croyais perdus. Mais à mon retour à Bruxelles, j'étais ag
faire faire à des pigeons un trajet toujours le même, il ne faut pas croire que cet exercice soit de nécessité absolue. Un pi
les hypothèses faites sur cette question. *** M. le Dr C. Viguier croit à l'existence d'un sens de l'orientation, et il e
expérimenté ou vu expérimenter dans le pays d'origine. S'il faut eu croire Hérodote, l'usage du haschisch existait dans l'In
le domaine du charlatanisme. Il arrive très souvent que les personnes croient avoir vu dans un certain moment un objet sur une
andis qu'en réalité il n'y était plus depuis longtemps en général, on croit voir quelque chose que l'on ne voit pas en realit
ondée l'affirmation d'une faculté médiantque spéciale chez Eusapia et croirai beaucoup plus justifiée la supposition qu'elle n'
ellement des cordes au plancher, n'ont pas d'autre effet que de faire croire aux assistants que les liens en deviennent plus s
roximité. Certes il arrive que le médium quitte sa place, et je ne le crois pas impossible dans les expériences de Lombroso;
oso, qui était assis près du médium. Il y a beaucoup de personnes qui croient que le médium, tout en pouvant exercer une pressi
ché par les deux voisins: Lombroso et Tamburini, et que tous les deux crussent néanmoins toucher un autre genou. Cela aurait été
travaillent ainsi en compagie. Mais si même Eusapla fut seule, je la crois toujours capable de tromper lourdement Lombroso p
et pourtant leur présence me parait essentiellement nécessaire. Et je crois ridicule une simple affirmation que la tromperie
ssible par cela seul que des sommités scientifiques y assistèrent. Je crois me souvenir qu'un médium spirite qui, plus tard,
t morale, a été observée, et le résultat facilement obtenu; c'est, je crois , la vraie formule de la suggestivité facile. La
et l'hypuo-suggestion moins facilement obtenue. (1) Il convient. je crois . de rappeler ici un fait assez curieux pour l'hit
-moteurs, dont le mécanisme aurait été indique par Sperino (1884). Je crois donc, dit Silva, cité par Rainaldi, que « l'excit
n 1882, des faits véritables qui sont bien du même ordre que ceux que croit avoir observés Rainaldi (1). Dans la léthargie hy
e des tissus au courant galvanique, qu'il découvrit ces faits. Il les croyait nouveaux, non sans raison. C'est pourtant à la ga
emporains. Dans l'étal de crédulité où il se trouve, non seulement il croit encore à un grand et a un petit hypnotisme : il a
les vêtues de blanc portant des rameaux bénis et chantant : Hosaunah! Croire au Seigneur ! Hosannah ! Gloire au fils de David
cre que Leroux avait dit vrai. Ce n'est point affaire de coquetterie, croyez -le bien; mais les souvenirs de mon année d'intern
t restés si vivants, si pleins de fraîcheur, qu'en toute sincérité Je croyais l'année 1875 moins éloignée de nous. « A vrai d
r la santé du malade qu'il est plus impressionnable et plus disposé à croire à la puissance surnaturelle de celui dont il subi
rôle dans la pathogénésie des parvenions de la sexualité que l'on n'a cru jusqu'ici. Aussi, la psychothérapie trouve-t-elle
iger la suggetion hypnotique comme panacée contre l'onanisme, mais il croit qu'aucune méthode thérapeutique peut rivalliser a
intention lui vint un moment de s'armer pour se venger de celui qu'il croyait l'avoir frustré (pensée dont il rougit aujourd'hu
es malades en traitement dorment peu on profondément, le Dr Liébeault croit qu'en insistant pour leur faire des affirmations
la prison, elle se suicida eu absorbant de la strychnine. L'auteur croit trouver dans le compt erendu des audiences et les
n des couleurs, par M. le professeur H. Ebbinghaus, de Berlin. Je crois pouvoir tirer quelque profil pour le développemen
forcément faire éclore dans l'esprit de tout observateur sérieux. Je crois cependant ne pas faire œuvre inutile ni superflue
» Ou encore : « Gare, cela n'est pas une chose si innocente que vous croyez ! * Un de mes malades réfutant ces avis de mauva
e mes malades réfutant ces avis de mauvais augure hasarda : « Vous ne croyez pas pourtant, docteur, que j'en mourrai? — Non, r
plique ce principe. Quiconque étudie à Nancy la thérapeu-suggestion croit d'abord que cette méthode, est une chose tres sim
s premiers se fient sans examen à la supériorité de notre savoir. Ils croient en nous, et la foi existant, l'autorité est super
uvera pas d'opposition directe, mais on doutera de son efficacité. Ou croira que c'est un idéal hors de notre portée de guérir
a psychothérapie. Ses limites peuvent s'étendre plus loin qu'on ne le croyait auparavant et que le savent à cette heure les phy
decins applaudit probablement l'idée et la trouve belle, mais elle ne croit pas absolument à sa valeur pratique. Et tout cela
considérable que son contenu spirituel. Mais beaucoup de personnes croient qu'on se rapproche du monde spirituel par la déco
es membres de l'État peuvent lire et écrire. Il n'est pas besoin de croire à une force vitale pas plus qu'à une force d'État
it que s'il avait voulu il aurait pu faire des objections. Il est à croire qu'il n'est abstenu pour m'épargner. Et néanmoins
les deux sont basées sur les qualités psychiques de la cellule. Et je crois qu'une culture raffinée, c'est-à-dire une prépond
en, l'adore, cl sa fille Annette est la plus belle du pays. Mathis ne croit pas au remords. Comment y croirait-il ? Il entend
est la plus belle du pays. Mathis ne croit pas au remords. Comment y croirait -il ? Il entend bien parfois à de certaines heures
x temps à venir pour refréner l'avarice, la cupidité de ceux qui se croient couverts par une longue suite d'années; — A ces c
rquoi donc redoutez-vous le songeur ? Parce qu'il lit dans les âmes I Croyez -moi, soyez calme, ou vos cris prouveront que vous
ans cela, l'épouvante me tiendrait loin d'ici. Mathis. — On ne peut croire aux folies des songeurs; ils trompent le monde po
: M. Bouvry. L'instituteur demanda k Bouvry qui l'avait blessé. « Je crois , répondu celui-ci. que c'est Damblemont, mais Je
ans son esprit ». Le juge de paix lui-même croît à la suggestion ; il croit que Lemaire avait beaucoup d'influence sur l'espr
a suggestion au traitement d'un certain nombre de morphinomanes, nous croyons le moment venu de préciser le rôle que la psychot
e plus actif de la guérison. De notre observation personnelle, nous croyons pouvoir déduire les conclusions suivantes : 1e
rateur. Suggestibilité de l'auditeur. — Nous sommes tous disposés a croire ce qu'on nous dit au moment même où l'on nous par
lité avec laquelle nous nous laissons mener par des mots, on pourrait croire que le tempérament français est singu-lièrement s
les ont de l'autorité. En y réfléchissant pourtant, on trouverait, je crois , que celte force mystérieuse dont nous subissons
e d'adopter ses Idées ; il nous ordonne de le faire, il veut que nous croyons , et nous obéissons parce que nons sentons en lui
représentées; mais si nous voyons devant nous un homme qui a l'air de croire que tout cela est arrivé, qui donne des signes ma
uvements brusques avaient été imprimés à la tète? M. Bernheim. — Je croirais plutôt le contraire, et voici un fait qui le démo
ne peut pas être plus parfaitement imitée, et l'on pourrait vraiment croire i uue colique hépatique vraie, si la fin de l'acc
este. L'accès semble arrivé à son maximum d'intensité ; on pourrait croire que, suivant la marche ordinaire, il va prendre f
eût été témoin de la première partie seule de la crise imitée, eût pu croire à une véritable colique hépatique, a ia seule exc
que M. Pierre Janet. à la suite d'aulres élèves de la Salpètrière, a cru devoir eu donner, avec une désinvolture qui n'a r
d'un mécontentement que j'avais éprouvé, moi aussi, et qui était, je crois , bien naturel. « La légèreté avec laquelle, — b
Bernheim aurait parlé de ces expériences-là avant 1887, ce que je ne crois pas, il me semble inadmissible de les présenter a
Londres, et elle a été exprimée en termes tellement exagérés que j'ai cru devoir les écrire sou* ta dictée de M. Bernheim.
pensée. Peut-être M. Bernheim n'est-il ??s aussi éloigné que je l'ai cru , d'après quelques exagérations de langage, d'acce
me mit en possession d'une autre méthode de recherches, à laquelle je crus devoir m'attacher exclusivement, parce que, d'une
s, et après cet examen sommaire, je déclarai à M. le Procureur que je croyais me trouver en présence d'une petite fille vicieus
du soir expédié des dépèches dans toutes les directions, et je ne me crus pas autorisé à arrêter ce commencement d'enquête,
a contracte fortement les fesses. De tout ce qui précède, nous nous croyons autorisés à conclure : 1° Qu'au point de vue de
elle fond en larmes en nous disant : « Puisque vous ne voulez pas me croire , je ne vous dirai plus rien : j'ai dit la vérité,
tous les cas atteinte d'un dérangement tel des facultés qu'elle a pu croire sincèrement, pendant un temps, à la réalité des c
ste, et à dessein, sur le massage venant en aide à la suggestion ; je crois , en effet, que dans ce cas-là l'effet cherché est
ncessantes. Le regard est atone. L'état mental en tel que les parents croient que leur fille est devenue idiote. « Je lui pre
l'application du forceps. Dès que lanesthésie apparaît, la malade se croit transportée au jour du jugement, et alors, à haut
jusqu'ici des arguments irrécusables qui soutiendraient sa thèse. Il croit pouvoir démontrer, cependant, qu'elles sont absol
x qui ont été observés autrefois dans notre pays chez les gens qui se croyaient possédés par les loups et qu'on désignait sous le
econder le zèle des évesques de notre royaume dans tout ce qu'ils ont cru devoir faire dans l'intérêt de la religion et le
s graphiques. Le cas en question met eu outre en relief, ce qui. je crois , n'avait pas encore été lait jusqu'ici. l'importa
nuit, des crises asphyxiques subin-trnntes pendant lesquelles elle se croyait étouffée dans les bras du fantôme ut qui mettaien
?) Trompée par ce qui s'est passé au début de l'expérience, la malade croit avoir affaire à une autre personne que la religie
ette hypothèse. Les hystériques ne sont pas les simulatrices que l'on croyait il y a quelques années encore, et d'ailleurs dans
elque vraisemblable pourtant que fùtcette hypothèse, nous n'avons pas cru prudent de nous y fier, et chaque fois que le syn
estion, mais comme il arrive souvent, beaucoup plus souvent que ne le croient nombre de personnes adonnées à l'hypnotisme, elle
nt ici que pour lui donner la persuasion qu'il peut faire ce qu'il ne croyait pas pouvoir faire, ou qu'il ne peut pas faire ce
'il ne croyait pas pouvoir faire, ou qu'il ne peut pas faire ce qu'il croyait pouvoir faire. Tout le charme de l'hypnotisme est
le con- vaincre que mon mal est bien sans remède. D'ailleurs, je ne crois pas à tout ce qu'on raconte. » J'avais justemen
non qu'il ne la connût on ne l'eût vu faire, mais il lui répugnait de croire ici i une imposture. Alors, je lui demandai comme
sentit rien ou. ce qui revient au même, ne sentit pas de douleur. Il croyait que son bras n'était pas transpercé. Il fut stupé
aprés pour aller dejeuner: en me quittant, il me dît qu'il ne pouvait croire à. reflet de ma suggestion, que ce serait miracul
il n'aura plus mal (1) — et la prédiction se réalise. Ici. le sujet croit que j'ai fait quelque chose. Pourtant, cette fois
e savent pas vouloir. Je les endors ou, plus exactement, je leur fais croire qu'ils dorment. Je leur donne ainsi une preuve pa
si vive frayeur. Elle éprouvait alors une impression qui lui faisait croire que la vie l'abandonnait. « Le pr-mier docteur
que maintenant elle se les répétait avec une énergie dont elle ne se croyait plus capable, et qu'elle était certaine à l'avanc
e était guérie à jamais. Mais, c'eût été jouer trop gros jeu (1 ). Je crus plus prudent de ne lui certifier la guérison comp
naire du temps pour détruire ce que le temps a construit, etc. » Je crois que j'ai lieu de me féliciter de ma prudence. Je
end pas bien. Seulement, il se comprend un peu; et ce que le malade croit en comprendre est plus nuisible qu'utile, car, ay
ignifie sommeil, s'il lui plaît de constater qu'il ne dort pas. il se croit réfractaire. Au point de vue de l'exactitude scie
lté qui leur est dévolue n'est donc pas étrangère à leur personne. Je crois qu'il serait difficile d'hypnotiser par interprèt
r ainsi dire à moi-même, ne fait-elle pas que lui, quand il m'entend, croit entendre ses propres paroles? La compassion n'est
évidents de contractures hystéro-trau-matiques. El à ce litre, je les crois justiciables du traitement hypnotique. On ne peut
escend dans le pays, on est frappé par l'animation qui y règne. On se croirait tombé au beau milieu d'une foire campagnarde. Tou
adauderie. par esprit d'imitation. Et c'est bien aussi par imitation, croyons -nous, pour notre part, que les gens d'humeur pais
orte de délire brutal, presque inexplicable. Dans une émeute, il y a. croyons -nous, en dernière analyse, ;ux éléments qui apisi
culeuse. Bien placé pour voir, j'étais fort intéressé, vous pouvez le croire . Les cris : « Un miracle ! un miracle! » retentis
ie et la pédérastie, mais point l'amour lesbien. Il en est de même, croyons -nous, en France. Il serait intéressant de savoir
te, il ne la trouve pas. Si je mets ma propre main dans la sienne, il croit que c'est sa main droite. Cela posé, j'endors l
ments de notre maître d'alors, M. le professeur Charcot — nous avions cru pouvoir donner : l'isolement absolu qui, des le p
e violence. — Une dizaine de jours après l'accouchement, la malade ne croyait pas encore être accouchée. La montée du lait se f
prendre sans que vous le sachiez ; alors, pourquoi, pourquoi ? Je « crois que si l'on voulait m'en donner, je ne laisserais
ndier, s'occupant de l'hypnotisme, concluait dans ces termes : « Nous croyons que le moment n'est pas venu d'enlever ces expé
un don spécial les secrets de guérir », le rapporteur ajoute : . Nous croyons que le moment n'est pas venu d'enlever ces expéri
on, une porte ouverte à toutes sortes d'abus. « Mais il ne faut pas croire que nous soyons absolument désarmés. Tout au cont
ge, on y voit, on y entend les choses les plus extraordinaires, et je crois qu'il n'y a pas en France l'équivalent de ce pèle
e la religion. Passons! Ce serait commettre une grave erreur que de croire que ces impressions ont été fixées par un ennemi
nsolations, au milieu des épreuves de la vie. Il faut envier ceux qui croient et non les blâmer. C'est Là. du reste, un domaine
s évidentes. J'en ai été heurté. Peut-être suis-je injuste, mais j'ai cru constater une exploitation peu digne d'idées resp
xes certains points d'habitudes vicieuses, plus répandues qu'on ne le croit en général dans le grand public, et l'absence de
mais surtout si Bébé, qui, je le croif, est de moi, vit comme « je le crois , car il a vomi, fais qu'il n'ait pas a donner les
is, j'ai été obligé de résister de tontes mes forces à ma passion. Je crois que plus Je résiste plus les crises sont douloure
e tiens bon. Je ne céderai pas. Aujourd'hui, je suis mal a l'aise. Je crois qu'il ne faudrait pas une grande émotion pour me
âce an privilège que J'ai d'évoquer les images qui me sont chères, je croyais qu'elle était la près de moi. partageant mon lit;
tic préjudiciable à la malade. En second lieu, la justice n'ayant pas cru devoir même poursuivre l'accusé, il est à suppose
nes simulateurs (1). Cependant, en ce qui touche la coxalgie, nous ne croyons pas à la simulation dans ce cas, pour Les motifs
pression de l'arcade fémorale, ni atrophie. Pour ce dernier signe, je crois , et Plicque le reconnaît, qu'il faut faire des ré
que l'hystérie n'est pas rare à cet âge et même au-dessous (4). Je crois donc ètre autorisé à poser le diagnostic de pseud
anales. L'aspect infondi-buliforme de cet anus me frappe, mais je ne crois pas devoir insister sur des question* indiscrètes
n voisin. L'affaire s'est terminée en police correctionnelle. Je ne crois pas que notre petite malade appartienne à cette c
alibi est facilement établi. Notre malade est une hystérique, et je crois qae c'est dans cette catégorie de menteurs hystér
se en débaucha cinquante mille? « Tout le monde te donna tort. On crut de ta part à un oubli impardonnable de U parole j
onde en si mauvaise compagnie? « Si tu veux qu'on le rende justice, crois -moi, débarrasse-toi de celle virago, qui te perd
s, absolu. En entreprenant l'étude des phénomènes hypnotiques, nous croyions peu aux phases de léthargie et de catalepsie décr
prouve pas que la léthargie soit la première phase du sommeil ; nous croyons avec Luys que, dans ce cas. les deux phases précé
giques. C'est pourquoi nous nous rangeons à l'opinion de Luys, nous croyons que le somnambulisme est le premier état, la cata
ifestations morbides et en particulier la convulsion choréique, je ne crois pas qu'ils aient été guidés par l'étiologie psy
suggestion. L'hémianesthésie a également disparu et j'ai tout lieu de croire ma malade complètement guérie. Malgré la perte
la persistance de la contracture pendant le sommeil de la nuit, je me crois autorisé d'affirmer que c'est bien à une contract
en bypnolo-gie, de n'admettre que ce que nous voyons, cependant nous croyons à leur existence et nous espérons trouver bientôt
Ces expériences, faites sans parti-pris, car nous avouons n'avoir pas cru jusqu'ici à ces phénomènes prouvant que, cites ce
ériorisation ce que de Hochas appelle extériorisation, parce que nous croyons que ces phénomènes doivent être expliqués tout au
t encore être expliqué scientifiquement, ce n'est pas une raison pour croire aussitôt au surnaturel. DE LA SIMULATION HYSTÉR
ion. L'hystérique est essentiellement menteuse, mais il ne faut pas croire , comme on le dit quelquefois, qu'elle ment pour l
e comment ou peut déterminer ces différents cas. Il ne faudrait pas croire qu'il est très facile de déceler la simulation ch
cas, également purement psychiques. Je dis dans certains cas, car je crois pouvoir bientôt démontrer que dans un certain nom
'elle trace : eiram. Elle a donc bien tracé au rebours le mot qu'elle croyait voir, mais il est évident que si elle l'avait vu
papier retourné, sa conviction psychique est bien que le mut qu'elle croit y voir tracé doit être, lui aussi, renversé ; aus
cette scène qui n'avaient pas une grande habitude de l'hypnotisme la croyaient endormie. Aussi nous nous hâtons de leur faire fa
ut l'en détacher et porter son attention sur l'idée du sommeil. Il se croit lui-même réfractaire, cl parmi les neurasthénique
utres individus sont empêchés de dormir par leur amour-propre. Ils se croiraient humiliés à la pensée de subir l'influence de quel
mps en temps. Le sommeil a été troublé par des rêves dans lesquels il croyait avoir des relations avec sa mère, sa sœur et d'au
heure et demie la peur l'avait pris et qu'a un moment donné il avait cru qu'il ne pourrait pas retourner à pied chez lui,
érée. Il traverse les [tiares, il va partout sans rien craindre. Je crois qu'après une amélioration notable on peut bien es
20 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
commande et un rêve en action. N'avoir que des idées suggérées et les croire spontanées : telle est l'illusion propre au somna
e. Egyptiens, Spartiates, Hébreux..... Est-ce que ces gens-là ne se croyaient pas autonomes comme nous, tout en étant, sans l
profond Je ce mot. Le magnétiseur n'a pas besoin de mentir pour être cru aveuglément par le magnétisé; il n'a pas! besoin
d'actuel. Le magnétiseur n'a pas non plus besoin de parler pour être cru et pour être obéi : il lui suffit d'agir, de fair
lles que l'art des augures, l'astrologie, la sorcellerie, unanimement crus ? N'y voyons nous pas. d'autre part, les sentiment
rai somnambule dont le rêve se com plique avec l'âge jusqu'à ce qu'il croie se réveiller à force de compli cations. Mais c'es
bissent invinciblement le charme magique de leur nouveau milieu : ils croient tout ce qu'ils voient croire, ils font tout ce qu
me magique de leur nouveau milieu : ils croient tout ce qu'ils voient croire , ils font tout ce qu'ils voient faire. Ils rester
l'actrice et pour l'ouvrier plus de respect et de référence qu'ils ne croient . — Or. sans une circulation générale et continuel
suivre l'exemple de celui auquel on obéit ou en qui l'on a foi. Mais croire en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'i
ou en qui l'on a foi. Mais croire en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'il croit ou paraît croire? Obéir à quelqu'u
a foi. Mais croire en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'il croit ou paraît croire? Obéir à quelqu'un, n'est-ce pas
re en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'il croit ou paraît croire ? Obéir à quelqu'un, n'est-ce pas toujours vouloir
sée pour la première Gabrielle. se posa d'amblée pour son émule. J'ai cru pouvoir ranger les deux dans la même catégorie :
sme-dique: le visage pâle exprimait une angoisse mortelle : la malade croyait étouffer à chaque instant. A la suite de cette cr
elle de symptômes hystériques avant l'affection actuelle, ne pouvait croire â une simple névrose et inclinait vers l'idée d'u
er pour ainsi dire ; je la traitai comme une enfant. Puis quand je la crus suffisamment impressionnée, je lui dis: « Mainten
moire, le 6 octobre 1889 — mon malade m'écrivait ce qui suit : « Je crois pouvoir me tenir pour guéri, puisque mon état est
extrêmement sympathique un repos et un bonheur que je n'aurais point crus possibles auparavant. Soyez persuade que je n'oub
ne se trouvait pas satisfait par le commerce avec des prostituées, je crus trouver mon vrai salut dans le mariage. L'affecti
is longtemps, m'en offrit la meilleure occasion, d'autant plus que je crois qu'elle saura m'inspirer pour le sexe féminin les
e m'est plus arrivé de me masturber. » (Verbalement complété). Je crois pouvoir dire que, selon mon avis, le mariage s'ef
une excitation sensuelle, moins dans celle qui suivit, et depuis, je crois suffire à tout ce qu'on peut exiger d'un homme no
ffection d'aujourd'hui le cède beaucoup à celles d'autrefois; mais je crois qu'elle augmentera toujours de force. Déjà, je co
orsque je la vis pour la première fois. Lorsqu'elle s'éveilla elle se crut dans un hopital et eut d'abord quelque peine à re
ssance modificatrice énorme, « Aussi, conclut le Dr Emile Laurent, je crois que beaucoup d'individus pourraient rester vicieu
impulsions, leur sensibilité affective morte on étroite, on pourrait croire que, me rangeant à l'opinion de l'École Italienne
d'hui, d'effleurer tous les sujets sans en approfondir aucun, ils ont cru pouvoir émettre leur opinion sur des questions ex
bien décrites par son auteur favori. A ce moment 11 est prêt a tout croire . On lui dirait que, obéissant à ia suggestion d'u
seur, l'Obélisque est allé s'incliner devant l'Arc-de-Triomphc, il le croirait ... Pourquoi pas?... C'est précisément à ce Pour
de castrer les criminels et certains aliénés. Cette manière de faire, croit -il. serait bien plus utile que la prison, pour am
méliorer 'a race humaine et éviter sûrement l'hérédité criminelle. Il croit que l'intérêt bien compris de la société, exige c
x-voto qui l'accompagne, n'est-ellc pas d'un syphilitique guéri? Je crois que le docteur Buret a raison. La syphilis est au
r et me dit : On prétend que C. a des attaques de somnambulisme, je crois qu'il ena une maintenar.t. Comme je n'avais jamai
Comme lui aussi, il était en conflit avec son administration dont il croyait avoir à se plaindre, et qui, en réalité, avait dû
e des attitudes de l'aliéné héréditaire et dégénéré. Cependant nous croyons que l'existence de certaines conditions spéciales
ynotique suivante : Il devra dire à son réveil à sa femme : « Ah : je crois que je vais être guéri. » Il accomplit ponctuel
erre d'absinthe. Il répond : Si celui qui m'invite insistait trop, je crois que je le brutaliserais plutôt que de céder. 10
traitement, cela eût été certainement au-dessus de ses forces. Il ne croit pas que les personnes qui le connaissent le jugen
C'est en effet ce qui est arrivé. Huit mois après sa guérison. il se croyait autorisé par son excellent état de santé à atténu
l'un et de l'autre, de l'exploiteur et du négligent. Tel malade se croit toujours négligé; tel autre s'inquiète de se voir
lées en courant ». Le malade n'aime pas ces allures cavalières; il se croit assez important pour fixer sérieusement votre att
'ici la scène; cet homme gai (!!) tombant dans une famille en pleurs! Croyez -vous que ces choses-là puissent se pardonner ou s
qu'au banquet de la section de neurologie, M. le professeur Meynert a cru l'occasion propice pour tenter de ranimer l'antiq
tomique lui a révélé la moindre altération orga- nique, M. Meynert ne croit plus qu'on puisse jamais obtenir une fonction nor
fin). Dans son livre « Hérédité et alcoolisme ». le docteur Legrain croit devoir établir une distinction entre les malades
vé Le jour même où il arriva à Paris, pour confirmer mon pronostic, crus devoir soumettre le malade à l'examen éclairé de
de M. Mesnet : Tout d'abord notre éminent maître émit l'avis qu'il croyait prudent de faire interner M. M... dans un asile.
pas la critique. La simulation est fréquente chez les sujets qu'on croit atteints de psychoses et de névroses traumatiques
'observe que dans 4 o/o des cas environ. m. Seeligmuller (Je Halle) croit la simulation beaucoup plus frequente. Elle se re
, et entre autres des anesthésies et des hyperesthésies. Binswanger a cru devoir distraire de l'astasie-abasie tous les fai
ure hystérique probablement - de la fonction de la marche, Binswanger croit qu'il s'agit d'une obsession anxieuse, comparable
bètique. S'agit-il, dans ces rencontres, d'un pur hasard ? Je ne le crois pas. Mendel, Siemerlinget Westphal ont publié des
le mari. En somme, dans l'étiologie de ces paralysies conjugales, je crois qu'il faut s'en tenir aux présomptions, sans affi
Autrefois on brûlait les sorciers, aujourd'hui on affecte de ne pas y croire . Dans nos campagnes du Limousin ; les sorciers n'
documents vèridiques ne feront point défaut. Mais dès maintenant, ne croyez -vous pas qu'il serait utile d'appeler de nouveau
teur on ne trouve formulée d'indication thérapeutique à cet égard. On croirait presque que les médecins les plus dévoués aient t
nostic d'épilepsie. La rapidité d'action du traitement pourrait faire croire qn'il s'agisssait d'hystèro-épilepsie. Chez six
té et la même imprévoyance dans le choix des moyens d'execution. Je crois même que les hystériques sont sincères quand elle
s éprouvent sans se préoccuper des conséquences de leurs récit, et ne croyez pas que ces conséquences soient toujours sans inc
pas toutes d'effrontées menteuses, ainsi qu'on voudrait nous le faire croire ; et quand je vois leur prétendues comédies tourn
dont elles se plaignent. Et pour revenir à notre point de départ, je crois que rien ne prouve que leurs tentatives de suicid
eints de grande hystérie ont provoqué des attaques convulsives. Je ne crois pas que la suggestion ait plus d'efficacité que l
ai pas eu de rechutes à enregistrer. M. Lowenfeld (de Munich). — Je crois qu'il n'est pas sans intérêt d'insister dans ce c
inion des médecins français qui en préconisent l'emploi; cependant je crois qu'en dehors d'elle on peut attribuer un effet th
épilepsie véritable ce qui ne serait que de l'hystéro-épilepsie- Je crois qu'on peut guérir des morphinomanes par la sugges
oyer une médication à la fois plus efficace et plus inoffensive. Nous croyons avoir suivi de point en point notre programme C
ande. Wille pense que les obsessions sont, plus souvent qu'on ne le croit , suivies d'une véritable aliénation mentale, et e
définitif sur elles. Je puis cependant en recommander l'essai, et je crois que ces moyens seront particulièrement utiles, da
le peut-être :] employé souvent avec succès contre la morphinisme. je crois pouvoir répondre par l'affirmation. J'ai suggéré
certaine à mon avis, n'est p;is aussi facile qu'on serait tenté de le croire après avoir lu l'article de M. Voisin (1) où il p
cle de M. Voisin (1) où il parle de la guérison dune morphinomane. Je crois que la méthode suggestive est la meilleure que no
i d'exemple, mais les observations recueillies il me paraît permis de croire que s'il n'en supprime pas tout à fait les fâcheu
voir rattacher ce fait à l'hypnotisme it non A l'epi-lepsie, comme le croit M. Trasbot. Il relate ensuite des faits qui démon
arrêter hémorrhagi-ne constituent pas des traitements médicaux. Je crois avoir démontré d'ailleurs dans les pages qui préc
ument tranchant, je l'ai envoyée poignarder sa meilleure amie qu'elle croyait voir devant elle, d'après mon affirmation : le co
n papier en blanc qu'il a remis à son beau-frère. D'autre part, il se croit incapable « moralement » d'accomplir quelque trav
pendant toute la période du sommeil apparent, il n'avait cessé de se croire damné, et qu'il pensait accomplir un devoir en sa
i du sommeil avec leur moi de la vie ordinaire. Endormies, | elles se croient autres qu'éveillées. Une jeune femme que j'ai p
apporte quelques exemples : « Une jeune servante, pendant trois mois, croyait tous les soirs être un évêque. parlai et gesticul
évêque. parlai et gesticulait en conséquence. —Un pauvre apprenti se croyait , aussitôt qu'il tombait en état de sommeil, père
ier, atteint d'accès de fièvre pendant la convalescence d'un anthrax, croyait être transformé en Chinois (a). Un officier supér
|ointe ont pris fin. Ils guérissent assez rapidement quand le malade croit avoir trompé le médecin et obtenu du fait de son
son enfant, qu'elle s'est livrée à sa tentative de suicide. J'ai donc cru pouvoir conclure de mon examen qu'a ce moment ell
s éclaircissements sur les troubles de la parole. M. Batcman arrive à croire que l'on n'a pas réussi à éliminer l'influence de
ppui de cette opinion, il cite une lettre de M. Bernhciui. M. Batcman croit que le langage articulé est l'attribut distinctit
revenir à notre première question, où commencera le délit ? « Nous croyons que le moment n'est pas venu d'enlever ces expéri
se et comme col aborateur d'un membre de l'Académie de médecine. Nous croyons rendre service a la fois a l'honorable académicie
ncomplets et par les interprétations souvent infidèles de ceux qui se croient ses disciples. Il sera désormais connu plus direc
tré chez elle par hasard. En 1S78, étant en condition seconde, elle croit avoir la certitude que son mari la trompe avec un
rsonnalité prit une netteté parfaite. Dans ces attaques, Albertine se croit revenue à une période antérieure de sa vie : !.
a paraplégie des membres inférieurs, c'est-à-dire depuis un an. Il se croyait encore à Saint-Urbain; il ne reconnaissait pas le
té du sujet,_ don: U fut obligé de reconnaître la réalité après avoir cru , tout d'abord, qu'elle était simulée. (1) Henri
tait passé durant les trois mois qu il était resté contracture. Il se croyait au 26 janvier : il fut ébahi quand or. lut fit re
personnage. Il ne reconnaît plus les personnes qui 1 entourent; il se croit à Bicètre; il ne sait pas qu'il s'est engagé et n
nuque provoque une paraplégie avec contracture: le Sujet interrogé se croit a Saint-Urbain, il ne connaît ni Rochefort, ni Bi
ts, sur des amateurs de sciences naturelles. J'ai pu, avec raison, je crois , m'en rapporter ainsi ouvertement aux observation
u six somnambules qui se trouvaient ce jour-là chez II. Liébault, pût croire qu'il s'agissait d'une simple plaisanterie. Je ch
ut lui dire. » De ces faits, véritablement saisissants, M. Liégeois croyait pouvoir déduire la conclusion, en apparence indis
frire tuer quelqu'un par un hypnotisé, je ne voudrais pu le nier. Je crois même la chose possible. Je ne vois pas pourquoi
is même la chose possible. Je ne vois pas pourquoi on ne ferait pas croire à un médecin légiste que l'homme vivant qu'il a d
ne suit un peu plus difficile qu'elle ne le paraît à première vue. Je crois même que. en ceci comme en beaucoup d'antres chos
ce, rien qui, pour moi, ne relevât du domaine de la suggestion. Je ne crois pas, du reste, que dans le très petit nombre de c
vues entre les Écoles de la Salpètrière et de Nancy. La première ne croit pas n la réalisation d'un acte délictueux ou d'un
ut manifester sa volonté en résistant aux suggestions. Enfin, elle ne croit pas que l'on puisse violer une femme pendant l'ét
convaincra jamais. Pour moi, ma conviction est faite à cet égard. Je crois que chez certains hypnotiques, je ne dis pas chez
ins éloignée, n'importe quel acte, dant n'importe quel domaine, et je crois anssi. que chez certains sujets, très rares d'ail
'est pas pour de bon ». Cette objection est facile à réfuter. Je ne crois pas en effet que, parmi ceux qui nient on qui dou
rd ont « payé leur dette à la justice humaine », il nous sera permis, croyons -nous, de résumer la partie scientifique de ce pro
s excréta urinaires : suggestion (2), auto- (1)« Il ne faudrait pas croire , dit M. Bernheim.que les sujets impressionnés soi
ntaisiste — sur la condition seconde qui est « el je suis, dit-il, je crois le premier (4) qui s'en soit aperçu, l'état spéci
lumière. L'auteur de ces dessins est un jeune peintre qui voit (ou croit voir) des effluves, diversement colorés, s'échapp
nces entre les phénomènes décrits par les différents sujets, qu'il ne croit pas qu'on puisse encore formuler des lois général
spectacles analogues. » A un moment donné, des esprits sérieux ont cru devoir, au nom du principe de liberté, protester
rnal. (2) Cette appréciation a para dans le Temps dn 29 janvier. Je crois qu'il est Intéressant de la reproduire dans un jo
en guerre pour achever de pourfendre l'École de Nancy, à laquelle il croit ou dit avoir déjà imprimé ¦ un lamentable échec a
encontre quelque vérité, fut-elle contraire à sou enseignement, je ne crois pas manquer de respect au maître en affirmant cet
, à la suite de la réponse de M. Bernheim, M. Gilles de la Tourelle a cru devoir ajouter les lignes suivantes : « Nous cr
s de la Tourelle a cru devoir ajouter les lignes suivantes : « Nous croyons la question doctrinale vidée ; nous nous réservon
piqûres, ses bras lui sembleDlcollés l'un contre l'autre ou elle les croit morts. Elle pense que j'ai un * pouvoir magnétiqn
l'anxiété qui le fait demander à être réveillé. Dans cet état, il se croit le pouvoir de diagnostiquer et de traiter les mal
e imagination délirante. 11 m'a dit, dans cet état, que son frère, je crois , l'a endormi pour la première fois il y a quelque
'était pas natirement € hystérique, somnambule et hallucinée », et je crois que M. Liégeois se trompe lorsqu'il trouve dans c
ant, de ??? Intention de Ut faire accoucher a l'état d'hypnotisme. Je crois bien qu'elle y comptait. Mais les premières doule
, mais qu'elle venait d'être prise d'un violent mal de gorge, qu'elle croyait étouffer et que, depuis lors, elle souffrait de n
Quand tout fut fini, M. Delbœuf réveilla la femme. Elle ne pouvait croire qu'elle s'était acccouchéc. Elle ne se rappelait
e, de force, de volonté pour paraître ne pas souffrir et nous laisser croire ainsi que notre expérience avait réussi. Je pen
sistant de M. Von Wini varier, comme un cas remarquable. Mais il faut croire que ma conversation fut rapportée a M. Von Wini v
j'avais fait trop grande la part de l'hypnose, car M. Von Wini varier crut devoir rectifier mon récit dans la lettre suivant
malentendu dont jo suis proba-« blement la cause involontaire. Je ne crois pas que les lésions analomiques t de l'entorse ai
bei der Paralytit agitant. — Inaug. Dtn. Breslcau, 1682. Nous nous croyions donc fondés à admettre comme conclusion : que l'h
deux minutes ; et les autres jours sommeil instantané. M. Bernheim croit que le chloral agit ici comme suggestif ; comme s
ses compagnes, qui s'endorment facilement, La décide, quoiqu'elle ne croit pas k tout cela. Au bout d'un 1/4 d'h. de fixatio
parce que, un peu en opposition sur ce point avec M. Levillain, nous croyons sîn- (1) Librairie Malgine, in-t',:£4 p., 1891,
d'inexactitudes, des impertinences vraiment intolérables. Aussi j'ai cru qu'il convenait de porter l'affaire devant l'Acad
ue, dans certains cas, mal déterminés encore, il est arrivé qu'on ait cru voir ou entendre une personne absente. La Société
nt péremptoirement sans savoir : ceux-ci n'existent plus, j'aime à le croire . D'autres, tout en admettant la réalité des fai
e. D'autres, tout en admettant la réalité des faits comme possible, croient devoir laisser aux spécialistes le monopole de ce
ntissage. Au début, on ne réussit pas; on voit mal, on entend mal; on croit qu'on n'arrivera jamais à voir et à entendre. Ave
ux. J'ai beau dire : c Dormez », ils restent les yeux ouverts. On les croirait rebelles, si on n'avait pas l'habitude d'observer
as l'habitude d'observer et de discerner cet . aspect particulier. On croit qu'ils ne sont pas pris ; on passe à côté, on ces
ie suggestive, persistance du souvenir au réveil; souvent le sujet ne croit pas avoir dormi, mais il a été influencé). L'hypn
e à M. Forel la statistique suivante, due au \y Riogier '1J qui a, je crois , étudié l'hypnotisme sous la direction de Wetters
s qui leur ont été faites. Nous regrettons que M. Brouardel n'ait pas cru devoir publier un compte rendu détaillé des expér
ion des expérimentateurs de Nancy, a modifié son opinion. Après avoir cru d'abord & l'obéissance passive des hypnotisés
M. Delbceuf trouvait dans sa propre appréciation un argument qu'il croyait décisif pour empêcher l'interdiction des séances
entées par MM. Iïrouardel et Delbœuf contre les doctrines de ceux qui croient à la possibilité des suggestions criminelles, s'a
ar-cot, le procureur général, requérant dans an procès retentissant a cru pouvoir affirmer que la suggestion criminelle éta
se fiaient sur les paroles du procureur général, ne pourraient-ils se croire assurés de l'impunité. En effet, si demain un hyp
cas d'amnésie rétrograde étant encore très rares dans la science, je crois devoir publier le suivant. Je le dois à l'obligea
Elle a su par d'autres personnes ce qu'elle dit en dormant. Elle croit fermement que les gens sont guéris par son traite
choses au moyen de signes perceptibles pour lui seul, et il finit par croire lui-même à son don de divination. Le croyant, sur
les demandes et les réponses. 2° Il faut admettre que la femme Fay croit de bonne foi à son don de seconde vue, d'autant p
iculièrement les cris d'enfant, lui sont pénibles. Elle rêve parfois, croit tomber dans des précipices. Elle est d'une irrita
a pupille gauche est plus dilatée qae la droite. Il n'y a pas lieu, croyons -nous, d'accorder une importance exagérée au rôle
tence de crises analogues, en l'absence de toute lésion, tout porte à croire que ces troubles ne sont pas d'origine sympathiqu
ance; auparavant, elles ont éprouvé une hallucination qui leur a fait croire à un coït ou à un contact imaginaire ». Mais, dan
périence et de celles qu'il avait instituées auparavant, M. Voisin se croit autorisé a conclure qu'il n'est pas exact que les
21 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
oses sont souvent, dans la réalité vraie, plus difficiles qu'on ne le croit , et il faut que vous les connaissiez telles qu'el
s hystériques se prêtent naturellement aux mêmes considérations. Je crois bien qu'on peut affirmer que tout bâillement, se
dans notre cas, est un phénomène hystérique ; mais il ne faudrait pas croire que tout bâillement morbide quelconque soit néces
phénomène qui, volontiers, précède et suit le sommeil naturel, je les croirais , en pareil cas, si j'en juge par mon expérience p
complexes et bizarres qu'ils soient, ne sont pas toujours comme on le croit trop souvent, déréglés, incoordonnés, contradicto
es exclamations. Celles-ci lui valurent, de la part des gamins qui se croyaient insultés, une rude et injuste correction. Ces e
ciatique grave (sciatique neuritique). Mais il sera intéressant, je crois , d'entrer ici dans une courte digression relative
essieurs, contrairement à ce que quelques-uns d'entre vous pourraient croire , n'est pas de date très ancienne. C'est en effe
temporaire, remarquez-le bien, et pas un rétrécissement permanent; je crois pouvoir affirmer qu'il en est de même pour le cas
hez les choréiques » ; elle a été soutenue à Paris en 1883. C'est, je crois , la première monographie qui ait été consacrée à
uent d'étudier l'affection dans tous ses détails. Mais, messieurs, je crois devoir vous en prévenir immédiatement : l'analyse
qui compte prétend-il, des centenaires. Nous avons toute raison de croire , d'un autre côté, que P...on, a toujours été un h
ousser le moindre cri, comme frappé d'apoplexie ; ses camarades l'ont cru asphyxié ; ils assurent que pendant la durée de l
opos de la non-participation de la face à l'hémiplégie hystérique, je crois inutile d'entrer à propos du cas d'aujourd'hui^ d
de nouveau. » D'après ce récit donc, que nous avons toute raison de croire correct, la paraplégie, l'hémiparaplégie motrice
thésie n'est pas autant qu'on sache, un phénomène hystérique. Nous ne croyons pas nécessaire d'y revenir à nouveau. Notre col
suite d'une sorte d'incubation. J'ai beaucoup insisté là-dessus et je crois devoir y insister encore à propos du cas présent.
certainement, tout n'est pas hystérique chez lui et en particulier je crois pouvoir affirmer que le syndrome de Brown-Séquard
t et jour, sans se réveiller jamais et il y a quelque bonne raison de croire qu'elle ne se réveillera pas de sitôt (1). Dans
e malade et chez beaucoup d'autres du même groupe; il ne faudrait pas croire cependant que cette apparition de phénomènes d'hy
cerne la durée, n'est pas aussi considérable qu'on serait tenté de le croire au premier abord. Sur ce sujet vous consulterez p
e saurais voir là un motif de distinction vraiment essentielle, et je crois que sans forcer les faits nous pouvons rapprocher
e arrondi, il semble un peu tuméfié, flasque au toucher ; on pourrait croire que la synoviale contient du liquide ; nous nous
uis,n'a pu être obtenue qu'au bout de plusieurs années.Et n'allez pas croire que la longue persistance de 'l'amyotrophie et de
dure et de bromure. Ça ne m'a rien fait du tout. M. Charcot : Je le crois bien. J'ai tenu, Messieurs, à faire parler ce mal
n en peut juger du reste par une chanson qui y est fort à la mode. Je crois intéressant d'en détacher quelques fragments comm
r. » De quelle complication s'agit-il donc ? Eh bien, messieurs, nous croyons pouvoir affirmer, en nous fondant sur l'histoire
spinale infantile de date antérieure. C'est à cette dernière que nous croyons devoir rattacher, en particulier, l'inégale répar
ar le passé, persistent toujours et aussi les stigmates. Le mieux, je crois , sera d'obtenir son admission à l'hospice de Bicê
ccès de tristesse qui durent plusieurs semaines, plusieurs mois. Je crois devoir reproduire ici les paroles par lesquelles
ouvons espérer que sous peu la guérison sera complète. A ce propos je crois devoir relever ce qui suit: Rien de mieux établ
chose à faire sur ce chapitre de la paralysie faciale qu'on pourrait croire à peu près complètement épuisé. 3e et 4e Malade
noncé comme un choréique ; au premier abord vous pourriez ne m'en pas croire tant sont faibles et rares actuellement chez lui
de 15 ans, on n'en a pas compté plus de 6 cas. Il y a tout lieu de croire d'ailleurs, bien que le départ à cet égard n'ait
elques heures, dépasse 38°, 39° et s'élève jusqu'à 40° 41°. Voilà, je crois , l'un des éléments nécessaires du complexus morbi
, 9 janvier 1889). 17 cinq, qu'il m'a été donné d'observer, et je crois bien que son existence a également été constatée
ismale dans l'acception rigoureuse du mot : en d'autres termes, je ne crois pas que la chorée puisse jamais être considérée c
plète : assez d'éducation et d'instruc-tion pour se faire illusion et croire qu'on peut juger de tout en dernier ressort; pas
le diagnostic, on pourrait utiliser, dans certains cas difficiles, je crois en effet pouvoir affirmer l'opinion que jamais
hui devenus presque vulgaires sur lesquels M. Debove a, le premier je crois , appelé l'attention et dans lesquels on voit l'hy
mentées par des rêves terrifiants qui le réveillent en sursaut: Il se croit sur un toit ou sur un chemin bordé d'un précipice
et à chaque instant il se sent menacé de tomber du côté du gauche. Il croit qu'à la suite de sa chute imaginaire il perd un i
s'est élevée à 38,8. La mort a eu heu à 5 heures du matin. 19 Je crois intéressant de vous faire connaître les résultats
nerveux, et lorsque guéri de son angioleucite, il quitta son lit, il croyait bien en être quitte,je ne dirai pas pour la peur,
rminées, en dehors de l'hystérie. Il n'appartient pas en tout cas, je crois pouvoir l'affirmer en me fondant sur de nombreuse
i sans l'aide d'un ami qui m'accompagnait. »En voilà suffisamment, je crois , pour justifier le diagnostic hystéro-neurasthéni
s choses de l'esprit, chez un médecin par exemple. Si vous pouviez le croire , messieurs, je serais en mesure de vous détromper
s l'impossibilité absolue d'exercer sa profession. Il ne faudrait pas croire non plus que, symptomatologiquemcnt, l'hystéro-ne
n à ne plus rien entendre de tout cela. » Entre nous, messieurs, je crois qu'il est dans le vrai et je l'engage à suivre so
ressortir ce qu'il y a d'intéressant à relever dans nos deux cas, je crois qu'il ne sera pas inutile de vous présenter au pr
ique de la paralysie infantile considérée dans sa forme classique. Je crois même qu'il conviendra, en vue même du but à attei
de 1876 ? M. Charcot : C'est cela même ; vous aviez alors 46 ans je crois ? La malade : Oui monsieur ; c'est le commencem
imer, n'est pas notablement diminuée. A la malade : Vous urinez, je crois , difficilement; depuis quand? La malade : Depui
ement, bien difficiles à débrouiller. Avant d(fiotrer en matière je crois utile de vous rappeler, dans un aperçu sommaire,j
relever immédiatement, messieurs, que cette intégrité, qu'on pourrait croire absolue, des membres inférieurs n'est en somme qu
s faire connaître à présent. Mais avant d'en arriver à ce point, je crois utile de vous remettre en mémoire quelques détail
inférieurs (1). Tels sont les faits anatomo-pathologiques que j'ai cru devoir vous remettre en mémoire. Il ne me reste p
e, ou au contraire existe-t-il entre eux une certaine relation ? Je crois , messieurs, que la relation existe en effet, et v
ation objective des symptômes imaginés. C'est, messieurs, à ce que je crois , par ce mécanisme psycho-somatique qu'à l'exemple
ion qui a été considérée comme étant de nature tuberculeuse. Il s'est cru pendant longtemps complètement guéri de tout cela
gastre, au cœur où il se produit des palpitations, à la gorge où l'on croit sentir une boule qui vous étouffe, à la tête enfi
dernier, une rachialgie et des douleurs en ceinture qui avaient fait croire également à la présence du mal de Pott. Cependant
un Mémoire publié en langue russe il y a cinq ans (1882), et resté je crois , jusqu'à ce jour, à peu près complètement dans l'
résultats obtenus dans nos propres recherches, il sera intéressant,je crois , de faire connaître, sommairement du moins,quelqu
urs après la dernière opération. Relativement au dernier point, je ne crois pas que les expériences soient tout à fait proban
des chez lesquels le désir d'être soulagés est si impérieux qu'ils se croient en quelque sorte obligés de tout supporter sans s
toire une légère esquisse; le cas est assez intéressant cependant, je crois , pour mériter d'être l'objet d'une étude plus att
pas à titre d'événement purement accidentel, qu'il faut interpréter, croyons -nous, l'apparition, il y a deux ans, — époque dep
ement l'opinion que ces cas sont beaucoup plus rares qu'on ne l'avait cru jusque dans ces derniers temps ; en tout cas, per
de la nuit. Tout cela pour lui est un grand soulagement. N'allez pas croire , cependant, que la sensation vertigineuse ait dis
liénée ; sa mère a des hallucinations de l'ouïe et de la vue, elle se croit persécutée, elle est actuellement enfermée en Sui
uels j'ai voulu appeler votre attention. Il est assez particulier, je crois , pour qu'il soit permis de le distinguer des comp
illeurs notre mala-lade ne porte aucun des stigmates connus (1), Je crois pouvoir émettre l'opinion que le syndrome en ques
eloppée sous l'influence de nouvelles conditions d'existence? Je n'en crois rien, Messieurs, pour ma part; la maladie date de
ères et parfois, croyant tomber, il se réveille en sursaut ou bien il croit travailler dans un puits et il lui semble tomber
malade : Rien, je ne me rappelle rien. M. Charcot : Allons ! je la crois bien éveillée maintenant. Peut-être pourrons-nous
ne me trompe, une ample moisson de faits intéressants. N'allez pas croire que « Saint-Antoine », comme on l'appelle dans le
e temps à autres des vertiges.En août, se sentant un peu mieux, il se croit assez fort pour reprendre son travail; mais à cha
On voit que les tares nerveuses ne font pas défaut dans la famille Je crois utile en manière de conclusion de grouper dans un
nous raconter lui-même ce qu'il sait de ses fugues ; au préalable, je crois utile de vous rappeler qu'il est âgé de 37 ans, m
it dans le recueil des leçons du mardi de l'an passé (p. 155),mais je crois indispensable, cependant, d'insister ici même, un
et cela, dans le passé, n'a jamais existé chez notre malade, qui, je crois devoir le répéter, n'a jamais souffert autrefois
n'y suis pas entré. J'ai oublié tout ce que j'ai fait depuis lors. Je crois seulement que j'ai vu le Mont-Valérien et peut-êt
me trouvais au beau milieu de la place de la Concorde. M. Cuarcot : Croyez -vous avoir marché tout le temps ? Le malade : M
ent dans votre poche ? avez-vous mangé en route ? Le malade : Je ne crois pas avoir mangé. En tout cas je n'ai rien dépensé
M. Charcot : Vous avez eu votre second accès le 30 juin. Il a été, je crois , plus long que le précédent ? Contez-nous ce que
marquée à s'allonger et à se rapprocher. Au malade : Yous étiez, je crois , le 23 août, vers 11 heures, rue Ober-kampf. De l
ement, à lui-même : «Je comprends maintenant ce qui est arrivé ; j'ai cru rêver tout cela : mais je vois bien qu'il ne s'ag
t après coup qu'elle lui avait trouvé l'air un peu drôle ; mais je ne crois pas qu'une personne étrangère eût pu voir chez lu
l avait depuis longtemps repris confiance en lui-même : de fait il se croyait guéri. Déjà le 2 mai 1888, nous l'avions autorisé
exceptionnellement intense. Ces résultats thérapeutiques suffisent je crois , en grande partie pour révéler la nature du mal.
elever encore l'intérêt du cas que nous venons d'étudier ensemble, je crois utile d'en rapprocher un certain nombre de faits
automatisme que, dans lebut d'éclairer mieux encore la situation, je crois utile de signaler à votre attention. On cite volo
M. Motet auquel nous avons fait allusion plus haut et que cet auteur croit devoir classer dans la catégorie des amnésies tra
ns ses formes les plus variées et telle est l'interprétation que nous croyons devoir donner du cas de M. Motet dont nous allons
j'ai fait allusion dans la 9e leçon du mardi de l'an passé (2), je ne crois , pas qu'il ait été observé de près une seule fois
d'extase, se lève, s'habille comme la nuit précédente. Bientôt, elle croit voir des bêtes qui menacent ses enfants ; elle ou
es portés à les considérer comme étant foncièrement identiques ; nous croyons en d'autres termes que le prétendu somnambulisme
pouvant avoir la prétention de tout indiquer même sommairement. Je crois , d'ailleurs, en avoir dit assez pour légitimer le
res années, les médecins consultés se sont invariablement, paraît-il, crus en présence tantôt du cancer gastrique, tantôt de
se et entretenue pendant si longtemps pouvait-elle être évitée? Je le crois , Messieurs; je crois qu'à de certains indices que
ant si longtemps pouvait-elle être évitée? Je le crois, Messieurs; je crois qu'à de certains indices que j'aurai à cœur de re
le cours des cinq ou six années suivantes. Elle a été formulée, je le crois du moins, pour la première fois, dans les leçons
publiées cette année-là dans le journal le Mouvement médical (1). Je crois utile de la rappeler telle, ou à peu près telle q
oncentré ; le malade ressemble à un cholérique. Plusieurs fois on l'a cru sur le point de mourir. Amaigrissement rapide. Le
plication inutile des espèces et le morcellement porté à l'excès ; je crois qu'il est possible de la ramener, ainsi qu'il va
,suivantle pays où elles se déclaraient. Ainsi en Angleterre c'était, croyait -on,de la « goutte remontée à l'estomac » : Gout i
ême. Je n'avais toujours pas faim ; je me nourrissais à peine. On m'a cru atteint d'abord d'un cancer de l'estomac, et plus
aignante, des pommes de terre, je bois du vin sucré, etc., etc. Je me crois guéri de ce côté-là. M. Charcot : Je l'espère.
M. Charcot : La même chose vous est arrivée plusieurs fois depuis, je crois ? Le malade : Oui, monsieur, quatre ou cinq foi
encontre dans les villes où il s'arrête chemin faisant. Je n'ai pas cru , Messieurs, devoir vous épargner les détails rela
les scènes de grèves " auxquelles il a assisté en Belgique, et il se croit poursuivi par des gendarmes ; tantôt ce sont des
situation. Après nos études de l'an passé et de cette année, je ne crois pas nécessaire de nous arrêter, Messieurs, à disc
e coup d'émotions dramatiques. Quoi qu'il en soit, Messieurs, je ne crois pas que son cas soit grave au premier chef. Déjà,
reste, des formes absolument pures, des types parfaits. C'était, je crois , en 1877. 11 s'agissait d'un jeune garçon jusque-
e sol. Cette interprétation ne me paraît pas tout à fait fondée et je crois même que les cas d'abasie pure, c'est-à-dire ceux
quand l'astasie, ce qui se voit fréquemment, reste incomplète. Je ne crois pas qu'il existe encore une seule observation dan
beaucoup d'égards, qu'à la période des études préparatoires. Mais je crois avoir indiqué cependant les principaux points d
vec incoordination motrice.) 1° Choréiforme. 2° Trépidante. Je ne crois pas qu'il soit nécessaire d'insister sur les cara
s anomalies possibles. S'il est vrai, en effet, comme tout porte à le croire , que les groupes cellulaires divers qui président
au coma qui relève de l'asphyxie par la vapeur de charbon ? Je ne le crois pas : cet état comateux autant qu'on sache, ne pe
rès faible », dit-il en rappelant les souvenirs de cette époque; j'ai cru en me sentant si déprimé et en voyant les grandes
ique. C'est bien d'elle qu'il s'agit décidément dans notre cas; je ne crois pas qu'il existe de paralysies autres que celle-l
n ; ils nous ont été fournis par sa famille. D'ailleurs n'allez pas croire que ces réponses toujours négatives des alcooliqu
voit des illuminations, nombre de personnes joyeuses et parées ; elle croit en un mot assister à une fête. L'autre jour elle
; elle était tourmentée par des rêves pénibles dans lesquels elle se croyait poursuivie par des animaux. Elle avait même parfo
ment éveillée, des hallucinations de la vue. Ainsi, en décembre, elle crut un soir voir tout à coup,sur le mur de sa chambre
la ligne : La mémoire est toujours fort en défaut sans doute et je ne crois pas du reste que jamais, les choses allant au mie
lcoolique d'après ce qui a été dit vous paraîtra plutôt favorable; je crois qu'il l'est en réalité dans la majorité des cas,
la paralysie alcoolique, la Leçon du mardi G mars 1688. prie de le croire ,àl'évolution de cedrame; d'abord chezunejeuneetbe
'eux qui a commis plusieurs délits ; mais soit dit entre nous, je les crois bien peu responsables l'un et l'autre du mal qu'i
tion suivante : la névrose hystérique est-elle vraiment, comme on l'a cru , comme on l'a prétendu jusqu'ici, plus fréquente
e d'antécédents nerveux. A cet égard, je me permettrai de ne pas l'en croire . Il est même impossible que 1. Voir à ce sujol
e donne 20 pour la main droite, 5o pour la main gauche. N'allez pas croire quecette insensibilité de tout uncôtédu corps,qui
uer maintenant à chercher la solution. III Mais, au préalable, je crois utile de vous remettre en mémoire l'arrangement q
et si cette relation existe réellement, en quoi consiste-t-elle? Je crois , Messieurs, que la relation existe en effet, et,
lement progressive de la myopathie. A cela, je vous l'avouerai, je ne crois guère. Mais je crois que nous pouvons compter pou
la myopathie. A cela, je vous l'avouerai, je ne crois guère. Mais je crois que nous pouvons compter pour le moins sur l'évol
e trois, quatre, cinq ans, rarement plus.' Il n'était pas inutile, je crois , de nous arrêter un instant sur le diagnostic de
'ai vu l'éclair et j'ai entendu le coup en même temps, du moins je le crois , car il y a à cet égard un peu de vague dans mon
même en pivotant d'abord sur le côté gauche; c'est du moins ce que je crois d'après ce qu'il me semble avoir éprouvé et aussi
ant au malade : Tout cela est-il exact? Le malade : Monsieur, je le crois ; il me semble bien me rappeler la plupart des ch
De plus, il nous affirme, et, à cet égard nous avons toute raison de croire qu'il est sincère, que jamais, soit dans ses lect
int celui qui voit l'éclair et entend le coup. Cette croyance qui, je crois , remonte jusqu'à Pline, n'est pas, tant s'en faut
, le toit fut entouré d'une vap eur si semblable à de la fumée, qu'on crut le grenier en feu (1). » Suivant M. le Prof. Gall
ments à invoquer en faveur de l'opinion que D...cy a été, comme il le croit , frappé physiquement, matériellement, électriquem
en effet sur tous les points avec ceux qu'on assigne, ajuste titre je crois , aux paralysies déterminées par la fulguration da
ù la foudre a éclaté... Singulière préoccupation chez un homme qui se croit avoir un pied dans la tombe. Ceci concorde fort b
mme vous voudrez l'appeler. J'en viens aux quelques détails, que je crois utile de vous présenter maintenant, relativement
femme fut atteinte par la foudre près de Montargis ; en tombant elle crut qu'elle avait le bras et la jambe cassés. Lorsque
i-ci. Or, ces cas-là sont rares quant à présent, j'ai tout lieu de le croire . Messieurs, après tout ce qui précède et en man
, 1. Leçon du mardi 23 octobre 1888. 63 comme on est porté à le croire lorsqu'on y regarde superficiellement, déréglés,
e ; si alors, je le répète, on n'y regarde pas d'un peu près, on peut croire que c'est la chorée qui est enjeu. lre et 2e Ma
Messieurs, la chorée chronique passe, et c'est de toute justice je crois , pour une maladie incurable; son évolution est fa
), delà Normandie médicale un intéressant exemple de ce genre dont je crois devoir vous faire connaître les principaux traits
admis dans le service. Vous voyez comment des faits cliniques, qu'on croyait des plus rares, semblent tendre à devenir presque
es anomalies possibles. S'il est vrai en effet, comme tout porte à le croire , que les groupes cellulaires divers qui président
éder à l'examen des malades que je me propose d'étudier avec vous, je crois utile, en manière de préliminaire, d'entrer dans
itaire occupant les parties centrales de la moelle: mais tout porte à croire aujourd'hui, qu'il existe plusieurs espèces d'alt
otions dites du sens musculaire; elles montreraient enfin, si l'on en croit certaines observations qui paraissent parfaitemen
affections organiques du système nerveux que, dans la pratique, on a cru , le plus souvent avoir sous les yeux, alors que c
our être exposé convenablement, nécessite quelques développements, je crois utile de placer sous vos yeux, pour les soumettre
rés comme des exemples de syringomyélie, il est vrai également, je me crois autorisé à l'affirmer après m'être livré à la cri
Mais je ne veux pasm'arrêter à faire ici un procès de tendance. Je me crois en mesure de vous démontrer séance tenante, à pro
ais été à Lourdes, dit le sujet, en rappelant cet événement, j'aurais cru à un miracle. » Toutefois,si la disparition des
e rêves, de cauchemars et parfois même d'hallucinations. Tantôt il se croyait dans un train en marche, il parlait à haute voix,
de nature hystérique. Il est vrai que MM. Oppenheim et Thomsen ont cru trouver dans la ténacité des anesthésies chez les
our qui ne connaît pas à fond fa maladie chez la femme, — ce que l'on croit être le trait caractéristique de l'hystérie, c'es
es. Tous ces désordres dans l'état mental constitueraient, si l'on en croit MM. Oppenheim et Thomscn, une psychose spéciale a
s démontrer que la contracture spasmodique n'existe plus ? Oui, je le crois . Vous voyez que la malade peut, dans une certai
s qu'un éclair jetait une très vive lueur. H... en fut tout saisi; il crut que la foudre était tombée sur le trottoir qui bo
au cuir chevelu, la guérison s'est maintenue complète et tout porte à croire qu'elle est définitive. On remarquera que dans
22 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
permise quelquefois. Comme conclusion de notre longue élude, que je crois pouvoir appeler consciencieuse et impartiale, je
née. Il s'endormait paisiblement, son réveil était excellent et il se croyait guéri jusqu'au moment où il reprenait son mètre :
suis pas malade de ce côté; c'est la première fois que je commence à croire ce que l'on m'avait déjà dit, mais jamais on ne m
x minutes, la malade se réveillait comme la veille et répétant : « Je crois vraiment que je suis guérie. » Nouvel étonnement
s, qu'il n'y avait plus de douleur, et Mme X... ayant déclaré qu'elle croyait que les palpations, sous forme de massage, lui co
, m'ayant confié que la présence effective de son mari lui avait été, croyait -elle, très favorable, je lui suggérai, devant sa
montant à son appartement, elle se sentit mouillée et, aussitôt, elle crut que, si elle était devenue enceinte après la visi
rexcitée. Il s'est développé sans cause connue ; cependant, la malade croit se rappeler avoir commencé de tiquer, il y a dix
une façon, produire do merveilleux et transcendants phénomènes, ni ne crois pas les faire résulter d'aucun pouvoir spécial. »
des derniers investigateurs de l'hypnotisme. En premier lieu, Braid croyait à l'origine purement physique des phénomènes hypn
de la puissance suggestive des hypnotiseurs sur leurs sujets. À en croire certains auteurs, particulièrement ceux de l'Écol
e importe peu, c'est la nature de l'acte qui a de l'intérêt. Or, à en croire les hpnotiseurs psychologues ou juristes, l'hypno
sez-vous sérieusement atteint, avez-vous des raisons suffisantes pour croire à l'existence de vos dou-lours, pour souffrir, po
riste et désespéré ? i il me répondait bien franchement: « Non, je ne crois pas que je sois malade, je sens bien que c'est mo
is je ne peux pas m'empêcher d'être ainsi. » Maïs, d'autre part, je crus remarquer que pendant son dédoublement, mon malad
, en observant le cliché. C'est donc le cîicbé qu'il faut voir pour croire et non l'épreuve qu'on en a tirée, dans la strict
ionnés par le danger ». Fort bien ; mais pourquoi Morrel n'a-t-il pas cru devoir pousser jusqu'au bout l'analyse de cet élé
eposer entièrement sur le principe des « idées dominantes ». Le sujet croyait que l'opérateur avait seul pouvoir sur lui, ou qu
rmi, est la cause du rapport. De ceci, il devient évident que Braid croyait que le rapport était entièrement le résultat de l
analogue, objet de l'étude actuelle. Rapprochant ces deux faits, nous croyons qu'il s'agit là d'un état mental particulier dont
ôté de moi, il m'a regardée et cela m'a fait rougir ; cette enfant va croire que cet homme est mon amant et ma fille va être s
à les propager, et nous partageons l'opinion des chirurgiens qui les croient dues, dans la plupart dès cas, à une irritation p
lles que nous allons fournir. Observation I. — Mme T..., multipare, croit être enceinte do 9 mois. Femme nerveuse ; plus cl
à craindre que nous la fassions accoucher trois semaines trop tôt et croit que cela rendra son accouchement encore plus
r, Monsieur le Rédacteur, l'assurance de ma hauto considération et me croire votro bien dévoué C Stumpf Berlin, le 4 Août 1897
lles du professeur Forel sur la valeur des passes, etc. Lorsque Braid croyait que leur influence était principalement suggestiv
entre les théories de Braid et celles, plus récentes, auxquelles j'ai cru devoir justement en référer, il est indiscutable
nt des « recherches électro-biologiques de Grimes. » Bien que j'aie cru d'un certain intérêt historique et d'un absolu de
Itobespierre était, lui aussi, un onychophage, du moins s'il faut en croire ce passage d'une lettre de M. Sardou : « Dans c
s 1892. Alcan,éditeur. ne sent que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire croire, ne fait que c
que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire croire , ne fait que ce qu'il lui dit de faire. L'effet d
nait encore on main la pomme de terre entamée, Th... ne voulut jamais croire qu'il y eût porté la dent. III. M. Delbœuf, apr
r démontrer que les premières étaient « suspectes ». Il a voulu faire croire à une jeune fille honnête qu'il était son mari, e
placée qu'elle soit, fût-elle princière ou même royale, qui puisse se croire à l'abri de ce danger, car il n'en est pas où les
me; mais, de propos délibéré, il ne voulut pas — ce que le rapporteur croit qu'il eût dû faire — interroger la plaignante sur
rée sur un même objet, n'est pas chose aussi facile qu'on pourrait le croire et demande une certaine éducation qui se perfecti
En résumé, il nous a paru intéressant de vous relater ce fait, que je crois unique, d'accès de manie aiguë à forme intermitte
cinto de nos assemblées législatives, du moins nous sommes autorisé à croire et à dire qu'elle fait antichambre. Trop a été
iénés dans les prisons, 33 % étaient malades avant le crime. — Mendel croit devoir élever cette proportion à 75 %..... Qu'i
ancer du sein ; il commença à craindre cette maladie et arriva à s'en croire atteint au sein gauche. Insomnie, dépression, dys
eur, mais cette condition n'est qu'apparente. Bernheim et Liébeault croient , au contraire, qu'il y a un rapport réel entre le
st du même avis, mais diffère sur un autre point. Tandis que Bernheim croit que le rapport est le seul point qui différencie
cet état, mais il n'a pas perdu sa volonté et son sens moral. Braid croit avoir prouvé que personne no peut être affecté en
nsidérons l'état voiilionnel et moral du sujet. Au commencement, je croyais que l'hypnotisé était entièrement â la merci de l
s crimes de laboratoire. Bernheim et Liégeois prétendent que le sujet croit que le crime est réel, parce qu'étant hypnotisé,
e n'ai jamais émises, qui n'ontjamais été miennes. « Braid, dit-il, croit avoir prouvé que personne ne peut être affecté en
, l'hallucinabilité, l'analgésie, les vertus thérapeutiques, etc., il crut à un état nouveau de l'organisme, créé par ses ma
qui développe la suggestibilité, qui fait les guérisons. Enfin, je crois avoir dégagé la suggestion du sommeil provoqué ar
es de temps dans une sommation automatique pendant laquelle ce qu'ils croient être le rêve est l'hallucination, et le produit d
succès dépend de la gravité du cas et de l'état mental du sujet. Je crois donc pouvoir conclure en résumant de la façon sui
. C'est pour éviter ces écueils aux expérimentateurs novices que nous croyons devoir rappeler les principes de la pédagogie sug
ttant mal ou pas les vibrations normales, ou bien les altérant, fasse croire au patient des choses qui n'existent pas, tout co
oire au patient des choses qui n'existent pas, tout comme le lui font croire les nerfs de la sensibilité générale ou spéciale
térieurement fait la description. Les assertions précédentes feraient croire que la sensibilité viscérale ne fonctionnerait pl
ons parfois démesurées, qu'ils pèsent un poids exagéré ; d'autres les croient réduits à la dimension d'allumettes; tels les dis
et en noter l'état pour formuler un diagnostic complet, mais nous ne croyons pas que, pour le moment, ils puissent servir au d
ggestion joue dans les choses de ce monde un rôle plus grand qu'on ne croit généralement; et sans aller jusqu'à dire, avec le
du ventre, ni sur le trajet du sciatique, ce qui ne l'empêche pas de croire qu'il a une sciatique incurable, ayant résisté à
en donner, et qui doivent être rejetées. D'abord la supercherie: je crois qu'il est inutile de la discuter ; les personnes
elui-ci veut qu'elle voie, ne sent que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire croire, ne fait que c
que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire croire , ne fait que ce qu'il lui dit de faire. Cet autom
e. Et alors, le professeur de Liège de s'écrier : a A qui fera-t-on croire « qu'une jeune fille qui, sans émotion, tire sur
spectateurs suivre son « jeu avec une curiosité haletante (3). » Je crois que, si mon ami et contradicteur avait assisté à
'argument par lequel on prétend faire tomber les conclusions que j'ai cru pouvoir tirer du fait précité, doit être envisagé
lus compétents en matière d'hypnotisme. Je n'y insiste donc pas. Je crois , d'ailleurs, connaitre la cause de l'opinion erro
ue « l'assassinat suggestionnel (1) ». Et comment Delbœuf a-t-il pu croire à la comédie jouée même parles très bons somnambu
sa main la pomme de terre fortement entamée, il refusa obstinément de croire qu'il y eût porté la dent, malgré mes affirmation
é vos sujets, et, en particulier, J... et sa sœur! La réponse est, je crois , péremptôire. Parlant un peu plus loin (p. 22),
erdu tout souvenir de ce qu'elle avait fait étant endormie, elle a pu croire , quand sa mère lui disait qu'elle avait failli êt
es, des contractures. D'autres ne dorment pas davantage, mais ils croient dormir : ils ont comme dit Bemheim, l'illusion du
pas d'accord, naturellement, avec M. Bernheim. C'est un danger, je crois , d'ouvrir ainsi, sur des questions aussi délicate
autorité est certainement moins absolue qu'on voudrait nous le faire croire . J'ignore auprès de quelles personnes cette autor
ès de quelles personnes cette autorité peut subsister encore, mais je crois que la plupart des spécialistes dont l'opinion se
ur me faire une opinion dans un sens ou dans l'autre. Mais ce dont je crois pouvoir Ôtre absolument certain, c'est que la for
nification et serait une véritable tautologie. M. Liébcault n'a, je crois , jamais été aussi catégorique à cet égard. Il pen
que M. Bérillon laisse supposer entre MM. Lié-beault et Bernheim, je crois qu'il existe plus dans les mots que dans la réali
recours qu'exceptionnellement, je veux bien le lui accorder: mais je crois que la majorité des suggestion-neurs trouvera tou
appellerait aujourd'hui un dégénéré, sans aucune supériorité. Qui le croirait , cette étude si consciencieuse de Mesnet, qui n'a
professeur ù l'Université de Nancy. (cuite) IV Delbœuf, qui ne croit pas beaucoup aux expériences on général, et surto
tre fois, Delbceuf, ayant endormi une jeune fille, a voulut lui faire croire qu'elle était mariée et qu'il était son mari ; l'
it le matin ! » Voici enfin une expérience dont mon contradicteur a cru pouvoir tirer des conséquences diamétralement
e lui prescrire un crime aussi horrible? Pourquoi dire que J..., a dû croire , qu'elle a cru que le revolver était « chargé, »
crime aussi horrible? Pourquoi dire que J..., a dû croire, qu'elle a cru que le revolver était « chargé, » comme toujours,
eut pas, dans mon expérience avec Mlle E... P..., que celle-ci ait pu croire que mon pistolet pouvait être chargé, trouve tout
tolet pouvait être chargé, trouve tout naturel d'admettre que J..., a cru forcément que son revolver, à lui, était chargé!
r le carnet (2) Liébeault, /oc, cit. p. 335. Nous continuions à croire , M. Liébeault et moi, qu'il y avait des raisons s
ome, feront pour une promenade publique les dépenses qu'ils n'ont pas cru devoir faire pour leurs aliénés ; cependant il y
ychologique de cette intervention. Jusqu'à ces dernières années, on croyait communément que la suggestion hypnotique n'est d'
SENSATIONS ET LA CROYANCE. Les hommes ont une inclination native à croire , et croient, pour l'immense majorité, que nos sen
ET LA CROYANCE. Les hommes ont une inclination native à croire, et croient , pour l'immense majorité, que nos sensations ont
e sescroyances. « Tout ce qu'il y a d'hommes sont toujours emportés à croire , non par la preuve, mais par l'agrément (5). » On
s emportés à croire, non par la preuve, mais par l'agrément (5). » On croit aisément ce qui plait, ce qui est conforme à ses
du raisonnement, soit par impuissance de vérifier, beaucoup d'hommes croient une chose par cette seule raison qu'un autre homm
peut pas discerner quels d'entre ces effets sont les véritables, les croit lous^J. » Et c'est ainsi, de son propre aveu, que
les croit lous^J. » Et c'est ainsi, de son propre aveu, que le peuple croit aux divinations, aux prophéties et aux miracles.
celles-ci. V. — LA VOLONTÉ ET LA CROYANCE. Il arrive aussi qu'on croie parce qu'on veut croire. Cette forme est peu diff
OLONTÉ ET LA CROYANCE. Il arrive aussi qu'on croie parce qu'on veut croire . Cette forme est peu différente de la croyance se
étape de l'amour à l'action. Si, en religion, il arrive qu'on veuille croire , dans la crainte des peines menaçant les incrédul
st ainsi fait, dit-il, qu'à force de lui dire qu'il est un sot, il le croit (^). (1) De la suggestion. (2) The powerof the
ts, etc. » « La coutume est notre nature qui s'accoutume à sa foi, la croit et ne peut plus ne pas craindre l'enfer, et ne cr
ume à sa foi, la croit et ne peut plus ne pas craindre l'enfer, et ne croit autre chose. » C'est ainsi, qu'en cet étrange Pas
trouve des armes contre lui-même. Il dit encore que, pour arriver à croire , il faut faire comme si l'on croyait, a en prenan
Il dit encore que, pour arriver à croire, il faut faire comme si l'on croyait , a en prenant de l'eau bénite, en faisant dire la
u bénite, en faisant dire la messe, etc. Naturellement cela vous fera croire et vous abêtira. » Il faut a s'offrir par des hum
il les mot sous les ordres d'un Dieu suprême, et en arrive à ne plus croire qu'à ce Dieu seul. C'est le monothéisme dos métap
le, riche ou pauvre, opulente, prin-cière, royale même, qui puisse se croire à l'abri de ce danger; car, il n'en est pas où le
ictime, même on dehors de tout penchant secret éprouvé par elle, nous croyons devoir la maintenir énergiquement, malgré l'avis
aveu étonnant: « Oui, vous étiez pure, « vous étiez vierge, vous avez cru , dans votre naïveté, que ce que je « faisais étai
je me suis résolue à l'épouser, parce que j'avais pitié de lui ; « je croyais avoir trouvé en lui un bon fonds et je voulais sa
idée qu'elle n'aurait pas d'enfants. Au début de son mariage on avait cru utile de pratiquer un curettage de hi matrice ; à
grimoires et dans l'ancienne magie. Jusqu'ici nous avions toujours cru que Mesmer et ses disciples, le baron du Potet, P
ugitif et où l'ancien nécromant avec ses statuettes et ses blasphèmes croyait occire son lointain ennemi. Enfin, il a établi la
e ce temps, l'état de la malade était devenu tel que son entourage la croyait véritablement sur le chemin d'une guéridon défini
de Port-Royal. Il avait un a très grand respect de la religion 1 a et croyait à ln sorcellerie. C'est ainsi qu'en 1G21, il mand
clés învesUgatjpns curieuses; car lorsque Dieu nous a ordonné de croire , il n'a pns prétendu nous livrer ses décrets divi
bas Vous nous ôtez la connaissance ; Mais j'espère en votre équité Et crois que votre providence Suit les lois de votre bonté
ît Gilhertc, « un grand éloigne-menl et même du mépris, parce qu'elle croyait qu'on y pratiquait des choses qui n'étaient pas c
ente de la gare de Belfort, où ils se trouvèrent seuls. M. X... avait cru remarquer que sa compagne de voyage pourrait être
nvaincra jamais. Pour moi, ma conviction est faite b. « cet égard. Je crois que, chez certains hypnotiques, je ne dis pas che
s vu, par Delbceuf, le savant professeur de Paris, ajoute : « Je ne crois pas que, parmi ceux qui nient ou qui doutent enco
ersonne ne « relèvera ce défi ! » Les faits m'ont donné raison. El je crois pouvoir répéter encore: « Non, personne ne relève
questions que nous nous efforçons depuis longtemps d'élucider. Nous croyons maintenant pouvoir, à bon droit, considérer comme
de suite, un remède, un préservatif, comme on voudra Tappeler.que je crois très efficace et qui peut s'appliquer à tous, le
que ces êtres plus ou moins malfaisants — en tant du moins qu'on les croyait et qu'ils se disaient eux-mêmes suppôts de Satan
emment bienfaisant. Ne repoussons donc pas cette force nouvelle! Ne croyons pas qu'il puisse exister des vérités malfaisantes
tent les adultes atteints d'hystérie vulgaire. Certains auteurs ont cru qu'il fallait considérer comme des manifestations
iens étudièrent ensemble les Pères, les Conciles et la tradition. Ils crurent y trouver le fondement d'une nouvelle doctrine de
en apprenoit dans les petits traités de M. de Saint-Cyran. L'on peut croire qu'elle y y reçu le Saint-Esprit, car depuis celt
la période d'excitation ou inversement. Par exemple {p. 630), « Marie croit en avoir encore pour longicmps de sa dépression o
ession de foi. Elle fut catégorique, et satisfit tant de Belley qu'il crut l'incident terminé, il n'en était rien. Pascal et
Sa parole onctueuse, et familière attirait, parce que chaque auditeur croyait qu'il ne parlait que pour lui. On courut à ses se
idérant que c'étoit lui qui con-duisoit la maison de Port-Royal, elle crut dès lors, comme elle me l'a dit en propres termes
23 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
e matin, » — Elle ne peut plus se rappeler que je l'ai endormie, mais croit avoir dormi spontanément. Elle est convaincue qu'
entriloque, et si je n'avais vu ses lèvres remuer, je n'aurais jamais cru que ce fût le roi Milan qui parlait. . Un eutre o
re sur son esprit, et qu'il n'ait pas agi spontanément. Mais avant de croire qu'il ait été systématiquement hypnotisé pour arr
enseignements donnés par les professeurs de Nancy, il y avait lieu de croire que leur doctrine, ] basée sur des faits innombra
teur on ne trouve formulée d'indication thérapeutique à cet égard. On croirait presque que les médecins les plus dévoués aient t
L... pendant son sommeil hypnotique. Je tentai l'expérience. Je ne crois pas avoir fait là rien de contraire à la morale p
suggestion. Sa volonté a été vaincue par la mienne; il s'avoue et se croit coupable. Je continue, et sa volonté va de nouvea
moment, L... ne sait plus s'il le savait ou s'il ne le savait pas. Il croit ce que je lui dis et sa volonté flottante et ince
fluence sur sa volonté pour l'amener à mettre sa conscience à nu ? Je croirais plutôt le contraire. J'ai beau lui ordonner de
; la vérité, pour lui. c'est ce que je lui dirai, ce que je lui ferai croire . Son moi volitionnel n'existe plus. Il ne possède
ou), Velander (de Yonkoping). Le Congrès de l'Hypnotisme, qui avait cru devoir inaugurer ses travaux en affirmant sa répr
otique n'étant point encore officiellement accepté en psychiatrie, je crois qu'il est nécessaire de procéder avec la plus gra
, après des centaines d'hypnotisations faites sans aucun accident, je crois pouvoir me ranger à l'opinion de nos confrères qu
ofesseur de Gratz. qui vient d'avoir l'honneur d'être nommé a Vienne, croit -il que la guérison sera définitive dans son cas.
ant est que l'on arrive jamais à obtenir ce résultat. En résumé, je crois pouvoir conclure que nous possédons dans la sugge
tre En somme, les troubles hystériformes que, plus souvent qu'on ne croit provoque la syphilis, ont pour Fournier, comme po
retentissement dans le monde savant. C'était en 1876. un homme, oui croyait sa fin prochaine, écrivit à notre grand physiolog
quart de siècle, il ne s'était pas (ait illusion sur des faits qu'il croyait avoir bien observés. Claude Bernard, président de
tisme M. Ladame (de Génève). — Contrairement a ce que L'on pourrait croire , la nécessité d'interdire les séances publiques d
arquable et si consciencieux de MM. van Renterghem et van Eeden. Nous croyons devoir signaler leur opinion sur la durée et la s
er en rien b valeur des patientes recherches de ces savants ; mais je crois qu'avec ces statistiques il font fausse route. Le
des criminels-nés que redressait l'éducation. M. Traverni (de Catane) croit au contraire que les enfants mauvais sont l'excep
ne le suivrai pas dans la voie des réformes nombreuses et utiles, je crois , qu'il demande. Mais il est un point sur lequel t
des chez tous les sujets qui m'ont fait part de leurs hallucinations. Croyez -vous que les gens du monde auxquels vous envoyez
ements pénitentiaires; il importe, toutefois, que les condamnés ne se croient pas l'objet d'une curiosité trop grande. L'entrée
condamnes ne peuvent être compares aux malades d'hôptiaux. Si l'on en croit M. le directeur de l'administration pénitentiaire
enir l'objet de l'attention des aliénistes. C'est pourquoi nous avons cru devoir la soumettre à l'examen du Congrès. Dans
tiseurs eux-mêmes. Chacun, on peut le dire, a son procédé a lui. Je crois inutile de relater la pratique des anciens magnét
ent le bras en l'air, j'obtiens souvent alors, même quand le sujet ne croit pas être influencé, une catalepsie suggestive plu
tels que rire, geste, ouverture des yeux, paroles prononcées; ils le croient réfractaire parce qu'il rit ou manifeste. Ils oub
combattue. La médecine actuelle, trop imbue des idées orga-niciennes, croit expliquer tous les mystères de la vie par la méca
, Wagner, Moltke, Gladstone et.... Paulus! Des l'antiquité on avait cru voir une relation entre le caractère d'un individ
allée garder ses brebis dans un bois a peu de distance de chez elle, crut voir soudainement apparaître, sortant d'un tas de
é la terreur que lui inspirait l'examen de sa blessure. Le médecin ne crut pas pouvoir faire un examen sérieux sans avoir re
héros de la pègre. Et il était si bien entré dans son rôle, qu'il se croyait un grand criminel. N'est-ce pas là, Messieurs,
l fit connaissance d'une jeune fille avec qui, comme il le dit, il ne croyait passer que quelques jours. Mais il « s'éprit pour
nfluences mauvaises et dont tous les détenus se jouaient, lui faisant croire toutes sortes d'absurdités, le poussant à commett
même à l'eut de veille, on pouvait en faire tout ce qu'on voulait; il croyait sans contrôle tout ce qu'on lui disait et agissai
action que lui donne toujours ce rétablissement inespéré. C'est, je crois , dans les maladies de la moelle que la suggestion
au plus grand étonnement du suiet qui, malgré l'évidence, ne pouvait croire a un traitement dont elle ne voyait que les effet
d'étudier le rôle de la suggestion dans les paralysies organiques, je crus voir en celle malade l'occasion de faire une expé
e csl le pavs de la suggestion et de l'hypnotisme par excellence ; je crois qu'il n'y a pas de contrée où l'on trouve autant
e figure quelconque : au bout de très peu de temps elle apercevait ou croyait apercevoir la figure imaginaire, et lorsque je lu
M. Rom (de Londres). — Depuis 50 ans je suis médecin homéopathe et je crois qu'il est de mon devoir de protester contre l'opi
me suis beaucoup occupé du traitement des variétés de paralysie et je crois qu'une partie de mes succès ont été dus à l'influ
avait réussi à hypnotiser pendant les premières années de la vie S'il croit que ces manoeuvres peuvent encore être qualifiées
rusquement, au grand désespoir de l'hypnotiseur et de l'entourage ! Croyez -vous qu'on puisse supposer le malade lui-même ass
Havre). — Je me place au point de vue uniquement psychologique et je crois que même sur ce terrain, M. Bernheim a émis des o
i importante, i mon avis, que dans le cas de M. Gilbert, j'ai peine 1 croire que le tabac soit seul en cause. Il faudrait, e
ation ne relèvent-ils pas directement du choc électrique ? M. Charcot croit qu'il y a eu d'abord chez le malade une paralysie
ai fait des expériences analogues ayant en vue d'autres personnes. Je crois que les résultats obtenus sont réels et vrais, ma
-suggestion, d'avoir des idées, et cependart je rêvais, puisque je me croyais une fille de 15 ans que je n'ai jamais eue. Ce
re de faits ; je l'adapte à toutes les circonstances de la vie, et je crois que cette pratique est appelée à être généralisée
tifs (comme préfère l'appeler M. Forel). J'ai montré qu'on peut faire croire à certains sujets, très sug-gestibles, qu'ils ont
ns son esprit, il accepte ce souvenir illusoire comme une réalité: il croit que c'est arrivé. Je définis quelquclois d'une fa
ne façon humoristique que le sommeil : « C'est un état dans lequel on croit que c'est arrivé ». Et j'ajoute : « Ne dites jama
me suis trouvé aux prises avec des difficultés assez sérieuses que je crois devoir signaler. Mme,Heu .., 30 ans,très impres
lissement, qui répondit que l'enfant se portait bien ; mais elle n'en crut rien et elle voulut qu'on fil venir son fils. J
, la satisfaction du besoin esthétique lui faisait défaut et qu'il ne croyait pouvoir la trouver que dans un mariage heureux. J
avec sa fiancée le rendait insensible à toute autre impression. H se croit rétabli et pense posséder définitivement l'équili
son énergie première, sans la diminuer ou la grandir (2). » Aussi, je crois que beaucoup d'individus pourraient rester vicieu
tion étant si souvent la première étape du crime chez la femme, je ne croirai pas trop sortir de mon sujet en demandant la perm
x forcis a perpétuité. Voici donc deux individus mal équilibres, je crois : l'un, un enfant, tombe aux mains d'un credin qu
peler aucune des circonstances qui ont précédé le crime ou le vol. de croire qu'il en a eu seul l'idée, d'être convaincu, qu'a
ue des considérations purement théoriques. Aussi le Rapporteur a-t-il cru devoir emprunter, à la jurisprudence des Cours d'
une suggestion criminelle? Ici le désaccord est bien moins qu'on ne croit entre les divers orateurs. M. Gilles de la Touret
s du grand hypnotisme pour établir l'état de suggestiblité ? Je ne le crois pas et on peut trouver dans les stigmates physiqu
la manie de l'hypnotisme, qu'il en voyait partout et s'étant toujours cru hypnotisé. Il s'agit donc là d'une simple affai
on, d'une manière très étendue dans mon livre précédemment cité; j'ai cru opportun d'insister sur la démonstration de la th
pouvoir trouver une solution satisfaisante. Elle m'a été fournie, je crois , par des expériences récentes et peut ainsi se fo
t, mais qu'on l'acheva. On l'enterra pendant la nuit, lbn Batuta, qui croit â cette histoire, dit que Khwaja Jehan, le constr
rvu de pitié ». Il hésitait si peu à répandre le sang qu'on aurait pu croire que son but était d'exterminer entièrement l'espè
accepter ses excuses: mais le sultan reprit : « Au nom de Dieu, je ne croirai que vous vous plaisez avec moi, que lorsque vous
ba en léthargie. Après vingt-quatre heures de rigidité complète on le crut mort et on I enterra. Le lendemain, le fossoyeur
ordres de l'aine sont portes aux muscles, à moins qu'on n'aime mieux croire qu'il y a des deux côtes un même principe de mouv
fondes blessures. La victime transportée à l'hôpital, dût, si nous en croyons le récit des journaux, subir l'amputation de la c
icale, sont assez fondées pour que la plupart des gouvernements aient cru devoir intervenir. L'Autriche, l'Italie, le Danem
rmes et de rires, enfin son attitude générale, ont tout de suite fait croire qu'on se trouvait en présence d'une hystérique, c
ntière d'une scène qui semble surgir de toutes pièces et vivre ; elle croit y prendre part et bientôt la confond avee la véri
riminelles. Les adversaires de M. Liégeois lui disaient : « Nous ne croyons pas à la réalisation de véritables crimes sous l'
leurs dépens que certains sujets, beaucoup plus nombreux qu'on ne le croit , accomplissent automatiquement tout acte suggéré,
haque jour. » Contrairement à l'avis de certains journalistes, nous croyons qu'il n'était pas sans intérêt d'ouvrir de nouvea
même des années, disparaître instantanément ? Il est donc permis de croire qu'il y avait une part de vérité dans la prétendu
re de la malade pour ne nous occuper que du récit de sa maladie. Nous croyons en avoir assez dit. pour permettre de juger la pa
ture qui, en s'opposant aux mouvements, pouvait de prime abord, faire croire à l'existence de l'anesthésie. Quant à l'état d
euses et sa Félida reste encore le type le plus complet que l'on ait, croyons -nous, observé jusqu'ici Notre malade, comme cel
une révélation,ainsi qu'il le sera pour beaucoup de nos confrères. Je crois que les conditions dans lesquelles s'est faite ce
lité exagérée. Conduite toujours excellente. Affirme, et on peut l'en croire qu'il n'a jamais eu dans sa jeunesse d'habitudes
lons l'attention de nos collaborateurs: Monsieur le Directeur. Je crois avoir l'honneur d'être le premier qui ait appelé
est nouveau, surtout de ce qu'ils ne comprennent pas, et ils semblent croire que Ici dangers qui résulteraient de l'applicatio
diquer. — Le même critique énonce plusieurs opinions exagérées que )e crois avoir réfutées avec succès. Il prétend que l'admi
ction de l'air sur notre surface cutanée normale. Et il ajoute : « Je crois pouvoir déclarer presque avec la conviction d'une
e, renchérissant sur l'exemple donné par son collègue de la guerre, a cru devoir devoir aussi interdire formellement la pra
culaires ministérielles ont un caractère beaucoup plus grave qu'on le croirait au premier abord. Elles visent surtout les médeci
le seul crime serait de savoir mieux son métier qu'un autre ? Nous ne croyons pas qu'on puisse aller jusque-là. C'est déjà asse
ployer l'hypnotisme et la suggestion pour faire marcher un malade qui croit avoir perdu !a possibilité de le faire, l'employe
! ce que l'Eglise permet. M. le ministre de la Guerre, moins libéral, croit devoir l'interdire. Nous souhaitons que le prin
cte automatique, est-ce une idée fixe.sans raison, qui les domine. Je crois qu'il en est parfois ainsi. L'épileptique qui se
al. Je n'ai aucune raison pour le tuer. C'est plus fort que moi! » Je crois que la suggestion peut réaliser sur certains suje
e dans beaucoup de crimes- On n'a pas compris ce fait parce qu'on a cru que la suggestion ne s'accomplit qu'à la faveur d
du ballonnement du ventre qui s'accentuait tous les jours. M. Rauzier crut devoir pratiquer un examen plus approfondi de l'a
voya chercher le prêtre pour lui donner les sacrements. Tout le monde croyait a une fin prochaine, a l'exception toutefois du d
illez-vous ». il se produisait un tressaillement, ce qui me donnait à croire que je devais réussir. Cependant le résultat se f
e le suicide, à cette période de la vie,est plus fréquent qu'on ne le croit généralement. Une statistique de Garisson par exe
e-même, dans une lettre au Procureur de la République. Cette négresse croyait se livrer aux caresses de son mari et ce ne fut q
ons, et l'analgésie du côté gauche était assez marquée pour que je me crusse autorisé à penser que la malade était bien en hyp
ts. » Plusieurs minutes après, je le réveille. Il se frotte les yeux, croit s'être réveillé spontanément et n'a souvenir de r
carme infernal. » -— C'est-ii bien vrai ? lavez vous bien entendu? Je crois que vous l'avez rêvé. » — Tous les malades l'onte
eur auto-suggestion, de leur faire ajouter des détails de leur propre cru . Certains sujets ont l'imagination si facile, q
et sereine, elle y parlait de son intérieur, de ses enfants, même je crois , de Chambige, en termes si simples, si naturels,
er devant ses contemporains en héros de tragédie amoureuse ? Je ne le crois pas non plus. Chambige était, il est vrai, une
ésister. Chambige faisait de la suggestion sans le savoir: il pouvait croire qu'elle l'aimait de bonne foi ; il ne savait pas
la nature de son mal, l'anxiété fut extrême ; sa tête s'égara ; elle crut aux esprits, aux maléfices. Au terme de sa grosse
ente avec une vivacité d'imagination extrême les scènes qu'il a lues, croit en être l'acteur ou le plus souvent la victime. I
ée délirante. Sa santé physique paraissait seule le préoccuper; il se croyait gravement atteint de maladies imaginaires, mais i
etteté, les personnages imaginaires qui ont troublé son sommeil. « Il croit , dit-il, qu'il aurait pu tes toucher. » La facili
, un de ces jours, et me fera avoir une agonie quelconque- » Il ne se croit pas seul l'objet de tourments; il croit que Pranz
agonie quelconque- » Il ne se croit pas seul l'objet de tourments; il croit que Pranzini fait du mal a sa sœur, à sa grand'mè
s angoissé. ni hallucine. mais, encore inconscient de son état, il ne croit pas avoir été l'objet d'hallucinations. le reste
araître des tûtes d'assassins, mais il ne précise plus. Parfois il se croit encore menacé, mais il s'en préoccupe peu. Cett
ter à l'état de conceptions imaginaires, et c'est ainsi que le malade croit à la réalité de l'existence de ces tableaux terri
esseur de la faculté de Paris ne « m'ait jamais vu. Il l'écrit, je le crois . Mais, me démentira-t-il si « j'affirme que ses é
es magnétiseurs forains tranche assez volontiers du professeur A l'en croire , sans lui, l'Ecole de la sulpétrière et l'Ecole d
t, sur cette question, qui est pour lui fondamentale. C'est ici qu'il croit avoir mis la main sur les intérêts qu'on n'avoue
ience patentée et conservatrice (Ladame), celui de la médecine qui se croit faite (1) M D.. .. ayant dans le cours de séanc
it, aurait dit â un reporter: « Comme je viens de vous le dire, je ne crois pas à l'hypnotisme ; un magisirat, d'ailleurs, me
ois pas à l'hypnotisme ; un magisirat, d'ailleurs, me peut ni ne doit croire à l'hypnotisme (Temps). » M. le Juge a-t-il bien
nement qu'il lui parait plus orthodoxe de brûler des sorcières que de croire à l'hystérie et à l'hypnotisme. Dixième Congrès
res qui constituent la majorité de ce conseil supérieur, mais je veux croire que ce sont des hommes qui après avoir été élevés
ur lui aucun contrôle, obéissant à des instincts quï je suis tenté de croire heréditaires, il réduira ces soins de toilette a
des ablutions, dont l'oubli ne sera soumis à aucun contrôle, et vous croyez qu'il hésitera à sacrifier les sins de sa toilett
de l'Hôtel-Dieu devant un public non médical (1). m. DESPRÉS- — Je crois rendre encore un service aux hôpitaux parisiens e
s, soit venu l'appuver. Ili „¦>. J'ajoute qu'alors que le public croit que. dans beaucoup de cas, la responsabilité huma
circulaire ministérielle ont certainement touché leur but. Si nous en croyons le Bulletin Médical, toujours bien informé, les i
t ce qui est progrés, c'est le Bulletin Médical qui nous l'apprend, a cru devoir fournir a notre confrère des commentaires
vaient s'indigner de nous voir interdire l'emploi de pratiques qu'ils croient efficaces dans nombre de cas morbides. Mais les s
ans ce cas, il faudrait avoir la sincérité de le reconnaître. Si vous croyez que vos subordonnés ne sont pas capables d'appliq
re considéré encore, parait-il, comme une pièce de procédure, nous ne croyons pas devoir en rendre compte. Au surplus, le cas e
ute chorus, et. finalement, X... sortira de l'asile. Or, tout porte à croire que. dans un temps plus ou moins rapproché, on en
al des sexes est un signe de faiblesse et non de force ; cet excédant croit chez les peuples en décadence; il est plus éléve
u à un Livingstone. il acceptera et mangera avec appétit. VIII Je crois qu'avec un peu de patience et de bonne volonté, n
à nous rendre absolument récalcitrants pour d'autres. Nous avons fait croire à notre estomac qu'il ne devait accepter que tels
lui avons dit qu'ils étaient mauvais et nauséabonds; il a fini par le croire et dorénavant il refusera énergiquement de les re
soir la bonne enduisait ses cheveux de la précieuse pommade. XIV Croyez -vous que ce n'est pas la suggestion qui a agi dan
remiers y verront que les prétendues aperceptions par lesquelles nous croyons nous connaître en tant que substances simples son
t elle éminemment profitable à ceux qui demandent trop à l'esprit, et croient saisir en lui l'absolu, comme à ceux qui ne lui d
e que des phénomènes constatés pour respecte la réserve que M Janet a cru devoir faite lui-même à l'occasion d'un certain n
ar M. Janet pour servir de conclusion à son œuvrer Et d'autre part ne croirait -on pas lire les Sociétés animales en rencontrant
de guérir. Cependant sans vouloir dénier cette objection, je ne la crois pas suffisante pour condamner la psychothérapie,
s accès pendant deux ans. En 1887, quatre nouvelles guérisons; Voisin croit pouvoir conclure que dans ces cas la suggestion e
pte-rendu se rapportent a des folies avec conscience. Nous avons même cru d'abord que la psycho thérapie suggestive ne se t
indiquée au delà de la limite séparant la folie de la névrose. Nous crûmes la suggestion impuissante ou simplement d'un effe
puissante ou simplement d'un effet palliatif, du moment que le malade croyait a la réalité de ses sensations subjectives, de se
persécutes électriques qui méritent d'être signalés, ce sont ceux qui croient avoir subi un choc électrique et qui simulent deh
24 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ntifique que nous nous étions tracé dès le début. Aujourd'hui, nous croyons que cette publication a pleinement justifié sa cr
ges souvenirs suggérées de scènes et d'événements auxquels les sujets croient avoir assisté, bien que ces événements n'aient ja
emple meurtri ou vol, et retracent tous les détails du crime dont ils croient avoir été acteurs ou spectateurs, peut être réali
Avouez que vous avez voulu vous amuser, que cela n'est pas. Vous avez cru me faire plaisir en ayant l'air de croire ce que
que cela n'est pas. Vous avez cru me faire plaisir en ayant l'air de croire ce que je vous disais. Maintenant que nous sommes
ent, des histoires sur Pierre et Paul dont rien n'est fondé. Le monde croit à de la méchanceté, à de la perversité morale. là
du sujet par un médecin bien au courant de la question permettra, je crois , dans la majorité des cas, d'établir qu'on a affa
ucoup, de par le monde, po ur me servir d'une locution familière, qui croient que c'est arrivé. Les esprits scientifiques n
vu, ni voulu voir, ceux qui ont assez de confiance en eux-mêmes pour croire que les conceptions de leur esprit s'identifient
érité et que les faits doivent s'incliner devant elles, ceux-là aussi croient que c'est arrivé. Ils n'ont pas médité cette pa
tifs aux propriétés physiques de la force neurique rayonnante. J'ai cru reconnaître de plus que les rayons oculaires poss
e de sa manière d'être, M. Deny, dans le service duquel il se trouve, crut pouvoir lui délivrer l'année dernière un certific
u'étant donnée une seule crise, celle avec aura de la vipère, on peut croire que V... est épileptique, alors qu'en réalité il
plus d'un quart d'heure. V... n'a plus de paralysie des jambes. Il se croit a Saint-Urbain ; il est heureux d'être chez M. Pa
e est trop connu pour que cela devienne nécessaire. Cependant, nous croyons utile de signaler combien et comment la connaissa
ntervenir en temps utile pour ramener la personnalité normale. Nous croyons aussi, par ce qui précède, avoir contribué à démo
gnétiques qui font l'objet du second chapitre. Pendant longtemps on a cru que les propriétés magnétiques appartenaient seul
ustraire facilement a tout danger provenant d'un excès de travail. Je crois donc que si le surmenage existe, c'est un fait in
voulez. En été, ils y gagneront de ne pas travailler à la lampe. Je crois , pour ma part, qu'il n'y a pas grand'chose à réfo
, pour moi, le besoin d'un quatrième ne se fait pas encore sentir. Je crois qu'il y a avantage à donner aux jeunes gens des c
ectuel; 2° l'hygiène scolaire; 3* les programmes universitaires. Je crois qu'il serait bon que l'Académie fût consultée sur
iène, nous sommes très près de nous entendre. Nous demandons tous, je crois , le progrès hygiénique du collège. Pour ce qui
oumettre à l'hypnotisme un enfant normal ou simplement médiocre. Nous croyons que pour ceux-là les procédés ordinaires d'éducat
lui faire commettre sans réflexion les actes les plus blâmables, nous croyons que son devoir lui commandera de tenter de le gué
udes philosophiques et sociales, par M Albert Colas. Il est bon, je crois , de vous faire connaître l'auteur, le livre n'en
ussi peu routinier et aussi avide de savoir ne s'arrête pas la. Il ne croit pas ; mais il sait que rien n'est brutal comme un
d'ordre réflexe. Si l'on cède à un examen superficiel, on pourrait se croire obligé de faire rentrer ces faits dans la suggest
st qu'il a suffi à quelques auteurs et à quelques expérimentateurs de croire à la suggestion mentale pour que celle-ci ne soit
s, la science doit, trouver remède a tout. C'est en elle qu'il faut croire . DE LA SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOM
devient sanglotante, et des larmes coulent des paupières ouvertes. Il croit que l'expression est réelle, comme si la chose ét
neurique dans mon récent ouvrage sur le Magnétisme animal (i), et je crois avoir prouvé surabondamment dans plus d'une obser
ments les plus perfectionnés de la technique contemporaine. Mais il croit que la psychologie peut être, comme la physiologi
aris et celle de Nancy, il défend vivement la cause de la dernière et croit pouvoir assurer que la victoire est à elle. Le
pressions alors sont tristes et lugubres. Le sujet, par exemple, se croit dans un cimetière, il assiste à l'exhumation d'un
nt été reproduites. Le sujet, par exemple, qui adore le théâtre, se croit au moment d'une représentation dans laquelle il j
sur la délicate question de l'action à distance des médicaments. Noua croyons devoir publier in extenso les conclusion auxquell
onnel, et, sans la connaissance des habitudes du malade, on aurait pu croire à une attaque d'alcoolisme aigu- Ses amis att
n, même à travers l'épiderme; aujourd'hui, nous sommes plus enclins à croire à une action toxique extérieure. « Je fus frapp
r l'effort de notre argumentation. Quelques expérimentateurs ont pu croire a une éducation, un entraînement des sujets : nou
s d'hommes, qui n'en prennent jamais, sous aucune forme? Tout porte a croire , au contraire, qu'il est aussi nuisible i l'homme
que la gaucherie est surtout due à l'habitude et à l'éducation. Je crois qu'il est plus sage de conclure, en se basant sur
de sa supériorité. Pourra-t-on jamais remonter le courant? Je ne le crois pas. l'humanité ne revient point sur ses pas. Mai
pas, je me suis tourné dans mon lit jusqu'à une heure du matin. » II croit qu'il a rêvé vers le matin, mais n'en est pas sûr
s pendant lequel il a dormi. Je le laisse dormir une demi-heure et il croit qu'il n'y a pas cinq minutes qu'il s'est endormi.
un motif suffisant pour suspendre le traitement ? Le médecin italien crut devoir poursuivre son expérimentation, et, ce qui
'action ? C'est la question que les auteurs se sont posée et dont ils croient avoir trouvé la solution. Us avaient, en effet, r
s ces dangers disparaîtront. M. Drouineau (de la Rochelle). — Je ne crois pas que les questions d'hypnotisme doivent occupe
question de l'hypnotisme, nous apprit, à M. Lièbeault et à moi, qu'il croyait avoir réussi chez une demoiselle. Lui ayant appli
trouve très bien et ne ressent que la même fatigue à la nuque : elle croit que cela est dû à l'action d'avoir eu la tête app
-t-il eu de la part de l'opérateur trahison de pensée ? On ne saurait croire avec quelle finesse certains hypnotisés flairent,
e mari a dû payer plus de 2.000 francs pour des notes arriérées qu'il croyait soldées depuis longtemps. Tout cet argent passe e
eut démontré l'indication formelle de cette méthode. Nous avons aussi cru devoir constamment mettre à profit le conseil qui
ser un but utile et essentiellement profitable au sujet- Nous avons cru devoir exprimer ces réserves, en présence du trav
d'autorité, elles n'en avaient que plus de prise. Il ne faut donc pas croire qu'il soit nécessaire d'enfler la voix pour que l
, même par suggestion, des idées qui sont reconnues bonnes. Mais nous croyons qu'au point de vue pratique, la proposition de M.
lon soulèvera bien des objections. Beaucoup d'esprits se refuseront a croire que la suggestion faite à l'état de veille, ou mê
le cerveau et que ses effets puissent être durables. Pour ma part, je crois que les sujets faciles à hypnotiser sont des mala
difficile de donner une définition satisfaisante de l'hypnotisme. Je crois que, aujourd'hui encore, je ne puis mieux faire q
tion par l'hypnotisme pouvait avoir des conséquences fâcheuses. Je ne crois pas que cela puisse arriver entre les mains d'un
a fait l'expérience inverse, appliqué des mouches de Milan en faisant croire qu'il s'agissait de diachylon, et dans ce cas on
connus que le sulfate de spartéine, et alors seulement nous pourrons croire à l'authenticité des faits énoncés. L'émotion d
res sérieux réclamant l'attention du physiologue et du clinicien ; il croit cependant, jusqu'à nouvel ordre, devoir se réserv
orté de France, et quelques-uns, bien qu'absolument incompétents, ont cru devoir mettre en doute les résultats obtenus par
donc, l'hypnotisme n'existe pas! » Un des honorables académiciens a cru diminuer la valeur de la suggestion en déclarant
e les médecins allemands ne se tiennent pas, autant qu'on pourrait le croire , au courant du mouvement scientifique. Elles prou
alage si pompeux, que restera-t-il ? Peu de chose, assurément. Nous croyons aussi que l'enthousiasme de M. Moll aura grand'pe
alheur est qu'en fait d'hypnotisme et de magnétisme, tout le monde se croit en état d'avoir une opinion. Etrange mirage! S'il
e physiologique, il* ont droit à la compétence. Pour notre part, nous croyons qu'ils s'abusent ; mais vraiment, ce n'est pas de
ert à quelques initiés. Non, assurément ; mais un savant est toujours cru sur parole, dés que les détails qu'il donne et qu
s, l'observation que vous m'avez fait l'honneur de me demander. Je la crois iniéressante à plus d'un titre : voyez si elle mé
le procureur général de Nîmes, la chambre des mises en accusation ne crurent pas devoir se rendre à ce désir : l'instruction a
son. A la lecture de ces documents, j'eus quelques doutes, mais je ne crus pas devoir assumer seul la responsabilité de veni
n confrère et ami partageait mes hésitations et comme moi inclinait à croire que quelques-uns des laits ou certaines des circo
euse était accumulée sur l'organe dont l'attention est provoquée. Ils croient devoir s'ingénier à réaliser la pensée de l'opéra
d'ignominie sous lequel on essaye de submerger son amie l'empêche de croire à l'évidence apparente des faits. 11 court chez M
u début, mais il s'est endormi immédiatement après, et ce sujet qu'on croit dans d'excellentes conditions pour éviter la supe
gion comme cause unique. J'ai cité des cas dans lesquels on aurait pu croire à une transmission morbide, alors que les trois m
cun microorganisme produisant la pelade. Quelques médecins ont bien cru pouvoir accuser le trichophyton qu'on trouve souv
ints de pityriasis du cuir chevelu. Plus tard, quelques auteurs ont cru reconnaître dans le bulbe pileux des peladeux des
on, il n'y a là ni truc, ni compère, ni aucune supercherie pour faire croire aux esprits et aux revenants. Les plus minutieuse
entiment universel, — ce qui est impossible, puisqu'il y a encore, je crois , des personnes mettant en doute des faits bien pl
ce non habituelle a cette heure matinale. Deuxième expérience. — Je crois nécessaire, suivant en ecla l'excellent conseil d
périences antérieures, ce même retard avait été observé. III Jene crois pas. dans l'état actuel, si limité, de nos connai
lues convictions qui renversent tous les obstacles, je suis forcé d'y croire par les faits eux-mêmes. Mais ces faits sont trop
que je puisse les admettre d'après une démonstration quelconque, et y croire avec la môme certitude que je crois à des faits h
e démonstration quelconque, et y croire avec la môme certitude que je crois à des faits habituels. Si je voulais traiter la
ire, si l'action à distance n'existait pas, il eût été impossible, je crois , d'obtenir ce que j'ai obtenu. Il y aurait eu tel
elle ne pouvait la distinguer. « Je vois comme un nuage qui remue; je crois bien que ce sont vos doigts, maïs je ne puis dire
ation mentale, de délire ambitieux, de folie des persécutions... Nous croyons savoir que nos asiles d'aliénés en offrent plus d
bauches médico-imaginatives de l'occultisme ! » II est grand temps, croyons -nous, de revenir à une plus saine hygiène morale,
Qu'elle a dit ou fait pendant l'état second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s est exprimée comme nous venons de le ra
reprit ses sens est loin de confirmer l'opinion du médecin. LE VOLÉ CROIT AVOIR ÉTÉ HYPNOTISÉ. Un reporter du Herald est
vous a administré quelque drogue ? M. Loader répondit : Non, je ne crois pas que ce fût possible. — Vous souvenez-vous d
e que lui . prête complaisamment le reporter du New-York Herald. Nous croyons plutôt, si nous en jugeons d'après les symptômes
ule, est très pieuse, sans aller cependant jusqu'à la bigoterie. Elle croit sincèrement, et le curé est son conseiller intime
e du chemin parcouru. Elle se coucha sans manger et toute habillée et croyait avoir dormi depuis quelques heures déjà d'un somm
ves pénibles, quand elle fut réveillée par une hallucination : — « Je crus reconnaître, dit-elle, la voix de ma petite fille
ucun souvenir de ce .qui s'est passé l'avant-veille. — « Je veux bien croire que j'ai fait une tentative de suicide, puisque v
signes ne sont pas, il est vrai, d'une certitude absolue, et si nous croyons possible d'éliminer l'accès de folie puerpérale,
e j'ai depuis quelque temps étudié avec persévérance et sur lequel je crois pouvoir émettre quelques idées nouvelles. C'est
vaient résisté à tous les autres moyens. Mais ce n'est pas tout. Je crois pouvoir être en mesure de démontrer, et c'est là
sables doit être au moins de 90 0/0. Je vais plus loin encore et je crois que tous les phénomènes attribués à l'hypnotisme
dant 10 heures précises et, pendant la narcose, ne vomit pas. J. On croit que durant le sommeil nerveux on ne peut pas se r
nt ou de teinture d'iode et nous obtenons la cessation de la douleur, croyons -nous avoir produit une action calmante sur le ner
taire. La suggestibilité n'est donc pas due. comme quelques-uns l'ont cru , à une exagération de la réceptivité cérébrale; l
e moi-même et j'ai parfaitement réussi. De tous les faits exposés, je crois pouvoir tirer les conclusions suivantes : CONCL
entendait diriger se recherches. M. Luys choisirait le sujet qu'il croirait le plus apte à reproduire devant la commission le
ènes si accusés à l'éclat du verre mis en expérience. La commission croit devoir faire remarquer toutefois que les tubes co
on et qu elle aurait à se prononcer dans un délai rapproché. » J'ai cru utile d'attendre qu'elle ait fait connaître son o
u gouvernement de voir l'Académie s'occuper de la question, puisqu'il croit qu'elle en est saisie. Dans ces conditions, M.
pris des proportions inaccoutumées, et il est à craindre, si nous en croyons notre confrère du Médical Record (de New-York), q
r les phénomènes de l'hypnotisme, est souvent mal appréciée. Aussi je crois devoir exposer succinctement en quoi les faits qu
dehors de la suggestion. Nous obtenons ces phénomènes quand le sujet croit (par ce qu'il a entendu dire ou vu faire chez d'a
suivie d'hallucinations et de délire qui n'ont pas cessé depuis. Elle croit voir, de puis ce temps, des gens qui la regardent
s yeux : les quarante disciples de Sidi Mahmed bcn Aissa que l'on croyait assassinés étaient occupés à préparer un magnifiq
intes, le Cheikh exaspéré s'écria: mangez du poison ! » Les disciples crurent a un ordre et se jetèrent sur tout ce qu'ils trou
mande, ou même les frapperait d'une peine prévue par le règlement; et croyez qu'ils s'y soumettront sans protester, et s'en am
dicale, sont assez fondés pour que la plupart des gouvernements aient cru devoir intervenir. L'Autriche, l'Italie, le Danem
iseurs de profession et des abus que nous avons tous pu constater, je crois que nous devons nous rallier à la proposition de
offrir aussi des dangers analogues. Mais l'Académie elle-même n'a pas cru devoir entendre la question au delà des limites d
car la mode règne partout, dans les sciences comme ailleurs. Je ne le crois pas. Je pense plutôt que le nombre et le zéle des
es gens réduits a l'impuissance d'agir uniquement parce qu'ils se croient paralysés. Plusieurs thèses de doctorat et même d
es de Galton sur ce sujet qui l'aient précédée. Ce n'est pas tout: je crois que cette théorie des images peut conduire eneore
és services : les expériences se sont multipliées de tout côté, et je crois pouvoir dire qu'elles ont, pour la plupart, confi
estions, ni à M. Liébeault. ni à M. Bernheim; or. il arriva ceci : je crus remarquer, alors que Mme T.... dont il aétéparlé
it dupe d'une illusion ; qu'elle n'avait pas fait le paiement qu'elle croyait effectué ; elle se récria d'abord, puis, sur mon
fait encore, quand je lui enlevai la suggestion à laquelle elle avait cru si rapidement. Un jour, à M. Th..., je dis de t
ez Mme D... des changements de personnalité en vertu desquels elle se crut et devint successivement prêtre, général, marin,
ait rien pu faire d'eux. En regard de ces quelques personnalités qui, croyons -nous, se calomnient, nous pourrions opposer la fo
e à aviver sa sensibilité, car ce n'est pas, comme on est tenté de le croire , la rigueur du châtiment qui en fait l'efficacité
té de réunir un grand nombre de faits précis et probants, nous avions cru devoir jusqu'alors négliger le côté psychologique
confiné dans certaines limites, et, de même que nos législateurs ont cru faire chose utile et morale en fermant les maison
essayer de reproduire les mêmes effets, et beaucoup réussiraient. Ne croyez -vous pas, messieurs, que l'autorité interviendrai
dans les hôpitaux, dans le cabinet du savant et du médecin; tout fait croire même que s'il opère cette retraite, ce n'est pas
parle que d'accidents survenus à la suite de pratiques privées. Je crois qu'il faudrait se borner à donner au public des c
rie. Mais où notre confrère est moins bien inspiré, c'est lorsqu'il croit pouvoir tirer de l'étude des symptômes présentés
25 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ntifique que nous nous étions tracé dès le début. Aujourd'hui, nous croyons que cette publication a pleinement justifié sa cr
ges souvenirs suggérées de scènes et d'événements auxquels les sujets croient avoir assisté, bien que ces événements n'aient ja
emple meurtri ou vol, et retracent tous les détails du crime dont ils croient avoir été acteurs ou spectateurs, peut être réali
Avouez que vous avez voulu vous amuser, que cela n'est pas. Vous avez cru me faire plaisir en ayant l'air de croire ce que
que cela n'est pas. Vous avez cru me faire plaisir en ayant l'air de croire ce que je vous disais. Maintenant que nous sommes
ent, des histoires sur Pierre et Paul dont rien n'est fondé. Le monde croit à de la méchanceté, à de la perversité morale. là
du sujet par un médecin bien au courant de la question permettra, je crois , dans la majorité des cas, d'établir qu'on a affa
ucoup, de par le monde, po ur me servir d'une locution familière, qui croient que c'est arrivé. Les esprits scientifiques n
vu, ni voulu voir, ceux qui ont assez de confiance en eux-mêmes pour croire que les conceptions de leur esprit s'identifient
érité et que les faits doivent s'incliner devant elles, ceux-là aussi croient que c'est arrivé. Ils n'ont pas médité cette pa
tifs aux propriétés physiques de la force neurique rayonnante. J'ai cru reconnaître de plus que les rayons oculaires poss
e de sa manière d'être, M. Deny, dans le service duquel il se trouve, crut pouvoir lui délivrer l'année dernière un certific
u'étant donnée une seule crise, celle avec aura de la vipère, on peut croire que V... est épileptique, alors qu'en réalité il
plus d'un quart d'heure. V... n'a plus de paralysie des jambes. Il se croit a Saint-Urbain ; il est heureux d'être chez M. Pa
e est trop connu pour que cela devienne nécessaire. Cependant, nous croyons utile de signaler combien et comment la connaissa
ntervenir en temps utile pour ramener la personnalité normale. Nous croyons aussi, par ce qui précède, avoir contribué à démo
gnétiques qui font l'objet du second chapitre. Pendant longtemps on a cru que les propriétés magnétiques appartenaient seul
ustraire facilement a tout danger provenant d'un excès de travail. Je crois donc que si le surmenage existe, c'est un fait in
voulez. En été, ils y gagneront de ne pas travailler à la lampe. Je crois , pour ma part, qu'il n'y a pas grand'chose à réfo
, pour moi, le besoin d'un quatrième ne se fait pas encore sentir. Je crois qu'il y a avantage à donner aux jeunes gens des c
ectuel; 2° l'hygiène scolaire; 3* les programmes universitaires. Je crois qu'il serait bon que l'Académie fût consultée sur
iène, nous sommes très près de nous entendre. Nous demandons tous, je crois , le progrès hygiénique du collège. Pour ce qui
oumettre à l'hypnotisme un enfant normal ou simplement médiocre. Nous croyons que pour ceux-là les procédés ordinaires d'éducat
lui faire commettre sans réflexion les actes les plus blâmables, nous croyons que son devoir lui commandera de tenter de le gué
udes philosophiques et sociales, par M Albert Colas. Il est bon, je crois , de vous faire connaître l'auteur, le livre n'en
ussi peu routinier et aussi avide de savoir ne s'arrête pas la. Il ne croit pas ; mais il sait que rien n'est brutal comme un
d'ordre réflexe. Si l'on cède à un examen superficiel, on pourrait se croire obligé de faire rentrer ces faits dans la suggest
st qu'il a suffi à quelques auteurs et à quelques expérimentateurs de croire à la suggestion mentale pour que celle-ci ne soit
s, la science doit, trouver remède a tout. C'est en elle qu'il faut croire . DE LA SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOM
devient sanglotante, et des larmes coulent des paupières ouvertes. Il croit que l'expression est réelle, comme si la chose ét
neurique dans mon récent ouvrage sur le Magnétisme animal (i), et je crois avoir prouvé surabondamment dans plus d'une obser
ments les plus perfectionnés de la technique contemporaine. Mais il croit que la psychologie peut être, comme la physiologi
aris et celle de Nancy, il défend vivement la cause de la dernière et croit pouvoir assurer que la victoire est à elle. Le
pressions alors sont tristes et lugubres. Le sujet, par exemple, se croit dans un cimetière, il assiste à l'exhumation d'un
nt été reproduites. Le sujet, par exemple, qui adore le théâtre, se croit au moment d'une représentation dans laquelle il j
sur la délicate question de l'action à distance des médicaments. Noua croyons devoir publier in extenso les conclusion auxquell
onnel, et, sans la connaissance des habitudes du malade, on aurait pu croire à une attaque d'alcoolisme aigu- Ses amis att
n, même à travers l'épiderme; aujourd'hui, nous sommes plus enclins à croire à une action toxique extérieure. « Je fus frapp
r l'effort de notre argumentation. Quelques expérimentateurs ont pu croire a une éducation, un entraînement des sujets : nou
s d'hommes, qui n'en prennent jamais, sous aucune forme? Tout porte a croire , au contraire, qu'il est aussi nuisible i l'homme
que la gaucherie est surtout due à l'habitude et à l'éducation. Je crois qu'il est plus sage de conclure, en se basant sur
de sa supériorité. Pourra-t-on jamais remonter le courant? Je ne le crois pas. l'humanité ne revient point sur ses pas. Mai
pas, je me suis tourné dans mon lit jusqu'à une heure du matin. » II croit qu'il a rêvé vers le matin, mais n'en est pas sûr
s pendant lequel il a dormi. Je le laisse dormir une demi-heure et il croit qu'il n'y a pas cinq minutes qu'il s'est endormi.
un motif suffisant pour suspendre le traitement ? Le médecin italien crut devoir poursuivre son expérimentation, et, ce qui
'action ? C'est la question que les auteurs se sont posée et dont ils croient avoir trouvé la solution. Us avaient, en effet, r
s ces dangers disparaîtront. M. Drouineau (de la Rochelle). — Je ne crois pas que les questions d'hypnotisme doivent occupe
question de l'hypnotisme, nous apprit, à M. Lièbeault et à moi, qu'il croyait avoir réussi chez une demoiselle. Lui ayant appli
trouve très bien et ne ressent que la même fatigue à la nuque : elle croit que cela est dû à l'action d'avoir eu la tête app
-t-il eu de la part de l'opérateur trahison de pensée ? On ne saurait croire avec quelle finesse certains hypnotisés flairent,
e mari a dû payer plus de 2.000 francs pour des notes arriérées qu'il croyait soldées depuis longtemps. Tout cet argent passe e
eut démontré l'indication formelle de cette méthode. Nous avons aussi cru devoir constamment mettre à profit le conseil qui
ser un but utile et essentiellement profitable au sujet- Nous avons cru devoir exprimer ces réserves, en présence du trav
d'autorité, elles n'en avaient que plus de prise. Il ne faut donc pas croire qu'il soit nécessaire d'enfler la voix pour que l
, même par suggestion, des idées qui sont reconnues bonnes. Mais nous croyons qu'au point de vue pratique, la proposition de M.
lon soulèvera bien des objections. Beaucoup d'esprits se refuseront a croire que la suggestion faite à l'état de veille, ou mê
le cerveau et que ses effets puissent être durables. Pour ma part, je crois que les sujets faciles à hypnotiser sont des mala
difficile de donner une définition satisfaisante de l'hypnotisme. Je crois que, aujourd'hui encore, je ne puis mieux faire q
tion par l'hypnotisme pouvait avoir des conséquences fâcheuses. Je ne crois pas que cela puisse arriver entre les mains d'un
a fait l'expérience inverse, appliqué des mouches de Milan en faisant croire qu'il s'agissait de diachylon, et dans ce cas on
connus que le sulfate de spartéine, et alors seulement nous pourrons croire à l'authenticité des faits énoncés. L'émotion d
res sérieux réclamant l'attention du physiologue et du clinicien ; il croit cependant, jusqu'à nouvel ordre, devoir se réserv
orté de France, et quelques-uns, bien qu'absolument incompétents, ont cru devoir mettre en doute les résultats obtenus par
donc, l'hypnotisme n'existe pas! » Un des honorables académiciens a cru diminuer la valeur de la suggestion en déclarant
e les médecins allemands ne se tiennent pas, autant qu'on pourrait le croire , au courant du mouvement scientifique. Elles prou
alage si pompeux, que restera-t-il ? Peu de chose, assurément. Nous croyons aussi que l'enthousiasme de M. Moll aura grand'pe
alheur est qu'en fait d'hypnotisme et de magnétisme, tout le monde se croit en état d'avoir une opinion. Etrange mirage! S'il
e physiologique, il* ont droit à la compétence. Pour notre part, nous croyons qu'ils s'abusent ; mais vraiment, ce n'est pas de
ert à quelques initiés. Non, assurément ; mais un savant est toujours cru sur parole, dés que les détails qu'il donne et qu
s, l'observation que vous m'avez fait l'honneur de me demander. Je la crois iniéressante à plus d'un titre : voyez si elle mé
le procureur général de Nîmes, la chambre des mises en accusation ne crurent pas devoir se rendre à ce désir : l'instruction a
son. A la lecture de ces documents, j'eus quelques doutes, mais je ne crus pas devoir assumer seul la responsabilité de veni
n confrère et ami partageait mes hésitations et comme moi inclinait à croire que quelques-uns des laits ou certaines des circo
euse était accumulée sur l'organe dont l'attention est provoquée. Ils croient devoir s'ingénier à réaliser la pensée de l'opéra
d'ignominie sous lequel on essaye de submerger son amie l'empêche de croire à l'évidence apparente des faits. 11 court chez M
u début, mais il s'est endormi immédiatement après, et ce sujet qu'on croit dans d'excellentes conditions pour éviter la supe
gion comme cause unique. J'ai cité des cas dans lesquels on aurait pu croire à une transmission morbide, alors que les trois m
cun microorganisme produisant la pelade. Quelques médecins ont bien cru pouvoir accuser le trichophyton qu'on trouve souv
ints de pityriasis du cuir chevelu. Plus tard, quelques auteurs ont cru reconnaître dans le bulbe pileux des peladeux des
on, il n'y a là ni truc, ni compère, ni aucune supercherie pour faire croire aux esprits et aux revenants. Les plus minutieuse
entiment universel, — ce qui est impossible, puisqu'il y a encore, je crois , des personnes mettant en doute des faits bien pl
ce non habituelle a cette heure matinale. Deuxième expérience. — Je crois nécessaire, suivant en ecla l'excellent conseil d
périences antérieures, ce même retard avait été observé. III Jene crois pas. dans l'état actuel, si limité, de nos connai
lues convictions qui renversent tous les obstacles, je suis forcé d'y croire par les faits eux-mêmes. Mais ces faits sont trop
que je puisse les admettre d'après une démonstration quelconque, et y croire avec la môme certitude que je crois à des faits h
e démonstration quelconque, et y croire avec la môme certitude que je crois à des faits habituels. Si je voulais traiter la
ire, si l'action à distance n'existait pas, il eût été impossible, je crois , d'obtenir ce que j'ai obtenu. Il y aurait eu tel
elle ne pouvait la distinguer. « Je vois comme un nuage qui remue; je crois bien que ce sont vos doigts, maïs je ne puis dire
ation mentale, de délire ambitieux, de folie des persécutions... Nous croyons savoir que nos asiles d'aliénés en offrent plus d
bauches médico-imaginatives de l'occultisme ! » II est grand temps, croyons -nous, de revenir à une plus saine hygiène morale,
Qu'elle a dit ou fait pendant l'état second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s est exprimée comme nous venons de le ra
reprit ses sens est loin de confirmer l'opinion du médecin. LE VOLÉ CROIT AVOIR ÉTÉ HYPNOTISÉ. Un reporter du Herald est
vous a administré quelque drogue ? M. Loader répondit : Non, je ne crois pas que ce fût possible. — Vous souvenez-vous d
e que lui . prête complaisamment le reporter du New-York Herald. Nous croyons plutôt, si nous en jugeons d'après les symptômes
ule, est très pieuse, sans aller cependant jusqu'à la bigoterie. Elle croit sincèrement, et le curé est son conseiller intime
e du chemin parcouru. Elle se coucha sans manger et toute habillée et croyait avoir dormi depuis quelques heures déjà d'un somm
ves pénibles, quand elle fut réveillée par une hallucination : — « Je crus reconnaître, dit-elle, la voix de ma petite fille
ucun souvenir de ce .qui s'est passé l'avant-veille. — « Je veux bien croire que j'ai fait une tentative de suicide, puisque v
signes ne sont pas, il est vrai, d'une certitude absolue, et si nous croyons possible d'éliminer l'accès de folie puerpérale,
e j'ai depuis quelque temps étudié avec persévérance et sur lequel je crois pouvoir émettre quelques idées nouvelles. C'est
vaient résisté à tous les autres moyens. Mais ce n'est pas tout. Je crois pouvoir être en mesure de démontrer, et c'est là
sables doit être au moins de 90 0/0. Je vais plus loin encore et je crois que tous les phénomènes attribués à l'hypnotisme
dant 10 heures précises et, pendant la narcose, ne vomit pas. J. On croit que durant le sommeil nerveux on ne peut pas se r
nt ou de teinture d'iode et nous obtenons la cessation de la douleur, croyons -nous avoir produit une action calmante sur le ner
taire. La suggestibilité n'est donc pas due. comme quelques-uns l'ont cru , à une exagération de la réceptivité cérébrale; l
e moi-même et j'ai parfaitement réussi. De tous les faits exposés, je crois pouvoir tirer les conclusions suivantes : CONCL
entendait diriger se recherches. M. Luys choisirait le sujet qu'il croirait le plus apte à reproduire devant la commission le
ènes si accusés à l'éclat du verre mis en expérience. La commission croit devoir faire remarquer toutefois que les tubes co
on et qu elle aurait à se prononcer dans un délai rapproché. » J'ai cru utile d'attendre qu'elle ait fait connaître son o
u gouvernement de voir l'Académie s'occuper de la question, puisqu'il croit qu'elle en est saisie. Dans ces conditions, M.
pris des proportions inaccoutumées, et il est à craindre, si nous en croyons notre confrère du Médical Record (de New-York), q
r les phénomènes de l'hypnotisme, est souvent mal appréciée. Aussi je crois devoir exposer succinctement en quoi les faits qu
dehors de la suggestion. Nous obtenons ces phénomènes quand le sujet croit (par ce qu'il a entendu dire ou vu faire chez d'a
suivie d'hallucinations et de délire qui n'ont pas cessé depuis. Elle croit voir, de puis ce temps, des gens qui la regardent
s yeux : les quarante disciples de Sidi Mahmed bcn Aissa que l'on croyait assassinés étaient occupés à préparer un magnifiq
intes, le Cheikh exaspéré s'écria: mangez du poison ! » Les disciples crurent a un ordre et se jetèrent sur tout ce qu'ils trou
mande, ou même les frapperait d'une peine prévue par le règlement; et croyez qu'ils s'y soumettront sans protester, et s'en am
dicale, sont assez fondés pour que la plupart des gouvernements aient cru devoir intervenir. L'Autriche, l'Italie, le Danem
iseurs de profession et des abus que nous avons tous pu constater, je crois que nous devons nous rallier à la proposition de
offrir aussi des dangers analogues. Mais l'Académie elle-même n'a pas cru devoir entendre la question au delà des limites d
car la mode règne partout, dans les sciences comme ailleurs. Je ne le crois pas. Je pense plutôt que le nombre et le zéle des
es gens réduits a l'impuissance d'agir uniquement parce qu'ils se croient paralysés. Plusieurs thèses de doctorat et même d
es de Galton sur ce sujet qui l'aient précédée. Ce n'est pas tout: je crois que cette théorie des images peut conduire eneore
és services : les expériences se sont multipliées de tout côté, et je crois pouvoir dire qu'elles ont, pour la plupart, confi
estions, ni à M. Liébeault. ni à M. Bernheim; or. il arriva ceci : je crus remarquer, alors que Mme T.... dont il aétéparlé
it dupe d'une illusion ; qu'elle n'avait pas fait le paiement qu'elle croyait effectué ; elle se récria d'abord, puis, sur mon
fait encore, quand je lui enlevai la suggestion à laquelle elle avait cru si rapidement. Un jour, à M. Th..., je dis de t
ez Mme D... des changements de personnalité en vertu desquels elle se crut et devint successivement prêtre, général, marin,
ait rien pu faire d'eux. En regard de ces quelques personnalités qui, croyons -nous, se calomnient, nous pourrions opposer la fo
e à aviver sa sensibilité, car ce n'est pas, comme on est tenté de le croire , la rigueur du châtiment qui en fait l'efficacité
té de réunir un grand nombre de faits précis et probants, nous avions cru devoir jusqu'alors négliger le côté psychologique
confiné dans certaines limites, et, de même que nos législateurs ont cru faire chose utile et morale en fermant les maison
essayer de reproduire les mêmes effets, et beaucoup réussiraient. Ne croyez -vous pas, messieurs, que l'autorité interviendrai
dans les hôpitaux, dans le cabinet du savant et du médecin; tout fait croire même que s'il opère cette retraite, ce n'est pas
parle que d'accidents survenus à la suite de pratiques privées. Je crois qu'il faudrait se borner à donner au public des c
rie. Mais où notre confrère est moins bien inspiré, c'est lorsqu'il croit pouvoir tirer de l'étude des symptômes présentés
26 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
29 mars. Le 22 avril je n'avais pas revu la malade et j'avais lieu de croire qu'elle était bien guérie de ses vomissements. Le
paralysie générale avec des idées de force et de satisfaction ; il se croit plus dangereux que les bêtes féroces et dit à tou
rables. M. Bérillon. — Je ne partage pas l'avis de M. Bianchi et je crois que si la distinction entre les morphinistes et l
pu être produite et, grâce à une forte suggestion devant lui laisser croire au réveil que l'opération était renvoyée à huitai
instruments. La similitude avec le cadavre était si complète que nous crûmes un moment, en raison de la pâleur de la face et d
essentit pas la moindre douleur et qu'à son réveil elle ne voulut pas croire qu'elle fût opérée. Elle ne put assez louer le
e des toasts en montrant les progrès réalisés par l'union de ceux qui croient à l'union de la psychologie et de la médecine. Il
'importance des recherches anato-pathologiques chez les aliénés. Nous croyons fermement, a-t-il dit, que dans tous les cas on r
là de la pathologie mentale ; l'étude de la stupidité, que l'on avait cru jusqu'alors lié à la suspension de l'intelligence
qu'un voisin au cœur dur jetterait Moricaud à l'eau. Ses maîtres le croyaient déjà mort, et déjà le pleuraient, quand deux heur
force neurique en mouvement, lumière, etc. existe-t-elle (Lombroso). Croyez -vous à ces expériences ? J'espère que vous voudre
es craintes, des impulsions, des perversions instinctives, qu'on est, croyons -nous, autorisé à rapporter à la dégénérescence me
es troubles mentaux qui peuvent s'observer chez les hystériques, nous croyons utile de résumer les points litigieux sur lesquel
froid très peu sensible et des cheveux mal coiffés... En tout cas, je crois que ma première observation ne fut pas tout à fai
é Justement cette manière de délivrer la jambe chez Eusapia. (2) Je crois devoir remarquer que souvent je ne cite pas à la
ui passe à l'excitation maniaque. Les personnes qui la rencontrent la croient ivre et elle est mise à l'hôpital. Amnésie complè
narchistes sont justiciables d'une thérapeutique morale/ M. Macario croit qu'on pourrait faire disparaître l'anarchismc par
lénitude, et son cerveau et ses organes de relation. Il ne faut pas croire que l'action supérieure du pouvoir céré- 1. Voy
chez les dormeurs somnambules, entre autres, — que longtemps on avait cru isolés, — les sensations et les Idées se forment
uire au bout de quelques heures ou de quelques jours. Un patient, qui croyait être un homme riche avec des biens étendus et don
lus beaux résultats dans la cure des vésanies. M. Bérillon. — Je ne crois pas, contrairement à l'avis exprimé par M. Jullio
ible à la suggestion, mais non à la fatigue. M. Dumontpallier. — Je crois que la question de fatigue est ici tout à fait se
i de la suggestion est prépondérant. Ce serait du reste une erreur de croire que l'action de la suggestion est limitée aux phé
le se trouvait mieux après chaque sommeil magnétique et parce qu'elle croyait être utile à d'autres. Quoiqu'il en soit, les e
es réponses, il a reçu la suivante du professeur Bernheim : « Je ne crois pas à la mort résultant du fait de l'état d'hypno
écembre. La malade revoit son enfant tombant sous la voiture. Elle le croit mort. Elle prononce des mots entrecoupés de sangl
et sauf; vous ne serez plus émue comme vous Pavez été quand vous avez cru qu'il était mort. » Le résultat de ce mode d'in
nerveux en question. Quand, une baguette à la main, Dupotet, qui se croyait en ceci magicien, faisait marcher l'un derrière l
en trouvera l'explication plus exacte et moins merveilleuse qu'on ne croyait tout d'abord. » Il affirme que les phénomènes méd
ogie psycho-physiologique de John King, exposée par M. Ochorowicz. Je crois pourtant non seulement devoir, mais aussi pouvoir
n'est pas absolue car (V. Dict. Larousse, article Dompteur) certains croient que a les dompteurs privent les fauves d'aliments
impressionnables. Il suffit, rapportent les voyageurs, qu'un homme se croie ensorcelé pour en perdre le boire et le manger, a
es danses et les orgies se prolongent toute la nuit, et les négresses croient fermement avoir été possédées par le « Dam. » L
se dispenser de refaire l'éducation de cette fonction, on ne doit pas croire que, par ce fait seul, il puisse triompher avec p
UES DE VARSOVIE (Suite et fin) En ma qualité de rapporteur, je ne crois pas devoir juger si les théories de M. Ochorowicz
jours et partout admirée à cause de sa puissance mystérieuse, elle se croit personnellement compromise, si un phénomène ne pe
on tour : — Vous verrez, disait-il, que si je me couche, en faisant croire que je suis malade, il ne s'apercevra pas de la s
t, mais avec un ton de volonté supérieure, prononce,ces paroles : — Crois ! crois ! Il faut croire ! II tombe en prières,
avec un ton de volonté supérieure, prononce,ces paroles : — Crois ! crois ! Il faut croire ! II tombe en prières, et quan
olonté supérieure, prononce,ces paroles : — Crois ! crois ! Il faut croire ! II tombe en prières, et quand il a fini, l'in
que je sens est horrible ». Le prêtre le regarde, il lui demande s'il croit fermement, et quand le patient eut répondu « oui
abord, puis il pose cette double question à celui qui va mourir : — Crois -tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix r
cette double question à celui qui va mourir : — Crois-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix répond : — Je crois
Crois-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix répond : — Je crois ! 11 est guéri. On cite cent exemples de même n
, vaquait à ses affaires, n'était rien moins que frigide et se serait cru tout à fait bien portant, n'étaient les avertisse
orde ensuite certains faits du spiritisme, auxquels d'ailleurs, il ne croit pas, et, vers le milieu du livre, il cite de nomb
ttement déterminés. La manière de cette transmission, M. Podmore la croit toute physique, bien qu'il ne soit pas à même de
a donné lieu à des revendications assez bruyantes. Des candidats ont cru pouvoir porter l'affaire devant le Conseil d'Etat
un tirage au sort fait parmi les membres suppléants. Ces candidats croyaient pouvoir soutenir cette thèse que, si le membre ab
on : Art. 2. — Chaque faculté s'adjoint le nombre d'agrégés qu'elle croit utile; Art. 3. — Les cours libres que les agrég
l'organisation actuelle du concours de l'agrégation, nous n'avons pas cru devoir nous borner à faire appel aux considérat
l'autorité ; or, on ne l'acquiert que par un long effort. » Il faut croire que l'exemple de Charcot est des plus caractérist
seignement fécond ne saurait exister. Ce serait une grave erreur de croire que les abus du concours de l'agrégation datent d
. Il y faudra revenir et reprendre nos anciennes traditions. Ce sera, croyons -nous, le moyen le plus sûr d'assurer l'avenir de
tus. Attribuer ces guérisons instantanées à des émotions mentales, et croire que l'imagination ou la volonté ont une puissance
ls ne donnent aucune explication de la genèse des miracles, et qu'ils croient qu'il n'y a miracle que lorsqu'il y a contraventi
rovoqué par les procédés de Neukomm, qui continuait à opérer. Il faut croire que ce Neu-komm, qui, je le dis en passant, est p
forer des puits et non ingénieur, ne se sentait pas responsable et ne croyait pas même avoir commis d'imprudence. L'autorité s'
ataille. « Le sang, précieux liquide, source de vie, passe, cuit ou cru , pour un thériaque d'effet souverain. On s'ouvre
commun à tous : c'est l'hypnotisme. Il y a sept ans, personne — à en croire un organe plus ou moins officiel d'un des premier
ument tranchant, je l'ai envoyée poignarder sa meilleure amie qu'elle croyait voir devant elle, d'après mon affirmation : le co
uits ? » Ces graves paroles passèrent inaperçues. Alors le monde ne croyait plus au magnétisme animal, comme on disait encore
e remirent en honneur. L'école de la Salpêtrière prit naissance. Elle crut découvrir dans le somnambulisme un état pathologi
en que depuis plus de trente ans j'eusse foi dans le magnétisme, — je crus fermement que le sujet devenait la chose du magné
isite à la Salpétrière (tiré à part, p. 35). monde de dangereux. Je crois qu'en pratique, cependant, sauf en ce qui concern
me sans oser se l'avouer à eux-mêmes ! Qui, parmi les plus probes, ne croit pas excusable de frauder la douane, le fisc, une
: « Je ne t'ai pas tuée, puisque tu me parles ! » « A qui fera-t-on croire , ajoute M. Liégeois, qu'il n'y ait là que comédie
as chargé? » Je rétorque tout de suite l'argument : A qui fera-t-on croire qu'une fille qui, sans émotion, tire sur sa mère
pas soustrait au monde réel autant que beaucoup seraient tentés de le croire . Il l'est moins que le dormeur. D'abord il reste
e que Mlle E... ne sait pas que le pistolet n'est pas chargé. Je n'en crois rien. D'où infère-t-on qu'un somnambule est un im
dre obscur. Or, parmi mes auditeurs, il y en avait d'assez disposés à croire à la seconde vue. Le résultat était de nature à r
t sa mère! — Oui, en supposant que la mère et les spectateurs eussent cru qu'il ne l'était pas. Car, sinon, leur effroi seu
fils : — Que faites-vous là, mère Marie ? — Hélas ! mon cher fils, je crois que je perds la clarté. — Non fait, mère Marie, n
ombreuses que l'on prône aujourd'hui. Demandez plutôt aux chauves. Je crois que sur ce point la science n'a pas fait beaucoup
ns qui laisse loin derrière lui tous les g liseurs de pensées ». On crut d'abord à un nouvel Inaudi, car l'enfant indiquai
S'agit-il de suggestion mentale ? M. Quintard ne le pense pas ; il croit à une véritable transmission à distance de la pen
ses forces. Que fait le jury en apprenant l'incident ? Il élimine, croyez -vous, les candidats pris en flagrant délit de t
éniquée à 5 pour 100 ou même 10, pendant au moins une heure. » Nous croyons que ce souci exagéré de l'antiseptie dissimule ma
du sommeil et de l'hypothermie. Contrairement, à ce que l'on pouvait croire , d'après les recherches de Regnault et Iîeiset su
le des traits qui, dans mes débuts, étaient bien de nature à me faire croire à la sénilité absolu des hypnotisés. Pour juger
ulu, de si arrangé, de si théâtral, que les témoins et moi n'avons pu croire à son absolue bonne foi. ¦ Je l'ai d'ailleurs
apidité de l'action, elle n'a pas eu le temps de réfléchir, elle a dû croire et elle a cru que le revolver était chargé, comme
on, elle n'a pas eu le temps de réfléchir, elle a dû croire et elle a cru que le revolver était chargé, comme toujours. C'e
pratiquer l'incision cruciale sur un homme vivant? Pourrait-on faire croire à un boucher qu'un enfant est un mouton? J'estime
impose : l'hypnotisé n'est pas si peu lui que d'aucuns inclinent à le croire ; malgré toute sa docilité superficielle, il y a
ontre l'importance capitale des augures. Nicias, le généralissime, ne croyait pas au succès de l'expédition, parce que ses prêt
nos jours, il en est comme autrefois : la victoire reste à celui qui croit en elle. Si la confiance n'est plus obtenue par l
us la loi de ventôse appliquée antérieurement à la loi de 1892, avait cru pouvoir reprendre sa médication magnétique en 189
un don spécial « les secrets de guérir, le rapporteur ajoute : « Nous croyons que le « moment n'est pas venu d'enlever ces expé
co, sous l'influence de l'idée qui lui vint d'être ensorcelé, s'étant cru changé en loup, avait tué six personnes et avait
ci, après avoir lu le compte-rendu du procès criminel, n'hésita pas à croire que l'affreux penchant que le condamné Blanco ava
lie de Blanco, qui, par l'affirmation qu'il s'en était faite, s'était cru changé en bête comme Nabuchodonosor, et entre la
at de fascination où tombaient ses sujets d'expérimentation, lesquels croyaient , quoique en un état encore physiologique, être tr
canthrope Blanco et tous ses pareils qui, à travers les âges, se sont cru transformés en bêtes, étaient eux-mêmes, sans que
i, plein d'admiration pour ce qui appartenait à l'armée, finit par se croire général. C'était une sorte de Don Quichotte à peu
endue dignité. Il aurait pu tout aussi bien, dans un autre milieu, se croire loup-garou comme Blanco, et comme lui agir en lou
mation verbale. Ce cas concerne une jeune fille de 9 à 10 ans, qui se croyait transformée en chienne. Cette fille ne différait
mm est probablement antérieure à celle de Braid. Ce qui me porte à le croire , c'est que, il y a plus de trente ans, un élève d
tiques, survenues automatiquement dans leur sommeil et auxquelles ils croyaient de toute leur âme, tant elles paraissaient être l
ant suggéré a un dormeur de lui donner sa montre, puis lui ayant fait croire qu'au Heu d'une montre il y en avait deux dans le
ès quatre séances, l'état des mains s'était tellement amélioré que je crus pouvoir assurer à la malade qu'elle serait bientô
au delà du 4e stade de la classification de Dernheim. Ceci me porte à croire que les Américains sont moins dociles à la sugges
evelu; les mains, spécialement la paume, épaissies de manière à faire croire à l'éléphantiasis. La maladie dure depuis quatre
'est jamais parvenu à se débarrasser de son onychophagie. On pourrait croire , en présence d'une habitude automatique si invété
ible et je lui attribue une série de troubles gastro-intestinaux ; je crois également qu'elle a pu contribuer à aggraver dive
ongés sans éprouver un sentiment de malaise et d'humiliation. Il faut croire que mes ongles sont insensibles, car je les ronge
é et le plus passionnant qui s'attache à l'étude de la volonté, et je crois qu'il est prématuré d'en poursuivre la solution d
tefois les yeux ouverts et presque effarouchés ne permettaient pas de croire a un repos réparateur ; c'était un état de prostr
mpathie nerveuse peut avoir une grande part dans cette contagion ; je crois aussi que l'influence de l'hérédité prédispose le
el, de l'auditif, du moteur, magistralement décrits par Ballet(1). Je crois avoir démontré(2) qu'il n'y a pas de types nets,
la. Ce sont faits connus de nous tous, ignorés du seul bon public qui croit à la grandeur du monument et aussi du Ministre qu
même en Allemagne, en Angleterre. On a invoqué bien des causes ; on a cru en trouver une dans la loi sur le service militai
Elle passait ses journées en contemplation devant son image, car elle croyait le voir ; au moindre bruit d'un pas dans la rue e
la conséquence indirecte de l'existence d'une idée fixe. Mais, je ne crois pas qu'il en soit toujours et nécessairement ains
de l'idée amoureuse, suivant que l'idée est acceptée par le sujet qui croit à la réalité extérieure ou qu'elle est repoussée
eu de tics bizarres, d'idées fixes absurdes : je suis donc disposé à croire qu'il s'agit encore, dans ce cas, d'un phénomène
ion IV. — Cette malade est un peu différente des précédentes, mais je crois cependant qu'elle peut à certains points de vue l
éris par la suggestion, sont encore trop rares, pour que je n'aie pas cru devoir engager vivement notre confrère de Londres
à cette tumeur osseuse l'impotence fonctionnelle du bras ainsi que le croyaient les confrères déjà consultés? Quoique les parents
27 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
elot ont enrichi la traduction des œuvres de ce grand praticien, j'ai cru devoir profiter de ma position à la Salpêtrière p
mon raisonnement : les os sont beaucoup plus vasculaires qu'on ne le croit communément; le tissu spongieux des os présente l
t du sang, sinon en abondance, du moins d'une manière continue. Je ne crois pas que l'hémorrhagie se soit faite par un gros v
faite par un gros vaisseau par suite d'une variété anatomique. Je ne crois pas non plus que l'hémorrhagie ait eu lieu d'une
la fracture. —C'était une fracture intra-capsulaire consolidée,—J'ai cru d'abord que la consolidation était osseuse, mais
formée du côté de la fracture par la région trochantérienne. J'aurais cru que l'intervalle qui séparait la symphyse pubienn
res oui résultent de l'examen par la région antérieure du corps, j'ai cru devoir ajouter ceux qu'on obtient par l'examen de
fractures intra-capsulaires et aux fractures extra-capsulaires. J'ai cru d'abord que le déplacement et par conséquent le r
quatre tours de cercle. Les côtes sont brisées, le bras broyé, et on crut reconnaître une fracture du col du fémur. Le racc
annulaire étendu de la face interne d'un condyle à l'autre : j'avais cru d'abord qu'il était constitué par le ligament ann
inguinales chez les femmes sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croit communément : je les regarde comme étant à peu de
aladies du tissu propre de la moelle sont plus fréquentes qu'on ne le croit communément, cependant ses lésions sont plus souv
ut surpris de trouver les surfaces articulaires intactes, alors qu'on croyait à une réunion solide des os. Cette rigidité art
un déplacement tel que, si j'avais ignoré les antécédens, j'aurais pu croire à une luxation ancienne. Tel était le cas de la j
eune fille dont j'ai fait représenter l'avant-bras, ixc livraison. Je croyais aune luxation, et Dupuytren croyait à une fractur
r l'avant-bras, ixc livraison. Je croyais aune luxation, et Dupuytren croyait à une fracture suivie de déplacement. Eh bien! il
appareil de son invention et sans fractures, des articulations qu'on croyait ankylosées depuis long-temps. Or, on conçoit qu'i
encore bien moins s'appliquera l'ankylose proprement dite, dont j'ai cru devoir distinguer quatre espèces bien distinctes:
jusqu'à la dure-mère, qu'il reconnut aux battemens du cerveau; il ne crut pas devoir aller plus loin, parce que le mal avai
out de deux mois, la plaie était tout-à-fait cicatrisée; la malade se crut guérie; mais la tumeur reprit un grand développem
ce cas? L'expérience n'est pas là pour nous éclairer. M. Amus-sat ne croit pas qu'on ait observé ou du moins décrit une alté
tion fut tout-à-fait insuffisante contre les progrès du mal, que l'on croyait être un polype. Dans un cas pareil, M. Amussat pe
upérieurs de l'humérus, qu'elle débordait en haut, si bien qu'on a dû croire , avant l'opération, que l'angle antérieur de l'om
ion de cette grande quantité de tissu fibreux ? On serait tenté de le croire ; mais l'analogie me porte à admettre que ces musc
cartilage, a dû en imposer à beau coup d'observateurs, et leur faire croire à un ostéo-sarcôme, alors qu'il n'existait qu'une
tumeur de la cuisse, décrite avec beaucoup de soin par Boyer (i). Je crois devoir rapporter ici les détails de cette descrip
u appartenaient les parties molles : ce n'est que par analogie que je crois pouvoir les rapporter au tissu cartilagineux. Je
a crosse aortique était surtout remarquable sous ce rapport, et je ne crois pas avoir observé d'a-névrysme avec un souffle ar
n, je vis que la main ne manquait pas entièrement comme j'avais pu le croire au premier abord f et que sous ce moignon arrondi
fait précéder de celle des ankyloses postérieures à la naissance, je crois donc ne pas trop m'éloigner de mon sujet, en donn
efois à la rigidité articulaire. Il n'est pas aussi facile qu'on le croirait au premier abord de distinguer la rigidité articu
ent saines sur des membres immobiles depuis longues années, et que je croyais ankyloses? Aussi, lorsque, il y a deux ou trois a
d'une compression. C'est encore à une compression extérieure que je crois devoir rapporter les cas de cyclopie dont on trou
e tapissée par un détritus noirâtre. Comme annexes de la cyclopie, je crois devoir parler ici de la cyclopie avec fusion des
de la parotide; 3° inflammation des veines intra-parotidiennes. Je ne crois pas devoir classer, parmi les parotides propremen
araissait être aussi bien que de coutume, la veille de l'invasion, je crus avoir affaire à une parotide essentielle. Quelque
mateuse plus ou moins vive de la membrane buccale, je serais tenté de croire que c'est par continuité de tissu que l'inflammat
eul exemple de parotide suppurée sans lésion organique antérieure. Je croyais avoir affaire à un cas de parotide suppurée idiop
que cette observation ne se rattache pas directement à mon sujet, je crois devoir la rapporter ici pour servir à l'histoire
x, et cette atrophie m'a paru si complète et si remarquable, que j'ai cru devoir la faire représenter ici. La figure 2 mo
térieur de l'œil ne m'a d'ailleurs présenté rien de remarquable. Je crois que les cas de bosselure avec amincissement de la
er, adhérait intimement à la sclérotique. Au premier abord, on aurait cru que les bosselures que présentait la partie antér
sement de l'œsophage appartient aux lésions de canalisation dont j'ai cru devoir faire une classe d'anatomie pathologique,
y résiste fortement lorsqu'il est attaqué par sa surface libre. Je crois avoir démontré que la perte de substance des memb
on cancéreuse de l'extrémité pylorique de l'estomac. Il ne faut pas croire que toutes les hémorrhagies de l'estomac soient i
t. Ce qu'il y a de certain, c'est qu'il est plus fréquent qu'on ne le croit communément de voir des hémorrhagies gastriques s
dire que , bien loin d'avoir exagéré le nombre des granulations, j'ai cru en devoir faire diminuer ce nombre. Les granulati
, comme le pense le célèbre médecin de Tours, il ne me répugne pas de croire qu'il peut se trouver, sur la muqueuse du tube di
et par les accidens mortels qui ont suivi ces tentatives, faites, je crois , avec trop d'insistance. Chute du rectum. Réduc
m'a démontré l'observation et sur le vivant et sur le cadavre, et je crois pouvoir établir comme un fait, que les hernies om
le vomissement. (Sans doute qu'on ne fit pas l'opération parce qu'on croyait l'état de la malade désespéré.) Le 20, même éta
ngaînée dans la seconde à la manière d'un doigt de gant(i); mais j'ai cru devoir rapprocher de l'invagination intestinale d
On « ne voulut pas laisser prendre le sein maternel à un enfant qu'on croyait dévoué à une mort prochaine. XXX l( LIVRAISON.
sée ( fig. 2' ), j'ai reconnu : i° que le liquide transparent, que je croyais contenu dans la cavité de la poche, était situé d
de séparation entre la poche et la peau commençait à s'effectuer : je crois du moins pouvoir l'inférer d'un liseret rouge d'i
-même, à mesure que les parties déplacées rentrent dans l'abdomen. Je crois la réduction graduelle bien préférable à une rédu
inale est constamment formée par les cylindres interne et moyen. Je crois devoir rapporter ici l'observation suivante, que
appelé, administra une potion calmante, qui les dissipa. Le 20, on crut voir des symptômes d'embarras gastrique, et on do
rejdétruite « postérieurement à la sortie de l'anse intestinale. » Je crois aujourd'hui que cette opinion était erronée. Je
quels je n'ai aucun renseignement : fondé sur des faits analogues, je crois pouvoir affirmer qu'elles fournissent des exemple
lcères chroniques, non cicatrisés de l'estomac et des intestins. J'ai cru devoir considérer les cicatrices et taches noires
e du pouls, la couleur violacée et le froid des extrémités. J'avais cru pendant long-temps que la couleur ardoisée des mu
. La section de l'utérus montre du pus dans quelques vaisseaux : je crus alors que c'était une phlébite. Canal intestina
st bien difficile à résoudre dans l'état actuel de la science. J'ai cru que le pus était contenu dans les veines utérines
ide n'est pas épuisée. Ainsi, dans cette forme de pneumonie, que j'ai cru devoir désigner sous le nom de Pneumonie envahiss
à i83i, péritonite que je qualifiai du nom de Typhuspuerpéral(i), je crus d'abord que l'insuccès du traitement dépendait et
ar des chiffres et réduits à un dénominateur commun (2); cependant je crois qu'on peut appliquer avec succès le calcul aux po
ettre pendant la nuit : vociférations; sa salive est visqueuse; il se croit assassin de tous les rois, et dit qu'on veut le t
rs grains; la fièvre tombe. Le malade paraît bien, très bien et je le crois hors de danger. Le huitième jour de cet état apyr
parcourut ses périodes d'une manière régulière et pendant laquelle on crut pouvoir continuer l'alimentation. Le 25 octobre
ardoise claire jusqu'à l'ardoise noire. Cette couleur aurait pu faire croire à la gangrène ; mais il n'y avait pas du tout de
ens de rétention, d'incontinence des matières fécales , et qu'on a pu croire à un cancer du rectum ; que , conséquemment à cet
érieure du rectum ou dilaté l'intestin par des mèches, et; qu'on a pu croire , après l'extirpation comme après l'emploi long-te
ème jour, les crises devenaient effroyables : l'eau de Trèvez qui, je crois , contient lf% grain d'é-métique et une once de su
genre sur un individu qui avait des vomissemens continuels, et qu'on croyait affecté de cancer du pylore. Il mourut dans le ma
en qui la soulagea tellement par l'introduction des mèches qu'elle se crut guérie. Depuis cette époque, la malade répétait e
la fraîcheur de la santé. Au bout de deux mois environ, la malade se croit guérie ; je consens à ce qu'elle sorte de l'infir
dans l'infundibulum qui terminait en bas le rectum. Réflexions. Je crois être fondé à penser que l'observation qu'on vient
s avantages bien pesés, M. Dupuytren se décida pour l'opération qu'il crut devoir faire en plusieurs temps, et aborda de sui
nt mort au terme de sept mois. Au moment de ma visite, la malade se croyait grosse de quatre mois; car depuis cette époque il
eur, les mamelles avaient plutôt augmenté que diminué; en outre, elle croyait sentir remuer, sensation que je rapportai, non à
volume, et je pus circonscrire à l'hypogastre une tumeur molle que je crus être la vessie; mais comme je ne voyais la malade
ais comme je ne voyais la malade que dans les momens de crise, je pus croire à une rétention d'urine, et j'engageai M. Sobaud
vessie. L'idée d'une grossesse ne me vint jamais à l'esprit, je ne la croyais pas possible dans l'état où se trouvait la malade
rations, et la malade redoutait tellement un nouvel examen, que je ne crus pas devoir m'y livrer, ne conservant aucun doute
stomac, dont la grosse extrémité offrait une perte de substance qu'on croyait consécutive à l'abcès. L'examen attentif des part
cture veineuse, ne présentassent pas plus souvent les lésions dont je crois avoir constaté le siège dans le système veineux.
en présente jamais ou presque jamais dans les mêmes conditions. Je ne crois pas avoir rencontré de tubercules cancéreux ou tu
pli par des acéphalocystes vides et par une boue plâtreuse. On aurait cru , au premier abord, qu'il y avait un grand nombre
sont tellement altérées qu'elles deviennent méconnaissables et qu'on croirait avoir affaire à un abcès tuberculeux ou à un kyst
vive, surtout dans l'hypochondre droit. Il y avait fièvre, ictère. On crut néanmoins à la colique de plomb, que l'on traita
doigt le développement de la maladie, reconnaître de la fluctuation, croire à l'existence d'un kyste ou d'un abcès, et être t
au centre duquel était de la matière encéphaloïde. On aurait donc pu croire , au premier abord, que cette matière était formée
tes du foie. 4° C'est toujours d'après les mêmes principes que j'ai cru devoir rapporter à un kyste acéphalocyste du foie
Au côte externe de la glande mammaire, tumeur fluctuante que j'avais cru devoir respecter pendant la vie; elle e'tait form
éreuse est tombée. Une cicatrice de bonne nature s'est effectuée : je crus la malade guérie; mais bientôt de petites masses
e la plupart des personnes qui ont examiné la pièce pathologique, ont cru au premier abord avoir sous les yeux de véritable
e. La fossette de la vésicule elle-même disparaît, si bien qu'on a pu croire , dans quelques cas de cette espèce, à l'absence c
sa position : elle raconte que, dans la matinée, au moment où elle se croyait beaucoup mieux, elle avait été prise tout-à-coup
petit, le corps couvert d'une sueur tellement abondante, que nous ne crûmes pas la'saignée pratiquable. Je pensai qu'il y ava
le péritoine ; point du tout : c'était une tympanite intestinale. Je croyais à une péritonite générale, point du tout : le pér
lque sorte, le fond de cette maladie, et, sans trop l'approfondir, je crus y reconnaître quelque chose de rémittent, et j'aj
abord du pus blanc, grumeleux, louable, puis du sang bien pur, que je crus d'abord venir du foyer, mais qui provenait bien m
menait des selles bilieuses. Je ne blâme nullement cette méthode ; je crois même que , dans le cas actuel, elle peut avoir eu
étit, sa fraîcheur et un commencement d'embonpoint. Cette jeune fille croyait avoir été le sujet d'un miracle, et elle venait m
ait été naturelle, s'accéléra pendant le dernier mois; on put d'abord croire que cette accélération était due et au volume du
ineuse tumeur formée par le foie offrant une certaine saillie, on put croire à une tumeur enkystée du foie; cette idée était l
osa la ponction dans le foie. On se fondait sur une fluctuation qu'on croyait sentir distinctement, sur l'absence de bousselure
tis à la manière du raisin desséché. Quant à l'absence d'ictère, je crois avoir prouvé ailleurs que, dans les maladies du f
a été pris pour un anévrisme de cette artère. Dans le cas suivant, je crus non à un goitre latéral, mais à une de ces tumeur
mobile sous la peau, et paraissait indépendante du corps thyroïde. Je crus à une tumeur adipeuse ou fibreuse. La malade ay
bservateur était soulevée comme par une partie déplacée; on aurait pu croire à une hernie du poumon, mais les commémoratifs (l
scères abdominaux, d'où le nom de cavité thoraco-abdominale, que j'ai cru devoir lui donner; i° que le diaphragme est conti
) J'ai eu le malheur de ne pas noter la nature du corps vulnérant. Je crois me rappeler que c'était un timon de voiture. MA
ici, comme en beaucoup de choses , l'horizon s'éloigne à mesure qu'on croit l'atteindre. Il s'en faut bien que la pneumonie
et les pneumonies légères existent bien rarement à la Salpétrière. Je crois être dans le vrai, en affirmant que les cinq sixi
la saison, le nombre des pneumonies a considérablement diminué. Je ne crois pas exagérer en disant que la mortalité, quant à
arrhe habituel. Le vieillard mange et boit comme de coutume: il ne se croit pas, il ne se dit pas malade. Joignez à cela la r
e de ricin, manne et un vésicatoire spinal de 6 pouces sur quatre. Je crois être fondé à conclure d'un grand nombre de faits,
a est si vra i qu'il existe un certain nombre de pneumonies, que j'ai cru devoir appeler envahissantes, parce qu'elles affe
se au confrère qui me donnait ces renseignemens, je ne pus pas ne pas croire que la pneumonie datait de vingt-huit jours, que
uve bien, trop bien: il n'a nullement la conscience de son état et se croit en convalescence. Ce qui m'étonne le plus en lui,
excavée. Aucune partie de ce poumon n'était perméable à l'air. Je ne crois pas que le poumon contînt une seule bulle de ce f
ot, si le cancer engendre le cancer, comme le pus engendre le pus. Je crois que toute la clef de la pathogénie est dans l'alt
si bien que ce pus occupe toujours le centre du caillot, de même j'ai cru pouvoir expliquer la diminution graduelle de cons
ques jours du dévoiement et un mouvement fébrile très prononcé que je crus pouvoir rapporter à de larges eschares du sacrum.
u érectile du biceps est aussi parfaitement organisé que possible: on croirait voir le corps caverneux de la verge; les aréoles
ns organiques autres que le système capillaire : ainsi il ne faut pas croire que, dans la transformation variqueuse, comme d'a
revient jamais par les artères. Il y a plus d'analogie qu'on ne le croit , au moins sous le rapport de la structure, entre
était récemment coagulé: il y avait phlébite adhésive légère; car je crois avoir démontré que la coagulation du sang avec ad
ence, quelque faible qu'elle soit, est un signe de phlébite. Qu'on ne croie pas que les veines qui sont ainsi remplies de san
d'ancienne date, il existait une autre lésion toute récente, que j'ai cru devoir rapporter à la phlébite capillaire, sous l
sont tellement vives, la résolution si lente à s'effectuer, que j'ai cru devoir recourir aux évacuations sanguines, soit l
ade se plaint d'une douleur vive au pied droit. N'apercevant rien, je crus que cette douleur était le résultat de la même at
et et nullement comme cause de la gangrène. Haller lui-même,qui a, je crois , le premier remarqué que, dans le cas de gangrène
le de la cause de l'inflammation des artères, je suis même porté à le croire , mes expériences tendent à l'établir; mais cette
ours les signes physiques de la gangrène. Dans un cas de ce genre, je crus pendant vingt-quatre heures à une paralysie du br
du mouvement de la main : la malade rapporte cet état à la saignée et croit qu'on lui a piqué un nerf. Le lendemain, il\, j
paume des mains, et qui est désignée sous le nom dacrodynie. Qu'on ne croie pas qu'il soit toujours facile de distinguer la p
rcation bien évidente avec la surface interne de l'aorte,on aurait pu croire au premier abord que l'artère n'était pas malade.
es altérations bien plus considérables sans la moindre dilatation; je crois même être fondé à conclure des observations que j
s interne et moyenne ayant été préalablement détruites ou acérées, je crois qu'on doit substituer celle-ci, en général toute
s de suffocation pendant lesquelles le malade est couvert de sueur et croit qu'il va étouffer;la crise une fois passée, il lu
ns que le cœur n'était pour rien dans tout cela; j'étais même fondé à croire qu'il était peu volumineux, et surtout bien peu v
l'attitude assise, et se faisait porter un siège dans son jardin. Il croyait être perclus de rhumatismes, et c'était à cette c
En examinant le malade dans la position horizontale, on aurait pu le croire moins affaibli qu'il ne l'était réellement; mais,
lmonaire. Je redoute une hémorrhagie foudroyante; car je suis fondé à croire que cette hémoptysie est causée par la rupture de
e tumeur n'était pas limitée en bas parla clavicule, comme on l'avait cru pendant la vie, mais qu'elle s'enfonçait derrière
illerée de sérosité sanguinolente et un caillot de sang. On aurait pu croire au premier abord à une perforation du cœur. Une
; l'angoisse paraît extrême dans le moment qui précède le réveil : on croirait que le jeune malade va suffoquer, et cependant il
suivant, qui nous offrira un exemple bien remarquable de cyanose, je croyais avoir affaire à une hydropéricarde, et c'était un
t de huit jours: le pouls reparaît aux artères radiales; la malade se croit guérie, et en effet, vers la fin du mois, le réta
'à droite. Le 26 juillet, l'amélioration est telle que le malade se croit guéri. Je continuai, en éloignant les doses , l'é
s, ayant trouvé, chez le même sujet, les muscles du mollet graisseux, crut voir une grande analogie entre l'aspect de la cou
poque, M. N. n'est plus le même homme : il devient pusillanime; il se croit frappé à mort, et repousse toute espèce de distra
racine des poumons et plus particulièrement du poumon gauche. Je pus croire d'abord que cette infiltration de sang était cons
mineux et souvent plus énergique que celui de l'adulte, et si j'avais cru à l'hypertrophie concentrique en arrivant à l'hos
arrivant à l'hospice de la Salpêtrière, j'aurais bien vite cessé d'y croire , car le nombre des sujets de 70, 80 à 90 ans, che
d'être interposé à la veine et au caillot sanguin, comme on l'aurait cru a priori,occupait constamment le centre de ce der
orifices apporte à la circulation : c'est pour cette raison que j'ai cru devoir ranger les rétrécissemens des orifices du
x parois veineuses ne soit un puissant moyen d'infection générale. Je crois devoir lui rapporter un certain nombre de cas de
uence telle sur le cœur, que des praticiens d'un grand mérite avaient cru à une maladie du cœur, et ne sont revenus de leur
étiques gauches simuler l'hydropéricardeen déplaçant le médiastin, je crus que la matité précordiale tenait bien plutôt à un
le rocher, du moins je n'en ai pas trouvé de vestige, et j ai peine à croire qu'ils aient pu résister à une pression assez for
la compression directe, ce signe a beaucoup moins de valeur que je le croyais jusqu'à ce jour. L'amaurose avec perte de l'olfac
surer qu'ils sont très communs; car j'en ai vu un très bon nombre. Je crois avoir reconnu la description de ces ramollissemen
rfaitement limitées aux membres inférieurs, il faut bien se garder de croire que l'altération occupe nécessairement la région
u feuillet viscéral de l'arachnoïde au feuillet pariétal, on pourrait croire que la tumeur naît de la face interne de la dure-
physiques des notions aussi exactes que dans les faits précédens. Je crois sa nature encéphaloïde. La moelle avait notableme
ette remarque est d'autant plus importante, que plusieurs auteurs ont cru devoir rapporter certaines paraplégies à la néphr
ssi voyons-nous que la paraplégie était très incomplète. J'ai peine à croire que les nerfs nés de la portion du bulbe, situés
ptes à remplir quelques fonctions de transmission. On serait tenté de croire que c'est de la portion de moelle inférieure à la
la jambe gauche, et que son pied tournait sous elle , si bien qu'elle croyait s'y être donné une entorse. Je ne vis là qu'une a
s'y être donné une entorse. Je ne vis là qu'une affection locale ; je crus à une distension des ligamens , et j'engageai cet
emier cas et lui arrachent un cri dans le second. A cette période, je croyais à une affection rhumatismale limitée à la jambe,
elle parvient à soulever le membre, mais avec une vive douleur: elle croit qu'elle pourrait faire quelques pas, mais non san
ins à une différence réelle qu'aune différence dans l'observation. Je croyais que, chez mademoiselle Gault, il y avait paralysi
me paraît une cause de paraplégie beaucoup plus fréquente qu'on ne le croit communément. Les faits suivans serviront à établi
ysie incomplète, la rigidité joue un rôle important au point de faire croire à une paralysie complète, alors que le membre, re
nt la myotilité n'était pas moins affaiblie que la sensibilité. Je ne crois pas qu'aucune expérience physiologique puisse inv
à exécuter les mouvemens commencés. La nuit, il lui arrive souvent de croire tenir entre les doigts des aiguilles qu'elle serr
j'avais eu de rares occasions d'étudier les maladies de la moelle. Je croyais que l'hémiplégie emportait nécessairement l'exist
t-il des paraplégies sans douleur et des paraplégies avec douleur? Je crois pouvoir conclure d'un certain nombre de faits que
s de la main, l'épingle tombe des doigts, et néanmoins la malade, qui croit encore la tenir, exécute les mêmes mouvemens que
ur surajoutée. Je pense à i'arachnitis spinale aiguë, qui, comme je crois l'avoir établi par des faits (voy. xxxne livraiso
altération de ces os. Quant à la douleur abdominale, je pus d'abord croire qu'elle était le résultat de la distension de la
ssement dans les ailes du nez (2); le pouls conservant sa densité, on crut devoir pratiquer une deuxième saignée: à peine qu
'utérus. L'événement justifia mes prévisions. Dans un autre cas, je croyais fermement à une apoplexie de la protubérance, par
poque où il avait été pris de convulsions ; que les convulsions qu'on crut devoir rapporter à plusieurs chutes, s'étaient re
ubite que l'hémiplégie apoplectique. En sorte que l'on peut très bien croire à une apoplexie et porter un prognostic favorable
ERVEAU. (PLANCHE II, XXXIIIe LIVRAISON.) APOPLEXIE CAPILLAIRE. Je crois avoir démontré, par un grand nombre de faits (i),
loigne de l'invasion; ils présentent des oscillations. Le matin, vous croyez le malade complètement paralysé d'un membre, et,
ade complètement paralysé d'un membre, et, le soir, il le remue. Je crois pouvoir déduire du caractère des symptômes un sec
nt la possibilité de leur guérison et d'en apprécier le mécanisme, je crois être en mesure de différencier les cicatrices des
'assaillir : il fait pour vous répondre des efforts remar- (1) J'ai cru devoir donner ce nom au lobule caché dans la scis
tre jurons ou mots insignifians, ou monosyllabes : on serait tenté de croire que«ce défaut d'articulation des sons tient presq
latations bronchiques remplies de mucosités puriformes. Cerveau. Je croyais à un ramollissement et il y avait deux foyers apo
ssement rouge ou apoplexie capillaire et les foyers apoplectiques. Je crois avoir prouvé que l'infiltration sanguine de l'apo
est extrêmement obtus dans les membres paralysés, et par momens je le croyais complètement aboli. La face et la langue ont été
e la figure 3"' étaient contenus dans le liquide de la poche, et j'ai cru devoir les faire représenter. Le cysticerque offr
décrits par les auteurs , et c'est pour cette raison surtout que j'ai cru devoir les figurer ici. Réflexions. Je n'ai ren
t corps cylindrique qui rentre au dedans de la poche, et, à ce que je crois , au dedans de lui-même, lorsque la compression ce
que je n'aie pu y joindre la dissection, qui n'a pas été faite, j'ai cru utile de publier ce fait à raison de la forme ins
du cerveau postérieure au kyste, et inflammation des ventricules. Je crois , en effet, qu'on doit regarder l'abcès enkysté du
fut présenté dans le but de connaître mon opinion sur sa nature ; on croyait qu'elle n'était autre chose que du sang dégénéré.
it pas formé dans l'épaisseur de la faux du cerveau, comme je l'avais cru , mais bien sur une de ses faces : il était consti
ue les apoplexies du cerveau , sont cependant moins rares qu'on ne le croit communément. Pendant huit années j'ai rempli les
vations suivantes sont entachées de cet inconvénient, et néanmoins je crois utile de les consigner ici, soit que des observat
tellement exacte des caractères physiques de ces productions, que je crois devoir la reproduire ici en entier : « La corne
g. 4), la dégénérescence cancéreuse ne me paraît pas démontrée, et je croirais plutôt à la transformation fibreuse des parties i
ayant excisé sans douleur la partie la plus excentrique de la tumeur, crut qu'il pouvait l'attaquer par sa base; l'enfant ne
entortillement « comme celle d'un jeune mouton de six mois. » Cabrol croyait qu'elle était adhérente à l'os; néanmoins, vaincu
s la production de ces renflemens gangliformes. On serait tenté de le croire , si l'on considère que, dans les expériences fait
moelle épinière et dans les nerfs, et c'est le motif pour lequel j'ai cru devoir faire représenter les tumeurs cancéreuses
génération tuberculeuse, et c'est surtout sous ce point de vue que je crois le cas intéressant: rien de plus commun en effet
sonde conique, à l'aide de laquelle on pénétra très profondément; on crut être arrivé jusque dans la vessie, mais on n'obti
et si un épiderme avait été démontré sur cette membrane, on pourrait croire que ces vésicules ou bulles sont constituées par
gie se joignirent des vomissemens fréquens. L'interne de garde appelé crut à une indigestion, prescrivit du thé et fit appli
e, la tête inclinée sur la poitrine : elle est immobile. L'infirmière croit qu'elle dort : elle lui présente à boire ; mais l
rt : elle lui présente à boire ; mais la malade ne bougeant pas, elle croit que son silence est un refus ou l'effet d'un somm
ein, et semble faire corps avec lui. C'est pour cette raison que j'ai cru devoir le faire représenter ici. Je n'ai jamais v
phalalgie et les vomisscmens, si bien que le chirurgien de garde a pu croire à une indigestion A ces symptômes, qui ont eu qua
acées : il vomissait tout ce qu'il ingérait. M. Vallerand et moi nous crûmes que cet état syncopal tenait à une indigestion. .
és, sucrés , « ayant toute l'apparence du sucre de canne ». M. Perrot croit que ce sont des graviers venus des voies uiinaire
lesquelles sont beaucoup plus sujettes aux calculs rénaux qu'on ne le croit généralement. La femme qui a fourni le sujet des
tait une forme sphéroïdale, et qui était lobu-leuse et enkystée. J'ai cru d'abord que cette tumeur siégeait dans la glande
cune des formes cancéreuses généralement décrites. On l'a appelée, je crois , cancer colloïde a l'état de crudité ; mais le ca
eur volume et par leur poids, bien plus que par toute autre cause. Je crois être fondé à penser que ces tumeurs extirpées ne
puberté, et donnaient aux mamelles un volume considérable. La malade croyait s'apercevoir depuis peu d'une augmentation de vol
ent ce conseil ne fut pas suivi : un praticien, d'ailleurs distingué, crut pouvoir obtenir la résolution de la tumeur par de
pait la fosse iliaque droite à l'entrée du bassin , et que j'avais pu croire pendant la vie être une maladie cancéreuse n'étai
e ; les papilles cutanées sont devenues extrêmement saillantes. Je ne crois pas exagérer en disant qu'il a quatre fois le vol
termédiaire entre la portion saine et la portion malade. On aurait pu croire au premier abord au développement d'un corps fibr
lo rure de zinc, ne sont donc pas des cancers. Je serais fondé à le croire d'après un certain nombre de faits. D'un autre cô
seraient du plus grand intérêt; et je prie de remarquer qu'autant je crois peu utile et même nuisible la statistique appliqu
uraient être considérées comme des unités du même ordre, autant je la crois utile lorsqu'elle s'applique à des objets suscept
cholestérine. xxive livraison. i Restait à étudier le polype. Je crus d'abord qu'il naissait du museau de tanche; mais
pes par hypertrophie du tissu utérin ou à celle des corps fibreux? Je crois cette distinction difficile dans l'état actuel de
té libre, qu'au voisinage de l'extrémité adhérente ou pédiculée. Je crois devoir arrêter ici l'attention sur l'adhérence de
qui avait jeté une grande obscurité sur le diagnostic, et qui a fait croire à l'existence de polypes à plusieurs pédicules. T
ouge, molle, fluctuante. Cet utérus avait appartenu à une femme qu'on croyait enceinte de six mois et qui était morte deux jour
itonéale. Les artères utérines étaient complètement ossifiées. Je crois devoir considérer ce cas comme un exemple d'atrop
aladie. Malgré les travaux importans publiés sur cette matière, je ne crois pas qu'il existe une maladie qui ait un plus gran
trangers à ceux qui appartiennent à l'apoplexie capillaire, que je me crois fondé à les rapporter à la maladie de l'utérus; c
le vagin, et que la base de ce cône regardait le fond de l'utérus. Je crus d'abord à un polype; mais, avec plus d'attention,
. Un foyer gangreneux est ouvert dans la cavité du péritoine; mais je crois que cette ouverture est le résultat de la rupture
ièrent-elles pas un traitement particulier ? J'ai quelque raison de croire que la cautérisation, qui, au premier abord, para
temps compatible avec l'absence complète d'excrétions urinaires. — Je crois être en droit de conclure que l'économie peut se
uite qu'on a tenue était la seule qu'on dût tenir. Quant à moi, je ne crois nullement à l'existence de la hernie de l'utérus
ce de la hernie de l'utérus chargé du produit de la conception; je ne crois même pas à la possibilité de sa formation pendant
nale ordinaire chez la femme, fréquence beaucoup plus grande qu'on ne croit communément; mais encore la hernie congéniale, la
nc jaunâtre : ce ne sont pas des foyers de pus, comme on aurait pu le croire au premier abord ; c'est un tissu très dense, jau
état de l'utérus. A cet œdème douloureux du membre inférieur que je croyais spontané, se joignit une gangrène des gencives et
ipaux moyens employés. La malade mourut plus promptement que je ne le croyais , le 21 novembre, vingt jours environ après l'appa
reux de la dégénération n'est donc pas positivement démontré; mais je crois pouvoir inférer de cas analogues qu'il est infini
ade, pour déterminer le caractère de la lésion, j'aurais été tenté de croire à l'inflammation chronique, bien plus qu'à la dég
extirpation doit être rejetée de la pratique. Cette répulsion, que je crois définitive, n'est pas fondée sur les difficultés
t certain, c'est que l'homme de l'art qui a pratiqué cette opération, croyait avoir affaire à un cancer. i° Chez une jeune fe
e éprouva tous les symptômes de la péritonite la plus intense : je la crus perdue; le traitement antiphlogistique le plus én
secousses convulsives du diaphragme et les mouvemens d'un fœtus : je crus devoir me prononcer pour les mouvemens d'un fœtus
le foie. Le foie mérite surtout de fixer notre attention. J'avais cru d'abord qu'il n'y avait qu'un seul foie FF, et je
a paru à M. Serres un caractère tellement important, que cet auteur a cru devoir grouper autour de ce caractère, qu'il appe
les cancers du péritoine primitifs ou consécutifs; les malades ne se croient indisposés et ne consultent qu'au moment où l'abd
l. m, p, 2. — Les apoplexies du cervelet sont moins rares qu'on ne le croit . 37e liv., pl. v, p. /. — Effet croisé des apople
l. m, p. 3. — Les apoplexies du cervelet sont moins rares qu'on ne le croit .=Cicatrice superficielle du lobe droit du cervele
2. — La phlébite se termine par résolution bien plus souvent qu'on ne croit . 4e liv., pl. \i,p. 3. — Trois espèces de phlébit
28 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
ui, quelque fidèle qu'elle soit, ne vaut jamais la nature, et ils ont cru pouvoir y suppléer par une description purement g
uppléer par une description purement graphique. Comme eux, je l'avais cru , et ce n'est qu'après avoir acquis la conviction
puis adopter l'opinion d'un estimable auteur, madame Boivin (*), qui croit avoir observé que la môle vésiculaire dépend d'un
par le rapprochement des figures 3, 4 ? 4'? 4" PL 1î ng- 2 ? PL 11 ? CRU nous permettent de suivre le développement des vé
déjà donnée dans la fig. 5 de son Thes. anatom. vi, tab. v, que j'ai cru devoir reproduire dans la deuxième planche (*). C
ontrer sur leur sujet et au-devant de la colonne cervicale. M. Bérard croit au premier abord que ce sont des ganglions lympha
les dernières côtes gauches jusqu'à la fosse iliaque du même côté. Je crus d'abord que c'était la rate indurée ; mais le mal
eaux sanguins très-multipliés et très-volumineux (cancer encéphaloïde cru ) EEEE ; très-mince à la partie inférieure, cette
, en sorte que l'auscultation m'avait induit en erreur, en me faisant croire à une induration au-dessous des clavicules. Il ex
re boisson, le plus léger mouvement; pouls à peu près naturel. Je pus croire que les vomissemens avaient été provoqués parla p
érieure du foie et s'éten-dant jusqu'à la région lombaire; nous pûmes croire que cette tumeur était une dépendance du foie : c
nt plus difficiles à reconnaître et surtout à interprêter qu'on ne le croit communément : et cette difficulté me paraît surto
res de la Société anatomique, à laquelle cette pièce a été présentée, crurent avoir sous les yeux un exemple de transformation
l'eau sucrée qu'on fait pénétrer par la bouche. A chaque instant, on croit qu'il va expirer, et cependant sa vie se prolonge
a nature desquels nous n'avons pas d'idée bien arrêtée, mais que nous croyons veineux, vu le peu d'épaisseur de leurs parois ;
2), naissaient dans des points dépourvus de plaques tuberculeuses. Je crus d'abord avoir affaire à des vaisseaux lactés plei
ication fût aussi avancée dans le fœtus pied-bot de la planche 11. Je crois que les auteurs d'ostéogénie ont voulu trop préci
ait toujours sur les mêmes points. Cette immobilité est telle qu'on a cru à l'ankylose dans les pieds-bots : mais un défaut
ytren les ressources de l'art dans le cas de difformité du cal, et je crois qu'il peut encore quelque chose sur le cal devenu
isseux. Toutes ces lésions sont un obstacle à la guérison, mais je ne crois pas qu'elles contre-indiqucnt absolument toute es
19, immédiatement après fadministration du sulfate de quinine : je le crois d'autant plus que ce médicament actif a été emplo
par la pression, existait à l'épigastre et surtout à l'hypogastre. Je crus devoir faire précéder de quelques sangsues l'empl
à l'Hôtel-Dieu eu i8o3 ou 1804, dans le service de M. Récamier; qu'il croit se rappeler que c'est tout-à-coup que périt la fe
u cœur ; peut-être apoplexie pulmonaire circonscrite. La malade ne se croit pas dans un état grave. Elle nous paraît à toute
s veines pulmonaires d'un individu mort d'apoplexie pulmonaire. Je ne crois pas à l'altération, au ramollissement préalable d
e est la cause formelle ? Nous l'ignorons complètement. Aussi Laennec croit -il impossible d'expliquer la rupture sanguine de
'une poche anévrysmalc. Quant à l'auscultation et à la percussion, je crois que c'est a priori que Laennec a indiqué les sign
par des concrétions phosphatiques irrégulières. Réflexions. — J'ai cru devoir appeler apoplexie du cœur l'altération qu'
atique. L'hémoptysie n'emporte donc pas nécessairement la saignée. Je crois que dans la gangrène du poumon la saignée est for
ême heure. Le 4 octobre, il dura quatre heures ; le 5 , dix heures on crut que le malade allait expirer; la persistance, l'i
nait pas de l'intérieur de la vessie. Ouverture du cadavre. J'avais cru à une péritonite, et cependant je ne trouve que d
nt il sourit, et ne paraît susceptible que d'impressions gaies. Il se croit affecté d'un rhumatisme dont il espère triompher
mand et fiostan sous le nom de ramollissement du cerveau, et que j'ai cru devoir appeler apoplexie capillaire. L'apoplexie
on épine (c'est son expression) lui faisait un peu de mal, mais qu'il croyait que c'était un rhumatisme : il appelait cette dou
r; c'était la première fois que j'observais une semblable maladie. Je crus à un rhumatisme aigu. La douleur et la paralysie
3° pour maintenir dans de justes bornes le travail de réparation. Je crois que les saignées locales et les dérivatifs, vésic
foyer devient bientôt lui-même une source d'infection générale. Je ne crois pas qu'il soit possible d'expliquer d'une manière
esquelles il semble au malade que tout son corps se bouleverse ; il a cru mourir. Depuis lors il se trouve beaucoup mieux;
. Coliques assez vives qui reviennent de temps en temps. Le malade se croit beaucoup mieux et demande des alimens. — Le 6, l'
la pression. Le malade n'a nullement la conscience de son état et se croit guéri ; il demande à manger. Soif très-vive ; lan
e. En appliquant l'oreille sur l'abdomen au niveau de l'ombilic, j'ai cru entendre à chaque inspiration un bruit analogue à
conseillée dans un cas de tympanite, ce doit être dans ce cas, et je crois qu'on ne devrait pas hésiter à la pratiquer. 4e
des premiers points d'urate sur le cartilage confirme la loi que j'ai cru devoir établir, attendu que les cartilages sont l
corps de vertèbres se sont soudés, fondus ensemble, c'est ce que j'ai cru devoir appeler ankylose avec fusion, pour la dist
l'utérus a une épaisseur plus considérable que partout ailleurs. On a cru reconnaître une similitude exacte entre le pus sa
rations morbides, plus nous serons convaincus de cette vérité, que je crois avoir le premier proclamée, que nos tissus sont i
ix, à parois fibreuses, contenant une matière jaunâtre « pultacée. Je crus d'abord que le testicule avait subi en entier la
en général le sarcocèle des individus peu avancés en âge. Je ne la crois pas incapable de résolution. Tel est le sarcocèle
ur de l'arrière-bouche ont presque complètement disparu. Le malade se croit guéri. Ce mieux apparent continue toute la journé
e doigt, je dois dire qu'il est plus difficile à acquérir qu'on ne le croit communément, car les replis infiltrés et mollasse
ultats : aux côtes, rien; au larynx , la suffocation et la mort. Je croyais ces faits uniques dans la science, lorsqu'il y a
e de la maladie ; autre chose est une incurabilité radicale, et je ne crois pas qu'on puisse confondre l'induration ou l'ulcé
séreux ; la fluctuation m'a paru la même dans les deux cas : mais je crois qu'on pourra souvent distinguer le kyste multiloc
ois abdominales. Sous le point de vue de Vanatomie pathologique, je crois devoir ranger cette altération dans cette grande
rave éprouvée après ve livraison. i la naissance. M. Esquirol a cru devoir séparer complètement l'idiotie acquise de
n, je reconnais à l'hypogastre une tumeur molle, circonscrite, que je crus être la vessie, en sorte que je pensai d'abord qu
et seulement après les plus vives et les plus brusques instances. On croit que c'est par caprice, par dissimulation ; c'étai
nostic extrêmement grave que j'avais porté comme erronés. Je l'aurais cru moi-même, sans des exemples antérieurs. Il y avai
mens ont été tellement intenses que, pendant les premiers jours, j'ai cru avoir affaire au ramollissement gélatiniforme de
et avec toute sa connaissance ; mais que, plus tard, moment où on la croyait profondément endormie, elle avait été prise de mo
nt faisant la lecture qu'elle aime beaucoup. Appétit bizarre qu'on se croit obligé de satisfaire; mais il suffit par fois de
aladie l'enfant jouissait de la plus parfaite santé. Je penche donc à croire à la formation de tubercules aigus dans le tissu
s et des stimulans internes, des stimulans et dérivatifs cutanés : je crois devoir appeler cette maladie entérite folliculeus
ominante et constitue une forme bien remarquable de la maladie; 6° je crois devoir rapprocher de l'entérite folliculeuse l'en
anté; il jouissait de toute sa raison. La nuit, délire violent; il se croit assassin de tous les rois et croit qu'on veut le
on. La nuit, délire violent; il se croit assassin de tous les rois et croit qu'on veut le tuer. La face est rouge, couverte d
le praticien qui n'ait pris le change dans quelques cas, et qui n'ait cru à un délire symptomatique alors qu'il avait à tra
tte pleurésie, de cet érysipèle? Et lorsque la fièvre vient à tomber, croyez -vous que la pneumonie, la pleurésie, l'érysipèle
liculeuse aigue, nous trouvons i° celles de Peyer qui, bien qu'il ait cru représenter l'état naturel, a figuré l'entérite f
oup moins multipliées qu'on ne se l'imagine communément, que je ne le croyais moi-même avant la publication de cet ouvrage. On
e croyais moi-même avant la publication de cet ouvrage. On ne saurait croire combien de fois je rencontre des lésions identiqu
alimens que je portai graduellement jusqu'à la demi-portion; mais je crus devoir revenir sur mes pas et m'en tenir au quart
thique. (Saignée.) Le délire tombe, la fièvre persiste ; le malade se croit guéri, demande des alimens ; il est d'une gaîté ,
es contenues dans les voies alimentaires. La justice ne s'étant pas cru suffisamment éclairée, désigna MM. Orfila et Rost
e avec les intestins situés hors de la cavité abdominale. On pourrait croire que la rupture du sac avait été le résultat du tr
la cause de cette étonnante production (i), Fondé sur l'analogie, je crois pouvoir admettre qu'à la suite d'une brûlure supe
tissu adipeux médullaire des os. Beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croit généralement, elles distendent d'abord les cellul
le de réunion de la faux avec le reste de la dure-mère. A la base, je crois devoir signaler trois points principaux comme plu
ailleurs sous le rapport du siège et de la nature de la maladie. J'ai cru trouver une des données du pro^ blême dans la dir
issait d'ailleurs de la plénitude de ses facultés intellectuelles. Je crus d'abord à une hémiplégie apoplectique. Mais, à dé
cès, le côté paralysé participait aux mouvemens convulsifs, ce que je crois aisément , ayant eu occasion d'observer plusieurs
ai que nous avions affaire à une tumeur fongueuse de la dure-mère; je crus en outre que cette tumeur naissait de la surface
; on dirait une gelée tremblotante comme du blanc-manger. Aussi ai-je cru devoir appeler cette altération ramollissement gé
de trépan; supposons qu'au lieu d'une tumeur cancéreuse externe qu'il croyait avoir diagnostiquée, il rencontre une tumeur canc
si le hasard amenait une pareille combinaison de circonstances, je ne crois pas que le chirurgien eût à hésiter un instant. L
mplète pour le sentiment, avec oedème léger des membres paralysés. On croit à une hémiplégie apoplectique. Le i5 août, mouvem
uche jaune-verdâtre extrêmement dense. Au premier abord, on aurait pu croire qu'elle était contenue dans la cavité de l'arachn
produisant une hémiplégie complète du sentiment et du mouvement ? Je crois en découvrir la cause dans la différence qui exis
tie antérieure de la tumeur; cette fluctuation s'étend, s'acumine. Je crus à la formation d'un abcès, d'autant mieux que, da
on étant une conséquence nécessaire des mouvemens qu'elle exécute, je crois devoir rappeler ici ce que j'ai dit ailleurs au s
heures après. Parmi les lésions graves qu'il présentait, M. Marjolin crut reconnaître une luxation de la main sur l'avant-b
-« rieure du radius sur l'humérus, il y a vingt ou vingt-cinq ans. Il croit , mais sans pouvoir « l'affirmer, qu'elle existait
ux de l'articulation. La suppuration fut très-abondante. La malade se crut soulagée; elle consentit à ce que deux nouveaux m
; les unes et les autres se déforment, si bien qu'on serait tenté de croire qu'il y a eu fracture. C'est ce qui est arrivé bi
; et alors le corps étranger devient libre dans l'articulation. Je ne crois pas cependant que ce soit là la seule manière don
ion nouvelle. VIII. Le nom de ramollissement gélatiniforme que j'ai cru devoir donner à cette maladie, est une descriptio
ont rendu compte de mon travail, publié en 1821. Je suis même fondé à croire (ceci soit dit sans mauvaise humeur de ma part) q
ateur n'eût pas fait mention des travaux antérieurs, s'il n'avait pas cru être sur un terrain entièrement neuf? ligure i
rès la mort que chez ceux qu'on ouvre avant ce laps de temps. J'avais cru d'abord pouvoir faciliter ce ramollissement par l
a langue hors de la bouche, mais il oublie toujours de la retirer. Je crois le délire imminent et je cherche à le prévenir. U
la maladie ne peuvent pas s'expliquer par l'entérite folliculeuse. Je crois donc que nous pouvons regarder, au moins en parti
espérance d'une guérison prochaine ; le jour de sa mort, le malade se croyait à merveille , avait une présence d'esprit admirab
, se donne fréquemment de violentes indigestions , tellement qu'il se crut plusieurs fois empoisonné. Depuis un an surtout l
liquides sécrétés, entre si bien dans le plan de la nature, que je ne crois pas qu'il existe un seul exemple de terminaison d
hal, qui, faisant ici l'application des expériences du docteur Barry, croit que le pus est attiré dans les veines ouvertes pa
ement par lui-même à cette espèce de génération purulente, ainsi qu'a cru devoir l'admettre M. Dance par une sorte de conce
revient plusieurs fois à la charge, à quelques jours de distance. Je crois qu'on devrait établir, comme loi chirurgicale, le
cette transformation comme les autres tissus. XXXV. Gardons-nous de croire que des abcès viscéraux ou même que des accidens
ales pratiquées à temps et en quantité suffisante; c'est ainsi que je crois arrêter le plus grand nombre des phlébites utérin
énétrai dans un foyer d'où s'échappa un pus rougeâtre et visqueux. Je crus d'abord que j'avais affaire à un de ces abcès int
allemand qui avait un œdème de la cuisse tellement douloureux, que je crus d'abord à une inflammation sous-aponévrotique. Le
ogastrique a dominé tous les symptômes du 11 au i5 juillet; car je ne crois pas que la pleuro-dynie observée le ^3, pleurodyn
du thorax; à la crépitation avait succédé cette respiration que j'ai cru devoir appeler tubaire. Les crachats sont visqueu
du poumon, c'est-à-dire, la gangrène non précédée d'inflammation, je crois qu'elle est excessivement rare : car, dans l'imme
t bien propre à désorienter le praticien. Dans un cas de ce genre, on crut à l'existence de plusieurs enfans. Il n'est d'ail
que Putérus était inégalement bosselé et cette disposition avait fait croire à une grossesse composée. La malade mourut trois
toute son étendue et qui ne sont pas circonscrits au col, comme on le croit généralement), leur structure toute vasculaire ne
et en celles qui sont formées aux dépens du tissu propre du foie, je crois qu'il faut les distinguer en celles qui attaquent
aits à la démonstration de la résorption de la matière cancéreuse. Je crois d'ailleurs devoir faire, pour le cancer des gross
i restait du lobe droit. Dans un autre cas, des praticiens distingués crurent à l'existence d'une maladie du cœur et ne furent
ntiment habituel et profond de tristesse, un défaut d'appétit; on les croit hypocondriaques ; on les traite de malades imagin
ris la diète lactée. Le malade reste un mois sans me consulter. Je le croyais mieux. Il revient le 15 janvier 1821. Même e'tat
u coucher ; le malade entend battre toutes les artères de la tête, et croit que c'est ce battement qui s'oppose à son sommeil
espèce, dont plusieurs se sont offerts à mon observation, qu'on a pu croire à l'absence congéniale delà vésicule biliaire. Si
se qu'une vessie ordinaire ; elle atteignait la région ombilicale. Je crus d'abord qu'il y avait obstacle invincible au cour
la vue de concrétions aussi considérables , aussi multipliées, qui ne croirait que la circulation de la bile a du être impossibl
inique qui règne tous les ans à l'hôpital de la Maternité, que j'ai cru devoir désigner sous le nom de typhus puerpéral,
e du typhus puerpéral et de la péritonite puerpérale sporadique, j'ai cru faire une chose utile en publiant sur ce sujet de
x lymphatiques purulens sont tellement pressées qu'il m'est arrivé de croire que le pus était infiltré dans le tissu cellulair
istait ce liquide crémeux indiqué par Astruc et autres, et qu'ils ont cru être du lait ; car jamais dans les veines, le pus
e dans les vaisseaux lymphatiques, est tellement fréquente , que j'ai cru pendant long-temps qu'il y avait rapport de dépen
mi potion calmante pour la nuit. Bain de siège. Le 11, la malade se croit très bien, demande instamment à manger; loquacité
douleurs absolument semblables à celles de l'enfantement, qui firent croire un instant aune superfétation. Après trois jours
ormes, si bien que chaque famille, pourvue des drogues prescrites, se croyait en mesure d'appliquer les remèdes au moment de l'
ulance pour un dévoiement cholérique, fut prise, au moment où nous la croyions hors de danger, d'une pleuropneumonie, qui résist
oléras avec prédominance du vomissement sont moins graves qu'on ne le croit ordinairement : le hoquet même persistant pendant
les pieds et dans les jambes ; froid des extrémités ; soif ardente On crut la malade en grand danger. Des briques et des s
ui supprime les selles sans enlever les coliques. Le 14, la malade se croit guérie. Le 15, plusieurs selles liquides qui de
ousiasme, se trouva dans un état de bien être extraordinaire, qui fit croire aux assistans qu'il était sauvé; il était couvert
indice d'un commencement d'altération cadavérique? je suis porté à le croire , bien que douze heures seulement se soient écoulé
ares. Assoupissement.Les paupières recouvrent l'œil complètement : on croit que le malade est sourd, mais cette surdité n'est
ite du choléra. N'ayant pas eu occasion de les rencontrer, je pouvais croire que des plaques noires ecchymosées, semblables à
és supérieures tellement livides, qu'un médecin, d'ailleurs instruit, crut d'abord que ces extrémités étaient gangrenées.
la coloration rosée naturelle des ganglions semi-lunaires a pu faire croire à une inflammation de ces ganglions. 3° L'altér
adie. La forme arrondie des follicules de l'intestin grêle a pu faire croire que ces granulations n'étaient pas des follicules
uns le choléra-morbus comme une phlegmasie, tandis que les autres ont cru pouvoir expliquer l'injection de la muqueuse par
le choléra soit contagieux d'individu à individu , par le contact, je crois pouvoir le nier; trop de faits viennent déposer e
de la réunion d'un grand nombre d'individus cholériques ou autres; je crois encore pouvoir le nier : l'encombrement des hôpit
long sur deux de large, appliqué le long du rachis, moyen auquel j'ai cru devoir, au moins en partie, rapporter quelques su
que l'inflammation est imminente dans la période de réaction. Nous croyons aussi que les praticiens qui excluent positivemen
soit tout autre que le mode d'irritation des purgatifs drastiques je crois prudent de s'en abstenir jusqu'à ce que des faits
colorent, que la face recouvre son état naturel, et que le malade se croit complètement guéri. Ce bien-être n'est que passag
bile et froid le quatrième jour*, on me le présente dans cet état; je crois qu'il est né faible, et je lui prescris un bain a
oportion avec celui du fœtus et la cause de la mort de ce dernier. Il croit aussi devoir considérer comme une hypertrophie du
° à l'adhérence organique du placenta et de l'utérus, adhérence qu'il croit être le résultat de l'inflammation simultanée du
ta. C'est la plus fréquente des altérations de ce corps spongieux, je crois avoir démontré (Ire livr.) que ces kystes ne sont
abcès ayant été sur-tout observés dans le cas de plaies de tête, on a cru pouvoir l'interpréter, soit par des rapports de c
, non en sa qualité de pus, mais en sa qualité de corps irritant. Je crois avoir démontré ailleurs (XIe livr., phlébite ) pa
iplicité des foyers, à l'irrégularité des masses envahies, a pu faire croire à la nature tuberculeuse de cette altération. Tou
delà de laquelle les abcès consécutifs ne soient plus à redouter ? Je crois que tout le temps qu'existe la solution de contin
sa faiblesse extrême il était cependant levé suivant sa coutume et se croyait mieux. Le soir, état très grave. Supination; face
sé en foyer, il était infiltré et solide, circonstance qui a pu faire croire dans des cas analogues aux tubercules préexistant
nce; chez les trois autres la tumeur était intacte: j'ai tout lieu de croire que, chez les deux premiers, la perforation a eu
de ces lames dans la région correspondante. Il y a même plus : je ne crois pas à la nécessité d'une augmentation dans la qua
ologique du cerveau. Ces lésions beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croit ordinairement, échappent, dans un grand nombre de
établir, pour un temps plus ou moins long, le cours des urines, et je crois avoir vu dans ma pratique plusieurs exemples de c
la certitude par les nombreuses explorations que j'avais pu faire, je crus à un catarrhe vésical. Le malade avait tellement
olin, Jolly et Vallerand furent appelés pendant le second accès. Nous crûmes tous qu'il allait périr. Le sulfate de kinine pri
de son importance, je dois placer l'apoplexie du cœur, à laquelle je crois devoir rapporter le plus grand nombre des rupture
une douleur très vive à l'abdomen ; le moindre contact l'augmente. Je crus à une péritonite ; un grand nombre de sangsues fu
est déjà formée, qu'on hésite encore à reconnaître cette maladie : on croit en avoir triomphé dans un point lorsqu'elle appar
à 110; délire léger. La malade répond très bien aux questions, et se croit en voie de guérison; narines pulvérulentes. Cet é
l'érysipèle phlegmoneux, et étaient le résultat d'une phlébite. Je crois avoir démontré jusqu'à l'évidence cette propositi
iques utérins , ou avec des pleurésies aigries ou chroniques, et j'ai cru pouvoir établir dans quelques cas une liaison ent
par le froid, il éprouve une douleur vive dans toute la cuisse : on crut à une simple douleur rhumatismale. Bientôt des tr
l'abdomen est volumineux, sensible à la pression. Quelques personnes crurent au choléra; je crus à un étranglement: l'absence
ux, sensible à la pression. Quelques personnes crurent au choléra; je crus à un étranglement: l'absence de tumeur herniaire
sorte que si on avait exploré le thorax pendant la vie , on aurait pu croire à une transposition de ce viscère. Il était fac
nie diaphragmatique, 2° qu'il y avait étranglement de l'intestin : je crus d'abord que cet étranglement existait au collet d
s. Diagnostic. En rapprochant les commémoratifs de Fétat actuel, je crus à Pexistence d'un abcès enkysté du cerveau , suit
etite malade qui habitait dans un département voisin, et j'ai lieu de croire qu'elle a été guérie parle seul fait de l'injecti
'un kyste de l'ovaire chez une femme dont le pubis en était dépourvu, crut que la présence de ces poils était le fait d'une
teurs pour que je ne rejette pas un fait aussi extraordinaire, que je crois devoir reléguer provisoirement parmi ces observat
tait des douleurs assez vives dans la région hypogastrique et qu'elle croyait y reconnaître la présence d'un corps étranger, el
t le sujet de cette observation , après plusieurs fausses couches, se crut grosse; elle éprouva, au 9e mois, des douleurs qu
t la matrice, » étaient très saines et dans leur état naturel. » Je crois qu'indépendamment des faits, dont quelques-uns ét
té. J'ai émis ailleurs une opinion semblable pour le tubercule, et je crois avoir prouvé, au moins pour un certain nombre de
é thoracique. J'ai vainement cherché la rate dans l'abdomen et j'ai cru la reconnaître dans un petit corps arrondi R, att
lésion serait limitée à la membrane médullaire; je serais porté à le croire . M. Dubrueil n'ayant pas cru devoir résoudre cett
rane médullaire; je serais porté à le croire. M. Dubrueil n'ayant pas cru devoir résoudre cette question, j'imiterai la rés
t représenter ( 111e livraison, pl. i ) un cas de rupture du cœur. Je crois devoir rappeler ici et discuter trois circonstanc
étra pas d'abord dans l'intérieur de ce ventricule, c'est pourquoi je crus à une perforation incomplète; mais avec un peu pl
sillon postérieur du cœur, un peu à droite de ce sillon. On aurait pu croire , au premier abord, qu'il y avait rupture du ventr
l'aorte. 3° Dans le cas que j'ai rapporté (111e livr., pl. i),j ai cru devoir considérer la perforation du cœur comme un
uleur de la cicatrice est d'un jaune serin plus ou moins brunâtre. On croirait voir, sauf la couleur, la cicatrice d'un ulcère i
s à deux reprises ; diète sévère; boisson adoucissante). Le 1 mai, on crut reconnaître une pleuro-pneumonie du côté droit.
r le lit. Une fois, elle avait été obligée de se faire saigner : elle croyait remarquer que chaque indisposition amenait un aff
ilité de la guérisondes ramollissemens de cerveau a été contestée, je crois devoir citer un fait bien positif à l'appui de ce
cette maladie, laquelle est beaucoup plus fréquente que je ne l'avais cru d'abord. Les cicatrices de l'ulcère de l'estoma
29 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
ersonne. U n'y a donc pas lieu de s'y arrêter. Un point sur lequel je crois plus essentiel d'insister, c'est que l'expérience
à quel médecin impartial, compétent, doué de sens critique, fera-t-on croire que l'hypnotisme est capable de provoquer une enc
c'est évidemment, parce qu'elle diminue l'excrétion urinaire. » On croit rêver, en entendant de pareilles choses. Comment,
itations évacuatrices et à rester pleine jusqu'au lever. Les familles croient bien faire : c'est au médecin à leur expliquer, d
La communication que je vais avoir l'honneur de vous faire est. je crois , intéressante à deux points de vue, d'abord, par
'une de ces bohémiennes qui sillonnaient les routes de Lorraine avait cru voir dans la main du jeune conseiller la célébrit
il élément d'appréciation, s'il ne connaît pas l'hypnotisme, s'il n'y croit pas, s'il ne sait pas quels indices lui permettio
ude des doctrines et l'antagonisme des systèmes. Pourtant, je ne puis croire à l'inanilé d'un dogme promulgué par Braid, Duran
ir cruellement le malade. Que dit-il au juste, je l'ignore, mais je crois bien qu'il ne manqua pas d'exciter l'hilarité de
ux quel qu'il soit? « L'automatisme est absolu, déclare-t-il. Je ne crois pas qu'on puisse trouver une preuve plus décisive
duirait que tous les 2. 4, 8 jours, et enfin elle disparaissait. Je crois que cette méthode que j'ai appelée substitutive,
mprends rien. Je vous avais demandé de faire l'expérience, mais je ne croyais pas que cela fût possible. » Je lui montre alor
ément dans un état d'inhibition hypnotique. La personne à laquelle on croit faire une suggestion à l'état de veille est déjà
moyen, si petit soit-il, sa description ne sera pas plus déplacée, je crois , que les conceptions doctrinales acceptées aujour
la sobriété. 11 y a la une pierre de touche • de la guérison que je crois utile à signaler. Un cas grave d'anorexie menta
a cette manie,-calculée probablement, puisque le but était de laisser croire qu'elle avait ingéré tous les aliments qui lui ét
e cachait sur elle ou chez elle ou qu'elle portait malicieusement, je crois , chez une autre personne. C'est ainsi qu'on déc
ouverte de ces provisions pourrait nuire au confrère. Le Dr Poulalion croit , au contraire, que ces provisions apportées chez
ntaire, des idées absolument systématiques. Plus nombreux qu'on ne le croit sont ceux qui prennent à la lettre une prescripti
'est-à-dire des personnalités proposées en exemple. A qui fera-t-on croire quelles ne dérivaient pas d'un état mental pathol
erner, entre les faits allégués et prouvés, ceux qui pourraient faire croire que la volonté du testateur a été violentée on vi
mmencera par ouvrir la bouche, puis il dira quelques paroles. Si j'en crois l'universalité des hommes, il y a antinomie compl
te et pour beaucoup d'esprits, les miracles sont plutôt un obstacle à croire qu'un moyen de croire. L'intelligence moderne faç
esprits, les miracles sont plutôt un obstacle à croire qu'un moyen de croire . L'intelligence moderne façonnée dans le moule so
lté chez les catholiques instruits : « Aujourd'hui, disait-il, nous croyons plutôt malgré le miracle, quand nous croyons. On
urd'hui, disait-il, nous croyons plutôt malgré le miracle, quand nous croyons . On dira peut-être que nous avons tort. Quoiqu'il
: « C'était certes un miracle pour les astronomes du Moyen-Age, qui croyaient que le firmament, cloué d'étoiles, n'était sujet
Le Jardin d'Epicure. In-12, p. 210-211. Spmosa. qui semble avoir cru a L'historicité du récit des Chroniques, se conte
. Désormais les miracles n'apparaissent pins qu'a ceux qui. d'avance, croient aux miracles.» (4) Littrè lui-même écrivait : «
ensibilité, sensations et sentiments, puisse être interrompue, que de croire , pendant le sommeil, les fonctions de respiration
naufrage moral, par les méthodes médico-pédagogiques, des êtres qu'on croyait irrémédiablement perdus. Je n'entreprendrai pas
ts et de dangers que les autres interventions thérapeutiques. Je ne crois pouvoir mieux faire que de citer intégralement le
des idées est illimité ; c'est ce que Diderot exprime en disant : Je crois que nous avons plus d'idées que de mots : combien
. L'insistance .avec laquelle il reproduit celte formule nous porte à croire qu'il attache à la notion d'acceptation par le ce
ées. Je l'avoue, mais il est bien plus triste et beaucoup plus sot de croire savoir ce qu'on ne sait pas ». (A suivre) L'o
eloppées séparément dans l'Inde et le Mexique anciens. Comment ne pas croire qu'un mobile unique ait déterminé ces deux créati
rofesser à son exemple n'est pas si dangereux qu'il voudrait le faire croire ; il n'est pas exact que les capitalistes dispense
nt d'autres opinions que les siennes, par véritable conviction. J'ose croire que son amitié me (1) Dans le Journal des Prati
lectualité de ses contradicteurs, faut-il qu'il les ait peu lus. pour croire qu'ils aient des prétentions aussi étranges ! Vra
i, au contraire, n'en a été rendue que plus rigoureuse. Par contre, croit -il que l'irréligiosité exclut nécessairement la l
édés qu'il désignait sous le nom générique d'hypnotisme, on aurait pu croire que ses contemporains s'empresseraient de tirer p
égager l'hypnotisme et la psychothérapie est le fait d'un homme qui a cru que son titre de professeur devait suffire à lui
nable. Je n'ai jamais ni dit, ni pensé, ni rien écrit qui permit de croire que « d'après moi « il existe des sciences dont l
ambigus, ne sont peut-être pas. j'en conviens, aussi-nombreux que le croient certains partisans de la liberté. Mais, plus on p
, m'objecte Binet-Sanglé, si je suis ou ne suis pas déterministe ? Je croyais , au contraire, avoir été très net. J'espère que c
peu vives. Or, résister à cette tentation est plus méritoire qu'on ne croit et cela dénote une grande maîtrise de soi. — dont
resseux au cours de leurs études ont réussi cependant dans la vie. Je crois qu'il ne s'agissait pas là de véritable paresse,
ents.etc). En ce qui concerne l'application des rayons rouges, nous croyons qu'ils ont constitué un facteur secondaire surajo
pation, résection de nerfs et ganglions (sympa-thectomie . Nous avons cru intéressant de faire connaître cette observation
aître cette observation et quoique n'apportant qu'un cas unique, nous croyons qu'il suffit pour montrer l'infuence des méthodes
t si ce principe est de quelque usage, ils avaient raison de ne point croire l'évidence de leurs sens qui les assurait de ce q
depuis mon enfance, n'a fait qne s'aggraver : et il y a tout lien de croire qu'une suggestion en sens inverse en aurait raiso
: « Nous n'avons jamais observé de phénomènes de ce genre ; ceux qui croient les avoir vus avaient affaire à des hystériques,
ètres du rachis, au niveau de l'angle supérieur de l'omoplate. Xous croyons cette hypothèse inadmissible dans notre dernière
furent trompés par eux ? Voici maintenant les conclusions que je me crois autorisé à tirer de mes trois expériences : Io
cocher ou un cavalier arrêter son cheval en tirant sur les rênes, on croit généralement que l'arrêt s'est produit parce que
ra sa course jusqu'à la catastrophe ou l'épuisement, non, comme on le croit généralement, parce qu'il a pris le mors entre se
tte décontraction générale, cet abandon, enfin, constituent bien — je crois — le « consentement organique — recherché par nos
ons, les hommes d'esprit indépendant ne sont pas si rares que vous le croyez , a la Faculté de médecine : j'estime qu'il y a ac
elle, je ne sais ce qui s'est passé. » A sa sortie de l'hôpital, elle croyait fermement à la puissance de l'anesthésique qu'on
et de continuité. Tel est le cas de sujets, plus nombreux qu'on ne croit , chez lesquels l'état de veille complet ne se tro
omènes métalloscopiques et surtout sur le mécanisme du transfert Je crois utile de rappeler les théories principales qui on
on avec M. Deltorto, des expériences de transfert- de l'aimant. Il ne croit pas a la possibilité d'agir sur l'organisme si l'
is de M. Visani Scozzi. Tout en admirant ses belles expériences, je crois que mes observations personnelles pourraient abou
nt nos expériences l'hypnotisateur se tient éloigné de la pièce. Je crois qu'il n'est pas nécessaire de commenter ces phéno
l'Académie des Sciences, plusieurs des honorables les plus illustres crurent devoir tourner en dérision le phonographe. Avan
s et expérimenta Mes a volonté (1). L'Académie de Saint Petersbourg crut devoir repousser le chimiste Mendeleieff en raiso
in, Prarses, Philîppus Harduin de Saint-Jacques). Castellet ayant cru devoir informer Réaumur qu'il avait élevé des ver
erge, la réponse fut : Ex m'Iiilo ni lui fit, et le fait ne fut point cru . Il était contraire à une des lois naturelles les
é, sont dénommés par l'auteur « demi-spontanés ». D'abord, l'auteur croyait être le premier a avoir remarqué ces symptômes, m
ive qui nons saisit en présence d'un personnage important ou que nous croyons tel, et qui nous empêche d'examiner ses paroles e
alyses psychologiques des prédicateurs et des romanciers hésiteront à croire que la connaissance de la nature humaine amènera
me, — la manie de la souffrance. Les sujets atteints de cette névrose croient qu'ils seront agréables à la divinité en se soume
x ceux-là seulement que les premiers juges ont absolument ignorés. On croirait vraiment que des magistrats n'ont pas le courage
its généreux, une législation étroite va paralyser les efforts Qui le croirait ? Qui donc en dehors de ceux que le spectacle quo
qu'il désigne sous le nom de période d'hgstèrie post-convntsive. Nous croyons utile de reproduire les considérations par lesque
de cette période la malade est en état de sommeil hypnotique. Or, je crois qu'il ne saurait y avoir de doute à ce sujet La m
28 ans. vint me consulter à propos d'une incontinence d'urine, qu'il croyait résulter du traitement brutal d'une gonorrhée chr
permis d'imaginer, mais rien n'y fit. Désespéré, le pauvre malade se croyait tout à fait incurable : de plus il fuyait toute s
28,05 35 28 88 13 30 1.35 68 68 62 15 19 72 29 35.05 28 83 Je ne crois pas que l'enfant de Madrid représente le type phy
mpête d'applaudissements. « L'Ecole anatomo-pathologique n'a jamais cru , enseigne M. le professeur Déjerlne. que des trou
r spiritualiste. A côté de l'Ecole de Médecine traditionnelle, qui ne croit pouvoir guérir qu'avec tout un arsenal de médicam
la psychothérapie par le merveilleux. « La méthode, que M. Déjerine croit être la seule vraie, est lu persuasion ; elle s'a
nnnt à ce qne la proportion des guérisons puisse s'élever, si nous en croyons le Dr Hamaide, & 100 pour 100. Le terrain d
t cette vue synthétique justifie l'espérance native qui nous invite à croire que de nouveaux progrès sont assurés à notre race
sens commun vers le progrès a débordé la terminologie que les pédants croyaient définitive. Raillée à son début parla science off
personnalité des particularités qui les étonnent. Certains d'entr'eux croient que. dans quelques circonstances, cette personnal
minent alors des visions extraordinaires durant lesquelles le patient croit apercevoir un personnage entièrement semblable à
lade à sa propre rééducation, mieux cela vaudra pour l'avenir. J'ai cru préférable de vous apporter un véritable document
s est assurément celui dont le6 travaux ont le plus d'autorité. Je ne crois pas qu'il puisse venir à quelqu'un l'idée de disc
te, elles n'en restent pas moins d'une application délicate, et je ne crois pas qu'au point de vue technique, personne ait ja
ls sont devenus les esclaves, c'est la crainte des souffrances qu'ils croient inhérentes à toute tentative de sevrage, et dont
vient que son attitude peut détruire le bonheur domestique en faisant croire au mari qu'elle a moins d'affection pour lui. se
e revint à son foyer. Ce défaut de réalisation de l'orgasme est, je crois , extrêmement fréquent chez la femme. (J'ai observ
s signes sont difficiles à découvrir et à interpréter ; néanmoins, je crois que la graphologie est capable de nous en faire c
mirer avec prédilection dans le fonctionnement de ses organes. Il se croit souvent atteint d'une maladie qu'il n'a pas ou do
scernement et se plaisent à dévoiler des perversions spéciales qu'ils croient localisées dans les organes des sens ou ailleurs.
exécute avec les mains. Cette curieuse observation autorise presque à croire que le grand poète a été un des précurseurs de la
sonder quelques-uns de ses mystères. Cette supposition m'autorise à croire que le médecin peut, en toute conscience, recouri
la lecture serait pour lui une source de fructueuses inspirations. Je crois que la graphologie me parait capable de l'aider h
ment ceux d'entre nous qui aiment les batailles thérapeutiques et qui croient à la possibilité d'atténuer et mêmes d'effacer le
reur, la malade est, par cela même guérie. Elle est tranquillisée, ne croit plus à ses appréhensions. Elle renoue avec son am
tout et ne voyait d'autre issue à ses malheurs que le suicide. Il se croyait obligé de suivre l'exemple de ses parents et cett
us les sujets. Il connaissait les noms de tons ses soldats. Il faut croire que cotte aptitude b. retenir les noms a été part
sait, dit-il, le grand miracle, tel qne tons ceux qui le verraient le croiraient , alors viendraient de toutes parts à l'appel de D
u système nerveux sur le système circulatoire. « Il ne faudrait pas croire qu'il soit indifférent de recourir h l'emploi de
es rêves de bonheur, le souvenir honteux reparaît à sa mémoire. Il se croit corrompu, honni, indigne de l'amour d'une jeune f
evaux. M. Gustave Le Bon le considère comme plus intelligent qu'on le croit généralement et le déclare susceptible de ruses i
nué pendant l'hypnose de 0 à 3 600 ; après un choc émotif leur nombre croit de 0 à 2.400, Enfin il faut ajouter que le suje
diverses fuites, le désir de se cacher ; il étale son indignité II a cru , eu venant à la maison de santé, qu'il venait enc
qu'il venait encore à une consultation ; du moins on le lui a laissé croire , et, lorsqu'il comprit qu'il était privé de sa li
ique était le sujet que l'on hypnotise. Avec la Tarnowska, si l'on en croit les professeurs Cappellati et Biunchi, le rôle au
entraîne fatalement à une existence faite d'expédients. Si l'on en croit les avocats, la constatation de cette infériorité
nécessité de l'enseignement de la psychologie médicale, mais nous ne croyons pas à la possibilité de l'organiser d'une façon e
l'organiser d'une façon effective dans les facultés de médecine. Nous croyons que( pendant longtemps encore, cet enseignement n
itique et l'esprit de croyance. Le dernier terme signifie quelle doit croire à la perfectibilité. « Persuadée de la grandeur
étri par Pasteur, a Le sceptique, dit Claude Bernard est celai qui ne croit pas a la science et qui croit a lui-même ; il cro
ue, dit Claude Bernard est celai qui ne croit pas a la science et qui croit a lui-même ; il croit assez eu loi pour oser nier
est celai qui ne croit pas a la science et qui croit a lui-même ; il croit assez eu loi pour oser nier la science et affirme
ant ; Il ne doute qne de lui-même et de ses interprétations ; mais il croit à la science ». La clinique moderne pent être fi
éthode. Parmi les applications très heureuses qu'il en a faites, nous croyons pouvoir mettre en première ligne sa façon de voir
s avec quelque curiosité, parce que c'était nouveau ; on pouvait même croire que les suggestions avaient porté ; mais il fallu
30 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
de Gros) a combattu l'erreur, très répandue parmi les hypnotïstes, de croire que la suggestion prend son point d'appui sur la
terminer en lui, ne faut-il pas qu'il accorde une certaine foi, qu'il croie , dans une certaine mesure, aux assurances incroya
ructifs. En attendant qu'on dresse cette intéressante statistique, je croirais presque pouvoir avancer, en me fondant sur un cer
ouvé, du moins comme infiniment probable, et, partant, me détermine à croire que, les autres hommes étant organisés entièremen
ment comme moi un cerveau, je suis, dis-je, invinciblement entraîné à croire , à conclure par voie d'induction, que ce cerveau
rd'hui, je le sens, c'est inutile d'essayer plus longtemps. » Je ne crus pas devoir insister davantage, et, la laissant as
t met le sien à la place ; elle ne choisit pas forcément, comme on le croyait , un nid où les œufs ressemblent au sien. Donc, ce
venir la cause de la perte de ses propres petits ? On avait d'abord cru que les oiseaux couvaienttout œuf qui leur était
paroxysme. L'auteur est d'un avis différent de celui d'Hitzig, qui croit que le mécanisme intellectuel des obsédés est exc
infini se met de la partie — et une observation scrutative permet, je crois , de trouver le joint de la difficulté. Ce joint,
Moi propre- ment dit, de la « superconscience » ? Rien n'oblige à croire qu'il en soit ainsi ; et, d'après le récit du pat
stionne à l'idée de la toute-puissance du moyen surnaturel dont il se croit en possession, et dans lequel il a une foi d'auta
etc.), de frictions sur le corps, etc. Je dois dire aussi qu'ayant cru devoir, au commencement, appliquer un vésicatoire
sser un membre qui a fait défaut d. on ne peut non plus s'empêcher de croire , avec lui, que a la suggestion hypnotique est un
. La peur le saisit d'être atteint de la même maladie, et il arriva à croire qu'il avait un cancer au sein gauche. Il ne qui
e peur que le froid n'aggravât la prétendue maladie. Un beau jour, il crut sentir des douleurs dans le bras et le porta déso
treprenait. Dès qu'il causait d'affaires, il se sentait embarrassé et croyait que tout le monde devait s'en apercevoir. Cette d
ire de lui suggérer le souvenir de scènes et d'événements auxquels il croira avoir assisté et qui n'ont jamais existé en réali
des souvenirs suggérés de scènes ou d'événements auxquels les sujels croient fermement avoir assisté, bien que ces événements
impulsion existant dans beaucoup de cerveaux à l'état latent? 11 faut croire que le législateur l'a pensé, car il s'est appliq
l. Des faits observés et provoqués expérimentalement par nous, nous croyons pouvoir déduire les conclusions suivantes: 1° U
ifestations de la dégénérescence : un syndrome épi-sodique. On semble croire que les kleptomanes sont des individus qui volent
té. Il est certain que la plupart des femmes volent parce qu'elles se croient assurées de l'impunité. La surveillance actuell
'hérédité lui semble jouer un rôle beaucoup moins important que ne le croit l'Ecole allemande contemporaine : c'est à l'influ
intéresser, d'une part que les naïfs qui aiment le merveilleux et les croient tels, d'autre part le petit nombre do ceux qui en
plus ainsi si on ne la considère plus que comme facteur adjuvant. Je crois d'ailleurs qu'une cause unique, quelle qu'elle so
e cause et de réussir, qu'à toute autre, à l'alcool par exemple. Je crois avoir démontré, après bien d'autres, dans mes écr
38, ot passim. damnation et l'exécution s'il y a lieu ? Je ne le crois pas, quoique, depuis quelques années, il y ait év
ais, à part ce petit palliatif, qui dépend du garde des sceaux, je ne crois pas que ce soit là le remède. Au commencement de
à toutes les libertés? D'autre part,, il ne faut pas s'illusionner et croire qu'une société jouisse de beaucoup de libertés, i
journaux le compte rendu détaillé des affaires criminelles? Je ne le crois pas. Comment arriver à ce but, puisque l'action g
aussi se réveillait-elle exactement à l'heure indiquée. On pourrait croire que la notion de la marche du temps est en rappor
ate cette faculté de la mesure du temps chez certaines malades, je mo crois autorisé à affirmer que la guérison par la sugges
onnels des organes génito-urinaires. Leur anxiété estîextrême, ils se croient gravement atteints et l'habitude morbide entretie
ttombante et de la solitude ; peur anxieuse de la mort, que la malade croit très prochaine ; nuits agitées, coupées de réveil
e et qu'elle songe avec cton-nement au temps déjà lointain où elle se croyait au moment d'en finir avec la vie. Observation I
gne avec une médication appropriée le guérira bien plus vite qu'il ne croit et d'une manière définitive. Au bout de quelques
non plus l'alcoolisme. Le malade ne parlait pas, ne voyait pas. On a cru qu'il était aveugle parce que ses paupières ne bo
is jamais il ne lui est rien arrivé de pareil ; aussi persiste-t-il à croire que son compagnon lui a mis a quelque chose de co
ux assistants. Ceux-ci, qui n'avaient pas été prévenus de mon action, crurent qu'il s'était endormi par imitation, par sympathi
ur de Liège a consacrées à d'importantes questions de biologie, sont, croyons -nous, de celles qui lui ont fait le plus d'honneu
que M. Dubois-Reymond a appelé les sept énigmes du mondel. Delbœuf croit qu'il est possible de découvrir « des joints qui
se fit en quelque sorte le parrain de l'invention. Puis M. Paul Janet crut pouvoir, tout en déclinant sa compétence, donner,
e l'univers, qu'il va consacrer ses recherches et sa discussion. Il croit à la liberté, et non pas seulement à la liberté d
otre service. Ainsi voici un cas où le médecin traitant a si bien cru à des désordres matériels du fond de l'œil, qu'il
emple le plus connu de suggestion, le vol dit à l'américaine. Le dupé croit les assertions les plus invraisemblables des vole
cérébral consécutif à une otite, et qui fut trépanée in extremis. On crut , après l'opération, à de la syphilis. En tout cas
d'étudier à fond ce nouveau trouble du langage. Pour nous, nous avons cru de notre devoir de jour- (1) Marcotte. — De l'h
uire. C'était là une faute capitale, car, contrairement à ce que l'on croyait alors à Paris, le sujet endormi, qui semble ne pa
suprême degré, de brûler ce qu'il avait adoré la veille, et, quand il croit avoir reconnu l'erreur d'une théorie scientifique
elui-ci veut qu'elle voie, ne sent que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire croire, ne fait que c
que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire croire , ne fait que ce qu'il lui dit de faire. Cet aut
e j'en voulais tirer. Je ne puis entrer ici dans tous ces détails. Je crois fermement que Delboeuf, de la meilleure foi du mo
it des travaux philosophiques de l'ami que nous venions de perdre. Je crois ne manquer à aucune convenance, en donnant ici te
ous me demandez ce que je pense de ses travaux philosophiques. Je les crois tous marqués au coin d'une verve véritablement cr
dans le grand nombre des questions traitées par Delbœuf, il n'a pu se croire assuré — il ne l'a jamais dit d'ailleurs — de ren
de contradiction. Rien ne l'arrêtait, quand il voulait dire ce qu'il croyait vrai ; aucune autorité, aucune déférence, aucune
etiré qu'un profit passager; où le succès a été réel, il a été dû. je crois , à la suggestion, qui est largement utilisée, quo
chose de plus est requis comme tonique mental et moral ; et ceci, je crois , ne peut être réalisé que par la suggestion hypno
aquer à ses occupations. Dans les cas de dipsomanie héréditaire, je crois que l'hypnotisme est le seul remède qui ait une c
otique et c'est ce qu'elle désirait. Elle était vraiment folle, et je crois qu'on l'a mise depuis dans un asile d'aliénés.
asser », disent les spencériens, le remède viendra du mal lui-même. Croient -ils que, par sélection, la race des joueurs dispa
ersonne, certain objet portent chance, cet autre la guigne. Le joueur croit sentir qu'il va gagner; il court alors: aucune au
. On fait perdre le cheval plusieurs fois de suite, et, quand tous le croient mauvais, il devient gagnant. Les fortunes s'édifi
t présent dans nos guerres : celui qui a la foi, que rien n'abat, qui croit toujours au succès, finit par 1 "obtenir. Toutes
M. Camille Saint-Saens, qui a écrità ce livre une éloquente préface, croit que oui. L'auteur pense que non, et il appuie son
s, apportant des renseignements, demandant des conseils. En France, croyons -nous, ces articles ne furent pas remarqués. Il fa
suggestion des Khôdjas ou savants musulmans. C'est à ce titre que je crois devoir en faire hommage à la Société d'hypnologie
hypnotique sur des sujets à eux inconnus. Ce chapitre intéressera, je crois , beaucoup les personnes désireuses d'être initiée
es symptômes physiques, généraux et fonctionnels. m. Bérillox. — Je crois que les deux termes peuvent être Indifféremment e
que vos lecteurs ont dû me prendre pour un bourreau. Mon sujet avait, croyez -le bien, autre chose à faire qu'à me servir de so
rétiques, et à certains symptômes que nous décrirons plus loin, je me croyais en présence de crises de coliques dues à l'entéri
orces dont il est lui-même animé. Mais ce serait une grande erreur de croire que la suggestibilité, c'est-à-dire l'aptitude à
femme doit se dire que l'heure de la retraite a sonné pour elle, elle croit que désormais elle a perdu toute attraction pour
profond, plus son action curative est considérable, même lorsqu'on ne croit pas devoir le compléter par des suggestions verba
mplètement. Reconnaissant, à l'inspection, des lésions oculaires, ils crurent à un épisode inflammatoire survenu dans l'histoir
'essayer la suggestion chez cette malade. Imbu et ajuste raison, je crois , des idées et des procédés de l'Ecole de Nancy, o
alade : « Mon enfant, jusqu'ici, on a mal soigné tes yeux, si tu veux croire en moi, je te promets de te guérir complètement,
it de s'opérer, cela au grand étonnement de sa mère qui ne pouvait en croire ses yeux. Cette guérison remonte à un an. J'ai
ective du phénomène hypnotique, la plupart lui reprochent: 1° d'avoir cru à la phrénologie; 2° de n'avoir rien connu à la s
a première fois, à une séance de mesmérisme donnée par Lafontaine. On croyait encore, à cette époque, que le phénomène mesmériq
sement à en découvrir la cause physiologique. Dès le soir suivant, il crut avoir trouvé ce qu'il cherchait et, après une sui
re aucun des rapports qui en avaient été faits. A cette époque, Braid croyait à l'origine physique du phénomène hypnotique et e
t ni fluide magnétique n'était nécessaire. A cette époque, Braid ne croyait pas que le phénomène d'hypnotisme était le résult
as dans lesquels il avait observé ces phénomènes sur des sujets qu'il croyait absolument ignorants de la phrénologie et qui, pa
s moins si complètement accompagnée par la somnambule qu'on aurait pu croire qu'il n'y avait pas deux voix distinctes. M. Brai
; b Exposer dans un paragraphe spécial les relations que vous avez cru observer entre ces deux formes. 3. — A quel âge
u en dirigeant d'une certaine façon le cours de vos pensées ? 28. — Croyez -vous pouvoir les faire cesser ; a. Par un effor
u'il voit il le prend pour réel, et, comme il voit et perçoit peu, il croit percevoir tout et se croit en possession de la vé
réel, et, comme il voit et perçoit peu, il croit percevoir tout et se croit en possession de la vérité. La confiance exagérée
a elles ont une importance capitale pour le sujet qui nous occupe. Je crois , en effet, la dégénérescence névropathique indisp
ait à peine écoulée, qu'elle revenait en courant dans mon cabinet. Je crus que M. X... avait eu une attaque. Non, mais depui
r le pourquoi de ce mariage précipité après une remise à six mois. Je crus , dans l'intérêt de la jeune fille et de sa mère,
étaient des névropathes dégénérées, et j'ai déjà dit plus haut queje croyais cette condition indispensable à la genèse de tout
aiment extraordinaires ; la seconde avait toujours été mal réglée. Je crois que c'est encore là une condition favorable à la
é au Congrès d'anthropologie criminelle de Genève en 1886 et que nous croyons devoir soumettre à l'attention de nos collègues d
etc. Avant de donner un aperçu des derniers, ouvrages de Braid. je crois bon de citer certaines opinions exprimées à son s
ascination de la pensée, qu'elles paraissaient ne plus exister, et je crus pouvoir conclure que cette concentration d'attent
entrée et que les facultés du sujet y sont devenues plus intenses, je crois expliquer clairement la question et la rendre int
qui nous est cher, agit sur nos pensées et sur nos sentiments. Et je crois pouvoir affirmer que l'espoir et la confiance dan
n réelle de force nerveuse ou vitale de l'opérateur au patient. Je ne crois pas que, dans ce cas, A perde une somme de force
cas, A perde une somme de force équivalente à ce que gagne B ; je ne crois pas qu'un prédicateur, un orateur ou un auteur pe
ouverait nécessairement que la théorie magnétique est vraie. Mais, je crois , au contraire, que la lecture attentive des œuvre
qui persiste, suivie de (lueurs blanches, la jeune fille pourrait se croire parfaitement guérie. C'est au mois de novembre
r la vivacité de son imagination qui, dans cet état, la déterminait à croire comme réel ce qui était seulement de pures fictio
de Wakley. Le dernier, opérant avec un métal non-mesmérique, faisait croire le contraire aux patients, sur quoi ceux-ci s'end
le l'attention était attirée. Comme il ne paraissait pas disposé à me croire , je lui dis que je pourrais accroître la secrétio
que si je suspectais très fortement l'explication, j'étais incliné à croire le résultat parfaitement possible : l'ardente ima
e de trente ou cinquante courtes années. Comment, après cela, peut-on croire et soutenir que la manière de penser et d'agir d'
du corps populaire ; du poing populaire ou de l'estomac populaire. Je crois , par contre, qu'il est dans les conditions organi
eu près comme de l'eau dans des tuyaux de plomb, et, là où le génie a cru expliquer par le mot, il a quelquefois obscurci,
'annihiler et de disparaître complètement; seule l'aptitude exclusive croit et s'hypertrophie, pour ainsi parler. Mais ces gé
mai 1897) vient de publier un résumé de ce remarquable rapport. Nous croyons devoir en extraire et mettre sous les yeux de nos
nt pour obtenir les effets bienfaisants du sommeil nerveux ; beaucoup croient à tort que la perte complète de la conscience est
31 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gouttes, dosé qu'ils ont portée plus tard à 40 centigrammes. A en croire nos recherches, la toxicité de l'acéto- phénone
étophénone des propriétés somnifères si puissantes qu'ils avaient cru trouver dans cette substance l'hypnotique par e
ouvent elle est encore la seule possible. C'est pour cela que je ne crois pas inutile de réunir en quel- ques pages les p
: la pyromanie est inconnue à la ville. Pourquoi ? La raison, je le crois , en est surtout dans l'imitation. Les maladies
ubla tout à fait, devint très pâle, et fut pris de tremblements. Je crus qu'il parle- rait et je le pressai de questions
oyé à Sainte-Anne et soumis à l'observation de M. le D' Ball. Je ne crois pas que Mer... ait été plus franc avec lui. Quo
te de potasse, niais comme, à cause delà mollesse du tissu, j'avais cru devoir plonger pendant quelques jours le cervea
e vocable Paranoïa est employé en psychiatrie. En effet, si l'on en croit Bucknill 6 4 REVUE CRITIQUE. et Tuke, Vogel e
ersécution. A l'acmé de la maladie, l'inco- hérence est telle qu'on croirait à un délire fébrile. Dans cer- tains cas il y a
ins à la chose en elle-même qu'au terme choisi pour la désigner. Je crois , pour ma part, qu'il ne saurait donner lieu à u
plupart des traits essentiels de la dégénérescence héréditaire, je crois que c'est encore à cette dernière que revient l
hénomènes si singu- liers qu'on observe chez les hystériques. Je ne crois pas que les tendances du professeur de Nancy in
ssayé une théorie physiologique des phénomènes de la suggestion; je crois qu'elle se rapproche de l'attention, et qu'elle
es sections. Il emploie pour le contrôle des horloges spéciales. Il croit aussi que la proportion de 10 p. 100 formulée p
escendante est-elle coupée, son centre correspondant s'atrophie. Je crois avoir trouvé une voie qui de ce centre va vers
pas pour cela que je suis à la tribune ; et si j'y suis le premier, croyez , messieurs, que c'est moins pour exercer un dro
sion ineffaçable qu'ils avaient produite sur mon esprit. Pouvais-je croire alors, que j'aurais un jour à les évoquer devant
ication. La commission, d'accord sur ce point avec le Gouvernement, croit les avoir trouvés, en exigeant pour tout placem
ion. Voilà les points principaux du projet de loi sur lesquels j'ai cru SÉNAT. 145 nécessaire de fixer votre attentio
allez délibérer. La commission vous présente des solutions qu'elle croit pouvoir répondre à tous les besoins. Elles sont
court résumé de ces délibérations à la suite de mon rapport, et je crois ce résumé suffisant pour faire reconnaître que le
ar l'administration elle-même. C'est pourquoi la commission n'a pas cru devoir laisser plus longtemps dans le droit com
sont pas bons pour la gestion des affaires publiques en général, je crois pouvoir dire qu'ils ne contribuent pas à la bon
Sénat au mois de mai 1884. La commission, sinon son rapporteur, se croyait alors presque aux termes de sa tâche ; elle éta
r le principe même du projet qui est soumis à vos délibérations. Je crois qu'il y a lieu de modifier la loi de 1838, de l'a
ons ; mais elle ne permettait certes pas, comme on a trop semblé le croire dans l'opinion publique, de faire enfermer dans
vis-à-vis des aliénés ? Pour ma part, je n'irai pas jusque-là ; je crois qu'il y a eu des abus. D'ailleurs, les lois les m
mêmes intentions, nous voulons arriver aux mêmes résultats; mais je crois , pour ma part, que la commission a introduit da
elui qui est relatif'à ce qu'il appelle la taxe sur les aliénés. Je crois que cette taxe est de nature à soulever les plu
aliéné dans sa famille ! Je ne pense pas que cela soit juste, je ne crois pas que cela soit humain. J'estime qu'un pareil
ns à gauche.) ... Ceci, messieurs, est plus pratique que vous ne le croyez ! ... Vous allez le voir : j'ai l'air quelquefo
le langage que M. le ministre de l'intérieur aurait dû tenir, et je crois qu'avec de la persévérance il serait arrivé à s
moyens humains, voilà ce qu'il pensait de l'art de gouverner. Et ne croyez pas que l'art d'administrer soit différent de l
i pas des arguments apportés par l'honorable M. de Gavardie, car je crois qu'ils reposent en général sur des erreurs qu'u
celle du préfet. Messieurs, lorsque la question se discutera, je crois pouvoir af- firmer que ce reproche ne pourra pa
une modilicaton à apporter dans le sens que je viens d'indiquer, je crois pouvoir maintenir que ce second reproche, adres
Mon Dieu, messieurs, puisqu'il s'agit d'équité et d'humanité, je crois que c'est la commission du Sénat qui leur donne l
nt avantageux. Elle l'a emprunté à l'Angleterre, et elle persiste à croire qu'il devrait être adopté dans notre pays. En
drons, avec vous, tous les points en détail, si vous le désirez. Je crois , messieurs, qu'au fond M. le ministre est du même
e f contient trois ou quatre paragraphes très importants et qui, je crois , don- neront lieu à de longs développements. Il
a NOUVELLE LOI SUR LES aliénés. En reproduisant ces débats, ? toits croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'
ue l'on trouvera des signes d'aphasie motrice, alors que l'on s'est cru la veille en présence d'une aphasie Archives, t
les et non moins faciles à. caractériser; en d'autres termes, je ne crois pas que le diagnostic ait été porté aux dernièr
travail non moins remarquable, M. G. Bal- let admet avec raison, je crois d'après H. Munck 3 ' Liclteim. - a) Communicati
ussitôt d'une attaque convulsive, il perdit connaissance à ce qu'il croit . d'attaque passée, il se rappelle avoir bien do
en somme, elles sont devenues plus fréquentes et plus fortes. Il a cru remarquer qu'elles se produi- saient moins quan
a moelle. L'hypothèse de Friedreich a bien quelque probabilité ; il croit que l'affection provient d'une excitabilité exa
ction, les bras devinrent maladroits et leur incoordination motrice crut graduellement jusqu'au point où UN CAS DE MALAD
il 1883), une discussion s'en- gage (séance de juin 1883), que nous croyons intéressant de résumer : M. Jastrowitz dit qu'i
poque d'apparition de la folie systématique ultérieure, on pourrait croire que le même individu a été successivement atteint
inale, thrombose intracrànienne, thrombose pulmonaire), z M. Hebold croit que les trois gros abcès du cerveau ont dû 1 Vo
ysipèle, mais l'étude attentive exclut ce diagnos- tic et permet de croire que la tuméfaction et la rougeur de la joue dro
de lésions. On n'obtient aucun soulagement, comme on pourrait le croire , par l'application de l'atropine et d'autres séda
principaux de son évolution. Je ne partage pas cette opinion et je crois que les faits concor- dent peu avec les affirma
est là évidemment une contradiction dans la thèse de M. Garnier. Je crois , en conséquence, que nous devons rejeter cette in
obligent à considérer la mégalomanie comme une entité. M. Garnier a cru devoir blâmer cette expression, que j'ai employée
s maladies constitutionnelles. M. Charpentier est loin cependant de croire aux prétendues folies hémorrhoidaires, arthriti
armi les dégénérés héréditaires et les persécutés vrais n'a pas, je crois , l'importance qu'il y attache. Il affirme que j
lirants chroni- ques arrivent à la démence. Je ne le pense pas ; je crois , au contraire, que la démence proprement dite e
mier aspect, peuvent sembler étrangers à la loi sur les aliénés. Je crois que le Sénat reconnaîtra, pour cet article comm
ru commander de mettre plus de précision dans la loi nouvelle. 11 a cru devoir caractériser et définir l'asile d'aliénés,
iénés auxquels sont destinés les établissements de traitement. On a cru parvenir, et on est par- venu, à l'étranger, à
- tant le paragraphe proposé par le Gouvernement, la commission a cru devoir en changer un des termes. Elle a trouvé qu
e explica- tion aussi longue à la question de M. Bardoux, mais j'ai cru néces- saire d'appeler sur les colonies d'alién
oins à le consoler de sa perte, le Gouvernement français, l'Etat, a cru remplir un devoir qui lui incombait en créant d
ement et économiquement aux pays qui en sont dotés. La commission a cru que le Gouvernement, l'Etat français, dans un p
ues indigents ? Telles sont, messieurs, les explications que j'ai cru nécessaires pour faire admettre le dernier para
Etat. Cette question peut venir à l'occasion d'une loi générale. Je crois que ce principe gagne de jour en jour des adept
i ont été prononcées par M. le commissaire du Gouvernement. Nous ne croyons pas que le voeu émis par la commission dans le
ffet qualifie bien exactement la rédaction de ce paragraphe nous ne croyons pas, dis-je, que ce voeu soit mauvais et qu'il
agraphe soulève une question de principe extrêmement grave. Si nous croyons avec votre commission qu'il serait désirable d'
Sénat 276 SÉNAT. a des lois à faire. Pour ces deux raisons, je no crois pas que la rédaction de M. Testelin soit accept
grand nombre de membres de cette Assemblée, à la majorité même, je crois , en adoptant la rédaction suivante que j'ai l'h
pour le traitement des jeunes épileptiques. n Sous cette forme, je crois que le troisième paragraphe pourrait être voté pa
t d'exercer un contrôle reconnu indispensable. Voilà, messieurs, je crois , des explications suffisantes poin, donner sati
die. Si je ne fais pas d'erreur sur la portée de cette question, je crois que, dans tous les cas, la question pouvait se
établissement ». Dans la pensée deM. de Gavardie, il s'agissait, je crois , de savoir si la faculté de réglementation par
moins vrai qu'au point de vue du texte l'erreur est possible, et je crois que la commission ferait bien, pour em- pêcher
t, en fait, d'une réalisation très difficile. La commission n'a pas cru toutefois que cet argument fût suffisant pour e
j'appelle les explications de la commission. M. LE Rapporteur. Je crois que c'est à M. le ministre de l'inté- rieur qu'
a question qui vient d'être portée à la tri- bune aurait trouvé, je crois , sa place, surtout dans la discussion de l'arti
être calculé le mon- tant des cautionnements. » - La commission a cru que ces précautions prises dans le para- graphe
intérieur. Parfaitement. M. Paris. Pour mon compte personnel, je ne crois pas qu'il puisse en être autrement. La sauvegar
NAT. 289 ment d'administration publique. Mais la commission n'a pas cru qu'il fût possible d'accorder au Gouvernement l
er les difficultés avec les propriétaires de la maison privée. Nous croyons que cett3 différence de traitement est jus- tif
e des garanties spé- ciales que la commission propose d'édicter. Je crois donc que je ne fais qu'entrer dans les idées mê
un de ses collatéraux jusqu'au quatrième degré inclusivement. Je crois qu'il y a-de grandes raisons pour en agir ainsi;
aliéné étranger ». J'ai agi ainsi pour entrer dans les idées que je crois êfre celles de la commission, mais pour éviter
ar le père, ni par la mère, ni par le conjoint, etc., du malade. Je crois que je suis parfaitement d'accord avec la com-
nvoyer l'amendement à la commission pour en vérifier les termes; je crois que nous sommes d'accord sur l'idée. Il ne rest
i peuvent être donnés au membre de cette famille ! Pour ma part, je crois que cette disposition va au delà de ce qui est
sont une exception dans l'article. Je ne comprends pas qu'il ait pu croire un seul instant que les proches parents dont il
plusieurs amendements que la commission n'a pas pu examiner, et je crois que le Sénat per- drait vraiment son temps à co
, ou par un étranger. Dans ce cas, la SÉNAT. 299 commission avait cru qu'il y avait lieu d'assujettir les personnes q
et c'est sur ce point que j'appelle toute l'attention du Sénat. Je crois qu'à côté des droits de la famille il y a le de
ernement nous avait fait à l'origine une proposition différente. Je crois qu'il dispensait de la surveillance les aliénés
t une proposition nouvelle et différente de celle qui avait été, je crois , exposée dans le sein de la commission par son
déposé par un de mes prédécesseurs; mais, en ce qui me concerne, je crois que l'Etat doit dans certaines limites, que vou
plusieurs reprises, entendus dans la commission. M. le Ministre. Je crois que, du moment qu'un aliéné estséques-, tré, la
la nouvelle LOI sur les aliénés. En reproduisant ces débats, nous croyons être .agréable à tous les médecins des asiles d
ROCURSIVE proprement DITE. Dès l'abord, avant tout historique, nous croyons utile pour mieux faire comprendre au lecteur ce
rouvait des vertiges ; leur début re- monte au mois d'août 1883. On croit que les accès ont augmenté de fréquence à la su
l'état de ratatinement des circonvolutions voisines ; ce que je ne crois pas, mal- gré le manque d'examen histologique,
r l'interprétation théorique ration- nelle. En agissant ainsi je ne crois pas m'être sen- siblement écarté de la méthode
s, en dernier lieu, comme précurseur de la terminaison fatale. Je crois que cette affection est toujours mortelle lorsque
ors qu'on supprime l'alcool. En n'écoutant que mon expérience, je crois que cette permission est inutile et qu'il est pré
ondaires. Nous en avons nous- même' 3 rapporté un exemple, que nous croyons typique. Mais c'est surtout en nous reportant a
de craintes vagues, il redoute des acci- dents ; dans l'enfance, il croyait parfois en marchant qu'il allait perdre l'équil
«Je suis un misérable, tuez-moi, j'ai tué mon père et ma mère. » Il croit qu'on veut l'empoisonner, refuse de manger, il
e le sujet fréquentait de préférence une certaine détenue; son père croit avoir re- 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. marqué un pe
ce. Du délire chronique (suite de la discussion.) M. M. Briand ne croit pas que le délire des persécutions, tel qu'il a é
n individu qui, ayant été souillé par un individu du nom de Michel, croyait s'entendre appeler « Mieliel.le... sodomiste ».
affirmer que son délire n'aura pas évolué. Il ne faut pas cependant croire que les observations des déli- rants chroniques
lire des grandeurs vient s'ajouter aux idées de persécutions, il ne croit pas que cette évolution constitue une règle fix
e à la débilité mentale ; et la proportion de ces débiles criminels croit dans la grande ville. L'aggloméra- tion exagéré
, l'article 3 et l'article 40, les dispositions que la commission a cru devoir réunir en un seul. L'article 10 du Gouve
nt le titre III de la loi. 11 est vrai que la com- mission n'a' pas cru qu'il fût nécessaire ici d'une disposition péna
mentanément à un de ses membres ou à un ami une per- sonne que l'on croit malade, mais sur la gravité de la maladie de la
oppées à la tribune par notre honorable collègue avaient frappé, je crois , beaucoup d'esprits dans le Sénat et je dirai le
u domicile privé. Ce scrupule est fondé. C'est mon opinion. Mais je crois , étant donnée la compo- sition de la commission
r ont suggéré le projet en discussion. Je pense qu'ils existent; je crois que, en effet, cette mesure peut être jus- tifi
E Président. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Je crois , messieurs, que sur le fond même de l'article 7
aire au sujet de l'aliéné gardé et traité dans sa famille, j'aime à croire qu'aucun de ceux qui m'entendent n'aura à régle
nsiste pas, comme le sens grammatical de ce mot pourrait le faire croire , à placer un aliéné dans la solitude, dans des co
, qui sont en effet, comme on l'a dit, étroi- tement connexes. Je crois , messieurs, avoir suffisamment répondu à la quest
et publiés même par les esprits les mieux doués. Ou a ob- servé ou cru observer des phénomènes rappelant les merveilles
siles d'aliénés proprement dits se répand de plus en plus et c'est, croyons -nous, une sage coutume. Dernièrement, c'était à
la nouvelle LOI sur LES aliénés. En reproduisant ces débats, nous croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'
32 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
être désignée par une appellation spéciale, C'est pourquoi nous avons cru devoir créer pour elle un néologisme, onychophagi
e ; elle est bonne musicienne. Elle dort bien la nail. Ses parents ne croient pas qu'elle se livre à l'onanisme. Dans relie obs
l'absence de niauifes- talions héréditaires chez, le sujet, nous croyons devoir reporter le développement de l'habitude à
: « Je ne sais pourquoi je dis tout cela ; ça nie vient tout seul, je crois moi-même que c'est la vérité que je dis. n A 1
r nous il est évident qu'il v a là autre suggestion, que cette enfant croit ce qu'elle dit. en un mot que son étal mental est
fois, peut rendre la vulgarisation dangereuse : « J ai peur écrit, je crois . Leibtutz . que les grands médecins fassent mouri
ar l'administration de l'asile : — Visite des Sables-d'Olonne. Nous croyons devoir rappeler à nos confrères des asiles que la
d'uriner qui le faisait horriblement souirrir. Les médecins traitants croyaient à l'existence de calculs. Ou avait essayé plusieu
inué à se faire sans effort et sans douleur et régulièrement, j'avais cru pouvoir dire aux parents que. dans mon opinion, i
rer l'attention des sujels qu'il endormait sur un objet île lu vision crut «pie le sommeil ainsi produit était non seulement
l y a encore pour cela, un autre facteur bien différent de ceux qu'il croyait exister: c'est l'idée de dormir. Car si l'idée de
qui existe entre le sommeil ordinaire et celui qu'il faisait naître, crut faussement qu'il avait déterminé un sommeil spéci
lus de dix mois, Mme D... n'a eu rien qui lui rappelle sa maladie. Je crois être autorisé à considérer ma malade comme complè
er par Ia fenêtre l'âme de son cousin mort quelques jours avant. elle croyait entendre la voix de Louis lui parler, et surtout
inion ont leur raison d'être: ils vont vers ceux qui rendent nu qu'on croit capables de rendre les services différents ijue r
êves, plus souvent chez eux que chez moi. Loin de lu. Je suis porté û croire qu'il doit exister des rêveurs, même en dehors de
ges sensibles remémorées,'et même en plus grande quantité qu'on ne le croit . Excepté la vue, lorsque les paupières sont close
ines complet, suffisamment distinct qui sera le Tolstofsme? Je. ne le crois pas. Mais, cependant, il est possible de prendre
-dre pour donner naissance à la philosophie de l' autour. L'homme croit trouver le bonheur dans l'amour. là encore ¡1 se
s lesquels le crime n'est que le symptôme de l'affection mentale ; on croit punir un coupable ; on frappe nu malade déjà irre
z M, Y... la pensée de luer son père: le coup qu'il a reçu lui donne, croit -il, le droit de lui ôter la vie. Cette idée d
e se passer, en sorte que ceux qui l'entendent après coup, ne peuvent croire que c'est un acte de folie qu'il a commis, tandis
outable. A-t-il voulu effrayer? A-t-il voulu se suicider? Que doit-on croire ? Dans la même journée il voit une grande échell
pour le retenir; ceux qui l'approchent et causent avec lui ne peuvent croire qu'il soit aliéné. Il s'occupe de lectures scient
lu à l'irresponsabilité complète du malade, je dis complète car je ne crois pas. après avoir lu celte observation qu'on puiss
en se porter et comme ses parents me disent la même chose nous devons croire à sa guérisou. sinon complète, du moins momentané
tion pour s'opposer à de basses actions que l'on cou-çoit et que l'on croit exécuter, on ne résiste pas d'avantage à des impu
table qui me sautait aux yeux, je fus amené, il v a plus de 30 ans. à croire que. comme chez les somnambules naturels, l'autom
devait rester lettre morte. Il n'en a pas été ainsi et le ministère a cru devoir faire bénéficier M. A Mère Denis, de Liège
nt je viens de vous parler ». Tel est. messieurs, l'objet dont j'ai cru devoir vous entretenir. M. Gille. — Le Moniteur n
mander au Ministre des renseignements sur la mesure qu'il a prise. Ne croyez -vous pas devoir agir de la sorte ? M. Choco. —
nt. — Nous vous laissons libre. Monsieur Crocq. d'agir connue vous le croirez le plus convenable. M. Masoin. — En principe. M
découverte de certaines maladies, je ne l'ai pas constatée, et je n'y crois pas. M. Thiry. —Allons donc ! Ne parlons pas de
re que l'honorable M. Crocq vient de nous remettre ! M. Thiry. — Je crois bien qu'il ne peut pas reconnaître les maladies !
si ce n'est l'Académie ou une Commission médicale ? M. Masoin. — Croyez -vous d'ailleurs que cet homme pratiquera l'hypnot
e sans l'assistance de médecins ? J'aî de sérieux motifs de ne pas le croire . M. Thiry. — Mon Dieu! voilà où nous en sommes
dre place dans les sciences médicales. Quant au danger physique, je crois que cette méthode n'est pas plus dangereuse que t
il v en a d'autres qui u acceptent pas cet automatisme psychique qui croient que les somnambules n'exécutent que les actes qui
est impossible de lever la main et qu'il réalise cette suggestion, je crois que dans les voies nerveuses qui conduisent du ce
et hors d'état de servir sa patrie ? Je l'ignore, mais j'en doute; je crois que l'exaltation du moment, la voix entraînante d
ne fois endormis ont exécuté ce qu'ils axaient entendu ou compris. Je crois que celle malade est un sujet très intéressant à
n anglais qui vivait au temps de Henri Ili. il fait une maladie qu'on croirait incurable. Il est comme ravi en extase: mais bien
Verriers, si compétent en matière d'hypnotisme. « A la présente je crois devoir joindre. « Une lettre de M. le Dr Frtipo
erveux a la suite de traumatisme. Beaucoup plus souvent qu'on ne le croit l'œdème qu on voit survenir après un traumatisme
ie du début des accidents et la rapidité de leur disparition lui font croire qu'il s'agit de troubles simplement nerveux. No
res qui sembleraient a priori condamner l'unité pathologique que nous croyons cependant exister en eux. Ces différences d'aspec
lum vil». M. de Levita était commis marchand a Itotterdam. mais ayant cru se découvrir de bonne heure un pouvoir extraordin
'hypnotisme et de magnétisme. Il m'a paru suffisamment instruit et je crois qu'il possède des notions {peut-être plus étendue
illant n'ait pas été signalé plus tôt par quelques observateurs. Je crois pouvoir à cette observation, d'ailleurs très just
'ai le sommeil agité. « Sans parler de cent autres petites misères. Croiriez -vous que je suis devenu nerveux comme une le m me
sait Spinoza, une pierre qui veut tomber et qui tombe aussitôt : elle croira que c'est elle-même qui s'est fait tomber. Pour L
e. Sans méconnaître pour cela l'excellence du livre de M. Ribot, je crois que la distinction admise par cet éminent psychol
ange, au bout de quelques jours, ou recul une lettre de ce fils qu'on croyait perdu pour toujours. Celui-ci, émerveillé de la m
ralysie fiscale' aurait disparu, ce qui ne se réalisa pas et fuit croire que celte paralysie était lrniim.-itiqiie. Avant
a sortie du corps étranger de l'oreille de la jeune Lucie, qu il -n y croirait que quand cette petite ne grimacerait plus en par
manière si touchante, pour ne rien examiner à propos de faits qu'ils croyaient au-dessous de leur raison, montrèrent ici. dans l
est des personnes qui n'acceptent pas l'automatisme psychique, et qui croient que les somnambules n'exécutent que les actes qui
avec avec anxiété, je ne dors plus, j'ai d'affreux cauchemars : « je crois voir une femme qui me poursuit sans trêve et m'ac
ériorisation ce que le Hochas appelle extériorisation, parce que nous croyons que ces phénomènes doivent être expliqués tout au
, avons-nous dit. faites sans paru pris, car nous avouons n'avoir pas cru jusqu'ici â ces phénomènes, prouvent que. chez ce
r auteur considère le phénomène qui nous occupe Comme fréquent, je le crois d une rareté exceptionnelle ; au lieu de considér
dérercette extériorisation comme «lue à des émanations fluidiques. je crois qu'elle dépend tout simplement de phénomènes phys
ète, ignoré de M. Mestiet, et cela de longue date; aussi j'ai lieu de croire que souvent il a dû discrètement sourire lorsqu'i
urelle. Il en nie la possibilité avec une telle maestria, que nous ne croyons pas que rien puisse jamais modifier ses convictio
gination, tout cela est atteint dans l'état neurasthénique, tout cela croit en vivacité ou en complexité dans l'état neurasth
ée de personne d'en suspecter la nature. Or. Chambige. s'il faut l'en croire , aurait été pris d'une passion violente pour M" G
ger de révélation, il a tué sa victime, eu arrangeant tout pour faire croire ù un suicide; quant à lui: il n'aurait jamais eu
passion, je n'en suis nullement convaincu. Je serais plutôt tenté de croire que. avec une bonté de femme sûre d'elle-méme, el
du a Constautiiie pour essayer de se procurer les 10.0110 fr. dont il croit avoir besoin, pour enlever Mme G... : pendant ce
par son cerveau, n'agit qu'en vertu de son impulsion. Celui-ci. sans croire même faire une suggestion formelle et intentionne
urir, au moins avec décence, et Mme G... ne l'aurait pas voulu ! Je crois donc, pour me résumer, que la victime de Chambigc
pour lui assurer la bienveillance de ses supérieurs et il y a lien de croire qu'il sera désormais dispensé des exercices capab
un être â |».u près incapable d'exercer une profession quelconque. II croit cependant qu'il lui serait possible d'être médeci
peut faire que de vagues conjectures sur leur dire. En résumé, je crois que. dans un procés criminel, la déposition d'un
coordination dont il résulte et qu'il ne constitue pas. On pourrait croire que ce sont là des distinctions subtiles, et que
que je n'avais commandé qu'à une seule. Marie T... Tout d'abord je crus que le second sujet avait accompli ces actes, pen
nte d'hvstérie. qu venait à la clinique «lepuîs déjà un mois et qu'on croyait comme réfrac-i taire, vint tout â coup apporter u
rmité délivrés, un peu à la légère peut-être, par des médecins qui ne croyaient pas du tout en agissant ainsi favoriser le pèleri
é. » Les hypnotiseurs savent bien qu'il est nécessaire que le sujet croie en eux ; aussi ne négligent-ils rien pour lui per
montagnes. (Chap. XVII. saint Mathieu.) Dans la cas particulier je crois absolument erronée l'opinion de certains esprits,
holiques actuels donnent-ils à la genèse des miracles? Aucune. Et ils croient qu'il n'y a miracle que lorsqu'il se produit une
e idée religieuse. Comme on l'appelait auprès d'une jeune fille qu'on croyait . morte, « Elle dort simplement ». dit-il, et il
de catégorie nous sera fournie par des pseudn-guéris qui de bonne foi croient avoir ét«- l'objet d'un miracle. « Il faut nous
ès thérapeutiques au médecin qui l'ordonne. Mais il ne faudrait pas croire que le nombre des malades guéris lut bien fort. O
grièvement blessé à la poitrine, était abandonné des médecins, qui le croyaient sur le point d'expirer. Ses camarades, qui le vei
ins. russes. suisses. turcs, américains du sud. On ne peut abandonner crut qui nons font coi honneur : 3° Le corps médic
aginé peut être que la suggestion a la prétention d'être infaillible? Croit -il qu'on peut au premier sujet endormi laire une
notisme et le crime ; afin Je bien exposer ce sujet aux avocats. J'ai cru qu'il était indispensable Je le diviser en deux p
portant à l'hypnotisme. Beaunis, Pitres, l.uys et bien d'autres ont cru pouvoir représenter l'état de la mémoire pendant
e | on pourrait par suggestion produire toujours ce soutenir, mais il croit que les cas ou l'on ne pourrait y parvenir son ex
tes en ma présence pur M. Bernheim m'ont paru convaincantes, aussi je crois pouvoir affirmer l'exactitude du phénomène. Je
une certaine discussion, c'est celui-ci : « un individu tain ». Nous croyons , et en ceci, nous sommes absolument d'accord avec
e; de même le tympan pour le son. Au siècle dernier. les magnétiseurs croyaient transmettre â leurs sujets des effluves d'une nat
ison et avec des preuves irréfragables en mains, qui ne veulent point croire à leur intuition, repoussaient comme sornettes le
s curieuse leçon sur celle transmission contagieuse du baillement. Je croit qu'elle n'a pas été publiée. allions rendre v
nsulter un antre médecin ancien chef de clinique de Bouillaud, qui se crut obligé de Invertir qu'il avait une instif-6sance
tes vous mise à la fenêtre ce matin à 8 heures. • c Xon, dit-elle, je crois mémo que je dormais à cette heure. » — * Vous ne
y en a un autre qui facilement. passerait inaperçu, et sur lequel je crois qu'il y a un intérêt réel à porter notre attentio
urs qui ont écrit sur ce sujet aient été plus heureux que mol. J'ai cru prudent d'y joindre lu strychnine et le phosphore
res. « Cet état d'esprit, dans lequel on s'efforce de voir et où l'on croit voir mais où l'on ne voit pas ; dans lequel on do
des hydropathes — un peu plus négligeable quo M. Nordau ne parait le croire — les poètes Verlaine, Stéphane Mallarmé, Jean Mo
es délires, soit. Mais affreux ? C'est ce que vous ne me ferez jamais croire . Je sais cela mieux que vous. Ils m'émeuvent prof
blier leurs élucubratlons. A notre avis sa principale erreur est de croire que le mal qu'il dévoile est special :. notre épo
s soignés très lentement à leur insu ont guéri sans s'en douter et je crois qu'on peut dire que toutes choses égales le degré
ron 100,000 chats, dont plus de la moitié sont sans domicile. Il ne croit pas faire un calcul exagéré en estimant â 10 % le
'est possible, mais en co cas le parfum n'y était pour rien. s Nous croyons en effet qu'il y a surtout là une affaire d'imagi
e différences dans l'application du procédé. En effet, il ne faut pas croire qu'il suffit, après avoir plongé l'enfance dans u
ence dans le monde physique : il nous est aussi difficile de ne « pas croire à ce que nous voyons en dehors. » La conscience n
lui des nnsophobes. Suus l'empire de cette auto-suggestion, le malade croit qu'il a attrapé la maladie qu'il cruint et, surto
t par une série de semblables raisonnements il linissait toujours par croire qu'il était fou, et en était tellement désolé qu'
oleur. A force de l'entendre dire, le pauvre jeune homme finit par le croire . Si bien que, vers six heures, un de ses camarade
minimum de vie soit pour les abstinents, au lieu d'être, comme on le croirait , pour les ivrognes incorrigibles. Pour mieux do
33 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
mme rhumatisante, puis comme menacée de mal perforant plantaire. On a cru qu'elle était atteinte d'artério-sclérose et que
ostics pouvaient être soutenus avec quelque apparence de raison. Je crus devoir examiner cette malade aux rayons X et je t
vous verrais faire toutes vos mômeries sans la moindre émotion. Car, croyez -vous, de bonne foi, que la vertu d'une étole,
ais observé de leur part la moindre réaction douloureuse. On pourrait croire que les nègres sont moins sensibles que les blanc
oire que les nègres sont moins sensibles que les blancs. Pourtant, je crois qu'il s'agit plutôt d'amour-propre. Le courage,
des masseurs et des magnétiseurs. Une pétition circule et, si l'on en croit les intéressés, elle porte déjà plusieurs millier
Bérillon a eu moins d'ambition que son confrère italien : il n'a pas cru devoir embrasser toutes les passions humaines et
écentes, nous citerons en premier lieu la théorie chimique. Plfüger a cru voir, dans une disette d'oxygène dans le cerveau
rands hommes divinisés qui apportent ces révélations, ainsi qu'on l'a cru pendant toute la floraison du paganisme. Puis, av
le rêve nous apprend l'endroit où se trouve un objet que nous avions cru perdu, la révélation nous vient d'un saint spécia
écis où se trouve un objet que nous avons en vain cherché et que nous croyons perdu. Bon nombre d'impressions nettement consc
n'en est pas moins flagrante. Il y a plus. Dans certains cas, nous croyons faussement à l'existence d'un rêve antécédent. Pa
s à l'exorciseur, à moins que ce ne fût au sorcier. Tous les trois se croyaient , plus ou moins, les artisans du surnaturel, les m
d'un halluciné, jusqu'à l'inquisiteur et au psychiatre lui-même, tous croyaient , plus ou moins, avoir à lutter contre un esprit,
it s'étendre l'aire des forces naturelles. Derrière celles que nous croyons connaître, il en apparaît de nouvelles, soupçonné
ue revient, en grande partie, le mérite d'avoir fait rentrer ce qu'on croyait l'exception dans la règle, le prétendu surnaturel
ce la formule suivante : « Lune croissante, au fur et à mesure que tu crois , fais que ma verrue décroisse ! « J'ai vu la mala
agit de prendre un morceau de rouelle de veau, gros comme une fève et cru , puis d'en frotter la verrue, jusqu'à ce que la v
, l'hypnotisme existe bien avant l'apparition du sommeil et lorsqu'on croit faire de la suggestion à l'état de veille on la f
tualisme et de la science (1) Par M. Jules Bois Charles Renouvier croit aux esprits, mais raille les spirites. — Le Fétic
femmes ne manquent pas. Ainsi le théoricien est devenu praticien. Je crois bien que M. Dauriac s'est donné la tâche de sauve
seule cause, c'est, qu'on le veuille ou non, substituer à ce que l'on croit être une explication, une « inexplication véritab
réponses à titre de documents pathologiques, mais on se défend de les croire sur parole. Telle est l'attitude qui conviendrait
s, qui parut en 1643 avec une note contre les quatre humeurs. Il faut croire qu'il attachait une grande importance à ce Traité
s centres religieux de notre siècle. Pour beaucoup de fidèles, ne pas croire aux révélations de la bienheureuse, c'est être ra
a pauvre malade, n'ont pas tous agi avec mauvaise foi, mais s'ils ont cru , c'est qu'ils sont ignorants de faits scientifiqu
dit que Josué avait arrêté le soleil dans son évolution ; il fallait croire ou être hérétique ; Galilée vint et montra l'erre
des gens qui le sont par politique et « par mauvais raffinement. Ils croient le peuple incapable ou indigne « de connaître la
tent jusqu'à l'ombre de la religion et craignent toujours « de ne pas croire assez. Quelques-uns manquent de lumière, d'autres
sent se servir de leur esprit; ils mettent une « partie de la piété à croire tout ce qu'à écrit le peuple le plus ignorant ».
se lève et éclaire toutes choses. De nos jours le physicien ne peut croire à un miracle contraire aux lois de la pesanteur,
plus long ou plus étroit, double ou multiple : Ainsi, une malade se croit un farfadet, parce qu'elle voit les personnes et
j'ai vu, ce qui s'appelle vu; » aucun raisonnement ne peut leur faire croire le contraire ; « ils ont vu », disent-ils. Je c
n cendres et appliqués sur la plaie ; le mordu mange ensuite de l'ail cru pendant dix jours. Sur la frontière algérienne, e
ent donc à la catégorie de ces criminels qui, obsédés par le remords, croient toujours voir devant eux l'image de la victime ou
infortuné, reste en repos sur ta couche, tu ne vois rien de ce que tu crois voir. » Oreste. — « O Phébus, ces chiens dévora
de son arc et de ses flèches pour frapper ses propres enfants, qu'il croit être ceux d'Eurysthée. Ceux-ci s'enfuirent effray
» Il tend alors son arc contre un autre qui, tapi près de l'autel, se croyait à l'abri. Le malheureux se jette aux genoux de so
il, après s'être souillé du sang de ses enfants et de sa femme. Je ne crois pas qu'il y ait un mortel plus malheureux que lui
ses enfants et qu'on lui affirme que c'est là son œuvre pour qu'il y croie . Et alors, désespéré, il réclame la mort. Je ne
rétendue coxalgie en présence de laquelle je me trouve cette fois, je crois pouvoir en expliquer la pathogénie ainsi qu'il su
e avec hallucinations de la vue : elle voit un soleil brûlant qu'elle croit être le cœur de Jésus : « sa lumière est éclatant
otre Mère ; j'étais toute tremblante et brûlante. La Supé-« ricure me croyait folle et traitait avec mépris tout ce que je lui
e je ne pouvais en revenir pour dire une « parole. » Marie Alacoque croyait que le cœur logé au fond de la poitrine peut être
angé de place à volonté comme une petite statue dans une niche ; elle croyait aussi, comme le vulgaire de son temps, que le foy
feu ardent! O tristesse amère ! penser que des gens éclairés font croire aux foules de pareilles niaiseries. Mais nous a
e feu : je ne me fis aucun mal, bien que ceux qui me virent tomber, « crussent que je m'étais cassé les jambes. Ce Démon plongea
e faire et il m'ôtait le pouvoir de le découvrir à notre Mère. « On crut que j'étais possédée ou obsédée du Démon ; l'on m
e. » Le Démon l'attaquait parfois du côté du désespoir, lui faisait croire qu'elle serait privée de la possession de Dieu et
rès suggestible. J'avoue professer exactement l'opinion contraire. Je crois qu'il n'est aussi suggestible que parce qu'il est
t. « Mon cher collègue, je vous renvoie le jeune B..... délivré, je crois , de sa névralgie causée, si je ne me trompe, pa
ble. La famille découragée ne sait plus à quel saint s'adresser. Je crois bien qu'en ce moment, on a fait appel à un rebout
ux, sont remplis d'observations de guérisons naturelles, qu'on aurait cru surnaturelles autrefois. L'histoire de cette ma
rencieuse de cas semblables guéris à Lourdes, comme d'autre part elle croyait naïvement aux miracles, je crains qu'elle n'ait s
ême à Jérusalem, si au lieu d'être catholique, il eût été juif et eût cru que le mur des lamentations avait une vertu curat
vertu curative; il l'aurait envoyé à la Mecque, si mahométan, il eût cru à la puissance miraculeuse de la pierre noire; bo
nne foi, en affirmant le fait; mais ils avaient de la répugnance à le croire et leur déclaration se ressent de cette dispositi
accointances qui furent pour elles des réalités ; non seulement elles crurent , mais elles firent partager leur foi à leurs comp
ve pas dans les formules sourdes ni dans les grands mots comme le croyaient les philosophes du XVIIIe siècle; elle est toute
e moineau allait infailliblement être empoisonné. Je n'en voulus rien croire . Mais, un quart d'heure après, allant voir commen
fants et les brutes, répondait l'illustre philosophe ; cependant e ne croirais pas que les enfants eussent une âme, si je ne voy
Les deux conclusions sont d'ailleurs également exactes pour ceux qui croient au déterminisme, sans lequel la science deviendra
ne serait plus qu'une chronique indéfinie de faits miraculeux Si je crois pouvoir affirmer que sur tous les points que je v
le, ce qui en sciences naturelles est une présomption de fausseté. Je crois , quant à moi, que les mouvements de sommeil des f
forme, ou parce que, enfin complètement endormi selon son désir, il a cru à la puissance curative d'une suggestion faite da
l un trouble pathologique... » J'ai vu récemment un délirant qui se croyait sur un bateau, naviguant vers Ténériffe : c'était
, de telle sorte qu'on voit et qu'on reconnaît en rêve des gens qu'on croyait n'avoir jamais vus : on retrouve dans le sommeil
ault peut rendre de très grands services aux enfants difficiles. J'ai cru également qu'il était bon d'insister sur le rôle
ubira au plus haut point la domination d'un autre. L'enfant auquel on croit faire une suggestion à l'état de veille n'est plu
er dans leur nouvelle caserne au 13 du mois, que l'autorité militaire crut ne pas devoir heurter de front ce sentiment et co
pnotisme? Il m'arrive souvent de dire : il n'y a pas d'hypnotisme. On croit que je veux être paradoxal, que je lance une bout
le distinguer à l'occasion ces diverses variétés.» Pour ma part, je crois qu'il vaut mieux ne pas continuer clans cette voi
riel lui, n'est oppressé que lorsqu'il marche: dans sa chambre, il se croit bien portant. Et pourtant dès qu'il bouge, voyez
lée pendant tout le reste de la nuit (1). cibles, que le médecin se croie , en conscience, obligé de commettre un véritable
térialistes et des spiritualistes. Cette âme donne : Ce besoin de croire , qui, au fond, n'est que le besoin de trouver une
tte idée, Mahomet l'avait prise en ses voyages en Syrie. Mahomet se crut atteint .de sorcellerie et voulut se suicider en
dmiration, car ils lui affirmèrent sa mission et lui-même finit par y croire . Par la suite, Mahomet tombait dans un état ext
ts fut si grande qu'il se convertit. A toute époque, le peuple pour croire au caractère prophétique des élus de Dieu exigea
sieurs reprises : A moins qu'un miracle ne descende vers lui, nous ne croirons pas (VI, 37).— Si au moins un miracle était accor
s pas (VI, 37).— Si au moins un miracle était accordé d'en haut, nous croirions (X. 21). — Ils ont juré devant Dieu par le sermen
le serment le plus solennel que s'il leur fait voir un miracle, ils y croiront (VI, 109). Mahomet dut faire des miracles. Mais
ses ennemis, guidés par Satan, arrivèrent à l'entrée de la grotte, la crurent -ils abandonnée depuis longtemps et se retirèrent
elle était favorable. Dans leur exaltation, les premiers musulmans crurent souvent voir des anges combattre à leurs côtés. L
t descendre des armées invisibles pour vous, et il châtia ceux qui ne croyaient pas. » (IX, 26.) Cette croyance à l'interventio
e nous dans la guerre des camisards, etc., etc. Aujourd'hui, si on ne croit plus que Dieu combat pour vous en chair et en os,
est différemment interprétée par les théologiens musulmans : les uns croient qu'ils prirent une part active au combat, les aut
1) Paul Sollier. Genèse et nature de l'hystérie, 1897, p. 474. Je crois exprimer synthétiquement de cette manière l'opini
de l'hypnotiseur. Pour Duprat (2), « recevoir une suggestion, c'est croire fermement à la valeur objective de la parole d'au
ontraires ». Je ne suis pas de cet avis. Dans la suggestion on ne « croit » pas à la parole d'autrui, on ne l'accepte pas,
pas à la parole d'autrui, on ne l'accepte pas, on lui obéit. Si on la croyait , ce serait avec 0, tandis qu'on obéit avec le pol
rmulée par le même auteur dans l'Année psychologique et à laquelle je crois avoir répondu dans le précédent chapitre (p. 42).
cution... Il se réveille, et « de mémoire » écrit exactement ce qu'il croit avoir rêvé. » Comment de telles représentations
es de ces hallucinations et auditions musicales hypnagogiques. Nous croyons qu'il est possible d'admettre comme origines des
même, dans bien des cas, pour ainsi dire, exacerbée; et l'on pourrait croire que toutes les activités intellectuelles de chacu
ous nous figurons avoir trouvé ce que nous avons déjà entendu et nous croyons avoir entendu des choses qui sont de notre propre
, cependant, une autre explication des causes du rêve. Alors que nous croyons que les rêves, le plus souvent, (quoique cependan
la plupart de ses conclusions sont loin d'être aussi solidesqu'il le croit sincèrement. Il va sans dire que la personne de M
utres dont je n'ai pas le temps de m'oc-cuper, que M. le Dr Rouby ail cru devoir agir autrement; 2° Etait-il vraiment inuti
à notre Mère; j'étais toute tremblante et brûlante. La Supérieure me croyait folle; et traitait avec mépris tout ce que je lui
aignée. Je pourrais lui donner les références, mais il voudra bien me croire sur parole; enfin pour terminer ce petit procès,
présente, il ne faut pas l'oublier, qu'un recueil des grâces qu'elle croyait avoir reçues. C'est un simple compte de conscienc
eur à se faire une idée exacte de l'état d'esprit de la malade. Je ne crois pas en outre qu'il donne une idée suffisante du t
onne foi en affirmant le fait; mais ils avaient de la répugnance à le croire , et leur déclaration se ressent de cette disposit
t à l'évidence de la vérité, ils convinrent de ce qu'ils ne pouvaient croire et avouèrent que Dieu seul avait pu opérer une gu
prêt de l'attester, quoique j'aie naturellement de la répugnance à en croire » (1). On me permettra après cette citation de
Marguerite-Marie Alacoque ne seront atteintes, comme il a l'air de le croire . La dévotion au Sacré-Cœur, est établie sur le do
centuée du centre psychique supérieur volontaire et conscient... Nous croyons que le pouvoir de résistance aux suggestions appa
iliers et qui, dès lors, semblent être plus connus. » Je persiste à croire que c'est là un procédé courant et utile en scien
énères occultistes, la seconde vue et la lumière surnaturelle... » Je crois , au contraire, que non seulement il est nécessair
que d'Arras, avait été prêtre du diocèse d'Autun; il avait connu nous croyons , Marie Alacoque, et avait vécu au milieu des évén
te phrase, mais non dans le but que suppose M. l'Abbé, celui de faire croire à une hallucination qui n'existait pas, mais pour
ujet on dirait qu'on les entend avec les oreilles du corps ; comme on croyait qu'on ne pouvait pas entendre autrement, j'ai épr
34 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
tre important débat médico-légal avec M. le professeur Delbœuf, je me crois tenu de préciser mon opinion sur la question soul
tte conviction n'est pas de date récente chez moi, je vous prie de le croire . Veuillez vous reporter à mon Electro-dynamisme V
expérience, cher confrère, qu'il faut s'adresser sur sur ce point. Je crois que vous avez donné quelque part la proportion de
dépouiller à notre tour notre vieille manière de voir? M. Delbceuf croit avoir découvert que tous nos fameux crimes sugges
invraisemblables, et auxquels pourtant M. Delbceuf ne se refuse pas à croire . Je veux parler des effets de la suggestion sur l
ès son horrible forfait imaginaire, continue ainsi : « A qui fera-ton croire , demande-t-il, qu'une fille qui, sans émotion, ti
e que Mlle E... ne sait pas que le pistolet n'est pas chargé. Je n'en crois rien. D'où infère-t-on qu'un somnambule est un im
idiot ; au contraire... » (2) Il est surprenant que M. Delbœuf ait cru devoir poser des questions qui se répondent pour
e artificiel ne diffère pas essentiellement, — M. Delbœuf l'admet, je crois , avec nous — de celle du somnambule naturel. Le p
certains autres, et dont à la fin des fins l'Académie des Sciences a cru devoir me faire solennellement honneur dans sa sé
une nouvelle accumulation de lombrics, comme le pensait l'enfant qui croyait à un paquet de vers à droite de l'ombilic, ou bie
e ; quelques sujets n'ont été influencés que par intermittences ; ils croient ne pas l'avoir été quelquefois et cependant vous
re ou une série d'organes, alors aussi elle est impuissante, et je ne crois pas que les autres médications soient efficaces.
la famille me demande si je réponds de la guérison, alors même que je crois le cas favorable, je ne garantis rien ; au malade
l, put, sur notre injonction, écrire d'une façon très lisible. Nous croyons que cette pratique peut être généralisée à un cer
ants accourus avec la foule : « Tu es pis qu'un diable, car un diable croit ce que tu ne veux pas croire, » Les protestants,
: « Tu es pis qu'un diable, car un diable croit ce que tu ne veux pas croire , » Les protestants, qui doutaient beaucoup de l'i
scétique, Il eut des rêves, des visions, des extases, et bientôt se crut appelé à la mission de propager le christianisme
er son pain de porte en porte, sous les huées de la populace. On le crut fou. Bientôt, on le crut mort. II n'en était ri
orte, sous les huées de la populace. On le crut fou. Bientôt, on le crut mort. II n'en était rien. Retiré dans une caver
és. Une fois qu'il resta sept jours sans prendre de nourriture, il se crut as- VARIÉTÉS sailli par les démons qui le r
x devant l'image de la bienheureuse Vierge Marie... soudain le démon, croit -on,ébranla tout le château de Loyola d'une si étr
, sinon dépassé, toutes ses aspirations. Il est certain, si l'on en croit ses biographes (1), qu'Ignace de Loyola fut souve
cours d'un pèlerinage à Lourdes, entrepris sur mes conseils, j'avais cru reconnaître chez ce sujet l'existence de deux sor
avec amnésie au réveil ; ils peuvent être hallucinables. On pourrait croire que, dans cet état, la suggestion thérapeutique d
estions ? Est-ce l'effet de sa nature morale, de son caractère? Je le crois , à en juger par l'exemple de son frère dont je vo
fréquemment, que des aliénés ont été mis en liberté, parce qu'on les croyait guéris, grâce à leur dissimulation. Et ces malheu
eux commettaient, parfois, les actes les plus terribles. L'un, qui se croyait persécuté par sa mère, la tue dans la nuit même q
her ainsi (ce qui est bien difficile) à obtenir des aveux ; 8° Nous croyons qu'un médecin expert devrait être adjoint aux jug
d'un don spécial les secrets de guérir, le rapporteur ajoute : « Nous croyons que le moment n'est pas venu d'enlever ces expéri
i l'ont fait naître. Remarquons d'abord que ce serait une erreur de croire que ces trois états forment une gradation réguliè
oitrine. D'autres m'ont dit que l'impulsion était si forte qu'ils croyaient qu'une personne les avait tirés par la manche de
mplice, si l'on veut, plus ou moins inconscient, de l'opérateur. Je crois avoir prévenu d'avance ces deux objections ; en e
umés déjà depuis plusieurs années aux observations physiologiques, je crois m'ètre placé dans les meilleures conditions pour
at médianique actif succède sans transition au somnambulisme, mais je crois la première hypothèse plus vraisemblable. Les c
; de nombreux auteurs, interprétant mal l'opinion du savant nancéen. crurent qu'il contestait à cette méthode toute action rée
e prend aucune part à la guérison des malades par l'électricité. Je crois non seulement, ainsi que M. Bernheim l'a dit, que
de, en faveur de la tempérance. Les Sociétés de tempérance, au début, crurent pouvoir arriver à un résultat pratique en se cont
Bérillon à désigner cette habitude par une appellation spéciale, il a cru devoir créer pour elle un néologisme tiré du grec
qu'animal sociable, est de n'avoir que des idées suggérées et de les croire spontanées. Je désire aujourd'hui attirer plus
lument fortuits, dont elle est momentanément entourée ou dont elle se croit atteinte. Le père est légèrement voûté ; ma mal
urée contre le retour de troubles névropathiques analogues ? Je ne le crois pas. Son fond psychique est en somme resté le mêm
t regret à voir disparaître une coutume curieuse et sans analogie, je crois , dans aucune Université. Le paysage qui nous ento
ombattre est celui dont on a lieu d'attendre le meilleur effet. Et je crois que s'interdire l'emploi de la suggestion hypnoti
tant à dédaigner que des esprits prévenus pourraient être portés à le croire , et qui nous vaut en tous cas des renseignements
ments utiles sur les symptômes offerts par le sujet : « Je penche à croire , dit-il, que cette pauvre créature es obsédée
le moral peut agir sur le physique, celui-ci le lui rend bien ! Je crois devoir conter à ce propos une observation dont j'
les deux termes sont parfaitement équivalents) doit peut-être — et je crois pouvoir ajouter : doit probablement — son état à
onnel (mais non pas celui des « passes magnétiques », comme semble le croire votre correspondant, sans doute peu versé dans la
on tourne ainsi dans un cercle vicieux. En utilisant les rêves, je crois qu'on peut éviter cette fatigue; je comparerai vo
à chaque sujet de faire acte de libre arbitre ou du moins lui laisser croire qu'il agit par lui-même. Moins on provoque l'inhi
tablir plus qu'une annexion. Avant donc d'appliquer la suggestionne crois qu'on a tout avantage, quand la chose est possibl
lé de la bicyclette. Ce qui d'ailleurs est plus difficile qu'on ne le croit . Tout exercice physique, provoquant l'émotivité
our dire, sans qu'on l'interroge, ce qu'il ressent, chaque fois qu'il croira ressentir quelque chose. Tous les objets, tous le
usateur. Victime de la fatalité, ce sujet, pour redevenir heureux, se croit obligé de tuer quelqu'un ; sa sœur ayant succombé
ontre elle des tentatives d'empoisonnement, illusoires d'ailleurs, il croit être l'auteur de cette mort et vient s'en accuser
me et la psychothérapie ont peut-être plus de raison d'être que ne le croient un certain nombre d'esprits rétrogrades. ?. B.
quais assez minutieusement l'expérience en question et tout ce que je croyais important à faire pour qu'elle réussit, mais je m
r des assistants serait très difficile ou impossible à établir. Je ne crois pas qu'il soit nécessaire. Car c'est une règle qu
raison, si l'on se souvient d'un rêve, on a, en général, le droit de croire que l'on n'a pas changé d'attitude pendant son rê
Lorsque le membre se présente en mouvement à celui qui dort, il faut croire que les parties des organes centraux et périphéri
e qui présenta une contracture des mains à la suite d'un réve où elle croyait jouer du piano, une autre continuer à l'état de v
on fils. Un autre jour, un certain docteur Lab..., avec lequel elle croyait correspondre par l'écriture automatique, lui cons
s c'est un monde nouveau ! » s'écriait-il. Et pourtant cet homme ne croyait pas à la médecine. Il consultait volontiers les e
marasme. « A plusieurs reprises j'avais visité M. Hanquet ; j'avais cru , comme beaucoup d'autres médecins, son mal incura
éformante ou arthrite noueuse très rebelle à tous les traitements. Je crois qu'il s'agit bien de cette affection, et non d'un
ment: « Cela avait bien l'air d'une arthrite déformante, mais il faut croire que ce ne l'était pas. » il assista aux deux séan
ce qu'il n'a pas assez d'initiative pour la modifier spontanément; il croit devoir la garder, par une sorte de tendance auto-
sont réfugiés à la faculté de médecine de Montpellier? On pourrait le croire en lisant les paroles prononcées par M. le Profes
e que soutenir l'origine fonctionnelle d'un grand nombre de maladies, croire aux actions et réactions cellulaires, être convai
d'agir chimiquement sur une plaque au gélatino-bromure d'argent. Nous croyons le fait parfaitement possible. « La lumière act
la léthargie, le somnambulisme et les différents phénomènes que l'on croyait autrefois l'apanage des hystériques ; mais, en so
n tient à trois causes différentes: d'abord, le malade lui-même ne se croit pas et ne voudrait pas se croire malade; mais com
es: d'abord, le malade lui-même ne se croit pas et ne voudrait pas se croire malade; mais comme il est en réalité très malheur
eur. Sans doute, le médecin prescrira à son client .tout ce qu'il croira pouvoir le soulager, il lui donnera une foule de
e, des hallucinations de la vue et de l'ouïe se produisirent. ?·0" B. crut voir son amant, l'entendre, lui parler ; l'halluc
gerboises, saumons, s'endorment. Ce n'est pas l'hiver, comme on l'a cru , qui provoque cet état : car tanrec, échidné, pét
es les paroles et caractères ne peuvent être effectués. Si le patient croit que, par de tels moyens, il puisse guérir, la dou
par de tels moyens, il puisse guérir, la douleur cessera ; s'il n'en croit rien ou qu'à l'entour de lui soient des gens qui
ous savons, ou tout au moins nous sommes aujourd'hui très autorisés à croire que les centres nerveux fonctionnels sont représe
sement, dans le monde des neurones des actes réflexes, il n'est pas à croire que toutes les communications persistent comme à
t emporté de sa place par la volupté de l'esprit détraqué, au lieu de croire qu'un de nous soit envolé sur un balai au long du
çus à la bibliothèque de la Société d'hypnologie, il en est un que je crois utile de signaler à voire attention. Je veux parl
continence a reparu. En se basant sur ces observations, Zaousailoff croit que la suggestion exerce une action favorable dan
ères, n'est pas entièrement étrangère à l'influence hystérique. Je ne crois pas sans cela qu'elle eût avec les rêves des rela
s rêves ont sur l'esprit une action beaucoup plus marquée qu'on ne le croit , et certains des actes que nous accomplissons se
et, après avoir bien réfléchi, constata avec stupéfaction qu'il avait cru et donné comme vrai un fait dont il avait simplem
és dégénérés ou aliénés, chez lesquels la suggestion ne peut rien. Je crois pouvoir affirmer que c'est là une erreur. Il résu
était réellement aveugle. Cependant, certains jours, ils semblaient croire qu'il simu- , lait, mais,.lé lendemain, ils préte
éduction de la peine, de droit en cellule. Je ne lui dis pas que je croyais à la simulation, et je le soignai comme s'il étai
agnostic de M. le Dr Dehenne, si compétent en pareille matière, et je crois fermement à la simulation de l'amblyopie, jusqu'a
mi ces expérimentateurs s'est trouvé M. le Dr Bourdon, de Méru ; il a cru devoir rappeler qu'il devait la connaissance des
sions avec son propriétaire, son concierge, ses voisins,et qu'elle croyait que toutes ces personnes lui en voulaient; elle l
. A son entrée dans mon service, elle est triste, elle pleure, elle croit qu'on l'accuse de vol ; elle a des hallucinations
usieurs voyages aux Indes, en a également observé plusieurs cas. Nous croyons qu'on peut considérer cette affeciion comme une.
e, il se réveilla instantanément, mais, chose curieuse à noter, il se croyait à Oran au moment où ses parents venaient de quitt
obéir à tout ce que ce dernier lui suggérait, un pourrait quelquefois croire que V... parlait selon mes suggestions directes o
. Cette demoiselle, hypnotisée à tort et à travers par un amateur qui croyait encore au fluide émanant de lui, avait 'subi tant
du moins en renouvelant de temps en temps la suggestion. Beaucoup croient que la guérison doit toujours être définitive par
ir pour sa femme une passion violente dont il ne se serait jamais cru capable. Après s'être montré pendant neuf années
ider à renoncer aux habitudes d'intempérance dans lesquelles il avait cru trouver un remède à ses souffrances morales. En
out son corps, reste immobile : on aurait dit qu'il était fasciné. Je croyais voir un oiseau luttant contre cette force attract
s etde très près, on chercha Kakoli partout; il avait disparu; ont le crut mort au champ d'honneur; mais, à la grande surpri
utai :.a L'état de ce chien s'améliorera sans doute avec le temps: je crois qu'avec de la douceur, de la patience et des soin
itait en cela Jésus. Le nombre des malades augmentant, Vignes s'est cru un représentant sur la terre du docteur Dieu deva
e très curieux, c'est que jusqu'ici ce sont surtout les Allemands qui croient en Vignes. Ajoutons que le plus dévoué de leurs i
'action à distance. Du reste, en Lozère, les paysans se contentent de croire au bon œil et à la puissance du guérisseur. Il
st de là que viennent souvent les maladies de la moelle épinière : Je crois que le plus sage encore est de dormir comme ça se
Je crois que le plus sage encore est de dormir comme ça se trouve. Je crois bien que j'affectionne le côté gauche; mais le cô
nombre de mes amis qui sont tout comme moi. J'aurais quelque peine à croire qu'ils sont peu développés intellectuellement. No
35 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'obsèdent, et il ne peut s'en débarrasser, d'autres fois encore, il croit les entendre dans l'es- ttomac, et enfin quelqu
ise qu'elle produit absorbe tant mon attention que je ne sais qui croire de mes oreilles ou de mes lèvres. La seule assu
iner la mort. Elle redoutait aussi un ténia imaginaire dont elle se croyait atteinte. if , , ' Depuis longtemps elle se sen
des moments où il éprouve des frissons assez violents. Mais on peut croire avec raison que ces accès de fièvre sont sympto
este de la substance grise sont largement inté- ressés. C'est, nous croyons , un diagnostic des plus 58 PATHOLOGIE MENTALE.
altérations tangibles de la substance blanche, d'autre part ; nous croyons que nous sommes en pré- sence d'une myélite cen
ondrai que c'est pour moi une sorte de question de prin- cipes ; je crois de mon devoir de vous direce qui me semble vrai,
e' lendemain, tout est passé, elles ont oublié leur regret et elles croient , disent-elles, être dans la, maison depuis des
des reproches imaginaires plus ou moins polis; le lendemain, je me crois obligé de lui témoigner quelque froideur. Elle en
s sont au contraire très variables dans tous leurs caractères. Nous croyons pouvoir, pour la commodité de l'étude, les rang
erver dans le service un cas de ce genre si curieux qu'il pourra je crois résumer cette description. Une jeune fille nomm
é dans le ser- vice l'appelle par son petit nom et la connaisse. Je crus à une mauvaise humeur ou à une plaisanterie, ma
e toutes les paralysies d'origine psychique soient des amnésies, je crois , au contraire, que certaines d'entre elles se r
te prédisposition générale. Enfin l'amnésie peut être générale : je crois qu'il est bien rare de rencontrer une amnésie c
ux, au plus, elle déclare qu'elle ne sait où elle est et qu'elle se croit encore à Cognac. Ce cas d'amnésie est extraordi
ille. Et bien, sans rien affirmer d'absolu, je vous dirai que je ne crois même pas à une lésion de ce genre recherche peu
ce genre recherche peut être quelquefois très difficile; mais nous croyons cepen- dant que, par toutes les ressources de l
la mémoire, en dehors de la conservation et de la reproduction. Je crois qu'ils ont tort et que la maladie décompose et
s les souvenirs de cette période. Des faits de ce genre ont été, je crois , assez souvent signalés. Je vous rappellerai sur-
ur des souvenirs également déter- minés. Nous sommes arrivés ainsi, croyons -nous, à constater certains faits qui ne nous se
, images tactiles t t' t", ' 1f. Paul Richer signalé, le premier je crois , ce phénomène : Etudes cliniques sur la grande
u des moteurs, quelques-uns appartiennent au type indiffé- rent. Je crois qu'il serait peut-être nécessaire d'admettre pour
tiles et nous faire comprendre certains phénomènes de mémoire; nous croyons les rencontrer dans certains cas de somnambulis
roques. Eh bien, dans les états de ce genre, vous remarquerez, je crois , très souvent un fait important : c'est que l'éta
les états supérieurs. Il n'y a qu'un seul état de ce genre dont je crois aujourd'hui la connaissance indispensable, c'es
d'une grande quantité de symptômes très variés. C'est pourquoi j'ai cru nécessaire de vous entraîner dans cette étude u
qui détermine ces localisations particulières de l'am-, nésie, nous croyons que, dans certains cas, elle peut être trouvée
it une fois par mois en moyenne, quelquefois moins- souvent. Elle croyait alors qu'il avait bu et se faisait du mauvais san
ne simple chopine de vin, le tout pour la somme de vingt-cinq sous, croit -il. Ce déjeuner terminé, il est encore reparti
urs, mais le malade reste mélanco- lique, incapable de travail ; il croit avoir perdu la mémoire, craint de ne pas recouv
ristian. Le régime n'a pas été interrompu, néanmoins, je persiste à croire , en raison de leur continuité, que les phénomènes
ble. Comme il en conserve le souvenir de l'acte, je suis autorisé à croire qu'il jouissait de la plénitude de son intellig
jour. Nous reviendrons sur cette communication après le procès. Je crois que nous ne sommes pas suffisamment éclairés po
t un déséquilihré et un instinctif, cela est certain; mais je ne le crois pas, à proprement parler, fou comme le considèr
juger des données sur lesquelles il repose. M. LE Président ne se croit pas autorisé à mettre aux voix une conclusion q
e, sans que cependant nous ayons à faire à un individu normal. On croit , ou plutôt on a cru souvent, nous avons cru trop
nous ayons à faire à un individu normal. On croit, ou plutôt on a cru souvent, nous avons cru trop sou- vent la lever
n individu normal. On croit, ou plutôt on a cru souvent, nous avons cru trop sou- vent la lever (la difficulté), en adm
s. En cela, Lombroso a fait oeuvre d'initiateur. M. TuczEK. Je ne crois pas qu'il soit, dans l'état actuel des choses,
, à son insu, SOCIÉTÉS savantes. , 121 à son délire pathologique, croit que certaines parties de son corps sont transfo
les Richet, de suggérer une idée délirante à un sujet, de lui faire croire qu'il change de personnalité, qu'il devient un
ment de vésanies aiguës dans quinze de ces observations. M. Forel croit que ces malades étaient hystériques pour la plupa
ssir à endormir d'aliénés indemnes d'hys- térie et que, lorsqu'il a cru avoir réussi, il s'est assuré qu'il avait eu af
vicieuses ou morbides, ou encore des anomalies du caractère, je ne crois pas que l'hypnotisme puisse bouleverser pour to
uent dans l'écorce la disparition de cet arrêt; ainsi, le malade se croit -il exposé à un nouveau danger, vite, il oublie la
s antérieures proviennent non seulement de ces cellules, et il faut croire qu'en second lieu, ce sont encore les cellules
bien ; il s'établit aussi une scoliose vertébrale. Le rap- porteur crut devoir tenter une opération ostéoplastique pour c
e rapporteur invoque l'hérédité comme la vraie cause étiologique et croit pouvoir affir- mer que c'est encore dans la cel
es classiques et il semble véritable- ment oiseux d'en parler. Nous croyons cependant qu'on nous saura gré d'avoir indiqué
r la forme plus agréable-et plus soignée de -l'impression. ' Nous croyons ne pas nous tromper en prédisant un succès pro-
quant à la définition générale du terme : faibles d'es- prit. L'on croit cependant généralement que leur nombre doit êtr
n billet de logement et un bon de pain. En raison de son âge, on ne crut pas devoir lui refuser ce qu'elle demandait, et
ait des signes d'aliénation mentale des plus vifs. Le malheureux se croyait poursuivi par des ennemis imaginaires et à dive
rant 35, rue Etienne-Marcel. Atteinte d'aliénation mentale, elle se croit dévorée par des sang- sues que des êtres imagin
es aliments. Rencontrant M. Lebreton qu'elle ne connaît pas, elle a cru voir en lui un de ses persécuteurs ; c'est ce q
persécuteurs ; c'est ce qui explique son attentat qui n'aura pas, croit -on, de suites fâcheuses. Rosa Moos a été envoyée
iénés empreint, dit-il, d'un touchant esprit d'humanité et que nous croyons utile de reproduire. Neuf femmes ont été réinté
ie particulière d'aliénés transférés, sur lesquels votre commission croit convenable d'appeler les réflexions de l'admini
ander au Conseil général la même mesure dans le Loiret, on pourrait croire qu'elle peut entralner une dépense élevée pour
es fait des prières mentales et des signes de croix; elle se cache, croit les mal faire, et les répète jus- qu'à cinq cen
. Il était lent à faire toutes choses, les répétait quelquefois, ne croyait jamais avoir assez bien fait. A douze ans, au
les occasions de se tourmenter. Du reste, à diverses reprises, il a cru que les gens prononçaient intentionnellement de
-Anne le 31 octobre 1891. Son grand-père paternel, faible d'esprit, croyait aux revenants et aux sorciers ; son père et son
crainte dû mot compro- mettant, la coprolalie et l'écholalie. Elle croit en effet aux mots compromettants et s'imagine q
constances, faire varier considérablement les appréciations. Nous croyons que c'est là qu'il faut chercher la cause des r
is que dans celle de 2 heures du matin il y en avait beaucoup. Nous croyons , sans exagération, pouvoir fixer approxi- mativ
le 19. - Par suite d'une erreur commise par la surveillante qui ne croyait pas la série terminée, on n'a recueilli l'urine
e la parole, etc.) peut en accompagner n'importe quelle forme, nous croyons préférable d'énumérer d'abord les types cliniqu
bscurcissement dans le champ visuel ; quel- quefois encore le sujet croit déjà l'attaque passée, lorsqu'elle n'est simple
lle est encore bien difficile, à résoudre. M. Gilles de la Tourette croit , que pour ces cas l'examen des urines pourrait
graine), quand ces crises étaient plus violentes, on était porté de croire que les troubles corticaux se répandaient, pour
e pouvoir d'analyse, se trouvait l'organe de la pensée. C'était là, croyions -nous, que par des moyens encore inconnus s'élab
itablement un rôle dans les décharges épileptiques, et il a été, je crois , établi d'une façon certaine, que les convulsions
rver des mauvais esprits et autres influences néfastes, dont ils se croyaient constamment entourés. De semblables amulettes
distingué à un si haut point en chirurgie cérébrale. C'était là, je crois sa première opération et le fait est d'un assez
on. On lui rend la vue, il reprend son activité motrice. L'au- teur croit que, le cervelet ayant été enlevé, la privation d
s convulsions motrices (surtout toniques) des plus vives ; il est à croire que les convulsions ont pour point de départ le
ure-mère, des kystes et des gliomes. Je ne veux cependant pas qu'on croit que je cherche à mettre obstacle aux praticiens
es grossesses; à chaque grossesse, les accidents reparaissaient. Il croit que des lésions de la substance musculaire prés
asser à l'état chronique ; dans son second mémoire plus complet, il croit devoir isoler décidément cette espèce de lypéma-
délirante est incomplète ou manque complètement, les malades ne se croient ni possédés ni immortels. On les observe aussi da
é mélancolique; 2° idées de damnation et de posses- sion (la malade croit qu'elle est le diable ou quelque chose du 286 S
ou de saleté); fin idée fixe de ne pouvoir jamais mourir (la malade croit qu'étant en pierre, en ma- tière inerte, elle n
nalé par Baillarger. Elles ne sont pas pathognomoniques comme il le croyait ; mais dans ce cas elles revêtent toujours les c
de Paris). J'approuve pour ma part les conclusions de M. Séglas. Je crois que Cotard, en signalant le délire des néga- ti
sez pour confirmer qu'il s'agit là de deux maladies distinctes ? Je crois plutôt que le délire des néga- tions constitue
u ai pas rencontré un seul qui répondit au type créé par Cotard. Je crois que cet auteur a surtout été séduit par le mot et
on (de Paris). Comme M. Régis, et contrairement à M. Camuset, je ne crois pas que Cotard ait eu l'intention d'ériger le d
ge et la vérité absolue va souvent au delà de ce . que la famille a cru autoriser à dire. Pour d'autres auteurs, le sec
secret professionnel, je serais plutôt désireux de les étendre. Je crois , en effet, que le médecin aliéniste devrait être
ue sur le papier. Je ne suis pas opposé à ce mode de placement : je crois seulement qu'on devra apporter beaucoup de prud
s, qui veut se faire l'importateur du système belge de Gheel, je la crois in- applicable. Sans doute il veut diminuer l'e
tion au goitre de psychoses dis- tinctes et autonomes. Il y a lieu, croyons -nous, d'opérer le dénom- brement de ces symptôm
malade avait été repris par sa famille à ce moment, on aurait pu le croire guéri et de ce fait le considérer comme ayant é
faite le 9 mai 1890, chez une petite âgée de quatre ans. Si l'on en croit M. leur Lane (Voir plus loin), l'opération n'ét
neville, de l'inutilité du traitement chirurgical de l'idiolie. Je crois que le traitement hygiénique et pédagogique, te
cerf tainement un grand rôle. Pour l'épilepsie gastrique, je ne la crois pas fréquente. Quand un individu a un accès épi
u- vent sous l'intluence de cette fusion qui brouille mes idées; je crois qu'il y a lutte entre elles. « Ma tête se vid
aines folies puerpérales; mais pour ceux qu'a en vue M. Chaslin, il croit qu'il est inutile de créer un vocable nouveau e
s maniaques et que l'expérience a montrés bien peu efficaces. Il ne croit pas que ce médicament puisse avoir de l'action
Nous espérons que cette visite ne sera pas sans porter ses fruits : croyez d'avance à notre reconnaissance. En vous dévoua
tendait un poste d'adjoint, il a été installé chef de ser- vice. Il croit , lui aussi, à la nécessité du déplacement de l'as
est toujours en mouvement et l'intelligence fait défaut. Sa mère croit qu'elle la reconnaît ainsi que son père et sa soe
propos de son cas (voir plus loin), mais le mot trépanation est, je crois , le terme propre qui s'applique à son opéra- ti
maladie et dans la même intention, mais par des méthodes que je ne crois pas devoir être classées comme opérations de cr
semble justifiée. Que leur vie soit grandement compromise, je ne le crois pas. Sur 26 cas opérés par Lanne- longue, un se
le, sont vraiment trop vagues pour la logique même du fait. Je ne crois donc pas que l'excision linéaire, ou craniectomie
és, et aussi dans des établisse- ments similaires de notre pays, je crois qu'il serait beaucoup plus sage de reléguer ces
ulement au sujet d'un groupe, les microcé- phales,,opinion qu'il a, croyons -nous, abandonnée depuis longtemps. Les autres,
ions exactes sur cette question, notions qu'ils parais- sent, on le croirait du moins, ignorer. Pour pratiquer cette opéra-
ches les plus actives, on n'avait pu retrouver ses traces. On avait cru qu'il avait été vic- time d'un guet-apens, il n
quer un ordre désastreux pour la malheu- reuse odalisque, le Sultan croit toujours avoir vu le sceptre du choléra, et cel
qu'une maladie grave ne vienne frapper l'un de ses parents. Elle se croit obligée de répéter plusieurs fois « M. Nicolas »
ts, des paroles, des sifflets de chemin de fer que j'entends; je me crois obligée de mettre mon mouchoir à mes lèvres pour
é des symptômes et par les très grandes difficultés que présentait, croyons -nous, le diagnostic. Ces observations concernen
t du membre inférieur du même coté.- La bouche devint sèche, « elle croyait y avoir le feu », la langue lui paraissait s'en
ement troublé. Elle avait fréquem- ment des cauchemars parfois elle croyait être transportée dans l'air à de grandes hauteu
tomber tout d'un coup dans des abîmes épouvantables : parfois elle croyait être enfermée dans des fournaises ardentes,...
thésies, qui ont été ressenties par G... dès son enfance. Nous nous croyons donc autorisés à considérer ces troubles de la
, localisées et sys- tématisées '. C'est parmi celles-ci que nous croyons pouvoir classer des accès d'aphasie motrice, qu
un seul symptôme, nous parait tel- lement exceptionnel, que nous ne croyons pouvoir le prendre comme base d'un diagnostic.
omènes, avec l'évolution de la maladie et avec son issue. Nous nous croyons donc autorisé à maintenir dans ce cas le diagno
en maniant le noir d'Allemagne, couleur à base de plomb, mais qu'il croit moins nuisible parce qu'il est dissous. Dans cell
les accès épileptiques, peuvent survenir desparalysies, mais je ne crois pas qu'après l'un de ces accès, se manifeste la
ur de Bar... à l'hôpital. Pour toutes ces considérations, nous nous croyons autorisé à émet- tre, même pour ce cas, le diag
it pas de trace de paralysie de la langue, ni des lèvres. Nous nous croyons donc autorisé à considérer ces troubles du lang
emières de ces affections doivent être éliminées ici ? Nous ne le croyons pas, tous les phénomènes de ces maladies sont a
(et c'est le cas le plus fréquent) aux troubles de la vue, comment croire que la névralgie est le point de départ de l'ar
e qui nais- saient spontanément. On peut les faire agir, leur faire croire , même leur faire voir tout ce que l'on veut, et
ensée de la démangeaison nous fait sentir un prurit véritable; nous croyons voir au microscope ce que l'on nous décrit, etc
er le système complet de Margot à huit ans, à la pension. Voici, je crois , un bel exemple, quoique assez rare, de ce déve
l'ai encore constaté chez deux malades du service de M. Charcot. Je crois savoir que M. Séglas l'a constaté aussi de son
tous ces symptômes s'accompagnent beaucoup plus souvent qu'on ne le croit . La plupart des hystériques qui sont ici, prése
ilité. III. Quand vous étudierez un cas d'aboulie, vous serez, je crois , frappé comme moi d'une contradiction entre les p
la conscience, de la faiblesse de la per- ception personnelle. Je crois que nous pouvons maintenant comprendre facile-
ité. Pour moi, je n'ai pas une influence, aussi formidable, et j'ai cru remarquer que les hystériques elles-mêmes n'éta
tes d'autres faits, en l'analysant comme un symptôme clinique, nous croyons être fidèle à la méthode qui a fait la gloire d
e d'hystéro- épilepsie avec délire extatique. Un beau jour, elle se croit ensor- celée par sa voisine. Elle enjoint à son
pour rompre le charme. La répé- tition de cet acte finit par faire croire au mari qu'il frappe sur la voisine; la voisine
plus vicieux que malades est rigoureusement exacte. Notre collègue croit que c'est par la simulation qu'ils arrivent à s
fois. Je ne nie pas que de temps à autre il en soit ainsi, mais je crois que c'est l'exception. Néanmoins, M. Charpen- t
ence mentale. M. G. Ballet insiste sur ce fait à une époque où l'on croit tout guérir par la suggestion, malheureux pour
ssi, a vu l'athétose compliquer la paralysie infantile spasmodique, croit que dans les cas de ce genre, il s'agit de lési
de projection) pour pré- senter quelques observations. Ainsi je ne crois pas que les anoma- lies mentionnées soient réel
36 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ans la gl. pinéalis. Le célèbre anatomiste anglais Th. Willis (1) croyait que, si une partie quelconque « extérieure » de
st le siège des fondions de l'âme. » Ainsi De la Peyronnie arrive à croire que le siège de l'cime réside dans le corpus ca
e des taeniac thalmor optic., ne provoque aucun mouvement. Magendie crut avoir prouvé, par ces opérations et recherches pe
abord pénétré dans une e direction allant un peu en arrière dans le crus post. dex. fornicis, s'é- garant au cornu Ammon
e D' Owen. Je remercie ces Messieurs chaleureuse- ment. Fig. b. - Crus anl. fornicis. - Dessin schématique des centres d
.. 7.oinmissura post. ? 8 : P ? tie inférieure du 3° ventricule. 9. Crus post.fornicis ad cornu Ammonii. 11. Taeniae tha
nalomo-pathologique et sa présence très fréquente, et alors ils ont cru expliquer le phénomène de la contracture par si
on voit une lésion de dégénérescence des faisceaux pyramidaux. On a cru un moment que le phénomène de la contracture tard
cas de contracture on trouve cette lé- sion du faisceau pyramidal ; croit -on qu'on puisse contester son impor- tance ?
èbre neurologiste, le résultat d'une rigidité passive, ainsi que le croyait Follin ; elle relève au contraire d'un état d'e
de pas d'où vient cette excitation comme Charcot et Vulpian ; il ne croit pas à une excitation par le tissu conjonctif du
s Hitzig ne constate pas de mouvements associés chez les adultes et croit que c'est parce que l'hémiplégie chez eux est la
toute altération anatomique appréciable du système vasculaire » ; il croyait à une entité clinique parfaitement indi viduali
a réunion se fait par première intention ; au bout d'un mois, il se croit à nouveau guéri. Deux ans après, en 1904, des d
tile est émoussée, l'ongle est décollé, blanchâtre, opacifié, on le croirait mort et pour- tant il continue de croître. Cett
ou moins consistant, avec calme, à l'esprit du malade. A priori, on croirait pour cela que les premiers malades n'ont pas mê
int pour compléter par son aspect son caractère de saint, auquel il croyait vraiment, ne pouvait être qu'un dément. La ga
tait une bandeau bras, le croyant paralysé ? C'est pourquoi je veux croire que le délire, dans la psychose maniaque-dépres
pré- sente jamais, à ce que j'ai vu, de phénomènes de ce genre : je crois qu'on peut conclure que les maniaques ne façonn
n homme qui pleure ? ne serait pas plutôt, comme on est tenté de le croire , un facies d'aveugle ? * La statuette (PI. XV,
pour ma part, aucune qui soit représentée en pleine crise, et je ne crois pas qu'on en ait signalé jusqu'à présent. Nous
astérique enfoncée chez mes sujets vivants et, dans deux cas, j'ai cru sentir de petites lacunes, sans pulsation appar
n, en effet, réduction en ce sens, mais elle est assez faible et je crois qu'elle provient plutôt d'une inflexion de la b
plement que, vu les autres alté- rations de la base du crâne, je ne crois pas qu'il s'agisse d'une déforma- tion essentie
athol. et Pathol. générale, t. 1, 1899. (2) Villaret et Francoz ont cru voir sur la radiographie d'un garçon de 6 ans, re
ui est particulièrement frappante. Pour ne donner qu'un exemple, je crois qu'une distance bi-angulaire du maxillaire infé-
dents et présentant une atrophje alvéolaire à peu près complète. Je crois donc que l'ogivalité de la voûte palatine doit
ractères crâniologiques de la dysostose cléidocrânienne,on peut, je crois , les répartir provisoirement entre les catégories
tre, des troubles mentaux qui semblent remonter à un an environ. Il croit que les autres pensionnaires, ses voisins, le p
scultation révélant, au sommet droit, des signes de tuberculose, on crut pouvoir s'arrêter au diagnostic de mal de Pott.
de son état mental. Elle se fit triste, taciturne et commença à se croire persécutée par les personnes du milieu familial
es demandé quelle peut être l'explication de ce phéno- mène et nous croyons l'avoir trouvée dans la physiologie et l'anatomie
in nom de fa- mille qui peut étonner. C'est que notre brave M. X... croyait , dans ses nuits de méditation, avoir entendu la
. X... Quant au nom de Hencelin (qui figure sur le croquis), M. X.. croyait avoir entendu sa chère M... lui dire que, bien
es solaires ou le retour des comètes périodiques, il est peu usité, croyons -nous du moins, de se servir d'un télescope en l
, roi d'Espagne et Don Carlos, roi de Portugal. Ils m'ont donné, je crois , quelque grande importance dans leur garde ou l
Ce ne sont pas les flatteuses distinctions qui me man- quent, et je crois bien me rappeler que je suis commandeur de l'ordr
sabeth, qui avait les « jambes enflées », s'en fut en Amérique ; on croit qu'elle se noya. Henry est vivant; il est âgé d
la fonction des nerfs qui les comman- dent. En d'autres termes nous croyons que la condition est primitivement une névrose
le se sont mariées alors que l'oerlème était bien avancé. On eût pu croire que l'oedème des jambes aurait pu cons- tituer
e, et de l'oedéme angioneuro- tique, mais nous avons des raisons de croire qu'il existe sous ces trois états morbides et n
ent d'un petit séquestre détaché de l'humérus ou du cubitus. J'ai cru que cette observation et ces documents valaient l
individus imaginaires ne le voient et ne viennent le trouver. Il se croyait poursuivi par les gens qu'il rencontrait dans l
e et d'alarmes ; elles voyait partout des présages fâcheux, elle se croyait en butte à la malveillance et à l'insulte. Da
endance à produire la mélancolie anxieuse. Régis est de cet avis et croit qu'il faut rapporter au goitre exophtalmique, n
té. Toutefois, comme le remarque le même auteur, il ne faudrait pas croire que le type d'hémiplégie flasque soit en quelqu
e ces malades et qui par là indiquent tellement leur nature que, je crois , on s'exposerait bien peu à commettre une erreur
epuis lors xxi 1 17 250 SÉGLAS ET STROEHL1N ' il ne cessa de se croire lésé dans ses intérêts, de tourmenter son beau-
rait passé sans témoins entre ce docteur et moi ; alors pourquoi le croire plutôt que moi ! » Pendant une année, P... pers
é à la suite d'un processus inflammatoire antérieur, celui-là même, croyons -nous, qui a entraîné comme conséquence la micro
ôté opposé. En nous basant sur ces différentes considérations, nous croyons que l'on peut admettre l'explication suivante d
i du pied rappelle au contraire le mouvement réflexe normal. Nous croyons donc pouvoir avancer, comme conclusions de ce tra
ligamenteux. Généralisation et ho- mogénéité du processus. Je ne crois pas devoir m'étendre au point de vue étiologique
clinique des différentes formes d'arrêt de déve- loppement. Nous croyons par conséquent que tout nouveau document clinique
ivement t exactes que sur le tout petit monde qui l'entoure. Elle croit que Florence est la plus grande ville du monde, e
. - Dans ses jugements' elle se montre assez indépendante ; elle ne croit pas si on lui raconte des choses absur- des. El
sait faire la distinction entre les faits fantastiques et réels ; ne croit pas aux fées, aux esprits, ni au retour des mor
de telles questions elle sourit et répond que les enfants seulement croient à ces choses. ' 306 ETTORE LEVI Pudeur. Sensa
ort des parents, à avoir une famille à soi ». A la question si elle croit qu'elle va se marier, elle répond : « je ne sais
eul et suprême seigneur du monde. Religion. Elle sert à adorer, à croire à quelqu'un ; nous croyons que Jésus a existé,
monde. Religion. Elle sert à adorer, à croire à quelqu'un ; nous croyons que Jésus a existé, mais nous ne croyons pas qu
croire à quelqu'un ; nous croyons que Jésus a existé, mais nous ne croyons pas qu'il ait fait tout caque les chrétiens dis
erais-tu ? Je cher- cherais à l'aider, si j'y voyais. Quel avenir crois -tu que tu auras ? - Dans le temps je cousais des
ractères dif- félqnts de ceux qu'on a décrits jusqu'à présent. J'ai cru utile de les faire connaître ; je me bornerai,
sa editrice Vallardi. 334 GIUSEPPE FIL1NCIIINT ET G. GlGLI01.1 Je crois qu'aujourd'hui on ne peut guère douter de l'origi
'autres je n'ai rien trouvé ; toutefois, comme le fait existe, j'ai cru de mon devoir de le faire connaître. Donc, étan
herches expérimentales qui se font de tous côtés. Pour conclure, je crois que : 1° L'hypophyse joue un rôle dans la produ
tures de ces parties de corps. Ce que je viens de décrire et que je crois devoir attribuer à une atrophie partielle de l'os
ander à l'auteur qu'est- ce qu'il entend par échange normal, car je crois qu'en allant de ce pas, son malade se trouverai
être augmenté, un plus grand nombre de calories par. kilogramme. Je crois qu'il en aurait retiré l'avantage d'avoir finalem
qui a faitrécemment l'objet de plusieurs mémoires en Allemagne est, croyons -nous, assez peu connue en France. Observation
ssements du crâne chez des enfants idiots et hydrocéphales et je ne crois pas invraisemblable que la légère irritation pr
ensations de vertige ; a peur de tomber quand elle est couchée ; se croit en voiture. Délire, prétend qu'on veut lui fair
é irréguliè- rement dilacéré, qu'il a été réduit « en bouillie ».Je crois ne pas me trouver en présence de produits artif
ues du milieu ambiant. La vie élémentaire, de cellulaire qu'on la croyait d'abord, tend de plus en plus à devenir molécul
ns correspondantes dans l'aspect et dans la fonction ; nous pouvons croire , au contraire, et il est même certain qu'il exi
avec beaucoup de raison et beaucoup plus de profondeur qu'on ne le croyait sans doule que l'habitude invétérée était une sec
, de l'incons- cience et de l'irresponsabilité, tandis que d'antres croient y voir l'expres- sion d'un choix libre et réflé
t dans l'intimité de la constitution cellulaire ? Aviez-vous jamais cru par hasard que certains monstres de méchanceté
, on parle de pneumococcie, cte colilacilloae, de streptococcie. Je crois quil est temps que les névroses soient l'objet
e enlumi- nées... » (1). De qui sont ces miniatures ? ` ? Faut-il croire avec J. Renouvier que Ve- rard enluminait lui-m
arre de fer et veut en frapper sa mère ; il réclame son père, qu'il croit à Casablanca ; celui-ci est à quelques kilomètr
aine. La malformation n'est donc pas aussi rare qu'on pour- rait le croire . Elle est unilatérale dans les deux tiers des cas
n de nous a publié un fait démonstratif à ce point de vue (1). Nous croyons avec Dareste etKirmisson qu'il faut cherchera l
des lésions secondaires de la glande thyroïde, tandis que Ferranini croit que la seule action débilitante de la malaria c
n. Schuller explique différemment les cas de cette catégorie et les croit causés par une lésion primitive des glandes sém
nome. Sur ce sujet je m'accorde pleinement avec M. De Sanctis et je crois que mes observations fournissent une preuve exc
iez où les symptômes d'hypothyroïdie étaient] manifestes. Nous ne croyons pas non plus être autorisé à considérer l'arrêt d
otre sujet a les poumons, les reins, etc.parfaitement sains. Nous croyons en conséquence que l'hypothèse la plus probable e
question,exprimant sa con- viction d'une façon très nette : nous ne croyons pas pouvoir mieux faire que de reproduire ici s
e la considération que nous devons à cet éminent Clinicien, nous ne croyons pas pouvoir accepter aujourd'hui intégralement se
r accepter aujourd'hui intégralement ses idées à ce sujet : nous ne croyons pas que nos cas et les quelques cas analogues d
lé d'intégrité relative du corps thyroïde parce que si nous ne nous croyons pas autorisé, par aucun fait bien démontré, à a
ne lésion prévalentedirecte et primitive du corps thyroïde, nous ne croyons pas non plus pouvoir affirmer que cette glande n'
z qui justement il y a prévalence d'infantilisme génital. Nous ne croyons pas qu'il soit juste de nier toute valeur aux obs
t;·017b Bramivel a décrit un infantilisme pancréatique, et 11'ezasser croit que les lésions hépatiques dans la polysérosite
tre une cause d'arrêt de la croissance. Toute nne série d'auteurs croit à l'origine testiculaire de l'infantilisme. Bic
évalent, sinon exclusif, de l'arrêt de croissance. Comme Variot ils croient que le testicule doit entrer en ligne de compte
e ne puis accepter cette conception globale de l'infantilisme et je crois que si l'on suivait à la lettre les idées de M. I
ment à ce sujet aux idées si bien exprimées par M. De Sanctis et je crois qu'on ne doit formuler le diagnos- tic de myxoe
par des faits cliniques et physio-patholoaiques assez clairs et nous croyons que dans l'état actuel de nos connaissances, il
uellement normale mais de culture très pauvre; et difficilement, je crois , j'aurais mis en relief ses caractères d'infant
partiel qui probable- ment sont beaucoup plus répandus que nous ne croyons chez les person- nes normales mais incultes.
giques nouveaux qui ne sont pas d'interprétation facile et que nous croyons utile de discuter à fond. Chez Marguerite Ser
a méninge et de ses pro- longements. » Comme conclusion, Murri ne croit pas trop à l'existence d'une forme d'hydrocépha
ce d'une forme d'hydrocéphalie idiopathique au sens étroit, mais la croit le plus souvent se- condaire à des faits irrita
us laisse cependant quelques doutes. Malgré tout, nous persistons à croire plus probable,sur la base de l'a- namnése et de
'affirmer le diagnostic d'une forme vraie d'infanti- lisme, et nous croyons que ce nom ne doit pas être refusé aux sujets du
st une caractéristique importante des in- fantilismes vrais. Nous croyons en conséquence que l'infantilisme de Lorain doit
cliniques. ' Sur la foi de nombreuses observations cliniques nous croyons en outre ne pas pouvoir encore accepter comme d
sfaisante peut-être aussi, mais qui nous semble plus logique : nous croyons en effet qué'les infantilismes en général et l'in
duodénum (ictère) ou bien l'embolie de l'artère hépatique. » Je ne crois pas que cetle hypolhôse puisse être avancée série
unique, sèche, précédée de douleurs lancinantes dans le membre. Je crois donc pouvoir exclure aussi l'origine embolique
dû exclure ces hypothèses, devons-nous renoncer au diagnostic ? Je crois que non. ' En regardant les plaques de sphacèle
onclure rien de sûr avec des simples rapports d'analogie. II Je crois avoir démontré que, dans mon observation, il s'ag
elle est guérie ? , Avant d'arriver à une conclusion à ce sujet, je crois nécessaire d'ana- lyser un peu les faits connus
uireune gangrène des tissus sous-épidermiques, nous sommes forcés à croire qu'il ne s'agit pas chez ces sujets d'une si- m
ères étranges, et qui aboutit toujours à la même ci- catrice ? Je crois que personne ne peut désormais douter de ce fait,
me}) sensu stricto, selon la conception récente de M. Babinski » Je crois nécessaire de diviser la demande dans ses deux
roi du vagin donna lieu à des hémorragies qui amenèrent la mort, je crois qu'on trouvera pleinement justifiée mon idée : je
la mort, je crois qu'on trouvera pleinement justifiée mon idée : je crois que chez ma malade une ulcération trophique de la
que les ulcérations de la peau a été la cause de sa mort rapide. Je crois qu'aucune aulre hypothèse répond mieux à la réali
pathogénie précise du phénomène est très difficile à expliquer. Je crois qu'il est inutile de parler d'une diathése spécia
sujets hystériques, môme chez les sujets les plus intelligents, je crois que la guérison des phénomènes hys- tériques se
du médecin ; mais la guérison arrive plutôt parce que le sujet qui croit aux paroles de son méde- cin, reçoit l'idée du
Apparemment je l'avais guérie par persuasion, n'est-ce pas ? Je ne crois pas. En effet : trois jours après, j'arrive dans
uses qui suivent les contractures hystériques de longue durée. Je crois , au contraire, que la suggestion peut arrêter la
gestion peut arrêter la formation de nouvelles plaques. Je dis « je crois », parce que rien dans la littérature ni dans m
nous conclure qu'ils étaient tous atteints d'hystérie ? Je ne le crois pas. Le pithiatisme se trouve en état d'ébauche c
dominant au lieu d'être en état d'é- bauche, on a bien le droit, je crois , de parler d'une faculté spéciale de l'hystérie
es et si je lui affirme qu'il ne peul, plus ouvrir la bouche, il me croit et il ne peut plus vraiment ouvrir ses lèvres. C'
traire beaucoup p de gens très peu intelligents, très crédules, qui croiraient aux nouvelles les plus impossibles ; chez eux l
'ouvrir, et ils l'ouvrent très bien en riant de ma plaisanterie. Je crois donc bien sûr qu'un phénomène objectif (ce qui
ez d'autres névroses au de- hors de l'hystérie. En résumé : je ne crois pas que les réponses qu'on a données à la pre-
naire soumis à la Société de Neurologie soient défi- nitives. Je ne crois pas démontré que le pithiatisme soit exclusif de
térisme tout en en étant un des caractères les plus évidents ; je ne crois pas démontré que l'hystérisme se résume dans le
pas démontré que l'hystérisme se résume dans le pithiatisme. Je ne crois pas que tout ce qu'on a dit, écrit et observé à
and créateur de la Neurologie moderne que fut M. Charcot. Mais je crois que la réaction suivra encore une fois, je crois
. Charcot. Mais je crois que la réaction suivra encore une fois, je crois que l'hystérie, cette éternelle Protée, selon l
initions nouvelles, des négations et des affirmations précises ; je crois et j'espère que entre les deux tendances on tro
es trophiques a été discutée, voici comment il s'est exprimé : « Je crois que les troubles trophiques cutanés sont des plus
nelles, et non sur des idées théoriques, comme certains semblent le croire , que sont fondées mes dénégations. Il ne me coûte
37 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
n'est pas mort, lorsqu'ils auront besoin de nouveau de son aide. Nous croyons que l'hypnotisme est tellement entré dans la prat
plupart de ces malades d'incurables... par la psychothérapie, nous le croyons facilement, mais s'il avait essayé avec persévéra
es professeurs de Péters-bourg, Vienne, Paris et Berlin. Le malade se croyait tabétique. Il ne marchait plus, présentait des tr
ilité des moyens physiques, l'encourager à prendre patience, n Nous croyons que c'est de cette façon-là que se développent le
ivre pendant plusieurs mois ou pendant un an ou deux. Quant à moi, je crois à la guérison des tics : les exemples ci-dessus s
ments, je déclare à la malade que ce n'est , pas la fin comme elle le croit et qu'elle peut parfaitement bien se nourrir; que
maines et un petit minimum suivent le traitement quelques mois. Je ne crois pas avoir eu phis de 2 % d'insuccès total. Je s
x plus froide, plus faible, moins vibrante appelée voix de tête. Je crois donc pouvoir affirmer que ces deux expressions, v
t, par le repos, se réparent. Dans ces conditions, il est permis de croire à l'efficacité du sommeil sur le travail de l'esp
nces sur une grande hystérique de la salle Valleix, au numéro six, je crois . Entre un jeune étudiant au crâne déjà chauve,
d'avoir du caractère est bien la caractéristique de Bérillon. Mais croyez -vous que des hommes de cette trempe naissent par
n, tandis que les autres l'attribuent tout entière à l'hérédité. Je crois même que dans l'une de ses plus belles leçons : L
s de Berne), sur « les Psychonévroses ». f suite et fin) (i) Nous croyons avoir démontré que le reproche adressé à l'hypnot
n; mais jusqu'à quel point y réussit-il? Personne ne le peut dire. Il croit contribuer ainsi à ramener plus d'équilibre chez
bouche, le vagin ou le rectum. Que le public pense ce qu'il veut et croie à une puissance occulte, surnaturelle ! Nous avon
ute» les particularités observées au cours des séances. Mais non ! On croit qu'il faut hypnotiser et que cela se fait comme u
iger l'effet ridicule de sa phrase et ajouta: o Et pourtant, oui, j'y crois puisque je guéris aussi par l'influence de l'espr
épingle dans le bras; elle ne sourcille pas; lui, devient perplexe et croit qu'elle simule. « 2Cous allons bien voir! » dit-i
e crie; mais cette épreuve ne le convainc pas encore et il persiste à croire à la simulation. II veut la réveiller, elle con
e cette expérience à son chef qui haussa les épaules et sourit sans y croire mais qui, en homme pratique, engagea son assistan
n avait réussi. Et quand l'assistant me raconta cela il y a un an, il croyait encore à la simulation de la malade et n'était pa
n a eu davantage il a 10 ans, lorsqu'on l'a tirée du tombeau où on la croyait disparue! Cela seul suffirait à démontrer la vigu
l, excitant, mauvais; je concède qu'en ce temps c'était le seul qu'on croyait nécessaire. Et je suis vraiment étonné qu'avec un
pnotisme comme moyen thérapeutique, pour la raison bien simple qu'ils croyaient l'hypnose, une névrose! Donc leur opinion sur l'h
ils me l'ont même pas pu formuler. Et il. Grasset le pratique si peu, croyons -nous, qu'il est vraiment étonnant qu'il le trouve
ses. L'hypnotisation ne change pas la moralité des gens comme le fait croire M. Dubois. M. Dubois no cesse d'assimiler l'hypno
nt être considérée comme un € isolement interne » bien plus efficace, croyons -nous, que l'isolement extérieur, le fameux isolem
ientifiques de il. Dubois ne sont donc pas aussi nécessaires qu'il le croit puisqu'une surveillante suffit pour obtenir du ce
ois n'ai-je pas rallumé ma lampe, quand la maison dormait et qu'on me croyait au lit, pour chercher une solution qui me fuyait
tièrement, mais y ajoutent une variante applicable à certains cas. Je crois que, si « la nuit porte conseil », ce n'est pas s
utrées. Si une personne s'éveille d'une trance (mort apparente), on croit qu'elle est mort réellement et ne revient que pou
l lui manque une notion saine de la puissance de la science. Elle n'y croit pas ou y croit trop tard. « Le remède, c'est l'
e notion saine de la puissance de la science. Elle n'y croit pas ou y croit trop tard. « Le remède, c'est l'enseignement su
remiers à discerner ses mérites. Mais avant de vous en entretenir, je crois utile de rappeler les circonstances dans lesquell
stématiques. C'est le sort réservé à ceux qui se mêlent d'innover. Ne croyez pas que ces hostilités se rencontrent seulement e
embre de l'Académie de médecine. Mon cher Bérillon, Vous avez, je crois , dix-huit discours à entendre. (Sourires.) Je ne
: il apprend alors que son fils n'a même pas eu le moindre accessit ! Croire que son fils est un travailleur et en être fier,
aissent également, Mme Berthe. Quand Francis Laur eut affirmé qu'il croyait que la mine contenait encore des mineurs vivants,
laissa entendre que le mardi on verrait... si... si... on saura. Nous crûmes comprendre] qu'on en retirerait au moins un vivan
rempli d'eau boueuse. [Celui-là reviendra-t-il, fimes-nous? — Je crois bien qu'on arrivera trop tard. Et puis on va trop
n'a pas souffert beaucoup de la faim ni de la soif comme aurait pu le croire la somnambule si elle s'était inspirée de l'histo
. 2) : Un jour encore, je tombai dans un beurtia plein d'eau, et je crus que j'allais être noyé. J'en sortis grelottant de
e soir, l'éclatante justification de la distinction qu'il a reçue. Je crois même que la ratification que vous lui donnez ce s
nde psychologie, et surtout à son indépendance d'esprit. C'est là, je crois , sa qualité dominante. Ce n'est pas pour lui que
ettre son élection à l'Académie de médecine. » Il me répondit: « Vous croyez qu'en acceptant la présidence, je vais m'aliéner
udie nullement ce qualilicatif. Bien mieux, je m'en honore et je veux croire que c'est aux principes que je viens de vous expo
d'émotion à Le tabac et le cerveau. Nombreux sont les gens qui croient que le tabac est un stimulant du cerveau et la pl
'assouvir une vengeance en accusant une personne innocente. — Je la crois capable, a-t-il dit, d'avoir porté en justice un
adie qu'il soit atteint, n'a besoin de médita 11 faut noter que Brnid croyait pouvoir guérir le tétanos avec l'hypnotisme. (N.
», de « ma théorie », de « mes principes ». En lisant ses écrits, on croirait que l'hypnotisme était une tabula rasa avant lui,
sseur, nous prenons la liberté d'observer qu'il est vrai que Faria ne croyait pas, comme plusieurs auteurs d'aujourd'hui qui n'
i du côté de la face, ni du côté du thorax, aucun signe pouvant faire croire à un effort respiratoire quelconque. Sous l'inf
hypnolisables, ils n'ont jamais pu constater aucun fait permettant de croire à la réalité des phénomènes que l'on prétend exis
r. Ces quelques exemples pris parmi beaucoup d'autres sufiisent, je crois , à vous montrer combien était étonnante la clairv
qui, croyant au pouvoir surnaturel de « la voyante », se trouve ou se croit guéri par le traitement prescrit par elle. Entre
rument psychométrique dont la loi doit reconnaître la vérité, si elle croit devoir en limiter l'emploi. Et devant la lumine
prétendues voyantes ne sont pas aussi inoffensives qu'on pourrait le croire . A l'appui de cette opinion, je puis citer le cas
aima-bleleltre où vous m'indiquiez le drôle mais efficace remède, je croyais que M. le Dr voulait rire. Je ne me suis décidé à
ge... etc.». Le début de cette lettre indique bien que le malade ne croyait pas à l'efficacité du traitement, ma lettre ne l'
copie ou égyptienne ? — Cela n'est pas sûr... Quant à moi, je ne le crois pas. — C'est un tombeau. — Soit, mais le tombea
ction du journal de Maurice Robin, La Médecine internationale, où, je crois bien, elle a été publiée, il n'y a pas très longt
faire quelque chose pour elle. M*" X... ne me cache pas qu'elle se croit fort peu suggestible, non entachée de nervosité e
compagnons vomir. Jamais je n'ai éprouvé le moindre malaise, mais je croyais que sur la mer c'était autre chose et que la mer
flexes psychiques ; le réflexe organique augmente le trouble, mais je crois qu'il est insuffisant à provoquer et le mal de me
une explication sur un point quelconque de la leçon, l'instituteur se croit blessé dans son amour-propre et impose silence.
uent donc manifestement des troubles psychomoteurs. De plus, nous croyons avoir établi le mécanisme pathogénique du tic de
vue mental, je suis arrivé à un certain nombre de conclusions que je crois devoir rappeler. Dans mon Aperçu des lois psych
ie morale et religieuse comme on étudie l'histoire naturelle». A l'en croire , i l'âme peut avoir des intuitions du vrai que l'
par une autre roule. Il a donc menti. Paul de Régla se refuse à le croire : « Jésus était irop grand, dit-il, il portait tr
aucun de nous, ne surent pas s'en dégager complètement. Après avoir cru que Jésus était un Dieu, ils ne purent se convain
témoignage des évangélistcs Marc et Jean, le ienaienf pour fou et ne croyaient pas en sa mission divine, jusqu'à ce Iaàkob, dit
Je montrerai où il puisa l'idée du Messie, et comment il en arriva à croire à sa propre messianité. J'étudierai sa mémoire,
ence. Vous dire pourquoi elle mouche des vers est assez difficile. Je crois cependant que quelque mouche aura déposé ses œufs
lement pendu. Elle esttellement nerveuse, ajoute la mère, que jenc la crois pas. Il restait à obtenir l'aveu de l'enfant. J
de chance de vaincre dans ta lutte pour la vie. 11 faut se garder de croire que ces vues ne puissent intéresser que les natur
rguments sur lesquels le Dr rjérillon avait basé sa proposition, nous croyons utile d'en reproduire dans ce numéro les éléments
sion, M. Lépine, avec la haute élévation d'esprit qui le caractérise, crut de son devoir de définir d'une façon précise le r
en faveur de la réforme complète de notre enseignement médical ; nous croyons utile de reproduire in extenso le travail que nou
l'autorité ; or, on ne l'acquiert que par un long effort ». Il faut croire que l'exemple de Charcot est des plus caractérist
e mes collègues, plusieurs professeurs m'ont dit plaisamment : « Vous croyez qu'il existe encore des élèves timides 1 Pour mon
résentait le poids maximum que son camarade eût jamais pu enlever, il croyait bien le mettre en échec par cette surcharge. Mais
des terreurs nocturnes, des hallucinations visuelles terrifiantes, se croit attaqué par des bêtes fauves (lion, tigre, etc.).
t la fin qui, dans son esprit, forment un tout bien coordonné. J'ai cru intéressant de rappeler ces deux faits de somnamb
it entendre, ce doit être une Raine ('). « Oui, répond Mme R..., je crois bien qu'il s'agit d'une Raine. « — Comment expl
ura-t-elle pénétré dans votre bouche, étant toute petite? « — Je ne crois pas, répond Mme R... J'ai dû avaler cet animal à
ffirmer si elle pénètre dans cet organe, bien que je sois portée à le croire , mais ses lieux de prédilection sont le rein, sur
, l'expression de nos sympathies les plus affectueuses, et le prie de croire que les professeurs de l'Ecole de psychologie s'a
ence que, lorsqu'il commença la leçon d'inauguration de son cours, il crut devoir se concilier l'indulgence par le trait d'e
ilieu à saisir, ce qui est chose plus difficile à établir qu'on ne le croirait généralement Nous avons tous encore présent à l
rs de l'hiver « l'aspect de la troupe, chose plus importante qu'on ne croirait , parce qu'elle réagit sur le moral du soldat, est
les cas. La plus grande difficulté se présente d'abord. Si nous en croyons La Rochefoucauld, « La timidité est un défaut don
son trouble. Très sensible, mais froide en apparence, ses parents la croyaient sèche, alors qu'elle était concentrée. Ils eussen
s pour son déjeuner, il achetait un morceau de pain d'épice, laissant croire à ses camarades qu'il apportait seulement son des
nspirent ; tandis qu'on est choqué par l'aplomb de certaines gens qui croient tout savoir sans avoir rien appris. Ce qu'il fa
avais formulées. Une des premières personnalités auxquelles j'avais cru devoir offrir ma brochure fut M. Liard, alors dir
ans l'amphithéâtre Cruveilhier, assigné aux professeurs libres. Je ne crois pas qu'aucun représentant autorisé de la Faculté
d'humeur, son incapacité pour le travail des idées lui échappent. Il croit avoir eu toujours les mêmes idées et les mêmes di
dispositions d'humeur ; il est sujet à des illusions de souvenirs et croit reconnaître dans son passé son état actuel qui n'
toujours, hélas '. à la cicatriser. Ce serait une grave erreur de croire que les abus du concours de l'agrégation datent d
s en plus les administrations de notre pays. Ma proposition, que je croyais enterrée à tout jamais, est réapparue au récent c
s pylbonisses, les sibylles, les pythies, ces médiums de l'antiquité, croyaient être inspirées par le dieu du temple auquel elles
seraient-ils compensés par de redoutables faiblesses? Il faut bien le croire . Ces organismes ébranlés ont comme des fissures
J'ai étudié en détail le cas d'une pauvre femme qui sur le tard se crut l'instrument d'une mission providentielle. Elle é
ialistes. Elle convient presque à regret que pendant ses transes elle croit voir sa mère et ses amis morts, auprès de qui ell
l'Ame. les " ESPRITS » SE BAPTISENT d'APnÈS l'eSPBIT DU JOUR. Je crois qu'il n'était pas inutile de citer ces diverses v
38 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
souvent insensibles. » Tel n'est pas absolument notre avis; nous croyons qu'on peut arriver quelquefois au diagnostic de
et après lui par un grand nombre d'auteurs. Mais Mauriac a eu tort, croyons -nous, d'at- tribuer l'aphasie et l'hémiplégie i
e artérielle des autres variétés de [syphilis cérébrale. Nous avons cru bon de les réunir dans un tableau synoptique qu
ne pensent point que les troubles trophiques soient fréquents. Ils croient , au conlraire, que ces symptômes observés chez
souvent à cette même influence des nerfs, à notre avis. Vulpian" croyait à la suppression de l'action musculaire dans la
logie de l'abrasion dans les traités d'affec- tions dentaires. Nous croyons qu'elle est due, dans la para- lysie générale,
'elles étaient envahies par les parasites. Sans être absolu, nous croyons que chez ces derniers aussi bien que chez les p
oedème pupillaire et péripupillaire. M. Neil Jameson lIepbul'l15 croit que les symptômes ocu- laires pourraient être c
s ou qu'elles coïncident avec une poussée congestive ainsi que le croient Zacher et Durante7. : . - Tous ces troubles tro
seulement à la malpropreté, au décubitus ou au frottement, comme le croit M. Arnaud', mais quel- quefois aussi aux troubl
apparente, ressent au bas de l'épine dorsale un chatouillement; il croit qu'il a besoin d'aller à la selle, se rend aux
x water-closets, et le besoin de déféquer cesse aussitôt. Le malade croit à des influences sensationnelles. Parfois il ne p
antôt c'est aux mots « gut essen sie », A d'autres moments, elle se croit aveugle, elle ne peul 54 REVUE D'ANATOMIE ET DE
du goût), n'est pas probant aux yeux de Dixon. Il y a tout lieu de croire , en effet, que cette masse devait comprimer le
ques citées par l'auteur, le cervelet est, plus souvent qu'on ne le croit d'ordinaire, le siège de ces abcès. Les signes
pu obtenir d'un sujet en état de sommeil, d'accomplir un acte qu'il croit criminel. (Expériences avec des couteaux de pap
t par elle-même si claire et si évidente qu'elle n'a pas besoin, je crois , d'autres éclaircissements. De sorte que la médec
a mère et la tante mater- nelle étaient aliénées. M. Christian ne croit pas à la paralysie générale dans l'enfance pour
cas non douteux suivis d'au- topsie très complète. M. Sollier ne croit pas que l'insomnie et l'excitation signalées pa
uvelle série d'expériences, corollaire de la première, M. Sollier a cru pouvoir dégager une théorie pathogénique de l'h
d'avoir fait intervenir la suggestion dans ses expériences, nous ne croyons pas qu'elle soit restée étrangère à la producti
muets. Bien qu'il n'ait, aujourd'hui qu'un intérêt secondaire, nous croyons qu'il a sa place marquée dans la bibliothèque d
antes comme dans le cas que nous rapportons plus loin, où la malade croyait avoir subi une opération, puis avoir été décapi
beaucoup la forme la plus fréquente et la mieux connue. Oppenheim ' croit ses symptômes si caractéristiques qu'ils permet
donne, elle se plaint maintenant de tout et à propos de tout. Elle croit qu'on lui en veut, que les soeurs en particulier
s'est pas rendu un compte exact de l'endroit où on l'a transportée, croit qu'on l'a changée deux fois de lit, demande à r
on, pré- tend qu'un des élèves militaires lui a coupé la tête, elle croit être morte. Elle a aussi des hallucinations de
ptômes de déficit beaucoup plus difficiles à dépister. Mais nous ne croyons pas qu'il existe des zones véritablement latent
térielle l'importance des intoxications et auto-intoxications. Nous croyons que dans la syphilis gommeuse c'est encore à el
) La cause de ces ramollissements est très obscure. Bouveret les croit dus « soit à la compression qu'exerce le néoplasm
tre heures. Sans prendre parti dans ce débat pathogénétique, nous croyons que l'oedème de la papille se rencontre surtout d
lésion ces rémissions peuvent être plus ou moins com- plètes. Nous croyons qu'il y a toujours un fond permanent de symptôm
s une voie Sans issue. Plus je réfléchis à la ques- tion et plus je crois que l'on a fait fausse route. Les descriptions
en quelque sorte de la vieille paralysie générale ébranchée ? Je crois aussi qu'il peut y avoir, suivant les prédisposi-
ir être celle de la vérité. Si ces vues sont exactes, comme je le crois , elles nous per- mettront bientôt, en présence
a dépossédés, on peut en rencontrer qui, véritables persécutés, se croient indûment frustrés de biens à la possession desq
quelquefois de légers actes de violence. L'auteur a quelque peine à croire que ces deux groupes ne constituent qu'une seul
l'auteur que le Latah tirait son origine des rêves; mais comme ils croient aux songes, aux revenants et à leur influence n
ttaque, obtenu des hallucinations par ce procédé, mais la malade ne croyait pas à la réalité de ce qu'elle voyait. C'est un
isième se figure avoir fait une poésie qui est de Uhland; tel autre croit avoir pour fiancée une jeune fille qui le conna
01·1 attire l'attention sur la pureté du cas de MM. P... et W... et croit à l'étendue considérable de l'hémor- rhagie le
e ni infirme la théorie de Langhans et de Kronthal. M. Mourawieff croit que la sarcomatose et la gliomatose dans cette
s dehors de la simplicité ; 3° regarder longtemps, même après qu'on croit avoir bien vu ; 4° éviter les théories et se mé
s la position accroupie dans laquelle on l'avait trouvé, pour faire croire qu'il était de lui-même entré dans la malle.
ès avoir passé en revue et critiqué les cas publiés avant '188ë, ne croit pas à « l'ostéite raréfiante, ni, par conséquen
mi, sur 250 cas, il n'a pas observé une seule fracture. M. Simon ne croit pas non plus aux frac- tures spontanées des par
titution anatomique de celui qu'elle épousait. J... a l'illusion de croire que sa fille est née de ses oeuvres, mais il a
z les ouvrières manuelles, elle est très faible dans la jeunesse et croit jusqu'à dix-neuf et même jusqu'à vingt quatre-a
la cellule nerveuse. Cette substance n'est pas amorphe, comme on le croyait naguère ; elle renferme des fibrilles, des stri
de de la texture intime de la substance achromatique 111, Marinesco croit pouvoir admettre au moins trois types de cel- l
croisés ne sont pas primitivement affectés comme pourrait le faire croire l'apparition des premiers symplômes de la malad
'on obtien- dra la guérison de l'alcoolisme. M. Van den Corput ne croit pas que l'alcoolisme soit une fonc- tion de l'i
alcoolisme soit une fonc- tion de l'industrialisme du siècle. Il ne croit pas que le travail intensif qui résulte des tra
concep- tion religieuse d'une harmonie fatidique de la création, il croit que l'alcoolisme est, en quelque sorte, un mal
à l'organisation de la cure systé- matique des buveurs, si l'on en croit les gens expérimentés. Il n'y a que le bon publ
lic égaré par des journaux trop légèrement ren- seignés, qui puisse croire encore à l'existence en France d'un asile de bu
himiques ! L'honorable M. Lentz, directeur de l'asile de Tournai, a cru bon de se faire le champion des modérés. C'étai
comme une autre, très en honneur de nos jours ; j'ai la naïveté de croire que ce n'est pas la bonne. Théoriquement l'abst
e pourvoir l'asile de Villejuif d'un poste de médecin-adjoint, j'ai cru ne faire que mon devoir. Enfin, l'argument tiré
oute conscience et sans aucune préoccupation du dehors, ce que nous croyons utile pour les malades, pour le bon fonction- n
rs des aliénés dits criminels aux médecins par l'administration, je crois utile de vous communiquer quelques ren- reignem
par pendaison ? Dans les deux cas, pourtant, il y a asphyxie; aussi croyons -nous qu'on peut d'avance éliminer toute hypothèse
travaillent en somme pour le moins mal. D'ailleurs, il ne faut pas croire que tous les invertis soient résignés à leur so
l. M. Raffalovich a prétendu que c'était une grossière erreur que croire que les invertis ont conscience de leur anomalie
. ÉTUDE DE LA DESCENDANCE DES INVERTIS. 287 7 ils peuvent même se croire supérieurs à ceux qui sentent et pensent autrem
is quand ils voient faire ceux qui les entourent ils ne peuvent pas croire qu'ils leur ressemblent, qu'ils sont dans la rè
e fois par mois. Parfois des crises plus graves se produisaient; on crut ainsi la perdre au quatorze juillet de l'an der
, des théories surannées auxquelles les buveurs ne demandent qu'à croire . De même que son autorité à bouleversé l'hygiène
écrivains qui, parce qu'ils tiennent quotidiennement une plume, se croient passés maîtres, et se trouvent aptes à disserte
ues. Et Dieu sait si, grâce à la cré-. dulilé des gens incultes qui croient « parce que c'est écrit », la mau- vaise herbe
'électeurs intéressés à l'insuccès de la réforme. Les bouilleurs de cru conti- nuent à nous empoisonner parce qu'ils on
t pas une affection vague et mal définie, comme tendrait à le faire croire la description récente de Binswanger : son expr
le cours du tabès dorsalis sont beaucoup plus fréquents qu'on ne le croyait jusqu'à préseut. E. B. XLI. Fibrome sous-cutané
t venues. Ces caractères n'ont rien d'absolu, et il ne faudrait pas croire que ces formes soient seules symptomatiques de
je n'étais pas éloigné... » Un malade cité par Iibot3, et qui se croit mort depuis deux ans, s'exprime ainsi : c J'exi
entendait chanter un coq dans ses entrailles, tandis que l'autre croyait que la chienne du curé de Saint-Germain avait m
se com- portent de même. « Des malades à impulsions violentes se croient criminels, possédés, damnés ou changés en diables
ou changés en diables ; d'autres, poussés à hurler et à mordre, se croient métamor- phosés en loups. * Les réactions inh
ne dans le développement même de l'intelli- gence du malade ; aussi croyons -nous qu'ils ne constituent pas un élément indif
et les malades les traduisent souvent eux-mêmes en disant qu'ils se croient doubles ou bien qu'ils sont changés en un être
donne une sorte de grandeur aux conceptions morbides. « Le malade croit qu'il est la cause de tout le mal qui existe da
état dans lequel certains aliénés, frappés des terreurs de l'enfer, croient être damnés. » Ils ne sont pas, comme les démon
e phase moins avancée d'une même évolution chronique. Avant de se croire possédés, ils passent par une période de déses-
passent par une période de déses- pérance et d'inhibition où ils se croient abandonnés de Dieu et damnés. Dès cette époqu
eprésentations mentales d'une chose redoutée fait qu'on en arrive à croire l'avoir faite, ou même qu'on passe à l'exécutio
ssaut; le malade s'attribue seulement des méfaits imaginaires et se croit la cause de phénomènes réels accidentels. Une m
accidentels. Une mélancolique religieuse qu'on retrouvera plus loin croit qu'elle est cause de la folie de toutes ses com
asma nutritif dans le corps cel- ]tilaii-e. V. Leiiliossél. ne peut croire que, aujourd'hui encore, Golgi persiste dans ce
e nerf soit moteur ou sensitif, il n'importe, selon Waller. On peut croire , en effet, que le prolongement nerveux d'une ce
s les exci- tations venues de l'écorce (Goldscheider). V. Lenhossék croit au contraire que, dans la section périphérique
ocs tigroïdes. Lenhossék se rattache à l'opinion des auteurs qui ne croient pas que ces substances participent aux fonction
lon- gements protoplasmiques, édifient pleinement à cet égard. Il croyait avoir enfin trouvé, dans l'existence de ces cellu
de Kolhker, de van Gehuchten, de Retzius, etc., de tous ceux qui croient les dendrites impliqués dans l'exercice des fonct
91), puis par Cajal (1891) et adopté par Retzius (1893). Mais il ne croit pas que la direction du courant nerveux soit ce
que les fibrilles latérales du prolongement nerveux, ainsi que nons croyons l'avoir démontré, suffisent déjà en partie pour l
et disparaissant assez brusquement après une durée indéterminée. Je crois aussi pouvoir relier cette amaurose à la même c
nesthésies variables, c'est-à-dire à l'hystérie majeure. Et si j'ai cru devoir relater brièvement ce cas de perte inter
ibres qui traversent ce carrefour, soit, comme je suis porté à le croire , sur leur prolongement à la surface du cerveau. »
l'écoulement des liquides que le matelas ou le coussin à eau. Je crois , en face des résultats que m'a donnés ce panse-
défendent. Cette affection, qui est beaucoup moins rare qu'on ne le croyait autrefois, a été souvent confondue avec l'idiot
interpréter de plusieurs façons les faits publiés. Pour ma part, je crois que ce que l'on prend pour des lésions de pa- r
unet, répondant à la communication de M. G. Ballet, expose qu'il ne croit pas à l'étiologie syphilitique de la paralysie
Ballet d'avoir changé d'avis de- puis 1889, époque à laquelle il ne croyait pas à une relation entre la syphilis et la para
rofit. La statistique seule peut éclaircir le débat. 1f. Cliristian croit que, puisqu'il y a identité de` lésions entre l
5 j est inconnue, j'admets le fait comme démontré, et pourtant je crois l'argument sans valeur. Il ne suffit pas, en effe
robablement nécessaire pour que l'évolution se produise; mais je ne crois pas que l'hérédité mentale joue dans cette évol
IIAI'1 ? EGE ? U est partisan de l'étiologie syphilitique, mais il croit que l'hérédité vésanique joue aussi un rôle très
n les particularités du territoire vascuiaire lésé. W. SERBSKY ne croit pas possible de différencier d'une façon absolu
onvulsifs du malade comme mouvements choréiques. M. MOURAWIEFF ne croit pas que la localisation présumée de la lésion d
mpulsifs (Zwangsbewegungen) est dé- placé et inexact. -1f. RossoLmo croit que l'examen delà fine struc- ture des cellules
nlée à la suite d'une instance en divorce intentée par sa femme. Il croit entendre des voix, attribue à un ecclésiastique
ibilité du côté opposé n'ont été unilatéraux. L'ex- plication doit, croyons -nous, être recherchée dans l'intensité delà com
phénomènes de dynamogénie, d'inhibi- tion et non, comme il l'avait cru d'abord, de suppression d'action, de phénomènes
lle est la signification diagnostique de ces deux syn- dromes. Nous croyons pouvoir la résumer de la façon suivante : la pr
ès avoir perdu leur personnalité première,en arrivent logiquement à croire qu'ils personnifient le malin esprit, le diable
nt les malades les plus disposés au suicide. Alors même qu'ils se croient morts, ou dans l'impossibilité de 'jamais mourir,
ntrailles, s'ajoutent des hallucinations vocales réitérées qui font croire aux malades que les esprits impurs parlent par
maniaques ont des hallucinations et des illusions de sens ; les uns croient être le diable, les autres se persuadent qu'ils
rdres... « Le marmottement continuel de certains possédés faisait croire que ces malheureux s'entretenaient avec le diable
es sens et à des troubles de la sensibilité géné- rale qui lui font croire qu'elle est possédée par le démon. Elle s'était
larmes. » Elle sent des bêtes qui la travaillent ; une nuit elle a cru saisir une araignée à travers la peau de son br
démence. La malade G. J..., femme P..., internée depuis six ans, croit être le diable incarné. C'est une mélancolique ty
ation anxieuse., demandant à être torturée, brûlée, etc. Elle s'est cru longtemps damnée, s'accusant d'avoirmal fait sa
malades, en proie à un délire anxieux datant de plusieurs mois, se croit damnée et poursuivie par les diables; elle est
e ne s'appartient plus, qu'on agit pour elle et par elle. Elle se croit la cause de toutes les maladies qu'elle voit au
fait de la peau du diable, plein de crapauds, de serpents. Elle ne croit plus en Dieu; il y a un million d'années qu'elle
mme exemple de démonomanie interne (possession vraie) un malade qui croit que le démon a pris domicile dans son ventre so
es multiples ayant fait des tentatives de suicide réitérées, qui se croit dam- née. Elle s'imagine que toute sa famille e
Legrain 2, nous relevons également l'observation d'une femme qui se croit possédée par l'esprit malin. Ses membres sont a
malade, qui est une femme raisonnable, dit qu'elle a de la peine à croire que ce soit un être étranger, un démon qui soit
a voix ordinaire de la malade; et ce qui fait surtout que la malade croit à la réalite de cet esprit, c'est qu'il a une a
blait, elle ne pouvait poursuivre ni mouvoir sa langue 1. Aupetit croyait qu'il avait un démon sous ses ordres. Il l'aper
ans certains moments qu'il lui devenait impossible de prier ; il se croyait obligé en célébrant la messe de mettre le nom d
'avait d'inclinaison que poul- le bien, tandis que l'autre, qu'elle croyait influencée par le diable, s'évertuait par insta
d'admettre pour chaque modalité du langage des centres spéciaux. Il croit qu'il faut réagir contre la débauche de localis
ous renvoyons pour les autres détails au mémoire lui-même. L'auteur croit qu'une partie du ruban do Reil latéral sert de vo
ent trompé sur le choix des malades à confier aux nourriciers. On a cru que le traitement familial convenait surtout au
a été trouvé dans la Bièvre, près du moulin de l'Hay. Tout porte à croire que le pauvre aliéné a mis fin à sesjours par l
la dernière livraison du Lippincotl's Maga- zine. Jamais encore, je crois , les progrès de l'ivrognerie chez les VARIA. 62
39 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
l'hypnose n'est qu'une manifestationdela suggestibiîité, il faudrait croire que ceux seuls qui possèdent à l'état de veille u
tibles de présenter un somnambulisme profond, ce qui nous amènerait à croire avec Charcot que les névrosés sont plus hypnotisâ
eux et dans lesquelles celui qui les lit et les analyse attentivement croit pouvoir reconnaître l'hystérie. Et de fait, le di
de sa mère qui, dans la matinée, a été opérée d'un cancer et que l'on croit sur le point de mourir. Notre jeune liile en épro
oilà ce que je voudrais maintenant examiner avec vous. Je veux bien croire que les choses se sont un peu améliorées depuis l
fonctionnel. La guérison dure depuis plusieurs mois : tout porte à croire qu'elle est définitive, malgré la brièveté du tra
et il en résulta des accidents très graves. Quelquefois, le médecin croit voir non pas un phlegmon, mais du rhumatisme et,
ommer les onychopha-ges, et les rongeurs de porte-plume qu'on n'a pas cru nécessaire de décorer d'un nom grec. Ces deux esp
dans la lïevue scientifique des Débals, écrit: « Il eût fallu, je crois , recourir à la suggestion hypnotique pour la guér
ses de l'estomac qu'on observe surtout chez les chlorotiques. Je ne crois pas que l'estomac soit en cause chez cette mangeu
ions du législateur de 1892. Je vais m'efforcer de le démontrer. Je crois que les faits d'exercice illégal de la médecine p
ssant à chacun la liberté ou la responsabilité de ses actes..... Nous croyons que le moment n'est pas venu d'enlever ces expéri
intérêts à l'hypnotiseur pour atteinte portée à sa considération ? Je crois qu'il y a surtout là une question de faits. Si le
eût cessé de conserver l'apparence d'une personne saine d'esprit. Je crois donc que la nullité de ces actes pourrait être de
ersonne hypnotisée est momentanément aliénée*. Mais le législateur ne croit pas beaucoup à l'aliénation mentale des personnes
'est-à-dire d'un homme essentiellement maître de ses facultés. Nous croyons donc que lorsqu'il s'agira d'actes à titre onéreu
t au point de vue de l'incontinence, un modèle du genre; nous voulons croire cependant que sainte Thérèse, par tournure nature
sent pas de la même nature que celles de cette bonne religieuse, je « crois qu'elle n'étaient pas moins grandes.... » Saint
Ainsi nous entrâmes en de grandes communications... Je « n'ai jamais cru que l'affection qu'il me portait fût mauvaise quo
mme je l'ai déjà dit je n'aurais « jamais voulu faire ce que j'aurais cru être un péché mortel, et il me u semble que celte
té de la guérison par la suggestion psychique. Jusqu'à présent, on ne croyait par l'idée pouvoir guérir que des idées: contract
uer les incorrigibles de ceux qui ne le sont pas. Dès â présent il se croit fondé à formuler cet axiome : « Tout sujet hypnol
orée : la nuit même de ses noces, l'incontinence avait reparu ! Je ne crois pas me tromper en pensant que, l'esprit hanté par
pouvoirs publics une réglementation de l'hypnotisme expérimental? Je crois qu'il y a lieu d'envisager successivement l'hypno
pothèse sinon l'affirmation d'un état éclamptique. Aussi me suis-je cru autorisé à vous présenter ce cas avec cette épi-t
cilement hypnotisé. Je parvins toutefois à l'hypnotiser, du moins, je crus l'avoir fait dans une première séance, après laqu
, de mémoire et d'intelligence. Il y eut peu de résultat et sa mère crut remarquer qu'il avait fait semblant de dormir: el
faisants. Il se maintient après plus d'un mois écoulé ; c'est à faire croire qu'il est acquis définitivement. Toutefois, je me
decins entrés dans cette voie soient encore une infime minorité, nous croyons être dans le vrai et ne cesserons de le répéter,
traire travailler à faire comprendre les bienfaits au lieu de laisser croire à ses dangers illusoires. Les agents provocateu
gens, jamais le public n'a été autant prévenu, et, malgré tout, à en croire les statistiques, le nombre des cas de rage augme
orps bondé, qu'elle n'est plus pourvue de ses orifices naturels; elle croit qu'elle ne peut plus évacuer son ventre, ni urine
re gauche. Pour des raisons qu'il est inutile de développer ici, je crois devoir conseiller l'extraction de cette dent de p
ie qui était fort commune autrefois, la lycanthro-pie : les sujets se croient transformés en animaux sauvages. Ceux de l'évangi
t une conviction plus qu'une idée motivée par l'odorat; car les juifs croyaient que, pendant trois jours l'âme voletait autour du
dait comme des fous, mais au bout d'un quart d'heure l'homme que l'on croyait mort commença a se remuer, il revint ensuite parf
ant: « Je vous connaissais pour un excellent médecin, mais je ne vous croyais « pas homme à ressusciter les morts. — J'avoue qu
au traitement des tremblements et de la maladie de Parkinson. Nous croyons devoir y revenir encore aujourd'hui pour exposer
n que des femmes indifférentes à l'idée de grossesse ont pu à tort se croire enceintes; mais n'y a-t-il pas lieu de se demande
non, il ne m'a même jamais adressé la parole. — o Pourquoi alors vous croyez -vous enceinte de lui? — Je l'aimais et n chaque f
un tablier qu'on y a suspendu pour le faire sécher; mais notre homme croit revoir son pendu ets éprouve une nouvelle émotion
la contrée viennent depuis lors en pèlerinage à Nemet-Saroslak ; ils croient à une intervention divine. NOUVELLES Enseigne
e des caractères de ce genre. Mais avant de chercher à le prouver, je crois indispensable d'indiquer le sens qu'il faut, selo
tre sans avoir été précédés d'autres manifestations de l'hystérie. Je crois qu'il est légitime d'appe-lerencorehystériques de
s gaz. Cette « tumeur fantôme » peut se déplacer, et c'est ce qui fit croire à Hippocratès et à Jean Fernel que la matrice se
genteuil (Seine-ct-Oise), a Trêves et a Moscou. Enfin, s'il fout en croire la Revue religieuse de Rodej et de Mende, du 7 ju
tre assez gros, aurait vu ce ventre augmenter tellement, qu'on aurait cru à une grossesse. Elle ne pouvait supporter aucune
lait difficilement (Marc VII, 33). Il ne pouvait guérir ceux qui ne croyaient pas en lui. En effet il ne put faire de miracles
t : « tu me dis, si tu peux, toutes choses sont possibles à celui qui croit . » Aussitôt le père de l'enfant s'écria : Je croi
sibles à celui qui croit. » Aussitôt le père de l'enfant s'écria : Je crois ! viens en aide à mon incrédulité ! (Marc IX, 23)
pliquait les miracles autrement que par sa toute»pulssancû divine. Il croyait à une force. Ainsi il dit : a Quelqu'un m'a touch
la prière et àlaméditation ; ils faisaient des œuvres de charité. Ils croyaient et ils enseignaient l'immortalité des âmes, et ce
. La coloration intense qui dure plusieurs jours frappe le malade qui croit à la persistance constante d'une action médicamen
mme, il se tourmente de tout et s'exagère ses sensations; de plus, il croit qu'on lui en veut : fils de triste, il reste tris
miracles qui étaient probablement Iréquents à leur époque ; et qu'ils croyaient aux miracles qu ils ont décrits : le luxe de déta
descriptions de miracles s'ils les avaient inventés ou écrits sans y croire . Nous aurions alors un récit analogue à celui que
pleurer sans cause, ou bien de se parler à lui-môme et de chanter. On croyait généralement que c'était la fougue de la jeunesse
; et, comme il venait de se conduire en homme ivre, les assistants le croyaient ivre. Mais, Apollonius continuant à fixer sur lui
de démence : il était à moitié endormi, et couvert de sueur. « Je te crois ! » s'écria-t-Il. Ses camarades lui demandèrent c
est venu pour moi seul : il veut m'instruire de ce que je refusais de croire . Ecoutez donc, écoutez les chants ' divins qu'il
reil, mais j'ajoute hardiment qu'on n'a pas pu dire, qu'on n'a pas pu croire cela de son (1) Max Muller et son école ont pré
ès qu'on a imaginé de pareilles choses. Quand la critique refuse de croire à des récits de miracles, elle n'a pas besoin d'a
critique une obligation, celle de rechercher comment on en est venu à croire à ces miracles. C'est ce qui n'est pas très diffi
'est ce qui n'est pas très difficile à dire dans le cas présent. On a cru que Jésus avait fait des miracles parce qu'on a c
cas présent. On a cru que Jésus avait fait des miracles parce qu'on a cru que Jésus était le Christ, et qu'on croyait que l
it des miracles parce qu'on a cru que Jésus était le Christ, et qu'on croyait que le Christ devait faire des miracles, r j
xpliquer d'ailleurs comment l'imagination humaine a pu les créer et y croire . Ainsi Strauss dit : Ce qui eût été étrange c'e
. Jésus et plus tardles apôtres, les saints guérissaient parce qu'ils croyaient à leur vertu miraculeuse. Tout autres étaient les
journellement accusés de fermer les yeux à la lumière et de ne point croire parce que nous ne voulons point voir. Il est bien
homme à l'occasion duquel sont écrits tous ces commentaires, je ne le crois pas encore aiTivé à la dernière étape ; mais il m
peut-être éclairer le problème de la basophobie, c'est pourquoi j'ai cru utile de vous le signaler. Psychopathie religie
ordinaires dans les couvents d'autrefois pour que le pape Léon X ait cru devoir s'occuper de taxer la Fornication des nonn
t d'ailleurs pas isolé dans l'Histoire ecclésiastique et nous pouvons croire que l'abbé de Fontevrault en édic-tant cette règl
ption de connaissances nouvelles plus en harmonie avec leur besoin de croire ot leur amour du merveilleux ; mais il n'y a pas
être aperçus et non plus inaperçus. Avant de les examiner, M. Myers croit utile de rappeler que les différents phénomènes v
u, elle ressent un frisson très intense et se remet à trembler ; elle croit à l'imminence d'une nouvelle congestion pulmonair
ent. Jadis, lorsque son mari mourut, elle se trouva désemparée ; elle crut même qu'elle ne pourrait pas toute seule « suppor
es persistaient chaque mois. Me souvenant que notre maître Pajot ne croyait guère à la persistance des règles pendant la gros
dans mes craintes. M1»0 X... les rejeta énergiquement; elle aussi, croyait avoir senti son enfant remuer, et quoique troublé
es autrefois ont repris vie. Sous l'influence de l'imagination, elles croient même sentir leurs enfants remuer, et chez la prem
hit, cette influence n'a pas été aussi considérable qu'on pourrait le croire tout d'abord. En effet, pendant la période pseudo
lr Bérillon et par d'autres sur des défauts d'enfants qu'on aurait pu croire dépendant de conditions trop diffuses et intangib
re^, à ne pas vous y tromper cette fois, le personnage que vous avîej cru voir au début. Cette description se rapporte à
ouvé cette manifestation soit considérable, elle n'a pas été étudiée, croyons -nous, d'une façon spéciale. Camille Flammarion,
marion appelle vue à distance, nous proposons le mot antévision, qui, croyons -nous, le détinit plus exactement. Recherchons m
i lui tombe sous la main ; aux repas, il mange gloutonnement. Je ne crois pas du tout que ce soit un simulateur; ses actes
n a imposé aux médecins qui l'ont soigné jusqu'à présent. Ils se sont crus en présence d'« une paralysie générale progressiv
cles, — on a épuisé le domaine de la science criminelle. La plupart croient que la science qui s'occupe de l'homme criminel n
plusieurs forces. Il obéit à la résultante. Le droit pénal moderne croit que le crime n'est qu'une force unique, dépendant
e qu'on la soigne et qu'on la guérisse. On est donc tout porté à la croire ; elle se plaint, elle a un bandeau sur les yeux,
ance dans un langage imagé ; un chirurgien lui enlève l'utérus, et je crois bien que le diagnostic qu'il aurait fallu porter
é successivement les doigts, le bras et les nerfs à leur racine. Je crois que notre malade est hypnolisable. Mais, d'autre
tte secousse, elle présente une agitation avec des mouvements à faire croire à la danse de Saint-Guy. Insomnie complète. Dans
e croire à la danse de Saint-Guy. Insomnie complète. Dans le pays, on croit à un sort jeté. Elle est ensorcelée. Pression des
r, langue sale, étouffements : un ensemble de symptômes pouvant faire croire à un début de fièvre typhoïde. Le début brusque é
r m. le professeur Niceforo, de Lauzanoe (suite et fin) Celui qui croit qu'une science quelconque peut se développer en d
t naturelles, la Sociologie criminelle était fondée. Il ne faut pas croire , pourtant, que la sociologie criminelle soit le r
espondante, comme poids et comme mesure, à la liberté humaine qu'on a cru mesurer? Il faut ajouter, aussi, que le princip
es les autres causes modificatrices, « C'est une dangereuse erreur de croire que l'on est lié par une infirmité de race, alors
urs d'enceinte un cordon de sentinelles armées de carabines, j'aurais cru entrer dans un château plutôt que dans une prison
avec la plus ardente conviction à l'accomplissement de sa mission. Il croit que les malfaiteurs sont des malades et qu'il y a
ans l'armée américaine. J'en ai fait la remarque au directeur et j'ai cru deviner à son geste, que j'avais touché en lui un
40 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ciales que nous avons eu à traiter depuis six ans. Si nous avons cru devoir nous limiter aux faits que nous avons pe
ayons jamais eu de renseignements très complets sur les parents, on croyait que la mère avait eu des attaques de nerfs dans
erspective d'une opération, sans qu'ils s'en fussent aperçus. Ils croyaient l'opération à faire quand elle était ter- minée
douleur et tiennent à la braver comme on le pense souvent. Je ne le crois pas beaucoup. Ils ont une attitude que l'on a m
ces pratiques d'Aissaoua. Il est plus difficile que l'on ne saurait croire de se procurer de ces renseignements, et tout c
de leurs congénères. Est-ce la cupidité qui les entraîne. Je ne le crois pas davantage. D'abord, sauf les grandes villes
Salpêtrière, on arriverait à des résultats très intéres- sants. Je crois bien que, chez eux, on compléterait d'une étonn
qui fonctionne comme un tout, comme une entité. Aussi, nous avons cru utile d'entreprendre au cours de l'année 1885 e
psycho- physique pathologique. Avant d'aborder notre sujet, nous croyons utile de résumer, aussi brièvement que possible
psychophysiques et le processus morbide dont elles résultent. Nous croyons ainsi pouvoir justifier notre tentative de psyc
ignit plus tard , les douleurs dans les membres cessèrent, et il se crut parfaitement guéri. La maladie avait en effet d
la. Sopra due nzallatie non ancora descritta (c'est du moins ce que croyait l'auteur). Napoli, 1831, p. 6. - Nous n'avons pu
l'épilepsie procursive. Nous ajou- terons qu'il serait téméraire de croire avec Salgues il DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 75
éressantes touchant aux hallucinations sensorielles des amputés qui croient encore faire agir leur membre perdu. Il s'expri
e centre lui-même du sens musculaire est détruit dans ces cas. Il croyait qu'il restait encore un chemin de l'ame au muscle
oque (narcotique, froid, troubles de la circulation). On pourrait croire plus volontiers à une parésie des centres senso
malades aucun stigmate. C'est là l'hystérie monosymptomatique. Je crois aussi utile de faire observer ici que cette mobil
es, sont loin de constituer, comme beaucoup de médecins semblent le croire , un caractère essentiel. Cet état psychique par
nt de véritables troubles trophiques. Du reste, c'est une erreur de croire que l'hystérie soit à l'abri d'altéra- tions nu
ent électrique appartient aussi à cette espèce d'anesthésie. Nous croyons avoir démontré par ce qui précède qu'il n'y a pas
t à Ville-Evrard avec le délire hypochondriaque que M. Baillarger croit propre aux paralytiques, mais sans le moindre tro
ue cette probabilité devint voisine de la certitude. M. Magnan ne croit pas qu'il y ait certitude de paralysie géné- ra
les folies héréditaires d'abord sur le délire chronique ensuite, je crois apercevoir une tendance générale à laquelle, pour
euse, que devient l'argumentation de nos collègues ? Et que l'on ne croie pas que j'invente des faits pour les besoins de
ébat Nous ne faisons pas de la déduction logique, comme semble le croire notre savant contradicteur, la cause exclusive de
nombre apparent de délirants chroniques ambitieux. 11. InLnr : r croit , comme 111* Briand, que dans une discussion SOC
LE Président. La parole est à M. Lacombe. M. Lacombe. Messieurs, je crois qu'il est indispensable de bien préciser les te
ou à peu près dont ait parlé M. le commissaire du Gouvernement. Je crois , du reste, comme le disait tout à l'heure ce de
u procureur de la République de l'arrondissement. Et il ne faut pas croire que cette déclaration soit une vaine formalité
ue que ce n'est pas sans de grandes hésitations que, moi-même, j'ai cru devoir prendre parti et dire : La mission de su
rable M. Théophile Roussel et de ses intéressantes annexes que j'ai cru pouvoir me faire une opinion sur ces divers poi
nant la permission de vous faire con- naître dansquelle mesure j'ai cru devoir proposer des modifications 138 SÉNAT.
é tout à l'heure à la tribune par l'honorable M. Roger-Marvaise. Je crois que ce système serait aussi la conséquence logi
Malgré l'importance incontestable de ces observations, je n'ai pas cru devoir aller jusque-là et, déférant aux considéra
ter à des intervalles rapprochés dans ces établissements ? Je ne le crois pas possible. Pour moi, messieurs, toutes les f
plus loin : il va jusqu'au huitième degré. Dans ma proposition j'ai cru devoir reprendre le degré de parenté admis par
e toutes les mesures de surveillance qu'il lui conviendra ? Je ne crois pas qu'on puisse aller jusque-là, et je ne pense
ement sur cette prescription. Mais si le procureur de la République croit nécessaire d'arriver à une surveillance plus H2
a toujours, par son dévoue- ment à la hauteur des circonstances. Je crois donc qu'il faut tenir un grand compte de ce lie
enfant dans la famille aussi bien que pour celle de l'aliéné. Je ne crois pas que le Sénat veuille aller jusque-là. J'admet
urs, on l'a proclamé souvent, sont plus puissantes que les lois. Je crois que vous vous heurterez à un sentiment que vous s
rait d'exiger l'ap- plication de la loi que vous auriez édictée. Je crois , messieurs, en avoir assez dit pour justifier l
vait pas bien compris ce que j'ai voulu dire. La commission n'a pas cru qu'il fallait édicter une pénalité particu- liè
n ce qui me concerne, accepter la doctrine de M. Roger-Marvaise. Je crois que la protection de l'Etat doit s'étendre sur
un délai de six mois, le nombre des guérisons tombe à 2o p. 100. Croyez -vous que l'Etat puisse se désintéresser absolumen
fondamental de la loi, parce qu'il est appelé à déterminer - et je crois qu'il doit le faire d'une manière précise l'éte
prétexte d'abus vous pourrez intervenir par- tout et toujours. Je crois que cette observation a été présentée tout à l'he
euse de sa famille ; quel mal fait-il au point de vue social ? Vous croyez que cet individu ne sera pas mieux soigné, mieu
et, s'il y a des abus, le ministère public est là ! Est-ce que vous croyez que dans une commune on ne sait pas vite si un al
frère ou la soeur. Elle s'en lient à cette première rédaction et je crois qu'il est inu- tile que le développe devant le
ux asiles privés. o C'est exactement la pensée de la commission, je crois . Il n'y a de différence que quant à la forme. C
-vous, monsieur Morellet, pour qu'on vote sur votre amendement ? Je crois que vous feriez bien d'atten- dre la deuxième d
cet article 8, il existe un amendement de M. Lacombe qui reçoit, je crois , satisfaction par la nouvelle rédaction. M. L
entivement le texte nouveau proposé par la commission, et voici, je crois , les seuls points sur lesquels je diffère aujou
lique : les aliénés dans LES hôpitaux ET hospices DE province. On croirait qu'après la réforme dont Ph. Pinel a été le promo
n dit des Ecos- sais qu'ils sont très portés à l'économie. On ne le croirait pas à voir leur passion croissante pour les éno
s vite à cet exercice. Tout d'abord, sa mère n'y prit pas garde, et crut même que sa fille saisissait ce prétexte pour s
-bras, ne tarda pas à faire disparaître toute douleur. La malade se crut guérie, et à son retour à Paris, au mois de nov
e je n'aie jamais été placé qu'à la tête de services d'hommes, j'ai cru devoir laisser complètement de côté tout ce qui
qu'elle est connue, la maladie a augmenté de fréquence. Calmeil le croit . Après avoir constaté d'a- bord que la paralysi
peut-être diffé- rents. Je n'en serais pas étonné, car j'incline à croire moi-même que la paralysie générale devient réel
ale est fréquente dans l'armée, elle l'est moins que ne le feraient croire les relevés de Charenton; car Charenton reçoit
rvations de Bayle et de Calmeil. Mon expérience personnelle me fait croire , en dehors de toute statistique précise, que, p
nalogie avec la situation de 1815. Hérédité. On tend généralement à croire , depuis les travaux de Lunier et Doutrebente, q
e nie pas, et moi-même j'en ai connu un assez grand nombre. Mais je crois que ces excès n'ont jamais pu intervenir que co
sczcdo- paralysie générale syphilitique) . En réalité, je ne puis croire que la paralysie géné- rale soit jamais de natu
clusivement les excès vénériens; d'autres encore la syphilis. Je crois que le problème n'est pas aussi simple, et j'ai
ns tous rencontré. En résumant les considérations qui précèdent, je crois que l'étiologie de la paralysie générale peut s
d'ophthalmies, pas d'otites ; pas d'engelures ni de dartres. On ne croit pas qu'il ait eu la rougeole; il semblerait 264
ptique, quels qu'aient été les excitants mis en jeu, il y a lieu de croire plutôt à un simple phénomène d'atavisme qu'à un
lly, Zeitsch. f. Psych., XLIII, 1-2.) Conclusion.- Il ne faut pas croire que le traitement des aliénés fût aussi inhumai
aucune époque rien de semblable n'a été noté. M. X... s'est bien cru en 1854 frère de l'empereur, mais dans sa généalo
lettre de son conseil judiciaire qui, ému de l'état de M. le baron, crut de son devoir d'avertir son frère de l'exaltati
arrivé à connaître le nombre exact d'aliénés en Polo- gne. L'auteur croit que ce nombre s'élève approximativement à 7,500
tituées on tété reconnus alcooliques. Ces conclusions permettent de croire que ces prostituées doivent donner le contingent
e qui est formé des articles 9 et 1 du projet du Gouvernement. Je crois que, à la seconde délibération, nous ferons bien
re... M. de Gavardie... et je l'explique. Un homme d'Etat qui, je crois , a une autorité assez grande pour que M. le pré
d'un infirmier bienveillant. Dans les maisons de fous, il se forme, croyez -le bien, une opinion publique, sou- vent plus j
une boite de noix qu'il mit dans sa 318 FAITS DIVERS. chambre, il crut que le diable venait les secouer. « Quand j'eus
sortie de sa crise, elle ne peut faire aucun mouvement bien qu'elle croie l'exécuter; il y a, en effet, alors chez elle p
solue du sens musculaire : si on lui dit : « Donnez la main », elle croit la donner, mais ne bouge pas, ses membres étant
e d'eau pure et elle va une dizaine de fois à la garde-robe. Nous croyons inutile d'insister davantage : les exemples que n
ne se rend d'abord pas bien compte de l'endroit où elle se trouve, croit être en journée, puis finit par se rappeler qu'
reprises de lui faire exécuter des actes pendant son sommeil : elle croit toujours les exécuter mais n'en ' Rédigé d'aprè
lisées. Elle n'y voit pas, entend très bien, cause et répond, ne se croit pas en- dormie, ne peut pas remuer, mais croit
use et répond, ne se croit pas en- dormie, ne peut pas remuer, mais croit le faire, et a perdu complètement le sens muscu
ès précis, et dont les exemples doivent être plus nombreux qu'on ne croit : le groupe des hystéri- ques hypnotisables qui
chaque groupe y peut aisément remédier. C'est ainsi que nous avons cru aussi éviter la cause d'erreur provenant de la
en bégayant)), vers deux ans; il a été propre de bonne heure; on ne croit pas qu'il ait eu d'otites ni d'ophlhalmies, ni
de l'hospice, qui disait : « Nicolas est si dévot qu'on lui ferait croire que des vessies sont des lanternes, il reviendra
était moins nerveux. [Père, garde champêtre, est mort très âgé; on croit qu'il était sobre. Mère, ménagère, morte de vie
où je gardais les bestiaux. » Pas de convulsions dans son enfance, croit -elle. Réglée à douze ou treize ans, mariée à vi
ce, l'enfant avait trois fois le cordon autour du cou; cependant on croit qu'il n'était pas bleu; on ne l'a pas frotté. (
E ' /¡OU (chagrins violents, déceptions, ménopause, etc.), l'auteur croit qu'ils doivent être rattachés à la dlatltèse ar
ut rencontrer dans les autres affections. Aussi M. Lafosse s'est-il cru en droit de créer un type clinique, qu'il appel
ents d'opinion auxquels donne lieu trop souvent la loi de 1838, ait cru qu'il suffirait presque pour cela de changer le
mettre en travers de ce courant d'opinion auquel le Gouvernement a cru devoir céder et auquel ont cédé presque tous le
rtées à cette tribune au cours de la discussion générale. On a pu croire , et on a cru, en entendant ces objections, que
ibune au cours de la discussion générale. On a pu croire, et on a cru , en entendant ces objections, que nous apportio
ion permanente a disparu. Je ne dirais pas la vérité si je laissais croire qu'elle a disparu sans emporter de sincères reg
tion, à coup sûr, de porter atteinte à la liberté individuelle. Ils croyaient même l'avoir suffi- samment garantie. Mais, pou
ces nominations arriveraient presque toujours trop tard. Mais je crois que sur ce point il sera facile à M. le ministre
ffiers et d'autres agents très capables d'exercer ces fonctions. Je crois que la commission fera bien, d'ici à la seconde
s actes touchant la capacité des personnes. 438 SÉNAT. Je ne puis croire que telle soit l'intention de la commission; co
'une recommandation semblable vous ait été certainement faite, j'ai cru devoir la renouveler, car il faut sans cesse qu
faction en leur décernant huit prix et quatre accessits. Mais ne croyez pas que cela vous dispense de suivre les cours de
es, semble indifférent pour les souffrances des aliénés parce qu'il croit la folie incurable. On ne brûle plus les fous c
lusieurs formes mentales longtemps réputées incurables. Je n'ai pas cru m'écarter 454 FAITS DIVERS. de mon sujet en r
41 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
du. Il avait seulement de la lourdeur dans les bras et les jambes. Il croit qu'il aurait pu ouvrir les yeux : s'il ne l'a pas
st trois jours après cette crise qu'il est revenu me consulter. Il ne croit plus, dit-il, à l'hypnotisme.»Pendant un mois et
ique. Mais ce serait reculer la question non la résoudre. On peut, je crois , se rapprocher de la solution en examinant les ci
elle risquait de provoquer en lui un nouveau conflit psychique. J'ai cru qu'il était préférable de le soustraire pendant q
essairement présenter des stigmates visibles de dégénérescence. Je ne crois pas à une homosexualité acquise ; celle-là, c'est
de tels flots de littérature homosexuelle qu'à leur lecture on eut pu croire que l'amour normal, l'amour hétérosexuel était l'
dans la croisade moderne contre ces fléaux. C'est pourquoi l'auteur a cru pouvoir reprendre l'histoire des ravages dus au m
ernant la croix à M. le professeur Lionel Dauriac, que l'on aurait pu croire et qui aurait dû être décoré depuis de nombreuses
ible de s'en débarrasser qu'avec l'aide des personnes présentes. Elle croit que le chien est enragé, elle nous le ramène et n
ns sentiments, hormis donc que l'on veuille retenir ce que nous avons cru devoir dire du transformisme et de l'embryologie.
concerne la prophylaxie et la thérapeutique de l'homosexualité, je ne crois guère au pouvoir de l'éducation chez les individu
s les recherches de Falloise et mes observations personnelles me font croire aujourd'hui que l'intoxication digestive ne jou
ture et leur ori- gine ; je n'ai donc pas à y insister ici. Mais je crois qu'il est indispensable de faire pratiquer, le pl
éclare qu'il est inguérissable et rebelle à tout traitement. Il ne se croit pas ou, du moins, ne se dit pas malade. C'est seu
ement supporter leur présence, il est nécessaire que l'uraniste ne se croie pas obligé d'aborder avec elles ces questions sen
t une union destinée à être malheureuse ? Pour toutes ces raisons, je crois que nous devons être extrêmement prudents. Tell
casion d'appliquer l'hypnotisme dans dix cas d'accouchemeut (1) et je crois pouvoir, affirmer que l'hypnose est le meilleur r
ment n'est rien, puis qu'elle peut être dominée par la suggestion. Je crois que si j'avais pu obtenir le sommeil hypnotique d
on se plaint de toutes parts de l'affaiblissement des volontés, nous croyons qu'il serait bien imprudent de renoncer à ce puis
aucune sensation sensible et les suites furent des plus heureuses. Je crois que cette pratique d'opérer, après le réveil, est
était convaincu qu'il était atteint d'une oéritonite tuberculeuse. Il croyait ainsi, à cause de la persistance de crises doulou
que la mode de se faire tatouer a fait sa réapparition à Londres. On croyait qu'elle avait disparu, mais ilsemble qu'après une
si pendant quelque temps, et ce fut tellement émotionnant que nous ne croyons pas qu'un seul de nous eut les yeux secs. Nous av
! » On peut mourir véritablement de peur, par exemple,lorsque l'on croit , à tort ou à raison, que sa propre existence est
, est transporté chez ses parents : sa grand'mère. le voyant évanoui, croit qu'il est mort ; elle tombe a la renverse, en pou
une condamnation pour extorsion de fonds.s'cst enfui à Genève, puis ? cru pouvoir, sans être remarqué, revenir à Paris. Deu
e guerre et les exemples en sont presque innombrables. Un soldat se croyait mort depuis la bataille d'Austerlitz où il avait
ogrès, sans se rendre compte des obstacles (1). C'est une erreur de croire qu'on pourra remédier à cette faiblesse en excita
l'émulation, par des faveurs on des cadeaux, par exemple par (11 On croit de même élever le niveau des examens en rendant l
. Delille. dans le Magister, décrit l'école et il ajoute : » Non loin croit le boulean dont les branches flexibles > serva
e bourreau venait de le frapper à la nuque avec un linge mouillé : il crut tellement que c'était le coup mortel que ce le fu
ens, on. débande ses yeux : il est mort ! Dans ces cas, le patienta cru à la réalité du supplice capital et à l'imminence
e-rasoir à la gorge ; ses blessures sont insignifiantes ; mais il les croit mortelles et meurt sur le champ. Dans les deux
e : * S'il est permis de douter de ce fait, il n'est pas d'un sot d'y croire . » D'après Hack-Tuke, une américaine, miss Bonn
oquée, avant tout, par l'affaiblissement de la discipline, si l'on en croit les rapports publiés dans le Journal officiel du
du dehors, sous forme de journaux ou de subsides. ? ne faudrait pas croire d'ailleurs que cet état d'esprit soit absolument
pour faire hausser les notes, tantôt sans but, pour le plaisir ! . Je crois pouvoir affirmer d'autre part que chez nous les f
frénésie, à l'habitude de ronger les ongles de leurs orteils. Il faut croire que la satisfaction de cette impulsion s'accompag
musant de pouvoir se ronger les ongles des pieds. » Anaïs, si nous en croyons Claudine à l'école, à défaut des ongles des pieds
it a vainement entouré son sean de genêt fleuri : il y a tout lieu de croire que c'est un voisin qui le leur a enlevé. Car rie
imploraient tout les saints du Paradis. Cela fait, le sorcier, car je crois bien que c'en était un, se retirait, non sans bie
la fièvre typhoïde, on met les jambes du malade dans un sac d'oignons crus , qu'on a préalablement broyés de façon à les rédu
adie très fréquente, surtout chez les femmes, et très opiniâtre. Je crois que le meilleur remède est le suivant : Prendre
int me dire : « Lemoine. vons songez A conconrir, eh ! bien, mon ami, croyez -moi, je vons le die dans votre Intérêt, ne concou
toucher et l'ouïe leur rendent le plus de services, non, comme on le croit généralement, parce que ces orgnnessont plus déve
n dans l'audition colorée, et c'est probablement snr ce fait one l'on croit pouvoir fonder une nouvelle méthode dont il a déj
fixement. Il devint comme un Méphisto pour moi. Enfin il me parla. Je crois encore entendre les battements de mon cœur: j'éta
volupté divine et surhumaine qui remplit notre être. TJ faudrait, je crois , les oreilles du bien-aimé pour comprendre tout l
ère fois, témoin de cette crise dyspnéi-que, la brave femme s'affole, croit que son malade est moribond et, dès que le paroxy
si très avantageuse aux gens bien portants. Ce serait une erreur de croire que la mort par syncope émotive exige la préexist
igée de les avouer à son mari, ce qui. pour elle, est une honte. Elle croit , par ce qu'elle a entendu dire, que ce sont des c
e la pédagogie collective, dont je ne veux pas diminuer la valeur, je crois que trop de professeurs négligent de parti-pris l
vue du développement physique et de l'hygiène. C'est une erreur de croire que plus les programmes seront chargés, plus les
ait pas moins une guérison due ? la fol qui guérit ; or, s'il faut en croire le D* Tenneson, -qui a dirigé longtemps l'un des
uggestion, qui contient une réponse aux D1* Peterson et Kennelly, qui croyaient ponvoir nier la réalité des succès, qne Charcot e
ur des ura-nistes : « L'uraniste, dit-il, n'a-t-il pas l'excuse de se croire choisi par la nature pour rétablir l'équilibre, p
fonction sociale ou. s'il n'y est pas destiné, comme des uranistes le croient , pourquoi ne pas tacher de faire passer cette cro
marque à ce sujet que « eu appréciant le pouvoir de « l'olfaction, on croira facilement que certains luxurieux ne peuvent « en
e ses enfants à un examen la met dans une angoisse extrême, tant elle croit que cet échec ne se serait pas produit si elle av
le arrive à la maison toute affligée et dit à ses parents : « Vous ne croyez pas que je suis enceinte ; eh ! bien, tout à l'he
n point de vue médico-légal, témoin ce cas récent. Une jeune fille se croit enceinte ; pour se venger de son « séducteur », e
cours des conversations que j'ai eues avec les médecins suédois j'ai cru comprendre que les autorités reconnaissent l'hypn
. Pour ce qui concerne son emploi de l'hypnotiem'* il écrit : « Aussi croyons nous qu'il faut surveiller avec un certain soin l
ahit les muscles ; la plume reste inerte, n'avance pas. On pourrait croire que cette maladie ne frappe que les personnes qui
viticulteurs assez embarrassés pour distinguer les produits de leurs crus , fortuitement mélangés. Dans ce cas, ils avaient
s si elles savaient qu'il y avait une différence au goût entre divers crus également renommés. Nos cuisiniers qui ont port
rs, ils se retournèrent contre l'hypnotisme; Or c'était une erreur de croire que tous les médecins devaient pratiquer cette th
de sa méthode ; il rejette aussi toute hypnose vérilable ou plutôt il croit le faire. Il cherche uniquement à provoquer chez
cription qu'il emploie une hypnose beaucoup plus profonde qu'il ne le croit ou ne veut le croire. 11 raconte tout naïvement q
ie une hypnose beaucoup plus profonde qu'il ne le croit ou ne veut le croire . 11 raconte tout naïvement que 10 a 15 0/° de ses
bon tour : Vous verrez, disait-il. que si je me couche, en faisant croire que je snis malade, il ne s'apercevra pas de la s
, mais avec un tonde volonté supérieure, prononce ces paroles : - — Crois ! crois ! il faut croire ! H tombe en prières
vec un tonde volonté supérieure, prononce ces paroles : - — Crois ! crois ! il faut croire ! H tombe en prières, et qua
onté supérieure, prononce ces paroles : - — Crois ! crois ! il faut croire ! H tombe en prières, et quand il a fini, l'i
que je sens est horrible. » Le prêtre le regarde, il lui demande s'il croit fermement, et quand le patient eut répondn « oui
abord, puis il pose cette double question a celui qui va mourir : — Crois -tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix
cette double question a celui qui va mourir : — Crois-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix répond : Je crois
Crois-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix répond : Je crois . Il est guéri. On cite cent exemples de même
ar développer dans son esprit des sentiments d'orgueil exagéré. Il se croyait un être supérieur et n'admettait pas la moindre r
ent avoir provoqué l'arrivée des périodes, mais je ne puis pas ne pas croire que les six mois d'aménorrhée ont été dus simplem
: elle avait demandé au joaillier de n'en parler à personne. Il avait cru que ces objets, d'un goût rudimentaire et rustiqu
argent. Tout de même une grande partie des adeptes de Dorothée Boiler croient encore à sa résurrection prochaine et continuent
ons pas de faire part a nos lecteurs de ce document intéressant. Ou croyait généralement que Molière, dans la création de ses
taire fut rendu obligatoire pendant un certain temps ; ce sont la, je crois , de grands concepts militaires ! On a nié le pa
ait jour dans la nouvelle génération Chinoise. La vieille Chine-qu'on croyait définitivement cristallisée dans son immobilité l
nion que j'avance, et affermir davantage la conviction du lecteur, je crois bon de citer ici quelques exemples. En principe
rge et on a même prononcé le mot de laryngite tuberculeuse. Je n'en crois rien : le jeune ?. X... fume la cigarette : cette
s exemples à l'infini, je bornerai là ces quelques citations, d'où je crois qu'il sera facile au lecteur de tirer la conclusi
prédisposition névropathique assurément, mais est-ce tout ? Je ne le crois pas. Ayez la curiosité d'examiner les ongles des
érêt et en étendue. Nous saisissons l'hypnotisme en son entier, et je crois que quiconque ne considère pas l'hypnotisme au po
t au XVII• siècle. L'autre, au contraire, basée sur la psychologie, croit à- l'excellence de la nature humaine et à sa perf
d'observation. Ils reviennent sciemment à la méthode socratique. Ils croient à la bonté de la nature et encouragent les curios
ement d'en être empêché, du moins je serai avec vous par la pensée. Croyez à mes sentiments bien cordiaux. Gilbert Ballet.
ue de mon affectueuse sympathie et de notre déjà bien vieille amitié. Croyez que j'assisterai de cœur à la belle soirée de dem
du Conseil répondit : « Comment Jules Voisin n'est pas décoré ! je croyais qn'il devait l'être depuis longtemps ». Et comme
nceinte. Au palper, il donne l'impression d'une masse graisseuse ; on croirait que tous les muscles abdominaux ont disparu. A la
roubles, c'est à lui qu'elle attache la plus grande importance ; elle croit qu'il est la seule cause de sa maladie ; et, comm
is non le Dp Gota, qui la soigne cependant depuis de longs mois. Elle croit qu'on est au 17 décembre 1904 et qu'elle s'est en
u'elle se rappelle très bien. Alors qu'elle a maintenant 25 ans, elle croit n'en avoir que 22. Depuis le 16 décembre 1904. el
e les plus pathologiques. Pour les chiens de chasse, il y a lieu je crois de ne pas poser en principe qu'ils chassent surto
ur battre en brèche la méthode, et pour nier ses bons résultats. Je crois qu'il y a là un phénomène peu nouveau et que les
qu'on la rencontre le plus. C'est une constatation assez curieuse. Je crois qu'il en est de même ponr l'Occident. Cette p
évenu les prendrait certainement pour d'élégantes demi-mondaines ; je crois même qu'il y a des erreurs dans ce sens. Leur é
la nouvelle école recommandent la grasse matinée à conx on celles qui croient en avoir besoin. Do façon générale, on tend a con
d'entendre, je m'en voudrais de retenir longtemps votre attention. Je croirais cependant manquer a nn devoir, si j'omettais de r
-même. L'étonnement. la terreur, les envahit et. les propos aidant on croit à un sortilège. Le directeur de l'hôpital, mandé
peu conscience et s'acheminer progressivement vers l'état normal. On croyait d'autant plus au retour de l'état prime que les d
nfiance dans la prière au nom du Christ et que ses malades devaient y croire également >. « Il ne fut en somme qu'un précur
trines officiellement reconnues et arrivées à juste considération. Il croit le moment arrivé de pouvoir mettre un terme à la
ontre la tyrannie de l'école, maïs pas dans le sens que vous pourriez croire . Elle dit que l'école devient trop attrayante, qu
ion de la solidarité qui lie les êtres d'un même pays. L'éducation, croyons -nous, doit chercher le développement harmonieux d
es causes de la délinquance juvénile : d'une part et en premier lieu, croyons -nous, le manque d'éducation de l'enfant, les mauv
ons dans le domaine de la physiologie humaine, et c'est pourquoi j'ai cru pouvoir vous soumettre cette étude. Cherchons à
nnés dans un présommeil momentané ou à l'insu de notre volonté ? — Je crois pouvoir l'affirmer et dire que de la réitération
42 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
arriérés soient mensurés; on se demande même pourquoi il n'a pas cru devoir prendre sur les divers sujets qu'il a été
qui se tordait dans de terribles convulsions. Effrayés, les voisins crurent à un empoisonnement, cette personne ayant tenté
thèse très acceptable. Mais il existe des raisons qui permettent de croire à un néoplasme primitif. Le malade est mort cin
ée. La question d'origine reste donc en suspens, mais du moins nous croyons devoir admettre que notre observation est un no
té le premier; nous avons donné plus haut les raisons qui nous font croire que cette tumeur n'est point une localisation s
puisqu'il a détruit la zone de sortie de la troisième paire gauche, croyons -nous cependant préfé- rable d'assimiler les tro
it juge de la valeur des ' arguments que nous proposons, nous avons cru devoir les faire connaître. De pareilles lésion
es accidents nerveux se succèdent dans l'ordre le plus régulier. On croirait , en lisant son autobiographie, avoir sous les y
ie, t. XIV. 9 130 L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE' seur, « car je ne crois pas que ce soit moi qui parle depuis ce matin »
t elle était sans force pour vaquer à ses occupations variées. Ne croirait -on pas entendre ces nerveuses qui semblent accabl
ction des témoins, même de ceux qui n'ayant pas la foi commencent à croire . Des médecins alors donnent, avec la plus entiè
lle, qu'il semblait qu'on' me déchirât avec des dents aiguës; on me croyait attaquée de rage. » 30 L'anorexie hystérique,
btenues sous l'influence d'une secousse morale quelconque, ont fait croire souvent à des miracles qui n'existaient pas. Le
t depuis les pieds jusqu'à la tête ». Comme, à un moment où elle se croyait plus malade, son père, pour lui enlever l'inqui
quatre jours : on m'administra le sacrement d'extrême-onction ; on croyait à toute heure, ou plutôt à chaque instant, que
hystériques. Si Thérèse entra dans cet état de sommeil' et laissa croire à sa mort, sans avoir peut-être conscience du m
GIE PATHOLOGIQUES. 141 qu'agissent les hystériques : on ne veut pas croire , s'était elle dit, que je sois en danger de mor
et Masseion ont noté aussi parfois du dermographisme. M. Séglas ne croit pas que les signes physiques de la démence préc
egmentaire couvert d'une éruption médicamenteuse. Cet oedème a fait croire à une phlébite alors qu'il s'agit seulement d'u
Après la mort de son père (1870) et de F. Voisin (1872), un sur-' croit d'occupations vint s'ajouter aux recherches scien
il l'expose dans tous ses dé- tails ; pour d'autres affections, il croit que les modalités électri- ques peuvent être es
ées après l'échec de médications plus sim- ples ; pour d'autres, il croit que ce serait une erreur de les em- ployer. Les
ment interrompues par l'éveil d'une relative conscience : tantôt se croit morte et se laisse aller à terre de toute sa haut
ttant quelques mots ou bien en souriant à la façon de quelqu'un qui croit déjouer ainsi les agissements d'un mauvais plai
sion d'observer dans notre service un de ces cas intéressants, nous croyons utile de le publier. Jeune fille âgée de dix-
t on dirait qu'on les entend avec les oreilles du corps; comme je croyais qu'on ne pouvait pas entendre autrement, j'ai é
e du sens du tact, hallucination de la sensibilité générale, que je crois très rare ; comme elle est très bien décrite pa
e, ils n'éprouvaient pas ces scrupules de fausse pudibonderie ; ils croyaient au diable et pensaient, avec la figue, le vexer
qui étaient dans le voisinage entendaient le bruit des coups- et croyaient que le démon frappait Thérèse; elle ne sor- tai
eu cette connaissance. » J'ouvre une parenthèse pour livrer, sans y croire , cet exemple de télépathie aux" personnes qui s
a le cas de sainte Thérèse, se figurent être sans pesanteur ; ils croient en marchant ne plus toucher terre : comme Camille
à l'exorciseur, à moins que ce ne fut au sorcier. Tous les trois se croyaient , plus ou moins, les artisans du surnaturel, les
ui- 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. siteur et au psychiatre lui-même, tous croyaient , plus ou moins, avoir à lutter contre un esprit
it s'étendre l'aire des forces naturelles. Derrière celles que nous croyons connaître, il en apparaît de nou- velles, soupç
revient, en grande partie, le mérite d'avoir fait rentrer ce qu'on croyait l'exception dans la règle, le prétendu surnatur
perturbations motrices d'actes fonctionnels, mais le rapporteur ne croit pas devoir comprendre dans les tics, la crampe
ait d'accord avec M. Brissaud sur l'origine corticale des tics ; je crois seulemement qu'il faut faire une distinction, d
nsable. A ce propos, je demande à éta- blir une distinction, que je crois justifiée, entre les mots psychique et mental.
Ainsi, par exemple, l'hystérique est toujours un psychique ; je ne crois pas qu'il soit toujours un mental. Dans l'hysté
ueur est un psychique, je ne pense pas (et M. Brissaud non plus, je crois ) qu'on puisse soutenir que tout tiqueur soit un
e tic polygonal existe et il est polygonal depuis qu'il est tic. Je crois dès lors qu'il y a lieu de maintenir la distincti
ge et Feindel dans le savant ouvrage qu'ils viennent de publier. Je crois , notam- ment, qu'il eût été préférable de ne pa
connaître. Le nom de tic mental me parait mauvais, parce que je ne crois pas que la maladie décrite par M. Brissaud soit
avait débuté à soixante-dix ans. Dans cet ordre d'idées, M. Parant croit devoir signaler le cas d'un malade qu'il a observ
oguès en ce qui concerne l'état mental des tiqueurs ; comme lui, je crois que cet état mental se confond avec celui des d
discussion, on a beau- coup trop étendu le domaine des tics : à en croire quelques auteurs, il faudrait accorder le nom d
TÉS SAVANTES. 269 par les aliénés seraient rangés dans les tics. Je crois , au contraire, qu'il y a lieu de faire des caté
s'exposer à tout que de soutenir les regards des voyageurs qu'elle croit fixés sur elle, elle a même quitté son train au m
crétinisme. Sans nier que certains tiqueurs sont des infantiles, je crois qu'il en existe beaucoup ne présentant pas ce c
rranger ensuite l'affaire en leur vendant très cher de très mauvais crus . Vous connaissez tous le thème de cette désopilan
ysionomie exprimait une telle angoisse que plusieurs fois on put la croire sérieusement indis- posée pour lui offrir des s
nd la miction ne pouvait pas s'eflectuer faute d'urine. C'est, je crois , le caractère angoissant du tic qui rend cette ha
este stéréotype, un mouve- ment automatique et inconscient, etc. Je crois que le tic du malade de M. Obreja n'appartient
qu'ils n'ont pas une notion exacte de leurs attitudes. Alors qu'ils croient se bien tenir, si l'on vient à placer devant eu
réunion de tous ceux qui s'intéressent à la question. On pourrait croire que le sujet est trop restreint pour fournir delà
rmés. C'est pour cette raison que la commission organisatrice s'est cru autorisée à étendre le programme du congrès. To
Minotier. En même temps, l'ainé des enfants sortait, en disant : Je crois que papa vient de tuer maman. On alla chercher
it, et vivant avec un aliéné, finissent par se laisser persuader et croire à la réa- lité de ses hallucinations ou de ses
te- naire. Baillarger avait bien vu ces cas quand il dit 1 : « Je crois utile de faire remarquer les liens très étroits
t elle accepte son entière responsabilité : « J'aimai choisi; j'cai cru bien faire. » Elle exerce au Dépôt la même au
s parliez ». C'est, au total, une personne neutre, toujours prête à croire et à suivre : mais aussi aucune conviction ne p
. Nous ignorions alors le genre de la maison. En louant, nous avons cru bien faire. « Comment nous serions-nous méfiées
de Clotilde sur des actes, nous ne savons pas lesquels. Il a fait, croyons -nous, un bail au nom de Clotilde. Finalement il
on. C'est moi qui ai choisi notre logement. Je me suis trompée : Je croyais bien faire. Un jour, la concierge, rue Letort,
s trous, sous le mur des fortifications. Du moins c'est ce que j'ai cru comprendre. Il y aussi les demi-castors. J'ai lu
l'avons demandé à personne. Peut-être avions-nous tort : nous avons cru bien faire. Clotilde. Vous êtes les premiers
onfuses de per- sécution, une tendance aux idées de satisfaction il croit que c'est son patron qui se venge de lui en le
, réclame le médecin pour le rassurer sur le sort de sa femme qu'il croit dans la misère. Nouvelle amélioration de l'état
igence a baissé; G... sait que nous sommes au mois de mars, mais se croit en z ; tout en reconnaissant qu'il est à l'hôpi
croit en z ; tout en reconnaissant qu'il est à l'hôpital, il ne se croit pas malade. Son humeur est en général bienveill
olisme ou tout au moins les avoir suivis de très près. Mais nous ne croyons pas que ce soit là un obstacle suffisant pour n
ersonnes que l'excès du plaisir et de la joie font défaillir, elles croient être suspendues à ces divins bras, collées à ce
tendrement aimé, ne soit pas un obstacle à la prière; comme elle croit vraie son hallucination génitale, elle la défen
ue sainte Thérèse n'était pas une sainte prophé- tesse, comme on le croyait et comme on le croit encore, mais une halluciné
it pas une sainte prophé- tesse, comme on le croyait et comme on le croit encore, mais une hallucinée comme on en voit be
s on résiste, tellement est pro- fonde la jouissance éprouvée. Ne croyez pas que les mystiques seuls peuvent se donner o
ur le tré- L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 323 pied de Delphes, elle croyait que Dieu prenait possession de sa personne. C
ence : « Plus les choses sont au-dessus de la raison, plus je les crois ». Cela veut dire que les manifestations de sa ma
tous : « Plus les choses sont au-dessus de la raison, plus nous les croyons ». Ces mots, négation de toute science, ennemis
hismes et de tous les manuels d'instruction ; au xxe siècle il faut croire seulement ce que la science et la raison nous e
ë, équivalents de crises, phobies et obsessions. En conséquence, je crois légitime de classer ces malades sous le diagnos
349 ) ment commis le crime dont il a cultivé l'idée, et arrive à se croire réellement coupable. Les dégénérés paranoïaqu
endant la nuit, revivent leur rêve dans la journée et finissent par croire à leur propre culpabilité et à faire de l'auto-
eurs ; en tout cas, ils se défendent mal et laisseraient volontiers croire à leur culpabilité quand ils sont accusés. Il e
'empire d'idées de culpabilité, afin d'expier les crimes dont il se croyait l'auteur. J'ai observé également un cas d'auto-
régulièrement deux fois par nuit. Pour ces différentes raisons, je crus pouvoir conclure à la simulation. Plus tard, j'
vant l'exemple donné par Westphal, Schlesinger, Bruns, etc., nous croyons pouvoir proposer, à la place de la classification
ines proliférations névrogliques de nature gliomateuse ; et nous ne croyons guère à une association des deux tumeurs, au mo
liniques et histologiques retrouvées dans la littérature, nous nous croyons autorisés à réunir toutes ces observations, les d
matose et ces sarcomes multiples. L'ensemble de ces faits justifie, croyons -nous, la dénomi- nation de « neurofibrosarcomal
opto-striés un rôle important dans les fonctions motrices, je ne crois pas faire une encur analomique en supposant l'exi
it connaître. Peut-on établir ces règles ? Il me semble que oui. Je crois , en effet, que le juge devrait soumettre le pré
sourit avec incrudulité et continua, les semaines suivantes, à se croire enceinte. Au terme approximatif de la prétendue g
iveau intellectuel n'est pas très élevé, elle n'est pas éloignée de croire à la sorcellerie. Le 23 mars, la malade est en
ye de tout ce qui se dit, de tout ce qui se passe autour d'elle, se croit regardée de travers par tout le monde. se figur
gestes de ses compagnes (dont elle ne distingue pas les discours), croit toujours qu'on l'accuse ou plutôt que l'on doit l
fait de mal, je n'ai jamais tué, ni volé, ni assassiné, comme on le croit , ni mes enfants non plus, . les pauvres petits,
nfants et déclare que si elle est elle-même coupable, comme elle le croit maintenant, c'est pendant son sommeil qu'elle acc
ité qui germe en elle, le soulagement qu'elle manifeste lorsqu'elle croit avoir trouvé, l'accalmie relative qui persiste
est pas très éloignée de la rue, elles nous assurent qu'elles ne le croient pas et qu'on y est, en tout cas, parfaitement à
prises en suspicion : autant de dérivatifs psychiques. Mais nous croyons plutôt que le délire a été attaqué dans ses sou
r plusieurs lettres à M. J..., qui déclarait : « C'est étonnant. on croirait lire un écrivain ! » Ce fut une période de bo
s rêves, embellis par son imagination, comme tentraient il le faire croire le vague et la complexité des images. Actuell
rancs. En présence d'un tel complexus symptomatique nous pouvons, croyons -nous, porter le diagnostic de psychose à base d'i
pas toute seule ». « On dit que je mens, c'était forcé, bien sûr on croira papa, qui voulez-vous qui sache lequel des deux
ereux, mais 11 qui la faute ? 424 recueil DE faits. III. Il est à croire que s'il n'y a pas eu de mensonge absolu, imagi
des rapports complets avec un autre homme ? On aurait certainement cru sur parole la malheureuse. VI. Quoiqu'il en s
taté par hasard en se mettant un bandeau sur l'oeil droit ; elle le croyait irréparable, un oculiste lui ayant affirmé que
nus ont t été très peu favorables. De leurs recherches, les auteurs croient devoir conclure qu'il faut renoncer à espérer u
ile, par exemple, à un mélancolique devenu tel par chagrin d'amour, croit -on qu'il le sera également dans un cas de profo
un bon administrateur. Pour compléter cette rapide analyse, nous croyons utile de repro- duire textuellement les renseig
uis sa naissance de l'usage de la parole et aussi, nous aimons à le croire , du sens olfactif, a eu le goût singulier de ch
, et ne voyant personne dans le petit local n'étaient pas loin de croire à une hallucination de sa part, lorsqu'ils eurent
is mieux que nous en finissions toutes deux avec la vie. Hier, j'ai cru que c'était fini, qu'on allait me l'enlever. Alor
ginaux » jusqu'au jour où un fait étrange, une impulsion qu'on doit croire soudaine vient brutalement révéler le désarroi
ent réellement, leur'volonté n'est pas très amoindrie comme on le croit généralement. Mais souvent les obsédés succombent
son intelligence déjà anormale et débile originairement. T... se croyait en butte aux persécutions d'une vieille femme h
des idées délirantes ; les uns veulent se punir des crimes qu'ils croient avoir commis ; d'autres pensent se soustraire aux
nt en lui ? Peut-être a-t-il voulu .se punir de fautes dont il se croyait coupable ? Voilà, quant à la cause efficiente de
es des racines postérieures qui débouchent dans la moelle. Il est à croire 'que les impressions cutanées périphériques son
ieuses dont on trouvera la relation dans ce travail, les auteurs se croient autorisés à affirmer que toutes les hallucination
spirites et les font suivre des considérations sui- vantes que nous croyons devoir reproduire textuellement : « Ainsi donc,
ensuite. Malgré l'existence d'une prédisposition héréditaire, il ne croit pas devoir faire inter- venir la dégénérescence
de morale établi sur des inductions ou des déductions. » A ce qu'il croyait être la vérité, il avait montré un dévouement t
un géant de trente ans montre l'erreur possible des auteurs qui ont cru pouvoir, d'après cette persistance, établir l'â
es plus recommandés sont : la sup ))'e6'si'j)t du lei bouilleurs de cru , l'élévation des droits sur l'alcool, la limita
riqué (203,623 donne pour l'année un bénéfice de 9 651f r. 73. Nous croyons que l'Administration supérieure ferait bien de
43 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fougue de son ima- gination créatrice, en homme supérieur qu'il se croyait , il avait, sans motif aucun, abandonné le pain
ncore dans les limites de la santé. Wernicke, fidèle à sa théo- rie croyait tout d'abord pouvoir arriver à se prononcer d'a
rise, puis une pénible et inquiétante oppression. Pitres et Régis ' croient que l'élément émotif domine l'ob- session, tand
s, marié, est amené à la clinique de Gratz, le 14 aoùl 1882 ; il se croyait le chef de gare, et se comportait en conséquenc
longé ; le 15, il est cliente, mimiquement assez dégagé, mais il se croit toujours chef de gare et prétend avoir trouvé l
e de la guerre de Berlin, et y avoir fait du scandale. Il finit par croire qu'il est contreminé dans ses projets par des e
a adressés, il collera ses factums à tous les coins de rues. Nous croyons qu'il est rationnel d'en rapprocher une obser-
de la théo- sophie mystique repoussent finalement la révélation et croient pouvoir établir seules l'existence d'un être su
mêmes, ont pu varier suivant les époques et les temps. Tant qu'on a cru que les dieux avaient le pouvoir de descendre s
nus apparaissaient très souvent aux aliénés ; les personnes du sexe croyaient s'unir alors à des satyres, au dieu Pan, à des
on prophétique. En un mot, le catholique devient fou parce qu'il se croit damné, le protestant parce qu'il se croit proph
evient fou parce qu'il se croit damné, le protestant parce qu'il se croit prophète; l'un se regarde comme réprouvé, l'aut
er de lui, il était resté en tète à tête avec son persécuteur et se croyait 'lié par un pacte irrévocable, qui le rendait e
êmes. Malheur aux simples mortels, si les visionnaires s'avisent de croire qu'ils sont destinés à laver dans le sang la ta
le si fortement l'imagination d'un vigneron crédule, que ce dernier croit être condamné aux brasiers éternels, et qu'il n
renouvelaient fréquemment les anabaptistes illuminés, si l'on en croit Catrou ='. « Deux frères, à la suite de prédica
er au suicide, à plus forte raison lorsque celui qui y a recours se croit l'émanation directe de la divinité méconnue sur
terre. Pour s'iden- tifier plus complètement avec le Christ qu'ils croient être, des illuminés, pratiquent sur eux-mêmes d
moins dangereuses, ils tuent encore au cours de raptus où ils se croient les instruments du démon, ou bien pour être à leu
é de moi ! » » aussitôt il saute par la fenêtre et se tue. Un autre croit entendre les harmonies célestes et voit un char
s'observe dans la goutte, le diabète, le rhumatisme, etc., l'auteur croit qu'elle doit rentrer dans le groupe des trophon
rdier et Frenkel reconnaissent volontiers que le phéno- mène qu'ils croyaient avoir observé, les premiers, dans la para- lysi
le compte rendu que nous avons donné du Congrès de Marseille, nous croyons devoir donner le résumé d'une communication de
é. Psychoses POLYN1 : ,1'RIT1QUES. M. L1BILLE. Comme M. Régis, je crois que les caractères men- taux de l'affection déc
s intellectuels bien définis, liés ou non à la dégénérescence. Nous croyons , toutefois, que la grande chirurgie de l'abdome
le service. L'anesthésie, contrairement à ce qu'on serait tenté de croire , s'est toujours produite rapidement, sans pério
érant y revenir pro- chainement à propos d'autres asiles, mais nous croyons devoir signaler la situation pénible qui *est f
es rotuliens, il vous arrivera plus souvent que vous ne pourriez le croire , de les trouver exagérés ; demandez alors s'il n'
rvège, où il semble que ces idiots ne sont pas aussi rares qu'on le croyait autrefois. Le crétinisme endémique n'existe pas
Depuis quelque temps, le malade dépérit, devient déprimé, peureux, croit qu'il va mourir, se sent abattu, tour- menté d'
j'ai quitté l'Angle- terre pour aller combattre les Zoulous. On m'a cru mort, je n'étais que blessé et prisonnier, et j
'en finir avec ses jours ; il priait un ami de payer ses dettes. Il croyait aller au ciel pour préparer, avec le Seigneur J
uerie, relativement aux placements du journal : En avant ! Il ne se croit pas coupable, ainsi qu'il l'indique dans le pas
eut-il être considéré comme flagrant délit d'escroquerie ? Je ne le crois pas du tout, car le Seigneur lui- même nous dit
manda plus tard de ses nouvelles, lui faisait dire le bonjour, elle crut qu'elle aussi ne lui était pas indifférente. Ob
t ceci, il est juste qu'à moi seul appartienne ce parchemin. « Je crois avoir à peu près terminé ce que j'avais à vous di
z-vous fait de ses papiers » Ce à quoi la mère répondit qu'elle les croyait plus en sûreté chez M. le Curé. Le frère aîné r
, à l'exemple du héros de Dostoïewsky, dans Crime et châtiment, qui croit que tout le monde lit son meurtre sur sa figure
c'est cela je ne me nomme pas D... mais je suis un Bour- bon, et je crois mes droits égaux aux leurs. Donc, si des moyens
que moi qui s'occupât de cette affaire délicate, car moi, je ne me crois pas assez intelligent pour cela. « S'il m'éta
de filles, zélée, assidue, un peu surmenée dans sa profession. Elle croit remarquer qu'un de ses collègues, céliba- taire
ents alin d'éviter des rencontres, arrive à ne plus le saluer. Elle croit bientôt remarquer que les élèves s'en sont aperçu
quente constate alors un délire de grandeur et de persécution et la croit incurable. M. Wernicke la voit, trois ans après
ns tenant à une idée préconçue maladive, à une illusion. Elle ne le croit pas, mais se laisse con- duire dans une maison
r son lit de mort à la suite de ses couches. Une pièce qne sa femme croyait avoir près d'elle, et qu'elle voulait lui remet
comme normal pour le foetus par M. Feré (d'après llamy). Faut-il croire que Chen... était déjà un dégénéré avant d'être
malade semble amélioré, il ne voit plus reparaitre les accès et se croit complètement guéri. Six mois après l'opération, i
rs, ses crises s'accompagnent de délire mystique; -il fait le mort, croit qu'il a été crucifié et que des anges l'emporte
télencéphale : celle des uniciiles qui, avec Mèynert et l5LLIFiER, croient à l'unité structu- rale et fonctionnelle de la
e et non guéri par décision du tribunal de Dinan. Mal conseillé, il crut devoir se servir de cette décision pour attaque
énérescence n'est pas obligatoire chez le même individu. W. SHRBSKY croit que les données de l'auteur permettent des conc
opulation ouvrière, d'apparence bien portante. A. 13E[i,'ZSTEI.\ ne croit pas logique d'opposer la population saine en gé
u moins accusés, de caractère segmen- taire. M. Rybakoff penche à croire que les cellules médullaires sont les éléments
génération des cellules. En outre, ses propres expériences lui font croire que le nombre de vacuoles reste le même, sur de
ême, sur des préparations traitées par le formol. M. KOR : \1 LOI'F croit que les altérations du système nerveux peuvent
ce momeut où l'habitude n'était pas encore prise et eut prévenu, croit -il, la série de déplorables mésaventures qu'il a
ra- lysie générale juvénile est plus fréquente qu'on le suppose. Il croit que bien des cas considérés comme de la démence
c pas de concordance entre les faits cliniques et l'autopsie. Il ne croit pas qu'il s'agisse de paralysie générale juvéni
e la paralysie géné- rale soit en voie d'évolution. Ce qui lui fait croire que sa malade est bien une parah tique générale
es. Quelle est donc la nature de cette surdité verbale ? Ciiarcot croyait que l'aphasie hystérique n'existait pas. Pourtant
ition légitime. M. Déjerine. L'examen histologique ne permet pas de croire que ce refoulement ait été assez énergique pour
s ont des convulsions pendant leur première enfance. Mais M. Dufour croit que ces con- vulsions sont déjà de nature épile
éditaire; mais les exemples en sont beaucoup plus rares qu'on ne le croit . Sou- vent l'épilepsie a été créée par accident
eur, et... celui de l'observateur par le sujet : plus l'observateur croit à l'importance d'un fait, d'un détail, plus ce
oquement, plus ce fait se montre avec netteté et plus l'observateur croit à son importance. x Ce second volume, au contra
ICALE, ETC. lu 2° ils sont accompagnés d'une illusion qui nous fait croire à notre libre arbitre. Un bruit insolite vena
3 Dans un travail fait en collaboration avec M. Levic, nous avions cru trouver un exemple d'ophtalmoplégie pseudo-nucl
alique de l'amnios sur l'extrémité céphalique de l'embryon, mais il croit que l'étroitesse du capuchon céphalique, observ
ntrifuge, la malade ne sent, les yeux fermés, aucune rotation, elle croit être en repos. Pas de nystagmus de rotation, qu
t une forme mixte Strümpell-1'er- nicke. Discussion. M. MouRATOrr croit qu'il s'agit plutôt dans ce cas d'une affection
primitive du cerveau ne puisse guère être exclue. M. KOJEY- NIKOFF croit plutôt à une encéphalite disséminée, peu profonde
s les fibres arciformes internes, externes et interpyramidales; ,\ cru Par l'intermédiaire des fibres arciformes interne
e certaines voix, malheureusement trop écoutées, tendent à le faire croire . Il faut ensuite le féliciter de continuer brilla
t ou députés ou sénateurs sont vraiment .des hommes de science : je crois qu'on en trouverait peu à qui donner ce titre d
indique l'auteur. Bien loin d'y voir une conquête de la science, je crois que celle-ci n'a rien à y gagner. Quoi qu'il en
de l'Esprit scientifique contem- po1'Ctin. G. PAUL-13oNcouR. Nous croyons utile, à propos de l'analyse dj notre colla- bo
vec un rasoir. Le malheureux, qui est atteint d'aliénation mentale, croit être une victime de l'affaire Dreyfus et que le
caractères de ce que M. Régis appelle le délire onirique, et qu'il croit caractéris- tique d'une intoxication endogène o
u où il se trouve ; d'après ses réponses, il est manifeste qu'il se croit à l'hôpital de Limoges; cependant, quelques ins
il a éprouvé des rêves qu'il est incapable de raconter, mais qu'il croit avoir été des rêves de voyages. Puis, il a perd
sile, « il a été comme dans un rêve, dit-il. Le plus souvent, il se croyait dans un pays étranger, ou dans un autre monde. Il
urgatoire pour voir un de ses amis auquel il s'intéressait et qu'il croyait y être détenu. « La religion jouait un grand rô
ses pensées en dehors de ses rêves, il répond spontanément « qu'il croit que la plupart du temps, il ne pensait à rien »
; elle demande avec anxiété ce qu'elle va faire de ce bras qu'elle croit sentir au pied du lit et insiste pour qu'on l'e
sûr, car il emploie les expressions suivantes : « il me semble, je crois , etc. » Supprimant ensuite tout contact avec son
orage, trois jours avant, elle s'est mise à délirer violemment; se croyait en feu, précipitée dans l'enfer, voyait le diab
n'y a rien ; les époques se succèdent sans modification. Nous ne croyons donc pas à l'influence d'un état d'anémie hypot
iné M... au dehors, et qui avait reconnu l'hypos- padias, n'ait pas cru devoir fixer davantage son attention sur ce poi
alors que ce sont des visions, prend peur et se met il crier. 11 se croit possédé du malin esprit, empoisonné par ses ennem
nuits, et parfois plusieurs fois la nuit; raison de plus pour qu'il croie aux sorciers. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 315
reil électrique et non sur le manche de l'électrode, sous peine de croire à une contraction tandis qu'on déplace presque in
ur cérébelleuse, l'hérédo-ataxie cérébelleuse de P. Marie. Il ne se croit pas encoie en mesure de décider si, dans la mal
En raison de ses manifestations bizarres et prétentieuses, l'auteur croit pouvoir l'envisager comme un phénomène pathologiq
ous le nom d'encéphalo-myélite disséminée. Discussion. 1. Mocratoff croit qu'il s'agit ici d'une affection d'origine infe
t êlre d'origine post- infectieuse. Le professeur IioAL1'i\Ih01·F croit à la possibilité d'une méningite cérébro-spinal
nt invités à diner, fut prise du même genre de troubles. L'auteur croit qu'il s'agit ici d'une polyencéphalite analogue à
des cysticerques et n'apparaissent que dans les phases ultérieures, croit pouvoir en conclure que la cause de ces symptôm
s ont toutes donné un résultat négatif. Discussion. M. IOURATOI'1 croit que la valeur du phénomène e en question est tr
es : carmin, bleu de méthylène, etc. Quant aux altérations que nous croyons devoir rapporter à l'action des réactifs, elles
e des apparences si variées que Nissl, V. Gehuchten, Marinesco, ont cru devoir les répartir en plusieurs types en se ba
voir eu affaire à une forme un peu spéciale de streptocoque et nous croyons que tel est bien l'agent pathogène de la maladi
subs- tratum anatomique à l'affection qu'il décrivait, puisqu'il croyait à l'intégrité du système nerveux dans ces cas, le
seule en être rapprochée. A part ces deux cas il n'en n'existe pas, croyons -nous, où les lésions des éléments 1 Raymond. Cl
allure clinique et leur systématisation anatomo-pathologique, nous croyons que c'est à^de tels cas qu'il faut se reporter
trice, à cette bataille hallucina- toire, incapable de bouger. Elle crut comprendre plus tard que la voix intérieure éta
on motrice, mais aussi une sorte d'articulation réelle qui lui fait croire que la voix intérieure est la sienne, et qu'ell
une sorte d'angoisse dans la poitrine. Hallucinations de la vue. 11 croyait voir des hommes, des as- sassins-derrière la po
outre pendant le cours de son délire, des idées de persécution. Il croyait que ceux qui l'entou- raient lui voulaient du m
te que nous n'avons pas de renseignements sur eux. 13... savait, ou croyait savoir que sa femme le trompait. Les premiers t
ridée, comme un jeune Othello. Il ne veut plus qu'elle sorte seule, croit qu'elle ira coucher avec tout le monde. Il se sen
tion : « Est-ce là, dit-il, une véritable hallucination, nous ne le croyons pas, c'est une impulsion plutôt qu'une hallucin
ns fait remarquer à propos de notre observation I, certains malades croient parler automatique- ment. L'éréthisme du centre
et physique assidu, il retourne au collège, et, tout nous permet de croire qu'il y a eu guérison, car les attaques n'ont p
ne lésion des branches descendantes des racines posté- rieures ; il croit aujourd'hui que son observation eût plutôt pu s
d'une gibbosité faible, comparée à la compression, per- mettait de croire à une affection tuberculeuse de la colonne verté-
us l'influence de la médication bromurée seule, le poids du corps croit sans exception. De l'étude des accès et de leur
s'il y a une loi des transformations de la notion du délit ? Il ne croit pas du tout à l'évolution unilinéaire des société
e nos départements agricoles, elle reste très faible, alors qu'elle croit sous nos yeux en intensité et en quantité dans
ULAIRE. 465 fort du biceps on n'a aucune sensation de mouvement, il croit pou- voir établir que les sensations musculaire
RITIQUE. qui est celui pour lequel Johannès Muller et Wundt avaient cru devoir forger une théorie spéciale. » Les sen
r et idées de persécution; il avait des hallucinations de l'ouïe et croyait qu'on allait le guillotiner. Sa mère, décédée e
possède des châteaux, des usines dont les murailles sont en or, se croit généralissime, prince, empereur, distribue libéra
l avec une immense bande de toile blanche qu'il doit vendre ; il se croit camelot, déchire ses draps, ses habits et les v
ies et de troubles trophiques correspondants. Il ne reste plus qu'à croire à une apoplexie spinale; il doit y avoir eu (le
s hallucinations vives; extrêmement excitée, fort défiante, elle se croit empoisonnée, mange difficilement, tandis qu'à d
le front. Marche lente, mais progressive, le pouls se ralentit. On croit à un hématome sous-dure-mérien au niveau du lob
ul. Efforts multiples impuis- sants. Il suffit que le patient ne se croie pas observé, ou qu'il arrive à détourner son at
avec le temps, la maladie disparait (de Bechterew). M. de Bechterew croit à l'existence d'une hyperexcitabilité sphinctér
les (acro- mégalie molle et non osseuse). Ceci permettrait aussi de croire que le jeune homme avait une anomalie congénita
uite de recherches entreprises d'après les conseils de M. P. Marie, croit pouvoir conclure à une direction ascendante de
s mes efforts restèrent vains. C'est alors seulement que je me suis cru autorisé à recourir à l'éther. M. Fau de ST-a
depuis quelque temps en proie au délire de la persécution. Elle se croyait en butte à toutes sortes de machinations de la
, dont le père habite près le Mans (Sarthe), où il est bouilleur de cru , avait bu, pendant l'abscence de ce dernier, un
44 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
sens, est-il vraiment aussi difficile que quelques-uns paraissent le croire , de discerner la symptomatologie réelle de la sym
e-ci : cet état peut-il être simulé de façon à tromper le médecin. On croit généralement que si chez un sujet cataleptique un
un autre mode d'excitation électrique. Il ne faudrait pourtant pas croire que cette prévalence d'action de l'étincelle élec
ceux qui s'effacent quelquefois tout à coup, d'une façon imprévue. Je crois donc qu'il sera prudent de saisir l'occasion prop
asme des muscles du domaine du facial inférieur et du peaucier, je le crois surajouté, inventé, simulé. Il est probable que
r l'art. L'amour de la notoriété n'est-il pas le mobile ? Tromper, ou croire tromper les médecins de Saint-Pétersbourg, après
frappant avec la précédente. a) Délire mélancolique, les malades se croient ruinés, déshonorés, etc. b) Quelquefois, il y a
ssive. Cette combinaison est, sans doute, rare et n'est pas notée, je crois , par les auteurs ; je l'ai rencontrée cependant t
ief le cas particulier sur lequel je désire fixer votre attention, je crois utile de vous rappeler quelques-uns des grands ép
aractères généraux de la grande attaque hystéro-épileptique ; mais je crois devoir me bornera vous renvoyer à mes précédentes
nde fréquence de l'hystérie, chez l'homme, s'observe vers 24 ans ; je crois que le fait mérite confirmation ; suivant mes obs
ns, la maladie serait, chez les jeunesjgarçons, plus commune qu'on le croit , vers 12 ou 13 ans ; on peut la rencontrer, vous
s ; c'est un cas de petite plutôt que de grande hystérie; pourtant je crois qu'il n'est pas moins intéressant, surtout en rai
st-il vraiment aussi difficile que quelques-uns voudraient le laisser croire , de discerner la symptomatologie réelle, de la sy
nt de pouvoir tromper le clinicien expérimenté en ces matières,? On croit généralement que si un sujet cataleptique est pla
vrier sur un établi, vint le frapper rudement sur la fesse gauche. Il croit pouvoir indiquer, avec précision, le lieu où le c
t surtout dans la substance grise centrale. Il n'y a aucune raison de croire que les faisceaux blancs antérieurs ou postérieur
peu près invincible à la station et à la marche. Il y avait lieu de croire qu'une opération chirurgicale appropriée aurait p
osographique de la cécité verbale ne remonte pas très haut. C'est, je crois , M. le professeur Kussmaul qui l'a le premier déc
e sous le nom de surdité des mots, Worttaubheit. 11 ne faudrait pas croire toutefois que la cécité des mots n'ait pas été de
tre son nouvel état et l'état ancien un contraste violent. M. X... se crut un instant menacé d'aliénation mentale, tant les
ngue-t-elle également de la paralysie pseudo-hypertrophi-que?Je ne le crois pas, et ici, je m'associe à l'opinion émise, bien
èvres des slrunleux. Mais en outre, fait qui n'avait pas été noté, je crois , par Duchenne, chez notre malade, le facial supér
fique et doit-on, à cause de cela, créer une forme spéciale? Je ne le crois pas. Faites abstraction de la participation de la
ns. De temps à autre elle s'arrête, se repose pendant un moment; vous croyez que 1. Les photographies reproduites ici ont ét
rs, Avant de revenir au sujet principal de nos études actuelles, je crois utile de vous donner des nouvelles de ces trois e
consentirent à ne voir leurs enfants qu'avec mon autorisation, et je crus pouvoir leur annoncer que, vraisemblablement, dan
thérapiques, abandonnez-la, ou tout au moins, faites en sorte qu'elle croie que vous avez quitté la capitale, prévenez-moi et
la mère céda d'abord et le père la suivit en maugréant et n'ayant, je crois , qu'une faible confiance dans le succès. L'isol
as triomphé — car je savais que vous vouliez me faire enfermer, —j'ai cru que ma maladie n'était pas sérieuse, et, comme j'
ses spasmodiques ou délirantes; c'est là un fait important, car je ne crois pas qu'on puisse considérer une hystérique comme
ter l'enseignement que porte avec elle l'histoire de ces enfants : je crois qu'à l'aide des moyens que je vous ai exposés, on
ore, beaucoup plus problématiques. Pour ce qui est de nos enfants, je crois que, malgré la prédisposition nerveuse qui, chez
ur qui ne connaît pas à fond la maladie chez la femme, -— ce que l'on croit être le trait carac- ' 1, E. Batault, Contribut
de phénomènes qui résistent à tous les modificateurs thérapeutiques, croiront , je suppose, s'il existe des troubles sensoriels
bien observés, sinon toujours bien interprétés, du moins à ce que je crois . Ces messieurs ont observé l'hémianesthésie sensi
e ses bras pensant y trouver les traces des morsures d'animaux, qu'il croit avoir senties. Puis il revient à lui, l'attaque e
n de nos confrères de Paris. D'après cela, il y a lieu d'admettre, je crois , que deux éléments biens distincts coexistent che
a fréquemment qu'au moment où il fermait les yeux pour s'endormir, il croyait voir un monstre à figure humaine qui s'avançait v
uivants; de plus, nuit et jour, il était tourmenté d'idées noires. Il croyait à chaque instant voir de nouveau son ver solitair
ement l'usage des parties affectées. Pendant quelques jours, on put croire que tout en resterait là, mais le 27 mai, c'est-à
, cette dernière hypothèse, et celle d'une lésion spinale que nous ne croyons même pas devoir discuter, n'était pas plus admiss
tentai de lui persuader qu'il était de nouveau paralysé. « Vous vous croyez guéri, » lui dis-je avec l'accent d'une entière c
e du moins, qu'à ce moment, il a éprouvé une sensation qui lui a fait croire que son membre supérieur était absent, qu'il étai
existence d'un phénomène qui, à défaut de tout aulre, pourrait, je le crois , acquérir une importance majeure et coniribuer pu
eux côtés, à la vérité sans transposition du cercle du rouge. Je ne crois pas nécessaire, maintenant, d'entrer dans des dév
ement l'ensemble des caractères qui vennent d'être énumérés ; mais je crois qu'on peut affirmer ^ue lorsque ces caractères se
auxquelles nous nous arrêtons, et pour leur donner plus de poids, je crois utile de rapprocher du cas qui nous occupe en ce
chez l'homme ; telle sera la conclusion de tout ce qui précède. Je crois vous avoir démontré que chez les deux hommes atte
me représentant le type des paralysies psychiques. Au préalable, je crois devoir vous rappeler un certain nombre de faits q
elle vaut, sans y attacher plus d'importance qu'elle ne mérite. Je la crois cependant vraiment digne d'être examinée de plus
démonstration, si je ne me trompe, est suffisamment probante et je ne crois pas que, dans une recherche quelconque de physiol
des jointures1. C'est une affection assez peu connue encore, je le crois , bien qu'à la suite de Brodie elle ait été l'obje
oints. en France 1 ; puis enfin en Allemagne 5 et en Italie 3. Je crois utile, en matière d'introduction, et pour rendre
pourrais vous citer plusieurs autres exemples du même genre, mais je crois en avoir dit assez pour vous montrer qu'il existe
Après ces préliminaires, je reviens à mon malade, chez lequel je crois pouvoir affirmer la nature purement hystérique de
nos efforts. Mais avant d'aborder la question de thérapeutique, je crois utile d'arrêter voire attention sur un point qui
s certainement, et peut-être est-elle même plus fréquente qu'on ne le croit , bien que, si je ne me trompe, les auteurs la pas
stériques, je vous ferai remarquer, en passant, qu'il ne faudrait pas croire que des désordres matériels un peu accentués de l
roite avec claudication. lise produit une rémission complète qui fait croire à l'existence d'une affection purement nerveuse e
n'insisterai pas plus longuement sur ce point, j'en ai dit assez, je crois , pour montrer que chez un sujet hystérique, lorsq
is éveillées, nos malades ignoraient absolument notre intervention et croyaient fermement l'une et l'autre s'être heurté la hanch
ui qui caractérise la période som-nambulique de l'hypnotisme, mais je crois en avoir dit assez pour exciter votre atlenlion s
ard, et il va lui-môme vous rendre témoins du mode opératoire qu'il a cru devoir employer. — Vous voyez que les pratiques q
tout d'origine psychique ou, si vous l'aimez mieux, mentale. — Or, je crois savoir que l'Administration du chemin de fer est
nt les résultats vraiment singuliers obtenus chez notre malade ? — Je crois pouvoir affirmer qu'ils sont dus à la nature du s
r de l'existence de la névrose hystérique chez notre malade ; mais je crois vous avoir suffisamment convaincus sur ce point e
s pour déterminer des phénomènes du même genre *. On peut avancer, je crois , d'une façon très générale, que plus la contusion
at d'une participation par voie réflexe des centres nerveux. On peut, croyons -nous, sans forcer les analogies, relever qu'il y
uscle. M. Léser, dans les expériences qu'il a faites sur les animaux, croit d'ailleurs avoir obtenu des résultats propres à c
été suivie d'une aphonie qui a persisté pendant quelques jours. Je crois en avoir dit suffisamment pour montrer non-seulem
e survenant à la suite de l'application d'un bandage trop serré. Je crois être en mesure de vous fournir immédiatement la d
sance motrice totale avec flaccidité complète. Eh bien, Messieurs, je crois que si, chez Mouil..., une fracture des os du 1
en relief et qui réclame de nouvelles recherches. Dès à présent, nous croyons pouvoir affirmer, après l'avoir recherchée sur un
ace. Les circonstances qui viennent d'être relevées montrent bien, je crois , que la contracture dont il s'agit n'est pas la c
l'exposé de son histoire et d'essayer de justifier mon diagnostic, je crois utile, pour rendre, notre démonstration plus aisé
signalé dans tous les écrits consacrés à l'hystérie. Cependant, je ne crois pas que la caractéristique de ce syndrome eût été
ur ce que m'a appris, sur ce sujet, une expérience déjà longue, je me crois autorisé à affirmer, Messieurs, que le syndrome m
tance, la simulation est peut-être plus facile à dépister qu'on ne le croit généralement. Peu de simulateurs, on en conviendr
ystérique, sans rien retran- cher, sans rien ajouter de leur propre cru à cette symptoma-tologie si complexe et si spécia
a place pas, que je sache, sur sa tête ou sur sa bouche. C'est, je le crois , par des considérations de ce genre que la simula
Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 28 à un prêtre, dont elle croyait avoir eu à se plaindre, le cadavre d'un enfant no
suppression d enfant à trois ans de prison. Mais, il est temps, je crois , d'en arriver à la démonstration de notre cas. El
loppement ; c'est dans l'é-corce grise des hémisphères cérébraux — je crois pouvoir l'admettre sans m'avancer trop, — qu'il f
fait sur la façon dont l'accident a eu lieu une légende à laquelle il croit fermement et dont toutes les circonstances se pré
ui-même il ne se rappelle rien, quoi qu'il en dise, et il y a lieu de croire que tout ce qu'il en raconte il l'a rêvé et inven
ents présentés par la malade disparussent d'un moment à l'autre, j'ai cru opportun de vous présenter aujourd'hui même cette
comprendra l'exposé complet de ces diverses observations ; mais nous croyons qu'il ne sera pas sans intérêt, vu la nouveauté
e qu'il m'a été donné d'observer dans le service de M. Charcot, je ne crois pas que l'aphasie hystérique soit si commune que
le matin, éclate une crise nerveuse avec délire terrible. Le médecin crut à une méningite aiguë ; le Dr Mayor, appelé en co
te et en écrivant sur une ardoise. Wilks, consulté pour celte malade, crut reconnaître un cas d'hystérie et promit la guéris
rmettront de donner à ce symptôme sa véritable signification. Je ne crois certainement pas qu'on puisse, à l'exemple d'un m
45 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
illé, 'maisrn'a qu'un souvenir confus™ desa,maladie,etest,dis{)oséj croire ^ que loutre,, qu'on ^lui^a.fait^, l'a renduo'pl
YÇLIOLO(31E1 jJf,0J(llw,.n Ad le nom,celaide, Clark liniuersily, je crois utile,- en .raison, de 1 importance qu désormai
ychologie expérimentale'4dé dirige M.'le D' Hugo Mùnsterberg. Je le crois un peu plus important que celui de Clark Univer
époque. La première déposition fut celle de Marie Borthon, qui se crut possédée dès 1658. Elle raconta que soeur Buvée d
uite provenaient de l'influence mauvaise de cette soeur; et elle le crut d'autant mieux qu'elle ne pouvait lire son offi
de soeur Buvée, elle ne pouvait consommer les saintes espèces ou croyait voir « ' un spectre impur d'homme et un de femme
e protestant contre un tel acte, soeur Buvée répondit alors qu'elle croyait baiser une image. D'autres religieuses firent
lle avait infligé des pénitences à cette soeur, qu'elle n'avait pas cru devoir le faire parce que tout s'était passé en
ne disait que voyant soeur Buvée demander des potages au lait. elle crut que c'était une envie de femme enceinte ; l'aut
e d'une personne qui a le ventre gros ; tous motifs pour elle de la croire enceinte, d'autant plus, qu'après une médecine,
hoses horribles provenaient de l'obsession, il y eut grand sujet de croire qu'elles mirent à profit cette imprudente remar
acile de juger qu'il prétendoit se servir de ces lettres pour faire croire qu'il avoit continué son voyage à Salins avec l
et sa conduite jugée en'con- séquence. C'est-à-dire que si un homme croit qu'on lui doit cinq francs," on'l'excusera d'es
. ·f7,tri.,· -1 Ir3 r ? V·rtia : ,,r 3. UjiU ;,t Br ! 6 ) '7AtrU'1.1 cru Séance du 6 raovembre : 189. , Présidence de M.
a, malade, à un ra- mollissement de ces organes. Il y avait lieu de croire que toute la sphère visuelle- du lobe occipital
ui apparaît une scène de son enfance ; ilvoit son village natal, il croit y être, enfant il joue comme autrefois avec ses c
ade n'était nullement compliqué. Pour ce qui est simulation, je n'y crois pas. Mes conclusions ne sont d'ailleurs nulleme
e du soldat un sentiment épouvan- table de frayeur. M. SLGLAS. Je crois , comme M. Vallon, que son malade était inconsci
des observations où jusqu'ici les autres méthodes permettaient de croire à l'intégrité de l'élément nerveux ; en nous mont
palustre. Pour admettre la nature palustre de ces troubles, on a, croyons -nous, tort de s'attacher trop à la recherche soit
- bles neurasthéniques se sont tellement amendés que la malade se croyait guérie, en m'affirmant que depuis de longues anné
ceux qui, comme le déclare le Commissaire lui-même', auraient pu croire à la possession, eussent été obligés « de ne plus
ent pu croire à la possession, eussent été obligés « de ne plus y croire et d'imputer tout à folie, à maladie ou méchancet
es de possession, si Dijon est criminel, devant Dieu pour ne pas le croire sur ces extravagances, si ce ne sont pas là les
s, des cailloux d'une grosseur et d'vne taille qu'il est malaisé de croire , qu'ils puissent passer par la gorge naturellem
uropéens, que son usage modéré n'est pas si nocif qu'on pourrait le croire ; objet de luxe dans la classe riche, objet de n
lammatoires au niveau de la plaie opératoire; néanmoins l'auteur se croit en droit de conclure à l'opportunité d'une tell
1° La paralysie s'observe chez la femme bien plus souvent que ne le croyaient les anciens auteurs ; d'après l'analyse de 104.00
l'hôpital ordinaire, une déconsidération facile à comprendre. Je crois qu'en choisissant, comme emplacement, les points
popu- lation de nos asiles serait mieux placée ailleurs, mais je ne crois pas que la construction d'asiles spéciaux offre
ativement court. Il s'agit encore d'une femme. Et qu'on n'aille pas croire qu'il y a eu simple atténuation des.conceptions
e capitale de l'hérédité dans la genèse des folies familiales et il croit que créer une subdivision de la folie héréditai
pond qu'elle a été piquée, mais elle a oublié la piqûre du front et croit que l'autre a porté sur la main droite. Je trac
te amnésique se, rappelât si longtemps un détail d'examen. Or, j'ai cru me rendre compteque ce qui avait persisté chez
? ? " 3UP'1 ` Dans le cas dont j'vien; de(faire la-1 relation,1 je crois qu'il est difficile d'accepter^ cette pathogéni
pendant la Révolution, et un industriel y installa une filature, je crois .- Cette propriété passa ensuite en plusieurs ma
od. Ensuite, M. PIERRET a pro- noncé un excellent discours que nous croyons utile de repro- duire in exte ? iso : Messieu
de la portée de notre observation directe ? A vrai dire, je' ne le crois pas, mais pour étudier les délicates modification
ctuelles, morales et affectives. C'est dans ce sens étendu que nous croyons devoir la prendre. Définir l'hystéi-ic n'est pa
elle demanda son enfant, et comme on tardait à lui mon- trer, elle crut qu'il était mort. Mais on le lui rapporta bientôt
ai que les perversions soient rares chez les hystériques ? Je ne le crois pas, car tous les jours on en rencontre des exe
-il encore que cette femme est une simple dégénérée ? Je n'ose le croire , mais, pour ma part, je n'hésiterais pas, non à a
ui a trait à l'analogie du rêve avec certains états hystériques. Je crois , pour ma part, que le rêve joue un grand rôle d
quelques réflexions. Je parlerai à peine de la folie hystérique. Je crois , pour ma part, que les hysté- riques sont susce
suivant l'expression de Charcot, réhabiliter les hystériques. Je ne crois pas qu'il y soit arrivé. Les caractères généraux
tte, etc.. restera toujours l'expression de la vérité. M. Ballet ne croit pas à la folie hystérique; suivant lui, quand l
nce c'est remplacer un mot par un autre, ce n'est pas définir. Je crois , pour ma part, à la folie hystérique. Certes, la
ostic des manies et leur donne un cachet particulier. M. Vallon. Je crois , pour ma part, qu'il existe une manie hys- téri
e à la suite d'ue profond cha- grin, d'une émotion violente ? Je ne crois pas que la chose soit possible. Un dégénéré est
s sujets indemnes de tout stigmate dégénératif. Ce n'est pas là, je crois , une raison suffisante pour rejeter l'existence
omatique, les autres une valeur étiologique. M. Joffroy confond, je crois , deux choses absolument différentes : la prédispo
téri- ques à la suite de fortes commotions physiques ou morales. Je crois donc avec M. Ballet qu'on peut devenir hystériq
dégénéré. M. PIERRET (de Lyon). Au cours de cette discussion, je crois qu'on s'est un peu trop occupé des facteurs éti
principalement sur la communication de M. BARBINSKI. Toutefois nous croyons utile d'extraire du rap- port de M. Marie les c
ême dans des cas de longue durée, aucune trace de dégénération ? Je crois avoir montré que cette intégrité des racines ét
rofondie. C'est dans l'espoir de provoquer cette discusion que j'ai cru devoir, dans mon rapport, insister tout particu
locale des cordons nerveux à l'encontre des actions pathogènes, se croient forcés d'invoquer fatalement l'action à distanc
façon indiscutable l'exis- tence des névrites périphériques. Je ne crois pas utile de relater à nouveau ici ces recherch
t le nombre des débits n'était point une règle générale comme on le croyait . Résultat étrange et bien paradoxal. L'enquête
d'aliénés qu'il conviendrait d'interner dans cet asile spécial ? 5° croit -on qu'il sera facile au département d'utiliser le
et relatif à la construction d'un cinquième asile d'aliénés. On ne croyait pas, a-t-il dit, qu'il fallait un programme spéci
l s'agit là, en effet, d'un établissement hybride. M. Deschamps a cru aussi utile de demander au Congrès ce qu'il fau
atelier lui-même qui se charge de les approvisionner d'alcool. Je crois donc qu'il y a intérêt à ne pas établir de servic
comparative des faits toutes ces données théoriques, finissent par croire que le tubercule, la goutte, le rhumatisme, la sy
confrère de vouloir bien insti- tuer un traitement. Eh bien ! ne croyez -vous pas qu'envisagé par un esprit prévenu, ce
jour il y pénètre plus avant. Sa certitude vient de sa logique ; il croit parce qu'il rai- sonne. Mais il est inébranlabl
crites du cerveau. Je dis à l'occasion, car ce serait une erreur de croire que le délire en dépend. On sait combien de mal
'inégalité pupillaire, de quelques lacunes du souve- nir, on eût pu croire à un délire systématisé pur de tout mélange.
département, pendant les dix dernières années. Encore une fois, je crois qu'il n'en n'est rien, et que si l'augmentation e
arlement ayant été saisi de cette nouvelle affaire, le sieur Jannon crut opportun d'aller lui-même à Paris pour en préve
eur génie, leur raison, leur liberté se descouvre suffisamment pour croire que tout vient d'elles, et que leurs. volontés
use quand on se fut aperçu que celles qui étaient simples et qui ne croyaient être possédées c que parce que la supérieure le
dées c que parce que la supérieure leur avoit dict qu'il le falloil croire et que les exorcistes l'avoient dict aussy >,
qu'elle avait été transportée au sabbat, décrivait ce qu'elle avait cru voir. Charlotte Joly avait aussi des visions te
lusion que la glande lacrymale est innervée non point, comme on l'a cru jusqu'à présent, par le nerf trijumeau, mais par
(Neurolog. Cent ? ,albl., 1893.) L'auteur, après examen détaillé, croit que les prolongements protoplasmiques contienne
ur estime qu'il faut faire des réserves à cet égard. M. Ballet ne croit pas non plus que l'intervention chirur-icalé ai
des distinctions cliniques. ' Dans l'état actuel de la science, je crois que l'on pourrait, dès à présent, admettre troi
nerveuse consécutive à la névrite, à l'oedème, à la périnévrite. Je crois donc bien avoir imaginé un moyen d'étude nouvea
cé les idiots microcéphales. Avant d'arriver à ce point spécial, je crois utile de placer sous vos yeux un certain nombre
s connaissant peu les maladies nerveuses chroniques des enfants, ne croient pas encore qu'il est possible de les améliorer
endemain, elle commençait le traitement en prenant un lobe frais et cru de glande thyroïde de mouton. Les quatre pre- m
ns des limites plus res- treintes qu'à l'état normal. On pourrait croire que tout processus pathologique intéressant un
ations vasculaires particulières que les morphologistes ont parfois cru pouvoir assimiler à un cervelet), cet épendyme
alité mais sans opposition entre les deux éléments dissociés. L'une croit avoir son fils dans l'estomac, l'autre 342 SOCI
s s'accroît d'une façon inquiétante dans le Royaume-Uni, si l'on en croit un rapport officiel. Voici les chiffres qui mon
e tantôt elle accomplit d'une façon incoordonnée, ou même qu'elle croit parfois accomplir, alors que tout se borne à la s
à l'acuité de la maladie et à la rapidité de l'évolution. Aussi se croit -il en droit de conclure que dans les cas de diagn
illerl développe beaucoup l'importance de cette res- triction et il croit que la peptonurie ne saurait être invoquée ' Ra
ain. Donc là encore, au moins d'après M. Lailler, et quoi qu'ait pu croire Marro et Fonda, pas davantage de critérium. L
ueillir exactement les urines d'une journée entière, néanmoins nous croyons avoir réussi grâce à la bonne volonté du person
a Faculté). Peut-être dans quelques cas, heureusement fort rares, croyons -nous, y a-t-il eu un peu d'urine perdue ; mais no
ès différente, puisque Sutherland et Beale, ainsi que M. Lailler le croient excrété en quantité supérieure à la nor- male,
t de 4 sur 6. Ces nombres sont bien faibles, il est vrai, mais nous croyons qu'ils suffisent à montrer qu'on doit considére
me M. Mtinsterberg, d'ailleurs. Faut-il s'en étonner ? Nous ne le croyons pas. La psycho- logie expérimentale est née en
s impressions vésaniques en deux groupes que M. Marandon de Montyel croit devoir conserver : d'une part se placent les mani
é la possibilité de la contagion de la manie et de la lypémanie. On croyait toujours avec Delasiauve et Lunier que les fait
Belgique, mars etjuin 1894.) De cette étude biographique l'auteur croit pouvoir conclure que le czar Jean le Terrible,
lui ou en ses parents. Pas de visites non plus quand le délirant se croit épié ou en butte à des actions physiques, en de
; ce qui est congénital, c'est l'infériorité psychique. M. WILSER croit devoir admettre la transmission des instincts.
nous avons pu visiter en compagnie de M. le D'' Hamel deDôle; nous croyons être les seuls Français qui aient vu l'asile à
es notes qui pourront peut-être inté- resser quelques lecteurs. « Croyez -moi toujours votre tout dévoué collaborateur. .
psychique atrophiée '. G. DEYAY. 1 Avec beaucoup de médecins, nous croyons inutile la création d'un asile spécial pour cet
die il pourrait être pris pour un hypochon- driaque, si, loin de se croire malade, il n'était déjà prêt à accuser autrui d
ence durait depuis sept ans, quand en 1883, à trente-deux ans, elle croit s'apercevoir qu'on « monte la tête à son mari))
a une attitude réservée : c Je n'ai rien à dire, puisque vous ne me croyez pas. » Observation II. 0... veuve F..., cinquan
. Ce sont là des « moque- ries », des cancaueries » dont elle ne se croit d'abord pas l'objet, et si elle voit les sourir
ANS LES PSYCHOSES. 447 elle dans ses relations conjugales; un homme croit que sa fiancée s'est glissée en lui par la régi
rimable. c Si je me retenais deux heures de boire, déclare-t-il, je crois que je deviendrais fou. » Il fait tous les soir
ent en parfait état de santé et augmentaient même de poids. Il est, croyons -nous, im- possible de mieux réaliser expériment
e nocturne, qui a des mictions fréquentes et impé- rieuses diurnes, croit en réalité qu'il urine plus que normale- ment.
oup urine plus et plus souvent qu'un sujet sobre. Il est logique de croire que cette hyperdiu- rèse, consécutive aux grand
polyurie hystérique durable est beaucoup plus fré- quente qu'on n'a cru . Plusieurs des anciennes observations de polyur
s, plus ou moins organisées, cohérentes, systématisées, justifient, croyons -nous, une étude d'ensemble, ne fût-ce que pour
et permet de classer les théories que ces termes désignent. Nous croyons devoir l'emprunter presque en entier au mémoire d
hondriaque, pouvant à leur tour être chacune aiguë ou chronique. Il croit cependant que les hallucina- tions engendrent s
inées et qu'ils sont impuissants à convertir en des pensées de leur cru , parce que les associations d'idées sont, chez
aussi se montrer intermittentes, si bien que l'on pourrait presque croire à un trouble cérébral isolé, à une excitation d
xcitation du centre auditif. Finalement les malades succombent, ils croient à la réalité de leurs hallucinations et c'est a
survien- nent les hallucinations psychiques de Baillarger qui font croire aux malades qu'on connaît leurs pensées, qu'on
revanche, s'il ne se produit pas d'ag- gravation semblable, on peut croire à une intermittence ou une paranoïa aiguë. La
une maladie physique, les voilà inquiets, excités, déprimés, ils se croient , sans motifs, persécutés et en butte à des influe
t mal des événements indifférents ou sans rapport avec eux qu'ils croient dirigés contre eux; de là des manières de voir et
des épileptiques et des hystériques. Il ne nous est pas possible de croire que les états d'obnubilation intellectuelle, de
rencontrer dans une famille de goitreux. C'est une grande erreur de croire que le goitre exophtalmique n'existe pas dans l
ment responsable. licite d'autre part un procès américain où l'on a cru pouvoir interroger l'accusé mis préalablement en
cal Sciences ne s'occupe pas exclusivement de système nerveux, nous croyons pourtant devoir faire une mention spéciale de c
, mais n'ont pas perdu la vision mentale autant qu'on pourrait le croire . Treize ont besoin d'une direction. Il n'y en a q
sultat d'un jugement préconçu, ni d'un entêtement. Il ne faut pas croire non plus que les désavantages de l'affilia- tio
) ' faits DIVERS. 529 Depuis longtemps, cette malheureuse dame se croyait poursuivie par des personnes qui voulaient atte
46 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
sont bleus, couleur qu'ils ont en aversion. Enfin, bien des peuples croient qu'une couleur spéciale peut préserver des maléfi
erte par M. Donza et poursuivie par M. Raffcgeau. M. Bkiullon. — Je crois utile de rappeler l'observation faite par M. Lumi
dans son état mental me dispose à le considérer comme guéri et je ne crois pas qu'il récidive jamais dans l'accomplissemcntd
able à son entourage. Ses parents sont consternés; ils ne veulent pas croire que le cas soit bénin; il s'agit certainement, se
iat avant l'âge, si vous avez dessein de la donnera Dieu, comme je le crois . Elle dit que son miracle est un privilège partic
Mais quand ces pensées me viennent, Je les regrette, parce que je ne crois pas que je doive sonder les secrets de Dieu....
insuccès, les Chinois, au lieu de douter de son efficacité, préfèrent croire que le résultat négatif est dû uniquement à une m
ses vœux. Si donc, il peut être convaincu qu'elle est possible, s'il croit qu'elle doit être le résultai de certaines applic
ire retrouver l'usage de son membre, il sait qu'on veut le guérir, il croit que l'application est faite dans ce but, le mal d
amènera ensuite la guérison de son infirmité; chose qu'il ne veut pas croire tout d'abord, tant elle est en opposition avec to
et au lieu de cela, il éprouve du sommeil. Le troisième sujet pouvait croire dans les mêmes circonstances qu'il se produirait
estion: mais dans des cas particuliers, comme ceux que j'ai cités, je crois que nos malades pourront obtenir de l'application
ge, je vous touche tous à la fois, au nom du Père... Notre Père... Je crois en Dieu... — Pour les dartres. —¦ Les dartres v
x-huit espèces, je vous louche toutes à la fois, Au nom du Père... Je crois en Dieu... (Trois fois). Pour les forçures ou é
n a, dit Pierre-André Mattiole (2) dans ses Commentaires, il en a qui croient que les os des corps morts, réduits en poudre et
té des rêves pendant la sommeil. Les autours inclinent généralement à croire que ce serait seulement à J'épo- (1) Dans lesqu
. ?. Maury et Dechambre tout en faisant des restrictions, inclinent à croire à lu continuité : le marquis d'Hervey, Lelut, Ser
it. 0* En recueillant les rêves de toute une nuit, on est induit; â croire qu'il y a toute une continuité qui se suit dans l
ngrès international de l'hypnotisme lance son appel aux savants, nous croyons utile de reproduire les termes dans lesquels la I
des indications ée l'hypnotisme choz les aliénés. Longtemps on t> cru que cet malades spéciaux n'étaient pas accessible
cachet qui lui est propre ; celui d'une grande obscénité : le malade croit assister ù des scènes de débauche, auxquelles pre
dernières années, d'autres savants les reprirent en les complétant et crurent les découvrir. Pourtant, les théories do Durand
celte maladie, ces fameuses paroles plus profondément vraies qu'on ne croit , « La maladie est l'état/page> page n="79"&g
religion, il n'était pas nécessaire de comprendre, mais qu'il fallait croire et calma son besoin do clarté particulièrement en
inculper une religion hasardeuse dans ses effets, et à laquelle on ne croit plus, on verra bien des malaises sociaux disparaî
te et quand elle se réveilla, eile était dans un état singulier. Elle croyait être dans l'année 1882 et tout ce qui s'était pas
ux ans plutôt, l'épilcpsie peut apparaître tardivement, quoiqu'on ait cru longtemps qu'elle débutait seulement dans la jeun
bilités superficielles et profondes; déplus, pendant que l'hystérique croit qu'on ne l'observe pas, ou lorsqu'on dirige aille
'article 18 de la loi aux magnétiseurs parce qu'ils ont voulu « faire croire qu'ils ont des titres justifiant d'études sérieus
culière où les prévenus, usant de manœuvres frauduleuse, avaient fait croire à la malade, dont l'état s'était aggravé, à leur
diplômé de la Faculté des sciences magnétiques, s'appliquent à faire croire qu'ils ont des titres justifiant d'études sérieus
qu'elle se lève. Une assemblée «si assise ; une foule est debout.—Je croyais ... — Qu'une foule est dans la rue, une assemblée
contusions, mais B..., qui avait vu se dérouler toute la scène, avait cru son enfant tué, et tout en courant lui porter sec
ondante et douce. C'est une faconde saint laïque. C'està Littré, je crois , quel'on donna pour la première fois ce beau nom,
ult, on connaissait l'hypnotisme sous le nom de magnétisme animal. On croyait qu'il était un fluide qui, émané de la chair de l
vent être averties par le méJecin de ce danger, plus réel qu'on ne lo croit . Ceci est certainement aussi antihygiénique que
remarquer, sont susceptibles de se laisser suggestionner au point de croire absolument vraie une chose qui leur est involonta
rdau est un audacieux, il s'attaque à tous les préjugés ou à ce qu'il croit être tel, sans s'arrêter aux partis pris du publi
certainesmodiiicationsorgani-ques périodiques. Contrairement à ce que croit Bernheim, l'influence de l'association des idées
ques. Ceci est aussi compréhensible que pardonnable. Les malades se croient naturellement justifiés eux-mêmes à exercer leur
entourage que d'asthme, emploient tous les remèdes réels ou secrets, croient toujours avoir trouvé le bon, et l'abandonnent bi
car c'est le principal agent du succès. Mais ce serait une erreur de croire qu'on arrivera à ce but par une grande amabilité,
vent leurs moulons de la clavelée. Les femmes enceintes, en Italie, croient qu'elles accoucheront heureusement sî elles possè
mieux. Le milieu dans lequel j'ai imaginé de le placer aura pu, je crois , contribuer ù ce résultat : l'exemple, les occasi
e suggcstionnablc. Entourée de gens malades depuis des années, elle a cru elle-même être incurable. Cette idée a été incons
ladies par le même moyen et qui après tout n'ont pas tort, puisqu'ils croient que le talisman dont Us sont détenteurs est souve
nscience, font servir à leur détestable industrie. Sans doute Duchéne croyait à l'utilité de l'électrlsation médicale, mats sa
en compris ma suggestion mais l'a accomplie conformément à ce qu'il a cru comprendre ; 45 fois, l'ordre fut exécuté à la mi
nde de la Société des Recherches Psychiques, plusieurs personnes, qui croyaient posséder le pouvoir de s'éveiller à une heure dét
ès propre à être impressionné par les influences extérieures, et nous croyons qu'on doit le suggestionner dans un sens favorabl
éter ainsi les effets de l'anesthésique. D'ailleurs, il ne faut pas croire que, pour obtenir une suggestion efficace, il fai
ande qu'une pièce de cinq francs, et les douleurs se répètent à faire croire , par leur force et leur durée, que cela va marche
ar tout médecin capable de faire un accouchement. Avec l'auteur, je crois que les cas absolument réfractaires seront tout à
e ? roman psychologique » a été déjà employé maintes fois; mais je ne crois pas qu'il ait été pris jusqu'ici dans son accepti
ment, qu'ils n'osaient intervenir dans leur petit mécanisme émotif et croyaient cette intervention impossible. Rien ne fut plus n
moins avec les morts qu'avec les Anges et Jésus Christ lui-même qu'il crut voir à Paris dans sa chambre misérable/page>
st point trop banal ; car si, jusqu'ici, on permettait au vulgaire de croire aux somnambules, aux lecteurs de pensées et aux m
L'hystérique passe pour essentiellement menteuse, mais il ne faut pas croire , comme on le dit quelquefois, qu'elle ment riour
é sa conviction pourrait être combattu. Le suggestionné au contraire, croit par le fait même de la suggestion, persuadé qu'il
ous mes efforts restaient vains. C'est alors seulement que je mo suis cru autorisé à recourir à l'éther. M. Féiix Rbonadl
n'avons pas de renseignements précis sur la cause de cette peur. Nous croyons savoir, cependant, qu'elle a été due à un acciden
rsonnes de son intimité la plus... intime. Ce théoricien du Rire ne croit pas que les animaux jouissent de cette faculté de
indiscrète du parent pauvre! Notre vieux docteur Laurent Joubert se croit encore autorisé à dénier le rire aux animaux, mêm
re l'homme et l'animal. Leur sentiment conduit quelques ouirancicrs à croire qu'on peut impunément en user jusqu'à l'abus, tai
r cet essai, et j'en laisse le soin à de plus autorisés! Mais je ne croirai pas avoir perdu (ni fait perdre!; tout le temps d
religieux et les idées qui s'y associent. Il dit que, pour arriver à croire , il faut faire comme si Von croyait^ a en prenant
ocient. Il dit que, pour arriver à croire, il faut faire comme si Von croyait ^ a en prenant de l'eau bénite, en faisant dire la
bénite, en faisant dire la messe, etc. Naturellement, cela vous fera croire et vous abêtira ? ('). L'auto-suggestion religi
ur en était tout près, quoique n'ayant rien à y faire. Ce qui me fait croire surtout que c'est lui, c'est son air gêné, et pou
a s'était fait très vite, il a eu le temps de s'en aller tandis qu'on croyait que le jeune homme se trouvait mal. D. — Mais v
illée dans la nuit. L'expérience fut répétée plusieurs fois. Je pus croire , dès lors, qu'il s'agissait d'une succession de s
iblissent. Il se produit dos accès d'excitation chez le malade qui se croit persécuté et exposé à dee démonstrations hostiles
ur de conscience, - une soumission d'enfant » (*). Et, s'il faut en croire le curé Beurrier, c'est aussi une soumission d'en
Prière pour demander à Dieu le bon usage des maladies, s'écrie : « Je crois que je ne puis aimer le monde sans vous déplaire,
e Dieu n'es^il pas, dans le langage mystique, presque l'équivalent de croire ? Et pour qu'un homme naturellement craintif tourn
les reproduisent un rêve survenu pendant la nuit, ruve dans lequel il croit exécuter ces actes. Ce malade a été soumis au t
re passer le courant. M. S wolfs recommande même avec raison de faire croire que le courant passe réellement et pour cela de r
les reproduisent un rôve survenu pendant la nuit, rêve dans lequel il croit exécuter ces actes. Ce malade a été soumis au t
miration met un frein â la réflexion. Soyez élo-qûôr.f, et vous ferez croire à des auditeurs de moyenne intellignce les choses
de Champaigne, représentant le Miracle de l'Epine, suffirait à faire croire à un enfant que ce miracle est de l'histoire. Qua
t queje sépare difficilement ces deux versions l'une de l'aulre. Je crois que l'opposition de la lumière avec l'ombre dans
tes les religions. Les Egyptiens employaient le kyphi et l'encens. Je crois que beaucoup de parfums sont des modificateurs de
site chez une de leurs parentes; je les y aurai précédés et l'on fera croire à la malade que je suis une personne venue, comme
e. Néanmoins étant donné le point de départ émotionnel, je persiste à croire que le traitement psychique est capable de restau
la maison. Une nuit, il remarque quelqu'inquiétude chez l'animal; il crut apercevoir de la bave lui coulant de la gueule et
arythmique, et développée sous l'influence de l'émotion. Tout porte à croire que cette fois, comme jadis, les mouvements vont
facée par d'autres opérations cérébrales, l'enfant, devenu vieillard, croira encore que : Jésus-Christ est dans l'hostie.
présentait une complication microsthcsique à laquelle on pourrait, je crois , donner le nom d'auto-microsthésie. Elle se plaig
es, il est enfin terrassé; il ramasse le fer, le met dans sa poche et croit qu'il va trouver du repos. — ß C'est folie d'empo
emps après, la malade éprouvait de la difficulté dans la marche. On crut devoir conseiller le mariage;elle fut grosse pres
porte à l'hôpital Beaujon. L'émotion avait été très vive. La malade croit ne plus pouvoir se tenir debout, ni continuer sa
e> page n="340"> festement joué un rôle capital, nous avons cru devoir publier cette observation. Observation.—
honorables à l'étude et à la pratique de l'hypnotisme. Il y a lieu de croire que la popularité du l)r Ferroul est due à de tou
t le moyen nécessaire pour la vérification, pour savoir ce qu'il faut croire et ce dont il faut douter. C'est à Lyon que le
Institut Pasteur. Voici les observations et conseils que nous avons cru devoir lui faire transmettre, le jour même, par l
nouvelles, nous avons, dans un rapport, estimé qu'il y avait lieu de croire que la situation ne s'était point modifiée, et qu
il est devenu chronique. N'était la rapidité de son évolution, on se croirait en présence du véritable délire de persécution, p
47 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'en indique exactement ni la source ni la nature cons- tantes, a cru révéler une vérité nouvelle. Elle figure, dès 1
venirs intacts et conservés. M. Baume observe qu'on serait porté ci croire , d'après ses faibles explica- tions, que la pro
ne maison envahie par des soldats, à la recherche d'insurgés, qu'on croyait y avoir trouvé un refuge. A peine on pouvait en
r me remercier de mes bons conseils. Elle s'est résignée et elle se croit guérie. Sa conversation me prouve 26 CLINIQUE N
e géné- ralement. Ils ne sout pas, ainsi qu'on serait tenté de le croire d'après les descriptions classiques de l'hémi-
plus pénible et plus fatigant, et sentant ses forces diminuer, il croit devoir recourir,' à titre de stimulant, à l'usage
de janvier, il se montre découragé, il n'a plus de forces, il se croit incapable de continuer ses occupations, et l'av
ne être la cause de la mort de son père, de celle de sa femme; il croit porter malheur à ceux qui l'entourent; il se re
il se reproche tout événement fâcheux dont il entend parler, et il croit avoir amené les désastres de la France. Progres
ans ses conclusions : « Des faits et observations qui précèdent, je crois pouvoir conclure que la mort est le résultat du
l soit levée, ce que permettrait l'état mental actuel de G..., s'il croyait devoir en faire la demande. RECUEIL DE FAITS
ospice avec des amis et, a partir de la, on l'a perdu de vue; on le croyait retourné à son travail. A quatre heures, heure
phère correspondant. Ce sont ces cas exceptionnels qui ont pu faire croire qu'il, n'y avait aucune relation entre la local
pé, viennent au contraire à l'appui des conclusions que nous avions cru devoir formuler et que nous résumerons ici auss
groupes de fibres dans le centre ovale. M. Brissaud est le premier, croyons -nous, qui ait, au moins en France, mis à profit
thèses, en se fondant sur les faits d'expérimentation. Nous avons cru , quant à nous, devoir nous rallier à la se- con
elles, olfactives, gustatives, auditives), d'autres, comme Goltz, croient à l'homogénéité fonctionnelle de la substance gri
ns de l'écorce et les troubles de la vue. Ferrier, il est vrai, a cru trouver la démonstration de ses idées sur le si
tres destinés à percevoir les impressions émanées' de la peau. Nous croyons avoir établi, en nous appuyant sur DU FAISCEAU
r cause la paralysie du sympa- thique cervical comme on pourrait le croire d'abord. Cette para- lysie ne s'accompagne ni d
ident. Elle mouvait en tous sens pied et jambe, et ne voulut jamais croire à sa maladie, qui guérit fort bien dans un appa
la pie-mère et une inflammation. analogue de la dure-mère. L'auteur croit que, dans ce cas, la méningite a été la lésion pr
est impossible de ne pas les admettre. Seulement il ne faut pas se croire autorisé à con- clure toujours de l'intégrité d
is sur différentes ques- tions laissées à leur appréciation. Nous croyons savoir que les questions principales qui leur ont
incapable de répondre aux questions, ne réagissait que très peu, il croit que le tableau symptomatique est impuissant à d
oire- ment incapable à lui seul d'atteindre ce but. Si, comme il le croit lui-même, la sensation sexuelle perverse n'est
nombre des aliénés capables de colonisation est moindre qu'on ne le croit généralement; de plus, ils fournissent en somme
ême temps que ses richesses morales et intellectuelles, le malade croit avoir perdu sa fortune matérielle; il n'a z plu
ille; ils sont pourris, atteints de maladies ignobles, quelques-uns croient avoir la syphilis , et Fodéré ' avait déjà rema
cembre 1881.) Ces influences nuisibles auxquelles le persécuté se croit en butte et qui du dehors convergent vers sa pe
dans la y r ·; , |, ? y , . , ,, . torme anxieuse. Les malades se croient entoures de làl)'i lit ! 1.'·Ir 1 1 1... l t .
r ou que la mai- son vas écrouler, ils voient les murs chanceler et croient t . 1 1 , la , 1 DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 165
és. Une autre malade dont l'his- toire est rapportée par Michéa, se croit coupable, poursuivie par la police et menacée(d
son cadavre. 'tif son cadavre. , ? ; ? . . ., ? , Des malades se croient damnés et ils voient les flammes de l'enfer, il
oient les flammes de l'enfer, ils entendent des coups de fusil et croient qu'on va les fusiller. Guislain a fait remar- 4
nt les malades les plus disposés au suicide; alors même qu'ils se croient morts, ou dans l'impossibilité de jamais mou- r
rofonde (elle se figurait avoir complètement perdu sa fortune et se croyait menacée de mourir de faim) un intervalle parfai
estion, fort intéressante, a rencontré des avis différents. Les uns croyaient que la plupart des affec- tions mentales et ner
la région des ovaires est le siège de souffrances profondes. Morel croit que les maladies primitives des organes génitau
net, Luys, ne touchent presque pas non plus cette question. Mairet5 croit que la folie peut être 1 Esquirol. Traité des m
e femmes aliénées avec lésions sexuelles. Boussi , au contraire, ne croit pas à l'influence des maladies sexuelles sur la
- Ebbing, Ripping, Schraeter, Schüle et autres), il en est qui ne croient pas à cette influence ou n'abordent presque pas
accompagnée de maladies sexuelles daus dix cas sur cent. Les autres croient ces maladies fréquentes, mais sans rien précise
rop fréquente) ont été notées dans vingt-huit cas. Sur ce point, je crois devoir sa ire 'une certaine réserve; caries don
par conséquent, la comparaison ne peut être parfaitement exacte, je crois que les résultats d'examens gynécologiques des
s sexuelles est un fait qui se rencontre plus souvent qu'on ne le croit , en général, et que cette complication a sa gra-
sur la vie consciente et sur la vie inconsciente de l'esprit, je crois même qu'il serait peut-être possible aujourd'hui
es fleuves de pierres précieuses et que c'est trop absurde pour y croire . Vivement affecté de son état, il priait en grâce
caracté- ristique de ces aliénations mentales n'est pas, comme le croit M. Ritti , la présence de la conscience liée à
e l'issue fatale. Avant d'aborder l'étude des symptômes, M. Sanders croit devoir rappeler qu'aucun d'eux n'est pathognomo
e délire du toucher n'est que l'extension de cette anxiété. Mais il croit que la distinction établie par Westphal entre la
n démence, condamné trois mois de prison pourvoi d'un chandelier. Croyez -vous que les autres malades aient beaucoup à souf
érables que les progrès de la science nous ont imposées, nous avons cru qu'il était utile et convenable d'indiquer par un
des fonctions musculaires, jointe à celle de l'étiologie, permet de croire qu'il est un certain nombre de cas de paralysie
coup de bruit au sujet de ce triste accident et ont essayé de faire croire qu'il était dû à ce que la baigneuse était une
terminaison du vertige de Ménière, à tel point qu'un moment on a pu croire que le traitement si excellent de M. Charcot n'
Ces cas mixtes mériteraient une étude spéciale; ils présentent, je crois , en outre des deux ordres de symp- tômes, quelq
de symp- tômes, quelques caractères particuliers. Les malades se croient plutôt possédés que damnés, se figurent avoir d
efuse les aliments sous prétexte qu'elle ne peut les payer; elle se croit atteinte d'une -maladie contagieuse et s'imagin
ne odeur infecte ; elle ne veut se laisser approcher de personne et croit que son contact est mortel : elle s'imagine aus
. M-0 S... est dans un état d'agitation anxieuse extrême; elle se croit coupable et perdue; on va la conduire en prison e
coupable, qu'elle va être condamnée et conduite en prison ; elle croit entendre la voix de son mari et de sa fille qui s
s anxieux avec terreurs; 11-1 M... voyait du feu, des incendies, se croyait ruinée et s'imaginait qu'on allait la torturer.
exité et indécision continuelles, insomnie. M-1 C... s'accuse et se croit coupable. Au bout de quelques mois, délire hypo
pable. Au bout de quelques mois, délire hypochondriaque. M ? C... croit qu'elle n'a plus d'estomac, que ses organes son
e, il donne un sens mys- tique aux formes des objets extérieurs, il croit voir des figures d'animaux dans les formes des
é, idées mystiques et paroxysmes d'agitation furieuse. \1 ? G... se croit possédée du diable, damnée; elle croit qu'elle
ion furieuse. \1 ? G... se croit possédée du diable, damnée; elle croit qu'elle est -enceinte du fait de sa bonne, qu'ell
s ; mais elle est toujours dominée par des idées de culpabilité, se croit adultère, indigne de retourner près de son mari
élirantes viennent compliquer ce délire de culpabilité. Mm, G... se croit magnétisée, s'imagine qu'on peut lire dans ses
sent parmi leurs aliments et mangent avec voracité ceux qu'ils ne croient pas empoisonnés. Marche de la maladie, rémit-
ttront en saillie des phénomènes tellement tranchés, qu'on pourrait croire à des formes particulières de maladies mentales
e, désespéré, il prend la résolution énergique de ne plus céder, il croit entendre, toujours dans son cerveau, comme une
ussée à l'attirer près d'elle. Parfois 'eue le voit un debout, elle croit même l'entendre ; parfois elle croi6'iiiyjpdtiy
rs décrit dans le système nerveux des diabétiques des lésions qu'il croit à tort, il nous semble, développées primitiveme
malade de M. Lecorclié ne sentait plus ses pieds. Celui de Dionis 2 croyait .marcher sur des filets de corde à larges maill
al jusqu'aux fesses dans les efforts faits par le malade. Leudet la croit liée à l'amllyopie. Chez un malade de Marchai (
pital a d'ailleurs été bien indiqué par tous les auteurs. Faut-il croire avec M. Lcgrand du Saulle, qu'à l'inverse de ce
e de l'albumi- nurie qui survient à cette période du diabète. Il ne croit pas cependant la chose nécessaire. A Desmares,
nt affecté d'un anthrax ; mais, en présence d'un cas isolé, on doit croire qu'il s'agit d'une simple coïncidence. Quant au
fet, dans le cours de son mémoire, à cette simple mention, que nous croyons devoir re- produire en entier : « Enfin il nous
ns la substance nerveuse : nous signalions pour la première fois, croyons -nous, le trajet et les ramifications des artères
, dans son ensemble, il est conduit d'une façon remarquable. Nous croyons qu'il mérite d'être l'objet d'une analyse complèt
t les mêmes limites que les os qui les recouvrent, et l'on pourrait croire qu'il existe un parallélisme parfait entre le d
c- tion, qu'il a'vue atteindre trois quarts d'heure, le portent à croire qu'il s'agit en réalité d'une contrtzctccresuivan
années, n'ont pas été confirmées par l'expérience ultérieure. » Il croit que dans ces prétendus faits d'ataxie guérie, i
trophie consécutive des fibres nerveuses) ? Faut-il, de préférence, croire que les éléments ner- veux primitivement altéré
tisation et de l'existence de lésions parenchymateuses, l'auteur ne croit pas pouvoir tirer de ce fait des conclusions. I
gr. 20, décidèrent de la persistance de l'amé- lioration. M. Kohn croit que la quinine agit simplement sur le coeur par
iformes ont disparu ; plus d'hallucinations ; ce- pendant la malade croit encore à la réalité des hallucinations de l'ouï
48 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
e Neurologie de Paris, la Nouvelle Iconographie de la Sal- pêtrière croit pouvoir au contraire lui venir en aide, en publia
ographie de la Salpêtrière tient à exprimer sa reconnaissance. Elle croit ne pas pouvoir leur en donner de meilleur témoi-
sont rela- tées les trois premières autopsies. L'illustre médecin crut voir dans cette maladie la forme héréditaire du
que l'autopsie lui avait démontré l'existence d'une sclérose qu'il crut être strictement limitée aux cordons postérieurs.
la disposition fréquente en « tourbillons » du tissu de sclérose et crurent à l'intégrité, dans les ré- gions envahies, des
laires, au moins pour ce qui concerne les cordons postérieurs. Ils crurent à la possibilité d'une sclérose névroglique pur
ir pas eu de suites. Cependant en fouillant ses souvenirs, Mme X... croit bien se rappeler que pendant cette période de t
Parisot (4), durée qui n'est pas en rapport, comme on aurait pu le croire , avec la distance parcourue de la partie blessée
c l'impressionnabilité du sujet. Ainsi présentée, nous arrivons, je crois , sans peine, à comprendre la pathogénie du cas.
ttendant que cette proposition soit devenue un article de foi, nous croyons que le traitement peut, dans une bonne mesure, re
et qu'il a étudiés et établis avec tant de méthode qu'il n'y a, je crois , aucun inconvénient à les grouper sous la dénom
de ses bras, lorsqu'il eut appris à en faire des balanciers. Je ne crois user d'une trop vive métaphore en disant qu'il
Est-ce rouge ? - Oui. Est-ce vert ? - Non. Est-ce vert ? Oui, je crois que c'est du « lert ». Il faut pour ces réponse
quilibration du corps dans le sens latéral pendant la marche que je crois la masse sacro-lombaire préposée : ce qu'il y a d
encore à cet égard d'expérience suffisante pour me pro- noncer. Je crois cependant, d'après les quelques observations que
nie par Paget et d'autres déformations du squelette. Cependant nous croyons inutile d'insister sur les différences trop consi
hoses professionnelles. Mais avant d'exposer les divisions que nous croyons pouvoir faire dans ce groupe, nous sommes amené
leurs vives ne suivant pas spécialement le trajet des nerfs et nous croyons pouvoir les attribuer à la distorsion des parti
ostéoporose et d'ostéomalacie chez le vieillard. En réalité, nous croyons pouvoir admettre avec Demange que l'ostéomalacie
t la dis- section ; un médecin prescrivait une saignée, mais se fut cru déshonoré s'il l'eût pratiquée lui-même. Si un
l disait que le théâtre est surtout l'art des préparations. II faut croire que les recettes données étaient bonnes, car les
t-Barthélemy. Sans attacher grande importance à cette légende, nous croyons pouvoir assurer que Paré appartenait à la Relig
les par un pèlerinage près du roi. Peu nous importe que Paré ait cru au pouvoir guérisseur des rois, qu'il ait été h
estimés étaient ceux de la chèvre sauvage et du porc-épic. On les croyait contre-poisons de tous les poisons et on les pr
ison ils étaient, et comme on faisait mourir cruellement ceux qu'on croyait incapables de se racheter. A ce même siège, pou
kespeare, dans son drame d ? yam(, fait périr le roi Gonzague. On croyait d'ailleurs à cette époque à bien d'autres choses
'ailleurs à cette époque à bien d'autres choses plus diffici- les à croire . C'est ainsi que Paré croit aux sorciers ; s'il n
en d'autres choses plus diffici- les à croire. C'est ainsi que Paré croit aux sorciers ; s'il n'y eût pas cru, il aurait
à croire. C'est ainsi que Paré croit aux sorciers ; s'il n'y eût pas cru , il aurait certainement fait exception. Il étab
inq passages de l'Ecriture qui en parlent. « Aussi, ajoute Paré, je crois qu'il y a toujours eu et qu'il y a encore des l
nt-Denis et le roi en avait refusé cent mille écus. Les médecins ne croyaient plus à sa vertu et la prescri- vaient néanmoins
ts chiens. Il avait promis de ne pas divulguer cette méthode. Il se crut moins répréhensible de manquer à NOUV. ICONOGRA
ué à cette époque, en thérapeutique, par les excréments, mais je ne crois pas vous être désagréable en n'insistant pas da
tait arrivé, que la chose n'est pas niable, mais que les méde- cins croient devoir la laisser ignorer au public. Paré, outr
nte dans l'hérédo-ataxie ? Sur l'état des réflexes enfin ? On avait cru voir dans leur affaiblissement ou dans leur exa
ne fut constatée que peu de semaines avant la mort. Je me suis donc cru autorisé à porter dès le début le diagnostic de
dépens de celles-ci que la ventricule se dilaterait surtout ? Nous croyons pouvoir l'af- firmer. En effet sur une même c
ous rappelant combien elle était craintive et angoissée. Enfin nous croyons pouvoir mettre en rapport leur caractère mouve-
ie analogue à celles que produisent les lésions du cervelet. Nous croyons avoir constaté chez Mlle M... l'existence de 2 et
se sont notablement aggravés. Somnolence si intense que parfois on croit déjà mort. Pupilles larges, égales, ne réa- gis
n entre le traumatisme et le développement de la tumeur. Nous avons cru ne pas pouvoir donner un avis positif. Nous nous
sible de distinguer les images en soleil de la fibre nerveuse. Nous croyons remarquer que les faisceaux d'association ont p
oit simplement la conséquence de la compression des veines. Comment croire que la tumeur de l'observa- tion 1 si petite et
Mathias Duval et Laborde (1),à l'aide d'expériences physiologiques, crurent pouvoir démontrer que du noyau de la sixième pa
e, leur lieu d'arrivée serait le noyau du droit in- terne ; nous ne croyons pas en effet que ces fibres parviennent directeme
urs, sans lésions sur nos coupes des noyaux de la Ve paire. On peut croire ce trouble consécutif à la destruction de la ra
x troubles hépatiques dans la genèse de certaines acromégalies. Ils croient d'ailleurs que dans les maladies des glandes clos
yer de le résoudre, par trop élargir le problème. En résumé, nous croyons pouvoir dire que l'hypertrophie pituitaire est
er les effets de l'hyperhypophysie. Cette hyperhypophysie, que nous croyons nécessaire, n'est pas toujours suffisante à réa
que dans un cas de gigantisme ('1), les ont trouvées normales. Nous croyons intéressant d'insister sur cette hyperplasie surr
intes de lacrampe professionnelle posent la question a suivante : « Croyez -vous que la crampe ne reviendra pas ? » A cette q
les phénomènes spasmodiques du membre inférieur droit permettent de croire qu'il s'agit d'une sciatique spasmodique (type
le a pour but de relâcher les muscles pelviens. t Ludwig Mann (2) croit à la paralysie des muscles de la masse dorso- l
lippe (4.) en 1902, paraît être encore celle de la majorité. « Nous croyons , disait-il, que la formule donnée par Wes- phal
divergences de détails. A travers la multiplicité des aspects, ils croient sentir l'unité de la maladie. - Les conceptions
cessifs ou simultanés, d'un même processus morbide. D'un mot nous croyons pouvoir conclure à la grande diversité d'aspect
porter cette hémiplégie ? Quel est le siège de la lé- sion ? Nous croyons pouvoir l'attribuer à une hémorrhagie corticoméni
rche en particulier devint plus facile et certains collègues purent croire un moment à la possibilité de la nature fonctio
ladies nerveuses, et cela dans les meilleurs traités classiques. Je crois qu'en pathologie nous ne pouvons trouver un fait
très intéressant de la pathogénie de ces formes. Pathogénie. Nous croyons avoir bien démontré nos assertions, à savoir qu
veineuse (oedèmes prémonitoires du trophoedème, ou surajoutés), je crois que tous ces oedèmes sous-cutanés sont en rappo
que Meige lui-même avait vus avec la maladie de Quinke et que nous croyons avoir bien démontrés. Meige a bien compris que
la forme chronique de l'oedème de Quinke; mais est-ce qu'il pouvait croire que ce dernier fût la conséquence d'une dystrophi
ur la forme aiguë et pour la forme chronique de la même maladie. je crois plutôt que Meige même nous a indiqué la route q
ment va s'accroître en importance. Mais on ne peut certainement pas croire que l'hypertrophie du tissu conjonctif soit due à
Quinke qui le précède très souvent dans son développement. Et nous croyons aussi avoir démontré que les oedèmes passagers
oies plaide aussi l'observa- tion ; tandis que Reinhold (136) avait cru pouvoir localiser le siège des oedèmes circonsc
mmes très peu informés ; tandis que jusqu'à ces dernières années on croyait que leur trajet suivait les racines antérieures,
s séances d'écriture, était-elle plus sûre de sa guérison : « Je le crois , disait-elle, puisque vous me l'affirmez ». Dur
recueillis sur leurs ascendants, colla- téraux et descendants, nous croyons préférable de donner d'abord l'arbre généalogiq
ources différentes, des renseigne- ments tellement précis, que nous croyons pouvoir affirmer qu'il était atteint aussi de m
pour ou contre les théories pathogéniques émises déjà ? Nous ne le croyons pas. Peut-être cependant les partisans de l'ori
onstaté le même phénomène dans nos différents cas. De même Rappeler croit à cette absence. Scheuthauer décrit par contre
NIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 347 Il se refuse à « croire qu'une organisation régulière à tant d'autres éga
la mère dans le cours du troisième ou même du quatrième mois ». Il croit voir des traces de l'hydrocéphalie dans les cavit
un regard pour reconnaître que ceux de ses éléments qu'on pourrait croire ne pas exister sont restés à l'état rudimentaire
is aussi avec les espèces animales. C'est du moins ce que permet de croire l'observation de Joly et Lavocat (6). Ce qui
pas tout à fait aussi brusque que l'aspect extérieur tend à le faire croire . Pour terminer ce qui a trait à la morphologie
-Hilaire avance, en outre, que l'os épactal exister également et il croit le reconnaître dans une bandelette osseuse qui bo
ges épars de la voûte, non reliés à l'occipital, il n'y a pas lieu de croire à un renversement en dehors, ou du moins à un r
quel d'ailleurs il ne s'explique pas autrement. K. et G. Petrèn (3) croient de leur côté que la dilatation vas- culaire, or
'hydrocéphalie ? Aucune des dispositions constatées ne permet de le croire ; cette hypothèse n'apporte qu'une complica- ti
oup plus faibles qu'il n'y paTaît au premier abord, et tout porte à croire que l'envahissement du système nerveux est une te
lles-mêmes s'était accolées (Pl. XLV-D). Rien ne paraît autoriser à croire que cette disposi- tion soit primitive et const
ration vasculo-conjonctive. S'il en est ainsi, et tout permet de le croire , le tissu cérébral s'est touvé pris de tous côt
En 989, à l'âge de 18 ans, apparaissent des troubles mentaux : Elle croit que les gens disent qu'elle est une fille, qu'e
venue autoritaire, colère ; mais elle se frappe moins de ce qu'elle croit entendre dire d'elle. - Etat actuel. - Elle a d
tout d'abord, la position basse des paupières supérieures, faisant croire à un ptosis, qui en réalité n'existe pas. Il s'a-
t pas très vive, plutôt médiocre, mais beaucoup moindre qu'on ne le croirait au premier abord. C'est la mémoire surtout qui a
ns parlé plus haut, ren- contra une lepto-méningite chronique. Nous croyons pouvoir éliminer chez nos malades, la présence
culier l'incurvation du nez et la fossette mentonnière; ils ont, je crois , de l'importance parce que, si j'en juge par me
mais, quoique persuadé de l'exactitude de cette observation, je ne crois pas devoir m'incliner devant elle, car, d'après l
la partie extra-bulbaire du trijumeau et limitée à ce nerf. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système nerveux sié
t de la contraction volontaire d'autres muscles de la face. Si j'en crois mon expérience personnelle, ces contractions ne s
t que des exagérations de cette particularité. Duchenne de Boulogne croyait que la lordose chez les pseudo-hyper- trophique
t incliné en avant et que les muscles fessiers sont très atrophiés, croient que la lordose est produite par l'action des musc
i doivent être résumées ici. L'erreur serait en effet grossière, de croire que l'hys- térie se reconnaît chez l'enfant aux
t d'une légère grippe qui dura une huitaine de jours à peine. On la croyait guérie, elle commençait à sortir, quand brusque
clergé. Le curé est un pauvre homme qui tient à sa cure avant tout, croit d'ailleurs à la possession et ne consent à parl
mune contre les rouges, le préfet, les non-possessionistes, le curé crut le moment venu de démontrer que les guérisons o
uet de Bonneville... « II n'aime pas trop la gendarmerie, car il se croit être le chef ? « Ecrivez-moi quand vous aurez b
saisirent le prétexte des fêtes de Noël pour accuser celle-ci de se croire possédée, le brigadier voulut la faire enlever de
médecin, un étranger, un rouge, le démon rentre en scène. « Ah ! tu crois ,b... d'incré- dule, que nous sommes des folles,
propres, mais aussi sur des lésions histologiques particulières, nous croyons 4SU l'UIi.lli I : 1' DURANTE leur distinction
déterminante des déforma- tions qui se produisent à ce niveau. Nous croyons plutôt qu'elle en est le ré- sultat. Par suite
; mais s'agit-il vraiment d'un achondroplasique simple ? Il faut, croyons -nous, mettre part, jusqu'à nouvel ordre, la fille
u de 185". C'est ce qui caractérise la cyphose de la base que Virchow croyait , à tort,liée au crétinisme. (Chez le crétin myx
nt d'une ossification anor- male du périoste. Ils sont bien plutôt, croyons -nous, la conséquence d'un phé- nomène physiolog
he 21, tandis que le cubitus avait 22 centimètres. On ne saurait, croyons -nous, être actuellement trop circonspect dans le
te, et dont les observations sont peu explicites, ne suffisent pas, croyons -nous, pour permettre de réunir dans un même cadre
ncore, mais certaines. C'est à ces complications qu'il faut songer, croyons -nous, en pré- sence des faits complexes où les
des os dé la base. Chez le crétin, en effet, contrairement à ce que croyait Virchow, les os de la base se forment plus tard
lent confondre entre elles toutes les dystrophies osseuses, nous ne croyons pas à la grande rareté du rachitisme intra-utérin
lase ; on devient rachitique et on peut cesser de l'être. » Nous ne croyons pas le rachitisme vrai congénital une « rareté ».
ifficile ? ` ? Dans le cas particulier, le diagnostic clinique est, croyons -nous, toujours possible en se basant sur l'état
ie et la dysplasie périostale sont plus délicats à établir. Nous ne croyons pas, cependant, que l'on puisse regar- Lh.S iIl
fonç- tionnels comme le-racliiiisme. Toutefois, il ne faudrait pas, croyons -nous, cher- cher à"aïsimiler ces deux affection
t. Nous avons cherché unique- ment ai indiquer le sens dans lequel, croyons -nous, la discussion pourrait s'en- gager et n'e
ause pathogène transmise, elle aussi, par les parents. ' Tel est, croyons -nous, le cas pour l'achondroplasie. La cause path
. Crimail (de Pontoise). - Opér. césarienne (Ann. de Gyn., 1889). Croire . - Chondrodystrophia foetalis (Amer. Journ. ol Ob
ine myxoedémateuse qui était exhibée avec lui l'année dernière. Il se croit beau et irrésistible. En ce qui concerne sa vol
trophiques consécutifs à des altérations du sys- tème nerveux. Je crois que les deux premières théories contiennent leur
e les deux premières théories contiennent leur part de vé- rité. Je crois au contraire que la théorie des altérations troph
tion du système vasomoteur ni de la sensibilité générale... Je ne crois pas devoir m'arrêter pour combattre la théorie de
ions des membres précédent la formation même des vaisseaux. Je ne crois pas non plus à un rachitisme foetal. Une série d'
nous expliquerait jamais la polydactylie ni la syndactylie. Mais je crois avant tout qu'il ne s'agit certainement pas d'u
e des petits os qu'il appela ]Jr'oer'adiaux ou postulnaires ; et il croit que ces petits doigts sont le rudiment de doigt
ontra que le germe ne porte pas, comme Wolff (55) et Meckel (56) le croyaient , la modification tératogénétique, d'une façon c
séparation fournit au contraire des arguments puissants à ceux qui croient à l'in- fluence des altérations des annexes ent
ibia tandis que le reste a été arrêté dans son déve- loppement ? Je crois que non. Il n'y a pas trace de l'épiphyse, ni de
nous n'observons pas de cicatrices sur la peau de la jambe. Nous ne croyons pas en effet à l'influence des brides amnio- ti
ui serait ces très aiguës, même avec les appareils prothétiques. Je crois ne pas me tromper dans l'hypothèse d'une diffor
yélite vascu- laire diffuse (celle de Léri est de même ordre), on a cru pouvoir indiquer quelques caractères cliniques
UE 601 s'accroitra rapidement, mais comme il est encore faible j'ai cru qu'il y avait avantage à l'augmenter d'une unit
on des lésions entre ici seule en ligne de compte; il n'est guère à croire qu'il faille faire également intervenir un retard
dans quelles conditions elle est efficace ou sans résultat. Nous ne croyons pas actuellement possible d'aller au-delà de ce
s question que de saint Pantaléon, et l'histoire ajoute : « Il faut croire que les pestes et les maladies de la ter- rible
toute dissertation sur la vérité médicale des malades exposés. J'ai cru bon cependant de faire connaître, à propos du t
ginaires de l'artiste. A vrai dire, l'erreur serait facile. Et ne croirait -on pas reconnaître, dans cet homme agenouillé,
lformation ne semble pas d'ailleurs exclusive à l'homme. Si nous en croyons Legroux, elle se rencontrerait aussi chez les ani
t penser à une opération chirurgicale quelconque, ainsi je n'ai pas cru opportun, pour le seul intérêt scientifique, de m
du système nerveux (substance grise de moelle) (1). Tordeus aussi, croit que les exostoses multiples sont dépendantes d'un
nce de la phtisie sur la pathogénie de la maladie exostosique. - Je crois donc pouvoir conclure mon modeste travail de cett
s gens qu'il a connus dans sa jeunesse et qui ne vivent plus. Il se croyait à l'ouvrage, sifflait et chantait joyeusement.
t chantait joyeusement. Le matin, lorsqu'on l'examine, le malade se croit à l'hôpital depuis le com- mencement de la sema
r contre, à en juger par l'intensité des altérations du tissu, nous croyons pouvoir affirmer qu'au cerveau la méningite début
façon d'un érysipèle, envahit la zone sous- épendymaire. Il faut croire que le tentorium cerebelli l'arrêta dans sa march
ulaires observés sur tout le pourtour des ventricules ils sont dus, croyons -nous à l'action simultanée de l'inflamma- tion
vec force dans le sens d'une origine nucléaire, absolument probable croyons -nous, sinon certaine. (1) PERRON, Ophtalmoplé
, en effet, les épaules meurtries et douloureuses. Toutefois, il ne croit pas être malade et attri- bue les douleurs et l
a ogie avec les oiseaux chez lesquels l'omoplate est fixe. C'est, croyons -nous, à la physiologie qu'il faut demander l'expl
s altérations ou anomalies musculaires étant écartées, tout porte à croire que les omoplates ailées du brigadier M.... son
Au cours de cette période de l'évolution individuelle, s'il faut en croire la deuxième partie du principe de Roux, l'influ
Cependant, les faits observés chez les pseudencéphaliens portent à croire qu'il ne faut pas confondre l'action motrice du s
corps,il n'y a point d'amas graisseux surabondant, pouvant laisser croire à l'existence d'une désintégration morbide. Ce pr
est tout à fait exceptionnelle chez nos foetus,et ce fait permet de croire qu'un tel processus est indépendant de l'influe
pour ce qui con- cerne l'état des capsules surrénales. S'il faut en croire X.Bender et A. Léri (1), les capsules surrénale
concourt activement la sécrétion surrénale. Il n'est pas absurde de croire que l'excès de travail musculaire engendre un e
qui suffiront à livrer passage à l'agent infectieux, il y a lieu de croire que les microbes, certains microbes tout au moi
dispense de recherches approfondies ; on en vient presque à laisser croire que l'hérédité est quelque chose en soi, qu'elle
de méconnaître les phénomènes, beaucoup plus fréquents qu'on ne le croit , de modification directe du foetus. Il faut se ga
question ne serait nullement résolue, contrairement à ce que semblent croire les partisans de cette manière de voir : la rec
leur situation anormale crée cette prédis- position. Il est donc à croire qu'un certain nombre des types répondant au com
il (4), si la théorie caténaire n'intervenait pour nous proposer de croire à l'indépen- dance originelle des nerfs et du n
gloire et de son talent, lorsque jeune et fort, en plein succès, il croyait bientôt exaucées ses espérances délibérai « Afran
de Goya; sans leur assigner une date positive, ils inclinent à les croire le fruit de la vieillesse du maître. Nous tra
nsule. Il est venu à temps pour recueillir et fixer tout cela. Il a cru ne faire que des caprices, il a fait le portrait
49 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
même aux voies de fait. Il a conservé ses idées ambitieuses; il se croit toujours riche à millions, mais les troubles de
aisons d'aliénés et faire un rapport secret au préfet de police. Il croit qu'on veut l'empoisonner; il a quelquefois refu
e ses domaines, terminait ses jours en s'alcoolisant. J'ai lieu' de croire = qu'il y a eu des aliénés dans la famille de X
e criminel, le dernier va pourrir son enfant, etc. » Mais < on a cru fabriquer un criminel, faire une veuve, ruiner
'à ce moment, il n'y a pas eu d'idées ambitieuses, il est permis de croire qu'il n'y en aura pas. J'ai connu des persécuté
er ces idées de grandeur qui existaient réellement, je persiste à croire cependant que certains pprsécutés ne deviennent p
des n'arrivent jamais à la mégalomanie 1 n. En parlant ainsi, je ne croyais vraiment pas avoir fait une découverte; je me f
ue de l'espionner. S'anime dès qu'on lui parle de son frère. · Je crois que ce serait forcer les analogies que de considé
rtes ; on lui met toutes sortes de saletés dans le corps pour faire croire qu'il est malade. » Il aurait pu sembler que P.
t. Il y a quelques années S... a eu la syphilis ( ? ) dont il ne se croit pas guéri : autre source de préoccupations. Il
on de sûreté, parce que, chaque fois que S... voit une femme, il se croit obligé de se découvrir. Il ne peut pas faire au
ès les idées de per- sécution ; dans certains cas, on aurait pu les croire presque contemporaines. En dehors des délirants
cas, d'une atro- phie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de croire que l'atrophie de la papille n'appartient jamai
est vraiment frappante et il y a même quel- ques bonnes raisons de croire que les cris d'animaux transportés chez l'homme
a-t-il eu là un phénomène de contagion ? Je suis fort disposé à le croire . Toujours est-il que bien- tôt survinrent une e
étique, méningite cérébro-spinale, d'origine syphilitique. L'auteur croit que le virus syphilitique a agi simultanément sur
venue donner raison aux conclusions des experts. M. BOUCUEItREAU croit savoir que la Chambre des députés s'est déjà in
publiées dans les An,nalesmédico- psychologiques. M. CHRISTIAN ne croit pas qu'il soit nécessaire de faire ces nou- vea
igine cérébrale, et l'athétose double d'origine extra-cérébrale. Je crois la distinction au moins discutable. Il reconnaî
me cause première; mais que pourtant, ils ont une grande tendance à croire à l'action primordiale du système nerveux dans
l en est d'autres où les choses se sont passées tout différemment : croirait -on, par exemple, qu'un directeur, surtout connu
C'était un fou récemment sorti de Sainte-Anne et qu'à tort on avait cru guéri. Ce meurtre inconscient a été com- mis hi
t les seuls éléments étiologiques auxquels puisse être rattachée, croyons -nous, cette paralysie générale si précoce. Ce f
par une lésion organique constante du système ner- veux. » - Nous croyons que cette opinion de Marcé est bien 1 Marcé. -
tif aucun, parce qu'un camarade l'a heurté en passant, parce' qu'il croit que l'infirmier' l'a mal servi au repas,'ou par
presque toujours l'origine dans l'hérédité morbide. Cependant, je crois que, même dans ces cas où l'hérédité est la règ
r arriver à la solution de ce double problème clinique. Nous nous croyons , en conséquence, pleinement auto-, risés, en at
ls elles s'ajoutent aux halluci- nations verbales auditives 3. Nous croyons qu'à ses degrés ' J. Séglas; in Progrès médical
ité générale, délire mélancolique, interprétations délirantes. Elle croit avoir fait le malheur de sa famille, elle se re
r les sens, comme un air dans la bouche : c'est son enfant (qu'elle croit mort) qui s'est emparé d'elle : pendant quelque
qui est horloger. Elle a vu la situation plus difficile qu'elle ne croyait . Elle craint de le voir passer pour voleur. Tout
me laisse indifférente. Qu'on fasse c'e qu'on voudra de moi.. Faut croire que je suis un être inutile. « Je ne me repro
Mais on ne voulait pas me faire de mal, j'ai été très heureuse. Je crois que ma mère n'était pas ma mère. Mon nom n'est
sions. Elle sembleavoir de la tendance aux idées de négations. « Je croyais vivre comme tout le monde, mais il faut croire qu
de négations. « Je croyais vivre comme tout le monde, mais il faut croire que ce n'était pas cela. J'ai donc été mal élev
passé a été même pour ça. Tout est men- songe, archi-mensonge. Elle croit que tout est faux. Elle ne parle que de ce qu'e
un autre que son amant. Des gens voulaient lui faire du mal. Elle croyait que tout le monde parlait d'elle, sans pouvoir dé
r, chez notre malade rien de semblable. Ses craintes ont pu faire croire qu'elle était hallucinée mais elle n'a eu que des
t en reconnaissant que leur nombre est trop restreint pour qu'il se croie autorisé à en tirer des conclusions générales. Il
ont partielles, incomplètes, ces pseudo-amnésies pour- raient faire croire à de la simulation. On rencontre encore chez ces
s multiples frappant des centres plus élevés, le malade en arrive à croire réellement à ces sensations anormales et à deveni
ention. Il se peut en effet d'autre part, que les troubles que l'on croit décéler aient précédé l'accident sans qu'il exist
taté des altérations névritiques des racines du trijumeau, M. Jolly croit que le tabes est la cause de l'hémiatrophie ; l
sion, la paroi est atteinte de dégénérescence hyaline. M. Friedmann croit que la commotion cérébrale a affaibli les centr
des nerfs (phénomène de Trousseau). Il est du reste inadmissible de croire que, comme le prétend de Frankl-Hochvart, le ph
ins symptômes qui reparaissent invariablement ; il y a donc lieu de croire qu'à l'état normal de la glande thyroïde rend ino
es idiots. Cette résistance vient aussi en partie de ce que l'on ne croit pas possible une amélioration sérieuse de l'éta
tion sont en outre indispensables. Ce serait une grande erreur de croire que le mode d'assistance soit indistinctement a
., XLVII, 5.) Avant la guerre de 1861-1865, il n'y avait si l'on en croit les allé- . gâtions de ceux qui possédaient des
la seconde fois en policé correction- nelle. R. Cette fois, je ne crois pas avoir commis de délit. Ma mère m'a dit : «
refuse de me la rendre, allons la chercher ! » J'y suis allé. Je ne crois pas avoir mal fait. . Achille -Dourches n'est d
guérison serait une affaire de peu de temps ? R. Oui monsieur. Je croyais que, dans un mois, ce serait fini. J'attendis.
campagne; en un mot se montre si différente d'elle-même qu'on peut croire à un léger degré d'excitation cérébrale. Le 24 av
ieurs grandes inspirations, se frotte les yeux comme d'habitude; on crut qu'elle allait s'éveiller. Mais non... elle ent
t, y perdit quelque -peu de sa confiance, elle déclarait qu'elle ne croirait plus en lui, puisqu'il lui jouait d'aussi mauva
durée. La situation devenue de plus en plus critique, le médecin crut devoir proposer à la famille l'entrée soit à l'
sformée de More), mais on trouve, plus souvent qu'on ne paraît le croire , l'hérédité similaire et notamment l'hérédité d
fort, je suis fier surtout qu'il ait en moi assez de confiance pour croire que mes analyses psychologiques ne s'écarteront
écieux qu'il m'a donnés : je suis un de ses élèves plus qu'il ne le croit lui-même. Quand plus tard je suis venu travaill
nesthésies systématisées sont, à mon avis, plus fréquentes qu'on ne croit généralement, car on ne les remarque pas tou- j
iquez cela comme vous pourrez. » La même remarque peut se faire, je crois , pour tous les sens, même pour le sens visuel.
pris plus tard qu'elle avait alors une hallucination terrifiante et croyait voir des hommes cachés dans ces rideaux. Cette
le peuple, elles sont encore le type de la passion érotique; nous croyons être plus avancés et nous inventons la simula-
r dans une per- ception personnelle ? Je n'en sais rien, mais je le crois très variable suivant mille circonstances, et j
glige de percevoir les sensations tac- tiles et musculaires dont il croit pouvoir se passer. Au début, il pourrait peut-ê
STHÉSIE HYSTÉRIQUE. 345 nombre de choses importantes dont voici, je crois , les deux principales : 1° les sensations exist
r à Berlin, ont publié des observations tout à fait analogues. Je crois qu'il ne serait pas difficile de réunir aujourd'h
onsidérations intéressantes sur sa pathogénie. Huppert6 de Witt7 la croient en rapport avec l'in- 1 Seyfert. - Dublin Quale
ontraire chez de robustes filles de dix-huit à vingt-cinq ans. Nous croyons donc que ces questions d'âge sont secondaires.
la suite de cet accès incomplet ne contenait pas d'albumine. Nous croyons en effet qu'ici, se trouve en partie, la solution
vaso-dilatation des reins, albumine plus ou moins prononcée. Nous croyons que ces considérations s'appliquent non seu- le
doivent-ils cependant entrer seuls en ligne de compte ? Nous ne le croyons pas. En effet, telle malade a une période stert
e rela- tivement courte et son albuminurie est considérable. Nous croyons qu'il faut admettre ici des idiosyncrasies rénale
'albuminurie chez les malades pré- sentant des accès en série, nous croyons pouvoir conclure : En même temps que le nombre
ifié dans quelques- unes de ses parties, que je transcris ici. Je crois devoir exposer d'abord les antécédents de A..., p
rt la gorge, c'est horrible ce qu'il souffre. » Ces souffrances, il croit en trouver l'explication daus ce fait qu'il a m
êtu, prend son fusil et tire, à travers la fenêtre, sur M..., qu'il croit voir dehors. Plusieurs carreaux sont brisés. En
« c'est malheureux, qu'il faut qu'il meure, qu'il était fou, qu'il croyait que c'était M..., qu'il ne voulait tuer que M..
st sûr qu'on lui a réellement donné un sort, tantôt il dit qu'il le croyait , mais qu'il ne le croit plus. 11 est toutefois ce
ent donné un sort, tantôt il dit qu'il le croyait, mais qu'il ne le croit plus. 11 est toutefois certain que l'idée de so
e que ce sont là des considérations tout à fait hypothétiques. Je crois , en résumé, avoir démontré par tout ce qui préc
ez que c'est du poison, à moins que le diable ne diminue pour faire croire que c'est des crachats. Voyez comme ma figure e
Depuis la même époque, c'est-à-dire depuis environ six mois, elle croyait qu'on la regardait dans la rue, mais non pas qu'o
en quelque sorte l'hallucination confirmée, peut être pris, nous le croyons du moins, pour des hallucina- tions de l'ouïe.
our reconnaître que ces voix ne sont que des voix intérieures. Nous croyons avoir démontré que la méprise était possible no
es hallucinations sensorielles. Il nous est arrivé aussi souvent de croire à des hallucinations de l'ouïe chez des malades
n'y a pas d'halluci- nations sensorielles dans la mélancolie ; nous croyons seule- ment qu'il est nécessaire de bien précis
re que les fibres du corps calleux rejoignent non pas, comme on l'a cru jusqu'ici, des régions de même nom et de même v
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 407 dans l'état cataleptique. Tout mène à croire qu'il n'existe pas, dans les états hypnotiques,
reconnaître qu'elle est beau- coup moins fréquente que ne semble le croire M. Charpentier. Il ne nous donne pas d'ailleurs
istoire de possession très répandue, au Japon, et qui consiste à se croire possédé par un renard. Cet animal, d'après la c
es filles. Ce sont surtout les convalescents de fièvre typhoïde qui croient ainsi servir d'habitacle au rusé compagnon. La ma
s deux points qu'il serait intéressant de discuter. M. GARNIER ne croit pas que ces questions qui paraissent si sim- pl
de syphilis congénitale. Par conséquent, il n'est pas téméraire de croire , dans l'espèce, à une méningite ou à une périen
d'héréditaires dégé- nérés à facultés affaiblies qui délirent. Ils croient appartenir à un autre sexe que le leur; c'est p
e la sensibilité psychologique. Ou bien c'est un jeune homme qui se croit en état de grossesse, qui dit avoir ses règles
rogressa, la fièvre monta à 39, la bouche ne peut plus s'ouvrir, on crut à un phlegmon du cou. Afin de pro- céder à un e
uent aussi à la craniectomie chez les microcéphales. Il ne faut pas croire que le cerveau cesse invariablement de se dével
, vous en avez si profondé- ment remanié l'étude qu'on est tenté de croire que vous les avez décrites le premier. Aussi
de quarante-neuf ans, qui tenait un débit de vins rue Amélie, avait cru bien faire en plaçant ses économies une quinzai
faire des blessures assez graves, con- séquences, comme on peut le croire , de la chute qu'elle fit du premier élage...
égal de la médecine. Ce n'est pas cela qui empêchera Ville Wolff de croire que son cordonnier est beaucoup plus fort que M
50 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
paradoxaux sont controuvés : la méthode était insuffi-sante, et nous croyons pouvoir affirmer que, dès les premières périodes
postérieure comme «l'ombre se rattache au corps, » il ne faudrait pas croire , toutefois, qu'en appelant sclé-rose des cordons
e le substratum anatomi-que de l'ataxie locomotrice progressive. Je crois utile d'entrer dans quelques nouveaux développe-m
ques de la maladie, mais il faut savoir la chercher là où elle est. croyons -nous, dans plusieurs cas où la mort, déterminée p
ue le manque de temps m'a forcé de passer sous silence, et qui, je le crois , mérite cependant quelques déve-loppements. Je
vec vous quelques points peu connus ou insuffisamment connus, — je le crois du moins, — de l'histoire clinique de l'a-taxie l
deux malades accusant une foule de symptômes nerveux bizarres, que je croyais pouvoir rattacher à l'hypochondrie. Ces deux mala
e dans ses allures. Vous ne la trou-verez cependant mentionnée, je le crois du moins, dans aucun des traités spéciaux sur les
cet hospice à l'aide d'observations faites sur une grande échelle. Je crois pouvoir déclarer que la grande majorité des femme
ais pas de fatiguer votre attention. En somme, je suis très disposé à croire , d'après ce que j'ai vu, que les amaurotiques, ch
celui qui précède l'autre, est chose difficile ; j'incline beaucoup à croire que, de même que dans la moelle épinière, le tube
es symptômes oculo-pupillaires, mention-nés pour la première fois, je crois , par M. Duchenne (de Bou-logne). Il s'agit là de
ment rare, d'une arthropathie tabétique intéressant les hanches. J'ai cru , pendant longtemps, bien à tort, vous le voyez, q
pour cause une lésion traumatique, une fracture intra-articulaire. Je crois , en effet, qu'il en est ainsi. Mais notre arthrit
rite sèche. A cela, je n'ai pas d'objection sérieuse à opposer ; mais croit -on que ce classe-ment anatomo-palhologique avance
ne parler que de ce qui concerne spéciale-ment la moelle épinière, je crois pouvoir déclarer qu'il n'est peut-être pas une de
on articulaire à l'affection spinale n'en reste pas moins établie, je crois , par l'ensemble des considérations que je viens d
r des accidents subits et, après la mort, donner le change en faisant croire qu'il s'agit d'une hématomyélie primitive, affect
en serait ainsi. A la vérité, quelques auteurs classiques semblent croire qu'une fois déclarée, la paraplégie, par mal de P
chaque côté des apophyses épineuses, que survient la guérison. Je ne crois pas qu'on puisse voir là, dans tous les cas, une
omprimé chez ces sujets, ou mieux dans quel état est-elle encore ? Je crois pouvoir vous donner à ce sujet des éclaircis-seme
t de son trajet par un cor-don d'aspect scléreux et où l'on aurait pu croire que toute trace de tubes nerveux avait disparu.
veuses des deux côtés de la moelle. A l'appui de ces assertions, je crois bon, Messieurs, de citer brièvement quelques exem
-'elle ne dépend pas, comme beaucoup de per-sonnes semblent encore le croire aujourd'hui, de la compression exercée sur la moe
XVII. 1866, p. 41.) céreuse du nerf invoquée un peu à la légère, je crois , par plu-sieurs auteurs. VIII. Il s'agit actu
pas quelque lésion mammaire. On me répondit par la négative; mais je crus devoir insister et examiner les choses par moi-mê
amen des malades. D'un autre côté, il ne faudrait pas aller jusqu'à croire que les douleurs du mal vertébral cancéreux, alor
sur le trajet des nerfs intercostaux, ce qui, un instant, avait fait croire qu'il s'agissait là d'une simple névralgie interc
lesquelles elle s'appuie, demandent eux-mêmes à être véri-fiés. J'ai cru devoir néanmoins l'exposer brièvement parce que,
erveuses, et de là proviendrait l'erreur dans la localisation. J'ai cru , Messieurs, devoir rappeler ces particularités, p
quefois à titre d'accident consécutif a la diphté-rie. Il y a lieu de croire , d'après ce qui précède, que ces symptômes qu'on
s faits anormaux qui paraissent, d'ailleurs, assez rares. Je n'ai pas cru devoir toutefois les passer sous silence, parce q
e plus neuf de l'histoire anatomique de la paralysie infantile. Aussi crois -je utile d'entrer à ce propos dans quel-ques déve
L. Clarke et Z. Johnson sous le nom d'atrophie musculaire, doit être, croyons -nous, rapproché du précédent; la critique permet
travail auquel notre observation sert de fondement, nous nous sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules ne
ès l'abord, et qui, bientôt, s'accompagna de symptômes tels qu'on put croire à l'invasion d'un fièvre typhoïde, s'annonçant av
lieu sur ce qu'enseigne l'histoire naturelle, de cette affection, je crus pouvoir avan-cer que la rétrocession des symptôme
l y a là une lacune qui ne saurait tarder à être comblée *. IL Je crois utile de revenir aujourd'hui sur divers points re
e subis-sent parfois ces cellules et que j'ai le premier reconnue, je crois , du moins 2° Quelques auteurs ont décrit, dans
elle paraît d'ailleurs, aujourd'hui, assez générale-ment répandue. Je crois donc pouvoir, d'après cela, m'en tenir à la théor
a lésion spinale de la paralysie infantile (Loc. cit. n° 1, p. 3). Je crois téphro-myélite préférable et je puis invoquera ce
ntre gris envahisse consécutivement les faisceaux blancs ; mais je ne crois pas, quant à présent, que cette combinaison ait j
agne-ment des lésions spinales qui viennent d'être décrites, sont, je crois m'en être assuré, des observations qui pèchent, s
une manière spéciale l'état des cellules des cornés antérieures. Nous croyons devoir rappe-ler encore une fois, que la moelle é
Aran et Duchenne. Se fondant sur ces observations, M. Duchenne avait cru pouvoir caractériser la maladie anato-miquement e
la substance grise spinale antérieure. Il me sera facile aussi, je le crois , de tracer ensuite une ligne de démarcation tran-
lipomatosa. L'auteur, peu soucieux des règles noso-graphiques, semble croire qu'il a eu là, sous les yeux, un exemple de paral
ainsi dire habituel et c'est là une différence dont on ne saurait, je crois , dans l'état actuel des choses, four-nir une expl
érose postérieure précèdent le développement de l'a-myotrophie. Je ne crois pas qu'il ait été publié un seul exem-ple dans le
hors de doute l'existence de lésions spinales très accentuées ; je ne crois pas cependantque ce fait ait, tant s'en faut, las
t pas à elle seule pour justifier un rapprochement noso-graphique. Je crois devoir, à ce propos, faire une remarque qui pourr
fois rencontrée dans sa pratique. Mais elle n'a pas été remarquée, je crois , comme elle le mérite. De fait, autant que je sac
és, et qui demandent par conséquent à être ravivés. C'est pourquoi je crois qu'il sera prudent d'attendre le contrôle d'autop
pas défaut. J'espère parvenir à le démontrer tout à l'heure. Mais je crois opportun, au préalable, de vous présenter un tabl
it. » Ainsi se trouvent nettement indiqués, pour la première fois, je crois , et la tré-pidation épileptoïde du membre inférie
spasmodi-que. Si l'examen n'était pas poussé plus loin, vous pourriez croire qu'il s'agit ici d'un exemple de cette dernière a
t rares, je le répète, contrairement à l'opinion de Remak, qui semble croire que c'est là la forme la plus ha-bituelle des par
e publié par M. Duplay dans les Archives de médecine. Néanmoins, je crois pouvoir avancer que, malgré ces tra-vaux, la conn
en réalités parfois très sérieuses, que peut offrir le diagnostic. Je crois pourtant que, dans la règle, le vertige labyrinth
and Sur g, 21 janvier 1869) et rappelée par M. Knapp. Il y a lieu de croire , d'ailleurs, d'après l'ensemble des faits, qu'une
e droite à gauche. Il est des maladies,' qui, dans leurs divers accès croient éprouver tantôt l'un, tantôt l'autre de ces modes
peut s'observer dans les espèces de vertiges les plus divers, mais je crois pouvoir affirmer qu'on ne le trouve jamais là, ni
aucoup, dans le temps, sur la description de ces crises, parce que je crois qu'elles consti-tuent le fait symptomatique fonda
'un brusque mouvement de translation, par suite duquel la malade se croit tout à coup, comme par l'impulsion d'une force ex
asion des accès vertigineux fut, après cela, facilement établie. Je crus pouvoir annoncer qu'il ne s'agissait pas ici d'ép
e, pendant cette même période, il y aurait eu momen-tanément, si l'on croit son récit, un certain degré de contrac-ture dans
les organes qu'il faut incri-miner dans la circonstance actuelle. Je crois plus vraisemblable, mais c'est là une pure hypoth
qu'on pourrait appeler prœ-hémiplégique. Les cas de ce genre sont, je crois , assez rares ; je n'en ai pas recueilli plus de t
recueilli les renseignements qui viennent de vous être exposés, je me crus autorisé à déclarer qu'à mon sens les divers acci
très fréquemment, presque habituel-lement, des douleurs de tête qu'il croyait être des migraines et qui ontpersisté, en s'aggra
régulier et constant de la succession des phé-nomènes convulsifs. Je crois devoir vous faire remarquer in-cidemment que le m
un zèle éclairé, les cho-ses ont mal tourné. Je ne puis m'empêcher de croire , cepen-dant, que dans les cas où la nature des ac
e, au contact de la pie-mère altérée, n'a subi encore, tout porte aie croire , que les lésions du genre de celles qu'on a quelq
ique suivant lequel se produisent les arthropathies des ataœiques, je crois pouvoir me dispenser de rentrer à ce propos dans
aryngé. Sans vouloir préjuger les enseignements de l'avenir, on peut, croyons -nous, admettre dès aujourd'hui, à titre de propos
les ca-ractères normaux. A l'aide de mensurations comparatives, on croit recon-naître qu'un bon nombre de cellules nerveus
eaux postérieurs, soit sur celui des faisceaux latéraux. Tout porte à croire d'ailleurs que l'irritation des tubes ner-veux, e
nification au point de vue de la névrite parenchy-mateuse ne saurait, croyons -nous, faire de doute un seul in-stant. Muscles.
itement conservée. La langue n'est pas aussi inerte qu'on pourrait le croire d'après ce qui précède ; elle a con-servé sa form
ture anormale ; toutefois, en examinant ses bords avec grand soin, on croit aper-cevoir de temps à autre de légers mouvements
lésions diffuses répandues entre elles par un lien intime et faut-iï croire que, dans ce cas, les altérations du système musc
ion ont été développés à plusieurs reprises dans ce recueil ; nous ne croyons pas nécessaire de les reproduire à nouveau. Nous
ux extrêmes et permettent de suivre la transition. On peut essayer, croyons -nous, en tenant compte des ré-sultats qui viennen
res que postérieures, ont également paru parfaitement saines. Je ne crois pas devoir insister pour faire ressortir l'intérê
lésions spinales très ac-centuées est mise hors de doute ; mais je ne crois pas que ce cas ait, tant s'en faut, la significat
pas, à elle seule, pour justifier un rapprochement nosographique. Je crois devoir à ce propos faire une remarque qui pourrai
une hypertrophie très prononcée des cylin-dres axiles. En somme, nous croyons qu'avant de rien décider à l'égard de l'état anat
51 (1934) Oeuvre scientifique
Masson et Cie) et qui restait à compléter. Toutefois, ils n'ont pas cru devoir s'en tenir strictement au plan de cet Ex
d'enregistrer les affirmations de l'intéressé en indiquant, s'il le croit bon, l'impression qu'elles lui ont faites au poin
pas ; elle est toujours triste, absorbée, on voit qu'elle souffre. Croyez -moi, c'est du sérieux. » La malade succomba quelq
dire plus ques- 20 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE tion actuellement. Je crois qu'à cet égard presque tous les neurologistes s
t plus grand elle me l'a plusieurs fois répété qu'elle s'était bien cru condamnée à une infirmité incurable, d'après to
une affection du coeur, de l'estomac ou de tout autre organe. Je ne crois pas m'exposer à la contradiction en disant que
bien que ce mot ne figurât pas dans le titre de ma conférence. J'ai cru bon de le faire parce que ce n'est qu'après s'ê
r entourage. C'est ainsi qu'on voit fréquem- ment des sujets qui se croient atteints d'une angine de poitrine, alors que le
l'on est amené à faire dépendre le phénomène qui nous occupe. Je ne crois pas, pour le moment, pouvoir affirmer la nécess
toïde du pied ». Mais en opposition avec cette variabilité que j'ai cru indispensable de mettre en lumière, les réflexe
parfaite, et que leur médecin traitait comme tabétiques, pour avoir cru , à tort, constater une abolition des réflexes r
ejerine et Landouzy trouvent le fait inexplicable. D'autres auteurs croient pouvoir chercher la raison du phénomène dans la
es leçons. Mais avant d'entre- prendre l'étude de ces relations, je crois indispensable de rappeler cer- taines notions f
lexe du gros orteil. En se plaçant au point de vue de la clinique, je crois qu'il est préférable de dissocier ces deux phén
qu'elle soit, est encore limitée, j'avais invité ceux qui auraient cru constater des faits en opposition à les présent
'hémiplégie organique et de l'hémiplégie hystérique » : : «.le ne crois pas que dans l'hémiplégie hystérique pure il puis
aux dont je me suis aussi efforcé de déterminer la valeur, et je me crois autorisé à soutenir actuellement que, dans la g
é du peaucier, qui, toute réflexion faite, me paraît défectueuse ; je crois en effet qu'il ne s'agit pas d'un spasme du côt
à reprendre sa position primitive. Ce serait en effet une erreur de croire que, dans cet acte, le sujet se borne à faire con
ès mes observations, l'opinion de Rosenbach me paraît juste ; je ne crois pas que l'hystérie puisse, au même titre qu'une a
-il qui soient pathognomoniques ? Ainsi que je l'ai déjà dit, je le crois , et j'en suis surtout convaincu pour ce qui con
vint démente et mourut. BADlNSi.I. S m4 SEMIOLOGIE Il est, je crois , permis de se servir d'un néologisme pour désigne
a même publié quelques faits tendant à l'infirmer. Cela tient, je crois , aux difficultés nombreuses que l'on rencontre qu
é à des erreurs d'observation et d'interprétation sur lesquelles je crois devoir insister. C'est ainsi que chez les malad
jugeant inca- pable de loger dans son esprit tant de données qu'il croyait différentes, il renonça à cette étude et se pri
sion ; vous verrez dans la suite qu'il n'en est pas ainsi ; mais je crois pou- voir dire que la question est fort simple
uisse et de la jambe, ne donne jamais lieu à la flexion du pied. Je crois utile d'appuyer sur ce point. Sans doute, le re
S'ils retiennent seulement cette donnée, j'aurai la satisfaction de croire qu'ils n'ont pas perdu l'heure qu'ils ont bien
on des faits cliniques suffisante pour bien délimiter mon sujet. Je crois le moment venu de faire un historique, surtout
de l'intervention chirurgicale. Voici, en résumé, ce que nous avons cru pouvoir déduire de nos investigations. Dans tou
osé à des erreurs d'observation et d'interprétation sur lesquelles je crois devoir insister. « C'est ainsi que chez des m
de l'automatisme médullaire ? C'est une chose que, pour ma part, je crois , mais il est difficile d'en donner la preuve...
sa conscience puisse être considérablement amoindrie. Nous avons cru devoir signaler ces phénomènes dont on trouvera l
es réflexes de défense surtout en clinicien, en neurologiste. Je ne crois pas cependant pouvoir la terminer sans vous dir
tionnant d'une manière synergique. Sans discuter cette idée, nous croyons qu'il y a lieu d'admettre l'inter- vention d'un
igné, il est vrai, dans l'observa- tion II, qui est ancienne ; nous croyons toutefois nous souvenir qu'il exis- tait, mais
nante dans le membre du côté excité, ont lieu du côté opposé. (Nous croyons devoir rappeler à ce propos que tous les sujets
deau présentaient une réaction à la lumière faible mais nette, j'ai cru remarquer que l'application unilatérale du ban-
e nerf. Sans contester qu'il en soit ainsi dans certains cas, je me crois en mesure de soutenir que le méca- nisme de ces
est ici bilatéral, et que les réflexes achilléens sont abolis ; je crois , en effet, avoir montré (') que l'abolition du ré
ndance d'une excitation du sympathique par la poche anévrismale. Je crois qu'on doit écarter cette hypothèse ; il ne m'es
ouvement du membre inférieur et reste en arrière. Je suis disposé à croire que ce phénomène est pathognomonique d'une pert
ons cérébelleuses, les opinions sont encore partagées. Nous ne nous croyons pas en état de résoudre ce problème. Nous avoue
rtout s'il manoeuvre vite, des mouve- ments démesurés. Mais nous ne croyons pas que l'on doive dire avec André Thomas que l
nt en quelque sorte au-des- sous du seuil de la conscience ? Nous croyons donc pouvoir conclure que les troubles de motilit
conséquences que nous avons égale- ment fait ressortir et que nous croyons à propos de rappeler : « On admet que le cervel
- lisée artificiellement chez notre opérée. Avant de terminer, je crois devoir insister sur l'accalmie qui succédait to
t peu en faveur, ne contien- drait-elle pas une part de vérité ? Je crois qu'il serait intéressant à tous égards de cherc
dans l'autre, elle se trouvait du côté opposé à celui où on l'avait cru située. Observation I. Homme de QI ans, commenc
ser plus loin la précision. Dans l'observation I, je ne m'étais pas cru en état de déterminer le côté de la lésion. En
n définitive j'étais resté dans le doute. Dans l'observation II, je croyais que la tumeur se trouvait dans le lobe frontal
ni en ce qui regarde le malade que vous avez devant les yeux. Je ne crois pas que ce spasme soit d'origine mentale, qu'il d
. Fig.9- SUR LE SPASME DU COU 261 Pour ces diverses raisons, je crois que les phénomènes spasmodiques ne sont pas ici
ues. Cependant, en me fondant sur mes observations personnelles, je crois pouvoir dire que chez l'homme adulte la dégénér
s'en faut, que la régénération soit alors impos- sible, mais je la crois exceptionnelle. Or, il semble qu'il n'en soit pas
ls jusque-là aucun résultat appréciable n'avait été obtenu. Je me crois en droit de conclure, pour le moins, de ce qui pr
Ne s'agirait-il pas là d'une idée délirante, de négativisme ? Nous croyons pouvoir écarter cette hypothèse. La malade ne c
'un observateur insuffisamment averti eut pu s'y laisser prendre et croire que la guérison était imminente, mais ce n'étai
e venait à son secours ; ce fait, contrairement à ce qu'on pourrait croire à première vue, n'est pas en contradiction avec c
uments n'ont peut-être pas une valeur absolument décisive, je ne me crois pas en droit d'émettre à ce sujet une opinion f
tige voltaïque à l'état patholo- gique. D'après ce qui précède je crois pouvoir affirmer que les divers phéno- mènes do
I, la contracture de la main droite était extrême- ment forte. Je crois donc pouvoir conclure que la forme de paraplégie
plasique siégeant dans l'intérieur même des circonvolutions ? Je me crois en droit de rejeter cette hypothèse parce que s
degré de fréquence du tabes conjugal chez les tabétiques mariés. Je crois cependant pouvoir affirmer que les cas de ce ge
nséquent, a des manifestations caractéristiques du tabes, pourra se croire simplement en proie à des douleurs rhumatismales,
uis pas en droit, tant s'en faut, d'être affirmatif à cet égard. J'ai cru cependant devoir me servir, dans le titre de ce
ains cas, et peuvent même présenter une distribution telle que l'on croirait tout d'abord à une hémianopsie de cause central
vation présente encore certaines particularités sur lesquelles nous croyons devoir insister, car elles ne nous ont pas paru a
lle, du reste, l'importance si grande des troubles du début. Nous croyons donc que le couteau glissant entre les lames des
as, le chirurgien ne trouvant pas la tumeur dans l'endroit où on la croyait située est désorienté, s'il n'a pas quelque aut
dont la longueur était de onze centimètres. De nos recherches nous croyons pouvoir tirer les conclusions suivantes : i" Ta
l s'agit d'une tumeur intra-dure-mérienne ('), (1) N. D. L. H. Nous croyons devoir ajouter, pour respecter le désir intime de
ximum des troubles sensitifs ne se trouve pas, comme on pourrait le croire , à la hauteur correspondant à la compression, mai
de la zone intermédiaire (zone d'hypoesthésie marquée). On peut, croyons -nous, tirer des données précédentes des déduction
ma ne peut même pas toujours être déterminée avec précision. Nous croyons qu'au milieu de ces données la plupart sujettes à
élioration, la paraplégie en flexion s'étant même accen- tuée, nous crûmes nécessaire de procéder à une nouvelle radiographi
que des faits analogues à celui-ci ne sont pas exceptionnels ; nous croyons donc utile d'attirer l'attention sur les tumeurs
'un obstacle pathologique. Dans notre cas nous avons des raisons de croire qu'il en était ainsi ; en effet lorsque vingt jou
ipe disposés à une intervention à bref délai. Dans un cas où l'on croirait avoir intérêt à soumettre le malade à cette épr
ser ainsi la longueur de la tumeur et son siège exact. Nous avons cru pouvoir le faire en mettant à profit les données
iser la lésion en dehors de la dure-mère et c'est la première fois, croyons -nous, qu'un pareil diagnostic a été établi clini-
ion orale. Du reste, c'est pour ce motif que notre col- lègue avait cru bon d'avoir recours à l'épreuve du lipiodol ; mai
tte nouvelle épreuve. Voici quels sont les points sur lesquels nous croyons devoir insister : Et d'abord la bille de lipiod
de le côté droit, la situation est un peu plus complexe, sans être, croyons -nous, inextricable. Deux questions se posent. P
ure de l'anesthésie maxima que, dans un certain nombre de cas, on a cru devoir localiser la tumeur bien au-dessous de l
ier l'incurvation du nez et la fos- sette mentonnière ; ils ont, je crois , de l'importance parce que, si j'en juge par me
mais, quoique persuadé de l'exactitude de cette observation, je ne crois pas devoir m'incliner devant elle, car, d'après
la partie intra-bulbaire du trijumeau et limitée à ce nerf. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système nerveux sié
rdivement. En se fondant sur cette obser- vation, on peut supposer, croyons -nous, que la prédisposition à la myo- pathie ti
des caractères de ce genre. Mais avant de chercher à le prouver, je crois indispensable d'indiquer le sens qu'il faut, se
e sans avoir été précédés d'autres manifestations de l'hystérie. Je crois qu'il est légitime d'appeler encore hystériques
mer toute ma reconnais- sance. Anciennement, les médecins avaient cru remarquer qu'il existait un groupe de manifesta
réalité ? Qu'on y réflé- chisse un peu. C'est seulement quand on a cru découvrir un objet se dis- tinguant par quelque
elle est l'alternative à laquelle on est nécessairement amené et je crois qu'aucun neurologiste n'hésitera à opter pour l
n constituerait l'un des deux caractères essentiels. Eh bien, je me crois en droit de m'inscrire en faux contre cette ass
dans ses détails, ni dans son ensemble. Avant d'aller plus loin, je crois devoir vous rappeler certaines défini- nitions
' Avant de chercher à vous prouver l'exactitude de mon opinion, je crois bon de vous rappeler aussi le sens précis qu'il
résenter à l'esprit de quelques-uns d'entre vous et aux- quelles je crois bon de répondre ; je vais les passer successiveme
te critique, mais afin de ne laisser subsister aucune obscurité, je crois bon de vous donner encore à ce sujet quelques écl
E bulles, d'ulcération, de gangrène, ou d'oedème hystérique, et je crois que ceux qui ont rapporté des cas de cet ordre
stion des trou- bles cutanés, ce qui serait très simple, si l'on en croit certains hypnoti- seurs, et je n'y suis jamais
r chez elle toutes les manifestations hystériques classiques, et je crois pouvoir dire que j'ai sur elle une très grande
partiennent à l'hystérie, mais je doute fort que cela arrive; je ne crois pas non plus que ces phénomènes soient appelés
tort, conserve pourtant un champ très étendu. Si, trop souvent, on croit la voir là où elle n'existe pas, on la méconnaît
elatives à des cas d'hystéro-traumatisme. Il y a aussi tout lieu de croire que bien des hystériques deviennent des simulateu
aussi en mesure de me débarrasser de la monoplégie brachiale que je croyais définitive » ; le malade est devenu ainsi acces-
irurgie, juillet 1801. Voici la conclusion de cette leçon : « Je me crois autorisé à conclure de toute cette discussion que
soutenir qu'elle était le plus souvent d'origine suggestive, et je crois avoir fourni de nouveaux arguments à l'appui de
ion à laquelle il est difficile de se sous- traire. Un confrère qui croyait avoir observé un cas intéressant de fièvre hyst
soi-disant paraplégique se tient sur ses jambes et marche quand il croit ne pas être observé ; mais les simulateurs sont
r, par le raisonnement, comme le mot persuasion pour- rait le faire croire , que l'on guérit ces troubles, et le vocable pith
faire disparaître transitoirement son mal. N'est-il pas logique de croire que l'imminence d'un grand danger soit particuliè
ogique. Mais ce lien existe-t-il et dans ce cas quel est- il ? On a cru le trouver dans ce fait qu'il n'est pas rare de
mais encore simple affaire de convention. Il serait préférable, je crois , de renoncer à un vocable propre à erltrenir le
des phénomènes pithiatiques, je ne le conteste certes pas, mais je crois pouvoir affirmer que jamais sujet atteint de la
er tous les moyens nécessaires pour vérifier cette hypothèse. Je me crois en droit de conclure de cette étude que la concep
evêtent une apparence tellement différente que, pour ce motif, j'ai cru devoir les envisager séparément. D'ailleurs, les
er l'hypnotisme vrai, s'il en existe un, de l'hypnotisme simulé. Il crut en trouver ; il décrivit ce qu'il appela les ph
alors qu'ils n'avaient plus aucun intérêt apparent à me tromper; je crois avoir employé tous les moyens propres obtenir d
sans réponse et le masque d'ignorance qu'il revêtira vous incitera à croire à la réussite de votre suggestion. Mais, si vou
ènes hypnotiques, phénomènes hystériques) à la réalité desquels ils croient , mais seulement dans une certaine mesure ; leur
pno- tisme chez le sujet soumis à son examen. Toutefois, comme je crois à l'existence effective de l'hypnotisme, j'ac-
es, idées acceptées par un grand nombre de neurologistes, et que je crois solidement fondées sur la clinique et la logique.
lidement fondées sur la clinique et la logique. Pour ce motif, j'ai cru devoir prendre la parole. L'opinion que les cri
e la suggestion, explique au contraire ce changement de tableau. Je crois qu'on peut affirmer que quelqu'un n'ayant jamai
o labié, attaques apoplectiformes, etc. Et Broussais n'était pas, croyez -le bien, un hôpital privilégié en matière d'hysté
s, pas plus chez les femmes que chez les hommes, et, pour ma part, je crois bien qu'il y a plus de dix ans que je n'en ai o
logistes, appartenant aux formations sanitaires de l'ar- rière, ont cru pouvoir établir par leurs observations que l'émot
aître et à entretenir la suggestion. Quelques neurologistes se sont crus cependant en droit d'affirmer que, dans certain
ant donné ce qu'ils voient, ce qu'ils ont entendu dire ou ce qu'ils croient savoir de l'effet des diverses blessures de gue
hystérique des crises. Enfin, il est une dernière remarque que nous croyons devoir faire : le sujet, en pleine attaque d'hy
ière de voir. Mais l'accord définitif ne s'était pas établi. On put croire tout d'abord que les faits observés au début de
ie et de contracture d'ordre réflexe. De ce qui précède nous nous croyons en droit de conclure que la conception moderne
naces et d'importance variable. Il est encore une remarque que nous croyons devoir faire. Nous avons déjà dit que les manif
les intéressent tous les médecins mili- taires et, à ce titre, nous croyons utile de les rapporter ; les voici : i° Pour le
fondant sur l'intensité des troubles vaso-moteurs, nous nous étions crus en droit d'affirmer qu'il y avait là des phénomèn
rapides ont induit quelques observateurs en erreur en leur faisant croire , dans certains cas, à une guérison, alors qu'il
cours de ces différentes épreuves et, pour ma part, je me refuse à croire à une telle énergie morale devant de telles doule
er toujours à l'un des cadres de la neurologie et il ne faut pas se croire tenu à formuler un diagnostic simple. Le problè
ration de la réflectivité tendineuse comme un fait exceptionnel, se croit en droit d'admettre que l'incitation centrifuge f
ement hydrargyrique m'a paru donner des résultats satisfaisants, je crois devoir signaler deux cas d'atrophie papillaire
n cytologique n'a pas permis de préciser la cause. Aussi avons-nous cru nécessaire, malgré l'absence de symptômes suffi
qu'ily avait là une application thérapeutique à tenter. Je m'y suis cru d'autant plus autorisé que les moyens employés d'
Cette observation n'ayant pas encore été publiée et présentant, je crois , un assez grand intérêt, surtout à cause de cer
fet ? Je ne suis pas en droit de l'affirmer mais je suis porté à le croire , et j'ai pensé que ce fait méritait d'être rapp
l de Pott, car la colonne ver- tébrale est en parfait état. Je ne crois pas non plus que la syphilis soit en cause. Outre
la suite de quelques séances de radiothérapie. Nous sommes portés à croire qu'entre la disparition des symptômes et l'exposi
urative sur la sciatique accompagnée ou non de sco- liose ; et nous croyons intéressant de lormuler en manière de conclusion,
52 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
mes osseux et musculaire. Il n'y manque qu'un autre ordre; mais j'ai, cru devoir conserver celui dans lequel les faits ont
, ligne 31, au lieu de : « comme on l'a vu » , lisez : « comme on l'a cru ». LEÇONS CLINIQUES SUR LES MALADIES CHRONIQU
rôle dans les affections dont nous devons nous occuper. On pourrait croire que les maladies chroniques épuisent plus prompte
é. Ce cal intérieur peut n'être que partiel ; dans ce cas on peut croire la maladie guérie ; il n'en est rien cependant ;
ns son ensemble une direction à peu près normale. Il semble, comme le croyaient les anciens, qu'une seule vertèbre ait été repous
là qu'une fausse apparence qui ne 2. pouvait en imposer et faire croire à une luxation (Ambroise Paré emploie encore cett
que, remplit la fosse iliaque et descend jusqu'à l'arcade crurale. Ne croyez pas qu'on ait toujours ce deuxième degré à la sui
donné à ce mot par Marshall-Hall, sens équivoque, qui pourrait faire croire à l'existence d'une affection cérébrale propremen
ficiel; appliquez sur la peau tous les genres de stimulation avant de croire à la perte de la sensibilité. L'irritabilité mu
ple courbure de l'épine peut-elle produire seule la paralysie? On l'a cru longtemps; Pott l'a nié le premier; Nichet, depui
ais voulant surtout imposer cette conviction à leurs semblables? Ne croiriez -vous pas que l'obscur chirurgien normand doit avo
s pas de moyen constamment efficace d'obtenir ce dernier résultat. On croit généralement que les cautères sont ce moyen ; l'o
piquante : cet enfant a eu un abcès de la cuisse qui n'était pas, je crois , lié à la lésion des vertèbres. Comme il apparten
ysie. C'est là certainement une terminaison heureuse. Aujourd'hui, je crois l'enfant complètement guéri. 11 conserve toutefoi
nal diseases. Lon-don, 1827. des progrès; le malade succomba. Je ne crois pas qu'il faille, à l'exemple de David, accuser e
rs, la guérison spontanée est probablement plus fréquente qu'on ne le croit généralement. C'est un fait capital, d'où découle
extérieure contre celle des os? Nous ne sommes plus au temps où l'on croyait à l'utilité d'un écoulement d'humeur contre la ma
rmiques; la tumeur n'augmente pas, ne devient pas sous-cutanée. Je ne crois pas qu'il faille renoncer à l'espoir de la voir s
l'air, qui n'a pas toujours des conséquences aussi funestes qu'on le croit généralement encore de nos jours; l'important est
ère cause est peu probable chez l'enfant dont je viens de parler ; je crois plutôt à l'existence d'un point gangreneux des pa
ontale est en effet une chose utile, et que je conseille ; mais je ne crois pas aux merveilleux résultats du Prone system.
le réside dans la disposition diarthrodiale des articulations. On a cru remarquer que les destructions partielles unilaté
nsuite involontaire; le cou, fréquemment incliné, conserve ce pli. Je crois qu'on ne confondra pas ce cas avec notre affectio
les jours. Un enfant nous arrive ayant un cou tellement tordu, que je crus voir un cas clinique des plus intéressants de mal
de Palletta est resté pendant dix ans encore inconnu à Dupuytren, qui croyait avoir découvert les luxations congeniales du fému
ette théorie; elle est spécieuse et elle possède des faits. C'est, je crois , M. Parise qui l'a présentée le premier; depuis,
mment ici d'une luxation congénitale par altération de la capsule. Je crois que M. Verneuil a raison d'attribuer ce déplaceme
il existe, à la naissance, des signes de coxalgie ancienne, on pourra croire alors à cette origine. On a encore attribué la
fluence du psoas sur la position des membres inférieurs; mais je le crois le plus souvent étranger à l'attitude du corps da
; le déplacement des muscles qui recouvrent l'articulation a pu faire croire à cette sensation. Même en répétant l'expérience
rcissement atrophique du membre , à la claudication, et l'on pourrait croire à une luxation ; examinez alors l'articulation av
dater de ce moment, il a marché en boitant. Quelques personnes ont pu croire que la luxation était traumatique; mais, après un
rir sur l'ilium un espace de un, deux ou trois pouces. Longtemps on a cru Dupuytren sur parole. Il ajoute qu'en refoulant l
t à l'axe du corps. On est revenu aujourd'hui de cette erreur, que je crois avoir été un des premiers à signaler. Voici un
à ce qui a trompé le célèbre chirurgien de l'Hôtel-Dieu et lui a fait croire au glissement de la tête fémorale. Si nous prenon
t dans tout le Midi, que de ces guéri-sons; le professeur Lallemand y crut comme les autres. A Marseille , la conviction fut
e , la conviction fut telle qu'un honorable confrère de cette ville a cru dernièrement qu'il ne pouvait y avoir d'autre mot
Hercourt. M. Lenoir, chirurgien de l'hôpital Necker, a vu l'enfant et croit à la réduction. Cette guérison s'évanouira-t-elle
nfin, avertis par les erreurs commises par vos prédécesseurs, vous ne croirez à la réduction qu'après en avoir constaté la réal
e pièces semblables. Toutefois, ces cas sont plus rares qu'on ne le croit généralement. Dupuytren a conseillé de porter une
Une pseudarthrose simple ne produit pas cette attitude. Il y a là, je crois , une coxalgie avec rétraction des muscles antérie
ces instruments ont le même inconvénient : c'est que, tandis que l'on croit l'œil louche bien dirigé, il reste dans sa positi
cédés , tels que le sous-conjonclival. Le cas dans lequel M. Bonnet a cru voir celle réunion nous paraît prouver le contrai
très-bien cette différence : « Si in interiorem partem prolapsum est, crus longius altero, et valgius est : extra enim pes u
la forme aiguë ; les pieds sont portés dans une telle adduction qu'on croirait voir des pieds bots varus. Quand les enfants guér
forme d'un pied équin. Remarquez comme le talon est élevé; cela fait croire , au premier abord, à un grand raccourcissement de
ect; — talus commun. — Le talus direct est extrêmement rare; je ne le crois pas impossible, comme l'a dit M. Bonnet. Il st d'
e famille pour une jeune fille qui marchait sur la pointe du pied; je crus avoir affaire à un pied équin, mais un de mes maî
pied bot à embrasser l'état ecclésiastique, pour lequel il avait, je crois , peu de vocation. Vous le voyez, quelquefois le s
réalisable dans la pratique? La plupart des chirurgiens ne l'ont pas cru sans doute, car cette opération a peu cours aujou
tième siècle, la maladie qu'il désigne l'était-elle aussi? Glisson le croit : le rachitis, d'après cet auteur, aurait paru dan
dos, que le peuple prononce Ricken. Le grand motif de Glisson pour croire à la nouveauté de cette maladie, c'est qu'on n'av
chitisme peut guérir dans l'utérus. M. Houel attribue avec raison, je crois , à des causes de ce genre, un arrêt de développem
colonne vertébrale que j'ai recueillie, en 1827, dans cet hôpital. On crut à un mal vertébral, et on appliqua des cautères.
rne, et il n'y a pas de muscle qui puisse le courber dans ce sens. Je crois que c'est le poids du membre qui tend à fléchir l
Buchner (2), et qui est en effet beaucoup moins constante qu'on ne le croit généralement. (1) Loc. cit., cap. 2, IV. (2)
hymus, dit Glisson (2), est veut-être plus développé ; on n'a pas, je crois , examiné cet organe sous ce point de vue, depuis
urmure respiratoire, un souffle presque bronchique qui pourrait faire croire à une pneumonie. Les sujets sont exposés à de fré
a courbure des os, est donc un fait moins commun qu'on ne pourrait le croire au premier abord. J'ai vu cette tension principal
me céphalique. MM. Rilliet et Barthez (1) rapportent un cas où l'on crut à une hydrocéphalie et où il n'y avait qu'un rach
probablement un chlorure de cuivre ammoniacal, quoique Van Swieten le croie plutôt un composé ferrugineux. Ce remède fut géné
mbaire, qui est surtout déterminée par la situation du bassin. On a cru longtemps le bassin autrement situé dans la stati
ononcé dans les vertèbres infléchies que dans les autres ; mais je ne crois pas, d'après mes observations, qu'il en soit ains
sse du corps. « Lorsqu'un enfant avance trop le ventre, dit Andry, on croit bien faire de lui mettre sur le ventre un plomb o
é des apophyses épineuses (1). C'est une erreur de Pravaz (2) d'avoir cru à priori à une torsion du rachis dans ce cas, d'a
ujours une cause interne ou externe et sont moins souvent qu'on ne le croit l'effet d'un tic purement volontaire. Le caract
ère,-. dont s'ensuit gibbositè et bosse, et quelquefois une épaule ne croit pas et demeure amaigrie, et Vautre croit et s'agg
et quelquefois une épaule ne croit pas et demeure amaigrie, et Vautre croit et s'aggrossit par trop (3). » Ce n'est que dans
e la difformité fut enfin mieux connue. Ce que les anciens devaient croire faute d'études anatomo-pa- (1) Des causes des m
ressant, sur la courbure dont il s'agit (1). Sabatier, le premier, je crois , avait reconnu que, vers la fin de la crosse de l
e. D'abord, son existence est plus générale chez l'adulte que ne le croyait Sabatier, surtout si l'on tient compte, comme il
épineuse en sens contraire de la déviation du corps vertébral ferait croire à un mouvement de rotation de toute la vertèbre,
'affaissement cunéiforme n'est pas propre à cette affection, comme le croyait Del-pech (1). L'existence de l'une ou de l'autre
circonférence de l'os. Toutefois il n'y a pas compensation, comme l'a cru Delpech (2), entre la perte de hauteur de la vert
a courbure devient, en un mot, plus ou moins antéro-postérieure. On croirait voir une cyphose au lieu d'une scoliose ; c'est l
urelle des facettes des apophyses articulaires, soit par Delpech, qui croyait à des efforts musculaires instinctifs de nature à
urt. Je ne vous parle pas encore des apparences de rétraction qu'on a cru voir pendant la vie ; je reviendrai bientôt sur c
e une compression du cœur presque incompatible avec la vie, et on l'a cru en effet; il n'en est rien pourtant. Les vertèbre
osé que ces courbures de l'aorte pouvaient gêner le cours du sang. Je crois que cela n'aurait lieu que si elles formaient des
ire pourraient courber le rachis de certains monstres, et il faut, je crois , de nouvelles recherches pour mieux fixer ce poin
mais il termine par ce trait d'une modestie trop rare de nos jours: « Croyez , ajoute-t-il, que cette » explication, qui exige
acte dévient de l'état normal. Il est des cas où l'on est tenté de croire que, par suite d'une disposition originelle, ces
e nous avons observés pen-» dant cinq ans. » Un nègre gibbeux est, je crois , chose rare. On s'explique par les mêmes motifs
t contracté, parce qu'il résiste de toute sa force à cette impulsion. Croiriez -vous qu'on a vu là un muscle rétracté ? qu'à défa
ques propres à démontrer la rétraction dans les cas de ce genre, on a cru en trouver la preuve dans cette observation physi
rieux pour que je vous en dise deux mots. Ludwig (1), Shaw (2), ont cru que la double courbure latérale du rachis commenç
ourbures, on devra éviter une erreur que j'ai vu commettre : c'est de croire au redressement des courbures, lorsqu'un excès de
e la grande intelligence des bossus; elle est presque proverbiale. Je crois leur réputation à cet égard un peu usurpée, abstr
médecins s'y trompent. Ce n'est pas simplement, comme on pourrait le croire , le degré de la courbure qui fait la différence :
hysiques de la rétraction. Je vous ai déjà montré que ce cas, qu'on a cru commun , est excessivement rare. d. Il est des
colonne vertébrale, comme le faisait Jenny Guerri, on a tout lieu de croire à une supercherie. Dès 1835, M. Bégin (2) avait s
pourrait donner lieu à une autre sorte d'erreur; elle pourrait faire croire à des maladies internes graves. Le médecin qui au
tenir du diagnostic des espèces étio-logiques de la scoliose; mais je crois en avoir dit assez sur les scolioses rachitique,
euxième période ne s'efface jamais d'elle-même. Ce qui a souvent fait croire à des guérisons spontanées, c'est qu'on ne distin
cins, quoique Delpech en ait montré le peu de fondement (1), c'est de croire qu'on remédie à la scoliose commençante en exerça
n appelle musculaires toutes les déviations encore peu prononcées; on croit la déformation osseuse très-tardive. Cette mépris
res à fruits, semble formé par la nature pour ce genre d'exercice. Je crois toutefois l'homme moins propre à grimper que beau
que je sache, » dit l'auteur du traité des articulations (2). Vous le croyez sans peine; on ne sait pas d'ailleurs bien au jus
d. par Littré, t. IV, p. 183. (3) Ibid., p. 203. vertèbres, qu'il croyait luxées dans la gibbosité par suite de chute; mais
mbourré, pour dresser un corps tortu (1). Les corps à baleines, qu'on croit avoir été introduits en France vers le temps de C
er à plateaux séparés imaginé par Shaw, modifié par Pravaz, qui avait cru y trouver le moyen de localiser l'extension, de l
flexion de l'épine en sens inverse de ses courbures, et plusieurs ont cru parvenir à réaliser cette flexion ; leurs procédé
raire à l'égard des courbures doubles, mais non égales, auxquelles on croit devoir appliquer deux pressions vis-à-vis les deu
e difformité peu sensible. En comparant ces deux moules, on a peine à croire qu'ils aient pu être pris sur la même personne. C
53 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
and traits, des tableaux sans relief, aux couleurs peu accentuées. Je crois me rendre plus utile et me conformer mieux à l'es
qu'elle consacre. J'ai lu et relu vingt fois le passage, n'en pouvant croire mes yeux. Mais il a bien fallu me rendre à l'évid
opos de l'anatomie délicate du foie. Vous n'aurez pas à regretter, je crois pouvoir vous le promettre, le temps que nous cons
fort difficile sur les détails de structure et l'on se contentait de croire , avec Galien, que la chair ou substance du foie —
n contact immédiat avec le squelette capillaire, de telle sorte qu'on croirait diffi-cilement qu'il puisse rester dans ce systèm
de l'urée et de l'acide urique semble devoir être comptée, si l'on en croit des re-cherches récentes, parmi les fonctions les
ntra-lobulaires qui, dans les conditions physiologiques, s'il faut en croire la plu-part des auteurs, ne contiennent pas de ce
nde hépatique du type commun aux autres appareils glandulaires. Je ne crois pas opportun d'entrer à ce propos, la tâche étant
nt également naissance dans les espaces. 3° Le tubercule, que Louis croyait très rare dans le foie, s'y observe au contraire
ou autrement dit la cirrhose, est loin d'être d'habitude, comme on le croit généralement, le résultat d'une inflammation pri-
c. cit. (2) Bartholomew's Hospitai Reports, t. ix. 1873. rant, je crois , sur des chiens, a noté des résultats analogues a
oie ne sert pas à la sanguification. 11 descendit de son rang ; on le crut frappé à mort et l'on fit même son épitaphe. C'es
ons que les anciens lui avaient attribuées. 11 est bien, ainsi que le croyait Galien, un des principaux foyers de la chaleur an
celui de la jugulaire en fournis-sait 1, 5. Il y a toute raison de croire qu'après ces chiffres qui parai-tront sans doute
aire ne s'accumule pas dans le sang. Néanmoins, il y a tout lieu de croire que la bilirubine prend naissance aux dépens de l
ns doute; c'est fort probablement un excrément. 11 y a des raisons de croire que, dans l'intestin, elle se transforme en parti
de l'oblitération du canal cholédoque. Actuellement, Messieurs, je crois opportun de vous donner quelques renseignements s
t découvert des cristaux microscopiques de palmitine (Gautier). Je ne crois pas que, jusqu'ici, on ait noté l'accrois-sement
. Fort de ces données, très intéressantes du reste, M. Ritter s'est cru en droit d'admettre que tous les faits relatés de
au contraire. Et, quant à la couleur verte des fèces, qui avait fait croire à l'abondance de la bile dans l'excrétion, elle s
e exerce par excellence une fonction dont autrefois on ne l'avait pas cru chargé. Cette fonction a pour rôle principal la f
périmental. Io Avant d'entrer dans l'exposé des faits cliniques, je crois devoir commencer par un mot d'historique. Ce n'es
foie n'est pas le siège de lésions organi-ques graves. 11 y a lieu de croire qu'il s'agit là particulière-ment d'un simple tro
n très appropriée à!uricémie a été proposée pour la première fois, je crois , par M. le professeur Vulpian. formation de l'a
ible pro-portion dans la composition des calculs biliaires ; mais, je crois devoir donner quelques renseignements sur les sub
l'histoire de la li-thiase biliaire, de longs développements sont, je crois , deve-nus inutiles. Vous trouverez, du reste, un
stence d'une inflamma-tion catarrhale de la muqueuse cystique. Meckel croit même cette condition nécessaire. Il se produirait
iences médicales (1). I. Avant d'entrer dans le cœur du sujet, je crois devoir vous rappeler quelques particularités conc
rès pe-tits est marqué par des douleurs extrêmement vives. Si l'on en croit M. Sénac, dont l'opinion est fondée sur l'analyse
nt à peu près au siège même des organes mis en cause, et tout porte à croire que la dou-leur traduit ici directement, en grand
rale-ment accéléré dans la colique hépatique. Bien plus, s'il faut en croire M. Wolff qui se fonde, comme vous le savez, sur l
lique hé-patique. J'ai voulu insister sur ce symptôme, parce que je crois y voir pour ainsi dire le germe de quelques phéno
ser outre, je vais revenir en quelques mots sur ce point, que je ne crois pas avoir suffisamment mis en relief. L'existen
ent comme accolés. Quelques auteurs, Cru-veilhier en particulier, ont cru d'après cela qu'il s'agissait réel-lement d'une d
es qui très souvent — mais non pas exclusivement comme inclinent à le croire quel-ques auteurs (Thudicum, Leared, Henoch) — s'
e, était douloureux. Bientôt apparut une fièvre intermittente qui fit croire à l'existence d'abcès du foie et cessa sous Finfl
s nouvelle colique, d'une série revenant pério-diquement. J'incline à croire , d'ailleurs, que la condition pa- thogénique es
1), Jacks (2) et de Rosen-tein(3). Ces considérations suffisent, je crois , pour mettre en évi-dence, au point de vue sympto
ère des intoxications phosphorées et de certaines cirrhoses. Mais, je crois utile d'insister sur une forme d'angiocholite pri
cer précède-t-il la lithiase ou lui succède-t-il. Il y a tout lieu de croire qu'il se développe secondairement, au moins d'hab
n-cer de la tète du pancréas, l'ictère se verrait 24 fois, si l'on en croit Da Costa. L'ictère, en pareil cas, coexiste souve
e groupe sont, en effet, formées sur le même modèle ou à peu près. Je crois utile, avant d'exposer le cas spécial qui doit no
: Gharcot et Gombault. Archives de physiologie, 18-76. fout porte à croire que, d'abord, c'est l'angiocholite qui s'établit.
théorie capable d'expliquer la production de cet ictère? Il faut, je crois , se reporter à l'examen des lésions des canalicul
ela-tions que présentent ces organes avec le système vasculaire. Je crois opportun maintenant d'entrer dans quelques consi-
ublient des observations où l'on trouve le foie volumineux et où l'on croit découvrir les premiers degrés de la cirrhose vulg
us en plus profonds (foie botryoïde, foie lobé). Quelques auteurs ont cru pouvoir rattacher ces variétés à des différences
dans l'étude histologique des lésions hépa-tiques de la cirrhose, je crois qu'il y a intérêt à étudier tout d'abord les part
rer. Afin d'appeler particulièrement votre attention sur ce point, je crois utile de citeg1 quelques exemples : Dans un cas
s grosses branches de la veine porte. Insister davantage serait, je crois , superflu. Les considéra-tions qui précèdent font
. 17 ou moins prononcée du courant sanguin à travers le foie. Je ne crois pas, toutefois, pouvoir me dispenser d'entrer dan
au des varices, donna lieu à une hémorragie mortelle. 2° Si l'on en croit les auteurs, loin d'être rare, la dilata-tion pat
appey, un à Giacomini (Turin, 1873) ; quatre autres cas, où l'on a pu croire qu'il s'agissait de la veine om-bilicale, peuvent
t s'en faut, d'être tout à fait résolue. Mais, avant de l'aborder, je crois utile d'entrer dans l'exposé des lésions de la tr
dant des expériences relatives à la ligature du canal cholédo-que. Je crois opportun de résumer ce qu'a vu M. Solowieff (2) :
'un simple phé-nomène de concentration des urines? on l'ignore. Je ne crois pas que le dosage ait été régulièrement établi pa
des formes distinctes de la maladie. Avant d'aborder ce chapitre, je crois nécessaire de vous exposer, en premier lieu, les
vant d'entrer définitivement dans le domaine anatomo-pathologique, je crois nécessaire encore de vous exposer quelques donnée
Œuvres complètes, t. vi. Maladies des reins. 20 Il y a tout lieu de croire que les choses se passent essentiel-lement de la
e vue ingénieuse, rmnYdont l'importance dans l'application, a été, je crois , sin-gulièrement exagérée. (1) Consulter sur le
être bien connue ; mais, comme elle vous est sans doute familière, je crois de-voir la conserver. B. Deuxième forme. — Étio
s lésions rénales, généralement rattachées à la maladie de Bright, je crois devoir vous rappeler le point de vue auquel je co
hésitation et en somme il l'a laissée pendante. « J'ai été conduit à croire , dit-il quelque part, qu'il y a plusieurs formes
n examinant les diverses régions qui composent ces lobules et dont je crois inutile de vous rap-peler la disposition normale.
écie. M. G. Johnson, qui le premier a décrit cette altéra-tion, avait cru qu'elle résultait surtout d'une hyperplasie des f
-rielle. Je ne suis pas en mesure de les contredire à ce propos et je crois même que l'exagération de la tension artérielle c
des exceptions, beaucoup moins nombreuses pourtant qui ne semblent le croire quelques auteurs. Ainsi, vous entendrez souvent d
à peu près autant, Bright en avait cité trois pour son compte ; je ne crois pas qu'il en existe un très grand nombre dans les
ivrai pas : mais les faits qu'il expose étant encore peu connus, j'ai cru utile de les relever. E. La dégénération amyloï
x ressortir la disposition de l'altéra-tion amyloïde dans le rein, je crois utile d'étudier l'aspect que présentent des coupe
ent à ce qui a lieu pour l'albumine du sérum, celle du blanc d'oeuf cru , totalement étrangère d'ailleurs à la constitutio
ficiellement produite chez les animaux par l'injection du blanc d'œuf cru . Là encore, on reconnaît que cette sorte d'albumi
exsudat albumineux dans la cavité du glomérule et il y a tout lieu de croire , d'après la relation détaillée des faits, que c'e
redis-sout dans un excès d'acide, après avoir été précipitée, mais il croyait que cette propriété la distinguait de l'albumine
roduire les réac-tions relatives à cette distinction fondamentale, je crois de-voir rappeler dans quelles conditions il faut
ée, elle ne repose pas sur des assises aussi solides qu'on pouvait le croire . Il paraît simple et facile, en effet, de rappo
erg, renversant, dans un travail récent, l'ordre de chose établi, ait cru devoir substituer à la théorie de la pression aug
es glomé-rules sont plus petits et affaissés. De plus, il y a lieu de croire que le reflux veineux se fait difficilement dans
és ou détruits. Telles sont, Messieurs, les considérations que j'ai cru de-voir vous présenter sur les conditions pathogé
54 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
vous imposer ce labeur ? Pourquoi, si certaines gens sont heureux de croire aux miracles, ne pas les laisser dans leur croyan
u gave au fond de la grotte, avec une légèreté sans pareille : a J'ai cru plusieurs fois, écrit « un témoin oculaire, que d
pour nous, Bernadette a dit naïvement ce qu'elle a ressenti : elle a cru voir, elle a cru entendre, ce qui n'était que fau
dette a dit naïvement ce qu'elle a ressenti : elle a cru voir, elle a cru entendre, ce qui n'était que fausses sensations d
r; puis, appuyé sur eux, démontrer le mécanisme psychologique qui fit croire à Bernadette que ses hallucinations étaient réell
utre part ils sont nombreux les écrivains et les journalistes qui ont cru et publié que Bernadette jouait une comédie appri
acée dans un cadre de rocher et de verdure, en un lieu qu'elle devait croire inhabité, fit sur la petite bergère une impressio
pas qu'elle respire et ne voyant pas son thorax se contracter elle ne croit pas respirer et par conséquent elle pense s'étouf
dans le même état que le dormeur qui. ayant dormi trente-six heures, croit , en se réveillant, être seulement au lendemain du
ssement ni de celui de la sœur ou des docteurs, c'est ce qui lui fait croire qu'elle a rêvé : « Si cela était réellement, je m
uise se rappelle le bruit produit par son estomac mais elle a peine à croire à sa réalité : a Si ce bruit était si fort que je
f, si fréquent dans l'art archaïque, du Gorgonéion barbu. On pourrait croire à quelque type mâle, mais ce sont bien les Gorgon
notoriété publique, l'abbé Peyramale, curé de la ville, ne voulut pas croire au miracle et cela à bon escient. Lorsqu'un jour
nde à la Sainte Vierge de faire fleurir le rosier de la Grotte, et je croirai , » il ' (i)Voycz Revue de l'Hypnotisme, n' de j
aurait voulu, et le culte nouveau prendre des proportions inouïes, il crut de son devoir de cesser pour le bien de la religi
lle et à s'abstenir lui-même d'y aller. » Si l'abbé Peyramale avait cru à la divinité de l'apparition, ni les raisons pro
é qu'elle donne l'illusion de la réalité, il arrivera que, Bernadette croira fermement avoir la Sainte Vierge devant les yeux
savoir au juste ce qu'il faut entendre par là. Chez Marie-Louise nous croyons pouvoir arriver à la cause première des accidents
, envisageant cette question d'un point de vue général, nous nous croyons autorisés à dire que l'infection ou l'intoxicatio
itisme une sorte de religion ayant ses fidèles et ses détracteurs, je crois utile de signaler des faits qui tombent sous l'ob
res qui ont des phénomènes moindres, on ne s'en inquiète pas ; on les croit toujours à l'état de veille ; on ne se doute même
lui avait persuadé qu'elle était en présence de la Vierge Marie, elle croyait fermement la voir en réalité : aussi lui faisait-
tte crise d'extase est le nœud de la question, car c'est elle qui fit croire à la foule émerveillée d'un pareil état que la pe
es qui restent constamment « fixés sur l'endroit de la grotte où elle croit voir la Sainte Vierge (a). » On ne saurait mieu
est colorée d'une tâche vineuse. Effrayée de ce spectacle cette femme croit voir une tache semblable sur l'une des joues de l
-Ebing, Van Schrenck-Notzing, Wetterstrand et autres observateurs, je crois que le somnambulisme a toujours été atteint, et j
e dans les autres ports de la côte. A Trouville, les vieux pêcheurs y croient encore, mais l'esprit des jeunes commence à s'éma
qu'ils restent sous Vin- fluence d'une peur angoissante dont ils croient que rien ne pourra les délivrer. La malade de Cha
vait pas d'empêchement de mariage ni autres; puis, il avait promis de croire en un Dieu créateur qui n'est pas mort et ne mour
d'esprit. Le mysticisme est en effet caractérisé par une propension à croire à ce qui est obscur, incompréhensible, à tout ce
nt de ses yeux, immobiles, fixés sur l'endroit « de la grotte où elle croit voir la Sainte Vierge, » écrit le rédacteur du La
ne parole, jamais fait un geste, jamais lancé un regard pouvant faire croire à Mlle V... qu'il avait pour elle quelques sentim
comme Mlle V... paraissait avoir toute sa raison, on était disposé à croire qu'elle disait vrai. Il se forma, parmi les dévot
2e secret ; à la septième apparition, 3e et dernier secret. Il faut croire que ces secrets n'avaient pas grande importance,
r l'effet d'une suggestion intensive de quelque prêtre fanatique, qui croyait ainsi affirmer victorieusement le dogme de l'Imma
ramme assez hardi, dans l'état des mœurs françaises. Or, s'il faut en croire la « Revue internationale de l'enseignement », ce
sions plus haut, le mysticisme, qui porte un grand nombre d'esprits à croire ce qui est pour eux inexplicable, s'est facilemen
probable que si les Visions eussent été réelles, comme tantdegens le croyaient et le croient encore, l'Immaculée-Conception qui
les Visions eussent été réelles, comme tantdegens le croyaient et le croient encore, l'Immaculée-Conception qui ne doit craind
3} peuvent être pris là en flagrant délit de mensonge, car pour faire croire à un miracle, ils prétendent que le fond de la gr
encore prier trois : Gloire au Père, etc. » Alors je lui demandai : « Croyez -vous être délivrée du diable ! o Elle répondit :
sœur de la malade y présenta une hallucination de la vue, lui faisant croire qu'elle voyait distinctement l'araignée qui venai
une rétribution de dix pièces d'argent, à en devenir le prêtre. Il se croyait à l'abri de tout reproche, ayant chez lui un prêt
endre régulièrement, sans diminution de salaire, alors qu'on avait pu croire cet homme à tout jamais incorporé parmi les inval
des simulateurs de mauvaise foi. * * * Le simulateur de bonne foi croit lui-même — et lui seul le croit souvent — aux dou
* * * Le simulateur de bonne foi croit lui-même — et lui seul le croit souvent — aux douleurs qu'il accuse, aux lésions
ne veut pas entendre. — Et il joue ce rôle dans la perfection. II se croit tenu de crier, comme un sourd qu'il croit être, p
e dans la perfection. II se croit tenu de crier, comme un sourd qu'il croit être, pour se faire comprendre; il crie bien plus
reposer tout ceci! Le Malade imaginaire était un malade, puisqu'il croyait très sincèrement être malade ; ce n'en était pas
e d'obsession, la révolte de M. Mullot en présence de quiconque ne le croit pas atteint d'une Incapacité de travail permanent
otions. On lui a fait, en province, des pointes de feu, parce qu'on a cru à une affection de la moelle ; or, la force muscu
fixer sur la toile les anomalies les plus singulières. Si les uns ont cru qu'il serait intéressant pour la postérité de con
esseux. Voyant ses efforts si peu couronnés de succès, le jeune X. se croit , se sent inférieur ; il se décourage, se désespèr
e de celui-ci. Il a suffi de dire que telle chose était pour le faire croire . o On dit d'une personne qu'elle est persuadée
cteurs de maisons de santé. Loin de moi d'ailleurs la pensée de les croire capables de faire un plaidoyer pro domo. Je veux
des mouvements que les malades affectés d'une paralysie hystérique se croient incapables d'exécuter. Ce faisant, il a pour ains
doit faire de la suggestion. Celui-là est un thérapeute incomplet qui croit sa tâche terminée lorsqu'il a posé un diagnostic
ble. Et je m'étonne réellement que certains esprits forts semblent se croire spirituels en tournant en ridicule la médecin
trines auxquelles les travaux du Dr Liébeault ont donné naissance, je crois qu'il a exercé sur le développement de la psychol
'occasion de l'Inauguration du buste du Dr Liébeault, et vous prie de croire que je suis de cœur avec vous dans l'honneur que
re table rase dans son esprit d'une foule d'idées préconçues que l'on croit vraies et que l'on caresse comme siennes; on
ance; Un cri reconnaissant montait de l'avenir. Ses parents avaient cru qu'il deviendrait un prêtre ; Mais Liébeault rega
en même temps son attention sur ses propres émotions. En général, je crois qu'on trouvera que ces deux talents, celui du mim
traitement de la dipso-manie et des intoxications. « Il ne faut pas croire , écrit-il, que par la suggestion on fasse la rééd
t tout ce qu'il a absorbé. Il peut boire du lait et avaler des œufs crus dans de l'eau ; c'est ainsi qu'il se nourrit depu
z pourtant que mon malade est complètement rebelle à ses ordres. On croit et l'on répète communément que le traitement hypn
ujet de l'examen mental des inculpés : « Certains médecins légistes croient avoir rempli suffisamment la mission qui leur a é
a, en outre... (ici le juge d'instruction spécifiera les points qu'il croira devoir signaler plus particulièrement d'après les
oir vivre dangereusement ». Autrement dit, « il faut, « quand on s'en croit les aptitudes et la force, s'exposer à l'erreur «
n'a pas encore obtenu les faveurs officielles du monde médical ; nous croyons avoir contribué pour une assez grande part, à lui
r d'une méthode par le nombre de ceux qui la pratiquent, on aurait pu croire que l'acceptation tacite de l'hypnotisme était ch
démence précoce. » On se demande comment il peut venir à l'idée de croire ce jeune homme, bien développé sous tous les rapp
sa psychothérapie. Est-ce juste ? Nous en doutons profondément. Nous croyons que le médecin ne doit pas plus employer la philo
s contre le déterminisme, MM. Naville et Flournoy, puis les réfute ou croit les réfuter. Or, croire qu'on a détruit les objec
e, MM. Naville et Flournoy, puis les réfute ou croit les réfuter. Or, croire qu'on a détruit les objections faites au détermin
! il. Dubois a été électrothérapeute émérite qui, comme d'autres, a cru aux vertus des courants électriques ; une visite
it la cause lui répondit : « Vous ne réussissez pas parce que vous ne croyez pas à ce que vous faites. » (Corresp. Bl.). Jugea
conviction logique qu'avec la suggestion hypnotique c'est parce qu'il crut de bonne heure à sa méthode. Il peut affirmer qu'
ses raisonnements. La majorité des médecins est toute préparée à le croire et à ?e laisser convaincre par l'exagération de s
é ne peut signifier qu'une chose : ces malades-là sont confiants, ils croient d'avance au succès de l'intervention de M. Dubois
ù la théorie du Mak-Toub (l'écrit). . . Bientôt aussi on arrive à croire que cet esprit se dévoile, se révèle à quelques é
elui-ci (2). Il a suffi de dire que telle chose était pour le faire croire . On dit d'une personne qu'elle est persuadée qu
s à la même chaîne, que leurs effets sont identiques : cependant il a cru devoir appeler la foi de l'hypnotisé aveugle, et
s ce n'est jamais réellement le cas. Le malade est toujours obligé de croire son médecin, d'accepter son diagnostic et de se l
e possèdent pas les éléments scientifiques de la discussion, mais ils croient à ces raisonnements qui leur paraissent raisonnab
oie extra naturelle. AI. Dubois se contente de dire que le public croira toujours à une puissance mystérieuse dans l'hypno
e » puis il écrit que l'hypnotisme augmente la suggestibilité. On l'a cru mais pour ma part je pense que nous n'augmentons
t diminuer. D lui est facile d'affirmer dans ce domaine tout ce qu'il croit mais n'ayant mesuré la suggestibilité de ses mala
at de la santé générale est très bon. Au premier abord, on pourrait croire qu'il s'agit d'un délire de persécution, avec hal
ait par des conceptions bizarres, des romans imaginaires dont elle se croyait l'héroïne, ce qui lui attirait une foule de traca
t peut cesser de même, comme l'élec-vrisation d'un bâton de verre. Je crois que nous pourrons débarrasser cette malade de ses
55 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
froy à propos de faits analogues, est la plus rationnelle et nous croyons devoir nous y rattacher en ce qui concerne non se
téressants de cette observation. Les hallucinations de la vue sont, croyons -nous, assez rares dans les conditions où nous a
lée des hallucinations comme on pourrait parfois être tenté de le croire . La lésion donne seulement naissance à des sensat
nombreux que le supposent les autres investigateurs. Ce même savant croit que nous pouvons quel- quefois observer des con
MM. André et Raymond, actuellement en cours de publication. Nous croyons cependant intéressant de reproduire ici la façon
ofessionnelle à laquelle on lui reproche de s'être soustrait, il ne croit pas y être tenu, car c'est comme publiciste et
collatéraux dont les descendants pourraient ne pas être flattés. Il croit enfin que M. Zola n'est pas l'homme qu'aurait d
crosse et enfin dans l'épispadias ou l'hypospadias. M. CHRISTIAN croit qu'il n'y a anomalie que dans le cas où l'or- g
essayé d'appliquer le système de l'open door dans la Seine. Je ne crois pas qu'il soit désirable de voir se généraliser c
vait, à l'aide de lettres. de dépêches, de visites provoquées, fait croire qu'il était issu d'une illustre famille, qu'il
AUD demande s'il existe réellement, ainsi qu'on voudrait le laisser croire , des asiles sans serrures, ni portes, ni murs.
. Il y a donc quelque intérêt à savoir si réellement, comme je le crois , il y a dans beaucoup de cas un rapport entre la
ilitique est la cause unique et directe de tout le tabes ? Je ne le crois pas. 1 Al. locom. et lés. caml. Contrib. « l'él
signés dans les lignes qui précèdent aux tissus de sclérose ». Je crois qu'il y a de l'exagération dans cette manière de
ue la discorde scienti- fique n'est qu'apparente. J'avoue que je la croyais plus profonde, et entre médecins d'autorité cli
ont élevées, au point de vue ana- tomopathologique celles (que nous croyions nettement con- tradictoires à certains points d
lgré sa longue durée et le jeune âge du début de la maladie. Nous croyons qu'il est plus rationnel d'admettre que l'améli
tiquer l'avorte- ment ; l'avortement tardant à se produire, on fera croire à la malade qu'elle est débarrassée de son germ
e en si peu de temps débiliter à ce point un malade. Nous faisons croire à Mme X... que le germe suivait la sonde; quelq
t peut prendre 1 litre de bouillon. Elle demandait du porc que nous croyons prudent de lui refuser. Tous les jours la situa
e se seraient pas passées d'une façon identique. Tout me porte à le croire , car la- maladie des deux femmes revêtait une f
'auteur considère l'inversion comme une anomalie congénitale, il ne croit pas qu'il faille aller jusqu'à la faire rentrer d
et répulsion. Mais là se rencontre un échec : il faut se garder de croire trop vite à une guérison hâtive, et de donner t
ai dura plusieurs semaines le malade s'en trouvant bien, le médecin crut pouvoir remplacer complètement la morphine par
souvent par des illusions ou des hallucinations de la vue qui font croire au malade qu'il est possédé par des diables : d
en formation, plus de 5 000 membres composent la ligue qui s'ac- croit tous les jours. Le journal mensuel l'Alcool pour
au lit du malade. Avant d'entrer dans le détail des résultats, nous croyons utile de dire brièvement, de quelle façon nous
ents dont notre mémoire inaugural a donné l'exposé détaillé. Nous croyons qu'il est permis de distinguer dans le cordon p
is pour les parties centrales de certains nerfs volumineux ; nous croyons plutôt à un état moléculaire spécial de la myé-
le colorant électif du cylindre-axe restera inconnu, on ne pourra, croyons -nous, être renseigné *sur son état dans le tabe
uer ces résultats par l'insuffisance de la technique ? Nous ne le croyons pas. Sans doute, une technique très délicate est
ononcée, puisse leur échapper. Toutes ces raisons nous empêchent de croire à une lésion importante des cellules du ganglio
om de la Commission de la Chambre, il y a une lacune encore 1 Et, croyons -nous, Itenaudin, Auzony, Bartome, Follet, llorel,
tori- taire qui exige l'observation stricte du règlement ; celui-ci croit nécessaire telle réforme~ou telle acquisition d
re quelqu'un et d'imprimer à son service médical la direction qu'il croit la bonne que d'adopter des dispositions qui, lu
us l'argent employé à secourir cette infortune. Ils demanderont, je crois , plus sou- vent la réunion que la disjonction.
oit. Or, ces individus, fiers de leurs protecteurs sur lesquels ils croient pouvoir compter, sont presque toujours d'une ar
ans la peau des gens influents à qui ils doivent leur nomination et croient qu'étant leur créature ils ont droit aux mêmes
ussi indispensables en chirurgie. L'erreur de mon savant ami est de croire que pour les acquérir il faille courir la clien
après-midi encore plus complètement qu'il ne les a vus le matin. Je crois à la nécessité non seulement d'une longue visit
ons vivre. » Le mieux connu de ces poisons est l'acide urique. On a cru longtemps qu'il résultait du travail muscu- lai
être réservé quand on porte le diagnostic : hystérie, et éviter de croire et de laisser croire que l'hystérie est seule e
n porte le diagnostic : hystérie, et éviter de croire et de laisser croire que l'hystérie est seule en jeu. Souvent en effet
raison de la rapidité d'apparition de la para- lysie il y a lieu de croire qu'il s'agit d'un processus aigu, tel qu'une in
ieuse des racines et fibres d'après le tableau de Féré, M. Schuster croit à la destruction des o<= et 6° racines cervi
ettant de l'affirmer. En dehors de ces considérations générales, je crois que de l'étude des faits l'on peut déduire quel
nir aujourd'hui de nouvelles preuves à l'appui de cette théorie, je crois que la para-' lysie générale est une maladie po
nce. M. DouTREBGNTE (de Blois). - D'après M. Garnier, on pourrait croire que la démence est un signe de début de la paraly
, quelquefois même après une ou plusieurs rémissions ayant pu faire croire à une guérison complète. M. PETRUCCI (d'Angers)
loir nier la fréquence de l'hystérie chez l'en- fanl ; cependant je crois qu'il serait dangereux, actuellement, de vouloi
ystérie, et c'est là le point de pratique sur lequel il convient je crois d'appeler l'attention des médecins, parce que l
ine avec celui des hystériques. Aujourd'hui je vais plus loin et je crois que l'incontinence d'urine est une manifestation
elle échoue, son action se fait sentir d'une façon indubitable. Je crois donc être en droit d'affirmer que l'incontinenc
ues que M. Bézy a rattachés à l'hystérie infanlile, il convient, je crois , de grouper certains troubles circulatoires et
morphologie si spéciale de ces accidents survenus spontanément, je crois être autorisé à les rattacher à la diathèse hys
points de détails. M. Brunet (d'Evreux), partisan de la réforme, croit qu'elle ne devrait pas être appliquée, du moins
de confier la direction des asiles aux méde- cins. Toutefois il ne croit pas que la mesure soil réalisable dans les gran
l'a montré tel qu'il devait être au moment du meurtre. M. Vallon croit aussi qu'il faut non seulement remonter dans les
on de boissons particulièrement toxiques, nous dit M. Magnan. Je le crois aussi ; mais le rapport de M. Guilbert ne nous
. Où le baron Mundy a échoué, M. Marandon réussira-t-il ? Si j'ai cru devoir rappeler à notre excellent collègue qu'il
ester ouverte, on admire même qu'il n'y ait pas de portier ! J'ai cru jusqu'à ce jour et je crois encore qu'une maison
ême qu'il n'y ait pas de portier ! J'ai cru jusqu'à ce jour et je crois encore qu'une maison sans portier est une maiso
e que 250 malades. Pour ce qui est du dédoublement des services, je crois que c'est possible, bien qu'il soit préférable
ndre, car nous partons de deux points différents. M. Colin - semble croire que tous les aliénés sont curables. Je crois au c
ts. M. Colin - semble croire que tous les aliénés sont curables. Je crois au con- traire que la grande majorité est incur
Christian, indique une évolu- tion dans les esprits qui mérite, je crois , d'être notée. On n'a pas entendu sans quelque
on enferme parce qu'ils font des fugues, et les persé- cutés qui se croient lésés dans leurs droits et qu'on empêchait de s
de lutter. . « Les directeurs, n'ont pas la responsabilité que l'on croit généralement; ils ne peuvent être, en effet, re
ds dieux ! si nous perdions cette tutelle, si les familles allaient croire que l'idée de malade évoque tout naturelle- men
gnature du médecin. Mais cela, monsieur le directeur, s'appelle, je crois , un faux en écriture. ' - Le secret des lettr
convulsions épilepti- formes, etc., et il s'étonne que l'on ait pu croire si longtemps que les paralysés généraux succomb
orité par marasme. Je m'étonne à mon tour que M. Arnaud puisse se croire fondé à contredire une opinion, qu'il déclare gén
'y avait pas d'hésitation, ce n'était certes pas le croup, comme le croyait la mère pas de fièvre, pas d'angine, pas de dys
e n'a pas su me dire s'il aurait pu écrire, cal- culer ; elle ne le croit pas, car son intelligence s'étaitsubitement obs-
us dit la mère, quelques sangsues. Pourquoi ? On avait, sans doute, cru à une lésion organique,, et c'était de l'hystérie
ière et de sa seconde méningite, » disent-ils. Je déclare que je ne crois pas, pour le moment, à de la méningite, que ces
u délire, fièvre dissociée, raie méningitique. Pourquoi n'ai-je pas cru , tout d'abord, à la'ivraie méningite ? La soudain
ique : les diplégies cérébrales infantiles, sans que cet auteur ait cru devoir tenir compte ni des causes éliologiques
origine cérébrale comme le font Marie et Brissaud, M. Van Gehuchten croit devoir leur reconnaître une origine spinale : c
la paralysie générale d'origine nettement syphilitique. M. Régis croit qu'il faut toujours attribuer à une cause hérédo
alysie générale juvénile. Les cas sont plus fré- quents qu'on ne le croit jusqu'ici ; il en a été observé 22 en France et
t lentement et ne donnant de symptômes qu'à un degré avancé. Ils ne croient pas qu'on puisse englober dans une même descrip
ogie est celle de toutes les folies infectieuses, à tel point qu'on croirait d'abord qu'il s'agit d'alcoolisme. J'ai observé s
en constata encore une au côté droit du cou. Ces enllures, que l'on croyait d'abord n'être que des lipomes, furent bientôt
l'alcool est plus concentré, c'est la suppression des bouilleurs de cru , la réglementation des débits de boissons enfin
d Larousse, âgé de cinquante-deux ans, 366 faits DIVERS. · qui se croyait être dans sa ville natale, où il a habite véritab
ontinuent toujours à y paraître et y font la même impression. On ne crut pas devoir alors traiter fort sérieuse- ment ce
n ancien malade. « Son affection ne s'est pas reproduite, mais je crois bien que son urine s'est changée en sueurs, car n
de l'oedème de la jambe avec douleur vive le long du tibia; j'avais cru à de l'ostéite lorsque, à mon grand étonnement, o
? Non. Les réserves de la fin l'indiquent. Cependant je n'avais pas cru devoir omettre dans la description de la vie pa
EUSE. vaincre, bien qu'il m'en coûte encore; je vais être obligé de croire que les phénomènes de vision à distance existen
et un médecin très sceptique sur cette matière, qui ne voudrait pas croire ce qu'il ne comprend pas. C'est dire le soin, l
manifesta- tions disparaissant pour toujours, on est porté alors à croire que l'hystérie infantile est beaucoup plus aisé
opinion, des faits cliniques, rapportés sans aucune omission; 7° il croit avoir montré que les avantages retirés par les
permanent serait un facteur possible des résultais obtenus; 10° il croit , après les arguments qu'il a apportés, pouvoir
oche de «cécité mentale » que lui adresse le Dr Peterson; 11° il se croit en mesure de prouver par les faits rapportés qu
r ne l'avait annoncé, ou même espéré pour les épileptiques ; 14° il croit avoir démontré que la fatigue oculaire peut exi
récipité par la fenêtre; si elle entendait sonner les cloches, elle croyait qu'on allait lui annoncer un deuil. Et cependan
- tisée et l'obsession, il n'y a pa, à notre avis, si loin qu'on le croit généralement. 11 y asi peu loin qu'en consultan
éscèdent, et s'ils cèdent souvent à leurs impul- sions. 1 Nous ne croyons pas; pour notre part, que, d'une façon générale,
es résistances de sa volonté. se laisser finalement entraîner, nous croyons que d'habitude il n'en est pas aiusi, et que, s
s l'intensité plutôt que dans la qualité de l'injure produite. Nous croyons donc que la séparation des lésions dégénérative
ant était-ce une névrite, une myélite, ou les deux à la fois ? Nous croyons , et la marche de la maladie nous y autorise, qu
on directe du coeur qui cause son accélération, et on est conduit à croire que c'est le centre des nerfs accélérateurs dan
trograde puisse se propager d'un neurone au neurone suivant. Nous croyons cependant que, comme celles que nous avons publ
n n'est jamais sûr de la chose qui est toujours fort ancienne. Je crois même qu'on fera bien d'instituer le traitement, t
édicament n'a « jamais donné de résultat marqué » à André, Lépine a cru au contraire en « obtenir parfois quelques ré-
tomatologie du tabes une place beaucoup plus importante qu'on ne le croit et qu'on ne le dit généralement. .Le premier et
alcalinité du sang et le phéno- mène convulsif. Et nous nous sommes crus autorisés à tenter de modifier cet état par une
sensorielles, prend le directeur .pour le médecin de son pays et croit reconnaître des personnes de son entourage parmi
cerne les faits qui ont motivé la séquestration d'office; la malade croit avoir vécu comme dans un rêve. Rappelons qu'une
femme acromégalique est par elle-même un fait digne d'être noté et, croyons -nous, sans précédent. MÉLANCOLIE ET GOITRE EXOP
e physique, soit au point de vue psy- chique. En somme, nous nous croyons en droit de dire : 3° Le syndrome maladie de Ba
vec une femme ; celle-ci lui apparait nue, inconvenante, et elle se croit au même moment vue dans le même état par sa vis
oignent de l'action exercée par la névrose sur le psûchê. Oppenheim croit , dans l'espèce, à l'intensité intellectuelle, m
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 507 l'oreille. Il faut, conséquemment, croire à une lésion du labyrinthe ou de la base du crâ
moment la Grande-Bretagne seule fait peut- être exception, mais on croit que son isolement du concert euro- péen des nat
pas de celle universellement acceptée de tous les praticiens, nous croyons utile d'entrer plus loin dans ce détail. Chacun
ra être vaincu par la réalisation de l'idée que nous poursuivons. Croire que les centres ou territoires de l'écorce cérébr
. le D1' GALE (G.) (de Binasio). - Une malade atteinte d'hys- térie croyait que sa mutité intermittente était le résultat de
ainsi guéri d'un tel mal comme celui-là... » 542 ' varia. - Nous croyons pouvoir rapprocher de ce cas, celui d'un de nos
56 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sibilité et spécialement du sens musculaire chez les ataxiques ? Je crois que le malade de la salle Fouquet va nous perme
par tous les temps et tous les jours depuis cinq ans. Et bien, je crois qu'il y a là une cause dont il faut tenir eompt
aits, la nature se plaît à se contredire, et les symptômes que l'on croyait les mieux propres à différencier telle affectio
gie ou le diagnostic de l'affection. Groupés ensemble, ils donnent, croyons -nous, une idée générale, suffisamment com- plèt
ée, par exemple, si ses patrons lui font une observation qu'elle ne croit pas mériter. Dans ces cir- constances le tic s'
pinions de concevoir la qualité du mouvement chez les tiqueux, nous croyons la première plus conforme à la 3rénérallté des fa
de la pensée qui sont si peu accusés chez la malade, que nous avons cru devoir les passer sous silence. Il lui arrive b
stérie; de toutes les 'particularités qui le démontrent et que nous croyons inutile de rappeler ici, la suivante nous parai
1892. 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. la crise ? L'on serait tenté de le croire , si l'on réfléchit que plu- sieurs de ces troub
ces qui démontrent dans nos malades l'existence d'un état mental, croyons -nous, très caractéristique et qui confirme de tou
on et sur son diagnostic. Pour ce qui est de l'interprétation, nous croyons que celle qui a été donnée par M. Charcot est t
maladie a démontré com- bien notre conviction était légitime ; nous croyons pourtant très utile de discuter sur quels signe
ant à connaître pour nous expliquer l'étiologie de la maladie, nous croyons devoir insister sur ce point. Le 9 août, B...
lieu pour le moment à aucun phénomène douloureux. Mais B..., qui se croit faible et malade à l'épine dorsale, y réfléchit
l se lève en bonne santé, toujours préoccupé par l'imprudence qu'il croyait avoir com- mise le jour avant; finalement, l'id
miner complètement l'état mental de B... Quoi qu'il en soit, nous croyons avoir bien démontré qu'il s'agit ici d'une para
sque, par l'apparence et par l'attitude du malade, l'on pourrait se croire autorisé à l'établir au premier coup d'oeil.
ire en dehors des paroxysmes est-elle normale ? Nous inclinons à le croire avec MM. Deny et Choupe (cas de Vilm...), au mo
t par centaines qu'on y trouve les guérisons de paralysies, mais je crois que celles-ci ont toujours été de la nature de
disparaître dans cer- tains cas des ulcères et des tumeurs, mais je crois aussi que 1 Illustrations of the influence of t
endemains font évanouir à la lumière de ses nouvelles conquêtes. Je crois que son évo- lution n'est pas restée en arrière
-healing, qui prend sa source dans les eaux de la piscine sacrée. Croit -on que ce soient là des faits nouveaux ? De tout
a guérison de l'élément paralysie ou contracture 1. En résumé, je crois que, pour qu'elle trouve à s'exercer, il faut à
re que les troubles psychiques s'étaient accentués. Ils inclinent à croire que dans ce cas les modifications de la toxicit
générescence de la bandelette optique et du nerf optique. M.Kreuser croit que les trousseaux atrophiés de la couronne rayon
- tions, a engendré plusieurs travaux sur le délire chronique. Je crois assez volontiers que les persécutés, ainsi que ce
chronique. D'autres aperçus n'ont pas été suffisamment étudiés. Je crois , pour ma part, que la maladie remonte beaucoup pl
pour ma part, que la maladie remonte beaucoup plus loin qu'on ne le croit . Souvent elle débute dans l'enfance. Dès l'école
ns le délire chronique. On pense gé- néralement que les auteurs qui croient l'avoir observée ont pris des illusions de la v
générés, celui des alcooliques et enfin celui des mélancoliques. Je crois qu'une seconde discussion serait aussi fertile
d'une façon spéciale. 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. Au premier abord, on croit avoir affaire à des idées de persécution, assez
superficiel) du lobe occipital empiétant sur le lobe temporal; il y croirait plutôt qu'à un foyer du centre ovale partant du
qu'il faut demander si réelle- ment la dure-mère joue, comme je le crois moi-même, un rôle dans les symptômes cliniques
avec l'analgésie à la piqûre. Discussion : Le professeur Korsakow croit que l'auteur en em- ployant le mot 4 psychoneur
n dernière; quand même il s'agirait ici d'une maladie de Pott il ne croit pas que cela constituerait une contre-indicatio
paralysie de Landry comme une forme de la rage paralytique qu'on ne croyait propre qu'aux animaux, chez l'homme. SOCIÉTÉS
ant' en vue l'autopsie de Schulze et M. le pro- fesseur KOJEVNIKOFF croient plutôt à une lésion du noyau de l'hy- poglosse.
deve- naient perverses après les injections de l'atropine. L'auteur croit que ce mode combiné aidera à éclairer les reche
épileptiques ne sont pas rares chez les car- diaques. M. W. BUTZKE croit plutôt qu'il s'agissait ici de simples accident
ée de 'l'excitabilité électrique des nerfs et des muscles. L'auteur croit expliquer ces troubles nerveux par l'excitation
de 5 centi- mètres au mollet) ( ? 15 et 1G). Il est impossible de croire que ce soit là une mal- formation originelle. L
sont loin d'être rares. En est-il ainsi chez notre malade. Je ne le crois pas. Quoi qu'il en soit une autre question se p
t de traits qui, au premier abord, pour- raient en imposer et faire croire à une amyotrophie d'origine spinale. Ce sont là
oit peu, il tient des propos extravagants- : propos de grandeur, se croit très intelligent, grand lettré. Une tante a des
musculaire ne peut plus bouger quand elle a les yeux fermés; elle croit exécuter les mouvements commandés, et cependant
e mouvement s'arrête, le membre reste où il est, bien que la malade croie continuer à le mouvoir; elle est en- suite éton
des vaisseaux oblitérés, opinion que lui-même ne partage pas. Il croit qu'il s'agit de corpuscules à structure alvéolair
nte : L'étude histologique que nous avons poursuivie nous porte à croire que ces formations représentent des tubes nerveux
mées d'instruments SERVICE OTOLOGIQUE 9-il spéciaux. Pour moi, je crois devoir à l'emploi de ces soins et de ces moyens
donne- ments redoubler. Phénomène remarquable, leur surdité s'ac- croit en même temps ; et la courbe de l'acuité auditive
e extérieur est beau- coup plus favorable pour nous que ce que nous croyons qu'il est, que nos haines et nos frayeurs sont
. Cette hypothèse a été combattue par M. Ladame qui tend plutôt à croire qu'il s'agit là d'une psycho-névrose développée s
890.) De l'ensemble des faits consignés dans ce travail, l'auteur a cru pouvoir dégager les conclusions suivantes : 1°
MIQUES; par H. SÉN : 1TOR. (Neurolog. Centralbl., 1892.) L'auteur croit qu'il faut rattacher ces accidents à une affectio
, l'arrêt de développement du cerveau. M. le D'' Broome dit qu'il croyait que l'opération n'aurait jamais de succès tant
: c Actuellement il n'y avait rien à faire dans ces cas, mais qu'il croyait que l'époque n'était pas bien éloignée où l'on
grand morceau d'os; mais l'enfant mourut de pyrexie, que M. Horsley croit être due à la trop grande extension de l'opérat
erbales en clinique mentale. Il montre que contrairement à ce qu'on croyait jusqu'ici, il fallait admettre des obsessions h
insiste sur la différence symptomatique, plus apparente que réelle, croyons -nous, de ces deux formes. La contracture vul- g
fait qu'après l'accouchement; mais, en l'état actuel des choses, il croit qu'il n'y a qu'à laisser l'enquête poursuivre son
it odieux encore, s'est passé à Genneviliers. Un jeune homme, qu'on croit être le neveu d'une blanchisseuse de la localit
s, les unes par suite d'affaires d'amour, les autres, à ce que l'on croit , dans un état de démence momentanée causée par
rras. C'est pour cela et pour bien d'autres méfaits que la police a cru utile de lui demander quelques renseignements sur
us- qu'à un certain point chez ce jeune garçon, et il y a lieu de croire qu'elles ont eu un rôle. C'est même à elles, pres
mi- nution considérable, nous ont donné des détails permettant de croire à une réelle altération osseuse de cette portion
e à tous les cas, et, d'autre part, le mot toucher pourrait laisser croire à tort qu'il s'agit d'un trouble du sens du tou
ent Nash. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) L'auteur a cru devoir publier cette observation moins à cause de
une femme dont le délire s'est systématisé très rapidement. Elle se croit possédée du démon, ce qui constitue une forme r
n'est pas le nombre d'ob- servations qui importe, mais surtout, je crois , la qualité, la richesse en détails importants
Ces vérités, nous les avons dites du vivant de M. Bail ; nous avons cru utile de les rappeler. Puissent-elles servir d'
pêche en aucune façon la maladie d'évoluer. Et si, comme nous le croyons , la suggestion, dirigée un peu à la légère, comme
convénients que d'avantages et qu'il peut être dangereux de laisser croire , même aux médecins, que sa pratique peut être c
directeur de la retraite. C'est à cette occasion que M. Hack Tuke a cru devoir retracer l'histoire de cet asile, en insis
ies en argent. / M. Mercier ajoute d'ailleurs que cette idée, qu'il croyait neuve, lorsqu'il a annoncé son intention de la
il n'y a plus beaucoup d'accord entre les différents auteurs qui croient cependant parler de la même question. Sans doute,
e. C'est ce qu'ont pensé quelques auteurs contemporains ; ils ont cru que le moment était venu de s'arrêter un peu dans
Ces tentatives ne nous sem- blent pas entièrement blâmables et nous croyons être utile en résument les travaux qui ont été
ette conception et à l'appliquer à l'hystérie tout entière, ce fut, croyons -nous, le rôle de M. Moe- bius. Cet auteur rend
de la façon la plus courtoise aux travaux de M. Charcot; il les a, croyons -nous, complétés d'une façon intéressante. « Une
ent plus fréquentes et plus importantes dans l'hystérie qu'on ne le croit généralement, elles forment des attaques spécia
réussissaient également à ter- miner ou à modifier l'autre 1. Nous croyons avoir ajouté quelques notions à cette étude fai
ges, des lettres correspondantes à des idées, à des souvenirs qu'il croyait sincèrement ne pas posséder et qui lui apparaît
ystérie ne joue pas un rôle beaucoup plus considérable qu'on ne l'a cru jusqu'à ce jour dans la pathogénie des tremblemen
les lèvres pincées, les sillons naso-géniens en partie effacés, on croirait voir un masque où serait peint l'étonne- ment (
rticulièrement au niveau des pau- pières et de l'orifice buccal. On croirait , dit-il que quelqu'un me tire les paupières par
ploi des moyens de coercition, et d'autre part quelques aliénistes croient ces moyens non seulement recommandables, mais néc
er dans l'esprit public la valeur de l'influence morale, en faisant croire que l'ivrognerie peut céder à la thérapeutique.
ait aucun signe de dégénérescence, aucun antécédent héréditaire. Il croit pouvoir rattacher son état pathologique à un af
s scientifiques du Mental Science, MM. Hack Tuke et Geo. Savage ont cru devoir dégager, dans une note, leur responsabil
ce moyen reste entre les mains de l'homme de l'art. M. Robertson ne croit pas qu'on ait relaté un seul cas où l'hypnotisa
s auteurs dans les premiers stades des névrites. Les rapporteurs se croient en droit de réunir tous ces complexes de symptô
moelle épinière consécutives aux affections périphériqueslesauteurs croient que, dans les arthrites, les phlegmons et les sta
iennent des- tructives. Discussion. M. le professeur Iioaevrrmor. croit que beaucoup de symptômes qu'on pourrait consid
rique qui ne sont pas de nature spinale, comme on serait porté à le croire d'après la théorie des rapporteurs, mais qui se
er. Cetle pensée est l'amour qu'il éprouve pour une jeune fille; il croit qu'il a sur elle un droit légi- time et légal,
nt sociétés savantes. 477 sous le nom adopté par SANDER et qu'ils croient correspondre à cette appellation, ne puissent p
te spéciale. Et c'est justement parce qu'il s'observe que le malade croit souvent que ses pensées sont connues des person
forme pas un fais- ceau compact sur tout leur parcours, comme on le croyait géné- ralement jusqu'ici, mais qu'elle se parta
te antérieure du coin. En se fondant sur ses observatious, l'auteur croit pouvoir avec quelque probabilité déterminer plu
57 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
re attention et ne les présentent plus quand ils sont distraits. On croit les prendre en dé- faut, quand ils ne pensent p
s du mouvement pourront être déterminés par sug- gestion. Mais nous croyons que ce n'est pas la formation naturelle de ces
es contractures ne font pas des mouvements aussi puissants qu'on le croit . D'ailleurs ces phénomènes sont presque toujour
èce de perception. » Et plus loin : « J'ai beaucoup de raisons pour croire que cette surdité ne doit pas être réelle... il
ition rapide et cette conservation des phénomènes nous empêchent de croire à un épuisement localisé. L'épuisement généra
volontaire. L'abou- lie, l'aprosexie, l'hésitation, le doute, nous croyons devoir y in- sister, sont les caractères psycho
vait d'une manière vague sous le nom de faiblesse irritable. Nous croyons que l'on peut aller plus loin et que les stig-
eaucoup moins avancée et même beaucoup moins vraisem- blable : nous croyons pouvoir les ranger dans trois catégories princi
expliquer le détail des faits, mais nous en soupçonnons assez pour croire que cette étude expliquera plus tard bien des m
nérale de l'hystérie. S'il reste des phénomènes inexpliqués et nous croyons qu'il en reste, il faut, pour les comprendre, s
re de personnes. Nous constatons ce mouvement d'exten- sion et nous croyons qu'il continuera encore et que nombre ' : \roei
insiste à plusieurs reprises', il ajoute même une remarque que nous croyons importante, c'est que, même chez les hystérique
n phéno- mène qui se. développe chez les hystériques. , Mais nous croyons que, l'on, peut, aujourd'hui aller un peu plus
beaucoup de maladies mentales' ? Mais, quoi qu'il en soit, nous ne croyons pas que l'on puisse retirer ce caractère de la
ler les maladies de désagrégation mentale. « Nous sommes disposés à croire , disions-nous autrefois, que les phénomènes d'a
ments malgré elle sans aucune intention, ni pensée de sa part; on croit en la voyant et elle croit elle-même- qu'il s'agi
cune intention, ni pensée de sa part; on croit en la voyant et elle croit elle-même- qu'il s'agit d'un trouble de la dégl
le hystérique est fortement contestée par M. Charcot et même, si on croit ceux qui en sont partisans, c'est un phénomène
nstruction du cerveau des caractères cliniques des paralysies. Nous croyons à un parallélisme parfait entre ces deux séries
ysies corticales celle de la main est la plus complète, cela vient, croyons -nous, du fait, que la relation croisée entre l'
ien sûr que beaucoup de ceux qui lisent les oeuvres de M. CrrARCOT, croient que la lésion dynamique est bien une lésion, ma
e fugace que dans le cas d'anémie permanente et définitive. Je ne crois pas que ces remarques soient tout à fait gra- t
na- mique de même manière que la lésion organique, on est porté à croire que sous l'expression « lésion dynamique » se cac
itaine de vaisseau, escomptent la conduite de leurs sem- blables et croient la prévoir. Quelles sont donc les lois des acti
ns y être sollicité, il donna sa démission. « C'est une illusion de croire , nous écrivait-il alors, que je puisse m'éterni
r au moins doublé. Des 41.000 imbéciles ainsi reconnus, 18,456 ont, croyons -nous, au-dessous de vingt ans; en d'autres term
e toucher presque. En un mot, il existe des endroits nombreux où on croirait avoir affaire à un gliome vrai, tel qu'on en re
e petites papilles en forme de massue. A un faible grossissement on croirait voir une cavité étoilée tapissée d'un épithéliu
l me reste maintenant à décrire une formation très curieuse qui, je crois , n'a pas été encore observée dans la moelle; je
racines pos- térieures de la moelle (fig. 11), et j'ai tout lieu de croire qu'ils sont tous formés par la prolifération de
La valeur de ce symptôme n'est donc pas aussi grande qu'on l'avait cru tout d'abord. Au point de vue physiologique, il
hiefferdecker met en doute l'exactitude des expériences de ceux qui croient à la possibilité de la restauration de la moell
st cette con- tracture qui fait errer le diagnostic, parce que j'ai cru devoir faire intervenir ? pour' l'expliquer, un
dans le cas actuel cadre très bien avec cette particularité. Je ne crois pas,,pour ma part, que la, syringomyélie soit d
un certain nombre de syringomyélies, montrent très -'clairement, je crois , l'origine conjonctive de ces cavités et les ra
. tiers, ppstérieurde la circonvolution, du corps calleux. L auteur croit probable que la partie postérieure, de la circo
tisme déformant' est l'affection à laquelle on doit le plus souvent croire .. Dans da 'description des affections syphiliti
dans ce^crâne'et'd'en enlever une portion petite, de sorte que 'je crois que le terme craniotomie linéaireiest de beaucoup
a mortalité qui a3suivi l'opéra- tion ainsi- poussée loin,' je' ne' crois pas qu'il'y,f ait justification à faire une opé
ne opération aussi étendue. ? i f, j'/ 1 n, , 1.' . 1 j ',1 Hors]ey croit que,' 1 à" cause, du 'développement imparfait du
, vous dites, 5 sont'morts : » Avec les' méthodes .d'éducation, je' crois *'que';vous en trouverez'un'plus grand nombre qu
' ¡(1111 Il lep f, '.vtr.y Observation I. Délire fixe, le malade se croit Dieu; idées délirantes subordonnées variant à l
changerrié : Ilt complet' des allégations' qui varient.' Le' délire croit au maximum" et1 les' idées déli- rantes, surtou
s'accroît, quand '}..ne ! change-pas de.sujet ! : tel individu qui se croyait comte devient em- perèur ? et,aloi's,·71e§ déta
inée subsistant, les détails changent : tel individu ne cesse de.se croire ^empoisonné mais il accuse tantôt telle,personn
ient(aussi, ceux des petitsteufauts. Quelques-uns de ces malades se croyaient , aussi redevenus de, petits enfants ; les hypoc
wôrth, après avoir rapporté un cas similaire, dit : « J'in- cline à croire que la synostose prématurée est, en général, la c
l'administration de l'asile; - Visite des Sables-d'O- lonne. Nous croyons devoir rappeler à nos confrères des asiles que la
doive être accepté que sous une certaine réserve, il est permis de croire que des malades dans cette condition peu- vent
ager les formes frustes, rudimentaires, mal dessinées. Nous avons cru utile de rappeler la méthode pru- dente, tout à
xpression assez forte pour recom- mander ce remède, et cependant je crois devoir faire les plus grandes réserves sur son
, mais même pour beaucoup, durant deux, trois et quatre mois. Je ne crois pas que jusqu'ici la duboisine ait été l'objet
s étaient ou venaient d'être médicamentés par la duboisine. Je ne crois pas qu'elle y ait été pour quelque chose, car, da
a l'utilité de conférences populaires sur de tels sujets ? Nous les croyons utiles, pratiques et il est facile aux mem- bre
ment le patronage à l'organisation de la protection de l'enfance, croit que celle-ci végète et aurait même échoué en plus
sse ; il poursuit maintenant le notaire à la mort duquel il ne peut croire et vagabonde ainsi de longues années à travers la
ées très justement gliomes new'o- (ol'mati(s ou neurogliomes, et je crois devoir en rapporter l'histoire en détail, à cause
édicale des hôpitaux, j'ai montré l'existence de cette lésion, j'ai cru devoir la rattacher à la compression et j'ai in
NEURO-FORMATIF. 295 · 'Il/ -, 1. mité de cette interprétation. Je crois donc pouvoir admettre que la compression agit e
en exhalaient infectaient les salles de réunion et les dortoirs. On crut même s'apercevoir que les infiltrations mena- ç
de bon Dieu ! » Et le dialogue entre la malade et le diable qu'elle croyait en elle continuait ainsi des heures entières, ave
e l'excitation ou la dé- pression mentale; 6° il y a des raisons de croire que certaines pto- maïues, nées dans l'organism
sa vie, écrit Matthieu Paris en 1571,.il il fait une maladie qu'on croirait incurable : il est comme ravi, en extase; mais,
e que les plus anciens sont aussi les plus frappants, aussi peut-on croire à bon droit que ce sont là, non des composition
n examen microscopique de la protubérance et du bulbe, nous avons cru devoir rapporter le nôtre en détail. Il offre les
reurs de diagnostic auxquelles ils peuvent donner lieu, légitiment, croyons -nous, la place que nous leur donnons dans cette
cette sorte de sclérose en plaques d'ori- gine cérébelleuse. Nous croyons inutile de résumer sous forme de conclusions le
ncore furent abandonnés par lui à la sévérité des magistrats. Il ne croyait pas à l'annulation com- plète de la volonté en
dans les réunions publiques la poursuite des revendi- cations qu'il croit justes. Les images optiques et la mémoire visuell
é de la vie et a fait une toute récente tentative de suicide. Il se croit coupable de méfaits importants, mais dont il ne
le hasard d'un geste sans but ou pour montrer des « organes qu'ils croient en ors ». N'y a-t-il pas pas plus d'intérêt aussi
nisme de l'euphorie (le malade se S90 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE croit bien portant parce qu'il est en démence), du méca
pyramidal. Après une étude critique approfondie, l'auteur tend à croire à l'existence d'une myélo-méningite diffuse primi
à l'existence d'une myélo-méningite diffuse primitive, ou plutôt il croit que l'ensemble symptomatique a été l'effet simul-
même en lui donnant raison, et en supposant le chiffre exagéré, il croit qu'il faut néanmoins admettre une augmentation
si, en particulier, la suggestion peut agir sur la maladie donnée,- croit que l'emploi de violence, comme méthode à suivr
uits. Elle nie sa propre existence et celle de ses parents, elle se croit immortelle; finale- ment elle s'imagine être un
orée peut être combinée avec de la paralysie hystérique. M. Minor croit avec Gowers qu'il est plus pratique, de considére
ière leçon de physiologie ( ? ). -Grâce à cette école, tout porte à croire que les médecins neurologiques verront d'ici pe
ses idées de persécu- tion, et pour lui, les poursuites dont il se croit l'objet trouvent leur raison d'être dans son in
persécutions que lui infligent les habitants de son quartier qui la croient de la police. Interrogée sur l'origine de ces p
es de pénitence ; c'est une torture, dit-elle. » D'ailleurs, elle croit ne pas être la seule à souffrir.- Celles qui ont
s'y laissent prendre, » et elle ajoute : c Je les plains. » Elle ne croit pas que ses souffrances soient une punition pour
s d'avoir une teinte assez spéciale. ' r Au premier abord 2 on peut croire que l'on a affaire à de simples idées de perséc
, d'observation fréquente autrefois. » Cette remarque peut trouver, croyons -nous, un appui dans le fait que nous venons de
ent de ces troubles hystériques qui, en améliorant le sujet, a fait croire à l'action bienfaisante de l'hypnotisme sur diver
ion. La surprise fut grande; dirai-je qu'on me remer- cia ? Non. On crut à une intervention diabolique, sans doute, car on
ue et la région dorsale, avec anorexie, vomissements. Son médecin crut probablement à une affection organique grave de
mère n'a pas su me dire s'il aurait pu écrire, calculer; elle ne le croit pas, car son intelli- gence s'était subitement
us dit la mère, quel- ques sangsues. Pourquoi ? On avait sans doute cru à une lésion organique. Et pourtant c'était bie
. Je pourrais citer bien d'autres exemples. Ceux-ci suffiront, je crois , pour montrer l'action puissante de la suggestion
omie triste, indiquant la souf- france, dépression mélancolique. Je crus d'abord à la neurasthénie, en raison de cet ama
était de l'anorexie hystérique, des vomissements hystériques. Je ne crus pas devoir demander à la malade la permission d
très grave, puisque, malgré l'absence de signes stéthoscopiques, je crois à la phtisie, le diagnostic ne semblait-il pas, d
les qui lui paient son voyage. Elle part. A plusieurs re- prises on croit qu'elle va s'éteindre avant d'être arrivée. On la
it un courant électrique et que je pouvais par conséquent lui faire croire que tout allait bien; j'appliquai quand même le
é et que c'est l'effacement de ces troubles hystériques qui faisait croire à l'action bienfaisante de l'hypnotisme. - L'
de la suggestion le résultat obtenu. Evidemment, non. Et c'est, je crois , ce qu'on se presse trop de faire dans des cir-
t subitement et disparaissant par la sug- gestion, on sera tenté de croire à l'efficacité de l'hypnotisme dans une maladie
baire rendant la marche très difficile, douleurs qui m'avaient fait croire longtemps à une altération de la moelle par la
but d'obtenir une guérison. Ayant tout tenté sans succès, elle n'y croyait plus. Mais elle crai- gnait que le mal n'augmen
Après examen de ma malade, la consta- tation de son mal de Pott, je crus comme mes confrères que les douleurs, qu'elle i
es que je rencontre depuis un mois; à la première je fis erreur. Je crus , malgré l'apparence d'une santé robuste et malgré
a hanche, le pli fessier du côté malade était abaissé. Là encore je crus à une arthrite tuberculeuse. Trois jours après
l'appareil : et bien j'avais quatre hystériques. Et je m'incline à croire que la tuberculose n'est pour rien dans ces man
dit ce que je pensais de la chorée guérie par la suggestion Je n'y crois pas. Quant aux affections organiques, je m'éton
onne même que cer- tains esprits, pourtant fort appréciés, aient pu croire un instant à la possibilité de l'amélioration m
74' CLINIQUE MENTALE. un remède aux souffrances qu'ils endurent. Je crois pouvoir assurer que sur cent habitants pris au
abri des mauvaises fréquentations, devient tout à coup folle ' Nous croyons devoir faire des réserves au sujet du rôle de la
us dans la folie furieuse, mais dans la mélancolie. Les fous qui se croient des cri- ' minels, qui sont assaillis de remord
es de la moelle atteignent également les régions mo- trices, car je crois avoir montré que les cellules du groupe postéro-
1olicracture des ,mùgeles'de, la ceintureodoll·épaule' l. 4 , ITZIG croit quctdansilejcasjde l.,BIIUNS lot malade pouvait
alors que certains symptômes, non sans importance, permettaient de croire à une méningite tuberculeuse. Or, l'herpès labial
rtante de travail efficace dès les premiers efforts, il y a lieu de croire que la fatigue viendra vite, tandis que si, dès
58 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
fibre nerveuse est un filament de sarcode primordial (1). (1) On a cru voir souvent dans ces tubes nerveux une organisat
temps, M; Stilling, l'un des plus habiles micrographes de l'Europe, a cru voir beaucoup plus loin. (1 ) Voyez à cet égard
asse certainement dans la moelle quelque chose d'analogue. Ainsi nous croyons , avec Gall, qu'en regard de chaque vertèbre est u
rveau se trouve au côté dorsal du corps. Dugès qui a le premier, je crois , proposé cette modification à la formule de M. Ge
ir encore aujourd'hui toute sa force. En vain Dugès et Muller ont-ils cru voir le nerf sympathique des articulés dans le ne
une vertèbre caudale déjeune Plie qui lui sert de point de départ. Je crois que cette région n'est pas moins intéressante, qu
ls elles sont attachées ; aussi, jusqu'à ces derniers temps, avait-on cru à une assimilation parfaite des racines et des co
x faits anciens, mais ne leur sont point contraires, comme l'ont fait croire un instant au public les appréciations d'un spiri
tres canaux, où des vaisseaux longitudinaux sont logés, ce qui a fait croire à M. Foville (2) que ce ventricule est triple que
les, a été depuis longtemps soupçonnée. Todd et Bowman, entre autres, croient ces connexions probables, mais ils ne sont point
conduits au même résultat. M. Koiliker, qui cite ces anatomistes, ne croit pas à la solidité de leurs observations. Mais je
pareils du cerveau, ont fait faire un nouveau pas sur ce point, et je crois avoir été assez heureux pour avoir fait éclore ce
épond à cette époque de la vie où l'activité génitale domine, on a pu croire , avec quelque raison, qu'il était le moteur centr
ient pas uniquement à la réduction de la taille, comme on pourrait le croire au premier abord, puisqu'il il y a plus de feuill
s le volume de l'encé phale. On a été si loin, à cet égard, qu'on a cru pouvoir négliger l'encéphale, en se bornant à mes
le développement de l'encéphale, mesurent l'anglefacial (1). D'autres croient tout faire en le pesant en bloc. D'autres enfin e
uence que les idées de M. de Blainville ont eue sur mon esprit. Je ne crois pas que M. de Blainville ait besoin d'être défend
itique de M. Dareste, ni pour M. de Blainville, ni pour moi ; mais je crois en avoir assez dit. Cf. Dareste. Troisième mémoir
stion m'a longtemps préoccupé. Après y avoir longtemps réfléchi, j'ai cru pouvoir la résoudre ainsi. La commissure blanch
ution n'est que l'énoncé d'une question nouvelle; je l'avoue, mais je crois qu'une hypothèse est quelque chose au-dessous de
ns. La bourse des olives est beaucoup moins simple que ne l'avaient cru les anciens anatomistes. Son côté externe est moi
minent au-dessous du quatrième ventricule, et que Stilling et Wallach croient en rapport avec les origines du nerf vague. 2°
parties intrinsèques nous distinguerons: l°un faisceau découvert, je crois , par Vicq-d'Azyr, qui, du centre de l'éminence ma
. Cet espace est ce qu'on a appelé le centre ovale de Vieussens. Nous croyons que ce nom de centre ovale conviendrait mieux à l
e en général d'après le cerveau du Papion (Cynocéphalus sphynx). J'ai cru utile d'ajouter l'étude de ce type à celle que Re
is ce grand homme, des théories beaucoup moins raisonnables, et je ne crois pas que depuis Malpighi jusqu'aux travaux de MM.
n directe du développement de la taille, ainsi qu'un auteur moderne a cru pouvoir l'affirmer, il demeurerait certain que le
Jacobson (1), je me suis trompé sur la nature de ces faisceaux que je croyais en connexion avec les prolongements des cordons p
s l'homme et dans les singes, et en effet, sur la foi des auteurs, je croyais à son existence. J'ai dû y renoncer, non sans dou
l'avoir jamais vue ch"Z l'homme d'une manière satisfaisante Je ne me crois donc pas fondé à dire, avec quelques anato-mistes
ient-ils pas commis ici une faute analogue à celle de M. Foville, qui croit ces mêmes fibres en relation avec les fibres arci
profonde et douloureuse. J'ai bâti, moi aussi, ma tour de Babel. J'ai cru m'élever vers le ciel, dont un infini me sépare,
, dans un livre très-renommé sur les développements de l'encéphale, a cru pouvoir déduire de ses observations que la série
rès avoir expliqué sa structure et ses dispositions intérieures, nous croyons devoir terminer cet exposé par quelques considéra
nsi la paroi interne des ventricules n'est point, ainsi que l'avaient cru quelques anatomistes, tapissée par un prolongemen
, pût être assimilé au cerveau d'un blanc? Quant à moi, je ne puis le croire . Les blancs à petite tête ont les instincts des b
tre elles! Est-ce là une méthode, est-ce là de la science (1)? Nous croyons , pour notre compte, que ces questions de capacité
étique, mais la première opinion c'est l'admiration de soi-même. Nous croyons en conséquence que la plupart des déformations ar
faits qu'il admet, les conséquences que Gall en a déduites. Or, je ne crois pas que les travaux de Spurzheim et de ceux qui l
ex-« périences sur la transmission des impressions sensitives, « nous croyons nécessaire de dire quelle est l'espèce d'im-« pre
erait en morceaux, n'en saurait pas beaucoup plus. Je persiste donc à croire que le dernier mot n'est pas dit sur ces question
us marquée dans le second cas que dans le premier. Je persiste donc à croire , tout en acceptant le résultat de cette expérienc
isphère gauche du cervelet et de la partie gauche de la moelle. Il se croit donc fondé à repousser cette proposition de M. An
antérieurs du cerveau anéantisse la faculté du langage comme l'avait cru M. Bouil-laud; aucune des localisations de Gall n
erres, donnent un grand appui à cette manière de voir. « On aurait dû croire , dit-il, que la vision serait détruite par les al
e son être, ne fût pas l'être par excellence. Ce n'est pas tout, on a cru nécessaire de distinguer absolument cet être de c
chap, vi.) (2) Buffon a très-bien dit dans ce sens : « Nous pouvons croire qu'il y a quelque chose hors de nous, mais nous n
ion très-plaisante et très-fine : « Il est impossible, » dit-il, « de croire que le même homme se balte avec lui-même, quand d
t honesla sinamus. (Ovid. Met.) D'ailleurs, les uns et les autres croient les âmes immor telles. Evidemment si l'âme exis
ne s'ensuit pas que la sensibilité soit obtuse en ce lieu, comme l'a cru , mais à tort, M. le professeur Gerdy. La sensat
il décidera que cette table est circulaire. Ce serait une erreur de croire que par des impressions simultanées de tous les p
, on se ferait de la figure des corps une idée plus nette. Buffon l'a cru , il est vrai, mais l'expérience le dément. Quand
ines merveilles de la divination des aveugles, qu'on a pu quelquefois croire capables de distinguer les cou leurs par le tou
nt ou qu'ils s'éloignent « de ses yeux (1). L'aveugle-né de Cheselden croyait que tous « les objets indifféremment lui touchaie
e dans le cas de la vision avec un seul œil. A priori l'on pourrait croire que lorsque les yeux ont une égale énergie, l'imp
n'a point été définie, on s'étonne d'avoir ces idées, ou même on les croit nouvelles. C'est là, à proprement parler, ce qui
mbule; et, chose remarquable, l'esprit qui anime cette machine pourra croire n'obéir qu'à son propre mouvement, puisque, ainsi
en l'enchaînant à des préoccupations fantastiques. Il ne faut point croire cependant que la chaîne qui lie l'âme au monde so
bien que la profane, est imbue de cette singulière croyance. La Bible croit à la véracité de certains songes, et Lactance voi
M. Baillarger. Tout en partageant les idées de ce savant auteur, nous croyons qu'il faut réserver le nom d'hallucination exclus
rutator majestatis opprimetur a gloriâ. Mais d'autres philosophes ont cru que la divination par les songes dépendait de cau
it la vérité de certains songes, il est en général fort dangereux d'y croire . Beaucoup de gens superstitieux sont morts pour y
s les forces de sa volonté sont tendues vers le ciel, et cependant il croit entendre les démons qui le raillent, il entend de
me Guyon fut sujette à des visions de ce genre. Combien d'exaltés ont cru comme elle avoir vu le diable, qui n'avaient vu r
d silence régnait dans « le camp, Brutus, plongé dans ses réflexions, crut entendre « quelqu'un entrer dans sa tente. 11 tou
nce. Si j'avais été superstitieux, me disait M. Chevreul, j'aurais pu croire à une apparition réelle. Toutes ces hallucinati
se couvrait la tête, « tantôt il la tournait vers les endroits où il croyait ne le pas « apercevoir. Enfin rien n'était plus d
une dame qui, ayant été longtemps tourmentée de maux de nerfs, vint à croire qu'elle était constamment environnée de démons et
ant quelque temps cet œil, pour qu'il ne reçût pas de lumière. On a cru trouver un exemple analogue dans une observation
invoquer l'observation et l'histoire. Au nombre des hommes qu'on a cru doués de cette faculté merveilleuse, on doit cite
Les psychiatres donnent à ces hallucinations le nom d'illusions; nous croyons que celui que nous avons préféré exprime et défin
ui pensait avoir pour jambes des brins de paille. Comment pouvez-vous croire chose pareille, lui objectait le grand médecin; n
paille, autant qu'il l'était alors du contraire. Un autre malade se croyait de verre. Il était dans des appréhensions continu
une des plus curieuses, à coup sûr, est celle par laquelle l'homme se croit double, soit par l'âme, soit par le corps. Un d
chose merveilleuse! en ce moment il avait deux corps, ou du moins il croyait les avoir, et ces deux corps lui semblaient couch
le cerveau, organe immédiat de l'intelligence. Il est donc permis de croire qu'il n'est pas dans l'esprit une seule idée qui
mais dans d'autres cas, en l'absence de toute cause extérieure, nous croyons sentir ce que nous ne faisons qu'imaginer. Dans
sée par suite des événements militaires de l'empire. Ce malheureux se croyait accusé de trahison, déshonoré. Dans cet état, il
ici oubliées dans l'histoire physiologique de l'intelligence. Peut-on croire cependant qu'un appareil si vaste soit sans aucun
ut se changer en une hallucination véritable. Ainsi nous persistons à croire que les idées sont le point de départ de toutes l
enfance, rêvé qu'il s'envolait dans le ciel (1) ? Quel extatique n'a cru dans ses visions s'élever au-dessus de la terre e
Ourvasi, j'embrasse mes genoux, je fais une grande inspiration, et je crois m'élever, mais jamais très-haut, parce que la dur
l'esprit en vertu de la règle des associations antérieures. Celui-là croira avoir pour doigts des fils fragiles; tel autre af
délire, se jette sur un être animé qu'il déchire de ses dents, et se croit métamorphosé en loup comme le Lycaon de la Fable.
e son engagement, l'idée était forte autant que le premier jour. Il crut devoir, en cette circonstance, en contracter un s
dans votre maison. Je m'y con-« duirai bien, comme au régiment. On me croira guéri do « mes affreuses idées ; par moments peut
freuses idées ; par moments peut-être, je feindrai de « l'être, ne me croyez jamais. Je ne dois plus sortir et sous « aucun pr
eux sont bandés, il ne se produit plus rien d'analogue. On pourrait croire que si, dans ce cas, l'expérience demeure sans ré
t en un tourbillon d'une inconcevable énergie. Au premier abord, on crut à l'existence d'un fluide, et l'on raillait volon
; j'entends de ceux qui ont un parti pris d'incrédulité. Comme ils ne croient point au mouvement, ils ne peuvent ni le vouloir
, laisser couler du sang (1). Ici la physiologie n'ira pas (1) Nous croyons que les derniers faits ont été rigoureusement con
stoire d'une femme enceinte qui, effrayée par la vue d'un homme noir, crut , en se lavant le corps, éloigner le danger qui me
temps une des grandes lèvres. M. Piédagnel, étonné, comme on peut le croire , répéta cet essai, avec tous ses confrères à leur
s. Litharge d'or.......... 6 » Couperose........... 1 » Mercure cru .......... 1/2 » Antimoine........... 1 » Cast
ition assez servile de celle de Maxwell (2). Comme ce dernier, Mesmer crut à l'existence d'un agent universel. « C'est, dit-
que l'instinct domine chez les animaux, il y aurait de l'injustice à croire qu'ils sont absolument sans intelligence. Dans to
es animaux ont beau témoigner qu'ils sentent, on n'a pas voulu les en croire , (1) Philostrate. Vie d'Apollonius. Liv, IV, eh
nt métier de refuser une âme aux bêtes, d'aimer leurs chiens et de se croire aimés par eux, au point de pleurer leur mort (2)?
u domaine de ces actions, toujours admirables mais fatales, on pourra croire d'un autre côté que les bêtes accomplissent ces m
êcher de citer ici un fait si extraordinaire, qu'à peine oserais-je y croire s'il ne m'avait été affirmé par des témoins digne
ennert (2) le reproche d'impiété, je déclare ne pouvoir me résoudre à croire que les bêtes sont dépourvues de sentiment; et le
es caractères. Ce livre ne peut être un traité de psychologie; or, je crois en avoir assez dit pour démontrer que les faculté
59 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
rite-t-il un sérieux examen, et c'est conduit par cette idée que j'ai cru intéressant de présenter aujourd'hui ce malade à
ons des maîtres, qu'il me soit permis de faire une distinction que je crois pratique : 1° Idiots, gâteux (invalides) ; 2°
e puissante pour le redressement des infirmités psychiques ? Je ne le crois pas : du reste, une observation personnelle me do
l'usage d'une cuillère, d'une fourchette, d'un mouchoir, etc. ». Je crois que l'obtention rapide de ce résultat est due au
sentait des signes de dérangement cérébral. La seule indication qu'il crut pouvoir me donner sur l'état de la malade fut qu'
du Wurtemberg : c'était la jeune et belle comtesse Ida Groeben. Elle croyait en lui comme Madeleine dans le Christ. Et, notez-
jet pour que nous nous y arrêtions longtemps. Ce serait une erreur de croire qu'il n'y a que chez la femme qu'il peut exister
plupart des Malais et aussi des Chinois (2) habitants de la Péninsule croient en outre à la ma(l) Abdoullab bin Àbdoulkédîr, né
, Tjoutja (10), Pelaley (11), Perangsang (12), etc. (13) Les gens y croient et il y a des professeurs et des écoles pour rens
rer aux Européens à quel degré de stupidité sont tombés les naifs qui croient à de pareilles histoires. », Je dessinai alors
anggalan. C'est une femme qui pratique la Magic noire à laquelle elle croit . Elle fait tout ce qu'il faut jour et nuit jusqu'
que je l'ai entendu raconter par des vieillards. Dieu me préserve d'y croire . Quant au Polong, il provient, dit-on, du sang
s (en Malaisie) beaucoup de gens appartenant à des races diverses qui croient à toutes ces histoires imaginaires et qui gaspill
) les pratiques de leurs aïeux ; on peut se rendre compte que ceux-ci croyaient que tout a une âme. — Les Malais cherchent d'aill
uisque l'islamisme est leur religion actuelle. — Les Malais du peuple croient , à l'existence REVUE DES LIVRES Le Miracle
n d'incroyable mélange de superstitions auxquelles bien des indigènes croient . sa prophétie... L'officine du miracle est en
onscient de l'existence de la lésion, je ne m'afflige pas à lui faire croire que celle-ci n'existe pas, mais je lui apprends q
n font usage à tout moment, bien qu'ils s'en défendent, et je veux le croire , inconsciemment. La seule différence consiste à
as toute la psychothérapie, j'ajouterai qu'il n'est pas nouveau. Je crois pouvoir avancer que tous les psychothérapeutes mo
entaient les manifestations, et cela à un tel point, que les médecins crurent devoir adresser un appel aux pouvoirs publics et
e impression fâcheuse, l'épidémie s'éteint lentement. Pour qu'il se croie un nouveau Messie, il a suffi à un pasteur protes
tient encore qu'un nombre relativement restreint d'élèves (35 à 40 je crois ) ne peuvent répondre d'une façon catégorique à ce
par celles-ci, s'accompagnent très fréquemment de songes où le malade croit boire ou manger quelque chose de bon ou de ma
event facilement d'eau, de bain, de puits. Un malade de M. Stigter se croyait dans un bain où l'eau se déversait abondamment pa
nourris, au delà même de toute mesure. Dans un toast, un orateur (je crois bien que c'est le professeur Joffroy) a proclamé
t la précision de l'auto-psychologie ultime du grand penseur. « Je ne crois pas, dit-il, qu'il soit possible de mieux dépeind
de avant toute intervention du clinicien qui trouve alors, sans qu'il croie avoir fait la moindre suggestion, un terrain déjà
angé. Vous savez que la philosophie fut la passion de ma jeunesse. Je croyais cette passion évincée en moi par celle de ma matu
e des pédiatres. Bien que ses yeux ne cherchent pas l'obscurité, nous croyons à la représentation d'une méningite, à cause du v
adie de cette femme a succédé à la peur d'étouffer en buvant ; elle a cru qu'elle devait respirer pendant la déglutition, e
ons les plus ineptes et les plus cruelles Car le paysan russe, qui ne croit plus guère au prêtre, croit beaucoup au sorcier.
plus cruelles Car le paysan russe, qui ne croit plus guère au prêtre, croit beaucoup au sorcier. Encore faut-il que ce sorcie
s, inoffensives et poétiques, n'ont plus de prise sur les âmes. On ne croit plus, dans nos campagnes, au « Domovoi » tutélair
n de Tarde. Vous n'y avez rien compris, dites-vous ? Personne ne vous croira . Si vous n'y avez rien compris c'est que vous n'a
de « grand prêtre » révélant aux foules soumises ce qu'elles doivent croire , dictant des conclusions en dehors desquelles il
les peuples musulmans est la conséquence de cette éducation. Je ne le crois pas, Ce n'est pas l'énergie qui manque chez les m
s ? Les crétins sont encore de nos jours respectés et vénérés, car on croit qu'ils portent bonheur. Les Egyptiens devaient av
omie agréable, parfois même souriante. Au premier abord, on a peine à croire qu'il n'y ait pas chez ces sujets une intelligenc
é. Mais suffit-il pour expliquer ces faits, d'invoquer la volonté. Je crois plutôt à la suggestion chez des personnes très im
uls moyens de les prévenir ou de les détruire » (')• » * * * Je crois avoir montré suffisamment l'intérêt supérieur qui
en plus faible et expira, victime de cette imaginaire exécution qu'il croyait réelle, et qui de fait n'était qu'une illusion me
fiques et qu'elle a été examinée à beaucoup de points de vue. Nous ne croyons pas cependant qu'on en ait tiré toutes les conclu
s que les causes que nous allons examiner ci-dessous. Nous ne pouvons croire qu'un instinct dûment constaté puisse disparaître
te raison de l'infanticide paraît en effet bien déterminée et nous ne croyons rien avancer de trop en disant qu'un certain nomb
déçu a provoqué une folie qui a duré cinq ans. Pendant cinq ans j'ai cru que le mal ne pourrait guérir, qu'il durerait tou
chrétienne, et de savoir ce qu'un catholique libéral est disposé à en croire . C'est une lecture tout à fait amusante, et dont
Je ne pense pas que la sagesse soit incompatible avec l'amour. Je crois que la sagesse et l'amour doivent être associés p
tielle. Viande maigre, farineux cuits, herbes cuites, fruits cuits ou crus , pain bien cuit. Ces aliments se digéreront dans
tent, magistrats ou médecins, et. d'autre part, certains médecins qui croient venue l'heure de faire un pas en avant et de romp
t Je rappelle ce fait historique que le Rapporteur au Congrès n'a pas cru devoir citer. Ce vœu fut voté, nous affirme M
foi de ses pères, on sent fort bien qu'aujourd'hui l'imposer à qui ne croit plus, c'est donner au serment une base sans consi
os confrères avaient, à Genève, subi une aimable suggestion. Je ne le crois pas. J'ai la ferme conviction qu'en eux vivait de
ossera les conclusions d'un autre. Le juge, affirmez-vous, et je le crois de reste, n'a point de compétence pour prononcer,
de métaphysique ! Pour formuler un jugement pratique vous l'obligez à croire un a priori ! S'il se sert du mot de responsabili
sabilité, si conventionnel qu'il soit, vous exigez au moins qu'il croie à la chose ! C'est là qu'est le danger de la conf
rai plus étrange, qui consiste à graduer des responsabilités. On peut croire ou ne pas croire à la responsabilité, on peut con
qui consiste à graduer des responsabilités. On peut croire ou ne pas croire à la responsabilité, on peut conclure assez volon
lle de mots ne fasse en réalité que traduire une querelle d'idées. Je crois au vieux dicton : ce qui se conçoit bien s'énonce
i permet de contenter tout le monde ! X est-il responsable ? Je ne le crois pas. Est-il irresponsable ? Je ne le crois pa
responsable ? Je ne le crois pas. Est-il irresponsable ? Je ne le crois pas non plus. Vite, coupons la poire en deux. Et
et de l'arbitraire de nos théories. Grave danger que tout cela, et je crois que la pratique n'a rien à y voir. Eh quoi ! c'es
notre pitié, armée d'une demi-responsabilité de pure convention. Je crois que sur ce terrain, décidément pratique, où chacu
a même chose si l'on dit qu'il est ignorant ; dans le premier cas, il croit qu'on se moque de lui, dans le second il se trouv
ystématiquement privée de ce droit. Si la religion coranique, et je crois vous l'avoir suffisamment démontré, n'est pour ri
rêtre Samuel, il tomba dans une sombre mélancolie. 11 fut, si nous en croyons la Bible,agité parunmauvais esprit venant de l'Et
fférent. Tandis qu'il tirait ses arguments de vues personnelles, j'ai cru qu'il était préférable de recourir à la méthode h
d'une épidémie éteinte^., les malades ne changent pas autant qu'on le croit ; ce sont plutôt les observateurs qui changent le
traiter les déments et les faibles d'esprit avec humanité. Si l'on en croit la formule de Lassègue qui affirmait qu'on ne sim
qu'il faut attacher à cet examen, alors même que tout nous conduit à croire que nous sommes en présence d'un simple spasme fo
terre J'ai vu couronner la rosière. Et j'ai conçu plus d'un roupçon J' crois qu'c'était de la contrefaçon. A mon avis, y aura
ntrefaçon. A mon avis, y aura maldone A lui décerner h., couronne. Je crois , ma foi, qu'on ferait mieux D'iui décerner plutôt
eption que le malade aurait pu se faire d'avance. C'est une erreur de croire que l'hystérique organise toujours son accident c
e pitié. Il hésitait si peu à répandre le sang humain qu'on aurait pu croire que son but était d'exterminer entièrement l'espè
s excuses pour l'avoir contrarié et lui dit : « Au nom de Dieu, je ne croirai que vous avez de la sympathie pour moi, que lorsq
peut n'être que l'extériorisation d'une-défectuosité psychique. On croyait que le bras du paralytique hystérique était incur
aralytique hystérique était incurable. On avait habitué le malade à y croire et il ne pouvait guérir. Jésus, Payant abordé ave
e, chaque fois, une crise très impressionnante, pendant laquelle elle croit éprouver, les unes après les autres, toutes les p
ention constitue un gage de succès. La psychothérapie graphique, je crois l'avoir théoriquement et pratiquement démontré, a
e et dangereuse. En restant sur le terrain de la clinique on peut, je crois vous l'avoir montré, faire œuvre utile, exempte d
euple. Comment venir en aide aux nations affligées d'un tel mal. Je crois que le seul moyen efficace, c'est de s'efforcer p
ion l'ont repris. La nosophobie a subsisté, le confrère se refusant à croire à la suggestion par l'hypnose. Aphonie hystér
ible de quelque souvcnir.de quelque anniversaire impressionnant, j'ai cru devoir prendre une précaution. Quelques jours ava
plus souvent affaire à des sensations de fausse présence : le malade croit avoir dans la gorge un corps étranger (arête, épi
que vous avez désigné avec raison sous le nom de visage spectral. Je crois qu'elle coïncide le le plus souvent avec une affe
60 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue ». Mendel ajoute qu'il n'y a pas trace d'hallucinations. Sérieux croit qu'il s'agit là d'o- nomatomanie compliquée d'h
e consécration et je l'es- père ; nous serons deux différents et je crois qu'il le pense ; tu sais nous pensons qu'il y a
disparition, bien que l'impuissance fût restée la même. Nous nous croyons donc pleinement autorisé à conclure qu'il n'y a
s froids rigoureux de l'hiver que des chaudes journées d'été. Je ne crois pas qu'il y ait rien de lubrique dans cet acte
re. Malheureusement le nombre est grand encore des psychologues qui croient pouvoir se passer des données de l'anatomie dan
bilité jusqu'aux phénomènes d'idéation et de conscience. Mais, à en croire Edinger, il y aurait toujours un moment où, dan
qu'il a observées chez les lézards vivants qu'on ne saurait, à l'en croire , échapper à l'idée qu'un mécanisme préétabli en
té d'un aimant. Nombre de réactions motrices de ce genre, où l'on a cru voir des actions volontaires, appelées tropisme
t à peine écoulée, qu'elle revenait en courant dans mon cabinet. Je crus que son mari avait eu une attaque. Non, mais de
e, n° 0, 1900.) , Observation d'une forme anormale ayant pu faire croire tout d'abord à une variété de syringomyélie.
Cette syringomyélie étant survenue sans cause appréciable, l'auteur croit qu'elle est sous la dépendance d'un arrêt de dé
groupe spiritualiste et le groupe positiviste : les spiritualistes croient à une obligation morale abstraite, les posi- ti
par le criminel fait courir Ma Société (Lévy-Bruhl). Mais, que l'on croie ou non avec Schopenhauer que l'impératif catégo
e, de tels sujets peuvent facilement passer inaperçus et laissent croire que cette affection est plus fréquente qu'on ne l
laissent croire que cette affection est plus fréquente qu'on ne le croit . La patiente présente, en outre, un petit diabè
ut près du pli du coude, un chirurgien et un médecin fort instruits crurent à un phlegmon grave et pensèrent à l'ampu- tati
est nécessaire, si l'on veut faire bien les choses. M. l\IOURATOW croit que l'établissement doit posséder une infir- .
nde et ne l'employer que dans le but diagnostiquer W. MOURAWIIIFF croit que la sonde n'est même pas nécessaire pour fai
ble fonctionnel daus le mécanisme de la déglutition. M. VERSILOFF croit au contraire qu'il faut soumettre le malade à u
dans l'épilepsie corticale. SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 M. Weidenhammer croit qu'il aurait fallu faire l'examen complet du ce
arthro- pathies, cyphose,, scoliose, etc. M. le professeur Roth ne croit pas que dans les 52 p. 100 de M. Nalhandoff la
les dates et les noms sont ce qu'il a le plus oublié : ainsi il se croit en 1898, trois jours après il dira 92 ou 03 « j
8 jours » ; sa femme vient le voir, et plus d'une semaine après, il croira l'avoir vue le matin même. Quelque soit la vari
et son âge : cinq minutes après, il ne s'en souvient plus et « ne croit pas que ce soit lui qui ait écrit cela ». Il li
Anne au mois de mars approximativement, mon séjour à l'asile qui je crois remonte à cette époque (répétition de la même i
e lente amélioration progressive. Pour toutes ces raisons nous ne croyons donc pas que l'on soit autorisé ici à incrimine
inger réserve beaucoup de questions que Bethe et d'au- tres auteurs croient déjà avoir résolues expérimentalement. Il ne ma
psychique d'association », il en est deux tout au moins qu'Edinger croit pouvoir lui attri- buer de science certaine : 1
la mort le corps tout entier avait doublé de volume et on se serait cru en présence du cadavre d'un nègre. L'au- topsie
t, ce qui est impossible même à un métaphysicien. 11 est naturel de croire que l'expression d'une pensée ou d'un sentiment
ène la même attitude qu'on a à l'égard d'illusions auxquelles on ne croit pa, mais cela est rare. Ce genre de voix se ren
même temps que la disparition de la tumeur splénique, les auteurs croient , au moins dans ce cas particulier, à l'influence
est au fond des névroses de développe- ment, et il est légitime de croire que les toxines que l'on a rencon- trées étaien
r une série de fausses manoeuvres et de malen- tendus, s'il faut en croire les renseignements que nous donne le Dr Dumas.
s ceux dont la terminaison ne fut point fatale. Il.est plus aisé de croire que de légères modifications électriques sont pas
ompliquait d'un imbroglio fourni par le directeur de l'Odéon, qu'on croyait venu à l'agence pour y chercher des nourrices e
stât pas ou existât imparfaitement avant la maladie ». Mais nous ne croyons pas que ces raisons puissent s'appli- quer à to
viennent secouer l'individu et agir sur lui par suggestion (et nous croyons que les épreuves du prisme, de la boîte de Fiée
Ainsi les phénomènes sont beaucoup plus complexes qu'on ne l'avait cru tout d'abord, et les deux propositions que nous
; c'est pourquoi, après considéra- tion des faits précédents, nous croyons devoir établir les cinq propositions suivantes
ion qui est évidemment le plus curieux; mais s'il est rare, nous ne croyons pas qu'il le soit tout autant qu'on le croit. C
est rare, nous ne croyons pas qu'il le soit tout autant qu'on le croit . Comme le dit Antonelli : « La dissociation de la
ous me dites, nous répondit-elle. je suis même, toute disposée à le croire ; mais voyez-vous je vois, j'entends, je ressen
out avec une telle netteté, comme si c'était là, que je ne peux pas croire que ce n'est pas vrai. Ces hommes je les vois e
En. d'autres termes les faits que nous. rapportons consti- tuent, croyons nous, des vraies recherches expérimentales; s'a
lé- ments intimes de ce mécanisme. Voici quelles conclusions nous croyons être en droit de* / formuler. 'in L'étude'de
ristique anatomique n'est pas l'absence d'altérations, ainsi que le croient encore certains auteurs, mais leur physionomie
règles qu'au muscle; et bien que certains expérimen- tateurs aient cru trouver des nerfs spéciaux d'inhibition agissant
le du nôtre, de présenter les volumes de nos comptes rendus : je ne crois pas que parmi les réunions analo- gues, françai
upe; s'il en est qui semblent ne pas se le rappeler assez, j'aime à croire qu'on ne sera pas en droit de leur appliquer le
pâtir. De divers, côtés, on parait aujourd'hui le comprendre. Je ne crois pas que la ligne de ceux qui pensent avoir inté
, de jeter l'anathème en bloc, un anathème que, personnellement, je crois injustifié, sur les descendants d'ataxiques, de
nisme nettement déterminé et toujours identique à lui- même ? Je ne crois pas qu'on soit autorisé à formuler une sem- bla
sieurs nuits, en un délire à apparence systéma- tisée.-La malade se croyait poursuivie pour ses opinions politiques et reli
riche, parce qu'elle portait un nom célèbre. Pendant trois jours on crut assister à une de ces bouffées délirantes d'emb
tieux, ou septicémiques qui s'en rap- prochent beaucoup. Je ne peux croire que M. Crocq a voulu opposer les lésions inflam
tiques, mais à condition que ce délire soit transitoire. Il ne peut croire qu'avec des lésions très marquées des cellules
e de l'intel- ligence, et du délire de persécution intermittent, il croit qu'on le vole. Etat physique. - Tremblement féb
ie générale juvénile,- quoique rare, est plus fréqnente qu'on ne le croyait autrefois. Il insiste sur ce que ces malades ne
s de degré, toujours par rapport à la température primitive. Nous croyons que ce fait n'a pas été signalé jusqu'à présent.
is que dans le délire d'auto-accusation, le malade s'accuse sans se croire toujours coupable. Ce délire d'auto-accusation
Sur le quai de la gare, le malheureux dément demanda à man- ger. On crut sa crise calmée, et on lui délia les mains ; mais
ais comme il était de son naturel très doux, sa famille n'avait pas cru devoir le faire interner dans une maison de san
r M. Ladova. (Clcicpo Médical recorder, septembre 1900.) L'auteur croit que dans la neurasthénie il y aurait d'abord épui
s. En ce qui concerne l'âge de la paralysie générale juvénile, je crois qu'il importe de bien s'entendre suri ses limites
tifs du Tarn et admis à l'asile d'Albi, depuis 184a, m'a permis, je crois , de répondre affirmativement à cette ques- tion
nsisterai pas sur cet aspect éliologique de la folie. En 1899, j'ai cru devoir le mettre en lumière à propos d'une étude
réflexes confirme leur indépendance anatomique. M. Grasset. Je ne crois pas qu'on soit en droit d'établir un mécanisme
nts, asepsie, technique, etc..., qui limitent ses indications. Nous croyons qu'il faudra la réserver pour les cas, très peu
rénale. Sans vouloir généraliser, à propos d'un simple fait, nous croyons qu'il doit en être fréquemment ainsi et nous appe
trois mois, ses règles ne viennent^ pas. Cette aménorrhée lui fait croire à l'existence d'une grossesse. Désolée, elle re
paraissent pas. Bientôt elle présente tous les symp- tômes qui font croire à la probabilité d'une grossesse. Pendant un mo
a coloration intense qui dure plusieurs jours, frappe le malade qui croit à la persistance constante d'une action médicam
nsacrant une longue étude au chapitre des suggestibilités, l'auteur croit que la suggestibilité il l'état de veille est tou
r des observations très bien choisies. Le traducteur, .M. Hémond, a cru devoir ajouter de nombreuses annotations, des c
rs malades de changement important et durable, aussi penchent-ils à croire qu'il s'agit là vraisembla- blement d'une maniè
r la coexistence fréquente des deux chez les mêmes individus. Je ne crois guère à cette parenté, car aucun de mes malades
coloration habi- tuelle. Il y a donc lieu de distinguer, ce qui, je crois , n'a pas encore été fait jusqu'ici, des altérat
ains membres du personnel secondaire ou pour tous ? M. 130URNE'ILLE croit qu'il est nécessaire de faire suivre des cours
dans un autre établissement, ce qui est encore un inconvénient. Je crois qu'il serait bien préférable d'organiser quelqu
curremment avec la commission de surveillance. A. Fenayrou. Nous croyons utile de reproduire le texte des voeux adop- té
de donner à chaque malade le plus de liberté possible. Au début on crut néces- saire de conserver pour l'établissement
qui ont été introduites dans l'orga- nisation de ce concours, nous croyons utile de reproduire en entier l'arrêté préfecto
d'établissements ont été créés dans quelques grandes villes. Nous croyons devoir en dire un mot, la question étant pour a
s restant doit être transféré à l'asile. 5° C'est un préjugé que de croire à une influence fâcheuse pro- voquée par le tra
ions de l'expérience, on voit que les fumeurs se trompent quand ils croient à un bien-être définitif, et que les expériment
uivi d'une dépression' corrélative. On n'a pas de bonnes raisons de croire qu'elles agissent autrement sur les activités v
de décharge aux états d'excitation de l'organe céré- bral. » Nous croyons que la définition de Ricci est trop vague et tr
alo- mane= attache une certaine influence à certains mots qu'elle croit devoir neutraliser par d'autres. En particulier,
ent des néologismes. « Une ma- ladre 2, depuis la guerre du Tonkin, croit jouer un rôle dans la conquête de cette colonie
tes stéréotypés les malades qui restent immobiles parce qu'ils se croient de verre. 1 J. Séglas. Paralysie générale et ti
Voici un exemple fourni à M. A. Marie par M. Séglas. Une débile se croit reine ; elle a les Tuileries. Elle répète conti
iture pour mourir. Il voulait s'asphyxier avec sa femme et celle-ci croit qu'il l'aurait fait, si elle avait consenti. Il
vait dit « qu'il avait une petite tête par derrière » et l'on avait cru comprendre à ses explications qu'il faisait son
ires, qui, du reste, sont assez difficilement concevables. Aussi ne croyons -nous pas que l'origine de ces mouvements doit ê
iques des idiots dans les stéréotypies. Pour notre part, nous ne le croyons pas. Ces mouvements répondent bien en effet à l
s plus agités et plus subtils. Peut-être aussi, d'un autre côté, se croyait -il dans son sommeil avec ses compagnons dans qu
r l'hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512 CLINIQUE NERVEUSE. - On a cru que la vertu des vulnéraires pouvait n'être que c
ndent en acides et même le café, le chocolat, la salade, les fruits crus , le poisson, la soupe maigre, le trop d'interva
0 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. physique; 4° il croit , mais ne dispose pas de la place nécessaire pou
c exagération, puis plus tard, abolition des réflexes tendineux. On crut à une compression de la moelle dorso-lombaire p
mbre de cas de lésions du cerveau et de la moelle, M. Van Gehuchten croit pouvoir conclure à l'indépendance des réflexes
ysant G1 cas, une feuille de poids et des heures de sommeil, que je crois devoir signaler pour cette der- nière indicatio
voix d'un de ses parents parlait par sa bouche, ce qui lui faisait croire qu'elle était ventriloque. La voix lui parlait
tisme psychologique chez deux paralytiques généraux : l'un d'eux se croyait transformé en sa femme et écrivait au médecin p
et écrivait au médecin pour réclamer la sortie de son mari; l'autre croyait avoir quelqu'un dans la gorge et en écrivant se
61 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
Je connais un homme qui a failli perdre la vie pour avoir persisté à croire que l'inflammation et la maladie n’existaient pas
tion, lisent et vénèrent le livre ennuyeux et illettré de Mrs Eddy et croient en ses théories grossières et surannées. L’expé
tienne. Celle-ci parait cependant moins paradoxale, si nous devons en croire les compte-rendus contemporains- COURS ET CONFÉ
suggestion; n'imporle quel médicament sera utile si cette jeune fille croit à son efficacité. N. B. — Quinze jours plus lar
audra, au contraire, écouter le récit de ses souffrances et lui faire croire qu’on les tient pour réelles. » Fort bien. C’est
s faits à l'appui de la maladie ou des multiples maladies dont ils se croient atteints. » C’est pour cela qu’il faut s’applique
hyperhidrose, peuvent gagner les membranes internes de l’œil et faire croire à une affection organique, surtout dans les cas d
que, un acte cérébral comme l'appétence. « C’est une grosse erreur de croire que le dégoût puisse être un remède à une impulsi
tre nullement surpris qu’il eût eu des succès auprès de personnes qui croyaient en lui et qui avaient confiance dans l'efficacité
e intolérance absolue pour les boissons alcooliques; il finit par y croire et cette ferme croyance lui permet de résister à
peu de temps et même pas du tout chez un d'eux. J'en suis arrivé, je crois , à la même opinion que d’autres observateurs en c
nt suicidés ou ont été envoyés dans des asiles d’aliénés. Ces cas, je crois , sont désespérés à moins qu’à l’aide de la sugges
ù aucune amélioration ne fut obtenue. Je vais en raconter deux que je crois typiques et qui furent traités avec les meilleurs
prophylasie religieuse ---- IiÉPONSE A M. LlONEl. DaURIaC. J’ai cru devoir attirer l’attention des physio-psychologue
s, M. Maspéro, n’en était nullement convaincu. Pour mieux dire, je ne crois pas que le second point de vue eût été entrevu pa
sque sc produit la mort, llicquct, le chien célèbre de M. 1 {èrgeret. croit de très bonne foi que le broc malpropre, qui s’es
ues; les exemples authentiques en sont infiniment plus rares qu'on ne croit . La dose de crédulité était d'ailleurs si considé
; et non pas d’une illusion sensorielle, d’une illusion de lieu. On croyait les pièces de ce genre à tout jamais détruites, i
s les songes, on s'était formées de l'âme, du double, permettaient de croire que cette âme parlait ; on avait d’autre part le
légitime, même pendant les premiers siècles de cette ère, si nous en croyons Jambüchc et Lucien, et réservée en Chaldéc à des
était en danger. Devant ce pronostic grave, le fiancé de cette fille crut bon de faire remarquer que trois mois auparavant,
s récits les font avec des formes dubitatives sur certains points (je crois , il nous a paru que, etc.,) qui donnent une incer
e quatrième, démontrent suffisamment la valeur de la méthode. J'ose croire que mes résultats ont contribué en certaine mesur
devait être doué d'une suggestibilité supérieure à la moyenne, et je crois que personne ne contestera pour cela le sens crit
est encore si grande qu’il y a des psychologues, comme M. Ribot, qui croient impossible de fonder une psychologie des sentimen
ntellectuel de ce sentiment. Après beaucoup d’expériences, je me suis cru en droit d’établir, comme loi générale, qu’on est
employer des suggestions spéciales. Tels sont les faits qui me font croire que cet état de veille partielle systématisée est
miscr les femmes en chemin de fer pour en abuser. Pour ma part, je ne crois guère à l’existence d’une telle association, à ca
. Ils demandèrent en outre l’avis de Devergie qui leur répondit: Je crois qu’une fille de dix-huit ans peut, en thèse génér
our deux raisons : la peur du couteau d’abord ; ensuite parce qu’elle croit que «r c’est du monde », suivant son expression ;
qu’elle croit que «r c’est du monde », suivant son expression ; elle croit que cette viande c’est de la chair humaine, et en
veiller ses paroles. Le moindre mot de doute sur leur maladie, et iis croiront leur état extrêmement grave ; ils discourront san
ui permet de les comparer et de les rapprocher. C’est parce qu’on a cru que les schémas expliquaient l'essence des phénom
flexes tendineux sont médullaires, des faits nouveaux nous obligent à croire , que des réflexes cutanés sont plutôt d’origine c
core M. Regnault parler de catalepsie et de léthargie hypnotiques. Je croyais ces termes définitivement rayés de la science hyp
mple) ou par une courbe (complexe). M. Crocq. — Pour ma part, je ne crois pas aux prétendus exploits des Fakirs et je n’v c
ma part, je ne crois pas aux prétendus exploits des Fakirs et je n’v croirai pas tant que je ne les aurai pas constatés de mes
e ('), la lévitation, etc... Mais il ne faut pas se contenter, pour y croire , de l’affirmation de personnes dont on connaî
ais encore chez des animaux qui hivernent. C’est donc une erreur de croire que la léthargie est purement morbide, hystérique
comme une danseuse. Etant sujette à des extases religieuses, elle se croit crucifiée. Une contraction complète des muscl
nnaisse : celui de la stigmatisation, ou apparition des marques de la cru -cifixion (comme l'a si bien représenté le peintr
es ont réapparu. Il en a été fait des photographies. Cette femme se croit d'une très grande légèreté. Elle est petite, âgé
tain talent. Elle veut aller à Rome à pied et parler au Pape. Elle se croit enlevée dans les airs, elle sent que son corps ne
est confondue de voir que l'aiguille marque son poids normal. Elle se croit crucifiée, et c’est pour cela qu’elle marche le p
e, n'est-elle pas sublime ? Voici une naine ; elle a dix-sept-ans, je crois , et elle en parait six. C’est une idiote myxœdéma
u des autres enfants. La visite est finie. Il est midi. Que l’on ne croie point voir dans ces lignes l’intention de décrire
ux. Elle a des sensations de lévitation et d’ascension telles qu'elle croit devenir très légère et s’élever au-dessus du sol.
cas, les affirmations sont entraînées par des suites de vertiges ; on croit voir ou entendre ce qu’on désire, ce qu'on craint
rme à toute influence et le rend pour ainsi dire incommunicable. » On croyait , en effet, il n’y a pas encore bien longtemps, qu
apparences à leur juste valeur, à balancer les motifs de juger et do croire . Nous lui apprendrons encore à manier le frein de
hacune contient un poisson enroulé. Au premier moment, vous pouvez le croire mort, tant la catalepsie est complète, mais dégag
ces. Nous disons simulatrices, parce qu’il y a peu d'années encore on croyait cette maladie spéciale au sexe féminin; il suffis
ançais. 5me session, Clermont-Ferrand, 1894. Masson, 1895.) (•i) Je crois utile, vu les erreurs et lacunes de certaines cit
dérer les monoïdéîsmes dont je parle comme de nature hystérique. « Je crois , m’a dit M. Sicard, qu’il ne s’agit là que de la
sueurs profuses et des douleurs absolument paroxystiques, lui faisant croire que sa dernière heure était venue. La durée du
comme foudroyée et tombe en cessant de donner aucun signe de vie. On croyait la relever morte et on la releva guérie. La tumeu
vec respiration stertoreuse, puis refroidissement et collapsus. On le crut mort. Un médecin appelé en hâte, fit des injectio
ou 210 ap. J.), tout en admettant l’origine utérine de l’hystérie, ne croyait pas aux mouvements de la matrice. Aétios (vi8 s
rel, et à quoi il est dû » (•). Or c’est précisément parce que nous croyons savoir aujourd’hui ce qu’est le sommeil naturel,
lle ne pouvait se passer d’un mouchoir pour sécher ses mains; elle ne croyait pas qu’on puisse la délivrer de cette maladie, dé
rgies de la nature, on obtient la chaleur et la lumière, de même nous croyons que la nouvelle guérison des maladies par la sugg
s dispositions affectives qui iui fuient témoignées par M«» G... Il croyait enfin tenir le bonheur rêvé, lorsque le lundi à m
tôse, cette interprétation favorable à la défense, la Cour d'Angers a cru pouvoir déclarer « que le magnétisme ne peut être
conception, elle a été celie de l’antiquité. Aujourd’hui les spirites croient encore aux esprits. 2° La théorie métaphysique
'ailleurs la nature ou les propriétés du dit fluide. Déjà l’antiquité croyait que le pouvoir des dieux agissait sur ¡’hypnotisé
au xvi® siècle, sépara le fluide magnétique du dieu qui l’émettait et crut l’hypnotisme causé par l’ens spiritale, (!) Cet
eu cc qui concerne les sensations et les réactions nerveuses que nous croyons spéciales à telle maladie et qui peuvent se renco
e médecins réfractaires à le conseiller ou l’employer parce qu’ils le croient un remède inconstant ou doué d’une telle efficaci
vite la courroie, se relève et s’en va vivement ému, comme on peut le croire . Le soir même, il se plaint à sa femme de quelque
rvenir ici ce tie pré tendue fonction qu’on appelle la volonté. Je ne crois pour ma part ni à la volonté, dans le sens psy-
onscients), le moi, dis-je, ne sachant d’où viennent ces ondulations, croira qu’elles sont nées en lui etqu’illesacréées. II s
it, chez quelques femmes, sous une impression sensuelle exagérée, qui croit avec leurs désirs, et qui, produite au début du r
eront d'ailleurs singulièrement facilités par la psychothérapie. Je crois utile de placer ici encore deux observations qui
malentendus, ce que l’on apprend étant bien au-dessous de ce que l’on croyait connaître. D'autre part les jeunes hommes ne co
conciles, a jeté l'anathème sur les noueurs. Aujourd'hui encore, on croit aux noueurs d’aiguillettes dans nos campagnes. Un
dormaient tranquillement sur un oreiller garni de chèvrefeuilles. On croyait et on croit encore ii la vertu du coquelicot, du
nquillement sur un oreiller garni de chèvrefeuilles. On croyait et on croit encore ii la vertu du coquelicot, du nymphéa' et,
ondent, mais ne sont pas considérés par tous comme des suicides. Je crois qu'il y a deux raisons à cette diversité d’opinio
s au début, démontrer surabondamment que les animaux se suicident; je crois simplement qu’après mes observations et les faits
de leur refuser cette qualité ou ce défaut et que si quelques-uns les croient encore incapables d’actions réflexes, impulsives,
qu’ils ne pourront être endormis, uoit que, par amour-propre, ils se croient humiliés à la pensée de subir l’influence de quel
t, c’est d’un bon pronostic, on dit qu’il se rétablira. On pourrait croire que le choc de la peau a quelque influence ; mais
-on à s’approcher d'un individu de cette espèce, dit M. Costantin, on croit entrer dans un bois qui a cinq cents mètres de to
62 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Toujours lasse de son milieu et toujours plus sentimentale, Cam... crut réaliser ces rêves en acceptant un mari qu'elle r
a sous sa main le nom de son père. « Elle avait, dit-elle, toujours cru à l'occultisme » sa convic- tion se fortifia de
UMNITE DELIRANTE. 7 i cliait à l'occasion de manquer de foi, s'il croyait surprendre quel- que tiédeur dans sa conviction
ronomiques, physiologi- ques et médicales ; son mari les admire, il croit fermement à leur origine surnaturelle et en con
mission Kamienne qui exigeait qu'elle vécut. Un jour pourtant elle crut devoir faire son tesla- meut. M. Schtein part
ssi mégalomane que ces légendes et explications pourraient le faire croire , ce sont les esprits qui parlent; Cam... cause
prend le crayon et sa main écrit : « Vous êtes déiste, c'est-à-dire croyez à tous les dieux; or, «demandez qu'on vous démo
ment petit, le crâne de Perre... avait des dimensions qui faisaient croire à un poids encéphalique beau- coup plus élevé.
elle de la sclérose en plaques et à l'autopsie de laquelle on avait cru trouver un ramollissement de la face inférieure
ue tabétique, d'autres (Pofoff, Moxter, Von Michel, de Grosz, etc.) croient que la lésion primitive siège dans la rétine et
on. Le nez est volumineux; on pourrait, à un examen superficiel, le croire atteint d'acné hypertro- phique, si la colorati
'ignorez pas en effet que si naguère encore il était classi- que de croire à la disposition segmentaire des anesthésies sy
ler, dans le jour qui décroît A jamais l'on espère et à jamais l'on croit . Sceptique méprisant, souris de la faiblesse
t la vérité. » Cam... tient en effet énormément à sa beauté qu'elle croit très grande et très prestigieuse; cependant des
qu'il y a pour sa mentalité à en conserver la manifestation. Elle croit aussi qu'elle l'aura toujours au moins en l'évoca
isciples dont se servent toujours les auteurs ecclésiastiques. Elle croit n'avoir jamais entendu prononcer le nom de Zeii
les messagers de Dieu, il doit leur obéir. - Mais, répond-il, j'ai cru jusqu'ici que Dieu n'existait pas. - Dieu exist
é et transformé la mentalité et la vie de la malade que celle-ci se croit appelée aux mêmes destinées que la sainte : ell
auditif, pneumo-gastrique et, en partie, le nerf lingual), il faut croire que c'est une polioence phalo- myélite aiguë. P
s une maison appartenant à la couronne, qu'il est arrêté; tantôt il croit se trouver à la gare ; parfois pense qu'il est
rché la raison psychologique des obsessions musicales ; j'incline à croire qu'elles dépendent d'un rythme physiologique pl
ez l'un d'eux j'ai même observé un complément hallucinatoire : il croyait voir toujours devant lui, même quand il fermait s
ychiques : l'anthropophobie, la « Beachtungswahn » ou manie de se croire observé, des idées de persécution. Dans tous les
frère et ma soeur, m'écrit-il, sont des timides. Ma soeur l'est, je crois , moins que nous, parce qu'elle vit à la campagne,
a face, en pleine salle d'étude, au milieu de deux cents élèves. Je crus mourir de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rou
phobie du regard, elle l'attribue à sa grande taille, qui la rend, croit -elle, ridicule. Elle s'imagine aussi qu'on se m
'adolescence ou de la jeunesse (démence vésanique précoce), nous ne croyons pas qu'elle corresponde à la réalité des faits
certaines autres démences ». Dans l'état actuel de la question nous croyons inutile d'insister davantage sur l'interprétati
as devoir entrainer la conviction contre cette théorie, on peut, je crois , faire appel à deux ordres de raisons, les unes
commettre ne doivent pas entacher la valeur de la méthode ni faire croire qu'il existe des contradictions irréductibles e
sens musculaire est probablement encore plus grande qu'on ne l'a cru . Un très grand nombre de facteurs sensibles, mote
mais encore d'en diminuer la fréquence et l'intensité. On pourrait croire qu'en plaçant le malade sur le côté droit le ré
vaudrait, selon moi, à un ajournement indéfini de la réforme. Je ne crois pas davantage que, grâce à la réforme de SOCIÉT
e spécial pour les aliénés criminels. M. Colin (de Villejuif). Je crois également que, même en se plaçant à un point de
s, parfois même du chloral chez ceux qui en font l'abus. M. Mabille croit qu'il conviendrait, en aliénation mentale, de n
ne importance très grande dans le dia- gnostic de l'hystérie. Aussi croyons -nous pouvoir considérer le phénomène plantaire
avons noté dans 8 cas, soit 8 p. 100, le signe de l'éventail. Nous, croyons donc que ce dernier signe n'a pas une valeur clin
encore aujourd'hui d'araignée, de hanneton ) Dans les Pays-Bas, on croyait surtout à la pierre de tête. Des prestidigita-
ans leur tête. Les médecins d'autrefois n'étaient pas éloi- gnés de croire à la réalité de ces descriptions psychopatiques.
ésion stomacale par conséquent. De l'étude de ces observations nous croyons pouvoir tirer l'enseignement sui- vant : ' 1°
hant des cris aux malades, accompagnée ou non de vomissements, nous croyons pouvoir en faire une névralgie du plexus solair
e même des mouvements nerveux, les sujets ont tou- jours tendance à croire l'inverse. Il importe de leur démontrer leur er
oubles de l'équilibre est assez difficile et parfois impossible. Je crois donc utile de signaler un moyen d'en isoler un
rminer des phénomènes de vertige. Contrairement à ce qu'on pourrait croire , la plupart du temps elles ne siègent pas dans
sible un diagnostic exact. Etant donné cette notion nouvelle, je crois qu'on ne peut juger avec certitude de l'origine
e longue pratique de bientôt vingt-neuf ans. MM. Pitres et Régis ne croient pas à cette origine exclusi- vement sexuelle de
disposition les moyens d'une satisfaction largement suffisante. Il croit que ces insuffisances de l'émotion sexuelle ne
n dans cette émotion comme dans les autres. En con- séquence, il ne croit pas qu'il y ait lieu de faire jouer dans cette
nisme. Il venait d'avoir quatorze ans. Cette pratique et surtout je crois , l'absence de tout spectacle de fustigation, mo
on bureau. Il aimait aussi les plaisanteries elles bons mots, et il crut en faire un qui lui suscita des ennuis et ne fut
sa canne, et choisissait celle qui les avait les plus fortes. Z... crut être spirituel en le dotant du sobriquet de métro
ta une aggravation de ses troubles nerveux. Il fut plus enclin à se croire sous le coup de quelque grave maladie ; sa sen-
uivit. Y... rattacha ces phénomènes à son cauchemar de la nuit et crut tout d'abord en être quitte. Pas du tout, l'obses
amélioré son obsession au point qu'elle était supportable et qu'il croyait n'avoir pas besoin de se priver complètement de
r du tout dehors, j'espère m'habituer aussi à mal pisser dedans. Je crus devoir le mettre en garde contre la possibilité d
sses représentations visuelles n'étaient pas très nettes, le malade croyait voir les têtes, les parties du corps, les yeux
utour de la même idée : peur de tomber, de s'étouffer. La malade se croit au bord d'un précipice dans lequel e : le tombe
base du cau- chemar. Est-ce bien là du somnambulisme ? Nous ne le croyons pas et cela pour deux raisons : . 1° Cette ma
hée, elle est incapable d'un effort physique ou intellectuel ; elle croit tout ce qu'on lui dit parce que « ce doit être
une sugges- tion, ou, si elle y obéit, c'est que « je suis forcé de croire ce que vous me dites parce que je n'y vois pas
par un sens, la vue ; celle-ci disparue elle perd toute notion et croit qu'elle va mourir parce que « je n'y vois plus, j
nt externe qu'interne qu'elle ne sait plus ce qu'elle fait, qu'elle croit ne plus exis- ter. Les rêves ne sont que le rés
rge et il ne peut plus descendre. on dirait que c'est bouché » elle croit s'étouffer. Et comme on ne tombe et on ne s'éto
règle les rêves que j'ai décrits 1. De sorte que, en résumé, nous croyons avoir le droit de dire que les phénomènes psych
LOGIE PATHOLOGIQUES. Frankl-Hochwart, Wallenberg. Ce dernier auteur croit avoir trouvé que la pile de noyaux du faisceau
diaques ainsi que l'arrêt du coeur en diastcle. Il y a donc lieu de croire que l'appareil inhibiteur du coeur est, chez le
ait. Il s'en faut de beau- coup. Dans les cas mêmes où tout porte à croire que la musique va exciter l'appareil moteur vol
ue u] des cellules des cornes antérieures. Le myosis gauche p< croire qu'elle est descendue jusqu'à la huitième racine
ité du sensorium; rien d'hysté- rique ; aucune simulation. Il est à croire qu'il s'est agi d'une toxine qui a lésé les cel
enfant de dix ans. Des sym- ptômes fébriles persistant avaient fait croire à une fièvre typhoïde et ce n'est qu'un examen
rigidité habituelle. Verbigération quand la malade parle. L'auteur croit devoir rattacher ces accidents à la première me
ment et s'endort. Le lendemain il dit ne se souvenir de rien. On le croit épileptique. Une observation de trois mois démo
lles du corps restiforme gauche sont clairsemées, si rares que l'on croirait qu'il s'agit de coupes pratiquées à la hauteur
deux ans (1902), je présentai un malade qui souffrait de ce que je croyais être jusqu'ici une maladie non décrite, que j'a
sécrétion pancréatique défectueuse ou abolie. Cette opinion est, je crois , prouvée par les observations faites sur la séc
ésulté de l'ad- ministration d'un extrait glycériné de pancréas. Je crois que cet état est une entité clinique distincte,
retrouva le lendemain noyée, près de la digue Saint-Jean. On avait cru d'abord que l'enfant s'était tuée accidentellemen
La verte infusion; puis augmentez, pressez Le volume de l'eau. Mais croyez -moi, cessez Quand vous aurez jugé la liqueur as
qu'au bout de quelques années que les troubles survinrent, et à en croire l'entourage, ils seraient apparus à la suite d'
inue tranquillement sa rumination. Plus rarement et lorsqu'il ne se croit pas surveillé, il va contre un mur, rejette ses
a partie motrice de la capsule interne est anéantie; il faut donc croire , le patient ayant été hémiplégique et hémianesthé
oquer des convulsions isolées de certains groupes de muscles, et de croire que ces convulsions, parties de ces cen- tres,
ou par excitation réflexe des centres corticaux.. Il y a lieu de croire à l'intervention réflexe de l'écorce dans la gé
ment faible au début de la vie, s'accroît plus tard. Ce poids s'ac- croit au cours du développement chez les deux sexes ; l
u cours du développement, de près de 120 à 130 grammes. Le cervelet croit donc proportion- nellement plus vite que l'ense
re que ces malades ne sentent souvent plus leur propre personne, se croient morts, etc. Le doute de l'exis- tence personnel
u est due à un excès d'air dans la gaine médullaire. Il y a lieu de croire que le poison fau- teur à la démence précoce ir
it et le porte machinalement aux water-closets où il le dépose ; il croit à une impulsion consciente. Dans les mêmes con-
soprano avec impossibilité d'émettre des sons graves) que l'auteur crut pouvoir attribuer à une paralysie d'origine céréb
ès, le malade était complètement rétabli. L'auteur, toutefois, ne croit pas pouvoir tirer de ce fait unique des conclus
s une mare de sang auprès du corps de son père et de sa mère. On le crut mort, mais à peine était-il sur le brancard qui
cins la déclarent incurable. Or, conformément au dogme, nous devons croire que les maladies dont elle a été ac- cablée fur
(llarduin, Malin, 26 sept. 1904.) L'alcoolisme en SC4NDI.1VIR. Ou croit généralement que, en Suède et en Norvège, l'énorm
essions. En effet, l'acte consommé, elle retrouvait le 'calme et se croyait débarrassée ; mais un nouvel accès se produisan
- tion du régime des aliénés dangereux et criminels. Il est bon,' croyons -nous, lorsqu'un malheureux événement se produit
qui n'existent point en France à l'heure actuelle; les autres, qui croient voir des difficultés à ces mesures d'exception,
r de mettre d'accord les partisans de l'un et l'autre système, nous croyons qu'il convient de bien préciser la question ava
doivent être prises depuis ce jour à son égard. En réalité, nous croyons qu'il faut s'en tenir à la distinc- tion cliniq
nt. La précaution nous parut sage en effet, mais nous avons peine à croire que ce soit là l'idéal du traitement ( ? ) pour
dre, d'un cancer « dans le côté gauche » suri- vant sa fille; on ne croit pas qu'il fut buveur. Sa mère, âgée de soixante
le pleurer spasmodi- ques. Interprétant ces différents faits, ils croient que chez des vieil- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
dans la chorée, tandis qu'il manquait dans la maladie des tics. Il croit , à l'encontre de certains auteurs, à l'existenc
nnant à ce fait un titre sensation- nel. D'après cela, on aurait pu croire que le malade avait été ou étranglé par ses gar
vec un grand soin l'état mental des foules durant les émeutes. Nous croyons intéressant de reproduire cette description 1.
er l'un ou l'autre sentiment; avides à chaque instant de savoir, de croire quelque chose d'étrange; éprouvantle besoin de
63 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la tempête. b.) Les antiennes théories sur le vertige marin. Nous croyons inutile de rapporter ici les dix différentes th
nstigation de sa femme que C ? a allumé un incendie et tout porte à croire qu'en raison de son état mental très affaibli,
tive vaso- motrice, laissant de côté la méningite dont on aurait pu croire qu'il l'utiliserait plutôt pour l'échafaudage a
le n'a plus sa personnalité et cependant elle est bien L... Elle se croit persé- cutée par une autre malade; elle a pris
x lui parlaient; elle n'avoue pas d'hallucinations de la vue ; elle croit toujours fermement à la réa- lité delà voix de
LA CATATONIE. 63 passé, elle raconte ses idées de culpabilité, elle croyait avoir causé la mort de sa mère et aussi que le
t observations prouvant des erreurs du jugement des tabétiques, qui croient éprouver des sensations n'ayant pas de raison d
ations se résume ainsi; très souvent l'intensité de la sensation ne croit chez le tabétique qu'avec l'étendue de l'excita
colonnes de Clarke et de certaines parties des cordons latéraux. Il croit que ces combinaisons sont, dans l'espèce, acciden
tait tel qu'aucun de ceux qui l'observaient ne se serait assurément cru autorisé à porter un pronostic favorable ; néan
impor- tants dans la production de l'imbécillité ; et si l'auteur a cru devoir rapporter cette observation c'est qu'il
e vous soumettre. Ces photographies n'ayant pas été publiées, je me crois d'autant plus en droit de répondre à la note pe
uanta la discussion qui a suivi ma réponse-, on en tirera aussi, je crois , une tout autre impression, si au lieu du résumé
la région bregmatique. M. BALL s'excuse de prolonger les débats. Je croyais dit-il, au début de la discussion, que M. Magna
it bannir de la science les mots de délire chro- nique. M. PICnoN croit que les divergences entre les partisans et les
ce nom et qui fut pour lui une vé- ritable révélation. M. Cotard croit surtout à l'influence de l'hallucination dans le
installés rapidement se terminent par lasura'2-mzctité.- L'orateur croit , avec Voltolini, qu'il n'est pas démontré que ce
epuis plusieurs années, et a exécuté de nombreuses préparations, ne croit pas que ces granulations dans les cellules nerveu
qu'il n'est guère d'hommes, même parmi les bons esprits, qui ne se croient médecins à leur heure. Chacun dit son mot, à l'
ir au sys- tème même de l'amendement. Vous le pouvez, d'ailleurs, croyez -le bien, messieurs, sans mé- contenter l'opinio
es beaucoup moins nombreux cependant qu'on ne le dit ou qu'on ne le croit - ont alarmé cette opinion, s'ils ont éveillé d
ts étaient infiniment moins nombreux qu'on ne pouvait le dire ou le croire . Ajoutez à cela que, même les précautions légal
oins donnés aux malades et du résultat des enquêtes que vous auriez cru devoir ordonner à l'égard de tel ou tel malade.
on des cellules qui leur sont affectées ; mais, dès aujourd'hui, je crois devoir vous signaler un mode de procéder regret
Nous ne pouvons qu'approuver l'opinion de MM. Eames et Moore ; nous croyons , comme eux, qu'il est indispensable que tous le
il avait aussi des bourdonnements d'oreilles très forts ; le malade croyait entendre par intervalles rapprochés des bruits fo
aires, qu'il com- parait à des coups de poignard; à chaque coup, il croyait que ses reins s'ouvraient en deux. Rien du côté
oreilles chez le malade qui fait le sujet de LO.BSERVATION X et qui croyait entendre par intervalles rapprochés des bruits
otre neuvième cas. A juger d'après notre Observation III, il faut croire qu'une certaine diminution du sens de la pres-
evait se rendre immédiatement à la frontière; cardans ce moment, on croyait à une guerre entre la Grèce et la Turquie. Depu
peur revient en équilibre plus difficilement qu'un voilier. Nous ne croyons pas inutile d'ajouter ici que l'élévation des v
iquide céphalo-rachidien. Mais avant d'examiner cette théorie, nous croyons indispensable de rapporter ce que la physiologi
itio ? i con- tribue à la production instantanée du vertige. Nous croyons même que nous devons donner à l'inimition de Br
it ans, on ne sait de quoi. - Un frère mort à trente-trois ans ; on croit qu'un des amants de sa femme l'a «jeté à l'eau
la dissémination des lésions rencon- trées à l'autopsie, mais nous croyons devoir rappeler que l'amaurose est un des sympt
ssez précis pour vérifier les assertions de Meynert. H. Nothna;el3, croit que, d'après les faits anatomo-cliniques actuel
une donnée en anato- mie pathologique, jusqu'à présent du moins; il croit qu'en ne prenant en considération que les lésio
erliges, des actes im- pulsifs dont elle a parfois conscience. M. croit voir dans celle dernière malade une impulsive o
pos- sihle maintenant d'en retirer quoi que ce soit de nouveau.. Je crois dans ces conditions que ce qu'il y a de mieux à
ses exactement comme chez les alcooliques avec lipo- thymies.M.Rehm croit que l'économie du malade avait manifes- tement
nurie chez les aliénés. Nouvelles recher- ches. D'abord, il ne faut croire à l'existence de l'acétone dans l'urine que qua
a question soit bien posée. M. le commissaire du ; Gouvernement. Je crois que je l'ai posée nettement, en disant que le m
es désormais contre le corps médical et contre l'administration. On croit géné- ralement et c'est pour cela que le public
ment accepte ce rôle pour les préfets, dans ces conditions. Mais il croit devoir mettre ces magistrats à l'abri du soupçon
ire avec votre système. M. le commissaire du Gouvernement. Je ne le crois pas. M. Connes. Mais si la commission avait déc
ciété païenne les regardait avec une pitié mêlée de crainte. On les croyait presque les favoris de la divinité ; on les consu
atant qu'ils sont aliénés, et un second casier constatant qu'on les croit guéris. M. de GAvAiiDiE. Parfaitement ! M. le
uez-le bien, niessiciiis, - on n'a pas assez insisté là- dessus, je crois que votre disposition n'est pas pratique. Le no
idérations sur cette variété de vésanie, plus fréquente qu'on ne le croit . Il n'est pas rare d'observer en effet, dans un
ien évident qu'il s'agit ici encore d'une folie communiquée. Nous croyons donc qu'il serait bon de substituer à tous ces
prits, telle que nous venons de l'esquisser, qu'il faut rechercher, croyons -nous, le secret de ces grands 1 G. delà Tourett
n accès de somnambulisme. Enfin, peu satisfait de sa trouvaille, il crut reconnaître dans la personne de son domestique
emi-ébriété. Pendant qu'ils étaient attablés au cabaret, l'un d'eux croit trouver un véritable trait d'esprit en proposan
cier aux délires les plus invraisemblables, même les plus absurdes, croire à des persécutions par l'électricité, le magnét
a toujours un cachet frappant d'excentricité, tellement que pour y croire , il faut être déjà malade soi-même. En d'autres
de dégéné- rescence. Depuis un an, elle s'occupe de spiritisme, et croit à la réalité des esprits , ainsi qu'à leur inte
a communiqué ses idées délirantes. Celui-ci, usant d'imitation, se croit également possédé, et se livre à des contorsion
blement en voie d'évolution. Complètement résignée, elle commence à croire que ces opérations n'ont qu'un but, celui delà
op compliquée pour son entende- ment ; à défaut de comprendre, elle croit aveuglément; elle sait et croit que sa mère est
ment ; à défaut de comprendre, elle croit aveuglément; elle sait et croit que sa mère est persécutée, et, partant de cette
lui lançait : «Est-ce que tu ne sens pas ? » Elle répond « oui, je crois que ça sent, » et aujourd'hui, interrogée à ce
ur sur les grands boulevards, en compagnie de sa fille, lflme L..., croit entendre tout à coup un passant chuchoter un mo
son adresse. Elle fait part de son hallucination à sa fille qui la croit immédiatement sur parole. A quelque temps de là
'elle est morte par pendaison. Cette mort semble inexplicable. Anne croit à l'intervention de personnes malveillantes qui
n comparait ses douleurs à des coups de poignard, à chaque coup, il croyait que ses reins s'ouvraient en deux. 3. PÉRIODE
araplégies des douze autres cas étaient toutes spasmodiques. Nous croyons pouvoir considérer cette loi comme complète- me
la myatro- phie n'a figuré dans aucune de nos observations. Nous croyons pouvoir annoncer que dans l'immense majorité de
t. Ce bien-être a duré à peu près deux heures; ses compa- gnons ont cru que l'accident était fini. A 8 heures du soir, to
ant son accident. Pas de vertiges, pas de douleurs lombaires; il se croyait sauvé et considérait l'accident comme fini, mai
om- plètement disparu et le bien-être est parfait; le ma- lade se croit tout à fait guéri jusqu'au moment où l'invasion
ent des mouvements procursifs par des accès type d'épilepsie. Aussi croyons -nous utile de dire quelques mots de la physiolo
sont-elles encore entourées d'une très grande obscu- rité. Nous ne croyons pas que nos observations soient à l'abri de tou
xie pachydermique sont beau- coup plus communs qu'on ne pourrait le croire , si l'on en jugeait d'après le petit nombre des
eillance, M. 1'iccta rappelle un exemple qui lui est personnel : on crut que l'excès de précautions exagérait chez lemal
. (Très bien, très bien ! sur plu- sieurs bancs.) SÉNAT. 461 Je crois donc que c'est par une confusion d'idées que les
) SÉNAT. M. DELSOL. Permettez ! vous dites que cela suffit.' ? On a cru que cela suffisait; mais l'expérience a démontr
ans toutes les informations, dans tous les renseignements qu'elle a cru devoir prendre pour vous proposer quelque chose
purement et simplement son rapport. Il fera ici la même chose. Je crois avoir répondu, messieurs, au nom de la commission
réponse, si vous voulez bien l'écouter avec bienveillance, sera, je crois , décisive. Voix nombreuses. La clôture ! la clô
ur la proposi- tion de la question. M. de Gavardie. Messieurs, ne croyez pas que je veuille employer un moyen détourné d
M. Combes voulait changer deux mots seulement à son amendement, je crois que la question pourrait être posée d'une maniè
cin « statuera». Ce mot semble impliquer une décision. Nous,- et je crois que c'est, au fond, l'avis de l'honorable M. Test
rend un avocat. Mon Dieu ! je ne veux pas médire des avocats ; mais croyez -vous qu'ils soient, la plupart du temps, bien p
e sera le même'jugement entendez bien cela. Les races futures ne le croiront peut-être pas ! ... (Hilarité.) Mais... non, me
e opinion, mais vous me troublez un peu par votre interruption ; je croyais que vous étiez absolument de mon avis. (Nouveau
e la rédaction de l'article 21 appelle quelques observations, et je crois utile de les soumettre à la commission, pour qu
s consultez les jurisconsultes qui siègent dans cette assemblée, je crois qu'ils seront unanimes à vous dire que ce n'est
i a été faite par l'hono- rable M. Delsol. Le tribunal, quand il le croira nécessaire, fera comparaître le prétendu aliéné
il y a un instant, par l'honorable M. Lacombe. Voici pourquoi : Je crois que dans la discussion qui a eu lieu devant le
ndant un certain temps dans des hospices d'aliénés. Est-ce que vous croyez que ces arrestations auraient été possibles ave
ns ' réservé un amendement de M. Bardoux sur l'article Il ; mais je crois que complète satis- faction lui est donnée par
gné cette publication de quelques notes criti- ques sommaires. Nous croyons devoir revenir aujourd'hui sur quelques points
la nouvelle LOI sur les aliénés. En reproduisant ces débats, nous croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'
64 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ura environ deux années, au bout desquelles la malade succomba je crois , à une pneumonie. En mars 1890, j'ai reçu la vi
érer d'un cancer 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. de la langue dont elle se croyait atteinte. ,Toutefois, avant d'aller consulter u
'a pas permis de con- firmer. De plus, cette jeune femme éprouve ou croit éprouver, de ce côté de la langue, un sentiment
sur la conduite des dentistes que cette malade a consultés; je veux croire qu'ils n'ont agi que par ignorance de l'état me
il lisait des livres de mé- decine et s'efforçait, suivant ce qu'il croyait être de son intérêt, de prouver les erreurs de
de toute autre intervention. En me quit- tant, M ? de X..., que je croyais avoir persuadée, me déclara qu'elle allait chez
refusai obstinément, lui représentant qu'elle devait d'autant plus croire que dans ce cas particulier, le conseil que je
ayant été appelé à donner des soins a de X... après bien d'autres, crut à une contraction réflexe des masséters produit
s, le succès parut devoir légitimer le parti si radical qu'on avait cru devoir prendre; la malade ouvrait un peu mieux
constances tellement étranges et rendues publiques, qu'elle fut, je crois internée pendant un certain temps, puis rendue
t donc à une 'forme spéciale du mouvement. A cette époque, Herzen croyait encore avoir à se défendrede confondre l'esprit
in les hallucinations motrices de tant d'aliénés et de spirites qui croient voler. et celles en particulier des sorcières,
ut im- primer des mouvements étendus à ses membres inférieurs. On croirait alors qu'il y a paresse ou simulation chez elle,
contre à ce moment, une telle hypéresthésie du long du rachis qu'on croit à une méningite cérébro-spinale. En juillet 188
e l'écorce cérébrale des singes, et nous avons donc toute raison de croire .' que coeteris pansus, les relations fonctionne
de différentes régions corticales en certains cas, m'ont conduit à croire que ces mouvements peuvent avoir une significat
en exprime quelque doute sur ce sujet. Singer et Munzer cependant croient qu'il y a une- décussation complète chez le pigeo
ont pas altérés et leur nombre n'est pas diminué, ce qui autorise à croire que la production de la me- themoglobine ne rés
et entretenue par une névralgie frontale obsédante; cette femme se croit un animal dans la tête, le diable dans le corps
les idées avec délire. Les allures du sujet changent quand il ne se croit pas observé. P. K. XIX. Sur la pathologie DE
mais il estime que ces symptômes n'ont rien de caractéristique. 11 croit toutefois devoir signaler la remarque qu'il a f
ression de sulfonal fit disparaître tous les phénomènes. M. Fischer croit que le sulfonal agit dans l'écorce grise. P. K.
SOCIÉTÉS SAVANTES. 111)9 thérapeutiques. Beaucoup de nos malades se croyaient plus amé- ];ores par l'électothérapie que par l
'elle faisait une tentative d'asphyxie par le charbon. M. Garnier a cru pouvoir conclure qu'au moment du suicide, la ma
sentant des troubles de la sensibilité et de la motilité d'un côté, croyaient tenir dans la main paralysée une sphère lourde al
in paralysée continue à tenir pour lourde la sphère légère. Il faut croire dans l'espèce ou bien que l'activité musculaire
e en trois groupes. SOCIÉTÉS SAVANTES. 1 T 1 d'Oppenheim, mais il croit plus exact de se rattacher à la manière de voir
pathologie mentale. En 1843, parut le travail sur la stupidité. On croyait alors que cet état consistait dans une suspension
t M. Falret appelèrent l'attention sur la folie à deux périodes, on crut , et moi comme les autres dans mes écrits sur ce
mouvement que l'artiste a voulu représenter. 150 BIBLIOGRAPHIE. Croit -on, pa"r exemple, qu'un semblable travail ne soit
rettant les propor- tions prises par quelques-uns de ces asiles, je crois qu'ils cons- tituent le meilleur mode d'assista
revenir à notre première question, où commen- cera le délit ? Nous croyons que le moment n'est pas venu d'en- lever ces ex
en tenant compte de ce fait ' que la malade était hystérique, on a cru devoir après consen- tement préalable de la mal
ée et que l'autre est hésitante. Au premier abord, vous vous êtes crus en présence d'un ataxique; la constatation du s
ian, qui poursuivit longtemps des recherches sur ce pointsi obscur, crut un moment l'avoir élucidé. Non seulement il ava
degré l'action nocive de l'alcool. D'ailleurs, il ne faudrait pas croire que, dans les paralysies alcooliques, la moelle
ue dans les territoires nerveux paralysés. Pour ma part j'incline à croire que, dès l'instant où quelques sujets sont port
e perceptible. Comme elle s'arrache facilement avec la pie-mère, je crois que c'est au manque de précaution ou aux diffic
orne d'Ammon, dans la région de cette circonvolution. Si je me suis cru autorisé à fixer mon choix sur la circonvolutio
n à mes notes bibliographiques. De leur lecture, il résultera, je crois , que si je n'ai pas atteint le but, je m'en suis
corps cal- leux, le prolongement supérieur du corps godronné. Je crois que, prévenus maintenant, les anatomistes re- t
héories de Blocq, et nous avons dit pour quelles raisons nous avons cru devoir adopter cette der- nière opinion. VIII
t à neuf dixièmes de degré, pendant une ascension très rapide. « Je crois donc, conclut Herzen, que, dans certaines condi
'émotion. » Dans de pareilles condi- tions, il n'est pas absurde de croire que des régions étendues de l'écorce participen
uvait parler, mais elle parlait d'une façon inintelligible et on la croyait quelques fois ivre. Non seulement elle ne pouva
insi les idées de Baginsky et Fleschsig. - Nous avons donc sujet de croire que les fibres centrales des nerfs auditifs ne
archer, ni se tenir debout, ni rester assise dans son lit. L'auteur croit que l'obs- tacle à la station provenait non pas
es cérébraux jusqu'au niveau de la frontale ascendante. M. Schloess croit que la chute a produit un raccourcissement du d
sible d'édifier une théorie basée sur ce cas, car il entraînerait à croire que les fibres destinées à la moitié postérieure
tomie ET DE physiologie pathologiques. sance ; il est impossible de croire qu'elles se réunissent au tuber- cule quadrijum
e même que la cécité survenue avec une rapidité si grande faisaient croire à l'existence d'autres foyers pathologiques dan
rler jusqu'au jour que ces choses arriveront, parce que tu n'as pas cru à mes paroles qui s'accompliront en leur temps.
nt d'éloges, de tant de solennité; vous n'y comprenez rien, vous ne croyiez pas avoir tant mérité; bien d'autres choses enc
auteur de cette tentative de meurtre eût été arrêtée, Mme Millet se croyait continuellement sous le coup d'une attaque semb
istes donnant des représentations sur les scènes théâtrales ; mais, croyez -moi, n'usez pas de ces moyens, lesquels rendent
l'hémiplégie alterne pédonculo-protubérantielle. Et, cependant, je crois pouvoir affirmer d'ores et déjà que l'hystérie
m'objecterez-vous, expliquer cette paupière tombante ? Eh bien, je crois qu'il s'agit ici non de paralysie mais de spasm
t que ce signe précieux et désirable, ce caractère différentiel, je crois en vérité que nous avons eu ces jours-ci l'heur
e parce que nous ne savions pas le voir. C'est là un signe que je crois appelé à rendre de réels services dans les cas
tiel que nous venons d'étudier. \ En définitive, nous pouvons, je crois , nous arrêter chez notre malade au diagnostic d
Il se précipitesur quelqu'un. Ses poings sont serrés... Puis il se croit à cheval, tire sur la bride comme pour arrêter sa
à l'eau. Viens ici... Où en vois-tu ? je n'en vois pas du tout. Tu crois qu'ils vont sortir de l'eau ; t'es bêbête L.. o
lles il assiste ou prend part et qu'il mime tellement bien que l'on croirait presque y assister avec lui. Verre rouge. -Il v
sclelose en plaques ou dans la paralysie losso-l abm-laryuée. Je ne crois pas que ce soit un bègue. » * Archiv. de Neur
bègue ait prédisposé le jeune T. à contracter le bégaiement ». Je crois pouvoir affirmer que le fait d'avoir cohabité ave
bégaiement est une manifestation symptomatique de l'hystérie. Je crois que je ne suis pas le seul à trouver excessive ce
e, donne le mieux l'idée du plus cons- tant de leurs caractères, je crois ne pouvoir mieux faire que d'employer, jusqu'à
ces, les animaux ne furent laissés en vie long- temps, parce que je croyais nécessaire de les tuer dès que les symptômes av
dégénérescence descendante est due à cette cause-France, cependant, croit que la dégénérescence occupe une région différe
leux. -Coa, commissure antérieure - Fcl, colonne du trigone. - Fer, croit du trigone. - CAm, corne d'Ammon. - z Tf. tuber
t son rapport apparent avec le gyrus fornicatus avait amené Broca à croire qu'il y avait un rapport entre le déve- Joppeme
. Les résultats généraux de mon expérience me por- tent cependant à croire que les sens du goût et de l'odorat de l'ani- L
ublié par Westphal '. Mais la cause réelle de ces symptômes est, je crois , l'extension de la lésion aux cordons sensitifs d
rant centri- fuge, naissant des centres moteurs. Nous n'avons. je crois , aucun sens de l'innervation indépendam- ment d
ation semblable que j'avais faite auparavant. C'est une raison pour croire que les mouvements latéraux de la tête et des y
t qui ne soient susceptibles de différentes interprétations, que je crois sage d'attendre une lumière plus grande avant d
sinuer, depuis la promulgation de la loi de 1838 et à qui fera-t-on croire que des erreurs médicales seront évitées parce
isse pas que d'être délicate et difficile, et M. Cottignies n'a pas cru devoir la discuter. Il se contente de consacrer
ont ses craintes au sujet des récidives possibles. M. leur Langlois croit que le danger est moindre quand l'aliéné guéri
le est, en effet, d'abord isolée fugace, mal définie ; le malade se croit l'objet d'une persécution dont il ne peut à l'o
s et de persécution. Si dans le délire de persécution l'individu se croit d'emblée la victime de telle ou telle personne,
personnifie son délire et il accuse les machinations de ceux qu'il croit être ses ennemis. 5° Manie. Démence sénile. Par
ives. Ces faits ne servent qu'à réveiller l'image des paroles qu'il croit avoir été pro- noncées. Ainsi, non seulement ce
s qu'il croit avoir été pro- noncées. Ainsi, non seulement ce qu'il croit qu'il aurait pu entendre mais encore ce qu'il v
ns son esprit, parce qu'il fait attention à ces images, parce qu'il croit qu'il lui est possible de les voir, parce qu'il
. Falret, tout en partageant au fond les mêmes idées que M. Magnan, croit devoir admettre comme une variété clinique méri
tion mentale de même nature. C'est à cette dernière influence qu'il croit devoir attribuer l'aritlimonlanie en raison de
e, il n'ajamais oubllié ses débuts dans la médecine men- tale et il croit en avoir donné la preuve dans son rapport au Séna
moment de proposer SOCIÉTÉS SAVANTES. 4M u sa réforme au Sénat il crut devoir en parier Gambetta et lui demander son a
arthropatique - l'hypertrophie du pannicule adipeux. De plus, il ne croit pas que les deux formes établies par l'auteur s
et ouvrage un guide : aussi regrettons- nous que l'auteur n'ait pas cru devoir donner une bibliographie un peu plus dét
l'école anglaise. Si autrefois, E. Kant partageait ce doute, on ne croyait pas à la possibilité d'établir une psychologie
dans cer- tains cas, mal déterminés encore, il est arrivé qu'on ait cru voir ou entendre une personne absente. La Socié
65 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue branche de l'astérie constitue un individu, un zonite,de même je crois que chaque hémisphère cérébral avec la moitié d
t à interroger la biologie. Voici comment : Comme sociologiste je crois : 1° Que l'homme est fait pour vivre en Société
l n'y a pas de liberté. C'est donc que tous les hommes ont toujours cru à la liberté, et se sont pratiquement conduits
sont pratiquement conduits comme s'ils ne pouvaient pas ne pas y croire les farouches déterministes compris. Contre cet
t-elle des motifs pour douter assez de mon unité,pour que je puisse croire à ma liberté, postulat nécessaire en morale et
es deux hémisphères. Sans pré- juger de la théorie en elle-même, je crois qu'il faut renoncer à em- ployer ce fait partic
Bérillon sur le fonctionnement indépendant des deux hémisphères. Je crois en avoir parlé dans divers endroits de mes livr
édoublement sont simplement des suggestions à point de repère je ne crois pas que l'on pos- sède aujourd'hui un fait psyc
poser le problème dans toute son ampleur ? Si oui, voici ce que je crois : je crois jusqu'à plus ample informé que l'hom
roblème dans toute son ampleur ? Si oui, voici ce que je crois : je crois jusqu'à plus ample informé que l'homme (et avec
e tient à signaler l'uni- cité primitive du poumon, et en cela nous croyons qu'il a tort. Les deux bourgeons pairs et bilat
de tout organe médian quelque apparente que soit cette unicité ? Ne croyait -on pas avant Chabry la corde dorsale une d'ori-
prouvez-moi, qu'il est né d'une cellule unique ; car si je le puis croire constitué primitive- ment par deux cellules don
Con- cluons donc -qu'en l'état actuel de la science il y a lieu de croire que tous les organes médians, même ceux nés d'u
particulière importance aux or- ganes nés du tube digestif, nous ne croyons pas devoir nous re- fuser à l'étudier sommairem
signification réelle. En sus nous est avis qu'il s'est trompé. Nous croyons que le tube digestif est originellement dou- bl
r lui ni par autre.- Eh bien, dussé-je blesser M. Bonne, je préfère croire M. Yves Delage. Il me suffit d'ailleurs, pour m
onjuguée qui les attend. Quod erat demonstrandun. - CONCLUSION Je crois avoir répondu aux principales objections de M. le
la nécessaire Société. c) Tous les hommes, d'ailleurs, ont toujours cru , y compris ceux qui, se disant déterministes ou
cessaire Société, cette liberté en qui tous les hommes ont toujours cru . cette liberté se heurte à un raisonnement de p
orant que je suis ne prétend pas avoir prouvé cette thèse ; mais il croit l'avoir posée. Je renvoie à mon livre ceux qui
une longue citation et d'en justifier ainsi l'insuffisance. Chabry croyait avoir créé des hémilar- ves ; les recherches de
e le dernier soit l jamais perpendiculaire au premier, ainsi que le croyaient les pre- miers expérimentateurs, qui pensaient
301) et conclu que cette indépendance, bien moindre même que ne le croyait Ribot, ne pouvait aucunement justifier' la théo
vec la nécessité de leur collabo- ration, même dans des cas-où l'on croyait jadis la disjonction pos- sible. Mais, sans mêm
lace postérieure du coude. L'enquête soignée à laquelle nous avons cru devoir nous livrer en présence des phénomènes p
s des formes organiques -en quelque sorte ina- chevées. M. Turner croit avoir démontré que dans les cas qui servent de
LOGIE NERVEUSE. 75 1ère le processus d'ossification. L'auteur avait cru possible de mo- dérer la sécrétion hypohysaire
écriture des médiums ou psycho- graphie : dans celle-ci le sujet se croit le simple instrument d'une volonté étrangère, t
érations sur l'éducation des aveugles. M. MULOT. - Il est erroné de croire que, chez les aveugles, l'ouïe et le toucher so
des crises asphyxi- 'lues subintrantes, pendant lesquelles elle se croit étouffée dans les bras du fantôme. Elle est par
étonnée d'apprendre qu'on n'est pas au (j septembre, comme elle le croyait , mais au 18. Dans la suite, elleeutencore plusi
i finir mes « malheurs, .le ne regretterai que mes chers petits. Tu crois qu'ils on du cour ! Ma petite Charlotte est mor
jusqu'ici je n'ai pu avoir que sommairement ; encore « je ne puis y croire ; les uns, disent oui les autres non. « Comment
ns ce lit de la « Grimaudière, et que ce soit un mardi, quand je me croyais chez " moi vendredi vers 3 heures ? Comment cel
té, vous « devez tout savoir, j'étais furieuse mardi (puisque je me croyais « samedi) après mon mari, et je lui en veux de
s fort étonnée et fort en colère d'être dans un lit de «l'asile, je croyais bien être citez nous, d'autant plus que, depuis
appelle la violence et les procédés de bruta- lité avec lesquels on croyait guérir autrefois ces mal- heureux et rend homma
t pas que le médecin prononce jamais ce mot de responsabilité. Je crois avoir répondu à cette objection en définissant le
exte, tant qu'il n'y en a pas d'autre. Mais il serait désirable, je crois , que la loi fût modifiée à ce point de vue et i
t l'asile plutôt que la prison, mais jamais le non-lieu. Bref, je crois que, pour atténuer les divergences d'opinions q
des conclusions de cette espèce sont un peu boiteuses, mais je les crois fondées en justice et en raison. M. Paris (de
ie et la mélancolie, loin d'être des états contraires comme on le croyait généralement, sont des états homologues caractéri
. , Ces considérations, si brèves qu'elles soient, permettent. je crois , de conclure que l'expression de psychose maniaqu
folie maniaque dépres- sive », celui de ne pas être élégant. Je ne crois pas qu'au cours de cette affection il puisse ex
s vésaniques où prédomine plus ou moins le symptôme périodicité, je crois avec Morel que la périodicité et l'alternance s
déterminée et n'a pas de signi- fication étiologique précise. Nous croyons qu'il convient de le considérer ici comme un té
ll pour refuser à Pa toute représen- tation motrice. En effet, nous croyons qu'on doit faire quel- ques réserves en faveur
un lien entre eux ' ? . , -- M. Claude, d'accord avec M. Raymond, croit avoir trouvé ce lien dans une « modification pl
désigne, il doit s'appliquer exclusivement au premier groupe. Je crois donc pouvoir dire que la définition de l'hystérie
ous les spécialistes de la peau, à l'exception du prof. Gaucher, ne croient à la nature hystérique de pareils troubles. M.
sés. Dans les deux cas il fait oeuvre d'historien et de savant. Je crois que l'on comprendra ainsi toutl'intérêt de l'orig
d'avoir renouvelé l'aspect d'une question qui semblait classée. Il croit aussi que l'infection joue un grand rôle et il
t, inefficace. M. Dsa>Jttlrr. (Paris). Pour sa part, l'auteur ne croit pas à l'action du traitement mercuriel dans le
t nous ne men- tionnerons que l'intérêt macroscopique, n'avons nous cru devoir étudier que les observations nettement d
INFIRMIERES HOLLANDAISES. 207 et de plaindre la naïveté de ceux qui croient à ces contes mer- veilleux. J'espère vous l'air
s le sens sus-indiqué. A cette nouvelle conception de l'aphasie, je crois pouvoir opposer les faits suivants : a) Un ca
lié- nés en son entier a fait des progrès sensibles. Tout porte à croire qu'aussi bien pour l'assistance des aliénés et
! tous les parfums de l'Arabie ne l'enlèveront pas... qui aurait pu croire que le vieillard eut tant de sang... » Ce genre
les maladies mentales ; mais dans toute la pathologie mentale je ne crois pas que l'on puisse trouver un délire semblable q
dant le développement de son délire, le sujet, non seule- lement ne croit rien, n'accepte rien qui soit en opposition avec
médiamique avec les diverses obsessions des psychasthéniques. Je crois que ce sont des phénomènes voisins, mais qu'il y
au- tres malades qui n'ont pas du tout l'état mental hystérique, je crois qu'ils peuvent se développer dans beaucoup de n
tivement intacts, caractères qui sont l'essentiel de la maladie. Je crois qu'il est plus important de faire entrer dans la
à des individus non hystériques, jamais je n'ai pu réussir et je ne crois pas qu'on puisse réussir. Je dis donc que l'hys
nés du Progrès Médical et des Archives de Neurologie : 4 fr. Nous croyons utile en guise de compte rendu de cette thèse,
és physiques, intellectuelles et morales, absence de travail). A en croire ces égoïstes, ces utilitaires, on ne s'occuperait
a folie d'un CANOKMER. - Pris d'un accès de folie subite provoquée, croit -on, par l'abus de l'alcool, un canonnier du 5 d
urs et de se représenter plus pure qu'elle ne l'est. On ne peut pas croire non plus que Mme .1. simule la particularité (
abord. Seules, des personnes ne sachant rien de la médecine peuvent croire qu'il se réduit à la désignation d'un médecin a
ent que l'on a parfois reproché à quelques-uns de nos collègues. Je crois plutôt que, d'une entière bonne foi, ils se cré
ivement dans l'impossibilité de donner jamais de tels avis. Je ne crois pas non plus qu'aucun des législateurs dispo- s
oit encore parfois, dans l'armée, quelques-uns de nos confrères qui croient devoir être plus militaires que médecins, Leurs
ratique médicale, avaient doucement poussé certains aliénistes à se croire bons fonctionnaires parce qu'ils n'étaient plus
vacuo. Bien des points de cette observation sont incom- plets ; on croit quelquefois pouvoir s'occuper moins d'une « ban
yant fait de grosses pertes d'argent dans une affaire industrielle, crut se rétablir ne Archives, 3' série. 1907, t. II.
le monde me connaît dans votre quartier, je n'y comprends rien, je croirais qu'on me suit «. « C'est comme moi ; dit M ? e Gr
lle et sa maîtresse. La servante dit de son propre mouvement : « Je crois être suivie ». La maîtresse répond aussitôt : J
délire avait progressé plus rapidement que chez sa maîtresse. Nous croyons aussi que celle-ci, par nature était assez peu
du délire se font jour for- mellement dans des phrases ; la malade croit à certaines accusa- tions, s'accuse par exemple
a dit aussi qu'on connaissait mes pensées, mais je ne savais que croire , ce n'était peut-être qu'une idée à moi, Je n'y s
e dialoguait avec son réveil. Elle se di- sait une criminelle, elle croyait qu'on lui avait coupé et recousu une fesse. C'e
re de Marie Forel, il n'y a pas place pour la mégalomanie : elle ne croit pas à la possibilité d'un évènement heureux pou
e croit pas à la possibilité d'un évènement heureux pour elle, elle croit seulement à la richesse de son amie, et encore,
n'était pas constitutionnellement préparé. Seulement Marie Forel croit à la richesse de M'ue Granet, et celle-ci croit
ement Marie Forel croit à la richesse de M'ue Granet, et celle-ci croit au phonographe de son amie ; leurs croyances dé-
tudes toutefois tendent à limiter leurs croyances; M"'s Gra- net ne croit pas au langage du réveil, ni aux résections mys
pas au langage du réveil, ni aux résections mystérieuses ; elle ne croit pas non plus à la culpabilité de Marie Forel, e
ion et en même temps la crédulité. De son côté Marie Forel, si elle croit à l'existence des ri- chesses de lt ? Grasset,
ction de plusieurs individualités connexes. Pour cette raison, nous croyons que les délires, en tant que collectifs, offren
paroi gauche du pli interfessier.En ce dernier point,il y a lieu de croire qu'un objet dur,reposant sur le sol,a produit une
ant sa période de nar- 342 CLINIQUE MENTALE. cose, notre malade u cru se sentir opérée. Ses talons et ses fesses ont t
pas mise dans l'erreur. J'avais pour- tant des raisons sérieuses de croire ; l'attitude de M. W..., (Ser- vice de la Sûret
beaucoup de monde. Si je me suis trompée qu'on me le dise, je vous croirai , je vous promets de ne plus écrire, je travailler
u juste. Peut-être désire-t-on la remettre avec son mari qu'elle ne croit pas mort, puisque les papiers qu'on lui a fourn
x hommes de loi lors de la vente de sa maison. Dernièrement, elle a cru à un empoisonnement. Elle a déjeuné, sans le sa
ment. Nous avons enfin observé chez la malade des gestes que nous croyons devoir considérer comme une réaction de défense.
appelle que la lésion du tabes est bien moins systématisée qu'on le croyait ; qu'Alzheimer a constamment trouvé la pie-mère
e tous les phénomènes organiques qui les accompa- gnent et que l'on croyait être des effets. La colère est un état psychiqu
médecine dont pour- rait dépendre cette couleur des selles, il faut croire que cette couleur est due à l'altération du san
ministration et le corps médical de l'Asile de Mombello, nous avons cru devoir en relater brièvement les grands traits
e les lésions organiques proprement dites, mais il y a tout lieu de croire qu'elles nous seront dévoilées un jour. C'est p
en que nous n'en sommes encore qu'à cette période enfantine où l'on croit que « péché caché est à moitié pardonné » et qu
66 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e nocturne, qui a des mictions fréquentes et impérieuses diurnes, croit en réalité qu'il urine plus que normalement. L'en
médecin, quelle que soit d'ailleurs son expérience personnelle, se croie autorisé à employer la morphine et le bromure,
t la guérison est obtenue et l'enfant ne m'ayant pas été ramené, je crois pouvoir en conclure qu'elle s'est maintenue.
ette présence, pendant le sommeil, de l'idée suggérée, qui lui fait croire le matin à son réveil, qu'elle s'est levée pend
ement. La suite de cette opération est des plus intéressantes; je crois devoir la donner ici : 3 mai. Elle a uriné extr
e d'uriner. . 15 juin 1896. L'enfant ne m'ayant pas été ramenée, je crois pouvoir en conclure qu'elle est de nouveau entr
ais il n'a pas dépendu de nous que le traitement fût continué. Nous croyons deviner chez cet enfant comme chez le précédent
jours avant que nous l'exami- nions, le malade, frôlé par un chien, crut avoir été mordu et se montra en proie à une viv
OBSESSIONS, ETC. 35 il nous prie de le lui rendre parce qu'il a pu, croit -il, a écrire des choses compromettantes pour lu
l se plaint vive- ment de ce que cet homme s'est déchiré pour faire croire qu'il avait été battu par lui. ' Les craintes
aucune mauvaise ac- tion. » Puis, s'adressant à sa soeur : « Ne les crois pas, ils mentent. Ils m'accusent parce qu'ils v
Le malade craint d'être accusé, il ne cesse d'avoir des doutes ; il croit qu'on veut le tuer, le livrer à d'affreux sup-
ine musculaire n'est pas si nettement tran- chée qu'on aurait pu le croire tout d'abord et qu'entre les deux formes extrêm
éressant malade dont l'histoire fait l'objet du présent mémoire, on croit avoir affaire, à ne considérer que les membres
cette dernière étant liée à l'hystérie plus étroite- ment qu'on ne croirait . Dans le second groupe, on trouve la névras- th
elles des syphilitiques s'accompagnent plus fréquemment qu'on ne le croit de lésions organiques, qui, sans être forcément
soi légères mais constituant autant d'épines orga- niques. L'auteur croit que l'irritation spinale commune s'accom- pagne
ns tous ces cas, on a constaté le signe de Westphal, il y a lieu de croire que la paralysie péronière tenait à une lésion
s postérieurs, ainsi que l'ont signalé Strum- pell et Marie. Nous croyons pouvoir en terminant apporter les conclusions s
l d'un cerveau chroniquement malade, on est naturellement conduit à croire à une simple progression du mal primitif ; s'ag
avec l'état intellec- tuel, ces constatations faisaient fatalement croire à une para- lysie générale pure et simple à mar
chef, la quantité d'alcool absorbé est bien plus grande qu'on ne le croit généralement, et qu'elle surpasse de beaucoup cel
e véritables dissertations cliniques très intéressantes souvent. Je crois que cela est dû à l'influence de Lomhroso et de
ue le fou. Une grand'tante paternelle était idiote de naissance, on croit qu'elle mourut assassinée par son frère, grand-
femme. Cette histoire était fausse, mais Ernestine très jalouse la croirait vraie etelle romprait avec V..., ce dernier en
ssions sem- blahles aux « idées impératives » de Back Tuke. I ! les croit souvent dues à la fixation des fantaisies du rê
sage immodéré du mot dégénéré. « L'abus actuel de ce terme laisse croire qu'il désigne tous ceux qui ne sont pas conformes
n'a pas existé au moment précis de l'exécution de l'acte : l'auteur croit même que la volonté est intervenue également, si
les signes de dégénérescence a été peut-être exagérée par ceux qui croient avoir trouvé dans ces signes de dégénérescence
ns la production de la folie. Il n'y a, cependant, aucune raison de croire qu'un usage modéré de l'alcool doive conduire à
e et tout en le rejetant au point de vue médico-légal, c'est que je crois devoir tenir compte des vues très divergentes d
fait qu'elles sont des phénomènes subjectifs, et que les malades ne croient pas à leur réalité extérieure. Quel est le rôle
elles sont-elles ? Ce sont les persécuteurs dégénérés, s'il faut en croire M. Magnan : la trans- formation des délires che
ne sont pas à l'honneur de nos adminislrations qui se disent et se croient républicaines, mais ne comprennent pas leurs de
rivée. II. Avant d'entrer dans la description de la méthode, nous croyons utile de s'entendre sur la dénomination de la m
de. Avant d'analyser les résul- tats obtenus chez nos malades, nous croyons utile d'exposer ici la théorie de la méthode de
nt, l'intervention de la volonté devient tellement minime, que nous croyons les exécuter sans le contrôle de notre conscien
sensibilité musculo-articulaire. V. Analyse DES observations. Nous croyons inutile d'insister sur le diagnostic chez nos m
ous les mouve- ments nécessaires pour la vie habituelle, et nous ne croyons pas que les exercices compliqués qu'on pourrait
s de France et des pays de langue française. Est-ce un bien ? Je le crois fermement. La division en deux' t groupes sépar
rçoivent des sons diti'érenciés qu'ils rapportent aux objets qu'ils croient les produire (perception auditive différenciée)
tion) ne donnent pas naissance à de l'épilepsie partielle. Donc, je crois la comparaison plus spécieuse et plus séduisant
tique progressive a nécessairement des hallucinations de l'ouïe. Je crois que nous devons considérer comme réel le phénom
SOCIÉTÉS SAVANTES. général beaucoup moins grande qu'on pourrait le croire : le plus souvent la partie qui se détache n'a
e d'accord au sujet de la pathogénie de cette affection. Charcot la croit duc à un spasme des vaso-moteurs, Pitres l'attr
server, l'acrocyanose s'est développée chez des hystériques ; aussi croyons -nous que ces phénomènes dépendent des troubles
ne sont cependant pas aussi rares qu'on le SOCIÉTÉS SAVANTES. 225 croit communément. Mais, à cet égard, il convient de di
de pouvoir établir le pronostic de ces évolutions anormales. Je ne crois pas qu'il existe de signes permettant de l'établi
is pas qu'il existe de signes permettant de l'établir, cependant je crois qu'elles sont bien plus fréquentes dans la vari
-unes de mes malades et d'autres personnes ne sont pas éloignées de croire qu'elle dit vrai et qu'elle communique avec l'a
e M. Lamacq sur l'exis- tence des tremblements à l'état normal ; je crois que les sujets que l'on considère comme normaux
mouvements ataxiformes et cho- réiformes signalés par M. Lamacq, je crois que dans le plus grand nombre des cas ils doive
anormaux surajoutés au tremblement de la sclérose en plaques; je me crois donc autorisé à dire que les premiers relevaient
es premiers relevaient de l'hys- térie et je ne suis pas éloigné de croire qu'il en est souvent ainsi. M. PARISOT. - nu tr
e dissimulation peuvent parvenir à tromper le médecin et l'amener à croire à la disparition de conceptions morbides, alors
u stock des assistés et à l'encombrement des asiles. M. Giraud ne croit pas qu'il y ait intérêt à demander deux cer- ti
les asiles et des agréments dont on peut les entourer, le Dr Rouby croit que, sauf quelques rares excep- tions concernan
es dépenses nouvelles. Nous, médecins, je le redis, nous sommes, je crois , unanimes sur tous ces points. Il faut profiter
e faire à toutes les époques de la maladie. Il y a plus qu'on ne le croit générale- ment de difficultés de diagnostic ent
nt chez un de ses oncles et ayant soif, il prit une bouteille qu'il crut contenir du vin et la porta à ses lèvres; mais
convulsives de K... sont de nature complètement différente et nous croyons avoir assez longuement développé leur histoire
avorables dans les réfectoires, les vestiaires, etc., la commission croit qu'il y aurait avantage à employer exclu- sivem
2,000 cas de ces derniers dans les hôpitaux d'Etat; on aurait pu croire alors que cette accession allait diminuer le chif
igidité continue, caractéristique de l'affection, laquelle comme le croyait Vulpian, serait due à un léger degré de contrac
la pelade apparaît peu après l'une d'elles, on a quelque raison de croire qu'il y a entre la crise et la pelade une relat
lui je suis bien convaincu que c'est « se bercer d'illusions que de croire pouvoir connaître l'esprit humain avec le pléth
ment en général et partiel; parle du tremblement congénital dont il croit avoir observé un exemple et du tremblement par im
nore quels sont les motifs qui l'ont poussé à se donner la mort; on croit que c'est dans un accès de folie subite qu'il a
issent, douleurs peu violentes, plutôt gênantes, faisant sans cesse croire à la malade qu'elle a un corset trop serré. Elle
bes dans son lit. Quand elle marche elle ne sent pas bien le sol et croit toujours ne pas toucher [la semelle de ses bott
ur (une cuisson), qui persiste pendant plus d'une minute. Le malade croit que je l'ai brûlé avec un thermocautère. ' La
s les docu- ments réunis forment un ensemble de 5,730 pages. Nous croyons devoir résumer les résultats de cette enquête, ce
e faim, une autre fois, il chercha à se sauver. Tous ses camarades, croyait -il, étaient ligués contre lui. - R... aussi pré
the a plus que doublé en huit ans. En France, 700,000 bouilleurs de cru distillent une grande quantité de mauvaise eau-
ation des alcools, de la suppression du privilège des bouilleurs de cru , de la réduction du nombre des débits, des syst
vente et, pour cela, la suppression du privilège des bouilleurs de cru et le monopole pris par l'Etat de la rectificat
e-vie et entamé le privilège BIBLIOGRAPHIE. 399 des bouilleurs de cru ; elle a voté en principe le monopole de l'alcoo
atteintes d'affections nerveuses et en particulier d'hystérie. Nous croyons utile d'en placer la relation sous les yeux de
es idées régnantes. Dans les temps antiques, les lypéma- niaques se croyaient poursuivis par la colère des Euménides ou des d
il se rencontrait des hommes sérieux et véritablement instruits qui croyaient avoir des rap- ports immédiats avec la Divinité
cinations accessoires autres. C'est ainsi que certains visionnaires croient entendre un accom- pagnement de musique séraphi
qui ne puisse par- ticiper à ces désordres, comme ces mystiques qui croient savourer dans leur extase la manne céleste. Les
'ont plus la conscience de ce qui se passe dans leur intellect. Ils croient , en s'écoutant parler, n'être pas moins passifs
s ou aux êtres réels qui les entourent. « Une ancienne religieuse croyait que ses chats parlaient plusieurs langues. Elle
a- lomanie de certaines formes modernes, où le malade arrive à se croire Dieu mais par une série de déductions délirantes
ôt ces malades conservent la notion de leur unité psy- chique et se croient les intermédiaires entre la divinité et le genr
inées) et ils les répètent. Tantôt ils sont directement inspirés et croient à une sorte d'incarnation en eux, de possession
ar l'esprit qui leur adressait la parole. Ceux qui, en improvisant, croyaient obéir tout simplement à l'impulsion du souffle
olition et de l'automatisme, en arrivent très ordinaire- ment, à se croire eux-mêmes Dieu '. » La nature exacte de tous ce
doutes. Il semble à ces malades qu'on leur parle en pensée ; ils croient converser d'âme à âme, avec des interlocuteurs in
ter sur toutes les circonstances de la vie la petite affaire qu'ils croient avoir au coeur et à l'estomac et qui leur donne
t, dans ce cas, si bien établie que les administrations subalternes croyaient à un fonds spécial et que la municipalité de 1\
- 1>lanL la tranquillité des habitants. Cependant j'ai lieu de croire que pendant un an environ jus- qu'au mois de ni
nts en bas âge; c'est un aliéné atteint d'idées ambitieuses, qui se croit le comte Thibault, le premier comte de Blois, e
taine rigueur vis-à-vis d'eux (qui tient, peut-être, à ce qu'on les croit tous incurables). Si l'on a préparé pour eux une
t encore de l'horreur, de la crainte et, la superstition aidant, on croyait encore (certains y croient toujours) que leur m
a crainte et, la superstition aidant, on croyait encore (certains y croient toujours) que leur maladie était due à leurs fa
te que les névrites ne sont pas rares chez les tuberculeux ; il les croit causées par les toxines tuberculeuses qui, comme
étion de l'urine. C'est pourtant ce que faisait, ou du moins ce que croyait faire Antoneili. La vérité est que pour être ce
militaire, le rendrait plus staLle. Très bon soldat au régiment, on croyait qu'il allait faire sa carrière dans l'armée, RE
sÍ.l- tible, tout en ayant conscience de lagravité de ses actes, il croit qu'ils n'étaient pas sans faire plaisir à ses v
ns l'asile de Koenigsberg ! . - Quant au pro- gramme à suivre, nous croyons que ceux des Écoles municipales et des Écoles d
67 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
rs mois, des douleurs intercostales, ce qui, un instant, avait fait croire qu'il s'agissait là d'une simple névralgie interc
dans le marasme. Autopsie : carie de la Ve vertèbre dorsale. Nous croyons devoir résumer en quelques mots une observation d
es il une né- vralgie phrénique et des troubles vésicaux ayant fait croire à l'existence d'un calcul. Dans ce cas existait
r du réflexe lumineux. Bien que le malade soit alcoolique, l'auteur croit pouvoir rapporter tous ces accidents au mal sou
que avec douleurs névralgiformes intenses pourra parfaitement faire croire à une polynévrite. Nous avons trouvé cette erreur
par terre, peuvent, comme dans le cas de MM. Raymond etHuet, faire croire à la myopathie. Mais, à un examen plus minutieu
, dans leur bel article récent sur le « Rhumatisme chronique » (3), croient que dans certains cas le froid humide jouerait
fication est secondaire, compensatrice, peut-être curatrice. Pour croire justifiée cette hypothèse, nous nous appuyions su
ur le champ et d'un coup de main, il l'a tué, déplumé et mangé tout cru . Il ne comprend pas ce qu'il y a d'anormal dans
plusieurs se- maines de fièvre accompagnée de diarrhées, le médecin croyait que, peut-être, cette croissance rapide des ext
te de la maladie dont le pauvre garçon'était atteint. La plupart le croyait souffrant d'une maladie de coeur congénitale, d
aucun symptôme de cette dernière hypertrophie chez notre malade, je crois que nous avons le droit de poser la question, s
landule thymus ou thyroïdea comme Mendel, Dreschfeld et S1W pell le croient vraisemblable ? Voilà le coeur de la question d
nce si importante sur l'organisme, je me sens ce- pendant obligé de croire qu'il existe un certain rapport entre cette gland
de Bicêtre. « L'autorité est une raison d'examiner et non point de croire . » C'est un enseignement excellent que nous a l
talmiques qu'on rencontre si souvent dans l'époque archaïque firent croire que l'exophtalmie était une particularité natio
S ADOLESCENTS Il est, à l'heure actuelle, difficile de se refuser à croire au rachitisme tardif. On a longuement rapporté
éomalacie spéciale des côtes ; elle est telle que pour un pou on la croirait primitive, et que l'on mettrait la scoliose au
outeuse. Au point de vue de la pathogénie de cette hypotrophie nous croyons qu'il faut faire intervenir la lésion cardiaque
actuellement une bacillaire pulmonaire. Il n'est pas témé- raire de croire que sa double lésion mitrale reconnaît pour cause
nt, il nous semble que l'opinion de M. le professeur Marinesco. qui croit qu'un élément nerveux s'est ajouté au cours d'u
en au- cune façon, l'honneur de la publication. Mais il y a que je crois devoir, à ce sujet, présenter une pathogénie ab
tirant vigoureusement à soi les racines rachidiennes ? Si l'on a pu croire jusqu'à présent qu'il s'agissait de paralysies pa
une paralysie de plexus, ou funiculaire, ni terminale, comme on l'a cru jusqu'à ce jour. II. La paralysie des béquilles
dues de la partie antérieure du lobe temporal (PI. XXXII, 16). Nous croyons qu'il appartient à la couronne rayonnante cortici
iori, cette constatation semble en contradiction avec nos idées, on croirait plus vo- lontiers que cette dégénérescence dépe
tiennent à la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital. Nous croyons qu'elles font partie d'un faisceau à part, que
de la pâleur générale de la couche sagittale externe, mais nous ne croyons pas que l'on doit la considérer dégénérée. La c
inférieure du segment vertical de la couche sagittale externe. Nous croyons que ces fibres tirent leur origine du corps genou
our nous, à un système à part, c'est-à-dire au système visuel. Nous croyons que ses fibres tirent leur origine du corps gen
he sagittale interne se comporte exactement de la même façon ; nous croyons que dans le lobe occipital, cette couche ne ren
ce de la couche sagittale interne, des radiations thalamiques. Nous croyons donc que les fibres dont est constituée cette c
ns déjà parlé des radiations du corps quadrijumeau antérieur ; nous croyons qu'elles proviennent surtout, sinon exclusivement
ns observé une grosse dégénérescence du fais- ceau de Türck. Nous croyons donc que ce faisceau provient surtout de la parti
'admettons pas qu'il soit considéré propre à ce dernier lobe ; nous croyons même que c'est au niveau du carrefour ventricul
le qu'où a appliqué le terme de « faisceau occipito-frontal ». Nous croyons que toutes ces fibres sont des fibres de projec
rne et qu'elle se dirige en dedans au-dessus du corps calleux. Nous croyons que les fibres de projection (de beaucoup les p
ection, la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital ; nous croyons avoir précisé son origine dans le corps genouil
ion. Cette irrégularité est con- forme à la règle générale; nous ne croyons plus comme autrefois que, tandis que la voie py
fibres, à savoir, les fibres de la lame cornée, des fibres que nous croyons appartenir à la commissure antérieure et aussi qu
naisseht de la lèvre inférieure de la scissure calcarine, mais nous croyons que la plupart proviennent de la face externe d
résumé ne correspond pas mathématiquement à la réa- lité, mais nous croyons qu'il n'est pas inutile de schématiser ainsi, lor
antage sur cette dissociation du faisceau optique central, car nous croyons qu'elle, a prêté à beaucoup de confusion, qu'elle
es les plus externes de la cou- che sagittale externe, mais nous ne croyons pas que cet enchevêtrement soit très marqué, ou
nts de la couche sagittale externe occipitale, et c'est ce que nous croyons nous-même, exception faite, bien entendu, de leur
ographique, question d'intimité de voi- sinage. Mais ce que nous ne croyons pas, c'est que ces faisceaux soient propres au
nnelles sur les fibres d'association en général. Comme Beevor, nous croyons que le cingulum postérieur ou inférieur est in-
tique ceutral, ou même du faisceau longitudinal inférieur ? Nous ne croyons pas qu'il convienne de grouper ainsi les choses
tique central ne provient que du corps genouillé externe et nous ne croyons pas que les lésions de la couche optique retentis
çon remarquable avec le « faisceau longitudinal inférieur », - nous croyons que ces deux fais- ceaux ne font qu'un. On no
siblement du faisceau longitudinal d'une coupe normale. Nous nous croyons donc autorisé à déduire de toutes ces considérati
ns morte d'un cancer du rectum. Parmi les pièces de comparaison, je crois de- voir donner à ce cas une place à part ; en
passage à travers le foyer inflammatoire du nerf radiculaire. Je ne crois pas avoir mérité cette critique, carje n'ai ja-
ces fibres chez les animaux âgés ou moins bien portants laisserait croire qu'il s'agit en réalité d'une altération légère
araplégie avec rétraction considérable des membres inférieurs. Nous croyons devoir la donner ici en résumé pour en signaler l
e qu'on aurait trouvé dans ce cas des lésions musculaires, car nous croyons qu'il est im- possible d'expliquer par la minim
ui amènent le confinement au lit, et c'est parmi celles-ci que nous croyons pouvoir classer la démence et les cachexies.
es, les divisions dont elles sont le siège sont très marquées. Nous croyons qu'il s'agit ici d'un processus d'atrophie simp
spectif d'une paralysie générale à évolution régulière. M. Brissaud croit pouvoir établir que ce malade fut atteint, avan
is avant d'entrer plus avant dans la discussion des résultats, nous croyons d'abord nécessaire d'ex- poser le détail de nos
ons du système nerveux, l'exposé de nos propres constatations, nous croyons utile de passer une revue rapide des travaux an
res fibres dégénérées, il y avait aussi des gaines vides. Nous nous croyons donc en état de conclure que le processus de dégé
la suite de la destruction de leur pro- longement centripète. Il ne croit pas à une influence directe de l'acte opéra- to
u bout médullaire du chat IX sont des fibres régénérées. Nous ne le croyons pas, vu leur rareté relative, leur aspect le plus
hériques; peut-être disparaissent- elles plus lentement qu'on ne le croit généralement, car nous les avons consta- tées a
sus d'atrophie rétrograde jusqu'au voisinage de la cellule. Nous ne croyons pas de longs développements nécessaires pour mont
ar la différence de la lésion radiculaire dans les deux cas. Nous croyons pour notre part, qu'il résulte des faits précédem
différents. Une conclusion ferme nous paraît prématurée, mais nous croyons cependant que les ressemblances superficielles
Bouchard, s'exprime à ce même propos de la façon suivante : « Je ne crois pas, pour ma part, que cette infection (la syphi-
réditaire peut jouer dans ['étiologie de la sclérose en plaques. Il croit que la sy- philis héréditaire ne doit pas être
ement ses conclusions à l'interprétation des aphasies musicales. Il croyait pouvoir ainsi démontrer que son schéma sur le m
e. Bernard (4), dans sa thèse universitaire sur les aphasies, ne se crut pas autorisé à consacrer un cha- pitre spécial
les qui s'élevaient de ton jus- qu'à la dernière syllabe ; Hospital croit que cela provenait de l'hésitation de la parole
te avec la conservation et la perception des tons musicaux. Bernard croit que chez certains malades la surdité verbale pour
jouer), sans éprouver aucun symptôme d'aphasie verbale. ' . Nous croyons utile de signaler que ces deux cas d'amusie total
mu- sie pure totale hystérique » que nous avons observé et que nous croyons être le seul publié jusqu'ici. V. Amusies de
au plaisir sexuel, mais sans amener la satisfaction complète. Nous croyons que ces cas doivent se'considérer comme étant pro
0 PAHISOT ET ETIENNE « Rhumatisme diathésique sénile » ? Nous ne le croyons pas,malgré cer- tains points de contact : l'âge
r les rayons Rôntgen. En rapportant les résultats de cet examen, je crois bon de les comparer avec ceux qui furent décrit
féconde. La rédaction de la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière croit pouvoir trouver dans ses sentiments de reconnai
nstitut aient eu la pensée de le célébrer. Pour la pre- mière fois, croyons -nous, depuis sa fondation déjà ancienne, l'Académ
hallucinatoire chez un eunuque de l'asile égyptien d'Abbassie. J'ai cru pouvoir, en raison de la rareté des faits publi
versaux, puis, il laisse tout d'un coup tomber son talon, lorsqu'il croit être arrivé dans la bonne direction. Aux membres
orceau de glace n'est perçu qu'avec un notable retard, et la malade croit qu'on la touche avec un corps chaud. Membres su
ntes que nous avons déjà signalées autrefois et sur lesquelles nous croyons devoir à nouveau attirer l'attention. L'hypertr
ombault et Mallet,-sans qu'ils aient osé résoudre la question. Nous croyons qu'il faut faire des réserves sur cette hypothèse
ont nous avons pu nous rendre compte par nous-mêmes. Pierre Marie croit trouver une différence entre ses malades et les n
substance grise médullaire ; dans d'autres cas les plus nombreux on croit que cette affection est due à des lésions périphé
tion clinique de la syringomiélie. Il nous est permis, pourtant, de croire que ce très petit nombre de faits JARD1NI. MALA
Quoi qu'il en soit, le caractère même de la lésion rencontrée fait croire que ces constatations sont très rares parce que
de Dupuylren ? La présence des atrophies musculaires pourrait faire croire à une dif- S6 JARDIN formité d'origine myopat
n doit considérer comme des faits d'ordre ancien, les vues que nous croyons nouvelles et que nous avons expo- sées dans not
omme une très grande probabilité la manière de voir ci-contre. Nous croyons que la dégénérescence très intense des couches sa
ce temporale qui se poursuit jusqu'au noyau amygdalien, elle tient ( croyons -nous) à la section - non pas du faisceau longitud
niveau du pulvinar que le faisceau génicuto- calcarinien (que nous croyons digne d'être individualisé) se cantonne au seg-
éritable dans la résolution des problèmes anatomo-pathologiques, nous croyons que son importance a été de beaucoup exagérée.
ans de séparation ». Or, ce fait est extrêmement important et nous croyons utile d'ajouter que ce trait d'union n'emprunte
'une façon remarquable avec le faisceau longitudinal inférieur ; nous croyons que ces deux faisceaux ne font qu'un. » Admis !
cette capsule. Sans vouloir établir de limites très précises, nous croyons pouvoir dire que « le segment perpendiculaire d
psule interne. Bien que cela ne soit pas rigoureusement exact, nous croyons que la couche LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEU
d'après von Monakow, environ 80 0/0 des fibres rétiniennes. Nous croyons que ce ganglion primaire de la vision représente
ibres passent des noyaux centraux dans la bandelette optique ; nous croyons qu'elles proviennent du corps quadrijumeau antéri
quent ; ce sont les radiations cortico-genouillées externes. Nous ne croyons pas que ces radiations proviennent de la sphère
intra-cérébral ne provient que du corps genouillé externe. Nous ne croyons pas que le pulvinar et le corps quadrijumeau conc
corps ge- nouillé est le point de départ du second neurone et nous croyons qu'il est relié à son semblable par des fibres
terminal de prime importance, le noyau central du thalamus. Nous ne croyons pas que la voie sensitive in loto reparte de ce n
ÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL S85 guère douteux ; mais nous croyons qu'elle est rarement permanente et qu'elle tien
é à l'aide de libres commissurales et de fibres d'association. Nous croyons qu'il est très probable que le corps genouillé
nouillés sont reliés par un système commissural fort complexe; nous croyons que la commissure postérieure renferme un certain
ques se terminent dans les ganglions primaires de la vision et nous croyons que le corps genouillé externe envoie des fibre
nd neurone maculaire se rende à la corticalité cérébrale, mais nous croyons que la majorité de ses fibres passent dans les
avons pas l'in- tention de revenir sur ces faits, sur lesquels nous croyons avoir suffisamment insisté dans notre premier m
entricu- laire et viennent côtoyer sa paroi médiane ; de plus, nous croyons que cet entrecroisement n'intéresse qu'un nombr
ous semble inutile de poursuivre davantage cette comparaison ; nous croyons avoir démontré suffisamment que le faisceau optiq
nos idées, et nous obligeront ainsi à revenir sur un fait que nous croyons être de prime importance. Nous tenterons de dém
sur les alié nés arabes de l'asile indigène d'Abassieh(Egypte). Je crois avoir pu démon- trer que, contrairement à l'opi
de paralysie générale et sypliilitiques pour la plupart. Nous avons cru intéressant de donner ici les principales de ces
s dans ce recueil par Charcot, Paul Richer, Henry Meige. Mais je ne crois pas qu'on ait reproduit un aveugle de Gaudenzio
68 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt qu'était Tardieu, au point de vue de leur peu de fréquence et je crois au con- traire qu'ils sont bien moins rares qu'
nt le récit très explicite de sa simulation. Voici ce récit, que je crois devoir faiie connaître dès maintenant et dont j
mot utérus matrice, que à tort ou à raison les docteurs en médecine croyaient que le siège se trouvait dans la matrice ou ova
es dans la paume 'le la main et me raidissant il seule fin de faire croire à une contraction nerveuse, jetant l'estomac en
u'en présence d'une de ses crises, j'aurais à mon tour sans doute cru à son authenticité. Après quelques hésitations de
te à tout travail, ce qui était évidemment exces- sif. On aurait pu croire au premier abord qu'il était faible d'esprit eu
Dès qu'il n'obtenait pas sur-le-champ la satisfaction à laquelle il croyait avoir droit, il se posait en victime. Enfin il
r exactement à un imbé- cile et Cing... était loin d'en être un, je crus pouvoir démon- trer qu'elles étaient insuffisan
ns aller ainsi jus- qu'à la négation même de la folie morale, je me crus auto- risé valablement à affirmer que Cing... n
it pas eu un instant l'idée d'une simulation possible de Cing... et croit peut-être encore aujourd'hui à la folie de cet
tait pas douteux, suffisait à faire bon marché de l'objection. Je crus donc, avec la plus entière conviction clinique, q
ifs. Je prends la Salpêtrière, par exemple. Les matelas n'existent, croyons -nous, que dans un seul service, celui de 111. J
sens musculaire faisaient partie intégrante du syn- drome. Charcot crut pouvoir distinguer dans cette étroite région qu
ibres centripètes affectées au sens musculaire. Il y a tout lieu de croire cependant que comme les autres fibres sensitive
aux températures et vice versa. En examinant ses observations il croit pouvoir établir dans les types cliniques les di
i une confirmation de ces idées. Toutefois, s'il nous est permis de croire que les troubles du sens musculaire sont pour a
t comme elle superposée il la zone motrice proprement dite, Abba se croit en ' Henri Verger. Les anesthésies consécutives
Toute question de théorie mise à part il serait du reste inexact de croire que dans les processus perceptifs de la sensibili
remarquer Claparède, est encore assez mal étudié. Toutefois nous ne croyons pas comme lui que la perte du toucher actif soi
ucher actif une localisation corticale spéciale ? Bourdicault-Dumay croit pouvoir, sous toutes réserves du reste, localis
énal des sociétés actuelles, était universellement admis et où l'on croyait à la possibilité d'arriver par l'observation inté
résection du fémoro-cutané que vous a présenté Souques, étant, je crois , le seul existant jusqu'à présent, je crois intér
enté Souques, étant, je crois, le seul existant jusqu'à présent, je crois intéressant de vous présenter les deux faits in
is mugit et râle ; depuis le commencement de la peine s'est écoulé, croirait -on, une éternité, mais le surveillant ne crie q
delà de cet âge. Elle atteint également les deux sexes. Huntington croyait que la maladie était particulière à Long-Island
qu'il allait se précipiter dans la rue. L'aurait-il fait, comme le croit fermement sa femme, si elle ne l'en avait pas e
st qu'il me paraît très important aussi à un autre point de vue. Je crois qu'il va nous donner la clef d'une contradictio
dées de suicide dans la chorée héréditaire. Cependant, s'il faut en croire ces mêmes auteurs, car je n'ai pu me pro- curer
e du début est-il vraiment aussi régulier qu'on le dit ? Nous ne le croyons pas, car il est assez rarement mentionné par le
eux maladies ont évolué ensemble sur le même individu. Cependant je crois qu'on pourra toujours arriver par un examen soi
qué, ou de l'assistance familiale chez des nourriciers, quand on la croira fai- sable. M. Ergolsky s'en tient au système s
i existent, M. Ergolsky a commencé une enquête qui lui permet déjà, croit -il, de fixer : 4° le nombre général des places d'
compliquée, des bras et surtout des petits muscles des mains. On croit successivement à une atrophie musculaire progress
uniquement le déplacement de celles-ci. 11 y aurait plutôt lieu de croire qu'il représente une nouvelle voie, longue, cha
epsie n'est pas, il s'en faut de beaucoup, une nouveauté ; l'auteur croit néanmoins devoir publier l'observation d'un cas
faisant disparaître ses angoisses et ses impulsions. Il ne faut pas croire que la suggestion ne peut pas être efficace par
tion des centres kinesthésiques eux- mêmes. M. J. Soury incline à croire avec Bastian que les paralysies hys- tériques s
t en présence : celle des unicistes qui, avec Meynert et Koellileer, croient àl'unité struc- turale et fonctionnelle de la c
e aura définitivement triomphé du spiritualisme, M. Dalle- magne ne croit pas que le code pénal aura à subir des modificati
- plets. Il admet comme assez fréquente l'épilepsie larvée ; nous croyons au contraire qu'elle est très rare et que M. Chri
une petite quantité (6 à 8 hectolitres) provenant des bouilleurs de cru . L'absinthe entre aussi pour une notable proporti
ts, le jet de l'urine devenant de plus en plus filiforme, le malade croit à une affection de son canal de l'urèthre, et s
+ Les grosses lourdeurs ont passé + ça ne coule plus. Quel âge ? Je crois avoir vingt-un ans + J'ai des tiraillements dan
-)- J'ai la tête meurtrie + c'est lourd, mon cerveau est plein ? Je crois avoir vingt-un ans + Je respire mieux, dit-elle
st meurtri + c'est lourd ? Je ne me rappelle pas mon âge + J'ai, je crois , vingt-un ans, sans en être sûre + Les tempes m
rant plus ou moins longtemps ; elle voyait des hommes sous son lit, croyait qu'ils voulaient soulever ses jupons, cherchait
chance, tout incertain que soit le résultat. Personnellement, nous croyons que pendant l'intervention il faudra suivre la
tatées dans les faisceaux sensoriels de la moelle, on sera amené à croire que ses altérations sont plus fréquentes qu'on ne
nettes, eutune grippe et fut prise de fièvre et de coma, ce qui fit croire à des accidents méningitiques, l'existence de l
tion (méthode d'équivalents cliniques). Discussion. M. S. KORNILOFF croit que les lésions trouvées chez le deuxième malad
t aussi bien caractérisées que dans cette observation. En outre, il croit que son cas, confirme l'hypothsèe de Kahler et
at de la malade s'améliore rapidement (en dix jours). L'auteur ne croit pas que l'affection relève simplement d'une art
stinées aux noyaux moteurs du bulbe et de la moelle. Il faut plutôt croire que nous avons à faire dans cette obser- vation
n peut supposer également une myélite disséminée. m. MOURAIVIEFF ne croit pas qu'on puisse exclure dans la troisième obse
évoluer avec troubles minimes du côté de la sen- sibilité. M. HOTU croit que dans la troisième observation il peut bien
onnaire qui, après avoir rapporté que les « sau- vages » de ce pays croient aux sorciers, se livrent, au son des tambours,
aires, je commençai les cérémonies. J'arrivai aux questions : « - Crois -tu en Dieu le père, tout-puissant, créateur du ci
de la terre ? » - « Oui, » me répondit-il. » Je lui demandai : -. « Crois -tu en Jésus-Christ son fils unique ? », etc. Il m
encore affirmativement. Enfin, me voilà à la troisième question : « Crois -tu au Saint-Esprit ? » - Croyant sans doute que j
catho- lique se moquant des sauvages de Valley-River, parce qu'ils croient à la possession démoniaque, font des cérémonies
ence néfaste des sorciers et chasser le démon, - alors que lui-même croit au démon et que sa religion prescrit aussi des
tées par la méthode de Cox. Ayant en vue qu'il y a des auteurs, qui croient que les appendices collaté- raux se manifestent
nts nerveux, avec quoi non plus nous ne pouvons être d'accord. Nous croyons que l'état moniliforme des prolongements protop
es génitales ; ce dernier cas est particulièrement fréquent si j'en crois ma propre Archives, 2e série, t. IX. 19 290 C
elle a peur, elle entend autour d'elle des ennemis menaçants, elle croit que le diable va l'emporter en enfer. L'état pa
es actes. Le lendemain, toujours dominée par la peur du démon, elle croit entendre son enfant âgé de quatre ans lui dire
ne se rendant pas compte de ce qui s'était passé et ne voulant pas croire que son enfant fût mort. OBJETS DE PIÉTÉ COMME
ande tristesse. Il y a deux mois, en revenant d'une foire, il s'est cru poursuivi par quatre individus qui voulaient le
: il tremble, pousse des cris, voit du feu partout, a peur, écoute, croit qu'on vient pour le tuer, s'échappe et court à
. Il prétend que sa gorge a été bouchée par des bouchons de liège ; croit avoir une maladie qui lui a été donnée par un s
y décèlent. L'autre nuance trouvée par Bethe et Mann, qui leur fait croire à l'existence d'une substance toute différente,
ils uniformément associés ? 2° Manquent-ils dans des cas qu'on peut croire être de même nature. 3° Peuvent-ils se rencon
3° Peuvent-ils se rencontrer dans des cas qu'il y a des raisons de croire pathologiquement distincts. En réponse à la pre
'auteur a résumé lui-même, dans les conclusions suivantes, que nous croyons devoir reproduire textuellement, son très inté-
), on comprend pourquoi, en géné- ral, la suggestibilité hypnotique croit , en raison de la profondeur de sommeil provoqué
de sommeil provoqué. 14° Lorsque la suggestibilité hypnotique ne croit pas en raison de la profondeur du sommeil, c'est
ypnose n'est qu'une manifestation de la suggestibilité, il faudrait croire que ceux seuls qui possèdent à l'état de veille
les de présenter un somnambulisme profond, ce qui nous ramènerait à croire , avec Charcot, que les névrosés sont plus hypno
nt dans la plupart des phénomènes que nous obser- vons. De même, il croit , avec M. Durand (de Gros), que le mesmé- risme
té; il est parfois utile de le provoquer, mais il faut se garder de croire que l'efficacité de la thérapeutique suggestive
. Marie n'a jamais vu de cas de surdité verbale absolument pure. Il croit de tels cas exceptionnellement rares. Dans des se
eur attribue et même peut être à cause de leur disprécision, je les crois susceptibles d'être trompeuses. Je les ai vues,
ans l'intérêt des asiles et des aliénés eux- mêmes. A qui fera-t-on croire qu'un directeur-médecin, qui doit consacrer tou
mauvaises conditions hygiéniques et thérapeutiques actuelles. Je crois , du reste, que, partout, il y aurait avantage à c
ifiée et par cela même heureuse, dans les discussions auxquelles il croyait que ses connaissances spéciales lui permettaien
l fut un laborieux et un utile. On m'a dit, et, à l'avoir vu, je le crois , qu'il aimait la science pour elle-même, que so
avaler des choses très amères, il crache avec dégoût. Un troisième croit déguster de « l'ab- sinthe ». La sensation de c
nt rien d'anormal. 7 juin. - B... a très peu dormi cette nuit. Il croit toujours que, frère de Jésus, son heure est pro
rs de service l'exige, il doit changer de genre de service. Je ne crois pas que quelqu'un se permit de désobéir, si on lu
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 421 pas le moins du monde, comme on l'a cru , le long de la moelle jusqu'au cône irriguer to
une amélioration considérable soit une guérison complète. L'auteur croit fermement que les irritations périphériques son
gré de fréquence du tabes conju- gal chez les tabétiques mariés. Je crois cependant pouvoir affirmer que les cas de ce ge
nséquent, a des manifestations caractéristiques du tabes, pourra se croire simple- ment en proie à des douleurs rhumatisma
s pas par la peau ni les parties molles. Discussion : M. 13GRNSTEIN croit qu'il est plus correct de l'appe- ler « sensibi
ntoure s'hyperplasie d'une façon luxurieuse et, peut-être, comme le croit Ranvier, prend une part active à la segmentation
ans la pathogénie de la syringomyélie. Discussion : M. ! \1ouRAroFF croit que l'hérédité dans les affections de ce genre
omme hébétée, puis jeta un grand cri et tomba sans connaissance. On crut d'abord à un évanouissement. Mais tous les soin
» Ne ? Par une légère action de compression et de relâchement, il croit sentir « l'encens, oui, l'encens Les oreilles son
is qui se promène. Par l'excita- tion de la membrane pituitaire, il croit sentir « du soufre et des gaz ». La langue est
jetée dans la boite. Si la réponse ne lui parvient pas aussitôt, il croit avoir fait erreur d'adresse et écrit de nouveau.
lent au-ser- vice de cette épineuse question. Pourtant M. Vallon ne croit pas à cette hallucination provoquée. C'est une
s sont donc des hallucinations périphériques. - Maintenant que nous croyons avoir établi que nos alcoo- liques ont eu des h
c précoce. D'autre part les symptômes sont tels qu'il est permis de croire à l'existence d'une tumeur de l'hypophyse même
rate d'argent administré à l'intérieur; M. Raymond déclare qu'il ne croit pas à l'efficacité de ce médica- ment. Il lui p
de l'iris et des procès ciliaires, on n'est pas évidemment amené à croire que l'effort fait par l'oeil pour arriver à une
ou de quelques semaines, sont des cas rares. Aussi l'auteur a-t-il cru avec raison qu'il serait intéressant de publier
fait preuve d'un rigoureux esprit d'observation, et comme lui nous croyons que le langage articulé est le langage véritable,
69 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique qui préside au développement de l'atrophie du nerf optique, il croit à l'exis- tence d'une névrite optique interstit
paralysie générale, mais le manque de myopie, dans ce cas, porte à croire qu'elle n'y est pas étran- gère. 1 Caudron (P
longements, cellules dont la nature est très discutée et que nous croyons être des cellules de névroglie. On les rencontre
cette opinion 3. Charpentier,, Pitres et Régis', Lalanne sont, je crois , seuls en France à partager cette manière de voir
une courte période de doute conscient à ce sujet, il en arriva à se croire véritablement coupable et à raconter toutes les c
il l'accepte, il ne discute plus, ne doute guère et souvent même il croit . Cependant, son intelligence n'est pas absolume
ujourset me pousse au mal quand j'ai l'idée du bien », finit par se croire réellement le jouet d'un être malfaisant, d'un dé
nière de voir, applicable peut-être à quelques cas particuliers. Je croirais plus volontiers que les obses- sions qui peuven
m général de maladie du doute. Je serais d'ailleurs assez disposé à croire que la maladie du doute mériterait déjà de cons
Ajoutons à cela l'existence, beaucoup plus fréquente qu'on ne le croit , de phénomènes spéciaux d'automatisme sous form
nous ne les ignorons pas, mais ici comme pour les atrophies, nous croyons qu'il ne faut admettre qu'à bon escient un sembla
ès éprouvés qui ont conduit ces expériences, nous sommes portés à croire qu'on interprète mal les lois de l'hérédité, si l
ution frontale gauche, la fonction du langage articulé, M. Ladame a cru utile de relever ce point d'histoire de l'aphasie
out de la paralysie générale, se précipite. On doit donc, a priori, croire qu'il s'agit d'altérations très subtiles inacce
h et Wolff. Si l'on admet la première, qui parait certaine, si l'on croit aussi à l'entre-croisement partiel et à la term
tense de ce côté que du côté opposé. S'il existe du myosis, on peut croire au premier degré d'une lésion qui irrite celle
térique simulant la sclérose en plaques cérébello-spasmodiques, ils croient , en conséquence, que ce signe peut être différe
on tient à l'établissement, en 1875, du privilège des bouilleurs de cru et à la loi de 1880 autorisant l'ou- verture de
l donnait des signes de dérangement cérébral et l'on a tout lieu de croire que c'est dans un accès de fièvre chaude qu'il
évoués, une amélioration se produisit dans son état, et ses proches crurent à sa guérison et ils se relâchèrent de la surve
maison d'aliénés de notre ville. Les faits sont si graves que l'on croit que l'autorité religieuse elle-même demandera à c
ordial de ce groupe de folies comme thème, a un pre- mier avantage, croyons -nous, celui de comprendre les nom- breuses obse
'est l'aliénation des deux codélirants. Dans ce premier article, il croit en outre, que la folie à deux ne peut apparaîtr
mière comme une forme de transition avec la normale. M. Kinkel ne croit pas que les groupes individualisés de la folie
n 1879, donne bien l'opinion de l'époque à ce point de vue. « Je ne crois pas, disait-il, à la communica- tion proprement
lui avais dit; qu'il n'était pas allé chez le commissaire et qu'il croyait bien que sa maîtresse était gravement malade. D
en reçu des lettres de sa mère qui est à Dun, mais elle ne sait que croire . Malgré ses affirmations, ses idées de persécut
uvé aux environs du Père- Lachaise dont elle a entendu parler. Elle croit toujours à la réalité de ses anciennes persécut
itement irrespon- sable de l'acte qu'il aurait pu commettre. Nous croyons , en effet, que dans les folies imposées, les su
leur a, ajuste titre, donné le nom de syndromes épisodiques. Nous croyons nécessaire de rappeler dès à présent que sur ce
ogiques relatifs au mécanisme intime des opérations volitives, nous croyons cependant pouvoir affirmer' que l'élément volit
lonté pour résister à mes idées, je suis- dans un cercle d'où je ne crois pas pouvoir sortir. » Elle raconte toute sa vie
on continuelle et la tourmentent nuit et jour ; cette fois, elle se croit prête à leur céder, ce qui la pousse à nous dem
ncierge, et elle devait rendre les comptes au gérant, un jour, elle crut avoir donné une somme inférieure à celle qu'ell
utour de l'idée obsé- dante du doute et des billets de banque. Elle croit les apercevoir partout. A la vue des billets. e
la faisait suivre par la police ; amenée peu après à l'asile, elle croyait que des gens se trouvaient au-dessous de son li
lit, exprès pour la surveiller ; elle entendait leurs pas. Elle se croyait criminelle et demandait qu'on la punisse de sui
e cet exposé enfin, tel qu'il nous est montré par la clinique, nous croyons devoir faire ressortir quelques parti- cularité
ne détermine pas, chez tous, un degré identique de para- lysie. Il croit que le degré de ces désordres dans les affections
l'examen attentif du malade, cepen- dant au premier abord, on peut croire qu'il s'agit de dyspepsie flatulente. La marc
l 1900, mémoires dont il a été rendu compte à cette place. L'auteur croit à une diminution de la puissance de résistance
mme présentant les symptômes de l'excitation maniaque. On aurait pu croire à un accès de para- noïa aigu ou de manie inter
ôme pathogénomique des paralysies générales douteuses. M. Legrain croit que la paralysie générale n'est pas la seule af
t du tabès, dont nous connaissons des formes frustres. M. Legrain croit que plusieurs intoxications peuvent provoquer l
apparaît avec évidence sont assez rares encore pour que nous ayons cru devoir en présenter cet exemple. Micropsie chez
ant les traités de neurologie et les observations publiées, on peut croire que les troubles psychiques n'appartiennent pas
ation seule. Quelques auteurs qui ont écrit depuis sur ce sujet ont cru devoir y ranger tous les troubles nerveux qu'on
é, en cette circonstance, suivi par les autres observateurs, nous croyons utile d'insister à nouveau, sur la nécessité de s
r comme M. Truelle « psychoses, dites post-opératoires » ? Je ne le crois pas pour ma part, malgré le peu de fixité des s
upations hypocondriaques et les idées de négation ont disparu; « je croyais être malade, c'était des idées... quand on n'a
lectuel. La malade fait en outre des erreurs de personnalité : elle croit reconnaître sa belle-mère dans une des malades,
nviron trois semaines après celle-ci, les troubles commencent, elle croit que ses voisines délit, des gamines l'insultent
En 1895-96, un train où elle se trouvait ayant été tamponné, elle crut avoir reçu des lésions internes et se fit examine
la mort de sa mère. La malade raconte que sous le chloroforme, elle croyait sentir Archives, 2o série, t. XV. la 226 CLIN
ation particulière en somme satisfaisante, voit tout en noir. Il se croit atteint de cancer de l'estomac, a peur de manqu
e douleur occupe un point précis, toujours le même, et tout porte à croire qu'elle répond à une lésion locale du nerf ou d
he et une paralysie complète de la corde vocale gauche. M. Lépine croit qu'on peut affirmer le ramollissement de la pro
l'anatomie pathologique de la maladie de Friedreich tendant à faire croire qu'il s'agit souvent d'un véritable arrêt dans
est très faible. De l'analyse de ces différents symptômes, l'auteur croit devoir conclure à l'existence à la fois de troubl
sans amyotrophie, ni troubles de la sensibilité. L'auteur incline à croire que ces troubles sont dus non à une polynévrite
t les fibres qui vont de l'écorce à la VI, paire et celles que l'on croit unir entre eux les noyaux de la 111° et de la V
et aux muscles intéressés, qui les ont accompagnés, que l'auteur se croit autorisé à porterie diagnostic de polynévrite mo-
exophtalmique; par le D1' ÏEDRSCHI. De ces expériences, l'auteur croit pouvoir tirer les conclusions suivantes : 10
stupeur ou angoisse, hallucinations fréquentes, etc. M. Bienvenu croit que, dans ces cas, la cause delà dépression est
e sels de mercure dans le liquide céphato-rachidien. M. G. Ballet croit qu'il iaut ne faire d'injections intra-rachi- d
de laquelle on trouva des lésions du foie et des reins. M. PACTET croit qu'on porte très fréquemment le diagnostic de d
itement spécifique. Il applique d'ailleurs ce dernier traitement et croit à l'amélioration que les malades en retirent pa
lioration que les malades en retirent parce que peut-être il veut y croire et s'en donner au moins l'illusion. F. BossuER.
ira au plus haut point la domination d'un autre. L'enfant auquel on croit faire une suggestion à l'état de veille n'est p
d aux premiers temps de mon administra- tion, pendant lesquels j'ai cru devoir remplacer le personnel presque tout enti
ur l'étude d'une question qui intéresse tout le monde, la Société a cru pouvoir compter sur le concours du public. To
sté à toutes les observances'1 ». Les dévots médecins de Port-Royal crurent à un miracle. Nous pouvons aujourd'hui nous ren
e malade a reçu au-dessus de l'oeil droit un coup assez violent, et croit devoir attribuer sa névralgie el cette cause. T
ades actuellement en traitement, mais seulement lorsque nous nous y croirons autorisés par la consta- talion d'une améliorat
t qui nous offre un cas jus- 360 RECUEIL DE FAITS. qu'ici unique, croyons -nous, de paralysie générale chez une femme atte
otrice. De ces différentes constatations, MM. Vaschide et Vurpas se croient autorisés à ad- mettre : a. L'acte génital co
ant atteint le plus haut degré de cristallisation. M. Laroussinie croit que l'influence de la musique sur les cen- tres
ortion de 1/13. Cette affection est donc plus fréquente qu'on ne le croit généralement. Trépidation épileptoïde. MM.
re. Enfin étaler très peu sur la lamelle. Il ne faut d'ailleurs pas croire que la présence des lymphocytes carac- térise l
savoir se borner, car tout est transition dans la nature, et nous croyons avoir montré nous-même. dans notre thèse, que, en
que nous acceptons la critique de MM. Meige et Feindel et que nous croyons qu'il faut borner le domaine des tics à celui des
on. Tans, le 20 février 1903. Mon cher ami, Vous m'avez dit, je crois , qu'il était facile de faire admettre un petit
Celui-ci mourut eu effet deux jours après, le 4 novembre 1658. Je crois que l'hypothèse d'une farce dont Pierre Thomas
rs de suite, j'en avois autant de repos. Lorsque je commençons à me croire guéri, je recommençois à tousser, de manière à
t un pas ou deux dans la rivière et l'attrapa : ce qu'il a toujours cru être une chose miraculeuse, ainsi qu'il me l'a
énérescence. Le rapporteur fait encore dire à MM. Larger : « Qu'ils croient avoir démontré l'influence du sexe et, en parti
stinct dans la corne antérieure,' d'autres (Van Gehuchten, de Neef) croient que la localisation mo- trice est segmentaire;
ssion nouvelle plus conl'orme à l'observation scientifique. « Je ne crois à l'existence des choses que si elles nous four
Avril 1902.) Avant d'exposer les méthodes dont il s'agit, l'auteur croit devoir poser les principes généraux qui servent
es dortoirs, et sa moyenne est certainement très faible. L'au- teur croit que la sienne donne également des chiffres inféri
elle semble même être plus précoce que celle-ci; elle mérite donc, croyons -nous, de prendre place à côté de l'examen des l
s sur sa bouche avec du sucre ou d'autres aliments alléchants. Elle croit qu'on n'a jamais compris ce dont il s'agissait;
ception de l'hystérie qu'il qualifie de nouvelle, que nous avons cru intéressant de comparer ces deux travaux, cha-
à propos de l'anorexie nerveuse, « d'une psychose d'évolution qu'il croit infectieuse, comme la chlorose, l'ostéomyélite,
stifier son titre. Il apporte une définition de l'hystérie que nous croyons nouvelle et surtout inattaquable, une véritable
de dégénérescence au niveau de tous les muscles atrophiés. L'auteur crut pouvoir rattacher cette atrophie musculaire à u
la paupière chez un tabétique à longue évolution ( ? ) ; il tend à croire qu'il s'agit d'une lésion périphérique siégeant d
n trouble localisé dans la branche centrifuge de l'arc réflexe : il croit à une altération tonique du mouvement de conver
ices ou de leurs aboutis- sants relèvent d'une autre cause. Egger croit que la gaine de myéline joue le rôle de membrane
cédé de la sommation qui a fini par vaincre cette résistance. Egger croit que la plupart des anesthésies organiques sont
génital notamment est complet. La radiographie de la tête permet de croire que la selle turcique est fort élargie. La croi
avoir plus rien vu d'autre autour de lui. Il me rapelle Zola (je ne crois pas qu'il se fâche du parallèle avec un tel maî
lie de dire qu'il peint des exceptionnels. Si bien qu'à le lire, on croirait tous les Israélites d'Algérie bons à mettre à C
ès, elle se jetait à genoux devant un agent en uniforme en qui elle croyait voir le « Alessie » qui venait la chercher. Ce
e ne donnait plus signe de vie, mais le père respirait encore. On croit que le pauvre fou s'est éveillé et se croyant, co
70 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
re des suggestions hypnotiques et les représentations du rêve. » Je crois avoir assez développé cette idée pour n'avoir pas
ystérie ne contient pas toute la diathèse neuropathi-que (1) et je ne crois pas qu'on puisse identifier l'hystérie et l'hypno
e suggestibilité et l'hystériene doivent pas être identifiés. Je me crois donc autorisé à conclure ce chapitre par les prop
s facultés de son être ; il les grossit démesurément; dès lors, il se croit transformé, apte à vivre d'une façon plus intense
e pour une branche rencon- tree; il jure le nom du Dieu auquel il croit , pour un caillou placé sur son chemin; sa haine p
u'ils conçoivent de leur puissance physique. Un hypnologue dirait, je crois , qu'il y a.chezeux, « auto-suggestion ». Quoiqu'i
s, portant par dessus son masque, les lunettes du casseur de pierres, croit symboliser le progrès et la richesse, la richesse
te femme qui, ayant peur, se réfugie dans les bras d'un homme qu'elle croit tout-puissant, parce qu'il brûle le pavé : « Gabr
es reçues, une impression mixte qui donne une perspective faussée. Je crois bien me rappeler qu'un versificateur du siècle de
e que, dans la vitesse il y a de l'oubli! En fuyant dans l'espace, il croit fuir aussi dans le temps, laisser derrière lui, c
ents, envoyé de la boue; il est très malheureux de m'avoir contaminé, croit -il, car la boue est toujours une dilution de crac
es plaintes, des gémissements, comme, par exemple, chez cet homme qui croit être une quatrième fois chloroformisé pour une he
ent cette môme phrase : a Oh, je vous demande pardon ! » C'est qu'ils croient se réveiller dans leur chambre à coucher, comme a
ique est stupéfait, au réveil, de voir que je suis témoin de ce qu'il croit encore être une véritable aventure galante. Une a
se sont, comme le geai de la fable, revêtus des plumes du paon, nous croyons intéressant de rappeler ici le discours que M. le
lade n'était pas sûr du secret, il ne se ferait pas soigner. Je ne le crois pas le moins du monde, et j'ai déjà exprimé l'avi
a pas eu un seul syphilitique ? M. Cazaux (d'Eaux-Bonnes). — Je ne crois pas qu'il faille ainsi faire bon marché de l'infl
e couper le lignoux aux nouveaux-nés, dès leur naissance, parce qu'on croit qu'il empêcherait l'enfant de téter et plus tard
se sert de ses ciseaux de travail. « La même chose se pratique, je crois , dans quelques autres paroisses du pays Vannetois
éter. « Dans les couches profondes des superstitions populaires, on croit que couper le frein sans nécessité c'est offenser
le possèdent et chez qui on l'emprunte quand c'est nécessaire. « On croit généralement qu'on doit couper le frein de la lan
faire la statistique, mais, d'après mes renseignements personnels, je crois que leur nombre dépasse 12.000. Il a traité ave
ntes : 1° Ceux qui agissent uniquement par intérêt; ils sont, je le crois aussi, très rares; tout au plus les trouve-t-on p
tre Après ce préambule, j'aborde le sujet de ma communication. Je crois qu'il n'est pas inutile que nous insistions beauc
merveille. Permettez-moi de dire, à ce propos, que des confrères ont cru que je me proposais formellement de guérir une pa
e idée n'a jamais été la mienne. Au point de vue chirurgical, je ne crois pas que l'application de la suggestion soit de pr
lgation ne laisse pas de provoquer, sur les sujets atteints ou qui se croient atteints d'une maladie de même ordre, une impress
parition à peu près complète des crises avait pour un moment pu faire croire à la guérison. Le diagnostic de l'angine de poi
délibérée. Toutefois, avant que d'aborder le fond de mon sujet, je crois qu'il ne sera pas inutile de vous présenter le Co
il exerce à la campagne, — l'autre comme général; — celui-ci n'a pas cru devoir utiliser son diplôme. Les médecins milit
ire les lois, nous le retrouvons de temps en temps. Certains journaux croient de leur devoir d'établir, à propos des causes les
'étude s'est poursuivie jusqu'à nos jours. Certains observateurs se croient autorisés à affirmer que l'hystérie, névrose pure
a question de qualité ne cesse pas de le préoccuper, et il continue à croire sa situation anormale et inférieure à celle de to
ccasionnelle, et, en étudiant en détail la psychologie du sujet, j'ai cru pouvoir imputer à l'amour-propre excessif, poussé
is le malade — parait tout particulièrement assombrir l'avenir. Je ne crois pas à l'utilité d'une médication nerveuse ; en de
es qui remontent le long de l'œsophage et gagnent la langue : elle se croit atteinte d'une grave maladie qui siège dans cet o
'immobilisation amène dans la chorée la sedation des mouvements, nous croyons en outre que dans les états nerveux spasmodiques,
ement, et où il entre peut-être aussi une part de suggestion, mais je crois que son importance doit, dans beaucoup de cas, le
illements dans les lombes, dans les aines, une sensation qui lui fait croire que les viscères du bassin vont tomber, que la ma
pnotisation puisse être tentée avec quelque chance de succès. Je ne crois pas qu'on ait déjà, par le traitement psychologiq
nt, on doit bien attribuer à l'hypnose les succès de Rarey ; il ne le croit pas ; il admet tout au plus que l'on puisse les a
notisme chez le cheval dans ses nombreux et intéressants ouvrages; je crois même et, en cela, je ne pense pas commettre une i
téressantes ; nous devons les retenir, et je ne serais pas éloigné de croire que la musique constituera un des moyens les plus
part d'entre eux, toutes les espèces animales sont intelligentes; ils croient fermement que les êtres les plus rudimentaires, l
le et sœur de « l'âme d matérielle de l'homme. En le faisant, ils ont cru , comme les anciens adversaires de Descartes, comb
te des facultés intellectuelles à d'humbles gastéropodes et le second croit que le crabe est doué de raison. Une telle manièr
ont passé avant de se développer jusqu'à la pensée et la volonté. Je crois qu'en donnant ces précieuses indications, une tel
nstinctifs, de se souvenir du fonctionnement des autres organes. Nous croyons que l'intelligence est de la mémoire fonctionnell
onction et cette mémoire semble inséparable de la matière vivante. Je crois , en le disant, rester dans la voie tracée par mon
oique nous ignorions quelles sensations éprouvent les animaux, Preyer croit , par analogie, pouvoir admettre dans l'état en qu
ir au fond de leur être — et pourquoi pas puisque de grands esprits y croyaient ? — consiste d'abord à connaître, aussi exactement
disparaîtra à la date indiquée parles petits cartons, parce que vous croirez fermement qu'elle doit disparaître à celte époque
. ni plissement de la paupière inférieure. Il y a donc tout lieu de croire à une forme fruste de ptosis-pseudo-p&ralytîq
ébut de cet article, qu'il ne faudrait pas abuser de la suggestion ni croire qu'elle peut s'appliquer à tous les cas. Cependan
r, en breton) (s). C'est, par suite, une relique humaine, dont nous croyons intéressant de débrouiller l'histoire, car elle j
e-Traoun-Mériadec... » D'ailleurs, d'après la tradition, à laquelle croient tous les Créions, de façon absolue, il s'agit aus
-— Le pouce serait en Savoie* (3) Louis Tiercelin. —La Bretagne qui croit . Pardons et Pèlerinages {\- année). — Paris, A. L
Que l'Histoire est donc difficile à débrouiller! 2e Origine. — Nous croyons inutile d'expliquer ici comment, de façon extraor
n bien connue : Se mettre le « doigt » dans l'œil ! Toutefois, nous croyons pouvoir risquer l'hypothèse ci-dessous. — D'après
élève un murmure et, avec cette discipline pourtant absurde, la ville croit et se développe d'une manière extraordinaire. Les
e. En s'appuyant sur l'action de ces différentes substances, l'auteur croit pouvoir conclure, comme Danilewsky, que pendant l
nsidérations au sujet des phénomènes télégo-niques. Par exemple, on a cru y voir l'influence exercée sur la mère par le san
fermée au monde extérieur. » L'est-elle complètement, ainsi qu'on le croit et l'enseigne? C'est cette question que j'ai su
nt infructueux. On la considère comme morte. Au bout de 28 heures, on croit déjà sentir un peu l'odeur de la putréfaction. To
rit de mortification, se donne les apparences de la mort. Un autre se croit damné et pense accomplir son devoir en s'abstenan
n s'abstenant de toute manifestation extérieure. Un autre, encore, se croit possédé d'un malin esprit ; il fait un délire à f
es peines éternelles, réclame les sacrements, etc.; finalement, il se croit mort et reste dans la position du cadavre dans so
ont pu conjurer les prières adressées aux dieux. Les jeunes filles se croient abandonnées par la divinité et préfèrent renoncer
fait ressortir ce fait capital, que la prédisposition pour l'hypnose croit non seulement avec les progrès de l'inanition, ma
Si on a pu dire que le xix* siècle était le siècle de la science, je crois que l'on dira plus tard que le xx' siècle sera le
'il possède le pas classique et se moque de l'allure des autres qu'il croit mauvaise alors qu'elle résulte le plus souvent de
ar la chaleur, dans les hammams par exemple, est fort peu toxique. Je crois qu'il en est de même de celle produite par certai
emaines à un mois qu'elle apparaît : il faut se méfier de ceux qui se croient guéris au bout de quelques séances, ils sont vict
trop, jusque dans le choix des jouets que l'on donne aux enfants ; on croit leur faire plaisir surtout avec des jouets incrit
es émotions, mais nous n'aurions plus de plaisir artistique. Que l'on croie que les horreurs d'une tragédie se déroulent deva
rouve dans la manière dont la conception de l'utilité agit quand on a cru constater celte utilité. L'utilité sera nécessair
ttribue de l'autorité en la matière et en qui, à tort ou à raison, on croit posséder des experts devant l'opinion desquels on
t la tuberculose pulmonaire continue encore (pendant deux mois). Je crois que, sans l'hypnotisme, on n'aurait jamais pu obt
71 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eurs. Ce qu'on n'a pas vu, ce qu'on n'a pas touché du doigt, on n'y croit pas. C'est la doctrine sceptique dans toute sa
r les choses dans cette voie jusqu'à t'incré- dulité de parti pris. Croyons -nous, nous autres Pari- siens, à l'existence de
ections que beaucoup d'entre nous n'ont jamais rencontrées ? Nous y croyons très fermement cependant, forts de l'examen cri
boisson aristocratique'. Cela est important à relever, parce que je crois reconnaître l'histoire de notre malade dans une
il a été tour- menté par de terribles cauchemars dans lesquels il croyait . tomber dans des précipices, ou assister de nou-
entrent par le nez et sortent par la bouche. D'un autre côté, elle croit elle-même répandre une mauvaise odeur, c'est co
. se meut malgré lui au moment où parle la voix in- térieure. Je ne crois pas, ajoute M. Charcot, que les voix exté- rieu
RE MEMBRES. 31 semble, à la poitrine, à l'estomac ; je suis porté.à croire qu'il y a chez moi une double pensée. » M. Bail
portance et la nature de ces phénomènes. De tout ce qui précède, je crois pouvoir tirer les conclusions suivantes : 1°
sme. Mais il existait en outre des particu- larités qui méritaient, croyons -nous, d'être signalées : nous voulons parler de
issent brus- quement et les mains viennent frapper la poitrine ; on croirait la malade soumise à l'action d'un courant élect
tisme, pour nous arrêter sur certaines particularités qui méritent, croyons -nous, d'être mises en lu- mière. Rappelons somm
e. Les secousses brusques qu'a présentées notre malade peu- vent, croyons -nous, être rattachées à ce qu'un a décrit sous le
ousse plus ou moins violente, très brusque, très brève et qu'on eût cru produite par le passage d'un courant électrique
e courants électriques, d'un vomitif, d'une impres- sion vive. Nous croyons donc pouvoir admettre que les secous- ses const
ainsi que l'impossibilité de prouver l'opinion contraire, nous font croire , qu'après une section transversale et totale de
origine réelle les bandelettes de l'espace perforé postérieur. Je crois cependant y être arrivé : le faisceau peut être
sons au troisième arc, l'arc cérébral. Je n'ai pas la prétention de croire que ma description est à l'abri de toute critiq
es redressements ou à une description plus complète. Mais ce que je crois être en droit d'espérer, c'est qu'on admettra s
ans le système des commissures antéro-postérieures. En résumé, je crois pouvoir conclure que l'arc céré- bral est const
n reste encore à faire. Meynert, Luys sont avec Broca les seuls, je crois , qui le considèrent comme un fait t accompli. H
FovILLE : « Si les côtés de la voûte sont formés de ces piliers, je crois que les parties de son mi- lieu et celles qui l
ées par le Dl' Charcot, n'est probablement pas aussi rare qu'on l'a cru jusqu'ici. Les observations, sans être encore t
96 DEUX NOUVEAUX CAS D'ASTASIE-ABASIE. De prime abord, nous avons cru à l'existence d'une paraplégie hystérique vulga
La propriété épileptogène de l'écorce cérébrale, Albertoni avait cru pouvoir la localiser à la circonvolution postcruc
.. in Firenze. Firenze, 1882. 104 REVUE CRITIQUE. Chirone avait cru pouvoir conclure de ses expériences sur des pig
ffets de la cinchonidine explique les différences que Chirone avait cru observer. Sans nier que ces poisons, répandus d
érences de l'écorce avec les méninges. Ce serait donc une erreur de croire que, chaque fois qu'on observe l'épilepsie part
hez les délinquants, mais dans l'épilep- sic et la folie morale. Il croit qu'on pourrait expliquer la longévité des crimi
s convulsif débute et peut rester limité. Déjà Seppilli n'avait pas cru pouvoir assigner une lo- calisation anatomique
uelques régions et les accès diffus ? » Ainsi, ce clinicien italien croit aussi à l'identité de nature des deux formes d'
de Wiesbaden (1888) 2. Au cours de la discussion, Nothnagel a même cru devoir rappeler qu'il avait recommandé, il y a
opposée ; il leur attribue les mêmes propriétés épilep- togènes, et croit qu'ils peuvent devenir le point de départ de co
une simple affirma- tion dont la preuve reste à faire. M. Christian croit aujourd'hui, comme il le croyait en 1881, que l
a preuve reste à faire. M. Christian croit aujourd'hui, comme il le croyait en 1881, que la folie peut avoir pour résultat
s pensé mais, sans aller plus loin, ainsi que M. Marandon semble le croire . Ce qui prouve d'ailleurs surabondamment qu'à u
pédition régulière. « Aussi, le Conseil de la Société de prévoyance croit devoir por- =ter ces faits à la connaissance du
t près de 100,000 dollars de malades par- ticuliers payants et l'on croit que l'on y reçoit beaucoup trop de gens riches.
ainsi plaider successivement le pour et le contre, ce n'est pas, croyez -le bien, dans le puéril dessein d'étaler à plai
r, et ce dernier à l'axe médul- laire. Ce sont ces relations que je crois avoir établies et démontrées; mais sur ce point
l'olfaction une fonction d'ordre inférieur. Ce qui me porte à le croire , c'est que cette fonction s'exerce chez beaucou
roca, que l'homme doive être rangé parmi les anosmatiques, et je ne crois pas que nous en soyons réduits à ne posséder qu
qu'il s'est tué lui-même et cela n'a causé au- cune surprise. Je crois que cette perversion est une espèce particulière
femme atteinte de mutisme hystérique avec stupeur : et les auteurs croient devoir l'attribuer à un effet moral, à une auto-
n- tale entre l'alcoolisme chronique et la paralysie générale, et croient , comme autrefois, que la méningo-encéphalite est
un locus minoris resistenlioe résidant dans la cellule même, aussi croit -il à l'influence de la prédisposition héré- dit
roy et Magnan, admet l'altération de la cellule. Il persiste donc à croire que c'est là le substratum anatomique essentiel d
'a maintes fois prouvé. M. Charpen- 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. tier a cru devoir prendre le mot de persécuteur dans. son se
parence, le plus grand nombre des admissions immédiates aboutirait, croit l'orateur, à la diminution du nombre des aliéné
suggestion qui est un mode de traitement, plus ancien qu'on ne le croit . La suggestion est un mode très puissant, pour gu
de la peau. La localisation éveille l'idée de la pellagre, l'auteur croit que dans ce cas l'in- fluence de l'état du syst
EY. - Trépan dans un cas de paralysie générale. Il y a tout lieu de croire que le malade a bénéficié de l'intervention chiru
le corps trapézoïde. Les barbes du calamus sont, non pas, comme le croit Monakow, des faisceaux secondaires de l'auditif
e l'omoplate gauche et la colonne vertébrale; elle est pulsalile eL croit à vue d'oeil. Finalement héma. témèse, mort. Pe
en aucun cas, la seule cause psychopathogéné- tique. Nous tendons à croire que l'influenza a simplement donné un coup de f
des artères qui nourrissent ce lobe, et à l'anémie consécutive. Il croit que cette pathogénie expliquerait les hallucinati
ait dit plusieurs fois à sa mère qu'elle irait se noyer, mais on ne croyait pas à cette menace d'enfant, et rien ce jour-là
oyait pas à cette menace d'enfant, et rien ce jour-là ne peut faire croire qu'elle a mis sa menace à exécution, car en ren
ui trois coups de revolver. Il s'est ensuite suicidé. Ce malheureux croyait que ce prêtre, qui était intervenu dans un proc
ATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 301 I Mais il ne faudrait pas croire que la présence du sucre dans les urines puisse
uille toujours dire pseudo- tabes d'origine diabétique ? Nous ne le croyons pas. Nous pensons que, dans certains cas, l'int
ividu, rappelant au point de vue pathologique sa double origine. Je crois que des cas semblables doivent exister ; reste
ère, une sous-variété dans cette forme d'aliénation. Les malades se croient maintenant, sous l'influence de nouvelles modif
séparer le délire de persécution de la lypémanie, et de cela je ne crois pas qu'il faille lui faire un reproche. Il ne p
les arrête. Ils les acceptent toutes et les affirment. Aussi, je ne crois pas que le délire ambitieux s'installe peu à pe
ent mental. Il devient sombre, tacitnrne, s'isole de ses camarades, croit qu'on le regarde de tra- vers, qu'on chuchote s
n. Dans les premiers temps de son séjour il était très excité, se croyait entouré de communards venus pour lui faire un mau
dirait-on, est las d'avoir prêché dans le désert, de n'avoir été ni cru ni écouté; il se replie sur lui-même dans une s
de Graefe, etc. Dans tous les cas de cette catégorie, il s'agit, je crois , d'une affection du nerf trijumeau d'origine in
ment disparu, bien que certains points de l'examen puissent faire croire le contraire. En effet, il est facile de démontre
thographe. 11 y serait resté trois jours et faisait les courses. Il croit n'avoir eu qu'une seule attaque depuis sa sorti
de céleri. Il se mit à tourner autour de la table en étouffant (on croyait que c'était le morceau de salade); puis il tomb
t pris d'idées tristes voyant que sa maladie ne guérit pas. « Il se croit une charge pour tout le monde et dit qu'il se jet
Digestion. -Bon appétit. Quelquefois il mangeait énormément : e on croyait qu'il avait le ver solitaire ». Quand il est sur
' Enfin, à propos de ces deux nouveaux cas d'hystérie mâle, nous croyons utile de rappeler les cas que nous avons publiés
ces tumeurs et surtout leur dis- position symétrique permettent de croire qu'on se trouve ici en présence de tumeurs de n
névrose ou une psychose préexis- tante ? MM. Deventer et Mispelbaum croient que l'influenza cons- titue le coup de fouet do
lam- mation des parties atteintes par l'atrophie, on est autorisé à croire qu'il existe une connexion entre le pédoncule c
ntmlbl., 1890. Discussion. M. OPPENIIEIM, pas plus que M. Remak, ne croit à l'étiologie traumatique du tabès. M. Remak ci
sur ce ehapitre d'importants restes à annuler. Les imprudents ! ils croient ainsi réduire les dépenses départemen- tales, q
il est curable, et cela par économie autant que par humanité2. Je crois en conséquence avec le professeur Pierret que le
et garantira les nominations, les traitements et les retraites, je crois que le recrutement par le con- cours serait pre
é- liore pas la situation matérielle des adjoints, car elle est, je crois , la cause principale de la pénurie de candidats
e trois mille francs et de.quatre mille après quatre ans. Eh bien ? croit -on sérieusement que ces émoluments de saute-rui
es, on risquerait fort de n'engendrer que paressse et stérilité. Je crois , en effet, les savants un peu plus hommes, et m
pages qui suivent sur les diverses sortes d'hallucinations. Mais je crois utile de signaler les passages sur les hallucin
, d'écrire pour les gens du monde, que pour le public médical. Je crois qu'il a eu tort, car sa monographie claire, métho
ais, dans sa préci- pitation, il n'en prit qu'une faible partie. On croit que le meurtrier est un morphinomane. Il déclar
72 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
documen- taire. Conclusions. Des observations précédentes nous croyons pouvoir tirer quelques conclusions, d'autant plus
Elle continue à être grossière avec ses compagnes, quand elle ne se croit pas entendue. Elle a une tendance très marquée
compression était la plus forte, le canal était oblitéré. L'auteur croit qu'avant que ne s'effectuât la compression de la
, et que Straehuber appelle l'axochroinalénine ' ? Userait tenté de croire , comme ce dernier auteur, qu'il s'agit, non de
e de la protubérance, mais pas l'ltémianee- thésie. 11 y a lieu de, croire qu'il y a eu lésion du côté droit de la protubé
de semblables troubles angio-tropho-neurotiques, l'auteur incline à croire qu'en réalité les altérations névritiques, sivo
t de côté et d'aufu sur le réseau vasculaire épiscléral, qu'on peut croire à un tremblement continu de l'oeil entier. N'at
sion des selles et de celle des gaz. L'occlusion intestinale étaità croire , mais l'inconstance de l'effet évacuateur des d
ne proportion de 68,08 %. Parmi les causes occasionnelles, l'auteur croit qu'il faut placer en première ligne les chagrin
ires dans le domaine du sciatique poplité externe. 31. Lovvenleld croit aune lésion simultanée des corncsanterieu- res
lep- tiformes peut-être contiliales, peut-être d'origine urémiipie, croit reconnaître formellement des personnes, des loc
une fille qu'il a délaissée pour épouser sa femme. Cependant il ne croit pas lui avoir fait tort. Mais il s'imagine avoi
- vons à aucun moment remarqué quoi que ce soit qui per- mette de croire à l'existence du processus inverse. La pa- noph
également relever vers celte époque -entre''0 et 21 ans, si nous en croyons le malade, qui ne nous fournit pas de date bien
ans l'escalier. Il lirait des coups do rovolver par la cheminée. 11 croyait qu'on lui riait au nez. Il avait, disait-il, re
sons aussi à ce sujet dans les ateliers où il travaillait. Toujours croyait -il quelqu'un qui lui en voulait. Et entre temps
igé contre lui, auquel celle femme était associée pour le voler. Il croyait parfois entendre des bruits de baiser. Il la fr
art des peurs nocturnes, des cauchemars, de mauvaises choses ;it il croit tomber dans des précipices ; il entend des fusi
ient il apporter dans le recrutement des in- ternes. J'ai d'abord cru que c'était par erreur qu'un exemplaire de cett
nts. Nous serons extrêmement sensibles iL ce procède nouveau, et je crois pouvoir affirmer à l'a- vance que le savant rap
tel Asile occupe un directeur-méde- cin et un adjoint, par exemple, croient que cela l'ait deux médecins, nous savons bien,
le principe même de la question, principe que tout le monde pouvait croire depuis longtemps indiscutable, le rapporteur se
vivons ! Les adjoints d'aujourd'hui veulent être les maî- tres ; croyez -vous qu'ils demandent un service ! pourquoi pas
chie, mes sentiments de très haute déférence envers mes chefs, jonc crois blesser personne en rappelant quel- ques-unes d
s aux asiles, depuis longtemps les aliénés sont des malades et l'on croit qu'ils sont soignés. Combien de gensémincnts et
efforts de quelques rares aliénistes. las travaux de Lasègue. on ne croyait pas encore que l'étude de la folie put cons- ti
ela est vrai ; et le nouveau plein de zèle petit adjoint, qui avait cru met- tre en pratique toutes les choses si intér
temps absolument perdu pour l'assistance des aliénés, on pourrait croire que. du moins, il lui sert d'apprentissage 120
pe Le tubercule quadrijumeau antérieur. 11 y a aussi des raisons de croire que noire centre de divergence cortical postéri
eclementélucidés que par l'influence des rayons N. » ;\1. BECHTEREW croit également Ù la réalité de la devinalion de la p
Louche le moins la capacité de dénommer les objets. Il y a lieu de croire , quanlaux images mentales des objets, que lorsq
ors de trouble dans les complexus conceptuels verbaux, il faut bien croire à un foyer occupant des postes rela- tivement l
s adjuvants, des éléments s provocateurs. Il n'y a pas de raison de croire à une auto-intoxication par résorption des produi
ffuses permettent de penser à la paralysie générale. M. Vallon ne croit pas que le diagnostic de folie circulatoire soi
laire. Dans l'un des cas communiqués aujourd'hui, l'escharre sa- cru avait été provoqué par un furoncle. 150 , SOCIÉ
n"fJul'nl'c de l'sl'hal'J'l' dan la Jlaral"sie générale, mais, s'il croit que des mesures de prophylaxie soi- gneusement
lU'a\I'C certains soins, on peut souvent, les éviter. M. Toulouse croit que les escharres, étant le plus souvent la con
hasie transitoire ôtaitdue à l'intoxication morphinique. - M. Ritti croit que le titre qui conviendrait le mieux à la com-
du ces deux états dontl'independancc est plus fréquente qu'on ne le croit . La puissance peut exister sans le désir, de mê
re recueillis dans l'élablissemoni de Mellray (In- dl'r-rL-Loil'e), cru \ : qui COllll1ll'l[l'nL qnelqUl's l'odaiLs sonl 1
t multiplier les exemples, mais il est certains phénomènes que nous croyons devoir leur assimiler et sur lesquels nous nous
er au négativisme une explication plus satisfai- sante ? Nous ne le croyons pas. Chaque fois qu'on l'ali- mente, il est vra
çoit que le désarroi intellectuel est moins grand qu'on pourrait le croire au premier abord. / Les néolosgimes qui sont fr
auses ' favorisantes de la démence précoce, nous sommes portés il croire que cette habitude est moins une causc qu'un ef
dont les éléments sont encore tout hypothétiques, il y a lieu de croire que ces phénomènes sont sous la dépendance d'un
ites-vous ? etc.» Mais les réponses lui importent peu : et quand on croit lui avoir donné sa- STÉRÉOTYPIE DES DÉMENTS PRÉ
reste absolument impassible, 'étala fixité atone de son regard, on croirait entendre parler une som- nambule. Aussitôt fait
pparition aussi tardive qu'on n 212 CLINIQUE MENTALE. pourrait le croire . En effet si elles sont l'expression d'un résid
qui garde le silence pour expier les fautes imaginaires dont il se croit coupable, chez tel autre qui craint de comprome
e rai- deur catatonique, flexibilité cireuse ou négativisme. Nous croyons donc pouvoir déduire de ce qui précède cette no
de pituitaire d'a- près ilIihalko\ics, Kupffer, Xubsbaum, permet de croire ce qui suit. t. Ou la poche de Secssel, conse
avec le reste de la coupe transverse non dégénérée. Il y a lieu de croire que le territoire du faisceau pyramidal con- ti
des réflexes, tout cela élimine une lésion des nerfs. Tout porte à croire à l'existence de la dégénérescence des fibres mus
état de l'écepth ilé lout spécial du sterne nerveux et tout porte à croire que sous l'influence d'une cause occasionnelle
tre la même. Pour les malades ayant moins de deux ans de séjour, je crois qu'un médecin ne peut pas véritablement suivre
gnent à touclieràcesujef particulièrement délicat et douloureux; je crois ne pas devoir retenir par devers moi des renseign
isque d'augmenter la progéniture. Ils sont plus nombreux qu'on peut croire , ceux qui admettent celle erreur. Les accouch
se moucher plusieurs fois. Il lui est arrivé plusieurs fois qu'il a cru sentir qu'une hèle l'a mordu brusquement aux ja
'est inslallé et des hal- lucinalions sont apparues. Elle a d'abord cru que tout le monde la regardait de travers, et s
u'r·lLea\ait Ivitrle ses vêtenu·nls ; elle les aurait distri- hues, croit -elle, aux passants, avec ses clefs et son argent.
cri- ture, le calcul, etc., et cela avec, plus de succès qu'on ne croirait tout d'abord ; nous pourrions citer tel de nos
ccès qu'on ne STATISTIQUE ET ENSEIGNEMENT DES ENFANTS IDIOTS. 285 croirait tout d'abord ; nous pourrions citer tel de nos él
cilabilité galvanique directe. On aurait encore bien des raisons de croire que sa précocité et son intensité in- diquent u
ie impossible. L'au- leur, en raison de la rapidité de l'évolution, croit a l'action d'une toxine sécrétée par la glande
normaux et 328 correspondance. honnêtes. Mais il ne faudrait pas croire que les idées morales justes coïncident nécessa
ment que la vision bino- culaire est toujours sollicitée ? Je ne le crois pas. Car la vision binoculaire n'existe réellem
urement objectif, met en cause, la personnalité propre du sujet qui croit se reconnaître dans une personnalité étrangère.
audine en ménage et Claudine ci Paris. Lc texte l'intéressa et elle crut reconnaître une analogie mar- (IUl'l' entre ses
ipal du livre. Puis l'analogie devint une identité et Mlle X..., se crut incarnée dans le personnage de Claudine. Non pa
rés mystiques ne se rencontrent pas seulement. comme on pourrait le croire , dans les asiles d'aliénés : ils emplissent ces
pas chemin. Les religions ont fait du bien et ont l'ait du et je crois qu'aujourd'hui, en se dressant devant la science,
our sa propulsion des muscles qui entourent cet os, ceux-ci s'ac- crurent jusqu'à former d'énormes masses richement ir- r
nt a une conséquence qui mérite de retenir votre attention.. J'ai cru pouvoir poser en loi que le protoplasma de tout
, Kôlliker et Ramon y Cajal. Sans revenir aux arguments que j'ai cru devoir oppo- ser, dans le Progrès médical, à ce
pathologique dans le cerveau elles ménin- ges. Il y a donc lieu de croire à un simple retard du développe- ment cl'rl'bml
maux, pour le différencier du mensonge des hystériques. M. Vallon croit que le mot de ((mensonge» impliquerait l'idée de
n d'eux a fini par tom- ber dans la mélancolie... "" M. Christian croit que le malade de M. Antheaume est un dé- bile i
ment il celle de)1. Antheaumr. - )1. BERNARD a connu un aliéné qui croyait avoir changé de sexe et sentir remuer son utéru
des était attirée par des tableaux indicateurs. Nous n'avons pas cru devoir nous en tenir là el, poursuivant la série
x, médecin-directeur. cl. le Dr Chocreaux rappelle au début qu'il a cru néces- saire de conserver, dans son rapport méd
aniser nous pourrions di- re organiser-- n'a pas subi de réduction, croyons -nous. Il n'est peut-être pas encore suffisant.
out d'abord, de ce que nous avons observé, j'ai tout lieu de ne pas croire il l'abolition d'emblée des réflexes iriens dan
réflexe tous les jours et même plutôt deux fois qu'une par jour. Je crois qu'en procédant ainsi on constaterait que dans
t glisser soit en avant, soit en arrière du corps étranger et faire croire , comme nous l'avons vu dans l'une de nos observ
es, c'est-à-dire de volume en général restreint, il ne faudrait pas croire que ces derniers offrent moins de danger que le
'application du traite- ment est faite de bonne heure; s'il faut en croire les médico-pé- dagogues, c'est a parlir de deux
résoudre. « 1243 malades y ont été traités en 1903. A qui fera-t-on croire à la possibilité d'un traitement vraiment série
la promenade. Le nombre des aliénés de la Seine était de 24. Nous croyons que l'Asile n'en reçoit plus. -Le produit des t
ture des deux ra- dius causée par les liens trop serrés qu'on avait cru devoir lui ap- pliquer au dehors, comme cela se
très im- portante. « Cependant, est une question sur laquelle je crois utile de re- venir, bien qu'elle ait été traité
soudaine de notre savant et estimé collègue, Nous ne voulions pas y croire ; cependant il fallut bien se rendre à l'éviden
par le médecin en chef. - Ce système sera-t-il parfait ? je ne le crois pas. 11 me paraît ce- pendant représenter une s
lettre bien longue et qui, d'ailleurs, vient trop lard, et veuillez croire à mes sentiments dévoués. ,. . NGL.1DE. Votre
73 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oulagement d'apprendre qu'ils n'étaient pas, ainsi qu'ils l'avaient cru , les seuls à en avoir souffert. D'habitude, cet
ds des passants. Rougit' devant un étalagera, l'idée qu'on pourrait croire qu'il peut voler.des objets exposés.. Rougit dans
it, afin de détour- ner l'attention de l'interlocuteur, et de faire croire qu'il est occupé d'autre chose que de sa rougeu
rouve timides, ridicules, qu'on les prenne pour des ivrognes, qu'on croie qu'ils ont fait un mauvais coup, qu'on se moque
n'y a pas chez lui équi- libre entre le cerveau et le sang ». Il se croit « un malheureux martyr par la souffrance morale
l'état dans lequel je suis que peu ci peu. Ma propre famille a, je crois , beaucoup contribué à développer cette affectio
l'âme, la patrie, l'honneur, la vertu, le désintéres- sement, je ne crois pas un traître mot. Heureux encore quand je me
e chose, il avait beau dire qu'il n'en était pas coupable, on ne le croyait pas, parce que « sa rougeur le trahissait », di
sychopatiques. comme l'obsession, est plus considérable qu'on ne le croit généralement, plus considérable môme que celui
ndiquer que le paroxysme émotif n'est pas, autant qu'on pourrait le croire , de prime abord, sous la dépendance de l'idée.
rs même que je songe à rougir, cela m'est impossible. » C'est là, croyons -nous, une preuve péremptoire que l'idée ne suff
à des résultats probants. D'ores et déjà, il est permis d'affirmer, croyons -nous, que, dans l'obsession de la rougeur, comm
tardif de la personnalité plus ou moins net. Le malade peut même se croire triple comme le prêtre d'Esquirol qui se figura
s et fait des incantations bizarres sur tout ce qui l'entoure. Elle croit ainsi créer le monde à nouveau ; son langage, l
ifications analogues de l'écriture peuvent s'observer chez ceux qui croient écrire sous la dictée de Dieu et sentent leur m
récit. Un médecin dont le délire remonte à plus de dix années, se croit le messager de Dieu, il s'intitule Edouard, le ba
arle et raisonne sainement, sans aucune idée délirante, ce qui fait croire aux personnes qui l'en- tourent qu'il est tout
ne peu intelligente, trouve qu'il est un homme d'un grand esprit et croit à son génie. Il est probable que les éléments d
ces individus qui, avec des apparences de logique et de raison, se croient l'objet d'injustices imaginaires et, sous l'emp
ion aiguë du centre bulbaire de l'hypoglosse. On est donc obligé de croire à une lésion centrale ayant très fortement attein
ux qui réagissent d'ailleurs au courant électrique direct. L'auteur croit cette atrophie d'origine périphérique, malgré l'a
trophie d'origine périphérique, malgré l'atro- phie ; il tendrait à croire à une compression périostique de nature rachiti
es ou sa profession aucune cause prédisposante. Force est donc de croire à la qualité particulièrement nuisible et à la qu
nt où l'infirmier le levait pour faire son lit. M. Charpentier ne croit pas que les escarres soient aussi rares que le
mort subite s'observe beaucoup plus souvent qu'on est tenté de le croire . M. A. Voisin ne couche ses paralytiques qu'à l
ns où le décubitus lie pouvait déterminer de pression. M. C.r,ncr croit aussi à la fréquence des morts subites anatomique
du monde. On était alors con- vaincu, et nombreux sont ceux qui le croient encore, que la guérison de la folie nécessitait
j'ai raconté déjà ailleurs, dans les Annales d'hygiène publique, je crois , comment dans l'établis- sement où j'ai fait mo
ou se figure qu'elle l'abandonne, ou DES VISITES DES FAMILLES 83 croit qu'il est un misérable qui mérite d'être répudié
ses con- ceptions délirantes ou souffre d'un abandon auquel il ne croyait pas. Quoi d'étonnant, dès lors, qu'une visite tar
pas dans leur intégralité les idées nous vellesqueje défends, qu'on croirait bon de rompre pour certains aliénés les relatio
à petit ont compris l'innocuité de ces promenades et aujourd'hui je crois que toutes les appréhensions sont dissipées. Je
erait dans toute l'épaisseur de la substance grise. Golgi incline à croire que ces innombrables ramifications des prolonge
'est un peu départi de son scepticisme scientifique; il parle et il croit qu'on a le droit de parler, de cellules montées
ra avec les éléments d'autres régions cérébrales. C'est ce qu'avait cru observer Gudden. Mais en enlevant les sphères v
Gol;i : 112 PATHOLOGIE NERVEUSE z En manière de conclusion, je me crois autorisé à soutenir que les prolongements proto
à la direction des prolongements protoplasmiques, Golgi avait donc cru observer chez ceux-ci une « tendance à se porter
entre les diverses provinces du système nerveux cen- tral. » Il ne croit plus, pour la même raison, que « la fusion ou l
voir ces rapports. Le peu qu'on sait autorise pourtant pleinement à croire qu' * une seule fibre nerveuse peut avoir des rap
ent déli- mitées de distribution des fibres nerveuses ». Mais Golgi croit tou- jours à l'existence de ce qu'il appelle de
ogique. Mais il révoque en doute, toujours d'après ce qu'il a vu ou croit savoir, bien des faits qui chaque jour prennent
chlorhydrate de spermine à la dose de 25 centigrammes par jour et croient devoir leur attribuer la guérison de leur malade.
n Reil au pied ou étage inférieur du pédoncule cérébral. 11 est à à croire qu'il y a union directe, sans entre-croisement du
u (à base périphérique postérieure) dans la moelle sacrée. Barbacci croit que ce sont les fibres de la virgule de Schultz
e « sa place est dans une prison » et non dans un asile; mais il le croit dangereux et ne demande pas sa sortie pour cett
érose, sur laquelle nous avons personnellement insisté, l'auteur ne croit pas que les hémorragies des muqueuses dans la n
a. névrose CÉRÉBRO-C.\RDIAQUE; par Jean-Hippolyte GOUDAUD. L'auteur croit , avec Krishaber et le professeur Dieulafoy, que l
araissent insuffisants pour conclure de même façon que lui, et nous croyons qu'il est préférable d'admettre, comme on le fa
ouvenez que lors de notre séance du 12 mai dernier nous n'avons pas cru devoir nous montrer favorables à deux demandes
ez la généralité des gens, elles pourront se présenter quoique nous croyions que cela soit extrêmement difficile. ' Voir les
i évite d'être écrasé par les chevaux, voitures, tramways etc. » Il croit que c'est un péché grave que^d'avoir des relati
une femme. Il aime ses parents et ses frère et soeur, quoiqu'il se croit bien supérieur à eux intellectuellement. L'instin
investiga le rêve des sourds-muets dans un but distinct du nôtre, croit voir en lui un moteur. Ce cas est vraiment anorma
rapport avec l'état pathologique antérieur. Pour nous résumer nous croyons pouvoir conclure de ce qui précède que, à côté
. 105).. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 183 s'agit ici d'une dame qui croyait avoir communié en état de péché mortel. Le déli
olie religieuse et l'excitation sexuelle à tel point qu'on pourrait croire que ce sont les mêmes cellules cérébrales qui pré
me s'est introduite dans son corps. Une femme anesthésique sexuelle croit qu'une autre se substitue à elle dans son propr
. cit., p. 80, 81. Sérieux, thèse Paris, 1888.) Un homme agénésique croira aux sorciers noueurs d'aiguillettes.' Comme l
à des idées délirantes mystiques. Une débile, ancienne religieuse, croit avoir avec le Christ des rapports ab ore (Délir
in personnage n'est pas toujours aussi immatériel qu'on le pourrait croire » (p. 590, loc. cit.). Aux perturbations de la
de de Morel, citée par M. Ritti (La folie à double forme) . Elle se croit tour à tour religieuse ou prostituée. (Obs. XVI
rales, les abcès du cerveau, la mé- ningite. A ce propos, M. Jacoby croit devoir signaler un fait encore peu remarqué, c'
er 1896.) L'auteur résume son opinion sous la forme suivante : il croit que l'homme est en moyenne moins exposé à la fo
avant l'internement. Quatre ans après, l'autre frère et la soeur se croient égalemeut persécutés : ils prétendent tous trois
é générale et spéciale. De là ses déterminations possibles, et nous croyons pouvoir ajouter fréquentes et variées, sur les
et l'odorat sont touchés beaucoup plus souvent qu'on ne saurait le croire en lisant les ouvrages classiques ? C'est ainsi
ataxiques, ce qui n'est pas rare, ne soit pas reconnue, on peut se croire en présence du délire de persécution dans sa fo
otre attention, comme étant spéciale au sujet de ce mémoire. Nous croyons que le tabétique peut pâtir du côté du goût et
lleux relient, au moyen de leurs collatérales, non pas, comme on le croyait , deux points symétriques de deux hémisphères, m
. L'anatomie pathologique et la méthode de Fleclisi,- permettent de croire , quant à la terminaison inférieure de ces fibres,
Les cellules chro- mophiles représentent sans doute, comme Nissl le croit , un état fonctionnel de la cellule nerveuse, pe
ncidence des groupes pyramidaux actifs dans la perception. Cajal ne croit pas possible de pousser plus avant l'ana- lyse
les fibres de la névroglie ne sont pas élastiques, comme on l'avait cru par erreur (Gerlach). Les fibres de névroglie se
se iscbémique) ne contiennent pas, dit Weigert, ainsi qu'il l'avait cru , de tissu conjonctif, mais des masses considérabl
latérales entrent en con- tact avec les dendrites. Mais le moyeu de croire que les courants nerveux sont transmis au hasar
ent si largement réalisées pour la bonne direction, s'il fallait en croire ces auteurs, des courants nerveux, dans des centr
même, et qu'elle ne sait pas ce qu'elle parait savoir, mais qu'elle croit le savoir. Ainsi, pour sauver cette théorie, qui
une doctrine : les magistrats n'en sont pas moins restés enclins à croire ou qu'il n'y a pas de science médicale exacte,
sont des affections rares. Mais il n'est pas aussi facile qu'on le croit au premier abord de démontrer la nature inflamm
corce des hémorragies plus anciennes, en petit nombre, que l'auteur croit elles-mêmes de date peu éloignée. Pas de' micro
biceps gauche dont néanmoins la paralysie est persistante, l'auteur croit que le plexus doit être atteint au-dessus de la
, indique qu'il n'y a pas de méningite, comme on serait tenté de le croire ; elle a de plus une grande valeur pronostique,
cider avec la même arme. Son père était aliéné; lui-même, débauché, croit -on, par un homme qui occcupait la même chambre
appeler des hallu- cinations rectifiées ; car jamais le malade n'a cru à l'existence réelle des choses qu'il voyait, e
r la folie épileptique d'après la forme du délire ? - Wildermuth le croit , en se basant sur les points suivants : début b
elles de l'épilepsie. D'accord avec Oppenheim et Bruns, Fürstner ne croit pas à l'immunité des enfants à l'égard de l'hysté
e l'intelligence était beaucoup moins atteinte qu'on aurait pu le croire d'après l'état de stupidité apparente. L'humeur é
, les troubles de la parole et les symptômes physiques. L'auteur se croit autorisé à admettre entre la paralysie générale
rappro- chant des granulations de Ehrlich, ce qui tendrait à faire croire qu'il ne s'agit pas d'éléments vivants, mais de
stieu. Je désirerais seulement mettre deux points en lumière. Je ne crois pas, en premier lieu, qu'il y ait eu de la part
t bien décrit ce qu'ils ont vu, mais ce qu'ils ont vu tenait, je le crois , moins à la maladie elle-même qu'à une tout aut
e d'asiles doivent se faire une singulière idée de nos parloirs, on croirait vraiment assis- ter à une scène de l'enfer de D
recevoir leur dernier souffle ; la création de cette pièce aurait, croyons -nous, une tout autre utilité qu'un parloir dans
la population. Celle de Neuilly ne s'en plaint pas, je veux bien le croire ; cela prouve qu'elle a un bon caractère et une
plus fréquente chez les femmes que chez les hommes porte aussi à y croire . La plupart des médecins en Finlande sont du mê
entourage peut aisément le devenir par lui. Quant au café, l'auteur croit qu'il a en Finlande une plus grande impor- tanc
s D'HYSTÉRIE ; par le professeur Pitres. Les nosologistes anciens croyaient avoir trouvé dans la perte ou la conservation d
se. Quanta l'origine hématomyélique de cette dernière, M. Mouratoff croit que les cas de Schulze ne donnent rien que des
74 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E. différente. Baillarger', un peu plus tard, aborda nettement et crut pouvoir résoudre la question. Il avait, pensait-i
nce que les deux maladies ont sur la marche l'une de l'autre, il ne croit pas possible de « rien pres- sentir à cet égard
elle, il considère que dans le plus grand nombre de ces cas où l'on croirait à première vue à l'existence de cette associati
nutieuse des coupes aux différentes régions de la moelle peut faire croire à un tabes légitime alors qu'une étude mieux co
le peu de lésions des racines postérieures d'autre part. Nous nous croyons autorisé à penser qu'il s'agit ici, tout au moi
des fibres endogènes. Telles sont les considérations que nous avons cru bon de présenter sur ce cas, qui, comme on le v
moelle montrait des lésions telles qu'on aurait pu facilement les croire caractéristiques du tabes spinal postérieur ; un
la vue et de l'ouie et quelques interprétations fausses; la malade croyait que tout le monde s'occupait d'elle, qu'on riai
de sa pre- mière communion elle avait des scrupules, plus taid elle croyait ne pas bien faire ; elle se rendait compte de»
sse brusquement de travailler; elle présente une anxiété énorme, se croit damnée, voit les maisons brûler, tomber eu ruin
ce que je suis, mais j'existais. a - Avez-vous été mariée ? - Je le crois , je ne me rappelle plus. Quel est le nom de vot
a vue.» Pendant plusieurs jours elle reste agitée et anxieuse; elle croit qu'on écrit sa condamnation, qu'on va la faire
lus persistantes, elle voit de drôles de choses auteur d'elle, elle croit voir le feu; mais tout cela est. éloigné mainte
lme, lucide, active, mais toujours un peu déprimée moralement. Elle croit toujours ne pas remplir convenablement la lâche q
y a là une hallucination et non simplement une illusion) , elle la croit tombée malade dans cette cave, car elle ne l'en
un esprit du mal qui a fait le monde; la religion à laquelle elle a cru n'existe pas. Parfois elle se demande si elle n
on vient dire que ce ne sont pas eux, c'est une fantasmagorie. Elle croyait au martyre, mais elle ne croyait pas à un marty
eux, c'est une fantasmagorie. Elle croyait au martyre, mais elle ne croyait pas à un martyre semblable. Mais elle espère auss
le sera la journée ? Quelle qu'elle soit, je vous l'offre... » Elle croit que son mari a livré ses enfants sans savoir à
rre, mais dans la lune, tout en sachant qu'elle est à l'asile. Elle croit avoir des bêles au-dessus de la tête et ayant tro
qui ont été émises à un mo- ment donné par la malade , comme de se croire trans- portée dans la lune, idées qui apparaiss
ci cède vite lorsque la réaction vient à l'emporter. Il ne faut pas croire non plus qu'on se remet d'un travail mental fat
trophient et éprouvent peut-être aussi d'autres modifica- tions. Il croit encore la trouver dans les résultats d'expérience
romateux avec des troubles moteurs et sensitivo-sensoriels qui font croire à une hémorragie méningée à gauche. Trois jours
, d'Heilly, Chantemesse, etc.) supporte au moins des exceptions, ou croire , avec Blanchi, que ce centre siège dans la deux
t, et surtout a fait, de si terribles ravages. M. Charcot incline à croire qu'ils sont la conséquence de la névrite post-v
schburg. (Zeilsch1'i{t sur hypnotismus, t. IV, fasc. 5.) L'auteur croit que l'hypnotisme est un agent thérapeutique pré
sans aucune idée préconçue, j'en suis fort aise pour eux ; mais je crois alors à une fausse interprétation des cas qu'il
arthritiques. Les premières sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne croit ; quant aux secondes, elles sont plus qu'hypoth
M. ARNAUD admet l'existence de paralysie sans délire, mais ne la croit pas très fréquente. M. Charpentier. L'inconscie
médecins, n'avaient aucune conscience de leur bredouille- ment. Il croit , comme M. Christian, que le délire paralytique es
l- tration de cellules rondes parfois si considérable que l'on se croit en présence d'un processus gommeux, franchement s
élire systématisé, parfois atténué ou dissi- mulé au point de faire croire à une convalescence, parfois accom- pagné d'exc
mauvais parti; en réalité, elle espérait ne pas se blesser et faire croire que son mari l'avait jetée par la fenêtre. Cett
sentiment de la personnalité prédominaient nettement ; la malade se croyait douée d'une très grande intelligence, de talents
passager, comme il arrive souvent en pareille occurrence, que je crus prudent de prolonger la séquestration; je ne me d
manger; erreur de personnalité; pleure quand une gardienne qu'elle croit sa parente s'éloigne; doit avoir des hallucinat
cérébraux par l'intermédiaire des centres vaso-moteurs du bulbe. Il croit plutôt que les produits toxiques agissent direc
rement non impétueuse, incomplète, ou inversement. Tous les auteurs croient à des lésions vasculaires; l'observation de Bra
e, le malade tombe brusquement dans un état coma- teux et meurt. On croit qu'il s'agit d'une seconde hémorrhagie cérébral
ait toujours soin de supprimer tout médicament. Mais il ne faut pas croire que cet emmagasinage reste perpétuel dans les m
il y avait bien moins de CI après l'administration du Br. De là à croire que c'est l'appauvrissement de l'organisme en Cl
même il une distance éloignée, les résultats sont satisfaisants. Il croit aussi que si le goitre, lorsqu'il existe, avait d
mogastrique. Les faits cliniques démontrent que c'est une erreur de croire que le sympathique cervical, une fois coupé, va
e n'a été émis sur la nature de l'affection. Dans les autres cas on croyait avoir affaire à une tumeur cérébrale (Westphal,
omine notablement dans l'âge jeune. 180 CLINIQUE NERVEUSE. nous croyons indispensable de résumer les données d'au- tops
droits il y avait un tel amas de capillaires néoformés qu'on aurait cru voir un tissu caverneux. Mais en ce qui conce
erait enclin à SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. H ! 3 croire que la névroglie qui forme la couche périphérique
ndépendance de caractère absolue, dit ce qu'il a constaté, ce qu'il croit être la vérité, et qui, ne sortant pas des limite
ombe plus particulière- ment à l'intervention. Voici comment nous croyons devoirdiviser le sujet : après avoir passé en r
es qui les poussent à demander à la chirurgie des opérations qu'ils croient utiles et qu'ils recherchent par simple fantais
par des chirurgiens militaires. Ce n'est pas là nn oubli, mais, je crois , la constatation de l'absence de psychoses post-
agnan, tout en reconnaissant qu'il existe d'autres cas de ce genre, croit cependant que la dégénérescence n'a qu'une influe
lis héréditaire ne doit pas être négligée, loin de là. M. JoFFROY croit qu'il est imprudent de refuser à la dégénéres-
Ballet, pas plus que moi, n'en ont vu d'exemples. M. Motet. - Je crois que la conclusion qui se dégage des com- munica
sseoir au milieu de nous. « Mesdames, « Un vieux proverbe qu'on croit oriental, mais que je suppose- rais plus volont
rend hommage en ces termes à ses prédécesseurs : bienfaiteurs. Je croirais manquer au devoir de la reconnaissance, si je n
usculaires, la démarche classique de l'ataxique; méconnue elle fait croire à une impotence du malade plus grande que ne le c
ces ambitieuses et propensions aux réactions violentes. On pourrait croire à l'existence d'une relation étroite entre l'op
emplacer par des grilles les murs avec sauts-de-loup des préaux. Je crois que les galeries présentent beaucoup d'avantage
emplacées par des chambres d'isolement cubant environ 35 mètres. Je crois que nulle part, à moins de cas exceptionnels, e
sur l'infirmerie spéciale du Dépôt. (L'Aurore du 4 juillet.) Nous croyons qu'il serait possible d'éviter des scènes aussi p
es les plus bénignes, ses traits cliniques caractéristi- ` ques. Il croit donc qu'il y a exagération à classer comme lèpr
e ces faits, de la coexistence d'une polynévrile; mais l'auteur ne' croit pouvoir expli- quer la physionomie des accident
enne-Aran. Malgré l'absence de troubles de la sensibilité, l'auteur croit pouvoir ratta- cher cette amyotropie à une syri
ntaire dans trois cas de tabes dorsal spasmodique. M. van Gehuchten croit pouvoir en conclure que le phénomène des orteil
hypnose soit une modalité hystérique artificiellement provoquée. Il croit qu'il existe bien une région frontière où l'hys
région frontière où l'hystérie empiète sur l'hypno- tisme, mais il croit aussi à l'autonomie de ces deux états. LworF. L
disposition des groupements cellulaires chromatolysés les auteurs croient pouvoir conclure : 1° Que les noyaux d'innervat
e qui peuvent déterminer le myxoedème post-opératoire. Si l'on a pu croire que les troubles mentaux sont plus fréquents da
de l'alcoolisme, etc. Relativement à la seconde question, l'auteur croit que les rêves peuvent produire la folie de deux
accumulation des paroxysmes pendant les heures vespérales permet de croire que l'arrêt physiologique est dû à l'action des
phobies neurasthéniques paraissent avoir, non, comme on pourrait le croire , un point de départ psychique, c'est-à-dire cor
on. M. W. MOURATOw, en se basant sur ses observations personnelles, croit que la syringomyélie et l'hydrocéphalie chro- n
ez lui, il se montre anxieux, manifeste des idées mélancoliques, se croit perdu de réputation et refuse complètement de sor
ans l'alcoolisme. Nous ne pouvons souscrire à cette opinion et nous croyons que c'est une faute d'aller jusqu'à nier l'acti
'empoisonner. Pour se mettre à l'abri des persécutions dont elle se croit victime, elle quitte le domicile conjugal pour
ois, mais rare- ment complète et durable. M. Grasset et M. Cullerre croient que les troubles de la sensibilité sont à peu p
ns entière- ment ont-ils écrit, la manière de voir de Mindel qui ne croit pas possible d'arriver à une formule générale e
des pieds hype- resthésiée et du reste du pied normale. Inutile, croyons -nous, de multiplier ces citations ; celles que
e faciale. M. Bernhardt a critiqué la théorie de l'auteur, semblant croire que ce dernier attribuait exclusivement à l'irr
rophie progressive, et non pas, comme il le pensait, et comme on le croit trop généralement encore, une maladie : l'atrop
n phénomène passif, fait de simple voisinage comme on pourrait le croire . Les cellules nerveuses qui présentent ce phénomè
plus grand diamètre supérieur à 1 millimètre. A première vue, on se croirait en présence d'un foyer de ramollissement néerob
e de la sclérose cérébrale. Après ce qui vient d'être dit nous nous croyons autorisé à pouvoir formuler les conclusions sui
exécuter, b) parce qu'il s'accompagne d'une illusion qui nous fait croire à notre libre arbitre. Lorsque je me retourne v
érescences secondaires et des altérations périvasculalres permet de croire à une intlam- mation subaiguë. uns. Il.- Phén
rceaux étudiés, est le fruit d'un surmenage musical. Sinon, on peut croire que la cérébras- thénie forte produit directeme
autres que le système nerveux. En l'absence temporaire, j'aime à le croire , d'une nosologie des folles basée sur l'anatomi
auvre, progression qu'on ne constate point dans la classe riche. Je crois que ce fait est dû à ce que la classe riche peut
en des pensées dont le malade méconnaît l'origine personnelle : il croit n'en être pas l'auteur, il les extériorise et l
: en bas, il a laissé une partie de l'ascendante. L'auteur tend à croire qu'un traumatisme a, à l'âge de trois mois, pro
survécu après une indisposition de quelques jours, d'où l'auteur se croit autorisé à conclure qu'une portion même très pe
les sensitives est moins exceptionnelle que l'on serait tenté de le croire puisque l'auteur en a relevé vingt-trois exempl
pa- thogènes et spécialement de pyogènes communs. Cela peut faire croire que si l'on doit admettre réellement un délire ai
fois, par exemple, sont véritablement tares, plus rares qu'on ne le croit ait. M. Perrier en a relevé 33 seulement sur 2.
e médecine légale à la Faculté de Bahia (Brésil). M. Vina-Rodrigues croit avec M. Marandon de Montyel, « qu'il y a eu pré
dans cette théorie d'apparence d'ailleurs si rationnelle ? Je ne le crois pas, je dois le déclarer. ;\1. irlaharev icz sout
75 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion didactique une idée exacte des troubles en question. Nous avons cru devoir nous servir du terme bégaiement pour dés
e et Dr... à sa seconde. D'après les faits qui précédent, nous nous croyons autorisés à affirmer l'existence d'un bégaiemen
aire à une chorée rythmée. Est-ce un paramyoclonus multiple ? Je ne crois pas non plus, bien que les analyses et les diff
ues en question peuvent être fort atté- nués, et il ne faudrait pas croire en forçant les analogies, que tous ceux qui pré
tant le numéro du wagon par celui du com- partiment. Que de gens se croient obligés de compter, lorsqu'ils passent devant t
ué, débute rarement à un âge aussi avancé, vingt-huit ans. Il est à croire qu'entre quatre ans et vingt-huit ans, le malad
a femme étant morte depuis qu'il est à l'asile, il n'a pas voulu le croire , malgré les lettres annonçant la perte qu'il ve
tion. On le tient enfermé pour lui prendre son bien. 11 ne veut pas croire que sa femme soit morte, parce qu'on n'aurait p
à personne. Ne gardant aucun souvenir de ses accès de fureur, il ne croit pas à leur existence et ne se sait pas dange- r
a conséquence d'une hérédité similaire ou dissemblable ? Je ne le crois pas. Les renseignements sur les antécédents, de
s qui ont successivement prédominé. Disons seulement qu'après avoir cru que le point de départ du processus épilep- tiq
bornées et il faut surtout éviter les hypo- thèses hasardées et je crois , qu'avec les acquisitions actuelles véritableme
atif des quatre observations contenues dans ce travail, les auteurs croient pouvoir conclure que les signes les plus fréque
ipètes est pour 111. Jen- drassik d'ordre central. Ces deux savants croient à l'origine infec- tieuse d'une semblable affec
uter concerne une erreur de diag- nostic ; on avait toute raison de croire à une hystérie chez une imbécile, il n'existait
n quelques secondes une amélioration telle qu'un ins- tant l'auteur crut à une simulation, mais la marche de la maladie,
e. de la rage, il s'est laissé aller à ses accès et s'est fermement cru paralysé. Observation II. - G. M..., trente-h
la forme de demi-lunes ; les autres, *de polygones. M. Ro- senheim croit , comme Ehrlich et Westphal, qu'elles émanent des
eBurdach dont le développement précède celui du noyau de Goll, nous croyons que les fibres du noyau de Goll qui se développ
uelles ; mais l'élément religieux ne faisait pas défaut : le malade croyait avoir commis un péché impardonnable et se consi
du nouveau-né, tant les gaines de myéline ont diminué de volume; on croirait assister aux premières périodes de développemen
te des cellules araignées isolées, mais sans qu'on soit en droit de croire à une hyperplasie du tissu conjonctif et encore
rsécutés électriques qui méritent d'être signalés, ce sont ceux qui croient avoir subi un choc électrique et qui simulent d
peut-être de porter un pronostic un peu plus favorable. Mais c'est, croyons -nous, la seule valeur réelle qu'on puisse lui a
Du groupement de tous ces faits que nous venons d'examiner, nous croyons que l'on peut tirer quelques conclusions qu'ils
ée- de mouvements anormaux. Cet ensemble de preuves suffit, je le crois , à écarter la paralysie agitante. Puisque le tr
notre malade, le double diagnostic symptomatique et nosologique. Je crois cependant qu'il nous reste encore, pour conclur
que à forme de tremble- ment sénile. Nous pouvons affirmer, je le crois , que notre malade est une hystérique ! Non pas
'entoure quelquefois, déclare qu'il y a plus d'hystériques qu'on ne croit généralement; d'après lui, bien [des maladies c
Quels sont, chez notre malade, les symptômes qui pourraient faire croire à une lésion et, si elle existait, où faudrait-il
qui est plus obscur, c'est le siège de cette paralysie : la malade croit se rappeler que les traits étaient déviés vers
de Benedikt. Nous aurions donc affaire aune lésion du pédoncule. Je crois toutefois qu'il est bon d'être encore réservé e
ne variété d'apo- plexie hystérique. Quoi qu'il en soit, nous avons cru utile d'appeler l'attention sur ce point pour q
e Jendrassik peut d'ailleurs rappeler celte disparité alors qu'on croyait le phénomène du genou absolument absent d'un côté
la fréquence de la syphilis chez les paralytiques généraux. Mais il croit la vraie paralysie générale syphilitique fort r
ement restant sans influence sur l'une comme sur l'autre. M. RIST croit que les différences qui existent dans les statist
uter des questions au questionnaire en préparation. M. MALF1LATRE croit la distinction très difficile à établir. Les ob
sprit plutôt que sur des raisons bien probantes. M. MO11EL-LAVALLÉE croit qu'il existe une véritable relation de cause à
nisme. Bientôt survinrent des idées de persécution, de jalousie. Il croyait voir des vers dans ses petits abcès cutanéset l
ui était cause de tout. M. Séglas a observé un malade analogue, qui croyait aussi avoir des insectes sous la peau et les ex
tous cas, ce n'est pas une raison pour ne pas la demander si on la croit bonne. On procède alors au vote sur les deux qu
s soit d'apo- plexie soit d'une autre affection cérébrale grave. Je crois qu'il y a lieu de songer à des causes éloignées
vées considérablement par l'influenza. Mais il ne faut pas toujours croire que l'influenza les a déterminées de toutes piè
castrer les criminels et certains aliénés. Cette manière de faire, croit -il, serait bien plus utile que la prison, pour am
liorer la race humaine et éviter sûrement l'hérédité criminelle. 11 croit que l'intérêt bien compris de la société exige
r l'amour du public pour le merveilleux. Le New-York medical Record croit que l'arrivée de ce personnage est due à ce que
ous ne sommes malheureuse- ment pas aussi avancés en ce sens que le croit le journal améri- cain : nous attendons encore
peut être parfois sous la dépendance de cette névrose. Mais j'ai cru devoir faire la remarque précédente pour bien m
ans cesse et sans raison le cadre de l'hystérie. Il y a en somme, croyons -nous, un double écueil qu'il faut éviter dans l
ns, mais non pas des reproductions véritables. En somme, on peut, croyons -nous, établir la règle suivante : la suggestion
cette époque n'est plus revenu à la consultation et il y a lieu de croire qu'il est guéri, car, comme il habite Paris, il
ensations que lorsque ces phénomènes se produisent spontanément. Je crois utile d'insister à ce sujet sur ce que la premi
satisfaisants qu'aient paru les résultats de ces expériences nous croyons ne devoir les accepter qu'avec réserves pour le
ntribué à la confirmation et à la généralisation d'une loi que je crois vraie. C'est dans le but d'arriver à ce dernier
l'entreprendre. Comme cela demandera un certain temps, je n'ai pas cru devoir différer la publication de ce mémoire, e
ra au moins les quelques faits anatomiques que je signale et que je crois nouveaux. Je dis « je crois » par ce qu'à notre
ts anatomiques que je signale et que je crois nouveaux. Je dis « je crois » par ce qu'à notre époque de découvertes inint
34 . . ANATOMIE. En définitive, en invoquant l'appel de Broca, je crois devoir m'applaudir d'avoir suivi la marche que
s posses- sion de mon terrain, j'ai pu me rendre compte - ou j'ai cru me rendre compte des dissidences, des négations
tions ou irradiations des nerfs optiques et olfactifs ? Je ne le crois pas; je n'y vois qu'une simple modifica- tion.
J'ai en effet, rencontré plusieurs fois cette disposition, dont je crois pouvoir donner l'explication suivante : Ces d
er la discussion de faits qui se déga- gent de nos recherches, nous croyons utile de donner quelques détails sur les résult
fférentielle, varient suivant la méthode employée. Aussi nous avons cru nécessaire d'entreprendre une série de recherch
de l'expé- rience restant rigoureusement identiques que nous nous crûmes autorisés pour le moment à ne pas pour- suivre
n autre fait vient à l'appui de ce principe fonda- mental, que nous croyons pouvoir établir. On pourrait croire que tout pr
cipe fonda- mental, que nous croyons pouvoir établir. On pourrait croire que tout processus pathologique intéressant un
vons institué un certain nombre d'expériences de ce genre, que nous croyons utile de résumer dans le chapitre suivant. De
grand nombre de ces malades, que nous avons examinés, nous ne nous croyons pas autorisés à déduire de nos recherches une l
ous nous proposons de revenir sur ce sujet ultérieure- ment. Nous croyons utile de donner ici quelques résultats de nos e
ébut de nos recherches une grande importance à ce symptôme que nous crûmes être de grande valeur pour le diagnostic différ
tion présente pour nous assez d'intérêt par lui même, pour que nous croyons utile de le communiquer ici; 2° Comme on l'a fa
ex- périences que nous avons instituées à cet effet, nous ne nous croyons pas autorisés à déduire de nos recherches DE LA
ayant paru de nature à influencer l'état mental de la malade, nous croyons intéressant d'en dire quelques mots en passant.
tremblement nerveux s'ensuivait qui la secouait tout entière. Elle croyait , dans ses douleurs, avoir des jarretières qui l
but de la maladie), elle se reportait très loin en ar- rière : elle croyait parfois qu'elle allait encore à l'école; elle p
e son fils, mais elle demandait l'autre petit Henri, car elle ne le croyait pas aussi grand, disant qu'il avait dix à douze
, et que, loin d'avoir affaire à une démente, comme on pouvait le croire au premier abord, nous sommes en face d'une affec
deux nouvelles images, une auditive, l'autre kinesthé- tique. Nous croyons avoir atteint ainsi un maximum d'intensité pour
à la localisation spéciale des fonctions sur l'écorce cérébrale, je crois utile, même nécessaire de considérer l'effet de
ns cérébrales partielles chez l'homme, nous avons quelque raison de croire que si les hémis- phères étaient entièrement en
qui portent justement son nom, a fourni de puissantes raisons pour croire que certaines circonvolutions voisines et fonc-
lance dont on a voulu gratifier ce genre de malades. Je n'ai jamais cru à cette inaltérable bienveillance des paralytique
76 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'École pratique des Hautes-Études à la Sorbonne. u Heureux ceux qui croient qu'il est en mé- n decine des questions sur les
belleux direct de Fleclisig, par consé- quent dans des parties qui, croyait alors Leyden, sont loin de participer avec cons
ssus des deux côtés, dont la symptomatologie clinique fit longtemps croire à un tabès hémilatéral. » Redlich a trouvé enco
'écorce du télencéphale. « Nous pouvons chercher avec sûreté, je le crois , écrit Redlich, dans le cordon postérieur, les
de l'unanimité avec laquelle on en vantait les bons résultats. Nous crûmes devoir attirer l'attention, dans une série de p
ment dans les jointures les plus atteintes par la roideur; l'auteur croit avoir découvert cette paralysie, en constatant
métaphysique; 3° Il faut repousser le naturalisme grossier qui fait croire à l'existence, derrière les phénomènes chimique
sanique, l'arthritisme, l'alcoolisme, la dothiénenté- rie, etc. Ils croient pouvoir en conclure que la syphilis semble de b
stématisation. Les illusions sensorielles sont multiples ; l'aliéné croit voir les rues plus pleines de monde que jadis,
res manifestes, sans qu'il s'agisse néces- sairement de névrose. Je crois que dans ces cas il existe une fai- blesse part
blesse et de lourdeur. En face de ces symptômes ou pourrait parfois croire à une névrite diabétique, mais l'ataxie et la f
adie de Charcot (forme amyotrophique et paréto-spasmodique). Nous croyons qu'on doit restreindre considérablement le rôle p
x forts, n'avaient pas de réflexe du côté sain. Fallait-il dès lors croire à un retour de réflexe sous l'influence de la scl
laire, sont capables d'exagérer les réflexes, tendineux. Aussi nous croyons -nous autorisé, à con- clure que si l'arc sensit
es des cordons latéraux me parait beaucoup plus commune qu'on ne le croit généralement. Il est du reste tout naturel qu'i
examen nécroscopique, je ne suis pas en droit d'être affirmatif; je crois néanmoins que cette hypothèse est la plus accepta
jours ; ils se trouvent plus- longtemps dans les autres organes. Je crois que ce fait dépend de ce que. le tissu nerveux
cas. Hématomyélie. M. Laignel-Lavastine présente un malade qu'il croit atteint d'hématomyélie de l'épicône et de la base
est l'eneephal à la partie postérieure de la capsule intense. Lergi croit que le centre se trouve dans le bulbe. L'aute
nie de la persécution depuis qu'il était revenu de Cuba. Il s'était cru notamment excommunié et avait adressé une requê
de la monstruosité double. Le professeur Fournier, comme M. Porak, croit qu'il faut rapprocher des monstruo- sités un ce
ue psychiatrique, des héréditaires. C'est en effet ce que confirme, croyons -nous, la clinique. A. part les cas de psychose
elligente, malgré l'affaiblissement très réel des facultés. Je ne crois pas que l'on puisse refuser à cette observation
'École pratique des Hautes-Études à la Sorbonne. « Ileurew ceux qui croient qu'il est eu mé- Il decine des questions sur le
cune importance particulière à ces altérations structurales ». Nous croyons que le contraire est infiniment plus vraisembla
conque, concentrique, des blocs chromatiques chez l'homme. Schaffer croit pourtant que cette disposition existe, au moins
olyse de ces cellules, signalée par Marinesco : il incline plutôt à croire que les cellules des ganglions spinaux dont les
r ce point de fait, ces auteurs sont d'accord avec Schaffer, ils ne croient pas justifiées les conclusions que ce savant en a
la branche périphél iq ue, au nerf sensible, il y a déjà des faits, croient les auteurs, qui permettent d'affirmer l'existe
ue les opinions diffèrent sur la fréquence de cette infection, ne croit pourtant pas que les preuves jusqu'ici rassemblée
ue toujours normal, même dans les cas anciens. Aussi incline-t-il à croire que l'infection. origine du mal, est générale,
Alloemeillell. Berlin, 189" ' 1 Leyden a de plus en plus incliné à croire que le tabes est d'origine périphérique (1894-1
ornes postérieures, les colonnes de Clarke. Malgré tout, Redlich ne croit pas que la théorie périphérique du tabes soit c
D. Arch. f klin. lled. Bd kLIII, 1888. Dans ce travail Jendrassik croit pouvoir déduire d'observations cli- niques et d
qui concerne d'autres organes que ceux de la vision : il ne saurait croire à « une action directe de la névrite optique su
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. t4d cellules nerveuses, il croit pouvoir soutenir que la régularité avec laquell
ans l'aspect de leurs cellules intracardiaques, mais l'auteur ne se croit pas en droit d'affirmer qu'il s'agit bien là de
rsque le toucher agit seul. Le toucher et non la vue, comme on le croit assez généralement, est donc le sens qui interv
s cellules n'ont certainement point de névroses. On peut tendre à croire que les cylindraxes émanent des noyaux des cellul
urs et en nous basant sur nos recherches très nombreuses nous avons cru pouvoir conclure, que ce symptôme de relation d
plégie organique et l'hémiplégie hystérique, et c'est pourquoi j'ai cru utile de les signaler à l'attention de la sec-
nt; ces malades ayant guéri très rapidement, il n'est pas permis de croire qu'il SOCIÉTÉS SAVANTES. 167 s'agissait d'une
loi formulée puisse être considérée comme telle. Voici pourquoi je crois que le rôle séméio- logique des réflexes est tr
es réflexes peuvent être exa- gérés. Tel n'est pas mon avis ; je ne crois pas que dans l'hémi- plégie hystérique pure il
e prolongées. 111. Pactet, au risque de violer le secret médical, a cru faire oeuvre d'humanité dans une circonstance a
a personnalité, sans avoir jamais eu d'idées de persé- cution. Elle croit ne plus exister, ne plus avoir de pieds, de mains
tômes nerveux transitoires à allures assez mal définies, nous avons cru inté- ressant de les faire connaître, bien qu'i
e saurait expliquer l'intermittence des phénomènes observés'' qu'il croit devoir considérer comme l'effet d'une manifesta-
la réaction, électrique des nerfs et,, des musclés, nous ne pouvons croire qu'il'ne s'agisse dans ces cas que de phénomène
s, des allures cliniques du tabes dorsal spasmodique familial. Nous croyons que c'est dans ce sens qu'il est préférable d'i
nombre de faits analogues publiés par Déjerine, Killion et Pitres, croit que les accidents présentés par un malade, y comp
de cas d'émiphalocèle cérébelleuse chez le nouveau-né, et l'auteur croit bien que ce cas est le seul où l'on ait constat
cette anesthésie spéciale est très fréquente daas le tabes ; Hitzig croit qu'elle existe toujours à un degré quelconque,
- gnostic a été fait, et confirmé. Au point de vue clinique, nous croyons que les symptômes se sont montrés graduellement,
es psychiques propres aux dégénérés, aux déséquilibrés. Aussi, je crois que l'état de dégénérescence, créant l'impulsion
is et plus souvent qu'on'ne pense, de pathologie ner- veuse », nous croyons cependant qu'il y a dans la société une tendanc
deurs de la région cervicale. Dans les premiers temps de la vie, on croit qu'il était bien pro- portionné, face aimante;
aimante; puis on a remarqué que l'un des côtés du front, le gauche, croit -on, était plus déprimé que l'autre..A me- sure
n- dans le sys- tème nerveux central des aliénés, et que cet auteur croit dériver des libres médullaires. Il reconnaît qu
'elles sont remplies d'une substance qui ressemble à la graisse. On croit qu'elles pro- viennent de la dégénérescence gra
'auteur, en terminant, insiste énergiquement sur ce point, qu'il ne croit ni aux miracles ni au surnaturel moderne, mais
pour se protéger. Loin de là, la nouvelle loi sur les bouilleurs de cru aggravera certainement l'alcoolisme qui fait ta
t-elle pour continuer à en combattre les funestes effets ? Je ne le crois pas et il serait désirable qu'on prit les mesures
tirer grand avantage d'une opération chirurgicale ? M. Ballet ne le croit pas et cite des faits analogues pour les- quels
pparte- ment, tantôt elle menaçait ses voisins de les tuer. Elle se croyait , d'autres fois, poursuivie par des ennemis invi
yèrent de calmer ce pauvre halluciné, mais en vain. Un instant, ils crurent le tenir, mais d'un bond le pauvre fou sauta su
as d'un de nos malades. En me plaçant à ce point de vue spécial, je crois devoir mettre en relief les deux notions suivan
pour me convaincre de la légitimité de cette tentative. Or, je ne crois pas trop m'aventurer, en prédisant qu'au nombre
ulsives débutent par des spasmes du pouce, on procède à ce que l'on croit être le centre cortical de ce doigt, dans l'hém
r à la suppres- sion des attaques. Voilà les réflexions dont j'ai cru devoir vous faire part, après avoir montré le p
e polynévrite dite syphi- litique, dont deux personnelles, l'auteur croit pouvoir établir les catégories suivantes : 1° t
essiter l'isolement, tant il devient incommode pour les voisins. On crut d'abord que le hoquet était d'origine hystérique
quelques minutes le malade à une heure ou deux de sommeil. L'auteur croit être le premier à signaler cette application sp
le mot « supposées » s'applique évidemment aux illu- sions, mais il croit avoir pris des précautions suffisantes pour que
es. 2" série, t. XI. 28 434 SOCIÉTÉS SAVANTES. - repos). L'auteur croit que, si l'on admet la contracture secondaire de
ans les rues, cherchant à se dérober à ses ennemis imaginaires qui, croyait -il, l'avaient suivi dans son voyage. Enfin, cet
c une femme, et il était recommandé de ne pas boire après lui. Elle croit que le D' 111ai- sonnave (de Rioti-les-Landes),
sif jusqu'à la terminaison finale et la nécropsie qui ne pourra, je crois , que confirmer le résultat de l'examen clinique
che, mais on n'obtient pas qu'il regarde, ce qui lit que sa mère le crut aveugle. Pendant la demi-heure que nous avons d
espèces de remèdes, sans qu'ils aient fait aucun effet, et qu'elle croyait que seule une opération pouvait le guérir. Tout
s-corticaux, la face des choses ne changeait pas davantage. Je ne crois pas à propos de m'arrêter à examiner -si les th
agération générale ou locale de la pression intra- cranienne, et il croit , ce qui est très vraisemblable, que l'ou- vertu
rainte de la perte de liquide céphato-ractiidien, et parce qu'il ne croit pas à la régénération des os par la diire-ii-iè
oir de Kocher. Von Bergmann manifeste quelques réserves parce qu'il croit que l'altération spasmophile congénitale ou acq
Il serait hasardeux de déduire une conclusion définitive, mais je crois prudent, et peut-être profitable, de diriger les
s de paa, il les sent pour ainsi dire en lui. De même le malade qui croit qu'il marche en l'air a parfaitement conscience
ublié autrefois l'observation d'une malade qu'on avait tout lieu de croire paralytique générale et dont le cerveau était f
ent voisines de celles de ]t 1)Lialy-ie générale, qu'il y a lieu de croire qu'il s'agit bien d'une paralysie juvénile. Par
ée le syndrome clinique c'est surtout le syndrome anatomique. Je ne crois pas qu'on puisse pousser la comparaison aussi l
observation qu'il a publiée de kystes hydatiques du cerveau faisant croire à l'existence d'une para- lysie générale vraie.
du doute tiennent à des troubles de la mémoire : quelques douteurs croient n'avoir pas fait ce qu'ils ont fait ; d'autres cr
ument convaincu que, dans tous les antres cas, les mouvements qu'il croyait exécuter n'étaient pas également une simple imp
M. Sollier le mécanisme du doute dans certaines phobies. M. SMLAS croit qu'il faut établir des distinctions entre les dou
nsation que sa main accomplissait l'acte de frapper. Plus tard elle crut avoir frappé et eut des idées délirantes d'auto
s présentées parla malade de M. Tré- nel. je ne suis pas éloigné de croire que l'hallucination psychomo- trice est très fr
on psychomotrice. Le Christ lui parla par sa propre bouche. Il se crut médium et iL partir de ce jour accomplit les acte
Un médecin adonné depuis longtemps aux prati- ques du spiritisme se crut d'abord médium moteur, puis médecin 506 ' · SOC
tr d'exagération des réflexes tendineux an côté de la paralysie. Je crois donc que chez ce malade il y a tout au moins un
nique d'épilepsie. Discussion. M. Postowskv, qui connaît le malade, croit que l'alcoolisme a pu jouer dans son cas un gra
nations très accusées, notamment du côté de l'ouïe. M. Tokarsky ne croit pas que ce cas doit être considéré comme un typ
kiianoit et Bernstein se prononcent dans le même sens. M. Bernstein croit qu'il n'y a pas plus de raisons de distinguer plu
nt le mieux prouver ses sentiments. Cette manifestation était bien, croyons -nous, telle que le maître £ ' et ses amis pouva
77 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ce grise de la moelle épi-nière. Multiplier ces exemples serait, je crois , superflu, car, dès maintenant, vous voyez l'inté
inale. Celles-ci seront, si vous le voulez, notre objectif; mais nous croyons utile de tracer parallèlement l'histoire des trou
insensible, n'eût pas été protégé contre les agents extérieurs. Nous croyons qiie les sections incomplètes devront être répé-t
cquis déjà: les faits que nous venons d'invoquer suffisent, en effet, croyons -nous,à établir que le défaut d'action du système
ord, parmi ces lésions traumatiques des nerfs, une distinction que je crois fondamentale etdont vous reconnaîtrez bientôt tou
t à la, distribution des nerfs irrités (i). Il y aquelques raisons de croire qu'un bon nombre des cas de zona spontané se déve
t assimilables, sans réserves, ainsi que quelques auteurs semblent le croire , aux sections des nerfs pratiquées chez l'animal.
ie des muscles et la perte de la contractilité électrique. Mais je ne crois pas qu'on puisse présenter beaucoup de faits de c
uissent à cet égard être mises en cause indistinctement; tout porte à croire , au contraire, que les fibres sensitives, issues
t été relatés que d'une façon très sommaire, et il faut se garder, je crois , d'en tirer des déductions qui seraient peut-être
de nausées et de vo-missements. Peau chaude, pouls très fréquent. On crut qu'il s'agissait là d'une fièvre typhoïde. — Pend
vous amener à reconnaître qu'ils ont bien leur intérêt. R. Bright les croyait assez dignes d'attention et assez peu connus pour
s croyait assez dignes d'attention et assez peu connus pour qu'il ait cru devoir y insister dans ses Reports of médical Cas
ctères de la gangrène du cerveau (2). M. Baillarger a le pre-mier, je crois , reconnu la véritable nature de cette altération.
ut être la cause organique de cette singulière lésion trophique? j'ai cru pendant longtemps que celte lésion devait être co
araplégie liée au mal vertébral de Pott, où cependant elle est, je le crois du moins, très rare (2). Elle se produit plus fré
e. Uarthropathie des hémiplégiques, décrite pourlapremière fois, je crois , en 1846, par Scott Alison(2), plus tard par Brow
ans la substance grise des cornes antérieures de la moelle que nous croyons avoir trouvé le point de départ de cette complica
alysie des nerfs vaso-moteurs. Je suis,pourmon compte,très enclin à croire que,en général, le mode pathogénique est ici plus
quefois un épanchement de sang dans les capsules surrénales (2). J'ai cru devoir vous remettre en mémoire cette ex-périence
ns fréquentes dans ces circons-tances que ces médecins ne semblent le croire . 2. Brown-Séquard. —¦ Influence d'une partie de
r à faire prédominer durant un certain temps l'état d'ischémie. Je ne crois pas pourtant que, par ce procédé, on soit parvenu
venait quelque jour se pronon-cer en leur faveur. Il est dificile de croire , d'un autre côté, que le rôle joué parles nerfs s
partiennent en propre au trem-blement de la paralysie agitante; je ne crois pas qu'on les ren-contre dans aucune autre espèce
on presque constant. Nous appuierons actuellement sur un trait qui, croyons -nous, a échappé à Parkinson ainsi qu'à la plupart
bonne part, à rendre les mouvements laborieux ; mais ce n'estpas là, croyons -nous, l'unique cause que l'on doive invoquer: tou
pensée et l'acte, il s'écoule un temps relativement considérable. On croirait que, chez lui, l'influx nerveux ne puisse être mi
rogressive, une maladie de famille. Les observations qui ont pu faire croire le contraire se rapportent à des trem-blements pa
, ne re-late à ce propos aucun fait clinique. Même aujourd'hui, je ne crois pas que la sclérose en plaques soit connue en Ang
particulier dans les cas qui nous ocupent (1). I. A. Il sera, je crois , avantageux d'inaugurer cette étude par l'examen
s des arguments, ou pour mieux dire des faits, dont quelques-uns ont, croyons nous, une valeurà peu près absolue. On reconnaît
s les phases dé son évolution. De tout cela, on a conclu, — et nous croyons la conclusion légitime, — que, dans l'espèce, l'a
sous l'action du réactif. Pour en finir avec les remarques que j'ai cru devoir vous présenter relativement à l'histologie
-illà, en d'autres termes, métamorphose ou substitution? La question, croyons -nous, doit rester encore indécise ; tout ce que n
efois, avant d'entrer dans les développements relatifs à ce point, je crois utile de prendre les choses d'un peu plus loin et
un certain nombre de fibres nerveuses juxtaposées, ainsi altérées, on croirait \roir, sur le champ du microscope, un faisceau de
tent essentiellement le même carac-tère que dans lamoelle, et nous ne croyons pas qu'il soit utile d'entrer, à cet égard, dans
interstitielles. Ces faits n'étaient guère d'accord avec ce que Ton croyait savoir de la struc-ture de la névroglie (voir la
illeurs plus fréquent, de la sclérose en plaques cérébro-spi-nale; je crois pouvoir affirmer que très rarement, en opposi-tio
, elle est agitée d'un tremblement très manifeste. Il ne faudrait pas croire que ce soit là un phénomène constant et plusieurs
s, du symptôme correspondant de la paralysie générale progressive. Je crois même que, dans bien des cas, en dehors du secours
'histoire a été rapportée tout récemment par le docteur Leube (2), se croyait destiné à devenir roi ou même em-pereur ; il disa
postérieure, et sans nier que cette association puisse exister, je la crois au moins infiniment rare. Il est assez commun, au
qui sont la conséquence de ces lésions partielles des hémisphères. Je crois en somme que, dans l'état actuel de la science, l
ollissement du cerceau. Afin de mieux fixer vos idées, à ce sujet, je crois utile de xrous présenter très sommairement les dé
us morbide n'est rien moins que démontré. Je suis même très disposé à croire , d'après mes propres observations, que les altéra
e la sclérose des centres nerveux. Elle peut être invoquée encore, je crois , pour rendre compte de la lenteur avec laquelle l
tre époque. D'autres sentent l'imposture d'une lieue. A qui fera-t-on croire , par exemple, qu'une femme puisse rendre par l'or
conclure que tout est imposture dans l'ischurie hystérique ? Je ne le crois pas, Messieurs, et j'espère que vous vous rangere
il est bien rare qu'ils réusissent. Ces renseignements suffisent, je crois , pour vous convaincre, Messieurs, que, dans cette
ont il estjuste de tenir compte. Loin de moi, toutefois, la pensée de croire que les hystériques jouissent d'une immunité part
tout entière dans les organes génitaux ; mais avec Schutzenberger, je crois qu'il est péremptoirement 1. Briquel (P.). — Tr
utopsie la lésion de la-couche optique dont, pendant la, vie, j'avais cru pouvoir an^ noncer l'existence. * Faut-il, Mess
deux auteurs anglais, Todd et Carpenter, qui l'ont, les premiers, je crois , émise et soutenue. D'après cette théorie, la cou
ent le noyau extra-ventriculaire) . En résumé, on peut conclure, je crois , de ce qui précède que, dans les hémisphères céré
mathem. naturw. Classe der Kais. Akademie der Wisscns-cbaften). Nous croyons utile de donner la substance de ce travail.Après
rveux un appareil symptomatique peu connu, peu remarqué encore, je le crois du moins, et dont j'aurai l'occasion de vous entr
donner une idée sommaire, se montrait des plus accusés. Tout porte à croire — je ne puis être plus affirmatif, l'autopsie n'a
rovoquée, est bien l'ovaire lui-même. On se fait, en général, je le crois du moins, une idée impar-faite du lieu exact qu'o
, après toutes les explications dans lesquelles je viens d'entrer, je crois pouvoir conclure que c'est bien à Vovaire à / ova
pas ce qu'est capable d'enfanter, dans ce genre, un goût dé-pravé. Je crois qu'il est beaucoup plus simple et beaucoup plus l
errière l'épaule gauche. La malade n'a pas perdu connais-sance ; elle croit qu'elle va mourir ; elle crie, la contracture des
on. Mais en est-il de même dans les cas invétérés?Non, Messieurs ; je crois pouvoir avancer, en me fondant sur la connaissanc
définitivement ou non élu domicile dans les cordons latéraux ? Je ne crois pas, Messieurs, que l'on puisse, dans l'état actu
laires très accusées et répondent mal aux excitations électriques. Je crois , par conséquent, qu'il y a peu de chances de voir
otesterait contre une semblable assertion. Rien n'autorise non plus à croire qu'il y ait antagonisme des deux névroses, et il
ière presque fatale, s'il s'agissait réellement de l'épilepsie. Je ne crois pouvoir mieux faire que de vous rap-peler à ce pr
ire exac-tement comme dans la première expérience. De tout ceci, je crois pouvoir conclure que la choiée ryth-mique observé
obtenus ne sont pas toujours très frappants. Il sera préférable, je crois , de nous adresser soit aux inhala-tions à'éther,
ment involontaire de la salive et de l'embarras de la parole, on a pu croire plusieurs fois,en pareille circonstance, qu'il s'
êmes aux périodes avancées de la maladie, résistance que M. Charcot a cru pouvoir invoquer pour rendre compte de la lenteur
nt le motif de ces mouvements im-prévus, elles racontent qu'elles ont cru voir des animaux, sur-tout des rats et des chats,
ssant sur sa droite, semble sauter sur elle tout à coup, et dont elle croit même sentir le contact. Cette malade est atteinte
t, il est facile de suivre toutes les péripéties du drame auquel elle croit assister et où elle joue souvent le principal rôl
faces, l'une gaie et l'autre triste : dans l'ordre gai, la malade se croit par exemple transportée dans un jardin magnifique
. Il a généralement rapport soit à des scènes auxquelles la malade se croit présente ou auxquelles elle se reporte, soit aux
78 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éparses dans la littérature mé- dicale. C'est à ce titre que nous croyons intéressant de rapporter le cas suivant que nou
ascendante l'épanchement est plus noir et plus épais, et l'on peut croire d'abord à du sang venu par effraction de la pro
i, jointe à la diffusion et à la complexité des symptômes acquiert, croyons -nous, une importante valeur diagnostique, Si no
n'a Aiiciuves, 2e série, t. X. 2 18 CLINIQUE MENTALE. pas été, croyons -nous, suffisamment attirée. Mais pour bien appr
onne souvent lieu à des conceptions délirantes; les paralytiques se croient capa- bles de repeupler le monde, de posséder m
niles et chez tous les névropathes frappés dans leur virilité. Je crois que si les auteurs insistent tant sur l'excitatio
sionnée par la mort de l'un de ses enfants, survenue alors qu'où le croyait mieux. Huit jours plus tard, douleurs dans le bas
de par leur cerveau anormal, soient réputés incurables, le Dr Forel croit qu'en les soumettant à une discipline à la fois
ce qu'elles peuvent nous donner de bonheur et de joie. Et qu'on ne croie pas qu'on arrive ainsi à l'égoïsme absolu ; au
és remarquables, au double point de vue théorique et pratique, il croyait devoir présenter à M. le Président du Conseil, Mi
ium. En résumé, de l'ensemble de nos recherches personnelles nous croyons pouvoir conclure que le traitement de Flechsig
ne fut pas entamé et l'opération fut plus tardive; en tout cas j'ai cru intéressant de la puLlier ici, ne serait-ce que
ris son essor. En juin voyant le terrain gagné et ne demandant qu'à croire Léonie guérie j'envoyai son observation avec to
rtige se produisit, la malade ayant reçu une mauvaise nouvelle nous crûmes à une lypothymie. Mais le loir juillet la malad
l'on eût excisé une zone d'écorce on eût été plus heureux. Je ne le crois pas, car les foyers d'encéphalite s'étendaient
malade de Collins l'affection était récente, et l'auteur lui- même croit devoir attendre encore avant de croire à la gué-
écente, et l'auteur lui- même croit devoir attendre encore avant de croire à la gué- rison ; et on peut avec Winkler dire
encore choisir parmi les cas jacksonniens d'apparence ceux que l'on croit devoir opérer et ne le faire qu'avec une confia
able d'élucider cette question, et c'est dans ce but que nous avons cru utile d'attirer l'attention sur cette associati
delys ; ils ont débuté fin février 1899 et ont duré six jours. Elle croyait être Jeanne d'Arc ; une de ses com- pagnes du c
er en fibres isolées semées dans tout le cordon postérieur. à Bruce croit que le « champ ovale » de Flechsig est constitué
ndistinctement à tous les entrants, par la force; 2° 11 ne faut pas croire que l'on puisse arriver à réduire les violents
teur rejetant l'hypothèse d'une polynévrite et d'une héma- tomyélie croit pouvoir attribuer ces accidents à une myélite, ay
stratification anormale des cellules et fibres nerveuses). L'auteur croit à la simultanéité des lésions pareilles mais indé
à l'existence des maladies mentales familiales ? M. DouTREBENTE ne croit pas à l'existence de types similaires dans une
oit pas à l'existence de types similaires dans une même famille. Il croit que les types disparates sont au contraire la r
à l'asile avec un délire religieux identique. ' AI. Christian ne croit pas qu'on rencontre beaucoup de cas réels de ma
des maladies mentales familiales, mais il n'en a jamais observé. Il croit plutôt avec Morel que le type disparate est la
ne comprend pas seule- ment une génération. M. Magnan persiste à croire que plus on y réfléchit, plus on demeure convai
liénés agités pour la maintenir dans certaines circonstances. Il ne croit pas à l'existence de l'hématome spontané. M.
l'hématome ne s'observe que dans les asiles d'aliénés. M. ARNAUD croit que le traumatisme est la cause habituelle de l
e faire de la maladie mentale familiale un type à part. M. Brunet croit qu'il faut d'abord définir ce qu'on entend par
a cessé d'évoluer. Comme Winkler qui a publié des cas semblables il croit que ce traitement peut arrêter l'évolution, de
née, constitue pour son petit village, une dépense colossale, aussi croit -il agir en sage administrateur des deniers comm
ndait que M. Jules Grévy lui avait légué plusieurs millions. A l'en croire , elle avait été élevée par MM. Carnot et Félix
e but, une installation spéciale a été nécessaire, qu'il importe, croyons -nous, de faire connaître. L'étude de ces diverses
la longueur d'onde des oscil- lations nerveuses, nous permettent de croire , après du Bois- Raymond, que ces oscillations s
qui s'astreignent à un jeûne des plus sévères dans le but de faire croire qu'elles vivent sans manger. 2° D'autres semble
lesquels les membres supérieurs ont été pris les premiers. Leyden a cru devoir distinguer deux formes, bulbaire et névr
son de ces derniers phénomènes et des accidents bulbaires, l'auteur croit pouvoir affirmer qu'il ne s'agit dans ce cas ni
on du groupe externe des cellules, de la corne antérieure, l'auteur croit plutôt que c'est le développement brusque sinon
mnambule lui donna alors un paquet de poudre de gentiane et lui fit croire que cette poudre mise dans les chaussettes du m
orce de boire, sa raison s'en alla et, en ces derniers temps, il se croyait poursuivi par des fantômes et par une fille- mè
x et Farnarier, etc. Cependant, comme rapporteur de la Russie, je crois de mon devoir de décrire en quelques mots l'évolu
bue en partie à ce que les avis sont différents. Pour ma part, je crois que ce système comprend principalement ceci : 1°
ques. Arrêtons-nous sur chacun des points que j'ai avancés. I. Je crois que le système d'alitement à l'asile est réglé
ique, la durée du séjour au lit et combien il doit être continu. Je crois que les indications précises sur la durée et le
mêmes. II. Quant au second point fondamental du régime au lit, je crois que le milieu doit contribuer à ce que le malade
e repoussent absolument. Quant à moi, il faut que je dise que je ne crois pas que l'on ne doive jamais user de ce moyen :
roisième élément fondamental du système d'alitement. Quel- ques-uns croient précisément que ce qui caractérisait le nou- ve
illons d'observation. Je suis complète- ment d'accord avec ceux qui croient que l'entassement dans la même salle des malade
solue de mettre hors d'usage les chambres isolées d'ancien type. Je crois qu'il n'y a rien qui favorise si fortement le d
n désuétude complète. Cependant beaucoup d'honorables aliénistes ne croient pas possible de le bannir complètement et s'en
isposant dans le développement du goitre exophtalmique, comme on le croyait autrefois, mais un rôle de tout premier ordre.
euse : nous appuyant sur trois observations que nous résumons, nous croyons pouvoir admettre, au moins pour un certain nomb
ient M. Binet-Sanglé. Cet auteur parai.ssant ignorer ce travail, je crois devoir en rappeler ici certains points, et je s
l'appui de mes idées qui sont aussi les siennes. A ce propos, je crois devoir relever que les critiques qui ont été fa
nnues, et avec l'électricité en particulier, c'est possible ; je le crois même volontiers et j'en verrai avec plaisir la
anglé, que j'ai déjà soutenus dans le Problème de /6TMtë- moire. Je crois avoir le premier montré les analogies entre la
ent s'expliquer que par les lois de résonance électrique. Mais je crois que le principal rôle du système nerveux est da
formes et applications de l'énergie électrique. C'est pourquoi j'ai cru devoir rappeler ici, à propos de la partie géné
inet-Sanglé pense qu'il y a identité. Je serais tout dis- posé à le croire , tant il y a d'arguments, pour ne pas dire de p
ne pression sur les bords supérieurs des deux hémisphères. Osier ne croit pas que tous les cas sont ainsi produits, et il
iques droits qu'on fait écrire de la main gauche une écriture qu'il crut particulière et qu'il appela écriture en miroir.
était possédé de la manie des grandeurs. Depuis cette époque, il se croyait appelé aux plus hautes destinées, et à différen
cessus de l'action du massage méthodique dans la paralysie ? On , croit , et c'est l'opinion d'une majeure partie de nos c
on des régions atteintes soit de l'atrophie, soit de la parésie. On croit aussi, que c'est par l'action directe sur la fi
rsqu'on masse les régions atteintes de paralysie. En résumé, nous croyons le traitement masso-mécanothé- rapique, décrit
le con- cours de muscles autres que ceux qui travaillaient lorsque cru : \.- ci commençaient à s'épuiser. Un écran pla
d donc que de cette excitation et point comme on serait tenté de le croire a priori d'une modification de la composition d
balles en bois remplies de balles de plomb d'un poids différent. Je crois que son emploi donnerait des résultats bien int
tion de celui-ci soit la vraie, P... expose les raisons qui le font croire à la genèse pathologique de l'autre série des c
manente du médecin et un personnel secondaire de choix. M. Tokarski croit que l'alitement par intervalle peut, dans cer-
. 1(;. VARIA. T fi.\ 1 'n; 11 E N DE L'ALIÉNATION MENTALE. Nous croyons utile de reproduire les pages suivantes de Leur
ow occuper de cette dernière façon, la plupart de ses malades, j'ai cru bon d'imiter cet exemple à Bicêtre, et j'y ai r
ancien ménétrier, dont jusqu'alors je n'avais pu rien tirer. Il se croyait poursuivi par la police, et n'osait ou ne voulait
clusions aux- quelles ont abouti les différents auteurs. Sepilli' croit remarquer que dans la paralysie générale, le fa
ons pu avoir une base statistique plus importante ; mais nous avons cru devoir éliminer, comme sujets d'observation, ce
trouble latent du système pyramidal, mais tout à fait indépendant, croyons -nous, de sa paralysie géné- rale. Si, comme l
ordés qu'à titre onéreux. C'est pour toutes ces raisons que nous ne croyons pas que l'obligation de l'éducation des enfants
tre, mais pour les raisons que nous avons énumérées plus haut, nous croyons qu'il est indispensable de faire de la maison d
oi, de parti pris, laisser ce malheureux en dehors de ceux que l'on croit pouvoir tirer bénéfice du traitement. Quant a
estion est encore pendante. Conclusion.- Dans ces conditions nous croyons devoir soumettre à votre approbation les voeux
ndes électriques, ou tout au moins leur analogie, idée qui date, je crois , de du l3ois-Raymontl. Dans le numéro des Archi
dans l'histoire des progrès de la médecine mentale en L'russe. Nous croyons devoir le rappeler brièvement. C'est en nos que
ou non réalisé, ou bien si c'est l'acte lui-même. Pour ma part, je crois qu'il faut réserver le mot « impulsion » à la p
paraissant pas avoir d'importance au point de vue médico-légal. Je crois , au contraire, qu'elle peut en avoir non par el
es qui vient d'être brillamment soutenue par M. van Gehuchten. On croyait le temps perdu du réflexe patellaire trop court,
perdu le plus court des réflexes. M. van Gehuchten (de Louvain). Je crois que M. Bruns n'a pas compris exactement ma pens
que le réflexe de Babinski n'était pas un réflexe cutané. Mais, je crois que ce n'est pas un réflexe plantaire, et cela
ige du réflexe cutané finira aussi probablement par disparaître. Je crois donc que le phénomène de Brissaud doit être consi
dominante, que le tabes soit toujours une affection uni- voque ; il croit que sous le nom de tabes nous confondons des ét
ne me SECTION DE NEUROLOGIE. 507 trompe, celle de M. Marie. Je ne crois donc pas que le tabes soit appelé à être décomp
s plus répandues, que l'ataxie, au contraire, est assez rare. Je ne crois pas exagérer en déclarant, que dans mon service,
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 513 optique). On croit à l'existence d'une tumeur cérébelleuse à raison
Zeitschr. f. Nervenheilk, 1897. Ce malade est mort de pneumonie. Il croit qu'il s'agit en l'espèce d'une méningite locali
ion ; il n'existe pas d'incontinence nocturne d'urine. M. Bechterew croit que c'est l'émotion en rapport avec le rire qui
velle, et la preuve que cette maladie atteint plus souvent qu'on ne croit le névraxe. M. Dupré. - L'intérêt sera maintena
e dormeur extraordinaire. Les voisins n'ont, paraît-il, jamais bien cru à cette léthargie prolongée et souvent, depuis
e la con- sidération générale qui se transforma en mépris lorsqu'on crut dans lo pays que les époux jouaient une indigne
79 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CULLEMOE, OARCANNE, DEBOVE (M.). UENÏ, MRVAT, UUVAL (Mwele), FÉIIÉ ( cru ), FENAYit0t), FRIiIIIEH,FLETI.HER-BEACH, FIiAN
une revue sur la question du délire dans l'urémie, nous n'avons pas cru devoir rappeler, dans un chapitre d'historique
mental, le malade présente encore un certain degré de confusion. Il croit avoir passé quinze jours à Sainte- Anne au lieu
s renseignements fournis par sa mère et que nous avons tout lieu de croire exacts, aurait été tout à fait normal, jusqu'à
ien : l'attention ne s'éveille pas, la physionomie reste idiote, on croit l'enfant sourd. III. De 1890 à 1893, en raison
ant deux mois plusieurs pilules par jour de thymus de veau frais et cru et qui a été très améliorée par ce traitement.
cipitaux en même temps que du cervelet par une gomme que l'auteur a cru pouvoir localiser sur la tente du cervelet. L
atum organique delà maladie. On peut discuter sur sa signification, croire avec les uns qu'il s'agit là d'éléments trahiss
ale, d'autre part, les noyaux de la 3° et 4e paires. Les auteurs ne croient pas que la 4°;paire envoie des fibres directs d
ilitique. 80 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Cazaux (d'Eaux-Bonnes). -Je ne crois pas qu'il faille ainsi faire bon marché de l'in
ieurs fois l'occasion d'observer des tiqueurs chez qui l'on pouvait croire les réflexes rotuliens abolis; il n'en était ri
xique notablement plus développées que chez les sujets sains. Je ne crois pas que l'on puisse considérer ces SOCIÉTÉS SAV
t. Il faut lui enseigner une foule de mouvements, que souvent il se croit incapable de faire, tandis qu'en réalité, il ar
moins profitable aux sujets, qui, par suite d'un trouble mental, se croient dans l'impos- sibilité d'exécuter certains acte
ns l'impos- sibilité d'exécuter certains actes, ou, inversement, se croient obli- gés de répéter continuellement certains a
s phénomènes graves occasionnés par le traitement nous n'ayions pas cru devoir le reprendre, la taille, station- naire
e. De là, un certain nombre de publications personnelles que nous croyons devoir rappeler à la fin de cette observation :
-cinq ans. Depuis quelques années, il s'adonnait à l'absinthe et on croit que c'est dan; un accès de deli- rium tremens q
le par suggestion à gauche), sont à considérer. Il est difficile de croire à une affection rénale primitive génératrice de
e dysphagique est plus opiniâtre lorsqu'il est seul. Il y a lieu de croire que. quelles qu'en soient les variantes, ce phéno
LER. (1\eztrolo. Ceutrulbl. XX. 1901). Quelques faits permettent de croire que l'origine de l'appendi- cite en pareils cas
a vie antérieure à 1879 mais a tout oublié depuis cette date. Il se croit en 1879. Un mois après, la mémoire lui revient.
ré le lendemain que la défloration était récente et complète, il se croit anormal et inférieur. Cet homme a toujours en l
uérison, contraire à la plupart des opinions reçues, que nous avons cru devoir rapporter son histoire qui a naturelle-
gie gauche). Grand-père paternel décédé d'une congestion cérébrale, croit -on. Grand'mère pater- nelle, morte à soixante-d
mer le carac- tère de non-contingence de ses troubles mentaux. Je crois donc qu'avant de se prononcer d'une façon catégor
de la moindre plainte ni la moindre réaction de défense : on aurait cru taillader un cadavre. A deux ou trois reprises
de départ très précis des lésions ce qui semble fort difficile, je crois pour ma part qu'il est impos- sible, en raison
s à une formule 238 SOCIÉTÉS SAVANTES. aussi simple que paraît le croire M. Klippel. Il est incontestable, en effet, que
ais le parenchyme cérébral est-il bien le premier atteint, comme le croit M. Klippel Tel n'est pas mon avis. La lésion des
i la règle, c'est la méningo-myélite. Cela est incontestable et, je crois même, incontesté : la lepto-myélite est bien l'
able qu'elle intéresse la névro- glie, mais ce serait une erreur de croire qu'elle peut exister clini- quement en respecta
glie au processus anatomo-pathologique de la paralysie générale, je crois que les altérations de cette substance sont sec
uif). Contrairement à l'opinion que vient d'exprimer M. Anglade, je crois que la tuberculose est exces- sivement rare che
ort aux autres altérations encéphaliques. Cette réserve faite, je crois que la classification de M. Klippel, 240 . SOCI
... (Suzanne), neuf ans et demi. A première vue, on pourrait ne pas croire que cette enfant a été rachitique. En effet, el
- tation, le mot d'eczéma fut prononcé; dès lors le malheureux se crut obligé de suivre un régime des plus sévères : plu
'ailleurs par la préoccupation constante des dangers auxquels il se croyait exposé. Les tics furent rapidement améliorés parl
nt compte des incertitudes de l'origine du sympathique, les auteurs croient pouvoir attribuer aux lésions médullaires obser-
l'existence de la vie extra-utérine. Par conséquent le bulbe joue, croyons -nous, un rôle physiologique de premier ordre da
avait précédé la para- lysie motrice des deux bras. M. Annaux ne croyait pas qu'on pût constater ce symptôme au début de
a- nifestation de la névrose. Quant au neurasthénique, si on l'en croit , il ne dort pas. Le sommeil chez lui est très v
on fils était fou, s'appuyant sur ce que par certains moments il se croyait poursuivi par des malfaiteurs tandis que parfoi
ns. Tandis que son cama- rade ne remarque rien d'extraordinaire, il croit voir des bêtes fau- ves et tire deux coups de f
ablement impressionné par cette tentative de simulation, nI. Vallon crut devoir dans ses conclusions réclamer pour C ..
il met des cailloux dans les serrures, tantôt il moleste ceux qu'il croit inoffensifs. ' Matheureusement nos asiles sont
e intervient pour le calmer, il l'accable d'injures. En juillet, il croit avoir à se plaindre d'un négociant de Puteaux q
, vantant ses hautes relations et déblatérant sur tous ceux dont il croit avoir à se plaindre. Plu- sieurs cafés sont obl
tés. Enfin il parle à chaque instant de faire assommer ceux dont il croit avoir à se plaindre. Un jour il s'élance sur
reçoit quelques égratignures sans importance. Immédiate- ment il se croit gravement atteint : il veut faire appeler le méde
e tâche pour obtenir de votre bienveillance « un rapport qui laisse croire à une maladie passagère. » Et en effet, lors de
jamais eues ou des opinions qu'ils n'ont jamais formulées. S'il se croyait passible d'une peine grave il raisonnerait tout
, tout en jouissant d'un sommeil sinon complet, du moins suffisant, croient ne pas dormir ou le prétendent avec plus ou moi
ue, un état de confu- sion mentale. Ces observations de Janet sont, croyons -nous, les premières où l'insomnie des hystériqu
et 1 insomnie exagère l'agitation. SOCIÉTÉS SAVANTES. 321 t Nous croyons devoir nous abstenir d'analyser et d'apprécier ic
pourraient aujourd'hui fournir à de longues considérations, nous croirions sortir du cadre qui nous a été tracé. Nous n'en p
plus loin et l'utilisent systé- matiquement chez les agités. Trénel croit .qu'habituellement il vaut mieux s'abstenir de
eulement par Guislain. Marée en a, en France, posé le pre- mier, je crois , les indications. Moi-même, dans mon Traité paru
nos préparations, quelle est la nature de la lésion initiale. Nous croyons cependant que, dans notre cas, la destruction d
laires entre le point sectionné et les cellules d'origine. ' Nous croyons avoir trouvé une méthode nouvelle à l'abri de ce
la glande, qu'il faut attribuer le mal comitial en pareil cas ? Je crois plutôt, comme on l'admet pour le myxoedème, que l
en opposition formelle avec la conception du neurone. L'auteur ne croit pas que le neurone puisse être actuellement sou
ssion plasmodiale et de l'individualisation cellu- laire ; mais ils croient pouvoir conclure de leurs nombreuses re- cherch
, ostéolyse, résorption de corps étrangerset de tissus nécrosés) et croient qu'on se trompe en attribuant tout le rôle bioc
entement progressives : aucun symptôme, en somme, ne nous permet de croire qu'elle donne lieu à une forme cliniquement dif
e la moindre plainte, ni la moindre réaction de défense : on aurait cru taillader un cada- vre. A deux ou trois reprise
es, parfois atteintes du délire micro- maniaque par lequel elles se croient rapetissées et revenues aux dimensions de l'enf
entaux. Aussi, rapprochant notre cas de ceux précédemment observés, croyons -nous pouvoir dire que : Archives, 2° série, t.
aire la statistique, mais d'après mes renseignements personnels, je crois que leur nombre dépasse 12 000. Il a traité ave
M. Larrivé (de Meyzieux). L'an dernier, au Congrès de Gre- ' Nous croyons qne les asitcs ordinaires, bienorganises. peuvent
remarque à propos de l'intéressante communication de M. Larrivé. Je crois devoir insister, en effet, sur un point. C'est qu
te-cinq ans. Depuis quelque années, il s'adonnait àj'absinthe et on croit que c'est dans un accès de delirium tremens qu'
uel de 1902, de l'amélioration obtenue. Néanmoins, nous n'avons pas cru devoir nous en tenir là. Le Dr Chardon, en pren
Faculté de médecine de \ancv. A l'exemple de quelques confrères, je crois que la catato- nie ne peut être considérée que
ue aussitôt; idées de culpabilité, d'indignité, de suicide; elle se croit a la charge de tout le monde, ne se nourrit plu
éné- rescence. Ces cas ne sont peut-être pas aussi rares qu'on le croit généralement et il me semble utile d'appeler l'at
ce de son état, ne s'explique pas sa présence dans le ser- vice, ne croit pas avoir été inerte, avoir refusé les aliments,
rs ? Je n'en sais rien. Pensiez-vous à vos enfants ? - Non, je ne crois pas. -A votre mari ? Ma foi non. Mais cependant,
les. LE FOND DE L'OEIL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 421 Nous avons cru également devoir examiner le fond de l'ceil che
ieurs reprises des chiffres lonométriques élevés, on est autorisé à croire que le soupçon, déjà basé sur d'autres signes,
les autres réactions des pupilles étaient éteintes, il y a lieu de croire qu'elle procède d'un arc réflexe périphérique.
sse d'avoir un aspect naturel, à voir dormir le sujet, on se serait cru en présence d'une personne acca- blée de fatigu
musculaire n'obéit pas à sa volonté. On aurait donc grand tort de croire que l'état de négation suppose invariablement q
ation dont l'a doté son savant directeur, le 1), Van Deventer, nous croyons qu'une brève relation de celte visite ne sera p
réaliser cette expérience, le directeur de Meerenberg ne s'est pas cru oblige - comme quelques-uns seront peut-être te
t pas cru oblige - comme quelques-uns seront peut-être tentés de le croire de s'adresser uniquement à des femmes mûres ou
este, d'origine française appliquées par le 1), Van D-,venter, nous croyons cependant avoir suffisamment montré que l'asile
s mouvements que les malades affectés d'une paralysie hystérique se croient incapables d'exécuter. Ce faisant, il a pour ai
devenue. si je puis ainsi m'exprimer, une station mondiale Je ne crois pas être présomptueux en me flattant d'avoir cont
nque et ne soliloquent à voix haute que lorsqu'ils sont seuls. Se croient -ils dans un lieu désert, dans un endroit où on ne
eur s'approche et plus la tonalité baisse. Souvent même on pourrait croire que l'individu a cessé de soliloquer si le frém
ogue. G... est un mélancolique anxieux, presque panophubique, qui croit avoir la syphilis et s'attend à tout instant à êt
à l'horizon. Il s'imagine que là-haut siègent ses ministres (il se croit président, préfet de police) et qu'il correspon
re... suis-je morte... je suis ta femme... je ne veux pas que tu le croies ... non, je ne le mettrai pas... tu es un ambitieu
ravo, P... » A signaler que ce malade ne monologue que lorsqu'il se croit seul ou lorsque un événement extraordinaire se
e le sang, on n'est pas le malade... on l'est malade, mais on ne le croit pas. La force physique, l'état nerveux ; l'être
* Il n'entre pas dans mon plan de discuter ici cette opinion que je crois fondée dans certains cas. Voir P. Sérieux et J C
ucinations de l'ouie, d'une nature un peu particu- lière. Ce malade croyait entendre parler les objets inanimés, tels que l
tation des centres médullaires, en forme ganglionnaire, comme on le croit communément. L'origine réelle des nerfs du tron
allait s'ouvrir ; il avait la légi- time ambition d'être nommé. Je crois que son ambition n'eût pas été déçue. C'était l
80 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
res ont été constatés par d'autres observateurs. C'est à eux que nous croyons devoir rapporter un cas observé par 1. Anafomie
hagie cérébrale cérébrale des adultes et même des jeunes gens. Nous croyons donc être aujourd'hui en droit d'affirmer que, d'
qui n'est autre que la tunique lymphatique ; de sorte que,là ou l'on croyait avoir affaire à un anévrysme volumineux, il n'y a
anévrysmes intracérébraux pourrait bien être plus souvent qu'on ne le croit la cause d'hémorrhagies cérébrales. Obs. LXXIX.
s sommairement quelques faits où les personnes présentes à l'autopsie croyaient à l'existence d'un foyer hémorrhagique, mais où l
de la Salpêtrière, pendant le cours des deux dernières années, je me crois autorisé à avancer qu'un phénomène analogue se pr
ire connaître les circonstances dans lesquelles elle se produit, nous croyons utile de donner ici l'analyse très-sommaire des o
roduction de ces ecchymoses qui ont un signe si différent, M. Charcot croit qu'elles doivent être rapportées à la paralysie v
erve à la suite des troubles de l'innervation centrale, théorie qu'il croit pouvoir être substituée à celle des nerfs trophiq
de la moelle ont une terminaison à la peau plus complexe qu'on ne le croyait autrefois ; les travaux récents tendent à montrer
connectif, des éléments embryoplastiqu.es et des vaisseaux. Comment croire qu'une pareille organisation aurait pu s'effectue
ontrer des travaux nombreux déjà et d'une grande valeur, et dont nous croyons utile de donner rapidement l'exposé historique. D
vêt la dure-mère a une origine pathologique. En pareil cas, on pourra croire à l'existence d'un feuillet pariétal de l'arachno
le point de départ de l'hémorrhagie. Tel est, tout nous porte à le croire , le mode pathogénique le plus ordinaire des hémor
idérer, je ne sais trop pourquoi, comme inconciliables, je persiste à croire qu'elle est en même temps complète.— Elle est com
deux ordres de faits n'est pas aussi énorme qu'on voudrait le laisser croire . Mais hélas! fussé-je riche de cent observation
t ordre ont été plusieurs fois l'objet d'études importantes, et je ne crois pas qu'on puisse pour le moment, ajouter beaucoup
ts. Mais il n'avait pas accordé grande importance à ces symptômes; il croyait pouvoir les rattacher à une affection gastrique d
ainsi qu'on le verra par la lecture des observations suivantes que je crois devoir rapporter dans tous leurs détails. Obs.
de l'amendement. Le membre était devenu moins volumineux ; la malade crut , un jour pouvoir essayer de se lever et de marche
genou, et L... tomba lourdement sur le sol, en poussant un cri. Elle crut qu'elle avait la jambe cassée. Il lui fui impossi
date toute récente, lors du début de l'arthropathie. Mais ce sont là, croyons -nous, des différences d'ordre secondaire et qui c
date à l'altération scléreuse de la moelle épinière. J'incline même à croire qu'elle lui est subordonnée, pour ainsi dire, à t
considérée ici cme comme une circonstance tout à fait accessoire. Je crois utile de rappeler quelques-uns des cas auxquels j
t bientôt sur la peau des régions où se distribue ce nerf. On peut, croyons -nous, rapprocher des affections dont il vient d'ê
névrile hypertrophiqiie (ï). Mais à part ce point de dissidence, nous croyons que, d'une manière générale, l'opinion émise par
ives le médecine, mars et avril, p. 81, 1886).Pendant longtemps, j'ai cru que j'avais été le premier à remarquer la névrite
névri-lème et l'augmentation de volume du nerf médian doivent aussi, croyons -nous, être rapportées à un travail d'inflammation
iniques aux faits acquis par l'expérimentation physiologique, nous ne croyons pas qu'on puisse, quanta présent, opposer aucune
es ou parfois toute une journée. « Jusqu'ici j'avais clé entraîné à croire que laméfallolhéra-pic ne reposait pas sur des ba
e suis jusque-là avec M. Burq, mais sans aller plus loin. « M. Burq croit que les malades qu'il désigne sous le nom de sens
une série de phénomènes hors de proportion avec tout ce qu'on pouvait croire de prime abord, ( Du reste, MM. Dumontpallier,
ettent l'exactitude ; seulement, quelques-uns d'entre eux inclinent à croire que ces faits relèvent de Vattention expectante.
l'application métalloscopique, sont des faits du même genre. Je ne crois pas que cette théorie soit applicable dans l'espè
et les crises ont disparu. C'est un résultat remarquable, mais je ne crois pas aune guérison solidement établie. En effet, n
plications du fer, de For, du zinc, etc. Ce sont là des faits dont je crois pouvoir répondre, dont j'ai témoigné avec MM. Dum
êterai pas sur la métallotliérapie externe,"'parce -que M. Burq a, je crois , une tendance à la mettre sur le second plan par
st-elle complète, définitive ? d'après ce qui précède, j'incline à le croire . S'est-elle produite sous l'influence de l'action
métalliques appropriées, contrairement à ce que Trousseau avait pu croire autrefois, et à ce que M. Burq a cru lui-même jus
t à ce que Trousseau avait pu croire autrefois, et à ce que M. Burq a cru lui-même jusque dans ces derniers temps. Cela est
thésié fout à l'heure a recouvré sa sensibilité. 11 ne faudrait pas croire que les hystériques soient seules influencées par
anesthésie siégeait plus souvent à gauche qu'à droite ; après l'avoir cru longtemps, je pense aujourd'hui qu'il existe à pe
généraux de l'organisme, et chercher les symptômes que l'on pourrait croire accessoires, et qui pourtant sont de la plus haut
mais, ma main ayant touché légèrement l'autre membre inférieur que je croyais contracture, la malade poussa un cri; il y avait
LITÉ NEURO-MUSCULAIRE. — VARIATIONS DU PHÉNOMÈNE Il ne faudrait pas croire que toutes les hystériqeshypnotisées soient susce
ées plus haut. Il ne s'agit pas là de faits exceptionnels. Si nous en croyons notre expérience personnelle, la proportion serai
fort incomplet. Les résultats que je viens d'exposer rendent, je le crois du moins, pour le moment, toute conclusion défini
erches, tout contradictoires qu'ils paraissent, offrent cependant, je crois , quelque intérêt. Ils démontrent, pour le moins,
avons soumis les sujets sur lesquels nous avons expérimenté (2). On croit généralement que si, chez un sujet cataleptique,
en même temps son attention sur ses propres émotions. En général, je crois qu'on trouvera que ces deux talents, celui du mim
er (1), en confirmant le fait clinique, l'interprète différemment. Il croit que dans le cas particulier de la contracture du
otisme, avril-mai 1887. plus intéressants du cas dont il s'agit, je crois nécessaire de vous remettre en mémoire quelques f
que toutes autres, en rapport avec les faits, et c'est pourquoi j'ai cru devoir vous les présenter. Ce serait le moment
de plus en plus pressantes. Le mal a cédé, nous avons tout lieu de le croire , définitivement. 11 y avait huit mois que cela du
le sujet mis en jeu, tant s'en faut, toujours innocentes, comme on le croit trop généralement peut-être. Or, il est clair qu'
lus m'étendre et entrer en ce moment dans une discussion en règle. Je crois en avoir dit assez pour justifier pleinement l'op
jalouse de ses droits, elle repousse formellement toute intrusion. Croyez à mes meilleurs sentiments. Charcot. Paris, l
que dans certains états morbides. Avant d'entrer dans les détails, je crois utile de rappeler à votre mémoire certains faits
e d'air qui se trouve entre le sol et le tabouret. 11 ne faudrait pas croire , messieurs, comme quelques-uns semblent le faire,
ant quelque temps encore à une tranquille analyse des faits (1). Je crois vous en avoir dit assez, messieurs, pour vous 1
nt ni le même genre de sujets ni le même genre de méthodes. Mais on a cru qu'il était plus simple de se contredire, de nier
moins, à ce qu'on ne l'a pas suffisamment étudiée et comprise. Aussi, croyons -nous qu'il ne sera pas inutile avant de chercher
conception de M. Charcot sur l'hypnotisme. Sa doctrine est contenue, croyons -nous, dans les propositions suivantes : 1° Les
propriété physiologique plutôt que pathologique. » Il ne faudrait pas croire (2) que les sujets impressionnés soient tous des
. Avant de chercher à démontrer l'exactitude de cette assertion, nous croyons utile d'entrer dans quelques développements sur c
on, M. Gharcot et ses élèves se contentent de répondre avec avantage, croyons -nous, que les sujets sur lesquels on opère de par
placé à la Salpètrière dès les premières expériences. 11 ne faut pas croire en effet que l'hypothèse de suggestion ne se soit
et désaimanter l'électro-aimant, sans que le malade s'en aperçût, Je crois avoir pris alors toutes les précautions possibles
se couvain ère de l'exactitude des opinions qu'on y soutient. Nons croyons inutile de le faire. Nous avons voulu montrer seu
ppeler cette phrase de l'ouvrage de M. Bernheim. « 11 ne faudrait pas croire que les sujets impressionnés soient tous des névr
81 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
gaison; le contraire en effet aurait été anormal. A ce propos, je crois qu'il est nécessaire de bien nous entendre. D'apr
is pré- senter le moindre signe de gigantisme. A ce propos, je ne crois pas inutile de relater ici même, le résumé d'une
hypophysaire dans une période à cartilages épiphysaires soudés, je crois que, à l'appui du cas qui nous avons résumé l'o
itement conservés, sans aboutir au gigantisme. A part ces faits, je crois que l'on pourrait faire à la loi de Brissaud une
à cause probablement de la calcification de son hypophyse. Je ne crois pas, pour ma part, qu'une telle interprétation so
tion de l'hypothyroïdisme et du myxoe- dème fruste. Or M. lIertoghe croit encore en fervent apôtre que des états tels que
s deux ÉTUDE DU GIGANTISME ACRO\IGALO-li'$A1VTIL1; 17 auteurs ont cru suffisant de relever que la glande thyroïde de le
C'est là un point qui mérite d'être bien fixé, et il est permis, je crois , d'avouer que cet infantilisme n'est pas dû à u
les acroméga- liques seraient plutôt tardifs. En d'autres termes je crois avec Brissaud et Meige que les géants peuvent é
u mot, et surtout je tiens ai t affirmer une fois de plus ce que je crois avoir démontré par la descrip- » tion des trois
lait agi d'une simple question de nomenclature clinique, quoique je crois qu'en général il faut toujours chercher il simp
eux de Brissaud et Meige (1), la valeur diagnostique qu'ils avaient cru momentanément pouvoir lui attribuer ; pour eux, a
ige m'a déclaré de façon formelle que, contrairement à ce qu'il avait cru pouvoir déduire de l'examen des premières radio
r déduire de l'examen des premières radiographies d'infantiles, il ne croyait plus pouvoir attribuer à la non-soudure des épi
t de discuter à distance le diagnostic énoncé par M. E. Levi, je me crois autorisé à faire quelques remarques au sujet de
ation n'entraînerait-elle pas des confusions regretta- bles ? Je le crois . A vouloir mettre sous la'même étiquette l'infant
aractères somatiques et psychiques de l'en- fance. Ce faisant, nous croyons , suivant le précepte de Brissaud, appli- quer l
éfinitif d'une mauvaise nutrition, d'un mauvais développement. Nous croyons que c'est dans ce sens qu'on peut se faire une id
l'air d'un arriéré, si nous le rattachons à l'achondroplasie, nous croyons pouvoir le considérer comme une variété spécial
'l'hérédité, sur laquelle il règne encore beaucoup d'obscurité, nous croyons , basés sur nos dernières considérations, pouvoi
se, ce] que nous avançons sur la genèse de l'achondroplasie et nous croyons qu'elle n'est pas moins judicieuse et moins fon
a quelques années) est restée stationnaire. Depuis 2 ails la tumeur croit dans la partie supérieure du sternum. Au début on
VIlle-IX" segments dorsaux nous a paru le plus probable. Nous avons cru devoir faire une laminectomie vu le .caractère to
lle des gens atteints d'anémie pernicieuse (Minnich, etc.). De Buck croit avec raison que ces lésions sont dues à l'influ
our s'opposer à la fle- xion de la jambe. 1 Cependant j'incline à croire que la cause principale du phénomène est due à
té même parait complète- ment perdue, elle hait ses soeurs et je ne crois pas qu'elle affectionne sa mère, bien que la mè
n'eut jamais aucune manifestation convulsive. Sa mère commençait à croire qu'Elisabeth serait épargnée -par la maladie de
ns mes observations personnelles avec une analogie parfaite. 1 Je crois donc nécessaire d'aborder l'élude analytique des
e familiale que nous étudions ici, et en deuxième lieu parce que je crois d'après mes recherches personnelles qu'il y aur
ononcée pour attirer l'attention des observateurs. A ce pro- pos je crois donc qu'il y aurait lieu d'examiner d'une façon s
des extrémités ne présentent jamais un ar- rêt de développement. Je crois à ce propos qu'il serait bon de préciser : si,
kler appuie 182 FaTu . spécialement sur le fait qu'il ne faut pas croire que les granulations tuber- culeuses qui entour
volontaire les oedèmes, les troubles trophiques, la fièvre que l'on croyait autrefois pouvoir être produits par l'hystérie
imulent, d'ailleurs sans effort. Il n'est pas aussi facile qu'on le croit de simuler une maladie. Pour une simple monoplégi
s à tort et à travers, imiteront dans leur entourage tout ce qu'ils croiront de nature à les rendre sympa- thiques ou intére
aissent alors le plaisir de tromper, de mystifier, et partant de se croire supérieurs à ceux qu'ils trompent et mys- tifie
térie ; il est l'occasion qui fait apparaître une manifestation. Je crois que tout le monde est d'ac- core à ce sujet, -
le blessé est en représentation et se surveille, mais lorsqu'il se croit en dehors de toute surveillance. Il est classiq
Agrégé libre du Val-de-Gràce, médecin principal de 2» classe.. Je crois avoir remarqué entre la scoliose et la timidité u
e est réelle : aucun de ces axes vertébraux n'est rectiligne. Je ne crois donc pas exagérer eu disant que la scoliose et
C'est probable- ment la timidité. Autrement dit, je suis disposé à croire que tous les timides ne sont pas scoliotiques,
ans l'Iconographie et encore tout récemment par M. le Dr Levi, nous croyons cependant que la contribution de quatre cas d'ach
hon- droplasique, composée du père, de la mère et d'un enfant, nous croyons qu'il vaut la peine de le publier, non seulemen
rmal du quatrième métacarpien et du quatrième métatarsien, et qu'il croit pouvoir être consi- dérécomme un nouveau caract
s épiphysaires sont complètement ossifiés. Il n'est pas possible de croire à t'infantitisme,notammentdutypeLorrain, dans l
ne question com- plexe et peu facile à résoudre. Certainement je ne crois pas qu'aujour- d'hui on puisse faire le diagnos
stiques de la maladie de Basedow. On pourrait donc, dans notre cas, croire que quelques-unes des glandes dites à sécrétion i
ui essayèrent vainement de faire reproduiredes nainsentreeux ? Nous croyons que non. Il s'agit d'expériences trop rares et
r groupe, est-ce que nous pouvons dire la même chose du second ? Je crois que non, car aujourd'hui il est déjà démontré q
orme pas une race de tuberculeux ou une race de syphilitiques, nous croyons qu'il n'est pas possible de faire une telle compa
hondroplasie une intoxication, une in- fectionvenantdela mère, nous croyons plus probable qu'elle agi seulement ou presque
pparurent seulement quatre mois après l'infection et furent d'abord crus d'origine hystérique, car l'on avait trouvé des
ement de la syphilis cérébrale, se basant sur sa propre expérience, croit qu'une telle influence ne doit pas être exagéré
nclu- sions de Schuster ont été attaquées par Spindler ; mais Nonne croit que les déductions de Spindler ne sont pas asse
juste raison que l'on a cessé de compter sur les ostéophytes, qui, croyait -on jadis, pourraient former autour des parties
aient normales. En se basant' sur cette constatation Von Monakow se croit justifié d'affirmer que les grandes pyramides s
artie profonde du versant rolandique. Pour toutes ces raisons je me crois autorisé d'admettre que les relations des cellu
lonne vertébrale. Mais avant d'entreprendre cette démonstration, je crois opportun de rap- peler brièvement les études fa
rès le commen- cement du tabes (dans notre cas, environ 12 ans). Je crois au contraire intéressant le fait qu'elle se soi
ent pré- cédé la déformation, et qui auraient ensuite disparu. Je crois nécessaire de terminer l'exposé du cas par moi ob
séma- teuses très prononcées, et on y distingue quelques tubercules crus de la grosseur d'une forte tête d'épingle. Les
sistent en une flexion et extension automatiques des membres. Bruns croit qu'elles naissent ,'par suite d'une excitation
démontrer combien peu on peut se fier aux symptômes typiques. Nous croyons que la connaissance de cette richesse de combin
-à-dire dont le point de départ est la moelle même).Leyden (ISi4) a cru que la différence consiste en l'intensité des lés
encore aujourd'hui par Bruns, Oppenheim, Stertz et d'autres. Bruns croit que, dans les cas où la tumeur intra-médullaire
des différents symptômes qui peuvent éclairer le diagnostic. Stertz croit qu'un des symptômes les plus importants pour dépi
aques où les accès douloureux atteignaient une grande intensité; il croit que dans des cas semblables les plaques très pe
gale- ment. En général cette question reste encore incertaine. Nous croyons que la tuberculose en est la cause le plus souv
uvait pas se décider à choisir entre 5 diagnostics différents. Nous croyons pourtant que plus s'enrichissent nos matériaux cl
hématomyélie consécutive. Un cas analogue est décrit par Bruns, qui croit également que les hémorragies peuvent résulter
la restitution des fonctions de la moelle après l'opération ? Nous croyons qu'en tout cas la constatation de cette dégénér
énérescences plus anciennes décelées par la méthode de Weigert.nous croyons qu'elles aussi ne constituent pas une preuve in
es. La destruction si considérable de la commissure cal- lieuse, il croit pouvoir l'expliquer assez facilement. Au cours d'
un âge beaucoup moins avancé que l'âge réel. Voilà pourquoi nous ne croyons pas pouvoir accepter la définition que M.Meige
lement en cette matière dépend surtout du fait que nombre d'auteurs croient pouvoir parler indifféremment de nanisme ou d'i
lisme là où les signes de menta- lité infantile font défaut. Nous croyons , au contraire,que souvent l'infantilisme somatiqu
ne des données cliniques les plus importantes. Cependant nous avons cru intéressant de réunir ici les principales don-
donne la seule bonne étude clinique qui existe sur un cas que nous croyons devoir être étiqueté plutôt comme microsomie et i
ons la description dans ce mémoire. Mais naturellement nous ne nous croyons pas autorisés à formuler un jugement d'identifi
nière forme font complètement dé- faut, et c'est pour cela que nous croyons devoir donner quelque valeur à l'étude que nous
tre il abuse depuis plusieurs années de boissons alcooliques ; nous croyons devoir rappeler ces faits avant de donner notre j
n ne se serait pas aperçu que son développement fût anormal ; on ne croyait pas,en conséquence, qu'il resterait comme son pèr
ent si parfaitement chez les deux individus qu'on serait tenté de les croire appartenant à une même famille, cependant qu'il
différence essentielle, aucune différence notable même, si nous en croyons les observations publiées. Tl y a une analogie fr
ormations, qu'elle soit même nécessaire à sa production, nous ne le croyons pas. M. Dabes (1) a, pour expliquer certaines m
ut l'effort de son argumentation sur les cas non congénitaux, qu'il croit fréquents, plus fréquents même que l'on ne serait
ies vasculaires, effets du hasard ou de l'irritation, que Steinberg croit possible. De même que l'achondroplasie,que la m
irmis- son (1), sont infiniment plus complexes qu'on ne pourrait le croire tout d'abord ... Il faut encore faire entrer en
ou plusieurs racines). Nous attirons l'attention sur un point. Nous croyons qu'on peul éloi- gner une tumeur intradurale sé
ait toute seule, et cinq mois après l'opération per- sonne n'aurait cru que celte malade avait été atteinte de paralysie.
(1) Cités par Oppenheim. 596 - FLATAU méningite purulente. Harle croit que les tumeurs intradurales donnent plus de mo
mélolhérapie que le père prieur, au nom de ses souvenirs bibliques, crut devoir insti- tuer auprès de son malade : tenta
rère convers. D'après les uns, c'était une espèce de frénésie. A en croire les autres, il était (1) E. Wauters, neveu de A
and. Pour ce qui est du vin, il buvait avec ses hôtes, et l'on peut croire que cela aggrava son état. Ces circonstances pu
indiqués qu'avec « la puissance créatrice et de rêverie ». Ceux qui croient à l'intervention divine invoquent la punition que
ne absence totale de la commis- sure calleuse proprement dite. Nous croyons pouvoir démontrer cepen- dant que le système ca
ment dans la profondeur de la circonvolution voisine, laquelle nous croyons pouvoir identifier avec la première circonvolut
ifier ces fascicules dérivés du faisceau triangu- laire, nous avons cru qu'il pouvait s'agir, soit d'une voie aberrante d
ns établir les confins de ce dernier faisceau. Ce qui nous engage à croire que le cingulum fait partie de ce champ compliqué
nant au faisceau sagittal. Toutes ces particularités nous portent à croire que cette membrane double représente selon toute
système calleux manque nécessairement dans sa totalité ? Nous ne le croyons pas. Lesystème calleux comprend non seulement l
ment des parties antérieures des vésicules hémisphé- riques. Nous croyons que la méningite ventriculaire est une grande cau
eut manquer, soit en partie, soit totale- ment, mais ce que nous ne croyons pas, c'est que le système calleux, pris dans so
insi, ce cas nous permet de formu- ler de nouveau la thèse que nous croyons avoir été le premier à soutenir, à savoir que l
TORE LEVI, Privat-Docent de Neurologie (Florence) .. Nous avons cru devoir donner une description détaillée et minuti
s de mettre en relief les faits suivants auxquels cependant nous ne croyons pas devoir donner aucune signification spéciale
de plusieurs glandes à sécrétion interne, et, par conséquent, nous croyons plus probable qu'une al lération genninale pl'i-
rie que nous venons de citer, nous ne pouvons y souscrire ; nous ne croyons pas qu'on puisse aujour- d'hui poser comme règl
par l'identité de forme de la microsomie qu'ils présentaient. Nous croyons cependant que les affirmations de 1\1. Auguste Ma
a atrophie génitale et par conséquent impuissance sexuelle, nous ne croyons pas qu'on puisse parler ni de nanisme pur ni de m
- puyée par des faits cliniques et anatomiques assez clairs,et nous croyons que, dans l'état actuel de nos connaissances, i
e nom d'infantilisme de Lorain. Dans nos mémoires sur ce sujet nous croyons avoir suffisamment prouvé que cette forme a dro
me dysthyroïdien qui a été si bien décrit par Brissaud ? Nous ne le croyons pas : du type Brissaud il a le nez peu développé,
ou à peine retardée sont les arguments essentiels sur lesquels nous croyons devoir nous fon- der pour éliminer dans notre c
une des formes 680 ETTORE LKVI ` connues d'infantilisme, car nous croyons que notre sujet est surtout un exemple de ? 7«c
ujet l'ossification est très avancée, et nous avons toute raison de croire qu'elle sera complète entre la 17e et la 208 an
ent .souvent des hernies in- guinales. Nous avons déjà dit que nous croyons qu'un diagnostic sûr et définitif de microsomie
ctuels d'infantilisme partiel disparaissent avec t'âge, car nous ne croyons pas que chez lui la dysthy- roïdie (si elle exi
primordiale de la microsomie dans notre première famille. Nous ne croyons pas que la petite Alexandrine deviendra une femme
82 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s certains cas. les malades évitent le regard d'autrui parce qu'ils croient que leurs yeux manifestent leur étal anormal et
a à peu près cinq ans ; je n'y prêtais pas trop d'attention, car je croyais que cela ne pouvait pas empirer. Mais tout à co
IQUE AMENTALE. qu'on la tenait pour folle ; ensuite elle commença à croire qu'elle pouvait passer pour une femme de mauvai
sser à un médecin, mais je ne pouvais pas me décider ; du reste, je croyais pouvoir me distraire en été et que tout passera
e de miracle ; j'espérais guérir après avoir changé la chambre ; je croyais qu'avec le commencement des cours les éludes m'
ces malades qui souffrent de la phobie du regard d'autrui et je ne crois pas qu'on puisse ajouter encore quelque chose i
nous devons le reconnaître entre nous, et après tant d'autres, nous croyons le moment venu de coordonner tous les résultats
n ordre de choses mieux adapté aux besoins présents. Mais nous ne croyons pas, pour le moment du moins, que cela nécessit
ans. De quelle nature est la tutelle dont nous parlons ici ? Nous croyons inutile de le redire encore ici après le long a
ment a fini par acquérir force de loi dans presque tous les asiles, croyons -nous. * ' D'ailleurs un assez grand nombre d'ar
AL DANS LES ASILES PUBLICS D'ADENUS. 37 l comme'insuffisantes, nous croyons prudent de ne pas de- mander \que , mot de méde
ments ; nous 38 revue D'ANATU611L et de physiologie pathologiques croyons qu'il serait bon que cela fut évité dans l'avenir
nt fléchis, le droit sur sa poitrine ; le gauche sur l'abdomen ; il croit que les doigts des mains sont en flexion et que
rrière le dos, comprimé parle tronc qui pèse sur lui, ou bien il le croit sur sa poitrine ou sur son ventre. 11 se rend t
laïques, avec leur salaire). La direction médicale de l'Asile avait cru pouvoir user pen- dant un temps d'un moyen qui,
e par enchantement les symptômes neurasthéniques. La neurasthénie croit avec le surmenage intensif qui accompa- gne l'e
ission, et, en possession d'un titre obtenu par le concours, ils ne croiraient plus déchoir en venant à l'asile de Quimpers'il
'1 Pour en terminer avec les questions relatives au personnel, je crois devoir ajouter que, dans la session d'aoûtdernier
topsie avec examen histologique con- firmant cette complication, je crois intéressant de rap- porter ici l'étude d'un cas
mportance de cet organe, peut influencer sur les autres. Qui aurait cru jadis que la glande thyroïde avait une influenc
laire ci-après : Le Ministre de l'Intérieur à MM. les Préfets. Je crois devoir signaler à votre attention l'importance et
llule et leur paroi est formée par le protoplas- ma. Il y a lieu de croire que les canaux à parois et ceux qui de- viennen
ceux qu'ont publiés les auteurs. En les comparant aux miens, je me crois en droit de supposer qu'il existe dans les cell
eu un chancre n'ait point éprouvé d'accidents secondaires, l'auteur croit à une syphilis cérébrale compliquée d'endartéri
and on agit ainsi sur l'oeil A, lapupille B ne réagit pas, il est à croire que l'immobilité ré- flexe unilatérale se compl
tique ; si la pupille B ne réa- git pas directement, il y a lieu de croire à la même complication de l'oeil B. Pour M. I
5 observations extrêmement ins- LrucLives. Toute malade de ce genre croit comme le peuple qu'on peut lui jeter un sort et
isément de s'en inquiéter. On n'est malheureux qu'autant qu'on le croit . La souffrance est toujours psychique. Aussi, pou
prétation délirante de sensations anor- males réelles : un angineux croit avoir un chat dans la gorge, un constipé croit
éelles : un angineux croit avoir un chat dans la gorge, un constipé croit que son intestin est bouché, etc. De même, la p
(suicide à deux, suicide collectif) dû à ce que l'hypochondria- que croit les siens perdus en même temps que lui. Il existe
nsérer dans des études généra- les sur la chirurgie des aliénés. Je crois cependant le moment venu pour moi d'insister de
r l'opinion du plus grand nombre en affir- mant qu'il y a erreur de croire « que chercher la lésion c'est la créer » - I
ocondriaque n'a pas seulement la crainte, la peur delà maladie ; il croit , il affirme qu'il est malade et cela parce qu'il
ux diverses modalités des délires hypochondriaques. En résumé, je crois avec M. Cullerre et contrairement à l'opi- nion
peut se rencon- trer chez les débiles (observation d'une malade qui croyait avoir dans le crâne un cloporte lui rongeant le
systématise évoluant d'une façon chronique : Cas d'une malade qui croit loger ainsi un « ver poilu » colossal, et cas d'u
loger ainsi un « ver poilu » colossal, et cas d'une ma- lade qui se croit enceinte depuis vingt-deux ans ; le foetus de l
qui se traduisait même par des rêves spéciaux. Actuellement, elle croit exhaler une odeur repoussante et en tend sans ces
de la persécution (type LASkG(irt-FALRET) : le ma- lade, loin de se croire atteint d'une déchéance physique ou intellectue
sur un certain nombre de faits personnels, anciens et récents, nous croyons que cette dernière forme, à laquelle il faut ré
c où il n'y en avait pas. C. Au point de vue étiologique, on peut croire qu'il s'agit de spasme précurseur de la contrac
rances qu'ils endurent. Discussion. , ,NI. Léri (de Paris).-Je ne crois pas que le syndrome ana- tomo-clinidue décrit p
de ces boules de dégénérescence que nous avons signalées. - Nous croyons donc bien que ces faits demandent LI être vérif
malades soient dans la démence complète. M. neige. Il s'agit, je crois , dans les cas qu'on nous cite, bien plus de sté
scendance pour les personnes qui en sont le sujet. » On a peine à croire que Pinel qui, au nombre des rares pratiques ba
s'y soumettent sans la moindre difficulté. En agissant ainsi, nous croyons rendre service et aux médecins qui trouveront d
érapie et en électrothérapie. M. DROUINEAU (inspecteur général). Je croyais , jusqu'à Il présent, que toutes ces matières fa
Nous avons classé en trois groupes principaux les signesque nous croyons distincts de la démence précoce à forme paranoïde
pas avoir beau- coup attiré l'attention jusqu'ici, et l'on pourrait croire qu'il n'existe, chez ces malades, d'autres trou
dividuelle du sujet (délire métabolique de la personnalité) : il se croit autre qu'autrefois, différent du commun des mor
as plus complets la transformation corporelle est absolue : il se croit changé en animal (zoanthropie), en loup (lycan-
e. L'étude clinique et analytique que nous en avons faite permet, croyons -nous, de considérer toutes ces moda- lités déli
». En même temps, elle manifeste quelques idées de culpabilité et croit avoir une influence nuisible sur tout l'univers :
années de son existence comme celui des personnes. De même qu'elle croit qu'il y a plusieurs M. C..., plusieurs Mme B...
'est grâce à cette multiplication des années qu'elle en arrive à se croire cen- tenaire et même davantage. En mai. l'amé
ensuite par des idées de transformation corpo- relle. La malade se croit changée en chien, en taureau, en homme ; toutes
itement la date de sa naissance et le millésime de l'année, elle se croit vieille de centaines et de milliers d'années et
inter- préter les troubles psychopathiques d'une malade qui, sans croire à la transformation de son corps, doutait ce- p
es sensations et par suite de sa propre existence, nous permettent, croyons -nous, de ré- (1) P. Honkiei». Le Vertit.1. 1S93
ge de ses sens et de toutes les affirmations qu'on lui oppose, se croit -elle métamorphosée en chien, en taureau, etc.. ?
LITÉ. 267 ( aux autres et par rapport aux objets extérieurs. Nous croyons toutefois que ce « sens de l'espace » est étroite
s de conscience ou de représentation du corps, de cénesthésie, nous croyons devoir conserver le terme de cénesthésiopathie
inations professionnelles ou ter- rifiantes n'est pas, comme on l'a cru longtemps, le mo- nopole exclusif de l'alcoolis
baus) qui, par cela même qu'il ouvre la scène morbide, peut faire croire à une folie commençante et amener l'interne- me
ments, au contraire, ils aperçoivent des personnages célestes, se croient inspirés de Dieu et prêchent des heures entiè-
raissent pas acceptables telles qu'elles ont été proposées. « Je ne crois pas, dit-il, qu'il soit bon de faire dans les asi
pitaux, pour \atterre, pour Bicè- tre... - : 'Il. CULLERRE. - Je ne crois pas que les asiles aient à y ga- gner. 51. Dr
épendance, puisque je ne suis nullement intéressé à la question. Je crois , comme M. 1 Inspecteur,que le concours unique p
oduisent. Dr )1 ? NNHEINIER. Je suis de l'avis de M. Régis, mais je crois qu'il serait bon qu'un médecin d'asile fit de l
a parole pour apporter la pro- testation de mon médecin-adjoint. Je crois , comme ;\1. l'Inspec- teur, qu'on n'a pas le dr
s injustices auraient-elles donc été commises jusqu'ici On pourrait croire que les nominations de la Seine ont été souvent
ue des deux processus ne permet- tent pas, vu leur simultanéité, de croire qu'il s'agisse d'une même poussée pathologique
tant d'améliorer l'alimen- tation des aliénés et du personnel. Nous croyons que le Préfet (l'llle-'et- Vilaine ? \1. Rault,
la coexistence de ces lésions est beaucoup plus commune qu'on ne le croit généralement; 2° par l'examen des méninges du fon
la cholémie n'est pas en rapport direct des symptômes. On pourrait croire qu'une cholémie légère ne donnera lieu qu'à une
e maladie. » Elle a eu jadis une arthrite béni- gne au genou ; elle croit qu'elle va en retomber malade et que celle arth
ne veut pas fournir de renseignements sur sa grossesse. La famille croit qu'on a abusé d'elle. A son entrée dans le se
'il avait eue au régiment. Son étal s'aggravait tous les jours ; il croyait voir dans la chambre sa mère et des individus i
t il ne s'en est dégagé aucune donnée vraiment précise ; aussi ne croyons -nous pas trop nous avancer en disant qu'après c
rtains états caLatoni([ucs insuffisamment analysés permettraient de croire à la simulation, d'autant qu'il y eut en l'espè
s hébé- phéniqucs, etc. De cette multiplicité de formes. l'auteur croit pouvoir conclure que les psycltoss polym : v ri
ompression lente produite par des processus pathologiques, lui font croire qu'on peut admettre aussi, pour les cas de la s
ant dans le parenchyme nerveux proprement dit. Or 1 ? csLa (Le.) ne croit pas qu'on puisse avoir stase et oedème médullai
maximum une stase dans l'espace subdural. Scxrlaus, au contraire, croit que cette stase lymphatique dans l'espace subdu-
, dans les veines de la pie-mère, riches en anastomoses, Fickler ne croit pas, que l'oblitération même de nombreux petits
raissait souvent après l'extraction des tumeurs. , , . Fickler ne croit pas non plus qu'on puisse avoir une stasepar co
son volume normal et presque supé- rieur. On ne peut donc invoquer, croyons -nous, celte compression mécanique directe qui s
dues aux toxines tubercu- leuses ou il la cachexie, suffisent, nous croyons , à expli- quer l'absence des réflexes rotulicns
autre côté l'intensité des phénomènes d'oedème médullaire nous font croire que l'oedème relève en.grande part de l'action
oloration et la difficulté d'obtenir des cultures prospères, ils se croient en droit de les considérer comme des fragmentat
trouver, à l'examen du sang, autre chose que ce qui est. Aussi, je crois utile de remettre les choses au point et je pré
lisme, le crétinisme et le mvxoedème. P. Kkraval. Nous avons été, croyons -nous, le premier, en France. à appeler l'attent
e s'expliqueraient les délires consécutifs aux accouchements. Je ne crois pas qu'il faille voir ' 1 là de simples coïncid
83 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
rie d'études qui exigèrent beaucoup de temps. Cependant les 1. Nous croyons utile de reproduire en tête de cette nouvelle édi
te, sa profession de foi scien-tifique. A cette obligation, nous ne croyons pas devoir nous soustraire, et nous allons entrer
rencontrer. Messieurs, du point de vue où nous sommes placés, nous croyons reconnaître une différence capitale entre l'ancie
ogique et acquiert décidément les tendances scientifiques. On peut, croyons -nous, ramener à deux traits caractéristi-ques les
les faits et à les envisager dans leurs rapports naturels. C'est là, croyons -nous, le véritable carac-tère de la médecine empi
a physiologie, l'anatomie elle-même sont en voie d'évolution. Aussi croyons -nous qu'en bonne méthode, il importe de maintenir
ux des parties tendineuses. On prenait le cerveau pour une glande. On croyait les artères pleines d'air, et la dis-tribution ré
efois appelée ironiquement Y anatomie morte. Je n'ai rien exagéré; je crois , tout au moins, avoir exprimé fidèlement les tend
traces de leurs brillantes incursions dans plus d'une région que l'on croyait fermée à l'anatomie patho-logique. La méthode, ce
son caprice en s'affranchissant de toute loi. Elle va même jusqu'à croire que les propriétés vitales se-ront un jour ramené
e l'observation pure des anciens et la méthode des mo-dernes. 1° Je crois avoir établi que la méthode empirique est le ves-
Axant d'avoir appliqué cet instrument aux recherches de ce genre , on croyait que la température du vieillard était moins élevé
Louis XV est mort de la variole à l'âge de soixante-cinq ans? Nous croyons en avoir dit assez, messieurs, pour vous convainc
lisation, môme aiguë, est plus fréquente à la Salpétrière qu'on ne le croit généralement. Un élève de M. Vulpian. M. Mourcton
e, ces cas insidieux dans lesquels on voit des gens frappés à mort se croire à peine malades, et con-tinuer à vaquer à leurs a
ns. Mort avec élévation de la température. (Gharcot.) Messieurs, je crois vous avoir montré toute l'importance de la thermo
antôt organiques, tantôt purement fonctionnelles. Il y a même lieu de croire que dans quelques cas, rares d'ailleurs, la diath
nt, d'après Garrod, dans l'intervalle des tubes urinifères. Mais nous croyons avoir demandé qu'ils ont leur point de départ dan
érisent la diathèse goutteuse. Mais, avant d'aban-donner ce sujet, je crois utile de vous placer sous les yeux certains faits
une distinction absolue entre ces deux ordres de phénomènes, et nous croyons volontiers que les troubles fonctionnels ne sont
avoir vainement invoqué les secours delà science régulière, le malade crut devoir s'adresser àl'homceo-pathie. Un succès ine
e façon spontanée, et la fluxion goutteuse revient au gros orteil. On croit assez généralement à l'influence des applications
; et après avoir fait une large part aux erreurs de diagnostic, nous croyons que les diverses affections qu'on peut invoquer à
tiques pour rendre compte des phénomènes de la goutte stomacale, nous croyons que des lésions superficielles peuvent fort bien
la goutte et le rhumatisme. Messieurs, Le cadre dans lequel j'ai cru devoir circonscrire l'histoire des affections gou
. On pourrait aisément multiplier les exemples de ce genre, mais je crois en avoir dit assez pour vous montrer qu'il existe
élation qui existe entre ces diverses manifestations morbides. Nous croyons cependant devoir rappeler ici, que la forma-tion
ent ? Mon ancien maître et prédécesseur à la Salpétrière, M. Cazalis, croit à l'existence d'une étroite relation entre ces de
mentation partielle, qui posséderait cette fâcheuse propriété. Nous croyons avoir suffisamment démontré l'influence que certa
Tel est, messieurs, l'état de nos connaissances sur ce sujet. J'ai cru devoir me livrer une à discussion souvent aride p
variés et tellement opposés en apparence, que plu-sieurs auteurs ont cru avoir sous les yeux plusieurs affections différen
nt infiltrées ; celles-ci reprennent alors leur aspect normal. Nous croyons avoir établi : 1° l'unité des diverses formes cli
rhumatisme paraît lié à la diathèse hémorrhagique. En résumé, nous croyons avoir démontré que le rhuma-tisme articulaire, so
, on se repré-sentait l'endocarde comme une membrane séreuse, et l'on croyait retrouver, dans les lésions qu'il présente, les c
ncore cette défor-mation caractéristique du rhumatisme noueux. Nous croyons toutefois qu'il s'agit ici, le plus souvent, d'un
iôre, appartient surtout à l'âge sénile; cependant il ne faudrait pas croire qu'elle ne se rencontre jamais chez de jeunes suj
fois seulement par Griesinger, dans ses Études sur le diabète. Je ne crois pas que le diabète ait jamais été observé comme u
ions est possible : M. Danjoy, qui a appelé l'attention sur ce point, croit que la maladie est alors modifiée dans son évolut
e qui peut être produite sur le système nerveux. Je serais dis-posé à croire que plusieurs cas dans lesquels la goutte a paru
et une action spéciale sur l'excrétion uri-naire. On aurait tort de croire que tous les alcalins peuvent être indifféremment
s une amélioration notable, et d'autres fois échouer complètement. Je crois cependant pouvoir affirmer que l'ar-senic reste s
n peut alors progressivement élever la dose. Il est avantageux, je le crois du moins, d'administrer l'arsenic sous forme de l
ens très âgés, la tempéra-ture se tient au-dessus de ces chiffres. Je crois qu'il n'en est ainsi que dans des cas exceptionne
grès de l'anatomie patho-logique, le temps n'est plus où l'on pouvait croire , avec Hoffmann, cpie l'autopsie fait toujours déc
nd, Jurgensen, Liebermeister, Gerhardt), D'après cequiprôcède, nous croyons pouvoir vous présenter, non pas à titre de vérité
e la moellequi sontla conséquence des altérations des hémisphères. Je crois utile de vous pré-senter, à titre d'exemples, deu
le au-dessous du taux habituel, moins toutefois que pourrait le faire croire la sensation éprouvée par la main de l'observateu
Ces données empruntées à la pathologie expérimentale, nous donnent, croyons -nous, la clef d'un certain nombre de faits, en ap
at fébrile dm les vieillards (Voir p. 18), monie lobaire; on pourra croire que de cette combinaison devra résulter une ascen
ans les cas où la maladie est depuis longtemps constituée. Nous avons cru remarquer que, chez certains malades, une per-cus
rétraction douloureuse des muscles a été prononcée et persistante. Je crois que c'est à ce symptôme que Haygarth et Landré-Ba
re. —Déviations. — Avant d'entre-prendre l'étude des déviations, nous croyons nécessaire d'in-diquer les articulations qui sont
rqué. Quelle est la fréquence de la maladie ? nous sommes por-tés à croire qu'elle est assez grande ; car, d'après un calcul
e que nous avons si fréquem-ment observée chez les femmes. Nous avons cru devoir rap-porter l'observation d'un de ces malad
nexées au travail du docteur Budd. Pendant longtemps, nous avons pu croire que les observa-tions de ce genre n'avaient jamai
avité de la conque et fait légèrement saillie dans cette cavité. Nous croyons que ces concrétions n'ont pas encore été rencontr
et des articulations que nous avons trouvées à l'autopsie, mais nous croyons utile d'exposer, en quelques mots, l'historique e
ight (néphrite albumineuse, desquamma-tive ou parenchymateuse). Aussi croyons -nous que la distinc-tion établie par Todd ne peut
s faits, il est vrai, peu nombreux, qui ont trait à notre sujet, nous croyons pouvoir conclure : I. Que chez un certain nombr
e échelle, ne resteront pas infructueuses ; c'est pourquoi nous avons cru utile de faire connaître ces résultats, ne fût-ce
e de gonflement et de rougeur ; il y avait à peine de la fièvre. S... crut que c'était là le résultat d'une entorse. Il dut
ation de M. Lev parle d'une série de faits qu'il a remarqués et qu'il croit peu connus. M. Charcot fut appelé à voir un mal
les, ne sont évidem-ment pas le rhumatisme arliculaire commun. « Je crois , de plus, qu'il y aune arthrite scarlatineuse bie
pe cependant quelquefois, sous l'influence de la scarlatine. 1 « Je crois aussi qu'il existe une arthrite blennorrhagique a
ussion en règle et de rechercher de quel côté est la vérité ; mais je crois utile de rapporter deux faits suivis de nécroscop
Gironde, pour 1859 (n° 10, p. 452). Voici notre observation, que nous croyons devoir rapporter in extenso, en raison de l'intér
dernier point, ont d'ailleurs confirmé celles de M. Garrod, et je ne crois pas qu'il existe, quant à présent, de faits contr
du rhumatisme articulaire chronique. Toutefois, il ne faudrait pas croire que l'excès d'acide urique en question constitue,
s qui sont sous le coup de l'intoxication saturnine. D'après cela, je crois qu'il est permis dédire, dès à présent, que s'il
, sans aucun doute, dans l'état normal ; par conséquent, tout porte à croire que l'accroissement ou le décroissement de l'excr
voir vainement invoqué les secours de la science régulière, le malade crut devoir s'adresser à rhomœopathie. Un succès inesp
crits d'une manière remarquable par M. Stokes, dans un passage que je crois devoir reproduire in extenso : « On « observe, di
ications de texture qui les rend plus friables, et c'est avec raison, croyons -nous, qu'en traitant du coup de fouet, W, J. John
ulations métatarso-phalangiennes des gros orteils. Plusieurs médecins crurent à l'existence d'une méningite rhumatismale ou gou
le rhumatisme articulaire chronique— Il n'est pas aussi rare qu'on le croit généralement de rencon-trer l'endocardite et la p
déterminer les conditions de la réussite ou celles de l'insuccès. Je crois pouvoir dire toutefois que l'arsenic reste sans e
ours, et l'on peut alors élever progressivement les doses. 11 y a, je crois , avantage à administrer l'arsenic sous forme de l
ne se voient pas à la Salpêtriôre aussi fréquemment qu'on pourrait le croire , d'après le préjugé vulgaire. Un simple coup d'
déclare n'avoir vu signalé aucun cas de guérison. Il ne faudrait pas croire non plus que toujours le pronostic soit relativem
84 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
e entre ses mains elle la sent, elle se met à la secouer. On pourrait croire qu'elle tient à la main un vêtement qu'elle vient
— Il se précipite sur quelqu'un. Ses poings sont serrés... Puis il se croit à cheval, tire sur la bride comme pour arrêter sa
es à l'eau. Viens ici... Où en vois-tu ? je n'en vois pas du tout. Tu crois qu'ils vont sortir de l'eau ; t'es bêbête !... où
uelles il assiste ou prend part et qu'il mime tellement bien que l'on croirait presque y assister avec lui. Verre rouge. — Il
199. ¦ nant pour une corde à nœuds du gymnase où dans son délire il croyait se trouver. Sous l'empire d'une hallucination de
reil cas, abandonnent, comme on sait, leur propre individualité et se croient transformés en animaux divers. Il y a trois ans
à un observateur non exercé de commettre ici une grosse erreur et de croire que ce somnambulisme appartient à l'hypnotisme, p
en fait le sujet, des personnes, non du métier, il est vrai, avaient cru à « l'hypnotisme » alors qu'il s'agissait tout bo
a nuit elle avait souvent aussi des cauchemars, rêvait de sa mère, la croyait couchée avec elle dans son lit, etc. Placée en
te verra pas. Je ne t'aime plus, Alexis. J'aime mieux Paul. Tu ne me crois pas; tu as raison, va! je t'aime mieux que lui. C
Nous allons mourir ensemble. Oh ! que je suis heureux, tu ne peux pas croire . Oh ! que je suis contente, mon ange, mon Paul, b
en prie, tu me taquines toujours. Sont-ils bêtes, tous? C'est ça, ils croient qu'ils me font peur ; mais pas du tout ; je ne ve
en de ce qui s'est passé. On lui dit qu'elle a été malade, elle ne le croit pas. Le soir, au dîner, elle a peu mangé ; elle s
ie pitié de ta fille, maman. » Avec un verre vert de vitre, elle se croit au bord de l'eau : « J'ai toujours eu peur de tom
à l'eau... Viens ici... Où en vois-tu ? je n'en vois pas du tout. Tu crois qu'ils vont sortir de l'eau. T'es bebête!... Où i
al... ce qu'elle doit en avoir assez, la pauvre bête!... Ah ! oui, je croyais qu'ils allaient à Vincennes, mais non, ils vont a
e client fera une belle vie quand il verra que ça s'en va... Tu ne me crois pas? Tiens! tu vas voir, passe-moi le bec de gaz.
On lui demande s'il sait ce qui vient de se passer : « J'ai dormi, je crois , » répondit-il. On explore la sensibilité : le cô
ecmnésique deMM.PitresetBlanc-Fontenille(2), dans lequel la malade se croit reportée à une période antérieure, quelquefois tr
urels diminuerait singulièrement et il ne resterait plus grand'chose, croyons -nous, à l'actif du noctambulisme simple, lorsqu'o
is que son domaine est beaucoup moins étendu qu'on serait tenté de le croire et qu'il faut en outre certainement le restreindr
i, à mon avis, ne répond pas tout à fait à la réalité. En effet, à en croire les auteurs de ces travaux, quatre-vingt-dix pour
vropathes, je le veux bien, mais quatre-vingt-dix pour cent, je ne le crois guère. On n'hypnotise pas tous les sujets indiffé
nfance et de la première jeunesse. On ne connaît pas, du reste, je le crois du moins, de cas de dédoublement de la personnali
de, ce qui l'y a intéressée, la Tour Eiffel, les Annamites, etc. Elle croit qu'elle est entrée à la Salpêtrière il y a 5 ans,
nnaître, bien qu'elle l'eût regardé attentivement. D'autre part, elle croit que nous sommes en l'année 1885 ; elle se dit âgé
s araignées dans un cabinet de médecin, et dans le même endroit ne se croirait pas sur le passage d'un enterrement d'homme célèb
jeter à la nage dans un étang pour secourir un de ses frères qu'elle croyait y être tombé. D'autres fois elle se levait, s'hab
ez sa malade ces phénomènes de dédoublement de la personnalité, qu'il croit de nature hystérique, pendant une douzaine d'anné
état à l'autre. Les mots «sommeil agité » permettraient peut-être de croire qu'il existe là aux environs de ce passage quelqu
qu'elle a dit ou fait pendant l'état second, et elle n'a jamais voulu croire qu'elle s'était exprimée comme nous venons de le
nt les lieux où il se trouve, ni les personnes qui l'entourent. Il se croit à Saint-Urbain, pendant la première partie du séj
arrivé « l'autre jour » et au delà duquel il ne connaît plus rien. On croit tout d'abord à la simulation, qu'on essaie de dép
de dépister par tous les moyens possibles, mais on est bien obligé de croire qu'elle n'est pour rien dans ces singuliers phéno
17 avril, à la suite d'une attaque, la contracture a disparu et il se croit dans l'état antérieur au 26 janvier ; il n'a aucu
que temps après (juin 1884), à la suite d'une nouvelle attaque, il se croit au 17 avril pendant vingt-quatre heures. Mais, le
xistence. A la suite d'une autre application d'aimant, le malade se croit à Mâcon, en 1881, et a oublié tout le reste. Il s
d'en venir au cas de M. Azam, non moins bien étudié que celui-là, je crois nécessaire d'insister une fois de plus sur la man
r donne, c'est sans l'intervention de cette rigidité qui fait souvent croire à de la catalepsie dans des cas où il n'y a en ré
évolu. Alors à la faveur de son titre emprunté (du moins j'aime mieux croire qu'il en était ainsi), titre qui lui ouvrait les
me raconte cet épisode qui l'avait tout émotionnée et lui avait fait croire , un instant, à la «folie» de sa compagne. Je po
du moins; elle se rappelle l'avoir vue quelquefois, le soir ; c'est, croit -elle, la personne qui occupe le lit voisin du sie
que chose. Ne comprenant rien à ma maladie, les gens ne voulaient pas croire , lorsque je disais que je ne savais pas. C'est de
i beau leur dire que j'en ai autant qu'eux (1), ils ne veulent pas me croire . Enfin, je me trouve bien comme je suis... etc..
pas me croire. Enfin, je me trouve bien comme je suis... etc.. » On croirait entendre parler Félida en lisant cette lettre, ma
pelle pas où elle demeurait avant d'arriver à la Salpêtrière, où elle croit être entrée il y a cinq ans. Elle dit quelquefois
do sa situation à ce moment, il faut partir de ce principe qu'elle se croit en 1885. Elle dit quelquefois : en 1884, nous avo
ssé, ses allures pendant son séjour à l'hôpital, j'inclinerais fort à croire aujourd'hui, éclairé par les cas que j'ai eus dep
Avant d'en linir avec cette comparaison des deux états entre eux, je crois utile de faire ressortir un fait, sans doute peu
taque de grande hystérie. Nous avons, en effet, quelques raisons de croire qu'il ne s'agit pas ici de phénomènes dynamiques
l'état de la malade (22 janvier 1892). tendues peu auparavant, elle croit toujours les voir ou entendre pour la première fo
lle très singulière en vérité et dont on trouverait difficilement, je crois , un exemple analogue. Je sais bien que dans les a
rois : un de lecture, un d'écriture, un d'orthographe, le premier, je crois . D. Que s'est-il passé chez vous le 28 août ?
ur sommes-nous, Madame ? R. Nous sommes mardi, le 22 décembre. Je crois superflu, Messieurs, de prolonger plus longtemps
attaque défaire ce qu'elle a fait ? La chose pourrait être tentée, je crois , et avec d'autant plus de chance de succès que ce
s l'urine est venue réformer le diagnostic. Mais il ne faudrait pas croire que la présence du sucre dans les urines puisse t
, veuille toujours dire pseudo-tabes d'origine diabétique? Nous ne le croyons pas. Nous pensons que, dans certains cas, l'inter
ndividu, rappelant au point de vue pathologique sa double origine. Je crois que des cas semblables doivent exister; reste à s
roses. Et cette alternance semble plus fréquente qu'on ne pourrait le croire : elle s'y présente d'une telle manière qu'elle n
ire cas, d'une atrophie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de croire que l'atrophie de la papille n'appartient jamais
pour arriver à la solution de ce double problème clinique. Nous nous croyons , en conséqueuce, pleinement autorisés, en attenda
sur son chemin. Souvent il allait à la rencontre des personnes qu'il croyait droit devant lui et qui en réalité étaient à sa d
en 1889. Quant aux jambes, on serait fort tenté au premier abord de croire qu'il y existe aussi de la pseudo-hypertrophie. A
observée quatre fois, et, chose particulière, mais à laquelle nous ne croyons pas jusqu'ici devoir attacher grande importance,
complètement. A la suite de cette nomenclature des cas, nous avons cru bon de placer un tableau synoptique permettant de
par être faussé. Il est cependant une catégorie pour laquelle nous croyons utile de faire ce relevé. C'est l'aura hystéroïde
ent par M. Gilles de la Tourette (1) et M. Artières (2). Nous avons cru devoir placer sous des rubriques spéciales quelqu
ance est vraiment frappante et il y a même quelques bonnes raisons de croire que les cris d'animaux transportés chez rhomme
Y a-t-il eu là un phénomène de contagion ? Je suis fort disposé à le croire . Toujours est-il que bientôt survinrent une extin
is participé aux convulsions. Enfin, voici un dernier argument que je crois puissant contre l'hypothèse d'épilepsie saturnine
eut-être jamais à ce degré dans les lésions du carrefour sensitif. Je crois inutile de répondre à ceux qui m'objecteraient qu
goutte, ont entre elles d'étroites relations. Avant de terminer, je crois qu'il ne sera pas sans (1) M. Debove a plusieur
essa complètement au bout de 10 jours. Il y a 6 jours, le malade se croyait complètement guéri, il mangeait et se promenait d
e semblable interprétation serait erronée. En résumé, Messieurs, je crois qu'un bon nombre des observations d'hémianesthési
85 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
ayer) ; elle se dit enceinte de cinq mois. Voici les faits que nous croyons devoir noter, dans ses antécé-dents. Etant très j
iété de biologie, 1853, p. 8S. régulière se manifesta. Tout porte à croire que cette affection a été assez grave. La figure
avec un parti-pris •d'anticonlagionisme ultra-pyrrlionien. Les autres croient à la eontagion ; et, tout bien considéré, nous no
endémiques ou épidémiques de la Grande-Bretagne ; il était disposé à croire que ces fièvres sont toutes produites par une mêm
r les limites qui éloignent le synochus du typhus; je suis dis-posé à croire que le synochus est produit par les mêmes causes
ntraires qui divisent ainsi les médecins les plus éclairés. Mais nous croyons faire remarquer que la question en litige a élé p
ordinaires ; le pouls se relève, la peau devient plus chaude. On peut croire , un instant, que la guérison est encore possible
, t. viii, Maladies infectieuses. 8 ) solution. Trop longtemps on a cru que c'était en Egypte » en Syrie, en Turquie, qu'
limites habituelles pour se répandre sur l'Europe ? On est porté à le croire , si l'on re-marque qu'il est souvent question, ch
elle qui a ravagé une partie du nouveau monde en 1793, parce qu'il la croyait originaire de l'île de Bulama, île située sur la
est serein, et le malade, qui éprouve un sentiment de mieux-être, se croit hors de danger. Il se peut faire en réalité que t
es cas insidieux, et dans lesquels on voit des gens frappés à mort se croire à peine malades, et conti-nuer à vaquer à leurs a
t échouer toujours contre les symptômes graves de la fièvre jaune. Je crois , en conséquence, ajoute M. Dulroulau, qu'il n'est
une à partager l'opinion si nettement formulée par M. Dutroulau; nous croyons que, dégagée de toute complication, celte maladie
us graves accidents ont disparu comme par enchan-tement et qu'on peut croire sauvé est pris tout à coup du fatal vomissement n
l faudrait un cas analogue à celui-ci pour le compléter. On ne peut croire qu'il y ait ici atrophie musculaire progres-sive
M. Charcot a fait allusion plus haut, et que, pour cette raison, nous croyons devoir reproduire. La pathologie abonde en fait
présenter quelques particularités très importantes, si nous n'avions cru utile de nous en servir, pour établir une distinc
les sont dues les gangrènes que Schrœder Van der Kolk et d'autres ont cru pouvoir considérer comme des effets de l'absence
cas, dont l'authenticité nous semble difficilement contestable. Nous croyons utile de consigner ici les principaux d'entre eux
s, mais encore et surtout parce que des observateurs distingués 1 ont cru , dans ces derniers temps, devoir envelopper d'une
ntre 1. Les faits de canitie sont beaucoup plus communs qu'on ne le croirait de prime abord par la lecture des journaux de méd
tendance à la généralisation de l'affection, plus grande qu'on ne le croirait d'abord, en se bornant à l'examen des extrémités.
, il y a quelques années, de douleurs dans les cous-de-pieds, que Ton crut de nalure rhumatismale ou goutteuse ; puis d'une
à la place d'une bulle pemphigoïde ; ces cicatrices pourraient faire croire à des fistules par lesquelles seraient sortis des
u péritoine et la grande épais- seur de ses parois auraient été, je crois , une garantie suffi, santé contre tout accident r
puis, forçant avec le doigt, il pénétra dans une large cavité, qu'il crut remplie par une ma-tière gélatineuse. Aussitôt,
n ; il incisa le vagin dans toute sa hauteur. Cet habile chirurgien croyait à l'existence d'une tumeur solide ; mais, au prem
quantité de liquide ascitique s'était accumulée dans le péritoine. On crut , en conséquence, avoir affaire à une induration d
d on cessait de le presser. Comme la rétention d'urine persistait, on crut de-voir ponctionner la vessie; le rectum fut choi
nt on voit les débris autour de l'orifice de communication. Nous ne croyons pas nécessaire d'ajouter que, suivant nous, c'est
parmi les kystes ceux qui sont hydatiques, séreux, sanguins, etc., je crois que, dans l'état actuel de la science, on ne peut
emps et qu'il eût pu se faire une idée sur la nature de sa tumeur. Il croit ne devoir intéresser, dans les premières in-cisio
uation complète du contenu de la tumeur, sera donc toujours, quand on croira pouvoir la pratiquer, supérieure aune ponction ét
inue et ne s'est jamais présentée sous forme d'accès capable de faire croire à l'existence de coliques calculeuses. Il nK i.
a suite détruits au point de ne plus laisser de vestiges ? Nous ne le croyons pas. En effet, toutes les tumeurs pédiculées où l
e terminaison fatale, le malade a fait un long trajet à pied. Doit-on croire que les hydatides étaient de date assez récente e
si supposer l'existence. Il est bien reconnu aujourd'hui, à ce que je crois , par les anatomo-pathologistes, que la muqueuse,
e vérilé qui paraît avoir été reconnue de tout temps ; il ne faut pas croire , par conséquent, que les médecins qui sç sont déc
pour en prévenir les suites fu-nestes l. » C'est en effet, nous le croyons , en obéissant d'une manière générale à ces princi
chargé. » MM. Rilliet et Barthez déposent dans le même sens2 : « Nous croyons , disent-ils, avec Hencke et Hufeland, que si jama
importance extrême de son traitement. Il est bien peu de médecins qui croient pouvoir se passer d'une médication très active et
de M. Tessier sur la pneumonie : « C'est une erreur grossière que de croire à la gravité de la pneumonie en général : c'est u
bien qu'il mérite à tous égards d'être connu, et c'est pourquoi j'ai cru utile de fixer sur lui l'attention, je veux parle
ts qui viennent à l'ap-pui des observations de mon savant maître ; je crois devoir en reproduire les principaux détails : O
sance des observations de M. Rayer que j'ai relatées plus haut, et je crus devoir attribuer l'état d'anaphro-disie où se tro
Wunderlich prescrivit d'abord des pilules insignifiantes, en laissant croire qu'elles contenaient du nitrate d'argent ; la par
l ne faut pas, du reste, qu'on se méprenne sur notre pen-sée. Nous ne croyons pas que l'on doive s'attendre à obtenir, à l'aide
e, il n'y a rien à opérer. » Heu-reusement cette manière de voir est, croyons -nous, beaucoup trop absolue. Deux fois il nous a
observations, sur lesquelles nous appelons surtout l'attention, nous croyons utile de faire res-sortir en quelques mots ce qu'
nouveau une objection que nous avons soulevée déjà et à laquelle nous croyons avoir au moins en partie, répondu par avance. Cet
épondre. La sanction du temps nous fait absolument défaut. Nous avons cru malgré cela, et quoi qu'il puisse advenir par la
s quelques cas de paralysie, en dehors de l'ataxie loco-motrice. Nous croyons devoir donner in extenso l'observation d'un fait
s se sont rapprochés et ont pris un tel caractère de gravité, qu'on a cru la vie de la malade en danger imminent. L'appétit
nt d'être complétés et confirmés par des recherches ultérieures, nous croyons pouvoir déduire les conclusions suivantes : 1°
ours : il n'est point absorbé dans cette circonstance... Tout porte à croire que si on en administrait 3 ou 4 grains, la vie s
er, d'après l'analyse de plusieurs faits, empruntés à divers auteurs, croit pouvoir fixer à 7 drachmes (environ 30 gram-mes)
tterson admet qu'il s'y dépose à l'état d'argent métallique ; Brandes croit qu'il existe à l'état d'oxyde, et Krahmer préte
analogie, constater la présence de l'argent dans la sueur ; mais nous croyons qu'aucun observateur n'a pu jusqu'à présent démon
. Nous ne sommes malheureusement pas en mesure de les indiquer ; nous croyons toutefois que la rigidité des membres inférieurs,
es désordres qui ont provoqué cette manifestation symptomatique. Nous croyons cependant qu'on peut établir à cet égard deux cat
profiter, seront au contraire aggra-vés par un traitement actif? Nous croyons pouvoir répondre par l'affirmative, au moins pour
souvent espérer un résultat heureux de ce mode de traitement. Nous croyons , en effet, que l'action du nitrate d'argent peut
moyen thérapeutique contre le diabète ; mais il semble peu disposé à croire à son efficacité. VII. Hydropisies. Nous avon
86 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cérébrale dont l'observation offre un certain inté- rêt, et mérite, croyons -nous, d'être publiée comme document anatomique.
description anatomique plus claire et plus saisissante, nous avons cru utile de rapporter quatre figures qui, quoique
que 34 fois sur 300 cas de tumeurs des centres nerveux, si nous en croyons la statistique fort remarquable de Allen Starr'
que les microbes agissent ici par leur présence directement. Nous croyons bien plutôt qu'il faut incriminer leurs produits
ement affir- matifs. INTERPRÉTATION PATHOGENIQUE GÉNÉRALE. Nous croyons donc pouvoir conclure que dans les cas qui nous
insister. Nous ne voyons rien de surprenant dans ces cas et nous ne croyons pas que ce soit des arguments solides contre 1
fluence morale et physique. Enfin dans un grand nombre de cas, nous croyons même pou- voir dire dans la majorité des cas d'
t des cas. Dans ces derniers temps avec le bromure de potassium, ou croyait avoir le médicament par excellence, la pa- nacé
un recommande une nourriture variée et substantielle, mais comme il croit que l'épilepsie résulte de modifications de nut
pathologie mentale. Voici maintenant un autre point de vue : Vous croyez bien faire en hypnotisant certains individus. Or,
sse dans un rapport arithmé- tique ; de même l'effet d'un moteur ne croit que dans un rapport arithmétique quand la charg
rir, à l'oc- casion, comme excuse légale devant la justice. Il faut croire que la notion scientifique de la substitution p
oite), le carré du menton, etc. Suit une étude analytique. L'auteur croit difficilement à raison de ces détails à l'origi
classe nosologique, les diplégies d'origine cérébrale, les auteurs croient pouvoir avancer que la syphilis n'est pas tou-
ÉRIE. 99 On avouera qu'il faudrait d'autres preuves pour le faire croire . » Soit. Les raisons d'Esquirol ne suffisent pa
es, et levant sa robe, mon- tra sa chemise ensanglantée, pour faire croire qu'elle avait ses règles. A partir de ce moment
mis au monde un enfant que je n'ai vu ni remuer, ni crier. Je l'ai cru mort. J'ai eu l'idée de le cacher dans ma pail--
de le cacher dans ma pail-- lasse, ne sachant où le mettre. Je. ne croyais pas accoucher sitôt, car mes dernières règles s
sa détention ont un caractère assez particulier pour que nous ayons cru devoir procéder à un examen direct très méticuleu
cependant, nous l'avons vu, ne sont pas conformes à la vérité. Nous croyons pouvoir affirmer qu'elle a conscience de la gra
s sons émis devant lui, il ne lui sera pas aussi difficile qu'on le croirait de substituer au nom provisoire le nom définiti
essiers n'interviennent donc pas, contrairement à ce qu'on pourrait croire de prime abord, pour maintenir la station du tr
liser cette disposition, le système musculaire n'a pas, comme on le croyait autrefois, un rôle pré- pondérant. Rappelant le
développement et de tout signe de dégé- nérescence dans la famille, croit , malgré l'absence de cicatrice, qu'il s'agit d'
ication bromurée qui tient et garde le premier rang; il y a lieu de croire . toutefois, d'après les résultats déjà obtenus,
auses directes ? , M. SEÙfELAIGNE reproche à M. Toulouze de sembler croire qu'on considère la prédisposition héréditaire c
est arrivé d'en fonder une. » Il avait préalablement remarqué, je crois , que le « festina lente » serait pour quelque tem
déclare que la méningite spinale se joint plus souvent .que l'on ne croit à la méningite basale. Erbl cite dans son livre
de méningite basale et, jugeant d'après les symptômes cliniques, croit que les enveloppes rachidiennes sont plutôt attaq
voulu faire colorer quelques 1 Nous prions M. le D' Metschnikotr de croire à toute notre reconnais- sance pour la bienveil
r le sol ». La malade elle-même a toujours été superstitieuse; elle croit à l'influence des dates, du 13 ; son fils a été
raissent. « C'est un véritable roman, dit-elle, on ne voudra pas me croire ; o et ce roman elle le raconte en excellents te
née après m'avoir dit : « C'est une invention, c'est comme quand tu crois qu'on te tire ta robe. D Au moment où elle se r
péré, il va à la porte, puis revient comme pour m'exterminer : j'ai cru que c'était mon petit-fils, mais on m'a répondu
n a frappé un jour sur des casseroles dans la cuisine, on se serait cru dans un atelier de chaudronnerie. * Elle entend
ucinations : elle met le pied sur sa robe en se levant de chaise et croit qu'une main invisible la lui tire ; elle trouve
itieuse, croyant aux revenants, aux hantises. La malade elle-même y croit , et est très superstitieuse, elle cherche dans
nous dit un jour la malade, comme je sens la vôtre en ce moment, je croyais même d'abord que c'était la main de mon fils mo
et un tel sont morts. » Malgré les protestations de sa fille, elle croit dès cel instant qu'il y a des somnambules au-de
ses. Pour ma part, je n'hésite pas à dire que c'est une utopie de croire qu'on peut arriver à éviter complètement les erre
ce desideratum des études médicales la plus grande importance et je crois pouvoir dire que l'Administration de l'Instruct
e, l'autre médicale. A. Traitement chi1' ! ll'gical. - S'il faut en croire les chirurgiens, le seul traitement rationnel e
similia similibus, le comble de l'homéopathie à haute dose. Voici, croyons -nous, dans quelles conditions on en est venu à
e n'est nullement formée par des cellules particu- lières, comme le croyait 0. Langendorff, ou ayant suivi une évo- lution
l'extrait de glande normale. En définitive ce que nous pouvons, je crois , affirmer seulement dans l'état actuel de nos c
tégralement la maladie en injec- tant du liquide thyroïdien si j'en crois , du moins, les recherches et statistiques publi
recherches et statistiques publiées jusqu'à ce jour. Je persiste à croire que ni la tachycardie, ni le goitre ne sont des
e encore en voie d'expé- rimentation par MM. Ballet et Enriquez. Je crois à l'avenir de la sérothérapie artificielle par
sa boulimie, a pu absorbersans troubles connus 1 kg, 500 de thymus crus en deux mois environ. Nous avons employé le thy
sence de corps thyroïde. M. Matton (de Dax et Salies-de-Béarn). -Je crois devoir appeler l'attention du Congrès sur un ca
sou- venir d'un délire est très exact après un accès convulsif, il croit qu'il faut faire intervenir dans un très grand
schild (1878), château Haut-Bailly (1878), château Laffitte (1870), cru Raymond Lafon (181G),'0ll'erls gracieusement pa
ent au ban- quet. - Menu exquis. La carte des vins comprenait les crus suivants : château Lafon, Sauternes, 1890, chât
interné; 4° le Congrès regrette la conduite du Dr Finkelnburg qui a cru devoir, à propos de cette affaire, jeter le discr
tenir droit et se mouvoir avec une aisance dont je ne l'aurais pas cru capable. Son torse redresse, ses hanches presqu
alades eux-mêmes soient soumis a une surveillance.rigoureuse. Il ne croit pas qu'il faille entièrement interdire aux eccl
prennent pas l'étude des nerfs ra- diculaires. Néanmoins nous avons cru devoir les publier à cause de certains détails
une importance pra; tique bien considérable. Pour notre part, nous croyons que le processus morbide.élit d'abord domicile
que nos moyens d'exploration nous montrent encore sains. Nous nous croyons donc autorisés à qualifier cette lésion de vasc
e, quel que fut l'âge du tabes ou de la paralysie générale ; nous croyons pouvoir en conclure qu'il s'agit d'une lésion trè
cription et une dénomination spé- ciales. C'est pourquoi nous avons cru devoir la désigner sous le nom de névrite radic
le pronostic aussi sombre que l'admet M. Sollier. M. Charpentier croit voir dans ces cas l'anorexie des hypocon- driaq
e qui parait possible dans la majorité des cas. » M. DOOTREBE1VTE croit que l'excellente mesure préconisée par M. Girau
'hui que deux fois six font trente-six; de plus, au mois de juin il croit être en avril. Il n'a pas de conceptions délira
pas déjà manifestée par des symptômes plus décisifs. Toutefois nous croyons prudent de faire toutes les réserves jusqu'au mom
ic de l'athétose double ne me semble pas douteux. En effet, nous ne croyons pas qu'on puisse considérer ces mouvements comm
ielle chez un enfant de quatorze ans : c'est ce fait que nous avons cru intéressant de rapporter au Congrès. M. le Dr F
femmes qui dissimulent par honte, ne voulant pas avouer qu'elles se croient aimées d'un homme placé dans une situation supé
insi (ce qui est bieu difficile) à obtenir des aveux. » , 8° Nous croyons qu'un médecin expert devrait être adjoint aux j
oment d'exal- tation, de commettre un mauvais coup. Cependant on ne croit pas à la préfecture qu'il soit l'auteur de l'at
ef de Sainte-Anne qui, malgré tous les certificats exhibés) n'a pas cru à la réalité de la « folie » de Dalanoy et s'es
s en ce qui concerne l'étude la folie et qui leur fait trop souvent croire à l'incurabilité, sont la cause des regrettables
er un rôle aux esprits dans la plupart des cas d'hallucinations, il croit encore aux maléfices des démons ; mais il souti
ais il soutient que les fous, abusés par Satan, ne doivent pas être crus quand ils s'accusent eux- mêmes. Félix Plater (
t une variété d'extase provoquée par des influences diaboliques, et croit que, grâce à l'intervention du démon, les lycan
fensif, est beaucoup plus dangereux que l'opium. M. Wildermuth ne croit pas que l'alcoolisme joue un rôle impor- tant d
alades se conduisent souvent au dehors bien mieux qu'on ne l'aurait cru . Il faut tenir grand compte des conditions dans
t intellectuel et s'est accompagnée d'idées de grandeur. L'auteur croit devoir admettre trois formes spéciales du délire
bré. A la suite de nom- breux déboires il est pris d'excitation, se croit persécuté, accumule les interprétations déliran
personne très riche qu'il n'a d'ailleurs jamais vue. A l'asile, il croit voir partout sa bien-aimée; il l'entend, il la
ffections nerveuses. ' La municipalité d'Orléans n'en a pas moins cru devoir autoriser les séances de M. Pickman que
nger public il laisser s'organiser de telles exhibi- tions, et nous croyons que la municipalité agirait sagement en L . l l
de combattre l'idée que de telles expériences sont dangereuses. Il croit s'en tirer ainsi : « L'hypnotisme ne crée pas l
de tous ceux qui en voudront, et ils seront plus nombreux qu'on ne croit . Ceux qui se négligent seront appropriés par le
de leur réunion en compensent les inconvénients. M. Bourne- ville croit que ce voisinage permettra aux médecins, aux sur-
our les infirme- ries séparées, d'autant plus qu'il est prudent, je crois , de ne pas trop rapprocher le personnel féminin
illance continue, est bien plus considérable du côté des hommes. Je crois donc qu'en comptant pour les deux sexes une pro
e ou qu'il penche le corps du côté de la blessure, il chancelle, il croit voir tourner les objets qui l'entourent du même
lacunes dn champ visuel. La façon dont il écrit tendrait à le faire croire . M. HEILBRO : '1NER, - On n'a pu pratiquer un e
CIÉTÉS SAVANTES. 485 cise, abolition du privilège des bouilleurs de cru ; Belgique, nomi- nation d'une commission offici
sille). « Le peuple est encore la victime de préjugés, qui lui font croire à l'action fortifiante et salutaire des boisson
idu. Il considère ce désir comme « bien loin d'être réalisé ». Nous croyons en effet que cette mesure draconienne est logiq
ue Pierre-Levée étaient mis en émoi par l'arrivée des pompiers. Ils crurent un ins- tant leur rue en flammes. Il s'agissait
87 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
UR ET UU MOTEUR OCULAIRE COMMUN DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ; Par Crut . MIRALLIË, ancien interne des hôpitaux de Paris
bservation et les observations analogues comme des exceptions. Nous croyons avoir démontré au contraire que cette participa
phobie) : ce dernier délire est quelque fois dû au fait qu'ils se croient indignes de manger. Souvent il y a des hallucinat
s montre une colo- ration gris-jaunâtre du champ rétinien, que nous croyons due à un oedème qui envahit la rétine; cela s'o
i arrive chez d'autres malades qui ne mangent pas parce qu'ils se croient indignes de vivre, qu'ils sont coupables, crimine
aits ré- cents qu'anciens. Le raisonnement du malade est altéré, il croit être amené ici (à l'hospice) pour expier les pé
progres- sive, l'auteur n'a constaté que deux fois ce phénomène; il croit pouvoir affirmer que c'est un symptôme constant
ra- mer' quand il repousse cette désignation qui tendrait à faire croire qu'il s'agit de phénomènes semblables au réflexe
te dernière maladie le symptôme de l'analgésie du cubital. - " Il croit que ce symptôme existe au moins chez les trois
s paralytiques, au moins, présentaient ce symptôme, tandis qu'il le croyait absent chez le plus grand nombre des aliénés no
se de son internement, il l'attribue au maire de son village qui le croyait complice dans une affaire d'assassinat commis s
frères à cause de l'héritage des parents, chose pour laquelle il croit qu'il fut amené à l'hospice. Il nous déclare enco
lique, mais c'est exceptionnel, ajoute 11, le Dr Tou- louse : Je le crois sans peine ; outre que cette comparution en jus
trente-quatre années de direc- tion médico-administrative. Qu'on ne croie pas que c'est là une simple boutade. On se fait
ace d'en être privé à la moindre infraction. « Il ne faudrait pas croire , dit Foville, que les malades sont libres de ci
n'exerce aucune influence sur la descendance des paralytiques ; je crois le contraire, préci- sément parce que j'admets
e délicat sur lequel nous avons chaque jour à donner un avis. Je ne crois pas que le fils d'un paralytique général ait plus
rminer des troubles ner- veux chez les enfants des paralytiques. Je crois , pour ma part, que ce sont au contraire les syp
ve en présence d'un syphilique avéré devenu paralytique général. Je crois cepen- dant, comme M. Ballet, que si l'on fait
ysique existent avec un état normal du tact et de ne pas incliner à croire que, quand celui-ci est altéré, il n'y a peut-ê
excessifs. De cet ensemble de constatations il appert nettement, je crois , que les altérations du sens tactile aux deux pre
usieurs auteurs, avons-nous vu plus haut, seraient assez disposés à croire que les troubles du tact chez les paralytiques
à la fois à leur actif la syphilis et l'alcool. A priori on aurait cru que l'association de ces deux éléments aurait p
13e1ligae, 1897. LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 199 croyons -nous, quelques faits nouveaux, précisent certains
te à tout travail de ce genre, s'est glissée dans cette étude, nous croyons néanmoins serrer la vérité d'aussi près que pos
al connue et l'auteur n'a pu faire les autopsies de ses malades; il croit cependant que la mort est causée par l'action d
utique ne consiste pas toujours à endormir le malade en lui faisant croire qu'il est guéri. Cette suggestion ne réussit pa
cidents, n'a permis de soupçonner une lésion syphilitique. L'auteur croit pouvoir expli- quer les accidents de cette mala
igraineuse, qui dans la période prémonitoire de chacun de ses accès croit recon- naitre des objets ou des scènes que cert
oin d'être placés augmente de 6 p. 100, tandis que la population ne croit que de 1,7 p. 100, ce qui représente annuelleme
de ceux conçus après l'apparition des troubles mentaux. M. Arnaud croit , en effet, que cette distinction est nécessaire.
ts. M. Vallon. C'est une idée trop généralement répandue qui fait croire que les fils des paralytiques n'ont rien à craind
e l'existence du panaris douloureux comme symptôme isolé, permet de croire qu'il existe dans la moelle un centre trophique
é dans les myélites transverses. Le travail de M. Marinesco, qui se croit être le premier à avoir signalé l'existence de
canal central dans les cas sur lesquels il s'appuie. M. MOURATOW ne croit pas qu'on puisse expliquer les diverses monstru
e sermons sur les peines de l'enfer dans lesquelles l'orateur avait cru devoir frapper l'esprit à l'aide de description
vant d'en finir avec ces questions délicates de nomenclature nous croyons devoir préciser à quoi correspondent, suivant nou
t inspiration par incarnation divine). Mais ce serait une erreur de croire que toujours le démoniaque se transforme en thé
en proie à des préoccupations toutes personnelles de damnation, et croit qu'il a été choisi par Dieu pour remplir une mi
eligieux. Le malade lutte avec acharnement contre les démons, ou se croit transporté au sabbat et assiste à un grouilleme
s l'urine constitue une sorte de confirmation. Il y a plus, et nous croyons qu'à chacune des grandes formes 280 PATHOLOGI
assé, des médecins qui l'ont traitée, ni même d'avoir été malade et croit simplement avoir été enceinte et avoir accouché
e établi, mais pour ma part, je le considère comme probable et je crois qu'on arrivera à le démontrer dans l'avenir. Ce
typhoïde, du typhus, de l'érysipèle, de l'influenza, etc., et vous croirez assister à un rêve porté à son maximum. Comme l
r les yeux ouverts ; dès qu'il les fermait il s'assoupissait, et se croyait dans sa maison, occupé à son travail. Il nous f
, absolument comme on le fait chez les hystériques hypnotisés. Je crois donc pouvoir dire que le délire toxi-infectieux
gestion comme procédé thérapeu- tique, il n'y avait qu'un pas. J'ai cru pouvoir le franchir. Les faits que j'ai ainsi r
ong assoupissement (c'est celle qui au milieu d'une infirmerie se croyait dans un désert et voyait autour d'elle des voitur
rieurement et qu'il n'a connue que depuis. Il n'est pas possible, croyons -nous, de trouver un argu- ment plus probant.
épart de toute une série de déductions s'y rattachant. Le malade se croyait recherché par la police ; on 300 PATHOLOGIE M
ommeil et revint à la réalité à l'asile, en face de son père, qu'il croyait mort. Point important à signaler : le délire pr
entale ne sont pas plus fixes que ceux de la criminalité. M. MAGNAN croit que les signes physiques de dégénérescence ont
adopte l'opinion de Baiumler sur la pathogénie de l'ankylose et il croit en outre que c'est principalement l'élément dou
ents nous manquent encore à cet égard. Discussion.- M. Sciiatalow croit que le caractère de l'immo- bilité de la colonn
s qui maintiennent la position du tronc. M. le professeur KoJEwmKow croit que l'ankylose des vertèbres peut tenir à diffé
tinue à débiter force mots orduriers; elle tutoie tout le monde, croit reconnaître les personnes qui l'entourent et leur
uivi l'accident, mais avant de chercher à les expliquer, nous avons cru convenable de résumer l'histoire de cette malad
onduire les impressions allochiriques. Dans le cas de Munoz, nous croyons que dans l'espèce se sont vérifiées les célèbre
on du rapporteur et d'accord en,cela.avec certains étrangers, Régis croit que les délires systé- matisés post-maniaques s
trop absolue de la constitution paranoïenne. En résumé, M. Régis croit qu'il serait prématuré d'adopter, en ce qui con
thénique. Pour lui il n'y a pas de si grandes différences que l'on croit entre la neurasthénie délirante et la mélancolie,
physique qui prédomine, de l'autre c'est l'hypo- condrie morale. Il croit que des délires systématisés peuvent être consé
tement efficace, par l'hypnose ou une psychothérapie appropriée. Il croit qu'il ne s'agitdans ces faits que de la persist
ite ascendante à la fois dans tous les nerfs malades. Il semble, je crois , qu'il y ait eu aussi myélite ascendante, et nous
interne. Au sujet de la polynévrite, nous devons dire que nous ne croyons pas devoir lui attribuer les accidents psychiques
e a été victime d'une intoxication ou d'une auto-intoxication. Nous croyons que c'est encore ici la maladie primitive qui e
Il est aisé d'analyser cette particularité qui, tout d'abord ferait croire que le signe classique de la sclérose en plaques
discuter en détail l'économie de cha- cun de ces projets, mais nous croyons devoir dire quel est celui qui nous parait répo
que, se plaint de palpita- tions et d'angoisse précordiale. Elle se croit atteinte de cardiopa- thie ; en réalité, il s'a
l 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. pénétrait dans cette enceinte, il vous croirait , Mesdames, descen- dues du cadre. Notre Prési
a maladie pourra être réduite à trois ans. Discussion. M. BOUTZRE croit que la nouvelle loi, très judicieuse au point d
cile à appliquer et n'at- teindra pas le but proposé. M. SEnu'=KY croit qu'il ne suffit pas d'émettre un avis favorable,
elle épinière présente les phénomènes de syringomyélie. L'auteur ne croit pas devoir mettre la dégénérescence graisseuse
s internes, elle est la conséquence de la toxémie. M. Mourawieff ne croit pas non plus à une relation entre la dégénéresc
e pas non plus ce cas comme un cas de polynévrite. M. KOJLIW.NIKOFF croit à l'associa- tion de la syphilis et de l'alcool
tion de la syphilis et de l'alcoolisme dans ce cas. M. Tokarsky ne croit pas l'amélioration des troubles de la mémoire com
apparent, doit être identifiée à l'instabilité mentale. On pourrait croire à première vue que certaines psychopathies, tel
îtraient à chaque rechute plus actives et plus systématisées ; nous croyons plutôt que cette systématisation s'atténue en m
bales. Sans nier la valeur des travaux ci-dessus mentionnés, nous croyons toutefois que la psychologie rationnelle de la pa
et d'excès génitaux considérables; il est frappé d'amaurose. A l'en croire pendant ces deux semaines il avait pratiqué le co
outons pas grande importance à ce fait, nous HYSTÉRIE MALE. 465 croyons que nos questions éveillent en lui des souvenirs
reprises par plusieurs oculistes qui, ne découvrant aucune lésion, crurent à de la simulation ; il s'agissait en réalité d
dans l'hystérie. Le malade ne pouvait pas parler, ce qui lui a fait croire que sa langue était paralysée; à cette idée s'e
une membrane de néoformation pourrait bien ne pas avoir comme on le croit généralement de valeur réelie au point de vue d
s ; par Van Gehucuten. (Journ. de Neurologie, 1899, nu 5.) L'auteur croit pouvoir conclure de celte observation que l'affai
comme ori- 476 sociétés savantes. gine. Pour le premier cas il croit à un développement défectueux aggravé par un tr
dans les éta- blissements pénitentiaires ou corps d'épreuve. Nous croyons , pour notre part, que c'est l'apport des individu
s. Telle est la façon dont les choses se passent ; elle explique, croyons -nous, comment les prédisposés et les aliénés peuv
euve. A cette situation, si regrettable à tous égards, il serait, croyons -nous, facile de porter remède. L'afflux des alién
même lorsqu'il s'agit de formes mal définies et comme M. Giraud, je crois que les erreurs dans ces cas sont sou- vent dif
qu'il s'agit de bien trancher la ques- tion de responsabilité. Je crois devoir néanmoins insister sur la fréquence des co
t chez ces malades un cachet spécial de niaiserie, d'absurdité : on croirait entendre radoter déjeunes vieillards et il n'y
88 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
moiement qui aurait nui à la vision. Quoi qu'il en soit, s'il en faut croire M. Rognetta ( Cours d'Ophthalmologie — 183o. ), l
l'appareil lacrymal seraient beaucoup plus nombreux qu'on ne l'aurait cru jusqu'à ce jour. D'après ce savant chirurgien, le
te de substance par l'ablation d'un disque de l'os. C'est ce qu'avait cru obtenir Hunier à l'aide d'une canule emporte - pi
ais la variété des données accessoires qu'il suppose ne permet pas de croire qu'un problème aussi complexe ait pu se ré-soudre
ais-sances des Alexandrins sur la physique ; mais il est difficile de croire que la théorie de l'optique ne fût pas déjà très
plus mo-dernes, d'après le témoignage de M. Wagner. Rien ne répugne à croire à son efficacité; toutefois, il n'est pas à notre
et Solingen, a reçu l'approbation de Dionis, Percy et B. Bell, qui le croient utile lorsque le polype faisant saillie dans le p
, les chirurgiens t. VII. de nos jours, dans les cas rares où ils Croient devoir traiter le polype par excision, se servent
a-cer sous les aiguilles, un mince plumasseau de charpie, et, si l'on croit devoir se servir d'un bandage, de bandelettes agg
e plumasseau de charpie est appliqué sur le tout. Quand le chirurgien croit devoir employer les agglutinatifs, les bandelette
le est déjà imperméable lorsque l'es-carre vient à tomber. Si l'on en croit les récits des auteurs, la cau-térisation compter
s tout récem-ment M. Gensoul vient de mettre en doute ce résultat, et croit que les cas de succès rapportés aux fistules du c
fistule, eu ayant soin préalablement d'en aviver les bords. Nous ne croyons point devoir parler de l'extirpation de la glande
paraîtrait devoir être essayé d'abord; et s'il était sans effet, nous croirions devoir conseiller la Cautérisation avec le nitrat
rragie foudroyante surviendrait pendant l'opération. Si le chirurgien croit pouvoir passer outre il est indispensable qu'un a
nte: les uns ont trouvé dans le kyste, un liquide visqueux qu'ils ont cru être de la salive épaissie; d'autres une matière
ranzi l'emploie à la renaissance et, dans le siècle dernier, Jourdain croit que l'incision suffit, pourvu qu'on ouvre toute l
s fois avec succès cette opération , que Louis, pour la justifier, se croyait encore obligé d'arguer du grand nombre d'individu
moyenne et presque toute l'étendue de la langue , l'opéra-tion, si on croyait devoir la pratiquer, serait des plus graves. Si o
t, il faut l'avouer, les plus grandes difficultés. Par prudence, nous croyons que l'opé-ration devrait être commencée par la li
ière, en prenant garde d'entamer à gauche le voile du palais. Nous ne croyons pas devoir insister sur l'inclinaison à donner à
onvient que pour produire un dégorgement dans certains cas où on peut croire qu'il n'existe qu'une turgescence causée par les
es accidens nerveux, et à une fièvre de mauvais caractère. Si donc on croit devoir l'employer seule, c'est avec raison que M.
de l'affection , lorsqu'elle a envahi les divisions bronchiques, nous croyons que le devoir du chirurgien est d'agir, puisque,
her l'isthme du gosier; circonstance dans laquelle Richter et B. Bell croyaient la trachéotomie nécessaire : autant pourrait-on e
pération n'avait d'autre objet que de prévenir l'as-phyxie , on avait cru simplifier les manoeuvres et se mettre à l'abri d
tion- de l'air dans les veines m'em-pêche de donner ce conseil, et je crois que le plus prudent est de lier rapidement les va
que l'annonce son auteur; mais, quant aux suites, nous avons peine à croire qu'une section un peu large à la base de l'épiglo
sera-t-elle justifiée par ses suc-cès; mais, jusqu'à présent, nous ne croyons pas qu'elle doive être enseignée. Revenant donc
e pour l'ouverture de dedans en dehors des abcès ordinaires. L'auteur croit réunir ainsi les avantages de la ponction et ceux
. Sans mettre aucune-ment en doute la réalité de ces résultats , nous croyons pourtant qu'il faut bien se garder de généraliser
nous ont été con-servés par Aétius, émit des opinions judicieuses. Il crut pouvoir admettre que la hernie n'est point toujou
pas moins long-temps encore le privilège des barbiers des campagnes. Croirait -on même queDionis regarde cette mutilation comme
uvrir comme d'une coiffe. H n'y a point rupture du péritoine comme le croyaient les anciens chirurgiens ; cette membrane souple e
n plus grande. Eu égard au siège de l'étranglement, on a long-temps cru que l'ouverture aponévrotique qui donne passage à
t nombre de cas, la cause de striction ; et un peu plus tard, Richter crut avoir démontré la possibilité d'un étranglement a
n. La question en était là tout récemment encore, et sans cesser de croire que l'étranglement pût être produit par l'anneau
intelligence des opérations. Entonnoir membraneux.— On a long-temps cru que les deux bouts de l'intestin contractaient de
d il est besoin de s'entendre, d'autant plus que A. Cooper continue à croire que l'anneau ombilical résiste moins à la sortie
ès que le sac eût été admis pour la hernie inguinale ou crurale, on a cru encore que celle de l'ombilic n'était pas en-velo
enu tout-à-coup sans signes d'engouement antérieur, si l'on a lieu de croire que l'intestin est dans la hernie, et si enfin le
e,comme cela est fréquent pour la hernie inguinale, si l'on a lieu de croire que l'épiploon est seul contenu dans le sac, il e
rester dans le ventre, malgré l'immobilité du malade, il y a lieu de croire que les organes n'ont été refoulés que dans le ca
ien réellement externe ou interne. En conséquence, des opérateurs ont cru résoudre plus avantageusement ce point délicat de
er en haut et en dedans sans couper cette artère. Néanmoins A. Cooper croit possible d'écarter le cordon avec une sonde canne
i était la condition organique de l'oblitération. Plus tard, l'auteur crut voir que de simples ban-delettes de substance ani
ond lieu, il n'est pas exempt de tout danger, ainsi qu'on pourrait le croire d'après les éloges pompeux qu'on en a faits, car,
ombaire gauche du rectum, ou l'S iliaque, est plus longue qu'on ne le croit commu-nément; cette remarque est importante en ce
la cloison rectale, quelle qu'en soit la hauteur, 0: accessible, nous croyons que, sauf à s'aider du spéculum peu dilater l'o
probable même qu'elle est encore beaucoup plus fréquente qu'on ne le croit généralement, les malades n'étant portés à s'en p
mme la cause première de la fissure. M. Velpeau, au contraire, paraît croire que, dans cette concomitance des deux affections,
et procédant de l'intestin vers la peau. Foubert, en particulier, ne croyait pas que le pus qui s'amasse dans le foyer put s'é
pas, en général, à la pratique, une importance aussi grande qu'on le croyait du temps de l'Académie de chirurgie. Sans doute i
orté au travers d'un spécu-lum pour le sphincter rectal. Mais nous ne croyons pas devoir con-seiller le débridement sur l'intes
insi en revue toutes les méthodes que nous avons décrites , cpie nous croirons avoir atteint le but que l'on doit se proposer da
d'une manière générale ; cha-cun peut le modifier de la manière qu'il croit la plus avanta-geuse. En cela nous ne pouvons cit
gie elle-même dans son ignorance plus à déplorer qu'à blâmer, se sont crus autorisés, par des raisons spécieuses, à priver l
leur place par leur élasticité propre. Ce n'est donc pas comme on l'a cru long-temps, et comme le pense encore M. Blandin,
i souvent mis ce procédé en usage, dit M. Velpeau, et tout me porte à croire qu'on finira par le substituer à l'autre. » (Méd.
u et du tissu cellulaire sans intéresser les corps caverneux et faire croire néanmoins que ces organes participent à la maladi
n sorte que si l'on n'y portait une attention suffisante, on pourrait croire qu'elle est logée dans un dédoublement de la gaîn
ravers, devient elliptique de haut en bas; de sorte que ce que l'on a cru par erreur former une dilatation , est au contrai
des de tous les ca-libres; mais cela a moins d'importance qu'on ne le croyait de-puis qu'on sait que, dans le traitement des ré
um dans l'épaisseur du périnée ; en arrivant dans cette poche on peut croire qu'on est arrivé dans la vessie, et cela d'autant
ur de maître, ne le faisaient que pour masquer leur manœuvre et faire croire aux spectateurs que cette opéra-tion préliminaire
cathétérisme rectiligue n'est pas une invention nouvelle comme on le croyait il y a une vingtaine d'années. Les chirur-giens d
ves-sie par une sphère de G à 8 millimètres de diamètre ; ce médecin croit qu'en promenant ce stylet dans le canal, d'avant
'il n'avait pu franchir une heure ou un in-stant auparavant. Il est à croire cependant que,dans ce cas, le bec de la sonde se
et très préjudiciable à l'art, que de supposer et de chercher à faire croire qu'il faille absolument qu'un rétrécissement s'ul
mais il paraît même que les accidens sont moins communs qu'on ne l'a cru . Voici le plus ordinairement ce qui arrive. Parfo
se creusent une rigole pour laisser passer l'urine, et peuvent faire croire à l'existence d'un rétrécissement. M. Velpeau rap
de guérir dépecé, il y a a5 ou 3o siècles, par la spécialité que l'on croit inventée d'hier parmi nous, cette division de l'a
Deschamps ne lui trouva que deux onces de moins. Enfin on se refuse à croire que Moreau ait possédé un calcul du poids de six
n des moyens dans la science, n'ayant aucune valeur rationnelle, nous croyons , malgré l'usage contraire, devoir en présenter l'
la convenance des moyens à employer pour un cas déterminé, nous avons cru de-voir faire entrer la lithodialysie clans le ca
usuelle, recommande une foule de re-mèdes internes, avec lesquels il croit pouvoir détruire le calcul. Si de nos jours l'éno
égard pendant une longue suite de siècles. Cependant il est permis de croire que ces premières tentatives de l'antiquité ne fu
ne. Les malades rendaient des fragmens de cal-culs ; beaucoup se sont crus guéris et tous étaient soulagés. On a nié depuis
ce que l'on trouve établi. Mais, outre qu'il serait bien difficile de croire que le parlement d'Angleterre, toujours si pruden
ssibilité d'une méthode générale dialytique par la nécessité, où l'on croyait être, d'em-ployer, suivant le nombre et la nature
problème thérapeutique de la destruction des cal-culs urinaires, j'ai cru devoir contribuera répandre un nouveau mode de tr
'un auteur arabe Alsaharavius, on Azzahravi, que quelques chirurgiens croient n'être autre que Aboul-Cassem ou Albucasis, conna
gros calcul, une tige en flèche ; à l'aide de cette tige, à ce qu'il croit , il divise le calcul dont les fragmens tombent en
vent être extraits: c'est, à mon sens, une pure spéculation (a). » Ne croirait -on pas, dit M. Leroy, lire la description de la p
me il nous en arrive à tous, aurait eu l'idée de la lithotritie, sans croire pourtant à son succès possible. Pour voir réell
hétérisme rectiligne; dès-lors tout change. « Cette découverte que je croyais neuve, ainsi que M. Amussat, « dit M. Leroy (1),
ordonnet était souvent coupé par le foret, on y a renoncé. M. Tanchou crut mieux faire en réduisant les douze branches à dix
le calcul entre eux, en les promenant à droite et à gauche. Lorsqu'on croit avoir réussi, on repousse doucement la branche mo
cuteur et compresseur à volant. MM. Amussat, Charrière et Ségalas ont cru mieux faire en substituant un écrou ailé à la gou
On pourrait encore employer la sonde à double cou-rant, mais il est à croire qu'on ne serait pas plus heureux. i° Paralysie
uelle M. Civiale conseille de s'arrêter, nous paraît trop forte; nous croyons qu'en général il serait imprudent de soumettre à
teront plus tard. LITHOTRITIE CHEZ LA FEMME. S'il était permis de croire que la lithotritie aurait de grands succès, c'éta
trait, les malades éprouvent une sensation particulière qui leur fait croire qu'il existe encore, et cela d'autant mieux cpie
etrancher absolument ces malades du nombre de ses opérés ? Nous ne le croyons pas. Il est constant que, dans ces 97 cas, il y a
dignes de foi. Un certain nombre des malades que M. Heurteloup aurait crus guéris, se seraient pré-sentés dans divers hôpita
n connaît des résultats des grandes opérations en général ; mais nous croyons pourtant que, sur un grand nombre de malades opér
près un nouvel examen , n'ayant pu retrouver la pierre qu'ils avaient cru reconnaître antérieurement, ont dû renoncer à la
trumens que le petit. » D'après les témoignages les plus anciens , on croit qu'il aurait pris naissance dans l'ancienne ville
uemment la mort. Imbu de ces inconvéniens et de ces dangers, Maréchal crut pouvoir les éviter en prolongeant l'incision plus
'ar-rêta, après divers essais comparatifs, à la taille médiane, qu'il crut être nouvelle : voici comment il agissait. Le mal
ieures comme dans les pro-cédés précédons (PI. 62, fig. 1). Lorsqu'il croyait être arrivé à l'urètre, il cherchait avec le doig
der un peu vers les aines. D'autres, et c'était le plus grand nombre, croyaient qu'il fallait entendre que la concavité du croiss
gie dépendant de la division d'une de ses branches, nous n'a-vons pas cru devoir passer sous silence les moyens qui ont été
ranco ne dit point avoir incisé préalablement le périnée, comme on le croit généralement. Bien qu'il ait recommandé à ses con
Amussat et Bau-dens la rejettent complètement, tandis que M. Bégin la croit né-cessaire. Il existe encore une foule d'instr
anche. Elle comprend seule-ment le procédé de M. Baudens, car nous ne croyons pas devoir insister sur la modification de M. Dri
bienne un rang à part, dans la lithotomie. Pansement. On a toujours cru qu'un pansement était utile après la taille hypog
s règles du pansement ordinaire, et nous dirons ensuite ce qu'on doit croire de tous les moyens proposés pour s'opposer à la s
et qu'on attribue à cette mèche n'est pas aussi grand qu'on semble le croire , et sa présence n'est point indispensable. La cra
nière d'agir variaient pour chacun d'eux. Douglas, assez mal inspiré, croit que la suture des tégumens suffirait ; Rossi, mie
'urine, ce qui est pour le moins fort contestable, il ne faudrait pas croire que cette opération fût facile à pratiquer. Au co
. L'importance qu'on atta-chait à diriger les urines au dehors a fait croire qu'une canule laissée à demeure dans la poche uri
Il a été suivi par M. Cazenave (1827), puis par M. Amussat qui s'est cru d'abord l'inventeur de la canule et a voulu en gé
ns qu'on aurait pu raisonnablement lui attribuer. M. Souberbielle a cru mieux faire en plaçant dans la vessie, par l'urèt
s opérations, en ce qui touche la « vie ou la mort des malades, et de croire que, pour rendre la « taille périnéale moins péri
s pas à adopter les idées excentriques sans examen, nous persistons à croire , jusqu'à démonstration contraire, qu'on doit touj
nostic, des manœuvres, des méthodes et de leurs résultats, nous avons cru ne pas devoir séparer par la classification ce qu
on procédé peut s'appliquer chez les filles comme chez les femmes; il croit que par son moyen on pouvait éviter l'incontinenc
tion de la femme est la même que pour les autres tailles ; M. Velpeau croit que si la femme était placée sur le ventre, les c
bable, quoique déjà très heureux, que faut-il penser des autres ? Qui croira que la taille puisse ne causer la mort que chez 1
tous les caractères convenables d'authenticité. Sans doute nous ne croyons pas tous ces résultats exempts des erreurs plus o
n En voyant des résultats si désavantageux, on ne peut se refuser à croire qu'ils tiennent, comme nous l'avons dit ci-dessus
des chiffres; et cependant, pour ex-primer entièrement ma pensée, je crois peu aux grands succès annoncés sur la taille d'un
n aurait guéri 1547 sans un seul cas malheureux. De tout cela je n'en crois rien ; je ne crois pas non plus aux trop grands i
sans un seul cas malheureux. De tout cela je n'en crois rien ; je ne crois pas non plus aux trop grands insuccès d'un opérat
iale sur une masse d'opérations, ait été de 4 morts sur g opérés. Que croyez -vous donc, dira-t-on ? je crois ce qui me paraît
ait été de 4 morts sur g opérés. Que croyez-vous donc, dira-t-on ? je crois ce qui me paraît raison-nable. Je prends la moyen
ui ouvre une voie artificielle par la ponction de la « vessie. » Nous croyons cependant qu'il ne faudrait pas négliger de faire
t, les seins se tuméfient, et beaucoup de signes qui pourraient faire croire à une grossesse se manifestent ; mais si l'on exa
le le plus profond de la division, et cela une fois par semaine, j'ai cru que la fente se fermerait par degré de sa partie
r que si l'on n'a pas l'habitudede toucher l'utérus par le rectum, on croirait bien, quoi-que la matrice soit à l'état normal, q
. Il est très im-portant d'être prévenu de cette illusion pour ne pas croire à l'exis-tence d'une maladie lorsqu'il n'y en a p
e vivant n'a jusqu'à présent jamais été suivie de succès. M. Vel-peau croit que ces mauvais résultats peuvent tenir à ce qu'i
ération fut manquée. La se-conde opération n'a pas réussi. M. Vidal croit pouvoir inférer du seul succès de sa première opé
péritoine ; et /\° que la ci-catrice s'est assez maintenue pour faire croire que des dépôts cal-caires ne se feraient pas faci
iquer, parce qu'elle détruit la possibilité des rapports sexuels, ils croient encore qu'on ne doit jamais la tenter avant que l
s, c'est d'avoir publié trop tôt les observations de personnes qu'ils croyaient guéries, et chez lesquelles la guérison ne s'est
uivant M. Fricke, cette réunion ne doit être que temporaire, il est à croire que, après la destruction de la cicatrice, l'orga
re tentée qu'après la cessation des règles. Comme opération, on peut, croire qu'elle réussirait, mais il est aussi probable qu
vaient pas toujours s'échap-per par les trous dont le fond est percé, crut remédier à cet inconvénient en rendant la tige cr
porte {Traité des maladies des femmes] l'observation d'une dame qu'on croyait affectée d'un cancer utérin, et dont tous les acc
t se pré-senter dans le vagin sous forme de tumeurs qui peuvent faire croire à la présence d'un polype. M. Arnott en a rapport
ui lui donnait la plus grande analogie avec l'utérus, au point qu'ils crurent avoir enlevé ce viscère; cepen-dant , la malade é
ssu de l'u-térus, il s'efforçait, avec le doigt, de détruire ce qu'il croyait être ses adhérences à la partie postérieure du co
térisations méthodiques; mais, soit insouciance , soit qu'elles ne se crussent pas assez malades pour se soumettre au traitement
s qu'il existe de l'en-gorgement sur le corps de la matrice, l'auteur croit que cette opi-nion est trop exclusive; 5° enfin ,
entement, et permet aux ma-lades de vivre assez long-temps. Aussi, ne croyons -nous le chi-rurgien autorisé à agir que dans les
cèsariens; tandis que , par opposition, on nomma sjmphjsiens ceux qui croyaient au contraire que la symphyséo-tomie pouvait, dans
eter la proposition. Néan-moins, dans ces derniers temps, M. Imbert a cru devoir renou-veler ce procédé sous le nom direct
ar-tement spontané soit trop fort, et produise des accidens; d'autres croient plutôt nécessaire de tirer doucement sur les épin
re; mais, si les contractions de la matrice étaient insuffisantes, il croyait possible de dilater le col avec la main , et de r
cette ma-nière de faire n'a trouvé aucun partisan , et il est même à croire que son auteur l'a abandonnée. En effet, quoique
-rissent encore d'injustes préjugés contre l'opération césarienne, et croient que le morcellement de l'enfant est infiniment mo
our la mère, ce qui est une erreur très préjudiciable, ainsi que nous croyons l'avoir suffisamment démontré. FIN DU SEPTIEME
tialité que le public a droit d'attendre de nous. Toutefois , si nous croyons pouvoir nous poser comme historien consciencieux,
rcissement musculaire. M. Phillips nie positivement cette cause qu'il croit empruntée mal-à-propos de la théorie du pied-bot,
r l'opération du strabisme sont les plus rares, puisque, s'il faut en croire chaque auteur, sur ses propres œuvres, sur plusie
l ne le sait; et pourtant, suivant le témoignage même de Lecat qui ne croyait pas au succès définitif, l'œil se redressait; il
renseigné, serait-il donc le premier inventeur ? Quant à moi, je n'en crois rien. L'hono-rable classe des opérateurs ambulans
dente conformité de ce procédé avec celui de Dieffenbach, je n'ai pas cru néanmoins devoir le passer sous silence , tel qu'
faits, de la rapidité de l'opération , le malade étant assis, nous ne croyons pas qu'un homme du mérite de M. Sédillot tienne à
nt de la caroncule entre l'œil et la paroi interne de l'orbite, qu'il croit le résultat de l'in-cision verticale pratiquée au
ue, prononcer sur ces questions, et pour dire ici toute ma pensée, je crois cpie les faits sont encore trop nou-veaux, que le
teur les meilleurs résultats en plus grand nombre; mais, du reste, je crois que, d'une manière générale, le procédé le meille
avec soin dans la plaie pour saisir et couper la bride que l'on peut croire faire obstacle ; mais si l'on ne trouve rien et q
thalmie en dedans et en bas. En résumé, de tout ce qui précède nous croyons pouvoir in-férer, sous le rapport du diagnostic,
qui compte en ce moment près de quatorze cents opérés, ce chirurgien croit pouvoir établir les propositions suivantes : i° L
s éloigné, qui doivent nécessairement échapper au chirurgien, on peut croire que le chiffre des revers est bien supérieur à la
vant décider de la permanence et de la réalité des guérisons que l'on croit avoir obtenues. APPLICATIONS DE LA MYOTOMIE OCU
veuse qu'une maladie propre : c'est pourtant ce cas que M. Phillips a cru pouvoir guérir par la myotomie. Chez un enfant de
e de sa valeur parce que d'autres l'auraient eue déjà autrefois, nous croyons faire plaisir à M. Amussat en publiant une théori
e siècle aux acclamations de ses poètes et de ses philosophes a pu se croire à sa naissance hau-tement glorifié lorsque, pour
détails de sa méthode, s'ingénia pour en trouver une. Si l'on peut en croire M. Phillips qui s'est fait l'historien de celte é
acé l'historique des méthodes, c'est à un autre point de vue que nous croyons devoir en présenter la description. Chaque auteur
it à la langue, aux muscles du visage et même du cou, je devais aussi croire , qu'en interrompant l'innervation dans les organe
rendre la prononciation plus facile chez les bègues où l'on avait pu croire que la langue était trop longue ; mais il ne para
r s'est bien-tôt dissipée. » Après l'opération quelques malades ont cru sentir leur langue plus libre, et plusieurs prono
e la persistance des résultats obtenus. Si au con-traire, l'opérateur croit devoir continuer, il saisit de nouveau la langue
pération. L'opinion de M. Baudens, à ce sujet, est si complète, qu'il croit devoir renoncer à l'opération si une dernière ten
'une résistance vaincue annoncent que le muscle est coupé. Quand on croit la section complète, on fait passer d'un côté à l
xactement par les habitudes et les besoins des praticiens, nous avons cru devoir adopter un ordre différent. En premier lie
les cas particuliers. C'est déjà beaucoup plus que nous-même nous ne croyons absolument nécessaire d'en appren-dre pour une br
comme la cause du pied-bot varus, et MM. F. Martin et Cruveilhier ont cru en reconnaître de semblables. Dans cette théorie,
des arrêts de développement. « Si, dit M. Bouvier (1),nous devons en croire les embryologistes, les pieds sont dans une ex-te
lui-même, cette méthode soit censée avoir eu de bons résultats, nous croyons , jusqu'à plus ample informé, que le re-dressement
tentatives dans un grand nombre de cas. Malgré cette assertion, nous croyons pourtant qu'il faut ap-porter la plus grande rése
dernière, en particulier, offre de telles difficultés que nous ne la croyons pas justifiable, nous ne croyons devoir en-trer d
de telles difficultés que nous ne la croyons pas justifiable, nous ne croyons devoir en-trer dans aucun détail sur ces opératio
intermédiaires produisant une convexité en sens opposé. Si l'on en croit ce chirurgien, les tractions apparentes des muscl
bégaiement et la ténotomie dont nous avons déjà parlé. Toutefois nous croyons , à propos des ponctions, devoir consigner, dans u
t pas essentiellement, comme tous les chirurgiens et lui-même l'avait cru jusqu'alors, à la nature peu réactive du tissu te
ec le trocart et la pompe, comme il a été dit pour l'empyème. Nous ne croyons pas devoir insister sur le détail de l'opération
rgie à notre époque; aussi, avant de fermer notre ouvrage, avons-nous cru devoir y consigner cette théorie, aussi neuve que
89 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
ns qui n'ont guère, aujourd'hui, qu'un intérêt historique. Nous avons cru devoir les rééditer cependant, persuadé que l'his
bitude de suivre dans la pra-tique de mon enseignement, et dont je ne crois pas devoir me départir. Je trouverai là l'occas
ères aux recherches patientes d'anatomie délicale. Une faudrait pas croire , d'ailleurs, que les inconvénients du système n'a
er la limite qui sépare l'anatomie pathologique de la clinique1 !. Je crois savoir, de source certaine, que l'un des professe
, dont le concours bienveillant ne m'a jamais fait défaut. Mais je ne crois pas que, dans l'espèce, nos efforts doivent about
dans des détails minutieux, d'une exposition difficile. Toutefois, je crois pouvoir vous dire que, plus tard, vous ne regrett
étées. Avant de nous engager dans cette étude, il sera opportun, je crois , de considérer, en premier lieu, la disposition b
x dans la pathogénie de certaines dilatations bronchiques. Si l'on en croit les recherches de M. Trojanowski confirmées par q
oduction de ces corps étrangers est loin d'être infranchissable. Je crois utile, Messieurs, de vous faire remarquer en pas-
les plus divers, des causes les plus banales. J'en ai dit assez, je crois , pour justifier l'une des proposi-sitions que j'é
semblable. Après un examen de toutes les circonstances, j'incline à croire que la lésion épithéliale est la première en date
siologie patho-logique générale des épithéliums. II. Tout porte à croire aujourd'hui que les tissus épithéliaux jouissent
loyée par Roccas et plus anciennement par Sarcone ; c'est elle que je crois aussi devoir adopter ; 4° Mais si vous regardez a
ont guère multipliés; et Ton réunirait diffi-cilement aujourd'hui, je crois , en compulsant les divers re-cueils ou les traité
'autres fois, au contraire, elle est unie et parfaitement lisse. Nous croyons , avec M. le profes-seur Grisolle1, que les granul
e un point sur lequel nous devrons revenir: mais quant à présent nous croyons pouvoir indiquer parmi les caractères de l'indura
ie imitant le souffle caverneux et la pectoriloquie au point de faire croire à l'existence d'excavations superficielles ou vas
laquelle il était appendu par un mince pédicule. De lo-ut ceci nous croyons pouvoir conclure que les observa-tions d'Avenbrug
e était absolu, et il n'existait point de frémissement thoracique. On crut à un empyème, et la thoracocentèse fut pratiquée.
conserve des doutes sur sa nature tuberculeuse, et j'ai tout lieu de croire qu'elle est plutôt constituée par une exsudation
t d'autre altération qu'un très léger épaississement, et tout porte à croire que l'élimination de ces produits eût eu lieu tar
ns leur cavité. La malade a succombé à une pneumonie droite : peut-on croire que l'état du poumon gauche n'a plus permis, dans
t parcourir pour y arriver. Il est vrai qu'à une certaine époque on crut avoir démontré directement, par des expériences i
ind-fleisch, tout en les modifiant sur quelques points. M. Charcot ne croit pas à une localisation aussi étroite, aussi systé
ne s'était occupé que du mode de guérison des cavernes et il semblait croire que les désordres produits par les tubercules ne
le tubercule peut s'arrêter dans son évolution à l'état de tuber-cule cru , à l'époque où la mortification caséeuse n'a pas
les géantes, les cellules épithélioïdes, le réticulum, qui a pu faire croire à l'existence d'un vestige d'organisation lymphat
Résumé. Avant d'étudier la tuberculose dans le poumon, M. Charcot a cru nécessaire de présenter, en matière d'introductio
'histoire de la tuberculose chronique avec excavations, qu'on » ne le croit généralement. » III. L'exposé qui précède ren
us avancé du développement, matière jaune, opaque, friable (tubercule cru ) qui, plus tard, se désagrège, à commencer par le
jaune, dans une phase plus avancée, elle répond au tubercule jaune ou cru , à l'infiltration jaune. En un mot, sous le nom d
e la Faculté. En se fondant sur ces études nouvelles, M. Charcot se croit autorisé à déclarer que « la phtisie pneu-monique
te en question, Quoi qu'il en soit des faits signalés jusqu'ici, nous croyons pouvoir tirer les conclusions suivantes : la mass
à la nôtre venaient à se multiplier. Voici cette observation : nous croyons devoir la reproduire dans tous ses détails. Obs
és les symptômes observés pendant la vie. Si, comme tout porte à le croire , la forme de paraplégie dont il s'agit, n'est pas
elevées et disposées par ordre chronologique dans un tableau que nous croyons utile de repro-duire à la fin de ce travail, n'en
rmittentes régnent d'une manière endémique. C'est pourquoi nous avons cru utile d'exposer, de coordonner les plus important
ans les diverses parties des systèmes artériel et veineux. Frerichs a cru remarquer cependant que, dans le système de la ve
, ou encore se succédant et s'entremêlant ; ces accidents, si l'on en croit la description donnée par Frerichs, éclatent pend
terminaison funeste ? S'il en est ainsi, et nous sommes disposés à le croire , on comprend qu'il serait important de pouvoir di
s cristaux octaédriques que nous avons décrits. Nous avons, en effet, cru aussi que ces der-niers cristaux étaient losangiq
s essayé d'autres réactions), et surtout leurs for-mes, permettent de croire qu'ils étaient très analogues, sinon semblables,
s tumeurs à contenu puriforme étaient pri-mitivement, tout porte à le croire , une concrétion polypiforme globuleuse pleine ; l
res tuberculeuses, voilà un ensemble de caractères assez tranchés, je crois , pour justifier la délimitation que nous avons ch
ans divers points du système vasculaire, pu donner le change et faire croire à l'existence du pus collecté. C'est ainsi, par e
ant de les discuter dans une communica-tion ultérieure. Toutefois, je crois devoir présenter ici les re-marques suivantes rel
bre supérieur droit de la malade, aurait pu donner le change et faire croire à l'existence d'une lésion cérébrale; l'autopsie
aiblesse du cœur, tel était le diagnostic complexe auquel nous avions cru devoir nous arrêter. Ces lésions multiples nous p
ct et le volume des globules blancs du sang (ce sont, tout porte à le croire , des globules blancs du sang altérés); 5° des cri
'attention qu'il mérite, en raison de son importance clinique ; aussi croyons -nous utile de faire connaî-tre une observation qu
autre, obturer plus ou moins complètement l'ouverture anormale. On a cru constamment, lorsqu'on auscultait le malade, que
, sous plusieurs rapports, avec les abcès dits métastatiques, nous ne croyons pas qu'ils aient été le pro-duit de l'infection p
sans que leur présence ait été révélée par quelque symptôme? Peut-on croire , d'un autre côté, qu'ils aient pu rester aussi lo
rémité des caillots veineux, et en aient déterminé la rupture. Aussi, croyons -nous qu'il conviendrait de recommander aux malade
admettons donc sans aucune difficulté l'existence de l'aortite, nous croyons toutefois pouvoir élever des doutes sur la fréque
reur; mais l'analyse micrographique n'a pas tardé à le détromper : il croyait avoir trouvé un alhérome, il s'agissait d'une col
ations énergiques, régulières et parfaitement isochrones au pouls. On crut à l'existence d'un anévrisme de l'aorte: mais la
et le souffle ané-vrismal doubles avaient échappé à Laënnec, qui les croyait toujours simples. Stokes a décrit le battement do
théories pour expliquer la production de ces deux bruits. Bellingham croit que le premier est dû au frottement du sang contr
utes d'un lieu élevé produisent souvent des ruptures de l'aorte. Nous croyons , avec M. Broca, que les anévrismes, en général, e
ebert condamne définitivement l'usage in-terne de ce médicament qu'il croit plus nuisible qu'utile; ce-pendant, quand il exis
s ont souvent prolongé de plu-sieurs jours la vie des malades. Nous croyons avoir démontré que si la médecine ne dispose pas
maladies des artères, le résultat de ses recherches ultérieures. On croyait , dans le principe, que le décollement de la tuni-
au point qu'il avait indiqué; et, conformément aux idées du temps, on crut qu'il s'agissait d'une sorte d'entozoaire du cœur
et opuscule ayant été souvent cité d'une manière inexacte, nous avons cru utile d'en donner ici une rapide analyse ; il nou
fort bien décrites par MM. Trousseau et Leblanc, n'autorisent point à croire que la formation de la poche soit postérieure à l
les arguments plau-sibles qu'il présente à l'appui de ses idées, nous croyons pou- voir dire que, jusqu'à présent, 1 étiologi
me, mais seulement sur certaines de ses branches principales, nous ne croyons pas devoir nous en occuper ici. Bibliographie.
articularités du fait qu'il nous a été donné d'observer chez l'homme, croyons -nous utile de rappeler sommairement en quoi consi
qui se trouvent relatés dans no-tre observation. De tout ceci, nous croyons pouvoir conclure que la claudi-cation intermitten
dans le détail des phénomènes observés en pareil cas chez l'homme, je crois qu'il est indispensable de vous dire ce qu'ils so
ittente par obli-tération artérielle du cheval une description que je crois de-voir reproduire aujourd'hui devant vous dans s
it, si vous le remettez au trot, il part sans boîterie et vous pouvez croire que tout est chez lui rede-venu normal. Mais bien
t, fort intéressant à divers points de vue et qui est bien propre, je crois , à montrer qu'il sera désormais possible d'éviter
s; elles ne contenaient pas de globules purulentes. Tout nous porte à croire qu'elles ont été le résultat d'hémorragies parenc
consistance comme crémeuse et d'une couleur jaune-verdâtre. On eut pu croire qu'il s'agis-sait de foyers purulents multiples,
a mort de ce malade étaient pour nous inexplicables. Nous penchions à croire qu'on pouvait comparer les affections loca-les qu
un autre côté, les détails de l'observation ne nous permettent pas de croire que l'inflammation, ou toute autre affection des
qui ont joui d'une certaine faveur, du moins en Allemagne ; nous les croyons peu connus en France : auss jugeons-nous utile d'
e de Bochdalek, la relation qui existe-rait entre l'artérite, qu'il a cru constater, et l'hémorragie qui s'effectue dans le
t en résumé, le travail du docteur Heschl. Nous le répé-tons, nous ne croyons pas que ce travail soit appelé à fixer défi-nitiv
uit glandulaire, 272 ; — développement autour des bronchioles, 273; — cru , 214; — réticulé ou cytogène, 289; — submiliair
90 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
s, sans glycosurie. Il est mis alors au régime du lait et des oeufs crus , puis on lui fait prendre des douches froides.
au- coup plus marqué que celui du côté gauche. Au premier abord, on croirait à une hémiplégie faciale du côté gauche. Il n'e
ire, d'autant moins que celle-ci affecte aussi le côté gauche. Nous croyons plutôt que les maux de dents aient provoqué, pa
rémités fussent tout à fait libres de contracture et de parésie, je crois que la diagnose d'hystérie est suffisamment jus
diatement, sans que les convulsions revinssent. Le médecin traitant crut que cette fièvre s'expliquait par une légère ro
ments de la journée, étaient tellement remarquables qu'on aurait pu croire quelque- fois que tout allait se terminer et qu
ecin traitant soignait en même temps des malades de diphtérie et il crut qu'il avait infecté celte malade. On soupçonna
ntôt cette idée de côlé. Les vomisse- ments ne cessaient pas, et on crut encore que la fièvre était symptomatique d'une
s par des arthralgies, de la céphalée occipitale, etc. Bressler (1) croit qu'on peut admettre l'existence d'une fièvre hyst
que dans l'urine confirma la non exis- tence de lésion rénale et je crois que dans des cas analogues d'anurie hys- (4) d.
rvations bien prises et nous partageons l'opinion de Massalongo qui croit qu'ils sont constants. Cependant dans les cas de
réel peuvent aussi s'observer chez les paralytiques généraux qu'on croirait souvent chagrins, alors qu'ils n'éprouvent rien d
e des femmes enceintes. Quant au mécanisme de ces déviations, Audry croit qu'elles dépendent de l'action vicieuse des mus
res et les spasmes peuvent augmenter énormément d'inten- sité. Nous croyons intéressant de reproduire ici la description d'Au
n de développer leurs facultés intellectuelles leur manque. Oulmont croit que les malades atteints d'athétose double cons
excilé, mais se montre de temps en temps émotif et pleurard. Nous croyons utile dedonner la liste suivante,'qui comprend l'
s de nos tracés, avec interruptions aussi peu fréquentes, mais nous croyons inutile de les reproduire ici. Les trois lignes
ableau primitif aujourd'hui égaré. Ils nous permettraient plutôt de croire qu'il doit y en avoir deux d'égarés au lieu d'un.
ent rapidement, « comme des éclairs ». Nous avons déjà accumulé, je crois , un nombre suffisant de symptômes : signe d'Arg
tât à peu près exclusivement par des arthropathies. Or, il importe, croyez -le 130 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
e vous entretenir M. Charcot et que vous avez ici sous les yeux, je crois utile de reprendre les choses d'un peu plus hau
son séaul. / Quelle est la cause de celle douleur' ? Tout porte il croire qu'il s'agit d'une /compression des nerfs inter
ce qui concerne la syringomyélie, à cette dernière opinion. « Nous croyons , dit-il, que la scoliose l'ail partie 148 NOUVE
e unilatérale des extenseurs du rachis. MM. Bourneville et Guérard. croient plutôt" un trouble de nutrition des os. Malad
sa ligne de repos, et pendant une dizaine dé secondes, on pourrait croire la décontraction achevée el l'étal de repos rétab
faradiques dans certaines condi- tions qui ont surtout comme effet, croyons -nous, de provoquer la fatigue ou l'épuisement m
peau, mais sont insuffisantes pour produire un mouve- ment. Marie croit que la symétrie peut être considérée comme un sig
ler de scoliose ? Ne s'agit-il pas là d'une de ces déviations de la croie épineuse qui sont indépendantes de toute déviat
fournissent pas les éléments d'une discussion de ce genre. Nous ne croyons pas que l'action vicieuse des muscles moteurs du
comme Kirmisson et comme la plupart des chirurgiens français, nous croyons que cette affection relève d'un trouble portant
et qui dure 5 mois ; le liquide extrait était purement séreux. A en croire le malade, c'est à la suite de cette pleurésie qu
adie fasse beau- coup incliner de ce côté ; si c'est, comme nous le croyons , une véritable maladie de Parkinson, l'attitude
d on voit marcher le malade, on aurait à première vue tendance à le croire atteint d'hémiplégie droite avec contracture... I
levées, mais plus toniques au pôle positif qu'au pôle négatif. Nous croyons inutile d'insister sur la des- (1) Les intensit
1. milliampères, et même avec des courants plus faibles, mais nous croyons inutile de les reproduire, la différence précéd
ment spéciale à cette affection. -Aussi, pour terminer cette étude, croyons -nous utile de résumer les caractères de la réacti
ons mécaniques, faradiques ou galvaniques, doivent être considérés, croyons -nous, comme des phénomènes d'un môme ordre. O
'appari tion des mouvements ondulatoires, d'autant plus facilement, croyons -nous, que les altérations musculaires, constitu
antile, névrotique, hystérique. Tel n'est point noire avis, el nous croyons que c'esl possible de prouver ÉTUDE CLINIQUE SU
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. exactement le début de la maladie. Nous croyons , avec Richardière, Massa- longo et Audry, qu'el
la mère forme un constraste frappant avec celle du fils. Elle aussi croit mais non d'enthousiasme ; connaissant les décepti
médecins, c'estlemor- ceau capital de l'oeuvre. Il aime son fils et croit en lui, déplus il a si grand désir de revoir le
orselli fit construire un appareil que nous avons toutes raisons de croire analogue à celui de cet auteur, par M. Luigi Cori
égarés, mais de quelques notes sauvées du naufrage, M. E. Morselli croit pouvoir tirer les déductions suivantes (1) :
rts une habitude, était la crainte de se voir un peu forte. Elle ne croyait pas que cet état d'extrême maigreur fut déplais
at et à cette fin elle mangeait très peu et prenait tout ce qu'elle croyait mauvais pour son estomac. Malgré ces tentatives
s les auteurs ont considéré l'athétose double comme très rare. Nous croyons , avec Massalongo, Osier et Audry, que cette affec
Oulmont considère la nature de l'athétose double comme inconnue et croit cependant qu'on peut la rapprocher de l'hémiathét
t insisté beaucoup sur les hémorrha- gies méningées. Seeligmuller croit que l'athétose double a probablement une origine
est l'expression symptomatique de la sclérose cérébrale. Massalongo croit à des altérations semblables il celles de la pa
assise il y a une certaine titubation de la tête qui pourrait faire croire à la maladie de Friedreich. ÉTUDE CLINIQUE SUR
es des yeux, doit, chez l'enfant, être reportée plus haut. Le cou croit dans les mêmes proportions que la tète. Le tron
être parfaite dans les deux ordres de faits; car, c'est une erreur de croire que dans l'hystérie tout est laissé au hasard.
e simulatrice et des maladies organiques de l'encéphale, nous avons cru qu'il n'était pas hors de propos de présenter q
se familiariser avec l'étude de l'hystérie. « Il ne faudrait pas croire pour cela, dit M. Raymond (1), que l'hysté- rie
abinski (2) n'admet ces propositions que pour la petite hystérie et croit la grande hystérie seulement « l'apanage .l'une
le est très peu riche en ce qui nous intéresse. Nous ne voulons pas croire pour cela que nos voisins d'Outre-Manche en soi
prêtent le plus à la controverse. Cette discussion peut se ramener, croyons -nous, à l'examen de deux chefs principaux : 10
un état mental particulier. C'est là pécher par excès et affecter, croyons -nous, une tendance dangereuse, contre laquelle
n'en est pas moins sérieuse, même chez l'enfant et on ne fera plus croire à personne qu'un enfant puisse simuler des mois o
exe que les hémiplégies totales ou les monoplégies, il est logique, croyons -nous, de lui consacrer un cha- pitre à part.
ions et qui doivent la faire découvrir, si on les recherche. Nous croyons inutile d'insister sur ces derniers qui se confon
droit qui est remonté et en légère adduction pourrait d'abord faire croire à un Fig. 44. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPH
stérie. Il nous reste maintenant il justifier ce diagnostic et nous croyons pou- voir pour cela résumer notre argumentation
rfs vaso-constricteurs au moyen des courants induits. On pourrait croire que la faradisation du grand sympathique au cou (
matiques, des résultats même plus satisfaisants encore, comme je le crois , parce que dans la névrite il n'y a que rarement
umogastrique. Mais les anastomoses des plexus thora- ciques me font croire que les poumons possèdent aussi des fibres vaso-c
ure des hémiplégiques est néanmoins, on le sait, per- manente. Je crois que toute contracture de l'hémiplégie cérébrale e
tions sont sous la dépendance des ganglions dugrand sympathique. Je crois que l'excitation est portée jusqu'à ces ganglions
s qu'elle peut engendrer la résorption du liquide extravasé (1). Je crois que la souplesse des membres des ataxiques est la
nous avions sous les yeux, des analogies frappantes que nous avons cru intéressant de mettre en lumière. On connaît la
comme un chef-d'oeuvre de la statuaire grecque et l'on est fondé à croire que ces 386 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
91 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
es principaux épisodes. Par le temps de rénovation où nous sommes, je crois la méthode fort recommandablc. 11 ne me paraît pa
beaucoup d'observateurs qui se sont occupés de la matière, nous avons cru mieux servir la science en cherchant surtout les
ur nouveau. Dans une quatrième partie, à propos du diagnostic, j'ai cru utile de grouper les raisons qui plaident en fave
urée pendant sept mois sans aucun accident, au point qu'on pouvait la croire complètement guérie, vit ses attaques reparaître,
Elle exerçait les fonctions d'infirmière dans l'hospice et se pouvait croire délivrée de sa maladie, quand le 28 mai 1878 elle
buse d'elle pendant la nuit; mais, en outre, vingt fois par jour elle croit avoir à se défendre contre des manœuvres indiscrè
es attaques. Mais voilà qu'un jour en arrivant à la Salpêtrière, elle croit reconnaître dans M. X..., Camille qui n'aurait si
et que les bras, étendus perpendiculairement au tronc, peuvent faire croire à l'attitude du crucifiement, qui est parfois une
difications dont est susceptible la première période de l'attaque, je crois qu'il ne sera pas superflu, pour servir de complé
s cloniques. Le tétanisme se reproduit ainsi parfois de façon à faire croire à plusieurs accès épileptoïdes se succédant ai' n
ccupation de son esprit. A voir le calme de son attitude, on pourrait croire que l'attaque est ter- Fig. 70. — Attitude pass
st venu au cours!... Je lui faisais des signes avec mon mou-choir. On croyait que c'était à M. X., un externe; je l'ai écrit. J
tres... Elles parlent de M. X..., de M. Z... Elles sont cachées... On croit que je ne reçois jamais de lettres... » Le pers
lit). Ah! ton affaire est réglée (40 h. 7). Ah!... le propre à rien, crois -tu qu'il a tué sa femme ? (Elle s'assied sur son
ue que se produisent les affirmations les plus audacieuses. La malade croit à la réalité de ses rêves et de ses hallucination
emps des attaques. Nous en avons un exemple frappant dans Gen..., qui croit à la réalité de son commerce avec Camille. Nous p
ures, à la suite d'un aura, elle sent son bras droit qui tourne, elle croit que c'est le début de son attaque, mais elle ne p
er à loisir pendant notre internat de 1878. Mais il ne faudrait pas croire que l'attaque convulsive de la grande hystérie av
e l'aura hysterica se développent spontanément, au point de lui faire croire à l'invasion des attaques; mais la crise s'en tie
ermine par le signe de la croix. « Et dire qu'il y a des gens qui n'y croient pas! » — Elle regarde en bas, cherche dans son li
uées. Allons, à bas la république puisque l'empereur est revenu. Je croyais qu'il était mort... » Tiens, il a l'air d'un fa
oûts des jeunes filles. Sur le conseil du médecin de la famille qui croyait à une affection grave du cerveau, on s'en alla pa
étruite; mais je la dirigeais contre les causes prédisposantes que je crois avoir assez détaillées au commencement de cette o
, et ne voit plus bientôt que fantômes, que spectres mena-çants. Je crois devoir rapprocher de cette particularité une obse
1830) : « 20 avril. Crise violente pendant la nuit, cauchemar; elle croit voir une multitude d'hommes devant son lit, puis
s souvenirs d'en-fance, ou bien elle se moquait de tout, fie semblait croire à rien. Les crises avaient lieu soit en présenc
d'un peu de délire pendant lequel la malade déraisonne légèrement, se croit ail-leurs que là où elle est, ne reconnaitpas les
sont tellement naturels, qu'ils semblent vous parler, on est tenté de croire qu'elle voit; une bougie allumée et approchée del
é-pond comme si vous étiez un membre de sa famille. Tel jour, elle se croit marquise, duchesse ou reine, donne des ordres en
la symptomatologie de l'hys-térie, tout signe épileptique. « Je ne crois pas, avec beaucoup d'auteurs, que l'attaque hysté
sur la voie de circonstances qu'il lui importe de connaître, et qu'on croyait avoir intérêt à lui cacher. » D'autres fois, c'
asse les dents, et bientôt l'écume s'écoule abondamment. » L'auteur croit , dans ces cas, à l'existence simultanée des deux
Il a généralement rapport, soit à des scènes auxquelles la malade se croit présente, ou aux-quelles elle se reporte, soit au
campagne, cou-vert d'un linceul ; saisie d'effroi et de terreur, elle crut voir un fantôme, et immé-diatement elle tomba en
oit le fantôme et tombe dans une espèce d'évanouissement tel qu'on la croirait plongée dans un sommeil paisible; puis, quelques
ues signes de tète, émet quelques sons inarticulés ((ui peuvent faire croire à la présence d'hal-lucinations. Malgré les appar
'Immaculée Conception, très répandue dans notre pays, et par-tout, je crois , car elle est classique. Je ne puis donner de son
ce ne sont pas de ces mouvements brusques qu'on s'attend avoir. Nous croyons que notre remarque n'est pas sans quelque importa
le se retourne; repos. « Ton garçon t'en fera des tours aussi... Tu crois que je n'ose pas te re-garder en face?... Tu ne v
je te dise tes vérités... Chaque jour que tu viens, tu pleures... Tu crois que j'irai chez toi?... Flûte!.., La police?... A
'est pas une mère infâme? c'est de la canaille... J'ai fini aussi par croire que mon père était lâche... Un an après... J'ai b
moi!... Veux-tu me le dire? Pignouf! Il faut que tu sois ignoble. Tu crois donc ce garçon plus que moi... Je te jure que ce
Il n'avait plus aucune connaissance réelle du monde extérieur; il se croyait là-bas, dans le café qu'il avait récemment fréque
me : de jour et de nuit il se lève, se pro-mène dans sa chambre et se croit dans un monde idéal, tantôt il est au lycée et il
upées par des sanglots, hallucinations de la vue et de Vouie; elle se croit entourée de personnes de sa connaissance auxquell
nt guérie K Obs. IV. — Mademoiselle S..., âgée de quarante-six ans, croit que tous les malheurs qui arrivent dans le monde
uis quelques jours, elle manifeste la crainte d'être assassinée. Elle croit avoir entendu un coup de pistolet tiré dessous so
a présence chez toutes d'une même névrose, la grande hystérie. C'est, croyons -nous, dans ce défaut de méthode, qu'il faut cherc
agit que de discerner ce qui peut être vrai de ce qui est faux. Je ne crois pas qu'il soit bon pour la science de nier ou de
u-part des observateurs qui se sont occupés de la matière, nous avons cru mieux servir la science en cherchant surtout les
'il a jugé le contraire de se mettre à la portée... C'est ainsi qu'il croit sans cesse, avec les générosités à lui pré-sentes
e constatation plus délicate, d'une appréciation plus difficile. Nous croyons qu'il ne faut les admettre qu'avec la plus grande
un certain temps, elle répond qu'elle ne pense qu'à prier, qu'elle se croit dans une cérémonie religieuse ; la tête penchée e
d'une attaque. Nous la considérions comme inévitable; cependant nous crûmes bien faire en l'hypnotisant, ce qui n'offrit aucu
au récit de voyage à faire, ajoutait-il ; mais par malheur on ne nous croira pas. » Ce qui l'empêchait de douter, c'est qu'il
ois delà laisser dans le lit. Pendant 28 heures, aucun changement; on croyait sentir déjà un peu l'odeur de la putréfaction ; l
cée qu'auparavant; au contraire. quel fut mon ctonnement lorsque je crus apercevoir un faible mouvement de respiration! Je
ze heures; voilà l'image exacte de la situation. De prime abord, je croyais à un état cataleptique; mais si l'on prend un des
ires; l'action au lieu de s'épuiser augmentait. Il est difficile de croire à la réalité de ces phénomènes bizarres quand on
indispensable pour la compréhension du plus grand nombre des faits de croire à une identité de nature entre la catalepsie et l
it. Après être revenue, elle eut des rêveries extraordinaires; elle crut être poursuivie par des voleurs, des bêtes féroce
ixes, ne parlant point, étant sans mouvement et sans sentiment, on la crut morte. Elle ne revint qu'à cinq heures du soir qu
ut et s'en tiendra éter-nellement à la dernière. M. Attalin dit qu'il croit qu'elle se fut tenue la tête en bas et les pieds
us avons pu, chez nos hystériques, provoquer arti-ficiellement. Aussi croyons -nous que nos recherches expérimen-tales sont dest
age; ses enfants étaient toujours bien là devant elle; un moment elle crut les saisir, ses mains se fermèrent contractées; e
prendre connaissance très rapidement en arrêtant le délire. La malade croit alo3*s avoir dormi et veut dormir encore; elle de
n a beau rap-peler à la malade ses actes et ses paroles, elle ne peut croire ce qu'on lu dit et en demeure très affectée.....
r des rêves pénibles, des cauchemars, vue de vo-leurs, etc.. Elle a cru pendant longtemps que quelqu'un lui tirait la rob
u'elle repousse alors énergiquement toute ofTre de l'endormir. Elle a cru pendant longtemps que l'occlusion des yeux était
souffrance et elle se met à pleurer). Sa mère lui fait peur, elle la croit prête à se jeter sur elle, craint qu'elle n'ait c
e pendant deux ans sous l'influence d'une frayeur persévérante : elle croit toujours voir sa nour-rice en délire au chevet de
et s'efforce avec la main droite de lui faire avaler le grain; il se croit à la Halle et interpelle une foule de personnes.
» M... parle volontiers des hallucinations qu'il a éprouvées, mais il croit encore pendant quelques jours à la réalité de que
xcès de boisson. Il devient inquiet; à l'atelier il vit à l'écart, se croit en butte aux quolibets et aux raiHeries de ses ca
ant, est incoliérent, n'a pas conscience du lieu où, il se trouve, se croit dans la rue, chez lui, dans son magasin ; il croi
, il se trouve, se croit dans la rue, chez lui, dans son magasin ; il croit voir sa femme et ses en-fants, leur parle, les en
esures, car un spectacle vraiment diabolique s'offrit à mes yeux : Je crus voir le portrait de mon frère, qui était au-dessu
urs incohérents, en gesticulant, criant comme tous les masques que je croyais voir, je me dirigeai vers la porte d'une chambre
fluence du hachisch; elles pai'aîtraient trop bizarres pour qu'on les croie sincères; les personnes présentes doutaient parfo
x et la trépidation spinale, E. Brissaud, jusqu'à plus ample informé, croit devoir rejeter la division des auteurs, et à la c
'erreur est presque entièrement ignorée. Il ne comprend pas qu'on ait cru si facilement à l'action des aimants et des sol
iu les iiuras. Plus tard on en vit parmi eux assurer qu'ils s'étaient crus plongés dans un ruisseau de sang et que c'était p
avoir inoculé l'hystérie et la nymphomanie à ses compagnes. Gertrude croyait partager sa couche avec un incube; bien qu'elle e
le compte du démon. Les religieuses tourmentées ne tardaient pas à se croire effectivement pos-sédées de l'esprit malin, et ce
ter quelque lumière sur la nature des accidents morbides qui ont fait croire à la possession. Ici, comme ailleurs, c'est la
présenta à elle et lui parla comme s'il eut été Atha-« nase. Elle le crut aussi et par ce moyen elle manifesta la fausseté
ux procès-verbaux, la plupart écrits de la main de Laubardemont, pour croire à la réahté de pareds actes. Tout ce que l'imag
discours, en tirèrent des yeux de la plupart des assis-tants, qui ne croyaient pas que ce fut le diable qui parlât ainsi par rus
ue quand môme ces fdles ne seraient pas effectivement possédées,elles croiraient l'être sur votre parole, tant à cause de leur mél
oignage, l'exorciste ne put s'empêcher de dire à M. du Lude : « Je ne crois pas, monsieur, que vous doutiez maintenant de la
ses, les louant d'une façon et les blâmant de l'autre. Une fois, elle croyait parler à sa mère-maîtresse, l'étant allée trouver
ais donné mauvais exemple? Il ap-porta d'autres raisons qui me firent croire le contraire de cette illusion diabolique, puis i
ent la stupéfaction des contemporains de la possession. On ne pouvait croire , sans faire intervenir une influence diabolique,
d'autre chose, ils ne lui trouvèrent ni émotion telle qu'ils auraient cru devoir être, ni autre disposition conforme à la v
s du chœur avec telle force et telle violence que probablement on eût cru qu'elle l'eût eue toute cassée, mais il se trouva
renforcement! L'on m'aura beaucoiqi persuadé je vous assure, quand je croirai que les hommes sensés et judicieux feront passer
ui fomente les hérésies, qui donne du mépris de la religion, qui fais croire à ces huguenots qu'ils ont raison, qui sème les s
sa sanctification et pour l'in-struction des peuples; et quoique fon croie que les diables ne disent jamais que mensonges, i
i et qui, cachés dans diffé-rents endroits du couvent, entretenaient, croyait -on, la possession. Mais les diables n'étaient pas
unition que nous avons été envoyés ici; je lui répli-quai que je n'en croyais rien, parce que je n'étais pas capable de confess
pas que, quand bien même ces tilles ne seraient pas possédées, elles croiraient l'être sur votre parole. » Malgré cette sage et
S... rouge! » (EUesappellent rouges ceux â la piété desquels elles ne croient pas); quelques-unes ajoutent des jurements. » S
y rapportant tout ce qu'elles disent. Ainsi, c'est souvent : « Ah! tu crois , b... d'incrédule, que nous sommes des folles, qu
lgie, etc., auxquels se joignirent des convulsions qui bientôt firent croire a la possibilité d'une obsession diaboli-que. On
douleurs affreuses et des mouvements si violents que les assistants crurent que je tombais du haut mal..... (Elle est tombée,
res de Saint-Médard, et tooibe dans ues attaques convulsives qui font croire à ses familiers qu'elle s'élève en Pair tout d'un
Dieu qui la bril-lait.... » Pendant la nuit du 3 au 4 octobre, l'on crut que la veuve Thévenet allait expirer. Pendant prè
devinrent plus intenses, qu'elle perdit l'usage de la parole et qu'on crut qu'elle avait cessé d'exister. En revenant à la c
bles qui ont pu se glisser dans la prestation de certains secours, je crois devoir commencer par rendre compte des règles de
ns à poings fermés et par des hommes? On ne veut pas certainement les croire ca-pables de s'en promettre les mauvais et honteu
e du début était parfois remplacée par des secousses (jerks) que l'on croit avoir commencé dans l'est du Tennessee. » Penda
des visions et seraient fort désappointées de n'en point avoir. Elles croiraient que l'oeuvre divine n'est pas complète et prierai
en une extase plus ou moins involontaire, pendant laquelle le malade croit voir ou entendre des choses divines, surnaturelle
milés au somnambulisme ou sommeil magnétique, sans qu'aucun d'eux ait cru pouvoir déclarer positivement que lesdits paroxys
e de noblesse et de dignité pathé-tique. » Cependant il ne faut pas croire que ses contemplations et ses exercices de piété
92 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
à chaque pas l'application dans nos leçons ultérieures. Comme je ne crois guère à l'efficacité des généralités privées de l
gé-néral, sous le nom de circonvolutions. Pendant longtemps, on a pu croire que ces circonvolutions étaient disposées pour ai
se au fond d'un sillon de séparation. Pour établir un contraste, je crois utile de vous tracer la description d'une coupe d
allons décrire tout à l'heuro sous le nom de lobe carré. a) Mais je crois nécessaire, pour plus de clarté, de reven'r sur u
al, enregistrée tout récemment par M. Soit-mann(l). Cet auteur, et je crois queM. le professeur Rouget (de Montpellier) a, de
istorique de la question est exposé dans tous ses détails (2). J'ai cru utile d'insister sur cette chronologie, afin de b
ot. Œuvres Complètes, t. iv, Localisations, 5 B. Il ne faudrait pas croire , Messieurs, que toutes les obli-térations de ce g
e mode de distribution artérielle. Je clos cette digression qui, je crois , n'aura pas été inoppor-tune et j'en reviens à l'
ments dans lesquels je suis entré au su-jet de l'artère sylvienne, je crois devoir être bref dans l'ex-posé de la subdivision
rents noyaux ; j'y reviendrai quand l'occasion se présentera. Mais je crois indispensable maintenant d'entrer dans quelques d
'analyse peut pénétrer dans cet ensemble complexe. 11 ne faudrait pas croire , toutefois, que nous soyons en mesure aujourd'h
plus. Il serait superflu, je pense, d'insister plus longuement ; je crois avoir suffisamment mis en relief que, dans le dia
gi-ques, l'expérimentation s'est, ici, corrigée elle-même. Elle avait cru en effet, autrefois, reconnaître que le centre de
ormelle avec les données généralement répandues. En effet, si l'on en croit la théorie mise en avant dès 1860 par Alb. de Gra
, et inversement pour le cas d'une lésion de l'hémisphère droit. Je crois devoir prolester contre ce que cette théorie offr
conséquence d'une lésion en foyer du cerveau ; mais je suis disposé à croire que dans les cas de ce genre — si réellement il e
participation plus ou moins directe des bandelettes op-ijqiies. Je ne crois pas qu'il existe quant à présent une seule observ
et, Cruveilhier, Henle (1) et tout récemment encore M. Gudden (2) ont cru pouvoir lui prêter l'appui de preuves ana-tomique
que répéter ici ce que je disais tout à l'heure, à ce propos : Je ne crois pas qu'il existe, quant à présent, une seule obse
'écorce grise des hémisphères cé-rébraux. A priori, rien ne porte à croire que les nerfs optiques échappent à cette loi. D
nt. J'incline toutefois, en l'absence d'autopsies contradic-toires, à croire que, dans la majorité des faits d'hémiopie qui on
du faisceau latéral, jusque dans le renfle-ment lombaire. ni. Je crois opportun d'entrer actuellement dans quelques dé-v
beaucoup plus étendue dans le sens transversal, et qu'il y a lieu de croire , d'après cela, qu'en outre des fibres cérébro-spi
ncipes n'a pas encore fourni tout ce qu'elle promet; toutefois, je ne crois pas errer en déclarant qu'elle a contribué, pour
e cette pulpe nerveuse et qu'on lui imprime quelques oscillations, on croirait tenir une masse gélatineuse, de la colle de pâte.
M. Leyden en a vu également au moins un, bien qu'il n'ait pas, je le crois du moins, relevé le rapportentre l'altération des
thologique, 1876, p. 664, Eclairé par les faits antérieurs, j'avais cru pouvoir annoncer que cette atrophie musculaire in
ins cas exceptionnels, et peut-être cependant moins rares qu'on ne le croit d'habitude, sous l'influence de conditions incon-
rêt moindre et nous nous y arrêterons également. Mais, auparavant, je crois utile de vous tracer un exposé d'en- semble des
sont-elles passées inaperçues? Quelles que soient les hypothèses, je crois qu'il sera nécessaire de reviser, sous ce rapport
oncernent tout spécialement ce sujet; mais, il importe maintenant, je crois , d'envisager la question non plus par-tiellement)
ifié à cet égard les anciens enseignements qui remontent à Galien. On croyait à la transmission absolument directe. On sait auj
que laisse indécise. Telles sont les notions préliminaires que j'ai cru devoir vous présenter relativement au fonctionnem
e peut, pénétrer la raison des choses. Nous ne pouvons mieux agir, je crois , qu'en l'imitant; représentous-nous donc l'état d
ré de parésie, accidents relativement bénins mais qui, tout porte aie croire , ont précédé l'apparition de la contracture. Le t
ras est dans la pronation, d) tantôt il est dans la supination. Je ne crois pas qu'il existe, pour le membre supérieur, d'aut
donc le côté sain qui semble paralysé, et, au premier abord, on peut croire à une paralysie alterne. 4° Je vous ai présenté
t qu'il leur attribue dans le fait de la contracture elle-même est je crois , exagérée, et il faut considérer comme exceptionn
uis longtemps aux prises avec les difficultés de l'enseignement, j'ai cru reconnaître que la théorie proposée pour rendre c
reconnaître toutes les imperfections. Si j'y insiste, c'est que je la crois vraiment supérieure à toutes celles qui, antérieu
s le cas observé dans mon service et étudié par Michaud, tout porte à croire qu'il s'était agi d'une régénération véritable.
les plus récentes, j e vous rappellerai que Eichorst et Naunyn ayant cru observer cette régénération chez les chiens, Schi
rapport, l'enseignement traditionnel qui remonte jus-qu'à Galien. On croyait que la transmission des incitations volontaires p
mots, présenter une esquisse de l'état morbide que M. Erb et moi nous croyons de- voir, jusqu'à plus ample informé, considére
encore d'exis-tence qu'en clinique et que si, en réalité, comme je le crois , il s'agit bien là d'une espèce morbide, celle-ci
l'appui de cette théorie, on a publié quelques observations où l'on a cru reconnaître les caractères assignés par M. Erb et
us va-riables. J'ai examiné ces observations avec grand soin, etje ne crois pas qu'aucune d'elles possède réellement la signi
ère, et auxquelles le médecin doit s'intéresser particulière-ment. Je crois donc nécessaire de les rappeler à votre atten-tio
intégrante de la maladie, bien qu'elle se développe, tout porte à le croire , secondairement. Il s'agit donc là d'une lésion s
ments combinés, comme on dit en Allemagne. C'est cette forme que j'ai cru devoir étudier avec détails plusieurs fois déjà d
culaire. Avant 1840, sur la foi des travaux de Valen-tin, Burdach, on croyait que les extrémités périphériques des nerfs muscul
que M. Charcot, en inaugurant ses leçons cliniques de cette année, a cru devoir présenter un exemple, en quel-que sorte id
ence flasques, si bien qu'à les consi-dérer isolément, on pourrait se croire en présence d'un cas d'atrophie musculaire progre
e de M. Ley-den justifie les développements par lesquels M. Charcot a cru devoir réfuter les critiques du professeur de Ber
en lui-même. Or, pour ce qui est des réflexes tendineux, M. Leyden ne croit pas que, dans aucune de ses observations, l'absen
93 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
nt ce fait idéal, l'évidence sera acquise » (A. Fournier). Non pas, croyons -nous ; celle observation idéale prouvera simple
els cal- caires, sont susceptibles d'amélioration ; Lannelongue (3) croit que le manque d'action est dû à ce que les lési
la syphilis tardive ; mais elle est beaucoup plus rare qu'on ne le croit ; nous n'avons pu trouver un seul exemplaire de «
fractures spontanées tabétiques, en signale un cas personnel, qu'il croit t unique dans la science. Depuis le travail de
s. Mais peut-on invoquer aussi une pathogénie thyroïdienne ? Nous croyons pouvoir répondre par l'affirmative. Voici les fai
ir augmenté, l'utérus est palpable au-dessus du pubis. La malade se croit enceinte (1). La sensibilité objective dans tou
emier abord, en songeant au début de l'affection, on serait porté à croire qu'il s'agit d'une lésion post-traumatique. En
t établie avec une topographie tout à fait différente, mais nous ne croyons pas que l'on puisse rejeter le diagnostic de la
nerait naissance au syndrome labio-glosso-laryngé. M. Dejerine ne croit pas absolument qu'il soit permis d'admettre cette
hique qui se termine par une paralysie labio-glosso- laryngée. Je crois que l'on puisse se rallier à l'opinion de M. Deje
e mérite d'être un peu discuté. Bien que à première vue l'on puisse croire que l'étiologie de cette forme morbide soit en
un nerf vocal. CI. Bernard en poussant plus loin ses études, avait cru pouvoir démontrer que les nerfs vocaux restrict
ousser trop loin la localisation motrice des muscles laryngiens, je crois qu'il est permis dans mon cas d'attribuer, contra
oire inférieure recommençait à se baisser d'une façon normale. Je crois que l'on peut expliquer cette anomalie de la faço
de ressembler à des fous, se distinguaient, au contraire, si l'on en croit l'histoire, par la vivacité de leur esprit, l'à
galement repro- duit dans son ouvrage. (Pl. XIV). On a tout lieu de croire que Michel- Ange s'est inspiré de la nature pou
dicale relative à l'achondroplasie jusqu'à cette date. Nous avous cru utile de donner une description complète de ce no
. SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDKOPLASIE CHEZ L'ADULTE 147 % Nous ne croyons pas qu'il soit légitime d'accepter aujourd'hui ce
tiennent, soit de façou plus explicite encore, semblent supposer ou croire que la fonction intellectuelle est, 154 LEFÈVRE
rance générale, a pris d'abord conscience de son activité propre, a cru trouver une explication satisfaisante de la nat
t une locomotive par je ne sais plus quel voyageur, M. G. Lebon, je crois . Le spiritisme qui a été et est encore pour la pl
Si à une phase déterminée de l'évolution de la matière vivante, on croit découvrir en elle une activité personnelle, vol
t-à- dire au seuil d'une fonction nouvelle, la conscience que je ne crois pas encore devoir leur attribuer, d'accord en c
ux ar- j bres, font l'admiration de parents aveugles et aimants qui croient y découvrir de l'intelligence et de la volonté.
on siège dans le cerveau. En m'appuyant sur ce qui précède, je me crois autorisé, dans le but d'acqué- rir une connaiss
ergie ambiante. C'est encore une grosse erreur de la psychologie de croire à l'intervention d'une volonté dans la plupart
pensant, l'homme obtient des effets qu'il désire et d'autres qu'il croit n'avoir pas voulu, parce qu'il ignore le pouvoi
n- sable de leur fuite et ce serait une erreur tout aussi grande de croire qu'elles sont libres de s'arrêter quand elles l
éduire, les enchanter, les fasciner .[Contrai- rement à ce que l'on croit et écrit, l'homme est un être fort peu raisonnabl
ite, en annihi- lant les réflexes naturels. Et, ici non plus, je ne crois pas à la nécessité d'un raisonnement conscient
irmer l'impuissance de la nature à condition- ner des pensées et de croire au spiritualisme qui n'explique rien et n'est q
ir ici comme une excitation centrifuge sur les nerfs moteurs. On ne crut pas, dans ce cas, à une participation centrale.
t montré qu'en réalité le centre même du langage articulé, que l'on croyait bien délimité, était, en tant que centre, très
ie vénérienne ; il est très affirmatif à cet égard, et tout porte à croire que réelle- ment notre malade n'ait jamais eu a
èrement encore, ont paru sur l'ostéite déformante de Paget, nous ne croyons pas qu'il soit difficile de classer notre cas e
ITE DÉFORMANTE DE PAGET 265 porales chez notre malade, on aurait pu croire qu'elles étaient le siège d'un processus athéro
tériosclérose avec hypotension. Dans notre observation, on pourrait croire que les troubles cardio-vasculaires sont consécut
aumatisme n'est pas exclu absolument ; mais ce serait une erreur de croire que l'origine de la contracture est seulement t
origine de la contracture est seulement t le traumatisme. Nichols croit aussi que le trouble nerveux ou trophique se trou
es et des hallucinations de l'ouïe, de l'odorat et du goût. Elle se croyait ruinée, demandait à chaque instant ce que deviend
mps son malade, à intervalles réguliers. , De ce long chapitre nous croyons cependant pouvoir conclure que, devant une cram
re cet aspect du problème des névrites dites périphériques. Aussi croyons -nous, qu'il ne sera pas inutile de relater le cas
extraordinaire des cy- lindraxes aux agents d'irritation, il faut, croyons -nous, admettre que toutes les névrites sont acc
risés par la néoformation de prolongements nerveux atypiques. Aussi croyons -nous qu'en cas de périném ite ou de névrite inter
sein des îlots scléreux dans la sclérose en plaques. Tout porte à croire que les cylindraxes ne restent pas indifférents à
'un cas dont nous n'avons eu sous les yeux qu'un des épisodes, nous croyons pouvoir affirmer que les lésions interstitielles
conservation des filets sen- sitifs. Sommes-nous en droit de nous croire en présence d'une véritable névrite périphériqu
e, lésion à laquelle sont dues les altérations névritiques ? Nous croyons qu'il n'en est pas ainsi. A notre sens, les phéno
mogastrique ou les cellules de la corne d'Ammon ? En résumé, nous croyons avoir montré que la polynévrite gravidique dans
nderaient des observations nouvelles et une étude approfondie. Nous croyons aussi qu'il y a plusieurs points importants où
ux en septembre 1907 et deux, en janvier 1909. En tout cas, nous ne croyons pas que ces cas de poliomyélite nous per- mette
en général, pris soin de faire des recherches de cette nature. Nous croyons , quant à nous, que celle recherche constitue un m
ENBERG certainement légitime, mais au point de vue pratique nous ne croyons pas qu'elle ait une grande valeur. D'un autre c
pour les cas de poliomyélite aiguë et pour les autres cas, et nous croyons que la comparaison entre ces chiffres confirme
ore. Elle marche assez bien, même pendant 10 kilomètres, si on l'en croit . La malade dit qu'il est apparu en même temps p
l s'agit d'une contraction du transverse de l'abdomen, mais nous ne croyons pas qu'on puisse éliminer avec certitude une co
paralysie de la vessie et il a été cathétérisé une semaine. Le malade croit qu'il n'y a pas eu de parésie du tronc plus pro
; il avait encore mal à la tête et aussi de la fièvre. Un médecin a cru qu'il avait une grippe. Le 1 octobre se sont dé
douleurs de cette nature se rapportent toujours à une névrite. Nous croyons , d'accord avec Wickman, que ces douleurs peuvent
décise (Harbitz et Scheel). Pour ce diagnostic différentiel, nous croyons que les résultats de l'exa- men cytologique du
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 417 l - ple, et nous ne croyons pas que ce diagnostic puisse causer de difficulté
s cas où il a des difficultés pour ce diagnostic différentiel, nous croyons , d'après notre expérience et celle des autres au-
un ou des deux membres supérieurs, il y a de très bonnes raisons de croire que toute la moelle dor- sale, située entre les
les 426 PETRÉN ET EHRENBERG du dos. Quant au pronostic du cas, je crois qu'il faut encore espérer une restauration (com
ur la force conservée dans les muscles du tronc. Par conséquent, je crois que l'examen par cette méthode constitue proba-
ont été développées par les auteurs que nous venons de citer. Nous croyons inutile de les reprendre à nouveau. Il nous suffi
trophie avec l'acromégalie sont encore loin d'être résolus, et nous croyons en conséquence que le lecteur ne trouvera pas s
'il a pour qu'on ne le sépare pas une seuleminutedeson chapelet. Il croit que tout le bien qui lui advient dans sa vie misé
t d'un ami mort, et à ce sujet il reconnaît que personne ne peut le croire , mais il en parle très sé- rieusement comme d'u
de cela avec plaisir mais sans vantardise comme un enfant, et il ne croit pas pour cela être un personnage extraordinaire.
rencontré un homme aussi grand que lui, mais il ne se refuse pas à croire qu'un tel homme existe. En résumé Mario Palaz
ucun symptôme somati- que ; en outre nous avons bien déraisons pour croire qu'il n'a jamais eu de contacts sexuels et même
er admet l'existence d'un pseudo-tabes acromégalique. Cagnetto, qui croit à l'origine endogénique de l'acromégalie, pense q
à une infection syphilitique contractée- dans la jeunesse, nous ne croyons pas cette hypothèse probable. Nous croyons au c
s la jeunesse, nous ne croyons pas cette hypothèse probable. Nous croyons au contraire que tout le syndrome nerveux que nou
ement clinique 468 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI nous porte à croire comme beaucoup plus probable la syphilis hérédita
Ces naevi à topographie radiculo-métamérique sont plus fré- quents, croyons -nous, que les naevi à topographie spino-métamériq
rapport avec le naevus à topographie radiculaire. En résumé nous croyons avoir montré que sous le nom de naevus on étudi
lesinger, tout en admettant deux maladies au point de vue clinique, croit que le type anatomo-pathologique est le même dans
la paralysie pro- gressive. Quant à l'origine de la maladie, nous croyons qu'il faut surtout incriminer le refroidissemen
e autre forme de polyarthrite, à l'arthrite déformante ? Nous ne le croyons pas. La caractéristique de l'ar- thrite déforma
térations osseuses sont la cause de la spondylose rhizomélique. Ils croient que ces lésions os- seuses sont le résultat d'u
me intermé- diaire à celle de Bechterew et à celle de Marie et nous croyons que ces dernières représentent les points extrê
érentes à la lésion spinale dont notre malade est atteint et que je crois utile de rapporter succinc- tement. Subjectiv
ide. Il convient ici de noùs arrêter un instant sur un fait, que je crois en rapport direct avec les déformations osseuse
pparu à la suite de cette cause ; à cause de cette concomitance, je crois pouvoir exclure, dans notre cas, un pro- cessus
bres supérieurs ceux-là ayant probablement celle origine. - Je ne crois pas, non plus, devoir discuter l'association éven
es nombreuses affinités que ces formes présentent entre elles. Je crois utile de rappeler en dernier lieu ce fait : à sav
ssimiler ces malades à des singes anthropomorphes. D'autre part, je crois qu'il me sera facile d'éliminer les autres dis-
ans, et épargnent toujours les membres supérieurs et le crâne. Je crois avoir suffisamment discuté le diagnostic différen
mées parles autres per- sonnes de la famille, de sorte que je ne me crus pas autorisé d'en tenir compte dans l'anamnèse.
ister les altérations de la moelle épinière. C'est pour cela que je crois qu'en l'état actuel des choses, un jugement abs
a trouvé une cyanose très considérable et un pouls arythmique. On le croit mourant, mais, après avoir employé des stimulan
lontaires des mus- cles atteints par la paralysie spasmodique. Nous croyons que cette dernière supposition correspond à la
arésies bulbaires dans ces deux derniers cas de poliomyélite, je ne crois pas, néanmoins, que les paralysies de la respi-
'attaques qu'il regarde comme un symptôme bulbaire, avec raison, je crois . En général, les auteurs n'ont peut-être pas as
essé soudainement quelques heures après la ponction lombaire (Je ne crois pas que la ponction ait exercé d'influeuce spécia
moteurs de la vessie n'ont pas été aussi passagers qu'on semble le croire en général (dans les cas XI et XXIII la cathété
ention de me prononcer sur le pronostic de la maladie qu'on pouvait croire assez étudié. Mais en regardant les résultats o
rd avec l'opinion souvent soutenue pendant ces dernières années, je crois qu'on doit réitérer la ponction lombaire si l'on
e uniciste. Avant de passer aux conclusions de nos recherches, nous croyons utile de nous arrêter un instant à considérer l
lé largement discutée dans de nombreux mémoires récents, et nous ne croyons pas devoir exposer ici à nouveau des faits conn
hommes et des femmes du meilleur monde qui étaient tatoués. Mais je crois à leur petit nombre. Mes observations ont porté
t l'horloge divine où je compte le temps. Nous sommes en hiver : je crois que le printemps Ce soir est revenu. J'ai faim
deux lésions absolument indépen- dantes l'une de l'autre. Nous ne croyons pas devoir insister ici sur les lésions anatomiqu
vail sur un cas de gigantisme précoce avec polysarcie excessive, se croient autorisés de parler d'une obésité hypophysaire et
t qu'entre les deux maladies il y a un rapport causal. Quelques-uns croient à ce propos que le foyer de cicatrice médullair
xpérience des dernières années a apporté des raisons définitives de croire qu'il y a un grand nombre de cas de poliomyélite
rare, ce fait ne peut donner, d'après mon opinion, aucune raison de croire à l'analogie ou même à l'identité des deux maladi
ne poliomyélile) comme des signes d'une poliencéphalite (ce qui, je crois , correspond bien au sens en général donné au mo
ue ces symptômes ne sont pas dus à la polynévrite. Pour ma part, je crois bien qu'une polynévrite très grave peut aussi cau
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 673 anesthésie, et je crois en effet que c'est le cas assez souvent. D'autre
on se rend compte de ces différences entre les deux maladies, je ne crois pas que le diagnostic fasse souvent de difficulté
au bras d'abcès froids, ainsi que d'un abcès à l'anus. Ou pourrait croire que le raccourcissement de l'humérus droit est
ontanéité qui serait indépendante de tout élément matériel. Si l'on croit lui découvrir une activité agissant d'elle-même
n'auraient été créées, si des penseurs nés avant la science n'avaient cru apercevoir des différences de nature dans la sé
isonnablement, nous ne pouvons jamais les défendre parce que nous y croyons les plantes croiraient de même à ce qu'on aurait
ne pouvons jamais les défendre parce que nous y croyons les plantes croiraient de même à ce qu'on aurait dépo- sé dans leur ce
pour effet de restauier les forces de l'organisme qui s'épuise, je crois que ce n'est pas trop s'avancer que de dire qu'au
en plus nombreux entre les règnes organique et inorganique que l'on croyait autrefois séparés par un abîme infranchissable. O
royait autrefois séparés par un abîme infranchissable. On peut donc croire que la matière animée a pris naissance au sein de
ire qne le limon dont il est pétri est de qualité secondaire ? Je crois donc que je suis autorisé à conclure que si l'hom
ure à leur pensée ou, au moins, qu'ils réfléchissent ceux-là qui se croient libres. Tout phénomène scienti- fique est déter
nt à se demander très sin- cèrement : Si, cependant, fout ce que je crois n'était qu'erreur, illusion ou suggestion ; n'e
94 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ambier antérieur, le biceps fémoral n'ont pas paru altérés'. Nous croyons nécessaire de donner quelques détails sur la te
ophie de la partie intramédullaire des racines postérieures. Nous croyons pouvoir chercher l'explication de ce fait dans
ion lombaire, mais quelquefois aussi dans la région cervicale, nous croyons plus plausible d'en chercher la raison dans la
cornes antérieures. En nous basant sur ce qui précède, nous nous croyons autorisé à conclure que l'élongation du nerf sc
cornée postérieure droite B, atrophiée marquée du cordon postérieur croit A. Les éléments nerveux sont remplacés par du t
ce qui cause plusieurs fois de graves erreurs diagnostiques et fait croire à une paraplégie de nature hystérique, quand l'
, malgré cela, ils sont presque guéris de leur trouble visuel. Nous croyons inu- tile de répéter la même chose pour les aut
rvation de Wilson publiée dans le « Médical Times » en 1876. Nous croyons nécessaire de donner ici la traduction du résum
ion dans la marche à des circonstances spéciales, de sorte que nous croyons que le cas de Wilson ne peut pas servir comme d
rmes et apoplectiformes se sont complètement passés, de sorte qu'on croyait le malade comme parfaitement rétabli, la famille
cisive à ce point de vue. Ces guérisons ne peuvent être expliquées, croyons -nous, que par la régénération des nerfs, nous a
on du cylindre de myéline autour des cylindres axiles dénudés. Nous croyons très difficile d'admettre la reproduction de to
guérison de notre malade se démentait plus tard, chose que nous ne croyons pas, nous nous empresserons de le publier. REVU
souvent à son mari que « si on la voyait dans cet état, on pourrait croire qu'elle avait le plus méchant des'époux ». D. B
mais tout aussitôt elle recommence. A de certaines périodes elle se croit obligée de res- ter debout pendant des heures e
nifestait chez notre malade un autre pi ocessus pathologique que je crois être aujourd'hui disparu, mais qui n'en a pas m
qui défilaient, etc. Elle eut même des idées de persécution ; elle crut , à une époque, qu'on voulait l'empoisonner et,
torture d'être enter- rés vivants. Dans ces temps derniers, elle a cru que le monde allait être englouti par un nouvea
éril prochain que le mot seul peut conjurer. M. LEGRAND du SAULLE croit que les phénomènes désignés par M. Magnan sous
endymite du plancher du qua- trième ventricule. - M. BERNHAHDT ne croit pas à la fréquence de la coïncidence de crises
s sens, et passe en revue les causes les plus susceptibles de faire croire aux prétendues facultés pro phétiques des somna
latérales de la moelle (paralysie spinale de Brown-Séquard) scra, croyons -nous, fort goûtée, grâce aux schémas qu'on y renc
u mot. 1 (il¡ r ? ruor,ocm. nerveuse. Ces observations suffisent, croyons -nous, à mettre en saillie ce syndrome bizarre q
oute la hauteur de la moelle dorsale. Quoi qu'il en soit, c'est là, croyons -nous, un procédé qui n'est pas à dédaigner pour
s aussi satisfaisants que la recherche des corps granuleux. Aussi croyons -nous être en droit de récuser, jusqu'à 1 Nous n
auteur comme appartenant à la sclérose latérale amyotrophique, nous croyons et nous partageons en cela l'avis de Kahler 2,
es phénomènes spasmodiques, c'est ce der- nier caractère qui a fait croire à l'auteur qu'il était en présence d'une affect
it doit être relevé, c'est que contrairement à ce que l'on pourrait croire , le début bulbaire n'est nulle- ment l'indice d
elle génération l'abâtardissement est très prononcé et tout porte à croire que la famille s'est éteinte en elle. Sur quatr
l science, 1862, t. VIII, p. 429.) Parents excentriques, que l'on croyait consanguins. Onze enfants. Un frère disparu : o
e l'on croyait consanguins. Onze enfants. Un frère disparu : on l'a cru noyé. Une soeur imbécile est encore vivante. De
ses amis. A peine en a-t-il quelquefois entre- tenu sa mère et nous croyons être les premiers et les seuls confi- dents de
ec une extrême bonne grâce à toutes les explorations que nous avons cru utile de faire. NOCE SUR UN CAS DE GRANDE HYS
temps qui s'est écoulé depuis que la paralysie l'a frappé. Il se croit à Saint-Urbain, veut retourner à la culture, ne s
sse les épaules quand on lui demande s'il a été paralysé, et semble croire qu'on se moque de lui. Il se souvient de Bonnev
t à parler, comme c'est sa coutume quand il est en sommation. Il se croit toujours alors à Saint-Urbain, cause de ses tra
stérique, avec hallucinations de la vue, délire partiel, etc. Il se croit enchaîné au lit par la volonté de Charcot et de
Il s'étonne que ses vêtements ne soient pas au pied de son lit; il croit que l'on vient l de les lui cacher par plaisant
il croit que l'on vient l de les lui cacher par plaisanterie. Il se croit au 26 janvier (jour d'apparition de sa contract
t dans l'état où il était du mois de janvier au mois d'avril. Il se croyait au 17 avril. Il parlait l impersonnellement, co
maladie sont des contre-indications de la tuberculose. Aussi nous croyons avoir été témoins d'un cas très net de congestion
bain. Il avait seize ans et demi; on était au mois d'avril 1879; il croyait , en nous causant, s'adresser à ses compagnons d
a par la suite une série d'accidents comateux et paralytiques qu'on crut devoir rap- porter à une méningo-encéphalite ai
vec leur phénomènes concomitant et consécutif varient plus qu'on ne croit chez un individu donné. Quant à l'état de la pu
e et mette en vigueur des lois nécessaires. Mais, préalablement, il croit utile de convo- quer un congrès de tous les psy
semble quelagrossesseaitdéterminélaguérison, il est plus logique de croire , que ce sont les conditions sociales du bien-êt
our la tenue des gardiens, au volume des trousseaux de clefs; on se croirait plutôt, selon lui, en des établissements pénite
uand; il le j désirait. Faible d'esprit et croyant au sortilège, il crut toujours que ses crises épileptiques lui étaien
y : . ,. i , ? 1\1 : Rm ne peut donner aucune date précise, mais il croit la fracture ancienne... ),,< l , '1 r ? /' ,
fprcer les ma- lades à beaucpup manger ? En ce qui le concerne, il croit p.lulOt devoir rqqll1rnil ! l< ! H une certi
te. Il rappelle encoi;ele,(cas| d'Is,rael (castration apparente) et croit ne .devoir attribuer,au,traitement gynécologiqu
braux pour la vision n'est pas aussi grande que quelques auteurs le croient . En se trouvant en contradiction avec les donné
tions défectueux que d'une méthode d'observation peu rigoureuse. Il croit que les lésions expérimentales du cerveau produ
ins infligés pendant plusieurs siècles à des infortunés que l'on ne croyait pas alors pouvoir considérer comme des malades.
s malades. Une vive opposition se manifesta, et Coulhon, président, crut devoir se transporter le lendemain à Bicêtre. «
pour convaincre ses auditeurs et à la manière dont on l'écoute, il croit avoir cause gagnée, lorsqu'une voix l'interrompt
la question et celle de Morgan et Drcschfeld1. C'est pourquoi je crois nécessaire de l'expliquer un peu. On voit du ta
oupçons », il a formulé une grande vérité, mais son tort a été de croire que ces garçons ou ces filles à développement p
cte des données de la clinique. Est-il donc vrai, ainsi que je le crois , qu'un certain nombre d'incendiaires à mobile f
ni trouble intellectuel, ni perversion instinctive. On aurait pu se croire en présence d'un homme raisonnable, innocent de
tion primaire complète et il avait été longtemps facteur. Mais je crois que ce que beaucoup ont pris chez Berger pour d
ne qui ne sont pas pour cela des imbéciles irresponsables, il avait cru , sans doute à tort, que le notaire de'la commun
s'il s'est trompé en incendiant deux fois sa propre maison qu'il ne croyait plus à lui, c'est bien sciemment qu'il a voulu
lui couper le cou; il est agité, bruyant, agressif. Plus tard il se croit amputé des parties génitales et, dans cette con
a maladie. Cela peut se déduire d'une façon rationnelle, comme nous croyons l'avoir montré, des expériences déjà faites sur
isparition de tous ses enne- mis, qui ne duraient que peu. Car elle croyait toujours les re- connaître dans les deux person
de la thérapeutique et que le pronostic semble devenir funeste, je crois que l'on est autorisé àuser de tous les moyens
ner dans ces cas l'existence d'une intoxication alcoolique, nous ne croyons pas que l'éthy- lisme fût en jeu dans les deux
souvent ne présentent pas de troubles gastriques. Tout porte donc à croire qu'il peut exister un vertige de nature diabéti
ckinson et les con- clusions exagérées et erronées que cet auteur a cru pouvoir tirer de ses recherches au sujet de la
ssis dans les extrémités gauches, et surtout dans le bras. L'auteur croit que l'attaque d'apoplexie a passé inaperçue, ou
l'angoisse précordiale, à laquelle ont succédé ces accès. M. Anjel croit qu'il s'agit d'équivalents psychiques de l'épil
et trente ans que les femmes ont le cerveau le plus lourd. Le poids croit avec la taille. Une étude particulière des cerv
la nature et la cause de leur mal, bizarres sur la pathogénie; ils croient , par exemples, que leur sperme circule avec leu
us les lieux où il se. trouve, les personnes qui l'entourent; il se croit à Bicêtre, salle Cabanis, nu il ; il a vu hier
guerre du Tonkin. Il se rappelle qu'avant d'entrer à Bicêtre où il croit être, il a fait un séjour à Sainte-Anne. Tout son
'application d'un aimant sur l'avant-bras droit. Ici le malade se croit transporté à Saint-Georges (asile de Bourg) en
ne sait rien des personnages et des évé- nements de l'époque où il croit se trouver. La prononciation est nette, mais le
tre, salle Cabanis ». V... obéit; au sortir du somnambulisme, il se croit à Bicêtre, au 2 janvier 1884. L'intelligence,
a déconsidération sur les méthodes et les éludes envisagées ici; il croit que les maladies de la volonté ne sont assujett
ntant aucune altération de la moelle épinière. M. Tuczek tendrait à croire qu'il y aurait lieu de formuler le diagnostic d
95 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eau des cauchemars. Le voisinage d'une paralytique générale lui fit croire qu'elle allait devenir folle. Il lui semblait l
l'ennui de trouver sa fille malade, la vue de cette enfant qu'elle croit morte,.le retour de son mari blessé, etc. A ce
dit-elle, n'écoute pas ses détracteurs. Toujours aux écoutes, elle croit que les clients qui entrent dans le magasin par
e écurie, elle en- tend un cocher lui dire ; « Vieille grue. » Elle croit , dès lors, s'aper- cevoir que son mari entretie
és de son maître, pour surveiller les piqueurs; mais Augustine n'en croit rien. Elle vaaussi dans uncafe dont il est l'ha-
naissent bien. « Récemment, raconte-t-elle, une pauvre malade, qui croit être 111 ? de Freycinet, s'avançait sur moi en co
une sorte de rêvasserie particulière à laquelle cependant le malade croit comme à une réalité. L'humeur varie, mais l'ens
des lésions viscérales. Quant aux tissus sous-cutanés, l'auteur ne croit pas à leur sensibi- lité, ce qui permet de fair
lté de la question réside dans le nombre colossal des bouilleurs de cru qui, ayant le privilège de pouvoir distiller le
re de la guerre de Berlin et y avoir fait du scandale. Il finit par croire qu'il est contreminé dans ses projets par des enn
temps latent, le poison agit' de nouveau. Il est nécessaire, je le crois , de faire cette hypothèse, car toute lésion pro
RAPHIE MÉDICALE. Le doyen des aliénistes français est actuellement, croyons -nous, M. le Dr Calmeil, notre vénéré maître, an
heureux de voir se perfectionner les instruments d'op- tique, qu'il croyait appelés à rendre de grands services à la. science
'asile d'incurables et qui ont reçu des dénominations permettant de croire que leur séjour convient à des curables et que
là ne se voient qu'en Serbie. On finira cependant, nous aimons à le croire , par leur construire une habitation dans l'asil
la facilité des admissions et avec notre ami le D'' Napias, nous croyons que la substitution du mot hôpital aurait non seu
Allevard et Aix. On me dit alors que j'étais anémique, ce que je ne crus pas, tant je me sentais vigoureux et surtout bo
après, je sentais les premiers symptômes de paresse des jambes. Je crus à du rhumatisme, et cela se passa. En mars 1885
ures à neuf heures par nuit, j'ai unhon appétit et très soutenu. Je crois que ma diges- tion se fait assez bien, surtout
ne émotion minime, le même phénomène à l'état d'ébauche. Enfin à en croire le malade, cette prédisposition spéciale à la f
rattacher ce symp- tôme à la neurasthénie ? Nous serions porté à le croire , étant donné ses rapports de coïncidence avec d
témoignent nettement de la défiance du sujet et du mal auquel il se croit en butte, en un mot du délire d'inquisition (l3
tiologiques, névrites périphériques, embolies, artérites, etc. ; il croit à une auto-intoxication. A. Marie. IV. RETOUR D
la percus- sion de l'épine dorsale et la forme de la paralysie, se croit autorisé à considérer son cas comme une pachymé
la bouche et par le nez des voix dont la netteté était telle qu'il croyait , par instants, avoir proféré des injures. Les v
e ordinairement dans le foie et dans les reins ; ce qui per- met de croire à des troubles profonds de la nutrition et de ! '
paralysie générale, et aussi l'hypotoxicité dé l'urine; mais il ne croit pas à l'efficacité de la saignée, comme moyen c
rines hypotoxiques pendant l'état de mal et hypertoxiques après. Il croit , à une intoxication du sang. Ce qui confirmerait
r- wirrtheit- amentia délire hallucinatoire de Mendel) ? M. Jolly croit que dans les phénomènes aigus, il y en a une form
prétendent devoir l'enlever du groupe de la paranoïa, tandis que je crois , conformément aux arguments de Jolly, qu'il s'a
dire : Je ne suis pas fou, a-t-il répondu tranquil- lement et je ne crois pas avoir jamais fait le fou. » A la seule ques
Soc. Biol., juin 1891. 168 PATHOLOGIE NERVEUSE. Enfin, ne peut-on croire dans certains cas à l'intervention de microorga
es psychiques les plus graves de la dégénérescence héréditaire ; il croit que chez presque tous les dégénérés il existe à
tion a été volontaire, comme dans le suicide par pendaison, il ne croit pas que l'amnésie ait été signalée ». C'est pour
ances, il opposa les dénéga- tions les plus absolues, se refusant à croire aux détails qu'on lui donnait de l'accident, al
qu'à prendre Dieu à témoin de sa sincérité. Finalement, j'arrivai à croire qu'il disait vrai et qu'il avait en effet perdu l
ubmersion diffère donc à ce sujet de la pendaison, car s'il faut en croire l'ar- ticle publié dans la Revue scientifique s
dans la submersion. Quant à la pathogénie de l'amnésie, M. Régis croit que les diver- ses opinions émises par les aute
se. 214 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Cette malade qu'on aurait pu croire atteinte de paralysie générale au début, a radi
cins, sont souvent mal compris par les magistrats qui ont cependant cru nécessaire de leur demander un avis. M. Garnier
n se sait et se déclare incompétente, tandis que la magistrature se croit et se déclare compétente. Là est le grand écuei
voudra, mais qu'on les mette quelque part. M. MARANDON DE Montyel croit que le meilleur moyen de calmer l'animosité de
rait coupable d'une séquestration arbitraire, que, pour ma part, je crois impossible serait responsable devant son minist
opinion publique. On sait combien elle est facile à émouvoir. Je ne crois pas que l'autorité morale de la magistrature ai
rès des aliénés qui, par définition, ne peuvent presque tous que se croire victimes de séquestration arbi- traire. M. A.
le, nécessaire au combat pour l'existence. Discussion. M. Dittuar croit qu'il est, au point de vue pratique, très diffi
francs par an dans le but de protéger l'industrie des bouilleurs de crus suisses. La quantité minima d'alcool vendue par
du monopole a été la suppression d'un grand nombre de bouilleurs de cru qui étaient les facteurs les plus actifs de l'i
venant du pari mutuel eu faveur des oeuvres de bienfaisance n'a pas cru devoir accueillir favorablement ladite demande
épartir les fonds dont il s'agit a examiné cette demande et n'a pas cru devoir l'accueillir favorablement. asiles d'ali
accès comitiaux débutent parfois plus tôt qu'on ne le pense et nous croyons que dans bon nombre de cas, les convulsions ess
16, elle s'aperçut que la jambe droite était parétique aussi. Elle croit que la sensibilité était intacte. Au bout d'envir
a température. Aucun autre trouble morbide. Si au début on avait pu croire à une altération cérébelleuse, aujourd'hui il e
. Rien ne permet de conclure à l'existence d'un abcès, tout porte à croire qu'une tumeur est sous roche. La papille étrang
bcès. Le malade guérit complètement et sans réci- ' dive. L'orateur croit que l'hyperostose crânienne, en diminuantla ''
Elle n'avait auparavant rien fait, ni rien manifesté, qui pût faire croire à une tentative de suicide ou de, mutilation. C
qu'en buvant. Dimanche dernier, dans un accès de délire, Raulier crut qu'il avait perdu la vie et alla s'étendre au f
iner le pronostic et la thérapeutique des idées fixes il faudra, je crois , préciser davan- tage. Sans chercher à classer
un exemple, car les cas d'hémianopsie nasale sont rares; mais je ne crois pas qu'une hémianopsie nasale donne au malade,
l, s'agit donc d'un fait, assez, bizarre, et ^encore peu-décrit, je crois ? d'une hémi-dz)olopte mono ' cula'i'îe7li ^ 3M
te du-champ visuel de 1'oe'il) gauche,ne sommes-nous pas disposés à croire quefcette hémia-I. nopsie est de même nature, e
ce temps produit le bruit du soufflet entre les dénis serrées. On croit qu'ils vont enfin parler ! puis ils font un mouve
tatiques tandis qu'ici on se sert surtout des courants continus. Je crois cependant par ce que j'ai vu autrefois pendant
ccompagnée chez cette malade d'aucune manifestation choréique et-je crois qu'il y a lieu de citer ce cas à l'appui de la
tismale dans l'acception rigoureuse du mot. » . On ne doit pas, je crois , considérer, avec* Roger la chorée comme une si
ée à des hydro- pisies ventriculaires. Au point de vu-- clinique je crois qu'on peut faire le diagnostic de l'étiologie.
de l'hôpital Saint- Louis entendit heurter la porte violemment. II crut à quelque mauvaise plaisanterie et n'y prit gar
présence d'un fou ; mais, étant donnée cette constatation, peut-on croire entièrement la déposition de Laborie ? Des dépê
lissement est bon ou mauvais. Il y aurait donc un grand intérêt, je crois , à établir ' Bourneville. Rapport sur la constr
bâtiments qu'ils creusent d'un grand trou. Il serait difficile, je crois , de trouver une disposition rappelant davantage
nsable de laisser aux malades la vue de la campagne. Cer- tains ont cru trouver la solution de ces difficultés dans une
défectueuses. L'escalier sera en bois, chêne ciré, ou en pierre, je crois que dans le choix de l'un ou de l'autre, il con
plus d'inconvénient à en mettre dans l'intérieur même. Néanmoins je crois un dor- toir unique beaucoup plus facile à surv
s imitations de quatre sous, d'un long usage et très jolies, que je crois utile d'insister comme je le fais. Quand on met
ne table de nuit pour aliéné est plus difficile à résoudre qu'on ne croit . Je me suis arrêté à la suivante que je me gard
t mérité, qui est cause des nombreuses défectuosités que nous avons cru de notre devoir de signaler afin qu'on les évit
angue et si on ne connaissait pas la toxicité urinaire, on pourrait croire que tout est terminé, mais il n'en est rien; en
vagants. C'est ainsi qu'il veut voler dans l'espace, et qu'il se croit souvent en état d'accomplir des travaux gigantesq
Ces malades sont entreprenants, optimistes au suprême degré, et se croient capables d'accom- plir les plus grands travaux,
nt beau- coup. Ils ont des idées de grandeur et de richesse. Ils se croient être Dieu, Jésus, Mahomet, etc. Dans d'autres c
ent son délire. Ces faits ne sont pas aussi rares qu'on pourrait le croire . Là aussi l'hérédité et la prédisposition jouen
, l'estomac, la respiration ou le système nerveux cen- tral. M. Ram croit pouvoir établir que la scopolanine agit bien dans
d'obtenir un mouvement même après une minute d'électrisation. Je crois intéressant de rapprocher de cette publication un
ongueur de l'étincelle, on voit que l'in- tensité de la contraction croit beaucoup plus vite que la longueur de l'étincel
asthénopie ; 110 L'auteur estime qu'on aurait grand tort de laisser croire aux médecins, et, par leur intermédiaire, aux g
ispensable de lire en entier ce long travail. II sou- lèvera, je le crois bien, de violentes critiques, d'autant plus qu'il
les goûters de babas secs et ses verres de bière au gingembre. Nous croyons que beaucoup doivent avoir souvenir de sa bonté
l y a ajouté un Index-Medicus de valeur grande et durable. Ses amis croyaient que les mains du Dr Tuke étaient rassasiées qua
fait remarquer que près de la moitié provenait de l'Etranger. Aussi croyons -nous devoir faire un nouvel appel aux médecins
s préparatoires, dont l'envoi va très prochainement commencer. Nous croyons pouvoir dès main- tenant annoncer que les Compa
96 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Charcot, après examen attentif, ne peut être mis en doute ? Nous croyons avoir établi que les observations pré- citées o
ormation peut-elle disparaître complète- ment ? Il y a tout lieu de croire que, dans certains cas au moins, ce mode de ter
lle éprouve dans les genoux une sensation particulière qui lui fait croire que les membres sont agités de secousses alors
nte ? - R. C'est un mensonge, personne ne m'a rien réclamé; je dois croire que per- sonne n'a besoin de moi. D. Cependan
s, l'amour ne fait pas d'enfants; ça fait coucher ensemble, mais je crois que ça se fait par l'opération du Saint-Esprit,
c'est que cela. - R. (Très vite.) C'est les pyramides d'Egypte, je crois C'est des palmiers peut-être. Je ne sais pas On
'est une note de musique qui invite les gens à se lever et à ne pas croire quand ils ne sont plus. D. Prenez-la donc. - R.
il y serait mort tranquillement, si les juges de Tarascon n'avaient cru de leur devoir d'interroger encore une fois le
ais A. Paré a bien soin de spécifier que la femme était morte on le croyait tout au moins d'une 1( suffocation de matrice »
le feu aux parties les plus sensibles; elle ne s'éveilla pas. On la crut morte et on l'aban- donna; le lendemain on la t
au point de vue clinique de I ces diverses appellations, mais nous croyons qu'il serait oiseux aujourd'hui de s'attarder à
davérique, et, bien que les traits soient sans expression, on ne se croirait pas en présence d'une femme qui, depuis quatre an
nheilk., 1886.) Un monsieur parfaitement bien portant à tous égards croit en sortant dans la rue, à la suite d'une tensio
hez d'autres elles se traduisent par des impulsions. M. Ballet ne croit pas qu'un trouble sensoriel puisse de toute piè
s, ajoute M. Bail. Pour être un véritable halluciné, il faut encore croire en ses hallucinations. M. Ballet ne pense pas
clusivement à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 131 moelle lombaire, l'auteur croit que l'inflammation s'est propagée des articulat
phiques d'après lesquelles la pression et la tension artérielle dé- croit dans le bain, la fréquence du pouls augmentant. S
re ; 142 SÉNAT. si on ne les détermine pas dans la loi, on pourra croire qu'il ne pourra pas remplir ces fonctions-là. I
roit ; il en sera, en réalité, la che- ville ouvrière. C'est là, je crois , une innovation extrêmement utile, et je suis c
igatoire, et sur la réquisition de la famille ou des intéressés. Je crois en effet que telle est la véritable situation, da
te un aliéné aussi bien que dans les établissements de santé. Je ne crois pas que la commission veuille pousser l'assimil
nt être pressantes. La pensée de la commission est respectée, et je crois que M. Paris accepterait cette rédaction, si l'
nspection générale, il faudra créer cinq postes d'inspecteurs. Nous croyons , avec la commission sénatoriale, que la visite fa
outes les questions qui se rattachent à la liberté individuelle, Je crois avoir répondu aux objections de l'honorable M.
1 M. de Gavardie. En tout cas. si vous admettiez le principe, je crois qu'il faudrait s'arrêter aux deux premiers paragr
4 ? 111, de Gavardie. Seulement, pour la question de principe, je crois que c'est un rouage absolument inutile ! 1 111.
nement. Comment ! le Gouvernement accepterait, - car je ne puis pas croire qu'il l'ac- cepte définitivement encore, - le G
la commission l'a modifié et que le Gouvernement l'a accepté, je crois que vous rendrez service au Ministre de l'intérie
la nouvelle LOI sur les aliénés. En reproduisant ces débats, nous croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'
quoiqu'elle pût être constatée sans aucune peine, si, n'ayant pas cru au malade, je m'étais contenté au moins d'une é
otrice fonctionnelle. Dans une obser- vation, toutefois, nous avons cru devoir ranger la malade dans la catégorie que n
ion et la marche sont complètement impossibles, il serait permis de croire à une paraplégie hystérique, et cela d'autant m
souvent aussi l'occasion du développe- ment de l'affection porte à croire à une paralysie psychique. Or, on sait que la p
rche, leur apparence choréiforme pourrait donner le change et faire croire peut-être qu'il s'agit là de la chorée, non de
ont été signalées par Jlforselli, Ebstein, Riehl, Mickle; nous nous croyons donc autorisé à réunir notre deuxième observati
RSIVE' ; Par BOURNEVILLE et P. BRICON V. Automatisme Nous avons cru intéressant de rapprocher de Vépilep- sie procu
s d'automatisme si fréquemment observés chez les épileptiques. Nous croyons toutefois utile de le rapporter entièrement, la
ues cas d'épilepsie accompagnés de phénomènes mo- teurs que nous ne croyons pas utile de rapporter ici; nous y renvoyons le
sion, et sans délire de grandeur bien caractérisé ils en arrivent à croire que le monde est particulièrement inté- ressé a
mais souvent une sorte d'extase ou de l'indifférence vide. l3rosius croit que déjà on peut distinguer trois formes de Ca-
. La première fois qu'elle fut prise de cet etonnaut sommeil, on la crut morte ; comme elle était infiniment pieuse, son
ondie. Toutefois nous pu- blions ces documents in extenso, car nous croyons que ce sont les premiers de cet ordre qui aient
conscience tant morale que physique de ces excitations; nous ne le croyons pas. Il est incontestable qu'il a été publié un
Achard nous dit (p. 92) : « Il est toutefois une remarque que nous croyons devoir faire à l'égard de ce phénomène du trans
sser dans le lit. Pen- dant vingt-huit heures, aucun changement; on croyait déjà sfn- tir un peu l'odeur de la putréfaction
ée qu'auparavant ; au contraire, quel fut mon étonnement lorsque je crus apercevoir un faible mouvement de respiration je
noté dans cette seule ob- servation. Passons, du reste, car nous croyons qu'il existe de bien meilleurs signes en dehors
ller plus loin, ce serait énumérer tous les signes de la mort. Nous croyons avoir assez fait pour l'étude symptomatologique
'elle amène, suffit parfois pour faire cesser le sommeil, nous nous croirons toujours autorisé à rechercher l'existence de.c
psychiques, etc...,) par la suggestion à l'état de veille. L'auteur croit , avec Grasset, qu'on peut employer sans aucun i
n tardive. Ce sont bien des stigmates physiques et même, si l'on en croit MM. Saury et Legrain, plus particuliers aux éta
oit que la question est beaucoup plus embrouillée qu'on pourrait le croire d'après les communica- tions des partisans du d
que certaines parties du lobe occipital, abso- lument indemnes, je crois à une embolie ou à une thrombose de la sylvienn
ur. M. le président vient d'en donner lecture. M. DE Gavardie. Vous croyez qu'on entend toujours ? (Rires.) Je 1 Voy. Arch
and il y a lieu. AI. le Président. Mais, monsieur le Rapporteur, je crois que vous êtes dans l'erreur ! Je vois que dans
ai vus enchaînés, dans des cabanons, en 1848. M. DE Gavardie. Je croyais que vous les aviez vus enchaînés au treizième s
les établissements destinés aux idiots et aux aliénés. Le fondateur crut pouvoir créer un refuge où ces malades seraient
uérison de notre malade se démentait plus tard, chose « que nous ne croyons pas, nous nous empresserons de le publier. » «J
ileté, une telle force de volonté que vraiment il est impossible de croire à sa réalité. Et dans quel intérêt Pur... aurai
conviction et légitimer notre manière de voir ; néan- moins nous ne croyons pas devoir passer sous silence les observations
de n'a eu qu'un enfant, qui est mort de méningite à trois ans. F... croit avoir pris froid la veille du jour où elle a été
il y a onze jours; le malade s'en est aperçu le matin au réveil; il croit devoir rapporter l'hémi- plégie à un refroidiss
int depuis trois semaines d'une paralysie faciale gauche; le malade croit pouvoir l'attribuer au froid. Les renseignement
e nous l'avons déjà dit, sont loin d'être aussi rares qu'on l'avait cru jusqu'à présent. Chez les deux malades des Obse
it jours, le malade a été pris d'une paralysie faciale gauche qu'il croit devoir rapporter au froid, se trouvant exposé à
mes, 23 ; hommes, 18. Est-ce là une simple coïncidence ? Nous ne le croyons pas, et, sans vouloir être trop affirmatif, nou
en plaques, ils restent stationnaires dans l'athétose double. Nous croyons même que chez des sujets jeunes et soumis à des
ère. Comme ces aliénées pourraient être transférées en province, il croit utile de ne pas différer cette partie de la discu
s sur certaines particularités de la vie antérieure des malades, je crois plutôt à ceux qui m'ont été donnés de différents
11. Falret. Du délire chronique (suite de la discussion). M. CoTAm croit à l'existence d'un faux' délire des grandeurs q
rès dillérents; c'est bien aussi mon avis et c'est pour cela que je crois devoir désigner ce groupe bien limité de malades
ils lui font subir mille tortures. » Notre cher président semble croire que ce délire ambitieux 470 O SOCIÉTÉS SAVANTES
Lorsque MM. Garnier el Briand ont ouvert cette description, j'avais cru comprendre que la forme nosologique dési- gnée
après la doctrine de M. Magnan; j'ai alors répondu et je persiste à croire qu'il existe un certain nombre de persécutés qu
de l'éminence thénar et du premier interosseux, mais il ne faut pas croire que chez ces ou- vriers ce soit la main gauche
ent des vésicules. M. SANDER. Le cas de M. Richter ne permet pas de croire à l'adhérence, à la soudure de deux moitiés.
cle 16 du Gouvernement. La commission l'avait adopté et n'avait pas cru nécessaire de le modifier sur ce point. Mais il
s l'avions pris dans le texte du Gouvernement, et nous n'avions pas cru qu'il pût prêter à l'équivoque ; il nous avait
la nouvelle LOI sur LES aliénés. En reproduisant ces débats, nous croyons être agréable à tous les médecins des asiles d'
97 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tie de notre tâche clinique. Voyons donc comment M. Van Gehuchten croyait devoir classer les paraplégies par compression
e destruction primitif et de dégéné- ration secondaire. Nous nous croyons donc fondés à répéter que la paraplé- gie spasm
fluence salutaire de la suspension sur la marche du tabes dorsalis, croit à l'action suggestive de la suspension ; il cite
cardinaux de l'alcoolisme dont nous avons d'ail- leurs l'aveu, nous croyons qu'il s'agit d'un vulgaire éthylique profondéme
ée et sous dictée. Bien qu'il n'y ait pas eu d'au- topsie, l'auteur croit pouvoir rattacher cette cécité verbale à une lé
e tuberculeuse : quant à l'exagération des réflexes patellaires, il croit qu'elle peut être mise sur le compte de l'affai-
immé- diate, c'est-à-dire une sorte d'illusion négative. L'auteur croit pouvoir conclure que l'anesthésie hystérique est
récédés de troubles de la salivation et de la gus- tation. L'auteur croit à une paralysie rhumatismale ou a frigore, dont
fonde avec seulement une déviation latérale gauche de la langue. On crut à de l'hystérie, mais sous les douches se produ
fils ou son frère, les cris d'un malade voisin pour ceux d'un chat, croit dans les pas des gens qui passent devant sa cellu
et des réflexes, indépendants de la maladie actuelle, permettent de croire que la moelle était déjà affectée. M. Mourawiew
e, notamment quand celui-ci a été intense et prolongé. M. Bechterew croit qu'ils'agit d'un état épileptique, enté sur une
vons-nous pas perdu de vue les cas de transition ? Tout le monde se croit apte à juger un caractère, et proclame l'égalité
rhumatisme chroni- que déformant qui a une tout autre allure. Je crois plutôt qu'il s'agit d'une affection ostéo-articul
de semblait revenu totalement à son état normal le surlendemain. On croyait à une simple hémi- plégie passagère par autoint
que pour en obtenir la guérison rapide. Les faits de ce genre sont, croyons -nous, assez peu connus. M. Pitres, qui s'en est
de 40°. Après quelques séances le malade se sentait mieux et nous croyons bien arriver à un résultat favorable. Malheureuse
ééducation que nous lui avons appliquée d'après notre méthode, nous croyons que même l'amélioration des troubles visuels ch
nous n'avons jamais eu à noter le moindre accident. Néanmoins, nous croyons que la suspension au moyen du plan incliné ains
-Une veuve de plus de soixante-dix ans, indemne d'hérédité, a été 3 Crois grosse, et, à chaque grossesse, elle a été affe
n architecture s'est établie d'arrière en avant. La sphère visuelle croit en importance depuis 153 REVUE D'ANATOMIE ET DE
les mouvements de latéralité vers la gauche des deux yeux. On avait cru à une lésion en foyer siégeant dans la région d
hilitique intense et prolongé, mercure et iode pendant des mois. Je crois donc que c'est la maladie et non le terrain qui
compte rendu, l'liypochloruration n'eut pas eu raison d'être.) Je crois être, le premier à avoir fait faire sur ce dernie
le passé. Laparamnésie consiste en une erreur de cette mémoire; on croit '170 ' bibliographie. reconnaître ce qu'on vo
troisième sorte de mémoire n'amènent aucune conclusion. Cela tient, croyons -nous, à ce qu'on ne tient pas compte du tempéra
nt la comédie, buvant et mangeant très bien la nuit, lorsqu'elle se croit seule, et regagnant à la hâte son cabinet lorsqu'
té sur laquelle nous avions nous-mêmes antérieurement insisté, nous croyons que la part prépondérante revient à l'émotion.
'idée à l'émotion. Mais nous n'insistons pas sur ces faits, et nous croyons que les recherches expérimentales, très intéres
les céré- braux ou spinaux. J'ai des palpitations cardiaques. Je ne crois pas que ces palpitations aient pour cause premi
immédiatement, mais postérieurement, la phobie est réveillée. Je crois donc que l'éreuthophobie, maladie intellectuelle,
ables. Entre neuf et dix ans, je reçus l'initiation onanique. Je ne crois m'ètre adonné à ces pratiques ni plus ni moins qu
ances, n'ont pas amené d'amélioration notable et persistante.- Je crois que s'il y a un remède, il est hors de nous, dans
le froissement de mon journal. Il me dit : Je vois trouble, mais je crois que vous avez à la main gauche un porte-plume.
uis resta paralysé de la langue, sans pouvoir respirer, environ, je crois , une minute. La tête tomba sur l'épaule droite,
tion complète de toutes les manifestations de la grande névrose. Je crois , dans ces conditions, faire oeuvre utile par l'
guéris, etc.. Certaines cures sont certaines. Mais la folie est de croire qu'elles sont l'oeuvre d'un pouvoir surnaturel
, des frissons, etc. La ma- 232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lade croit qu'elle va mourir Un tremblement à petites oscill
seulement chez les mas- ses populaires mystiques et religieuses qui croient au mauvais oeil à l'ensorcellement, à la posses
islawski, Vaschide et Marchand) fournissent de nouvelles raisons de croire que le travail cérébral détermine direc- tement
doute, mais passager. La nature de l'obsession sera mieux comprise, croyons -nous, si, au lieu de considérer un symptôme iso
a ne durait pas longtemps, seulement quelques heures, et dès que je croyais avoir trouvé un nouveau. remède à ma maladie, j
année mon état ne fit que s'aggraver). Dans mes moments heureux je croyais jusqu'à la certitude que j'étais atteint d'une
uelquefois. Comme je ne res- sentais plus du tout ma maladie, je me croyais guéri et je songeais qu'une société plus jeune
up de notre voyage projeté, d'excursions pendant les fêtes, etc. On croyait me faire grand plaisir, mais c'était pour moi u
s, une rougeole très bénigne, et à dix ans la jaunisse; de même, je crois avoir eu le choléra en 1832, cependant tout se
mal si profon- dément enraciné, je ne vois pas d'autre moyen et je crois ce moyen excellent pour amener la guérison. San
e, le préjudice redoutable de la misanthropie. Sans le regard, je crois que le voisinage des hommes ne me serait pas auss
chez lui. A... a peur de se faire du mal, au moindre malaise il se croit perdu. Il aime la société, ne recherche la soli
vis, et s'il est réprimandé, ses larmes et ses paroles humbles font croire à la sincérité du repen- tir. C'est le type du
oyant le succès que ses camarades avaient remporté, il voulut faire croire , au moins un moment, qu'il était capable lui au
c'est lui-même qui a essayé de le mettre dans le bassin, pour faire croire à un sauvetage. Pourquoi ? Toujours même mutism
et nettement colorées par le carmin. Aussi n'y a-t-il pas lieu de croire qu'il s'agisse d'une dégénérescence wallérienne :
ù il y avait de l'incontinence - d'urine, mais il n'y a pas lieu de croire que d'insignifiantes alté- rations scléreuses d
ointe de la pyramide, est rela- tivement plus souvent lésé. On peut croire à une lésion des deux nerfs au moment où ils pé
deux attaques congestives accompagnées d'arythémie cardiaque. Il se croyait faussement atteint d'une maladie de coeur. '
us fréquent chez les aliénés que chez les autres personnes, mais il croit que le der- mographisme est d'origine toxique.
i dans mon service une intermittente qui, à chacun de ses accès, se croit enceinte et prétend accouclier toutes les nuits.
toutes les nuits. SOCIÉTÉS SAVANTES. 33 Une aulre de mes malades croyait accoucher chaque fois qu'elle allait à la garde
galomaniaque de leur maladie. Une de mes malades très mélagomane se croit enceinte de Dieu et prête à accoucher du Christ
à la morphine, déterminant toujours la même sensation, peut laisser croire au morphinomane que la dose de morphine ne chan
morphinomane que la dose de morphine ne change pas. M. Arnaud ne croit pas qu'il y ait intérêt à faire durer longtemps
sous forme de gémissements, soupirs, etc. Discussion. V. Iakovenro croit qu'il s'agit plutôt d'un mou- vement obsédant r
mes pendant deux aus et demi et l'abscence de papille étranglée, on croit pouvoir exclure l'hypothèse d'une tumeur. D'autre
ent chez l'homme sain; est-il augmenté dans les accès ? Krainsky le croirait , d'après plusieurs observations, mais il fait e
la paralysie faciale, mais le cas que je vais rapporter, mérite je crois d'être publié. Il s'agit d'un malade qui a souf
les, afin de ne pas commettre de grosses erreurs. Enfin, nous avons cru devoir le publier, car c'est un cas original de
esthésie de l'éminence thénar et du pouce (obs. Windscheid) il faut croire le nerf médian également atteint. Le pronostic
rent modérément augmentés, la sensibilité demeura intacte. M. GAUpp croit que la sclérose s'est d'abord attaquée au cervele
rimanda le bambin qui partit en disant : « Puisqu'on ne veut pas me croire , je m'en vais et je ne suis pas près de revenir
é. Leurs formes sont très variées aussi ; très souvent le malade se croit injustement soupçonné ou accusé, et de là peut
noun ir celles- ci, en poussant toutefois des cris de détresse. On crut répondre à leurs plaintes en leur permettant l'
e avec son 416 G REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. père, et qui, ensuite, crut avoir été possédée pendant la nuit et inconscie
gard pour ceux-ci. J'ai d'ailleurs, pour mon compte, des raisons de croire que ce mouvement si menaçant de la criminalité
e douleurs et l'absence de raideurs des membres ou de la nuque. Ils croient aussi assez important, pour le diagnostic, dans
e jeu paraît avoir été inventé par un masochiste; ce qui le donne à croire , par analogie, c'est qu'il y avait aussi un jeu
a contrée viennent depuis lors en pèlerinage à Nemet-Saroslak ; ils croient à une intervention divine. Voilà un nouveau Lourd
méiologie de l'hémianopsie. Avant de vous présenter nos malades, je crois utile, en manière de préambule, d'insister sur
tard les explications qu'on a données de ce fait. Incidemment, je crois devoir vous prémunir contre une cause d'erreur,
us en détail sur cette question de localisation. Pour l'instant, je crois devoir me borner à ce que je viens de vous en'd
forts considérables ; de plus, il se trompe facile- ment. Ainsi, il croira reconnaître son nom dans un autre qui est compo
n fin de compte, je formule ainsi le diagnostic anato- mique que je crois devoir porter chez notre troisième malade : foy
contestable. Aussi bien, pour vous dire le fond de ma pensée, je ne crois pas qu'il y ait lieu d'attribuer une bien grand
sa conscience, qu'elle constate et qu'elle ne comprend pas, elle se croit sous la domination d'une puissance étrangère indé
elle-même. .Maintenant elle se dit parfois : « Que je suis bête de croire cela, ce sont des superstitions : j'ai tort d'i
te aussitôt à son esprit, au sujet d'un souvenir déterminé. L... se croit coupable, elle demande pardon des idées qui sur
nsées, qu'elle le . refuse à d'autres. Cette constatation l'amène à croire que les pen- sées qui sont conformes à sa maniè
des personnes qui causent. en lui-même. · ' 1 Remarquons que L... croit à l'existence réelle des voix qu'elle entend en
ouvons rien dire, nous pou- vons reconstituer et saisir, osons-nous croire et penser, le mécanisme et la genèse même de ce
ervations I, III, IV, V. Dans l'observation II, tout nous permet de croire que la femme a été prise la première. Le mari
je puis également regarder en face... » ' ' .. , M. Bechterew ne croit pas que cette phobie tienne exclusivement à la
t en effet attention, en général, qu'à ce qu'on connait déjà, et on croit tout savoir quand on a classé un certain nombre
98 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et personnels présentés par la malade, je ne serais pas éloigné de croire qu'il s'agit d'un gros tubercule solitaire, mai
nne, en s'appuyant sur ces constatations anatorno-pathologiques, se croient autorisés à admettre l'envahissement de toute l
prière de lui pardonner quelque chose et encore dans cela qu'il se croit être un saint, etc. Si il a des hallucinations,
être provoquée artificiellement dans un état hypnotique, et, nous croyons que sa pathogénie n'est pas toujours la même.
le ? De recherches en train, par la méthode de Marchi, M. Pawlow se croit en droit de supposer, jusqu'à nouvel ordre, qu'
trophie musculaire et son état pour ainsi dire sta-' tionnaire font croire à l'auteur qu'il s'agit d'une syringomyélie au
mes et le début en apparence articu- laire de l'affection, l'auteur croit qu'il faut la ranger dans laclasse des myopathi
isolés que pendant vingt-quatre heures et 32 pendant une nuit. Je crois , mon cher. collègue, qu'une petite note rectifica
la rectification si juste- ment méritée de l'asile de Meerenberg. Croyez , mon cher Collègue, en mes sentiments les plus dé
pilepsie, sur quelles bases repose mon in- terprétation qui est, je crois , appelée à éclairer beaucoup de points encore o
yam- ment chez la femme à chaque époque menstruelle. Tout porte à croire alors que la ménopause devra généra- lement occ
bien lui aussi succombé à la méningo-encéphalite. Ce confrère ne croit pas à la syphilis des conjoints, n'ayant jamais
trouvons le signe d'Argyll Robertson dont l'ori- 'gine, si nous en croyons l'opinion récemment soutenue par des neurologis
de Grasset ayant pour titre : l'Hypnotisme et la Suggestion 2, nous croyons utile de rappeler que l'hystérie est un état ps
u lobe préfrontal. - Sur ce terrain des hypothèses nous préférons croire que le centre psychique est un, et que les dive
ssi, avant la période scientifique, des personnes instruites ont pu croire qu'un fluide passait de l'hypnotiseur à l'hypno
si autrefois, conformément à l'enseignement de la Salpêtrière il a cru que les phénomènes somatiques pouvaient ne pas
pouvoir disparaître totale- ment par persuasion. En résumé, nous croyons avoir montré que la conception de REVUE DE PATH
sion d'un ange. Elle paraît attribuer moins de réalité à ce qu'elle croit avoir vu qu'à ses hallucinations de l'ouïe. Sen
t démontré que c'est sur l'audition des voix qu'elle se basait pour croire à l'intégrité de l'ouïe à droite. La conclusion
temps' que d'autres hallucinations, ont été décrites, l'auteur les croit rares, bien que Dagonet ait peut-être raison de
accident et pendant les dix années qui ont suivi, la malade put se croire guérie. Le début de la crise qui l'amène à l'hô
roubles de la sensibilité, qui a évolué lentement dès l'enfance. On croirait à l'ataxie héréditaire de Friedreich, mais il n
dont on use sont insuffisants. A commencer par le tabes, l'auteur croit que l'on ne doit pas invoquer uniquement l'étio
s aucune des lésions classiques de la paralysie générale. M. Vallon croit que le diagnostic de folie à double forme doit
ns et exacte- ment à vingt-trois ans pour l'un d'eux. M. TOULOUSE croit qu'il faut distinguer les cas où le diagnostic
du choc. Même quand la prédisposition ne pourrait être décelée, je crois qu'elle découle des circonstances même dans les-
ment, les prédisposés. M. JOFFROY. Sur le terrain médico-légal, je crois que les experts doivent tout simplement signale
la sensi- bilité, aucune ataxie, aucun traumatisme; on ne peut donc croire à une origine essentiellement due aux lésions d
ne présente aucun signe de paralysie générale. Elle est excitée et croit qu'on a déposé pour elle dans une banque 600 00
iques d'un délire systématisé, hallucinations de l'ouïe ; la malade croit qu'on lit sa pensée. Hal- lucinations de la sen
entrée quelques idées de grandeur; elle allait nommer le pape et se croyait riche au point d'entourer le Luxem- bourg de ch
s bords en sont assez nets et l'état des vaisseaux est normal. Nous croyons à une disposition normale. - Observation XLI. T
nsion des manifestations psychiques de l'activité cérébrale. Nous croyons trouver là une preuve d'une espèce de sti- mula
a quelquefois observée. Mais loin de faire ressortir, comme on l'a cru un instant autrefois, que les glandes génitales
xpliquer son impressionnabilité anormale. - « Ce qui semble faire croire qu'on aurait tort de chercher une lésion organi
coup de femmes aux époques menstruelles ? Voici ce qui me porte à croire au bien fondé de cette interprétation : en même
la femme est plus impressionnable que l'homme ? Je suis porté à le croire . En résumé, prenant toujours comme exemple la f
eaux qui, apparaissant après l'idiotie ou l'imbé- cillité, ont fait croire jusqu'à ce jour que c'était l'idiotie ou 224 CL
pinale et mésencéphalo-spinale et de la voie sensible principale et croit que la lésion siège sur la voie sen- sible ou p
her. On doit ajouter à cela la notion de phénomènes nerveux faisant croire à une affectation médullaire. G. C. L. Du signe
. - M. Boissier classe les médianimiques à côté des démonomanes, je crois plutôt qu'il faut identifier ceux-là à ceux-ci.
'expliquer sur les raisons qui dictent ses arrêts. Il est permis de croire que la publication de cette étude, à la fois scie
insulté plusieurs gradés. Le capitaine rapporteur, M. Marix, avait cru devoir le sou- mettre à un examen médical, et l
apparence si nets et si précis, qu'en les considérant, on pourrait croire - et bien des erreurs de -ce genre ont été comm
Quoi qu'il en soit, ces lésions du sympathique sont peu connues. Je crois volontiers qu'elles sont fréquentes et importan
ALYSIE SATURNINE A TYPE PARTIEL ARAN-DUCHENNE. 315 Duchenne 1 avait cru devoir invoquer, dans des cas sem- blables, l'a
celle-ci perçoit un craquement, mais ne ressentant aucune douleur, croit que sa camisole se déchirait, on ne s'aperçut d
te femme syringomyélique est en même temps une lépreuse. L'auteur croit que l'infection lépreuse a pu amener la syringo-
lexe aurait dû persister d'a- près la loi formulée par Wernicke. Il croit donc que lorsqu'on a des raisons cliniques suff
l croit donc que lorsqu'on a des raisons cliniques suffisantes pour croire à de la cécité corticale, il ne faut pas réform
nution de sa capacité et incontinence par regorge- ment. M. Weill croit très probable la fréquence de ce mécanisme de l
tituent des entités cliniques. Dans l'un et l'autre cas, il s'agit, croit -il, de délire survenant seulement chez des prédis
uteur, se basant sur ces différents cas qui sont tous impu- tables, croit -il, à un oedème cérébral chez un prédisposé, émet
dropisie des ventricules qui démontrent son existence. L'auteur ne croit pas que le délire soit jamais le signe d'une in
l'état mental d'un sujet. , Dans un précédent travail nous avons cru pouvoir déter- miner. « 1° Qu'il y a un rapport
l'excitation génitale parle d'ailleurs dans le même sens et plaide, croyons -nous, en faveur de la thèse que nous soutenons,
OLOGIQUE. IV - Des diverses considérations précédentes, nous nous croyons autorisés à émettre les quelques remarques suiv
trice ordinaire, rapports intimes et peu mis en lumière, nous avons cru intéressant de rappeler ces quelques considérat
re de vingt-six ans. Ces observations auraient été déjà présentées, croit l'auteur, à la Société de médecine de Bordeaux
précoce, et à côté du syndrome catatonique de la démence précoce il croit qu'il y a place pour des syndromes cata- toniqu
générales de Flechsig sur l'existence des centres d'association et croit que c'est en eux qu'il faut chercher l'origine
discussion à laquelle il a donné naissance. M. FonD 11013ERTSO,4, croit que les différences d'opinion qui exis- tent en
nez l'émotion qui m'étreint au'moment de prendre la parole, mais je croirais manquer au plus impérieux des devoirs, si ne ve
avec lui sur tous les points. Arrivé à Paris (c'était en 1890), il croit s'apercevoir qu'il est filé par des agents; il
commissaire, et dans le bureau veut se jeter parla fenêtre, car il croit sa dernière heure venue. On le mène alors à l'i
artaient de tous les coins de la chambie. Transféré à Villejuif, il croit , pendant le voyage, qu'on le con- duit en un li
CE. 435 bles mentaux aigus a duré plus de temps que le malade ne le croit , car, après avoir passé sept -ou huit mois à Vi
oison contenu dans un de ses aliments. Il a alors des idées noires, croit qu'il va mourir : en proie à ses idées, il entre
t incident au directeur'; on lui montre une lettre dans laquelle il croit reconnaître récriture de son oncle; il se deman
r son lit; le concierge est entré, s'est approché du lit; le malade crut le voir qui avançait les mains vers lui, s'imagin
, il semble avoir beaucoup de peine à rassembler ses idées. Il se croit électrisé, sous l'influence magnétique de gens qu
ment confus de tous les faits qui ont précédé son internement. Il a cru que son concierge voulait l'étrangler; il était
ubles et ses affaires. Ces moments sont rares,le plus souvent il se croit encore hypno- tisé, mais ces idées sont cpnfuse
nt toujours des courants électriques lui passer dans les jambes; il croit avoir entendu des voix le 12 octobre, mais ne p
u'il n'est pas capable d'en res- sentir, je serais plutôt disposé à croire le contraire, et en fait si l'on se rapporte à
t. Il avait conservé de fortes méfiances à l'égard de son oncle qui croit -il, l'écartait de son grand-père, et il n'est pas
le malade sur 444 CLINIQUE MENTALE. sa pensée spontanée. Mais je crois que ce désaccord tient à ce qu'en somme nous pr
u que le vi le intellec- tuel était son état habituel. Le malade ne croit pas qu'il serait ca- pable de conduire une enqu
un amoindri intellectuel. On constate la disparition du délire, on croit observer que le malade n'est pas affaibli parce
les asiles-colonies nous semblent les meilleures à cet égard. Je crois , d'ailleurs, que le travail peut être considéré
son internement à l'Asile, son délire est devenu si actif, qu'il se croyait à tout instant poursuivi par des êtres imaginai
béissait pas aux ordres qu'il donnait en qualité des titres dont il croit être le détenteur, il était devenu violent, se
enaces et les voies de fait dont nous avons fait mention. Nous ne croyons pas que l'alcoolisme soit capable à lui UN CAS
et de la langue est toujours accusé. 23 janvier. Désorientée ; se croit à la rue de C... (où elle habite), ne reconnaît
lis doit être incriminée dans une proportion de 90 p. 100. L'auteur croit que les rémissions spontanées sont l'exception,
ndrome talamique. MM. Thomas et CHIRAY présentent une malade qu'ils crurent atteinte de lésion isolée de la couche oplique.
nt manifestés divers degrés de démence, les rapporteurs inclinent à croire qu'entre la démence précoce et la psychose mani
s de la nuit, il retourna de nouveau à 3 heures de la journée qu'il croyait être toujours le 28 septembre et de rechef il c
ment, quoique non 520 VARIA. universellement reconnue, mais il ne croit pas que le rapport qui existe entre la syphilis
l'est peut-être moins que l'augmentation du savoir ne nous le fait croire . Mais si des millions d'années n'ont pas amélio
tresse. Bichebois voulait l'épouser, mais sa famille s'y opposa. On croit que cette résistance fut la cause de ce double su
99 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
es variétés de la maladie, aucune ne la comprend tout entière. J'ai cru devoir m'arrêter à un nom plus général qui comprî
— terminaisons, — diagnostic, — pronostic, — enfin traitement. — J'ai cru devoir rappeler rapidement, avant d'entrer dans m
s de cette dernière. lia passé pour un régénérateur des os,—on a même cru que, grâce à lui, on ferait de l'os partout où l'
es qui nous occupent, le tissu osseux en est-il responsable? Je ne le crois pas et ne le comprendrais guère. Le tissu osseux,
x modernes, surtout ceux de M. Ranvier, ont rendus incontestables, je crois qu'ils suffiront pour justifier le nom d'Inflamma
r le nom d'Inflammation aiguë primitive de la moelle des os, que j'ai cru devoir donner à mon travail. historique L'élu
est la voie suivie depuis 1855. Est-elle bonne, est-elle mauvaise? Je crois n'y devoir pas persister et j'en donnerai les rai
teries, le lessivage des murs à l'eau chlo-rurée, etc. » Nous avons cru devoir signaler tout particulièrement cette pre-m
ré le soin que nous avions mis à prendre ces températures, nous avons cru pendant quelque temps à une erreur; mais nous avo
nt suffire seuls à juger la question. Nous pouvons donc établir, je crois , que scrofule et rhumatisme sont également impuis
longue durée de la maladie à l'état en quelque sorte latent permet de croire que souvent une cause locale a passé inaperçue. M
s rapportés nous semblent suffisants pour édifier nos lecteurs. Aussi croyons -nous devoir borner là cette enumeration et termin
ion des extrémités articulaires. Ainsi, on remarque : 1° l'usure qui, croyons -nous, constitue la lésion principale pour l'épaul
thologique. « C'est dans la substance grise, dit M. Charcot, que nous croyons avoir trouvé le point de départ de cette complica
s vésicatoires, l'emploi de la cautérisation transcurrente, seraient, croyons -nous, assez avantageux. — Toutefois, il ne faudra
par cette femme ava t pu amener un affaiblissement de l'utérus, nous croyons que l'accident a eu pour ori.ine principale les m
LA TEMPÉRATURE DANS l'ÉCLAMPSIE PUERPÉRALE. Historique. Si nous en croyons les recherches bibliographiques que nous avons fa
, assez abondantes, contenaient une quantité notable d'albumine, nous croyons pouvoir tirer, sous toutes réserves du reste, les
s, et, sans pouvoir donner les règles de leur production, il faut, je crois , admettre leur dépen-dance commune d'une infectio
té vu plusieurs fois malade, à l'exclusion des autres par-ties. Je ne crois pas qu'on en puisse inférer la nature rhumatismal
arents, au moment de la conception, une influence que, du reste, nous croyons assez exacte. 3 On sait que, souvent, dans les
nombre de tumeurs encépbaloïdes et fibroplastiques. En 1844, M.Walsh1 croit encore que le cancer de la mamelle chez l'homme e
orte chez l'homme comme chez la femme; on avait écrit, et Velpeau l'a cru pendant un certain temps, que les cancers du sein
ne heure plus tard, la température ayant encore diminué (52°,6), nous crûmes que le ther-momètre dont nous nous servions était
ulons pas cependant lui dénier toute ac-tion; mais elle n'aurait agi, croyons -nous, au plus que comme cause provocatrice; et au
l va gagnant de proche en proche jusqu'à la partie centrale,c'est, je crois , attribuer à la maladie qui nous occupe un rôle
t en détermine finalement l'atrophie complète... Il ne faudrait pas croire que l'atrophie en question des cellules nerveuses
, —¦ des fusées purulentes et du phlegmon diffus. Nulle maladie, je crois , n'a été l'occasion de si nombreuses erreurs au p
des fièvres éruptives. Pour éviter l'erreur, le grand point est, je crois , en présence de phénomènes un peu irréguliers , d
cès sous-périostiques, les indications étant absolument les mêmes, je crois inutile de chercher des subtilités de diagnostic.
de Panum est très-soigné; ses expé-riences sont concluantes, et nous croyons devoir admettre la pro-position telle qu'elle a é
la précipitation de l'injection, et enfin la phlébite. M. de Belina croit avoir évité tous ces inconvénients que l'on trouv
M. de Belina préconise avec conviction la transfusion du sang; il la croit appelée, et nous sommes de son avis, à rendre de
n. Mais en est-il de même dans les cas invétérés? Non, Messieurs ; je crois pouvoir avancer, en me fondant sur la connais-san
défini-tivement ou non élu domicile dans les cordons latéraux? Je ne crois pas, Messieurs, que l'on puisse, dans l'état actu
aires très-accusées et répondent mal aux excitations élec-triques. Je crois , par conséquent, qu'il y a peu de chances de voir
t aux fu-roncles. Pour les raisons que nous venons d'énumérer, nous croyons donc que, dans ce cas, l'éruption furonculeuse do
question pour une large gangrène du scrotum spontanément développée, croit , tout en admettant, dans le cas précédent, la sec
mou-vement d'écartement du tronc qu'exige le tracé de la ligne. Je crois que les mouvements spontanés de ce membre droit d
sion de la balle sur le tissu os-seux s'étend plus loin que le laisse croire l'examen des parties, fait au moment de l'acciden
ions phy-siologiques altérées de la peau et du tube gastrique. C'est, croyons -nous, à ces moyens, réunis aux soins locaux, minu
n'ai vu les altérations cireuses que de-puis trois ou quatre ans; je crois , par conséquent, qu'elles doivent être déterminée
ette propriété n'appar-tient-t-elle qu'à l'organe splénique? Frerichs croit que le pigment n'est qu'une transformation de l'h
e température, mais se rap-prochait de celle de la méningite, et nous crûmes d'abord à cette dernière. Le véritable état du
able, aperçu par la généralité des médecins. — M. Desprès cependant a cru devoir nier le carac-tère épidémique de l'érysipè
par diverses voies, etc.; nous ne nous y arrêtons pas parce que nous croyons que ces symptômes sont dus à quelque complication
ge des diverses formes mentales de l'aliénation, M. Moreau (de Tours) croit pouvoir expliquer la production de la folie en éd
t observé à Bicêtre. En s'appuyant sur ce dernier fait, M. Delasiauve croit devoir placer le délire pro-duit par le Hachisch,
on livre un chapitre à la défense de la théorie de Yidentité. Nous la croyions , cependant, depuis long-temps battue en brèche et
et pour vous faire saisir les particularités qui le caractérisent, je crois devoir vous exposer la marche que suit le plus ha
ais le siège d'aucune trace ni d'inflammation ni de douleur. 1 Nous croyons pouvoir attribuer cette augmentation de la tuméfa
iagnostic ne peut jamais reposer que sur des probabilités, et nous ne croyons pas qu'on puisse jamais le préciser complètement.
i on l'administre à temps. » M. Aubert-Roche ajoute qu'il est loin de croire que cette substance puisse réussir toujours ; mai
, sans affirmer que l'bydropisie lient à une lésion de cet organe, il croit qu'il ne s'agit pas là d'un cas de cirrhose. M. H
és comme dans les ascites symptomatiques. Il inclinerait volontiers à croire à l'existence d'un kyste. 2 novembre. Après avo
100 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
c, lui avait fait donner par cet auteur le nom d'acéphalocyste ; il croyait que cette forme du pa- rasite était particulièr
éellement due à l'existence de la tumeur parasitaire ; tout porte à croire , il estvrai, que ces 20 individus en question a
ètrent par l'alimentation avec les boissons ou les légumes absorbés crus ou mal cuits; les poussières peuvent enfin en con
pourrions compter un nombre bien plus considérable de tumeurs. Nous croyons donc être au-dessous de la vérité, en estimant à
persécution entretenues par des halluci- nations de l'ouïe : il se croit poursuivi par les Allemands, enfermé en prison et
cution étroitement liées aux hallucinations de l'ouïe. Le malade se croit en ! prison : « la France est en guerre... il n
ai eu un moment la tête perdue, je me figurais un tas de choses, je croyais que la France était en guerre avec l'Allemagne et
mmes eurent recours aux moyens offerts par l'art. C'est ainsi qu'on croyait avoir trouvé le secret de prolonger la vie dans d
ns toute la vigueur de la première jeunesse. - C'est dans la Bible, croyons -nous, qu'on trouve pour la première fois mentio
eule vue de se réchauffer les pieds et les mains auprès d'elle. Ils croiraient sans doute qu'il pécherait et qu'il serait cause
x, comme l'enseigne Galien dans son art. » Il n'est pas nécessaire, croyons -nous, de faire remarquer, que ce pouvoir partic
t ce secret, au point que l'un d'eux, l'abbé Picot, ne voulut point croire à sa mort. ' Dans une de ses lettres à M. Quyli
conserver ma vie que je le fais maintenant, et quoique ci-devant je crusse que la mort pût me l'abréger de 30 à 40 ans, el
con n'était pas tout à fait exempt de préjugés de son temps, car il croyait qu'on peut faire de l'or avec de l'argent ou du
ugmenta sensiblement les forces et la vivacité du vieillard. On a cru pendant longtemps que cette vertu était spéciale
u sexe fémi- nin, dit Millot, dans sa Gérocomie (Paris, 1807). Nous croyons devoir combattre cette erreur, en observant que
llesse qui en est ordinairement privée. Et l'auteur ajoute : « Nous croyons pouvoir attribuer les bonnes et promptes digest
lui permet d'éviter les maladies si communes à cet âge. N'allez pas croire toutefois, dit Cohausen, que notre Hermippus se s
rêtre, ni à un jeune homme et pas même à un vieillard vigoureux. Ne croyez pas, dit-il, que j'ai jamais cru que c'était là
me à un vieillard vigoureux. Ne croyez pas, dit-il, que j'ai jamais cru que c'était là un moyen de conserver la vie. Elle
s en la faisant suivre des réflexions suivantes. « L'auteur n'a pas cru indigne de son âge ni de sa personne de s'a- do
mippus quoique les centenaires ne soient point aussi rares qu'on le croit généralement, mais nous atteindrons sûrement un
e par son origina- lité propre, à l'art occidental renaissant. Nous croyons qu'il n'est pas sans intérêt d'y poursuivre ces
retrouvons encore plus nette dans des mosaïques du XIIe siècle. Je crois donc que cette main pendante, aux doigts retomb
nt faire sortir du corps de leurs « sujets ». Et même, s'il faut en croire leurs écrits, il en restait toujours quelques-u
ligotter les malheureux atteints de grandes crises hystériques ; on croyait ainsi « enchaîner le démon », ou en tous cas lu
ré- sentant les membres supérieurs d'un sujet de 9 ans, on pourrait croire être en présence des membres de notre sujet, si
ible ou dou- teuse l'hypothèse d'une régénération (1). Mais nous ne croyons pas que cette objection permette de repousser d
est la nature de cette cause ? D'après ce qui précède nous ne nous croyons pas autorisés à répondre d'une façon précise. P
veuses professionnelles. On peut cependant l'y rencontrer, et nous croyons que, si nos moyens d'investigation étaient plus
ur et sa terminaison nerveuse intra-musculaire. On peut rejeter, je crois , la première de ces localisations. Bien que la
ôpitaux. IV. - LE QUATORZIÈME SIÈCLE. Contrairement à ce que l'on croit généralement, le XIVe siècle n'estpas un siècle
romain très accentué de ces personnages, type qui tendrait à faire croire qu'ils ont été copiés sur une mosaïque antique.
ècle, le peintre étant mort en 1804. En second lieu, ne faudraitpas croire queles artistes dela décadenceby- zantine soien
it appris, dit-on, la saignée des Egyptiens, aux- quels, si l'on en croit Pline, elle avait été révélée par les hippopotame
iment juste, le malade bêtifie. Au premier abord, en effet, on peut croire , qu'en partie au moins, l'altitude et le ton so
ng circule au milieu des élé- ments cellulaires, et si parfois l'on croit trouver un semblant de paroi (1) Virchow,; Arch
dans des cas de méningites et d'encéphalites. De même Lugaro (2) ne croit pas qu'il. faille considérer comme des leucocyt
ns, époque où elle entra comme domestique dans une ferme et où elle crut d'abord à la pré- sence de parasites dans son n
la périphérie, soit au niveau des centres médullaires. Mais je ne crois pas pour cela qu'il faille accepter l'idée d'une
ploi des fers et l'enfant mourut au bout de 3 heures. S'il faut en croire la mère de la malade, elle aurait contracté une
mographisme par le mécanisme indiqué pour le cas précédent. Mais je crois superflu d'insister sur le diagnostic d'épilepsie
nce hypothénar; front; pom- mettes ; index (face palmaire). Je ne crois pas que ces différences soient sous la dépendance
distances. Je n'insiste pas sur les autres symptômes que nous avons cru remarquer chez notre malade du côté de l'appare
us leur dé- pendance, ne manquent pas également. J'ai tendance à le croire après les conclusions que j'ai déjà eu à tirer
ulsé pendant un repas. L... avala-t-elle réellement une épingle, ou crut -elle en avaler une que plus tard elle se figura
menant sur un quai vit par hasard un cheval qui la regardait ; elle crut immédiatement que ce cheval avait' « un caprice
is elle se demande si c'est bien la somme qu'elle lui doit. L... la croit moindre ; elle ne sait pas, dit-elle, ce qu'elle
de l'argent à une autre personne, mais elle ne sait pas combien, elle croit que c'est 2 francs. IV L... prétend qu'il y
réitérées l'amènent jusqu'à faire des excuses aux personnes qu'elle croit avoir offensées. Voici un fragment de lettre écri
nt j'ai des excuses à demander à un de ces messieurs pour l'a- voir cru l'expérimentateur d'un complot contre moi. Et ce
sa conscience, qu'elle constate et qu'elle ne comprend pas, elle se croit sous la domination d'une puissance étrangère in
à elle-même. Maintenant elle se dit parfois : « que je suis bête de croire cela, ce sont des superstitions : j'ai tort d'ins
sente aussitôt son esprit au sujet d'un souvenir déterminé. L... se croit coupable, elle demande pardon des idées qui surgi
nsées, qu'elle le refuse à d'autres. Cette constata- tion l'amène à croire que les pensées qui sont conformes à sa manière d
tères spéciaux des voix qu'elle entend nous montre que notre malade croit qu'on lui parle en elle-même. Lorsque nous insist
quait son action en disant qu'on le lui avait commandé. Nous avions cru alors à des hallucinations auditives ; mais plu
eur A. Kojevnikoff, qui les a examinées avec un grand intérêt et je crois de mon devoir de lui exprimer ma profonde recon
is et essayé en vain d'améliorer par le traitement thyroïdien; nous croyons utile d'en rapporter l'observation, d'autant pl
ensions de plusieurs fillettes ayant t'age de notre malade. et nous croyons pouvoir dire que, chez l'enfant normal de 8 à 10
ré l'attention des caricaturistes. Depuis longtemps, en effet, on a cru reconnaît- tre dans certaines oeuvres de l'anti
rps thyroïde (P. Masoin, in Rev. Neurol., p. 549, 1901). Nous ne le croyons pas pour plusieurs raisons. L'anatomie patho- l
tes ; cela est la règle chez les aclion- droplases, et s'il faut en croire les confidences reçues par les auteurs qui ont
he est aplati dans la région trochantérienne. A priori, on pourrait croire à une luxation de la hanche de ce côté, mais la l
out de fil qu'il retire quelquefois malgré lui au moment même où il croit avoir abouti. Le rythme semble constant. L'at-
tionnel que, seul, l'acte d'écrire a la propriété de rappeler. W... croit qu'il tremble à cause de son effort pour neutra
s d'alcoolique, puisque porteur de stigmates évidents, il faut donc croire que ce trouble fonctionnel qu'est l'hystérie n'a
h. f. Psych., octobre 1899. TUMEUR CÉRÉBRALE 365 cérébrales. Nous croyons qu'elle offre un indéniable intérêt, parce qu'ell
rémie, diabète, tabac, oxyde de carbone, qui- nine, etc.). , Nous croyons donc qu'à la suite déconsidérations cliniques ana
tumeur est indépendante du tissu cérébral. C'est dans la pie-mère, croyons -nous, qu'il faudrait rechercher le point de dép
ère pensée est celle qu'il s'agissait de maladies différentes. Nous croyons cependant pouvoir démontrerqu'elles ne l'étaien
ntérieure à l'autre. Ces fibres nettement observées expliqueraient, croyons -nous, la synergie des mouvements rencontrés dan
dius, qui n'est pas aussi énergique que celle des deux autres. Je crois avoir ainsi démontré que la malade souffre actuel
malade avait présenté une mélanodermie extrêmement accusée. Nous croyons donc que l'état bronzé de la peau de notre sujet
ologie de Paris (Séances des 7 no- vembre et 9 décembre 1901), j'ai cru pouvoir me permettre de revenir (1) il cette oc
e fait a été constaté dans plusieurs observations, ce qui permet de croire que dans certains cas le trophoedème chronique
lente des syringomyéliques, etc.). En définitive, il y tout lieu de croire que la lésion du trophoedème est une lésion méd
conserver à l'affection ses carac- tères cliniques distinctifs, je crois qu'il convient de réserver le nom de trophoedèm
u nombre des effets bien connus de la poliomyélite antérieure, nous croyons donc pouvoir ajouter un phénomène auquel, jusqu'à
est loin d'être constante (p. 432). Si nous ne nous abusons, nous croyons avoir démontré, par un nombre suffisant de preu
se ne seraient pas perçues par les mêmes récepteurs, et, si l'on en croit les re- cherches de Goldscheider, les nerfs qui
entre le cas que nous avons observé et la paralysie infantile. Nous croyons pouvoir les compléter en faisant in- tervenir q
notre esprit en obsession très tenace ! Mais poursuivons, car nous croyons pouvoir compléter l'assimilation des deux états
l'avenir, que nous émettons le diagnostic d'attente que nous avons cru pouvoir formuler. * h x Si l'adipose sous-c
tance grise du névraxe. Malgré les prudentes réserves que l'auteur croit devoir formuler, l'on comprend que, dans le tro
nous ait semblé moins appréciable qu'au premier examen, nous avons cru préférable de ne pas nous en rapporter il une a
dans un cadre nosologique ac- tuellement tracé. C'est pourquoi j'ai cru utile de publier son histoire et ses photograph
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