s, ni aucune autre marque de vie. Cela a donné lieu à quelques-uns de
croire
et d’assurer que l’âme de cet homme sortait effec
’état extatique où il se trouvait pendant ses révélations (6). « Je
croyais
en quelque sorte toucher le dieu et sentir son
ur jeter les malades en somnambulisme. Nous savons seulement, et nous
croyons
l’avoir démontré antérieurement, que les friction
la connaissance que l’on avait alors de la vision somnambulique : «
Croyez
-vous, dit-il, que l’âme ne voie que par les yeux
s perturbations profondes du système nerveux. Les savants n’ont pas
cru
devoir, jusqu’à ce jour, protester contre l’exist
u]ilcK,p. !>“• „rande facilité. Pendant une nuit très-froide, il
crut
voir en dormant un enfant sc noyer. 11 s’étend au
ns cependant avec plaisir que des hommes d’une haute intelligence ont
cru
devoir, dans ces derniers temps, placer leur cons
s ont envisagé le somnambulisme comme un effet de l'imagination. Nous
croyons
cette prétention bien peu fondée. Une imagination
s d’août jusqu'à la fin de novembre. Une grande amélioration, qui fit
croire
à une guérison complète, apparut en décembre et j
e absolue : le visage est terne ; les extrémités sont glacées ; on la
croirait
privée de vie, si la respiration n'était pas râla
fatigue. Elle était restée plus de soixante heures sans manger et se
croyait
au lundi matin. Rien de remarquable jusqu’au 21
. Les souffrances du cœur ne sont pas totalement apaisées, mais je ne
crois
pas qu’on puisse jamais espérer de cette lésion u
ends. « En attendant l’honneur de son acceptation, je la prie de me
croire
un de ses membres les plus dévoués. « Paul CARP
connue puissante aujourd’hui, du mesmérisme sur les insensés que l’on
croyait
rebellesaux effets magnétiques. M. Capern affirme
M. le curé quelques messes pour le repos de l’âme du défunt, qu'elle
croyait
pouvoir être la cause de ces alarmes nocturnes. M
oilà, Monsieur, ce que j’ai pu recueillir à ce sujet. « Le géomètre
croit
aujourd’hui ce qu’il a vu et entendu; mais la dél
ver des discussions fâcheuses, ou de provoquer, en témoignant qu’on y
croit
, des souvenirs plus fâcheux encore. « h. g. »
ons soient trouvées fausses; je n’ai même aucun respect humain que je
crois
à ces faits et à un certain nombre d’autres du mê
is à ces faits et à un certain nombre d’autres du même genre; mais je
crois
que mon étal et mon habit m’imposent cette réserv
couchant ! Je restai confondu, les deux nègres ne voulaient pas en
croire
leurs yeux : Li ka ami, bon Dit ! disaient-ils en
bondit de rage et tourna vers le charmeur sa tète menaçante. « Nous
crûmes
Oléda perdu; mais, ô prodige! la gueule du monstr
toute la sincérité des sentiments religieux dont vous ôtes animé, je
crois
devoir vous en donner connaissance et vous engage
Votre Grandeur sur les craintes de déconsidération et autres, qu’elle
croirait
pouvoir peser sur moi, si je me posais dans le mo
ent toute ma profession de foi à ce sujet, et, sous ce rapport, je me
crois
à l’abri de toute atteinte ; je proteste donc enc
s, de M. de la Marne, de M. l'abbé Frère, etc., etc., de sorte que je
crois
avoir sur cette matière un peu plus de notions qu
ion de la loi pénale, de démontrer que magnétiseurs et somnambules ne
croient
pas en leur art et ne sauraient, non plus tpie de
dmettant môme que la mauvaise foi ne soit pas nécessaire , il suffit,
croyons
-nous, de se pénétrer du sens et du but de l’art.
e plus en plus apparente, et chacun est déjà fixé sur son opinion. On
croit
qu’il ne voit dans les'phénomènes magnétiques que
n circulation ont été offerts par l’auteur aux seules personnes qu’il
croyait
aptes à comprendre ses idées. C’est par hasard qu
ar hasard que l’un d’eux nous est tombé sous la main, et nous aurions
cru
aller contre les intentions de l’auteur en en rep
forces instinctives et vitales, et, enfin, avec la thérapeutique. Je
crois
que le magnétisme est un des chapitres de la scie
ympathie, d’une sorte d'affinité mystérieuse entre deux personnes. Je
crois
môme qu’on a cherché à l'expliquer, en la rattach
cependant les académiciens se moquaient alors ouvertement de ceux qui
croyaient
aux aérolithes; maintenant il n’v aurait point as
de résolution. Comme j’aime à agir franchement en toute, chose, j’ai
cru
devoir vous manifester aussi mes intentions à cet
uvent par hasard témoins de ses merveilleux effets, sont portées à le
croire
surnaturel; au contraire, le médecin qui a de l’i
t produit bien moins de scandale «pie Votre Grandeur ne semblerait le
croire
; la grossesse et l'accouchement d une Jilie ne so
lement les malailies de l’espèce, comme généralement on semblerait le
croire
. C’est donc à tort qu ou les attribue communément
qu’elle peut être mise sans difficulté dans la balance. On peut donc
croire
, sans errer, qu’il est de cet agent ce qu’il est
me force d’en faire; j’y éprouve toujours une fatigue extrême. « Je
crois
qu’à l’aide du magnétisme, un malhonnête homme po
à n’en pas douter; mais ce sommeil était-il perceptif, comme l’avait
cru
notre liôte? Non. On dit avoir endormi par le m
re en question. Alors, Monseigneur, j’ai dû changer de parti, et j’ai
cru
mieux faire en copiant moi-même, pour pièces à l’
udrait-on qu’il ne fût rien resté de merveilleux dans sa nature, sans
croire
devoir l’attribuer aux esprits infernaux, par cel
dois vous avouer que le mémoire n’a point avancé ma conversion. Je ne
crois
pas qu’à la vue ou au contact d’une boucle de che
nt mutuellement de supercherie. En ce point, je suis très-porté à les
croire
sur parole. J’ai l’honneur d’être, avec les sen
et aux restrictions que l’interprétation du jugement et du mémoire a
cru
pouvoir y ajouter. « On fait, il est vrai, une
honte d’avoir tant attendu? Enessayant.de combler cette lacune, nous
croyons
satisfaire à un vœu .assez général ; car si le ma
y ait un recueil qui en suive les progrès, ot dans lequel ceux qui y
croient
, qui l’étudient et la pratiquent, puissent trouve
souvent injustes, que des incrédules, ou des gens qui ne veulent pas
croire
, ou le grand nombre qui s’oppose par intérêt aux
s de principes encore plus utiles. Pour que les faits racontés soient
crus
, examinés et étudiés plus facilement, il sera bon
t trop singuliers pour que les magnétiseurs puissent prétendre à être
crus
sur parole. L'homme qui raisonné veut marcher à l
end pas, il n’est pas moins vrai, comme l’a dit si bien Leopardi, que
croire
une chose parce qu’on l’a entendu dire, sans avoi
à, mettre de côté la peur et à se montrer à découvert, tous ceux qui
croient
et étudient dans le silence, hésitant à, se prono
, toutes les histoires merveilleuses sans preuves suffisantes, nous
croyons
que deux feuilles suffiront aux besoins de notre
âce à l’estime et aux sympathies que nous saurons nous captiver. Nous
croyons
qu’un bon moyen pour cela, ce sera d’apprécier av
ui ne se produit qu’à l’aide de compères. Qui donc, aujourd’hui, peut
croire
à-la sorcellerie et à la magie ? Parfaitement t
is au prince : « Tout à l’heure vous aurez des émotions; vos convives
croiront
; si je le veux même, je les remplirai tous de ter
immortels. Une jeune dame, que la crainte n’agitait point (elle se
croyait
invulnérable), se soumit à l’épreuve nouvelle.
ays divers, soient un bouclier invulnérable aux sarcasmes de ceux qui
croient
que tous les phénomènes de la nature sont enfermé
Éveillée, on lui dit qu’elle avait chanté; elle ne voulut jamais le
croire
. « Je ne sais, dit-elle, que le premier vers de
nes présentes. Un jour, elle me dit : « 11 y a des personnes qui ne
croient
pas que je dors ; pour leur prouver que je suis i
ur de vous entretenir dans ma lettre du -> décembre dernier. Je le
croyais
depuis longtemps entre vos mains, lorsque le bure
près certains faits dont ils ne se rendaient pas bien compte, ils ont
cru
pouvoir en promettre certains autres qu’ils n’ava
tres qu’ils n’avaient pas expérimentés, et dont, par analogie, ils se
croyaient
sûrs, et ils n’ont pu les obtenir. Alors, Monseig
eur, dans votre honorée missive du 25 janvier, que vous ne pouvez pas
croire
, qu'à la vue ou au contact d'une boucle de cheveu
ouvait rire des décisions du Saint-Siège. En effet, Monseigneur, ne
croyez
-vous pas qu'au lien d’aller puiser leurs preuves
en reconnaissant l’existence des faits extraordinaires racontés, ont
cru
devoir les attribuer aux intelligences ou à l’enf
est nullement son affaire) ; que répondra-t-il, Monseigneur? Ceci, je
crois
; car nous pouvons le pressentir par ce que nous r
le à nos semblables. » Si toutefois, Monseigneur, Votre Grandeur ne
croyait
pas devoir provoquer la mesure en question, qu’el
t nous donner tout pouvoir ou un pouvoir absolu sur les malades. Je
crois
à la loi divine, et je voudrais que les deux lois
e fin, et votre règne, Sire, ne sera pas effacé de l’histoire, car je
crois
que votre pouvoir et votre cœur émanent d’en haut
désirer que je vous communiquasse mes travaux et mes impressions ; je
croirais
faire preuve d’ingratitude en n’obéissant pas ii
des instants de trouble où les idées se brouillent, elle pourrait se
croire
tout à fait guérie. J'ai remarqué que l'action
uter, dit-elle, une tête si exactement semblable à la mienne, qu’elle
croit
voir double ; seulement la physionomie du disque
s plus convaincus de la réalité de leur mission, sont des gens que je
crois
parfaitement honorables, raisonnables et sérieux,
mais il faut bien les entendre et juger soi-même ; car, qui pourrait
croire
à la réalité d’un tel phénomène, sur le témoignag
ez depuis longtemps pour une personne assez raisonnable, pourrez-vous
croire
que ce soir là j’ai senti, ou du moins cru sentir
isonnable, pourrez-vous croire que ce soir là j’ai senti, ou du moins
cru
sentir, une main me saisir par le talon gauche. L
vient patroner un fait nouveau et extraordinaire : Dis-moi ce que tu
crois
, je te dirai quelle confiance je peux ajouter à t
e que celles de dimanche, car M. Debout a pris des précautions que je
croyais
inutiles, a imposé des conditions auxquelles je n
ent sur cette proie nouvelle ; que la science nous dise ce qu’il faut
croire
et jusqu’où il faut croire; qu’il faut éviter que
e ; que la science nous dise ce qu’il faut croire et jusqu’où il faut
croire
; qu’il faut éviter que, par l’indifférence des ph
te au gré de votre pauvre volonté d’homme. Je gage que vous ne vous
croyiez
pas aussi puissant. Aussi vous riez, et nul n’a l
er le sapin dans son réduit. Nous fini écrivons, nous avons lu sans
croire
, essayé en riant, et vu avec terreur. Nous allons
l’expérience avait été tentée et couronnée d’un plein succès : on le
croyait
victime de quelque mystification, et il eût suffi
devait finir par séduire quelqu’un, et en somme les plus disposés à
croire
furent ceux qui d’habitude ne croient à rien. O
et en somme les plus disposés à croire furent ceux qui d’habitude ne
croient
à rien. On apporta un guéridon en chêne, et cin
d nous vîmes la table se mettre à tourner sur elle-même, marchant, je
crois
, vers le nord, et exécutant ses évolutions avec u
e tout à l’heure pour nos amis. La vitesse était prodigieuse. Je ne
crois
pas que la valse la plus échevelée puisse atteind
mp, et, comme ils ne trouvaient pas de table sous la main, l’un d’eux
crut
pouvoir la remplacer par un grand mannequin artic
gateurs indolents, qui aiment mieux nier que d’y aller voir. « Nous
croyons
que les résultats de cette découverte seront imme
uverte seront immenses pour la médecine ; car les académiciens qui ne
croient
point à l’existence du fluide nerveux ou magnétiq
sotte manie de primer (comme l'article plus haut cité semble le faire
croire
), mais par amour pour la vérité du magnétisme , e
ns le cas où elle n'aurait pas été matériellement impossible; et nous
croyons
n’être pas plus mystifié que mystificateur. Tu.
s; mais la table s’était trompée avec l’expérimei ^e_ lui-même, qui
croyait
n’en avoir que quatre, pensant dépensé l’une de c
là pouvait bien n’être pas aussi extravagant qu’on était tenté de le
croire
, et rentrait peut-être dans un ordre typique, c’e
, mon cher Monsieur, il n’y a pas eu d’illusion possible, veuillez le
croire
; l’expérience a duré trop longtemps, elle a été
aires de M“e 1,..., le guéridon s’est mis en mouvement ; mais qu’on a
cru
devoir appliquer à ce phénomène la théorie de la
et le phénomène nouveau qui se présente. Cette recommandation, je le
crois
, est de bon conseil. Les esprits sages, espé-rons
ut nommé et salué aussitôt d’un coup de marteau. Un bourgeois, qui se
croyait
bien malin et bien sûr aussi de dérouter l’esprit
is quand c’est moi, moi votre champion, qui vous parle, vous devez me
croire
sur parole; sinon vous n’êtes qu’une sotte ! J’ai
est un fait acquis, — mais sous le rapport de son application. Oui,
croyez
-le bien, on tentera de faire interdire la pratiqu
is, les rares amis du malheur qui suivaient sa marche tourmentée, ont
cru
que les abîmes allaient s’ouvrir et que l’arche s
ais elle l’atteint toujours. « Le vieil ennemi est abattu, il ne se
croit
pas vaincu, il prend une forme nouvelle; ne pouva
ui dore les moissons et les brûle ; mais, comme les éléments, nous le
croyons
bon, puissant et éternel. Si vous doutez de l'e
elle est l’espérance ! La puissance magnétique pourra un jour, je le
crois
, exercer la plus salutaire influence sur les jeun
uvelles, et, comme les enfants de la légende, les somnambules peuvent
croire
au réveil qu’un bon génie a soufflé sur leur fron
nts, ces êtres souffrants, dépaysés dans notre monde, que le vulgaire
croit
aveugles parce qu'ils regardent trop haut, que bl
r de la récolte, en voyant ses chariots ployer sous la moisson dorée,
croirait
qu'il doit ses richesses au seul moissonneur. Son
s à tous les hommes qui servirent la grande cause de l’humanité; nous
croyons
même qu’ils eurent la bonhomie de boire à la sant
froid paralytique, Il rend pour lui notre monde attrayant. Qui le
croirait
? sa puissance magique Fait de l’aveugle un être c
onhomie la plus comique, M. Jobard conta une fable charmante, et nous
crûmes
pour un instant entendre le bon La Fontaine. Oui,
agnétisme propageront plus rapidement cette importante découverte, je
crois
de mon devoir de soumettre à vos lecteurs , si vo
l'état déplorable dans lequel la potion avait jeté sa fille, qu’elle
croyait
sur le point d’expirer. Cette pauvre femme avait
gnait que j’arrivasse trop tard pour porter secours à sa fille, qu’il
croyait
être sur le point d’expirer. A mon arrivée, je
ontre fréquemment son impuissance à combattre cette névrose, que j’ai
cru
devoir mettre encore sous les yeux de vos lecteur
un des arômes de Fourier; peut-être est-ce l’âme de la planète. Je le
crois
fruit des caloriques et des lumières, qui sont pr
notre prudent et savant secrétaire, m’ayant refusé de la sabine qu’il
croyait
nuisible au sujet, j’en fis avec de l’eau, etj’ob
pot-pourri sur les tables tournantes. « En voici un couplet : Jo
crois
que les Français sont fous. La lièvre tournante
ffensives, mais qui cessent de l’être si, comme je serais portée à le
croire
, elles établissent entre les âmes des Invisibles
’il y a peut-être en lui la source d’une épidémie morale ; mais je me
crois
par cela même obligée d’apporter au traitement de
s, ce que le monde ténébreux appelle des revenants. « Dans ceux qui
croient
à la possibilité de voir des esprits, cette idée
s elles-mêmes que de ceux par qui elles sont mises au jour. « Je me
crois
donc obligé de dire à ceux qui me liront, que l’h
re au rang des ouvriers du Seigneur. « Car s’il faisait tant que de
croire
à la possibilité de voir des esprits, il devrait
t tant que de croire à la possibilité de voir des esprits, il devrait
croire
à la possibilité d’en voir de mauvais comme de bo
Les hommes disent, pour la plupart, qu’ils attendent des preuves pour
croire
à quelque chose, et quand ils réclament des mirac
pour réfuter d’un seul trait l’aveugle désir de celui qui ne voudrait
croire
qu’à des miracles, et la fausse solution de ceux
Aujourd’hui, plus brillant encore, Ton nom rappelle ton passé. Je
crois
te voir, à ton aurore, Reprendre ton cours éclips
et propre. « Maintenant, et après ces considérations que nous avons
cru
devoir exposer ici, pour ne laisser aucun doute s
osition de l’auteur des réponses. On fit plusieurs tentatives dont je
crus
pouvoir d’avance annoncer l’insuccès, et qui ne d
oit s’inau-gurer sur la terre. Des personnes imbues de vieux préjugés
croient
au contraire que ces phénomènes sont une œuvre de
le feu du ciel. Enfin il en est qui, précisant les dangers qu’ils ont
cru
voir, ont formulé des objections relativement aux
r ceux qui ne mettent leur confiance qu’en Dieu? D’ailleurs, ceux qui
croient
aux démons croient aussi que certaines pratiques
nt leur confiance qu’en Dieu? D’ailleurs, ceux qui croient aux démons
croient
aussi que certaines pratiques ont le pouvoir de l
ne reculeront pas devant les fatigues imposées au catéchumène, et se
croiront
trop heureux d’acheter au prix de quelques tribul
ont donc rien qui doive nous effrayer. Ht si, comme tout nous le fait
croire
, la Providence a permis les rapports intellectuel
vidence a permis les rapports intellectuels entre les mondes, il faut
croire
que cette loi, comme toutes les autres, est inspi
al de Genève une lettre fort curieuse sur les tables tournantes. Nous
croyons
devoir donner un extrait de cette lettre, faisant
ité à la puissance magnétique de tant de gens, je suis convaincu ; je
crois
fermement à l’existence de ce phénomène, et pour
re que le temps vienne le confirmer et dessiller les yeux de ceux qui
croient
que tout est découvert parce qu’ils prennent l’ho
arce qu’ils prennent l’horizon pour les bornes du monde. « Veuillez
croire
à la haute considération avec laquelle j’ai l’hon
"' X*'** lit par 1rs pieds, sons le secours des yeux !... Personne ne
croit
à ce miracle, et je partage l’incrédulité général
: Messieurs, il s’agit ici d un fait surnaturel, auquel la science ne
croit
pas ; vous êtes en partie habitants d’Aix, cela s
rt eût été manifestement impossible. Pour moi qui ai vu et touché, je
crois
parfaitement à la transposition des sens, bien qu
licats et sensibles, ne donnent pas le moindre signe qui puisse faire
croire
qu’ils s’aperçoivent de ce qui se passe autour d’
uyées sur des phénomènes réels; nous les plaindrons seulement d’avoir
cru
que le diable y fût pour quelque chose, et d’avoi
il est sans doute appelé à la soulager ou à la guérir de maux qu’on a
crus
incurables, à resserrer ses liens sociaux et à co
appera peut-être longtemps encore aux hommes à théories, mais qui, je
crois
, a été de suite pressentie par la foule. Toujours
s; des milliers d'êtres qui, depuis leur enfance, entendaient, sans y
croire
, des sermons sur ce qui fait la base de toutes le
nellement. v Lorsque je débutais dans mes nouvelles expériences, je
crus
devoir distinguer les phénomènes que j’observais
qui ont été somnambulisées, mais encore beaucoup d’autres que nous ne
croirions
pas somnambulisables, participent plus ou moins à
lieu de la foule, à plus de trois cents pas de distance. « Veuillez
croire
, monsieur, que le charlatanisme est complètement
ndomptables. Pour ne désobliger personne, je laissais entendre que je
croyais
; mais, au fond, rien du tout ! La dame de la mai
e, ces gentilles mains fluidiques, et déjà il m’était tout naturel de
croire
à quelque chose. Le sérieux des magnétiseurs fini
urtant par me gagner. Car... après cinq ou six minutes d’épreuves, je
crus
sentir... « — Bah ! me dis-je, je me sens le dé
fr. Je disais dernièrement que la plupart des écrivains médicaux se
croient
obligés de parler du magnétisme, pour éviter le r
tés par son action, sa présence. Que s’il arrive que quelques malades
croient
, pendant leurs crises, percevoir son odeur, un ef
n que placés à leurs côtés, ne sentent jamais rien. Les personnes qui
croient
sentir quelque cliose ne le doivent qu’à une aber
logiques ou trop amateurs du merveilleux, ont voulu soutenir? Peut-on
croire
à la transposition des sens? Peut-on penser que l
ce n’est certainement pas la malade : « elle n’y vit que du feu, » et
croit
à mon talent chirurgical bien plus qu’aux vertus
é le taxis magnétique; or, comme le taxis méthodique avait échoué, je
crois
pouvoir affirmer que le magnétisme a opéré plus q
rait été là qu’un aide, je le préfère cent fois au bistouri, et je ne
crois
pas que j’aurai beaucoup de contradicteurs. .. su
s minutes, voici qu’elle se met îi dire : « Tiens, c’est drôle ! je
crois
que je suis mieux. » Songez «à notre surprise !
tre lucidité, qui pourrait bien 11’être que passagère. — Ali ! vous
croyez
cela, vous. — Mais, oui. — Eli bien ! chacun
e magnétisme. — Mais vous n’avez rien éprouvé ? — Est-ce que vous
croyez
que l'eau qui dort ne noie pas aussi bien que cel
de M..... ■ i vol. in-8. Paris, 1853. De tout temps, l’humanité a
cru
à des Êtres supérieurs à l’homme, exerçant sur le
oins brillant clans les théogonies et les mytho-logies antiques, et a
cru
ne pouvoir assurer son triomphe qu’en rejetant pé
réaction qui allait ressusciter des sujets de discussion qu’on avait
crus
oubliés pour jamais. Un petit nombre d'hommes gra
rvit d’auxiliaire à la doctrine des Esprits : plusieurs magnétologues
crurent
ne pouvoir expliquer un certain nombre de phénomè
le de Jacob, et dont l’homme ne pourrait, sans un orgueil insensé, se
croire
le terme le plus élevé. De là à la possibilité de
t un rôle très-actif dans la vie humaine, et une infinité de gens qui
croient
se livrer à un plaisir fort innocent, ou même qui
e hasarder une explication quelconque. Même quand les faits où l’on
croit
découvrir une coopération des Esprits seraient nu
obable qu’il y avait un concours des esprits ; c’est ainsi qu’ils ont
cru
pouvoir expliquer la faculté de parler des langue
e de réfléchir sur la question des Esprits ; il servira même, nous le
croyons
, la cause du magnétisme, parce que les témoignage
ce qu’il sera. Je sais bien que, le rideau baissé, on ne voudra point
croire
à ce qu’on aura vu ; qu’importe ! la vie elle-mêm
s non prévenus ; je leur raconte un fait : je ne leur demande que «le
croire
à ma bonne foi. Quelques réflexions accompagner
parfaite sincérité de cette famille, si respectable à tous égards, je
crus
tout expliquer en admettant qu’ils avaient mal vu
nie mettaient dans l’alternative ou de rejeter leur témoignage, ou de
croire
à des phénomènes qui paraissaient en opposition a
des phénomènes principaux que présentait notre jeune somnambule. Je
crois
devoir dire qu'on lui demanda, quand je fus arriv
. Je crois devoir dire qu'on lui demanda, quand je fus arrivé, s’il
croyait
que l’attaque dût être assez longue pour qu’on eû
ve le long entretien qu’il eut avec son père sur ce sujet ; mais j’ai
cru
que le détail en serait ici tout à fait inutile.
qui avancent que, quand môme ils seraient témoins du fait, ils ne le
croiraient
pas plus pour cela, rendent raison de leur incréd
ons d’ailleurs sur la moralité du sujet, il est plus facile encore de
croire
à la jonglerie qu’à la transposition d’un sens. M
tin; en vain s’écrie-t-on que les concitoyens de ce médecin n’ont pas
cru
à son récit, et dit-on fort spirituellement qu’un
e, regardant comme une chimère l’observation de Pétetin, il refusa de
croire
le rapport que lui en fit un confrère sur le fait
appliquai à l’oreille : c Ah! ah! vert, s’écria-t-il, incrédule, qui
croit
que j’ai « besoin de mes yeux pour voir ! » « O
histoires qu’on en rapporte, et qui fasse aux historiens l’honneur de
croire
qu’ils ne sont ni des imposteurs ni des sots? M
ncipes de la théorie sur laquelle le savant auteur les a appuyées, je
crois
pouvoir les admettre en suivant une méthode rigou
e par la rétine nous est entièrement inconnue. « Nous avons lieu de
croire
, dit Reid, que les rayons de la lumière font quel
horoïde, elle peut faire l'office du miroir), et rien ne nous porte à
croire
que cette image réfléchie entre pour quelque chos
s causes premières, nous sommes de ceux qui ne nient pas d’abord, qui
croient
à la marche ascendante de l’intelligence humaine.
aralyse l’action d’un organe. « Avec quarante becs de gaz , il fait
croire
à l’obscurité : avec île l’eau, il fait boire du
lée, a voulu s’assurer, par un geste, de la vérité des contours qu’il
croyait
aussi admirer dans Fatma ; mais la volonté du pro
’empreinte des doigts laissés sur la boiserie et sur les tiroirs, 011
crut
pouvoir conclure que le voleur demeurait dans la
et prétend avoir été triché, puis refuse au garçon de payer ce qu’il
croit
avoir gagné. « M. Philips cède et paie, puis il
cache derrière un rocher qu’il désigne (c’était une chaise), puis il
croit
ramasser des pierres, les lancer dans l’espace à
on : c’était de l’ammoniaque pur!... « Que dire après ces faits?...
Croire
, parce que la science est grande ; espérer, parce
surdmn, s'écriait saint Augustin. Plus heureux que le •converti, nous
croyons
ici à ce qui est rationnel et consolant. . L. T
e. C’est alors qu’il s’était trouvé avec ces deux hommes lorsqu’il se
croyait
en compagnie de deux loups. « Les onze assassin
elui d’un personnage historique mort depuis longtemps, et que nous ne
croyons
pas à propos de nommer, parce que nous n’avons pa
ommunication et l’invitation que vous avez bien voulu me faire, et de
croire
à mes sentiments de haute considération. « rost
de la brochure, reçue sans examen, pourrait lui occasionner, que j’ai
cru
devoir prendre la plume. .Te vais indiquer à mes
défaut de contradicteurs plus compétents , j’ose me présenter, et je
croirais
vous faire injure en sollicitant l’insertion de m
rédulité négative, qu’on le sache bien. On est crédule en refusant de
croire
, comme on est crédule en croyant. Ceux qui s'endo
onvictions indépendantes. Nous 11e conservons rien, parce que nous ne
croyons
à rien, et nous 11e croyons à rien parce que nous
us 11e conservons rien, parce que nous ne croyons à rien, et nous 11e
croyons
à rien parce que nous adoptons une fois pour tout
omme un autre quand on a commencé à parler des tables; j'ai refusé de
croire
avant d’avoir vu ; même après avoir vu, j’ai tenu
ait attendre : le chiffre inscrit sur le papier était zéro! Ceux (jui
croient
à une action involontaire voudront bien expliquer
ssi. « Il nie semble que ceci signifie bien quelque chose. Ceux qui
croiraient
que la combinaison des forces involontairement ex
-nerait-on encore ? La Société royale de Londres, « qui n’a >i pas
cru
manquer à sa dignité » en s'emparant de choses pa
que tout le monde respecte et pour lesquelles j’éprouve (on peut m’en
croire
) autant de respect que qui que ce soit, se doiven
la réalité de ce qu’admet si positivement l’Écriture, il cesserait de
croire
ce qu’a dit Jésus. La science est et sera toujo
t pensé que la peur saisirait les chercheurs, si on parvenait à faire
croire
que l’agent magnétique pourrait bien venir du mal
d’une puissante vérité. En agitant tous les esprits faibles, ceux qui
croient
tout sans examen, on peut réduire au silence ce p
-être d’oser élever des doutes. Et cependant, nous l’avouons, nous ne
croyons
pas que le phénomène de la table tournante puisse
asse l’expression, avec recueillement. Quelle en est la cause ? Je la
crois
assez complexe ; mais il ne se rencontre dans les
de chapeaux sont presque tous de bonne foi, mais ils se trompent. Ils
croient
, par un acte de leur volonté ou par une émission
ne autre explication du fait, une autre théorie du phénomène, et nous
croyons
qu’il est nécessaire de chercher l’une et l’autre
« Est-ce bieu une force nouvelle qui vient de nous être révélée ? Je
crois
plutôt, pour mon compte, que c’est une manifestat
e portant lunettes et tablier de travail. Sur ce portrait, Vauturin
crut
reconnaître deux ouvriers travaillant dans la m
é de cet état étrange, désigné sous le nom de sommeil magnétique; n’y
croyez
-vous pas, et le tenez-vous d’une façon absolue, r
ar il la cite devant vous pour s’être fait remettre 5 fr., en faisant
croire
à un pouvoir imaginaire, étant endormie ou cemic
s la donnent en pleine connaissance de cause, et, à coup sûr, sans se
croire
le moins du monde victimes d’une escroquerie si f
e si facile à éviter. « 3“ Nous sommes encore accusées d’avoir fait
croire
à un pouvoir imaginaire; mais sait-on s’il est
leur disposition pour dé-ii couvrir et punir les coupables. » h Sans
croire
qu’il soit nécessaire d’attacher une somnambule à
uand Vauturin est venu me consulter, c’est que, probablement déjà, il
croyait
à mon pouvoir. 11 est donc venu à moi, il est arr
la quadrature du cercle ni du mouvement perpétuel. « Avec lui nous
croyons
que l’Académie de médecine a eu tort. lxs faits q
ute la grande et délicate question du magnétisme animal.» On pourrait
croire
, d’après cela, que Cuvier, Laplace, Berzélius, Hu
t tout un monde. C’est ainsi que M. Delaage a mis en épigraphe : « Je
crois
au magnétisme, mais non aux magnétiseurs. » On ne
t ; mais telle n’est assurément pas l’intention de l’auteur, car s’il
croyait
qu’il n’y a parmi nous personne d’honnête, il se
d'aucune impression déposée dans son esprit par le magnétiseur; il se
croit
affranchi de toute influence, il se flatte d’avoi
t est certain, je me retire de vous. Un autre encore me crie : — Je
crois
au magnétisme agent physique ; et lorsque vous vo
eu, et d’une voix flûtée et railleuse : «Monsieur le sénateur, vous
croyez
donc aux tables parlantes ? — Moi, madame ! Qui
’est-ce pas? — Certainement, madame, j’en fais tourner, mais je n’y
crois
pas. — Pourquoi donc en parlez-vous si souvent
raphe électrique : je fais jouer l’un et je me sers de l’autre sans y
croire
. — Comment! monsieur, vous ne croyez pas au tél
t je me sers de l’autre sans y croire. — Comment! monsieur, vous ne
croyez
pas au télégraphe électrique? — Non, madame.
é sans garantie ilu gouvernement, comme le daguerréotype. — Vous ne
croyez
peut-être pas non plus au daguerréotype? — Est-
croyez peut-être pas non plus au daguerréotype? — Est-ce que vous y
croyez
, madame ? — Certainement, j’ai fait faire mon
e; car si gracieuse et si jolie que vous soyez, madame, je ne saurais
croire
que le soleil soit assez galant pour descendre da
pour mon portrait, sans y rien comprendre, et, par conséquent, sans y
croire
; car je ne crois que ce que je comprends : j’ai
sans y rien comprendre, et, par conséquent, sans y croire ; car je ne
crois
que ce que je comprends : j’ai eu le malheur de n
n ami, la terre tourne » ; je lui répondais sans hésiter : « Je ne le
crois
pas » ; car je sentais (pie la chose était imposs
pareilles erreurs à la jeunesse, car il y a de ces bonnes natures qui
croient
tout; quant à moi, je ne crois à rien, et j’ai to
car il y a de ces bonnes natures qui croient tout; quant à moi, je ne
crois
à rien, et j’ai toujours eu lieu de m’en félicite
e l’académicien et de l’homme d'Etat. — Vraiment, monsieur, vous ne
croyez
pas que la terre •tourne ? — Mais le croyez-vou
ment, monsieur, vous ne croyez pas que la terre •tourne ? — Mais le
croyez
-vous, madame? — Certainement; les savants.....
e femme qui se respecte, une femme qui a de la pudeur, ne devrait pas
croire
¿.ces choses-là. — Et pourquoi donc, monsieur ?
acher cette merveille à aucune loi magnétique, comme sont portés à le
croire
MM. Begué et Xiffre. « Nous pourrions peut-être
ffre nous l’a donnée dans le Journal des Pyrénées du 21 juin, nous la
croyons
possible ; mais nous n’avons jamais pu obtenir do
bien plus merveilleux encore à nous apprendre. « Nous avons lieu de
croire
qu’il livrera bientôt à la publicité sa nouvelle
nges à donner au zèle de cet infatigable magnétiseur. « Veuillez me
croire
, monsieur le rédacteur, votre très-humble et très
nay). ÉTUDES ET THÉORIES. DES ESPRITS. (5° Article.) Vous qui
croyez
la chaîne des êtres terminée à l’homme, qu’il n’y
gueil, nous font redouter le jugement et la censure d’hommes que nous
croyons
placés très-haut dans l’estime des autres, et par
même manière; ils l’ont vu dans les scènes nocturnes du sabat; et je
crois
plus à la terreur de tous ces gens-là, à leur tém
âtre et le berger, et si nous voulions publier la liste des hommes qm
crurent
à Satan et qui le virent, on serait tout étonné d
on rôle n’a jamais été plus actif et mieux rempli. On serait tenté de
croire
que la mort du divin Sauveur n’a rien sauvé; car
nt dont on le savait porteur se retrouvait dans ses vêtements, on dut
croire
qu’il avait lui-même attenté à ses jours, ainsi q
ante : Vorneuil, 10 juillet 1853. a Monsieur le rédacteur, « Je
croyais
qu’on ne parlait plus des tables qui tournent, qu
merveilleux résultats de l’action de l’homme sur l’homme, et qui ont
cru
tout de suite qu'une table peut marcher, entendre
la touchent ; sans avoir remarqué que la nature, malgré sa puissance,
croit
encore devoir donner des muscles, un cerveau à to
urner la table, le mouvement involontaire s’opère, et des gens qui ne
croient
point au magnétisme crient au miracle, font lever
un peloton qu’un coup de patte vient de faire rouler? Le chat qui le
croit
animé le poursuit, mais recule effrayé quand son
icité du regard, et la conscience du bien que l’on veut faire. « Je
crois
donc que dans notre monde matériel, l’esprit de l
e aux maîtres dont les travaux nous ont tracé le chemin. S’il faut en
croire
M. Ba-ragnon, le magnétisme n’est, jusqu’à présen
a vie a été consacrée au bien de l’humanité. M. Baragnon peut-il donc
croire
que jusqu’ici le magnétisme n’a rien été; qu’à lu
extraordinaire ne peut exister qu’à condition d’être infinie, et qui
croient
nous faire une objection formidable en nous somma
dversaires du magnétisme qui, en criant au ridicule, au fanatisme, se
croient
dispensés d’examiner, et déclarent péremptoiremen
c’est marcher sous la bannière de ceux qui, en conspuant Mesmer, ont
cru
tuer le mesmérisme. A.-S. MORIN. Le Gérant :
ttre dans l’insensibilité à l’aide du magnétisme. « Est-ce que vous
croyez
que cela est possible ? » me dit-il, avec un air
essaire, que le dentiste, qui riait déjà sous cape, paraissait ne pas
croire
à la possibilité de produire l’insensibilité à l’
oigt, s’abaisse assez pour livrer passage au davier. Le magnétiseur
croyait
le moment propice ; mais ici encore il avait comp
après quoi la malade a dit se bien trouver, et s’est endormie. On a
cru
d’abord que c’était une faiblesse, réaction inévi
principales qu’établit M. le Dr Piégu (1) peuvent exister, et, je le
crois
, existent réellement, mais ne peuvent être admise
: « ....Quoique depuis un an vous n’ayez reçu de mes nouvelles, ne
croyez
pas, monsieur, que mon zèle pour la pratique et l
ile de convaincre la classe riche ou aisée, c’est-à-dire lettrée, qui
croit
que ce qui n’est pas enseigné dans les écoles n’e
presque moi-même, mes parents étant eux-mêmes pauvres. Cependant, je
crois
jouir d’une bonne réputation. Lorsqu’il y a quelq
tout ce que je viens de vous dire, monsieur, si vous mç connaissez et
croyez
que je sois utile à la société (non pas pour fair
, débite avec aplomb quelque banalité, se hâte de conclure, et semble
croire
que le lecteur ne peut rien demander de plus. 1
s écrivains qui, aujourd’hui, dissertent sur la nature de l’homme, ne
croient
pouvoir le faire sans s’occuper du magnétisme qu’
vouloir reprendre de plus belle le privilège d’occuper le public, je
crois
qu’il ne sera pas sans intérêt de rapporter ici l
oqueris-nc latinè? garda le silence le plus complet, ce qui permet de
croire
que l’instruction publique n’est pas fort avancée
ière puissance est démontrée comme étant naturelle, il est absurde de
croire
, comme cela s’est fait jusqu’alors, que le diable
à parler du diable? Je suis si plein de mou sujet, que l’on pourrait
croire
que je le vois partout sans pourtant oser le dépe
es de cette pauvre fille se disloquaient de telle sorte tpi’on eût pu
croire
à la rupture des tendons et des muscles; puis tou
a malade allait mourir; car sa gorge se serra tellement qu’on pouvait
croire
qu’une main puissante la comprimait avec effort.
que, cet homme est jésuite, ou d’une crédulité à toute épreuve. Je ne
crois
pas un mot. de tout ce qu’il nous dit. Conserve
marqués du doigt de Dieu pour le triomphe du magnétisme, j’hésitais à
croire
qu’il me fut possible de produire des effets semb
di de ce succès, que mes mains abandonnèrent son corps, je ne pouvais
croire
ce que je voyais et entendais. Ce moment me fit p
erac. FAITS ET EXPÉRIENCES. 1° LUCIDITÉ. — VUE A DISTANCE. Nous
croyons
être agréable à nos lecteurs en leur donnant conn
nes, 011 vint à parler magnétisme. Aucune des personnes présentés n’y
croyait
. Je leur proposai d’essayer de les convaincre, ce
dix minutes. Le fait, vérifié le lendemain, s’est trouvé exact. —
Croyez
-vous au magnétisme ? — Je ne sais pas ce que c’
chaîne de montre, j’en suis sûr. Alors cette dame s’écrie : — Je
crois
qu’il a raison. Elle me prend la bourse , l’ouv
qualité de ses prétendues dupes. « Mais de deux choses l’une: on le
croira
de bonne ou de mauvaise foi. « Dans le premier
enthousiasme, peut-être foi irraisonnée à l’espèce d’apostolat qu’il
croyait
naïvement avoir reçu de Dieu; mais aussi, austéri
foi, la prévention d’escroquerie devient inadmissible, et alors vous
croirez
à sa puissance ou bien dénierez; si elle est vain
s effet, n’enlèverait à Chevalier la confiance d’aucun de ceux qui se
croient
guéris par lui, ne leur persuaderait qu’ils souff
commun avec les pratiques somnambuliques de tous les charlatans. Je
crois
que mon nom, ma réputation, l’attrait de la nouve
; on me tiendra compte de mes efforts, et j’aurai mérité, j’aime à le
croire
, la sympathie de tous les gens de cœur. Baron D
relative aux tables tournantes. L’auteur, qui se dit médecin, u’a pas
cru
devoir se nommer. Son nom se serait cependant tro
. Faraday, Babinet, Foucault, Chevreul, etc., à l’exemple desquels il
croit
devoir protester contre une si grosse absurdité.
ec cette pensée qu’il a publié son article ; aussi M. du Potet a-t-il
cru
devoir adresser au journal en question la lettre
corde dépendu dans sa po-« clie. » Deschamps, quoique très-religieux,
croyait
à l'efficacité de ce talisman, et, depuis de nomb
ats qui ne pouvaient s’expliquer que par des causes plus difficiles à
croire
que le magnétisme. — Vous autres de la science
voiler la fourberie aux ignorants comme moi. Jusqu’à nouvel ordre, je
crois
au magnétisme sans croire aux magnétiseurs. « J
gnorants comme moi. Jusqu’à nouvel ordre, je crois au magnétisme sans
croire
aux magnétiseurs. « Je le menai voir un somnamb
oléons, nous comparons tout à Napoléon, nous datons de Napoléon, nous
croyons
que Napoléon nous porte bonheur : c’est donc au m
olonté, je faisais tomber cet homme qui est là devant nous? — Je ne
croirais
nullement, répondit-il, car on tombe sans être ma
des doigts qui le soutiennent. D’après mes propres observations, je
crois
pouvoir conclure que ce phénomène n’est déterminé
rsonnes qui le soulèvent sont gonflés d’air. Cette expérience fut, je
crois
, d’abord répétée en Angleterre, il y a peu d’anné
, et que l’on appliquât la force de six individus à cette planche. Il
croyait
qu’il était nécessaire que les porteurs communiqu
i permit à peine de me répondre : «Monsieur, i- me dit-elle enfin, je
croyais
que vous auriez bien voulu « endormir votre demoi
ade sentit dans les viscères de l’abdomen quelque chose d’étrange, et
crut
remarquer que la perte était moins forte; huit jo
à la folie... les tables font des fous... Voyez-vous ces sages qui se
croient
encore au temps de Galilée? Vous n’y ôtes plus, m
vant saint Augustin, soigneusement distinguer, savoir est : entendre,
croire
et opiner. « Celui-là entend qui comprend quelq
nd qui comprend quelque chose par des raisons certaines. * Celui-là
croit
, lequel, emporté par le poids de quelque grave et
sens. « Nous devons cc que nous entendons à la raison, ce que nous
croyons
à l’autorité, ce que nous opinons à l’erreur. »
ixe et nuageux, a rendu sa pensée d’une manière claire et concise. Il
croit
que le magnétisme est la cause du mouvement des m
ons formulées dans ce petit écrit émanent d’une personne endormie, on
croirait
que c’est l’œuvre d’un médecin. BRUYAS. Le Gé
illez, monsieur le baron, agréer l’assurance de mes sentiments, et me
croire
votre très-obéissant serviteur. Th. capern. (
t de créer un nouveau genre de charlatanisme. » D’autres affectent de
croire
au magnétisme : — « Mais, disent-ils, c’est un mo
imposant leur titre et leur autorité quand il s’agit de santé. On les
croit
, on adopte leur jugement sans s’informer en rien
Vous êtes tenus pour incompétents ; votre antagoniste est tout. On le
croit
, on est son ami ; dans le cas contraire, il s’imp
mme étrangère. « Le mari, surpris de cette hallucination, refuse de
croire
aux pressentiments de sa femme, mais elle menace
et n’ayant pas d’autre prétention. Est-ce que l’artiste, nous dit-on,
croit
à ses conceptions ? L’auteur du Petit Poucet crai
et il a le droit de semer les fictions à pleines mains. Mais il doit
croire
à son idée, ou bien, au lieu d’être un poète, il
x devant les dieux qu’il chantait; les auteurs des Mille et une Nuits
croyaient
cer- tainement aux fées; si Pygmalion devient a
t Eugène Sue; mais en le lisant, nous sommes devenu de ses amis; nous
croyons
le connaître et pouvoir répondre de sa sincérité.
l’incrédule encroûté, qui nous déclare que quand même il venait il ne
croirait
pas? Bon nombre d’anathèmes sont retombés comme
t la pré* vision, peu importe quant à la question qui nous occupe. Ne
croit
-on que ce qu’on explique?... Sans doute, en prévo
, lui semblent autant d’avant-coureurs de la catastrophe dont elle se
croit
menacée. Un concours étrange de circonstances l'a
est là le nœud de la question. Voyons comment il l’interprète. « Je
crois
, dit-il, avoir suffisamment démontré, pour des ho
eur avis s’étaient appuyés sur des raisonnements semblables, il est à
croire
que la théologie ne se serait pas mêlée du débat,
pro- visoircmeiit de facultés identiques à celles des somnambules?
Croit
-on que le fluide magnétique soit une force pureme
me quittant, il appela tous ses commis pour leur montrer un homme qui
croyait
avoir vu, et me dit r « Vous voyagez? Eh bien !
x d’une dame ; mais, d’après ce que l’on m’avait écrit, je dis que je
croyais
que la somnambule se trompait en prétendant que c
eu seul nous voit, et vous pouvez compter sur ma discrétion.'.... «
Croyez
-vous donc, monsieur le curé , que si la jeune fil
er qu’ils soient partout imités. Tandis que beaucoup de magnétistes
croient
que nons nous bornons à la seule expérimentation,
ser son orgueil ; n’attendant rien de la reconnaissance humaine, nous
croyons
seulement obéir à un devoir sacré. «Si vous gué
cette malade, nous disait, un médecin distingué, le major Cléver, je
croirai
tout possible, et signerai des deux mains tout co
re ; c’était, selon ces personnes, un jugement de haute raison, elles
croyaient
faire preuve d’une grande sagesse en insultant l’
erez et vous aurez des garde-robes, à ne pas les compter. » Vous ne
croyiez
point, vous vous découragiez sans cesse, mais ma
miste renommé de Paris, en injectant des nerfs avec du mercure, avait
cru
y voir un canal central, mais M. Raspail a démont
e des espèces de cordes élastiques agissant par vibration. Galien les
croyait
des tuyaux de la plus grande finesse, destinés à
ait pas été suivie de « l’épilepsie : car c’était son habitude, et je
crois
qu’il en agis-« sait ainsi parce qu’il avait rema
de vue qu’ils envisagent cette grande et importante question. « Je
crois
avoir suffisamment démontré, dans les deux dernie
grave désordre, ainsi que je viens de l’indiquer, on pourrait, je le
crois
, obtenir d’excellents résultats de l’acupuncture.
ndiqué par Mesmer. Voici, sur le massage, un extrait qu’on pourrait
croire
écrit exprès pour nous. « Le massage qui, à lui
t d’abord, et je ne masse que quand la magnétisation n’a pas suffi.
Croiriez
-vous, lecteurs, qu’un médecin magnétiseur est ven
, les dents serrées; il y avait congestion cérébrale et délire ; elle
croyait
voir encore les objets qui l’a- to.vu XIV. — N°
usiasme, il retrouve momentanément une force dont il ne se serait pas
cru
capable une heure auparavant. Cependant, comme le
à vous adresser. Si vous daignez la recevoir, comme nous aimons à le
croire
, je ne doute pas un seul instant du succès qui no
obstacles qu’il aura fallu vaincre pour établir le principe nouveau.
Croyez
-le bien, mon clier collègue, on citera nos noms c
ez donc, mon cher ami, l’assurance de mon inaltérable attachement, et
croyez
que je serai glorieux de vos propres œuvres. Ba
triomphante d’une lutte inévitable et bien plus prochaine que l’on ne
croit
. Ah! grands maîtres des écoles! vous haussez le
sant en présence des gens sincères qui ont selon vous la faiblesse de
croire
au magnétisme. Si c’est par ignorance que vous ag
ois, le trouvant endormi sur un coffre dans la cabine, ils lui firent
croire
qu’il était tombé par dessus le bord et l’exhortè
a tente et manifestement très-ennuyé par la canonnade. Ils lui firent
croire
qu’il était au feu, sur quoi il exprima une grand
nce qu’il était aussi léger qu’une plume. Nous avons toute raison c’e
croire
que le caractère de cette personne la plaçait au-
, complètement échoué. En conséquence, nous sommes fortement enclin à
croire
que la relation entre le mesmériseur et le somnam
phénomènes supérieurs du mesmérisme, extase, apparitions, etc., nous
croyons
que, sans les regarder comme le résultat de la fr
qu’on doute de l’indépendance de son caractère; mais il est permis de
croire
qu’il n’a pas vu assez de cas pour former sa conv
nes qu’elle répare; morale, elle agit sur l’âme, à laquelle elle fait
croire
, et qu’elle débarrasse de ses souillures ! Je p
ied, suivant le commandement qui en est fait. Beaucoup de personnes
croient
qu’une volonté ferme et soutenue est nécessaire à
i s’est passé. Des médiums. Des personnes douées de cette faculté
croient
que des esprits leur apparaissent et qu’ils nous
! « — 11 y aura absence d’esprit. » J’avoue que j’ai été tenté de
croire
que l’interlocuteur se trouvait précisément dans
trouvait précisément dans ce mauvais cas. En général, tous ceux qui
croient
à l’intervention des esprits ont une doctrine dif
terre n’existe pas, quoiqu’il admette un esprit des mondes. Les uns
croient
à l’immortalité de l’âme individuelle, les autres
par le comte de Lude. L’état dans lequel entrent les médiums n’est,
croyons
-nous, qu’un degré différent du somnambulisme et d
me tout le monde, j’essayai d’obtenir le phénomène nouveau, sans oser
croire
à sa réalité, tant il me paraissait en dehors des
personnes dont la bonne foi m’était connue et chez lesquelles j’avais
cru
remarquer une puissance plus grande. La table qui
cloison voisine de son lit font entendre des craquements qui feraient
croire
à leur dislocation complète. Ce jeune homme attri
cience infuse ! idées innées! criera-t-on. Qu’importe. J’aime micuv
croire
aux trésors intellectuels de l’esprit humain se m
sserait à une organisation supérieure. Quant à présent, je ne saurais
croire
qu’à des causes physiques inconnues encore, mais
e du somnambulisme magnétique et de ses plus éclatants phénomènes. On
croirait
ces lignes échappées de la plume de Deleuze ou de
t le nom qu’il lui donne et sur lequel nous ne le chicanerons pas, il
crut
, pour l’acquit de sa conscience et de sa raison,
tous leurs rapports, paraissent jouer ici le rôle principal. » Nous
croyons
surabondant de compléter la pensée de l’auteur en
science ! Qu’on en juge par l’histoire de la question présente. A en
croire
certains auteurs, il fallait regarder le mesméris
re que quant à celui-ci, tout en n’en contestant point les effets, il
croit
qu’il ne serait pas sans danger et sans témérité
ignorance et de l’abus qu’ils en peuvent faire? Résumons-nous. Nous
croyons
fermement que la mission des écrivains se rapport
tielles à l’existence de la société et au bonheur de l’humanité. Nous
croyons
que, dans les temps où l’esprit public est saisi
eur bien-être, la tranquillité de leur esprit et de leur corps, et se
croient
, à ce prix, amplement dédommagés des lumières don
Nous nous arrêterons là. Quelque incomplet que soit ce travail, nous
croyons
en avoir assez dit sur le remarquable ouvrage don
ent et leur parlaient. J’avais moi-mûme communication avec eux, et je
crois
même en avoir vu. Je n’ai jamais cru que mon ch
ommunication avec eux, et je crois même en avoir vu. Je n’ai jamais
cru
que mon chien et moi nous soyons égaux, ni dans l
le corps réduit à la môme nullité que les objets inanimés. Je ne me
crois
pas suffisamment éclairé encore pour donner mon v
même, mais je n’ai pu y réussir : les facultés extatiques me font, je
crois
, complètement défaut. C’est sans doute à l’aide
pas. Vous savez que l’enfance jouirait d’une seconde vue, si l’on en
croit
certains auteurs. Enfin tous ceux qui ont habité
r obstacle, celui qui arrête ordinairement les gens timorés, ceux qui
croient
qu’il n’y a rien au-delà du sensible. Vous êtes e
ttendue, si surnaturelle, que je ne sais pas comment je perçus, et je
crois
qu’il est impossible, faute de mots, de rendre
fait l’honneur de le mentionner clans le Journal du magnétisme, j’ai
cru
devoir vous donner quelques détails sur ce qui a
relation d’un pari ridicule entre deux médecins, à propos duquel j’ai
cru
devoir les combattre tous les deux, afin de prouv
t pas. Cette remarque mérite les réflexions des esprits sérieux. Je
crois
qu’une pensée accompagnée d’une intime conviction
a employé un autre argument qui est loin d’ètre concluant et que nous
croyons
devoir signaler. Le rituel ecclésiastique compte,
’il pourrait, par exemple, recourir à cette ruse dans le but de faire
croire
qu’il n’est pas un diable et d’inspirer une confi
ement qu’il s'y trouvait des caractères des trois époques. Nous avons
cru
devoir citer ce fait pour le mettre en balance av
ns de sages limites, pour le traitement médical. Voici comment nous
croyons
devoir classer l’emploi des nouveaux moyens de gu
par Mesmer, me parait mériter une étude sérieuse et approfondie. Je
crois
que l’on pourrait surtout retirer un immense avan
rte raison d’en expliquer la cause; bien plus, alors que le malade ne
croit
pas à sa maladie et se considère comme parfaiteme
on est plus morale encore que physique. D’après cela, on pourrait, je
crois
, en venir à classer les individus mordus dans dif
es sur les épaules et le long du bras, je la vis fermer lesyeux... Je
crus
tout d’abord que ce n’était que l’effet de la fat
e notre pauvre nature humaine que nous appelons notre raison, et pour
croire
, il faut que nous touchions. Tous étaient des inc
ide, dans une organisation souvent faible, qui se livre d’ailleurs et
croit
, dans le moindre trouble de ses sens, apercevoir
duquel son imagination le soumet. 11 obéira alors à un ordre que vous
croirez
n’avoir pas exprimé du tout et que réellement vou
brutale, sous forme d’argument, est celle-ci : Je vois, mais je ne
crois
pas, parce que cela ne doit pas être possible. Et
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne
crois
pas, parce (pie cela ne doit pas être possible. E
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne
crois
pas, parce que cela ne doit pas être possible. Et
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci ; Je vois, mais je ne
crois
pas, parce (pie cela ne doit pas être possible. E
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne
crois
pas, parce que cela ne doit pas être possible. Et
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne
crois
pas, parce (pie cela ne doit pas être possible. E
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci ; Je vois, mais je ne
crois
pas, parce (pie cela ne doit pas être possible. E
sistible. Il n’y aurait à tout cela, celle-ci : Je vois, mais je ne
crois
pas, parce que cela ne doit pas être possible. Et
idées trop métaphysiques des anciens sur la nature du principe vital,
croit
encore à l’existence de ce principe comme force e
de l’existence d'un agent impondérable dans l’organisme humain ; nous
croyons
que cette doctrine peut seule combler l’immense l
fut prise d’une diarrhée considérable et d’une fétidité extrême ; on
crut
qu’elle touchait à ses derniers moments; mais on
sources sont parfois merveilleuses. « Les personnes religieuses ont
cru
reconnaître dans cette cure inespérée l’intervent
ons de la science, il ne peut en être autrement. Les peuples sauvages
croient
bien que lorsque la lune est éclipsée, elle serai
ute la modestie de son auteur ; car, en la traduisant en style un peu
cru
, voilà ce qu’elle veut dire : L’art ne pouvait
des sauvages, ou à moi-même, qui n’ai pas l’habitude de hurler, et je
crois
que j’aurais réussi (1) L’Aeadémic avait bien c
e hurler, et je crois que j’aurais réussi (1) L’Aeadémic avait bien
cru
qu’après le hurlement do tous scs membres contre
n-être qu’elle n’avait pas encore éprouvé, et le moment que M. Masson
croyait
être celui de la dernière heure, était précisémen
abeur aussi. Ce n’est pas toujours une douce tâche, on peut nous en
croire
, que de disséquer des volumes entiers, pour ne re
’en fait de morale, d’économie politique ou de religion. Ou a peur de
croire
, et quand on croit on a peur de le dire. Aussi
d’économie politique ou de religion. Ou a peur de croire, et quand on
croit
on a peur de le dire. Aussi remercions-nous gra
aut intérêt et de l’étude sérieuse du philosophe et du maçon. Nous ne
croyons
pas exagérer en disant qu’au point, quoique impar
plus fervents n’accuseront pas M. Ragon de timidité, nous aimons à le
croire
, et franchement nous ne voyons pas ce que l’exige
ous prononcer sur cette question, nous nous bornerons à dire que nous
croyons
toute loi absolue à cet égard, formulée un peu pr
ndhuc sub judice lis est. M. Ragon explique d’une manière que nous
croyons
nouvelle, mais, en tout cas, fort ingénieuse, quo
ture, pareille au tonneau des fdles de Danaüs. Nous avons seulement
cru
devoir constátenme opinion que nous laissons à de
i de légères secousses nerveuses qui iront toujours en diminuant. —
Croyez
-vous que quatre magnétisations suffiront pour vou
Le 7, les vertiges ont cessé. Le 12, lourdeur générale. La malade
croit
que son époque menstruelle se prépare. Bain de pi
ieds sinapisé. A neuf heures, l’oppression est si forte que la malade
croit
étouffer. La face est d’un rouge violet, la peau
lir la vérité sur ce point. Dans le paragraphe dans lequel M. Ogier
croit
traiter et trancher en trois pages la question de
un mot. L’honorable M. Ogier prétend en outre que « tous ceux qui
croient
à l’intervention des esprits ont une doctrine dif
tte époque, par une personne qui a bien connu Javary, que-celui-ci se
croyait
animé par l’âme de Jésus-Christ. Quant à la cro
apportent les condamnations dont on vient de lire l’énoncé. 11 n’y a,
croyons
-nous, pour le moment, qu’un seul procès de cette
tes parts : Nous ne comprenons pas comment cela se fait, doue nous ne
croyons
pas.,. Est-ce que vous comprenez comment la vib
main se meut quand vous cherchez à la mouvoir? Pourquoi le fou qui se
croit
un ballon immense étoulfe-t-il en passant à trave
it a d’ailleurs cela de bon que pour exister il n’a pas besoin d’être
cru
; il existe, donc il peut exister ; et qnelque ab
miracles à l’aide de gros barreaux aimantés ; là, c’est un autre qui
croit
dévier l’aiguille des boussoles avec son regard o
éral de la science, et qui intéressera nos lecteurs, nous aimons à le
croire
. G. GOVI. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). I
terniser des querelles. Le plus sage de nos médecins est celui qui ne
croit
point à la médecine et abandonne, par conscience,
. la main le bâton des anciens mages, mais une batte. Et pourtant ils
croient
posséder la sagesse ! « Voici en deux mots l’in
parler ainsi, et pour exalter chez vous le mérite que vous avez eu de
croire
à la vérité et de produire des œuvres de bien ; n
t de la tempête révolutionnaire. Pendant de longues années, on put le
croire
anéanti. Un petit nombre de sectateurs obscurs, f
ci : MAGNÉTOPHOCIE BOUTADE (1). Messieurs, depuis longtemps, je
crois
au magnétisme, Et je le sais par cœur,... comme
nétisme, Et je le sais par cœur,... comme mon catéchisme. Oui, je
crois
au principe actif, obéissant, Que Mesmer maîtri
ctif, obéissant, Que Mesmer maîtrisa de son doigt si puissant. Je
crois
que ce principe, — esprit, âme ou fluide, — Tou
L’esclave et le tyran,... peut-être aussi le singe. Voilà ce quo je
crois
. Sur ce, messieurs, salut!... Mais ne concluez
ompeux début, Que j'estimo votre art, que j’y sois favorable : Je
crois
au magnétisme, ainsi qu’on croit au diable... A
e art, que j’y sois favorable : Je crois au magnétisme, ainsi qu’on
croit
au diable... Ah ! ah! ce nom maudit vous réveil
gnalement du voleur d’une manière si complète, que la dame Philippe a
cru
reconnaître dans cette désignation l’un de ses lo
ait 10 fr., et qu’ayant remis à M. Mongruel une pièce de 20 fr., elle
croyait
que celui-ci en rendrait la moitié, mais qu’il la
donc, pour ne point passer pour des charlatans, que nous renoncions à
croire
à ce qui est vrai, à ce que la nature manifeste c
du magnétisme, au lieu de celle curative que j’ai employée ; mais je
crois
qu'en faisant usage de cette dernière, j’ai non d
c’est ce que je vais essayer de vous faire comprendre comme moi. Je
crois
, en effet, que tous ceux qui ont écrit sur la thé
lle est antérieure à. l’organique. « Les matérialistes, dit-il, qui
croient
pouvoir tout expliquer par une altération anatomi
rien ajouter. Votre opinion n’est point à faire à cet égard, et pour
croire
, nous n’avons tous qu’à consulter nos souvenirs d
ôt à l’usage de quelques tasses d’infusion de petite centaurée. Je me
croyais
complètement débarrassé, et mon médecin partageai
s avis ne différaient pas moins que les remèdes. Un savant docteur me
croyait
atteint de la pierre ; un autre, non moins savant
s frictions d’éther qui réussirent à merveille, et sans lesquelles je
crois
que je serais devenu enragé. Chaque jour on lui f
ncore, les douleurs revinrent plus vives que jamais, et telles que je
crus
devoir me lever de mon lit afin d’essayer si je p
endu, le mal était fait, et il était réellement si affreux, que je me
croyais
perdu ; et telle fut aussi l’impression qu’éprouv
lla minutieusement ma maladie, et m’indiqua le traitement qu’elle lui
croyait
approprié. Je le suivis très-scrupuleusement pend
on matérielle, cet argument pratique, si je puis m’exprimer ainsi, je
croyais
les devoir à l’appui de la démonstration théoriqu
personnes de venir se faire soigner par notre système, c’est qu’elles
croient
généralement que le sommeil est indispensable au
à la question suivante : Le diable n’y est pour rien, au moinsf Ne
croyez
pas que celte question nous soit adressée par des
à empêcher le retour de pareils faits. On l’isola complètement, et je
crois
même qu’il fut question de l’exorciser. Le Diable
talement : « Je ne veux pas de Satan ! Je ne veux pas de Satan ! » Il
croyait
que le magnétisme était aussi l’œuvre du démon.
us poursuivions de préférence, ils auront été désappointés. C’est, je
crois
, ce qu’il y a de plus certain. Seulement, il est
vérité et qui appelons le débat afin de la faire triompher, nous nous
croyons
obligés de répondre à M. Segond et de l’analyser
il paraît, rien à faire dans ce débat. Mais vous vous trompez si vous
croyez
lasser notre patience, et, pour répondre à chacun
ers mécaniciens de France, c’est-à-dire du monde. Et il y a aussi, je
crois
, à l’Académie des Sciences, une section de mécani
e le d. m. sacramentel a le droit et le devoir de conspuer ce fou qui
croit
ce qu’il voit, qui a le courage de le dire et l
i dont nous avons maintes fois constaté l’exactitude; et tout porte à
croire
que si la dame en question avait, dans son état d
ls la doivent indistinctement exercer. « La lettre que la société a
cru
devoir écrire en réponse à un article de Y Arista
, que la vertu de l’exorcisme est d’autant plus rare, qu’on semble la
croire
plus facile et plus commune. « On dirait, à l’e
suffisait pour chasser le démon par le nom de Dieu? Je ne peux pas le
croire
. » « Quoi ! le vénérable évêque qui a expérimen
qu’il fait dans une pièce voisine du lieu des expériences. Il est à
croire
que le R. P. Ventura était, dans cette occasion,
ille ainsi que les miennes, car je n’ai pas la sotte prétention de me
croire
infaillible. Je vois avec plaisir que M. de Mir
n homme avec mon frère, et, par le signalement qu’elle m’en donna, je
crus
reconnaître un moine capucin. Ce moine, interrogé
la bouche de mon frère et du P. Mario évoqué par mon feu frère. Je
crois
en avoir assez dit pour prouver que ce n’est pas
’autant plus d’importance à ce double et mutuel engagement, que je le
crois
comme un grand pas de fait vers un rapprochement,
magnétisme? A moins de ne pas avoir le sens commun, 011 11e peut pas
croire
à autre chose. Mais, s’il en est ainsi, comment s
u expliquer ces choses, mais on ne concevrait pas qu’il ne voulût pas
croire
à leur réalité! On n’entendrait jamais, si M. Seg
us avez raison sur certains faits que vous mettez eu discussion, vous
croyez
avoir anéanti ceux que vous ne connaissez pas,
yez avoir anéanti ceux que vous ne connaissez pas, auxquels vous ne
croyez
pas. Vous raisonnez très-bien sur le magné-lismc
d’en juger à la réprobation dont vous frappez, par exemple, ceux qui
croient
qu’on peut voir sans les yeux dans le somnambulis
e, chose que vous appelez une hérésie physiologique. i Nous savons,
croyez
-nous, tout aussi bien que vous, que c'est avec le
ut aussi bien que vous, que c'est avec les yeux que nous voyons. Nous
croyons
même aux causes finales; nous croyous fermement q
visibles; mais la chose n’est cependant pas aussi simple que vous le
croyez
. Sans parler encore du somnambulisme, ne vous arr
e voit jamais rien en songe, et qu’il est contraire au sens commun de
croire
le contraire. Eh bien ! monsieur, nous en sommes
preuves? Vous nous direz que vous ne l’avez jamais vu, que vous ne le
croyez
pas. Nous vous répondrons que nous l’avons vu un
liquer des phénomènes qu’on ne connaît pas, bien plus, auxquels on ne
croit
même pas? Ceci est encore une de ces contradictio
lectricité ! Qu’01111c lui parle plus de ces fadaises. C’était bon de
croire
à ces billevesées dans ces âges primitifs qu’il a
ype qui la caractérise; elle a tellement besoin d’avoir raison, de se
croire
dans l’ordre que, même dans ses écarts, elle empl
dit-il, liicn mieux que li > savantes considérations de ccu.\ qui
croient
avoir décou\ert la monomanie, peut servir de type
2° Mouvements et circulation rendus plus actifs chez un fœtus qu’on
croyait
mort. Parmi les innombrables services que le ma
nétisme est appelé à rendre à la médecine, il en est un sur lequel je
crois
devoir appeler l’attention des médecins magnétist
egrets à M. le baron du Potet, notre vénéré président, et le prier de
croire
, ainsi que vous, Monsieur, aux sentiments de haut
e et de ses recherches ? La réponse est trop naturelle pour que je me
croie
dans la nécessité de la formu- (1) Mémoire la à
ortés avec conscience par des esprits sans partialité. Mais comment
croire
ce qui est absurde? demande-t-on. Comment ajouter
nt ces conditions? Qui vous prouve, lui répondrai-je, que ce que vous
croyez
impossible l’est en effet ? Qui osera, comme Dieu
chantement. Un garçon de dix-sept ans est mordu par un chien qu’il ne
croit
pas enragé ; il en est quitte pour quelques déchi
iracles n’est pas plus de mise que la simple négation par laquelle il
croit
les anéantir, en disant vaguement que «de nombreu
s de M. Segond, il y en a autour de lui et des plus illustres, qui ne
croient
pas au-dessous de leur dignité et de leur science
e pure illusion. Mais, pour dire ici franchement notre pensée, nous
croyons
que toutes les lumières réunies des plus grands p
e classe d’hommes, égarés peut-être, suivant lui, dans une voie qu’il
croit
absurde, mais honorables après tout par leur cara
dont l’esprit a été frappé de la peur du diable verra des démons, le
croira
et se dira possédé. Celui qui s’est livré aux rêv
travail intérieur de son esprit suffit pour expliquer comment elle a
cru
voir et entendre tout ce qu’elle a raconté. Son e
gile du 15 juillet. « Vous accusez la généralité des médecins de ne
croire
qu’à l’existence de la matière. Cette accusation
pas assez versés dans la science de Mesmer pour nous prononcer. Nous
croyons
aux phénomènes extraordinaires du magnétisme, nou
i toute autre personne, en me voyant ainsi sans mouvement, 011 aurait
cru
à quelque syncope, on aurait couru chercher le mé
de notre thèse plus naturellement peut-être que n’aurait pu le faire
croire
la route un peu longue que nous avons choisie.
l cas, les passes de telle ou telle façon, en tel ou tel nombre. Nous
croyons
cette importance fort contestable, et, dans tous
it mieux qu’un autre, et comme il se fait des habitudes, il finit par
croire
que les procédés qu’il a adoptés sont supérieurs
très-grande importance au procédé que je viens de décrire, auquel je
croyais
une vertu toute spéciale, lorsqu’un jour d’hiver,
econnaître dans la caresse autre chose qu’une sensation de tact, pour
croire
à l’identité de sensation causée par des baisers
des gens qui pouffaient de rire de ce que ( un grand garçon comme moi
croyait
qu’on pouvait faire du bien à quelqu’un en lui ad
e les procédés magnétiques constituent — dès à présent — un art, nous
croyons
qu’on peut adresser d’utiles enseignements à ceux
e puissance héréditairement transmise et entretenue par l’usage. Nous
croyons
même que la race royale de France qui a commencé
les globules homœopathiques, et les frictions de la méthode Raspail,
croit
-on que le magnétisme, — c’est-à-dire la foi des m
Bien que nous n’ayons pas de certitude mathématique à cet égard, nous
croyons
, et nous avons déjà eu l’occasion de nous prononc
ncer sur ce sujet à propos des communications spirituelles (1). —Nous
croyons
au lien entre l’homme et des êtres extérieurs à l
— en priant nous-inêmo et en engageant le sujet à prier, si nous l’en
croyons
capable. La prière, en effet, pour celui qui a
et à la même heure qu’Elisée lui avait dit. § III. f 18. « L’enfant
crut
; et étant un jour allé trouver son père, qui Cla
Nous connaissons une dame qui ne pratique pas le catholicisme et n’y
croit
pas, et qui, par un illogisme explicable, est par
s que deux ans après l'amélioration dont j'ai parlé et qui avait fuit
croire
à uuc guérison absolue, le mal avait reparu. 11
sent rayonnants de foi et de volonté dans l’acte de la bénédiction.
Croit
-on que nous hasardions beaucoup en attribuant au
i pense être en présence de l’ennemi de Dieu et des hommes, et qui se
croit
appelé à le combattre comme en un champ clos ; qu
ssionné résultant — du fanatisme allumé dans l’esprit de celui qui se
croit
le champion de Dieu — de la crainte suggérée par
faisait aucune distinction entre la somnambule et le démon dont il la
croyait
possédée. — Il déclare d’ailleurs qu’il ne songea
c la sensibilité magnétique. Généralement aussi, les faits qui font
croire
à la possession du sujet ou qui le font soupçonne
e qui aurait dû se passer entre le prêtre et le diable auquel nous ne
croyons
pas ; mais, comme magnétiste, nous pouvons affirm
traité de la question magnétique au point de vue démonologique. Nous
croyons
qu’il serait utile de considérer la question démo
é de l’argent, sous le prétexte d'un pouvoir imaginaire auquel il* ne
croyaient
pas eux-mêmes. Puis, d’autre part, on poursuit
n a jamais été plus dangereuse que celle-là, en France, vers l>3 ?
Croyez
-vous qu’alors celui qui avait la con- fiance de
z pas plus avancé pour obtenir une condamnation. » Voici comment je
croirais
devoir choisir le terrain de la (1) L'exercice
ité. XXV. — Conclusions. De ce que nous venons de dire, nous nous
croyons
en droit de conclure : Conclusion principale.
se manifestait spontanément. Dès qu’un individu en était atteint, ou
croyait
l’être, il quittait sa demeure pour errer à l’ave
nt à tous les moyens thérapeutiques connus. Cependant, s’il faut en
croire
la rumeur publique, la femme aurait été soumise à
res à 1111 mètre; elles 11e s’en rapprochent pas davantage, ce que je
crois
, par le souvenir de perceptions analogues, auxque
nt lui, il ne tarda pas à les voir surgir du sein des ténèbres, et il
croyait
les atteindre, quand elles firent place au vide.
; mes sensations res-« semblaient à celles d’un homme ivre. Tantôt je
croyais
en-« tendre des voix qui m’appelaient, tantôt je
s le « jouet de ces illusions qu’il faisait grand jour et que je ne h
croyais
jusqu’alors qu’aux déceptions de la nuit. « Cha
ns contre la fausseté desquelles on n’est point en garde à l’avance :
croire
, par exemple, qu’il existe une rivière là. où on
e, hors du sens commun. A cela, je répondrai qu’il faut avoir vu pour
croire
, et avoir été sous l’influence du ragle. » Cett
dernier phénomène, ce que l’on voit existe réellement ; ainsi, si on
croit
voir de l’eau, c’est qu’il s’est produit réelleme
disparaîtrait par suite d’un tremblement de terre. M. Lafontaine a
cru
devoir, pour rassurer la population, publier, cla
ment, aucune démonstration de nature à ébranler nos convictions. Nous
croyons
devoir soumettre à l’auteur ainsi qu’au public qu
our d’eux des phénomènes bizarres qu’à défaut d’autre explication ils
croient
pouvoir attribuer au démon ; ils ont l'imaginatio
r, sont renversés de peur; et comme la frayeur trouble la vue, chacun
croit
voir... des animaux fantastiques... dont il aurai
t ne pas renouveler la célèbre histoire de la Dent d’or. Nous avons
cru
pouvoir analyser tout son travail par cet aphoris
amais court, et on n’a rien à démêler avec la science. Qu’un malade
croie
entendre des roiæ dam son estomac, c’est, direz-v
en île pareil. En réfléchissant sur la création, nous sommes amenés à
croire
que l’échelle des êtres, qui s’élève depuis la mo
s intelligents; et, comme tout s’enchaîne dans la nature, nous devons
croire
aussi que quelques-unes de ces classes, et probab
n racontant l’histoire de notre globe, elle ne nous a fait une loi de
croire
qu’il n’existe pas d’autre globe pouvant, comme l
de Satan ? Si l’esprit prétend être un démon, nous ne devrons pas le
croire
: car, puisqu’il est réputé menteur, il peut très
arde comme démontré, use librement des lumières de sa raison, sans se
croire
tenu de fléchir devant une autorité quelconque. S
e s’imaginât que l’opération était faite, et pourtant elle ne pouvait
croire
que ce fût vrai. Alors on lui dit la vérité ; ell
ux ; il produisit d’ailleurs de singulières hallucinations; le malade
croyait
sentir l’odeur de rose et d’œillet. Le sulfate de
rir à la pratique du magnétisme. Tout dévoué à cette famille, je ne
crus
pas devoir m’y opposer; mais je restai désormais
arbres. Cette conception me conduisit à marquer d’autres endroits; je
crus
avoir fait une grande découverte, et j’en fis par
à des médications «{>ii peuvent leur coûter la \ie. Quelques-uns
croient
satisfaire aux règles de la prudence en n’accepta
Tes armes contre le somnambulisme. Tout somnambule, lucide ou non, se
croit
en état de résoudre péremptoirement et à première
able siège! Au bout d'un temps, toujours trop long pour le malade, il
croit
enfin l’avoir trouvé : il agit en conséquence, et
té extraordinaire et jouit de facultés exceptionnelles. M. de Séréa
cru
devoir faire une excursion sur la question des ta
es faits pareils ne s’étaient produits qu’une seule fois, on pourrait
croire
à quelque illusion de l’enfant ou des personnes q
ui en font eux-mômes l’objet de leur élude spéciale, pour que nous ne
croyions
pas avoir besoin de les entretenir de ce qu’ils s
tout nouveau à l’observation du penseur et de l’expérimentateur. Nous
croyons
donc utile d’appeler toute l’attention des magnét
assner, dit M. Gauthier, ne ressemblait pas à cet homme si simple; il
croyait
au diable, et, pour opérer des guérisons, il empl
ne voit personne qui ait opéré de pareils « prodiges, et déclare, le
croirait
-on, qu’ils sont l’œuvre du « diable! n « Ce qu’
laquelle tout le monde à peu près, et avec la meilleure foi possible,
croit
bien voir, et la plupart du temps, hélas! ou bien
ute sorte de pièges, et en fin de compte à peu près stérile. « Nous
croyons
que la science, la véritable science peut attendr
même, à l’aide des intérêts et des émotions qui sont mis en jeu. Nous
croyons
, après un examen assez opiniâtre du sujet, que di
e si tout y est naturel, sans mélange de divin, comme quelques-uns le
croient
. Le magnétisme, sans être renfermé dans un cercle
je vais le confesser de môme. Pendant presque toute ma vie, je n'ai
cru
qu’au giron de l'Ecole. Je n’avais, en fait d’idé
se réduisent ou non au mécanisme de notre machine. Des magnétiseurs
croiront
expliquer cette expérience par ce qu’ils appellen
. Mon corps était tout décomposé... » Cette mort, à laquelle 011 ne
croyait
pas, se vérifia tristement. Une lettre du pays ap
é en sursaut par le bruit d’un corps lourd tombant sur le parquet. Il
crut
que son frère avait glissé à bas de son lit et l’
oduire sans aides. Alors les doutes cesseraient de toutes parts et on
croirait
à nos œuvres. Baron DUPOTET. A monsieur Victo
eurs collègues. Pour mieux faire comprendre le sens de ce récit, je
crois
devoir signaler d’abord la nature des rapports qu
réaction soudaine, la chaleur s’y rétablit d’elle-même. Un instant je
crus
que la crise était passée. Mais je ne devais pas
médecin dans de certains cas donnés. C’est pourquoi je vous prie de
croire
à ma gratitude, en insérant dans votre feuille l’
ntérêt local du fait lui-même. En l’accueillant dans votre journal,
croyez
, Monsieur, aux sentiments de parfaite considérati
ndeurs et de richesses, de sciences, d’arts et de poésie, qu’on ose
croire
aux sorts, maléfices, sorciers ! faire appel à l’
nfant me fit tout d’abord m’v attacher. En ma qualité rie médecin, je
crus
devoir faire acte d’autorité en défendant la port
ncore, c’est être sage. Cependant, s’il ne faut pas trop facilement
croire
, il ne faut pas non plus trop facilement nier. Qu
ple téméraire. Il n’est pas de billevesées auxquelles le peuple n’ait
cru
. Que faut-il pour l’amener aux croyances les plus
t cours dans le populaire, uniquement en raison du nombre de ceux qui
croient
, on se composerait un petit ensemble de fort sing
ce qui fait la difficulté. Elle est trop dédaigneuse de ce qu’elle a
cru
n’être pas de sa dignité d’apprendre, c’est là so
uel-les, etc., ont été guéris par son seul attouchement, s’il faut en
croire
ses apologistes. Quelques malades retombèrent dan
dut s’en rapporter aux narrations qu’on lui en fit. De Haen, qui 11e
croyait
pas beaucoup à la magie, .avait établi à Vienne u
ies, soulage instantanément des douleurs, pourquoi se refuserait-on à
croire
que la faculté dont il est naturellement (doué ne
on des démons, mais aussi contre celle des esprits en général h et il
croit
pouvoir rendre compte de tous ces faits anormaux
térieux qui ont joué un si grand rôle, principalement en Amérique, il
croit
pouvoir les expliquer par une ventriloquie involo
marquer la place du raccordement, et qu’à examiner les doigts, on ne
croirait
pas qu’il y ait eu jamais d’accident. Il est bon
eprenait l’as- pect normal ; il y avait des jours où l’on aurait pu
croire
à une guérison parfaite. La malade en somnambulis
magnétisme a déjà publié des relations semblables d’individus qui se
croient
victimes de magnétisations à distance : nous en a
itude. De là naturellement liaine et désir de vengeance. Celui qui se
croit
victime de la sorcellerie, exaspéré par la douleu
un honneur compromettant et abdiquer la qualité de sorcier, on ne le
croit
pas ; ou bien, pour vérifier son caractère contes
vus, ne s’est jamais trouvé en contact avec eux, n’a aucun motif pour
croire
qu’il soit devenu l’objet de leur haine ; il ne
e ; il ne cite aucun lait, aucune circonstance qui puisse autoriser à
croire
que ces hommes s’occupent de lui. Ainsi, non seul
une relation dont chaque ligne est une preuve de folie. Si nous avons
cru
néanmoins devoir nous en occuper, c’est que ces e
ussir à les délivrer de l’obsession. 11 en est de même de ceux qui se
croient
possédés du démon : s’il se présente à eux un per
a déclaration est loin de suffire pour fournir une preuve. Si même il
croit
de bonne foi avoir produit le mal qu’il désirait,
stérieuses dirigées, selon toute apparence, contre lui ; cet homme se
croit
perdu, il voit déjà les puissances infernales se
tiseur, homme charmant, instruit et spirituel, qui a le travers de se
croire
sorcier. Bien des fois je l’ai invité à me donner
e responsable des égarements de quelques-uns de ses partisans qui ont
cru
pouvoir inconsidérément en exagérer la portée et
aucun rapport avec le magnétisme, nous l’insérons pourtant, car nous
croyons
à des attractions d’outre-tombe. Nous recherchero
té de fou, d’halluciné, de candidat à l’asile des aliénés, pour avoir
cru
que les phénomènes qui excitent maintenant l’atte
ette circonstance que ces terres étaient louées lors de sa mort qu’on
croit
être arrivée en 1816, peu de temps après la fin d
une âme, un esprit immortel, et de nier l’existence des esprits ; de
croire
à une autre vie, à un autre monde, et de nier les
habitants du inonde extérieur, lequel ne diffère pas autant qu’on le
croit
de celui-ci, car c’est exactement le même, moins
t cela comme les autres, mais ils n’essaient pas de l’expliquer. Nous
croyons
, nous, que ce sont autant de vues prises dans le
ancés dans la foi ; mais, comme il y a bon nombre de chenilles qui ne
croient
pas qu’elles deviendront papillons, il y a aussi
t papillons, il y a aussi beaucoup de bipèdes si matériels, qu’ils ne
croient
pas pouvoir devenir des esprits; cela leur semble
nc un monde réel pour notre esprit. Dieu n’a pas tant séparé qu’on le
croit
le monde matériel du monde spirituel, car nous vi
son ouvrage en deux parties : le dogme, c’est-à-dire ce que l’on doit
croire
, et le rituel, c’est-à-dire la manière d’opérer p
produire des effets magiques. Dès ces premières notions, nous nous
croyons
en droit de lui faire observer que sa magie n’est
et touché le grand Apollonius? Je ne suis ni assez halluciné pour le
croire
, ni assez peu sérieux pour l’affirmer. L’effet de
e j’ai vu clairement et distinctement sans rêves, et cela suffit pour
croire
à l’efficacité réelle des cérémonies magiques. Ma
r comment s’est formée la conviction de l’auteur qui n’a rien vu et a
cru
sur parole les anciens auteurs dont le témoignage
un homme de bon sens ne peut accepter que ce qui lui est démontré, ni
croire
à une science qui refuse de faire ses preuves. Qu
s infernales, n’était qu’une affreuse et vaine mo-merie. Puisqu'il se
croit
en droit de répudier comme chimérique toute cette
nt il s’exprime : « Pour ce qui est de l'alphabet des étoiles, nous
croyons
qu’il est facultatif, comme la configuration des
uite des progrès ultérieurs de nos connaissances. Dès à présent, nous
croyons
devoir faire remarquer qu’on est loin de s’accord
circulation rendus plus actifs par le magnétisme, chez un fœtus qu’on
croyait
mort, 353. Musique des esprits, 576, 620. Noc
découvertes que firent ces fous sublimes, fous dont Mesmer, qu’on le
croie
bien , n’a pas clos la liste. Mais c’est assez po
e converti depuis trois ans seulement à la cause du mesmérisme , nous
croyons
être suffisamment familiarisé avec elle. L’habitu
étudié plus que jamais. Nous l’avons étudié, et ajourd’hui nous nous
croyons
à môme de pouvoir en porter témoignage par la voi
ompléter. J’ai intitulé ces fragments Causeries sur te magnétisme. Je
crois
que les personnes qui s’occupent magnétiquement d
st sur le point de finir, au moment où , mécontent de vous-même, vous
croirez
n’avoir plus rien à attendre de la nature et de v
i nous anime; et, dans son orgueil et sa vanité, le médecin ordinaire
croit
qu’il est véritablement médecin. Oui, il aura vu
soulagée d’un énorme fardeau et se sentait guérie. Je n’osais encore
croire
à un changement si prompt. Je revins le lendemain
ouver la moindre fatigue. En un mot, la guérison était complète. J'ai
cru
devoir rapporter ce fait comme exemple de cure in
u cœur sépare souvent deux sentiments opposés. J’avais tort de ne pas
croire
, comme vous me le disiez, Madame, que le magnétis
appelait les vitres sales de sa prison. Mais aujourd’hui, Madame, je
crois
comme vous, c’est-à-dire fermement, que le magnét
ères aspirations, ses plus nobles élans, toute sa foi. Comme vous, je
crois
à cette sublime transformation qui la rend plus b
decine des passions, conseil que nous adressons, en passant, nous qui
croyons
fermement que les maladies de l’âme tuent les cin
pourtant quelques entêtés avaient encore l’outrecuidance de ne pas se
croire
tout à fait morts ; sans se laisser abattre par l
nce et frappés surtout du danger de l’abus qui peut en être fait, ont
cru
devoir en régulariser l’exercice. Il s’est glissé
ards du passé qui semblent s’éveiller d’un sommeil semi-séculaire, se
croient
très-malins en nous demandant ce que c’est que le
e, l’attraction , l’obéissance à la suggestion, etc. L’observateur se
croit
donc autorisé à la défiance , et même quand il ve
rconstances qui lui auraient échappé et qu’il jugera décisives, il se
croira
fondé à prononcer un jugement. En dehors de ces
’objecter l’insuccès unique, en feront l’objet de leurs railleries et
croiront
par là. être en droit de nier le magnétisme. C’es
’ayant pas la plus légère connaissance de ce qu’ils veulent examiner,
croient
que le magnétisme n’a pour but que de produire la
. Les Américains ont l’esprit chercheur ; chez eux , les savants ne
croient
pas déroger en s’informant de la réalité des fait
déroger en s’informant de la réalité des faits extraordinaires ; ils
croient
môme que leur devoir est d’être les premiers à re
s phénomènes. Le président Rosevelt les attribue à l’électricité ; il
croit
que les personnes les plus électriques sont les m
s cet état, il a fait un appel aux sens des hommes et les a engagés à
croire
à l’immortalité, lui-même sur- vivant au tomb
rique ne jugent aucun fait indigne de leur examen , et qu’elles ne se
croient
pas, comme celles d’Europe, obligées par le décor
es ses espérances. Son erreur (celle du médecin ) vient de ce qu’il
croit
que tout en nous est chimique, de ce que tous les
s les plus graves de morale et de religion. Plusieurs magnétistes ont
cru
trouver un moyen de décider la victoire au profit
demandai-je. — Sur moi-même, me répon-« dit-il. — Non seulement je ne
crois
pas au magnétisme, « mais encore, ajoutai-je, j’i
artagés sur la cause de ces faits insolites. La plupart inclinaient à
croire
qu’un voisin espiègle s’amusait ainsi à effrayer
uyet : « Tout en reconnaissant le mérite du travail de M. Guibert, je
crois
utile de signaler quelques erreurs relatives à ce
ent employés avec succès ; mais il est un fait pratique sur lequel je
crois
devoir appeler l’attention de la Société, c’est q
t l’espace de dix minutes chaque fois. « Il est une remarque que je
crois
nécessaire de faire à propos des fièvres intermit
voir de la combattre, dans la mesure de mes forces , en ce que je lui
crois
d’erroné. « Notre secrétaire a blâmé la méthode
u’on vient de vous lire. Je résume l’objection de M. Louyet, et je ne
crois
pas l’affaiblir. « On recommande, a-t-il dit, d
ence d’opinion entre MM. Guibert et Louyet à propos de la syncope, je
crois
que ce n’est qu’un malentendu qui tient au vague
ions établies par M. Petit d’Ormoy à l’occasion de la syncope, je les
crois
superflues. Dès l’instant qu’il y a perte de conn
umé ses moustaches, lorsqu’il s’est appliqué sur l’œil un lorgnon, il
croit
ne plus appartenir à la race commune, il oublie s
croit ne plus appartenir à la race commune, il oublie son origine, se
croit
supérieur aux gens qui ont le malheur de ne pouvo
etits, qui cheminent, rampent où se promènent sur le domaine que nous
croyons
appartenir îi un seul, en dedans de nous, le même
nomènes de la vie et la vie elle-même. Ils savent tout et on doit les
croire
. Je me garderai bien de contester en rien la soli
s et des fruits. Le temps est le grand agent qui détruit et réédifie.
Croyons
donc qu’il anéantira toutes les erreurs, tous les
ion. Comme l’ensemble du travail de M. Huguet ne nous permet pas de
croire
qu’il ait pu aboutir à cette dernière conclusion
es exercer, et même, ce qu’il y a de plus fâcheux, très-souvent il se
croit
lucide et il ne l’est pas; il prend pour la réali
is dont l’élocution est toujours nette et précise, nous ne pouvons le
croire
coupable d’un pareil amphigouri dont la responsab
unement que celle-ci continue de vivre dans un autre monde. Le lucide
croit
la voir telle qu’elle était sur terre, agissant a
, il en a ôté tout autrement. On y est parvenu à démontrer et à faire
croire
que les tables et autres objets magnétisés qui se
Il s’est rendu plusieurs fois au château des Tuileries, et si nous en
croyons
des personnes dignes de créance, là se seraient p
de notre époque; mais, quel qu’il soit, il nous afflige, et nous nous
croyons
obligé de le signaler aussi bien que de protester
ècle se matérialise de plus en plus, que l’Eglise n’a plus pour faire
croire
à une autre vie que la parole du passé, que la se
autorité du dogme, que celle de livres saints auxquels la plupart ne
croient
plus, quand tous les esprits en sont là etqu’il s
uffer des démonstrations aussi grandioses ! Mais l’Eglise, dira-t-on,
croit
au pouvoir de Satan, cet ennemi du genre humain,
: Je vous assure en vérité que les pierres môme parleraient qu’ils ne
croiraient
pas, et n’est-ce pas aussi pour eux qu’ont été pr
main qu’il raconta l’espièglerie qu’il avait faite. « Mais on ne le
croit
pas. Il est bien plus simple de croire à l’esprit
avait faite. « Mais on ne le croit pas. Il est bien plus simple de
croire
à l’esprit. » Dans cet article, M. Paul d’Ivoy
et s’est manifesté par trois coups frappés lentement sur une table.
Croyez
-vous que ces faits si étranges, si dignes d’atten
x , s’amuse à serrer la main d’une dame à son insu, afin de lui faire
croire
que cela vient d’un esprit et que cette dame le c
n de lui faire croire que cela vient d’un esprit et que cette dame le
croie
au grand amusement des assistants ; qu’un général
mène aussi curieux et de s’assurer du degré de force magnétique qu’il
croyait
posséder, mais que si l’on pensait que sa présenc
e, qui donna dès lors des preuves d’une grande lucidité. Mais, pour
croire
à ces faits comme à ceux du spiritualisme , il fa
ment méconnues, négligées, défigurées et ridiculisées. Pour arriver à
croire
, il ne faut pas faire comme M. le baron deP... av
u tant d'hommes de bonne foi. Ces hommes n’ont pas tous été, qu’on le
croie
bien, ce que nos sceptiques savants appellent des
Ils ont vu, examiné dans toute la plénitude de leurs sens, et ils ont
cru
à l'immortalité de l’àme, à l’existence des espri
le il avait été initié par .Jacob Behm, le prince des astrologues. Et
croit
-on que tous les grands poètes, Shakespeare , Milt
es, parmi lesquels Nostra-damus, traité avec des honneurs que nous ne
croyons
pas exagérés. La sixième est un choix d’horosco
la date déjà ancienne du livre ; mais il est encore assez peu connu,
croyons
-nous, en France, et les voies nouvelles de spirit
lement d’autre signification dans le passage de la Bible. Il indique,
croyons
-nous, une sorte de consultation des sorts, quelqu
e monde entier vivra autant que l'humanité, se soient laissés aller à
croire
à un tissu de chimères ? Non, cela n’est pas. Ces
es fortuites et secrètes ; mais, en l’absence de ces causes, nous les
croyons
fort rares. Comme conclusion, nous considérons
ire et sensible pour toute intelligence sans prévention. Il faut donc
croire
à une sorte de fatalisme comme les Orientaux et a
cachée à tous les yeux, et que nul n’a pu découvrir. Lecteur, vous
croirez
ce que vous voudrez de mon récit et de mes assert
esé, réglé dans la marche des astres et dans toute la nature. Où nous
croyons
voir la confusion, l’ordre existe ; où nous aperc
st si faible, si bornée, qu’elle ne peut saisir que des apparences et
croit
pourtant saisir la vérité. C’est que toujours int
te peu. Les hommes qui prédirent les plus grands événements ne furent
crus
de personne ; mais ils furent justifiés . par les
ux jusqu’ici n’ont pas eu un grand re-' tentissement, et tout porte à
croire
qu’ils n’ont aucuns chance d’être prochainement e
ur cette question l’attention de quelques personnages influents, nous
croyons
utile de combattre, pendant qu’il en est temps en
e combattre, pendant qu’il en est temps encore, une tendance que nous
croyons
funeste, et de prémunir nos amis contre les dange
r là des exemples, plutôt que dans quelques Etats despotiques qui ont
cru
devoir réglementer le magnétisme?.,, En premi
s où le seul emploi du magnétisme peut guérir promptement le malade ,
croit
-on que le médecin se bornera à conseiller un pare
se rendent coupables d’actes frauduleux. Mais quand le somnambule se
croit
lucide, ou môme quand rien ne prouve sa mauvaise
sieur du Potet , président de la Société du Mesmérisme de Paris. Je
crois
de mon devoir, et dans l’intérêt de la Société du
issance; comme il était trop tard pour me procurer de la glace que je
croyais
nécessaire pour m’aider à dégager le cerveau, je
trait était fort exact au physique et au moral. « Hésitant encore à
croire
à cette découverte, je demandai par quels moyens
cachette ; cherchez dans tel et tel meuble ; il y a plus que vous ne
croyez
; il y a quelques pièces d’or ; il y a aussi des
soient leurs titres. Encore une fois, quand aura-t-on le bon sens de
croire
que l’art de la médecine n’est pas une vaine scie
la disparition des races inférieures devant les races supérieures, il
croit
qu’en dehors des causes évidentes et palpables de
e aux sauvages que tous les fléaux que nous venons d’énumérer; — il
croit
qu’en dehors de toutes ces causes, les races supé
phes, académiciens de tout rang, tous les hommes enfin qui pensent ou
croient
penser, tous prendront la fièvre de propagande ,
ne intention bienveillante, très-énergique ; or, à cet égard, je vous
crois
dans les meilleures dispositions que je puisse re
s passes dans le même sens. « Au bout de sept à huit minutes, je la
crus
endormie et m’arrêtai.—Dormez-vous? lui dis-je, c
xprime le bien-être. « Dort-elle du sommeil magnétique?... je n’ose
croire
à tant de bonheur. Je prie tout bas son mari de l
elle ne sent plus rien du mal«qui l’a si longtemps affligée. Elle se
croit
enceinte de deux mois au moins ! « Que dois-je
tement employé ; il a suivi ce que dans ses appréciations libres il a
cru
le mieux ; c’était son droit, sauf toute juste ca
et il présente un plan de constitution de la science. Nous aimons à,
croire
que cette généreuse initiative ne sera pas sans f
nt, mais qui attend sa confirmation de l’exp'érience. Nous ne pouvons
croire
que telle soit l’opinion de M. Meunier. Dire qu’i
que inexplicables ou inexpliqués, ce qui revient au même, mais ils se
croient
obligés de repousser les phénomènes magnétiques,
onnantes, inespérées, dont les spectateurs, frappés d’admiration, ont
cru
, mais sans aucune raison solide, qu'elles n’a-
t tombe malade, perd connaissance, ne donne plus signe de vie ; on le
croit
mort. Un ami, animé d’une charité ardente, accour
s efforts , qu’il ne craint pas d’interpeller celui que tout le monde
croit
mort, et il attend avec confiance qu’à cette voix
orts; comme tous les extatiques, il se complaît dans sa vision, il se
croit
transporté dans un séjour imaginaire qu’il ne veu
le. Il n’est pas d’instants pourtant où le fait ne se produise. Je ne
crois
pus , je ne peux pas admettre ceci, cela; on ne m
oir insérer : A Monsieur le baron du Potet. Mon cher Maître, Je
croirais
manquer à mon devoir si je ne vous donnais pas co
, particulièrement do sang ; ils’est dirigé dans les voies basses. Je
crois
que, sans le magnétisme, il y aurait eu des hémor
u se réaliser trop de faits de prévision extraordinaires, pour ne pas
croire
à Jeanne d’Arc extatique, à Jeanne d’Arc inspirée
-elle pas dans le monde extérieur, des faits du domaine intérieur, ne
crut
-elle pas voir et entendre en dehors d’elle ce qui
n supérieur, au moins distinct de colle des expérimentateurs. Nous ne
croyons
pas pour cela à l’intervention d’un esprit ayant
stes ; c’est quelquefois une véritable dispute... Il y a donc lieu de
croire
encore que l’esprit agit quelquefois directement
uents, a parlé en termes plus sérieux des médiums et paraît disposé à
croire
àleur existence ; l’autre s’est fait le fidèl
nd. Je déclare que je ne mets pas en doute sa bonne foi, et que je ne
crois
cependant pas au pouvoir surnaturel de M. Hume. V
s l’intérêt de la religion. « Fort de cette autorisation, M. Hume a
cru
pouvoir, dans quelques soirées, donner des preuve
âtre qui attire à elle une aiguille d’acier, et l’aimant mort me fait
croire
à l’aimint vivant. On a tant ri des paradoxes don
côté des mers. « Je prends toutes les précautions oratoires dont je
crois
avoir besoin pour arriver au récit, car on répugn
rtout dans notre siècle éclairé au gaz. Heureux temps, où l’auditoire
croyait
à la pythonisse d’En-dor, au spectre de Brutus, a
tristement s’accrédite, On court, liélas I après la vérité. Ali!
croyez
-moi, l'erreur a son mérito! « Voltaire est un h
'erreur a son mérito! « Voltaire est un hypocrite d’incrédulité; il
croyait
à tout, quand il écrivait pour lui. Il croirait à
rite d’incrédulité; il croyait à tout, quand il écrivait pour lui. Il
croirait
à M. Hume, en 1857, surtout s’il avait assisté à
(1) Pnestcl fides supplomonlum sensuum dufectui. vous serez, je
crois
, de mon avis. Hier soir, je me trouvais chez un t
ntre une infinité d’autres, quelques-uns des articles que la presse a
cru
devoir consacrer à M. Hume. Les faits contenus da
ront-ils ? Oh ! pour ceux-là leur matérialisme sera confondu , et ils
croiront
dans le mutisme, en rougissant quelque peu de leu
re nous environne, Marchons en nous donnant la main. Aimer, c’est
croire
; et nul mystère Pour le bonheur n’est plus pieux
é sur la terre, C’est un secret qui vient de3 cieux. (1) Ici nous
croyons
devoir supprimer un couplet qui n’a été écrit qu’
sse à un très-haut degré tous ceux qui s’occupent de magnétisme, nous
croyons
utile d’entrer à ce sujet dans quelques détails.
s que tant d’autres laissés impunis. Ces choix, qu’on serait tenté de
croire
faits au hasard, ont quelque chose de choquant, e
ue vous n’ayez pas absolument besoin que celui que vous voulez guérir
croie
au magnétisme , il faut tâcher doucement, habilem
’elle eût été jamais magnétisée, et de dire que ce qui avait pu faire
croire
au magnétisme avait été un jeu pour amuser différ
qui me réussirent assez bien. La plus curieuse de toutes, qui, je le
crois
, n’a pas été faite par d’autres que moi, est la s
si m’est-il arrivé d’enivrer complètement deux paysannes, qui avaient
cru
boire de l’eau-de-vie. Je magnétisai une fois la
nger de la viande impure de cochon , en place d’un hareng qu’il avait
cru
voir, et pour sc désaltérer, je lui fis boire un
es s’approchèrent de la jenne fille, et, lui voyant les yeux ouverts,
crurent
que c’était une supercherie. Pour leur prouver le
t se tordant, comme en colique de miserere ; si bien que le cornac se
crut
obligé de le calmer un peu en lui caressant l’épa
is , en homme de bonne foi, qui cherche sincèrement à. s’éclairer, il
crut
devoir prendre quelques renseignements sur ce qu’
vages particuliers et l’a soumis à certaines épreuves. Il y a lieu de
croire
que ces préparations ont quelque analogie avec le
de foudroiement, de catalepsie, et quelques autres, nous autorisent à
croire
qu’en exagérant la force dont dispose le magnétis
GYMNASTIQUE MAGNÉTIQUE. RELATION D’UN TRAITEMENT MAGNÉTIQUE. Nous
croyons
devoir insérer cott«relation empruntée aux procès
organe, la médecine substantielle est réduite à des palliatifs. On
croirait
peut-être que pour les cas chirurgicaux, oîi le m
qui nous a peut-être moins éloignés de notre but spécial qu’ils ne le
croiront
, et qui, dans tous les cas, ne nous a point écart
i? Non, elle est passive. L’imagination joue-t-ellc un rôle? Je ne le
crois
pas ; car, clans la profondeur du sommeil naturel
étisme la mieux établie. Souvent des magnétiseurs de très-bonne foi
croient
avoir produit des prodiges, et quand on examine a
veau, le monde des esprits. Je pressentais donc les médiums, aussi je
crois
en la puissance de M. Hume, parce qu’elle vient c
’heure était sûr de sa force et semblait me défier 1 Comment ne pas
croire
, lorsque l’on me vit dans un moment de puissance
er est d’exploiter l’ignorance. Mais ces chevaliers de l’éteignoir se
croient
en vain immobiles : eux aussi ils marchent avec l
ent sans qu’on le demande, sans qu’on pense à lui, sans même que l'on
croie
à son existence ; puis, s’il nous voit embarrassé
sseraient attendrir (si toutefois un inquisiteur en est capable), ils
croiraient
au progrès, et peut-être, dans un moment d’entraî
e éprouvait donc pour lui de la compassion, de la sympathie : elle le
croyait
susceptible de revenir au bien. Les proverbes qui
ges. Salut au progrès universel qui est confessé par ceux-mêmes qui
croient
en être les ennemis; au progrès qui a pour avant-
importe par quelle bouche ; le bien, n’importe par quelles mains! Et,
croyez
-le, celui qui tiendra haute et ferme cette banniè
te au progrès du magnétisme en Espagne. Mesdames et messieurs, On
croit
généralement que l’Espagne, mon pays natal, est e
antiques, Laissons, laissons tous les sceptiques Rire, tandis qu«nous
croyons
; Dieu nous .accorde des oracles, Nos cures, p
e toute vue étrangère à la recherche de la vérité. Plus que jamais il
croit
, non pas encore à la science (nous reconnaissons
e à vos veilles ; « Instruisez-vous, aimez-vous, soyez bons.» Aht
croyons
-le. La prière est l'étude : Par le travail soyo
e ne nous les a pas refusés. Pourriez-vous nous dire si nous devons y
croire
? » J’eus alors le récit de choses toutes parti
rend plus promptement sa circulation normale. M. Louyet, ayant paru
croire
, d'après le traitement indiqué pour les syncopes
elle restait la bouche ouverte, ne pouvant ni respirer, ni parler. Je
crus
comprendre aux sigues qu’elle me fit alors de la
me à prêter quelque attention à ces procédés, dans le cas même où ils
croiraient
devoir en employer d’autres. Dans la partie d
ux que nous avons rapportés dans notre article du 25 janvier, nous ne
croyons
pas devoir en donner le récit détaillé. Nous fero
es personnes qui jusqu’ici n’en ont parlé qu’avec un superbe dédain ,
croiront
peut-être qu’il y a lieu à une sérieuse discussio
tudier les superstitions des Miau- tsé, tribu montagnarde, qui se
croit
aborigène, et chez laquelle on se livre la géoman
u votre pantacle pour vous représenter dans la science. — « Ah ! tu
crois
que je n’en ai pas. a 11 ouvre sa gibecière, en
produits en Amérique et en Europe dans ces dernières années? Vous ne
croyez
donc pas, comme tant de vos honorables confrères
à quatre ans environ que je m’occupe de ces curieuses expériences. Je
croyais
avoir semé un peu de bon grain dans ce nouveau ch
propriété de s’agiter et de tourner sous les mains des opérateurs. Je
crus
voir là le résultat d’une action nerveuse plus ou
ut connaître. Je songeai à ces beaux vers de notre poète Lemierre :
Croire
tout découvert est une erreur profonde, C'est pre
chez lequel ils opèrent la sensation d'une saveur ou d’une odeur, je
crois
qu'ils soutirent de la lumière astrale une essenc
r ministère pour détruire les serpents d«toute espèce, etc. a A les
croire
, un instinct merveilleux les entraîne d'abord ver
— Soit! si c’est le nom qu’il vous plaît de leur donner. — Je ne
crois
pas aux esprits. Mon mari, qui n’y croit pas non
ît de leur donner. — Je ne crois pas aux esprits. Mon mari, qui n’y
croit
pas non plus, s’est aventuré vainement à la décou
orte, et toujours elle reste solidement close. Si bien que moi qui ne
croyais
pas avant mes essais, je crois moins encore depui
dement close. Si bien que moi qui ne croyais pas avant mes essais, je
crois
moins encore depuis leur campagne perdue. — Ne
dix-sept ou dix-neuf jours. Je suis sans puissance, moi, sa mère!...
Croyez
-le, l'impuissance maternelle est la plus cruelle
L’un de nos magnétistes les plus distingués, le docteur du Planty, ne
croyait
point aux phénomènes du spiritualisme, et recherc
us le craignons, par nos lecteurs ; c’est que notre correspondant ait
cru
ne pas devoir donner son nom au public. Nous devo
e l'immortel philosophe d'Athènes. Autrefois j’aurais dit et j'aurais
cru
pouvoir prouver, non pas avec le talent et l'érui
alent et l'éruiiitiou de l'auteur, certaine partie de ce qu’il dit et
croit
prouver. Maintenant j’ai la persuasion, mieux ren
de vous terrifier, espèces de simulacres de diables, auxquels vous ne
croyez
pas, mais qui naturellement ont leurs électro-typ
une physique avancée, je n'en concevais l’explication naturelle. Je
crois
positivement aujourd'hui, d'après mes expériences
mes expériences, que rien n'existe sans un rayonnement fiuidique. Je
crois
que tonte action de la vie, action élcctro-puissa
attraction) a celui de rassembler et de composer? Est-ce que (si vous
croyez
ù l'âme, qui doit nécessairement séjourner quelqu
dres en même temps que les es-«prils iKisitifs, ceux qui ont besoin d«
croire
autant que ceux qui ont « besoin de connaître, ce
iseursqui s'imaginent, peut-être, communier avec elle, en refusant de
croire
au spiritualisme. Los rentres de ces deux sys
t et la rénovation de la vie. Nous, spiritualistes, plus que jamais
croyons
à l’immortalité de l’âme ; conservons la pensée p
pelons-nous qu'à l’époque même où un Egyptien fut tué et’mangé « tout
cru
pour s’ètre permis, dans une dispute, une railler
rrêté ces mangues en si beau chemin. Est-ce que véritablement vous ne
croyez
point au diable ? me demandera-t-on. Pour ma péro
aison, je déclare, une seconde fois, que je l’ai vu , mais que je n’y
crois
point comme on l’entend généralement. Je crois en
i vu , mais que je n’y crois point comme on l’entend généralement. Je
crois
en Dieu, c’est vous dire que, pour moi, son princ
plié no9 expériences, et toutes ont été concluantes. Alors nous avons
cru
au magnétisme, au somnambulisme et à tout ce qu’o
e la maladie de superstition, triste infirmité, plus grande qu'on 11e
croit
, ou bien ils ont été la dupe de jongleurs habiles
tés que ces questions présentent à son esprit? Non certainement. Nous
croyons
tout savoir, nous tranchons sur tout, et, dans no
ns, nous affirmons avec assurance, nous élevons des théories que nous
croyons
inébranlables et que bientôt les faits viennent r
nes qui ne savaient absolu ment rien-, et, à la suite de cela, qui le
croirait
, le Spiritual Tclegrapk cite une série de phénomè
e aux héros du surnaturel, se montrait très-réservé et très-disposé à
croire
; il nefaisait pas la moindre objection, aussi Hom
est sorti. Il est toujours ainsi. Il ne discute pas, il exige qu’on
croie
, et il ne se manifeste pas devant les sceptiques
profondir le mode de sa vision. Il répugnait à ma raison cependant de
croire
à ces déplacements , à ces migrations momentanées
uelles je suis consultée; f en fais Cessai ; je les goûte quand je le
crois
utile, et je les change en totalité ou en partie,
uées de vices organiques. Quant à la cause de ces phénomènes, je la
crois
tout à fait magnétique, et je pense qu’elle est d
e pouvons qu’enregistrer ses témoignages sympathiques. Néanmoins nous
croyons
qu’il ne sera pas sans intérêt pour nos lecteurs
ne font que répéter ce qu’ont fait leurs devanciers ; et, bien qu’ils
croient
progresser, ils tournent dans un cercle fatal et
science, qui a été pour elle un poison mortel. Ce système, que nous
croyons
avoir exactement résumé, est aussi original que p
s profond respect et l’invoque comme une autorité souveraine, on doit
croire
qu’il ne la regarde pas comme une œuvre divine, c
qu’il n’a pu à cet égard avoir de renseignements certains. Et comment
croire
cet auteur qui ne dit pas un mot des sources auxq
la vérité dans son récit de la création ; donc il doit également être
cru
dans celui du paradis terrestre et de la chute de
t quel’auteur a été exact à cet égard, mais nullement qu’il doit être
cru
dans toutes les autres parties de son ouvrage , m
ne dirais-je pas de l'étrange folie D'un peuple d'esprits forts (pii
croit
à la magie, Oui. poursuivant partout les supers
s oracles, Tandis que, sur la foi d'un rêveur allemand, Ce peuple
croit
touchera son dernier moment; Et, malgré Babinet
e, tout cela n’est que Xétrange folie d'un peuple d’esprits forts qui
croit
à lu magie. Et si, au milieu de cette tendance
ne seraient que des dupes, des esprits atteints de l’étrange folie de
croire
à la magie et à des visions cornues? Ou vous av
médium américain à des tours de prestidigitation. Un moment on avait
cru
pouvoir user de telles explications, alors on a f
l’épouvante au grotesque. (. Ceux qui s’adonnent au merveilleux se
croient
spiritua-listes ; ils sont attachés à la matière,
net, les traiter de jongleries , de tours de gobelet, M. Paul divoy a
cru
voir là un retour, une réaction de l’opinion. Alo
s avaient dans ces apparences. Voilà un saint Thomas qui déclarait ne
croire
qu’après avoir vu et lorsque les circonstances fo
bien vu, de ses propres yeux vu, il se demande encore comment on peut
croire
à ce qu’il appelle ces apparences! Alors que faud
croire à ce qu’il appelle ces apparences! Alors que faudra-t-il pour
croire
? Faut-il que, comme le M. Marphurius de Molière,
sûr que, le cas échéant, le rédacteur du Courrier de Paris voulût en
croire
ses yeux et ses sens, et qu’en allant montrer ses
tatés. M. Paul d’Ivoy dit que ceux qui s’adonnent au merveilleux se
croient
spiritualistes, mais qu’ils sont, contre tout eff
manque d’aussi peu de logique que de convenance. Nous avions toujours
cru
jusqu’à présent que la croyance à l’âme, à son im
res et leurs valets. Le vrai mérite pour ces messieurs est de ne rien
croire
; ceux qui d en-trenousont des sens, voient, ente
qu’il a un savoir incontesté sur tout ce qui est d’ordre vulgaire, sc
croit
autorisé à traiter du haut de son mépris et de so
ible d’escamoter ; il faut de toute nécessité en faire quelque chose.
Croira-t
-on échapper à la difficulté en prononçant d’emblé
comprendre, deux fois au moins de bonne volonté comme il en faut pour
croire
tout bonnement aux merveilles dont elle a la prét
velle à leur conduite, ont pu en imposer à des hommes d’Etat que l’on
croyait
en garde contre toute espèce de surprise, à des m
-Jacques Rousseau, Mirabeau, Danton, M“” de Staël, etc., s’il faut en
croire
des signatures spontané- meut, librement appo
qui n’était point douteusfc, mais qui leur parut telle alors, ils se
croyaient
dans cet instant coupables aux yeux de Dieu et de
’il y ait déjà quinze ans d’écoulés, en me rappelant cette époque, je
crois
encore avoir sous les yeux ce terrible drame. » L
e de vains fantômes, il se figure que ses perceptions sont exactes et
croit
posséder la vérité. Le somnambule le plusjlucide,
u’il ne connaît pas, tandis que le somnambule qui a été lucide et qui
croit
encore l’être, même quand sa lucidité lui échappe
en rapport avec la plupart des membres du comité de cette Société, se
croyait
enceinte depuis trente-neuf mois, et demandait in
ntôt Goodall, qui s’assit dans le lit et se mit à interroger ce qu’il
croyait
être un esprit ; et, après avoir demandé que les
, rien qui la fit mouvoir. Les coups devenantdeplus en plus forts, je
crus
prudent de faire intervenir encore la couverture,
nt témoin, en la présence de M. Redman et d’autres médiums, nous fait
croire
à ce qui va suivre ; mais nous confessons que, sa
onna beaucoup pour m’être survenu sans que je m’en fusse aperçue : je
crus
même que tu avais fait ouvrir la fenêtre pendant
s et autres ingrédients que je trouve convenables, les remèdes que je
crois
propres à guérir, et que je les éprouve ensuite p
teindre. « Maintenant, que ce soit mon câme qui y aille, mais je ne
crois
pas qu’elle abandonne le corps, et tu m’assures q
ue je ne parle que pour eux, — ils auront trop tôt oublié qu’avant de
croire
au magnétisme, ils se sont moqués des merveilleus
J'en fus inquiété par suite de quelques points de ressemblance que je
crus
y trouver avec un commencement d'amaurose dont je
ée : je ne sais si je serais d’accord avec votre collaborateur. Je ne
crois
pas que les somnambules puissent émettre toute le
on varierait sans doute avec l’étatdes opérateurs. Mais plutôt que de
croire
ii une séparation complète, absolue, j’aime mieux
ment de l’â:ne des somnambules, je passe à ma deuxième thèse, dont je
crois
pouvoir aussi soutenir la vérité, concurremment a
arfaite santé, mais je continue néanmoins le traitement, car je ne le
crois
pas entièrement débarrassé de ces hôtes incommode
a fallu lutter contre une indiflérence à laquelle vous auriez peine à
croire
. A Lausanne cependant, après des efforts, je
ngement de ses facultés intellectuelles, « principalement parce qu'il
croit
à l’existence réelle et cor-« porelle du diable,,
est heureux pour cette pauvre clame qu’elle ait trouvé un médecin qui
croyait
au magnétisme et savait le pratiquer. Bien souven
les se mettent en rapport avec les objets éloignés ; quelques-uns ont
cru
qu’on ne pouvait rendre compte de ces étranges ph
s assistants qid savent parfaitement qu’au moment où le somnambule se
croyait
transporté à des distances immenses, il n’avait p
comme nous-’ savons, à n’en pouvoir douter, qu’au moment même où il;,
croyait
faire tous ces actes il était immobile à la même
e' et du corps n’est qu’une chimère, car le somnambule, bien qu’il se
croie
naviguer dans les mers lointaines, est ici sous 1
. « Maintenant, dit-elle, que ce soit mon âme qui y aille, mais je ne
crois
pas qu’elle abandonne le corps, et tu m’assures q
le ton tranchant de tant de somnambules qui, gâtés par les éloges, se
croient
en droit de résoudre souverainement toutes le
as de milieu entre séparation et non séparation : quand le somnambule
croit
voyager en Chine, son esprit y est-il réellement
er ainsi des phrases qui en définitive n’expriment rien. Nous avons
cru
devoir insister sur ce sujet, parce que bon nombr
ieur le baron, Je vous envoie la relation de quelques faits qui, je
crois
, ne peuvent manquer d’intéresser les lecteurs du
ce de cinq semaines environ, elle a retrouvé un sommeil cahne qu’elle
croyait
avoir perdu pour toujours. Attaques d'épilgpsie
tisme sous la forme la plus désintéressée ; fais-en ton profit, si tu
crois
qu'elle puisse être de quelque utilité à la scien
vantage de désabuser un nombreux public, qui, magnétiquement parlant,
croit
encore, hélas !' aux prétendues victoires académi
« Il , rue Geoffroy-Marie. « Paris, e«l*r octobre 1857. » Nous
croyons
parfaitement à la sincérité de M. Marcilletetà la
des phénomènes somnambuliques et spiritualistes, il faut à l’avance y
croire
, tandis que la foi implique au préalable une conv
à insuccès. Nous le disons encore, incrédules ! voulez-vous arriver à
croire
, voulez-vous vous édifier sur la valeur de forces
aculeusement détourné de sa route. Un oiseau mystérieux, s’il faut en
croire
le récit des journaux, aurait frappé trois fois l
trois points, chiffre égal aux trois avertissements mystérieux qu’il
croit
avoir reçus, et arrive, grâce à cette déviation ,
de cette prophétie ; Home parle rarement de ce qui doit arriver; Home
croit
cependant à la possibilité de prévoir, et il appe
ne sera peut-être pas sans intérêt de savoir qu’au seizième siècle on
croyait
à la possibilité de communiquer à distance, à l’a
au creuset de la pratique. Ses essais ont été concluants, et il s’est
cru
obligé de confesser sa foi. Aujourd'hui il fait p
rovoqués par le magnétisme artificiel ; la plupart de ses membres n’v
croient
même pas ; toutefois la société est loin de parta
en, M. Babinet, dit que M. Victor Hug«ne peut lui pardonner de ne pas
croire
aux tables tournantes et aux esprits pythons du d
algré mes efforts, je ne pus faire aucun mouvement des doigts : je le
crus
cassé. Vidé par un passant, mon bras fut relevé
ne pas l’inquiéter sur ses suites lorsque je serais loin d’elle. Je
crois
devoir faire connaître ce fait, quoiqu’il ne soit
ez à la matière. (N° 239, 4" série.) Je n’ai rien voulu dire, et je
crois
n’avoir rien dit de semblable , et le satirique e
s autre chose. Au reste, peut-être ai-je mal interprété, — et je le
crois
, — le sens attaché par M. le docteur Ordinair
it pris le change sur quelques passages de notre lettre, et qu’il ait
cru
devoir récriminer sur celle opposition injuste cl
gnétisme) dans scs principes et dans sa pratique. (Page h.) « 'Nous
croyons
que l’étude approfondie du magnétisme doit remet
rais osé me permettre d'aller aussi loin que lui. Il me doit donc, je
crois
, une absolution complète sur ce chef. Et d aill
t par les préjugés qui lui furent inculqués dans son enfance et qu’il
croyait
avoir dépouillés dans l'âge mûr : ceci est dans l
ambule de son observation. Notre honorable collègue, — et il l’est,
croyons
-nous, à plus d’un titre, — pense que, pour donner
y doit se bien persuader que nous ne sommes plus au temps où Puységur
croyait
devoir faire dresser des procès-verbaux de chacun
les laisser passer sans réponse. Avant d’aborder cette question, nous
croyons
devoir présenter quelques considérations sur les
e mêle de tout; c’est l'effet d’un sort jeté par quelque sorcier ; on
croit
connaître le coupable, on l’arrête, 011 le tortur
pas une raison pour lui donner le titre de naturel; mais nous devons
croire
qu’il est régi par d’autres lois que peut-être de
sance du fond du coeur (tome n , p. 197). Beaucoup de magnétiseurs ne
croient
pas au diable, et, par conséquent, ne peuvent pas
mons de la manière la plus positive que les magnétiseurs, soit qu’ils
croient
ou non au diable, regardent la magnétisation comm
rimé à la science nouvelle, nous avons pris la défense de ce que nous
croyons
vrai et enregistré dans notre journal un spécimen
rmi les personnes qui ont assisté ses démonstrations, il n’en est, je
crois
, aucune qui ait osé publier franchement, résolume
ront son utilité et sa valeur aux yeux de tout le monde. C’est, je le
crois
, de tous les moyens de propagande celui qui prése
èvre cérébrale amenée par un appauvrissement du système nerveux. Je
crois
que cet appauvrissement est moins à craindre que
uvrière, elle se sentit tout à coup atteinte par plusieurs pierres et
crut
d’abord qu’elles lui étaient lancées par quelqu’u
teurs, ou bien qu’ils étaient, comme chacun autour de moi semblait le
croire
, une manifestation spirituelle. Du reste, les ex
n est l’usage. Deux violons, un porte-voix en fer-blanc, et aussi, je
crois
bien me rappeler, un tambourin, gisent sur les ba
faits du magnétisme, je lui en citai plusieurs exemples qu’elle parut
croire
; je lui proposai d’en essayer, ce qu’elle accepta
t chez elle ; il lui fut ordonné par son médecin, consciencieux je le
crois
, il lui fut ordonné, dis-je, des bains fort chers
qui avait soustrait la montre avoir peur de la somnambule, et qu’elle
croyait
que d'ici à quelques jours , l’on rapporterait la
. MORIN. l'incrédulité des savants jugée par arago. a Les Chinois
croyaient
que les apparitions des aérolithes étaient liées
e Folie-Méricourt, 61. » Réflexion sur ce qui précède. — M. Mathieu
croit
aux esprits dont il a attentivement, froidement,
On lit dans la Patrie du 22 septembre : n Faut-il ou ne faut-il pas
croire
aux pressentiments et à certains faits de l’ordre
ouleurs si atroces que les employés envoyèrent chercher un médecin et
crurent
à la réalité de l’empoisonnement. Il s’écoula une
). M. Auguez cite ensuite un grand nombre de faits dans lesquels il
croit
voir l’intervention d’êtres surhumains : quelle q
ls que le mouvement, le langage des tables. Il n’y a pas de raison de
croire
qu’il en doive être autrement des phénomènes plus
as (p. 146.) On ne s’explique pas cette contradiction ; nous aimons à
croire
que c’est dans ce dernier passage qu’est la vérit
es parlantes, autrement dit des communications spirituelles. « Nous
croyons
pouvoir raisonner de cette découverte sans avoir
ion nu à la discrétion d’un filou spirituel et rusé. « On a tort de
croire
que 1 esprit est là, dans la table qui vous parle
dans la table qui vous parle ; c’est comme si l’employé du télégraphe
croyait
que sou interlocuteur est derrière son cadran. 11
amais été expliqué d’une manière plausible et saisissable, comme nous
croyons
l’avoir fait, après une étude critique prolongée
xprime par sa voix comme il s’exprime par la main du medium, que nous
croyons
plus juste d’appeler èvocutcur. « Ce qui se pas
me nous l’a dit un esprit supérieur : « La vertu est une plante qui
croit
sur des escarpements ; « il faut gravir pour l'at
gnétisé. M. L..., marchand cafetier en cette ville, se présenta. Je
crus
remarquer une espèce de contrariété de la part du
10 heures et 6 minutes « qu’il est. „ _ Voyons donc, dit-il, je ne
crois
pas me tromper. » « On lui remit la montre dans
apparent, s’est réveillée plus animée; le dix-neuvième siècle, qui se
croyait
si positif, si froidement matérialiste, a vu surg
naissance do tous les secrets de la création ; la raison nous porte à
croire
, par analogie, que les êtres intelligents et étra
uer en rien le pourquoi de ces différences d’action, ils continuent à
croire
à l’infaillibilité de leur doctrine. Le champ e
aillent dans mille laboratoires à épurer et spiritualiser ce que nous
croyons
être les plus pures essences de la nature. C’est
s philosophes modernes? Que savent-ils sur celte matière? Hélas! nous
croyons
nous appartenir, et il n’en esi absolument rien.
vivants venant du dehors, et ayant puissance sur le domaine que nous
croyons
nous appartenir en propre. Je vais démontrer la p
e, ils la traduiront même en acte visible. C’est une grande erreur de
croire
que toujours les conceptions de notre esprit vien
iment? Quel est le messager invisible qui apporte la fatal» nouvelle?
Croyez
-vous qu’il soit possible à la matière de remplir
Baron DU POTET. (Ln mille prochainement.) Il y a des penseurs qui
croient
que l'antiquité connaissait presque tout ce qui n
tour de moi se répandit une clarté suave. Crois-« moi, Périclès, oui,
crois
-moi, dans ce calme de 1 ame, le « divin I'.sculap
se dépouillait de toute sensibilité et de-« meurait gisant. On l’eùt
cru
mort; aiguillon, piqûre, « brûlure même, il ne se
vous dormirez. La conversation générale s’engagea, et au moment où je
crus
que personne ne se défiait, sans le regarder, je
ut l’être, j’endormis mon sujet et lui fis la question suivante : —
Croyez
-vous qu’il y ait parmi nous des incrédules? — 1
exemple, ayant mis entre les mains du somnambule un verre à boire, il
croyait
tenir un coq de perdrix. Les pincettes furent tra
me dans le premier cas, l’action fut si rapide et si violente, que je
crus
la porte enfoncée et le sujet blessé. Les spectat
yai de nouveau, mais vainement. Je répéterai celte expérience, que je
crois
de la plus haute importance. Je termine ce long
par une forte émission d’électricité vitale. M. Bruyas dit : « Nous
croyons
la rotation de l’homme possible; mais nous n’avon
ons inouïes a donné lieu le mouvement des tables et autres objets. On
croit
ainsi se mettre en rapport avec des esprits bons
ar quelle illusion les imaginations, frappées de tous ces phénomènes,
croient
converser avec les esprits. On adresse à la table
ensée de l'auteur, mais elle n'est pas assez précise pour autoriser à
croire
que la magnétisation, telle que nous l’entendons,
ger de refaire l'éducation. Quant au magnétisme, dont on aurait pu le
croire
fervent adepte, il nous assure qu’il n’existe plu
dire, il n’est parvenu qu’à produire un galimatias prétentieux. Il a
cru
sans doute qu’un professeur de magie perdrait tou
ablement sur les petits incidents des toumements de tables. 11 paraît
croire
de la meilleure foi du monde qu’il a fait une déc
telligence, une individualité distincte de celle des opérateurs, on a
cru
pouvoir en conclure qu'il y avait intervention d’
forme d’un ellipsoïde allongé et non celle d’une orange, comme l’ont
cru
les savants qui ont mesuré les degrés du méridien
res i r;i. XII!. — V ISt. — 10 fCvhieh IS:,4. à toutes colles qn’on
croyait
avoir jusqu'à pré- , quVIle semble réveiller dans
oi à cet égard une i■ »i,viction profonde fondée sur des faits que je
crois
incontestables. 'i Dans le somnambulisme, l’àme
t du merveilleux, soit en stimulant le germe du fanatisme. Les uns se
croyaient
des dieux ou des messagers de la Divinité : on le
ant que vous ayez porté votre jugement sur cette affaire, veuillez me
croire
, Monsieur le baron, votre très-humble serviteur,
te maintenant beaucoup de partisans, et plus on expérimente, moins on
croit
que le magnétisme entre pour quelque chose dans s
tS. Palis, U juin ISô:.. Cette question des tables, qu’on pouvait
croire
éteinte au point de vue de la polémiqué, vient de
us recours à un medium, et j'appris que ce n'élait point, comme je le
croyais
, un ellet de ma propre imagination, mais bien un
une semblable pensée du haut de la chaire, et je confesse que je n’y
croyais
point; mais aujourd’hui elle se présente sous une
es songes. Combien pourrions-nous compter de fanatiques qui se sont
crus
des dieux ou des messagers de la Providence? L’
le citi. dans le monde des esprits et dans les enfers. » Si l’on en
croit
le rapport des médecins de Londres, l’ex-t '.se d
homme est dans une situation qui tient du sommeil et de la veille: il
croit
cependant qu'il est parfaitement éveillé, car ses
11 admettait des puissances intermédiaires entre Dieu et l’homme, et
croyait
que celui-ci pouvait, par un effort de son esprit
lère, ii la rage, aux blasphèmes, aux appétits désordonnés, vous vous
croirez
la plus misérable et la plus détestable de toutes
ressait à ses malades : « Qu’avez-vous? « —Telle infirmité. « —
Croyez
-vous que Dieu, qui nous envoie le mal, puisse l’O
uition médicale avec les somnambules, et l’expérience nous autorise à
croire
que la lucidité s'affaiblit ou disparait dans le
rps aura retenu quelques parcelles du principe immatériel ? Nous ne
croyons
pas qu’on ose arriver jusque-là ; il serait contr
que l’on attribue à nous ne savons quel agent mystérieux, et que l’on
croit
obtenir en imposant les mains d’une certaine faço
dans la nature, notre sollicitude ne s'est point alarmée. Nous avons
cru
que cette mode passerait bien vite dans notre pay
Aujourd'hui, N. T. C. nous ne sommes pas sans appréhensions, et nous
croyons
qu'il est de notre devoir de donner des avertisse
des pratiques absurdes, pleine» de périls, superstitieuses, que l’on
croirait
renouvelées du paganisme. n 11 y a sans doute d
ec les démons. Socrate conversait avec son démon familier, Pytha-gore
croyait
à l’âme du monde, qui anime, selon lui, les diffé
dont vous recherchez le commerce dans vos puériles expériences? Vous
croyez
donc que le Créateur a soumis ces sublimes esprit
des saintes Ecritures et sur l’enseignement de l’Eglise, nous avions
cru
que ces intelligences si parfaites étaient entre
i aspirez à l’amitié et à l’éternelle possession de Dieu, pouvez-vous
croire
qu’un commerce familier vous soit permis avec ceu
u vous consulter pour celle affaire? Ai Roger. C'élait dans l’été, je
crois
. M. i.e Président. F.t pour le second événement
condamnée comme les autres somnambules : mai-tous ont continué, j’ai
cru
que cela ne nous élait pas défendu. M. le Prési
e certain lemps ? qui le dit ? qui le précise ? Mme Roger dit qu'elle
croit
que c’est dans le courant de l’été dernier, mais
e poursuit, elles ne nous sont point parvenues. M' Jules Fay'rb. Je
crois
que ces pièces seraient d’une grande ulililé dans
, je demande alors qu’on remette la cause.... M. le Substitut. Nous
croyons
que ces pièces ne sont plus nécessaires eu présen
ladive, il n’y a que cela qui me soulage. SI. le Président. Et vous
croyez
que c’est voire «Iroil? M"' Roger. Je ne dis pa
. La justice cherche à s’éclairer par tous les moyens; il ne faut pas
croire
que la justice croie aux dons surnaturels des som
s’éclairer par tous les moyens; il ne faut pas croire que la justice
croie
aux dons surnaturels des somnambules ; mais en de
ansmet par voie d’hérédité, principe qui souffre peu d’exceptions. Je
crois
utile de faire observer ici, pour plus tard en ti
fonction de prédilection. Comme complément de cette observation, je
crois
nécessaire de mentionner que M. Seydcl n’a pas l'
s-remarquables, ils n’avaient pas été jusqu’au somnambulisme. Le mari
crut
que c’était une nouvelle maladie qui se déclarait
ur sensibilité magnétique ? D'après la théorie, 011 serait porté à le
croire
. Conséquemment, si au lieu de saignées on faisa
la manifestation de la sensibilité magnétique, comme semble le faire
croire
l'exemple suivant : X. —Me trouvant un dimanche
dessus mentionnés et de ceux bien plus nombreux que j’ai observés, je
crois
devoir conclure que la liquidité du sang, le brui
nstaté plusieurs fois sur des personnes sensibles au magnétisme. Je
crois
même devoir faire connaître les remarque' ingénie
s lois |>iiysi>->l>''i«|!-*sai>léc**:lniite9, j’aurais
cru
à voire découverte, si l'expérience n’élail vomie
e, est une forte présomption qu’il y sera lui-même accessible. J’ai
cru
remarquer que cette transmission héréditaire avai
lcmonslrimt. Sans sortir de mon sujet, il est un fait sur lequel je
crois
nécessaire d’appeler l’attention des magnétiseurs
es accompagne. Conclusion. Tels sont les points sur lesquels j’ai
cru
devoir appeler l’attention des magnétiseurs, pour
nt troublées. Après en avoir mûrement délibéré avec mon conseil, je
crois
devoir défendre à tous les ecclésiastiques de mon
ogé plusieurs prêtres et autres personnes recommandables, qui avaient
cru
pouvoir faire des expériences à ce sujet ou y ass
vination, pour prédire l’avenir, etc., etc. C'est une superstition de
croire
aux rêv es et de se régler sur ses songes. C’en e
s frappeurs, excitent toujours beaucoup de controverses. Ceux qui 11e
croient
pas accusent les autres de crédulité ; ceux qui c
Ceux qui 11e croient pas accusent les autres de crédulité ; ceux qui
croient
reprochent aux incrédules de manquer de fluide.
tout en priant Dieu, elles 11e négligent rien pour le faire oublier,
croyez
-vous que ces prières, même dites en latin, parvie
urait été éclatant, il regarde son expérience comme concluante, et il
croit
avoir réduit au néant le fameux phénomène des tab
r quelque lumière sur un sujet si intéressant et encore si obscur. Je
crois
donc devoir apporter aussi mon tribut d'observati
ouvrir d'épingles pour prouver le phénomène de l’insensibilité. S'ils
croient
faire des conversions au magnétisme, ils se tromp
oyances mystiques voient l’invisible... ils sont de bonne foi.... ils
croient
voir, cela leur suffit.....> Tous ces préten
qui préside à l’enlèvement des personnes est toute physique. M. Bégué
croit
, au contraire, que le concours d’un agent mystéri
ne sent presque pas l’impulsion des oigts qui le soutiennent. » Il
croit
pouvoir conclure, d’après cela, que le phénomène
le docteur Bégué sur l’importance du phénomène qui nous occupe. Il en
croit
les conséquences bien autrement importantes que c
r ce journal : Pans, 21 octobre ISS". Monsieur le rédacteur, Je
crois
remplir un devoir en livrant à la publicité les f
anifester et faire ainsi partager à l’assemblée une conviction que je
croyais
trop bien fondée pour n'être pas précieuse. O11
n au moins pratique. Pour nous, nous parlons comme témoin. Nous avons
cru
ne pas pouvoir taire les choses que nous avons vu
a jeté de si profondes racines parmi les prétendus esprits forts, qui
croient
se donner un fumet d’académicien en niant sans ex
enfance, n’avait point été réveillé; niais, dans son cauchemar, avait
cru
voir les faits qu’il avait racontés à son réveil.
ènes si pompeusement annoncés se sont présentés si timidement, que je
crois
devoir en féliciter les personnes inconnues qui s
squement burlesque dans les manœuvres de M. Delaroche, que je me suis
cru
à une représentation des Extases de M, IIochenez,
s. M. Aubin Gauthier était plutôt magnétologiste que praticien ; il
crut
dès l’abord au triomphe prochain de cette cause;
fanatisme le plus extravagant. L’halluciné peut de très-bonne foi se
croire
l’organe des esprits; l’exaltation de son cerveau
expérimentateurs, el qu’il y a seulement rotation, tout nous porte à
croire
que le mouvement est analogue à celui que produis
eux que de la reconnaissance et de la sympathie. Seulement nous nous
croyons
obligé, dans l’intérêt de la vérité, de mettre le
douloureux; la jeune fille me dit qu’elle était guérie et qu’elle se
croyait
en état de reprendre sa place. Le lendemain, les
urquoi ce retard ? A-t-il failli ii sa lucidité habituelle? Je lie le
crois
pas, et je pense que vous ne le croirez pas davan
lucidité habituelle? Je lie le crois pas, et je pense que vous ne le
croirez
pas davantage. La raison , le pourquoi et la caus
ommission de poursuivre leurs investigations jusqu’à leur terme. Nous
croyons
que les progrès de la science et les vrais intérê
nserver les illusions de la fausse science des écoles. N’allez point,
croyez
-moi, sans noviciat, chercher des réalités terribl
pératoires, mais les conditions morales qui assurent le succès. Je ne
crois
point que l’on doive suivre un autre chemin que c
réalité des phénomènes admirables que des savants persistent encore à
croire
au-dessous de leur examen. La cause du magnétisme
venge noblement le magnétisme des dédains par lesquels on a longtemps
cru
l’étouffer. Cette masse de suffrages éclairés, co
d'à-propos et même de nouveauté. En traitant un sujet qu’on aurait pu
croire
usé, tant il a été exploré, l’auteur a su être or
l’immortalité de l’âme y est soutenue par de nombreux arguments. Nous
croyons
utile de signaler quelques-unes des propositions
les autres propriétés. Quoique spiritualiste prononcé, M. Noizet ne
croit
pas avoir besoin, pour expliquer le phénomène si
, ni moins dignes d’être étudiés ; il réfute victorieusement ceux qui
croient
qu’après avoir prononcé le mot imagination, on a
— Prix : ïî fr. L’auteur de cette brochure est catholique, et il a
cru
pouvoir, sans manquer aux prescriptions de l’Égli
de rhétorique. Je terminerai par le récit d’une expérience qui, je
crois
, pourra servir à élucider la question. Je me tr
iments s’allie à celle de la naissance : il est marquis. Mais loin de
croire
déroger en exerçant la médecine magnétique, il s’
au bout de ce sacrifice. M. Winnen, sans cesser d’être aussi dévoué,
crut
qu’il pouvait concilier deux choses contraires :
nder un journal, dont le premier numéro paraîtra le 15 mai. Si vous
croyez
que pour montrer les progrès chaque jour croissan
augmenté, les facultés du bois progressent. « Les esprits forts ne
croient
pas même en Dieu ; ils ne croient qu’en eux, et,
ogressent. « Les esprits forts ne croient pas même en Dieu ; ils ne
croient
qu’en eux, et, au lieu d’étudier, ils trouvent pl
regarde comme incidente ; je nie bornerai ù dire seulement à ceux qui
croient
que les esprits voltigent autour de nous: que les
nge et l’absurde sont les fruits amers et mérités de l’abus. Quand on
croit
à l’existence des esprits, il faut admettre qu’il
ter, mais pour l'empècher de continuer ses cérémonies ; qu’il faisait
croire
à une puissance imaginaire dans le but de réalise
la réalité des faits et la cause qui lésa produits. Beaucoup de gens
croient
avoir résolu toutes les difficultés en niant tout
, il a donné beaucoup à réfléchir sur la témérité de ceux qui avaient
cru
pouvoir poser les limites du possible ; il a jeté
e grandeur, et l’a vengé des sarcasmes d’une fausse science qui avait
cru
pouvoir rejeter tout ce qui dépassait son pouvoir
it-il, que veut-il ? 11 ne daigne pas nous le dire, et nous devons le
croire
sur parole. Abonnons-nous d’abord, et... qui vivr
un jugement droit ; mais sous ces rugosités d’écorce, il circule, je
crois
, une sève active, abondante, qui peut donner lieu
de programme consigné ci-dessus dans l'article de son critique. 11 ne
croit
ni au diable, ni aux esprits; pour lui la cause d
, mon ami, M. A.-S. Morin, relate des expériences qui tendent à faire
croire
à un mode d’action inconnu : 1° Une table saupo
avoir la conscience, sous l'influence d’une volonté étrangère. Nous
croyons
que cette hypothèse peut expliquer, non-seulement
journalières, n’en sont pas moins des phénomènes vrais et réels. On
croit
donc d’ailleurs que les actes volontaires sont gé
r, l'expérience me semble avoir besoin de confirmation. J’ai toujours
cru
que les att ractions magnétiques avaient pour cau
comme des livres, font des vers ou composent de la musique. Nous ne
croyons
pas utile d’examiner chaque degré en particulier,
de formuler des indications sur la formation d'une bonne chaîne. Nous
croyons
que l’auteur anonyme de Comment l'esprit vient au
, autrement, pour le français, du domaine de la logomachie. nous ne
croyons
pas la vie intellectuelle bornée à l’humanité. No
déclarer, sans crainte de blesser un orgueil trop susceptible : nous
croyons
que l’homme n’est qu’un échelon inférieur de la s
de la série infinie d’intelligences qui s’élève jusqu’à Dieu. Nous
croyons
, sans connaître le mode de liaison des groupes en
t aussi naturelles que celles qui régissent le monde physique. Nous
croyons
que la mort de l’homme n'est qu’une transformatio
i ne s’anéantit pas par la destruction de ses organes palpables. Nous
croyons
que les morts sont bien vivants. Nous croyons q
ganes palpables. Nous croyons que les morts sont bien vivants. Nous
croyons
qu’ils peuvent encore entrer en relation avec les
entrer en relation avec les hommes vivants de la vie terrestre. Nous
croyons
, en un mot, il la communion des vivants et des mo
croyons, en un mot, il la communion des vivants et des morts. Nous
croyons
surtout que les faits qui résulteraient de ces lo
ment. Ainsi, il ne nous est jamais venu dans la pensée de dire : « Je
crois
que l’ai— « niant attire le fer; je crois que la
ns la pensée de dire : « Je crois que l’ai— « niant attire le fer; je
crois
que la résultante de deux forces « est dirigée su
les « lignes qui les représentent en grandeur et en direction ; je «
crois
que la somme des angles d’un triangle est égale à
’orthographe vulgaire. Mais le plus bizarre, c'est que notre Moïse ne
croyait
point aux miracles, et qu’il a, à vingt reprises
rlé. Je connais un groupe d’expérimentateurs qui a fini par ne plus
croire
aux dictées d’esprits, et qui ne demande plus dep
lusion collective est un fait beaucoup moins exceptionnel qu’on ne le
croit
. Le phénomène du mirage est le produit d’une illu
xplique. Tous voient un lac, dont une île, sur laquelle l’observateur
croit
stationner, est le centre. Presque toujours l'hal
able d’illusion collective m’a été cité par R1. I). Laverdau, (|ue je
crois
pouvoir nommer ici sans indiscrétion. Ce fait m'a
naturellement des imbéciles qui gobent la conclusion. On leur ferait
croire
que le tableau de la transfiguration, étant l'œuv
rire quoi que ce soit de blessant pour son ancien professeur, n’a pas
cru
devoir retirer son article. 11 s applaudit d ai
parent pour les générations futures, vous seriez trop émus, peut-être
croiriez
-vous que l'illusion s’est emparée de vos esprits
jours ; son ardeur à répandre le magnétisme était trop grande, car il
croyait
n’avoir jamais assez fait pour la science nouvell
la création, brillait à leur front comme marque de l’immortalité! «
Croyez
-le, chers collègues, la vie est belle et heureuse
: l’homme, dans cet état, revêt des attributs transcendants que l’on
croirait
empruntés à une nature supérieure ; à mesure que
pour le bien comme pour le mal, suivant l’usage bon ou mauvais qu’il
croit
devoir faire des nouveaux instruments mis à sa di
ténébreux, Voit clair, marche droit, est calme el vit heureux. On
croit
qu'en ce beau jour, pure, sonore, audible, Ici,
ences et connaissaient les causes et les effets des choses. Nul ne se
croyait
grand s’il n’avait touché à ce sol sacré. Cette t
te de famille ! Personne plus que moi n'a foi dans le magnétisme : je
crois
au succès de sa cause de toutes les forces de mon
crois au succès de sa cause de toutes les forces de mon âme, comme je
crois
à la perfectibilité humaine, au progrès, à la lib
rois à la perfectibilité humaine, au progrès, à la liberté ; comme je
crois
en Dieu de qui émanent toutes ces grandes et sain
yme, nous ne pouvons le trahir, mais chacun l'a nommé déjà; notre ami
croit
au magnétisme, donc c’est un jobard. Faillite a
t son squelette, Et l'Age adamite reflette, Comme un volcan qu’on
croyait
mort, Voyez : Pieu parle, el lo chaos Dévoile s
leurs dieux s’entredéchirèrent En causant do nouveaux malheurs. On
crut
h la philosophie: Forlc, mais trop froido, elle
tion qu’il s’était faite l’an dernier. La tâche était difficile. Nous
croyons
cependant qu’il n’est pas descendu de la hauteur
s a fondé Rome. A cette turlupinade, Notre malin s'écria : o Vous
croyez
qu’une ruado «Va nous réduire à quia ? a D’une si
ncé force épigrammes à l’adresse de son collègue Gregory, celui-ci se
crut
obligé de répondre ; mais au lieu de transformer
ais que l'imagination créole paraît avoir singulièrement exagérées. A
croire
certaines narrations évidemment empreintes d’enth
ant, instruit par ce qu’il avait \ u à Paris, M. Lacaussade n’a pas
cru
devoir abandonner les cures par le magnétisme, et
bord comme un inspiré, puis enfin comme un révélateur, et lui-même se
croit
plutôt chef de secte que glaneur de science. Ses
viennent ici ne guérissent point. C’est leur faute : c’est qu’ils ne
croient
point qu’on puisse guérir sans la matière, et qu’
e jouir d’une récompense aussi honorable qu’une médaille d’argent, je
crois
devoir vous en remercier particulièrement. Ma con
par forcer tous les médecins à m’accorder leur estime et le public à
croire
ce que je dis et ce que je fais. Celte espèce d’a
i curieux que précieux. J’ai énoncé, en effet, une supposition que je
crois
être la loi et le moyen par lesquels les somnambu
our m’enlever de mon temps, de mes forces et de ma fortune !... Je le
crois
, si ce que le Jury commence eût été fait il y a d
raiment ému de la marque de distinction dont votre illustre Société a
cru
devoir honorer mon peu de lumières dans la scienc
e suicider. Sa femme ne le voyant pas rentrer depuis plusieurs jours,
crut
qu’d avait mis son projet à exécution : elle alla
Afrique pourraient s’expliquer sans recourir au merveilleux, et nous
croyons
comme lui qu’ils rentrent dans la classe des phén
» Cette proposition ne me paraît pas hasardée, et je suis disposé à
croire
qu’elle est basée sur l’observation et sur l'enqu
lles, produit par quelque désorganisation physique. Aussi, je ne puis
croire
que ces aberrations sont répandues au point que l
immense, bril-« lante et conforme à tous vos désirs. » « Bonaparte
crut
que la bataille de Castiglione réalisait la prédi
tion de M. le comte de Schwerin est précédée d'un avant-propos que je
crois
devoir traduire ici en entier. 11 m’a semblé qu’o
n de mystique, rien de mystérieux, ainsi que beaucoup de personnes le
croient
; que par les spasmes violents survenus journellem
voir rempli l’honorable mission que vous avez bien voulu lui confier,
croirait
manquer à son devoir si elle ne signalait au Jury
sur les tables tournantes, M. Roux réfute l’opinion des personnes qui
croient
se mettre en rapport avec des esprits, lorsqu’ell
Messieurs, dit-il, ce ne sont pas des choses à rire; je vous prie de
croire
qu’il se passe en moi je ne sais quoi qui s’est e
tude. M. Clément, bien loin d’adopter les conséquences que j a-vais
cru
devoir tirer des faits que je racontais, nie en p
ce mystique voient l'invisible ;..... ils sont de bonne foi.... ils
croient
voir, cela leur suffit.... » De sorte que me vo
intelligente , que j’appelle esprit. Voilà mon point de départ, et je
crois
qu’il ne suffit pas, pour le détruire, de me jete
ions avec les esprits, au moyen du fluide magnétique ; ils paraissent
croire
que tout n’est pas chimérique dans les phénomènes
le et si noble du magnétisme bien compris et bien pratiqué, ils ne se
croient
pas obligés de se roidir contre Y évidence des fa
et de proclamer sam hésitation et sans réticence cette vérité que je
crois
incontestable : Le fluide magnétique est le doü
somnambulisme, magie, tables parlantes, esprits frappeurs, etc. Je
crois
, monsieur le rédacteur, qu’un pareil langage, loi
L’incrédulité est une sorte de foi en "soi-même ; douter, c’est déjà
croire
; rejeter tout, c’est le suprême orgueil, et les
ns un silence recueilli, le moment où reviendra lame du devin, qu’ils
croient
s'être séparée de son corps pour aller converser
vue d’événements passés et futurs, étrangers aux somnambules, il n’y
croit
pas. Parvenu là, le D'Comet l’arrête par une no
tastiques, d’une faculté réelle des somnambules naturels. » 3° Vous
croyez
peut-être que la transposition des sens existe? E
c, elles ne partent pas d’un point vrai : malheur à l’imprudent qui y
croit
!.... Malgré ces restrictions et de nombreuses o
une petite partie de leurs œuvres, 011 l’aura écouté comme un sage et
cru
comme un savant. J’estime que, dans ces conditi
et si le froid détruit les effets mesmériques et électriques, il faut
croire
que son action agit sur bien des cerveaux à l’end
ons épileptique, hystérique, nous lui donnons la rage.... Et qu’on ne
croie
pas ici que j’exagère, j’exprime une conviction p
ent conserveront leur conductibilité et l"assimilation électrique, je
crois
énoncer une vérité facile à saisir, toute de phys
animal frapper à distance son ennemi ou sa proie, 011 est autorisé à
croire
aux effets mesmériques à distance. SiHumboldtad
fût pas dans Paris, cette tentative remplissait presque mes vues ; je
crus
en conséquence ne plus devoir rien entreprendre.
ramènerait aux superstitions du moyen-âge, que plusieurs évêques ont
cru
devoir avertir les fidèles et leur interdire la r
ber le sarcasme du dédain sur les pauvres d’esprit qui voulaient bien
croire
que les tables tournaient par une autre cause que
t ici que de rendre témoignage à la vérité, ou du moins à ce que nous
croyons
, dans notre simple bon sens, devoir être la vérit
xercices de domination sur la force et la volonté d’un individu. Je
crois
qu’il serait difficile de trouver dans ce résulta
à l’inconnu, une prophétie vérifiée ou assez fatidique pour me faire
croire
à l'intervention d’un être surnaturel, et dans to
hallucination et manifestation fluidique de la folle du logis. Tel
croit
l'intervention diabolique, fait parler le démon.
nu el se fail raconter les histoires do l’autre monde. Tel autre se
croit
le pouvoir de l’évocation des esprits supérieurs
t avec eux un petit bout de conversation. — C’est commode. Celui-là
croit
être agité par l’âme de la terre, et il écrit là-
, des théories renversantes. Un autre, esprit fort, se moque et 11e
croit
rien.... sous sa main la table est immobile et mu
suivant sa foi, suivant cc qu’il tire de lui-même. Mais l’homme qui
croit
à la puissance de son âme et de sa volonté, qui n
elle nous suffira. » Mesmer , Aphor. 278. « Bienheureux ceux qui
croiront
en moi. car ils poseront les mains sur les malade
dépendissent du choc de quelque corps voisin. u 11 fallait donc ou
croire
que les esprits avaient réellement élu domicile d
treignit avec force. Trois « fois je fus réveillé par La même vision.
Croyez
ou ne croyez « pas, général, mais ma conviction e
force. Trois « fois je fus réveillé par La même vision. Croyez ou ne
croyez
« pas, général, mais ma conviction est arrêtée, j
serait une importante découverte, une éclatante vérité ; mais je n’y
crois
pas. » Eli bien, aujourd’hui, cet effet n’est p
que ceux-ci fument le tchibouk, les femmes recueillent une herbe qui
croit
entre les tombeaux, et quand elles en ont fait pr
arler de cette coutume, je n’avais rien lu à ce sujet, et je suis, je
crois
, le premier voyageur européen témoin de cette nui
lable à celui que je vous adresse. — Ce papier, comme on peut bien le
croire
, est de la force de tous ceux qui se délivrent en
s médicaments toxiques dont on l’a saturé. Symptômes généraux. — Je
crois
inutile de m'arrêter à l’élude des causes qui ava
renseignements qui me furent fournis sur l’affection primitive, j’ai
cru
reconnaître qu’il avait dû exister une conjonctiv
s n’amenèrent aucun résultat favorable, à tel point que l’un des deux
crut
devoir avertir la famille de l’état désespéré où
x néophytes inexpérimentés encore de la science régénératrice, que je
crois
devoir adresser le récit d’une expérience qui n’e
ons reçu votre aimable lettre avec grand plaisir ; nous commencions à
croire
que vous nous aviez oubliés. Vous nous avez pris
placé dans une seconde cassette de métal, d’argent autant que je puis
croire
. Cette cassette a été enlevée et est tombée en la
ire que le ür Gaddock me charge de chercher un enfant perdu, que l'on
croit
tombé dans un puits à charbon. Je vais le faire.
cours de l’écriture. Comme elle nommait l’auteur de la lettre, je pus
croire
un instant qu’elle le connaissait et qu'elle avai
. Respiration petite, ordinaire; pouls petit et un peu fréquent. Je
crois
avoir affaire à quelque état spasmodique tenant à
jet, par l’effet même de sa volonté, il ne répugne pas à la raison de
croire
qu’elle a été guérie par la confiance qu’elle a e
s demandes, cette tableauraitrépondu, et les opérateurs auraient bien
cru
et juré que ce n’était pas eux qui la faisaient m
té à reconnaître, dans l’espèce, l’intervention des esprits, qu’on ne
croie
pas que je conteste leur existence. La raison nou
Cette relation est de nature a intéresser vivement les personnes qui
croient
à l’intervention du malin esprit dans les opérati
rapprochement le plus exact qui ait été fait entre ces pratiques; on
croirait
presque à une copie, tant il y a de ressemblance
traité de la baguette divinatoire, mot qu’il ne prononce même pas, je
crois
, dans tout son ouvrage. Presque tous ceux qui se
de doute par des expériences. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, on
croyait
qu’en mettant les pôles d’une pile ou des pôles d
qu’à défaut d’académies, le public est aujourd’hui compétent. Nous
croyons
que l’Athénée et quelques autres établissements l
u rein (néphrite), bornée à un seul côté. Voici sur quels signes j’ai
cru
pouvoir établir mon diagnostic. Après une march
t un voyage qui ne m’a plus permis d'avoir de ses nouvelles ; mais je
crois
pouvoir affirmer que la guérison était presque ra
, la respiration nulle. Le3 parents, réunis à l’entour de son lit, la
croyaient
morte. Cette fille, âgée de vingt-deux ans, d’une
à discuter la doctrine, à publier les communications des esprits. On
croit
que ces manifestations vont régénérer l’humanité,
le; il me rapporta plusieurs exemples d’apparitions d’esprits, que je
crois
devoir vous communiquer. Le premier concerne un h
ranges. Le ministre remarqua que son père ava.it bonne mine, et il le
crut
parfaitement guéri. Quand ils arrivèrent près de
lle ne pouvait faire venir celle-ci. Je la regardai fixement, et je
crus
voir dans ses yeux le regard et l’expression de m
e sont des esprits) sont fort raisonnables, et ne demandent pas qu’on
croie
à moins de preuves palpables; ils disent à tous c
lques minutes une petite fille qu’on lui a apportée mourante et qu’on
croyait
perdue. î Ces Indiens prétendent que le choléra
té, il savait qu’il encourrait le blâme et le ridicule; mais qu’il se
croyait
assez fort pour résister. « Il fit ensuite rema
puis il n’a jamais éprouvé de sérieux retours de cette maladie. Il se
croirait
ingrat envers Tome XII!- — N» tîMî. — 25 septembr
ux qui couchaient dans les appartements voisins de sa chambre avaient
cru
^entendre les hurlements d’un chien égaré rôdant
la salive ; seulement les bruits qui s'échappent de son estomac font
croire
que là est le siège de cette hémor-rhagie. Dans l
e bienveillant. Cependant je dis également avec bonne foi que je ne
crois
avoir omis rien de ce qui est nécessaire pour dia
mpreint de mobilité et ses gestes conservent une vivacité qui me fait
croire
que, rendue à des habitudes sédentaires, elle ne
point dictée non plus par le désir de faire parler de moi ou de faire
croire
à un pouvoir mensonger, afin d’en profiter. Je
ensonger, afin d’en profiter. Je dis ici ce qui est vrai, ce que je
crois
, et ma persuasion repose sur des faits. 11 est vr
, car.il ne faut qu’une pensée pour la déterminer. Nous tous qui nous
croyons
très-sains, nous n’agissons souvent que par les p
es et éclater les rires; seul il ne riait ni ne pleurait ; seul il ne
croyait
pas à ses paroles. Dans l'inspiration même, il av
tout à fait inconnue, et finit par s’endormir de telle façon qu’on la
crut
morte. La langue inconnue était apparemment celle
ement surnagé. Ceci rappelle uue femme i!e Freyberg qui, si l’on en
croit
Moller, en 1620, et en présence tle deux ministre
teur. Je pourrais encore citer une vingtaine d’apparitions, mais je
crois
qu’elles intéresseraient peu. M”* H... conserva j
levée au moment où je la regardais, pendant que je tenais la tôle, je
crus
trouver quelque rapport entre ce mouvement et cel
e vends trop cher mes coquilles : « Cent firmes! mais c’est à n’y pas
croire
. Je donne les miennes pour peu de chose, et 011 n
ve où beaucoup de canotiers s’ébattent en troublant ses eaux ; ils se
croient
tous des marins consommés. Pourquoi les contrarie
s bientôt je céderai la place que je me suis faite au soleil. Ali !
croyez
-moi, vous tous qui cherchez la vérité, ne vous ab
its ; car ils sont implacables, ils vous méprisent, parce qu’ils vous
croient
faillies; prouvez-leur qu'ils ont tort. Ainsi p
omicile et que tout y est refroidi. Ah! je vous le dis, ceux que l’on
croit
morts sont pleins de vie ; vous pouvez bien tuer
itutions n’avaient pas sous les yeux les écrits de ce grand homme. Je
crois
bon de reproduire ici quelques-unes de ses pensée
ées ci-dessus. Je suis loin de les égaler sous ce rapport; mais je me
crois
supérieur en fait de magnétisme, et j’espère comp
a là un agent curatif supramondain. Mon incrédulité fut vaincue -, je
crois
maintenant à ce qu’on rapporte de M. Burt, fermie
le mesmérisme avant l'avénement de ce qu’on appelle le spiritualisme,
croient
maintenant que ces laits sont dus au mesmérisme.
depuis plusieurs années, depuis que j’ai observé le spiritualisme, je
crois
que le mesmérisme est un degré du spiritualisme
Est-ce que le triomphe du magnétisme n’est point notre seul but? Nous
croirions
, au contraire, n’avoir jamais assez créé de défen
voie. Et pourquoi donc ne dirai-je point ma pensée tout entière ? Je
crois
qu’il serait dangereux pour l’existence même du m
ns qu’elles donnent n’étaient point mises en pratique? Nous ne nous
croyons
point un grand pontife de la science nouvelle, et
à d'autre titre qu’àcelui de soldat de lu vérité ; que ceux donc qui
croient
être plus capables embouchent la trompette .et ch
r suite et leur ferous cortège ! Ah ! combien s’abusent ceux qui se
croient
mal placés au second rang. La renommée oblige, el
rouble et d’inquiétude; elle est comme la fortune, elle vend ce qu’on
croit
qu’elle donne. Mais tous veulent être chefs ou ro
rtifice à éblouir les yeux, c’est un feu roulant de mous-queterie, on
croirait
assister au siège d'une place forte , à peine a-t
la bonne chère et la toilette. Le mari, magnétiseur trop débonnaire,
croit
à la lucidité de sa femme, et s’empresse de lui a
ns sortir de l'incrédulité dédaigneuse et systématique où ils avaient
cru
longtemps devoir se renfermer, et arriver à l’exa
mnambules ne leur ont causé aucun mal ; il apporte son témoignage, il
croit
parce qu'il a vu ; il a observé avec soin, en pre
ir un critérium certain pour distinguer ce qu’ils voient de ce qu’ils
croient
voir. Après avoir lu le récit pompeux des merve
perstitions ; d’être des sectaires crédules, aveugles, fanatiques, de
croire
aux miracles, aux démoniaques, aux sorciers. S'il
t d’exister; qu’ensuite on n’est pas obligé, en admettant ce fait, de
croire
que l’aiguille soit une personne intelligente : q
fforcé d’en rendre le mécanisme simple, afin qu’il soit facile, et je
crois
avoir atteint le but. Désirant être libre d’agi
pour en être convaincu. — Comment se forme-t-il ? — Tout porte à
croire
qu’il est d’abord élaboré dans l’épaisseur des mu
: c’est plutôt une émanation qu’un fluide proprement dit. Les anciens
croyaient
que Dieu s’en était servi pour former l’univers p
tout cela est vrai, les miracles ont donc existé, et nous devons donc
croire
tout ce que l’histoire nous apprend sur ce sujet
même que celle qui, aujourd’hui, est remise entre nos mains. — Vous
croyez
donc à la possibilité de reproduire les phénomène
les tirer de leur erreur. Mais c’est assez pour une causerie, nous
croyons
d’ailleurs que nos gentils adversaires nous fourn
il y a chez lui deux hommes, le croyant et le savant ; le premier se
croit
enchaîné par une autorité souveraine qu’il n’est
le savant, au contraire, ne connaît pas de bornes à son activité, il
croit
pouvoir user légitimement de toutes les facultés
avions regardé comme des lois. Ainsi, pendant longtemps, 011 avait
cru
pouvoir expliquer l’ascension des liquides dans l
uestion de surnaturel n’implique -pas, comme beaucoup de personnes le
croient
, la question des esprits. S'il existe, en dehors
lois naturelles suffit pour le gouvernement du monde. M. de Gasparin
croit
pouvoir arrêter la liste des miracles en y compre
phénomènes étranges qui se passaient chez les convulsionnaires, on a
cru
pouvoir les expliquer; et, en les admettant, on n
aires, on a cru pouvoir les expliquer; et, en les admettant, on ne se
croit
pas tenu de les regarder comme des miracles que D
, je dis à mon camarade : ’J a Si nous nous battons aujourd’hui, je
crois
que le maré-« chai sera tué. » L’affaire s’engage
ntelligence de la veille? N’est-elle point effacée? Lorsqu’on devrait
croire
tout anéanti — excepté la vie des rêves — que tro
ette théorie est le fondement de tout le système de l’auteur, nous ne
croyons
pouvoir mieux en donner une idée à nos lecteurs q
de l’immatérialité de l’âme demeurerait intacte. M. Garcin n’a pas
cru
déroger en consacrant un chapitre à la question d
u somnambuliques, et provoque le rire chez ceux qui ne demandent qu’à
croire
. Cette légitime colère apaisée, l’hésitation me p
e faire plus et mieux que tel d’entre eux qui se distingue. Plusieurs
croient
que nous ne leur rendons pas justice. Ils se trom
' l’évêque, mais je me liàtai de nie rasseoir, ne voulant pas laisser
croire
à cet aventurier que je lui accordais quelque att
e encore d'une telle audace s’adressant à une femme de ma qualité. Je
crus
qu’il parlait à une autre, et je ne répondis pas.
rakin et les laquais n’en revenaient point. « Regardez-le sourire; il
croit
encore que j’ai rêvé tout « cela. « Enfin, nous
te semble marquée d’une certaine expression de fatalité. Du reste, il
croit
beaucoup aux sciences occultes, et je l’ai entend
seule qu’ils 11e surent point ouvrir. « M"" la duchesse de Bourbon
croyait
non-seulement au magnétisme, mais à la sympathie
serait-ce pas que, comme les vieux pécheurs, il a peur de l'enfer, et
croit
se repentir parce qu’il craint? En regardant auto
tincts? Qn n’ose y penser. 11 Quant à moi, je ne puis m'empêcher de
croire
aux effets du magnétisme après tout ce que j’ai v
original Persiste encor dans son délire, Il sera permis do lui dire
Crois
au magnétisme......animal. « M. Mesmer reçut M'
”* la duchesse de Bourbon, et fort bonne et fort spirituelle. Elle ne
croyait
point au magnétisme, et lorsque nous revînmes dîn
tout. Nous nous réunissions presque chaque jour pour des séances; j’y
crois
fortement et je désire voir cette croyance se pro
cette nouvelle, je fus altérée; tout était donc vrai. 11 fallait donc
croire
à ces illuminations de l’avenir, à ces révélation
eprésentation fidèle de cette époque. Nos successeurs hésiteront à le
croire
, ils ne comprendront pas comment des gens qui dou
rouve que c’est pour la femme Ségoin le souvenir d’un fait réel. Elle
croit
(personne ne l'a détrompée), elle croit avoir acc
souvenir d’un fait réel. Elle croit (personne ne l'a détrompée), elle
croit
avoir accom- pli une commission étant éveillée
es sans doute auront eu à constater des faits semblables ; mais je ne
crois
pas que l’attention se soit portée sur eux avec t
e toute personne qui en aura l'occasion à répéter), c’est que j'avais
cru
déjà remarquer au jeu cet usage d'une lucidité in
moyen-âge et le temps présent d’imbécillité pure et simple pour avoir
cru
aux divinations de gens éveillés, il faut une aut
rapporter à nos conjectures sur l’état crisiaquç imparfait; mais nous
croyons
qu'ils feront bien d’en étudier les circonslances
nt les serviteurs du Dieu très-haut. « — 11 savait bien qu'on ne le
croirait
pas. « — Alors cette somnambule n’inspirait don
en la démagnétisant, lui a rendu justice. « — Ainsi, pour nous, qui
croyons
à la Bible, le démon n’est pas étranger au magnét
l m’é-couta avec une vive attention, puis il s’exprima ainsi : c Je
crois
à tout ce que vous racontez. J’ai eu pour am* le
Monseigneur, répliquai-je, a trop d’esprit, trop de jugement pour le
croire
sérieusement, et j'ajoutai : Comment voulez-vous
Lui ayant demandé la cause de cette hilarité, elle répondit : . 'i
Croiriez
-vous, docteur, que ces trois messieurs sont venus
ant les yeux fermes, mais je suis en pleine vie magnétique. ,, — Ne
croyez
-vous pas le magnétisme venu de l’enfer, et œuvre
strats votre moyen de leur venir en aide ? « R. — Non, monsieur. Je
croyais
agir dans une bonne intention. J’ai aidé M. le ju
ai subi l’influence de personne. « m. j.e procureur oénéral. —Je le
crois
bien, sans.cela vous 11e seriez pas commissaire d
s : j’ai souri, j’ai rejeté ces contes des Mille et une Nuits, je les
croyais
tels, du moins. J’ai expérimenté pour m’assurer s
e, extase sont trois faits nouveaux dans notre monde. Les sciences se
croyaient
en repos, elles doivent changer de pivot si elles
distinctes, deux personnages à part dans le même individu, lorsqu’on
croyait
bien se connaître parce qu’on en avait étudié une
science, espères-tu par ton silence calculé faire reculer la vérité?
Crois
-tu qu’il n’y aura nul homme généreux qui osera
ions intenses, vienne à être piquée légèrement, immédiatement elle se
croit
entourée d’individus prêts à la frapper ; elle ve
meil incomplet, soit soumis à l’influence d’une odeur agréable; il se
croira
aussitôt transporté dans un magnifique jardin orn
intérêt ; mais en voici une autre bien autrement curieuse et qui, je
crois
, donne beaucoup de poids aux opinions que je vais
la tête, sans qu'il en résultât pour eux te moindre inconvénient. Je
crois
qu’il avait été content de moi, et qu’il me jugea
y remplissant les fonctions d’agent consulaire anglais. M. Petranchi
croit
que ces derviches possèdent des secrets naturels
emme Eulalie. M. Lardenois est affecté d’une monomanie qui consiste à
croire
que la santé de sa femme est très-sérieusement co
de M. Jolipointe, adorateur clandestin d’Eulalie !... car Jolipointe
croit
voir dans les confessions de la somnambule qu’il
Dieu, votre créateur, avec d’autant plus d’ardeur et de foi que vous
croyez
moins à la réalité de ce qui n’est plus qu’esprit
ton âme qui est la reproduction du divin Créateur ? Je vous prie de
croire
, mon cher maître, queje n’ajoute lien à cette rel
sseoir dans son coin. Reprenons la discussion : — Ainsi toi queje
croyais
un esprit indépendant de ceux qui te font agir, t
mbattu jusqu’aujourd’hui; mais j’avoue mon erreur, et comme lui je ne
crois
plus aux esprits, aux sorciers, aux revenants en
de la licence, nous avons dit avec le courage de la conviction : nous
croyons
, et nous tentons de faire partager aux autres not
ses pratiques des prières et des bonnes œuvres, elle cherche à faire
croire
qu’elle est inspirée de Dieu et que Dieu lui dévo
qu’un mois d’emprisonnement. [Droit.) Il y a beaucoup de gens qui
croient
très-fermement au magnétisme, qui en sont les plu
r un grand nombre de personnes éclairées, je me sens encouragé, et je
crois
utile de faire connaître à vos lecteurs des faits
nir du miracle, et je ne puis y penser sans frémir. Toutefois je dois
croire
au témoignage de mes sens, et je vais vous racont
nmoins nous avions appris qu’elle allait mieux et nous étions loin de
croire
que sa fin fût si prochaine. Je fus réveillé en s
out dévoué serviteur. Ogier. AVIS. Tous les magnétiseurs qui sc
croiront
des droits à la médaille de Mesmer sont priés de
es illustres ne firent point défaut à la nouvelle science. On pouvait
croire
que son éducation se ferait rapidement, confiée à
nté, et dont elle restera toujours la consolatrice et le soutien. Qui
croit
donc que son éducation ne s’est pas bien faite? Q
ais employer en grande abondance, je le prie d’agir à ma place. Il ne
croyait
peut-être pas du tout à l’arcane bienfaisant que
accusa une pièce d'or, M. Alexandre Dumas ae trouvait prèa de lui et
croyait
fortement que la dame dont il est question arail
it les mondes. Rappelle-toi ces mots... de l’apôtre... saint Paul, je
crois
: « ln Deo vivimus, movemus et sumus. » « Nous vi
faible raison. Ce jour viendra pourtant : jusque-là, ayez le désir de
croire
. Pour croire, sentez d’abord ! La croyance est un
. Ce jour viendra pourtant : jusque-là, ayez le désir de croire. Pour
croire
, sentez d’abord ! La croyance est une prière, et
vos enseignements, et dans sa mémoire à les bien apprendre. C’est, je
crois
, chez mon ami, aimable auteur de si jolies nouvel
Je pourrai te la donner par tant d’autres choses. Veux-tu donc, pour
croire
, torturer un pauvre esprit qui ne demande que lum
sprit qui ne demande que lumière ? et la trouve-t-on sur la terre, le
crois
-tu ? — Si tu ne te souviens pas du lieu, pourra
viens pas du lieu, pourrais-tu te rappeler l’époque ? — En 1841, je
crois
. En 1835, je fus mis en rapport avec celui qui m’
es dames de la cour. Pourquoy, comme elles, ne le voudriez-vous point
croire
? Elles ont toujours en leur cœur secret instinct
on desuomato. Voilà de singulières prétentions qu’on ne devait pas se
croire
obligé de discuter au dix-neuvième siècle, et qu’
de porte : Voyez à côté. — Si les phénomènes moraux du spiritualisme
croient
avoir meilleur accueil à l’Académie des sciences
rnal lu Magnétisme (n° du 10 mai 1854) un article où nous n’avons pas
cru
nécessaire d’adopter l’hypothèse des esprits pour
crédulité presque niaise. Tout ce qui leur arrive par une voie qu’ils
croient
surnaturelle , ils ne le discutent pas. Les contr
avec l’ensemble des faits (1). Voilà les règles générales que nous
croyons
pouvoir donner à ceux qui voudront avoir chance d
très-commun, ^t qu'il est en général difficile è bien constater, nous
croyons
devoir en citer un assez frappant, et qui peut je
ins, si l’on pouvait, à première vue, deviner leurs ficelles. Et nous
croyons
possible, par des moyens physiques, même de faire
ent ; cependant, faute de dédoubler ainsi leur propre témoignage, ils
croyaient
avoir positivement constaté des mouvements sans c
on que M. du Potet veut imprimer aux études magnétiques. Nous avons
cru
devoir parler avec quelques développements de ce
l, est de ce dernier avis, et le motive ainsi : « Les personnes qui
croient
aux faits ont de quoi se satisfaire largement auj
e s’occupera pas plus des travaux de ses devanciers que M. Auzoux, et
croira
lui aussi que l’univers entier attend qu’il ait u
. Auzoux n’a voulu admettre aucun fait comme concluant. Il est donc à
croire
qu’il y a chez lui parti pris de persisterquand m
ique volontairement les écailles sur les yeux pour ne pas voir, et se
croie
par là autorisé à nier la lumiere. Mais il y a pl
puissant moyen curatif, il n’y aurait pas un grand danger. Peut-être
croira-t
-on que les médecins se contenteraient d’obtenir u
sance curative du magnétisme, sans vouloir s’en réserver le monopole?
Croyez
-vous qu’ils affirmeront publiquement la vérité: s
e leur intérêt personnel ne ferait pas reculer devant la vérité. Nous
croyons
au désintéressement, au dévouement des individus
as qu’on mette en doute leur bonne foi. Dans les sciences, on ne doit
croire
qu’à ce qui est prouvé. C’est donc non seulement
même ? Vous êtes comme saint Thomas, incrédule. Peut-être, comme lui,
croirez
-vous après avoir vu. Le docteur accepte la propos
ur la cornée transparente. Ceci n’était pas sur le programme. Je ne
crois
pas qu’avec de l'étude on puisse arriver à empêch
es à s’organiser de façon à procéder d’une manière plus scientifique,
croit
-on que nous voulions blâmer la marche adoptée par
ue nous n’examinons pas ici. Notre nom n’a aucune autorité, mais nous
croyons
ces idées utiles, et nous laissons l’initiative s
ulsions cloniques très-violentes. Je l’examinai avec attention, et je
crus
reconnaître qu’elle était hystérique. Voici, du r
le avait complètement perdu le souvenir de ce qui s’était passé. Elle
croyait
avoir dormi, et n’accusait qu’un sentiment de cou
veau les magnétiseurs, les écrivains de la cause, tous ceux enfin qui
croient
avoir quelques droits à une récompense, à envoyer
et signiHcative, exhalée par la manifestation: « Veux-.tu donc, pour
croire
, torturer un pauvre esprit qui ne demande que lum
sprit qui ne demande que lumière? Et, la trouve-t-on sur la terre, le
crois
-tu? » Cet effet se révèle également dans la for
e lourde, en fermant les yeux j’ai vu des images fantasmagoriques. Je
crois
que l'action de la substance a élé troublée parce
ficultés, nous n’en continuons... nous n’en continuerons pas moins de
croire
. Quelle conclusion abstraire de cette divergenc
étais lié dopuis de longues années, provoque en plaisantant et sans y
croire
, mes explorations cranioscopiques. Je constate ch
ste éminent a fort crûment établi que Socrate était fou , parce qu’il
croyait
converser avec son démon. Les mystiques répondent
de tous les temps et de tous les lieux; que les hommes y ont toujours
cru
; qu'ils ont exercé une action considérable sur le
attentivement?... Je ne me rappelle plus quelle fut ma réponse, et je
crois
même n'en avoir fait aucune. » Ces perceptions
ues ? Les magnétistes qui rejettent le spiritualisme parce qu’ils n’y
croient
pas , et qu’ils n’acquièrent ex abrupto tout ce q
rnation ? Un poète a fait ressortir cette différence : L'esprit qui
croit
saisir la lueur éclipsée N'étreint, comme lxion
même conjointement à ce moyen de contrôle, il est un critérium que je
crois
le meilleur. Le tétragrainme qui forme notre vo
cette affaire? J’ai répondu : Pourquoi la cause en tout? Si l’on ne
croit
pas h la possibilité, uon plus qu’k l’efficacité
exercer l’industrie un peu ténébreuse de dormeur-magnétiseur. A l’en
croire
alors, il jouissait de vertus occultes extraordin
des improvisateurs. « Vous, Monsieur, qui professez une tendance à
croire
à... LA force vitale (1) . (terme panthéistique t
vos plaques de cuivre rouge. » J’obéis et mon mal disparut. M. Hébert
croit
expliquer cette vertu spécifique des métaux par l
. Je veux finir par l’exemple d’un pouvoir magnétique provenant, je
crois
,, de la force attractive d’une masse liquide en m
is savoir si la vision de Charles avait été complète. Julie elle-même
croyait
que, sur la fin des phénomènes, il avait vu ce ha
ertir la famille contre le danger que vous reconnaissez. — On ne nous
croirait
pas, et l’on nous mettrait à la porte. — Comment
! Une consultation vient d’être faite pour mon oncle, que nous avons
cru
sur le bord de la tombe ! C’est bien drôle, allez
ritualisée (2) se fut dégagée de ce premier lien, Dieu ! moi qui ne
crois
pas aux esprits... c’en est un qui me parle (*)l.
ent par un sentiment vague de crainte ou d'cspérance que l’humanité a
cru
jusqu’à présent ; ce qui indique que La Vénératio
es, dans C état lucide, ont vu le soleil spirituel , et pour ceux qui
croient
à l’immortalité. les phénomènes que je viens d’ex
étiste, j’ai voulu combattre, autant que j’en suis capable, ce que je
crois
ses erreurs. J’ai tâché de le convaincre, parce q
e la maladie, ont surgi des règles de la santé. J’ai des raisons de
croire
que tels événements de la scène du monde actuel,
te fols, la clef lourna. Chacun haussa les épaules, sans vouloir en
croire
ses yeux. Quatre mois s'étant écoulés, LouisXVU
raisemblablement impossibles l’orgueil des savants non initiés. Qui
croirait
aujourd’hui l’histoire de ce roi de Médie arrivan
d, et il éprouve le besoin de marcher toute la journée. Devons-nous
croire
à une guérison, ou bien assistons-nous à un état
istons-nous à un état de transition simple? C’est ce qu’il serait, je
crois
, bien difficile d’avancer, et ce que l’avenir seu
prit et un corps. L’esprit est immortel. Or, il est contradictoire de
croire
à cette immortalité et de nier les relations que
faites un crime, à nous chenilles que nous sommes, de ne pas vouloir
croire
qu’un jour nous deviendrons papillons. A quoi bon
ous nous dites du monde extérieur, qui ne diffère pus autant qu’on te
croit
de celui-ci, car c’est exactement le même, moins
e ; mais la rive et la rivière sont deux et non un, comme vous l’avez
cru
. Un mot encore avant de finir. Vous avez écrit
hent la vérité : mais M. Amédée Latour préfère la pasqui-nade : il ne
croit
pas déroger en faisant monter Uippocrate sur les
Après avoir fait l’oraison funèbre de M. le professeur Gerdy, il a
cru
ne pouvoir offrir à cette âme colérique d’hécatom
chloroforme, imposer silence au cri des organes souffrants? M. Latour
croit
-il impossible de détruire le mal?... Ce n’est san
rononcer ce mot, il vous coule une sueur froide sur le front, et vous
croyez
voir se dresser devant vous les batteries formida
de ténèbres. Dans le doute, nous ne voyons pas pourquoi M. Latour se
croit
autorisé à chanter victoire. Tout ce qu’il peut a
e la médecine n’a pas à se glorifier du fait qu’il nous raconte. 11
croit
terrasser le somnambulisme, et il ne prouve même
M. Gerdy, est mort de la phthisie pulmonaire, dont il ne s’est jamais
cru
atteint. Ainsi voilà un homme qui enseignait à gu
être suivi, mais ce n’est point un motif pour qu’il s’arrête s’il le
croit
et s’il est dans le vrai. Nous sommes au moment
des auteurs par lui cités, est l’état intellectuel d’une personne qui
croit
voir ou entendre ce que les autres no voient ni n
sidérons un objet trop éloigné ou trop peu éclairé. Mais quand ce que
croit
voir le som-uambule n’a aucun rapport avec la réa
notre arsenal de thérapeutique médicale et chirurgicale, et qui nous
croyons
les seuls bienfaiteurs de l’humanité souffrante.
apeutique. Avec cela et la garantie de nos diplômes, nous nous sommes
crus
en sûreté très-légale. Vers la fin de juin , j’
le temps de répondre à votre lettre du 14 du mois der-o nier, mais je
crois
devoir vous dire que madame Darrieau «a dû avoir
ès quoi il me dit que je pouvais m’en retourner à pied. Eli bien ! le
croira-t
-on ? mais le fait est certain , je renvoyai mon c
e, son aversion pour les moyens qui auraient pu la régénérer. 11 faut
croire
que le corps médical lui-même se sent bien malade
e provoquent que le dédain. Comment! voilà des hommes graves que l’on
croyait
tout dévoués à la science , n’ayant d’autre passi
tendre d'un trépied véridique qui a trahi tous ses collègues. J'avais
cru
, d’après ses premières indiscrétions, devoir divi
es, et môme contraires à nos pensées ou à nos opinions, ce qui a fait
croire
à l’intervention d’un tiers étranger. En admettan
stre avec soin. Nous lui devons la lettre du docteur Vandoni que nous
croyons
être agréablesànos lecteursen lacitant plus loin
vigoureuse guerre aux charlatans et aux imposteurs, et nous aimons à
croire
que, grâce aux efforts réunis de ces deux énergiq
des procès-verbaux de cette solennité. Nulle part, toutefois , nous
croyons
pouvoir le dire, les adhésions n’auront été plus
tions magnétiques, par ses dispensaires, mais nous avons l’orgueil de
croire
que bientôt nous ferons plus et mieux que l’Angle
e vie, la vérité s’y est introduite. « La Russie, que l’on pourrait
croire
en arrière du progrès, compte déjà un grand nombr
. — Ne sommes-nous pas rassurés sur nos destinées futures, si nous en
croyons
les spiri-tualistes ? — La rédemption n’est plus
tincte qui lui parut parfaitement naturelle, et qui lui dit : * Tu la
crois
fidèle; va voir dans sa malle, et tu y trouveras
. Recevez l’assurance de mes sentiments de bien sincère amitié , et
croyez
-moi toujours Votre affectionné collègue et ami,
ns mon isolement, l’anniversaire mémorable de l’illustre Mesmer, j’ai
cru
ne pouvoir mieux employer qu’en le consacrant à u
ait séparée par deux cents lieues de distance, sur ma demande si elle
croyait
la revoir bientôt, elle écrivit : « Dans deux ans
ntalement. Quand je donnai l’explication du tour, personne n’y voulut
croire
; si j’avais averti mon monde, on y aurait cru bie
personne n’y voulut croire; si j’avais averti mon monde, on y aurait
cru
bien moins encore. C’était bien là, si je ne me t
expériences de tables, de me lancer dans le royaume des esprits, j’ai
cru
devoir me tenir strictement sur le terrain physio
La lecture de cette lettre me jeta dans un assez grand embarras. Je
croyais
bien être à même de constater une expérience somn
. Gudin, et malgré tout mon respect pour le somnambulisme, je ne puis
croire
qu’on puisse étendre un vernis sur une peinture f
né la ténébreuse cérémonie qui s’est passée dans sa classe même. Je
crois
donc, de toute justice, devoir rapporter en entie
elui qui était réuni dimanche dernier, car ceux qui font parade de ne
croire
que ce qu’ils peuvent mathématiquement voir font
donne ses fruits mûris dans l’ombre ; les meilleurs esprits que l’on
croyait
étouffés ou étiolés se dressent les mains pleines
cet automne, mais, cette fois, je ne pourrai quitter l’Angleterre. Je
crois
donc de mon devoir de vous envoyer quelques obser
ents très-forts, frapper même sur le plancher de manière à nous faire
croire
que la table se brisait ; traverser le salon dans
chez une dame qui est médium. Cet ami fut d’abord sceptique, et il a
cru
que c’était une supercherie. Mais, après beaucoup
ai remarqué une chose, c’est que souvent, après plusieurs lettres, on
croit
savoir le mot, et l’on attend la prochaine lettre
out le cercle , mais à uue autre, parce que le mot n’est pas ce qu on
croyait
. J’ai observé aussi qu’en général les réponses
singulier, qui a fait plus tard beaucoup de bien à, la malade. Je me
crois
fondé à dire que ce médium déclamant ne l’était q
rdinairement que l’un des deux cerveaux tandis que l'autre repose. Je
crois
même que dans le sommeil ordinaire, tandis que le
t usage le jour se repose, l’autre s’éveille et fait des songes. Je
crois
aussi, d’après ce que j’ai vu chez les somnambule
s sons, et cela sans en avoir aucunement conscience. Au contraire, il
croit
que tout cela vient d’autre part. Cetie théorie
ntaines de mille personnes, qui toutes en ont vu cent fois davantage,
croient
aux communications des esprits, et que, parmi ces
ce, mais aussi qu’il a le pouvoir tant soit peu magique , mais que je
crois
magnétique, d’agir tellement sur toute l’assistan
et, ce qui est plus étonnant, à l’insu des sujets de l’expérience. Je
crois
que ce dernier phénomène, c’est-à-dire le pouvoir
ron, le cas de seconde vue que j’ai été à même d’étudier, et que j’ai
cru
devoir être intéressant pour tes lecteurs de votr
sujet les manifestations du spiritualisme aux Etats-Unis. M. Chambers
croit
au magnétisme qu’il a étudié, et il a essayé de p
ut maintenant que la suggestion explique tout, mais il voudrait faire
croire
que ce sont les médiums qui nous ont enseigné les
des tables, etc., dans le sens de cette lettre, et j’ai tout lieu de
croire
que mon discours a reçu l’approbation unanime de
ut aperçu que sa sortie pouvait paraître quelque peu inconvenante, il
crut
la réparer en ajoutant : _ toi, sa sœur, est P/m
s où ils me dénieraient la faculté de le faire pour eux, ce que je ne
crois
pas : Que voulez-vous faire du magnétisme théra
ique aux corps savants, sorte de gens, dit Tardy de Montravel, qui ne
croient
pas, parce qu’ils ne veulent pas croire, soit qu’
t Tardy de Montravel, qui ne croient pas, parce qu’ils ne veulent pas
croire
, soit qu’ils pensent que le magnétisme est contra
d’un jugement trop précipité. Ceux-là, soyez-en bien persuadé, ne le
croiront
pas plus en voyant qu’en ne le voyant pas, et s’i
ligion contraire, se réserveraient les choix des juges?...... Ne vous
croiriez
-vous pas revenu au bon temps oul’évêque Cauchon
par suite des expériences qu’ils demandent, ont-ils la prétention de
croire
que leur nouvelle croyance, leur conversion aura
ires, dont les ramifications s’étendent si loin, ne voudront pas vous
croire
; on travestira vos paroles, on en dénaturera le s
nt « disparaître; mais c’est toujours un retard, et qui sera (i long,
croyez
-moi. » J’ai rapporté in extenso ces réflexions
médecine des écoles, que revient cet humble rôle. Donc, si vous en
croyez
une voix amie, vous laisserez une large part du j
’hui, il y a peu d’en* semble, peu d’unité dans le camp mesmérien!...
Croyez
-vous que ce défaut d’union provienne seulement de
mp; peu près ; et si mon idée se réalise, ce qui ne peut se faire, je
crois
, qu’avec votre aide, je m’inscris le premier et p
mme lui, en lui indiquant les moyens qui lui ont le mieux réussi ; je
crois
que nous devons continuer à enrichir les collecti
s manifestations. vous seriez dans l’erreur : je DOfTF. et je (h'tirc
croire
, car cette croyance serait conso-lante et ferait
mme lui, en lui indiquant les moyens qui lui ont le mieux réussi ; je
crois
que nous devons continuer à enrichir les collecti
uel viennent aboutir une infinité de filons encore inconnus, que nous
croyons
de notre devoir d’étudier, de scruter assidûment
i, à démontrer. Aveugles sont ceux qui ne le veulent point voir. Nous
croyons
donc ne point lui nuire en lui adjoignant l’étude
us tard peut-être, on ne nous pardonnerait point. F.t nous aimons a
croire
que c’est seulement parce que la pensée de n>s
s laisse à penser le désappointement de MM. du conseil de santé qui
croyaient
déjà me tenir. Aussi, à présent que je sms maître
de erreur, pour n'en citer qu’une, due à la vieille théologie, est de
croire
que l’esprit humain, par le seul fait de son affr
corps, doit immédiatement tout savoir. Il y a beaucoup de gens que le
croient
, d’autres sont tombés dans l’excès contraire, le
pend de nous d’accélérer ou de ralentir. Beaucoup de gens refusent de
croire
aux esprits, ou bien ils les gratifient de menteu
enfant, elle lui répond, comme elle l’aurait fait ici, parce qu’elle
croit
être vraie. Si elle est assez sage pour reconnaît
tôt Goodall, qui s’assit dans lé lit, et se mit à interroger ce qu’il
croyait
être un esprit ; et, après avoir demandé que les
rien qui la fît mouvoir. Les coups devenant de plus en plus forts, je
crus
prudent de faire intervenir la couverture, et je
lle pour faire connaître les faits suivants que je constatai avant de
croire
aux. communations spirituelles. Je ne demande pas
revenu; que, par conséquent, elle ne s’était point fait saigner. Je
crois
nécessaire à présent de donner ici quelque explic
e de docte, cependant, avant de lire vos filandreuses diatribes, nous
croyions
qu’un diplôme de docteur avait réellement un peu
en effet, vos longues et lourdes paroles ? Que vous et vos pareils ne
croyez
pas et ne voulez pas croire au magnétisme. Eh ! q
rdes paroles ? Que vous et vos pareils ne croyez pas et ne voulez pas
croire
au magnétisme. Eh ! que nous importe votre incroy
ceux (dont le nombre déjà n’est pas petit) qui veulent le progrès et
croient
au magnétisme. En attendant, pour l’édification
est suivi d’un autre qui en est le véritable complément , et que nous
croyons
devoir donner aussi à nos lecteurs , avec le vigo
ici la bizarre profession de foi de l’illustre baron-docteur : « Je
crois
au magnétisme et je le propose comme moyen « util
le propose comme moyen « utile dans les seules mains des médecins. Je
crois
, en « conséquence, nécessaire d’appeler ânes, cha
s tous indistinctement ces soi-disant professeurs de « magnétisme. Je
crois
également opportun de discréditer « le magnétisme
ales , en en exa-« gérant, selon fart, les risques et les dangers. Je
crois
« qu’il convient de déclarer la clairvoyance des
decins et l’on ne guérisse pas sans « avoir le droit d’être guéri. Je
crois
enfin qu’il faut don-« ner à entendre à tous nos
de la sensibilité dans les parties primitivement afTectées, aussi je
crus
devoir l’envoyer prendre les eaux d’Enghien, d’où
ge à coups de lexique, ils se rebutent, et laissent là le livre. Nous
croyons
que M. Philips a mieux saisi le génie de notre la
enre (1) et aurait du moins en sa faveur la raison de l’usage. Nous
croyons
deviner que M. Philips voulant présenter de nouve
ayons débarrassé notre marche de tous les systèmes accessoires, nous
croyons
devoir dire un mot de l’hypothèse psy-cologique d
e la fiole, je n’ai pas trouvé la moindre apparence d’amertume, et je
crois
avoir le goût aussi délicat que celui de M"* d’Or
nnièmes correspondent à une dilution d’un numéro peu élevé. Si vous
croyez
, mon cher maître, qu'il y ait intérêt à ce qu 011
établissait qu’elle eût employé des manœuvres frauduleuses pour faire
croire
à l’existence d’un pouvoir imaginaire, et pour se
n des cheveux poussée à partir de Incident était blanche; car nous ne
croyons
pasquon ptfw¿“¡S ’" des cheveux déjà blancs puiss
e et tombe en cessant de « donner aucun signe de vie. Merveille ! 011
croyait
la relever « morte, et on la releva guérie : la t
me cérébro-spinal ne sont point, comme on est généralement porté à le
croire
, des actes de pur instinct et qui se fassent sans
Ce point est le plus important de la théorie de M. Philips, et nous
croyons
ne pas devoir nous contenter de cet aperçu à prio
ue — cela résulte de la liaison entre la pensée et l'action, que nous
croyons
avoir démontrée dans ce paragraphe. Mais dès à
er quelques critiques. Mais, au point où nous en sommes parvenu, nous
croyons
avoir justifié ce que nous avons dit en commençan
à la fois et le plus puissant lorsque l'on peut l’employer, c’est de
croire
profondément à ce que l’on affirme ; c’est d’avoi
us fera connaître le résultat de ses études sur la lucidité , et nous
croyons
pouvoir lui prédire .une récompense qui vaudra bi
telligence me cause du trouble. « Dites-le-lui, répliqua Hopper. Ne
croyez
pas qu’il y ait ici matière à rire. Ce que je dés
Morlcaux, le 6 septembre 1856. FAITS. « Monsieur le baron, « Je
crois
"devoir vous donner connaissance d’un fait qui n’
ntir contre une confiance trop illimitée. Il y a autant de danger à
croire
trop aveuglément qu’à ne pas croire du tout, et c
imitée. Il y a autant de danger à croire trop aveuglément qu’à ne pas
croire
du tout, et c’est aux magnétiseurs que nous nous
it insciemment, et même plus que insciemment, malgré nous? Je ne le
crois
pas, et c’est ce que mon expérience constate. Voi
vant s’apprécier et connaître au juste sa propre valeur. S’il faut en
croire
le Journal of man de Cincinnati, cet immense prob
ance, de l’électro-biologie, de Y électricité intelligente, etc. Nous
croyons
devoir protester, dès le début, contre l’invasion
ers, suivant la nature des visions et des conversations. Parfois elle
croyait
entendre une musique délicieuse, et elle en répét
eu le temps que de jeter un rapide coup d’œil. — Ce jour-là, elle se
crut
Grecque, née à Athènes; sa physionomie et son lan
nt tout ce qu’elle éprouverait jusqu’à cette catastrophe. M. Cervello
crut
prudent de cacher aux parents cette prédiction ;
s dominants et de se faire ouvertement le champion de la vérité. Nous
croyons
donc devoir, au nom de tous les amis du magnétism
et tous manifestèrent leur satisfaction. « Comme il était permis de
croire
que M“' Ogier était en bonne voie de lucidité, d’
x que la société entière s’extasiait devant ses révélations, son mari
crut
devoir en profiter pour accroître et la curiosité
e porter à votre connaissance une découverte que j’ai faite et que je
crois
inconnue jusqu’à présent. « Il y a sept ou huit
magnétique il jouit de l’autorité d’un véritable classique. M. Lovy
croit
pouvoir fixer des bornes à l’essor du magnétisme,
pas et continue son œuvre désorganisatrice sous toutes les formes. Le
croirait
-on ? 11 y a à New-York un médecin français qui ti
l’influence de la doctrine de Mesmer sur les mœurs, les commissaires
crurent
devoir en faire la matière d’un rapport secret, d
le grand Apollonius de Thyanes? Je ne suis ni assez halluciné pour le
croire
, ni assez peu sérieux pour l’affirmer. L’effet de
e j’ai vu clairement et distinctement, sans rêve; et cela suffit pour
croire
à l'efficacité réelle des cérémonies magiques. J’
uffit pour croire à l'efficacité réelle des cérémonies magiques. J’en
crois
, d’ailleurs, la pratique dangereuse et nuisible ;
ie des magnétiseurs et de leur fin serait fort curieuse à faire; nous
croyons
qu’elle présenterait beaucoup plus de cas de suic
science et de l'amour de la vérité, ces expériences peuvent, nous le
croyons
, ouvrir des voies nouvelles. Les curieux fragment
docteur Esdaile sont de la plus scrupuleuse exactitude ; qu’il ne se
croit
pas compétent pour décider si le magnétisme convi
du sang s’arrêta tout à coup ; on fit appeler le médecin, qui fit, je
crois
, tout ce qu’on doit faire en pareil cas, c’est-à-
aient pas; je trouvai la malade très-faible et fort entreprise; je ne
crois
pas me tromper en jugeant qu’elle devait rester a
ensai de suite au magnétisme; et, pour faire valoir sa cause et faire
croire
à son extrême puissance, je ne crus pas devoir op
faire valoir sa cause et faire croire à son extrême puissance, je ne
crus
pas devoir opérer moi-même, certain d’avance du s
magnétistes , physiologistes, qui ont vu et entendu cependant, ne se
croient
pas encore suffisamment éclairés pour se prononce
Comme résumé de laits curieux et d’expériences remarquables, nous le
croyons
digne d’un intérêt sérieux ; mais, connue démonst
ontester l’existence, remarquez-le en passant; mais nous voulons bien
croire
que la brûlure existe ; ou, si vous l’aimez mie
voie de l’Amérique, de si étranges détails, Sérieusement, nous qui
croyons
sincèrement à la bonne foi et à la conviction de
us de lumière; nous lui dirons que son livre, excellent pour ceux qui
croient
déjà ce qu'il croit lui-même, est, pour nous autr
i dirons que son livre, excellent pour ceux qui croient déjà ce qu'il
croit
lui-même, est, pour nous autres Européens, ce que
agnétisée, et alors j’irai ta soigner. Après bien des hésitations, il
crut
pouvoir définir le genre de maladie. On lui dit a
it une fois, » et que je le poursuivisse dans le infime style, chacun
croirait
que c’est un miracle éclos, comme tous ceux surgi
re autres jours, le miracle de sa résurrection ! Cela vaut bien, je
crois
, le Chat botté ou la Belle aux cheveux d’or, et l
, elle eut le don de prévision porté à un très-haut degré, ce qui fit
croire
, comme c’était encore l’habitude à cette époque,
s le monas ère. Maisle diable u est un menteur que nous ne devons pas
croire
. Jeanne « Potière, âgée de quarante ans, fut amen
« Voici l’épisode de la bataille de Malplaquet, tel que nous avons
cru
devoir le présenter : « 11 y avait dans l’armée
a élè victime de son courage et qu'il figure au nombre de ceux qu’on
croit
morts. A lors elle tombe dans les convulsions du
N’y a-t-il que les choses expliquées, démontrées, auxquelles on doit
croire
? En ce cas, le cercle de nos croyances serait bi
consolent les affligés, en leur démontrant la présence d’ètres qu’ils
croyaient
avoir perdus pour toujours, et ils font naître la
ppent à nos sens. Le nier, serait ressembler aux matérialistes qui ne
croient
qu’à ce qu’ils peuvent peser et dissoudre dans le
d’un ordre plus élevé. Les esprits qui viennent à nous , ou que nous
croyons
venir, ont une forme matérielle plus ou moins raf
er tous les sept ans, comme on l’affirme. Il est aussi raisonnable de
croire
que l’esprit survit à la dissolution du corps, qu
ue je ne pense pas qu’il pût y avoir le moindre danger pour nous : je
crois
plutôt que c’était un jeu dé la part des esprits,
s et les jambes sous les tables pour mieux Lire la vérification. Je
crois
ces explications suffisantes pour que les lecteur
ur et cher maître, « 11 est un fait qui m’est particulier et que je
crois
devoir faire parvenir à votre connaissance comme
r 1 aider à me soigner. Craignant de m’impressionner ou de me laisser
croire
que je courais quelques dangers, elle hésitait po
nait le vertige au cerveau et la défaillance au cœur. » Nous aimons à
croire
que M. Auguez a trop de bon sens pour se laisser
es sur cette matière, n'ont pas osé donner de définition. M. Auguez a
cru
pouvoir en donner deux, une de lui-même, et l’aut
ons de citer sont conformes à l’Évangile où Jésus dit : « Celui qui
croira
, fera ries choses pareilles anx miennes, et de pl
e monter à ma chambre et que je fus arrivée au pied de l’escalier, je
crus
que je no pourrais pas le franchir, tant je le
re dans une glace de Saint-Gobin. Les plus mal partagés sont ceux qui
croient
causer avec le démon, et ne causent qu’avec un mi
cience contre l’auteur de pareilles orgies, et rien de plus. Cçux qui
croient
aux apparitions des revenants, à des taches phosp
t, lui parut illuminée : Jeanne, tombant à genoux avec recueillement,
croit
entendre une voix qui lui dit : ci A« craignez ri
avec tant d’esprit, de hardiesse et de honne grâce, que toute la cour
crut
voir en elle quelque chose de divin. Elle promit
re sur « vous, plutôt que sur votre peuple ? » Charles VII, étonné,
crut
que , pour s’assurer de la vérité , il fallait d’
ville. Charles, qui, en la perdant, eût perdu sa dernière ressource,
crut
devoir profiter du courage d’une fille qui parais
tte fête tout l’éclat que mérite le sujet. Observations. Nous avons
cru
devoir insérer cette notice, bien qu’elle semble
s tribunaux les a tenus en garde contre l’un ou l’autre excès. Sans
croire
aveuglément aux merveilles du somnambulisme , et
Reims la profession beaucoup plus lucrative de somnambule. Si l’on en
croit
la prévention , elle donne, moyennant trois franc
èse attribue au démon (tel que l’E-glise catholique nous enseigne à y
croire
) tous les faits et gestes des tables parlantes.
e multipliant. Pour l’admettre, il est clair qu’il faut commencer par
croire
au diable. Or, parmi tant de gens qui, de no« j
iques que de nom, combien n’y en a-t-il point qui, croyant à Dieu, ne
croient
pas Satan, mais le regardent comme une création p
est bien différent. Ainsi il ne faut pas qu’on nous accuse, nous qui
croyons
, de donner la pensée au bois ; il y aurait mépris
cet opuscule intitulée : te Guéridon poète.) 11 me fut impossible de
croire
que ces quatre vers émanassent du guéridon, et je
noms imaginaires, de manière à dérouter les personnes qui auraient pu
croire
à une véritable identité; bien plus, ce qu'il y a
uis longtemps on n’entend plus parler de l’iuquisition, on pouvait la
croire
supprimée ; sans doute, les progrès de la raison,
nse avoir besoin de recourir au démon ; bon nombre de magnétistes n’y
croient
pas ou n’y croient guère ; quant à ceux qui y cro
recourir au démon ; bon nombre de magnétistes n’y croient pas ou n’y
croient
guère ; quant à ceux qui y croient, ils ne jugent
magnétistes n’y croient pas ou n’y croient guère ; quant à ceux qui y
croient
, ils ne jugent certainement pas à propos de le fa
’énumérer constituent, suivant elle, une coupable fourberie : on doit
croire
dès lors qu’il ne s'agit que de la simulation de
à quelques égards, quant à l’ordonnance des séances publiques » nous
croyons
utile de présenter quelques observations sur la p
umise à la Société du mesmérisme qui „ après une mûre délibération, a
cru
devoir maintenir l’ordre: de ses séances ; voici
l s’attache à prouver que c'est une erreur depré-tendre qu’on ne doit
croire
que ce qu’on peut expliquer. Il a mille fois rais
aison , mais quelques lignes sur cette question auraient suffi ; il a
cru
devoir donner d’assez grands développements. Au s
L’auteur s'attache ensuite à dissiper les craintes des personnes qui
croient
dangereux de se soumettre au magnétisme, et qui p
affùwr, User, allirtr. Page 638, ligne 10, au lieu de voir, I isea
croire
. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). ~ TABLE AN
direct, 361. Profession de foi burlesque d’un docteur italien, qui
croit
au magnetismo et le propose comme moyen utile, ma
es adorables créatures un degré de perfection encore plus exquis ; il
crut
concevoir la possibilité d’en faire presque des a
avis sont partagés sur ¡•on compte. M. Paul Dibon de S’il en faut
croire
les pieux écrivains qui jusqu’ici ont raconté la
es et par un esprit d’imitation par trop docile et peu éclairé, aient
cru
à cet égard s’affranchir des liens de la bienséan
s sortes d’embûches afin de les entraîner dans le vice. Nous qui ne
croyons
pas au diable, c’est-à-dire à un esprit assez pui
t les femmes danser toutes nues sur io mont Taygite. Cela étant, nous
croyons
que dans l'état de macération, d'exaltation et de
arlatan : c'est encore moins un prestidigitateur, lin moment on avait
cru
pouvoir le considérer comme tel, et il est une ci
dules, nullement sensitifs et impressionnables, qu'on le veuille bien
croire
. D’ailleurs. M. Home, ce jeune homme si frôle, si
alpé, comme c’était l'habitude, le sein nu de la pauvre Madeleine, on
crut
y reconnaître la fatale marque. Alors, dit de Bos
iers et des sorcières, montés sur un manche à balai rôti ? Nous ne le
croyons
pas. Qu’on remarque que, dans la plupart des proc
ions criminelles s’étaient établies entre eux. Ces faits, on peut les
croire
, on les comprend ; ils ne sont arrivés que trop s
s pendant leur tranquillité et en leurs accès, sur tout ce qu’ils ont
cru
pouvoir donner lumière à, ceste connoissance , on
le phénomène. N’obtenant pas de suite des résultats désirables, je
crus
devoir mettre le bras en catalepsie complète, en
à-dire d’un fluide émanant de nous-mêmes? Que ceux qui persistent à
croire
que tous ces phénomènes doivent être attribués à
aquelle exécrable action un diable en forme de chat (que la déposante
croit
être le même qui lui apparut sous le mûrier) se p
ience officielle lui ait donné droit de cité, et ce temps-là, nous le
croyons
, est prochain. Autrefois, cette grande vérité éta
lieu devant le Parlement de Normandie. Seulement, comme Dibon, il ne
croit
ni aux sorciers, ni à la magic, ni même aux phéno
s remarquables de la part dis religieuses qu'il vit et qui lui firent
croire
plus que jamais à leur possession. De Bosroger na
dra illusion... C’est possible, quant à la manière dont le somnambule
croyait
passer dans la pièce ; mais quant au transport lu
part). Cet état diffère essen- tiellement du somnambulisme, et je
crois
qu’aucun magné-tiste n’établit aujourd’hui de con
la rapidité de l’éclair, à plusieurs centaines de lieues. Nous avons
cru
remarquer une nuance, pour les opérations de 1 in
recouvra subitement la vue. — 0 mes amis, je vois, Et maitcnantje
crois
A cette faculté que j'ai tant combattue De touche
loin avec les yeux. Dieu! que c'est étonnant, inouï, merveilleux!
Croyez
-moi, ce n'est point un conte, San* sortir île m
sse de l’endurcissement scientifique, et cependant vous aurez peine à
croire
que le rédacteur et signataire des déclarations q
à briser sa carrière. Je dis présomption , car, malgré tout, je ne me
crois
pas fondé à mettre en doute 1e. bonne foi du prof
ant à M. Wiffis, il était trop loin pour y atteindre. Je fus seul, je
crois
, qui regardai sous la table, et je ne fi« part à
à m’accorder; je m’arrête donc : maintenant, à ceux qui refuseront de
croire
aux faits racontés ci-dessus, sur la foi de mon t
ne seule chose, c’est que moi-même j’aurais trouvé très-difficile d’y
croire
sur la foi du leur. Commit eux, j’ai voulu ne m'e
ez sourire de ce sourire maladif d’un homme qui a vu un revenant. Ils
croient
fermement au spiritualisme... >> Et plus
cte sembla personnel à M. G. de C., et notre honoc.tble collaborateur
crut
devoir m’opposer mes propres écrits pour me montr
dans cette exclusion des forces vives ; c’est pourquoi j’ai toujours
cru
de mon devoir de chercher à faire pénétrer dans l
en faveur de lanw decine des somnambules que M. Guibert de Clelles le
croit
. M quia pu entretenir notre estimable collaborate
les plus bril-ants sujets d’étude dans le ravissement religieux ; on
croyait
tair sainte Thérèse absorbée par l’amour divin. L
c’est imiter les MirvUle, les Raiset et autres démono-îâtres, qui se
croient
en droit d’attribuer à des puissances surhumaines
s il se sert d’une béquille par précaution, dit-il, car il ne pouvait
croire
à un soulagement si rapide. Vers la quinzième m
é dans mon esprit? Est-ce que je ne dois pas la vérité aux hommes qui
croient
en ma sincérité et en ma prudence ? La vérité e
aux anciennes églises, d’autres sont de création toute récente et se
croient
favorisées de révélations qui ne le cèdent en rie
n de conclure à l’impossibilité des mouvements sans contact ; mais je
crois
pouvoir affirmer que dans l’état actuel de nos co
■> probable que ses expériences ont été mal faites, et ce sera, je
crois
, la conclusion à laquelle s’arrêtera tout homme d
ponses la preuve lu’elles avaient pour auteur une intelligence, et il
croit
pou- papier : elleétatt vlerge de toute écrltur
ctuelle, grâce à laquelle il peut rappeler le souvenir d’objets qu’il
croyait
il jamais eflfecés de sa mémoire ; peut-être joui
e bonheur de connaître des médiums de la force de M. Girard , et nous
croyons
que le nombre en est bien restreint, si nous juge
a présence de» esprits corbillonneun, mais même de leur identité.
croyait
sûr, il se mit en rapports suivis avec les esprit
ture, lui assura que Frammanoleo n’existait pas (ce que tout le monde
croira
parfaitement) et qu’un mauvais esprit, nommé Sess
ttre qu’il les ait tirées de son propre fonds. Quant à la lutte qu’il
croit
établie entre les esprits qui se disputent sa pos
cours. Notre jugement nous tient toujours en garde et nous empêche de
croire
à la réalité de paroles articulées et de sons tra
voyons des personnages fantastiques, mais à la réalité desquels nous
croyons
tant que dure le rêve ; nous entendons leurs disc
ns il a conscience de n’être pour rien dans ce qu’il a écrit, il faut
croire
dès lors qu’il s’abuse et que, sans s’en douter,
re à nos lecteurs que M. Girard adopte les idées de M. de Mirville et
croit
, comme lui, que c’est le diable qui est l’auteur
Hollande, dans un écrit imprimé à Amsterdam. Nous, au contraire, nous
croyons
aux possessions, nous croyons à la bonne foi des
é à Amsterdam. Nous, au contraire, nous croyons aux possessions, nous
croyons
à la bonne foi des juges; et c’est dans le livre
ments contre lui. Faisons d’abord remarquer que toute l’antiquité a
cru
aux possessions : cette doctrine se lie à celle d
s en faveur de l’intervention des esprits. C’est ce que confirmerait,
croyons
-nous, k ne pouvoir en douter, la publication des
ue l’on entreprît ce travail. Dans l'état actuel des choses, nous
croyons
qu'aux yeux de tout homme un peu adonné aux expér
de la chair, « mais je m’en suis confessé, j’en ai fait pénitence, et
crois
« en avoir obtenu le pardon par mes prières; et,
présentant des caractères particuliers et attribuées aux esprits. Je
crois
pouvoir admettre, contrairement à l’opinion de l'
xaminons, et en admettant la possibilité dé semblables faits, nous ne
croyons
pas nous écarter de la routé du bon sens. Les don
ut jusqu’à terre. Eveillé par le brait de sa chute, le maître, qui le
croit
sinon tué, du moins peut-être dangereusement bles
M. de Mirville et avec M. le comte dé Résie. Ces derniers non plus ne
croient
pas au fluide magnétique contre lequel ils n’ont
du cadre du journal. Résulterait-il de là que M. de Guldenstubbé ne
croit
pas aux mauvais esprits? Non, sans doute. Il n’es
ctuelles, elles ne sont nullement incorporelles. » Cette opinion est,
croyons
-nous, celle de tout magnétiseur. Sur la questio
rc ac croupi soufflait le feu. « Le prince GortschakofF, ne pouvant
croire
au récit de son fidèle Gruyère, descendit à la cu
raille, contre le bois de son lit, contre tous ses meubles. M. X...
croit
aux esprits, et s’occupe avec passion de ce qu’on
aturément. D. Que penses-tu de l’avenir du magnétisme? R. Je le
crois
grand. i). Pourrais-tu donner quelques développ
aitement légitimes de la part de personnes qui n’ont aucun motif pour
croire
à de pareilles interventions, et auxquelles la pr
ni plus ni moins), afin d’augmenter leurs souffrances en leur faisant
croire
qu’elles n’auront pas de fin. Cette explicatiou e
rer la vérité, il perd tout titre à la confiance et ne peut plus Être
cru
même sur la qualité qu'il s'attribue, comment don
avec la nôtre, l’intégralité de notre être matériel ; mais aussi, je
crois
pouvoir affirmer que le sentiment intime de notre
iment que cette expérience avait fait naître en nous. h C’était, je
crois
, le 25 décembre 1851 que je donnai cette séance d
ous avait annoncées M. X... eurent lieu, et ce ne fut qu'alors que je
crus
sincèrement à la réalité du somnambulisme de M. X
ui est celui de la charité ; mais, pour mon compte particulier, je me
crois
extrêmement flatté de tous vos chapitres, qui sem
étisme , et cela contre ma volonté expresse. Je dis magnétisme, je le
crois
du moins. Voici, du reste, ce que j'éprouve : A l
de partie de l'humanité, dans tous les temps et dans tous les pays, a
cru
à l'existence îles esprits. Nous ne concevons pas
confond notre intelligence. « E. M. » LES ESPRITS. S'il faut en
croire
les bruits rapportés par /’Indépendant de la Char
ttribués à la supercherie. En lisant ce passage de son travail, on le
croirait
sorti de la plume d’un membre de l’Académie de mé
t elle le spectre d'un de ses parents morts; elle le toucha, elle
crut
, et mourut peu de temps après ; et elle fit le le
é des exploits extraordinaires qu’on attribue au médium américain. Je
croyais
, l’hiver dernier, que nous avions une indigestion
d à de magnifiques découvertes; mais, après avoir lu, on est tenté de
croire
que la seconde moitié du titre contient une gross
s grave. Pourquoi cet attirail de planètes et de signes du zodiaque ?
Croit
-il réellement que les sept planètes aient pris ch
s doute que le nombre des planètes est de beaucoup supérieur à ce que
croyaient
les anciens ; néanmoins, il ne fait aucune mentio
boiteux? M. S.ilali (etc.) consacre un chapitre aux somnambules, il
croit
à la lucidité, il est mécontent de bien des chose
s nous apprenez que cela proure l’action du magisme ; je veux bien le
croire
sur votre parole, car un homme qui a été au Brési
un nouveau mode de spéculer sur la crédulité publique. » J’aime à
croire
que ce portrait pou flatteur a été tracé par vous
utres corps. Voici quelques notions succinctes bien propres à faire
croire
que jamais ni la lumière, ni aucun des autres flu
s d’intelligence que celle du plus habile joueur. On craint trop de
croire
; on se rassure en pensant aux tours de Robert Ho
magnétisme seraient vrais, quel parti utile pourrait-on en tirer ? Je
crois
qu’il n’y a pas grand parti utile à en tirer main
ique» du corps humain et des substances dites médicinales que vous ne
croyez
plus à leur puissance, ou du moins que ces puissa
rre les remèdes par lesquels ils guérissaient les malades; et vous ne
croiriez
pas à la médecine ? 11 est possible, soyez-en cer
qu'elle sera fixée, tous les obstacles disparaîtront, car le médecin
croira
parfaitement à l'efficacité du magnétisme qui lui
vre dans une situation semblable. — C’est dans ce moment, alors qu’il
croyait
tout espoir perdu pour son avenir, qu’un de ses a
mme certains descendants du sceptique Thomas : « Je verrais que je ne
croirais
pas ! » « Cependant j’ai assisté chez madame Mong
nouvelle encouragea les chercheurs de trésors. et. le lendemain, ils
crurent
être au bout de leurs peines. A peu près à la pro
de votre croyance en la médecine classique que vous défendez. Vous me
croyez
l’ennemi de cette dernière; vous vons trompez en
été traitée en vain par les hommes de l’art les plus éminents, je la
croyais
sourde pour tôtrte sa.vie. Je dois ajoater que
érit dit être un esprit. Peu m’importe ; je ne veux forcer personne à
croire
que cela est ou n’est pas. Les résultats satisfer
ncorder avec ceux de la religion qui émane de Dieu. Pourquoi ne pas
croire
au catholicisme? lYa-t-il pas, comme je viens de
n avec les membres. Vous l’avez trouvée hostile, méfiante, et vous la
croyez
votre ennemie! Question d’individus, question de
entes dans ces communications spirituelles que certes vous 11e pouvez
croire
être toutes le produit d'êtres sages, dignes et o
de ces traités composés par des hommes d’un grand mérite, M. Berjot a
cru
avec raison qu’on pouvait encore rendre des servi
convenablement cette tâche, d’avoir la volonté de faire le bien et de
croire
à l’efficacité de l’agent mesmérien : il faut enc
les âmes cet amour sacré de la vérité qui ne doit plus s’éteindre.
Croyez
-le Lien, chers et dignes collègues, le monde magn
andue sur le monde magnétique, et altérer nos joies; non pas que nous
croyions
que tout soit perdu, c’est un cri d’alarme seulem
cidé d’avance dans leur sagesse que les faits étaient impossibles, se
croient
par là dispensés d examiner et de discuter, nous
s encore bien longtemps que les académies traitaient de fous ceux qui
croyaient
aux aérolithes et prouvaient mathématiquement qu’
fous que leur maître Puysé-gur, ainsi que tous ceux qui s’obstinent à
croire
à toutes ces merveilles incroyables. Si donc no
encer sur nouveaux frais des tentatives aussi infructueuses ? — Ne le
croyez
pas. Les corps scientifiques, qu’il ne faut pas c
er, à encourager tout effort tendant à établir des principes que l'on
croit
vrais et qui portent l'homme à la recherche de vé
e route Faisons germer l’espoir en arrachant le doute, Ce lléau qui
croit
en tout lieu. A Mesmer. Toi, pour qui la natu
yer d'où n'émane aucun feu; Que Loyola prêche un noir démonisme :
Croire
à l'excès, c’est au moins croire un peu. Si l'u
Loyola prêche un noir démonisme : Croire à l'excès, c’est au moins
croire
un peu. Si l'un médit, si l'autre excommunie,
er une histoire Que ¡es chiens d'aujourd'hui n’auront pas peine à
croire
. Un de ces animaux, petit, niais vigilant, Ab
ns les détails importants de cette grande loi physiologique. (3) Je
crois
utile de remémorer aux lecteurs du Journal du Mag
d’acquérir ce vrai diapuson augmente avec les assurances que l'on.sa
croit
en droit d'asseoir au trône de son for intérieur.
au crayon plusieurs lignes qui furent trouvées dans le livre. — Je
crois
maintenant en vous, Alexis, reprit l’interlocuteu
einture enchâssée à ce bracelet représentant le monarque. Le tribunal
crut
devoir prononcer contre Alexis une condamnation à
rivé de la ressource si précieuse des séances publiques. L’autorité a
cru
devoir les interdire. On n'a fait aucun reproche
r de M. du Potet pour former une nouvelle société : nous voulons bien
croire
que le journaliste étranger, qui a accueilli tous
président Benoit-Champy, elles auraient été à juste raison indignées.
Croiriez
-vous que la fameuse Société des magnétiseurs est
aculté de voir le mal d’autrui et les remèdes, ni la prévision. 11 ne
croit
pas non plus au don des langues : mais nous devon
magnétique n’est qu’un dormeur qui sommeille, rêve et délire, comment
croire
qu’il soit doué de facultés extraordinaires? Comm
mpériale de Paris. Ceci ne doit pas faire entendre cependant que nous
croyions
aveuglément et en tout point aux opinions de Bodi
l’histoire des contradictions de l’esprit humain. Nous pouvions nous
croire
loin, bien loin du moyen âge, de ses superstition
eilleux poussé jusqu’à l'absurde. Que Bodin, malgré ses lumières, ait
cru
à la sorcellerie, comme beaucoup de ses contempor
s, il ne faudrait donc pas trop s’en étonner. De Thon, si éclairé, ne
croit
-il pas à l’astrologie judiciaire? Machiavel, à ta
les livres saints, Dieu se soit jamais applaudi de ces secours, et je
crois
bien plutôt qu’il a gémi de tant et de si grossiè
ue l’invraisemblable peut être quelquefois vrai. Et c’est ici le cas,
croyons
-nous. Prenons donc ce livre de Bodin et voyons d'
rale domine cet ouvrage , la croyance aux esprits. Et peut-on n’y pas
croire
? C’est un dogme établi, consacré par toutes les r
tes sortes d’encouragements à mes compagnons, bien qu’en vérité je me
crusse
mort, eu voyant la terreur dont était saisi l
a pas l’envie de recommencer. » Ces faits et ces observations sont,
croyons
-nous, la meilleure justification que nous puissio
garous, saint Augustin l'ait observer avec bon sens qu’il ne faut pas
croire
que l’art ou la puissance du diable puisse change
il ¡rapporte l’opinion, que c’est une fascination. Et le sabbat, y
croyez
-vous aussi? nous ditam. Voici un point essentiel,
izarres cérémonies remontaient à une haute antiquité ; elles ont été,
croit
-on, une persistance du paganisme à travers les te
semblées qui avaient lieu tous les trois ans sur le mont Parnasse, on
croit
assister au sabbat nocturne de Satan, tel que l’o
nocturne de Satan, tel que l’ont décrit les auteurs du moyen âge ; on
croit
voir les accouplements honteux de sorciers et de
mettons pas comme démontrés, et nous pensons que les vols aériens que
croyaient
opérer les sorcières, après s’être enduit le corp
s erreurs admises par Bodin et par la plupart des démonographes. 11 a
cru
aussi et évidemment avec une bonne foi par trop c
l a été quelquefois réel. Les faits pour l’explication desquels Bodin
croit
l’intervention du démon indispensable sont opérés
as les esprits diables ou démons, ou, pour parler plus clairement, ne
croient
pas à une intervention redoutable et constante de
cile qu’on le pense de dire : celui-ci est bon, celui-là est mauvais.
Croire
aux catégories tranchées dans l’autre monde serai
vages qui immolent des victimes humaines pour apaiser leurs dieux, il
croit
honorer la divinité en envoyant le sorcier au bûc
de rester dans son lit pendant au moins trente-six heures. « Qui le
croirait
? toutes les momeries absurdes ont trouvé créance
n sur son semblable, soit pour le tuer, soit pour le guérir ; mais je
crois
cependant devoir me confesser de l’infraction que
ouverte d’Ampère? Ne voyant pas circuler le fluide nerveux, ils n’y
croyaient
pas plus que le paysan qui ne voit pas passer le
voit pas passer le fluide élec-triqt« dans les fils du télégraphe ne
croit
à ce mécanisme. Ne p®ut-on pas dire que l’établ
ue les muscles, mais n’épuise pas la vie comme le profane vulgaire le
croit
sur la parole des scieurs de long et des portefai
en somnambulisme, j’ai dû avoir recours à la prière.... La prière, je
crois
qu’il n’y a pas beaucoup de cette médecine à la F
u s’est accompli, je suis porté à croire cette dernière comme j'ai dû
croire
aux autres. Enfin, moi qui sais à peine ce que
ependant, permettez-moi de vous en raconter encore un ou deux qui, je
crois
, méritent votre attention ; libre à vous de le je
ici de la très-bonne bière. C’est la seule boisson quej’aime; j’avais
cru
m’apercevoir que quand j’en buvais quelques verre
actions, fixées par des lois éternelles: que c’est un sot orgueil de
croire
que nous pouvons offenser Dieu; que tous les soi-
ie cet aveu d’un des hommes les plus savants de notre époque, et nous
croyons
que le moment n’est pas éloigné où les corps sava
l'âme humaine, savoir : la recherche de la vérité. » Nous aimons à
croire
que M. Babinet aura eu quelque motif particulier
cas, des individus ont pu voir dans des conditions anormales. Si l’on
croit
que ces attestations laissent à désirer, au moins
e relevée de ces deux coups également mortels ? On serait tenté de le
croire
: car un nouvel Hercule se dresse, armé de la mas
s : ils représentent des idées, et les idées gouvernent le monde. «Ne
croyez
pas, disait Bossuet au grand Dauphin son « élève,
e et d’essence entre les deux agents? 11 y aurait de la témérité à le
croire
; car les effets, connus de l’agent nerveux qui s
question du magnétisme ; et j’y suis encouragé par deux motifs que je
crois
parfaitement rationnels. Depuis plus de soixant
imple curieux qui se livrent à des expériences de somnambulisme ; qui
croient
devoir rechercher si, dans certains états d’e
ts dont les magnétiseurs pourraient se faire une arme contre ceux qui
croiraient
superflu de tenter de nouvelles expériences,
iences, ou même d y assister. Pour moi, je n’hésite pas à le dire, je
croirais
manquer à mon devoir d’académicien si je refusais
qu’à présent, il n’avait été question de l'emploi du magnétisme. Nous
croyons
donc bien faire que de publier notre rapport, moi
nétisme à ce point de vue. Malgré cela, et sauf toutes réserves, uous
croyons
qu’il nous est possible de résoudre cette questio
, 10 avril 1858. « Mon cher confrère, « Voici ma réponse : « Je
crois
qu'unejeune fille de 18 ans, peut, en thèse géné-
r la conviction de ceux même qui étaient les plus déterminés à ne pas
croire
, car il est impossible à un mortel de faire de pa
nous savons que, I occasion aidant, il vous suffira d’avoir vu pour
croire
et pour le confesser hautement. au sujet des me
et, de l’autre, fluidiste. Est-ce bien cela? Dans l’affirmative, nous
croyons
que vos deux théories gagneraient quelque chose à
dressant à k de L... — Monsieur, dit-il, vous paraissez résolu à ne
croire
au-cnn des faits qu'on vous rapporte, et je me ga
et déjà je n'avais plus guère conscience de mon existence, lorsque je
crus
entendre des coups de pioche non loin de ma tête.
uxquels sont, exposés les somnambules naturels.. Souvent les. parents
croient
avoir assez fait en prenant quelques précautions
es temples de l’Éternel ; son orgueil croissant avec le succès, il se
croira
îe maître dumoilde. (.’est alors que le ciel l’ar
quinzaine de marches, les yeux à l’affût, l’oreille au guet, quand je
crus
entendre un bruit violent qui partait au-dessus d
me a été le point de mire de tous les faux esprits. Cent fois ils ont
cru
l’avoir tué; mais la vérité lie périt point ; on
de variétés dans les efl'ets. Pour plus de clarté et de méthode, nous
croyons
pouvoir les ranger en trois groupes principaux, s
édiction ou chercher la guérison de quelque maladie. Il ne faut pas
croire
que les frères de son ordre vissent avec plaisir
orien de l'ordre n’ose pas en fixer le chiffre, de peur de n’être pas
cru
. Pour l’arracher à l’empressement des populatio
n’y a rien de nouveau sous le soleil de la justice, ce procès, qui se
croira
peut-être une nouveauté, ne sera qu’une vieilleri
es, ainsi que ceux que présente l’état physique des somnambules, nous
croyons
que lacause en est naturelle et physique, et qu’o
laïques, dont un si grand nombre, hélas! professe le matérialisme et
croit
à peine à l’existence de Dieu et à ses propres de
pas de même des phénomènes si extraordinaires du somnambulisme. Nous
croyons
qu’il ne serait pas sans danger et sans témérité
rvations, d'expériences suivies, en un mot de présenter un fait. J’ai
cru
pouvoir en faire la narration sans me mettre en o
quant au rythme, ni quant à l'étendue. Je n’avais pas de raison pour
croire
qu’il y eût à la tète une congestion sanguine, ma
été pendant quelques heures tellement tranquille, qu’on aurait pu la
croire
endormie du sommeil ordinaire; elle avait été pri
S. ONZIÈME CAUSERIE. Patience et persévérance. {Suite.) Je ne
crois
pas que l’on ait encore poussé jusqu’au bout les
qui expérimente; mais si l’on continuait, qu’arriverait-il ? Nul, je
crois
, n'en sait rien encore. D’un autre côté, on ape
t quand, vous voulez toucher à cette machine, conduit par ce que vous
croyez
être des vérités, de sûres connaissances, vous me
ffections arrivées à un certain degré. Souvent, pourtant, on pourrait
croire
, en vous entendant, que vous pouvez faire chez no
reconnaissance et d’un sincère dévouement. Qu’on les poursuive, si on
croit
en avoir le droit, pour exercice illégal de la mé
nt le défenseur, a déclaré la cause entendue. M. le substitut n’a pas
cru
qu’il y eût contravention et a conclu au renvoi d
Baron du Poxet. Delphi, Indigna, 50 mors 1858. « Messieurs, Je
crois
remplir un devoir de conscience en vous faisant p
omnambules ; les plus lucides peuvent avoir des moments d’éclipse. Ne
croyez
donc jamais aveuglément ; vérifiez si vous le pou
on lui portait alors. Son système de religion était le panthéisme; il
croyait
à une quantité in- nombiablc d’êtres animés q
lques sciences naturelles, moins importants qu'on ne voulait le faire
croire
, puisque rien n’avait été positivement imaginé, e
rtain que ce qu’il convenait à chaque siècle d’appeler la vérité ; il
croyait
que les idées humaines recevaient de chaque époqu
nversations, le général I.amarlière demandai l’aide de camp : ,i Vous
croyez
donc à Mesmer, à Cagliostro et tutti « quanti ? —
sais. « Si quelqu’un me racontait cette scène d’évocation, je ne le
croirais
pas ; permis donc à ceux qui me liront, si par ha
onc à ceux qui me liront, si par hasard quelqu’un me lit, de ne pas y
croire
. On devine qu’elle fut le sujet de très-grands co
e de coquins qui s’entendaient à merveille, et ce pauvre cardinal qui
croyait
à tout, excepté au Dieu qui le nourrissait. Mais
on ne peut raisonnablement rien supposer de pareil. Toutefois, je ne
crois
ni aux sortilèges, ni aux évocations, ni aux devi
primait avec la plus grande facilité, et miss Harris, toute heureuse,
crut
que sa sœur était désormais hors de danger. h A
ore une fois avant que mon cercueil soit recouvert de terre. Alors tu
croiras
enfin au spiritualisme. » « Après avoir achevé
arte : mon ange conducteur m’attend. Adieu ! J’ai rempli ma promesse.
Crois
et espère ! » Le journal auquel nous empruntons
ait tout cequ’elleavu et éprouvé pendant cette longue crise, on ne la
croirait
pas. En conséquence , elle éprouve quelque répugn
ieux. » Observation. — D'après le récit qui,précède, il y a lieu de
croire
que la dame dont il s’agit s'est trouvée dans un
rouva un violent spasme et empira rapidement. A onze heures, nous
crûmes
qu’elle allait passer : le pouls était à peine se
rmée une génération entière de médecins,, gii faisaient profession de
croire
à ce qu’ils voyaient et touchaient seulement. Il
pas être confondu avec le corps. Aujourd’hui donc, un étudiant peut
croire
que l’âme existe et le dire tout haut, sans passe
ent avec violence-; on va ouvrir ; personne sur le palier. ^ "! «On
crut
d’abord1 â une plaisanterie, et chacun se mit en
le rez-de-chaussée jusqu’au grenier, au grand émoi des locataires qui
crurent
pour un moment à un second déluge universel. »
de là au débordement dont parle la Revue, et si les habitants ont
cru
un instant à un second déluge, cet instant adù êt
c les esprits , arrive à un état extatiforme, rêve les yeux ouverts ,
croit
entendre des oracles et.retrace par l’écriture le
l’influence des> êtres moraux les uns siir tes autres, nows avons
cru
trouver une certaine affinité avec les doctrines
ectitude cette électricité vivante. Les savants voulaient, avant de
croire
au magnétisme, qu’on leur donnât d’abord un s
ulaient qu’on expliquât devant eux le magnétisme. Ils disaient : Aous
croirons
lorsque nous pourrons expliquer. S’ils attendent
écouvrir ses trésors. En parlant du somnambulisme, il dit : Peut-on y
croire
? Non. Faut-il y croire ? Oui. Il a signalé un t
n parlant du somnambulisme, il dit : Peut-on y croire? Non. Faut-il y
croire
? Oui. Il a signalé un trésor caché dans une fo
a En recevant mà lettre, vous serez sans cloute bien surpris, même je
crois
que vous ne pourrez pas vous rappeler qui je suis
rofession : d'avance je vous en demande pardon pour lui. Vous allez
croire
, monsieur ***- que je suis un apôtre du magnétism
ectables ; les Esprits américains ne sont pas en reste, comme on peut
croire
, et rétorquent à leurs agresseurs les imputations
nt à leurs agresseurs les imputations de mensonge et de légèreté. Que
croire
au milieu d’un tel gâchis? Comment discerner les
rité, les médiums et leurs inspirateurs n’ayant pas plus droit d’être
crus
sur parole, quand ils prononcent du haut de la pl
58. 20 Mon officier, mon commandant, mon gcn'ral,... ils vont, je
crois
, jusqu’à leur donner le titre do prince et d'alte
instant, vos yeux apercevront la plus grande merveille du monde. Vous
croirez
rêver, et ce ne sera point un rêve, mais la réali
ous croirez rêver, et ce ne sera point un rêve, mais la réalité. Vous
croyez
être simples, vous reconnaîtrez, à votre très-gra
ge, et vous allez voir le produit de ce feu mystérieux. Moi, je n’y
crois
pas, dit le premier, mais je ne veux pas essayer.
r, mais je ne veux pas essayer. Un second, non moins raisonnable, n’y
croit
pas non plus, maislapeur le saisit, il craint mon
douleur dans les parties qu’on a pincées ou brûlées, et s’en va sans
croire
au magnétisme et prend tout cela pour une mystifi
éro prochain.) DE LA SPÉCIALITÉ DE CERTAINS HOMMES. Pourquoi ne
croirions
-nous pas que chaque homme possède une spécialité,
tisme, sous ce titre : les Magnétiseurs Jugés par eux-mêmes, et qu’il
croit
être le coup de grâce de ce pauvre persécuté. «
ien malade , n’cst-ce pas ? dit une dame dont l’unique maladie est de
croire
qu’elle les a toutes. — Eh ! non , pas plus que
utes. — Eh ! non , pas plus que moi ; mais je comprends que vous le
croyiez
. Quand vous vous regardez dans une glace, vous me
lettre qu’on me permettra de reproduire ici : i' Oui, disait-il, je
crois
au magnétisme et au somnambulisme. Quand on a vu
utions, et qu’on n’oserait môme pas vous attaquer, si tous ceux qui y
croient
, avec raison , avaient, comme moi, la franchise d
oi, à cet égard , une conviction profonde fondée sur des faits que je
crois
incontestables. Peut-être un jour aurai-je le loi
n moquer huit jours plus tard, on ne sait plus au juste ce qu’on doit
croire
de ses affirmations'. Il ferait bien de mettre un
a fin que ce Sempronius est un chrétien renégat qui, comme le Diable,
croit
au christianisme, mais le hait et le combat avec
c’est que de dessein prémédité il s’acharne contre une religion qu’il
croit
vraie. Sempronius se vante de pouvoir, comme Ap
son indécision reflète celle de son évocateur, ce qui pourrait faire
croire
qu’a!ors comme actuellement, les esprits ne savai
et mon dévouement ne pouvait faire fléchir l’opinion des gens qui me
croyaient
dans l’erreur. Ce ne fut que petit à petit que je
r toutes les faveurs de l'Académie : il en est encore aujourd’hui, je
crois
, secrétaire perpétuel. Puis encore Burdin , le
re. Je ne sais si d’autres magnétistes voulurent gagner le prix; je
crois
, au contraire , qu’ils sentirent tous que cette a
de ce fameux prix, on en inséra l’annonce dans tous les journaux; je
crois
même, Dieu me pardonne, que beaucoup de médecins
Me voyez-vous par la nuque ?... M'apercevez-vous pur l’épigastre?...
Croyez
-vous au magnétisme... animal? Au Collège de Fra
salle un monsieur qui désirait se soumettre aux expériences et qu'on
croyait
susceptible de ressentir l'influence magnétique.
siège. Il se releva et se dirigea vers la commission ; il semblait se
croire
réintégré dans son état normal, et ne pas apercev
i etM. Collyer, et ajouta : « S’il dit que M. Collyer l’endort, je le
croirai
. » M. Collyer fit en conséquence une tentative. L
a fatigue du dos. M. Creen-wood lui ayant demandé combien de temps il
croyait
avoir dormi, il répondit : Environ dix minutes. I
it négativement. Il dit qu’il n’avait pas cherché à s’endormir, qu’il
croyait
même pouvoir rester éveillé, qu’il n’avait jamais
de quelques décimètres ; ce mouvement, que plusieurs auteurs avaient
cru
pouvoir attribuer à l’action du fluide magnétique
se promenait dans cette vaste cour. Six ou sept personnages que je
crus
gens de connaissance s’v trouvaient assis sur un
ficile à constater. De même qu’un menteur, force de mentir, finit par
croire
à ses mensonges, ainsi les enfants, à force de ré
à force de répéter les prodiges qu’on leur a soufflés, finissent par
croire
à leurs fables. Et le bon peuple, en voyant tant
et n’auraient pas eu plus de sens que des épiciers ? Je ne saurais le
croire
. — Les épiciers, Monsieur, ne les dédaignez poi
depuis que les livres de nos maîtres ont passé par leurs maips ; ils
croient
tous au lluide. Magendie et Dubois d Amiens leur
devrait intervenir contre ces petites gens, car, s’ils ont raison de
croire
, l’Académie a tort de nier , et on 11e devrait ja
s. Lorsque Mesmer, en présence des faits nouveaux qu’il produisait,
croyait
d’abord reconnaître l’action de l’aimant sur l’ho
é les sentiments peu fraternels qui les animent. Plus tard, Galvani
crut
à son tour découvrir une force voisine de l’élect
logie, contiendrait l’idée de l’unité de force. Od, si l’on en veut
croire
les érudits, que nous ne citons ici que pour mieu
des clefs n’a pas élé bien faite: mais les résultats tendent à faire
croire
qu’aucun de ions no serait un sensitif de haut ti
ds pendant son voyage. Voilà, mon très-honoré maître, un cas que je
crois
bien intéressant, un curieux et excellent sujet d
qui le roi disait avec humeur : Prenez donc garde (3) ! » Potemkin
croyait
aux oracles. Une tireuse de cartes lui ayant préd
rédit qu'il mourrait au mois de mars, et si, dans la jeunesse où l’on
croit
voir le ternie de sa destruction, il fit peu d’at
ce à un charlatan du nom de Damis qui promettait de faire de l’or. 11
crut
à ce secret fort longtemps; malheureusement pour
magicien ; mais Duclos, qui a si souvent copié le duc de Saint-Simon,
croyait
, ainsi que lui, beaucoup trop légèrement aux accu
ette version est bien plus probable, et, dans le doute, il vaut mieux
croire
au meurtre d’un cheval qu’à celui d’un sorcier. C
ertain, c’est que cet homme si spirituel était superstitieux et qu’il
croyait
aux prédictions (I) Vie du prince Potemkin, par
it roi un jour. (1). » Autre document de la môme dame: «Gustave 111
croit
beaucoup aux sciences occultes, et je l'ai entend
raconte Saint-Simon, pour se persuader qu’il n’y a pas de Dieu, et il
croyait
au diable j usqu’à espérer de le voir et de l’ent
votre journal à des faits qui ne sont pas nouveaux pour vous. Mais je
crois
qu’on doit, dans l’intérêt de toute science nouve
ue M. Robert, et, au lieu de dosage, il parle de régularisations ; il
croit
que le dosage est une chimère. Ainsi, de l’aveu m
é fait ce proverbe américain : Time is money. — Pauvres malades, vous
croyez
bénévolement qu’on a étudié la médecine pour vous
erses opinions; trois séances furent consacrées à la discussion. Nous
croyons
utile de rendre compte à nos lecteurs de cette in
gants pour duper des spectateurs crédules ou inexpérimentés, et faire
croire
à des interventions miraculeuses ; bien des faits
siteur d’une commission qui se consumera en efforts infructueux et se
croira
le droit de nier ce qu’elle n’aura pu voir, tandi
ennant rétribution ot à tout venant, sans s'informer si le consultant
croit
ou non ; on cite même des incrédules houspillés p
es milliers d'individus ont été dépouillés de leur argent et amenés à
croire
qu’ils conversaient avec les âmes de leurs amis d
e nom de magnétoscope, qui est complètement inconnu en France. Nous
croyons
pouvoir calmer les hoftoraWes regrets de notre ch
es effets annoncés du premier appareil que j’eus à ma disposition. Je
crois
avoir acquis la certitude que l’armature métalliq
er pour atteindre cet heureux et désiré résultat. Il les rencontrera,
croyons
-nous, dans les écrits du docteur Léger, édités pa
sseur non officiel. Qu’il parlât au nom de la science, comme Raspail,
cru
* bien, comme les magnétiseurs, qu’il se présentât
se communiquer et de s’accroître par les manipulations. Nous aimons à
croire
que cet ensemble de mots parfaitement amphigouriq
— Encore cette vieille plaisanterie ! Allop. — Vous voudriez faire
croire
que j'invente. — Voyons est-il «xact ou non que l
, l’assurance de l’opérateur, et ses affirmations. Commencez-vous à
croire
, avec le rapport de Bailly sur le magnétisme, qu’
Pour i.es illusions trompeuses de mon imagination!... Est-ce que vous
croyez
, Monsieur, que l'imagination n’est bonne qu’à fai
tout dévoué serviteur, « Frappart, d. m. p. » Quelques personnes
croient
que nous allons trop loin dans nos attaques contr
it très-lucide. « Malheureusement, c’était l’exception ; et puis je
crois
que, soumise tour à tour à des magnétiseurs diffé
qui vient de se passer à Liège : « Un jeune homme, M. M..., qui ne
croyait
pas au magnétisme, simulait en plaisantant les ge
e, et s’était enfin affaissé sur lui-même sans connaissance. « On
crut
d'abord qu'il continuait la comédie commencée ; m
de plus à présenter leurs admirateurs. Dans bien des cercles où l’on
croit
être en communication avec des esprits supérieurs
ire, ils ne réputent aucunement ce fait comme merveilleux , et ils se
croient
en droit d’affirmer que cette personne n’apas bes
quer en doute la sincérité du correspondant du Telegraph, nous devons
croire
qu’il accepte comme manifestations des Esprits le
t les assises. M. Lewis. — Il n’y a aucune preuve de nature à faire
croire
à qui que ce soit que cette femme ait jeté son en
i de la prévenue? M. Broughton. —Je 11e le puis, encore bien que je
croie
l’acte commis sous l’inspiration d’une sorte de f
communiquer et de s'accroître par les mani-« pulations. Nous aimons à
croire
que cet ensemble de mots « parfaitement amphigour
obtenus sont de nature démontrer : /V ceux des magnétiseurs qui ne
croient
pas fi l’homœopa-tliie, — l’activité des préparat
é des préparations liahnemanniennes ; A ceux des homœopathcs qui ne
croient
pas au magnétisme, — la lucidité des somnambules
gnétisme, — la lucidité des somnambules ; A ceux des savants qui ne
croient
ni au magnétisme, ni à l'hoincuopatlne, — l’exist
ave , et je déclare d'avance que — surtout dans les boutiques — je ne
crois
point aux grâces d’état. En trouvant dans la lu
Quant à nous, au lieu de nous effrayer comme M. Mabru, nous préférons
croire
que de pareilles intelligences n’ont pu se trompe
t en s’appuyant sur des faits? Seulement qu’on n'aille pas penser que
croire
au magnétisme, c’est nécessairement ajouter foi à
18/16, et vous verrez qu’au point de vue philosophique, ce qu'on peut
croire
du magnétisme ne trouble pas l'ordre des chos
de M. Devergie aux auteurs du rapport sur le viol en question : « Je
crois
qu’une jeune fille de dix-huit ans peut avoir été
orie qui ne sont pas encore bien établis. Quant à ceux qui ne peuvent
croire
que lorsqu’ils ont bien vu, je les engage à ne pa
ii de médecine de Gand. Cette brochure ayant été peu répandue, je
crois
être utile îi la science en tirant de l’oubli les
sœur étendue sur le seuil, toute mouillée, froide et inanimée. On la
crut
morte... Plus tard, interrogée par le médecin,
ces occultes, confia & ,\I. C.ahagnet, alors à Rambouillet, qu’il
croyait
qu’un somnambule lucide pouvait évoquer et voir l
avec quel respect ne doit-on pas combattre la conviction de ceux qui
croient
aux influences réciproques qui s’opèrent d’indivi
prétention de défendre le magnétisme, il faut que je dise ii ceux qui
croient
: Nous défendons nos convictions ; à ceux qui ne
ii ceux qui croient : Nous défendons nos convictions ; à ceux qui ne
croient
pas : Voyez ses effets. Les faits sont plus concl
tances précises, indiquant souvent des témoins respectables ; comment
croire
que ce ne soient que des fictions destinées à l’a
certaines personnes une telle soif de merveilleux , un tel besoin de
croire
, qu’elles ne peuvent se résigner à répudier les
e un écrivain passe du rôle d’historien à celui de romancier, on doit
croire
que, quand il dit avoir vu et qu’il signe, il eng
s fait l’honneur de me répondre. Je suis loin de m’en plaindre, et je
crois
que tout le monde comprendra son silence. Si le r
demandé l’adresse de Peau d'âne. Dès lors il n’y a pas de raison pour
croire
même que le médium Ad-disson existe réellement. T
onnaissance d’un jeune homme qui, par ignorance ou par entêtement, ne
croyait
pas à la vérité nouvelle. Je lui proposai plusieu
nt elle n’existerait pas. Ainsi, par cela seulement qu’elle est, nous
croyons
pouvoir dire qu’elle est matérielle ; seulement i
cule (Cicér., de Divin., lib. Il); Gicéron lui-même, qui cependant ne
croit
pas aux songes, averti pendant l’exil par l’ombre
creuse, il fouille et trouve un trésor. Un homme, dit Galien, qui
croyait
aux songes, rêve qu’une de ses jambes est de pier
s'expliquer que par l’intermédiaire de cet agent. Peut-être l’au-leur
croyait
-il ne pas avancer la question en rangeant ces phé
un rapprochement avec le magnétisme se présentant naturellement, j’ai
cru
devoir la saisii pour exposer franchement ma mani
ut chez les races colorées de ce pays, ne feront aucune difficulté de
croire
à ces états nerveux extraordinaires : quant aux i
concours frauduleux entre les deux indiens, mais il ajoute : il faut
croire
que ces individus jouissent occasionnellement de
l et remit les lunettes perdues. — L’auteur ajoute : Mon vieil ami ne
croyait
pas au pouvoir surnature] que s'attribuent les br
e était au cerveau, il y ressentait de violentes douleurs causées, je
crois
(le résultat Tohe XVlll. — N» 53. — 2« Séhie. — 1
me 1 « Mais où m’emporte l’ardeur de mon zèle ? Pardon, lecteur, je
crois
que je me suis laissé entraîner à une boutade de
ne pas me demander, m’empêchent présentement de te dire mon nom., je
crois
qu’il ne sera pas hors de propos de te faire conn
e lire un ouvrage sur un objet quelconque, je n'ai pas la bonhomie de
croire
les gens absolument sur parole, d’accepter aveugl
voulu faire remonter plus haut le principe de ces merveilles, et ont
cru
y voir une action directe de l’âme reprenant son
puisée la série des systèmes sur lesquels les disciples de Mesmer ont
cru
pouvoir établir sa doctrine; pas un ne peut r
nner un traité complet de la matière, niais exposer une théorie qu’il
croit
propre à rendre compte des faits du magnétisme et
l’auteur ne l’admet pas, et il est certain que dans les cas où l’on a
cru
la remarquer, le cri-siatpie prononçait des mots
bservations de M. Gro-mier. Il y a quelques années, 011 aurait pu les
croire
super-ducs et intempestives, tant la démonologie
Légende dorée. Il y a là une rechute humiliante. Quand tout le monde
croyait
aux possessions, elles étaient fort nombreuses; q
adie a pour cause unique la croyance à sa réalité, qu'il suffit de se
croire
possédé pour l’être, et que certains esprits faib
es cures que j’ai faites ici, je me borne à vous en citer une qui, je
crois
, est digne de votre attention. « lin garçon de
en d’autres, est assez connu ici, même de plusieurs médecins, si vous
croyez
devoir en parler dans votre cours, monsieur le ba
e, qui 11e manquera pas d’encourager vos auditeurs, si toutefois vous
croyez
devoir leur en faire part. i. Lue jeune veuve,
e ue magnétisai pas moi-même; vous me comprenez trop bien pour que je
croie
nécessaire de m'expliquer. «J’ai l’honneur d'êt
Anglais, peut-être un Anglais d'Ecosse, le pays de la seconde vue, a
cru
répondre au programme de l’Académie, ou à ce qu’i
défaut de ces précautions, on tend un piège au public en lui faisant
croire
qu’on cherche sincèrement à recueillir des lumièr
eptibilités de l’assemblée à laquelle il soumet son travail, qu’il se
croit
obligé de «’excuser de son audace ; il invoque le
s, il se reitranChe1 derrière l’autorité de savants illustres qui ont
cru
au magnétisme. «Pour le déterminer à braver, lui
ves ordinaires les faits du somnambulisme spontané et ceux même qu’il
croit
pouvoir admettre du somnambulisme artificiel ou m
que simulation et fourberie; son rapporteur, M. Dubois (d’Amiens), se
croit
dans une position inexpugnable quand il déclare q
s que nous remémore l’auteur, au milieu de beaucoup d’autres , Kepler
croyait
à l’astrologie , saint Thomas-d’Aquin, Origène, c
tres , Kepler croyait à l’astrologie , saint Thomas-d’Aquin, Origène,
croyaient
aux sortilèges, etc. Que beaucoup de fables se
omériques, et trompés par une identité de mots, les Pères de l’Eglise
croyaient
reconnaître dans ces démons les anges déchus de l
vinités cachées qu’il fallait adorer ou apaiser; ces philosophes s’en
croyaient
inspirés, et leurs pratiques extravagantes entret
là comme le scalpel do l’examen dépoétise tout : on ne peut même plus
croire
aux génies qui tirent les sonnettes et aspergent
du chloroforme, dont l'odeur s’était légèrement répandue, pour faire
croire
sans doute que j’avais besoin de cette drogue emp
des aspirations mal définies à la vie spirituelle. Nous pourrions,
croyons
-nous, et sans trop nous écarter du cadre de ce jo
s ces moments lucides, de délicate sensibilité intérieure, nous avons
cru
sentir en nous la vraie forme de l’âme, le plan v
otre âme dans sa beauté et son intégrité. « Voilà ce que nous avons
cru
sentir. Mais, en réalité, indépendamment de notre
st détruite; elle disparaît et l'on en perd jusqu’au souvenir. On n’y
croit
plus. u Que de fois l'ai-je sentie porter mon c
e : état très-rare pour nous, qui parlons ici, et rare aussi, nous le
croyons
, pour la plupart des hommes. Les retours de ce se
ure et sanctifie ? Je l’ignore pleinement. « Cependant il estbien à
croire
que, dans tous les états humains possibles, Dieu
ur ministère. C’est là une conséquence du régime de liberté. Ceux qui
croient
posséder des secrets merveilleux, et dont les pro
à laquelle il doit consacrer son lemps et son intelligence? Doit-oii
croire
aux influences réciproques qui s’opèrent d’indivi
dédain, mais la foule du public s’est divisée en deux camps, l'un qui
croit
aux mystérieuses influences du sommeil, l’autre q
t toujours distribuées; il est donc important que les magnétistes qui
croient
avoir îles droits ii la médaille, signalent promp
ujours son Corambé, fantôme qui «'évanouit, comme Euridyce, lorsqu’on
croit
le saisir et qui n'est pas en effet de co monde.
à diverses branches des sciences occultes. C’est à ce titre que nous
croyons
utile d’en entretenir nos lecteurs. Parmi les c
dont je n’avais pas la moindre idée et à laquelle j’aurais refusé de
croire
si les faits 113 se fussent pas passés sous mes y
adé qu’il avait mal vu. .Mais à trois mois de là, cet ami que j’avais
cru
si sûr et si dévoué, se trouva impliqué dans une
s regardèrent l’auteur comme un être surhumain. Il est donc permis de
croire
qu’ils attacheront à l’avenir bien moins d'import
peut produire le même fait par des moyens différents, il y a lieu de
croire
que si les prétendus miracles des Aïssaouas ne so
ertain qu’il accomplira tous lès miracles auxquels veulent nous faire
croire
les spirites, médiums, illuminés, magnétiseurs ,
n’est nullement magnétiseur, mais il a des raisons irréfutables pour
croire
à la puissance du magnétisme, ayant été Jui-mêrae
us sûrement sans doute que ne le ferait la drogue (de la créosote, je
crois
) qu’on venait de lui ulonner, et je l'engage à pa
t tout ce qui est utile, de quelque part qu'il vienne. Nul ne peut se
croire
fondé à condamner d'avance un remède sans l’avoir
une manière désespérante, tant l’illusion était complète. Lh bien, le
croira-t
-on ? ces phénomènes si remarquables .¡qui, à eux
e de l’âme ou de l’esprit considéré alors comme synonyme de l’âme. Je
crois
, sans y attacher une grande im portance, que ment
n Elle ne le fut que d’une manière imparfaite, ou du moins nous nous
crûmes
fondés à penser ainsi. « La consultante lui dem
ntain, et la foule se disposait à aller porter secours à ceux qu’elle
croyait
dans le danger, lorsqu’on lui apprit qu’elle pouv
e terrain fréquenté par les Mesmer, les Deleuze et les Puységur. Nous
croyons
que les idées générales auront encore besoin long
chargés, et que nos maîtres, s’ils nous entendent, puissent toujours
croire
que nous sommes, sinon de dignes successeurs, du
on sur la présence réelle de l’esprit appelé. Mais ce ne sont pas là,
croyons
-nous, des raisons suffisantes pour nier la réalit
l’avoir fait. Nous avons assez de confiance dans son bon esprit pouï
croire
que, s’il vivait aujourd'hui, il reconnaîtrait qu
s réserves essentielles, l’article de Deleuze est excellent , et nous
croyons
ne pouvoir mieux clore cet article, qu’en lui
cette recherche et de découvrir ses motifs, s’il en a eus, comme nous
croyons
pouvoir le supposer. L. Lamothe. CONTROVERS
u n’auras pas mes os. Cette menace est vraiment tragique , et il faut
croire
que la Patrie avait compté sur les os de l’ancien
). Quant au magnétisme, il ne présente aucun argument nouveau ; il se
croit
fondé à tirer avantage de ce que son prix de 3,00
e par lui proposée. Nous regrettons que dans sa brochure il n’ait pas
cru
devoir modifier ces conditions qui font de son dé
réparait à jeter sur le cercueil les premières pelletées de terre, il
crut
entendre au fond de la fosse uu bruit étrange; st
du dans le trajet comme des coups frappés contre la bière, mais elles
croyaient
que c’était le cadavre qui ballottait. « Il est
vra subitement la vue. — 0 ! mes amis, j'y vois, Et maintenant je
crois
A cette faculté que j'ai tant combattue, De tou
loin avec les yeux ; Dieu que c'est étonnant, inouï, merveilleux!
Croyez
-moi, ce n'est point un conte ! Sans sortir de m
frement réfléchi sur ce qui m’avait d’abord para incompréhensible, je
crus
avoir trouvé le mot de l’énigme, — comme je le cr
ompréhensible, je crus avoir trouvé le mot de l’énigme, — comme je le
crois
encore plus que jamais en ce moment, — et je me m
a main droite sur le guéridon, ce meuble s'agite si violemment que je
crois
qu’il va se briser. « Tandis que les assistants
e que je venais de voir qu’il y a là-dessous un grand mystère, que je
crois
, je le répète, avoir à peu près approfondi, mystè
lesse et a cherché à établir que les peuples anciens ont eu raison de
croire
aux oracles dont les somnambules sont les héritie
De divin., 1.11, c. 56). — Enfin, quand même toute l’antiquité aurait
cru
à ce mode de révélation divine, nous n'y verrions
te et en donne une très-fausse idée. A l’entendre, on serait tenté de
croire
qu’il existait jadis des individus doués d’une sc
blier ensuite le résultat des opérations : si, comme nous aimons à le
croire
, il est favorable, cette publication ne pourra ma
contrôle ne peut avoir lieu , le phénomène est suspect, et l’on peut
croire
que celui qui se TOUE XV11I. — N° «O. — 2« Sébie.
, chercha quels organes pouvaient servir à produire ces résultats, et
crut
trouver dans les muscles péroniers l’appareil pro
, a fait parfois découvrir bien d’autres procédés employés pour faire
croire
à l’existence de coups mystérieux, et l’on ne peu
x moyens de produire des phénomènes plus significatifs, nous aimons à
croire
qu il n’en privera pas lacommission, qui, sans pr
une glace, ceux-ci d’une surface d'or comme (l) Celte maladie, j'ai
cru
doYoir la considérer comme une hystérie grave.
ques et qui en fait le fonds essentiel, alors même que les opérateurs
croient
ne pas s’en servir. La distance et le temps, él
s faits actuels et correspondants au moment même des opérations, nous
croyons
qu'il y a évocation , vue à distance , rapport. L
de police a été prononcé, ellem’a paru se réveiller spontanément. Je
crois
, sans pouvoir l’affirmer, que le sommeil n’était
, et, depuis lors, s’est fort bien portée. Je l’ai vue deux fois ; je
crois
qu’elle dormait. Elle a sauvé plus lard un de mes
femme. J’y suis allé sans confiance, j’en suis sorti convaincu. J'ai
cru
et je crois encore qu’elle dormait. » M. Morett
y suis allé sans confiance, j’en suis sorti convaincu. J'ai cru et je
crois
encore qu’elle dormait. » M. Moretton, bijoutie
dé une mèche de cheveux. Elle a été endormie par le docteur Murât. Je
crois
sincèrement qu’elle dormait. » M. Pierre-Margue
les moyens humains et surhumains pour la sauver. — Nous avons fait,
croyez
-le bien, tout ce qui est en notre pouvoir, nos vi
mystérieux (1), permettez-moi de répondre quelques mots à ce qu'il a
cru
devoir dire de moi ; je serai bref, pour ne pas a
toute responsabilité, toute participation. «Deux mots encore, je ne
crois
pas que M. Morin soit autorisé à dire : « Le médi
immédiatement cessé de prendre part à l’expérience. Ce qu'il y a, je
crois
, de plus positif, c'est que le médium, par une so
dissimulée, et c’est parce que je ne la lui ai pas dissimulée, que je
crois
devoir, pour être juste envers tout le monde, la
le baron, ainsi qu’aux lecteurs de votre estimable journal, que si je
crois
aux Esprits frappeurs, c’est que j’ai assisté à p
prits. Elle me dit que préalablement elle les consulterait... 11 faut
croire
que ces Esprits ont été aussi circonspects que ce
ieu peut actuellement présenter des faits plus significatifs, ou s’il
croit
pouvoir recommencer dans de meilleures conditions
évoir et de mesurer la portée, mais que quelques esprits s’exagèrent,
croyons
-nous, puisque l’antiquité connaissait beauooup de
oïit eit lieu contre des somnambules, sans qu’aucun indice autorise à
croire
qu’il s’agisse d'un système de poursuites; ce son
u hasard, la loi doit traiter de même tous les cas semblables. Nous
croyons
devoir mentionner un procès récent qui est propre
le particulier volé : il déclare être de Pontoise ; en le voyanton le
croit
sans peine arrivé de cette ville célèbre par ses
n, l’intention d’appeler et de remettre ainsi li*ut en question, nous
croyons
devoir omettre les détails et jiîême les noms des
découvrir par sa vue anormale, et fait part au consultant de ce qu’il
croit
apercevoir, ne fait pas autre chose que la divina
ude, sache qu’il trompe. De là une distinction essentielle : le devin
croit
-il ou non à son art? S’il n’y croit pas, et que n
istinction essentielle : le devin croit-il ou non à son art? S’il n’y
croit
pas, et que néanmoins il le pratique, il feint pa
l n’y croit pas, et que néanmoins il le pratique, il feint par là d’y
croire
, il employe des procédés qu’il sait inefficaces,
de manœuvres frauduleuses; il commet l'escroquerie. Mais si le devin
croit
à son art, il opère avec une conscience parfaitem
e avec une conscience parfaitement pure, il applique des moyens qu’il
croit
propres à atteindre le but proposé ; s’il répand
qui est condamné pour escroquerie, est regardé comme un infâme, on se
croirait
souillé par son contact. Mais, nous le demandons
possible. La nature n’a de bornes que pour les esprits étroits qui
croient
tout connaître, et qui, blessés dans leur amour-p
bientôt et vous vivrez longtemps encore... N’est-ce pas que vous m’en
croyez
? Allons, donnez-moi votre main. Comme Blücher n
serin qui tient à prouver qu’il ne l’est pas autant qu’on pourrait le
croire
, etle quatrième enfin, un bouvreuil un peu moins
ême manière, avec autant de lucidité et d’à-propos. On aurait tort de
croire
que c’est là le fruit d’une éducation longue et c
il ne découvrira jamais le truc de M. Tréfeu. Mais Robert Houdin ne
croit
pas au magnétisme. Quant à moi, croyant ou non
istes spiritualistes nous a paru si faible, que nous n’avons pas même
cru
devoir les réfuter. Quoi qu’il en soit cependant,
re l’âme humaine, c'est-à-dire lame iiuli- \ iùuelle ? Nous ne Je
croyons
jtas, car la conséquence ne nous semble point rig
au moyen de l’entéléchic. Mais nous ne sommes d'aucune école, et nous
croyons
devoir répétor que nous ne cherchons il traiter c
d’œil une arme très-forte dans la main de nos adversaires ; mais nous
croyons
qu’elle sera plus forte encore dans la nôtre , lo
e aide; cette science toute nouvelle pour ainsi dire et qui cependant
croit
déjà pouvoir n ous enseigner que l’esprit est un,
i. Oui, j’ai vu Dieu, en 18«, comme l’homme vivant peut le vçir. Je
crois
■nutHe dî dire >idVt était radleut : c'était t
e dos. Mais, quoique endormi, je devinai su pennée, et je me dis : il
croit
que je ne le vois pas, mais il se trompe ; le voi
bien là et je l’avais bien atteint de mon poing : jamais il n a voulu
croire
que je fusse endormi. N- 2. Sedan, 1827. — J’ét
vaut la peine de monter dessus; » mais à ce moment, mon frère, que je
croyais
encore auprès de moi et qui avait franchi le ruis
ts n’ont pu me faire dormir, malgré les promesses des somnambules. Je
crois
pourtant qu'une certaine personne m’aurait endorm
t pas eux-mêmes comment ils ont pu consentir : nous étions amis et je
crois
sincères. Dieu leur a dicté le mot oui, pour non
nes les révoquent en doute et que j’étais moi-même de ce nombre, j’ai
cru
qu’il était bon de consigner ici celui dont j’ai
ns de sa bouche et de ses narines, et ne sentit aucun souille. : elle
crut
donc que la malade était évanouie, et ne savait t
ent suffire pour produire de9 conversions; il y a des choses qu’on ne
croit
que quand on les a vues, et celui qui n’a pu en ê
de vision à travers les corps opaquês, réitère son défi insultant, et
croit
pouvoir d'avance triompher de l'impuissance du so
r réussi dans le genre de lucidité qui fait l’objet du prix Mabru, ne
croit
pas devoir accepter son défi ; mais elle offre de
magnétistes distingués; on nous a fait des objections auxquelles nous
croyons
utile de répondre ; 1° o Ce que vous proposez (
à rendre témoins des phénomènes dix, vingt, cent personnes, celles-là
croiront
, soit : mais celles qui n’auront pas vu, en seron
ur ceux, au contraire, qu’enflamme un saint amour de la vérité et qui
croient
remplir un devoir en propageant leurs convictions
veuf; —que de pressentiments précédèrent la mort de ma femme, que je
croyais
seulement indisposée ; j’éprouvais de la fatigue,
ndifférentes. *— Exempte. 10.—Dans un quartier nouveau pour moi, je
crois
couper au pluscourten prenant une certaine rue; t
e, un an d’avance. 3. — M. *** est repêché à la rivière. Quoique je
crusse
comme beaucoup d’autres qu'il fût parti clandesti
se mit à considérer attentivement le masque pâle. « Tout à coup, il
crut
remarquer un léger tressaillement des paupières,
à son tour ce phénomène étrange. Le médecin fut appelé, quoiqu’il ne
crut
pas le moins du monde à ce qu’ou lui disait avoir
suflla-tions, etc., 011 peut développer à un très-haut degré ce qu’on
croit
devoir appeler instinct dans l'animal, il pourrai
urprenante; mais la refermer après s’ôtre dessaisi du grain, cela, je
crois
, exige plus que de l’instinct et, en tout cas, co
moyens parfaitement naturels. Ces réserves étant bien entendues, nous
croyons
utile de continuer l’examen de ce qu'on pourrait
istincte ; la différence d’intensité des bruits peut facilement faire
croire
qu’ils viennent de différentes distances. M. Fl
des Esprits dont il est l’organe. Dernièrement un de ces docteurs a
cru
se tirer d’affaire en disant que, pour être admis
e foi hors nous et nos amis. On n’est pas honnête homme quand on ne
croit
pas à nos révélations. Commencez par nous croire
ête homme quand on ne croit pas à nos révélations. Commencez par nous
croire
sur parole, et puis, 'si vous êtes bien docile, o
'a- (1) Toutes les fois que la rédaction du Journal du Magnétisme a
cru
devoir critiquer des paroles, des actes ou des ou
urs idées préconçues, et je lui en suis plus reconnaissant qu’elle ne
croit
. Agréez, je vous prie. Monsieur le baron, l’ass
L’enfant s’endort. M. X... est étonné de ce résultat ; il ne peut y
croire
lui-même. Le magnétisme existerait-il réellement?
es mêmes accidents sans qu'une cause nouvelle fût intervenue. Je ne
crois
nullement à l’existence d’un fluide nouveau, d’un
e plus remarquable de tous les ouvrages de pure intuition; nous ne le
croyons
pas dangereux, parce que M. le baron du Potet ind
qu’il rencontre sur son passage, disent encore d’autres personnes qui
croient
devoir enchérir sur les premières. Enfin d’autr
mienne, et par conséquent plus agréable à notre divin Maître. » Je
crois
nécessaire d’ajouter que lesdites consultations o
Le premier médecin, après avoir exposé l'état de l’enfant, dit ne pas
croire
au fluide magnétique (l’existence du fluide est,
e le magnétisme répare le mal qu'il peut causer : il y a tout lieu de
croire
que si l’enfant dont il s’agit était confié aux s
érience qui aurait bien sa portée. «Pourma part, jene sais pas sije
crois
aumagnétisme ; mais je sais bien que j’aimerais à
is pas sije crois aumagnétisme ; mais je sais bien que j’aimerais à y
croire
. Ce n’est pas plus absurde, plus extraordinaire q
raintes sentimentales, il ne fallait pas trop y songer. Toutefois, je
crois
me rappeler que le congé fut demandé et obtenu et
sommes bien loin de faire aucune objection, il ajoute : Nous aimons à
croire
qu’il en est ainsi aujourd’hui. Il aime à croire,
oute : Nous aimons à croire qu’il en est ainsi aujourd’hui. Il aime à
croire
, mais il n’ose se prononcer.il a des doutes. La m
ut tellement déréglée et scandaleuse, que l'impératrice Marie-Thérèse
crut
devoir demander son renroi à la cour de Franco.
quoiqu’il s’en soit servi pour faire des dupes, il est probable qu’il
croyait
à la magie, et que c’est sérieusement qu’il pours
u somnambulisme et au moderne spiritualisme. Ce sont ceux-là que nous
croyons
utile de mentionner avec quelques détails. Cagl
aux alchimiques. C'est ainsi que Mesmer, lors de ses premiers essais,
croyait
reconnaître, dans le contact de barreaux aimantés
ifier le fait... On y envoya en effet : tout ce qu’on avait refusé de
croire
se trouva vrai. Le jeune homme embrassé par sa sœ
comment ils se sont retirés. Ce défaut d’explication nous autorise à
croire
(en supposant l’histoire véritable) que six indiv
e Journal (leux, trois mois et plus en sus de leur abonnement sans se
croire
plus tard engagées à. payer même les numéros reçu
aient Élisabeth, entendant quelqu’un remuer dans la maison de Schade,
croient
que c’est sa femme qui s’est levée, et frappent à
’on la lui avait frottée avec du vinaigre et des parfums, parce qu’on
croyait
qu’elle était évanouie. Elle se plaignit égalemen
r soutenir le contraire, personne d’entre eux, nous en sommes sûr, ne
crut
, du fond de son cœur, à cette inconcevable hypoth
és de l’âme et de ses facultés. Presque tous les philosophes grecs la
croyaient
matérielle. Les uns ne voyaient en elle qu'une
des temps beaucoup plus rapprochés, les premiers Pères de l’Eglise la
croyaient
aussi corporelle. Platon seid eut le mérite de
interrogent la matière, et que les autres niant un principe vital, se
croient
de véritables machines. Aujourd’hui une vérité
er de la matière et des organes du corps pourvoir et pour penser. Ils
croiront
comme nous que si nulle science au monde n’a pu j
e par la foi et aussi par les « inductions de l’analogie. Car comment
croire
que la création « s'arrête à nous et qu’ayant par
hiéroglyphes ne couvre pas de vaines chimères. M. Constant (nous ne
croyons
pas être indiscret en donnant son vrai nom à Elip
il n’atteste pas qu’il en ait été fait récemment, il y a tout lieu de
croire
qu’il aura adopté de confiance les assertions de
en alléguant îles prétextes futiles. J'ai donc de bonnes raison de
croire
que le prétendu prodige est chimérique et ne peut
s à distance , les envoûtements seront donc possibles, il faudra donc
croire
à ce pouvoir horrible attribué aux sorciers par l
n n’a jamais cité un seul cas de vampirisme dans les pays où l’on n’y
croit
pas ; de même, dès qu'on a cessé de poursuivre le
ins vraisemblables qu’une entrevue de Pythagore et de Daniel, on peut
croire
qu’il n’a pas de plus solides documents dans un c
la toute-puissance des anciens mages : c’est possible, mais on ne le
croira
que quand il en aura montré des échantillons. Ce
fondamentaux de l’E-glise, et proposer d’enfermer comme fous ceux qui
croient
que Dieu leur a parlé (p. 129), ce qui comprendra
proscrire l’examen en fait de religion. Ce sont, dit-il, des choses à
croire
ou à ne pas croire, « mais quiconque raisonnera l
en fait de religion. Ce sont, dit-il, des choses à croire ou à ne pas
croire
, « mais quiconque raisonnera là-dessus et voudra
ar là le droit de condamner ceux qui, avec une foi également robuste,
croient
autrement que nous. De quel droit M. Constant ose
a foi dans le diable. Il ne faudra même pas se moquer de l’enfant qui
croit
à Croquemitaine : c’est une affaire de foi, ça ne
orin assure qu'on n’a jamais vu de vampires dans les pays où l’on n’y
croit
pas. Comment veut-il qu’on y croie dans les pays
vampires dans les pays où l’on n’y croit pas. Comment veut-il qu’on y
croie
dans les pays 0(1 l’on n’en a jamais vus, lui qui
l qu’on y croie dans les pays 0(1 l’on n’en a jamais vus, lui qui n’y
croirait
pas s’il en voyait ? - La lumière astrale est,
ent ressusciter les querelles qui existèrent autrefois entre ceux qui
croyaient
à la magie et ceux qui en niaient la puissance. N
entraîne à des recherches qui amènent quelquefois la conviction. Qui
croit
au magnétisme doit croire ou croira bientôt à la
s qui amènent quelquefois la conviction. Qui croit au magnétisme doit
croire
ou croira bientôt à la magie; car il en est le po
ent quelquefois la conviction. Qui croit au magnétisme doit croire ou
croira
bientôt à la magie; car il en est le point de dép
i aller les choses et n’en voudrai point aux hommes honorables qui ne
croiront
point aux œuvres magiques. Baron du Potet.
nt la différence qui existe entre les parois des deux ventricules, je
crois
qu’il faut plutôt attribuer cette inégalité de te
omme. Le magnétisme devait nécessairement appeler son attention. Nous
croyons
faire plaisir à nos lecteurs en leur présentant q
cure et se convertit enfin eu une parole claire et distincte. Elle se
croyait
au bal. J’essayai de répondre à ce quelle disait
rémité éloi-guée d’un assez grand appartement. N’y a-t-il pas lieu de
croire
que les auditions et les perceptions dites mervei
observations qu’il vient de faire connaître. M. Des Etangs. « Je ne
crois
pas, comme M. Bûchez, qu'on puisse demander à
dès lors m'en tenir au doute philosophique. — M. Bûchez. Cette dame
croyait
-elle au magnétisme? — M. Des Etangs. Non, pas p
e artificiel et provoqué, outre qu’il a besoin de confirmation, je ne
crois
pas qu’on puisse en tirer médicalement parti (1).
qu’à cette époque est assez considérable pour que l’administration se
croie
suffisamment autorisée à prendre cette mesure, sa
ts comme des dévots ei ne pourraient supporter une objection ? On les
croit
trop confiants, on le leur dit, la vanité leur fa
on ? On les croit trop confiants, on le leur dit, la vanité leur fait
croire
à une injure; on n'est pas niais cependant, parce
umière, qu’un mirage trompeur bien propre à troubler l’entendement.
Croyez
-vous donc, Messieurs, que si nous jugions le temp
re un geste sans que la crisiaque ne l'indiquât avec exactitude. Je
crois
que dans le cas il y avait réellement vision et n
r. Est-il bien certain cependant que la phrénologie soit, comme il le
croit
, indispensable pour la production des faits qu’il
uterraine, prête vraiment au recueillement. «Vous me connaissez, je
crois
, assez pour avoir foi en mes paroles, vous savez
placer à un piano où elle se mit à jouer quelques pollcas. « Je me
crus
battu, et riais intérieurement des mes essais inf
e pour la première fois à une séance expérimentale de magnétisme. J’v
croyais
peu, pour ne pas dire point ; mais le fait qui vi
se termiua à minuit, et si je vous racontais ce que j’ai vu, vous me
croiriez
à peine. « Cependant, pour le fait qui m'est to
, au moins en partie, ce que, à tort ou h raison, nous avons toujours
cru
devoir repousser. Si donc quelques-uns de nos h
ogue prodigieuse des tables tournantes : pendant deux ans, on pouvait
croire
que toutes les têtes allaient tourner avecles tab
elle qu’on devait l’attendre d’un homme de bonne compagnie. On devait
croire
cette polémique terminée quant aux faits particul
e qu’il fut en mesure de présenter des laits plus significatifs, il a
cru
que l’insolence pouvait tenir lieu de bonnes rais
collaborateurs dans le dernier numéro (p. 306) , que tous ceux qui ne
croient
pas à ses merveilles y compris, sans doute, les s
nces, des lettres et des arts, 11“ 2, p. ¿30, 20 février 185â. Je les
crois
dignes de figurer à côté des assertions lumineuse
marcher ni même se tenir debout, et que si je le faisais marcher, ils
croiraient
au spiritualisme. J’y allai, et en moins de temps
qu’une telle opération aurait immédiatement des suites fatales. Je ne
crus
pas devoir suivre cet avis. Je pris la ligne de d
haussée-d’Antin, on parlait magnétisme. Lord Brougbam a déclaré qu’il
croyait
au magnétisme, et comme on s’en étonnait : « —O
eur dit en souriant le docteur, je vous remercie de votre insistance.
Croyez
que j’y suis bien sensible. Mais si dans notre pr
nomènes du magnétisme (1), cependant, comme les concurrents s’étaient
crus
obligés de les discuter, et que presque tous les
émons; il fait justice de ces honteuses superstitions dont on pouvait
croire
que la raison avait fait justice, etquedes spirit
en présence de la défaveur dont les corps savants l’ont frappé, il se
croit
obligé de demander, pour ainsi dire, pardon de so
tres que nous ne comprenons pas davantage, et auxquels cependant nous
croyons
. 11 n’est pas donné à l’homme d’expliquer ni de c
es nerveuses qui iront toujours en diminuant. n Sixième question. —
Croyez
-vous que quatre magnétisations suffiront pour vou
e 7. Les vertiges ont cessé. «Le 12. Lourdeur générale. — La malade
croit
que son époque menstruelle se prépare. — Bain de
e pieds sina-pisé. A 9 heures l’oppression est si forte que la malade
croit
étouffer. La face est d’un rouge violet, la peau
dont j’ai été témoin , témoin très-peu crédule, je vous l'assure. Je
crois
cependant que la science n’a qu'à gagner ii l’étu
venir de diverses directions et produits par différentes causes. Nous
croyons
utile de reproduire les explications données à ce
: plus poli et plus charitable que certains de nos adversaires, nous
croyons
qu’on peut discuter sans être obligé d’imputer à
nnons plus bas, était encore dû à la plume d’un docteur. Mais il faut
croire
que si M. Velpeau et MM. les académiciens ne lise
; et, comme dans les expériences magiques de M. du Potet, le sujet se
croit
être un personnage quelconque, et agit en conséqu
ître. « Vous voilà bien vengé des académiciens qui ne voulaient pas
croire
aux effets du magnétisme, du somnambulisme, de la
sie artificielle de Mesmer, de la biologie de Philipps; les voilà qui
croient
maintenant à Y hypnotisme (1) de James Braid et à
hôpital de Calcutta. Mais a beau mentir qui vient de loin! on n’a pas
cru
aux guérisons d’Esdaille. « Si Philipps, au lie
, non-seulement la discussion, mais le doute ou le rejet de ce que je
croyais
vrai ; toute controverse y a été toujours admise
uments, ceux que l’incrédulité nous allègue en général, je n’ai point
cru
devoir laisser passer scs articles, pensant qu'en
ie faire repentir de l'avoir aussi bien juge ? 11 y a tout lieu de le
croire
. (,>ue, désertant la question, il m'accable
ua avez soutenue toute votre yie semblait se calmer se ranime. Vous
croyiez
qu’après les çopbatsque vous avez livrés, le temp
de l’amertume qui déborde de vous eu ce moment? « Et mol aussi, je
crois
être un peu intuitifet jevousle dis : le triomphe
oire de l’idée et non le triomphe de ses défenseurs. Avez-vous jamais
cru
qu’on se faisait apôtre comme oii se fait avocat
récipices, n’ont qu’à suivre tout bêtement la grande route. K Je me
crois
intuitif et j’écoute toujours cette voix Intérieu
de sorcier. Et si je vous dis : le triomphe du magnétisme est proche,
croyez
(jue ce n’est pas sans avoir bien pesé la force e
vitjaniaisdanscettecomédieiiumaiuedontil est témoin, il soui'irait et
croirait
([ue licn n’est séi'ieux. Non, il ne reste plus q
rois temps. En voilà une paumée 1 vont s’écrier les diplômés. Pour le
croire
il faudrait le voir, et encore 1 Précisément comm
océdé efficace contre la sorcellerie et la reviviscence de M. Doyère,
Croirait
-on qu'ils sont déjà plus d’un million en Amérique
érite cependant toute l’attention des hommes sérieux. Quant à moi, jo
crois
l’avoir envisagée sous presque toutes ses faces ;
rouler de fond on comble, et je ne pensai plus, comme on peut bien le
croire
, à la fondation de mon école. r.ai' si même la pe
es mots au s^jet de la phrénolo-magnétisation intra-utérine ; mais je
crois
que ipes observations seraient superflues, au moi
t à se faire sentir. Tous les médecins vont rire de ma prophétie et
croire
que je suis un de ces utopistes, un de ces enthou
la parole et lui demande comment il se trouve ; il me répond qu’il se
croit
dans le paradis, saisit aussitôt ma main et la po
ussilôl, secoue sa crête, crie et ciierche à s’échapppr. NouB avons
cru
devoir rapporter les essais de M. le docteur Mich
ibles. Dans les campagnes où le nom de magnétisme est inconnu, on a
cru
longtemps et l’on croit encore au pouvoir terribl
agnes où le nom de magnétisme est inconnu, on a cru longtemps et l’on
croit
encore au pouvoir terrible des jeteurs de îoz-î,'
(1855, p. (530), à propos d’une brochure du docteur Emile Roy qui se
croyait
obsédé par trois magnétiseurs ambulants, et a fai
la vengeance du propriétaire saisi, qui passait pour sorcier et qu’on
croyait
capable d’exercer sur l’acquéreur sa puissance ma
la pensée qui l’obsède prend un corps, ses sens sont troublés, et il
croit
voir le fantôme sous l’aspect traditionnel, c’est
é par son esnerai et destiné à servir d’instrument à sa vengeance, il
croit
ent«n-dre une voix terrible qui lui crie : Renüs-
, il y a hallucination de la vue et de l’ouïe. Mais comme l'halluciné
croit
à la réalité des objets dont il est impressionné,
jouer au fantôme, seul, à huis clos : cet acte prouve seulement qu’il
croyait
à son art, ce qui importe peu quant à l’appréciat
aie médecine. C’est un sujet grave à exanûner ; mais, quant à moi, je
crois
que nous tenons cette fois les Bouillaud, les Vel
il fut conduit à faire usage de ses facultés curatives : En 1662,11
crut
éprouver une sorte d’inspiration, et entendre une
a puissance, qu’il allait quelquefois jusqu’à douter si tout ce qu'il
croyait
voirn’était pasune illusion; mais enfin, persuadé
t pas perdu, un peu de vie rovs reste. Dans un incendie, Iorsi(u'on
croit
le feu bien éteint par la quantité d’eau qiio l’o
ffc de nouveau : c'est ainsi que, dans les maladies aiguës, lorsqu’on
croit
tout détruit, anéanti, perdu et que le malade est
reille. L’hypnotisme n'est point une science, comme vous paraissez le
croire
; c’est tout simplement un état de sommeil partic
faiicment constaté l’insensibilité 'des sbjels hypnotisés par tül, ne
crut
pas devoir rendre publics les faits qù’il avait o
e doute et les doulfeürs, peut-être me demanderez-vous, Madame, si je
crois
qu’il y ait dans le magnétisme, dans le somnambul
'atteution et les études des vrais amis de la science. « Non, je ne
crois
pas au surnaturel ; seulement je crois, avec Volt
de la science. « Non, je ne crois pas au surnaturel ; seulement je
crois
, avec Voltaire, ce grand doutpur des temps modern
temps modernes, c qu’il H y a plus de choics possibles f/ii'on ne le
croit
commu-n nément. » « Ce qui mo paraît presque su
ue cette objebtion oiseuse dans lA bouché deiê incrédules : Nous ne
croyons
pas au magnétisme ànimal, pài'ce iJUb 'celie scie
oürd’ljui que par des esprits malades avides de merveilles ; nous n’y
croyons
point, parce qiié l’élëctricité ailimale feSt une
ieds et goûter par les oreilles, cela devient un peu plus difficile i
croire
. Qu'est-ce, en ellet, (juc celte vision siu’natu-
t un nom dans le inonde, ils refusent par un scepticisme endémique de
croire
et de prêter leur concours, de peur que le monde
nts péristaltiqiies. Plusieurs célèbres médecins moururent sans avoir
cru
à la circulation du sang; leurs confrères aujourd
la circulation du sang; leurs confrères aujourd’liui ne veulent point
croire
à cette autre circulation du fluide univ ersel da
ion du fluide univ ersel dans tout notre organisme. Non, personne n'y
croit
, mais qu’on tâche au moins de nous donner des exp
jui leur est proipis? Les cspriUs forls, ceux qui jwnchont plutôt à
croire
quo- le liasuni il tout produit, et qui nient le
de l’Académie, mais après cent combats? Ne parlez point de Mabru ;
croyez
-moi, faites peu de cas des antagonistes : si un l
vous amuseriez-vous à lire son ouvrage et à en discuter le mérite 7
Croyez
, Monsieur, que je vous suis très-reconnaissant de
imposition des mains. Jésus avait pourtant dit : Bienheureux ceuT qui
croiront
, car ils imposeronl Ift niftiiin (ur les malades
onvaincu, celui qui venait de me combattre, fier d'une victoire qu’il
croyait
avoir remportée, se redressait déjà avec oi^eil a
n soit, je m'étais armé de courage et j’agiss^s fortement. Quand je
crus
avoir suffisamment ^i (mon instinct ne me trompe
nabililô et les acciitenls nerveux qui pouvaient on ótre la suite, je
crus
nécessaire de la caluier, et, à cette fin, je lui
endre, ce qui, au premier abord, semblera impliquer contradiction, de
croire
qu'une parüe au moins des choses qui arrivent en
vécu parmi les Turcs (qui ne sont pas aussi Turcs qu’on veut bien le
croire
dans notre Occident), et qu'en outre j’ai pu me c
le ne tombât pas en descendant, je lui offris mou bras, Itii laissant
croire
que je ne le faisais que par pure politesse, et l
. (i Quevoulez-vous que fasse un souffle, un rien? dira l’abbé, qui
croit
cependant à la devise du pape Colona : spiritus f
ultes ou hermétiques. Il nous a montré ces faits que, hier encore, on
croyait
nouveaux ou controuvés, se produisant à toutes le
t à toutes les époques de l’histoire : chez les ascètes de l’Inde qui
croient
s’unifier avec la Divinité par la contemplation p
udit de voirlasciencpolîicielleaccueillir enfin ces phénomènes quelle
croyait
indignes de scs graves études, et il félicite les
ènes qui lui semblaient contraires à sa grande proposition et qu'elle
croyait
inexplicables, elle les nia. Cependant l’illustre
in de connaître les conduisait chez moi pour y chercher la vérité. Je
crois
que pas un d’entre eux n’est sorti de ma maison s
s impui.ssants qui ont des yeux dont le crislaijiii est dépoli et qui
croient
que leiirs livres vont être une barrière qui empê
d des voix qui l’empêchent de dormir et lui commandent d6- lire. Elle
croit
que ce sont des démons, et pour leur obéir, elle
ont de longs nez, ceux-là sont camards, mais tous ont la folie de se
croire
superbes et font sans cesse la roue. Je m'arrête.
tions, les antres accumulent des fiiits : et en magnétisnK, c’est, je
crois
, la marche la plus sûre pour arriver à la vérité,
s, était entré à l’hôpital, et sachant que ce duel avait eu lieu, .je
crus
uu instant que M. de X... venait consnlter pour c
i avait été blessé; mais comme il n'avait pas gardé la chambre, je le
croyais
guéri, et ne m’attendais nullement àcette consult
rtance. n Quant au magoétUme, et surtout au iDagaétisme animal, nom
croyons
que son action sur l’organisme s'est bornée jusqu
, afin de connaître précisément jusqu’à quälte époque cet auteur a pu
croire
que Ctiefion du magnétisme aniinai 4«r Carganimte
s hommes de laisser s'éteindre, sous le boisseau, la lumière que l’on
crut
y renfermer en 1784 et qu’ils supposent saDs dout
tat de somnambulisme et sous l'impression d’un rêve fâcheux (car elle
croyait
entendre, a-t-elle dit, des voleurs dans le greni
raison, car je ne sus point diriger le somnambulisme, bien que je me
crusse
fort savant ^ofs, parce que j’arais lu une fois m
avait diminué beaucoup à mon arrivée. Je la magnétisai de nouveau et
crus
pouvoir me promettre le succès le plus complet da
s rechtrcbes ; que nous n'avons jamaia eu la sotte prétention de nous
croire
infaillible, et qu'enfin uous nous inclinerons to
complet anéanlissement, noua dira-t-on, nous répugne trop pour ne pas
croire
à rÂaunçtrt^té. C'est aussi pour cela que l'hom
r, quand on nous l'aura fait reconnaître. Quoi qu'il en soit, nous ne
croyons
pas que notre théorie ne puisse soutenir la discu
t-être qu'elle n'est pas aussi dénuée de fondement qu’on veut bien le
croire
. Mais puisque nous ne pouvons malheureusemeat lui
veloppement nécessaire, nous nous contenterons de demander à ceux qui
croient
devoir nous combattre quant à la perception du pa
Bien, répliqueront nos adversaires, si, comme nous nous plaisons à le
croire
, ils aiment une discussion franche et loyale ; bi
discutons point pom* discuter, mais pour nous instruire ; et, loin de
croire
que nous avons tranché le nœud gordien, nous nous
les il- lusions de la jeunesse. Voulez-vous réussir dans le monde,
croyez
-moi, emboîtez le pas sur celui de votre papa, gar
l’.arl divin de gagner de l’argent : Ne le considérez pas autrement,
croyez
-moi, si vous voulez que la fortune ne vous soit p
point vers les régions de la science où le génie ne suffit pas seul.
Croyez
-moi, la gloire est une chimère, et nous sommes da
plus rares encore ; en livrant le magnétisme aux docteurs, l'Académie
croit
-elle, avec le diplôme, leur octroyer la vertu néc
échants et persévéré dans leurs recherches ( Si le corps médical se
croit
omniscient et invulnérale, qu’il prouve sa foi en
de de lail9 réels bien propres à soulager la misère humaine. M. Roger
croit
sans doute avoir fait beaucoup de mal au magnétis
les mains de Règoaud, il entra dans un tel accès de fut-eur, que tous
crurent
qu’il était devenu fou. Lorsqu’il fut tout à fait
ci accepta d'emblée; une seconde ne s'était pas écoulée que que M. se
croyait
et se voyait dans une joUe calèche emportée par d
s, quoique ayant les deux yeux grand ouverts. A chaque relais, M. ***
croyait
boire et manger, et sa physionomie dénotait la Jo
, quoique éveille, la clialeur ou le froid des boissons qu’il avait
cru
boire dans son voyage imaginaire. — Aujourd’hui,
n’ajoute pas foi à ses dénégations ; mais en revanche, s’il n’est pas
cru
, ses qualités soinnambuliqucs sont admirées, et n
ertifié. Nous l’avons trouvé tellement extraordinaire, que nous avons
cru
vous être agréable en vous le communiquant, surto
t ennemies. Chacune d'elles, s’attachant à un seul cdté de la vérité,
croit
nous la montrer tout entière sous cette face de p
lre-viugta fois, avant que les savants aient consenti à examiner et à
croire
à l'existence de ce phénomène; il s’est écoulé pl
ionnés, la jeune fille s’envole aux ailes d'un rêve. Le mari? Elle le
croit
. Le mariage ? Elle le croira. Non I non I L’éveil
ole aux ailes d'un rêve. Le mari? Elle le croit. Le mariage ? Elle le
croira
. Non I non I L’éveil du prismatique instinct de m
ilievoyo, incline leclief, invoque le Dieu, prescrit....... L’homme
croit
à la médecinc ou au médecin, on y tâche. L'enfa
L’homme croit à la médecinc ou au médecin, on y tâche. L'enfant ne
croit
qu’à la Mère : il n’interroge que sa physionomie,
iste éminent a fort crûment établi que Socraie était fou, parce qu’il
croyait
converser avec son démon. Les mystiques répondent
tous les lenips et de tous les lieux ; que les hommes y nnt toujours
cru
, qu’ils ont exercé une actimi considérable sur le
s grande gloire de Dieu. Ici soyez circonspcct, ce n’est pas assez de
croire
en Dieu et d’être convaincu de rimrnortalité de l
age, à toutes vos assertions ils répondent ceci : Je verrai que je ne
croirai
pas; ce que vout me racontez est impossible et co
erait perdu. Us vous l'ont dit, vous le savez : « Je verrai que je ne
croirai
point. » Telle est la maxime des sages de cette c
t ordinairement à Constantine que se pa^se l’action, el là il fait ou
croit
fiûre un épouvantable massacre dc Bédouins : en r
n d’une cloche voisine. Hier soir, un accès très-fort a eu lieu; il a
cru
qu’il était six heures du matin, il s’est habillé
Maury, membre de l’institut, est le seul savant de nos jours qui ail
cru
qu’une dissertation sur le magnétisme animal ne s
mme le plus savant qui ait jamais existé. Son autorité, à ce que nous
croyons
, ne peut avoir besoin d’aucune espèce de commenta
omment, dis-je, ces personnes peuvent-elles être assez compétentes et
croire
qu’on ait dit le dernier mot sur le somnambulisme
ous savons que MM. les membres de l’institut sont bien loin encore de
croire
à ce phénomène, mais ce n’est pas notre faute. Le
s élevées de l'espace et conversant dvecles esprits, etc... Je lui Cs
croire
un jour qu’il était mourant : bientôt sa tête se
mpliquant quelquefois celle qui est apparue en dernier lieu, et qu’on
croit
devoir considérer à tort ou à raison, comme la pl
ne dit d« a6iri lournantei, bous en av«j déjà assez parlé pour ne pas
croire
nécessaire d'y revenir ici. (2) Nous possédons
ules naturels ou artificiels. Indépendamment de ces expériences, je
crois
devoir mentionner en outre une série de faits qui
ment procède cet agent. Avant d’aborder cette question capitale, je
crois
devoir rectifier certaines données inexactes qni
l’insu du magnétiseur. C’est ce qui a donné lieu à l’eiTeur que j’ai
cru
devoir relever, dans l'intérêt de la science qui
endium, où toutes les opinions sur le magnétisme trouvent place, j’al
cru
faire chose agréable à la rédaction, en enrichiss
urants qui entraînent le faible vers le fort, et c’est si vrai que je
crois
que le magnétiseur prend une influence irrésistib
oduit rien? ji Un des plus grands génies de notre siècle, Cu-vier, ne
croyait
pas que l’imagination fût entièrement nécessaire,
nne magnétisée, une grande croyance également. Peut-on dire : Je ne
crois
pas, je ne croirai jamáis aux étranges phénomènes
ne grande croyance également. Peut-on dire : Je ne crois pas, je ne
croirai
jamáis aux étranges phénomènes du magnétisme, qua
, sans gravité, que l’on me fit connaître ce cas de somnambulisme. Je
crois
que, pour la fréquence plus grande,de même que po
et de guérir ses affections diverses ; là, des hommes de science qui
croient
y voir la synthèse de tout ce qui existe ; là, de
out ce qui existe ; là, des spiritualistes pleins de conviction , qui
croient
pouvoir trouver dans le magnétisme, dans le somna
ps. La science officielle refuse de nous reconnaître ; les savants se
croient
infaillibles comme le pape et ses cardinaux i mai
suit parvenu. Je suis, dans ma raison, ceriain du phénomène ; J‘y
crois
comme à mon être ; absolue est sa loi. Mais por
, Tonton, tontaine, tonton. Et cependant, rempli de morgue, Il 9«
croit
un Napoléon, Tonton, tonton, tontaine, lonlon.
collalnrateur M. Jebard. qui n’a pas élé suffisamment étudié. Nous
croyons
devo.. ïrir la voie à ceux qui voudront pénétrer
t pas vue se réveiller & une heure assez avancée de la journée,
crurent
devoir faire venir un médecin, lequel ordonna tou
agination qui se traduit. Pour tout dire, en nn root» â pous pouvions
croire
au stratagème d’im pseudonyme, noue clipfplierioB
que les craintes dont j’ai parlé plus haut n’ont aucun fondement. Je
crois
que cet état particnlier que je provoque chf*z pr
, état que personne n’est capable de distinguer de l’état naturel, je
crois
, dis-je, que cet état particulier est peu connu,
Si je parle de choses absentes, de choses que je ne puis toucher, ne
croyez
point que je les voie comme font quelques somnamb
e qu’il vous semble de votre panaris, et particulièrement ce que vous
croyez
le plus convenable pour sa guérison. R._Le doct
oint été initié à la science subUii» de Mesmer, j'étais peu disposé k
croire
à ses prodiges. n f a environ un mois., ajapt e
n mois se passe, et Marthe ne revenant pas au village, ses parents la
crurent
morte ou perdue. Mais le 31 mars, un paysan passa
Jésus eut oui cela, il dit au chef de la synagogue : Ne crains point,
crois
seulement. 37. Et il ne permit à personne de le
ut-être imprudent, (),> Jcsiiis ind«citi, > m'a dit lady — Je
croie
r[ua son dipldias esl d’une univeriltO (rAllemogn
rire. Mais vous-même, pmirsuit-elle par une pantomime éloquente, vous
croyez
avec raison à l’existence tle ces intelligences.
er son mal au capitaine dont il était le cavalier d'ordonnance, avait
cru
pouvoir se guérir lui-inûme, d’après les conseils
médical, puisque, comme vous le savez déjà, l’Académie de médecine a
cru
faire justice en me condanmant à l'amende, attend
st le magnétisme, et qui naturellement se jugent en droit de ne pas y
croire
, ridiculise et insulte les adeptes de cette scien
'il n’a jamais pu se décider à leur communiquer ; et, après tout, qni
croit
pouvoir me prouver l’absurdité de ma conviction l
ces agents dérive également d’une cause occulte?... Ces messieurs se
croient
donc bien savants et bien parfaits pour fouler au
la profondeur et la hauteur de cette énigme gigante^^que; mais je ne
crois
pas êlre téméraire en déclarant que, pour en trou
nous montre la terre promise, tous nous sentons, nous espérons, nous
croyons
, nous affirmons à notre manière la bonne nouvelle
aussi bien que maintenant. . OlABÉTÈS. J’arrive à la cure qui, je
crois
, est la plus belle que j’ai (1) L’isFiusMH «8»
s à l’avenir de prononcer sur le litige. D’ailleurs, n’allez pas me
croire
un transfuge de la physiologie : je m’attache à s
Riâaclion.) Les liaüucinations qui portent certains individus à se
croire
transforiaôs en animaux, ont été ilc tout temps a
qu’il put. M"” de Coulanges nous apprend que le marquis de Moue se
croyait
aussi changé en chien de chasse, il couvrait un d
et d’un bols de cerf, et II le courait la nuit en aboyant. 8i l’on
croit
la princesse Palatine, seconde femme du frère de
qu’on ne fait pas son métier de la critique bibliographique, on ne se
croit
pas dispensé d’étudier à fond un livre qn’on veut
a seul entendus (1). » (1) L. p. T. I, p. *48. Qu’on n'aille pas
croire
que la communication de penstic entre ¡’opérateur
s de nos appréciations des conclusions illogiques de M. Figuier, nous
croyons
devoir citer, rapprochée de cette négation formel
r lui faire comprendre, sans aucun moyen surnaturel (par Dieu ! je le
crois
bien), la pensée que le magnétiseur veut lui comm
roucher, else fiant àla logique d’esprits habitués à la science, il a
cru
pmdent de ne pas heurter de front des préjugés ac
prétendu fluide magnétique, qne les magnétistes se sont fourvoyés, je
crois
utile de signaler la seule voie qui me semble con
el rapport de solidarilé et de simultanéité, que l’on serait tenté de
croire
à l’unité de leur essence, si d’intimes et attent
parce que l’air est trop grossier pour les i«cevoir, mais nous devons
croire
qu’ils se manifestent sur la matière éthérée, qui
muabilité de l'âme, car son essence spirituelle ne nous permet pas de
croire
qu'eile puisse perdre des facultés innées ou acqu
dénégateurs de la thérapie infinitésimale disent sérieusement ; Je ne
croyais
pas à ce système ; avant de l’exclure, toutefois,
lle il faut l que règne le principe conservateur, j Eh bien 1 je le
crois
, le magnétisme et l’homéopathie tiennent par exce
ressives ), il ne m’a pas été permis d’apprécier ouvertement. Mais je
crois
que, médicalement (j’entends ainsi l’assurance d'
oint que le jour devient ombre, plutôt que de franchir l'obstacle. On
croit
hautement, en toute autre chose, it votre honneur
voilà tout. Tour moi, je l'avoue de ma raison la plus rédéchie, je
crois
... li la lique. Je vous ai dit, j’ai tentó do v
te en laquelle la plupart des horames tombent, de faire difficulté de
croire
d’autrui ce qu’eux ne sauraient et ne voudraient
réserver il mes diverses relations, et, pour vousen remercier, je ne
crois
pas pouvoirmieux faire qu’en vous adressant de no
heureux du rétablissement de sa santé, je ne l'étais pas moins, on le
croira
sans peine, de la rapidité de mon succès. Veuil
née! » Puis il pose des prémisses, développe des propositions qu’il
croit
devoir conduire àla découverte (tu vrai. Après le
oir lues attentivement, je me suis dit : Encore un nouvel ouvrier qui
croit
apporter une pierre à l’édifice et ne fait qu’aji
d’étude qui depuis vingt ans absorbe nos méditations, à laquelle nous
croyions
peu jadis, mais que le magnétisme nous a fait tou
u magnétisme animal. Avant d’aborder directement cette question, je
crois
devoir relever plusieurs anomahes, contre-sena ou
églige de spécifier la nature de cette atmosphère ; mais j’ai lieu de
croire
qu’il entend parler d'une atmosphère fiuidique pr
as qu’ils aient conscience de cette obscurité, car les somnambules ne
croient
pas dormir, et tout ce qui choque leur raisonneme
ent naturellement de l’examen de ces phénomènes. Mais auparavant je
crois
devoir dire que j’ai suivi une marche diamétralem
ènes ; anjourd’tui que j’ai affaire en quelque sorte h un profane, je
crois
devoir entrer dans des détails plus explicites. •
bsorber la masse du fluide qui existait chez le sujet. J’ai lieu de
croire
que M. Warlomont n’avait nullement coanaissaace d
ité magnétique. Le résultat de cette expérience fut tel, que je dus
croire
que rinsensibllité ainsi produite ne résistait pa
courants électriques ; mais la note que la rédaction de votre journal
crut
devoir opposer h ma conclusion m’ayant porté à ré
de tout ce qui se rapportait à la science magnétique, j’hésitai à le
croire
, mais depuis, quelques faits, en m'éclairant plus
faits, en m'éclairant plus amplement, ont déirait mon hésitation. Je
crois
à cette possibilité, et voici. Monsieur le Baron,
pour rendre raison des résultats opposés que j’avais obtenus, d’où je
crus
pouvoir conclure que l’insensibilité magnétique n
donna un souvenir clair et précis de la seconde expérience, et je ne
crois
pas me tromper en attribuant l’insuccès il l'un (
ien reconnue de la personne dont j’ai parlé, ne mo permciiani pas tle
croire
(|ue sa miHhücle fui vicieuse, je crus soulenniii
lé, ne mo permciiani pas tle croire (|ue sa miHhücle fui vicieuse, je
crus
soulenniiit avoir mal saisi ses iiisiruciions. Pl
e sans aucun doute, et. celte fois encore, avec uu succès complet. Je
crois
cependant que, si j'avais été prévenu, j’aurais p
par l’auteur de l’iiiarnie. Si ce fait est vrai, et j’ai peine à le
croire
, il prouverait la possibilité de faire ressentir
s, notamment sur les épaules. Par le moyen de tels attouchements, ils
croient
, ô illusion! pouvoir transmettre leur volonté à l
de de son bâton et du bras de son compagnon ; à cette vue, M. B... se
croit
attrapé, ne pensant pas qu’un pareil homme puisse
tarde davantage une guérison que des magnétisations interrompues ; je
crois
que c’est à cette rigoureuse exactitude que je do
s ou moins grande impressionnabilité du malade. C’est une erreur de
croire
que les machines très-puissantes sont préférables
tention tle faire de nouvelles expériences par ce moyen ; mais je les
crois
inutiles, car j’obtiens par ma méthode ordinaire
t au bûcher; le dernier qui resterait d'entre eux, en se considérant,
croirait
sans doute qu’il est un grand génie. Les esprits
point. « Le moindre des astres n'est-il pa.? plus grand, si l’on eu
croit
les supputations astronomiques (1) ? Quoi ! un li
il faut être hébété pour pouvoir le penser. « Au contraire, il faut
croire
que de plus excellentes colonies peuplent ces lie
paissrs t''iii'l>res ne faut-il pas être aveuglé? Il faut, pour le
croire
, êlre enseveli comme les bêtes les plus stupides,
ophes. « Il faut encore examiner si ces êtres sont mortels. 11 faut
croire
qu’ils vivent longtemps dans une grande félicité
ieu, et de quelle espèce et figure sont ces choses. Il est naturel de
croire
que ces êtres ont un visage, un extérieur et un
us puissions ni les voir, ni les dt’finir au juste. Nous devons aussi
croire
que les habitants du ciel, qui vivent dans les ét
autant que la peinture diffère delà réalité de l’objet. Quelques-uns
croient
, et avec une apparente vérité, que, hors de ce ci
s sont sujettes au temps et par conséquent d’une courte durée. a Je
crois
que c'est là le Pluton dont les poëtes ont voulu
au mysticisme des Indiens, aux mystères des sanctuaires égyptiens. Ou
croit
assez généralement que les alchimistes travaillai
té le premier, et Van Belmont le dernier représentant. Les cabalistes
croyaient
à la possibilité de communiquer avec les intellig
elle des temps où nos orages poli- chcrclie la vérité partout où je
crois
la découvrir, et, quels que soient los écarts de
« üieu QUI PUMT us CftlHES SECRETS. « Le philfeophe qui parle ainsi
croit
certainement en Die«i. » (¡¡/ein, p. 3W.) tique
rincipe. Expliquons-nous sur cette restriction : Lst-ce que vous ne
croiriez
au spiritualisme qu’en précepte? —En origine? — E
us de plus déraisonnable, de plus inadmissible qu’aux choses que vous
croyez
? Comnienl, dans i’invisible, durant desmillions e
vancées de votre analyse, cher confrère : déclineront-ellcs ce que je
crois
un des éléments dc la solution normale de l’énorm
le prouver, et bien, et mieux ; la sérénité de ma philosophie, que je
crois
positivement religieuse (1), n’est qu’à ce prix.
lii osoplies; u c’est que jo suis sulijugué par l’admiration. » Il se
croit
autorisé à en citer d'autres : Arcliytas, Pliilol
esse : mais que lea |)remieî's d’entre les poursuivants de la science
croient
s’abaisser des relatiuns intimes et de foi dans l
nnées pour justifier les tourments de leur âme et de leur corps et se
croiraient
possédés. Mais cette étude se fera, c’est la mine
i ensuite la qiiesliou psycholo-giquc. Avant d’entamer le débat, je
crois
devoir forinnler quelques principes exacts. Lor
de six I Comme on a pu s’en apercevoir par les restrictions que j’ai
cru
devoir établir relativement aux deux derniers fai
les phénomènes qui ont trait particulièrement au somnambulisme. Je
crois
devoir prévenir M. le D'Ordinaire, que je regarde
m’inspire, à son égard, qu’une profonde reconnaissance. Je le prie de
croire
qu’en relevant ses observations, je n'ai pas 1a m
donc plus restreinte qu’on ne le suppose communément, et lorsque nous
croyons
en jouir dans toute sa plénitude, nous ne sommes
pas sérieusement, j'aime à me le perauader, que M. Ordinaire préfère
croire
qu'un Esprit, habile messager, a porté la nouvell
cteurs, mais cette circonstance ne prouve pas qu’elle soit fausse; je
croyais
même l’avoir suffisamment démontrée dans mon Essa
pation, faire tomber les cuisses et les jambes de son enfant; mais je
crois
que, la mère étant dans ces dispositions d’esprit
e et phénomène ! et de trois. Ce n’est pas tout. ()) A moins des«
croire
en possession de la science infuse, il me semble
sairement à établir l’équilibre aussi bien entre les cerveaux, o(i je
crois
que les idées se forment plastiquement, qu’entre
eaucoup pratiqué le magnétisme et qu’il a peu lu les auteurs. Je l’en
crois
sur parole, et c’est pourquoi ses appréciations m
ne manière, être utile à l'étude du fait brut exposé fidèlement. Je
crois
que le praticien magnétiseur est dans le même cas
propre système nerveux, et le communiquer, mais la raison se refuse à
croire
qu’il peut produire à volonté mie siik/tiniv et l
er comme un électroscope, mais puisque M. d’Arbaud me l’assure, je le
crois
. Tous les corps de la nature s’invitent h l’équim
rd, la puissance de l’homme armé de cette force diyijie, Je Caisais
croire
à mon sujet les choses les plus extravagantes ; j
tre doctrine, et sa ’brce, mais d’une toute autre manière que vous le
croyez
. Vous dites : tous les êtres de la création, mi
ive qu’au point de départ, à la première goutte. Cher confrère, je ne
crois
pas k cela, quoique vitaliste. Faut-il raisonne
causes dynamiques, et c'est ce mdez. Si ma raison ne m'abuse pas, je
crois
¿s des corps sont dues à la combinaison des compo
tal consiste dans une évolution, soit attractive, soit émissive. Je
crois
utile de répéter ce que j'en ai dit antérieuremen
seseirortsou aupoins en borner et nième en anéantirles résultât*. Je
crois
, malgré cela, que tout ami sincère de la vérité,
on sommeil il lui sembla qu’une voix forte t'appelait par son nom. Il
crut
s’éveiller et voirdevant lui un homme d'une taill
aient été indiquées, et réussit heureusement à les terminer. Quand 11
crut
son gui suffisamment préparé, il s’approcha d’un
e. Elle fut consommée dans l’espace de quatre ou cinq ans, si l’on en
croit
le docteur Hyde, » Le marquis de Pastoret. [Zoroa
ui, s^t. 7.) Modifions-nous donc, réb^iiiio;)a-tipa^ ; ^pprçi}ons ^
croire
, apprenons i vouloir- Croire et vouloir sont, p
onc, réb^iiiio;)a-tipa^ ; ^pprçi}ons ^ croire, apprenons i vouloir-
Croire
et vouloir sont, pour Tètre humain, deux des plus
de vous adresser une réponse que, dans l’intérêt des magnétiseurs, je
crois
devoir faire à un article qui a paru dans le n' 7
cette mystérieuse puissance, en rue prévenant toutefois qu’elle ne se
croyait
point sensible ; mais deux minutes me suffirent e
s bras levés retombaient comme s’ils eussent été privés de vie, et je
crois
qu’on eût pu piquer, pincer la chair sans rencont
parfait est en quelque sorte l'image de la vie naturelle, le sujet ne
croit
pas dormir; il agit absolument comme s'il était é
ltra du somnambulisme naturel et artificiel. Le sommeil nerveux. Je
crois
devoir formuler iclmon opinion à propos des phéno
oi, lorsqu’ils ont pour auteur le commun des martyrs. Maintenant je
crois
devoir révéler un fait qui a uue grande importanc
ne d’années que je m'occupe particulièrement du magnétisme animal. Je
crois
donc utilede prévenir les personnes qui seraient
ui out rajjport à la vloirvoyance. Piif:.NOM/:XES PARTicuuKRS. — Je
crois
dcvoir signaler quelques-uns des phénomènes que j
voir au dedans du corps des personnes. — Ce fait est exact, madame. —
Croyez
-vous que la vôtre serait capable de deviner si j’
alogue qui eut lieu entre la somnambule el nous. Mais, auparavant, je
crois
devoir déclarcrquela dite somnambule n’avait jama
mienne. —> Vous n’ignorez pas que cette dame est enceinte? — J'ai
cru
m’en apercevoir. — Pourriez-vous me dire si elle
onne. .. Voilà quels son t. les caractères de la vraie lucidité. Je
crois
devoir déclarer ici que mes somnambules ne m’ont
au laudanum, malgré la très-faible dose que j’en avais prise. Je ne
crois
pas avoir besoin d’analyser ce fait, qui parle as
fiées. Voyez où en est actuellement la science sacerdotale, nul n’y
croit
et ses propres ministres sont de la dernière impu
on sait si elle est douloureuse! A son réveil, elle n’en voulait rien
croire
; il lui fallut montrer la pièce de conviction.
ilicment rintcnlion d'attaquer la divintlé du Chris(, loin de là, j'y
crois
plus que personne, mais Dieu lui-mème ne peut sc
nt nous ne citons que les pages sont assez connus pour que nous ayons
cru
pouvoir en agir ainsi. Saijs cloute qu’en magii
t ils ne démagnétisaient pas leurs malades après l'opération. Aussi
croyons
-nous que M. Lafontaine aurait mieux fait de reste
e, comme celle de tant d’autres, le préserve de la contagion, nous le
croyons
. Mais qu’il n’avance pas avec une assurance vraim
te ayant pour résultat un effet désiré. C’eat à tort qu’on pourrait
croire
qu'on ne se débarrasserait pas ainsi du fluide vi
e malade. Ce sont là des règles nouvelles, il est vrai, mais que nous
croyons
intéressantes, et c'est pcut-ôlrt à elles que nou
isir une partie des lois nécessaires au maintien de la lucidité, nous
croyons
bien faire de profiter et de faire profiter les a
iiiHis de labeur et de si précieux docuuiciils; à peine pourra-t-elle
croire
à cet enfantement douloureux que nous signalons c
iendront et le bien gétiéi-al qui en sera la conséquence. Ils ne nous
croiront
point aujourd'hui, mais demain nous appartient ;
a constancîc, son énergie détruisent ii la fin des •bstacles que l'on
croyait
invincible. Le magiiétistne, force vivante et i
. du Potet sur la peine que se donne la science officielle pour faire
croire
que l'hypnotisme n'est pas le magnétisme, 104. —
ferme; la machine s’ébranle : elle s’abîmera. L’école rétrograde se
croit
forte parce qu’elle a pour elle le passé ; mais o
façon à montrer combien il était ignorant sur cette question , j’ai
cru
devoir adresser au Rédacteur une note qui rectifi
emarquable sous plus d’un rappoft, son auteur , le Dr Henri Roger , a
cru
, j’en süis certain, donnef l’histoire bien exacte
f l’histoire bien exacte des différents moyens que l’art possédait ou
croyait
posséder pour anéahtir la douleur dans les opérat
té punissable par un châtiment exemplaire. Aussi les épithètes, qu’il
croit
sanglantes, et qui sont peut-être fort vraies : â
lle soit, et, sous ce rapport, la nôtre était irréprochable : il faut
croire
, et tout croire, encore!.... C’est par trop fort,
us ce rapport, la nôtre était irréprochable : il faut croire, et tout
croire
, encore!.... C’est par trop fort, et nous nous y
s ap- paritions qui résultaient du charme des py thonisscsP Pcut-on
croire
à dos récits, quelque circonstanciés qu’ils puiss
ndre insensé l’homme fort, en taisant naître en lui l’orgueil, car il
croit
alors que le ciel est ouvert devant lui, qu’il es
nscience, il ne lui reste pas un doute ; sa croyance est telle, qu’il
croit
à la possibilité d’une démonstration rigoureuse,
lucides voient tout cela, et bien d’autres choses..... Comment ne pas
croire
, dès lors, aux descriptions de M. Cahagnet? Cepen
it du cerveau d’un homme qui s’imagine des choses petites, mais qu’il
croit
grandes et sublimes , il aura le sort de ces livr
suitecomme chose indigesteet malsaine pourl’esprit. Cependant, nous
croyons
qu’on ira un jour très-avant dans la connaissance
gnet; j’émets seulement une opinion qui peut être erronée, mais queje
crois
vraie. Si mon langage a quelque chose de sévère ,
la lumière qui me manquait. Vainement j’ai demandé aux hommes que je
croyais
instruits, je n’ai pu rien apprendre sur ce que j
que chez l’homme résigné qui, tout en souffrant, s’humilie. Celui qui
croit
arriver de suite aux connaissances supérieures qu
é à subir la loi commune; car, moi le premier, je viens lui dire : Je
crois
que vous avez imaginé unParadis dans vos rêves d’
t ne peut admettre pour des vérités vos conceptions bizarres. Je vous
crois
dans l’erreur. DU POTET. Le Gérant : liÉBEKT
emcnt, ont été également guéris, car l’expérience commence à me faire
croire
que l’eau magnétisée que je donne, prise en plus
ecines , ont cédé par l’usage de mon eau. Je citerai trois cas que je
croyais
réfractaircs après l’usage d’une dizaine de boute
on, savoir: si la quantité d’eau magnétisée est indifférente; mais je
crois
pouvoir assurer que non , puisque tel cas où une
pour chasser la fièvre, deux ou trois ont rempli ce but. Cependant je
crois
que l’eau ne joue ici qu’un rôle secondaire, et q
dans le temps au sujet du Jury magnétique , afin d’encouragement. Je
crois
que l’usage de l’eau magnétisée, pour les fièvres
nétisme; et, depuis un mois, je travaille à ranimer un membre qui, je
crois
, eût été perdu sans l’heureuse faculté dont nous
aire des remèdes qui ont bien pu avoir « une action ultérieure, et je
crois
que l’améliora-« tion qui se manifeste peut en êt
es assistants. « M. William opéra d’abord sur un jeune homme qui se
crut
le général Taylor, puis sur trois autres qui se f
sme, et à ce titre son almanach aurait pu être utile. M. Cahagnet a
cru
pouvoir y insérer, sans notre assentiment, sans n
comment contrôler ses assertions d’une manière assez certaine pour se
croire
autorisé à attester la vérité d’un fait dont lui
régner en despote; c’est vous dire combien jo regrette que vous ayez
cru
pouvoir en affranchir les Arcanes. Vos dialogues
certes pas de rigueur en pareil cas, mais elle ne nuit jamais; et je
crois
qu’il eût été préférable que vous la négligeassie
le principe devance les conséquences. 11 paraît que vous n’avez pas
cru
cette marche applicable à l’étude de l’âme libre;
e contre, et d’opter pour la majorité. Je vous dis ceci, parce que je
crois
que vous vous êtes trop hâté, que vous n’avez pas
atérialistes, qu’ils attribuent dédaigneusement aux autres. J’ai dû
croire
, en lisant votre livre, que la doctrine y exposée
ceptibilité ne s’en alarme point : votre honneur n’est pas en jeu; je
crois
à la pénétration intime des esprits, à une commun
on prend un roman pour l'histoire, et que les- menteurs finissent par
croire
à leurs propres mensonges. Yous êtes trop instrui
e la part du magnétiseur ou du consultant. Il faudrait, pour que je
crusse
que l’ombre d’un mort est eifectivement apparue à
son discours et ses mouvements fussent traduits à des assemblées qui
croiraient
voir et entendre le personnage lui-même. Les disc
aissant échapper un profond soupir; puis il devint si calme que je le
croyais
mort, car il ne respirait presque pas. Je lui dem
u qu’on lui dît que j’avais magnétisé le malade, et qu’on lui laissât
croire
, au contraire, que ses prescriptions étaient caus
ement. Elle devint somnambule à la première séance. Cette personne ne
croyait
pas du tout au magnétisme ; une demoiselle l’avai
communiquer celle science, si utile el si belle, aux personnes que je
crois
capables de l’apprécier, et d’en faire usage. Je
rsonnes que je crois capables de l’apprécier, et d’en faire usage. Je
crois
que c’est là le but de la société dont je fais pa
est, messieurs, le résumé de l’état du magnétisme dans le monde. J’ai
cru
utile de vous donner ces détails, afin que vous n
ancière de la Société, qui est plus favorable qu’il n’y avait lieu de
croire
, a adopté à l’unanimité les deux mesures ci-après
c. Cette réduction est la plus large qu’on pût faire; la Société a
cru
pouvoir ainsi mettre à la portée de tous une coll
ant la tête d’un air sceptique, et disant d’un ton de défi qu’elle ne
croira
que ce qu’elle verra ; peu de temps après, le che
où il est réellement : dans le sein de la Faculté ; car il faut bien
croire
que l’erreur est parmi les gens qui prétendent, a
phénomène semblable , dans une source où je n’aurais certainement pas
cru
devoir trouver quelque chose de semblable, savoir
ie, je fis l’opération. Nous ne vîmes aucun signe d’insensibilité, je
crois
, jusqu’à ce que mon doigt pressât la pierre contr
l a été plus facilement agité que pendant les deux derniers jours. Je
crois
que cela provient d’avoir été examiné trop tard,
u de jours à rester. Il n’est pas revenu depuis le 20, ce qui porte à
croire
qu’il n’a plus souffert depuis lors. (La tuile
ise de ses travaux a provoqué plusieurs demandes. 11 y a tout lieu de
croire
que d’ici à quelques mois la propagation magnétiq
les tout ce qu’on nous a débité sur la magie des anciens, et que l’on
croyait
impossible. Les scènes du miroir magique et de ce
n, ce concours, cette conspiration de recherches et de travaux que je
crois
nécessaires pour surmonter tous les obstacles, et
mbulisme lucide, avec un monde et des êtres auxquels tout le monde ne
croit
pas. J'ai cependant assez vu et assez appris dans
conduite sans l’approuver en rien ; celui qui possède seul une chose
croit
ne la devoir à personne, il en jouit, et son orgu
« tèle », le monde, en général, ne demande pas mieux que de voir pour
croire
ensuite. « Je vous parlais dans ma dernière d’u
ée, il rendit uii camée antique de 10,000 fr. Rien que cela! « Vous
croyez
que l'héritier qui m'a raconté lo fait fut convai
t presque rempli de relations d’états concernant des personnes qui se
croient
obsédées par des magnétiseurs. Dans l’énumération
avec les homéopathes : nous pourrions presque leur reprocher d’y trop
croire
. Hahnemann a prescrit des magnétisations si faibl
conservaient avec le plus grand soin dans leurs églises. Si nous en
croyons
les auteurs anciens, les As-clépiades, héritiers
de son moyen curatif dans les maladies chroniques. Cependant il faut
croire
qu’Hippocrate avait quelques notions des procédés
lal pourrait à plus juste titre revendiquer ces résultats. Si nous en
croyons
l’opinion des somnambules les plus clairvoyants ,
onsomption trois mois après leur départ. Le fameux Michel Montaigne
croyait
aussi aux influences salutaires de ces émanations
é l’attention et la sollicitude de nos savants physiologistes. Nous
croyons
pouvoir affirmer a priori que le contact prolongé
s difficultés inévitables pour constater ce genre de contagion , nous
croyons
posséder des éléments suffisants pour appuyer nos
influences les plus délétères. Avant de terminer cet article, nous
croyons
utile de signaler à l’attention la dangereuse hab
te science s’évanouit; le savant est comme le dernier des hommes : il
croit
que tout se borne à des rêves, qu’il n’y a que de
’il opère un phénomène au-dessus de toute science académique. Et je
crois
on être arrivé à ce point. Placez près de moi u
rs, j’ai presque honte d’affirmer tous ces faits; que voulez-vous? je
crois
ce que j’ai vu, quoique rien de semblable ne soit
her mille moyens d’en conjurer la venue. Plusieurs somnambules, qu’on
croit
lucides, ont été consultés, et leurs avis et rece
ù, pleines de force , elles ont fait un effort puissant qui leur fait
croire
la maladie domptée, la mort éloignée. En présence
ésence de si douloureuses circonstances, est-il permis à un homme qui
croit
savoir des choses utiles, nécessaires, de se tair
gnétiser et guérir : j’ai douté ; j’ai magnétisé, j’ai guéri, et j’ai
cru
. Et alors j’ai étudié le magnétisme dans tous ses
sme les moyens de le combattre, il me les a fournis; et à ceux qui ne
croient
pas, parce que c’est le somnambulisme qui les don
’ai nié, j’ai douté comme vous; j’ai étudié, expé- rimenté, et j’ai
cru
. Faites comme moi, et puis vous prononcerez. Da
la natnre de la cause des perceptions dont je vais vous parler. Je ne
croirai
d’une manière absolue que lorsque j’aurai vu moi-
ésultats bien sensibles, mais sur les suites possibles duquel nous ne
croyons
pas devoir sitôt nous prononcer. « Nous nous so
convaincus, si des préjugés paralysent voire intelligence, si vous ne
croyez
pas..., au moins apprenez à douter, vous aurez fa
Le noble lord a dit à la Société, que, en consentant à la diriger, il
croyait
devoir lui faire l’historique de sa conversion; c
ulté exclusive de vision, ou transmission de pehiée. Pour ma part» je
crois
n une combinaison des deux facultés j qui s’exerc
iculier de prestidigitation. Il a beau faire la distinction, on ne le
croit
pas. Quand il ne fait que du magnétisme , ceux qu
e la Société des Sciences, etc., d’Orléans. Dans ces Etudes, l’auteur
croit
prouver, à l’aide de moyens dont nous allons parl
ces. Des faits sortis de nos mains sont là d’ailleurs pour nous faire
croire
à l’efficacité du magnétisme dans le choléra, et
médicaments agissant synergiquement avec la puissance vitale. Nous
croyons
donc que le magnétisme appliqué avec dévouement d
du signe magique, sa tête oscille d’une étrange manière; on pourrait
croire
qu’il s’échappe une flamme invisible de ce centre
ma pensée, par une bonne raison , c’est que mon esprit n’a jamais pu
croire
, jusqu’à ce jour, aux prodiges surhumains de la m
emin la sottise humaine, et peut-être l’inconséquence des gens qui se
croient
raisonnables. Interrogez chaque homme, parvenu à
orsqu’on la possède, l’implanter en autrui. Rien n’arréte l’homme qui
croit
, et le temps est passé où celui-ci n’osait franch
M. Morin nous a paru pénétré d’une conviction profonde; mais nous ne
croyons
point qu’il ait retrouvé la science elle-même. No
cause efficiente des phénomènes, la raison s’égare à la chercher : on
croit
, parce qu’on ne peut nier le témoignage des sens,
maux, et de ceux-ci entre eux. Résumant son argumentation, l’auteur
croit
pouvoir conclure : « i° Que de l’absence de tou
n, comme stupéfiant, peut et doit être provoquée autant de fois qu’on
croira
pouvoir y réussir, dans les nombreuses circonstan
ngea la face du monde en disant à de pauvres pêcheurs : « Veuillez et
croyez
, aimez votre prochain comme vous-même, pour l’amo
s, touchez-les au nom de mon père, ET ILS SERONT GUÉRIS. » Vouloir,
croire
, aimer! Ces simples paroles ne résument-elles pas
voix du prêtre aussi « sera la première à crier à tous : Vediixez et
croyez
; « car, en vérité, je vous le dis, quiconque aura
qu’on lui avait faits, et des calomnies à l’adresse du magnétisme, je
crus
devoir la faire magnétiser en premier lieu par un
ie. Dans sa lettre du 3i mars 1848, M. Jobard vous disait : « qu’il
croyait
avoir trouvé le moyen de faire « des somnambules
sser le malade en question, et même d’autres malades que jusque là on
croyait
en bonne santé. Je fais écrire sans l’interrompre
s peuvent s’étendre, si tant est qu’elles aient des limites ; mais je
crois
que, dans l’état encore trop peu avancé de la sci
doit-elle pas précéder la virilité? Notre orgueil pourrait nous faire
croire
que nous sommes arrivés à cette époque , il n’en
rs traitements ont échoué dans cette terrible maladie, le ciel, je le
crois
ainsi, m’inspira l’heureuse idée de magnétiser mo
!... » en s’efforçant d’y porter la main. Je ne suis pas éloigné de
croire
qu’il ne ressentît pas les crampes aux jambes. (L
e dissimule pas tout ce que ce traitement laisse à désirer; mais j’ai
cru
devoir vous l’envoyer , tout incomplet qu’il est,
endu ou de graisse de supplicié ; aucunes drogues, aucuns parfums. Je
crois
que ceux qui se servent de ces derniers moyens sa
se passe ; mon organisation me paraît quelque peu enchaînée, je puis
croire
être une pièce essentielle, indispensable même, u
x superbe un morceau de musique inconnu de tous : celui-là même qu’il
croyait
avoir entendu. Puis, s'arrêtant, il écoute de nou
ur ses épaules, il mange bien, marche assez bien pour sa position. Je
crois
mon enfant sauvé, après avoir été condamné à Pa
nature qui jusqu’à présent nous soient connues. 11 ne faudrait pas
croire
pour ça que l’étude des phénomènes électro-physio
électro-physiologiques serait tout-à-fait inutile au magnétiseur, je
crois
, au contraire, que rien ne pourrait mieux l’aider
pital : 011 le magnétisait depuis une heure environ; je dis que je le
croyais
susceptible d’êtt-c opéré, mais qu’il y en avait
n proportion exacte de ce qu’il paraissait en savoir davantage, il se
croyait
lui-même plus ignorant. Souvent il regrettait les
faitencorede miracles. Un membre de notrelnstitut, M. Littré, semble
croire
qu’ils né se renouvelleront plus : c’est une erre
après tout, le docteur n’avait rien produit de nouveau, attendu qu’il
croyait
que le mesmérisme était aussi vieux que le monde.
, il y en a dix qui le défigurent; le public confianL en leur savoir,
croit
à leurs dires erronés, à leurs fausses assertions
elles, y a ajouté un chapitre sur le magnétisme mesmérien. Cet auteur
croit
à l’action vitale de l’homme sur son semblable. I
mal sembla d’abord répandre quelque jour sur ce sujet énigmatique. On
crut
que le frottement d’un homme par un autre, l’appo
détaillé en soixante séances. Il est à votre disposition, si vous le
croyez
nécessaire. Si je ne vous l’envoie pas, c’est que
médecins ont vu leurs remèdes rester sans effet. Et qu’on n’aille pas
croire
que le magnétisme ne convient qu’aux affections n
fets à la réalité desquels vous n'ajoutez pas foi, mais auxquels vous
croirez
comme nous y avons cru nous-mêmes , après avoir d
vous n'ajoutez pas foi, mais auxquels vous croirez comme nous y avons
cru
nous-mêmes , après avoir douté comme vous ; de vo
’autorité locale craignant que ce mystère ne cachât quelques méfaits,
crut
devoir s’en occuper : le préfet, le procureur do
rtèrent à Bellecoinbe. Leurs investigations n’ayant ancun succès, ils
crurent
que l’isolement, que l’absenco de l’influence du
éclairé, qui serait même, au besoin, un défenseur zélé. Cependant il
croit
qu’il n’y a nulle parité entre nos œuvres et cell
l me reconnut. 11 ne souffrait, dit-il, nulle part, et ne voidait pas
croire
qu’on l’eût opéré; il fallut l'en convaincre. En
t d’ascite, soit d’hydrocèle, produire une violenté perturbation : je
crois
que ce fut cette secousse et non le scalpel qui t
né des soins. Le. météorisme et les inégalités du ventre avaient fait
croire
à l’existence de tumeurs, etc., etc. L’écoulement
fié. Mais comment diable le magnétisme a-t-il réduit cette hernie? Je
croyais
pourtant la chirurgie à l’abri des attaques de Me
lait-il? M. do Puységur répondit en deux mots au siècle de Voltaire :
Croyez
, veuillez ( i ).' « Or, telle était alors la fi
rs prestiges, avaient essayé de défendre le paganisme expirant. On se
crut
en possession de cette puissance qu’avait pointe
connaître son opinion sur les voyants qui, pendant l'état de veille,
croient
apercevoir dans un globe de verre un ange qui rép
d parmi toutes celles que j’ai recueillies ; mais elles suffiront, je
crois
, pour constater la durée de cette disposition d’e
issaient beaucoup à désirer, et pour l’esprit et pour ln forme. Je ne
croirais
pas devoir en transcrire un échantillon, si, depu
de magnétique échappe à tous « les sens ; c’est par erreur qu’on a pu
croire
que la vue , le tact pou-« vaient avertir de sa p
ngement les choses, et pourvu qu’il y eût production de mouvement, on
croyait
tout de suite avoir trouvé la démonstration reche
omb et un sérieux tels que les plus consciencieux étaient obligés d’y
croire
, et devenaient eux-mêmes des propagateurs de semb
a de même comme auparavant. » Mesmer n’était certainement pas homme à
croire
à des faits de telle nature, mais peut être qu’on
y eut pourtant encore des hommes, pleins de mérite et de savoir, qui
crurent
avoir trouvé des rapports entre le mesmérisme et
d on emploie » des galvanomètres sensibles, » néanmoins M. Pouillet
crut
devoir protester (i ), et protesta eu son nom con
cros, étudiés par M. Despretz, el attribués par ce gavant, à ce qu’il
croit
, £1 une cause inconnue, ne sont autre chose que l
nt pas précisément l’ouvrage des chercheurs du mesmérisme, nous avons
cru
bien faire d’en parler, et de nous arrê-réter plu
l’édifice humain , et qui étaient dues à l’agent magnéti-tique, nous
crûmes
, parleur analogie avec l’électricité et le galvan
es pratiques du magnétisme, des preuves suffisamment concluantes pour
croire
l’existence de cette puissance occulte. Son espri
ntion de la divinité? Les hommes les plus religieux du xixe siècle ne
croient
plus guère aux miracles. Alors il se verra forcé,
qu’elles ont le pouvoir de produire la santé ou la maladie. Celui qui
croit
dans la Providence est récompensé suivant l’étend
ance de ces deux infortunés, donna des larmes à leur fin tragique, et
crut
qu’ils mouraient innocents. 11 fut encore confirm
violente réaction du système nerveux ne sont pas rares. Si l’on en
croit
Hérodote, le fils du roi Crésus , muet de naissan
ibuer ma guérison; car, étant protestants, ils n’avaient pas envie de
croire
au miracle (2) ». N’a-t-on pas vu des malades o
nnables pour ressentir tous les effets d’un médicament actif qu’elles
croyaient
avoir avalé, lorsqu’en réalité elle6 n’avaient pr
reconnue depuis un temps immémorial. Enfin, dans certains cantons 011
croit
que le septième garçon ou la septième fille, et l
ns eu quelquefois l’occasion de nous en assurer, et tout nous porte à
croire
que ces pratiques se rapprochent dans la plupart
. (5) De l'incrédulité, p. 157. ou lorsque eux-mêmes cessèrent de
croire
à leur privilège. Cette propriété fut aussi att
evait les guérir. Ils se présentent devant lui. Vespasien, ne pouvant
croire
à ce pouvoir, refusa de les loucher; enfin, vainc
is fort peu salutaire. Les Egyptiens, les Hébreux , les Grecs môme,
croyaient
aux amulettes. Plutarque nous apprend que Périclè
toute humidité. Van llelmont (1) s’éleva contre ces prétentions, et
crut
reconnaître dans cette médication une influence m
ouvrit le chevalier Dygby qui obtint le plus de vogue. « On ne peut
croire
, dit Thouret (a), combien cette médecine singuliè
us ne connaissons pas encore l’esprit de l’article; mais tout porte à
croire
qu’il est favorable. Revue des Journaux. — Le T
’étaient point dépourvus de richesse et de sentiments élevés; mais on
croit
généralement que les vérités marchent seules; tan
que n’avaient point réalisé les hommes riches et titrés qui pourtant
croyaient
à ses principes. Après l'inauguration de la fêle
les. C’étaient des imbéciles, des mélancoliques, des hystériques, qui
croyaient
être possédés, parce qu’on les avait menacés; les
contre le vol et le meurtre. Les peuples voyant l’Église et le prince
croire
à la réalité de ces ex-travagancas, restaient inv
dont l’histoire fasse mention est celle des femmes argiennes, qui se
croyaient
changées en vaches, et qui furent guéries par le
ilés au somnambulisme, ou sommeil magnétiqne, sans qu’aucun d’eux ait
cru
pouvoir déclarer positivement que ces paroxysmes
tes sortes de personnes de faire à l’avenir l’office de ceux que l’on
croit
guérir les maladies par paroles et par bénédictio
qu’ils n’aient été auparavant examinés par l’évêque (5) ». Il faut
croire
aussi que plusieurs événements analogues à celui
l recourut en vain aux ressources de la médecine pour l’améliorer. 11
crut
enfin reconnaître dans son état une véritable pos
des cures de Gassner. Encore imbu des préjugés de son siècle , il ne
crut
pouvoir expliquer ces guérisons merveilleuses, qu
11 ne découvrit dans ses traitements aucun procédé qui pût lui faire
croire
qu'il se servait du magnétisme animal. « Mon expé
ffets, et c’est là la cause de la superstition. C’est ainsi que si je
crois
en une statue de saint Pierre comme j’aurais cru
st ainsi que si je crois en une statue de saint Pierre comme j’aurais
cru
en saint Pierre lui-même, j’obtiendrai les mêmes
ivre hérétique et dangereux. guérisons furent constatées, et firent
croire
aux miracles. Des malades se rendirent, el se fir
-Médard, a été observé aussi chez des somnambules (i). Ilecquet (•?.)
croit
trouver l’explication de cette résistance aux cau
, dans leur admiration pour les effets merveilleux du magnétisme, ont
cru
pouvoir rattacher à leur système tous les prodige
s vertus en guérissant les proches de scs ennemis. 11 ne faudrait pas
croire
que M. de llovère recherche le riche; que lui imp
persécuteurs; aussi me ferai-je un devoir de démontrer à ceux qui ne
croient
pas, que le magnétisme est réel et vrai, et que s
usée du Louvre, un tableau de Mola, représentant une scène qu’on peut
croire
magnétique, tant l’attitude des personnages est s
tement ce qui vous en fait dédaigner l’étude. Plaignez-nous donc de
croire
aux merveilles et aux principes de leur reproduct
la nature vieillie, l’homme près du tombeau. Mais, que dis-je? Il se
croit
jeune; il jette un regard assassin sur de jeunes
te ravis, jeune homme, me pèseraient comme un crime. Artistes , qui
croyez
imiter la nature en empruntant â la couleur vos r
je vais vous préparer à des récits de merveilles : vous aurez peine à
croire
; il faut pourtant vous en pénétrer, car je n’exa
que la nature a doué d’une foi vive et d’une âme ardente, se hâte de
croire
: le sage, doute. Nous nous rangerons modestement
es les médecins ont donné le nom de fièvres gastriques, et dont je me
crus
guéri. Cependant, soit que le principe du mal ne
Au mois de janvier i8/|5, toute cause de maladie ayant disparu, je me
croyais
radicalement guéri, lorsqu’à la fin du mois d’aoû
rtation fut longue et remplie des termes usuels de la médecine, où je
crois
vraiment qu’un laxicographe aurait perdu son lati
Il était évident qu’un des deux Esculapes était dans l’erreur; moi je
crois
, et il y a tout lieu de le penser, que tous deux,
oulagement dont je vous suis déjà redevable ( 1 ), et je vous prie de
croire
que ()) Pour la suite de ce traitement, voir ci
Société du mesmérisme de Paris. Jusqu’en ces dernières années, on
croyait
généralement que la mort de Mesmer élait arrivée
que sa peine redouble à chaque instant. L’être fait écoute peu : il
croit
tout savoir. Il n’emploie d’abord ses facultés qu
e cœur navré, en entendant sortir de la bouche de ces hommes , que je
croyais
philosophes, les paroles les plus choquantes, les
lté, croyant être poli, répondant à des affirmations de faits : Je le
crois
, puisque vous me le dites ; mais je verrais , que
: Je le crois, puisque vous me le dites ; mais je verrais , que je ne
croirais
pas. Puis, riant, gambadant, se moquant, ces homm
dis, en terminant cet article, ce que beaucoup de vous auront peine à
croire
, ce que nul homme étrangerau magnétisme nopourr
é avec un mélange d’une force incréée, que les anciens appelaient, je
crois
, esprit astral? Ne serait-elle qu'une lumière pur
est elle qui dira : Ceci est vrai, ceci est faux; voilà ce qu'il faut
croire
. Elle motivera son jugement, non sur des opinions
orces vives. — C’est une consultation de somnambule qu'on veut, ou ne
croit
pas à l'action du magnétisme; on se figure que le
règle; c’esl donc une erreur dont les suites sont très-graves, que de
croire
médecin tout somnambule qui s’annonce comme tel.
sent pas les malades qui les consultent à des accidents sérieux. Je
crois
donc, avec Deleuze, avec les médecins magnétistes
un habile magnétiseur. Poussés par l’instinct de conservation , ils
crurent
conjurer l’orage en recherchant l’alliance des pr
différents personnages; et surtout, sur les conséquences que M. Bush
croit
pouvoir en tirer. Mais, avant, nous suivrons l'au
dû servir de confirmation et d’appui à la vérité que la Providence a
cru
cohvenablc d’accorder à ceux qui la recherchent.
our soutenir sa thèse, G. Bush s’est réservé d’autres arguments qu’il
croit
bien victorieux. C’est une monnaie dont le savant
ovateur, comme un enfant, se trompe; il cherche d’abord un abri qu’il
croit
protecteur; il demande aux rois de la science de
Nous nous laissons aller à une illusion lorsque, apercevant ceux qui
croient
au magnétisme répandus en tous lieux, bous croyon
percevant ceux qui croient au magnétisme répandus en tous lieux, bous
croyons
toucher au motnent du triomphe. Cette petite armé
trangers aux fails qui conduisirent tant de malheureux au bûcher, ils
croient
, dans leur simplicité d’enfant, que les hommes d’
l’académie, vous virez en société d’encouragement. C’est bien; mais,
croyez
-moi, les magnétiseurs n’ont pas besoin d’être enc
r ne point; passer pour des esprits faibles, et se voir soupçonnés de
croire
qu’il existe un monde intellectüêl qtiî n’est que
cé formellement en faveur du magnétisme, disant que, non seulement il
croyait
au magnétisme et au somnambulisme, mais qu’il pro
veau saint Thomas, à l’endroit du mesmérisme, veuille nous obliger de
croire
aveuglément aux prétendues révélations de Swedenb
férule. Lorsqu’il est question du mesmérisme, il n’oblige personne à
croire
; il dit seulement: cherchez, pratiquez, instruise
ge que, comme lui-même, on ferme les yeux de l’intelligence, et qu’on
croie
avec humilité. Eh bien! il y a ici pour les pen
lle, qui lui montra qu’il était dans un autre lieu ; un lieu où il ne
croyait
pas être. Or, si, pendant sa vision, il ignorait
rêté ; d’une détermination de voiler aux autres la lumière, lorsqu’on
croit
en être le foyer? Et l’idée ambitieuse d’impose
-t-elle pas fait rêver un nouveau Sinaï?... Nous regrettons de nous
croire
obligé de penser que ces formes nébuleuses résult
Elle révéla aussitôt l’objet de mes pensées. J’en fus bien étonné, et
croyais
que des choses aussi cachées ne pouvaient être co
osède au plus haut degré de perfection possible (car on ne saurait,je
crois
, aller plus loin: au-delà ce serait peut être la
ocrite allant au chevet du malade, lui parlant d’un Dieu auquel il ne
croit
point. Que ferait-il en imposant les mains? 11 aj
lons indiquer. Magnétiseurs qui ne savez faire que des livres, vous
croyez
agir beaucoup sur les esprits : bêlas! détrompez
rande majorité y puisa la croyance au magnétisme, et ce succès, qu’on
croyait
impossible à obtenir, est venu prouver qu’on étai
l’ancienne. Cependant elle s’en dit l’hérilière; mais nul ne le p‘iit
croire
, a moins qu’elle n’ait, comme certains grands hom
eille l'opinion que j’ai toujours eue du magnétisme. Je n’ai jamais
cru
qu’il fut possible de montrer un seul fait conclu
it plus justifier le dcdain stupide avec lequel les corps savants ont
cru
devoir accueillir les éternelles vérités mises en
her docteur, qu'en reviendrait l’idée! Allons donc, je ne pourrais le
croire
. Vous avez écrit voire petit projet de loi sans y
horreurs toutefois, était sur le point d’y éclater, parce que les uns
croyaient
et que les autres niaient, je voulus m’assurer pa
re d’admiration agitait l'assemblée, un incrédule s’est écrié: « On a
cru
remarquer que M. Laurent, trop rapproché delà som
spasme. Je me hâtai de la réveiller, bornant là mon premier essai. Je
crois
que cette jeune personne est aussi éminemment mag
doucis par des pratiques simples et toutes magnétiques. M. Laforgue
croit
que la prière est nécessaire pour obtenir des gué
si fortes, si violentes, que son mari, qui lui tenait le bras droit,
crut
qu’elle allait expirer. Il me demanda au nom de D
vangile selon saint Jean, chap. XIV, v. 12, 13, 11, il est dit: « Qui
croira
en moi fera ce que « je fais, et fera bien au del
e voisine qu'il reprend ses sens et oublie les dangers auxquels il se
croyait
exposé un instant auparavant. Une sueur froide l’
Les résultats obtenus par M. Malgaigne sont identiques. Si nous en
croyons
le souvenir des hommes, si nous nous en rapporton
et agréables pensées d'une extase, comme il y a beaucoup de sujets de
croire
qu’elle fut. Dans cet état donc qui le rendoit in
dangers. Ce résultat désastreux motiva le rejet de ces moyens, et fil
croire
qu’il n'était pas indifférent pour la conservatio
contenterons de lui retourner l’épitbète qu’il nous adresse, et nous
croyons
que cela sera beaucoup plus mérité. C est avec
de cette manière, et le Koran ne s’y opposant pas, le gouvernement a
cru
devoir, dans l’intérét de la population, accorder
lus que la plupart des étrangers que la curiosité attire auprès d’eux
croient
ordinairement faire preuve de leur grande supério
ier à la mosquée voisine. « Les musulmans ne sont pas les seuls qui
croient
à l’efficacité des moyens de guérison employés pa
la médecine en contiennent de nombreux exemples. Pour ma part, je me
crois
suffisamment autorisé à rapporter le fait suivant
s, et les coups qu’il porte s’adressent à ceux qui le torturent. Vous
croyez
pouvoir impunément introduire durant vingt ou tre
si véritablement deux principes opposés nous gouvernent, comme l'ont
cru
les anciens philosophes : l’un qui, principe du b
ce qu’il est devenu, où son corps a été entraîné. Il assure qu’il ne
croyait
point d’abord à une influence de cette sorte, et
n un premier pas a lieu vers la ligne blan- clie. Toute l’assemblée
croit
qu’il va s’y diriger de plus eu plus, mais il n’e
espoir s'empare de lui, que de grosses larmes coulent de scs yeux. On
croit
qu’un mauvais génie le pousse. Erreur! Par un eff
aucune conséquence rigoureuse des faits qui viennent de se passer. 11
croit
qu’en cette circonstance la matière, obéissant pl
ciables pour lui-même et « pour d’autres personnes en bonne santé. Il
croit
pou-« voir arriver, de cette manière, à une conna
tête tranchée par les Arabes. » — Nous devons déclarer que nous ne
croyons
que la moitié de ce récit. Toute la partie dram
us traduira à son tribunal pour y rendre compte de vos meurtres. Nous
croyons
qu’elle ne vous infligera pas une légère amende,
festation de ce genre faite à Paris envers notre maître. — Ceux qui
croiraient
que nous faisons à la vieille médecine une guerre
ommes de l’art; on les punira sévèrement. Le peuple a la sottise de
croire
à la vertu de certaines plantes peu coûteuses que
mportance que si elle flatte leur orgueil. Le savant orgueilleux, qui
croit
embrasser d’un coup d'œil tous les phénomènes de
ommes ont dit à d’autres hommes : ce monde est votre proie; ils ont
cru
ces paroles, et ont resserré les liens qui nous e
'étrc plus faible que vous: la femme, voire compagne, qni a besoin de
croire
et d’aimer, et dont on a perverti l’intelligence
achorète; » Vous pourriez dire que des milliers ont été guéris; et je
crois
même que, de tontes les maladies connues, il y en
se. Il était adjoint à un sous-inspecteur aux revues ; aujourd’hui je
crois
qu’il est à Audi, rédacteur et imprimeur du journ
pe magnétique déposé sur le parcours des trois lignes circulaires. Il
croit
que ce fluide va être senti, et déterminera par c
’ici ce ne sont que des jennes gens sur qui on a expérimenté; on peut
croire
que leur système nerveux est plus influençable. V
les propriétés dont peut être revêtu l'agent magnétique pourraient
croire
que l'imagination des expérimentés a été ici la p
m-preinte de notre volonté. On levoitdonc clairement ici: ce que nous
croyons
, dans notre peu de connaissance, être inexplicabl
t qu’elle fait devrait imposer silence à ses antagonistes-nés. Qui le
croirait
pourtant? ils osent encore nier les faits si pate
s médecins sont instruits; quant à leur innocence, personne ne veut y
croire
. Toute cette cohorte saignante se félicite, se co
te se félicite, se congratule de l’inerédulité qu’elle affecte ; elle
croit
que son opinion prévaut au dehors, et que, quand
où elle eût beaucoup mieux fait d’upporter quelques « bons flacons du
cru
. Cette Mouche ne manque ni de ta- • lent, ni d'
s h nu certain Jean Raymond de ne pas ajouter foi % à ce qu’elle peut
croire
, elle, en qualité de mouche, et « elle me fait
laissé duper par de faux somnambules. Dans le premier cas, vous devez
croire
, parce que la vérité, qui est la vérité pour plus
i, comme saint Thomas, si, comme moi, vous eussiez vu et louché, vous
croiriez
. » Permettez-moi un conseil. Avant deux ans la
tendez! Dites : Je me rendrai à l’évidence; mais ne dites pas : Je ne
crois
pas, parce qne j’ai vu; car, en vérité, je vous l
lleurs nous ne lutterons pas contre notre conscience, puisque nous ne
croyons
pas; et aussitôt dit, aussitôt fait. Les fondateu
xprimant la frayeur et les angoisses dont elle était remplie; j’ai pu
croire
un instant qu’il y avait folie. « Enfin un somn
magnétisée la vertu des plantes qu’elle m’indiquait, en sorte qu’elle
croyait
boire, fendant son état de veille, une véritable
à une femme (Catherine Quéron), qui, pour avoir gardé des malades, se
croyait
capable de traiter des maladies. «On assure même,
ENCES MAGNÉTIQUES. Dans ses dernières expériences M. du Potet ayant
cru
découvrir une nouvelle loi magnétique, attendait
lle, et Rose Chéri reçoit les applaudissements qu’elle mérite. Vous
croyez
peut-être, lecteurs, que ce succès éclairera les
Ce fait, contraire aux données physiologiques régnantes, ne fut point
cru
, surtout à cause de son origine magnétique. Mais
tez et vous jugerez. Et d’abord, la Genèse en main, voici ce que je
crois
démêler de l’œuvre des six jours : Le front de
and 011 n’admet de création que les idées qu’on a émises, quand on ne
croit
pas à Dieu, comment rapporter au principe les oeu
ent, une crise de fureur se manifeslaii chez elles, et c’était iî les
croire
d’enfer venues. Selon les commères, c’était un so
tout comprendre avec voire clairvoyante et admirable sagesse ; et qui
croyez
avoir tout dit quand vous vous êtes écrié : c'est
et de ce que le magnétisme ne guérit pas tous les agonisants, il l’a
cru
impuissant à enrayer les maladies inflammatoires.
éprise la réserve; il ne doute de rien, nul obstacle ne le rebute; il
croit
que tout être est magnétisable par lui et toute m
ur m’atteindre, et ne restait tranquille que quand il me touchait. Je
crus
d’abord que la crainte que je m’éloignasse était
es à notre travail, nous dirons ici clairement, sans ambiguïté : Nous
croyons
à la magie. Et, pour appuyer notre croyance et la
esseins. Nous manquerions de courage si nous ne publiions ce que nous
croyons
vrai, par crainte des opinions contraires; car no
mme ayant quelque valeur. Mais peu m’importe ! je dois dire ce que je
crois
possible de réaliser avec la puissance découverte
ujet, l’opérateur cherche des yeux dans l’assemblée la persanne qu’il
croit
apte à sentir l’influence occulte du miroir et à
us rendrons compte successivement de toutes nos expériences. Qu’on ne
croie
point cependant que nous abandonnions l’étude des
t de là difficulté de marcher. Des douleurs dans le bas-ventre firent
croire
à une affection de cet organe, et les saignées fu
raissait à vue d’œil. Une crainte cependant affectait la malade: elle
croyait
avoir avalé beaucoup de pus et être ainsi empoiso
avant que la pensée et la réflexion aient pu s’exercer. Si nous en
croyons
les historiens, et nous avons toute raison de les
Si nous en croyons les historiens, et nous avons toute raison de les
croire
, des exemples sans nombre de sympathie comme d’an
nt fécondes en résultats : ce que nous en connaissons nous porte à le
croire
. Est-il possible de prévoir où ira cette scienc
tant pas les révélations outrecuidantes de certains cerveaux malades,
croient
cependant à quelque chose de supérieur et de divi
rise. « Qu’a-t-ellc d’extraordinaire? demandai-je. * _ Vous ne me
croirez
pas, me répondit-elle, si je ■ vous le dis. » »
. M’adressant a «ceux qui m’entouraient, je leur dis : « S’il fallait
croire
« aux prédictions de ces Bohémiens, tous les homm
el des temps modernes, s'occupait aussi des détails d’iutérieur. on a
cru
pendant longtemps qu’il était superstitieux. On
t tiers de lune, est remis à « la sienne vieil roi de la cape, et lui
cru
mort par ses « peuples soldais qui, dans ce temps
iction ; il en parla au colonel Abd.... « Je n’ai jamais voulu rien
croire
, lui dit-il ; mais je ■i conviens ici de lionne f
nulle part, et que nous seuls avons été à même de la connaître, nous
croyons
faire plaisir à nos lecteurs en la leur donnant e
que Bonaparte les ait admises, c’est ce qu’il nous est impossible de
croire
; car, encore une fois, il n’était ni fataliste ni
s, et dont les convictions sont aussi pures que sincères. Je sais, je
crois
que, dans certains cas pathologiques, il est poss
credatis, quam nature opéra, uti ars ministra et sedula famulatur. Ne
croyez
pas la magie Être autre chose que l’œuvre de la n
tire, tremble de froid, verse des sueurs : magnétisme animal. Et ne
croyez
pas qu’ainsi je m’éloigne de l’unité ; non, je ne
rique. Quelle en est la source principale? N’est-ce pas le soleil? Où
croyez
-vous que l'homme absorbe plus de sucs, où la terr
u’il émane de différents corps. C’est plaisir de marcher ainsi: on se
croirait
dans un vaste cirque où chacun peut voir la scène
s’en seraient trouvées les témoins. Des faits analogues permettent de
croire
que le contact de ces lieux, de ces personnes, de
M. Gault; car j’ai la faiblesse de m’intéresser au magnétisme sans y
croire
, mais il m'intrigue. « — Un médecin magnétiseur
gue. « — Un médecin magnétiseur, car il y a des gens parmi nous qui
croient
au magnétisme, reprit le docteur Lebrun, m’a prop
agnétisme, et il a vu se révéler devant lui un phénomène auquel il ne
croyait
pas. Honneur à lui! Mais honneur aussi au dévou
de nous n’ira vous troubler, vous demander d’ouvrir vos portes. Vous
croyiez
faire du mal au magnétisme et déconsidérer ceux q
barrière, ôté vous-mêmes l’entrave qui l’empêchait de monter. Vous ne
croyiez
pas si bien faire, n’est-ce pas? Votre tapage, vo
dans leur route les générations du vieil fige. Ce fut la France qu’il
crut
digne de recevoir le dé| ôt de ces connaissances.
ici, Messieurs, me livrera des critiques et combattre tout ce que je
crois
faux ou mensonger ; mais il m'est permis de vous
rdifs, tentative insensée, Vous n’aboutirez qu’au néant, Vous qui
croyez
qu’on met des fers à la j>enséc Commç une digu
t un jour suivis de travaux plus sérieux; c’est donc une vie que nous
croyons
consacrée tout à la science. Mesmer était parmi
tiques, qui même a produit l’insensibilité, et que par cela seul nous
croyions
h jamais converti, vient aujourd'hui chanter les
sache réellement bon reste dans l’oubli. Est-ce mauvaise foi? Je ne
crois
point: M. Trousseau n’est pas de l’Académie. Es
l’application ou l’absorption de diverses substances auxquelles on ?
cru
reconnaître la qualité de remèdes (1). La magné
mployés en faveur de l’humanité. Avant de terminer cette lettre, je
crois
devoir vous faire part d’une surprenante guérison
s insensés partout; mais la terre s’en débarrasse petit à petit. Nous
croyions
que la race de ces monstres humains qui ensanglan
magnétisme contre les brûlures. J’en ai fait souvent l’épreuve, et je
crois
qu’il est convenable de donner à ces faits le plu
men est toujours relatif à l'avancement de la grossesse, et tout fait
croire
que, le rapport établi à terme, la somnambule épr
t, rapproché des phénomènes sensitifs propres à quelques plantes, fit
croire
à l’identité du principe vital chez tous les être
e le sulfuriquc. » Tribunaux. — Six mois de silence pouvaient faire
croire
que le ministère public avait abandonné les pours
otre expérience, nous indiquons à notre ami malade le remède que nous
croyons
devoir lui être salutaire? « Quelle est la diff
pables de fuir rien qu’à son approche.... Dans notre simplicité, nous
croyions
ces choses plus difficiles ; mais nous n’étions q
le camphre dissous dans l’éther apaise les névralgies temporales. Je
crois
plutôt que c’est l’étlicr, par la soustraction de
il pousse des vociférations et tombe dans une syncope telle qu’on le
crut
mort. Cependant l’opération s’acheva sans autres
cicns qui sont partisans de l'homceopathie. (Réclamations.) « Je ne
crois
pas que ce que je dis là soit sans intérêt. Je cr
ions.) « Je ne crois pas que ce que je dis là soit sans intérêt. Je
crois
qu’il y a beaucoup de personnes qui ont le tort d
intérêt. Je crois qu’il y a beaucoup de personnes qui ont le tort de
croire
à l’iioniœopatliic, et de croire qu’elle guérit s
coup de personnes qui ont le tort de croire à l’iioniœopatliic, et de
croire
qu’elle guérit souvent. Je demanderai si jamais l
nous dire si, dans son opinion, 011 devra continuer h faire comme je
crois
qu’on est oblige de le faire aujourd'hui, c’est-à
lesquels j’en citerai un qui fera rire; mais cela m’est égal ; .je
crois
rendre un service : je veux parler de l’emploi du
à son inique jugement. Nous marchons donc très-rapidement, et nous
croyons
qu’à la Chambre des Députés d’autres hommes avanc
autre qui est produit par la magnétisation, c’est l’artificiel. Je
crois
aussi à celui-ci, j’y crois autant qu’à Dieu ; ma
a magnétisation, c’est l’artificiel. Je crois aussi à celui-ci, j’y
crois
autant qu’à Dieu ; mais je ne crois pas aux somna
l. Je crois aussi à celui-ci, j’y crois autant qu’à Dieu ; mais je ne
crois
pas aux somnambules... « Je m’explique. « Un
l diminué?» Ce dernier répondit : « Oui, je le vois, et je ne le peux
croire
. » Ce qu’entendant, M. Laforgue lui ordonna de dé
e que, loin de partager l’opinion des savants et des philosophes, ils
croyaient
à l’existence du magnétisme, quoiqu’ils le consid
ni d’un coté ni de l'autre, homme à conviction comme je le suis, j’ai
cru
que le meilleur parti à prendre dans de pareilles
à qui m’adresserais-je lorsque les hommes dans leurs disputes, tous,
croient
avoir raison? lorsque, par un effet d’amour-propr
dit à des questions métaphysiques faites sur ma dictée. Mais qui le
croirait
? Extrêmement difficile pour me prononcer sur un p
abscondi-disti hœc à sapientibus et revelasti ea parvulis. Si vous
croyez
, monsieur le président, que cette franche manifes
permet au docteur l’emploi, sans contrôle, de tel ou tel moyen qu’il
croit
le plus propre, n’est plus qu’une fiction. Il y a
ifique fontaine abreuve largement tous les habitants de la ferme, qui
croient
de tout leur cœur que le prêtre étranger est un s
bats révéleront quelques autres détails fort piquants, que uous avons
cru
devoir taire ici, mais dont un de nos plus spirit
rs moyens, nous aurions recours au magnétisme animal, dont nous osons
croire
qu’on obtiendrait de bous résultats. Nous disons
u savant Jobard, dont voici la morale : Mes ainis, vous pouvez m’en
croire
, Ce conte-ci n’est que l’histoire De tous les i
pas beaucoup au delà des lois physiques de l’organisation humaine. Je
croyais
alors que toute la médecine était dans la pharmac
e dites cl imprimées depuis quelque temps sur le magnétisme, que j'ai
cru
devoir ajourner la publication d'un livre que j'a
servir de mon bras et m’a rendu le libre usage de la parole. J’ose
croire
, qu’en continuant de recevoir ses séances, j’obti
sur tout : 1° en assignant un lieu de naissance autre que celui qu’on
croyait
; 2° en fixant la date de la mort au 5 au lieu du
Cherbourg, qu’il fait suivre de ces justes réflexions : «Nous avons
cru
utile de rapporter ces faits, non-seulement parce
veur du magnétisme animal insérés dans notre recueil. » M. Lebouclier
croit
que nous sommes à une époque où toutes les scienc
ntipathie insurmontable qui existe de la médecine au magnétisme; nous
croyons
que le Créateur, en donnant aux hommes un moyen u
rier d’aller voir la malade et faire un essai du magnétisme, si je le
croyais
bon. Le docteur R*** ne me fit pas connaître la v
e la véritable situation des choses. « Le doc-« teur G*’*, me dit-il,
croit
à une affection fie la moelle « épinière; mais mo
ît cc n’a été que longtemps après que j’ai su dans quelle position on
croyait
la malade lorsqu’on vint inc chercher. On faisa
au magnétisme parce que l’état de la malade était désespéré, qu'on la
croyait
perdue. C’est ce que conseillent, en cll’et, quel
ade.... Si la vie n’était pas absolument en danger, comme j’aime k le
croire
, malgré le pronostic des médecins-consullants, du
t quand une fois nous nous sommes mis à diviniser un homme, nous le
croyons
sans examen; l'amour-propre étant, à couvert, la
à ce raisonnement que la divination doit naissance. Il ne faut pas
croire
que les superstitions anciennes aient été général
qu’une volonté arbitraire des dieux écrite sur le foie des victimes,
crurent
que ces mêmes victimes pouvaient aussi prédire le
sages. La plupart des philosophes grecs, et Aristote le premier, ont
cru
à l’art de prédire l’avenir par l’interprétation
tombeaux des saints pour les voir en songe et obtenir des visions; on
croyait
tellement aux révélations des songes, que dans le
e témoin devant le tribunal de police ; le magistrat me demanda si je
croyais
possible un enlèvement pareil ; je répondis que o
si, à l’égard de l'eau, il dit: « Comme il y a de bonnes raisons de
croire
que l’ha-lcine est imprégnée de fluide vital, je
ence matérielle appréciable. « Tous lesdits commissaires, médecins,
croient
aussi que l’arrière-traitement des personnes ains
s a paru corroborer l’assertion du docteur Esdaile. « La commission
croit
encore qu’un obstacle sérieux à l’application gén
’autres considérations, non moins sérieuses, auxquelles la commission
crut
de son devoir de faire attention. Admettant l'exi
né à un état d’impressionabilité morbide. Les cffmmissaires-méde-cins
croient
que ce point mérite une sérieuse attention. Si ce
es données positives sur cette importante question. « La commission
croit
devoir respectueusement exposer au gouvernement q
scrupuleusement possible les faits qui lui seraient présentés, elle a
cru
nécessaire de s’assembler chaque matin de sept he
ment désire que la commission pousse ses investigations jusqu’où elle
croira
devoir le faire. «En résumé, la commission est
peut-être pas sans un certain intérêt de circonstance. N’allez pas
croire
, par ces derniers npots, qu’il soit question du p
e vingtaine de lettres anonymes, dont les unes me disent que si je ne
crois
à ce que j’écris, je suis un charlatan; et les au
ois à ce que j’écris, je suis un charlatan; et les autres, que si j’y
crois
je suis un imbécile. Or, il faut que j’avoue un
à Monte-Cristo avec son somnambule Alexis. C’est jeudi dernier,'je
crois
, que l’invitation avait été faite. Depuis jeudi u
e vint l’idée de lui parler du pauvre malade, et je lui demandai s’il
croyait
pouvoir distinguer à distance. Il me répondit qu’
quç. vous voyez., i t— Un ho,mme déjà vieux ; non, je me trompe^ j’ai
cru
qu’il était vieux parce qu'il est noir, pas nègre
plus que de l’eau. I,e malade est atlciut d’une fièvre typhoïde. —
Croyez
-vous que le médecin somnambule, M. Victor Dumels,
ose pour lui? — Beaucoup plus que moi ; je ne suis pas médecin. —
Croyez
-vous qu’il ne soit pas trop tard de l’aller cherc
lire ce: que madame vient d’écrire ? lui demandai-je. — Oui, je lé
crois
, r — Savez-vous ouest le papier sur lequel elle
î -r—Très-bien. — Pourrez vous voir à travers la boîte? — Je le
crois
. » J’allai dans ma chambre, seul. J’enfermai un
nt j’avais été l’acteur, ou plutôt la machine vivante. C'est là, je
crois
, une remarque intéressante; car, lorsque nous dor
nerveuses qui m’elTrayaient à si juste, raison, et j’ai tout lieu de
croire
qu’elles ont à jamais disparu. Comment, monsieu
sme sc répande de lui-même dans le public et parmi les gens de l’art,
croit
qu actuellement un encouragement plus direct de l
ns a fait une telle impression sur 1 esprit de Sa Seigneurie, qu’elle
croit
nécessaire que le gouvernement prête à l’officier
alement l’attitude ultérieure de l’administration, et les pas qu’elle
croira
opportun de faire dans cette voie. J’ai l’honne
l est forcé de nier uniquement par des paroles. Sous ce rapport, je
crois
que nous sommes déjà dans la voie, le gouvernemen
x qui existe encore par rapport au magnétisme consiste en ce que l’on
croit
à l’intervention du dérnon dans la détermination
rls je puis y parvenir, tout en rendant grâce au Tout-Puissant, je me
croirai
richement récompensé par la seule pensée du bien
nce et la nature du démon, rien dans ce livre saint ne nous force à
croire
que l’homme peut avoir le démon a scs ordres pour
ence sur la On dernière de la pythonisse d’Endore, ce qui nous ferait
croire
que la devineresse n’était pas aussi abominable a
femme fut saisie en apercevant le prophète est assez pour nous faire
croire
que Samuel ne lui apparut pas en vertu de l’évoca
l vocem suamde terrd in prophétie delere tmpietatem gentis. Peut-on
croire
que l’Esprit saint aurait loué Samuel dans son ap
i d’autres, très-orthodoxes, qui nous disent qu’on n’est pas forcé de
croire
à l’intervention du démon dans les prodiges par l
procédés naturels sans le secours de Salan. Donc rien ne nous force à
croire
que les enchantements de Simonie magicien sont l’
vec cela que Simon n’avait aucune alliance avec le démon? J'aime à le
croire
. Les hommes n'abandonnent pas tout à coup un ordr
t fait les apôtres, ce qu’acommandé Jésus par ces paroles : «Ceux qui
croiront
en moi poseront les mains sur les malades, et les
es, et les malades seront guéris. » Qu’a fait de plus M. Laforgue? Il
croit
qu’en lui existe une vertu que sa pensée porte su
it qu’en lui existe une vertu que sa pensée porte sur les malades; il
croit
que l’intermédiaire de la religion est nécessaire
rivale dans ce nouveau dno. Jenny chanta « divinement en suédois, je
crois
, un air lent, comme « un hymne dont toutes les no
une dame qui était si sceptique à cet égard, « qu’elle ne voulut pas
croire
jusqu’à ce qu’elle eût vu «que deux voix étaient
-il, quand il prend la position voùlée où le tenait sa maladie; et il
croit
qu’il a été l’objet d’une cure remarquable autant
« line telle ignorance en vous vraiment m’attriste 1 « C'est un fait,
croyez
-le, le magnétisme existe. « lii ntùl des fai s
nana. (Suite.) Mais si, d’après l’Ecriture, rien ne nous oblige à
croire
que l’homme ait le démon à ses ordres, les livres
avons fait voir que, d'après les livres saints, on n'est pas forcé de
croire
que l'homme ait pouvoir sur le démon pour le fair
es. Et, puisqu’il en est ainsi, de quel droit prétend-on nous faire
croire
que Satan, obtempérant à la voix des magnétiseurs
agnétiques surpassent tellement l’imagination, qu’on est forcé de les
croire
surnaturels et diaboliques. Voici ma réponse :
à deux ou trois journaux industriels pour en savoir aussi long et en
croire
aussi peu que Voltaire et Diderot ; et puis, j'ai
dictionnaire auquel n’est pa» attaché le nom de Charles Nodier. Je ne
crois
point un fait parce qu’il est vraisemblable; je n
ent tout le contraire. Mais si nous n’avons qu’à nous prosterner et à
croire
, ne perdons pas de vue que les incrédules sont de
les ou de chaque individu !... Combien de fois se dit-on : Qui aurait
cru
cela? quel fléau sans nom ! quelle injustice du s
que d’être vrai. Je ne vous demande qu’une grâce, lecteur : c’est de
croire
que, si j'inventais, j'inventerais mieux, quelque
quatre personnes : mystérieuse faculté ou maladie, qu’on appelle, je
crois
la Loco......le nom m’échappe. « Quelques mois
ir de mes nouvelles. — La lettre était mol pour mot celle que j’avais
cru
lire et que j’avais redite de mémoire à mes amis.
rive dans les rues de me dire : Ah ! voilà monsieur un tel-, je ne le
croyais
pas ici. J’approche, je me trompais; mais je le r
e. » Et il m’embrassa et je lui montrai son nom sur mon papier, et il
crut
peut-être que je m’occupais de lui. Depuis dix an
ant que vous voudrez, j’étais comme vous incrédule, mais à présent je
crois
, et, qui plus est je crains. Je m’empressai de le
Je ne pusob-tenir que des paroles sans suite à travers lesquelles je
crus
comprendre qu’il prétendait avoir été magnétisé p
isme, ne prouve-t-elle pïts que le souverain ponlife est bien loin de
croire
le magnétisme l’ouvrage du démon? Mais passons ma
phénomènes magnétiques dans une séance, alors il sera en droit d’être
cru
sur l'intervention personnelle du démon dans le m
prendre pour réaliser nos désirs. Tel est le mince travail que j’ai
cru
devoir faire pour combattre certains préjugés qui
des artères. Son pouls étant très-faible par suite du sang perdu, je
crus
utile de lui administrer un cordial el de l’éveil
e et sera relatée le mois prochain. — Des faits qui précèdent je me
crois
autorisé à dire : qu’il a été démontré que les ma
r les hommes à son sentiment. Qu’ils sont à plaindre les hommes qui
croient
qu’en nous tout est mortel ; qu’ils sont ignorant
i les courants qui la parcourent? Non; et tu voudrais qu’on ne puisse
croire
aux esprits, comme s'il était possibe qu’ils fuss
que nous avons vu; mais enfin nous avons vu et nous sommes forcés de
croire
; car rien n’est plus évident qu’un fait. Ce jeu
e par un individu sur un autre. M. Laporte ne voulut pas nous laisser
croire
que celte puissance était un privilège pour lui.
iculièrement. Elle se défend d’être l’organe de la superstition. Nous
croyons
pourtant qu’on ne peut qualifier autrement sa per
tat de veille, elle ne voulait pas entendre parler .l’opération (elle
croyait
que c’était le résultat d’un emplâtre fondant pen
teurs en apercevant le résultat. Je dis ces choses pour que l’on ne
croie
point à des dispositions de mon esprit ou de mon
it le doute des sceptiques? Je ne suis point facile à émouvoir, je ne
crois
point sans preuves, et dans aucune de mes expérie
rudence! arrière Alexis! et vous tous dormeurs et dormeuses, qui vous
croyez
lucides et captivez l’attention publique el l’adm
sions de pensées sont incertaines et échappent au moment même où vous
croyez
les tenir. Sur dix expériences, deux à peine sont
-ségurien n’avait obtenu; nous portions même notre suffisance jusqu’à
croire
que personne ne possédait mieux que nous l’art d’
t gravement s’asseoir dans un fauteuil placé sur la scène, nous avons
cru
voir une pythonisse venant rendre ses oracles.
des plusieurs d’entre les prodiges attribués au magnétisme animal, il
croit
devoir prendre un juste milieu dans l'exposé de s
, sans le loucher, et du simple regard môme pour l’endormir. D’aucuns
croient
môme possible de magnétiser par la simple volonlé
une disposition particulière chez l’individu, on sera plutôt enclin à
croire
que le somnambulisme magnétique esl l’effet d une
t ensuite spontanément. De sorte que, sans nier le fait, nous pouvons
croire
que le somnambulisme provoqué, dit-on, par le sim
ces, démontré. » Maisensuile, nous ne pourrons pas aussi facilement
croire
qu’une personne, dans l’état magnétique, ait la f
q ans, en France, on écrivait sur le même ton, el les savants d’alors
croyaient
être très-éclairés. Le magnétisme est tout autre
sez-le sur telle ou telle personne queje vous désignerai, et alors je
croirai
.» Et souvent le magnétiseur essaye en vain sa pui
rovoquèrent en répétant celle célèbre parole : « Si je ne vois, je ne
croirai
point. » Guérissez M°" W. et alors nous croirons.
Si je ne vois, je ne croirai point. » Guérissez M°" W. et alors nous
croirons
. M"10 W. avait un magasin bien connu des jeunes g
et de mauvaise foi, de propagateurs d’une doctrine à laquelle ils ne
croient
pas? Ah! cessons de montrer une telle inconséqu
Ceux qui ne savent pas assez doivent chercher el s’éclairer, ceux qui
croient
doivent étendre constamment leurs propres connais
ui espéraient y Irouver quelque vérilé utile à l’humanité. Qu’on ne
croie
pas cependant que je veuille interdire loule es
-il res-ler auprès de lui dix ou douze heures. Mais je m’arrête, je
crois
en avoir assez dit pour encourager ceux qui parla
et surtout du galvanisme, car c’est en partant de ce dernier que nous
croyons
pouvoir démontrer que le magnétisme vital n’offre
age à des faits que tant de gens nient faute de les connaître. Nous
croyons
donc, parce que nous nous en sommes assuré à sati
ra pas cette branche de Vanthropologie en perpétuelle jachère. Nous
croyons
avoir exposé rapidement, mais assez clairement po
e cet ensemble complexe de faits qu’on appelle magnétisme ; mais nous
croyons
trop à son amour de la vérité pour penser que, qu
connaissance, il ne cherchera pas à les expliquer. Tout en disant je
crois
, sa plume a trop de puissance pour qu’on dédaigne
exisle dans ce monde : il s’ogil de s’y initier. Dans ces recherches,
croyez
-le bien, magnétiseurs, je ne suis animé que d’une
our loi sans portée, lu ne sentiras aucune vibration dans les chairs;
crois
-le, ce serait pour loi un malheur si lu apercevai
gner l’emploi. — Le Corsaire du 27 novembre dit qu’on peut sûrement
croire
à l’insensibilité puisque le Constitululionnel l’
mble et faire quatre frictions. Elle me défendit de manger des fruits
crus
el des légumes, et m’ordonna les viandes saignant
nait la recherche du lieu où elle se débitait. Mais le 4 mars elle la
crut
nécessaire, et après avoir cherché plusieurs minu
naisons serait-elle rompue dans la créature la plus parfaite? Peut-on
croire
qu’il y ail une lacune dans l’admirable synthèse
r des impulsions dont ils ne paraissent pas avoir la conscience. Je
crois
qu’il est facile de démontrer que l'organe et la
r Dupuytren, M** Clotilde Saint-Marc, qui est morte maintenant, queje
crois
au somnambulisme. Je ne dis à personne de venir m
èglements relatifs à l’exercice de la médecine. La prévenue : Je ne
croyais
rien faire de contraire aux lois : j’agis de très
n faire de contraire aux lois : j’agis de très-bonne foi, et si je ne
croyais
pas à l’efficacité du somnambulisme je ne ferais
m’ont conduit à soupçonner l’existence de ce qu’on me présente, j’en
crois
alors à mon propre jugemenl, je médis, il y a là
it dévorer, le lui laissa sans lui faire le moindre mal ; on pourrait
croire
que les mouvements de la pensée de la femme s’éla
ur la mort de Mendelsbon. 348 Antimagnètisme (l')- M. le Dr Ordinaire
croit
que la double vue de Mme Hermann, Robert Houdin,
ière à vous salisfaire. Si le dévouement passé peut garantir le futur,
croyez
, Messieurs, que je répondrai à l’attente de votre
e leur chute précipitée devint l’objet de nos préoccupations, et nous
crûmes
la trouver dans l’élévation du prix d’abonnement
uvertes en cc genre se succèdent avec une rapidité qui pourrait faire
croire
à l’entente cordiale des sciences pour bannir la
rez la circulaire sur le magnétisme biotique, dont S. M. d’Autriche a
cru
bon d’établir les règles d’exercice légal dans la
happe pour l’intérêt et l’accroissement de la science mesmérique ; je
croirais
manquer à mon devoir de ne pas vous en envoyer l’
reurs, et ils nous disent à grande voix : faites-y endormir et nous
croirons
à votre science!.....Insensés qu’ils sont! ils
nos frères malades. Telle est la volonté de la divine providence, et,
croyez
-moi, que le magnétisme, ce don précieux du ciel,
es que j’ai traitées et guéries parle mesmérisme. Cet ouvrage est, je
crois
, le premier qu’on imprime dans notre péninsule; p
gréez ce pauvre mien hommage de l’amour que je nourris pour vous; et,
croyez
-moi, chaque fois que l’incrédulité téméraire et l
ation. La pauvre mère, très-affectée par les deux consultations, ne
croyait
pas posséder le puissant moyen de faire un prod
semble, coordonne des matériaux grossiers, est-il invisible? Je ne le
crois
pas. Il n’en est ainsi jusqu'à présent qu’à cause
i échappait aux regards se découvre, et des myriades d’êtres que l’on
croyait
pour toujours soustraits à notre vue, sont aperçu
ant. On niait avant ces recherches, et le savant sceptique ne pouvait
croire
à ces réalités. On se souvient qu’un simple pot
le étincelle cause, à grande distance, un incendie ; on la voit et on
croit
. Une étincelle, je n’ai point d'autre mot, part d
votre gré. — Va pour la terreur. — Eh bien ! en entrant ici, elle
croira
voir devant elle un abîme de feu. Les cinq minu
Potet était venu, il y a quelques années, exercer ses talents, nous
croyions
que le magnétisme était encore dans les limbes, l
de la manière la plus spirituelle cette cause étrange. Sans paraître
croire
à toutes les merveilles du magnétisme, il en a di
lisme. Si cette nouvelle est fondée, comme nous avons tout lieu de le
croire
, c’est encore un progrès. — M. le juge d’instru
es-unes, cependant, sont si bien attestées, que, si l’on refusait d’y
croire
, on serait obligé, pour être conséquent, de rejet
ueuse et si douce !... » — «Bah! » répondit brusquement le roi, qui
croyait
entendre un reproche toutes les fois qu’on pronon
que plus d’une fois il nous a semblé rêver, et que nous avons pu nous
croire
placé sous l’influence d’une de ces hallucination
mme Cheyroux, s’est effectivement mariée peu après celte entrevue. Je
crois
fermement au somnambulisme. (Adhésion dans l’audi
. Trois jours après mon enfant était morte! (Sensation prolongée.) Je
crois
de toute mon âme au magnétisme. » Celte déposit
venus du piège, ils n’en approcheront plus. — Il fallait leur laisser
croire
qu’il n’y avait rien dans le magnétisme que ce qu
s nos illustres savants, je les ai vus, entendus, compris, et jamais,
croyez
-le, vous ne les amènerez au magnétisme ; ce sont
droits exclusifs à l’application d’un certain ordre de faits ; car je
crois
qu’à divers égards, pour telles ou telles choses,
opposent ; et pour qui réfléchit un peu cela est si évident que je me
crois
dispensé de le prouver, autrement qu’en faisant r
que, sur laquelle j'ai si fréquemment insisté, avec peu de succès, je
crois
. Ces hommçs étaient capables de parler et d’agir,
leur tombait sur le corps nu. Les adversaires du magnétisme animal
croiront
probablement tout ceci sans peine, parce que c’es
s hommes ne souffraient point après tout ce qu'ils avaient subi. Je
crois
qu’on aurait pu torturer ces hommes à leur comple
’est tenue jeudi au soir, M. Huttmann a exposé les raisons qu’il a de
croire
que les propriétés extraordinaires du chloroforme
it dépendre du magnétiseur, carie magnétisé participe de sa vie. S’il
croit
en la vertu, en l’elli-eacité de certaine substan
près de trois semaines, et qui l’affaiblit tellement, que ses parents
crurent
qu’il allait mourir. Mais on ne m'avait point p
’air «pie de se soumettre plus longtemps à mes Soins, que son père ne
croyait
plus nécessaires. Cette interruption brusque fit
Celui-ci ditque non-seulement il ne sait pas, mais que de plus il ne
croit
pas à cette vertu singulière. Sollicité par nos p
ôt l’effet se dissipe ; trois fois je recommence et calme de même. Je
crois
alors devoir cesser pour ne pas trop fatiguer la
ordre organique plus profond que la malade ne le suppose, car elle ne
croit
avoir qu’un mal de tête. J’apprends qu’à tous ces
communiquer les faits curieux qu’ils auraient observés ; ce serait je
crois
le meilleur moyen de faire faire un pas à la scie
ourne vers ton père. Ici le mensonge règne et gouverne, les hommes ne
croient
plus qu’aux fictions, la •véirité leur fait peur,
tous les temps sont écrits, et lorsqu ils sont venus l’homme vulgaire
croit
qu’il conduit les événements, tandis qu’il ne fai
dans leur loge les francs-maçons chrétiens, persuadés que ceux-ci ne
croient
pas à la Trinité, qu’ils sont déistes comme eux,
ement. La graine, mêlée de tabac et de miel, se fume de même; et à en
croire
un ouvrage arabe qui traite de cette matière, on
t de les attribuer à des causes surnaturelles, ou de se refuser à les
croire
. L’inconnu n’est-il pas plus vaste encore que le
nt lieu tous les lundis; chaque membre y amène ceux de ses amis qu’il
croit
susceptibles de prendre intérêt à la chose, et ex
nvariable dans la marche de certains événements qu’on peut sans peine
croire
qu’ils sont écrits, qu’ils arrivent fatalement, p
e rendu à l’humanité et à la cause magnétique dans cette occasion, je
crois
pouvoir me permettre de vous demander votre prote
es considérations nous ont déterminé à répondre à M. Clapier que nous
croyions
à l’identité primordiale de l’agent magnétique ch
va donner la liberté à tout et à tous, même au magnétisme; mais je la
crois
impuissante à l'affranchir des préjugés, de l’ign
ne chose singulière que ce diplomate prussien soit si bien renseigné.
Croiriez
-vous qu'il a trouvé le moyen de savoir même ce qu
Madame, pourriez-vous voir ce que contient une boite fermée? — Je le
crois
. — Eh bien! c’est nu moyen de convaincre 1 académ
nde de la chercher, mais il est si difficile d’étudier, si commode de
croire
, que nous préférons nous prosterner devant l'aute
. — L’auteur du feuilleton de l'Union monarchique, du 21 février, a
cru
faire preuve de beaucoup d’esprit en introduisant
es femmes aériennes qui passent couchées sur des nuages ; comme je ne
crois
pas au magnétisme, comme je n’ai aucune sympathie
e la scène, etc. » Cette déclaration est signée Théodore Anne; nous
croyons
qu’il y a un n de trop dans le nom de ce savant c
, infirmité et misère! Et quant aux secrets de ma destinée future, je
croirais
profaner la Divinité, qui me les cache, si je les
les cache, si je les demandais à la créature. En fait d’avenir, je ne
crois
qu’à Dieu, à la liberté et à la vertu. — N’import
rois qu’à Dieu, à la liberté et à la vertu. — N’importe, me dit-elle,
croyez
ce qu’il vous plaira; quant à moi, je vois évid
nt d’une tendresse de regard et d’une lumière presque surnaturelle. —
Croyez
ce que vous voudrez, me dit-elle, vous n’en êtes
de ses aperçus, la précision de ses jugements, au point qu’on le peut
croire
lui-même fatiloque. Nous espérons que nos abonnés
lu, par hasard, quelque chose du magnétisme; elle nie demanda si j’y
croyais
. Oui, lui répondisse, et je vous y ferai croire s
e nie demanda si j’y croyais. Oui, lui répondisse, et je vous y ferai
croire
si vous voulez que je vous magnétise. Elle ne dem
on riant : respirez; je parie que votre point de côlé est passé. Et,
croyez
-vous qu’elle n’a plus rien ressenti? Son étonneme
rivée, et d’autres soins m’ont empêché de poursuivre cette idée. Je
croyais
tout fini, et pour l’honneur de la Société, ci-de
La conversation s’était prolongée; la jeune fille, invitée à danser,
crut
pouvoir confier son châle et son tablier, à la ga
oient également instruits ni également habiles. D'ailleurs j’aime à
croire
que dans le nombre des correspondants de la Socié
sont pas moins étranges que celles des autres. Si, comme je le dois
croire
, il esL plus fidèle dans son Extrait que dans ses
si elle l’a fait, à coup sûr je ne le lui avois pas conseillé. J’en
crois
M. Thouret, lorsqu’il assure que depuis le rappor
rendent compte de la destruction îles grandes Babylo-nes ; c’est, je
crois
, le moyen dont se sert la Providence pour les emp
ous les chats qui se trouvaient à sa portée. « Les voisins, dit-il,
croyaient
que je caressais leurs chats; au bout de quelque
is que ces animaux avaient péri sans cause apparente. » On pourrait
croire
, et M. Beckeinsteiner le pensa, que cette commoti
ait l’épreuve. La vache paraissait fort irritée, et elle m’aurait, je
crois
, éventré si je m’étais approché de nouveau; niais
faits précités leur bonne foi irait jusqu’à les dénaturer pour faire
croire
au développement d’accidents majeurs, et, peut-êt
possédais pas, et mon père, témoin de cette expérience, ne pouvait en
croire
ses yeux. Ce ne fut qu'un prélude; plusieurs fois
lt ébahie, aussi moult sanglante, car il sera tant fort que Dieu sera
cru
guerroyer avec lui. L’Eglise de Dieu se console t
’assoycra bien, moult sages règlements appelleront la paix. Dieu sera
cru
d’avec lui, tant prudent et sage sera le rejeton
en deux parts bien marquées. Mais c’est fait : lors, Dieu seul sera
cru
et la tierce part de la Gaule et encore la tierce
étisme et succédané de animal. Il a pour racine pîo«, vie. Nous ne le
croyons
pas appelé à un grand succès, parce que, signifia
est difficile d’entreprendre l’examen d’une œuvre si grandiose. Je ne
crois
même pas que les plus savants dans les mystères p
ès-pénible, et capable d’effrayer des magnétiseurs inexpérimentés. Je
crus
reconnaître la cause de ce désordre : le magnétis
rze dans la journée. Un de nos meilleurs médecins fit tout cc qu’il
crut
bon, et témoigna même ses regrets de l’in-suècès
réalisée. Ce dernier cas surtout, monsieur le baron, mériterait, je
crois
, une sérieuse attention; car il se présente bien
ssi de savoir des gens qui se complaisent dans leur ignorance, et qui
croient
en avoir fini avec une guérison extraordinaire
ntelligences hors ligne semble y naître ou s’y donner rendez-vous. On
croirait
que le régne du vieux continent va finir et que l
répète donc que j’ai seulement senti à moitié, et que je n’ai jamais
cru
intellectuellement. Mais dernièrement, il v eut e
les seuls mondes palpables, et pour l’emmagasinement desquelles nous
croyons
stupidement que l’espace a été créé, mais l’espac
urs s’abstiendraient-ils de toute autre intention particulière. Je le
croirais
à cause même de la simplicité du moyen. Cependa
ridicules dont on a souvent effrayé notre enfance, et que le peuple a
crus
, avaient un grand fonds de vérité : les ensorcelé
hoses étranges, et sur lesquelles d’autres avant moi, sans doute, ont
cru
plus sage de garder le silence. Je m’estimerai he
e oculaire, accompagnées de cuisson et autres symptômes, ce dont elle
croyait
avoir hérité de son enfant. — M“* M...., ayant
yon. 11 n’y a pas de séances publiques. Il y a assez de personnes qui
croient
au magnétisme, mais peu qui veulent l’avouer, moi
ou dix) que j’ai initiées et qui s’en occupent assez peu, je suis, je
crois
, seul à Valence ou dans les environs qui m’en occ
uteur moderne : « Quand on veut faire pénétrer des vérités que l'on
croit
utiles, on ne saurait mettre trop à profit pour l
Ainsi, exposer avec mesure et sans amertume ni aigreur ce que l’on
croit
être la vérité, le faire avec bienveillance même
l’homme sur les animaux (voyez t. m, p. 46 et 91), de nature à faire
croire
que la magnétisation pourrait servir à la domesti
les magnétisés de haut titre les voient distinctement; j’incline à le
croire
car c’est une propriété de transition nécessairem
tes, il n’y ait beaucoup d’exagération, et peut-être les 7?8, mais je
crois
aussi qu’il y a un fond de réalités, et je vais t
nt et non passibles de somnambulisme artificiel. Le magnétisme aurait
cru
discréditer sa secte en faisant cet aveu; il aura
rme noyé dans les charlataneries. Lorsque des savants, des inventeurs
croient
avoir trouvé des moyens suffisants, ils ne devrai
es galantes aux Idéologues, puis des Idéologues aux Généralistes, qui
croient
tout le monde magnétisable, le germe de la scienc
tisme. Nous l’avons montré à la plupart de nos amis de Paris, et nous
croyons
être agréables à ceux du dehors en leur en donnan
e, la superficie au contraire spongieuse et friable. Sa forme porte à
croire
qu'il remplissait la cavité de la matrice à la me
existe, à cet égard. Les médecins allemands ont pleinement raison d'y
croire
, malgré le scepticisme de la faculté de Paris, do
age : toutefois, on me signala de l’amélioration, ce dont moi-même je
crus
m’apercevoir. Encouragé par cet espoir, quoique l
pour recommencer dés que ses forces réparées le lui permettent. Il se
croit
ensorcelé et se désole sur sa position, lorsqu’il
(la clairvoyance), par une psychologie un peu mystérieuse, mais qu’il
croit
cependant fort naturelle, qui du moins n’admet pa
u'on peut songer à le combattre. « Ayez notre puissance et notre foi,
croyez
à la pureté de nos intentions, respectez la loi d
ait eu à vérifier. Voici ces conclusions : 1. M. d’Eisenstein avait
cru
remarquer que plusieurs de ses malades, somnambul
ts, quand la direction en était inaperçue. 2. M. d’Eisenstein avait
cru
constater que Léopoldine distinguait parfaitement
explication du fait constaté devant nous. » 3 M. d’Eisenstein avait
cru
remarquer que certaines personnes étaient douées
différentes n’ont rien établi de ce genre. 4. Le même savant avait
cru
remarquer que certaines personnes (le rapport les
er d'abord le genre de l’objet, ensuite son espèce; un certain nombre
croit
à la connivence des assistants; enfin quelques-un
mêmes expériences. Il est possible qu’il soit somnambule éveillé. Que
croire
de tout cela ?.... Dans tous les cas ces jongleur
magnétisai. En moins de cinq minutes cet homme robuste, exerçant, je
crois
, la profession de chaudronnier, fut dans un état
sans quelques souffrances. Bon courage; vous arriverez, au but: et je
crois
bien (pie vous ne l’auriez jamais atteint par les
œux et j’ai la confiance que ces vœux seront exaucés. Vous ne sauriez
croire
combien elle m’a inspiré d’inié-rèt, sa guérison
ns et les plus graves doctrines, peut-il se trouver une disposition à
croire
qui ne sc rencontre plus ailleurs? Puis; comment
cas, qu’ils la réservent à leurs adeptes et ne prétendent pas y faire
croire
le public; dans le second cas, qu’ils fassent com
s qui nous paraîtraient en opposition avec les vérités que nous avons
cru
reconnaître. Nous avons agi ainsi à l’égard de
hommes intelligents. En accueillant le travail de M. Charpignon nons
croyons
leur être agréable en même temps qu’utile. (t)
ensée. D’ailleurs cet auteur est trop sincère, trop homme de bien, il
croit
si fermement à la réalité des visions de ses voya
le dire, il était très-original; rien n’a été oublié, si bien que je
croyais
le voir moi-mème, tant le tableau en était saisis
e qui voit, et pour qui est familiarisé avec le somnambulisme on peut
croire
à une communication de pensée. Tout le reste en d
es une vérité profonde entrevue par plusd’un millier d’hommes.’ Je le
crois
, maisje crois aussi à la difficulté de les peindr
profonde entrevue par plusd’un millier d’hommes.’ Je le crois, maisje
crois
aussi à la difficulté de les peindre; il n’y a po
faits sont en rapports parfaits avec ces nouvelles données; mais nous
croyons
qu’il y aura de grandes divergences, et c’est là
Nous nous occupons sans relâche d’une série d'expériences que nous
croyons
propres à avancer la science magnétique. Cependan
dopta le principe des doses infi-nitésionales, n’est-il pas permis de
croire
qu’il était tombé dans la triste mélancolie que f
ous la voulez comme le médecin vitallste, cette crise, seulement vous
croyez
pouvoir la provoquer mieux que lui avec une fract
qui étonnent le plus. Et pourtant, la chose est plus simple qu’on ne
croit
le penser. Pourquoi, médecins allopathes, avez-
he : Connaissez-vous la puissance delà pensée sur l’organisme? Vous y
croyez
peu dans les faits ordinaires de la vie physiolog
t bien portantes, des modifications extraordinaires, et je lus prêt à
croire
à l’action des infinitésimaux. Mais la contre-épr
e me demande si on pourra trouver ma critique injuste ? Je ne puis le
croire
; elle repose sur des principes tellement faciles
puisé dans la doctrine du vitalisme quelques-uns de ses principes, a
cru
pouvoir prétendre à se faire une doctrine général
11 y en a sept ou huit qui pratiquent et quatre-vingts, au moins, qui
croient
à la puissance curative do l’agent magnétique. Ch
ieur, de vous rappeler que j’ai un logement à votre disposition et de
croire
que le jour de votre arrivée à Niort sera un jour
. Hébert d’A-veney. Plusieurs personnes, trompées par rhomonymye, ont
cru
que c’était M. Hébert (de Garnay) et s’en sont ét
rougissent pas de s’en déclarer les partisans, et, pour preuve, nous
croyons
devoir reproduire une lettre fort spirituelle adr
dies. Sans blâmer sa méthode qui obtint de grands succès curatifs, je
crois
difficilement que, semblable à la médecine univer
les tumeurs. A cet effet je remplis une bouteille à bière, non de fer
cru
et privé de ses esprits par la fonderie et la for
eckensteiner, dont nous avons déjà mentionné les travaux magnétiques,
croit
pouvoir établir que ce lluide circule aussi entre
ayant répété sans succès toutes les expériences indiquées, je pouvais
croire
que mon scepticisme préventif m’empêchait de réus
e disposition suffît pour expliquer le fait en question, puisque l’on
croyait
, naguère encore, que les malades seuls étaient ma
sur l'organisation, sont des fails acquis à la science. Il reste, je
crois
, fort peu de personnes au courant des sciences, q
es habitudes qui régissent l’exercice de la médecine, que je n’ose en
croire
la possibilité, de bien longtemps encore. Quoi
r rapidement esquissé les différents systèmes qui tour à tour se sont
cru
la véritable loi pratique de la médecine, il me r
al dans lequel il puise ses médicaments. C’est assez maintenant, je
crois
, de doctrines, de systèmes, de remèdes ! Le médec
stinguer le pourquoi du changement nécessaire de la médication, il ne
croira
pas à tel système, pareeque ce système heurte c
science seule. Or l’homme de science est rarement progressiste, il ne
croit
que ce que l’école enseigne, il ne songe jamais à
strueux de systèmes mensongers, dont chaque sectateur, chose étrange,
croit
posséder la vérité dans son art et pense que l’er
toutes deux respectables. Nous ne doutons point de sa lionne foi; il
croit
cequ il dit et pensera que c’est nous qui sommes
aigner les sommités de la médecine pour courir chez les somnambules ?
Croyez
-vous que s’ils ne guérissaient aucun malade ils c
re, et celle de la quadrature du cercle ont fait d'hallucinés, qui se
croyaient
pourtant des gens fort sages? Les maladies n’agis
s, des récits qu’ils ont entendus, des lectures qu’ils ont faites, se
croient
magnétisés, jurent leurs grands dieux que des mag
ans doute, mais elle a des limites qui restent bien en deçà de ce que
croient
ces pauvres malades. Comment faire passer cette v
e peut pas toujours être reconnue. Grand Dieu! combien de fous qui se
croient
sages et. dont les erreurs monstrueuses agissent
ités. Ainsi le voudront toujours ceux que l'intérêt guide. Qu'on le
croie
bien, les faits que nous allons citer peuvent êtr
force des influences. Aujourd'hui personne ou presque persoune n’ose
croire
aux miracles, aux inspirations divines, aux posse
première fois un accès de fièvre magnétique assez fort, puisque je me
crus
alors menacé par ma famille tout entière, dont le
après ces visites chez les autorités, ordonnées par l’aréopage que je
croyais
maçonnique, je fus décrété par ce lâche tribunal
: « une gastro-entérite avec irritation cérébrale. » Et pourtant, il
croit
, il est entièrement convaincu, il allirme que ces
dans cette voie et l’on devient assassin. La voix mystérieuse qu’on
croit
entendre vous pousse el vous sollicite au meurtre
onnes qui ont » les mêmes facultés que la dame qui est ici; mais » on
croit
généralement, dans notre pays, que ces » voyants
de ce que nous aurons appris à cet égard. — Nous pensions qu’on ne
croyait
plus à l’influence des nombres; il n’en est pas a
nce des nombres; il n’en est pas ainsi. Nos gouvernants, s'il faut en
croire
certains bruits de comité, ont été effrayés de vo
. Ces observations préliminaires vous feront comprendre que nous ne
croyons
pas être dupes d’un visionnaire tour VII. — K° —
et la taquinerie firent presque tous les frais de nos entretiens. Je
crus
remarquer que c’était un parti pris par mon incon
voix, dis-je, devint plus sonore. Lorsque j’y fus un peu habitué, je
crus
comprendre qu’elle provenait du dehors,et prêtant
ur les débuts d'avoir un auxiliaire. Je suis d’autant plus porté à le
croire
que cette circonstance se trouve avoir une concor
et paraissait au contraire venir d’un côté diamétralement opposé. Je
crus
d’abord à une illusion de mes sens, mais je recon
ensée, et celle réflexion est basée sur l’étude de mes sensations. Je
crois
aujourd hui que si à cette époque j’eusse interro
cipons pas sur les événements, j’en parlerai en son lieu et place. Je
crois
devoir faire remarquer ici que les souffrances ph
e contribuais sans m’en douter à perpétuer ces effets merveilleux. Je
crois
que si j’eusse pu éloigner de mon esprit toutes l
aujourd’hui les penseurs de l’Amérique ! !. D’accord avec vous, je
crois
que l’Amérique a commencé à donner au monde des d
onner au monde des défenseurs courageux et éclairés de la vérité ; je
crois
que sous l’égide de la liberté et de la pure phil
e les suppôts aveugles ou hypocrites, et les fauteurs acharnés. Je le
crois
, et j’en félicite l’humanité: mais tout en croyan
oncernent notre spécialité. Disons d’abord que M. llenouard n’a pas
cru
devoir traiter la question du magnétisme; il n’en
igences : c’est l’empirisme-méthodique, ou l'expérience raisonnée. 11
croit
qu’elle absorbera toutes les autres, parce qu’ell
u d’une manière positive si ces sensations iui étaient transmises. Je
crois
du moins qu’il ne les sentait que lorsqu'elles pr
cipe lorsque je ressenlU ces ff-ts, j'en ch. reliais naturellement la
crus
- d.-.ns les étnanm'ons de quelque corps rapproch
Je fus un jour appréhendé à la gorge d’une manière si violente que je
crus
qu’on en voulait a ma vie, et comme cet effet de
l ins la fuite m’est-il pour toujours enlevé? Hélas! je commence à le
croire
, car ici comme ailleurs je n’ai obtenu dans mon é
on, que ces phénomènes n’étaient pas de leur compétence et qu'ils n’y
croyaient
même pas. Cependant, je dois le dire, je fus fort
écouter le récit de mes sensations et les meilleures dispositions à y
croire
. Ce n’est pas que je n’aie eu avec eux quelques o
m’en plaindre, puisque cela prouve leur désir de s’éclairer, mais je
crois
les avoir réfutées victorieusement. Cependant i
vous qu’il soit possible de faire cesser cette influence ? Si vous le
croyez
, et que vous puissiez me diriger dans la voie qui
renseignements nous sont souvent demandés sur cette recherche. iNous
croyons
devoir publier la lettre suivante pour répondre a
he, et dit : ma...man. Ces premières articulations d’une voix qu’on
croyait
ne plus jamais entendre, firent naître la scène l
tics nouvelles; et le douzième jour la malade allait si bien, que je
crus
devoir laisser à M. Houlct le soin d’achever sa g
gnétiseurs. Telle est mon opinion sur la fusion des médecines ; je ne
crois
la conciliation possible que sur le terrain de la
recherches particulières la démonstration de l’intuition médicale, je
crois
devoir invoquer les témoignages les plus recom-ma
u’il a suivis d’après les prescriptions qu’il recevait en songe. « Je
croyais
, dit-il ( Orationes sacra;, p. 5?.5 ), toucher e
mais il n’était pas plus habile pour savoir ce qu’il ordonnerait. Je
crus
donc à propos d’appeler le gardien du temple d’Es
pris de telles précautions, nous osons dire que non seulement on doit
croire
aux phénomènes, mais qu’on est forcé d’y croire,
non seulement on doit croire aux phénomènes, mais qu’on est forcé d’y
croire
, sous peine de renoncer à son sens intime et à êt
e par cette fameuse doctrine d’un philosophe de mon espèce : «Je le
crois
, parce que vous l’avez vu ; « mais si je l’avai
crois, parce que vous l’avez vu ; « mais si je l’avais vu, je ne le
croirais
pas ; * si, dis-je, je vous répondais dans ce sen
ez tout mon édifice, disait un savant professeur de Strasbourg, si je
croyais
tout ce que je vois ; j'aurais la douleur d’avoir
tait permis de passer en revue les passions , il me serait facile, je
crois
, de vous convaincre qu’elles sont déterminées par
ui que je considère comme le plus intéressé dans cette affaire, et je
crois
qu’on le décidera difficilement à entrer en pourp
a recours à un terme de comparaison pour nous exprimer sa pensée? Je
crois
devoir adopter de préférence cetle.dernière cxpli
s l’atmosphère. » Hippocrale traite d’insensés ceux qui refusent de
croire
que deux âmes peuvent se réunir et s’identifier e
roy Saint-Hilaire (Rapport sur les jumeaux siamois), tellement, qu’on
croirait
qu'ils sont inus par une seule volonté. (je qui e
xercice. Elle est quelquefois sujette à beaucoup d’erreurs, qui, je
crois
, proviennent le plus ordinairement de la propensi
ont probablement observé ce phénomène que chez des sujets malades. Je
crois
que l’on peut sans crainte poser ce principe, sau
os médecins qui s’évertuent à rattacher nos maladies à la même cause,
croiraient
manquer à leurs principes s’ils modifiaient leur
la preuve, et de tout temps les mêmes effets ont été observés. » Je
crois
pouvoir admettre, d’après mes observations , que
dividu qui donne des séances publiques de magnétisme , mais c’est, je
crois
, seulement sous le rapport de la curiosité, tandi
ure si singulière, tellement extraordinaire, que nous refuserions d’y
croire
, si elle ne nous était rapportée avec tous les ca
ivré à des recherches sérieuses sur le mysticisme magnétique, et nous
croyons
qu’il aura beaucoup aidé à éclairer sur celte que
commencer par prouver un état de k coma, de sommeil simple, nous vous
croirons
« pour le reste. » Maintenant il vient exposer la
anise pas le mesmérisme : il ne dit point qu’il est propre à tout. 11
croit
que les phénomènes les plus extraordinaires peuve
té, H. Parsons en discute la valeur par rapport au chloroforme. Il le
croit
bien préférable h ce dernier, qui, outre mille ac
dit qu’elle explique bien des choses auparavant incompréhensibles. Il
croit
que des milliers d’individus sont clairvoyants ét
e persiste, mais l’imagination est plus vive, en sorte que l’individu
croit
voir et entendre ce qu’il ne fait qu’imaginer. Le
ommeil naturel est aussi une espèce d état de détachement. M. Parsons
croit
que l’âme peut se séparer du corps, et aller dans
istence de l’électricité, 011 l’électrisera sur-le-champ, et alors il
croira
. Les inesméristes disent qu’ilspeuvent faire ce
speuvent faire certaines choses; qu’ils les fassent donc, cl on les
croira
, mais non avant. M. Levison recommandait aux méde
e, il maintient son opinion; jusqu’à ce qu’il ait des preuves, il n'y
croira
pas. C’est étonnant combien il y a, dans cette vi
urvu qu’il (M. burrows) soit présent à la lecture de la phrase. 11 ne
croit
rien de ce qu’a avancé M. Parsons, si ce n’est qu
e comme si c’était son'sang qui coulât; le cœur s’arrêta bientôt : il
crut
qu’il se mourait, et il mourut, quoiqu’on ne lui
ions sur le magnétisme, et proposer des Prix considérables à ceux qui
croient
pouvoir justifier des faits avancés, c’est là, po
uffre d’as- sez nombreuses exceptions pour que le docteur Poeti ait
cru
devoir y ajouter un correctif dans le chapitre su
s que ce malheureux a écrites, et, si la personne qui les a reçues se
croyait
autorisée à me le permettre, je me ferais un devo
les médecins voulaient faire saigner à blanc, ou purger à mort. Je
crois
, mon cher maître, que vous avez tort de répudier
puissance serait la justice de l'opprimé, et la punition du méchant;
croyez
-vous , par exemple, qu’une famille injustement dé
la misère par quelque puissant spoliateur, n’a pas d’action sur lui?
Croyez
-vous que toutes ces malédictions dirigées en fais
ttirer et faire baiser la terre à un inconnu placé à dix pas de vous,
croyez
-vous que ce soit là le maximum de la portée de vo
tremblant, la face décomposée, qu’il voyait l'approche de celui qu’il
croyait
son persécuteur, et qui certes ne lui voulait auc
coup. Celle-ci, du moins, s’imagine le bien ; c’est la seule qui ne
croit
point au mal. Cette différence est bonne à consta
ui, sans doute, lui rappelait l’objet de ses affections passées. Elle
crut
qu’il s'occupait d’elle, et la magnétisait. Il n’
allucination : à force de s’exagérer leur puissance, ils ont fini par
croire
à des possibilités qui n’étaient point dans leur
de lâ une série de faits bien propres à nous épouvanter, à nous faire
croire
que nous sommes le jouet d’un agent spirituel qui
tique exercent simultanément dans le traitement de nos maladies. Nous
croyons
avoir démontré dans l’article qui précède, que la
ion de tous les prodiges du magnétisme et du somnambulisme. Il faut
croire
qu’il en est de toutes les grandes découvertes, c
al, quand il n’est pas pour eux; « 3° Les esprits médiocres, qui ne
croient
pas qu’on puisse enfanter, parce qu’ils sont impu
ant d’aborder les travaux des fluidistes modernes. Sanchoniaton (i)
croyait
qu’il existait dans l’espace un esprit subtil, co
ade se met à japper, et il imite si bien le jappement du chien, qu’on
croirait
entendre cet animal. Après avoir jappé, il lape,
enger en lui jetant un sort, expression dont se servent les noirs qui
croient
aux sortilèges. Sa mère l’entretient dans cette d
m’abandonnes pour te joindre à mon ennemi. Dans d’autres instants, il
croit
voir sa femme, et lui adresse les paroles les plu
s les faits transcendants du magnétisme. Quelques hommes, dont nous
croyions
la raison assez forte, se sont laissé prendre à u
« gnétisme pour guérir les maladies, je fus étonné et « tenté de n’y
croire
qu’après avoir vu. « Douze années d’expérience
lorsque je cesse de vouloir elle n’agit plus... » Tout nous porte à
croire
qu’il n’y a dans la nature qu’un seul fluide qui
icité dont elles déterminent la production, et ce profond observateur
croit
pouvoir conclure, d'après scs expériences, que l’
’ils semblaient menacer les spectateurs; aussi quelques-uns d’eux ont
cru
que l’assassin revenait à la vie. » L’influence
célèbre magnétisle, qui mérite à tous égards notre vive sympathie, a
cru
devoir, après une longue expérience, modifier ses
er et La- (1) Journal du Magoél., t. VIII, p. 474. Ion laine, qui
crurent
avoir démontré une analogie parfaite entre l’aima
ériences contradictoires de MM. Pouillet, Becquerel et Desprelz, nous
croyons
qu’il est prudent de suspendre notre jugement jus
es. On nous répond : Vos somnambules voient le fluide, parce que vous
croyez
à son existence; el l’on ne fait pas attention qu
ns circulaire (ce que je considère comme une friction magnétique). Je
crois
avoir remarqué que c’est plus particulièrement à
récédente, âgée de vingt ans, d’un tempérament lymphatique, et que je
crois
scrofuleuse, est sujette, depuis l’âge de dix ans
re, elle assistait A une de mes séances avcc sa maîtresse, lorsque je
crus
remarquer qu’elle était disposée A dormir. Je l’e
destinée à une de ses sœurs, et qu’elle avait tanf souffert, qu’elle
croyait
mourir. Elle prendra demain la moitié delà plus
nétique. Les résultats que j'ai obtenus furent défavorables, car j’ai
cru
voir d’abord du charlatanisme de la part des somn
e sentis tout bouleversé, et, pour ainsi dire, ébahi, au point que je
crois
ne pas avoir eu même assez de présence d’esprit p
dont M. du Potet vient de nous parler; des soi-disant incrédules, qui
croient
malgré eux. Mais je ne compte nullement rester da
ti par la certitude irrécusable et écrasante, que tout ce que j’avais
cru
savoir jusqu’alors de notre organisation morale,
nner le sans façon de cette démarche de ma part auprès de vous, et de
croire
à l’assurance de la considération dictinguée avec
à cinq minutes, les muscles s’agitèrent à un tel point, qu’on eût pu
croire
qu’il avait le frisson. En même temps, la teinte
je rëncdütre-rais les mêmes difîictiltés â latte prévaloir èè quë je
crois
étfre une vérité. Sijediiais encore : Votre moral
-nous fermer les yeux ? i Novateurs, ne demandez jamais que l’on vous
croie
sur parole; justifiez votre croyanoe par des œuvr
es. Ceux qui exigent une foi aveugle sont des gens habiles ; ceux qui
croient
sans voir sont des insensés. Mais c’est ainsi-qu’
car, ayant élé dupes de bien des forn-bes, leur esprit se refusait de
croire
les gens sincères. . ' C’est cependant aux nova
t hommq illustre par ses adversaires, sont conçues de manière à faire
croire
que l’avidité était le mobjle dç ses actions. En
fille et lui a donné le nom de Rachel. Il sauve la vie à Ben-Sadi et
croit
obtenir sa grâce en rendant au comte Raoul la fam
ve dont il avait bit preuve jUsqUe^là, lorsque hbtre belle imprudente
crut
tout â coup rertiarquek1 chez son partner certain
l’attention des observateurs, et c’est à ce titre, Monsieur, que j’ai
cru
devoir vous adresser ces lignes. Veuillez agrée
ont révolutionner le monde. Apercevant la vérité grande et belle, ils
croient
que chacun va la voir comme elle est en effet. Er
u'ils rencontrent refroidissent bientôt leur zèle; et, sans cesser de
croire
, ils s’aperçoivent que la route est longue, et qu
e épigraphe d’un savant docteur : Doutez, expérimentez, voyez et vous
croirez
. Comment ignorer une science qui offre un si pu
ages et des brahmes. Initié aux mystères de l'Inde et de la Perse, il
crut
surprendre dans l’enthousiasme et dans l'extase l
N° 1 gd2 : d Des èbpïlts qui parlent, il y en a peu qui doitèht êtrè
crus
. Rien n’est plüs familier aux esprits qui parlent
prits qui parlent, qué de dire qu’unè chose est ceci ou cela; ear lis
croient
toiit savoir, et ils affirment solennellement qu’
Il m'à été démontré fhisièurt fdis'qüë les esprits, causant avec mol,
croyaient
réelleiüent être les hommes, sujets de lapénéée.
t ne savait pas le rôle que jouent les âmes dans le somnambulisme; il
croyait
, en isolant son sujet, le mettre à l’abri d’influ
’invention; et, comme nous nous laissons séduira par des contes, nous
croyons
aux mensonges; ils charment notre vie; les plus a
résultat, celui de vous égarer. Quelques magnétistes spiritualistti
croient
tenir la clef du ciel ; ce n’est qu’une moquerie,
la révélation des plus sublimes secrets. L’ignorant, comme le fou,
croit
souvent réel ce qui est dans ses rêves. L’un s’im
us invitons tous les magnétiseurs à nous faire part des moyens qu’ils
croient
les plus propres à l’obtention du résultat désiré
agnétisme, surtout sur des personnes de sexes différents. Ainsi, je
crois
que le9 conditions expresses de prudence sont un
en répandant davantage le noble exercice du magnétismei* Eh bien! je
crois
que non, et, à mon avis, peu de moyens ont été te
serait à vous de les étudier, de les comparer et de les proposer. Je
crois
que le moyen de poser dos questions dans un journ
la réponse qu’elle me fit : « Vous venez pour des papiers que vous
croyez
vous avoir été volés ;'ils ne sont qu’égarés, je
t clairement indiquées, et que la renommée a placées avec justice, je
crois
(car j’ai consulté l’une d’elles), au premier ran
pas plus impossible que ne l’a é^é celle du télégraphe électrique? jo
crois
mêdio que pous en tenonB depUis longtemps les fil
le champ pur et lumineux de la science mesmérique : 11 ne faut pas
croire
, disais-je alors , que l’étude des phénomènes éle
es électro-physiologiques soit tout à fait inutile au magnétiseur, je
crois
, au contraire, que rien ne pourrait mieux l’aider
rumeur publique, ne fut venue à leur secours. Il serait difficile, je
crois
, de rencontrer un exemple plus frappant de !a p
munication qui peut avoir quelque rapport avec le nôtre. Nous ne nous
croyons
pas assez savants pour aborder la question si pro
me pour letir propre satisfaction, et, enfin par des personnes qui ne
croient
pas ét n’ont jamais cru àü maghëtisme. Nous ne cr
ction, et, enfin par des personnes qui ne croient pas ét n’ont jamais
cru
àü maghëtisme. Nous ne craignons dône pas les dém
du contenu de cette lettre ? « — Non, monsieur, répondis-je ; je ne
crois
même « pas que cela puisse se faire. Je suis loin
e in-« crédule, mais je n’ai jamais vu de pareil résultat, et « je le
croirai
lorsque je le verrai. — Cependattt, « vous ajoute
es membres présents ne chercha à pénétrer notre secret. Seulement, je
crois
que presque tous furent persuadés que je les trom
ai les effet» qu’on veut çn dan» un but de trçmperie, parce que je ne
crois
,pas, jusqu’à pre^ contraire, qM’uq magnétisé puis
e somnambule sans instruction, qui, à l’état de veille, élait loin de
croire
à la migration des âmes, puisqu’elle était très r
LA MÉDECINE. Audience du 27 mars. Plût au ciel que tous ceux qui
croient
à la diffusion des lumières eussent assisté aux d
eaucoup de gens ont secoué le joug salutaire delà foi religieuse, qui
croient
avec une confiance aveugle le premier charlatan v
ficacité du remède, et je dis à un voisin qui attendait avec moi : Je
crois
qu’une prière à Dieu vaudrait mieux que tout cela
des médicaments. » La somnambule lui prescrivit de manger de l’oignon
cru
avec du poivre et du sel, et trois grands bains p
second a5 fr. Il exigeait 10 fr. pour laisser parler à son maître. Il
croit
que sa femme dormait réellement quand elle était
ec une Française, j’en ai eu deux enfants. Ma femme m’a abandonné; je
crois
qu’elle est morte, d'après la somnambule et la
les effets du magnétisme que le prévenu préteud exercer. Ce témoin ne
croit
pas à la lucidité du somnambule; il émet l’opinio
prescrit de manger de l’ail, de l’oignon, des harengs saurs, des œufs
crus
, le tout sans pain ; un bain de trois heures par
u dit que l’on peut ressusciter par le magnétisme ; que saint Paul le
croyait
. Fourier, scieur de long à Lapécure, mari de l’
èse, parce qu’il m’a parlé d’astrologie judiciaire , de religion : je
crois
qu’une case lui manque au cerveau. Riéder inter
t a dit des choses qui ont étonné tous les assistants. Le Dr Jardou
croit
aux vertus du magnétisme. Le magnétisme peut calm
Le magnétisme peut calmer les douleurs de nerfs, l’hystérie, etc. 11
croit
que le magnétiseur peut transmettre au magnétis
sa volonté. Il cite des exemples do lucidité extraordinaire. Mais il
croit
que Riéder ne peut être considéré comme exerçant
ndu médecin malgré lui. H aurait reçu de l’argent pour magnétiser (il
croit
en avoir le droit), et il l’aurait donné au peupl
st admis dans la science, que le tort de Riéder est peut-être de trop
croire
à ses vertus; mais qu’il est de la meilleure foi
t de nouvelles et sanglantes catastrophes à la ville de Vienne; on le
croit
d’autant plus volontiers, que ces prédications so
indispensable pour produire le somnambulisme ; je suis même disposé à
croire
que certains phénomènes somnambuliques, tels que
ne savait pas le rôle que jouent les « âmes dans le somnambulisme; il
croyait
, en isolant a son sujet, le mettre â l’abri d’inf
fluides étrangers. Quant â (effort commun de quatre magnétiseurs, je
crois
cette comparaison très-hasar-dée; car il m’est cl
de confiance que les autres. Plus modeste que vos extatiques, elle se
croit
incapable d’arriver an degré supérieur, c'est-à-d
Esdaile est chirurgien de la Présidence, par la nomination (directe,
croyons
-nous), du gouverneur-général. Parlant, il ne sera
endront et qu’ils s’empresseront de faire leur devoir, ou ce que nous
croyons
l’étre, dans cette affaire. Un établissement sépa
dant des lois divines; tandis qu’un grand nombre de chrétiens, qui se
croient
leurs supérieurs en toutes choses, qui plus est,
votre voleur. — Laissez donc! répondit d son tour la concierge, je ne
crois
pas aux magnétiseurs, et le mieux pour moi est de
étonne qu’un médecin aussi instruit qne notre correspondant d’Orléans
croie
au magnétisme. Il n’y a rien de sérieux à répondr
t que Swedenborg porte réellement malheur à ses partisans. Qui aurait
cru
, en effet, qu’un homme aussi grave que le profess
incontestablement l’idée d’une mystérieuse transcription mentale. »
Croirait
-on, après des observations si bien déduites, si l
son église. Quel malheur ! et quel abaissement pour lui, s’il se fût
cru
réduit à n’être plus qu’un homme distingué par de
ue ancien. Il remit en ordre les Livres sacrés que quelques critiques
croient
avoir été brûlés lors de l'incendie du Temple, so
s-caractéristique et prouve que le narrateur, Esdras si l’on veut, ne
croyait
pas, après avoir bu la liqueur mystérieuse, être
cette remarque eût été oiseuse, puérile, ridicule. Il était donc, il
croyait
donc être passé dans un état anormal ! Pensait-il
, d’un côté, l’abaissement de l’intelligence, et de l’autre... ? On
croirait
pouvoir affirmer que, dans nos siècles de lumière
artager les dangers, puisqu’il a voulu participer à la gloire. Nous
croyons
en avoir dit assez pour faire comprendre qu’on co
notre illustre maître, nous célébrions, par avance, notre triomphe.
Croyez
bien que nous n’exagérons en rien la moisson qui
nacent avant d’en venir aux mains? L’ignorance, Messieurs, car chacun
croit
avoir le bon droit pour lui; et la vérité, comme
igence dont nous voulons parler; vous ne nous ferez point l'injure de
croire
à sa possibilité; mais de celle mille fois plus p
t ! En nous voyant unis, nos contradicteurs ne pourront s’empêcher de
croire
que nous sommes dans le vrai; car c’est l’erreur
la parole; c’est un des faits merveilleux du magnétisme. Nous devons
croire
, dès lors, que lame dégagée de la matière perçoit
é- tisme, par et sur certaines organisations plus rares qu’on ne le
croit
. « Ne nous livrons pas à des expériences qui pe
rs conséquences peuvent seuls modifier ou détruire. « Bornons-nous,
croyez
moi, à bien comprendre et mettre en pratique ce m
te loi de la nature. « Voyez-la instinctivement exercer l’art qu’on
croit
nouveau, sur les enfants qu’elle enserre contre s
opté; par conséquent le dépôt n’est point accepté. » C'est à ne pas
croire
, et cependant cela est vrai. L’Académie de médec
aut jusqu’au fond de mon âme, Heureux comme aujourd'hui.... ; car j'y
crois
être cncor. La leclure do celte pièce, fréquemm
nt adoptés par les jeunes gens qui entrent dans la science. Vous avez
cru
connaître le principe de la vie ; c’était aussi u
gt; TOME IX. — W° 130. — JUILLET 1850. 12 Après do tels aveux, je
crois
qu’en effet nous ne sommes pas éloignes de nous e
restreins considérablement; voilà seulement en quoi nous différons.
Croyez
-moi, on a trop voulu matérialiser le magnétisme,
voulu matérialiser le magnétisme, qui est tout âme, tout esprit. On a
cru
le faire accepter plus facilement, en comparant l
s les contestez à l’âme, tout en reconnaissant cependant, j’aime à le
croire
, que c’est l’âme qui lance et qui dirige le fluid
me, pour entrer dans le monde de la vérité et du dévouement. J’aime ù
croire
, avec mes crisiaques, que le magnétisme est tout
ts à la Société mesmérienne fondée à Troyes, par M. Jules de Rovère ,
croient
devoir, dans l’intérêt de la science et de la vér
vent, surgissaient sans qu’on pût leur assigner une raison d’être. On
croirait
voir dans ces causes d’arrêt une influence occult
mps ultérieurs la réalisation de la chose qu’il veut établir et qu’il
croit
apte à l’émancipation. Cette résistance occulte e
nement disparaître ; mais c’est toujours un retard, et qui sera long,
croyez
moi. Voici, du reste, les circonstances qui m’o
e bonne mémoire, faire ces tours de divination que llobert-Oudina, je
crois
, imaginés le premier, et qui onl été, depuis, cop
e sur les grands hommes, tels que César, Napoléon, Lamartine, qui ont
cru
aux horoscopes, aux sibylles ! Et pour prouver qu
heure connaître les motifs. Voici la liste des propositions qu’il a
cru
devoir vous soumettre relativement aux médailles
puleux exameu, y a vu de» titres réels aux encouragements du Jury. Il
croit
qu’un tribut d’éloges et de reconnaissance est dû
aient les propriétés qu’on attribuait au magnétisme. Les sots, qui se
croient
toujours les plus clairvoyants, virent dans les d
ravaux de M. Juffey nous semblent-ils dignes d’encouragement, et nous
croyons
que vous ferez un acte de haute équité en lui acc
un blâme doit-elle empêcher 1 accomplissement d’un devoir? Nous ne le
croyons
pas. M. Yallette, négociant à Poiliers, a contr
ine magnétique est la première des médecines, je suis fort loin de la
croire
d’une application universelle ni absolue; je croi
s fort loin de la croire d’une application universelle ni absolue; je
crois
, au contraire, qu’il faut y apporter beaucoup de
objet. Personne ne s’étant jusqu’alors occupé de celte question, je
crois
devoir prendre l’initiative d’une convocation, à
volée de coups, afin de vous faire perdre tout à fait l’esprit, qu’il
croit
déjà malade et détraqué; si vous étiez 'moins loi
une personne vient savoir ce que nous voulons. Moi, dans mon idée, je
croyais
avoir affaire à des lo-rettes, je dis : C’est ici
hef des magnétophobes, le rédacteur en chef de l’union médicale s’est
cru
obligé d’insulter les magnétistes à propos du pro
on discutée par mes honorables confrères Ordinaire et Perrier, je les
crois
résolues, et je les regarde comme la base de la d
que les passes étaient inutiles pour l’émission du fluide auquel ils
croient
, et que la volonté suffisait. Je ne pense pas que
nambule , dont l’infaillibilité, pendant dix traitements, m’a forcé à
croire
à sa parole comme à la parole de Dieu, pendant qu
avais rencontrés dans l’application du mesmérisme; il ne voulut pas y
croire
, et demanda à s’assurer par lui-même de ce qu’il
toyens Ordinaire et Perrier, au sujet de la médecine magnétique; nous
croyons
devoir en présenter le résumé à ceux qui ne lisen
, pour entrer dans le monde de « la vérité et du dévouement. J’aime à
croire
avec mes « crisiaques, que le magnétisme est tout
tique, à la guérison des maladies ( i). Le Christ a dit : « Celui qui
croit
en moi fera iui-même a les œuvres que je fais, et
défense du magnétisme, que devait-il faire en cette occurrence '!1 11
crut
alors qu’il était de son devoir d’éveiller l’atte
iconque fait du magnétisme public, avecrétributjon ( i). Nous voulons
croire
du moins que les basses jalousies, les mesquines
rques de sympathie les plus honorables et les plus touchantes. Nous
croyons
être agréables à nos facteurs, en publiant les te
les merveilles qu’il nous a révélées. Mesmer et ses successeurs ont
cru
, mais probablement sans raison, que les phénomène
res. Mesmer ne s’est pas borné à imaginer le fluide magnétique : il a
cru
pouvoir déterminer la loi de ses mouvements et to
ent être contraires aux lois ordinaires de la nature; on est tenté de
croire
que l’on esl dupe de quelque illusion , qu’on est
dupe de quelque illusion , qu’on est séduit par quelque prestige; on
croit
involontairement à l’action de puissances surnatu
us avons assignées aux phénomènes naturels. Sans doute il ne faut pas
croire
ce qui répugne au bon sens et à la raison; mais n
s connaissances actuelles pour les limites de la raison. On refuse de
croire
à des choses que 1 on ne peut comprendre. Mais qu
Si l’on examine sévèrement tout ce que nous savons, tout ce que nous
croyons
fermement, si l’on observe bien la constitution d
es ses habitudes, nous sommes tentés de crier au miracle ou de ne pas
croire
, sans faire attention, que tout, à ce point de vu
? Bornons-nous à les observer, à les constater, et ne refusons pas de
croire
à des réalités que n’empêcheront pas nos dénégati
lement des phénomènes magnétiques, si le magnétisme est ou n’est pas.
Croyez
-vous au magnétisme? dit l’un. C’est une folie, ré
e jonglerie; il n’y a plus de miracles de nos jours, dit-il ; on ne
croit
plus ni aux sorciers ni aux oracles. Existe-t-i
dans les visions d’un organe en délire les présages de l’avenir; on a
cru
reconnaître dans un inintelligible et fantastique
e fait-il? que se passe-t-il? Nous l’ignorons. On est tenté de ne pas
croire
; mais ces phénomènes ont été mille fois constatés
e à la dame dont il est question. J’excitai ses éclats de rire ; elle
crut
que je voulais plaisanter, que je ne parlais pas
it écrit, sans briser le cachet bien entendu, les mois suivants: Pour
croire
, il faudrait voir; telle était, en eflet, la phra
ire immédiatement, et ajouter, s’il se peut, à votre étonnement. Ne
croyez
pas toutefois que cette puissance extraordinaire
l ne le sait; on n’aperçoit aucun moyen de le découvrir ; on hésite à
croire
ce qu’on voit et ce qu’on entend; on ne songe pas
n principe immatériel, une âme servie par des organes, sont forcés de
croire
qu’il existe un lien insaisissable par lequel l’â
ui en entendait le récit partageait cette superstition ou refusait de
croire
; il était superstitieux ou incrédule, homme simpl
les surprises et toutes les causes d’erreurs, mais ne refusons pas de
croire
à des réalités que nous voyons sans pouvoir nous
a cause ou du moins la loi de ces phénomènes que nous ne voulions pas
croire
. Les hommes ont cru, pendant des siècles, que la
loi de ces phénomènes que nous ne voulions pas croire. Les hommes ont
cru
, pendant des siècles, que la foudre annonçait la
ésident à tous ces miracles; nous serons honteux de n'avoir pas voulu
croire
que les somnambules pénètrent nos pensées et aper
arer, à la suite de ces visionnaires, de ces fanatiques aveugles, qui
croient
tout possible aux somnambules , qui descendent à
dent à leur suite dans les tombeaux, s’élèvent de là jusqu’aux cieux,
croient
pouvoir pénétrer avec eux jusqu’aux impénétrables
soumis aveuglément à toutes vos volontés et à vos caprices, a été, je
crois
, un peu exagéré; il n’existe pas au moins dans to
B"*a bien voulu nous permettre de déiacher ce morceau, qui contient,
croyons
-nous, ce qu’on a dit de plus fondé et de plus s
sez marquant dans la médecine pour que l’éditeur de VIllustration ait
cru
devoir souligner l’autorité de son savoir? Nous l
es poursuites , que beaucoup de gens, d’ailleurs fort honorables, ont
cru
qu’il s’agissait d’une persécution scientifique,
asse de brochures que vous avez fait remettre au tribunal ; vous avez
cru
, sans doute, qu’il en prendrait lecture et pourra
moin principal, ne s’était pas présentée à la première audience, je
crois
qu’elle n’esl pas présente encore aujourd’hui. Je
us tard, à Paris, nous racontions ces faits à un personnage que je ne
crois
pas devoir nommer, un comte, tristement célèbre d
de la Sibylle moderne ? — R. Oui. D. Ne cherchiez-vous pas à faire
croire
qu’elle guérissait les maladies?— Oui, c’était ma
avait la certitude que jetais réellement somnambule et lucide ; il a
cru
pouvoir me donner en confiance quelques blancs-se
serment de ce genre ne sera pas mieux tenu que tant d’autres. Nous
croyons
pouvoir affirmer par expérience, que les somnambu
clion des planètes ; il reconnaît la puissance de la volonté; mais il
croit
que, pour diriger l’action de celte volonté, il f
t il serait difficile de nier la salutaire influence. Nous ne pouvons
croire
que son analogie avec certaines pratiques magnéti
paraissaient si essentielles à observer, que les médecins de ce temps
crurent
devoir les re- (1) Galeni Opéra, ibid , p. 70.
du vulgaire tous les secrets de leur doctrine médicale. Si l'on en
croit
Apollonius de Tyanes (2), les Indiens obtenaient
rticle, ne nous permettent pas de poursuivre ces citations; mais nous
croyons
, d’après cet exposé, que le scepticisme des homme
un livre sur les faits mystérieux du magnétisme et de la magie, j’ai
cru
devoir placer le lecteur à mon point de départ, d
la plus essentielle sera réservée et publiée avec ces documents : je
crois
qu’elle serait déplacée dans ce Journal. Je com
nt laissés de fuir. J’aimais passionnément la lumière du soleil. Je
crois
que si l’on m’eût mis au cachot, on eût obtenu de
tement la mousse. Toute la nature avait pour moi des harmonies que je
croyais
ressenties par toutes les créatures. J’étais ravi
és, par l’emploi des procédés magnétiques, aide de ma volonté; car je
croyais
que, jusqu’à un certain point, ces faits pouvaien
e me résignais, le magnétisme s’était comme personnifié en moi, je me
croyais
un de ces flétris de par la science, portant sur
ce, lorsqu’il aperçoit le triomphe. Sa lâche, esl alors accomplie, il
croit
avoir été l’instrument de la Providence pour acco
t à la tourmente révolutionnaire ; ils étaient tous d’un certain âge,
croyaient
, mais prenaient pacifiquement leur parti, à la vu
s vont commencer, j’avais dormi sur des feuilles de roses! Je m’étais
cru
malheureux jusqu’alors; et enfin, tout près du po
ture, mais nageant en plein dans le fleuve de la science , à ce qu’il
croit
du moins. C’était donc un troisième degré d’ini
voir paraître devant moi tous les ministres de la mort, tous ceux qui
croient
que le inonde se gouverne par les lois inscrites
une roule où , bon gré malgré, nous serons contraints de marcher? Je
crois
à la destinée. On verra plus lard sur quoi je fon
es; ils vont prendre au milieu « des infirmités humaines celle qu’ils
croient
incu-« rable; tu la guériras sous leurs yeux, par
la foi, l'espérance et la charité ; lisez mes livres. » Puységur : «
Croyez
et veuillez, c’est la clef du magnétisme. » Oh! o
tre adresse, pour que vous me distinguiez comme un saint homme: je ne
crois
pas à la sainteté; mais je crois aux martyrs* je
tinguiez comme un saint homme: je ne crois pas à la sainteté; mais je
crois
aux martyrs* je crois à la souffrance; il fut un
t homme: je ne crois pas à la sainteté; mais je crois aux martyrs* je
crois
à la souffrance; il fut un temps où le dédain qu’
s divulguer des vérités propres à vous éclairer; mais lorsque vous me
croirez
méchant, je ne serai que juste. Je laisserai la c
mprunt à aucun livre, afin qu’il n’y ait aucun mélange; non que je me
croie
plus infaillible que tous, mais je veux prouver q
n bienfaisante du fluide, et , le lendemain, le vétérinaire n’en peut
croire
ses yeux en la retrouvant vivante. Cependant une
n, sur le magné.isme. C’était un des académiciens les plus loyaux. Il
croyait
à l’existence des effets physiologiques qu’il ava
ons pas douter de son origine magnétique. Cependant tout nous porte à
croire
que la plupart de ceux qui se livraient à ces pra
mystérieuses n’en soupçonnaient pas les propriétés, et si nous avons
cru
devoir rapporter à la médecine d'imagination le p
on de revenir à l’étude de ce procédé. De l'insufflation. Il faut
croire
que l’opinion généralement admise, que la respira
mpues. » Le père Gaspard Schott (2) reconnaît que de son temps l’on
croyait
aux influences salutaires de l'insufflation, mais
et exige un examen approfondi. « Ce procès, Messieurs, s’il faut en
croire
les appelants, aurait la plus immense portée; «
êt solennel sur la doctrine des Puységur et des Deleuze. « Il est à
croire
que le ministère public n’adoptera pas précisémen
us vous avons déjà fait observer, Messieurs, comment la défense avait
cru
devoir élargir les débats de cette affaire, en do
des faits incriminés. « C’est sous l’empire de cette idée que nous
croyons
devoir vous soumettre, Messieurs, quelques simple
res pour l’examen du magnétisme animal, dont le travail, s’il faut en
croire
les appelants, ne serait qu’une diatribe violente
ette merveilleuse et nouvelle science occulle, nouvelle, s’il faut en
croire
ses adeptes. « Or donc, il s’est rencontré des
nce dans cette affaire sépare le ministère public et la défense. A en
croire
le défenseur, les époux Mongruel seraient des mod
bord quels sont les effets du somnambulisme auxquels il est permis de
croire
de bonne foi. « En second lieu, si les époux Mo
modération et la réserve qui sont un devoir en pareil cas, et dont je
crois
ne m’èlrc jamais départi. On a bien voulu me donn
# contre l’esprit d’invention par ces gardiens du passé. Mesmer avait
cru
avoir à se plaindre des savants autrichiens, il v
années de fatigues, de luttes quotidiennes, de démarches stériles, il
crut
avoir déterminé l’Académie des sciences à examine
par le gouvernement commencèrent leur examen ; il es! difficile de
croire
qu’ils aient échappé à la prévention que ce précé
des partisans qui étaient les plus riches étaient les plus avares. Je
crois
que c’est ainsi en toutes choses, aussi vaut-il m
ans une sorte d’athénée, passage du Saumon. Cet établissement, que je
croyais
honorable, était tenu par Robert-Macaire et Bertr
peine. Mais j’étais si bon garçon, que j’en l is le premier. Je me
croyais
bien payé par les soixante ou quatre-vingts élève
ent la superstition pour cet animal à un point qu’il est difficile de
croire
. Dans le langage de ces nègres, le mot vaudoux si
cer des maléfices, malgré noire incompétence sur celte matière, nous'
croyons
pouvoir exprimer l'opinion qu’il y aurait faibles
. le présidert. Et vous a-t-elle demandé de l’argent ? Marinier. Je
crois
bien; elle voulait avoir 70 fr., mai» je n’ai con
ro, en définitive ? Marinier. Oui ; je l’espère, du moins ; mais je
crois
que ce n’est pas sa faute. (On rit.) Le jeune M
me causai! les douleurs dont je souffrais. M. le président. Et vous
croyez
à tout cela ? — R. Non; mais quand on est malade,
tique, mais pas pour l’endormir. D. Enfin vous l'endormiez? — R. Je
crois
que oui. D. Vous n'êtes pas sûre ? — 11. J'ai p
r l’endormir, alors je l’ai fait et elle s’est endormie; oh ! oui, je
crois
bien qu’elle dormait. Le sieur Jules Isaac reco
cheur; le public ne sait pas ce que c’est qu’un officier de santé, il
croit
que c’est un médecin de l’armée. le sieur maric
lles, rien n’est changé. Pendant que le public en masse est disposé à
croire
, elles seules résistent et s’obsli-nent à fermer
e; quant au magnétisme pur, dégagé de tout alliage psychologique , je
crois
que toute discussion devient oiseuse. Dire aujour
l s’agissait de lame et de ses facultés. M. Ilen-nequin dit qu’il 11e
croyait
pas au magnétisme animal, traita de dupes les par
il serait convaincu, que.son auditoire pourrait ne pas l’être, et le
croire
un compère. Enfin la raison majeure, la raison dé
le métal, les cachets et les soudures. » Mais la raison vraie , ne
croyez
-vous pas avec moi qu’elle serait plutôt celle-ci
alent leur propre ignorance au grand jour. Je connais des enfants qui
croient
être initiés, et qui disent : Venez, je vais vous
euls. Espèces d’imbéciles dont le monde fourmille, et qui pourtant se
croient
des litres à l’im- mortalité. Agissant sur des
hommages, comme cet âne de la fable qui portait des reliques. J’ai
cru
longtemps à la haute science de ces cerveaux fêlé
acles , vous êtes des rêveurs; vous n’êtes point sur la route où vous
croyez
marcher. L’homme qui sait dit peu ; mais it fait
el.... Les habitants de la terre verront maintenant, quoiqu ils ne le
croient
pas, que mourir c’est naître de nouveau.....» C
l'avantage de sa sincérité. C’est pourquoi nous avons toute raison de
croire
que le Solon que Davis nous présente est un Solon
i l( tles habitants des sphères célestes, nous sommes obli-|e gé de
croire
que Solon a oublié, pour 1111 instant, sa )n qual
be ; et l’on pourrait, paraphrasant sa pensée, lui dire : Ce que vous
croyez
est possible ; mais seulement cela n’est pas. L
érison complète. Plusieurs des témoins susnommés, interpellés s’ils
croient
avoir été victimes d’escroquerie de la part de Mm
édecins, et que sa femme a été guérie par elle d’un mal de sein qu’il
croit
avoir été un cancer. 180 m“” GouiiiER, demeuran
ndu plusieurs fois M. Chapelle faire l’éloge de M“' Rose ; dire qu’il
croyait
à sa lucidité, et que 9a femme se trouvait bien m
fs de prévention. Au lieu de suivre l’ordre du ministère public, nous
croyons
indispensable de commencer par réfuter l'imputati
e suivre, à travers les âges, la marche du magnétisme que nous devons
croire
aussi ancien que l'humanité. Sans doute, le défau
isme du dernier siècle, qui rejeta tout ce qu’il ne put expliquer, et
crut
par li prouver la supériorité de sa raison. Il ne
xtrêmes se place le philosophe qui, guidé par le doute méthodique, ne
croit
rien qui ne soit démontré, et est d’autant plus e
bienveillant pour le maguélisme, devint tout à fait hostile dès qu’il
crut
voir une concurrence s’élever contre ses privilèg
tout ce qui était étranger à son enseignement ? On serait tenté de le
croire
eu écoulaut le ministère public qui, évoquant les
stifier les épiIhètes acerbes et violentes dont le ministère public a
cru
devoir se servir. Pour la traiter d'infâme, il fa
s spéciaux ? Nullement ; il semble qu’il suffise d’affirmer pour être
cru
. On va plus loin, on exige que la prévenue démont
s de mie de pain de Corvisart, ou ces onguents miton-mi-taine dont on
croit
faire l’éloge en disant que s’ils ne font pas de
rait pu être le mobile d’un acte aussi odieux qu’insensé ? Et comment
croire
que ce jeune homme, après s’être accusé comme le
tement des malades; c’est là une mission grande et humaine qu'elle se
croit
appelée à remplir, et à laquelle elle se dévoue.
ent vrais, ils seraient encore sans conséquence dans la oause. Nous
croyons
avoir (ail justice de l’accusation d’escroquerie.
ucune responsabilité, pas plus que dans les cas nombreux où le malade
croit
devoir modifier l’ordonnance du médecin , soit d’
s, ingambes et dispos, vous certifier qu’ils se portent bien, faut-il
croire
aussi que nous tous qui voyons aujourd’hui leur s
se mettent à guérir. S'ils ont si peu réussi jusqu’à ce jour, U faut
croire
que leur science est bien au-dessous des intuitio
Rose Palrix de tous les griefs accumulés contre elle : bien plus, je
crois
vous avoir prouvé qu’elle mérite votre estime et
qu’elle salue avec enthousiasme du lilrc de bienfaitrice, ne pouvant
croire
que la vindicte publique ait à frapper une person
nce de cinquante esprits-forls, elle fut loin d’être concluante, à en
croire
la relation que lesdits esprits-forts se hâtèrent
renant qui s’esl produit celte semaine à Bath. « Un monsieur qui ne
croyait
point au mesmérisme, M. Manguin, voulut transmett
ait le magnétisme. Nous montrerons à nos antagonistes que ce qu’ils
croient
mort est plein de vie, et que jugement d’Académie
e (2) admettait dans l’homme un axe polaire, et (Nicolas de Locques(3)
croyait
que l'homme possédait, comme le grand monde, son
constances, faire la part de Y imagination. Mesmer et ses partisans
croyaient
encore que le son communiquait, propageait et aug
IIarmonie de Strasbourg, l’est également de mon action magnétique. Je
crois
à l’existence en moi d’une puissance; de cette cr
comme si, en nous quittant, vous emportiez tout avec vous. Mais non,
croyez
-moi; des intérêts opposés ont bien pu faire tombe
Swedenborg. I. Continuellement à la poursuite de ce fantôme qu ¡1
croit
le bonheur et qu’il s’imagine toujours être sur l
un autre terrain que le sien, mais elle ne le détruit pas, et ce que
croit
l’homme ou ce qu’il espère reste toujours debout
rdinaire, lorsqu’il lui arrive d'être vraie; et nous sommes disposé à
croire
que l’action magnétique donne plus de force, de v
int, l’extatique de New-York est moins ferme que Swedenborg; il ne se
croit
pas tout à fait invincible, et avoue naïvement qu
de la direction de ses affaires, il fait une lourde bévue, en faisant
croire
par là qu’il fut mis à la tête de toute la Grèce,
normal. Pour bien établir la réalité de ce pouvoir chez Davis, nous
croyons
qu’il suffît de rappeler sommairement la circonst
uels il a soutiré, au moyen d’un phénomène bien connu , tout ce qu’il
croit
révéler. Sur ce point, Swedenborg était dans un
, et mieux et plus vite qu’autrefois. Mais le malade et l’assistance,
croyez
-vous qu’ils se fassent de M. le professeur la mêm
cravate, lit vous aussi, mon cher et savant ami, Monsieur Rigal, vous
croyez
être utile à vos confrères, avec votre nouveau sy
igal, il vous dira : Ce n’esl que ça? ça ne vaut pas davantage; il se
croira
quitte envers vous avec quelques pièces de menue
le ne sera pas condamnée. » L’oracle avail parlé; c’est ainsi qu’on
croyait
faciliter les investigations de la justice, et ar
« Interrogée au sortir du sommeil pour savoir combien de temps elle
croyait
avoir dormi, la patiente répondit : Environ deux
risons spontanées, que la crédulité a puissamment exagérées, nous les
croyons
fort limitées, et nous les rattachons spécialemen
ur la distance qu’il faut observer. Quant aux courants digitaux, nous
croyons
l’effet de la distance moins constant; et nous n’
hef-d’œuvre de Dieu, est encore inconnue des savants, et pourtant ils
croient
connaître l’homme en en ayant seulement étudié la
évision, instinct des remèdes, pénétration des pensées les plus se-
croies
, telles sont quelques-unes des réalités saisissan
ne sommes que les précurseurs d’un ordre nouveau; car nous ne pouvons
croire
à la chute du monde. Comprenez bien, Messieurs ,
au-dessus d’eux-mêmes et les rapprocher de Dieu. « Tel fut, nous le
croyons
, le but de l’Éternel en révélant ce suprême pouvo
Maint docteur, dans son rapport, De Mesmer plaignant le sort, Le
croit
mort ; Il a fort : Le bonhomme vit encor. L
our faire diversion aux entretiens didactiques, avec une fable de son
cru
, dite avec une bonhomie si malicieuse que les rir
e, Il faut l’assommer I — Moi, je vois, Dit l'un d'eux. — Moi, je
crois
, S'écrieun myope en colère, Que vous lui serv
nfin, quand le ballon fut prêt A se poser h terre, Il fallut bien
croire
et se taire; Hormis les aveugles pourtant, Qu
s il eût mieux valu le faire auparavant. Mes amis, vous pouvez m’en
croire
, Ce conte-ci n'est que l'histoire De tous les p
dre jusque dans les régions éthérées. « Oui, Mesdames et Messieurs,
croyez
-le bien, les apôtres de Mesmer triompheront de to
phes d’une composition, intitulée]’^« d'or, que M. le président avait
cru
prudent d’amputer et que nous ne reproduisons pas
, après les avoir savourés, sentiront l’immortalité de leur nature et
croiront
en Dieu. nÉBERT (de Garnay). W II. Plusieurs
Belgique. L’art. 18 de la loi du îa mars 1818 , en vertu duquel on
croit
pouvoir interdire le magnétisme, est ainsi conçu
do 5 francs. Cette loi est la seule dans laquelle le législateur a
cru
devoir poser des règles à l’exercice de l’art de
e curatif? Pour faire à cette demande une réponse satisfaisante, nous
croyons
utile de distinguer et de diviser ainsi la questi
; elle nous paraît d’une solution facile. Nous n’hési- Ions jias à
croire
que la magnétisation directe ne peut être déclaré
xercice de l’art médical, se sont trouvés d’autres magistrats qui ont
cru
y découvrir des actes tombant sous l’application
somnambuli-ques et autres de manœuvres frauduleuses destinées à faire
croire
à des événements chimériques. D une pari, donc,
aine étendue paraissant suffire à son développement. En analyse, nous
croyons
la position favorable, et maintenant que la lutte
ur la propagation de nos idées sur une large échelle, el lout porte à
croire
qu’on ne les abandonnera pas. Pour bien pénétre
écompté, ne saurait nous intéresser que comme spectacle (i). * Nous
croyons
que pour obtenir un résultat utile, efficace, le
continua-t-elle, comme je me sens bien près de vous!.... Attendez, je
crois
que je me dilate; je vois mieux, je respire plus
homme pour les gens que je heurtais en passant; mais pour moi, je ne
crois
pas que je m’appartenais à ce titre, en tout cas
e l'auras pas encore vu; il sc cachera sous des habits d’homme, et tu
croiras
parler à un homme, et son œil, ombragé par des so
ules de doute ; je ne suis point superstitieux, pourtant, eh bien! je
croirais
voir le malheur s’élever contre moi, si je contre
eux, 011 vertu d’un rapport établi naturellement? 11 est permis de
croire
à quelque sympathie semblable ; car l'effet cesse
e. Quant aux termes scientifiques dont Louise se servit, nous avons
cru
qu’il y avait communication de pensée entre elle
ns cru qu’il y avait communication de pensée entre elle et moi; je le
croirais
d’autant plus, qu’il me semblait dans ce moment q
sentiments divers que cette solennité a provoqués ; mais, si l’on en
croit
les on dit, il paraît que la fable de M. Jobard a
ux mentir à leur conscience que d’avouer un fait qui les déborde. Qui
croient
-ils donc tromper par celte continualion d’injures
motifs de nous réjouir. 111- IÎEKT (de Garnay). Tribunaux. — Nous
croyions
avoir fini avec les poursuites et débats judiciai
i avec les poursuites et débats judiciaires, mais nous avions tort de
croire
la campagne achevée. Voici la suite. TRIBUNAL D
mmet aucun délit; bien plus, son devoir est de les prescrire s’il les
croit
utiles au malade. L annonce et la vente de ces re
it secondée par d’adroits intermédiaires, et même, on aura peine à le
croire
, par un prêtre, M. Ilanz Theyer, curé de Scheinba
la malade, dans l’état de faiblesse où elle se trouvait. « On peut
croire
que si le Dr G. Ilays se fût rendu un compte exac
e, journal de Bordeaux, du 8 mai : « Nous ne sommes pas de ceux qui
croient
aveuglément aux merveilles; nous n’avons pas ajou
dieuse, que sa mère, qui la suivait à quelques pas , n’en put d’abord
croire
ses oreilles. La jeune somnambule disait des chan
savants. « Mesmer n’en est point l’inventeur, comme on pourrait le
croire
, mais il en est le révélateur moderne. « On obt
ir su s’affranchir du servage qu'impose la science ollieielle. J’ai
cru
devoir, Monsieur le baron, vous donner connaissan
ions.... Or, voici cc qu’on lit au paragraphe 29J de VOrganon : «Je
crois
nécessaire de parler encore ici du magnétisme ani
ience scientifique des pharmaciens, ceux-ci refusent de les exécuter.
Croyez
-vous que ce soient là des motifs propres à favori
alisme de votre moyen curateur vous impose l’obligation expresse de
croire
à 1 homéopathie et d'adopler ses formes posologiq
nais du 11 de ce mois, faisait aux magnétiseurs un reproche dont j'ai
cru
faire justice dans Y Abeille du i5. Mais dans \'O
s se trompent, et à faire du bien quand ils rencontrent juste. Je les
crois
sur parole, n’ayant moi-même aucune compétence en
ation d’appliquer le magnétisme à doses très-atlénuées. Nous aimons à
croire
que M. Taxil n’a eu sons la main qu’une édition c
ison instantanée rapportée par saint Luc, et citée par M. Taxil, nous
croyons
devoir encore citer les paroles pleines de réserv
oses très atténuées du magnétisme à M. Aubin-Gauthier, dont on aime à
croire
que nous n’avons de son excellent traité pratique
sable utilité des doses atténuées, des doses hahne-manniennes. Nous
croyions
à la retraite; ce n’en était qu’un simulacre. Si
ne suis pourtant pas de ceux qui doutent quand même, et pour me faire
croire
à l’une ou à l’autre de ces sciences, il suffit d
gieux, si la prédiction se réalise; cependant j’avoue que j’aime à ne
croire
aux choses que lorsqu’on m’a mis le doigt dessus.
n da : « Quand faudra-t-il vous délivrer?» Elle répondit : « Je
crois
qu’on peut le faire à présent. — Eh bien ! c’es
Après avoir lu avec attention ce livre remarquable, nous n’avons pas
cru
pouvoir en faire une appréciation plus juste que
upe du magnétisme. Vous m’avez même écrit, dans le temps, que vous me
croyiez
assez de force magnétique pour réussir dans des e
hommes de science, de littérature ou de connaissances générales, qui
croyaient
au magnétisme. Depuis longtemps j’ai eu l’intenti
ar celui-ci dormait, a copié l’écriture de Rizzio qu’il voyait, et je
crois
même que l’on pourra découvrir les pièces qu’il a
acé et suivi un homme qui, très-probablement, n’existe plus; et je ne
crois
pas qu’un songe puisse présenter de tels caractèr
; et, comme dans les expériences magiques de M. du Potet, le sujet se
croit
être un personnage quelconque, et agit ('n conséq
e même, et pour le mode de guérir cl pour le paiement. Eh bien ! le
croiriez
-vous, Monsieur, si nombreux que soient ces sortes
cidence des conditions et des résultats est même telle qu’on pourrait
croire
à une copie , bien qu’ils opérassent simultanémen
e l’électro-biologie, comme M. de Jourdain faisait de la prose.....On
croirait
que c’est là de l'ignorance; mais je suis persuad
hose sublime, pour une cause sainte, nous fait regretter que M. Fiske
croie
pouvoir renforcer son action au moyen de gestes e
'il fait à l'appui de sa théorie. S’il suffit do voir un fait pour le
croire
, c'est en s'adressant au sens qu’on peut réussir
er dans le sanctuaire de la science biologique. Il avait été induit à
croire
qu’en mettant un ivrogne en contact avec un bouto
ouvelle science de la biologie, science remplie d'intérêt saisissant,
croient
devoir exprimer leur satisfaction de la manière d
oilait ses mystères, cl, ail riglit lui-même, il se sentait disposé à
croire
qu’il était aisé de faire arriver tout le monde a
as. AU right! donc, ail right ! éveille-toi ! Au diable la bûche ! Je
croirais
presque qu’il n’est pas ivre-mort, poursuivait Ti
de toutes ses forces. Il y a eu bientôt, en moins de deux heures, je
crois
, un retour de chaleur, mais aussi d’efforts à vom
as acheté « le secret » de la prétendue « nouvelle science, » mais je
crois
l’avoir deviné, pour avoir écoulé et observé le p
est vrai que c’est, sinon ce que j’en sais, du moins tout ce que j’en
crois
. Ne voyez dans cette prétendue nouvelle science,
rt des vôtres , sur des personnes non « somnambulisées, et même, nous
croyons
, non « somnambulisables, je vous prie de qualifie
us servez? Moins avares que vous-mêmes, nous donnerions tout, et nous
croirions
bien faire!.... Halte-lâ! mes amis, il en est par
çà et là le grain que (1) Voyez la page 172 de ce volume. (2) Je
crois
avoir laissé assez de temps a tous les hommes qui
es les passes magnétiques dont ils ne connaissent pas l’objet. Ils ne
croient
pas vrais les faits que des hommes laborieux, con
e pas frappé d’une stupide incrédulité, quoiqu’on n’explique pas; 011
croit
parce qu'on voit. De même, le simple mouvement
rce qu'on voit. De même, le simple mouvement du doigt devrait faire
croire
à un courant d’un fluide nerveux ou magnétique, l
urs vous entretiennent; observez-les de vos propres yeux, et vous les
croirez
. Vous finirez par les produire vous-mêmes, et les
. II. Tout est donc mystère autour de nous, et si nous ne devions
croire
que ce qu’il nous est donné d’expliquer, nous ne
us ne devions croire que ce qu’il nous est donné d’expliquer, nous ne
croirions
presque à rien. Mais puisque nous sommes forcés d
mmode : « la cautérisation de l’hélix » est si vile faite I mais nous
croyons
le magnétisme bien préférable, et en supposant qu
u point de vue pratique. ¡Notre devoir est de combattre cc que nous
croyons
être l’erreur partout où nous la rencontrons, de
lu avec beaucoup de soins vos petits essais..... et que nous avons
cru
devoir les entourer de quelques réflexions homé
nerveuses », et ce cadre n’est pas aussi restreint qu’on pourrait le
croire
. Le système nerveux se ramifie à l’infini : chacu
ous ne parlons pas de ces soi-disant docteurs qui disent ne vouloir «
croire
au magnétisme que lorsqu’il remettra une jambe ca
euillez avoir la bonté d’y réfléchir, Monsieur J. 15. Nous aimons à
croire
que vous ne nous rangez pas, malgré notre faibles
nt nous parlons. Éveillé, c’est autre chose. Alors, volontiers, on le
croirait
endormi, tant il semble absorbé dans une contempl
trouverez à l’endroit que je vous indique. » « Personne ne voulait
croire
à l’exactitude de ce renseignement, mais force
ir un instant pour lire, par la pensée, cette courte phrase : Je ne
crois
pas au magnétisme. « Yous y croirez maintenant,
ée, cette courte phrase : Je ne crois pas au magnétisme. « Yous y
croirez
maintenant, général, lui dit Alexis en souriant.
éliminaires, a enfin dit sa pensée; elle est claire et précise, il ne
croit
point au magnétisme, un sien ami a voulu l'endorm
Voilà déjà tant de fois que l’on nous enterre, que nous commençons à
croire
à notre immortalité. Ah ! Monsieur l’iourens, vou
a nature, et en sachant les mettre en jeu, est presque incroyable. On
croit
que Zoroastre a été leur chef. Il est possible qu
phénomènes produits, et plus encore par l’Ecriture. Voici comment ils
crurent
l’expliquer et la rendre de sensible. Admettant l
t Verbum, et Deus erat « Verbum. » I.es manichéens et les maguséens
croyaient
que la matière a la perception et le sentiment, e
ble à un petit souffle, frais ou tiède, dont les personnes sensitives
croient
sentir la douce haleine. Parfois ces êtres irrita
conçois vos agitations, mon ami, vous n’êtes pas de ces médecins qui
croient
n’avoir plus rien à apprendre, parce que la Facul
r il faut retourner à ces années déjà lointaines où on vous disait de
croire
à des êtres surnaturels , à une doctrine toute sp
s qui existent entre ces dogmes que vous avez rejetés quand vous avez
cru
avoir de la raison, et les nouvelles idées que le
x vous découragent; ce n’est pas à vous seul qu’il faut s’en prendre,
croyez
bien que l’individu sur lequel vous voulez agir e
t prêle pour la mestnérisalion des malades. « D’abord, le comité ne
crut
pas devoir prendre plus d’un magnétiseur, le secr
euse que, ayant admis des femmes au nombre des patients, nous avons
cru
tl«'-jà devoir employer une femme pour magnétiser
ambulisme mal développé, la crédulité des personnes trop empressées à
croire
au merveilleux. Qu’on sache bien que nous n’avons
ts convenablement dirigés, puisse rendre d’immenses services, nous ne
croyons
pas à leur infaillibilité, et nous ne saurions tr
re cadre restreint ne nous permet pas d“ décrire, mais il ne faut pas
croire
qu’il soit indispensable de produire ce sommeil p
oiqu’il n’y ait pas de lucidité véritable dans ce somnambulisme, nous
croyons
qu’on peut compter sur la guérison pourvu toutefo
u refroidissement du cadavre; et nous avons dit que des gens que l’on
croyait
bien morts, entendaient pourtant tout ce qui se d
faisait réussir ou échouer les entreprises, etc. a lit que l’on ne
croie
pas que la clientèle de cette prétendue sorcière
la lumière, a été nié par eux pendant quatre vingls ans, on ne voudra
croire
l’histoire; et lorsque, forcé d’admettre cette én
insi que l’espèce humaine, l’impression du magnétisme , mais nous les
croyons
incapables de transmettre notre fluide tel que no
5° Par l’eau. Dans tous les temps et chez tous les peuples, on a
cru
l’univers peuplé d’esprits, les uns bons, les aut
it d’après la nature de l’objet que l’on se proposait (2). Si l’on en
croit
saint Thomas d’Aquin (5), l’eau bénite avait le p
aint Macaire, qu’on amena à ce pieux solitaire une jeune femme qui se
croyait
changée en jument. Saint Macaire la fil plonger d
Non ; et, sans porter atteinte aux intentions de la Providence, nous
croyons
pouvoir affirmer qu’une eau consacrée avec la vol
merveilleux, que je craignais de me faire illusion , et je n’ai pu y
croire
qu’après des milliers d’expériences. » Le marquis
que soutenait le courage des guerriers. C’est à Pythagore, si l’on en
croit
Jamblique (2), que nous sommes redevables de l’in
est des aliénés à 1 état desquels la musique convient, il ne faut pas
croire
que toute sorte de musique puisse également réuss
tisme prétextèrent aussi qu’il n’existait pas ; mais le public ne les
crut
point, et le magnétisme continua son chemin. Ils
a qui ont soutenu l’un et l’autre : témoin celui qui a dit qu’il « ne
croirait
pas les faits qu’il produirait lui-même, » et qui
n accès de délire qui fit craindre un instant pour sa raison. Elle se
croyait
enterrée vivante, et il lui semblait voir la main
on magnétise. Il faut qu’il s’éloigne au plus vite. Eh bien, celui-là
croit
, il fait un article où il dit ce qu’il a éprouvé,
prépare souvent des orages. Redoublez de soins et d’attentions ; ne
croyez
point votre œuvre accomplie; agissez encore comme
vre VII, lettre x«l. « peu qu'il se voit surlc point de quitter. Il
croit
les . dieux, et il se souvient qu’il est homme; i
la vitalité humaine, est encore inconnue. Sont-elles (0 Nous avons
cru
devoir reproduire les passages les plus saillants
u’elle avait l’habitude de chanter pendant son état de somnambulisme,
crurent
que c'étaient des plaintes arrachées par la doule
Tait chair. (2) C’csi-i-dire la cltair s’est fj't c-piit. — Vous
croyez
à la puissance de l’électricité fixée dans l’aima
ropre bouche : tous sont soulagés, tous renaissent à l’espérance ! Ne
croyez
pas, pourtant, que tous vont ou peuvent guérir. H
t des ébauches; qui donc le fera ce livre? Un philosophe, un médecin,
croyez
-vous? Non, mais il viendra un homme qui, étudiant
ue la commission était composée o en majeure partie de ces hommes qui
croient
tout « savoir et ont inlérêt à ce que la science
écomposition, et s’étonne de ne l’y point trouver. Le philosophe se
croit
parvenu à la sagesse parce qu'à force d’études il
règles de conduite qui servent à le garantir de nouvelles chutes. Il
croit
connaître la vie, lui qui ne se connaît pas encor
mot suffit pour exciter sa colère. L’exemple des grands l’exalte; il
croit
sans doute être de la même étoffe et voudrait les
étoffe et voudrait les imiter; mais comment le pourrait-il? Ce qu’il
croit
saisir fuit, ce qu’il conçoit est le néant. Atten
t point assez de votre exemple. Les hommes veulent plus : ils veulent
croire
, car sans croyance et sans foi l'homme peut encor
Dieu seul. Ecoutez-moi. Jésus avait dit : « Bienheureux ceux qui
croiront
en moi, car ils poseront les mains sur les malade
nt les mains sur les malades, et les malades seront guéris. • Si vous
croyez
en lui, faites donc ce qu’il faisait. Vous avez l
e le bourreau ot la victime? Et s’il est une vérité physique qui fait
croire
en Dieu, qui prouve l'existence de l’âme, la lais
l’articulation du genou, cependant, •restait fermement contractée. Je
crois
inutile de donner les raisons qui m’ont engagé à
Sarlhe), pour la faire examiner par des médecins. Dans son village on
croit
qu’elle a été ensorcelée. Je compte aussi aller v
Iléhert, J’ai une communication scientifique à vous faire , que je
crois
inutile de vous recommander. M. Fromage, pharma
jet de curiosité; cela paraît si extraordinaire qu’on ne se résigne à
croire
qu’après avoir vu. Je suis du nombre : les plus s
ouche à la chaise, celle-ci se retire brusquement de dessous elle. Je
croyais
qu’elle n’agissait que sur les corps inanimés; pl
d’une chose si étrange. Mais le récit qu’elles en firent ne lut point
cru
des voisins qu’avaient attirés leurs cris. Deux
ciser (1) l’enfant, même d’ajouter foi à leurs récits ; ii douta, car
croire
ou nier sans examen ne sont point les éléments co
n des médecins. Cette opinion , ce conseil furent peu goûtés; comment
croire
malade celle qui présente les caractères les plus
t de dix minutes les yeux se fer-« nièrent, et j’en restai là. « Je
crois
que tous les meubles de la chambre sont » emprein
allut, dit-on, cent trente exemples pour que l’institut commençât à y
croire
. Ceci dit, reprenons notre récit, les réflexion
raisonnement, en cherchant à montrer une sorte de supériorité, je me
croyais
fort, j’étais devenu faible, et une humiliation q
science. Ils couvriront leur résistance d’un masque hypocrite où vous
croirez
voir la bonne foi, la fran-liise. On ira jusqu’à
plus rien. Un génie puissant enchaîne ta faculté. On dit, je n ose le
croire
, que tu eus peur à son approche, qu’il te glaça l
r ses propriétés? S’il en était autrement, c’est alors qu’il faudrait
croire
à quelque supercherie de sa part. Les savants v
s; continuation de la tisane, application d’un « cataplasme de persil
cru
et pilé sur le Bas de l’abdo-« men. Le 4, amélior
curieuses que je me ferai un devoir de vous communiquer, si vous les
croyez
capables d'intéresser vos nombreux lecteurs. Le
exprimée par l’organe de M. Arago, qui a lu une note à laquelle nous
croyons
devoir donner de la publicité. Elle aura sur les
tance qu’auprès de ceux qui sont avides de miracles, et qui veulent y
croire
quand même. (Débats.) « Dans la séance du 10 fé
ni déplace-« ment permanent ni déplacement momentané. « M. Tanehou
croyait
que Mllc Cottin avait la faculté « de distinguer
urs. —- CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Dent extraite sans douleur. — J’ai
cru
devoir vous exposer le fait suivant dans toute sa
cette opération n’eût-clle pas réclamé le secours de mes mains, je ne
crois
pas que j’eusse pu me faire illusion à la vue’de
préparai moi-même en conséquence. M. Garrison arriva peu après, et je
crois
pouvoir dire, sans crainte de contradiction, que
les réflexions qu’elle me faisait ne me paraissaient pas fondées. Je
crois
, lui dis-je, que vous avez tort de vous attrister
ai ce qui s’était passé et lui montrai la trace des coups qu’il avait
cru
m’adresser. A cette vue il se jeta à mes pieds, t
u malheur qui avait pensé arriver et implorant telle pénitence que je
croirais
devoir lui infliger. «Non, nonr m'écriai-je, je
’une petite « baguette qui tourne dans vos mains. C’est difficile à «
croire
. Toutefois, à la rigueur, on peut supposer « qu’i
r des effets infiniment grands. * Mais, direz-vous, les malades qui
croient
de telles absurdités sont de pauvres dupes; les h
e eût parlé à son imagination. Il faut quelque peu de simplicité pour
croire
qu’un globule, préparé d’après les formules d’Hab
m’accusera pas de partialité en faveur de l’homœopathie. Eh bien, je
crois
fermement qu’un médecin guérira plus tôt un malad
C’est alors qu’on lui apprend le stratagème dont elle est dupe. Vous
croyez
, Messieurs, qu’elle va reconnaître l’imposture de
econnaître l’imposture de la somnambule ; nullement : elle aime mieux
croire
que la femme de chambre a la même maladie que sa
e en erreur par une fausse interprétation des moyens employés. « Je
crois
qu’en face de pareils inconvénients il faut moins
rès ne pourront rien contre elle, car il est écrit : Heureux ceux qui
croiront
, car ilsposeivnt les mains sur les malades, et le
la forme et les principaux caractères de l’ouvrage en question. Je
crois
devoir ajouter, parce que le fait me parait ext
il phénomène dans le Journal du Magnétisme publié à Paris; je l’avais
cru
si extraordinaire que j’en avais douté jusqu’à ce
s ; toutes ces expériences enfin m’ont paru si claires que je me suis
cru
obligé de les avouer et de les faire connaître.
connaître. Et si j’apporte ici mon faible tribut d’hommages, c’est,
croyez
-moi, pour engager les indifférents, les incrédule
incrédules, à assister comme moi à des séances, à voir, à juger et à
croire
comme moi. Francisque Ducros. ( Tribune lyonn
l qui nous est réservé. Nous en avons cité de nombreux exemples; nous
croyons
devoir y joindre celui de l’infortuné Du-jarrier,
faux. Admettre la seconde vue naturelle dans ce cas, autant vaudrait
croire
que le canard de Vaucanson est un véritable canar
rt Moïse, l'homme de Dieu, et les magiciens, que les saints Pères ont
cru
pouvoir appeler les hommes du démon. • L’Ecritu
e en s’écriant : « Voyez, Mesdames, je marche; plus « de douleur : je
Crois
aü magnétisme, je marche. » Le l*c jaiîlet on vit
é dans le service de M. Andral. Après deux mois d’essais inutiles, il
crut
s’apercevoir que la maladie était du ressort de l
ne mettrez en doute ni ma bonne foi, « ni mon intelligence; mais je
crois
qu’il serait pru-« dent do ne pas les faire conna
utes parts s’élever contre vous une formidable opposition. On ne vous
croit
plus ; vous inspirez la peur, ou tout au moins la
ement convulsif, le sujet entrait dans un état tel qu’on aurait pu le
croire
possédé ; une fureur extrême, qui le faisait écum
gnétiques, il a mis fin à cette brillante exposition, dont nous avons
cru
devoir reproduire un écho dans notre Bulletin, ta
nue. Son cœur s’est v même soulevé à plusieurs reprises. « Prudenco
croit
marcher sur la glace, sur la corde, sur (les ch
ine à voir, tant elle est vraie dans les impressions pénibles qu’elle
croit
éprouver. « Un de nos jeunes élégants l’a condu
repentir, d’amour et de foi! Et quand, au milieu dé son extase, elle
croit
entendre la Vierge la menacer de sa colère si ell
les malades nécessiteux, les pauvres ou les personnes qui ne peuvent
croire
aveuglément à l’infaillibilité des médecins, qu’o
observation. Un passage des Mémoires de Saint-Simon pourrait faire
croire
que quelque Levantin, initié aux mystères de la m
nte. Je pris celle de le pouiller à ce récit et de lui dire ce que je
crus
lb pouvoir détourner d’ajouter foi et de s’amo-se
nes intellectuels. Sa longueur nous empêche de le transcrire, et nous
croyons
que, dans une séance publique, en présence d’une
in. C’est ainsi qu’ils payaient la dette de reconnaissance, et qu’ils
croyaient
en même temps plaire aux dieux. « Nous n’ayons
téreront ceux que les mauvaises passions dessèchent; les hommes ne so
croiront
plus maudits; ils reconnaîtront leur divine natur
les de Puységur ec les Deletrze' eiv initiant chaque jour ceux qui ne
croient
point au magnétisme, en tes rendant témoins de no
cet esprit de doute méthodique et seul raisonnable, qui consiste à ne
croire
ou à ne nier que lorsqu’on a bien vu, bien examin
aire ; « L’Emprière fils, négociant; « Ricard; « Pesnel, Vous
croyez
, lecteurs, que l’Académie de Médecine bilité? V
l, Vous croyez, lecteurs, que l’Académie de Médecine bilité? Vous
croyez
que l’Académie des Sciences va rechercher la natu
que l’on a flétri injustement des hommes honorables ! ce serait faire
croire
que l'on a quelque vertu ; mais, sur ce point, no
ueii de ma «découverte, jamais celui de ma personne. El, si « l’on ne
croit
point à cette découverte, on aévidem-« ment le pl
prétendu me couvrir tour « à tour. Lorsque je l’ai fait, c’est que je
croyais
de-« voir le faire. « Après leur refus je me su
la ruine des systèmes philosophiques, enseignait, sur des bases qu’il
croyait
libérales , la reconstitution des corps savants,
emèdes et des consolations qui ne se feront pas longtemps attendre.
Croyez
-nous, quand nous vous dirons que Dieu a donné à c
e d’extraits d’un livre qui est dans les mains de tout le monde. Nous
croyons
que les pratiques plus ou moins obscures des Grec
z; je ne sens rien, je n’ai nulle envie de dormir ; mais puisque vous
croyez
avoir un si immense pouvoir, essayez donc: je vou
avoir un si immense pouvoir, essayez donc: je vous préviens que je ne
crois
ni aux charmes, ni à la magie ; je doulc même du
olonté que l’on rencontrera, que ce soit un valet, un portefaix même.
Crois
-moi, lors môme que ses mains, scs habits exhalera
un aussi grand bienfait viendra chez toi ; c’est juste, tu ne pourras
croire
que tu as dû la vie à un moyen si simple, et tes
compte de ses œuvres; il faudra qu’il s’explique sur ce qu’il sait ou
croit
savoir ; son silence ne sera plus permis. Une vér
buste de Mesmer par Pigale. C’est là une nouvelle importante, car on
croyait
qu’il n’en existait point. Si la commission qui s
alière. — Une bonne Sœur d’hôpital, d'un esprit timoré, chaque nuit
croit
voir le diable, depuis qu’un magnétiseur s’est av
ômes. Elle court devant toutes les personnes de sa connaissance. Je
crois
qu’elle pourrait gagner le prix de course, car je
produisent à l’instant où la volonté se manifeste ; tout va bien, je
crois
la guérison certaine maintenant. 3 juillet. — L
es choses qu’ils ne connaissaient pas, et auxquelles ils ne pouvaient
croire
; aussi m’ont-ils demandé a suivre toutes les mag
s et dort jusqu’à sept heures; les forces sont revenues; elle ne peut
croire
à tant de phénomènes. 9 juillet. — A une heure
’incurabilité du cas de maladie a été attesté par un grand médecin;¡g
crois
, Dieu me pardonne, que ce savant docteur est un d
en soit point pour eux comme pour le choléra; car on dit, je n’ose le
croire
, que vous n’en savez sur ce sujet pas plus que le
des hallucinations fréquentes? Les mots soulignés pourraient le faire
croire
. Quant à la chute sans accident, nous n’en sommes
d’en rechercher la cause, et l’auteur du Cours de nosologie clinique
croit
la trouver dans le fluide électrique. Ayant assis
ons. Notre auteur, s’appuyant sur les découvertes du docteur Coudret,
croit
qu’elles sont purement électriques; mais toute l’
ducation, et la morale offrant des principes à l'une et à l’autre, je
crois
ces trois objets inséparables pour le but que je
e de la république étant dans le cas d’administrer la justice, j’ai
cru
utile d’en donner également quelques notions. O
ambulisme lucide ont été fréquemment observés par des médecins qui ne
croient
point au magnétisme animal, on au moins ne s’en o
r participation. Vingt ans spectateurs oisifs de succès éclatants, on
croyait
leurs esprits désabusés ; mais c’était une erreur
ngtemps cherché la cause qui éternise cette dispute regrettable, nous
croyons
enfin l’avoir trouvée dans l’emploi de deux mots
er si un fluide dans lequel quelques physiciens et physiologistes ont
cru
reconnaître de l’analogie avec l’électricité étai
agies des jésuites Fiard et Boone ; de ces prélats étourdis et qui se
croyaient
infaillibles avant l'examen? Et les peurs do MM.
action névro-galvanique humaine non-seulement visible et palpable; je
crois
avoir rempli cette partie de mon engagement, mais
aux plus grandes opérations de la sorcellerie, au moyen desquelles il
croyait
fermement avoir exécuté en peu d'heures, transp
me et peut aussi se faire sans séparation. Il faut que ceux-là qui ne
croient
point que l’âme des sorciers se trunsporte confes
te à l’amour. Voilà pourquoi l'intelligence, qui n’est pas libre de
croire
ou de ne pas croire à telle ou telle vérité, est
à pourquoi l'intelligence, qui n’est pas libre de croire ou de ne pas
croire
à telle ou telle vérité, est rendue cependant res
s’apercevra de l’illusion qui portait les intelligences grossières à
croire
à l’existence d’un monde matériel. Et cette con
à la flexibilité des leviers ou autres éléments dos machines. « Je
crus
trancher la difficulté d’un coup, mon noble ami,
tu propre de chaque agent isolé de la sorte. « J'ai tenu parole, je
crois
,cher et aimable comte; le fluide innervateur des
ssi distincts par leurs effets qu’inexplicables dans leurs causes. Ne
croyait
-on pas généralement, dans l’antiquité, que le reg
pour sa future épouse une affection si vive qu’il en tomba malade. Je
crois
bien qu’un portrait, assez ressemblant Justifiait
l’idée de tuer un de ses enfants, consulté par une autre femme qui se
croit
destinée à tuer son mari ou son petit- fils. A la
n est pendu s’il le tue sur le théâtre; ce qui fait que, dès qu il le
croit
blessé à mort, il lui donne un coup de pied et le
s que les cloches n’annonçassent la mort île plusieurs accouchées. On
croira
difficilement à quel point la terreur se répandai
t mis dans leur principe. Ce serait se moquer de la Providence que de
croire
qu’elle inspire contagicusement aux femmes le goû
ur où, pour la première fois, je m’occupai de magnétisme. C’était, je
crois
, au mois de septembre 1832; je me trouvais en ce
, mais réelle, que dirige une volonté puissante. J’avoue que pour y
croire
pleinement il faut avoir vu ces effets extraordin
rdre supérieur, on pourrait avec raison contester leur témoignage, et
croire
qu’ils sont dans l’erreur. Mais si, de toutes par
lui laisser le soin d’en développer toute la théorie; cependant j’ai
cru
devoir réunir dans cette note quelques idées qui
que ceux qui admettent un fluide magnétique animal soient disposés à
croire
qu’il est régi par les mômes lois que les autres
nt quelques principes ou aphorismes déjà avancés par Mesmer ou que je
crois
avoir reconnus par l’expérience. Nous les démontr
er ou repousser à sa volonté. Comment cela s'opère-t-il? En voici, je
crois
, une explication. Dans le sujet, la polarisation
t instant, ne m’a jamais paru naturel. » Plus loin elle ajoute : « Je
crois
no devoir pas entrer « dans les détails des diffé
on en « relirait l’épingle. Si l’on demandait à la patiente « où elle
croyait
qu’on la piquait, elle indiquait une « partie de
uérir;en imposant la main, animer le mourant! Grâce à ce Prométhéc, n
croit
à l’art divin; l’homme n’est plus athée, e cessan
s dévoilés, ne pouvait trouver grâce aux yeux de M. Couturier, qui no
croit
mieux faire que de répéter les accusations banale
rable-, car il est difficile de faire revenir des gens qui ont ou qui
croient
avoir été trompés. Robert Iloudin est bien plus h
s-nous? la vérité surtout. Eh bien, ayant môme but, mêmes pensées, je
crois
être ici votre interprète, quoique n’étant plus v
ulager. J’allais même me retirer après avoir conseillé tout ce que je
croyais
le plus propre à lui faire quelque bien, lorsqu’i
is bien, « disait-elle, qu’il n’y a point de sorciers... non, je « ne
crois
point aux sorciers, Dieu ne le permettrait « pas.
sence, et à son grand contentement, une telle quantité d’urine que je
crus
qu’un seul vase ne suffirait pas; je n'exagère pa
rai-je en dehors de la tourbe incrédule de ces êtres peu éclairés qui
croient
de prime-abord, et deviennent ridicules à force d
une seconde religion pour l’homme qu’elle éclaire de son flambeau; il
croirait
désormais blasphémer en niant ses sublimes effets
s ne sont que des machines caressantes on des esclaves soumises, vous
croyez
que la fausseté est le vice inhérent à leur natur
irkness, lui, ne veut pas se faire le champion du mesmérisme; mais il
croit
impossible de supporter impassiblement une tortur
serait restée dans l’oubli. Venez donc à notre aide, vous tous qui
croyez
au magnétisme et qui le regardez comme un moyen d
qu’enfin leur organisation est trop ressemblante à la nôtre pour les
croire
indignes de notre attention et de nos égards. I
’impuissance, et vous disent en face que si la vérité à laquelle vous
croyez
existait, elle eût déjà triomphé, car nous sommes
ue et quasi voltairicnne.—Et pourquoi M. Couturier ne daigne-t-il pas
croire
à l’existence de l’âme? « Parce qu’elle est sou
r pour faire surgir des sources. On faillit ne pas l’écouter; on ne
croyait
pas la chose possible, car les académiciens mômes
n de M. Paramclle, à découvrir des cours d’eau dans la localité où il
croirait
devoir faire l’application de sa théorie. Cela se
lante. « Les soirées du comte deC... attirèrent son attention. Elle
crut
d’abord avoir affaire à un émissaire de la propag
, qu’il magnétisait, lui annonce qu’elle rendra tel jour un tænia; il
croit
à cette prédiction, et convoque la commission cha
Alors , seulement alors , tous ces hommes sans courage et sans vertu
croiront
à l’existence de ce qu’ils ont nié. Mais voici
s de leurs somnambules dans les entrailles de ceux qui refusaient d’y
croire
. Ils échouèrent : c’était presque justice ; il eû
prétentions du congrès; et quant à ce qui peut survenir d’ici là, il
croit
que les magnétiseurs peuvent exercer tranquilleme
regardant comme plus dangereuses qu’utiles, fatales enfin. Nous nous
croyons
les instruments de la nature; la vie est notre ag
environ un an, voyant ses règles supprimées et son ventre grossi, se
crut
enceinte ; elle appela un médecin ; celui-ci, jug
habitais; en quittant la maison je cessai de la magnétiser : je ne la
croyais
pas malade. Un mois, deux mois et même plus s’éco
réputation pour le traitement de certaine maladie dont les femmes se
croient
souvent atteintes. Elle suivit divers traitements
à jeun, et le soir, une heure avant dîner, une demi-botte de cresson
cru
. Prendre tous les jours trois ou quatre tasses
res stupéfiants, c’est que des gens respectables ont le privilège d’y
croire
comme à leur existence. Nous nous contentons d’af
es affirment par écrit avoir vu cela, il serait ridicule de ne pas le
croire
. Ce qu’on fait à Cherbourg, et ce qui a été fai
ion d’un chaleureux plaidoyer en notre faveur. Les médecins d’Auxcrre
croyaient
avoir assomme le magnétisme ; mais la vérité ne m
s enrichies , augmentées par un magnétistebibliomane. Tous deux ne se
croient
-ils pas plus savanis que Mesmer ? Qui donc aujo
répandent en province avec les instruments vivants de leurs défaites.
Croyez
-vous qu’ils soient aux regrets du mal qu’ils ont
e qu’il fait, il ne cherche rien, car une vague idée le dirige; il ne
croit
ni ne doute, il ignore enlin s’il a les propriété
onfiants en eux-mômcs, qui, comme les apôtres, quoique pleins de foi,
croient
cependant qu’il leur manque encore des vertus ess
ion avait lieu dans un sens contraire à celui du magnétiseur, et j'ai
cru
y trouver la raison de certains phénomènes astron
ecteurs qui ont suivi nos recherches sur la petite Cottin. «.....Je
crois
vous faire plaisir en m’empressant de vous sign
ns une maison du faubourg Montmartre, une chambre dans les mansardes,
crut
apercevoir l’ombre d’un corps humain qui passait
ne me guide jamais d’après la science, mais d’après ma conscience; je
crois
donc fortement aux faits magnétiques. Eh bien , o
nce; je crois donc fortement aux faits magnétiques. Eh bien , oui, je
crois
qu’il y a des faits; je crois que la force magnét
ux faits magnétiques. Eh bien , oui, je crois qu’il y a des faits; je
crois
que la force magnétique augmente prodigieusement
magnétique augmente prodigieusement la force de vision de l’homme; je
crois
que ces faits sont constatés par un certain nombr
és par un certain nombre d’hommes très-sincères et très-chrétiens. Je
crois
que la généralité de ces faits sont des faits nat
t que jamais l’homme n’a manqué de la connaissance do ces secrets. Je
crois
que tout ce que nous avons vu dans le fond des te
es templesdu paganisme, à part la supercherie qui était manifeste, je
crois
que la magie et tant d’autres choses étaient tout
bée sous le joug, qu'il y a quelque chose au delà de la mort. Oui, je
crois
à cela de loul mou cœur. Mais c’est là, remarquez
animal. «M. Lacordaire, à l’exemple de beaucoup de grands esprits,
croit
au somnambulisme. Selon lui, le phénomène de seco
aveugle opiniâtreté nous fait gagner du terrain. Des hommes que l’on
croyait
étrangers à nos recherches, loin de reculer devan
n des iniquités doivent encore être commises, car nos antagonistes se
croient
à l’abri de toute censure, inattaquables enfin. M
éant un privilège, n’a-t-elle nullement voulu contraindre ceux qui ne
croient
point à la médecine à recevoir les soins du médec
ur. Us sont pris d’une sorte de vertige qui exclut la prudence. IU se
croient
forts parce qu’ils sont nombreux; mais les yeux s
nt pour vous considérer et voir que vous avez fait fausse roule? Vous
croyez
, dans votre orgueil, que l’on ne sait point qui v
el que l'humanité avait son code et scs lois écrites par Dieu... Vous
croyez
que ce qui était hier doit encore être demain, et
gent, montrez dans toute sa nudité le mobile qui vous fait agir. Vous
croyez
la vaincre et l’anéantir cette vérité. Ah ! vous
aines régions magnétiques. Les ouvragos mesmériens en abondent. Je me
crois
trop novice encore, messieurs, pour oser me mesur
ar exemple, est à l’épigastre, à l’occiput, aux genoux, etc., etc. Je
crois
, messieurs, que vous n’admettrez pas de semblable
du des somnambules parler latin, grec, hébreu , anglais, allemand. Je
crois
que c’est une erreur, messieurs. Si le sujet est
ènes magnétiques sans magnétisme. Quant à moi, mon esprit se refuse à
croire
que dans l’état de veille on puisse effectuer tou
dont nous sommes les apôtres, et des mira- des que nous opérons. Je
crois
, comme vous, à Invenir lu magnétisme; je crois, c
s que nous opérons. Je crois, comme vous, à Invenir lu magnétisme; je
crois
, comme vous, que ses sublimes cfl'ets envahiront
de ce fait dont le résultat certain sera d’amener bien des esprits à
croire
à une des facultés somnambuliques : l’assimilatio
vez bien rire ; et moi aussi z’en ai ri, mais il faut le voir pour le
croire
. « D. Mais enfin quels remèdes la somnambule vo
ordonnés exécutés avec une rapidité surprenante ; il m'a semblé qu’il
croyait
s’élever au moyen d’une corde. A ces mouvements,
urnai chez mon intendant que je trouvai en prières. » Pour ceux qui
croient
fermement à l’apparition des Esprits, ce fait ne
antes sans doute, mais moins prononcées qu’il le semble si je dois en
croire
cette phrase que vous adressez à notre honorable
à dire, maintenant, que je blâme ceux qui cherchent à fixer ce que je
crois
m-fixable ? Certès, non, les alchimistes ont long
e que je crois m-fixable ? Certès, non, les alchimistes ont longtemps
cru
trouver le grand arcane de la transmutation, et l
encouragement et tiè récompense ; il est donc nécessaire que ceux qui
croient
avoir quelques droits à cette distinction envoien
méthodiquement, car le magnétisme est une puissance terrible ! Nous
croyons
devoir reproduire ici les préceptes que nous avon
ion de pensée. S'éveillant alors sous l’action de cette idée, ils ont
cru
apercevoir réellement le prince Dimitri, ceci en
sions, etc...; » malgré cette note, disons-nous, nous nous plaisons à
croire
qu’il voudra bien revenir sur sa détermination et
mnambulisme- du mono-mane. Tantôt c’est un assassin qui entend et qui
croit
que tout le monde entend à travers les dalles du
ns, raconte l’histoire d’un Anglais, très-raisonnable d’ailleurs, qui
croyait
avoir rencontré un homme aveclequel il avait l'ai
IENNE. Les savants qui se sont occupés de la mystérieuse Égypte ont
cru
deviner la science profonde de ses mages; et dans
par semaine, la médecine Le Roy, sans oublier le vomitif. La malade
croyait
que, grâce à cette médication, elle guérirait en
moplate droite. Deux médecins consultés en cette grave circonstance
crurent
reconnaître un squirre du pylore, et un commencem
les phénomènes qui se manifestaient dans l’hypocondre gauche, qu’ils
crurent
être sympathiques et nerveux. Voici, en peu de
pondrai le plus tôt possible, explicitement et très-facilement, je le
crois
, à la critique de M. d’Arbaud, magnétiste instrui
journal le Temps, nous sommes heureux du langage bienveillant qu’il a
cru
devoir prendre ; nous n’attendions pas moins de l
silence; car je tiens à prouver aux partisans du spiritisme que si je
crois
devoir les combattre quand l’occasion s’en présen
des faits qui viennent, surtout aujourd’hui, boule- (1) Je voudrais
croire
, mais non croire aveuglément, bien entendu. Qu’on
nnent, surtout aujourd’hui, boule- (1) Je voudrais croire, mais non
croire
aveuglément, bien entendu. Qu’on me prouve donc p
ce d’obsession sous laquelle elle reste assez longtemps, elle ne peut
croire
qu’un mort lui ait véritablement apparu, et ne
sur les œuvres vulgaires, sur ce qui se fait chaque jour et que l’on
croit
simple et naturel, parce que cela parait facile.
ure emploie pour rétablir la santé et prolonger la vie. La science se
croyait
au sommet et nous montrons à ces savants éminents
y a deux hommes en nous; d’abord des chefs de société, qui ne doivent
croire
qu’avec poids et mesure; des fonctionnaires qui o
us maintenant comme particuliers; comme hommes libres de penser et de
croire
à notre guise, sans que les croyances de personne
ant du coq endiablé Nos troupeaux prennent la mouche : Tel, qu’on
croyait
accablé, Se relève ardent, farouche ! C’est a
rps académique S'obstine à l'incrédulité. Entre nous, je commence à
croire
Que ceux qui nous traitent de fous Sont bien plus
et dérisoire l Boire aux docteurs? et non, ma foi ! Ce serait plutôt,
croyez
-moi, A leurs malades qu'il faut boire. Mon re
t fit connaître les noms des personnes à qui le Jury magnétique avait
cru
devoir accorder des médailles et des mentions. Le
’enlèvement et au transport de la matière par ces Esprits auxquels je
crois
de toute mon âme, mais que je crois, aussi, bien
tière par ces Esprits auxquels je crois de toute mon âme, mais que je
crois
, aussi, bien loin de nos atteintes dans di s légi
urel que des théologiens, après des mystiques du philosophisme païen,
croient
l’efi'et d’une obsession démoniaque, tout comme l
lui bouchent les yeux ! Vraiment ils sont petits d’intelligence s’ils
croient
que l'homme va leur donner sa foi en abdiquant
eptes que jamais d’une science aussi merveilleuse et aussi étonnante.
Croire
aux phénomènes les plus sublimes et les plus tran
analogue, ils aient le devoir de faire honorer votre intégrité. Je
crois
aux coopérations de ces forces diverses (non comm
r les prouesses extraordinaires de la table du jeune Américain. Je ne
crois
pas que deux et deux font quatre : j’en suis cert
ui cette omission, et nous sommes persuadé que M. Bernard voudra bien
croire
qu’il n’y a rien de notre faute. Baron du Potet
ais il ne s’agit plus maintenant de crédulité. Ce que la superstition
croyait
aveuglément autrefois, la science maintenant le c
êtres passent souvent pour des sorciers dans les campagnes, et on les
croit
assez généralement capables d’exercer une influen
familles et des contrées. u 11 existe aussi des Tous dangereux qui
croient
à l’influence de l’esprit de ténèbres, et qui ne
vons dit des évocations diaboliques, et se bien garder surtout de les
croire
et de les imiter. « Pour commander aux forces é
nter les bains de mer comme un remède universel, une panacée, mais je
crois
cependant que s’ils ont été contre-indiqués souve
as question de magnétisme et c’était un confrère qui parlait. 11 faut
croire
que V Académie dut songer à choisir parmi ses mem
mirent à causer... de science, sans doute? il serait trop naïf de le
croire
, iis tinrent des propos qui n'étaient ni convenab
en doute la bonne foi de nos perçages ; mais quelques-uns pourraient
croire
que les sa-‘s de notre temps ont un double visage
ez donc le faire mourir plus vite, etc.?... Avec les personnes qui ne
croient
point au magnétisme, ils tranchent dans le vif, i
e, ils tranchent dans le vif, ils nient positivement le magnétisme. —
Croyez
-vous donc que si le magnétisme existait, nous ne
omme considérable qui lui affirmait les faits du magnétisme : — Je le
crois
parce que vous me le dites, mais je le verrais qu
le crois parce que vous me le dites, mais je le verrais que je ne le
croirais
pas. — Ici l’hypocrisie est patente, et nos Esc
ines maladies; ils le faisaient sans doute avec discrétion, mais sans
croire
se compromettre ni compromettre, la science. Jusq
tenir offre cela de particulier (pie, sauf le souille chaud, que j’ai
cru
devoir employer pendant un certain temps, il n’y
de ces derniers qui voudraient en faire l’essai, c’est-à-dire qui ne
croiraient
pas inutile de contrôler dans le sommeil ce qu’il
s ne soit pas rare, qu’il se présente même assez fréquemment', chacun
crut
que le dormeur jouait la cpmédie, et un rire fou
ne voudriez-vous pas auparavant répondre à quelques questions que je
crois
devoir vous poser? Tout en parlant ainsi, le ma
il plus profond et la clairvoyance plus complète. — Volontiers. —
Croyez
-vous maintenant au pouvoir du magnétisme? — Com
maintenant au pouvoir du magnétisme? — Comment pourrais-je ne pas y
croire
dans l’état où je suis? — Voudriez-vous bien ma
e ordinaire peut facilement se fourvoyer en pareille circonstance, je
crois
qu’il ne doit pas en être ainsi d’un médecin dont
ésors; mais c’était une sorte de mise en scène que .(lies rbabdomants
croyaient
utile et sur laquelle cer-croyaient même devoir r
istoire nous a conservés sans les expliquer. Dans son livre, M. Maury
croit
expliquer ce qu il n’a pas compris ; et l’Académi
nétisme est accueilli dans ce lieu plutôt que rejeté. Là les gens qui
croient
glorifieraient l'incrédulité s ils l’osaient, et
e finira point par être dangereux, et si la société pourra vivre sans
croire
à l'existence de 1 âme, à1 immoi-talité de l'agen
ve de leur esprit. Ignorant l’essence même des agents découverts, ils
croient
cependant les connaître, parce qu’ils en ont sais
leurs confrères les drôles de choses qu’ils avaient »«es. Qu’on ne
croie
pas que nous exagérions en rien ; les choses se s
tes d’alors faisaient dans les temples, loin des yeux du vulgaire? ne
croit
-on pas aujourd’hui, et ne paraît-il pas positif q
AZAR. Dans l’Asie Mineure, les Turcs, ainsi que les autres peuples,
croient
(sans aucun examen pourtant) au mauvais œil, c’es
rtout par les personnes qui s’occupent sérieusement de magnétisme. On
croit
communément que ce sont seulement les yeux bleuso
e toutes vertes. Cette question est exclusivement scientifique, et je
crois
qu'on parviendra un jour à prouver plus profondém
sage s'estîconservé beaucoup plus chez les Turcs. satisfaisante. Je
crois
que cette apposition du bleu magnétique contre le
point avec convoitise à la beauté de l’édifice même qui les porte. Je
crois
cependant que la véritable origine de ce préjugé
nte de substance odique, si nous n’avions une raison supérieure de le
croire
. Son organisme n'est-il pas le seul appareil asse
parvenir un Mémoire dont lu contenu mérite considération, nous avons
cru
que la publication pouvait en être utile. On a
x ! Cependant cette délicatesse ne dissimule en rien l’énormité qu’il
croit
avoir à réprouver. Si ma personne seule était e
é, le 3 avril 1312, sous Clément V, l’autorité de l’Eglise ordonna de
croire
que l’âme n’est que la forme substantielle du cor
en’en ai pasle temps et, de plus, je ne parle jamais que de ce que je
crois
connaître et de ce que j’ai préalablement étudié;
its modernes et journaliers tendant à prouver son existence réelle.
Croyez
-vous que celui qui,a dit qu’il n’y avait rien de
n’y avait rien de nouveau sous le soleil avait un peu raison ? Moi je
crois
que c’était un profond penseur, et, qu’en effet,
s révolutions, c’est celui de la destruction des livres, et, si je ne
croyais
au libre arbitre de l’homme, je dirais qu’il est
omène de ce genre d’avoir lieu quelquefois, mais non à volonté,—je le
crois
du moins,— car dans ce milieu les liens matériels
t il ne peut se passer pour cofbmuniquer avec le monde matériel. Je
crois
à la trinité humaine, c’est-à-dire au corps, à Y
orps, à Y âme (la vie), à Y esprit ou moi spirituel et immortel. Je
crois
que dans certains milieux ce moi peut être suffis
parent de cette matière, qui sert alors à d’autres combinaisons. Je
crois
encore que ce moi est immuable, c’est-à-dire inco
doué les hommes sous le rapport animique (ou du moi spirituel). Je
crois
aux médiums comme aux somnambules ; ce sont des ê
nint Paul. 1" epitre aux The.ssalonicims, cliap. V, vers. 23. Je ne
crois
pas à la réincarnation, parce que je n’en vois l'
iritistes, etc., n’ont pas été vues par moi, je ne les nie pas; je ne
crois
pas encore par la raison que je n’en comprends pa
is pas encore par la raison que je n’en comprends pas l’utilité. Je
crois
donc à l’existence du fluide magnétique et du moi
s, Cher collègue, depuis votre conversion à la pneumatologie, vou3 ne
croyez
probablement plus au fluide magnétique, et vous a
tables, des crayons, des chapeaux, etc. Jusque-là permettez-moi de
croire
aux médiums comme à des extatiques naturels dont
affligés dans cet état d’une surincarnation spirite. N’allez pas me
croire
l’ennemi du'spiritisme ou pneuma-tisme, parce que
tardera pas l’électricité d'nne ville à l’autre. M. Jules Recv, je
crois
, demande h prouver ce fait par son système de com
par un non moins vigoureux logicien qui. jusqu’à plus ample informé,
croit
devoir rapporter tous les phénomènes les plus tra
bond la table par dessus sa tête. Ils disent ainsi parce qu’ils le
croient
en toute conscience, et puis aussi parce qu’il se
s tour de force peuvent être pris ici comme chacun l’entendra; je les
crois
plus vrais et surtout plus polis que les mots tou
mme ils étaient énoncés. Mais outre que cela ne m’a nullement amené à
croire
à l’existence des Esprits, ni par conséquent à le
erait l’accuser de jonglerie, de fraude même à l'égard de gens qui le
croient
sincèrement doué de facultés médianiiuiques. Loin
et à ses co-religionnaires en spiritualisme l'aveu sincère que je les
crois
convaincus de la coopération îles Esprits dans le
pération îles Esprits dans les faits d’évolution en question :je veux
croire
aussi M. Squire très-innocent de toute supercheri
l’expérience. La même modification ou à peu près, cent pulsations je
crois
, a été, il est vrai, constatée par le docteur Lou
e à repousser le soupçon de jonglerie comme uue mauvaise pensée. Je
crois
donc m’éloigner également des opinions extrêmes e
nature à me former un commencement de foi. Je ne nie pas, mais je ne
crois
point. Quand à la seconde expérience, quoique j
evions pas tous payer généreusement notre tributàla grande famille.
Croit
-on se montrer « esprit fort » parce qu’on répète
nous avons besoin d’étudier sans cesse. Si, un instant, nous avons
cru
tenir le fil d’Ariane et être arrivés au bout, c’
e tomber sous mes yeux en place de tout autre. Mais qu’il n’aille pas
croire
que je l’attaque, que je veux engager une polémiq
. » C’était la question du magnétisme posée devant la science. J ai
cru
devoir relever le gant, et je me suis décidé à ce
n me demanda des conclusions formelles. Vous me connaissez assez pour
croire
que si ma pa- role avait été insinuante et modé
nuscrit, — l’autre. Il parle et soulève une tempête. On se lève; j’ai
cru
un instant que le magnétisme allait être battu tr
dier l’histoire ou la géographie d’un pays à l’existence duquel il ne
croirait
pas. — Le vote de la section médicale contient im
bises d’un avis ; arbitrare, — ar pour ad, bitare, se diriger vers, —
croire
, après observation; opinare, —opi pour ope (**),
utait pendant la profonde émotion où vous m'avez vu. Les Éphésiens le
croyaient
en délire, malgré leur désir extrême que sa proph
opos. — t Je comprends votre défiance, conti-nua-t-il. Vous ne pouvez
croire
à ce qui, même à Rome, est encore le secret de pe
sentant le cou pris de cette manière dans les anneaux glacés du naja,
crut
entrer dans la crise des dernières minutes. On l'
battre sur le cou de Nanny et la mordre. L’illusion fut poignante. On
crut
que la morsure était faite, que tout était fini,
s aux caprices et à la vanité du somnambule qui, dans son orgueil, se
croit
égal à la divinité. « Qu’il prenne bien garde,
nce les phénomènes que nous ne savons pas comprendre. .Un jour, je le
crois
, on ne définira plus ce que l’on désigne sous le
? L’examen auquel nous venons de nous livrer, a clairement déduit, je
crois
, au point de vue de la science antique, le mode e
frances, et de pouvoir se passer d'interrogation. Parfois, il sent ou
croit
sentir s’échapper de lui comme une vertu secrète,
bit saisissement. En causant avec ces messieurs, je leur dis que je
croyais
à la curabilité du mal; puis, tout à coup, j'ajou
s soient, ceux qui ne doutent pas de son pouvoir. C'est parce que j'y
crois
moi-mime, que je vous demanderai ceci : « Pour le
20 juin 1821. Après une prière commune, le prince reprit : — Vous
croyez
-vous déjà soulagée ? — « Oh ! oui, je le crois,
e reprit : — Vous croyez-vous déjà soulagée ? — « Oh ! oui, je le
crois
, d'une foi sincère ! — «Eh bien I levez-vous, e
ne larda pas à être exaucée. La nuit suivante, dans son sommeil, elle
crut
voir passer devant ses yeux un jeune homme en hab
oie de déduction. Passons au fait que l’on nous oppose. L'auteur le
croit
victorieux, parce que, comme les prédicateurs qui
n peu combien de gens parmi vo9 connaissances, vos amis, vos parents,
croient
aux magnétiseurs, aux tables tournantes, — écriva
e essentielle, exacte qui a guidé M. Fassy dans son travail : nous ne
croyons
mieux faire que de la diviser en trois points pri
e Mesmer, s'élanl occupé sérieusement du Magnétisme animal nous avons
cru
pouvoir le citer, malgré lc3 reproches d'inexacti
et de ses observations, méprisant des critiques qu’avec raison il ne
croyait
pas fondées, Mesmer communiqua son système aux Ac
ion de pensée. S’éveillant alors sous l’action de cette idée, ils ont
cru
apercevoir réellement le prince Dimitri, ceci en
r qui c’est. —Capitaine, vous savez que je ne suis pas poltron; je ne
crois
pas aux revenants; cependant j’avoue que je ne ti
Aujourd'hui que les séances de M. Home ont été racontées partout, je
crois
, sans m'écartcr en rien il'iin juste respect, pou
ts? — Soit ! si c est le nom qu’il vous plaît de leur donner. — Je ne
crois
pas aux Esprits. Mon mari, qui n’y croit pas non
laît de leur donner. — Je ne crois pas aux Esprits. Mon mari, qui n’y
croit
pas non plus, s’est aventuré vainement à la décou
orte, et toujours elle reste solidement close. Si bien que moi qui ne
croyais
pas avant mes essais, je crois moins encore depui
dement close. Si bien que moi qui ne croyais pas avant mes essais, je
crois
moins encore depuis leur campagne perdue. —Ne par
astie, vers le commencement du XII* siècle avant Jésus-Christ. Nous
croyons
utile de donner avant la traduction annoncée les
ns demeurait il « liaclitan, lorsque le prince, reposant sur son lit,
crut
le voir quitter son « arche ; il avait la forme d
emi qu’il lui i.> U,l combattre. * « Le basilicrogranmiate ne se
crut
saps doute pas préparé pour celte lutte, car il r
s le corps des pourceaux (saint Matthieu, ch. vji|, v. 31), « Je ne
crois
pas qu’aucun autre texte, continue A|. Cha--bas,
roduire un plus grand et déterminer une lignée de rachitiques. Vous
croyez
bonnement qu’on réformera cet art de mensonge et
soutenu, et tous vous Êtes destinés à subir le martyre. Les médecins
croient
être dans le vrai, ou plutôt ils pensent qu’en de
vous, modernes, ces extatiques qui passaient pour devins et que l’on
croyait
inspirés par la divinité? Notre médecine actuelle
e cette lettre adressée au directeur de la Revue Spiritualiste, et je
crois
que c’cst une prescription de délicatesse, une lo
’Arbaud : « M. le comte de Szapary, magnétistc très-renommé, qui ne
croit
pas aux esprits, annonce partout et hautement la
t pas aux Gentils : «Soyez juifs pour être chrétiens. » Il disait : «
Croyez
, et la foi vous éclairera sur les œuvres; vous qu
t vivre et périr avec l’empire, et (1) Trinité d'Athaxase. « Nous
croyons
on un Dieu non engendré, père el roi de toutes ch
ndré dès le commencement cl perpétckllemk.mt par le Père.... « Nous
croyons
aussi en l'Esprit, le Saint animant Imites choses
, aux matérialistes et aux alhées le repos de l’intelligence, car ils
croient
tout savoir et ils ne savent rien, pas même que l
mes des docteurs de la science on de la religion qui lui disaient : «
Crois
ceci, nous le voulons. » Aujourd’hui le monde mar
om des doctrinaires et excitaient la curiosité publique. On a dit, je
crois
, que rien n’était plus à craindre pour un novateu
se chantait sur l’air : Où allez-vous, Monsieur l’abbé ? Si l'on en
croit
certain docteur Spécifique est lin mot trompeur.
rés (1). » C’est un adversaire qui nous l’apprend, il est juste de le
croire
, mais que ne peut la passion ! Sa punition est de
nétiser. « L’avocat général au parlement de Dauphiné, M. de Servan, »
crut
se rendre l’écho des sentiments d’un grand nombre
dont elle faisait usage. Maintenant la raison publique se refuse à y
croire
, et tout ce qui s’y rattache est tombé dans un co
t moins répandue, et les charlatans qui s’y livraient furent reçus et
crus
jusqu’à la cour. On se rappelle la singulière ane
sonnes qui avaient habité l’Égypte et l’Inde, et qui avaient fini par
croire
à la magie, faute de pouvoir s’expliquer les pres
isait apparaître les personnages qu’il voulait, Ce n’est pas que nous
croyions
sérieusement à la seconde vue que procure le proc
t la vue des djinns, des efFries, et de tous les esprits auxquels ils
croient
d’autant plus fermement qu’ils s’imaginent avoir
ables, et les fellahs des environs du Caire, contrée dans laquelle il
croit
en abondance, en font usage dans leurs enchanteme
les mouvements violents des liras ou des mains nuisent plus qu'on ne
croit
à l'émission du uide magnétique humain. affecté
tout cela provient de la mêmeeawse, je le vois, si tu ne veux pas me
croire
et si lu penses que je me trompe, parce que les r
ire naître le phénomène des vibrations ou des ondulations, mais je ne
crois
pas que la transmission du fluide magnétique huma
re. 70. Homœopathio (l') et le magnétisme. Les médecins homœopathes
croient
au magnétisme, mais s’abstiennent d'en faire usag
à ellt seule à développer son esprit, car elle lui apprend à ne pas
croire
aveuglément au jugement des savants et lui donne
îtra erroné ; mais nous laisserons les magnétiseurs adopter ce qu’ils
croiront
le plus conforme à une saine doctrine. Nous dev
en, n'importe par quelles mains. Telle est notre devise. Qu’on ne
croie
point que nous voulions matérialiser le magnétism
gagements avec vous, ceux de vous guider encore, autant que vous m’en
croirez
capable, dans cette carrière nouvelle. Mes cher
aire qu’ils ne firent, et établir des principes plus certains. Nous
croyons
que le temps nous a dévolu cette tâche; nous la r
é morale. Est-il des êtres qui no sentent absolument rien? Je ne le
crois
pas; car, ayant fait des expériences extrêmement
et ce n’est que la répétition de ce curieux phénomène qui m’y a fait
croire
, quoique dans le principe les parents se fussent
ervé enfin dans les cas de maladies que nous avons eu à traiter. Mous
croyons
que c’est là la seule marche rationnelle. Dison
elle eut quatre heures de bon sommeil et le matin deux selles. On la
croyait
sauvée, je l’espérais aussi; mais ses médecins (i
étaient cinq), n'ayant pas été prévenus de l’essai que j’avais fait,
crurent
que la nature seule était cause de ce changement
accordé leur confiance. Je vais vous proposer ici les moyens que je
crois
les plus propres à jouir des avantages de ces déc
himie, de l’astronomie même, et vous verrez où elles nous conduisent.
Croiriez
-vous, par exemple, si vous n’en étiez avertis, qu
que celle de Mesmer aurait son tour; mais nous devons l’avouer, nous
croyions
que l'épreuve serait moins longue. Les savants, d
de juger le magnétisme, et que même il leur a dit que si lui (qui n'y
croit
pas) était convaincu de l'efficacité de cet agent
nt à un petit nombre d’adeptes zélés, nous avions, par approximation,
cru
devoir fixer le prix de l’abonnement à 15 fr. par
est parvenu un nombre d’abonnements qui excède celui sur lequel nous
croyions
pouvoir compter. Cet important résultat nous pe
tiel à sa liberté et à son bonheur? En effet, on uura de la peine à
croire
que vingt trois années d’eflbrls n’ayentpas pu dé
peu des dénégations du présent. Que ceux qui veulent s’instruire nous
croient
sincère ; c’est tout ce que nous demandons. Il
out à fait inattendues. C’esl ainsi qu’un jour une somnambule, que je
croyais
inactive d’esprit comme elle l'était du corps,
rait dans l'estomac et les intestins. Je fis cesser cet état que je
croyais
un désordre de ses idées; redevenue calme, elle p
étaient tellement accablantes qu’en en entendant l’exposition on dut
croire
qu’il serait condamné. Les crimes cachés n’écha
nt par une simple irritation de quelque organe, comme tout porte à le
croire
, cette irritation n'est, à son début, qu’une augm
distance. A entendre des dénégations aussi positives, on pourrait
croire
que c’est par une enquête sévère, des expériences
souvent en toute hâte chez moi, me priant d’y aller bien vite, car on
croyait
à tout instant qu’elle allait périr. Un soir qu
vec raison, de 1 inhabileté de leurs magnétiseurs, qui, de bonne foi,
croyaient
bien faire, mais agissaient trop. Dans toutes l
vous laisser en possession du 6ecret de Mesmer, »pii. vous pouvez le
croire
, est une grande découverte philosophique. » Jj€
ir embrassé tout l’enchaînement de ses principes; c’est pourquoi j’ai
cru
nécessaire de produire le système de la nature do
s yeux ; les images ou les pensées de l’homme ne le sont pas; mais je
crois
néanmoins que ces images ont une existence substa
Fils et le Saint-Esprit, demandez-leur s’il n’est pas raisonnable de
croire
(raisonnant par analogie) qu’il y ait dans la tot
ant aperçu qu’en magnétisant, soit pur distraction, soit parce que je
croyais
bien faire, les extrémités inférieures des person
é avec un état de bien-être inaccoutumé. Le foie, que l’on pourrait
croire
tout à fait insensible à cause de sa structure et
tte manière, l’expérience nous apprend qu’il y a bien peu de gens qui
croient
, vieux, ce qu’ils ont cru, jeunes. Il y a des i
apprend qu’il y a bien peu de gens qui croient, vieux, ce qu’ils ont
cru
, jeunes. Il y a des idées qui naissent avec nou
on singulière du somnambulisme magnétique. J’étais comme vous, je n’y
croyais
point; ma raison rejetait au loin toutes ses merv
; il n’a pas su, on ne lui a pas dit comment arrive le génie ! Ici,
croyez
-moi, l’étude, toujours l’étude ! Le repos n’est
rs travailler; ce n’est qu’à ce prix que la nature lui vend ce quon
croit
quelle lui donne: une supériorité marquée sur tou
hose 1h plus difficile est de savoir gouverner le somnambule. Vous le
croyez
tenir, mais c’est un Protée; aujourd’hui il esl c
urs, lève leurs doutes; l’orgueil commence alors à se développer; ils
croient
à leur mérite, prennent pour eux ¿veillés ce qui
esser d’être le maître. Mais vous n'êtes pas au bout. Ces somnambules
croient
toujours que vous leur cachez quelque chose; il
nent fie profiter de leur sommeil pour obtenir des révélations qu’ils
croient
sans prix, et s’imaginent que vous gagnez des mon
ne pouvez les convaincre, car, à chaque instant, on exalte ce qu’ils
croient
leur propre mérite. La fréquence des communicatio
voir jamais l’espérance de pouvoir remonter. Même à mon réveil, je ne
croyais
pas avoir remonté, a Le sentiment de l’espace, et
ité. Ceci pourtant m'effrayait moins que le prolongement du temps; je
croyais
quelquefois avoir vécu soixante-dix ou cent ans e
e chose dans les livres modernes, accompagnée d’une remarque que jp
crois
également vraie, c’est que Le livre tvdouiablc
lui montrai la tumeur que je venais de lui enlever; il ne voulait pas
croire
que ce fût la sienne, et il porta de suite la mai
, je n’y suis pas étranger, et, d’un autre, qu’il est peu de gens qui
croient
ce qu’ils lisent, quand il s’agit de fails de cel
le puisse s’en servir. Pour cela, il faut « faire d’autres gestes. Ne
croyez
pas cependant que « cette immobilité ne soit que
malade fut réveillée. On lui dit ce qu’on avait fait ; elle 11e nous
crut
pas d'abord, mais, voyant son fichu ensanglanté,
voyez que nos grands physiologistes ne connaissent point la vie, et,
croyez
-le, je ne touche ici que les plus petits faits pr
ux changement, d’une altération si profonde des lois de la vie ! Ne
croyez
point pourtant qu’il y ail destruction de quoique
t-être plus tard rendrons-nous compréhensibles tous ces faits. « Je
crois
nécessaire, dit Cabanis (1), de rappeler ici part
irais à Vécole si je savais trouver un maître plus habile, et ne m’en
croirais
point humilié. Le magnétisme n’est point pour moi
dans le magnétisme. Et, selon les somnambules, cette vie même où nous
croyons
être si fort éveillés, entendre, voir, goûter, fl
utenables et appuyées sur des faits qui les rendissent inattaquables,
croyez
-vous qu’on nous laisserait en liberté établir la
uverte? Vous n’oseriez l’assurer, ou plutôt il faudrait être fou pour
croire
à une tolérance non-seulement de la part du pouvo
de la part du pouvoir, mais des masses aveugles et fanatiques qui se
croient
éclairées par le passé et la sanction que les siè
nous donc dit, qu’avions-nous donc fait ? Mais simple que je suis, je
croyais
que l’erreur seule avait pour ennemis les prêtres
uand je vis |e traîneau entrer dans l’établissement des postes, je me
crus
pris et dirigé sur la route do la frontière. S’il
t plus dangereux pour toi que ce n’est pas un homme vulgaire et qu’on
croira
ce qu’il affirmera, car son caractère est franc e
’amers breuvages; de savants Allemands les ont préparés, et pourtant,
croyez
-moi, ils ne sont pas meilleurs. Voyez-vous ces
mare une lettre de voilure dont était porteur Balicle, et‘l’on avaii
cru
qu’il avait pu y ôlre précipité. Enfin , la somna
e cette somme, est douloureusement surpris de ne pas la trouver où il
croyait
l’avoir déposée. Ayant renvoyé la veille une dome
assurer de l’exactitude de la révélation, el trouve son argent, qu’il
croyait
bien perdu sans retour. — L’hiver dernier, M""
prié à la nature des « travaux de la société que notre collègue s’est
cru
obligé de « le lire en entier. C’est qu’en effet
orps incompré- Iicnsibles vont s’agiter d’une étrange manière. Vous
croyez
un repos prolongé nécessaire, indispensable, pour
ne maladie propre à exercer son savoir et sa patience; car, lorsqu'il
croira
au succès de ses efforts, les crises reparailro
t, et portaient leurs mains sur les parties de leurs membres qu’elles
croyaient
avoir été frappées. Deux mois el demi m’ont été
amenais ainsi, en reproduisant l’amé- lioration perdue, le malade ù
croire
à 1 efficacité du magnétisme. Cependant je ne p
chez M. Marcillet, la tête en feu, ne sachant plus que penser el que
croire
, car enfin Alexis avait dit vrai. Oui, le 1!) j
recommanda à ses camarades sur la roule que la garnison suivit, je
crois
, même jusqu’à Lisbonne. — L'est sans doute vous,
n’avoir pas eu soin de demander le nom de mon bienfaiteur; sans cela,
croyez
-le bien, j’aurais pris l'avance pour vous écrire
pas la qualité. Pour en avoir pris plus que rie raison, le diable, je
crois
, s’apparut à moi la semaine passée durant la nuit
pe que je laissai allumée dans ma chambre toute la nuit. « Comme je
crois
difficilement les contes qui se font ordinairem
nt ordinairement des apparitions d’esprits et de spectres, etc., je
croyais
encore ou que je dormais, ou «pic, du moins, si j
ent qu’ils étaient inaccessibles à toute espèce de crainte, qu’ils ne
croyaient
ni aux esprits ni aux revenants, et me parurent p
urs qui hasarderont de nier la production de ce coma. « Et qu’on ne
croie
pas, comme on le suppose fré- quemment, qu’il n
e une erreur de M. Du Potel, que je suppose involontaire. On pourrait
croire
, d’après lui, que non-seulement le magnétisme est
43 r. (d) Pour éviter tonie fausse interprétation de ces vers, j’ai
cru
devoir fair • Imprimer l’original, dont je donne
que je cherche à montrer: cette assemblée en est-elle digne? Jo ne le
crois
pas et je cesse de poursuivre. Eh ! vous, jeune
face, vous semblez illuminée. Votre mère accourt effrayée, elle vous
croit
en danger; erreur excusable! car l’action magnéti
-nous, vous saurez, car souvent, par imitatif , on fait ce dont on se
croit
incapable. Quelquefois aussi la révélation nous a
béquille, qui, lu nuit, dans un songe, m'est apparu II m'a dit : «Tu
crois
savoir « magnétiser ! Tu ne sais rien. Regarde-mo
i vu qu’il exécutait des choses surnaturelles. Eveillé, troublé, j’ai
cru
à mon rêve, je me suis mis à répéter ce que j’ava
te s’incline et s’arque. Vous me priez de cesser ! Vous vous rendez ,
croyez
-vous au magnétisme maintenant? Jactance humaine,
, légèreté impardonnable, vous existez dans tous les pays. L’homme se
croit
fort parce qu’il a des doutes, tandis que celui q
s idées, et que, dociles à écouter la voix de l’expérience, ils ne se
crussent
point d’une grande habileté après avoir produit q
vu des personnes s’endormir promptement sous la main d’hommes qui se
croyaient
peu propres à devenir magnétiseurs. Plusieurs foi
fections, chaque médecin appelé donne un nom différent , selon qu’ils
croient
saisir la cause réelle des désordres et surtout l
ehors; elles étaient tellement abondantes, que la malade n’eu pouvait
croire
ses yeux. Ces premières déjections la soulagèrent
que, eussent inévitablement amené une lièvre «dynamique. Fallait-il
croire
à l'efllcacité des purgatifs? Non. On on avait us
ns une imagination troublée par la crainte Ce qui me ferait pencher à
croire
qu’il y a de véritables spectres, c’est ce qu’on
niers devoirs il ne troubla plus le repos de cette maison. Ceci je le
crois
sur la foi d’autrui; mais voici ce que je puis as
ltés refroidies peut-être, endormies cl seulement en germe. Nous ne
croyons
poinl forfaire à la raison en avançant ce qui pré
s diriger suivant le plus ou moins de force de notre volonté? Nous le
croyons
, nous, et ce principe ne nous semble devoir être
i s’offraient à leurs yeux, ei que d’ailleurs 011 ne voudrait pas les
croire
. Ramenées à I état normal, elles ne gardèrent p
le môme éionnement que tout le monde de ce qu’elle voyait. Nous ne
croyons
pas qu’on puisse mettre en doute celte expérience
lle impondérables (calorique, électricité, lumière, aimant)? Mesmer
croyait
que c’éiaii une propriété du corps animal, et par
i suivi, et au bout d’un mois, contre l'attente de ses proches qui le
croyaient
perdu, ce malade fut bien. Séance du 9 juillet.
. ■ Maintenant le magnétisme est partout; qu’en va-t-on faire? Vous
croyez
que la science va s’en occuper, l’étudicr? Pas (l
eu les hommes! Tenez : une princesse souffre, languit, se meurt; vous
croyez
qu’on va essayer de la soulager; vous vous trompe
vous donne à vous-môme de lagône et de la douleur. Vous ôtes fondé à
croire
qu’on va chercher dans le magnétisme une ressou
croire qu’on va chercher dans le magnétisme une ressource que vous
croyez
presque infaillible pour la guérir! Non, non; un
s hommes dont le vaste esprit embrasse toutes choses; mais ceux-là se
croient
peu savants qui le sont vraiment; ils sont comme
le sont vraiment; ils sont comme des demi-dieux qui veulent qu’on les
croie
hommes. Dans ce pays, des gens simples (mougiks
istinctement le jour de l’intelligence, je tracerai des règles que je
crois
exister, et je tâcherai d’établir les lois qui pr
ouvrir la bouche. J’essayai vainement de faire cesser ce mal, que je
croyais
passager. Après plusieurs heures, son état persis
endant en entrant chez lui je ne souffrais aucunement ; je ne pouvais
croire
à ce singulier phénomène. Je voulus m’assurer de
nt raconté le môme fait; j’avoue que pendant longtemps j’ai refusé de
croire
à leurs témoignages ainsi qu’au mien môme. Aujour
Martin, qui, par ouï-dire, connaissait un peu le mesmérisme, mais n’y
croyait
point, et décidément doutait de la praticabilité
vant être proportionnées à la punition méritée, on pourrait peut-être
croire
que le plus ou moins d'existence de chaque corps
m au ciel! Phrase frappante qui n’est peut-être qu'uue révélation I
croyaient
à la réalisation de bien des songes et à 1 accomp
en Italie et dans d’autres pays ouverts à la gloire et au génie, 011
croyait
religieusement à ces choses. Pourrait-on dire que
quarante pieds. Eveillé par le bruit de sa chute, son maître, qui le
croit
s'non tué, du moins très-dangereusemeni blessé, e
is il a élé le spectateur de ses étonnants phénomènes, et pourtant il
croit
, parce qu’il rêve que chaque génération qui s’éco
s un grand partisan de celte nouvelle science, le célèbre Dcleuze, je
crois
, l’ayant rendu témoin de quelques expériences pro
r les heures ou vous faire suppléer près de l’un des deux malades. Ne
croyez
MANUEL DU MAGNÉTISEUR. (Suile.) pas que l’i
’une maladie nerveuse, mon traitement était agréé par le médecin ; il
croyait
au magnétisme, mais il jugeait qu’on devait donne
édai. Devais-je me fâcher contre un homme qui était de bonne foi, qui
croyait
au magnétisme, niais aussi à l’efficacité du moye
orgueil et une susceptibilité trop grande parfois pour être vaincue?
Croyez
-vous que dans cette circonstance le médecin était
imer la surprise où fut le marquis de Percy à cc discours. Ne pouvant
croire
ce qu’il entendait, il fit de nouveaux efforts po
l entendait, il fit de nouveaux efforts pour embrasser son ami, qu’il
croyait
le vouloir abuser, mais il n’embrassa que le vent
’avait dit Percy, ceux à qui il avait conté l’aventure commencèrent à
croire
qu’il en pouvait bien être quelque chose, parce q
iale. Ecoutons ce nouvel avocat : Nous vivons dans un temps où l’on
croit
peu aux miracles, et s’il y avait par-ci par-là q
u témoignage de ceux qui les attestent, c’est à peine si nous nous en
croyons
nous-mêtne, lorsqu'ils sc manifestent sous nos ye
que soit la rareté d’un phénomène, nous n’avons pas la folle idée de
croire
qu’il {Riisse intéresser chacun au môme degré. Le
s ses inscriptions, obtenu ses grades, il ne pourra se flatter d’êlre
cru
sur sa parole. Il n’est que le bonnet doctoral po
idité des somnambules serait l’indice et la première révélation. Nous
croyons
que la méthode employée dans les sciences pour la
e persuadera qu’ils finissent par mettre le doigt sur la vérité. Nous
croyons
qu’un médecin éclairé, el ils lesonl tous aujourd
et extraordinaires ; que de même ceux qui aujourd’hui refuseraient de
croire
à scs effets psychologiques ne l’empêcheraient pa
serait éternisée, en quelque sorte, par la voie de l'imprimerie, j’ai
cru
qu'en nia qualité do membre adhérent du congrès,
sur mon compte. « J’ai varié de mille façons ces expériences que je
crois
« très-peu connues, cl j’ai toujours réussi, lors
de son imagination, s’est engagé dans cette voie investigatrice qu'il
croyait
inexplorée. Mais retenu par des craintes légitime
é dans ce moment solennel. A Paris, ce centre des lumières, vous vous
croyez
forts parce que vous ôtes nombreux, parce que vou
obtenu qu’un seul résultat heureux accompagne de circonstances qu’il
croit
utile de rappeler. Une malheureuse femme, trait
tion d’in-filtrations du tissu cellulaire des jambes, adections qu il
croit
liées à une maladie du cœur. D’aulres membres p
i, son syslèmo, sa doctrine*, qu’il est venu ù l’esprit de tous de se
croire
aussi grands, plus grands que les maîtres, et de
esl extrêmement facile à tromper; sa bonne foi est si grande et il
croit
si fermement à l'impossibilité de lui résister qu
çons l’existence de ce sommeil qu après un examen attentif. Comment
croire
à une simulation....? Eh! mon Dieu, les honnêtes
x faits dont j’ai l’honneur de vous entretenir. Veuillez, Monsieur,
croire
aux sentiments respectueux de votre très-dévoué s
e; celte préoccupation le suivit dans son sommeil; au moment où il se
croyait
, dans un rêve, livré de nouveau à son travail, cl
alité et d'une vie future. Avant, j’étais matérialiste; je ne pnuva's
croire
à des écrits remplis d’allégories «t de mystères.
ée de l’avenir, et la mort était pour moi l'anéantissement du moi. Je
croyais
à un principe do toute existence, mais jms â autr
plus acharnés du magnétisme. Inutile de dire qu’il 110 voulut pas me
croire
, il refus.".il même de venir voir; enfin il se dé
me répondit-il, l'Acndémie verrait lofait qu’elle ne voudrait « pas y
croire
; je vous conseille même de 11’en rien dire. » (Aq
Donné pur Mesmer ù M. le man/iiisde Puységur. » Il y a tout lieu de
croire
qu’avec des documents aussi précis la commission
baron Du Potel, qui auront lieu désormais au bureau du journal. Nous
croyons
faire plaisir â nos lecteurs en leur annonçant qu
’on a dédaignée, vous qui avez fait connaître des dangers que l’on ne
croyait
exister que dans votre esprit ; accourez, car vou
été plus sobre d’explications, et vos défenseurs seront ceux que vous
croirez
peu persuadés. Tout eo qui semble contradiction n
mais que de peines, que d’angoisses pour celui qui l’avait opéré !
Croyez
-vous que l’on fut reconnaissant, que l’on rendit
ute maladie grave. Prononcez-vous alors, annoncez le succès si vous y
croyez
, et, dans le cas contraire, montrez la maladie, p
ar souvent la mort a rendu son arrêt, la vie s’en va, et lorsque vous
croyez
la tenir et la fixer il ne vous resle qu’un cadav
semble encore pour lui qu’un Dieu le soutiendra dans la lutte, car il
croit
qu’un Dieu s’occupe des affaires des hommes, et q
Si j’étais sorcier, magicien, je pourrais leur jeter un sort; car on
croit
ici aux sorciers. Malgré tout, je vais avoir un a
t, et au bout d’un mois de traitement la dame B..., que tout le monde
croyait
perdue, put reprendre ses occupations habituelles
et baisse son bras sans douleur, et fond en larmes de joie, car elle
croyait
l’usage de son membre perdu à tout jamais. LÉSI
e découverte, des hommes s’élever pour protester et pour mau- dire.
Croyez
-vous qu’ils soient mus par de nobles pensées, et
ir la syphilphobie, une forme d'hypocondrie dans laquelle les malades
croient
être syphilitiques. C'est un état psycho-pathique
trouvé d'exemples dans la littérature que j'ai pu consulter, mais je
crois
que les formes légères de cette manie se présente
puis pas exposer ma famille n de telles possibilités ». Lui aussi so
croit
un homme exceptionnel et il pense que la fatalité
ant six mois et plus, suivant la gravité du cas, et il y aura lieu de
croire
a une guérison complète. Tout d'abord un peu in
de mes suggestions ne s'affaiblit par la distance et par le temps, je
crus
que faute de mieux, une « séance à distance » lui
s endor- « mirez pendant une demi-heure. Durant ce sommeil, vous me
croirez
« à vos côtes, vous répétant les suggestions des
demander que « de vouloir bien m'écrire encore pour le même objet. «
Croyez
à ma profonde reconnaissance. « H. Mac... » J
imable Revue, fût absolument outrageante pour moi. je n'ai pas encore
cru
pouvoir la dédaigner. Gomme première réponse à ce
1889 : à la page 59 du Compte rendu de cette assemblée, on lit : - Je
crois
qu'en Belgique tout le monde est hypnotisable ».
nion et accumulé presque autant d'erreurs que de mots. Et que l'on ne
croie
pas qu'il s'agisse d'une note banale; assurément
; je prie mes honorables confrères de l'étranger, je les prie de bien
croire
que telles ne sont pas les formes ordinairement u
qu'elles contiennent une grande part de vérité. Il ne se refuse pas à
croire
à la possibilité des suggestions criminelles, car
is et l'École de Nancy ne sont pas aussi accentuées qu'on pourrait le
croire
. Souhaitons que bientôt la même entente puisse
on somnambulisme était réel ou simulé. En France, nos juges n'ont pas
cru
devoir s'attacher a ces considérations tout à fai
qui out exercé eu Afrique, eu est le signe révélateur. M. Mauthner
croit
que le sommeil naturel résulte d'uu trouble fonct
nt les effets les plus désastreux, notamment la surdi-mutité. Nous ne
croyons
pas inutile de publier les résultais d'une enquêt
us. — Soit jalousie, soit aveuglement, je suis seul, — du moins il le
croit
, — à ne pas être convaincu de sa haute compétence
, en éloquence comme en urbanité, comme en grammaire. Un moment, il a
cru
deviner sous mon dédain apparent une manœuvre hab
e fameux rapport que son auteur, par antiphrase, qualifie de modeste.
Croyez
-moi, vos lecteurs vous en sauront gré. Car ils de
ux jour le rdle que j'avais joué, bien malgré moi, dans le procès, je
crus
devoir, par une lettre insérée dans le numéro de
ort de? savants des innocents et des coupables. C'est pourquoi j'ai
cru
de mon devoir d'écrire ces quelques pages. J.
ue tous fussent devenus hailucinables si j'avais insisté. Or, je ne
crois
pas que l'on puisse raisonnablement soutenir que
e latent. L'hystérie, en effet, occupe un champ plus étendu que ne le
croit
M. Bernheim ; c'est ainsi que l'hystérie de l'hom
de l'hystérie. Pour toutes les raisons que je viens de résumer, je
crois
que les relations intimes qui relient l'hystérie
lente et continue de cette force sur une idée prédominante. • J'ai
cru
devoir rapporter aujourd'hui devant la Société, u
ements qu'elle fil et grâce aux affirmations négatives de son mari, à
croire
qu'elle était fictive. Quand celle profonde émoli
ois comme celte malade était bien décidée à essayer ce traitement, je
crus
qu'il serait bon de la faire assister à une séanc
e. » Ce vœu a été émis à l'unanimité, moins deux voix. Nous avons
cru
, messieurs, devoir relire.avec l'attention qu'ell
des assistants. * El il disait : « De même que nos législateurs ont
cru
faire chose utile et morale « en fermant les mais
unités scientifiques qu'il .-st jiermis de négliger. Nous n'avons pas
cru
pouvoir dédaigner à ce poinl l'opinion d'observat
lle mérite quelque attention. Méconnaître l'opinion du public est, je
crois
, aussi insensé que d'y attacher une trop grande i
s grands adversaires, naturellement, — vont plus loin encore : ils se
croient
obligés de prémunir le public contre l'influence
aires; de sorte que le nombre des susceptibles se montait à 98 %- -Je
crois
devoir attribuer celle différence de 6 % avec mes
La différence du chiffre de ma clinique et de ma clientèle privée, je
crois
pouvoir l'attribuer au plus grand sentiment de dé
ses ou des inclinations mauvaises, les deux cas suivants méritent, je
crois
, une attention spéciale : La nommée P.... âgée
our se redresser tant soit peu. Ce cas m'embarrassait beaucoup. Je ne
croyais
pas pouvoir le soulager beaucoup, et parfois je n
il n'y a pas suggestion), ou bien, impressionné par ce que je dis, il
croira
un moment (la suggestion a lieu}; mais le cerveau
pas suivie d'effet. De même si je dis : « Voici un chien. » Le sujet
croit
un instant ; le cerveau cherche à ébaucher l'imag
est paralysé! », ce quelqu'un, impressionné par ma parole, pourra me
croire
tout d'abord. Mais la paralysie ne se fait pas
i déposée. Si je dis à quelqu'un : c Voyez ce gros chien ! •, il me
croira
au premier abord, car il n'a aucune raison de ne
il me croira au premier abord, car il n'a aucune raison de ne pas me
croire
. L'idée du chien se présente à son esprit; il se
ai vu la troupe, le toit qui s'est écroulé. — Vous avez rêvé. — Je ne
crois
pas. J'étais levé. » J'insiste : « C'est un rêve
« C'est un rêve que vous avez eu. t II finit par me dire : « II faut
croire
, puisque j'étais à l'hôpital. » (A suivre.) S
que très peu de résultats chez un très petit nombre de sujets. Je ne
crois
pas à la réalité des faits d'hypnotisme qui nous
ffit pas de le nier, comme le fait M. Benedickt; il faut, si l'on n'y
croit
pas, le combattre par des faits aussi soigneuseme
ate. Notre pédagogie féminine excelle en ce genre de direction. Je ne
crois
pas qu'il en existe de plus riche, de plus pénétr
es se développant dans les limites des éléments nerveux excités. Je
crois
qu'après tout ce qui a été dit, il est inutile d'
é, regarde autour de lui, cherche où il est. « Où suis-je donc? Je me
croyais
à Paris. » 11 me raconte tout ce qu'il a vu, me d
rnheim, le caractère fondamental de l'hypnotisme. Mais il ne faut pas
croire
que les hypnotiques soient, comme on l'a dit, a l
re dont il soit possible de démontrer scientifiquement la réalité. Je
crois
qu'il n'est possible d'arriver à cette démonstrat
er que la suggestibilité du sujet en observation est exaltée. Jo ne
crois
pas pourtant qu'il faille exiger pour admettre qu
es; si en pareille circonsunce. j'avais toutes les raisons morales de
croire
à la sincérité du sujet en question, j'admettrais
érable que la guérison de l'épilepsie mérite de nous arrêter. Mais je
crois
qu'une affirmation aussi capitale, quelle que soi
arurent. J'ai autrefois fait trépaner des epileptiques et je les ai
cru
guéris; je me trompais, ils avaient seulement bén
ue, et cela chez quelques-uns de leurs malades seulement ; mais je ne
crois
pas qu'ils puissent affirmer que celte améliorati
es de mes idées personnelles sur celte question si iotéressante. Je
crois
que, pour que la question puisse être utilement é
tous les somnambules ne sont pas accessibles a ces suggestions, et je
crois
, i ce point de vue, qu'il faut diriser les hypnot
des manœuvres d'hypnotisme, ou qu'ils n'ont pas été hypnotisés. Je ne
crois
pas que cela soit suffisant ; je pense qu'il faut
es conséquences que lui au point de vue de la responsabilité. Je ne
crois
pas, du reste, toujours en me plaçant au point de
iminelles, je ne conteste pas les allégations de M- Déjerine, mais je
crois
que la divulgation de pareils faits, à l'occasion
gard et jetées en pâture à un public incompétent; efforçons-nous — je
crois
que c'est notre devoir — de ne pas en accroître l
j'en ai été profondément impressionné. Que certains de nos collègues
croient
qu'il est préférable de ne pas porter Jusqu'au gr
tous les méfaits imputables aux séances privées >. Nous pouvons,
croyons
-nous, messieurs, dire avec l'honorable M. Masoin
ualité pour exercer l'art de guérir : cette qualité donne le droit de
croire
qu'ils n'auront recours à ces pratiques que pour
ndique comme limite l'âge de dix-huit ans. Votre Conimission spéciale
croit
qu'il faut aller plus loin, et étendre la protect
qu'avec des sujets entraînés. Mais ayant eu à traiter des malades, je
crus
m'apercevoir qu'il n'était pas toujours nécessair
alors et aujourd'hui occupant de très hautes positions, qui n'ont pas
cru
se déshonorer an montant sur la scène pour épro
herches, ont pris les mêmes précautions contre la suggestion. Et nous
croyons
pouvoir l'affirmer avec certitude pour les plus r
duit uniquement au sommeil et à la simple suggestion. Voilà pourquoi,
croyons
-nous, beaucoup d'observateurs (et nous devons cit
somatiques, non seulement ne sont pas caractéristiques, comme on l'a
cru
, des diverses périodes de l'hypnotisme, ne justif
a mis en évidence ces phénomènes d'une façon telle qu'il nous a fait
croire
qu'ils ont été uniquement provoqués par lui. Cela
as déjà par la condition morbide. Et c'est une grande erreur que de
croire
qu'on pourrait instituer un cadre phénoménique ty
'hyper excitabilité neuro-musculaire, culano-musculaire, etc., elle a
cru
que ceux-ci étaient les vrais et les plus impoi-t
ologiques, auparavant inconnus. Ainsi, l'école de la Salpétrièrc, qui
croyait
avoir découvert des symptômes paihogno-moniques d
pas, dans son application, une chose si simple que voudrait le faire
croire
le professeur Ewald, de Berlin; loin de pouvoir c
t en pourrait bien tirer. La suite a prouvé que j'avais tort. Je ne
crois
pas qu'on puisse attribuer au traitement spécifiq
les alaxiques de l'hôpital Saint-Louis, ils ne paraissent guère, à en
croire
le professeur Charcot, être doués des mêmes rertu
facilité avec laquelle elle a pu être hypnotisée. Car il ne faut pas
croire
que l'on puisse toujours endormir des malades à l
ème, la cinquième ou même la sixième visite. Beaucoup de médecins qui
croient
à la suggestion et à l'hypnotisme, voyant pratiqu
prit, il est presque certain qu'il se retirera dégoûté et refusera de
croire
à la vérité d'aucune de nos assertions, tandis qu
ait parfaitement et avait perdu tout penchant pour les stimulants. Je
crois
que la guérison aurait pu être durable, mais malh
se rapportent spécialement à une clientèle privée, et on trouvera, je
crois
, que la bonne volonté et le désir de s'améliorer
s alors même que l'hypnose profonde eût été impossible chex lui, je
crois
qu'une suggestion bien faite à l'état de veille e
onté forte, afin de lui communiquer la force de la volonté; lui faire
croire
qu'il est moralement libre, maître de soi, afin q
aît être mal fondée; 6° L'expérience nous apprend qu'il est faux de
croire
à une soumission permanente de la volonté du mala
ndre compte de la valeur de la loi qui vient d'être votée. Si nous en
croyons
les conclusions de l'article suivant que nous emp
sa science, sur son habileté, sur sa prudence et sur son honneur. Je
crois
que le corps médical est digne de celle marque de
sions être dans la défense des prérogatives de notre profession, nous
croyons
devoir exprimer nos réserves sur un point. Il exi
que, quoique cet enfant fût imparfait, elle n'avait aucune raison de
croire
qu'elle ne serait pas plus heureuse une autre foi
nte, etc. D'ailleurs, les psychologues et les physiologistes modernes
croient
que le fœtus, longtemps avant de venir au monde,
veau de certains sujets les images de scènes et d'événements dont ils
croient
avoir été spectateurs, bien que ces événements n'
tel accent de sincérité que l'honorable magistrat qui l'avait entendu
croyait
que le fait avait réellement existé. Pour le détr
fait sortir la vérité de la bouche des enfants, et qu'on ne peut les
croire
capables d'inventer de telles histoires ou pousse
ions diurnes, à l'état de veille, à l'inanité desquelles le malade ne
croit
pas, n'existent pas dans le cours de celte intoxi
rité des personnes est hypnotisante, par conséquent suggestible. A en
croire
Liébeault, qui a une grande compétence en la mati
édulité extraordinaires à l'étal de veille. Ses compagnes lui faisant
croire
tout ce qu'elles voulaient, lui faisaient exécute
malfaiteurs, qui voyaient qu'on pouvait tenir la justice en échec, se
croyaient
autorisés à tout oser. Heureusement, le procès du
vérité du vieux proverbe : Bon chien chasse de race, » Jamais — je
crois
— on n'a rencontré meilleures preuves de la loi d
ns doute cela est vrai et rationnel dans une certaine mesure. Mais je
crois
qu'on a exagéré la théorie du surmenage contempor
sser par exemple un objet à terre. L'aspect déprimé du malade faisait
croire
à la sœur du service que le malade était dément.
bien marcher; le tremblement existe toujours dans la jambe droite. Il
croit
qu'il marche moins bien; il voudrait s'en retourn
d'un traitement approprié, l'épancbement se résorba assez vite, et je
croyais
en avoir fini avec cette malade, lorsqu'on vint m
en somnambulisme et parlait alors avec des êtres imaginaires; elle se
croyait
au ciel, voyait les personnes quelle avait connue
ait conformément à ses idées délirantes et au milieu dans lequel elle
croyait
être. Au réveil, elle ne se souvenait pas d'avoir
ppellerai en quelques mots les raisons pour lesquelles je continue de
croire
à la valeur du mot neurasthénio et du type qu'il
série d'observations cliniques ; c'est que, en effet, il ne faut pas
croire
, parce qu'il y a des neurasthéniques remuants, ir
es, morales ou intellectuelles oui ici la même valeur. En somme, je
crois
et continue à soutenir cette thèse que le mot neu
au moins si leur intelligence n'était pas atrophiée ou rudimentaire.
Croyez
-vous que l'homme qui baptise son fils Epaminonda*
renseignements précis sur eux. Ce devait être, on peut sans peine le
croire
, des êtres très suggestives et facilement malléab
s pages. A quoi bon? Ce serait toujours la même chose. D'ailleurs, je
crois
être arrivé au but que je me proposais, c'est-à-d
ntrainte de manger, malgré son impulsion à refuser les aliments. Je
crois
quo ce dernier résultat serait survenu plus têt s
as de M. Goix, avait son point de départ dans une auto-suggestion, je
crois
qu'un artifice utile pour dissiper l'entêtement d
qui la fil souffrir beaucoup; les larmes de sang cessèrent el elle se
crut
guérie. « Le 24, le 25, le 26, le même phénomèn
est »ur le point d'être guérie, elle va sortir de l'hôpital. Nous ne
croyons
pas, en présence de sa facile obéissance à la sug
paru. Il y a de cela environ six semaines. Il n'y a pas de raisons de
croire
qu'elles réapparaîtront; et, en tout cas, une nou
e quand nous lui mentions, c'est-à-dire que nous faisions semblant de
croire
qu'il y réussissait. J'anesthésiai ensuite par
roborer les déductions de M. Mesnet. Mais voici qui est nouveau, je
crois
. Cette dame est, nous venons de le dire, débarr
rer de conclusion définitive puisque le phénomène persiste; maïs j'ai
cru
qu'il était inutile d'attendre davantage pour sig
pour signaler au moins cet affaiblissement. Si, comme j'ai lieu de le
croire
, il allait s'accentuant, il serait assez légitime
de : PSEUDO-URTICAIRE DERMOGRAPHIQUE, montrant clairement ainsi,
croyons
-nous, que dans ce phénomène, le signe dermographi
e savants officiels et d'autres, c'est beaucoup plus vrai qu'on ne 1«
croirait
a première vue. Voyons les raisons invoquées à
l'organisme, c'est une maladie. » Mais on n'en continua pas moins à
croire
généralement que les affections mentales étaient
as moins très réels, et que j'avais constaté de visu, j'ai commencé à
croire
que mon scepticisme pour les phénomènes spi-ritiq
rès le livre de Janet sur {'Automatisme inconscient. Ce médium, qui
croit
écrire sous la dictée du Tasse ou de l'Arioste et
énergique, reste inactif et n'a plus conscience de ce qu'il fait : il
croit
alors agir sous la dictée d'une autre personne.
parle plus en latin; mats le public, qui ne fait pas cette critique,
croit
que le médium parle le latin par inspiration des
n trouverons l'explication plus exacte et moins merveilleuse qu'on ne
croyait
tout d'abord et, en attendant, gardons-nous de ce
royait tout d'abord et, en attendant, gardons-nous de cette erreur de
croire
que tous soient des simulateurs et nous seuls des
ose en plaques. Aujourd'hui je ne vous relaterai que deux cas qui, je
crois
, présentent quelque intérêt. Le premier est cel
t invétérée » de Macbeth eût été enlevée par des suggestions, mais je
crois
que beaucoup de troubles mentaux, effets de chagr
it le visage du sujet, sa tête était tombée de côté. Un instant je la
crus
morte; celte pensée venait de traverser mon espri
'action de la suggestion hypnotique sur les fonctions inhibitives, je
croirais
cette dernière alternative la plus probable. J'en
e pourrait pas trouver la vérification de celte manière de voir, j'ai
cru
reconnaître: !• un cas de condition seconde spont
giment. Par diverses suggestions à l'état de veille, ce clairon s'est
cru
nommé sous-lieutenant; il a du sa nomination, qui
mmandant G... le disait à son colonel, mais seulement 4 •/•» comme le
croit
M. le LV Liébeault, dont la haute compétence en c
e fermer les yeux sur une (elle situation? En vérité, je n'y veux pas
croire
. Car, enfin, je voudrais bien qu'on ne se borna
'on ose enfin envisager virilement un aussi terrible danger! Qu'on ne
croie
pas qu'il pourra être conjuré par l'inaction et l
touche à la paix des familles, à leur sécurité, à leur honneur. Je me
crois
tenu, en conscience, de dire, sur ce point, toute
ur cent peuvent être réduites a un automatisme absolu. Et que l'on ne
croie
pas qu'il faudra toujours prendre les allures d'u
n somnam-bulcs et suggestibles! Il n'importe. L'idée est jusle, je le
crois
du moins. J'attendrai patiemment qu'elle ail fait
place me manque, je le répète, pour proposer l'interprétation, que je
crois
la «ule possible et la seule exacte, de ces trois
ommençait i donner des signes de folie avec délire de persécution; il
croyait
voir trois individus qui, poignard en main, le po
rien et qu'il se trouve bien. Pour ne pas fatiguer, je dirai que je
crus
qu'il était temps et indiquai le traitement psych
s que je ne mentionne ni ne détaille pour ne pas trop m'étendre. Je
crois
donc et affirme avec conviction, d'après des fait
qui ont été « condamnés en deux instances pour escroquerie, M. Masoin
croit
devoir « exposer cette affaire devant l'Académie.
agements de ses chefs. Après des séances publiques d'hypnotisme, il
crut
remarquer qu'un de ses collègues, avec qui il ava
sibilité de pareils crimes, et je reproche trop vivement à ceux qui y
croient
de les affirmer mus preuves suffisantes, pour tom
ille d'une suggestibilité excesssive, que ses compagnes lui faisaient
croire
tout ce qu'elles voulaient. * Aussi, sa suggestib
plus complète. Je me permets de vous en soumettre quelques cas que je
crois
intéressants. I. — Une demoiselle A.... âgée de
paux faits à relever chez cette malade, ut, à la voir en cet étal, on
croirait
difllcilemcnt, au premier abord, que sa mémoire n
potents pour l'annuler**... Le jury représente la société même, il se
croit
au-dessus de la loi, sous prétexte qu'il se confo
ériodiquement une douzaine de citoyens, pris un peu au hasard, qui se
croient
autorisés à ne tenir aucun compte des lois prolec
ue la différence des points de vue produit ici des malentendus, et je
crois
à cette occasion devoir recommander à tous les le
ièrement propres à ce but, parce qu'elles jouent au naturel, qu'elles
croient
à leurs mensonges comme Tartarin de is Tarasc
germe résulté de la conjonction du spermatozoïde et de l'œuf. Nous ne
croyons
pas au libre arbitre, illusion provenant de la co
Etat qui finit par augmenter les habitudes de prostitution, par faire
croire
au public que la prostitution est nécessaire à ch
ns les jambes avec convulsions. Son médecin l'ausculte et la percute,
croit
trouver quelques indices suspects et lui demande:
mélancoliques — à se voir si bien surveillées de cette façon. Nous
croyons
mtér^essant de rappeler, en terminant ces quelque
de péripéties, de celle jeune femme, histoire assez curieuse que j'ai
cru
devoir raconter à la Société, et qui montre, une
n, mais curieux en ce qui concerne l'accouchement retardé el que j'ai
cru
intéressant de rapporter, car, s'il y a des accou
d'une femme mariée hypno-tisable, si elle aime son mari : On loi fait
croire
que l'on est le mari. De là l'air souriant de la
peut-être sincère quand il affirme que M"* G... l'aimait; il a pu le
croire
. Ce aont ses propres paroles. Bien de plus facile
mo suis longuement expliqué sur l'efficacité de cette précaution; j'y
crois
très peu; mais au Sénat, l'honorable M. Souparl,
voir ce qu'il faut entendre par les mou ¦ donnés en spectacle ». Je
croyais
la discussion épuisée sur ce point; elle a été lo
n étani admis — tomber sous le coup de la répres-on pénale, et j e ne
crois
pas qu'il fut possible de le dire plus clairement
— Je ne veux pas opposer ma compétence à celle de M. Heynen; mais je
crois
qu'il y a des cas où l'intervention de l'hypnotis
e pratiquer utilement! Telle est la portée de mon observation et je
crois
que l'intervention lu gouvernement serait de beau
ers incriminés par nos ancêtres. La malade dont je viens de parler se
croyait
victime d'un frisson, d'un refroidissement. En ré
tacle bienfaisant de la foi sereine et naïve. N'est-ce pas à ceux qui
croient
avec ht candeur de l'enfance que la vérité est pr
pas encore été dit assez souvent ni assez haut : « Soyez chrétiens et
croyez
aux miracles, si vous les trouvez réels et s'ils
ériences qu'on pourra provoquer devant moi, je persisterai toujours à
croire
que l'hypnotisme n'existe pas. » Il est bon de
malheureux de ne se souvenir de rien de ce qui a précédé le crime, de
croire
que c'est lui-même qui en a conçu ridée, de se re
t point de suggestion, etc., etc. Réveillée et dans cet état que je
crois
pouvoir assimilera la condition seconde de Félida
de de Félida X... et de ses pareils, elle prend le pistolet et tue ou
croit
tuer M. O... Je prie M. Liébeault de la rendorm
jet » de M. Bernheim. Je ne sais si je ne me fais illusion, mais je
crois
qu'il y a là un moyen presque assuré de déjouer l
la morale, alors, j'aurais été absolument de son avis... ; mais s'il
croit
que nous pouvons nous désintéresser entièrement d
vec une confiance respectueuse, avec des égards presque révérencieux.
Croyez
-vous qu'il en serait ainsi, si les gens du monde
rtant volontiers de la polémique injurieuse, je dois avouer que si je
croyais
au niable, je serais convaincu qu'il a collaboré
c'est qu'un miracle, d'après le P. de Bonniot, le voici : « Nous nous
croyons
autorisé, écrit-il en soulignant les mots, à défi
adopté par un écrivain qui semble continuellement préoccupé de faire
croire
à ses lecteurs qu'il sait ce que c'est que la sci
ultitude qui peuplait notre France il y a quelques siècles; celle qui
croyait
aux revenants et qui, par contre, n'aurait jamais
vec une vitesse de 80 kilomètres à l'heure; celle qui n'eût pas voulu
croire
que la pensée de l'homme pût être jetée, en une s
evinrent flasques et la malade tomba dans un songe agréable ; elle se
croyait
au milieu de ses élèves et paraissait être très c
mars 12, en avril 15 et en mai seulement deux fois. M. Mey- nert
croit
avoir réussi à couper ces accès en employant, sui
me dans le cas de delirium tremens, n'a nullement les dangers qu'on a
cru
devoir lui attribuer. Je déshabitue généralement
trer dans l'ordre habituel des choses : ils sont alors bien tentés de
croire
que, en réalité, l'on n'en était jamais sorti.
e, en réalité, l'on n'en était jamais sorti. Nous ne sommes pas. je
crois
, au bout des étonnements que peut soulever l'hall
isé ou rendu négative la per-» ception de cette image... Un aliéné se
croit
en prison ; il voit » son cachot, son geôlier, la
voit le verre : mais ce n'est pas de l'eau comme on veut le lui faire
croire
; c'est du vin gris, il est très bon, elle va le
elle a encore besoin, pensons-nous, d'être complétée. En effet, on a
cru
jusqu'ici que l'hallucination négative annulait c
n empêchant qu'elles ne fussent perçues parle cerveau. Eh bien ! nous
croyons
que c'est là une erreur : il y a perception visue
les se réalisent dans le moi inconscient, et, chose importante et, je
crois
, nouvelle, la personne objet de l'hallucination n
ion négative peut entrer en rapport avec le sujet, aux yeux duquel on
croyait
l'avoir fait entièrement disparaître. Si cela e
elles que nous donnons chaque jouraux somnambules ? Jusqu'ici, on a
cru
que la personne rendue invisible pour le sujet hy
avait suggéré de ne pas l'entendre. Or, j'ai montré le contraire ; je
crois
avoir prouvé que celui qui paraît ne pas voir, vo
il éprouve un accès de contrition sous l'influence des paroles qu'il
croit
entendre; ses yeux sont remplis de larmes, et si
nés à tromper les hommes. On a de tout temps objecté à l'Eglise que
croire
aux démons comme auteurs du mal, c'était encourir
rie est absurde. Mais quel mérite y aurait-il pour le P. de Bonniot a
croire
quelque chose qui ne serait pas absurde? Un savan
t » s'empresserait de tourner le dos. Les savants, en effet, avant de
croire
et d'affirmer, demandent de la logique et des pre
nt suffisamment armé pour refouler l'apparence dans la fiction, et il
croit
à la réalité du faux par l'impuissance où il est
» 2° Comment la conviction, ainsi produite, crée-t-elle ce qu'elle
croit
? » S'il s'agit de l'efficacité de la convictio
ypnotisée : « Vous voulez manger; vous voulez danser; » aussitôt elle
croit
qu'elle veut manger, qu'elle veut danser ; la vol
pulsion semblable à l'instinct. L'hypnotisé veut, d'abord parce qu'il
croit
vouloir, puis parce qu'il veut déjà. Cette derniè
est déterminé par des motifs présentés à la raison » ? Nullement! Il
croit
pourtant procéder rationnellement. Il le croit,
on » ? Nullement! Il croit pourtant procéder rationnellement. Il le
croit
, comme croient les hypnotisés, et sans s'apercevo
ent! Il croit pourtant procéder rationnellement. Il le croit, comme
croient
les hypnotisés, et sans s'apercevoir, qu'en défin
ourtant il n'en est rien, car « l'hypnotisé veut, d'abord parce qu'il
croit
vouloir, puis parce qu'il veut déjà !» Le P. de B
bien de ceux qui se font honneur de répéter la fameuse parole : « Je
crois
, j'affirme, même quand c'est absurde, et parce qu
i occasionne des sensations douloureuses et pénibles, ce qui lui fait
croire
qu'ils sont tous plus ou moins gravement attaqués
rdeaux a interdit la continuation des séances de Donato, parce que je
crois
, comme vous, qu'il ne faut pas laisser les poison
, M. de Rasquinet, n'a pas été requise. Voici maintenant comment je
crois
qu'on peut expliquer ce cas et les cas analogues.
et de cet épisode et le malheureux insensé donr parle M. Delbœuf, qui
croyait
avoir le ventre rempli de grenouilles ou de crapa
nnement et l'observation m'en ont convaincu. Et alors, n'est-il pas à
croire
, n'cst-il pas infiniment probable que ces suggest
nt, grâce toujours ô la même opération mentale. Les élèves de Charcot
croient
pouvoir conclure que les second* sont devenus hys
n France. — Paris. 1826), Bertrand revient encore sur ce sujet : « Je
crois
, dit-il (p. 428), qu'il n'est personne, pour peu
part des sensations ressenties par la personne qui l'a endormie. Elle
croyait
boire quand cette personne buvait. Elle reconnais
ent cet accord complet qui a inspiré ncs doutes. M. Luys endormait ou
croyait
endormir sa malade er nous annonçait ensuite ce q
inaires de l'argumentation scientifique. A les entendre, on se serait
cru
, soit dans une assemblée politique où il s'agirai
nne pas aisément le change a un observateur expérimenté. Dés qu'il se
croit
seul, d'ailleurs, il est bien rare que le simulat
beaucoup qui se sont empressés de propager le fait erroné et même d'y
croire
, il s'en trouvera fort peu pour le démentir. La
ivement frappé; c'est celle de M. Laborde. Ce distingué physiologiste
croit
qu'il existe une contradiction préjudicielle entr
tations, pouls accéléré ; température à 40*, puis sueur abondante. On
crut
à un accès de fièvre intermittente. Cinq semaines
faits d'ataxie thérapeutique sont beaucoup plus fréquents qu'on ne le
croit
. Ils sont réels et se produisent malgré les indic
ns la grave question qui nous occupe, la question de l'hypnotisme, je
crois
devoir vous exposer d'abord quelques idées généra
par conséquent, moins de liberté. Telles sont les prémisses que j'ai
cru
devoir établir avant d'entrer dans les considérat
près. Ici, messieurs, je me range a l'avis de l'éjole de Nancy. Je
crois
que tout système nerveux quelconque est plus ou m
déterminent l'hypnotisme. Je n'ai pas toujours été de cet avis. J'ai
cru
de prime abord que c'étaient surtout certains suj
ue, dans ce cas du moins, il diminue ou supprime la liberté? Je ne le
crois
pas. Lame est le principe en nous des trois vies,
ui a recours, dans des cas déterminés, à l'influence hypnotique; nous
croyons
, enfin, que l'argumentation par laqucllconessayed
rps humain? Ce que nous ignorons dépasse, comme l'infini, ce que nous
croyons
savoir. Soyons modestes. Il faut donc attendre, e
t revu ce malade et sa santé se maintient parfaite. En résumé, nous
croyons
cette observation intéressante a deux points de v
mable etdésirable, en parle avec joie.yacquicsccdctoutson cœur. Et ne
croyez
pas. Monsieur le Docteur, qu'il s'arrête au raiso
uve place dans cet esprit transforme: Auparavant, me di-» satt-il, je
croyais
que tout m'était dû et je ne savais reconnaître a
-ïK quotidien** Aussi se rencontrc-t-îl moins de familles que l'on ne
croit
, au foyew desquelles le régime alimentaire soit r
e, Esquiros (t) se la pose. Voici en quels termes il la résout : « Je
crois
qu'on s'exagère beaucoup l'influence du sentiment
d'une tïrreur que tout concourt à faire naître, l'esprit s'égare; on
croit
voir, entendre, toucher le diable. Telle est l'or
ue. Quoique ceci soit tout â fait conforme a ma propre expérience, je
crois
néanmoins avoir observé qu'à un âge très avancé l
sort pas de son domaine en abordant ce sujet, sur lequel chacun a ou
croit
avoir un avis. C'est ce qui me décide. J'aurai ai
qu'on a dû éloigner tous les autres enfants; malgré son père, qui ne
croit
pas à l'homéopathie, elle a pris des globules et,
se, leur conviction s'est faite, et rien ne pourra l'ébranler. Ils se
croient
fondés à dire qu'elle a une base expérimentale, e
ojet qui avait formé de se livrer entièrement ù la psychologie. Il se
croyait
appelé! poser les fondements de cette science pou
s par lui et matérialisées, pour ainsi dire, si bien que le sujet les
croit
réelles. II voi-, devant lui un chien qui n'y est
voir; les autres ne cherchent pas à se rendre compte; d'autres enfin
croient
que cette voix et cette sensation émanent d'une a
e certaine association d'idées, voilà que bien des choses que nous re
croyions
! pas avoir entendues reviennent distinctement à n
es choses se sont passées de même. La première fois, le magnétiseur a
cru
qu'elle dormait, et même, comme elle ne sortait p
s, où elle est restée but jours, Là, on aurait, à ce qu'elle raconte,
cru
qu'elle dormait. On lui appuyait sur la tetc et e
spécial, leur donnant l'apparence de certains états hypnotiques. Nous
croyons
, d'ailleurs, avoir suffisamment montré, par les d
ue" de date récente. Après nvoir institué le traitement classique, je
crus
, lorsque la période d'acuité eut j peu près compl
ravages que les projectiles ont faits dans une ville assiégée. Je ne
crois
pas qu'au moment actuel, aucune des théories qui
ler une prédisposition mor-'. bide jusqu'alors sommeillante ' Je ne
crois
pas que l'é;ar hypnotique constitue une maladie,
es plus absurdes et les plus ridicules; !e succès est a ce prix. Je
crois
qu'il ne se trouvera personne ici pour défendre c
rait pas la pratique de l'hypnotisme dam le* réunions privées. Je
crois
qu'ici il5 faut distinguer et distinguer surtou
dégage clairement des discussions qui ont eu lieu. Tout d'abord, je
crois
pouvoir constater qu'en provoquant ces discussion
reste. Tout en rcservjnt la question hygiénique, je persiste donc à
croire
que les faits allégués ne justifient pas une mesu
277). II faut lire de pareilles assertions dans l'original pour les;
croire
. Depuis près d'un siècle, tous ceux qui ont com
ment le croup et les angines couenneuses. Il est vrai que beaucoup le
croient
et le disent, mais ils se trompent. I.eur croyait
rai que beaucoup le croient et le disent, mais ils se trompent. I.eur
croyait
ce repose sur; des erreurs de diagnostic. Le vrai
ation diflicile. Ceux qui les observaient ne pouvaient refuser de les
croire
, ceux qui ne les connaissaient que par oui-dire l
ire annuel, dans son rapport général sur les prix décernés en 1S8S, a
cru
devoir consacrer, avec une grande larg;ur de vues
mieux. N'a pas été ramené à ma clinique. J'ai eu quelques raisons de
croire
qu'il a été guéri. 18.— 1" avril :s$8. — L... r
oux et soumis après quelques séances. On continue le traitement. Je
crois
devoir, aux observations précédentes, en ajouter
s défectuosités morales sont ? conséquence d'é;ats maladifs. Aussi je
crois
que la nouvelle méthode que j'ai employée, et que
e quelques expérimentateurs ont essayée, s'impose dans la science; je
crois
qu'elle est déjà la condamnation de ceux qui la c
e, 1886,lome XXIlI .desexpériences sur des sujets auxquels je faisais
croire
qu'ils avaient perdu leur tète. Je les mettais en
t cela avec la passivité d'un automate ? Peut-on se défendre enrin de
croire
que l'opérateur possède le philtre du magicien, q
chez l'hypnotisée explique bien des expériences qu'on a tout d'abord
cru
pouvoir invoquer en faveur de la suggestion menta
expériences qu'on pratique sur sa sensibilité, et il ne cesse pas de
croire
à son anesthésie. iaa Les images des régions an
Ceux qui s'adonnent n l'exercice illégal de la médecine pourraient
croire
qu il leur suffît, pour échapper ? l'application
ur cabinet. C'est là une erreur. La jurisprudence est établie, ci nul
croyons
utile de rappeler aux magnétiseurs, dans leur in:
est la cécité corticale (par lésion de Pecoree du cerveau). Mais je
crois
avoir démontré qu'il peut exister chez les hystér
pas me voir, mais qui. incapables de réaliser exactement cette idée,
croient
devoir s'ingénier à ne pas me *oir; ils croient,
xactement cette idée, croient devoir s'ingénier à ne pas me *oir; ils
croient
, pour répondre à la suggestion, devoir de bonne f
sont nnbi^ués comme leurs sensations. Il en est, je le veux bîea, qui
croient
que la suggestion leur commande de simuler. |e
e sourcille pas. Quand les assistants lui disent que je suis là, elle
croit
qu'on se moque d'elle, s'indigne et se fâche. Je
entiques. Avant de consigner les résultats de cette nécropsic, nous
croyons
devoir rappeler aussi brièvement que possible la
nit mois, dit-il... «Je me trouve mieux, déclare Lance, osant à peine
croire
à cette amélioration; maintenant, je verrai si, c
nerveux atrophiés, qu'elle aurait contribué a régénérer? Nous n'en
croyons
rien. Nous pensons plutôt que cette influence s'e
usage quotidien. Jean Sturm lui-même, — un humaniste, cependant, — ne
crut
pas pouvoir s'en passer. La verge y était solenne
r exerce sur les diverses modalités nerveuses de l'hypnotisé. Je me
crois
donc autorisé â inscrire ces faits de transmissio
feuille qu'elle venait d'écrire: elle eut une grande surprise, et ne
crut
à nos affirmations qu'en voyant sa signature, san
as tous, à un degré variable, une certaine crédivité qui nous porte à
croire
ce qu'on nous ditr.^/l » Notre première impress
Notre première impression, quand une assertion est formulée, c'est de
croire
ï l'enfant croit ce qu'on lui dit. L'expérience d
ression, quand une assertion est formulée, c'est de croire ï l'enfant
croit
ce qu'on lui dit. L'expérience de la vie. l'habit
: » machinalement, il y porte la main ; il est même des personnes qui
croient
en sentir la piqûre. » Oui, la crédivité persis
es assistants confirment, de bonne foi. votre dire. Non seulement ils
croient
entendre, mais ils entendent, ainsi que le prouve
cane ait suffi pour lui communiquer un tel pouvoir : C'est à n'y pas
croire
! Jusqu'ici, l'expérience ne présente aucun int
es présentes s'accordent à lui certifier que la carte sur laquells il
croit
avoir éprouvé la sensation est bien celle que je
ndais des Druits de pas alors que personne ne passait près de moi: je
croyais
în'ctre mis en mouvement alors qu'il n'en était a
le vrai du faux, surtout pour ce qui touchait les bruits de pas. Je
crois
qu'une extension plus grande de cette notice n'es
traitement de certaines maladies nerveuses, que le l>" Bérillon a
cru
devoir fonder cette clinique. Le grand nombre des
mier^ dans la réussite de la suggestion. Quant au second, j'ûiclîne â
croire
que tout individu suffisamment préparé est apte à
istoire des sciences connaît des exemples de savants qui. après avoir
cru
observer un phénomène naturel, propre à soutenir
roduction des selles, etc., reposent sur des cassa analogues. Je me
crois
donc fondé â prétendre que pour bien réussir dana
ectuels, qu'ils soient hypnotiques ou post-hypnotiques. M. Delbœuf ne
croit
certainement pas que si le somnambule ne fait que
ait à me rembourser cinq florins qu'il ne medevait pas et refusait de
croire
que je lui avais donné cette suggestion. Il était
onnée de l'ancsthésie systématique ; cependant les auteurs précédents
croient
réfuter notre interprétation, qui est identique A
erreur provient simplement d'une confusion dans la terminologie. Je
crois
donc qu'il serait très utile de résumer, rela'.iv
sujet; le plus souvent, le sujet, par un phénomène d'auto-suggestion.
croit
continuer à voir les objets qu'on place derrière
rincipalement la partie consciente du phénomène qui est altérée. Je
crois
que la conclusion précédente, s'appuyant sur tant
d'anesthésie systématique. Ce terme a donné lieu à des méprises; on a
cru
sans doute que par anesthésie nous entendions par
et nous ne voulions parler que d'une anesthesie par inconscience. Je
crois
, du reste, avoir montré dernièrement que Fanes-th
ret à abandonner une terminologie qui donne lieu â des confusions. Je
crois
qu'on pourrait mettre de cote hallucination négat
malade a passé, arait pensé a une sclérose en plaques, s appuyant, je
crois
, sur ce fait que le tremblement était exagéré par
es désarmes, ou â peu près, en face de cette maladie. M. Lurs. — Je
crois
, comme M. Gaucher, que le diagnostic n'est pas do
nt. Trop de médecins ont malheureusement une regrettable tendance à
croire
qu'il n'y a que ce qu'ils font et que ce qu'ils c
gement dernier. Cci deux conditions étiologiques pourraient luire
croire
que ces phénomènes sont liés à une modification b
us conduire à un jugement erroné dans un sens ou dans l'autre. J'ai
cru
utile, en cette querelle, de vous faire connaître
moins n'est pas encore universellement démontrée, puisque Babinski a
cru
utile de revenir sur la question et de faire, en
savent combien j'admire l'œuvre de Charcot n'auront aucune peine à me
croire
) que, non seulement le grand hypnotisme a précédé
er bientôt), c'est de trop généraliser ses premières observations, de
croire
que. par cela même qu'un fait était observé et bi
d'ailleurs, la valeur de ses observations particulières. Voilà, je
crois
, où se trouve la vérité ; telle est la note clini
lettre les termes de cette note ; en dépasserait certainement, je le
crois
, la pensée de l'auteur, à l'heure actuelle du moi
avec cela, il conserve un certain degré d'activité sensorielle. On a
cru
quelque temps que, dans cet état, toute suggestio
ntes, elle eut des rêves affreux qui la réveillaient en sursaut; elle
croyait
tomber dans un précipice. Lts secousses nerveuses
médecin qui soignait sa tante et qu'elle suivait le même régime; elle
crut
qu'elle aussi était perdue et qu'elle allait mour
n regard, l'inspection des parties les plus intimes du vêtement où il
croit
retrouver les traces d'une odieuse infidélité, il
tions, nous disait ce pauvre mari, étaient tellement absurdes, que je
crus
tout d'abord à de simples plaisanteries d'assez m
limite de la raison et de la folie, et que le vulgaire habituellement
croit
déserte, renferme des millions d'habitants. En ef
les et les communications dépourvues de contrôle scientifique. Nous
croyons
donc devoir soumettre de nouveau l'idée d'un Cong
bune de Genève, dans des articles remarquablement conçus et écrits, a
cru
devoir justifier l'opportunité de la mesure prise
tisables ? tous les sujets hypnotisables sont-ils des hystériques? Je
crois
pouvoir affirmer qu'il n'en est rien. On se tro
ie, pour ma part, à la conclusion actuelle de la Sal-pêtrière : je ne
crois
pas que tous les sujets hypnotisables soient des
1889). de tout ce que j'ai lu et de mes propres observations. Je
crois
, d'ailleurs, que personne ne songe à le nier, et
ment rapprocher des choses qui n'ont rien à voir ensemble, mais je ne
crois
pas que ce soit un sûr moyen de forcer les convic
ier médical, 188S. ici les arguments que j'ai donnés ailleurs, je
crois
pouvoir affirmer 3ue les différentes variétés d
complet et sans conteste. Ce serait une erreur grave et fâcheuse de
croire
que vous ne . pourrez guérir ou soulager par l'hy
ns où elle n'a pas été observée directement que je sache. Aussi ai-je
cru
utile d'appeler l'attention sur ce point. Les é
curieux phénomène qui est l'objet de cette observation ; et je ne la
crois
pas hérétique, parce qu'elle est fondée sur le pr
nférieures aux appétits. Tous aspirent au premier rang dont nul ne se
croit
indigne ; on croit sincèrement qu'il suffit qu'un
tits. Tous aspirent au premier rang dont nul ne se croit indigne ; on
croit
sincèrement qu'il suffit qu'une carrière sott ouv
'est pas. malheu-reu*emcnt, toujours suffisant pour nous permettre do
croire
Lombroso sans restriction, observateur aussi crit
ange (1) Dans le texte : Direction. ouvertement (1) à cet avis et
croit
que les mouvements du système nerveux central peu
s les doigts de la main droite de son voisin de gauche. Le lecteur le
croira
sans doute difficilement, et pourtant il n'en est
que c'est une seule et la même main qu'ils touchent tous les deux. Je
crois
possible que cette façon de tromperie engendre de
e exécutée par les personnes expérimentées dans l'art du batelage; je
crois
aussi qu'il est possible de glisser de la sorte s
n'est que si celle condition est remplie rigoureusement que l'on peut
croire
la déclaration que le médium n'a pas eu sur lui a
nemi du tabac par raison de santé ou par raison morale, Non c'est, je
crois
, de naissance. Je ne sais si, une fois devenu f
n colombophile qui fait autorité en la matière. « On aurait tort de
croire
, dit M. La Perre de Roo, que le pigeon messager,
de Greenwich, ils disparurent dans la direction de Londres, et je les
croyais
perdus. Mais à mon retour à Bruxelles, j'étais ag
faire faire à des pigeons un trajet toujours le même, il ne faut pas
croire
que cet exercice soit de nécessité absolue. Un pi
les hypothèses faites sur cette question. *** M. le Dr C. Viguier
croit
à l'existence d'un sens de l'orientation, et il e
expérimenté ou vu expérimenter dans le pays d'origine. S'il faut eu
croire
Hérodote, l'usage du haschisch existait dans l'In
le domaine du charlatanisme. Il arrive très souvent que les personnes
croient
avoir vu dans un certain moment un objet sur une
andis qu'en réalité il n'y était plus depuis longtemps en général, on
croit
voir quelque chose que l'on ne voit pas en realit
ondée l'affirmation d'une faculté médiantque spéciale chez Eusapia et
croirai
beaucoup plus justifiée la supposition qu'elle n'
ellement des cordes au plancher, n'ont pas d'autre effet que de faire
croire
aux assistants que les liens en deviennent plus s
roximité. Certes il arrive que le médium quitte sa place, et je ne le
crois
pas impossible dans les expériences de Lombroso;
oso, qui était assis près du médium. Il y a beaucoup de personnes qui
croient
que le médium, tout en pouvant exercer une pressi
ché par les deux voisins: Lombroso et Tamburini, et que tous les deux
crussent
néanmoins toucher un autre genou. Cela aurait été
travaillent ainsi en compagie. Mais si même Eusapla fut seule, je la
crois
toujours capable de tromper lourdement Lombroso p
et pourtant leur présence me parait essentiellement nécessaire. Et je
crois
ridicule une simple affirmation que la tromperie
ssible par cela seul que des sommités scientifiques y assistèrent. Je
crois
me souvenir qu'un médium spirite qui, plus tard,
t morale, a été observée, et le résultat facilement obtenu; c'est, je
crois
, la vraie formule de la suggestivité facile. La
et l'hypuo-suggestion moins facilement obtenue. (1) Il convient. je
crois
. de rappeler ici un fait assez curieux pour l'hit
-moteurs, dont le mécanisme aurait été indique par Sperino (1884). Je
crois
donc, dit Silva, cité par Rainaldi, que « l'excit
n 1882, des faits véritables qui sont bien du même ordre que ceux que
croit
avoir observés Rainaldi (1). Dans la léthargie hy
e des tissus au courant galvanique, qu'il découvrit ces faits. Il les
croyait
nouveaux, non sans raison. C'est pourtant à la ga
emporains. Dans l'étal de crédulité où il se trouve, non seulement il
croit
encore à un grand et a un petit hypnotisme : il a
les vêtues de blanc portant des rameaux bénis et chantant : Hosaunah!
Croire
au Seigneur ! Hosannah ! Gloire au fils de David
cre que Leroux avait dit vrai. Ce n'est point affaire de coquetterie,
croyez
-le bien; mais les souvenirs de mon année d'intern
t restés si vivants, si pleins de fraîcheur, qu'en toute sincérité Je
croyais
l'année 1875 moins éloignée de nous. « A vrai d
r la santé du malade qu'il est plus impressionnable et plus disposé à
croire
à la puissance surnaturelle de celui dont il subi
rôle dans la pathogénésie des parvenions de la sexualité que l'on n'a
cru
jusqu'ici. Aussi, la psychothérapie trouve-t-elle
iger la suggetion hypnotique comme panacée contre l'onanisme, mais il
croit
qu'aucune méthode thérapeutique peut rivalliser a
intention lui vint un moment de s'armer pour se venger de celui qu'il
croyait
l'avoir frustré (pensée dont il rougit aujourd'hu
es malades en traitement dorment peu on profondément, le Dr Liébeault
croit
qu'en insistant pour leur faire des affirmations
la prison, elle se suicida eu absorbant de la strychnine. L'auteur
croit
trouver dans le compt erendu des audiences et les
n des couleurs, par M. le professeur H. Ebbinghaus, de Berlin. Je
crois
pouvoir tirer quelque profil pour le développemen
forcément faire éclore dans l'esprit de tout observateur sérieux. Je
crois
cependant ne pas faire œuvre inutile ni superflue
» Ou encore : « Gare, cela n'est pas une chose si innocente que vous
croyez
! * Un de mes malades réfutant ces avis de mauva
e mes malades réfutant ces avis de mauvais augure hasarda : « Vous ne
croyez
pas pourtant, docteur, que j'en mourrai? — Non, r
plique ce principe. Quiconque étudie à Nancy la thérapeu-suggestion
croit
d'abord que cette méthode, est une chose tres sim
s premiers se fient sans examen à la supériorité de notre savoir. Ils
croient
en nous, et la foi existant, l'autorité est super
uvera pas d'opposition directe, mais on doutera de son efficacité. Ou
croira
que c'est un idéal hors de notre portée de guérir
a psychothérapie. Ses limites peuvent s'étendre plus loin qu'on ne le
croyait
auparavant et que le savent à cette heure les phy
decins applaudit probablement l'idée et la trouve belle, mais elle ne
croit
pas absolument à sa valeur pratique. Et tout cela
considérable que son contenu spirituel. Mais beaucoup de personnes
croient
qu'on se rapproche du monde spirituel par la déco
es membres de l'État peuvent lire et écrire. Il n'est pas besoin de
croire
à une force vitale pas plus qu'à une force d'État
it que s'il avait voulu il aurait pu faire des objections. Il est à
croire
qu'il n'est abstenu pour m'épargner. Et néanmoins
les deux sont basées sur les qualités psychiques de la cellule. Et je
crois
qu'une culture raffinée, c'est-à-dire une prépond
en, l'adore, cl sa fille Annette est la plus belle du pays. Mathis ne
croit
pas au remords. Comment y croirait-il ? Il entend
est la plus belle du pays. Mathis ne croit pas au remords. Comment y
croirait
-il ? Il entend bien parfois à de certaines heures
x temps à venir pour refréner l'avarice, la cupidité de ceux qui se
croient
couverts par une longue suite d'années; — A ces c
rquoi donc redoutez-vous le songeur ? Parce qu'il lit dans les âmes I
Croyez
-moi, soyez calme, ou vos cris prouveront que vous
ans cela, l'épouvante me tiendrait loin d'ici. Mathis. — On ne peut
croire
aux folies des songeurs; ils trompent le monde po
: M. Bouvry. L'instituteur demanda k Bouvry qui l'avait blessé. « Je
crois
, répondu celui-ci. que c'est Damblemont, mais Je
ans son esprit ». Le juge de paix lui-même croît à la suggestion ; il
croit
que Lemaire avait beaucoup d'influence sur l'espr
a suggestion au traitement d'un certain nombre de morphinomanes, nous
croyons
le moment venu de préciser le rôle que la psychot
e plus actif de la guérison. De notre observation personnelle, nous
croyons
pouvoir déduire les conclusions suivantes : 1e
rateur. Suggestibilité de l'auditeur. — Nous sommes tous disposés a
croire
ce qu'on nous dit au moment même où l'on nous par
lité avec laquelle nous nous laissons mener par des mots, on pourrait
croire
que le tempérament français est singu-lièrement s
les ont de l'autorité. En y réfléchissant pourtant, on trouverait, je
crois
, que celte force mystérieuse dont nous subissons
e d'adopter ses Idées ; il nous ordonne de le faire, il veut que nous
croyons
, et nous obéissons parce que nons sentons en lui
représentées; mais si nous voyons devant nous un homme qui a l'air de
croire
que tout cela est arrivé, qui donne des signes ma
uvements brusques avaient été imprimés à la tète? M. Bernheim. — Je
croirais
plutôt le contraire, et voici un fait qui le démo
ne peut pas être plus parfaitement imitée, et l'on pourrait vraiment
croire
i uue colique hépatique vraie, si la fin de l'acc
este. L'accès semble arrivé à son maximum d'intensité ; on pourrait
croire
que, suivant la marche ordinaire, il va prendre f
eût été témoin de la première partie seule de la crise imitée, eût pu
croire
à une véritable colique hépatique, a ia seule exc
que M. Pierre Janet. à la suite d'aulres élèves de la Salpètrière, a
cru
devoir eu donner, avec une désinvolture qui n'a r
d'un mécontentement que j'avais éprouvé, moi aussi, et qui était, je
crois
, bien naturel. « La légèreté avec laquelle, — b
Bernheim aurait parlé de ces expériences-là avant 1887, ce que je ne
crois
pas, il me semble inadmissible de les présenter a
Londres, et elle a été exprimée en termes tellement exagérés que j'ai
cru
devoir les écrire sou* ta dictée de M. Bernheim.
pensée. Peut-être M. Bernheim n'est-il ??s aussi éloigné que je l'ai
cru
, d'après quelques exagérations de langage, d'acce
me mit en possession d'une autre méthode de recherches, à laquelle je
crus
devoir m'attacher exclusivement, parce que, d'une
s, et après cet examen sommaire, je déclarai à M. le Procureur que je
croyais
me trouver en présence d'une petite fille vicieus
du soir expédié des dépèches dans toutes les directions, et je ne me
crus
pas autorisé à arrêter ce commencement d'enquête,
a contracte fortement les fesses. De tout ce qui précède, nous nous
croyons
autorisés à conclure : 1° Qu'au point de vue de
elle fond en larmes en nous disant : « Puisque vous ne voulez pas me
croire
, je ne vous dirai plus rien : j'ai dit la vérité,
tous les cas atteinte d'un dérangement tel des facultés qu'elle a pu
croire
sincèrement, pendant un temps, à la réalité des c
ste, et à dessein, sur le massage venant en aide à la suggestion ; je
crois
, en effet, que dans ce cas-là l'effet cherché est
ncessantes. Le regard est atone. L'état mental en tel que les parents
croient
que leur fille est devenue idiote. « Je lui pre
l'application du forceps. Dès que lanesthésie apparaît, la malade se
croit
transportée au jour du jugement, et alors, à haut
jusqu'ici des arguments irrécusables qui soutiendraient sa thèse. Il
croit
pouvoir démontrer, cependant, qu'elles sont absol
x qui ont été observés autrefois dans notre pays chez les gens qui se
croyaient
possédés par les loups et qu'on désignait sous le
econder le zèle des évesques de notre royaume dans tout ce qu'ils ont
cru
devoir faire dans l'intérêt de la religion et le
s graphiques. Le cas en question met eu outre en relief, ce qui. je
crois
, n'avait pas encore été lait jusqu'ici. l'importa
nuit, des crises asphyxiques subin-trnntes pendant lesquelles elle se
croyait
étouffée dans les bras du fantôme ut qui mettaien
?) Trompée par ce qui s'est passé au début de l'expérience, la malade
croit
avoir affaire à une autre personne que la religie
ette hypothèse. Les hystériques ne sont pas les simulatrices que l'on
croyait
il y a quelques années encore, et d'ailleurs dans
elque vraisemblable pourtant que fùtcette hypothèse, nous n'avons pas
cru
prudent de nous y fier, et chaque fois que le syn
estion, mais comme il arrive souvent, beaucoup plus souvent que ne le
croient
nombre de personnes adonnées à l'hypnotisme, elle
nt ici que pour lui donner la persuasion qu'il peut faire ce qu'il ne
croyait
pas pouvoir faire, ou qu'il ne peut pas faire ce
'il ne croyait pas pouvoir faire, ou qu'il ne peut pas faire ce qu'il
croyait
pouvoir faire. Tout le charme de l'hypnotisme est
le con- vaincre que mon mal est bien sans remède. D'ailleurs, je ne
crois
pas à tout ce qu'on raconte. » J'avais justemen
non qu'il ne la connût on ne l'eût vu faire, mais il lui répugnait de
croire
ici i une imposture. Alors, je lui demandai comme
sentit rien ou. ce qui revient au même, ne sentit pas de douleur. Il
croyait
que son bras n'était pas transpercé. Il fut stupé
aprés pour aller dejeuner: en me quittant, il me dît qu'il ne pouvait
croire
à. reflet de ma suggestion, que ce serait miracul
il n'aura plus mal (1) — et la prédiction se réalise. Ici. le sujet
croit
que j'ai fait quelque chose. Pourtant, cette fois
e savent pas vouloir. Je les endors ou, plus exactement, je leur fais
croire
qu'ils dorment. Je leur donne ainsi une preuve pa
si vive frayeur. Elle éprouvait alors une impression qui lui faisait
croire
que la vie l'abandonnait. « Le pr-mier docteur
que maintenant elle se les répétait avec une énergie dont elle ne se
croyait
plus capable, et qu'elle était certaine à l'avanc
e était guérie à jamais. Mais, c'eût été jouer trop gros jeu (1 ). Je
crus
plus prudent de ne lui certifier la guérison comp
naire du temps pour détruire ce que le temps a construit, etc. » Je
crois
que j'ai lieu de me féliciter de ma prudence. Je
end pas bien. Seulement, il se comprend un peu; et ce que le malade
croit
en comprendre est plus nuisible qu'utile, car, ay
ignifie sommeil, s'il lui plaît de constater qu'il ne dort pas. il se
croit
réfractaire. Au point de vue de l'exactitude scie
lté qui leur est dévolue n'est donc pas étrangère à leur personne. Je
crois
qu'il serait difficile d'hypnotiser par interprèt
r ainsi dire à moi-même, ne fait-elle pas que lui, quand il m'entend,
croit
entendre ses propres paroles? La compassion n'est
évidents de contractures hystéro-trau-matiques. El à ce litre, je les
crois
justiciables du traitement hypnotique. On ne peut
escend dans le pays, on est frappé par l'animation qui y règne. On se
croirait
tombé au beau milieu d'une foire campagnarde. Tou
adauderie. par esprit d'imitation. Et c'est bien aussi par imitation,
croyons
-nous, pour notre part, que les gens d'humeur pais
orte de délire brutal, presque inexplicable. Dans une émeute, il y a.
croyons
-nous, en dernière analyse, ;ux éléments qui apisi
culeuse. Bien placé pour voir, j'étais fort intéressé, vous pouvez le
croire
. Les cris : « Un miracle ! un miracle! » retentis
ie et la pédérastie, mais point l'amour lesbien. Il en est de même,
croyons
-nous, en France. Il serait intéressant de savoir
te, il ne la trouve pas. Si je mets ma propre main dans la sienne, il
croit
que c'est sa main droite. Cela posé, j'endors l
ments de notre maître d'alors, M. le professeur Charcot — nous avions
cru
pouvoir donner : l'isolement absolu qui, des le p
e violence. — Une dizaine de jours après l'accouchement, la malade ne
croyait
pas encore être accouchée. La montée du lait se f
prendre sans que vous le sachiez ; alors, pourquoi, pourquoi ? Je «
crois
que si l'on voulait m'en donner, je ne laisserais
ndier, s'occupant de l'hypnotisme, concluait dans ces termes : « Nous
croyons
que le moment n'est pas venu d'enlever ces expé
un don spécial les secrets de guérir », le rapporteur ajoute : . Nous
croyons
que le moment n'est pas venu d'enlever ces expéri
on, une porte ouverte à toutes sortes d'abus. « Mais il ne faut pas
croire
que nous soyons absolument désarmés. Tout au cont
ge, on y voit, on y entend les choses les plus extraordinaires, et je
crois
qu'il n'y a pas en France l'équivalent de ce pèle
e la religion. Passons! Ce serait commettre une grave erreur que de
croire
que ces impressions ont été fixées par un ennemi
nsolations, au milieu des épreuves de la vie. Il faut envier ceux qui
croient
et non les blâmer. C'est Là. du reste, un domaine
s évidentes. J'en ai été heurté. Peut-être suis-je injuste, mais j'ai
cru
constater une exploitation peu digne d'idées resp
xes certains points d'habitudes vicieuses, plus répandues qu'on ne le
croit
en général dans le grand public, et l'absence de
mais surtout si Bébé, qui, je le croif, est de moi, vit comme « je le
crois
, car il a vomi, fais qu'il n'ait pas a donner les
is, j'ai été obligé de résister de tontes mes forces à ma passion. Je
crois
que plus Je résiste plus les crises sont douloure
e tiens bon. Je ne céderai pas. Aujourd'hui, je suis mal a l'aise. Je
crois
qu'il ne faudrait pas une grande émotion pour me
âce an privilège que J'ai d'évoquer les images qui me sont chères, je
croyais
qu'elle était la près de moi. partageant mon lit;
tic préjudiciable à la malade. En second lieu, la justice n'ayant pas
cru
devoir même poursuivre l'accusé, il est à suppose
nes simulateurs (1). Cependant, en ce qui touche la coxalgie, nous ne
croyons
pas à la simulation dans ce cas, pour Les motifs
pression de l'arcade fémorale, ni atrophie. Pour ce dernier signe, je
crois
, et Plicque le reconnaît, qu'il faut faire des ré
que l'hystérie n'est pas rare à cet âge et même au-dessous (4). Je
crois
donc ètre autorisé à poser le diagnostic de pseud
anales. L'aspect infondi-buliforme de cet anus me frappe, mais je ne
crois
pas devoir insister sur des question* indiscrètes
n voisin. L'affaire s'est terminée en police correctionnelle. Je ne
crois
pas que notre petite malade appartienne à cette c
alibi est facilement établi. Notre malade est une hystérique, et je
crois
qae c'est dans cette catégorie de menteurs hystér
se en débaucha cinquante mille? « Tout le monde te donna tort. On
crut
de ta part à un oubli impardonnable de U parole j
onde en si mauvaise compagnie? « Si tu veux qu'on le rende justice,
crois
-moi, débarrasse-toi de celle virago, qui te perd
s, absolu. En entreprenant l'étude des phénomènes hypnotiques, nous
croyions
peu aux phases de léthargie et de catalepsie décr
prouve pas que la léthargie soit la première phase du sommeil ; nous
croyons
avec Luys que, dans ce cas. les deux phases précé
giques. C'est pourquoi nous nous rangeons à l'opinion de Luys, nous
croyons
que le somnambulisme est le premier état, la cata
ifestations morbides et en particulier la convulsion choréique, je ne
crois
pas qu'ils aient été guidés par l'étiologie psy
suggestion. L'hémianesthésie a également disparu et j'ai tout lieu de
croire
ma malade complètement guérie. Malgré la perte
la persistance de la contracture pendant le sommeil de la nuit, je me
crois
autorisé d'affirmer que c'est bien à une contract
en bypnolo-gie, de n'admettre que ce que nous voyons, cependant nous
croyons
à leur existence et nous espérons trouver bientôt
Ces expériences, faites sans parti-pris, car nous avouons n'avoir pas
cru
jusqu'ici à ces phénomènes prouvant que, cites ce
ériorisation ce que de Hochas appelle extériorisation, parce que nous
croyons
que ces phénomènes doivent être expliqués tout au
t encore être expliqué scientifiquement, ce n'est pas une raison pour
croire
aussitôt au surnaturel. DE LA SIMULATION HYSTÉR
ion. L'hystérique est essentiellement menteuse, mais il ne faut pas
croire
, comme on le dit quelquefois, qu'elle ment pour l
e comment ou peut déterminer ces différents cas. Il ne faudrait pas
croire
qu'il est très facile de déceler la simulation ch
cas, également purement psychiques. Je dis dans certains cas, car je
crois
pouvoir bientôt démontrer que dans un certain nom
'elle trace : eiram. Elle a donc bien tracé au rebours le mot qu'elle
croyait
voir, mais il est évident que si elle l'avait vu
papier retourné, sa conviction psychique est bien que le mut qu'elle
croit
y voir tracé doit être, lui aussi, renversé ; aus
cette scène qui n'avaient pas une grande habitude de l'hypnotisme la
croyaient
endormie. Aussi nous nous hâtons de leur faire fa
ut l'en détacher et porter son attention sur l'idée du sommeil. Il se
croit
lui-même réfractaire, cl parmi les neurasthénique
utres individus sont empêchés de dormir par leur amour-propre. Ils se
croiraient
humiliés à la pensée de subir l'influence de quel
mps en temps. Le sommeil a été troublé par des rêves dans lesquels il
croyait
avoir des relations avec sa mère, sa sœur et d'au
heure et demie la peur l'avait pris et qu'a un moment donné il avait
cru
qu'il ne pourrait pas retourner à pied chez lui,
érée. Il traverse les [tiares, il va partout sans rien craindre. Je
crois
qu'après une amélioration notable on peut bien es
commande et un rêve en action. N'avoir que des idées suggérées et les
croire
spontanées : telle est l'illusion propre au somna
e. Egyptiens, Spartiates, Hébreux..... Est-ce que ces gens-là ne se
croyaient
pas autonomes comme nous, tout en étant, sans l
profond Je ce mot. Le magnétiseur n'a pas besoin de mentir pour être
cru
aveuglément par le magnétisé; il n'a pas! besoin
d'actuel. Le magnétiseur n'a pas non plus besoin de parler pour être
cru
et pour être obéi : il lui suffit d'agir, de fair
lles que l'art des augures, l'astrologie, la sorcellerie, unanimement
crus
? N'y voyons nous pas. d'autre part, les sentiment
rai somnambule dont le rêve se com plique avec l'âge jusqu'à ce qu'il
croie
se réveiller à force de compli cations. Mais c'es
bissent invinciblement le charme magique de leur nouveau milieu : ils
croient
tout ce qu'ils voient croire, ils font tout ce qu
me magique de leur nouveau milieu : ils croient tout ce qu'ils voient
croire
, ils font tout ce qu'ils voient faire. Ils rester
l'actrice et pour l'ouvrier plus de respect et de référence qu'ils ne
croient
. — Or. sans une circulation générale et continuel
suivre l'exemple de celui auquel on obéit ou en qui l'on a foi. Mais
croire
en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'i
ou en qui l'on a foi. Mais croire en quelqu'un n'est-ce pas toujours
croire
ce qu'il croit ou paraît croire? Obéir à quelqu'u
a foi. Mais croire en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'il
croit
ou paraît croire? Obéir à quelqu'un, n'est-ce pas
re en quelqu'un n'est-ce pas toujours croire ce qu'il croit ou paraît
croire
? Obéir à quelqu'un, n'est-ce pas toujours vouloir
sée pour la première Gabrielle. se posa d'amblée pour son émule. J'ai
cru
pouvoir ranger les deux dans la même catégorie :
sme-dique: le visage pâle exprimait une angoisse mortelle : la malade
croyait
étouffer à chaque instant. A la suite de cette cr
elle de symptômes hystériques avant l'affection actuelle, ne pouvait
croire
â une simple névrose et inclinait vers l'idée d'u
er pour ainsi dire ; je la traitai comme une enfant. Puis quand je la
crus
suffisamment impressionnée, je lui dis: « Mainten
moire, le 6 octobre 1889 — mon malade m'écrivait ce qui suit : « Je
crois
pouvoir me tenir pour guéri, puisque mon état est
extrêmement sympathique un repos et un bonheur que je n'aurais point
crus
possibles auparavant. Soyez persuade que je n'oub
ne se trouvait pas satisfait par le commerce avec des prostituées, je
crus
trouver mon vrai salut dans le mariage. L'affecti
is longtemps, m'en offrit la meilleure occasion, d'autant plus que je
crois
qu'elle saura m'inspirer pour le sexe féminin les
e m'est plus arrivé de me masturber. » (Verbalement complété). Je
crois
pouvoir dire que, selon mon avis, le mariage s'ef
une excitation sensuelle, moins dans celle qui suivit, et depuis, je
crois
suffire à tout ce qu'on peut exiger d'un homme no
ffection d'aujourd'hui le cède beaucoup à celles d'autrefois; mais je
crois
qu'elle augmentera toujours de force. Déjà, je co
orsque je la vis pour la première fois. Lorsqu'elle s'éveilla elle se
crut
dans un hopital et eut d'abord quelque peine à re
ssance modificatrice énorme, « Aussi, conclut le Dr Emile Laurent, je
crois
que beaucoup d'individus pourraient rester vicieu
impulsions, leur sensibilité affective morte on étroite, on pourrait
croire
que, me rangeant à l'opinion de l'École Italienne
d'hui, d'effleurer tous les sujets sans en approfondir aucun, ils ont
cru
pouvoir émettre leur opinion sur des questions ex
bien décrites par son auteur favori. A ce moment 11 est prêt a tout
croire
. On lui dirait que, obéissant à ia suggestion d'u
seur, l'Obélisque est allé s'incliner devant l'Arc-de-Triomphc, il le
croirait
... Pourquoi pas?... C'est précisément à ce Pour
de castrer les criminels et certains aliénés. Cette manière de faire,
croit
-il. serait bien plus utile que la prison, pour am
méliorer 'a race humaine et éviter sûrement l'hérédité criminelle. Il
croit
que l'intérêt bien compris de la société, exige c
x-voto qui l'accompagne, n'est-ellc pas d'un syphilitique guéri? Je
crois
que le docteur Buret a raison. La syphilis est au
r et me dit : On prétend que C. a des attaques de somnambulisme, je
crois
qu'il ena une maintenar.t. Comme je n'avais jamai
Comme lui aussi, il était en conflit avec son administration dont il
croyait
avoir à se plaindre, et qui, en réalité, avait dû
e des attitudes de l'aliéné héréditaire et dégénéré. Cependant nous
croyons
que l'existence de certaines conditions spéciales
ynotique suivante : Il devra dire à son réveil à sa femme : « Ah : je
crois
que je vais être guéri. » Il accomplit ponctuel
erre d'absinthe. Il répond : Si celui qui m'invite insistait trop, je
crois
que je le brutaliserais plutôt que de céder. 10
traitement, cela eût été certainement au-dessus de ses forces. Il ne
croit
pas que les personnes qui le connaissent le jugen
C'est en effet ce qui est arrivé. Huit mois après sa guérison. il se
croyait
autorisé par son excellent état de santé à atténu
l'un et de l'autre, de l'exploiteur et du négligent. Tel malade se
croit
toujours négligé; tel autre s'inquiète de se voir
lées en courant ». Le malade n'aime pas ces allures cavalières; il se
croit
assez important pour fixer sérieusement votre att
'ici la scène; cet homme gai (!!) tombant dans une famille en pleurs!
Croyez
-vous que ces choses-là puissent se pardonner ou s
qu'au banquet de la section de neurologie, M. le professeur Meynert a
cru
l'occasion propice pour tenter de ranimer l'antiq
tomique lui a révélé la moindre altération orga- nique, M. Meynert ne
croit
plus qu'on puisse jamais obtenir une fonction nor
fin). Dans son livre « Hérédité et alcoolisme ». le docteur Legrain
croit
devoir établir une distinction entre les malades
vé Le jour même où il arriva à Paris, pour confirmer mon pronostic,
crus
devoir soumettre le malade à l'examen éclairé de
de M. Mesnet : Tout d'abord notre éminent maître émit l'avis qu'il
croyait
prudent de faire interner M. M... dans un asile.
pas la critique. La simulation est fréquente chez les sujets qu'on
croit
atteints de psychoses et de névroses traumatiques
'observe que dans 4 o/o des cas environ. m. Seeligmuller (Je Halle)
croit
la simulation beaucoup plus frequente. Elle se re
, et entre autres des anesthésies et des hyperesthésies. Binswanger a
cru
devoir distraire de l'astasie-abasie tous les fai
ure hystérique probablement - de la fonction de la marche, Binswanger
croit
qu'il s'agit d'une obsession anxieuse, comparable
bètique. S'agit-il, dans ces rencontres, d'un pur hasard ? Je ne le
crois
pas. Mendel, Siemerlinget Westphal ont publié des
le mari. En somme, dans l'étiologie de ces paralysies conjugales, je
crois
qu'il faut s'en tenir aux présomptions, sans affi
Autrefois on brûlait les sorciers, aujourd'hui on affecte de ne pas y
croire
. Dans nos campagnes du Limousin ; les sorciers n'
documents vèridiques ne feront point défaut. Mais dès maintenant, ne
croyez
-vous pas qu'il serait utile d'appeler de nouveau
teur on ne trouve formulée d'indication thérapeutique à cet égard. On
croirait
presque que les médecins les plus dévoués aient t
nostic d'épilepsie. La rapidité d'action du traitement pourrait faire
croire
qn'il s'agisssait d'hystèro-épilepsie. Chez six
té et la même imprévoyance dans le choix des moyens d'execution. Je
crois
même que les hystériques sont sincères quand elle
s éprouvent sans se préoccuper des conséquences de leurs récit, et ne
croyez
pas que ces conséquences soient toujours sans inc
pas toutes d'effrontées menteuses, ainsi qu'on voudrait nous le faire
croire
; et quand je vois leur prétendues comédies tourn
dont elles se plaignent. Et pour revenir à notre point de départ, je
crois
que rien ne prouve que leurs tentatives de suicid
eints de grande hystérie ont provoqué des attaques convulsives. Je ne
crois
pas que la suggestion ait plus d'efficacité que l
ai pas eu de rechutes à enregistrer. M. Lowenfeld (de Munich). — Je
crois
qu'il n'est pas sans intérêt d'insister dans ce c
inion des médecins français qui en préconisent l'emploi; cependant je
crois
qu'en dehors d'elle on peut attribuer un effet th
épilepsie véritable ce qui ne serait que de l'hystéro-épilepsie- Je
crois
qu'on peut guérir des morphinomanes par la sugges
oyer une médication à la fois plus efficace et plus inoffensive. Nous
croyons
avoir suivi de point en point notre programme C
ande. Wille pense que les obsessions sont, plus souvent qu'on ne le
croit
, suivies d'une véritable aliénation mentale, et e
définitif sur elles. Je puis cependant en recommander l'essai, et je
crois
que ces moyens seront particulièrement utiles, da
le peut-être :] employé souvent avec succès contre la morphinisme. je
crois
pouvoir répondre par l'affirmation. J'ai suggéré
certaine à mon avis, n'est p;is aussi facile qu'on serait tenté de le
croire
après avoir lu l'article de M. Voisin (1) où il p
cle de M. Voisin (1) où il parle de la guérison dune morphinomane. Je
crois
que la méthode suggestive est la meilleure que no
i d'exemple, mais les observations recueillies il me paraît permis de
croire
que s'il n'en supprime pas tout à fait les fâcheu
voir rattacher ce fait à l'hypnotisme it non A l'epi-lepsie, comme le
croit
M. Trasbot. Il relate ensuite des faits qui démon
arrêter hémorrhagi-ne constituent pas des traitements médicaux. Je
crois
avoir démontré d'ailleurs dans les pages qui préc
ument tranchant, je l'ai envoyée poignarder sa meilleure amie qu'elle
croyait
voir devant elle, d'après mon affirmation : le co
n papier en blanc qu'il a remis à son beau-frère. D'autre part, il se
croit
incapable « moralement » d'accomplir quelque trav
pendant toute la période du sommeil apparent, il n'avait cessé de se
croire
damné, et qu'il pensait accomplir un devoir en sa
i du sommeil avec leur moi de la vie ordinaire. Endormies, | elles se
croient
autres qu'éveillées. Une jeune femme que j'ai p
apporte quelques exemples : « Une jeune servante, pendant trois mois,
croyait
tous les soirs être un évêque. parlai et gesticul
évêque. parlai et gesticulait en conséquence. —Un pauvre apprenti se
croyait
, aussitôt qu'il tombait en état de sommeil, père
ier, atteint d'accès de fièvre pendant la convalescence d'un anthrax,
croyait
être transformé en Chinois (a). Un officier supér
|ointe ont pris fin. Ils guérissent assez rapidement quand le malade
croit
avoir trompé le médecin et obtenu du fait de son
son enfant, qu'elle s'est livrée à sa tentative de suicide. J'ai donc
cru
pouvoir conclure de mon examen qu'a ce moment ell
s éclaircissements sur les troubles de la parole. M. Batcman arrive à
croire
que l'on n'a pas réussi à éliminer l'influence de
ppui de cette opinion, il cite une lettre de M. Bernhciui. M. Batcman
croit
que le langage articulé est l'attribut distinctit
revenir à notre première question, où commencera le délit ? « Nous
croyons
que le moment n'est pas venu d'enlever ces expéri
se et comme col aborateur d'un membre de l'Académie de médecine. Nous
croyons
rendre service a la fois a l'honorable académicie
ncomplets et par les interprétations souvent infidèles de ceux qui se
croient
ses disciples. Il sera désormais connu plus direc
tré chez elle par hasard. En 1S78, étant en condition seconde, elle
croit
avoir la certitude que son mari la trompe avec un
rsonnalité prit une netteté parfaite. Dans ces attaques, Albertine se
croit
revenue à une période antérieure de sa vie : !.
a paraplégie des membres inférieurs, c'est-à-dire depuis un an. Il se
croyait
encore à Saint-Urbain; il ne reconnaissait pas le
té du sujet,_ don: U fut obligé de reconnaître la réalité après avoir
cru
, tout d'abord, qu'elle était simulée. (1) Henri
tait passé durant les trois mois qu il était resté contracture. Il se
croyait
au 26 janvier : il fut ébahi quand or. lut fit re
personnage. Il ne reconnaît plus les personnes qui 1 entourent; il se
croit
à Bicètre; il ne sait pas qu'il s'est engagé et n
nuque provoque une paraplégie avec contracture: le Sujet interrogé se
croit
a Saint-Urbain, il ne connaît ni Rochefort, ni Bi
ts, sur des amateurs de sciences naturelles. J'ai pu, avec raison, je
crois
, m'en rapporter ainsi ouvertement aux observation
u six somnambules qui se trouvaient ce jour-là chez II. Liébault, pût
croire
qu'il s'agissait d'une simple plaisanterie. Je ch
ut lui dire. » De ces faits, véritablement saisissants, M. Liégeois
croyait
pouvoir déduire la conclusion, en apparence indis
frire tuer quelqu'un par un hypnotisé, je ne voudrais pu le nier. Je
crois
même la chose possible. Je ne vois pas pourquoi
is même la chose possible. Je ne vois pas pourquoi on ne ferait pas
croire
à un médecin légiste que l'homme vivant qu'il a d
ne suit un peu plus difficile qu'elle ne le paraît à première vue. Je
crois
même que. en ceci comme en beaucoup d'antres chos
ce, rien qui, pour moi, ne relevât du domaine de la suggestion. Je ne
crois
pas, du reste, que dans le très petit nombre de c
vues entre les Écoles de la Salpètrière et de Nancy. La première ne
croit
pas n la réalisation d'un acte délictueux ou d'un
ut manifester sa volonté en résistant aux suggestions. Enfin, elle ne
croit
pas que l'on puisse violer une femme pendant l'ét
convaincra jamais. Pour moi, ma conviction est faite à cet égard. Je
crois
que chez certains hypnotiques, je ne dis pas chez
ins éloignée, n'importe quel acte, dant n'importe quel domaine, et je
crois
anssi. que chez certains sujets, très rares d'ail
'est pas pour de bon ». Cette objection est facile à réfuter. Je ne
crois
pas en effet que, parmi ceux qui nient on qui dou
rd ont « payé leur dette à la justice humaine », il nous sera permis,
croyons
-nous, de résumer la partie scientifique de ce pro
s excréta urinaires : suggestion (2), auto- (1)« Il ne faudrait pas
croire
, dit M. Bernheim.que les sujets impressionnés soi
ntaisiste — sur la condition seconde qui est « el je suis, dit-il, je
crois
le premier (4) qui s'en soit aperçu, l'état spéci
lumière. L'auteur de ces dessins est un jeune peintre qui voit (ou
croit
voir) des effluves, diversement colorés, s'échapp
nces entre les phénomènes décrits par les différents sujets, qu'il ne
croit
pas qu'on puisse encore formuler des lois général
spectacles analogues. » A un moment donné, des esprits sérieux ont
cru
devoir, au nom du principe de liberté, protester
rnal. (2) Cette appréciation a para dans le Temps dn 29 janvier. Je
crois
qu'il est Intéressant de la reproduire dans un jo
en guerre pour achever de pourfendre l'École de Nancy, à laquelle il
croit
ou dit avoir déjà imprimé ¦ un lamentable échec a
encontre quelque vérité, fut-elle contraire à sou enseignement, je ne
crois
pas manquer de respect au maître en affirmant cet
, à la suite de la réponse de M. Bernheim, M. Gilles de la Tourelle a
cru
devoir ajouter les lignes suivantes : « Nous cr
s de la Tourelle a cru devoir ajouter les lignes suivantes : « Nous
croyons
la question doctrinale vidée ; nous nous réservon
piqûres, ses bras lui sembleDlcollés l'un contre l'autre ou elle les
croit
morts. Elle pense que j'ai un * pouvoir magnétiqn
l'anxiété qui le fait demander à être réveillé. Dans cet état, il se
croit
le pouvoir de diagnostiquer et de traiter les mal
e imagination délirante. 11 m'a dit, dans cet état, que son frère, je
crois
, l'a endormi pour la première fois il y a quelque
'était pas natirement € hystérique, somnambule et hallucinée », et je
crois
que M. Liégeois se trompe lorsqu'il trouve dans c
ant, de ??? Intention de Ut faire accoucher a l'état d'hypnotisme. Je
crois
bien qu'elle y comptait. Mais les premières doule
, mais qu'elle venait d'être prise d'un violent mal de gorge, qu'elle
croyait
étouffer et que, depuis lors, elle souffrait de n
Quand tout fut fini, M. Delbœuf réveilla la femme. Elle ne pouvait
croire
qu'elle s'était acccouchéc. Elle ne se rappelait
e, de force, de volonté pour paraître ne pas souffrir et nous laisser
croire
ainsi que notre expérience avait réussi. Je pen
sistant de M. Von Wini varier, comme un cas remarquable. Mais il faut
croire
que ma conversation fut rapportée a M. Von Wini v
j'avais fait trop grande la part de l'hypnose, car M. Von Wini varier
crut
devoir rectifier mon récit dans la lettre suivant
malentendu dont jo suis proba-« blement la cause involontaire. Je ne
crois
pas que les lésions analomiques t de l'entorse ai
bei der Paralytit agitant. — Inaug. Dtn. Breslcau, 1682. Nous nous
croyions
donc fondés à admettre comme conclusion : que l'h
deux minutes ; et les autres jours sommeil instantané. M. Bernheim
croit
que le chloral agit ici comme suggestif ; comme s
ses compagnes, qui s'endorment facilement, La décide, quoiqu'elle ne
croit
pas k tout cela. Au bout d'un 1/4 d'h. de fixatio
parce que, un peu en opposition sur ce point avec M. Levillain, nous
croyons
sîn- (1) Librairie Malgine, in-t',:£4 p., 1891,
d'inexactitudes, des impertinences vraiment intolérables. Aussi j'ai
cru
qu'il convenait de porter l'affaire devant l'Acad
ue, dans certains cas, mal déterminés encore, il est arrivé qu'on ait
cru
voir ou entendre une personne absente. La Société
nt péremptoirement sans savoir : ceux-ci n'existent plus, j'aime à le
croire
. D'autres, tout en admettant la réalité des fai
e. D'autres, tout en admettant la réalité des faits comme possible,
croient
devoir laisser aux spécialistes le monopole de ce
ntissage. Au début, on ne réussit pas; on voit mal, on entend mal; on
croit
qu'on n'arrivera jamais à voir et à entendre. Ave
ux. J'ai beau dire : c Dormez », ils restent les yeux ouverts. On les
croirait
rebelles, si on n'avait pas l'habitude d'observer
as l'habitude d'observer et de discerner cet . aspect particulier. On
croit
qu'ils ne sont pas pris ; on passe à côté, on ces
ie suggestive, persistance du souvenir au réveil; souvent le sujet ne
croit
pas avoir dormi, mais il a été influencé). L'hypn
e à M. Forel la statistique suivante, due au \y Riogier '1J qui a, je
crois
, étudié l'hypnotisme sous la direction de Wetters
s qui leur ont été faites. Nous regrettons que M. Brouardel n'ait pas
cru
devoir publier un compte rendu détaillé des expér
ion des expérimentateurs de Nancy, a modifié son opinion. Après avoir
cru
d'abord & l'obéissance passive des hypnotisés
M. Delbceuf trouvait dans sa propre appréciation un argument qu'il
croyait
décisif pour empêcher l'interdiction des séances
entées par MM. Iïrouardel et Delbœuf contre les doctrines de ceux qui
croient
à la possibilité des suggestions criminelles, s'a
ar-cot, le procureur général, requérant dans an procès retentissant a
cru
pouvoir affirmer que la suggestion criminelle éta
se fiaient sur les paroles du procureur général, ne pourraient-ils se
croire
assurés de l'impunité. En effet, si demain un hyp
cas d'amnésie rétrograde étant encore très rares dans la science, je
crois
devoir publier le suivant. Je le dois à l'obligea
Elle a su par d'autres personnes ce qu'elle dit en dormant. Elle
croit
fermement que les gens sont guéris par son traite
choses au moyen de signes perceptibles pour lui seul, et il finit par
croire
lui-même à son don de divination. Le croyant, sur
les demandes et les réponses. 2° Il faut admettre que la femme Fay
croit
de bonne foi à son don de seconde vue, d'autant p
iculièrement les cris d'enfant, lui sont pénibles. Elle rêve parfois,
croit
tomber dans des précipices. Elle est d'une irrita
a pupille gauche est plus dilatée qae la droite. Il n'y a pas lieu,
croyons
-nous, d'accorder une importance exagérée au rôle
tence de crises analogues, en l'absence de toute lésion, tout porte à
croire
que ces troubles ne sont pas d'origine sympathiqu
ance; auparavant, elles ont éprouvé une hallucination qui leur a fait
croire
à un coït ou à un contact imaginaire ». Mais, dan
périence et de celles qu'il avait instituées auparavant, M. Voisin se
croit
autorisé a conclure qu'il n'est pas exact que les
oses sont souvent, dans la réalité vraie, plus difficiles qu'on ne le
croit
, et il faut que vous les connaissiez telles qu'el
s hystériques se prêtent naturellement aux mêmes considérations. Je
crois
bien qu'on peut affirmer que tout bâillement, se
dans notre cas, est un phénomène hystérique ; mais il ne faudrait pas
croire
que tout bâillement morbide quelconque soit néces
phénomène qui, volontiers, précède et suit le sommeil naturel, je les
croirais
, en pareil cas, si j'en juge par mon expérience p
complexes et bizarres qu'ils soient, ne sont pas toujours comme on le
croit
trop souvent, déréglés, incoordonnés, contradicto
es exclamations. Celles-ci lui valurent, de la part des gamins qui se
croyaient
insultés, une rude et injuste correction. Ces e
ciatique grave (sciatique neuritique). Mais il sera intéressant, je
crois
, d'entrer ici dans une courte digression relative
essieurs, contrairement à ce que quelques-uns d'entre vous pourraient
croire
, n'est pas de date très ancienne. C'est en effe
temporaire, remarquez-le bien, et pas un rétrécissement permanent; je
crois
pouvoir affirmer qu'il en est de même pour le cas
hez les choréiques » ; elle a été soutenue à Paris en 1883. C'est, je
crois
, la première monographie qui ait été consacrée à
uent d'étudier l'affection dans tous ses détails. Mais, messieurs, je
crois
devoir vous en prévenir immédiatement : l'analyse
qui compte prétend-il, des centenaires. Nous avons toute raison de
croire
, d'un autre côté, que P...on, a toujours été un h
ousser le moindre cri, comme frappé d'apoplexie ; ses camarades l'ont
cru
asphyxié ; ils assurent que pendant la durée de l
opos de la non-participation de la face à l'hémiplégie hystérique, je
crois
inutile d'entrer à propos du cas d'aujourd'hui^ d
de nouveau. » D'après ce récit donc, que nous avons toute raison de
croire
correct, la paraplégie, l'hémiparaplégie motrice
thésie n'est pas autant qu'on sache, un phénomène hystérique. Nous ne
croyons
pas nécessaire d'y revenir à nouveau. Notre col
suite d'une sorte d'incubation. J'ai beaucoup insisté là-dessus et je
crois
devoir y insister encore à propos du cas présent.
certainement, tout n'est pas hystérique chez lui et en particulier je
crois
pouvoir affirmer que le syndrome de Brown-Séquard
t et jour, sans se réveiller jamais et il y a quelque bonne raison de
croire
qu'elle ne se réveillera pas de sitôt (1). Dans
e malade et chez beaucoup d'autres du même groupe; il ne faudrait pas
croire
cependant que cette apparition de phénomènes d'hy
cerne la durée, n'est pas aussi considérable qu'on serait tenté de le
croire
au premier abord. Sur ce sujet vous consulterez p
e saurais voir là un motif de distinction vraiment essentielle, et je
crois
que sans forcer les faits nous pouvons rapprocher
e arrondi, il semble un peu tuméfié, flasque au toucher ; on pourrait
croire
que la synoviale contient du liquide ; nous nous
uis,n'a pu être obtenue qu'au bout de plusieurs années.Et n'allez pas
croire
que la longue persistance de 'l'amyotrophie et de
dure et de bromure. Ça ne m'a rien fait du tout. M. Charcot : Je le
crois
bien. J'ai tenu, Messieurs, à faire parler ce mal
n en peut juger du reste par une chanson qui y est fort à la mode. Je
crois
intéressant d'en détacher quelques fragments comm
r. » De quelle complication s'agit-il donc ? Eh bien, messieurs, nous
croyons
pouvoir affirmer, en nous fondant sur l'histoire
spinale infantile de date antérieure. C'est à cette dernière que nous
croyons
devoir rattacher, en particulier, l'inégale répar
ar le passé, persistent toujours et aussi les stigmates. Le mieux, je
crois
, sera d'obtenir son admission à l'hospice de Bicê
ccès de tristesse qui durent plusieurs semaines, plusieurs mois. Je
crois
devoir reproduire ici les paroles par lesquelles
ouvons espérer que sous peu la guérison sera complète. A ce propos je
crois
devoir relever ce qui suit: Rien de mieux établ
chose à faire sur ce chapitre de la paralysie faciale qu'on pourrait
croire
à peu près complètement épuisé. 3e et 4e Malade
noncé comme un choréique ; au premier abord vous pourriez ne m'en pas
croire
tant sont faibles et rares actuellement chez lui
de 15 ans, on n'en a pas compté plus de 6 cas. Il y a tout lieu de
croire
d'ailleurs, bien que le départ à cet égard n'ait
elques heures, dépasse 38°, 39° et s'élève jusqu'à 40° 41°. Voilà, je
crois
, l'un des éléments nécessaires du complexus morbi
, 9 janvier 1889). 17 cinq, qu'il m'a été donné d'observer, et je
crois
bien que son existence a également été constatée
ismale dans l'acception rigoureuse du mot : en d'autres termes, je ne
crois
pas que la chorée puisse jamais être considérée c
plète : assez d'éducation et d'instruc-tion pour se faire illusion et
croire
qu'on peut juger de tout en dernier ressort; pas
le diagnostic, on pourrait utiliser, dans certains cas difficiles, je
crois
en effet pouvoir affirmer l'opinion que jamais
hui devenus presque vulgaires sur lesquels M. Debove a, le premier je
crois
, appelé l'attention et dans lesquels on voit l'hy
mentées par des rêves terrifiants qui le réveillent en sursaut: Il se
croit
sur un toit ou sur un chemin bordé d'un précipice
et à chaque instant il se sent menacé de tomber du côté du gauche. Il
croit
qu'à la suite de sa chute imaginaire il perd un i
s'est élevée à 38,8. La mort a eu heu à 5 heures du matin. 19 Je
crois
intéressant de vous faire connaître les résultats
nerveux, et lorsque guéri de son angioleucite, il quitta son lit, il
croyait
bien en être quitte,je ne dirai pas pour la peur,
rminées, en dehors de l'hystérie. Il n'appartient pas en tout cas, je
crois
pouvoir l'affirmer en me fondant sur de nombreuse
i sans l'aide d'un ami qui m'accompagnait. »En voilà suffisamment, je
crois
, pour justifier le diagnostic hystéro-neurasthéni
s choses de l'esprit, chez un médecin par exemple. Si vous pouviez le
croire
, messieurs, je serais en mesure de vous détromper
s l'impossibilité absolue d'exercer sa profession. Il ne faudrait pas
croire
non plus que, symptomatologiquemcnt, l'hystéro-ne
n à ne plus rien entendre de tout cela. » Entre nous, messieurs, je
crois
qu'il est dans le vrai et je l'engage à suivre so
ressortir ce qu'il y a d'intéressant à relever dans nos deux cas, je
crois
qu'il ne sera pas inutile de vous présenter au pr
ique de la paralysie infantile considérée dans sa forme classique. Je
crois
même qu'il conviendra, en vue même du but à attei
de 1876 ? M. Charcot : C'est cela même ; vous aviez alors 46 ans je
crois
? La malade : Oui monsieur ; c'est le commencem
imer, n'est pas notablement diminuée. A la malade : Vous urinez, je
crois
, difficilement; depuis quand? La malade : Depui
ement, bien difficiles à débrouiller. Avant d(fiotrer en matière je
crois
utile de vous rappeler, dans un aperçu sommaire,j
relever immédiatement, messieurs, que cette intégrité, qu'on pourrait
croire
absolue, des membres inférieurs n'est en somme qu
s faire connaître à présent. Mais avant d'en arriver à ce point, je
crois
utile de vous remettre en mémoire quelques détail
inférieurs (1). Tels sont les faits anatomo-pathologiques que j'ai
cru
devoir vous remettre en mémoire. Il ne me reste p
e, ou au contraire existe-t-il entre eux une certaine relation ? Je
crois
, messieurs, que la relation existe en effet, et v
ation objective des symptômes imaginés. C'est, messieurs, à ce que je
crois
, par ce mécanisme psycho-somatique qu'à l'exemple
ion qui a été considérée comme étant de nature tuberculeuse. Il s'est
cru
pendant longtemps complètement guéri de tout cela
gastre, au cœur où il se produit des palpitations, à la gorge où l'on
croit
sentir une boule qui vous étouffe, à la tête enfi
dernier, une rachialgie et des douleurs en ceinture qui avaient fait
croire
également à la présence du mal de Pott. Cependant
un Mémoire publié en langue russe il y a cinq ans (1882), et resté je
crois
, jusqu'à ce jour, à peu près complètement dans l'
résultats obtenus dans nos propres recherches, il sera intéressant,je
crois
, de faire connaître, sommairement du moins,quelqu
urs après la dernière opération. Relativement au dernier point, je ne
crois
pas que les expériences soient tout à fait proban
des chez lesquels le désir d'être soulagés est si impérieux qu'ils se
croient
en quelque sorte obligés de tout supporter sans s
toire une légère esquisse; le cas est assez intéressant cependant, je
crois
, pour mériter d'être l'objet d'une étude plus att
pas à titre d'événement purement accidentel, qu'il faut interpréter,
croyons
-nous, l'apparition, il y a deux ans, — époque dep
ement l'opinion que ces cas sont beaucoup plus rares qu'on ne l'avait
cru
jusque dans ces derniers temps ; en tout cas, per
de la nuit. Tout cela pour lui est un grand soulagement. N'allez pas
croire
, cependant, que la sensation vertigineuse ait dis
liénée ; sa mère a des hallucinations de l'ouïe et de la vue, elle se
croit
persécutée, elle est actuellement enfermée en Sui
uels j'ai voulu appeler votre attention. Il est assez particulier, je
crois
, pour qu'il soit permis de le distinguer des comp
illeurs notre mala-lade ne porte aucun des stigmates connus (1), Je
crois
pouvoir émettre l'opinion que le syndrome en ques
eloppée sous l'influence de nouvelles conditions d'existence? Je n'en
crois
rien, Messieurs, pour ma part; la maladie date de
ères et parfois, croyant tomber, il se réveille en sursaut ou bien il
croit
travailler dans un puits et il lui semble tomber
malade : Rien, je ne me rappelle rien. M. Charcot : Allons ! je la
crois
bien éveillée maintenant. Peut-être pourrons-nous
ne me trompe, une ample moisson de faits intéressants. N'allez pas
croire
que « Saint-Antoine », comme on l'appelle dans le
e temps à autres des vertiges.En août, se sentant un peu mieux, il se
croit
assez fort pour reprendre son travail; mais à cha
On voit que les tares nerveuses ne font pas défaut dans la famille Je
crois
utile en manière de conclusion de grouper dans un
nous raconter lui-même ce qu'il sait de ses fugues ; au préalable, je
crois
utile de vous rappeler qu'il est âgé de 37 ans, m
it dans le recueil des leçons du mardi de l'an passé (p. 155),mais je
crois
indispensable, cependant, d'insister ici même, un
et cela, dans le passé, n'a jamais existé chez notre malade, qui, je
crois
devoir le répéter, n'a jamais souffert autrefois
n'y suis pas entré. J'ai oublié tout ce que j'ai fait depuis lors. Je
crois
seulement que j'ai vu le Mont-Valérien et peut-êt
me trouvais au beau milieu de la place de la Concorde. M. Cuarcot :
Croyez
-vous avoir marché tout le temps ? Le malade : M
ent dans votre poche ? avez-vous mangé en route ? Le malade : Je ne
crois
pas avoir mangé. En tout cas je n'ai rien dépensé
M. Charcot : Vous avez eu votre second accès le 30 juin. Il a été, je
crois
, plus long que le précédent ? Contez-nous ce que
marquée à s'allonger et à se rapprocher. Au malade : Yous étiez, je
crois
, le 23 août, vers 11 heures, rue Ober-kampf. De l
ement, à lui-même : «Je comprends maintenant ce qui est arrivé ; j'ai
cru
rêver tout cela : mais je vois bien qu'il ne s'ag
t après coup qu'elle lui avait trouvé l'air un peu drôle ; mais je ne
crois
pas qu'une personne étrangère eût pu voir chez lu
l avait depuis longtemps repris confiance en lui-même : de fait il se
croyait
guéri. Déjà le 2 mai 1888, nous l'avions autorisé
exceptionnellement intense. Ces résultats thérapeutiques suffisent je
crois
, en grande partie pour révéler la nature du mal.
elever encore l'intérêt du cas que nous venons d'étudier ensemble, je
crois
utile d'en rapprocher un certain nombre de faits
automatisme que, dans lebut d'éclairer mieux encore la situation, je
crois
utile de signaler à votre attention. On cite volo
M. Motet auquel nous avons fait allusion plus haut et que cet auteur
croit
devoir classer dans la catégorie des amnésies tra
ns ses formes les plus variées et telle est l'interprétation que nous
croyons
devoir donner du cas de M. Motet dont nous allons
j'ai fait allusion dans la 9e leçon du mardi de l'an passé (2), je ne
crois
, pas qu'il ait été observé de près une seule fois
d'extase, se lève, s'habille comme la nuit précédente. Bientôt, elle
croit
voir des bêtes qui menacent ses enfants ; elle ou
es portés à les considérer comme étant foncièrement identiques ; nous
croyons
en d'autres termes que le prétendu somnambulisme
pouvant avoir la prétention de tout indiquer même sommairement. Je
crois
, d'ailleurs, en avoir dit assez pour légitimer le
res années, les médecins consultés se sont invariablement, paraît-il,
crus
en présence tantôt du cancer gastrique, tantôt de
se et entretenue pendant si longtemps pouvait-elle être évitée? Je le
crois
, Messieurs; je crois qu'à de certains indices que
ant si longtemps pouvait-elle être évitée? Je le crois, Messieurs; je
crois
qu'à de certains indices que j'aurai à cœur de re
le cours des cinq ou six années suivantes. Elle a été formulée, je le
crois
du moins, pour la première fois, dans les leçons
publiées cette année-là dans le journal le Mouvement médical (1). Je
crois
utile de la rappeler telle, ou à peu près telle q
oncentré ; le malade ressemble à un cholérique. Plusieurs fois on l'a
cru
sur le point de mourir. Amaigrissement rapide. Le
plication inutile des espèces et le morcellement porté à l'excès ; je
crois
qu'il est possible de la ramener, ainsi qu'il va
,suivantle pays où elles se déclaraient. Ainsi en Angleterre c'était,
croyait
-on,de la « goutte remontée à l'estomac » : Gout i
ême. Je n'avais toujours pas faim ; je me nourrissais à peine. On m'a
cru
atteint d'abord d'un cancer de l'estomac, et plus
aignante, des pommes de terre, je bois du vin sucré, etc., etc. Je me
crois
guéri de ce côté-là. M. Charcot : Je l'espère.
M. Charcot : La même chose vous est arrivée plusieurs fois depuis, je
crois
? Le malade : Oui, monsieur, quatre ou cinq foi
encontre dans les villes où il s'arrête chemin faisant. Je n'ai pas
cru
, Messieurs, devoir vous épargner les détails rela
les scènes de grèves " auxquelles il a assisté en Belgique, et il se
croit
poursuivi par des gendarmes ; tantôt ce sont des
situation. Après nos études de l'an passé et de cette année, je ne
crois
pas nécessaire de nous arrêter, Messieurs, à disc
e coup d'émotions dramatiques. Quoi qu'il en soit, Messieurs, je ne
crois
pas que son cas soit grave au premier chef. Déjà,
reste, des formes absolument pures, des types parfaits. C'était, je
crois
, en 1877. 11 s'agissait d'un jeune garçon jusque-
e sol. Cette interprétation ne me paraît pas tout à fait fondée et je
crois
même que les cas d'abasie pure, c'est-à-dire ceux
quand l'astasie, ce qui se voit fréquemment, reste incomplète. Je ne
crois
pas qu'il existe encore une seule observation dan
beaucoup d'égards, qu'à la période des études préparatoires. Mais je
crois
avoir indiqué cependant les principaux points d
vec incoordination motrice.) 1° Choréiforme. 2° Trépidante. Je ne
crois
pas qu'il soit nécessaire d'insister sur les cara
s anomalies possibles. S'il est vrai, en effet, comme tout porte à le
croire
, que les groupes cellulaires divers qui président
au coma qui relève de l'asphyxie par la vapeur de charbon ? Je ne le
crois
pas : cet état comateux autant qu'on sache, ne pe
rès faible », dit-il en rappelant les souvenirs de cette époque; j'ai
cru
en me sentant si déprimé et en voyant les grandes
ique. C'est bien d'elle qu'il s'agit décidément dans notre cas; je ne
crois
pas qu'il existe de paralysies autres que celle-l
n ; ils nous ont été fournis par sa famille. D'ailleurs n'allez pas
croire
que ces réponses toujours négatives des alcooliqu
voit des illuminations, nombre de personnes joyeuses et parées ; elle
croit
en un mot assister à une fête. L'autre jour elle
; elle était tourmentée par des rêves pénibles dans lesquels elle se
croyait
poursuivie par des animaux. Elle avait même parfo
ment éveillée, des hallucinations de la vue. Ainsi, en décembre, elle
crut
un soir voir tout à coup,sur le mur de sa chambre
la ligne : La mémoire est toujours fort en défaut sans doute et je ne
crois
pas du reste que jamais, les choses allant au mie
lcoolique d'après ce qui a été dit vous paraîtra plutôt favorable; je
crois
qu'il l'est en réalité dans la majorité des cas,
la paralysie alcoolique, la Leçon du mardi G mars 1688. prie de le
croire
,àl'évolution de cedrame; d'abord chezunejeuneetbe
'eux qui a commis plusieurs délits ; mais soit dit entre nous, je les
crois
bien peu responsables l'un et l'autre du mal qu'i
tion suivante : la névrose hystérique est-elle vraiment, comme on l'a
cru
, comme on l'a prétendu jusqu'ici, plus fréquente
e d'antécédents nerveux. A cet égard, je me permettrai de ne pas l'en
croire
. Il est même impossible que 1. Voir à ce sujol
e donne 20 pour la main droite, 5o pour la main gauche. N'allez pas
croire
quecette insensibilité de tout uncôtédu corps,qui
uer maintenant à chercher la solution. III Mais, au préalable, je
crois
utile de vous remettre en mémoire l'arrangement q
et si cette relation existe réellement, en quoi consiste-t-elle? Je
crois
, Messieurs, que la relation existe en effet, et,
lement progressive de la myopathie. A cela, je vous l'avouerai, je ne
crois
guère. Mais je crois que nous pouvons compter pou
la myopathie. A cela, je vous l'avouerai, je ne crois guère. Mais je
crois
que nous pouvons compter pour le moins sur l'évol
e trois, quatre, cinq ans, rarement plus.' Il n'était pas inutile, je
crois
, de nous arrêter un instant sur le diagnostic de
'ai vu l'éclair et j'ai entendu le coup en même temps, du moins je le
crois
, car il y a à cet égard un peu de vague dans mon
même en pivotant d'abord sur le côté gauche; c'est du moins ce que je
crois
d'après ce qu'il me semble avoir éprouvé et aussi
ant au malade : Tout cela est-il exact? Le malade : Monsieur, je le
crois
; il me semble bien me rappeler la plupart des ch
De plus, il nous affirme, et, à cet égard nous avons toute raison de
croire
qu'il est sincère, que jamais, soit dans ses lect
int celui qui voit l'éclair et entend le coup. Cette croyance qui, je
crois
, remonte jusqu'à Pline, n'est pas, tant s'en faut
, le toit fut entouré d'une vap eur si semblable à de la fumée, qu'on
crut
le grenier en feu (1). » Suivant M. le Prof. Gall
ments à invoquer en faveur de l'opinion que D...cy a été, comme il le
croit
, frappé physiquement, matériellement, électriquem
en effet sur tous les points avec ceux qu'on assigne, ajuste titre je
crois
, aux paralysies déterminées par la fulguration da
ù la foudre a éclaté... Singulière préoccupation chez un homme qui se
croit
avoir un pied dans la tombe. Ceci concorde fort b
mme vous voudrez l'appeler. J'en viens aux quelques détails, que je
crois
utile de vous présenter maintenant, relativement
femme fut atteinte par la foudre près de Montargis ; en tombant elle
crut
qu'elle avait le bras et la jambe cassés. Lorsque
i-ci. Or, ces cas-là sont rares quant à présent, j'ai tout lieu de le
croire
. Messieurs, après tout ce qui précède et en man
, 1. Leçon du mardi 23 octobre 1888. 63 comme on est porté à le
croire
lorsqu'on y regarde superficiellement, déréglés,
e ; si alors, je le répète, on n'y regarde pas d'un peu près, on peut
croire
que c'est la chorée qui est enjeu. lre et 2e Ma
Messieurs, la chorée chronique passe, et c'est de toute justice je
crois
, pour une maladie incurable; son évolution est fa
), delà Normandie médicale un intéressant exemple de ce genre dont je
crois
devoir vous faire connaître les principaux traits
admis dans le service. Vous voyez comment des faits cliniques, qu'on
croyait
des plus rares, semblent tendre à devenir presque
es anomalies possibles. S'il est vrai en effet, comme tout porte à le
croire
, que les groupes cellulaires divers qui président
éder à l'examen des malades que je me propose d'étudier avec vous, je
crois
utile, en manière de préliminaire, d'entrer dans
itaire occupant les parties centrales de la moelle: mais tout porte à
croire
aujourd'hui, qu'il existe plusieurs espèces d'alt
otions dites du sens musculaire; elles montreraient enfin, si l'on en
croit
certaines observations qui paraissent parfaitemen
affections organiques du système nerveux que, dans la pratique, on a
cru
, le plus souvent avoir sous les yeux, alors que c
our être exposé convenablement, nécessite quelques développements, je
crois
utile de placer sous vos yeux, pour les soumettre
rés comme des exemples de syringomyélie, il est vrai également, je me
crois
autorisé à l'affirmer après m'être livré à la cri
Mais je ne veux pasm'arrêter à faire ici un procès de tendance. Je me
crois
en mesure de vous démontrer séance tenante, à pro
ais été à Lourdes, dit le sujet, en rappelant cet événement, j'aurais
cru
à un miracle. » Toutefois,si la disparition des
e rêves, de cauchemars et parfois même d'hallucinations. Tantôt il se
croyait
dans un train en marche, il parlait à haute voix,
de nature hystérique. Il est vrai que MM. Oppenheim et Thomsen ont
cru
trouver dans la ténacité des anesthésies chez les
our qui ne connaît pas à fond fa maladie chez la femme, — ce que l'on
croit
être le trait caractéristique de l'hystérie, c'es
es. Tous ces désordres dans l'état mental constitueraient, si l'on en
croit
MM. Oppenheim et Thomscn, une psychose spéciale a
s démontrer que la contracture spasmodique n'existe plus ? Oui, je le
crois
. Vous voyez que la malade peut, dans une certai
s qu'un éclair jetait une très vive lueur. H... en fut tout saisi; il
crut
que la foudre était tombée sur le trottoir qui bo
au cuir chevelu, la guérison s'est maintenue complète et tout porte à
croire
qu'elle est définitive. On remarquera que dans
permise quelquefois. Comme conclusion de notre longue élude, que je
crois
pouvoir appeler consciencieuse et impartiale, je
née. Il s'endormait paisiblement, son réveil était excellent et il se
croyait
guéri jusqu'au moment où il reprenait son mètre :
suis pas malade de ce côté; c'est la première fois que je commence à
croire
ce que l'on m'avait déjà dit, mais jamais on ne m
x minutes, la malade se réveillait comme la veille et répétant : « Je
crois
vraiment que je suis guérie. » Nouvel étonnement
s, qu'il n'y avait plus de douleur, et Mme X... ayant déclaré qu'elle
croyait
que les palpations, sous forme de massage, lui co
, m'ayant confié que la présence effective de son mari lui avait été,
croyait
-elle, très favorable, je lui suggérai, devant sa
montant à son appartement, elle se sentit mouillée et, aussitôt, elle
crut
que, si elle était devenue enceinte après la visi
rexcitée. Il s'est développé sans cause connue ; cependant, la malade
croit
se rappeler avoir commencé de tiquer, il y a dix
une façon, produire do merveilleux et transcendants phénomènes, ni ne
crois
pas les faire résulter d'aucun pouvoir spécial. »
des derniers investigateurs de l'hypnotisme. En premier lieu, Braid
croyait
à l'origine purement physique des phénomènes hypn
de la puissance suggestive des hypnotiseurs sur leurs sujets. À en
croire
certains auteurs, particulièrement ceux de l'Écol
e importe peu, c'est la nature de l'acte qui a de l'intérêt. Or, à en
croire
les hpnotiseurs psychologues ou juristes, l'hypno
sez-vous sérieusement atteint, avez-vous des raisons suffisantes pour
croire
à l'existence de vos dou-lours, pour souffrir, po
riste et désespéré ? i il me répondait bien franchement: « Non, je ne
crois
pas que je sois malade, je sens bien que c'est mo
is je ne peux pas m'empêcher d'être ainsi. » Maïs, d'autre part, je
crus
remarquer que pendant son dédoublement, mon malad
, en observant le cliché. C'est donc le cîicbé qu'il faut voir pour
croire
et non l'épreuve qu'on en a tirée, dans la strict
ionnés par le danger ». Fort bien ; mais pourquoi Morrel n'a-t-il pas
cru
devoir pousser jusqu'au bout l'analyse de cet élé
eposer entièrement sur le principe des « idées dominantes ». Le sujet
croyait
que l'opérateur avait seul pouvoir sur lui, ou qu
rmi, est la cause du rapport. De ceci, il devient évident que Braid
croyait
que le rapport était entièrement le résultat de l
analogue, objet de l'étude actuelle. Rapprochant ces deux faits, nous
croyons
qu'il s'agit là d'un état mental particulier dont
ôté de moi, il m'a regardée et cela m'a fait rougir ; cette enfant va
croire
que cet homme est mon amant et ma fille va être s
à les propager, et nous partageons l'opinion des chirurgiens qui les
croient
dues, dans la plupart dès cas, à une irritation p
lles que nous allons fournir. Observation I. — Mme T..., multipare,
croit
être enceinte do 9 mois. Femme nerveuse ; plus cl
à craindre que nous la fassions accoucher trois semaines trop tôt et
croit
que cela rendra son accouchement encore plus
r, Monsieur le Rédacteur, l'assurance de ma hauto considération et me
croire
votro bien dévoué C Stumpf Berlin, le 4 Août 1897
lles du professeur Forel sur la valeur des passes, etc. Lorsque Braid
croyait
que leur influence était principalement suggestiv
entre les théories de Braid et celles, plus récentes, auxquelles j'ai
cru
devoir justement en référer, il est indiscutable
nt des « recherches électro-biologiques de Grimes. » Bien que j'aie
cru
d'un certain intérêt historique et d'un absolu de
Itobespierre était, lui aussi, un onychophage, du moins s'il faut en
croire
ce passage d'une lettre de M. Sardou : « Dans c
s 1892. Alcan,éditeur. ne sent que ce qu'il lui dit de sentir, ne
croit
que ce qu'il veut lui faire croire, ne fait que c
que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire
croire
, ne fait que ce qu'il lui dit de faire. L'effet d
nait encore on main la pomme de terre entamée, Th... ne voulut jamais
croire
qu'il y eût porté la dent. III. M. Delbœuf, apr
r démontrer que les premières étaient « suspectes ». Il a voulu faire
croire
à une jeune fille honnête qu'il était son mari, e
placée qu'elle soit, fût-elle princière ou même royale, qui puisse se
croire
à l'abri de ce danger, car il n'en est pas où les
me; mais, de propos délibéré, il ne voulut pas — ce que le rapporteur
croit
qu'il eût dû faire — interroger la plaignante sur
rée sur un même objet, n'est pas chose aussi facile qu'on pourrait le
croire
et demande une certaine éducation qui se perfecti
En résumé, il nous a paru intéressant de vous relater ce fait, que je
crois
unique, d'accès de manie aiguë à forme intermitte
cinto de nos assemblées législatives, du moins nous sommes autorisé à
croire
et à dire qu'elle fait antichambre. Trop a été
iénés dans les prisons, 33 % étaient malades avant le crime. — Mendel
croit
devoir élever cette proportion à 75 %..... Qu'i
ancer du sein ; il commença à craindre cette maladie et arriva à s'en
croire
atteint au sein gauche. Insomnie, dépression, dys
eur, mais cette condition n'est qu'apparente. Bernheim et Liébeault
croient
, au contraire, qu'il y a un rapport réel entre le
st du même avis, mais diffère sur un autre point. Tandis que Bernheim
croit
que le rapport est le seul point qui différencie
cet état, mais il n'a pas perdu sa volonté et son sens moral. Braid
croit
avoir prouvé que personne no peut être affecté en
nsidérons l'état voiilionnel et moral du sujet. Au commencement, je
croyais
que l'hypnotisé était entièrement â la merci de l
s crimes de laboratoire. Bernheim et Liégeois prétendent que le sujet
croit
que le crime est réel, parce qu'étant hypnotisé,
e n'ai jamais émises, qui n'ontjamais été miennes. « Braid, dit-il,
croit
avoir prouvé que personne ne peut être affecté en
, l'hallucinabilité, l'analgésie, les vertus thérapeutiques, etc., il
crut
à un état nouveau de l'organisme, créé par ses ma
qui développe la suggestibilité, qui fait les guérisons. Enfin, je
crois
avoir dégagé la suggestion du sommeil provoqué ar
es de temps dans une sommation automatique pendant laquelle ce qu'ils
croient
être le rêve est l'hallucination, et le produit d
succès dépend de la gravité du cas et de l'état mental du sujet. Je
crois
donc pouvoir conclure en résumant de la façon sui
. C'est pour éviter ces écueils aux expérimentateurs novices que nous
croyons
devoir rappeler les principes de la pédagogie sug
ttant mal ou pas les vibrations normales, ou bien les altérant, fasse
croire
au patient des choses qui n'existent pas, tout co
oire au patient des choses qui n'existent pas, tout comme le lui font
croire
les nerfs de la sensibilité générale ou spéciale
térieurement fait la description. Les assertions précédentes feraient
croire
que la sensibilité viscérale ne fonctionnerait pl
ons parfois démesurées, qu'ils pèsent un poids exagéré ; d'autres les
croient
réduits à la dimension d'allumettes; tels les dis
et en noter l'état pour formuler un diagnostic complet, mais nous ne
croyons
pas que, pour le moment, ils puissent servir au d
ggestion joue dans les choses de ce monde un rôle plus grand qu'on ne
croit
généralement; et sans aller jusqu'à dire, avec le
du ventre, ni sur le trajet du sciatique, ce qui ne l'empêche pas de
croire
qu'il a une sciatique incurable, ayant résisté à
en donner, et qui doivent être rejetées. D'abord la supercherie: je
crois
qu'il est inutile de la discuter ; les personnes
elui-ci veut qu'elle voie, ne sent que ce qu'il lui dit de sentir, ne
croit
que ce qu'il veut lui faire croire, ne fait que c
que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire
croire
, ne fait que ce qu'il lui dit de faire. Cet autom
e. Et alors, le professeur de Liège de s'écrier : a A qui fera-t-on
croire
« qu'une jeune fille qui, sans émotion, tire sur
spectateurs suivre son « jeu avec une curiosité haletante (3). » Je
crois
que, si mon ami et contradicteur avait assisté à
'argument par lequel on prétend faire tomber les conclusions que j'ai
cru
pouvoir tirer du fait précité, doit être envisagé
lus compétents en matière d'hypnotisme. Je n'y insiste donc pas. Je
crois
, d'ailleurs, connaitre la cause de l'opinion erro
ue « l'assassinat suggestionnel (1) ». Et comment Delbœuf a-t-il pu
croire
à la comédie jouée même parles très bons somnambu
sa main la pomme de terre fortement entamée, il refusa obstinément de
croire
qu'il y eût porté la dent, malgré mes affirmation
é vos sujets, et, en particulier, J... et sa sœur! La réponse est, je
crois
, péremptôire. Parlant un peu plus loin (p. 22),
erdu tout souvenir de ce qu'elle avait fait étant endormie, elle a pu
croire
, quand sa mère lui disait qu'elle avait failli êt
es, des contractures. D'autres ne dorment pas davantage, mais ils
croient
dormir : ils ont comme dit Bemheim, l'illusion du
pas d'accord, naturellement, avec M. Bernheim. C'est un danger, je
crois
, d'ouvrir ainsi, sur des questions aussi délicate
autorité est certainement moins absolue qu'on voudrait nous le faire
croire
. J'ignore auprès de quelles personnes cette autor
ès de quelles personnes cette autorité peut subsister encore, mais je
crois
que la plupart des spécialistes dont l'opinion se
ur me faire une opinion dans un sens ou dans l'autre. Mais ce dont je
crois
pouvoir Ôtre absolument certain, c'est que la for
nification et serait une véritable tautologie. M. Liébcault n'a, je
crois
, jamais été aussi catégorique à cet égard. Il pen
que M. Bérillon laisse supposer entre MM. Lié-beault et Bernheim, je
crois
qu'il existe plus dans les mots que dans la réali
recours qu'exceptionnellement, je veux bien le lui accorder: mais je
crois
que la majorité des suggestion-neurs trouvera tou
appellerait aujourd'hui un dégénéré, sans aucune supériorité. Qui le
croirait
, cette étude si consciencieuse de Mesnet, qui n'a
professeur ù l'Université de Nancy. (cuite) IV Delbœuf, qui ne
croit
pas beaucoup aux expériences on général, et surto
tre fois, Delbceuf, ayant endormi une jeune fille, a voulut lui faire
croire
qu'elle était mariée et qu'il était son mari ; l'
it le matin ! » Voici enfin une expérience dont mon contradicteur a
cru
pouvoir tirer des conséquences diamétralement
e lui prescrire un crime aussi horrible? Pourquoi dire que J..., a dû
croire
, qu'elle a cru que le revolver était « chargé, »
crime aussi horrible? Pourquoi dire que J..., a dû croire, qu'elle a
cru
que le revolver était « chargé, » comme toujours,
eut pas, dans mon expérience avec Mlle E... P..., que celle-ci ait pu
croire
que mon pistolet pouvait être chargé, trouve tout
tolet pouvait être chargé, trouve tout naturel d'admettre que J..., a
cru
forcément que son revolver, à lui, était chargé!
r le carnet (2) Liébeault, /oc, cit. p. 335. Nous continuions à
croire
, M. Liébeault et moi, qu'il y avait des raisons s
ome, feront pour une promenade publique les dépenses qu'ils n'ont pas
cru
devoir faire pour leurs aliénés ; cependant il y
ychologique de cette intervention. Jusqu'à ces dernières années, on
croyait
communément que la suggestion hypnotique n'est d'
SENSATIONS ET LA CROYANCE. Les hommes ont une inclination native à
croire
, et croient, pour l'immense majorité, que nos sen
ET LA CROYANCE. Les hommes ont une inclination native à croire, et
croient
, pour l'immense majorité, que nos sensations ont
e sescroyances. « Tout ce qu'il y a d'hommes sont toujours emportés à
croire
, non par la preuve, mais par l'agrément (5). » On
s emportés à croire, non par la preuve, mais par l'agrément (5). » On
croit
aisément ce qui plait, ce qui est conforme à ses
du raisonnement, soit par impuissance de vérifier, beaucoup d'hommes
croient
une chose par cette seule raison qu'un autre homm
peut pas discerner quels d'entre ces effets sont les véritables, les
croit
lous^J. » Et c'est ainsi, de son propre aveu, que
les croit lous^J. » Et c'est ainsi, de son propre aveu, que le peuple
croit
aux divinations, aux prophéties et aux miracles.
celles-ci. V. — LA VOLONTÉ ET LA CROYANCE. Il arrive aussi qu'on
croie
parce qu'on veut croire. Cette forme est peu diff
OLONTÉ ET LA CROYANCE. Il arrive aussi qu'on croie parce qu'on veut
croire
. Cette forme est peu différente de la croyance se
étape de l'amour à l'action. Si, en religion, il arrive qu'on veuille
croire
, dans la crainte des peines menaçant les incrédul
st ainsi fait, dit-il, qu'à force de lui dire qu'il est un sot, il le
croit
(^). (1) De la suggestion. (2) The powerof the
ts, etc. » « La coutume est notre nature qui s'accoutume à sa foi, la
croit
et ne peut plus ne pas craindre l'enfer, et ne cr
ume à sa foi, la croit et ne peut plus ne pas craindre l'enfer, et ne
croit
autre chose. » C'est ainsi, qu'en cet étrange Pas
trouve des armes contre lui-même. Il dit encore que, pour arriver à
croire
, il faut faire comme si l'on croyait, a en prenan
Il dit encore que, pour arriver à croire, il faut faire comme si l'on
croyait
, a en prenant de l'eau bénite, en faisant dire la
u bénite, en faisant dire la messe, etc. Naturellement cela vous fera
croire
et vous abêtira. » Il faut a s'offrir par des hum
il les mot sous les ordres d'un Dieu suprême, et en arrive à ne plus
croire
qu'à ce Dieu seul. C'est le monothéisme dos métap
le, riche ou pauvre, opulente, prin-cière, royale même, qui puisse se
croire
à l'abri de ce danger; car, il n'en est pas où le
ictime, même on dehors de tout penchant secret éprouvé par elle, nous
croyons
devoir la maintenir énergiquement, malgré l'avis
aveu étonnant: « Oui, vous étiez pure, « vous étiez vierge, vous avez
cru
, dans votre naïveté, que ce que je « faisais étai
je me suis résolue à l'épouser, parce que j'avais pitié de lui ; « je
croyais
avoir trouvé en lui un bon fonds et je voulais sa
idée qu'elle n'aurait pas d'enfants. Au début de son mariage on avait
cru
utile de pratiquer un curettage de hi matrice ; à
grimoires et dans l'ancienne magie. Jusqu'ici nous avions toujours
cru
que Mesmer et ses disciples, le baron du Potet, P
ugitif et où l'ancien nécromant avec ses statuettes et ses blasphèmes
croyait
occire son lointain ennemi. Enfin, il a établi la
e ce temps, l'état de la malade était devenu tel que son entourage la
croyait
véritablement sur le chemin d'une guéridon défini
de Port-Royal. Il avait un a très grand respect de la religion 1 a et
croyait
à ln sorcellerie. C'est ainsi qu'en 1G21, il mand
clés învesUgatjpns curieuses; car lorsque Dieu nous a ordonné de
croire
, il n'a pns prétendu nous livrer ses décrets divi
bas Vous nous ôtez la connaissance ; Mais j'espère en votre équité Et
crois
que votre providence Suit les lois de votre bonté
ît Gilhertc, « un grand éloigne-menl et même du mépris, parce qu'elle
croyait
qu'on y pratiquait des choses qui n'étaient pas c
ente de la gare de Belfort, où ils se trouvèrent seuls. M. X... avait
cru
remarquer que sa compagne de voyage pourrait être
nvaincra jamais. Pour moi, ma conviction est faite b. « cet égard. Je
crois
que, chez certains hypnotiques, je ne dis pas che
s vu, par Delbceuf, le savant professeur de Paris, ajoute : « Je ne
crois
pas que, parmi ceux qui nient ou qui doutent enco
ersonne ne « relèvera ce défi ! » Les faits m'ont donné raison. El je
crois
pouvoir répéter encore: « Non, personne ne relève
questions que nous nous efforçons depuis longtemps d'élucider. Nous
croyons
maintenant pouvoir, à bon droit, considérer comme
de suite, un remède, un préservatif, comme on voudra Tappeler.que je
crois
très efficace et qui peut s'appliquer à tous, le
que ces êtres plus ou moins malfaisants — en tant du moins qu'on les
croyait
et qu'ils se disaient eux-mêmes suppôts de Satan
emment bienfaisant. Ne repoussons donc pas cette force nouvelle! Ne
croyons
pas qu'il puisse exister des vérités malfaisantes
tent les adultes atteints d'hystérie vulgaire. Certains auteurs ont
cru
qu'il fallait considérer comme des manifestations
iens étudièrent ensemble les Pères, les Conciles et la tradition. Ils
crurent
y trouver le fondement d'une nouvelle doctrine de
en apprenoit dans les petits traités de M. de Saint-Cyran. L'on peut
croire
qu'elle y y reçu le Saint-Esprit, car depuis celt
la période d'excitation ou inversement. Par exemple {p. 630), « Marie
croit
en avoir encore pour longicmps de sa dépression o
ession de foi. Elle fut catégorique, et satisfit tant de Belley qu'il
crut
l'incident terminé, il n'en était rien. Pascal et
Sa parole onctueuse, et familière attirait, parce que chaque auditeur
croyait
qu'il ne parlait que pour lui. On courut à ses se
idérant que c'étoit lui qui con-duisoit la maison de Port-Royal, elle
crut
dès lors, comme elle me l'a dit en propres termes
e matin, » — Elle ne peut plus se rappeler que je l'ai endormie, mais
croit
avoir dormi spontanément. Elle est convaincue qu'
entriloque, et si je n'avais vu ses lèvres remuer, je n'aurais jamais
cru
que ce fût le roi Milan qui parlait. . Un eutre o
re sur son esprit, et qu'il n'ait pas agi spontanément. Mais avant de
croire
qu'il ait été systématiquement hypnotisé pour arr
enseignements donnés par les professeurs de Nancy, il y avait lieu de
croire
que leur doctrine, ] basée sur des faits innombra
teur on ne trouve formulée d'indication thérapeutique à cet égard. On
croirait
presque que les médecins les plus dévoués aient t
L... pendant son sommeil hypnotique. Je tentai l'expérience. Je ne
crois
pas avoir fait là rien de contraire à la morale p
suggestion. Sa volonté a été vaincue par la mienne; il s'avoue et se
croit
coupable. Je continue, et sa volonté va de nouvea
moment, L... ne sait plus s'il le savait ou s'il ne le savait pas. Il
croit
ce que je lui dis et sa volonté flottante et ince
fluence sur sa volonté pour l'amener à mettre sa conscience à nu ? Je
croirais
plutôt le contraire. J'ai beau lui ordonner de
; la vérité, pour lui. c'est ce que je lui dirai, ce que je lui ferai
croire
. Son moi volitionnel n'existe plus. Il ne possède
ou), Velander (de Yonkoping). Le Congrès de l'Hypnotisme, qui avait
cru
devoir inaugurer ses travaux en affirmant sa répr
otique n'étant point encore officiellement accepté en psychiatrie, je
crois
qu'il est nécessaire de procéder avec la plus gra
, après des centaines d'hypnotisations faites sans aucun accident, je
crois
pouvoir me ranger à l'opinion de nos confrères qu
ofesseur de Gratz. qui vient d'avoir l'honneur d'être nommé a Vienne,
croit
-il que la guérison sera définitive dans son cas.
ant est que l'on arrive jamais à obtenir ce résultat. En résumé, je
crois
pouvoir conclure que nous possédons dans la sugge
tre En somme, les troubles hystériformes que, plus souvent qu'on ne
croit
provoque la syphilis, ont pour Fournier, comme po
retentissement dans le monde savant. C'était en 1876. un homme, oui
croyait
sa fin prochaine, écrivit à notre grand physiolog
quart de siècle, il ne s'était pas (ait illusion sur des faits qu'il
croyait
avoir bien observés. Claude Bernard, président de
tisme M. Ladame (de Génève). — Contrairement a ce que L'on pourrait
croire
, la nécessité d'interdire les séances publiques d
arquable et si consciencieux de MM. van Renterghem et van Eeden. Nous
croyons
devoir signaler leur opinion sur la durée et la s
er en rien b valeur des patientes recherches de ces savants ; mais je
crois
qu'avec ces statistiques il font fausse route. Le
des criminels-nés que redressait l'éducation. M. Traverni (de Catane)
croit
au contraire que les enfants mauvais sont l'excep
ne le suivrai pas dans la voie des réformes nombreuses et utiles, je
crois
, qu'il demande. Mais il est un point sur lequel t
des chez tous les sujets qui m'ont fait part de leurs hallucinations.
Croyez
-vous que les gens du monde auxquels vous envoyez
ements pénitentiaires; il importe, toutefois, que les condamnés ne se
croient
pas l'objet d'une curiosité trop grande. L'entrée
condamnes ne peuvent être compares aux malades d'hôptiaux. Si l'on en
croit
M. le directeur de l'administration pénitentiaire
enir l'objet de l'attention des aliénistes. C'est pourquoi nous avons
cru
devoir la soumettre à l'examen du Congrès. Dans
tiseurs eux-mêmes. Chacun, on peut le dire, a son procédé a lui. Je
crois
inutile de relater la pratique des anciens magnét
ent le bras en l'air, j'obtiens souvent alors, même quand le sujet ne
croit
pas être influencé, une catalepsie suggestive plu
tels que rire, geste, ouverture des yeux, paroles prononcées; ils le
croient
réfractaire parce qu'il rit ou manifeste. Ils oub
combattue. La médecine actuelle, trop imbue des idées orga-niciennes,
croit
expliquer tous les mystères de la vie par la méca
, Wagner, Moltke, Gladstone et.... Paulus! Des l'antiquité on avait
cru
voir une relation entre le caractère d'un individ
allée garder ses brebis dans un bois a peu de distance de chez elle,
crut
voir soudainement apparaître, sortant d'un tas de
é la terreur que lui inspirait l'examen de sa blessure. Le médecin ne
crut
pas pouvoir faire un examen sérieux sans avoir re
héros de la pègre. Et il était si bien entré dans son rôle, qu'il se
croyait
un grand criminel. N'est-ce pas là, Messieurs,
l fit connaissance d'une jeune fille avec qui, comme il le dit, il ne
croyait
passer que quelques jours. Mais il « s'éprit pour
nfluences mauvaises et dont tous les détenus se jouaient, lui faisant
croire
toutes sortes d'absurdités, le poussant à commett
même à l'eut de veille, on pouvait en faire tout ce qu'on voulait; il
croyait
sans contrôle tout ce qu'on lui disait et agissai
action que lui donne toujours ce rétablissement inespéré. C'est, je
crois
, dans les maladies de la moelle que la suggestion
au plus grand étonnement du suiet qui, malgré l'évidence, ne pouvait
croire
a un traitement dont elle ne voyait que les effet
d'étudier le rôle de la suggestion dans les paralysies organiques, je
crus
voir en celle malade l'occasion de faire une expé
e csl le pavs de la suggestion et de l'hypnotisme par excellence ; je
crois
qu'il n'y a pas de contrée où l'on trouve autant
e figure quelconque : au bout de très peu de temps elle apercevait ou
croyait
apercevoir la figure imaginaire, et lorsque je lu
M. Rom (de Londres). — Depuis 50 ans je suis médecin homéopathe et je
crois
qu'il est de mon devoir de protester contre l'opi
me suis beaucoup occupé du traitement des variétés de paralysie et je
crois
qu'une partie de mes succès ont été dus à l'influ
avait réussi à hypnotiser pendant les premières années de la vie S'il
croit
que ces manoeuvres peuvent encore être qualifiées
rusquement, au grand désespoir de l'hypnotiseur et de l'entourage !
Croyez
-vous qu'on puisse supposer le malade lui-même ass
Havre). — Je me place au point de vue uniquement psychologique et je
crois
que même sur ce terrain, M. Bernheim a émis des o
i importante, i mon avis, que dans le cas de M. Gilbert, j'ai peine 1
croire
que le tabac soit seul en cause. Il faudrait, e
ation ne relèvent-ils pas directement du choc électrique ? M. Charcot
croit
qu'il y a eu d'abord chez le malade une paralysie
ai fait des expériences analogues ayant en vue d'autres personnes. Je
crois
que les résultats obtenus sont réels et vrais, ma
-suggestion, d'avoir des idées, et cependart je rêvais, puisque je me
croyais
une fille de 15 ans que je n'ai jamais eue. Ce
re de faits ; je l'adapte à toutes les circonstances de la vie, et je
crois
que cette pratique est appelée à être généralisée
tifs (comme préfère l'appeler M. Forel). J'ai montré qu'on peut faire
croire
à certains sujets, très sug-gestibles, qu'ils ont
ns son esprit, il accepte ce souvenir illusoire comme une réalité: il
croit
que c'est arrivé. Je définis quelquclois d'une fa
ne façon humoristique que le sommeil : « C'est un état dans lequel on
croit
que c'est arrivé ». Et j'ajoute : « Ne dites jama
me suis trouvé aux prises avec des difficultés assez sérieuses que je
crois
devoir signaler. Mme,Heu .., 30 ans,très impres
lissement, qui répondit que l'enfant se portait bien ; mais elle n'en
crut
rien et elle voulut qu'on fil venir son fils. J
, la satisfaction du besoin esthétique lui faisait défaut et qu'il ne
croyait
pouvoir la trouver que dans un mariage heureux. J
avec sa fiancée le rendait insensible à toute autre impression. H se
croit
rétabli et pense posséder définitivement l'équili
son énergie première, sans la diminuer ou la grandir (2). » Aussi, je
crois
que beaucoup d'individus pourraient rester vicieu
tion étant si souvent la première étape du crime chez la femme, je ne
croirai
pas trop sortir de mon sujet en demandant la perm
x forcis a perpétuité. Voici donc deux individus mal équilibres, je
crois
: l'un, un enfant, tombe aux mains d'un credin qu
peler aucune des circonstances qui ont précédé le crime ou le vol. de
croire
qu'il en a eu seul l'idée, d'être convaincu, qu'a
ue des considérations purement théoriques. Aussi le Rapporteur a-t-il
cru
devoir emprunter, à la jurisprudence des Cours d'
une suggestion criminelle? Ici le désaccord est bien moins qu'on ne
croit
entre les divers orateurs. M. Gilles de la Touret
s du grand hypnotisme pour établir l'état de suggestiblité ? Je ne le
crois
pas et on peut trouver dans les stigmates physiqu
la manie de l'hypnotisme, qu'il en voyait partout et s'étant toujours
cru
hypnotisé. Il s'agit donc là d'une simple affai
on, d'une manière très étendue dans mon livre précédemment cité; j'ai
cru
opportun d'insister sur la démonstration de la th
pouvoir trouver une solution satisfaisante. Elle m'a été fournie, je
crois
, par des expériences récentes et peut ainsi se fo
t, mais qu'on l'acheva. On l'enterra pendant la nuit, lbn Batuta, qui
croit
â cette histoire, dit que Khwaja Jehan, le constr
rvu de pitié ». Il hésitait si peu à répandre le sang qu'on aurait pu
croire
que son but était d'exterminer entièrement l'espè
accepter ses excuses: mais le sultan reprit : « Au nom de Dieu, je ne
croirai
que vous vous plaisez avec moi, que lorsque vous
ba en léthargie. Après vingt-quatre heures de rigidité complète on le
crut
mort et on I enterra. Le lendemain, le fossoyeur
ordres de l'aine sont portes aux muscles, à moins qu'on n'aime mieux
croire
qu'il y a des deux côtes un même principe de mouv
fondes blessures. La victime transportée à l'hôpital, dût, si nous en
croyons
le récit des journaux, subir l'amputation de la c
icale, sont assez fondées pour que la plupart des gouvernements aient
cru
devoir intervenir. L'Autriche, l'Italie, le Danem
rmes et de rires, enfin son attitude générale, ont tout de suite fait
croire
qu'on se trouvait en présence d'une hystérique, c
ntière d'une scène qui semble surgir de toutes pièces et vivre ; elle
croit
y prendre part et bientôt la confond avee la véri
riminelles. Les adversaires de M. Liégeois lui disaient : « Nous ne
croyons
pas à la réalisation de véritables crimes sous l'
leurs dépens que certains sujets, beaucoup plus nombreux qu'on ne le
croit
, accomplissent automatiquement tout acte suggéré,
haque jour. » Contrairement à l'avis de certains journalistes, nous
croyons
qu'il n'était pas sans intérêt d'ouvrir de nouvea
même des années, disparaître instantanément ? Il est donc permis de
croire
qu'il y avait une part de vérité dans la prétendu
re de la malade pour ne nous occuper que du récit de sa maladie. Nous
croyons
en avoir assez dit. pour permettre de juger la pa
ture qui, en s'opposant aux mouvements, pouvait de prime abord, faire
croire
à l'existence de l'anesthésie. Quant à l'état d
euses et sa Félida reste encore le type le plus complet que l'on ait,
croyons
-nous, observé jusqu'ici Notre malade, comme cel
une révélation,ainsi qu'il le sera pour beaucoup de nos confrères. Je
crois
que les conditions dans lesquelles s'est faite ce
lité exagérée. Conduite toujours excellente. Affirme, et on peut l'en
croire
qu'il n'a jamais eu dans sa jeunesse d'habitudes
lons l'attention de nos collaborateurs: Monsieur le Directeur. Je
crois
avoir l'honneur d'être le premier qui ait appelé
est nouveau, surtout de ce qu'ils ne comprennent pas, et ils semblent
croire
que Ici dangers qui résulteraient de l'applicatio
diquer. — Le même critique énonce plusieurs opinions exagérées que )e
crois
avoir réfutées avec succès. Il prétend que l'admi
ction de l'air sur notre surface cutanée normale. Et il ajoute : « Je
crois
pouvoir déclarer presque avec la conviction d'une
e, renchérissant sur l'exemple donné par son collègue de la guerre, a
cru
devoir devoir aussi interdire formellement la pra
culaires ministérielles ont un caractère beaucoup plus grave qu'on le
croirait
au premier abord. Elles visent surtout les médeci
le seul crime serait de savoir mieux son métier qu'un autre ? Nous ne
croyons
pas qu'on puisse aller jusque-là. C'est déjà asse
ployer l'hypnotisme et la suggestion pour faire marcher un malade qui
croit
avoir perdu !a possibilité de le faire, l'employe
! ce que l'Eglise permet. M. le ministre de la Guerre, moins libéral,
croit
devoir l'interdire. Nous souhaitons que le prin
cte automatique, est-ce une idée fixe.sans raison, qui les domine. Je
crois
qu'il en est parfois ainsi. L'épileptique qui se
al. Je n'ai aucune raison pour le tuer. C'est plus fort que moi! » Je
crois
que la suggestion peut réaliser sur certains suje
e dans beaucoup de crimes- On n'a pas compris ce fait parce qu'on a
cru
que la suggestion ne s'accomplit qu'à la faveur d
du ballonnement du ventre qui s'accentuait tous les jours. M. Rauzier
crut
devoir pratiquer un examen plus approfondi de l'a
voya chercher le prêtre pour lui donner les sacrements. Tout le monde
croyait
a une fin prochaine, a l'exception toutefois du d
illez-vous ». il se produisait un tressaillement, ce qui me donnait à
croire
que je devais réussir. Cependant le résultat se f
e le suicide, à cette période de la vie,est plus fréquent qu'on ne le
croit
généralement. Une statistique de Garisson par exe
e-même, dans une lettre au Procureur de la République. Cette négresse
croyait
se livrer aux caresses de son mari et ce ne fut q
ons, et l'analgésie du côté gauche était assez marquée pour que je me
crusse
autorisé à penser que la malade était bien en hyp
ts. » Plusieurs minutes après, je le réveille. Il se frotte les yeux,
croit
s'être réveillé spontanément et n'a souvenir de r
carme infernal. » -— C'est-ii bien vrai ? lavez vous bien entendu? Je
crois
que vous l'avez rêvé. » — Tous les malades l'onte
eur auto-suggestion, de leur faire ajouter des détails de leur propre
cru
. Certains sujets ont l'imagination si facile, q
et sereine, elle y parlait de son intérieur, de ses enfants, même je
crois
, de Chambige, en termes si simples, si naturels,
er devant ses contemporains en héros de tragédie amoureuse ? Je ne le
crois
pas non plus. Chambige était, il est vrai, une
ésister. Chambige faisait de la suggestion sans le savoir: il pouvait
croire
qu'elle l'aimait de bonne foi ; il ne savait pas
la nature de son mal, l'anxiété fut extrême ; sa tête s'égara ; elle
crut
aux esprits, aux maléfices. Au terme de sa grosse
ente avec une vivacité d'imagination extrême les scènes qu'il a lues,
croit
en être l'acteur ou le plus souvent la victime. I
ée délirante. Sa santé physique paraissait seule le préoccuper; il se
croyait
gravement atteint de maladies imaginaires, mais i
etteté, les personnages imaginaires qui ont troublé son sommeil. « Il
croit
, dit-il, qu'il aurait pu tes toucher. » La facili
, un de ces jours, et me fera avoir une agonie quelconque- » Il ne se
croit
pas seul l'objet de tourments; il croit que Pranz
agonie quelconque- » Il ne se croit pas seul l'objet de tourments; il
croit
que Pranzini fait du mal a sa sœur, à sa grand'mè
s angoissé. ni hallucine. mais, encore inconscient de son état, il ne
croit
pas avoir été l'objet d'hallucinations. le reste
araître des tûtes d'assassins, mais il ne précise plus. Parfois il se
croit
encore menacé, mais il s'en préoccupe peu. Cett
ter à l'état de conceptions imaginaires, et c'est ainsi que le malade
croit
à la réalité de l'existence de ces tableaux terri
esseur de la faculté de Paris ne « m'ait jamais vu. Il l'écrit, je le
crois
. Mais, me démentira-t-il si « j'affirme que ses é
es magnétiseurs forains tranche assez volontiers du professeur A l'en
croire
, sans lui, l'Ecole de la sulpétrière et l'Ecole d
t, sur cette question, qui est pour lui fondamentale. C'est ici qu'il
croit
avoir mis la main sur les intérêts qu'on n'avoue
ience patentée et conservatrice (Ladame), celui de la médecine qui se
croit
faite (1) M D.. .. ayant dans le cours de séanc
it, aurait dit â un reporter: « Comme je viens de vous le dire, je ne
crois
pas à l'hypnotisme ; un magisirat, d'ailleurs, me
ois pas à l'hypnotisme ; un magisirat, d'ailleurs, me peut ni ne doit
croire
à l'hypnotisme (Temps). » M. le Juge a-t-il bien
nement qu'il lui parait plus orthodoxe de brûler des sorcières que de
croire
à l'hystérie et à l'hypnotisme. Dixième Congrès
res qui constituent la majorité de ce conseil supérieur, mais je veux
croire
que ce sont des hommes qui après avoir été élevés
ur lui aucun contrôle, obéissant à des instincts quï je suis tenté de
croire
heréditaires, il réduira ces soins de toilette a
des ablutions, dont l'oubli ne sera soumis à aucun contrôle, et vous
croyez
qu'il hésitera à sacrifier les sins de sa toilett
de l'Hôtel-Dieu devant un public non médical (1). m. DESPRÉS- — Je
crois
rendre encore un service aux hôpitaux parisiens e
s, soit venu l'appuver. Ili „¦>. J'ajoute qu'alors que le public
croit
que. dans beaucoup de cas, la responsabilité huma
circulaire ministérielle ont certainement touché leur but. Si nous en
croyons
le Bulletin Médical, toujours bien informé, les i
t ce qui est progrés, c'est le Bulletin Médical qui nous l'apprend, a
cru
devoir fournir a notre confrère des commentaires
vaient s'indigner de nous voir interdire l'emploi de pratiques qu'ils
croient
efficaces dans nombre de cas morbides. Mais les s
ans ce cas, il faudrait avoir la sincérité de le reconnaître. Si vous
croyez
que vos subordonnés ne sont pas capables d'appliq
re considéré encore, parait-il, comme une pièce de procédure, nous ne
croyons
pas devoir en rendre compte. Au surplus, le cas e
ute chorus, et. finalement, X... sortira de l'asile. Or, tout porte à
croire
que. dans un temps plus ou moins rapproché, on en
al des sexes est un signe de faiblesse et non de force ; cet excédant
croit
chez les peuples en décadence; il est plus éléve
u à un Livingstone. il acceptera et mangera avec appétit. VIII Je
crois
qu'avec un peu de patience et de bonne volonté, n
à nous rendre absolument récalcitrants pour d'autres. Nous avons fait
croire
à notre estomac qu'il ne devait accepter que tels
lui avons dit qu'ils étaient mauvais et nauséabonds; il a fini par le
croire
et dorénavant il refusera énergiquement de les re
soir la bonne enduisait ses cheveux de la précieuse pommade. XIV
Croyez
-vous que ce n'est pas la suggestion qui a agi dan
remiers y verront que les prétendues aperceptions par lesquelles nous
croyons
nous connaître en tant que substances simples son
t elle éminemment profitable à ceux qui demandent trop à l'esprit, et
croient
saisir en lui l'absolu, comme à ceux qui ne lui d
e que des phénomènes constatés pour respecte la réserve que M Janet a
cru
devoir faite lui-même à l'occasion d'un certain n
ar M. Janet pour servir de conclusion à son œuvrer Et d'autre part ne
croirait
-on pas lire les Sociétés animales en rencontrant
de guérir. Cependant sans vouloir dénier cette objection, je ne la
crois
pas suffisante pour condamner la psychothérapie,
s accès pendant deux ans. En 1887, quatre nouvelles guérisons; Voisin
croit
pouvoir conclure que dans ces cas la suggestion e
pte-rendu se rapportent a des folies avec conscience. Nous avons même
cru
d'abord que la psycho thérapie suggestive ne se t
indiquée au delà de la limite séparant la folie de la névrose. Nous
crûmes
la suggestion impuissante ou simplement d'un effe
puissante ou simplement d'un effet palliatif, du moment que le malade
croyait
a la réalité de ses sensations subjectives, de se
persécutes électriques qui méritent d'être signalés, ce sont ceux qui
croient
avoir subi un choc électrique et qui simulent deh
ntifique que nous nous étions tracé dès le début. Aujourd'hui, nous
croyons
que cette publication a pleinement justifié sa cr
ges souvenirs suggérées de scènes et d'événements auxquels les sujets
croient
avoir assisté, bien que ces événements n'aient ja
emple meurtri ou vol, et retracent tous les détails du crime dont ils
croient
avoir été acteurs ou spectateurs, peut être réali
Avouez que vous avez voulu vous amuser, que cela n'est pas. Vous avez
cru
me faire plaisir en ayant l'air de croire ce que
que cela n'est pas. Vous avez cru me faire plaisir en ayant l'air de
croire
ce que je vous disais. Maintenant que nous sommes
ent, des histoires sur Pierre et Paul dont rien n'est fondé. Le monde
croit
à de la méchanceté, à de la perversité morale. là
du sujet par un médecin bien au courant de la question permettra, je
crois
, dans la majorité des cas, d'établir qu'on a affa
ucoup, de par le monde, po ur me servir d'une locution familière, qui
croient
que c'est arrivé. Les esprits scientifiques n
vu, ni voulu voir, ceux qui ont assez de confiance en eux-mêmes pour
croire
que les conceptions de leur esprit s'identifient
érité et que les faits doivent s'incliner devant elles, ceux-là aussi
croient
que c'est arrivé. Ils n'ont pas médité cette pa
tifs aux propriétés physiques de la force neurique rayonnante. J'ai
cru
reconnaître de plus que les rayons oculaires poss
e de sa manière d'être, M. Deny, dans le service duquel il se trouve,
crut
pouvoir lui délivrer l'année dernière un certific
u'étant donnée une seule crise, celle avec aura de la vipère, on peut
croire
que V... est épileptique, alors qu'en réalité il
plus d'un quart d'heure. V... n'a plus de paralysie des jambes. Il se
croit
a Saint-Urbain ; il est heureux d'être chez M. Pa
e est trop connu pour que cela devienne nécessaire. Cependant, nous
croyons
utile de signaler combien et comment la connaissa
ntervenir en temps utile pour ramener la personnalité normale. Nous
croyons
aussi, par ce qui précède, avoir contribué à démo
gnétiques qui font l'objet du second chapitre. Pendant longtemps on a
cru
que les propriétés magnétiques appartenaient seul
ustraire facilement a tout danger provenant d'un excès de travail. Je
crois
donc que si le surmenage existe, c'est un fait in
voulez. En été, ils y gagneront de ne pas travailler à la lampe. Je
crois
, pour ma part, qu'il n'y a pas grand'chose à réfo
, pour moi, le besoin d'un quatrième ne se fait pas encore sentir. Je
crois
qu'il y a avantage à donner aux jeunes gens des c
ectuel; 2° l'hygiène scolaire; 3* les programmes universitaires. Je
crois
qu'il serait bon que l'Académie fût consultée sur
iène, nous sommes très près de nous entendre. Nous demandons tous, je
crois
, le progrès hygiénique du collège. Pour ce qui
oumettre à l'hypnotisme un enfant normal ou simplement médiocre. Nous
croyons
que pour ceux-là les procédés ordinaires d'éducat
lui faire commettre sans réflexion les actes les plus blâmables, nous
croyons
que son devoir lui commandera de tenter de le gué
udes philosophiques et sociales, par M Albert Colas. Il est bon, je
crois
, de vous faire connaître l'auteur, le livre n'en
ussi peu routinier et aussi avide de savoir ne s'arrête pas la. Il ne
croit
pas ; mais il sait que rien n'est brutal comme un
d'ordre réflexe. Si l'on cède à un examen superficiel, on pourrait se
croire
obligé de faire rentrer ces faits dans la suggest
st qu'il a suffi à quelques auteurs et à quelques expérimentateurs de
croire
à la suggestion mentale pour que celle-ci ne soit
s, la science doit, trouver remède a tout. C'est en elle qu'il faut
croire
. DE LA SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOM
devient sanglotante, et des larmes coulent des paupières ouvertes. Il
croit
que l'expression est réelle, comme si la chose ét
neurique dans mon récent ouvrage sur le Magnétisme animal (i), et je
crois
avoir prouvé surabondamment dans plus d'une obser
ments les plus perfectionnés de la technique contemporaine. Mais il
croit
que la psychologie peut être, comme la physiologi
aris et celle de Nancy, il défend vivement la cause de la dernière et
croit
pouvoir assurer que la victoire est à elle. Le
pressions alors sont tristes et lugubres. Le sujet, par exemple, se
croit
dans un cimetière, il assiste à l'exhumation d'un
nt été reproduites. Le sujet, par exemple, qui adore le théâtre, se
croit
au moment d'une représentation dans laquelle il j
sur la délicate question de l'action à distance des médicaments. Noua
croyons
devoir publier in extenso les conclusion auxquell
onnel, et, sans la connaissance des habitudes du malade, on aurait pu
croire
à une attaque d'alcoolisme aigu- Ses amis att
n, même à travers l'épiderme; aujourd'hui, nous sommes plus enclins à
croire
à une action toxique extérieure. « Je fus frapp
r l'effort de notre argumentation. Quelques expérimentateurs ont pu
croire
a une éducation, un entraînement des sujets : nou
s d'hommes, qui n'en prennent jamais, sous aucune forme? Tout porte a
croire
, au contraire, qu'il est aussi nuisible i l'homme
que la gaucherie est surtout due à l'habitude et à l'éducation. Je
crois
qu'il est plus sage de conclure, en se basant sur
de sa supériorité. Pourra-t-on jamais remonter le courant? Je ne le
crois
pas. l'humanité ne revient point sur ses pas. Mai
pas, je me suis tourné dans mon lit jusqu'à une heure du matin. » II
croit
qu'il a rêvé vers le matin, mais n'en est pas sûr
s pendant lequel il a dormi. Je le laisse dormir une demi-heure et il
croit
qu'il n'y a pas cinq minutes qu'il s'est endormi.
un motif suffisant pour suspendre le traitement ? Le médecin italien
crut
devoir poursuivre son expérimentation, et, ce qui
'action ? C'est la question que les auteurs se sont posée et dont ils
croient
avoir trouvé la solution. Us avaient, en effet, r
s ces dangers disparaîtront. M. Drouineau (de la Rochelle). — Je ne
crois
pas que les questions d'hypnotisme doivent occupe
question de l'hypnotisme, nous apprit, à M. Lièbeault et à moi, qu'il
croyait
avoir réussi chez une demoiselle. Lui ayant appli
trouve très bien et ne ressent que la même fatigue à la nuque : elle
croit
que cela est dû à l'action d'avoir eu la tête app
-t-il eu de la part de l'opérateur trahison de pensée ? On ne saurait
croire
avec quelle finesse certains hypnotisés flairent,
e mari a dû payer plus de 2.000 francs pour des notes arriérées qu'il
croyait
soldées depuis longtemps. Tout cet argent passe e
eut démontré l'indication formelle de cette méthode. Nous avons aussi
cru
devoir constamment mettre à profit le conseil qui
ser un but utile et essentiellement profitable au sujet- Nous avons
cru
devoir exprimer ces réserves, en présence du trav
d'autorité, elles n'en avaient que plus de prise. Il ne faut donc pas
croire
qu'il soit nécessaire d'enfler la voix pour que l
, même par suggestion, des idées qui sont reconnues bonnes. Mais nous
croyons
qu'au point de vue pratique, la proposition de M.
lon soulèvera bien des objections. Beaucoup d'esprits se refuseront a
croire
que la suggestion faite à l'état de veille, ou mê
le cerveau et que ses effets puissent être durables. Pour ma part, je
crois
que les sujets faciles à hypnotiser sont des mala
difficile de donner une définition satisfaisante de l'hypnotisme. Je
crois
que, aujourd'hui encore, je ne puis mieux faire q
tion par l'hypnotisme pouvait avoir des conséquences fâcheuses. Je ne
crois
pas que cela puisse arriver entre les mains d'un
a fait l'expérience inverse, appliqué des mouches de Milan en faisant
croire
qu'il s'agissait de diachylon, et dans ce cas on
connus que le sulfate de spartéine, et alors seulement nous pourrons
croire
à l'authenticité des faits énoncés. L'émotion d
res sérieux réclamant l'attention du physiologue et du clinicien ; il
croit
cependant, jusqu'à nouvel ordre, devoir se réserv
orté de France, et quelques-uns, bien qu'absolument incompétents, ont
cru
devoir mettre en doute les résultats obtenus par
donc, l'hypnotisme n'existe pas! » Un des honorables académiciens a
cru
diminuer la valeur de la suggestion en déclarant
e les médecins allemands ne se tiennent pas, autant qu'on pourrait le
croire
, au courant du mouvement scientifique. Elles prou
alage si pompeux, que restera-t-il ? Peu de chose, assurément. Nous
croyons
aussi que l'enthousiasme de M. Moll aura grand'pe
alheur est qu'en fait d'hypnotisme et de magnétisme, tout le monde se
croit
en état d'avoir une opinion. Etrange mirage! S'il
e physiologique, il* ont droit à la compétence. Pour notre part, nous
croyons
qu'ils s'abusent ; mais vraiment, ce n'est pas de
ert à quelques initiés. Non, assurément ; mais un savant est toujours
cru
sur parole, dés que les détails qu'il donne et qu
s, l'observation que vous m'avez fait l'honneur de me demander. Je la
crois
iniéressante à plus d'un titre : voyez si elle mé
le procureur général de Nîmes, la chambre des mises en accusation ne
crurent
pas devoir se rendre à ce désir : l'instruction a
son. A la lecture de ces documents, j'eus quelques doutes, mais je ne
crus
pas devoir assumer seul la responsabilité de veni
n confrère et ami partageait mes hésitations et comme moi inclinait à
croire
que quelques-uns des laits ou certaines des circo
euse était accumulée sur l'organe dont l'attention est provoquée. Ils
croient
devoir s'ingénier à réaliser la pensée de l'opéra
d'ignominie sous lequel on essaye de submerger son amie l'empêche de
croire
à l'évidence apparente des faits. 11 court chez M
u début, mais il s'est endormi immédiatement après, et ce sujet qu'on
croit
dans d'excellentes conditions pour éviter la supe
gion comme cause unique. J'ai cité des cas dans lesquels on aurait pu
croire
à une transmission morbide, alors que les trois m
cun microorganisme produisant la pelade. Quelques médecins ont bien
cru
pouvoir accuser le trichophyton qu'on trouve souv
ints de pityriasis du cuir chevelu. Plus tard, quelques auteurs ont
cru
reconnaître dans le bulbe pileux des peladeux des
on, il n'y a là ni truc, ni compère, ni aucune supercherie pour faire
croire
aux esprits et aux revenants. Les plus minutieuse
entiment universel, — ce qui est impossible, puisqu'il y a encore, je
crois
, des personnes mettant en doute des faits bien pl
ce non habituelle a cette heure matinale. Deuxième expérience. — Je
crois
nécessaire, suivant en ecla l'excellent conseil d
périences antérieures, ce même retard avait été observé. III Jene
crois
pas. dans l'état actuel, si limité, de nos connai
lues convictions qui renversent tous les obstacles, je suis forcé d'y
croire
par les faits eux-mêmes. Mais ces faits sont trop
que je puisse les admettre d'après une démonstration quelconque, et y
croire
avec la môme certitude que je crois à des faits h
e démonstration quelconque, et y croire avec la môme certitude que je
crois
à des faits habituels. Si je voulais traiter la
ire, si l'action à distance n'existait pas, il eût été impossible, je
crois
, d'obtenir ce que j'ai obtenu. Il y aurait eu tel
elle ne pouvait la distinguer. « Je vois comme un nuage qui remue; je
crois
bien que ce sont vos doigts, maïs je ne puis dire
ation mentale, de délire ambitieux, de folie des persécutions... Nous
croyons
savoir que nos asiles d'aliénés en offrent plus d
bauches médico-imaginatives de l'occultisme ! » II est grand temps,
croyons
-nous, de revenir à une plus saine hygiène morale,
Qu'elle a dit ou fait pendant l'état second, et elle n'a jamais voulu
croire
qu'elle s est exprimée comme nous venons de le ra
reprit ses sens est loin de confirmer l'opinion du médecin. LE VOLÉ
CROIT
AVOIR ÉTÉ HYPNOTISÉ. Un reporter du Herald est
vous a administré quelque drogue ? M. Loader répondit : Non, je ne
crois
pas que ce fût possible. — Vous souvenez-vous d
e que lui . prête complaisamment le reporter du New-York Herald. Nous
croyons
plutôt, si nous en jugeons d'après les symptômes
ule, est très pieuse, sans aller cependant jusqu'à la bigoterie. Elle
croit
sincèrement, et le curé est son conseiller intime
e du chemin parcouru. Elle se coucha sans manger et toute habillée et
croyait
avoir dormi depuis quelques heures déjà d'un somm
ves pénibles, quand elle fut réveillée par une hallucination : — « Je
crus
reconnaître, dit-elle, la voix de ma petite fille
ucun souvenir de ce .qui s'est passé l'avant-veille. — « Je veux bien
croire
que j'ai fait une tentative de suicide, puisque v
signes ne sont pas, il est vrai, d'une certitude absolue, et si nous
croyons
possible d'éliminer l'accès de folie puerpérale,
e j'ai depuis quelque temps étudié avec persévérance et sur lequel je
crois
pouvoir émettre quelques idées nouvelles. C'est
vaient résisté à tous les autres moyens. Mais ce n'est pas tout. Je
crois
pouvoir être en mesure de démontrer, et c'est là
sables doit être au moins de 90 0/0. Je vais plus loin encore et je
crois
que tous les phénomènes attribués à l'hypnotisme
dant 10 heures précises et, pendant la narcose, ne vomit pas. J. On
croit
que durant le sommeil nerveux on ne peut pas se r
nt ou de teinture d'iode et nous obtenons la cessation de la douleur,
croyons
-nous avoir produit une action calmante sur le ner
taire. La suggestibilité n'est donc pas due. comme quelques-uns l'ont
cru
, à une exagération de la réceptivité cérébrale; l
e moi-même et j'ai parfaitement réussi. De tous les faits exposés, je
crois
pouvoir tirer les conclusions suivantes : CONCL
entendait diriger se recherches. M. Luys choisirait le sujet qu'il
croirait
le plus apte à reproduire devant la commission le
ènes si accusés à l'éclat du verre mis en expérience. La commission
croit
devoir faire remarquer toutefois que les tubes co
on et qu elle aurait à se prononcer dans un délai rapproché. » J'ai
cru
utile d'attendre qu'elle ait fait connaître son o
u gouvernement de voir l'Académie s'occuper de la question, puisqu'il
croit
qu'elle en est saisie. Dans ces conditions, M.
pris des proportions inaccoutumées, et il est à craindre, si nous en
croyons
notre confrère du Médical Record (de New-York), q
r les phénomènes de l'hypnotisme, est souvent mal appréciée. Aussi je
crois
devoir exposer succinctement en quoi les faits qu
dehors de la suggestion. Nous obtenons ces phénomènes quand le sujet
croit
(par ce qu'il a entendu dire ou vu faire chez d'a
suivie d'hallucinations et de délire qui n'ont pas cessé depuis. Elle
croit
voir, de puis ce temps, des gens qui la regardent
s yeux : les quarante disciples de Sidi Mahmed bcn Aissa que l'on
croyait
assassinés étaient occupés à préparer un magnifiq
intes, le Cheikh exaspéré s'écria: mangez du poison ! » Les disciples
crurent
a un ordre et se jetèrent sur tout ce qu'ils trou
mande, ou même les frapperait d'une peine prévue par le règlement; et
croyez
qu'ils s'y soumettront sans protester, et s'en am
dicale, sont assez fondés pour que la plupart des gouvernements aient
cru
devoir intervenir. L'Autriche, l'Italie, le Danem
iseurs de profession et des abus que nous avons tous pu constater, je
crois
que nous devons nous rallier à la proposition de
offrir aussi des dangers analogues. Mais l'Académie elle-même n'a pas
cru
devoir entendre la question au delà des limites d
car la mode règne partout, dans les sciences comme ailleurs. Je ne le
crois
pas. Je pense plutôt que le nombre et le zéle des
es gens réduits a l'impuissance d'agir uniquement parce qu'ils se
croient
paralysés. Plusieurs thèses de doctorat et même d
es de Galton sur ce sujet qui l'aient précédée. Ce n'est pas tout: je
crois
que cette théorie des images peut conduire eneore
és services : les expériences se sont multipliées de tout côté, et je
crois
pouvoir dire qu'elles ont, pour la plupart, confi
estions, ni à M. Liébeault. ni à M. Bernheim; or. il arriva ceci : je
crus
remarquer, alors que Mme T.... dont il aétéparlé
it dupe d'une illusion ; qu'elle n'avait pas fait le paiement qu'elle
croyait
effectué ; elle se récria d'abord, puis, sur mon
fait encore, quand je lui enlevai la suggestion à laquelle elle avait
cru
si rapidement. Un jour, à M. Th..., je dis de t
ez Mme D... des changements de personnalité en vertu desquels elle se
crut
et devint successivement prêtre, général, marin,
ait rien pu faire d'eux. En regard de ces quelques personnalités qui,
croyons
-nous, se calomnient, nous pourrions opposer la fo
e à aviver sa sensibilité, car ce n'est pas, comme on est tenté de le
croire
, la rigueur du châtiment qui en fait l'efficacité
té de réunir un grand nombre de faits précis et probants, nous avions
cru
devoir jusqu'alors négliger le côté psychologique
confiné dans certaines limites, et, de même que nos législateurs ont
cru
faire chose utile et morale en fermant les maison
essayer de reproduire les mêmes effets, et beaucoup réussiraient. Ne
croyez
-vous pas, messieurs, que l'autorité interviendrai
dans les hôpitaux, dans le cabinet du savant et du médecin; tout fait
croire
même que s'il opère cette retraite, ce n'est pas
parle que d'accidents survenus à la suite de pratiques privées. Je
crois
qu'il faudrait se borner à donner au public des c
rie. Mais où notre confrère est moins bien inspiré, c'est lorsqu'il
croit
pouvoir tirer de l'étude des symptômes présentés
ntifique que nous nous étions tracé dès le début. Aujourd'hui, nous
croyons
que cette publication a pleinement justifié sa cr
ges souvenirs suggérées de scènes et d'événements auxquels les sujets
croient
avoir assisté, bien que ces événements n'aient ja
emple meurtri ou vol, et retracent tous les détails du crime dont ils
croient
avoir été acteurs ou spectateurs, peut être réali
Avouez que vous avez voulu vous amuser, que cela n'est pas. Vous avez
cru
me faire plaisir en ayant l'air de croire ce que
que cela n'est pas. Vous avez cru me faire plaisir en ayant l'air de
croire
ce que je vous disais. Maintenant que nous sommes
ent, des histoires sur Pierre et Paul dont rien n'est fondé. Le monde
croit
à de la méchanceté, à de la perversité morale. là
du sujet par un médecin bien au courant de la question permettra, je
crois
, dans la majorité des cas, d'établir qu'on a affa
ucoup, de par le monde, po ur me servir d'une locution familière, qui
croient
que c'est arrivé. Les esprits scientifiques n
vu, ni voulu voir, ceux qui ont assez de confiance en eux-mêmes pour
croire
que les conceptions de leur esprit s'identifient
érité et que les faits doivent s'incliner devant elles, ceux-là aussi
croient
que c'est arrivé. Ils n'ont pas médité cette pa
tifs aux propriétés physiques de la force neurique rayonnante. J'ai
cru
reconnaître de plus que les rayons oculaires poss
e de sa manière d'être, M. Deny, dans le service duquel il se trouve,
crut
pouvoir lui délivrer l'année dernière un certific
u'étant donnée une seule crise, celle avec aura de la vipère, on peut
croire
que V... est épileptique, alors qu'en réalité il
plus d'un quart d'heure. V... n'a plus de paralysie des jambes. Il se
croit
a Saint-Urbain ; il est heureux d'être chez M. Pa
e est trop connu pour que cela devienne nécessaire. Cependant, nous
croyons
utile de signaler combien et comment la connaissa
ntervenir en temps utile pour ramener la personnalité normale. Nous
croyons
aussi, par ce qui précède, avoir contribué à démo
gnétiques qui font l'objet du second chapitre. Pendant longtemps on a
cru
que les propriétés magnétiques appartenaient seul
ustraire facilement a tout danger provenant d'un excès de travail. Je
crois
donc que si le surmenage existe, c'est un fait in
voulez. En été, ils y gagneront de ne pas travailler à la lampe. Je
crois
, pour ma part, qu'il n'y a pas grand'chose à réfo
, pour moi, le besoin d'un quatrième ne se fait pas encore sentir. Je
crois
qu'il y a avantage à donner aux jeunes gens des c
ectuel; 2° l'hygiène scolaire; 3* les programmes universitaires. Je
crois
qu'il serait bon que l'Académie fût consultée sur
iène, nous sommes très près de nous entendre. Nous demandons tous, je
crois
, le progrès hygiénique du collège. Pour ce qui
oumettre à l'hypnotisme un enfant normal ou simplement médiocre. Nous
croyons
que pour ceux-là les procédés ordinaires d'éducat
lui faire commettre sans réflexion les actes les plus blâmables, nous
croyons
que son devoir lui commandera de tenter de le gué
udes philosophiques et sociales, par M Albert Colas. Il est bon, je
crois
, de vous faire connaître l'auteur, le livre n'en
ussi peu routinier et aussi avide de savoir ne s'arrête pas la. Il ne
croit
pas ; mais il sait que rien n'est brutal comme un
d'ordre réflexe. Si l'on cède à un examen superficiel, on pourrait se
croire
obligé de faire rentrer ces faits dans la suggest
st qu'il a suffi à quelques auteurs et à quelques expérimentateurs de
croire
à la suggestion mentale pour que celle-ci ne soit
s, la science doit, trouver remède a tout. C'est en elle qu'il faut
croire
. DE LA SOLLICITATION EXPÉRIMENTALE DES PHÉNOM
devient sanglotante, et des larmes coulent des paupières ouvertes. Il
croit
que l'expression est réelle, comme si la chose ét
neurique dans mon récent ouvrage sur le Magnétisme animal (i), et je
crois
avoir prouvé surabondamment dans plus d'une obser
ments les plus perfectionnés de la technique contemporaine. Mais il
croit
que la psychologie peut être, comme la physiologi
aris et celle de Nancy, il défend vivement la cause de la dernière et
croit
pouvoir assurer que la victoire est à elle. Le
pressions alors sont tristes et lugubres. Le sujet, par exemple, se
croit
dans un cimetière, il assiste à l'exhumation d'un
nt été reproduites. Le sujet, par exemple, qui adore le théâtre, se
croit
au moment d'une représentation dans laquelle il j
sur la délicate question de l'action à distance des médicaments. Noua
croyons
devoir publier in extenso les conclusion auxquell
onnel, et, sans la connaissance des habitudes du malade, on aurait pu
croire
à une attaque d'alcoolisme aigu- Ses amis att
n, même à travers l'épiderme; aujourd'hui, nous sommes plus enclins à
croire
à une action toxique extérieure. « Je fus frapp
r l'effort de notre argumentation. Quelques expérimentateurs ont pu
croire
a une éducation, un entraînement des sujets : nou
s d'hommes, qui n'en prennent jamais, sous aucune forme? Tout porte a
croire
, au contraire, qu'il est aussi nuisible i l'homme
que la gaucherie est surtout due à l'habitude et à l'éducation. Je
crois
qu'il est plus sage de conclure, en se basant sur
de sa supériorité. Pourra-t-on jamais remonter le courant? Je ne le
crois
pas. l'humanité ne revient point sur ses pas. Mai
pas, je me suis tourné dans mon lit jusqu'à une heure du matin. » II
croit
qu'il a rêvé vers le matin, mais n'en est pas sûr
s pendant lequel il a dormi. Je le laisse dormir une demi-heure et il
croit
qu'il n'y a pas cinq minutes qu'il s'est endormi.
un motif suffisant pour suspendre le traitement ? Le médecin italien
crut
devoir poursuivre son expérimentation, et, ce qui
'action ? C'est la question que les auteurs se sont posée et dont ils
croient
avoir trouvé la solution. Us avaient, en effet, r
s ces dangers disparaîtront. M. Drouineau (de la Rochelle). — Je ne
crois
pas que les questions d'hypnotisme doivent occupe
question de l'hypnotisme, nous apprit, à M. Lièbeault et à moi, qu'il
croyait
avoir réussi chez une demoiselle. Lui ayant appli
trouve très bien et ne ressent que la même fatigue à la nuque : elle
croit
que cela est dû à l'action d'avoir eu la tête app
-t-il eu de la part de l'opérateur trahison de pensée ? On ne saurait
croire
avec quelle finesse certains hypnotisés flairent,
e mari a dû payer plus de 2.000 francs pour des notes arriérées qu'il
croyait
soldées depuis longtemps. Tout cet argent passe e
eut démontré l'indication formelle de cette méthode. Nous avons aussi
cru
devoir constamment mettre à profit le conseil qui
ser un but utile et essentiellement profitable au sujet- Nous avons
cru
devoir exprimer ces réserves, en présence du trav
d'autorité, elles n'en avaient que plus de prise. Il ne faut donc pas
croire
qu'il soit nécessaire d'enfler la voix pour que l
, même par suggestion, des idées qui sont reconnues bonnes. Mais nous
croyons
qu'au point de vue pratique, la proposition de M.
lon soulèvera bien des objections. Beaucoup d'esprits se refuseront a
croire
que la suggestion faite à l'état de veille, ou mê
le cerveau et que ses effets puissent être durables. Pour ma part, je
crois
que les sujets faciles à hypnotiser sont des mala
difficile de donner une définition satisfaisante de l'hypnotisme. Je
crois
que, aujourd'hui encore, je ne puis mieux faire q
tion par l'hypnotisme pouvait avoir des conséquences fâcheuses. Je ne
crois
pas que cela puisse arriver entre les mains d'un
a fait l'expérience inverse, appliqué des mouches de Milan en faisant
croire
qu'il s'agissait de diachylon, et dans ce cas on
connus que le sulfate de spartéine, et alors seulement nous pourrons
croire
à l'authenticité des faits énoncés. L'émotion d
res sérieux réclamant l'attention du physiologue et du clinicien ; il
croit
cependant, jusqu'à nouvel ordre, devoir se réserv
orté de France, et quelques-uns, bien qu'absolument incompétents, ont
cru
devoir mettre en doute les résultats obtenus par
donc, l'hypnotisme n'existe pas! » Un des honorables académiciens a
cru
diminuer la valeur de la suggestion en déclarant
e les médecins allemands ne se tiennent pas, autant qu'on pourrait le
croire
, au courant du mouvement scientifique. Elles prou
alage si pompeux, que restera-t-il ? Peu de chose, assurément. Nous
croyons
aussi que l'enthousiasme de M. Moll aura grand'pe
alheur est qu'en fait d'hypnotisme et de magnétisme, tout le monde se
croit
en état d'avoir une opinion. Etrange mirage! S'il
e physiologique, il* ont droit à la compétence. Pour notre part, nous
croyons
qu'ils s'abusent ; mais vraiment, ce n'est pas de
ert à quelques initiés. Non, assurément ; mais un savant est toujours
cru
sur parole, dés que les détails qu'il donne et qu
s, l'observation que vous m'avez fait l'honneur de me demander. Je la
crois
iniéressante à plus d'un titre : voyez si elle mé
le procureur général de Nîmes, la chambre des mises en accusation ne
crurent
pas devoir se rendre à ce désir : l'instruction a
son. A la lecture de ces documents, j'eus quelques doutes, mais je ne
crus
pas devoir assumer seul la responsabilité de veni
n confrère et ami partageait mes hésitations et comme moi inclinait à
croire
que quelques-uns des laits ou certaines des circo
euse était accumulée sur l'organe dont l'attention est provoquée. Ils
croient
devoir s'ingénier à réaliser la pensée de l'opéra
d'ignominie sous lequel on essaye de submerger son amie l'empêche de
croire
à l'évidence apparente des faits. 11 court chez M
u début, mais il s'est endormi immédiatement après, et ce sujet qu'on
croit
dans d'excellentes conditions pour éviter la supe
gion comme cause unique. J'ai cité des cas dans lesquels on aurait pu
croire
à une transmission morbide, alors que les trois m
cun microorganisme produisant la pelade. Quelques médecins ont bien
cru
pouvoir accuser le trichophyton qu'on trouve souv
ints de pityriasis du cuir chevelu. Plus tard, quelques auteurs ont
cru
reconnaître dans le bulbe pileux des peladeux des
on, il n'y a là ni truc, ni compère, ni aucune supercherie pour faire
croire
aux esprits et aux revenants. Les plus minutieuse
entiment universel, — ce qui est impossible, puisqu'il y a encore, je
crois
, des personnes mettant en doute des faits bien pl
ce non habituelle a cette heure matinale. Deuxième expérience. — Je
crois
nécessaire, suivant en ecla l'excellent conseil d
périences antérieures, ce même retard avait été observé. III Jene
crois
pas. dans l'état actuel, si limité, de nos connai
lues convictions qui renversent tous les obstacles, je suis forcé d'y
croire
par les faits eux-mêmes. Mais ces faits sont trop
que je puisse les admettre d'après une démonstration quelconque, et y
croire
avec la môme certitude que je crois à des faits h
e démonstration quelconque, et y croire avec la môme certitude que je
crois
à des faits habituels. Si je voulais traiter la
ire, si l'action à distance n'existait pas, il eût été impossible, je
crois
, d'obtenir ce que j'ai obtenu. Il y aurait eu tel
elle ne pouvait la distinguer. « Je vois comme un nuage qui remue; je
crois
bien que ce sont vos doigts, maïs je ne puis dire
ation mentale, de délire ambitieux, de folie des persécutions... Nous
croyons
savoir que nos asiles d'aliénés en offrent plus d
bauches médico-imaginatives de l'occultisme ! » II est grand temps,
croyons
-nous, de revenir à une plus saine hygiène morale,
Qu'elle a dit ou fait pendant l'état second, et elle n'a jamais voulu
croire
qu'elle s est exprimée comme nous venons de le ra
reprit ses sens est loin de confirmer l'opinion du médecin. LE VOLÉ
CROIT
AVOIR ÉTÉ HYPNOTISÉ. Un reporter du Herald est
vous a administré quelque drogue ? M. Loader répondit : Non, je ne
crois
pas que ce fût possible. — Vous souvenez-vous d
e que lui . prête complaisamment le reporter du New-York Herald. Nous
croyons
plutôt, si nous en jugeons d'après les symptômes
ule, est très pieuse, sans aller cependant jusqu'à la bigoterie. Elle
croit
sincèrement, et le curé est son conseiller intime
e du chemin parcouru. Elle se coucha sans manger et toute habillée et
croyait
avoir dormi depuis quelques heures déjà d'un somm
ves pénibles, quand elle fut réveillée par une hallucination : — « Je
crus
reconnaître, dit-elle, la voix de ma petite fille
ucun souvenir de ce .qui s'est passé l'avant-veille. — « Je veux bien
croire
que j'ai fait une tentative de suicide, puisque v
signes ne sont pas, il est vrai, d'une certitude absolue, et si nous
croyons
possible d'éliminer l'accès de folie puerpérale,
e j'ai depuis quelque temps étudié avec persévérance et sur lequel je
crois
pouvoir émettre quelques idées nouvelles. C'est
vaient résisté à tous les autres moyens. Mais ce n'est pas tout. Je
crois
pouvoir être en mesure de démontrer, et c'est là
sables doit être au moins de 90 0/0. Je vais plus loin encore et je
crois
que tous les phénomènes attribués à l'hypnotisme
dant 10 heures précises et, pendant la narcose, ne vomit pas. J. On
croit
que durant le sommeil nerveux on ne peut pas se r
nt ou de teinture d'iode et nous obtenons la cessation de la douleur,
croyons
-nous avoir produit une action calmante sur le ner
taire. La suggestibilité n'est donc pas due. comme quelques-uns l'ont
cru
, à une exagération de la réceptivité cérébrale; l
e moi-même et j'ai parfaitement réussi. De tous les faits exposés, je
crois
pouvoir tirer les conclusions suivantes : CONCL
entendait diriger se recherches. M. Luys choisirait le sujet qu'il
croirait
le plus apte à reproduire devant la commission le
ènes si accusés à l'éclat du verre mis en expérience. La commission
croit
devoir faire remarquer toutefois que les tubes co
on et qu elle aurait à se prononcer dans un délai rapproché. » J'ai
cru
utile d'attendre qu'elle ait fait connaître son o
u gouvernement de voir l'Académie s'occuper de la question, puisqu'il
croit
qu'elle en est saisie. Dans ces conditions, M.
pris des proportions inaccoutumées, et il est à craindre, si nous en
croyons
notre confrère du Médical Record (de New-York), q
r les phénomènes de l'hypnotisme, est souvent mal appréciée. Aussi je
crois
devoir exposer succinctement en quoi les faits qu
dehors de la suggestion. Nous obtenons ces phénomènes quand le sujet
croit
(par ce qu'il a entendu dire ou vu faire chez d'a
suivie d'hallucinations et de délire qui n'ont pas cessé depuis. Elle
croit
voir, de puis ce temps, des gens qui la regardent
s yeux : les quarante disciples de Sidi Mahmed bcn Aissa que l'on
croyait
assassinés étaient occupés à préparer un magnifiq
intes, le Cheikh exaspéré s'écria: mangez du poison ! » Les disciples
crurent
a un ordre et se jetèrent sur tout ce qu'ils trou
mande, ou même les frapperait d'une peine prévue par le règlement; et
croyez
qu'ils s'y soumettront sans protester, et s'en am
dicale, sont assez fondés pour que la plupart des gouvernements aient
cru
devoir intervenir. L'Autriche, l'Italie, le Danem
iseurs de profession et des abus que nous avons tous pu constater, je
crois
que nous devons nous rallier à la proposition de
offrir aussi des dangers analogues. Mais l'Académie elle-même n'a pas
cru
devoir entendre la question au delà des limites d
car la mode règne partout, dans les sciences comme ailleurs. Je ne le
crois
pas. Je pense plutôt que le nombre et le zéle des
es gens réduits a l'impuissance d'agir uniquement parce qu'ils se
croient
paralysés. Plusieurs thèses de doctorat et même d
es de Galton sur ce sujet qui l'aient précédée. Ce n'est pas tout: je
crois
que cette théorie des images peut conduire eneore
és services : les expériences se sont multipliées de tout côté, et je
crois
pouvoir dire qu'elles ont, pour la plupart, confi
estions, ni à M. Liébeault. ni à M. Bernheim; or. il arriva ceci : je
crus
remarquer, alors que Mme T.... dont il aétéparlé
it dupe d'une illusion ; qu'elle n'avait pas fait le paiement qu'elle
croyait
effectué ; elle se récria d'abord, puis, sur mon
fait encore, quand je lui enlevai la suggestion à laquelle elle avait
cru
si rapidement. Un jour, à M. Th..., je dis de t
ez Mme D... des changements de personnalité en vertu desquels elle se
crut
et devint successivement prêtre, général, marin,
ait rien pu faire d'eux. En regard de ces quelques personnalités qui,
croyons
-nous, se calomnient, nous pourrions opposer la fo
e à aviver sa sensibilité, car ce n'est pas, comme on est tenté de le
croire
, la rigueur du châtiment qui en fait l'efficacité
té de réunir un grand nombre de faits précis et probants, nous avions
cru
devoir jusqu'alors négliger le côté psychologique
confiné dans certaines limites, et, de même que nos législateurs ont
cru
faire chose utile et morale en fermant les maison
essayer de reproduire les mêmes effets, et beaucoup réussiraient. Ne
croyez
-vous pas, messieurs, que l'autorité interviendrai
dans les hôpitaux, dans le cabinet du savant et du médecin; tout fait
croire
même que s'il opère cette retraite, ce n'est pas
parle que d'accidents survenus à la suite de pratiques privées. Je
crois
qu'il faudrait se borner à donner au public des c
rie. Mais où notre confrère est moins bien inspiré, c'est lorsqu'il
croit
pouvoir tirer de l'étude des symptômes présentés
29 mars. Le 22 avril je n'avais pas revu la malade et j'avais lieu de
croire
qu'elle était bien guérie de ses vomissements. Le
paralysie générale avec des idées de force et de satisfaction ; il se
croit
plus dangereux que les bêtes féroces et dit à tou
rables. M. Bérillon. — Je ne partage pas l'avis de M. Bianchi et je
crois
que si la distinction entre les morphinistes et l
pu être produite et, grâce à une forte suggestion devant lui laisser
croire
au réveil que l'opération était renvoyée à huitai
instruments. La similitude avec le cadavre était si complète que nous
crûmes
un moment, en raison de la pâleur de la face et d
essentit pas la moindre douleur et qu'à son réveil elle ne voulut pas
croire
qu'elle fût opérée. Elle ne put assez louer le
e des toasts en montrant les progrès réalisés par l'union de ceux qui
croient
à l'union de la psychologie et de la médecine. Il
'importance des recherches anato-pathologiques chez les aliénés. Nous
croyons
fermement, a-t-il dit, que dans tous les cas on r
là de la pathologie mentale ; l'étude de la stupidité, que l'on avait
cru
jusqu'alors lié à la suspension de l'intelligence
qu'un voisin au cœur dur jetterait Moricaud à l'eau. Ses maîtres le
croyaient
déjà mort, et déjà le pleuraient, quand deux heur
force neurique en mouvement, lumière, etc. existe-t-elle (Lombroso).
Croyez
-vous à ces expériences ? J'espère que vous voudre
es craintes, des impulsions, des perversions instinctives, qu'on est,
croyons
-nous, autorisé à rapporter à la dégénérescence me
es troubles mentaux qui peuvent s'observer chez les hystériques, nous
croyons
utile de résumer les points litigieux sur lesquel
froid très peu sensible et des cheveux mal coiffés... En tout cas, je
crois
que ma première observation ne fut pas tout à fai
é Justement cette manière de délivrer la jambe chez Eusapia. (2) Je
crois
devoir remarquer que souvent je ne cite pas à la
ui passe à l'excitation maniaque. Les personnes qui la rencontrent la
croient
ivre et elle est mise à l'hôpital. Amnésie complè
narchistes sont justiciables d'une thérapeutique morale/ M. Macario
croit
qu'on pourrait faire disparaître l'anarchismc par
lénitude, et son cerveau et ses organes de relation. Il ne faut pas
croire
que l'action supérieure du pouvoir céré- 1. Voy
chez les dormeurs somnambules, entre autres, — que longtemps on avait
cru
isolés, — les sensations et les Idées se forment
uire au bout de quelques heures ou de quelques jours. Un patient, qui
croyait
être un homme riche avec des biens étendus et don
lus beaux résultats dans la cure des vésanies. M. Bérillon. — Je ne
crois
pas, contrairement à l'avis exprimé par M. Jullio
ible à la suggestion, mais non à la fatigue. M. Dumontpallier. — Je
crois
que la question de fatigue est ici tout à fait se
i de la suggestion est prépondérant. Ce serait du reste une erreur de
croire
que l'action de la suggestion est limitée aux phé
le se trouvait mieux après chaque sommeil magnétique et parce qu'elle
croyait
être utile à d'autres. Quoiqu'il en soit, les e
es réponses, il a reçu la suivante du professeur Bernheim : « Je ne
crois
pas à la mort résultant du fait de l'état d'hypno
écembre. La malade revoit son enfant tombant sous la voiture. Elle le
croit
mort. Elle prononce des mots entrecoupés de sangl
et sauf; vous ne serez plus émue comme vous Pavez été quand vous avez
cru
qu'il était mort. » Le résultat de ce mode d'in
nerveux en question. Quand, une baguette à la main, Dupotet, qui se
croyait
en ceci magicien, faisait marcher l'un derrière l
en trouvera l'explication plus exacte et moins merveilleuse qu'on ne
croyait
tout d'abord. » Il affirme que les phénomènes méd
ogie psycho-physiologique de John King, exposée par M. Ochorowicz. Je
crois
pourtant non seulement devoir, mais aussi pouvoir
n'est pas absolue car (V. Dict. Larousse, article Dompteur) certains
croient
que a les dompteurs privent les fauves d'aliments
impressionnables. Il suffit, rapportent les voyageurs, qu'un homme se
croie
ensorcelé pour en perdre le boire et le manger, a
es danses et les orgies se prolongent toute la nuit, et les négresses
croient
fermement avoir été possédées par le « Dam. » L
se dispenser de refaire l'éducation de cette fonction, on ne doit pas
croire
que, par ce fait seul, il puisse triompher avec p
UES DE VARSOVIE (Suite et fin) En ma qualité de rapporteur, je ne
crois
pas devoir juger si les théories de M. Ochorowicz
jours et partout admirée à cause de sa puissance mystérieuse, elle se
croit
personnellement compromise, si un phénomène ne pe
on tour : — Vous verrez, disait-il, que si je me couche, en faisant
croire
que je suis malade, il ne s'apercevra pas de la s
t, mais avec un ton de volonté supérieure, prononce,ces paroles : —
Crois
! crois ! Il faut croire ! II tombe en prières,
avec un ton de volonté supérieure, prononce,ces paroles : — Crois !
crois
! Il faut croire ! II tombe en prières, et quan
olonté supérieure, prononce,ces paroles : — Crois ! crois ! Il faut
croire
! II tombe en prières, et quand il a fini, l'in
que je sens est horrible ». Le prêtre le regarde, il lui demande s'il
croit
fermement, et quand le patient eut répondu « oui
abord, puis il pose cette double question à celui qui va mourir : —
Crois
-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix r
cette double question à celui qui va mourir : — Crois-tu ? Veux-tu
croire
? Comme un souffle, sa voix répond : — Je crois
Crois-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix répond : — Je
crois
! 11 est guéri. On cite cent exemples de même n
, vaquait à ses affaires, n'était rien moins que frigide et se serait
cru
tout à fait bien portant, n'étaient les avertisse
orde ensuite certains faits du spiritisme, auxquels d'ailleurs, il ne
croit
pas, et, vers le milieu du livre, il cite de nomb
ttement déterminés. La manière de cette transmission, M. Podmore la
croit
toute physique, bien qu'il ne soit pas à même de
a donné lieu à des revendications assez bruyantes. Des candidats ont
cru
pouvoir porter l'affaire devant le Conseil d'Etat
un tirage au sort fait parmi les membres suppléants. Ces candidats
croyaient
pouvoir soutenir cette thèse que, si le membre ab
on : Art. 2. — Chaque faculté s'adjoint le nombre d'agrégés qu'elle
croit
utile; Art. 3. — Les cours libres que les agrég
l'organisation actuelle du concours de l'agrégation, nous n'avons pas
cru
devoir nous borner à faire appel aux considérat
l'autorité ; or, on ne l'acquiert que par un long effort. » Il faut
croire
que l'exemple de Charcot est des plus caractérist
seignement fécond ne saurait exister. Ce serait une grave erreur de
croire
que les abus du concours de l'agrégation datent d
. Il y faudra revenir et reprendre nos anciennes traditions. Ce sera,
croyons
-nous, le moyen le plus sûr d'assurer l'avenir de
tus. Attribuer ces guérisons instantanées à des émotions mentales, et
croire
que l'imagination ou la volonté ont une puissance
ls ne donnent aucune explication de la genèse des miracles, et qu'ils
croient
qu'il n'y a miracle que lorsqu'il y a contraventi
rovoqué par les procédés de Neukomm, qui continuait à opérer. Il faut
croire
que ce Neu-komm, qui, je le dis en passant, est p
forer des puits et non ingénieur, ne se sentait pas responsable et ne
croyait
pas même avoir commis d'imprudence. L'autorité s'
ataille. « Le sang, précieux liquide, source de vie, passe, cuit ou
cru
, pour un thériaque d'effet souverain. On s'ouvre
commun à tous : c'est l'hypnotisme. Il y a sept ans, personne — à en
croire
un organe plus ou moins officiel d'un des premier
ument tranchant, je l'ai envoyée poignarder sa meilleure amie qu'elle
croyait
voir devant elle, d'après mon affirmation : le co
uits ? » Ces graves paroles passèrent inaperçues. Alors le monde ne
croyait
plus au magnétisme animal, comme on disait encore
e remirent en honneur. L'école de la Salpêtrière prit naissance. Elle
crut
découvrir dans le somnambulisme un état pathologi
en que depuis plus de trente ans j'eusse foi dans le magnétisme, — je
crus
fermement que le sujet devenait la chose du magné
isite à la Salpétrière (tiré à part, p. 35). monde de dangereux. Je
crois
qu'en pratique, cependant, sauf en ce qui concern
me sans oser se l'avouer à eux-mêmes ! Qui, parmi les plus probes, ne
croit
pas excusable de frauder la douane, le fisc, une
: « Je ne t'ai pas tuée, puisque tu me parles ! » « A qui fera-t-on
croire
, ajoute M. Liégeois, qu'il n'y ait là que comédie
as chargé? » Je rétorque tout de suite l'argument : A qui fera-t-on
croire
qu'une fille qui, sans émotion, tire sur sa mère
pas soustrait au monde réel autant que beaucoup seraient tentés de le
croire
. Il l'est moins que le dormeur. D'abord il reste
e que Mlle E... ne sait pas que le pistolet n'est pas chargé. Je n'en
crois
rien. D'où infère-t-on qu'un somnambule est un im
dre obscur. Or, parmi mes auditeurs, il y en avait d'assez disposés à
croire
à la seconde vue. Le résultat était de nature à r
t sa mère! — Oui, en supposant que la mère et les spectateurs eussent
cru
qu'il ne l'était pas. Car, sinon, leur effroi seu
fils : — Que faites-vous là, mère Marie ? — Hélas ! mon cher fils, je
crois
que je perds la clarté. — Non fait, mère Marie, n
ombreuses que l'on prône aujourd'hui. Demandez plutôt aux chauves. Je
crois
que sur ce point la science n'a pas fait beaucoup
ns qui laisse loin derrière lui tous les g liseurs de pensées ». On
crut
d'abord à un nouvel Inaudi, car l'enfant indiquai
S'agit-il de suggestion mentale ? M. Quintard ne le pense pas ; il
croit
à une véritable transmission à distance de la pen
ses forces. Que fait le jury en apprenant l'incident ? Il élimine,
croyez
-vous, les candidats pris en flagrant délit de t
éniquée à 5 pour 100 ou même 10, pendant au moins une heure. » Nous
croyons
que ce souci exagéré de l'antiseptie dissimule ma
du sommeil et de l'hypothermie. Contrairement, à ce que l'on pouvait
croire
, d'après les recherches de Regnault et Iîeiset su
le des traits qui, dans mes débuts, étaient bien de nature à me faire
croire
à la sénilité absolu des hypnotisés. Pour juger
ulu, de si arrangé, de si théâtral, que les témoins et moi n'avons pu
croire
à son absolue bonne foi. ¦ Je l'ai d'ailleurs
apidité de l'action, elle n'a pas eu le temps de réfléchir, elle a dû
croire
et elle a cru que le revolver était chargé, comme
on, elle n'a pas eu le temps de réfléchir, elle a dû croire et elle a
cru
que le revolver était chargé, comme toujours. C'e
pratiquer l'incision cruciale sur un homme vivant? Pourrait-on faire
croire
à un boucher qu'un enfant est un mouton? J'estime
impose : l'hypnotisé n'est pas si peu lui que d'aucuns inclinent à le
croire
; malgré toute sa docilité superficielle, il y a
ontre l'importance capitale des augures. Nicias, le généralissime, ne
croyait
pas au succès de l'expédition, parce que ses prêt
nos jours, il en est comme autrefois : la victoire reste à celui qui
croit
en elle. Si la confiance n'est plus obtenue par l
us la loi de ventôse appliquée antérieurement à la loi de 1892, avait
cru
pouvoir reprendre sa médication magnétique en 189
un don spécial « les secrets de guérir, le rapporteur ajoute : « Nous
croyons
que le « moment n'est pas venu d'enlever ces expé
co, sous l'influence de l'idée qui lui vint d'être ensorcelé, s'étant
cru
changé en loup, avait tué six personnes et avait
ci, après avoir lu le compte-rendu du procès criminel, n'hésita pas à
croire
que l'affreux penchant que le condamné Blanco ava
lie de Blanco, qui, par l'affirmation qu'il s'en était faite, s'était
cru
changé en bête comme Nabuchodonosor, et entre la
at de fascination où tombaient ses sujets d'expérimentation, lesquels
croyaient
, quoique en un état encore physiologique, être tr
canthrope Blanco et tous ses pareils qui, à travers les âges, se sont
cru
transformés en bêtes, étaient eux-mêmes, sans que
i, plein d'admiration pour ce qui appartenait à l'armée, finit par se
croire
général. C'était une sorte de Don Quichotte à peu
endue dignité. Il aurait pu tout aussi bien, dans un autre milieu, se
croire
loup-garou comme Blanco, et comme lui agir en lou
mation verbale. Ce cas concerne une jeune fille de 9 à 10 ans, qui se
croyait
transformée en chienne. Cette fille ne différait
mm est probablement antérieure à celle de Braid. Ce qui me porte à le
croire
, c'est que, il y a plus de trente ans, un élève d
tiques, survenues automatiquement dans leur sommeil et auxquelles ils
croyaient
de toute leur âme, tant elles paraissaient être l
ant suggéré a un dormeur de lui donner sa montre, puis lui ayant fait
croire
qu'au Heu d'une montre il y en avait deux dans le
ès quatre séances, l'état des mains s'était tellement amélioré que je
crus
pouvoir assurer à la malade qu'elle serait bientô
au delà du 4e stade de la classification de Dernheim. Ceci me porte à
croire
que les Américains sont moins dociles à la sugges
evelu; les mains, spécialement la paume, épaissies de manière à faire
croire
à l'éléphantiasis. La maladie dure depuis quatre
'est jamais parvenu à se débarrasser de son onychophagie. On pourrait
croire
, en présence d'une habitude automatique si invété
ible et je lui attribue une série de troubles gastro-intestinaux ; je
crois
également qu'elle a pu contribuer à aggraver dive
ongés sans éprouver un sentiment de malaise et d'humiliation. Il faut
croire
que mes ongles sont insensibles, car je les ronge
é et le plus passionnant qui s'attache à l'étude de la volonté, et je
crois
qu'il est prématuré d'en poursuivre la solution d
tefois les yeux ouverts et presque effarouchés ne permettaient pas de
croire
a un repos réparateur ; c'était un état de prostr
mpathie nerveuse peut avoir une grande part dans cette contagion ; je
crois
aussi que l'influence de l'hérédité prédispose le
el, de l'auditif, du moteur, magistralement décrits par Ballet(1). Je
crois
avoir démontré(2) qu'il n'y a pas de types nets,
la. Ce sont faits connus de nous tous, ignorés du seul bon public qui
croit
à la grandeur du monument et aussi du Ministre qu
même en Allemagne, en Angleterre. On a invoqué bien des causes ; on a
cru
en trouver une dans la loi sur le service militai
Elle passait ses journées en contemplation devant son image, car elle
croyait
le voir ; au moindre bruit d'un pas dans la rue e
la conséquence indirecte de l'existence d'une idée fixe. Mais, je ne
crois
pas qu'il en soit toujours et nécessairement ains
de l'idée amoureuse, suivant que l'idée est acceptée par le sujet qui
croit
à la réalité extérieure ou qu'elle est repoussée
eu de tics bizarres, d'idées fixes absurdes : je suis donc disposé à
croire
qu'il s'agit encore, dans ce cas, d'un phénomène
ion IV. — Cette malade est un peu différente des précédentes, mais je
crois
cependant qu'elle peut à certains points de vue l
éris par la suggestion, sont encore trop rares, pour que je n'aie pas
cru
devoir engager vivement notre confrère de Londres
à cette tumeur osseuse l'impotence fonctionnelle du bras ainsi que le
croyaient
les confrères déjà consultés? Quoique les parents
elot ont enrichi la traduction des œuvres de ce grand praticien, j'ai
cru
devoir profiter de ma position à la Salpêtrière p
mon raisonnement : les os sont beaucoup plus vasculaires qu'on ne le
croit
communément; le tissu spongieux des os présente l
t du sang, sinon en abondance, du moins d'une manière continue. Je ne
crois
pas que l'hémorrhagie se soit faite par un gros v
faite par un gros vaisseau par suite d'une variété anatomique. Je ne
crois
pas non plus que l'hémorrhagie ait eu lieu d'une
la fracture. —C'était une fracture intra-capsulaire consolidée,—J'ai
cru
d'abord que la consolidation était osseuse, mais
formée du côté de la fracture par la région trochantérienne. J'aurais
cru
que l'intervalle qui séparait la symphyse pubienn
res oui résultent de l'examen par la région antérieure du corps, j'ai
cru
devoir ajouter ceux qu'on obtient par l'examen de
fractures intra-capsulaires et aux fractures extra-capsulaires. J'ai
cru
d'abord que le déplacement et par conséquent le r
quatre tours de cercle. Les côtes sont brisées, le bras broyé, et on
crut
reconnaître une fracture du col du fémur. Le racc
annulaire étendu de la face interne d'un condyle à l'autre : j'avais
cru
d'abord qu'il était constitué par le ligament ann
inguinales chez les femmes sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne le
croit
communément : je les regarde comme étant à peu de
aladies du tissu propre de la moelle sont plus fréquentes qu'on ne le
croit
communément, cependant ses lésions sont plus souv
ut surpris de trouver les surfaces articulaires intactes, alors qu'on
croyait
à une réunion solide des os. Cette rigidité art
un déplacement tel que, si j'avais ignoré les antécédens, j'aurais pu
croire
à une luxation ancienne. Tel était le cas de la j
eune fille dont j'ai fait représenter l'avant-bras, ixc livraison. Je
croyais
aune luxation, et Dupuytren croyait à une fractur
r l'avant-bras, ixc livraison. Je croyais aune luxation, et Dupuytren
croyait
à une fracture suivie de déplacement. Eh bien! il
appareil de son invention et sans fractures, des articulations qu'on
croyait
ankylosées depuis long-temps. Or, on conçoit qu'i
encore bien moins s'appliquera l'ankylose proprement dite, dont j'ai
cru
devoir distinguer quatre espèces bien distinctes:
jusqu'à la dure-mère, qu'il reconnut aux battemens du cerveau; il ne
crut
pas devoir aller plus loin, parce que le mal avai
out de deux mois, la plaie était tout-à-fait cicatrisée; la malade se
crut
guérie; mais la tumeur reprit un grand développem
ce cas? L'expérience n'est pas là pour nous éclairer. M. Amus-sat ne
croit
pas qu'on ait observé ou du moins décrit une alté
tion fut tout-à-fait insuffisante contre les progrès du mal, que l'on
croyait
être un polype. Dans un cas pareil, M. Amussat pe
upérieurs de l'humérus, qu'elle débordait en haut, si bien qu'on a dû
croire
, avant l'opération, que l'angle antérieur de l'om
ion de cette grande quantité de tissu fibreux ? On serait tenté de le
croire
; mais l'analogie me porte à admettre que ces musc
cartilage, a dû en imposer à beau coup d'observateurs, et leur faire
croire
à un ostéo-sarcôme, alors qu'il n'existait qu'une
tumeur de la cuisse, décrite avec beaucoup de soin par Boyer (i). Je
crois
devoir rapporter ici les détails de cette descrip
u appartenaient les parties molles : ce n'est que par analogie que je
crois
pouvoir les rapporter au tissu cartilagineux. Je
a crosse aortique était surtout remarquable sous ce rapport, et je ne
crois
pas avoir observé d'a-névrysme avec un souffle ar
n, je vis que la main ne manquait pas entièrement comme j'avais pu le
croire
au premier abord f et que sous ce moignon arrondi
fait précéder de celle des ankyloses postérieures à la naissance, je
crois
donc ne pas trop m'éloigner de mon sujet, en donn
efois à la rigidité articulaire. Il n'est pas aussi facile qu'on le
croirait
au premier abord de distinguer la rigidité articu
ent saines sur des membres immobiles depuis longues années, et que je
croyais
ankyloses? Aussi, lorsque, il y a deux ou trois a
d'une compression. C'est encore à une compression extérieure que je
crois
devoir rapporter les cas de cyclopie dont on trou
e tapissée par un détritus noirâtre. Comme annexes de la cyclopie, je
crois
devoir parler ici de la cyclopie avec fusion des
de la parotide; 3° inflammation des veines intra-parotidiennes. Je ne
crois
pas devoir classer, parmi les parotides propremen
araissait être aussi bien que de coutume, la veille de l'invasion, je
crus
avoir affaire à une parotide essentielle. Quelque
mateuse plus ou moins vive de la membrane buccale, je serais tenté de
croire
que c'est par continuité de tissu que l'inflammat
eul exemple de parotide suppurée sans lésion organique antérieure. Je
croyais
avoir affaire à un cas de parotide suppurée idiop
que cette observation ne se rattache pas directement à mon sujet, je
crois
devoir la rapporter ici pour servir à l'histoire
x, et cette atrophie m'a paru si complète et si remarquable, que j'ai
cru
devoir la faire représenter ici. La figure 2 mo
térieur de l'œil ne m'a d'ailleurs présenté rien de remarquable. Je
crois
que les cas de bosselure avec amincissement de la
er, adhérait intimement à la sclérotique. Au premier abord, on aurait
cru
que les bosselures que présentait la partie antér
sement de l'œsophage appartient aux lésions de canalisation dont j'ai
cru
devoir faire une classe d'anatomie pathologique,
y résiste fortement lorsqu'il est attaqué par sa surface libre. Je
crois
avoir démontré que la perte de substance des memb
on cancéreuse de l'extrémité pylorique de l'estomac. Il ne faut pas
croire
que toutes les hémorrhagies de l'estomac soient i
t. Ce qu'il y a de certain, c'est qu'il est plus fréquent qu'on ne le
croit
communément de voir des hémorrhagies gastriques s
dire que , bien loin d'avoir exagéré le nombre des granulations, j'ai
cru
en devoir faire diminuer ce nombre. Les granulati
, comme le pense le célèbre médecin de Tours, il ne me répugne pas de
croire
qu'il peut se trouver, sur la muqueuse du tube di
et par les accidens mortels qui ont suivi ces tentatives, faites, je
crois
, avec trop d'insistance. Chute du rectum. Réduc
m'a démontré l'observation et sur le vivant et sur le cadavre, et je
crois
pouvoir établir comme un fait, que les hernies om
le vomissement. (Sans doute qu'on ne fit pas l'opération parce qu'on
croyait
l'état de la malade désespéré.) Le 20, même éta
ngaînée dans la seconde à la manière d'un doigt de gant(i); mais j'ai
cru
devoir rapprocher de l'invagination intestinale d
On « ne voulut pas laisser prendre le sein maternel à un enfant qu'on
croyait
dévoué à une mort prochaine. XXX l( LIVRAISON.
sée ( fig. 2' ), j'ai reconnu : i° que le liquide transparent, que je
croyais
contenu dans la cavité de la poche, était situé d
de séparation entre la poche et la peau commençait à s'effectuer : je
crois
du moins pouvoir l'inférer d'un liseret rouge d'i
-même, à mesure que les parties déplacées rentrent dans l'abdomen. Je
crois
la réduction graduelle bien préférable à une rédu
inale est constamment formée par les cylindres interne et moyen. Je
crois
devoir rapporter ici l'observation suivante, que
appelé, administra une potion calmante, qui les dissipa. Le 20, on
crut
voir des symptômes d'embarras gastrique, et on do
rejdétruite « postérieurement à la sortie de l'anse intestinale. » Je
crois
aujourd'hui que cette opinion était erronée. Je
quels je n'ai aucun renseignement : fondé sur des faits analogues, je
crois
pouvoir affirmer qu'elles fournissent des exemple
lcères chroniques, non cicatrisés de l'estomac et des intestins. J'ai
cru
devoir considérer les cicatrices et taches noires
e du pouls, la couleur violacée et le froid des extrémités. J'avais
cru
pendant long-temps que la couleur ardoisée des mu
. La section de l'utérus montre du pus dans quelques vaisseaux : je
crus
alors que c'était une phlébite. Canal intestina
st bien difficile à résoudre dans l'état actuel de la science. J'ai
cru
que le pus était contenu dans les veines utérines
ide n'est pas épuisée. Ainsi, dans cette forme de pneumonie, que j'ai
cru
devoir désigner sous le nom de Pneumonie envahiss
à i83i, péritonite que je qualifiai du nom de Typhuspuerpéral(i), je
crus
d'abord que l'insuccès du traitement dépendait et
ar des chiffres et réduits à un dénominateur commun (2); cependant je
crois
qu'on peut appliquer avec succès le calcul aux po
ettre pendant la nuit : vociférations; sa salive est visqueuse; il se
croit
assassin de tous les rois, et dit qu'on veut le t
rs grains; la fièvre tombe. Le malade paraît bien, très bien et je le
crois
hors de danger. Le huitième jour de cet état apyr
parcourut ses périodes d'une manière régulière et pendant laquelle on
crut
pouvoir continuer l'alimentation. Le 25 octobre
ardoise claire jusqu'à l'ardoise noire. Cette couleur aurait pu faire
croire
à la gangrène ; mais il n'y avait pas du tout de
ens de rétention, d'incontinence des matières fécales , et qu'on a pu
croire
à un cancer du rectum ; que , conséquemment à cet
érieure du rectum ou dilaté l'intestin par des mèches, et; qu'on a pu
croire
, après l'extirpation comme après l'emploi long-te
ème jour, les crises devenaient effroyables : l'eau de Trèvez qui, je
crois
, contient lf% grain d'é-métique et une once de su
genre sur un individu qui avait des vomissemens continuels, et qu'on
croyait
affecté de cancer du pylore. Il mourut dans le ma
en qui la soulagea tellement par l'introduction des mèches qu'elle se
crut
guérie. Depuis cette époque, la malade répétait e
la fraîcheur de la santé. Au bout de deux mois environ, la malade se
croit
guérie ; je consens à ce qu'elle sorte de l'infir
dans l'infundibulum qui terminait en bas le rectum. Réflexions. Je
crois
être fondé à penser que l'observation qu'on vient
s avantages bien pesés, M. Dupuytren se décida pour l'opération qu'il
crut
devoir faire en plusieurs temps, et aborda de sui
nt mort au terme de sept mois. Au moment de ma visite, la malade se
croyait
grosse de quatre mois; car depuis cette époque il
eur, les mamelles avaient plutôt augmenté que diminué; en outre, elle
croyait
sentir remuer, sensation que je rapportai, non à
volume, et je pus circonscrire à l'hypogastre une tumeur molle que je
crus
être la vessie; mais comme je ne voyais la malade
ais comme je ne voyais la malade que dans les momens de crise, je pus
croire
à une rétention d'urine, et j'engageai M. Sobaud
vessie. L'idée d'une grossesse ne me vint jamais à l'esprit, je ne la
croyais
pas possible dans l'état où se trouvait la malade
rations, et la malade redoutait tellement un nouvel examen, que je ne
crus
pas devoir m'y livrer, ne conservant aucun doute
stomac, dont la grosse extrémité offrait une perte de substance qu'on
croyait
consécutive à l'abcès. L'examen attentif des part
cture veineuse, ne présentassent pas plus souvent les lésions dont je
crois
avoir constaté le siège dans le système veineux.
en présente jamais ou presque jamais dans les mêmes conditions. Je ne
crois
pas avoir rencontré de tubercules cancéreux ou tu
pli par des acéphalocystes vides et par une boue plâtreuse. On aurait
cru
, au premier abord, qu'il y avait un grand nombre
sont tellement altérées qu'elles deviennent méconnaissables et qu'on
croirait
avoir affaire à un abcès tuberculeux ou à un kyst
vive, surtout dans l'hypochondre droit. Il y avait fièvre, ictère. On
crut
néanmoins à la colique de plomb, que l'on traita
doigt le développement de la maladie, reconnaître de la fluctuation,
croire
à l'existence d'un kyste ou d'un abcès, et être t
au centre duquel était de la matière encéphaloïde. On aurait donc pu
croire
, au premier abord, que cette matière était formée
tes du foie. 4° C'est toujours d'après les mêmes principes que j'ai
cru
devoir rapporter à un kyste acéphalocyste du foie
Au côte externe de la glande mammaire, tumeur fluctuante que j'avais
cru
devoir respecter pendant la vie; elle e'tait form
éreuse est tombée. Une cicatrice de bonne nature s'est effectuée : je
crus
la malade guérie; mais bientôt de petites masses
e la plupart des personnes qui ont examiné la pièce pathologique, ont
cru
au premier abord avoir sous les yeux de véritable
e. La fossette de la vésicule elle-même disparaît, si bien qu'on a pu
croire
, dans quelques cas de cette espèce, à l'absence c
sa position : elle raconte que, dans la matinée, au moment où elle se
croyait
beaucoup mieux, elle avait été prise tout-à-coup
petit, le corps couvert d'une sueur tellement abondante, que nous ne
crûmes
pas la'saignée pratiquable. Je pensai qu'il y ava
le péritoine ; point du tout : c'était une tympanite intestinale. Je
croyais
à une péritonite générale, point du tout : le pér
lque sorte, le fond de cette maladie, et, sans trop l'approfondir, je
crus
y reconnaître quelque chose de rémittent, et j'aj
abord du pus blanc, grumeleux, louable, puis du sang bien pur, que je
crus
d'abord venir du foyer, mais qui provenait bien m
menait des selles bilieuses. Je ne blâme nullement cette méthode ; je
crois
même que , dans le cas actuel, elle peut avoir eu
étit, sa fraîcheur et un commencement d'embonpoint. Cette jeune fille
croyait
avoir été le sujet d'un miracle, et elle venait m
ait été naturelle, s'accéléra pendant le dernier mois; on put d'abord
croire
que cette accélération était due et au volume du
ineuse tumeur formée par le foie offrant une certaine saillie, on put
croire
à une tumeur enkystée du foie; cette idée était l
osa la ponction dans le foie. On se fondait sur une fluctuation qu'on
croyait
sentir distinctement, sur l'absence de bousselure
tis à la manière du raisin desséché. Quant à l'absence d'ictère, je
crois
avoir prouvé ailleurs que, dans les maladies du f
a été pris pour un anévrisme de cette artère. Dans le cas suivant, je
crus
non à un goitre latéral, mais à une de ces tumeur
mobile sous la peau, et paraissait indépendante du corps thyroïde. Je
crus
à une tumeur adipeuse ou fibreuse. La malade ay
bservateur était soulevée comme par une partie déplacée; on aurait pu
croire
à une hernie du poumon, mais les commémoratifs (l
scères abdominaux, d'où le nom de cavité thoraco-abdominale, que j'ai
cru
devoir lui donner; i° que le diaphragme est conti
) J'ai eu le malheur de ne pas noter la nature du corps vulnérant. Je
crois
me rappeler que c'était un timon de voiture. MA
ici, comme en beaucoup de choses , l'horizon s'éloigne à mesure qu'on
croit
l'atteindre. Il s'en faut bien que la pneumonie
et les pneumonies légères existent bien rarement à la Salpétrière. Je
crois
être dans le vrai, en affirmant que les cinq sixi
la saison, le nombre des pneumonies a considérablement diminué. Je ne
crois
pas exagérer en disant que la mortalité, quant à
arrhe habituel. Le vieillard mange et boit comme de coutume: il ne se
croit
pas, il ne se dit pas malade. Joignez à cela la r
e de ricin, manne et un vésicatoire spinal de 6 pouces sur quatre. Je
crois
être fondé à conclure d'un grand nombre de faits,
a est si vra i qu'il existe un certain nombre de pneumonies, que j'ai
cru
devoir appeler envahissantes, parce qu'elles affe
se au confrère qui me donnait ces renseignemens, je ne pus pas ne pas
croire
que la pneumonie datait de vingt-huit jours, que
uve bien, trop bien: il n'a nullement la conscience de son état et se
croit
en convalescence. Ce qui m'étonne le plus en lui,
excavée. Aucune partie de ce poumon n'était perméable à l'air. Je ne
crois
pas que le poumon contînt une seule bulle de ce f
ot, si le cancer engendre le cancer, comme le pus engendre le pus. Je
crois
que toute la clef de la pathogénie est dans l'alt
si bien que ce pus occupe toujours le centre du caillot, de même j'ai
cru
pouvoir expliquer la diminution graduelle de cons
ques jours du dévoiement et un mouvement fébrile très prononcé que je
crus
pouvoir rapporter à de larges eschares du sacrum.
u érectile du biceps est aussi parfaitement organisé que possible: on
croirait
voir le corps caverneux de la verge; les aréoles
ns organiques autres que le système capillaire : ainsi il ne faut pas
croire
que, dans la transformation variqueuse, comme d'a
revient jamais par les artères. Il y a plus d'analogie qu'on ne le
croit
, au moins sous le rapport de la structure, entre
était récemment coagulé: il y avait phlébite adhésive légère; car je
crois
avoir démontré que la coagulation du sang avec ad
ence, quelque faible qu'elle soit, est un signe de phlébite. Qu'on ne
croie
pas que les veines qui sont ainsi remplies de san
d'ancienne date, il existait une autre lésion toute récente, que j'ai
cru
devoir rapporter à la phlébite capillaire, sous l
sont tellement vives, la résolution si lente à s'effectuer, que j'ai
cru
devoir recourir aux évacuations sanguines, soit l
ade se plaint d'une douleur vive au pied droit. N'apercevant rien, je
crus
que cette douleur était le résultat de la même at
et et nullement comme cause de la gangrène. Haller lui-même,qui a, je
crois
, le premier remarqué que, dans le cas de gangrène
le de la cause de l'inflammation des artères, je suis même porté à le
croire
, mes expériences tendent à l'établir; mais cette
ours les signes physiques de la gangrène. Dans un cas de ce genre, je
crus
pendant vingt-quatre heures à une paralysie du br
du mouvement de la main : la malade rapporte cet état à la saignée et
croit
qu'on lui a piqué un nerf. Le lendemain, il\, j
paume des mains, et qui est désignée sous le nom dacrodynie. Qu'on ne
croie
pas qu'il soit toujours facile de distinguer la p
rcation bien évidente avec la surface interne de l'aorte,on aurait pu
croire
au premier abord que l'artère n'était pas malade.
es altérations bien plus considérables sans la moindre dilatation; je
crois
même être fondé à conclure des observations que j
s interne et moyenne ayant été préalablement détruites ou acérées, je
crois
qu'on doit substituer celle-ci, en général toute
s de suffocation pendant lesquelles le malade est couvert de sueur et
croit
qu'il va étouffer;la crise une fois passée, il lu
ns que le cœur n'était pour rien dans tout cela; j'étais même fondé à
croire
qu'il était peu volumineux, et surtout bien peu v
l'attitude assise, et se faisait porter un siège dans son jardin. Il
croyait
être perclus de rhumatismes, et c'était à cette c
En examinant le malade dans la position horizontale, on aurait pu le
croire
moins affaibli qu'il ne l'était réellement; mais,
lmonaire. Je redoute une hémorrhagie foudroyante; car je suis fondé à
croire
que cette hémoptysie est causée par la rupture de
e tumeur n'était pas limitée en bas parla clavicule, comme on l'avait
cru
pendant la vie, mais qu'elle s'enfonçait derrière
illerée de sérosité sanguinolente et un caillot de sang. On aurait pu
croire
au premier abord à une perforation du cœur. Une
; l'angoisse paraît extrême dans le moment qui précède le réveil : on
croirait
que le jeune malade va suffoquer, et cependant il
suivant, qui nous offrira un exemple bien remarquable de cyanose, je
croyais
avoir affaire à une hydropéricarde, et c'était un
t de huit jours: le pouls reparaît aux artères radiales; la malade se
croit
guérie, et en effet, vers la fin du mois, le réta
'à droite. Le 26 juillet, l'amélioration est telle que le malade se
croit
guéri. Je continuai, en éloignant les doses , l'é
s, ayant trouvé, chez le même sujet, les muscles du mollet graisseux,
crut
voir une grande analogie entre l'aspect de la cou
poque, M. N. n'est plus le même homme : il devient pusillanime; il se
croit
frappé à mort, et repousse toute espèce de distra
racine des poumons et plus particulièrement du poumon gauche. Je pus
croire
d'abord que cette infiltration de sang était cons
mineux et souvent plus énergique que celui de l'adulte, et si j'avais
cru
à l'hypertrophie concentrique en arrivant à l'hos
arrivant à l'hospice de la Salpêtrière, j'aurais bien vite cessé d'y
croire
, car le nombre des sujets de 70, 80 à 90 ans, che
d'être interposé à la veine et au caillot sanguin, comme on l'aurait
cru
a priori,occupait constamment le centre de ce der
orifices apporte à la circulation : c'est pour cette raison que j'ai
cru
devoir ranger les rétrécissemens des orifices du
x parois veineuses ne soit un puissant moyen d'infection générale. Je
crois
devoir lui rapporter un certain nombre de cas de
uence telle sur le cœur, que des praticiens d'un grand mérite avaient
cru
à une maladie du cœur, et ne sont revenus de leur
étiques gauches simuler l'hydropéricardeen déplaçant le médiastin, je
crus
que la matité précordiale tenait bien plutôt à un
le rocher, du moins je n'en ai pas trouvé de vestige, et j ai peine à
croire
qu'ils aient pu résister à une pression assez for
la compression directe, ce signe a beaucoup moins de valeur que je le
croyais
jusqu'à ce jour. L'amaurose avec perte de l'olfac
surer qu'ils sont très communs; car j'en ai vu un très bon nombre. Je
crois
avoir reconnu la description de ces ramollissemen
rfaitement limitées aux membres inférieurs, il faut bien se garder de
croire
que l'altération occupe nécessairement la région
u feuillet viscéral de l'arachnoïde au feuillet pariétal, on pourrait
croire
que la tumeur naît de la face interne de la dure-
physiques des notions aussi exactes que dans les faits précédens. Je
crois
sa nature encéphaloïde. La moelle avait notableme
ette remarque est d'autant plus importante, que plusieurs auteurs ont
cru
devoir rapporter certaines paraplégies à la néphr
ssi voyons-nous que la paraplégie était très incomplète. J'ai peine à
croire
que les nerfs nés de la portion du bulbe, situés
ptes à remplir quelques fonctions de transmission. On serait tenté de
croire
que c'est de la portion de moelle inférieure à la
la jambe gauche, et que son pied tournait sous elle , si bien qu'elle
croyait
s'y être donné une entorse. Je ne vis là qu'une a
s'y être donné une entorse. Je ne vis là qu'une affection locale ; je
crus
à une distension des ligamens , et j'engageai cet
emier cas et lui arrachent un cri dans le second. A cette période, je
croyais
à une affection rhumatismale limitée à la jambe,
elle parvient à soulever le membre, mais avec une vive douleur: elle
croit
qu'elle pourrait faire quelques pas, mais non san
ins à une différence réelle qu'aune différence dans l'observation. Je
croyais
que, chez mademoiselle Gault, il y avait paralysi
me paraît une cause de paraplégie beaucoup plus fréquente qu'on ne le
croit
communément. Les faits suivans serviront à établi
ysie incomplète, la rigidité joue un rôle important au point de faire
croire
à une paralysie complète, alors que le membre, re
nt la myotilité n'était pas moins affaiblie que la sensibilité. Je ne
crois
pas qu'aucune expérience physiologique puisse inv
à exécuter les mouvemens commencés. La nuit, il lui arrive souvent de
croire
tenir entre les doigts des aiguilles qu'elle serr
j'avais eu de rares occasions d'étudier les maladies de la moelle. Je
croyais
que l'hémiplégie emportait nécessairement l'exist
t-il des paraplégies sans douleur et des paraplégies avec douleur? Je
crois
pouvoir conclure d'un certain nombre de faits que
s de la main, l'épingle tombe des doigts, et néanmoins la malade, qui
croit
encore la tenir, exécute les mêmes mouvemens que
ur surajoutée. Je pense à i'arachnitis spinale aiguë, qui, comme je
crois
l'avoir établi par des faits (voy. xxxne livraiso
altération de ces os. Quant à la douleur abdominale, je pus d'abord
croire
qu'elle était le résultat de la distension de la
ssement dans les ailes du nez (2); le pouls conservant sa densité, on
crut
devoir pratiquer une deuxième saignée: à peine qu
'utérus. L'événement justifia mes prévisions. Dans un autre cas, je
croyais
fermement à une apoplexie de la protubérance, par
poque où il avait été pris de convulsions ; que les convulsions qu'on
crut
devoir rapporter à plusieurs chutes, s'étaient re
ubite que l'hémiplégie apoplectique. En sorte que l'on peut très bien
croire
à une apoplexie et porter un prognostic favorable
ERVEAU. (PLANCHE II, XXXIIIe LIVRAISON.) APOPLEXIE CAPILLAIRE. Je
crois
avoir démontré, par un grand nombre de faits (i),
loigne de l'invasion; ils présentent des oscillations. Le matin, vous
croyez
le malade complètement paralysé d'un membre, et,
ade complètement paralysé d'un membre, et, le soir, il le remue. Je
crois
pouvoir déduire du caractère des symptômes un sec
nt la possibilité de leur guérison et d'en apprécier le mécanisme, je
crois
être en mesure de différencier les cicatrices des
'assaillir : il fait pour vous répondre des efforts remar- (1) J'ai
cru
devoir donner ce nom au lobule caché dans la scis
tre jurons ou mots insignifians, ou monosyllabes : on serait tenté de
croire
que«ce défaut d'articulation des sons tient presq
latations bronchiques remplies de mucosités puriformes. Cerveau. Je
croyais
à un ramollissement et il y avait deux foyers apo
ssement rouge ou apoplexie capillaire et les foyers apoplectiques. Je
crois
avoir prouvé que l'infiltration sanguine de l'apo
est extrêmement obtus dans les membres paralysés, et par momens je le
croyais
complètement aboli. La face et la langue ont été
e la figure 3"' étaient contenus dans le liquide de la poche, et j'ai
cru
devoir les faire représenter. Le cysticerque offr
décrits par les auteurs , et c'est pour cette raison surtout que j'ai
cru
devoir les figurer ici. Réflexions. Je n'ai ren
t corps cylindrique qui rentre au dedans de la poche, et, à ce que je
crois
, au dedans de lui-même, lorsque la compression ce
que je n'aie pu y joindre la dissection, qui n'a pas été faite, j'ai
cru
utile de publier ce fait à raison de la forme ins
du cerveau postérieure au kyste, et inflammation des ventricules. Je
crois
, en effet, qu'on doit regarder l'abcès enkysté du
fut présenté dans le but de connaître mon opinion sur sa nature ; on
croyait
qu'elle n'était autre chose que du sang dégénéré.
it pas formé dans l'épaisseur de la faux du cerveau, comme je l'avais
cru
, mais bien sur une de ses faces : il était consti
ue les apoplexies du cerveau , sont cependant moins rares qu'on ne le
croit
communément. Pendant huit années j'ai rempli les
vations suivantes sont entachées de cet inconvénient, et néanmoins je
crois
utile de les consigner ici, soit que des observat
tellement exacte des caractères physiques de ces productions, que je
crois
devoir la reproduire ici en entier : « La corne
g. 4), la dégénérescence cancéreuse ne me paraît pas démontrée, et je
croirais
plutôt à la transformation fibreuse des parties i
ayant excisé sans douleur la partie la plus excentrique de la tumeur,
crut
qu'il pouvait l'attaquer par sa base; l'enfant ne
entortillement « comme celle d'un jeune mouton de six mois. » Cabrol
croyait
qu'elle était adhérente à l'os; néanmoins, vaincu
s la production de ces renflemens gangliformes. On serait tenté de le
croire
, si l'on considère que, dans les expériences fait
moelle épinière et dans les nerfs, et c'est le motif pour lequel j'ai
cru
devoir faire représenter les tumeurs cancéreuses
génération tuberculeuse, et c'est surtout sous ce point de vue que je
crois
le cas intéressant: rien de plus commun en effet
sonde conique, à l'aide de laquelle on pénétra très profondément; on
crut
être arrivé jusque dans la vessie, mais on n'obti
et si un épiderme avait été démontré sur cette membrane, on pourrait
croire
que ces vésicules ou bulles sont constituées par
gie se joignirent des vomissemens fréquens. L'interne de garde appelé
crut
à une indigestion, prescrivit du thé et fit appli
e, la tête inclinée sur la poitrine : elle est immobile. L'infirmière
croit
qu'elle dort : elle lui présente à boire ; mais l
rt : elle lui présente à boire ; mais la malade ne bougeant pas, elle
croit
que son silence est un refus ou l'effet d'un somm
ein, et semble faire corps avec lui. C'est pour cette raison que j'ai
cru
devoir le faire représenter ici. Je n'ai jamais v
phalalgie et les vomisscmens, si bien que le chirurgien de garde a pu
croire
à une indigestion A ces symptômes, qui ont eu qua
acées : il vomissait tout ce qu'il ingérait. M. Vallerand et moi nous
crûmes
que cet état syncopal tenait à une indigestion. .
és, sucrés , « ayant toute l'apparence du sucre de canne ». M. Perrot
croit
que ce sont des graviers venus des voies uiinaire
lesquelles sont beaucoup plus sujettes aux calculs rénaux qu'on ne le
croit
généralement. La femme qui a fourni le sujet des
tait une forme sphéroïdale, et qui était lobu-leuse et enkystée. J'ai
cru
d'abord que cette tumeur siégeait dans la glande
cune des formes cancéreuses généralement décrites. On l'a appelée, je
crois
, cancer colloïde a l'état de crudité ; mais le ca
eur volume et par leur poids, bien plus que par toute autre cause. Je
crois
être fondé à penser que ces tumeurs extirpées ne
puberté, et donnaient aux mamelles un volume considérable. La malade
croyait
s'apercevoir depuis peu d'une augmentation de vol
ent ce conseil ne fut pas suivi : un praticien, d'ailleurs distingué,
crut
pouvoir obtenir la résolution de la tumeur par de
pait la fosse iliaque droite à l'entrée du bassin , et que j'avais pu
croire
pendant la vie être une maladie cancéreuse n'étai
e ; les papilles cutanées sont devenues extrêmement saillantes. Je ne
crois
pas exagérer en disant qu'il a quatre fois le vol
termédiaire entre la portion saine et la portion malade. On aurait pu
croire
au premier abord au développement d'un corps fibr
lo rure de zinc, ne sont donc pas des cancers. Je serais fondé à le
croire
d'après un certain nombre de faits. D'un autre cô
seraient du plus grand intérêt; et je prie de remarquer qu'autant je
crois
peu utile et même nuisible la statistique appliqu
uraient être considérées comme des unités du même ordre, autant je la
crois
utile lorsqu'elle s'applique à des objets suscept
cholestérine. xxive livraison. i Restait à étudier le polype. Je
crus
d'abord qu'il naissait du museau de tanche; mais
pes par hypertrophie du tissu utérin ou à celle des corps fibreux? Je
crois
cette distinction difficile dans l'état actuel de
té libre, qu'au voisinage de l'extrémité adhérente ou pédiculée. Je
crois
devoir arrêter ici l'attention sur l'adhérence de
qui avait jeté une grande obscurité sur le diagnostic, et qui a fait
croire
à l'existence de polypes à plusieurs pédicules. T
ouge, molle, fluctuante. Cet utérus avait appartenu à une femme qu'on
croyait
enceinte de six mois et qui était morte deux jour
itonéale. Les artères utérines étaient complètement ossifiées. Je
crois
devoir considérer ce cas comme un exemple d'atrop
aladie. Malgré les travaux importans publiés sur cette matière, je ne
crois
pas qu'il existe une maladie qui ait un plus gran
trangers à ceux qui appartiennent à l'apoplexie capillaire, que je me
crois
fondé à les rapporter à la maladie de l'utérus; c
le vagin, et que la base de ce cône regardait le fond de l'utérus. Je
crus
d'abord à un polype; mais, avec plus d'attention,
. Un foyer gangreneux est ouvert dans la cavité du péritoine; mais je
crois
que cette ouverture est le résultat de la rupture
ièrent-elles pas un traitement particulier ? J'ai quelque raison de
croire
que la cautérisation, qui, au premier abord, para
temps compatible avec l'absence complète d'excrétions urinaires. — Je
crois
être en droit de conclure que l'économie peut se
uite qu'on a tenue était la seule qu'on dût tenir. Quant à moi, je ne
crois
nullement à l'existence de la hernie de l'utérus
ce de la hernie de l'utérus chargé du produit de la conception; je ne
crois
même pas à la possibilité de sa formation pendant
nale ordinaire chez la femme, fréquence beaucoup plus grande qu'on ne
croit
communément; mais encore la hernie congéniale, la
nc jaunâtre : ce ne sont pas des foyers de pus, comme on aurait pu le
croire
au premier abord ; c'est un tissu très dense, jau
état de l'utérus. A cet œdème douloureux du membre inférieur que je
croyais
spontané, se joignit une gangrène des gencives et
ipaux moyens employés. La malade mourut plus promptement que je ne le
croyais
, le 21 novembre, vingt jours environ après l'appa
reux de la dégénération n'est donc pas positivement démontré; mais je
crois
pouvoir inférer de cas analogues qu'il est infini
ade, pour déterminer le caractère de la lésion, j'aurais été tenté de
croire
à l'inflammation chronique, bien plus qu'à la dég
extirpation doit être rejetée de la pratique. Cette répulsion, que je
crois
définitive, n'est pas fondée sur les difficultés
t certain, c'est que l'homme de l'art qui a pratiqué cette opération,
croyait
avoir affaire à un cancer. i° Chez une jeune fe
e éprouva tous les symptômes de la péritonite la plus intense : je la
crus
perdue; le traitement antiphlogistique le plus én
secousses convulsives du diaphragme et les mouvemens d'un fœtus : je
crus
devoir me prononcer pour les mouvemens d'un fœtus
le foie. Le foie mérite surtout de fixer notre attention. J'avais
cru
d'abord qu'il n'y avait qu'un seul foie FF, et je
a paru à M. Serres un caractère tellement important, que cet auteur a
cru
devoir grouper autour de ce caractère, qu'il appe
les cancers du péritoine primitifs ou consécutifs; les malades ne se
croient
indisposés et ne consultent qu'au moment où l'abd
l. m, p, 2. — Les apoplexies du cervelet sont moins rares qu'on ne le
croit
. 37e liv., pl. v, p. /. — Effet croisé des apople
l. m, p. 3. — Les apoplexies du cervelet sont moins rares qu'on ne le
croit
.=Cicatrice superficielle du lobe droit du cervele
2. — La phlébite se termine par résolution bien plus souvent qu'on ne
croit
. 4e liv., pl. \i,p. 3. — Trois espèces de phlébit
ui, quelque fidèle qu'elle soit, ne vaut jamais la nature, et ils ont
cru
pouvoir y suppléer par une description purement g
uppléer par une description purement graphique. Comme eux, je l'avais
cru
, et ce n'est qu'après avoir acquis la conviction
puis adopter l'opinion d'un estimable auteur, madame Boivin (*), qui
croit
avoir observé que la môle vésiculaire dépend d'un
par le rapprochement des figures 3, 4 ? 4'? 4" PL 1î ng- 2 ? PL 11 ?
CRU
nous permettent de suivre le développement des vé
déjà donnée dans la fig. 5 de son Thes. anatom. vi, tab. v, que j'ai
cru
devoir reproduire dans la deuxième planche (*). C
ontrer sur leur sujet et au-devant de la colonne cervicale. M. Bérard
croit
au premier abord que ce sont des ganglions lympha
les dernières côtes gauches jusqu'à la fosse iliaque du même côté. Je
crus
d'abord que c'était la rate indurée ; mais le mal
eaux sanguins très-multipliés et très-volumineux (cancer encéphaloïde
cru
) EEEE ; très-mince à la partie inférieure, cette
, en sorte que l'auscultation m'avait induit en erreur, en me faisant
croire
à une induration au-dessous des clavicules. Il ex
re boisson, le plus léger mouvement; pouls à peu près naturel. Je pus
croire
que les vomissemens avaient été provoqués parla p
érieure du foie et s'éten-dant jusqu'à la région lombaire; nous pûmes
croire
que cette tumeur était une dépendance du foie : c
nt plus difficiles à reconnaître et surtout à interprêter qu'on ne le
croit
communément : et cette difficulté me paraît surto
res de la Société anatomique, à laquelle cette pièce a été présentée,
crurent
avoir sous les yeux un exemple de transformation
l'eau sucrée qu'on fait pénétrer par la bouche. A chaque instant, on
croit
qu'il va expirer, et cependant sa vie se prolonge
a nature desquels nous n'avons pas d'idée bien arrêtée, mais que nous
croyons
veineux, vu le peu d'épaisseur de leurs parois ;
2), naissaient dans des points dépourvus de plaques tuberculeuses. Je
crus
d'abord avoir affaire à des vaisseaux lactés plei
ication fût aussi avancée dans le fœtus pied-bot de la planche 11. Je
crois
que les auteurs d'ostéogénie ont voulu trop préci
ait toujours sur les mêmes points. Cette immobilité est telle qu'on a
cru
à l'ankylose dans les pieds-bots : mais un défaut
ytren les ressources de l'art dans le cas de difformité du cal, et je
crois
qu'il peut encore quelque chose sur le cal devenu
isseux. Toutes ces lésions sont un obstacle à la guérison, mais je ne
crois
pas qu'elles contre-indiqucnt absolument toute es
19, immédiatement après fadministration du sulfate de quinine : je le
crois
d'autant plus que ce médicament actif a été emplo
par la pression, existait à l'épigastre et surtout à l'hypogastre. Je
crus
devoir faire précéder de quelques sangsues l'empl
à l'Hôtel-Dieu eu i8o3 ou 1804, dans le service de M. Récamier; qu'il
croit
se rappeler que c'est tout-à-coup que périt la fe
u cœur ; peut-être apoplexie pulmonaire circonscrite. La malade ne se
croit
pas dans un état grave. Elle nous paraît à toute
s veines pulmonaires d'un individu mort d'apoplexie pulmonaire. Je ne
crois
pas à l'altération, au ramollissement préalable d
e est la cause formelle ? Nous l'ignorons complètement. Aussi Laennec
croit
-il impossible d'expliquer la rupture sanguine de
'une poche anévrysmalc. Quant à l'auscultation et à la percussion, je
crois
que c'est a priori que Laennec a indiqué les sign
par des concrétions phosphatiques irrégulières. Réflexions. — J'ai
cru
devoir appeler apoplexie du cœur l'altération qu'
atique. L'hémoptysie n'emporte donc pas nécessairement la saignée. Je
crois
que dans la gangrène du poumon la saignée est for
ême heure. Le 4 octobre, il dura quatre heures ; le 5 , dix heures on
crut
que le malade allait expirer; la persistance, l'i
nait pas de l'intérieur de la vessie. Ouverture du cadavre. J'avais
cru
à une péritonite, et cependant je ne trouve que d
nt il sourit, et ne paraît susceptible que d'impressions gaies. Il se
croit
affecté d'un rhumatisme dont il espère triompher
mand et fiostan sous le nom de ramollissement du cerveau, et que j'ai
cru
devoir appeler apoplexie capillaire. L'apoplexie
on épine (c'est son expression) lui faisait un peu de mal, mais qu'il
croyait
que c'était un rhumatisme : il appelait cette dou
r; c'était la première fois que j'observais une semblable maladie. Je
crus
à un rhumatisme aigu. La douleur et la paralysie
3° pour maintenir dans de justes bornes le travail de réparation. Je
crois
que les saignées locales et les dérivatifs, vésic
foyer devient bientôt lui-même une source d'infection générale. Je ne
crois
pas qu'il soit possible d'expliquer d'une manière
esquelles il semble au malade que tout son corps se bouleverse ; il a
cru
mourir. Depuis lors il se trouve beaucoup mieux;
. Coliques assez vives qui reviennent de temps en temps. Le malade se
croit
beaucoup mieux et demande des alimens. — Le 6, l'
la pression. Le malade n'a nullement la conscience de son état et se
croit
guéri ; il demande à manger. Soif très-vive ; lan
e. En appliquant l'oreille sur l'abdomen au niveau de l'ombilic, j'ai
cru
entendre à chaque inspiration un bruit analogue à
conseillée dans un cas de tympanite, ce doit être dans ce cas, et je
crois
qu'on ne devrait pas hésiter à la pratiquer. 4e
des premiers points d'urate sur le cartilage confirme la loi que j'ai
cru
devoir établir, attendu que les cartilages sont l
corps de vertèbres se sont soudés, fondus ensemble, c'est ce que j'ai
cru
devoir appeler ankylose avec fusion, pour la dist
l'utérus a une épaisseur plus considérable que partout ailleurs. On a
cru
reconnaître une similitude exacte entre le pus sa
rations morbides, plus nous serons convaincus de cette vérité, que je
crois
avoir le premier proclamée, que nos tissus sont i
ix, à parois fibreuses, contenant une matière jaunâtre « pultacée. Je
crus
d'abord que le testicule avait subi en entier la
en général le sarcocèle des individus peu avancés en âge. Je ne la
crois
pas incapable de résolution. Tel est le sarcocèle
ur de l'arrière-bouche ont presque complètement disparu. Le malade se
croit
guéri. Ce mieux apparent continue toute la journé
e doigt, je dois dire qu'il est plus difficile à acquérir qu'on ne le
croit
communément, car les replis infiltrés et mollasse
ultats : aux côtes, rien; au larynx , la suffocation et la mort. Je
croyais
ces faits uniques dans la science, lorsqu'il y a
e de la maladie ; autre chose est une incurabilité radicale, et je ne
crois
pas qu'on puisse confondre l'induration ou l'ulcé
séreux ; la fluctuation m'a paru la même dans les deux cas : mais je
crois
qu'on pourra souvent distinguer le kyste multiloc
ois abdominales. Sous le point de vue de Vanatomie pathologique, je
crois
devoir ranger cette altération dans cette grande
rave éprouvée après ve livraison. i la naissance. M. Esquirol a
cru
devoir séparer complètement l'idiotie acquise de
n, je reconnais à l'hypogastre une tumeur molle, circonscrite, que je
crus
être la vessie, en sorte que je pensai d'abord qu
et seulement après les plus vives et les plus brusques instances. On
croit
que c'est par caprice, par dissimulation ; c'étai
nostic extrêmement grave que j'avais porté comme erronés. Je l'aurais
cru
moi-même, sans des exemples antérieurs. Il y avai
mens ont été tellement intenses que, pendant les premiers jours, j'ai
cru
avoir affaire au ramollissement gélatiniforme de
et avec toute sa connaissance ; mais que, plus tard, moment où on la
croyait
profondément endormie, elle avait été prise de mo
nt faisant la lecture qu'elle aime beaucoup. Appétit bizarre qu'on se
croit
obligé de satisfaire; mais il suffit par fois de
aladie l'enfant jouissait de la plus parfaite santé. Je penche donc à
croire
à la formation de tubercules aigus dans le tissu
s et des stimulans internes, des stimulans et dérivatifs cutanés : je
crois
devoir appeler cette maladie entérite folliculeus
ominante et constitue une forme bien remarquable de la maladie; 6° je
crois
devoir rapprocher de l'entérite folliculeuse l'en
anté; il jouissait de toute sa raison. La nuit, délire violent; il se
croit
assassin de tous les rois et croit qu'on veut le
on. La nuit, délire violent; il se croit assassin de tous les rois et
croit
qu'on veut le tuer. La face est rouge, couverte d
le praticien qui n'ait pris le change dans quelques cas, et qui n'ait
cru
à un délire symptomatique alors qu'il avait à tra
tte pleurésie, de cet érysipèle? Et lorsque la fièvre vient à tomber,
croyez
-vous que la pneumonie, la pleurésie, l'érysipèle
liculeuse aigue, nous trouvons i° celles de Peyer qui, bien qu'il ait
cru
représenter l'état naturel, a figuré l'entérite f
oup moins multipliées qu'on ne se l'imagine communément, que je ne le
croyais
moi-même avant la publication de cet ouvrage. On
e croyais moi-même avant la publication de cet ouvrage. On ne saurait
croire
combien de fois je rencontre des lésions identiqu
alimens que je portai graduellement jusqu'à la demi-portion; mais je
crus
devoir revenir sur mes pas et m'en tenir au quart
thique. (Saignée.) Le délire tombe, la fièvre persiste ; le malade se
croit
guéri, demande des alimens ; il est d'une gaîté ,
es contenues dans les voies alimentaires. La justice ne s'étant pas
cru
suffisamment éclairée, désigna MM. Orfila et Rost
e avec les intestins situés hors de la cavité abdominale. On pourrait
croire
que la rupture du sac avait été le résultat du tr
la cause de cette étonnante production (i), Fondé sur l'analogie, je
crois
pouvoir admettre qu'à la suite d'une brûlure supe
tissu adipeux médullaire des os. Beaucoup plus fréquentes qu'on ne le
croit
généralement, elles distendent d'abord les cellul
le de réunion de la faux avec le reste de la dure-mère. A la base, je
crois
devoir signaler trois points principaux comme plu
ailleurs sous le rapport du siège et de la nature de la maladie. J'ai
cru
trouver une des données du pro^ blême dans la dir
issait d'ailleurs de la plénitude de ses facultés intellectuelles. Je
crus
d'abord à une hémiplégie apoplectique. Mais, à dé
cès, le côté paralysé participait aux mouvemens convulsifs, ce que je
crois
aisément , ayant eu occasion d'observer plusieurs
ai que nous avions affaire à une tumeur fongueuse de la dure-mère; je
crus
en outre que cette tumeur naissait de la surface
; on dirait une gelée tremblotante comme du blanc-manger. Aussi ai-je
cru
devoir appeler cette altération ramollissement gé
de trépan; supposons qu'au lieu d'une tumeur cancéreuse externe qu'il
croyait
avoir diagnostiquée, il rencontre une tumeur canc
si le hasard amenait une pareille combinaison de circonstances, je ne
crois
pas que le chirurgien eût à hésiter un instant. L
mplète pour le sentiment, avec oedème léger des membres paralysés. On
croit
à une hémiplégie apoplectique. Le i5 août, mouvem
uche jaune-verdâtre extrêmement dense. Au premier abord, on aurait pu
croire
qu'elle était contenue dans la cavité de l'arachn
produisant une hémiplégie complète du sentiment et du mouvement ? Je
crois
en découvrir la cause dans la différence qui exis
tie antérieure de la tumeur; cette fluctuation s'étend, s'acumine. Je
crus
à la formation d'un abcès, d'autant mieux que, da
on étant une conséquence nécessaire des mouvemens qu'elle exécute, je
crois
devoir rappeler ici ce que j'ai dit ailleurs au s
heures après. Parmi les lésions graves qu'il présentait, M. Marjolin
crut
reconnaître une luxation de la main sur l'avant-b
-« rieure du radius sur l'humérus, il y a vingt ou vingt-cinq ans. Il
croit
, mais sans pouvoir « l'affirmer, qu'elle existait
ux de l'articulation. La suppuration fut très-abondante. La malade se
crut
soulagée; elle consentit à ce que deux nouveaux m
; les unes et les autres se déforment, si bien qu'on serait tenté de
croire
qu'il y a eu fracture. C'est ce qui est arrivé bi
; et alors le corps étranger devient libre dans l'articulation. Je ne
crois
pas cependant que ce soit là la seule manière don
ion nouvelle. VIII. Le nom de ramollissement gélatiniforme que j'ai
cru
devoir donner à cette maladie, est une descriptio
ont rendu compte de mon travail, publié en 1821. Je suis même fondé à
croire
(ceci soit dit sans mauvaise humeur de ma part) q
ateur n'eût pas fait mention des travaux antérieurs, s'il n'avait pas
cru
être sur un terrain entièrement neuf? ligure i
rès la mort que chez ceux qu'on ouvre avant ce laps de temps. J'avais
cru
d'abord pouvoir faciliter ce ramollissement par l
a langue hors de la bouche, mais il oublie toujours de la retirer. Je
crois
le délire imminent et je cherche à le prévenir. U
la maladie ne peuvent pas s'expliquer par l'entérite folliculeuse. Je
crois
donc que nous pouvons regarder, au moins en parti
espérance d'une guérison prochaine ; le jour de sa mort, le malade se
croyait
à merveille , avait une présence d'esprit admirab
, se donne fréquemment de violentes indigestions , tellement qu'il se
crut
plusieurs fois empoisonné. Depuis un an surtout l
liquides sécrétés, entre si bien dans le plan de la nature, que je ne
crois
pas qu'il existe un seul exemple de terminaison d
hal, qui, faisant ici l'application des expériences du docteur Barry,
croit
que le pus est attiré dans les veines ouvertes pa
ement par lui-même à cette espèce de génération purulente, ainsi qu'a
cru
devoir l'admettre M. Dance par une sorte de conce
revient plusieurs fois à la charge, à quelques jours de distance. Je
crois
qu'on devrait établir, comme loi chirurgicale, le
cette transformation comme les autres tissus. XXXV. Gardons-nous de
croire
que des abcès viscéraux ou même que des accidens
ales pratiquées à temps et en quantité suffisante; c'est ainsi que je
crois
arrêter le plus grand nombre des phlébites utérin
énétrai dans un foyer d'où s'échappa un pus rougeâtre et visqueux. Je
crus
d'abord que j'avais affaire à un de ces abcès int
allemand qui avait un œdème de la cuisse tellement douloureux, que je
crus
d'abord à une inflammation sous-aponévrotique. Le
ogastrique a dominé tous les symptômes du 11 au i5 juillet; car je ne
crois
pas que la pleuro-dynie observée le ^3, pleurodyn
du thorax; à la crépitation avait succédé cette respiration que j'ai
cru
devoir appeler tubaire. Les crachats sont visqueu
du poumon, c'est-à-dire, la gangrène non précédée d'inflammation, je
crois
qu'elle est excessivement rare : car, dans l'imme
t bien propre à désorienter le praticien. Dans un cas de ce genre, on
crut
à l'existence de plusieurs enfans. Il n'est d'ail
que Putérus était inégalement bosselé et cette disposition avait fait
croire
à une grossesse composée. La malade mourut trois
toute son étendue et qui ne sont pas circonscrits au col, comme on le
croit
généralement), leur structure toute vasculaire ne
et en celles qui sont formées aux dépens du tissu propre du foie, je
crois
qu'il faut les distinguer en celles qui attaquent
aits à la démonstration de la résorption de la matière cancéreuse. Je
crois
d'ailleurs devoir faire, pour le cancer des gross
i restait du lobe droit. Dans un autre cas, des praticiens distingués
crurent
à l'existence d'une maladie du cœur et ne furent
ntiment habituel et profond de tristesse, un défaut d'appétit; on les
croit
hypocondriaques ; on les traite de malades imagin
ris la diète lactée. Le malade reste un mois sans me consulter. Je le
croyais
mieux. Il revient le 15 janvier 1821. Même e'tat
u coucher ; le malade entend battre toutes les artères de la tête, et
croit
que c'est ce battement qui s'oppose à son sommeil
espèce, dont plusieurs se sont offerts à mon observation, qu'on a pu
croire
à l'absence congéniale delà vésicule biliaire. Si
se qu'une vessie ordinaire ; elle atteignait la région ombilicale. Je
crus
d'abord qu'il y avait obstacle invincible au cour
la vue de concrétions aussi considérables , aussi multipliées, qui ne
croirait
que la circulation de la bile a du être impossibl
inique qui règne tous les ans à l'hôpital de la Maternité, que j'ai
cru
devoir désigner sous le nom de typhus puerpéral,
e du typhus puerpéral et de la péritonite puerpérale sporadique, j'ai
cru
faire une chose utile en publiant sur ce sujet de
x lymphatiques purulens sont tellement pressées qu'il m'est arrivé de
croire
que le pus était infiltré dans le tissu cellulair
istait ce liquide crémeux indiqué par Astruc et autres, et qu'ils ont
cru
être du lait ; car jamais dans les veines, le pus
e dans les vaisseaux lymphatiques, est tellement fréquente , que j'ai
cru
pendant long-temps qu'il y avait rapport de dépen
mi potion calmante pour la nuit. Bain de siège. Le 11, la malade se
croit
très bien, demande instamment à manger; loquacité
douleurs absolument semblables à celles de l'enfantement, qui firent
croire
un instant aune superfétation. Après trois jours
ormes, si bien que chaque famille, pourvue des drogues prescrites, se
croyait
en mesure d'appliquer les remèdes au moment de l'
ulance pour un dévoiement cholérique, fut prise, au moment où nous la
croyions
hors de danger, d'une pleuropneumonie, qui résist
oléras avec prédominance du vomissement sont moins graves qu'on ne le
croit
ordinairement : le hoquet même persistant pendant
les pieds et dans les jambes ; froid des extrémités ; soif ardente On
crut
la malade en grand danger. Des briques et des s
ui supprime les selles sans enlever les coliques. Le 14, la malade se
croit
guérie. Le 15, plusieurs selles liquides qui de
ousiasme, se trouva dans un état de bien être extraordinaire, qui fit
croire
aux assistans qu'il était sauvé; il était couvert
indice d'un commencement d'altération cadavérique? je suis porté à le
croire
, bien que douze heures seulement se soient écoulé
ares. Assoupissement.Les paupières recouvrent l'œil complètement : on
croit
que le malade est sourd, mais cette surdité n'est
ite du choléra. N'ayant pas eu occasion de les rencontrer, je pouvais
croire
que des plaques noires ecchymosées, semblables à
és supérieures tellement livides, qu'un médecin, d'ailleurs instruit,
crut
d'abord que ces extrémités étaient gangrenées.
la coloration rosée naturelle des ganglions semi-lunaires a pu faire
croire
à une inflammation de ces ganglions. 3° L'altér
adie. La forme arrondie des follicules de l'intestin grêle a pu faire
croire
que ces granulations n'étaient pas des follicules
uns le choléra-morbus comme une phlegmasie, tandis que les autres ont
cru
pouvoir expliquer l'injection de la muqueuse par
le choléra soit contagieux d'individu à individu , par le contact, je
crois
pouvoir le nier; trop de faits viennent déposer e
de la réunion d'un grand nombre d'individus cholériques ou autres; je
crois
encore pouvoir le nier : l'encombrement des hôpit
long sur deux de large, appliqué le long du rachis, moyen auquel j'ai
cru
devoir, au moins en partie, rapporter quelques su
que l'inflammation est imminente dans la période de réaction. Nous
croyons
aussi que les praticiens qui excluent positivemen
soit tout autre que le mode d'irritation des purgatifs drastiques je
crois
prudent de s'en abstenir jusqu'à ce que des faits
colorent, que la face recouvre son état naturel, et que le malade se
croit
complètement guéri. Ce bien-être n'est que passag
bile et froid le quatrième jour*, on me le présente dans cet état; je
crois
qu'il est né faible, et je lui prescris un bain a
oportion avec celui du fœtus et la cause de la mort de ce dernier. Il
croit
aussi devoir considérer comme une hypertrophie du
° à l'adhérence organique du placenta et de l'utérus, adhérence qu'il
croit
être le résultat de l'inflammation simultanée du
ta. C'est la plus fréquente des altérations de ce corps spongieux, je
crois
avoir démontré (Ire livr.) que ces kystes ne sont
abcès ayant été sur-tout observés dans le cas de plaies de tête, on a
cru
pouvoir l'interpréter, soit par des rapports de c
, non en sa qualité de pus, mais en sa qualité de corps irritant. Je
crois
avoir démontré ailleurs (XIe livr., phlébite ) pa
iplicité des foyers, à l'irrégularité des masses envahies, a pu faire
croire
à la nature tuberculeuse de cette altération. Tou
delà de laquelle les abcès consécutifs ne soient plus à redouter ? Je
crois
que tout le temps qu'existe la solution de contin
sa faiblesse extrême il était cependant levé suivant sa coutume et se
croyait
mieux. Le soir, état très grave. Supination; face
sé en foyer, il était infiltré et solide, circonstance qui a pu faire
croire
dans des cas analogues aux tubercules préexistant
nce; chez les trois autres la tumeur était intacte: j'ai tout lieu de
croire
que, chez les deux premiers, la perforation a eu
de ces lames dans la région correspondante. Il y a même plus : je ne
crois
pas à la nécessité d'une augmentation dans la qua
ologique du cerveau. Ces lésions beaucoup plus fréquentes qu'on ne le
croit
ordinairement, échappent, dans un grand nombre de
établir, pour un temps plus ou moins long, le cours des urines, et je
crois
avoir vu dans ma pratique plusieurs exemples de c
la certitude par les nombreuses explorations que j'avais pu faire, je
crus
à un catarrhe vésical. Le malade avait tellement
olin, Jolly et Vallerand furent appelés pendant le second accès. Nous
crûmes
tous qu'il allait périr. Le sulfate de kinine pri
de son importance, je dois placer l'apoplexie du cœur, à laquelle je
crois
devoir rapporter le plus grand nombre des rupture
une douleur très vive à l'abdomen ; le moindre contact l'augmente. Je
crus
à une péritonite ; un grand nombre de sangsues fu
est déjà formée, qu'on hésite encore à reconnaître cette maladie : on
croit
en avoir triomphé dans un point lorsqu'elle appar
à 110; délire léger. La malade répond très bien aux questions, et se
croit
en voie de guérison; narines pulvérulentes. Cet é
l'érysipèle phlegmoneux, et étaient le résultat d'une phlébite. Je
crois
avoir démontré jusqu'à l'évidence cette propositi
iques utérins , ou avec des pleurésies aigries ou chroniques, et j'ai
cru
pouvoir établir dans quelques cas une liaison ent
par le froid, il éprouve une douleur vive dans toute la cuisse : on
crut
à une simple douleur rhumatismale. Bientôt des tr
l'abdomen est volumineux, sensible à la pression. Quelques personnes
crurent
au choléra; je crus à un étranglement: l'absence
ux, sensible à la pression. Quelques personnes crurent au choléra; je
crus
à un étranglement: l'absence de tumeur herniaire
sorte que si on avait exploré le thorax pendant la vie , on aurait pu
croire
à une transposition de ce viscère. Il était fac
nie diaphragmatique, 2° qu'il y avait étranglement de l'intestin : je
crus
d'abord que cet étranglement existait au collet d
s. Diagnostic. En rapprochant les commémoratifs de Fétat actuel, je
crus
à Pexistence d'un abcès enkysté du cerveau , suit
etite malade qui habitait dans un département voisin, et j'ai lieu de
croire
qu'elle a été guérie parle seul fait de l'injecti
'un kyste de l'ovaire chez une femme dont le pubis en était dépourvu,
crut
que la présence de ces poils était le fait d'une
teurs pour que je ne rejette pas un fait aussi extraordinaire, que je
crois
devoir reléguer provisoirement parmi ces observat
tait des douleurs assez vives dans la région hypogastrique et qu'elle
croyait
y reconnaître la présence d'un corps étranger, el
t le sujet de cette observation , après plusieurs fausses couches, se
crut
grosse; elle éprouva, au 9e mois, des douleurs qu
t la matrice, » étaient très saines et dans leur état naturel. » Je
crois
qu'indépendamment des faits, dont quelques-uns ét
té. J'ai émis ailleurs une opinion semblable pour le tubercule, et je
crois
avoir prouvé, au moins pour un certain nombre de
é thoracique. J'ai vainement cherché la rate dans l'abdomen et j'ai
cru
la reconnaître dans un petit corps arrondi R, att
lésion serait limitée à la membrane médullaire; je serais porté à le
croire
. M. Dubrueil n'ayant pas cru devoir résoudre cett
rane médullaire; je serais porté à le croire. M. Dubrueil n'ayant pas
cru
devoir résoudre cette question, j'imiterai la rés
t représenter ( 111e livraison, pl. i ) un cas de rupture du cœur. Je
crois
devoir rappeler ici et discuter trois circonstanc
étra pas d'abord dans l'intérieur de ce ventricule, c'est pourquoi je
crus
à une perforation incomplète; mais avec un peu pl
sillon postérieur du cœur, un peu à droite de ce sillon. On aurait pu
croire
, au premier abord, qu'il y avait rupture du ventr
l'aorte. 3° Dans le cas que j'ai rapporté (111e livr., pl. i),j ai
cru
devoir considérer la perforation du cœur comme un
uleur de la cicatrice est d'un jaune serin plus ou moins brunâtre. On
croirait
voir, sauf la couleur, la cicatrice d'un ulcère i
s à deux reprises ; diète sévère; boisson adoucissante). Le 1 mai, on
crut
reconnaître une pleuro-pneumonie du côté droit.
r le lit. Une fois, elle avait été obligée de se faire saigner : elle
croyait
remarquer que chaque indisposition amenait un aff
ilité de la guérisondes ramollissemens de cerveau a été contestée, je
crois
devoir citer un fait bien positif à l'appui de ce
cette maladie, laquelle est beaucoup plus fréquente que je ne l'avais
cru
d'abord. Les cicatrices de l'ulcère de l'estoma
ersonne. U n'y a donc pas lieu de s'y arrêter. Un point sur lequel je
crois
plus essentiel d'insister, c'est que l'expérience
à quel médecin impartial, compétent, doué de sens critique, fera-t-on
croire
que l'hypnotisme est capable de provoquer une enc
c'est évidemment, parce qu'elle diminue l'excrétion urinaire. » On
croit
rêver, en entendant de pareilles choses. Comment,
itations évacuatrices et à rester pleine jusqu'au lever. Les familles
croient
bien faire : c'est au médecin à leur expliquer, d
La communication que je vais avoir l'honneur de vous faire est. je
crois
, intéressante à deux points de vue, d'abord, par
'une de ces bohémiennes qui sillonnaient les routes de Lorraine avait
cru
voir dans la main du jeune conseiller la célébrit
il élément d'appréciation, s'il ne connaît pas l'hypnotisme, s'il n'y
croit
pas, s'il ne sait pas quels indices lui permettio
ude des doctrines et l'antagonisme des systèmes. Pourtant, je ne puis
croire
à l'inanilé d'un dogme promulgué par Braid, Duran
ir cruellement le malade. Que dit-il au juste, je l'ignore, mais je
crois
bien qu'il ne manqua pas d'exciter l'hilarité de
ux quel qu'il soit? « L'automatisme est absolu, déclare-t-il. Je ne
crois
pas qu'on puisse trouver une preuve plus décisive
duirait que tous les 2. 4, 8 jours, et enfin elle disparaissait. Je
crois
que cette méthode que j'ai appelée substitutive,
mprends rien. Je vous avais demandé de faire l'expérience, mais je ne
croyais
pas que cela fût possible. » Je lui montre alor
ément dans un état d'inhibition hypnotique. La personne à laquelle on
croit
faire une suggestion à l'état de veille est déjà
moyen, si petit soit-il, sa description ne sera pas plus déplacée, je
crois
, que les conceptions doctrinales acceptées aujour
la sobriété. 11 y a la une pierre de touche • de la guérison que je
crois
utile à signaler. Un cas grave d'anorexie menta
a cette manie,-calculée probablement, puisque le but était de laisser
croire
qu'elle avait ingéré tous les aliments qui lui ét
e cachait sur elle ou chez elle ou qu'elle portait malicieusement, je
crois
, chez une autre personne. C'est ainsi qu'on déc
ouverte de ces provisions pourrait nuire au confrère. Le Dr Poulalion
croit
, au contraire, que ces provisions apportées chez
ntaire, des idées absolument systématiques. Plus nombreux qu'on ne le
croit
sont ceux qui prennent à la lettre une prescripti
'est-à-dire des personnalités proposées en exemple. A qui fera-t-on
croire
quelles ne dérivaient pas d'un état mental pathol
erner, entre les faits allégués et prouvés, ceux qui pourraient faire
croire
que la volonté du testateur a été violentée on vi
mmencera par ouvrir la bouche, puis il dira quelques paroles. Si j'en
crois
l'universalité des hommes, il y a antinomie compl
te et pour beaucoup d'esprits, les miracles sont plutôt un obstacle à
croire
qu'un moyen de croire. L'intelligence moderne faç
esprits, les miracles sont plutôt un obstacle à croire qu'un moyen de
croire
. L'intelligence moderne façonnée dans le moule so
lté chez les catholiques instruits : « Aujourd'hui, disait-il, nous
croyons
plutôt malgré le miracle, quand nous croyons. On
urd'hui, disait-il, nous croyons plutôt malgré le miracle, quand nous
croyons
. On dira peut-être que nous avons tort. Quoiqu'il
: « C'était certes un miracle pour les astronomes du Moyen-Age, qui
croyaient
que le firmament, cloué d'étoiles, n'était sujet
Le Jardin d'Epicure. In-12, p. 210-211. Spmosa. qui semble avoir
cru
a L'historicité du récit des Chroniques, se conte
. Désormais les miracles n'apparaissent pins qu'a ceux qui. d'avance,
croient
aux miracles.» (4) Littrè lui-même écrivait : «
ensibilité, sensations et sentiments, puisse être interrompue, que de
croire
, pendant le sommeil, les fonctions de respiration
naufrage moral, par les méthodes médico-pédagogiques, des êtres qu'on
croyait
irrémédiablement perdus. Je n'entreprendrai pas
ts et de dangers que les autres interventions thérapeutiques. Je ne
crois
pouvoir mieux faire que de citer intégralement le
des idées est illimité ; c'est ce que Diderot exprime en disant : Je
crois
que nous avons plus d'idées que de mots : combien
. L'insistance .avec laquelle il reproduit celte formule nous porte à
croire
qu'il attache à la notion d'acceptation par le ce
ées. Je l'avoue, mais il est bien plus triste et beaucoup plus sot de
croire
savoir ce qu'on ne sait pas ». (A suivre) L'o
eloppées séparément dans l'Inde et le Mexique anciens. Comment ne pas
croire
qu'un mobile unique ait déterminé ces deux créati
rofesser à son exemple n'est pas si dangereux qu'il voudrait le faire
croire
; il n'est pas exact que les capitalistes dispense
nt d'autres opinions que les siennes, par véritable conviction. J'ose
croire
que son amitié me (1) Dans le Journal des Prati
lectualité de ses contradicteurs, faut-il qu'il les ait peu lus. pour
croire
qu'ils aient des prétentions aussi étranges ! Vra
i, au contraire, n'en a été rendue que plus rigoureuse. Par contre,
croit
-il que l'irréligiosité exclut nécessairement la l
édés qu'il désignait sous le nom générique d'hypnotisme, on aurait pu
croire
que ses contemporains s'empresseraient de tirer p
égager l'hypnotisme et la psychothérapie est le fait d'un homme qui a
cru
que son titre de professeur devait suffire à lui
nable. Je n'ai jamais ni dit, ni pensé, ni rien écrit qui permit de
croire
que « d'après moi « il existe des sciences dont l
ambigus, ne sont peut-être pas. j'en conviens, aussi-nombreux que le
croient
certains partisans de la liberté. Mais, plus on p
, m'objecte Binet-Sanglé, si je suis ou ne suis pas déterministe ? Je
croyais
, au contraire, avoir été très net. J'espère que c
peu vives. Or, résister à cette tentation est plus méritoire qu'on ne
croit
et cela dénote une grande maîtrise de soi. — dont
resseux au cours de leurs études ont réussi cependant dans la vie. Je
crois
qu'il ne s'agissait pas là de véritable paresse,
ents.etc). En ce qui concerne l'application des rayons rouges, nous
croyons
qu'ils ont constitué un facteur secondaire surajo
pation, résection de nerfs et ganglions (sympa-thectomie . Nous avons
cru
intéressant de faire connaître cette observation
aître cette observation et quoique n'apportant qu'un cas unique, nous
croyons
qu'il suffit pour montrer l'infuence des méthodes
t si ce principe est de quelque usage, ils avaient raison de ne point
croire
l'évidence de leurs sens qui les assurait de ce q
depuis mon enfance, n'a fait qne s'aggraver : et il y a tout lien de
croire
qu'une suggestion en sens inverse en aurait raiso
: « Nous n'avons jamais observé de phénomènes de ce genre ; ceux qui
croient
les avoir vus avaient affaire à des hystériques,
ètres du rachis, au niveau de l'angle supérieur de l'omoplate. Xous
croyons
cette hypothèse inadmissible dans notre dernière
furent trompés par eux ? Voici maintenant les conclusions que je me
crois
autorisé à tirer de mes trois expériences : Io
cocher ou un cavalier arrêter son cheval en tirant sur les rênes, on
croit
généralement que l'arrêt s'est produit parce que
ra sa course jusqu'à la catastrophe ou l'épuisement, non, comme on le
croit
généralement, parce qu'il a pris le mors entre se
tte décontraction générale, cet abandon, enfin, constituent bien — je
crois
— le « consentement organique — recherché par nos
ons, les hommes d'esprit indépendant ne sont pas si rares que vous le
croyez
, a la Faculté de médecine : j'estime qu'il y a ac
elle, je ne sais ce qui s'est passé. » A sa sortie de l'hôpital, elle
croyait
fermement à la puissance de l'anesthésique qu'on
et de continuité. Tel est le cas de sujets, plus nombreux qu'on ne
croit
, chez lesquels l'état de veille complet ne se tro
omènes métalloscopiques et surtout sur le mécanisme du transfert Je
crois
utile de rappeler les théories principales qui on
on avec M. Deltorto, des expériences de transfert- de l'aimant. Il ne
croit
pas a la possibilité d'agir sur l'organisme si l'
is de M. Visani Scozzi. Tout en admirant ses belles expériences, je
crois
que mes observations personnelles pourraient abou
nt nos expériences l'hypnotisateur se tient éloigné de la pièce. Je
crois
qu'il n'est pas nécessaire de commenter ces phéno
l'Académie des Sciences, plusieurs des honorables les plus illustres
crurent
devoir tourner en dérision le phonographe. Avan
s et expérimenta Mes a volonté (1). L'Académie de Saint Petersbourg
crut
devoir repousser le chimiste Mendeleieff en raiso
in, Prarses, Philîppus Harduin de Saint-Jacques). Castellet ayant
cru
devoir informer Réaumur qu'il avait élevé des ver
erge, la réponse fut : Ex m'Iiilo ni lui fit, et le fait ne fut point
cru
. Il était contraire à une des lois naturelles les
é, sont dénommés par l'auteur « demi-spontanés ». D'abord, l'auteur
croyait
être le premier a avoir remarqué ces symptômes, m
ive qui nons saisit en présence d'un personnage important ou que nous
croyons
tel, et qui nous empêche d'examiner ses paroles e
alyses psychologiques des prédicateurs et des romanciers hésiteront à
croire
que la connaissance de la nature humaine amènera
me, — la manie de la souffrance. Les sujets atteints de cette névrose
croient
qu'ils seront agréables à la divinité en se soume
x ceux-là seulement que les premiers juges ont absolument ignorés. On
croirait
vraiment que des magistrats n'ont pas le courage
its généreux, une législation étroite va paralyser les efforts Qui le
croirait
? Qui donc en dehors de ceux que le spectacle quo
qu'il désigne sous le nom de période d'hgstèrie post-convntsive. Nous
croyons
utile de reproduire les considérations par lesque
de cette période la malade est en état de sommeil hypnotique. Or, je
crois
qu'il ne saurait y avoir de doute à ce sujet La m
28 ans. vint me consulter à propos d'une incontinence d'urine, qu'il
croyait
résulter du traitement brutal d'une gonorrhée chr
permis d'imaginer, mais rien n'y fit. Désespéré, le pauvre malade se
croyait
tout à fait incurable : de plus il fuyait toute s
28,05 35 28 88 13 30 1.35 68 68 62 15 19 72 29 35.05 28 83 Je ne
crois
pas que l'enfant de Madrid représente le type phy
mpête d'applaudissements. « L'Ecole anatomo-pathologique n'a jamais
cru
, enseigne M. le professeur Déjerlne. que des trou
r spiritualiste. A côté de l'Ecole de Médecine traditionnelle, qui ne
croit
pouvoir guérir qu'avec tout un arsenal de médicam
la psychothérapie par le merveilleux. « La méthode, que M. Déjerine
croit
être la seule vraie, est lu persuasion ; elle s'a
nnnt à ce qne la proportion des guérisons puisse s'élever, si nous en
croyons
le Dr Hamaide, & 100 pour 100. Le terrain d
t cette vue synthétique justifie l'espérance native qui nous invite à
croire
que de nouveaux progrès sont assurés à notre race
sens commun vers le progrès a débordé la terminologie que les pédants
croyaient
définitive. Raillée à son début parla science off
personnalité des particularités qui les étonnent. Certains d'entr'eux
croient
que. dans quelques circonstances, cette personnal
minent alors des visions extraordinaires durant lesquelles le patient
croit
apercevoir un personnage entièrement semblable à
lade à sa propre rééducation, mieux cela vaudra pour l'avenir. J'ai
cru
préférable de vous apporter un véritable document
s est assurément celui dont le6 travaux ont le plus d'autorité. Je ne
crois
pas qu'il puisse venir à quelqu'un l'idée de disc
te, elles n'en restent pas moins d'une application délicate, et je ne
crois
pas qu'au point de vue technique, personne ait ja
ls sont devenus les esclaves, c'est la crainte des souffrances qu'ils
croient
inhérentes à toute tentative de sevrage, et dont
vient que son attitude peut détruire le bonheur domestique en faisant
croire
au mari qu'elle a moins d'affection pour lui. se
e revint à son foyer. Ce défaut de réalisation de l'orgasme est, je
crois
, extrêmement fréquent chez la femme. (J'ai observ
s signes sont difficiles à découvrir et à interpréter ; néanmoins, je
crois
que la graphologie est capable de nous en faire c
mirer avec prédilection dans le fonctionnement de ses organes. Il se
croit
souvent atteint d'une maladie qu'il n'a pas ou do
scernement et se plaisent à dévoiler des perversions spéciales qu'ils
croient
localisées dans les organes des sens ou ailleurs.
exécute avec les mains. Cette curieuse observation autorise presque à
croire
que le grand poète a été un des précurseurs de la
sonder quelques-uns de ses mystères. Cette supposition m'autorise à
croire
que le médecin peut, en toute conscience, recouri
la lecture serait pour lui une source de fructueuses inspirations. Je
crois
que la graphologie me parait capable de l'aider h
ment ceux d'entre nous qui aiment les batailles thérapeutiques et qui
croient
à la possibilité d'atténuer et mêmes d'effacer le
reur, la malade est, par cela même guérie. Elle est tranquillisée, ne
croit
plus à ses appréhensions. Elle renoue avec son am
tout et ne voyait d'autre issue à ses malheurs que le suicide. Il se
croyait
obligé de suivre l'exemple de ses parents et cett
us les sujets. Il connaissait les noms de tons ses soldats. Il faut
croire
que cotte aptitude b. retenir les noms a été part
sait, dit-il, le grand miracle, tel qne tons ceux qui le verraient le
croiraient
, alors viendraient de toutes parts à l'appel de D
u système nerveux sur le système circulatoire. « Il ne faudrait pas
croire
qu'il soit indifférent de recourir h l'emploi de
es rêves de bonheur, le souvenir honteux reparaît à sa mémoire. Il se
croit
corrompu, honni, indigne de l'amour d'une jeune f
evaux. M. Gustave Le Bon le considère comme plus intelligent qu'on le
croit
généralement et le déclare susceptible de ruses i
nué pendant l'hypnose de 0 à 3 600 ; après un choc émotif leur nombre
croit
de 0 à 2.400, Enfin il faut ajouter que le suje
diverses fuites, le désir de se cacher ; il étale son indignité II a
cru
, eu venant à la maison de santé, qu'il venait enc
qu'il venait encore à une consultation ; du moins on le lui a laissé
croire
, et, lorsqu'il comprit qu'il était privé de sa li
ique était le sujet que l'on hypnotise. Avec la Tarnowska, si l'on en
croit
les professeurs Cappellati et Biunchi, le rôle au
entraîne fatalement à une existence faite d'expédients. Si l'on en
croit
les avocats, la constatation de cette infériorité
nécessité de l'enseignement de la psychologie médicale, mais nous ne
croyons
pas à la possibilité de l'organiser d'une façon e
l'organiser d'une façon effective dans les facultés de médecine. Nous
croyons
que( pendant longtemps encore, cet enseignement n
itique et l'esprit de croyance. Le dernier terme signifie quelle doit
croire
à la perfectibilité. « Persuadée de la grandeur
étri par Pasteur, a Le sceptique, dit Claude Bernard est celai qui ne
croit
pas a la science et qui croit a lui-même ; il cro
ue, dit Claude Bernard est celai qui ne croit pas a la science et qui
croit
a lui-même ; il croit assez eu loi pour oser nier
est celai qui ne croit pas a la science et qui croit a lui-même ; il
croit
assez eu loi pour oser nier la science et affirme
ant ; Il ne doute qne de lui-même et de ses interprétations ; mais il
croit
à la science ». La clinique moderne pent être fi
éthode. Parmi les applications très heureuses qu'il en a faites, nous
croyons
pouvoir mettre en première ligne sa façon de voir
s avec quelque curiosité, parce que c'était nouveau ; on pouvait même
croire
que les suggestions avaient porté ; mais il fallu
de Gros) a combattu l'erreur, très répandue parmi les hypnotïstes, de
croire
que la suggestion prend son point d'appui sur la
terminer en lui, ne faut-il pas qu'il accorde une certaine foi, qu'il
croie
, dans une certaine mesure, aux assurances incroya
ructifs. En attendant qu'on dresse cette intéressante statistique, je
croirais
presque pouvoir avancer, en me fondant sur un cer
ouvé, du moins comme infiniment probable, et, partant, me détermine à
croire
que, les autres hommes étant organisés entièremen
ment comme moi un cerveau, je suis, dis-je, invinciblement entraîné à
croire
, à conclure par voie d'induction, que ce cerveau
rd'hui, je le sens, c'est inutile d'essayer plus longtemps. » Je ne
crus
pas devoir insister davantage, et, la laissant as
t met le sien à la place ; elle ne choisit pas forcément, comme on le
croyait
, un nid où les œufs ressemblent au sien. Donc, ce
venir la cause de la perte de ses propres petits ? On avait d'abord
cru
que les oiseaux couvaienttout œuf qui leur était
paroxysme. L'auteur est d'un avis différent de celui d'Hitzig, qui
croit
que le mécanisme intellectuel des obsédés est exc
infini se met de la partie — et une observation scrutative permet, je
crois
, de trouver le joint de la difficulté. Ce joint,
Moi propre- ment dit, de la « superconscience » ? Rien n'oblige à
croire
qu'il en soit ainsi ; et, d'après le récit du pat
stionne à l'idée de la toute-puissance du moyen surnaturel dont il se
croit
en possession, et dans lequel il a une foi d'auta
etc.), de frictions sur le corps, etc. Je dois dire aussi qu'ayant
cru
devoir, au commencement, appliquer un vésicatoire
sser un membre qui a fait défaut d. on ne peut non plus s'empêcher de
croire
, avec lui, que a la suggestion hypnotique est un
. La peur le saisit d'être atteint de la même maladie, et il arriva à
croire
qu'il avait un cancer au sein gauche. Il ne qui
e peur que le froid n'aggravât la prétendue maladie. Un beau jour, il
crut
sentir des douleurs dans le bras et le porta déso
treprenait. Dès qu'il causait d'affaires, il se sentait embarrassé et
croyait
que tout le monde devait s'en apercevoir. Cette d
ire de lui suggérer le souvenir de scènes et d'événements auxquels il
croira
avoir assisté et qui n'ont jamais existé en réali
des souvenirs suggérés de scènes ou d'événements auxquels les sujels
croient
fermement avoir assisté, bien que ces événements
impulsion existant dans beaucoup de cerveaux à l'état latent? 11 faut
croire
que le législateur l'a pensé, car il s'est appliq
l. Des faits observés et provoqués expérimentalement par nous, nous
croyons
pouvoir déduire les conclusions suivantes: 1° U
ifestations de la dégénérescence : un syndrome épi-sodique. On semble
croire
que les kleptomanes sont des individus qui volent
té. Il est certain que la plupart des femmes volent parce qu'elles se
croient
assurées de l'impunité. La surveillance actuell
'hérédité lui semble jouer un rôle beaucoup moins important que ne le
croit
l'Ecole allemande contemporaine : c'est à l'influ
intéresser, d'une part que les naïfs qui aiment le merveilleux et les
croient
tels, d'autre part le petit nombre do ceux qui en
plus ainsi si on ne la considère plus que comme facteur adjuvant. Je
crois
d'ailleurs qu'une cause unique, quelle qu'elle so
e cause et de réussir, qu'à toute autre, à l'alcool par exemple. Je
crois
avoir démontré, après bien d'autres, dans mes écr
38, ot passim. damnation et l'exécution s'il y a lieu ? Je ne le
crois
pas, quoique, depuis quelques années, il y ait év
ais, à part ce petit palliatif, qui dépend du garde des sceaux, je ne
crois
pas que ce soit là le remède. Au commencement de
à toutes les libertés? D'autre part,, il ne faut pas s'illusionner et
croire
qu'une société jouisse de beaucoup de libertés, i
journaux le compte rendu détaillé des affaires criminelles? Je ne le
crois
pas. Comment arriver à ce but, puisque l'action g
aussi se réveillait-elle exactement à l'heure indiquée. On pourrait
croire
que la notion de la marche du temps est en rappor
ate cette faculté de la mesure du temps chez certaines malades, je mo
crois
autorisé à affirmer que la guérison par la sugges
onnels des organes génito-urinaires. Leur anxiété estîextrême, ils se
croient
gravement atteints et l'habitude morbide entretie
ttombante et de la solitude ; peur anxieuse de la mort, que la malade
croit
très prochaine ; nuits agitées, coupées de réveil
e et qu'elle songe avec cton-nement au temps déjà lointain où elle se
croyait
au moment d'en finir avec la vie. Observation I
gne avec une médication appropriée le guérira bien plus vite qu'il ne
croit
et d'une manière définitive. Au bout de quelques
non plus l'alcoolisme. Le malade ne parlait pas, ne voyait pas. On a
cru
qu'il était aveugle parce que ses paupières ne bo
is jamais il ne lui est rien arrivé de pareil ; aussi persiste-t-il à
croire
que son compagnon lui a mis a quelque chose de co
ux assistants. Ceux-ci, qui n'avaient pas été prévenus de mon action,
crurent
qu'il s'était endormi par imitation, par sympathi
ur de Liège a consacrées à d'importantes questions de biologie, sont,
croyons
-nous, de celles qui lui ont fait le plus d'honneu
que M. Dubois-Reymond a appelé les sept énigmes du mondel. Delbœuf
croit
qu'il est possible de découvrir « des joints qui
se fit en quelque sorte le parrain de l'invention. Puis M. Paul Janet
crut
pouvoir, tout en déclinant sa compétence, donner,
e l'univers, qu'il va consacrer ses recherches et sa discussion. Il
croit
à la liberté, et non pas seulement à la liberté d
otre service. Ainsi voici un cas où le médecin traitant a si bien
cru
à des désordres matériels du fond de l'œil, qu'il
emple le plus connu de suggestion, le vol dit à l'américaine. Le dupé
croit
les assertions les plus invraisemblables des vole
cérébral consécutif à une otite, et qui fut trépanée in extremis. On
crut
, après l'opération, à de la syphilis. En tout cas
d'étudier à fond ce nouveau trouble du langage. Pour nous, nous avons
cru
de notre devoir de jour- (1) Marcotte. — De l'h
uire. C'était là une faute capitale, car, contrairement à ce que l'on
croyait
alors à Paris, le sujet endormi, qui semble ne pa
suprême degré, de brûler ce qu'il avait adoré la veille, et, quand il
croit
avoir reconnu l'erreur d'une théorie scientifique
elui-ci veut qu'elle voie, ne sent que ce qu'il lui dit de sentir, ne
croit
que ce qu'il veut lui faire croire, ne fait que c
que ce qu'il lui dit de sentir, ne croit que ce qu'il veut lui faire
croire
, ne fait que ce qu'il lui dit de faire. Cet aut
e j'en voulais tirer. Je ne puis entrer ici dans tous ces détails. Je
crois
fermement que Delboeuf, de la meilleure foi du mo
it des travaux philosophiques de l'ami que nous venions de perdre. Je
crois
ne manquer à aucune convenance, en donnant ici te
ous me demandez ce que je pense de ses travaux philosophiques. Je les
crois
tous marqués au coin d'une verve véritablement cr
dans le grand nombre des questions traitées par Delbœuf, il n'a pu se
croire
assuré — il ne l'a jamais dit d'ailleurs — de ren
de contradiction. Rien ne l'arrêtait, quand il voulait dire ce qu'il
croyait
vrai ; aucune autorité, aucune déférence, aucune
etiré qu'un profit passager; où le succès a été réel, il a été dû. je
crois
, à la suggestion, qui est largement utilisée, quo
chose de plus est requis comme tonique mental et moral ; et ceci, je
crois
, ne peut être réalisé que par la suggestion hypno
aquer à ses occupations. Dans les cas de dipsomanie héréditaire, je
crois
que l'hypnotisme est le seul remède qui ait une c
otique et c'est ce qu'elle désirait. Elle était vraiment folle, et je
crois
qu'on l'a mise depuis dans un asile d'aliénés.
asser », disent les spencériens, le remède viendra du mal lui-même.
Croient
-ils que, par sélection, la race des joueurs dispa
ersonne, certain objet portent chance, cet autre la guigne. Le joueur
croit
sentir qu'il va gagner; il court alors: aucune au
. On fait perdre le cheval plusieurs fois de suite, et, quand tous le
croient
mauvais, il devient gagnant. Les fortunes s'édifi
t présent dans nos guerres : celui qui a la foi, que rien n'abat, qui
croit
toujours au succès, finit par 1 "obtenir. Toutes
M. Camille Saint-Saens, qui a écrità ce livre une éloquente préface,
croit
que oui. L'auteur pense que non, et il appuie son
s, apportant des renseignements, demandant des conseils. En France,
croyons
-nous, ces articles ne furent pas remarqués. Il fa
suggestion des Khôdjas ou savants musulmans. C'est à ce titre que je
crois
devoir en faire hommage à la Société d'hypnologie
hypnotique sur des sujets à eux inconnus. Ce chapitre intéressera, je
crois
, beaucoup les personnes désireuses d'être initiée
es symptômes physiques, généraux et fonctionnels. m. Bérillox. — Je
crois
que les deux termes peuvent être Indifféremment e
que vos lecteurs ont dû me prendre pour un bourreau. Mon sujet avait,
croyez
-le bien, autre chose à faire qu'à me servir de so
rétiques, et à certains symptômes que nous décrirons plus loin, je me
croyais
en présence de crises de coliques dues à l'entéri
orces dont il est lui-même animé. Mais ce serait une grande erreur de
croire
que la suggestibilité, c'est-à-dire l'aptitude à
femme doit se dire que l'heure de la retraite a sonné pour elle, elle
croit
que désormais elle a perdu toute attraction pour
profond, plus son action curative est considérable, même lorsqu'on ne
croit
pas devoir le compléter par des suggestions verba
mplètement. Reconnaissant, à l'inspection, des lésions oculaires, ils
crurent
à un épisode inflammatoire survenu dans l'histoir
'essayer la suggestion chez cette malade. Imbu et ajuste raison, je
crois
, des idées et des procédés de l'Ecole de Nancy, o
alade : « Mon enfant, jusqu'ici, on a mal soigné tes yeux, si tu veux
croire
en moi, je te promets de te guérir complètement,
it de s'opérer, cela au grand étonnement de sa mère qui ne pouvait en
croire
ses yeux. Cette guérison remonte à un an. J'ai
ective du phénomène hypnotique, la plupart lui reprochent: 1° d'avoir
cru
à la phrénologie; 2° de n'avoir rien connu à la s
a première fois, à une séance de mesmérisme donnée par Lafontaine. On
croyait
encore, à cette époque, que le phénomène mesmériq
sement à en découvrir la cause physiologique. Dès le soir suivant, il
crut
avoir trouvé ce qu'il cherchait et, après une sui
re aucun des rapports qui en avaient été faits. A cette époque, Braid
croyait
à l'origine physique du phénomène hypnotique et e
t ni fluide magnétique n'était nécessaire. A cette époque, Braid ne
croyait
pas que le phénomène d'hypnotisme était le résult
as dans lesquels il avait observé ces phénomènes sur des sujets qu'il
croyait
absolument ignorants de la phrénologie et qui, pa
s moins si complètement accompagnée par la somnambule qu'on aurait pu
croire
qu'il n'y avait pas deux voix distinctes. M. Brai
; b Exposer dans un paragraphe spécial les relations que vous avez
cru
observer entre ces deux formes. 3. — A quel âge
u en dirigeant d'une certaine façon le cours de vos pensées ? 28. —
Croyez
-vous pouvoir les faire cesser ; a. Par un effor
u'il voit il le prend pour réel, et, comme il voit et perçoit peu, il
croit
percevoir tout et se croit en possession de la vé
réel, et, comme il voit et perçoit peu, il croit percevoir tout et se
croit
en possession de la vérité. La confiance exagérée
a elles ont une importance capitale pour le sujet qui nous occupe. Je
crois
, en effet, la dégénérescence névropathique indisp
ait à peine écoulée, qu'elle revenait en courant dans mon cabinet. Je
crus
que M. X... avait eu une attaque. Non, mais depui
r le pourquoi de ce mariage précipité après une remise à six mois. Je
crus
, dans l'intérêt de la jeune fille et de sa mère,
étaient des névropathes dégénérées, et j'ai déjà dit plus haut queje
croyais
cette condition indispensable à la genèse de tout
aiment extraordinaires ; la seconde avait toujours été mal réglée. Je
crois
que c'est encore là une condition favorable à la
é au Congrès d'anthropologie criminelle de Genève en 1886 et que nous
croyons
devoir soumettre à l'attention de nos collègues d
etc. Avant de donner un aperçu des derniers, ouvrages de Braid. je
crois
bon de citer certaines opinions exprimées à son s
ascination de la pensée, qu'elles paraissaient ne plus exister, et je
crus
pouvoir conclure que cette concentration d'attent
entrée et que les facultés du sujet y sont devenues plus intenses, je
crois
expliquer clairement la question et la rendre int
qui nous est cher, agit sur nos pensées et sur nos sentiments. Et je
crois
pouvoir affirmer que l'espoir et la confiance dan
n réelle de force nerveuse ou vitale de l'opérateur au patient. Je ne
crois
pas que, dans ce cas, A perde une somme de force
cas, A perde une somme de force équivalente à ce que gagne B ; je ne
crois
pas qu'un prédicateur, un orateur ou un auteur pe
ouverait nécessairement que la théorie magnétique est vraie. Mais, je
crois
, au contraire, que la lecture attentive des œuvre
qui persiste, suivie de (lueurs blanches, la jeune fille pourrait se
croire
parfaitement guérie. C'est au mois de novembre
r la vivacité de son imagination qui, dans cet état, la déterminait à
croire
comme réel ce qui était seulement de pures fictio
de Wakley. Le dernier, opérant avec un métal non-mesmérique, faisait
croire
le contraire aux patients, sur quoi ceux-ci s'end
le l'attention était attirée. Comme il ne paraissait pas disposé à me
croire
, je lui dis que je pourrais accroître la secrétio
que si je suspectais très fortement l'explication, j'étais incliné à
croire
le résultat parfaitement possible : l'ardente ima
e de trente ou cinquante courtes années. Comment, après cela, peut-on
croire
et soutenir que la manière de penser et d'agir d'
du corps populaire ; du poing populaire ou de l'estomac populaire. Je
crois
, par contre, qu'il est dans les conditions organi
eu près comme de l'eau dans des tuyaux de plomb, et, là où le génie a
cru
expliquer par le mot, il a quelquefois obscurci,
'annihiler et de disparaître complètement; seule l'aptitude exclusive
croit
et s'hypertrophie, pour ainsi parler. Mais ces gé
mai 1897) vient de publier un résumé de ce remarquable rapport. Nous
croyons
devoir en extraire et mettre sous les yeux de nos
nt pour obtenir les effets bienfaisants du sommeil nerveux ; beaucoup
croient
à tort que la perte complète de la conscience est
gouttes, dosé qu'ils ont portée plus tard à 40 centigrammes. A en
croire
nos recherches, la toxicité de l'acéto- phénone
étophénone des propriétés somnifères si puissantes qu'ils avaient
cru
trouver dans cette substance l'hypnotique par e
ouvent elle est encore la seule possible. C'est pour cela que je ne
crois
pas inutile de réunir en quel- ques pages les p
: la pyromanie est inconnue à la ville. Pourquoi ? La raison, je le
crois
, en est surtout dans l'imitation. Les maladies
ubla tout à fait, devint très pâle, et fut pris de tremblements. Je
crus
qu'il parle- rait et je le pressai de questions
oyé à Sainte-Anne et soumis à l'observation de M. le D' Ball. Je ne
crois
pas que Mer... ait été plus franc avec lui. Quo
te de potasse, niais comme, à cause delà mollesse du tissu, j'avais
cru
devoir plonger pendant quelques jours le cervea
e vocable Paranoïa est employé en psychiatrie. En effet, si l'on en
croit
Bucknill 6 4 REVUE CRITIQUE. et Tuke, Vogel e
ersécution. A l'acmé de la maladie, l'inco- hérence est telle qu'on
croirait
à un délire fébrile. Dans cer- tains cas il y a
ins à la chose en elle-même qu'au terme choisi pour la désigner. Je
crois
, pour ma part, qu'il ne saurait donner lieu à u
plupart des traits essentiels de la dégénérescence héréditaire, je
crois
que c'est encore à cette dernière que revient l
hénomènes si singu- liers qu'on observe chez les hystériques. Je ne
crois
pas que les tendances du professeur de Nancy in
ssayé une théorie physiologique des phénomènes de la suggestion; je
crois
qu'elle se rapproche de l'attention, et qu'elle
es sections. Il emploie pour le contrôle des horloges spéciales. Il
croit
aussi que la proportion de 10 p. 100 formulée p
escendante est-elle coupée, son centre correspondant s'atrophie. Je
crois
avoir trouvé une voie qui de ce centre va vers
pas pour cela que je suis à la tribune ; et si j'y suis le premier,
croyez
, messieurs, que c'est moins pour exercer un dro
sion ineffaçable qu'ils avaient produite sur mon esprit. Pouvais-je
croire
alors, que j'aurais un jour à les évoquer devant
ication. La commission, d'accord sur ce point avec le Gouvernement,
croit
les avoir trouvés, en exigeant pour tout placem
ion. Voilà les points principaux du projet de loi sur lesquels j'ai
cru
SÉNAT. 145 nécessaire de fixer votre attentio
allez délibérer. La commission vous présente des solutions qu'elle
croit
pouvoir répondre à tous les besoins. Elles sont
court résumé de ces délibérations à la suite de mon rapport, et je
crois
ce résumé suffisant pour faire reconnaître que le
ar l'administration elle-même. C'est pourquoi la commission n'a pas
cru
devoir laisser plus longtemps dans le droit com
sont pas bons pour la gestion des affaires publiques en général, je
crois
pouvoir dire qu'ils ne contribuent pas à la bon
Sénat au mois de mai 1884. La commission, sinon son rapporteur, se
croyait
alors presque aux termes de sa tâche ; elle éta
r le principe même du projet qui est soumis à vos délibérations. Je
crois
qu'il y a lieu de modifier la loi de 1838, de l'a
ons ; mais elle ne permettait certes pas, comme on a trop semblé le
croire
dans l'opinion publique, de faire enfermer dans
vis-à-vis des aliénés ? Pour ma part, je n'irai pas jusque-là ; je
crois
qu'il y a eu des abus. D'ailleurs, les lois les m
mêmes intentions, nous voulons arriver aux mêmes résultats; mais je
crois
, pour ma part, que la commission a introduit da
elui qui est relatif'à ce qu'il appelle la taxe sur les aliénés. Je
crois
que cette taxe est de nature à soulever les plu
aliéné dans sa famille ! Je ne pense pas que cela soit juste, je ne
crois
pas que cela soit humain. J'estime qu'un pareil
ns à gauche.) ... Ceci, messieurs, est plus pratique que vous ne le
croyez
! ... Vous allez le voir : j'ai l'air quelquefo
le langage que M. le ministre de l'intérieur aurait dû tenir, et je
crois
qu'avec de la persévérance il serait arrivé à s
moyens humains, voilà ce qu'il pensait de l'art de gouverner. Et ne
croyez
pas que l'art d'administrer soit différent de l
i pas des arguments apportés par l'honorable M. de Gavardie, car je
crois
qu'ils reposent en général sur des erreurs qu'u
celle du préfet. Messieurs, lorsque la question se discutera, je
crois
pouvoir af- firmer que ce reproche ne pourra pa
une modilicaton à apporter dans le sens que je viens d'indiquer, je
crois
pouvoir maintenir que ce second reproche, adres
Mon Dieu, messieurs, puisqu'il s'agit d'équité et d'humanité, je
crois
que c'est la commission du Sénat qui leur donne l
nt avantageux. Elle l'a emprunté à l'Angleterre, et elle persiste à
croire
qu'il devrait être adopté dans notre pays. En
drons, avec vous, tous les points en détail, si vous le désirez. Je
crois
, messieurs, qu'au fond M. le ministre est du même
e f contient trois ou quatre paragraphes très importants et qui, je
crois
, don- neront lieu à de longs développements. Il
a NOUVELLE LOI SUR LES aliénés. En reproduisant ces débats, ? toits
croyons
être agréable à tous les médecins des asiles d'
ue l'on trouvera des signes d'aphasie motrice, alors que l'on s'est
cru
la veille en présence d'une aphasie Archives, t
les et non moins faciles à. caractériser; en d'autres termes, je ne
crois
pas que le diagnostic ait été porté aux dernièr
travail non moins remarquable, M. G. Bal- let admet avec raison, je
crois
d'après H. Munck 3 ' Liclteim. - a) Communicati
ussitôt d'une attaque convulsive, il perdit connaissance à ce qu'il
croit
. d'attaque passée, il se rappelle avoir bien do
en somme, elles sont devenues plus fréquentes et plus fortes. Il a
cru
remarquer qu'elles se produi- saient moins quan
a moelle. L'hypothèse de Friedreich a bien quelque probabilité ; il
croit
que l'affection provient d'une excitabilité exa
ction, les bras devinrent maladroits et leur incoordination motrice
crut
graduellement jusqu'au point où UN CAS DE MALAD
il 1883), une discussion s'en- gage (séance de juin 1883), que nous
croyons
intéressant de résumer : M. Jastrowitz dit qu'i
poque d'apparition de la folie systématique ultérieure, on pourrait
croire
que le même individu a été successivement atteint
inale, thrombose intracrànienne, thrombose pulmonaire), z M. Hebold
croit
que les trois gros abcès du cerveau ont dû 1 Vo
ysipèle, mais l'étude attentive exclut ce diagnos- tic et permet de
croire
que la tuméfaction et la rougeur de la joue dro
de lésions. On n'obtient aucun soulagement, comme on pourrait le
croire
, par l'application de l'atropine et d'autres séda
principaux de son évolution. Je ne partage pas cette opinion et je
crois
que les faits concor- dent peu avec les affirma
est là évidemment une contradiction dans la thèse de M. Garnier. Je
crois
, en conséquence, que nous devons rejeter cette in
obligent à considérer la mégalomanie comme une entité. M. Garnier a
cru
devoir blâmer cette expression, que j'ai employée
s maladies constitutionnelles. M. Charpentier est loin cependant de
croire
aux prétendues folies hémorrhoidaires, arthriti
armi les dégénérés héréditaires et les persécutés vrais n'a pas, je
crois
, l'importance qu'il y attache. Il affirme que j
lirants chroni- ques arrivent à la démence. Je ne le pense pas ; je
crois
, au contraire, que la démence proprement dite e
mier aspect, peuvent sembler étrangers à la loi sur les aliénés. Je
crois
que le Sénat reconnaîtra, pour cet article comm
ru commander de mettre plus de précision dans la loi nouvelle. 11 a
cru
devoir caractériser et définir l'asile d'aliénés,
iénés auxquels sont destinés les établissements de traitement. On a
cru
parvenir, et on est par- venu, à l'étranger, à
- tant le paragraphe proposé par le Gouvernement, la commission a
cru
devoir en changer un des termes. Elle a trouvé qu
e explica- tion aussi longue à la question de M. Bardoux, mais j'ai
cru
néces- saire d'appeler sur les colonies d'alién
oins à le consoler de sa perte, le Gouvernement français, l'Etat, a
cru
remplir un devoir qui lui incombait en créant d
ement et économiquement aux pays qui en sont dotés. La commission a
cru
que le Gouvernement, l'Etat français, dans un p
ues indigents ? Telles sont, messieurs, les explications que j'ai
cru
nécessaires pour faire admettre le dernier para
Etat. Cette question peut venir à l'occasion d'une loi générale. Je
crois
que ce principe gagne de jour en jour des adept
i ont été prononcées par M. le commissaire du Gouvernement. Nous ne
croyons
pas que le voeu émis par la commission dans le
ffet qualifie bien exactement la rédaction de ce paragraphe nous ne
croyons
pas, dis-je, que ce voeu soit mauvais et qu'il
agraphe soulève une question de principe extrêmement grave. Si nous
croyons
avec votre commission qu'il serait désirable d'
Sénat 276 SÉNAT. a des lois à faire. Pour ces deux raisons, je no
crois
pas que la rédaction de M. Testelin soit accept
grand nombre de membres de cette Assemblée, à la majorité même, je
crois
, en adoptant la rédaction suivante que j'ai l'h
pour le traitement des jeunes épileptiques. n Sous cette forme, je
crois
que le troisième paragraphe pourrait être voté pa
t d'exercer un contrôle reconnu indispensable. Voilà, messieurs, je
crois
, des explications suffisantes poin, donner sati
die. Si je ne fais pas d'erreur sur la portée de cette question, je
crois
que, dans tous les cas, la question pouvait se
établissement ». Dans la pensée deM. de Gavardie, il s'agissait, je
crois
, de savoir si la faculté de réglementation par
moins vrai qu'au point de vue du texte l'erreur est possible, et je
crois
que la commission ferait bien, pour em- pêcher
t, en fait, d'une réalisation très difficile. La commission n'a pas
cru
toutefois que cet argument fût suffisant pour e
j'appelle les explications de la commission. M. LE Rapporteur. Je
crois
que c'est à M. le ministre de l'inté- rieur qu'
a question qui vient d'être portée à la tri- bune aurait trouvé, je
crois
, sa place, surtout dans la discussion de l'arti
être calculé le mon- tant des cautionnements. » - La commission a
cru
que ces précautions prises dans le para- graphe
intérieur. Parfaitement. M. Paris. Pour mon compte personnel, je ne
crois
pas qu'il puisse en être autrement. La sauvegar
NAT. 289 ment d'administration publique. Mais la commission n'a pas
cru
qu'il fût possible d'accorder au Gouvernement l
er les difficultés avec les propriétaires de la maison privée. Nous
croyons
que cett3 différence de traitement est jus- tif
e des garanties spé- ciales que la commission propose d'édicter. Je
crois
donc que je ne fais qu'entrer dans les idées mê
un de ses collatéraux jusqu'au quatrième degré inclusivement. Je
crois
qu'il y a-de grandes raisons pour en agir ainsi;
aliéné étranger ». J'ai agi ainsi pour entrer dans les idées que je
crois
êfre celles de la commission, mais pour éviter
ar le père, ni par la mère, ni par le conjoint, etc., du malade. Je
crois
que je suis parfaitement d'accord avec la com-
nvoyer l'amendement à la commission pour en vérifier les termes; je
crois
que nous sommes d'accord sur l'idée. Il ne rest
i peuvent être donnés au membre de cette famille ! Pour ma part, je
crois
que cette disposition va au delà de ce qui est
sont une exception dans l'article. Je ne comprends pas qu'il ait pu
croire
un seul instant que les proches parents dont il
plusieurs amendements que la commission n'a pas pu examiner, et je
crois
que le Sénat per- drait vraiment son temps à co
, ou par un étranger. Dans ce cas, la SÉNAT. 299 commission avait
cru
qu'il y avait lieu d'assujettir les personnes q
et c'est sur ce point que j'appelle toute l'attention du Sénat. Je
crois
qu'à côté des droits de la famille il y a le de
ernement nous avait fait à l'origine une proposition différente. Je
crois
qu'il dispensait de la surveillance les aliénés
t une proposition nouvelle et différente de celle qui avait été, je
crois
, exposée dans le sein de la commission par son
déposé par un de mes prédécesseurs; mais, en ce qui me concerne, je
crois
que l'Etat doit dans certaines limites, que vou
plusieurs reprises, entendus dans la commission. M. le Ministre. Je
crois
que, du moment qu'un aliéné estséques-, tré, la
la nouvelle LOI sur les aliénés. En reproduisant ces débats, nous
croyons
être .agréable à tous les médecins des asiles d
ROCURSIVE proprement DITE. Dès l'abord, avant tout historique, nous
croyons
utile pour mieux faire comprendre au lecteur ce
rouvait des vertiges ; leur début re- monte au mois d'août 1883. On
croit
que les accès ont augmenté de fréquence à la su
l'état de ratatinement des circonvolutions voisines ; ce que je ne
crois
pas, mal- gré le manque d'examen histologique,
r l'interprétation théorique ration- nelle. En agissant ainsi je ne
crois
pas m'être sen- siblement écarté de la méthode
s, en dernier lieu, comme précurseur de la terminaison fatale. Je
crois
que cette affection est toujours mortelle lorsque
ors qu'on supprime l'alcool. En n'écoutant que mon expérience, je
crois
que cette permission est inutile et qu'il est pré
ondaires. Nous en avons nous- même' 3 rapporté un exemple, que nous
croyons
typique. Mais c'est surtout en nous reportant a
de craintes vagues, il redoute des acci- dents ; dans l'enfance, il
croyait
parfois en marchant qu'il allait perdre l'équil
«Je suis un misérable, tuez-moi, j'ai tué mon père et ma mère. » Il
croit
qu'on veut l'empoisonner, refuse de manger, il
e le sujet fréquentait de préférence une certaine détenue; son père
croit
avoir re- 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. marqué un pe
ce. Du délire chronique (suite de la discussion.) M. M. Briand ne
croit
pas que le délire des persécutions, tel qu'il a é
n individu qui, ayant été souillé par un individu du nom de Michel,
croyait
s'entendre appeler « Mieliel.le... sodomiste ».
affirmer que son délire n'aura pas évolué. Il ne faut pas cependant
croire
que les observations des déli- rants chroniques
lire des grandeurs vient s'ajouter aux idées de persécutions, il ne
croit
pas que cette évolution constitue une règle fix
e à la débilité mentale ; et la proportion de ces débiles criminels
croit
dans la grande ville. L'aggloméra- tion exagéré
, l'article 3 et l'article 40, les dispositions que la commission a
cru
devoir réunir en un seul. L'article 10 du Gouve
nt le titre III de la loi. 11 est vrai que la com- mission n'a' pas
cru
qu'il fût nécessaire ici d'une disposition péna
mentanément à un de ses membres ou à un ami une per- sonne que l'on
croit
malade, mais sur la gravité de la maladie de la
oppées à la tribune par notre honorable collègue avaient frappé, je
crois
, beaucoup d'esprits dans le Sénat et je dirai le
u domicile privé. Ce scrupule est fondé. C'est mon opinion. Mais je
crois
, étant donnée la compo- sition de la commission
r ont suggéré le projet en discussion. Je pense qu'ils existent; je
crois
que, en effet, cette mesure peut être jus- tifi
E Président. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Je
crois
, messieurs, que sur le fond même de l'article 7
aire au sujet de l'aliéné gardé et traité dans sa famille, j'aime à
croire
qu'aucun de ceux qui m'entendent n'aura à régle
nsiste pas, comme le sens grammatical de ce mot pourrait le faire
croire
, à placer un aliéné dans la solitude, dans des co
, qui sont en effet, comme on l'a dit, étroi- tement connexes. Je
crois
, messieurs, avoir suffisamment répondu à la quest
et publiés même par les esprits les mieux doués. Ou a ob- servé ou
cru
observer des phénomènes rappelant les merveilles
siles d'aliénés proprement dits se répand de plus en plus et c'est,
croyons
-nous, une sage coutume. Dernièrement, c'était à
la nouvelle LOI sur LES aliénés. En reproduisant ces débats, nous
croyons
être agréable à tous les médecins des asiles d'
être désignée par une appellation spéciale, C'est pourquoi nous avons
cru
devoir créer pour elle un néologisme, onychophagi
e ; elle est bonne musicienne. Elle dort bien la nail. Ses parents ne
croient
pas qu'elle se livre à l'onanisme. Dans relie obs
l'absence de niauifes- talions héréditaires chez, le sujet, nous
croyons
devoir reporter le développement de l'habitude à
: « Je ne sais pourquoi je dis tout cela ; ça nie vient tout seul, je
crois
moi-même que c'est la vérité que je dis. n A 1
r nous il est évident qu'il v a là autre suggestion, que cette enfant
croit
ce qu'elle dit. en un mot que son étal mental est
fois, peut rendre la vulgarisation dangereuse : « J ai peur écrit, je
crois
. Leibtutz . que les grands médecins fassent mouri
ar l'administration de l'asile : — Visite des Sables-d'Olonne. Nous
croyons
devoir rappeler à nos confrères des asiles que la
d'uriner qui le faisait horriblement souirrir. Les médecins traitants
croyaient
à l'existence de calculs. Ou avait essayé plusieu
inué à se faire sans effort et sans douleur et régulièrement, j'avais
cru
pouvoir dire aux parents que. dans mon opinion, i
rer l'attention des sujels qu'il endormait sur un objet île lu vision
crut
«pie le sommeil ainsi produit était non seulement
l y a encore pour cela, un autre facteur bien différent de ceux qu'il
croyait
exister: c'est l'idée de dormir. Car si l'idée de
qui existe entre le sommeil ordinaire et celui qu'il faisait naître,
crut
faussement qu'il avait déterminé un sommeil spéci
lus de dix mois, Mme D... n'a eu rien qui lui rappelle sa maladie. Je
crois
être autorisé à considérer ma malade comme complè
er par Ia fenêtre l'âme de son cousin mort quelques jours avant. elle
croyait
entendre la voix de Louis lui parler, et surtout
inion ont leur raison d'être: ils vont vers ceux qui rendent nu qu'on
croit
capables de rendre les services différents ijue r
êves, plus souvent chez eux que chez moi. Loin de lu. Je suis porté û
croire
qu'il doit exister des rêveurs, même en dehors de
ges sensibles remémorées,'et même en plus grande quantité qu'on ne le
croit
. Excepté la vue, lorsque les paupières sont close
ines complet, suffisamment distinct qui sera le Tolstofsme? Je. ne le
crois
pas. Mais, cependant, il est possible de prendre
-dre pour donner naissance à la philosophie de l' autour. L'homme
croit
trouver le bonheur dans l'amour. là encore ¡1 se
s lesquels le crime n'est que le symptôme de l'affection mentale ; on
croit
punir un coupable ; on frappe nu malade déjà irre
z M, Y... la pensée de luer son père: le coup qu'il a reçu lui donne,
croit
-il, le droit de lui ôter la vie. Cette idée d
e se passer, en sorte que ceux qui l'entendent après coup, ne peuvent
croire
que c'est un acte de folie qu'il a commis, tandis
outable. A-t-il voulu effrayer? A-t-il voulu se suicider? Que doit-on
croire
? Dans la même journée il voit une grande échell
pour le retenir; ceux qui l'approchent et causent avec lui ne peuvent
croire
qu'il soit aliéné. Il s'occupe de lectures scient
lu à l'irresponsabilité complète du malade, je dis complète car je ne
crois
pas. après avoir lu celte observation qu'on puiss
en se porter et comme ses parents me disent la même chose nous devons
croire
à sa guérisou. sinon complète, du moins momentané
tion pour s'opposer à de basses actions que l'on cou-çoit et que l'on
croit
exécuter, on ne résiste pas d'avantage à des impu
table qui me sautait aux yeux, je fus amené, il v a plus de 30 ans. à
croire
que. comme chez les somnambules naturels, l'autom
devait rester lettre morte. Il n'en a pas été ainsi et le ministère a
cru
devoir faire bénéficier M. A Mère Denis, de Liège
nt je viens de vous parler ». Tel est. messieurs, l'objet dont j'ai
cru
devoir vous entretenir. M. Gille. — Le Moniteur n
mander au Ministre des renseignements sur la mesure qu'il a prise. Ne
croyez
-vous pas devoir agir de la sorte ? M. Choco. —
nt. — Nous vous laissons libre. Monsieur Crocq. d'agir connue vous le
croirez
le plus convenable. M. Masoin. — En principe. M
découverte de certaines maladies, je ne l'ai pas constatée, et je n'y
crois
pas. M. Thiry. —Allons donc ! Ne parlons pas de
re que l'honorable M. Crocq vient de nous remettre ! M. Thiry. — Je
crois
bien qu'il ne peut pas reconnaître les maladies !
si ce n'est l'Académie ou une Commission médicale ? M. Masoin. —
Croyez
-vous d'ailleurs que cet homme pratiquera l'hypnot
e sans l'assistance de médecins ? J'aî de sérieux motifs de ne pas le
croire
. M. Thiry. — Mon Dieu! voilà où nous en sommes
dre place dans les sciences médicales. Quant au danger physique, je
crois
que cette méthode n'est pas plus dangereuse que t
il v en a d'autres qui u acceptent pas cet automatisme psychique qui
croient
que les somnambules n'exécutent que les actes qui
est impossible de lever la main et qu'il réalise cette suggestion, je
crois
que dans les voies nerveuses qui conduisent du ce
et hors d'état de servir sa patrie ? Je l'ignore, mais j'en doute; je
crois
que l'exaltation du moment, la voix entraînante d
ne fois endormis ont exécuté ce qu'ils axaient entendu ou compris. Je
crois
que celle malade est un sujet très intéressant à
n anglais qui vivait au temps de Henri Ili. il fait une maladie qu'on
croirait
incurable. Il est comme ravi en extase: mais bien
Verriers, si compétent en matière d'hypnotisme. « A la présente je
crois
devoir joindre. « Une lettre de M. le Dr Frtipo
erveux a la suite de traumatisme. Beaucoup plus souvent qu'on ne le
croit
l'œdème qu on voit survenir après un traumatisme
ie du début des accidents et la rapidité de leur disparition lui font
croire
qu'il s'agit de troubles simplement nerveux. No
res qui sembleraient a priori condamner l'unité pathologique que nous
croyons
cependant exister en eux. Ces différences d'aspec
lum vil». M. de Levita était commis marchand a Itotterdam. mais ayant
cru
se découvrir de bonne heure un pouvoir extraordin
'hypnotisme et de magnétisme. Il m'a paru suffisamment instruit et je
crois
qu'il possède des notions {peut-être plus étendue
illant n'ait pas été signalé plus tôt par quelques observateurs. Je
crois
pouvoir à cette observation, d'ailleurs très just
'ai le sommeil agité. « Sans parler de cent autres petites misères.
Croiriez
-vous que je suis devenu nerveux comme une le m me
sait Spinoza, une pierre qui veut tomber et qui tombe aussitôt : elle
croira
que c'est elle-même qui s'est fait tomber. Pour L
e. Sans méconnaître pour cela l'excellence du livre de M. Ribot, je
crois
que la distinction admise par cet éminent psychol
ange, au bout de quelques jours, ou recul une lettre de ce fils qu'on
croyait
perdu pour toujours. Celui-ci, émerveillé de la m
ralysie fiscale' aurait disparu, ce qui ne se réalisa pas et fuit
croire
que celte paralysie était lrniim.-itiqiie. Avant
a sortie du corps étranger de l'oreille de la jeune Lucie, qu il -n y
croirait
que quand cette petite ne grimacerait plus en par
manière si touchante, pour ne rien examiner à propos de faits qu'ils
croyaient
au-dessous de leur raison, montrèrent ici. dans l
est des personnes qui n'acceptent pas l'automatisme psychique, et qui
croient
que les somnambules n'exécutent que les actes qui
avec avec anxiété, je ne dors plus, j'ai d'affreux cauchemars : « je
crois
voir une femme qui me poursuit sans trêve et m'ac
ériorisation ce que le Hochas appelle extériorisation, parce que nous
croyons
que ces phénomènes doivent être expliqués tout au
, avons-nous dit. faites sans paru pris, car nous avouons n'avoir pas
cru
jusqu'ici â ces phénomènes, prouvent que. chez ce
r auteur considère le phénomène qui nous occupe Comme fréquent, je le
crois
d une rareté exceptionnelle ; au lieu de considér
dérercette extériorisation comme «lue à des émanations fluidiques. je
crois
qu'elle dépend tout simplement de phénomènes phys
ète, ignoré de M. Mestiet, et cela de longue date; aussi j'ai lieu de
croire
que souvent il a dû discrètement sourire lorsqu'i
urelle. Il en nie la possibilité avec une telle maestria, que nous ne
croyons
pas que rien puisse jamais modifier ses convictio
gination, tout cela est atteint dans l'état neurasthénique, tout cela
croit
en vivacité ou en complexité dans l'état neurasth
ée de personne d'en suspecter la nature. Or. Chambige. s'il faut l'en
croire
, aurait été pris d'une passion violente pour M" G
ger de révélation, il a tué sa victime, eu arrangeant tout pour faire
croire
ù un suicide; quant à lui: il n'aurait jamais eu
passion, je n'en suis nullement convaincu. Je serais plutôt tenté de
croire
que. avec une bonté de femme sûre d'elle-méme, el
du a Constautiiie pour essayer de se procurer les 10.0110 fr. dont il
croit
avoir besoin, pour enlever Mme G... : pendant ce
par son cerveau, n'agit qu'en vertu de son impulsion. Celui-ci. sans
croire
même faire une suggestion formelle et intentionne
urir, au moins avec décence, et Mme G... ne l'aurait pas voulu ! Je
crois
donc, pour me résumer, que la victime de Chambigc
pour lui assurer la bienveillance de ses supérieurs et il y a lien de
croire
qu'il sera désormais dispensé des exercices capab
un être â |».u près incapable d'exercer une profession quelconque. II
croit
cependant qu'il lui serait possible d'être médeci
peut faire que de vagues conjectures sur leur dire. En résumé, je
crois
que. dans un procés criminel, la déposition d'un
coordination dont il résulte et qu'il ne constitue pas. On pourrait
croire
que ce sont là des distinctions subtiles, et que
que je n'avais commandé qu'à une seule. Marie T... Tout d'abord je
crus
que le second sujet avait accompli ces actes, pen
nte d'hvstérie. qu venait à la clinique «lepuîs déjà un mois et qu'on
croyait
comme réfrac-i taire, vint tout â coup apporter u
rmité délivrés, un peu à la légère peut-être, par des médecins qui ne
croyaient
pas du tout en agissant ainsi favoriser le pèleri
é. » Les hypnotiseurs savent bien qu'il est nécessaire que le sujet
croie
en eux ; aussi ne négligent-ils rien pour lui per
montagnes. (Chap. XVII. saint Mathieu.) Dans la cas particulier je
crois
absolument erronée l'opinion de certains esprits,
holiques actuels donnent-ils à la genèse des miracles? Aucune. Et ils
croient
qu'il n'y a miracle que lorsqu'il se produit une
e idée religieuse. Comme on l'appelait auprès d'une jeune fille qu'on
croyait
. morte, « Elle dort simplement ». dit-il, et il
de catégorie nous sera fournie par des pseudn-guéris qui de bonne foi
croient
avoir ét«- l'objet d'un miracle. « Il faut nous
ès thérapeutiques au médecin qui l'ordonne. Mais il ne faudrait pas
croire
que le nombre des malades guéris lut bien fort. O
grièvement blessé à la poitrine, était abandonné des médecins, qui le
croyaient
sur le point d'expirer. Ses camarades, qui le vei
ins. russes. suisses. turcs, américains du sud. On ne peut abandonner
crut
qui nons font coi honneur : 3° Le corps médic
aginé peut être que la suggestion a la prétention d'être infaillible?
Croit
-il qu'on peut au premier sujet endormi laire une
notisme et le crime ; afin Je bien exposer ce sujet aux avocats. J'ai
cru
qu'il était indispensable Je le diviser en deux p
portant à l'hypnotisme. Beaunis, Pitres, l.uys et bien d'autres ont
cru
pouvoir représenter l'état de la mémoire pendant
e | on pourrait par suggestion produire toujours ce soutenir, mais il
croit
que les cas ou l'on ne pourrait y parvenir son ex
tes en ma présence pur M. Bernheim m'ont paru convaincantes, aussi je
crois
pouvoir affirmer l'exactitude du phénomène. Je
une certaine discussion, c'est celui-ci : « un individu tain ». Nous
croyons
, et en ceci, nous sommes absolument d'accord avec
e; de même le tympan pour le son. Au siècle dernier. les magnétiseurs
croyaient
transmettre â leurs sujets des effluves d'une nat
ison et avec des preuves irréfragables en mains, qui ne veulent point
croire
à leur intuition, repoussaient comme sornettes le
s curieuse leçon sur celle transmission contagieuse du baillement. Je
croit
qu'elle n'a pas été publiée. allions rendre v
nsulter un antre médecin ancien chef de clinique de Bouillaud, qui se
crut
obligé de Invertir qu'il avait une instif-6sance
tes vous mise à la fenêtre ce matin à 8 heures. • c Xon, dit-elle, je
crois
mémo que je dormais à cette heure. » — * Vous ne
y en a un autre qui facilement. passerait inaperçu, et sur lequel je
crois
qu'il y a un intérêt réel à porter notre attentio
urs qui ont écrit sur ce sujet aient été plus heureux que mol. J'ai
cru
prudent d'y joindre lu strychnine et le phosphore
res. « Cet état d'esprit, dans lequel on s'efforce de voir et où l'on
croit
voir mais où l'on ne voit pas ; dans lequel on do
des hydropathes — un peu plus négligeable quo M. Nordau ne parait le
croire
— les poètes Verlaine, Stéphane Mallarmé, Jean Mo
es délires, soit. Mais affreux ? C'est ce que vous ne me ferez jamais
croire
. Je sais cela mieux que vous. Ils m'émeuvent prof
blier leurs élucubratlons. A notre avis sa principale erreur est de
croire
que le mal qu'il dévoile est special :. notre épo
s soignés très lentement à leur insu ont guéri sans s'en douter et je
crois
qu'on peut dire que toutes choses égales le degré
ron 100,000 chats, dont plus de la moitié sont sans domicile. Il ne
croit
pas faire un calcul exagéré en estimant â 10 % le
'est possible, mais en co cas le parfum n'y était pour rien. s Nous
croyons
en effet qu'il y a surtout là une affaire d'imagi
e différences dans l'application du procédé. En effet, il ne faut pas
croire
qu'il suffit, après avoir plongé l'enfance dans u
ence dans le monde physique : il nous est aussi difficile de ne « pas
croire
à ce que nous voyons en dehors. » La conscience n
lui des nnsophobes. Suus l'empire de cette auto-suggestion, le malade
croit
qu'il a attrapé la maladie qu'il cruint et, surto
t par une série de semblables raisonnements il linissait toujours par
croire
qu'il était fou, et en était tellement désolé qu'
oleur. A force de l'entendre dire, le pauvre jeune homme finit par le
croire
. Si bien que, vers six heures, un de ses camarade
minimum de vie soit pour les abstinents, au lieu d'être, comme on le
croirait
, pour les ivrognes incorrigibles. Pour mieux do
mme rhumatisante, puis comme menacée de mal perforant plantaire. On a
cru
qu'elle était atteinte d'artério-sclérose et que
ostics pouvaient être soutenus avec quelque apparence de raison. Je
crus
devoir examiner cette malade aux rayons X et je t
vous verrais faire toutes vos mômeries sans la moindre émotion. Car,
croyez
-vous, de bonne foi, que la vertu d'une étole,
ais observé de leur part la moindre réaction douloureuse. On pourrait
croire
que les nègres sont moins sensibles que les blanc
oire que les nègres sont moins sensibles que les blancs. Pourtant, je
crois
qu'il s'agit plutôt d'amour-propre. Le courage,
des masseurs et des magnétiseurs. Une pétition circule et, si l'on en
croit
les intéressés, elle porte déjà plusieurs millier
Bérillon a eu moins d'ambition que son confrère italien : il n'a pas
cru
devoir embrasser toutes les passions humaines et
écentes, nous citerons en premier lieu la théorie chimique. Plfüger a
cru
voir, dans une disette d'oxygène dans le cerveau
rands hommes divinisés qui apportent ces révélations, ainsi qu'on l'a
cru
pendant toute la floraison du paganisme. Puis, av
le rêve nous apprend l'endroit où se trouve un objet que nous avions
cru
perdu, la révélation nous vient d'un saint spécia
écis où se trouve un objet que nous avons en vain cherché et que nous
croyons
perdu. Bon nombre d'impressions nettement consc
n'en est pas moins flagrante. Il y a plus. Dans certains cas, nous
croyons
faussement à l'existence d'un rêve antécédent. Pa
s à l'exorciseur, à moins que ce ne fût au sorcier. Tous les trois se
croyaient
, plus ou moins, les artisans du surnaturel, les m
d'un halluciné, jusqu'à l'inquisiteur et au psychiatre lui-même, tous
croyaient
, plus ou moins, avoir à lutter contre un esprit,
it s'étendre l'aire des forces naturelles. Derrière celles que nous
croyons
connaître, il en apparaît de nouvelles, soupçonné
ue revient, en grande partie, le mérite d'avoir fait rentrer ce qu'on
croyait
l'exception dans la règle, le prétendu surnaturel
ce la formule suivante : « Lune croissante, au fur et à mesure que tu
crois
, fais que ma verrue décroisse ! « J'ai vu la mala
agit de prendre un morceau de rouelle de veau, gros comme une fève et
cru
, puis d'en frotter la verrue, jusqu'à ce que la v
, l'hypnotisme existe bien avant l'apparition du sommeil et lorsqu'on
croit
faire de la suggestion à l'état de veille on la f
tualisme et de la science (1) Par M. Jules Bois Charles Renouvier
croit
aux esprits, mais raille les spirites. — Le Fétic
femmes ne manquent pas. Ainsi le théoricien est devenu praticien. Je
crois
bien que M. Dauriac s'est donné la tâche de sauve
seule cause, c'est, qu'on le veuille ou non, substituer à ce que l'on
croit
être une explication, une « inexplication véritab
réponses à titre de documents pathologiques, mais on se défend de les
croire
sur parole. Telle est l'attitude qui conviendrait
s, qui parut en 1643 avec une note contre les quatre humeurs. Il faut
croire
qu'il attachait une grande importance à ce Traité
s centres religieux de notre siècle. Pour beaucoup de fidèles, ne pas
croire
aux révélations de la bienheureuse, c'est être ra
a pauvre malade, n'ont pas tous agi avec mauvaise foi, mais s'ils ont
cru
, c'est qu'ils sont ignorants de faits scientifiqu
dit que Josué avait arrêté le soleil dans son évolution ; il fallait
croire
ou être hérétique ; Galilée vint et montra l'erre
des gens qui le sont par politique et « par mauvais raffinement. Ils
croient
le peuple incapable ou indigne « de connaître la
tent jusqu'à l'ombre de la religion et craignent toujours « de ne pas
croire
assez. Quelques-uns manquent de lumière, d'autres
sent se servir de leur esprit; ils mettent une « partie de la piété à
croire
tout ce qu'à écrit le peuple le plus ignorant ».
se lève et éclaire toutes choses. De nos jours le physicien ne peut
croire
à un miracle contraire aux lois de la pesanteur,
plus long ou plus étroit, double ou multiple : Ainsi, une malade se
croit
un farfadet, parce qu'elle voit les personnes et
j'ai vu, ce qui s'appelle vu; » aucun raisonnement ne peut leur faire
croire
le contraire ; « ils ont vu », disent-ils. Je c
n cendres et appliqués sur la plaie ; le mordu mange ensuite de l'ail
cru
pendant dix jours. Sur la frontière algérienne, e
ent donc à la catégorie de ces criminels qui, obsédés par le remords,
croient
toujours voir devant eux l'image de la victime ou
infortuné, reste en repos sur ta couche, tu ne vois rien de ce que tu
crois
voir. » Oreste. — « O Phébus, ces chiens dévora
de son arc et de ses flèches pour frapper ses propres enfants, qu'il
croit
être ceux d'Eurysthée. Ceux-ci s'enfuirent effray
» Il tend alors son arc contre un autre qui, tapi près de l'autel, se
croyait
à l'abri. Le malheureux se jette aux genoux de so
il, après s'être souillé du sang de ses enfants et de sa femme. Je ne
crois
pas qu'il y ait un mortel plus malheureux que lui
ses enfants et qu'on lui affirme que c'est là son œuvre pour qu'il y
croie
. Et alors, désespéré, il réclame la mort. Je ne
rétendue coxalgie en présence de laquelle je me trouve cette fois, je
crois
pouvoir en expliquer la pathogénie ainsi qu'il su
e avec hallucinations de la vue : elle voit un soleil brûlant qu'elle
croit
être le cœur de Jésus : « sa lumière est éclatant
otre Mère ; j'étais toute tremblante et brûlante. La Supé-« ricure me
croyait
folle et traitait avec mépris tout ce que je lui
e je ne pouvais en revenir pour dire une « parole. » Marie Alacoque
croyait
que le cœur logé au fond de la poitrine peut être
angé de place à volonté comme une petite statue dans une niche ; elle
croyait
aussi, comme le vulgaire de son temps, que le foy
feu ardent! O tristesse amère ! penser que des gens éclairés font
croire
aux foules de pareilles niaiseries. Mais nous a
e feu : je ne me fis aucun mal, bien que ceux qui me virent tomber, «
crussent
que je m'étais cassé les jambes. Ce Démon plongea
e faire et il m'ôtait le pouvoir de le découvrir à notre Mère. « On
crut
que j'étais possédée ou obsédée du Démon ; l'on m
e. » Le Démon l'attaquait parfois du côté du désespoir, lui faisait
croire
qu'elle serait privée de la possession de Dieu et
rès suggestible. J'avoue professer exactement l'opinion contraire. Je
crois
qu'il n'est aussi suggestible que parce qu'il est
t. « Mon cher collègue, je vous renvoie le jeune B..... délivré, je
crois
, de sa névralgie causée, si je ne me trompe, pa
ble. La famille découragée ne sait plus à quel saint s'adresser. Je
crois
bien qu'en ce moment, on a fait appel à un rebout
ux, sont remplis d'observations de guérisons naturelles, qu'on aurait
cru
surnaturelles autrefois. L'histoire de cette ma
rencieuse de cas semblables guéris à Lourdes, comme d'autre part elle
croyait
naïvement aux miracles, je crains qu'elle n'ait s
ême à Jérusalem, si au lieu d'être catholique, il eût été juif et eût
cru
que le mur des lamentations avait une vertu curat
vertu curative; il l'aurait envoyé à la Mecque, si mahométan, il eût
cru
à la puissance miraculeuse de la pierre noire; bo
nne foi, en affirmant le fait; mais ils avaient de la répugnance à le
croire
et leur déclaration se ressent de cette dispositi
accointances qui furent pour elles des réalités ; non seulement elles
crurent
, mais elles firent partager leur foi à leurs comp
ve pas dans les formules sourdes ni dans les grands mots comme le
croyaient
les philosophes du XVIIIe siècle; elle est toute
e moineau allait infailliblement être empoisonné. Je n'en voulus rien
croire
. Mais, un quart d'heure après, allant voir commen
fants et les brutes, répondait l'illustre philosophe ; cependant e ne
croirais
pas que les enfants eussent une âme, si je ne voy
Les deux conclusions sont d'ailleurs également exactes pour ceux qui
croient
au déterminisme, sans lequel la science deviendra
ne serait plus qu'une chronique indéfinie de faits miraculeux Si je
crois
pouvoir affirmer que sur tous les points que je v
le, ce qui en sciences naturelles est une présomption de fausseté. Je
crois
, quant à moi, que les mouvements de sommeil des f
forme, ou parce que, enfin complètement endormi selon son désir, il a
cru
à la puissance curative d'une suggestion faite da
l un trouble pathologique... » J'ai vu récemment un délirant qui se
croyait
sur un bateau, naviguant vers Ténériffe : c'était
, de telle sorte qu'on voit et qu'on reconnaît en rêve des gens qu'on
croyait
n'avoir jamais vus : on retrouve dans le sommeil
ault peut rendre de très grands services aux enfants difficiles. J'ai
cru
également qu'il était bon d'insister sur le rôle
ubira au plus haut point la domination d'un autre. L'enfant auquel on
croit
faire une suggestion à l'état de veille n'est plu
er dans leur nouvelle caserne au 13 du mois, que l'autorité militaire
crut
ne pas devoir heurter de front ce sentiment et co
pnotisme? Il m'arrive souvent de dire : il n'y a pas d'hypnotisme. On
croit
que je veux être paradoxal, que je lance une bout
le distinguer à l'occasion ces diverses variétés.» Pour ma part, je
crois
qu'il vaut mieux ne pas continuer clans cette voi
riel lui, n'est oppressé que lorsqu'il marche: dans sa chambre, il se
croit
bien portant. Et pourtant dès qu'il bouge, voyez
lée pendant tout le reste de la nuit (1). cibles, que le médecin se
croie
, en conscience, obligé de commettre un véritable
térialistes et des spiritualistes. Cette âme donne : Ce besoin de
croire
, qui, au fond, n'est que le besoin de trouver une
tte idée, Mahomet l'avait prise en ses voyages en Syrie. Mahomet se
crut
atteint .de sorcellerie et voulut se suicider en
dmiration, car ils lui affirmèrent sa mission et lui-même finit par y
croire
. Par la suite, Mahomet tombait dans un état ext
ts fut si grande qu'il se convertit. A toute époque, le peuple pour
croire
au caractère prophétique des élus de Dieu exigea
sieurs reprises : A moins qu'un miracle ne descende vers lui, nous ne
croirons
pas (VI, 37).— Si au moins un miracle était accor
s pas (VI, 37).— Si au moins un miracle était accordé d'en haut, nous
croirions
(X. 21). — Ils ont juré devant Dieu par le sermen
le serment le plus solennel que s'il leur fait voir un miracle, ils y
croiront
(VI, 109). Mahomet dut faire des miracles. Mais
ses ennemis, guidés par Satan, arrivèrent à l'entrée de la grotte, la
crurent
-ils abandonnée depuis longtemps et se retirèrent
elle était favorable. Dans leur exaltation, les premiers musulmans
crurent
souvent voir des anges combattre à leurs côtés. L
t descendre des armées invisibles pour vous, et il châtia ceux qui ne
croyaient
pas. » (IX, 26.) Cette croyance à l'interventio
e nous dans la guerre des camisards, etc., etc. Aujourd'hui, si on ne
croit
plus que Dieu combat pour vous en chair et en os,
est différemment interprétée par les théologiens musulmans : les uns
croient
qu'ils prirent une part active au combat, les aut
1) Paul Sollier. Genèse et nature de l'hystérie, 1897, p. 474. Je
crois
exprimer synthétiquement de cette manière l'opini
de l'hypnotiseur. Pour Duprat (2), « recevoir une suggestion, c'est
croire
fermement à la valeur objective de la parole d'au
ontraires ». Je ne suis pas de cet avis. Dans la suggestion on ne «
croit
» pas à la parole d'autrui, on ne l'accepte pas,
pas à la parole d'autrui, on ne l'accepte pas, on lui obéit. Si on la
croyait
, ce serait avec 0, tandis qu'on obéit avec le pol
rmulée par le même auteur dans l'Année psychologique et à laquelle je
crois
avoir répondu dans le précédent chapitre (p. 42).
cution... Il se réveille, et « de mémoire » écrit exactement ce qu'il
croit
avoir rêvé. » Comment de telles représentations
es de ces hallucinations et auditions musicales hypnagogiques. Nous
croyons
qu'il est possible d'admettre comme origines des
même, dans bien des cas, pour ainsi dire, exacerbée; et l'on pourrait
croire
que toutes les activités intellectuelles de chacu
ous nous figurons avoir trouvé ce que nous avons déjà entendu et nous
croyons
avoir entendu des choses qui sont de notre propre
, cependant, une autre explication des causes du rêve. Alors que nous
croyons
que les rêves, le plus souvent, (quoique cependan
la plupart de ses conclusions sont loin d'être aussi solidesqu'il le
croit
sincèrement. Il va sans dire que la personne de M
utres dont je n'ai pas le temps de m'oc-cuper, que M. le Dr Rouby ail
cru
devoir agir autrement; 2° Etait-il vraiment inuti
à notre Mère; j'étais toute tremblante et brûlante. La Supérieure me
croyait
folle; et traitait avec mépris tout ce que je lui
aignée. Je pourrais lui donner les références, mais il voudra bien me
croire
sur parole; enfin pour terminer ce petit procès,
présente, il ne faut pas l'oublier, qu'un recueil des grâces qu'elle
croyait
avoir reçues. C'est un simple compte de conscienc
eur à se faire une idée exacte de l'état d'esprit de la malade. Je ne
crois
pas en outre qu'il donne une idée suffisante du t
onne foi en affirmant le fait; mais ils avaient de la répugnance à le
croire
, et leur déclaration se ressent de cette disposit
t à l'évidence de la vérité, ils convinrent de ce qu'ils ne pouvaient
croire
et avouèrent que Dieu seul avait pu opérer une gu
prêt de l'attester, quoique j'aie naturellement de la répugnance à en
croire
» (1). On me permettra après cette citation de
Marguerite-Marie Alacoque ne seront atteintes, comme il a l'air de le
croire
. La dévotion au Sacré-Cœur, est établie sur le do
centuée du centre psychique supérieur volontaire et conscient... Nous
croyons
que le pouvoir de résistance aux suggestions appa
iliers et qui, dès lors, semblent être plus connus. » Je persiste à
croire
que c'est là un procédé courant et utile en scien
énères occultistes, la seconde vue et la lumière surnaturelle... » Je
crois
, au contraire, que non seulement il est nécessair
que d'Arras, avait été prêtre du diocèse d'Autun; il avait connu nous
croyons
, Marie Alacoque, et avait vécu au milieu des évén
te phrase, mais non dans le but que suppose M. l'Abbé, celui de faire
croire
à une hallucination qui n'existait pas, mais pour
ujet on dirait qu'on les entend avec les oreilles du corps ; comme on
croyait
qu'on ne pouvait pas entendre autrement, j'ai épr
tre important débat médico-légal avec M. le professeur Delbœuf, je me
crois
tenu de préciser mon opinion sur la question soul
tte conviction n'est pas de date récente chez moi, je vous prie de le
croire
. Veuillez vous reporter à mon Electro-dynamisme V
expérience, cher confrère, qu'il faut s'adresser sur sur ce point. Je
crois
que vous avez donné quelque part la proportion de
dépouiller à notre tour notre vieille manière de voir? M. Delbceuf
croit
avoir découvert que tous nos fameux crimes sugges
invraisemblables, et auxquels pourtant M. Delbceuf ne se refuse pas à
croire
. Je veux parler des effets de la suggestion sur l
ès son horrible forfait imaginaire, continue ainsi : « A qui fera-ton
croire
, demande-t-il, qu'une fille qui, sans émotion, ti
e que Mlle E... ne sait pas que le pistolet n'est pas chargé. Je n'en
crois
rien. D'où infère-t-on qu'un somnambule est un im
idiot ; au contraire... » (2) Il est surprenant que M. Delbœuf ait
cru
devoir poser des questions qui se répondent pour
e artificiel ne diffère pas essentiellement, — M. Delbœuf l'admet, je
crois
, avec nous — de celle du somnambule naturel. Le p
certains autres, et dont à la fin des fins l'Académie des Sciences a
cru
devoir me faire solennellement honneur dans sa sé
une nouvelle accumulation de lombrics, comme le pensait l'enfant qui
croyait
à un paquet de vers à droite de l'ombilic, ou bie
e ; quelques sujets n'ont été influencés que par intermittences ; ils
croient
ne pas l'avoir été quelquefois et cependant vous
re ou une série d'organes, alors aussi elle est impuissante, et je ne
crois
pas que les autres médications soient efficaces.
la famille me demande si je réponds de la guérison, alors même que je
crois
le cas favorable, je ne garantis rien ; au malade
l, put, sur notre injonction, écrire d'une façon très lisible. Nous
croyons
que cette pratique peut être généralisée à un cer
ants accourus avec la foule : « Tu es pis qu'un diable, car un diable
croit
ce que tu ne veux pas croire, » Les protestants,
: « Tu es pis qu'un diable, car un diable croit ce que tu ne veux pas
croire
, » Les protestants, qui doutaient beaucoup de l'i
scétique, Il eut des rêves, des visions, des extases, et bientôt se
crut
appelé à la mission de propager le christianisme
er son pain de porte en porte, sous les huées de la populace. On le
crut
fou. Bientôt, on le crut mort. II n'en était ri
orte, sous les huées de la populace. On le crut fou. Bientôt, on le
crut
mort. II n'en était rien. Retiré dans une caver
és. Une fois qu'il resta sept jours sans prendre de nourriture, il se
crut
as- VARIÉTÉS sailli par les démons qui le r
x devant l'image de la bienheureuse Vierge Marie... soudain le démon,
croit
-on,ébranla tout le château de Loyola d'une si étr
, sinon dépassé, toutes ses aspirations. Il est certain, si l'on en
croit
ses biographes (1), qu'Ignace de Loyola fut souve
cours d'un pèlerinage à Lourdes, entrepris sur mes conseils, j'avais
cru
reconnaître chez ce sujet l'existence de deux sor
avec amnésie au réveil ; ils peuvent être hallucinables. On pourrait
croire
que, dans cet état, la suggestion thérapeutique d
estions ? Est-ce l'effet de sa nature morale, de son caractère? Je le
crois
, à en juger par l'exemple de son frère dont je vo
fréquemment, que des aliénés ont été mis en liberté, parce qu'on les
croyait
guéris, grâce à leur dissimulation. Et ces malheu
eux commettaient, parfois, les actes les plus terribles. L'un, qui se
croyait
persécuté par sa mère, la tue dans la nuit même q
her ainsi (ce qui est bien difficile) à obtenir des aveux ; 8° Nous
croyons
qu'un médecin expert devrait être adjoint aux jug
d'un don spécial les secrets de guérir, le rapporteur ajoute : « Nous
croyons
que le moment n'est pas venu d'enlever ces expéri
i l'ont fait naître. Remarquons d'abord que ce serait une erreur de
croire
que ces trois états forment une gradation réguliè
oitrine. D'autres m'ont dit que l'impulsion était si forte qu'ils
croyaient
qu'une personne les avait tirés par la manche de
mplice, si l'on veut, plus ou moins inconscient, de l'opérateur. Je
crois
avoir prévenu d'avance ces deux objections ; en e
umés déjà depuis plusieurs années aux observations physiologiques, je
crois
m'ètre placé dans les meilleures conditions pour
at médianique actif succède sans transition au somnambulisme, mais je
crois
la première hypothèse plus vraisemblable. Les c
; de nombreux auteurs, interprétant mal l'opinion du savant nancéen.
crurent
qu'il contestait à cette méthode toute action rée
e prend aucune part à la guérison des malades par l'électricité. Je
crois
non seulement, ainsi que M. Bernheim l'a dit, que
de, en faveur de la tempérance. Les Sociétés de tempérance, au début,
crurent
pouvoir arriver à un résultat pratique en se cont
Bérillon à désigner cette habitude par une appellation spéciale, il a
cru
devoir créer pour elle un néologisme tiré du grec
qu'animal sociable, est de n'avoir que des idées suggérées et de les
croire
spontanées. Je désire aujourd'hui attirer plus
lument fortuits, dont elle est momentanément entourée ou dont elle se
croit
atteinte. Le père est légèrement voûté ; ma mal
urée contre le retour de troubles névropathiques analogues ? Je ne le
crois
pas. Son fond psychique est en somme resté le mêm
t regret à voir disparaître une coutume curieuse et sans analogie, je
crois
, dans aucune Université. Le paysage qui nous ento
ombattre est celui dont on a lieu d'attendre le meilleur effet. Et je
crois
que s'interdire l'emploi de la suggestion hypnoti
tant à dédaigner que des esprits prévenus pourraient être portés à le
croire
, et qui nous vaut en tous cas des renseignements
ments utiles sur les symptômes offerts par le sujet : « Je penche à
croire
, dit-il, que cette pauvre créature es obsédée
le moral peut agir sur le physique, celui-ci le lui rend bien ! Je
crois
devoir conter à ce propos une observation dont j'
les deux termes sont parfaitement équivalents) doit peut-être — et je
crois
pouvoir ajouter : doit probablement — son état à
onnel (mais non pas celui des « passes magnétiques », comme semble le
croire
votre correspondant, sans doute peu versé dans la
on tourne ainsi dans un cercle vicieux. En utilisant les rêves, je
crois
qu'on peut éviter cette fatigue; je comparerai vo
à chaque sujet de faire acte de libre arbitre ou du moins lui laisser
croire
qu'il agit par lui-même. Moins on provoque l'inhi
tablir plus qu'une annexion. Avant donc d'appliquer la suggestionne
crois
qu'on a tout avantage, quand la chose est possibl
lé de la bicyclette. Ce qui d'ailleurs est plus difficile qu'on ne le
croit
. Tout exercice physique, provoquant l'émotivité
our dire, sans qu'on l'interroge, ce qu'il ressent, chaque fois qu'il
croira
ressentir quelque chose. Tous les objets, tous le
usateur. Victime de la fatalité, ce sujet, pour redevenir heureux, se
croit
obligé de tuer quelqu'un ; sa sœur ayant succombé
ontre elle des tentatives d'empoisonnement, illusoires d'ailleurs, il
croit
être l'auteur de cette mort et vient s'en accuser
me et la psychothérapie ont peut-être plus de raison d'être que ne le
croient
un certain nombre d'esprits rétrogrades. ?. B.
quais assez minutieusement l'expérience en question et tout ce que je
croyais
important à faire pour qu'elle réussit, mais je m
r des assistants serait très difficile ou impossible à établir. Je ne
crois
pas qu'il soit nécessaire. Car c'est une règle qu
raison, si l'on se souvient d'un rêve, on a, en général, le droit de
croire
que l'on n'a pas changé d'attitude pendant son rê
Lorsque le membre se présente en mouvement à celui qui dort, il faut
croire
que les parties des organes centraux et périphéri
e qui présenta une contracture des mains à la suite d'un réve où elle
croyait
jouer du piano, une autre continuer à l'état de v
on fils. Un autre jour, un certain docteur Lab..., avec lequel elle
croyait
correspondre par l'écriture automatique, lui cons
s c'est un monde nouveau ! » s'écriait-il. Et pourtant cet homme ne
croyait
pas à la médecine. Il consultait volontiers les e
marasme. « A plusieurs reprises j'avais visité M. Hanquet ; j'avais
cru
, comme beaucoup d'autres médecins, son mal incura
éformante ou arthrite noueuse très rebelle à tous les traitements. Je
crois
qu'il s'agit bien de cette affection, et non d'un
ment: « Cela avait bien l'air d'une arthrite déformante, mais il faut
croire
que ce ne l'était pas. » il assista aux deux séan
ce qu'il n'a pas assez d'initiative pour la modifier spontanément; il
croit
devoir la garder, par une sorte de tendance auto-
sont réfugiés à la faculté de médecine de Montpellier? On pourrait le
croire
en lisant les paroles prononcées par M. le Profes
e que soutenir l'origine fonctionnelle d'un grand nombre de maladies,
croire
aux actions et réactions cellulaires, être convai
d'agir chimiquement sur une plaque au gélatino-bromure d'argent. Nous
croyons
le fait parfaitement possible. « La lumière act
la léthargie, le somnambulisme et les différents phénomènes que l'on
croyait
autrefois l'apanage des hystériques ; mais, en so
n tient à trois causes différentes: d'abord, le malade lui-même ne se
croit
pas et ne voudrait pas se croire malade; mais com
es: d'abord, le malade lui-même ne se croit pas et ne voudrait pas se
croire
malade; mais comme il est en réalité très malheur
eur. Sans doute, le médecin prescrira à son client .tout ce qu'il
croira
pouvoir le soulager, il lui donnera une foule de
e, des hallucinations de la vue et de l'ouïe se produisirent. ?·0" B.
crut
voir son amant, l'entendre, lui parler ; l'halluc
gerboises, saumons, s'endorment. Ce n'est pas l'hiver, comme on l'a
cru
, qui provoque cet état : car tanrec, échidné, pét
es les paroles et caractères ne peuvent être effectués. Si le patient
croit
que, par de tels moyens, il puisse guérir, la dou
par de tels moyens, il puisse guérir, la douleur cessera ; s'il n'en
croit
rien ou qu'à l'entour de lui soient des gens qui
ous savons, ou tout au moins nous sommes aujourd'hui très autorisés à
croire
que les centres nerveux fonctionnels sont représe
sement, dans le monde des neurones des actes réflexes, il n'est pas à
croire
que toutes les communications persistent comme à
t emporté de sa place par la volupté de l'esprit détraqué, au lieu de
croire
qu'un de nous soit envolé sur un balai au long du
çus à la bibliothèque de la Société d'hypnologie, il en est un que je
crois
utile de signaler à voire attention. Je veux parl
continence a reparu. En se basant sur ces observations, Zaousailoff
croit
que la suggestion exerce une action favorable dan
ères, n'est pas entièrement étrangère à l'influence hystérique. Je ne
crois
pas sans cela qu'elle eût avec les rêves des rela
s rêves ont sur l'esprit une action beaucoup plus marquée qu'on ne le
croit
, et certains des actes que nous accomplissons se
et, après avoir bien réfléchi, constata avec stupéfaction qu'il avait
cru
et donné comme vrai un fait dont il avait simplem
és dégénérés ou aliénés, chez lesquels la suggestion ne peut rien. Je
crois
pouvoir affirmer que c'est là une erreur. Il résu
était réellement aveugle. Cependant, certains jours, ils semblaient
croire
qu'il simu- , lait, mais,.lé lendemain, ils préte
éduction de la peine, de droit en cellule. Je ne lui dis pas que je
croyais
à la simulation, et je le soignai comme s'il étai
agnostic de M. le Dr Dehenne, si compétent en pareille matière, et je
crois
fermement à la simulation de l'amblyopie, jusqu'a
mi ces expérimentateurs s'est trouvé M. le Dr Bourdon, de Méru ; il a
cru
devoir rappeler qu'il devait la connaissance des
sions avec son propriétaire, son concierge, ses voisins,et qu'elle
croyait
que toutes ces personnes lui en voulaient; elle l
. A son entrée dans mon service, elle est triste, elle pleure, elle
croit
qu'on l'accuse de vol ; elle a des hallucinations
usieurs voyages aux Indes, en a également observé plusieurs cas. Nous
croyons
qu'on peut considérer cette affeciion comme une.
e, il se réveilla instantanément, mais, chose curieuse à noter, il se
croyait
à Oran au moment où ses parents venaient de quitt
obéir à tout ce que ce dernier lui suggérait, un pourrait quelquefois
croire
que V... parlait selon mes suggestions directes o
. Cette demoiselle, hypnotisée à tort et à travers par un amateur qui
croyait
encore au fluide émanant de lui, avait 'subi tant
du moins en renouvelant de temps en temps la suggestion. Beaucoup
croient
que la guérison doit toujours être définitive par
ir pour sa femme une passion violente dont il ne se serait jamais
cru
capable. Après s'être montré pendant neuf années
ider à renoncer aux habitudes d'intempérance dans lesquelles il avait
cru
trouver un remède à ses souffrances morales. En
out son corps, reste immobile : on aurait dit qu'il était fasciné. Je
croyais
voir un oiseau luttant contre cette force attract
s etde très près, on chercha Kakoli partout; il avait disparu; ont le
crut
mort au champ d'honneur; mais, à la grande surpri
utai :.a L'état de ce chien s'améliorera sans doute avec le temps: je
crois
qu'avec de la douceur, de la patience et des soin
itait en cela Jésus. Le nombre des malades augmentant, Vignes s'est
cru
un représentant sur la terre du docteur Dieu deva
e très curieux, c'est que jusqu'ici ce sont surtout les Allemands qui
croient
en Vignes. Ajoutons que le plus dévoué de leurs i
'action à distance. Du reste, en Lozère, les paysans se contentent de
croire
au bon œil et à la puissance du guérisseur. Il
st de là que viennent souvent les maladies de la moelle épinière : Je
crois
que le plus sage encore est de dormir comme ça se
Je crois que le plus sage encore est de dormir comme ça se trouve. Je
crois
bien que j'affectionne le côté gauche; mais le cô
nombre de mes amis qui sont tout comme moi. J'aurais quelque peine à
croire
qu'ils sont peu développés intellectuellement. No
'obsèdent, et il ne peut s'en débarrasser, d'autres fois encore, il
croit
les entendre dans l'es- ttomac, et enfin quelqu
ise qu'elle produit absorbe tant mon attention que je ne sais qui
croire
de mes oreilles ou de mes lèvres. La seule assu
iner la mort. Elle redoutait aussi un ténia imaginaire dont elle se
croyait
atteinte. if , , ' Depuis longtemps elle se sen
des moments où il éprouve des frissons assez violents. Mais on peut
croire
avec raison que ces accès de fièvre sont sympto
este de la substance grise sont largement inté- ressés. C'est, nous
croyons
, un diagnostic des plus 58 PATHOLOGIE MENTALE.
altérations tangibles de la substance blanche, d'autre part ; nous
croyons
que nous sommes en pré- sence d'une myélite cen
ondrai que c'est pour moi une sorte de question de prin- cipes ; je
crois
de mon devoir de vous direce qui me semble vrai,
e' lendemain, tout est passé, elles ont oublié leur regret et elles
croient
, disent-elles, être dans la, maison depuis des
des reproches imaginaires plus ou moins polis; le lendemain, je me
crois
obligé de lui témoigner quelque froideur. Elle en
s sont au contraire très variables dans tous leurs caractères. Nous
croyons
pouvoir, pour la commodité de l'étude, les rang
erver dans le service un cas de ce genre si curieux qu'il pourra je
crois
résumer cette description. Une jeune fille nomm
é dans le ser- vice l'appelle par son petit nom et la connaisse. Je
crus
à une mauvaise humeur ou à une plaisanterie, ma
e toutes les paralysies d'origine psychique soient des amnésies, je
crois
, au contraire, que certaines d'entre elles se r
te prédisposition générale. Enfin l'amnésie peut être générale : je
crois
qu'il est bien rare de rencontrer une amnésie c
ux, au plus, elle déclare qu'elle ne sait où elle est et qu'elle se
croit
encore à Cognac. Ce cas d'amnésie est extraordi
ille. Et bien, sans rien affirmer d'absolu, je vous dirai que je ne
crois
même pas à une lésion de ce genre recherche peu
ce genre recherche peut être quelquefois très difficile; mais nous
croyons
cepen- dant que, par toutes les ressources de l
la mémoire, en dehors de la conservation et de la reproduction. Je
crois
qu'ils ont tort et que la maladie décompose et
s les souvenirs de cette période. Des faits de ce genre ont été, je
crois
, assez souvent signalés. Je vous rappellerai sur-
ur des souvenirs également déter- minés. Nous sommes arrivés ainsi,
croyons
-nous, à constater certains faits qui ne nous se
, images tactiles t t' t", ' 1f. Paul Richer signalé, le premier je
crois
, ce phénomène : Etudes cliniques sur la grande
u des moteurs, quelques-uns appartiennent au type indiffé- rent. Je
crois
qu'il serait peut-être nécessaire d'admettre pour
tiles et nous faire comprendre certains phénomènes de mémoire; nous
croyons
les rencontrer dans certains cas de somnambulis
roques. Eh bien, dans les états de ce genre, vous remarquerez, je
crois
, très souvent un fait important : c'est que l'éta
les états supérieurs. Il n'y a qu'un seul état de ce genre dont je
crois
aujourd'hui la connaissance indispensable, c'es
d'une grande quantité de symptômes très variés. C'est pourquoi j'ai
cru
nécessaire de vous entraîner dans cette étude u
qui détermine ces localisations particulières de l'am-, nésie, nous
croyons
que, dans certains cas, elle peut être trouvée
it une fois par mois en moyenne, quelquefois moins- souvent. Elle
croyait
alors qu'il avait bu et se faisait du mauvais san
ne simple chopine de vin, le tout pour la somme de vingt-cinq sous,
croit
-il. Ce déjeuner terminé, il est encore reparti
urs, mais le malade reste mélanco- lique, incapable de travail ; il
croit
avoir perdu la mémoire, craint de ne pas recouv
ristian. Le régime n'a pas été interrompu, néanmoins, je persiste à
croire
, en raison de leur continuité, que les phénomènes
ble. Comme il en conserve le souvenir de l'acte, je suis autorisé à
croire
qu'il jouissait de la plénitude de son intellig
jour. Nous reviendrons sur cette communication après le procès. Je
crois
que nous ne sommes pas suffisamment éclairés po
t un déséquilihré et un instinctif, cela est certain; mais je ne le
crois
pas, à proprement parler, fou comme le considèr
juger des données sur lesquelles il repose. M. LE Président ne se
croit
pas autorisé à mettre aux voix une conclusion q
e, sans que cependant nous ayons à faire à un individu normal. On
croit
, ou plutôt on a cru souvent, nous avons cru trop
nous ayons à faire à un individu normal. On croit, ou plutôt on a
cru
souvent, nous avons cru trop sou- vent la lever
n individu normal. On croit, ou plutôt on a cru souvent, nous avons
cru
trop sou- vent la lever (la difficulté), en adm
s. En cela, Lombroso a fait oeuvre d'initiateur. M. TuczEK. Je ne
crois
pas qu'il soit, dans l'état actuel des choses,
, à son insu, SOCIÉTÉS savantes. , 121 à son délire pathologique,
croit
que certaines parties de son corps sont transfo
les Richet, de suggérer une idée délirante à un sujet, de lui faire
croire
qu'il change de personnalité, qu'il devient un
ment de vésanies aiguës dans quinze de ces observations. M. Forel
croit
que ces malades étaient hystériques pour la plupa
ssir à endormir d'aliénés indemnes d'hys- térie et que, lorsqu'il a
cru
avoir réussi, il s'est assuré qu'il avait eu af
vicieuses ou morbides, ou encore des anomalies du caractère, je ne
crois
pas que l'hypnotisme puisse bouleverser pour to
uent dans l'écorce la disparition de cet arrêt; ainsi, le malade se
croit
-il exposé à un nouveau danger, vite, il oublie la
s antérieures proviennent non seulement de ces cellules, et il faut
croire
qu'en second lieu, ce sont encore les cellules
bien ; il s'établit aussi une scoliose vertébrale. Le rap- porteur
crut
devoir tenter une opération ostéoplastique pour c
e rapporteur invoque l'hérédité comme la vraie cause étiologique et
croit
pouvoir affir- mer que c'est encore dans la cel
es classiques et il semble véritable- ment oiseux d'en parler. Nous
croyons
cependant qu'on nous saura gré d'avoir indiqué
r la forme plus agréable-et plus soignée de -l'impression. ' Nous
croyons
ne pas nous tromper en prédisant un succès pro-
quant à la définition générale du terme : faibles d'es- prit. L'on
croit
cependant généralement que leur nombre doit êtr
n billet de logement et un bon de pain. En raison de son âge, on ne
crut
pas devoir lui refuser ce qu'elle demandait, et
ait des signes d'aliénation mentale des plus vifs. Le malheureux se
croyait
poursuivi par des ennemis imaginaires et à dive
rant 35, rue Etienne-Marcel. Atteinte d'aliénation mentale, elle se
croit
dévorée par des sang- sues que des êtres imagin
es aliments. Rencontrant M. Lebreton qu'elle ne connaît pas, elle a
cru
voir en lui un de ses persécuteurs ; c'est ce q
persécuteurs ; c'est ce qui explique son attentat qui n'aura pas,
croit
-on, de suites fâcheuses. Rosa Moos a été envoyée
iénés empreint, dit-il, d'un touchant esprit d'humanité et que nous
croyons
utile de reproduire. Neuf femmes ont été réinté
ie particulière d'aliénés transférés, sur lesquels votre commission
croit
convenable d'appeler les réflexions de l'admini
ander au Conseil général la même mesure dans le Loiret, on pourrait
croire
qu'elle peut entralner une dépense élevée pour
es fait des prières mentales et des signes de croix; elle se cache,
croit
les mal faire, et les répète jus- qu'à cinq cen
. Il était lent à faire toutes choses, les répétait quelquefois, ne
croyait
jamais avoir assez bien fait. A douze ans, au
les occasions de se tourmenter. Du reste, à diverses reprises, il a
cru
que les gens prononçaient intentionnellement de
-Anne le 31 octobre 1891. Son grand-père paternel, faible d'esprit,
croyait
aux revenants et aux sorciers ; son père et son
crainte dû mot compro- mettant, la coprolalie et l'écholalie. Elle
croit
en effet aux mots compromettants et s'imagine q
constances, faire varier considérablement les appréciations. Nous
croyons
que c'est là qu'il faut chercher la cause des r
is que dans celle de 2 heures du matin il y en avait beaucoup. Nous
croyons
, sans exagération, pouvoir fixer approxi- mativ
le 19. - Par suite d'une erreur commise par la surveillante qui ne
croyait
pas la série terminée, on n'a recueilli l'urine
e la parole, etc.) peut en accompagner n'importe quelle forme, nous
croyons
préférable d'énumérer d'abord les types cliniqu
bscurcissement dans le champ visuel ; quel- quefois encore le sujet
croit
déjà l'attaque passée, lorsqu'elle n'est simple
lle est encore bien difficile, à résoudre. M. Gilles de la Tourette
croit
, que pour ces cas l'examen des urines pourrait
graine), quand ces crises étaient plus violentes, on était porté de
croire
que les troubles corticaux se répandaient, pour
e pouvoir d'analyse, se trouvait l'organe de la pensée. C'était là,
croyions
-nous, que par des moyens encore inconnus s'élab
itablement un rôle dans les décharges épileptiques, et il a été, je
crois
, établi d'une façon certaine, que les convulsions
rver des mauvais esprits et autres influences néfastes, dont ils se
croyaient
constamment entourés. De semblables amulettes
distingué à un si haut point en chirurgie cérébrale. C'était là, je
crois
sa première opération et le fait est d'un assez
on. On lui rend la vue, il reprend son activité motrice. L'au- teur
croit
que, le cervelet ayant été enlevé, la privation d
s convulsions motrices (surtout toniques) des plus vives ; il est à
croire
que les convulsions ont pour point de départ le
ure-mère, des kystes et des gliomes. Je ne veux cependant pas qu'on
croit
que je cherche à mettre obstacle aux praticiens
es grossesses; à chaque grossesse, les accidents reparaissaient. Il
croit
que des lésions de la substance musculaire prés
asser à l'état chronique ; dans son second mémoire plus complet, il
croit
devoir isoler décidément cette espèce de lypéma-
délirante est incomplète ou manque complètement, les malades ne se
croient
ni possédés ni immortels. On les observe aussi da
é mélancolique; 2° idées de damnation et de posses- sion (la malade
croit
qu'elle est le diable ou quelque chose du 286 S
ou de saleté); fin idée fixe de ne pouvoir jamais mourir (la malade
croit
qu'étant en pierre, en ma- tière inerte, elle n
nalé par Baillarger. Elles ne sont pas pathognomoniques comme il le
croyait
; mais dans ce cas elles revêtent toujours les c
de Paris). J'approuve pour ma part les conclusions de M. Séglas. Je
crois
que Cotard, en signalant le délire des néga- ti
sez pour confirmer qu'il s'agit là de deux maladies distinctes ? Je
crois
plutôt que le délire des néga- tions constitue
u ai pas rencontré un seul qui répondit au type créé par Cotard. Je
crois
que cet auteur a surtout été séduit par le mot et
on (de Paris). Comme M. Régis, et contrairement à M. Camuset, je ne
crois
pas que Cotard ait eu l'intention d'ériger le d
ge et la vérité absolue va souvent au delà de ce . que la famille a
cru
autoriser à dire. Pour d'autres auteurs, le sec
secret professionnel, je serais plutôt désireux de les étendre. Je
crois
, en effet, que le médecin aliéniste devrait être
ue sur le papier. Je ne suis pas opposé à ce mode de placement : je
crois
seulement qu'on devra apporter beaucoup de prud
s, qui veut se faire l'importateur du système belge de Gheel, je la
crois
in- applicable. Sans doute il veut diminuer l'e
tion au goitre de psychoses dis- tinctes et autonomes. Il y a lieu,
croyons
-nous, d'opérer le dénom- brement de ces symptôm
malade avait été repris par sa famille à ce moment, on aurait pu le
croire
guéri et de ce fait le considérer comme ayant é
faite le 9 mai 1890, chez une petite âgée de quatre ans. Si l'on en
croit
M. leur Lane (Voir plus loin), l'opération n'ét
neville, de l'inutilité du traitement chirurgical de l'idiolie. Je
crois
que le traitement hygiénique et pédagogique, te
cerf tainement un grand rôle. Pour l'épilepsie gastrique, je ne la
crois
pas fréquente. Quand un individu a un accès épi
u- vent sous l'intluence de cette fusion qui brouille mes idées; je
crois
qu'il y a lutte entre elles. « Ma tête se vid
aines folies puerpérales; mais pour ceux qu'a en vue M. Chaslin, il
croit
qu'il est inutile de créer un vocable nouveau e
s maniaques et que l'expérience a montrés bien peu efficaces. Il ne
croit
pas que ce médicament puisse avoir de l'action
Nous espérons que cette visite ne sera pas sans porter ses fruits :
croyez
d'avance à notre reconnaissance. En vous dévoua
tendait un poste d'adjoint, il a été installé chef de ser- vice. Il
croit
, lui aussi, à la nécessité du déplacement de l'as
est toujours en mouvement et l'intelligence fait défaut. Sa mère
croit
qu'elle la reconnaît ainsi que son père et sa soe
propos de son cas (voir plus loin), mais le mot trépanation est, je
crois
, le terme propre qui s'applique à son opéra- ti
maladie et dans la même intention, mais par des méthodes que je ne
crois
pas devoir être classées comme opérations de cr
semble justifiée. Que leur vie soit grandement compromise, je ne le
crois
pas. Sur 26 cas opérés par Lanne- longue, un se
le, sont vraiment trop vagues pour la logique même du fait. Je ne
crois
donc pas que l'excision linéaire, ou craniectomie
és, et aussi dans des établisse- ments similaires de notre pays, je
crois
qu'il serait beaucoup plus sage de reléguer ces
ulement au sujet d'un groupe, les microcé- phales,,opinion qu'il a,
croyons
-nous, abandonnée depuis longtemps. Les autres,
ions exactes sur cette question, notions qu'ils parais- sent, on le
croirait
du moins, ignorer. Pour pratiquer cette opéra-
ches les plus actives, on n'avait pu retrouver ses traces. On avait
cru
qu'il avait été vic- time d'un guet-apens, il n
quer un ordre désastreux pour la malheu- reuse odalisque, le Sultan
croit
toujours avoir vu le sceptre du choléra, et cel
qu'une maladie grave ne vienne frapper l'un de ses parents. Elle se
croit
obligée de répéter plusieurs fois « M. Nicolas »
ts, des paroles, des sifflets de chemin de fer que j'entends; je me
crois
obligée de mettre mon mouchoir à mes lèvres pour
é des symptômes et par les très grandes difficultés que présentait,
croyons
-nous, le diagnostic. Ces observations concernen
t du membre inférieur du même coté.- La bouche devint sèche, « elle
croyait
y avoir le feu », la langue lui paraissait s'en
ement troublé. Elle avait fréquem- ment des cauchemars parfois elle
croyait
être transportée dans l'air à de grandes hauteu
tomber tout d'un coup dans des abîmes épouvantables : parfois elle
croyait
être enfermée dans des fournaises ardentes,...
thésies, qui ont été ressenties par G... dès son enfance. Nous nous
croyons
donc autorisés à considérer ces troubles de la
, localisées et sys- tématisées '. C'est parmi celles-ci que nous
croyons
pouvoir classer des accès d'aphasie motrice, qu
un seul symptôme, nous parait tel- lement exceptionnel, que nous ne
croyons
pouvoir le prendre comme base d'un diagnostic.
omènes, avec l'évolution de la maladie et avec son issue. Nous nous
croyons
donc autorisé à maintenir dans ce cas le diagno
en maniant le noir d'Allemagne, couleur à base de plomb, mais qu'il
croit
moins nuisible parce qu'il est dissous. Dans cell
les accès épileptiques, peuvent survenir desparalysies, mais je ne
crois
pas qu'après l'un de ces accès, se manifeste la
ur de Bar... à l'hôpital. Pour toutes ces considérations, nous nous
croyons
autorisé à émet- tre, même pour ce cas, le diag
it pas de trace de paralysie de la langue, ni des lèvres. Nous nous
croyons
donc autorisé à considérer ces troubles du lang
emières de ces affections doivent être éliminées ici ? Nous ne le
croyons
pas, tous les phénomènes de ces maladies sont a
(et c'est le cas le plus fréquent) aux troubles de la vue, comment
croire
que la névralgie est le point de départ de l'ar
e qui nais- saient spontanément. On peut les faire agir, leur faire
croire
, même leur faire voir tout ce que l'on veut, et
ensée de la démangeaison nous fait sentir un prurit véritable; nous
croyons
voir au microscope ce que l'on nous décrit, etc
er le système complet de Margot à huit ans, à la pension. Voici, je
crois
, un bel exemple, quoique assez rare, de ce déve
l'ai encore constaté chez deux malades du service de M. Charcot. Je
crois
savoir que M. Séglas l'a constaté aussi de son
tous ces symptômes s'accompagnent beaucoup plus souvent qu'on ne le
croit
. La plupart des hystériques qui sont ici, prése
ilité. III. Quand vous étudierez un cas d'aboulie, vous serez, je
crois
, frappé comme moi d'une contradiction entre les p
la conscience, de la faiblesse de la per- ception personnelle. Je
crois
que nous pouvons maintenant comprendre facile-
ité. Pour moi, je n'ai pas une influence, aussi formidable, et j'ai
cru
remarquer que les hystériques elles-mêmes n'éta
tes d'autres faits, en l'analysant comme un symptôme clinique, nous
croyons
être fidèle à la méthode qui a fait la gloire d
e d'hystéro- épilepsie avec délire extatique. Un beau jour, elle se
croit
ensor- celée par sa voisine. Elle enjoint à son
pour rompre le charme. La répé- tition de cet acte finit par faire
croire
au mari qu'il frappe sur la voisine; la voisine
plus vicieux que malades est rigoureusement exacte. Notre collègue
croit
que c'est par la simulation qu'ils arrivent à s
fois. Je ne nie pas que de temps à autre il en soit ainsi, mais je
crois
que c'est l'exception. Néanmoins, M. Charpen- t
ence mentale. M. G. Ballet insiste sur ce fait à une époque où l'on
croit
tout guérir par la suggestion, malheureux pour
ssi, a vu l'athétose compliquer la paralysie infantile spasmodique,
croit
que dans les cas de ce genre, il s'agit de lési
de projection) pour pré- senter quelques observations. Ainsi je ne
crois
pas que les anoma- lies mentionnées soient réel
ans la gl. pinéalis. Le célèbre anatomiste anglais Th. Willis (1)
croyait
que, si une partie quelconque « extérieure » de
st le siège des fondions de l'âme. » Ainsi De la Peyronnie arrive à
croire
que le siège de l'cime réside dans le corpus ca
e des taeniac thalmor optic., ne provoque aucun mouvement. Magendie
crut
avoir prouvé, par ces opérations et recherches pe
abord pénétré dans une e direction allant un peu en arrière dans le
crus
post. dex. fornicis, s'é- garant au cornu Ammon
e D' Owen. Je remercie ces Messieurs chaleureuse- ment. Fig. b. -
Crus
anl. fornicis. - Dessin schématique des centres d
.. 7.oinmissura post. ? 8 : P ? tie inférieure du 3° ventricule. 9.
Crus
post.fornicis ad cornu Ammonii. 11. Taeniae tha
nalomo-pathologique et sa présence très fréquente, et alors ils ont
cru
expliquer le phénomène de la contracture par si
on voit une lésion de dégénérescence des faisceaux pyramidaux. On a
cru
un moment que le phénomène de la contracture tard
cas de contracture on trouve cette lé- sion du faisceau pyramidal ;
croit
-on qu'on puisse contester son impor- tance ?
èbre neurologiste, le résultat d'une rigidité passive, ainsi que le
croyait
Follin ; elle relève au contraire d'un état d'e
de pas d'où vient cette excitation comme Charcot et Vulpian ; il ne
croit
pas à une excitation par le tissu conjonctif du
s Hitzig ne constate pas de mouvements associés chez les adultes et
croit
que c'est parce que l'hémiplégie chez eux est la
toute altération anatomique appréciable du système vasculaire » ; il
croyait
à une entité clinique parfaitement indi viduali
a réunion se fait par première intention ; au bout d'un mois, il se
croit
à nouveau guéri. Deux ans après, en 1904, des d
tile est émoussée, l'ongle est décollé, blanchâtre, opacifié, on le
croirait
mort et pour- tant il continue de croître. Cett
ou moins consistant, avec calme, à l'esprit du malade. A priori, on
croirait
pour cela que les premiers malades n'ont pas mê
int pour compléter par son aspect son caractère de saint, auquel il
croyait
vraiment, ne pouvait être qu'un dément. La ga
tait une bandeau bras, le croyant paralysé ? C'est pourquoi je veux
croire
que le délire, dans la psychose maniaque-dépres
pré- sente jamais, à ce que j'ai vu, de phénomènes de ce genre : je
crois
qu'on peut conclure que les maniaques ne façonn
n homme qui pleure ? ne serait pas plutôt, comme on est tenté de le
croire
, un facies d'aveugle ? * La statuette (PI. XV,
pour ma part, aucune qui soit représentée en pleine crise, et je ne
crois
pas qu'on en ait signalé jusqu'à présent. Nous
astérique enfoncée chez mes sujets vivants et, dans deux cas, j'ai
cru
sentir de petites lacunes, sans pulsation appar
n, en effet, réduction en ce sens, mais elle est assez faible et je
crois
qu'elle provient plutôt d'une inflexion de la b
plement que, vu les autres alté- rations de la base du crâne, je ne
crois
pas qu'il s'agisse d'une déforma- tion essentie
athol. et Pathol. générale, t. 1, 1899. (2) Villaret et Francoz ont
cru
voir sur la radiographie d'un garçon de 6 ans, re
ui est particulièrement frappante. Pour ne donner qu'un exemple, je
crois
qu'une distance bi-angulaire du maxillaire infé-
dents et présentant une atrophje alvéolaire à peu près complète. Je
crois
donc que l'ogivalité de la voûte palatine doit
ractères crâniologiques de la dysostose cléidocrânienne,on peut, je
crois
, les répartir provisoirement entre les catégories
tre, des troubles mentaux qui semblent remonter à un an environ. Il
croit
que les autres pensionnaires, ses voisins, le p
scultation révélant, au sommet droit, des signes de tuberculose, on
crut
pouvoir s'arrêter au diagnostic de mal de Pott.
de son état mental. Elle se fit triste, taciturne et commença à se
croire
persécutée par les personnes du milieu familial
es demandé quelle peut être l'explication de ce phéno- mène et nous
croyons
l'avoir trouvée dans la physiologie et l'anatomie
in nom de fa- mille qui peut étonner. C'est que notre brave M. X...
croyait
, dans ses nuits de méditation, avoir entendu la
. X... Quant au nom de Hencelin (qui figure sur le croquis), M. X..
croyait
avoir entendu sa chère M... lui dire que, bien
es solaires ou le retour des comètes périodiques, il est peu usité,
croyons
-nous du moins, de se servir d'un télescope en l
, roi d'Espagne et Don Carlos, roi de Portugal. Ils m'ont donné, je
crois
, quelque grande importance dans leur garde ou l
Ce ne sont pas les flatteuses distinctions qui me man- quent, et je
crois
bien me rappeler que je suis commandeur de l'ordr
sabeth, qui avait les « jambes enflées », s'en fut en Amérique ; on
croit
qu'elle se noya. Henry est vivant; il est âgé d
la fonction des nerfs qui les comman- dent. En d'autres termes nous
croyons
que la condition est primitivement une névrose
le se sont mariées alors que l'oerlème était bien avancé. On eût pu
croire
que l'oedème des jambes aurait pu cons- tituer
e, et de l'oedéme angioneuro- tique, mais nous avons des raisons de
croire
qu'il existe sous ces trois états morbides et n
ent d'un petit séquestre détaché de l'humérus ou du cubitus. J'ai
cru
que cette observation et ces documents valaient l
individus imaginaires ne le voient et ne viennent le trouver. Il se
croyait
poursuivi par les gens qu'il rencontrait dans l
e et d'alarmes ; elles voyait partout des présages fâcheux, elle se
croyait
en butte à la malveillance et à l'insulte. Da
endance à produire la mélancolie anxieuse. Régis est de cet avis et
croit
qu'il faut rapporter au goitre exophtalmique, n
té. Toutefois, comme le remarque le même auteur, il ne faudrait pas
croire
que le type d'hémiplégie flasque soit en quelqu
e ces malades et qui par là indiquent tellement leur nature que, je
crois
, on s'exposerait bien peu à commettre une erreur
epuis lors xxi 1 17 250 SÉGLAS ET STROEHL1N ' il ne cessa de se
croire
lésé dans ses intérêts, de tourmenter son beau-
rait passé sans témoins entre ce docteur et moi ; alors pourquoi le
croire
plutôt que moi ! » Pendant une année, P... pers
é à la suite d'un processus inflammatoire antérieur, celui-là même,
croyons
-nous, qui a entraîné comme conséquence la micro
ôté opposé. En nous basant sur ces différentes considérations, nous
croyons
que l'on peut admettre l'explication suivante d
i du pied rappelle au contraire le mouvement réflexe normal. Nous
croyons
donc pouvoir avancer, comme conclusions de ce tra
ligamenteux. Généralisation et ho- mogénéité du processus. Je ne
crois
pas devoir m'étendre au point de vue étiologique
clinique des différentes formes d'arrêt de déve- loppement. Nous
croyons
par conséquent que tout nouveau document clinique
ivement t exactes que sur le tout petit monde qui l'entoure. Elle
croit
que Florence est la plus grande ville du monde, e
. - Dans ses jugements' elle se montre assez indépendante ; elle ne
croit
pas si on lui raconte des choses absur- des. El
sait faire la distinction entre les faits fantastiques et réels ; ne
croit
pas aux fées, aux esprits, ni au retour des mor
de telles questions elle sourit et répond que les enfants seulement
croient
à ces choses. ' 306 ETTORE LEVI Pudeur. Sensa
ort des parents, à avoir une famille à soi ». A la question si elle
croit
qu'elle va se marier, elle répond : « je ne sais
eul et suprême seigneur du monde. Religion. Elle sert à adorer, à
croire
à quelqu'un ; nous croyons que Jésus a existé,
monde. Religion. Elle sert à adorer, à croire à quelqu'un ; nous
croyons
que Jésus a existé, mais nous ne croyons pas qu
croire à quelqu'un ; nous croyons que Jésus a existé, mais nous ne
croyons
pas qu'il ait fait tout caque les chrétiens dis
erais-tu ? Je cher- cherais à l'aider, si j'y voyais. Quel avenir
crois
-tu que tu auras ? - Dans le temps je cousais des
ractères dif- félqnts de ceux qu'on a décrits jusqu'à présent. J'ai
cru
utile de les faire connaître ; je me bornerai,
sa editrice Vallardi. 334 GIUSEPPE FIL1NCIIINT ET G. GlGLI01.1 Je
crois
qu'aujourd'hui on ne peut guère douter de l'origi
'autres je n'ai rien trouvé ; toutefois, comme le fait existe, j'ai
cru
de mon devoir de le faire connaître. Donc, étan
herches expérimentales qui se font de tous côtés. Pour conclure, je
crois
que : 1° L'hypophyse joue un rôle dans la produ
tures de ces parties de corps. Ce que je viens de décrire et que je
crois
devoir attribuer à une atrophie partielle de l'os
ander à l'auteur qu'est- ce qu'il entend par échange normal, car je
crois
qu'en allant de ce pas, son malade se trouverai
être augmenté, un plus grand nombre de calories par. kilogramme. Je
crois
qu'il en aurait retiré l'avantage d'avoir finalem
qui a faitrécemment l'objet de plusieurs mémoires en Allemagne est,
croyons
-nous, assez peu connue en France. Observation
ssements du crâne chez des enfants idiots et hydrocéphales et je ne
crois
pas invraisemblable que la légère irritation pr
ensations de vertige ; a peur de tomber quand elle est couchée ; se
croit
en voiture. Délire, prétend qu'on veut lui fair
é irréguliè- rement dilacéré, qu'il a été réduit « en bouillie ».Je
crois
ne pas me trouver en présence de produits artif
ues du milieu ambiant. La vie élémentaire, de cellulaire qu'on la
croyait
d'abord, tend de plus en plus à devenir molécul
ns correspondantes dans l'aspect et dans la fonction ; nous pouvons
croire
, au contraire, et il est même certain qu'il exi
avec beaucoup de raison et beaucoup plus de profondeur qu'on ne le
croyait
sans doule que l'habitude invétérée était une sec
, de l'incons- cience et de l'irresponsabilité, tandis que d'antres
croient
y voir l'expres- sion d'un choix libre et réflé
t dans l'intimité de la constitution cellulaire ? Aviez-vous jamais
cru
par hasard que certains monstres de méchanceté
, on parle de pneumococcie, cte colilacilloae, de streptococcie. Je
crois
quil est temps que les névroses soient l'objet
e enlumi- nées... » (1). De qui sont ces miniatures ? ` ? Faut-il
croire
avec J. Renouvier que Ve- rard enluminait lui-m
arre de fer et veut en frapper sa mère ; il réclame son père, qu'il
croit
à Casablanca ; celui-ci est à quelques kilomètr
aine. La malformation n'est donc pas aussi rare qu'on pour- rait le
croire
. Elle est unilatérale dans les deux tiers des cas
n de nous a publié un fait démonstratif à ce point de vue (1). Nous
croyons
avec Dareste etKirmisson qu'il faut cherchera l
des lésions secondaires de la glande thyroïde, tandis que Ferranini
croit
que la seule action débilitante de la malaria c
n. Schuller explique différemment les cas de cette catégorie et les
croit
causés par une lésion primitive des glandes sém
nome. Sur ce sujet je m'accorde pleinement avec M. De Sanctis et je
crois
que mes observations fournissent une preuve exc
iez où les symptômes d'hypothyroïdie étaient] manifestes. Nous ne
croyons
pas non plus être autorisé à considérer l'arrêt d
otre sujet a les poumons, les reins, etc.parfaitement sains. Nous
croyons
en conséquence que l'hypothèse la plus probable e
question,exprimant sa con- viction d'une façon très nette : nous ne
croyons
pas pouvoir mieux faire que de reproduire ici s
e la considération que nous devons à cet éminent Clinicien, nous ne
croyons
pas pouvoir accepter aujourd'hui intégralement se
r accepter aujourd'hui intégralement ses idées à ce sujet : nous ne
croyons
pas que nos cas et les quelques cas analogues d
lé d'intégrité relative du corps thyroïde parce que si nous ne nous
croyons
pas autorisé, par aucun fait bien démontré, à a
ne lésion prévalentedirecte et primitive du corps thyroïde, nous ne
croyons
pas non plus pouvoir affirmer que cette glande n'
z qui justement il y a prévalence d'infantilisme génital. Nous ne
croyons
pas qu'il soit juste de nier toute valeur aux obs
t;·017b Bramivel a décrit un infantilisme pancréatique, et 11'ezasser
croit
que les lésions hépatiques dans la polysérosite
tre une cause d'arrêt de la croissance. Toute nne série d'auteurs
croit
à l'origine testiculaire de l'infantilisme. Bic
évalent, sinon exclusif, de l'arrêt de croissance. Comme Variot ils
croient
que le testicule doit entrer en ligne de compte
e ne puis accepter cette conception globale de l'infantilisme et je
crois
que si l'on suivait à la lettre les idées de M. I
ment à ce sujet aux idées si bien exprimées par M. De Sanctis et je
crois
qu'on ne doit formuler le diagnos- tic de myxoe
par des faits cliniques et physio-patholoaiques assez clairs et nous
croyons
que dans l'état actuel de nos connaissances, il
uellement normale mais de culture très pauvre; et difficilement, je
crois
, j'aurais mis en relief ses caractères d'infant
partiel qui probable- ment sont beaucoup plus répandus que nous ne
croyons
chez les person- nes normales mais incultes.
giques nouveaux qui ne sont pas d'interprétation facile et que nous
croyons
utile de discuter à fond. Chez Marguerite Ser
a méninge et de ses pro- longements. » Comme conclusion, Murri ne
croit
pas trop à l'existence d'une forme d'hydrocépha
ce d'une forme d'hydrocéphalie idiopathique au sens étroit, mais la
croit
le plus souvent se- condaire à des faits irrita
us laisse cependant quelques doutes. Malgré tout, nous persistons à
croire
plus probable,sur la base de l'a- namnése et de
'affirmer le diagnostic d'une forme vraie d'infanti- lisme, et nous
croyons
que ce nom ne doit pas être refusé aux sujets du
st une caractéristique importante des in- fantilismes vrais. Nous
croyons
en conséquence que l'infantilisme de Lorain doit
cliniques. ' Sur la foi de nombreuses observations cliniques nous
croyons
en outre ne pas pouvoir encore accepter comme d
sfaisante peut-être aussi, mais qui nous semble plus logique : nous
croyons
en effet qué'les infantilismes en général et l'in
duodénum (ictère) ou bien l'embolie de l'artère hépatique. » Je ne
crois
pas que cetle hypolhôse puisse être avancée série
unique, sèche, précédée de douleurs lancinantes dans le membre. Je
crois
donc pouvoir exclure aussi l'origine embolique
dû exclure ces hypothèses, devons-nous renoncer au diagnostic ? Je
crois
que non. ' En regardant les plaques de sphacèle
onclure rien de sûr avec des simples rapports d'analogie. II Je
crois
avoir démontré que, dans mon observation, il s'ag
elle est guérie ? , Avant d'arriver à une conclusion à ce sujet, je
crois
nécessaire d'ana- lyser un peu les faits connus
uireune gangrène des tissus sous-épidermiques, nous sommes forcés à
croire
qu'il ne s'agit pas chez ces sujets d'une si- m
ères étranges, et qui aboutit toujours à la même ci- catrice ? Je
crois
que personne ne peut désormais douter de ce fait,
me}) sensu stricto, selon la conception récente de M. Babinski » Je
crois
nécessaire de diviser la demande dans ses deux
roi du vagin donna lieu à des hémorragies qui amenèrent la mort, je
crois
qu'on trouvera pleinement justifiée mon idée : je
la mort, je crois qu'on trouvera pleinement justifiée mon idée : je
crois
que chez ma malade une ulcération trophique de la
que les ulcérations de la peau a été la cause de sa mort rapide. Je
crois
qu'aucune aulre hypothèse répond mieux à la réali
pathogénie précise du phénomène est très difficile à expliquer. Je
crois
qu'il est inutile de parler d'une diathése spécia
sujets hystériques, môme chez les sujets les plus intelligents, je
crois
que la guérison des phénomènes hys- tériques se
du médecin ; mais la guérison arrive plutôt parce que le sujet qui
croit
aux paroles de son méde- cin, reçoit l'idée du
Apparemment je l'avais guérie par persuasion, n'est-ce pas ? Je ne
crois
pas. En effet : trois jours après, j'arrive dans
uses qui suivent les contractures hystériques de longue durée. Je
crois
, au contraire, que la suggestion peut arrêter la
gestion peut arrêter la formation de nouvelles plaques. Je dis « je
crois
», parce que rien dans la littérature ni dans m
nous conclure qu'ils étaient tous atteints d'hystérie ? Je ne le
crois
pas. Le pithiatisme se trouve en état d'ébauche c
dominant au lieu d'être en état d'é- bauche, on a bien le droit, je
crois
, de parler d'une faculté spéciale de l'hystérie
es et si je lui affirme qu'il ne peul, plus ouvrir la bouche, il me
croit
et il ne peut plus vraiment ouvrir ses lèvres. C'
traire beaucoup p de gens très peu intelligents, très crédules, qui
croiraient
aux nouvelles les plus impossibles ; chez eux l
'ouvrir, et ils l'ouvrent très bien en riant de ma plaisanterie. Je
crois
donc bien sûr qu'un phénomène objectif (ce qui
ez d'autres névroses au de- hors de l'hystérie. En résumé : je ne
crois
pas que les réponses qu'on a données à la pre-
naire soumis à la Société de Neurologie soient défi- nitives. Je ne
crois
pas démontré que le pithiatisme soit exclusif de
térisme tout en en étant un des caractères les plus évidents ; je ne
crois
pas démontré que l'hystérisme se résume dans le
pas démontré que l'hystérisme se résume dans le pithiatisme. Je ne
crois
pas que tout ce qu'on a dit, écrit et observé à
and créateur de la Neurologie moderne que fut M. Charcot. Mais je
crois
que la réaction suivra encore une fois, je crois
. Charcot. Mais je crois que la réaction suivra encore une fois, je
crois
que l'hystérie, cette éternelle Protée, selon l
initions nouvelles, des négations et des affirmations précises ; je
crois
et j'espère que entre les deux tendances on tro
es trophiques a été discutée, voici comment il s'est exprimé : « Je
crois
que les troubles trophiques cutanés sont des plus
nelles, et non sur des idées théoriques, comme certains semblent le
croire
, que sont fondées mes dénégations. Il ne me coûte
n'est pas mort, lorsqu'ils auront besoin de nouveau de son aide. Nous
croyons
que l'hypnotisme est tellement entré dans la prat
plupart de ces malades d'incurables... par la psychothérapie, nous le
croyons
facilement, mais s'il avait essayé avec persévéra
es professeurs de Péters-bourg, Vienne, Paris et Berlin. Le malade se
croyait
tabétique. Il ne marchait plus, présentait des tr
ilité des moyens physiques, l'encourager à prendre patience, n Nous
croyons
que c'est de cette façon-là que se développent le
ivre pendant plusieurs mois ou pendant un an ou deux. Quant à moi, je
crois
à la guérison des tics : les exemples ci-dessus s
ments, je déclare à la malade que ce n'est , pas la fin comme elle le
croit
et qu'elle peut parfaitement bien se nourrir; que
maines et un petit minimum suivent le traitement quelques mois. Je ne
crois
pas avoir eu phis de 2 % d'insuccès total. Je s
x plus froide, plus faible, moins vibrante appelée voix de tête. Je
crois
donc pouvoir affirmer que ces deux expressions, v
t, par le repos, se réparent. Dans ces conditions, il est permis de
croire
à l'efficacité du sommeil sur le travail de l'esp
nces sur une grande hystérique de la salle Valleix, au numéro six, je
crois
. Entre un jeune étudiant au crâne déjà chauve,
d'avoir du caractère est bien la caractéristique de Bérillon. Mais
croyez
-vous que des hommes de cette trempe naissent par
n, tandis que les autres l'attribuent tout entière à l'hérédité. Je
crois
même que dans l'une de ses plus belles leçons : L
s de Berne), sur « les Psychonévroses ». f suite et fin) (i) Nous
croyons
avoir démontré que le reproche adressé à l'hypnot
n; mais jusqu'à quel point y réussit-il? Personne ne le peut dire. Il
croit
contribuer ainsi à ramener plus d'équilibre chez
bouche, le vagin ou le rectum. Que le public pense ce qu'il veut et
croie
à une puissance occulte, surnaturelle ! Nous avon
ute» les particularités observées au cours des séances. Mais non ! On
croit
qu'il faut hypnotiser et que cela se fait comme u
iger l'effet ridicule de sa phrase et ajouta: o Et pourtant, oui, j'y
crois
puisque je guéris aussi par l'influence de l'espr
épingle dans le bras; elle ne sourcille pas; lui, devient perplexe et
croit
qu'elle simule. « 2Cous allons bien voir! » dit-i
e crie; mais cette épreuve ne le convainc pas encore et il persiste à
croire
à la simulation. II veut la réveiller, elle con
e cette expérience à son chef qui haussa les épaules et sourit sans y
croire
mais qui, en homme pratique, engagea son assistan
n avait réussi. Et quand l'assistant me raconta cela il y a un an, il
croyait
encore à la simulation de la malade et n'était pa
n a eu davantage il a 10 ans, lorsqu'on l'a tirée du tombeau où on la
croyait
disparue! Cela seul suffirait à démontrer la vigu
l, excitant, mauvais; je concède qu'en ce temps c'était le seul qu'on
croyait
nécessaire. Et je suis vraiment étonné qu'avec un
pnotisme comme moyen thérapeutique, pour la raison bien simple qu'ils
croyaient
l'hypnose, une névrose! Donc leur opinion sur l'h
ils me l'ont même pas pu formuler. Et il. Grasset le pratique si peu,
croyons
-nous, qu'il est vraiment étonnant qu'il le trouve
ses. L'hypnotisation ne change pas la moralité des gens comme le fait
croire
M. Dubois. M. Dubois no cesse d'assimiler l'hypno
nt être considérée comme un € isolement interne » bien plus efficace,
croyons
-nous, que l'isolement extérieur, le fameux isolem
ientifiques de il. Dubois ne sont donc pas aussi nécessaires qu'il le
croit
puisqu'une surveillante suffit pour obtenir du ce
ois n'ai-je pas rallumé ma lampe, quand la maison dormait et qu'on me
croyait
au lit, pour chercher une solution qui me fuyait
tièrement, mais y ajoutent une variante applicable à certains cas. Je
crois
que, si « la nuit porte conseil », ce n'est pas s
utrées. Si une personne s'éveille d'une trance (mort apparente), on
croit
qu'elle est mort réellement et ne revient que pou
l lui manque une notion saine de la puissance de la science. Elle n'y
croit
pas ou y croit trop tard. « Le remède, c'est l'
e notion saine de la puissance de la science. Elle n'y croit pas ou y
croit
trop tard. « Le remède, c'est l'enseignement su
remiers à discerner ses mérites. Mais avant de vous en entretenir, je
crois
utile de rappeler les circonstances dans lesquell
stématiques. C'est le sort réservé à ceux qui se mêlent d'innover. Ne
croyez
pas que ces hostilités se rencontrent seulement e
embre de l'Académie de médecine. Mon cher Bérillon, Vous avez, je
crois
, dix-huit discours à entendre. (Sourires.) Je ne
: il apprend alors que son fils n'a même pas eu le moindre accessit !
Croire
que son fils est un travailleur et en être fier,
aissent également, Mme Berthe. Quand Francis Laur eut affirmé qu'il
croyait
que la mine contenait encore des mineurs vivants,
laissa entendre que le mardi on verrait... si... si... on saura. Nous
crûmes
comprendre] qu'on en retirerait au moins un vivan
rempli d'eau boueuse. [Celui-là reviendra-t-il, fimes-nous? — Je
crois
bien qu'on arrivera trop tard. Et puis on va trop
n'a pas souffert beaucoup de la faim ni de la soif comme aurait pu le
croire
la somnambule si elle s'était inspirée de l'histo
. 2) : Un jour encore, je tombai dans un beurtia plein d'eau, et je
crus
que j'allais être noyé. J'en sortis grelottant de
e soir, l'éclatante justification de la distinction qu'il a reçue. Je
crois
même que la ratification que vous lui donnez ce s
nde psychologie, et surtout à son indépendance d'esprit. C'est là, je
crois
, sa qualité dominante. Ce n'est pas pour lui que
ettre son élection à l'Académie de médecine. » Il me répondit: « Vous
croyez
qu'en acceptant la présidence, je vais m'aliéner
udie nullement ce qualilicatif. Bien mieux, je m'en honore et je veux
croire
que c'est aux principes que je viens de vous expo
d'émotion à Le tabac et le cerveau. Nombreux sont les gens qui
croient
que le tabac est un stimulant du cerveau et la pl
'assouvir une vengeance en accusant une personne innocente. — Je la
crois
capable, a-t-il dit, d'avoir porté en justice un
adie qu'il soit atteint, n'a besoin de médita 11 faut noter que Brnid
croyait
pouvoir guérir le tétanos avec l'hypnotisme. (N.
», de « ma théorie », de « mes principes ». En lisant ses écrits, on
croirait
que l'hypnotisme était une tabula rasa avant lui,
sseur, nous prenons la liberté d'observer qu'il est vrai que Faria ne
croyait
pas, comme plusieurs auteurs d'aujourd'hui qui n'
i du côté de la face, ni du côté du thorax, aucun signe pouvant faire
croire
à un effort respiratoire quelconque. Sous l'inf
hypnolisables, ils n'ont jamais pu constater aucun fait permettant de
croire
à la réalité des phénomènes que l'on prétend exis
r. Ces quelques exemples pris parmi beaucoup d'autres sufiisent, je
crois
, à vous montrer combien était étonnante la clairv
qui, croyant au pouvoir surnaturel de « la voyante », se trouve ou se
croit
guéri par le traitement prescrit par elle. Entre
rument psychométrique dont la loi doit reconnaître la vérité, si elle
croit
devoir en limiter l'emploi. Et devant la lumine
prétendues voyantes ne sont pas aussi inoffensives qu'on pourrait le
croire
. A l'appui de cette opinion, je puis citer le cas
aima-bleleltre où vous m'indiquiez le drôle mais efficace remède, je
croyais
que M. le Dr voulait rire. Je ne me suis décidé à
ge... etc.». Le début de cette lettre indique bien que le malade ne
croyait
pas à l'efficacité du traitement, ma lettre ne l'
copie ou égyptienne ? — Cela n'est pas sûr... Quant à moi, je ne le
crois
pas. — C'est un tombeau. — Soit, mais le tombea
ction du journal de Maurice Robin, La Médecine internationale, où, je
crois
bien, elle a été publiée, il n'y a pas très longt
faire quelque chose pour elle. M*" X... ne me cache pas qu'elle se
croit
fort peu suggestible, non entachée de nervosité e
compagnons vomir. Jamais je n'ai éprouvé le moindre malaise, mais je
croyais
que sur la mer c'était autre chose et que la mer
flexes psychiques ; le réflexe organique augmente le trouble, mais je
crois
qu'il est insuffisant à provoquer et le mal de me
une explication sur un point quelconque de la leçon, l'instituteur se
croit
blessé dans son amour-propre et impose silence.
uent donc manifestement des troubles psychomoteurs. De plus, nous
croyons
avoir établi le mécanisme pathogénique du tic de
vue mental, je suis arrivé à un certain nombre de conclusions que je
crois
devoir rappeler. Dans mon Aperçu des lois psych
ie morale et religieuse comme on étudie l'histoire naturelle». A l'en
croire
, i l'âme peut avoir des intuitions du vrai que l'
par une autre roule. Il a donc menti. Paul de Régla se refuse à le
croire
: « Jésus était irop grand, dit-il, il portait tr
aucun de nous, ne surent pas s'en dégager complètement. Après avoir
cru
que Jésus était un Dieu, ils ne purent se convain
témoignage des évangélistcs Marc et Jean, le ienaienf pour fou et ne
croyaient
pas en sa mission divine, jusqu'à ce Iaàkob, dit
Je montrerai où il puisa l'idée du Messie, et comment il en arriva à
croire
à sa propre messianité. J'étudierai sa mémoire,
ence. Vous dire pourquoi elle mouche des vers est assez difficile. Je
crois
cependant que quelque mouche aura déposé ses œufs
lement pendu. Elle esttellement nerveuse, ajoute la mère, que jenc la
crois
pas. Il restait à obtenir l'aveu de l'enfant. J
de chance de vaincre dans ta lutte pour la vie. 11 faut se garder de
croire
que ces vues ne puissent intéresser que les natur
rguments sur lesquels le Dr rjérillon avait basé sa proposition, nous
croyons
utile d'en reproduire dans ce numéro les éléments
sion, M. Lépine, avec la haute élévation d'esprit qui le caractérise,
crut
de son devoir de définir d'une façon précise le r
en faveur de la réforme complète de notre enseignement médical ; nous
croyons
utile de reproduire in extenso le travail que nou
l'autorité ; or, on ne l'acquiert que par un long effort ». Il faut
croire
que l'exemple de Charcot est des plus caractérist
e mes collègues, plusieurs professeurs m'ont dit plaisamment : « Vous
croyez
qu'il existe encore des élèves timides 1 Pour mon
résentait le poids maximum que son camarade eût jamais pu enlever, il
croyait
bien le mettre en échec par cette surcharge. Mais
des terreurs nocturnes, des hallucinations visuelles terrifiantes, se
croit
attaqué par des bêtes fauves (lion, tigre, etc.).
t la fin qui, dans son esprit, forment un tout bien coordonné. J'ai
cru
intéressant de rappeler ces deux faits de somnamb
it entendre, ce doit être une Raine ('). « Oui, répond Mme R..., je
crois
bien qu'il s'agit d'une Raine. « — Comment expl
ura-t-elle pénétré dans votre bouche, étant toute petite? « — Je ne
crois
pas, répond Mme R... J'ai dû avaler cet animal à
ffirmer si elle pénètre dans cet organe, bien que je sois portée à le
croire
, mais ses lieux de prédilection sont le rein, sur
, l'expression de nos sympathies les plus affectueuses, et le prie de
croire
que les professeurs de l'Ecole de psychologie s'a
ence que, lorsqu'il commença la leçon d'inauguration de son cours, il
crut
devoir se concilier l'indulgence par le trait d'e
ilieu à saisir, ce qui est chose plus difficile à établir qu'on ne le
croirait
généralement Nous avons tous encore présent à l
rs de l'hiver « l'aspect de la troupe, chose plus importante qu'on ne
croirait
, parce qu'elle réagit sur le moral du soldat, est
les cas. La plus grande difficulté se présente d'abord. Si nous en
croyons
La Rochefoucauld, « La timidité est un défaut don
son trouble. Très sensible, mais froide en apparence, ses parents la
croyaient
sèche, alors qu'elle était concentrée. Ils eussen
s pour son déjeuner, il achetait un morceau de pain d'épice, laissant
croire
à ses camarades qu'il apportait seulement son des
nspirent ; tandis qu'on est choqué par l'aplomb de certaines gens qui
croient
tout savoir sans avoir rien appris. Ce qu'il fa
avais formulées. Une des premières personnalités auxquelles j'avais
cru
devoir offrir ma brochure fut M. Liard, alors dir
ans l'amphithéâtre Cruveilhier, assigné aux professeurs libres. Je ne
crois
pas qu'aucun représentant autorisé de la Faculté
d'humeur, son incapacité pour le travail des idées lui échappent. Il
croit
avoir eu toujours les mêmes idées et les mêmes di
dispositions d'humeur ; il est sujet à des illusions de souvenirs et
croit
reconnaître dans son passé son état actuel qui n'
toujours, hélas '. à la cicatriser. Ce serait une grave erreur de
croire
que les abus du concours de l'agrégation datent d
s en plus les administrations de notre pays. Ma proposition, que je
croyais
enterrée à tout jamais, est réapparue au récent c
s pylbonisses, les sibylles, les pythies, ces médiums de l'antiquité,
croyaient
être inspirées par le dieu du temple auquel elles
seraient-ils compensés par de redoutables faiblesses? Il faut bien le
croire
. Ces organismes ébranlés ont comme des fissures
J'ai étudié en détail le cas d'une pauvre femme qui sur le tard se
crut
l'instrument d'une mission providentielle. Elle é
ialistes. Elle convient presque à regret que pendant ses transes elle
croit
voir sa mère et ses amis morts, auprès de qui ell
l'Ame. les " ESPRITS » SE BAPTISENT d'APnÈS l'eSPBIT DU JOUR. Je
crois
qu'il n'était pas inutile de citer ces diverses v
souvent insensibles. » Tel n'est pas absolument notre avis; nous
croyons
qu'on peut arriver quelquefois au diagnostic de
et après lui par un grand nombre d'auteurs. Mais Mauriac a eu tort,
croyons
-nous, d'at- tribuer l'aphasie et l'hémiplégie i
e artérielle des autres variétés de [syphilis cérébrale. Nous avons
cru
bon de les réunir dans un tableau synoptique qu
ne pensent point que les troubles trophiques soient fréquents. Ils
croient
, au conlraire, que ces symptômes observés chez
souvent à cette même influence des nerfs, à notre avis. Vulpian"
croyait
à la suppression de l'action musculaire dans la
logie de l'abrasion dans les traités d'affec- tions dentaires. Nous
croyons
qu'elle est due, dans la para- lysie générale,
'elles étaient envahies par les parasites. Sans être absolu, nous
croyons
que chez ces derniers aussi bien que chez les p
oedème pupillaire et péripupillaire. M. Neil Jameson lIepbul'l15
croit
que les symptômes ocu- laires pourraient être c
s ou qu'elles coïncident avec une poussée congestive ainsi que le
croient
Zacher et Durante7. : . - Tous ces troubles tro
seulement à la malpropreté, au décubitus ou au frottement, comme le
croit
M. Arnaud', mais quel- quefois aussi aux troubl
apparente, ressent au bas de l'épine dorsale un chatouillement; il
croit
qu'il a besoin d'aller à la selle, se rend aux
x water-closets, et le besoin de déféquer cesse aussitôt. Le malade
croit
à des influences sensationnelles. Parfois il ne p
antôt c'est aux mots « gut essen sie », A d'autres moments, elle se
croit
aveugle, elle ne peul 54 REVUE D'ANATOMIE ET DE
du goût), n'est pas probant aux yeux de Dixon. Il y a tout lieu de
croire
, en effet, que cette masse devait comprimer le
ques citées par l'auteur, le cervelet est, plus souvent qu'on ne le
croit
d'ordinaire, le siège de ces abcès. Les signes
pu obtenir d'un sujet en état de sommeil, d'accomplir un acte qu'il
croit
criminel. (Expériences avec des couteaux de pap
t par elle-même si claire et si évidente qu'elle n'a pas besoin, je
crois
, d'autres éclaircissements. De sorte que la médec
a mère et la tante mater- nelle étaient aliénées. M. Christian ne
croit
pas à la paralysie générale dans l'enfance pour
cas non douteux suivis d'au- topsie très complète. M. Sollier ne
croit
pas que l'insomnie et l'excitation signalées pa
uvelle série d'expériences, corollaire de la première, M. Sollier a
cru
pouvoir dégager une théorie pathogénique de l'h
d'avoir fait intervenir la suggestion dans ses expériences, nous ne
croyons
pas qu'elle soit restée étrangère à la producti
muets. Bien qu'il n'ait, aujourd'hui qu'un intérêt secondaire, nous
croyons
qu'il a sa place marquée dans la bibliothèque d
antes comme dans le cas que nous rapportons plus loin, où la malade
croyait
avoir subi une opération, puis avoir été décapi
beaucoup la forme la plus fréquente et la mieux connue. Oppenheim '
croit
ses symptômes si caractéristiques qu'ils permet
donne, elle se plaint maintenant de tout et à propos de tout. Elle
croit
qu'on lui en veut, que les soeurs en particulier
s'est pas rendu un compte exact de l'endroit où on l'a transportée,
croit
qu'on l'a changée deux fois de lit, demande à r
on, pré- tend qu'un des élèves militaires lui a coupé la tête, elle
croit
être morte. Elle a aussi des hallucinations de
ptômes de déficit beaucoup plus difficiles à dépister. Mais nous ne
croyons
pas qu'il existe des zones véritablement latent
térielle l'importance des intoxications et auto-intoxications. Nous
croyons
que dans la syphilis gommeuse c'est encore à el
) La cause de ces ramollissements est très obscure. Bouveret les
croit
dus « soit à la compression qu'exerce le néoplasm
tre heures. Sans prendre parti dans ce débat pathogénétique, nous
croyons
que l'oedème de la papille se rencontre surtout d
lésion ces rémissions peuvent être plus ou moins com- plètes. Nous
croyons
qu'il y a toujours un fond permanent de symptôm
s une voie Sans issue. Plus je réfléchis à la ques- tion et plus je
crois
que l'on a fait fausse route. Les descriptions
en quelque sorte de la vieille paralysie générale ébranchée ? Je
crois
aussi qu'il peut y avoir, suivant les prédisposi-
ir être celle de la vérité. Si ces vues sont exactes, comme je le
crois
, elles nous per- mettront bientôt, en présence
a dépossédés, on peut en rencontrer qui, véritables persécutés, se
croient
indûment frustrés de biens à la possession desq
quelquefois de légers actes de violence. L'auteur a quelque peine à
croire
que ces deux groupes ne constituent qu'une seul
l'auteur que le Latah tirait son origine des rêves; mais comme ils
croient
aux songes, aux revenants et à leur influence n
ttaque, obtenu des hallucinations par ce procédé, mais la malade ne
croyait
pas à la réalité de ce qu'elle voyait. C'est un
isième se figure avoir fait une poésie qui est de Uhland; tel autre
croit
avoir pour fiancée une jeune fille qui le conna
01·1 attire l'attention sur la pureté du cas de MM. P... et W... et
croit
à l'étendue considérable de l'hémor- rhagie le
e ni infirme la théorie de Langhans et de Kronthal. M. Mourawieff
croit
que la sarcomatose et la gliomatose dans cette
s dehors de la simplicité ; 3° regarder longtemps, même après qu'on
croit
avoir bien vu ; 4° éviter les théories et se mé
s la position accroupie dans laquelle on l'avait trouvé, pour faire
croire
qu'il était de lui-même entré dans la malle.
ès avoir passé en revue et critiqué les cas publiés avant '188ë, ne
croit
pas à « l'ostéite raréfiante, ni, par conséquen
mi, sur 250 cas, il n'a pas observé une seule fracture. M. Simon ne
croit
pas non plus aux frac- tures spontanées des par
titution anatomique de celui qu'elle épousait. J... a l'illusion de
croire
que sa fille est née de ses oeuvres, mais il a
z les ouvrières manuelles, elle est très faible dans la jeunesse et
croit
jusqu'à dix-neuf et même jusqu'à vingt quatre-a
la cellule nerveuse. Cette substance n'est pas amorphe, comme on le
croyait
naguère ; elle renferme des fibrilles, des stri
de de la texture intime de la substance achromatique 111, Marinesco
croit
pouvoir admettre au moins trois types de cel- l
croisés ne sont pas primitivement affectés comme pourrait le faire
croire
l'apparition des premiers symplômes de la malad
'on obtien- dra la guérison de l'alcoolisme. M. Van den Corput ne
croit
pas que l'alcoolisme soit une fonc- tion de l'i
alcoolisme soit une fonc- tion de l'industrialisme du siècle. Il ne
croit
pas que le travail intensif qui résulte des tra
concep- tion religieuse d'une harmonie fatidique de la création, il
croit
que l'alcoolisme est, en quelque sorte, un mal
à l'organisation de la cure systé- matique des buveurs, si l'on en
croit
les gens expérimentés. Il n'y a que le bon publ
lic égaré par des journaux trop légèrement ren- seignés, qui puisse
croire
encore à l'existence en France d'un asile de bu
himiques ! L'honorable M. Lentz, directeur de l'asile de Tournai, a
cru
bon de se faire le champion des modérés. C'étai
comme une autre, très en honneur de nos jours ; j'ai la naïveté de
croire
que ce n'est pas la bonne. Théoriquement l'abst
e pourvoir l'asile de Villejuif d'un poste de médecin-adjoint, j'ai
cru
ne faire que mon devoir. Enfin, l'argument tiré
oute conscience et sans aucune préoccupation du dehors, ce que nous
croyons
utile pour les malades, pour le bon fonction- n
rs des aliénés dits criminels aux médecins par l'administration, je
crois
utile de vous communiquer quelques ren- reignem
par pendaison ? Dans les deux cas, pourtant, il y a asphyxie; aussi
croyons
-nous qu'on peut d'avance éliminer toute hypothèse
travaillent en somme pour le moins mal. D'ailleurs, il ne faut pas
croire
que tous les invertis soient résignés à leur so
l. M. Raffalovich a prétendu que c'était une grossière erreur que
croire
que les invertis ont conscience de leur anomalie
. ÉTUDE DE LA DESCENDANCE DES INVERTIS. 287 7 ils peuvent même se
croire
supérieurs à ceux qui sentent et pensent autrem
is quand ils voient faire ceux qui les entourent ils ne peuvent pas
croire
qu'ils leur ressemblent, qu'ils sont dans la rè
e fois par mois. Parfois des crises plus graves se produisaient; on
crut
ainsi la perdre au quatorze juillet de l'an der
, des théories surannées auxquelles les buveurs ne demandent qu'à
croire
. De même que son autorité à bouleversé l'hygiène
écrivains qui, parce qu'ils tiennent quotidiennement une plume, se
croient
passés maîtres, et se trouvent aptes à disserte
ues. Et Dieu sait si, grâce à la cré-. dulilé des gens incultes qui
croient
« parce que c'est écrit », la mau- vaise herbe
'électeurs intéressés à l'insuccès de la réforme. Les bouilleurs de
cru
conti- nuent à nous empoisonner parce qu'ils on
t pas une affection vague et mal définie, comme tendrait à le faire
croire
la description récente de Binswanger : son expr
le cours du tabès dorsalis sont beaucoup plus fréquents qu'on ne le
croyait
jusqu'à préseut. E. B. XLI. Fibrome sous-cutané
t venues. Ces caractères n'ont rien d'absolu, et il ne faudrait pas
croire
que ces formes soient seules symptomatiques de
je n'étais pas éloigné... » Un malade cité par Iibot3, et qui se
croit
mort depuis deux ans, s'exprime ainsi : c J'exi
entendait chanter un coq dans ses entrailles, tandis que l'autre
croyait
que la chienne du curé de Saint-Germain avait m
se com- portent de même. « Des malades à impulsions violentes se
croient
criminels, possédés, damnés ou changés en diables
ou changés en diables ; d'autres, poussés à hurler et à mordre, se
croient
métamor- phosés en loups. * Les réactions inh
ne dans le développement même de l'intelli- gence du malade ; aussi
croyons
-nous qu'ils ne constituent pas un élément indif
et les malades les traduisent souvent eux-mêmes en disant qu'ils se
croient
doubles ou bien qu'ils sont changés en un être
donne une sorte de grandeur aux conceptions morbides. « Le malade
croit
qu'il est la cause de tout le mal qui existe da
état dans lequel certains aliénés, frappés des terreurs de l'enfer,
croient
être damnés. » Ils ne sont pas, comme les démon
e phase moins avancée d'une même évolution chronique. Avant de se
croire
possédés, ils passent par une période de déses-
passent par une période de déses- pérance et d'inhibition où ils se
croient
abandonnés de Dieu et damnés. Dès cette époqu
eprésentations mentales d'une chose redoutée fait qu'on en arrive à
croire
l'avoir faite, ou même qu'on passe à l'exécutio
ssaut; le malade s'attribue seulement des méfaits imaginaires et se
croit
la cause de phénomènes réels accidentels. Une m
accidentels. Une mélancolique religieuse qu'on retrouvera plus loin
croit
qu'elle est cause de la folie de toutes ses com
asma nutritif dans le corps cel- ]tilaii-e. V. Leiiliossél. ne peut
croire
que, aujourd'hui encore, Golgi persiste dans ce
e nerf soit moteur ou sensitif, il n'importe, selon Waller. On peut
croire
, en effet, que le prolongement nerveux d'une ce
s les exci- tations venues de l'écorce (Goldscheider). V. Lenhossék
croit
au contraire que, dans la section périphérique
ocs tigroïdes. Lenhossék se rattache à l'opinion des auteurs qui ne
croient
pas que ces substances participent aux fonction
lon- gements protoplasmiques, édifient pleinement à cet égard. Il
croyait
avoir enfin trouvé, dans l'existence de ces cellu
de Kolhker, de van Gehuchten, de Retzius, etc., de tous ceux qui
croient
les dendrites impliqués dans l'exercice des fonct
91), puis par Cajal (1891) et adopté par Retzius (1893). Mais il ne
croit
pas que la direction du courant nerveux soit ce
que les fibrilles latérales du prolongement nerveux, ainsi que nons
croyons
l'avoir démontré, suffisent déjà en partie pour l
et disparaissant assez brusquement après une durée indéterminée. Je
crois
aussi pouvoir relier cette amaurose à la même c
nesthésies variables, c'est-à-dire à l'hystérie majeure. Et si j'ai
cru
devoir relater brièvement ce cas de perte inter
ibres qui traversent ce carrefour, soit, comme je suis porté à le
croire
, sur leur prolongement à la surface du cerveau. »
l'écoulement des liquides que le matelas ou le coussin à eau. Je
crois
, en face des résultats que m'a donnés ce panse-
défendent. Cette affection, qui est beaucoup moins rare qu'on ne le
croyait
autrefois, a été souvent confondue avec l'idiot
interpréter de plusieurs façons les faits publiés. Pour ma part, je
crois
que ce que l'on prend pour des lésions de pa- r
unet, répondant à la communication de M. G. Ballet, expose qu'il ne
croit
pas à l'étiologie syphilitique de la paralysie
Ballet d'avoir changé d'avis de- puis 1889, époque à laquelle il ne
croyait
pas à une relation entre la syphilis et la para
rofit. La statistique seule peut éclaircir le débat. 1f. Cliristian
croit
que, puisqu'il y a identité de` lésions entre l
5 j est inconnue, j'admets le fait comme démontré, et pourtant je
crois
l'argument sans valeur. Il ne suffit pas, en effe
robablement nécessaire pour que l'évolution se produise; mais je ne
crois
pas que l'hérédité mentale joue dans cette évol
IIAI'1 ? EGE ? U est partisan de l'étiologie syphilitique, mais il
croit
que l'hérédité vésanique joue aussi un rôle très
n les particularités du territoire vascuiaire lésé. W. SERBSKY ne
croit
pas possible de différencier d'une façon absolu
onvulsifs du malade comme mouvements choréiques. M. MOURAWIEFF ne
croit
pas que la localisation présumée de la lésion d
mpulsifs (Zwangsbewegungen) est dé- placé et inexact. -1f. RossoLmo
croit
que l'examen delà fine struc- ture des cellules
nlée à la suite d'une instance en divorce intentée par sa femme. Il
croit
entendre des voix, attribue à un ecclésiastique
ibilité du côté opposé n'ont été unilatéraux. L'ex- plication doit,
croyons
-nous, être recherchée dans l'intensité delà com
phénomènes de dynamogénie, d'inhibi- tion et non, comme il l'avait
cru
d'abord, de suppression d'action, de phénomènes
lle est la signification diagnostique de ces deux syn- dromes. Nous
croyons
pouvoir la résumer de la façon suivante : la pr
ès avoir perdu leur personnalité première,en arrivent logiquement à
croire
qu'ils personnifient le malin esprit, le diable
nt les malades les plus disposés au suicide. Alors même qu'ils se
croient
morts, ou dans l'impossibilité de 'jamais mourir,
ntrailles, s'ajoutent des hallucinations vocales réitérées qui font
croire
aux malades que les esprits impurs parlent par
maniaques ont des hallucinations et des illusions de sens ; les uns
croient
être le diable, les autres se persuadent qu'ils
rdres... « Le marmottement continuel de certains possédés faisait
croire
que ces malheureux s'entretenaient avec le diable
es sens et à des troubles de la sensibilité géné- rale qui lui font
croire
qu'elle est possédée par le démon. Elle s'était
larmes. » Elle sent des bêtes qui la travaillent ; une nuit elle a
cru
saisir une araignée à travers la peau de son br
démence. La malade G. J..., femme P..., internée depuis six ans,
croit
être le diable incarné. C'est une mélancolique ty
ation anxieuse., demandant à être torturée, brûlée, etc. Elle s'est
cru
longtemps damnée, s'accusant d'avoirmal fait sa
malades, en proie à un délire anxieux datant de plusieurs mois, se
croit
damnée et poursuivie par les diables; elle est
e ne s'appartient plus, qu'on agit pour elle et par elle. Elle se
croit
la cause de toutes les maladies qu'elle voit au
fait de la peau du diable, plein de crapauds, de serpents. Elle ne
croit
plus en Dieu; il y a un million d'années qu'elle
mme exemple de démonomanie interne (possession vraie) un malade qui
croit
que le démon a pris domicile dans son ventre so
es multiples ayant fait des tentatives de suicide réitérées, qui se
croit
dam- née. Elle s'imagine que toute sa famille e
Legrain 2, nous relevons également l'observation d'une femme qui se
croit
possédée par l'esprit malin. Ses membres sont a
malade, qui est une femme raisonnable, dit qu'elle a de la peine à
croire
que ce soit un être étranger, un démon qui soit
a voix ordinaire de la malade; et ce qui fait surtout que la malade
croit
à la réalite de cet esprit, c'est qu'il a une a
blait, elle ne pouvait poursuivre ni mouvoir sa langue 1. Aupetit
croyait
qu'il avait un démon sous ses ordres. Il l'aper
ans certains moments qu'il lui devenait impossible de prier ; il se
croyait
obligé en célébrant la messe de mettre le nom d
'avait d'inclinaison que poul- le bien, tandis que l'autre, qu'elle
croyait
influencée par le diable, s'évertuait par insta
d'admettre pour chaque modalité du langage des centres spéciaux. Il
croit
qu'il faut réagir contre la débauche de localis
ous renvoyons pour les autres détails au mémoire lui-même. L'auteur
croit
qu'une partie du ruban do Reil latéral sert de vo
ent trompé sur le choix des malades à confier aux nourriciers. On a
cru
que le traitement familial convenait surtout au
a été trouvé dans la Bièvre, près du moulin de l'Hay. Tout porte à
croire
que le pauvre aliéné a mis fin à sesjours par l
la dernière livraison du Lippincotl's Maga- zine. Jamais encore, je
crois
, les progrès de l'ivrognerie chez les VARIA. 62
l'hypnose n'est qu'une manifestationdela suggestibiîité, il faudrait
croire
que ceux seuls qui possèdent à l'état de veille u
tibles de présenter un somnambulisme profond, ce qui nous amènerait à
croire
avec Charcot que les névrosés sont plus hypnotisâ
eux et dans lesquelles celui qui les lit et les analyse attentivement
croit
pouvoir reconnaître l'hystérie. Et de fait, le di
de sa mère qui, dans la matinée, a été opérée d'un cancer et que l'on
croit
sur le point de mourir. Notre jeune liile en épro
oilà ce que je voudrais maintenant examiner avec vous. Je veux bien
croire
que les choses se sont un peu améliorées depuis l
fonctionnel. La guérison dure depuis plusieurs mois : tout porte à
croire
qu'elle est définitive, malgré la brièveté du tra
et il en résulta des accidents très graves. Quelquefois, le médecin
croit
voir non pas un phlegmon, mais du rhumatisme et,
ommer les onychopha-ges, et les rongeurs de porte-plume qu'on n'a pas
cru
nécessaire de décorer d'un nom grec. Ces deux esp
dans la lïevue scientifique des Débals, écrit: « Il eût fallu, je
crois
, recourir à la suggestion hypnotique pour la guér
ses de l'estomac qu'on observe surtout chez les chlorotiques. Je ne
crois
pas que l'estomac soit en cause chez cette mangeu
ions du législateur de 1892. Je vais m'efforcer de le démontrer. Je
crois
que les faits d'exercice illégal de la médecine p
ssant à chacun la liberté ou la responsabilité de ses actes..... Nous
croyons
que le moment n'est pas venu d'enlever ces expéri
intérêts à l'hypnotiseur pour atteinte portée à sa considération ? Je
crois
qu'il y a surtout là une question de faits. Si le
eût cessé de conserver l'apparence d'une personne saine d'esprit. Je
crois
donc que la nullité de ces actes pourrait être de
ersonne hypnotisée est momentanément aliénée*. Mais le législateur ne
croit
pas beaucoup à l'aliénation mentale des personnes
'est-à-dire d'un homme essentiellement maître de ses facultés. Nous
croyons
donc que lorsqu'il s'agira d'actes à titre onéreu
t au point de vue de l'incontinence, un modèle du genre; nous voulons
croire
cependant que sainte Thérèse, par tournure nature
sent pas de la même nature que celles de cette bonne religieuse, je «
crois
qu'elle n'étaient pas moins grandes.... » Saint
Ainsi nous entrâmes en de grandes communications... Je « n'ai jamais
cru
que l'affection qu'il me portait fût mauvaise quo
mme je l'ai déjà dit je n'aurais « jamais voulu faire ce que j'aurais
cru
être un péché mortel, et il me u semble que celte
té de la guérison par la suggestion psychique. Jusqu'à présent, on ne
croyait
par l'idée pouvoir guérir que des idées: contract
uer les incorrigibles de ceux qui ne le sont pas. Dès â présent il se
croit
fondé à formuler cet axiome : « Tout sujet hypnol
orée : la nuit même de ses noces, l'incontinence avait reparu ! Je ne
crois
pas me tromper en pensant que, l'esprit hanté par
pouvoirs publics une réglementation de l'hypnotisme expérimental? Je
crois
qu'il y a lieu d'envisager successivement l'hypno
pothèse sinon l'affirmation d'un état éclamptique. Aussi me suis-je
cru
autorisé à vous présenter ce cas avec cette épi-t
cilement hypnotisé. Je parvins toutefois à l'hypnotiser, du moins, je
crus
l'avoir fait dans une première séance, après laqu
, de mémoire et d'intelligence. Il y eut peu de résultat et sa mère
crut
remarquer qu'il avait fait semblant de dormir: el
faisants. Il se maintient après plus d'un mois écoulé ; c'est à faire
croire
qu'il est acquis définitivement. Toutefois, je me
decins entrés dans cette voie soient encore une infime minorité, nous
croyons
être dans le vrai et ne cesserons de le répéter,
traire travailler à faire comprendre les bienfaits au lieu de laisser
croire
à ses dangers illusoires. Les agents provocateu
gens, jamais le public n'a été autant prévenu, et, malgré tout, à en
croire
les statistiques, le nombre des cas de rage augme
orps bondé, qu'elle n'est plus pourvue de ses orifices naturels; elle
croit
qu'elle ne peut plus évacuer son ventre, ni urine
re gauche. Pour des raisons qu'il est inutile de développer ici, je
crois
devoir conseiller l'extraction de cette dent de p
ie qui était fort commune autrefois, la lycanthro-pie : les sujets se
croient
transformés en animaux sauvages. Ceux de l'évangi
t une conviction plus qu'une idée motivée par l'odorat; car les juifs
croyaient
que, pendant trois jours l'âme voletait autour du
dait comme des fous, mais au bout d'un quart d'heure l'homme que l'on
croyait
mort commença a se remuer, il revint ensuite parf
ant: « Je vous connaissais pour un excellent médecin, mais je ne vous
croyais
« pas homme à ressusciter les morts. — J'avoue qu
au traitement des tremblements et de la maladie de Parkinson. Nous
croyons
devoir y revenir encore aujourd'hui pour exposer
n que des femmes indifférentes à l'idée de grossesse ont pu à tort se
croire
enceintes; mais n'y a-t-il pas lieu de se demande
non, il ne m'a même jamais adressé la parole. — o Pourquoi alors vous
croyez
-vous enceinte de lui? — Je l'aimais et n chaque f
un tablier qu'on y a suspendu pour le faire sécher; mais notre homme
croit
revoir son pendu ets éprouve une nouvelle émotion
la contrée viennent depuis lors en pèlerinage à Nemet-Saroslak ; ils
croient
à une intervention divine. NOUVELLES Enseigne
e des caractères de ce genre. Mais avant de chercher à le prouver, je
crois
indispensable d'indiquer le sens qu'il faut, selo
tre sans avoir été précédés d'autres manifestations de l'hystérie. Je
crois
qu'il est légitime d'appe-lerencorehystériques de
s gaz. Cette « tumeur fantôme » peut se déplacer, et c'est ce qui fit
croire
à Hippocratès et à Jean Fernel que la matrice se
genteuil (Seine-ct-Oise), a Trêves et a Moscou. Enfin, s'il fout en
croire
la Revue religieuse de Rodej et de Mende, du 7 ju
tre assez gros, aurait vu ce ventre augmenter tellement, qu'on aurait
cru
à une grossesse. Elle ne pouvait supporter aucune
lait difficilement (Marc VII, 33). Il ne pouvait guérir ceux qui ne
croyaient
pas en lui. En effet il ne put faire de miracles
t : « tu me dis, si tu peux, toutes choses sont possibles à celui qui
croit
. » Aussitôt le père de l'enfant s'écria : Je croi
sibles à celui qui croit. » Aussitôt le père de l'enfant s'écria : Je
crois
! viens en aide à mon incrédulité ! (Marc IX, 23)
pliquait les miracles autrement que par sa toute»pulssancû divine. Il
croyait
à une force. Ainsi il dit : a Quelqu'un m'a touch
la prière et àlaméditation ; ils faisaient des œuvres de charité. Ils
croyaient
et ils enseignaient l'immortalité des âmes, et ce
. La coloration intense qui dure plusieurs jours frappe le malade qui
croit
à la persistance constante d'une action médicamen
mme, il se tourmente de tout et s'exagère ses sensations; de plus, il
croit
qu'on lui en veut : fils de triste, il reste tris
miracles qui étaient probablement Iréquents à leur époque ; et qu'ils
croyaient
aux miracles qu ils ont décrits : le luxe de déta
descriptions de miracles s'ils les avaient inventés ou écrits sans y
croire
. Nous aurions alors un récit analogue à celui que
pleurer sans cause, ou bien de se parler à lui-môme et de chanter. On
croyait
généralement que c'était la fougue de la jeunesse
; et, comme il venait de se conduire en homme ivre, les assistants le
croyaient
ivre. Mais, Apollonius continuant à fixer sur lui
de démence : il était à moitié endormi, et couvert de sueur. « Je te
crois
! » s'écria-t-Il. Ses camarades lui demandèrent c
est venu pour moi seul : il veut m'instruire de ce que je refusais de
croire
. Ecoutez donc, écoutez les chants ' divins qu'il
reil, mais j'ajoute hardiment qu'on n'a pas pu dire, qu'on n'a pas pu
croire
cela de son (1) Max Muller et son école ont pré
ès qu'on a imaginé de pareilles choses. Quand la critique refuse de
croire
à des récits de miracles, elle n'a pas besoin d'a
critique une obligation, celle de rechercher comment on en est venu à
croire
à ces miracles. C'est ce qui n'est pas très diffi
'est ce qui n'est pas très difficile à dire dans le cas présent. On a
cru
que Jésus avait fait des miracles parce qu'on a c
cas présent. On a cru que Jésus avait fait des miracles parce qu'on a
cru
que Jésus était le Christ, et qu'on croyait que l
it des miracles parce qu'on a cru que Jésus était le Christ, et qu'on
croyait
que le Christ devait faire des miracles, r j
xpliquer d'ailleurs comment l'imagination humaine a pu les créer et y
croire
. Ainsi Strauss dit : Ce qui eût été étrange c'e
. Jésus et plus tardles apôtres, les saints guérissaient parce qu'ils
croyaient
à leur vertu miraculeuse. Tout autres étaient les
journellement accusés de fermer les yeux à la lumière et de ne point
croire
parce que nous ne voulons point voir. Il est bien
homme à l'occasion duquel sont écrits tous ces commentaires, je ne le
crois
pas encore aiTivé à la dernière étape ; mais il m
peut-être éclairer le problème de la basophobie, c'est pourquoi j'ai
cru
utile de vous le signaler. Psychopathie religie
ordinaires dans les couvents d'autrefois pour que le pape Léon X ait
cru
devoir s'occuper de taxer la Fornication des nonn
t d'ailleurs pas isolé dans l'Histoire ecclésiastique et nous pouvons
croire
que l'abbé de Fontevrault en édic-tant cette règl
ption de connaissances nouvelles plus en harmonie avec leur besoin de
croire
ot leur amour du merveilleux ; mais il n'y a pas
être aperçus et non plus inaperçus. Avant de les examiner, M. Myers
croit
utile de rappeler que les différents phénomènes v
u, elle ressent un frisson très intense et se remet à trembler ; elle
croit
à l'imminence d'une nouvelle congestion pulmonair
ent. Jadis, lorsque son mari mourut, elle se trouva désemparée ; elle
crut
même qu'elle ne pourrait pas toute seule « suppor
es persistaient chaque mois. Me souvenant que notre maître Pajot ne
croyait
guère à la persistance des règles pendant la gros
dans mes craintes. M1»0 X... les rejeta énergiquement; elle aussi,
croyait
avoir senti son enfant remuer, et quoique troublé
es autrefois ont repris vie. Sous l'influence de l'imagination, elles
croient
même sentir leurs enfants remuer, et chez la prem
hit, cette influence n'a pas été aussi considérable qu'on pourrait le
croire
tout d'abord. En effet, pendant la période pseudo
lr Bérillon et par d'autres sur des défauts d'enfants qu'on aurait pu
croire
dépendant de conditions trop diffuses et intangib
re^, à ne pas vous y tromper cette fois, le personnage que vous avîej
cru
voir au début. Cette description se rapporte à
ouvé cette manifestation soit considérable, elle n'a pas été étudiée,
croyons
-nous, d'une façon spéciale. Camille Flammarion,
marion appelle vue à distance, nous proposons le mot antévision, qui,
croyons
-nous, le détinit plus exactement. Recherchons m
i lui tombe sous la main ; aux repas, il mange gloutonnement. Je ne
crois
pas du tout que ce soit un simulateur; ses actes
n a imposé aux médecins qui l'ont soigné jusqu'à présent. Ils se sont
crus
en présence d'« une paralysie générale progressiv
cles, — on a épuisé le domaine de la science criminelle. La plupart
croient
que la science qui s'occupe de l'homme criminel n
plusieurs forces. Il obéit à la résultante. Le droit pénal moderne
croit
que le crime n'est qu'une force unique, dépendant
e qu'on la soigne et qu'on la guérisse. On est donc tout porté à la
croire
; elle se plaint, elle a un bandeau sur les yeux,
ance dans un langage imagé ; un chirurgien lui enlève l'utérus, et je
crois
bien que le diagnostic qu'il aurait fallu porter
é successivement les doigts, le bras et les nerfs à leur racine. Je
crois
que notre malade est hypnolisable. Mais, d'autre
tte secousse, elle présente une agitation avec des mouvements à faire
croire
à la danse de Saint-Guy. Insomnie complète. Dans
e croire à la danse de Saint-Guy. Insomnie complète. Dans le pays, on
croit
à un sort jeté. Elle est ensorcelée. Pression des
r, langue sale, étouffements : un ensemble de symptômes pouvant faire
croire
à un début de fièvre typhoïde. Le début brusque é
r m. le professeur Niceforo, de Lauzanoe (suite et fin) Celui qui
croit
qu'une science quelconque peut se développer en d
t naturelles, la Sociologie criminelle était fondée. Il ne faut pas
croire
, pourtant, que la sociologie criminelle soit le r
espondante, comme poids et comme mesure, à la liberté humaine qu'on a
cru
mesurer? Il faut ajouter, aussi, que le princip
es les autres causes modificatrices, « C'est une dangereuse erreur de
croire
que l'on est lié par une infirmité de race, alors
urs d'enceinte un cordon de sentinelles armées de carabines, j'aurais
cru
entrer dans un château plutôt que dans une prison
avec la plus ardente conviction à l'accomplissement de sa mission. Il
croit
que les malfaiteurs sont des malades et qu'il y a
ans l'armée américaine. J'en ai fait la remarque au directeur et j'ai
cru
deviner à son geste, que j'avais touché en lui un
ciales que nous avons eu à traiter depuis six ans. Si nous avons
cru
devoir nous limiter aux faits que nous avons pe
ayons jamais eu de renseignements très complets sur les parents, on
croyait
que la mère avait eu des attaques de nerfs dans
erspective d'une opération, sans qu'ils s'en fussent aperçus. Ils
croyaient
l'opération à faire quand elle était ter- minée
douleur et tiennent à la braver comme on le pense souvent. Je ne le
crois
pas beaucoup. Ils ont une attitude que l'on a m
ces pratiques d'Aissaoua. Il est plus difficile que l'on ne saurait
croire
de se procurer de ces renseignements, et tout c
de leurs congénères. Est-ce la cupidité qui les entraîne. Je ne le
crois
pas davantage. D'abord, sauf les grandes villes
Salpêtrière, on arriverait à des résultats très intéres- sants. Je
crois
bien que, chez eux, on compléterait d'une étonn
qui fonctionne comme un tout, comme une entité. Aussi, nous avons
cru
utile d'entreprendre au cours de l'année 1885 e
psycho- physique pathologique. Avant d'aborder notre sujet, nous
croyons
utile de résumer, aussi brièvement que possible
psychophysiques et le processus morbide dont elles résultent. Nous
croyons
ainsi pouvoir justifier notre tentative de psyc
ignit plus tard , les douleurs dans les membres cessèrent, et il se
crut
parfaitement guéri. La maladie avait en effet d
la. Sopra due nzallatie non ancora descritta (c'est du moins ce que
croyait
l'auteur). Napoli, 1831, p. 6. - Nous n'avons pu
l'épilepsie procursive. Nous ajou- terons qu'il serait téméraire de
croire
avec Salgues il DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 75
éressantes touchant aux hallucinations sensorielles des amputés qui
croient
encore faire agir leur membre perdu. Il s'expri
e centre lui-même du sens musculaire est détruit dans ces cas. Il
croyait
qu'il restait encore un chemin de l'ame au muscle
oque (narcotique, froid, troubles de la circulation). On pourrait
croire
plus volontiers à une parésie des centres senso
malades aucun stigmate. C'est là l'hystérie monosymptomatique. Je
crois
aussi utile de faire observer ici que cette mobil
es, sont loin de constituer, comme beaucoup de médecins semblent le
croire
, un caractère essentiel. Cet état psychique par
nt de véritables troubles trophiques. Du reste, c'est une erreur de
croire
que l'hystérie soit à l'abri d'altéra- tions nu
ent électrique appartient aussi à cette espèce d'anesthésie. Nous
croyons
avoir démontré par ce qui précède qu'il n'y a pas
t à Ville-Evrard avec le délire hypochondriaque que M. Baillarger
croit
propre aux paralytiques, mais sans le moindre tro
ue cette probabilité devint voisine de la certitude. M. Magnan ne
croit
pas qu'il y ait certitude de paralysie géné- ra
les folies héréditaires d'abord sur le délire chronique ensuite, je
crois
apercevoir une tendance générale à laquelle, pour
euse, que devient l'argumentation de nos collègues ? Et que l'on ne
croie
pas que j'invente des faits pour les besoins de
ébat Nous ne faisons pas de la déduction logique, comme semble le
croire
notre savant contradicteur, la cause exclusive de
nombre apparent de délirants chroniques ambitieux. 11. InLnr : r
croit
, comme 111* Briand, que dans une discussion SOC
LE Président. La parole est à M. Lacombe. M. Lacombe. Messieurs, je
crois
qu'il est indispensable de bien préciser les te
ou à peu près dont ait parlé M. le commissaire du Gouvernement. Je
crois
, du reste, comme le disait tout à l'heure ce de
u procureur de la République de l'arrondissement. Et il ne faut pas
croire
que cette déclaration soit une vaine formalité
ue que ce n'est pas sans de grandes hésitations que, moi-même, j'ai
cru
devoir prendre parti et dire : La mission de su
rable M. Théophile Roussel et de ses intéressantes annexes que j'ai
cru
pouvoir me faire une opinion sur ces divers poi
nant la permission de vous faire con- naître dansquelle mesure j'ai
cru
devoir proposer des modifications 138 SÉNAT.
é tout à l'heure à la tribune par l'honorable M. Roger-Marvaise. Je
crois
que ce système serait aussi la conséquence logi
Malgré l'importance incontestable de ces observations, je n'ai pas
cru
devoir aller jusque-là et, déférant aux considéra
ter à des intervalles rapprochés dans ces établissements ? Je ne le
crois
pas possible. Pour moi, messieurs, toutes les f
plus loin : il va jusqu'au huitième degré. Dans ma proposition j'ai
cru
devoir reprendre le degré de parenté admis par
e toutes les mesures de surveillance qu'il lui conviendra ? Je ne
crois
pas qu'on puisse aller jusque-là, et je ne pense
ement sur cette prescription. Mais si le procureur de la République
croit
nécessaire d'arriver à une surveillance plus H2
a toujours, par son dévoue- ment à la hauteur des circonstances. Je
crois
donc qu'il faut tenir un grand compte de ce lie
enfant dans la famille aussi bien que pour celle de l'aliéné. Je ne
crois
pas que le Sénat veuille aller jusque-là. J'admet
urs, on l'a proclamé souvent, sont plus puissantes que les lois. Je
crois
que vous vous heurterez à un sentiment que vous s
rait d'exiger l'ap- plication de la loi que vous auriez édictée. Je
crois
, messieurs, en avoir assez dit pour justifier l
vait pas bien compris ce que j'ai voulu dire. La commission n'a pas
cru
qu'il fallait édicter une pénalité particu- liè
n ce qui me concerne, accepter la doctrine de M. Roger-Marvaise. Je
crois
que la protection de l'Etat doit s'étendre sur
un délai de six mois, le nombre des guérisons tombe à 2o p. 100.
Croyez
-vous que l'Etat puisse se désintéresser absolumen
fondamental de la loi, parce qu'il est appelé à déterminer - et je
crois
qu'il doit le faire d'une manière précise l'éte
prétexte d'abus vous pourrez intervenir par- tout et toujours. Je
crois
que cette observation a été présentée tout à l'he
euse de sa famille ; quel mal fait-il au point de vue social ? Vous
croyez
que cet individu ne sera pas mieux soigné, mieu
et, s'il y a des abus, le ministère public est là ! Est-ce que vous
croyez
que dans une commune on ne sait pas vite si un al
frère ou la soeur. Elle s'en lient à cette première rédaction et je
crois
qu'il est inu- tile que le développe devant le
ux asiles privés. o C'est exactement la pensée de la commission, je
crois
. Il n'y a de différence que quant à la forme. C
-vous, monsieur Morellet, pour qu'on vote sur votre amendement ? Je
crois
que vous feriez bien d'atten- dre la deuxième d
cet article 8, il existe un amendement de M. Lacombe qui reçoit, je
crois
, satisfaction par la nouvelle rédaction. M. L
entivement le texte nouveau proposé par la commission, et voici, je
crois
, les seuls points sur lesquels je diffère aujou
lique : les aliénés dans LES hôpitaux ET hospices DE province. On
croirait
qu'après la réforme dont Ph. Pinel a été le promo
n dit des Ecos- sais qu'ils sont très portés à l'économie. On ne le
croirait
pas à voir leur passion croissante pour les éno
s vite à cet exercice. Tout d'abord, sa mère n'y prit pas garde, et
crut
même que sa fille saisissait ce prétexte pour s
-bras, ne tarda pas à faire disparaître toute douleur. La malade se
crut
guérie, et à son retour à Paris, au mois de nov
e je n'aie jamais été placé qu'à la tête de services d'hommes, j'ai
cru
devoir laisser complètement de côté tout ce qui
qu'elle est connue, la maladie a augmenté de fréquence. Calmeil le
croit
. Après avoir constaté d'a- bord que la paralysi
peut-être diffé- rents. Je n'en serais pas étonné, car j'incline à
croire
moi-même que la paralysie générale devient réel
ale est fréquente dans l'armée, elle l'est moins que ne le feraient
croire
les relevés de Charenton; car Charenton reçoit
rvations de Bayle et de Calmeil. Mon expérience personnelle me fait
croire
, en dehors de toute statistique précise, que, p
nalogie avec la situation de 1815. Hérédité. On tend généralement à
croire
, depuis les travaux de Lunier et Doutrebente, q
e nie pas, et moi-même j'en ai connu un assez grand nombre. Mais je
crois
que ces excès n'ont jamais pu intervenir que co
sczcdo- paralysie générale syphilitique) . En réalité, je ne puis
croire
que la paralysie géné- rale soit jamais de natu
clusivement les excès vénériens; d'autres encore la syphilis. Je
crois
que le problème n'est pas aussi simple, et j'ai
ns tous rencontré. En résumant les considérations qui précèdent, je
crois
que l'étiologie de la paralysie générale peut s
d'ophthalmies, pas d'otites ; pas d'engelures ni de dartres. On ne
croit
pas qu'il ait eu la rougeole; il semblerait 264
ptique, quels qu'aient été les excitants mis en jeu, il y a lieu de
croire
plutôt à un simple phénomène d'atavisme qu'à un
lly, Zeitsch. f. Psych., XLIII, 1-2.) Conclusion.- Il ne faut pas
croire
que le traitement des aliénés fût aussi inhumai
aucune époque rien de semblable n'a été noté. M. X... s'est bien
cru
en 1854 frère de l'empereur, mais dans sa généalo
lettre de son conseil judiciaire qui, ému de l'état de M. le baron,
crut
de son devoir d'avertir son frère de l'exaltati
arrivé à connaître le nombre exact d'aliénés en Polo- gne. L'auteur
croit
que ce nombre s'élève approximativement à 7,500
tituées on tété reconnus alcooliques. Ces conclusions permettent de
croire
que ces prostituées doivent donner le contingent
e qui est formé des articles 9 et 1 du projet du Gouvernement. Je
crois
que, à la seconde délibération, nous ferons bien
re... M. de Gavardie... et je l'explique. Un homme d'Etat qui, je
crois
, a une autorité assez grande pour que M. le pré
d'un infirmier bienveillant. Dans les maisons de fous, il se forme,
croyez
-le bien, une opinion publique, sou- vent plus j
une boite de noix qu'il mit dans sa 318 FAITS DIVERS. chambre, il
crut
que le diable venait les secouer. « Quand j'eus
sortie de sa crise, elle ne peut faire aucun mouvement bien qu'elle
croie
l'exécuter; il y a, en effet, alors chez elle p
solue du sens musculaire : si on lui dit : « Donnez la main », elle
croit
la donner, mais ne bouge pas, ses membres étant
e d'eau pure et elle va une dizaine de fois à la garde-robe. Nous
croyons
inutile d'insister davantage : les exemples que n
ne se rend d'abord pas bien compte de l'endroit où elle se trouve,
croit
être en journée, puis finit par se rappeler qu'
reprises de lui faire exécuter des actes pendant son sommeil : elle
croit
toujours les exécuter mais n'en ' Rédigé d'aprè
lisées. Elle n'y voit pas, entend très bien, cause et répond, ne se
croit
pas en- dormie, ne peut pas remuer, mais croit
use et répond, ne se croit pas en- dormie, ne peut pas remuer, mais
croit
le faire, et a perdu complètement le sens muscu
ès précis, et dont les exemples doivent être plus nombreux qu'on ne
croit
: le groupe des hystéri- ques hypnotisables qui
chaque groupe y peut aisément remédier. C'est ainsi que nous avons
cru
aussi éviter la cause d'erreur provenant de la
en bégayant)), vers deux ans; il a été propre de bonne heure; on ne
croit
pas qu'il ait eu d'otites ni d'ophlhalmies, ni
de l'hospice, qui disait : « Nicolas est si dévot qu'on lui ferait
croire
que des vessies sont des lanternes, il reviendra
était moins nerveux. [Père, garde champêtre, est mort très âgé; on
croit
qu'il était sobre. Mère, ménagère, morte de vie
où je gardais les bestiaux. » Pas de convulsions dans son enfance,
croit
-elle. Réglée à douze ou treize ans, mariée à vi
ce, l'enfant avait trois fois le cordon autour du cou; cependant on
croit
qu'il n'était pas bleu; on ne l'a pas frotté. (
E ' /¡OU (chagrins violents, déceptions, ménopause, etc.), l'auteur
croit
qu'ils doivent être rattachés à la dlatltèse ar
ut rencontrer dans les autres affections. Aussi M. Lafosse s'est-il
cru
en droit de créer un type clinique, qu'il appel
ents d'opinion auxquels donne lieu trop souvent la loi de 1838, ait
cru
qu'il suffirait presque pour cela de changer le
mettre en travers de ce courant d'opinion auquel le Gouvernement a
cru
devoir céder et auquel ont cédé presque tous le
rtées à cette tribune au cours de la discussion générale. On a pu
croire
, et on a cru, en entendant ces objections, que
ibune au cours de la discussion générale. On a pu croire, et on a
cru
, en entendant ces objections, que nous apportio
ion permanente a disparu. Je ne dirais pas la vérité si je laissais
croire
qu'elle a disparu sans emporter de sincères reg
tion, à coup sûr, de porter atteinte à la liberté individuelle. Ils
croyaient
même l'avoir suffi- samment garantie. Mais, pou
ces nominations arriveraient presque toujours trop tard. Mais je
crois
que sur ce point il sera facile à M. le ministre
ffiers et d'autres agents très capables d'exercer ces fonctions. Je
crois
que la commission fera bien, d'ici à la seconde
s actes touchant la capacité des personnes. 438 SÉNAT. Je ne puis
croire
que telle soit l'intention de la commission; co
'une recommandation semblable vous ait été certainement faite, j'ai
cru
devoir la renouveler, car il faut sans cesse qu
faction en leur décernant huit prix et quatre accessits. Mais ne
croyez
pas que cela vous dispense de suivre les cours de
es, semble indifférent pour les souffrances des aliénés parce qu'il
croit
la folie incurable. On ne brûle plus les fous c
lusieurs formes mentales longtemps réputées incurables. Je n'ai pas
cru
m'écarter 454 FAITS DIVERS. de mon sujet en r
du. Il avait seulement de la lourdeur dans les bras et les jambes. Il
croit
qu'il aurait pu ouvrir les yeux : s'il ne l'a pas
st trois jours après cette crise qu'il est revenu me consulter. Il ne
croit
plus, dit-il, à l'hypnotisme.»Pendant un mois et
ique. Mais ce serait reculer la question non la résoudre. On peut, je
crois
, se rapprocher de la solution en examinant les ci
elle risquait de provoquer en lui un nouveau conflit psychique. J'ai
cru
qu'il était préférable de le soustraire pendant q
essairement présenter des stigmates visibles de dégénérescence. Je ne
crois
pas à une homosexualité acquise ; celle-là, c'est
de tels flots de littérature homosexuelle qu'à leur lecture on eut pu
croire
que l'amour normal, l'amour hétérosexuel était l'
dans la croisade moderne contre ces fléaux. C'est pourquoi l'auteur a
cru
pouvoir reprendre l'histoire des ravages dus au m
ernant la croix à M. le professeur Lionel Dauriac, que l'on aurait pu
croire
et qui aurait dû être décoré depuis de nombreuses
ible de s'en débarrasser qu'avec l'aide des personnes présentes. Elle
croit
que le chien est enragé, elle nous le ramène et n
ns sentiments, hormis donc que l'on veuille retenir ce que nous avons
cru
devoir dire du transformisme et de l'embryologie.
concerne la prophylaxie et la thérapeutique de l'homosexualité, je ne
crois
guère au pouvoir de l'éducation chez les individu
s les recherches de Falloise et mes observations personnelles me font
croire
aujourd'hui que l'intoxication digestive ne jou
ture et leur ori- gine ; je n'ai donc pas à y insister ici. Mais je
crois
qu'il est indispensable de faire pratiquer, le pl
éclare qu'il est inguérissable et rebelle à tout traitement. Il ne se
croit
pas ou, du moins, ne se dit pas malade. C'est seu
ement supporter leur présence, il est nécessaire que l'uraniste ne se
croie
pas obligé d'aborder avec elles ces questions sen
t une union destinée à être malheureuse ? Pour toutes ces raisons, je
crois
que nous devons être extrêmement prudents. Tell
casion d'appliquer l'hypnotisme dans dix cas d'accouchemeut (1) et je
crois
pouvoir, affirmer que l'hypnose est le meilleur r
ment n'est rien, puis qu'elle peut être dominée par la suggestion. Je
crois
que si j'avais pu obtenir le sommeil hypnotique d
on se plaint de toutes parts de l'affaiblissement des volontés, nous
croyons
qu'il serait bien imprudent de renoncer à ce puis
aucune sensation sensible et les suites furent des plus heureuses. Je
crois
que cette pratique d'opérer, après le réveil, est
était convaincu qu'il était atteint d'une oéritonite tuberculeuse. Il
croyait
ainsi, à cause de la persistance de crises doulou
que la mode de se faire tatouer a fait sa réapparition à Londres. On
croyait
qu'elle avait disparu, mais ilsemble qu'après une
si pendant quelque temps, et ce fut tellement émotionnant que nous ne
croyons
pas qu'un seul de nous eut les yeux secs. Nous av
! » On peut mourir véritablement de peur, par exemple,lorsque l'on
croit
, à tort ou à raison, que sa propre existence est
, est transporté chez ses parents : sa grand'mère. le voyant évanoui,
croit
qu'il est mort ; elle tombe a la renverse, en pou
une condamnation pour extorsion de fonds.s'cst enfui à Genève, puis ?
cru
pouvoir, sans être remarqué, revenir à Paris. Deu
e guerre et les exemples en sont presque innombrables. Un soldat se
croyait
mort depuis la bataille d'Austerlitz où il avait
ogrès, sans se rendre compte des obstacles (1). C'est une erreur de
croire
qu'on pourra remédier à cette faiblesse en excita
l'émulation, par des faveurs on des cadeaux, par exemple par (11 On
croit
de même élever le niveau des examens en rendant l
. Delille. dans le Magister, décrit l'école et il ajoute : » Non loin
croit
le boulean dont les branches flexibles > serva
e bourreau venait de le frapper à la nuque avec un linge mouillé : il
crut
tellement que c'était le coup mortel que ce le fu
ens, on. débande ses yeux : il est mort ! Dans ces cas, le patienta
cru
à la réalité du supplice capital et à l'imminence
e-rasoir à la gorge ; ses blessures sont insignifiantes ; mais il les
croit
mortelles et meurt sur le champ. Dans les deux
e : * S'il est permis de douter de ce fait, il n'est pas d'un sot d'y
croire
. » D'après Hack-Tuke, une américaine, miss Bonn
oquée, avant tout, par l'affaiblissement de la discipline, si l'on en
croit
les rapports publiés dans le Journal officiel du
du dehors, sous forme de journaux ou de subsides. ? ne faudrait pas
croire
d'ailleurs que cet état d'esprit soit absolument
pour faire hausser les notes, tantôt sans but, pour le plaisir ! . Je
crois
pouvoir affirmer d'autre part que chez nous les f
frénésie, à l'habitude de ronger les ongles de leurs orteils. Il faut
croire
que la satisfaction de cette impulsion s'accompag
musant de pouvoir se ronger les ongles des pieds. » Anaïs, si nous en
croyons
Claudine à l'école, à défaut des ongles des pieds
it a vainement entouré son sean de genêt fleuri : il y a tout lieu de
croire
que c'est un voisin qui le leur a enlevé. Car rie
imploraient tout les saints du Paradis. Cela fait, le sorcier, car je
crois
bien que c'en était un, se retirait, non sans bie
la fièvre typhoïde, on met les jambes du malade dans un sac d'oignons
crus
, qu'on a préalablement broyés de façon à les rédu
adie très fréquente, surtout chez les femmes, et très opiniâtre. Je
crois
que le meilleur remède est le suivant : Prendre
int me dire : « Lemoine. vons songez A conconrir, eh ! bien, mon ami,
croyez
-moi, je vons le die dans votre Intérêt, ne concou
toucher et l'ouïe leur rendent le plus de services, non, comme on le
croit
généralement, parce que ces orgnnessont plus déve
n dans l'audition colorée, et c'est probablement snr ce fait one l'on
croit
pouvoir fonder une nouvelle méthode dont il a déj
fixement. Il devint comme un Méphisto pour moi. Enfin il me parla. Je
crois
encore entendre les battements de mon cœur: j'éta
volupté divine et surhumaine qui remplit notre être. TJ faudrait, je
crois
, les oreilles du bien-aimé pour comprendre tout l
ère fois, témoin de cette crise dyspnéi-que, la brave femme s'affole,
croit
que son malade est moribond et, dès que le paroxy
si très avantageuse aux gens bien portants. Ce serait une erreur de
croire
que la mort par syncope émotive exige la préexist
igée de les avouer à son mari, ce qui. pour elle, est une honte. Elle
croit
, par ce qu'elle a entendu dire, que ce sont des c
e la pédagogie collective, dont je ne veux pas diminuer la valeur, je
crois
que trop de professeurs négligent de parti-pris l
vue du développement physique et de l'hygiène. C'est une erreur de
croire
que plus les programmes seront chargés, plus les
ait pas moins une guérison due ? la fol qui guérit ; or, s'il faut en
croire
le D* Tenneson, -qui a dirigé longtemps l'un des
uggestion, qui contient une réponse aux D1* Peterson et Kennelly, qui
croyaient
ponvoir nier la réalité des succès, qne Charcot e
ur des ura-nistes : « L'uraniste, dit-il, n'a-t-il pas l'excuse de se
croire
choisi par la nature pour rétablir l'équilibre, p
fonction sociale ou. s'il n'y est pas destiné, comme des uranistes le
croient
, pourquoi ne pas tacher de faire passer cette cro
marque à ce sujet que « eu appréciant le pouvoir de « l'olfaction, on
croira
facilement que certains luxurieux ne peuvent « en
e ses enfants à un examen la met dans une angoisse extrême, tant elle
croit
que cet échec ne se serait pas produit si elle av
le arrive à la maison toute affligée et dit à ses parents : « Vous ne
croyez
pas que je suis enceinte ; eh ! bien, tout à l'he
n point de vue médico-légal, témoin ce cas récent. Une jeune fille se
croit
enceinte ; pour se venger de son « séducteur », e
cours des conversations que j'ai eues avec les médecins suédois j'ai
cru
comprendre que les autorités reconnaissent l'hypn
. Pour ce qui concerne son emploi de l'hypnotiem'* il écrit : « Aussi
croyons
nous qu'il faut surveiller avec un certain soin l
ahit les muscles ; la plume reste inerte, n'avance pas. On pourrait
croire
que cette maladie ne frappe que les personnes qui
viticulteurs assez embarrassés pour distinguer les produits de leurs
crus
, fortuitement mélangés. Dans ce cas, ils avaient
s si elles savaient qu'il y avait une différence au goût entre divers
crus
également renommés. Nos cuisiniers qui ont port
rs, ils se retournèrent contre l'hypnotisme; Or c'était une erreur de
croire
que tous les médecins devaient pratiquer cette th
de sa méthode ; il rejette aussi toute hypnose vérilable ou plutôt il
croit
le faire. Il cherche uniquement à provoquer chez
cription qu'il emploie une hypnose beaucoup plus profonde qu'il ne le
croit
ou ne veut le croire. 11 raconte tout naïvement q
ie une hypnose beaucoup plus profonde qu'il ne le croit ou ne veut le
croire
. 11 raconte tout naïvement que 10 a 15 0/° de ses
bon tour : Vous verrez, disait-il. que si je me couche, en faisant
croire
que je snis malade, il ne s'apercevra pas de la s
, mais avec un tonde volonté supérieure, prononce ces paroles : - —
Crois
! crois ! il faut croire ! H tombe en prières
vec un tonde volonté supérieure, prononce ces paroles : - — Crois !
crois
! il faut croire ! H tombe en prières, et qua
onté supérieure, prononce ces paroles : - — Crois ! crois ! il faut
croire
! H tombe en prières, et quand il a fini, l'i
que je sens est horrible. » Le prêtre le regarde, il lui demande s'il
croit
fermement, et quand le patient eut répondn « oui
abord, puis il pose cette double question a celui qui va mourir : —
Crois
-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix
cette double question a celui qui va mourir : — Crois-tu ? Veux-tu
croire
? Comme un souffle, sa voix répond : Je crois
Crois-tu ? Veux-tu croire ? Comme un souffle, sa voix répond : Je
crois
. Il est guéri. On cite cent exemples de même
ar développer dans son esprit des sentiments d'orgueil exagéré. Il se
croyait
un être supérieur et n'admettait pas la moindre r
ent avoir provoqué l'arrivée des périodes, mais je ne puis pas ne pas
croire
que les six mois d'aménorrhée ont été dus simplem
: elle avait demandé au joaillier de n'en parler à personne. Il avait
cru
que ces objets, d'un goût rudimentaire et rustiqu
argent. Tout de même une grande partie des adeptes de Dorothée Boiler
croient
encore à sa résurrection prochaine et continuent
ons pas de faire part a nos lecteurs de ce document intéressant. Ou
croyait
généralement que Molière, dans la création de ses
taire fut rendu obligatoire pendant un certain temps ; ce sont la, je
crois
, de grands concepts militaires ! On a nié le pa
ait jour dans la nouvelle génération Chinoise. La vieille Chine-qu'on
croyait
définitivement cristallisée dans son immobilité l
nion que j'avance, et affermir davantage la conviction du lecteur, je
crois
bon de citer ici quelques exemples. En principe
rge et on a même prononcé le mot de laryngite tuberculeuse. Je n'en
crois
rien : le jeune ?. X... fume la cigarette : cette
s exemples à l'infini, je bornerai là ces quelques citations, d'où je
crois
qu'il sera facile au lecteur de tirer la conclusi
prédisposition névropathique assurément, mais est-ce tout ? Je ne le
crois
pas. Ayez la curiosité d'examiner les ongles des
érêt et en étendue. Nous saisissons l'hypnotisme en son entier, et je
crois
que quiconque ne considère pas l'hypnotisme au po
t au XVII• siècle. L'autre, au contraire, basée sur la psychologie,
croit
à- l'excellence de la nature humaine et à sa perf
d'observation. Ils reviennent sciemment à la méthode socratique. Ils
croient
à la bonté de la nature et encouragent les curios
ement d'en être empêché, du moins je serai avec vous par la pensée.
Croyez
à mes sentiments bien cordiaux. Gilbert Ballet.
ue de mon affectueuse sympathie et de notre déjà bien vieille amitié.
Croyez
que j'assisterai de cœur à la belle soirée de dem
du Conseil répondit : « Comment Jules Voisin n'est pas décoré ! je
croyais
qn'il devait l'être depuis longtemps ». Et comme
nceinte. Au palper, il donne l'impression d'une masse graisseuse ; on
croirait
que tous les muscles abdominaux ont disparu. A la
roubles, c'est à lui qu'elle attache la plus grande importance ; elle
croit
qu'il est la seule cause de sa maladie ; et, comm
is non le Dp Gota, qui la soigne cependant depuis de longs mois. Elle
croit
qu'on est au 17 décembre 1904 et qu'elle s'est en
u'elle se rappelle très bien. Alors qu'elle a maintenant 25 ans, elle
croit
n'en avoir que 22. Depuis le 16 décembre 1904. el
e les plus pathologiques. Pour les chiens de chasse, il y a lieu je
crois
de ne pas poser en principe qu'ils chassent surto
ur battre en brèche la méthode, et pour nier ses bons résultats. Je
crois
qu'il y a là un phénomène peu nouveau et que les
qu'on la rencontre le plus. C'est une constatation assez curieuse. Je
crois
qu'il en est de même ponr l'Occident. Cette p
évenu les prendrait certainement pour d'élégantes demi-mondaines ; je
crois
même qu'il y a des erreurs dans ce sens. Leur é
la nouvelle école recommandent la grasse matinée à conx on celles qui
croient
en avoir besoin. Do façon générale, on tend a con
d'entendre, je m'en voudrais de retenir longtemps votre attention. Je
croirais
cependant manquer a nn devoir, si j'omettais de r
-même. L'étonnement. la terreur, les envahit et. les propos aidant on
croit
à un sortilège. Le directeur de l'hôpital, mandé
peu conscience et s'acheminer progressivement vers l'état normal. On
croyait
d'autant plus au retour de l'état prime que les d
nfiance dans la prière au nom du Christ et que ses malades devaient y
croire
également >. « Il ne fut en somme qu'un précur
trines officiellement reconnues et arrivées à juste considération. Il
croit
le moment arrivé de pouvoir mettre un terme à la
ontre la tyrannie de l'école, maïs pas dans le sens que vous pourriez
croire
. Elle dit que l'école devient trop attrayante, qu
ion de la solidarité qui lie les êtres d'un même pays. L'éducation,
croyons
-nous, doit chercher le développement harmonieux d
es causes de la délinquance juvénile : d'une part et en premier lieu,
croyons
-nous, le manque d'éducation de l'enfant, les mauv
ons dans le domaine de la physiologie humaine, et c'est pourquoi j'ai
cru
pouvoir vous soumettre cette étude. Cherchons à
nnés dans un présommeil momentané ou à l'insu de notre volonté ? — Je
crois
pouvoir l'affirmer et dire que de la réitération
arriérés soient mensurés; on se demande même pourquoi il n'a pas
cru
devoir prendre sur les divers sujets qu'il a été
qui se tordait dans de terribles convulsions. Effrayés, les voisins
crurent
à un empoisonnement, cette personne ayant tenté
thèse très acceptable. Mais il existe des raisons qui permettent de
croire
à un néoplasme primitif. Le malade est mort cin
ée. La question d'origine reste donc en suspens, mais du moins nous
croyons
devoir admettre que notre observation est un no
té le premier; nous avons donné plus haut les raisons qui nous font
croire
que cette tumeur n'est point une localisation s
puisqu'il a détruit la zone de sortie de la troisième paire gauche,
croyons
-nous cependant préfé- rable d'assimiler les tro
it juge de la valeur des ' arguments que nous proposons, nous avons
cru
devoir les faire connaître. De pareilles lésion
es accidents nerveux se succèdent dans l'ordre le plus régulier. On
croirait
, en lisant son autobiographie, avoir sous les y
ie, t. XIV. 9 130 L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE' seur, « car je ne
crois
pas que ce soit moi qui parle depuis ce matin »
t elle était sans force pour vaquer à ses occupations variées. Ne
croirait
-on pas entendre ces nerveuses qui semblent accabl
ction des témoins, même de ceux qui n'ayant pas la foi commencent à
croire
. Des médecins alors donnent, avec la plus entiè
lle, qu'il semblait qu'on' me déchirât avec des dents aiguës; on me
croyait
attaquée de rage. » 30 L'anorexie hystérique,
btenues sous l'influence d'une secousse morale quelconque, ont fait
croire
souvent à des miracles qui n'existaient pas. Le
t depuis les pieds jusqu'à la tête ». Comme, à un moment où elle se
croyait
plus malade, son père, pour lui enlever l'inqui
quatre jours : on m'administra le sacrement d'extrême-onction ; on
croyait
à toute heure, ou plutôt à chaque instant, que
hystériques. Si Thérèse entra dans cet état de sommeil' et laissa
croire
à sa mort, sans avoir peut-être conscience du m
GIE PATHOLOGIQUES. 141 qu'agissent les hystériques : on ne veut pas
croire
, s'était elle dit, que je sois en danger de mor
et Masseion ont noté aussi parfois du dermographisme. M. Séglas ne
croit
pas que les signes physiques de la démence préc
egmentaire couvert d'une éruption médicamenteuse. Cet oedème a fait
croire
à une phlébite alors qu'il s'agit seulement d'u
Après la mort de son père (1870) et de F. Voisin (1872), un sur-'
croit
d'occupations vint s'ajouter aux recherches scien
il l'expose dans tous ses dé- tails ; pour d'autres affections, il
croit
que les modalités électri- ques peuvent être es
ées après l'échec de médications plus sim- ples ; pour d'autres, il
croit
que ce serait une erreur de les em- ployer. Les
ment interrompues par l'éveil d'une relative conscience : tantôt se
croit
morte et se laisse aller à terre de toute sa haut
ttant quelques mots ou bien en souriant à la façon de quelqu'un qui
croit
déjouer ainsi les agissements d'un mauvais plai
sion d'observer dans notre service un de ces cas intéressants, nous
croyons
utile de le publier. Jeune fille âgée de dix-
t on dirait qu'on les entend avec les oreilles du corps; comme je
croyais
qu'on ne pouvait pas entendre autrement, j'ai é
e du sens du tact, hallucination de la sensibilité générale, que je
crois
très rare ; comme elle est très bien décrite pa
e, ils n'éprouvaient pas ces scrupules de fausse pudibonderie ; ils
croyaient
au diable et pensaient, avec la figue, le vexer
qui étaient dans le voisinage entendaient le bruit des coups- et
croyaient
que le démon frappait Thérèse; elle ne sor- tai
eu cette connaissance. » J'ouvre une parenthèse pour livrer, sans y
croire
, cet exemple de télépathie aux" personnes qui s
a le cas de sainte Thérèse, se figurent être sans pesanteur ; ils
croient
en marchant ne plus toucher terre : comme Camille
à l'exorciseur, à moins que ce ne fut au sorcier. Tous les trois se
croyaient
, plus ou moins, les artisans du surnaturel, les
ui- 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. siteur et au psychiatre lui-même, tous
croyaient
, plus ou moins, avoir à lutter contre un esprit
it s'étendre l'aire des forces naturelles. Derrière celles que nous
croyons
connaître, il en apparaît de nou- velles, soupç
revient, en grande partie, le mérite d'avoir fait rentrer ce qu'on
croyait
l'exception dans la règle, le prétendu surnatur
perturbations motrices d'actes fonctionnels, mais le rapporteur ne
croit
pas devoir comprendre dans les tics, la crampe
ait d'accord avec M. Brissaud sur l'origine corticale des tics ; je
crois
seulemement qu'il faut faire une distinction, d
nsable. A ce propos, je demande à éta- blir une distinction, que je
crois
justifiée, entre les mots psychique et mental.
Ainsi, par exemple, l'hystérique est toujours un psychique ; je ne
crois
pas qu'il soit toujours un mental. Dans l'hysté
ueur est un psychique, je ne pense pas (et M. Brissaud non plus, je
crois
) qu'on puisse soutenir que tout tiqueur soit un
e tic polygonal existe et il est polygonal depuis qu'il est tic. Je
crois
dès lors qu'il y a lieu de maintenir la distincti
ge et Feindel dans le savant ouvrage qu'ils viennent de publier. Je
crois
, notam- ment, qu'il eût été préférable de ne pa
connaître. Le nom de tic mental me parait mauvais, parce que je ne
crois
pas que la maladie décrite par M. Brissaud soit
avait débuté à soixante-dix ans. Dans cet ordre d'idées, M. Parant
croit
devoir signaler le cas d'un malade qu'il a observ
oguès en ce qui concerne l'état mental des tiqueurs ; comme lui, je
crois
que cet état mental se confond avec celui des d
discussion, on a beau- coup trop étendu le domaine des tics : à en
croire
quelques auteurs, il faudrait accorder le nom d
TÉS SAVANTES. 269 par les aliénés seraient rangés dans les tics. Je
crois
, au contraire, qu'il y a lieu de faire des caté
s'exposer à tout que de soutenir les regards des voyageurs qu'elle
croit
fixés sur elle, elle a même quitté son train au m
crétinisme. Sans nier que certains tiqueurs sont des infantiles, je
crois
qu'il en existe beaucoup ne présentant pas ce c
rranger ensuite l'affaire en leur vendant très cher de très mauvais
crus
. Vous connaissez tous le thème de cette désopilan
ysionomie exprimait une telle angoisse que plusieurs fois on put la
croire
sérieusement indis- posée pour lui offrir des s
nd la miction ne pouvait pas s'eflectuer faute d'urine. C'est, je
crois
, le caractère angoissant du tic qui rend cette ha
este stéréotype, un mouve- ment automatique et inconscient, etc. Je
crois
que le tic du malade de M. Obreja n'appartient
qu'ils n'ont pas une notion exacte de leurs attitudes. Alors qu'ils
croient
se bien tenir, si l'on vient à placer devant eu
réunion de tous ceux qui s'intéressent à la question. On pourrait
croire
que le sujet est trop restreint pour fournir delà
rmés. C'est pour cette raison que la commission organisatrice s'est
cru
autorisée à étendre le programme du congrès. To
Minotier. En même temps, l'ainé des enfants sortait, en disant : Je
crois
que papa vient de tuer maman. On alla chercher
it, et vivant avec un aliéné, finissent par se laisser persuader et
croire
à la réa- lité de ses hallucinations ou de ses
te- naire. Baillarger avait bien vu ces cas quand il dit 1 : « Je
crois
utile de faire remarquer les liens très étroits
t elle accepte son entière responsabilité : « J'aimai choisi; j'cai
cru
bien faire. » Elle exerce au Dépôt la même au
s parliez ». C'est, au total, une personne neutre, toujours prête à
croire
et à suivre : mais aussi aucune conviction ne p
. Nous ignorions alors le genre de la maison. En louant, nous avons
cru
bien faire. « Comment nous serions-nous méfiées
de Clotilde sur des actes, nous ne savons pas lesquels. Il a fait,
croyons
-nous, un bail au nom de Clotilde. Finalement il
on. C'est moi qui ai choisi notre logement. Je me suis trompée : Je
croyais
bien faire. Un jour, la concierge, rue Letort,
s trous, sous le mur des fortifications. Du moins c'est ce que j'ai
cru
comprendre. Il y aussi les demi-castors. J'ai lu
l'avons demandé à personne. Peut-être avions-nous tort : nous avons
cru
bien faire. Clotilde. Vous êtes les premiers
onfuses de per- sécution, une tendance aux idées de satisfaction il
croit
que c'est son patron qui se venge de lui en le
, réclame le médecin pour le rassurer sur le sort de sa femme qu'il
croit
dans la misère. Nouvelle amélioration de l'état
igence a baissé; G... sait que nous sommes au mois de mars, mais se
croit
en z ; tout en reconnaissant qu'il est à l'hôpi
croit en z ; tout en reconnaissant qu'il est à l'hôpital, il ne se
croit
pas malade. Son humeur est en général bienveill
olisme ou tout au moins les avoir suivis de très près. Mais nous ne
croyons
pas que ce soit là un obstacle suffisant pour n
ersonnes que l'excès du plaisir et de la joie font défaillir, elles
croient
être suspendues à ces divins bras, collées à ce
tendrement aimé, ne soit pas un obstacle à la prière; comme elle
croit
vraie son hallucination génitale, elle la défen
ue sainte Thérèse n'était pas une sainte prophé- tesse, comme on le
croyait
et comme on le croit encore, mais une halluciné
it pas une sainte prophé- tesse, comme on le croyait et comme on le
croit
encore, mais une hallucinée comme on en voit be
s on résiste, tellement est pro- fonde la jouissance éprouvée. Ne
croyez
pas que les mystiques seuls peuvent se donner o
ur le tré- L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 323 pied de Delphes, elle
croyait
que Dieu prenait possession de sa personne. C
ence : « Plus les choses sont au-dessus de la raison, plus je les
crois
». Cela veut dire que les manifestations de sa ma
tous : « Plus les choses sont au-dessus de la raison, plus nous les
croyons
». Ces mots, négation de toute science, ennemis
hismes et de tous les manuels d'instruction ; au xxe siècle il faut
croire
seulement ce que la science et la raison nous e
ë, équivalents de crises, phobies et obsessions. En conséquence, je
crois
légitime de classer ces malades sous le diagnos
349 ) ment commis le crime dont il a cultivé l'idée, et arrive à se
croire
réellement coupable. Les dégénérés paranoïaqu
endant la nuit, revivent leur rêve dans la journée et finissent par
croire
à leur propre culpabilité et à faire de l'auto-
eurs ; en tout cas, ils se défendent mal et laisseraient volontiers
croire
à leur culpabilité quand ils sont accusés. Il e
'empire d'idées de culpabilité, afin d'expier les crimes dont il se
croyait
l'auteur. J'ai observé également un cas d'auto-
régulièrement deux fois par nuit. Pour ces différentes raisons, je
crus
pouvoir conclure à la simulation. Plus tard, j'
vant l'exemple donné par Westphal, Schlesinger, Bruns, etc., nous
croyons
pouvoir proposer, à la place de la classification
ines proliférations névrogliques de nature gliomateuse ; et nous ne
croyons
guère à une association des deux tumeurs, au mo
liniques et histologiques retrouvées dans la littérature, nous nous
croyons
autorisés à réunir toutes ces observations, les d
matose et ces sarcomes multiples. L'ensemble de ces faits justifie,
croyons
-nous, la dénomi- nation de « neurofibrosarcomal
opto-striés un rôle important dans les fonctions motrices, je ne
crois
pas faire une encur analomique en supposant l'exi
it connaître. Peut-on établir ces règles ? Il me semble que oui. Je
crois
, en effet, que le juge devrait soumettre le pré
sourit avec incrudulité et continua, les semaines suivantes, à se
croire
enceinte. Au terme approximatif de la prétendue g
iveau intellectuel n'est pas très élevé, elle n'est pas éloignée de
croire
à la sorcellerie. Le 23 mars, la malade est en
ye de tout ce qui se dit, de tout ce qui se passe autour d'elle, se
croit
regardée de travers par tout le monde. se figur
gestes de ses compagnes (dont elle ne distingue pas les discours),
croit
toujours qu'on l'accuse ou plutôt que l'on doit l
fait de mal, je n'ai jamais tué, ni volé, ni assassiné, comme on le
croit
, ni mes enfants non plus, . les pauvres petits,
nfants et déclare que si elle est elle-même coupable, comme elle le
croit
maintenant, c'est pendant son sommeil qu'elle acc
ité qui germe en elle, le soulagement qu'elle manifeste lorsqu'elle
croit
avoir trouvé, l'accalmie relative qui persiste
est pas très éloignée de la rue, elles nous assurent qu'elles ne le
croient
pas et qu'on y est, en tout cas, parfaitement à
prises en suspicion : autant de dérivatifs psychiques. Mais nous
croyons
plutôt que le délire a été attaqué dans ses sou
r plusieurs lettres à M. J..., qui déclarait : « C'est étonnant. on
croirait
lire un écrivain ! » Ce fut une période de bo
s rêves, embellis par son imagination, comme tentraient il le faire
croire
le vague et la complexité des images. Actuell
rancs. En présence d'un tel complexus symptomatique nous pouvons,
croyons
-nous, porter le diagnostic de psychose à base d'i
pas toute seule ». « On dit que je mens, c'était forcé, bien sûr on
croira
papa, qui voulez-vous qui sache lequel des deux
ereux, mais 11 qui la faute ? 424 recueil DE faits. III. Il est à
croire
que s'il n'y a pas eu de mensonge absolu, imagi
des rapports complets avec un autre homme ? On aurait certainement
cru
sur parole la malheureuse. VI. Quoiqu'il en s
taté par hasard en se mettant un bandeau sur l'oeil droit ; elle le
croyait
irréparable, un oculiste lui ayant affirmé que
nus ont t été très peu favorables. De leurs recherches, les auteurs
croient
devoir conclure qu'il faut renoncer à espérer u
ile, par exemple, à un mélancolique devenu tel par chagrin d'amour,
croit
-on qu'il le sera également dans un cas de profo
un bon administrateur. Pour compléter cette rapide analyse, nous
croyons
utile de repro- duire textuellement les renseig
uis sa naissance de l'usage de la parole et aussi, nous aimons à le
croire
, du sens olfactif, a eu le goût singulier de ch
, et ne voyant personne dans le petit local n'étaient pas loin de
croire
à une hallucination de sa part, lorsqu'ils eurent
is mieux que nous en finissions toutes deux avec la vie. Hier, j'ai
cru
que c'était fini, qu'on allait me l'enlever. Alor
ginaux » jusqu'au jour où un fait étrange, une impulsion qu'on doit
croire
soudaine vient brutalement révéler le désarroi
ent réellement, leur'volonté n'est pas très amoindrie comme on le
croit
généralement. Mais souvent les obsédés succombent
son intelligence déjà anormale et débile originairement. T... se
croyait
en butte aux persécutions d'une vieille femme h
des idées délirantes ; les uns veulent se punir des crimes qu'ils
croient
avoir commis ; d'autres pensent se soustraire aux
nt en lui ? Peut-être a-t-il voulu .se punir de fautes dont il se
croyait
coupable ? Voilà, quant à la cause efficiente de
es des racines postérieures qui débouchent dans la moelle. Il est à
croire
'que les impressions cutanées périphériques son
ieuses dont on trouvera la relation dans ce travail, les auteurs se
croient
autorisés à affirmer que toutes les hallucination
spirites et les font suivre des considérations sui- vantes que nous
croyons
devoir reproduire textuellement : « Ainsi donc,
ensuite. Malgré l'existence d'une prédisposition héréditaire, il ne
croit
pas devoir faire inter- venir la dégénérescence
de morale établi sur des inductions ou des déductions. » A ce qu'il
croyait
être la vérité, il avait montré un dévouement t
un géant de trente ans montre l'erreur possible des auteurs qui ont
cru
pouvoir, d'après cette persistance, établir l'â
es plus recommandés sont : la sup ))'e6'si'j)t du lei bouilleurs de
cru
, l'élévation des droits sur l'alcool, la limita
riqué (203,623 donne pour l'année un bénéfice de 9 651f r. 73. Nous
croyons
que l'Administration supérieure ferait bien de
fougue de son ima- gination créatrice, en homme supérieur qu'il se
croyait
, il avait, sans motif aucun, abandonné le pain
ncore dans les limites de la santé. Wernicke, fidèle à sa théo- rie
croyait
tout d'abord pouvoir arriver à se prononcer d'a
rise, puis une pénible et inquiétante oppression. Pitres et Régis '
croient
que l'élément émotif domine l'ob- session, tand
s, marié, est amené à la clinique de Gratz, le 14 aoùl 1882 ; il se
croyait
le chef de gare, et se comportait en conséquenc
longé ; le 15, il est cliente, mimiquement assez dégagé, mais il se
croit
toujours chef de gare et prétend avoir trouvé l
e de la guerre de Berlin, et y avoir fait du scandale. Il finit par
croire
qu'il est contreminé dans ses projets par des e
a adressés, il collera ses factums à tous les coins de rues. Nous
croyons
qu'il est rationnel d'en rapprocher une obser-
de la théo- sophie mystique repoussent finalement la révélation et
croient
pouvoir établir seules l'existence d'un être su
mêmes, ont pu varier suivant les époques et les temps. Tant qu'on a
cru
que les dieux avaient le pouvoir de descendre s
nus apparaissaient très souvent aux aliénés ; les personnes du sexe
croyaient
s'unir alors à des satyres, au dieu Pan, à des
on prophétique. En un mot, le catholique devient fou parce qu'il se
croit
damné, le protestant parce qu'il se croit proph
evient fou parce qu'il se croit damné, le protestant parce qu'il se
croit
prophète; l'un se regarde comme réprouvé, l'aut
er de lui, il était resté en tète à tête avec son persécuteur et se
croyait
'lié par un pacte irrévocable, qui le rendait e
êmes. Malheur aux simples mortels, si les visionnaires s'avisent de
croire
qu'ils sont destinés à laver dans le sang la ta
le si fortement l'imagination d'un vigneron crédule, que ce dernier
croit
être condamné aux brasiers éternels, et qu'il n
renouvelaient fréquemment les anabaptistes illuminés, si l'on en
croit
Catrou ='. « Deux frères, à la suite de prédica
er au suicide, à plus forte raison lorsque celui qui y a recours se
croit
l'émanation directe de la divinité méconnue sur
terre. Pour s'iden- tifier plus complètement avec le Christ qu'ils
croient
être, des illuminés, pratiquent sur eux-mêmes d
moins dangereuses, ils tuent encore au cours de raptus où ils se
croient
les instruments du démon, ou bien pour être à leu
é de moi ! » » aussitôt il saute par la fenêtre et se tue. Un autre
croit
entendre les harmonies célestes et voit un char
s'observe dans la goutte, le diabète, le rhumatisme, etc., l'auteur
croit
qu'elle doit rentrer dans le groupe des trophon
rdier et Frenkel reconnaissent volontiers que le phéno- mène qu'ils
croyaient
avoir observé, les premiers, dans la para- lysi
le compte rendu que nous avons donné du Congrès de Marseille, nous
croyons
devoir donner le résumé d'une communication de
é. Psychoses POLYN1 : ,1'RIT1QUES. M. L1BILLE. Comme M. Régis, je
crois
que les caractères men- taux de l'affection déc
s intellectuels bien définis, liés ou non à la dégénérescence. Nous
croyons
, toutefois, que la grande chirurgie de l'abdome
le service. L'anesthésie, contrairement à ce qu'on serait tenté de
croire
, s'est toujours produite rapidement, sans pério
érant y revenir pro- chainement à propos d'autres asiles, mais nous
croyons
devoir signaler la situation pénible qui *est f
es rotuliens, il vous arrivera plus souvent que vous ne pourriez le
croire
, de les trouver exagérés ; demandez alors s'il n'
rvège, où il semble que ces idiots ne sont pas aussi rares qu'on le
croyait
autrefois. Le crétinisme endémique n'existe pas
Depuis quelque temps, le malade dépérit, devient déprimé, peureux,
croit
qu'il va mourir, se sent abattu, tour- menté d'
j'ai quitté l'Angle- terre pour aller combattre les Zoulous. On m'a
cru
mort, je n'étais que blessé et prisonnier, et j
'en finir avec ses jours ; il priait un ami de payer ses dettes. Il
croyait
aller au ciel pour préparer, avec le Seigneur J
uerie, relativement aux placements du journal : En avant ! Il ne se
croit
pas coupable, ainsi qu'il l'indique dans le pas
eut-il être considéré comme flagrant délit d'escroquerie ? Je ne le
crois
pas du tout, car le Seigneur lui- même nous dit
manda plus tard de ses nouvelles, lui faisait dire le bonjour, elle
crut
qu'elle aussi ne lui était pas indifférente. Ob
t ceci, il est juste qu'à moi seul appartienne ce parchemin. « Je
crois
avoir à peu près terminé ce que j'avais à vous di
z-vous fait de ses papiers » Ce à quoi la mère répondit qu'elle les
croyait
plus en sûreté chez M. le Curé. Le frère aîné r
, à l'exemple du héros de Dostoïewsky, dans Crime et châtiment, qui
croit
que tout le monde lit son meurtre sur sa figure
c'est cela je ne me nomme pas D... mais je suis un Bour- bon, et je
crois
mes droits égaux aux leurs. Donc, si des moyens
que moi qui s'occupât de cette affaire délicate, car moi, je ne me
crois
pas assez intelligent pour cela. « S'il m'éta
de filles, zélée, assidue, un peu surmenée dans sa profession. Elle
croit
remarquer qu'un de ses collègues, céliba- taire
ents alin d'éviter des rencontres, arrive à ne plus le saluer. Elle
croit
bientôt remarquer que les élèves s'en sont aperçu
quente constate alors un délire de grandeur et de persécution et la
croit
incurable. M. Wernicke la voit, trois ans après
ns tenant à une idée préconçue maladive, à une illusion. Elle ne le
croit
pas, mais se laisse con- duire dans une maison
r son lit de mort à la suite de ses couches. Une pièce qne sa femme
croyait
avoir près d'elle, et qu'elle voulait lui remet
comme normal pour le foetus par M. Feré (d'après llamy). Faut-il
croire
que Chen... était déjà un dégénéré avant d'être
malade semble amélioré, il ne voit plus reparaitre les accès et se
croit
complètement guéri. Six mois après l'opération, i
rs, ses crises s'accompagnent de délire mystique; -il fait le mort,
croit
qu'il a été crucifié et que des anges l'emporte
télencéphale : celle des uniciiles qui, avec Mèynert et l5LLIFiER,
croient
à l'unité structu- rale et fonctionnelle de la
e et non guéri par décision du tribunal de Dinan. Mal conseillé, il
crut
devoir se servir de cette décision pour attaque
énérescence n'est pas obligatoire chez le même individu. W. SHRBSKY
croit
que les données de l'auteur permettent des conc
opulation ouvrière, d'apparence bien portante. A. 13E[i,'ZSTEI.\ ne
croit
pas logique d'opposer la population saine en gé
u moins accusés, de caractère segmen- taire. M. Rybakoff penche à
croire
que les cellules médullaires sont les éléments
génération des cellules. En outre, ses propres expériences lui font
croire
que le nombre de vacuoles reste le même, sur de
ême, sur des préparations traitées par le formol. M. KOR : \1 LOI'F
croit
que les altérations du système nerveux peuvent
ce momeut où l'habitude n'était pas encore prise et eut prévenu,
croit
-il, la série de déplorables mésaventures qu'il a
ra- lysie générale juvénile est plus fréquente qu'on le suppose. Il
croit
que bien des cas considérés comme de la démence
c pas de concordance entre les faits cliniques et l'autopsie. Il ne
croit
pas qu'il s'agisse de paralysie générale juvéni
e la paralysie géné- rale soit en voie d'évolution. Ce qui lui fait
croire
que sa malade est bien une parah tique générale
es. Quelle est donc la nature de cette surdité verbale ? Ciiarcot
croyait
que l'aphasie hystérique n'existait pas. Pourtant
ition légitime. M. Déjerine. L'examen histologique ne permet pas de
croire
que ce refoulement ait été assez énergique pour
s ont des convulsions pendant leur première enfance. Mais M. Dufour
croit
que ces con- vulsions sont déjà de nature épile
éditaire; mais les exemples en sont beaucoup plus rares qu'on ne le
croit
. Sou- vent l'épilepsie a été créée par accident
eur, et... celui de l'observateur par le sujet : plus l'observateur
croit
à l'importance d'un fait, d'un détail, plus ce
oquement, plus ce fait se montre avec netteté et plus l'observateur
croit
à son importance. x Ce second volume, au contra
ICALE, ETC. lu 2° ils sont accompagnés d'une illusion qui nous fait
croire
à notre libre arbitre. Un bruit insolite vena
3 Dans un travail fait en collaboration avec M. Levic, nous avions
cru
trouver un exemple d'ophtalmoplégie pseudo-nucl
alique de l'amnios sur l'extrémité céphalique de l'embryon, mais il
croit
que l'étroitesse du capuchon céphalique, observ
ntrifuge, la malade ne sent, les yeux fermés, aucune rotation, elle
croit
être en repos. Pas de nystagmus de rotation, qu
t une forme mixte Strümpell-1'er- nicke. Discussion. M. MouRATOrr
croit
qu'il s'agit plutôt dans ce cas d'une affection
primitive du cerveau ne puisse guère être exclue. M. KOJEY- NIKOFF
croit
plutôt à une encéphalite disséminée, peu profonde
s les fibres arciformes internes, externes et interpyramidales; ,\
cru
Par l'intermédiaire des fibres arciformes interne
e certaines voix, malheureusement trop écoutées, tendent à le faire
croire
. Il faut ensuite le féliciter de continuer brilla
t ou députés ou sénateurs sont vraiment .des hommes de science : je
crois
qu'on en trouverait peu à qui donner ce titre d
indique l'auteur. Bien loin d'y voir une conquête de la science, je
crois
que celle-ci n'a rien à y gagner. Quoi qu'il en
de l'Esprit scientifique contem- po1'Ctin. G. PAUL-13oNcouR. Nous
croyons
utile, à propos de l'analyse dj notre colla- bo
vec un rasoir. Le malheureux, qui est atteint d'aliénation mentale,
croit
être une victime de l'affaire Dreyfus et que le
caractères de ce que M. Régis appelle le délire onirique, et qu'il
croit
caractéris- tique d'une intoxication endogène o
u où il se trouve ; d'après ses réponses, il est manifeste qu'il se
croit
à l'hôpital de Limoges; cependant, quelques ins
il a éprouvé des rêves qu'il est incapable de raconter, mais qu'il
croit
avoir été des rêves de voyages. Puis, il a perd
sile, « il a été comme dans un rêve, dit-il. Le plus souvent, il se
croyait
dans un pays étranger, ou dans un autre monde. Il
urgatoire pour voir un de ses amis auquel il s'intéressait et qu'il
croyait
y être détenu. « La religion jouait un grand rô
ses pensées en dehors de ses rêves, il répond spontanément « qu'il
croit
que la plupart du temps, il ne pensait à rien »
; elle demande avec anxiété ce qu'elle va faire de ce bras qu'elle
croit
sentir au pied du lit et insiste pour qu'on l'e
sûr, car il emploie les expressions suivantes : « il me semble, je
crois
, etc. » Supprimant ensuite tout contact avec son
orage, trois jours avant, elle s'est mise à délirer violemment; se
croyait
en feu, précipitée dans l'enfer, voyait le diab
n'y a rien ; les époques se succèdent sans modification. Nous ne
croyons
donc pas à l'influence d'un état d'anémie hypot
iné M... au dehors, et qui avait reconnu l'hypos- padias, n'ait pas
cru
devoir fixer davantage son attention sur ce poi
alors que ce sont des visions, prend peur et se met il crier. 11 se
croit
possédé du malin esprit, empoisonné par ses ennem
nuits, et parfois plusieurs fois la nuit; raison de plus pour qu'il
croie
aux sorciers. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 315
reil électrique et non sur le manche de l'électrode, sous peine de
croire
à une contraction tandis qu'on déplace presque in
ur cérébelleuse, l'hérédo-ataxie cérébelleuse de P. Marie. Il ne se
croit
pas encoie en mesure de décider si, dans la mal
En raison de ses manifestations bizarres et prétentieuses, l'auteur
croit
pouvoir l'envisager comme un phénomène pathologiq
ous le nom d'encéphalo-myélite disséminée. Discussion. 1. Mocratoff
croit
qu'il s'agit ici d'une affection d'origine infe
t êlre d'origine post- infectieuse. Le professeur IioAL1'i\Ih01·F
croit
à la possibilité d'une méningite cérébro-spinal
nt invités à diner, fut prise du même genre de troubles. L'auteur
croit
qu'il s'agit ici d'une polyencéphalite analogue à
des cysticerques et n'apparaissent que dans les phases ultérieures,
croit
pouvoir en conclure que la cause de ces symptôm
s ont toutes donné un résultat négatif. Discussion. M. IOURATOI'1
croit
que la valeur du phénomène e en question est tr
es : carmin, bleu de méthylène, etc. Quant aux altérations que nous
croyons
devoir rapporter à l'action des réactifs, elles
e des apparences si variées que Nissl, V. Gehuchten, Marinesco, ont
cru
devoir les répartir en plusieurs types en se ba
voir eu affaire à une forme un peu spéciale de streptocoque et nous
croyons
que tel est bien l'agent pathogène de la maladi
subs- tratum anatomique à l'affection qu'il décrivait, puisqu'il
croyait
à l'intégrité du système nerveux dans ces cas, le
seule en être rapprochée. A part ces deux cas il n'en n'existe pas,
croyons
-nous, où les lésions des éléments 1 Raymond. Cl
allure clinique et leur systématisation anatomo-pathologique, nous
croyons
que c'est à^de tels cas qu'il faut se reporter
trice, à cette bataille hallucina- toire, incapable de bouger. Elle
crut
comprendre plus tard que la voix intérieure éta
on motrice, mais aussi une sorte d'articulation réelle qui lui fait
croire
que la voix intérieure est la sienne, et qu'ell
une sorte d'angoisse dans la poitrine. Hallucinations de la vue. 11
croyait
voir des hommes, des as- sassins-derrière la po
outre pendant le cours de son délire, des idées de persécution. Il
croyait
que ceux qui l'entou- raient lui voulaient du m
te que nous n'avons pas de renseignements sur eux. 13... savait, ou
croyait
savoir que sa femme le trompait. Les premiers t
ridée, comme un jeune Othello. Il ne veut plus qu'elle sorte seule,
croit
qu'elle ira coucher avec tout le monde. Il se sen
tion : « Est-ce là, dit-il, une véritable hallucination, nous ne le
croyons
pas, c'est une impulsion plutôt qu'une hallucin
ns fait remarquer à propos de notre observation I, certains malades
croient
parler automatique- ment. L'éréthisme du centre
et physique assidu, il retourne au collège, et, tout nous permet de
croire
qu'il y a eu guérison, car les attaques n'ont p
ne lésion des branches descendantes des racines posté- rieures ; il
croit
aujourd'hui que son observation eût plutôt pu s
d'une gibbosité faible, comparée à la compression, per- mettait de
croire
à une affection tuberculeuse de la colonne verté-
us l'influence de la médication bromurée seule, le poids du corps
croit
sans exception. De l'étude des accès et de leur
s'il y a une loi des transformations de la notion du délit ? Il ne
croit
pas du tout à l'évolution unilinéaire des société
e nos départements agricoles, elle reste très faible, alors qu'elle
croit
sous nos yeux en intensité et en quantité dans
ULAIRE. 465 fort du biceps on n'a aucune sensation de mouvement, il
croit
pou- voir établir que les sensations musculaire
RITIQUE. qui est celui pour lequel Johannès Muller et Wundt avaient
cru
devoir forger une théorie spéciale. » Les sen
r et idées de persécution; il avait des hallucinations de l'ouïe et
croyait
qu'on allait le guillotiner. Sa mère, décédée e
possède des châteaux, des usines dont les murailles sont en or, se
croit
généralissime, prince, empereur, distribue libéra
l avec une immense bande de toile blanche qu'il doit vendre ; il se
croit
camelot, déchire ses draps, ses habits et les v
ies et de troubles trophiques correspondants. Il ne reste plus qu'à
croire
à une apoplexie spinale; il doit y avoir eu (le
s hallucinations vives; extrêmement excitée, fort défiante, elle se
croit
empoisonnée, mange difficilement, tandis qu'à d
le front. Marche lente, mais progressive, le pouls se ralentit. On
croit
à un hématome sous-dure-mérien au niveau du lob
ul. Efforts multiples impuis- sants. Il suffit que le patient ne se
croie
pas observé, ou qu'il arrive à détourner son at
avec le temps, la maladie disparait (de Bechterew). M. de Bechterew
croit
à l'existence d'une hyperexcitabilité sphinctér
les (acro- mégalie molle et non osseuse). Ceci permettrait aussi de
croire
que le jeune homme avait une anomalie congénita
uite de recherches entreprises d'après les conseils de M. P. Marie,
croit
pouvoir conclure à une direction ascendante de
s mes efforts restèrent vains. C'est alors seulement que je me suis
cru
autorisé à recourir à l'éther. M. Fau de ST-a
depuis quelque temps en proie au délire de la persécution. Elle se
croyait
en butte à toutes sortes de machinations de la
, dont le père habite près le Mans (Sarthe), où il est bouilleur de
cru
, avait bu, pendant l'abscence de ce dernier, un
sens, est-il vraiment aussi difficile que quelques-uns paraissent le
croire
, de discerner la symptomatologie réelle de la sym
e-ci : cet état peut-il être simulé de façon à tromper le médecin. On
croit
généralement que si chez un sujet cataleptique un
un autre mode d'excitation électrique. Il ne faudrait pourtant pas
croire
que cette prévalence d'action de l'étincelle élec
ceux qui s'effacent quelquefois tout à coup, d'une façon imprévue. Je
crois
donc qu'il sera prudent de saisir l'occasion prop
asme des muscles du domaine du facial inférieur et du peaucier, je le
crois
surajouté, inventé, simulé. Il est probable que
r l'art. L'amour de la notoriété n'est-il pas le mobile ? Tromper, ou
croire
tromper les médecins de Saint-Pétersbourg, après
frappant avec la précédente. a) Délire mélancolique, les malades se
croient
ruinés, déshonorés, etc. b) Quelquefois, il y a
ssive. Cette combinaison est, sans doute, rare et n'est pas notée, je
crois
, par les auteurs ; je l'ai rencontrée cependant t
ief le cas particulier sur lequel je désire fixer votre attention, je
crois
utile de vous rappeler quelques-uns des grands ép
aractères généraux de la grande attaque hystéro-épileptique ; mais je
crois
devoir me bornera vous renvoyer à mes précédentes
nde fréquence de l'hystérie, chez l'homme, s'observe vers 24 ans ; je
crois
que le fait mérite confirmation ; suivant mes obs
ns, la maladie serait, chez les jeunesjgarçons, plus commune qu'on le
croit
, vers 12 ou 13 ans ; on peut la rencontrer, vous
s ; c'est un cas de petite plutôt que de grande hystérie; pourtant je
crois
qu'il n'est pas moins intéressant, surtout en rai
st-il vraiment aussi difficile que quelques-uns voudraient le laisser
croire
, de discerner la symptomatologie réelle, de la sy
nt de pouvoir tromper le clinicien expérimenté en ces matières,? On
croit
généralement que si un sujet cataleptique est pla
vrier sur un établi, vint le frapper rudement sur la fesse gauche. Il
croit
pouvoir indiquer, avec précision, le lieu où le c
t surtout dans la substance grise centrale. Il n'y a aucune raison de
croire
que les faisceaux blancs antérieurs ou postérieur
peu près invincible à la station et à la marche. Il y avait lieu de
croire
qu'une opération chirurgicale appropriée aurait p
osographique de la cécité verbale ne remonte pas très haut. C'est, je
crois
, M. le professeur Kussmaul qui l'a le premier déc
e sous le nom de surdité des mots, Worttaubheit. 11 ne faudrait pas
croire
toutefois que la cécité des mots n'ait pas été de
tre son nouvel état et l'état ancien un contraste violent. M. X... se
crut
un instant menacé d'aliénation mentale, tant les
ngue-t-elle également de la paralysie pseudo-hypertrophi-que?Je ne le
crois
pas, et ici, je m'associe à l'opinion émise, bien
èvres des slrunleux. Mais en outre, fait qui n'avait pas été noté, je
crois
, par Duchenne, chez notre malade, le facial supér
fique et doit-on, à cause de cela, créer une forme spéciale? Je ne le
crois
pas. Faites abstraction de la participation de la
ns. De temps à autre elle s'arrête, se repose pendant un moment; vous
croyez
que 1. Les photographies reproduites ici ont ét
rs, Avant de revenir au sujet principal de nos études actuelles, je
crois
utile de vous donner des nouvelles de ces trois e
consentirent à ne voir leurs enfants qu'avec mon autorisation, et je
crus
pouvoir leur annoncer que, vraisemblablement, dan
thérapiques, abandonnez-la, ou tout au moins, faites en sorte qu'elle
croie
que vous avez quitté la capitale, prévenez-moi et
la mère céda d'abord et le père la suivit en maugréant et n'ayant, je
crois
, qu'une faible confiance dans le succès. L'isol
as triomphé — car je savais que vous vouliez me faire enfermer, —j'ai
cru
que ma maladie n'était pas sérieuse, et, comme j'
ses spasmodiques ou délirantes; c'est là un fait important, car je ne
crois
pas qu'on puisse considérer une hystérique comme
ter l'enseignement que porte avec elle l'histoire de ces enfants : je
crois
qu'à l'aide des moyens que je vous ai exposés, on
ore, beaucoup plus problématiques. Pour ce qui est de nos enfants, je
crois
que, malgré la prédisposition nerveuse qui, chez
ur qui ne connaît pas à fond la maladie chez la femme, -— ce que l'on
croit
être le trait carac- ' 1, E. Batault, Contribut
de phénomènes qui résistent à tous les modificateurs thérapeutiques,
croiront
, je suppose, s'il existe des troubles sensoriels
bien observés, sinon toujours bien interprétés, du moins à ce que je
crois
. Ces messieurs ont observé l'hémianesthésie sensi
e ses bras pensant y trouver les traces des morsures d'animaux, qu'il
croit
avoir senties. Puis il revient à lui, l'attaque e
n de nos confrères de Paris. D'après cela, il y a lieu d'admettre, je
crois
, que deux éléments biens distincts coexistent che
a fréquemment qu'au moment où il fermait les yeux pour s'endormir, il
croyait
voir un monstre à figure humaine qui s'avançait v
uivants; de plus, nuit et jour, il était tourmenté d'idées noires. Il
croyait
à chaque instant voir de nouveau son ver solitair
ement l'usage des parties affectées. Pendant quelques jours, on put
croire
que tout en resterait là, mais le 27 mai, c'est-à
, cette dernière hypothèse, et celle d'une lésion spinale que nous ne
croyons
même pas devoir discuter, n'était pas plus admiss
tentai de lui persuader qu'il était de nouveau paralysé. « Vous vous
croyez
guéri, » lui dis-je avec l'accent d'une entière c
e du moins, qu'à ce moment, il a éprouvé une sensation qui lui a fait
croire
que son membre supérieur était absent, qu'il étai
existence d'un phénomène qui, à défaut de tout aulre, pourrait, je le
crois
, acquérir une importance majeure et coniribuer pu
eux côtés, à la vérité sans transposition du cercle du rouge. Je ne
crois
pas nécessaire, maintenant, d'entrer dans des dév
ement l'ensemble des caractères qui vennent d'être énumérés ; mais je
crois
qu'on peut affirmer ^ue lorsque ces caractères se
auxquelles nous nous arrêtons, et pour leur donner plus de poids, je
crois
utile de rapprocher du cas qui nous occupe en ce
chez l'homme ; telle sera la conclusion de tout ce qui précède. Je
crois
vous avoir démontré que chez les deux hommes atte
me représentant le type des paralysies psychiques. Au préalable, je
crois
devoir vous rappeler un certain nombre de faits q
elle vaut, sans y attacher plus d'importance qu'elle ne mérite. Je la
crois
cependant vraiment digne d'être examinée de plus
démonstration, si je ne me trompe, est suffisamment probante et je ne
crois
pas que, dans une recherche quelconque de physiol
des jointures1. C'est une affection assez peu connue encore, je le
crois
, bien qu'à la suite de Brodie elle ait été l'obje
oints. en France 1 ; puis enfin en Allemagne 5 et en Italie 3. Je
crois
utile, en matière d'introduction, et pour rendre
pourrais vous citer plusieurs autres exemples du même genre, mais je
crois
en avoir dit assez pour vous montrer qu'il existe
Après ces préliminaires, je reviens à mon malade, chez lequel je
crois
pouvoir affirmer la nature purement hystérique de
nos efforts. Mais avant d'aborder la question de thérapeutique, je
crois
utile d'arrêter voire attention sur un point qui
s certainement, et peut-être est-elle même plus fréquente qu'on ne le
croit
, bien que, si je ne me trompe, les auteurs la pas
stériques, je vous ferai remarquer, en passant, qu'il ne faudrait pas
croire
que des désordres matériels un peu accentués de l
roite avec claudication. lise produit une rémission complète qui fait
croire
à l'existence d'une affection purement nerveuse e
n'insisterai pas plus longuement sur ce point, j'en ai dit assez, je
crois
, pour montrer que chez un sujet hystérique, lorsq
is éveillées, nos malades ignoraient absolument notre intervention et
croyaient
fermement l'une et l'autre s'être heurté la hanch
ui qui caractérise la période som-nambulique de l'hypnotisme, mais je
crois
en avoir dit assez pour exciter votre atlenlion s
ard, et il va lui-môme vous rendre témoins du mode opératoire qu'il a
cru
devoir employer. — Vous voyez que les pratiques q
tout d'origine psychique ou, si vous l'aimez mieux, mentale. — Or, je
crois
savoir que l'Administration du chemin de fer est
nt les résultats vraiment singuliers obtenus chez notre malade ? — Je
crois
pouvoir affirmer qu'ils sont dus à la nature du s
r de l'existence de la névrose hystérique chez notre malade ; mais je
crois
vous avoir suffisamment convaincus sur ce point e
s pour déterminer des phénomènes du même genre *. On peut avancer, je
crois
, d'une façon très générale, que plus la contusion
at d'une participation par voie réflexe des centres nerveux. On peut,
croyons
-nous, sans forcer les analogies, relever qu'il y
uscle. M. Léser, dans les expériences qu'il a faites sur les animaux,
croit
d'ailleurs avoir obtenu des résultats propres à c
été suivie d'une aphonie qui a persisté pendant quelques jours. Je
crois
en avoir dit suffisamment pour montrer non-seulem
e survenant à la suite de l'application d'un bandage trop serré. Je
crois
être en mesure de vous fournir immédiatement la d
sance motrice totale avec flaccidité complète. Eh bien, Messieurs, je
crois
que si, chez Mouil..., une fracture des os du 1
en relief et qui réclame de nouvelles recherches. Dès à présent, nous
croyons
pouvoir affirmer, après l'avoir recherchée sur un
ace. Les circonstances qui viennent d'être relevées montrent bien, je
crois
, que la contracture dont il s'agit n'est pas la c
l'exposé de son histoire et d'essayer de justifier mon diagnostic, je
crois
utile, pour rendre, notre démonstration plus aisé
signalé dans tous les écrits consacrés à l'hystérie. Cependant, je ne
crois
pas que la caractéristique de ce syndrome eût été
ur ce que m'a appris, sur ce sujet, une expérience déjà longue, je me
crois
autorisé à affirmer, Messieurs, que le syndrome m
tance, la simulation est peut-être plus facile à dépister qu'on ne le
croit
généralement. Peu de simulateurs, on en conviendr
ystérique, sans rien retran- cher, sans rien ajouter de leur propre
cru
à cette symptoma-tologie si complexe et si spécia
a place pas, que je sache, sur sa tête ou sur sa bouche. C'est, je le
crois
, par des considérations de ce genre que la simula
Œuvres complètes, t. m, Système nerveux. 28 à un prêtre, dont elle
croyait
avoir eu à se plaindre, le cadavre d'un enfant no
suppression d enfant à trois ans de prison. Mais, il est temps, je
crois
, d'en arriver à la démonstration de notre cas. El
loppement ; c'est dans l'é-corce grise des hémisphères cérébraux — je
crois
pouvoir l'admettre sans m'avancer trop, — qu'il f
fait sur la façon dont l'accident a eu lieu une légende à laquelle il
croit
fermement et dont toutes les circonstances se pré
ui-même il ne se rappelle rien, quoi qu'il en dise, et il y a lieu de
croire
que tout ce qu'il en raconte il l'a rêvé et inven
ents présentés par la malade disparussent d'un moment à l'autre, j'ai
cru
opportun de vous présenter aujourd'hui même cette
comprendra l'exposé complet de ces diverses observations ; mais nous
croyons
qu'il ne sera pas sans intérêt, vu la nouveauté
e qu'il m'a été donné d'observer dans le service de M. Charcot, je ne
crois
pas que l'aphasie hystérique soit si commune que
le matin, éclate une crise nerveuse avec délire terrible. Le médecin
crut
à une méningite aiguë ; le Dr Mayor, appelé en co
te et en écrivant sur une ardoise. Wilks, consulté pour celte malade,
crut
reconnaître un cas d'hystérie et promit la guéris
rmettront de donner à ce symptôme sa véritable signification. Je ne
crois
certainement pas qu'on puisse, à l'exemple d'un m
illé, 'maisrn'a qu'un souvenir confus™ desa,maladie,etest,dis{)oséj
croire
^ que loutre,, qu'on ^lui^a.fait^, l'a renduo'pl
YÇLIOLO(31E1 jJf,0J(llw,.n Ad le nom,celaide, Clark liniuersily, je
crois
utile,- en .raison, de 1 importance qu désormai
ychologie expérimentale'4dé dirige M.'le D' Hugo Mùnsterberg. Je le
crois
un peu plus important que celui de Clark Univer
époque. La première déposition fut celle de Marie Borthon, qui se
crut
possédée dès 1658. Elle raconta que soeur Buvée d
uite provenaient de l'influence mauvaise de cette soeur; et elle le
crut
d'autant mieux qu'elle ne pouvait lire son offi
de soeur Buvée, elle ne pouvait consommer les saintes espèces ou
croyait
voir « ' un spectre impur d'homme et un de femme
e protestant contre un tel acte, soeur Buvée répondit alors qu'elle
croyait
baiser une image. D'autres religieuses firent
lle avait infligé des pénitences à cette soeur, qu'elle n'avait pas
cru
devoir le faire parce que tout s'était passé en
ne disait que voyant soeur Buvée demander des potages au lait. elle
crut
que c'était une envie de femme enceinte ; l'aut
e d'une personne qui a le ventre gros ; tous motifs pour elle de la
croire
enceinte, d'autant plus, qu'après une médecine,
hoses horribles provenaient de l'obsession, il y eut grand sujet de
croire
qu'elles mirent à profit cette imprudente remar
acile de juger qu'il prétendoit se servir de ces lettres pour faire
croire
qu'il avoit continué son voyage à Salins avec l
et sa conduite jugée en'con- séquence. C'est-à-dire que si un homme
croit
qu'on lui doit cinq francs," on'l'excusera d'es
. ·f7,tri.,· -1 Ir3 r ? V·rtia : ,,r 3. UjiU ;,t Br ! 6 ) '7AtrU'1.1
cru
Séance du 6 raovembre : 189. , Présidence de M.
a, malade, à un ra- mollissement de ces organes. Il y avait lieu de
croire
que toute la sphère visuelle- du lobe occipital
ui apparaît une scène de son enfance ; ilvoit son village natal, il
croit
y être, enfant il joue comme autrefois avec ses c
ade n'était nullement compliqué. Pour ce qui est simulation, je n'y
crois
pas. Mes conclusions ne sont d'ailleurs nulleme
e du soldat un sentiment épouvan- table de frayeur. M. SLGLAS. Je
crois
, comme M. Vallon, que son malade était inconsci
des observations où jusqu'ici les autres méthodes permettaient de
croire
à l'intégrité de l'élément nerveux ; en nous mont
palustre. Pour admettre la nature palustre de ces troubles, on a,
croyons
-nous, tort de s'attacher trop à la recherche soit
- bles neurasthéniques se sont tellement amendés que la malade se
croyait
guérie, en m'affirmant que depuis de longues anné
ceux qui, comme le déclare le Commissaire lui-même', auraient pu
croire
à la possession, eussent été obligés « de ne plus
ent pu croire à la possession, eussent été obligés « de ne plus y
croire
et d'imputer tout à folie, à maladie ou méchancet
es de possession, si Dijon est criminel, devant Dieu pour ne pas le
croire
sur ces extravagances, si ce ne sont pas là les
s, des cailloux d'une grosseur et d'vne taille qu'il est malaisé de
croire
, qu'ils puissent passer par la gorge naturellem
uropéens, que son usage modéré n'est pas si nocif qu'on pourrait le
croire
; objet de luxe dans la classe riche, objet de n
lammatoires au niveau de la plaie opératoire; néanmoins l'auteur se
croit
en droit de conclure à l'opportunité d'une tell
1° La paralysie s'observe chez la femme bien plus souvent que ne le
croyaient
les anciens auteurs ; d'après l'analyse de 104.00
l'hôpital ordinaire, une déconsidération facile à comprendre. Je
crois
qu'en choisissant, comme emplacement, les points
popu- lation de nos asiles serait mieux placée ailleurs, mais je ne
crois
pas que la construction d'asiles spéciaux offre
ativement court. Il s'agit encore d'une femme. Et qu'on n'aille pas
croire
qu'il y a eu simple atténuation des.conceptions
e capitale de l'hérédité dans la genèse des folies familiales et il
croit
que créer une subdivision de la folie héréditai
pond qu'elle a été piquée, mais elle a oublié la piqûre du front et
croit
que l'autre a porté sur la main droite. Je trac
te amnésique se, rappelât si longtemps un détail d'examen. Or, j'ai
cru
me rendre compteque ce qui avait persisté chez
? ? " 3UP'1 ` Dans le cas dont j'vien; de(faire la-1 relation,1 je
crois
qu'il est difficile d'accepter^ cette pathogéni
pendant la Révolution, et un industriel y installa une filature, je
crois
.- Cette propriété passa ensuite en plusieurs ma
od. Ensuite, M. PIERRET a pro- noncé un excellent discours que nous
croyons
utile de repro- duire in exte ? iso : Messieu
de la portée de notre observation directe ? A vrai dire, je' ne le
crois
pas, mais pour étudier les délicates modification
ctuelles, morales et affectives. C'est dans ce sens étendu que nous
croyons
devoir la prendre. Définir l'hystéi-ic n'est pa
elle demanda son enfant, et comme on tardait à lui mon- trer, elle
crut
qu'il était mort. Mais on le lui rapporta bientôt
ai que les perversions soient rares chez les hystériques ? Je ne le
crois
pas, car tous les jours on en rencontre des exe
-il encore que cette femme est une simple dégénérée ? Je n'ose le
croire
, mais, pour ma part, je n'hésiterais pas, non à a
ui a trait à l'analogie du rêve avec certains états hystériques. Je
crois
, pour ma part, que le rêve joue un grand rôle d
quelques réflexions. Je parlerai à peine de la folie hystérique. Je
crois
, pour ma part, que les hysté- riques sont susce
suivant l'expression de Charcot, réhabiliter les hystériques. Je ne
crois
pas qu'il y soit arrivé. Les caractères généraux
tte, etc.. restera toujours l'expression de la vérité. M. Ballet ne
croit
pas à la folie hystérique; suivant lui, quand l
nce c'est remplacer un mot par un autre, ce n'est pas définir. Je
crois
, pour ma part, à la folie hystérique. Certes, la
ostic des manies et leur donne un cachet particulier. M. Vallon. Je
crois
, pour ma part, qu'il existe une manie hys- téri
e à la suite d'ue profond cha- grin, d'une émotion violente ? Je ne
crois
pas que la chose soit possible. Un dégénéré est
s sujets indemnes de tout stigmate dégénératif. Ce n'est pas là, je
crois
, une raison suffisante pour rejeter l'existence
omatique, les autres une valeur étiologique. M. Joffroy confond, je
crois
, deux choses absolument différentes : la prédispo
téri- ques à la suite de fortes commotions physiques ou morales. Je
crois
donc avec M. Ballet qu'on peut devenir hystériq
dégénéré. M. PIERRET (de Lyon). Au cours de cette discussion, je
crois
qu'on s'est un peu trop occupé des facteurs éti
principalement sur la communication de M. BARBINSKI. Toutefois nous
croyons
utile d'extraire du rap- port de M. Marie les c
ême dans des cas de longue durée, aucune trace de dégénération ? Je
crois
avoir montré que cette intégrité des racines ét
rofondie. C'est dans l'espoir de provoquer cette discusion que j'ai
cru
devoir, dans mon rapport, insister tout particu
locale des cordons nerveux à l'encontre des actions pathogènes, se
croient
forcés d'invoquer fatalement l'action à distanc
façon indiscutable l'exis- tence des névrites périphériques. Je ne
crois
pas utile de relater à nouveau ici ces recherch
t le nombre des débits n'était point une règle générale comme on le
croyait
. Résultat étrange et bien paradoxal. L'enquête
d'aliénés qu'il conviendrait d'interner dans cet asile spécial ? 5°
croit
-on qu'il sera facile au département d'utiliser le
et relatif à la construction d'un cinquième asile d'aliénés. On ne
croyait
pas, a-t-il dit, qu'il fallait un programme spéci
l s'agit là, en effet, d'un établissement hybride. M. Deschamps a
cru
aussi utile de demander au Congrès ce qu'il fau
atelier lui-même qui se charge de les approvisionner d'alcool. Je
crois
donc qu'il y a intérêt à ne pas établir de servic
comparative des faits toutes ces données théoriques, finissent par
croire
que le tubercule, la goutte, le rhumatisme, la sy
confrère de vouloir bien insti- tuer un traitement. Eh bien ! ne
croyez
-vous pas qu'envisagé par un esprit prévenu, ce
jour il y pénètre plus avant. Sa certitude vient de sa logique ; il
croit
parce qu'il rai- sonne. Mais il est inébranlabl
crites du cerveau. Je dis à l'occasion, car ce serait une erreur de
croire
que le délire en dépend. On sait combien de mal
'inégalité pupillaire, de quelques lacunes du souve- nir, on eût pu
croire
à un délire systématisé pur de tout mélange.
département, pendant les dix dernières années. Encore une fois, je
crois
qu'il n'en n'est rien, et que si l'augmentation e
arlement ayant été saisi de cette nouvelle affaire, le sieur Jannon
crut
opportun d'aller lui-même à Paris pour en préve
eur génie, leur raison, leur liberté se descouvre suffisamment pour
croire
que tout vient d'elles, et que leurs. volontés
use quand on se fut aperçu que celles qui étaient simples et qui ne
croyaient
être possédées c que parce que la supérieure le
dées c que parce que la supérieure leur avoit dict qu'il le falloil
croire
et que les exorcistes l'avoient dict aussy >,
qu'elle avait été transportée au sabbat, décrivait ce qu'elle avait
cru
voir. Charlotte Joly avait aussi des visions te
lusion que la glande lacrymale est innervée non point, comme on l'a
cru
jusqu'à présent, par le nerf trijumeau, mais par
(Neurolog. Cent ? ,albl., 1893.) L'auteur, après examen détaillé,
croit
que les prolongements protoplasmiques contienne
ur estime qu'il faut faire des réserves à cet égard. M. Ballet ne
croit
pas non plus que l'intervention chirur-icalé ai
des distinctions cliniques. ' Dans l'état actuel de la science, je
crois
que l'on pourrait, dès à présent, admettre troi
nerveuse consécutive à la névrite, à l'oedème, à la périnévrite. Je
crois
donc bien avoir imaginé un moyen d'étude nouvea
cé les idiots microcéphales. Avant d'arriver à ce point spécial, je
crois
utile de placer sous vos yeux un certain nombre
s connaissant peu les maladies nerveuses chroniques des enfants, ne
croient
pas encore qu'il est possible de les améliorer
endemain, elle commençait le traitement en prenant un lobe frais et
cru
de glande thyroïde de mouton. Les quatre pre- m
ns des limites plus res- treintes qu'à l'état normal. On pourrait
croire
que tout processus pathologique intéressant un
ations vasculaires particulières que les morphologistes ont parfois
cru
pouvoir assimiler à un cervelet), cet épendyme
alité mais sans opposition entre les deux éléments dissociés. L'une
croit
avoir son fils dans l'estomac, l'autre 342 SOCI
s s'accroît d'une façon inquiétante dans le Royaume-Uni, si l'on en
croit
un rapport officiel. Voici les chiffres qui mon
e tantôt elle accomplit d'une façon incoordonnée, ou même qu'elle
croit
parfois accomplir, alors que tout se borne à la s
à l'acuité de la maladie et à la rapidité de l'évolution. Aussi se
croit
-il en droit de conclure que dans les cas de diagn
illerl développe beaucoup l'importance de cette res- triction et il
croit
que la peptonurie ne saurait être invoquée ' Ra
ain. Donc là encore, au moins d'après M. Lailler, et quoi qu'ait pu
croire
Marro et Fonda, pas davantage de critérium. L
ueillir exactement les urines d'une journée entière, néanmoins nous
croyons
avoir réussi grâce à la bonne volonté du person
a Faculté). Peut-être dans quelques cas, heureusement fort rares,
croyons
-nous, y a-t-il eu un peu d'urine perdue ; mais no
ès différente, puisque Sutherland et Beale, ainsi que M. Lailler le
croient
excrété en quantité supérieure à la nor- male,
t de 4 sur 6. Ces nombres sont bien faibles, il est vrai, mais nous
croyons
qu'ils suffisent à montrer qu'on doit considére
me M. Mtinsterberg, d'ailleurs. Faut-il s'en étonner ? Nous ne le
croyons
pas. La psycho- logie expérimentale est née en
s impressions vésaniques en deux groupes que M. Marandon de Montyel
croit
devoir conserver : d'une part se placent les mani
é la possibilité de la contagion de la manie et de la lypémanie. On
croyait
toujours avec Delasiauve et Lunier que les fait
Belgique, mars etjuin 1894.) De cette étude biographique l'auteur
croit
pouvoir conclure que le czar Jean le Terrible,
lui ou en ses parents. Pas de visites non plus quand le délirant se
croit
épié ou en butte à des actions physiques, en de
; ce qui est congénital, c'est l'infériorité psychique. M. WILSER
croit
devoir admettre la transmission des instincts.
nous avons pu visiter en compagnie de M. le D'' Hamel deDôle; nous
croyons
être les seuls Français qui aient vu l'asile à
es notes qui pourront peut-être inté- resser quelques lecteurs. «
Croyez
-moi toujours votre tout dévoué collaborateur. .
psychique atrophiée '. G. DEYAY. 1 Avec beaucoup de médecins, nous
croyons
inutile la création d'un asile spécial pour cet
die il pourrait être pris pour un hypochon- driaque, si, loin de se
croire
malade, il n'était déjà prêt à accuser autrui d
ence durait depuis sept ans, quand en 1883, à trente-deux ans, elle
croit
s'apercevoir qu'on « monte la tête à son mari))
a une attitude réservée : c Je n'ai rien à dire, puisque vous ne me
croyez
pas. » Observation II. 0... veuve F..., cinquan
. Ce sont là des « moque- ries », des cancaueries » dont elle ne se
croit
d'abord pas l'objet, et si elle voit les sourir
ANS LES PSYCHOSES. 447 elle dans ses relations conjugales; un homme
croit
que sa fiancée s'est glissée en lui par la régi
rimable. c Si je me retenais deux heures de boire, déclare-t-il, je
crois
que je deviendrais fou. » Il fait tous les soir
ent en parfait état de santé et augmentaient même de poids. Il est,
croyons
-nous, im- possible de mieux réaliser expériment
e nocturne, qui a des mictions fréquentes et impé- rieuses diurnes,
croit
en réalité qu'il urine plus que normale- ment.
oup urine plus et plus souvent qu'un sujet sobre. Il est logique de
croire
que cette hyperdiu- rèse, consécutive aux grand
polyurie hystérique durable est beaucoup plus fré- quente qu'on n'a
cru
. Plusieurs des anciennes observations de polyur
s, plus ou moins organisées, cohérentes, systématisées, justifient,
croyons
-nous, une étude d'ensemble, ne fût-ce que pour
et permet de classer les théories que ces termes désignent. Nous
croyons
devoir l'emprunter presque en entier au mémoire d
hondriaque, pouvant à leur tour être chacune aiguë ou chronique. Il
croit
cependant que les hallucina- tions engendrent s
inées et qu'ils sont impuissants à convertir en des pensées de leur
cru
, parce que les associations d'idées sont, chez
aussi se montrer intermittentes, si bien que l'on pourrait presque
croire
à un trouble cérébral isolé, à une excitation d
xcitation du centre auditif. Finalement les malades succombent, ils
croient
à la réalité de leurs hallucinations et c'est a
survien- nent les hallucinations psychiques de Baillarger qui font
croire
aux malades qu'on connaît leurs pensées, qu'on
revanche, s'il ne se produit pas d'ag- gravation semblable, on peut
croire
à une intermittence ou une paranoïa aiguë. La
une maladie physique, les voilà inquiets, excités, déprimés, ils se
croient
, sans motifs, persécutés et en butte à des influe
t mal des événements indifférents ou sans rapport avec eux qu'ils
croient
dirigés contre eux; de là des manières de voir et
des épileptiques et des hystériques. Il ne nous est pas possible de
croire
que les états d'obnubilation intellectuelle, de
rencontrer dans une famille de goitreux. C'est une grande erreur de
croire
que le goitre exophtalmique n'existe pas dans l
ment responsable. licite d'autre part un procès américain où l'on a
cru
pouvoir interroger l'accusé mis préalablement en
cal Sciences ne s'occupe pas exclusivement de système nerveux, nous
croyons
pourtant devoir faire une mention spéciale de c
, mais n'ont pas perdu la vision mentale autant qu'on pourrait le
croire
. Treize ont besoin d'une direction. Il n'y en a q
sultat d'un jugement préconçu, ni d'un entêtement. Il ne faut pas
croire
non plus que les désavantages de l'affilia- tio
) ' faits DIVERS. 529 Depuis longtemps, cette malheureuse dame se
croyait
poursuivie par des personnes qui voulaient atte
sont bleus, couleur qu'ils ont en aversion. Enfin, bien des peuples
croient
qu'une couleur spéciale peut préserver des maléfi
erte par M. Donza et poursuivie par M. Raffcgeau. M. Bkiullon. — Je
crois
utile de rappeler l'observation faite par M. Lumi
dans son état mental me dispose à le considérer comme guéri et je ne
crois
pas qu'il récidive jamais dans l'accomplissemcntd
able à son entourage. Ses parents sont consternés; ils ne veulent pas
croire
que le cas soit bénin; il s'agit certainement, se
iat avant l'âge, si vous avez dessein de la donnera Dieu, comme je le
crois
. Elle dit que son miracle est un privilège partic
Mais quand ces pensées me viennent, Je les regrette, parce que je ne
crois
pas que je doive sonder les secrets de Dieu....
insuccès, les Chinois, au lieu de douter de son efficacité, préfèrent
croire
que le résultat négatif est dû uniquement à une m
ses vœux. Si donc, il peut être convaincu qu'elle est possible, s'il
croit
qu'elle doit être le résultai de certaines applic
ire retrouver l'usage de son membre, il sait qu'on veut le guérir, il
croit
que l'application est faite dans ce but, le mal d
amènera ensuite la guérison de son infirmité; chose qu'il ne veut pas
croire
tout d'abord, tant elle est en opposition avec to
et au lieu de cela, il éprouve du sommeil. Le troisième sujet pouvait
croire
dans les mêmes circonstances qu'il se produirait
estion: mais dans des cas particuliers, comme ceux que j'ai cités, je
crois
que nos malades pourront obtenir de l'application
ge, je vous touche tous à la fois, au nom du Père... Notre Père... Je
crois
en Dieu... — Pour les dartres. —¦ Les dartres v
x-huit espèces, je vous louche toutes à la fois, Au nom du Père... Je
crois
en Dieu... (Trois fois). Pour les forçures ou é
n a, dit Pierre-André Mattiole (2) dans ses Commentaires, il en a qui
croient
que les os des corps morts, réduits en poudre et
té des rêves pendant la sommeil. Les autours inclinent généralement à
croire
que ce serait seulement à J'épo- (1) Dans lesqu
. ?. Maury et Dechambre tout en faisant des restrictions, inclinent à
croire
à lu continuité : le marquis d'Hervey, Lelut, Ser
it. 0* En recueillant les rêves de toute une nuit, on est induit; â
croire
qu'il y a toute une continuité qui se suit dans l
ngrès international de l'hypnotisme lance son appel aux savants, nous
croyons
utile de reproduire les termes dans lesquels la I
des indications ée l'hypnotisme choz les aliénés. Longtemps on t>
cru
que cet malades spéciaux n'étaient pas accessible
cachet qui lui est propre ; celui d'une grande obscénité : le malade
croit
assister ù des scènes de débauche, auxquelles pre
dernières années, d'autres savants les reprirent en les complétant et
crurent
les découvrir. Pourtant, les théories do Durand
celte maladie, ces fameuses paroles plus profondément vraies qu'on ne
croit
, « La maladie est l'état/page> page n="79"&g
religion, il n'était pas nécessaire de comprendre, mais qu'il fallait
croire
et calma son besoin do clarté particulièrement en
inculper une religion hasardeuse dans ses effets, et à laquelle on ne
croit
plus, on verra bien des malaises sociaux disparaî
te et quand elle se réveilla, eile était dans un état singulier. Elle
croyait
être dans l'année 1882 et tout ce qui s'était pas
ux ans plutôt, l'épilcpsie peut apparaître tardivement, quoiqu'on ait
cru
longtemps qu'elle débutait seulement dans la jeun
bilités superficielles et profondes; déplus, pendant que l'hystérique
croit
qu'on ne l'observe pas, ou lorsqu'on dirige aille
'article 18 de la loi aux magnétiseurs parce qu'ils ont voulu « faire
croire
qu'ils ont des titres justifiant d'études sérieus
culière où les prévenus, usant de manœuvres frauduleuse, avaient fait
croire
à la malade, dont l'état s'était aggravé, à leur
diplômé de la Faculté des sciences magnétiques, s'appliquent à faire
croire
qu'ils ont des titres justifiant d'études sérieus
qu'elle se lève. Une assemblée «si assise ; une foule est debout.—Je
croyais
... — Qu'une foule est dans la rue, une assemblée
contusions, mais B..., qui avait vu se dérouler toute la scène, avait
cru
son enfant tué, et tout en courant lui porter sec
ondante et douce. C'est une faconde saint laïque. C'està Littré, je
crois
, quel'on donna pour la première fois ce beau nom,
ult, on connaissait l'hypnotisme sous le nom de magnétisme animal. On
croyait
qu'il était un fluide qui, émané de la chair de l
vent être averties par le méJecin de ce danger, plus réel qu'on ne lo
croit
. Ceci est certainement aussi antihygiénique que
remarquer, sont susceptibles de se laisser suggestionner au point de
croire
absolument vraie une chose qui leur est involonta
rdau est un audacieux, il s'attaque à tous les préjugés ou à ce qu'il
croit
être tel, sans s'arrêter aux partis pris du publi
certainesmodiiicationsorgani-ques périodiques. Contrairement à ce que
croit
Bernheim, l'influence de l'association des idées
ques. Ceci est aussi compréhensible que pardonnable. Les malades se
croient
naturellement justifiés eux-mêmes à exercer leur
entourage que d'asthme, emploient tous les remèdes réels ou secrets,
croient
toujours avoir trouvé le bon, et l'abandonnent bi
car c'est le principal agent du succès. Mais ce serait une erreur de
croire
qu'on arrivera à ce but par une grande amabilité,
vent leurs moulons de la clavelée. Les femmes enceintes, en Italie,
croient
qu'elles accoucheront heureusement sî elles possè
mieux. Le milieu dans lequel j'ai imaginé de le placer aura pu, je
crois
, contribuer ù ce résultat : l'exemple, les occasi
e suggcstionnablc. Entourée de gens malades depuis des années, elle a
cru
elle-même être incurable. Cette idée a été incons
ladies par le même moyen et qui après tout n'ont pas tort, puisqu'ils
croient
que le talisman dont Us sont détenteurs est souve
nscience, font servir à leur détestable industrie. Sans doute Duchéne
croyait
à l'utilité de l'électrlsation médicale, mats sa
en compris ma suggestion mais l'a accomplie conformément à ce qu'il a
cru
comprendre ; 45 fois, l'ordre fut exécuté à la mi
nde de la Société des Recherches Psychiques, plusieurs personnes, qui
croyaient
posséder le pouvoir de s'éveiller à une heure dét
ès propre à être impressionné par les influences extérieures, et nous
croyons
qu'on doit le suggestionner dans un sens favorabl
éter ainsi les effets de l'anesthésique. D'ailleurs, il ne faut pas
croire
que, pour obtenir une suggestion efficace, il fai
ande qu'une pièce de cinq francs, et les douleurs se répètent à faire
croire
, par leur force et leur durée, que cela va marche
ar tout médecin capable de faire un accouchement. Avec l'auteur, je
crois
que les cas absolument réfractaires seront tout à
e ? roman psychologique » a été déjà employé maintes fois; mais je ne
crois
pas qu'il ait été pris jusqu'ici dans son accepti
ment, qu'ils n'osaient intervenir dans leur petit mécanisme émotif et
croyaient
cette intervention impossible. Rien ne fut plus n
moins avec les morts qu'avec les Anges et Jésus Christ lui-même qu'il
crut
voir à Paris dans sa chambre misérable/page>
st point trop banal ; car si, jusqu'ici, on permettait au vulgaire de
croire
aux somnambules, aux lecteurs de pensées et aux m
L'hystérique passe pour essentiellement menteuse, mais il ne faut pas
croire
, comme on le dit quelquefois, qu'elle ment riour
é sa conviction pourrait être combattu. Le suggestionné au contraire,
croit
par le fait même de la suggestion, persuadé qu'il
ous mes efforts restaient vains. C'est alors seulement que je mo suis
cru
autorisé à recourir à l'éther. M. Féiix Rbonadl
n'avons pas de renseignements précis sur la cause de cette peur. Nous
croyons
savoir, cependant, qu'elle a été due à un acciden
rsonnes de son intimité la plus... intime. Ce théoricien du Rire ne
croit
pas que les animaux jouissent de cette faculté de
indiscrète du parent pauvre! Notre vieux docteur Laurent Joubert se
croit
encore autorisé à dénier le rire aux animaux, mêm
re l'homme et l'animal. Leur sentiment conduit quelques ouirancicrs à
croire
qu'on peut impunément en user jusqu'à l'abus, tai
r cet essai, et j'en laisse le soin à de plus autorisés! Mais je ne
croirai
pas avoir perdu (ni fait perdre!; tout le temps d
religieux et les idées qui s'y associent. Il dit que, pour arriver à
croire
, il faut faire comme si Von croyait^ a en prenant
ocient. Il dit que, pour arriver à croire, il faut faire comme si Von
croyait
^ a en prenant de l'eau bénite, en faisant dire la
bénite, en faisant dire la messe, etc. Naturellement, cela vous fera
croire
et vous abêtira ? ('). L'auto-suggestion religi
ur en était tout près, quoique n'ayant rien à y faire. Ce qui me fait
croire
surtout que c'est lui, c'est son air gêné, et pou
a s'était fait très vite, il a eu le temps de s'en aller tandis qu'on
croyait
que le jeune homme se trouvait mal. D. — Mais v
illée dans la nuit. L'expérience fut répétée plusieurs fois. Je pus
croire
, dès lors, qu'il s'agissait d'une succession de s
iblissent. Il se produit dos accès d'excitation chez le malade qui se
croit
persécuté et exposé à dee démonstrations hostiles
ur de conscience, - une soumission d'enfant » (*). Et, s'il faut en
croire
le curé Beurrier, c'est aussi une soumission d'en
Prière pour demander à Dieu le bon usage des maladies, s'écrie : « Je
crois
que je ne puis aimer le monde sans vous déplaire,
e Dieu n'es^il pas, dans le langage mystique, presque l'équivalent de
croire
? Et pour qu'un homme naturellement craintif tourn
les reproduisent un rêve survenu pendant la nuit, ruve dans lequel il
croit
exécuter ces actes. Ce malade a été soumis au t
re passer le courant. M. S wolfs recommande même avec raison de faire
croire
que le courant passe réellement et pour cela de r
les reproduisent un rôve survenu pendant la nuit, rêve dans lequel il
croit
exécuter ces actes. Ce malade a été soumis au t
miration met un frein â la réflexion. Soyez élo-qûôr.f, et vous ferez
croire
à des auditeurs de moyenne intellignce les choses
de Champaigne, représentant le Miracle de l'Epine, suffirait à faire
croire
à un enfant que ce miracle est de l'histoire. Qua
t queje sépare difficilement ces deux versions l'une de l'aulre. Je
crois
que l'opposition de la lumière avec l'ombre dans
tes les religions. Les Egyptiens employaient le kyphi et l'encens. Je
crois
que beaucoup de parfums sont des modificateurs de
site chez une de leurs parentes; je les y aurai précédés et l'on fera
croire
à la malade que je suis une personne venue, comme
e. Néanmoins étant donné le point de départ émotionnel, je persiste à
croire
que le traitement psychique est capable de restau
la maison. Une nuit, il remarque quelqu'inquiétude chez l'animal; il
crut
apercevoir de la bave lui coulant de la gueule et
arythmique, et développée sous l'influence de l'émotion. Tout porte à
croire
que cette fois, comme jadis, les mouvements vont
facée par d'autres opérations cérébrales, l'enfant, devenu vieillard,
croira
encore que : Jésus-Christ est dans l'hostie.
présentait une complication microsthcsique à laquelle on pourrait, je
crois
, donner le nom d'auto-microsthésie. Elle se plaig
es, il est enfin terrassé; il ramasse le fer, le met dans sa poche et
croit
qu'il va trouver du repos. — ß C'est folie d'empo
emps après, la malade éprouvait de la difficulté dans la marche. On
crut
devoir conseiller le mariage;elle fut grosse pres
porte à l'hôpital Beaujon. L'émotion avait été très vive. La malade
croit
ne plus pouvoir se tenir debout, ni continuer sa
e> page n="340"> festement joué un rôle capital, nous avons
cru
devoir publier cette observation. Observation.—
honorables à l'étude et à la pratique de l'hypnotisme. Il y a lieu de
croire
que la popularité du l)r Ferroul est due à de tou
t le moyen nécessaire pour la vérification, pour savoir ce qu'il faut
croire
et ce dont il faut douter. C'est à Lyon que le
Institut Pasteur. Voici les observations et conseils que nous avons
cru
devoir lui faire transmettre, le jour même, par l
nouvelles, nous avons, dans un rapport, estimé qu'il y avait lieu de
croire
que la situation ne s'était point modifiée, et qu
il est devenu chronique. N'était la rapidité de son évolution, on se
croirait
en présence du véritable délire de persécution, p
n'en indique exactement ni la source ni la nature cons- tantes, a
cru
révéler une vérité nouvelle. Elle figure, dès 1
venirs intacts et conservés. M. Baume observe qu'on serait porté ci
croire
, d'après ses faibles explica- tions, que la pro
ne maison envahie par des soldats, à la recherche d'insurgés, qu'on
croyait
y avoir trouvé un refuge. A peine on pouvait en
r me remercier de mes bons conseils. Elle s'est résignée et elle se
croit
guérie. Sa conversation me prouve 26 CLINIQUE N
e géné- ralement. Ils ne sout pas, ainsi qu'on serait tenté de le
croire
d'après les descriptions classiques de l'hémi-
plus pénible et plus fatigant, et sentant ses forces diminuer, il
croit
devoir recourir,' à titre de stimulant, à l'usage
de janvier, il se montre découragé, il n'a plus de forces, il se
croit
incapable de continuer ses occupations, et l'av
ne être la cause de la mort de son père, de celle de sa femme; il
croit
porter malheur à ceux qui l'entourent; il se re
il se reproche tout événement fâcheux dont il entend parler, et il
croit
avoir amené les désastres de la France. Progres
ans ses conclusions : « Des faits et observations qui précèdent, je
crois
pouvoir conclure que la mort est le résultat du
l soit levée, ce que permettrait l'état mental actuel de G..., s'il
croyait
devoir en faire la demande. RECUEIL DE FAITS
ospice avec des amis et, a partir de la, on l'a perdu de vue; on le
croyait
retourné à son travail. A quatre heures, heure
phère correspondant. Ce sont ces cas exceptionnels qui ont pu faire
croire
qu'il, n'y avait aucune relation entre la local
pé, viennent au contraire à l'appui des conclusions que nous avions
cru
devoir formuler et que nous résumerons ici auss
groupes de fibres dans le centre ovale. M. Brissaud est le premier,
croyons
-nous, qui ait, au moins en France, mis à profit
thèses, en se fondant sur les faits d'expérimentation. Nous avons
cru
, quant à nous, devoir nous rallier à la se- con
elles, olfactives, gustatives, auditives), d'autres, comme Goltz,
croient
à l'homogénéité fonctionnelle de la substance gri
ns de l'écorce et les troubles de la vue. Ferrier, il est vrai, a
cru
trouver la démonstration de ses idées sur le si
tres destinés à percevoir les impressions émanées' de la peau. Nous
croyons
avoir établi, en nous appuyant sur DU FAISCEAU
r cause la paralysie du sympa- thique cervical comme on pourrait le
croire
d'abord. Cette para- lysie ne s'accompagne ni d
ident. Elle mouvait en tous sens pied et jambe, et ne voulut jamais
croire
à sa maladie, qui guérit fort bien dans un appa
la pie-mère et une inflammation. analogue de la dure-mère. L'auteur
croit
que, dans ce cas, la méningite a été la lésion pr
est impossible de ne pas les admettre. Seulement il ne faut pas se
croire
autorisé à con- clure toujours de l'intégrité d
is sur différentes ques- tions laissées à leur appréciation. Nous
croyons
savoir que les questions principales qui leur ont
incapable de répondre aux questions, ne réagissait que très peu, il
croit
que le tableau symptomatique est impuissant à d
oire- ment incapable à lui seul d'atteindre ce but. Si, comme il le
croit
lui-même, la sensation sexuelle perverse n'est
nombre des aliénés capables de colonisation est moindre qu'on ne le
croit
généralement; de plus, ils fournissent en somme
ême temps que ses richesses morales et intellectuelles, le malade
croit
avoir perdu sa fortune matérielle; il n'a z plu
ille; ils sont pourris, atteints de maladies ignobles, quelques-uns
croient
avoir la syphilis , et Fodéré ' avait déjà rema
cembre 1881.) Ces influences nuisibles auxquelles le persécuté se
croit
en butte et qui du dehors convergent vers sa pe
dans la y r ·; , |, ? y , . , ,, . torme anxieuse. Les malades se
croient
entoures de làl)'i lit ! 1.'·Ir 1 1 1... l t .
r ou que la mai- son vas écrouler, ils voient les murs chanceler et
croient
t . 1 1 , la , 1 DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 165
és. Une autre malade dont l'his- toire est rapportée par Michéa, se
croit
coupable, poursuivie par la police et menacée(d
son cadavre. 'tif son cadavre. , ? ; ? . . ., ? , Des malades se
croient
damnés et ils voient les flammes de l'enfer, il
oient les flammes de l'enfer, ils entendent des coups de fusil et
croient
qu'on va les fusiller. Guislain a fait remar- 4
nt les malades les plus disposés au suicide; alors même qu'ils se
croient
morts, ou dans l'impossibilité de jamais mou- r
rofonde (elle se figurait avoir complètement perdu sa fortune et se
croyait
menacée de mourir de faim) un intervalle parfai
estion, fort intéressante, a rencontré des avis différents. Les uns
croyaient
que la plupart des affec- tions mentales et ner
la région des ovaires est le siège de souffrances profondes. Morel
croit
que les maladies primitives des organes génitau
net, Luys, ne touchent presque pas non plus cette question. Mairet5
croit
que la folie peut être 1 Esquirol. Traité des m
e femmes aliénées avec lésions sexuelles. Boussi , au contraire, ne
croit
pas à l'influence des maladies sexuelles sur la
- Ebbing, Ripping, Schraeter, Schüle et autres), il en est qui ne
croient
pas à cette influence ou n'abordent presque pas
accompagnée de maladies sexuelles daus dix cas sur cent. Les autres
croient
ces maladies fréquentes, mais sans rien précise
rop fréquente) ont été notées dans vingt-huit cas. Sur ce point, je
crois
devoir sa ire 'une certaine réserve; caries don
par conséquent, la comparaison ne peut être parfaitement exacte, je
crois
que les résultats d'examens gynécologiques des
s sexuelles est un fait qui se rencontre plus souvent qu'on ne le
croit
, en général, et que cette complication a sa gra-
sur la vie consciente et sur la vie inconsciente de l'esprit, je
crois
même qu'il serait peut-être possible aujourd'hui
es fleuves de pierres précieuses et que c'est trop absurde pour y
croire
. Vivement affecté de son état, il priait en grâce
caracté- ristique de ces aliénations mentales n'est pas, comme le
croit
M. Ritti , la présence de la conscience liée à
e l'issue fatale. Avant d'aborder l'étude des symptômes, M. Sanders
croit
devoir rappeler qu'aucun d'eux n'est pathognomo
e délire du toucher n'est que l'extension de cette anxiété. Mais il
croit
que la distinction établie par Westphal entre la
n démence, condamné trois mois de prison pourvoi d'un chandelier.
Croyez
-vous que les autres malades aient beaucoup à souf
érables que les progrès de la science nous ont imposées, nous avons
cru
qu'il était utile et convenable d'indiquer par un
des fonctions musculaires, jointe à celle de l'étiologie, permet de
croire
qu'il est un certain nombre de cas de paralysie
coup de bruit au sujet de ce triste accident et ont essayé de faire
croire
qu'il était dû à ce que la baigneuse était une
terminaison du vertige de Ménière, à tel point qu'un moment on a pu
croire
que le traitement si excellent de M. Charcot n'
Ces cas mixtes mériteraient une étude spéciale; ils présentent, je
crois
, en outre des deux ordres de symp- tômes, quelq
de symp- tômes, quelques caractères particuliers. Les malades se
croient
plutôt possédés que damnés, se figurent avoir d
efuse les aliments sous prétexte qu'elle ne peut les payer; elle se
croit
atteinte d'une -maladie contagieuse et s'imagin
ne odeur infecte ; elle ne veut se laisser approcher de personne et
croit
que son contact est mortel : elle s'imagine aus
. M-0 S... est dans un état d'agitation anxieuse extrême; elle se
croit
coupable et perdue; on va la conduire en prison e
coupable, qu'elle va être condamnée et conduite en prison ; elle
croit
entendre la voix de son mari et de sa fille qui s
s anxieux avec terreurs; 11-1 M... voyait du feu, des incendies, se
croyait
ruinée et s'imaginait qu'on allait la torturer.
exité et indécision continuelles, insomnie. M-1 C... s'accuse et se
croit
coupable. Au bout de quelques mois, délire hypo
pable. Au bout de quelques mois, délire hypochondriaque. M ? C...
croit
qu'elle n'a plus d'estomac, que ses organes son
e, il donne un sens mys- tique aux formes des objets extérieurs, il
croit
voir des figures d'animaux dans les formes des
é, idées mystiques et paroxysmes d'agitation furieuse. \1 ? G... se
croit
possédée du diable, damnée; elle croit qu'elle
ion furieuse. \1 ? G... se croit possédée du diable, damnée; elle
croit
qu'elle est -enceinte du fait de sa bonne, qu'ell
s ; mais elle est toujours dominée par des idées de culpabilité, se
croit
adultère, indigne de retourner près de son mari
élirantes viennent compliquer ce délire de culpabilité. Mm, G... se
croit
magnétisée, s'imagine qu'on peut lire dans ses
sent parmi leurs aliments et mangent avec voracité ceux qu'ils ne
croient
pas empoisonnés. Marche de la maladie, rémit-
ttront en saillie des phénomènes tellement tranchés, qu'on pourrait
croire
à des formes particulières de maladies mentales
e, désespéré, il prend la résolution énergique de ne plus céder, il
croit
entendre, toujours dans son cerveau, comme une
ussée à l'attirer près d'elle. Parfois 'eue le voit un debout, elle
croit
même l'entendre ; parfois elle croi6'iiiyjpdtiy
rs décrit dans le système nerveux des diabétiques des lésions qu'il
croit
à tort, il nous semble, développées primitiveme
malade de M. Lecorclié ne sentait plus ses pieds. Celui de Dionis 2
croyait
.marcher sur des filets de corde à larges maill
al jusqu'aux fesses dans les efforts faits par le malade. Leudet la
croit
liée à l'amllyopie. Chez un malade de Marchai (
pital a d'ailleurs été bien indiqué par tous les auteurs. Faut-il
croire
avec M. Lcgrand du Saulle, qu'à l'inverse de ce
e de l'albumi- nurie qui survient à cette période du diabète. Il ne
croit
pas cependant la chose nécessaire. A Desmares,
nt affecté d'un anthrax ; mais, en présence d'un cas isolé, on doit
croire
qu'il s'agit d'une simple coïncidence. Quant au
fet, dans le cours de son mémoire, à cette simple mention, que nous
croyons
devoir re- produire en entier : « Enfin il nous
ns la substance nerveuse : nous signalions pour la première fois,
croyons
-nous, le trajet et les ramifications des artères
, dans son ensemble, il est conduit d'une façon remarquable. Nous
croyons
qu'il mérite d'être l'objet d'une analyse complèt
t les mêmes limites que les os qui les recouvrent, et l'on pourrait
croire
qu'il existe un parallélisme parfait entre le d
c- tion, qu'il a'vue atteindre trois quarts d'heure, le portent à
croire
qu'il s'agit en réalité d'une contrtzctccresuivan
années, n'ont pas été confirmées par l'expérience ultérieure. » Il
croit
que dans ces prétendus faits d'ataxie guérie, i
trophie consécutive des fibres nerveuses) ? Faut-il, de préférence,
croire
que les éléments ner- veux primitivement altéré
tisation et de l'existence de lésions parenchymateuses, l'auteur ne
croit
pas pouvoir tirer de ce fait des conclusions. I
gr. 20, décidèrent de la persistance de l'amé- lioration. M. Kohn
croit
que la quinine agit simplement sur le coeur par
iformes ont disparu ; plus d'hallucinations ; ce- pendant la malade
croit
encore à la réalité des hallucinations de l'ouï
e Neurologie de Paris, la Nouvelle Iconographie de la Sal- pêtrière
croit
pouvoir au contraire lui venir en aide, en publia
ographie de la Salpêtrière tient à exprimer sa reconnaissance. Elle
croit
ne pas pouvoir leur en donner de meilleur témoi-
sont rela- tées les trois premières autopsies. L'illustre médecin
crut
voir dans cette maladie la forme héréditaire du
que l'autopsie lui avait démontré l'existence d'une sclérose qu'il
crut
être strictement limitée aux cordons postérieurs.
la disposition fréquente en « tourbillons » du tissu de sclérose et
crurent
à l'intégrité, dans les ré- gions envahies, des
laires, au moins pour ce qui concerne les cordons postérieurs. Ils
crurent
à la possibilité d'une sclérose névroglique pur
ir pas eu de suites. Cependant en fouillant ses souvenirs, Mme X...
croit
bien se rappeler que pendant cette période de t
Parisot (4), durée qui n'est pas en rapport, comme on aurait pu le
croire
, avec la distance parcourue de la partie blessée
c l'impressionnabilité du sujet. Ainsi présentée, nous arrivons, je
crois
, sans peine, à comprendre la pathogénie du cas.
ttendant que cette proposition soit devenue un article de foi, nous
croyons
que le traitement peut, dans une bonne mesure, re
et qu'il a étudiés et établis avec tant de méthode qu'il n'y a, je
crois
, aucun inconvénient à les grouper sous la dénom
de ses bras, lorsqu'il eut appris à en faire des balanciers. Je ne
crois
user d'une trop vive métaphore en disant qu'il
Est-ce rouge ? - Oui. Est-ce vert ? - Non. Est-ce vert ? Oui, je
crois
que c'est du « lert ». Il faut pour ces réponse
quilibration du corps dans le sens latéral pendant la marche que je
crois
la masse sacro-lombaire préposée : ce qu'il y a d
encore à cet égard d'expérience suffisante pour me pro- noncer. Je
crois
cependant, d'après les quelques observations que
nie par Paget et d'autres déformations du squelette. Cependant nous
croyons
inutile d'insister sur les différences trop consi
hoses professionnelles. Mais avant d'exposer les divisions que nous
croyons
pouvoir faire dans ce groupe, nous sommes amené
leurs vives ne suivant pas spécialement le trajet des nerfs et nous
croyons
pouvoir les attribuer à la distorsion des parti
ostéoporose et d'ostéomalacie chez le vieillard. En réalité, nous
croyons
pouvoir admettre avec Demange que l'ostéomalacie
t la dis- section ; un médecin prescrivait une saignée, mais se fut
cru
déshonoré s'il l'eût pratiquée lui-même. Si un
l disait que le théâtre est surtout l'art des préparations. II faut
croire
que les recettes données étaient bonnes, car les
t-Barthélemy. Sans attacher grande importance à cette légende, nous
croyons
pouvoir assurer que Paré appartenait à la Relig
les par un pèlerinage près du roi. Peu nous importe que Paré ait
cru
au pouvoir guérisseur des rois, qu'il ait été h
estimés étaient ceux de la chèvre sauvage et du porc-épic. On les
croyait
contre-poisons de tous les poisons et on les pr
ison ils étaient, et comme on faisait mourir cruellement ceux qu'on
croyait
incapables de se racheter. A ce même siège, pou
kespeare, dans son drame d ? yam(, fait périr le roi Gonzague. On
croyait
d'ailleurs à cette époque à bien d'autres choses
'ailleurs à cette époque à bien d'autres choses plus diffici- les à
croire
. C'est ainsi que Paré croit aux sorciers ; s'il n
en d'autres choses plus diffici- les à croire. C'est ainsi que Paré
croit
aux sorciers ; s'il n'y eût pas cru, il aurait
à croire. C'est ainsi que Paré croit aux sorciers ; s'il n'y eût pas
cru
, il aurait certainement fait exception. Il étab
inq passages de l'Ecriture qui en parlent. « Aussi, ajoute Paré, je
crois
qu'il y a toujours eu et qu'il y a encore des l
nt-Denis et le roi en avait refusé cent mille écus. Les médecins ne
croyaient
plus à sa vertu et la prescri- vaient néanmoins
ts chiens. Il avait promis de ne pas divulguer cette méthode. Il se
crut
moins répréhensible de manquer à NOUV. ICONOGRA
ué à cette époque, en thérapeutique, par les excréments, mais je ne
crois
pas vous être désagréable en n'insistant pas da
tait arrivé, que la chose n'est pas niable, mais que les méde- cins
croient
devoir la laisser ignorer au public. Paré, outr
nte dans l'hérédo-ataxie ? Sur l'état des réflexes enfin ? On avait
cru
voir dans leur affaiblissement ou dans leur exa
ne fut constatée que peu de semaines avant la mort. Je me suis donc
cru
autorisé à porter dès le début le diagnostic de
dépens de celles-ci que la ventricule se dilaterait surtout ? Nous
croyons
pouvoir l'af- firmer. En effet sur une même c
ous rappelant combien elle était craintive et angoissée. Enfin nous
croyons
pouvoir mettre en rapport leur caractère mouve-
ie analogue à celles que produisent les lésions du cervelet. Nous
croyons
avoir constaté chez Mlle M... l'existence de 2 et
se sont notablement aggravés. Somnolence si intense que parfois on
croit
déjà mort. Pupilles larges, égales, ne réa- gis
n entre le traumatisme et le développement de la tumeur. Nous avons
cru
ne pas pouvoir donner un avis positif. Nous nous
sible de distinguer les images en soleil de la fibre nerveuse. Nous
croyons
remarquer que les faisceaux d'association ont p
oit simplement la conséquence de la compression des veines. Comment
croire
que la tumeur de l'observa- tion 1 si petite et
Mathias Duval et Laborde (1),à l'aide d'expériences physiologiques,
crurent
pouvoir démontrer que du noyau de la sixième pa
e, leur lieu d'arrivée serait le noyau du droit in- terne ; nous ne
croyons
pas en effet que ces fibres parviennent directeme
urs, sans lésions sur nos coupes des noyaux de la Ve paire. On peut
croire
ce trouble consécutif à la destruction de la ra
x troubles hépatiques dans la genèse de certaines acromégalies. Ils
croient
d'ailleurs que dans les maladies des glandes clos
yer de le résoudre, par trop élargir le problème. En résumé, nous
croyons
pouvoir dire que l'hypertrophie pituitaire est
er les effets de l'hyperhypophysie. Cette hyperhypophysie, que nous
croyons
nécessaire, n'est pas toujours suffisante à réa
que dans un cas de gigantisme ('1), les ont trouvées normales. Nous
croyons
intéressant d'insister sur cette hyperplasie surr
intes de lacrampe professionnelle posent la question a suivante : «
Croyez
-vous que la crampe ne reviendra pas ? » A cette q
les phénomènes spasmodiques du membre inférieur droit permettent de
croire
qu'il s'agit d'une sciatique spasmodique (type
le a pour but de relâcher les muscles pelviens. t Ludwig Mann (2)
croit
à la paralysie des muscles de la masse dorso- l
lippe (4.) en 1902, paraît être encore celle de la majorité. « Nous
croyons
, disait-il, que la formule donnée par Wes- phal
divergences de détails. A travers la multiplicité des aspects, ils
croient
sentir l'unité de la maladie. - Les conceptions
cessifs ou simultanés, d'un même processus morbide. D'un mot nous
croyons
pouvoir conclure à la grande diversité d'aspect
porter cette hémiplégie ? Quel est le siège de la lé- sion ? Nous
croyons
pouvoir l'attribuer à une hémorrhagie corticoméni
rche en particulier devint plus facile et certains collègues purent
croire
un moment à la possibilité de la nature fonctio
ladies nerveuses, et cela dans les meilleurs traités classiques. Je
crois
qu'en pathologie nous ne pouvons trouver un fait
très intéressant de la pathogénie de ces formes. Pathogénie. Nous
croyons
avoir bien démontré nos assertions, à savoir qu
veineuse (oedèmes prémonitoires du trophoedème, ou surajoutés), je
crois
que tous ces oedèmes sous-cutanés sont en rappo
que Meige lui-même avait vus avec la maladie de Quinke et que nous
croyons
avoir bien démontrés. Meige a bien compris que
la forme chronique de l'oedème de Quinke; mais est-ce qu'il pouvait
croire
que ce dernier fût la conséquence d'une dystrophi
ur la forme aiguë et pour la forme chronique de la même maladie. je
crois
plutôt que Meige même nous a indiqué la route q
ment va s'accroître en importance. Mais on ne peut certainement pas
croire
que l'hypertrophie du tissu conjonctif soit due à
Quinke qui le précède très souvent dans son développement. Et nous
croyons
aussi avoir démontré que les oedèmes passagers
oies plaide aussi l'observa- tion ; tandis que Reinhold (136) avait
cru
pouvoir localiser le siège des oedèmes circonsc
mmes très peu informés ; tandis que jusqu'à ces dernières années on
croyait
que leur trajet suivait les racines antérieures,
s séances d'écriture, était-elle plus sûre de sa guérison : « Je le
crois
, disait-elle, puisque vous me l'affirmez ». Dur
recueillis sur leurs ascendants, colla- téraux et descendants, nous
croyons
préférable de donner d'abord l'arbre généalogiq
ources différentes, des renseigne- ments tellement précis, que nous
croyons
pouvoir affirmer qu'il était atteint aussi de m
pour ou contre les théories pathogéniques émises déjà ? Nous ne le
croyons
pas. Peut-être cependant les partisans de l'ori
onstaté le même phénomène dans nos différents cas. De même Rappeler
croit
à cette absence. Scheuthauer décrit par contre
NIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 347 Il se refuse à «
croire
qu'une organisation régulière à tant d'autres éga
la mère dans le cours du troisième ou même du quatrième mois ». Il
croit
voir des traces de l'hydrocéphalie dans les cavit
un regard pour reconnaître que ceux de ses éléments qu'on pourrait
croire
ne pas exister sont restés à l'état rudimentaire
is aussi avec les espèces animales. C'est du moins ce que permet de
croire
l'observation de Joly et Lavocat (6). Ce qui
pas tout à fait aussi brusque que l'aspect extérieur tend à le faire
croire
. Pour terminer ce qui a trait à la morphologie
-Hilaire avance, en outre, que l'os épactal exister également et il
croit
le reconnaître dans une bandelette osseuse qui bo
ges épars de la voûte, non reliés à l'occipital, il n'y a pas lieu de
croire
à un renversement en dehors, ou du moins à un r
quel d'ailleurs il ne s'explique pas autrement. K. et G. Petrèn (3)
croient
de leur côté que la dilatation vas- culaire, or
'hydrocéphalie ? Aucune des dispositions constatées ne permet de le
croire
; cette hypothèse n'apporte qu'une complica- ti
oup plus faibles qu'il n'y paTaît au premier abord, et tout porte à
croire
que l'envahissement du système nerveux est une te
lles-mêmes s'était accolées (Pl. XLV-D). Rien ne paraît autoriser à
croire
que cette disposi- tion soit primitive et const
ration vasculo-conjonctive. S'il en est ainsi, et tout permet de le
croire
, le tissu cérébral s'est touvé pris de tous côt
En 989, à l'âge de 18 ans, apparaissent des troubles mentaux : Elle
croit
que les gens disent qu'elle est une fille, qu'e
venue autoritaire, colère ; mais elle se frappe moins de ce qu'elle
croit
entendre dire d'elle. - Etat actuel. - Elle a d
tout d'abord, la position basse des paupières supérieures, faisant
croire
à un ptosis, qui en réalité n'existe pas. Il s'a-
t pas très vive, plutôt médiocre, mais beaucoup moindre qu'on ne le
croirait
au premier abord. C'est la mémoire surtout qui a
ns parlé plus haut, ren- contra une lepto-méningite chronique. Nous
croyons
pouvoir éliminer chez nos malades, la présence
culier l'incurvation du nez et la fossette mentonnière; ils ont, je
crois
, de l'importance parce que, si j'en juge par me
mais, quoique persuadé de l'exactitude de cette observation, je ne
crois
pas devoir m'incliner devant elle, car, d'après l
la partie extra-bulbaire du trijumeau et limitée à ce nerf. Je ne
crois
pas non plus qu'une lésion du système nerveux sié
t de la contraction volontaire d'autres muscles de la face. Si j'en
crois
mon expérience personnelle, ces contractions ne s
t que des exagérations de cette particularité. Duchenne de Boulogne
croyait
que la lordose chez les pseudo-hyper- trophique
t incliné en avant et que les muscles fessiers sont très atrophiés,
croient
que la lordose est produite par l'action des musc
i doivent être résumées ici. L'erreur serait en effet grossière, de
croire
que l'hys- térie se reconnaît chez l'enfant aux
t d'une légère grippe qui dura une huitaine de jours à peine. On la
croyait
guérie, elle commençait à sortir, quand brusque
clergé. Le curé est un pauvre homme qui tient à sa cure avant tout,
croit
d'ailleurs à la possession et ne consent à parl
mune contre les rouges, le préfet, les non-possessionistes, le curé
crut
le moment venu de démontrer que les guérisons o
uet de Bonneville... « II n'aime pas trop la gendarmerie, car il se
croit
être le chef ? « Ecrivez-moi quand vous aurez b
saisirent le prétexte des fêtes de Noël pour accuser celle-ci de se
croire
possédée, le brigadier voulut la faire enlever de
médecin, un étranger, un rouge, le démon rentre en scène. « Ah ! tu
crois
,b... d'incré- dule, que nous sommes des folles,
propres, mais aussi sur des lésions histologiques particulières, nous
croyons
4SU l'UIi.lli I : 1' DURANTE leur distinction
déterminante des déforma- tions qui se produisent à ce niveau. Nous
croyons
plutôt qu'elle en est le ré- sultat. Par suite
; mais s'agit-il vraiment d'un achondroplasique simple ? Il faut,
croyons
-nous, mettre part, jusqu'à nouvel ordre, la fille
u de 185". C'est ce qui caractérise la cyphose de la base que Virchow
croyait
, à tort,liée au crétinisme. (Chez le crétin myx
nt d'une ossification anor- male du périoste. Ils sont bien plutôt,
croyons
-nous, la conséquence d'un phé- nomène physiolog
he 21, tandis que le cubitus avait 22 centimètres. On ne saurait,
croyons
-nous, être actuellement trop circonspect dans le
te, et dont les observations sont peu explicites, ne suffisent pas,
croyons
-nous, pour permettre de réunir dans un même cadre
ncore, mais certaines. C'est à ces complications qu'il faut songer,
croyons
-nous, en pré- sence des faits complexes où les
des os dé la base. Chez le crétin, en effet, contrairement à ce que
croyait
Virchow, les os de la base se forment plus tard
lent confondre entre elles toutes les dystrophies osseuses, nous ne
croyons
pas à la grande rareté du rachitisme intra-utérin
lase ; on devient rachitique et on peut cesser de l'être. » Nous ne
croyons
pas le rachitisme vrai congénital une « rareté ».
ifficile ? ` ? Dans le cas particulier, le diagnostic clinique est,
croyons
-nous, toujours possible en se basant sur l'état
ie et la dysplasie périostale sont plus délicats à établir. Nous ne
croyons
pas, cependant, que l'on puisse regar- Lh.S iIl
fonç- tionnels comme le-racliiiisme. Toutefois, il ne faudrait pas,
croyons
-nous, cher- cher à"aïsimiler ces deux affection
t. Nous avons cherché unique- ment ai indiquer le sens dans lequel,
croyons
-nous, la discussion pourrait s'en- gager et n'e
ause pathogène transmise, elle aussi, par les parents. ' Tel est,
croyons
-nous, le cas pour l'achondroplasie. La cause path
. Crimail (de Pontoise). - Opér. césarienne (Ann. de Gyn., 1889).
Croire
. - Chondrodystrophia foetalis (Amer. Journ. ol Ob
ine myxoedémateuse qui était exhibée avec lui l'année dernière. Il se
croit
beau et irrésistible. En ce qui concerne sa vol
trophiques consécutifs à des altérations du sys- tème nerveux. Je
crois
que les deux premières théories contiennent leur
e les deux premières théories contiennent leur part de vé- rité. Je
crois
au contraire que la théorie des altérations troph
tion du système vasomoteur ni de la sensibilité générale... Je ne
crois
pas devoir m'arrêter pour combattre la théorie de
ions des membres précédent la formation même des vaisseaux. Je ne
crois
pas non plus à un rachitisme foetal. Une série d'
nous expliquerait jamais la polydactylie ni la syndactylie. Mais je
crois
avant tout qu'il ne s'agit certainement pas d'u
e des petits os qu'il appela ]Jr'oer'adiaux ou postulnaires ; et il
croit
que ces petits doigts sont le rudiment de doigt
ontra que le germe ne porte pas, comme Wolff (55) et Meckel (56) le
croyaient
, la modification tératogénétique, d'une façon c
séparation fournit au contraire des arguments puissants à ceux qui
croient
à l'in- fluence des altérations des annexes ent
ibia tandis que le reste a été arrêté dans son déve- loppement ? Je
crois
que non. Il n'y a pas trace de l'épiphyse, ni de
nous n'observons pas de cicatrices sur la peau de la jambe. Nous ne
croyons
pas en effet à l'influence des brides amnio- ti
ui serait ces très aiguës, même avec les appareils prothétiques. Je
crois
ne pas me tromper dans l'hypothèse d'une diffor
yélite vascu- laire diffuse (celle de Léri est de même ordre), on a
cru
pouvoir indiquer quelques caractères cliniques
UE 601 s'accroitra rapidement, mais comme il est encore faible j'ai
cru
qu'il y avait avantage à l'augmenter d'une unit
on des lésions entre ici seule en ligne de compte; il n'est guère à
croire
qu'il faille faire également intervenir un retard
dans quelles conditions elle est efficace ou sans résultat. Nous ne
croyons
pas actuellement possible d'aller au-delà de ce
s question que de saint Pantaléon, et l'histoire ajoute : « Il faut
croire
que les pestes et les maladies de la ter- rible
toute dissertation sur la vérité médicale des malades exposés. J'ai
cru
bon cependant de faire connaître, à propos du t
ginaires de l'artiste. A vrai dire, l'erreur serait facile. Et ne
croirait
-on pas reconnaître, dans cet homme agenouillé,
lformation ne semble pas d'ailleurs exclusive à l'homme. Si nous en
croyons
Legroux, elle se rencontrerait aussi chez les ani
t penser à une opération chirurgicale quelconque, ainsi je n'ai pas
cru
opportun, pour le seul intérêt scientifique, de m
du système nerveux (substance grise de moelle) (1). Tordeus aussi,
croit
que les exostoses multiples sont dépendantes d'un
nce de la phtisie sur la pathogénie de la maladie exostosique. - Je
crois
donc pouvoir conclure mon modeste travail de cett
s gens qu'il a connus dans sa jeunesse et qui ne vivent plus. Il se
croyait
à l'ouvrage, sifflait et chantait joyeusement.
t chantait joyeusement. Le matin, lorsqu'on l'examine, le malade se
croit
à l'hôpital depuis le com- mencement de la sema
r contre, à en juger par l'intensité des altérations du tissu, nous
croyons
pouvoir affirmer qu'au cerveau la méningite début
façon d'un érysipèle, envahit la zone sous- épendymaire. Il faut
croire
que le tentorium cerebelli l'arrêta dans sa march
ulaires observés sur tout le pourtour des ventricules ils sont dus,
croyons
-nous à l'action simultanée de l'inflamma- tion
vec force dans le sens d'une origine nucléaire, absolument probable
croyons
-nous, sinon certaine. (1) PERRON, Ophtalmoplé
, en effet, les épaules meurtries et douloureuses. Toutefois, il ne
croit
pas être malade et attri- bue les douleurs et l
a ogie avec les oiseaux chez lesquels l'omoplate est fixe. C'est,
croyons
-nous, à la physiologie qu'il faut demander l'expl
s altérations ou anomalies musculaires étant écartées, tout porte à
croire
que les omoplates ailées du brigadier M.... son
Au cours de cette période de l'évolution individuelle, s'il faut en
croire
la deuxième partie du principe de Roux, l'influ
Cependant, les faits observés chez les pseudencéphaliens portent à
croire
qu'il ne faut pas confondre l'action motrice du s
corps,il n'y a point d'amas graisseux surabondant, pouvant laisser
croire
à l'existence d'une désintégration morbide. Ce pr
est tout à fait exceptionnelle chez nos foetus,et ce fait permet de
croire
qu'un tel processus est indépendant de l'influe
pour ce qui con- cerne l'état des capsules surrénales. S'il faut en
croire
X.Bender et A. Léri (1), les capsules surrénale
concourt activement la sécrétion surrénale. Il n'est pas absurde de
croire
que l'excès de travail musculaire engendre un e
qui suffiront à livrer passage à l'agent infectieux, il y a lieu de
croire
que les microbes, certains microbes tout au moi
dispense de recherches approfondies ; on en vient presque à laisser
croire
que l'hérédité est quelque chose en soi, qu'elle
de méconnaître les phénomènes, beaucoup plus fréquents qu'on ne le
croit
, de modification directe du foetus. Il faut se ga
question ne serait nullement résolue, contrairement à ce que semblent
croire
les partisans de cette manière de voir : la rec
leur situation anormale crée cette prédis- position. Il est donc à
croire
qu'un certain nombre des types répondant au com
il (4), si la théorie caténaire n'intervenait pour nous proposer de
croire
à l'indépen- dance originelle des nerfs et du n
gloire et de son talent, lorsque jeune et fort, en plein succès, il
croyait
bientôt exaucées ses espérances délibérai « Afran
de Goya; sans leur assigner une date positive, ils inclinent à les
croire
le fruit de la vieillesse du maître. Nous tra
nsule. Il est venu à temps pour recueillir et fixer tout cela. Il a
cru
ne faire que des caprices, il a fait le portrait
même aux voies de fait. Il a conservé ses idées ambitieuses; il se
croit
toujours riche à millions, mais les troubles de
aisons d'aliénés et faire un rapport secret au préfet de police. Il
croit
qu'on veut l'empoisonner; il a quelquefois refu
e ses domaines, terminait ses jours en s'alcoolisant. J'ai lieu' de
croire
= qu'il y a eu des aliénés dans la famille de X
e criminel, le dernier va pourrir son enfant, etc. » Mais < on a
cru
fabriquer un criminel, faire une veuve, ruiner
'à ce moment, il n'y a pas eu d'idées ambitieuses, il est permis de
croire
qu'il n'y en aura pas. J'ai connu des persécuté
er ces idées de grandeur qui existaient réellement, je persiste à
croire
cependant que certains pprsécutés ne deviennent p
des n'arrivent jamais à la mégalomanie 1 n. En parlant ainsi, je ne
croyais
vraiment pas avoir fait une découverte; je me f
ue de l'espionner. S'anime dès qu'on lui parle de son frère. · Je
crois
que ce serait forcer les analogies que de considé
rtes ; on lui met toutes sortes de saletés dans le corps pour faire
croire
qu'il est malade. » Il aurait pu sembler que P.
t. Il y a quelques années S... a eu la syphilis ( ? ) dont il ne se
croit
pas guéri : autre source de préoccupations. Il
on de sûreté, parce que, chaque fois que S... voit une femme, il se
croit
obligé de se découvrir. Il ne peut pas faire au
ès les idées de per- sécution ; dans certains cas, on aurait pu les
croire
presque contemporaines. En dehors des délirants
cas, d'une atro- phie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de
croire
que l'atrophie de la papille n'appartient jamai
est vraiment frappante et il y a même quel- ques bonnes raisons de
croire
que les cris d'animaux transportés chez l'homme
a-t-il eu là un phénomène de contagion ? Je suis fort disposé à le
croire
. Toujours est-il que bien- tôt survinrent une e
étique, méningite cérébro-spinale, d'origine syphilitique. L'auteur
croit
que le virus syphilitique a agi simultanément sur
venue donner raison aux conclusions des experts. M. BOUCUEItREAU
croit
savoir que la Chambre des députés s'est déjà in
publiées dans les An,nalesmédico- psychologiques. M. CHRISTIAN ne
croit
pas qu'il soit nécessaire de faire ces nou- vea
igine cérébrale, et l'athétose double d'origine extra-cérébrale. Je
crois
la distinction au moins discutable. Il reconnaî
me cause première; mais que pourtant, ils ont une grande tendance à
croire
à l'action primordiale du système nerveux dans
l en est d'autres où les choses se sont passées tout différemment :
croirait
-on, par exemple, qu'un directeur, surtout connu
C'était un fou récemment sorti de Sainte-Anne et qu'à tort on avait
cru
guéri. Ce meurtre inconscient a été com- mis hi
t les seuls éléments étiologiques auxquels puisse être rattachée,
croyons
-nous, cette paralysie générale si précoce. Ce f
par une lésion organique constante du système ner- veux. » - Nous
croyons
que cette opinion de Marcé est bien 1 Marcé. -
tif aucun, parce qu'un camarade l'a heurté en passant, parce' qu'il
croit
que l'infirmier' l'a mal servi au repas,'ou par
presque toujours l'origine dans l'hérédité morbide. Cependant, je
crois
que, même dans ces cas où l'hérédité est la règ
r arriver à la solution de ce double problème clinique. Nous nous
croyons
, en conséquence, pleinement auto-, risés, en at
ls elles s'ajoutent aux halluci- nations verbales auditives 3. Nous
croyons
qu'à ses degrés ' J. Séglas; in Progrès médical
ité générale, délire mélancolique, interprétations délirantes. Elle
croit
avoir fait le malheur de sa famille, elle se re
r les sens, comme un air dans la bouche : c'est son enfant (qu'elle
croit
mort) qui s'est emparé d'elle : pendant quelque
qui est horloger. Elle a vu la situation plus difficile qu'elle ne
croyait
. Elle craint de le voir passer pour voleur. Tout
me laisse indifférente. Qu'on fasse c'e qu'on voudra de moi.. Faut
croire
que je suis un être inutile. « Je ne me repro
Mais on ne voulait pas me faire de mal, j'ai été très heureuse. Je
crois
que ma mère n'était pas ma mère. Mon nom n'est
sions. Elle sembleavoir de la tendance aux idées de négations. « Je
croyais
vivre comme tout le monde, mais il faut croire qu
de négations. « Je croyais vivre comme tout le monde, mais il faut
croire
que ce n'était pas cela. J'ai donc été mal élev
passé a été même pour ça. Tout est men- songe, archi-mensonge. Elle
croit
que tout est faux. Elle ne parle que de ce qu'e
un autre que son amant. Des gens voulaient lui faire du mal. Elle
croyait
que tout le monde parlait d'elle, sans pouvoir dé
r, chez notre malade rien de semblable. Ses craintes ont pu faire
croire
qu'elle était hallucinée mais elle n'a eu que des
t en reconnaissant que leur nombre est trop restreint pour qu'il se
croie
autorisé à en tirer des conclusions générales. Il
ont partielles, incomplètes, ces pseudo-amnésies pour- raient faire
croire
à de la simulation. On rencontre encore chez ces
s multiples frappant des centres plus élevés, le malade en arrive à
croire
réellement à ces sensations anormales et à deveni
ention. Il se peut en effet d'autre part, que les troubles que l'on
croit
décéler aient précédé l'accident sans qu'il exist
taté des altérations névritiques des racines du trijumeau, M. Jolly
croit
que le tabes est la cause de l'hémiatrophie ; l
sion, la paroi est atteinte de dégénérescence hyaline. M. Friedmann
croit
que la commotion cérébrale a affaibli les centr
des nerfs (phénomène de Trousseau). Il est du reste inadmissible de
croire
que, comme le prétend de Frankl-Hochvart, le ph
ins symptômes qui reparaissent invariablement ; il y a donc lieu de
croire
qu'à l'état normal de la glande thyroïde rend ino
es idiots. Cette résistance vient aussi en partie de ce que l'on ne
croit
pas possible une amélioration sérieuse de l'éta
tion sont en outre indispensables. Ce serait une grande erreur de
croire
que le mode d'assistance soit indistinctement a
., XLVII, 5.) Avant la guerre de 1861-1865, il n'y avait si l'on en
croit
les allé- . gâtions de ceux qui possédaient des
la seconde fois en policé correction- nelle. R. Cette fois, je ne
crois
pas avoir commis de délit. Ma mère m'a dit : «
refuse de me la rendre, allons la chercher ! » J'y suis allé. Je ne
crois
pas avoir mal fait. . Achille -Dourches n'est d
guérison serait une affaire de peu de temps ? R. Oui monsieur. Je
croyais
que, dans un mois, ce serait fini. J'attendis.
campagne; en un mot se montre si différente d'elle-même qu'on peut
croire
à un léger degré d'excitation cérébrale. Le 24 av
ieurs grandes inspirations, se frotte les yeux comme d'habitude; on
crut
qu'elle allait s'éveiller. Mais non... elle ent
t, y perdit quelque -peu de sa confiance, elle déclarait qu'elle ne
croirait
plus en lui, puisqu'il lui jouait d'aussi mauva
durée. La situation devenue de plus en plus critique, le médecin
crut
devoir proposer à la famille l'entrée soit à l'
sformée de More), mais on trouve, plus souvent qu'on ne paraît le
croire
, l'hérédité similaire et notamment l'hérédité d
fort, je suis fier surtout qu'il ait en moi assez de confiance pour
croire
que mes analyses psychologiques ne s'écarteront
écieux qu'il m'a donnés : je suis un de ses élèves plus qu'il ne le
croit
lui-même. Quand plus tard je suis venu travaill
nesthésies systématisées sont, à mon avis, plus fréquentes qu'on ne
croit
généralement, car on ne les remarque pas tou- j
iquez cela comme vous pourrez. » La même remarque peut se faire, je
crois
, pour tous les sens, même pour le sens visuel.
pris plus tard qu'elle avait alors une hallucination terrifiante et
croyait
voir des hommes cachés dans ces rideaux. Cette
le peuple, elles sont encore le type de la passion érotique; nous
croyons
être plus avancés et nous inventons la simula-
r dans une per- ception personnelle ? Je n'en sais rien, mais je le
crois
très variable suivant mille circonstances, et j
glige de percevoir les sensations tac- tiles et musculaires dont il
croit
pouvoir se passer. Au début, il pourrait peut-ê
STHÉSIE HYSTÉRIQUE. 345 nombre de choses importantes dont voici, je
crois
, les deux principales : 1° les sensations exist
r à Berlin, ont publié des observations tout à fait analogues. Je
crois
qu'il ne serait pas difficile de réunir aujourd'h
onsidérations intéressantes sur sa pathogénie. Huppert6 de Witt7 la
croient
en rapport avec l'in- 1 Seyfert. - Dublin Quale
ontraire chez de robustes filles de dix-huit à vingt-cinq ans. Nous
croyons
donc que ces questions d'âge sont secondaires.
la suite de cet accès incomplet ne contenait pas d'albumine. Nous
croyons
en effet qu'ici, se trouve en partie, la solution
vaso-dilatation des reins, albumine plus ou moins prononcée. Nous
croyons
que ces considérations s'appliquent non seu- le
doivent-ils cependant entrer seuls en ligne de compte ? Nous ne le
croyons
pas. En effet, telle malade a une période stert
e rela- tivement courte et son albuminurie est considérable. Nous
croyons
qu'il faut admettre ici des idiosyncrasies rénale
'albuminurie chez les malades pré- sentant des accès en série, nous
croyons
pouvoir conclure : En même temps que le nombre
ifié dans quelques- unes de ses parties, que je transcris ici. Je
crois
devoir exposer d'abord les antécédents de A..., p
rt la gorge, c'est horrible ce qu'il souffre. » Ces souffrances, il
croit
en trouver l'explication daus ce fait qu'il a m
êtu, prend son fusil et tire, à travers la fenêtre, sur M..., qu'il
croit
voir dehors. Plusieurs carreaux sont brisés. En
« c'est malheureux, qu'il faut qu'il meure, qu'il était fou, qu'il
croyait
que c'était M..., qu'il ne voulait tuer que M..
st sûr qu'on lui a réellement donné un sort, tantôt il dit qu'il le
croyait
, mais qu'il ne le croit plus. 11 est toutefois ce
ent donné un sort, tantôt il dit qu'il le croyait, mais qu'il ne le
croit
plus. 11 est toutefois certain que l'idée de so
e que ce sont là des considérations tout à fait hypothétiques. Je
crois
, en résumé, avoir démontré par tout ce qui préc
ez que c'est du poison, à moins que le diable ne diminue pour faire
croire
que c'est des crachats. Voyez comme ma figure e
Depuis la même époque, c'est-à-dire depuis environ six mois, elle
croyait
qu'on la regardait dans la rue, mais non pas qu'o
en quelque sorte l'hallucination confirmée, peut être pris, nous le
croyons
du moins, pour des hallucina- tions de l'ouïe.
our reconnaître que ces voix ne sont que des voix intérieures. Nous
croyons
avoir démontré que la méprise était possible no
es hallucinations sensorielles. Il nous est arrivé aussi souvent de
croire
à des hallucinations de l'ouïe chez des malades
n'y a pas d'halluci- nations sensorielles dans la mélancolie ; nous
croyons
seule- ment qu'il est nécessaire de bien précis
re que les fibres du corps calleux rejoignent non pas, comme on l'a
cru
jusqu'ici, des régions de même nom et de même v
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 407 dans l'état cataleptique. Tout mène à
croire
qu'il n'existe pas, dans les états hypnotiques,
reconnaître qu'elle est beau- coup moins fréquente que ne semble le
croire
M. Charpentier. Il ne nous donne pas d'ailleurs
istoire de possession très répandue, au Japon, et qui consiste à se
croire
possédé par un renard. Cet animal, d'après la c
es filles. Ce sont surtout les convalescents de fièvre typhoïde qui
croient
ainsi servir d'habitacle au rusé compagnon. La ma
s deux points qu'il serait intéressant de discuter. M. GARNIER ne
croit
pas que ces questions qui paraissent si sim- pl
de syphilis congénitale. Par conséquent, il n'est pas téméraire de
croire
, dans l'espèce, à une méningite ou à une périen
d'héréditaires dégé- nérés à facultés affaiblies qui délirent. Ils
croient
appartenir à un autre sexe que le leur; c'est p
e la sensibilité psychologique. Ou bien c'est un jeune homme qui se
croit
en état de grossesse, qui dit avoir ses règles
rogressa, la fièvre monta à 39, la bouche ne peut plus s'ouvrir, on
crut
à un phlegmon du cou. Afin de pro- céder à un e
uent aussi à la craniectomie chez les microcéphales. Il ne faut pas
croire
que le cerveau cesse invariablement de se dével
, vous en avez si profondé- ment remanié l'étude qu'on est tenté de
croire
que vous les avez décrites le premier. Aussi
de quarante-neuf ans, qui tenait un débit de vins rue Amélie, avait
cru
bien faire en plaçant ses économies une quinzai
faire des blessures assez graves, con- séquences, comme on peut le
croire
, de la chute qu'elle fit du premier élage...
égal de la médecine. Ce n'est pas cela qui empêchera Ville Wolff de
croire
que son cordonnier est beaucoup plus fort que M
paradoxaux sont controuvés : la méthode était insuffi-sante, et nous
croyons
pouvoir affirmer que, dès les premières périodes
postérieure comme «l'ombre se rattache au corps, » il ne faudrait pas
croire
, toutefois, qu'en appelant sclé-rose des cordons
e le substratum anatomi-que de l'ataxie locomotrice progressive. Je
crois
utile d'entrer dans quelques nouveaux développe-m
ques de la maladie, mais il faut savoir la chercher là où elle est.
croyons
-nous, dans plusieurs cas où la mort, déterminée p
ue le manque de temps m'a forcé de passer sous silence, et qui, je le
crois
, mérite cependant quelques déve-loppements. Je
vec vous quelques points peu connus ou insuffisamment connus, — je le
crois
du moins, — de l'histoire clinique de l'a-taxie l
deux malades accusant une foule de symptômes nerveux bizarres, que je
croyais
pouvoir rattacher à l'hypochondrie. Ces deux mala
e dans ses allures. Vous ne la trou-verez cependant mentionnée, je le
crois
du moins, dans aucun des traités spéciaux sur les
cet hospice à l'aide d'observations faites sur une grande échelle. Je
crois
pouvoir déclarer que la grande majorité des femme
ais pas de fatiguer votre attention. En somme, je suis très disposé à
croire
, d'après ce que j'ai vu, que les amaurotiques, ch
celui qui précède l'autre, est chose difficile ; j'incline beaucoup à
croire
que, de même que dans la moelle épinière, le tube
es symptômes oculo-pupillaires, mention-nés pour la première fois, je
crois
, par M. Duchenne (de Bou-logne). Il s'agit là de
ment rare, d'une arthropathie tabétique intéressant les hanches. J'ai
cru
, pendant longtemps, bien à tort, vous le voyez, q
pour cause une lésion traumatique, une fracture intra-articulaire. Je
crois
, en effet, qu'il en est ainsi. Mais notre arthrit
rite sèche. A cela, je n'ai pas d'objection sérieuse à opposer ; mais
croit
-on que ce classe-ment anatomo-palhologique avance
ne parler que de ce qui concerne spéciale-ment la moelle épinière, je
crois
pouvoir déclarer qu'il n'est peut-être pas une de
on articulaire à l'affection spinale n'en reste pas moins établie, je
crois
, par l'ensemble des considérations que je viens d
r des accidents subits et, après la mort, donner le change en faisant
croire
qu'il s'agit d'une hématomyélie primitive, affect
en serait ainsi. A la vérité, quelques auteurs classiques semblent
croire
qu'une fois déclarée, la paraplégie, par mal de P
chaque côté des apophyses épineuses, que survient la guérison. Je ne
crois
pas qu'on puisse voir là, dans tous les cas, une
omprimé chez ces sujets, ou mieux dans quel état est-elle encore ? Je
crois
pouvoir vous donner à ce sujet des éclaircis-seme
t de son trajet par un cor-don d'aspect scléreux et où l'on aurait pu
croire
que toute trace de tubes nerveux avait disparu.
veuses des deux côtés de la moelle. A l'appui de ces assertions, je
crois
bon, Messieurs, de citer brièvement quelques exem
-'elle ne dépend pas, comme beaucoup de per-sonnes semblent encore le
croire
aujourd'hui, de la compression exercée sur la moe
XVII. 1866, p. 41.) céreuse du nerf invoquée un peu à la légère, je
crois
, par plu-sieurs auteurs. VIII. Il s'agit actu
pas quelque lésion mammaire. On me répondit par la négative; mais je
crus
devoir insister et examiner les choses par moi-mê
amen des malades. D'un autre côté, il ne faudrait pas aller jusqu'à
croire
que les douleurs du mal vertébral cancéreux, alor
sur le trajet des nerfs intercostaux, ce qui, un instant, avait fait
croire
qu'il s'agissait là d'une simple névralgie interc
lesquelles elle s'appuie, demandent eux-mêmes à être véri-fiés. J'ai
cru
devoir néanmoins l'exposer brièvement parce que,
erveuses, et de là proviendrait l'erreur dans la localisation. J'ai
cru
, Messieurs, devoir rappeler ces particularités, p
quefois à titre d'accident consécutif a la diphté-rie. Il y a lieu de
croire
, d'après ce qui précède, que ces symptômes qu'on
s faits anormaux qui paraissent, d'ailleurs, assez rares. Je n'ai pas
cru
devoir toutefois les passer sous silence, parce q
e plus neuf de l'histoire anatomique de la paralysie infantile. Aussi
crois
-je utile d'entrer à ce propos dans quel-ques déve
L. Clarke et Z. Johnson sous le nom d'atrophie musculaire, doit être,
croyons
-nous, rapproché du précédent; la critique permet
travail auquel notre observation sert de fondement, nous nous sommes
cru
autorisé à admettre que la lésion des cellules ne
ès l'abord, et qui, bientôt, s'accompagna de symptômes tels qu'on put
croire
à l'invasion d'un fièvre typhoïde, s'annonçant av
lieu sur ce qu'enseigne l'histoire naturelle, de cette affection, je
crus
pouvoir avan-cer que la rétrocession des symptôme
l y a là une lacune qui ne saurait tarder à être comblée *. IL Je
crois
utile de revenir aujourd'hui sur divers points re
e subis-sent parfois ces cellules et que j'ai le premier reconnue, je
crois
, du moins 2° Quelques auteurs ont décrit, dans
elle paraît d'ailleurs, aujourd'hui, assez générale-ment répandue. Je
crois
donc pouvoir, d'après cela, m'en tenir à la théor
a lésion spinale de la paralysie infantile (Loc. cit. n° 1, p. 3). Je
crois
téphro-myélite préférable et je puis invoquera ce
ntre gris envahisse consécutivement les faisceaux blancs ; mais je ne
crois
pas, quant à présent, que cette combinaison ait j
agne-ment des lésions spinales qui viennent d'être décrites, sont, je
crois
m'en être assuré, des observations qui pèchent, s
une manière spéciale l'état des cellules des cornés antérieures. Nous
croyons
devoir rappe-ler encore une fois, que la moelle é
Aran et Duchenne. Se fondant sur ces observations, M. Duchenne avait
cru
pouvoir caractériser la maladie anato-miquement e
la substance grise spinale antérieure. Il me sera facile aussi, je le
crois
, de tracer ensuite une ligne de démarcation tran-
lipomatosa. L'auteur, peu soucieux des règles noso-graphiques, semble
croire
qu'il a eu là, sous les yeux, un exemple de paral
ainsi dire habituel et c'est là une différence dont on ne saurait, je
crois
, dans l'état actuel des choses, four-nir une expl
érose postérieure précèdent le développement de l'a-myotrophie. Je ne
crois
pas qu'il ait été publié un seul exem-ple dans le
hors de doute l'existence de lésions spinales très accentuées ; je ne
crois
pas cependantque ce fait ait, tant s'en faut, las
t pas à elle seule pour justifier un rapprochement noso-graphique. Je
crois
devoir, à ce propos, faire une remarque qui pourr
fois rencontrée dans sa pratique. Mais elle n'a pas été remarquée, je
crois
, comme elle le mérite. De fait, autant que je sac
és, et qui demandent par conséquent à être ravivés. C'est pourquoi je
crois
qu'il sera prudent d'attendre le contrôle d'autop
pas défaut. J'espère parvenir à le démontrer tout à l'heure. Mais je
crois
opportun, au préalable, de vous présenter un tabl
it. » Ainsi se trouvent nettement indiqués, pour la première fois, je
crois
, et la tré-pidation épileptoïde du membre inférie
spasmodi-que. Si l'examen n'était pas poussé plus loin, vous pourriez
croire
qu'il s'agit ici d'un exemple de cette dernière a
t rares, je le répète, contrairement à l'opinion de Remak, qui semble
croire
que c'est là la forme la plus ha-bituelle des par
e publié par M. Duplay dans les Archives de médecine. Néanmoins, je
crois
pouvoir avancer que, malgré ces tra-vaux, la conn
en réalités parfois très sérieuses, que peut offrir le diagnostic. Je
crois
pourtant que, dans la règle, le vertige labyrinth
and Sur g, 21 janvier 1869) et rappelée par M. Knapp. Il y a lieu de
croire
, d'ailleurs, d'après l'ensemble des faits, qu'une
e droite à gauche. Il est des maladies,' qui, dans leurs divers accès
croient
éprouver tantôt l'un, tantôt l'autre de ces modes
peut s'observer dans les espèces de vertiges les plus divers, mais je
crois
pouvoir affirmer qu'on ne le trouve jamais là, ni
aucoup, dans le temps, sur la description de ces crises, parce que je
crois
qu'elles consti-tuent le fait symptomatique fonda
'un brusque mouvement de translation, par suite duquel la malade se
croit
tout à coup, comme par l'impulsion d'une force ex
asion des accès vertigineux fut, après cela, facilement établie. Je
crus
pouvoir annoncer qu'il ne s'agissait pas ici d'ép
e, pendant cette même période, il y aurait eu momen-tanément, si l'on
croit
son récit, un certain degré de contrac-ture dans
les organes qu'il faut incri-miner dans la circonstance actuelle. Je
crois
plus vraisemblable, mais c'est là une pure hypoth
qu'on pourrait appeler prœ-hémiplégique. Les cas de ce genre sont, je
crois
, assez rares ; je n'en ai pas recueilli plus de t
recueilli les renseignements qui viennent de vous être exposés, je me
crus
autorisé à déclarer qu'à mon sens les divers acci
très fréquemment, presque habituel-lement, des douleurs de tête qu'il
croyait
être des migraines et qui ontpersisté, en s'aggra
régulier et constant de la succession des phé-nomènes convulsifs. Je
crois
devoir vous faire remarquer in-cidemment que le m
un zèle éclairé, les cho-ses ont mal tourné. Je ne puis m'empêcher de
croire
, cepen-dant, que dans les cas où la nature des ac
e, au contact de la pie-mère altérée, n'a subi encore, tout porte aie
croire
, que les lésions du genre de celles qu'on a quelq
ique suivant lequel se produisent les arthropathies des ataœiques, je
crois
pouvoir me dispenser de rentrer à ce propos dans
aryngé. Sans vouloir préjuger les enseignements de l'avenir, on peut,
croyons
-nous, admettre dès aujourd'hui, à titre de propos
les ca-ractères normaux. A l'aide de mensurations comparatives, on
croit
recon-naître qu'un bon nombre de cellules nerveus
eaux postérieurs, soit sur celui des faisceaux latéraux. Tout porte à
croire
d'ailleurs que l'irritation des tubes ner-veux, e
nification au point de vue de la névrite parenchy-mateuse ne saurait,
croyons
-nous, faire de doute un seul in-stant. Muscles.
itement conservée. La langue n'est pas aussi inerte qu'on pourrait le
croire
d'après ce qui précède ; elle a con-servé sa form
ture anormale ; toutefois, en examinant ses bords avec grand soin, on
croit
aper-cevoir de temps à autre de légers mouvements
lésions diffuses répandues entre elles par un lien intime et faut-iï
croire
que, dans ce cas, les altérations du système musc
ion ont été développés à plusieurs reprises dans ce recueil ; nous ne
croyons
pas nécessaire de les reproduire à nouveau. Nous
ux extrêmes et permettent de suivre la transition. On peut essayer,
croyons
-nous, en tenant compte des ré-sultats qui viennen
res que postérieures, ont également paru parfaitement saines. Je ne
crois
pas devoir insister pour faire ressortir l'intérê
lésions spinales très ac-centuées est mise hors de doute ; mais je ne
crois
pas que ce cas ait, tant s'en faut, la significat
pas, à elle seule, pour justifier un rapprochement nosographique. Je
crois
devoir à ce propos faire une remarque qui pourrai
une hypertrophie très prononcée des cylin-dres axiles. En somme, nous
croyons
qu'avant de rien décider à l'égard de l'état anat
Masson et Cie) et qui restait à compléter. Toutefois, ils n'ont pas
cru
devoir s'en tenir strictement au plan de cet Ex
d'enregistrer les affirmations de l'intéressé en indiquant, s'il le
croit
bon, l'impression qu'elles lui ont faites au poin
pas ; elle est toujours triste, absorbée, on voit qu'elle souffre.
Croyez
-moi, c'est du sérieux. » La malade succomba quelq
dire plus ques- 20 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE tion actuellement. Je
crois
qu'à cet égard presque tous les neurologistes s
t plus grand elle me l'a plusieurs fois répété qu'elle s'était bien
cru
condamnée à une infirmité incurable, d'après to
une affection du coeur, de l'estomac ou de tout autre organe. Je ne
crois
pas m'exposer à la contradiction en disant que
bien que ce mot ne figurât pas dans le titre de ma conférence. J'ai
cru
bon de le faire parce que ce n'est qu'après s'ê
r entourage. C'est ainsi qu'on voit fréquem- ment des sujets qui se
croient
atteints d'une angine de poitrine, alors que le
l'on est amené à faire dépendre le phénomène qui nous occupe. Je ne
crois
pas, pour le moment, pouvoir affirmer la nécess
toïde du pied ». Mais en opposition avec cette variabilité que j'ai
cru
indispensable de mettre en lumière, les réflexe
parfaite, et que leur médecin traitait comme tabétiques, pour avoir
cru
, à tort, constater une abolition des réflexes r
ejerine et Landouzy trouvent le fait inexplicable. D'autres auteurs
croient
pouvoir chercher la raison du phénomène dans la
es leçons. Mais avant d'entre- prendre l'étude de ces relations, je
crois
indispensable de rappeler cer- taines notions f
lexe du gros orteil. En se plaçant au point de vue de la clinique, je
crois
qu'il est préférable de dissocier ces deux phén
qu'elle soit, est encore limitée, j'avais invité ceux qui auraient
cru
constater des faits en opposition à les présent
'hémiplégie organique et de l'hémiplégie hystérique » : : «.le ne
crois
pas que dans l'hémiplégie hystérique pure il puis
aux dont je me suis aussi efforcé de déterminer la valeur, et je me
crois
autorisé à soutenir actuellement que, dans la g
é du peaucier, qui, toute réflexion faite, me paraît défectueuse ; je
crois
en effet qu'il ne s'agit pas d'un spasme du côt
à reprendre sa position primitive. Ce serait en effet une erreur de
croire
que, dans cet acte, le sujet se borne à faire con
ès mes observations, l'opinion de Rosenbach me paraît juste ; je ne
crois
pas que l'hystérie puisse, au même titre qu'une a
-il qui soient pathognomoniques ? Ainsi que je l'ai déjà dit, je le
crois
, et j'en suis surtout convaincu pour ce qui con
vint démente et mourut. BADlNSi.I. S m4 SEMIOLOGIE Il est, je
crois
, permis de se servir d'un néologisme pour désigne
a même publié quelques faits tendant à l'infirmer. Cela tient, je
crois
, aux difficultés nombreuses que l'on rencontre qu
é à des erreurs d'observation et d'interprétation sur lesquelles je
crois
devoir insister. C'est ainsi que chez les malad
jugeant inca- pable de loger dans son esprit tant de données qu'il
croyait
différentes, il renonça à cette étude et se pri
sion ; vous verrez dans la suite qu'il n'en est pas ainsi ; mais je
crois
pou- voir dire que la question est fort simple
uisse et de la jambe, ne donne jamais lieu à la flexion du pied. Je
crois
utile d'appuyer sur ce point. Sans doute, le re
S'ils retiennent seulement cette donnée, j'aurai la satisfaction de
croire
qu'ils n'ont pas perdu l'heure qu'ils ont bien
on des faits cliniques suffisante pour bien délimiter mon sujet. Je
crois
le moment venu de faire un historique, surtout
de l'intervention chirurgicale. Voici, en résumé, ce que nous avons
cru
pouvoir déduire de nos investigations. Dans tou
osé à des erreurs d'observation et d'interprétation sur lesquelles je
crois
devoir insister. « C'est ainsi que chez des m
de l'automatisme médullaire ? C'est une chose que, pour ma part, je
crois
, mais il est difficile d'en donner la preuve...
sa conscience puisse être considérablement amoindrie. Nous avons
cru
devoir signaler ces phénomènes dont on trouvera l
es réflexes de défense surtout en clinicien, en neurologiste. Je ne
crois
pas cependant pouvoir la terminer sans vous dir
tionnant d'une manière synergique. Sans discuter cette idée, nous
croyons
qu'il y a lieu d'admettre l'inter- vention d'un
igné, il est vrai, dans l'observa- tion II, qui est ancienne ; nous
croyons
toutefois nous souvenir qu'il exis- tait, mais
nante dans le membre du côté excité, ont lieu du côté opposé. (Nous
croyons
devoir rappeler à ce propos que tous les sujets
deau présentaient une réaction à la lumière faible mais nette, j'ai
cru
remarquer que l'application unilatérale du ban-
e nerf. Sans contester qu'il en soit ainsi dans certains cas, je me
crois
en mesure de soutenir que le méca- nisme de ces
est ici bilatéral, et que les réflexes achilléens sont abolis ; je
crois
, en effet, avoir montré (') que l'abolition du ré
ndance d'une excitation du sympathique par la poche anévrismale. Je
crois
qu'on doit écarter cette hypothèse ; il ne m'es
ouvement du membre inférieur et reste en arrière. Je suis disposé à
croire
que ce phénomène est pathognomonique d'une pert
ons cérébelleuses, les opinions sont encore partagées. Nous ne nous
croyons
pas en état de résoudre ce problème. Nous avoue
rtout s'il manoeuvre vite, des mouve- ments démesurés. Mais nous ne
croyons
pas que l'on doive dire avec André Thomas que l
nt en quelque sorte au-des- sous du seuil de la conscience ? Nous
croyons
donc pouvoir conclure que les troubles de motilit
conséquences que nous avons égale- ment fait ressortir et que nous
croyons
à propos de rappeler : « On admet que le cervel
- lisée artificiellement chez notre opérée. Avant de terminer, je
crois
devoir insister sur l'accalmie qui succédait to
t peu en faveur, ne contien- drait-elle pas une part de vérité ? Je
crois
qu'il serait intéressant à tous égards de cherc
dans l'autre, elle se trouvait du côté opposé à celui où on l'avait
cru
située. Observation I. Homme de QI ans, commenc
ser plus loin la précision. Dans l'observation I, je ne m'étais pas
cru
en état de déterminer le côté de la lésion. En
n définitive j'étais resté dans le doute. Dans l'observation II, je
croyais
que la tumeur se trouvait dans le lobe frontal
ni en ce qui regarde le malade que vous avez devant les yeux. Je ne
crois
pas que ce spasme soit d'origine mentale, qu'il d
. Fig.9- SUR LE SPASME DU COU 261 Pour ces diverses raisons, je
crois
que les phénomènes spasmodiques ne sont pas ici
ues. Cependant, en me fondant sur mes observations personnelles, je
crois
pouvoir dire que chez l'homme adulte la dégénér
s'en faut, que la régénération soit alors impos- sible, mais je la
crois
exceptionnelle. Or, il semble qu'il n'en soit pas
ls jusque-là aucun résultat appréciable n'avait été obtenu. Je me
crois
en droit de conclure, pour le moins, de ce qui pr
Ne s'agirait-il pas là d'une idée délirante, de négativisme ? Nous
croyons
pouvoir écarter cette hypothèse. La malade ne c
'un observateur insuffisamment averti eut pu s'y laisser prendre et
croire
que la guérison était imminente, mais ce n'étai
e venait à son secours ; ce fait, contrairement à ce qu'on pourrait
croire
à première vue, n'est pas en contradiction avec c
uments n'ont peut-être pas une valeur absolument décisive, je ne me
crois
pas en droit d'émettre à ce sujet une opinion f
tige voltaïque à l'état patholo- gique. D'après ce qui précède je
crois
pouvoir affirmer que les divers phéno- mènes do
I, la contracture de la main droite était extrême- ment forte. Je
crois
donc pouvoir conclure que la forme de paraplégie
plasique siégeant dans l'intérieur même des circonvolutions ? Je me
crois
en droit de rejeter cette hypothèse parce que s
degré de fréquence du tabes conjugal chez les tabétiques mariés. Je
crois
cependant pouvoir affirmer que les cas de ce ge
nséquent, a des manifestations caractéristiques du tabes, pourra se
croire
simplement en proie à des douleurs rhumatismales,
uis pas en droit, tant s'en faut, d'être affirmatif à cet égard. J'ai
cru
cependant devoir me servir, dans le titre de ce
ains cas, et peuvent même présenter une distribution telle que l'on
croirait
tout d'abord à une hémianopsie de cause central
vation présente encore certaines particularités sur lesquelles nous
croyons
devoir insister, car elles ne nous ont pas paru a
lle, du reste, l'importance si grande des troubles du début. Nous
croyons
donc que le couteau glissant entre les lames des
as, le chirurgien ne trouvant pas la tumeur dans l'endroit où on la
croyait
située est désorienté, s'il n'a pas quelque aut
dont la longueur était de onze centimètres. De nos recherches nous
croyons
pouvoir tirer les conclusions suivantes : i" Ta
l s'agit d'une tumeur intra-dure-mérienne ('), (1) N. D. L. H. Nous
croyons
devoir ajouter, pour respecter le désir intime de
ximum des troubles sensitifs ne se trouve pas, comme on pourrait le
croire
, à la hauteur correspondant à la compression, mai
de la zone intermédiaire (zone d'hypoesthésie marquée). On peut,
croyons
-nous, tirer des données précédentes des déduction
ma ne peut même pas toujours être déterminée avec précision. Nous
croyons
qu'au milieu de ces données la plupart sujettes à
élioration, la paraplégie en flexion s'étant même accen- tuée, nous
crûmes
nécessaire de procéder à une nouvelle radiographi
que des faits analogues à celui-ci ne sont pas exceptionnels ; nous
croyons
donc utile d'attirer l'attention sur les tumeurs
'un obstacle pathologique. Dans notre cas nous avons des raisons de
croire
qu'il en était ainsi ; en effet lorsque vingt jou
ipe disposés à une intervention à bref délai. Dans un cas où l'on
croirait
avoir intérêt à soumettre le malade à cette épr
ser ainsi la longueur de la tumeur et son siège exact. Nous avons
cru
pouvoir le faire en mettant à profit les données
iser la lésion en dehors de la dure-mère et c'est la première fois,
croyons
-nous, qu'un pareil diagnostic a été établi clini-
ion orale. Du reste, c'est pour ce motif que notre col- lègue avait
cru
bon d'avoir recours à l'épreuve du lipiodol ; mai
tte nouvelle épreuve. Voici quels sont les points sur lesquels nous
croyons
devoir insister : Et d'abord la bille de lipiod
de le côté droit, la situation est un peu plus complexe, sans être,
croyons
-nous, inextricable. Deux questions se posent. P
ure de l'anesthésie maxima que, dans un certain nombre de cas, on a
cru
devoir localiser la tumeur bien au-dessous de l
ier l'incurvation du nez et la fos- sette mentonnière ; ils ont, je
crois
, de l'importance parce que, si j'en juge par me
mais, quoique persuadé de l'exactitude de cette observation, je ne
crois
pas devoir m'incliner devant elle, car, d'après
la partie intra-bulbaire du trijumeau et limitée à ce nerf. Je ne
crois
pas non plus qu'une lésion du système nerveux sié
rdivement. En se fondant sur cette obser- vation, on peut supposer,
croyons
-nous, que la prédisposition à la myo- pathie ti
des caractères de ce genre. Mais avant de chercher à le prouver, je
crois
indispensable d'indiquer le sens qu'il faut, se
e sans avoir été précédés d'autres manifestations de l'hystérie. Je
crois
qu'il est légitime d'appeler encore hystériques
mer toute ma reconnais- sance. Anciennement, les médecins avaient
cru
remarquer qu'il existait un groupe de manifesta
réalité ? Qu'on y réflé- chisse un peu. C'est seulement quand on a
cru
découvrir un objet se dis- tinguant par quelque
elle est l'alternative à laquelle on est nécessairement amené et je
crois
qu'aucun neurologiste n'hésitera à opter pour l
n constituerait l'un des deux caractères essentiels. Eh bien, je me
crois
en droit de m'inscrire en faux contre cette ass
dans ses détails, ni dans son ensemble. Avant d'aller plus loin, je
crois
devoir vous rappeler certaines défini- nitions
' Avant de chercher à vous prouver l'exactitude de mon opinion, je
crois
bon de vous rappeler aussi le sens précis qu'il
résenter à l'esprit de quelques-uns d'entre vous et aux- quelles je
crois
bon de répondre ; je vais les passer successiveme
te critique, mais afin de ne laisser subsister aucune obscurité, je
crois
bon de vous donner encore à ce sujet quelques écl
E bulles, d'ulcération, de gangrène, ou d'oedème hystérique, et je
crois
que ceux qui ont rapporté des cas de cet ordre
stion des trou- bles cutanés, ce qui serait très simple, si l'on en
croit
certains hypnoti- seurs, et je n'y suis jamais
r chez elle toutes les manifestations hystériques classiques, et je
crois
pouvoir dire que j'ai sur elle une très grande
partiennent à l'hystérie, mais je doute fort que cela arrive; je ne
crois
pas non plus que ces phénomènes soient appelés
tort, conserve pourtant un champ très étendu. Si, trop souvent, on
croit
la voir là où elle n'existe pas, on la méconnaît
elatives à des cas d'hystéro-traumatisme. Il y a aussi tout lieu de
croire
que bien des hystériques deviennent des simulateu
aussi en mesure de me débarrasser de la monoplégie brachiale que je
croyais
définitive » ; le malade est devenu ainsi acces-
irurgie, juillet 1801. Voici la conclusion de cette leçon : « Je me
crois
autorisé à conclure de toute cette discussion que
soutenir qu'elle était le plus souvent d'origine suggestive, et je
crois
avoir fourni de nouveaux arguments à l'appui de
ion à laquelle il est difficile de se sous- traire. Un confrère qui
croyait
avoir observé un cas intéressant de fièvre hyst
soi-disant paraplégique se tient sur ses jambes et marche quand il
croit
ne pas être observé ; mais les simulateurs sont
r, par le raisonnement, comme le mot persuasion pour- rait le faire
croire
, que l'on guérit ces troubles, et le vocable pith
faire disparaître transitoirement son mal. N'est-il pas logique de
croire
que l'imminence d'un grand danger soit particuliè
ogique. Mais ce lien existe-t-il et dans ce cas quel est- il ? On a
cru
le trouver dans ce fait qu'il n'est pas rare de
mais encore simple affaire de convention. Il serait préférable, je
crois
, de renoncer à un vocable propre à erltrenir le
des phénomènes pithiatiques, je ne le conteste certes pas, mais je
crois
pouvoir affirmer que jamais sujet atteint de la
er tous les moyens nécessaires pour vérifier cette hypothèse. Je me
crois
en droit de conclure de cette étude que la concep
evêtent une apparence tellement différente que, pour ce motif, j'ai
cru
devoir les envisager séparément. D'ailleurs, les
er l'hypnotisme vrai, s'il en existe un, de l'hypnotisme simulé. Il
crut
en trouver ; il décrivit ce qu'il appela les ph
alors qu'ils n'avaient plus aucun intérêt apparent à me tromper; je
crois
avoir employé tous les moyens propres obtenir d
sans réponse et le masque d'ignorance qu'il revêtira vous incitera à
croire
à la réussite de votre suggestion. Mais, si vou
ènes hypnotiques, phénomènes hystériques) à la réalité desquels ils
croient
, mais seulement dans une certaine mesure ; leur
pno- tisme chez le sujet soumis à son examen. Toutefois, comme je
crois
à l'existence effective de l'hypnotisme, j'ac-
es, idées acceptées par un grand nombre de neurologistes, et que je
crois
solidement fondées sur la clinique et la logique.
lidement fondées sur la clinique et la logique. Pour ce motif, j'ai
cru
devoir prendre la parole. L'opinion que les cri
e la suggestion, explique au contraire ce changement de tableau. Je
crois
qu'on peut affirmer que quelqu'un n'ayant jamai
o labié, attaques apoplectiformes, etc. Et Broussais n'était pas,
croyez
-le bien, un hôpital privilégié en matière d'hysté
s, pas plus chez les femmes que chez les hommes, et, pour ma part, je
crois
bien qu'il y a plus de dix ans que je n'en ai o
logistes, appartenant aux formations sanitaires de l'ar- rière, ont
cru
pouvoir établir par leurs observations que l'émot
aître et à entretenir la suggestion. Quelques neurologistes se sont
crus
cependant en droit d'affirmer que, dans certain
ant donné ce qu'ils voient, ce qu'ils ont entendu dire ou ce qu'ils
croient
savoir de l'effet des diverses blessures de gue
hystérique des crises. Enfin, il est une dernière remarque que nous
croyons
devoir faire : le sujet, en pleine attaque d'hy
ière de voir. Mais l'accord définitif ne s'était pas établi. On put
croire
tout d'abord que les faits observés au début de
ie et de contracture d'ordre réflexe. De ce qui précède nous nous
croyons
en droit de conclure que la conception moderne
naces et d'importance variable. Il est encore une remarque que nous
croyons
devoir faire. Nous avons déjà dit que les manif
les intéressent tous les médecins mili- taires et, à ce titre, nous
croyons
utile de les rapporter ; les voici : i° Pour le
fondant sur l'intensité des troubles vaso-moteurs, nous nous étions
crus
en droit d'affirmer qu'il y avait là des phénomèn
rapides ont induit quelques observateurs en erreur en leur faisant
croire
, dans certains cas, à une guérison, alors qu'il
cours de ces différentes épreuves et, pour ma part, je me refuse à
croire
à une telle énergie morale devant de telles doule
er toujours à l'un des cadres de la neurologie et il ne faut pas se
croire
tenu à formuler un diagnostic simple. Le problè
ration de la réflectivité tendineuse comme un fait exceptionnel, se
croit
en droit d'admettre que l'incitation centrifuge f
ement hydrargyrique m'a paru donner des résultats satisfaisants, je
crois
devoir signaler deux cas d'atrophie papillaire
n cytologique n'a pas permis de préciser la cause. Aussi avons-nous
cru
nécessaire, malgré l'absence de symptômes suffi
qu'ily avait là une application thérapeutique à tenter. Je m'y suis
cru
d'autant plus autorisé que les moyens employés d'
Cette observation n'ayant pas encore été publiée et présentant, je
crois
, un assez grand intérêt, surtout à cause de cer
fet ? Je ne suis pas en droit de l'affirmer mais je suis porté à le
croire
, et j'ai pensé que ce fait méritait d'être rapp
l de Pott, car la colonne ver- tébrale est en parfait état. Je ne
crois
pas non plus que la syphilis soit en cause. Outre
la suite de quelques séances de radiothérapie. Nous sommes portés à
croire
qu'entre la disparition des symptômes et l'exposi
urative sur la sciatique accompagnée ou non de sco- liose ; et nous
croyons
intéressant de lormuler en manière de conclusion,
mes osseux et musculaire. Il n'y manque qu'un autre ordre; mais j'ai,
cru
devoir conserver celui dans lequel les faits ont
, ligne 31, au lieu de : « comme on l'a vu » , lisez : « comme on l'a
cru
». LEÇONS CLINIQUES SUR LES MALADIES CHRONIQU
rôle dans les affections dont nous devons nous occuper. On pourrait
croire
que les maladies chroniques épuisent plus prompte
é. Ce cal intérieur peut n'être que partiel ; dans ce cas on peut
croire
la maladie guérie ; il n'en est rien cependant ;
ns son ensemble une direction à peu près normale. Il semble, comme le
croyaient
les anciens, qu'une seule vertèbre ait été repous
là qu'une fausse apparence qui ne 2. pouvait en imposer et faire
croire
à une luxation (Ambroise Paré emploie encore cett
que, remplit la fosse iliaque et descend jusqu'à l'arcade crurale. Ne
croyez
pas qu'on ait toujours ce deuxième degré à la sui
donné à ce mot par Marshall-Hall, sens équivoque, qui pourrait faire
croire
à l'existence d'une affection cérébrale propremen
ficiel; appliquez sur la peau tous les genres de stimulation avant de
croire
à la perte de la sensibilité. L'irritabilité mu
ple courbure de l'épine peut-elle produire seule la paralysie? On l'a
cru
longtemps; Pott l'a nié le premier; Nichet, depui
ais voulant surtout imposer cette conviction à leurs semblables? Ne
croiriez
-vous pas que l'obscur chirurgien normand doit avo
s pas de moyen constamment efficace d'obtenir ce dernier résultat. On
croit
généralement que les cautères sont ce moyen ; l'o
piquante : cet enfant a eu un abcès de la cuisse qui n'était pas, je
crois
, lié à la lésion des vertèbres. Comme il apparten
ysie. C'est là certainement une terminaison heureuse. Aujourd'hui, je
crois
l'enfant complètement guéri. 11 conserve toutefoi
nal diseases. Lon-don, 1827. des progrès; le malade succomba. Je ne
crois
pas qu'il faille, à l'exemple de David, accuser e
rs, la guérison spontanée est probablement plus fréquente qu'on ne le
croit
généralement. C'est un fait capital, d'où découle
extérieure contre celle des os? Nous ne sommes plus au temps où l'on
croyait
à l'utilité d'un écoulement d'humeur contre la ma
rmiques; la tumeur n'augmente pas, ne devient pas sous-cutanée. Je ne
crois
pas qu'il faille renoncer à l'espoir de la voir s
l'air, qui n'a pas toujours des conséquences aussi funestes qu'on le
croit
généralement encore de nos jours; l'important est
ère cause est peu probable chez l'enfant dont je viens de parler ; je
crois
plutôt à l'existence d'un point gangreneux des pa
ontale est en effet une chose utile, et que je conseille ; mais je ne
crois
pas aux merveilleux résultats du Prone system.
le réside dans la disposition diarthrodiale des articulations. On a
cru
remarquer que les destructions partielles unilaté
nsuite involontaire; le cou, fréquemment incliné, conserve ce pli. Je
crois
qu'on ne confondra pas ce cas avec notre affectio
les jours. Un enfant nous arrive ayant un cou tellement tordu, que je
crus
voir un cas clinique des plus intéressants de mal
de Palletta est resté pendant dix ans encore inconnu à Dupuytren, qui
croyait
avoir découvert les luxations congeniales du fému
ette théorie; elle est spécieuse et elle possède des faits. C'est, je
crois
, M. Parise qui l'a présentée le premier; depuis,
mment ici d'une luxation congénitale par altération de la capsule. Je
crois
que M. Verneuil a raison d'attribuer ce déplaceme
il existe, à la naissance, des signes de coxalgie ancienne, on pourra
croire
alors à cette origine. On a encore attribué la
fluence du psoas sur la position des membres inférieurs; mais je le
crois
le plus souvent étranger à l'attitude du corps da
; le déplacement des muscles qui recouvrent l'articulation a pu faire
croire
à cette sensation. Même en répétant l'expérience
rcissement atrophique du membre , à la claudication, et l'on pourrait
croire
à une luxation ; examinez alors l'articulation av
dater de ce moment, il a marché en boitant. Quelques personnes ont pu
croire
que la luxation était traumatique; mais, après un
rir sur l'ilium un espace de un, deux ou trois pouces. Longtemps on a
cru
Dupuytren sur parole. Il ajoute qu'en refoulant l
t à l'axe du corps. On est revenu aujourd'hui de cette erreur, que je
crois
avoir été un des premiers à signaler. Voici un
à ce qui a trompé le célèbre chirurgien de l'Hôtel-Dieu et lui a fait
croire
au glissement de la tête fémorale. Si nous prenon
t dans tout le Midi, que de ces guéri-sons; le professeur Lallemand y
crut
comme les autres. A Marseille , la conviction fut
e , la conviction fut telle qu'un honorable confrère de cette ville a
cru
dernièrement qu'il ne pouvait y avoir d'autre mot
Hercourt. M. Lenoir, chirurgien de l'hôpital Necker, a vu l'enfant et
croit
à la réduction. Cette guérison s'évanouira-t-elle
nfin, avertis par les erreurs commises par vos prédécesseurs, vous ne
croirez
à la réduction qu'après en avoir constaté la réal
e pièces semblables. Toutefois, ces cas sont plus rares qu'on ne le
croit
généralement. Dupuytren a conseillé de porter une
Une pseudarthrose simple ne produit pas cette attitude. Il y a là, je
crois
, une coxalgie avec rétraction des muscles antérie
ces instruments ont le même inconvénient : c'est que, tandis que l'on
croit
l'œil louche bien dirigé, il reste dans sa positi
cédés , tels que le sous-conjonclival. Le cas dans lequel M. Bonnet a
cru
voir celle réunion nous paraît prouver le contrai
très-bien cette différence : « Si in interiorem partem prolapsum est,
crus
longius altero, et valgius est : extra enim pes u
la forme aiguë ; les pieds sont portés dans une telle adduction qu'on
croirait
voir des pieds bots varus. Quand les enfants guér
forme d'un pied équin. Remarquez comme le talon est élevé; cela fait
croire
, au premier abord, à un grand raccourcissement de
ect; — talus commun. — Le talus direct est extrêmement rare; je ne le
crois
pas impossible, comme l'a dit M. Bonnet. Il st d'
e famille pour une jeune fille qui marchait sur la pointe du pied; je
crus
avoir affaire à un pied équin, mais un de mes maî
pied bot à embrasser l'état ecclésiastique, pour lequel il avait, je
crois
, peu de vocation. Vous le voyez, quelquefois le s
réalisable dans la pratique? La plupart des chirurgiens ne l'ont pas
cru
sans doute, car cette opération a peu cours aujou
tième siècle, la maladie qu'il désigne l'était-elle aussi? Glisson le
croit
: le rachitis, d'après cet auteur, aurait paru dan
dos, que le peuple prononce Ricken. Le grand motif de Glisson pour
croire
à la nouveauté de cette maladie, c'est qu'on n'av
chitisme peut guérir dans l'utérus. M. Houel attribue avec raison, je
crois
, à des causes de ce genre, un arrêt de développem
colonne vertébrale que j'ai recueillie, en 1827, dans cet hôpital. On
crut
à un mal vertébral, et on appliqua des cautères.
rne, et il n'y a pas de muscle qui puisse le courber dans ce sens. Je
crois
que c'est le poids du membre qui tend à fléchir l
Buchner (2), et qui est en effet beaucoup moins constante qu'on ne le
croit
généralement. (1) Loc. cit., cap. 2, IV. (2)
hymus, dit Glisson (2), est veut-être plus développé ; on n'a pas, je
crois
, examiné cet organe sous ce point de vue, depuis
urmure respiratoire, un souffle presque bronchique qui pourrait faire
croire
à une pneumonie. Les sujets sont exposés à de fré
a courbure des os, est donc un fait moins commun qu'on ne pourrait le
croire
au premier abord. J'ai vu cette tension principal
me céphalique. MM. Rilliet et Barthez (1) rapportent un cas où l'on
crut
à une hydrocéphalie et où il n'y avait qu'un rach
probablement un chlorure de cuivre ammoniacal, quoique Van Swieten le
croie
plutôt un composé ferrugineux. Ce remède fut géné
mbaire, qui est surtout déterminée par la situation du bassin. On a
cru
longtemps le bassin autrement situé dans la stati
ononcé dans les vertèbres infléchies que dans les autres ; mais je ne
crois
pas, d'après mes observations, qu'il en soit ains
sse du corps. « Lorsqu'un enfant avance trop le ventre, dit Andry, on
croit
bien faire de lui mettre sur le ventre un plomb o
é des apophyses épineuses (1). C'est une erreur de Pravaz (2) d'avoir
cru
à priori à une torsion du rachis dans ce cas, d'a
ujours une cause interne ou externe et sont moins souvent qu'on ne le
croit
l'effet d'un tic purement volontaire. Le caract
ère,-. dont s'ensuit gibbositè et bosse, et quelquefois une épaule ne
croit
pas et demeure amaigrie, et Vautre croit et s'agg
et quelquefois une épaule ne croit pas et demeure amaigrie, et Vautre
croit
et s'aggrossit par trop (3). » Ce n'est que dans
e la difformité fut enfin mieux connue. Ce que les anciens devaient
croire
faute d'études anatomo-pa- (1) Des causes des m
ressant, sur la courbure dont il s'agit (1). Sabatier, le premier, je
crois
, avait reconnu que, vers la fin de la crosse de l
e. D'abord, son existence est plus générale chez l'adulte que ne le
croyait
Sabatier, surtout si l'on tient compte, comme il
épineuse en sens contraire de la déviation du corps vertébral ferait
croire
à un mouvement de rotation de toute la vertèbre,
'affaissement cunéiforme n'est pas propre à cette affection, comme le
croyait
Del-pech (1). L'existence de l'une ou de l'autre
circonférence de l'os. Toutefois il n'y a pas compensation, comme l'a
cru
Delpech (2), entre la perte de hauteur de la vert
a courbure devient, en un mot, plus ou moins antéro-postérieure. On
croirait
voir une cyphose au lieu d'une scoliose ; c'est l
urelle des facettes des apophyses articulaires, soit par Delpech, qui
croyait
à des efforts musculaires instinctifs de nature à
urt. Je ne vous parle pas encore des apparences de rétraction qu'on a
cru
voir pendant la vie ; je reviendrai bientôt sur c
e une compression du cœur presque incompatible avec la vie, et on l'a
cru
en effet; il n'en est rien pourtant. Les vertèbre
osé que ces courbures de l'aorte pouvaient gêner le cours du sang. Je
crois
que cela n'aurait lieu que si elles formaient des
ire pourraient courber le rachis de certains monstres, et il faut, je
crois
, de nouvelles recherches pour mieux fixer ce poin
mais il termine par ce trait d'une modestie trop rare de nos jours: «
Croyez
, ajoute-t-il, que cette » explication, qui exige
acte dévient de l'état normal. Il est des cas où l'on est tenté de
croire
que, par suite d'une disposition originelle, ces
e nous avons observés pen-» dant cinq ans. » Un nègre gibbeux est, je
crois
, chose rare. On s'explique par les mêmes motifs
t contracté, parce qu'il résiste de toute sa force à cette impulsion.
Croiriez
-vous qu'on a vu là un muscle rétracté ? qu'à défa
ques propres à démontrer la rétraction dans les cas de ce genre, on a
cru
en trouver la preuve dans cette observation physi
rieux pour que je vous en dise deux mots. Ludwig (1), Shaw (2), ont
cru
que la double courbure latérale du rachis commenç
ourbures, on devra éviter une erreur que j'ai vu commettre : c'est de
croire
au redressement des courbures, lorsqu'un excès de
e la grande intelligence des bossus; elle est presque proverbiale. Je
crois
leur réputation à cet égard un peu usurpée, abstr
médecins s'y trompent. Ce n'est pas simplement, comme on pourrait le
croire
, le degré de la courbure qui fait la différence :
hysiques de la rétraction. Je vous ai déjà montré que ce cas, qu'on a
cru
commun , est excessivement rare. d. Il est des
colonne vertébrale, comme le faisait Jenny Guerri, on a tout lieu de
croire
à une supercherie. Dès 1835, M. Bégin (2) avait s
pourrait donner lieu à une autre sorte d'erreur; elle pourrait faire
croire
à des maladies internes graves. Le médecin qui au
tenir du diagnostic des espèces étio-logiques de la scoliose; mais je
crois
en avoir dit assez sur les scolioses rachitique,
euxième période ne s'efface jamais d'elle-même. Ce qui a souvent fait
croire
à des guérisons spontanées, c'est qu'on ne distin
cins, quoique Delpech en ait montré le peu de fondement (1), c'est de
croire
qu'on remédie à la scoliose commençante en exerça
n appelle musculaires toutes les déviations encore peu prononcées; on
croit
la déformation osseuse très-tardive. Cette mépris
res à fruits, semble formé par la nature pour ce genre d'exercice. Je
crois
toutefois l'homme moins propre à grimper que beau
que je sache, » dit l'auteur du traité des articulations (2). Vous le
croyez
sans peine; on ne sait pas d'ailleurs bien au jus
d. par Littré, t. IV, p. 183. (3) Ibid., p. 203. vertèbres, qu'il
croyait
luxées dans la gibbosité par suite de chute; mais
mbourré, pour dresser un corps tortu (1). Les corps à baleines, qu'on
croit
avoir été introduits en France vers le temps de C
er à plateaux séparés imaginé par Shaw, modifié par Pravaz, qui avait
cru
y trouver le moyen de localiser l'extension, de l
flexion de l'épine en sens inverse de ses courbures, et plusieurs ont
cru
parvenir à réaliser cette flexion ; leurs procédé
raire à l'égard des courbures doubles, mais non égales, auxquelles on
croit
devoir appliquer deux pressions vis-à-vis les deu
e difformité peu sensible. En comparant ces deux moules, on a peine à
croire
qu'ils aient pu être pris sur la même personne. C
and traits, des tableaux sans relief, aux couleurs peu accentuées. Je
crois
me rendre plus utile et me conformer mieux à l'es
qu'elle consacre. J'ai lu et relu vingt fois le passage, n'en pouvant
croire
mes yeux. Mais il a bien fallu me rendre à l'évid
opos de l'anatomie délicate du foie. Vous n'aurez pas à regretter, je
crois
pouvoir vous le promettre, le temps que nous cons
fort difficile sur les détails de structure et l'on se contentait de
croire
, avec Galien, que la chair ou substance du foie —
n contact immédiat avec le squelette capillaire, de telle sorte qu'on
croirait
diffi-cilement qu'il puisse rester dans ce systèm
de l'urée et de l'acide urique semble devoir être comptée, si l'on en
croit
des re-cherches récentes, parmi les fonctions les
ntra-lobulaires qui, dans les conditions physiologiques, s'il faut en
croire
la plu-part des auteurs, ne contiennent pas de ce
nde hépatique du type commun aux autres appareils glandulaires. Je ne
crois
pas opportun d'entrer à ce propos, la tâche étant
nt également naissance dans les espaces. 3° Le tubercule, que Louis
croyait
très rare dans le foie, s'y observe au contraire
ou autrement dit la cirrhose, est loin d'être d'habitude, comme on le
croit
généralement, le résultat d'une inflammation pri-
c. cit. (2) Bartholomew's Hospitai Reports, t. ix. 1873. rant, je
crois
, sur des chiens, a noté des résultats analogues a
oie ne sert pas à la sanguification. 11 descendit de son rang ; on le
crut
frappé à mort et l'on fit même son épitaphe. C'es
ons que les anciens lui avaient attribuées. 11 est bien, ainsi que le
croyait
Galien, un des principaux foyers de la chaleur an
celui de la jugulaire en fournis-sait 1, 5. Il y a toute raison de
croire
qu'après ces chiffres qui parai-tront sans doute
aire ne s'accumule pas dans le sang. Néanmoins, il y a tout lieu de
croire
que la bilirubine prend naissance aux dépens de l
ns doute; c'est fort probablement un excrément. 11 y a des raisons de
croire
que, dans l'intestin, elle se transforme en parti
de l'oblitération du canal cholédoque. Actuellement, Messieurs, je
crois
opportun de vous donner quelques renseignements s
t découvert des cristaux microscopiques de palmitine (Gautier). Je ne
crois
pas que, jusqu'ici, on ait noté l'accrois-sement
. Fort de ces données, très intéressantes du reste, M. Ritter s'est
cru
en droit d'admettre que tous les faits relatés de
au contraire. Et, quant à la couleur verte des fèces, qui avait fait
croire
à l'abondance de la bile dans l'excrétion, elle s
e exerce par excellence une fonction dont autrefois on ne l'avait pas
cru
chargé. Cette fonction a pour rôle principal la f
périmental. Io Avant d'entrer dans l'exposé des faits cliniques, je
crois
devoir commencer par un mot d'historique. Ce n'es
foie n'est pas le siège de lésions organi-ques graves. 11 y a lieu de
croire
qu'il s'agit là particulière-ment d'un simple tro
n très appropriée à!uricémie a été proposée pour la première fois, je
crois
, par M. le professeur Vulpian. formation de l'a
ible pro-portion dans la composition des calculs biliaires ; mais, je
crois
devoir donner quelques renseignements sur les sub
l'histoire de la li-thiase biliaire, de longs développements sont, je
crois
, deve-nus inutiles. Vous trouverez, du reste, un
stence d'une inflamma-tion catarrhale de la muqueuse cystique. Meckel
croit
même cette condition nécessaire. Il se produirait
iences médicales (1). I. Avant d'entrer dans le cœur du sujet, je
crois
devoir vous rappeler quelques particularités conc
rès pe-tits est marqué par des douleurs extrêmement vives. Si l'on en
croit
M. Sénac, dont l'opinion est fondée sur l'analyse
nt à peu près au siège même des organes mis en cause, et tout porte à
croire
que la dou-leur traduit ici directement, en grand
rale-ment accéléré dans la colique hépatique. Bien plus, s'il faut en
croire
M. Wolff qui se fonde, comme vous le savez, sur l
lique hé-patique. J'ai voulu insister sur ce symptôme, parce que je
crois
y voir pour ainsi dire le germe de quelques phéno
ser outre, je vais revenir en quelques mots sur ce point, que je ne
crois
pas avoir suffisamment mis en relief. L'existen
ent comme accolés. Quelques auteurs, Cru-veilhier en particulier, ont
cru
d'après cela qu'il s'agissait réel-lement d'une d
es qui très souvent — mais non pas exclusivement comme inclinent à le
croire
quel-ques auteurs (Thudicum, Leared, Henoch) — s'
e, était douloureux. Bientôt apparut une fièvre intermittente qui fit
croire
à l'existence d'abcès du foie et cessa sous Finfl
s nouvelle colique, d'une série revenant pério-diquement. J'incline à
croire
, d'ailleurs, que la condition pa- thogénique es
1), Jacks (2) et de Rosen-tein(3). Ces considérations suffisent, je
crois
, pour mettre en évi-dence, au point de vue sympto
ère des intoxications phosphorées et de certaines cirrhoses. Mais, je
crois
utile d'insister sur une forme d'angiocholite pri
cer précède-t-il la lithiase ou lui succède-t-il. Il y a tout lieu de
croire
qu'il se développe secondairement, au moins d'hab
n-cer de la tète du pancréas, l'ictère se verrait 24 fois, si l'on en
croit
Da Costa. L'ictère, en pareil cas, coexiste souve
e groupe sont, en effet, formées sur le même modèle ou à peu près. Je
crois
utile, avant d'exposer le cas spécial qui doit no
: Gharcot et Gombault. Archives de physiologie, 18-76. fout porte à
croire
que, d'abord, c'est l'angiocholite qui s'établit.
théorie capable d'expliquer la production de cet ictère? Il faut, je
crois
, se reporter à l'examen des lésions des canalicul
ela-tions que présentent ces organes avec le système vasculaire. Je
crois
opportun maintenant d'entrer dans quelques consi-
ublient des observations où l'on trouve le foie volumineux et où l'on
croit
découvrir les premiers degrés de la cirrhose vulg
us en plus profonds (foie botryoïde, foie lobé). Quelques auteurs ont
cru
pouvoir rattacher ces variétés à des différences
dans l'étude histologique des lésions hépa-tiques de la cirrhose, je
crois
qu'il y a intérêt à étudier tout d'abord les part
rer. Afin d'appeler particulièrement votre attention sur ce point, je
crois
utile de citeg1 quelques exemples : Dans un cas
s grosses branches de la veine porte. Insister davantage serait, je
crois
, superflu. Les considéra-tions qui précèdent font
. 17 ou moins prononcée du courant sanguin à travers le foie. Je ne
crois
pas, toutefois, pouvoir me dispenser d'entrer dan
au des varices, donna lieu à une hémorragie mortelle. 2° Si l'on en
croit
les auteurs, loin d'être rare, la dilata-tion pat
appey, un à Giacomini (Turin, 1873) ; quatre autres cas, où l'on a pu
croire
qu'il s'agissait de la veine om-bilicale, peuvent
t s'en faut, d'être tout à fait résolue. Mais, avant de l'aborder, je
crois
utile d'entrer dans l'exposé des lésions de la tr
dant des expériences relatives à la ligature du canal cholédo-que. Je
crois
opportun de résumer ce qu'a vu M. Solowieff (2) :
'un simple phé-nomène de concentration des urines? on l'ignore. Je ne
crois
pas que le dosage ait été régulièrement établi pa
des formes distinctes de la maladie. Avant d'aborder ce chapitre, je
crois
nécessaire de vous exposer, en premier lieu, les
vant d'entrer définitivement dans le domaine anatomo-pathologique, je
crois
nécessaire encore de vous exposer quelques donnée
Œuvres complètes, t. vi. Maladies des reins. 20 Il y a tout lieu de
croire
que les choses se passent essentiel-lement de la
e vue ingénieuse, rmnYdont l'importance dans l'application, a été, je
crois
, sin-gulièrement exagérée. (1) Consulter sur le
être bien connue ; mais, comme elle vous est sans doute familière, je
crois
de-voir la conserver. B. Deuxième forme. — Étio
s lésions rénales, généralement rattachées à la maladie de Bright, je
crois
devoir vous rappeler le point de vue auquel je co
hésitation et en somme il l'a laissée pendante. « J'ai été conduit à
croire
, dit-il quelque part, qu'il y a plusieurs formes
n examinant les diverses régions qui composent ces lobules et dont je
crois
inutile de vous rap-peler la disposition normale.
écie. M. G. Johnson, qui le premier a décrit cette altéra-tion, avait
cru
qu'elle résultait surtout d'une hyperplasie des f
-rielle. Je ne suis pas en mesure de les contredire à ce propos et je
crois
même que l'exagération de la tension artérielle c
des exceptions, beaucoup moins nombreuses pourtant qui ne semblent le
croire
quelques auteurs. Ainsi, vous entendrez souvent d
à peu près autant, Bright en avait cité trois pour son compte ; je ne
crois
pas qu'il en existe un très grand nombre dans les
ivrai pas : mais les faits qu'il expose étant encore peu connus, j'ai
cru
utile de les relever. E. La dégénération amyloï
x ressortir la disposition de l'altéra-tion amyloïde dans le rein, je
crois
utile d'étudier l'aspect que présentent des coupe
ent à ce qui a lieu pour l'albumine du sérum, celle du blanc d'oeuf
cru
, totalement étrangère d'ailleurs à la constitutio
ficiellement produite chez les animaux par l'injection du blanc d'œuf
cru
. Là encore, on reconnaît que cette sorte d'albumi
exsudat albumineux dans la cavité du glomérule et il y a tout lieu de
croire
, d'après la relation détaillée des faits, que c'e
redis-sout dans un excès d'acide, après avoir été précipitée, mais il
croyait
que cette propriété la distinguait de l'albumine
roduire les réac-tions relatives à cette distinction fondamentale, je
crois
de-voir rappeler dans quelles conditions il faut
ée, elle ne repose pas sur des assises aussi solides qu'on pouvait le
croire
. Il paraît simple et facile, en effet, de rappo
erg, renversant, dans un travail récent, l'ordre de chose établi, ait
cru
devoir substituer à la théorie de la pression aug
es glomé-rules sont plus petits et affaissés. De plus, il y a lieu de
croire
que le reflux veineux se fait difficilement dans
és ou détruits. Telles sont, Messieurs, les considérations que j'ai
cru
de-voir vous présenter sur les conditions pathogé
vous imposer ce labeur ? Pourquoi, si certaines gens sont heureux de
croire
aux miracles, ne pas les laisser dans leur croyan
u gave au fond de la grotte, avec une légèreté sans pareille : a J'ai
cru
plusieurs fois, écrit « un témoin oculaire, que d
pour nous, Bernadette a dit naïvement ce qu'elle a ressenti : elle a
cru
voir, elle a cru entendre, ce qui n'était que fau
dette a dit naïvement ce qu'elle a ressenti : elle a cru voir, elle a
cru
entendre, ce qui n'était que fausses sensations d
r; puis, appuyé sur eux, démontrer le mécanisme psychologique qui fit
croire
à Bernadette que ses hallucinations étaient réell
utre part ils sont nombreux les écrivains et les journalistes qui ont
cru
et publié que Bernadette jouait une comédie appri
acée dans un cadre de rocher et de verdure, en un lieu qu'elle devait
croire
inhabité, fit sur la petite bergère une impressio
pas qu'elle respire et ne voyant pas son thorax se contracter elle ne
croit
pas respirer et par conséquent elle pense s'étouf
dans le même état que le dormeur qui. ayant dormi trente-six heures,
croit
, en se réveillant, être seulement au lendemain du
ssement ni de celui de la sœur ou des docteurs, c'est ce qui lui fait
croire
qu'elle a rêvé : « Si cela était réellement, je m
uise se rappelle le bruit produit par son estomac mais elle a peine à
croire
à sa réalité : a Si ce bruit était si fort que je
f, si fréquent dans l'art archaïque, du Gorgonéion barbu. On pourrait
croire
à quelque type mâle, mais ce sont bien les Gorgon
notoriété publique, l'abbé Peyramale, curé de la ville, ne voulut pas
croire
au miracle et cela à bon escient. Lorsqu'un jour
nde à la Sainte Vierge de faire fleurir le rosier de la Grotte, et je
croirai
, » il ' (i)Voycz Revue de l'Hypnotisme, n' de j
aurait voulu, et le culte nouveau prendre des proportions inouïes, il
crut
de son devoir de cesser pour le bien de la religi
lle et à s'abstenir lui-même d'y aller. » Si l'abbé Peyramale avait
cru
à la divinité de l'apparition, ni les raisons pro
é qu'elle donne l'illusion de la réalité, il arrivera que, Bernadette
croira
fermement avoir la Sainte Vierge devant les yeux
savoir au juste ce qu'il faut entendre par là. Chez Marie-Louise nous
croyons
pouvoir arriver à la cause première des accidents
, envisageant cette question d'un point de vue général, nous nous
croyons
autorisés à dire que l'infection ou l'intoxicatio
itisme une sorte de religion ayant ses fidèles et ses détracteurs, je
crois
utile de signaler des faits qui tombent sous l'ob
res qui ont des phénomènes moindres, on ne s'en inquiète pas ; on les
croit
toujours à l'état de veille ; on ne se doute même
lui avait persuadé qu'elle était en présence de la Vierge Marie, elle
croyait
fermement la voir en réalité : aussi lui faisait-
tte crise d'extase est le nœud de la question, car c'est elle qui fit
croire
à la foule émerveillée d'un pareil état que la pe
es qui restent constamment « fixés sur l'endroit de la grotte où elle
croit
voir la Sainte Vierge (a). » On ne saurait mieu
est colorée d'une tâche vineuse. Effrayée de ce spectacle cette femme
croit
voir une tache semblable sur l'une des joues de l
-Ebing, Van Schrenck-Notzing, Wetterstrand et autres observateurs, je
crois
que le somnambulisme a toujours été atteint, et j
e dans les autres ports de la côte. A Trouville, les vieux pêcheurs y
croient
encore, mais l'esprit des jeunes commence à s'éma
qu'ils restent sous Vin- fluence d'une peur angoissante dont ils
croient
que rien ne pourra les délivrer. La malade de Cha
vait pas d'empêchement de mariage ni autres; puis, il avait promis de
croire
en un Dieu créateur qui n'est pas mort et ne mour
d'esprit. Le mysticisme est en effet caractérisé par une propension à
croire
à ce qui est obscur, incompréhensible, à tout ce
nt de ses yeux, immobiles, fixés sur l'endroit « de la grotte où elle
croit
voir la Sainte Vierge, » écrit le rédacteur du La
ne parole, jamais fait un geste, jamais lancé un regard pouvant faire
croire
à Mlle V... qu'il avait pour elle quelques sentim
comme Mlle V... paraissait avoir toute sa raison, on était disposé à
croire
qu'elle disait vrai. Il se forma, parmi les dévot
2e secret ; à la septième apparition, 3e et dernier secret. Il faut
croire
que ces secrets n'avaient pas grande importance,
r l'effet d'une suggestion intensive de quelque prêtre fanatique, qui
croyait
ainsi affirmer victorieusement le dogme de l'Imma
ramme assez hardi, dans l'état des mœurs françaises. Or, s'il faut en
croire
la « Revue internationale de l'enseignement », ce
sions plus haut, le mysticisme, qui porte un grand nombre d'esprits à
croire
ce qui est pour eux inexplicable, s'est facilemen
probable que si les Visions eussent été réelles, comme tantdegens le
croyaient
et le croient encore, l'Immaculée-Conception qui
les Visions eussent été réelles, comme tantdegens le croyaient et le
croient
encore, l'Immaculée-Conception qui ne doit craind
3} peuvent être pris là en flagrant délit de mensonge, car pour faire
croire
à un miracle, ils prétendent que le fond de la gr
encore prier trois : Gloire au Père, etc. » Alors je lui demandai : «
Croyez
-vous être délivrée du diable ! o Elle répondit :
sœur de la malade y présenta une hallucination de la vue, lui faisant
croire
qu'elle voyait distinctement l'araignée qui venai
une rétribution de dix pièces d'argent, à en devenir le prêtre. Il se
croyait
à l'abri de tout reproche, ayant chez lui un prêt
endre régulièrement, sans diminution de salaire, alors qu'on avait pu
croire
cet homme à tout jamais incorporé parmi les inval
des simulateurs de mauvaise foi. * * * Le simulateur de bonne foi
croit
lui-même — et lui seul le croit souvent — aux dou
* * * Le simulateur de bonne foi croit lui-même — et lui seul le
croit
souvent — aux douleurs qu'il accuse, aux lésions
ne veut pas entendre. — Et il joue ce rôle dans la perfection. II se
croit
tenu de crier, comme un sourd qu'il croit être, p
e dans la perfection. II se croit tenu de crier, comme un sourd qu'il
croit
être, pour se faire comprendre; il crie bien plus
reposer tout ceci! Le Malade imaginaire était un malade, puisqu'il
croyait
très sincèrement être malade ; ce n'en était pas
e d'obsession, la révolte de M. Mullot en présence de quiconque ne le
croit
pas atteint d'une Incapacité de travail permanent
otions. On lui a fait, en province, des pointes de feu, parce qu'on a
cru
à une affection de la moelle ; or, la force muscu
fixer sur la toile les anomalies les plus singulières. Si les uns ont
cru
qu'il serait intéressant pour la postérité de con
esseux. Voyant ses efforts si peu couronnés de succès, le jeune X. se
croit
, se sent inférieur ; il se décourage, se désespèr
e de celui-ci. Il a suffi de dire que telle chose était pour le faire
croire
. o On dit d'une personne qu'elle est persuadée
cteurs de maisons de santé. Loin de moi d'ailleurs la pensée de les
croire
capables de faire un plaidoyer pro domo. Je veux
des mouvements que les malades affectés d'une paralysie hystérique se
croient
incapables d'exécuter. Ce faisant, il a pour ains
doit faire de la suggestion. Celui-là est un thérapeute incomplet qui
croit
sa tâche terminée lorsqu'il a posé un diagnostic
ble. Et je m'étonne réellement que certains esprits forts semblent se
croire
spirituels en tournant en ridicule la médecin
trines auxquelles les travaux du Dr Liébeault ont donné naissance, je
crois
qu'il a exercé sur le développement de la psychol
'occasion de l'Inauguration du buste du Dr Liébeault, et vous prie de
croire
que je suis de cœur avec vous dans l'honneur que
re table rase dans son esprit d'une foule d'idées préconçues que l'on
croit
vraies et que l'on caresse comme siennes; on
ance; Un cri reconnaissant montait de l'avenir. Ses parents avaient
cru
qu'il deviendrait un prêtre ; Mais Liébeault rega
en même temps son attention sur ses propres émotions. En général, je
crois
qu'on trouvera que ces deux talents, celui du mim
traitement de la dipso-manie et des intoxications. « Il ne faut pas
croire
, écrit-il, que par la suggestion on fasse la rééd
t tout ce qu'il a absorbé. Il peut boire du lait et avaler des œufs
crus
dans de l'eau ; c'est ainsi qu'il se nourrit depu
z pourtant que mon malade est complètement rebelle à ses ordres. On
croit
et l'on répète communément que le traitement hypn
ujet de l'examen mental des inculpés : « Certains médecins légistes
croient
avoir rempli suffisamment la mission qui leur a é
a, en outre... (ici le juge d'instruction spécifiera les points qu'il
croira
devoir signaler plus particulièrement d'après les
oir vivre dangereusement ». Autrement dit, « il faut, « quand on s'en
croit
les aptitudes et la force, s'exposer à l'erreur «
n'a pas encore obtenu les faveurs officielles du monde médical ; nous
croyons
avoir contribué pour une assez grande part, à lui
r d'une méthode par le nombre de ceux qui la pratiquent, on aurait pu
croire
que l'acceptation tacite de l'hypnotisme était ch
démence précoce. » On se demande comment il peut venir à l'idée de
croire
ce jeune homme, bien développé sous tous les rapp
sa psychothérapie. Est-ce juste ? Nous en doutons profondément. Nous
croyons
que le médecin ne doit pas plus employer la philo
s contre le déterminisme, MM. Naville et Flournoy, puis les réfute ou
croit
les réfuter. Or, croire qu'on a détruit les objec
e, MM. Naville et Flournoy, puis les réfute ou croit les réfuter. Or,
croire
qu'on a détruit les objections faites au détermin
! il. Dubois a été électrothérapeute émérite qui, comme d'autres, a
cru
aux vertus des courants électriques ; une visite
it la cause lui répondit : « Vous ne réussissez pas parce que vous ne
croyez
pas à ce que vous faites. » (Corresp. Bl.). Jugea
conviction logique qu'avec la suggestion hypnotique c'est parce qu'il
crut
de bonne heure à sa méthode. Il peut affirmer qu'
ses raisonnements. La majorité des médecins est toute préparée à le
croire
et à ?e laisser convaincre par l'exagération de s
é ne peut signifier qu'une chose : ces malades-là sont confiants, ils
croient
d'avance au succès de l'intervention de M. Dubois
ù la théorie du Mak-Toub (l'écrit). . . Bientôt aussi on arrive à
croire
que cet esprit se dévoile, se révèle à quelques é
elui-ci (2). Il a suffi de dire que telle chose était pour le faire
croire
. On dit d'une personne qu'elle est persuadée qu
s à la même chaîne, que leurs effets sont identiques : cependant il a
cru
devoir appeler la foi de l'hypnotisé aveugle, et
s ce n'est jamais réellement le cas. Le malade est toujours obligé de
croire
son médecin, d'accepter son diagnostic et de se l
e possèdent pas les éléments scientifiques de la discussion, mais ils
croient
à ces raisonnements qui leur paraissent raisonnab
oie extra naturelle. AI. Dubois se contente de dire que le public
croira
toujours à une puissance mystérieuse dans l'hypno
e » puis il écrit que l'hypnotisme augmente la suggestibilité. On l'a
cru
mais pour ma part je pense que nous n'augmentons
t diminuer. D lui est facile d'affirmer dans ce domaine tout ce qu'il
croit
mais n'ayant mesuré la suggestibilité de ses mala
at de la santé générale est très bon. Au premier abord, on pourrait
croire
qu'il s'agit d'un délire de persécution, avec hal
ait par des conceptions bizarres, des romans imaginaires dont elle se
croyait
l'héroïne, ce qui lui attirait une foule de traca
t peut cesser de même, comme l'élec-vrisation d'un bâton de verre. Je
crois
que nous pourrons débarrasser cette malade de ses
froy à propos de faits analogues, est la plus rationnelle et nous
croyons
devoir nous y rattacher en ce qui concerne non se
téressants de cette observation. Les hallucinations de la vue sont,
croyons
-nous, assez rares dans les conditions où nous a
lée des hallucinations comme on pourrait parfois être tenté de le
croire
. La lésion donne seulement naissance à des sensat
nombreux que le supposent les autres investigateurs. Ce même savant
croit
que nous pouvons quel- quefois observer des con
MM. André et Raymond, actuellement en cours de publication. Nous
croyons
cependant intéressant de reproduire ici la façon
ofessionnelle à laquelle on lui reproche de s'être soustrait, il ne
croit
pas y être tenu, car c'est comme publiciste et
collatéraux dont les descendants pourraient ne pas être flattés. Il
croit
enfin que M. Zola n'est pas l'homme qu'aurait d
crosse et enfin dans l'épispadias ou l'hypospadias. M. CHRISTIAN
croit
qu'il n'y a anomalie que dans le cas où l'or- g
essayé d'appliquer le système de l'open door dans la Seine. Je ne
crois
pas qu'il soit désirable de voir se généraliser c
vait, à l'aide de lettres. de dépêches, de visites provoquées, fait
croire
qu'il était issu d'une illustre famille, qu'il
AUD demande s'il existe réellement, ainsi qu'on voudrait le laisser
croire
, des asiles sans serrures, ni portes, ni murs.
. Il y a donc quelque intérêt à savoir si réellement, comme je le
crois
, il y a dans beaucoup de cas un rapport entre la
ilitique est la cause unique et directe de tout le tabes ? Je ne le
crois
pas. 1 Al. locom. et lés. caml. Contrib. « l'él
signés dans les lignes qui précèdent aux tissus de sclérose ». Je
crois
qu'il y a de l'exagération dans cette manière de
ue la discorde scienti- fique n'est qu'apparente. J'avoue que je la
croyais
plus profonde, et entre médecins d'autorité cli
ont élevées, au point de vue ana- tomopathologique celles (que nous
croyions
nettement con- tradictoires à certains points d
lgré sa longue durée et le jeune âge du début de la maladie. Nous
croyons
qu'il est plus rationnel d'admettre que l'améli
tiquer l'avorte- ment ; l'avortement tardant à se produire, on fera
croire
à la malade qu'elle est débarrassée de son germ
e en si peu de temps débiliter à ce point un malade. Nous faisons
croire
à Mme X... que le germe suivait la sonde; quelq
t peut prendre 1 litre de bouillon. Elle demandait du porc que nous
croyons
prudent de lui refuser. Tous les jours la situa
e se seraient pas passées d'une façon identique. Tout me porte à le
croire
, car la- maladie des deux femmes revêtait une f
'auteur considère l'inversion comme une anomalie congénitale, il ne
croit
pas qu'il faille aller jusqu'à la faire rentrer d
et répulsion. Mais là se rencontre un échec : il faut se garder de
croire
trop vite à une guérison hâtive, et de donner t
ai dura plusieurs semaines le malade s'en trouvant bien, le médecin
crut
pouvoir remplacer complètement la morphine par
souvent par des illusions ou des hallucinations de la vue qui font
croire
au malade qu'il est possédé par des diables : d
en formation, plus de 5 000 membres composent la ligue qui s'ac-
croit
tous les jours. Le journal mensuel l'Alcool pour
au lit du malade. Avant d'entrer dans le détail des résultats, nous
croyons
utile de dire brièvement, de quelle façon nous
ents dont notre mémoire inaugural a donné l'exposé détaillé. Nous
croyons
qu'il est permis de distinguer dans le cordon p
is pour les parties centrales de certains nerfs volumineux ; nous
croyons
plutôt à un état moléculaire spécial de la myé-
le colorant électif du cylindre-axe restera inconnu, on ne pourra,
croyons
-nous, être renseigné *sur son état dans le tabe
uer ces résultats par l'insuffisance de la technique ? Nous ne le
croyons
pas. Sans doute, une technique très délicate est
ononcée, puisse leur échapper. Toutes ces raisons nous empêchent de
croire
à une lésion importante des cellules du ganglio
om de la Commission de la Chambre, il y a une lacune encore 1 Et,
croyons
-nous, Itenaudin, Auzony, Bartome, Follet, llorel,
tori- taire qui exige l'observation stricte du règlement ; celui-ci
croit
nécessaire telle réforme~ou telle acquisition d
re quelqu'un et d'imprimer à son service médical la direction qu'il
croit
la bonne que d'adopter des dispositions qui, lu
us l'argent employé à secourir cette infortune. Ils demanderont, je
crois
, plus sou- vent la réunion que la disjonction.
oit. Or, ces individus, fiers de leurs protecteurs sur lesquels ils
croient
pouvoir compter, sont presque toujours d'une ar
ans la peau des gens influents à qui ils doivent leur nomination et
croient
qu'étant leur créature ils ont droit aux mêmes
ussi indispensables en chirurgie. L'erreur de mon savant ami est de
croire
que pour les acquérir il faille courir la clien
après-midi encore plus complètement qu'il ne les a vus le matin. Je
crois
à la nécessité non seulement d'une longue visit
ons vivre. » Le mieux connu de ces poisons est l'acide urique. On a
cru
longtemps qu'il résultait du travail muscu- lai
être réservé quand on porte le diagnostic : hystérie, et éviter de
croire
et de laisser croire que l'hystérie est seule e
n porte le diagnostic : hystérie, et éviter de croire et de laisser
croire
que l'hystérie est seule en jeu. Souvent en effet
raison de la rapidité d'apparition de la para- lysie il y a lieu de
croire
qu'il s'agit d'un processus aigu, tel qu'une in
ieuse des racines et fibres d'après le tableau de Féré, M. Schuster
croit
à la destruction des o<= et 6° racines cervi
ettant de l'affirmer. En dehors de ces considérations générales, je
crois
que de l'étude des faits l'on peut déduire quel
nir aujourd'hui de nouvelles preuves à l'appui de cette théorie, je
crois
que la para-' lysie générale est une maladie po
nce. M. DouTREBGNTE (de Blois). - D'après M. Garnier, on pourrait
croire
que la démence est un signe de début de la paraly
, quelquefois même après une ou plusieurs rémissions ayant pu faire
croire
à une guérison complète. M. PETRUCCI (d'Angers)
loir nier la fréquence de l'hystérie chez l'en- fanl ; cependant je
crois
qu'il serait dangereux, actuellement, de vouloi
ystérie, et c'est là le point de pratique sur lequel il convient je
crois
d'appeler l'attention des médecins, parce que l
ine avec celui des hystériques. Aujourd'hui je vais plus loin et je
crois
que l'incontinence d'urine est une manifestation
elle échoue, son action se fait sentir d'une façon indubitable. Je
crois
donc être en droit d'affirmer que l'incontinenc
ues que M. Bézy a rattachés à l'hystérie infanlile, il convient, je
crois
, de grouper certains troubles circulatoires et
morphologie si spéciale de ces accidents survenus spontanément, je
crois
être autorisé à les rattacher à la diathèse hys
points de détails. M. Brunet (d'Evreux), partisan de la réforme,
croit
qu'elle ne devrait pas être appliquée, du moins
de confier la direction des asiles aux méde- cins. Toutefois il ne
croit
pas que la mesure soil réalisable dans les gran
l'a montré tel qu'il devait être au moment du meurtre. M. Vallon
croit
aussi qu'il faut non seulement remonter dans les
on de boissons particulièrement toxiques, nous dit M. Magnan. Je le
crois
aussi ; mais le rapport de M. Guilbert ne nous
. Où le baron Mundy a échoué, M. Marandon réussira-t-il ? Si j'ai
cru
devoir rappeler à notre excellent collègue qu'il
ester ouverte, on admire même qu'il n'y ait pas de portier ! J'ai
cru
jusqu'à ce jour et je crois encore qu'une maison
ême qu'il n'y ait pas de portier ! J'ai cru jusqu'à ce jour et je
crois
encore qu'une maison sans portier est une maiso
e que 250 malades. Pour ce qui est du dédoublement des services, je
crois
que c'est possible, bien qu'il soit préférable
ndre, car nous partons de deux points différents. M. Colin - semble
croire
que tous les aliénés sont curables. Je crois au c
ts. M. Colin - semble croire que tous les aliénés sont curables. Je
crois
au con- traire que la grande majorité est incur
Christian, indique une évolu- tion dans les esprits qui mérite, je
crois
, d'être notée. On n'a pas entendu sans quelque
on enferme parce qu'ils font des fugues, et les persé- cutés qui se
croient
lésés dans leurs droits et qu'on empêchait de s
de lutter. . « Les directeurs, n'ont pas la responsabilité que l'on
croit
généralement; ils ne peuvent être, en effet, re
ds dieux ! si nous perdions cette tutelle, si les familles allaient
croire
que l'idée de malade évoque tout naturelle- men
gnature du médecin. Mais cela, monsieur le directeur, s'appelle, je
crois
, un faux en écriture. ' - Le secret des lettr
convulsions épilepti- formes, etc., et il s'étonne que l'on ait pu
croire
si longtemps que les paralysés généraux succomb
orité par marasme. Je m'étonne à mon tour que M. Arnaud puisse se
croire
fondé à contredire une opinion, qu'il déclare gén
'y avait pas d'hésitation, ce n'était certes pas le croup, comme le
croyait
la mère pas de fièvre, pas d'angine, pas de dys
e n'a pas su me dire s'il aurait pu écrire, cal- culer ; elle ne le
croit
pas, car son intelligence s'étaitsubitement obs-
us dit la mère, quelques sangsues. Pourquoi ? On avait, sans doute,
cru
à une lésion organique,, et c'était de l'hystérie
ière et de sa seconde méningite, » disent-ils. Je déclare que je ne
crois
pas, pour le moment, à de la méningite, que ces
u délire, fièvre dissociée, raie méningitique. Pourquoi n'ai-je pas
cru
, tout d'abord, à la'ivraie méningite ? La soudain
ique : les diplégies cérébrales infantiles, sans que cet auteur ait
cru
devoir tenir compte ni des causes éliologiques
origine cérébrale comme le font Marie et Brissaud, M. Van Gehuchten
croit
devoir leur reconnaître une origine spinale : c
la paralysie générale d'origine nettement syphilitique. M. Régis
croit
qu'il faut toujours attribuer à une cause hérédo
alysie générale juvénile. Les cas sont plus fré- quents qu'on ne le
croit
jusqu'ici ; il en a été observé 22 en France et
t lentement et ne donnant de symptômes qu'à un degré avancé. Ils ne
croient
pas qu'on puisse englober dans une même descrip
ogie est celle de toutes les folies infectieuses, à tel point qu'on
croirait
d'abord qu'il s'agit d'alcoolisme. J'ai observé s
en constata encore une au côté droit du cou. Ces enllures, que l'on
croyait
d'abord n'être que des lipomes, furent bientôt
l'alcool est plus concentré, c'est la suppression des bouilleurs de
cru
, la réglementation des débits de boissons enfin
d Larousse, âgé de cinquante-deux ans, 366 faits DIVERS. · qui se
croyait
être dans sa ville natale, où il a habite véritab
ontinuent toujours à y paraître et y font la même impression. On ne
crut
pas devoir alors traiter fort sérieuse- ment ce
n ancien malade. « Son affection ne s'est pas reproduite, mais je
crois
bien que son urine s'est changée en sueurs, car n
de l'oedème de la jambe avec douleur vive le long du tibia; j'avais
cru
à de l'ostéite lorsque, à mon grand étonnement, o
? Non. Les réserves de la fin l'indiquent. Cependant je n'avais pas
cru
devoir omettre dans la description de la vie pa
EUSE. vaincre, bien qu'il m'en coûte encore; je vais être obligé de
croire
que les phénomènes de vision à distance existen
et un médecin très sceptique sur cette matière, qui ne voudrait pas
croire
ce qu'il ne comprend pas. C'est dire le soin, l
manifesta- tions disparaissant pour toujours, on est porté alors à
croire
que l'hystérie infantile est beaucoup plus aisé
opinion, des faits cliniques, rapportés sans aucune omission; 7° il
croit
avoir montré que les avantages retirés par les
permanent serait un facteur possible des résultais obtenus; 10° il
croit
, après les arguments qu'il a apportés, pouvoir
oche de «cécité mentale » que lui adresse le Dr Peterson; 11° il se
croit
en mesure de prouver par les faits rapportés qu
r ne l'avait annoncé, ou même espéré pour les épileptiques ; 14° il
croit
avoir démontré que la fatigue oculaire peut exi
récipité par la fenêtre; si elle entendait sonner les cloches, elle
croyait
qu'on allait lui annoncer un deuil. Et cependan
- tisée et l'obsession, il n'y a pa, à notre avis, si loin qu'on le
croit
généralement. 11 y asi peu loin qu'en consultan
éscèdent, et s'ils cèdent souvent à leurs impul- sions. 1 Nous ne
croyons
pas; pour notre part, que, d'une façon générale,
es résistances de sa volonté. se laisser finalement entraîner, nous
croyons
que d'habitude il n'en est pas aiusi, et que, s
s l'intensité plutôt que dans la qualité de l'injure produite. Nous
croyons
donc que la séparation des lésions dégénérative
ant était-ce une névrite, une myélite, ou les deux à la fois ? Nous
croyons
, et la marche de la maladie nous y autorise, qu
on directe du coeur qui cause son accélération, et on est conduit à
croire
que c'est le centre des nerfs accélérateurs dan
trograde puisse se propager d'un neurone au neurone suivant. Nous
croyons
cependant que, comme celles que nous avons publ
n n'est jamais sûr de la chose qui est toujours fort ancienne. Je
crois
même qu'on fera bien d'instituer le traitement, t
édicament n'a « jamais donné de résultat marqué » à André, Lépine a
cru
au contraire en « obtenir parfois quelques ré-
tomatologie du tabes une place beaucoup plus importante qu'on ne le
croit
et qu'on ne le dit généralement. .Le premier et
alcalinité du sang et le phéno- mène convulsif. Et nous nous sommes
crus
autorisés à tenter de modifier cet état par une
sensorielles, prend le directeur .pour le médecin de son pays et
croit
reconnaître des personnes de son entourage parmi
cerne les faits qui ont motivé la séquestration d'office; la malade
croit
avoir vécu comme dans un rêve. Rappelons qu'une
femme acromégalique est par elle-même un fait digne d'être noté et,
croyons
-nous, sans précédent. MÉLANCOLIE ET GOITRE EXOP
e physique, soit au point de vue psy- chique. En somme, nous nous
croyons
en droit de dire : 3° Le syndrome maladie de Ba
vec une femme ; celle-ci lui apparait nue, inconvenante, et elle se
croit
au même moment vue dans le même état par sa vis
oignent de l'action exercée par la névrose sur le psûchê. Oppenheim
croit
, dans l'espèce, à l'intensité intellectuelle, m
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 507 l'oreille. Il faut, conséquemment,
croire
à une lésion du labyrinthe ou de la base du crâ
moment la Grande-Bretagne seule fait peut- être exception, mais on
croit
que son isolement du concert euro- péen des nat
pas de celle universellement acceptée de tous les praticiens, nous
croyons
utile d'entrer plus loin dans ce détail. Chacun
ra être vaincu par la réalisation de l'idée que nous poursuivons.
Croire
que les centres ou territoires de l'écorce cérébr
. le D1' GALE (G.) (de Binasio). - Une malade atteinte d'hys- térie
croyait
que sa mutité intermittente était le résultat de
ainsi guéri d'un tel mal comme celui-là... » 542 ' varia. - Nous
croyons
pouvoir rapprocher de ce cas, celui d'un de nos
sibilité et spécialement du sens musculaire chez les ataxiques ? Je
crois
que le malade de la salle Fouquet va nous perme
par tous les temps et tous les jours depuis cinq ans. Et bien, je
crois
qu'il y a là une cause dont il faut tenir eompt
aits, la nature se plaît à se contredire, et les symptômes que l'on
croyait
les mieux propres à différencier telle affectio
gie ou le diagnostic de l'affection. Groupés ensemble, ils donnent,
croyons
-nous, une idée générale, suffisamment com- plèt
ée, par exemple, si ses patrons lui font une observation qu'elle ne
croit
pas mériter. Dans ces cir- constances le tic s'
pinions de concevoir la qualité du mouvement chez les tiqueux, nous
croyons
la première plus conforme à la 3rénérallté des fa
de la pensée qui sont si peu accusés chez la malade, que nous avons
cru
devoir les passer sous silence. Il lui arrive b
stérie; de toutes les 'particularités qui le démontrent et que nous
croyons
inutile de rappeler ici, la suivante nous parai
1892. 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. la crise ? L'on serait tenté de le
croire
, si l'on réfléchit que plu- sieurs de ces troub
ces qui démontrent dans nos malades l'existence d'un état mental,
croyons
-nous, très caractéristique et qui confirme de tou
on et sur son diagnostic. Pour ce qui est de l'interprétation, nous
croyons
que celle qui a été donnée par M. Charcot est t
maladie a démontré com- bien notre conviction était légitime ; nous
croyons
pourtant très utile de discuter sur quels signe
ant à connaître pour nous expliquer l'étiologie de la maladie, nous
croyons
devoir insister sur ce point. Le 9 août, B...
lieu pour le moment à aucun phénomène douloureux. Mais B..., qui se
croit
faible et malade à l'épine dorsale, y réfléchit
l se lève en bonne santé, toujours préoccupé par l'imprudence qu'il
croyait
avoir com- mise le jour avant; finalement, l'id
miner complètement l'état mental de B... Quoi qu'il en soit, nous
croyons
avoir bien démontré qu'il s'agit ici d'une para
sque, par l'apparence et par l'attitude du malade, l'on pourrait se
croire
autorisé à l'établir au premier coup d'oeil.
ire en dehors des paroxysmes est-elle normale ? Nous inclinons à le
croire
avec MM. Deny et Choupe (cas de Vilm...), au mo
t par centaines qu'on y trouve les guérisons de paralysies, mais je
crois
que celles-ci ont toujours été de la nature de
disparaître dans cer- tains cas des ulcères et des tumeurs, mais je
crois
aussi que 1 Illustrations of the influence of t
endemains font évanouir à la lumière de ses nouvelles conquêtes. Je
crois
que son évo- lution n'est pas restée en arrière
-healing, qui prend sa source dans les eaux de la piscine sacrée.
Croit
-on que ce soient là des faits nouveaux ? De tout
a guérison de l'élément paralysie ou contracture 1. En résumé, je
crois
que, pour qu'elle trouve à s'exercer, il faut à
re que les troubles psychiques s'étaient accentués. Ils inclinent à
croire
que dans ce cas les modifications de la toxicit
générescence de la bandelette optique et du nerf optique. M.Kreuser
croit
que les trousseaux atrophiés de la couronne rayon
- tions, a engendré plusieurs travaux sur le délire chronique. Je
crois
assez volontiers que les persécutés, ainsi que ce
chronique. D'autres aperçus n'ont pas été suffisamment étudiés. Je
crois
, pour ma part, que la maladie remonte beaucoup pl
pour ma part, que la maladie remonte beaucoup plus loin qu'on ne le
croit
. Souvent elle débute dans l'enfance. Dès l'école
ns le délire chronique. On pense gé- néralement que les auteurs qui
croient
l'avoir observée ont pris des illusions de la v
générés, celui des alcooliques et enfin celui des mélancoliques. Je
crois
qu'une seconde discussion serait aussi fertile
d'une façon spéciale. 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. Au premier abord, on
croit
avoir affaire à des idées de persécution, assez
superficiel) du lobe occipital empiétant sur le lobe temporal; il y
croirait
plutôt qu'à un foyer du centre ovale partant du
qu'il faut demander si réelle- ment la dure-mère joue, comme je le
crois
moi-même, un rôle dans les symptômes cliniques
avec l'analgésie à la piqûre. Discussion : Le professeur Korsakow
croit
que l'auteur en em- ployant le mot 4 psychoneur
n dernière; quand même il s'agirait ici d'une maladie de Pott il ne
croit
pas que cela constituerait une contre-indicatio
paralysie de Landry comme une forme de la rage paralytique qu'on ne
croyait
propre qu'aux animaux, chez l'homme. SOCIÉTÉS
ant' en vue l'autopsie de Schulze et M. le pro- fesseur KOJEVNIKOFF
croient
plutôt à une lésion du noyau de l'hy- poglosse.
deve- naient perverses après les injections de l'atropine. L'auteur
croit
que ce mode combiné aidera à éclairer les reche
épileptiques ne sont pas rares chez les car- diaques. M. W. BUTZKE
croit
plutôt qu'il s'agissait ici de simples accident
ée de 'l'excitabilité électrique des nerfs et des muscles. L'auteur
croit
expliquer ces troubles nerveux par l'excitation
de 5 centi- mètres au mollet) ( ? 15 et 1G). Il est impossible de
croire
que ce soit là une mal- formation originelle. L
sont loin d'être rares. En est-il ainsi chez notre malade. Je ne le
crois
pas. Quoi qu'il en soit une autre question se p
t de traits qui, au premier abord, pour- raient en imposer et faire
croire
à une amyotrophie d'origine spinale. Ce sont là
oit peu, il tient des propos extravagants- : propos de grandeur, se
croit
très intelligent, grand lettré. Une tante a des
musculaire ne peut plus bouger quand elle a les yeux fermés; elle
croit
exécuter les mouvements commandés, et cependant
e mouvement s'arrête, le membre reste où il est, bien que la malade
croie
continuer à le mouvoir; elle est en- suite éton
des vaisseaux oblitérés, opinion que lui-même ne partage pas. Il
croit
qu'il s'agit de corpuscules à structure alvéolair
nte : L'étude histologique que nous avons poursuivie nous porte à
croire
que ces formations représentent des tubes nerveux
mées d'instruments SERVICE OTOLOGIQUE 9-il spéciaux. Pour moi, je
crois
devoir à l'emploi de ces soins et de ces moyens
donne- ments redoubler. Phénomène remarquable, leur surdité s'ac-
croit
en même temps ; et la courbe de l'acuité auditive
e extérieur est beau- coup plus favorable pour nous que ce que nous
croyons
qu'il est, que nos haines et nos frayeurs sont
. Cette hypothèse a été combattue par M. Ladame qui tend plutôt à
croire
qu'il s'agit là d'une psycho-névrose développée s
890.) De l'ensemble des faits consignés dans ce travail, l'auteur a
cru
pouvoir dégager les conclusions suivantes : 1°
MIQUES; par H. SÉN : 1TOR. (Neurolog. Centralbl., 1892.) L'auteur
croit
qu'il faut rattacher ces accidents à une affectio
, l'arrêt de développement du cerveau. M. le D'' Broome dit qu'il
croyait
que l'opération n'aurait jamais de succès tant
: c Actuellement il n'y avait rien à faire dans ces cas, mais qu'il
croyait
que l'époque n'était pas bien éloignée où l'on
grand morceau d'os; mais l'enfant mourut de pyrexie, que M. Horsley
croit
être due à la trop grande extension de l'opérat
erbales en clinique mentale. Il montre que contrairement à ce qu'on
croyait
jusqu'ici, il fallait admettre des obsessions h
insiste sur la différence symptomatique, plus apparente que réelle,
croyons
-nous, de ces deux formes. La contracture vul- g
fait qu'après l'accouchement; mais, en l'état actuel des choses, il
croit
qu'il n'y a qu'à laisser l'enquête poursuivre son
it odieux encore, s'est passé à Genneviliers. Un jeune homme, qu'on
croit
être le neveu d'une blanchisseuse de la localit
s, les unes par suite d'affaires d'amour, les autres, à ce que l'on
croit
, dans un état de démence momentanée causée par
rras. C'est pour cela et pour bien d'autres méfaits que la police a
cru
utile de lui demander quelques renseignements sur
us- qu'à un certain point chez ce jeune garçon, et il y a lieu de
croire
qu'elles ont eu un rôle. C'est même à elles, pres
mi- nution considérable, nous ont donné des détails permettant de
croire
à une réelle altération osseuse de cette portion
e à tous les cas, et, d'autre part, le mot toucher pourrait laisser
croire
à tort qu'il s'agit d'un trouble du sens du tou
ent Nash. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) L'auteur a
cru
devoir publier cette observation moins à cause de
une femme dont le délire s'est systématisé très rapidement. Elle se
croit
possédée du démon, ce qui constitue une forme r
n'est pas le nombre d'ob- servations qui importe, mais surtout, je
crois
, la qualité, la richesse en détails importants
Ces vérités, nous les avons dites du vivant de M. Bail ; nous avons
cru
utile de les rappeler. Puissent-elles servir d'
pêche en aucune façon la maladie d'évoluer. Et si, comme nous le
croyons
, la suggestion, dirigée un peu à la légère, comme
convénients que d'avantages et qu'il peut être dangereux de laisser
croire
, même aux médecins, que sa pratique peut être c
directeur de la retraite. C'est à cette occasion que M. Hack Tuke a
cru
devoir retracer l'histoire de cet asile, en insis
ies en argent. / M. Mercier ajoute d'ailleurs que cette idée, qu'il
croyait
neuve, lorsqu'il a annoncé son intention de la
il n'y a plus beaucoup d'accord entre les différents auteurs qui
croient
cependant parler de la même question. Sans doute,
e. C'est ce qu'ont pensé quelques auteurs contemporains ; ils ont
cru
que le moment était venu de s'arrêter un peu dans
Ces tentatives ne nous sem- blent pas entièrement blâmables et nous
croyons
être utile en résument les travaux qui ont été
ette conception et à l'appliquer à l'hystérie tout entière, ce fut,
croyons
-nous, le rôle de M. Moe- bius. Cet auteur rend
de la façon la plus courtoise aux travaux de M. Charcot; il les a,
croyons
-nous, complétés d'une façon intéressante. « Une
ent plus fréquentes et plus importantes dans l'hystérie qu'on ne le
croit
généralement, elles forment des attaques spécia
réussissaient également à ter- miner ou à modifier l'autre 1. Nous
croyons
avoir ajouté quelques notions à cette étude fai
ges, des lettres correspondantes à des idées, à des souvenirs qu'il
croyait
sincèrement ne pas posséder et qui lui apparaît
ystérie ne joue pas un rôle beaucoup plus considérable qu'on ne l'a
cru
jusqu'à ce jour dans la pathogénie des tremblemen
les lèvres pincées, les sillons naso-géniens en partie effacés, on
croirait
voir un masque où serait peint l'étonne- ment (
rticulièrement au niveau des pau- pières et de l'orifice buccal. On
croirait
, dit-il que quelqu'un me tire les paupières par
ploi des moyens de coercition, et d'autre part quelques aliénistes
croient
ces moyens non seulement recommandables, mais néc
er dans l'esprit public la valeur de l'influence morale, en faisant
croire
que l'ivrognerie peut céder à la thérapeutique.
ait aucun signe de dégénérescence, aucun antécédent héréditaire. Il
croit
pouvoir rattacher son état pathologique à un af
s scientifiques du Mental Science, MM. Hack Tuke et Geo. Savage ont
cru
devoir dégager, dans une note, leur responsabil
ce moyen reste entre les mains de l'homme de l'art. M. Robertson ne
croit
pas qu'on ait relaté un seul cas où l'hypnotisa
s auteurs dans les premiers stades des névrites. Les rapporteurs se
croient
en droit de réunir tous ces complexes de symptô
moelle épinière consécutives aux affections périphériqueslesauteurs
croient
que, dans les arthrites, les phlegmons et les sta
iennent des- tructives. Discussion. M. le professeur Iioaevrrmor.
croit
que beaucoup de symptômes qu'on pourrait consid
rique qui ne sont pas de nature spinale, comme on serait porté à le
croire
d'après la théorie des rapporteurs, mais qui se
er. Cetle pensée est l'amour qu'il éprouve pour une jeune fille; il
croit
qu'il a sur elle un droit légi- time et légal,
nt sociétés savantes. 477 sous le nom adopté par SANDER et qu'ils
croient
correspondre à cette appellation, ne puissent p
te spéciale. Et c'est justement parce qu'il s'observe que le malade
croit
souvent que ses pensées sont connues des person
forme pas un fais- ceau compact sur tout leur parcours, comme on le
croyait
géné- ralement jusqu'ici, mais qu'elle se parta
te antérieure du coin. En se fondant sur ses observatious, l'auteur
croit
pouvoir avec quelque probabilité déterminer plu
re attention et ne les présentent plus quand ils sont distraits. On
croit
les prendre en dé- faut, quand ils ne pensent p
s du mouvement pourront être déterminés par sug- gestion. Mais nous
croyons
que ce n'est pas la formation naturelle de ces
es contractures ne font pas des mouvements aussi puissants qu'on le
croit
. D'ailleurs ces phénomènes sont presque toujour
èce de perception. » Et plus loin : « J'ai beaucoup de raisons pour
croire
que cette surdité ne doit pas être réelle... il
ition rapide et cette conservation des phénomènes nous empêchent de
croire
à un épuisement localisé. L'épuisement généra
volontaire. L'abou- lie, l'aprosexie, l'hésitation, le doute, nous
croyons
devoir y in- sister, sont les caractères psycho
vait d'une manière vague sous le nom de faiblesse irritable. Nous
croyons
que l'on peut aller plus loin et que les stig-
eaucoup moins avancée et même beaucoup moins vraisem- blable : nous
croyons
pouvoir les ranger dans trois catégories princi
expliquer le détail des faits, mais nous en soupçonnons assez pour
croire
que cette étude expliquera plus tard bien des m
nérale de l'hystérie. S'il reste des phénomènes inexpliqués et nous
croyons
qu'il en reste, il faut, pour les comprendre, s
re de personnes. Nous constatons ce mouvement d'exten- sion et nous
croyons
qu'il continuera encore et que nombre ' : \roei
insiste à plusieurs reprises', il ajoute même une remarque que nous
croyons
importante, c'est que, même chez les hystérique
n phéno- mène qui se. développe chez les hystériques. , Mais nous
croyons
que, l'on, peut, aujourd'hui aller un peu plus
beaucoup de maladies mentales' ? Mais, quoi qu'il en soit, nous ne
croyons
pas que l'on puisse retirer ce caractère de la
ler les maladies de désagrégation mentale. « Nous sommes disposés à
croire
, disions-nous autrefois, que les phénomènes d'a
ments malgré elle sans aucune intention, ni pensée de sa part; on
croit
en la voyant et elle croit elle-même- qu'il s'agi
cune intention, ni pensée de sa part; on croit en la voyant et elle
croit
elle-même- qu'il s'agit d'un trouble de la dégl
le hystérique est fortement contestée par M. Charcot et même, si on
croit
ceux qui en sont partisans, c'est un phénomène
nstruction du cerveau des caractères cliniques des paralysies. Nous
croyons
à un parallélisme parfait entre ces deux séries
ysies corticales celle de la main est la plus complète, cela vient,
croyons
-nous, du fait, que la relation croisée entre l'
ien sûr que beaucoup de ceux qui lisent les oeuvres de M. CrrARCOT,
croient
que la lésion dynamique est bien une lésion, ma
e fugace que dans le cas d'anémie permanente et définitive. Je ne
crois
pas que ces remarques soient tout à fait gra- t
na- mique de même manière que la lésion organique, on est porté à
croire
que sous l'expression « lésion dynamique » se cac
itaine de vaisseau, escomptent la conduite de leurs sem- blables et
croient
la prévoir. Quelles sont donc les lois des acti
ns y être sollicité, il donna sa démission. « C'est une illusion de
croire
, nous écrivait-il alors, que je puisse m'éterni
r au moins doublé. Des 41.000 imbéciles ainsi reconnus, 18,456 ont,
croyons
-nous, au-dessous de vingt ans; en d'autres term
e toucher presque. En un mot, il existe des endroits nombreux où on
croirait
avoir affaire à un gliome vrai, tel qu'on en re
e petites papilles en forme de massue. A un faible grossissement on
croirait
voir une cavité étoilée tapissée d'un épithéliu
l me reste maintenant à décrire une formation très curieuse qui, je
crois
, n'a pas été encore observée dans la moelle; je
racines pos- térieures de la moelle (fig. 11), et j'ai tout lieu de
croire
qu'ils sont tous formés par la prolifération de
La valeur de ce symptôme n'est donc pas aussi grande qu'on l'avait
cru
tout d'abord. Au point de vue physiologique, il
hiefferdecker met en doute l'exactitude des expériences de ceux qui
croient
à la possibilité de la restauration de la moell
st cette con- tracture qui fait errer le diagnostic, parce que j'ai
cru
devoir faire intervenir ? pour' l'expliquer, un
dans le cas actuel cadre très bien avec cette particularité. Je ne
crois
pas,,pour ma part, que la, syringomyélie soit d
un certain nombre de syringomyélies, montrent très -'clairement, je
crois
, l'origine conjonctive de ces cavités et les ra
. tiers, ppstérieurde la circonvolution, du corps calleux. L auteur
croit
probable que la partie postérieure, de la circo
tisme déformant' est l'affection à laquelle on doit le plus souvent
croire
.. Dans da 'description des affections syphiliti
dans ce^crâne'et'd'en enlever une portion petite, de sorte que 'je
crois
que le terme craniotomie linéaireiest de beaucoup
a mortalité qui a3suivi l'opéra- tion ainsi- poussée loin,' je' ne'
crois
pas qu'il'y,f ait justification à faire une opé
ne opération aussi étendue. ? i f, j'/ 1 n, , 1.' . 1 j ',1 Hors]ey
croit
que,' 1 à" cause, du 'développement imparfait du
, vous dites, 5 sont'morts : » Avec les' méthodes .d'éducation, je'
crois
*'que';vous en trouverez'un'plus grand nombre qu
' ¡(1111 Il lep f, '.vtr.y Observation I. Délire fixe, le malade se
croit
Dieu; idées délirantes subordonnées variant à l
changerrié : Ilt complet' des allégations' qui varient.' Le' délire
croit
au maximum" et1 les' idées déli- rantes, surtou
s'accroît, quand '}..ne ! change-pas de.sujet ! : tel individu qui se
croyait
comte devient em- perèur ? et,aloi's,·71e§ déta
inée subsistant, les détails changent : tel individu ne cesse de.se
croire
^empoisonné mais il accuse tantôt telle,personn
ient(aussi, ceux des petitsteufauts. Quelques-uns de ces malades se
croyaient
, aussi redevenus de, petits enfants ; les hypoc
wôrth, après avoir rapporté un cas similaire, dit : « J'in- cline à
croire
que la synostose prématurée est, en général, la c
l'administration de l'asile; - Visite des Sables-d'O- lonne. Nous
croyons
devoir rappeler à nos confrères des asiles que la
doive être accepté que sous une certaine réserve, il est permis de
croire
que des malades dans cette condition peu- vent
ager les formes frustes, rudimentaires, mal dessinées. Nous avons
cru
utile de rappeler la méthode pru- dente, tout à
xpression assez forte pour recom- mander ce remède, et cependant je
crois
devoir faire les plus grandes réserves sur son
, mais même pour beaucoup, durant deux, trois et quatre mois. Je ne
crois
pas que jusqu'ici la duboisine ait été l'objet
s étaient ou venaient d'être médicamentés par la duboisine. Je ne
crois
pas qu'elle y ait été pour quelque chose, car, da
a l'utilité de conférences populaires sur de tels sujets ? Nous les
croyons
utiles, pratiques et il est facile aux mem- bre
ment le patronage à l'organisation de la protection de l'enfance,
croit
que celle-ci végète et aurait même échoué en plus
sse ; il poursuit maintenant le notaire à la mort duquel il ne peut
croire
et vagabonde ainsi de longues années à travers la
ées très justement gliomes new'o- (ol'mati(s ou neurogliomes, et je
crois
devoir en rapporter l'histoire en détail, à cause
édicale des hôpitaux, j'ai montré l'existence de cette lésion, j'ai
cru
devoir la rattacher à la compression et j'ai in
NEURO-FORMATIF. 295 · 'Il/ -, 1. mité de cette interprétation. Je
crois
donc pouvoir admettre que la compression agit e
en exhalaient infectaient les salles de réunion et les dortoirs. On
crut
même s'apercevoir que les infiltrations mena- ç
de bon Dieu ! » Et le dialogue entre la malade et le diable qu'elle
croyait
en elle continuait ainsi des heures entières, ave
e l'excitation ou la dé- pression mentale; 6° il y a des raisons de
croire
que certaines pto- maïues, nées dans l'organism
sa vie, écrit Matthieu Paris en 1571,.il il fait une maladie qu'on
croirait
incurable : il est comme ravi, en extase; mais,
e que les plus anciens sont aussi les plus frappants, aussi peut-on
croire
à bon droit que ce sont là, non des composition
n examen microscopique de la protubérance et du bulbe, nous avons
cru
devoir rapporter le nôtre en détail. Il offre les
reurs de diagnostic auxquelles ils peuvent donner lieu, légitiment,
croyons
-nous, la place que nous leur donnons dans cette
cette sorte de sclérose en plaques d'ori- gine cérébelleuse. Nous
croyons
inutile de résumer sous forme de conclusions le
ncore furent abandonnés par lui à la sévérité des magistrats. Il ne
croyait
pas à l'annulation com- plète de la volonté en
dans les réunions publiques la poursuite des revendi- cations qu'il
croit
justes. Les images optiques et la mémoire visuell
é de la vie et a fait une toute récente tentative de suicide. Il se
croit
coupable de méfaits importants, mais dont il ne
le hasard d'un geste sans but ou pour montrer des « organes qu'ils
croient
en ors ». N'y a-t-il pas pas plus d'intérêt aussi
nisme de l'euphorie (le malade se S90 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
croit
bien portant parce qu'il est en démence), du méca
pyramidal. Après une étude critique approfondie, l'auteur tend à
croire
à l'existence d'une myélo-méningite diffuse primi
à l'existence d'une myélo-méningite diffuse primitive, ou plutôt il
croit
que l'ensemble symptomatique a été l'effet simul-
même en lui donnant raison, et en supposant le chiffre exagéré, il
croit
qu'il faut néanmoins admettre une augmentation
si, en particulier, la suggestion peut agir sur la maladie donnée,-
croit
que l'emploi de violence, comme méthode à suivr
uits. Elle nie sa propre existence et celle de ses parents, elle se
croit
immortelle; finale- ment elle s'imagine être un
orée peut être combinée avec de la paralysie hystérique. M. Minor
croit
avec Gowers qu'il est plus pratique, de considére
ière leçon de physiologie ( ? ). -Grâce à cette école, tout porte à
croire
que les médecins neurologiques verront d'ici pe
ses idées de persécu- tion, et pour lui, les poursuites dont il se
croit
l'objet trouvent leur raison d'être dans son in
persécutions que lui infligent les habitants de son quartier qui la
croient
de la police. Interrogée sur l'origine de ces p
es de pénitence ; c'est une torture, dit-elle. » D'ailleurs, elle
croit
ne pas être la seule à souffrir.- Celles qui ont
s'y laissent prendre, » et elle ajoute : c Je les plains. » Elle ne
croit
pas que ses souffrances soient une punition pour
s d'avoir une teinte assez spéciale. ' r Au premier abord 2 on peut
croire
que l'on a affaire à de simples idées de perséc
, d'observation fréquente autrefois. » Cette remarque peut trouver,
croyons
-nous, un appui dans le fait que nous venons de
ent de ces troubles hystériques qui, en améliorant le sujet, a fait
croire
à l'action bienfaisante de l'hypnotisme sur diver
ion. La surprise fut grande; dirai-je qu'on me remer- cia ? Non. On
crut
à une intervention diabolique, sans doute, car on
ue et la région dorsale, avec anorexie, vomissements. Son médecin
crut
probablement à une affection organique grave de
mère n'a pas su me dire s'il aurait pu écrire, calculer; elle ne le
croit
pas, car son intelli- gence s'était subitement
us dit la mère, quel- ques sangsues. Pourquoi ? On avait sans doute
cru
à une lésion organique. Et pourtant c'était bie
. Je pourrais citer bien d'autres exemples. Ceux-ci suffiront, je
crois
, pour montrer l'action puissante de la suggestion
omie triste, indiquant la souf- france, dépression mélancolique. Je
crus
d'abord à la neurasthénie, en raison de cet ama
était de l'anorexie hystérique, des vomissements hystériques. Je ne
crus
pas devoir demander à la malade la permission d
très grave, puisque, malgré l'absence de signes stéthoscopiques, je
crois
à la phtisie, le diagnostic ne semblait-il pas, d
les qui lui paient son voyage. Elle part. A plusieurs re- prises on
croit
qu'elle va s'éteindre avant d'être arrivée. On la
it un courant électrique et que je pouvais par conséquent lui faire
croire
que tout allait bien; j'appliquai quand même le
é et que c'est l'effacement de ces troubles hystériques qui faisait
croire
à l'action bienfaisante de l'hypnotisme. - L'
de la suggestion le résultat obtenu. Evidemment, non. Et c'est, je
crois
, ce qu'on se presse trop de faire dans des cir-
t subitement et disparaissant par la sug- gestion, on sera tenté de
croire
à l'efficacité de l'hypnotisme dans une maladie
baire rendant la marche très difficile, douleurs qui m'avaient fait
croire
longtemps à une altération de la moelle par la
but d'obtenir une guérison. Ayant tout tenté sans succès, elle n'y
croyait
plus. Mais elle crai- gnait que le mal n'augmen
Après examen de ma malade, la consta- tation de son mal de Pott, je
crus
comme mes confrères que les douleurs, qu'elle i
es que je rencontre depuis un mois; à la première je fis erreur. Je
crus
, malgré l'apparence d'une santé robuste et malgré
a hanche, le pli fessier du côté malade était abaissé. Là encore je
crus
à une arthrite tuberculeuse. Trois jours après
l'appareil : et bien j'avais quatre hystériques. Et je m'incline à
croire
que la tuberculose n'est pour rien dans ces man
dit ce que je pensais de la chorée guérie par la suggestion Je n'y
crois
pas. Quant aux affections organiques, je m'éton
onne même que cer- tains esprits, pourtant fort appréciés, aient pu
croire
un instant à la possibilité de l'amélioration m
74' CLINIQUE MENTALE. un remède aux souffrances qu'ils endurent. Je
crois
pouvoir assurer que sur cent habitants pris au
abri des mauvaises fréquentations, devient tout à coup folle ' Nous
croyons
devoir faire des réserves au sujet du rôle de la
us dans la folie furieuse, mais dans la mélancolie. Les fous qui se
croient
des cri- ' minels, qui sont assaillis de remord
es de la moelle atteignent également les régions mo- trices, car je
crois
avoir montré que les cellules du groupe postéro-
1olicracture des ,mùgeles'de, la ceintureodoll·épaule' l. 4 , ITZIG
croit
quctdansilejcasjde l.,BIIUNS lot malade pouvait
alors que certains symptômes, non sans importance, permettaient de
croire
à une méningite tuberculeuse. Or, l'herpès labial
rtante de travail efficace dès les premiers efforts, il y a lieu de
croire
que la fatigue viendra vite, tandis que si, dès
fibre nerveuse est un filament de sarcode primordial (1). (1) On a
cru
voir souvent dans ces tubes nerveux une organisat
temps, M; Stilling, l'un des plus habiles micrographes de l'Europe, a
cru
voir beaucoup plus loin. (1 ) Voyez à cet égard
asse certainement dans la moelle quelque chose d'analogue. Ainsi nous
croyons
, avec Gall, qu'en regard de chaque vertèbre est u
rveau se trouve au côté dorsal du corps. Dugès qui a le premier, je
crois
, proposé cette modification à la formule de M. Ge
ir encore aujourd'hui toute sa force. En vain Dugès et Muller ont-ils
cru
voir le nerf sympathique des articulés dans le ne
une vertèbre caudale déjeune Plie qui lui sert de point de départ. Je
crois
que cette région n'est pas moins intéressante, qu
ls elles sont attachées ; aussi, jusqu'à ces derniers temps, avait-on
cru
à une assimilation parfaite des racines et des co
x faits anciens, mais ne leur sont point contraires, comme l'ont fait
croire
un instant au public les appréciations d'un spiri
tres canaux, où des vaisseaux longitudinaux sont logés, ce qui a fait
croire
à M. Foville (2) que ce ventricule est triple que
les, a été depuis longtemps soupçonnée. Todd et Bowman, entre autres,
croient
ces connexions probables, mais ils ne sont point
conduits au même résultat. M. Koiliker, qui cite ces anatomistes, ne
croit
pas à la solidité de leurs observations. Mais je
pareils du cerveau, ont fait faire un nouveau pas sur ce point, et je
crois
avoir été assez heureux pour avoir fait éclore ce
épond à cette époque de la vie où l'activité génitale domine, on a pu
croire
, avec quelque raison, qu'il était le moteur centr
ient pas uniquement à la réduction de la taille, comme on pourrait le
croire
au premier abord, puisqu'il il y a plus de feuill
s le volume de l'encé phale. On a été si loin, à cet égard, qu'on a
cru
pouvoir négliger l'encéphale, en se bornant à mes
le développement de l'encéphale, mesurent l'anglefacial (1). D'autres
croient
tout faire en le pesant en bloc. D'autres enfin e
uence que les idées de M. de Blainville ont eue sur mon esprit. Je ne
crois
pas que M. de Blainville ait besoin d'être défend
itique de M. Dareste, ni pour M. de Blainville, ni pour moi ; mais je
crois
en avoir assez dit. Cf. Dareste. Troisième mémoir
stion m'a longtemps préoccupé. Après y avoir longtemps réfléchi, j'ai
cru
pouvoir la résoudre ainsi. La commissure blanch
ution n'est que l'énoncé d'une question nouvelle; je l'avoue, mais je
crois
qu'une hypothèse est quelque chose au-dessous de
ns. La bourse des olives est beaucoup moins simple que ne l'avaient
cru
les anciens anatomistes. Son côté externe est moi
minent au-dessous du quatrième ventricule, et que Stilling et Wallach
croient
en rapport avec les origines du nerf vague. 2°
parties intrinsèques nous distinguerons: l°un faisceau découvert, je
crois
, par Vicq-d'Azyr, qui, du centre de l'éminence ma
. Cet espace est ce qu'on a appelé le centre ovale de Vieussens. Nous
croyons
que ce nom de centre ovale conviendrait mieux à l
e en général d'après le cerveau du Papion (Cynocéphalus sphynx). J'ai
cru
utile d'ajouter l'étude de ce type à celle que Re
is ce grand homme, des théories beaucoup moins raisonnables, et je ne
crois
pas que depuis Malpighi jusqu'aux travaux de MM.
n directe du développement de la taille, ainsi qu'un auteur moderne a
cru
pouvoir l'affirmer, il demeurerait certain que le
Jacobson (1), je me suis trompé sur la nature de ces faisceaux que je
croyais
en connexion avec les prolongements des cordons p
s l'homme et dans les singes, et en effet, sur la foi des auteurs, je
croyais
à son existence. J'ai dû y renoncer, non sans dou
l'avoir jamais vue ch"Z l'homme d'une manière satisfaisante Je ne me
crois
donc pas fondé à dire, avec quelques anato-mistes
ient-ils pas commis ici une faute analogue à celle de M. Foville, qui
croit
ces mêmes fibres en relation avec les fibres arci
profonde et douloureuse. J'ai bâti, moi aussi, ma tour de Babel. J'ai
cru
m'élever vers le ciel, dont un infini me sépare,
, dans un livre très-renommé sur les développements de l'encéphale, a
cru
pouvoir déduire de ses observations que la série
rès avoir expliqué sa structure et ses dispositions intérieures, nous
croyons
devoir terminer cet exposé par quelques considéra
nsi la paroi interne des ventricules n'est point, ainsi que l'avaient
cru
quelques anatomistes, tapissée par un prolongemen
, pût être assimilé au cerveau d'un blanc? Quant à moi, je ne puis le
croire
. Les blancs à petite tête ont les instincts des b
tre elles! Est-ce là une méthode, est-ce là de la science (1)? Nous
croyons
, pour notre compte, que ces questions de capacité
étique, mais la première opinion c'est l'admiration de soi-même. Nous
croyons
en conséquence que la plupart des déformations ar
faits qu'il admet, les conséquences que Gall en a déduites. Or, je ne
crois
pas que les travaux de Spurzheim et de ceux qui l
ex-« périences sur la transmission des impressions sensitives, « nous
croyons
nécessaire de dire quelle est l'espèce d'im-« pre
erait en morceaux, n'en saurait pas beaucoup plus. Je persiste donc à
croire
que le dernier mot n'est pas dit sur ces question
us marquée dans le second cas que dans le premier. Je persiste donc à
croire
, tout en acceptant le résultat de cette expérienc
isphère gauche du cervelet et de la partie gauche de la moelle. Il se
croit
donc fondé à repousser cette proposition de M. An
antérieurs du cerveau anéantisse la faculté du langage comme l'avait
cru
M. Bouil-laud; aucune des localisations de Gall n
erres, donnent un grand appui à cette manière de voir. « On aurait dû
croire
, dit-il, que la vision serait détruite par les al
e son être, ne fût pas l'être par excellence. Ce n'est pas tout, on a
cru
nécessaire de distinguer absolument cet être de c
chap, vi.) (2) Buffon a très-bien dit dans ce sens : « Nous pouvons
croire
qu'il y a quelque chose hors de nous, mais nous n
ion très-plaisante et très-fine : « Il est impossible, » dit-il, « de
croire
que le même homme se balte avec lui-même, quand d
t honesla sinamus. (Ovid. Met.) D'ailleurs, les uns et les autres
croient
les âmes immor telles. Evidemment si l'âme exis
ne s'ensuit pas que la sensibilité soit obtuse en ce lieu, comme l'a
cru
, mais à tort, M. le professeur Gerdy. La sensat
il décidera que cette table est circulaire. Ce serait une erreur de
croire
que par des impressions simultanées de tous les p
, on se ferait de la figure des corps une idée plus nette. Buffon l'a
cru
, il est vrai, mais l'expérience le dément. Quand
ines merveilles de la divination des aveugles, qu'on a pu quelquefois
croire
capables de distinguer les cou leurs par le tou
nt ou qu'ils s'éloignent « de ses yeux (1). L'aveugle-né de Cheselden
croyait
que tous « les objets indifféremment lui touchaie
e dans le cas de la vision avec un seul œil. A priori l'on pourrait
croire
que lorsque les yeux ont une égale énergie, l'imp
n'a point été définie, on s'étonne d'avoir ces idées, ou même on les
croit
nouvelles. C'est là, à proprement parler, ce qui
mbule; et, chose remarquable, l'esprit qui anime cette machine pourra
croire
n'obéir qu'à son propre mouvement, puisque, ainsi
en l'enchaînant à des préoccupations fantastiques. Il ne faut point
croire
cependant que la chaîne qui lie l'âme au monde so
bien que la profane, est imbue de cette singulière croyance. La Bible
croit
à la véracité de certains songes, et Lactance voi
M. Baillarger. Tout en partageant les idées de ce savant auteur, nous
croyons
qu'il faut réserver le nom d'hallucination exclus
rutator majestatis opprimetur a gloriâ. Mais d'autres philosophes ont
cru
que la divination par les songes dépendait de cau
it la vérité de certains songes, il est en général fort dangereux d'y
croire
. Beaucoup de gens superstitieux sont morts pour y
s les forces de sa volonté sont tendues vers le ciel, et cependant il
croit
entendre les démons qui le raillent, il entend de
me Guyon fut sujette à des visions de ce genre. Combien d'exaltés ont
cru
comme elle avoir vu le diable, qui n'avaient vu r
d silence régnait dans « le camp, Brutus, plongé dans ses réflexions,
crut
entendre « quelqu'un entrer dans sa tente. 11 tou
nce. Si j'avais été superstitieux, me disait M. Chevreul, j'aurais pu
croire
à une apparition réelle. Toutes ces hallucinati
se couvrait la tête, « tantôt il la tournait vers les endroits où il
croyait
ne le pas « apercevoir. Enfin rien n'était plus d
une dame qui, ayant été longtemps tourmentée de maux de nerfs, vint à
croire
qu'elle était constamment environnée de démons et
ant quelque temps cet œil, pour qu'il ne reçût pas de lumière. On a
cru
trouver un exemple analogue dans une observation
invoquer l'observation et l'histoire. Au nombre des hommes qu'on a
cru
doués de cette faculté merveilleuse, on doit cite
Les psychiatres donnent à ces hallucinations le nom d'illusions; nous
croyons
que celui que nous avons préféré exprime et défin
ui pensait avoir pour jambes des brins de paille. Comment pouvez-vous
croire
chose pareille, lui objectait le grand médecin; n
paille, autant qu'il l'était alors du contraire. Un autre malade se
croyait
de verre. Il était dans des appréhensions continu
une des plus curieuses, à coup sûr, est celle par laquelle l'homme se
croit
double, soit par l'âme, soit par le corps. Un d
chose merveilleuse! en ce moment il avait deux corps, ou du moins il
croyait
les avoir, et ces deux corps lui semblaient couch
le cerveau, organe immédiat de l'intelligence. Il est donc permis de
croire
qu'il n'est pas dans l'esprit une seule idée qui
mais dans d'autres cas, en l'absence de toute cause extérieure, nous
croyons
sentir ce que nous ne faisons qu'imaginer. Dans
sée par suite des événements militaires de l'empire. Ce malheureux se
croyait
accusé de trahison, déshonoré. Dans cet état, il
ici oubliées dans l'histoire physiologique de l'intelligence. Peut-on
croire
cependant qu'un appareil si vaste soit sans aucun
ut se changer en une hallucination véritable. Ainsi nous persistons à
croire
que les idées sont le point de départ de toutes l
enfance, rêvé qu'il s'envolait dans le ciel (1) ? Quel extatique n'a
cru
dans ses visions s'élever au-dessus de la terre e
Ourvasi, j'embrasse mes genoux, je fais une grande inspiration, et je
crois
m'élever, mais jamais très-haut, parce que la dur
l'esprit en vertu de la règle des associations antérieures. Celui-là
croira
avoir pour doigts des fils fragiles; tel autre af
délire, se jette sur un être animé qu'il déchire de ses dents, et se
croit
métamorphosé en loup comme le Lycaon de la Fable.
e son engagement, l'idée était forte autant que le premier jour. Il
crut
devoir, en cette circonstance, en contracter un s
dans votre maison. Je m'y con-« duirai bien, comme au régiment. On me
croira
guéri do « mes affreuses idées ; par moments peut
freuses idées ; par moments peut-être, je feindrai de « l'être, ne me
croyez
jamais. Je ne dois plus sortir et sous « aucun pr
eux sont bandés, il ne se produit plus rien d'analogue. On pourrait
croire
que si, dans ce cas, l'expérience demeure sans ré
t en un tourbillon d'une inconcevable énergie. Au premier abord, on
crut
à l'existence d'un fluide, et l'on raillait volon
; j'entends de ceux qui ont un parti pris d'incrédulité. Comme ils ne
croient
point au mouvement, ils ne peuvent ni le vouloir
, laisser couler du sang (1). Ici la physiologie n'ira pas (1) Nous
croyons
que les derniers faits ont été rigoureusement con
stoire d'une femme enceinte qui, effrayée par la vue d'un homme noir,
crut
, en se lavant le corps, éloigner le danger qui me
temps une des grandes lèvres. M. Piédagnel, étonné, comme on peut le
croire
, répéta cet essai, avec tous ses confrères à leur
s. Litharge d'or.......... 6 » Couperose........... 1 » Mercure
cru
.......... 1/2 » Antimoine........... 1 » Cast
ition assez servile de celle de Maxwell (2). Comme ce dernier, Mesmer
crut
à l'existence d'un agent universel. « C'est, dit-
que l'instinct domine chez les animaux, il y aurait de l'injustice à
croire
qu'ils sont absolument sans intelligence. Dans to
es animaux ont beau témoigner qu'ils sentent, on n'a pas voulu les en
croire
, (1) Philostrate. Vie d'Apollonius. Liv, IV, eh
nt métier de refuser une âme aux bêtes, d'aimer leurs chiens et de se
croire
aimés par eux, au point de pleurer leur mort (2)?
u domaine de ces actions, toujours admirables mais fatales, on pourra
croire
d'un autre côté que les bêtes accomplissent ces m
êcher de citer ici un fait si extraordinaire, qu'à peine oserais-je y
croire
s'il ne m'avait été affirmé par des témoins digne
ennert (2) le reproche d'impiété, je déclare ne pouvoir me résoudre à
croire
que les bêtes sont dépourvues de sentiment; et le
es caractères. Ce livre ne peut être un traité de psychologie; or, je
crois
en avoir assez dit pour démontrer que les faculté
rite-t-il un sérieux examen, et c'est conduit par cette idée que j'ai
cru
intéressant de présenter aujourd'hui ce malade à
ons des maîtres, qu'il me soit permis de faire une distinction que je
crois
pratique : 1° Idiots, gâteux (invalides) ; 2°
e puissante pour le redressement des infirmités psychiques ? Je ne le
crois
pas : du reste, une observation personnelle me do
l'usage d'une cuillère, d'une fourchette, d'un mouchoir, etc. ». Je
crois
que l'obtention rapide de ce résultat est due au
sentait des signes de dérangement cérébral. La seule indication qu'il
crut
pouvoir me donner sur l'état de la malade fut qu'
du Wurtemberg : c'était la jeune et belle comtesse Ida Groeben. Elle
croyait
en lui comme Madeleine dans le Christ. Et, notez-
jet pour que nous nous y arrêtions longtemps. Ce serait une erreur de
croire
qu'il n'y a que chez la femme qu'il peut exister
plupart des Malais et aussi des Chinois (2) habitants de la Péninsule
croient
en outre à la ma(l) Abdoullab bin Àbdoulkédîr, né
, Tjoutja (10), Pelaley (11), Perangsang (12), etc. (13) Les gens y
croient
et il y a des professeurs et des écoles pour rens
rer aux Européens à quel degré de stupidité sont tombés les naifs qui
croient
à de pareilles histoires. », Je dessinai alors
anggalan. C'est une femme qui pratique la Magic noire à laquelle elle
croit
. Elle fait tout ce qu'il faut jour et nuit jusqu'
que je l'ai entendu raconter par des vieillards. Dieu me préserve d'y
croire
. Quant au Polong, il provient, dit-on, du sang
s (en Malaisie) beaucoup de gens appartenant à des races diverses qui
croient
à toutes ces histoires imaginaires et qui gaspill
) les pratiques de leurs aïeux ; on peut se rendre compte que ceux-ci
croyaient
que tout a une âme. — Les Malais cherchent d'aill
uisque l'islamisme est leur religion actuelle. — Les Malais du peuple
croient
, à l'existence REVUE DES LIVRES Le Miracle
n d'incroyable mélange de superstitions auxquelles bien des indigènes
croient
. sa prophétie... L'officine du miracle est en
onscient de l'existence de la lésion, je ne m'afflige pas à lui faire
croire
que celle-ci n'existe pas, mais je lui apprends q
n font usage à tout moment, bien qu'ils s'en défendent, et je veux le
croire
, inconsciemment. La seule différence consiste à
as toute la psychothérapie, j'ajouterai qu'il n'est pas nouveau. Je
crois
pouvoir avancer que tous les psychothérapeutes mo
entaient les manifestations, et cela à un tel point, que les médecins
crurent
devoir adresser un appel aux pouvoirs publics et
e impression fâcheuse, l'épidémie s'éteint lentement. Pour qu'il se
croie
un nouveau Messie, il a suffi à un pasteur protes
tient encore qu'un nombre relativement restreint d'élèves (35 à 40 je
crois
) ne peuvent répondre d'une façon catégorique à ce
par celles-ci, s'accompagnent très fréquemment de songes où le malade
croit
boire ou manger quelque chose de bon ou de ma
event facilement d'eau, de bain, de puits. Un malade de M. Stigter se
croyait
dans un bain où l'eau se déversait abondamment pa
nourris, au delà même de toute mesure. Dans un toast, un orateur (je
crois
bien que c'est le professeur Joffroy) a proclamé
t la précision de l'auto-psychologie ultime du grand penseur. « Je ne
crois
pas, dit-il, qu'il soit possible de mieux dépeind
de avant toute intervention du clinicien qui trouve alors, sans qu'il
croie
avoir fait la moindre suggestion, un terrain déjà
angé. Vous savez que la philosophie fut la passion de ma jeunesse. Je
croyais
cette passion évincée en moi par celle de ma matu
e des pédiatres. Bien que ses yeux ne cherchent pas l'obscurité, nous
croyons
à la représentation d'une méningite, à cause du v
adie de cette femme a succédé à la peur d'étouffer en buvant ; elle a
cru
qu'elle devait respirer pendant la déglutition, e
ons les plus ineptes et les plus cruelles Car le paysan russe, qui ne
croit
plus guère au prêtre, croit beaucoup au sorcier.
plus cruelles Car le paysan russe, qui ne croit plus guère au prêtre,
croit
beaucoup au sorcier. Encore faut-il que ce sorcie
s, inoffensives et poétiques, n'ont plus de prise sur les âmes. On ne
croit
plus, dans nos campagnes, au « Domovoi » tutélair
n de Tarde. Vous n'y avez rien compris, dites-vous ? Personne ne vous
croira
. Si vous n'y avez rien compris c'est que vous n'a
de « grand prêtre » révélant aux foules soumises ce qu'elles doivent
croire
, dictant des conclusions en dehors desquelles il
les peuples musulmans est la conséquence de cette éducation. Je ne le
crois
pas, Ce n'est pas l'énergie qui manque chez les m
s ? Les crétins sont encore de nos jours respectés et vénérés, car on
croit
qu'ils portent bonheur. Les Egyptiens devaient av
omie agréable, parfois même souriante. Au premier abord, on a peine à
croire
qu'il n'y ait pas chez ces sujets une intelligenc
é. Mais suffit-il pour expliquer ces faits, d'invoquer la volonté. Je
crois
plutôt à la suggestion chez des personnes très im
uls moyens de les prévenir ou de les détruire » (')• » * * * Je
crois
avoir montré suffisamment l'intérêt supérieur qui
en plus faible et expira, victime de cette imaginaire exécution qu'il
croyait
réelle, et qui de fait n'était qu'une illusion me
fiques et qu'elle a été examinée à beaucoup de points de vue. Nous ne
croyons
pas cependant qu'on en ait tiré toutes les conclu
s que les causes que nous allons examiner ci-dessous. Nous ne pouvons
croire
qu'un instinct dûment constaté puisse disparaître
te raison de l'infanticide paraît en effet bien déterminée et nous ne
croyons
rien avancer de trop en disant qu'un certain nomb
déçu a provoqué une folie qui a duré cinq ans. Pendant cinq ans j'ai
cru
que le mal ne pourrait guérir, qu'il durerait tou
chrétienne, et de savoir ce qu'un catholique libéral est disposé à en
croire
. C'est une lecture tout à fait amusante, et dont
Je ne pense pas que la sagesse soit incompatible avec l'amour. Je
crois
que la sagesse et l'amour doivent être associés p
tielle. Viande maigre, farineux cuits, herbes cuites, fruits cuits ou
crus
, pain bien cuit. Ces aliments se digéreront dans
tent, magistrats ou médecins, et. d'autre part, certains médecins qui
croient
venue l'heure de faire un pas en avant et de romp
t Je rappelle ce fait historique que le Rapporteur au Congrès n'a pas
cru
devoir citer. Ce vœu fut voté, nous affirme M
foi de ses pères, on sent fort bien qu'aujourd'hui l'imposer à qui ne
croit
plus, c'est donner au serment une base sans consi
os confrères avaient, à Genève, subi une aimable suggestion. Je ne le
crois
pas. J'ai la ferme conviction qu'en eux vivait de
ossera les conclusions d'un autre. Le juge, affirmez-vous, et je le
crois
de reste, n'a point de compétence pour prononcer,
de métaphysique ! Pour formuler un jugement pratique vous l'obligez à
croire
un a priori ! S'il se sert du mot de responsabili
sabilité, si conventionnel qu'il soit, vous exigez au moins qu'il
croie
à la chose ! C'est là qu'est le danger de la conf
rai plus étrange, qui consiste à graduer des responsabilités. On peut
croire
ou ne pas croire à la responsabilité, on peut con
qui consiste à graduer des responsabilités. On peut croire ou ne pas
croire
à la responsabilité, on peut conclure assez volon
lle de mots ne fasse en réalité que traduire une querelle d'idées. Je
crois
au vieux dicton : ce qui se conçoit bien s'énonce
i permet de contenter tout le monde ! X est-il responsable ? Je ne le
crois
pas. Est-il irresponsable ? Je ne le crois pa
responsable ? Je ne le crois pas. Est-il irresponsable ? Je ne le
crois
pas non plus. Vite, coupons la poire en deux. Et
et de l'arbitraire de nos théories. Grave danger que tout cela, et je
crois
que la pratique n'a rien à y voir. Eh quoi ! c'es
notre pitié, armée d'une demi-responsabilité de pure convention. Je
crois
que sur ce terrain, décidément pratique, où chacu
a même chose si l'on dit qu'il est ignorant ; dans le premier cas, il
croit
qu'on se moque de lui, dans le second il se trouv
ystématiquement privée de ce droit. Si la religion coranique, et je
crois
vous l'avoir suffisamment démontré, n'est pour ri
rêtre Samuel, il tomba dans une sombre mélancolie. 11 fut, si nous en
croyons
la Bible,agité parunmauvais esprit venant de l'Et
fférent. Tandis qu'il tirait ses arguments de vues personnelles, j'ai
cru
qu'il était préférable de recourir à la méthode h
d'une épidémie éteinte^., les malades ne changent pas autant qu'on le
croit
; ce sont plutôt les observateurs qui changent le
traiter les déments et les faibles d'esprit avec humanité. Si l'on en
croit
la formule de Lassègue qui affirmait qu'on ne sim
qu'il faut attacher à cet examen, alors même que tout nous conduit à
croire
que nous sommes en présence d'un simple spasme fo
terre J'ai vu couronner la rosière. Et j'ai conçu plus d'un roupçon J'
crois
qu'c'était de la contrefaçon. A mon avis, y aura
ntrefaçon. A mon avis, y aura maldone A lui décerner h., couronne. Je
crois
, ma foi, qu'on ferait mieux D'iui décerner plutôt
eption que le malade aurait pu se faire d'avance. C'est une erreur de
croire
que l'hystérique organise toujours son accident c
e pitié. Il hésitait si peu à répandre le sang humain qu'on aurait pu
croire
que son but était d'exterminer entièrement l'espè
s excuses pour l'avoir contrarié et lui dit : « Au nom de Dieu, je ne
croirai
que vous avez de la sympathie pour moi, que lorsq
peut n'être que l'extériorisation d'une-défectuosité psychique. On
croyait
que le bras du paralytique hystérique était incur
aralytique hystérique était incurable. On avait habitué le malade à y
croire
et il ne pouvait guérir. Jésus, Payant abordé ave
e, chaque fois, une crise très impressionnante, pendant laquelle elle
croit
éprouver, les unes après les autres, toutes les p
ention constitue un gage de succès. La psychothérapie graphique, je
crois
l'avoir théoriquement et pratiquement démontré, a
e et dangereuse. En restant sur le terrain de la clinique on peut, je
crois
vous l'avoir montré, faire œuvre utile, exempte d
euple. Comment venir en aide aux nations affligées d'un tel mal. Je
crois
que le seul moyen efficace, c'est de s'efforcer p
ion l'ont repris. La nosophobie a subsisté, le confrère se refusant à
croire
à la suggestion par l'hypnose. Aphonie hystér
ible de quelque souvcnir.de quelque anniversaire impressionnant, j'ai
cru
devoir prendre une précaution. Quelques jours ava
plus souvent affaire à des sensations de fausse présence : le malade
croit
avoir dans la gorge un corps étranger (arête, épi
que vous avez désigné avec raison sous le nom de visage spectral. Je
crois
qu'elle coïncide le le plus souvent avec une affe
ue ». Mendel ajoute qu'il n'y a pas trace d'hallucinations. Sérieux
croit
qu'il s'agit là d'o- nomatomanie compliquée d'h
e consécration et je l'es- père ; nous serons deux différents et je
crois
qu'il le pense ; tu sais nous pensons qu'il y a
disparition, bien que l'impuissance fût restée la même. Nous nous
croyons
donc pleinement autorisé à conclure qu'il n'y a
s froids rigoureux de l'hiver que des chaudes journées d'été. Je ne
crois
pas qu'il y ait rien de lubrique dans cet acte
re. Malheureusement le nombre est grand encore des psychologues qui
croient
pouvoir se passer des données de l'anatomie dan
bilité jusqu'aux phénomènes d'idéation et de conscience. Mais, à en
croire
Edinger, il y aurait toujours un moment où, dan
qu'il a observées chez les lézards vivants qu'on ne saurait, à l'en
croire
, échapper à l'idée qu'un mécanisme préétabli en
té d'un aimant. Nombre de réactions motrices de ce genre, où l'on a
cru
voir des actions volontaires, appelées tropisme
t à peine écoulée, qu'elle revenait en courant dans mon cabinet. Je
crus
que son mari avait eu une attaque. Non, mais de
e, n° 0, 1900.) , Observation d'une forme anormale ayant pu faire
croire
tout d'abord à une variété de syringomyélie.
Cette syringomyélie étant survenue sans cause appréciable, l'auteur
croit
qu'elle est sous la dépendance d'un arrêt de dé
groupe spiritualiste et le groupe positiviste : les spiritualistes
croient
à une obligation morale abstraite, les posi- ti
par le criminel fait courir Ma Société (Lévy-Bruhl). Mais, que l'on
croie
ou non avec Schopenhauer que l'impératif catégo
e, de tels sujets peuvent facilement passer inaperçus et laissent
croire
que cette affection est plus fréquente qu'on ne l
laissent croire que cette affection est plus fréquente qu'on ne le
croit
. La patiente présente, en outre, un petit diabè
ut près du pli du coude, un chirurgien et un médecin fort instruits
crurent
à un phlegmon grave et pensèrent à l'ampu- tati
est nécessaire, si l'on veut faire bien les choses. M. l\IOURATOW
croit
que l'établissement doit posséder une infir- .
nde et ne l'employer que dans le but diagnostiquer W. MOURAWIIIFF
croit
que la sonde n'est même pas nécessaire pour fai
ble fonctionnel daus le mécanisme de la déglutition. M. VERSILOFF
croit
au contraire qu'il faut soumettre le malade à u
dans l'épilepsie corticale. SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 M. Weidenhammer
croit
qu'il aurait fallu faire l'examen complet du ce
arthro- pathies, cyphose,, scoliose, etc. M. le professeur Roth ne
croit
pas que dans les 52 p. 100 de M. Nalhandoff la
les dates et les noms sont ce qu'il a le plus oublié : ainsi il se
croit
en 1898, trois jours après il dira 92 ou 03 « j
8 jours » ; sa femme vient le voir, et plus d'une semaine après, il
croira
l'avoir vue le matin même. Quelque soit la vari
et son âge : cinq minutes après, il ne s'en souvient plus et « ne
croit
pas que ce soit lui qui ait écrit cela ». Il li
Anne au mois de mars approximativement, mon séjour à l'asile qui je
crois
remonte à cette époque (répétition de la même i
e lente amélioration progressive. Pour toutes ces raisons nous ne
croyons
donc pas que l'on soit autorisé ici à incrimine
inger réserve beaucoup de questions que Bethe et d'au- tres auteurs
croient
déjà avoir résolues expérimentalement. Il ne ma
psychique d'association », il en est deux tout au moins qu'Edinger
croit
pouvoir lui attri- buer de science certaine : 1
la mort le corps tout entier avait doublé de volume et on se serait
cru
en présence du cadavre d'un nègre. L'au- topsie
t, ce qui est impossible même à un métaphysicien. 11 est naturel de
croire
que l'expression d'une pensée ou d'un sentiment
ène la même attitude qu'on a à l'égard d'illusions auxquelles on ne
croit
pa, mais cela est rare. Ce genre de voix se ren
même temps que la disparition de la tumeur splénique, les auteurs
croient
, au moins dans ce cas particulier, à l'influence
est au fond des névroses de développe- ment, et il est légitime de
croire
que les toxines que l'on a rencon- trées étaien
r une série de fausses manoeuvres et de malen- tendus, s'il faut en
croire
les renseignements que nous donne le Dr Dumas.
s ceux dont la terminaison ne fut point fatale. Il.est plus aisé de
croire
que de légères modifications électriques sont pas
ompliquait d'un imbroglio fourni par le directeur de l'Odéon, qu'on
croyait
venu à l'agence pour y chercher des nourrices e
stât pas ou existât imparfaitement avant la maladie ». Mais nous ne
croyons
pas que ces raisons puissent s'appli- quer à to
viennent secouer l'individu et agir sur lui par suggestion (et nous
croyons
que les épreuves du prisme, de la boîte de Fiée
Ainsi les phénomènes sont beaucoup plus complexes qu'on ne l'avait
cru
tout d'abord, et les deux propositions que nous
; c'est pourquoi, après considéra- tion des faits précédents, nous
croyons
devoir établir les cinq propositions suivantes
ion qui est évidemment le plus curieux; mais s'il est rare, nous ne
croyons
pas qu'il le soit tout autant qu'on le croit. C
est rare, nous ne croyons pas qu'il le soit tout autant qu'on le
croit
. Comme le dit Antonelli : « La dissociation de la
ous me dites, nous répondit-elle. je suis même, toute disposée à le
croire
; mais voyez-vous je vois, j'entends, je ressen
out avec une telle netteté, comme si c'était là, que je ne peux pas
croire
que ce n'est pas vrai. Ces hommes je les vois e
En. d'autres termes les faits que nous. rapportons consti- tuent,
croyons
nous, des vraies recherches expérimentales; s'a
lé- ments intimes de ce mécanisme. Voici quelles conclusions nous
croyons
être en droit de* / formuler. 'in L'étude'de
ristique anatomique n'est pas l'absence d'altérations, ainsi que le
croient
encore certains auteurs, mais leur physionomie
règles qu'au muscle; et bien que certains expérimen- tateurs aient
cru
trouver des nerfs spéciaux d'inhibition agissant
le du nôtre, de présenter les volumes de nos comptes rendus : je ne
crois
pas que parmi les réunions analo- gues, françai
upe; s'il en est qui semblent ne pas se le rappeler assez, j'aime à
croire
qu'on ne sera pas en droit de leur appliquer le
pâtir. De divers, côtés, on parait aujourd'hui le comprendre. Je ne
crois
pas que la ligne de ceux qui pensent avoir inté
, de jeter l'anathème en bloc, un anathème que, personnellement, je
crois
injustifié, sur les descendants d'ataxiques, de
nisme nettement déterminé et toujours identique à lui- même ? Je ne
crois
pas qu'on soit autorisé à formuler une sem- bla
sieurs nuits, en un délire à apparence systéma- tisée.-La malade se
croyait
poursuivie pour ses opinions politiques et reli
riche, parce qu'elle portait un nom célèbre. Pendant trois jours on
crut
assister à une de ces bouffées délirantes d'emb
tieux, ou septicémiques qui s'en rap- prochent beaucoup. Je ne peux
croire
que M. Crocq a voulu opposer les lésions inflam
tiques, mais à condition que ce délire soit transitoire. Il ne peut
croire
qu'avec des lésions très marquées des cellules
e de l'intel- ligence, et du délire de persécution intermittent, il
croit
qu'on le vole. Etat physique. - Tremblement féb
ie générale juvénile,- quoique rare, est plus fréqnente qu'on ne le
croyait
autrefois. Il insiste sur ce que ces malades ne
s de degré, toujours par rapport à la température primitive. Nous
croyons
que ce fait n'a pas été signalé jusqu'à présent.
is que dans le délire d'auto-accusation, le malade s'accuse sans se
croire
toujours coupable. Ce délire d'auto-accusation
Sur le quai de la gare, le malheureux dément demanda à man- ger. On
crut
sa crise calmée, et on lui délia les mains ; mais
ais comme il était de son naturel très doux, sa famille n'avait pas
cru
devoir le faire interner dans une maison de san
r M. Ladova. (Clcicpo Médical recorder, septembre 1900.) L'auteur
croit
que dans la neurasthénie il y aurait d'abord épui
s. En ce qui concerne l'âge de la paralysie générale juvénile, je
crois
qu'il importe de bien s'entendre suri ses limites
tifs du Tarn et admis à l'asile d'Albi, depuis 184a, m'a permis, je
crois
, de répondre affirmativement à cette ques- tion
nsisterai pas sur cet aspect éliologique de la folie. En 1899, j'ai
cru
devoir le mettre en lumière à propos d'une étude
réflexes confirme leur indépendance anatomique. M. Grasset. Je ne
crois
pas qu'on soit en droit d'établir un mécanisme
nts, asepsie, technique, etc..., qui limitent ses indications. Nous
croyons
qu'il faudra la réserver pour les cas, très peu
rénale. Sans vouloir généraliser, à propos d'un simple fait, nous
croyons
qu'il doit en être fréquemment ainsi et nous appe
trois mois, ses règles ne viennent^ pas. Cette aménorrhée lui fait
croire
à l'existence d'une grossesse. Désolée, elle re
paraissent pas. Bientôt elle présente tous les symp- tômes qui font
croire
à la probabilité d'une grossesse. Pendant un mo
a coloration intense qui dure plusieurs jours, frappe le malade qui
croit
à la persistance constante d'une action médicam
nsacrant une longue étude au chapitre des suggestibilités, l'auteur
croit
que la suggestibilité il l'état de veille est tou
r des observations très bien choisies. Le traducteur, .M. Hémond, a
cru
devoir ajouter de nombreuses annotations, des c
rs malades de changement important et durable, aussi penchent-ils à
croire
qu'il s'agit là vraisembla- blement d'une maniè
r la coexistence fréquente des deux chez les mêmes individus. Je ne
crois
guère à cette parenté, car aucun de mes malades
coloration habi- tuelle. Il y a donc lieu de distinguer, ce qui, je
crois
, n'a pas encore été fait jusqu'ici, des altérat
ains membres du personnel secondaire ou pour tous ? M. 130URNE'ILLE
croit
qu'il est nécessaire de faire suivre des cours
dans un autre établissement, ce qui est encore un inconvénient. Je
crois
qu'il serait bien préférable d'organiser quelqu
curremment avec la commission de surveillance. A. Fenayrou. Nous
croyons
utile de reproduire le texte des voeux adop- té
de donner à chaque malade le plus de liberté possible. Au début on
crut
néces- saire de conserver pour l'établissement
qui ont été introduites dans l'orga- nisation de ce concours, nous
croyons
utile de reproduire en entier l'arrêté préfecto
d'établissements ont été créés dans quelques grandes villes. Nous
croyons
devoir en dire un mot, la question étant pour a
s restant doit être transféré à l'asile. 5° C'est un préjugé que de
croire
à une influence fâcheuse pro- voquée par le tra
ions de l'expérience, on voit que les fumeurs se trompent quand ils
croient
à un bien-être définitif, et que les expériment
uivi d'une dépression' corrélative. On n'a pas de bonnes raisons de
croire
qu'elles agissent autrement sur les activités v
de décharge aux états d'excitation de l'organe céré- bral. » Nous
croyons
que la définition de Ricci est trop vague et tr
alo- mane= attache une certaine influence à certains mots qu'elle
croit
devoir neutraliser par d'autres. En particulier,
ent des néologismes. « Une ma- ladre 2, depuis la guerre du Tonkin,
croit
jouer un rôle dans la conquête de cette colonie
tes stéréotypés les malades qui restent immobiles parce qu'ils se
croient
de verre. 1 J. Séglas. Paralysie générale et ti
Voici un exemple fourni à M. A. Marie par M. Séglas. Une débile se
croit
reine ; elle a les Tuileries. Elle répète conti
iture pour mourir. Il voulait s'asphyxier avec sa femme et celle-ci
croit
qu'il l'aurait fait, si elle avait consenti. Il
vait dit « qu'il avait une petite tête par derrière » et l'on avait
cru
comprendre à ses explications qu'il faisait son
ires, qui, du reste, sont assez difficilement concevables. Aussi ne
croyons
-nous pas que l'origine de ces mouvements doit ê
iques des idiots dans les stéréotypies. Pour notre part, nous ne le
croyons
pas. Ces mouvements répondent bien en effet à l
s plus agités et plus subtils. Peut-être aussi, d'un autre côté, se
croyait
-il dans son sommeil avec ses compagnons dans qu
r l'hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512 CLINIQUE NERVEUSE. - On a
cru
que la vertu des vulnéraires pouvait n'être que c
ndent en acides et même le café, le chocolat, la salade, les fruits
crus
, le poisson, la soupe maigre, le trop d'interva
0 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. physique; 4° il
croit
, mais ne dispose pas de la place nécessaire pou
c exagération, puis plus tard, abolition des réflexes tendineux. On
crut
à une compression de la moelle dorso-lombaire p
mbre de cas de lésions du cerveau et de la moelle, M. Van Gehuchten
croit
pouvoir conclure à l'indépendance des réflexes
ysant G1 cas, une feuille de poids et des heures de sommeil, que je
crois
devoir signaler pour cette der- nière indicatio
voix d'un de ses parents parlait par sa bouche, ce qui lui faisait
croire
qu'elle était ventriloque. La voix lui parlait
tisme psychologique chez deux paralytiques généraux : l'un d'eux se
croyait
transformé en sa femme et écrivait au médecin p
et écrivait au médecin pour réclamer la sortie de son mari; l'autre
croyait
avoir quelqu'un dans la gorge et en écrivant se
Je connais un homme qui a failli perdre la vie pour avoir persisté à
croire
que l'inflammation et la maladie n’existaient pas
tion, lisent et vénèrent le livre ennuyeux et illettré de Mrs Eddy et
croient
en ses théories grossières et surannées. L’expé
tienne. Celle-ci parait cependant moins paradoxale, si nous devons en
croire
les compte-rendus contemporains- COURS ET CONFÉ
suggestion; n'imporle quel médicament sera utile si cette jeune fille
croit
à son efficacité. N. B. — Quinze jours plus lar
audra, au contraire, écouter le récit de ses souffrances et lui faire
croire
qu’on les tient pour réelles. » Fort bien. C’est
s faits à l'appui de la maladie ou des multiples maladies dont ils se
croient
atteints. » C’est pour cela qu’il faut s’applique
hyperhidrose, peuvent gagner les membranes internes de l’œil et faire
croire
à une affection organique, surtout dans les cas d
que, un acte cérébral comme l'appétence. « C’est une grosse erreur de
croire
que le dégoût puisse être un remède à une impulsi
tre nullement surpris qu’il eût eu des succès auprès de personnes qui
croyaient
en lui et qui avaient confiance dans l'efficacité
e intolérance absolue pour les boissons alcooliques; il finit par y
croire
et cette ferme croyance lui permet de résister à
peu de temps et même pas du tout chez un d'eux. J'en suis arrivé, je
crois
, à la même opinion que d’autres observateurs en c
nt suicidés ou ont été envoyés dans des asiles d’aliénés. Ces cas, je
crois
, sont désespérés à moins qu’à l’aide de la sugges
ù aucune amélioration ne fut obtenue. Je vais en raconter deux que je
crois
typiques et qui furent traités avec les meilleurs
prophylasie religieuse ---- IiÉPONSE A M. LlONEl. DaURIaC. J’ai
cru
devoir attirer l’attention des physio-psychologue
s, M. Maspéro, n’en était nullement convaincu. Pour mieux dire, je ne
crois
pas que le second point de vue eût été entrevu pa
sque sc produit la mort, llicquct, le chien célèbre de M. 1 {èrgeret.
croit
de très bonne foi que le broc malpropre, qui s’es
ues; les exemples authentiques en sont infiniment plus rares qu'on ne
croit
. La dose de crédulité était d'ailleurs si considé
; et non pas d’une illusion sensorielle, d’une illusion de lieu. On
croyait
les pièces de ce genre à tout jamais détruites, i
s les songes, on s'était formées de l'âme, du double, permettaient de
croire
que cette âme parlait ; on avait d’autre part le
légitime, même pendant les premiers siècles de cette ère, si nous en
croyons
Jambüchc et Lucien, et réservée en Chaldéc à des
était en danger. Devant ce pronostic grave, le fiancé de cette fille
crut
bon de faire remarquer que trois mois auparavant,
s récits les font avec des formes dubitatives sur certains points (je
crois
, il nous a paru que, etc.,) qui donnent une incer
e quatrième, démontrent suffisamment la valeur de la méthode. J'ose
croire
que mes résultats ont contribué en certaine mesur
devait être doué d'une suggestibilité supérieure à la moyenne, et je
crois
que personne ne contestera pour cela le sens crit
est encore si grande qu’il y a des psychologues, comme M. Ribot, qui
croient
impossible de fonder une psychologie des sentimen
ntellectuel de ce sentiment. Après beaucoup d’expériences, je me suis
cru
en droit d’établir, comme loi générale, qu’on est
employer des suggestions spéciales. Tels sont les faits qui me font
croire
que cet état de veille partielle systématisée est
miscr les femmes en chemin de fer pour en abuser. Pour ma part, je ne
crois
guère à l’existence d’une telle association, à ca
. Ils demandèrent en outre l’avis de Devergie qui leur répondit: Je
crois
qu’une fille de dix-huit ans peut, en thèse génér
our deux raisons : la peur du couteau d’abord ; ensuite parce qu’elle
croit
que «r c’est du monde », suivant son expression ;
qu’elle croit que «r c’est du monde », suivant son expression ; elle
croit
que cette viande c’est de la chair humaine, et en
veiller ses paroles. Le moindre mot de doute sur leur maladie, et iis
croiront
leur état extrêmement grave ; ils discourront san
ui permet de les comparer et de les rapprocher. C’est parce qu’on a
cru
que les schémas expliquaient l'essence des phénom
flexes tendineux sont médullaires, des faits nouveaux nous obligent à
croire
, que des réflexes cutanés sont plutôt d’origine c
core M. Regnault parler de catalepsie et de léthargie hypnotiques. Je
croyais
ces termes définitivement rayés de la science hyp
mple) ou par une courbe (complexe). M. Crocq. — Pour ma part, je ne
crois
pas aux prétendus exploits des Fakirs et je n’v c
ma part, je ne crois pas aux prétendus exploits des Fakirs et je n’v
croirai
pas tant que je ne les aurai pas constatés de mes
e ('), la lévitation, etc... Mais il ne faut pas se contenter, pour y
croire
, de l’affirmation de personnes dont on connaî
ais encore chez des animaux qui hivernent. C’est donc une erreur de
croire
que la léthargie est purement morbide, hystérique
comme une danseuse. Etant sujette à des extases religieuses, elle se
croit
crucifiée. Une contraction complète des muscl
nnaisse : celui de la stigmatisation, ou apparition des marques de la
cru
-cifixion (comme l'a si bien représenté le peintr
es ont réapparu. Il en a été fait des photographies. Cette femme se
croit
d'une très grande légèreté. Elle est petite, âgé
tain talent. Elle veut aller à Rome à pied et parler au Pape. Elle se
croit
enlevée dans les airs, elle sent que son corps ne
est confondue de voir que l'aiguille marque son poids normal. Elle se
croit
crucifiée, et c’est pour cela qu’elle marche le p
e, n'est-elle pas sublime ? Voici une naine ; elle a dix-sept-ans, je
crois
, et elle en parait six. C’est une idiote myxœdéma
u des autres enfants. La visite est finie. Il est midi. Que l’on ne
croie
point voir dans ces lignes l’intention de décrire
ux. Elle a des sensations de lévitation et d’ascension telles qu'elle
croit
devenir très légère et s’élever au-dessus du sol.
cas, les affirmations sont entraînées par des suites de vertiges ; on
croit
voir ou entendre ce qu’on désire, ce qu'on craint
rme à toute influence et le rend pour ainsi dire incommunicable. » On
croyait
, en effet, il n’y a pas encore bien longtemps, qu
apparences à leur juste valeur, à balancer les motifs de juger et do
croire
. Nous lui apprendrons encore à manier le frein de
hacune contient un poisson enroulé. Au premier moment, vous pouvez le
croire
mort, tant la catalepsie est complète, mais dégag
ces. Nous disons simulatrices, parce qu’il y a peu d'années encore on
croyait
cette maladie spéciale au sexe féminin; il suffis
ançais. 5me session, Clermont-Ferrand, 1894. Masson, 1895.) (•i) Je
crois
utile, vu les erreurs et lacunes de certaines cit
dérer les monoïdéîsmes dont je parle comme de nature hystérique. « Je
crois
, m’a dit M. Sicard, qu’il ne s’agit là que de la
sueurs profuses et des douleurs absolument paroxystiques, lui faisant
croire
que sa dernière heure était venue. La durée du
comme foudroyée et tombe en cessant de donner aucun signe de vie. On
croyait
la relever morte et on la releva guérie. La tumeu
vec respiration stertoreuse, puis refroidissement et collapsus. On le
crut
mort. Un médecin appelé en hâte, fit des injectio
ou 210 ap. J.), tout en admettant l’origine utérine de l’hystérie, ne
croyait
pas aux mouvements de la matrice. Aétios (vi8 s
rel, et à quoi il est dû » (•). Or c’est précisément parce que nous
croyons
savoir aujourd’hui ce qu’est le sommeil naturel,
lle ne pouvait se passer d’un mouchoir pour sécher ses mains; elle ne
croyait
pas qu’on puisse la délivrer de cette maladie, dé
rgies de la nature, on obtient la chaleur et la lumière, de même nous
croyons
que la nouvelle guérison des maladies par la sugg
s dispositions affectives qui iui fuient témoignées par M«» G... Il
croyait
enfin tenir le bonheur rêvé, lorsque le lundi à m
tôse, cette interprétation favorable à la défense, la Cour d'Angers a
cru
pouvoir déclarer « que le magnétisme ne peut être
conception, elle a été celie de l’antiquité. Aujourd’hui les spirites
croient
encore aux esprits. 2° La théorie métaphysique
'ailleurs la nature ou les propriétés du dit fluide. Déjà l’antiquité
croyait
que le pouvoir des dieux agissait sur ¡’hypnotisé
au xvi® siècle, sépara le fluide magnétique du dieu qui l’émettait et
crut
l’hypnotisme causé par l’ens spiritale, (!) Cet
eu cc qui concerne les sensations et les réactions nerveuses que nous
croyons
spéciales à telle maladie et qui peuvent se renco
e médecins réfractaires à le conseiller ou l’employer parce qu’ils le
croient
un remède inconstant ou doué d’une telle efficaci
vite la courroie, se relève et s’en va vivement ému, comme on peut le
croire
. Le soir même, il se plaint à sa femme de quelque
rvenir ici ce tie pré tendue fonction qu’on appelle la volonté. Je ne
crois
pour ma part ni à la volonté, dans le sens psy-
onscients), le moi, dis-je, ne sachant d’où viennent ces ondulations,
croira
qu’elles sont nées en lui etqu’illesacréées. II s
it, chez quelques femmes, sous une impression sensuelle exagérée, qui
croit
avec leurs désirs, et qui, produite au début du r
eront d'ailleurs singulièrement facilités par la psychothérapie. Je
crois
utile de placer ici encore deux observations qui
malentendus, ce que l’on apprend étant bien au-dessous de ce que l’on
croyait
connaître. D'autre part les jeunes hommes ne co
conciles, a jeté l'anathème sur les noueurs. Aujourd'hui encore, on
croit
aux noueurs d’aiguillettes dans nos campagnes. Un
dormaient tranquillement sur un oreiller garni de chèvrefeuilles. On
croyait
et on croit encore ii la vertu du coquelicot, du
nquillement sur un oreiller garni de chèvrefeuilles. On croyait et on
croit
encore ii la vertu du coquelicot, du nymphéa' et,
ondent, mais ne sont pas considérés par tous comme des suicides. Je
crois
qu'il y a deux raisons à cette diversité d’opinio
s au début, démontrer surabondamment que les animaux se suicident; je
crois
simplement qu’après mes observations et les faits
de leur refuser cette qualité ou ce défaut et que si quelques-uns les
croient
encore incapables d’actions réflexes, impulsives,
qu’ils ne pourront être endormis, uoit que, par amour-propre, ils se
croient
humiliés à la pensée de subir l’influence de quel
t, c’est d’un bon pronostic, on dit qu’il se rétablira. On pourrait
croire
que le choc de la peau a quelque influence ; mais
-on à s’approcher d'un individu de cette espèce, dit M. Costantin, on
croit
entrer dans un bois qui a cinq cents mètres de to
Toujours lasse de son milieu et toujours plus sentimentale, Cam...
crut
réaliser ces rêves en acceptant un mari qu'elle r
a sous sa main le nom de son père. « Elle avait, dit-elle, toujours
cru
à l'occultisme » sa convic- tion se fortifia de
UMNITE DELIRANTE. 7 i cliait à l'occasion de manquer de foi, s'il
croyait
surprendre quel- que tiédeur dans sa conviction
ronomiques, physiologi- ques et médicales ; son mari les admire, il
croit
fermement à leur origine surnaturelle et en con
mission Kamienne qui exigeait qu'elle vécut. Un jour pourtant elle
crut
devoir faire son tesla- meut. M. Schtein part
ssi mégalomane que ces légendes et explications pourraient le faire
croire
, ce sont les esprits qui parlent; Cam... cause
prend le crayon et sa main écrit : « Vous êtes déiste, c'est-à-dire
croyez
à tous les dieux; or, «demandez qu'on vous démo
ment petit, le crâne de Perre... avait des dimensions qui faisaient
croire
à un poids encéphalique beau- coup plus élevé.
elle de la sclérose en plaques et à l'autopsie de laquelle on avait
cru
trouver un ramollissement de la face inférieure
ue tabétique, d'autres (Pofoff, Moxter, Von Michel, de Grosz, etc.)
croient
que la lésion primitive siège dans la rétine et
on. Le nez est volumineux; on pourrait, à un examen superficiel, le
croire
atteint d'acné hypertro- phique, si la colorati
'ignorez pas en effet que si naguère encore il était classi- que de
croire
à la disposition segmentaire des anesthésies sy
ler, dans le jour qui décroît A jamais l'on espère et à jamais l'on
croit
. Sceptique méprisant, souris de la faiblesse
t la vérité. » Cam... tient en effet énormément à sa beauté qu'elle
croit
très grande et très prestigieuse; cependant des
qu'il y a pour sa mentalité à en conserver la manifestation. Elle
croit
aussi qu'elle l'aura toujours au moins en l'évoca
isciples dont se servent toujours les auteurs ecclésiastiques. Elle
croit
n'avoir jamais entendu prononcer le nom de Zeii
les messagers de Dieu, il doit leur obéir. - Mais, répond-il, j'ai
cru
jusqu'ici que Dieu n'existait pas. - Dieu exist
é et transformé la mentalité et la vie de la malade que celle-ci se
croit
appelée aux mêmes destinées que la sainte : ell
auditif, pneumo-gastrique et, en partie, le nerf lingual), il faut
croire
que c'est une polioence phalo- myélite aiguë. P
s une maison appartenant à la couronne, qu'il est arrêté; tantôt il
croit
se trouver à la gare ; parfois pense qu'il est
rché la raison psychologique des obsessions musicales ; j'incline à
croire
qu'elles dépendent d'un rythme physiologique pl
ez l'un d'eux j'ai même observé un complément hallucinatoire : il
croyait
voir toujours devant lui, même quand il fermait s
ychiques : l'anthropophobie, la « Beachtungswahn » ou manie de se
croire
observé, des idées de persécution. Dans tous les
frère et ma soeur, m'écrit-il, sont des timides. Ma soeur l'est, je
crois
, moins que nous, parce qu'elle vit à la campagne,
a face, en pleine salle d'étude, au milieu de deux cents élèves. Je
crus
mourir de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rou
phobie du regard, elle l'attribue à sa grande taille, qui la rend,
croit
-elle, ridicule. Elle s'imagine aussi qu'on se m
'adolescence ou de la jeunesse (démence vésanique précoce), nous ne
croyons
pas qu'elle corresponde à la réalité des faits
certaines autres démences ». Dans l'état actuel de la question nous
croyons
inutile d'insister davantage sur l'interprétati
as devoir entrainer la conviction contre cette théorie, on peut, je
crois
, faire appel à deux ordres de raisons, les unes
commettre ne doivent pas entacher la valeur de la méthode ni faire
croire
qu'il existe des contradictions irréductibles e
sens musculaire est probablement encore plus grande qu'on ne l'a
cru
. Un très grand nombre de facteurs sensibles, mote
mais encore d'en diminuer la fréquence et l'intensité. On pourrait
croire
qu'en plaçant le malade sur le côté droit le ré
vaudrait, selon moi, à un ajournement indéfini de la réforme. Je ne
crois
pas davantage que, grâce à la réforme de SOCIÉT
e spécial pour les aliénés criminels. M. Colin (de Villejuif). Je
crois
également que, même en se plaçant à un point de
s, parfois même du chloral chez ceux qui en font l'abus. M. Mabille
croit
qu'il conviendrait, en aliénation mentale, de n
ne importance très grande dans le dia- gnostic de l'hystérie. Aussi
croyons
-nous pouvoir considérer le phénomène plantaire
avons noté dans 8 cas, soit 8 p. 100, le signe de l'éventail. Nous,
croyons
donc que ce dernier signe n'a pas une valeur clin
encore aujourd'hui d'araignée, de hanneton ) Dans les Pays-Bas, on
croyait
surtout à la pierre de tête. Des prestidigita-
ans leur tête. Les médecins d'autrefois n'étaient pas éloi- gnés de
croire
à la réalité de ces descriptions psychopatiques.
ésion stomacale par conséquent. De l'étude de ces observations nous
croyons
pouvoir tirer l'enseignement sui- vant : ' 1°
hant des cris aux malades, accompagnée ou non de vomissements, nous
croyons
pouvoir en faire une névralgie du plexus solair
e même des mouvements nerveux, les sujets ont tou- jours tendance à
croire
l'inverse. Il importe de leur démontrer leur er
oubles de l'équilibre est assez difficile et parfois impossible. Je
crois
donc utile de signaler un moyen d'en isoler un
rminer des phénomènes de vertige. Contrairement à ce qu'on pourrait
croire
, la plupart du temps elles ne siègent pas dans
sible un diagnostic exact. Etant donné cette notion nouvelle, je
crois
qu'on ne peut juger avec certitude de l'origine
e longue pratique de bientôt vingt-neuf ans. MM. Pitres et Régis ne
croient
pas à cette origine exclusi- vement sexuelle de
disposition les moyens d'une satisfaction largement suffisante. Il
croit
que ces insuffisances de l'émotion sexuelle ne
n dans cette émotion comme dans les autres. En con- séquence, il ne
croit
pas qu'il y ait lieu de faire jouer dans cette
nisme. Il venait d'avoir quatorze ans. Cette pratique et surtout je
crois
, l'absence de tout spectacle de fustigation, mo
on bureau. Il aimait aussi les plaisanteries elles bons mots, et il
crut
en faire un qui lui suscita des ennuis et ne fut
sa canne, et choisissait celle qui les avait les plus fortes. Z...
crut
être spirituel en le dotant du sobriquet de métro
ta une aggravation de ses troubles nerveux. Il fut plus enclin à se
croire
sous le coup de quelque grave maladie ; sa sen-
uivit. Y... rattacha ces phénomènes à son cauchemar de la nuit et
crut
tout d'abord en être quitte. Pas du tout, l'obses
amélioré son obsession au point qu'elle était supportable et qu'il
croyait
n'avoir pas besoin de se priver complètement de
r du tout dehors, j'espère m'habituer aussi à mal pisser dedans. Je
crus
devoir le mettre en garde contre la possibilité d
sses représentations visuelles n'étaient pas très nettes, le malade
croyait
voir les têtes, les parties du corps, les yeux
utour de la même idée : peur de tomber, de s'étouffer. La malade se
croit
au bord d'un précipice dans lequel e : le tombe
base du cau- chemar. Est-ce bien là du somnambulisme ? Nous ne le
croyons
pas et cela pour deux raisons : . 1° Cette ma
hée, elle est incapable d'un effort physique ou intellectuel ; elle
croit
tout ce qu'on lui dit parce que « ce doit être
une sugges- tion, ou, si elle y obéit, c'est que « je suis forcé de
croire
ce que vous me dites parce que je n'y vois pas
par un sens, la vue ; celle-ci disparue elle perd toute notion et
croit
qu'elle va mourir parce que « je n'y vois plus, j
nt externe qu'interne qu'elle ne sait plus ce qu'elle fait, qu'elle
croit
ne plus exis- ter. Les rêves ne sont que le rés
rge et il ne peut plus descendre. on dirait que c'est bouché » elle
croit
s'étouffer. Et comme on ne tombe et on ne s'éto
règle les rêves que j'ai décrits 1. De sorte que, en résumé, nous
croyons
avoir le droit de dire que les phénomènes psych
LOGIE PATHOLOGIQUES. Frankl-Hochwart, Wallenberg. Ce dernier auteur
croit
avoir trouvé que la pile de noyaux du faisceau
diaques ainsi que l'arrêt du coeur en diastcle. Il y a donc lieu de
croire
que l'appareil inhibiteur du coeur est, chez le
ait. Il s'en faut de beau- coup. Dans les cas mêmes où tout porte à
croire
que la musique va exciter l'appareil moteur vol
ue u] des cellules des cornes antérieures. Le myosis gauche p<
croire
qu'elle est descendue jusqu'à la huitième racine
ité du sensorium; rien d'hysté- rique ; aucune simulation. Il est à
croire
qu'il s'est agi d'une toxine qui a lésé les cel
enfant de dix ans. Des sym- ptômes fébriles persistant avaient fait
croire
à une fièvre typhoïde et ce n'est qu'un examen
rigidité habituelle. Verbigération quand la malade parle. L'auteur
croit
devoir rattacher ces accidents à la première me
ment et s'endort. Le lendemain il dit ne se souvenir de rien. On le
croit
épileptique. Une observation de trois mois démo
lles du corps restiforme gauche sont clairsemées, si rares que l'on
croirait
qu'il s'agit de coupes pratiquées à la hauteur
deux ans (1902), je présentai un malade qui souffrait de ce que je
croyais
être jusqu'ici une maladie non décrite, que j'a
sécrétion pancréatique défectueuse ou abolie. Cette opinion est, je
crois
, prouvée par les observations faites sur la séc
ésulté de l'ad- ministration d'un extrait glycériné de pancréas. Je
crois
que cet état est une entité clinique distincte,
retrouva le lendemain noyée, près de la digue Saint-Jean. On avait
cru
d'abord que l'enfant s'était tuée accidentellemen
La verte infusion; puis augmentez, pressez Le volume de l'eau. Mais
croyez
-moi, cessez Quand vous aurez jugé la liqueur as
qu'au bout de quelques années que les troubles survinrent, et à en
croire
l'entourage, ils seraient apparus à la suite d'
inue tranquillement sa rumination. Plus rarement et lorsqu'il ne se
croit
pas surveillé, il va contre un mur, rejette ses
a partie motrice de la capsule interne est anéantie; il faut donc
croire
, le patient ayant été hémiplégique et hémianesthé
oquer des convulsions isolées de certains groupes de muscles, et de
croire
que ces convulsions, parties de ces cen- tres,
ou par excitation réflexe des centres corticaux.. Il y a lieu de
croire
à l'intervention réflexe de l'écorce dans la gé
ment faible au début de la vie, s'accroît plus tard. Ce poids s'ac-
croit
au cours du développement chez les deux sexes ; l
u cours du développement, de près de 120 à 130 grammes. Le cervelet
croit
donc proportion- nellement plus vite que l'ense
re que ces malades ne sentent souvent plus leur propre personne, se
croient
morts, etc. Le doute de l'exis- tence personnel
u est due à un excès d'air dans la gaine médullaire. Il y a lieu de
croire
que le poison fau- teur à la démence précoce ir
it et le porte machinalement aux water-closets où il le dépose ; il
croit
à une impulsion consciente. Dans les mêmes con-
soprano avec impossibilité d'émettre des sons graves) que l'auteur
crut
pouvoir attribuer à une paralysie d'origine céréb
ès, le malade était complètement rétabli. L'auteur, toutefois, ne
croit
pas pouvoir tirer de ce fait unique des conclus
s une mare de sang auprès du corps de son père et de sa mère. On le
crut
mort, mais à peine était-il sur le brancard qui
cins la déclarent incurable. Or, conformément au dogme, nous devons
croire
que les maladies dont elle a été ac- cablée fur
(llarduin, Malin, 26 sept. 1904.) L'alcoolisme en SC4NDI.1VIR. Ou
croit
généralement que, en Suède et en Norvège, l'énorm
essions. En effet, l'acte consommé, elle retrouvait le 'calme et se
croyait
débarrassée ; mais un nouvel accès se produisan
- tion du régime des aliénés dangereux et criminels. Il est bon,'
croyons
-nous, lorsqu'un malheureux événement se produit
qui n'existent point en France à l'heure actuelle; les autres, qui
croient
voir des difficultés à ces mesures d'exception,
r de mettre d'accord les partisans de l'un et l'autre système, nous
croyons
qu'il convient de bien préciser la question ava
doivent être prises depuis ce jour à son égard. En réalité, nous
croyons
qu'il faut s'en tenir à la distinc- tion cliniq
nt. La précaution nous parut sage en effet, mais nous avons peine à
croire
que ce soit là l'idéal du traitement ( ? ) pour
dre, d'un cancer « dans le côté gauche » suri- vant sa fille; on ne
croit
pas qu'il fut buveur. Sa mère, âgée de soixante
le pleurer spasmodi- ques. Interprétant ces différents faits, ils
croient
que chez des vieil- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
dans la chorée, tandis qu'il manquait dans la maladie des tics. Il
croit
, à l'encontre de certains auteurs, à l'existenc
nnant à ce fait un titre sensation- nel. D'après cela, on aurait pu
croire
que le malade avait été ou étranglé par ses gar
vec un grand soin l'état mental des foules durant les émeutes. Nous
croyons
intéressant de reproduire cette description 1.
er l'un ou l'autre sentiment; avides à chaque instant de savoir, de
croire
quelque chose d'étrange; éprouvantle besoin de
la tempête. b.) Les antiennes théories sur le vertige marin. Nous
croyons
inutile de rapporter ici les dix différentes th
nstigation de sa femme que C ? a allumé un incendie et tout porte à
croire
qu'en raison de son état mental très affaibli,
tive vaso- motrice, laissant de côté la méningite dont on aurait pu
croire
qu'il l'utiliserait plutôt pour l'échafaudage a
le n'a plus sa personnalité et cependant elle est bien L... Elle se
croit
persé- cutée par une autre malade; elle a pris
x lui parlaient; elle n'avoue pas d'hallucinations de la vue ; elle
croit
toujours fermement à la réa- lité delà voix de
LA CATATONIE. 63 passé, elle raconte ses idées de culpabilité, elle
croyait
avoir causé la mort de sa mère et aussi que le
t observations prouvant des erreurs du jugement des tabétiques, qui
croient
éprouver des sensations n'ayant pas de raison d
ations se résume ainsi; très souvent l'intensité de la sensation ne
croit
chez le tabétique qu'avec l'étendue de l'excita
colonnes de Clarke et de certaines parties des cordons latéraux. Il
croit
que ces combinaisons sont, dans l'espèce, acciden
tait tel qu'aucun de ceux qui l'observaient ne se serait assurément
cru
autorisé à porter un pronostic favorable ; néan
impor- tants dans la production de l'imbécillité ; et si l'auteur a
cru
devoir rapporter cette observation c'est qu'il
e vous soumettre. Ces photographies n'ayant pas été publiées, je me
crois
d'autant plus en droit de répondre à la note pe
uanta la discussion qui a suivi ma réponse-, on en tirera aussi, je
crois
, une tout autre impression, si au lieu du résumé
la région bregmatique. M. BALL s'excuse de prolonger les débats. Je
croyais
dit-il, au début de la discussion, que M. Magna
it bannir de la science les mots de délire chro- nique. M. PICnoN
croit
que les divergences entre les partisans et les
ce nom et qui fut pour lui une vé- ritable révélation. M. Cotard
croit
surtout à l'influence de l'hallucination dans le
installés rapidement se terminent par lasura'2-mzctité.- L'orateur
croit
, avec Voltolini, qu'il n'est pas démontré que ce
epuis plusieurs années, et a exécuté de nombreuses préparations, ne
croit
pas que ces granulations dans les cellules nerveu
qu'il n'est guère d'hommes, même parmi les bons esprits, qui ne se
croient
médecins à leur heure. Chacun dit son mot, à l'
ir au sys- tème même de l'amendement. Vous le pouvez, d'ailleurs,
croyez
-le bien, messieurs, sans mé- contenter l'opinio
es beaucoup moins nombreux cependant qu'on ne le dit ou qu'on ne le
croit
- ont alarmé cette opinion, s'ils ont éveillé d
ts étaient infiniment moins nombreux qu'on ne pouvait le dire ou le
croire
. Ajoutez à cela que, même les précautions légal
oins donnés aux malades et du résultat des enquêtes que vous auriez
cru
devoir ordonner à l'égard de tel ou tel malade.
on des cellules qui leur sont affectées ; mais, dès aujourd'hui, je
crois
devoir vous signaler un mode de procéder regret
Nous ne pouvons qu'approuver l'opinion de MM. Eames et Moore ; nous
croyons
, comme eux, qu'il est indispensable que tous le
il avait aussi des bourdonnements d'oreilles très forts ; le malade
croyait
entendre par intervalles rapprochés des bruits fo
aires, qu'il com- parait à des coups de poignard; à chaque coup, il
croyait
que ses reins s'ouvraient en deux. Rien du côté
oreilles chez le malade qui fait le sujet de LO.BSERVATION X et qui
croyait
entendre par intervalles rapprochés des bruits
otre neuvième cas. A juger d'après notre Observation III, il faut
croire
qu'une certaine diminution du sens de la pres-
evait se rendre immédiatement à la frontière; cardans ce moment, on
croyait
à une guerre entre la Grèce et la Turquie. Depu
peur revient en équilibre plus difficilement qu'un voilier. Nous ne
croyons
pas inutile d'ajouter ici que l'élévation des v
iquide céphalo-rachidien. Mais avant d'examiner cette théorie, nous
croyons
indispensable de rapporter ce que la physiologi
itio ? i con- tribue à la production instantanée du vertige. Nous
croyons
même que nous devons donner à l'inimition de Br
it ans, on ne sait de quoi. - Un frère mort à trente-trois ans ; on
croit
qu'un des amants de sa femme l'a «jeté à l'eau
la dissémination des lésions rencon- trées à l'autopsie, mais nous
croyons
devoir rappeler que l'amaurose est un des sympt
ssez précis pour vérifier les assertions de Meynert. H. Nothna;el3,
croit
que, d'après les faits anatomo-cliniques actuel
une donnée en anato- mie pathologique, jusqu'à présent du moins; il
croit
qu'en ne prenant en considération que les lésio
erliges, des actes im- pulsifs dont elle a parfois conscience. M.
croit
voir dans celle dernière malade une impulsive o
pos- sihle maintenant d'en retirer quoi que ce soit de nouveau.. Je
crois
dans ces conditions que ce qu'il y a de mieux à
ses exactement comme chez les alcooliques avec lipo- thymies.M.Rehm
croit
que l'économie du malade avait manifes- tement
nurie chez les aliénés. Nouvelles recher- ches. D'abord, il ne faut
croire
à l'existence de l'acétone dans l'urine que qua
a question soit bien posée. M. le commissaire du ; Gouvernement. Je
crois
que je l'ai posée nettement, en disant que le m
es désormais contre le corps médical et contre l'administration. On
croit
géné- ralement et c'est pour cela que le public
ment accepte ce rôle pour les préfets, dans ces conditions. Mais il
croit
devoir mettre ces magistrats à l'abri du soupçon
ire avec votre système. M. le commissaire du Gouvernement. Je ne le
crois
pas. M. Connes. Mais si la commission avait déc
ciété païenne les regardait avec une pitié mêlée de crainte. On les
croyait
presque les favoris de la divinité ; on les consu
atant qu'ils sont aliénés, et un second casier constatant qu'on les
croit
guéris. M. de GAvAiiDiE. Parfaitement ! M. le
uez-le bien, niessiciiis, - on n'a pas assez insisté là- dessus, je
crois
que votre disposition n'est pas pratique. Le no
idérations sur cette variété de vésanie, plus fréquente qu'on ne le
croit
. Il n'est pas rare d'observer en effet, dans un
ien évident qu'il s'agit ici encore d'une folie communiquée. Nous
croyons
donc qu'il serait bon de substituer à tous ces
prits, telle que nous venons de l'esquisser, qu'il faut rechercher,
croyons
-nous, le secret de ces grands 1 G. delà Tourett
n accès de somnambulisme. Enfin, peu satisfait de sa trouvaille, il
crut
reconnaître dans la personne de son domestique
emi-ébriété. Pendant qu'ils étaient attablés au cabaret, l'un d'eux
croit
trouver un véritable trait d'esprit en proposan
cier aux délires les plus invraisemblables, même les plus absurdes,
croire
à des persécutions par l'électricité, le magnét
a toujours un cachet frappant d'excentricité, tellement que pour y
croire
, il faut être déjà malade soi-même. En d'autres
de dégéné- rescence. Depuis un an, elle s'occupe de spiritisme, et
croit
à la réalité des esprits , ainsi qu'à leur inte
a communiqué ses idées délirantes. Celui-ci, usant d'imitation, se
croit
également possédé, et se livre à des contorsion
blement en voie d'évolution. Complètement résignée, elle commence à
croire
que ces opérations n'ont qu'un but, celui delà
op compliquée pour son entende- ment ; à défaut de comprendre, elle
croit
aveuglément; elle sait et croit que sa mère est
ment ; à défaut de comprendre, elle croit aveuglément; elle sait et
croit
que sa mère est persécutée, et, partant de cette
lui lançait : «Est-ce que tu ne sens pas ? » Elle répond « oui, je
crois
que ça sent, » et aujourd'hui, interrogée à ce
ur sur les grands boulevards, en compagnie de sa fille, lflme L...,
croit
entendre tout à coup un passant chuchoter un mo
son adresse. Elle fait part de son hallucination à sa fille qui la
croit
immédiatement sur parole. A quelque temps de là
'elle est morte par pendaison. Cette mort semble inexplicable. Anne
croit
à l'intervention de personnes malveillantes qui
n comparait ses douleurs à des coups de poignard, à chaque coup, il
croyait
que ses reins s'ouvraient en deux. 3. PÉRIODE
araplégies des douze autres cas étaient toutes spasmodiques. Nous
croyons
pouvoir considérer cette loi comme complète- me
la myatro- phie n'a figuré dans aucune de nos observations. Nous
croyons
pouvoir annoncer que dans l'immense majorité de
t. Ce bien-être a duré à peu près deux heures; ses compa- gnons ont
cru
que l'accident était fini. A 8 heures du soir, to
ant son accident. Pas de vertiges, pas de douleurs lombaires; il se
croyait
sauvé et considérait l'accident comme fini, mai
om- plètement disparu et le bien-être est parfait; le ma- lade se
croit
tout à fait guéri jusqu'au moment où l'invasion
ent des mouvements procursifs par des accès type d'épilepsie. Aussi
croyons
-nous utile de dire quelques mots de la physiolo
sont-elles encore entourées d'une très grande obscu- rité. Nous ne
croyons
pas que nos observations soient à l'abri de tou
xie pachydermique sont beau- coup plus communs qu'on ne pourrait le
croire
, si l'on en jugeait d'après le petit nombre des
eillance, M. 1'iccta rappelle un exemple qui lui est personnel : on
crut
que l'excès de précautions exagérait chez lemal
. (Très bien, très bien ! sur plu- sieurs bancs.) SÉNAT. 461 Je
crois
donc que c'est par une confusion d'idées que les
) SÉNAT. M. DELSOL. Permettez ! vous dites que cela suffit.' ? On a
cru
que cela suffisait; mais l'expérience a démontr
ans toutes les informations, dans tous les renseignements qu'elle a
cru
devoir prendre pour vous proposer quelque chose
purement et simplement son rapport. Il fera ici la même chose. Je
crois
avoir répondu, messieurs, au nom de la commission
réponse, si vous voulez bien l'écouter avec bienveillance, sera, je
crois
, décisive. Voix nombreuses. La clôture ! la clô
ur la proposi- tion de la question. M. de Gavardie. Messieurs, ne
croyez
pas que je veuille employer un moyen détourné d
M. Combes voulait changer deux mots seulement à son amendement, je
crois
que la question pourrait être posée d'une maniè
cin « statuera». Ce mot semble impliquer une décision. Nous,- et je
crois
que c'est, au fond, l'avis de l'honorable M. Test
rend un avocat. Mon Dieu ! je ne veux pas médire des avocats ; mais
croyez
-vous qu'ils soient, la plupart du temps, bien p
e sera le même'jugement entendez bien cela. Les races futures ne le
croiront
peut-être pas ! ... (Hilarité.) Mais... non, me
e opinion, mais vous me troublez un peu par votre interruption ; je
croyais
que vous étiez absolument de mon avis. (Nouveau
e la rédaction de l'article 21 appelle quelques observations, et je
crois
utile de les soumettre à la commission, pour qu
s consultez les jurisconsultes qui siègent dans cette assemblée, je
crois
qu'ils seront unanimes à vous dire que ce n'est
i a été faite par l'hono- rable M. Delsol. Le tribunal, quand il le
croira
nécessaire, fera comparaître le prétendu aliéné
il y a un instant, par l'honorable M. Lacombe. Voici pourquoi : Je
crois
que dans la discussion qui a eu lieu devant le
ndant un certain temps dans des hospices d'aliénés. Est-ce que vous
croyez
que ces arrestations auraient été possibles ave
ns ' réservé un amendement de M. Bardoux sur l'article Il ; mais je
crois
que complète satis- faction lui est donnée par
gné cette publication de quelques notes criti- ques sommaires. Nous
croyons
devoir revenir aujourd'hui sur quelques points
la nouvelle LOI sur les aliénés. En reproduisant ces débats, nous
croyons
être agréable à tous les médecins des asiles d'
ura environ deux années, au bout desquelles la malade succomba je
crois
, à une pneumonie. En mars 1890, j'ai reçu la vi
érer d'un cancer 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. de la langue dont elle se
croyait
atteinte. ,Toutefois, avant d'aller consulter u
'a pas permis de con- firmer. De plus, cette jeune femme éprouve ou
croit
éprouver, de ce côté de la langue, un sentiment
sur la conduite des dentistes que cette malade a consultés; je veux
croire
qu'ils n'ont agi que par ignorance de l'état me
il lisait des livres de mé- decine et s'efforçait, suivant ce qu'il
croyait
être de son intérêt, de prouver les erreurs de
de toute autre intervention. En me quit- tant, M ? de X..., que je
croyais
avoir persuadée, me déclara qu'elle allait chez
refusai obstinément, lui représentant qu'elle devait d'autant plus
croire
que dans ce cas particulier, le conseil que je
ayant été appelé à donner des soins a de X... après bien d'autres,
crut
à une contraction réflexe des masséters produit
s, le succès parut devoir légitimer le parti si radical qu'on avait
cru
devoir prendre; la malade ouvrait un peu mieux
constances tellement étranges et rendues publiques, qu'elle fut, je
crois
internée pendant un certain temps, puis rendue
t donc à une 'forme spéciale du mouvement. A cette époque, Herzen
croyait
encore avoir à se défendrede confondre l'esprit
in les hallucinations motrices de tant d'aliénés et de spirites qui
croient
voler. et celles en particulier des sorcières,
ut im- primer des mouvements étendus à ses membres inférieurs. On
croirait
alors qu'il y a paresse ou simulation chez elle,
contre à ce moment, une telle hypéresthésie du long du rachis qu'on
croit
à une méningite cérébro-spinale. En juillet 188
e l'écorce cérébrale des singes, et nous avons donc toute raison de
croire
.' que coeteris pansus, les relations fonctionne
de différentes régions corticales en certains cas, m'ont conduit à
croire
que ces mouvements peuvent avoir une significat
en exprime quelque doute sur ce sujet. Singer et Munzer cependant
croient
qu'il y a une- décussation complète chez le pigeo
ont pas altérés et leur nombre n'est pas diminué, ce qui autorise à
croire
que la production de la me- themoglobine ne rés
et entretenue par une névralgie frontale obsédante; cette femme se
croit
un animal dans la tête, le diable dans le corps
les idées avec délire. Les allures du sujet changent quand il ne se
croit
pas observé. P. K. XIX. Sur la pathologie DE
mais il estime que ces symptômes n'ont rien de caractéristique. 11
croit
toutefois devoir signaler la remarque qu'il a f
ression de sulfonal fit disparaître tous les phénomènes. M. Fischer
croit
que le sulfonal agit dans l'écorce grise. P. K.
SOCIÉTÉS SAVANTES. 111)9 thérapeutiques. Beaucoup de nos malades se
croyaient
plus amé- ];ores par l'électothérapie que par l
'elle faisait une tentative d'asphyxie par le charbon. M. Garnier a
cru
pouvoir conclure qu'au moment du suicide, la ma
sentant des troubles de la sensibilité et de la motilité d'un côté,
croyaient
tenir dans la main paralysée une sphère lourde al
in paralysée continue à tenir pour lourde la sphère légère. Il faut
croire
dans l'espèce ou bien que l'activité musculaire
e en trois groupes. SOCIÉTÉS SAVANTES. 1 T 1 d'Oppenheim, mais il
croit
plus exact de se rattacher à la manière de voir
pathologie mentale. En 1843, parut le travail sur la stupidité. On
croyait
alors que cet état consistait dans une suspension
t M. Falret appelèrent l'attention sur la folie à deux périodes, on
crut
, et moi comme les autres dans mes écrits sur ce
mouvement que l'artiste a voulu représenter. 150 BIBLIOGRAPHIE.
Croit
-on, pa"r exemple, qu'un semblable travail ne soit
rettant les propor- tions prises par quelques-uns de ces asiles, je
crois
qu'ils cons- tituent le meilleur mode d'assista
revenir à notre première question, où commen- cera le délit ? Nous
croyons
que le moment n'est pas venu d'en- lever ces ex
en tenant compte de ce fait ' que la malade était hystérique, on a
cru
devoir après consen- tement préalable de la mal
ée et que l'autre est hésitante. Au premier abord, vous vous êtes
crus
en présence d'un ataxique; la constatation du s
ian, qui poursuivit longtemps des recherches sur ce pointsi obscur,
crut
un moment l'avoir élucidé. Non seulement il ava
degré l'action nocive de l'alcool. D'ailleurs, il ne faudrait pas
croire
que, dans les paralysies alcooliques, la moelle
ue dans les territoires nerveux paralysés. Pour ma part j'incline à
croire
que, dès l'instant où quelques sujets sont port
e perceptible. Comme elle s'arrache facilement avec la pie-mère, je
crois
que c'est au manque de précaution ou aux diffic
orne d'Ammon, dans la région de cette circonvolution. Si je me suis
cru
autorisé à fixer mon choix sur la circonvolutio
n à mes notes bibliographiques. De leur lecture, il résultera, je
crois
, que si je n'ai pas atteint le but, je m'en suis
corps cal- leux, le prolongement supérieur du corps godronné. Je
crois
que, prévenus maintenant, les anatomistes re- t
héories de Blocq, et nous avons dit pour quelles raisons nous avons
cru
devoir adopter cette der- nière opinion. VIII
t à neuf dixièmes de degré, pendant une ascension très rapide. « Je
crois
donc, conclut Herzen, que, dans certaines condi
'émotion. » Dans de pareilles condi- tions, il n'est pas absurde de
croire
que des régions étendues de l'écorce participen
uvait parler, mais elle parlait d'une façon inintelligible et on la
croyait
quelques fois ivre. Non seulement elle ne pouva
insi les idées de Baginsky et Fleschsig. - Nous avons donc sujet de
croire
que les fibres centrales des nerfs auditifs ne
archer, ni se tenir debout, ni rester assise dans son lit. L'auteur
croit
que l'obs- tacle à la station provenait non pas
es cérébraux jusqu'au niveau de la frontale ascendante. M. Schloess
croit
que la chute a produit un raccourcissement du d
sible d'édifier une théorie basée sur ce cas, car il entraînerait à
croire
que les fibres destinées à la moitié postérieure
tomie ET DE physiologie pathologiques. sance ; il est impossible de
croire
qu'elles se réunissent au tuber- cule quadrijum
e même que la cécité survenue avec une rapidité si grande faisaient
croire
à l'existence d'autres foyers pathologiques dan
rler jusqu'au jour que ces choses arriveront, parce que tu n'as pas
cru
à mes paroles qui s'accompliront en leur temps.
nt d'éloges, de tant de solennité; vous n'y comprenez rien, vous ne
croyiez
pas avoir tant mérité; bien d'autres choses enc
auteur de cette tentative de meurtre eût été arrêtée, Mme Millet se
croyait
continuellement sous le coup d'une attaque semb
istes donnant des représentations sur les scènes théâtrales ; mais,
croyez
-moi, n'usez pas de ces moyens, lesquels rendent
l'hémiplégie alterne pédonculo-protubérantielle. Et, cependant, je
crois
pouvoir affirmer d'ores et déjà que l'hystérie
m'objecterez-vous, expliquer cette paupière tombante ? Eh bien, je
crois
qu'il s'agit ici non de paralysie mais de spasm
t que ce signe précieux et désirable, ce caractère différentiel, je
crois
en vérité que nous avons eu ces jours-ci l'heur
e parce que nous ne savions pas le voir. C'est là un signe que je
crois
appelé à rendre de réels services dans les cas
tiel que nous venons d'étudier. \ En définitive, nous pouvons, je
crois
, nous arrêter chez notre malade au diagnostic d
Il se précipitesur quelqu'un. Ses poings sont serrés... Puis il se
croit
à cheval, tire sur la bride comme pour arrêter sa
à l'eau. Viens ici... Où en vois-tu ? je n'en vois pas du tout. Tu
crois
qu'ils vont sortir de l'eau ; t'es bêbête L.. o
lles il assiste ou prend part et qu'il mime tellement bien que l'on
croirait
presque y assister avec lui. Verre rouge. -Il v
sclelose en plaques ou dans la paralysie losso-l abm-laryuée. Je ne
crois
pas que ce soit un bègue. » * Archiv. de Neur
bègue ait prédisposé le jeune T. à contracter le bégaiement ». Je
crois
pouvoir affirmer que le fait d'avoir cohabité ave
bégaiement est une manifestation symptomatique de l'hystérie. Je
crois
que je ne suis pas le seul à trouver excessive ce
e, donne le mieux l'idée du plus cons- tant de leurs caractères, je
crois
ne pouvoir mieux faire que d'employer, jusqu'à
ces, les animaux ne furent laissés en vie long- temps, parce que je
croyais
nécessaire de les tuer dès que les symptômes av
dégénérescence descendante est due à cette cause-France, cependant,
croit
que la dégénérescence occupe une région différe
leux. -Coa, commissure antérieure - Fcl, colonne du trigone. - Fer,
croit
du trigone. - CAm, corne d'Ammon. - z Tf. tuber
t son rapport apparent avec le gyrus fornicatus avait amené Broca à
croire
qu'il y avait un rapport entre le déve- Joppeme
. Les résultats généraux de mon expérience me por- tent cependant à
croire
que les sens du goût et de l'odorat de l'ani- L
ublié par Westphal '. Mais la cause réelle de ces symptômes est, je
crois
, l'extension de la lésion aux cordons sensitifs d
rant centri- fuge, naissant des centres moteurs. Nous n'avons. je
crois
, aucun sens de l'innervation indépendam- ment d
ation semblable que j'avais faite auparavant. C'est une raison pour
croire
que les mouvements latéraux de la tête et des y
t qui ne soient susceptibles de différentes interprétations, que je
crois
sage d'attendre une lumière plus grande avant d
sinuer, depuis la promulgation de la loi de 1838 et à qui fera-t-on
croire
que des erreurs médicales seront évitées parce
isse pas que d'être délicate et difficile, et M. Cottignies n'a pas
cru
devoir la discuter. Il se contente de consacrer
ont ses craintes au sujet des récidives possibles. M. leur Langlois
croit
que le danger est moindre quand l'aliéné guéri
le est, en effet, d'abord isolée fugace, mal définie ; le malade se
croit
l'objet d'une persécution dont il ne peut à l'o
s et de persécution. Si dans le délire de persécution l'individu se
croit
d'emblée la victime de telle ou telle personne,
personnifie son délire et il accuse les machinations de ceux qu'il
croit
être ses ennemis. 5° Manie. Démence sénile. Par
ives. Ces faits ne servent qu'à réveiller l'image des paroles qu'il
croit
avoir été pro- noncées. Ainsi, non seulement ce
s qu'il croit avoir été pro- noncées. Ainsi, non seulement ce qu'il
croit
qu'il aurait pu entendre mais encore ce qu'il v
ns son esprit, parce qu'il fait attention à ces images, parce qu'il
croit
qu'il lui est possible de les voir, parce qu'il
. Falret, tout en partageant au fond les mêmes idées que M. Magnan,
croit
devoir admettre comme une variété clinique méri
tion mentale de même nature. C'est à cette dernière influence qu'il
croit
devoir attribuer l'aritlimonlanie en raison de
e, il n'ajamais oubllié ses débuts dans la médecine men- tale et il
croit
en avoir donné la preuve dans son rapport au Séna
moment de proposer SOCIÉTÉS SAVANTES. 4M u sa réforme au Sénat il
crut
devoir en parier Gambetta et lui demander son a
arthropatique - l'hypertrophie du pannicule adipeux. De plus, il ne
croit
pas que les deux formes établies par l'auteur s
et ouvrage un guide : aussi regrettons- nous que l'auteur n'ait pas
cru
devoir donner une bibliographie un peu plus dét
l'école anglaise. Si autrefois, E. Kant partageait ce doute, on ne
croyait
pas à la possibilité d'établir une psychologie
dans cer- tains cas, mal déterminés encore, il est arrivé qu'on ait
cru
voir ou entendre une personne absente. La Socié
ue branche de l'astérie constitue un individu, un zonite,de même je
crois
que chaque hémisphère cérébral avec la moitié d
t à interroger la biologie. Voici comment : Comme sociologiste je
crois
: 1° Que l'homme est fait pour vivre en Société
l n'y a pas de liberté. C'est donc que tous les hommes ont toujours
cru
à la liberté, et se sont pratiquement conduits
sont pratiquement conduits comme s'ils ne pouvaient pas ne pas y
croire
les farouches déterministes compris. Contre cet
t-elle des motifs pour douter assez de mon unité,pour que je puisse
croire
à ma liberté, postulat nécessaire en morale et
es deux hémisphères. Sans pré- juger de la théorie en elle-même, je
crois
qu'il faut renoncer à em- ployer ce fait partic
Bérillon sur le fonctionnement indépendant des deux hémisphères. Je
crois
en avoir parlé dans divers endroits de mes livr
édoublement sont simplement des suggestions à point de repère je ne
crois
pas que l'on pos- sède aujourd'hui un fait psyc
poser le problème dans toute son ampleur ? Si oui, voici ce que je
crois
: je crois jusqu'à plus ample informé que l'hom
roblème dans toute son ampleur ? Si oui, voici ce que je crois : je
crois
jusqu'à plus ample informé que l'homme (et avec
e tient à signaler l'uni- cité primitive du poumon, et en cela nous
croyons
qu'il a tort. Les deux bourgeons pairs et bilat
de tout organe médian quelque apparente que soit cette unicité ? Ne
croyait
-on pas avant Chabry la corde dorsale une d'ori-
prouvez-moi, qu'il est né d'une cellule unique ; car si je le puis
croire
constitué primitive- ment par deux cellules don
Con- cluons donc -qu'en l'état actuel de la science il y a lieu de
croire
que tous les organes médians, même ceux nés d'u
particulière importance aux or- ganes nés du tube digestif, nous ne
croyons
pas devoir nous re- fuser à l'étudier sommairem
signification réelle. En sus nous est avis qu'il s'est trompé. Nous
croyons
que le tube digestif est originellement dou- bl
r lui ni par autre.- Eh bien, dussé-je blesser M. Bonne, je préfère
croire
M. Yves Delage. Il me suffit d'ailleurs, pour m
onjuguée qui les attend. Quod erat demonstrandun. - CONCLUSION Je
crois
avoir répondu aux principales objections de M. le
la nécessaire Société. c) Tous les hommes, d'ailleurs, ont toujours
cru
, y compris ceux qui, se disant déterministes ou
cessaire Société, cette liberté en qui tous les hommes ont toujours
cru
. cette liberté se heurte à un raisonnement de p
orant que je suis ne prétend pas avoir prouvé cette thèse ; mais il
croit
l'avoir posée. Je renvoie à mon livre ceux qui
une longue citation et d'en justifier ainsi l'insuffisance. Chabry
croyait
avoir créé des hémilar- ves ; les recherches de
e le dernier soit l jamais perpendiculaire au premier, ainsi que le
croyaient
les pre- miers expérimentateurs, qui pensaient
301) et conclu que cette indépendance, bien moindre même que ne le
croyait
Ribot, ne pouvait aucunement justifier' la théo
vec la nécessité de leur collabo- ration, même dans des cas-où l'on
croyait
jadis la disjonction pos- sible. Mais, sans mêm
lace postérieure du coude. L'enquête soignée à laquelle nous avons
cru
devoir nous livrer en présence des phénomènes p
s des formes organiques -en quelque sorte ina- chevées. M. Turner
croit
avoir démontré que dans les cas qui servent de
LOGIE NERVEUSE. 75 1ère le processus d'ossification. L'auteur avait
cru
possible de mo- dérer la sécrétion hypohysaire
écriture des médiums ou psycho- graphie : dans celle-ci le sujet se
croit
le simple instrument d'une volonté étrangère, t
érations sur l'éducation des aveugles. M. MULOT. - Il est erroné de
croire
que, chez les aveugles, l'ouïe et le toucher so
des crises asphyxi- 'lues subintrantes, pendant lesquelles elle se
croit
étouffée dans les bras du fantôme. Elle est par
étonnée d'apprendre qu'on n'est pas au (j septembre, comme elle le
croyait
, mais au 18. Dans la suite, elleeutencore plusi
i finir mes « malheurs, .le ne regretterai que mes chers petits. Tu
crois
qu'ils on du cour ! Ma petite Charlotte est mor
jusqu'ici je n'ai pu avoir que sommairement ; encore « je ne puis y
croire
; les uns, disent oui les autres non. « Comment
ns ce lit de la « Grimaudière, et que ce soit un mardi, quand je me
croyais
chez " moi vendredi vers 3 heures ? Comment cel
té, vous « devez tout savoir, j'étais furieuse mardi (puisque je me
croyais
« samedi) après mon mari, et je lui en veux de
s fort étonnée et fort en colère d'être dans un lit de «l'asile, je
croyais
bien être citez nous, d'autant plus que, depuis
appelle la violence et les procédés de bruta- lité avec lesquels on
croyait
guérir autrefois ces mal- heureux et rend homma
t pas que le médecin prononce jamais ce mot de responsabilité. Je
crois
avoir répondu à cette objection en définissant le
exte, tant qu'il n'y en a pas d'autre. Mais il serait désirable, je
crois
, que la loi fût modifiée à ce point de vue et i
t l'asile plutôt que la prison, mais jamais le non-lieu. Bref, je
crois
que, pour atténuer les divergences d'opinions q
des conclusions de cette espèce sont un peu boiteuses, mais je les
crois
fondées en justice et en raison. M. Paris (de
ie et la mélancolie, loin d'être des états contraires comme on le
croyait
généralement, sont des états homologues caractéri
. , Ces considérations, si brèves qu'elles soient, permettent. je
crois
, de conclure que l'expression de psychose maniaqu
folie maniaque dépres- sive », celui de ne pas être élégant. Je ne
crois
pas qu'au cours de cette affection il puisse ex
s vésaniques où prédomine plus ou moins le symptôme périodicité, je
crois
avec Morel que la périodicité et l'alternance s
déterminée et n'a pas de signi- fication étiologique précise. Nous
croyons
qu'il convient de le considérer ici comme un té
ll pour refuser à Pa toute représen- tation motrice. En effet, nous
croyons
qu'on doit faire quel- ques réserves en faveur
un lien entre eux ' ? . , -- M. Claude, d'accord avec M. Raymond,
croit
avoir trouvé ce lien dans une « modification pl
désigne, il doit s'appliquer exclusivement au premier groupe. Je
crois
donc pouvoir dire que la définition de l'hystérie
ous les spécialistes de la peau, à l'exception du prof. Gaucher, ne
croient
à la nature hystérique de pareils troubles. M.
sés. Dans les deux cas il fait oeuvre d'historien et de savant. Je
crois
que l'on comprendra ainsi toutl'intérêt de l'orig
d'avoir renouvelé l'aspect d'une question qui semblait classée. Il
croit
aussi que l'infection joue un grand rôle et il
t, inefficace. M. Dsa>Jttlrr. (Paris). Pour sa part, l'auteur ne
croit
pas à l'action du traitement mercuriel dans le
t nous ne men- tionnerons que l'intérêt macroscopique, n'avons nous
cru
devoir étudier que les observations nettement d
INFIRMIERES HOLLANDAISES. 207 et de plaindre la naïveté de ceux qui
croient
à ces contes mer- veilleux. J'espère vous l'air
s le sens sus-indiqué. A cette nouvelle conception de l'aphasie, je
crois
pouvoir opposer les faits suivants : a) Un ca
lié- nés en son entier a fait des progrès sensibles. Tout porte à
croire
qu'aussi bien pour l'assistance des aliénés et
! tous les parfums de l'Arabie ne l'enlèveront pas... qui aurait pu
croire
que le vieillard eut tant de sang... » Ce genre
les maladies mentales ; mais dans toute la pathologie mentale je ne
crois
pas que l'on puisse trouver un délire semblable q
dant le développement de son délire, le sujet, non seule- lement ne
croit
rien, n'accepte rien qui soit en opposition avec
médiamique avec les diverses obsessions des psychasthéniques. Je
crois
que ce sont des phénomènes voisins, mais qu'il y
au- tres malades qui n'ont pas du tout l'état mental hystérique, je
crois
qu'ils peuvent se développer dans beaucoup de n
tivement intacts, caractères qui sont l'essentiel de la maladie. Je
crois
qu'il est plus important de faire entrer dans la
à des individus non hystériques, jamais je n'ai pu réussir et je ne
crois
pas qu'on puisse réussir. Je dis donc que l'hys
nés du Progrès Médical et des Archives de Neurologie : 4 fr. Nous
croyons
utile en guise de compte rendu de cette thèse,
és physiques, intellectuelles et morales, absence de travail). A en
croire
ces égoïstes, ces utilitaires, on ne s'occuperait
a folie d'un CANOKMER. - Pris d'un accès de folie subite provoquée,
croit
-on, par l'abus de l'alcool, un canonnier du 5 d
urs et de se représenter plus pure qu'elle ne l'est. On ne peut pas
croire
non plus que Mme .1. simule la particularité (
abord. Seules, des personnes ne sachant rien de la médecine peuvent
croire
qu'il se réduit à la désignation d'un médecin a
ent que l'on a parfois reproché à quelques-uns de nos collègues. Je
crois
plutôt que, d'une entière bonne foi, ils se cré
ivement dans l'impossibilité de donner jamais de tels avis. Je ne
crois
pas non plus qu'aucun des législateurs dispo- s
oit encore parfois, dans l'armée, quelques-uns de nos confrères qui
croient
devoir être plus militaires que médecins, Leurs
ratique médicale, avaient doucement poussé certains aliénistes à se
croire
bons fonctionnaires parce qu'ils n'étaient plus
vacuo. Bien des points de cette observation sont incom- plets ; on
croit
quelquefois pouvoir s'occuper moins d'une « ban
yant fait de grosses pertes d'argent dans une affaire industrielle,
crut
se rétablir ne Archives, 3' série. 1907, t. II.
le monde me connaît dans votre quartier, je n'y comprends rien, je
croirais
qu'on me suit «. « C'est comme moi ; dit M ? e Gr
lle et sa maîtresse. La servante dit de son propre mouvement : « Je
crois
être suivie ». La maîtresse répond aussitôt : J
délire avait progressé plus rapidement que chez sa maîtresse. Nous
croyons
aussi que celle-ci, par nature était assez peu
du délire se font jour for- mellement dans des phrases ; la malade
croit
à certaines accusa- tions, s'accuse par exemple
a dit aussi qu'on connaissait mes pensées, mais je ne savais que
croire
, ce n'était peut-être qu'une idée à moi, Je n'y s
e dialoguait avec son réveil. Elle se di- sait une criminelle, elle
croyait
qu'on lui avait coupé et recousu une fesse. C'e
re de Marie Forel, il n'y a pas place pour la mégalomanie : elle ne
croit
pas à la possibilité d'un évènement heureux pou
e croit pas à la possibilité d'un évènement heureux pour elle, elle
croit
seulement à la richesse de son amie, et encore,
n'était pas constitutionnellement préparé. Seulement Marie Forel
croit
à la richesse de M'ue Granet, et celle-ci croit
ement Marie Forel croit à la richesse de M'ue Granet, et celle-ci
croit
au phonographe de son amie ; leurs croyances dé-
tudes toutefois tendent à limiter leurs croyances; M"'s Gra- net ne
croit
pas au langage du réveil, ni aux résections mys
pas au langage du réveil, ni aux résections mystérieuses ; elle ne
croit
pas non plus à la culpabilité de Marie Forel, e
ion et en même temps la crédulité. De son côté Marie Forel, si elle
croit
à l'existence des ri- chesses de lt ? Grasset,
ction de plusieurs individualités connexes. Pour cette raison, nous
croyons
que les délires, en tant que collectifs, offren
paroi gauche du pli interfessier.En ce dernier point,il y a lieu de
croire
qu'un objet dur,reposant sur le sol,a produit une
ant sa période de nar- 342 CLINIQUE MENTALE. cose, notre malade u
cru
se sentir opérée. Ses talons et ses fesses ont t
pas mise dans l'erreur. J'avais pour- tant des raisons sérieuses de
croire
; l'attitude de M. W..., (Ser- vice de la Sûret
beaucoup de monde. Si je me suis trompée qu'on me le dise, je vous
croirai
, je vous promets de ne plus écrire, je travailler
u juste. Peut-être désire-t-on la remettre avec son mari qu'elle ne
croit
pas mort, puisque les papiers qu'on lui a fourn
x hommes de loi lors de la vente de sa maison. Dernièrement, elle a
cru
à un empoisonnement. Elle a déjeuné, sans le sa
ment. Nous avons enfin observé chez la malade des gestes que nous
croyons
devoir considérer comme une réaction de défense.
appelle que la lésion du tabes est bien moins systématisée qu'on le
croyait
; qu'Alzheimer a constamment trouvé la pie-mère
e tous les phénomènes organiques qui les accompa- gnent et que l'on
croyait
être des effets. La colère est un état psychiqu
médecine dont pour- rait dépendre cette couleur des selles, il faut
croire
que cette couleur est due à l'altération du san
ministration et le corps médical de l'Asile de Mombello, nous avons
cru
devoir en relater brièvement les grands traits
e les lésions organiques proprement dites, mais il y a tout lieu de
croire
qu'elles nous seront dévoilées un jour. C'est p
en que nous n'en sommes encore qu'à cette période enfantine où l'on
croit
que « péché caché est à moitié pardonné » et qu
e nocturne, qui a des mictions fréquentes et impérieuses diurnes,
croit
en réalité qu'il urine plus que normalement. L'en
médecin, quelle que soit d'ailleurs son expérience personnelle, se
croie
autorisé à employer la morphine et le bromure,
t la guérison est obtenue et l'enfant ne m'ayant pas été ramené, je
crois
pouvoir en conclure qu'elle s'est maintenue.
ette présence, pendant le sommeil, de l'idée suggérée, qui lui fait
croire
le matin à son réveil, qu'elle s'est levée pend
ement. La suite de cette opération est des plus intéressantes; je
crois
devoir la donner ici : 3 mai. Elle a uriné extr
e d'uriner. . 15 juin 1896. L'enfant ne m'ayant pas été ramenée, je
crois
pouvoir en conclure qu'elle est de nouveau entr
ais il n'a pas dépendu de nous que le traitement fût continué. Nous
croyons
deviner chez cet enfant comme chez le précédent
jours avant que nous l'exami- nions, le malade, frôlé par un chien,
crut
avoir été mordu et se montra en proie à une viv
OBSESSIONS, ETC. 35 il nous prie de le lui rendre parce qu'il a pu,
croit
-il, a écrire des choses compromettantes pour lu
l se plaint vive- ment de ce que cet homme s'est déchiré pour faire
croire
qu'il avait été battu par lui. ' Les craintes
aucune mauvaise ac- tion. » Puis, s'adressant à sa soeur : « Ne les
crois
pas, ils mentent. Ils m'accusent parce qu'ils v
Le malade craint d'être accusé, il ne cesse d'avoir des doutes ; il
croit
qu'on veut le tuer, le livrer à d'affreux sup-
ine musculaire n'est pas si nettement tran- chée qu'on aurait pu le
croire
tout d'abord et qu'entre les deux formes extrêm
éressant malade dont l'histoire fait l'objet du présent mémoire, on
croit
avoir affaire, à ne considérer que les membres
cette dernière étant liée à l'hystérie plus étroite- ment qu'on ne
croirait
. Dans le second groupe, on trouve la névras- th
elles des syphilitiques s'accompagnent plus fréquemment qu'on ne le
croit
de lésions organiques, qui, sans être forcément
soi légères mais constituant autant d'épines orga- niques. L'auteur
croit
que l'irritation spinale commune s'accom- pagne
ns tous ces cas, on a constaté le signe de Westphal, il y a lieu de
croire
que la paralysie péronière tenait à une lésion
s postérieurs, ainsi que l'ont signalé Strum- pell et Marie. Nous
croyons
pouvoir en terminant apporter les conclusions s
l d'un cerveau chroniquement malade, on est naturellement conduit à
croire
à une simple progression du mal primitif ; s'ag
avec l'état intellec- tuel, ces constatations faisaient fatalement
croire
à une para- lysie générale pure et simple à mar
chef, la quantité d'alcool absorbé est bien plus grande qu'on ne le
croit
généralement, et qu'elle surpasse de beaucoup cel
e véritables dissertations cliniques très intéressantes souvent. Je
crois
que cela est dû à l'influence de Lomhroso et de
ue le fou. Une grand'tante paternelle était idiote de naissance, on
croit
qu'elle mourut assassinée par son frère, grand-
femme. Cette histoire était fausse, mais Ernestine très jalouse la
croirait
vraie etelle romprait avec V..., ce dernier en
ssions sem- blahles aux « idées impératives » de Back Tuke. I ! les
croit
souvent dues à la fixation des fantaisies du rê
sage immodéré du mot dégénéré. « L'abus actuel de ce terme laisse
croire
qu'il désigne tous ceux qui ne sont pas conformes
n'a pas existé au moment précis de l'exécution de l'acte : l'auteur
croit
même que la volonté est intervenue également, si
les signes de dégénérescence a été peut-être exagérée par ceux qui
croient
avoir trouvé dans ces signes de dégénérescence
ns la production de la folie. Il n'y a, cependant, aucune raison de
croire
qu'un usage modéré de l'alcool doive conduire à
e et tout en le rejetant au point de vue médico-légal, c'est que je
crois
devoir tenir compte des vues très divergentes d
fait qu'elles sont des phénomènes subjectifs, et que les malades ne
croient
pas à leur réalité extérieure. Quel est le rôle
elles sont-elles ? Ce sont les persécuteurs dégénérés, s'il faut en
croire
M. Magnan : la trans- formation des délires che
ne sont pas à l'honneur de nos adminislrations qui se disent et se
croient
républicaines, mais ne comprennent pas leurs de
rivée. II. Avant d'entrer dans la description de la méthode, nous
croyons
utile de s'entendre sur la dénomination de la m
de. Avant d'analyser les résul- tats obtenus chez nos malades, nous
croyons
utile d'exposer ici la théorie de la méthode de
nt, l'intervention de la volonté devient tellement minime, que nous
croyons
les exécuter sans le contrôle de notre conscien
sensibilité musculo-articulaire. V. Analyse DES observations. Nous
croyons
inutile d'insister sur le diagnostic chez nos m
ous les mouve- ments nécessaires pour la vie habituelle, et nous ne
croyons
pas que les exercices compliqués qu'on pourrait
s de France et des pays de langue française. Est-ce un bien ? Je le
crois
fermement. La division en deux' t groupes sépar
rçoivent des sons diti'érenciés qu'ils rapportent aux objets qu'ils
croient
les produire (perception auditive différenciée)
tion) ne donnent pas naissance à de l'épilepsie partielle. Donc, je
crois
la comparaison plus spécieuse et plus séduisant
tique progressive a nécessairement des hallucinations de l'ouïe. Je
crois
que nous devons considérer comme réel le phénom
SOCIÉTÉS SAVANTES. général beaucoup moins grande qu'on pourrait le
croire
: le plus souvent la partie qui se détache n'a
e d'accord au sujet de la pathogénie de cette affection. Charcot la
croit
duc à un spasme des vaso-moteurs, Pitres l'attr
server, l'acrocyanose s'est développée chez des hystériques ; aussi
croyons
-nous que ces phénomènes dépendent des troubles
ne sont cependant pas aussi rares qu'on le SOCIÉTÉS SAVANTES. 225
croit
communément. Mais, à cet égard, il convient de di
de pouvoir établir le pronostic de ces évolutions anormales. Je ne
crois
pas qu'il existe de signes permettant de l'établi
is pas qu'il existe de signes permettant de l'établir, cependant je
crois
qu'elles sont bien plus fréquentes dans la vari
-unes de mes malades et d'autres personnes ne sont pas éloignées de
croire
qu'elle dit vrai et qu'elle communique avec l'a
e M. Lamacq sur l'exis- tence des tremblements à l'état normal ; je
crois
que les sujets que l'on considère comme normaux
mouvements ataxiformes et cho- réiformes signalés par M. Lamacq, je
crois
que dans le plus grand nombre des cas ils doive
anormaux surajoutés au tremblement de la sclérose en plaques; je me
crois
donc autorisé à dire que les premiers relevaient
es premiers relevaient de l'hys- térie et je ne suis pas éloigné de
croire
qu'il en est souvent ainsi. M. PARISOT. - nu tr
e dissimulation peuvent parvenir à tromper le médecin et l'amener à
croire
à la disparition de conceptions morbides, alors
u stock des assistés et à l'encombrement des asiles. M. Giraud ne
croit
pas qu'il y ait intérêt à demander deux cer- ti
les asiles et des agréments dont on peut les entourer, le Dr Rouby
croit
que, sauf quelques rares excep- tions concernan
es dépenses nouvelles. Nous, médecins, je le redis, nous sommes, je
crois
, unanimes sur tous ces points. Il faut profiter
e faire à toutes les époques de la maladie. Il y a plus qu'on ne le
croit
générale- ment de difficultés de diagnostic ent
nt chez un de ses oncles et ayant soif, il prit une bouteille qu'il
crut
contenir du vin et la porta à ses lèvres; mais
convulsives de K... sont de nature complètement différente et nous
croyons
avoir assez longuement développé leur histoire
avorables dans les réfectoires, les vestiaires, etc., la commission
croit
qu'il y aurait avantage à employer exclu- sivem
2,000 cas de ces derniers dans les hôpitaux d'Etat; on aurait pu
croire
alors que cette accession allait diminuer le chif
igidité continue, caractéristique de l'affection, laquelle comme le
croyait
Vulpian, serait due à un léger degré de contrac
la pelade apparaît peu après l'une d'elles, on a quelque raison de
croire
qu'il y a entre la crise et la pelade une relat
lui je suis bien convaincu que c'est « se bercer d'illusions que de
croire
pouvoir connaître l'esprit humain avec le pléth
ment en général et partiel; parle du tremblement congénital dont il
croit
avoir observé un exemple et du tremblement par im
nore quels sont les motifs qui l'ont poussé à se donner la mort; on
croit
que c'est dans un accès de folie subite qu'il a
issent, douleurs peu violentes, plutôt gênantes, faisant sans cesse
croire
à la malade qu'elle a un corset trop serré. Elle
bes dans son lit. Quand elle marche elle ne sent pas bien le sol et
croit
toujours ne pas toucher [la semelle de ses bott
ur (une cuisson), qui persiste pendant plus d'une minute. Le malade
croit
que je l'ai brûlé avec un thermocautère. ' La
s les docu- ments réunis forment un ensemble de 5,730 pages. Nous
croyons
devoir résumer les résultats de cette enquête, ce
e faim, une autre fois, il chercha à se sauver. Tous ses camarades,
croyait
-il, étaient ligués contre lui. - R... aussi pré
the a plus que doublé en huit ans. En France, 700,000 bouilleurs de
cru
distillent une grande quantité de mauvaise eau-
ation des alcools, de la suppression du privilège des bouilleurs de
cru
, de la réduction du nombre des débits, des syst
vente et, pour cela, la suppression du privilège des bouilleurs de
cru
et le monopole pris par l'Etat de la rectificat
e-vie et entamé le privilège BIBLIOGRAPHIE. 399 des bouilleurs de
cru
; elle a voté en principe le monopole de l'alcoo
atteintes d'affections nerveuses et en particulier d'hystérie. Nous
croyons
utile d'en placer la relation sous les yeux de
es idées régnantes. Dans les temps antiques, les lypéma- niaques se
croyaient
poursuivis par la colère des Euménides ou des d
il se rencontrait des hommes sérieux et véritablement instruits qui
croyaient
avoir des rap- ports immédiats avec la Divinité
cinations accessoires autres. C'est ainsi que certains visionnaires
croient
entendre un accom- pagnement de musique séraphi
qui ne puisse par- ticiper à ces désordres, comme ces mystiques qui
croient
savourer dans leur extase la manne céleste. Les
'ont plus la conscience de ce qui se passe dans leur intellect. Ils
croient
, en s'écoutant parler, n'être pas moins passifs
s ou aux êtres réels qui les entourent. « Une ancienne religieuse
croyait
que ses chats parlaient plusieurs langues. Elle
a- lomanie de certaines formes modernes, où le malade arrive à se
croire
Dieu mais par une série de déductions délirantes
ôt ces malades conservent la notion de leur unité psy- chique et se
croient
les intermédiaires entre la divinité et le genr
inées) et ils les répètent. Tantôt ils sont directement inspirés et
croient
à une sorte d'incarnation en eux, de possession
ar l'esprit qui leur adressait la parole. Ceux qui, en improvisant,
croyaient
obéir tout simplement à l'impulsion du souffle
olition et de l'automatisme, en arrivent très ordinaire- ment, à se
croire
eux-mêmes Dieu '. » La nature exacte de tous ce
doutes. Il semble à ces malades qu'on leur parle en pensée ; ils
croient
converser d'âme à âme, avec des interlocuteurs in
ter sur toutes les circonstances de la vie la petite affaire qu'ils
croient
avoir au coeur et à l'estomac et qui leur donne
t, dans ce cas, si bien établie que les administrations subalternes
croyaient
à un fonds spécial et que la municipalité de 1\
- 1>lanL la tranquillité des habitants. Cependant j'ai lieu de
croire
que pendant un an environ jus- qu'au mois de ni
nts en bas âge; c'est un aliéné atteint d'idées ambitieuses, qui se
croit
le comte Thibault, le premier comte de Blois, e
taine rigueur vis-à-vis d'eux (qui tient, peut-être, à ce qu'on les
croit
tous incurables). Si l'on a préparé pour eux une
t encore de l'horreur, de la crainte et, la superstition aidant, on
croyait
encore (certains y croient toujours) que leur m
a crainte et, la superstition aidant, on croyait encore (certains y
croient
toujours) que leur maladie était due à leurs fa
te que les névrites ne sont pas rares chez les tuberculeux ; il les
croit
causées par les toxines tuberculeuses qui, comme
étion de l'urine. C'est pourtant ce que faisait, ou du moins ce que
croyait
faire Antoneili. La vérité est que pour être ce
militaire, le rendrait plus staLle. Très bon soldat au régiment, on
croyait
qu'il allait faire sa carrière dans l'armée, RE
sÍ.l- tible, tout en ayant conscience de lagravité de ses actes, il
croit
qu'ils n'étaient pas sans faire plaisir à ses v
ns l'asile de Koenigsberg ! . - Quant au pro- gramme à suivre, nous
croyons
que ceux des Écoles municipales et des Écoles d
rs mois, des douleurs intercostales, ce qui, un instant, avait fait
croire
qu'il s'agissait là d'une simple névralgie interc
dans le marasme. Autopsie : carie de la Ve vertèbre dorsale. Nous
croyons
devoir résumer en quelques mots une observation d
es il une né- vralgie phrénique et des troubles vésicaux ayant fait
croire
à l'existence d'un calcul. Dans ce cas existait
r du réflexe lumineux. Bien que le malade soit alcoolique, l'auteur
croit
pouvoir rapporter tous ces accidents au mal sou
que avec douleurs névralgiformes intenses pourra parfaitement faire
croire
à une polynévrite. Nous avons trouvé cette erreur
par terre, peuvent, comme dans le cas de MM. Raymond etHuet, faire
croire
à la myopathie. Mais, à un examen plus minutieu
, dans leur bel article récent sur le « Rhumatisme chronique » (3),
croient
que dans certains cas le froid humide jouerait
fication est secondaire, compensatrice, peut-être curatrice. Pour
croire
justifiée cette hypothèse, nous nous appuyions su
ur le champ et d'un coup de main, il l'a tué, déplumé et mangé tout
cru
. Il ne comprend pas ce qu'il y a d'anormal dans
plusieurs se- maines de fièvre accompagnée de diarrhées, le médecin
croyait
que, peut-être, cette croissance rapide des ext
te de la maladie dont le pauvre garçon'était atteint. La plupart le
croyait
souffrant d'une maladie de coeur congénitale, d
aucun symptôme de cette dernière hypertrophie chez notre malade, je
crois
que nous avons le droit de poser la question, s
landule thymus ou thyroïdea comme Mendel, Dreschfeld et S1W pell le
croient
vraisemblable ? Voilà le coeur de la question d
nce si importante sur l'organisme, je me sens ce- pendant obligé de
croire
qu'il existe un certain rapport entre cette gland
de Bicêtre. « L'autorité est une raison d'examiner et non point de
croire
. » C'est un enseignement excellent que nous a l
talmiques qu'on rencontre si souvent dans l'époque archaïque firent
croire
que l'exophtalmie était une particularité natio
S ADOLESCENTS Il est, à l'heure actuelle, difficile de se refuser à
croire
au rachitisme tardif. On a longuement rapporté
éomalacie spéciale des côtes ; elle est telle que pour un pou on la
croirait
primitive, et que l'on mettrait la scoliose au
outeuse. Au point de vue de la pathogénie de cette hypotrophie nous
croyons
qu'il faut faire intervenir la lésion cardiaque
actuellement une bacillaire pulmonaire. Il n'est pas témé- raire de
croire
que sa double lésion mitrale reconnaît pour cause
nt, il nous semble que l'opinion de M. le professeur Marinesco. qui
croit
qu'un élément nerveux s'est ajouté au cours d'u
en au- cune façon, l'honneur de la publication. Mais il y a que je
crois
devoir, à ce sujet, présenter une pathogénie ab
tirant vigoureusement à soi les racines rachidiennes ? Si l'on a pu
croire
jusqu'à présent qu'il s'agissait de paralysies pa
une paralysie de plexus, ou funiculaire, ni terminale, comme on l'a
cru
jusqu'à ce jour. II. La paralysie des béquilles
dues de la partie antérieure du lobe temporal (PI. XXXII, 16). Nous
croyons
qu'il appartient à la couronne rayonnante cortici
iori, cette constatation semble en contradiction avec nos idées, on
croirait
plus vo- lontiers que cette dégénérescence dépe
tiennent à la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital. Nous
croyons
qu'elles font partie d'un faisceau à part, que
de la pâleur générale de la couche sagittale externe, mais nous ne
croyons
pas que l'on doit la considérer dégénérée. La c
inférieure du segment vertical de la couche sagittale externe. Nous
croyons
que ces fibres tirent leur origine du corps genou
our nous, à un système à part, c'est-à-dire au système visuel. Nous
croyons
que ses fibres tirent leur origine du corps gen
he sagittale interne se comporte exactement de la même façon ; nous
croyons
que dans le lobe occipital, cette couche ne ren
ce de la couche sagittale interne, des radiations thalamiques. Nous
croyons
donc que les fibres dont est constituée cette c
ns déjà parlé des radiations du corps quadrijumeau antérieur ; nous
croyons
qu'elles proviennent surtout, sinon exclusivement
ns observé une grosse dégénérescence du fais- ceau de Türck. Nous
croyons
donc que ce faisceau provient surtout de la parti
'admettons pas qu'il soit considéré propre à ce dernier lobe ; nous
croyons
même que c'est au niveau du carrefour ventricul
le qu'où a appliqué le terme de « faisceau occipito-frontal ». Nous
croyons
que toutes ces fibres sont des fibres de projec
rne et qu'elle se dirige en dedans au-dessus du corps calleux. Nous
croyons
que les fibres de projection (de beaucoup les p
ection, la couronne rayonnante corticipète du lobe occipital ; nous
croyons
avoir précisé son origine dans le corps genouil
ion. Cette irrégularité est con- forme à la règle générale; nous ne
croyons
plus comme autrefois que, tandis que la voie py
fibres, à savoir, les fibres de la lame cornée, des fibres que nous
croyons
appartenir à la commissure antérieure et aussi qu
naisseht de la lèvre inférieure de la scissure calcarine, mais nous
croyons
que la plupart proviennent de la face externe d
résumé ne correspond pas mathématiquement à la réa- lité, mais nous
croyons
qu'il n'est pas inutile de schématiser ainsi, lor
antage sur cette dissociation du faisceau optique central, car nous
croyons
qu'elle, a prêté à beaucoup de confusion, qu'elle
es les plus externes de la cou- che sagittale externe, mais nous ne
croyons
pas que cet enchevêtrement soit très marqué, ou
nts de la couche sagittale externe occipitale, et c'est ce que nous
croyons
nous-même, exception faite, bien entendu, de leur
ographique, question d'intimité de voi- sinage. Mais ce que nous ne
croyons
pas, c'est que ces faisceaux soient propres au
nnelles sur les fibres d'association en général. Comme Beevor, nous
croyons
que le cingulum postérieur ou inférieur est in-
tique ceutral, ou même du faisceau longitudinal inférieur ? Nous ne
croyons
pas qu'il convienne de grouper ainsi les choses
tique central ne provient que du corps genouillé externe et nous ne
croyons
pas que les lésions de la couche optique retentis
çon remarquable avec le « faisceau longitudinal inférieur », - nous
croyons
que ces deux fais- ceaux ne font qu'un. On no
siblement du faisceau longitudinal d'une coupe normale. Nous nous
croyons
donc autorisé à déduire de toutes ces considérati
ns morte d'un cancer du rectum. Parmi les pièces de comparaison, je
crois
de- voir donner à ce cas une place à part ; en
passage à travers le foyer inflammatoire du nerf radiculaire. Je ne
crois
pas avoir mérité cette critique, carje n'ai ja-
ces fibres chez les animaux âgés ou moins bien portants laisserait
croire
qu'il s'agit en réalité d'une altération légère
araplégie avec rétraction considérable des membres inférieurs. Nous
croyons
devoir la donner ici en résumé pour en signaler l
e qu'on aurait trouvé dans ce cas des lésions musculaires, car nous
croyons
qu'il est im- possible d'expliquer par la minim
ui amènent le confinement au lit, et c'est parmi celles-ci que nous
croyons
pouvoir classer la démence et les cachexies.
es, les divisions dont elles sont le siège sont très marquées. Nous
croyons
qu'il s'agit ici d'un processus d'atrophie simp
spectif d'une paralysie générale à évolution régulière. M. Brissaud
croit
pouvoir établir que ce malade fut atteint, avan
is avant d'entrer plus avant dans la discussion des résultats, nous
croyons
d'abord nécessaire d'ex- poser le détail de nos
ons du système nerveux, l'exposé de nos propres constatations, nous
croyons
utile de passer une revue rapide des travaux an
res fibres dégénérées, il y avait aussi des gaines vides. Nous nous
croyons
donc en état de conclure que le processus de dégé
la suite de la destruction de leur pro- longement centripète. Il ne
croit
pas à une influence directe de l'acte opéra- to
u bout médullaire du chat IX sont des fibres régénérées. Nous ne le
croyons
pas, vu leur rareté relative, leur aspect le plus
hériques; peut-être disparaissent- elles plus lentement qu'on ne le
croit
généralement, car nous les avons consta- tées a
sus d'atrophie rétrograde jusqu'au voisinage de la cellule. Nous ne
croyons
pas de longs développements nécessaires pour mont
ar la différence de la lésion radiculaire dans les deux cas. Nous
croyons
pour notre part, qu'il résulte des faits précédem
différents. Une conclusion ferme nous paraît prématurée, mais nous
croyons
cependant que les ressemblances superficielles
Bouchard, s'exprime à ce même propos de la façon suivante : « Je ne
crois
pas, pour ma part, que cette infection (la syphi-
réditaire peut jouer dans ['étiologie de la sclérose en plaques. Il
croit
que la sy- philis héréditaire ne doit pas être
ement ses conclusions à l'interprétation des aphasies musicales. Il
croyait
pouvoir ainsi démontrer que son schéma sur le m
e. Bernard (4), dans sa thèse universitaire sur les aphasies, ne se
crut
pas autorisé à consacrer un cha- pitre spécial
les qui s'élevaient de ton jus- qu'à la dernière syllabe ; Hospital
croit
que cela provenait de l'hésitation de la parole
te avec la conservation et la perception des tons musicaux. Bernard
croit
que chez certains malades la surdité verbale pour
jouer), sans éprouver aucun symptôme d'aphasie verbale. ' . Nous
croyons
utile de signaler que ces deux cas d'amusie total
mu- sie pure totale hystérique » que nous avons observé et que nous
croyons
être le seul publié jusqu'ici. V. Amusies de
au plaisir sexuel, mais sans amener la satisfaction complète. Nous
croyons
que ces cas doivent se'considérer comme étant pro
0 PAHISOT ET ETIENNE « Rhumatisme diathésique sénile » ? Nous ne le
croyons
pas,malgré cer- tains points de contact : l'âge
r les rayons Rôntgen. En rapportant les résultats de cet examen, je
crois
bon de les comparer avec ceux qui furent décrit
féconde. La rédaction de la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
croit
pouvoir trouver dans ses sentiments de reconnai
nstitut aient eu la pensée de le célébrer. Pour la pre- mière fois,
croyons
-nous, depuis sa fondation déjà ancienne, l'Académ
hallucinatoire chez un eunuque de l'asile égyptien d'Abbassie. J'ai
cru
pouvoir, en raison de la rareté des faits publi
versaux, puis, il laisse tout d'un coup tomber son talon, lorsqu'il
croit
être arrivé dans la bonne direction. Aux membres
orceau de glace n'est perçu qu'avec un notable retard, et la malade
croit
qu'on la touche avec un corps chaud. Membres su
ntes que nous avons déjà signalées autrefois et sur lesquelles nous
croyons
devoir à nouveau attirer l'attention. L'hypertr
ombault et Mallet,-sans qu'ils aient osé résoudre la question. Nous
croyons
qu'il faut faire des réserves sur cette hypothèse
ont nous avons pu nous rendre compte par nous-mêmes. Pierre Marie
croit
trouver une différence entre ses malades et les n
substance grise médullaire ; dans d'autres cas les plus nombreux on
croit
que cette affection est due à des lésions périphé
tion clinique de la syringomiélie. Il nous est permis, pourtant, de
croire
que ce très petit nombre de faits JARD1NI. MALA
Quoi qu'il en soit, le caractère même de la lésion rencontrée fait
croire
que ces constatations sont très rares parce que
de Dupuylren ? La présence des atrophies musculaires pourrait faire
croire
à une dif- S6 JARDIN formité d'origine myopat
n doit considérer comme des faits d'ordre ancien, les vues que nous
croyons
nouvelles et que nous avons expo- sées dans not
omme une très grande probabilité la manière de voir ci-contre. Nous
croyons
que la dégénérescence très intense des couches sa
ce temporale qui se poursuit jusqu'au noyau amygdalien, elle tient (
croyons
-nous) à la section - non pas du faisceau longitud
niveau du pulvinar que le faisceau génicuto- calcarinien (que nous
croyons
digne d'être individualisé) se cantonne au seg-
éritable dans la résolution des problèmes anatomo-pathologiques, nous
croyons
que son importance a été de beaucoup exagérée.
ans de séparation ». Or, ce fait est extrêmement important et nous
croyons
utile d'ajouter que ce trait d'union n'emprunte
'une façon remarquable avec le faisceau longitudinal inférieur ; nous
croyons
que ces deux faisceaux ne font qu'un. » Admis !
cette capsule. Sans vouloir établir de limites très précises, nous
croyons
pouvoir dire que « le segment perpendiculaire d
psule interne. Bien que cela ne soit pas rigoureusement exact, nous
croyons
que la couche LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEU
d'après von Monakow, environ 80 0/0 des fibres rétiniennes. Nous
croyons
que ce ganglion primaire de la vision représente
ibres passent des noyaux centraux dans la bandelette optique ; nous
croyons
qu'elles proviennent du corps quadrijumeau antéri
quent ; ce sont les radiations cortico-genouillées externes. Nous ne
croyons
pas que ces radiations proviennent de la sphère
intra-cérébral ne provient que du corps genouillé externe. Nous ne
croyons
pas que le pulvinar et le corps quadrijumeau conc
corps ge- nouillé est le point de départ du second neurone et nous
croyons
qu'il est relié à son semblable par des fibres
terminal de prime importance, le noyau central du thalamus. Nous ne
croyons
pas que la voie sensitive in loto reparte de ce n
ÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL S85 guère douteux ; mais nous
croyons
qu'elle est rarement permanente et qu'elle tien
é à l'aide de libres commissurales et de fibres d'association. Nous
croyons
qu'il est très probable que le corps genouillé
nouillés sont reliés par un système commissural fort complexe; nous
croyons
que la commissure postérieure renferme un certain
ques se terminent dans les ganglions primaires de la vision et nous
croyons
que le corps genouillé externe envoie des fibre
nd neurone maculaire se rende à la corticalité cérébrale, mais nous
croyons
que la majorité de ses fibres passent dans les
avons pas l'in- tention de revenir sur ces faits, sur lesquels nous
croyons
avoir suffisamment insisté dans notre premier m
entricu- laire et viennent côtoyer sa paroi médiane ; de plus, nous
croyons
que cet entrecroisement n'intéresse qu'un nombr
ous semble inutile de poursuivre davantage cette comparaison ; nous
croyons
avoir démontré suffisamment que le faisceau optiq
nos idées, et nous obligeront ainsi à revenir sur un fait que nous
croyons
être de prime importance. Nous tenterons de dém
sur les alié nés arabes de l'asile indigène d'Abassieh(Egypte). Je
crois
avoir pu démon- trer que, contrairement à l'opi
de paralysie générale et sypliilitiques pour la plupart. Nous avons
cru
intéressant de donner ici les principales de ces
s dans ce recueil par Charcot, Paul Richer, Henry Meige. Mais je ne
crois
pas qu'on ait reproduit un aveugle de Gaudenzio
nt qu'était Tardieu, au point de vue de leur peu de fréquence et je
crois
au con- traire qu'ils sont bien moins rares qu'
nt le récit très explicite de sa simulation. Voici ce récit, que je
crois
devoir faiie connaître dès maintenant et dont j
mot utérus matrice, que à tort ou à raison les docteurs en médecine
croyaient
que le siège se trouvait dans la matrice ou ova
es dans la paume 'le la main et me raidissant il seule fin de faire
croire
à une contraction nerveuse, jetant l'estomac en
u'en présence d'une de ses crises, j'aurais à mon tour sans doute
cru
à son authenticité. Après quelques hésitations de
te à tout travail, ce qui était évidemment exces- sif. On aurait pu
croire
au premier abord qu'il était faible d'esprit eu
Dès qu'il n'obtenait pas sur-le-champ la satisfaction à laquelle il
croyait
avoir droit, il se posait en victime. Enfin il
r exactement à un imbé- cile et Cing... était loin d'en être un, je
crus
pouvoir démon- trer qu'elles étaient insuffisan
ns aller ainsi jus- qu'à la négation même de la folie morale, je me
crus
auto- risé valablement à affirmer que Cing... n
it pas eu un instant l'idée d'une simulation possible de Cing... et
croit
peut-être encore aujourd'hui à la folie de cet
tait pas douteux, suffisait à faire bon marché de l'objection. Je
crus
donc, avec la plus entière conviction clinique, q
ifs. Je prends la Salpêtrière, par exemple. Les matelas n'existent,
croyons
-nous, que dans un seul service, celui de 111. J
sens musculaire faisaient partie intégrante du syn- drome. Charcot
crut
pouvoir distinguer dans cette étroite région qu
ibres centripètes affectées au sens musculaire. Il y a tout lieu de
croire
cependant que comme les autres fibres sensitive
aux températures et vice versa. En examinant ses observations il
croit
pouvoir établir dans les types cliniques les di
i une confirmation de ces idées. Toutefois, s'il nous est permis de
croire
que les troubles du sens musculaire sont pour a
t comme elle superposée il la zone motrice proprement dite, Abba se
croit
en ' Henri Verger. Les anesthésies consécutives
Toute question de théorie mise à part il serait du reste inexact de
croire
que dans les processus perceptifs de la sensibili
remarquer Claparède, est encore assez mal étudié. Toutefois nous ne
croyons
pas comme lui que la perte du toucher actif soi
ucher actif une localisation corticale spéciale ? Bourdicault-Dumay
croit
pouvoir, sous toutes réserves du reste, localis
énal des sociétés actuelles, était universellement admis et où l'on
croyait
à la possibilité d'arriver par l'observation inté
résection du fémoro-cutané que vous a présenté Souques, étant, je
crois
, le seul existant jusqu'à présent, je crois intér
enté Souques, étant, je crois, le seul existant jusqu'à présent, je
crois
intéressant de vous présenter les deux faits in
is mugit et râle ; depuis le commencement de la peine s'est écoulé,
croirait
-on, une éternité, mais le surveillant ne crie q
delà de cet âge. Elle atteint également les deux sexes. Huntington
croyait
que la maladie était particulière à Long-Island
qu'il allait se précipiter dans la rue. L'aurait-il fait, comme le
croit
fermement sa femme, si elle ne l'en avait pas e
st qu'il me paraît très important aussi à un autre point de vue. Je
crois
qu'il va nous donner la clef d'une contradictio
dées de suicide dans la chorée héréditaire. Cependant, s'il faut en
croire
ces mêmes auteurs, car je n'ai pu me pro- curer
e du début est-il vraiment aussi régulier qu'on le dit ? Nous ne le
croyons
pas, car il est assez rarement mentionné par le
eux maladies ont évolué ensemble sur le même individu. Cependant je
crois
qu'on pourra toujours arriver par un examen soi
qué, ou de l'assistance familiale chez des nourriciers, quand on la
croira
fai- sable. M. Ergolsky s'en tient au système s
i existent, M. Ergolsky a commencé une enquête qui lui permet déjà,
croit
-il, de fixer : 4° le nombre général des places d'
compliquée, des bras et surtout des petits muscles des mains. On
croit
successivement à une atrophie musculaire progress
uniquement le déplacement de celles-ci. 11 y aurait plutôt lieu de
croire
qu'il représente une nouvelle voie, longue, cha
epsie n'est pas, il s'en faut de beaucoup, une nouveauté ; l'auteur
croit
néanmoins devoir publier l'observation d'un cas
faisant disparaître ses angoisses et ses impulsions. Il ne faut pas
croire
que la suggestion ne peut pas être efficace par
tion des centres kinesthésiques eux- mêmes. M. J. Soury incline à
croire
avec Bastian que les paralysies hys- tériques s
t en présence : celle des unicistes qui, avec Meynert et Koellileer,
croient
àl'unité struc- turale et fonctionnelle de la c
e aura définitivement triomphé du spiritualisme, M. Dalle- magne ne
croit
pas que le code pénal aura à subir des modificati
- plets. Il admet comme assez fréquente l'épilepsie larvée ; nous
croyons
au contraire qu'elle est très rare et que M. Chri
une petite quantité (6 à 8 hectolitres) provenant des bouilleurs de
cru
. L'absinthe entre aussi pour une notable proporti
ts, le jet de l'urine devenant de plus en plus filiforme, le malade
croit
à une affection de son canal de l'urèthre, et s
+ Les grosses lourdeurs ont passé + ça ne coule plus. Quel âge ? Je
crois
avoir vingt-un ans + J'ai des tiraillements dan
-)- J'ai la tête meurtrie + c'est lourd, mon cerveau est plein ? Je
crois
avoir vingt-un ans + Je respire mieux, dit-elle
st meurtri + c'est lourd ? Je ne me rappelle pas mon âge + J'ai, je
crois
, vingt-un ans, sans en être sûre + Les tempes m
rant plus ou moins longtemps ; elle voyait des hommes sous son lit,
croyait
qu'ils voulaient soulever ses jupons, cherchait
chance, tout incertain que soit le résultat. Personnellement, nous
croyons
que pendant l'intervention il faudra suivre la
tatées dans les faisceaux sensoriels de la moelle, on sera amené à
croire
que ses altérations sont plus fréquentes qu'on ne
nettes, eutune grippe et fut prise de fièvre et de coma, ce qui fit
croire
à des accidents méningitiques, l'existence de l
tion (méthode d'équivalents cliniques). Discussion. M. S. KORNILOFF
croit
que les lésions trouvées chez le deuxième malad
t aussi bien caractérisées que dans cette observation. En outre, il
croit
que son cas, confirme l'hypothsèe de Kahler et
at de la malade s'améliore rapidement (en dix jours). L'auteur ne
croit
pas que l'affection relève simplement d'une art
stinées aux noyaux moteurs du bulbe et de la moelle. Il faut plutôt
croire
que nous avons à faire dans cette obser- vation
n peut supposer également une myélite disséminée. m. MOURAIVIEFF ne
croit
pas qu'on puisse exclure dans la troisième obse
évoluer avec troubles minimes du côté de la sen- sibilité. M. HOTU
croit
que dans la troisième observation il peut bien
onnaire qui, après avoir rapporté que les « sau- vages » de ce pays
croient
aux sorciers, se livrent, au son des tambours,
aires, je commençai les cérémonies. J'arrivai aux questions : « -
Crois
-tu en Dieu le père, tout-puissant, créateur du ci
de la terre ? » - « Oui, » me répondit-il. » Je lui demandai : -. «
Crois
-tu en Jésus-Christ son fils unique ? », etc. Il m
encore affirmativement. Enfin, me voilà à la troisième question : «
Crois
-tu au Saint-Esprit ? » - Croyant sans doute que j
catho- lique se moquant des sauvages de Valley-River, parce qu'ils
croient
à la possession démoniaque, font des cérémonies
ence néfaste des sorciers et chasser le démon, - alors que lui-même
croit
au démon et que sa religion prescrit aussi des
tées par la méthode de Cox. Ayant en vue qu'il y a des auteurs, qui
croient
que les appendices collaté- raux se manifestent
nts nerveux, avec quoi non plus nous ne pouvons être d'accord. Nous
croyons
que l'état moniliforme des prolongements protop
es génitales ; ce dernier cas est particulièrement fréquent si j'en
crois
ma propre Archives, 2e série, t. IX. 19 290 C
elle a peur, elle entend autour d'elle des ennemis menaçants, elle
croit
que le diable va l'emporter en enfer. L'état pa
es actes. Le lendemain, toujours dominée par la peur du démon, elle
croit
entendre son enfant âgé de quatre ans lui dire
ne se rendant pas compte de ce qui s'était passé et ne voulant pas
croire
que son enfant fût mort. OBJETS DE PIÉTÉ COMME
ande tristesse. Il y a deux mois, en revenant d'une foire, il s'est
cru
poursuivi par quatre individus qui voulaient le
: il tremble, pousse des cris, voit du feu partout, a peur, écoute,
croit
qu'on vient pour le tuer, s'échappe et court à
. Il prétend que sa gorge a été bouchée par des bouchons de liège ;
croit
avoir une maladie qui lui a été donnée par un s
y décèlent. L'autre nuance trouvée par Bethe et Mann, qui leur fait
croire
à l'existence d'une substance toute différente,
ils uniformément associés ? 2° Manquent-ils dans des cas qu'on peut
croire
être de même nature. 3° Peuvent-ils se rencon
3° Peuvent-ils se rencontrer dans des cas qu'il y a des raisons de
croire
pathologiquement distincts. En réponse à la pre
'auteur a résumé lui-même, dans les conclusions suivantes, que nous
croyons
devoir reproduire textuellement, son très inté-
), on comprend pourquoi, en géné- ral, la suggestibilité hypnotique
croit
, en raison de la profondeur de sommeil provoqué
de sommeil provoqué. 14° Lorsque la suggestibilité hypnotique ne
croit
pas en raison de la profondeur du sommeil, c'est
ypnose n'est qu'une manifestation de la suggestibilité, il faudrait
croire
que ceux seuls qui possèdent à l'état de veille
les de présenter un somnambulisme profond, ce qui nous ramènerait à
croire
, avec Charcot, que les névrosés sont plus hypno
nt dans la plupart des phénomènes que nous obser- vons. De même, il
croit
, avec M. Durand (de Gros), que le mesmé- risme
té; il est parfois utile de le provoquer, mais il faut se garder de
croire
que l'efficacité de la thérapeutique suggestive
. Marie n'a jamais vu de cas de surdité verbale absolument pure. Il
croit
de tels cas exceptionnellement rares. Dans des se
eur attribue et même peut être à cause de leur disprécision, je les
crois
susceptibles d'être trompeuses. Je les ai vues,
ans l'intérêt des asiles et des aliénés eux- mêmes. A qui fera-t-on
croire
qu'un directeur-médecin, qui doit consacrer tou
mauvaises conditions hygiéniques et thérapeutiques actuelles. Je
crois
, du reste, que, partout, il y aurait avantage à c
ifiée et par cela même heureuse, dans les discussions auxquelles il
croyait
que ses connaissances spéciales lui permettaien
l fut un laborieux et un utile. On m'a dit, et, à l'avoir vu, je le
crois
, qu'il aimait la science pour elle-même, que so
avaler des choses très amères, il crache avec dégoût. Un troisième
croit
déguster de « l'ab- sinthe ». La sensation de c
nt rien d'anormal. 7 juin. - B... a très peu dormi cette nuit. Il
croit
toujours que, frère de Jésus, son heure est pro
rs de service l'exige, il doit changer de genre de service. Je ne
crois
pas que quelqu'un se permit de désobéir, si on lu
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 421 pas le moins du monde, comme on l'a
cru
, le long de la moelle jusqu'au cône irriguer to
une amélioration considérable soit une guérison complète. L'auteur
croit
fermement que les irritations périphériques son
gré de fréquence du tabes conju- gal chez les tabétiques mariés. Je
crois
cependant pouvoir affirmer que les cas de ce ge
nséquent, a des manifestations caractéristiques du tabes, pourra se
croire
simple- ment en proie à des douleurs rhumatisma
s pas par la peau ni les parties molles. Discussion : M. 13GRNSTEIN
croit
qu'il est plus correct de l'appe- ler « sensibi
ntoure s'hyperplasie d'une façon luxurieuse et, peut-être, comme le
croit
Ranvier, prend une part active à la segmentation
ans la pathogénie de la syringomyélie. Discussion : M. ! \1ouRAroFF
croit
que l'hérédité dans les affections de ce genre
omme hébétée, puis jeta un grand cri et tomba sans connaissance. On
crut
d'abord à un évanouissement. Mais tous les soin
» Ne ? Par une légère action de compression et de relâchement, il
croit
sentir « l'encens, oui, l'encens Les oreilles son
is qui se promène. Par l'excita- tion de la membrane pituitaire, il
croit
sentir « du soufre et des gaz ». La langue est
jetée dans la boite. Si la réponse ne lui parvient pas aussitôt, il
croit
avoir fait erreur d'adresse et écrit de nouveau.
lent au-ser- vice de cette épineuse question. Pourtant M. Vallon ne
croit
pas à cette hallucination provoquée. C'est une
s sont donc des hallucinations périphériques. - Maintenant que nous
croyons
avoir établi que nos alcoo- liques ont eu des h
c précoce. D'autre part les symptômes sont tels qu'il est permis de
croire
à l'existence d'une tumeur de l'hypophyse même
rate d'argent administré à l'intérieur; M. Raymond déclare qu'il ne
croit
pas à l'efficacité de ce médica- ment. Il lui p
de l'iris et des procès ciliaires, on n'est pas évidemment amené à
croire
que l'effort fait par l'oeil pour arriver à une
ou de quelques semaines, sont des cas rares. Aussi l'auteur a-t-il
cru
avec raison qu'il serait intéressant de publier
fait preuve d'un rigoureux esprit d'observation, et comme lui nous
croyons
que le langage articulé est le langage véritable,
ique qui préside au développement de l'atrophie du nerf optique, il
croit
à l'exis- tence d'une névrite optique interstit
paralysie générale, mais le manque de myopie, dans ce cas, porte à
croire
qu'elle n'y est pas étran- gère. 1 Caudron (P
longements, cellules dont la nature est très discutée et que nous
croyons
être des cellules de névroglie. On les rencontre
cette opinion 3. Charpentier,, Pitres et Régis', Lalanne sont, je
crois
, seuls en France à partager cette manière de voir
une courte période de doute conscient à ce sujet, il en arriva à se
croire
véritablement coupable et à raconter toutes les c
il l'accepte, il ne discute plus, ne doute guère et souvent même il
croit
. Cependant, son intelligence n'est pas absolume
ujourset me pousse au mal quand j'ai l'idée du bien », finit par se
croire
réellement le jouet d'un être malfaisant, d'un dé
nière de voir, applicable peut-être à quelques cas particuliers. Je
croirais
plus volontiers que les obses- sions qui peuven
m général de maladie du doute. Je serais d'ailleurs assez disposé à
croire
que la maladie du doute mériterait déjà de cons
Ajoutons à cela l'existence, beaucoup plus fréquente qu'on ne le
croit
, de phénomènes spéciaux d'automatisme sous form
nous ne les ignorons pas, mais ici comme pour les atrophies, nous
croyons
qu'il ne faut admettre qu'à bon escient un sembla
ès éprouvés qui ont conduit ces expériences, nous sommes portés à
croire
qu'on interprète mal les lois de l'hérédité, si l
ution frontale gauche, la fonction du langage articulé, M. Ladame a
cru
utile de relever ce point d'histoire de l'aphasie
out de la paralysie générale, se précipite. On doit donc, a priori,
croire
qu'il s'agit d'altérations très subtiles inacce
h et Wolff. Si l'on admet la première, qui parait certaine, si l'on
croit
aussi à l'entre-croisement partiel et à la term
tense de ce côté que du côté opposé. S'il existe du myosis, on peut
croire
au premier degré d'une lésion qui irrite celle
térique simulant la sclérose en plaques cérébello-spasmodiques, ils
croient
, en conséquence, que ce signe peut être différe
on tient à l'établissement, en 1875, du privilège des bouilleurs de
cru
et à la loi de 1880 autorisant l'ou- verture de
l donnait des signes de dérangement cérébral et l'on a tout lieu de
croire
que c'est dans un accès de fièvre chaude qu'il
évoués, une amélioration se produisit dans son état, et ses proches
crurent
à sa guérison et ils se relâchèrent de la surve
maison d'aliénés de notre ville. Les faits sont si graves que l'on
croit
que l'autorité religieuse elle-même demandera à c
ordial de ce groupe de folies comme thème, a un pre- mier avantage,
croyons
-nous, celui de comprendre les nom- breuses obse
'est l'aliénation des deux codélirants. Dans ce premier article, il
croit
en outre, que la folie à deux ne peut apparaîtr
mière comme une forme de transition avec la normale. M. Kinkel ne
croit
pas que les groupes individualisés de la folie
n 1879, donne bien l'opinion de l'époque à ce point de vue. « Je ne
crois
pas, disait-il, à la communica- tion proprement
lui avais dit; qu'il n'était pas allé chez le commissaire et qu'il
croyait
bien que sa maîtresse était gravement malade. D
en reçu des lettres de sa mère qui est à Dun, mais elle ne sait que
croire
. Malgré ses affirmations, ses idées de persécut
uvé aux environs du Père- Lachaise dont elle a entendu parler. Elle
croit
toujours à la réalité de ses anciennes persécut
itement irrespon- sable de l'acte qu'il aurait pu commettre. Nous
croyons
, en effet, que dans les folies imposées, les su
leur a, ajuste titre, donné le nom de syndromes épisodiques. Nous
croyons
nécessaire de rappeler dès à présent que sur ce
ogiques relatifs au mécanisme intime des opérations volitives, nous
croyons
cependant pouvoir affirmer' que l'élément volit
lonté pour résister à mes idées, je suis- dans un cercle d'où je ne
crois
pas pouvoir sortir. » Elle raconte toute sa vie
on continuelle et la tourmentent nuit et jour ; cette fois, elle se
croit
prête à leur céder, ce qui la pousse à nous dem
ncierge, et elle devait rendre les comptes au gérant, un jour, elle
crut
avoir donné une somme inférieure à celle qu'ell
utour de l'idée obsé- dante du doute et des billets de banque. Elle
croit
les apercevoir partout. A la vue des billets. e
la faisait suivre par la police ; amenée peu après à l'asile, elle
croyait
que des gens se trouvaient au-dessous de son li
lit, exprès pour la surveiller ; elle entendait leurs pas. Elle se
croyait
criminelle et demandait qu'on la punisse de sui
e cet exposé enfin, tel qu'il nous est montré par la clinique, nous
croyons
devoir faire ressortir quelques parti- cularité
ne détermine pas, chez tous, un degré identique de para- lysie. Il
croit
que le degré de ces désordres dans les affections
l'examen attentif du malade, cepen- dant au premier abord, on peut
croire
qu'il s'agit de dyspepsie flatulente. La marc
l 1900, mémoires dont il a été rendu compte à cette place. L'auteur
croit
à une diminution de la puissance de résistance
mme présentant les symptômes de l'excitation maniaque. On aurait pu
croire
à un accès de para- noïa aigu ou de manie inter
ôme pathogénomique des paralysies générales douteuses. M. Legrain
croit
que la paralysie générale n'est pas la seule af
t du tabès, dont nous connaissons des formes frustres. M. Legrain
croit
que plusieurs intoxications peuvent provoquer l
apparaît avec évidence sont assez rares encore pour que nous ayons
cru
devoir en présenter cet exemple. Micropsie chez
ant les traités de neurologie et les observations publiées, on peut
croire
que les troubles psychiques n'appartiennent pas
ation seule. Quelques auteurs qui ont écrit depuis sur ce sujet ont
cru
devoir y ranger tous les troubles nerveux qu'on
é, en cette circonstance, suivi par les autres observateurs, nous
croyons
utile d'insister à nouveau, sur la nécessité de s
r comme M. Truelle « psychoses, dites post-opératoires » ? Je ne le
crois
pas pour ma part, malgré le peu de fixité des s
upations hypocondriaques et les idées de négation ont disparu; « je
croyais
être malade, c'était des idées... quand on n'a
lectuel. La malade fait en outre des erreurs de personnalité : elle
croit
reconnaître sa belle-mère dans une des malades,
nviron trois semaines après celle-ci, les troubles commencent, elle
croit
que ses voisines délit, des gamines l'insultent
En 1895-96, un train où elle se trouvait ayant été tamponné, elle
crut
avoir reçu des lésions internes et se fit examine
la mort de sa mère. La malade raconte que sous le chloroforme, elle
croyait
sentir Archives, 2o série, t. XV. la 226 CLIN
ation particulière en somme satisfaisante, voit tout en noir. Il se
croit
atteint de cancer de l'estomac, a peur de manqu
e douleur occupe un point précis, toujours le même, et tout porte à
croire
qu'elle répond à une lésion locale du nerf ou d
he et une paralysie complète de la corde vocale gauche. M. Lépine
croit
qu'on peut affirmer le ramollissement de la pro
l'anatomie pathologique de la maladie de Friedreich tendant à faire
croire
qu'il s'agit souvent d'un véritable arrêt dans
est très faible. De l'analyse de ces différents symptômes, l'auteur
croit
devoir conclure à l'existence à la fois de troubl
sans amyotrophie, ni troubles de la sensibilité. L'auteur incline à
croire
que ces troubles sont dus non à une polynévrite
t les fibres qui vont de l'écorce à la VI, paire et celles que l'on
croit
unir entre eux les noyaux de la 111° et de la V
et aux muscles intéressés, qui les ont accompagnés, que l'auteur se
croit
autorisé à porterie diagnostic de polynévrite mo-
exophtalmique; par le D1' ÏEDRSCHI. De ces expériences, l'auteur
croit
pouvoir tirer les conclusions suivantes : 10
stupeur ou angoisse, hallucinations fréquentes, etc. M. Bienvenu
croit
que, dans ces cas, la cause delà dépression est
e sels de mercure dans le liquide céphato-rachidien. M. G. Ballet
croit
qu'il iaut ne faire d'injections intra-rachi- d
de laquelle on trouva des lésions du foie et des reins. M. PACTET
croit
qu'on porte très fréquemment le diagnostic de d
itement spécifique. Il applique d'ailleurs ce dernier traitement et
croit
à l'amélioration que les malades en retirent pa
lioration que les malades en retirent parce que peut-être il veut y
croire
et s'en donner au moins l'illusion. F. BossuER.
ira au plus haut point la domination d'un autre. L'enfant auquel on
croit
faire une suggestion à l'état de veille n'est p
d aux premiers temps de mon administra- tion, pendant lesquels j'ai
cru
devoir remplacer le personnel presque tout enti
ur l'étude d'une question qui intéresse tout le monde, la Société a
cru
pouvoir compter sur le concours du public. To
sté à toutes les observances'1 ». Les dévots médecins de Port-Royal
crurent
à un miracle. Nous pouvons aujourd'hui nous ren
e malade a reçu au-dessus de l'oeil droit un coup assez violent, et
croit
devoir attribuer sa névralgie el cette cause. T
ades actuellement en traitement, mais seulement lorsque nous nous y
croirons
autorisés par la consta- talion d'une améliorat
t qui nous offre un cas jus- 360 RECUEIL DE FAITS. qu'ici unique,
croyons
-nous, de paralysie générale chez une femme atte
otrice. De ces différentes constatations, MM. Vaschide et Vurpas se
croient
autorisés à ad- mettre : a. L'acte génital co
ant atteint le plus haut degré de cristallisation. M. Laroussinie
croit
que l'influence de la musique sur les cen- tres
ortion de 1/13. Cette affection est donc plus fréquente qu'on ne le
croit
généralement. Trépidation épileptoïde. MM.
re. Enfin étaler très peu sur la lamelle. Il ne faut d'ailleurs pas
croire
que la présence des lymphocytes carac- térise l
savoir se borner, car tout est transition dans la nature, et nous
croyons
avoir montré nous-même. dans notre thèse, que, en
que nous acceptons la critique de MM. Meige et Feindel et que nous
croyons
qu'il faut borner le domaine des tics à celui des
on. Tans, le 20 février 1903. Mon cher ami, Vous m'avez dit, je
crois
, qu'il était facile de faire admettre un petit
Celui-ci mourut eu effet deux jours après, le 4 novembre 1658. Je
crois
que l'hypothèse d'une farce dont Pierre Thomas
rs de suite, j'en avois autant de repos. Lorsque je commençons à me
croire
guéri, je recommençois à tousser, de manière à
t un pas ou deux dans la rivière et l'attrapa : ce qu'il a toujours
cru
être une chose miraculeuse, ainsi qu'il me l'a
énérescence. Le rapporteur fait encore dire à MM. Larger : « Qu'ils
croient
avoir démontré l'influence du sexe et, en parti
stinct dans la corne antérieure,' d'autres (Van Gehuchten, de Neef)
croient
que la localisation mo- trice est segmentaire;
ssion nouvelle plus conl'orme à l'observation scientifique. « Je ne
crois
à l'existence des choses que si elles nous four
Avril 1902.) Avant d'exposer les méthodes dont il s'agit, l'auteur
croit
devoir poser les principes généraux qui servent
es dortoirs, et sa moyenne est certainement très faible. L'au- teur
croit
que la sienne donne également des chiffres inféri
elle semble même être plus précoce que celle-ci; elle mérite donc,
croyons
-nous, de prendre place à côté de l'examen des l
s sur sa bouche avec du sucre ou d'autres aliments alléchants. Elle
croit
qu'on n'a jamais compris ce dont il s'agissait;
ception de l'hystérie qu'il qualifie de nouvelle, que nous avons
cru
intéressant de comparer ces deux travaux, cha-
à propos de l'anorexie nerveuse, « d'une psychose d'évolution qu'il
croit
infectieuse, comme la chlorose, l'ostéomyélite,
stifier son titre. Il apporte une définition de l'hystérie que nous
croyons
nouvelle et surtout inattaquable, une véritable
de dégénérescence au niveau de tous les muscles atrophiés. L'auteur
crut
pouvoir rattacher cette atrophie musculaire à u
la paupière chez un tabétique à longue évolution ( ? ) ; il tend à
croire
qu'il s'agit d'une lésion périphérique siégeant d
n trouble localisé dans la branche centrifuge de l'arc réflexe : il
croit
à une altération tonique du mouvement de conver
ices ou de leurs aboutis- sants relèvent d'une autre cause. Egger
croit
que la gaine de myéline joue le rôle de membrane
cédé de la sommation qui a fini par vaincre cette résistance. Egger
croit
que la plupart des anesthésies organiques sont
génital notamment est complet. La radiographie de la tête permet de
croire
que la selle turcique est fort élargie. La croi
avoir plus rien vu d'autre autour de lui. Il me rapelle Zola (je ne
crois
pas qu'il se fâche du parallèle avec un tel maî
lie de dire qu'il peint des exceptionnels. Si bien qu'à le lire, on
croirait
tous les Israélites d'Algérie bons à mettre à C
ès, elle se jetait à genoux devant un agent en uniforme en qui elle
croyait
voir le « Alessie » qui venait la chercher. Ce
e ne donnait plus signe de vie, mais le père respirait encore. On
croit
que le pauvre fou s'est éveillé et se croyant, co
re des suggestions hypnotiques et les représentations du rêve. » Je
crois
avoir assez développé cette idée pour n'avoir pas
ystérie ne contient pas toute la diathèse neuropathi-que (1) et je ne
crois
pas qu'on puisse identifier l'hystérie et l'hypno
e suggestibilité et l'hystériene doivent pas être identifiés. Je me
crois
donc autorisé à conclure ce chapitre par les prop
s facultés de son être ; il les grossit démesurément; dès lors, il se
croit
transformé, apte à vivre d'une façon plus intense
e pour une branche rencon- tree; il jure le nom du Dieu auquel il
croit
, pour un caillou placé sur son chemin; sa haine p
u'ils conçoivent de leur puissance physique. Un hypnologue dirait, je
crois
, qu'il y a.chezeux, « auto-suggestion ». Quoiqu'i
s, portant par dessus son masque, les lunettes du casseur de pierres,
croit
symboliser le progrès et la richesse, la richesse
te femme qui, ayant peur, se réfugie dans les bras d'un homme qu'elle
croit
tout-puissant, parce qu'il brûle le pavé : « Gabr
es reçues, une impression mixte qui donne une perspective faussée. Je
crois
bien me rappeler qu'un versificateur du siècle de
e que, dans la vitesse il y a de l'oubli! En fuyant dans l'espace, il
croit
fuir aussi dans le temps, laisser derrière lui, c
ents, envoyé de la boue; il est très malheureux de m'avoir contaminé,
croit
-il, car la boue est toujours une dilution de crac
es plaintes, des gémissements, comme, par exemple, chez cet homme qui
croit
être une quatrième fois chloroformisé pour une he
ent cette môme phrase : a Oh, je vous demande pardon ! » C'est qu'ils
croient
se réveiller dans leur chambre à coucher, comme a
ique est stupéfait, au réveil, de voir que je suis témoin de ce qu'il
croit
encore être une véritable aventure galante. Une a
se sont, comme le geai de la fable, revêtus des plumes du paon, nous
croyons
intéressant de rappeler ici le discours que M. le
lade n'était pas sûr du secret, il ne se ferait pas soigner. Je ne le
crois
pas le moins du monde, et j'ai déjà exprimé l'avi
a pas eu un seul syphilitique ? M. Cazaux (d'Eaux-Bonnes). — Je ne
crois
pas qu'il faille ainsi faire bon marché de l'infl
e couper le lignoux aux nouveaux-nés, dès leur naissance, parce qu'on
croit
qu'il empêcherait l'enfant de téter et plus tard
se sert de ses ciseaux de travail. « La même chose se pratique, je
crois
, dans quelques autres paroisses du pays Vannetois
éter. « Dans les couches profondes des superstitions populaires, on
croit
que couper le frein sans nécessité c'est offenser
le possèdent et chez qui on l'emprunte quand c'est nécessaire. « On
croit
généralement qu'on doit couper le frein de la lan
faire la statistique, mais, d'après mes renseignements personnels, je
crois
que leur nombre dépasse 12.000. Il a traité ave
ntes : 1° Ceux qui agissent uniquement par intérêt; ils sont, je le
crois
aussi, très rares; tout au plus les trouve-t-on p
tre Après ce préambule, j'aborde le sujet de ma communication. Je
crois
qu'il n'est pas inutile que nous insistions beauc
merveille. Permettez-moi de dire, à ce propos, que des confrères ont
cru
que je me proposais formellement de guérir une pa
e idée n'a jamais été la mienne. Au point de vue chirurgical, je ne
crois
pas que l'application de la suggestion soit de pr
lgation ne laisse pas de provoquer, sur les sujets atteints ou qui se
croient
atteints d'une maladie de même ordre, une impress
parition à peu près complète des crises avait pour un moment pu faire
croire
à la guérison. Le diagnostic de l'angine de poi
délibérée. Toutefois, avant que d'aborder le fond de mon sujet, je
crois
qu'il ne sera pas inutile de vous présenter le Co
il exerce à la campagne, — l'autre comme général; — celui-ci n'a pas
cru
devoir utiliser son diplôme. Les médecins milit
ire les lois, nous le retrouvons de temps en temps. Certains journaux
croient
de leur devoir d'établir, à propos des causes les
'étude s'est poursuivie jusqu'à nos jours. Certains observateurs se
croient
autorisés à affirmer que l'hystérie, névrose pure
a question de qualité ne cesse pas de le préoccuper, et il continue à
croire
sa situation anormale et inférieure à celle de to
ccasionnelle, et, en étudiant en détail la psychologie du sujet, j'ai
cru
pouvoir imputer à l'amour-propre excessif, poussé
is le malade — parait tout particulièrement assombrir l'avenir. Je ne
crois
pas à l'utilité d'une médication nerveuse ; en de
es qui remontent le long de l'œsophage et gagnent la langue : elle se
croit
atteinte d'une grave maladie qui siège dans cet o
'immobilisation amène dans la chorée la sedation des mouvements, nous
croyons
en outre que dans les états nerveux spasmodiques,
ement, et où il entre peut-être aussi une part de suggestion, mais je
crois
que son importance doit, dans beaucoup de cas, le
illements dans les lombes, dans les aines, une sensation qui lui fait
croire
que les viscères du bassin vont tomber, que la ma
pnotisation puisse être tentée avec quelque chance de succès. Je ne
crois
pas qu'on ait déjà, par le traitement psychologiq
nt, on doit bien attribuer à l'hypnose les succès de Rarey ; il ne le
croit
pas ; il admet tout au plus que l'on puisse les a
notisme chez le cheval dans ses nombreux et intéressants ouvrages; je
crois
même et, en cela, je ne pense pas commettre une i
téressantes ; nous devons les retenir, et je ne serais pas éloigné de
croire
que la musique constituera un des moyens les plus
part d'entre eux, toutes les espèces animales sont intelligentes; ils
croient
fermement que les êtres les plus rudimentaires, l
le et sœur de « l'âme d matérielle de l'homme. En le faisant, ils ont
cru
, comme les anciens adversaires de Descartes, comb
te des facultés intellectuelles à d'humbles gastéropodes et le second
croit
que le crabe est doué de raison. Une telle manièr
ont passé avant de se développer jusqu'à la pensée et la volonté. Je
crois
qu'en donnant ces précieuses indications, une tel
nstinctifs, de se souvenir du fonctionnement des autres organes. Nous
croyons
que l'intelligence est de la mémoire fonctionnell
onction et cette mémoire semble inséparable de la matière vivante. Je
crois
, en le disant, rester dans la voie tracée par mon
oique nous ignorions quelles sensations éprouvent les animaux, Preyer
croit
, par analogie, pouvoir admettre dans l'état en qu
ir au fond de leur être — et pourquoi pas puisque de grands esprits y
croyaient
? — consiste d'abord à connaître, aussi exactement
disparaîtra à la date indiquée parles petits cartons, parce que vous
croirez
fermement qu'elle doit disparaître à celte époque
. ni plissement de la paupière inférieure. Il y a donc tout lieu de
croire
à une forme fruste de ptosis-pseudo-p&ralytîq
ébut de cet article, qu'il ne faudrait pas abuser de la suggestion ni
croire
qu'elle peut s'appliquer à tous les cas. Cependan
r, en breton) (s). C'est, par suite, une relique humaine, dont nous
croyons
intéressant de débrouiller l'histoire, car elle j
e-Traoun-Mériadec... » D'ailleurs, d'après la tradition, à laquelle
croient
tous les Créions, de façon absolue, il s'agit aus
-— Le pouce serait en Savoie* (3) Louis Tiercelin. —La Bretagne qui
croit
. Pardons et Pèlerinages {\- année). — Paris, A. L
Que l'Histoire est donc difficile à débrouiller! 2e Origine. — Nous
croyons
inutile d'expliquer ici comment, de façon extraor
n bien connue : Se mettre le « doigt » dans l'œil ! Toutefois, nous
croyons
pouvoir risquer l'hypothèse ci-dessous. — D'après
élève un murmure et, avec cette discipline pourtant absurde, la ville
croit
et se développe d'une manière extraordinaire. Les
e. En s'appuyant sur l'action de ces différentes substances, l'auteur
croit
pouvoir conclure, comme Danilewsky, que pendant l
nsidérations au sujet des phénomènes télégo-niques. Par exemple, on a
cru
y voir l'influence exercée sur la mère par le san
fermée au monde extérieur. » L'est-elle complètement, ainsi qu'on le
croit
et l'enseigne? C'est cette question que j'ai su
nt infructueux. On la considère comme morte. Au bout de 28 heures, on
croit
déjà sentir un peu l'odeur de la putréfaction. To
rit de mortification, se donne les apparences de la mort. Un autre se
croit
damné et pense accomplir son devoir en s'abstenan
n s'abstenant de toute manifestation extérieure. Un autre, encore, se
croit
possédé d'un malin esprit ; il fait un délire à f
es peines éternelles, réclame les sacrements, etc.; finalement, il se
croit
mort et reste dans la position du cadavre dans so
ont pu conjurer les prières adressées aux dieux. Les jeunes filles se
croient
abandonnées par la divinité et préfèrent renoncer
fait ressortir ce fait capital, que la prédisposition pour l'hypnose
croit
non seulement avec les progrès de l'inanition, ma
Si on a pu dire que le xix* siècle était le siècle de la science, je
crois
que l'on dira plus tard que le xx' siècle sera le
'il possède le pas classique et se moque de l'allure des autres qu'il
croit
mauvaise alors qu'elle résulte le plus souvent de
ar la chaleur, dans les hammams par exemple, est fort peu toxique. Je
crois
qu'il en est de même de celle produite par certai
emaines à un mois qu'elle apparaît : il faut se méfier de ceux qui se
croient
guéris au bout de quelques séances, ils sont vict
trop, jusque dans le choix des jouets que l'on donne aux enfants ; on
croit
leur faire plaisir surtout avec des jouets incrit
es émotions, mais nous n'aurions plus de plaisir artistique. Que l'on
croie
que les horreurs d'une tragédie se déroulent deva
rouve dans la manière dont la conception de l'utilité agit quand on a
cru
constater celte utilité. L'utilité sera nécessair
ttribue de l'autorité en la matière et en qui, à tort ou à raison, on
croit
posséder des experts devant l'opinion desquels on
t la tuberculose pulmonaire continue encore (pendant deux mois). Je
crois
que, sans l'hypnotisme, on n'aurait jamais pu obt
eurs. Ce qu'on n'a pas vu, ce qu'on n'a pas touché du doigt, on n'y
croit
pas. C'est la doctrine sceptique dans toute sa
r les choses dans cette voie jusqu'à t'incré- dulité de parti pris.
Croyons
-nous, nous autres Pari- siens, à l'existence de
ections que beaucoup d'entre nous n'ont jamais rencontrées ? Nous y
croyons
très fermement cependant, forts de l'examen cri
boisson aristocratique'. Cela est important à relever, parce que je
crois
reconnaître l'histoire de notre malade dans une
il a été tour- menté par de terribles cauchemars dans lesquels il
croyait
. tomber dans des précipices, ou assister de nou-
entrent par le nez et sortent par la bouche. D'un autre côté, elle
croit
elle-même répandre une mauvaise odeur, c'est co
. se meut malgré lui au moment où parle la voix in- térieure. Je ne
crois
pas, ajoute M. Charcot, que les voix exté- rieu
RE MEMBRES. 31 semble, à la poitrine, à l'estomac ; je suis porté.à
croire
qu'il y a chez moi une double pensée. » M. Bail
portance et la nature de ces phénomènes. De tout ce qui précède, je
crois
pouvoir tirer les conclusions suivantes : 1°
sme. Mais il existait en outre des particu- larités qui méritaient,
croyons
-nous, d'être signalées : nous voulons parler de
issent brus- quement et les mains viennent frapper la poitrine ; on
croirait
la malade soumise à l'action d'un courant élect
tisme, pour nous arrêter sur certaines particularités qui méritent,
croyons
-nous, d'être mises en lu- mière. Rappelons somm
e. Les secousses brusques qu'a présentées notre malade peu- vent,
croyons
-nous, être rattachées à ce qu'un a décrit sous le
ousse plus ou moins violente, très brusque, très brève et qu'on eût
cru
produite par le passage d'un courant électrique
e courants électriques, d'un vomitif, d'une impres- sion vive. Nous
croyons
donc pouvoir admettre que les secous- ses const
ainsi que l'impossibilité de prouver l'opinion contraire, nous font
croire
, qu'après une section transversale et totale de
origine réelle les bandelettes de l'espace perforé postérieur. Je
crois
cependant y être arrivé : le faisceau peut être
sons au troisième arc, l'arc cérébral. Je n'ai pas la prétention de
croire
que ma description est à l'abri de toute critiq
es redressements ou à une description plus complète. Mais ce que je
crois
être en droit d'espérer, c'est qu'on admettra s
ans le système des commissures antéro-postérieures. En résumé, je
crois
pouvoir conclure que l'arc céré- bral est const
n reste encore à faire. Meynert, Luys sont avec Broca les seuls, je
crois
, qui le considèrent comme un fait t accompli. H
FovILLE : « Si les côtés de la voûte sont formés de ces piliers, je
crois
que les parties de son mi- lieu et celles qui l
ées par le Dl' Charcot, n'est probablement pas aussi rare qu'on l'a
cru
jusqu'ici. Les observations, sans être encore t
96 DEUX NOUVEAUX CAS D'ASTASIE-ABASIE. De prime abord, nous avons
cru
à l'existence d'une paraplégie hystérique vulga
La propriété épileptogène de l'écorce cérébrale, Albertoni avait
cru
pouvoir la localiser à la circonvolution postcruc
.. in Firenze. Firenze, 1882. 104 REVUE CRITIQUE. Chirone avait
cru
pouvoir conclure de ses expériences sur des pig
ffets de la cinchonidine explique les différences que Chirone avait
cru
observer. Sans nier que ces poisons, répandus d
érences de l'écorce avec les méninges. Ce serait donc une erreur de
croire
que, chaque fois qu'on observe l'épilepsie part
hez les délinquants, mais dans l'épilep- sic et la folie morale. Il
croit
qu'on pourrait expliquer la longévité des crimi
s convulsif débute et peut rester limité. Déjà Seppilli n'avait pas
cru
pouvoir assigner une lo- calisation anatomique
uelques régions et les accès diffus ? » Ainsi, ce clinicien italien
croit
aussi à l'identité de nature des deux formes d'
de Wiesbaden (1888) 2. Au cours de la discussion, Nothnagel a même
cru
devoir rappeler qu'il avait recommandé, il y a
opposée ; il leur attribue les mêmes propriétés épilep- togènes, et
croit
qu'ils peuvent devenir le point de départ de co
une simple affirma- tion dont la preuve reste à faire. M. Christian
croit
aujourd'hui, comme il le croyait en 1881, que l
a preuve reste à faire. M. Christian croit aujourd'hui, comme il le
croyait
en 1881, que la folie peut avoir pour résultat
s pensé mais, sans aller plus loin, ainsi que M. Marandon semble le
croire
. Ce qui prouve d'ailleurs surabondamment qu'à u
pédition régulière. « Aussi, le Conseil de la Société de prévoyance
croit
devoir por- =ter ces faits à la connaissance du
t près de 100,000 dollars de malades par- ticuliers payants et l'on
croit
que l'on y reçoit beaucoup trop de gens riches.
ainsi plaider successivement le pour et le contre, ce n'est pas,
croyez
-le bien, dans le puéril dessein d'étaler à plai
r, et ce dernier à l'axe médul- laire. Ce sont ces relations que je
crois
avoir établies et démontrées; mais sur ce point
l'olfaction une fonction d'ordre inférieur. Ce qui me porte à le
croire
, c'est que cette fonction s'exerce chez beaucou
roca, que l'homme doive être rangé parmi les anosmatiques, et je ne
crois
pas que nous en soyons réduits à ne posséder qu
qu'il s'est tué lui-même et cela n'a causé au- cune surprise. Je
crois
que cette perversion est une espèce particulière
femme atteinte de mutisme hystérique avec stupeur : et les auteurs
croient
devoir l'attribuer à un effet moral, à une auto-
n- tale entre l'alcoolisme chronique et la paralysie générale, et
croient
, comme autrefois, que la méningo-encéphalite est
un locus minoris resistenlioe résidant dans la cellule même, aussi
croit
-il à l'influence de la prédisposition héré- dit
roy et Magnan, admet l'altération de la cellule. Il persiste donc à
croire
que c'est là le substratum anatomique essentiel d
'a maintes fois prouvé. M. Charpen- 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. tier a
cru
devoir prendre le mot de persécuteur dans. son se
parence, le plus grand nombre des admissions immédiates aboutirait,
croit
l'orateur, à la diminution du nombre des aliéné
suggestion qui est un mode de traitement, plus ancien qu'on ne le
croit
. La suggestion est un mode très puissant, pour gu
de la peau. La localisation éveille l'idée de la pellagre, l'auteur
croit
que dans ce cas l'in- fluence de l'état du syst
EY. - Trépan dans un cas de paralysie générale. Il y a tout lieu de
croire
que le malade a bénéficié de l'intervention chiru
le corps trapézoïde. Les barbes du calamus sont, non pas, comme le
croit
Monakow, des faisceaux secondaires de l'auditif
e l'omoplate gauche et la colonne vertébrale; elle est pulsalile eL
croit
à vue d'oeil. Finalement héma. témèse, mort. Pe
en aucun cas, la seule cause psychopathogéné- tique. Nous tendons à
croire
que l'influenza a simplement donné un coup de f
des artères qui nourrissent ce lobe, et à l'anémie consécutive. Il
croit
que cette pathogénie expliquerait les hallucinati
ait dit plusieurs fois à sa mère qu'elle irait se noyer, mais on ne
croyait
pas à cette menace d'enfant, et rien ce jour-là
oyait pas à cette menace d'enfant, et rien ce jour-là ne peut faire
croire
qu'elle a mis sa menace à exécution, car en ren
ui trois coups de revolver. Il s'est ensuite suicidé. Ce malheureux
croyait
que ce prêtre, qui était intervenu dans un proc
ATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 301 I Mais il ne faudrait pas
croire
que la présence du sucre dans les urines puisse
uille toujours dire pseudo- tabes d'origine diabétique ? Nous ne le
croyons
pas. Nous pensons que, dans certains cas, l'int
ividu, rappelant au point de vue pathologique sa double origine. Je
crois
que des cas semblables doivent exister ; reste
ère, une sous-variété dans cette forme d'aliénation. Les malades se
croient
maintenant, sous l'influence de nouvelles modif
séparer le délire de persécution de la lypémanie, et de cela je ne
crois
pas qu'il faille lui faire un reproche. Il ne p
les arrête. Ils les acceptent toutes et les affirment. Aussi, je ne
crois
pas que le délire ambitieux s'installe peu à pe
ent mental. Il devient sombre, tacitnrne, s'isole de ses camarades,
croit
qu'on le regarde de tra- vers, qu'on chuchote s
n. Dans les premiers temps de son séjour il était très excité, se
croyait
entouré de communards venus pour lui faire un mau
dirait-on, est las d'avoir prêché dans le désert, de n'avoir été ni
cru
ni écouté; il se replie sur lui-même dans une s
de Graefe, etc. Dans tous les cas de cette catégorie, il s'agit, je
crois
, d'une affection du nerf trijumeau d'origine in
ment disparu, bien que certains points de l'examen puissent faire
croire
le contraire. En effet, il est facile de démontre
thographe. 11 y serait resté trois jours et faisait les courses. Il
croit
n'avoir eu qu'une seule attaque depuis sa sorti
de céleri. Il se mit à tourner autour de la table en étouffant (on
croyait
que c'était le morceau de salade); puis il tomb
t pris d'idées tristes voyant que sa maladie ne guérit pas. « Il se
croit
une charge pour tout le monde et dit qu'il se jet
Digestion. -Bon appétit. Quelquefois il mangeait énormément : e on
croyait
qu'il avait le ver solitaire ». Quand il est sur
' Enfin, à propos de ces deux nouveaux cas d'hystérie mâle, nous
croyons
utile de rappeler les cas que nous avons publiés
ces tumeurs et surtout leur dis- position symétrique permettent de
croire
qu'on se trouve ici en présence de tumeurs de n
névrose ou une psychose préexis- tante ? MM. Deventer et Mispelbaum
croient
que l'influenza cons- titue le coup de fouet do
lam- mation des parties atteintes par l'atrophie, on est autorisé à
croire
qu'il existe une connexion entre le pédoncule c
ntmlbl., 1890. Discussion. M. OPPENIIEIM, pas plus que M. Remak, ne
croit
à l'étiologie traumatique du tabès. M. Remak ci
sur ce ehapitre d'importants restes à annuler. Les imprudents ! ils
croient
ainsi réduire les dépenses départemen- tales, q
il est curable, et cela par économie autant que par humanité2. Je
crois
en conséquence avec le professeur Pierret que le
et garantira les nominations, les traitements et les retraites, je
crois
que le recrutement par le con- cours serait pre
é- liore pas la situation matérielle des adjoints, car elle est, je
crois
, la cause principale de la pénurie de candidats
e trois mille francs et de.quatre mille après quatre ans. Eh bien ?
croit
-on sérieusement que ces émoluments de saute-rui
es, on risquerait fort de n'engendrer que paressse et stérilité. Je
crois
, en effet, les savants un peu plus hommes, et m
pages qui suivent sur les diverses sortes d'hallucinations. Mais je
crois
utile de signaler les passages sur les hallucin
, d'écrire pour les gens du monde, que pour le public médical. Je
crois
qu'il a eu tort, car sa monographie claire, métho
ais, dans sa préci- pitation, il n'en prit qu'une faible partie. On
croit
que le meurtrier est un morphinomane. Il déclar
documen- taire. Conclusions. Des observations précédentes nous
croyons
pouvoir tirer quelques conclusions, d'autant plus
Elle continue à être grossière avec ses compagnes, quand elle ne se
croit
pas entendue. Elle a une tendance très marquée
compression était la plus forte, le canal était oblitéré. L'auteur
croit
qu'avant que ne s'effectuât la compression de la
, et que Straehuber appelle l'axochroinalénine ' ? Userait tenté de
croire
, comme ce dernier auteur, qu'il s'agit, non de
e de la protubérance, mais pas l'ltémianee- thésie. 11 y a lieu de,
croire
qu'il y a eu lésion du côté droit de la protubé
de semblables troubles angio-tropho-neurotiques, l'auteur incline à
croire
qu'en réalité les altérations névritiques, sivo
t de côté et d'aufu sur le réseau vasculaire épiscléral, qu'on peut
croire
à un tremblement continu de l'oeil entier. N'at
sion des selles et de celle des gaz. L'occlusion intestinale étaità
croire
, mais l'inconstance de l'effet évacuateur des d
ne proportion de 68,08 %. Parmi les causes occasionnelles, l'auteur
croit
qu'il faut placer en première ligne les chagrin
ires dans le domaine du sciatique poplité externe. 31. Lovvenleld
croit
aune lésion simultanée des corncsanterieu- res
lep- tiformes peut-être contiliales, peut-être d'origine urémiipie,
croit
reconnaître formellement des personnes, des loc
une fille qu'il a délaissée pour épouser sa femme. Cependant il ne
croit
pas lui avoir fait tort. Mais il s'imagine avoi
- vons à aucun moment remarqué quoi que ce soit qui per- mette de
croire
à l'existence du processus inverse. La pa- noph
également relever vers celte époque -entre''0 et 21 ans, si nous en
croyons
le malade, qui ne nous fournit pas de date bien
ans l'escalier. Il lirait des coups do rovolver par la cheminée. 11
croyait
qu'on lui riait au nez. Il avait, disait-il, re
sons aussi à ce sujet dans les ateliers où il travaillait. Toujours
croyait
-il quelqu'un qui lui en voulait. Et entre temps
igé contre lui, auquel celle femme était associée pour le voler. Il
croyait
parfois entendre des bruits de baiser. Il la fr
art des peurs nocturnes, des cauchemars, de mauvaises choses ;it il
croit
tomber dans des précipices ; il entend des fusi
ient il apporter dans le recrutement des in- ternes. J'ai d'abord
cru
que c'était par erreur qu'un exemplaire de cett
nts. Nous serons extrêmement sensibles iL ce procède nouveau, et je
crois
pouvoir affirmer à l'a- vance que le savant rap
tel Asile occupe un directeur-méde- cin et un adjoint, par exemple,
croient
que cela l'ait deux médecins, nous savons bien,
le principe même de la question, principe que tout le monde pouvait
croire
depuis longtemps indiscutable, le rapporteur se
vivons ! Les adjoints d'aujourd'hui veulent être les maî- tres ;
croyez
-vous qu'ils demandent un service ! pourquoi pas
chie, mes sentiments de très haute déférence envers mes chefs, jonc
crois
blesser personne en rappelant quel- ques-unes d
s aux asiles, depuis longtemps les aliénés sont des malades et l'on
croit
qu'ils sont soignés. Combien de gensémincnts et
efforts de quelques rares aliénistes. las travaux de Lasègue. on ne
croyait
pas encore que l'étude de la folie put cons- ti
ela est vrai ; et le nouveau plein de zèle petit adjoint, qui avait
cru
met- tre en pratique toutes les choses si intér
temps absolument perdu pour l'assistance des aliénés, on pourrait
croire
que. du moins, il lui sert d'apprentissage 120
pe Le tubercule quadrijumeau antérieur. 11 y a aussi des raisons de
croire
que noire centre de divergence cortical postéri
eclementélucidés que par l'influence des rayons N. » ;\1. BECHTEREW
croit
également Ù la réalité de la devinalion de la p
Louche le moins la capacité de dénommer les objets. Il y a lieu de
croire
, quanlaux images mentales des objets, que lorsq
ors de trouble dans les complexus conceptuels verbaux, il faut bien
croire
à un foyer occupant des postes rela- tivement l
s adjuvants, des éléments s provocateurs. Il n'y a pas de raison de
croire
à une auto-intoxication par résorption des produi
ffuses permettent de penser à la paralysie générale. M. Vallon ne
croit
pas que le diagnostic de folie circulatoire soi
laire. Dans l'un des cas communiqués aujourd'hui, l'escharre sa-
cru
avait été provoqué par un furoncle. 150 , SOCIÉ
n"fJul'nl'c de l'sl'hal'J'l' dan la Jlaral"sie générale, mais, s'il
croit
que des mesures de prophylaxie soi- gneusement
lU'a\I'C certains soins, on peut souvent, les éviter. M. Toulouse
croit
que les escharres, étant le plus souvent la con
hasie transitoire ôtaitdue à l'intoxication morphinique. - M. Ritti
croit
que le titre qui conviendrait le mieux à la com-
du ces deux états dontl'independancc est plus fréquente qu'on ne le
croit
. La puissance peut exister sans le désir, de mê
re recueillis dans l'élablissemoni de Mellray (In- dl'r-rL-Loil'e),
cru
\ : qui COllll1ll'l[l'nL qnelqUl's l'odaiLs sonl 1
t multiplier les exemples, mais il est certains phénomènes que nous
croyons
devoir leur assimiler et sur lesquels nous nous
er au négativisme une explication plus satisfai- sante ? Nous ne le
croyons
pas. Chaque fois qu'on l'ali- mente, il est vra
çoit que le désarroi intellectuel est moins grand qu'on pourrait le
croire
au premier abord. / Les néolosgimes qui sont fr
auses ' favorisantes de la démence précoce, nous sommes portés il
croire
que cette habitude est moins une causc qu'un ef
dont les éléments sont encore tout hypothétiques, il y a lieu de
croire
que ces phénomènes sont sous la dépendance d'un
ites-vous ? etc.» Mais les réponses lui importent peu : et quand on
croit
lui avoir donné sa- STÉRÉOTYPIE DES DÉMENTS PRÉ
reste absolument impassible, 'étala fixité atone de son regard, on
croirait
entendre parler une som- nambule. Aussitôt fait
pparition aussi tardive qu'on n 212 CLINIQUE MENTALE. pourrait le
croire
. En effet si elles sont l'expression d'un résid
qui garde le silence pour expier les fautes imaginaires dont il se
croit
coupable, chez tel autre qui craint de comprome
e rai- deur catatonique, flexibilité cireuse ou négativisme. Nous
croyons
donc pouvoir déduire de ce qui précède cette no
de pituitaire d'a- près ilIihalko\ics, Kupffer, Xubsbaum, permet de
croire
ce qui suit. t. Ou la poche de Secssel, conse
avec le reste de la coupe transverse non dégénérée. Il y a lieu de
croire
que le territoire du faisceau pyramidal con- ti
des réflexes, tout cela élimine une lésion des nerfs. Tout porte à
croire
à l'existence de la dégénérescence des fibres mus
état de l'écepth ilé lout spécial du sterne nerveux et tout porte à
croire
que sous l'influence d'une cause occasionnelle
tre la même. Pour les malades ayant moins de deux ans de séjour, je
crois
qu'un médecin ne peut pas véritablement suivre
gnent à touclieràcesujef particulièrement délicat et douloureux; je
crois
ne pas devoir retenir par devers moi des renseign
isque d'augmenter la progéniture. Ils sont plus nombreux qu'on peut
croire
, ceux qui admettent celle erreur. Les accouch
se moucher plusieurs fois. Il lui est arrivé plusieurs fois qu'il a
cru
sentir qu'une hèle l'a mordu brusquement aux ja
'est inslallé et des hal- lucinalions sont apparues. Elle a d'abord
cru
que tout le monde la regardait de travers, et s
u'r·lLea\ait Ivitrle ses vêtenu·nls ; elle les aurait distri- hues,
croit
-elle, aux passants, avec ses clefs et son argent.
cri- ture, le calcul, etc., et cela avec, plus de succès qu'on ne
croirait
tout d'abord ; nous pourrions citer tel de nos
ccès qu'on ne STATISTIQUE ET ENSEIGNEMENT DES ENFANTS IDIOTS. 285
croirait
tout d'abord ; nous pourrions citer tel de nos él
cilabilité galvanique directe. On aurait encore bien des raisons de
croire
que sa précocité et son intensité in- diquent u
ie impossible. L'au- leur, en raison de la rapidité de l'évolution,
croit
a l'action d'une toxine sécrétée par la glande
normaux et 328 correspondance. honnêtes. Mais il ne faudrait pas
croire
que les idées morales justes coïncident nécessa
ment que la vision bino- culaire est toujours sollicitée ? Je ne le
crois
pas. Car la vision binoculaire n'existe réellem
urement objectif, met en cause, la personnalité propre du sujet qui
croit
se reconnaître dans une personnalité étrangère.
audine en ménage et Claudine ci Paris. Lc texte l'intéressa et elle
crut
reconnaître une analogie mar- (IUl'l' entre ses
ipal du livre. Puis l'analogie devint une identité et Mlle X..., se
crut
incarnée dans le personnage de Claudine. Non pa
rés mystiques ne se rencontrent pas seulement. comme on pourrait le
croire
, dans les asiles d'aliénés : ils emplissent ces
pas chemin. Les religions ont fait du bien et ont l'ait du et je
crois
qu'aujourd'hui, en se dressant devant la science,
our sa propulsion des muscles qui entourent cet os, ceux-ci s'ac-
crurent
jusqu'à former d'énormes masses richement ir- r
nt a une conséquence qui mérite de retenir votre attention.. J'ai
cru
pouvoir poser en loi que le protoplasma de tout
, Kôlliker et Ramon y Cajal. Sans revenir aux arguments que j'ai
cru
devoir oppo- ser, dans le Progrès médical, à ce
pathologique dans le cerveau elles ménin- ges. Il y a donc lieu de
croire
à un simple retard du développe- ment cl'rl'bml
maux, pour le différencier du mensonge des hystériques. M. Vallon
croit
que le mot de ((mensonge» impliquerait l'idée de
n d'eux a fini par tom- ber dans la mélancolie... "" M. Christian
croit
que le malade de M. Antheaume est un dé- bile i
ment il celle de)1. Antheaumr. - )1. BERNARD a connu un aliéné qui
croyait
avoir changé de sexe et sentir remuer son utéru
des était attirée par des tableaux indicateurs. Nous n'avons pas
cru
devoir nous en tenir là el, poursuivant la série
x, médecin-directeur. cl. le Dr Chocreaux rappelle au début qu'il a
cru
néces- saire de conserver, dans son rapport méd
aniser nous pourrions di- re organiser-- n'a pas subi de réduction,
croyons
-nous. Il n'est peut-être pas encore suffisant.
out d'abord, de ce que nous avons observé, j'ai tout lieu de ne pas
croire
il l'abolition d'emblée des réflexes iriens dan
réflexe tous les jours et même plutôt deux fois qu'une par jour. Je
crois
qu'en procédant ainsi on constaterait que dans
t glisser soit en avant, soit en arrière du corps étranger et faire
croire
, comme nous l'avons vu dans l'une de nos observ
es, c'est-à-dire de volume en général restreint, il ne faudrait pas
croire
que ces derniers offrent moins de danger que le
'application du traite- ment est faite de bonne heure; s'il faut en
croire
les médico-pé- dagogues, c'est a parlir de deux
résoudre. « 1243 malades y ont été traités en 1903. A qui fera-t-on
croire
à la possibilité d'un traitement vraiment série
la promenade. Le nombre des aliénés de la Seine était de 24. Nous
croyons
que l'Asile n'en reçoit plus. -Le produit des t
ture des deux ra- dius causée par les liens trop serrés qu'on avait
cru
devoir lui ap- pliquer au dehors, comme cela se
très im- portante. « Cependant, est une question sur laquelle je
crois
utile de re- venir, bien qu'elle ait été traité
soudaine de notre savant et estimé collègue, Nous ne voulions pas y
croire
; cependant il fallut bien se rendre à l'éviden
par le médecin en chef. - Ce système sera-t-il parfait ? je ne le
crois
pas. 11 me paraît ce- pendant représenter une s
lettre bien longue et qui, d'ailleurs, vient trop lard, et veuillez
croire
à mes sentiments dévoués. ,. . NGL.1DE. Votre
oulagement d'apprendre qu'ils n'étaient pas, ainsi qu'ils l'avaient
cru
, les seuls à en avoir souffert. D'habitude, cet
ds des passants. Rougit' devant un étalagera, l'idée qu'on pourrait
croire
qu'il peut voler.des objets exposés.. Rougit dans
it, afin de détour- ner l'attention de l'interlocuteur, et de faire
croire
qu'il est occupé d'autre chose que de sa rougeu
rouve timides, ridicules, qu'on les prenne pour des ivrognes, qu'on
croie
qu'ils ont fait un mauvais coup, qu'on se moque
n'y a pas chez lui équi- libre entre le cerveau et le sang ». Il se
croit
« un malheureux martyr par la souffrance morale
l'état dans lequel je suis que peu ci peu. Ma propre famille a, je
crois
, beaucoup contribué à développer cette affectio
l'âme, la patrie, l'honneur, la vertu, le désintéres- sement, je ne
crois
pas un traître mot. Heureux encore quand je me
e chose, il avait beau dire qu'il n'en était pas coupable, on ne le
croyait
pas, parce que « sa rougeur le trahissait », di
sychopatiques. comme l'obsession, est plus considérable qu'on ne le
croit
généralement, plus considérable môme que celui
ndiquer que le paroxysme émotif n'est pas, autant qu'on pourrait le
croire
, de prime abord, sous la dépendance de l'idée.
rs même que je songe à rougir, cela m'est impossible. » C'est là,
croyons
-nous, une preuve péremptoire que l'idée ne suff
à des résultats probants. D'ores et déjà, il est permis d'affirmer,
croyons
-nous, que, dans l'obsession de la rougeur, comm
tardif de la personnalité plus ou moins net. Le malade peut même se
croire
triple comme le prêtre d'Esquirol qui se figura
s et fait des incantations bizarres sur tout ce qui l'entoure. Elle
croit
ainsi créer le monde à nouveau ; son langage, l
ifications analogues de l'écriture peuvent s'observer chez ceux qui
croient
écrire sous la dictée de Dieu et sentent leur m
récit. Un médecin dont le délire remonte à plus de dix années, se
croit
le messager de Dieu, il s'intitule Edouard, le ba
arle et raisonne sainement, sans aucune idée délirante, ce qui fait
croire
aux personnes qui l'en- tourent qu'il est tout
ne peu intelligente, trouve qu'il est un homme d'un grand esprit et
croit
à son génie. Il est probable que les éléments d
ces individus qui, avec des apparences de logique et de raison, se
croient
l'objet d'injustices imaginaires et, sous l'emp
ion aiguë du centre bulbaire de l'hypoglosse. On est donc obligé de
croire
à une lésion centrale ayant très fortement attein
ux qui réagissent d'ailleurs au courant électrique direct. L'auteur
croit
cette atrophie d'origine périphérique, malgré l'a
trophie d'origine périphérique, malgré l'atro- phie ; il tendrait à
croire
à une compression périostique de nature rachiti
es ou sa profession aucune cause prédisposante. Force est donc de
croire
à la qualité particulièrement nuisible et à la qu
nt où l'infirmier le levait pour faire son lit. M. Charpentier ne
croit
pas que les escarres soient aussi rares que le
mort subite s'observe beaucoup plus souvent qu'on est tenté de le
croire
. M. A. Voisin ne couche ses paralytiques qu'à l
ns où le décubitus lie pouvait déterminer de pression. M. C.r,ncr
croit
aussi à la fréquence des morts subites anatomique
du monde. On était alors con- vaincu, et nombreux sont ceux qui le
croient
encore, que la guérison de la folie nécessitait
j'ai raconté déjà ailleurs, dans les Annales d'hygiène publique, je
crois
, comment dans l'établis- sement où j'ai fait mo
ou se figure qu'elle l'abandonne, ou DES VISITES DES FAMILLES 83
croit
qu'il est un misérable qui mérite d'être répudié
ses con- ceptions délirantes ou souffre d'un abandon auquel il ne
croyait
pas. Quoi d'étonnant, dès lors, qu'une visite tar
pas dans leur intégralité les idées nous vellesqueje défends, qu'on
croirait
bon de rompre pour certains aliénés les relatio
à petit ont compris l'innocuité de ces promenades et aujourd'hui je
crois
que toutes les appréhensions sont dissipées. Je
erait dans toute l'épaisseur de la substance grise. Golgi incline à
croire
que ces innombrables ramifications des prolonge
'est un peu départi de son scepticisme scientifique; il parle et il
croit
qu'on a le droit de parler, de cellules montées
ra avec les éléments d'autres régions cérébrales. C'est ce qu'avait
cru
observer Gudden. Mais en enlevant les sphères v
Gol;i : 112 PATHOLOGIE NERVEUSE z En manière de conclusion, je me
crois
autorisé à soutenir que les prolongements proto
à la direction des prolongements protoplasmiques, Golgi avait donc
cru
observer chez ceux-ci une « tendance à se porter
entre les diverses provinces du système nerveux cen- tral. » Il ne
croit
plus, pour la même raison, que « la fusion ou l
voir ces rapports. Le peu qu'on sait autorise pourtant pleinement à
croire
qu' * une seule fibre nerveuse peut avoir des rap
ent déli- mitées de distribution des fibres nerveuses ». Mais Golgi
croit
tou- jours à l'existence de ce qu'il appelle de
ogique. Mais il révoque en doute, toujours d'après ce qu'il a vu ou
croit
savoir, bien des faits qui chaque jour prennent
chlorhydrate de spermine à la dose de 25 centigrammes par jour et
croient
devoir leur attribuer la guérison de leur malade.
n Reil au pied ou étage inférieur du pédoncule cérébral. 11 est à à
croire
qu'il y a union directe, sans entre-croisement du
u (à base périphérique postérieure) dans la moelle sacrée. Barbacci
croit
que ce sont les fibres de la virgule de Schultz
e « sa place est dans une prison » et non dans un asile; mais il le
croit
dangereux et ne demande pas sa sortie pour cett
érose, sur laquelle nous avons personnellement insisté, l'auteur ne
croit
pas que les hémorragies des muqueuses dans la n
a. névrose CÉRÉBRO-C.\RDIAQUE; par Jean-Hippolyte GOUDAUD. L'auteur
croit
, avec Krishaber et le professeur Dieulafoy, que l
araissent insuffisants pour conclure de même façon que lui, et nous
croyons
qu'il est préférable d'admettre, comme on le fa
ouvenez que lors de notre séance du 12 mai dernier nous n'avons pas
cru
devoir nous montrer favorables à deux demandes
ez la généralité des gens, elles pourront se présenter quoique nous
croyions
que cela soit extrêmement difficile. ' Voir les
i évite d'être écrasé par les chevaux, voitures, tramways etc. » Il
croit
que c'est un péché grave que^d'avoir des relati
une femme. Il aime ses parents et ses frère et soeur, quoiqu'il se
croit
bien supérieur à eux intellectuellement. L'instin
investiga le rêve des sourds-muets dans un but distinct du nôtre,
croit
voir en lui un moteur. Ce cas est vraiment anorma
rapport avec l'état pathologique antérieur. Pour nous résumer nous
croyons
pouvoir conclure de ce qui précède que, à côté
. 105).. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 183 s'agit ici d'une dame qui
croyait
avoir communié en état de péché mortel. Le déli
olie religieuse et l'excitation sexuelle à tel point qu'on pourrait
croire
que ce sont les mêmes cellules cérébrales qui pré
me s'est introduite dans son corps. Une femme anesthésique sexuelle
croit
qu'une autre se substitue à elle dans son propr
. cit., p. 80, 81. Sérieux, thèse Paris, 1888.) Un homme agénésique
croira
aux sorciers noueurs d'aiguillettes.' Comme l
à des idées délirantes mystiques. Une débile, ancienne religieuse,
croit
avoir avec le Christ des rapports ab ore (Délir
in personnage n'est pas toujours aussi immatériel qu'on le pourrait
croire
» (p. 590, loc. cit.). Aux perturbations de la
de de Morel, citée par M. Ritti (La folie à double forme) . Elle se
croit
tour à tour religieuse ou prostituée. (Obs. XVI
rales, les abcès du cerveau, la mé- ningite. A ce propos, M. Jacoby
croit
devoir signaler un fait encore peu remarqué, c'
er 1896.) L'auteur résume son opinion sous la forme suivante : il
croit
que l'homme est en moyenne moins exposé à la fo
avant l'internement. Quatre ans après, l'autre frère et la soeur se
croient
égalemeut persécutés : ils prétendent tous trois
é générale et spéciale. De là ses déterminations possibles, et nous
croyons
pouvoir ajouter fréquentes et variées, sur les
et l'odorat sont touchés beaucoup plus souvent qu'on ne saurait le
croire
en lisant les ouvrages classiques ? C'est ainsi
ataxiques, ce qui n'est pas rare, ne soit pas reconnue, on peut se
croire
en présence du délire de persécution dans sa fo
otre attention, comme étant spéciale au sujet de ce mémoire. Nous
croyons
que le tabétique peut pâtir du côté du goût et
lleux relient, au moyen de leurs collatérales, non pas, comme on le
croyait
, deux points symétriques de deux hémisphères, m
. L'anatomie pathologique et la méthode de Fleclisi,- permettent de
croire
, quant à la terminaison inférieure de ces fibres,
Les cellules chro- mophiles représentent sans doute, comme Nissl le
croit
, un état fonctionnel de la cellule nerveuse, pe
ncidence des groupes pyramidaux actifs dans la perception. Cajal ne
croit
pas possible de pousser plus avant l'ana- lyse
les fibres de la névroglie ne sont pas élastiques, comme on l'avait
cru
par erreur (Gerlach). Les fibres de névroglie se
se iscbémique) ne contiennent pas, dit Weigert, ainsi qu'il l'avait
cru
, de tissu conjonctif, mais des masses considérabl
latérales entrent en con- tact avec les dendrites. Mais le moyeu de
croire
que les courants nerveux sont transmis au hasar
ent si largement réalisées pour la bonne direction, s'il fallait en
croire
ces auteurs, des courants nerveux, dans des centr
même, et qu'elle ne sait pas ce qu'elle parait savoir, mais qu'elle
croit
le savoir. Ainsi, pour sauver cette théorie, qui
une doctrine : les magistrats n'en sont pas moins restés enclins à
croire
ou qu'il n'y a pas de science médicale exacte,
sont des affections rares. Mais il n'est pas aussi facile qu'on le
croit
au premier abord de démontrer la nature inflamm
corce des hémorragies plus anciennes, en petit nombre, que l'auteur
croit
elles-mêmes de date peu éloignée. Pas de' micro
biceps gauche dont néanmoins la paralysie est persistante, l'auteur
croit
que le plexus doit être atteint au-dessus de la
, indique qu'il n'y a pas de méningite, comme on serait tenté de le
croire
; elle a de plus une grande valeur pronostique,
cider avec la même arme. Son père était aliéné; lui-même, débauché,
croit
-on, par un homme qui occcupait la même chambre
appeler des hallu- cinations rectifiées ; car jamais le malade n'a
cru
à l'existence réelle des choses qu'il voyait, e
r la folie épileptique d'après la forme du délire ? - Wildermuth le
croit
, en se basant sur les points suivants : début b
elles de l'épilepsie. D'accord avec Oppenheim et Bruns, Fürstner ne
croit
pas à l'immunité des enfants à l'égard de l'hysté
e l'intelligence était beaucoup moins atteinte qu'on aurait pu le
croire
d'après l'état de stupidité apparente. L'humeur é
, les troubles de la parole et les symptômes physiques. L'auteur se
croit
autorisé à admettre entre la paralysie générale
rappro- chant des granulations de Ehrlich, ce qui tendrait à faire
croire
qu'il ne s'agit pas d'éléments vivants, mais de
stieu. Je désirerais seulement mettre deux points en lumière. Je ne
crois
pas, en premier lieu, qu'il y ait eu de la part
t bien décrit ce qu'ils ont vu, mais ce qu'ils ont vu tenait, je le
crois
, moins à la maladie elle-même qu'à une tout aut
e d'asiles doivent se faire une singulière idée de nos parloirs, on
croirait
vraiment assis- ter à une scène de l'enfer de D
recevoir leur dernier souffle ; la création de cette pièce aurait,
croyons
-nous, une tout autre utilité qu'un parloir dans
la population. Celle de Neuilly ne s'en plaint pas, je veux bien le
croire
; cela prouve qu'elle a un bon caractère et une
plus fréquente chez les femmes que chez les hommes porte aussi à y
croire
. La plupart des médecins en Finlande sont du mê
entourage peut aisément le devenir par lui. Quant au café, l'auteur
croit
qu'il a en Finlande une plus grande impor- tanc
s D'HYSTÉRIE ; par le professeur Pitres. Les nosologistes anciens
croyaient
avoir trouvé dans la perte ou la conservation d
se. Quanta l'origine hématomyélique de cette dernière, M. Mouratoff
croit
que les cas de Schulze ne donnent rien que des
E. différente. Baillarger', un peu plus tard, aborda nettement et
crut
pouvoir résoudre la question. Il avait, pensait-i
nce que les deux maladies ont sur la marche l'une de l'autre, il ne
croit
pas possible de « rien pres- sentir à cet égard
elle, il considère que dans le plus grand nombre de ces cas où l'on
croirait
à première vue à l'existence de cette associati
nutieuse des coupes aux différentes régions de la moelle peut faire
croire
à un tabes légitime alors qu'une étude mieux co
le peu de lésions des racines postérieures d'autre part. Nous nous
croyons
autorisé à penser qu'il s'agit ici, tout au moi
des fibres endogènes. Telles sont les considérations que nous avons
cru
bon de présenter sur ce cas, qui, comme on le v
moelle montrait des lésions telles qu'on aurait pu facilement les
croire
caractéristiques du tabes spinal postérieur ; un
la vue et de l'ouie et quelques interprétations fausses; la malade
croyait
que tout le monde s'occupait d'elle, qu'on riai
de sa pre- mière communion elle avait des scrupules, plus taid elle
croyait
ne pas bien faire ; elle se rendait compte de»
sse brusquement de travailler; elle présente une anxiété énorme, se
croit
damnée, voit les maisons brûler, tomber eu ruin
ce que je suis, mais j'existais. a - Avez-vous été mariée ? - Je le
crois
, je ne me rappelle plus. Quel est le nom de vot
a vue.» Pendant plusieurs jours elle reste agitée et anxieuse; elle
croit
qu'on écrit sa condamnation, qu'on va la faire
lus persistantes, elle voit de drôles de choses auteur d'elle, elle
croit
voir le feu; mais tout cela est. éloigné mainte
lme, lucide, active, mais toujours un peu déprimée moralement. Elle
croit
toujours ne pas remplir convenablement la lâche q
y a là une hallucination et non simplement une illusion) , elle la
croit
tombée malade dans cette cave, car elle ne l'en
un esprit du mal qui a fait le monde; la religion à laquelle elle a
cru
n'existe pas. Parfois elle se demande si elle n
on vient dire que ce ne sont pas eux, c'est une fantasmagorie. Elle
croyait
au martyre, mais elle ne croyait pas à un marty
eux, c'est une fantasmagorie. Elle croyait au martyre, mais elle ne
croyait
pas à un martyre semblable. Mais elle espère auss
le sera la journée ? Quelle qu'elle soit, je vous l'offre... » Elle
croit
que son mari a livré ses enfants sans savoir à
rre, mais dans la lune, tout en sachant qu'elle est à l'asile. Elle
croit
avoir des bêles au-dessus de la tête et ayant tro
qui ont été émises à un mo- ment donné par la malade , comme de se
croire
trans- portée dans la lune, idées qui apparaiss
ci cède vite lorsque la réaction vient à l'emporter. Il ne faut pas
croire
non plus qu'on se remet d'un travail mental fat
trophient et éprouvent peut-être aussi d'autres modifica- tions. Il
croit
encore la trouver dans les résultats d'expérience
romateux avec des troubles moteurs et sensitivo-sensoriels qui font
croire
à une hémorragie méningée à gauche. Trois jours
, d'Heilly, Chantemesse, etc.) supporte au moins des exceptions, ou
croire
, avec Blanchi, que ce centre siège dans la deux
t, et surtout a fait, de si terribles ravages. M. Charcot incline à
croire
qu'ils sont la conséquence de la névrite post-v
schburg. (Zeilsch1'i{t sur hypnotismus, t. IV, fasc. 5.) L'auteur
croit
que l'hypnotisme est un agent thérapeutique pré
sans aucune idée préconçue, j'en suis fort aise pour eux ; mais je
crois
alors à une fausse interprétation des cas qu'il
arthritiques. Les premières sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne
croit
; quant aux secondes, elles sont plus qu'hypoth
M. ARNAUD admet l'existence de paralysie sans délire, mais ne la
croit
pas très fréquente. M. Charpentier. L'inconscie
médecins, n'avaient aucune conscience de leur bredouille- ment. Il
croit
, comme M. Christian, que le délire paralytique es
l- tration de cellules rondes parfois si considérable que l'on se
croit
en présence d'un processus gommeux, franchement s
élire systématisé, parfois atténué ou dissi- mulé au point de faire
croire
à une convalescence, parfois accom- pagné d'exc
mauvais parti; en réalité, elle espérait ne pas se blesser et faire
croire
que son mari l'avait jetée par la fenêtre. Cett
sentiment de la personnalité prédominaient nettement ; la malade se
croyait
douée d'une très grande intelligence, de talents
passager, comme il arrive souvent en pareille occurrence, que je
crus
prudent de prolonger la séquestration; je ne me d
manger; erreur de personnalité; pleure quand une gardienne qu'elle
croit
sa parente s'éloigne; doit avoir des hallucinat
cérébraux par l'intermédiaire des centres vaso-moteurs du bulbe. Il
croit
plutôt que les produits toxiques agissent direc
rement non impétueuse, incomplète, ou inversement. Tous les auteurs
croient
à des lésions vasculaires; l'observation de Bra
e, le malade tombe brusquement dans un état coma- teux et meurt. On
croit
qu'il s'agit d'une seconde hémorrhagie cérébral
ait toujours soin de supprimer tout médicament. Mais il ne faut pas
croire
que cet emmagasinage reste perpétuel dans les m
il y avait bien moins de CI après l'administration du Br. De là à
croire
que c'est l'appauvrissement de l'organisme en Cl
même il une distance éloignée, les résultats sont satisfaisants. Il
croit
aussi que si le goitre, lorsqu'il existe, avait d
mogastrique. Les faits cliniques démontrent que c'est une erreur de
croire
que le sympathique cervical, une fois coupé, va
e n'a été émis sur la nature de l'affection. Dans les autres cas on
croyait
avoir affaire à une tumeur cérébrale (Westphal,
omine notablement dans l'âge jeune. 180 CLINIQUE NERVEUSE. nous
croyons
indispensable de résumer les données d'au- tops
droits il y avait un tel amas de capillaires néoformés qu'on aurait
cru
voir un tissu caverneux. Mais en ce qui conce
erait enclin à SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. H ! 3
croire
que la névroglie qui forme la couche périphérique
ndépendance de caractère absolue, dit ce qu'il a constaté, ce qu'il
croit
être la vérité, et qui, ne sortant pas des limite
ombe plus particulière- ment à l'intervention. Voici comment nous
croyons
devoirdiviser le sujet : après avoir passé en r
es qui les poussent à demander à la chirurgie des opérations qu'ils
croient
utiles et qu'ils recherchent par simple fantais
par des chirurgiens militaires. Ce n'est pas là nn oubli, mais, je
crois
, la constatation de l'absence de psychoses post-
agnan, tout en reconnaissant qu'il existe d'autres cas de ce genre,
croit
cependant que la dégénérescence n'a qu'une influe
lis héréditaire ne doit pas être négligée, loin de là. M. JoFFROY
croit
qu'il est imprudent de refuser à la dégénéres-
Ballet, pas plus que moi, n'en ont vu d'exemples. M. Motet. - Je
crois
que la conclusion qui se dégage des com- munica
sseoir au milieu de nous. « Mesdames, « Un vieux proverbe qu'on
croit
oriental, mais que je suppose- rais plus volont
rend hommage en ces termes à ses prédécesseurs : bienfaiteurs. Je
croirais
manquer au devoir de la reconnaissance, si je n
usculaires, la démarche classique de l'ataxique; méconnue elle fait
croire
à une impotence du malade plus grande que ne le c
ces ambitieuses et propensions aux réactions violentes. On pourrait
croire
à l'existence d'une relation étroite entre l'op
emplacer par des grilles les murs avec sauts-de-loup des préaux. Je
crois
que les galeries présentent beaucoup d'avantage
emplacées par des chambres d'isolement cubant environ 35 mètres. Je
crois
que nulle part, à moins de cas exceptionnels, e
sur l'infirmerie spéciale du Dépôt. (L'Aurore du 4 juillet.) Nous
croyons
qu'il serait possible d'éviter des scènes aussi p
es les plus bénignes, ses traits cliniques caractéristi- ` ques. Il
croit
donc qu'il y a exagération à classer comme lèpr
e ces faits, de la coexistence d'une polynévrile; mais l'auteur ne'
croit
pouvoir expli- quer la physionomie des accident
enne-Aran. Malgré l'absence de troubles de la sensibilité, l'auteur
croit
pouvoir ratta- cher cette amyotropie à une syri
ntaire dans trois cas de tabes dorsal spasmodique. M. van Gehuchten
croit
pouvoir en conclure que le phénomène des orteil
hypnose soit une modalité hystérique artificiellement provoquée. Il
croit
qu'il existe bien une région frontière où l'hys
région frontière où l'hystérie empiète sur l'hypno- tisme, mais il
croit
aussi à l'autonomie de ces deux états. LworF. L
disposition des groupements cellulaires chromatolysés les auteurs
croient
pouvoir conclure : 1° Que les noyaux d'innervat
e qui peuvent déterminer le myxoedème post-opératoire. Si l'on a pu
croire
que les troubles mentaux sont plus fréquents da
de l'alcoolisme, etc. Relativement à la seconde question, l'auteur
croit
que les rêves peuvent produire la folie de deux
accumulation des paroxysmes pendant les heures vespérales permet de
croire
que l'arrêt physiologique est dû à l'action des
phobies neurasthéniques paraissent avoir, non, comme on pourrait le
croire
, un point de départ psychique, c'est-à-dire cor
on. M. W. MOURATOw, en se basant sur ses observations personnelles,
croit
que la syringomyélie et l'hydrocéphalie chro- n
ez lui, il se montre anxieux, manifeste des idées mélancoliques, se
croit
perdu de réputation et refuse complètement de sor
ans l'alcoolisme. Nous ne pouvons souscrire à cette opinion et nous
croyons
que c'est une faute d'aller jusqu'à nier l'acti
'empoisonner. Pour se mettre à l'abri des persécutions dont elle se
croit
victime, elle quitte le domicile conjugal pour
ois, mais rare- ment complète et durable. M. Grasset et M. Cullerre
croient
que les troubles de la sensibilité sont à peu p
ns entière- ment ont-ils écrit, la manière de voir de Mindel qui ne
croit
pas possible d'arriver à une formule générale e
des pieds hype- resthésiée et du reste du pied normale. Inutile,
croyons
-nous, de multiplier ces citations ; celles que
e faciale. M. Bernhardt a critiqué la théorie de l'auteur, semblant
croire
que ce dernier attribuait exclusivement à l'irr
rophie progressive, et non pas, comme il le pensait, et comme on le
croit
trop généralement encore, une maladie : l'atrop
n phénomène passif, fait de simple voisinage comme on pourrait le
croire
. Les cellules nerveuses qui présentent ce phénomè
plus grand diamètre supérieur à 1 millimètre. A première vue, on se
croirait
en présence d'un foyer de ramollissement néerob
e de la sclérose cérébrale. Après ce qui vient d'être dit nous nous
croyons
autorisé à pouvoir formuler les conclusions sui
exécuter, b) parce qu'il s'accompagne d'une illusion qui nous fait
croire
à notre libre arbitre. Lorsque je me retourne v
érescences secondaires et des altérations périvasculalres permet de
croire
à une intlam- mation subaiguë. uns. Il.- Phén
rceaux étudiés, est le fruit d'un surmenage musical. Sinon, on peut
croire
que la cérébras- thénie forte produit directeme
autres que le système nerveux. En l'absence temporaire, j'aime à le
croire
, d'une nosologie des folles basée sur l'anatomi
auvre, progression qu'on ne constate point dans la classe riche. Je
crois
que ce fait est dû à ce que la classe riche peut
en des pensées dont le malade méconnaît l'origine personnelle : il
croit
n'en être pas l'auteur, il les extériorise et l
: en bas, il a laissé une partie de l'ascendante. L'auteur tend à
croire
qu'un traumatisme a, à l'âge de trois mois, pro
survécu après une indisposition de quelques jours, d'où l'auteur se
croit
autorisé à conclure qu'une portion même très pe
les sensitives est moins exceptionnelle que l'on serait tenté de le
croire
puisque l'auteur en a relevé vingt-trois exempl
pa- thogènes et spécialement de pyogènes communs. Cela peut faire
croire
que si l'on doit admettre réellement un délire ai
fois, par exemple, sont véritablement tares, plus rares qu'on ne le
croit
ait. M. Perrier en a relevé 33 seulement sur 2.
e médecine légale à la Faculté de Bahia (Brésil). M. Vina-Rodrigues
croit
avec M. Marandon de Montyel, « qu'il y a eu pré
dans cette théorie d'apparence d'ailleurs si rationnelle ? Je ne le
crois
pas, je dois le déclarer. ;\1. irlaharev icz sout
ion didactique une idée exacte des troubles en question. Nous avons
cru
devoir nous servir du terme bégaiement pour dés
e et Dr... à sa seconde. D'après les faits qui précédent, nous nous
croyons
autorisés à affirmer l'existence d'un bégaiemen
aire à une chorée rythmée. Est-ce un paramyoclonus multiple ? Je ne
crois
pas non plus, bien que les analyses et les diff
ues en question peuvent être fort atté- nués, et il ne faudrait pas
croire
en forçant les analogies, que tous ceux qui pré
tant le numéro du wagon par celui du com- partiment. Que de gens se
croient
obligés de compter, lorsqu'ils passent devant t
ué, débute rarement à un âge aussi avancé, vingt-huit ans. Il est à
croire
qu'entre quatre ans et vingt-huit ans, le malad
a femme étant morte depuis qu'il est à l'asile, il n'a pas voulu le
croire
, malgré les lettres annonçant la perte qu'il ve
tion. On le tient enfermé pour lui prendre son bien. 11 ne veut pas
croire
que sa femme soit morte, parce qu'on n'aurait p
à personne. Ne gardant aucun souvenir de ses accès de fureur, il ne
croit
pas à leur existence et ne se sait pas dange- r
a conséquence d'une hérédité similaire ou dissemblable ? Je ne le
crois
pas. Les renseignements sur les antécédents, de
s qui ont successivement prédominé. Disons seulement qu'après avoir
cru
que le point de départ du processus épilep- tiq
bornées et il faut surtout éviter les hypo- thèses hasardées et je
crois
, qu'avec les acquisitions actuelles véritableme
atif des quatre observations contenues dans ce travail, les auteurs
croient
pouvoir conclure que les signes les plus fréque
ipètes est pour 111. Jen- drassik d'ordre central. Ces deux savants
croient
à l'origine infec- tieuse d'une semblable affec
uter concerne une erreur de diag- nostic ; on avait toute raison de
croire
à une hystérie chez une imbécile, il n'existait
n quelques secondes une amélioration telle qu'un ins- tant l'auteur
crut
à une simulation, mais la marche de la maladie,
e. de la rage, il s'est laissé aller à ses accès et s'est fermement
cru
paralysé. Observation II. - G. M..., trente-h
la forme de demi-lunes ; les autres, *de polygones. M. Ro- senheim
croit
, comme Ehrlich et Westphal, qu'elles émanent des
eBurdach dont le développement précède celui du noyau de Goll, nous
croyons
que les fibres du noyau de Goll qui se développ
uelles ; mais l'élément religieux ne faisait pas défaut : le malade
croyait
avoir commis un péché impardonnable et se consi
du nouveau-né, tant les gaines de myéline ont diminué de volume; on
croirait
assister aux premières périodes de développemen
te des cellules araignées isolées, mais sans qu'on soit en droit de
croire
à une hyperplasie du tissu conjonctif et encore
rsécutés électriques qui méritent d'être signalés, ce sont ceux qui
croient
avoir subi un choc électrique et qui simulent d
peut-être de porter un pronostic un peu plus favorable. Mais c'est,
croyons
-nous, la seule valeur réelle qu'on puisse lui a
Du groupement de tous ces faits que nous venons d'examiner, nous
croyons
que l'on peut tirer quelques conclusions qu'ils
ée- de mouvements anormaux. Cet ensemble de preuves suffit, je le
crois
, à écarter la paralysie agitante. Puisque le tr
notre malade, le double diagnostic symptomatique et nosologique. Je
crois
cependant qu'il nous reste encore, pour conclur
que à forme de tremble- ment sénile. Nous pouvons affirmer, je le
crois
, que notre malade est une hystérique ! Non pas
'entoure quelquefois, déclare qu'il y a plus d'hystériques qu'on ne
croit
généralement; d'après lui, bien [des maladies c
Quels sont, chez notre malade, les symptômes qui pourraient faire
croire
à une lésion et, si elle existait, où faudrait-il
qui est plus obscur, c'est le siège de cette paralysie : la malade
croit
se rappeler que les traits étaient déviés vers
de Benedikt. Nous aurions donc affaire aune lésion du pédoncule. Je
crois
toutefois qu'il est bon d'être encore réservé e
ne variété d'apo- plexie hystérique. Quoi qu'il en soit, nous avons
cru
utile d'appeler l'attention sur ce point pour q
e Jendrassik peut d'ailleurs rappeler celte disparité alors qu'on
croyait
le phénomène du genou absolument absent d'un côté
la fréquence de la syphilis chez les paralytiques généraux. Mais il
croit
la vraie paralysie générale syphilitique fort r
ement restant sans influence sur l'une comme sur l'autre. M. RIST
croit
que les différences qui existent dans les statist
uter des questions au questionnaire en préparation. M. MALF1LATRE
croit
la distinction très difficile à établir. Les ob
sprit plutôt que sur des raisons bien probantes. M. MO11EL-LAVALLÉE
croit
qu'il existe une véritable relation de cause à
nisme. Bientôt survinrent des idées de persécution, de jalousie. Il
croyait
voir des vers dans ses petits abcès cutanéset l
ui était cause de tout. M. Séglas a observé un malade analogue, qui
croyait
aussi avoir des insectes sous la peau et les ex
tous cas, ce n'est pas une raison pour ne pas la demander si on la
croit
bonne. On procède alors au vote sur les deux qu
s soit d'apo- plexie soit d'une autre affection cérébrale grave. Je
crois
qu'il y a lieu de songer à des causes éloignées
vées considérablement par l'influenza. Mais il ne faut pas toujours
croire
que l'influenza les a déterminées de toutes piè
castrer les criminels et certains aliénés. Cette manière de faire,
croit
-il, serait bien plus utile que la prison, pour am
liorer la race humaine et éviter sûrement l'hérédité criminelle. 11
croit
que l'intérêt bien compris de la société exige
r l'amour du public pour le merveilleux. Le New-York medical Record
croit
que l'arrivée de ce personnage est due à ce que
ous ne sommes malheureuse- ment pas aussi avancés en ce sens que le
croit
le journal améri- cain : nous attendons encore
peut être parfois sous la dépendance de cette névrose. Mais j'ai
cru
devoir faire la remarque précédente pour bien m
ans cesse et sans raison le cadre de l'hystérie. Il y a en somme,
croyons
-nous, un double écueil qu'il faut éviter dans l
ns, mais non pas des reproductions véritables. En somme, on peut,
croyons
-nous, établir la règle suivante : la suggestion
cette époque n'est plus revenu à la consultation et il y a lieu de
croire
qu'il est guéri, car, comme il habite Paris, il
ensations que lorsque ces phénomènes se produisent spontanément. Je
crois
utile d'insister à ce sujet sur ce que la premi
satisfaisants qu'aient paru les résultats de ces expériences nous
croyons
ne devoir les accepter qu'avec réserves pour le
ntribué à la confirmation et à la généralisation d'une loi que je
crois
vraie. C'est dans le but d'arriver à ce dernier
l'entreprendre. Comme cela demandera un certain temps, je n'ai pas
cru
devoir différer la publication de ce mémoire, e
ra au moins les quelques faits anatomiques que je signale et que je
crois
nouveaux. Je dis « je crois » par ce qu'à notre
ts anatomiques que je signale et que je crois nouveaux. Je dis « je
crois
» par ce qu'à notre époque de découvertes inint
34 . . ANATOMIE. En définitive, en invoquant l'appel de Broca, je
crois
devoir m'applaudir d'avoir suivi la marche que
s posses- sion de mon terrain, j'ai pu me rendre compte - ou j'ai
cru
me rendre compte des dissidences, des négations
tions ou irradiations des nerfs optiques et olfactifs ? Je ne le
crois
pas; je n'y vois qu'une simple modifica- tion.
J'ai en effet, rencontré plusieurs fois cette disposition, dont je
crois
pouvoir donner l'explication suivante : Ces d
er la discussion de faits qui se déga- gent de nos recherches, nous
croyons
utile de donner quelques détails sur les résult
fférentielle, varient suivant la méthode employée. Aussi nous avons
cru
nécessaire d'entreprendre une série de recherch
de l'expé- rience restant rigoureusement identiques que nous nous
crûmes
autorisés pour le moment à ne pas pour- suivre
n autre fait vient à l'appui de ce principe fonda- mental, que nous
croyons
pouvoir établir. On pourrait croire que tout pr
cipe fonda- mental, que nous croyons pouvoir établir. On pourrait
croire
que tout processus pathologique intéressant un
vons institué un certain nombre d'expériences de ce genre, que nous
croyons
utile de résumer dans le chapitre suivant. De
grand nombre de ces malades, que nous avons examinés, nous ne nous
croyons
pas autorisés à déduire de nos recherches une l
ous nous proposons de revenir sur ce sujet ultérieure- ment. Nous
croyons
utile de donner ici quelques résultats de nos e
ébut de nos recherches une grande importance à ce symptôme que nous
crûmes
être de grande valeur pour le diagnostic différ
tion présente pour nous assez d'intérêt par lui même, pour que nous
croyons
utile de le communiquer ici; 2° Comme on l'a fa
ex- périences que nous avons instituées à cet effet, nous ne nous
croyons
pas autorisés à déduire de nos recherches DE LA
ayant paru de nature à influencer l'état mental de la malade, nous
croyons
intéressant d'en dire quelques mots en passant.
tremblement nerveux s'ensuivait qui la secouait tout entière. Elle
croyait
, dans ses douleurs, avoir des jarretières qui l
but de la maladie), elle se reportait très loin en ar- rière : elle
croyait
parfois qu'elle allait encore à l'école; elle p
e son fils, mais elle demandait l'autre petit Henri, car elle ne le
croyait
pas aussi grand, disant qu'il avait dix à douze
, et que, loin d'avoir affaire à une démente, comme on pouvait le
croire
au premier abord, nous sommes en face d'une affec
deux nouvelles images, une auditive, l'autre kinesthé- tique. Nous
croyons
avoir atteint ainsi un maximum d'intensité pour
à la localisation spéciale des fonctions sur l'écorce cérébrale, je
crois
utile, même nécessaire de considérer l'effet de
ns cérébrales partielles chez l'homme, nous avons quelque raison de
croire
que si les hémis- phères étaient entièrement en
qui portent justement son nom, a fourni de puissantes raisons pour
croire
que certaines circonvolutions voisines et fonc-
lance dont on a voulu gratifier ce genre de malades. Je n'ai jamais
cru
à cette inaltérable bienveillance des paralytique
'École pratique des Hautes-Études à la Sorbonne. u Heureux ceux qui
croient
qu'il est en mé- n decine des questions sur les
belleux direct de Fleclisig, par consé- quent dans des parties qui,
croyait
alors Leyden, sont loin de participer avec cons
ssus des deux côtés, dont la symptomatologie clinique fit longtemps
croire
à un tabès hémilatéral. » Redlich a trouvé enco
'écorce du télencéphale. « Nous pouvons chercher avec sûreté, je le
crois
, écrit Redlich, dans le cordon postérieur, les
de l'unanimité avec laquelle on en vantait les bons résultats. Nous
crûmes
devoir attirer l'attention, dans une série de p
ment dans les jointures les plus atteintes par la roideur; l'auteur
croit
avoir découvert cette paralysie, en constatant
métaphysique; 3° Il faut repousser le naturalisme grossier qui fait
croire
à l'existence, derrière les phénomènes chimique
sanique, l'arthritisme, l'alcoolisme, la dothiénenté- rie, etc. Ils
croient
pouvoir en conclure que la syphilis semble de b
stématisation. Les illusions sensorielles sont multiples ; l'aliéné
croit
voir les rues plus pleines de monde que jadis,
res manifestes, sans qu'il s'agisse néces- sairement de névrose. Je
crois
que dans ces cas il existe une fai- blesse part
blesse et de lourdeur. En face de ces symptômes ou pourrait parfois
croire
à une névrite diabétique, mais l'ataxie et la f
adie de Charcot (forme amyotrophique et paréto-spasmodique). Nous
croyons
qu'on doit restreindre considérablement le rôle p
x forts, n'avaient pas de réflexe du côté sain. Fallait-il dès lors
croire
à un retour de réflexe sous l'influence de la scl
laire, sont capables d'exagérer les réflexes, tendineux. Aussi nous
croyons
-nous autorisé, à con- clure que si l'arc sensit
es des cordons latéraux me parait beaucoup plus commune qu'on ne le
croit
généralement. Il est du reste tout naturel qu'i
examen nécroscopique, je ne suis pas en droit d'être affirmatif; je
crois
néanmoins que cette hypothèse est la plus accepta
jours ; ils se trouvent plus- longtemps dans les autres organes. Je
crois
que ce fait dépend de ce que. le tissu nerveux
cas. Hématomyélie. M. Laignel-Lavastine présente un malade qu'il
croit
atteint d'hématomyélie de l'épicône et de la base
est l'eneephal à la partie postérieure de la capsule intense. Lergi
croit
que le centre se trouve dans le bulbe. L'aute
nie de la persécution depuis qu'il était revenu de Cuba. Il s'était
cru
notamment excommunié et avait adressé une requê
de la monstruosité double. Le professeur Fournier, comme M. Porak,
croit
qu'il faut rapprocher des monstruo- sités un ce
ue psychiatrique, des héréditaires. C'est en effet ce que confirme,
croyons
-nous, la clinique. A. part les cas de psychose
elligente, malgré l'affaiblissement très réel des facultés. Je ne
crois
pas que l'on puisse refuser à cette observation
'École pratique des Hautes-Études à la Sorbonne. « Ileurew ceux qui
croient
qu'il est eu mé- Il decine des questions sur le
cune importance particulière à ces altérations structurales ». Nous
croyons
que le contraire est infiniment plus vraisembla
conque, concentrique, des blocs chromatiques chez l'homme. Schaffer
croit
pourtant que cette disposition existe, au moins
olyse de ces cellules, signalée par Marinesco : il incline plutôt à
croire
que les cellules des ganglions spinaux dont les
r ce point de fait, ces auteurs sont d'accord avec Schaffer, ils ne
croient
pas justifiées les conclusions que ce savant en a
la branche périphél iq ue, au nerf sensible, il y a déjà des faits,
croient
les auteurs, qui permettent d'affirmer l'existe
ue les opinions diffèrent sur la fréquence de cette infection, ne
croit
pourtant pas que les preuves jusqu'ici rassemblée
ue toujours normal, même dans les cas anciens. Aussi incline-t-il à
croire
que l'infection. origine du mal, est générale,
Alloemeillell. Berlin, 189" ' 1 Leyden a de plus en plus incliné à
croire
que le tabes est d'origine périphérique (1894-1
ornes postérieures, les colonnes de Clarke. Malgré tout, Redlich ne
croit
pas que la théorie périphérique du tabes soit c
D. Arch. f klin. lled. Bd kLIII, 1888. Dans ce travail Jendrassik
croit
pouvoir déduire d'observations cli- niques et d
qui concerne d'autres organes que ceux de la vision : il ne saurait
croire
à « une action directe de la névrite optique su
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. t4d cellules nerveuses, il
croit
pouvoir soutenir que la régularité avec laquell
ans l'aspect de leurs cellules intracardiaques, mais l'auteur ne se
croit
pas en droit d'affirmer qu'il s'agit bien là de
rsque le toucher agit seul. Le toucher et non la vue, comme on le
croit
assez généralement, est donc le sens qui interv
s cellules n'ont certainement point de névroses. On peut tendre à
croire
que les cylindraxes émanent des noyaux des cellul
urs et en nous basant sur nos recherches très nombreuses nous avons
cru
pouvoir conclure, que ce symptôme de relation d
plégie organique et l'hémiplégie hystérique, et c'est pourquoi j'ai
cru
utile de les signaler à l'attention de la sec-
nt; ces malades ayant guéri très rapidement, il n'est pas permis de
croire
qu'il SOCIÉTÉS SAVANTES. 167 s'agissait d'une
loi formulée puisse être considérée comme telle. Voici pourquoi je
crois
que le rôle séméio- logique des réflexes est tr
es réflexes peuvent être exa- gérés. Tel n'est pas mon avis ; je ne
crois
pas que dans l'hémi- plégie hystérique pure il
e prolongées. 111. Pactet, au risque de violer le secret médical, a
cru
faire oeuvre d'humanité dans une circonstance a
a personnalité, sans avoir jamais eu d'idées de persé- cution. Elle
croit
ne plus exister, ne plus avoir de pieds, de mains
tômes nerveux transitoires à allures assez mal définies, nous avons
cru
inté- ressant de les faire connaître, bien qu'i
e saurait expliquer l'intermittence des phénomènes observés'' qu'il
croit
devoir considérer comme l'effet d'une manifesta-
la réaction, électrique des nerfs et,, des musclés, nous ne pouvons
croire
qu'il'ne s'agisse dans ces cas que de phénomène
s, des allures cliniques du tabes dorsal spasmodique familial. Nous
croyons
que c'est dans ce sens qu'il est préférable d'i
nombre de faits analogues publiés par Déjerine, Killion et Pitres,
croit
que les accidents présentés par un malade, y comp
de cas d'émiphalocèle cérébelleuse chez le nouveau-né, et l'auteur
croit
bien que ce cas est le seul où l'on ait constat
cette anesthésie spéciale est très fréquente daas le tabes ; Hitzig
croit
qu'elle existe toujours à un degré quelconque,
- gnostic a été fait, et confirmé. Au point de vue clinique, nous
croyons
que les symptômes se sont montrés graduellement,
es psychiques propres aux dégénérés, aux déséquilibrés. Aussi, je
crois
que l'état de dégénérescence, créant l'impulsion
is et plus souvent qu'on'ne pense, de pathologie ner- veuse », nous
croyons
cependant qu'il y a dans la société une tendanc
deurs de la région cervicale. Dans les premiers temps de la vie, on
croit
qu'il était bien pro- portionné, face aimante;
aimante; puis on a remarqué que l'un des côtés du front, le gauche,
croit
-on, était plus déprimé que l'autre..A me- sure
n- dans le sys- tème nerveux central des aliénés, et que cet auteur
croit
dériver des libres médullaires. Il reconnaît qu
'elles sont remplies d'une substance qui ressemble à la graisse. On
croit
qu'elles pro- viennent de la dégénérescence gra
'auteur, en terminant, insiste énergiquement sur ce point, qu'il ne
croit
ni aux miracles ni au surnaturel moderne, mais
pour se protéger. Loin de là, la nouvelle loi sur les bouilleurs de
cru
aggravera certainement l'alcoolisme qui fait ta
t-elle pour continuer à en combattre les funestes effets ? Je ne le
crois
pas et il serait désirable qu'on prit les mesures
tirer grand avantage d'une opération chirurgicale ? M. Ballet ne le
croit
pas et cite des faits analogues pour les- quels
pparte- ment, tantôt elle menaçait ses voisins de les tuer. Elle se
croyait
, d'autres fois, poursuivie par des ennemis invi
yèrent de calmer ce pauvre halluciné, mais en vain. Un instant, ils
crurent
le tenir, mais d'un bond le pauvre fou sauta su
as d'un de nos malades. En me plaçant à ce point de vue spécial, je
crois
devoir mettre en relief les deux notions suivan
pour me convaincre de la légitimité de cette tentative. Or, je ne
crois
pas trop m'aventurer, en prédisant qu'au nombre
ulsives débutent par des spasmes du pouce, on procède à ce que l'on
croit
être le centre cortical de ce doigt, dans l'hém
r à la suppres- sion des attaques. Voilà les réflexions dont j'ai
cru
devoir vous faire part, après avoir montré le p
e polynévrite dite syphi- litique, dont deux personnelles, l'auteur
croit
pouvoir établir les catégories suivantes : 1° t
essiter l'isolement, tant il devient incommode pour les voisins. On
crut
d'abord que le hoquet était d'origine hystérique
quelques minutes le malade à une heure ou deux de sommeil. L'auteur
croit
être le premier à signaler cette application sp
le mot « supposées » s'applique évidemment aux illu- sions, mais il
croit
avoir pris des précautions suffisantes pour que
es. 2" série, t. XI. 28 434 SOCIÉTÉS SAVANTES. - repos). L'auteur
croit
que, si l'on admet la contracture secondaire de
ans les rues, cherchant à se dérober à ses ennemis imaginaires qui,
croyait
-il, l'avaient suivi dans son voyage. Enfin, cet
c une femme, et il était recommandé de ne pas boire après lui. Elle
croit
que le D' 111ai- sonnave (de Rioti-les-Landes),
sif jusqu'à la terminaison finale et la nécropsie qui ne pourra, je
crois
, que confirmer le résultat de l'examen clinique
che, mais on n'obtient pas qu'il regarde, ce qui lit que sa mère le
crut
aveugle. Pendant la demi-heure que nous avons d
espèces de remèdes, sans qu'ils aient fait aucun effet, et qu'elle
croyait
que seule une opération pouvait le guérir. Tout
s-corticaux, la face des choses ne changeait pas davantage. Je ne
crois
pas à propos de m'arrêter à examiner -si les th
agération générale ou locale de la pression intra- cranienne, et il
croit
, ce qui est très vraisemblable, que l'ou- vertu
rainte de la perte de liquide céphato-ractiidien, et parce qu'il ne
croit
pas à la régénération des os par la diire-ii-iè
oir de Kocher. Von Bergmann manifeste quelques réserves parce qu'il
croit
que l'altération spasmophile congénitale ou acq
Il serait hasardeux de déduire une conclusion définitive, mais je
crois
prudent, et peut-être profitable, de diriger les
s de paa, il les sent pour ainsi dire en lui. De même le malade qui
croit
qu'il marche en l'air a parfaitement conscience
ublié autrefois l'observation d'une malade qu'on avait tout lieu de
croire
paralytique générale et dont le cerveau était f
ent voisines de celles de ]t 1)Lialy-ie générale, qu'il y a lieu de
croire
qu'il s'agit bien d'une paralysie juvénile. Par
ée le syndrome clinique c'est surtout le syndrome anatomique. Je ne
crois
pas qu'on puisse pousser la comparaison aussi l
observation qu'il a publiée de kystes hydatiques du cerveau faisant
croire
à l'existence d'une para- lysie générale vraie.
du doute tiennent à des troubles de la mémoire : quelques douteurs
croient
n'avoir pas fait ce qu'ils ont fait ; d'autres cr
ument convaincu que, dans tous les antres cas, les mouvements qu'il
croyait
exécuter n'étaient pas également une simple imp
M. Sollier le mécanisme du doute dans certaines phobies. M. SMLAS
croit
qu'il faut établir des distinctions entre les dou
nsation que sa main accomplissait l'acte de frapper. Plus tard elle
crut
avoir frappé et eut des idées délirantes d'auto
s présentées parla malade de M. Tré- nel. je ne suis pas éloigné de
croire
que l'hallucination psychomo- trice est très fr
on psychomotrice. Le Christ lui parla par sa propre bouche. Il se
crut
médium et iL partir de ce jour accomplit les acte
Un médecin adonné depuis longtemps aux prati- ques du spiritisme se
crut
d'abord médium moteur, puis médecin 506 ' · SOC
tr d'exagération des réflexes tendineux an côté de la paralysie. Je
crois
donc que chez ce malade il y a tout au moins un
nique d'épilepsie. Discussion. M. Postowskv, qui connaît le malade,
croit
que l'alcoolisme a pu jouer dans son cas un gra
nations très accusées, notamment du côté de l'ouïe. M. Tokarsky ne
croit
pas que ce cas doit être considéré comme un typ
kiianoit et Bernstein se prononcent dans le même sens. M. Bernstein
croit
qu'il n'y a pas plus de raisons de distinguer plu
nt le mieux prouver ses sentiments. Cette manifestation était bien,
croyons
-nous, telle que le maître £ ' et ses amis pouva
ce grise de la moelle épi-nière. Multiplier ces exemples serait, je
crois
, superflu, car, dès maintenant, vous voyez l'inté
inale. Celles-ci seront, si vous le voulez, notre objectif; mais nous
croyons
utile de tracer parallèlement l'histoire des trou
insensible, n'eût pas été protégé contre les agents extérieurs. Nous
croyons
qiie les sections incomplètes devront être répé-t
cquis déjà: les faits que nous venons d'invoquer suffisent, en effet,
croyons
-nous,à établir que le défaut d'action du système
ord, parmi ces lésions traumatiques des nerfs, une distinction que je
crois
fondamentale etdont vous reconnaîtrez bientôt tou
t à la, distribution des nerfs irrités (i). Il y aquelques raisons de
croire
qu'un bon nombre des cas de zona spontané se déve
t assimilables, sans réserves, ainsi que quelques auteurs semblent le
croire
, aux sections des nerfs pratiquées chez l'animal.
ie des muscles et la perte de la contractilité électrique. Mais je ne
crois
pas qu'on puisse présenter beaucoup de faits de c
uissent à cet égard être mises en cause indistinctement; tout porte à
croire
, au contraire, que les fibres sensitives, issues
t été relatés que d'une façon très sommaire, et il faut se garder, je
crois
, d'en tirer des déductions qui seraient peut-être
de nausées et de vo-missements. Peau chaude, pouls très fréquent. On
crut
qu'il s'agissait là d'une fièvre typhoïde. — Pend
vous amener à reconnaître qu'ils ont bien leur intérêt. R. Bright les
croyait
assez dignes d'attention et assez peu connus pour
s croyait assez dignes d'attention et assez peu connus pour qu'il ait
cru
devoir y insister dans ses Reports of médical Cas
ctères de la gangrène du cerveau (2). M. Baillarger a le pre-mier, je
crois
, reconnu la véritable nature de cette altération.
ut être la cause organique de cette singulière lésion trophique? j'ai
cru
pendant longtemps que celte lésion devait être co
araplégie liée au mal vertébral de Pott, où cependant elle est, je le
crois
du moins, très rare (2). Elle se produit plus fré
e. Uarthropathie des hémiplégiques, décrite pourlapremière fois, je
crois
, en 1846, par Scott Alison(2), plus tard par Brow
ans la substance grise des cornes antérieures de la moelle que nous
croyons
avoir trouvé le point de départ de cette complica
alysie des nerfs vaso-moteurs. Je suis,pourmon compte,très enclin à
croire
que,en général, le mode pathogénique est ici plus
quefois un épanchement de sang dans les capsules surrénales (2). J'ai
cru
devoir vous remettre en mémoire cette ex-périence
ns fréquentes dans ces circons-tances que ces médecins ne semblent le
croire
. 2. Brown-Séquard. —¦ Influence d'une partie de
r à faire prédominer durant un certain temps l'état d'ischémie. Je ne
crois
pas pourtant que, par ce procédé, on soit parvenu
venait quelque jour se pronon-cer en leur faveur. Il est dificile de
croire
, d'un autre côté, que le rôle joué parles nerfs s
partiennent en propre au trem-blement de la paralysie agitante; je ne
crois
pas qu'on les ren-contre dans aucune autre espèce
on presque constant. Nous appuierons actuellement sur un trait qui,
croyons
-nous, a échappé à Parkinson ainsi qu'à la plupart
bonne part, à rendre les mouvements laborieux ; mais ce n'estpas là,
croyons
-nous, l'unique cause que l'on doive invoquer: tou
pensée et l'acte, il s'écoule un temps relativement considérable. On
croirait
que, chez lui, l'influx nerveux ne puisse être mi
rogressive, une maladie de famille. Les observations qui ont pu faire
croire
le contraire se rapportent à des trem-blements pa
, ne re-late à ce propos aucun fait clinique. Même aujourd'hui, je ne
crois
pas que la sclérose en plaques soit connue en Ang
particulier dans les cas qui nous ocupent (1). I. A. Il sera, je
crois
, avantageux d'inaugurer cette étude par l'examen
s des arguments, ou pour mieux dire des faits, dont quelques-uns ont,
croyons
nous, une valeurà peu près absolue. On reconnaît
s les phases dé son évolution. De tout cela, on a conclu, — et nous
croyons
la conclusion légitime, — que, dans l'espèce, l'a
sous l'action du réactif. Pour en finir avec les remarques que j'ai
cru
devoir vous présenter relativement à l'histologie
-illà, en d'autres termes, métamorphose ou substitution? La question,
croyons
-nous, doit rester encore indécise ; tout ce que n
efois, avant d'entrer dans les développements relatifs à ce point, je
crois
utile de prendre les choses d'un peu plus loin et
un certain nombre de fibres nerveuses juxtaposées, ainsi altérées, on
croirait
\roir, sur le champ du microscope, un faisceau de
tent essentiellement le même carac-tère que dans lamoelle, et nous ne
croyons
pas qu'il soit utile d'entrer, à cet égard, dans
interstitielles. Ces faits n'étaient guère d'accord avec ce que Ton
croyait
savoir de la struc-ture de la névroglie (voir la
illeurs plus fréquent, de la sclérose en plaques cérébro-spi-nale; je
crois
pouvoir affirmer que très rarement, en opposi-tio
, elle est agitée d'un tremblement très manifeste. Il ne faudrait pas
croire
que ce soit là un phénomène constant et plusieurs
s, du symptôme correspondant de la paralysie générale progressive. Je
crois
même que, dans bien des cas, en dehors du secours
'histoire a été rapportée tout récemment par le docteur Leube (2), se
croyait
destiné à devenir roi ou même em-pereur ; il disa
postérieure, et sans nier que cette association puisse exister, je la
crois
au moins infiniment rare. Il est assez commun, au
qui sont la conséquence de ces lésions partielles des hémisphères. Je
crois
en somme que, dans l'état actuel de la science, l
ollissement du cerceau. Afin de mieux fixer vos idées, à ce sujet, je
crois
utile de xrous présenter très sommairement les dé
us morbide n'est rien moins que démontré. Je suis même très disposé à
croire
, d'après mes propres observations, que les altéra
e la sclérose des centres nerveux. Elle peut être invoquée encore, je
crois
, pour rendre compte de la lenteur avec laquelle l
tre époque. D'autres sentent l'imposture d'une lieue. A qui fera-t-on
croire
, par exemple, qu'une femme puisse rendre par l'or
conclure que tout est imposture dans l'ischurie hystérique ? Je ne le
crois
pas, Messieurs, et j'espère que vous vous rangere
il est bien rare qu'ils réusissent. Ces renseignements suffisent, je
crois
, pour vous convaincre, Messieurs, que, dans cette
ont il estjuste de tenir compte. Loin de moi, toutefois, la pensée de
croire
que les hystériques jouissent d'une immunité part
tout entière dans les organes génitaux ; mais avec Schutzenberger, je
crois
qu'il est péremptoirement 1. Briquel (P.). — Tr
utopsie la lésion de la-couche optique dont, pendant la, vie, j'avais
cru
pouvoir an^ noncer l'existence. * Faut-il, Mess
deux auteurs anglais, Todd et Carpenter, qui l'ont, les premiers, je
crois
, émise et soutenue. D'après cette théorie, la cou
ent le noyau extra-ventriculaire) . En résumé, on peut conclure, je
crois
, de ce qui précède que, dans les hémisphères céré
mathem. naturw. Classe der Kais. Akademie der Wisscns-cbaften). Nous
croyons
utile de donner la substance de ce travail.Après
rveux un appareil symptomatique peu connu, peu remarqué encore, je le
crois
du moins, et dont j'aurai l'occasion de vous entr
donner une idée sommaire, se montrait des plus accusés. Tout porte à
croire
— je ne puis être plus affirmatif, l'autopsie n'a
rovoquée, est bien l'ovaire lui-même. On se fait, en général, je le
crois
du moins, une idée impar-faite du lieu exact qu'o
, après toutes les explications dans lesquelles je viens d'entrer, je
crois
pouvoir conclure que c'est bien à Vovaire à / ova
pas ce qu'est capable d'enfanter, dans ce genre, un goût dé-pravé. Je
crois
qu'il est beaucoup plus simple et beaucoup plus l
errière l'épaule gauche. La malade n'a pas perdu connais-sance ; elle
croit
qu'elle va mourir ; elle crie, la contracture des
on. Mais en est-il de même dans les cas invétérés?Non, Messieurs ; je
crois
pouvoir avancer, en me fondant sur la connaissanc
définitivement ou non élu domicile dans les cordons latéraux ? Je ne
crois
pas, Messieurs, que l'on puisse, dans l'état actu
laires très accusées et répondent mal aux excitations électriques. Je
crois
, par conséquent, qu'il y a peu de chances de voir
otesterait contre une semblable assertion. Rien n'autorise non plus à
croire
qu'il y ait antagonisme des deux névroses, et il
ière presque fatale, s'il s'agissait réellement de l'épilepsie. Je ne
crois
pouvoir mieux faire que de vous rap-peler à ce pr
ire exac-tement comme dans la première expérience. De tout ceci, je
crois
pouvoir conclure que la choiée ryth-mique observé
obtenus ne sont pas toujours très frappants. Il sera préférable, je
crois
, de nous adresser soit aux inhala-tions à'éther,
ment involontaire de la salive et de l'embarras de la parole, on a pu
croire
plusieurs fois,en pareille circonstance, qu'il s'
êmes aux périodes avancées de la maladie, résistance que M. Charcot a
cru
pouvoir invoquer pour rendre compte de la lenteur
nt le motif de ces mouvements im-prévus, elles racontent qu'elles ont
cru
voir des animaux, sur-tout des rats et des chats,
ssant sur sa droite, semble sauter sur elle tout à coup, et dont elle
croit
même sentir le contact. Cette malade est atteinte
t, il est facile de suivre toutes les péripéties du drame auquel elle
croit
assister et où elle joue souvent le principal rôl
faces, l'une gaie et l'autre triste : dans l'ordre gai, la malade se
croit
par exemple transportée dans un jardin magnifique
. Il a généralement rapport soit à des scènes auxquelles la malade se
croit
présente ou auxquelles elle se reporte, soit aux
éparses dans la littérature mé- dicale. C'est à ce titre que nous
croyons
intéressant de rapporter le cas suivant que nou
ascendante l'épanchement est plus noir et plus épais, et l'on peut
croire
d'abord à du sang venu par effraction de la pro
i, jointe à la diffusion et à la complexité des symptômes acquiert,
croyons
-nous, une importante valeur diagnostique, Si no
n'a Aiiciuves, 2e série, t. X. 2 18 CLINIQUE MENTALE. pas été,
croyons
-nous, suffisamment attirée. Mais pour bien appr
onne souvent lieu à des conceptions délirantes; les paralytiques se
croient
capa- bles de repeupler le monde, de posséder m
niles et chez tous les névropathes frappés dans leur virilité. Je
crois
que si les auteurs insistent tant sur l'excitatio
sionnée par la mort de l'un de ses enfants, survenue alors qu'où le
croyait
mieux. Huit jours plus tard, douleurs dans le bas
de par leur cerveau anormal, soient réputés incurables, le Dr Forel
croit
qu'en les soumettant à une discipline à la fois
ce qu'elles peuvent nous donner de bonheur et de joie. Et qu'on ne
croie
pas qu'on arrive ainsi à l'égoïsme absolu ; au
és remarquables, au double point de vue théorique et pratique, il
croyait
devoir présenter à M. le Président du Conseil, Mi
ium. En résumé, de l'ensemble de nos recherches personnelles nous
croyons
pouvoir conclure que le traitement de Flechsig
ne fut pas entamé et l'opération fut plus tardive; en tout cas j'ai
cru
intéressant de la puLlier ici, ne serait-ce que
ris son essor. En juin voyant le terrain gagné et ne demandant qu'à
croire
Léonie guérie j'envoyai son observation avec to
rtige se produisit, la malade ayant reçu une mauvaise nouvelle nous
crûmes
à une lypothymie. Mais le loir juillet la malad
l'on eût excisé une zone d'écorce on eût été plus heureux. Je ne le
crois
pas, car les foyers d'encéphalite s'étendaient
malade de Collins l'affection était récente, et l'auteur lui- même
croit
devoir attendre encore avant de croire à la gué-
écente, et l'auteur lui- même croit devoir attendre encore avant de
croire
à la gué- rison ; et on peut avec Winkler dire
encore choisir parmi les cas jacksonniens d'apparence ceux que l'on
croit
devoir opérer et ne le faire qu'avec une confia
able d'élucider cette question, et c'est dans ce but que nous avons
cru
utile d'attirer l'attention sur cette associati
delys ; ils ont débuté fin février 1899 et ont duré six jours. Elle
croyait
être Jeanne d'Arc ; une de ses com- pagnes du c
er en fibres isolées semées dans tout le cordon postérieur. à Bruce
croit
que le « champ ovale » de Flechsig est constitué
ndistinctement à tous les entrants, par la force; 2° 11 ne faut pas
croire
que l'on puisse arriver à réduire les violents
teur rejetant l'hypothèse d'une polynévrite et d'une héma- tomyélie
croit
pouvoir attribuer ces accidents à une myélite, ay
stratification anormale des cellules et fibres nerveuses). L'auteur
croit
à la simultanéité des lésions pareilles mais indé
à l'existence des maladies mentales familiales ? M. DouTREBENTE ne
croit
pas à l'existence de types similaires dans une
oit pas à l'existence de types similaires dans une même famille. Il
croit
que les types disparates sont au contraire la r
à l'asile avec un délire religieux identique. ' AI. Christian ne
croit
pas qu'on rencontre beaucoup de cas réels de ma
des maladies mentales familiales, mais il n'en a jamais observé. Il
croit
plutôt avec Morel que le type disparate est la
ne comprend pas seule- ment une génération. M. Magnan persiste à
croire
que plus on y réfléchit, plus on demeure convai
liénés agités pour la maintenir dans certaines circonstances. Il ne
croit
pas à l'existence de l'hématome spontané. M.
l'hématome ne s'observe que dans les asiles d'aliénés. M. ARNAUD
croit
que le traumatisme est la cause habituelle de l
e faire de la maladie mentale familiale un type à part. M. Brunet
croit
qu'il faut d'abord définir ce qu'on entend par
a cessé d'évoluer. Comme Winkler qui a publié des cas semblables il
croit
que ce traitement peut arrêter l'évolution, de
née, constitue pour son petit village, une dépense colossale, aussi
croit
-il agir en sage administrateur des deniers comm
ndait que M. Jules Grévy lui avait légué plusieurs millions. A l'en
croire
, elle avait été élevée par MM. Carnot et Félix
e but, une installation spéciale a été nécessaire, qu'il importe,
croyons
-nous, de faire connaître. L'étude de ces diverses
la longueur d'onde des oscil- lations nerveuses, nous permettent de
croire
, après du Bois- Raymond, que ces oscillations s
qui s'astreignent à un jeûne des plus sévères dans le but de faire
croire
qu'elles vivent sans manger. 2° D'autres semble
lesquels les membres supérieurs ont été pris les premiers. Leyden a
cru
devoir distinguer deux formes, bulbaire et névr
son de ces derniers phénomènes et des accidents bulbaires, l'auteur
croit
pouvoir affirmer qu'il ne s'agit dans ce cas ni
on du groupe externe des cellules, de la corne antérieure, l'auteur
croit
plutôt que c'est le développement brusque sinon
mnambule lui donna alors un paquet de poudre de gentiane et lui fit
croire
que cette poudre mise dans les chaussettes du m
orce de boire, sa raison s'en alla et, en ces derniers temps, il se
croyait
poursuivi par des fantômes et par une fille- mè
x et Farnarier, etc. Cependant, comme rapporteur de la Russie, je
crois
de mon devoir de décrire en quelques mots l'évolu
bue en partie à ce que les avis sont différents. Pour ma part, je
crois
que ce système comprend principalement ceci : 1°
ques. Arrêtons-nous sur chacun des points que j'ai avancés. I. Je
crois
que le système d'alitement à l'asile est réglé
ique, la durée du séjour au lit et combien il doit être continu. Je
crois
que les indications précises sur la durée et le
mêmes. II. Quant au second point fondamental du régime au lit, je
crois
que le milieu doit contribuer à ce que le malade
e repoussent absolument. Quant à moi, il faut que je dise que je ne
crois
pas que l'on ne doive jamais user de ce moyen :
roisième élément fondamental du système d'alitement. Quel- ques-uns
croient
précisément que ce qui caractérisait le nou- ve
illons d'observation. Je suis complète- ment d'accord avec ceux qui
croient
que l'entassement dans la même salle des malade
solue de mettre hors d'usage les chambres isolées d'ancien type. Je
crois
qu'il n'y a rien qui favorise si fortement le d
n désuétude complète. Cependant beaucoup d'honorables aliénistes ne
croient
pas possible de le bannir complètement et s'en
isposant dans le développement du goitre exophtalmique, comme on le
croyait
autrefois, mais un rôle de tout premier ordre.
euse : nous appuyant sur trois observations que nous résumons, nous
croyons
pouvoir admettre, au moins pour un certain nomb
ient M. Binet-Sanglé. Cet auteur parai.ssant ignorer ce travail, je
crois
devoir en rappeler ici certains points, et je s
l'appui de mes idées qui sont aussi les siennes. A ce propos, je
crois
devoir relever que les critiques qui ont été fa
nnues, et avec l'électricité en particulier, c'est possible ; je le
crois
même volontiers et j'en verrai avec plaisir la
anglé, que j'ai déjà soutenus dans le Problème de /6TMtë- moire. Je
crois
avoir le premier montré les analogies entre la
ent s'expliquer que par les lois de résonance électrique. Mais je
crois
que le principal rôle du système nerveux est da
formes et applications de l'énergie électrique. C'est pourquoi j'ai
cru
devoir rappeler ici, à propos de la partie géné
inet-Sanglé pense qu'il y a identité. Je serais tout dis- posé à le
croire
, tant il y a d'arguments, pour ne pas dire de p
ne pression sur les bords supérieurs des deux hémisphères. Osier ne
croit
pas que tous les cas sont ainsi produits, et il
iques droits qu'on fait écrire de la main gauche une écriture qu'il
crut
particulière et qu'il appela écriture en miroir.
était possédé de la manie des grandeurs. Depuis cette époque, il se
croyait
appelé aux plus hautes destinées, et à différen
cessus de l'action du massage méthodique dans la paralysie ? On ,
croit
, et c'est l'opinion d'une majeure partie de nos c
on des régions atteintes soit de l'atrophie, soit de la parésie. On
croit
aussi, que c'est par l'action directe sur la fi
rsqu'on masse les régions atteintes de paralysie. En résumé, nous
croyons
le traitement masso-mécanothé- rapique, décrit
le con- cours de muscles autres que ceux qui travaillaient lorsque
cru
: \.- ci commençaient à s'épuiser. Un écran pla
d donc que de cette excitation et point comme on serait tenté de le
croire
a priori d'une modification de la composition d
balles en bois remplies de balles de plomb d'un poids différent. Je
crois
que son emploi donnerait des résultats bien int
tion de celui-ci soit la vraie, P... expose les raisons qui le font
croire
à la genèse pathologique de l'autre série des c
manente du médecin et un personnel secondaire de choix. M. Tokarski
croit
que l'alitement par intervalle peut, dans cer-
. 1(;. VARIA. T fi.\ 1 'n; 11 E N DE L'ALIÉNATION MENTALE. Nous
croyons
utile de reproduire les pages suivantes de Leur
ow occuper de cette dernière façon, la plupart de ses malades, j'ai
cru
bon d'imiter cet exemple à Bicêtre, et j'y ai r
ancien ménétrier, dont jusqu'alors je n'avais pu rien tirer. Il se
croyait
poursuivi par la police, et n'osait ou ne voulait
clusions aux- quelles ont abouti les différents auteurs. Sepilli'
croit
remarquer que dans la paralysie générale, le fa
ons pu avoir une base statistique plus importante ; mais nous avons
cru
devoir éliminer, comme sujets d'observation, ce
trouble latent du système pyramidal, mais tout à fait indépendant,
croyons
-nous, de sa paralysie géné- rale. Si, comme l
ordés qu'à titre onéreux. C'est pour toutes ces raisons que nous ne
croyons
pas que l'obligation de l'éducation des enfants
tre, mais pour les raisons que nous avons énumérées plus haut, nous
croyons
qu'il est indispensable de faire de la maison d
oi, de parti pris, laisser ce malheureux en dehors de ceux que l'on
croit
pouvoir tirer bénéfice du traitement. Quant a
estion est encore pendante. Conclusion.- Dans ces conditions nous
croyons
devoir soumettre à votre approbation les voeux
ndes électriques, ou tout au moins leur analogie, idée qui date, je
crois
, de du l3ois-Raymontl. Dans le numéro des Archi
dans l'histoire des progrès de la médecine mentale en L'russe. Nous
croyons
devoir le rappeler brièvement. C'est en nos que
ou non réalisé, ou bien si c'est l'acte lui-même. Pour ma part, je
crois
qu'il faut réserver le mot « impulsion » à la p
paraissant pas avoir d'importance au point de vue médico-légal. Je
crois
, au contraire, qu'elle peut en avoir non par el
es qui vient d'être brillamment soutenue par M. van Gehuchten. On
croyait
le temps perdu du réflexe patellaire trop court,
perdu le plus court des réflexes. M. van Gehuchten (de Louvain). Je
crois
que M. Bruns n'a pas compris exactement ma pens
que le réflexe de Babinski n'était pas un réflexe cutané. Mais, je
crois
que ce n'est pas un réflexe plantaire, et cela
ige du réflexe cutané finira aussi probablement par disparaître. Je
crois
donc que le phénomène de Brissaud doit être consi
dominante, que le tabes soit toujours une affection uni- voque ; il
croit
que sous le nom de tabes nous confondons des ét
ne me SECTION DE NEUROLOGIE. 507 trompe, celle de M. Marie. Je ne
crois
donc pas que le tabes soit appelé à être décomp
s plus répandues, que l'ataxie, au contraire, est assez rare. Je ne
crois
pas exagérer en déclarant, que dans mon service,
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 513 optique). On
croit
à l'existence d'une tumeur cérébelleuse à raison
Zeitschr. f. Nervenheilk, 1897. Ce malade est mort de pneumonie. Il
croit
qu'il s'agit en l'espèce d'une méningite locali
ion ; il n'existe pas d'incontinence nocturne d'urine. M. Bechterew
croit
que c'est l'émotion en rapport avec le rire qui
velle, et la preuve que cette maladie atteint plus souvent qu'on ne
croit
le névraxe. M. Dupré. - L'intérêt sera maintena
e dormeur extraordinaire. Les voisins n'ont, paraît-il, jamais bien
cru
à cette léthargie prolongée et souvent, depuis
e la con- sidération générale qui se transforma en mépris lorsqu'on
crut
dans lo pays que les époux jouaient une indigne
CULLEMOE, OARCANNE, DEBOVE (M.). UENÏ, MRVAT, UUVAL (Mwele), FÉIIÉ (
cru
), FENAYit0t), FRIiIIIEH,FLETI.HER-BEACH, FIiAN
une revue sur la question du délire dans l'urémie, nous n'avons pas
cru
devoir rappeler, dans un chapitre d'historique
mental, le malade présente encore un certain degré de confusion. Il
croit
avoir passé quinze jours à Sainte- Anne au lieu
s renseignements fournis par sa mère et que nous avons tout lieu de
croire
exacts, aurait été tout à fait normal, jusqu'à
ien : l'attention ne s'éveille pas, la physionomie reste idiote, on
croit
l'enfant sourd. III. De 1890 à 1893, en raison
ant deux mois plusieurs pilules par jour de thymus de veau frais et
cru
et qui a été très améliorée par ce traitement.
cipitaux en même temps que du cervelet par une gomme que l'auteur a
cru
pouvoir localiser sur la tente du cervelet. L
atum organique delà maladie. On peut discuter sur sa signification,
croire
avec les uns qu'il s'agit là d'éléments trahiss
ale, d'autre part, les noyaux de la 3° et 4e paires. Les auteurs ne
croient
pas que la 4°;paire envoie des fibres directs d
ilitique. 80 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Cazaux (d'Eaux-Bonnes). -Je ne
crois
pas qu'il faille ainsi faire bon marché de l'in
ieurs fois l'occasion d'observer des tiqueurs chez qui l'on pouvait
croire
les réflexes rotuliens abolis; il n'en était ri
xique notablement plus développées que chez les sujets sains. Je ne
crois
pas que l'on puisse considérer ces SOCIÉTÉS SAV
t. Il faut lui enseigner une foule de mouvements, que souvent il se
croit
incapable de faire, tandis qu'en réalité, il ar
moins profitable aux sujets, qui, par suite d'un trouble mental, se
croient
dans l'impos- sibilité d'exécuter certains acte
ns l'impos- sibilité d'exécuter certains actes, ou, inversement, se
croient
obli- gés de répéter continuellement certains a
s phénomènes graves occasionnés par le traitement nous n'ayions pas
cru
devoir le reprendre, la taille, station- naire
e. De là, un certain nombre de publications personnelles que nous
croyons
devoir rappeler à la fin de cette observation :
-cinq ans. Depuis quelques années, il s'adonnait à l'absinthe et on
croit
que c'est dan; un accès de deli- rium tremens q
le par suggestion à gauche), sont à considérer. Il est difficile de
croire
à une affection rénale primitive génératrice de
e dysphagique est plus opiniâtre lorsqu'il est seul. Il y a lieu de
croire
que. quelles qu'en soient les variantes, ce phéno
LER. (1\eztrolo. Ceutrulbl. XX. 1901). Quelques faits permettent de
croire
que l'origine de l'appendi- cite en pareils cas
a vie antérieure à 1879 mais a tout oublié depuis cette date. Il se
croit
en 1879. Un mois après, la mémoire lui revient.
ré le lendemain que la défloration était récente et complète, il se
croit
anormal et inférieur. Cet homme a toujours en l
uérison, contraire à la plupart des opinions reçues, que nous avons
cru
devoir rapporter son histoire qui a naturelle-
gie gauche). Grand-père paternel décédé d'une congestion cérébrale,
croit
-on. Grand'mère pater- nelle, morte à soixante-d
mer le carac- tère de non-contingence de ses troubles mentaux. Je
crois
donc qu'avant de se prononcer d'une façon catégor
de la moindre plainte ni la moindre réaction de défense : on aurait
cru
taillader un cadavre. A deux ou trois reprises
de départ très précis des lésions ce qui semble fort difficile, je
crois
pour ma part qu'il est impos- sible, en raison
s à une formule 238 SOCIÉTÉS SAVANTES. aussi simple que paraît le
croire
M. Klippel. Il est incontestable, en effet, que
ais le parenchyme cérébral est-il bien le premier atteint, comme le
croit
M. Klippel Tel n'est pas mon avis. La lésion des
i la règle, c'est la méningo-myélite. Cela est incontestable et, je
crois
même, incontesté : la lepto-myélite est bien l'
able qu'elle intéresse la névro- glie, mais ce serait une erreur de
croire
qu'elle peut exister clini- quement en respecta
glie au processus anatomo-pathologique de la paralysie générale, je
crois
que les altérations de cette substance sont sec
uif). Contrairement à l'opinion que vient d'exprimer M. Anglade, je
crois
que la tuberculose est exces- sivement rare che
ort aux autres altérations encéphaliques. Cette réserve faite, je
crois
que la classification de M. Klippel, 240 . SOCI
... (Suzanne), neuf ans et demi. A première vue, on pourrait ne pas
croire
que cette enfant a été rachitique. En effet, el
- tation, le mot d'eczéma fut prononcé; dès lors le malheureux se
crut
obligé de suivre un régime des plus sévères : plu
'ailleurs par la préoccupation constante des dangers auxquels il se
croyait
exposé. Les tics furent rapidement améliorés parl
nt compte des incertitudes de l'origine du sympathique, les auteurs
croient
pouvoir attribuer aux lésions médullaires obser-
l'existence de la vie extra-utérine. Par conséquent le bulbe joue,
croyons
-nous, un rôle physiologique de premier ordre da
avait précédé la para- lysie motrice des deux bras. M. Annaux ne
croyait
pas qu'on pût constater ce symptôme au début de
a- nifestation de la névrose. Quant au neurasthénique, si on l'en
croit
, il ne dort pas. Le sommeil chez lui est très v
on fils était fou, s'appuyant sur ce que par certains moments il se
croyait
poursuivi par des malfaiteurs tandis que parfoi
ns. Tandis que son cama- rade ne remarque rien d'extraordinaire, il
croit
voir des bêtes fau- ves et tire deux coups de f
ablement impressionné par cette tentative de simulation, nI. Vallon
crut
devoir dans ses conclusions réclamer pour C ..
il met des cailloux dans les serrures, tantôt il moleste ceux qu'il
croit
inoffensifs. ' Matheureusement nos asiles sont
e intervient pour le calmer, il l'accable d'injures. En juillet, il
croit
avoir à se plaindre d'un négociant de Puteaux q
, vantant ses hautes relations et déblatérant sur tous ceux dont il
croit
avoir à se plaindre. Plu- sieurs cafés sont obl
tés. Enfin il parle à chaque instant de faire assommer ceux dont il
croit
avoir à se plaindre. Un jour il s'élance sur
reçoit quelques égratignures sans importance. Immédiate- ment il se
croit
gravement atteint : il veut faire appeler le méde
e tâche pour obtenir de votre bienveillance « un rapport qui laisse
croire
à une maladie passagère. » Et en effet, lors de
jamais eues ou des opinions qu'ils n'ont jamais formulées. S'il se
croyait
passible d'une peine grave il raisonnerait tout
, tout en jouissant d'un sommeil sinon complet, du moins suffisant,
croient
ne pas dormir ou le prétendent avec plus ou moi
ue, un état de confu- sion mentale. Ces observations de Janet sont,
croyons
-nous, les premières où l'insomnie des hystériqu
et 1 insomnie exagère l'agitation. SOCIÉTÉS SAVANTES. 321 t Nous
croyons
devoir nous abstenir d'analyser et d'apprécier ic
pourraient aujourd'hui fournir à de longues considérations, nous
croirions
sortir du cadre qui nous a été tracé. Nous n'en p
plus loin et l'utilisent systé- matiquement chez les agités. Trénel
croit
.qu'habituellement il vaut mieux s'abstenir de
eulement par Guislain. Marée en a, en France, posé le pre- mier, je
crois
, les indications. Moi-même, dans mon Traité paru
nos préparations, quelle est la nature de la lésion initiale. Nous
croyons
cependant que, dans notre cas, la destruction d
laires entre le point sectionné et les cellules d'origine. ' Nous
croyons
avoir trouvé une méthode nouvelle à l'abri de ce
la glande, qu'il faut attribuer le mal comitial en pareil cas ? Je
crois
plutôt, comme on l'admet pour le myxoedème, que l
en opposition formelle avec la conception du neurone. L'auteur ne
croit
pas que le neurone puisse être actuellement sou
ssion plasmodiale et de l'individualisation cellu- laire ; mais ils
croient
pouvoir conclure de leurs nombreuses re- cherch
, ostéolyse, résorption de corps étrangerset de tissus nécrosés) et
croient
qu'on se trompe en attribuant tout le rôle bioc
entement progressives : aucun symptôme, en somme, ne nous permet de
croire
qu'elle donne lieu à une forme cliniquement dif
e la moindre plainte, ni la moindre réaction de défense : on aurait
cru
taillader un cada- vre. A deux ou trois reprise
es, parfois atteintes du délire micro- maniaque par lequel elles se
croient
rapetissées et revenues aux dimensions de l'enf
entaux. Aussi, rapprochant notre cas de ceux précédemment observés,
croyons
-nous pouvoir dire que : Archives, 2° série, t.
aire la statistique, mais d'après mes renseignements personnels, je
crois
que leur nombre dépasse 12 000. Il a traité ave
M. Larrivé (de Meyzieux). L'an dernier, au Congrès de Gre- ' Nous
croyons
qne les asitcs ordinaires, bienorganises. peuvent
remarque à propos de l'intéressante communication de M. Larrivé. Je
crois
devoir insister, en effet, sur un point. C'est qu
te-cinq ans. Depuis quelque années, il s'adonnait àj'absinthe et on
croit
que c'est dans un accès de delirium tremens qu'
uel de 1902, de l'amélioration obtenue. Néanmoins, nous n'avons pas
cru
devoir nous en tenir là. Le Dr Chardon, en pren
Faculté de médecine de \ancv. A l'exemple de quelques confrères, je
crois
que la catato- nie ne peut être considérée que
ue aussitôt; idées de culpabilité, d'indignité, de suicide; elle se
croit
a la charge de tout le monde, ne se nourrit plu
éné- rescence. Ces cas ne sont peut-être pas aussi rares qu'on le
croit
généralement et il me semble utile d'appeler l'at
ce de son état, ne s'explique pas sa présence dans le ser- vice, ne
croit
pas avoir été inerte, avoir refusé les aliments,
rs ? Je n'en sais rien. Pensiez-vous à vos enfants ? - Non, je ne
crois
pas. -A votre mari ? Ma foi non. Mais cependant,
les. LE FOND DE L'OEIL DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 421 Nous avons
cru
également devoir examiner le fond de l'ceil che
ieurs reprises des chiffres lonométriques élevés, on est autorisé à
croire
que le soupçon, déjà basé sur d'autres signes,
les autres réactions des pupilles étaient éteintes, il y a lieu de
croire
qu'elle procède d'un arc réflexe périphérique.
sse d'avoir un aspect naturel, à voir dormir le sujet, on se serait
cru
en présence d'une personne acca- blée de fatigu
musculaire n'obéit pas à sa volonté. On aurait donc grand tort de
croire
que l'état de négation suppose invariablement q
ation dont l'a doté son savant directeur, le 1), Van Deventer, nous
croyons
qu'une brève relation de celte visite ne sera p
réaliser cette expérience, le directeur de Meerenberg ne s'est pas
cru
oblige - comme quelques-uns seront peut-être te
t pas cru oblige - comme quelques-uns seront peut-être tentés de le
croire
de s'adresser uniquement à des femmes mûres ou
este, d'origine française appliquées par le 1), Van D-,venter, nous
croyons
cependant avoir suffisamment montré que l'asile
s mouvements que les malades affectés d'une paralysie hystérique se
croient
incapables d'exécuter. Ce faisant, il a pour ai
devenue. si je puis ainsi m'exprimer, une station mondiale Je ne
crois
pas être présomptueux en me flattant d'avoir cont
nque et ne soliloquent à voix haute que lorsqu'ils sont seuls. Se
croient
-ils dans un lieu désert, dans un endroit où on ne
eur s'approche et plus la tonalité baisse. Souvent même on pourrait
croire
que l'individu a cessé de soliloquer si le frém
ogue. G... est un mélancolique anxieux, presque panophubique, qui
croit
avoir la syphilis et s'attend à tout instant à êt
à l'horizon. Il s'imagine que là-haut siègent ses ministres (il se
croit
président, préfet de police) et qu'il correspon
re... suis-je morte... je suis ta femme... je ne veux pas que tu le
croies
... non, je ne le mettrai pas... tu es un ambitieu
ravo, P... » A signaler que ce malade ne monologue que lorsqu'il se
croit
seul ou lorsque un événement extraordinaire se
e le sang, on n'est pas le malade... on l'est malade, mais on ne le
croit
pas. La force physique, l'état nerveux ; l'être
* Il n'entre pas dans mon plan de discuter ici cette opinion que je
crois
fondée dans certains cas. Voir P. Sérieux et J C
ucinations de l'ouie, d'une nature un peu particu- lière. Ce malade
croyait
entendre parler les objets inanimés, tels que l
tation des centres médullaires, en forme ganglionnaire, comme on le
croit
communément. L'origine réelle des nerfs du tron
allait s'ouvrir ; il avait la légi- time ambition d'être nommé. Je
crois
que son ambition n'eût pas été déçue. C'était l
res ont été constatés par d'autres observateurs. C'est à eux que nous
croyons
devoir rapporter un cas observé par 1. Anafomie
hagie cérébrale cérébrale des adultes et même des jeunes gens. Nous
croyons
donc être aujourd'hui en droit d'affirmer que, d'
qui n'est autre que la tunique lymphatique ; de sorte que,là ou l'on
croyait
avoir affaire à un anévrysme volumineux, il n'y a
anévrysmes intracérébraux pourrait bien être plus souvent qu'on ne le
croit
la cause d'hémorrhagies cérébrales. Obs. LXXIX.
s sommairement quelques faits où les personnes présentes à l'autopsie
croyaient
à l'existence d'un foyer hémorrhagique, mais où l
de la Salpêtrière, pendant le cours des deux dernières années, je me
crois
autorisé à avancer qu'un phénomène analogue se pr
ire connaître les circonstances dans lesquelles elle se produit, nous
croyons
utile de donner ici l'analyse très-sommaire des o
roduction de ces ecchymoses qui ont un signe si différent, M. Charcot
croit
qu'elles doivent être rapportées à la paralysie v
erve à la suite des troubles de l'innervation centrale, théorie qu'il
croit
pouvoir être substituée à celle des nerfs trophiq
de la moelle ont une terminaison à la peau plus complexe qu'on ne le
croyait
autrefois ; les travaux récents tendent à montrer
connectif, des éléments embryoplastiqu.es et des vaisseaux. Comment
croire
qu'une pareille organisation aurait pu s'effectue
ontrer des travaux nombreux déjà et d'une grande valeur, et dont nous
croyons
utile de donner rapidement l'exposé historique. D
vêt la dure-mère a une origine pathologique. En pareil cas, on pourra
croire
à l'existence d'un feuillet pariétal de l'arachno
le point de départ de l'hémorrhagie. Tel est, tout nous porte à le
croire
, le mode pathogénique le plus ordinaire des hémor
idérer, je ne sais trop pourquoi, comme inconciliables, je persiste à
croire
qu'elle est en même temps complète.— Elle est com
deux ordres de faits n'est pas aussi énorme qu'on voudrait le laisser
croire
. Mais hélas! fussé-je riche de cent observation
t ordre ont été plusieurs fois l'objet d'études importantes, et je ne
crois
pas qu'on puisse pour le moment, ajouter beaucoup
ts. Mais il n'avait pas accordé grande importance à ces symptômes; il
croyait
pouvoir les rattacher à une affection gastrique d
ainsi qu'on le verra par la lecture des observations suivantes que je
crois
devoir rapporter dans tous leurs détails. Obs.
de l'amendement. Le membre était devenu moins volumineux ; la malade
crut
, un jour pouvoir essayer de se lever et de marche
genou, et L... tomba lourdement sur le sol, en poussant un cri. Elle
crut
qu'elle avait la jambe cassée. Il lui fui impossi
date toute récente, lors du début de l'arthropathie. Mais ce sont là,
croyons
-nous, des différences d'ordre secondaire et qui c
date à l'altération scléreuse de la moelle épinière. J'incline même à
croire
qu'elle lui est subordonnée, pour ainsi dire, à t
considérée ici cme comme une circonstance tout à fait accessoire. Je
crois
utile de rappeler quelques-uns des cas auxquels j
t bientôt sur la peau des régions où se distribue ce nerf. On peut,
croyons
-nous, rapprocher des affections dont il vient d'ê
névrile hypertrophiqiie (ï). Mais à part ce point de dissidence, nous
croyons
que, d'une manière générale, l'opinion émise par
ives le médecine, mars et avril, p. 81, 1886).Pendant longtemps, j'ai
cru
que j'avais été le premier à remarquer la névrite
névri-lème et l'augmentation de volume du nerf médian doivent aussi,
croyons
-nous, être rapportées à un travail d'inflammation
iniques aux faits acquis par l'expérimentation physiologique, nous ne
croyons
pas qu'on puisse, quanta présent, opposer aucune
es ou parfois toute une journée. « Jusqu'ici j'avais clé entraîné à
croire
que laméfallolhéra-pic ne reposait pas sur des ba
e suis jusque-là avec M. Burq, mais sans aller plus loin. « M. Burq
croit
que les malades qu'il désigne sous le nom de sens
une série de phénomènes hors de proportion avec tout ce qu'on pouvait
croire
de prime abord, ( Du reste, MM. Dumontpallier,
ettent l'exactitude ; seulement, quelques-uns d'entre eux inclinent à
croire
que ces faits relèvent de Vattention expectante.
l'application métalloscopique, sont des faits du même genre. Je ne
crois
pas que cette théorie soit applicable dans l'espè
et les crises ont disparu. C'est un résultat remarquable, mais je ne
crois
pas aune guérison solidement établie. En effet, n
plications du fer, de For, du zinc, etc. Ce sont là des faits dont je
crois
pouvoir répondre, dont j'ai témoigné avec MM. Dum
êterai pas sur la métallotliérapie externe,"'parce -que M. Burq a, je
crois
, une tendance à la mettre sur le second plan par
st-elle complète, définitive ? d'après ce qui précède, j'incline à le
croire
. S'est-elle produite sous l'influence de l'action
métalliques appropriées, contrairement à ce que Trousseau avait pu
croire
autrefois, et à ce que M. Burq a cru lui-même jus
t à ce que Trousseau avait pu croire autrefois, et à ce que M. Burq a
cru
lui-même jusque dans ces derniers temps. Cela est
thésié fout à l'heure a recouvré sa sensibilité. 11 ne faudrait pas
croire
que les hystériques soient seules influencées par
anesthésie siégeait plus souvent à gauche qu'à droite ; après l'avoir
cru
longtemps, je pense aujourd'hui qu'il existe à pe
généraux de l'organisme, et chercher les symptômes que l'on pourrait
croire
accessoires, et qui pourtant sont de la plus haut
mais, ma main ayant touché légèrement l'autre membre inférieur que je
croyais
contracture, la malade poussa un cri; il y avait
LITÉ NEURO-MUSCULAIRE. — VARIATIONS DU PHÉNOMÈNE Il ne faudrait pas
croire
que toutes les hystériqeshypnotisées soient susce
ées plus haut. Il ne s'agit pas là de faits exceptionnels. Si nous en
croyons
notre expérience personnelle, la proportion serai
fort incomplet. Les résultats que je viens d'exposer rendent, je le
crois
du moins, pour le moment, toute conclusion défini
erches, tout contradictoires qu'ils paraissent, offrent cependant, je
crois
, quelque intérêt. Ils démontrent, pour le moins,
avons soumis les sujets sur lesquels nous avons expérimenté (2). On
croit
généralement que si, chez un sujet cataleptique,
en même temps son attention sur ses propres émotions. En général, je
crois
qu'on trouvera que ces deux talents, celui du mim
er (1), en confirmant le fait clinique, l'interprète différemment. Il
croit
que dans le cas particulier de la contracture du
otisme, avril-mai 1887. plus intéressants du cas dont il s'agit, je
crois
nécessaire de vous remettre en mémoire quelques f
que toutes autres, en rapport avec les faits, et c'est pourquoi j'ai
cru
devoir vous les présenter. Ce serait le moment
de plus en plus pressantes. Le mal a cédé, nous avons tout lieu de le
croire
, définitivement. 11 y avait huit mois que cela du
le sujet mis en jeu, tant s'en faut, toujours innocentes, comme on le
croit
trop généralement peut-être. Or, il est clair qu'
lus m'étendre et entrer en ce moment dans une discussion en règle. Je
crois
en avoir dit assez pour justifier pleinement l'op
jalouse de ses droits, elle repousse formellement toute intrusion.
Croyez
à mes meilleurs sentiments. Charcot. Paris, l
que dans certains états morbides. Avant d'entrer dans les détails, je
crois
utile de rappeler à votre mémoire certains faits
e d'air qui se trouve entre le sol et le tabouret. 11 ne faudrait pas
croire
, messieurs, comme quelques-uns semblent le faire,
ant quelque temps encore à une tranquille analyse des faits (1). Je
crois
vous en avoir dit assez, messieurs, pour vous 1
nt ni le même genre de sujets ni le même genre de méthodes. Mais on a
cru
qu'il était plus simple de se contredire, de nier
moins, à ce qu'on ne l'a pas suffisamment étudiée et comprise. Aussi,
croyons
-nous qu'il ne sera pas inutile avant de chercher
conception de M. Charcot sur l'hypnotisme. Sa doctrine est contenue,
croyons
-nous, dans les propositions suivantes : 1° Les
propriété physiologique plutôt que pathologique. » Il ne faudrait pas
croire
(2) que les sujets impressionnés soient tous des
. Avant de chercher à démontrer l'exactitude de cette assertion, nous
croyons
utile d'entrer dans quelques développements sur c
on, M. Gharcot et ses élèves se contentent de répondre avec avantage,
croyons
-nous, que les sujets sur lesquels on opère de par
placé à la Salpètrière dès les premières expériences. 11 ne faut pas
croire
en effet que l'hypothèse de suggestion ne se soit
et désaimanter l'électro-aimant, sans que le malade s'en aperçût, Je
crois
avoir pris alors toutes les précautions possibles
se couvain ère de l'exactitude des opinions qu'on y soutient. Nons
croyons
inutile de le faire. Nous avons voulu montrer seu
ppeler cette phrase de l'ouvrage de M. Bernheim. « 11 ne faudrait pas
croire
que les sujets impressionnés soient tous des névr
gaison; le contraire en effet aurait été anormal. A ce propos, je
crois
qu'il est nécessaire de bien nous entendre. D'apr
is pré- senter le moindre signe de gigantisme. A ce propos, je ne
crois
pas inutile de relater ici même, le résumé d'une
hypophysaire dans une période à cartilages épiphysaires soudés, je
crois
que, à l'appui du cas qui nous avons résumé l'o
itement conservés, sans aboutir au gigantisme. A part ces faits, je
crois
que l'on pourrait faire à la loi de Brissaud une
à cause probablement de la calcification de son hypophyse. Je ne
crois
pas, pour ma part, qu'une telle interprétation so
tion de l'hypothyroïdisme et du myxoe- dème fruste. Or M. lIertoghe
croit
encore en fervent apôtre que des états tels que
s deux ÉTUDE DU GIGANTISME ACRO\IGALO-li'$A1VTIL1; 17 auteurs ont
cru
suffisant de relever que la glande thyroïde de le
C'est là un point qui mérite d'être bien fixé, et il est permis, je
crois
, d'avouer que cet infantilisme n'est pas dû à u
les acroméga- liques seraient plutôt tardifs. En d'autres termes je
crois
avec Brissaud et Meige que les géants peuvent é
u mot, et surtout je tiens ai t affirmer une fois de plus ce que je
crois
avoir démontré par la descrip- » tion des trois
lait agi d'une simple question de nomenclature clinique, quoique je
crois
qu'en général il faut toujours chercher il simp
eux de Brissaud et Meige (1), la valeur diagnostique qu'ils avaient
cru
momentanément pouvoir lui attribuer ; pour eux, a
ige m'a déclaré de façon formelle que, contrairement à ce qu'il avait
cru
pouvoir déduire de l'examen des premières radio
r déduire de l'examen des premières radiographies d'infantiles, il ne
croyait
plus pouvoir attribuer à la non-soudure des épi
t de discuter à distance le diagnostic énoncé par M. E. Levi, je me
crois
autorisé à faire quelques remarques au sujet de
ation n'entraînerait-elle pas des confusions regretta- bles ? Je le
crois
. A vouloir mettre sous la'même étiquette l'infant
aractères somatiques et psychiques de l'en- fance. Ce faisant, nous
croyons
, suivant le précepte de Brissaud, appli- quer l
éfinitif d'une mauvaise nutrition, d'un mauvais développement. Nous
croyons
que c'est dans ce sens qu'on peut se faire une id
l'air d'un arriéré, si nous le rattachons à l'achondroplasie, nous
croyons
pouvoir le considérer comme une variété spécial
'l'hérédité, sur laquelle il règne encore beaucoup d'obscurité, nous
croyons
, basés sur nos dernières considérations, pouvoi
se, ce] que nous avançons sur la genèse de l'achondroplasie et nous
croyons
qu'elle n'est pas moins judicieuse et moins fon
a quelques années) est restée stationnaire. Depuis 2 ails la tumeur
croit
dans la partie supérieure du sternum. Au début on
VIlle-IX" segments dorsaux nous a paru le plus probable. Nous avons
cru
devoir faire une laminectomie vu le .caractère to
lle des gens atteints d'anémie pernicieuse (Minnich, etc.). De Buck
croit
avec raison que ces lésions sont dues à l'influ
our s'opposer à la fle- xion de la jambe. 1 Cependant j'incline à
croire
que la cause principale du phénomène est due à
té même parait complète- ment perdue, elle hait ses soeurs et je ne
crois
pas qu'elle affectionne sa mère, bien que la mè
n'eut jamais aucune manifestation convulsive. Sa mère commençait à
croire
qu'Elisabeth serait épargnée -par la maladie de
ns mes observations personnelles avec une analogie parfaite. 1 Je
crois
donc nécessaire d'aborder l'élude analytique des
e familiale que nous étudions ici, et en deuxième lieu parce que je
crois
d'après mes recherches personnelles qu'il y aur
ononcée pour attirer l'attention des observateurs. A ce pro- pos je
crois
donc qu'il y aurait lieu d'examiner d'une façon s
des extrémités ne présentent jamais un ar- rêt de développement. Je
crois
à ce propos qu'il serait bon de préciser : si,
kler appuie 182 FaTu . spécialement sur le fait qu'il ne faut pas
croire
que les granulations tuber- culeuses qui entour
volontaire les oedèmes, les troubles trophiques, la fièvre que l'on
croyait
autrefois pouvoir être produits par l'hystérie
imulent, d'ailleurs sans effort. Il n'est pas aussi facile qu'on le
croit
de simuler une maladie. Pour une simple monoplégi
s à tort et à travers, imiteront dans leur entourage tout ce qu'ils
croiront
de nature à les rendre sympa- thiques ou intére
aissent alors le plaisir de tromper, de mystifier, et partant de se
croire
supérieurs à ceux qu'ils trompent et mys- tifie
térie ; il est l'occasion qui fait apparaître une manifestation. Je
crois
que tout le monde est d'ac- core à ce sujet, -
le blessé est en représentation et se surveille, mais lorsqu'il se
croit
en dehors de toute surveillance. Il est classiq
Agrégé libre du Val-de-Gràce, médecin principal de 2» classe.. Je
crois
avoir remarqué entre la scoliose et la timidité u
e est réelle : aucun de ces axes vertébraux n'est rectiligne. Je ne
crois
donc pas exagérer eu disant que la scoliose et
C'est probable- ment la timidité. Autrement dit, je suis disposé à
croire
que tous les timides ne sont pas scoliotiques,
ans l'Iconographie et encore tout récemment par M. le Dr Levi, nous
croyons
cependant que la contribution de quatre cas d'ach
hon- droplasique, composée du père, de la mère et d'un enfant, nous
croyons
qu'il vaut la peine de le publier, non seulemen
rmal du quatrième métacarpien et du quatrième métatarsien, et qu'il
croit
pouvoir être consi- dérécomme un nouveau caract
s épiphysaires sont complètement ossifiés. Il n'est pas possible de
croire
à t'infantitisme,notammentdutypeLorrain, dans l
ne question com- plexe et peu facile à résoudre. Certainement je ne
crois
pas qu'aujour- d'hui on puisse faire le diagnos
stiques de la maladie de Basedow. On pourrait donc, dans notre cas,
croire
que quelques-unes des glandes dites à sécrétion i
ui essayèrent vainement de faire reproduiredes nainsentreeux ? Nous
croyons
que non. Il s'agit d'expériences trop rares et
r groupe, est-ce que nous pouvons dire la même chose du second ? Je
crois
que non, car aujourd'hui il est déjà démontré q
orme pas une race de tuberculeux ou une race de syphilitiques, nous
croyons
qu'il n'est pas possible de faire une telle compa
hondroplasie une intoxication, une in- fectionvenantdela mère, nous
croyons
plus probable qu'elle agi seulement ou presque
pparurent seulement quatre mois après l'infection et furent d'abord
crus
d'origine hystérique, car l'on avait trouvé des
ement de la syphilis cérébrale, se basant sur sa propre expérience,
croit
qu'une telle influence ne doit pas être exagéré
nclu- sions de Schuster ont été attaquées par Spindler ; mais Nonne
croit
que les déductions de Spindler ne sont pas asse
juste raison que l'on a cessé de compter sur les ostéophytes, qui,
croyait
-on jadis, pourraient former autour des parties
aient normales. En se basant' sur cette constatation Von Monakow se
croit
justifié d'affirmer que les grandes pyramides s
artie profonde du versant rolandique. Pour toutes ces raisons je me
crois
autorisé d'admettre que les relations des cellu
lonne vertébrale. Mais avant d'entreprendre cette démonstration, je
crois
opportun de rap- peler brièvement les études fa
rès le commen- cement du tabes (dans notre cas, environ 12 ans). Je
crois
au contraire intéressant le fait qu'elle se soi
ent pré- cédé la déformation, et qui auraient ensuite disparu. Je
crois
nécessaire de terminer l'exposé du cas par moi ob
séma- teuses très prononcées, et on y distingue quelques tubercules
crus
de la grosseur d'une forte tête d'épingle. Les
sistent en une flexion et extension automatiques des membres. Bruns
croit
qu'elles naissent ,'par suite d'une excitation
démontrer combien peu on peut se fier aux symptômes typiques. Nous
croyons
que la connaissance de cette richesse de combin
-à-dire dont le point de départ est la moelle même).Leyden (ISi4) a
cru
que la différence consiste en l'intensité des lés
encore aujourd'hui par Bruns, Oppenheim, Stertz et d'autres. Bruns
croit
que, dans les cas où la tumeur intra-médullaire
des différents symptômes qui peuvent éclairer le diagnostic. Stertz
croit
qu'un des symptômes les plus importants pour dépi
aques où les accès douloureux atteignaient une grande intensité; il
croit
que dans des cas semblables les plaques très pe
gale- ment. En général cette question reste encore incertaine. Nous
croyons
que la tuberculose en est la cause le plus souv
uvait pas se décider à choisir entre 5 diagnostics différents. Nous
croyons
pourtant que plus s'enrichissent nos matériaux cl
hématomyélie consécutive. Un cas analogue est décrit par Bruns, qui
croit
également que les hémorragies peuvent résulter
la restitution des fonctions de la moelle après l'opération ? Nous
croyons
qu'en tout cas la constatation de cette dégénér
énérescences plus anciennes décelées par la méthode de Weigert.nous
croyons
qu'elles aussi ne constituent pas une preuve in
es. La destruction si considérable de la commissure cal- lieuse, il
croit
pouvoir l'expliquer assez facilement. Au cours d'
un âge beaucoup moins avancé que l'âge réel. Voilà pourquoi nous ne
croyons
pas pouvoir accepter la définition que M.Meige
lement en cette matière dépend surtout du fait que nombre d'auteurs
croient
pouvoir parler indifféremment de nanisme ou d'i
lisme là où les signes de menta- lité infantile font défaut. Nous
croyons
, au contraire,que souvent l'infantilisme somatiqu
ne des données cliniques les plus importantes. Cependant nous avons
cru
intéressant de réunir ici les principales don-
donne la seule bonne étude clinique qui existe sur un cas que nous
croyons
devoir être étiqueté plutôt comme microsomie et i
ons la description dans ce mémoire. Mais naturellement nous ne nous
croyons
pas autorisés à formuler un jugement d'identifi
nière forme font complètement dé- faut, et c'est pour cela que nous
croyons
devoir donner quelque valeur à l'étude que nous
tre il abuse depuis plusieurs années de boissons alcooliques ; nous
croyons
devoir rappeler ces faits avant de donner notre j
n ne se serait pas aperçu que son développement fût anormal ; on ne
croyait
pas,en conséquence, qu'il resterait comme son pèr
ent si parfaitement chez les deux individus qu'on serait tenté de les
croire
appartenant à une même famille, cependant qu'il
différence essentielle, aucune différence notable même, si nous en
croyons
les observations publiées. Tl y a une analogie fr
ormations, qu'elle soit même nécessaire à sa production, nous ne le
croyons
pas. M. Dabes (1) a, pour expliquer certaines m
ut l'effort de son argumentation sur les cas non congénitaux, qu'il
croit
fréquents, plus fréquents même que l'on ne serait
ies vasculaires, effets du hasard ou de l'irritation, que Steinberg
croit
possible. De même que l'achondroplasie,que la m
irmis- son (1), sont infiniment plus complexes qu'on ne pourrait le
croire
tout d'abord ... Il faut encore faire entrer en
ou plusieurs racines). Nous attirons l'attention sur un point. Nous
croyons
qu'on peul éloi- gner une tumeur intradurale sé
ait toute seule, et cinq mois après l'opération per- sonne n'aurait
cru
que celte malade avait été atteinte de paralysie.
(1) Cités par Oppenheim. 596 - FLATAU méningite purulente. Harle
croit
que les tumeurs intradurales donnent plus de mo
mélolhérapie que le père prieur, au nom de ses souvenirs bibliques,
crut
devoir insti- tuer auprès de son malade : tenta
rère convers. D'après les uns, c'était une espèce de frénésie. A en
croire
les autres, il était (1) E. Wauters, neveu de A
and. Pour ce qui est du vin, il buvait avec ses hôtes, et l'on peut
croire
que cela aggrava son état. Ces circonstances pu
indiqués qu'avec « la puissance créatrice et de rêverie ». Ceux qui
croient
à l'intervention divine invoquent la punition que
ne absence totale de la commis- sure calleuse proprement dite. Nous
croyons
pouvoir démontrer cepen- dant que le système ca
ment dans la profondeur de la circonvolution voisine, laquelle nous
croyons
pouvoir identifier avec la première circonvolut
ifier ces fascicules dérivés du faisceau triangu- laire, nous avons
cru
qu'il pouvait s'agir, soit d'une voie aberrante d
ns établir les confins de ce dernier faisceau. Ce qui nous engage à
croire
que le cingulum fait partie de ce champ compliqué
nant au faisceau sagittal. Toutes ces particularités nous portent à
croire
que cette membrane double représente selon toute
système calleux manque nécessairement dans sa totalité ? Nous ne le
croyons
pas. Lesystème calleux comprend non seulement l
ment des parties antérieures des vésicules hémisphé- riques. Nous
croyons
que la méningite ventriculaire est une grande cau
eut manquer, soit en partie, soit totale- ment, mais ce que nous ne
croyons
pas, c'est que le système calleux, pris dans so
insi, ce cas nous permet de formu- ler de nouveau la thèse que nous
croyons
avoir été le premier à soutenir, à savoir que l
TORE LEVI, Privat-Docent de Neurologie (Florence) .. Nous avons
cru
devoir donner une description détaillée et minuti
s de mettre en relief les faits suivants auxquels cependant nous ne
croyons
pas devoir donner aucune signification spéciale
de plusieurs glandes à sécrétion interne, et, par conséquent, nous
croyons
plus probable qu'une al lération genninale pl'i-
rie que nous venons de citer, nous ne pouvons y souscrire ; nous ne
croyons
pas qu'on puisse aujour- d'hui poser comme règl
par l'identité de forme de la microsomie qu'ils présentaient. Nous
croyons
cependant que les affirmations de 1\1. Auguste Ma
a atrophie génitale et par conséquent impuissance sexuelle, nous ne
croyons
pas qu'on puisse parler ni de nanisme pur ni de m
- puyée par des faits cliniques et anatomiques assez clairs,et nous
croyons
que, dans l'état actuel de nos connaissances, i
e nom d'infantilisme de Lorain. Dans nos mémoires sur ce sujet nous
croyons
avoir suffisamment prouvé que cette forme a dro
me dysthyroïdien qui a été si bien décrit par Brissaud ? Nous ne le
croyons
pas : du type Brissaud il a le nez peu développé,
ou à peine retardée sont les arguments essentiels sur lesquels nous
croyons
devoir nous fon- der pour éliminer dans notre c
une des formes 680 ETTORE LKVI ` connues d'infantilisme, car nous
croyons
que notre sujet est surtout un exemple de ? 7«c
ujet l'ossification est très avancée, et nous avons toute raison de
croire
qu'elle sera complète entre la 17e et la 208 an
ent .souvent des hernies in- guinales. Nous avons déjà dit que nous
croyons
qu'un diagnostic sûr et définitif de microsomie
ctuels d'infantilisme partiel disparaissent avec t'âge, car nous ne
croyons
pas que chez lui la dysthy- roïdie (si elle exi
primordiale de la microsomie dans notre première famille. Nous ne
croyons
pas que la petite Alexandrine deviendra une femme
s certains cas. les malades évitent le regard d'autrui parce qu'ils
croient
que leurs yeux manifestent leur étal anormal et
a à peu près cinq ans ; je n'y prêtais pas trop d'attention, car je
croyais
que cela ne pouvait pas empirer. Mais tout à co
IQUE AMENTALE. qu'on la tenait pour folle ; ensuite elle commença à
croire
qu'elle pouvait passer pour une femme de mauvai
sser à un médecin, mais je ne pouvais pas me décider ; du reste, je
croyais
pouvoir me distraire en été et que tout passera
e de miracle ; j'espérais guérir après avoir changé la chambre ; je
croyais
qu'avec le commencement des cours les éludes m'
ces malades qui souffrent de la phobie du regard d'autrui et je ne
crois
pas qu'on puisse ajouter encore quelque chose i
nous devons le reconnaître entre nous, et après tant d'autres, nous
croyons
le moment venu de coordonner tous les résultats
n ordre de choses mieux adapté aux besoins présents. Mais nous ne
croyons
pas, pour le moment du moins, que cela nécessit
ans. De quelle nature est la tutelle dont nous parlons ici ? Nous
croyons
inutile de le redire encore ici après le long a
ment a fini par acquérir force de loi dans presque tous les asiles,
croyons
-nous. * ' D'ailleurs un assez grand nombre d'ar
AL DANS LES ASILES PUBLICS D'ADENUS. 37 l comme'insuffisantes, nous
croyons
prudent de ne pas de- mander \que , mot de méde
ments ; nous 38 revue D'ANATU611L et de physiologie pathologiques
croyons
qu'il serait bon que cela fut évité dans l'avenir
nt fléchis, le droit sur sa poitrine ; le gauche sur l'abdomen ; il
croit
que les doigts des mains sont en flexion et que
rrière le dos, comprimé parle tronc qui pèse sur lui, ou bien il le
croit
sur sa poitrine ou sur son ventre. 11 se rend t
laïques, avec leur salaire). La direction médicale de l'Asile avait
cru
pouvoir user pen- dant un temps d'un moyen qui,
e par enchantement les symptômes neurasthéniques. La neurasthénie
croit
avec le surmenage intensif qui accompa- gne l'e
ission, et, en possession d'un titre obtenu par le concours, ils ne
croiraient
plus déchoir en venant à l'asile de Quimpers'il
'1 Pour en terminer avec les questions relatives au personnel, je
crois
devoir ajouter que, dans la session d'aoûtdernier
topsie avec examen histologique con- firmant cette complication, je
crois
intéressant de rap- porter ici l'étude d'un cas
mportance de cet organe, peut influencer sur les autres. Qui aurait
cru
jadis que la glande thyroïde avait une influenc
laire ci-après : Le Ministre de l'Intérieur à MM. les Préfets. Je
crois
devoir signaler à votre attention l'importance et
llule et leur paroi est formée par le protoplas- ma. Il y a lieu de
croire
que les canaux à parois et ceux qui de- viennen
ceux qu'ont publiés les auteurs. En les comparant aux miens, je me
crois
en droit de supposer qu'il existe dans les cell
eu un chancre n'ait point éprouvé d'accidents secondaires, l'auteur
croit
à une syphilis cérébrale compliquée d'endartéri
and on agit ainsi sur l'oeil A, lapupille B ne réagit pas, il est à
croire
que l'immobilité ré- flexe unilatérale se compl
tique ; si la pupille B ne réa- git pas directement, il y a lieu de
croire
à la même complication de l'oeil B. Pour M. I
5 observations extrêmement ins- LrucLives. Toute malade de ce genre
croit
comme le peuple qu'on peut lui jeter un sort et
isément de s'en inquiéter. On n'est malheureux qu'autant qu'on le
croit
. La souffrance est toujours psychique. Aussi, pou
prétation délirante de sensations anor- males réelles : un angineux
croit
avoir un chat dans la gorge, un constipé croit
éelles : un angineux croit avoir un chat dans la gorge, un constipé
croit
que son intestin est bouché, etc. De même, la p
(suicide à deux, suicide collectif) dû à ce que l'hypochondria- que
croit
les siens perdus en même temps que lui. Il existe
nsérer dans des études généra- les sur la chirurgie des aliénés. Je
crois
cependant le moment venu pour moi d'insister de
r l'opinion du plus grand nombre en affir- mant qu'il y a erreur de
croire
« que chercher la lésion c'est la créer » - I
ocondriaque n'a pas seulement la crainte, la peur delà maladie ; il
croit
, il affirme qu'il est malade et cela parce qu'il
ux diverses modalités des délires hypochondriaques. En résumé, je
crois
avec M. Cullerre et contrairement à l'opi- nion
peut se rencon- trer chez les débiles (observation d'une malade qui
croyait
avoir dans le crâne un cloporte lui rongeant le
systématise évoluant d'une façon chronique : Cas d'une malade qui
croit
loger ainsi un « ver poilu » colossal, et cas d'u
loger ainsi un « ver poilu » colossal, et cas d'une ma- lade qui se
croit
enceinte depuis vingt-deux ans ; le foetus de l
qui se traduisait même par des rêves spéciaux. Actuellement, elle
croit
exhaler une odeur repoussante et en tend sans ces
de la persécution (type LASkG(irt-FALRET) : le ma- lade, loin de se
croire
atteint d'une déchéance physique ou intellectue
sur un certain nombre de faits personnels, anciens et récents, nous
croyons
que cette dernière forme, à laquelle il faut ré
c où il n'y en avait pas. C. Au point de vue étiologique, on peut
croire
qu'il s'agit de spasme précurseur de la contrac
rances qu'ils endurent. Discussion. , ,NI. Léri (de Paris).-Je ne
crois
pas que le syndrome ana- tomo-clinidue décrit p
de ces boules de dégénérescence que nous avons signalées. - Nous
croyons
donc bien que ces faits demandent LI être vérif
malades soient dans la démence complète. M. neige. Il s'agit, je
crois
, dans les cas qu'on nous cite, bien plus de sté
scendance pour les personnes qui en sont le sujet. » On a peine à
croire
que Pinel qui, au nombre des rares pratiques ba
s'y soumettent sans la moindre difficulté. En agissant ainsi, nous
croyons
rendre service et aux médecins qui trouveront d
érapie et en électrothérapie. M. DROUINEAU (inspecteur général). Je
croyais
, jusqu'à Il présent, que toutes ces matières fa
Nous avons classé en trois groupes principaux les signesque nous
croyons
distincts de la démence précoce à forme paranoïde
pas avoir beau- coup attiré l'attention jusqu'ici, et l'on pourrait
croire
qu'il n'existe, chez ces malades, d'autres trou
dividuelle du sujet (délire métabolique de la personnalité) : il se
croit
autre qu'autrefois, différent du commun des mor
as plus complets la transformation corporelle est absolue : il se
croit
changé en animal (zoanthropie), en loup (lycan-
e. L'étude clinique et analytique que nous en avons faite permet,
croyons
-nous, de considérer toutes ces moda- lités déli
». En même temps, elle manifeste quelques idées de culpabilité et
croit
avoir une influence nuisible sur tout l'univers :
années de son existence comme celui des personnes. De même qu'elle
croit
qu'il y a plusieurs M. C..., plusieurs Mme B...
'est grâce à cette multiplication des années qu'elle en arrive à se
croire
cen- tenaire et même davantage. En mai. l'amé
ensuite par des idées de transformation corpo- relle. La malade se
croit
changée en chien, en taureau, en homme ; toutes
itement la date de sa naissance et le millésime de l'année, elle se
croit
vieille de centaines et de milliers d'années et
inter- préter les troubles psychopathiques d'une malade qui, sans
croire
à la transformation de son corps, doutait ce- p
es sensations et par suite de sa propre existence, nous permettent,
croyons
-nous, de ré- (1) P. Honkiei». Le Vertit.1. 1S93
ge de ses sens et de toutes les affirmations qu'on lui oppose, se
croit
-elle métamorphosée en chien, en taureau, etc.. ?
LITÉ. 267 ( aux autres et par rapport aux objets extérieurs. Nous
croyons
toutefois que ce « sens de l'espace » est étroite
s de conscience ou de représentation du corps, de cénesthésie, nous
croyons
devoir conserver le terme de cénesthésiopathie
inations professionnelles ou ter- rifiantes n'est pas, comme on l'a
cru
longtemps, le mo- nopole exclusif de l'alcoolis
baus) qui, par cela même qu'il ouvre la scène morbide, peut faire
croire
à une folie commençante et amener l'interne- me
ments, au contraire, ils aperçoivent des personnages célestes, se
croient
inspirés de Dieu et prêchent des heures entiè-
raissent pas acceptables telles qu'elles ont été proposées. « Je ne
crois
pas, dit-il, qu'il soit bon de faire dans les asi
pitaux, pour \atterre, pour Bicè- tre... - : 'Il. CULLERRE. - Je ne
crois
pas que les asiles aient à y ga- gner. 51. Dr
épendance, puisque je ne suis nullement intéressé à la question. Je
crois
, comme M. 1 Inspecteur,que le concours unique p
oduisent. Dr )1 ? NNHEINIER. Je suis de l'avis de M. Régis, mais je
crois
qu'il serait bon qu'un médecin d'asile fit de l
a parole pour apporter la pro- testation de mon médecin-adjoint. Je
crois
, comme ;\1. l'Inspec- teur, qu'on n'a pas le dr
s injustices auraient-elles donc été commises jusqu'ici On pourrait
croire
que les nominations de la Seine ont été souvent
ue des deux processus ne permet- tent pas, vu leur simultanéité, de
croire
qu'il s'agisse d'une même poussée pathologique
tant d'améliorer l'alimen- tation des aliénés et du personnel. Nous
croyons
que le Préfet (l'llle-'et- Vilaine ? \1. Rault,
la coexistence de ces lésions est beaucoup plus commune qu'on ne le
croit
généralement; 2° par l'examen des méninges du fon
la cholémie n'est pas en rapport direct des symptômes. On pourrait
croire
qu'une cholémie légère ne donnera lieu qu'à une
e maladie. » Elle a eu jadis une arthrite béni- gne au genou ; elle
croit
qu'elle va en retomber malade et que celle arth
ne veut pas fournir de renseignements sur sa grossesse. La famille
croit
qu'on a abusé d'elle. A son entrée dans le se
'il avait eue au régiment. Son étal s'aggravait tous les jours ; il
croyait
voir dans la chambre sa mère et des individus i
t il ne s'en est dégagé aucune donnée vraiment précise ; aussi ne
croyons
-nous pas trop nous avancer en disant qu'après c
rtains états caLatoni([ucs insuffisamment analysés permettraient de
croire
à la simulation, d'autant qu'il y eut en l'espè
s hébé- phéniqucs, etc. De cette multiplicité de formes. l'auteur
croit
pouvoir conclure que les psycltoss polym : v ri
ompression lente produite par des processus pathologiques, lui font
croire
qu'on peut admettre aussi, pour les cas de la s
ant dans le parenchyme nerveux proprement dit. Or 1 ? csLa (Le.) ne
croit
pas qu'on puisse avoir stase et oedème médullai
maximum une stase dans l'espace subdural. Scxrlaus, au contraire,
croit
que cette stase lymphatique dans l'espace subdu-
, dans les veines de la pie-mère, riches en anastomoses, Fickler ne
croit
pas, que l'oblitération même de nombreux petits
raissait souvent après l'extraction des tumeurs. , , . Fickler ne
croit
pas non plus qu'on puisse avoir une stasepar co
son volume normal et presque supé- rieur. On ne peut donc invoquer,
croyons
-nous, celte compression mécanique directe qui s
dues aux toxines tubercu- leuses ou il la cachexie, suffisent, nous
croyons
, à expli- quer l'absence des réflexes rotulicns
autre côté l'intensité des phénomènes d'oedème médullaire nous font
croire
que l'oedème relève en.grande part de l'action
oloration et la difficulté d'obtenir des cultures prospères, ils se
croient
en droit de les considérer comme des fragmentat
trouver, à l'examen du sang, autre chose que ce qui est. Aussi, je
crois
utile de remettre les choses au point et je pré
lisme, le crétinisme et le mvxoedème. P. Kkraval. Nous avons été,
croyons
-nous, le premier, en France. à appeler l'attent
e s'expliqueraient les délires consécutifs aux accouchements. Je ne
crois
pas qu'il faille voir ' 1 là de simples coïncid
rie d'études qui exigèrent beaucoup de temps. Cependant les 1. Nous
croyons
utile de reproduire en tête de cette nouvelle édi
te, sa profession de foi scien-tifique. A cette obligation, nous ne
croyons
pas devoir nous soustraire, et nous allons entrer
rencontrer. Messieurs, du point de vue où nous sommes placés, nous
croyons
reconnaître une différence capitale entre l'ancie
ogique et acquiert décidément les tendances scientifiques. On peut,
croyons
-nous, ramener à deux traits caractéristi-ques les
les faits et à les envisager dans leurs rapports naturels. C'est là,
croyons
-nous, le véritable carac-tère de la médecine empi
a physiologie, l'anatomie elle-même sont en voie d'évolution. Aussi
croyons
-nous qu'en bonne méthode, il importe de maintenir
ux des parties tendineuses. On prenait le cerveau pour une glande. On
croyait
les artères pleines d'air, et la dis-tribution ré
efois appelée ironiquement Y anatomie morte. Je n'ai rien exagéré; je
crois
, tout au moins, avoir exprimé fidèlement les tend
traces de leurs brillantes incursions dans plus d'une région que l'on
croyait
fermée à l'anatomie patho-logique. La méthode, ce
son caprice en s'affranchissant de toute loi. Elle va même jusqu'à
croire
que les propriétés vitales se-ront un jour ramené
e l'observation pure des anciens et la méthode des mo-dernes. 1° Je
crois
avoir établi que la méthode empirique est le ves-
Axant d'avoir appliqué cet instrument aux recherches de ce genre , on
croyait
que la température du vieillard était moins élevé
Louis XV est mort de la variole à l'âge de soixante-cinq ans? Nous
croyons
en avoir dit assez, messieurs, pour vous convainc
lisation, môme aiguë, est plus fréquente à la Salpétrière qu'on ne le
croit
généralement. Un élève de M. Vulpian. M. Mourcton
e, ces cas insidieux dans lesquels on voit des gens frappés à mort se
croire
à peine malades, et con-tinuer à vaquer à leurs a
ns. Mort avec élévation de la température. (Gharcot.) Messieurs, je
crois
vous avoir montré toute l'importance de la thermo
antôt organiques, tantôt purement fonctionnelles. Il y a même lieu de
croire
que dans quelques cas, rares d'ailleurs, la diath
nt, d'après Garrod, dans l'intervalle des tubes urinifères. Mais nous
croyons
avoir demandé qu'ils ont leur point de départ dan
érisent la diathèse goutteuse. Mais, avant d'aban-donner ce sujet, je
crois
utile de vous placer sous les yeux certains faits
une distinction absolue entre ces deux ordres de phénomènes, et nous
croyons
volontiers que les troubles fonctionnels ne sont
avoir vainement invoqué les secours delà science régulière, le malade
crut
devoir s'adresser àl'homceo-pathie. Un succès ine
e façon spontanée, et la fluxion goutteuse revient au gros orteil. On
croit
assez généralement à l'influence des applications
; et après avoir fait une large part aux erreurs de diagnostic, nous
croyons
que les diverses affections qu'on peut invoquer à
tiques pour rendre compte des phénomènes de la goutte stomacale, nous
croyons
que des lésions superficielles peuvent fort bien
la goutte et le rhumatisme. Messieurs, Le cadre dans lequel j'ai
cru
devoir circonscrire l'histoire des affections gou
. On pourrait aisément multiplier les exemples de ce genre, mais je
crois
en avoir dit assez pour vous montrer qu'il existe
élation qui existe entre ces diverses manifestations morbides. Nous
croyons
cependant devoir rappeler ici, que la forma-tion
ent ? Mon ancien maître et prédécesseur à la Salpétrière, M. Cazalis,
croit
à l'existence d'une étroite relation entre ces de
mentation partielle, qui posséderait cette fâcheuse propriété. Nous
croyons
avoir suffisamment démontré l'influence que certa
Tel est, messieurs, l'état de nos connaissances sur ce sujet. J'ai
cru
devoir me livrer une à discussion souvent aride p
variés et tellement opposés en apparence, que plu-sieurs auteurs ont
cru
avoir sous les yeux plusieurs affections différen
nt infiltrées ; celles-ci reprennent alors leur aspect normal. Nous
croyons
avoir établi : 1° l'unité des diverses formes cli
rhumatisme paraît lié à la diathèse hémorrhagique. En résumé, nous
croyons
avoir démontré que le rhuma-tisme articulaire, so
, on se repré-sentait l'endocarde comme une membrane séreuse, et l'on
croyait
retrouver, dans les lésions qu'il présente, les c
ncore cette défor-mation caractéristique du rhumatisme noueux. Nous
croyons
toutefois qu'il s'agit ici, le plus souvent, d'un
iôre, appartient surtout à l'âge sénile; cependant il ne faudrait pas
croire
qu'elle ne se rencontre jamais chez de jeunes suj
fois seulement par Griesinger, dans ses Études sur le diabète. Je ne
crois
pas que le diabète ait jamais été observé comme u
ions est possible : M. Danjoy, qui a appelé l'attention sur ce point,
croit
que la maladie est alors modifiée dans son évolut
e qui peut être produite sur le système nerveux. Je serais dis-posé à
croire
que plusieurs cas dans lesquels la goutte a paru
et une action spéciale sur l'excrétion uri-naire. On aurait tort de
croire
que tous les alcalins peuvent être indifféremment
s une amélioration notable, et d'autres fois échouer complètement. Je
crois
cependant pouvoir affirmer que l'ar-senic reste s
n peut alors progressivement élever la dose. Il est avantageux, je le
crois
du moins, d'administrer l'arsenic sous forme de l
ens très âgés, la tempéra-ture se tient au-dessus de ces chiffres. Je
crois
qu'il n'en est ainsi que dans des cas exceptionne
grès de l'anatomie patho-logique, le temps n'est plus où l'on pouvait
croire
, avec Hoffmann, cpie l'autopsie fait toujours déc
nd, Jurgensen, Liebermeister, Gerhardt), D'après cequiprôcède, nous
croyons
pouvoir vous présenter, non pas à titre de vérité
e la moellequi sontla conséquence des altérations des hémisphères. Je
crois
utile de vous pré-senter, à titre d'exemples, deu
le au-dessous du taux habituel, moins toutefois que pourrait le faire
croire
la sensation éprouvée par la main de l'observateu
Ces données empruntées à la pathologie expérimentale, nous donnent,
croyons
-nous, la clef d'un certain nombre de faits, en ap
at fébrile dm les vieillards (Voir p. 18), monie lobaire; on pourra
croire
que de cette combinaison devra résulter une ascen
ans les cas où la maladie est depuis longtemps constituée. Nous avons
cru
remarquer que, chez certains malades, une per-cus
rétraction douloureuse des muscles a été prononcée et persistante. Je
crois
que c'est à ce symptôme que Haygarth et Landré-Ba
re. —Déviations. — Avant d'entre-prendre l'étude des déviations, nous
croyons
nécessaire d'in-diquer les articulations qui sont
rqué. Quelle est la fréquence de la maladie ? nous sommes por-tés à
croire
qu'elle est assez grande ; car, d'après un calcul
e que nous avons si fréquem-ment observée chez les femmes. Nous avons
cru
devoir rap-porter l'observation d'un de ces malad
nexées au travail du docteur Budd. Pendant longtemps, nous avons pu
croire
que les observa-tions de ce genre n'avaient jamai
avité de la conque et fait légèrement saillie dans cette cavité. Nous
croyons
que ces concrétions n'ont pas encore été rencontr
et des articulations que nous avons trouvées à l'autopsie, mais nous
croyons
utile d'exposer, en quelques mots, l'historique e
ight (néphrite albumineuse, desquamma-tive ou parenchymateuse). Aussi
croyons
-nous que la distinc-tion établie par Todd ne peut
s faits, il est vrai, peu nombreux, qui ont trait à notre sujet, nous
croyons
pouvoir conclure : I. Que chez un certain nombr
e échelle, ne resteront pas infructueuses ; c'est pourquoi nous avons
cru
utile de faire connaître ces résultats, ne fût-ce
e de gonflement et de rougeur ; il y avait à peine de la fièvre. S...
crut
que c'était là le résultat d'une entorse. Il dut
ation de M. Lev parle d'une série de faits qu'il a remarqués et qu'il
croit
peu connus. M. Charcot fut appelé à voir un mal
les, ne sont évidem-ment pas le rhumatisme arliculaire commun. « Je
crois
, de plus, qu'il y aune arthrite scarlatineuse bie
pe cependant quelquefois, sous l'influence de la scarlatine. 1 « Je
crois
aussi qu'il existe une arthrite blennorrhagique a
ussion en règle et de rechercher de quel côté est la vérité ; mais je
crois
utile de rapporter deux faits suivis de nécroscop
Gironde, pour 1859 (n° 10, p. 452). Voici notre observation, que nous
croyons
devoir rapporter in extenso, en raison de l'intér
dernier point, ont d'ailleurs confirmé celles de M. Garrod, et je ne
crois
pas qu'il existe, quant à présent, de faits contr
du rhumatisme articulaire chronique. Toutefois, il ne faudrait pas
croire
que l'excès d'acide urique en question constitue,
s qui sont sous le coup de l'intoxication saturnine. D'après cela, je
crois
qu'il est permis dédire, dès à présent, que s'il
, sans aucun doute, dans l'état normal ; par conséquent, tout porte à
croire
que l'accroissement ou le décroissement de l'excr
voir vainement invoqué les secours de la science régulière, le malade
crut
devoir s'adresser à rhomœopathie. Un succès inesp
crits d'une manière remarquable par M. Stokes, dans un passage que je
crois
devoir reproduire in extenso : « On « observe, di
ications de texture qui les rend plus friables, et c'est avec raison,
croyons
-nous, qu'en traitant du coup de fouet, W, J. John
ulations métatarso-phalangiennes des gros orteils. Plusieurs médecins
crurent
à l'existence d'une méningite rhumatismale ou gou
le rhumatisme articulaire chronique— Il n'est pas aussi rare qu'on le
croit
généralement de rencon-trer l'endocardite et la p
déterminer les conditions de la réussite ou celles de l'insuccès. Je
crois
pouvoir dire toutefois que l'arsenic reste sans e
ours, et l'on peut alors élever progressivement les doses. 11 y a, je
crois
, avantage à administrer l'arsenic sous forme de l
ne se voient pas à la Salpêtriôre aussi fréquemment qu'on pourrait le
croire
, d'après le préjugé vulgaire. Un simple coup d'
déclare n'avoir vu signalé aucun cas de guérison. Il ne faudrait pas
croire
non plus que toujours le pronostic soit relativem
e entre ses mains elle la sent, elle se met à la secouer. On pourrait
croire
qu'elle tient à la main un vêtement qu'elle vient
— Il se précipite sur quelqu'un. Ses poings sont serrés... Puis il se
croit
à cheval, tire sur la bride comme pour arrêter sa
es à l'eau. Viens ici... Où en vois-tu ? je n'en vois pas du tout. Tu
crois
qu'ils vont sortir de l'eau ; t'es bêbête !... où
uelles il assiste ou prend part et qu'il mime tellement bien que l'on
croirait
presque y assister avec lui. Verre rouge. — Il
199. ¦ nant pour une corde à nœuds du gymnase où dans son délire il
croyait
se trouver. Sous l'empire d'une hallucination de
reil cas, abandonnent, comme on sait, leur propre individualité et se
croient
transformés en animaux divers. Il y a trois ans
à un observateur non exercé de commettre ici une grosse erreur et de
croire
que ce somnambulisme appartient à l'hypnotisme, p
en fait le sujet, des personnes, non du métier, il est vrai, avaient
cru
à « l'hypnotisme » alors qu'il s'agissait tout bo
a nuit elle avait souvent aussi des cauchemars, rêvait de sa mère, la
croyait
couchée avec elle dans son lit, etc. Placée en
te verra pas. Je ne t'aime plus, Alexis. J'aime mieux Paul. Tu ne me
crois
pas; tu as raison, va! je t'aime mieux que lui. C
Nous allons mourir ensemble. Oh ! que je suis heureux, tu ne peux pas
croire
. Oh ! que je suis contente, mon ange, mon Paul, b
en prie, tu me taquines toujours. Sont-ils bêtes, tous? C'est ça, ils
croient
qu'ils me font peur ; mais pas du tout ; je ne ve
en de ce qui s'est passé. On lui dit qu'elle a été malade, elle ne le
croit
pas. Le soir, au dîner, elle a peu mangé ; elle s
ie pitié de ta fille, maman. » Avec un verre vert de vitre, elle se
croit
au bord de l'eau : « J'ai toujours eu peur de tom
à l'eau... Viens ici... Où en vois-tu ? je n'en vois pas du tout. Tu
crois
qu'ils vont sortir de l'eau. T'es bebête!... Où i
al... ce qu'elle doit en avoir assez, la pauvre bête!... Ah ! oui, je
croyais
qu'ils allaient à Vincennes, mais non, ils vont a
e client fera une belle vie quand il verra que ça s'en va... Tu ne me
crois
pas? Tiens! tu vas voir, passe-moi le bec de gaz.
On lui demande s'il sait ce qui vient de se passer : « J'ai dormi, je
crois
, » répondit-il. On explore la sensibilité : le cô
ecmnésique deMM.PitresetBlanc-Fontenille(2), dans lequel la malade se
croit
reportée à une période antérieure, quelquefois tr
urels diminuerait singulièrement et il ne resterait plus grand'chose,
croyons
-nous, à l'actif du noctambulisme simple, lorsqu'o
is que son domaine est beaucoup moins étendu qu'on serait tenté de le
croire
et qu'il faut en outre certainement le restreindr
i, à mon avis, ne répond pas tout à fait à la réalité. En effet, à en
croire
les auteurs de ces travaux, quatre-vingt-dix pour
vropathes, je le veux bien, mais quatre-vingt-dix pour cent, je ne le
crois
guère. On n'hypnotise pas tous les sujets indiffé
nfance et de la première jeunesse. On ne connaît pas, du reste, je le
crois
du moins, de cas de dédoublement de la personnali
de, ce qui l'y a intéressée, la Tour Eiffel, les Annamites, etc. Elle
croit
qu'elle est entrée à la Salpêtrière il y a 5 ans,
nnaître, bien qu'elle l'eût regardé attentivement. D'autre part, elle
croit
que nous sommes en l'année 1885 ; elle se dit âgé
s araignées dans un cabinet de médecin, et dans le même endroit ne se
croirait
pas sur le passage d'un enterrement d'homme célèb
jeter à la nage dans un étang pour secourir un de ses frères qu'elle
croyait
y être tombé. D'autres fois elle se levait, s'hab
ez sa malade ces phénomènes de dédoublement de la personnalité, qu'il
croit
de nature hystérique, pendant une douzaine d'anné
état à l'autre. Les mots «sommeil agité » permettraient peut-être de
croire
qu'il existe là aux environs de ce passage quelqu
qu'elle a dit ou fait pendant l'état second, et elle n'a jamais voulu
croire
qu'elle s'était exprimée comme nous venons de le
nt les lieux où il se trouve, ni les personnes qui l'entourent. Il se
croit
à Saint-Urbain, pendant la première partie du séj
arrivé « l'autre jour » et au delà duquel il ne connaît plus rien. On
croit
tout d'abord à la simulation, qu'on essaie de dép
de dépister par tous les moyens possibles, mais on est bien obligé de
croire
qu'elle n'est pour rien dans ces singuliers phéno
17 avril, à la suite d'une attaque, la contracture a disparu et il se
croit
dans l'état antérieur au 26 janvier ; il n'a aucu
que temps après (juin 1884), à la suite d'une nouvelle attaque, il se
croit
au 17 avril pendant vingt-quatre heures. Mais, le
xistence. A la suite d'une autre application d'aimant, le malade se
croit
à Mâcon, en 1881, et a oublié tout le reste. Il s
d'en venir au cas de M. Azam, non moins bien étudié que celui-là, je
crois
nécessaire d'insister une fois de plus sur la man
r donne, c'est sans l'intervention de cette rigidité qui fait souvent
croire
à de la catalepsie dans des cas où il n'y a en ré
évolu. Alors à la faveur de son titre emprunté (du moins j'aime mieux
croire
qu'il en était ainsi), titre qui lui ouvrait les
me raconte cet épisode qui l'avait tout émotionnée et lui avait fait
croire
, un instant, à la «folie» de sa compagne. Je po
du moins; elle se rappelle l'avoir vue quelquefois, le soir ; c'est,
croit
-elle, la personne qui occupe le lit voisin du sie
que chose. Ne comprenant rien à ma maladie, les gens ne voulaient pas
croire
, lorsque je disais que je ne savais pas. C'est de
i beau leur dire que j'en ai autant qu'eux (1), ils ne veulent pas me
croire
. Enfin, je me trouve bien comme je suis... etc..
pas me croire. Enfin, je me trouve bien comme je suis... etc.. » On
croirait
entendre parler Félida en lisant cette lettre, ma
pelle pas où elle demeurait avant d'arriver à la Salpêtrière, où elle
croit
être entrée il y a cinq ans. Elle dit quelquefois
do sa situation à ce moment, il faut partir de ce principe qu'elle se
croit
en 1885. Elle dit quelquefois : en 1884, nous avo
ssé, ses allures pendant son séjour à l'hôpital, j'inclinerais fort à
croire
aujourd'hui, éclairé par les cas que j'ai eus dep
Avant d'en linir avec cette comparaison des deux états entre eux, je
crois
utile de faire ressortir un fait, sans doute peu
taque de grande hystérie. Nous avons, en effet, quelques raisons de
croire
qu'il ne s'agit pas ici de phénomènes dynamiques
l'état de la malade (22 janvier 1892). tendues peu auparavant, elle
croit
toujours les voir ou entendre pour la première fo
lle très singulière en vérité et dont on trouverait difficilement, je
crois
, un exemple analogue. Je sais bien que dans les a
rois : un de lecture, un d'écriture, un d'orthographe, le premier, je
crois
. D. Que s'est-il passé chez vous le 28 août ?
ur sommes-nous, Madame ? R. Nous sommes mardi, le 22 décembre. Je
crois
superflu, Messieurs, de prolonger plus longtemps
attaque défaire ce qu'elle a fait ? La chose pourrait être tentée, je
crois
, et avec d'autant plus de chance de succès que ce
s l'urine est venue réformer le diagnostic. Mais il ne faudrait pas
croire
que la présence du sucre dans les urines puisse t
, veuille toujours dire pseudo-tabes d'origine diabétique? Nous ne le
croyons
pas. Nous pensons que, dans certains cas, l'inter
ndividu, rappelant au point de vue pathologique sa double origine. Je
crois
que des cas semblables doivent exister; reste à s
roses. Et cette alternance semble plus fréquente qu'on ne pourrait le
croire
: elle s'y présente d'une telle manière qu'elle n
ire cas, d'une atrophie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de
croire
que l'atrophie de la papille n'appartient jamais
pour arriver à la solution de ce double problème clinique. Nous nous
croyons
, en conséqueuce, pleinement autorisés, en attenda
sur son chemin. Souvent il allait à la rencontre des personnes qu'il
croyait
droit devant lui et qui en réalité étaient à sa d
en 1889. Quant aux jambes, on serait fort tenté au premier abord de
croire
qu'il y existe aussi de la pseudo-hypertrophie. A
observée quatre fois, et, chose particulière, mais à laquelle nous ne
croyons
pas jusqu'ici devoir attacher grande importance,
complètement. A la suite de cette nomenclature des cas, nous avons
cru
bon de placer un tableau synoptique permettant de
par être faussé. Il est cependant une catégorie pour laquelle nous
croyons
utile de faire ce relevé. C'est l'aura hystéroïde
ent par M. Gilles de la Tourette (1) et M. Artières (2). Nous avons
cru
devoir placer sous des rubriques spéciales quelqu
ance est vraiment frappante et il y a même quelques bonnes raisons de
croire
que les cris d'animaux transportés chez rhomme
Y a-t-il eu là un phénomène de contagion ? Je suis fort disposé à le
croire
. Toujours est-il que bientôt survinrent une extin
is participé aux convulsions. Enfin, voici un dernier argument que je
crois
puissant contre l'hypothèse d'épilepsie saturnine
eut-être jamais à ce degré dans les lésions du carrefour sensitif. Je
crois
inutile de répondre à ceux qui m'objecteraient qu
goutte, ont entre elles d'étroites relations. Avant de terminer, je
crois
qu'il ne sera pas sans (1) M. Debove a plusieur
essa complètement au bout de 10 jours. Il y a 6 jours, le malade se
croyait
complètement guéri, il mangeait et se promenait d
e semblable interprétation serait erronée. En résumé, Messieurs, je
crois
qu'un bon nombre des observations d'hémianesthési
ayer) ; elle se dit enceinte de cinq mois. Voici les faits que nous
croyons
devoir noter, dans ses antécé-dents. Etant très j
iété de biologie, 1853, p. 8S. régulière se manifesta. Tout porte à
croire
que cette affection a été assez grave. La figure
avec un parti-pris •d'anticonlagionisme ultra-pyrrlionien. Les autres
croient
à la eontagion ; et, tout bien considéré, nous no
endémiques ou épidémiques de la Grande-Bretagne ; il était disposé à
croire
que ces fièvres sont toutes produites par une mêm
r les limites qui éloignent le synochus du typhus; je suis dis-posé à
croire
que le synochus est produit par les mêmes causes
ntraires qui divisent ainsi les médecins les plus éclairés. Mais nous
croyons
faire remarquer que la question en litige a élé p
ordinaires ; le pouls se relève, la peau devient plus chaude. On peut
croire
, un instant, que la guérison est encore possible
, t. viii, Maladies infectieuses. 8 ) solution. Trop longtemps on a
cru
que c'était en Egypte » en Syrie, en Turquie, qu'
limites habituelles pour se répandre sur l'Europe ? On est porté à le
croire
, si l'on re-marque qu'il est souvent question, ch
elle qui a ravagé une partie du nouveau monde en 1793, parce qu'il la
croyait
originaire de l'île de Bulama, île située sur la
est serein, et le malade, qui éprouve un sentiment de mieux-être, se
croit
hors de danger. Il se peut faire en réalité que t
es cas insidieux, et dans lesquels on voit des gens frappés à mort se
croire
à peine malades, et conti-nuer à vaquer à leurs a
t échouer toujours contre les symptômes graves de la fièvre jaune. Je
crois
, en conséquence, ajoute M. Dulroulau, qu'il n'est
une à partager l'opinion si nettement formulée par M. Dutroulau; nous
croyons
que, dégagée de toute complication, celte maladie
us graves accidents ont disparu comme par enchan-tement et qu'on peut
croire
sauvé est pris tout à coup du fatal vomissement n
l faudrait un cas analogue à celui-ci pour le compléter. On ne peut
croire
qu'il y ait ici atrophie musculaire progres-sive
M. Charcot a fait allusion plus haut, et que, pour cette raison, nous
croyons
devoir reproduire. La pathologie abonde en fait
présenter quelques particularités très importantes, si nous n'avions
cru
utile de nous en servir, pour établir une distinc
les sont dues les gangrènes que Schrœder Van der Kolk et d'autres ont
cru
pouvoir considérer comme des effets de l'absence
cas, dont l'authenticité nous semble difficilement contestable. Nous
croyons
utile de consigner ici les principaux d'entre eux
s, mais encore et surtout parce que des observateurs distingués 1 ont
cru
, dans ces derniers temps, devoir envelopper d'une
ntre 1. Les faits de canitie sont beaucoup plus communs qu'on ne le
croirait
de prime abord par la lecture des journaux de méd
tendance à la généralisation de l'affection, plus grande qu'on ne le
croirait
d'abord, en se bornant à l'examen des extrémités.
, il y a quelques années, de douleurs dans les cous-de-pieds, que Ton
crut
de nalure rhumatismale ou goutteuse ; puis d'une
à la place d'une bulle pemphigoïde ; ces cicatrices pourraient faire
croire
à des fistules par lesquelles seraient sortis des
u péritoine et la grande épais- seur de ses parois auraient été, je
crois
, une garantie suffi, santé contre tout accident r
puis, forçant avec le doigt, il pénétra dans une large cavité, qu'il
crut
remplie par une ma-tière gélatineuse. Aussitôt,
n ; il incisa le vagin dans toute sa hauteur. Cet habile chirurgien
croyait
à l'existence d'une tumeur solide ; mais, au prem
quantité de liquide ascitique s'était accumulée dans le péritoine. On
crut
, en conséquence, avoir affaire à une induration d
d on cessait de le presser. Comme la rétention d'urine persistait, on
crut
de-voir ponctionner la vessie; le rectum fut choi
nt on voit les débris autour de l'orifice de communication. Nous ne
croyons
pas nécessaire d'ajouter que, suivant nous, c'est
parmi les kystes ceux qui sont hydatiques, séreux, sanguins, etc., je
crois
que, dans l'état actuel de la science, on ne peut
emps et qu'il eût pu se faire une idée sur la nature de sa tumeur. Il
croit
ne devoir intéresser, dans les premières in-cisio
uation complète du contenu de la tumeur, sera donc toujours, quand on
croira
pouvoir la pratiquer, supérieure aune ponction ét
inue et ne s'est jamais présentée sous forme d'accès capable de faire
croire
à l'existence de coliques calculeuses. Il nK i.
a suite détruits au point de ne plus laisser de vestiges ? Nous ne le
croyons
pas. En effet, toutes les tumeurs pédiculées où l
e terminaison fatale, le malade a fait un long trajet à pied. Doit-on
croire
que les hydatides étaient de date assez récente e
si supposer l'existence. Il est bien reconnu aujourd'hui, à ce que je
crois
, par les anatomo-pathologistes, que la muqueuse,
e vérilé qui paraît avoir été reconnue de tout temps ; il ne faut pas
croire
, par conséquent, que les médecins qui sç sont déc
pour en prévenir les suites fu-nestes l. » C'est en effet, nous le
croyons
, en obéissant d'une manière générale à ces princi
chargé. » MM. Rilliet et Barthez déposent dans le même sens2 : « Nous
croyons
, disent-ils, avec Hencke et Hufeland, que si jama
importance extrême de son traitement. Il est bien peu de médecins qui
croient
pouvoir se passer d'une médication très active et
de M. Tessier sur la pneumonie : « C'est une erreur grossière que de
croire
à la gravité de la pneumonie en général : c'est u
bien qu'il mérite à tous égards d'être connu, et c'est pourquoi j'ai
cru
utile de fixer sur lui l'attention, je veux parle
ts qui viennent à l'ap-pui des observations de mon savant maître ; je
crois
devoir en reproduire les principaux détails : O
sance des observations de M. Rayer que j'ai relatées plus haut, et je
crus
devoir attribuer l'état d'anaphro-disie où se tro
Wunderlich prescrivit d'abord des pilules insignifiantes, en laissant
croire
qu'elles contenaient du nitrate d'argent ; la par
l ne faut pas, du reste, qu'on se méprenne sur notre pen-sée. Nous ne
croyons
pas que l'on doive s'attendre à obtenir, à l'aide
e, il n'y a rien à opérer. » Heu-reusement cette manière de voir est,
croyons
-nous, beaucoup trop absolue. Deux fois il nous a
observations, sur lesquelles nous appelons surtout l'attention, nous
croyons
utile de faire res-sortir en quelques mots ce qu'
nouveau une objection que nous avons soulevée déjà et à laquelle nous
croyons
avoir au moins en partie, répondu par avance. Cet
épondre. La sanction du temps nous fait absolument défaut. Nous avons
cru
malgré cela, et quoi qu'il puisse advenir par la
s quelques cas de paralysie, en dehors de l'ataxie loco-motrice. Nous
croyons
devoir donner in extenso l'observation d'un fait
s se sont rapprochés et ont pris un tel caractère de gravité, qu'on a
cru
la vie de la malade en danger imminent. L'appétit
nt d'être complétés et confirmés par des recherches ultérieures, nous
croyons
pouvoir déduire les conclusions suivantes : 1°
ours : il n'est point absorbé dans cette circonstance... Tout porte à
croire
que si on en administrait 3 ou 4 grains, la vie s
er, d'après l'analyse de plusieurs faits, empruntés à divers auteurs,
croit
pouvoir fixer à 7 drachmes (environ 30 gram-mes)
tterson admet qu'il s'y dépose à l'état d'argent métallique ; Brandes
croit
qu'il existe à l'état d'oxyde, et Krahmer préte
analogie, constater la présence de l'argent dans la sueur ; mais nous
croyons
qu'aucun observateur n'a pu jusqu'à présent démon
. Nous ne sommes malheureusement pas en mesure de les indiquer ; nous
croyons
toutefois que la rigidité des membres inférieurs,
es désordres qui ont provoqué cette manifestation symptomatique. Nous
croyons
cependant qu'on peut établir à cet égard deux cat
profiter, seront au contraire aggra-vés par un traitement actif? Nous
croyons
pouvoir répondre par l'affirmative, au moins pour
souvent espérer un résultat heureux de ce mode de traitement. Nous
croyons
, en effet, que l'action du nitrate d'argent peut
moyen thérapeutique contre le diabète ; mais il semble peu disposé à
croire
à son efficacité. VII. Hydropisies. Nous avon
cérébrale dont l'observation offre un certain inté- rêt, et mérite,
croyons
-nous, d'être publiée comme document anatomique.
description anatomique plus claire et plus saisissante, nous avons
cru
utile de rapporter quatre figures qui, quoique
que 34 fois sur 300 cas de tumeurs des centres nerveux, si nous en
croyons
la statistique fort remarquable de Allen Starr'
que les microbes agissent ici par leur présence directement. Nous
croyons
bien plutôt qu'il faut incriminer leurs produits
ement affir- matifs. INTERPRÉTATION PATHOGENIQUE GÉNÉRALE. Nous
croyons
donc pouvoir conclure que dans les cas qui nous
insister. Nous ne voyons rien de surprenant dans ces cas et nous ne
croyons
pas que ce soit des arguments solides contre 1
fluence morale et physique. Enfin dans un grand nombre de cas, nous
croyons
même pou- voir dire dans la majorité des cas d'
t des cas. Dans ces derniers temps avec le bromure de potassium, ou
croyait
avoir le médicament par excellence, la pa- nacé
un recommande une nourriture variée et substantielle, mais comme il
croit
que l'épilepsie résulte de modifications de nut
pathologie mentale. Voici maintenant un autre point de vue : Vous
croyez
bien faire en hypnotisant certains individus. Or,
sse dans un rapport arithmé- tique ; de même l'effet d'un moteur ne
croit
que dans un rapport arithmétique quand la charg
rir, à l'oc- casion, comme excuse légale devant la justice. Il faut
croire
que la notion scientifique de la substitution p
oite), le carré du menton, etc. Suit une étude analytique. L'auteur
croit
difficilement à raison de ces détails à l'origi
classe nosologique, les diplégies d'origine cérébrale, les auteurs
croient
pouvoir avancer que la syphilis n'est pas tou-
ÉRIE. 99 On avouera qu'il faudrait d'autres preuves pour le faire
croire
. » Soit. Les raisons d'Esquirol ne suffisent pa
es, et levant sa robe, mon- tra sa chemise ensanglantée, pour faire
croire
qu'elle avait ses règles. A partir de ce moment
mis au monde un enfant que je n'ai vu ni remuer, ni crier. Je l'ai
cru
mort. J'ai eu l'idée de le cacher dans ma pail--
de le cacher dans ma pail-- lasse, ne sachant où le mettre. Je. ne
croyais
pas accoucher sitôt, car mes dernières règles s
sa détention ont un caractère assez particulier pour que nous ayons
cru
devoir procéder à un examen direct très méticuleu
cependant, nous l'avons vu, ne sont pas conformes à la vérité. Nous
croyons
pouvoir affirmer qu'elle a conscience de la gra
s sons émis devant lui, il ne lui sera pas aussi difficile qu'on le
croirait
de substituer au nom provisoire le nom définiti
essiers n'interviennent donc pas, contrairement à ce qu'on pourrait
croire
de prime abord, pour maintenir la station du tr
liser cette disposition, le système musculaire n'a pas, comme on le
croyait
autrefois, un rôle pré- pondérant. Rappelant le
développement et de tout signe de dégé- nérescence dans la famille,
croit
, malgré l'absence de cicatrice, qu'il s'agit d'
ication bromurée qui tient et garde le premier rang; il y a lieu de
croire
. toutefois, d'après les résultats déjà obtenus,
auses directes ? , M. SEÙfELAIGNE reproche à M. Toulouze de sembler
croire
qu'on considère la prédisposition héréditaire c
est arrivé d'en fonder une. » Il avait préalablement remarqué, je
crois
, que le « festina lente » serait pour quelque tem
déclare que la méningite spinale se joint plus souvent .que l'on ne
croit
à la méningite basale. Erbl cite dans son livre
de méningite basale et, jugeant d'après les symptômes cliniques,
croit
que les enveloppes rachidiennes sont plutôt attaq
voulu faire colorer quelques 1 Nous prions M. le D' Metschnikotr de
croire
à toute notre reconnais- sance pour la bienveil
r le sol ». La malade elle-même a toujours été superstitieuse; elle
croit
à l'influence des dates, du 13 ; son fils a été
raissent. « C'est un véritable roman, dit-elle, on ne voudra pas me
croire
; o et ce roman elle le raconte en excellents te
née après m'avoir dit : « C'est une invention, c'est comme quand tu
crois
qu'on te tire ta robe. D Au moment où elle se r
péré, il va à la porte, puis revient comme pour m'exterminer : j'ai
cru
que c'était mon petit-fils, mais on m'a répondu
n a frappé un jour sur des casseroles dans la cuisine, on se serait
cru
dans un atelier de chaudronnerie. * Elle entend
ucinations : elle met le pied sur sa robe en se levant de chaise et
croit
qu'une main invisible la lui tire ; elle trouve
itieuse, croyant aux revenants, aux hantises. La malade elle-même y
croit
, et est très superstitieuse, elle cherche dans
nous dit un jour la malade, comme je sens la vôtre en ce moment, je
croyais
même d'abord que c'était la main de mon fils mo
et un tel sont morts. » Malgré les protestations de sa fille, elle
croit
dès cel instant qu'il y a des somnambules au-de
ses. Pour ma part, je n'hésite pas à dire que c'est une utopie de
croire
qu'on peut arriver à éviter complètement les erre
ce desideratum des études médicales la plus grande importance et je
crois
pouvoir dire que l'Administration de l'Instruct
e, l'autre médicale. A. Traitement chi1' ! ll'gical. - S'il faut en
croire
les chirurgiens, le seul traitement rationnel e
similia similibus, le comble de l'homéopathie à haute dose. Voici,
croyons
-nous, dans quelles conditions on en est venu à
e n'est nullement formée par des cellules particu- lières, comme le
croyait
0. Langendorff, ou ayant suivi une évo- lution
l'extrait de glande normale. En définitive ce que nous pouvons, je
crois
, affirmer seulement dans l'état actuel de nos c
tégralement la maladie en injec- tant du liquide thyroïdien si j'en
crois
, du moins, les recherches et statistiques publi
recherches et statistiques publiées jusqu'à ce jour. Je persiste à
croire
que ni la tachycardie, ni le goitre ne sont des
e encore en voie d'expé- rimentation par MM. Ballet et Enriquez. Je
crois
à l'avenir de la sérothérapie artificielle par
sa boulimie, a pu absorbersans troubles connus 1 kg, 500 de thymus
crus
en deux mois environ. Nous avons employé le thy
sence de corps thyroïde. M. Matton (de Dax et Salies-de-Béarn). -Je
crois
devoir appeler l'attention du Congrès sur un ca
sou- venir d'un délire est très exact après un accès convulsif, il
croit
qu'il faut faire intervenir dans un très grand
schild (1878), château Haut-Bailly (1878), château Laffitte (1870),
cru
Raymond Lafon (181G),'0ll'erls gracieusement pa
ent au ban- quet. - Menu exquis. La carte des vins comprenait les
crus
suivants : château Lafon, Sauternes, 1890, chât
interné; 4° le Congrès regrette la conduite du Dr Finkelnburg qui a
cru
devoir, à propos de cette affaire, jeter le discr
tenir droit et se mouvoir avec une aisance dont je ne l'aurais pas
cru
capable. Son torse redresse, ses hanches presqu
alades eux-mêmes soient soumis a une surveillance.rigoureuse. Il ne
croit
pas qu'il faille entièrement interdire aux eccl
prennent pas l'étude des nerfs ra- diculaires. Néanmoins nous avons
cru
devoir les publier à cause de certains détails
une importance pra; tique bien considérable. Pour notre part, nous
croyons
que le processus morbide.élit d'abord domicile
que nos moyens d'exploration nous montrent encore sains. Nous nous
croyons
donc autorisés à qualifier cette lésion de vasc
e, quel que fut l'âge du tabes ou de la paralysie générale ; nous
croyons
pouvoir en conclure qu'il s'agit d'une lésion trè
cription et une dénomination spé- ciales. C'est pourquoi nous avons
cru
devoir la désigner sous le nom de névrite radic
le pronostic aussi sombre que l'admet M. Sollier. M. Charpentier
croit
voir dans ces cas l'anorexie des hypocon- driaq
e qui parait possible dans la majorité des cas. » M. DOOTREBE1VTE
croit
que l'excellente mesure préconisée par M. Girau
'hui que deux fois six font trente-six; de plus, au mois de juin il
croit
être en avril. Il n'a pas de conceptions délira
pas déjà manifestée par des symptômes plus décisifs. Toutefois nous
croyons
prudent de faire toutes les réserves jusqu'au mom
ic de l'athétose double ne me semble pas douteux. En effet, nous ne
croyons
pas qu'on puisse considérer ces mouvements comm
ielle chez un enfant de quatorze ans : c'est ce fait que nous avons
cru
intéressant de rapporter au Congrès. M. le Dr F
femmes qui dissimulent par honte, ne voulant pas avouer qu'elles se
croient
aimées d'un homme placé dans une situation supé
insi (ce qui est bieu difficile) à obtenir des aveux. » , 8° Nous
croyons
qu'un médecin expert devrait être adjoint aux j
oment d'exal- tation, de commettre un mauvais coup. Cependant on ne
croit
pas à la préfecture qu'il soit l'auteur de l'at
ef de Sainte-Anne qui, malgré tous les certificats exhibés) n'a pas
cru
à la réalité de la « folie » de Dalanoy et s'es
s en ce qui concerne l'étude la folie et qui leur fait trop souvent
croire
à l'incurabilité, sont la cause des regrettables
er un rôle aux esprits dans la plupart des cas d'hallucinations, il
croit
encore aux maléfices des démons ; mais il souti
ais il soutient que les fous, abusés par Satan, ne doivent pas être
crus
quand ils s'accusent eux- mêmes. Félix Plater (
t une variété d'extase provoquée par des influences diaboliques, et
croit
que, grâce à l'intervention du démon, les lycan
fensif, est beaucoup plus dangereux que l'opium. M. Wildermuth ne
croit
pas que l'alcoolisme joue un rôle impor- tant d
alades se conduisent souvent au dehors bien mieux qu'on ne l'aurait
cru
. Il faut tenir grand compte des conditions dans
t intellectuel et s'est accompagnée d'idées de grandeur. L'auteur
croit
devoir admettre trois formes spéciales du délire
bré. A la suite de nom- breux déboires il est pris d'excitation, se
croit
persécuté, accumule les interprétations déliran
personne très riche qu'il n'a d'ailleurs jamais vue. A l'asile, il
croit
voir partout sa bien-aimée; il l'entend, il la
ffections nerveuses. ' La municipalité d'Orléans n'en a pas moins
cru
devoir autoriser les séances de M. Pickman que
nger public il laisser s'organiser de telles exhibi- tions, et nous
croyons
que la municipalité agirait sagement en L . l l
de combattre l'idée que de telles expériences sont dangereuses. Il
croit
s'en tirer ainsi : « L'hypnotisme ne crée pas l
de tous ceux qui en voudront, et ils seront plus nombreux qu'on ne
croit
. Ceux qui se négligent seront appropriés par le
de leur réunion en compensent les inconvénients. M. Bourne- ville
croit
que ce voisinage permettra aux médecins, aux sur-
our les infirme- ries séparées, d'autant plus qu'il est prudent, je
crois
, de ne pas trop rapprocher le personnel féminin
illance continue, est bien plus considérable du côté des hommes. Je
crois
donc qu'en comptant pour les deux sexes une pro
e ou qu'il penche le corps du côté de la blessure, il chancelle, il
croit
voir tourner les objets qui l'entourent du même
lacunes dn champ visuel. La façon dont il écrit tendrait à le faire
croire
. M. HEILBRO : '1NER, - On n'a pu pratiquer un e
CIÉTÉS SAVANTES. 485 cise, abolition du privilège des bouilleurs de
cru
; Belgique, nomi- nation d'une commission offici
sille). « Le peuple est encore la victime de préjugés, qui lui font
croire
à l'action fortifiante et salutaire des boisson
idu. Il considère ce désir comme « bien loin d'être réalisé ». Nous
croyons
en effet que cette mesure draconienne est logiq
ue Pierre-Levée étaient mis en émoi par l'arrivée des pompiers. Ils
crurent
un ins- tant leur rue en flammes. Il s'agissait
UR ET UU MOTEUR OCULAIRE COMMUN DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ; Par
Crut
. MIRALLIË, ancien interne des hôpitaux de Paris
bservation et les observations analogues comme des exceptions. Nous
croyons
avoir démontré au contraire que cette participa
phobie) : ce dernier délire est quelque fois dû au fait qu'ils se
croient
indignes de manger. Souvent il y a des hallucinat
s montre une colo- ration gris-jaunâtre du champ rétinien, que nous
croyons
due à un oedème qui envahit la rétine; cela s'o
i arrive chez d'autres malades qui ne mangent pas parce qu'ils se
croient
indignes de vivre, qu'ils sont coupables, crimine
aits ré- cents qu'anciens. Le raisonnement du malade est altéré, il
croit
être amené ici (à l'hospice) pour expier les pé
progres- sive, l'auteur n'a constaté que deux fois ce phénomène; il
croit
pouvoir affirmer que c'est un symptôme constant
ra- mer' quand il repousse cette désignation qui tendrait à faire
croire
qu'il s'agit de phénomènes semblables au réflexe
te dernière maladie le symptôme de l'analgésie du cubital. - " Il
croit
que ce symptôme existe au moins chez les trois
s paralytiques, au moins, présentaient ce symptôme, tandis qu'il le
croyait
absent chez le plus grand nombre des aliénés no
se de son internement, il l'attribue au maire de son village qui le
croyait
complice dans une affaire d'assassinat commis s
frères à cause de l'héritage des parents, chose pour laquelle il
croit
qu'il fut amené à l'hospice. Il nous déclare enco
lique, mais c'est exceptionnel, ajoute 11, le Dr Tou- louse : Je le
crois
sans peine ; outre que cette comparution en jus
trente-quatre années de direc- tion médico-administrative. Qu'on ne
croie
pas que c'est là une simple boutade. On se fait
ace d'en être privé à la moindre infraction. « Il ne faudrait pas
croire
, dit Foville, que les malades sont libres de ci
n'exerce aucune influence sur la descendance des paralytiques ; je
crois
le contraire, préci- sément parce que j'admets
e délicat sur lequel nous avons chaque jour à donner un avis. Je ne
crois
pas que le fils d'un paralytique général ait plus
rminer des troubles ner- veux chez les enfants des paralytiques. Je
crois
, pour ma part, que ce sont au contraire les syp
ve en présence d'un syphilique avéré devenu paralytique général. Je
crois
cepen- dant, comme M. Ballet, que si l'on fait
ysique existent avec un état normal du tact et de ne pas incliner à
croire
que, quand celui-ci est altéré, il n'y a peut-ê
excessifs. De cet ensemble de constatations il appert nettement, je
crois
, que les altérations du sens tactile aux deux pre
usieurs auteurs, avons-nous vu plus haut, seraient assez disposés à
croire
que les troubles du tact chez les paralytiques
à la fois à leur actif la syphilis et l'alcool. A priori on aurait
cru
que l'association de ces deux éléments aurait p
13e1ligae, 1897. LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 199
croyons
-nous, quelques faits nouveaux, précisent certains
te à tout travail de ce genre, s'est glissée dans cette étude, nous
croyons
néanmoins serrer la vérité d'aussi près que pos
al connue et l'auteur n'a pu faire les autopsies de ses malades; il
croit
cependant que la mort est causée par l'action d
utique ne consiste pas toujours à endormir le malade en lui faisant
croire
qu'il est guéri. Cette suggestion ne réussit pa
cidents, n'a permis de soupçonner une lésion syphilitique. L'auteur
croit
pouvoir expli- quer les accidents de cette mala
igraineuse, qui dans la période prémonitoire de chacun de ses accès
croit
recon- naitre des objets ou des scènes que cert
oin d'être placés augmente de 6 p. 100, tandis que la population ne
croit
que de 1,7 p. 100, ce qui représente annuelleme
de ceux conçus après l'apparition des troubles mentaux. M. Arnaud
croit
, en effet, que cette distinction est nécessaire.
ts. M. Vallon. C'est une idée trop généralement répandue qui fait
croire
que les fils des paralytiques n'ont rien à craind
e l'existence du panaris douloureux comme symptôme isolé, permet de
croire
qu'il existe dans la moelle un centre trophique
é dans les myélites transverses. Le travail de M. Marinesco, qui se
croit
être le premier à avoir signalé l'existence de
canal central dans les cas sur lesquels il s'appuie. M. MOURATOW ne
croit
pas qu'on puisse expliquer les diverses monstru
e sermons sur les peines de l'enfer dans lesquelles l'orateur avait
cru
devoir frapper l'esprit à l'aide de description
vant d'en finir avec ces questions délicates de nomenclature nous
croyons
devoir préciser à quoi correspondent, suivant nou
t inspiration par incarnation divine). Mais ce serait une erreur de
croire
que toujours le démoniaque se transforme en thé
en proie à des préoccupations toutes personnelles de damnation, et
croit
qu'il a été choisi par Dieu pour remplir une mi
eligieux. Le malade lutte avec acharnement contre les démons, ou se
croit
transporté au sabbat et assiste à un grouilleme
s l'urine constitue une sorte de confirmation. Il y a plus, et nous
croyons
qu'à chacune des grandes formes 280 PATHOLOGI
assé, des médecins qui l'ont traitée, ni même d'avoir été malade et
croit
simplement avoir été enceinte et avoir accouché
e établi, mais pour ma part, je le considère comme probable et je
crois
qu'on arrivera à le démontrer dans l'avenir. Ce
typhoïde, du typhus, de l'érysipèle, de l'influenza, etc., et vous
croirez
assister à un rêve porté à son maximum. Comme l
r les yeux ouverts ; dès qu'il les fermait il s'assoupissait, et se
croyait
dans sa maison, occupé à son travail. Il nous f
, absolument comme on le fait chez les hystériques hypnotisés. Je
crois
donc pouvoir dire que le délire toxi-infectieux
gestion comme procédé thérapeu- tique, il n'y avait qu'un pas. J'ai
cru
pouvoir le franchir. Les faits que j'ai ainsi r
ong assoupissement (c'est celle qui au milieu d'une infirmerie se
croyait
dans un désert et voyait autour d'elle des voitur
rieurement et qu'il n'a connue que depuis. Il n'est pas possible,
croyons
-nous, de trouver un argu- ment plus probant.
épart de toute une série de déductions s'y rattachant. Le malade se
croyait
recherché par la police ; on 300 PATHOLOGIE M
ommeil et revint à la réalité à l'asile, en face de son père, qu'il
croyait
mort. Point important à signaler : le délire pr
entale ne sont pas plus fixes que ceux de la criminalité. M. MAGNAN
croit
que les signes physiques de dégénérescence ont
adopte l'opinion de Baiumler sur la pathogénie de l'ankylose et il
croit
en outre que c'est principalement l'élément dou
ents nous manquent encore à cet égard. Discussion.- M. Sciiatalow
croit
que le caractère de l'immo- bilité de la colonn
s qui maintiennent la position du tronc. M. le professeur KoJEwmKow
croit
que l'ankylose des vertèbres peut tenir à diffé
tinue à débiter force mots orduriers; elle tutoie tout le monde,
croit
reconnaître les personnes qui l'entourent et leur
uivi l'accident, mais avant de chercher à les expliquer, nous avons
cru
convenable de résumer l'histoire de cette malad
onduire les impressions allochiriques. Dans le cas de Munoz, nous
croyons
que dans l'espèce se sont vérifiées les célèbre
on du rapporteur et d'accord en,cela.avec certains étrangers, Régis
croit
que les délires systé- matisés post-maniaques s
trop absolue de la constitution paranoïenne. En résumé, M. Régis
croit
qu'il serait prématuré d'adopter, en ce qui con
thénique. Pour lui il n'y a pas de si grandes différences que l'on
croit
entre la neurasthénie délirante et la mélancolie,
physique qui prédomine, de l'autre c'est l'hypo- condrie morale. Il
croit
que des délires systématisés peuvent être consé
tement efficace, par l'hypnose ou une psychothérapie appropriée. Il
croit
qu'il ne s'agitdans ces faits que de la persist
ite ascendante à la fois dans tous les nerfs malades. Il semble, je
crois
, qu'il y ait eu aussi myélite ascendante, et nous
interne. Au sujet de la polynévrite, nous devons dire que nous ne
croyons
pas devoir lui attribuer les accidents psychiques
e a été victime d'une intoxication ou d'une auto-intoxication. Nous
croyons
que c'est encore ici la maladie primitive qui e
Il est aisé d'analyser cette particularité qui, tout d'abord ferait
croire
que le signe classique de la sclérose en plaques
discuter en détail l'économie de cha- cun de ces projets, mais nous
croyons
devoir dire quel est celui qui nous parait répo
que, se plaint de palpita- tions et d'angoisse précordiale. Elle se
croit
atteinte de cardiopa- thie ; en réalité, il s'a
l 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. pénétrait dans cette enceinte, il vous
croirait
, Mesdames, descen- dues du cadre. Notre Prési
a maladie pourra être réduite à trois ans. Discussion. M. BOUTZRE
croit
que la nouvelle loi, très judicieuse au point d
cile à appliquer et n'at- teindra pas le but proposé. M. SEnu'=KY
croit
qu'il ne suffit pas d'émettre un avis favorable,
elle épinière présente les phénomènes de syringomyélie. L'auteur ne
croit
pas devoir mettre la dégénérescence graisseuse
s internes, elle est la conséquence de la toxémie. M. Mourawieff ne
croit
pas non plus à une relation entre la dégénéresc
e pas non plus ce cas comme un cas de polynévrite. M. KOJLIW.NIKOFF
croit
à l'associa- tion de la syphilis et de l'alcool
tion de la syphilis et de l'alcoolisme dans ce cas. M. Tokarsky ne
croit
pas l'amélioration des troubles de la mémoire com
apparent, doit être identifiée à l'instabilité mentale. On pourrait
croire
à première vue que certaines psychopathies, tel
îtraient à chaque rechute plus actives et plus systématisées ; nous
croyons
plutôt que cette systématisation s'atténue en m
bales. Sans nier la valeur des travaux ci-dessus mentionnés, nous
croyons
toutefois que la psychologie rationnelle de la pa
et d'excès génitaux considérables; il est frappé d'amaurose. A l'en
croire
pendant ces deux semaines il avait pratiqué le co
outons pas grande importance à ce fait, nous HYSTÉRIE MALE. 465
croyons
que nos questions éveillent en lui des souvenirs
reprises par plusieurs oculistes qui, ne découvrant aucune lésion,
crurent
à de la simulation ; il s'agissait en réalité d
dans l'hystérie. Le malade ne pouvait pas parler, ce qui lui a fait
croire
que sa langue était paralysée; à cette idée s'e
une membrane de néoformation pourrait bien ne pas avoir comme on le
croit
généralement de valeur réelie au point de vue d
s ; par Van Gehucuten. (Journ. de Neurologie, 1899, nu 5.) L'auteur
croit
pouvoir conclure de celte observation que l'affai
comme ori- 476 sociétés savantes. gine. Pour le premier cas il
croit
à un développement défectueux aggravé par un tr
dans les éta- blissements pénitentiaires ou corps d'épreuve. Nous
croyons
, pour notre part, que c'est l'apport des individu
s. Telle est la façon dont les choses se passent ; elle explique,
croyons
-nous, comment les prédisposés et les aliénés peuv
euve. A cette situation, si regrettable à tous égards, il serait,
croyons
-nous, facile de porter remède. L'afflux des alién
même lorsqu'il s'agit de formes mal définies et comme M. Giraud, je
crois
que les erreurs dans ces cas sont sou- vent dif
qu'il s'agit de bien trancher la ques- tion de responsabilité. Je
crois
devoir néanmoins insister sur la fréquence des co
t chez ces malades un cachet spécial de niaiserie, d'absurdité : on
croirait
entendre radoter déjeunes vieillards et il n'y
moiement qui aurait nui à la vision. Quoi qu'il en soit, s'il en faut
croire
M. Rognetta ( Cours d'Ophthalmologie — 183o. ), l
l'appareil lacrymal seraient beaucoup plus nombreux qu'on ne l'aurait
cru
jusqu'à ce jour. D'après ce savant chirurgien, le
te de substance par l'ablation d'un disque de l'os. C'est ce qu'avait
cru
obtenir Hunier à l'aide d'une canule emporte - pi
ais la variété des données accessoires qu'il suppose ne permet pas de
croire
qu'un problème aussi complexe ait pu se ré-soudre
ais-sances des Alexandrins sur la physique ; mais il est difficile de
croire
que la théorie de l'optique ne fût pas déjà très
plus mo-dernes, d'après le témoignage de M. Wagner. Rien ne répugne à
croire
à son efficacité; toutefois, il n'est pas à notre
et Solingen, a reçu l'approbation de Dionis, Percy et B. Bell, qui le
croient
utile lorsque le polype faisant saillie dans le p
, les chirurgiens t. VII. de nos jours, dans les cas rares où ils
Croient
devoir traiter le polype par excision, se servent
a-cer sous les aiguilles, un mince plumasseau de charpie, et, si l'on
croit
devoir se servir d'un bandage, de bandelettes agg
e plumasseau de charpie est appliqué sur le tout. Quand le chirurgien
croit
devoir employer les agglutinatifs, les bandelette
le est déjà imperméable lorsque l'es-carre vient à tomber. Si l'on en
croit
les récits des auteurs, la cau-térisation compter
s tout récem-ment M. Gensoul vient de mettre en doute ce résultat, et
croit
que les cas de succès rapportés aux fistules du c
fistule, eu ayant soin préalablement d'en aviver les bords. Nous ne
croyons
point devoir parler de l'extirpation de la glande
paraîtrait devoir être essayé d'abord; et s'il était sans effet, nous
croirions
devoir conseiller la Cautérisation avec le nitrat
rragie foudroyante surviendrait pendant l'opération. Si le chirurgien
croit
pouvoir passer outre il est indispensable qu'un a
nte: les uns ont trouvé dans le kyste, un liquide visqueux qu'ils ont
cru
être de la salive épaissie; d'autres une matière
ranzi l'emploie à la renaissance et, dans le siècle dernier, Jourdain
croit
que l'incision suffit, pourvu qu'on ouvre toute l
s fois avec succès cette opération , que Louis, pour la justifier, se
croyait
encore obligé d'arguer du grand nombre d'individu
moyenne et presque toute l'étendue de la langue , l'opéra-tion, si on
croyait
devoir la pratiquer, serait des plus graves. Si o
t, il faut l'avouer, les plus grandes difficultés. Par prudence, nous
croyons
que l'opé-ration devrait être commencée par la li
ière, en prenant garde d'entamer à gauche le voile du palais. Nous ne
croyons
pas devoir insister sur l'inclinaison à donner à
onvient que pour produire un dégorgement dans certains cas où on peut
croire
qu'il n'existe qu'une turgescence causée par les
es accidens nerveux, et à une fièvre de mauvais caractère. Si donc on
croit
devoir l'employer seule, c'est avec raison que M.
de l'affection , lorsqu'elle a envahi les divisions bronchiques, nous
croyons
que le devoir du chirurgien est d'agir, puisque,
her l'isthme du gosier; circonstance dans laquelle Richter et B. Bell
croyaient
la trachéotomie nécessaire : autant pourrait-on e
pération n'avait d'autre objet que de prévenir l'as-phyxie , on avait
cru
simplifier les manoeuvres et se mettre à l'abri d
tion- de l'air dans les veines m'em-pêche de donner ce conseil, et je
crois
que le plus prudent est de lier rapidement les va
que l'annonce son auteur; mais, quant aux suites, nous avons peine à
croire
qu'une section un peu large à la base de l'épiglo
sera-t-elle justifiée par ses suc-cès; mais, jusqu'à présent, nous ne
croyons
pas qu'elle doive être enseignée. Revenant donc
e pour l'ouverture de dedans en dehors des abcès ordinaires. L'auteur
croit
réunir ainsi les avantages de la ponction et ceux
. Sans mettre aucune-ment en doute la réalité de ces résultats , nous
croyons
pourtant qu'il faut bien se garder de généraliser
nous ont été con-servés par Aétius, émit des opinions judicieuses. Il
crut
pouvoir admettre que la hernie n'est point toujou
pas moins long-temps encore le privilège des barbiers des campagnes.
Croirait
-on même queDionis regarde cette mutilation comme
uvrir comme d'une coiffe. H n'y a point rupture du péritoine comme le
croyaient
les anciens chirurgiens ; cette membrane souple e
n plus grande. Eu égard au siège de l'étranglement, on a long-temps
cru
que l'ouverture aponévrotique qui donne passage à
t nombre de cas, la cause de striction ; et un peu plus tard, Richter
crut
avoir démontré la possibilité d'un étranglement a
n. La question en était là tout récemment encore, et sans cesser de
croire
que l'étranglement pût être produit par l'anneau
intelligence des opérations. Entonnoir membraneux.— On a long-temps
cru
que les deux bouts de l'intestin contractaient de
d il est besoin de s'entendre, d'autant plus que A. Cooper continue à
croire
que l'anneau ombilical résiste moins à la sortie
ès que le sac eût été admis pour la hernie inguinale ou crurale, on a
cru
encore que celle de l'ombilic n'était pas en-velo
enu tout-à-coup sans signes d'engouement antérieur, si l'on a lieu de
croire
que l'intestin est dans la hernie, et si enfin le
e,comme cela est fréquent pour la hernie inguinale, si l'on a lieu de
croire
que l'épiploon est seul contenu dans le sac, il e
rester dans le ventre, malgré l'immobilité du malade, il y a lieu de
croire
que les organes n'ont été refoulés que dans le ca
ien réellement externe ou interne. En conséquence, des opérateurs ont
cru
résoudre plus avantageusement ce point délicat de
er en haut et en dedans sans couper cette artère. Néanmoins A. Cooper
croit
possible d'écarter le cordon avec une sonde canne
i était la condition organique de l'oblitération. Plus tard, l'auteur
crut
voir que de simples ban-delettes de substance ani
ond lieu, il n'est pas exempt de tout danger, ainsi qu'on pourrait le
croire
d'après les éloges pompeux qu'on en a faits, car,
ombaire gauche du rectum, ou l'S iliaque, est plus longue qu'on ne le
croit
commu-nément; cette remarque est importante en ce
la cloison rectale, quelle qu'en soit la hauteur, 0: accessible, nous
croyons
que, sauf à s'aider du spéculum peu dilater l'o
probable même qu'elle est encore beaucoup plus fréquente qu'on ne le
croit
généralement, les malades n'étant portés à s'en p
mme la cause première de la fissure. M. Velpeau, au contraire, paraît
croire
que, dans cette concomitance des deux affections,
et procédant de l'intestin vers la peau. Foubert, en particulier, ne
croyait
pas que le pus qui s'amasse dans le foyer put s'é
pas, en général, à la pratique, une importance aussi grande qu'on le
croyait
du temps de l'Académie de chirurgie. Sans doute i
orté au travers d'un spécu-lum pour le sphincter rectal. Mais nous ne
croyons
pas devoir con-seiller le débridement sur l'intes
insi en revue toutes les méthodes que nous avons décrites , cpie nous
croirons
avoir atteint le but que l'on doit se proposer da
d'une manière générale ; cha-cun peut le modifier de la manière qu'il
croit
la plus avanta-geuse. En cela nous ne pouvons cit
gie elle-même dans son ignorance plus à déplorer qu'à blâmer, se sont
crus
autorisés, par des raisons spécieuses, à priver l
leur place par leur élasticité propre. Ce n'est donc pas comme on l'a
cru
long-temps, et comme le pense encore M. Blandin,
i souvent mis ce procédé en usage, dit M. Velpeau, et tout me porte à
croire
qu'on finira par le substituer à l'autre. » (Méd.
u et du tissu cellulaire sans intéresser les corps caverneux et faire
croire
néanmoins que ces organes participent à la maladi
n sorte que si l'on n'y portait une attention suffisante, on pourrait
croire
qu'elle est logée dans un dédoublement de la gaîn
ravers, devient elliptique de haut en bas; de sorte que ce que l'on a
cru
par erreur former une dilatation , est au contrai
des de tous les ca-libres; mais cela a moins d'importance qu'on ne le
croyait
de-puis qu'on sait que, dans le traitement des ré
um dans l'épaisseur du périnée ; en arrivant dans cette poche on peut
croire
qu'on est arrivé dans la vessie, et cela d'autant
ur de maître, ne le faisaient que pour masquer leur manœuvre et faire
croire
aux spectateurs que cette opéra-tion préliminaire
cathétérisme rectiligue n'est pas une invention nouvelle comme on le
croyait
il y a une vingtaine d'années. Les chirur-giens d
ves-sie par une sphère de G à 8 millimètres de diamètre ; ce médecin
croit
qu'en promenant ce stylet dans le canal, d'avant
'il n'avait pu franchir une heure ou un in-stant auparavant. Il est à
croire
cependant que,dans ce cas, le bec de la sonde se
et très préjudiciable à l'art, que de supposer et de chercher à faire
croire
qu'il faille absolument qu'un rétrécissement s'ul
mais il paraît même que les accidens sont moins communs qu'on ne l'a
cru
. Voici le plus ordinairement ce qui arrive. Parfo
se creusent une rigole pour laisser passer l'urine, et peuvent faire
croire
à l'existence d'un rétrécissement. M. Velpeau rap
de guérir dépecé, il y a a5 ou 3o siècles, par la spécialité que l'on
croit
inventée d'hier parmi nous, cette division de l'a
Deschamps ne lui trouva que deux onces de moins. Enfin on se refuse à
croire
que Moreau ait possédé un calcul du poids de six
n des moyens dans la science, n'ayant aucune valeur rationnelle, nous
croyons
, malgré l'usage contraire, devoir en présenter l'
la convenance des moyens à employer pour un cas déterminé, nous avons
cru
de-voir faire entrer la lithodialysie clans le ca
usuelle, recommande une foule de re-mèdes internes, avec lesquels il
croit
pouvoir détruire le calcul. Si de nos jours l'éno
égard pendant une longue suite de siècles. Cependant il est permis de
croire
que ces premières tentatives de l'antiquité ne fu
ne. Les malades rendaient des fragmens de cal-culs ; beaucoup se sont
crus
guéris et tous étaient soulagés. On a nié depuis
ce que l'on trouve établi. Mais, outre qu'il serait bien difficile de
croire
que le parlement d'Angleterre, toujours si pruden
ssibilité d'une méthode générale dialytique par la nécessité, où l'on
croyait
être, d'em-ployer, suivant le nombre et la nature
problème thérapeutique de la destruction des cal-culs urinaires, j'ai
cru
devoir contribuera répandre un nouveau mode de tr
'un auteur arabe Alsaharavius, on Azzahravi, que quelques chirurgiens
croient
n'être autre que Aboul-Cassem ou Albucasis, conna
gros calcul, une tige en flèche ; à l'aide de cette tige, à ce qu'il
croit
, il divise le calcul dont les fragmens tombent en
vent être extraits: c'est, à mon sens, une pure spéculation (a). » Ne
croirait
-on pas, dit M. Leroy, lire la description de la p
me il nous en arrive à tous, aurait eu l'idée de la lithotritie, sans
croire
pourtant à son succès possible. Pour voir réell
hétérisme rectiligne; dès-lors tout change. « Cette découverte que je
croyais
neuve, ainsi que M. Amussat, « dit M. Leroy (1),
ordonnet était souvent coupé par le foret, on y a renoncé. M. Tanchou
crut
mieux faire en réduisant les douze branches à dix
le calcul entre eux, en les promenant à droite et à gauche. Lorsqu'on
croit
avoir réussi, on repousse doucement la branche mo
cuteur et compresseur à volant. MM. Amussat, Charrière et Ségalas ont
cru
mieux faire en substituant un écrou ailé à la gou
On pourrait encore employer la sonde à double cou-rant, mais il est à
croire
qu'on ne serait pas plus heureux. i° Paralysie
uelle M. Civiale conseille de s'arrêter, nous paraît trop forte; nous
croyons
qu'en général il serait imprudent de soumettre à
teront plus tard. LITHOTRITIE CHEZ LA FEMME. S'il était permis de
croire
que la lithotritie aurait de grands succès, c'éta
trait, les malades éprouvent une sensation particulière qui leur fait
croire
qu'il existe encore, et cela d'autant mieux cpie
etrancher absolument ces malades du nombre de ses opérés ? Nous ne le
croyons
pas. Il est constant que, dans ces 97 cas, il y a
dignes de foi. Un certain nombre des malades que M. Heurteloup aurait
crus
guéris, se seraient pré-sentés dans divers hôpita
n connaît des résultats des grandes opérations en général ; mais nous
croyons
pourtant que, sur un grand nombre de malades opér
près un nouvel examen , n'ayant pu retrouver la pierre qu'ils avaient
cru
reconnaître antérieurement, ont dû renoncer à la
trumens que le petit. » D'après les témoignages les plus anciens , on
croit
qu'il aurait pris naissance dans l'ancienne ville
uemment la mort. Imbu de ces inconvéniens et de ces dangers, Maréchal
crut
pouvoir les éviter en prolongeant l'incision plus
'ar-rêta, après divers essais comparatifs, à la taille médiane, qu'il
crut
être nouvelle : voici comment il agissait. Le mal
ieures comme dans les pro-cédés précédons (PI. 62, fig. 1). Lorsqu'il
croyait
être arrivé à l'urètre, il cherchait avec le doig
der un peu vers les aines. D'autres, et c'était le plus grand nombre,
croyaient
qu'il fallait entendre que la concavité du croiss
gie dépendant de la division d'une de ses branches, nous n'a-vons pas
cru
devoir passer sous silence les moyens qui ont été
ranco ne dit point avoir incisé préalablement le périnée, comme on le
croit
généralement. Bien qu'il ait recommandé à ses con
Amussat et Bau-dens la rejettent complètement, tandis que M. Bégin la
croit
né-cessaire. Il existe encore une foule d'instr
anche. Elle comprend seule-ment le procédé de M. Baudens, car nous ne
croyons
pas devoir insister sur la modification de M. Dri
bienne un rang à part, dans la lithotomie. Pansement. On a toujours
cru
qu'un pansement était utile après la taille hypog
s règles du pansement ordinaire, et nous dirons ensuite ce qu'on doit
croire
de tous les moyens proposés pour s'opposer à la s
et qu'on attribue à cette mèche n'est pas aussi grand qu'on semble le
croire
, et sa présence n'est point indispensable. La cra
nière d'agir variaient pour chacun d'eux. Douglas, assez mal inspiré,
croit
que la suture des tégumens suffirait ; Rossi, mie
'urine, ce qui est pour le moins fort contestable, il ne faudrait pas
croire
que cette opération fût facile à pratiquer. Au co
. L'importance qu'on atta-chait à diriger les urines au dehors a fait
croire
qu'une canule laissée à demeure dans la poche uri
Il a été suivi par M. Cazenave (1827), puis par M. Amussat qui s'est
cru
d'abord l'inventeur de la canule et a voulu en gé
ns qu'on aurait pu raisonnablement lui attribuer. M. Souberbielle a
cru
mieux faire en plaçant dans la vessie, par l'urèt
s opérations, en ce qui touche la « vie ou la mort des malades, et de
croire
que, pour rendre la « taille périnéale moins péri
s pas à adopter les idées excentriques sans examen, nous persistons à
croire
, jusqu'à démonstration contraire, qu'on doit touj
nostic, des manœuvres, des méthodes et de leurs résultats, nous avons
cru
ne pas devoir séparer par la classification ce qu
on procédé peut s'appliquer chez les filles comme chez les femmes; il
croit
que par son moyen on pouvait éviter l'incontinenc
tion de la femme est la même que pour les autres tailles ; M. Velpeau
croit
que si la femme était placée sur le ventre, les c
bable, quoique déjà très heureux, que faut-il penser des autres ? Qui
croira
que la taille puisse ne causer la mort que chez 1
tous les caractères convenables d'authenticité. Sans doute nous ne
croyons
pas tous ces résultats exempts des erreurs plus o
n En voyant des résultats si désavantageux, on ne peut se refuser à
croire
qu'ils tiennent, comme nous l'avons dit ci-dessus
des chiffres; et cependant, pour ex-primer entièrement ma pensée, je
crois
peu aux grands succès annoncés sur la taille d'un
n aurait guéri 1547 sans un seul cas malheureux. De tout cela je n'en
crois
rien ; je ne crois pas non plus aux trop grands i
sans un seul cas malheureux. De tout cela je n'en crois rien ; je ne
crois
pas non plus aux trop grands insuccès d'un opérat
iale sur une masse d'opérations, ait été de 4 morts sur g opérés. Que
croyez
-vous donc, dira-t-on ? je crois ce qui me paraît
ait été de 4 morts sur g opérés. Que croyez-vous donc, dira-t-on ? je
crois
ce qui me paraît raison-nable. Je prends la moyen
ui ouvre une voie artificielle par la ponction de la « vessie. » Nous
croyons
cependant qu'il ne faudrait pas négliger de faire
t, les seins se tuméfient, et beaucoup de signes qui pourraient faire
croire
à une grossesse se manifestent ; mais si l'on exa
le le plus profond de la division, et cela une fois par semaine, j'ai
cru
que la fente se fermerait par degré de sa partie
r que si l'on n'a pas l'habitudede toucher l'utérus par le rectum, on
croirait
bien, quoi-que la matrice soit à l'état normal, q
. Il est très im-portant d'être prévenu de cette illusion pour ne pas
croire
à l'exis-tence d'une maladie lorsqu'il n'y en a p
e vivant n'a jusqu'à présent jamais été suivie de succès. M. Vel-peau
croit
que ces mauvais résultats peuvent tenir à ce qu'i
ération fut manquée. La se-conde opération n'a pas réussi. M. Vidal
croit
pouvoir inférer du seul succès de sa première opé
péritoine ; et /\° que la ci-catrice s'est assez maintenue pour faire
croire
que des dépôts cal-caires ne se feraient pas faci
iquer, parce qu'elle détruit la possibilité des rapports sexuels, ils
croient
encore qu'on ne doit jamais la tenter avant que l
s, c'est d'avoir publié trop tôt les observations de personnes qu'ils
croyaient
guéries, et chez lesquelles la guérison ne s'est
uivant M. Fricke, cette réunion ne doit être que temporaire, il est à
croire
que, après la destruction de la cicatrice, l'orga
re tentée qu'après la cessation des règles. Comme opération, on peut,
croire
qu'elle réussirait, mais il est aussi probable qu
vaient pas toujours s'échap-per par les trous dont le fond est percé,
crut
remédier à cet inconvénient en rendant la tige cr
porte {Traité des maladies des femmes] l'observation d'une dame qu'on
croyait
affectée d'un cancer utérin, et dont tous les acc
t se pré-senter dans le vagin sous forme de tumeurs qui peuvent faire
croire
à la présence d'un polype. M. Arnott en a rapport
ui lui donnait la plus grande analogie avec l'utérus, au point qu'ils
crurent
avoir enlevé ce viscère; cepen-dant , la malade é
ssu de l'u-térus, il s'efforçait, avec le doigt, de détruire ce qu'il
croyait
être ses adhérences à la partie postérieure du co
térisations méthodiques; mais, soit insouciance , soit qu'elles ne se
crussent
pas assez malades pour se soumettre au traitement
s qu'il existe de l'en-gorgement sur le corps de la matrice, l'auteur
croit
que cette opi-nion est trop exclusive; 5° enfin ,
entement, et permet aux ma-lades de vivre assez long-temps. Aussi, ne
croyons
-nous le chi-rurgien autorisé à agir que dans les
cèsariens; tandis que , par opposition, on nomma sjmphjsiens ceux qui
croyaient
au contraire que la symphyséo-tomie pouvait, dans
eter la proposition. Néan-moins, dans ces derniers temps, M. Imbert a
cru
devoir renou-veler ce procédé sous le nom direct
ar-tement spontané soit trop fort, et produise des accidens; d'autres
croient
plutôt nécessaire de tirer doucement sur les épin
re; mais, si les contractions de la matrice étaient insuffisantes, il
croyait
possible de dilater le col avec la main , et de r
cette ma-nière de faire n'a trouvé aucun partisan , et il est même à
croire
que son auteur l'a abandonnée. En effet, quoique
-rissent encore d'injustes préjugés contre l'opération césarienne, et
croient
que le morcellement de l'enfant est infiniment mo
our la mère, ce qui est une erreur très préjudiciable, ainsi que nous
croyons
l'avoir suffisamment démontré. FIN DU SEPTIEME
tialité que le public a droit d'attendre de nous. Toutefois , si nous
croyons
pouvoir nous poser comme historien consciencieux,
rcissement musculaire. M. Phillips nie positivement cette cause qu'il
croit
empruntée mal-à-propos de la théorie du pied-bot,
r l'opération du strabisme sont les plus rares, puisque, s'il faut en
croire
chaque auteur, sur ses propres œuvres, sur plusie
l ne le sait; et pourtant, suivant le témoignage même de Lecat qui ne
croyait
pas au succès définitif, l'œil se redressait; il
renseigné, serait-il donc le premier inventeur ? Quant à moi, je n'en
crois
rien. L'hono-rable classe des opérateurs ambulans
dente conformité de ce procédé avec celui de Dieffenbach, je n'ai pas
cru
néanmoins devoir le passer sous silence , tel qu'
faits, de la rapidité de l'opération , le malade étant assis, nous ne
croyons
pas qu'un homme du mérite de M. Sédillot tienne à
nt de la caroncule entre l'œil et la paroi interne de l'orbite, qu'il
croit
le résultat de l'in-cision verticale pratiquée au
ue, prononcer sur ces questions, et pour dire ici toute ma pensée, je
crois
cpie les faits sont encore trop nou-veaux, que le
teur les meilleurs résultats en plus grand nombre; mais, du reste, je
crois
que, d'une manière générale, le procédé le meille
avec soin dans la plaie pour saisir et couper la bride que l'on peut
croire
faire obstacle ; mais si l'on ne trouve rien et q
thalmie en dedans et en bas. En résumé, de tout ce qui précède nous
croyons
pouvoir in-férer, sous le rapport du diagnostic,
qui compte en ce moment près de quatorze cents opérés, ce chirurgien
croit
pouvoir établir les propositions suivantes : i° L
s éloigné, qui doivent nécessairement échapper au chirurgien, on peut
croire
que le chiffre des revers est bien supérieur à la
vant décider de la permanence et de la réalité des guérisons que l'on
croit
avoir obtenues. APPLICATIONS DE LA MYOTOMIE OCU
veuse qu'une maladie propre : c'est pourtant ce cas que M. Phillips a
cru
pouvoir guérir par la myotomie. Chez un enfant de
e de sa valeur parce que d'autres l'auraient eue déjà autrefois, nous
croyons
faire plaisir à M. Amussat en publiant une théori
e siècle aux acclamations de ses poètes et de ses philosophes a pu se
croire
à sa naissance hau-tement glorifié lorsque, pour
détails de sa méthode, s'ingénia pour en trouver une. Si l'on peut en
croire
M. Phillips qui s'est fait l'historien de celte é
acé l'historique des méthodes, c'est à un autre point de vue que nous
croyons
devoir en présenter la description. Chaque auteur
it à la langue, aux muscles du visage et même du cou, je devais aussi
croire
, qu'en interrompant l'innervation dans les organe
rendre la prononciation plus facile chez les bègues où l'on avait pu
croire
que la langue était trop longue ; mais il ne para
r s'est bien-tôt dissipée. » Après l'opération quelques malades ont
cru
sentir leur langue plus libre, et plusieurs prono
e la persistance des résultats obtenus. Si au con-traire, l'opérateur
croit
devoir continuer, il saisit de nouveau la langue
pération. L'opinion de M. Baudens, à ce sujet, est si complète, qu'il
croit
devoir renoncer à l'opération si une dernière ten
'une résistance vaincue annoncent que le muscle est coupé. Quand on
croit
la section complète, on fait passer d'un côté à l
xactement par les habitudes et les besoins des praticiens, nous avons
cru
devoir adopter un ordre différent. En premier lie
les cas particuliers. C'est déjà beaucoup plus que nous-même nous ne
croyons
absolument nécessaire d'en appren-dre pour une br
comme la cause du pied-bot varus, et MM. F. Martin et Cruveilhier ont
cru
en reconnaître de semblables. Dans cette théorie,
des arrêts de développement. « Si, dit M. Bouvier (1),nous devons en
croire
les embryologistes, les pieds sont dans une ex-te
lui-même, cette méthode soit censée avoir eu de bons résultats, nous
croyons
, jusqu'à plus ample informé, que le re-dressement
tentatives dans un grand nombre de cas. Malgré cette assertion, nous
croyons
pourtant qu'il faut ap-porter la plus grande rése
dernière, en particulier, offre de telles difficultés que nous ne la
croyons
pas justifiable, nous ne croyons devoir en-trer d
de telles difficultés que nous ne la croyons pas justifiable, nous ne
croyons
devoir en-trer dans aucun détail sur ces opératio
intermédiaires produisant une convexité en sens opposé. Si l'on en
croit
ce chirurgien, les tractions apparentes des muscl
bégaiement et la ténotomie dont nous avons déjà parlé. Toutefois nous
croyons
, à propos des ponctions, devoir consigner, dans u
t pas essentiellement, comme tous les chirurgiens et lui-même l'avait
cru
jusqu'alors, à la nature peu réactive du tissu te
ec le trocart et la pompe, comme il a été dit pour l'empyème. Nous ne
croyons
pas devoir insister sur le détail de l'opération
rgie à notre époque; aussi, avant de fermer notre ouvrage, avons-nous
cru
devoir y consigner cette théorie, aussi neuve que
ns qui n'ont guère, aujourd'hui, qu'un intérêt historique. Nous avons
cru
devoir les rééditer cependant, persuadé que l'his
bitude de suivre dans la pra-tique de mon enseignement, et dont je ne
crois
pas devoir me départir. Je trouverai là l'occas
ères aux recherches patientes d'anatomie délicale. Une faudrait pas
croire
, d'ailleurs, que les inconvénients du système n'a
er la limite qui sépare l'anatomie pathologique de la clinique1 !. Je
crois
savoir, de source certaine, que l'un des professe
, dont le concours bienveillant ne m'a jamais fait défaut. Mais je ne
crois
pas que, dans l'espèce, nos efforts doivent about
dans des détails minutieux, d'une exposition difficile. Toutefois, je
crois
pouvoir vous dire que, plus tard, vous ne regrett
étées. Avant de nous engager dans cette étude, il sera opportun, je
crois
, de considérer, en premier lieu, la disposition b
x dans la pathogénie de certaines dilatations bronchiques. Si l'on en
croit
les recherches de M. Trojanowski confirmées par q
oduction de ces corps étrangers est loin d'être infranchissable. Je
crois
utile, Messieurs, de vous faire remarquer en pas-
les plus divers, des causes les plus banales. J'en ai dit assez, je
crois
, pour justifier l'une des proposi-sitions que j'é
semblable. Après un examen de toutes les circonstances, j'incline à
croire
que la lésion épithéliale est la première en date
siologie patho-logique générale des épithéliums. II. Tout porte à
croire
aujourd'hui que les tissus épithéliaux jouissent
loyée par Roccas et plus anciennement par Sarcone ; c'est elle que je
crois
aussi devoir adopter ; 4° Mais si vous regardez a
ont guère multipliés; et Ton réunirait diffi-cilement aujourd'hui, je
crois
, en compulsant les divers re-cueils ou les traité
'autres fois, au contraire, elle est unie et parfaitement lisse. Nous
croyons
, avec M. le profes-seur Grisolle1, que les granul
e un point sur lequel nous devrons revenir: mais quant à présent nous
croyons
pouvoir indiquer parmi les caractères de l'indura
ie imitant le souffle caverneux et la pectoriloquie au point de faire
croire
à l'existence d'excavations superficielles ou vas
laquelle il était appendu par un mince pédicule. De lo-ut ceci nous
croyons
pouvoir conclure que les observa-tions d'Avenbrug
e était absolu, et il n'existait point de frémissement thoracique. On
crut
à un empyème, et la thoracocentèse fut pratiquée.
conserve des doutes sur sa nature tuberculeuse, et j'ai tout lieu de
croire
qu'elle est plutôt constituée par une exsudation
t d'autre altération qu'un très léger épaississement, et tout porte à
croire
que l'élimination de ces produits eût eu lieu tar
ns leur cavité. La malade a succombé à une pneumonie droite : peut-on
croire
que l'état du poumon gauche n'a plus permis, dans
t parcourir pour y arriver. Il est vrai qu'à une certaine époque on
crut
avoir démontré directement, par des expériences i
ind-fleisch, tout en les modifiant sur quelques points. M. Charcot ne
croit
pas à une localisation aussi étroite, aussi systé
ne s'était occupé que du mode de guérison des cavernes et il semblait
croire
que les désordres produits par les tubercules ne
le tubercule peut s'arrêter dans son évolution à l'état de tuber-cule
cru
, à l'époque où la mortification caséeuse n'a pas
les géantes, les cellules épithélioïdes, le réticulum, qui a pu faire
croire
à l'existence d'un vestige d'organisation lymphat
Résumé. Avant d'étudier la tuberculose dans le poumon, M. Charcot a
cru
nécessaire de présenter, en matière d'introductio
'histoire de la tuberculose chronique avec excavations, qu'on » ne le
croit
généralement. » III. L'exposé qui précède ren
us avancé du développement, matière jaune, opaque, friable (tubercule
cru
) qui, plus tard, se désagrège, à commencer par le
jaune, dans une phase plus avancée, elle répond au tubercule jaune ou
cru
, à l'infiltration jaune. En un mot, sous le nom d
e la Faculté. En se fondant sur ces études nouvelles, M. Charcot se
croit
autorisé à déclarer que « la phtisie pneu-monique
te en question, Quoi qu'il en soit des faits signalés jusqu'ici, nous
croyons
pouvoir tirer les conclusions suivantes : la mass
à la nôtre venaient à se multiplier. Voici cette observation : nous
croyons
devoir la reproduire dans tous ses détails. Obs
és les symptômes observés pendant la vie. Si, comme tout porte à le
croire
, la forme de paraplégie dont il s'agit, n'est pas
elevées et disposées par ordre chronologique dans un tableau que nous
croyons
utile de repro-duire à la fin de ce travail, n'en
rmittentes régnent d'une manière endémique. C'est pourquoi nous avons
cru
utile d'exposer, de coordonner les plus important
ans les diverses parties des systèmes artériel et veineux. Frerichs a
cru
remarquer cependant que, dans le système de la ve
, ou encore se succédant et s'entremêlant ; ces accidents, si l'on en
croit
la description donnée par Frerichs, éclatent pend
terminaison funeste ? S'il en est ainsi, et nous sommes disposés à le
croire
, on comprend qu'il serait important de pouvoir di
s cristaux octaédriques que nous avons décrits. Nous avons, en effet,
cru
aussi que ces der-niers cristaux étaient losangiq
s essayé d'autres réactions), et surtout leurs for-mes, permettent de
croire
qu'ils étaient très analogues, sinon semblables,
s tumeurs à contenu puriforme étaient pri-mitivement, tout porte à le
croire
, une concrétion polypiforme globuleuse pleine ; l
res tuberculeuses, voilà un ensemble de caractères assez tranchés, je
crois
, pour justifier la délimitation que nous avons ch
ans divers points du système vasculaire, pu donner le change et faire
croire
à l'existence du pus collecté. C'est ainsi, par e
ant de les discuter dans une communica-tion ultérieure. Toutefois, je
crois
devoir présenter ici les re-marques suivantes rel
bre supérieur droit de la malade, aurait pu donner le change et faire
croire
à l'existence d'une lésion cérébrale; l'autopsie
aiblesse du cœur, tel était le diagnostic complexe auquel nous avions
cru
devoir nous arrêter. Ces lésions multiples nous p
ct et le volume des globules blancs du sang (ce sont, tout porte à le
croire
, des globules blancs du sang altérés); 5° des cri
'attention qu'il mérite, en raison de son importance clinique ; aussi
croyons
-nous utile de faire connaî-tre une observation qu
autre, obturer plus ou moins complètement l'ouverture anormale. On a
cru
constamment, lorsqu'on auscultait le malade, que
, sous plusieurs rapports, avec les abcès dits métastatiques, nous ne
croyons
pas qu'ils aient été le pro-duit de l'infection p
sans que leur présence ait été révélée par quelque symptôme? Peut-on
croire
, d'un autre côté, qu'ils aient pu rester aussi lo
rémité des caillots veineux, et en aient déterminé la rupture. Aussi,
croyons
-nous qu'il conviendrait de recommander aux malade
admettons donc sans aucune difficulté l'existence de l'aortite, nous
croyons
toutefois pouvoir élever des doutes sur la fréque
reur; mais l'analyse micrographique n'a pas tardé à le détromper : il
croyait
avoir trouvé un alhérome, il s'agissait d'une col
ations énergiques, régulières et parfaitement isochrones au pouls. On
crut
à l'existence d'un anévrisme de l'aorte: mais la
et le souffle ané-vrismal doubles avaient échappé à Laënnec, qui les
croyait
toujours simples. Stokes a décrit le battement do
théories pour expliquer la production de ces deux bruits. Bellingham
croit
que le premier est dû au frottement du sang contr
utes d'un lieu élevé produisent souvent des ruptures de l'aorte. Nous
croyons
, avec M. Broca, que les anévrismes, en général, e
ebert condamne définitivement l'usage in-terne de ce médicament qu'il
croit
plus nuisible qu'utile; ce-pendant, quand il exis
s ont souvent prolongé de plu-sieurs jours la vie des malades. Nous
croyons
avoir démontré que si la médecine ne dispose pas
maladies des artères, le résultat de ses recherches ultérieures. On
croyait
, dans le principe, que le décollement de la tuni-
au point qu'il avait indiqué; et, conformément aux idées du temps, on
crut
qu'il s'agissait d'une sorte d'entozoaire du cœur
et opuscule ayant été souvent cité d'une manière inexacte, nous avons
cru
utile d'en donner ici une rapide analyse ; il nou
fort bien décrites par MM. Trousseau et Leblanc, n'autorisent point à
croire
que la formation de la poche soit postérieure à l
les arguments plau-sibles qu'il présente à l'appui de ses idées, nous
croyons
pou- voir dire que, jusqu'à présent, 1 étiologi
me, mais seulement sur certaines de ses branches principales, nous ne
croyons
pas devoir nous en occuper ici. Bibliographie.
articularités du fait qu'il nous a été donné d'observer chez l'homme,
croyons
-nous utile de rappeler sommairement en quoi consi
qui se trouvent relatés dans no-tre observation. De tout ceci, nous
croyons
pouvoir conclure que la claudi-cation intermitten
dans le détail des phénomènes observés en pareil cas chez l'homme, je
crois
qu'il est indispensable de vous dire ce qu'ils so
ittente par obli-tération artérielle du cheval une description que je
crois
de-voir reproduire aujourd'hui devant vous dans s
it, si vous le remettez au trot, il part sans boîterie et vous pouvez
croire
que tout est chez lui rede-venu normal. Mais bien
t, fort intéressant à divers points de vue et qui est bien propre, je
crois
, à montrer qu'il sera désormais possible d'éviter
s; elles ne contenaient pas de globules purulentes. Tout nous porte à
croire
qu'elles ont été le résultat d'hémorragies parenc
consistance comme crémeuse et d'une couleur jaune-verdâtre. On eut pu
croire
qu'il s'agis-sait de foyers purulents multiples,
a mort de ce malade étaient pour nous inexplicables. Nous penchions à
croire
qu'on pouvait comparer les affections loca-les qu
un autre côté, les détails de l'observation ne nous permettent pas de
croire
que l'inflammation, ou toute autre affection des
qui ont joui d'une certaine faveur, du moins en Allemagne ; nous les
croyons
peu connus en France : auss jugeons-nous utile d'
e de Bochdalek, la relation qui existe-rait entre l'artérite, qu'il a
cru
constater, et l'hémorragie qui s'effectue dans le
t en résumé, le travail du docteur Heschl. Nous le répé-tons, nous ne
croyons
pas que ce travail soit appelé à fixer défi-nitiv
uit glandulaire, 272 ; — développement autour des bronchioles, 273; —
cru
, 214; — réticulé ou cytogène, 289; — submiliair
s, sans glycosurie. Il est mis alors au régime du lait et des oeufs
crus
, puis on lui fait prendre des douches froides.
au- coup plus marqué que celui du côté gauche. Au premier abord, on
croirait
à une hémiplégie faciale du côté gauche. Il n'e
ire, d'autant moins que celle-ci affecte aussi le côté gauche. Nous
croyons
plutôt que les maux de dents aient provoqué, pa
rémités fussent tout à fait libres de contracture et de parésie, je
crois
que la diagnose d'hystérie est suffisamment jus
diatement, sans que les convulsions revinssent. Le médecin traitant
crut
que cette fièvre s'expliquait par une légère ro
ments de la journée, étaient tellement remarquables qu'on aurait pu
croire
quelque- fois que tout allait se terminer et qu
ecin traitant soignait en même temps des malades de diphtérie et il
crut
qu'il avait infecté celte malade. On soupçonna
ntôt cette idée de côlé. Les vomisse- ments ne cessaient pas, et on
crut
encore que la fièvre était symptomatique d'une
s par des arthralgies, de la céphalée occipitale, etc. Bressler (1)
croit
qu'on peut admettre l'existence d'une fièvre hyst
que dans l'urine confirma la non exis- tence de lésion rénale et je
crois
que dans des cas analogues d'anurie hys- (4) d.
rvations bien prises et nous partageons l'opinion de Massalongo qui
croit
qu'ils sont constants. Cependant dans les cas de
réel peuvent aussi s'observer chez les paralytiques généraux qu'on
croirait
souvent chagrins, alors qu'ils n'éprouvent rien d
e des femmes enceintes. Quant au mécanisme de ces déviations, Audry
croit
qu'elles dépendent de l'action vicieuse des mus
res et les spasmes peuvent augmenter énormément d'inten- sité. Nous
croyons
intéressant de reproduire ici la description d'Au
n de développer leurs facultés intellectuelles leur manque. Oulmont
croit
que les malades atteints d'athétose double cons
excilé, mais se montre de temps en temps émotif et pleurard. Nous
croyons
utile dedonner la liste suivante,'qui comprend l'
s de nos tracés, avec interruptions aussi peu fréquentes, mais nous
croyons
inutile de les reproduire ici. Les trois lignes
ableau primitif aujourd'hui égaré. Ils nous permettraient plutôt de
croire
qu'il doit y en avoir deux d'égarés au lieu d'un.
ent rapidement, « comme des éclairs ». Nous avons déjà accumulé, je
crois
, un nombre suffisant de symptômes : signe d'Arg
tât à peu près exclusivement par des arthropathies. Or, il importe,
croyez
-le 130 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
e vous entretenir M. Charcot et que vous avez ici sous les yeux, je
crois
utile de reprendre les choses d'un peu plus hau
son séaul. / Quelle est la cause de celle douleur' ? Tout porte il
croire
qu'il s'agit d'une /compression des nerfs inter
ce qui concerne la syringomyélie, à cette dernière opinion. « Nous
croyons
, dit-il, que la scoliose l'ail partie 148 NOUVE
e unilatérale des extenseurs du rachis. MM. Bourneville et Guérard.
croient
plutôt" un trouble de nutrition des os. Malad
sa ligne de repos, et pendant une dizaine dé secondes, on pourrait
croire
la décontraction achevée el l'étal de repos rétab
faradiques dans certaines condi- tions qui ont surtout comme effet,
croyons
-nous, de provoquer la fatigue ou l'épuisement m
peau, mais sont insuffisantes pour produire un mouve- ment. Marie
croit
que la symétrie peut être considérée comme un sig
ler de scoliose ? Ne s'agit-il pas là d'une de ces déviations de la
croie
épineuse qui sont indépendantes de toute déviat
fournissent pas les éléments d'une discussion de ce genre. Nous ne
croyons
pas que l'action vicieuse des muscles moteurs du
comme Kirmisson et comme la plupart des chirurgiens français, nous
croyons
que cette affection relève d'un trouble portant
et qui dure 5 mois ; le liquide extrait était purement séreux. A en
croire
le malade, c'est à la suite de cette pleurésie qu
adie fasse beau- coup incliner de ce côté ; si c'est, comme nous le
croyons
, une véritable maladie de Parkinson, l'attitude
d on voit marcher le malade, on aurait à première vue tendance à le
croire
atteint d'hémiplégie droite avec contracture... I
levées, mais plus toniques au pôle positif qu'au pôle négatif. Nous
croyons
inutile d'insister sur la des- (1) Les intensit
1. milliampères, et même avec des courants plus faibles, mais nous
croyons
inutile de les reproduire, la différence précéd
ment spéciale à cette affection. -Aussi, pour terminer cette étude,
croyons
-nous utile de résumer les caractères de la réacti
ons mécaniques, faradiques ou galvaniques, doivent être considérés,
croyons
-nous, comme des phénomènes d'un môme ordre. O
'appari tion des mouvements ondulatoires, d'autant plus facilement,
croyons
-nous, que les altérations musculaires, constitu
antile, névrotique, hystérique. Tel n'est point noire avis, el nous
croyons
que c'esl possible de prouver ÉTUDE CLINIQUE SU
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. exactement le début de la maladie. Nous
croyons
, avec Richardière, Massa- longo et Audry, qu'el
la mère forme un constraste frappant avec celle du fils. Elle aussi
croit
mais non d'enthousiasme ; connaissant les décepti
médecins, c'estlemor- ceau capital de l'oeuvre. Il aime son fils et
croit
en lui, déplus il a si grand désir de revoir le
orselli fit construire un appareil que nous avons toutes raisons de
croire
analogue à celui de cet auteur, par M. Luigi Cori
égarés, mais de quelques notes sauvées du naufrage, M. E. Morselli
croit
pouvoir tirer les déductions suivantes (1) :
rts une habitude, était la crainte de se voir un peu forte. Elle ne
croyait
pas que cet état d'extrême maigreur fut déplais
at et à cette fin elle mangeait très peu et prenait tout ce qu'elle
croyait
mauvais pour son estomac. Malgré ces tentatives
s les auteurs ont considéré l'athétose double comme très rare. Nous
croyons
, avec Massalongo, Osier et Audry, que cette affec
Oulmont considère la nature de l'athétose double comme inconnue et
croit
cependant qu'on peut la rapprocher de l'hémiathét
t insisté beaucoup sur les hémorrha- gies méningées. Seeligmuller
croit
que l'athétose double a probablement une origine
est l'expression symptomatique de la sclérose cérébrale. Massalongo
croit
à des altérations semblables il celles de la pa
assise il y a une certaine titubation de la tête qui pourrait faire
croire
à la maladie de Friedreich. ÉTUDE CLINIQUE SUR
es des yeux, doit, chez l'enfant, être reportée plus haut. Le cou
croit
dans les mêmes proportions que la tète. Le tron
être parfaite dans les deux ordres de faits; car, c'est une erreur de
croire
que dans l'hystérie tout est laissé au hasard.
e simulatrice et des maladies organiques de l'encéphale, nous avons
cru
qu'il n'était pas hors de propos de présenter q
se familiariser avec l'étude de l'hystérie. « Il ne faudrait pas
croire
pour cela, dit M. Raymond (1), que l'hysté- rie
abinski (2) n'admet ces propositions que pour la petite hystérie et
croit
la grande hystérie seulement « l'apanage .l'une
le est très peu riche en ce qui nous intéresse. Nous ne voulons pas
croire
pour cela que nos voisins d'Outre-Manche en soi
prêtent le plus à la controverse. Cette discussion peut se ramener,
croyons
-nous, à l'examen de deux chefs principaux : 10
un état mental particulier. C'est là pécher par excès et affecter,
croyons
-nous, une tendance dangereuse, contre laquelle
n'en est pas moins sérieuse, même chez l'enfant et on ne fera plus
croire
à personne qu'un enfant puisse simuler des mois o
exe que les hémiplégies totales ou les monoplégies, il est logique,
croyons
-nous, de lui consacrer un cha- pitre à part.
ions et qui doivent la faire découvrir, si on les recherche. Nous
croyons
inutile d'insister sur ces derniers qui se confon
droit qui est remonté et en légère adduction pourrait d'abord faire
croire
à un Fig. 44. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPH
stérie. Il nous reste maintenant il justifier ce diagnostic et nous
croyons
pou- voir pour cela résumer notre argumentation
rfs vaso-constricteurs au moyen des courants induits. On pourrait
croire
que la faradisation du grand sympathique au cou (
matiques, des résultats même plus satisfaisants encore, comme je le
crois
, parce que dans la névrite il n'y a que rarement
umogastrique. Mais les anastomoses des plexus thora- ciques me font
croire
que les poumons possèdent aussi des fibres vaso-c
ure des hémiplégiques est néanmoins, on le sait, per- manente. Je
crois
que toute contracture de l'hémiplégie cérébrale e
tions sont sous la dépendance des ganglions dugrand sympathique. Je
crois
que l'excitation est portée jusqu'à ces ganglions
s qu'elle peut engendrer la résorption du liquide extravasé (1). Je
crois
que la souplesse des membres des ataxiques est la
nous avions sous les yeux, des analogies frappantes que nous avons
cru
intéressant de mettre en lumière. On connaît la
comme un chef-d'oeuvre de la statuaire grecque et l'on est fondé à
croire
que ces 386 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
es principaux épisodes. Par le temps de rénovation où nous sommes, je
crois
la méthode fort recommandablc. 11 ne me paraît pa
beaucoup d'observateurs qui se sont occupés de la matière, nous avons
cru
mieux servir la science en cherchant surtout les
ur nouveau. Dans une quatrième partie, à propos du diagnostic, j'ai
cru
utile de grouper les raisons qui plaident en fave
urée pendant sept mois sans aucun accident, au point qu'on pouvait la
croire
complètement guérie, vit ses attaques reparaître,
Elle exerçait les fonctions d'infirmière dans l'hospice et se pouvait
croire
délivrée de sa maladie, quand le 28 mai 1878 elle
buse d'elle pendant la nuit; mais, en outre, vingt fois par jour elle
croit
avoir à se défendre contre des manœuvres indiscrè
es attaques. Mais voilà qu'un jour en arrivant à la Salpêtrière, elle
croit
reconnaître dans M. X..., Camille qui n'aurait si
et que les bras, étendus perpendiculairement au tronc, peuvent faire
croire
à l'attitude du crucifiement, qui est parfois une
difications dont est susceptible la première période de l'attaque, je
crois
qu'il ne sera pas superflu, pour servir de complé
s cloniques. Le tétanisme se reproduit ainsi parfois de façon à faire
croire
à plusieurs accès épileptoïdes se succédant ai' n
ccupation de son esprit. A voir le calme de son attitude, on pourrait
croire
que l'attaque est ter- Fig. 70. — Attitude pass
st venu au cours!... Je lui faisais des signes avec mon mou-choir. On
croyait
que c'était à M. X., un externe; je l'ai écrit. J
tres... Elles parlent de M. X..., de M. Z... Elles sont cachées... On
croit
que je ne reçois jamais de lettres... » Le pers
lit). Ah! ton affaire est réglée (40 h. 7). Ah!... le propre à rien,
crois
-tu qu'il a tué sa femme ? (Elle s'assied sur son
ue que se produisent les affirmations les plus audacieuses. La malade
croit
à la réalité de ses rêves et de ses hallucination
emps des attaques. Nous en avons un exemple frappant dans Gen..., qui
croit
à la réalité de son commerce avec Camille. Nous p
ures, à la suite d'un aura, elle sent son bras droit qui tourne, elle
croit
que c'est le début de son attaque, mais elle ne p
er à loisir pendant notre internat de 1878. Mais il ne faudrait pas
croire
que l'attaque convulsive de la grande hystérie av
e l'aura hysterica se développent spontanément, au point de lui faire
croire
à l'invasion des attaques; mais la crise s'en tie
ermine par le signe de la croix. « Et dire qu'il y a des gens qui n'y
croient
pas! » — Elle regarde en bas, cherche dans son li
uées. Allons, à bas la république puisque l'empereur est revenu. Je
croyais
qu'il était mort... » Tiens, il a l'air d'un fa
oûts des jeunes filles. Sur le conseil du médecin de la famille qui
croyait
à une affection grave du cerveau, on s'en alla pa
étruite; mais je la dirigeais contre les causes prédisposantes que je
crois
avoir assez détaillées au commencement de cette o
, et ne voit plus bientôt que fantômes, que spectres mena-çants. Je
crois
devoir rapprocher de cette particularité une obse
1830) : « 20 avril. Crise violente pendant la nuit, cauchemar; elle
croit
voir une multitude d'hommes devant son lit, puis
s souvenirs d'en-fance, ou bien elle se moquait de tout, fie semblait
croire
à rien. Les crises avaient lieu soit en présenc
d'un peu de délire pendant lequel la malade déraisonne légèrement, se
croit
ail-leurs que là où elle est, ne reconnaitpas les
sont tellement naturels, qu'ils semblent vous parler, on est tenté de
croire
qu'elle voit; une bougie allumée et approchée del
é-pond comme si vous étiez un membre de sa famille. Tel jour, elle se
croit
marquise, duchesse ou reine, donne des ordres en
la symptomatologie de l'hys-térie, tout signe épileptique. « Je ne
crois
pas, avec beaucoup d'auteurs, que l'attaque hysté
sur la voie de circonstances qu'il lui importe de connaître, et qu'on
croyait
avoir intérêt à lui cacher. » D'autres fois, c'
asse les dents, et bientôt l'écume s'écoule abondamment. » L'auteur
croit
, dans ces cas, à l'existence simultanée des deux
Il a généralement rapport, soit à des scènes auxquelles la malade se
croit
présente, ou aux-quelles elle se reporte, soit au
campagne, cou-vert d'un linceul ; saisie d'effroi et de terreur, elle
crut
voir un fantôme, et immé-diatement elle tomba en
oit le fantôme et tombe dans une espèce d'évanouissement tel qu'on la
croirait
plongée dans un sommeil paisible; puis, quelques
ues signes de tète, émet quelques sons inarticulés ((ui peuvent faire
croire
à la présence d'hal-lucinations. Malgré les appar
'Immaculée Conception, très répandue dans notre pays, et par-tout, je
crois
, car elle est classique. Je ne puis donner de son
ce ne sont pas de ces mouvements brusques qu'on s'attend avoir. Nous
croyons
que notre remarque n'est pas sans quelque importa
le se retourne; repos. « Ton garçon t'en fera des tours aussi... Tu
crois
que je n'ose pas te re-garder en face?... Tu ne v
je te dise tes vérités... Chaque jour que tu viens, tu pleures... Tu
crois
que j'irai chez toi?... Flûte!.., La police?... A
'est pas une mère infâme? c'est de la canaille... J'ai fini aussi par
croire
que mon père était lâche... Un an après... J'ai b
moi!... Veux-tu me le dire? Pignouf! Il faut que tu sois ignoble. Tu
crois
donc ce garçon plus que moi... Je te jure que ce
Il n'avait plus aucune connaissance réelle du monde extérieur; il se
croyait
là-bas, dans le café qu'il avait récemment fréque
me : de jour et de nuit il se lève, se pro-mène dans sa chambre et se
croit
dans un monde idéal, tantôt il est au lycée et il
upées par des sanglots, hallucinations de la vue et de Vouie; elle se
croit
entourée de personnes de sa connaissance auxquell
nt guérie K Obs. IV. — Mademoiselle S..., âgée de quarante-six ans,
croit
que tous les malheurs qui arrivent dans le monde
uis quelques jours, elle manifeste la crainte d'être assassinée. Elle
croit
avoir entendu un coup de pistolet tiré dessous so
a présence chez toutes d'une même névrose, la grande hystérie. C'est,
croyons
-nous, dans ce défaut de méthode, qu'il faut cherc
agit que de discerner ce qui peut être vrai de ce qui est faux. Je ne
crois
pas qu'il soit bon pour la science de nier ou de
u-part des observateurs qui se sont occupés de la matière, nous avons
cru
mieux servir la science en cherchant surtout les
'il a jugé le contraire de se mettre à la portée... C'est ainsi qu'il
croit
sans cesse, avec les générosités à lui pré-sentes
e constatation plus délicate, d'une appréciation plus difficile. Nous
croyons
qu'il ne faut les admettre qu'avec la plus grande
un certain temps, elle répond qu'elle ne pense qu'à prier, qu'elle se
croit
dans une cérémonie religieuse ; la tête penchée e
d'une attaque. Nous la considérions comme inévitable; cependant nous
crûmes
bien faire en l'hypnotisant, ce qui n'offrit aucu
au récit de voyage à faire, ajoutait-il ; mais par malheur on ne nous
croira
pas. » Ce qui l'empêchait de douter, c'est qu'il
ois delà laisser dans le lit. Pendant 28 heures, aucun changement; on
croyait
sentir déjà un peu l'odeur de la putréfaction ; l
cée qu'auparavant; au contraire. quel fut mon ctonnement lorsque je
crus
apercevoir un faible mouvement de respiration! Je
ze heures; voilà l'image exacte de la situation. De prime abord, je
croyais
à un état cataleptique; mais si l'on prend un des
ires; l'action au lieu de s'épuiser augmentait. Il est difficile de
croire
à la réalité de ces phénomènes bizarres quand on
indispensable pour la compréhension du plus grand nombre des faits de
croire
à une identité de nature entre la catalepsie et l
it. Après être revenue, elle eut des rêveries extraordinaires; elle
crut
être poursuivie par des voleurs, des bêtes féroce
ixes, ne parlant point, étant sans mouvement et sans sentiment, on la
crut
morte. Elle ne revint qu'à cinq heures du soir qu
ut et s'en tiendra éter-nellement à la dernière. M. Attalin dit qu'il
croit
qu'elle se fut tenue la tête en bas et les pieds
us avons pu, chez nos hystériques, provoquer arti-ficiellement. Aussi
croyons
-nous que nos recherches expérimen-tales sont dest
age; ses enfants étaient toujours bien là devant elle; un moment elle
crut
les saisir, ses mains se fermèrent contractées; e
prendre connaissance très rapidement en arrêtant le délire. La malade
croit
alo3*s avoir dormi et veut dormir encore; elle de
n a beau rap-peler à la malade ses actes et ses paroles, elle ne peut
croire
ce qu'on lu dit et en demeure très affectée.....
r des rêves pénibles, des cauchemars, vue de vo-leurs, etc.. Elle a
cru
pendant longtemps que quelqu'un lui tirait la rob
u'elle repousse alors énergiquement toute ofTre de l'endormir. Elle a
cru
pendant longtemps que l'occlusion des yeux était
souffrance et elle se met à pleurer). Sa mère lui fait peur, elle la
croit
prête à se jeter sur elle, craint qu'elle n'ait c
e pendant deux ans sous l'influence d'une frayeur persévérante : elle
croit
toujours voir sa nour-rice en délire au chevet de
et s'efforce avec la main droite de lui faire avaler le grain; il se
croit
à la Halle et interpelle une foule de personnes.
» M... parle volontiers des hallucinations qu'il a éprouvées, mais il
croit
encore pendant quelques jours à la réalité de que
xcès de boisson. Il devient inquiet; à l'atelier il vit à l'écart, se
croit
en butte aux quolibets et aux raiHeries de ses ca
ant, est incoliérent, n'a pas conscience du lieu où, il se trouve, se
croit
dans la rue, chez lui, dans son magasin ; il croi
, il se trouve, se croit dans la rue, chez lui, dans son magasin ; il
croit
voir sa femme et ses en-fants, leur parle, les en
esures, car un spectacle vraiment diabolique s'offrit à mes yeux : Je
crus
voir le portrait de mon frère, qui était au-dessu
urs incohérents, en gesticulant, criant comme tous les masques que je
croyais
voir, je me dirigeai vers la porte d'une chambre
fluence du hachisch; elles pai'aîtraient trop bizarres pour qu'on les
croie
sincères; les personnes présentes doutaient parfo
x et la trépidation spinale, E. Brissaud, jusqu'à plus ample informé,
croit
devoir rejeter la division des auteurs, et à la c
'erreur est presque entièrement ignorée. Il ne comprend pas qu'on ait
cru
si facilement à l'action des aimants et des sol
iu les iiuras. Plus tard on en vit parmi eux assurer qu'ils s'étaient
crus
plongés dans un ruisseau de sang et que c'était p
avoir inoculé l'hystérie et la nymphomanie à ses compagnes. Gertrude
croyait
partager sa couche avec un incube; bien qu'elle e
le compte du démon. Les religieuses tourmentées ne tardaient pas à se
croire
effectivement pos-sédées de l'esprit malin, et ce
ter quelque lumière sur la nature des accidents morbides qui ont fait
croire
à la possession. Ici, comme ailleurs, c'est la
présenta à elle et lui parla comme s'il eut été Atha-« nase. Elle le
crut
aussi et par ce moyen elle manifesta la fausseté
ux procès-verbaux, la plupart écrits de la main de Laubardemont, pour
croire
à la réahté de pareds actes. Tout ce que l'imag
discours, en tirèrent des yeux de la plupart des assis-tants, qui ne
croyaient
pas que ce fut le diable qui parlât ainsi par rus
ue quand môme ces fdles ne seraient pas effectivement possédées,elles
croiraient
l'être sur votre parole, tant à cause de leur mél
oignage, l'exorciste ne put s'empêcher de dire à M. du Lude : « Je ne
crois
pas, monsieur, que vous doutiez maintenant de la
ses, les louant d'une façon et les blâmant de l'autre. Une fois, elle
croyait
parler à sa mère-maîtresse, l'étant allée trouver
ais donné mauvais exemple? Il ap-porta d'autres raisons qui me firent
croire
le contraire de cette illusion diabolique, puis i
ent la stupéfaction des contemporains de la possession. On ne pouvait
croire
, sans faire intervenir une influence diabolique,
d'autre chose, ils ne lui trouvèrent ni émotion telle qu'ils auraient
cru
devoir être, ni autre disposition conforme à la v
s du chœur avec telle force et telle violence que probablement on eût
cru
qu'elle l'eût eue toute cassée, mais il se trouva
renforcement! L'on m'aura beaucoiqi persuadé je vous assure, quand je
croirai
que les hommes sensés et judicieux feront passer
ui fomente les hérésies, qui donne du mépris de la religion, qui fais
croire
à ces huguenots qu'ils ont raison, qui sème les s
sa sanctification et pour l'in-struction des peuples; et quoique fon
croie
que les diables ne disent jamais que mensonges, i
i et qui, cachés dans diffé-rents endroits du couvent, entretenaient,
croyait
-on, la possession. Mais les diables n'étaient pas
unition que nous avons été envoyés ici; je lui répli-quai que je n'en
croyais
rien, parce que je n'étais pas capable de confess
pas que, quand bien même ces tilles ne seraient pas possédées, elles
croiraient
l'être sur votre parole. » Malgré cette sage et
S... rouge! » (EUesappellent rouges ceux â la piété desquels elles ne
croient
pas); quelques-unes ajoutent des jurements. » S
y rapportant tout ce qu'elles disent. Ainsi, c'est souvent : « Ah! tu
crois
, b... d'incrédule, que nous sommes des folles, qu
lgie, etc., auxquels se joignirent des convulsions qui bientôt firent
croire
a la possibilité d'une obsession diaboli-que. On
douleurs affreuses et des mouvements si violents que les assistants
crurent
que je tombais du haut mal..... (Elle est tombée,
res de Saint-Médard, et tooibe dans ues attaques convulsives qui font
croire
à ses familiers qu'elle s'élève en Pair tout d'un
Dieu qui la bril-lait.... » Pendant la nuit du 3 au 4 octobre, l'on
crut
que la veuve Thévenet allait expirer. Pendant prè
devinrent plus intenses, qu'elle perdit l'usage de la parole et qu'on
crut
qu'elle avait cessé d'exister. En revenant à la c
bles qui ont pu se glisser dans la prestation de certains secours, je
crois
devoir commencer par rendre compte des règles de
ns à poings fermés et par des hommes? On ne veut pas certainement les
croire
ca-pables de s'en promettre les mauvais et honteu
e du début était parfois remplacée par des secousses (jerks) que l'on
croit
avoir commencé dans l'est du Tennessee. » Penda
des visions et seraient fort désappointées de n'en point avoir. Elles
croiraient
que l'oeuvre divine n'est pas complète et prierai
en une extase plus ou moins involontaire, pendant laquelle le malade
croit
voir ou entendre des choses divines, surnaturelle
milés au somnambulisme ou sommeil magnétique, sans qu'aucun d'eux ait
cru
pouvoir déclarer positivement que lesdits paroxys
e de noblesse et de dignité pathé-tique. » Cependant il ne faut pas
croire
que ses contemplations et ses exercices de piété
à chaque pas l'application dans nos leçons ultérieures. Comme je ne
crois
guère à l'efficacité des généralités privées de l
gé-néral, sous le nom de circonvolutions. Pendant longtemps, on a pu
croire
que ces circonvolutions étaient disposées pour ai
se au fond d'un sillon de séparation. Pour établir un contraste, je
crois
utile de vous tracer la description d'une coupe d
allons décrire tout à l'heuro sous le nom de lobe carré. a) Mais je
crois
nécessaire, pour plus de clarté, de reven'r sur u
al, enregistrée tout récemment par M. Soit-mann(l). Cet auteur, et je
crois
queM. le professeur Rouget (de Montpellier) a, de
istorique de la question est exposé dans tous ses détails (2). J'ai
cru
utile d'insister sur cette chronologie, afin de b
ot. Œuvres Complètes, t. iv, Localisations, 5 B. Il ne faudrait pas
croire
, Messieurs, que toutes les obli-térations de ce g
e mode de distribution artérielle. Je clos cette digression qui, je
crois
, n'aura pas été inoppor-tune et j'en reviens à l'
ments dans lesquels je suis entré au su-jet de l'artère sylvienne, je
crois
devoir être bref dans l'ex-posé de la subdivision
rents noyaux ; j'y reviendrai quand l'occasion se présentera. Mais je
crois
indispensable maintenant d'entrer dans quelques d
'analyse peut pénétrer dans cet ensemble complexe. 11 ne faudrait pas
croire
, toutefois, que nous soyons en mesure aujourd'h
plus. Il serait superflu, je pense, d'insister plus longuement ; je
crois
avoir suffisamment mis en relief que, dans le dia
gi-ques, l'expérimentation s'est, ici, corrigée elle-même. Elle avait
cru
en effet, autrefois, reconnaître que le centre de
ormelle avec les données généralement répandues. En effet, si l'on en
croit
la théorie mise en avant dès 1860 par Alb. de Gra
, et inversement pour le cas d'une lésion de l'hémisphère droit. Je
crois
devoir prolester contre ce que cette théorie offr
conséquence d'une lésion en foyer du cerveau ; mais je suis disposé à
croire
que dans les cas de ce genre — si réellement il e
participation plus ou moins directe des bandelettes op-ijqiies. Je ne
crois
pas qu'il existe quant à présent une seule observ
et, Cruveilhier, Henle (1) et tout récemment encore M. Gudden (2) ont
cru
pouvoir lui prêter l'appui de preuves ana-tomique
que répéter ici ce que je disais tout à l'heure, à ce propos : Je ne
crois
pas qu'il existe, quant à présent, une seule obse
'écorce grise des hémisphères cé-rébraux. A priori, rien ne porte à
croire
que les nerfs optiques échappent à cette loi. D
nt. J'incline toutefois, en l'absence d'autopsies contradic-toires, à
croire
que, dans la majorité des faits d'hémiopie qui on
du faisceau latéral, jusque dans le renfle-ment lombaire. ni. Je
crois
opportun d'entrer actuellement dans quelques dé-v
beaucoup plus étendue dans le sens transversal, et qu'il y a lieu de
croire
, d'après cela, qu'en outre des fibres cérébro-spi
ncipes n'a pas encore fourni tout ce qu'elle promet; toutefois, je ne
crois
pas errer en déclarant qu'elle a contribué, pour
e cette pulpe nerveuse et qu'on lui imprime quelques oscillations, on
croirait
tenir une masse gélatineuse, de la colle de pâte.
M. Leyden en a vu également au moins un, bien qu'il n'ait pas, je le
crois
du moins, relevé le rapportentre l'altération des
thologique, 1876, p. 664, Eclairé par les faits antérieurs, j'avais
cru
pouvoir annoncer que cette atrophie musculaire in
ins cas exceptionnels, et peut-être cependant moins rares qu'on ne le
croit
d'habitude, sous l'influence de conditions incon-
rêt moindre et nous nous y arrêterons également. Mais, auparavant, je
crois
utile de vous tracer un exposé d'en- semble des
sont-elles passées inaperçues? Quelles que soient les hypothèses, je
crois
qu'il sera nécessaire de reviser, sous ce rapport
oncernent tout spécialement ce sujet; mais, il importe maintenant, je
crois
, d'envisager la question non plus par-tiellement)
ifié à cet égard les anciens enseignements qui remontent à Galien. On
croyait
à la transmission absolument directe. On sait auj
que laisse indécise. Telles sont les notions préliminaires que j'ai
cru
devoir vous présenter relativement au fonctionnem
e peut, pénétrer la raison des choses. Nous ne pouvons mieux agir, je
crois
, qu'en l'imitant; représentous-nous donc l'état d
ré de parésie, accidents relativement bénins mais qui, tout porte aie
croire
, ont précédé l'apparition de la contracture. Le t
ras est dans la pronation, d) tantôt il est dans la supination. Je ne
crois
pas qu'il existe, pour le membre supérieur, d'aut
donc le côté sain qui semble paralysé, et, au premier abord, on peut
croire
à une paralysie alterne. 4° Je vous ai présenté
t qu'il leur attribue dans le fait de la contracture elle-même est je
crois
, exagérée, et il faut considérer comme exceptionn
uis longtemps aux prises avec les difficultés de l'enseignement, j'ai
cru
reconnaître que la théorie proposée pour rendre c
reconnaître toutes les imperfections. Si j'y insiste, c'est que je la
crois
vraiment supérieure à toutes celles qui, antérieu
s le cas observé dans mon service et étudié par Michaud, tout porte à
croire
qu'il s'était agi d'une régénération véritable.
les plus récentes, j e vous rappellerai que Eichorst et Naunyn ayant
cru
observer cette régénération chez les chiens, Schi
rapport, l'enseignement traditionnel qui remonte jus-qu'à Galien. On
croyait
que la transmission des incitations volontaires p
mots, présenter une esquisse de l'état morbide que M. Erb et moi nous
croyons
de- voir, jusqu'à plus ample informé, considére
encore d'exis-tence qu'en clinique et que si, en réalité, comme je le
crois
, il s'agit bien là d'une espèce morbide, celle-ci
l'appui de cette théorie, on a publié quelques observations où l'on a
cru
reconnaître les caractères assignés par M. Erb et
us va-riables. J'ai examiné ces observations avec grand soin, etje ne
crois
pas qu'aucune d'elles possède réellement la signi
ère, et auxquelles le médecin doit s'intéresser particulière-ment. Je
crois
donc nécessaire de les rappeler à votre atten-tio
intégrante de la maladie, bien qu'elle se développe, tout porte à le
croire
, secondairement. Il s'agit donc là d'une lésion s
ments combinés, comme on dit en Allemagne. C'est cette forme que j'ai
cru
devoir étudier avec détails plusieurs fois déjà d
culaire. Avant 1840, sur la foi des travaux de Valen-tin, Burdach, on
croyait
que les extrémités périphériques des nerfs muscul
que M. Charcot, en inaugurant ses leçons cliniques de cette année, a
cru
devoir présenter un exemple, en quel-que sorte id
ence flasques, si bien qu'à les consi-dérer isolément, on pourrait se
croire
en présence d'un cas d'atrophie musculaire progre
e de M. Ley-den justifie les développements par lesquels M. Charcot a
cru
devoir réfuter les critiques du professeur de Ber
en lui-même. Or, pour ce qui est des réflexes tendineux, M. Leyden ne
croit
pas que, dans aucune de ses observations, l'absen
nt ce fait idéal, l'évidence sera acquise » (A. Fournier). Non pas,
croyons
-nous ; celle observation idéale prouvera simple
els cal- caires, sont susceptibles d'amélioration ; Lannelongue (3)
croit
que le manque d'action est dû à ce que les lési
la syphilis tardive ; mais elle est beaucoup plus rare qu'on ne le
croit
; nous n'avons pu trouver un seul exemplaire de «
fractures spontanées tabétiques, en signale un cas personnel, qu'il
croit
t unique dans la science. Depuis le travail de
s. Mais peut-on invoquer aussi une pathogénie thyroïdienne ? Nous
croyons
pouvoir répondre par l'affirmative. Voici les fai
ir augmenté, l'utérus est palpable au-dessus du pubis. La malade se
croit
enceinte (1). La sensibilité objective dans tou
emier abord, en songeant au début de l'affection, on serait porté à
croire
qu'il s'agit d'une lésion post-traumatique. En
t établie avec une topographie tout à fait différente, mais nous ne
croyons
pas que l'on puisse rejeter le diagnostic de la
nerait naissance au syndrome labio-glosso-laryngé. M. Dejerine ne
croit
pas absolument qu'il soit permis d'admettre cette
hique qui se termine par une paralysie labio-glosso- laryngée. Je
crois
que l'on puisse se rallier à l'opinion de M. Deje
e mérite d'être un peu discuté. Bien que à première vue l'on puisse
croire
que l'étiologie de cette forme morbide soit en
un nerf vocal. CI. Bernard en poussant plus loin ses études, avait
cru
pouvoir démontrer que les nerfs vocaux restrict
ousser trop loin la localisation motrice des muscles laryngiens, je
crois
qu'il est permis dans mon cas d'attribuer, contra
oire inférieure recommençait à se baisser d'une façon normale. Je
crois
que l'on peut expliquer cette anomalie de la faço
de ressembler à des fous, se distinguaient, au contraire, si l'on en
croit
l'histoire, par la vivacité de leur esprit, l'à
galement repro- duit dans son ouvrage. (Pl. XIV). On a tout lieu de
croire
que Michel- Ange s'est inspiré de la nature pou
dicale relative à l'achondroplasie jusqu'à cette date. Nous avous
cru
utile de donner une description complète de ce no
. SUR UN NOUVEAU CAS D'ACHONDKOPLASIE CHEZ L'ADULTE 147 % Nous ne
croyons
pas qu'il soit légitime d'accepter aujourd'hui ce
tiennent, soit de façou plus explicite encore, semblent supposer ou
croire
que la fonction intellectuelle est, 154 LEFÈVRE
rance générale, a pris d'abord conscience de son activité propre, a
cru
trouver une explication satisfaisante de la nat
t une locomotive par je ne sais plus quel voyageur, M. G. Lebon, je
crois
. Le spiritisme qui a été et est encore pour la pl
Si à une phase déterminée de l'évolution de la matière vivante, on
croit
découvrir en elle une activité personnelle, vol
t-à- dire au seuil d'une fonction nouvelle, la conscience que je ne
crois
pas encore devoir leur attribuer, d'accord en c
ux ar- j bres, font l'admiration de parents aveugles et aimants qui
croient
y découvrir de l'intelligence et de la volonté.
on siège dans le cerveau. En m'appuyant sur ce qui précède, je me
crois
autorisé, dans le but d'acqué- rir une connaiss
ergie ambiante. C'est encore une grosse erreur de la psychologie de
croire
à l'intervention d'une volonté dans la plupart
pensant, l'homme obtient des effets qu'il désire et d'autres qu'il
croit
n'avoir pas voulu, parce qu'il ignore le pouvoi
n- sable de leur fuite et ce serait une erreur tout aussi grande de
croire
qu'elles sont libres de s'arrêter quand elles l
éduire, les enchanter, les fasciner .[Contrai- rement à ce que l'on
croit
et écrit, l'homme est un être fort peu raisonnabl
ite, en annihi- lant les réflexes naturels. Et, ici non plus, je ne
crois
pas à la nécessité d'un raisonnement conscient
irmer l'impuissance de la nature à condition- ner des pensées et de
croire
au spiritualisme qui n'explique rien et n'est q
ir ici comme une excitation centrifuge sur les nerfs moteurs. On ne
crut
pas, dans ce cas, à une participation centrale.
t montré qu'en réalité le centre même du langage articulé, que l'on
croyait
bien délimité, était, en tant que centre, très
ie vénérienne ; il est très affirmatif à cet égard, et tout porte à
croire
que réelle- ment notre malade n'ait jamais eu a
èrement encore, ont paru sur l'ostéite déformante de Paget, nous ne
croyons
pas qu'il soit difficile de classer notre cas e
ITE DÉFORMANTE DE PAGET 265 porales chez notre malade, on aurait pu
croire
qu'elles étaient le siège d'un processus athéro
tériosclérose avec hypotension. Dans notre observation, on pourrait
croire
que les troubles cardio-vasculaires sont consécut
aumatisme n'est pas exclu absolument ; mais ce serait une erreur de
croire
que l'origine de la contracture est seulement t
origine de la contracture est seulement t le traumatisme. Nichols
croit
aussi que le trouble nerveux ou trophique se trou
es et des hallucinations de l'ouïe, de l'odorat et du goût. Elle se
croyait
ruinée, demandait à chaque instant ce que deviend
mps son malade, à intervalles réguliers. , De ce long chapitre nous
croyons
cependant pouvoir conclure que, devant une cram
re cet aspect du problème des névrites dites périphériques. Aussi
croyons
-nous, qu'il ne sera pas inutile de relater le cas
extraordinaire des cy- lindraxes aux agents d'irritation, il faut,
croyons
-nous, admettre que toutes les névrites sont acc
risés par la néoformation de prolongements nerveux atypiques. Aussi
croyons
-nous qu'en cas de périném ite ou de névrite inter
sein des îlots scléreux dans la sclérose en plaques. Tout porte à
croire
que les cylindraxes ne restent pas indifférents à
'un cas dont nous n'avons eu sous les yeux qu'un des épisodes, nous
croyons
pouvoir affirmer que les lésions interstitielles
conservation des filets sen- sitifs. Sommes-nous en droit de nous
croire
en présence d'une véritable névrite périphériqu
e, lésion à laquelle sont dues les altérations névritiques ? Nous
croyons
qu'il n'en est pas ainsi. A notre sens, les phéno
mogastrique ou les cellules de la corne d'Ammon ? En résumé, nous
croyons
avoir montré que la polynévrite gravidique dans
nderaient des observations nouvelles et une étude approfondie. Nous
croyons
aussi qu'il y a plusieurs points importants où
ux en septembre 1907 et deux, en janvier 1909. En tout cas, nous ne
croyons
pas que ces cas de poliomyélite nous per- mette
en général, pris soin de faire des recherches de cette nature. Nous
croyons
, quant à nous, que celle recherche constitue un m
ENBERG certainement légitime, mais au point de vue pratique nous ne
croyons
pas qu'elle ait une grande valeur. D'un autre c
pour les cas de poliomyélite aiguë et pour les autres cas, et nous
croyons
que la comparaison entre ces chiffres confirme
ore. Elle marche assez bien, même pendant 10 kilomètres, si on l'en
croit
. La malade dit qu'il est apparu en même temps p
l s'agit d'une contraction du transverse de l'abdomen, mais nous ne
croyons
pas qu'on puisse éliminer avec certitude une co
paralysie de la vessie et il a été cathétérisé une semaine. Le malade
croit
qu'il n'y a pas eu de parésie du tronc plus pro
; il avait encore mal à la tête et aussi de la fièvre. Un médecin a
cru
qu'il avait une grippe. Le 1 octobre se sont dé
douleurs de cette nature se rapportent toujours à une névrite. Nous
croyons
, d'accord avec Wickman, que ces douleurs peuvent
décise (Harbitz et Scheel). Pour ce diagnostic différentiel, nous
croyons
que les résultats de l'exa- men cytologique du
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 417 l - ple, et nous ne
croyons
pas que ce diagnostic puisse causer de difficulté
s cas où il a des difficultés pour ce diagnostic différentiel, nous
croyons
, d'après notre expérience et celle des autres au-
un ou des deux membres supérieurs, il y a de très bonnes raisons de
croire
que toute la moelle dor- sale, située entre les
les 426 PETRÉN ET EHRENBERG du dos. Quant au pronostic du cas, je
crois
qu'il faut encore espérer une restauration (com
ur la force conservée dans les muscles du tronc. Par conséquent, je
crois
que l'examen par cette méthode constitue proba-
ont été développées par les auteurs que nous venons de citer. Nous
croyons
inutile de les reprendre à nouveau. Il nous suffi
trophie avec l'acromégalie sont encore loin d'être résolus, et nous
croyons
en conséquence que le lecteur ne trouvera pas s
'il a pour qu'on ne le sépare pas une seuleminutedeson chapelet. Il
croit
que tout le bien qui lui advient dans sa vie misé
t d'un ami mort, et à ce sujet il reconnaît que personne ne peut le
croire
, mais il en parle très sé- rieusement comme d'u
de cela avec plaisir mais sans vantardise comme un enfant, et il ne
croit
pas pour cela être un personnage extraordinaire.
rencontré un homme aussi grand que lui, mais il ne se refuse pas à
croire
qu'un tel homme existe. En résumé Mario Palaz
ucun symptôme somati- que ; en outre nous avons bien déraisons pour
croire
qu'il n'a jamais eu de contacts sexuels et même
er admet l'existence d'un pseudo-tabes acromégalique. Cagnetto, qui
croit
à l'origine endogénique de l'acromégalie, pense q
à une infection syphilitique contractée- dans la jeunesse, nous ne
croyons
pas cette hypothèse probable. Nous croyons au c
s la jeunesse, nous ne croyons pas cette hypothèse probable. Nous
croyons
au contraire que tout le syndrome nerveux que nou
ement clinique 468 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI nous porte à
croire
comme beaucoup plus probable la syphilis hérédita
Ces naevi à topographie radiculo-métamérique sont plus fré- quents,
croyons
-nous, que les naevi à topographie spino-métamériq
rapport avec le naevus à topographie radiculaire. En résumé nous
croyons
avoir montré que sous le nom de naevus on étudi
lesinger, tout en admettant deux maladies au point de vue clinique,
croit
que le type anatomo-pathologique est le même dans
la paralysie pro- gressive. Quant à l'origine de la maladie, nous
croyons
qu'il faut surtout incriminer le refroidissemen
e autre forme de polyarthrite, à l'arthrite déformante ? Nous ne le
croyons
pas. La caractéristique de l'ar- thrite déforma
térations osseuses sont la cause de la spondylose rhizomélique. Ils
croient
que ces lésions os- seuses sont le résultat d'u
me intermé- diaire à celle de Bechterew et à celle de Marie et nous
croyons
que ces dernières représentent les points extrê
érentes à la lésion spinale dont notre malade est atteint et que je
crois
utile de rapporter succinc- tement. Subjectiv
ide. Il convient ici de noùs arrêter un instant sur un fait, que je
crois
en rapport direct avec les déformations osseuse
pparu à la suite de cette cause ; à cause de cette concomitance, je
crois
pouvoir exclure, dans notre cas, un pro- cessus
bres supérieurs ceux-là ayant probablement celle origine. - Je ne
crois
pas, non plus, devoir discuter l'association éven
es nombreuses affinités que ces formes présentent entre elles. Je
crois
utile de rappeler en dernier lieu ce fait : à sav
ssimiler ces malades à des singes anthropomorphes. D'autre part, je
crois
qu'il me sera facile d'éliminer les autres dis-
ans, et épargnent toujours les membres supérieurs et le crâne. Je
crois
avoir suffisamment discuté le diagnostic différen
mées parles autres per- sonnes de la famille, de sorte que je ne me
crus
pas autorisé d'en tenir compte dans l'anamnèse.
ister les altérations de la moelle épinière. C'est pour cela que je
crois
qu'en l'état actuel des choses, un jugement abs
a trouvé une cyanose très considérable et un pouls arythmique. On le
croit
mourant, mais, après avoir employé des stimulan
lontaires des mus- cles atteints par la paralysie spasmodique. Nous
croyons
que cette dernière supposition correspond à la
arésies bulbaires dans ces deux derniers cas de poliomyélite, je ne
crois
pas, néanmoins, que les paralysies de la respi-
'attaques qu'il regarde comme un symptôme bulbaire, avec raison, je
crois
. En général, les auteurs n'ont peut-être pas as
essé soudainement quelques heures après la ponction lombaire (Je ne
crois
pas que la ponction ait exercé d'influeuce spécia
moteurs de la vessie n'ont pas été aussi passagers qu'on semble le
croire
en général (dans les cas XI et XXIII la cathété
ention de me prononcer sur le pronostic de la maladie qu'on pouvait
croire
assez étudié. Mais en regardant les résultats o
rd avec l'opinion souvent soutenue pendant ces dernières années, je
crois
qu'on doit réitérer la ponction lombaire si l'on
e uniciste. Avant de passer aux conclusions de nos recherches, nous
croyons
utile de nous arrêter un instant à considérer l
lé largement discutée dans de nombreux mémoires récents, et nous ne
croyons
pas devoir exposer ici à nouveau des faits conn
hommes et des femmes du meilleur monde qui étaient tatoués. Mais je
crois
à leur petit nombre. Mes observations ont porté
t l'horloge divine où je compte le temps. Nous sommes en hiver : je
crois
que le printemps Ce soir est revenu. J'ai faim
deux lésions absolument indépen- dantes l'une de l'autre. Nous ne
croyons
pas devoir insister ici sur les lésions anatomiqu
vail sur un cas de gigantisme précoce avec polysarcie excessive, se
croient
autorisés de parler d'une obésité hypophysaire et
t qu'entre les deux maladies il y a un rapport causal. Quelques-uns
croient
à ce propos que le foyer de cicatrice médullair
xpérience des dernières années a apporté des raisons définitives de
croire
qu'il y a un grand nombre de cas de poliomyélite
rare, ce fait ne peut donner, d'après mon opinion, aucune raison de
croire
à l'analogie ou même à l'identité des deux maladi
ne poliomyélile) comme des signes d'une poliencéphalite (ce qui, je
crois
, correspond bien au sens en général donné au mo
ue ces symptômes ne sont pas dus à la polynévrite. Pour ma part, je
crois
bien qu'une polynévrite très grave peut aussi cau
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 673 anesthésie, et je
crois
en effet que c'est le cas assez souvent. D'autre
on se rend compte de ces différences entre les deux maladies, je ne
crois
pas que le diagnostic fasse souvent de difficulté
au bras d'abcès froids, ainsi que d'un abcès à l'anus. Ou pourrait
croire
que le raccourcissement de l'humérus droit est
ontanéité qui serait indépendante de tout élément matériel. Si l'on
croit
lui découvrir une activité agissant d'elle-même
n'auraient été créées, si des penseurs nés avant la science n'avaient
cru
apercevoir des différences de nature dans la sé
isonnablement, nous ne pouvons jamais les défendre parce que nous y
croyons
les plantes croiraient de même à ce qu'on aurait
ne pouvons jamais les défendre parce que nous y croyons les plantes
croiraient
de même à ce qu'on aurait dépo- sé dans leur ce
pour effet de restauier les forces de l'organisme qui s'épuise, je
crois
que ce n'est pas trop s'avancer que de dire qu'au
en plus nombreux entre les règnes organique et inorganique que l'on
croyait
autrefois séparés par un abîme infranchissable. O
royait autrefois séparés par un abîme infranchissable. On peut donc
croire
que la matière animée a pris naissance au sein de
ire qne le limon dont il est pétri est de qualité secondaire ? Je
crois
donc que je suis autorisé à conclure que si l'hom
ure à leur pensée ou, au moins, qu'ils réfléchissent ceux-là qui se
croient
libres. Tout phénomène scienti- fique est déter
nt à se demander très sin- cèrement : Si, cependant, fout ce que je
crois
n'était qu'erreur, illusion ou suggestion ; n'e
ambier antérieur, le biceps fémoral n'ont pas paru altérés'. Nous
croyons
nécessaire de donner quelques détails sur la te
ophie de la partie intramédullaire des racines postérieures. Nous
croyons
pouvoir chercher l'explication de ce fait dans
ion lombaire, mais quelquefois aussi dans la région cervicale, nous
croyons
plus plausible d'en chercher la raison dans la
cornes antérieures. En nous basant sur ce qui précède, nous nous
croyons
autorisé à conclure que l'élongation du nerf sc
cornée postérieure droite B, atrophiée marquée du cordon postérieur
croit
A. Les éléments nerveux sont remplacés par du t
ce qui cause plusieurs fois de graves erreurs diagnostiques et fait
croire
à une paraplégie de nature hystérique, quand l'
, malgré cela, ils sont presque guéris de leur trouble visuel. Nous
croyons
inu- tile de répéter la même chose pour les aut
rvation de Wilson publiée dans le « Médical Times » en 1876. Nous
croyons
nécessaire de donner ici la traduction du résum
ion dans la marche à des circonstances spéciales, de sorte que nous
croyons
que le cas de Wilson ne peut pas servir comme d
rmes et apoplectiformes se sont complètement passés, de sorte qu'on
croyait
le malade comme parfaitement rétabli, la famille
cisive à ce point de vue. Ces guérisons ne peuvent être expliquées,
croyons
-nous, que par la régénération des nerfs, nous a
on du cylindre de myéline autour des cylindres axiles dénudés. Nous
croyons
très difficile d'admettre la reproduction de to
guérison de notre malade se démentait plus tard, chose que nous ne
croyons
pas, nous nous empresserons de le publier. REVU
souvent à son mari que « si on la voyait dans cet état, on pourrait
croire
qu'elle avait le plus méchant des'époux ». D. B
mais tout aussitôt elle recommence. A de certaines périodes elle se
croit
obligée de res- ter debout pendant des heures e
nifestait chez notre malade un autre pi ocessus pathologique que je
crois
être aujourd'hui disparu, mais qui n'en a pas m
qui défilaient, etc. Elle eut même des idées de persécution ; elle
crut
, à une époque, qu'on voulait l'empoisonner et,
torture d'être enter- rés vivants. Dans ces temps derniers, elle a
cru
que le monde allait être englouti par un nouvea
éril prochain que le mot seul peut conjurer. M. LEGRAND du SAULLE
croit
que les phénomènes désignés par M. Magnan sous
endymite du plancher du qua- trième ventricule. - M. BERNHAHDT ne
croit
pas à la fréquence de la coïncidence de crises
s sens, et passe en revue les causes les plus susceptibles de faire
croire
aux prétendues facultés pro phétiques des somna
latérales de la moelle (paralysie spinale de Brown-Séquard) scra,
croyons
-nous, fort goûtée, grâce aux schémas qu'on y renc
u mot. 1 (il¡ r ? ruor,ocm. nerveuse. Ces observations suffisent,
croyons
-nous, à mettre en saillie ce syndrome bizarre q
oute la hauteur de la moelle dorsale. Quoi qu'il en soit, c'est là,
croyons
-nous, un procédé qui n'est pas à dédaigner pour
s aussi satisfaisants que la recherche des corps granuleux. Aussi
croyons
-nous être en droit de récuser, jusqu'à 1 Nous n
auteur comme appartenant à la sclérose latérale amyotrophique, nous
croyons
et nous partageons en cela l'avis de Kahler 2,
es phénomènes spasmodiques, c'est ce der- nier caractère qui a fait
croire
à l'auteur qu'il était en présence d'une affect
it doit être relevé, c'est que contrairement à ce que l'on pourrait
croire
, le début bulbaire n'est nulle- ment l'indice d
elle génération l'abâtardissement est très prononcé et tout porte à
croire
que la famille s'est éteinte en elle. Sur quatr
l science, 1862, t. VIII, p. 429.) Parents excentriques, que l'on
croyait
consanguins. Onze enfants. Un frère disparu : o
e l'on croyait consanguins. Onze enfants. Un frère disparu : on l'a
cru
noyé. Une soeur imbécile est encore vivante. De
ses amis. A peine en a-t-il quelquefois entre- tenu sa mère et nous
croyons
être les premiers et les seuls confi- dents de
ec une extrême bonne grâce à toutes les explorations que nous avons
cru
utile de faire. NOCE SUR UN CAS DE GRANDE HYS
temps qui s'est écoulé depuis que la paralysie l'a frappé. Il se
croit
à Saint-Urbain, veut retourner à la culture, ne s
sse les épaules quand on lui demande s'il a été paralysé, et semble
croire
qu'on se moque de lui. Il se souvient de Bonnev
t à parler, comme c'est sa coutume quand il est en sommation. Il se
croit
toujours alors à Saint-Urbain, cause de ses tra
stérique, avec hallucinations de la vue, délire partiel, etc. Il se
croit
enchaîné au lit par la volonté de Charcot et de
Il s'étonne que ses vêtements ne soient pas au pied de son lit; il
croit
que l'on vient l de les lui cacher par plaisant
il croit que l'on vient l de les lui cacher par plaisanterie. Il se
croit
au 26 janvier (jour d'apparition de sa contract
t dans l'état où il était du mois de janvier au mois d'avril. Il se
croyait
au 17 avril. Il parlait l impersonnellement, co
maladie sont des contre-indications de la tuberculose. Aussi nous
croyons
avoir été témoins d'un cas très net de congestion
bain. Il avait seize ans et demi; on était au mois d'avril 1879; il
croyait
, en nous causant, s'adresser à ses compagnons d
a par la suite une série d'accidents comateux et paralytiques qu'on
crut
devoir rap- porter à une méningo-encéphalite ai
vec leur phénomènes concomitant et consécutif varient plus qu'on ne
croit
chez un individu donné. Quant à l'état de la pu
e et mette en vigueur des lois nécessaires. Mais, préalablement, il
croit
utile de convo- quer un congrès de tous les psy
semble quelagrossesseaitdéterminélaguérison, il est plus logique de
croire
, que ce sont les conditions sociales du bien-êt
our la tenue des gardiens, au volume des trousseaux de clefs; on se
croirait
plutôt, selon lui, en des établissements pénite
uand; il le j désirait. Faible d'esprit et croyant au sortilège, il
crut
toujours que ses crises épileptiques lui étaien
y : . ,. i , ? 1\1 : Rm ne peut donner aucune date précise, mais il
croit
la fracture ancienne... ),,< l , '1 r ? /' ,
fprcer les ma- lades à beaucpup manger ? En ce qui le concerne, il
croit
p.lulOt devoir rqqll1rnil ! l< ! H une certi
te. Il rappelle encoi;ele,(cas| d'Is,rael (castration apparente) et
croit
ne .devoir attribuer,au,traitement gynécologiqu
braux pour la vision n'est pas aussi grande que quelques auteurs le
croient
. En se trouvant en contradiction avec les donné
tions défectueux que d'une méthode d'observation peu rigoureuse. Il
croit
que les lésions expérimentales du cerveau produ
ins infligés pendant plusieurs siècles à des infortunés que l'on ne
croyait
pas alors pouvoir considérer comme des malades.
s malades. Une vive opposition se manifesta, et Coulhon, président,
crut
devoir se transporter le lendemain à Bicêtre. «
pour convaincre ses auditeurs et à la manière dont on l'écoute, il
croit
avoir cause gagnée, lorsqu'une voix l'interrompt
la question et celle de Morgan et Drcschfeld1. C'est pourquoi je
crois
nécessaire de l'expliquer un peu. On voit du ta
oupçons », il a formulé une grande vérité, mais son tort a été de
croire
que ces garçons ou ces filles à développement p
cte des données de la clinique. Est-il donc vrai, ainsi que je le
crois
, qu'un certain nombre d'incendiaires à mobile f
ni trouble intellectuel, ni perversion instinctive. On aurait pu se
croire
en présence d'un homme raisonnable, innocent de
tion primaire complète et il avait été longtemps facteur. Mais je
crois
que ce que beaucoup ont pris chez Berger pour d
ne qui ne sont pas pour cela des imbéciles irresponsables, il avait
cru
, sans doute à tort, que le notaire de'la commun
s'il s'est trompé en incendiant deux fois sa propre maison qu'il ne
croyait
plus à lui, c'est bien sciemment qu'il a voulu
lui couper le cou; il est agité, bruyant, agressif. Plus tard il se
croit
amputé des parties génitales et, dans cette con
a maladie. Cela peut se déduire d'une façon rationnelle, comme nous
croyons
l'avoir montré, des expériences déjà faites sur
isparition de tous ses enne- mis, qui ne duraient que peu. Car elle
croyait
toujours les re- connaître dans les deux person
de la thérapeutique et que le pronostic semble devenir funeste, je
crois
que l'on est autorisé àuser de tous les moyens
ner dans ces cas l'existence d'une intoxication alcoolique, nous ne
croyons
pas que l'éthy- lisme fût en jeu dans les deux
souvent ne présentent pas de troubles gastriques. Tout porte donc à
croire
qu'il peut exister un vertige de nature diabéti
ckinson et les con- clusions exagérées et erronées que cet auteur a
cru
pouvoir tirer de ses recherches au sujet de la
ssis dans les extrémités gauches, et surtout dans le bras. L'auteur
croit
que l'attaque d'apoplexie a passé inaperçue, ou
l'angoisse précordiale, à laquelle ont succédé ces accès. M. Anjel
croit
qu'il s'agit d'équivalents psychiques de l'épil
et trente ans que les femmes ont le cerveau le plus lourd. Le poids
croit
avec la taille. Une étude particulière des cerv
la nature et la cause de leur mal, bizarres sur la pathogénie; ils
croient
, par exemples, que leur sperme circule avec leu
us les lieux où il se. trouve, les personnes qui l'entourent; il se
croit
à Bicêtre, salle Cabanis, nu il ; il a vu hier
guerre du Tonkin. Il se rappelle qu'avant d'entrer à Bicêtre où il
croit
être, il a fait un séjour à Sainte-Anne. Tout son
'application d'un aimant sur l'avant-bras droit. Ici le malade se
croit
transporté à Saint-Georges (asile de Bourg) en
ne sait rien des personnages et des évé- nements de l'époque où il
croit
se trouver. La prononciation est nette, mais le
tre, salle Cabanis ». V... obéit; au sortir du somnambulisme, il se
croit
à Bicêtre, au 2 janvier 1884. L'intelligence,
a déconsidération sur les méthodes et les éludes envisagées ici; il
croit
que les maladies de la volonté ne sont assujett
ntant aucune altération de la moelle épinière. M. Tuczek tendrait à
croire
qu'il y aurait lieu de formuler le diagnostic d
eau des cauchemars. Le voisinage d'une paralytique générale lui fit
croire
qu'elle allait devenir folle. Il lui semblait l
l'ennui de trouver sa fille malade, la vue de cette enfant qu'elle
croit
morte,.le retour de son mari blessé, etc. A ce
dit-elle, n'écoute pas ses détracteurs. Toujours aux écoutes, elle
croit
que les clients qui entrent dans le magasin par
e écurie, elle en- tend un cocher lui dire ; « Vieille grue. » Elle
croit
, dès lors, s'aper- cevoir que son mari entretie
és de son maître, pour surveiller les piqueurs; mais Augustine n'en
croit
rien. Elle vaaussi dans uncafe dont il est l'ha-
naissent bien. « Récemment, raconte-t-elle, une pauvre malade, qui
croit
être 111 ? de Freycinet, s'avançait sur moi en co
une sorte de rêvasserie particulière à laquelle cependant le malade
croit
comme à une réalité. L'humeur varie, mais l'ens
des lésions viscérales. Quant aux tissus sous-cutanés, l'auteur ne
croit
pas à leur sensibi- lité, ce qui permet de fair
lté de la question réside dans le nombre colossal des bouilleurs de
cru
qui, ayant le privilège de pouvoir distiller le
re de la guerre de Berlin et y avoir fait du scandale. Il finit par
croire
qu'il est contreminé dans ses projets par des enn
temps latent, le poison agit' de nouveau. Il est nécessaire, je le
crois
, de faire cette hypothèse, car toute lésion pro
RAPHIE MÉDICALE. Le doyen des aliénistes français est actuellement,
croyons
-nous, M. le Dr Calmeil, notre vénéré maître, an
heureux de voir se perfectionner les instruments d'op- tique, qu'il
croyait
appelés à rendre de grands services à la. science
'asile d'incurables et qui ont reçu des dénominations permettant de
croire
que leur séjour convient à des curables et que
là ne se voient qu'en Serbie. On finira cependant, nous aimons à le
croire
, par leur construire une habitation dans l'asil
la facilité des admissions et avec notre ami le D'' Napias, nous
croyons
que la substitution du mot hôpital aurait non seu
Allevard et Aix. On me dit alors que j'étais anémique, ce que je ne
crus
pas, tant je me sentais vigoureux et surtout bo
après, je sentais les premiers symptômes de paresse des jambes. Je
crus
à du rhumatisme, et cela se passa. En mars 1885
ures à neuf heures par nuit, j'ai unhon appétit et très soutenu. Je
crois
que ma diges- tion se fait assez bien, surtout
ne émotion minime, le même phénomène à l'état d'ébauche. Enfin à en
croire
le malade, cette prédisposition spéciale à la f
rattacher ce symp- tôme à la neurasthénie ? Nous serions porté à le
croire
, étant donné ses rapports de coïncidence avec d
témoignent nettement de la défiance du sujet et du mal auquel il se
croit
en butte, en un mot du délire d'inquisition (l3
tiologiques, névrites périphériques, embolies, artérites, etc. ; il
croit
à une auto-intoxication. A. Marie. IV. RETOUR D
la percus- sion de l'épine dorsale et la forme de la paralysie, se
croit
autorisé à considérer son cas comme une pachymé
la bouche et par le nez des voix dont la netteté était telle qu'il
croyait
, par instants, avoir proféré des injures. Les v
e ordinairement dans le foie et dans les reins ; ce qui per- met de
croire
à des troubles profonds de la nutrition et de ! '
paralysie générale, et aussi l'hypotoxicité dé l'urine; mais il ne
croit
pas à l'efficacité de la saignée, comme moyen c
rines hypotoxiques pendant l'état de mal et hypertoxiques après. Il
croit
, à une intoxication du sang. Ce qui confirmerait
r- wirrtheit- amentia délire hallucinatoire de Mendel) ? M. Jolly
croit
que dans les phénomènes aigus, il y en a une form
prétendent devoir l'enlever du groupe de la paranoïa, tandis que je
crois
, conformément aux arguments de Jolly, qu'il s'a
dire : Je ne suis pas fou, a-t-il répondu tranquil- lement et je ne
crois
pas avoir jamais fait le fou. » A la seule ques
Soc. Biol., juin 1891. 168 PATHOLOGIE NERVEUSE. Enfin, ne peut-on
croire
dans certains cas à l'intervention de microorga
es psychiques les plus graves de la dégénérescence héréditaire ; il
croit
que chez presque tous les dégénérés il existe à
tion a été volontaire, comme dans le suicide par pendaison, il ne
croit
pas que l'amnésie ait été signalée ». C'est pour
ances, il opposa les dénéga- tions les plus absolues, se refusant à
croire
aux détails qu'on lui donnait de l'accident, al
qu'à prendre Dieu à témoin de sa sincérité. Finalement, j'arrivai à
croire
qu'il disait vrai et qu'il avait en effet perdu l
ubmersion diffère donc à ce sujet de la pendaison, car s'il faut en
croire
l'ar- ticle publié dans la Revue scientifique s
dans la submersion. Quant à la pathogénie de l'amnésie, M. Régis
croit
que les diver- ses opinions émises par les aute
se. 214 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Cette malade qu'on aurait pu
croire
atteinte de paralysie générale au début, a radi
cins, sont souvent mal compris par les magistrats qui ont cependant
cru
nécessaire de leur demander un avis. M. Garnier
n se sait et se déclare incompétente, tandis que la magistrature se
croit
et se déclare compétente. Là est le grand écuei
voudra, mais qu'on les mette quelque part. M. MARANDON DE Montyel
croit
que le meilleur moyen de calmer l'animosité de
rait coupable d'une séquestration arbitraire, que, pour ma part, je
crois
impossible serait responsable devant son minist
opinion publique. On sait combien elle est facile à émouvoir. Je ne
crois
pas que l'autorité morale de la magistrature ai
rès des aliénés qui, par définition, ne peuvent presque tous que se
croire
victimes de séquestration arbi- traire. M. A.
le, nécessaire au combat pour l'existence. Discussion. M. Dittuar
croit
qu'il est, au point de vue pratique, très diffi
francs par an dans le but de protéger l'industrie des bouilleurs de
crus
suisses. La quantité minima d'alcool vendue par
du monopole a été la suppression d'un grand nombre de bouilleurs de
cru
qui étaient les facteurs les plus actifs de l'i
venant du pari mutuel eu faveur des oeuvres de bienfaisance n'a pas
cru
devoir accueillir favorablement ladite demande
épartir les fonds dont il s'agit a examiné cette demande et n'a pas
cru
devoir l'accueillir favorablement. asiles d'ali
accès comitiaux débutent parfois plus tôt qu'on ne le pense et nous
croyons
que dans bon nombre de cas, les convulsions ess
16, elle s'aperçut que la jambe droite était parétique aussi. Elle
croit
que la sensibilité était intacte. Au bout d'envir
a température. Aucun autre trouble morbide. Si au début on avait pu
croire
à une altération cérébelleuse, aujourd'hui il e
. Rien ne permet de conclure à l'existence d'un abcès, tout porte à
croire
qu'une tumeur est sous roche. La papille étrang
bcès. Le malade guérit complètement et sans réci- ' dive. L'orateur
croit
que l'hyperostose crânienne, en diminuantla ''
Elle n'avait auparavant rien fait, ni rien manifesté, qui pût faire
croire
à une tentative de suicide ou de, mutilation. C
qu'en buvant. Dimanche dernier, dans un accès de délire, Raulier
crut
qu'il avait perdu la vie et alla s'étendre au f
iner le pronostic et la thérapeutique des idées fixes il faudra, je
crois
, préciser davan- tage. Sans chercher à classer
un exemple, car les cas d'hémianopsie nasale sont rares; mais je ne
crois
pas qu'une hémianopsie nasale donne au malade,
l, s'agit donc d'un fait, assez, bizarre, et ^encore peu-décrit, je
crois
? d'une hémi-dz)olopte mono ' cula'i'îe7li ^ 3M
te du-champ visuel de 1'oe'il) gauche,ne sommes-nous pas disposés à
croire
quefcette hémia-I. nopsie est de même nature, e
ce temps produit le bruit du soufflet entre les dénis serrées. On
croit
qu'ils vont enfin parler ! puis ils font un mouve
tatiques tandis qu'ici on se sert surtout des courants continus. Je
crois
cependant par ce que j'ai vu autrefois pendant
ccompagnée chez cette malade d'aucune manifestation choréique et-je
crois
qu'il y a lieu de citer ce cas à l'appui de la
tismale dans l'acception rigoureuse du mot. » . On ne doit pas, je
crois
, considérer, avec* Roger la chorée comme une si
ée à des hydro- pisies ventriculaires. Au point de vu-- clinique je
crois
qu'on peut faire le diagnostic de l'étiologie.
de l'hôpital Saint- Louis entendit heurter la porte violemment. II
crut
à quelque mauvaise plaisanterie et n'y prit gar
présence d'un fou ; mais, étant donnée cette constatation, peut-on
croire
entièrement la déposition de Laborie ? Des dépê
lissement est bon ou mauvais. Il y aurait donc un grand intérêt, je
crois
, à établir ' Bourneville. Rapport sur la constr
bâtiments qu'ils creusent d'un grand trou. Il serait difficile, je
crois
, de trouver une disposition rappelant davantage
nsable de laisser aux malades la vue de la campagne. Cer- tains ont
cru
trouver la solution de ces difficultés dans une
défectueuses. L'escalier sera en bois, chêne ciré, ou en pierre, je
crois
que dans le choix de l'un ou de l'autre, il con
plus d'inconvénient à en mettre dans l'intérieur même. Néanmoins je
crois
un dor- toir unique beaucoup plus facile à surv
s imitations de quatre sous, d'un long usage et très jolies, que je
crois
utile d'insister comme je le fais. Quand on met
ne table de nuit pour aliéné est plus difficile à résoudre qu'on ne
croit
. Je me suis arrêté à la suivante que je me gard
t mérité, qui est cause des nombreuses défectuosités que nous avons
cru
de notre devoir de signaler afin qu'on les évit
angue et si on ne connaissait pas la toxicité urinaire, on pourrait
croire
que tout est terminé, mais il n'en est rien; en
vagants. C'est ainsi qu'il veut voler dans l'espace, et qu'il se
croit
souvent en état d'accomplir des travaux gigantesq
Ces malades sont entreprenants, optimistes au suprême degré, et se
croient
capables d'accom- plir les plus grands travaux,
nt beau- coup. Ils ont des idées de grandeur et de richesse. Ils se
croient
être Dieu, Jésus, Mahomet, etc. Dans d'autres c
ent son délire. Ces faits ne sont pas aussi rares qu'on pourrait le
croire
. Là aussi l'hérédité et la prédisposition jouen
, l'estomac, la respiration ou le système nerveux cen- tral. M. Ram
croit
pouvoir établir que la scopolanine agit bien dans
d'obtenir un mouvement même après une minute d'électrisation. Je
crois
intéressant de rapprocher de cette publication un
ongueur de l'étincelle, on voit que l'in- tensité de la contraction
croit
beaucoup plus vite que la longueur de l'étincel
asthénopie ; 110 L'auteur estime qu'on aurait grand tort de laisser
croire
aux médecins, et, par leur intermédiaire, aux g
ispensable de lire en entier ce long travail. II sou- lèvera, je le
crois
bien, de violentes critiques, d'autant plus qu'il
les goûters de babas secs et ses verres de bière au gingembre. Nous
croyons
que beaucoup doivent avoir souvenir de sa bonté
l y a ajouté un Index-Medicus de valeur grande et durable. Ses amis
croyaient
que les mains du Dr Tuke étaient rassasiées qua
fait remarquer que près de la moitié provenait de l'Etranger. Aussi
croyons
-nous devoir faire un nouvel appel aux médecins
s préparatoires, dont l'envoi va très prochainement commencer. Nous
croyons
pouvoir dès main- tenant annoncer que les Compa
Charcot, après examen attentif, ne peut être mis en doute ? Nous
croyons
avoir établi que les observations pré- citées o
ormation peut-elle disparaître complète- ment ? Il y a tout lieu de
croire
que, dans certains cas au moins, ce mode de ter
lle éprouve dans les genoux une sensation particulière qui lui fait
croire
que les membres sont agités de secousses alors
nte ? - R. C'est un mensonge, personne ne m'a rien réclamé; je dois
croire
que per- sonne n'a besoin de moi. D. Cependan
s, l'amour ne fait pas d'enfants; ça fait coucher ensemble, mais je
crois
que ça se fait par l'opération du Saint-Esprit,
c'est que cela. - R. (Très vite.) C'est les pyramides d'Egypte, je
crois
C'est des palmiers peut-être. Je ne sais pas On
'est une note de musique qui invite les gens à se lever et à ne pas
croire
quand ils ne sont plus. D. Prenez-la donc. - R.
il y serait mort tranquillement, si les juges de Tarascon n'avaient
cru
de leur devoir d'interroger encore une fois le
ais A. Paré a bien soin de spécifier que la femme était morte on le
croyait
tout au moins d'une 1( suffocation de matrice »
le feu aux parties les plus sensibles; elle ne s'éveilla pas. On la
crut
morte et on l'aban- donna; le lendemain on la t
au point de vue clinique de I ces diverses appellations, mais nous
croyons
qu'il serait oiseux aujourd'hui de s'attarder à
davérique, et, bien que les traits soient sans expression, on ne se
croirait
pas en présence d'une femme qui, depuis quatre an
nheilk., 1886.) Un monsieur parfaitement bien portant à tous égards
croit
en sortant dans la rue, à la suite d'une tensio
hez d'autres elles se traduisent par des impulsions. M. Ballet ne
croit
pas qu'un trouble sensoriel puisse de toute piè
s, ajoute M. Bail. Pour être un véritable halluciné, il faut encore
croire
en ses hallucinations. M. Ballet ne pense pas
clusivement à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 131 moelle lombaire, l'auteur
croit
que l'inflammation s'est propagée des articulat
phiques d'après lesquelles la pression et la tension artérielle dé-
croit
dans le bain, la fréquence du pouls augmentant. S
re ; 142 SÉNAT. si on ne les détermine pas dans la loi, on pourra
croire
qu'il ne pourra pas remplir ces fonctions-là. I
roit ; il en sera, en réalité, la che- ville ouvrière. C'est là, je
crois
, une innovation extrêmement utile, et je suis c
igatoire, et sur la réquisition de la famille ou des intéressés. Je
crois
en effet que telle est la véritable situation, da
te un aliéné aussi bien que dans les établissements de santé. Je ne
crois
pas que la commission veuille pousser l'assimil
nt être pressantes. La pensée de la commission est respectée, et je
crois
que M. Paris accepterait cette rédaction, si l'
nspection générale, il faudra créer cinq postes d'inspecteurs. Nous
croyons
, avec la commission sénatoriale, que la visite fa
outes les questions qui se rattachent à la liberté individuelle, Je
crois
avoir répondu aux objections de l'honorable M.
1 M. de Gavardie. En tout cas. si vous admettiez le principe, je
crois
qu'il faudrait s'arrêter aux deux premiers paragr
4 ? 111, de Gavardie. Seulement, pour la question de principe, je
crois
que c'est un rouage absolument inutile ! 1 111.
nement. Comment ! le Gouvernement accepterait, - car je ne puis pas
croire
qu'il l'ac- cepte définitivement encore, - le G
la commission l'a modifié et que le Gouvernement l'a accepté, je
crois
que vous rendrez service au Ministre de l'intérie
la nouvelle LOI sur les aliénés. En reproduisant ces débats, nous
croyons
être agréable à tous les médecins des asiles d'
quoiqu'elle pût être constatée sans aucune peine, si, n'ayant pas
cru
au malade, je m'étais contenté au moins d'une é
otrice fonctionnelle. Dans une obser- vation, toutefois, nous avons
cru
devoir ranger la malade dans la catégorie que n
ion et la marche sont complètement impossibles, il serait permis de
croire
à une paraplégie hystérique, et cela d'autant m
souvent aussi l'occasion du développe- ment de l'affection porte à
croire
à une paralysie psychique. Or, on sait que la p
rche, leur apparence choréiforme pourrait donner le change et faire
croire
peut-être qu'il s'agit là de la chorée, non de
ont été signalées par Jlforselli, Ebstein, Riehl, Mickle; nous nous
croyons
donc autorisé à réunir notre deuxième observati
RSIVE' ; Par BOURNEVILLE et P. BRICON V. Automatisme Nous avons
cru
intéressant de rapprocher de Vépilep- sie procu
s d'automatisme si fréquemment observés chez les épileptiques. Nous
croyons
toutefois utile de le rapporter entièrement, la
ues cas d'épilepsie accompagnés de phénomènes mo- teurs que nous ne
croyons
pas utile de rapporter ici; nous y renvoyons le
sion, et sans délire de grandeur bien caractérisé ils en arrivent à
croire
que le monde est particulièrement inté- ressé a
mais souvent une sorte d'extase ou de l'indifférence vide. l3rosius
croit
que déjà on peut distinguer trois formes de Ca-
. La première fois qu'elle fut prise de cet etonnaut sommeil, on la
crut
morte ; comme elle était infiniment pieuse, son
ondie. Toutefois nous pu- blions ces documents in extenso, car nous
croyons
que ce sont les premiers de cet ordre qui aient
conscience tant morale que physique de ces excitations; nous ne le
croyons
pas. Il est incontestable qu'il a été publié un
Achard nous dit (p. 92) : « Il est toutefois une remarque que nous
croyons
devoir faire à l'égard de ce phénomène du trans
sser dans le lit. Pen- dant vingt-huit heures, aucun changement; on
croyait
déjà sfn- tir un peu l'odeur de la putréfaction
ée qu'auparavant ; au contraire, quel fut mon étonnement lorsque je
crus
apercevoir un faible mouvement de respiration je
noté dans cette seule ob- servation. Passons, du reste, car nous
croyons
qu'il existe de bien meilleurs signes en dehors
ller plus loin, ce serait énumérer tous les signes de la mort. Nous
croyons
avoir assez fait pour l'étude symptomatologique
'elle amène, suffit parfois pour faire cesser le sommeil, nous nous
croirons
toujours autorisé à rechercher l'existence de.c
psychiques, etc...,) par la suggestion à l'état de veille. L'auteur
croit
, avec Grasset, qu'on peut employer sans aucun i
n tardive. Ce sont bien des stigmates physiques et même, si l'on en
croit
MM. Saury et Legrain, plus particuliers aux éta
oit que la question est beaucoup plus embrouillée qu'on pourrait le
croire
d'après les communica- tions des partisans du d
que certaines parties du lobe occipital, abso- lument indemnes, je
crois
à une embolie ou à une thrombose de la sylvienn
ur. M. le président vient d'en donner lecture. M. DE Gavardie. Vous
croyez
qu'on entend toujours ? (Rires.) Je 1 Voy. Arch
and il y a lieu. AI. le Président. Mais, monsieur le Rapporteur, je
crois
que vous êtes dans l'erreur ! Je vois que dans
ai vus enchaînés, dans des cabanons, en 1848. M. DE Gavardie. Je
croyais
que vous les aviez vus enchaînés au treizième s
les établissements destinés aux idiots et aux aliénés. Le fondateur
crut
pouvoir créer un refuge où ces malades seraient
uérison de notre malade se démentait plus tard, chose « que nous ne
croyons
pas, nous nous empresserons de le publier. » «J
ileté, une telle force de volonté que vraiment il est impossible de
croire
à sa réalité. Et dans quel intérêt Pur... aurai
conviction et légitimer notre manière de voir ; néan- moins nous ne
croyons
pas devoir passer sous silence les observations
de n'a eu qu'un enfant, qui est mort de méningite à trois ans. F...
croit
avoir pris froid la veille du jour où elle a été
il y a onze jours; le malade s'en est aperçu le matin au réveil; il
croit
devoir rapporter l'hémi- plégie à un refroidiss
int depuis trois semaines d'une paralysie faciale gauche; le malade
croit
pouvoir l'attribuer au froid. Les renseignement
e nous l'avons déjà dit, sont loin d'être aussi rares qu'on l'avait
cru
jusqu'à présent. Chez les deux malades des Obse
it jours, le malade a été pris d'une paralysie faciale gauche qu'il
croit
devoir rapporter au froid, se trouvant exposé à
mes, 23 ; hommes, 18. Est-ce là une simple coïncidence ? Nous ne le
croyons
pas, et, sans vouloir être trop affirmatif, nou
en plaques, ils restent stationnaires dans l'athétose double. Nous
croyons
même que chez des sujets jeunes et soumis à des
ère. Comme ces aliénées pourraient être transférées en province, il
croit
utile de ne pas différer cette partie de la discu
s sur certaines particularités de la vie antérieure des malades, je
crois
plutôt à ceux qui m'ont été donnés de différents
11. Falret. Du délire chronique (suite de la discussion). M. CoTAm
croit
à l'existence d'un faux' délire des grandeurs q
rès dillérents; c'est bien aussi mon avis et c'est pour cela que je
crois
devoir désigner ce groupe bien limité de malades
ils lui font subir mille tortures. » Notre cher président semble
croire
que ce délire ambitieux 470 O SOCIÉTÉS SAVANTES
Lorsque MM. Garnier el Briand ont ouvert cette description, j'avais
cru
comprendre que la forme nosologique dési- gnée
après la doctrine de M. Magnan; j'ai alors répondu et je persiste à
croire
qu'il existe un certain nombre de persécutés qu
de l'éminence thénar et du premier interosseux, mais il ne faut pas
croire
que chez ces ou- vriers ce soit la main gauche
ent des vésicules. M. SANDER. Le cas de M. Richter ne permet pas de
croire
à l'adhérence, à la soudure de deux moitiés.
cle 16 du Gouvernement. La commission l'avait adopté et n'avait pas
cru
nécessaire de le modifier sur ce point. Mais il
s l'avions pris dans le texte du Gouvernement, et nous n'avions pas
cru
qu'il pût prêter à l'équivoque ; il nous avait
la nouvelle LOI sur LES aliénés. En reproduisant ces débats, nous
croyons
être agréable à tous les médecins des asiles d'
tie de notre tâche clinique. Voyons donc comment M. Van Gehuchten
croyait
devoir classer les paraplégies par compression
e destruction primitif et de dégéné- ration secondaire. Nous nous
croyons
donc fondés à répéter que la paraplé- gie spasm
fluence salutaire de la suspension sur la marche du tabes dorsalis,
croit
à l'action suggestive de la suspension ; il cite
cardinaux de l'alcoolisme dont nous avons d'ail- leurs l'aveu, nous
croyons
qu'il s'agit d'un vulgaire éthylique profondéme
ée et sous dictée. Bien qu'il n'y ait pas eu d'au- topsie, l'auteur
croit
pouvoir rattacher cette cécité verbale à une lé
e tuberculeuse : quant à l'exagération des réflexes patellaires, il
croit
qu'elle peut être mise sur le compte de l'affai-
immé- diate, c'est-à-dire une sorte d'illusion négative. L'auteur
croit
pouvoir conclure que l'anesthésie hystérique est
récédés de troubles de la salivation et de la gus- tation. L'auteur
croit
à une paralysie rhumatismale ou a frigore, dont
fonde avec seulement une déviation latérale gauche de la langue. On
crut
à de l'hystérie, mais sous les douches se produ
fils ou son frère, les cris d'un malade voisin pour ceux d'un chat,
croit
dans les pas des gens qui passent devant sa cellu
et des réflexes, indépendants de la maladie actuelle, permettent de
croire
que la moelle était déjà affectée. M. Mourawiew
e, notamment quand celui-ci a été intense et prolongé. M. Bechterew
croit
qu'ils'agit d'un état épileptique, enté sur une
vons-nous pas perdu de vue les cas de transition ? Tout le monde se
croit
apte à juger un caractère, et proclame l'égalité
rhumatisme chroni- que déformant qui a une tout autre allure. Je
crois
plutôt qu'il s'agit d'une affection ostéo-articul
de semblait revenu totalement à son état normal le surlendemain. On
croyait
à une simple hémi- plégie passagère par autoint
que pour en obtenir la guérison rapide. Les faits de ce genre sont,
croyons
-nous, assez peu connus. M. Pitres, qui s'en est
de 40°. Après quelques séances le malade se sentait mieux et nous
croyons
bien arriver à un résultat favorable. Malheureuse
ééducation que nous lui avons appliquée d'après notre méthode, nous
croyons
que même l'amélioration des troubles visuels ch
nous n'avons jamais eu à noter le moindre accident. Néanmoins, nous
croyons
que la suspension au moyen du plan incliné ains
-Une veuve de plus de soixante-dix ans, indemne d'hérédité, a été 3
Crois
grosse, et, à chaque grossesse, elle a été affe
n architecture s'est établie d'arrière en avant. La sphère visuelle
croit
en importance depuis 153 REVUE D'ANATOMIE ET DE
les mouvements de latéralité vers la gauche des deux yeux. On avait
cru
à une lésion en foyer siégeant dans la région d
hilitique intense et prolongé, mercure et iode pendant des mois. Je
crois
donc que c'est la maladie et non le terrain qui
compte rendu, l'liypochloruration n'eut pas eu raison d'être.) Je
crois
être, le premier à avoir fait faire sur ce dernie
le passé. Laparamnésie consiste en une erreur de cette mémoire; on
croit
'170 ' bibliographie. reconnaître ce qu'on vo
troisième sorte de mémoire n'amènent aucune conclusion. Cela tient,
croyons
-nous, à ce qu'on ne tient pas compte du tempéra
nt la comédie, buvant et mangeant très bien la nuit, lorsqu'elle se
croit
seule, et regagnant à la hâte son cabinet lorsqu'
té sur laquelle nous avions nous-mêmes antérieurement insisté, nous
croyons
que la part prépondérante revient à l'émotion.
'idée à l'émotion. Mais nous n'insistons pas sur ces faits, et nous
croyons
que les recherches expérimentales, très intéres
les céré- braux ou spinaux. J'ai des palpitations cardiaques. Je ne
crois
pas que ces palpitations aient pour cause premi
immédiatement, mais postérieurement, la phobie est réveillée. Je
crois
donc que l'éreuthophobie, maladie intellectuelle,
ables. Entre neuf et dix ans, je reçus l'initiation onanique. Je ne
crois
m'ètre adonné à ces pratiques ni plus ni moins qu
ances, n'ont pas amené d'amélioration notable et persistante.- Je
crois
que s'il y a un remède, il est hors de nous, dans
le froissement de mon journal. Il me dit : Je vois trouble, mais je
crois
que vous avez à la main gauche un porte-plume.
uis resta paralysé de la langue, sans pouvoir respirer, environ, je
crois
, une minute. La tête tomba sur l'épaule droite,
tion complète de toutes les manifestations de la grande névrose. Je
crois
, dans ces conditions, faire oeuvre utile par l'
guéris, etc.. Certaines cures sont certaines. Mais la folie est de
croire
qu'elles sont l'oeuvre d'un pouvoir surnaturel
, des frissons, etc. La ma- 232 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lade
croit
qu'elle va mourir Un tremblement à petites oscill
seulement chez les mas- ses populaires mystiques et religieuses qui
croient
au mauvais oeil à l'ensorcellement, à la posses
islawski, Vaschide et Marchand) fournissent de nouvelles raisons de
croire
que le travail cérébral détermine direc- tement
doute, mais passager. La nature de l'obsession sera mieux comprise,
croyons
-nous, si, au lieu de considérer un symptôme iso
a ne durait pas longtemps, seulement quelques heures, et dès que je
croyais
avoir trouvé un nouveau. remède à ma maladie, j
année mon état ne fit que s'aggraver). Dans mes moments heureux je
croyais
jusqu'à la certitude que j'étais atteint d'une
uelquefois. Comme je ne res- sentais plus du tout ma maladie, je me
croyais
guéri et je songeais qu'une société plus jeune
up de notre voyage projeté, d'excursions pendant les fêtes, etc. On
croyait
me faire grand plaisir, mais c'était pour moi u
s, une rougeole très bénigne, et à dix ans la jaunisse; de même, je
crois
avoir eu le choléra en 1832, cependant tout se
mal si profon- dément enraciné, je ne vois pas d'autre moyen et je
crois
ce moyen excellent pour amener la guérison. San
e, le préjudice redoutable de la misanthropie. Sans le regard, je
crois
que le voisinage des hommes ne me serait pas auss
chez lui. A... a peur de se faire du mal, au moindre malaise il se
croit
perdu. Il aime la société, ne recherche la soli
vis, et s'il est réprimandé, ses larmes et ses paroles humbles font
croire
à la sincérité du repen- tir. C'est le type du
oyant le succès que ses camarades avaient remporté, il voulut faire
croire
, au moins un moment, qu'il était capable lui au
c'est lui-même qui a essayé de le mettre dans le bassin, pour faire
croire
à un sauvetage. Pourquoi ? Toujours même mutism
et nettement colorées par le carmin. Aussi n'y a-t-il pas lieu de
croire
qu'il s'agisse d'une dégénérescence wallérienne :
ù il y avait de l'incontinence - d'urine, mais il n'y a pas lieu de
croire
que d'insignifiantes alté- rations scléreuses d
ointe de la pyramide, est rela- tivement plus souvent lésé. On peut
croire
à une lésion des deux nerfs au moment où ils pé
deux attaques congestives accompagnées d'arythémie cardiaque. Il se
croyait
faussement atteint d'une maladie de coeur. '
us fréquent chez les aliénés que chez les autres personnes, mais il
croit
que le der- mographisme est d'origine toxique.
i dans mon service une intermittente qui, à chacun de ses accès, se
croit
enceinte et prétend accouclier toutes les nuits.
toutes les nuits. SOCIÉTÉS SAVANTES. 33 Une aulre de mes malades
croyait
accoucher chaque fois qu'elle allait à la garde
galomaniaque de leur maladie. Une de mes malades très mélagomane se
croit
enceinte de Dieu et prête à accoucher du Christ
à la morphine, déterminant toujours la même sensation, peut laisser
croire
au morphinomane que la dose de morphine ne chan
morphinomane que la dose de morphine ne change pas. M. Arnaud ne
croit
pas qu'il y ait intérêt à faire durer longtemps
sous forme de gémissements, soupirs, etc. Discussion. V. Iakovenro
croit
qu'il s'agit plutôt d'un mou- vement obsédant r
mes pendant deux aus et demi et l'abscence de papille étranglée, on
croit
pouvoir exclure l'hypothèse d'une tumeur. D'autre
ent chez l'homme sain; est-il augmenté dans les accès ? Krainsky le
croirait
, d'après plusieurs observations, mais il fait e
la paralysie faciale, mais le cas que je vais rapporter, mérite je
crois
d'être publié. Il s'agit d'un malade qui a souf
les, afin de ne pas commettre de grosses erreurs. Enfin, nous avons
cru
devoir le publier, car c'est un cas original de
esthésie de l'éminence thénar et du pouce (obs. Windscheid) il faut
croire
le nerf médian également atteint. Le pronostic
rent modérément augmentés, la sensibilité demeura intacte. M. GAUpp
croit
que la sclérose s'est d'abord attaquée au cervele
rimanda le bambin qui partit en disant : « Puisqu'on ne veut pas me
croire
, je m'en vais et je ne suis pas près de revenir
é. Leurs formes sont très variées aussi ; très souvent le malade se
croit
injustement soupçonné ou accusé, et de là peut
noun ir celles- ci, en poussant toutefois des cris de détresse. On
crut
répondre à leurs plaintes en leur permettant l'
e avec son 416 G REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. père, et qui, ensuite,
crut
avoir été possédée pendant la nuit et inconscie
gard pour ceux-ci. J'ai d'ailleurs, pour mon compte, des raisons de
croire
que ce mouvement si menaçant de la criminalité
e douleurs et l'absence de raideurs des membres ou de la nuque. Ils
croient
aussi assez important, pour le diagnostic, dans
e jeu paraît avoir été inventé par un masochiste; ce qui le donne à
croire
, par analogie, c'est qu'il y avait aussi un jeu
a contrée viennent depuis lors en pèlerinage à Nemet-Saroslak ; ils
croient
à une intervention divine. Voilà un nouveau Lourd
méiologie de l'hémianopsie. Avant de vous présenter nos malades, je
crois
utile, en manière de préambule, d'insister sur
tard les explications qu'on a données de ce fait. Incidemment, je
crois
devoir vous prémunir contre une cause d'erreur,
us en détail sur cette question de localisation. Pour l'instant, je
crois
devoir me borner à ce que je viens de vous en'd
forts considérables ; de plus, il se trompe facile- ment. Ainsi, il
croira
reconnaître son nom dans un autre qui est compo
n fin de compte, je formule ainsi le diagnostic anato- mique que je
crois
devoir porter chez notre troisième malade : foy
contestable. Aussi bien, pour vous dire le fond de ma pensée, je ne
crois
pas qu'il y ait lieu d'attribuer une bien grand
sa conscience, qu'elle constate et qu'elle ne comprend pas, elle se
croit
sous la domination d'une puissance étrangère indé
elle-même. .Maintenant elle se dit parfois : « Que je suis bête de
croire
cela, ce sont des superstitions : j'ai tort d'i
te aussitôt à son esprit, au sujet d'un souvenir déterminé. L... se
croit
coupable, elle demande pardon des idées qui sur
nsées, qu'elle le . refuse à d'autres. Cette constatation l'amène à
croire
que les pen- sées qui sont conformes à sa maniè
des personnes qui causent. en lui-même. · ' 1 Remarquons que L...
croit
à l'existence réelle des voix qu'elle entend en
ouvons rien dire, nous pou- vons reconstituer et saisir, osons-nous
croire
et penser, le mécanisme et la genèse même de ce
ervations I, III, IV, V. Dans l'observation II, tout nous permet de
croire
que la femme a été prise la première. Le mari
je puis également regarder en face... » ' ' .. , M. Bechterew ne
croit
pas que cette phobie tienne exclusivement à la
t en effet attention, en général, qu'à ce qu'on connait déjà, et on
croit
tout savoir quand on a classé un certain nombre
et personnels présentés par la malade, je ne serais pas éloigné de
croire
qu'il s'agit d'un gros tubercule solitaire, mai
nne, en s'appuyant sur ces constatations anatorno-pathologiques, se
croient
autorisés à admettre l'envahissement de toute l
prière de lui pardonner quelque chose et encore dans cela qu'il se
croit
être un saint, etc. Si il a des hallucinations,
être provoquée artificiellement dans un état hypnotique, et, nous
croyons
que sa pathogénie n'est pas toujours la même.
le ? De recherches en train, par la méthode de Marchi, M. Pawlow se
croit
en droit de supposer, jusqu'à nouvel ordre, qu'
trophie musculaire et son état pour ainsi dire sta-' tionnaire font
croire
à l'auteur qu'il s'agit d'une syringomyélie au
mes et le début en apparence articu- laire de l'affection, l'auteur
croit
qu'il faut la ranger dans laclasse des myopathi
isolés que pendant vingt-quatre heures et 32 pendant une nuit. Je
crois
, mon cher. collègue, qu'une petite note rectifica
la rectification si juste- ment méritée de l'asile de Meerenberg.
Croyez
, mon cher Collègue, en mes sentiments les plus dé
pilepsie, sur quelles bases repose mon in- terprétation qui est, je
crois
, appelée à éclairer beaucoup de points encore o
yam- ment chez la femme à chaque époque menstruelle. Tout porte à
croire
alors que la ménopause devra généra- lement occ
bien lui aussi succombé à la méningo-encéphalite. Ce confrère ne
croit
pas à la syphilis des conjoints, n'ayant jamais
trouvons le signe d'Argyll Robertson dont l'ori- 'gine, si nous en
croyons
l'opinion récemment soutenue par des neurologis
de Grasset ayant pour titre : l'Hypnotisme et la Suggestion 2, nous
croyons
utile de rappeler que l'hystérie est un état ps
u lobe préfrontal. - Sur ce terrain des hypothèses nous préférons
croire
que le centre psychique est un, et que les dive
ssi, avant la période scientifique, des personnes instruites ont pu
croire
qu'un fluide passait de l'hypnotiseur à l'hypno
si autrefois, conformément à l'enseignement de la Salpêtrière il a
cru
que les phénomènes somatiques pouvaient ne pas
pouvoir disparaître totale- ment par persuasion. En résumé, nous
croyons
avoir montré que la conception de REVUE DE PATH
sion d'un ange. Elle paraît attribuer moins de réalité à ce qu'elle
croit
avoir vu qu'à ses hallucinations de l'ouïe. Sen
t démontré que c'est sur l'audition des voix qu'elle se basait pour
croire
à l'intégrité de l'ouïe à droite. La conclusion
temps' que d'autres hallucinations, ont été décrites, l'auteur les
croit
rares, bien que Dagonet ait peut-être raison de
accident et pendant les dix années qui ont suivi, la malade put se
croire
guérie. Le début de la crise qui l'amène à l'hô
roubles de la sensibilité, qui a évolué lentement dès l'enfance. On
croirait
à l'ataxie héréditaire de Friedreich, mais il n
dont on use sont insuffisants. A commencer par le tabes, l'auteur
croit
que l'on ne doit pas invoquer uniquement l'étio
s aucune des lésions classiques de la paralysie générale. M. Vallon
croit
que le diagnostic de folie à double forme doit
ns et exacte- ment à vingt-trois ans pour l'un d'eux. M. TOULOUSE
croit
qu'il faut distinguer les cas où le diagnostic
du choc. Même quand la prédisposition ne pourrait être décelée, je
crois
qu'elle découle des circonstances même dans les-
ment, les prédisposés. M. JOFFROY. Sur le terrain médico-légal, je
crois
que les experts doivent tout simplement signale
la sensi- bilité, aucune ataxie, aucun traumatisme; on ne peut donc
croire
à une origine essentiellement due aux lésions d
ne présente aucun signe de paralysie générale. Elle est excitée et
croit
qu'on a déposé pour elle dans une banque 600 00
iques d'un délire systématisé, hallucinations de l'ouïe ; la malade
croit
qu'on lit sa pensée. Hal- lucinations de la sen
entrée quelques idées de grandeur; elle allait nommer le pape et se
croyait
riche au point d'entourer le Luxem- bourg de ch
s bords en sont assez nets et l'état des vaisseaux est normal. Nous
croyons
à une disposition normale. - Observation XLI. T
nsion des manifestations psychiques de l'activité cérébrale. Nous
croyons
trouver là une preuve d'une espèce de sti- mula
a quelquefois observée. Mais loin de faire ressortir, comme on l'a
cru
un instant autrefois, que les glandes génitales
xpliquer son impressionnabilité anormale. - « Ce qui semble faire
croire
qu'on aurait tort de chercher une lésion organi
coup de femmes aux époques menstruelles ? Voici ce qui me porte à
croire
au bien fondé de cette interprétation : en même
la femme est plus impressionnable que l'homme ? Je suis porté à le
croire
. En résumé, prenant toujours comme exemple la f
eaux qui, apparaissant après l'idiotie ou l'imbé- cillité, ont fait
croire
jusqu'à ce jour que c'était l'idiotie ou 224 CL
pinale et mésencéphalo-spinale et de la voie sensible principale et
croit
que la lésion siège sur la voie sen- sible ou p
her. On doit ajouter à cela la notion de phénomènes nerveux faisant
croire
à une affectation médullaire. G. C. L. Du signe
. - M. Boissier classe les médianimiques à côté des démonomanes, je
crois
plutôt qu'il faut identifier ceux-là à ceux-ci.
'expliquer sur les raisons qui dictent ses arrêts. Il est permis de
croire
que la publication de cette étude, à la fois scie
insulté plusieurs gradés. Le capitaine rapporteur, M. Marix, avait
cru
devoir le sou- mettre à un examen médical, et l
apparence si nets et si précis, qu'en les considérant, on pourrait
croire
- et bien des erreurs de -ce genre ont été comm
Quoi qu'il en soit, ces lésions du sympathique sont peu connues. Je
crois
volontiers qu'elles sont fréquentes et importan
ALYSIE SATURNINE A TYPE PARTIEL ARAN-DUCHENNE. 315 Duchenne 1 avait
cru
devoir invoquer, dans des cas sem- blables, l'a
celle-ci perçoit un craquement, mais ne ressentant aucune douleur,
croit
que sa camisole se déchirait, on ne s'aperçut d
te femme syringomyélique est en même temps une lépreuse. L'auteur
croit
que l'infection lépreuse a pu amener la syringo-
lexe aurait dû persister d'a- près la loi formulée par Wernicke. Il
croit
donc que lorsqu'on a des raisons cliniques suff
l croit donc que lorsqu'on a des raisons cliniques suffisantes pour
croire
à de la cécité corticale, il ne faut pas réform
nution de sa capacité et incontinence par regorge- ment. M. Weill
croit
très probable la fréquence de ce mécanisme de l
tituent des entités cliniques. Dans l'un et l'autre cas, il s'agit,
croit
-il, de délire survenant seulement chez des prédis
uteur, se basant sur ces différents cas qui sont tous impu- tables,
croit
-il, à un oedème cérébral chez un prédisposé, émet
dropisie des ventricules qui démontrent son existence. L'auteur ne
croit
pas que le délire soit jamais le signe d'une in
l'état mental d'un sujet. , Dans un précédent travail nous avons
cru
pouvoir déter- miner. « 1° Qu'il y a un rapport
l'excitation génitale parle d'ailleurs dans le même sens et plaide,
croyons
-nous, en faveur de la thèse que nous soutenons,
OLOGIQUE. IV - Des diverses considérations précédentes, nous nous
croyons
autorisés à émettre les quelques remarques suiv
trice ordinaire, rapports intimes et peu mis en lumière, nous avons
cru
intéressant de rappeler ces quelques considérat
re de vingt-six ans. Ces observations auraient été déjà présentées,
croit
l'auteur, à la Société de médecine de Bordeaux
précoce, et à côté du syndrome catatonique de la démence précoce il
croit
qu'il y a place pour des syndromes cata- toniqu
générales de Flechsig sur l'existence des centres d'association et
croit
que c'est en eux qu'il faut chercher l'origine
discussion à laquelle il a donné naissance. M. FonD 11013ERTSO,4,
croit
que les différences d'opinion qui exis- tent en
nez l'émotion qui m'étreint au'moment de prendre la parole, mais je
croirais
manquer au plus impérieux des devoirs, si ne ve
avec lui sur tous les points. Arrivé à Paris (c'était en 1890), il
croit
s'apercevoir qu'il est filé par des agents; il
commissaire, et dans le bureau veut se jeter parla fenêtre, car il
croit
sa dernière heure venue. On le mène alors à l'i
artaient de tous les coins de la chambie. Transféré à Villejuif, il
croit
, pendant le voyage, qu'on le con- duit en un li
CE. 435 bles mentaux aigus a duré plus de temps que le malade ne le
croit
, car, après avoir passé sept -ou huit mois à Vi
oison contenu dans un de ses aliments. Il a alors des idées noires,
croit
qu'il va mourir : en proie à ses idées, il entre
t incident au directeur'; on lui montre une lettre dans laquelle il
croit
reconnaître récriture de son oncle; il se deman
r son lit; le concierge est entré, s'est approché du lit; le malade
crut
le voir qui avançait les mains vers lui, s'imagin
, il semble avoir beaucoup de peine à rassembler ses idées. Il se
croit
électrisé, sous l'influence magnétique de gens qu
ment confus de tous les faits qui ont précédé son internement. Il a
cru
que son concierge voulait l'étrangler; il était
ubles et ses affaires. Ces moments sont rares,le plus souvent il se
croit
encore hypno- tisé, mais ces idées sont cpnfuse
nt toujours des courants électriques lui passer dans les jambes; il
croit
avoir entendu des voix le 12 octobre, mais ne p
u'il n'est pas capable d'en res- sentir, je serais plutôt disposé à
croire
le contraire, et en fait si l'on se rapporte à
t. Il avait conservé de fortes méfiances à l'égard de son oncle qui
croit
-il, l'écartait de son grand-père, et il n'est pas
le malade sur 444 CLINIQUE MENTALE. sa pensée spontanée. Mais je
crois
que ce désaccord tient à ce qu'en somme nous pr
u que le vi le intellec- tuel était son état habituel. Le malade ne
croit
pas qu'il serait ca- pable de conduire une enqu
un amoindri intellectuel. On constate la disparition du délire, on
croit
observer que le malade n'est pas affaibli parce
les asiles-colonies nous semblent les meilleures à cet égard. Je
crois
, d'ailleurs, que le travail peut être considéré
son internement à l'Asile, son délire est devenu si actif, qu'il se
croyait
à tout instant poursuivi par des êtres imaginai
béissait pas aux ordres qu'il donnait en qualité des titres dont il
croit
être le détenteur, il était devenu violent, se
enaces et les voies de fait dont nous avons fait mention. Nous ne
croyons
pas que l'alcoolisme soit capable à lui UN CAS
et de la langue est toujours accusé. 23 janvier. Désorientée ; se
croit
à la rue de C... (où elle habite), ne reconnaît
lis doit être incriminée dans une proportion de 90 p. 100. L'auteur
croit
que les rémissions spontanées sont l'exception,
ndrome talamique. MM. Thomas et CHIRAY présentent une malade qu'ils
crurent
atteinte de lésion isolée de la couche oplique.
nt manifestés divers degrés de démence, les rapporteurs inclinent à
croire
qu'entre la démence précoce et la psychose mani
s de la nuit, il retourna de nouveau à 3 heures de la journée qu'il
croyait
être toujours le 28 septembre et de rechef il c
ment, quoique non 520 VARIA. universellement reconnue, mais il ne
croit
pas que le rapport qui existe entre la syphilis
l'est peut-être moins que l'augmentation du savoir ne nous le fait
croire
. Mais si des millions d'années n'ont pas amélio
tresse. Bichebois voulait l'épouser, mais sa famille s'y opposa. On
croit
que cette résistance fut la cause de ce double su
es variétés de la maladie, aucune ne la comprend tout entière. J'ai
cru
devoir m'arrêter à un nom plus général qui comprî
— terminaisons, — diagnostic, — pronostic, — enfin traitement. — J'ai
cru
devoir rappeler rapidement, avant d'entrer dans m
s de cette dernière. lia passé pour un régénérateur des os,—on a même
cru
que, grâce à lui, on ferait de l'os partout où l'
es qui nous occupent, le tissu osseux en est-il responsable? Je ne le
crois
pas et ne le comprendrais guère. Le tissu osseux,
x modernes, surtout ceux de M. Ranvier, ont rendus incontestables, je
crois
qu'ils suffiront pour justifier le nom d'Inflamma
r le nom d'Inflammation aiguë primitive de la moelle des os, que j'ai
cru
devoir donner à mon travail. historique L'élu
est la voie suivie depuis 1855. Est-elle bonne, est-elle mauvaise? Je
crois
n'y devoir pas persister et j'en donnerai les rai
teries, le lessivage des murs à l'eau chlo-rurée, etc. » Nous avons
cru
devoir signaler tout particulièrement cette pre-m
ré le soin que nous avions mis à prendre ces températures, nous avons
cru
pendant quelque temps à une erreur; mais nous avo
nt suffire seuls à juger la question. Nous pouvons donc établir, je
crois
, que scrofule et rhumatisme sont également impuis
longue durée de la maladie à l'état en quelque sorte latent permet de
croire
que souvent une cause locale a passé inaperçue. M
s rapportés nous semblent suffisants pour édifier nos lecteurs. Aussi
croyons
-nous devoir borner là cette enumeration et termin
ion des extrémités articulaires. Ainsi, on remarque : 1° l'usure qui,
croyons
-nous, constitue la lésion principale pour l'épaul
thologique. « C'est dans la substance grise, dit M. Charcot, que nous
croyons
avoir trouvé le point de départ de cette complica
s vésicatoires, l'emploi de la cautérisation transcurrente, seraient,
croyons
-nous, assez avantageux. — Toutefois, il ne faudra
par cette femme ava t pu amener un affaiblissement de l'utérus, nous
croyons
que l'accident a eu pour ori.ine principale les m
LA TEMPÉRATURE DANS l'ÉCLAMPSIE PUERPÉRALE. Historique. Si nous en
croyons
les recherches bibliographiques que nous avons fa
, assez abondantes, contenaient une quantité notable d'albumine, nous
croyons
pouvoir tirer, sous toutes réserves du reste, les
s, et, sans pouvoir donner les règles de leur production, il faut, je
crois
, admettre leur dépen-dance commune d'une infectio
té vu plusieurs fois malade, à l'exclusion des autres par-ties. Je ne
crois
pas qu'on en puisse inférer la nature rhumatismal
arents, au moment de la conception, une influence que, du reste, nous
croyons
assez exacte. 3 On sait que, souvent, dans les
nombre de tumeurs encépbaloïdes et fibroplastiques. En 1844, M.Walsh1
croit
encore que le cancer de la mamelle chez l'homme e
orte chez l'homme comme chez la femme; on avait écrit, et Velpeau l'a
cru
pendant un certain temps, que les cancers du sein
ne heure plus tard, la température ayant encore diminué (52°,6), nous
crûmes
que le ther-momètre dont nous nous servions était
ulons pas cependant lui dénier toute ac-tion; mais elle n'aurait agi,
croyons
-nous, au plus que comme cause provocatrice; et au
l va gagnant de proche en proche jusqu'à la partie centrale,c'est, je
crois
, attribuer à la maladie qui nous occupe un rôle
t en détermine finalement l'atrophie complète... Il ne faudrait pas
croire
que l'atrophie en question des cellules nerveuses
, —¦ des fusées purulentes et du phlegmon diffus. Nulle maladie, je
crois
, n'a été l'occasion de si nombreuses erreurs au p
des fièvres éruptives. Pour éviter l'erreur, le grand point est, je
crois
, en présence de phénomènes un peu irréguliers , d
cès sous-périostiques, les indications étant absolument les mêmes, je
crois
inutile de chercher des subtilités de diagnostic.
de Panum est très-soigné; ses expé-riences sont concluantes, et nous
croyons
devoir admettre la pro-position telle qu'elle a é
la précipitation de l'injection, et enfin la phlébite. M. de Belina
croit
avoir évité tous ces inconvénients que l'on trouv
M. de Belina préconise avec conviction la transfusion du sang; il la
croit
appelée, et nous sommes de son avis, à rendre de
n. Mais en est-il de même dans les cas invétérés? Non, Messieurs ; je
crois
pouvoir avancer, en me fondant sur la connais-san
défini-tivement ou non élu domicile dans les cordons latéraux? Je ne
crois
pas, Messieurs, que l'on puisse, dans l'état actu
aires très-accusées et répondent mal aux excitations élec-triques. Je
crois
, par conséquent, qu'il y a peu de chances de voir
t aux fu-roncles. Pour les raisons que nous venons d'énumérer, nous
croyons
donc que, dans ce cas, l'éruption furonculeuse do
question pour une large gangrène du scrotum spontanément développée,
croit
, tout en admettant, dans le cas précédent, la sec
mou-vement d'écartement du tronc qu'exige le tracé de la ligne. Je
crois
que les mouvements spontanés de ce membre droit d
sion de la balle sur le tissu os-seux s'étend plus loin que le laisse
croire
l'examen des parties, fait au moment de l'acciden
ions phy-siologiques altérées de la peau et du tube gastrique. C'est,
croyons
-nous, à ces moyens, réunis aux soins locaux, minu
n'ai vu les altérations cireuses que de-puis trois ou quatre ans; je
crois
, par conséquent, qu'elles doivent être déterminée
ette propriété n'appar-tient-t-elle qu'à l'organe splénique? Frerichs
croit
que le pigment n'est qu'une transformation de l'h
e température, mais se rap-prochait de celle de la méningite, et nous
crûmes
d'abord à cette dernière. Le véritable état du
able, aperçu par la généralité des médecins. — M. Desprès cependant a
cru
devoir nier le carac-tère épidémique de l'érysipè
par diverses voies, etc.; nous ne nous y arrêtons pas parce que nous
croyons
que ces symptômes sont dus à quelque complication
ge des diverses formes mentales de l'aliénation, M. Moreau (de Tours)
croit
pouvoir expliquer la production de la folie en éd
t observé à Bicêtre. En s'appuyant sur ce dernier fait, M. Delasiauve
croit
devoir placer le délire pro-duit par le Hachisch,
on livre un chapitre à la défense de la théorie de Yidentité. Nous la
croyions
, cependant, depuis long-temps battue en brèche et
et pour vous faire saisir les particularités qui le caractérisent, je
crois
devoir vous exposer la marche que suit le plus ha
ais le siège d'aucune trace ni d'inflammation ni de douleur. 1 Nous
croyons
pouvoir attribuer cette augmentation de la tuméfa
iagnostic ne peut jamais reposer que sur des probabilités, et nous ne
croyons
pas qu'on puisse jamais le préciser complètement.
i on l'administre à temps. » M. Aubert-Roche ajoute qu'il est loin de
croire
que cette substance puisse réussir toujours ; mai
, sans affirmer que l'bydropisie lient à une lésion de cet organe, il
croit
qu'il ne s'agit pas là d'un cas de cirrhose. M. H
és comme dans les ascites symptomatiques. Il inclinerait volontiers à
croire
à l'existence d'un kyste. 2 novembre. Après avo
c, lui avait fait donner par cet auteur le nom d'acéphalocyste ; il
croyait
que cette forme du pa- rasite était particulièr
éellement due à l'existence de la tumeur parasitaire ; tout porte à
croire
, il estvrai, que ces 20 individus en question a
ètrent par l'alimentation avec les boissons ou les légumes absorbés
crus
ou mal cuits; les poussières peuvent enfin en con
pourrions compter un nombre bien plus considérable de tumeurs. Nous
croyons
donc être au-dessous de la vérité, en estimant à
persécution entretenues par des halluci- nations de l'ouïe : il se
croit
poursuivi par les Allemands, enfermé en prison et
cution étroitement liées aux hallucinations de l'ouïe. Le malade se
croit
en ! prison : « la France est en guerre... il n
ai eu un moment la tête perdue, je me figurais un tas de choses, je
croyais
que la France était en guerre avec l'Allemagne et
mmes eurent recours aux moyens offerts par l'art. C'est ainsi qu'on
croyait
avoir trouvé le secret de prolonger la vie dans d
ns toute la vigueur de la première jeunesse. - C'est dans la Bible,
croyons
-nous, qu'on trouve pour la première fois mentio
eule vue de se réchauffer les pieds et les mains auprès d'elle. Ils
croiraient
sans doute qu'il pécherait et qu'il serait cause
x, comme l'enseigne Galien dans son art. » Il n'est pas nécessaire,
croyons
-nous, de faire remarquer, que ce pouvoir partic
t ce secret, au point que l'un d'eux, l'abbé Picot, ne voulut point
croire
à sa mort. ' Dans une de ses lettres à M. Quyli
conserver ma vie que je le fais maintenant, et quoique ci-devant je
crusse
que la mort pût me l'abréger de 30 à 40 ans, el
con n'était pas tout à fait exempt de préjugés de son temps, car il
croyait
qu'on peut faire de l'or avec de l'argent ou du
ugmenta sensiblement les forces et la vivacité du vieillard. On a
cru
pendant longtemps que cette vertu était spéciale
u sexe fémi- nin, dit Millot, dans sa Gérocomie (Paris, 1807). Nous
croyons
devoir combattre cette erreur, en observant que
llesse qui en est ordinairement privée. Et l'auteur ajoute : « Nous
croyons
pouvoir attribuer les bonnes et promptes digest
lui permet d'éviter les maladies si communes à cet âge. N'allez pas
croire
toutefois, dit Cohausen, que notre Hermippus se s
rêtre, ni à un jeune homme et pas même à un vieillard vigoureux. Ne
croyez
pas, dit-il, que j'ai jamais cru que c'était là
me à un vieillard vigoureux. Ne croyez pas, dit-il, que j'ai jamais
cru
que c'était là un moyen de conserver la vie. Elle
s en la faisant suivre des réflexions suivantes. « L'auteur n'a pas
cru
indigne de son âge ni de sa personne de s'a- do
mippus quoique les centenaires ne soient point aussi rares qu'on le
croit
généralement, mais nous atteindrons sûrement un
e par son origina- lité propre, à l'art occidental renaissant. Nous
croyons
qu'il n'est pas sans intérêt d'y poursuivre ces
retrouvons encore plus nette dans des mosaïques du XIIe siècle. Je
crois
donc que cette main pendante, aux doigts retomb
nt faire sortir du corps de leurs « sujets ». Et même, s'il faut en
croire
leurs écrits, il en restait toujours quelques-u
ligotter les malheureux atteints de grandes crises hystériques ; on
croyait
ainsi « enchaîner le démon », ou en tous cas lu
ré- sentant les membres supérieurs d'un sujet de 9 ans, on pourrait
croire
être en présence des membres de notre sujet, si
ible ou dou- teuse l'hypothèse d'une régénération (1). Mais nous ne
croyons
pas que cette objection permette de repousser d
est la nature de cette cause ? D'après ce qui précède nous ne nous
croyons
pas autorisés à répondre d'une façon précise. P
veuses professionnelles. On peut cependant l'y rencontrer, et nous
croyons
que, si nos moyens d'investigation étaient plus
ur et sa terminaison nerveuse intra-musculaire. On peut rejeter, je
crois
, la première de ces localisations. Bien que la
ôpitaux. IV. - LE QUATORZIÈME SIÈCLE. Contrairement à ce que l'on
croit
généralement, le XIVe siècle n'estpas un siècle
romain très accentué de ces personnages, type qui tendrait à faire
croire
qu'ils ont été copiés sur une mosaïque antique.
ècle, le peintre étant mort en 1804. En second lieu, ne faudraitpas
croire
queles artistes dela décadenceby- zantine soien
it appris, dit-on, la saignée des Egyptiens, aux- quels, si l'on en
croit
Pline, elle avait été révélée par les hippopotame
iment juste, le malade bêtifie. Au premier abord, en effet, on peut
croire
, qu'en partie au moins, l'altitude et le ton so
ng circule au milieu des élé- ments cellulaires, et si parfois l'on
croit
trouver un semblant de paroi (1) Virchow,; Arch
dans des cas de méningites et d'encéphalites. De même Lugaro (2) ne
croit
pas qu'il. faille considérer comme des leucocyt
ns, époque où elle entra comme domestique dans une ferme et où elle
crut
d'abord à la pré- sence de parasites dans son n
la périphérie, soit au niveau des centres médullaires. Mais je ne
crois
pas pour cela qu'il faille accepter l'idée d'une
ploi des fers et l'enfant mourut au bout de 3 heures. S'il faut en
croire
la mère de la malade, elle aurait contracté une
mographisme par le mécanisme indiqué pour le cas précédent. Mais je
crois
superflu d'insister sur le diagnostic d'épilepsie
nce hypothénar; front; pom- mettes ; index (face palmaire). Je ne
crois
pas que ces différences soient sous la dépendance
distances. Je n'insiste pas sur les autres symptômes que nous avons
cru
remarquer chez notre malade du côté de l'appare
us leur dé- pendance, ne manquent pas également. J'ai tendance à le
croire
après les conclusions que j'ai déjà eu à tirer
ulsé pendant un repas. L... avala-t-elle réellement une épingle, ou
crut
-elle en avaler une que plus tard elle se figura
menant sur un quai vit par hasard un cheval qui la regardait ; elle
crut
immédiatement que ce cheval avait' « un caprice
is elle se demande si c'est bien la somme qu'elle lui doit. L... la
croit
moindre ; elle ne sait pas, dit-elle, ce qu'elle
de l'argent à une autre personne, mais elle ne sait pas combien, elle
croit
que c'est 2 francs. IV L... prétend qu'il y
réitérées l'amènent jusqu'à faire des excuses aux personnes qu'elle
croit
avoir offensées. Voici un fragment de lettre écri
nt j'ai des excuses à demander à un de ces messieurs pour l'a- voir
cru
l'expérimentateur d'un complot contre moi. Et ce
sa conscience, qu'elle constate et qu'elle ne comprend pas, elle se
croit
sous la domination d'une puissance étrangère in
à elle-même. Maintenant elle se dit parfois : « que je suis bête de
croire
cela, ce sont des superstitions : j'ai tort d'ins
sente aussitôt son esprit au sujet d'un souvenir déterminé. L... se
croit
coupable, elle demande pardon des idées qui surgi
nsées, qu'elle le refuse à d'autres. Cette constata- tion l'amène à
croire
que les pensées qui sont conformes à sa manière d
tères spéciaux des voix qu'elle entend nous montre que notre malade
croit
qu'on lui parle en elle-même. Lorsque nous insist
quait son action en disant qu'on le lui avait commandé. Nous avions
cru
alors à des hallucinations auditives ; mais plu
eur A. Kojevnikoff, qui les a examinées avec un grand intérêt et je
crois
de mon devoir de lui exprimer ma profonde recon
is et essayé en vain d'améliorer par le traitement thyroïdien; nous
croyons
utile d'en rapporter l'observation, d'autant pl
ensions de plusieurs fillettes ayant t'age de notre malade. et nous
croyons
pouvoir dire que, chez l'enfant normal de 8 à 10
ré l'attention des caricaturistes. Depuis longtemps, en effet, on a
cru
reconnaît- tre dans certaines oeuvres de l'anti
rps thyroïde (P. Masoin, in Rev. Neurol., p. 549, 1901). Nous ne le
croyons
pas pour plusieurs raisons. L'anatomie patho- l
tes ; cela est la règle chez les aclion- droplases, et s'il faut en
croire
les confidences reçues par les auteurs qui ont
he est aplati dans la région trochantérienne. A priori, on pourrait
croire
à une luxation de la hanche de ce côté, mais la l
out de fil qu'il retire quelquefois malgré lui au moment même où il
croit
avoir abouti. Le rythme semble constant. L'at-
tionnel que, seul, l'acte d'écrire a la propriété de rappeler. W...
croit
qu'il tremble à cause de son effort pour neutra
s d'alcoolique, puisque porteur de stigmates évidents, il faut donc
croire
que ce trouble fonctionnel qu'est l'hystérie n'a
h. f. Psych., octobre 1899. TUMEUR CÉRÉBRALE 365 cérébrales. Nous
croyons
qu'elle offre un indéniable intérêt, parce qu'ell
rémie, diabète, tabac, oxyde de carbone, qui- nine, etc.). , Nous
croyons
donc qu'à la suite déconsidérations cliniques ana
tumeur est indépendante du tissu cérébral. C'est dans la pie-mère,
croyons
-nous, qu'il faudrait rechercher le point de dép
ère pensée est celle qu'il s'agissait de maladies différentes. Nous
croyons
cependant pouvoir démontrerqu'elles ne l'étaien
ntérieure à l'autre. Ces fibres nettement observées expliqueraient,
croyons
-nous, la synergie des mouvements rencontrés dan
dius, qui n'est pas aussi énergique que celle des deux autres. Je
crois
avoir ainsi démontré que la malade souffre actuel
malade avait présenté une mélanodermie extrêmement accusée. Nous
croyons
donc que l'état bronzé de la peau de notre sujet
ologie de Paris (Séances des 7 no- vembre et 9 décembre 1901), j'ai
cru
pouvoir me permettre de revenir (1) il cette oc
e fait a été constaté dans plusieurs observations, ce qui permet de
croire
que dans certains cas le trophoedème chronique
lente des syringomyéliques, etc.). En définitive, il y tout lieu de
croire
que la lésion du trophoedème est une lésion méd
conserver à l'affection ses carac- tères cliniques distinctifs, je
crois
qu'il convient de réserver le nom de trophoedèm
u nombre des effets bien connus de la poliomyélite antérieure, nous
croyons
donc pouvoir ajouter un phénomène auquel, jusqu'à
est loin d'être constante (p. 432). Si nous ne nous abusons, nous
croyons
avoir démontré, par un nombre suffisant de preu
se ne seraient pas perçues par les mêmes récepteurs, et, si l'on en
croit
les re- cherches de Goldscheider, les nerfs qui
entre le cas que nous avons observé et la paralysie infantile. Nous
croyons
pouvoir les compléter en faisant in- tervenir q
notre esprit en obsession très tenace ! Mais poursuivons, car nous
croyons
pouvoir compléter l'assimilation des deux états
l'avenir, que nous émettons le diagnostic d'attente que nous avons
cru
pouvoir formuler. * h x Si l'adipose sous-c
tance grise du névraxe. Malgré les prudentes réserves que l'auteur
croit
devoir formuler, l'on comprend que, dans le tro
nous ait semblé moins appréciable qu'au premier examen, nous avons
cru
préférable de ne pas nous en rapporter il une a
dans un cadre nosologique ac- tuellement tracé. C'est pourquoi j'ai
cru
utile de publier son histoire et ses photograph
▲