elle n'y éprouvait pas de soulagement et il lui fallait, pour que la
crise
se terminât, les exclamer à haute et intelligible
ique de quelques auteurs). Pour ce qui est de l'hystéro-épilepsie à
crises
séparées, c'est-à-dire ftys-téro-épilepsie à cris
stéro-épilepsie à crises séparées, c'est-à-dire ftys-téro-épilepsie à
crises
mixtes d'un côté, hysteria major, et épilepsie, m
xuelles, des contractures, des anesthésies ou des hypéresthésies, des
crises
enfin dont la description rappelle exactement cel
s, des crises enfin dont la description rappelle exactement celle des
crises
hystériques épileptoïdes dont plusieurs avec arc
et éclairé par ce qui s'est passé déjà antérieurement dans nombre de
crises
semblables, on assiste sans anxiété, sans émotion
asmes toniques et des mouvements de salutation indiquent la fin de la
crise
; ainsi sontles choses chez notre malade et chez
arition de phénomènes d'hystérie convul-sive à la fin et au début des
crises
de sommeil soit un fait général. Non, certainemen
nant, et dont le début apparent a été signalé par le développement de
crises
convulsives à retour fréquent. Ces crises se sont
alé par le développement de crises convulsives à retour fréquent. Ces
crises
se sont pour la première fois montrées il y a prè
'une attaque de grande hystérie (Hysteria major : hystéro-épilepsie à
crises
mixtes) parfaitement caractérisée et ne différant
ions où il se trouve. Personne ne veut plus l'employer à cause de ses
crises
nerveuses fréquentes et d'ailleurs terribles, et
'est peu de temps après cet événement que serait survenue la première
crise
comitiale et par la suite les accès ont eu une te
été traitée par le bromure; sous l'influence de cette médication, les
crises
qui auparavant, comme je l'ai dit il y a un insta
ois en effet pouvoir affirmer l'opinion que jamais la fréquence des
crises
n'est sérieusement modifiée par l'emploi du bromu
es avertissements, des prodromes, annonçant presque à coup sûr que la
crise
est plus ou moins imminente, qu'elle éclatera dan
els. Depuis l'âge de 6 ans,cette enfant s'est montrée sujette à des
crises
de colère, à des sortes d'accès de rage et de méc
elles se sont montrées avec les mêmes caractères, mais sous forme de
crises
qui n'ont pas cessé de se reproduire depuis, de t
e veut dire que l'apparition des vomissements coïncide avec celle des
crises
de douleurs fulgurantes dans les membres. Je ne
t, nous parle notre malade ne sont pas autre chose que les fameuses «
crises
gastriques » qui, ainsi que je l'ai fait remarque
ue j'ai des douleurs. M. Çharcot : Est-ce que vous avez souvent ces
crises
de vomissements ? La malade : Je les ai mainten
. M. Çharcot : Remarquez, messieurs, cette sorte de périodicité des
crises
gastriques ; elle est quelquefois très frappante
ostic. Mais je n'insisterai pas plus longuement sur l'histoire de ces
crises
gastriques : c est un sujet qui mérite une étude
douleurs fulgurantes tabéti-tiques, a éprouver ce qu'elle appelle ses
crises
nerveuses» Ces crises ont persisté jusqu'à ce jou
abéti-tiques, a éprouver ce qu'elle appelle ses crises nerveuses» Ces
crises
ont persisté jusqu'à ce jour. Voici la descript
de connaissance ; pas de mouvements convulsifs dans les membres. Ces
crises
, autrefois, revenaient tous les mois environ. Ell
temps rapprochées sans changer de caractère. Lorsque, en dehors des
crises
, on exerce une pression surla région ovarienne dr
orps étranger remontant vers la gorge, qu'elle décrit à propos de ses
crises
spontanées. Voilà une description qui certes n'
n de commentaires : elle ne permet pas, en tout cas, de confondre les
crises
en question avec les attaques épileptiformes qui
ogique, car sa mère, morte de phtisie pulmonaire, était sujette à des
crises
nerveuses, sans perte de connaissance. Les antécé
stent de bonne heure : étant petite,elle était sujette à de violentes
crises
de colère ; à la moindre contrariété, à la moindr
de l'eau sur la figure ou de lui faire prendre du sirop d'éther. Ces
crises
, avec l'âge, ont disparu pour faire place, en que
'âge, ont disparu pour faire place, en quelque sorte, à de véritables
crises
hystériques. Elle avait aussi autrefois des tic
sparu. C'est à l'âge de dix-huit ans qu'ont commencé à paraître les
crises
hystériques bien formulées. D'abord relativement
t défaut — et, enfin, attitudes passionnelles. La durée des séries de
crises
ne s'étend pas au delà d'une demi-heure, trois qu
eurs fulgurantes intenses à retours fréquents, douleurs en ceinture ;
crises
gastriques très violentes. Aux membres inférieurs
t lieu que quatre, cinq ou six fois dans les vingt-quatre heures. Les
crises
gastriques ne se sont pas reproduites ; constipat
ension est ainsi conçue : début de la maladie il y a cinq ans par des
crises
de douleurs fulgurantes très vives. Il y a deux a
èce mentonnière. Dans un cas seulement, où le malade était atteint de
crises
laryngées — ce cas ne fait pas bien entendu parti
es, tels que paralysies oculaires, phénomènes laryngés, ou encore les
crises
gastriques semblent résister au traitement. En ce
ne présentant aucune lésion cardiaque et n'étant pas sous le coup de
crises
laryngées, un état lypothimique s'est manifesté à
urs. Pas de sucre dans les urines. Il a eu, à plusieurs reprises, des
crises
douloureuses dans la régionlombaire et dans l'abd
sont évidemment les plus graves—, au lieu d'apparaître sous forme de
crises
distinctes, de courte durée, séparées par des int
roxysmes plus ou moins fréquents reproduisant tous les phénomènes des
crises
distinctes. Il y a longtemps que j'ai appelé l'at
nécessité de bien distinguer en clinique le vertige ab aure Isesa, à
crises
distinctes, de celui qui se montre à l'état perma
ien plus rebelles à la médication quinique que ne le sont ceux où les
crises
, quelque intenses qu'elles puissent être d'ailleu
raire secondé nos efforts. Dans le cas où il s'agirait d'un vertige à
crises
distinctes, la tâche serait, d'ailleurs, je le ré
uer, aussi bien dans les cas de vertige permanent que dans les cas de
crises
séparées. J'ajouterai pour répondre à une autre c
a tachycardie et à quelque autre phénomène de la série, tel que « les
crises
diarrhéiques », par exemple, un tremblement qui p
le cours des trois derniers mois, se sont produites plusieurs de ces
crises
diarrhéiques qui appartiennent au tableau régulie
orts de convulsions en bas âge ; une de ses sœurs a été sujette à des
crises
d'hystérie. Elle a été somnambule dans l'enfanc
phthalmie, le goitre se sont succédé rapidement et en même temps, les
crises
hystériques ont cessé de paraître. La tachycardie
rmophobie et sueurs profuses avec une température de 37° en moyenne ;
crises
diarrhéiques typiques à propos desquelles, pour l
s symptômes déjà existants; il s'y est joint en plus une diarrhée par
crises
à retours fréquents, de la polyurie, une toux sèc
désirer non plus que l'orthographe : « Depuis jeudi, à la suite d'une
crise
de nerfs et d'une attaque. Je voudrais parler, ma
ce qu'il voudrait, quand même elle ne le voudrait pas ». Plusieurs
crises
de convulsions toniques s'étaient produites sur c
urée de la nuit qui suivit la réintégration au domicile conjugal, les
crises
de raideur furent presque incessantes ; elle se r
lant à elle d'une voix impérieuse, abréger quelquefois la durée de la
crise
. Mais il s'agit ici, veuillez le remarquer, d'u
n ont déterminé sur le coup, ou à courte échéance, l'apparition d'une
crise
hystérique. C'est là une remarque qu'il n'est pas
tte époque en effet, c'est-à-dire durant une période de six mois, les
crises
nerveuses, avec les troubles psychiques que vous
pnotisme ont eu lieu : mais, au bout de quinze jours, surviennent des
crises
se répétant presque tous les jours et qui effraye
re témoins aujourd'hui. J'aurais pu naturellement, dès le début de la
crise
, craindre à chaque instant de voir la malade se r
ologique, avec frémissement vibratoire des paupières, cette fois sans
crise
convulsive préalable. On note que toutes les ving
varienne sans crainte de voir re paraître soit le sommeil, soit les
crises
convulsives. Vous le voyez, c'est ainsi que vont
rfaitement éveillée. On peut la ramener maintenant dans la salle ; la
crise
est terminée, pour l'instant du moins, car je ne
tiques. Il y a, vous ne l'avez pas oublié, des hystéro-épileptiques à
crises
typiques, qui parfois ressentent les phénomènes d
(1). Il y a d'autres cas, et ceci se voit surtout chez l'homme, où la
crise
est constamment représentée par l'aura telle qu'e
il y a deux ans, commencèrent à paraître, sans cause appréciable, les
crises
nerveuses dont la description va nous occuper, et
aussi. Ils n'étaient pas usés comme dans quelques-unes de mes autres
crises
. M. Charcot : Remarquez bien ce détail : ses ha
dente est un symptôme qu'il a remarqué à la fin de presque toutes ses
crises
. Au malade : Allons, continuez; racontez-moi b
ernier ; veuillez me la remettre. Elle porte en tête le diagnostic: «
Crises
comitiaies ambulatoires », puis vient la prescrip
f, soit encore les grandes absences. Quand il est sous le coup de ses
crises
, nous le savons par la déposition de témoins ocul
uyantes qui sont un des caractères habituels, presque classiques, des
crises
comitiales psychiques, et il y a encore là, vous
ffisamment élevées et suffisamment prolongées, a eu sur le retour des
crises
, les détails de l'observation le démontrent, une
t la nuit 1. "Voir pour plus de détails, relativement aux premières
crises
, la Leçon du 31 janvier 1888, p-156 et suivantes.
t : Ah oui, c'est juste : vous avez dû remarquer que dans sa première
crise
, il lui a semblé que pendant sa fugue, il avait v
période de quatorze mois n'est plus représentée désormais que par une
crise
de mal de tête semblable à celui qu'il a ressenti
'hui, 15 juillet, nous apprenons de Men.. s qu'il n'a pas eu d'autres
crises
; le bromure a été continué conformément à la pres
uarante-deux heures, cinquante-trois heures, huit jours enfin dans la
crise
de Brest ; mais, pour se prolonger, la modificati
arcouru les voies publiques se retrouvent, lorsqu'ils sortent de leur
crise
, soit au poste de police, soit dans un asile. C'e
il n'eût peut-être jamais connu la prison si, à la suite de la grande
crise
de Brest, il n'avait pas eu la malencontreuse idé
ttaque d'hystérie. Au réveil aucun souvenir de ce qui s'est passé. La
crise
d'automatisme avait duré environ deux heures. Une
e couche et est prise bientôt, comme lors de l'accès précédent; d'une
crise
convulsive. Les cas de ce genre ne sont point t
Policlinique du Mardi 19 Février 1889 QUINZIÈME LEÇON 1er Cas. —
Crises
gastriques tabétiques avec vomissements noirs.
e cinq années, s'exaspérant seulement de temps à autre, sous forme de
crises
violentes, semblables à la première, tant par l'i
semblables à la première, tant par l'intensité que par la durée ; ces
crises
se reproduisaient, d'une façon assez régulière to
nte à l'esprit l'histoire naturelle de ce que nous avons appelé « les
crises
gastriques » tabétiques et avoir appris à les con
1° En premier lieu, il convient de relever particulièrement que les «
crises
gastriques » bien que leur apparition puisse être
uelle je souscris bien volontiers (2). Là, dans ma description, les
crises
gastriques figurent au premier rang àcôté d'autre
ier rang àcôté d'autres troubles viscéraux du même ordre tels que les
crises
vésicales et les crises rectales. Elles se rencon
troubles viscéraux du même ordre tels que les crises vésicales et les
crises
rectales. Elles se rencontrent souvent presque is
connaissais pas alors le lien qui rattache ces divers accidents. Les
crises
gastriques ont disparu ; mais le malade a présent
ois qu'il m'a été donné de reconnaître la véritable signification des
crises
gastriques, il s'agissait d'un jeune médecin qui,
ses gastriques, il s'agissait d'un jeune médecin qui, en outre de ces
crises
, présentait des douleurs fulgurantes et une hydar
nier, Leçons sur la période préataxique du Tabès, 1885. symptômes —
crises
gastriques, douleurs fulgurantes, arthropathies q
l'on considère les choses sousleur véritable jour. J'ai encore vu les
crises
gastriques coexister avec les douleurs fulgurante
exact. Je ne vois vraiment rien d'essentiel à y ajouter (1). 2° Les
crises
ou attaques typiques, — nous ne nous occupons que
Dans ces derniers temps, le liquide rendu par vomissement dans les
crises
gastriques a été examiné chimiquement, et l'on a
n pareil cas, explique suffisamment pourquoi les malades souffrant de
crises
gastriques se plaignent parfois très vivement d'u
e bien singulière,bien remarquable dans ses allures. A cet égard, les
crises
gastriques tabétiques peuvent être légitimement r
rises gastriques tabétiques peuvent être légitimement rapprochées des
crises
diarrbéiques cle la maladie de Basedow où le débu
édominant. C'est ici le lieu de relever que, pendant la durée de la
crise
gastrique, en outre de la prostration déterminée
nous aurons à revenir. 4° Un autre caractère à noter, c'est que la
crise
gastrique ne constituée i, jamais un épisode uniq
tuée i, jamais un épisode unique; l'apparition première d'une de ces ^
crises
II doit toujours faire prévoir celle de crises se
première d'une de ces ^crises II doit toujours faire prévoir celle de
crises
semblables qui se reproduiront/ ensuite, à des in
;, six années et même plus. Cette régularité du retour périodique des
crises
gastriques que je signalais tout à l'heure n'est
l. Il est bien remarquable cependant de voir, dans nombre de cas, les
crises
gastriques séparées à peu près régulièrement par
s libres \ d'un, deux ou trois mois et quelquefois plus. Rarement les
crises
sont 1 beaucoup plus rapprochées, mais c'est un p
Lorsqu'elles se montrent dans le cours de la période préataxique, les
crises
gastriques du tabès se trouvent nécessairement as
tribue, avec les caractères cliniques si originaux que présentent ces
crises
considérées en elles-mêmes lorsqu'elle se montren
t, à les faire reconnaître pour ce qu'elles sont. C'est ainsi que les
crises
de douleurs fulgurantes, les crises vésicales, ta
u'elles sont. C'est ainsi que les crises de douleurs fulgurantes, les
crises
vésicales, tantôt coexistent et tantôt alternent
nent avec elles. Mais il est particulièrement remarquable de voir les
crises
gastriques s'associer avec une sorte de prédilect
hropathies ainsi que l'a relevé M. Buzzard (1), et principalement les
crises
laryngées. Cette dernière association n'a rien qu
pneumogastrique (2); l'association fréquente des arthropathies et des
crises
gastriques est certainement beaucoup moins facile
et moi, chez des tabétiques qui avaient souffert pendant longtemps de
crises
gastriques, l'absence de toute altération appréci
nerfs ou des ganglions du plexus solaire (3). 6° On peut guérir des
crises
gastriques; je pourrais citer plusieurs cas dans
urrais citer plusieurs cas dans lesquels, après avoir souffert de ces
crises
pendant plusieurs années, le malade en a été enfi
eut aussi en mourir, et alors la terminaison fatale a lieu pendant la
crise
, tantôt au milieu de symptômes de collapsus, avec
t, Messieurs, suivant moi, ce qu'on pourrait appeler le paradigme des
crises
gastriques tabétiques. Il ne sera pas sans intérê
ef avec une admirable sagacité les grands caractères cliniques de ces
crises
. C'était en 1842, c'est-à-dire à une époque où
endant le cours des années 1829, 1830, 1831 et 1832 a été sujet à des
crises
douloureuses accompagnées de vomissements dont la
de cinq ou six jours, le malade s'écriait tout à coup, à la fin de la
crise
qui se terminait comme par enchantement : « Maint
ément dans votre esprit les traits qui caractérisent cliniquement les
crises
gastriques tabétiques, lorsqu'elles se présentent
Berlin (2), a proposé d'introduire dans les cadres nosologiques, des
crises
gastriques possédant cliniquement tous les grands
n impression est, après la lecture de son travail, que l'existence de
crises
gastriques en tout semblables cliniquement à cell
s du cas d'un forgeron âgé de 56 ans, qui depuis six ans souffrait de
crises
gastriques typiques d'une intensité extrême, dura
les trois ou quatre mois. La quantité des matières vomies dans chaque
crise
est considérable. Etat général grave : cyanose, c
rs fois on l'a cru sur le point de mourir. Amaigrissement rapide. Les
crises
cessent tout à coup « comme par enchantement » et
té : en un mot, aucun symptôme de la série tabétique n'accompagne les
crises
. M. Debove conclut, d'après ce cas, comme M. Leyd
M. Debove conclut, d'après ce cas, comme M. Leyden, à l'existence de
crises
gastriques indépendantes du tabès. Je ne puis méc
rester sceptique et à attendre de nouvelles observations. Les cas de
crises
gastriques, et l'on peut en dire autant des crise
ations. Les cas de crises gastriques, et l'on peut en dire autant des
crises
laryngées, marchant pour ainsi dire à l'avant-gar
ure du possible ; qui nous dit que d'un jour à l'autre, la nature des
crises
gastriques déjà vraisemblablement accentuée dans
ustes, défigurées et à les ramener aux types d'où elles dérivent.'Les
crises
gastriques tabétiques n'échappent pas, tant s'en
vre, à une formule très simple. 1° Dans un premier groupe de cas la
crise
gastrique conserve tous les caractères fondamenta
lement par l'in 1. Je ne suis pas converti encore à la doctrine des
crises
gastriques essentielles, bien que . j'aie lu avec
oins, et dont les occupations l'obligeaient à voyager sans cesse, les
crises
gastriques, toujours accompagnées de collapsus à
mmuniqué par mon interne M. Dutil. 2° Chez quelques tabétiques, les
crises
gastriques, bien que conservant toujours leur car
jet à des douleurs fulgurantes. Il présentait, depuis quatre ans, des
crises
gastriques revenant à de longs intervalles, trois
cablement général très accentué. 11 n'y avait pas de vomissements. La
crise
durait environ quinze jours. Elle apparaissait to
inverse, c'est-à-dire que les vomissements et autres accidents de la
crise
persistant, ce sont les douleurs qui font défaut.
e genre (1). Un malade de M. le professeur Fournier était sujet à des
crises
durant environ six jours, qui se caractérisaient
t à la même série (2). Le sujet est unhomme de 50 ans chez lequel les
crises
gastriques, représentées uniquement par des vomis
l'unique manifestation de la maladie tabétique. 4° Quelquefois les
crises
se rapprochent au point qu'elles deviennent journ
e début de la maladie avait eu lieu il y a onze ans, inauguré par les
crises
gastriques en question qui ont persisté, à l'état
quatre ans que les douleurs fulgurantes sontvenues s'y adjoindre. Les
crises
débutent brusquement, vers 4 heures du matin à pe
de faits qui ne sont pas fort rares, dans lesquels la longueur de la
crise
, au lieu d'être de trois, quatre, cinq jours comm
tion ménagée, nous conduisent à ceux où les accidents vulgaires de la
crise
à savoir,les douleurs, les vomissements, l'inappé
pareille chose a lieu, le caractère de périodicité qui appartient aux
crises
gastriques est encore, malgré la tendance à la co
rastent avec des périodes d'apaisement. II En ce qui concerne les
crises
gastriques, le cas du malade [que^nous sommes pré
oche justement des faits de la dernière catégorie. La périodicité des
crises
est bien marquée en effet chez lui, vous allez le
tomac qui rendent l'alimentation à peu près impossible ; de plus, les
crises
, chez notre homme, s'éloignent encore du type par
endrons Jà-dessus tout à l'heure. En dehors de ces particularités les
crises
gastriques, chez notre homme, rentrent nettement
té,mes digestions étaient pénibles. Le mois qui a précédé la première
crise
, j'avais du dégoût pour la nourriture ; quelquefo
les choses se sont passées. J'étais tellement faible au sortir de la
crise
que. pendant plus de quatre mois, je n'ai pas pu
'ai pas pu sortir'du lit : d'ailleurs je ne pouvais pas manger et les
crises
revenaient de temps en temps. M. Ctiarcot : Nou
cela tout à l'heure ; parlons seulement pour le moment de la première
crise
. Ne m'avez vous pas dit que, dans ce moment-là, v
pas reconnu mes parents. M. Ciiarcot: A partir de cette époque, les
crises
ont reparu, à peu près régulièrement tous les moi
te, vous l'avez compris c'estlapresque régularité qu'ont affectée les
crises
dans leur réapparition périodique. — S'adressant
dique. — S'adressant au malade : C'est seulement pendant la durée des
crises
, et non dans les intervalles que les Vomissements
nts noirs ont paru? Le malade : Oui, monsieur, c'est bien cela. Les
crises
parties, je ne souffrais plus, je ne vomissais pl
tout, et j'étais extrêmement faible. Les vomissements noirs, dans la
crise
, ne venaient pas toujours tout de suite. J'avais
quinze à vingt jours chaque mois puisque, comme je vous l'ai dit, les
crises
revenaient tous les trente-huit jours. M. Ciiar
connaîtrez ici, Messieurs, aisément les caractères fondamentaux de la
crise
gastrique tahétique. La périodicité typique, entr
a nôtre, celle déjà citée de Vulpian (1). Mais leur présence dans les
crises
tabétiques n'est pas faite, je pense, pour dérout
ulpian, le vomissement noir n'apparaît jamais que dans la période des
crises
; cela n'est-il pas de nature à faire penser que
me dire ce qui vous est arrivé à partir de la quatrième ou cinquième
crise
, c'est-à-dire cinq ou six mois après le commencem
fais aujourd'hui. M. Ciiarcot : C'est bien, mais parlez-nous de vos
crises
gastriques. 1» Loe. cit. Maladie du système ner
79, p. 211. 2. J. Straus. Des ecciiymoses tabétiques à la suite des
crises
de douleurs fulgurantes. Archives de neurologie 1
tre estomac s'était amélioré. Le malade : C'est vrai, monsieur. Les
crises
, à la vérité, bien que moins fréquentes, duraient
oins dégoûté des aliments. Cependant, ce n'est que depuis ma dernière
crise
, c'est-à-dire depuis quatre mois, que mon estomac
Charcot : Je l'espère. Je vous rappelle à ce propos,Messieurs,que les
crises
gastriques de l'ataxie sont chose curable ; il en
ses gastriques de l'ataxie sont chose curable ; il en est de même des
crises
laryngées, des paralysies des muscles moteurs de
es crises laryngées, des paralysies des muscles moteurs de l'œil, des
crises
vesicales et de bien d'autres symptômes de la sér
ous allez voir, en effet, que, dès le commencement de la maladie, les
crises
gastriques se sont trouvées associées à quelques
'a-t-on fait ? Le malade : Monsieur, c'est un peu après la première
crise
d'estomac. J'avais une toux sèche, incessante, fo
çu, monsieur, que j'avais la voix rauque et basse lors de ma première
crise
, c'est-à-dire à la fin de 1883. M. Charcot : Vo
y a cinq ans. Le même examen donne, en partie du moins, la raison des
crises
laryngées qui, vous allez le voir, ont, dès le co
inférieures ; on serait en mesure très certainement de provoquer des
crises
laryngées artificielles si l'on insistait quelque
au malade : A quelle époque avez-vous eu la' première de ces grandes
crises
de larynx qui quelquefois vous jettent à terre sa
: C'était à Vichy, monsieur, en 1884, après ma septième ou .huitième
crise
d'estomac. J'étais près de la source où j'allais
: accès de toux « co-queluchoïde» comme on lésa quelquefois appelées;
crises
laryngées spasmo-diques avec tendance à la suffoc
lées; crises laryngées spasmo-diques avec tendance à la suffocation ;
crises
laryngées enfui sous forme d'ictus. La descriptio
es eût considérés soit en eux-mêmes, soit dans leur relation avec les
crises
gastriques, eussent suffi pour révéler la véritab
u de diplopie, mais le signe d'Argyll Robertson est bien dessiné. Les
crises
gastriques ont, comme on l'a dit, cessé d'exister
ont survécu, âgée aujourd'hui de onze ans et demi, est sujette à des
crises
de nerfs, pendant lesquelles elle se débat très f
s, pendant lesquelles elle se débat très fort. On dit que la première
crise
se serait produite à la suite d'une peur ? Il n
e pleure abondamment, après quoi je me sens soulagé. » Ces espèces de
crises
le prennent fort souvent ; il lui arrive journell
rter chez lui. Lorsqu'il reprit ses sens, il pleura abondamment et la
crise
cessa. Ces attaques avec perte de connaissance n'
toujours resté fort sujet à ces accès de tristesse et à ces « petites
crises
de nerfs » pendant lesquelles il suffoque et vers
névropathique qu'il a revêtue n'est point difficile à caractériser :
crises
de suffocation suivies de larmes, revenant presqu
cicatrice. C'est vers la même époque qu'ont commencé à paraître des
crises
nerveuses convulsives, qui n'ont pas cessé de se
était pris de délire bruyant. Cependant,dans les intervalles de ces
crises
, il s'est livré, car, après tout, il fallait vivr
ination involontaire, stertor prolongé, abrutissement au sortir de la
crise
, etc., etc. Si cela est réellement, il s'agirait,
itée dans cet hospice, est désignée sous le nom à'hystéro-épilepsie à
crises
séparées. Après cet exposé des faits, il ne ser
alors que sont apparues cette anesthésie, ces douleurs de ventre, ces
crises
qu'il ne connaissait pas auparavant. En quoi cons
pas auparavant. En quoi consistent-elles, en quoi diffèrent-elles des
crises
épileptiques? Le malade les a distinguées lai-mêm
épileptiques? Le malade les a distinguées lai-même. Illes appelle ses
crises
de jour. Je lui ai demandé comment elles étaient
nt elles étaient faites et voici ce qu'il m'a répondu : « Ce sont des
crises
qui commencent par quelque chose qui me part du v
coucher. Poursuivant sa description, le malade nous a appris que ces
crises
-là sont très fortes en ce sens qu'il se débat éno
qu'il faut deux ou trois personnes pour le tenir, tandis que dans les
crises
qui viennent la nuit, il n'est jamais tombé de so
mord pas la langue et n'urine pas sous lui comme il le fait dans ses
crises
de nuit. Ce sont bien là, si je ne m'abuse, des a
as le moindre rapport entre l'épilepsie et l'hystéro-épilepsie même à
crises
mixtes. Ce qu'on doit dire de cet homme, c'est qu
, si l'on prend la signification du terme au pied de la lettre. A ses
crises
de jour, qui sont des attaques de grande hystérie
part; et inversement, l'hystérie n'intervient d'aucune façon dans ses
crises
de nuit : pendant le sommeil de la nuit, vers tro
une troisième etc. semblables en tout à la première. En général, les
crises
d'hystéro-épilepsie, vous le savez, s'enchaînent
, s'enchaînent en séries. Voilà ce qu'on appellel'hystéro-épilepsie à
crises
mixtes. Sachez qu'il n'y a dans tout cela que l'a
le chiffre normal de l'urée est de 18 gr. 60; or, à la suite de ses
crises
d'hystérie, ce chiffre descend à 14 gr. Après les
ce qu'on m'a dit, un homme de tué.. » Alors M. D...cy a eu comme une
crise
de nerfs ; il s'est mis à trembler et à pleurer ;
se troubla et il eut « une faiblesse ». Tout cela se termina par une
crise
de larmes : c'est depuis lors que le bégaiement s
visuel ; zone hystérogène ; aura suivie de perte de connaissance, de
crises
de larmes ; attaques incomplètes mais très suffis
à l'hôpital du Midi. Il est issu d'un père émotif qui a eu plusieurs
crises
nerveuses (?) et d'une mère également nerveuse ma
ieurs crises nerveuses (?) et d'une mère également nerveuse mais sans
crises
. Lui, a été autrefois atteint de rhumatisme artic
isation faradique. Plusieurs fois le malade en question a éprouvé des
crises
convulsives, débutant par la main droite et suivi
de sursauts, de brusques détentes : pas de perte de connaissance. La
crise
se calmait de temps à autre ; puis les accidents
aise affaires, s'était enfui subrepticement. Alors survint une de ces
crises
de tremblement précédé d'une aura caractéristique
de quatre mois, durant lesquels il ne s'est pas produit de nouvelles
crises
de tremblement, précédées d'aura. Le malade a été
e plongeait définitivement dans la misère, il fut pris derechef d'une
crise
de tremblements semblable aux précédentes, et qui
t durant une période de deux ou trois jours. Au bout de ce temps, les
crises
ayant cessé, le malade voulut sortir du lit, mais
membres se manifestent alors. Des pleurs et des sanglots terminent la
crise
. Ces faits n'ont pas besoin de commentaires. Évid
issement de la température qui s'est manifesté dès l'origine, dans la
crise
actuelle. Eh bien, la guérison de tout cela s'est
ujourd'hui que les « anciens vertiges » n'étaient autre chose que des
crises
convulsives avortées. En même temps que les att
et en cherchant à déchirer ses habits et elle ajouta: « Tu as eu une
crise
de nerfs comme la voisine ». Or, renseignements p
ps de grandes attaques, et qui « lorsqu'elle sent qu'elle va avoir sa
crise
»,appelle auprès d'elle la femme du malade. Au
uffement, de battements dans les tempes, etc. Depuis cette époque les
crises
allèrent se répétant à des intervalles variables.
aitement hydrothérapique qui lui fut prescrit par M. le Dr Rendu, ces
crises
devinrent un moment moins fréquentes. Depuis lors
nts qu'elle appelle des syncopes et qui paraissent bien avoir été des
crises
hystériques, une paralysie transitoire du membre
particularités dignes d'être notées. Bien qu'il n'ait jamais eu ni
crise
de nerfs, ni syncopes, H... n'en est pas moins, c
e comitial ambulatoire.........• . 303 QUINZIÈME LEÇON 1er cas. —
Crises
gastriques tabétiques avec vomissements noirs..
opathies des ataxiques,333. — syrin-gomyéliques, 498. — tabétiques et
crises
gastriques, 336. Articulaire (Amyotrophie de ca
84, 392, 417, 54~. Barrié, 243. Barth, 332. Basedow (Maladie de). —
Crises
diar-rhéiques, 233, 236, 240, 241, 335. — Etat de
Cordier, 146. Cornes postérieures (Rôle des), 494. Cotugno, 24.
Crises
gastriques du tabes (Voy. aussi Tabes), 156, 331,
missements noirs, 342, 343, 344. — Chimie des vomissements dans les
crises
gastriques, 334. — Crises gastriques de longue du
, 344. — Chimie des vomissements dans les crises gastriques, 334. —
Crises
gastriques de longue durée, 340. — (Diagnostic),
longue durée, 340. — (Diagnostic), 339. — et arthropa-thie, 336. — et
crises
laryngées, 336, 345. — et douleurs fulgurantes, 3
ans la paralysie alcoolique, 87. _ en ceinture, 153. — Fulgurantes et
crises
gastriques, 333, 334. Douleurs fulgurantes, 154
), 445, 446, 447, 448. Galton, 260. Gastillier, 451. Gastralgiques (
Crises
). Voy. Crises gastriques. Gellé, 170, 227. Genu r
47, 448. Galton, 260. Gastillier, 451. Gastralgiques (Crises). Voy.
Crises
gastriques. Gellé, 170, 227. Genu recurvatum, 73.
icale, 542- — Contracture chez une tabétique, 278, 279. Hystérie. —
Crises
d', 161. — Dans l'armée allemande, 425, — Dans l'
Toux, 4, 7. — — Tremblement, 471, 472. Hystéro-epilepsie, 32. — A
crises
séparées, 424. — (Signification du terme), 425.
uits). — chez le tiqueur, 15. — dans l'hystérie, 4, 6. Laryngées (
Crises
) tabétiques, 345, 346. — et crises gastriques, 33
ans l'hystérie, 4, 6. Laryngées (Crises) tabétiques, 345, 346. — et
crises
gastriques, 336. Laryngés (Phénomènes), hystéri
Tabes. — Achromatopsie, 158, 165. — Amaurose, 164. — Arthropathies et
crises
gastriques, 333, 336. — Atrophie des nerfs optiqu
33, 336. — Atrophie des nerfs optiques,158.— Champ visuel, 159, 165.—
Crises
gastriques, (Voy. crises gastriques). — Crises la
erfs optiques,158.— Champ visuel, 159, 165.— Crises gastriques, (Voy.
crises
gastriques). — Crises laryngées, 346. — Grises la
amp visuel, 159, 165.— Crises gastriques, (Voy. crises gastriques). —
Crises
laryngées, 346. — Grises laryngées et crises gast
y. crises gastriques). — Crises laryngées, 346. — Grises laryngées et
crises
gastriques, 336. — Crises rectales, 333. — Crises
rises laryngées, 346. — Grises laryngées et crises gastriques, 336. —
Crises
rectales, 333. — Crises vésicales, 333. — Démarch
Grises laryngées et crises gastriques, 336. — Crises rectales, 333. —
Crises
vésicales, 333. — Démarche, 346. — Déro-bement de
la paralysie alcoolique, 86. Vertige de ménière, 80, 225, 226. — à
crises
distinctes, 228,230. Démarche 228. — Diplopie, 22
omissements.— dans le tabès,156.— noirs du tabès, 331,334. — noirs et
crises
gastriques, 334, 342, 343, 344. — Diagnostic avec
immédiatement les circonstances principales du fait. Il s'agissait de
crises
d'épilepsie Bravais-Jacksonienne ou partielle, dé
, et se répétant, depuis cette époque, une ou deux fois par mois. Ces
crises
laissaient entre elles des intervalles presque en
re faiblesse du membre inférieur gauche qui, après avoir survécu à la
crise
pendant quelques jours, ne tardait pas à disparaî
est évidente, mais non encore très avancée ; le malade est atteint do
crises
convulsives dues à une localisation à la région p
e débutant par le pied gauche. Une heure après survenait une deuxième
crise
identique à la première, puis une troisième huit
embre inférieur. Et, autre détail qui a bien son importance, à chaque
crise
survivait un peu de parésie de ce membre, mais ce
dre une catastrophe très prochaine. En effet, les jours suivants, les
crises
d'épilepsie crurale se renouvelèrent, l'orthopnée
tre seconde malade, la nommée Cless..., est une hystéro-épileptique à
crises
séparées, présentant également tous les stigmates
passionnelles. Mais vers le 15 juin on remarque qu'à la fin do chaque
crise
survenait une période d'hallucinations avec délir
, en lui suggérant dans la période somnambulique qu'elle va avoir une
crise
. Une fois qu'elle a atteint la phase des attitude
qui survient spontanément au milieu du sommeil, ceux qui dépendent de
crises
nerveuses épileptiques et hystériques, celui enfi
ntar.é. Provoqué Petit automatique..... Grand automatique____
Crise
pass. prolongée. — isolée..... — transformée
e en témoigne l'histoire de ce professeur qui, sous l'influence d'une
crise
de ce genre, se mettait à se déshabiller complète
épileptiques. » Le diagnostic en sera aisé, si le malade présente des
crises
convulsives dans ses antécédents, et surtout si l
ouvent dans l'hystérie. On voit alors les phénomènes convulsifs de la
crise
se réduire à leur minimum, et, au contraire, les
ouche et termine la scène par de grandes convulsions. Dans d'autres
crises
somnambuliques, toujours précédées et suivies, co
enfants, écarte des bêtes qui veulent les dévorer. Elle fait dans ses
crises
plusieurs (1) Mesnet. — Etudes sur le somnambul
f, aussi bien que le retour à l'état normal qui marquait la fin de la
crise
. C'est dans cette absence de l'élément convulsif
point violent et on aurait pu passer à côté de lui pendant une de ses
crises
sans se douter dans quel état il était, sauf qu'i
ui se produisirent pendant la même journée et marquèrent la fin de la
crise
somnambulique. * * Dans tous les cas que nous
levait ayant perdu tout souvenir, comme si rien ne s'était passé. Ces
crises
, qui au début étaient assez courtes, se prolongèr
aient alors jusqu'à une heure entière. Il n'y eut jamais, pendant les
crises
, ni morsure de la langue, ni miction ou défécatio
aux approches du jour anniversaire de son accident, il était pris de
crises
de nerfs qu'il nous a décrites, et qui sont, à n'
'absence d'aura, la miction et la défécation involontaires pendant la
crise
, cette hypothèse ne pouvait se soutenir longtemps
duellement prédominant et il rentra ainsi dans la règle, quittant ses
crises
somnámbulo-delirantes qui avaient si fort effrayé
hase passionnelle prédominait d'une façon tout à fait remarquable. La
crise
se produisait généralement dans l'après-midi ou l
t où elle était tombée et la fit entrer chez elle en attendant que la
crise
fût complètement terminée. C'est alors que pour
ble flairer les jambes des gens. Son oncle dit que c'est ainsi que la
crise
finit en général, et en effet, brusquement, la
e lui arriver. L'attaque avait duré cinq ou six minutes environ. La
crise
de la Salpêtrière avait été précédée par une cris
utes environ. La crise de la Salpêtrière avait été précédée par une
crise
en tout semblable et qui avait eu lieu la veille,
où je l'ai revue quinze jours après. Elle n'avait pas eu de nouvelles
crises
d'aucune sorte. Stigmates. —Pas de rétrécisseme
ependant. Puis, un beau jour, le délire zôanthropique seul éclate par
crises
en apparence indépendantes de l'attaque d'hystéri
me et non à la chatte la laissait indifférente. Elle sortait de cette
crise
ayant perdu tout souvenir et ne se doutant pas du
-il là de somnambulisme naturel ou noctambulismo, ou sont-ce déjà des
crises
de somnambulisme hystérique identiques à celles q
isme hystérique. Nous serions plutôt porté à penser que les premières
crises
purement nocturnes étaient les mêmes qué les suiv
t les mêmes qué les suivantes. Elles se manifes- Puis peu à peu les
crises
devinrent plus fréquentes ot n'eurent plus lieu s
tron, le charcutier de la rue Saint-Jacques). Le premier soir où sa
crise
le prit après dîner, il eut quelques hallucinatio
nous à fait voir ici et dont il sera parlé plus bas. Dans sa première
crise
, il voyait des voleurs, appelait au secours et vo
s de régularité. (G. G.) Généralement on ne voyait pas la fin de la
crise
. L'enfant parlant et répondant aux questions des
lles jusqu'au lendemain matin, à moins qu'il ne so réveillât dans une
crise
de somnambulisme nocturne, comme cela lui arrivai
endant quelquefois que l'on pouvait le faire revenir à lui pendant la
crise
. Tandis que coups, flagellations, eau froide, gra
ifications "physiques bien notables. Comme il travaillait pendant ces
crises
avec une grande activité, il devenait rouge, suai
uelques secondes puis se refermaient. Quelquefois dans le cours de la
crise
survenaient ces contorsions des mains et des bras
conduire chez son frère, rue du Poteau. Pendant ces huit jours, les
crises
furent beaucoup plus fréquentes. Elles se produis
à, le voyant quand même dans une hallucination. Chez son frère, les
crises
continuèrent, et là, pour la première fois depuis
es habitudes d'onanisme assez accentuées. Il a avoué, dans une de ses
crises
délirantes, être allé deux fois dans une maison d
onnait à faire. On trouvera plus bas le récit de quelques-unes de ses
crises
délirantes. Il ne présente pas d'anesthésie cut
il gauche. L'examen du champ visuel, pratiqué immédiatement après une
crise
délirante, ne décela aucune modification dans l'é
és par les tentatives d'hypnotisation étaient semblables à ceux de la
crise
spontanée, on essaya tout de suite quelques manœu
le droite est un peu plus grande que la gauche. On a tenté pendant la
crise
de lui faire de nouveau ouvrir les yeux et on a p
imension que pour les objets rappro chés. Un peu plus tard nouvelle
crise
provoquée par la fixation d'une grosse tête d'épi
ccès provoqués du matin avait indiqué l'heure à laquelle il aurait sa
crise
spontanée du soir, s'est redressé tout à coup sur
yeux et c'est fini. Cela a duré environ 20 minutes. On voit que la
crise
spontanée présente absolument les mêmes caractère
e la crise spontanée présente absolument les mêmes caractères que les
crises
provoquées. C'était à prévoir, mais il était bon
onstater. Dans les semaines qui suivirent l'entrée à l'hospice, les
crises
somnambuliques spontanées s'allongèrent de plus e
tant toujours au second plan. Le même phénomène fut constaté dans les
crises
provoquées. C'est ainsi qu'environ un mois après
ndant la période somnambulique de l'hypnose, qu'elle allait avoir une
crise
. Le résultat ne se faisait pas attendre. Elle res
stérique. * * * Nous avons vu chez nos deux derniers malades la
crise
somnámbulo-delirante précédée des autres phases d
en quelques minutes, d'une manière insensible, sans convulsions, sans
crises
. » Et cependant nous voyons noté chez lui certain
oins plaide quelque peu par lui-même dans ce sens. Le début de chaque
crise
est en effet, chez cet homme, « précédé d'un mala
res formes rencontrées. Jamais il ne nous est venu à l'idée que toute
crise
de nerfs non conforme à cette description n'était
avoir jamais rencontré que celledà et n'avoir point observé la grande
crise
complète, pas plus que des anomalies rares, telle
t obligé de descendre en route ; sans quoi il aurait peut-être eu une
crise
nerveuse. Auparavant il pouvait voyager en chemin
durèrent quatre ou cinq jours. Ces prodromes annonçaient la deuxième
crise
nerveuse, qui se produisit alors et fut suivie de
pendant ce sommeil hypnotique. Rentré à Paris, il eut une nouvelle
crise
pour laquelle il séjourna quelques jours à l'Hôte
1 octobre 1890, parce qu'il ressentait de nouveau les prodromes d'une
crise
nerveuse. Ces prodromes sont toujours les mêmes
ndemain. Cette espèce de malaise général a précédé presque toutes les
crises
ou les séries de crises qui se sont produites dep
malaise général a précédé presque toutes les crises ou les séries de
crises
qui se sont produites depuis quelque temps. Lor
u repos il n'est pas appréciable. Le malade décrit ainsi une de ses
crises
nerveuses, d'après le récit qui lui en a été fait
oins long. Il se débat peu et on a qualifié d'attaques de sommeil les
crises
qu'il a eues. Nous n'avons pas vu de crises sembl
d'attaques de sommeil les crises qu'il a eues. Nous n'avons pas vu de
crises
semblables chez cet homme, au moins au début de s
fois : « Dormez ! » en insistant avec assurance, pour faire naître la
crise
, sans l'emploi d'aucune autre manœuvre. quelqu'
roman, sur la Salpêtrière. Profitant d'un moment où il était dans sa
crise
délirante, nous attirons son attention sur ce suj
chez elle les hallucinations provoquées dans la catalepsie et dans la
crise
délirante, et nous avons remarqué que nombre d'en
lpêtrière, pendant son somnambulisme hystérique. Pendant une première
crise
il écrit douze pages ; trois jours après, dans un
ter à l'état d'unité, et persister toujours la même dans les diverses
crises
successives de somnambulisme hystérique. Mais il
s, au contraire, sont réellement des somnambules hystériques dont les
crises
sont ou non réglées à une échéance fixe nocturne.
longtemps simple noctambule, a été observée avec soin dans une de ses
crises
de soi-disant noctambulisme et on a pu constater
i, après avoir eu autrefois des attaques d'hystérie, tombait dans des
crises
de a somnam- (1) Pitres. — Loc. cit. (2) Gill
vice de M. le professeur Proust, où elle présenta de la chorée et des
crises
de nerfs. En 1880, à la suite sans doute de cri
la chorée et des crises de nerfs. En 1880, à la suite sans doute de
crises
plus intenses ou suivies de délire, elle est tran
précision telle que le malade en question était capable, pendant une
crise
, de continuer, sans erreur dans le numérotage des
à celui qui avait marqué le début de ces phénomènes. Cette deuxième
crise
de sommeil fut suivie du retour à l'état normal ;
lée dans son lit et c'était ce qui lui indiquait qu'elle avait eu une
crise
de somnambulisme, car elle en avait complètement
ion très exacte des faits accomplis non seulement pendant cet état de
crise
, mais aussi pendant l'état normal, c'est-à-dire p
nt rapporté d'assez nombreux exemples. Quoi qu'il en soit, dans les
crises
que présente le malade de M. Vizioli, l'élément h
veux retenir que ceci : dédoublement de la personnalité survenant par
crises
, à la fin d'une attaque d'hystérie dûment caracté
où elle s'échappait de nouveau, parfois à plusieurs reprises (1). Ces
crises
de somnambulisme n'ont jamais cessé et sont même
répétèrent et, peu à peu, on s'aperçut que lorsqu'elle sortait de sa
crise
de sommeil elle se présentait avec des allures bi
notiser dans l'état second et par la suggestion faire disparaître les
crises
de dédoublement de la personnalité, ainsi que les
, dans ce cas, représenté par l'attaque de sommeil qui précède chaque
crise
de dédoublement de la personnalité. Celle-ci lui
ommeil. Trois mois après le début de ces dernières paraît la première
crise
qualifiée par M. Bonamaison de somnambulisme spon
sie, ou plutôt de rigidité avec conservation de la connaissance ; des
crises
de dyspnéed'une violence peu commune; une paraplé
nalité de nature hystérique. Les phénomènes qui marquent le début des
crises
d'état second sont trop franchement hystériques (
ent plus agréable à la malade que son état normal après les premières
crises
. Dans l'état second, en effet, elle est plus vive
ndant la période précédente, cet accès la rendait muette. Une seconde
crise
nerveuse Va replongée dans son existence seconde,
rande hystérique, qui a éprouvé, à une certaine époque de sa vie, des
crises
con-vulsives qui ont bouleversé tout son être. A
mère et vagabondant. Il aurait eu déjà à cette époque, paraît-il, des
crises
d'hystérie, marquées par des hémoptisies et des p
et lui causa une frayeur extrême. A la suite de cela, il fut pris de
crises
hystériques violentes et resta, pendant trois ans
at de coudre convenablement. Un beau jour, il est pris d'une violente
crise
hystérique d'où il sort dans un état tout à fait
e lendemain, il retombe dans l'état primitif, à la faveur d'une autre
crise
qui remet les choses en place. Enfin, en janvier
de la même année. C'est alors que, devenu hémiplégique à la suite de
crises
nouvelles, il entre à l'hôpital de Rochefort où i
s, placent un aimant auprès du malade. Peu de temps après, une petite
crise
se déclare et, au réveil, un singulier changement
nconnues. L'action de l'électricité statique développe chez lui une
crise
et, à la suite de cette expérience, il est à Sain
il 1885). Après cette expérience il revint, par l'intermédiaire d'une
crise
convulsive, de cet état de Saint-Urbain avant la
la cuisse droite, on assiste au développement d'une véritable petite
crise
, puis le malade est soldat dans l'infanterie de m
ttaques de déroulement des états successifs de personnalité. Dans ces
crises
, on le voyait se transformer successivement et sa
ouveau à Bicêtre, chez M. J. Voisin (2), où il présenta de véritables
crises
de somnambulisme hystérique relatives tantôt à un
mbulismo. (Rev. Scient., 1890, p. 13fi). de ce qu'elle appelle « sa
crise
». En fait, elle entre dans son deuxième état. Vo
sait bien marcher et même monter à cheval et conduire. Cette première
crise
dure vingt jours. Puis tout cesse et l'enfant rev
ode d'état second qui dure un peu plus d'un mois. Enfin une troisième
crise
analogue, d'une durée de trois semaines, revint e
ifierait à elle seule son séjour à l'hôpital. Elle a tout d'abord des
crises
de nerfs. Celles-ci sont simplement des attaques
s pas de morsure de la langue, pas de miction involontaire pendant la
crise
. Nous sommes donc en plein dans le domaine de l'h
t son enfance, elle eut des convulsions et fut sujette à de violentes
crises
gastralgiques. En 1871, pendant la guerre (elle
omme infirmière à l'hôpital des Enfants-Malades. Mais elle eut là des
crises
de nerfs pour lesquelles on la transporta à l'hôp
ndant la journée précédente dans l'état normal, avant l'arrivée de la
crise
. Notons en passant que cette régularité dans le r
taque de sommeil. Le malade de Bonamaison entre dans l'état B par une
crise
convulsive ou une attaque de sommeil ; son retour
ement sur l'importance de ce phénomène qui assimile de tous points la
crise
de vigilambu-lisme à une crise d'hystérie vulgair
énomène qui assimile de tous points la crise de vigilambu-lisme à une
crise
d'hystérie vulgaire, qu'on arrête en pressant sur
lation avec la période des attitudes passionnelles dans les cas où la
crise
vigilambulique ne dure que quelques heures, une p
On ne fera pas difficulté d'admettre que, chez cette jeune fille, les
crises
vigilambuliques survenant tous les soirs régu -li
énement causal,. C J_ début de l'attaque d'hystérie). Période de la
crise
d'hystérie. Amnésie de la crise (18 août-31 août)
'attaque d'hystérie). Période de la crise d'hystérie. Amnésie de la
crise
(18 août-31 août)------............. Y) J_3l ao
le mal, je veux dire la nouvelle de la mort de son mari et la longue
crise
de trois jours qui en est résultée. Cette pério
la raison tout à l'heure. Nous voici donc au 31 août, sortis de la
crise
qui a duré trois jours entiers. C'est alors qu'on
On constate alors que cette amnésie porte en outre sur le temps de la
crise
elle-même (C D). Enfin et surtout on s'aperçoit,
aits antérieurs au 15 juillet, aujourd'hui comme le lendemain de la
crise
et comme toujours depuis lors, les organes de la
avis — et c'est là l'opinion que je chercherai à faire prévaloir— la
crise
, origine de tout le mal, a été une attaque de gra
yant sans doute qu'on ramenait son mari mort, Mme D... tombe dans une
crise
de nerfs que je dois vous faire connaître en déta
porta sur un lit. Là, quinze ou vingt minutes après le début de cette
crise
convulsive, l'agitation et les étouffe-ments cess
re entièrement, que dans l'hypnose cette malade nous a raconté que la
crise
avait été précédé de douleurs ovariennes dans le
é trois jours entiers. Nous voici, Messieurs, au 31 août au soir : la
crise
est finie, le délire a disparu et la raison est r
, elle parlait de son mari qu'elle voyait mort et de ses enfants. Ces
crises
n'ont apporté aucune modification dans l'état de
son ménage et suffisait aux nécessités de la vie habituelle. Après la
crise
délirante, elle ne tarda pas à constater son amné
ébranlement profond, un épuisement nerveux consécutif à cette longue
crise
? Je ne le pense pas. A mon avis, il s'agit simpl
é quelques résultats. Ne pourrait-on pas songer ici à provoquer une
crise
d'hystérie, dans l'espérance de voir l'attaque dé
élirante de l'attaque hystérique sont d'ordinaire incluses entre deux
crises
convulsives. Cependant, notre malade ne présentan
s, etc. L'attaque dure un quart d'heure environ et se termine par une
crise
de larmes. Etat actuel (11 mars 1891). — Mme B.
X. . Tabes. TABLEAU XVI père Tabès. Th..., fondeur en cuivre,
crises
gastriques et intestiaales, fractures spontanées,
r. Il sait aussi qu'une de ses tantes, une sœur de son père avait des
crises
de somnambulisme. En somme, son hérédité patholog
ge à pousser, avec arrêt momentané du jet de temps en temps. Pas de
crises
vésicales, ni laryngées, ni stomacales, ni rectal
a éprouvé les premières douleurs au niveau delà cuisse gauche. Cette
crise
douloureuse a duré vingt-quatre heures sous forme
ntervalles de calme de cinq à six minutes. Depuis cette époque, ces
crises
de douleur se sont reproduites avec des caractère
est devenu irritable et impatient. Depuis trois mois il n'a pas eu de
crise
de douleurs fulgurantes, mais il éprouve des agac
ts dans les jambes, sensations qui n'ont, dit-il, rien d'analogue aux
crises
douloureuses qu'il connaît bien ; les fourmilleme
s de troubles de la sensibilité autre que des engourdissements et les
crises
de douleurs fulgurantes. Pas d'anesthésie, plutôt
slhésie et un peu de retard dans la perception des sensations. Pas de
crises
laryngées ni gastriques. Le goût, l'odorat, i'ouï
rès de trente ans. Depuis lors, ces douleurs ont reparu sous forme de
crises
absolument classiques, dans les membres inférieur
d'abord le tabès est avéré, indiscutable, suffisamment établi par les
crises
de douleur fulgurantes typiques, la constriction
u qui l'a retenu trois mois au lit. Depuis cette époque, il a eu deux
crises
semblables qui ont duré moins longtemps et enfin
En juin 1890, se montrèrent des douleurs fulgurantes survenant par
crises
, lancinantes ou terebrantes, siégeant dans les me
st continuel. « Sur ce fond d'engourdissement dit-il, se greffent les
crises
douloureuses. » En outre, il se plaint de dérobem
llement un fait bien établi. Tout ce que l'on peut dire c'est que les
crises
de douleurs fulgurantes semblent plus courtes et
d, Drasche, Liemmssen, Rosenstein, etc., il faut souligner : i° Les
crises
laryngées. Ces crises sont assez fréquentes dans
Rosenstein, etc., il faut souligner : i° Les crises laryngées. Ces
crises
sont assez fréquentes dans le tabès où elles se p
ion de Fischer. Viennent en second ordre les signes suivants : 3°
Crises
gastriques et laryngées ; 4° troubles dans les fo
'aneslhésie dans la sphère du trijumeau, la fréquence du pouls et des
crises
laryngées, respiratoires. Si, au contraire, ces
d'anesthésie dans le domaine du trijumeau, de fréquence du pouls, de
crises
laryngées, respiratoires, elle est sous la dépend
i-formes ; troubles de la parole; absence de douleurs fulgurantes, de
crises
viscérales, de troubles de la sensibilité. Cepend
nt réveillés avant la perte de connaissance qui marque le début de la
crise
elle-même et perçoivent alors, s'ils existent, le
lle a le temps de se coucher par terre ou de s'asseoir. La dernière
crise
est la seule qui n'ait pas été précédée d'aura, à
ortement blessé l'arcade orbitaire gauche. Dans les intervalles des
crises
, quelquefois accès de tristesse, de méchanceté et
l'accès convulsi f. Récemment, à la suite d'une mauvaise nouvelle,
crise
de délire hallucinatoire avec impulsions, ayant d
igné (picotement de la langue) n'est qu'un tout petit diminutif de la
crise
jacksonnienne typique à début lingual, qui forme
s de Tépilepsie. « Quand vous entendrez parler, disait M. Charcot, de
crises
convulsives se passant dans les water-closets, c'
r une aura qui prend la forme de colique et, arrivé là, il tombe en
crise
. Si, en outre, la crise qui se produit en cet end
forme de colique et, arrivé là, il tombe en crise. Si, en outre, la
crise
qui se produit en cet endroit est accompagnée de
est exactement ce qui arrivait chez la malade de l'observation IX. La
crise
avait lieu au water-closet si elle avait le temps
intervalle d'un an. Aura: Pendant les cinq minutes qui précèdent la
crise
, vision de carreaux lumineux (2 cent, de côté env
nte a devant les yeux le scotome scintillant parfaitement typique. La
crise
de migraine est quelquefois accompagnée de sensat
e, représenté par le scotome scintillanttypique, et faisant partie de
crises
de migraine ophthalmique classique. Si ce dernier
ue. Si ce dernier phénomène avait seul existé, concurremment avec les
crises
convulsives, on aurait pu penser qu'il s'agissait
que, à moins de supposer, ce qui est admissible à la rigueur, que les
crises
de migraine ophthalmique ne figuraient que comme
X. Lav... Louis, 15 ans, charretier. Père alcoolique, sujet à des
crises
de nerfs. Début à 14 ans, à la suite d'une viol
nerveuse et émotive. Grand-père du même côté alcoolique. Sortes de
crises
délirantes à l'âge de 14 ans, qui ont duré quatre
tion XXVII. ' Jonch... Pauline, 32 ans. Père alcoolique, atteint de
crises
convulsives. Convulsions dans l'enfance. Début
roduisent toutes les deux ou trois semaines. Aura consistant en une
crise
de battements de cœur très violents, accompagnés
chute. Il existe quelques accès avortés, consistant seulement en une
crise
de battements de cœur. Pas d'affection cardiaque.
nous montrer qu'il ne faut pas classer d'emblée dans l'hystérie toute
crise
nerveuse, précédée de ces phénomènes, avant de le
mes et sans avoir approfondi autant que possible les caractères de la
crise
proprement dite. Cela nous permet enfin de nous r
(un mois à six mois), puis depuis quelque temps plus fréquents (deux
crises
pendant deux jours successifs, toutes les trois s
ou trois mois), n'étaient précédés d'aucune aura. Il existe aussi des
crises
de petit mal et des accès avortés où la perte de
piétinée. A noter encore de petits accès de délire et de nombreuses
crises
de petit mal, revêtant quelquefois l'aspect de l'
s ou prodromes se produisant à plus ou moins longue échéance avant la
crise
et l'aura elle-même. Néanmoins, c'est à lui que l
furent au pis. Alors survinrent de l'insomnie, de l'inappétence, des
crises
convulsives et délirantes dans lesquelles l'attit
spécial qui s'offre aujourd'hui à notre étude. Il est à noter que les
crises
convulsives et délirantes ne se sont pas reprodui
s jamais ni se mordre la langue, ni avoir d'incontinence d'urine. Ces
crises
disparurent après qu'elle se fut mariée, à l'âge
re violent, joueur; la mère aurait eu des attaques convulsives avec
crises
de suffocation. « Elle cassait tout dans ses atta
omènes à l'alcoolisme. L'hémianesthésie sera alcoolique, et quant aux
crises
, on les rapportera probablement à l'épilepsie alc
rincipales d'hystéro-épilepsie. Dans la première, hystéro-épilepsie à
crises
distinctes, les accidents convulsifs sont de deux
toujours parfaitement séparés. Dans' la seconde, hystéro-épilepsie à
crises
combinées, les con-vulsions, dans un môme accès,
nce le long répertoire de ses chansons et ne cesse qu'au moment où la
crise
convulsive vient brusquement l'interrompre. Les
ura hysterica, tels qu'ils se produisent d'eux-mêmes à l'approche des
crises
, et cette sensation provoquée, les malades la rec
d'après les renseignements qu'elle a donnés elle-même en dehors delà
crise
, son agresseur, après l'avoir placée en travers s
non justifiés, à des frayeurs sans motifs, elle a fini par avoir des
crises
de nerfs qui, augmentant peu à peu de gravité, on
ment, au point de lui faire croire à l'invasion des attaques; mais la
crise
s'en tient aux prodromes et avorte. L'aura hyster
de est entrée à la Salpêtrière le 24 mars. Quelques heures avant la
crise
, la mère de Suzanne raconte que celle-ci cherche
et principalement du ventre. Elle chante, récite des vers... puis, la
crise
éclate tout d'un coup. Elle s'endort, selon l'exp
le parle à sa mère. Mais bientôt survient la raideur, et une nouvelle
crise
se développe semblable à la première. Les crises
deur, et une nouvelle crise se développe semblable à la première. Les
crises
se succèdeut ainsi pour former une série. Au ré
épileptique, ou autrement dit, soit atteinte d'« hystéro-épilepsie à
crises
distinctes ». Mais nous ne saurions l'affirmer, n
es plus loin, relèvent de la grande hystérie ou « hystéro-épilepsie à
crises
combinées », dont la malade présente d'ailleurs d
ée. De retour au couvent, elle eut, pour la première fois, de petites
crises
nerveuses. D'abord légères et revenant tous les q
z eux. Depuis, et jus-qu'à son entrée à la Salpêtrière, elle a eu des
crises
tous les deux jours envi-ron, et presque toujours
argées de les maintenir pendant leurs convulsions. 23 mars 1870. La
crise
commence à 7 heures. Ernestine se cache la tête d
ersonne en proie à une vive douleur ou à de violentes angoisses. La
crise
présente le même caractère jusqu'à 7 heures 40 mi
en avoir imposé. Ces derniers détails, cette dernière partie de la
crise
se rapprochent de l'attaque de somnambulisme. A
surtout du côté gauche (elle montre la région ova-rienne). Pendant la
crise
, une pression même légère au sommet de la tète so
e le 4 septembre 1879 dans le service de M. Charcot à la Salpêtrière.
Crises
hystéro-épileptiques depuis l'année dernière. Ell
quitté le service le 19 novembre 1879. Voici cependant le récit de
crises
dont nous avons été témoin : 1er octobre. Rose
lle à expliquer les ressemblances que nous avons constatées entre les
crises
des diverses malades, et ne doit-on voir là qu'un
aisers et conversait avec eux. Plusieurs fois par jour elle avait des
crises
cataleptiques 1 d'abord, puis épileptiformes. La
r la nuque, puis se laisse retomber brusquement en se débattant2. Ces
crises
étaient combattues par la douche, un peu plus tar
orts. On lui permet alors de voir sa mère deux heures par jour. Les
crises
se sont éloignées, elles sont moins intenses. A
s nuits sont bonnes, la malade s'occupe à des travaux d'aiguille, les
crises
sont rares et la douche n'est plus nécessaire pou
tétanique de tout le corps. 2. Plusieurs fois cette malade a eu des
crises
avec attitudes passionnelles fort nettes, exprima
oyait le diable ou d'autres objets effrayants. C'est dans cet état de
crise
qu'elle se trouvait lorsque M. Charcot fut appelé
ie (hysteria major). Parmi les accidents convulsifs qui composent les
crises
décrites par M. Pascal, il est facile de dis-ting
'après les renseignements qu'a bien voulu nous donner M. Charcot, des
crises
avaient existé auparavant, dans lesquelles les at
tre malade avait perdu l'appétit. Quelques temps après survinrent des
crises
nerveuses, de l'amé-norrhée, et les médecins trai
tion de sangsues sur la région pubienne. A partir de cette époque les
crises
devinrent plus violentes et plus régulières. Au d
es crises devinrent plus violentes et plus régulières. Au début de la
crise
la malade éprouvait une sensation d'étranglement
à dix minutes. Si l'on intervenait alors par une allu-sion froide, la
crise
cessait, sinon elle continuait durant une demi-he
décida pour l'hydrothérapie. L'état de la malade se compliquait de
crises
hystéro-épileptiques biquoti-diennes, qui survena
e avait le temps de descendre du lit afin de ne pas tomber pendant la
crise
. Une fois sur le parquet, il y avait quelques sec
'arc de cercle » et des mouvements du bassin (projection cynique). La
crise
durait ainsi une heure, deux heures si l'on n'int
ne heure, deux heures si l'on n'intervenait pas. La douche avant la
crise
modifiait celle-ci, elle en abrégeait la durée. S
ise modifiait celle-ci, elle en abrégeait la durée. Si au début de la
crise
l'hémorragie reparaissait, les convulsions étaien
es de violentes attaques d'hystéro-épilepsie. Effrayés de la première
crise
, les médecins, dans le but de rappeler les règl
enne. Cette émission sanguine ne lit que compliquer la situation, les
crises
se répétèrent et l'anémie se prononça. Madame X
se répétait un grand nombre de fois, alternant avec l'agitation. Les
crises
duraient environ trois quarts d'heure. Au deuxi
is du traitement hydrothérapique, les époques étaient revenues et les
crises
avaient cessé. Nous retrouvons là l'écume à la
tude de Varc de cercle. CINQUIÈME OBSERVATION. Hystéro-épilepsie.
Crises
nerveuses. Vomissements incoercibles. Ano-rexie.
ée de l'affection que nous venons d'indiquer. Cette maladie, avec les
crises
qui s'y rattachent, remontait à deux ans. Après a
evenait irri-table, et invectivait les personnes de son entourage. La
crise
débutait par de la raideur dans la partie supérie
grands mouvements. Des les premières applications d'eau froide, les
crises
se transformèrent. Les mouvements que nous avons
un emportement sans raison. Nous voyons dans cette observation les
crises
présenter nette-ment accusés les phénomènes qui c
é par quelques phénomènes épi-leptoïdes avec écume h la bouche. Et la
crise
était précédée d'une phase d'excitation avec zoop
e de l'ouïe telle que le moindre bruit insolite la plongeait dans les
crises
les plus terribles; perte de la vue, de l'odorat,
is suivants : contractions toniques et cloniques (première période?),
crises
qui occupaient autour d'elle dix ou douze personn
ontorsions sont parfaitement indiquées: « Elle était en proie à des
crises
de convulsions non précédées d'aura (ou du moins
d'aura (ou du moins je n'en ai pu saisir), et lorsque commençait une
crise
il fallait à la hâte jeter sur le parquet cinq ou
'il rattachait pour le moins à l'épilepsie. Le jeune malade avait des
crises
depuis plusieurs mois, dans lesquelles, à la pert
éde. cin traitant qui m'apprend que le malade est justement clans ses
crises
et que je pourrai facilement constater que c'est
'entre, et je vois un enfant qui venait en effet de tomber en état de
crise
. Pour l'instant il était en attitude d'arc de cer
e qu'il conserva pendant sept à huit minutes. On me dit que, dans ses
crises
, cet arc de cercle était précédé de convulsions é
ait aucune anomalie des organes génitaux. Au bout de quinze jours les
crises
devinrent plus rares. Au deuxième mois elles avai
alement défaut, l'anémie est profonde. Pour compléter ce tableau, des
crises
nerveuses, avec pertes de connaissance, sont surv
nerveuses, avec pertes de connaissance, sont surve-nues, et avec ces
crises
une véritable manie de la destruction. Un jour il
campagne. Six mois après, nulle amélioration n'était survenue. Les
crises
conti-nuaient. La famille demanda que le professe
a partie antérieure du corps, plus prononcée à gauche, pas d'ova-rie;
crises
hystéro-épileptiformes plusieurs fois par jour; a
cardiaques très violentes; visions d'animaux, délire vers la fin des
crises
; somnambulisme. Les crises débutaient invariablem
visions d'animaux, délire vers la fin des crises; somnambulisme. Les
crises
débutaient invariablement par de la rigidité des
ur dans la région du cœur. Si la malade était laissée à elle-même, la
crise
durait une ou plusieurs heures. Une accalmie surv
eures. Une accalmie survenait alors et deux ou trois fois par jour la
crise
recommençait. Le traitement hydrothérapique app
crise recommençait. Le traitement hydrothérapique appliqué à chaque
crise
triompha de la maladie. La jeune malade s'est mar
DIXIÈME OBSERVATION. Hystéro-êpilepsie. Contracture de l'œsophage.
Crises
périodiques revenant tous les soirs de 5 à 7 heur
es deux religieuses placées au-près d'elle par sa mère, que l'état de
crise
se prolongeant pendant huit heures, il faut se me
emment renouvelé; 3° par l'introduction de lait dans l'es-tomac si la
crise
avait une accalmie. A ces précautions nous ajou
deuxième pé-riode) et la forme passionnelle (troisième période) de la
crise
, la malade ne puisse ni s'échapper, ni se blesser
lade ne puisse ni s'échapper, ni se blesser. Car il faut noter que la
crise
commen-çait toujours par un envahissement brusque
pouvoir la contenir. Des cris aigus accompagnaient cette phase de la
crise
. A cette agitation extrême succédaient les attitu
précédente ou au réveil, ce qui arrive le plus souvent. La première
crise
qui éclata à cinq heures du soir, le jour de l'ar
it jours encore, profitant la nuit de toutes les intermittences de la
crise
pour alimenter la malade. Nous entrions dans la
us revîmes la malade dans le cabinet de M. le professeur Charcot, les
crises
n'avaient pas reparu et la déglutition se faisait
idents de con-tracture de l'œsophage, par la violence et la durée des
crises
, ne l'est pas moins par la forme que revêtaient l
, fausse couche probable. État nerveux de plus en plus prononcé, puis
crises
nerveuses avec perte de connaissance. Pen-dant qu
crises nerveuses avec perte de connaissance. Pen-dant quatre ans ces
crises
n'ont pas été trop fréquentes et ne se sont repro
se sont repro-duites que cinq fois. A partir du mois d'août 1873, les
crises
se succédèrent avec rapidité. En moins de cinq se
uillon de poulet suffisait pour amener, au bout d'une demi-heure, une
crise
de plusieurs heures. Le refus absolu de toute nou
a malade prend dix-huit douches en pluie. La leucorrhée augmente, les
crises
nerveuses aussi, la vue se trouble, l'œil gauche
ces de la malade n'ont pas diminué, en proportion de la vio-lence des
crises
, dont l'une a duré une journée entière. Après cet
-lence des crises, dont l'une a duré une journée entière. Après cette
crise
et durant quelques moments, madame x... n'y voyai
hromatopsie de l'œil gauche; le sommeil fait totalement défaut et les
crises
avec perte de connaissance continuent chaque jour
b-solue de la douche en pluie), l'appétit s'améliore un peu, mais tes
crises
continuent; elles ont lieu le soir vers sept heur
ses continuent; elles ont lieu le soir vers sept heures. Lorsque la
crise
se déclare avant qu'on ait-eu le temps de placer
out d'abord, par le choc électrique au moyen de l'appareil Gaiffe, la
crise
est interrompue. Les crises se ressemblent tout
trique au moyen de l'appareil Gaiffe, la crise est interrompue. Les
crises
se ressemblent toutes et offrent les caractères s
malade retombe dans l'immobilité tétanique qui inaugure une nouvelle
crise
. — Les attaques se succèdent ainsi pendant sept à
aques se succèdent ainsi pendant sept à huit heures. Tant que dure la
crise
, la malade est complètement insensible aux accide
la main gauche ne cèdent qu'assez longtemps (une heure) après que la
crise
est finie. La crise la plus effrayante que j'ai
ent qu'assez longtemps (une heure) après que la crise est finie. La
crise
la plus effrayante que j'aie observée eut lieu le
douleur céphalique, suivies du claquement de dents, précurseurs de la
crise
; enfin la rigidité complète survient. Tout cela e
n'entraînant plus la perte de connaissance, ni la même rigidité. Ces
crises
, d'ailleurs, étaient de peu de durée. Bien que
éri-sations ponctuées au fer rouge. Dès la première cautérisation les
crises
furent supprimées, les crampes utérines disparure
4. Les vomissements supplémentaires reparurent. Elle eut de nouvelles
crises
que nous n'avons pas été à même d'observer. Cet
ade habitait une ville du Midi. Elle habite aujourd'hui Paris, et les
crises
ont conservé le même caractère qu'au début de l'a
lement la malade ont remarqué chez elle, dès le matin qui précède les
crises
, une agitation et une inquiétude extrêmes. Elle n
dre un bain de sang. Elle reconnaît peu à peu les assistants, et la
crise
se termine par d'abon-dantes larmes. TREIZIÈME
èrement suivi. Au mois d'août, étant à Luchon, survient la première
crise
que l'on prend pour une crise néphrétique. — Les
t, étant à Luchon, survient la première crise que l'on prend pour une
crise
néphrétique. — Les règles vinrent avec quelques j
ours. Au mois de novembre 1878, quatre à cinq jours avant les règles,
crise
hystérique simple (boule hystérique, cris, grands
ugmentant de gravité et en se rapprochant de plus en plus des grandes
crises
. Vers la fin de janvier 1879, la grande attaque e
élioration. On n'observe plus pendant deux mois encore que de légères
crises
. Pendant un séjour à Vichy, au mois de juin 1879,
éâtre le soir même. De retour à Paris au mois de juillet, les grandes
crises
reparaissent avec la violence et les accidents va
ent anesthésique. Je pousse l'inhalation plus loin et je provoque une
crise
simple à la suite de laquelle toute contracture d
andes attaques que la malade a présentées, je joindrai le récit d'une
crise
légère et isolée dont j'ai été moi-même témoin, e
e demeurent contractures dans la situation qu'ils occupaient avant la
crise
; le faciès est immobile, les dents grincent forte
ations tantôt gaies, tantôt tristes. Il y a un quart d'heure que la
crise
est commencée, lorsque semble surve-nir une secon
e, puis à l'épaule ; elle se plaint. La connaissance est revenue ; la
crise
est terminée. Elle éprouve des douleurs très vive
. 19 mars 1 h. 26 — 1 h. 30 — 2 h. 28 avril 1 h. 29 — (deux
crises
) ^ te 3 h. 2° 2 h. 30 — (deux crises) /jr
28 avril 1 h. 29 — (deux crises) ^ te 3 h. 2° 2 h. 30 — (deux
crises
) /jre 1 h. 1/2 2e 1/2 h. 9 mai 2 h. 17 —
a moindre indisposi-tion. Je dirai, en terminant, que ses plus fortes
crises
ont toujours coïncidé avec l'écoulement difficile
mouve-ments, qu'elle ne peut dominer que momentanément, auquel cas sa
crise
s'accentue et ces grands mouvements ne sont que p
lisme, ex-tase, catalepsie); mais parfois, et indépendamment de toute
crise
, il y a eu de la catalepsie provoquée par le rega
n hystérique. — Catalepsie qui dura sept jours... etc. Au sujet des
crises
l'auteur s'exprime ainsi : « Les convulsions n'
a date du 20 avril 1838 (la maladie remontait à 1830) : « 20 avril.
Crise
violente pendant la nuit, cauchemar; elle croit v
n voit s'ajouter aux symptômes de l'hys-térie la mieux confirmée, des
crises
convulsives d'un caractère in-solite, des halluci
nstant je ne désire attirer l'attention que sur la forme spéciale des
crises
que présenta l'une de ces malades. On y trouvera
ite. C'est à la suite de ce dernier accident que ce sont montrées les
crises
dont elle souffre maintenant. Elle en a eu vingt-
mai de cette année elles sont revenues et ne l'ont plus quittée. Ces
crises
, au dire des parents et de la malade, sont de deu
une douleur et ne se rappelait rien de ce qui lui était arrivé. Cette
crise
, qu'on aurait pu appeler le petit mal, se prolong
ves de rechute et de retour à l'état normal. Dans l'intervalle de ces
crises
, elle restait souvent immobile, les yeux fixes, t
ntelligibles ou paraissant plongée dans une sorte de béatitude. Les
crises
de l'après-midi, qui commençaient en général vers
e, ou bien elle se moquait de tout, fie semblait croire à rien. Les
crises
avaient lieu soit en présence de sa domestique ou
ution et une surveillance conti-nuelle ont empêché les accidents. Les
crises
étaient plus ou moins répétées. Un jour nous en a
continuait la conversation au point où elle l'avait laissée. Plus les
crises
étaient fortes, plus l'appétit était vif; la mens
lectriques et une insensibilité complète pour le monde extérieur. Les
crises
, sous cette influence, devinrent très violentes,
vec retour incomplet de la connaissance. Puis de nouveau apparaît une
crise
convulsive instantanée, commençant par de la raid
s convulsions à l'âge de cinq ans. Depuis lors elle a toujours eu des
crises
de nerfs, les unes avec conservation, les autres
e qui l'y pousse, quoiqu'elle cherche à résister. Ce matin elle a une
crise
convulsive avec cris et grande agitation et se te
- reur se peint sur sonvisage qui est bouleversé. Après celte forte
crise
, tantôt la malade revient à elle définitivement,
fortes. Elle ne se souvenait pas après de ce qui s'était passé. Les
crises
se montraient principalement aux époques menstrue
Cette forme de l'hystérie correspond donc bien àl'hystéro-épilepsieà
crises
mixtes ou grande hystérie dont nous nous occupons
omplet développement, au moins en germe, dans l'exposé qu'il fait des
crises
de l'hystérie vulgaire. Il distingue trois degr
sez grand nombre d'accès. Les unes aperçoivent sans cesse, pendant la
crise
, l'objet qui a causé leur première frayeur; les a
mbres, de bêtes qui leur rongent les os, etc., etc. » Dans quelques
crises
, c'est une sorte d'extase ou de somnambulisme ; d
s presque en entier la description que Brachet (de Lyon)1 donne de la
crise
hystérique ordinaire,parce que les phénomènes qui
s; la troisième période est sommai-rement indiquée. « Symptômes des
crises
. Nous l'avons dit, nous allons présenter d'abord
ptômes des crises. Nous l'avons dit, nous allons présenter d'abord la
crise
la plus simple, pour y rattacher ensuite les phén
e. Nous parlerons ail-leurs des signes précurseurs ou prodromes d'une
crise
ou accès parce qu'ils ne sont pas constants. Le p
rise ou accès parce qu'ils ne sont pas constants. Le plus souvent une
crise
simple débute d'emblée, im-médiatement après que
hose, et quelquefois elles frap-pent la poitrine avec violence. Si la
crise
est forte, les mouvements du tronc le font bondir
ensité. Il y a par moment une rémission qui semble être la fin de' la
crise
, et pendant la-quelle la malade presque toujours
après une durée d'un quart d'heure, d'une ou de plusieurs heures, la
crise
cesse brusquement; ou bien les rémissions sont pl
rémissions sont plus longues, les redoublements moins violents, et la
crise
s'éteint insensiblement. Les malades étendent les
des borborygmes ont lieu : obmurmurant intestina.... « Telle est la
crise
hystérique dans toute sa simplicité, dépouillée d
fier, puis les larmes couler en abondance et constituer une véritable
crise
de sanglots, dans laquelle les malades recouvre
limite qui séparerait l'hystérie vulgaire, de l'hystéro-épilep-sie à
crises
combinées ou grande hystérie. Dans toutes les d
e l'accès hystérique, parce qu'en rapprochant les unes des autres les
crises
de larmes, qui existent seules dans la forme vul-
er pendant fort long-temps et se composer d'un nombre considérable de
crises
. M. Gharcot parle d'une malade dont Vétat de mal
, la période épi-leptoïde y est peu ou poini représentée, et toute la
crise
consiste en mouvements, souvent dîme violence ext
dant quelques instants, elles n'ont abouti qu'à provoquer bientôt une
crise
plus violenie. Les exemples de celte variété de
Paris, année 1836, p. 762. Cité par Landouzy, loc. cit. p. 57. Ces
crises
se répélèrent régulièrement pendant huit jours, c
raie (Vendée), assistait un accès. Voici ce qu'il dit : « La première
crise
avait toujours lieu très exactement à la même heu
e attention n'a pu me laisser supposer qu'il y eût rien de simulé. La
crise
cesse subitement; la malade répond alors aux ques
sieurs personnes pour la contenir. » Peiidanl cette aiinée 1842 les
crises
se manifestèrent tous les mois pen-dant huit jour
plus, elle entre à l'hos-pice des aliénés de Fontenay (Vendée). Les
crises
continuent avec les mêmes caractères et résistent
at de grossesse rendait encore plus impressionnable, eut aussitôt mie
crise
nerveuse très violente, et immédiatement après on
oint de vue. Cette malade âgée de dix-sept ans commença par avoir des
crises
hys-tériques nettement caractérisées. Au bout d'u
e juin survinrent des attaques de nerfs, des accidents hystériformes,
crises
qui se répéiaient vingt ou trente fois dans la jo
érison. Mais la malade avait annoncé, depuis plusieurs jours, que ces
crises
cesseraient le samedi (je la voyais le jeudi). Je
simulée et que son extase hebdomadaire se compose d'une succession de
crises
main-tenues dans un ordre constant par l'influenc
à 72. » Nous sommes obligés de parlir à notre grand regret; mais la
crise
doit durer jusque vers 6 heures; il nous est impo
re quelques notes et de nous les envoyer. En voici le résumé : » La
crise
a duré jusqu'à 6 h. 7 m., et pendant tout ce temp
t n'offre plus que 5G pulsations, puis il se relève et à la fin de la
crise
il est à 70, » De temps en temps la malade fait
elle fait des projets d'éva-sion. « Seulement deux mois sans avoir de
crises
, et je me tire des pieds. » {Hepos, L .. s'asseoi
urs. Puis le huitième jour (8 novembre), il fut pris subitement d'une
crise
nerveuse qui dura environ un quart d'heure et se
minutes, il se relevait et reprenait l'occupatron interrompue par la
crise
, n'ayant gardé aucun souvenir ni aucune trace de
trace de ce qui s'était passé. Nous avons assisté à plusieurs de ces
crises
, et nous en avons vu deux se terminer par un trem
anesthésie existait également dans les intervalles qui séparaient les
crises
. Le malade qui nous voyait lui traverser les bras
l allait, venait, vivait de la vie commune. Les jours suivants, les
crises
continuèrent et devinrent plus fréquentes et plus
10 novembre, M .. fut pris vers quatre heures de l'après-midi, d'une
crise
qui dura environ trois quarts d'heure : il se rel
ut aux hystériques femmes en état de mal : délire in-terrompu par des
crises
. La remarque nous en fut faite par un des assista
e-Anne le 16 novembre, revenu à la raison, mais tou-jours sujet à des
crises
. Depuis, l'état mental est resté bon; les crise
-jours sujet à des crises. Depuis, l'état mental est resté bon; les
crises
continuent avec les mêmes caractères qu'autrefois
ie de guérison. Nous Lavons encore revu en décembre; même état; les
crises
se pré-sentent une ou deux fois par jour. Le 15,
qui est maintenant dans son pays. Depuis une quinzaine, il a moins de
crises
, le voyage l'a dis-trait; mais il est survenu un
e s'épancher au dehors. A ces grandes exaltations succèdent de fortes
crises
hystériques, elle se débat en proie à des convuls
endre aussi. Celte voix parlait presque sans discontinuer tant que la
crise
durait, c'est-à-dire une demi-heure, un heure et
ndant la journée et les jours suivants, elle eut une vingtaine de ces
crises
. Tout ce temps entre-mêlé de rémissions, pendant
e artificielle, qui s'est prolongée longtemps et a amené la fin de la
crise
. L'examen des muscles par félectricité faradiqu
é.—L'excitation des points hystéro-épileptogènes ne provoquait aucune
crise
. La compression des ovaires demeurait également s
ystérogène. La femme de chambre raconte que la malade a eu quelques
crises
de nerfs. Elle a assisté à la plus violente : la
rchait à s'arracher les cheveux et frappait de la tête l'oreiller. La
crise
se termina au bout d'un quart d'heure par un somm
hement de tout autre provoquait infailliblement un redoublement de la
crise
. Ce fait paraissait si extraordinaire que l'on pa
parents et de son médecin. Je vois la malade à 9 heures du soir, la
crise
dure depuis 6 heures, et rien n'a pu l'enrayer. M
ux seins, ou sur le sommet de la tête provoque une exacerbation de la
crise
que nous ne parvenons pas à enrayer. Devant not
les yeux de la malade pour essayer la pression oculaire, je ramène la
crise
convulsive qu'il m'est impossible de faire cesser
é. Les investigations auxquelles nous nous étions livrés pendant la
crise
(jui venait d'avoir lieu, prouvaient bien que, qu
pérer. Après trois jours de l'usage de l'hydrothérapie méthodique les
crises
avaient complètement disparu et le pouvoir quasi
elque temps encore, la moindre émotion rendait imminent le retour des
crises
. J'insiste en terminant sur la valeur diagnosti
ans lui rendre la liberté de ses mouvements. Je trouve noté que les
crises
provenaient souvent sous l'influence des bruits i
trois ans, elle était bien portante, elle n'avait pas eu de nouvelle
crise
. Chez elle, le système musculaire était très diff
tout ce qui se passait ne pouvait se faire sans miracle, » Dans la
crise
elle avait les dents tellement serrées qu'on ne p
et quelques plaintes inarticulées. — Pendant toute la durée de cette
crise
, elle n'a rien pu avaler. L'anesihésie n'a pas ce
ler, de se mettre au lit, comme si elle avait le pressentiment que la
crise
allait cesser, et, à peine couchée, elle est pris
aladie reproduit l'état mental de la ma-lade dans l'intervalle de ses
crises
, comme nous avons vu, dans la description que nou
et exclusive-ment limité à son étendue. Enfin, si la malade, après la
crise
, se souvenait d'avoir vu ses enfants et de les av
'intérêt de cette observation. A 10 11. 1/2 du soir, 13 juillet, la
crise
arriva comme les jours précédents, avançant d'une
s courtes. A l'instant où je puis l'interroger, elle me répond que sa
crise
finira à quatre heures, et qu'il faut que je la r
alementensniie. Réveil à deux heures. 2 h. 10 minutes. — Nouvelle
crise
identique à la précédente, et qui se termine à 3
n d'un mouvement cadencé des pouces qui aura lieu dorénavant à chaque
crise
, jusqu'à la dernière. 10 h. 40 minutes. — Somna
réveil de quelques minutes. 2 h. 25 minutes. — Début de la seconde
crise
qui se termine à 3 h. 35 minutes. 28 juillet. —
ontrent l'accès de somnambulisme hystérique, pré-cédé, dans l'une, de
crises
épileptiformes, et, dans l'autre, qui a trait à u
s épileptiformes, et, dans l'autre, qui a trait à un jeune garçon, de
crises
convulsives avec sanglots et pleurs. I.—Voici l
adresse le jeune élève du lycéeX..., sujet, depuis quelque temps, des
crises
nerveuses hystériques. Samedi dernier, à cinq heu
on état habituel, sans fatigue aucune. 11 paraît qu'il a eu plusieurs
crises
de ce genre déjà, et dont la durée a été beaucoup
nir de ce qui s'est passé pendant l'accès. II. — Mademoiselle X....
Crises
de somnambulisme hystérique précédées d'accès épi
elle éprouve encore aujourd'hui, à savoir : somnambulisme spontané et
crises
hystériques épileptoïdes peu accentuées, esquissé
nambulisme débutent d'emblée ; d'autres fois, elles sont précédées de
crises
épileptoïdes avec tétanisme des bras, gon-flement
le somnambulisme com-mence. H paraît qu'autrefois, à l'origine, les
crises
épileptoïdes ont été plus vio-lentes et plus nomb
es ont été plus vio-lentes et plus nombreuses, s'entremêlant avec les
crises
de somnambulisme, sans qu'on ait pu préciser le m
ovarie, les hallucinations du jour, les cauchemars de la nuit, et les
crises
convulsives épileptiformes, même en l'absence de
l'hystérie. Les accès de somnambulisme ont été précédés parfois de
crises
épileptoïdes. Nous avons affaire ici à une hystér
s Annales de la Société méd. psych. une observation dans laquelle les
crises
de somnambulisme se terminaient par des convulsio
entées dans le but de magnétiser Lise, paraissent avoir déterminé les
crises
de somnambulisme. Cette jeune personne fut magn
valles encore éloignés. C'est une contrariété qui a amené la première
crise
, et c'est la même cause qui les reproduit depuis.
première crise, et c'est la même cause qui les reproduit depuis. Les
crises
durent depuis quelques minutes, jusqu'à un jour e
ourt intervalle, d'une autre attaque également très intense. Les deux
crises
sont tout à fait semblable^ à la première, elles
ntôt des accidents nouveaux surviennent; il est pris subitement d'une
crise
convulsive à l'église, pendant les cérémo-nies d'
ipal rôle, il survient, pendant qu'il monte un escalier, une deuxième
crise
semblable à la première, avec perte de connaissan
brassai comme si j'eusse été dans mon état naturel. Craignant quelque
crise
, on m'éloignade lui, et je dis alors qu'il ne m'a
qui par leur longue durée et leur persis-tance dans l'intervalle des
crises
méritent le nom de symptômes permanents. Ils cons
ux diverses applications dans les heures qui précèdent ou suivent une
crise
. La signification de ce fait est si constante, qu
e hystérique va être malade ou vient de l'être. Dans l'intervalle des
crises
le même fait peut se présenter sous l'influence d
aration complète qu'il convient d'établir entre l'hystéro-épilepsie à
crises
combinées ou grande hystérie et l'épilepsie vérit
distingué deux formes d'hystéro-épilepsie. L'une, hystéro-épilepsie à
crises
distinctes, dans laquelle les symptômes de l'hyst
ns des attaques parfaitement distinctes; l'autre, hystéro-épilepsie à
crises
combinées, dans laquelle les symptômes hystérique
stiques sur lesquels se base la dis-tinction de l'hystéro-épilepsie à
crises
combinées et de l'épilepsie véritable. J'ai déjà
s (attaques convulsives, ischurie, contracture permanente, dysphagie,
crises
névralgiques, etc.). Tous ces accidents ont cessé
s vu comment les inhalations d'éther provoquaient le plus souvent les
crises
d'altitudes passionnelles et même la catalepsie.
ise quelquefois la 4" période, surve-nait et durait jusqu'à ce qu'une
crise
incomplète revînt : puis assez rapidement les att
les attaques. La malade, prévenue par les prodromes qui annoncent les
crises
, demandait le compresseur qu'une fille de service
ompression de l'ovaire, qui arrête les attaques, peut, en de-hors des
crises
, déterminer la production des phénomènes dou-lour
n bruit violent -détermine un trouble, une émotion profonde, sorte de
crise
hysté-rique au début avec obnubilation de l'intel
même chez celles que le tam-tam impressionnait le plus en dehors des
crises
. Ceci prouve que l'anesthésie générale qui survie
us avons continué le traitement jusqu'à la disparition définitive des
crises
. Quant à notre pratique de la ville, elle a porté
fut plus de la même manière. Il Kurvint des hallucinations, et les
crises
semblèrent un lambeau de la grande attaqae hystér
des passionnelles. Le souvenir des hallucinations persistait après la
crise
, et des visions d'animaux (serpents) en marquaien
r, et elle demandait vivement qu'on l'en délivrixt. » Peu à peu les
crises
changèrent encore de forme; les enfants se mirent
œur de iMarie, âgée de neuf ans, est prise au mdieu de mai. Quand les
crises
la prenaient elle criait, ses yeux tournaient san
avait une énorme plaie en tra-vers de la cuisse. Elle eut ensuite une
crise
très violente et continua d'en avoir presque tous
é malade au commencement de juin. Voyant un jour ses trois sœurs en
crise
, il devint tout à coup comme égaré, s'empara d'un
nce pour le travail, pour la prière, pour se rendre à l'Eglise. Les
crises
ne débutèrent plus, comme chez les deux premiers
lui, il se transforme en oiseau et s'envole. D'autres n'ont eu des
crises
que parce qu'elles voyaient passer tous les soirs
ie est générale. Elles abusent du café noir. Une fois établies, les
crises
se renouvellent sans aucune régularité une ou plu
e sur le front (c'était lu prétendue rjîiquej, et à linstant môme une
crise
des plus violentes se manifesta. » (Constans, loi
eur tête reposait sur le sol en même temps que leurs pieds. » Cette
crise
dure plus ou moins, 10, 20 minutes, une demi-heur
u à peu moins ra-pides, quelques gaz s'échappent par la bouche, et la
crise
est finie. La malade regarde autour d'elle d'un a
gorgées d'eau, et reprend son ouvrage, si elle en tenait un quand la
crise
a commencé; presque toutes disent n'éprouver au-c
ou de scènes du sabbat.» (Constans, 'oc. cit., p. 55.) A côté de la
crise
qui vient d'être décrite et qui est la plus commu
), âgée de trente-huit ans, malade depuis rois ans, aboie pendant ses
crises
, elle attribue sa maladie à un verre de vin (u'el
... (Jeanne), âgée de trente-sept ans, non mariée, est celle dont les
crises
ifférent le plus. Elle n'a point de ces mouvement
s autres, et elle ne parle presque jamais. Dés qu'elle sejjt eiiir sa
crise
, ede va s'asseoir, et se met à balancer la tête d
esser ou de la fléchir. » Une autre, dans les derniers temps de ses
crises
« ne pouvait se tenir sur ses jambes, ni à peine
état de la sensibilité était à peu près nor-mal dans l'intervalle des
crises
; mais, pendant l'accès, l'anesthésie ne faisait j
me vivement repoussé, et je n'ai jamais pu obtenir la cessation d'une
crise
par son usage : il est vrai que je n'ai jamais pu
x et brandissant une hache, dit qu'il allait lui couper le cou, si sa
crise
ne finissait pas à l'instant, et si elle devait e
e finissait pas à l'instant, et si elle devait en avoir d'au-tres. La
crise
finit et ne se renouvela pas. Un autre homme, q
forme de la maladie. Les accès de convulsions devinrent de véritables
crises
démoniaques avec rage, fureur, blasphèmes et déli
ns présenter les signes du raptus extatique; l'explosion d'une simple
crise
hystérique suffisait pour les jeter tout à coup d
ups que les convulsionnaires se faisaientadminislrer au fort de leurs
crises
, portaient le plus souvent sur le ventre. Les pié
empruntons au docteur John Chapman, on remarquera que le début de la
crise
commençait par une sorte de léthargie avec perte
tient à la période des contorsions y est également signalé. Enfin les
crises
étaient parfois suivies de mutité do surdité, de
ordres d'idées différents se remplaçant et se succédant dans une même
crise
, l'ordre gai et l'ordre triste. « Les caractère
erise sur le rôle des émotions dans la vie de la femme. En dehors des
crises
extatiques, Marie de Mœrl avait présenté des sign
extases et l'abstinence prolongée, je ne désire insister que sur les
crises
extatiques, parce qu'elles présentent de grandes
ncore allumé dans le four et que, pendant qu'il était en proie à sa
crise
d'épilep- sie, ses vêtements se seront enflammé
on..., obsessions presque incessantes depuis plusieurs mois; et les
crises
angoissantes auxquelles elles donnaient lieu, o
l importe de distinguer soigneu- sement ces états mélancoliques des
crises
d'obsessions subin- trantes, qui semblent empié
pantalons étroitement fermés et serrés aux genoux, pour calmer les
crises
angoissantes, dont la volonté et le raisonnement
auteur restait inconnu. Cette lecture provoqua chez lui d'abord une
crise
de ses obsessions habituelles, puis, quelques j
t finit par affirmer : « Je me souviens ! » Quelques jours après la
crise
, elle juge sainement les choses et se dit : « S
e du contact de choses répu- gnantes. Intermittentes d'abord, les
crises
obsédantes se sont de plus en plus rapprochées,
ession, qu'un certain groupe de symptômes directement reliés à la
crise
obsédante, et si l'on veut pénétrer plus avant da
de la conscience n'en existe pas moins déjà dans l'intervalle des
crises
, comme à l'état latent, constituant une sorte de
ine présente un malade atteint d'épilepsie jaksonienne, dont chaque
crise
présente des phénomènes différents (parésie d'u
inion de A. Broca qui préconise l'intervention systématisée. Or les
crises
ont diminué sous l'influence de la tré- panatio
Ce malade éprouve à propos du froid, d'efforts, du vent, etc., des
crises
d'angine de poitrine très douloureuses au cours e
ujet de l'intermittence d'anesthésie radiculaire alternant avec des
crises
gastriques chez des tabétiques. M. P. Richer
quelquefois lentess constantes , quelquefois rapides sous forme de
crises
. Quant au caractère inné, il repose sur le temp
surveillance exercée sur elle. a Hier matin, elle fut prise d'une
crise
furieuse qui attira les voisins. Ceux-ci, sacha
ide, mais d'un accident. Le malheureux, en effet, était sujet à des
crises
terribles d'épilepsie. Hier matin même, terrass
traitement. Il se peut donc qu'à nou- veau il ait été victime d'une
crise
au moment où il passait près du rouleau. L'enqu
ncore allumé dans le four et que, pendant qu'il était en proie à sa
crise
d'épilelt- sie, ses vêtements se seront enflamm
er après une deuxième visite à sa fille, elle présente une nouvelle
crise
halluci- cinatoire qui dure quelques jours, les
se suppléent à des époques plus ou moins éloignées ; soit enfin des
crises
paroxystiques de ces syndromes alternant de tem
ient à un tel point que la malade s'évanouissait, d'autres fois des
crises
de larmes la soulageaient. C'était la véritable
res fois des crises de larmes la soulageaient. C'était la véritable
crise
hystérique, qui avait fait son apparition d'une
ntre, hyperesthésie dans la région des ovaires, boule hysté- rique,
crises
nerveuses, évanouissements et tremblements muscu-
ndant son séjour à l'asile, elle n'a d'ailleurs jamais eu de vraies
crises
complètes comme auparavant. Peu à peu, et gra
zarre; parfois elle devenait sombre et par moments pré- sentait des
crises
de rires et de larmes sans motif. A l'âge de do
i- citie, perversion de l'instinct accompagnant l'acte délictueux ;
crises
hystériques. Marie-Louise F..., âgée de quara
l était alcoolique. Son père, hystérique, est mort à la suite d'une
crise
; était porté souvent aux idées noires et restait
a malade s'est suicidée à l'âge de vingt-quatre ans. Elle avait des
crises
hysté- riques et à la suite d'une de ces crises
ans. Elle avait des crises hysté- riques et à la suite d'une de ces
crises
elle s'est noyée. Une autre est morte phtisique
à l'école jusqu'à l'âge de quinze ans; c'est à cette époque que les
crises
hystériques firent leur appari- tion. Elles éta
rmillements dauslos bras, elle devenait anxieuse et finale- ment la
crise
éclatait. Elle se caractérisait par un gonfleme
ique n'est marquée par aucun événement important. Petit à petit les
crises
se répètent plus souvent et la rendent incapable
ne difficulté pour s'exprimer. A l'âge de vingt ans, à cause de ses
crises
hystériques répétées et de chorée, la malade fu
le maniement de la soie l'énervait énormément et lui provoquait des
crises
presque chaque semaine. Toujours à cet âge elle
vaillant plus la soie qui la rendait nerveuse et lui provoquait des
crises
répétées. Malgré tout, elle restait sujette à l
is de prison. Elle accomplissait cette peine, quand, à la suite des
crises
répétées qui la rendirent trop malade, elle fit v
, elle fut reprise par l'idée de suicide, survenue à la suite d'une
crise
hystérique. Elle sortit de chez elle et se diri
). Gonflement considérable du sein droit chez une femme à petites
crises
. Ce gonflement. s'exagère sous l'influence des ém
etc. L'anémie cérébrale en résulterait. On peut penser aussi à une
crise
d'épilepsie larvée, dont le pico- tement nasal
it ans et s'était accompagnée ultérieurement d'hémia- thélose et de
crises
épileptiques. D'après les antécédents trouvés d
ration de l'état général, apparition de la puberté, disparition des
crises
épileptiques maintenue pendant huit mois conséc
s REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 189 facultés intellectuelles avec
crises
d'épilepsies jaksoniennes, entra de nouveau à l
vec hémiathé- tose, affaiblissement des facultés intellectuelles et
crises
d'épilep- sie jaksonienne. Elle contracta alors
à huit ans, puis s'était bien porté. A dix-neuf ans, il est pris de
crises
convulsives épileptiformes, suivies de con- fus
ai 1900, et mort dans leur service en quelques heures à la suite de
crises
convulsives généralisées, subin- trantes de car
ier qui a du saturnisme chronique depuis l'âge de vingt-quatre ans (
crises
fréquentes de coliques de plomb ; accidents d'e
térectomie abdominale qui avait demandé de longs mois à guérir, une
crise
de mélan- colie aiguë avec tendance au suicide,
on particulière, sorte d'aura qui fait dire au malade : «je sens ma
crise
venir », et laissant après leur explosion, non
e cependant que la-grande névralgie faciale débute d'emblée par des
crises
de cette nature, et il est beau- coup plus fréq
ses de cette nature, et il est beau- coup plus fréquent de voir ces
crises
précédées pendant quelques semaines ou quelques
la netteté mathématique indiquée par les classiques. Au moment des
crises
, il existe presque toujours une hyperesthésie g
otera bien souvent que cette hyperesthésie évolue parallèlement aux
crises
douloureuses; très intense pendant les accès le
, peu intense et diminuée, mais jamais totalement abolie, quand les
crises
sont devenues tout à fait rares. Phénomène cons
inaperçue, mais que l'on constate chez quelques malades au cours de
crises
violentes et prolongées. Quand elle existe, cet
rquée que le malade traversait une période plus douloureuse de sa
crise
. Dans les périodes d'analgésie, elle disparaît co
ype grave est de revenir à des époques indéterminées, sous forme de
crises
plus ou moins rapprochées les unes des autres,
malades revenir par série consulter et déplorer le retour de leurs
crises
. L'autre cause est l'appari- tion de la période
ophtalmique. Mais ce malade nous confia qu'en dehors de ses grandes
crises
habituelles il souffrait à certains moments de
type de névralgie 1 Chez un autre malade franchement tabétique, les
crises
névralgiques présentèrent pour nous la même sig
ngs que ceux qui existaient avant le traitement, et ensuite que les
crises
douloureuses ne se montrent plus, ni avec la mê
un argument suffisant quand il s'agit d'expliquer la diminution des
crises
spasmodiques et en par- ticulier du tic doulour
lit le diagnostic de tumeur cérébrale. La malade succomba dans une
crise
épi- leptoïde. A l'autopsie, on trouva.une tume
ujets atteints de mal de Pott listuleux. A. Fenayrou. XXVIII. Les
crises
laryngées tabétiques dans leurs rapports avec les
Les crises laryngées tabétiques dans leurs rapports avec les autres
crises
viscérales du tabès ; par M. Touche {Presse médi-
dont il rapporte brièvement les observations, qui ont présenté des
crises
laryngées. Un seul de ces 12 'malades n'avait pro
s laryngées. Un seul de ces 12 'malades n'avait probablement pas de
crises
viscérales autres ; des 11 autres, 10 ont eu des
ment pas de crises viscérales autres ; des 11 autres, 10 ont eu des
crises
gastriques (parmi eux, 2 ont été atteints à la
u des crises gastriques (parmi eux, 2 ont été atteints à la lois de
crises
gastri- ques et de crise de diarrhée, ont prése
armi eux, 2 ont été atteints à la lois de crises gastri- ques et de
crise
de diarrhée, ont présenté à la fois des crises
es gastri- ques et de crise de diarrhée, ont présenté à la fois des
crises
gastriques et des oises rectales, 1 a souffert
crises gastriques et des oises rectales, 1 a souffert à la fois de
crises
gastriques, de crises de diarrhée et de crises
des oises rectales, 1 a souffert à la fois de crises gastriques, de
crises
de diarrhée et de crises rectales) et le onzième
ouffert à la fois de crises gastriques, de crises de diarrhée et de
crises
rectales) et le onzième a été atteint seulement
hée et de crises rectales) et le onzième a été atteint seulement de
crises
de diarrhée. L'auteur conclut de ces faits : qu
ement de crises de diarrhée. L'auteur conclut de ces faits : que la
crise
laryngée est fréquente, qu'à l'état d'isole- me
nt, elle est rare; que, le plus habituellement, elle est doublée de
crises
du tube digestif; dans l'immense majorité des cas
lée de crises du tube digestif; dans l'immense majorité des cas, de
crises
gastriques ; très exceptionnellement, de crises
ajorité des cas, de crises gastriques ; très exceptionnellement, de
crises
de diarrhée à l'état isolé; assez fréquemment,
lement, de crises de diarrhée à l'état isolé; assez fréquemment, de
crises
gastriques associées à des crises rectales et à
état isolé; assez fréquemment, de crises gastriques associées à des
crises
rectales et à des crises de diarrhée. A. Fenayr
ment, de crises gastriques associées à des crises rectales et à des
crises
de diarrhée. A. Fenayrou. XXIX. Sur une forme r
s'n'existant pas d'une façon con- tinue, et survenant seulement par
crises
de quinze jours ou trois semaines, avec des int
aines, avec des intervalles de repos peu prolongés cepen- dant. Ces
crises
sont extrêmement intenses, rendent la mastica-
d'ailleurs un certain degré d'hypersécrétion salivaire après chaque
crise
de même qu'un écou- lement abondant de larmes.
être mise en cause, bien que la malade ait eu, il y a dix ans, une
crise
de nerfs, et se souvienne, avoir eu « la boule ».
prophylactique. Juin'1901 : Les chaleurs sont mal supportées; deux
crises
dou- loureuses de cinq jours chacune; la malade
Etat très satisfaisant. Les règles de juillet sont précédées d'une
crise
douloureuse du 22 au 27 juillet. A partir de ju
upportés. Elle a trouvé une amé- lioration considérable des petites
crises
résiduelles parles séances de trente minutes. E
elques élancements au voisinage de l'oeil. En novembre, éprouve une
crise
très forte à la suite du brouillard. Cette crise
embre, éprouve une crise très forte à la suite du brouillard. Cette
crise
a duré trois semaines et a été l'une des plus v
amené aucun soulagement. La malade déclare avoir eu quelquefois des
crises
qui paraissent 342 CLINIQUE NERVEUSE. avoir é
is des crises qui paraissent 342 CLINIQUE NERVEUSE. avoir été des
crises
d'hystérie fruste, mais qui cependant n'ont pas
ts dans le maxillaire inférieur, existant d'une façon continue sans
crise
aucune. Ces douleurs n'existaient qu'au moment
s repas, ce qui rendait la mastication très pénible. Un mois après,
crises
de névralgie faciale vraie. Un peu plus tard sont
ie. Un peu plus tard sont apparues des douleurs du côté opposé. Les
crises
se produisaient nuit et jour avec intermittence
prochées, et se produisant toutes les cinq minutes. Etat actuel. La
crise
est annoncée par un léger picotement. La malade
nt. La malade se raidit pour essayer de lutler, mais néanmoins la
crise
survient qui augmente insensiblement d'intensité
se tuméfie. Le tissu cellulaire sous-cutané s'indure. Au moment des
crises
existe un point douloureux, une sorte de picote
aissie et tuméfiée à la malade, mais cet état diminue au déclin des
crises
. La face du côté gauche est hyperesthésiée au m
des crises. La face du côté gauche est hyperesthésiée au moment des
crises
, mais dans leur intervalle il n'y a aucun troub
été obligée de rester à la chambre. Le 15 mars elle est prise d'une
crise
de coliques hépatiques qui dure quarante-huit h
? juillet, après un mois de ce traitement, la malade trouve que les
crises
sont beaucoup moins longues qu'autrefois, les d
isant. Nous revoyons la malade en novembre au sortir d'une petite
crise
qui a duré huit jours, mais qui n'a égalé en inte
e qui a duré huit jours, mais qui n'a égalé en intensité aucune des
crises
antérieures. En dehors de cette crise la malade d
galé en intensité aucune des crises antérieures. En dehors de cette
crise
la malade déclare n'avoir que des phénomènes do
r que des phénomènes douloureux rares et très supporta- bles. Les
crises
n'ont pas la moitié d'intensité qu'elles avaient
avril, période douloureuse qui dure jusqu'au 25, et depuis lors les
crises
vont en diminuant d'intensité et s'éloignent pe
celles-ci se produisent, elles ne sont que passagères. Une petite
crise
survient en octobre 1901 assez violente pour fa
ent épouvantables, l'obligeant à crier. Pendant tout le temps de sa
crise
, il reste sous le coup d'une angoisse extrême. La
opérations que le malade a subies n'ont pas diminué le nom- bre de
crises
, mais peut-être atténué leur intensité. Les doule
ec une four- chette ou même la pointe de la langue pour susciter la
crise
. Aussitôt surviennent des élancements douloureu
s, brèves, puis la douleur s'en va en fuyant progressivement. Cette
crise
dure une demi-minute. Lorsque j'ai un accès, ce
minute. Lorsque j'ai un accès, cet accès est composé d'une série de
crises
analogues PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA. NÉVRA
FACIALE..347 revenant en moyenne toutes les minutes ». Lorsque les
crises
sont très violentes, le malade prend un purgati
15 octobre, la période algique fait de nouveau son apparition. Les
crises
sont constantes, violentes et surviennent nuit
poursuit assez régulièrement. Il y a cependant de temps à autre des
crises
violentes, mais celles-ci sont moins intenses q
es-ci sont moins intenses qu'avant le traitement électrique. Grosse
crise
douloureuse au mois d'avril 1901 qui dure une qui
partir du 21 juillet 3118. CLINIQUE NERVEUSE. 1901, et après une
crise
douloureuse assez forte qui a duré quatre jours
* remarquer qu'il a déjà eu des périodes complètement dépourvues de
crises
et que la plus longue de ces périodes a été de
n intensité et en étendue. Les douleurs se présentent sous forme de
crises
à intervalles irréguliers cinq à six fois par j
irréguliers cinq à six fois par jour environ. Avec le temps, les
crises
deviennent de plus en plus intolérables. Au mois
quelconque, soit pour se baisser, soit pour se lever, provoque une
crise
. Cette crise dure un temps variable; la durée m
it pour se baisser, soit pour se lever, provoque une crise. Cette
crise
dure un temps variable; la durée maxima a été de
durée maxima a été de une heure et demie; d'ordinaire cependant la
crise
dure quelques minutes. La malade a essayé de
es, 4 milliampères). Après la 56e séance, la malade déclare que les
crises
sont aussi nombreuses qu'avant le traitement, m
peut-être moins fréquentes la nuit qu'autrefois. « En tout cas, les
crises
, au lieu de durer une demi-heure, ne PARTICULAR
milieu de ce mois. D'ordinaire elles se présentent sous la forme de
crises
, de douleurs aiguës en coup de fouet, sans aura
vralgie, sont apparus des troubles gastro-intestinaux survenant par
crises
et caractérisés par constipation opiniâtre, éruct
a malade » vomissements pituiteux et glaires, surtout au moment des
crises
douloureuses, mais pas exclusivement matutinale
tonifier, de l'eau de mélisse et de la menthe; chose curieuse, ces
crises
douloureuses produisent sur la névralgie une so
durée minima) l'amélioration se produit au dire de la malade. Les
crises
sont plus rares et les douleurs moins violentes.
pression la plus minime sur la figure qui provoquait à coup sûr une
crise
. Chose remarquable PARTICULARITÉS CLINIQUES DE
rquable PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 351 les
crises
se succédaient sans périodicité aucune. Il fut tr
s la forme de douleurs en zig-zag, mais, caractère particulier, ces
crises
dou- loureuses sont toujours entrecoupées d'int
l existe de temps à autre des périodes où apparaissent de petites
crises
d'un caractère spécial survenant régulièrement le
'a pas continué à épronver de douleurs. Il s'est produit une petite
crise
cependant, vers le mois de janvier 1902, au mom
au bout de quelques mois elles ont procédé avec intermittences, les
crises
étant séparées par un intervalle de trois à qua
et chaque accès durant envi- ron une trentaine de minutes. Quand la
crise
approche, la malade la devine par une lassitude
marteau extrê- mement violents, à des secousses électriques, et la
crise
se termine généralement par un épiphora abondan
aucun. L'air vif, le contact de l'eau, la mastication rappellent la
crise
. Le point de départ de la douleur, parait être
ve ni salivation anormale; mais la malade déclare que pendant les
crises
très violentes il y a suppression complète de l'é
re. Le 23 septembre elle nous déclare n'avoir plus que de petites
crises
faibles et rares. A partir de ce moment, cette ma
es dans les accès les plus forts. Hypersécrétion lacrymale quand la
crise
est violente. Étiolroqie. Rien de particulier d
la malade éprouve un grand sou- lagement, n'ayant plus que quelques
crises
rares, de peu de durée et de peu d'intensité. A
cembre 1902). E. Blin. XVI. Paralysie générale à marche rapide avec
crises
d'angoisse; par le D LONDE. Il s'agit d'un ta
comme neurasthénique et dyspeptique depuis des années, chez qui une
crise
d'anxiété avec angoisse précordiale et tachycar
d'une fièvre typhoïde. Des impul- sions violentes ont compliqué les
crises
après l'échéance de la puberté. Ils sont sujets
Ils sont sujets à des rêves érotiques coïncidant avec les séries de
crises
; la série aboutit à une ou plusieurs impulsions
nisme. Inversement on peut rapprocher ces cas de coïts éveillant la
crise
comitiale, tels que ceux relatés par Féré. Les
Car il n'y a point, dans l'émission de l'urine concomitante de la
crise
, un simple phénomène d'expulsion, dû au contact d
ui va fondre sur lui à l'improviste; 408 CLINIQUE MENTALE. 3° Des
crises
d'angoisse aiguë, dans lesquelles l'anxiété hab
profuses, crampes stomacales et intestinales, ténesme, etc. ; Ces
crises
peuvent être incomplètes et n'offrir qu'un symp-
s profuses, le ténesme vésical ou anal : d'où autant de variétés de
crises
rudimentaires : crise cardiaque, crise respirat
vésical ou anal : d'où autant de variétés de crises rudimentaires :
crise
cardiaque, crise respiratoire, crise gastrique,
d'où autant de variétés de crises rudimentaires : crise cardiaque,
crise
respiratoire, crise gastrique, crise vési- cale
étés de crises rudimentaires : crise cardiaque, crise respiratoire,
crise
gastrique, crise vési- cale, etc.; 4° Des équ
dimentaires : crise cardiaque, crise respiratoire, crise gastrique,
crise
vési- cale, etc.; 4° Des équivalents de crise
e, crise gastrique, crise vési- cale, etc.; 4° Des équivalents de
crises
, représentés par desparesthé- sies, des terreur
anxiété grandit et augmente jusqu'à l'angoisse aiguë, survenant par
crises
, durant lesquelles elle étouffe, pleure, se dés
gestifs. Entérite muco-membraneuse. Insomnie. Dans l'intervalle des
crises
anxieuses, bien que toujours inquiète et décour
ptômes ont disparu. Ceux de la névrose d'angoisse attente anxieuse,
crises
d'angoisse, obsession ont subsisté pour ne s'am
conscience d'une façon chro- nique. En même temps apparaissent des
crises
d'angoisse aiguë, survenant soit la nuit sous f
abli, reprend son voyage. Au début du mois d'août suivant, nouvelle
crise
. Le malade est brusquement réveillé la nuit par
est brusquement réveillé la nuit par une peur indéfinissable. Ces
crises
se répètent les nuits suivantes et il en reste de
alme au bout d'une demi-heure environ. Quatre jours après, nouvelle
crise
nocturne qui dure quatre heures. Le malade est
ès grave, et ne peut plus dormir sans lumière. Les nuits suivantes,
crises
noc- turnes. Les journées sont assez calmes, ma
rs par une consultation médicale, l'angoisse reprend bientôt et les
crises
se renouvellent toutes les nuits, avec la terre
ne, du repos, de l'hydro- thérapie, du massage, etc,. Amélioration.
Crises
moins fréquentes et moins fortes. Mais l'angois
îtriser jusqu'à la chute du rideau. En somme, depuis une année, les
crises
sont moins fortes qu'au début, mais beaucoup pl
novembre dernier, il est en outre sujet à des troubles intestinaux,
crises
de coliques, diagnostiquées comme névropathique
mes qui, après une ou plusieurs couches nor- males, contractent des
crises
d'épilepsie, d'hystérie, etc., et accou- chent
cause de leurs habitudes malpropres, ou surveiller à cause de leurs
crises
. L'asile ne contient que trente chambres séparé
e psychique provoque, avec des idées de suicide, la première de ces
crises
; depuis lors, les accès revien- nent à l'anniv
t et à celui de leur première rencontre. Au sur et à mesure que ces
crises
se répètent, elles se font plus longues et plus
s laissent après elles des troubles vatiespendant une quinzaine. La
crise
de mars 1902 ne s'est pas terminée; au mois de
deux mois son poids s'est élevée de 40 à 48 kilos. Cette fois, la
crise
qui survenait d'ordinaire au début du mois de mar
ervation d'une malade qu'il traite en ce moment et qui présente une
crise
d'anorexie hystérique, chaque année à l'anniver
session, il faut que cette phobie, au lieu de se manifester par des
crises
d'angoisses inter- mittentes, avec calme comple
synthèse clinique, j'ai cherché à établir l'origine psychique « des
crises
d'hystérie générale et locale dans leurs nom- «
entes formes cliniques du tremblement. G. C. LXXVI. Paralysies et
crises
laryngées dans le tabes ; par M. COLLET (Sociét
. Collet a pu réunir trois observations de tabes avec paralysies et
crises
laryngées, qui lui suggèrent les conclusions suiv
ntes : 1° La paralysie des dilatateurs de la glotte peut simuler la
crise
laryngée. Il faut donc analyser de près les sym
analyser de près les symptômes avant de conclure à l'existence des
crises
laryngées ; 2° La paralysie des dilatateurs de
ngées ; 2° La paralysie des dilatateurs de la glotte prédispose aux
crises
laryngées, les rend plus fréquentes et plus gra
nce, c'est-à-dire abolition de la conscience pendant la durée de la
crise
. Si la maladie est ancienne et a subi de fréque
rempli d'eau. Le malheureux, qui était épileptique, fut pris d'une
crise
et tomba dans le fossé. Quand on le retira, il av
du-, par l'elmar et Skalitka, 457. Corps thwioide. Voir Basedow.
Crises
laryngées 'l 1]3erIQUES dans leurs rapports ave
rises laryngées 'l 1]3erIQUES dans leurs rapports avec les autres
crises
viscérales du tabès, par Touche, 273. Crimine
cidiviste. La prophylaxie et le traitement du-, par More), 314.
Crises
d'angoisse. Voir Paralysie. Cruauté. Voir Volup
ale. Voir 7'"iA<'o<) ! ft/oe. générale a marche rapide avec
crises
d'angoisse, ])arLon()e. 373. - fiasque avec dis
catelu,183. Pathogénie du , par Guillait et P. Marie, 201. - Voir
Crises
. Nouveau cas de fruste chez un n syphilitique
la suggestion sur le haschischéen! Que vous dire de plus? Quand les
crises
cessèrent, quand jo revins dans mon état normal,
me trouver : le mari endort souvent sa femme qui serait sujette à des
crises
extatiques. Pour faire une expérience, je prie
presque complet, et d'une grande prostration physique et morale avec
crises
de larmes, etc. Je pensai qu'il devait y avoir
rs cas d'aliénation mentale sont relevés dans sa famille. Plusieurs
crises
de grande hystérie que nous avons pu observer che
galement nerveuse, mais tans qu'il puisse dire si elle a jamais eu de
crises
. Il a un frère et une sœur très irritables. trè
s. très Impressionnables ; ils pleurent facilement, mais n'ont pas de
crises
. Dans les antécédents morbides du malade, on ne r
te d'une vive douleur morale, il eut pour la première fois une grande
crise
; il ressentit une violente céphalalgie, occupant
onnements, mais ne percevant pas ce qu'on dirait autour de lui. Cet
crises
se répétèrent quatre ou cinq fois par au, pendant
ymptômes. Il ne les prévoyait pat. Puis, tout se calma peu à peu; les
crises
ne se reproduisirent plus, mais le malade resta f
stai plus faible et plus nerveuse qu'avant la maladie, en proie à des
crises
effrayantes. « Désespérée, je résolus de ne plu
rtaines hostilités venant de la famille amenèrent plus d'une fuis des
crises
hystériques épouvantables, après lesquelles tout
, l'émotion de Mme D... fut trop forte, et elle tomba dans une grande
crise
convulsive qui dura quarante-huit heures. Au réve
de crise convulsive qui dura quarante-huit heures. Au réveil de cette
crise
terrible. Mme D... se trouva dans un état intelle
ns les plus normales sont douloureusement ressenties. A mesure que la
crise
d'abstinence se développe, les souffrances prenne
tômes à l'usage de la morphine. Entrée a la Charité en 1888, pour ses
crises
nerveuses, elle y fut traitée par des injections
veillai ses douleurs. 11 tomba à la renverse et eut immédiatement une
crise
de larmes. Je recommençai quelques jours après, e
datures sont adoptées à l'unanimité. La contagion hystérique et les
crises
par imitation Par le IV Pan. JOIRE (de Lille).
oin cher un autre malade. Nous y ajouterons cette condition, que la
crise
seconde, ou imitation, présente avec la crise pre
cette condition, que la crise seconde, ou imitation, présente avec la
crise
première, ou imitée, certaine ressemblance, certa
ou ces symptômes, qui forment le point capital de l'imitation dans la
crise
imitatrice, peuvent être, dans la première, absol
t indépendants de la névrose hystérique. Ils peuvent appartenir à une
crise
morbide, de nature absolument différente ; être u
bsolument de circonstances fortuites et indépendantes à la fois de la
crise
et du sujet. Quelle que soit leur nature, ils n
le que soit leur nature, ils n'en seront pas moins reproduits dans la
crise
seconde d'une façon absolument identique, mais av
as dans le second et se trouve ici remplacée uniquement par l'état de
crise
hystérique bien déterminé. Ces conditions génér
t les autres caractères cliniques de la contagion hystérique ou de la
crise
par imitation. Il faut d'abord bien se garder d
oujours plus ou moins imparfaite. ¿1 la simulation a pour objet une
crise
ou les symptômes d'une maladie, il s'y mélange de
ns inconsciente, par l'imagination du simulateur. Le début de celle
crise
arrive sans prodromes, à l'improviste en apparenc
ence; mais, en réalité, au momeut choisi par le simulateur. Jamais la
crise
simulée ne se produit lorsque le malade se trouve
ertain nombre de témoins et plus ou moins en évidence; quelquefois la
crise
se reproduira toujours devant les mêmes personnes
a toujours devant les mêmes personnes. Dans la majorité des cas, la
crise
simulée ne subit aucune transformation et ne devi
la crise simulée ne subit aucune transformation et ne devient pas une
crise
véritable d'un caractère nouveau. Elle cesse comm
simulateur ou par ton manque de volonté pour la continuer. Dans 1«
crise
par imitation, au contraire, il n'y a pu de simul
n'y a pu de simulation. Les prodromes sont les mêmes que ceux d'une
crise
vulgaire et sont apparenta pour le malade comme p
ont apparenta pour le malade comme pour son entourage. Le début de la
crise
pourra se produire aussi bien lorsque la malade s
cune régularité, ni pour le temps, ni pour le lieu de l'attaque. La
crise
est réelle. Son débat arrive fatalement, indépend
atalement, indépendamment de tout effort de la volonté du sujet. La
crise
suit son cours, et le malade ne peut de lui-même
ntre elles. Il n'y a pas de ces exagérations flagrantes comme dans la
crise
simulée. Mais voici qu'à la fin de l'accès la s
omme dans le premier cas. Spontanément et d'une façon graduelle, la
crise
se transforme. Les symptômes étrangers se fondent
secousse brusque, dans les divers cléments de l'une des formes de la
crise
hystérique, et ordinaire-ment dans celle de ces f
lentement et suivant le mode habituel correspondant à la forme de la
crise
névropathique. Nous savons maintenant que celte
gion hystérique, qui aboutit à l'imitation ou à la reproduction d'une
crise
ou d'un fait produit par un autre? malade, est le
on dans le suicide, comme, ainsi que nous l'avons vu, dans toutes les
crises
imitées, affecte en général la plus bizarre fidél
emmes qui se trouvaient prises tous les jours, a la même heure, d'une
crise
des plus singulières par sa nature et par son uni
é. C'en fut assez pour frapper ces imaginations malades et arrêter la
crise
épidémique dans son cours. L'histoire de la mai
tant filles que garçons. On employa bien des moyens pour arrêter ces
crises
, mais sans succès. Enfin, on eut l'idée de faire
trop célèbre épidémie de démonopathie des religieuses de Loudun, les
crises
présentaient une forme identique et reproduisaien
n reste un exemple des plus remarquables de la contagion de la grande
crise
hystéio-épileptique, et, chez d'autre», des carac
par la complexité des détails qui se sont trouvés reproduits dans la
crise
seconde. Il s'agit d'un accès de coliques hépat
n trouvée et a eu des accès moins nombreux. Depuis quelques mois, les
crises
de coliques hépatiques ont repris et se répètent,
s l'influence d'accès répétés de coliques hépatiques, est prise d'une
crise
d'une violence inouïe. L'accès dure sept heures
ans un geste caractéristique et inoubliable pour les témoins de cette
crise
violente. Pendant que la crise se prolongeait ain
inoubliable pour les témoins de cette crise violente. Pendant que la
crise
se prolongeait ainsi et que la douleur arrivait a
ne et vers le bas-ventre. Nous remarquions-aussi, au cours de cette
crise
, que la malade portait fréquemment la main au som
i pouvait le plus frapper les assistants a cette scène. Après celte
crise
, des le soir et le lendemain, se produisit un ict
homme âgé de vingt-trois ans, avait assisté à une grande partie de la
crise
traversée par sa sœur. Ce jeune homme, qui est
s différentes, nous avions observé chez lui antérieurement de grandes
crises
convulsives qui étaient de véritables attaques d'
attaques d'hystérie. Ce jeune homme avait été vivement frappé de la
crise
dont ¡1 avait été témoin, et les jours suivants i
rs vagues et d'une grande faiblesse. Huit jours exactement après la
crise
dont il avait été témoin chez sa sœur. il est pri
ise dont il avait été témoin chez sa sœur. il est pris lui-même d'une
crise
. Au début, ¡1 accuse aussi des douleurs dans le
donner la preuve d'une origine différente. Les moindres détails de la
crise
précédente se reproduisent ; c'est pour cela que
et de la tête pour exprimer sa souffrance. Dans tout le cours de sa
crise
et tout en se retournant sur son lit, le second m
cène précédente, voici qu'il s'en déroule un autre. Insensiblement la
crise
se transforme ; ce n'est plus la douleur vers la
cela, un peu d'écume se montre entre les lèvres du malade ; la grande
crise
couvulsive d'hystéro-épilepsie est complète. Enfi
me de l'eau. Le» deux jours suivants, le malade eut de nouveau deux
crises
, moins violentes, mais nettement d'origine névrop
violentes, mais nettement d'origine névropathique. Il eut encore des
crises
semblables, au nombre de quatre, dans les quinze
rte sur l'imitation parfaite, absolue, de la colique hépatique par la
crise
hystérique. L'imitation était tellement exacte
exacte que quiconque eût été témoin de la première partie seule de la
crise
imitée, eût pu croire à une véritable colique hép
aite dans les symp- tomes qui formaient la première partie des deux
crises
. elles ont présenté chacune des caractères pathog
gnostic tout à fait indiscutable. C'était la terminaison seule de ces
crises
qui permettait de les classer i leur véritable pl
eux le corps même du délit. Chez le second malade, au contraire, la
crise
se transforme, les caractères propres de la crise
e, au contraire, la crise se transforme, les caractères propres de la
crise
hépatique s'effacent peu à peu pour faire place a
la crise hépatique s'effacent peu à peu pour faire place a ceux de la
crise
convulsive, qui arrivent à dominer seuls toute la
crise convulsive, qui arrivent à dominer seuls toute la scène. Cette
crise
est enfin caractérisée par l'écume qui apparaît e
claire et aboudante qui marque la fin de l'accès. Dans la suite, les
crises
cunvulsives nouvelles viennent achever de dissipe
ique répondent en tous points à ces conditions. Au point de vue des
crises
par contagion ou imitation, on a plutôt signalé l
tagion ou imitation, on a plutôt signalé la contagion de la véritable
crise
couvulsive-hystéro-épileplique. ou des hallucinat
ns criminelles. A ce titre un peu exceptionnel, cette imitation d'une
crise
de colique hépatique mérite d'être signalée dans
des amis me demandèrent un conseil pour leur domestique qui avait des
crises
de cerfs fréquentes, pleurant sans motif, etc. Je
pu manger de viande jusqu'à l'Age de treize ans. Elle a eu quelques
crises
de nerfs assez faibles, sans perdre connaissance.
elle ne mangeait pas et, de temps en temps, survenaient d'effroyables
crises
de nerfs. La confession sous le chloroforme don
, Mme X... eut en effet, pendant plusieurs semaines, chique nuit, des
crises
asphyxiques subin-trnntes pendant lesquelles elle
dait la sienne, lorsqu'elle se trompait et énonçait mal un mot. Ces
crises
l'étant répétées assez souvent par la suite, la m
moment survient une attaque convnlsive qui interrompt l'entretien. La
crise
passée, sans que l'état antérieur ail été modifié
gères et lui a ordonné les promenades, la campagne, le grand air. Les
crises
dont il question se sont reproduites alors très f
(1), près Dinant. et ensuite à Heyst. Dans cette dernière ville, une
crise
très forte l'est produite; elle a dû s'aliter à l
tante était de ne pas manger; elle était obsédée par la crainte de la
crise
. Pendant les mois de novembre et décembre, les do
e pouvait manger davantage- Elle avait de temps on temps de violentes
crises
de larmes et de chagrin. « Enfin, voyant qu'ils
digestion. Au bout d'un mois, elle avait reconquis 17 livres. Aucune
crise
ne s'était produite jusqu'au 15 février. Du 15 fé
r. Du 15 février 1891 au la mai 1891, elle fut sujette à de nouvelles
crises
extrêmement violentes; elle se jetait sur son lit
alors qu'elle était neurasthénique et mélancolique. « Ces terribles
crises
ont fini par se calmer; elle est allée ensuite pa
itive de l'anorexie. Un peu plus tard, au cours dune grossesse, les
crises
diminuèrent un peu de nombre et de violence. — Un
des animaux féroces, loups ou autres, enfin perle de connaissance ou
crise
de nerfs. L'injection faite, tout rentrait dans l
es, diarrhées très abondantes qui se prolongèrent pendant trois mois,
crises
de sommeil, crises de nerfs ; enfin, un peu plus
abondantes qui se prolongèrent pendant trois mois, crises de sommeil,
crises
de nerfs ; enfin, un peu plus tard, après une pér
bes pour trouver la trace; je pensai que peut-être « j'avais eu une
crise
et que le médecin appelé m'avait fait une piqûre.
d'agoraphobie depuis l'âge de vingt-deux ans. Pendant longtemps, les
crises
d'angoisse et d'anxiété ont conservé le même cara
es scintillements devant les yeux. Le 29 juillet, la malade eut une
crise
; elle s'emporta pour une cause insignifiante, pui
une durée de vingt â vingt-cinq minutes, avec amnésie totale après la
crise
. Le 15 septembre, premier essai de traitement p
ressent les symptômes avant-coureurs de l'accès, mais elle n'a pas de
crise
et s'en étonne, car elle l'avait tous les jours.
et à cinq heures précises vous aurez un accès de votre maladie: cette
crise
sera très légère, et je réussirai à la faire cess
sorte d'aboiement continuel, et toutes les cinq minutes survenait une
crise
pendant laquelle elle sautait sur son fauteuil, e
mmet de la tête, puis au commencement de septembre réapparaissent les
crises
de douleurs frontales qui reviennent toutes les h
resta contracturée el pendant la nuit le sommeil fut empêché par des
crises
analogues à celles du jour. Le lendemain, vendr
Paris ni son arrivée au Vésinet, mais en la voyant s'agiter dans ses
crises
, se frotter vivement la tôle pour calmer sa doule
ression d'extase qu'elle conserva loule la journée. En même temps les
crises
cessèrent, tout le corps restait dans une immobil
six heures, el quelquefois plus souvent, elle était réveillée par des
crises
où elle sautait sur son lit et se frottait viveme
ant, envoyé à l'hôpital pour examen de son état mental, a eu hier une
crise
épileptiforme dans te bureau du lieutenant de vai
les bras en croix, le corps reposant sur la nuque et les talons. Ces
crises
, d'après le malade, sont précédées d'une aura : c
le sur la nuque et les talons. C'est ainsi que E... nous décrit les
crises
de sa mère, il n'en a pourtant vu que quelques-un
st très nerveuse, emportée, d'un caractère fantasque, mais n'a pas de
crises
, t'a oncle paternel est sujet à des accès effraya
« père et de mère. Je l'ai soigné, il y a plusieurs années, pour des
crises
de « douleurs hypogastriques qui lui arrachèrent
u milieu de la nuit par des crispations; j'ai eu une espèce de petite
crise
qui a duré une demi-heure, et je me suis endormi
tontes mes forces à ma passion. Je crois que plus Je résiste plus les
crises
sont douloureuses; pourtant, je tiens bon. Je ne
phe est très curieux, car il indique par l'écriture les progrès de la
crise
. Au début, l'écriture est régulière, puis de plus
la Clinique, la petite L... qui nous fut menée par sa mère pour des «
crises
de nerfs ». Les élèves ont encore présente a la m
n insistance et en face de mes doutes, la fillette nous avoua que ses
crises
étaient simulées et n'avaient d'autre but que d'o
nt qu'elle travaille. Elle a le temps de s'asseoir et s'endort. Cette
crise
dure une heure ; on la réveille en lui appliquant
suite, la malade restait sans connaissance pendant quelque temps; les
crises
étaient fréquentes, elles atteignaient souvent le
n entrée à l'hôpital de Molenbeck, elle avait journellement plusieurs
crises
. Son état général était boa, elle se plaignait
s se rapportent à des sujets hystériques très caractérisées, dont les
crises
nombreuses sont suivies d'un état de sommeil coma
utres profonds, se montrant seulement chez les individus sujets à des
crises
hystériques suivies de sommeil comateux plus ou m
.. ne présentent rien de particulier à noter. La première et la seule
crise
hystérique a éclaté après la chloroformisation du
, lui faire comprendre que l'hypnotisme bien appliqué guérit même les
crises
de nerfs, au lieu d'en provoquer; elle finit par
esoin constant de tordre ces bras comme-si elle était en imminence de
crise
hystérique, tout cela a disparu graduellement sou
nt, celles qui présentent un certain éclat extérieur, qui offrent des
crises
violentes, effrayantes ou capables d'émouvoir la
n. Pourquoi l'hystérique simule-t-elle un symptôme, une lésion, une
crise
ou une affection quelconque? Alors que nous avons
die qui l'amène aujourd'hui à 1 hôpital. Elle eut d'abord plusieurs
crises
nerveuses, dans lesquelles elle ne perdait pas co
contrarie énormément, etc. » Mais au bout de trois quarts d'heure une
crise
de larmes survint el quand elle fut terminée le m
re profondément endormi. Pendant son sommeil hypnotique, il eut trois
crises
de larmes; à la seconde séance il en eut seulemen
eut seulement deux, à la troisième une seule et dès la quatrième les
crises
do pleurs avaient cessé. J'ai remarqué que quand
rième les crises do pleurs avaient cessé. J'ai remarqué que quand une
crise
de larmes le prenait el que je lui disais qu'il f
es le prenait el que je lui disais qu'il fallait être raisonnable, la
crise
continuait dix minutes ou un quart d'heure, tandi
eurez, ça vous soulagera, pleurez autant que vous voudrez, etc., » la
crise
cessait immédiatement, et par une suggestion oppo
nt, et par une suggestion opposée, pour ainsi dire, je supprime ces
crises
apres son réveil. J'ai demandé au malade ce qui l
des médecin* aliénistes de France. 254. Contagion hystérique et les
crises
par imitation par Paul Joire. 149. Contracture
en un point de la région prcecordiale. — Pseudo-angine de poitrine. —
Crises
d'hystérie respiratoire et cardiaque; affaiblisse
ment. Au mois de mai de la même année, elle fut prise d'une seconde
crise
beaucoup plus intense que la première, caractéris
emblable, dit; son mari qui m'a fourni tous ces renseignements, à une
crise
d'angine de poitrine qui dura plus d'une heure :
le : la malade croyait étouffer à chaque instant. A la suite de cette
crise
, engourdissement considérable dans le bras gauche
que, survenaient souvent, sans cause apparente, des vomissements. Des
crises
semblables se renouvelaient, sans régularité, tou
eur prœcordiale était plus vive: il ne se passait guère de jours sans
crise
. Mais à mesure que leur fréquence augmentait, leu
on notable se produisit, qui dura près de deux mois. En septembre les
crises
reparurent, toujours plus fréquentes, jusqu'au mo
rs jours qui suivirent l'accouchement, la malade n'eut ni douleur, ni
crise
; elle était trop faible d'ailleurs pour songer à
lleurs pour songer à l'allaitement. Après cette courte éclaircie, les
crises
et les douleurs reparurent comme avant. Au mois
urs, sans régularité. Cet état de choses se continue en novembre. Les
crises
prennent un nouveau caractère. A la douleur d'une
Dans les derniers jours de novembre et les premiers de décembre, les
crises
se répètent avec une violence progressive et une
ltat. Les injections de morphine pouvaient seules un peu atténuer les
crises
. Peu à peu la malade en prit l'habitude et il f
onctionnel du cœur, pas d'anesthésie. ni d'ovarialgie.J'assitai à une
crise
avec le Dr Vautrin, pro fesseur agrégé à la Facul
chée indiquait un état spasmodique, nerveux. J'essayai d'arrêter la
crise
, comme je le fais d'habitude pour les crises d'hy
J'essayai d'arrêter la crise, comme je le fais d'habitude pour les
crises
d'hystérie, en affirmant énergiquement malade que
. je pariai d'un ton impérieux je brusquai la malade. Rien n'y fit:la
crise
continua, inexorable. Au bout de 2 heures environ
célération du pouls persiste encore pendant près de 2 heures. Puis la
crise
cesse brusquement après 4 à 5 heures de durée. La
heures de durée. La douleur prœcordiale seule persistait. Pendant la
crise
le mari était obligé d'injecter tous les quarts d
us les quarts d'heure au moins une seringue de cocaïne. Une seconde
crise
semblable se déclare dans la soirée. Le lendemain
malade voulut rentrer chez elle,ma tentative brusque pour arrêter la
crise
l'avait indisposée contre moi ; elle n'avait pas
nir avec une certaine crainte, ne pensant pas réussir à la guérir Les
crises
avaient continué au nombre de une ou deux par jou
on ; je lui expliquai que la suggestion n'avait pu réussir pendant la
crise
, car les douleurs étaient trop intenses, mais qu'
tenses, mais qu'elle devait réussir, maintenant qu'elle n'avait passa
crise
; je m'attachai a éloigner d'elle toute peur et to
parlant avec assurance, j'affirmai la disparition des douleurs et des
crises
, etc. Au bout d'un quart d'heure de suggestion co
la douleur est partie. Vous ne sentez plus rien. Vous n'avez plus de
crise
. » Elle ne ressentait plus de douleur, le touchai
ontinuai "insi pendant plus de 4 semaines, Dès la première séance. Us
crises
de douleur avec accélération respiratoire etc. av
lus et de ce jour, elle ne parlai plus jamais de cocaïne. Douleurs,
crises
, besoin de cocaïne étaient supprimés définitiveme
se d'une douleur aiguë vive et continue à la région prcecordiale; des
crises
excessivement violentes d'hystérie respiratoire e
al semble certain La suggestion hypnotique seule a enlevé douleurs et
crises
dès la première séance et achève la guérison en t
f et sans que l'état émotif put être régularisé par la volonté. Ces
crises
, qui revenaient presque quotidiennement, brusquem
après le réveil; insomnies fréquentes. Au bout d'un an environ, ces
crises
gastriques disparaissent et sont remplacées par u
norexie, constipation opiniâtre. Les urines, chargées, à l'époque des
crises
gastriques, sont, depuis leur disparition, redeve
aintint pendant deux mois après le mariage, mais alors reparurent les
crises
gastriques primitives avec douleurs abdominales,
primitives avec douleurs abdominales, dorsales et intercostales. Les
crises
très fréquentes se compliquaient de symptômes nou
yaralgie droite, pas de stigmates. Vers le 15 mai, à la suite d'une
crise
, je vis la malade et je diagnostiquai : Hystérie
Le traitement est institué sur cette base. A partir de ce moment les
crises
cessent, ainsi que les névralgies dorsales, inter
e à s'améliorer pendant le mois de juin qui n'est marqué que par deux
crises
: le 8, pendant un orage, et te 19, sans cause co
éréditaire et personnel dont on peut voir les manifestations dans les
crises
gastriques, les vomissements de pituite et la col
nuisibles à ta société que tel malheureux aliéné inoffensif. Les
crises
d'hystérie M. le Professeur Bernheim vient d'in
quer dans le Bulletin Médical un moyen des plus simples d'arrêter les
crises
d'hystérie: Les crises d'hystérie les plus viol
ical un moyen des plus simples d'arrêter les crises d'hystérie: Les
crises
d'hystérie les plus violentes peuvent toujours ou
ar la simplesuggestion. Pendant l'état d'inconscience apparente de la
crise
, la conscience me parait être en réalité, conserv
rrive souvent d'enrayer ainsi instantanément ou en peu de minutes les
crises
d'hystérie qui se développent en ma présence. Il
ma présence. Il me suffit en général de dire: d'hystérie est fini!La
crise
s'arrête. Réveillez-vous ». Ou bien je dis aux pe
t rare que la suggestion n'arrive pas mettre lin très rapidement à la
crise
, Quand on a réussi une première fois chez une hys
alme tt convictton, arrête dans leur évolution les grandes et petites
crises
d'hystérie. La castration comme pénalité Un m
ble qu'il est vraisemblable qu'il serait désormais :à l'abri de toute
crise
de dipsomanie s'il pouvait vivre dans un milieu d
fa-vorables pour l'hygiène de son esprit, il verrait réapparaître les
crises
de dipsomanie. C'est en effet ce qui est arrivé.
pris ses habitudes, ne se doutant pas qu'il préparait le retour d'une
crise
très grave de dipsomanie pour laquelle, au commen
à la suite de ces excès et d'avoir pendant son ivresse de véritables
crises
d'hystérie. La nuit, elle a des cauchemars, du dé
proprement dits ; enfin les désordres de nutrition consécutifs à ces
crises
ont été également l'objet d'intéressantes observa
n laps assez long. — Mixtion involontaire. — san-glets à la fin de la
crise
. — Localisation, enfin, les jours suivants, et pe
nature hystérique ; et voici pourquoi : son debut a coïncidé avec une
crise
initiale dont le caractère névropathique n'a pas
isme. Par la suite et « à plusieurs reprises, il a éprouve de grandes
crises
avec contractures, clownisme et sentiment de stra
Allez, suivez mon conseil : Faites-vous hyp notiser! Avez-vous des
crises
qui font de voire vie un enfer? Etes-vous -dèment
ressionnable : elle est très irritable. Une tante maternelle a eu des
crises
d'hvstérie. Sa sœur, plus jeune qu'elle, est atte
un pharmacien de la Varenne St-Hilaire, a été atteinte, à la suite de
crises
convulsives. d'une paraplégie complète. Elle est
ues,à quarante-;in ans. La malade à eu depuis l'âge de treize ans des
crises
d'hystérie qui n'ont cessé qu'au moment de La pre
on ventre, en faisant son ménage. A partir de ce moment, elle eût des
crises
nerveuses ainsi caractérisées : immédiatement âpr
ue l'estomac est rempli, elle sent qu'elle va perdre connaissance. La
crise
débute par un point de cote à gauche: ce point va
olentes, pendant lesquelles il écumait et se mordait la langue. Ses
crises
ont disparu pendant une année à la suite du trait
né an lit jusqu'à 12 ans. A dix-sept ans, elle a commencé à avoir des
crises
très fréquentes la nuit, pendant le sommeil. Dans
des dents en dormant. Etant devenue enceinte, elle a eu de violentes
crises
d'éclamp-sie pendant ses couches. De plus, elle p
ge. En deux mois, la suggestion a amené la disparition complète des
crises
nocturnes, la cessation des cauchemars et des gri
le. Depuis le mots de mai iSSo. elle .1 tous les jours quatre ou cinq
crises
pendant lesquelles elle perd complètement connais
st pas l'hypno-tisation. mais la peur de l'hypnotisme qui engendre la
crise
d'hystérie. On pourrait de même provoquer une att
tation psychique, la peur d'être électrisé auront seules déterminé la
crise
nerveuse. Je n'ai Jamais constaté d'attaques chez
ades d'un service d'hôpital. Loin de provoquer le développement des
crises
d'hystérie, l'hypnotisme eu mêne la disparition c
dérons comme un fait d'une rareté exceptionnelle que d'assister à une
crise
d'hystérie. Les médecins qui suivent assidûment n
rie de la face. Onanisme depuis l'âge de 14 ans, scrupules religueux.
Crises
mentales hypocondriaques. Refus de nourriture, à
pations hypocondriaques variéeset persistantes. Masturbation suive de
crises
mentales dont le malade donne la description suiv
vis de solutions. ' ç. Le médecin suggérant ne doit pas craindre la
crise
nerveuse qui se produit toujours vers la quatrièm
uit toujours vers la quatrième nuit et dure de 24 à 60 heures : cette
crise
est nécessaire pour la guérison. Le médecin multi
bles de sensibilité, la tympanile, In provocation et l'inhibition des
crises
, obéissent à la suggestion. Nous avons vu combien
narcolepti ques, soit avec le sommeil hypnotique, soit enfin avec les
crises
d sommeil hystérique. LES VARIATIONS DE LA PERS
altération périodique de la mémoire qui se reproduisait sous forme de
crises
presque chaque jour. (l) V. Revue de l'Hypnotis
marquable d'hyp-nose spontanée, Rev. de l'hypn., 1800, p. 234). Ces
crises
survenaient toujours de la même taçon. Elle resse
de nouveau connaissance et se réveillait telle qu'elle était avant la
crise
, mais n'avait aucun souvenir de ce qui s'était pa
vait aucun souvenir de ce qui s'était passé pendant sa durée. Dans la
crise
, au contraire, ou, comme l'appelle M. Azam, dans
stence. Après des alternatives d'amélioration et d'aggravation, les
crises
sont devenues plus longues et plus fréquentes. El
l'envahir presque complètement. Dans ces dernières années, certaines
crises
ont duré trois mois; mais les symptômes fondament
ndition seconde. Une de ses parentes étant morte pendant une de ses
crises
, elle-assista à ses funérailles et prit le deuil;
e la malade pouvait être hypnotisée avec la même facilité pendant ses
crises
ou dans leurs intervalles, et qu'une fois endormi
ionner M. H... et de le débarrasser de ses troubles nerveux et de ses
crises
de somnambulisme. Depuis lors, il a eu l'occasion
ux? (Med. surg. j. St-Louis» août 1890, p. 88-92.) Tarde (G.). — La
Crise
de la morale et la Crise du droit pénal. (Revue p
is» août 1890, p. 88-92.) Tarde (G.). — La Crise de la morale et la
Crise
du droit pénal. (Revue philosophique, octobre 188
ons irrésistibles d'une volonté inconsciente. • Dans chacune de ces
crises
, nous voyons F... dominé par le besoin du vol ; i
incendiaire ; et après l'accomplissement de ces actes malheureux, la
crise
cesse, le malade se réveille, reprend les habitud
décembre, femme petite, maigre, tempéraraenlnerveux, n'a jamais eu de
crises
, caractère timide, intelligence peu développée, s
bras ce qui occasionne une secousse. Je lui défends de reprendre ses
crises
el lui ordonne de dormir, elle murmure « oui » et
veuse, sensation d'une boule à la moindre contrariété. Son père a des
crises
nerveuse. Grande, bien conformée, bien portante.
e D..., 17 ans. ayant eu, après des chagrins de famille, une violente
crise
d'hystérie, se trouva paralysée du corps entier.
prolongés, en dernier lieu depuis deux mois; Céphalalgie lancinante;
Crises
hystériques depuis un mois. Guérison par une seul
elles sont régulières. Depuis un mois, l'enfant a eu, de plus, cinq
crises
hyslériformes au plus. La première succéda à une
l n'a, d'ailleurs, aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant cette
crise
; il relate ces détails par oui-dire des personne
tait bien, sauf la constriction thoracique qui persistait. La seconde
crise
eut lieu trois à quatre Jours après, débuta com
ère- par un sommeil, «e continua par des tremblement* eonvulsifs. Ce*
crises
se répétèrent tons les deux on trois jonrs. La
encore la constrictlon thora-cique. Deux Jours avant cette dernière
crise
, il avait en des cries plus légères ébauchées, ca
s, il nous dit que sa mère est vive et impressionnable, sans avoir de
crise
* nerveuse* ; son père, ancien marin, souffre de r
de strangulation; les organes sensoriels fonctionnent bien. Quand une
crise
commence, il ressent une constrictlon thoraciqne.
laisse. H parut dormir jusqu'à midi. Vers midi et demi, il eut une
crise
de pleurs qui persista jusqu'à trois heures, avec
7 janvier, il dit avoir eu quelques inquiétudes hier (sans douleur ni
crise
). Suggestion. 29 janvier. — Il n'a plus rien re
deux mois. La céphalalgie lancinante, la constriction thoracique. les
crises
hystériques venant, en dernier lieu, se surajoute
iciles à déterminer. Mais les manifestations franchement hystériques,
crises
convulsives, vomissements nerveux, paralysies, so
nt aussi dans ce groupe: le priapisme, certains cas de frigidité, les
crises
génitales survenues spontanément chez la femme, t
les malades, accompagnées ou suivies d'impressions voluptueuses. Ces
crises
erotiques... peuvent durer plusieurs heures..., é
irrésistibles. Enfin, les centres spinaux s'éman-cipant. éclatent les
crises
génitales en question qui sont suivies d'un état
la grossesse. Hallucinations conscientes. Ménopause depuis sept ans.
Crises
génitales d'origine spinale. Mouvements irrésisti
lle a ressenti les « premières excitations, » mais à cette époque les
crises
étaient très éloignées les unes des autres. Voilà
lle éprouvait un besoin de crier, auquel elle ne résistait pas. Cette
crise
n'était en rien pénible pour la malade et la lais
ations dans les bras, les jambes et les reins. Depuis deux ans, les
crises
deviennent plus fréquentes, ainsi que les impul
le y résiste. Enfin elle a des impulsions A crier; en dehors de ses
crises
, elle y résiste, mais alors * ça se passe en deda
à son désir, sans éprouver ni malaise ni angoisse. Depuis un an, les
crises
génitales se répètent, jusqu'à deux fois par jour
i rendent à la malade l'existence intolérable. Le plus souvent, les
crises
éclatent le matin, sans cause apparente; parfois
ion très vive des organes génitaux, ainsi qu'un état d'énervement. La
crise
se montre souvent quand M™ G... est encore au lit
t ses lamentations de soupirs. Bien qu'elle éprouve au moment de sa
crise
un besoin génésique très vif, elle y résiste; jam
tter les reins et les cuisses. Quelquefois, espérant faire avorter la
crise
, elle se lève, s'babille : peine mutile; les sens
a sensation du coït avec sécrétion des glandes vulvo-vaginal es. La
crise
est suivie d'une prostration et d'un anéantisseme
rsqu'un autre que moi s'occupe de ce malade, on provoque chez lui une
crise
d'hystérie, etc., etc. » Ces observateurs, qui
emonte & sa quinzième année, mais dès son enfance, elle avait des
crises
de nerfs (véritables crises d'hystérie). Ce som
née, mais dès son enfance, elle avait des crises de nerfs (véritables
crises
d'hystérie). Ce sommeil apparaît aussitôt qu'el
s contractions déjà mentionnées. Le tout rappelait un commencement de
crise
d'hystérie. Peu après elle se met à parler le mêm
culté de Nancy. sut! Si nx (1) Dysphagie nerveuse depuis une année;
Crises
hystériques. Guerîson par suggestion hypnotique e
d chaque jour un lavement. Il y a trois mois, elle eut une première
crise
d'hystérie qui dura une demi-heure ; quinze jours
ne demi-heure ; quinze jours plus tard, survint une seconde. Puis les
crises
se suecédèreut ton* les quatre jours pendant six
eprise il y a huit jours; la dernière eut lieu il y a cinq jours. Les
crises
sont déterminées par l'ingestion des aliments liq
tant de un an. Cette sensation dégénère parfois en étouffements et en
crises
convulsivo^. Depuis trois mois la malade n'a pris
une existence pareille, mais le courage lui manque pour se tuer. Les
crises
devenant de plus en plus violentes, dans un accès
nitaux ne nous a rien fait constater qui put servir de prétexte à ces
crises
, sinon un col de l'utérus effacé, sillonné de bri
r les suppositoires à l'opium et à la belladone, enfin l'existence de
crises
analogues, en l'absence de toute lésion, tout por
logie, 1666. dans ces dernières années (1). Nous roulons parler des
crises
clilori-dietmes du tabès. Dans l'observation de M
trois observations très instructives; la description qu'il donne des
crises
clitori-diennes est presque identique au tableau
erotique avec éjaculation absolument comme dans le coït régulier. Ces
crises
voluptueuses, spontanées, se répétaient presque t
oubles génitaux apparurent les douleurs fulgurantes, et, en 1884, les
crises
clitoridiennes survenaient tous les deux ou trois
presque toujours l'explosion prochaine de douleurs fulgurantes ou de
crises
gastriques. M. Pitres insiste sur ce fait que l
ntes ou de crises gastriques. M. Pitres insiste sur ce fait que les
crises
clitoridiennes peuvent survenir tout à fait au dé
faire soupçonner : il n'existe chez notre malade, qui souffre de ses
crises
génitales depuis sept années, ni trouble oculaire
et nous estimons jusqu'à preuve du contraire que nous (1) Pmu», Des
Crise
» itoridiennes au début ou dam le tourt de Cataxie
, à des troubles fonctionnels des centres génito-spinaux simulant les
crises
clitoridiennes de la sclérose des cordons postéri
se des troubles génitaux. On comprend aisément, d'autre part, que des
crises
génitales de la nature de celles que nous avons é
e Foville, nous restons embarrassés pour mettre une étiquette sur ces
crises
génitales d'un caractère si.particulier. Pour ces
sé a conclure qu'il n'est pas exact que les sujets aient toujours une
crise
de nerfs au moment d'accomplir une suggestion dél
pnotisme à la). 193-Criminalité comparée (la), par G. Tarde, 277.
Crises
d'hystérie (les), 26. Délire chronique à évolut
. «'Quant à l'hystérie, quoique nous n'ayons jamais été témoin de
crises
, il existe d'autres signes qui nous suffisent p
nt hystérogènes, il est vrai, mais à la suite de notre examen, deux
crises
suivies d'accès d'agitation se pro- duisent. Da
ause de son mauvais caractère, de son amour de changement et de ses
crises
nerveuses, Cing... sera tout d'abord un vagabon
t singulièrement suspect. C'est alors que je le questionnai sur ses
crises
hys- tériques et son délire des persécutions do
rès légère aux lèvres après ses chutes, ou au commence- ment du ses
crises
, que d'abord il pâlit, puis devient très rouge
ait conclu à son sujet comme le premier, et notam- ment en face des
crises
qui eurent lieu en sa présence, à une aliénatio
cessaire. Cing... répliqua aussitôt qu'il fut amené à simuler des
crises
devant ce second médecin, parce qu'il avait compt
qu'exaspéré, dit-il, de pareils atermoiements, je simulai plusieurs
crises
pour éprouver la sûreté de son dia- gnostic, et
) comme le premier. Je lui lis observer ensuite que dans une de ses
crises
il s'était cependant fait un jour une entaille
rs que je résolus d'obtenir de lui de me rendre témoin d'une de ses
crises
et pour y arriver flattai sa vanité dont j'avai
avais déjà pu mesurer l'étendue, disant qu'en présence d'une de ses
crises
, j'aurais à mon tour sans doute cru à son authe
aussitôt, lui déclarant que j'étais d'autant plus satisfait, que la
crise
dont il venait de me présenter le tableau, deva
nt certains phénomènes vrais, elle ne donnait l'impression ni d'une
crise
d'hystérie, ni d'une crise épileptique. Et en e
s, elle ne donnait l'impression ni d'une crise d'hystérie, ni d'une
crise
épileptique. Et en effet, cette crise m'avait p
ne crise d'hystérie, ni d'une crise épileptique. Et en effet, cette
crise
m'avait paru d'emblée une espèce d'hybride, con
que sur mes instances, il me rendit témoin clans mon cabinet, d'une
crise
semblable s celles qu'il avait présentées jadis
n- tant dans son passé, montrer Cing..., cessant de présenter des
crises
à l'Asile, lorsqu'il eut acquis la certitude de l
er que pendant plus de huit mois Cing... n'avait plus présenté de
crises
convulsives, lorsqu'il voulut entreprendre d'obte
néré ; il admettait l'hystérie comme démontrée, sans qu'une seule
crise
eût été constatée de visu, par l'auteur, en se ba
touffu prend naissance, sans pouvoir être nettement rattaché à une
crise
d'hystérie, dont il aurait été un épiphénomène,
i- nement réussi (neuf mois et plus), puis il ne présenta plus de
crises
et réclama sa sortie, qui lui fut refusée. Il s'é
contre son gré; dès lors il se vengea à sa façon en renouvelant ses
crises
d'autre- fois, pour éprouver ainsi, a-t-il dit,
voir, pour la journée, les malades qui peuvent être atteintes d'une
crise
aiguë, et celles qu'il est nécessaire d'isoler mo
ique, l'état empiie peu à peu, la démence apparaît, il survient des
crises
épileptiformes et le malade succombe sept mois
ouble mental assez peu fréquente et toujours caracté- risée par des
crises
furieuses d'excitation maniaque suivies d'un ét
continuellement auprès d'eux. Ou l'affection, cons- tituée par une
crise
d'hypochondrie et par des modifications du cara
icale du médicament produit l'état du mal ou augmente le nombre des
crises
sont réels, mais peu com- muns, et certainement
issements et d'une diminution de la sensibi- bilité générale. Cette
crise
convulsive fut suivie de plusieurs autres. L'op
. 75 Ce sont : d'abord la persistance remarquable avec laquelle les
crises
se manisfesteut et se renouvellent en dépit de
ne, avec phénomènes de compression et con- sécutivement, paralysie,
crises
épileptiformes ou coma; 2° les émor- rhagies mé
s que les vomissemenis, la cépha- talgie et les convulsions; 4° les
crises
d'épilepsie jacksonienne; 5° enfin l'abcès du c
at s'est amélioré puisqu'il n'y a plus de céphalalgie intense ni de
crises
épileptiformes. Observation IL Garçon de sept a
fluence du poison adissonien sur les centres nerveux et produit des
crises
convulsives avec le suc des glandes surrénales.
s capitaux de cette affection ; 3° la mort par accidents bulbaires (
crises
dysp- néiques) ; 4° La coexistence d'une grosse
au repos, pas de douleurs; dès que la marche commence, survient la
crise
méralgique, qui s'exaspère de plus en plus et s
utané. A sa suite, anesthésie, au lieu d'hyopesthésie. D'abord, les
crises
continuent avec cette modification que les doul
l'amélioration se fait. Bientôt il n'y a plus de boiterie, plus de
crises
que les jours d'orage, et encore insignifiantes
ès satisfaisant ; 2° Homme trente-six ans, horticulteur, variqueux.
Crises
méral- giques survenant lorsque le malade bêche
st fléchie, vides lorsqu'elle est étendue. D'abord continuation des
crises
, avec douleurs en cou- ronne. Puis elles dispar
guérison : d'abord dis- position en couronne des douleurs dans les
crises
post-opératoires; puis, au bout d'un mois envir
hypnotique. Ces fugues étaient l'é- quivalent et comme l'ébauche de
crises
hystériques. Je fis à cette malade, pendant l'h
qui a manifesté divers troubles hystériques : tels que aménorrhée,
crises
convul- sives, douleurs abdominales de pseudo-a
té très mala- droit de ses mains. Vers l'âge de sept ans il eut des
crises
ner- veuses convulsives lorsqu'on le contrariai
à dimi- nuer rapidement. A cette époque il eut pendant six mois des
crises
singulières de toux nerveuse qui se répétaient
que. Peu à peu les mouvements choréiques se générali- sèrent et les
crises
d'excitation mentale devinrent plus fréquentes
xication passagère, ces agents suspendront l'action destructive des
crises
convulsives jusqu'à ce que la substance toxique a
onjuguée de la tête et des yeux du même côté. Dans l'intervalle des
crises
: paralysie faciale inférieure gauche avec déviat
aucune souffrance ; il est même content de les avoir accomplis. Ces
crises
ne sont jamais acompagnées de perte de connaiss
IE HYSTÉRIQUES. 207 les stigmates de la névrose ; elle a de grandes
crises
convul- sives, de fréquents accès d'hypnose spo
e ses jambes. Elle s'arrête alors, et dans le bien-être qui suit la
crise
, elle se lamente cependant d'avoir pris tant de
nommée G... est épileptique depuis l'âge de sept ans et la première
crise
convulsive a paru à la suite de la scarlatine.
quinze jours, quelquefois même tous les huit jours. Après chaque
crise
convulsive elle était atteinte de délire avec h
t prise d'une hémiplégie gauche incomplète, à la suite de violentes
crises
convulsives. Celles-ci diminuèrent, après cette
dix-sept ans qu'elle con- tinua il vivre. La cessation complète des
crises
épileptiques jus- qu'à sa mort, produite le 12
pas constaté qu'elle avait uriné au lit. Si elle avait eu alors des
crises
nocturnes, il est bien pro- pable qu'elles se s
ncore vécu, de manière à ne plus passer inaperçues et peut-être des
crises
diurnes auraient-elles fini par s'y ajouter. Ar
es', nous avons exposé et discuté l'histoire d'un malade atteint de
crises
convulsives. Ce malade a été soumis à la cranie
ur ce qui con- cerne la vision. Quatre ans après apparaissent des
crises
convulsives dans les conditions que voici : un
ami est mort. Immédiatement il perd connaissance et est pris d'une
crise
convulsive. Depuis cette époque les crises se r
issance et est pris d'une crise convulsive. Depuis cette époque les
crises
se répètent fréquemment, mais à intervalles irr
ètent fréquemment, mais à intervalles irréguliers : toujours chaque
crise
est annoncée par la vision de l'ami mort. De pl
chaque fois que le malade voit passer devant lui un enterrement, la
crise
se déclare. Parfois ces crises présentent le ca
passer devant lui un enterrement, la crise se déclare. Parfois ces
crises
présentent le caractère de somnambulisme. Sans en
ce malade avec notre collègue et ami Vignard. Il a eu la veille une
crise
dans les cabinets et présente à la face interne
uteur une large ecchymose résultant d'une chute faite pendant cette
crise
. Nous constatons en outre une hémianesthésie se
e une hémianesthésie sensitivo-sensol'ielle droite et pensons à des
crises
d'hystérie. Après avoir repris quelques mois so
connais- sance ; 2" En dehors de ces cas, il est pris le jour de
crises
convulsives, annoncées par une aura toujours la
nt cet accident qui nous est raconté par ses compa- gnons. 4° Les
crises
nocturnes se passeraient ainsi, d'après les rense
ain, le malade se réveille brisé, mais ne se souvient en rien de sa
crise
: la morsure de la langue seule lui en indique
- ment bromuré a été essayé, sans aucune espèce de résultat ; les
crises
, loin de s'éloigner, semblent au contraire, augme
FAITS. 1° Malade de vingt-huit ans, était atteint depuis six ans de
crises
très fréquentes. Péan lui enlève un librolipome
ération, Péan signalait son succès thérapeutique à l'Académie : les
crises
avaient complètement disparu depuis l'opération
ètement disparu depuis l'opération. Mais quinze jours plus tard les
crises
réapparaissaient ; une nouvelle trépanation débar
atisfaisantes, et pendant plus de trois mois le malade n'eut pas de
crises
. Puis elles revinrent et le malade finit par su
l'histoire d'un enfant de quatre ans et demi qu'il trépana pour des
crises
convulsives dues à un abcès sous-méningé. Pen-
ès sous-méningé. Pen- dant un an la guérison se maintint ; puis les
crises
léapparurent, moins fréquentes il est vrai, mai
3° M. Reynier enlève à un enfant de dix ans et demi un gliome. Les
crises
disparaissent pour reparaître au seizième jour ;
ssent pour reparaître au seizième jour ; seconde intervention ; les
crises
disparaissent pendant deux mois, et l'opé- rati
g des guérisons. Malheureusement, un mois après la publication, les
crises
réapparaissent et l'état de l'enfant redevient
lieu du néoplasme une cicatrice que l'on tente d'extir- per. « Les
crises
épileptiformes persistent et n'ont jamais cessé
lance de tous les instants. » 4° Un trépané de M. Le Dentu voit ses
crises
disparaître pendant cinq mois pour reparaître e
e malade, nous serions partisan d'une intervention. Cet homme a des
crises
fréquentes, au moins toutes les semaines, il es
de gagner sa vie et réclame qu'on le débarrasse à tout prix de ses
crises
. D'autre part, le traitement médical essayé sou
l'hystérie. Elle est probablement normale dans l'amentia, quelques
crises
hystériques et la chorée de Huntington. Elle es
DE PATHOLOGIE MENTALE. qui imprègnent la conscience au moment d'une
crise
épileptique. » Une des particularités les plus
excès après une attaque d'épilepsie ; il en a été de même après une
crise
convulsive au cours d'une paralysie générale. L
à l'épilepsie de deux manières dif- férentes, soit en précédant des
crises
convulsives apparaissant pendant les heures de
e absolue ou relative ? Une de mes malades, vingt ans, hystérique à
crises
convulsives très nettes, eutune grippe et fut p
t être passagère, comme cela a lieu dans l'épilepsie, où pendant la
crise
on peut observer le signe des orteils, alors qu
le signe des orteils, alors que le réflexe est normal en dehors des
crises
. 11 ne me parait pas démontré que, dans le cas
cation que le famille ne peut assurer, le quatrième, à cause de ses
crises
et des impulsions qui, à leur suite, éclatent à l
ient, il pouvait à peine parler. Je fus appelé pen- dant une de ces
crises
. 11 était gisant sur le sol. Je lui adressai qu
ués devinrent chez lui plus fréquents. Il y aquinze jours, dans une
crise
de désespoir inexpliquée, il se tira même trois c
Germain-de-la-Coudre, qui est épileptique, est morte au cours d'une
crise
de cette terrible maladie. (Le lion- homme Norm
dans la bouche. En 1892, j'ai soigné un jeûne homme qui, dans une
crise
délirante, assomma presque soii père en lui ass
ion Il. Délire religieux de forme démonomaniaque. Hallucinations et
crises
panophobiques. Tentative de parricide à l'aide
orber un litre de vin chaud, il est pris soudain d'une formi- dable
crise
panophobique : il tremble, pousse des cris, voit
la jalousie de ses parents contre lui, etc. Au bout d'un mois, la
crise
délirante s'est peu à peu apaisée et le malade
repris toute sa lucidité. Il sort guéri fin février 1803. Dans ses
crises
panophobiques, ce malade, pour ses réactions dé
élire religieux de forme dépressive. Démono- manie, hallucinations,
crises
panophobiques. Ingestion d'un christ, laémorrha
le est morte, le diable va l'emmener en enfer ; elle entre dans des
crises
d'anxiété formi- dables avec hallucinations ter
antes, refus d'aliments, impulsions à se briser la tête, véritables
crises
de possession démoniaque pen- OBJETS DE PIÉTÉ C
matin, le calme revient jusqu'à sept heures. A ce moment, nouvelle
crise
panophobique avec délire démoniaque et impulsion
ucune constatation de nature à nous éclairer. Les jours suivants,
crises
d'agitation furieuse avec hallucina- tions terr
ion de l'état mental mais aujourd'hui l'agitation réparait avec des
crises
panophobiques. Idées de suicide, veut s'échapper
. X..., célibataire, trente-sept ans. Histoire de la maladie. Les
crises
du début étaient courtes, sans cri initial, san
; mais avec chute, morsure de la langue, perte de connaissance. La
crise
été précédée d'une aura que décrit assez bien l
faisant un bruit analogue à celui d'une horloge qu'on remonte. Ces
crises
revenaient assez régulièrement une fois tous le
sez régulièrement une fois tous les mois. Depuis l'année 1894 les
crises
sont plus franches, plus fréquentes : elles son
ement et assoupissement. Le malade ne conserve aucun souvenir de sa
crise
; après celle- ci, il est abruti et présente un
blesse générale qui persiste plus ou moins longtemps. La durée des
crises
, courte en général, n'a jamais dépassé quelques m
traitement par le bromure de potassium à hautes doses. En 1897, les
crises
augmentent de fréquence, deux ou trois par sema
de sa EPILEPSIE. TRÉPANATION ACCIDENTELLE. 301 cheminée prend une
crise
et tombe dans le feu : heureusement celui-ci, c
nt, prenait deux ou trois fois par semaine et chaque fois plusieurs
crises
remarque que les crises seraient moins fréquent
s fois par semaine et chaque fois plusieurs crises remarque que les
crises
seraient moins fréquentes (une fois par semaine
du séquestre (ler juin au 17 juin 1898), il n'a eu que deux petites
crises
successives dans la nuit du 16. Juillet 1898. l
x petites crises successives dans la nuit du 16. Juillet 1898. la
crises
; août, 10 crises; seplenzbne,-13'crises,; octob
s successives dans la nuit du 16. Juillet 1898. la crises; août, 10
crises
; seplenzbne,-13'crises,; octobre, 1(i crises. ·
8. la crises; août, 10 crises; seplenzbne,-13'crises,; octobre, 1(i
crises
. · . Novembre, 15 crises. A cette époque la pla
es; seplenzbne,-13'crises,; octobre, 1(i crises. · . Novembre, 15
crises
. A cette époque la plaie est complètement cicat
ieurs reprises en janvier et en décembre 1899, nous affirme que ses
crises
sont aussi fréquentes qu'avant l'accident, touj
gations cliniques sont forcément très restreintes. Le caractère des
crises
, telles qu'elles nous ont été décrites, est suf
alade avant son infection éberthienne n'était pas convulsivant, les
crises
sont survenues comme complication de cette infe
ion accidentelle constatée chez le malade après sa brûlure, sur ses
crises
convulsives. L'examen de la figure 10 montre bi
dant et après l'accident, il ressort clairement que le nom- bre des
crises
s'est abaissé au moment, et quelques semaines a
brûlure, mais qu'après cette période d'amélioration passagère, les
crises
sont revenues semblables comme fré- quence, com
t à la miction d'une façon absolue pendant un quart d'heure, et des
crises
de sueurs profuses nocturnes. L'in- telligence
éressant de névrose cérébro-gas- trique se présentant sous forme de
crises
d'anxiété accompagnées de sensations de constri
ées de sensations de constriction de l'estomac et de dyspnée. Ces
crises
étaient souvent consécutives à une sorte d'accès
s dans G ; paralysie de la vessie dans 5 ; nausées, vomissements et
crises
gastriques dans 4; douleur allant du pénis au r
as de maladie de Basedow héréditaire avec oedème des pau- pières et
crises
de sommeil. M. MEIGE. - Il s'agit d'une femme de
sensations paresthésiques à la partie antérieure des cuisses, avec
crises
provoquées par les changements de position. Son
bord. Ce diagnostic me devint sus- pect le jour où j'assistai à une
crise
que le malade calma en fléchissant la région lo
que paresthésiques et trompeurs seulement lorsqu'il s'y associe des
crises
fulgurantes de topographie superposable, ce qui
er à la partie antérieure de la cuisse et s'exaspérer sous forme de
crise
au moindre essai de marche ; leurs caractères,
it de vin. Notre malade est, de plus, une dégénérée syndromique, la
crise
de dipsomanie à l'époque des règles nous prouve
en temps ordinaire;- par le penchant hérédi- taire C... boit, et la
crise
d'alcoolisme subaigu survient. Les hallucinatio
vail prouvent que les phé- nomènes tardifs et conscients (céphalée,
crises
de sanglots, accès de vomissements) peuvent aus
de la folie épileptique, celle qui est en rapport immédiat avec les
crises
. Il espère démontrer qu'il existe souvent dans
sécutif à l'énorme décharge d'énergie corticale qui caractérise la
crise
épileptique suffit à justifier l'existence de cet
e du mal. Il est remarquable de voir de quelle manière une série de
crises
épilep- tiques est interrompue par un nettoyage
ertainement attaché trop d'importance au côté purement moteur de la
crise
épileptique; des altérations ' Telle est notre
ment insuf- fisante quand il s'agit du petit mal, et dans certaines
crises
psy- chiques totalement dépouvues de convulsion
le. Par exemple il serait fort intéres- sant de rechercher, dans la
crise
épileptique, quels sont les muscles qui sont im
exe rotulien et du réflexe du tendon d'Achille, qui est sujet à des
crises
de douleurs fulgurantes et qui, par conséquent, a
café, vient de tuer son enfant, âgé de trois mois, à la suite d'une
crise
de folie furieuse. Elle a bourré la bouche du pet
and les voisins accoururent à ses appels, elle était en proie à une
crise
si intense que les agents, qu'on avait été quérir
s orales don- nées ont été les suivantes : Pathologie interne : Des
crises
gastri- ques. Pustule maligne. - Formes cliniqu
duit aucune convulsion, et que ce sont les impuretés qui amènent la
crise
. On nous a fait remarquer d'autre part que l'al
lique pur, à certaine dose, chez les prédisposés, peut produire des
crises
convul- sives. Ce sont des questions complexe
tion. Elle retourna au Brésil, mais à la suite d'une émo- tion, les
crises
reparurent. Elle m'écrivit,. désespérée : elle vi
, les crises reparurent. Elle m'écrivit,. désespérée : elle vit ses
crises
disparaître après avoir lu une lettre dans laquel
lysie faciale périphérique bilatérale, et, au bout de dix jours, de
crises
d'étouffements qui l'ont mené à la mort en soix
vingt-deux , légère blennorrhagie . A vingt-cinq ans, débutent des
crises
douloureuses, commençant par le cor- don gauche
ations. etc. 2° Homme de vingt-neuf ans. Sans antécédents. Première
crise
d'épilepsie à quatre ans, à la suite d'une desc
la suite d'une descente forcée des tes- ticules. Depuis absence de
crises
à aura douloureux et crémasté- rien dans la bou
té- rien dans la bourse gauche. Le palper du cordon détermine des
crises
. Opothérapie testiculaire avec résultat passager.
e et-, par Jamien, 60. - héréditaire avec oedème des paupières et
crises
de sommeil, par Meige, 346. Maladies cérébral
et causait peu, est morte à 11 heures du matin, sans spasme, sans
crises
, avec une température rectale de 3 il,5. . Temp
le Dr Landrieuxcomportant : « est atteint d'idiotie avec cécité et
crises
convulsives depuis de longues années», et un ce
ntenses du côté de l'oeil correspondant. La malade n'a jamais eu de
crises
convulsives, elle a toujours été sobre et il n'
- dre au début de la ménopause : cette époque fut marquée par des
crises
d'excitation très violentes qui ne firent que s'e
survinrent des manifestations canlio-vasculaires. La malade eut des
crises
de palpitations intermittentes au cours desquel
retrouve en particulier ni vertiges, ni pertes de connaissance, ni
crises
convulsives ; on ne re- trouve ni zones hystéro
attire l'attention dans cette note M. Crocq, sont l'insomnie et les
crises
convulsives. Il relate les observations de plus
convulsions à V occasion d'une rougeole ». Elle présenta alors des
crises
à caractère épileptique très fréquentes et rebell
régulièrement. Elle soutire d'une céphalée plus accentuée après les
crises
épileptiqucs, qu'elle indique par son attitude, l
pendant un temps très long. Sujette à de petites et à de grandes
crises
épileptiques, à ca- ractère jacksonien : les pe
tes que les grandes dans la proportion de 3 environ pour une grande
crise
. Alors C ? devient subitement pâle, chancelle s
droite aux personnes ou aux objets qu'elle rencontre. Les grandes
crises
sont accompagnées de chute avec urines in- volo
lente* ; elles sont très longues, plus longues sensiblement que les
crises
épileptiques ordinaires de ses compagnes. En ra
deux côtés du corps, cependant on remarque que, tout au début de la
crise
après une chute, toujours à gauche, la tète se
les accès redeviennent plus nombreux avec quelques séries de 4 à 5
crises
quotidiennes. 91 CLINIQUE NERVEUSE. de la m
st logique de penser que la tumeur a été annoncée par les premières
crises
de la septième année ; cependant étant donné la
ie périodique. Une tante, soeur de la mère du malade, traversa deux
crises
de mélancolie, l'une il y a 7 il 8 ans durant une
Une autre tante, également soeur de sa mère, traversa aussi deux-
crises
de mélancolie, l'une il y 10 à 12 ans,l'autre il
nne bila- térale chez un alcoolique brightique mort à la suite de
crises
épileptiformes; par Toi.oT. (Revue de Mrd., n d'o
lahi.s, paralysie générale, peuvent être aussi des équiva- lents de
crises
comitiales comme l'auteur en a rencontré trois
ndée, que des troubles fonctionnels très légers qui préludent à une
crise
de migraine ophtalmique donnent nais- aance à u
ardiaque parvenue il sa période ultime, une malade eut un rappel de
crises
épilepti- formes. L'épilepsie peut être provoqu
ses enfants elle-même dans l'égarement de son excitation ;puis, la
crise
passée, elle oublie, et elle trouve, dans la tr
si l'on prend en considération que cette amnésie suit toujours une
crise
d'excitation survenant elle-même en tant que ré
ec précision les circonstances. Peu de temps après cette première
crise
, apparurent des mouvements cloniques involontaire
ère attaque succédèrent, avec une périodicité régu- lière, d'autres
crises
convulsives, qui se reproduisaient environ tous
s n'exercent aucune influence sur la fréquence ou la moda- lité des
crises
convulsives. Notons que celles-ci, d'après la m
e lui résister (''). Pendant les premiers mois de sa grossesse, les
crises
connut- hhes seraient devenues un peu plus fréq
chloral. Pendant la première se- maine, elle présente, la nuit, des
crises
fréquentes, mais courtes et incomplètes. Etant
3" Pas d'ecchymoses sous-conjonctivales ; 40 Répétition de petites
crises
successives toutes semblables, séparées par de
de contrariété, car ses compagnes se moquaient d'elle. Elle a une
crise
qui a pu être observée par l'aide de clinique. Dé
courtes. Stentor peu profond. Trois minutes après environ, nouvelle
crise
: tous les muscles du corps sont contractures,
nique précédemment observé se renouvelle. Il se produit ainsi cinq
crises
successives séparées par de courts intervalles
la langue. La pé- riode comateuse est de courte durée. Pendant les
crises
, perte de connaissance complète : faciès pâle,
te, haletante et irrégulière, n'est point suspendue. C'est la seule
crise
qui ait été observée par un témoin compétent, l
qui soit survenue au dortoir pendant la. journée. On a signalé des
crises
nocturnes, plus courtes. Une seule fois (' ! ),
fois (' ! ), la malade a été atteinte d'un ver- tige. Eu somme, les
crises
auraient augmenté du nombre depuis le début de
if bien marqué soit sur les mouvements choréiformes, soit sur les
crises
. Régime lacté mitigé (un litre de lait), pour mai
e t8 mars : 180 CLINIQUE NERVEUSE. chôment annonce la fin de la
crise
qui est suiv ie d'une période de coma d'une dur
la paume de la main. L'analyse des urines, l'aile aussitôt après la
crise
, ne décèle pas la moindre trace d'albumine. Les
umine. Les urines sont claires et abon- dantes. A la suite de celle
crise
, régime lacté absolu (2 litres de lait en 24 he
r. par jour). Le régime lacté esl maintenu pendant 2 jours après la
crise
. Dans la nuit du 2 au 3 avril, vers J heures du
et n'est agitée par aucun mouvement choréique involontaire. Pas de
crise
GROSSESSE ET PUERPKRAL;TE CHEZ UNE ÉPILEPTIQU
t dans la matinée du 10 avril, avec les caractères habi- tuels : la
crise
se compose d'une phase de convulsions Ioniques
hloral (ce dernier est supprimé dès que le calme est revenu). Cette
crise
est suivie d'une nouvelle période, de calme, qu
u'au 12" jour après l'accouchement (10 avril). Le l avril, nouvelle
crise
convulsive, moins intense que la précédente. No
ovoque, dans la nuit du 20e au -¿le jour (24-25 avril),une violenté
crise
convulsive, dans laquelle on relève un symptôme
ré- serves sur ce que nous n'avons pas constaté nous- même. Les
crises
d'épilepsie sont devenues un peu plus fré- quen
e favorable sur l'épilepsie, n'est pas confirmée par notre cas. Les
crises
d'épilepsie se- raient même devenues plus fréqu
du travail ; c'est en même temps la plus complète. Notons que cette
crise
in- tense est restée unique. Auparavant, les at
- mes bien définis : vomissements incoercibles de la gros- sesse,
crises
éclamptiqùes. Laquelle de ces théories devons-n
n enfance, M ? était ner- veux, cependant il n'a jamais présenté de
crises
nerveuses d'au- cune sorte. Son intelligence ne
rrhée dans l'enfance. Conjonctivites, ganglions cervicaux suppures.
Crise
de rhumatisme articulaire aigu il y a trois ans.
s'appuie pour faire le diagnostic de tétanie, sur l'exis- tence de
crises
fréquentes de crampes douloureuses depuis dix a
sses nystagmiformes, un tremblement des doigts menu et inconstant ;
crise
de salivation ; sensation fré- quentes de vapeu
la tête dans la région occipitale. Depuis lors elle eut souvent des
crises
qui progressivement devinrent plus rares, actue
rares, actuellement, c'est à peine s'il s'en produit une par an. La
crise
survient lorsqu'elle marche un peu vite ou qu'i
ent des sueurs 2Hi REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. abondantes. La
crise
dure environ une iluini-huuru. Pas du stig- mat
ssement mi- . Irai congénital. Quels rapports existe-t-il entre les
crises
d'épi- lepsie etla lésion mitrale ' ? Les cri
e-t-il entre les crises d'épi- lepsie etla lésion mitrale ' ? Les
crises
n'apparaissent qu'après un exercice. Il semble do
le donc que l'insuffisance du son coeur se traduit chez elle par la
crise
d'épilepsie. Il s'agit très probablement, dit
, ou doit admettre que le rétrécissement mi- tral peut rappeler des
crises
d'épilepsie chez des malades porteurs de lésion
bservation 1.- Il\'pt"l'0-l;pllCl)sl(' datant de IIL11tI1701S, il.l
crises
par jour, troubles psychiques, rétention d'urine,
rique. Fièvre typhoïde contractée le 1 ? décembre, suspen- sion des
crises
pendant toute la durée. Mastoïdite typhique, Da
Dans cette observation, la lièvre typhoïde, a amené lacessaLion de
crises
convulsives qui duraient depuis huit mois. L'effe
tômes méningés, étal comateux, paraplégie spasmodique, puis grandes
crises
convulsives hystéri- ques, fièvre hystérique bi
tôt sédation, tantôt excitation du sys- Li-IIII' nerveux et que les
crises
convulsives cessent on apparais- sent sans être
bout 218 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de 48 heures la première
crise
d'hystérie éclata ; les règles arri- vèrent ens
'm'et un souffle systolillue perçu dans la région xiphoïdienne. Les
crises
de grande hystérie apparurent au moment de la p
papille très intense, semblant augmen- ter immédiatement après les
crises
. Cette observation semble, d'après les auteurs,
le. Depuis l'opération (deux mois), la malade n'a plus eu une seule
crise
quoiqu'elle n'ait point absorbé de bromure ; de
ied sur la jambe, ce qui explique lu clonus chez les hystériques en
crise
, ou en contracture. Le clonus à l'état de relâc
6 janvier et du 20 février lOUG. Présidence DE \I, ,Im.FS Voisin.
Crises
de sommeil hystérique. M. Barbier. Une femme du
le tombe ainsi, subite- ment, sans connaissance dans la rue. Chaque
crise
survient pru- dant la période cafatueuiate : la
uiate : la première a eu pour cause une grande frayeur. Pendanl ces
crises
. la menstruation n'est nulll'- ment troublée ;
pières, sont en résolution SOCIÉTÉS SAVANTES. 227 cumplèlo. Ces
crises
de sommeil ne durent que quelques jours ; elles
Damoglou (du Caire). - }ll1le F.. âgée du 29 ans, a de fru- quentes
crises
convulsives, causées pardesplcurs,des discussions
uveau, par- ler comme par 1e passé. Il y a quelques mois, après une
crise
convulsive causée par une discussion, elle esl,
brale. Le trépan pa- rut tout d'abord produire une amélioration des
crises
et de l'irri- tabilité ; mais cinq ans après, d
puisqu'il passa à l'asile. La hromuration diminua la fréquence des
crises
, sans empê- cher la démence commençante, et le
mmençante, et le malade mourut dans le coma qui suivit une série de
crises
avec agitation intercalaire, le 23 novembre 190
ante-deux ans. Epilepti- que depuis novembre 1880. Douze à quatorze
crises
par mois en- viron. Première crise après un acc
novembre 1880. Douze à quatorze crises par mois en- viron. Première
crise
après un accident de voiture : chevaux d'omnibu
és. Coup de pied de cheval à la nuque et bras gauche brisé. Dans sa
crise
, appelle souvent au secours et dit « arrêtez-le
dit « arrêtez-les. » Jeune, avait eu des convulsions. La première
crise
se serait pro- duite au lieu de l'accident (on
e hernie. Hémoptysies autrefois. Série de vertiges le 18 janvier et
crises
fortes nocturnes suivies d'automatisme ambulato
souvenait de rien. Mémoire affaiblie. Délire violent consécutif aux
crises
. (Dr Cestan). A. Il.- Le père aurait eu des a
entsansprédispositions. La démence moindre d'un tel hémiplégique, à
crises
épileptiques graves et fréquentes bien que sans
ttaques épileptiformes à l'asile; par- le de son accident durant la
crise
. Embarras de la parole, obtu- sion intellectuel
taque ; dans le se- cond cas la migraine éclatait avant ou après la
crise
épi- leptique. Haig (3) estime que l'épilepsi
e malade se termine tantôt par un accès de migraine, tantôt par une
crise
convulsive. Mais c'est l'aura qui établit un li
n faisant l'examen des principaux phénomènes de ces deux maladies à
crises
, Cornu dit que le « symptôme principal de la mi
5 fois des rapports sexuels qui se sont tou- jours terminés par des
crises
épileptiques avec l'ancienne aura, la L'ÉPILE
l'apparition d'une lueur rouge, tantôt la lueur était suivie d'une
crise
convulsive. La volonté joue un rôle considérabl
re rapports : 1° Parla combinaison d'accès de migraine avec des
crises
épileptiques ; - 2° par la combinaison d'accès
ne personne chez laquelle le coït était toujours accom- pagné d'une
crise
épileptique. G. Cole raconte l'histoire d'une -
tements. L'enfant était autrefois gro- gnon, un rien provoquait Une
crise
de larmes, actuellement, elle est caressante, a
février 190G ) Observation de plusieurs épileptiques chez, qui des
crises
de bé- gaiement constituaient des équivalents d
ez, qui des crises de bé- gaiement constituaient des équivalents de
crises
vraies. Dans un cas.le bégaiement annonçait l'a
sait à intervalles rapprochés jusqu'à ce que sur- vienne une grande
crise
. ,,1. II. L. Note sur les rêves épileptiques ;
r des rêves noctunes ou diurnes stéréotypés et ayant l'allure d'une
crise
fruste. Sans qu'on puisse affirmer l'épilepsie
ns ils paraissent constituer dans certains cas des équi- valents de
crise
. Suivent deux observations-. IL il. LI. - Contr
re, le malade présente une fracture spontanée du calcanéum et des
crises
gastriques, qui ontdébuté alors qu'il avait six a
435 amyotrophique) avec hallucinations, délire de persécution et
crises
d'agitation impulsive. » Nous avons recueilli s
er de ce qu'il possédait ; l'accablait d'injures,éprou- vait<les
crises
incoercibles d'excitation puérile avec pleurs spa
ant. Il a des périodes de calme et de lucidité re- lative, puis des
crises
d'excitation avec délire et hallucinations prob
pas de lui apporter. A certains moments, il est pris sans motifs de
crises
de colère, de désespoir et de larmes dont il ne
HIQUE. 437 enfant. De plus en plus capricieux irritable et violent.
Crises
de pleurs spasmodiques presque continuelles. Dé
es. Délire de persécution plus intense que jamais. Mars 1904. Les
crises
d'asphyxie deviennent de plus en plus- fréquent
et affectifs s'ajoutent des raptus mélancoliques transitoires avec
crises
de déses- poir et impulsions soudaines au suici
ligure des gens ce qu'elle lient dans les mains puis entre dans une
crise
de rire incoercible et idiot. Peu à peu elle s'
hargés de la ' soigner, des accusations contre les infirmières, des
crises
de dé- sespoir avec pleurer spasmodique indéfin
tation parfois bruyante. En janvier 1904, elle commence à avoir des
crises
bulbaires,' des perturbations de l'innervation
' des perturbations de l'innervation cardiaque CL pulmoniu-e, des
crises
de dyspnée énorme et passagère ; en ? é ! l\C tem
gêne de la parole ; entre temps, névralgies lombaires et sacrées,
crises
douloureuses fugitives mais tenaces dans le domai
ses douloureuses fugitives mais tenaces dans le domaine du crural ;
crises
de ténesme rectal. Perte du sens génital ; foncti
rent. En revanche, il a à chaque instant le rire spasmodique par
crises
accompagnées d'un bruit laryngé rauque et sonore.
om de myopsychies (1) ? . Il convient de remarquer qu'en dehors.des
crises
pas- sagères d'hébétude confusionnelle,crises d
quer qu'en dehors.des crises pas- sagères d'hébétude confusionnelle,
crises
dues sans doute à quelque état passager d'auto-
ion de toutes les facultés (paralysie générale). 11 est sujet à des
crises
d'a- gitation pendant lesquelles il apporte le
es signes fonctionnels consta- tés : respiration de Chcynes-Stokes,
crises
convulsives intra et eatra-utérines, contractur
E montre un homme ayant ou de la fausse angine de poitrine puis des
crises
cardiaques et enlin de l'mlènte de la main avec
ée sous- arachnoïdienne bilatérale chez un alcoolique brightique,
crises
épileluiformes, par Tolot, 134. - - 1)J'o[uhl
. Sel. Influence du - sur le tra' voit, par Féré, 501. Sommeil.
Crises
de - hystérique, par Barbier, 226. Valeur pro-
vulsives. Son mutisme disparut un jour brusquement à la suite d'une
crise
et il demanda aussitôt sa sortie. Il resta alor
ncement de juin 1889, il fut encore pris sur la voie publique d'une
crise
apoplectiforme et transporté dans le service de
énomènes douloureux et tympaniques disparais- sent à la suite d'une
crise
convulsive. Son tremblement, au cours de l'année,
t d'af- firmer rétrospectivement la véritable nature de la première
crise
. Il nous semble superflu de mentionner à l'appu
r sa fiancée, il a dû perdre connaissance sur la route et avoir une
crise
. Le lendemain il s'est retrouvé dans son lit, la
pari et . marche devant lui sans en avoir conscience. Depuis cette
crise
il s'est aperçu qu'il urinait fort peu et que s
d'épileptiques ou d'aliénés, il est depuis dix-huit ans sujet à des
crises
convulsives qui tout d'abord 26 NOUVELLE ICONOG
if appartiennent à l'hystéro-neurasthénie. Il ne reste plus que les
crises
convulsives ; elles sont nocturnes avec miction
let et Crespin l'ont étudiée avec soin. Du reste la dernière de ces
crises
s'est accompagnée du syndrome hystérique simula
nq qui vivent se trouve une fille, soeur de la malade, qui a eu des
crises
convulsives ; elle a actuellement de l'eczéma. Un
ée, elle a eu des accès convulsifs deux ou trois fois par mois. Ces
crises
s'accompa- gnaient de perte de connaissance, de
elle était fatiguée et courbaturée durant deux ou trois jours. Ces
crises
étaient aussi fréquentes le jour que la nuit. cet
note de février 1888 on lit : toujours douleurs épigastriques avec
crises
. Plus de vomissements ni d'hématémèses. La vue a
eresthésies, les douleurs lancinantes, fulgurantes, cruciantes,.les
crises
gastriques ou abdominales, la perte du sens mus
e la nuque, le tout durant à peu près un quart d'heure. Pendant ces
crises
, la cécité était complète ; mais le malade entend
festait de plus en plus forte, jusqu'au moment où se complétait la
crise
. Le caractère était devenu très impressionnable
diverses, étincelles, etc., et de complètes halluci- nations) ; des
crises
gastriques caractérisées, comme celle de l'ataxie
r influence, on vit disparaître les vomissements, les vertiges, les
crises
épilep- tiformes, la céphalalgie, les douleurs
un peu, l'hyperesthésie disparut au cuir chevelu et à la face. Les
crises
gastriques s'amendèrent. Un phénomène nouveau, qu
ne s'arrêtait pas. Il est persuadé qu'il en viendrait il une vraie
crise
épileptiforme s'il persistait un peu trop longtem
ial antérieur et les fléchisseurs du genou. Le 30 novembre 181 7,
crise
de douleurs exaspérées par la pression sur l'or
ade. » En mars, on remarqua souvent que la nuit le malade avait des
crises
convulsives. Il agitait les bras et les jambes, e
te et un ans, qui, à part deux attaques de coliques de plomb et des
crises
d'automatisme ambulatoire datant de sa jeunesse,
cune maladie étant enfant. De quatorze il dix-huit ans il eut des
crises
d'automatisme ambulatoire, probablement d'origi
ptique. Il ne peut pas donner de renseignements bien précis sur ces
crises
. Cependant on peut arriver à savoir qu'elles étai
antalon. Il ne se rappelle ' pas s'être jamais mordu la langue. Les
crises
étaient accompagnées d'une perte absolue de la
nel ou répré- hensible. Le retour à la connaissance se faisait sans
crise
convulsive, spon- tanément, et dans le reste de
a journée le malade était abattu, fatigué, avait mal il la tête. La
crise
n'était annoncée par aucun phénomène spécial sino
ne cause quelconque à la guérison. Le malade n'a jamais remarqué de
crises
comitiales véritables pendant la nuit ni à aucu
HUTCHINSON. DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 55 veau dans une de ses
crises
d'automatisme qui avaient cessé depuis six ans
emmené au poste. Il s'était souvenu tout de suite de ses anciennes
crises
et demanda à être soumis à l'examen d'un médeci
u, M. D... lui a dit : « C'est un hystérique, mais il n'a pas eu de
crises
. )) ,j Le père Charcot arépondu : « S'il n'a pas
eu de crises. )) ,j Le père Charcot arépondu : « S'il n'a pas eu de
crises
, eh bien, il en aura. » Et effectivement le malad
seconde malade, la nommée Cless... est une hystéro-épilep- tique à
crises
séparées, présentant également tous les stigmates
NTS ARRIÉRÉS 1 ET CIIEZ LES JEUNES SUJETS PRÉSENTANT AVEC OU SANS
CRISES
ÉPILEPTIFORMES , DES TROUBLES MOTEURS ,. OU PSY
ditaires, un père bien portant, pas alcoolique, une mère ayant des
crises
convulsives sans perte de connaissance. Trois f
la poitrine, mais n'irradiait dans aucun des membres supérieurs. La
crise
douloureuse dura deux heures environ ; les jours
nchites et aux névralgies dentaires. Depuis trois ans, elle a des
crises
bizarres. Ces crises, dit-elle, auraient été pr
gies dentaires. Depuis trois ans, elle a des crises bizarres. Ces
crises
, dit-elle, auraient été provoquées par le médec
aques électri- ques, et cela dans un but thérapeutique. Ce sont des
crises
de cris, sans aura, avec battements au creux ép
is sans perte de connaissance et sans phénomènes convulsifs. Chaque
crise
dure quelques secondes et est suivie de courbat
secondes et est suivie de courbature pendant plusieurs heures. Ces
crises
reviendraient à des intervalles très irréguliers,
achis et dans les membres inférieurs, spécialement au moment de ses
crises
. Elle accuse aussi des douleurs sourdes au niveau
recrudes- cence. Ces dernières succédaient toujours à une sorte de
crise
de tout point semblable à celle qui précède le
en cherchant à déchirer ses habits, et elle ajouta : « Tu as eu une
crise
de nerfs comme la voisine. » Or, renseignements
ès d'elle la femme du malade « lorsqu'elle sent qu'elle va avoir sa
crise
». Au sortir de cette première attaque, Claw...
ments, de battements dans les tempes, etc. Depuis cette époque, les
crises
allèrent se répétant à des inter- valles variab
hydrothérapique -qui lui fut prescrit par M. le docteur Rendu, ses
crises
devinrent un moment moins fréquenles. De- puis
édée des mêmes prodromes qui avaient marqué le début de la première
crise
. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1
ents dans les tempes, etc. Depuis cette époque, indépendamment' des
crises
convulsives qui se succédaient à intervalles va
veuse, emportée, très colé- reuse. Une tante du côté maternel a des
crises
de nerfs. Père bien portant, pas nerveux, pas a
lée à treize ans et toujours bien réglée. Elle n'avait jamais eu de
crises
de nerfs d'aucune sorte. Elle était seulement trè
a toujours persisté depuis. Jusqu'à ce jour la malade n'a eu aucune
crise
nerveuse, aucune syncope. Seulement il lui arri
us firent porter, malgré la bizarrerie des autres troubles nerveux (
crises
de douleurs céphaliques accompagnées de perte d
lèvres et menaces d'asphyxie subite. Au bout de quelques instants la
crise
cessa; mais bientôt la maladie fit des progrès;
ain conjunction with tabès dorsalis, wilh some /'emal'ks on gastric
crises
. Brain, 24 avril 1884 (in Rev. des Se. méd. 1885,
ayant eu la syphilis.en 1870. Début de la maladie en 1881, par des
crises
de douleurs gastriques accompagnées de vo- miss
une respiration laryngée bruyante; de temps à autre surviennent des
crises
pa- roxystiques de dyspnée laryngée avec repris
té de se tenir debout, anesthésie complète, cécité presque absolue,
crises
gastriques et surtout crises laryngées excessives
ésie complète, cécité presque absolue, crises gastriques et surtout
crises
laryngées excessives ; bientôt escarres au sa-
ss2). 1. James Ross, On a case of locomolor ataxie tuitlr largngeat
crises
, and one osprimarit sclerosis of the cntums of
nt jeune, elle se mettait en colère sans raison et avait de petites
crises
de nerfs. Eu 1881, elle accouche d'une enfant ché
gtemps après que, la douleur ovarienne persis- tant, survinrent des
crises
hystériques caractéristiques, un changement de
S SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 309 En septembre 1880, les
crises
nerveuses disparaissent; la toux persiste; l'hy
. A la visite non annoncée de M. Charcot, la malade est prise d'une
crise
de toux et de trépidation des membres infé- rie
on les aurait vraisembla blement trouvés, que Julia B... avait. des
crises
de tremblements et une émotivité manifeste, qu'
erculose pulmonaire. C'était un alcoolique renforcé, qui, avait des
crises
de nerfs caractérisées par : perte de connaissa
lgie depuis son jeune âge; en outre, elle avait eu toute sa vie des
crises
de nerfs, « elle tombait du haut mal », dit la
es de nerfs. Bientôt après, elle a eu la danse de Saint-Guy (et les
crises
convulsives ont cessé), qu'elle a gardée durant p
sage (mécanicienne pour corsets). A quinze ans, elle est reprise de
crises
convulsives ; elle perdait connaissance, se torda
s passé une quinzaine sans avoir d'attaque ; après son mariage, les
crises
sont devenues plus rares (tous les mois environ).
le continua jusqu'au 9 février 1890. Durant ce temps, elle a eu des
crises
analogues aux précédentes et revenant environ t
se mord pas la langue, elle aurait quelquefois uriné sous elle. Ces
crises
durent une demi-heure, une heure en moyenne. ,
r, pensant qu'il allait mieux, mais aussitôt sur pied, il prend une
crise
de nerfs et we reste raide dans les bras, alors
emble que certain phénomène bizarre aurait pu donner l'éveil. Cette
crise
de nerfs, cette perte de connaissance dans les
ours. « C'est, dit-elle, ce qui me soulage le 0 plus. » 28 octobre.
Crise
de vomissements incoercibles, jusqu'en janvier
y revêtir un certain caractère de fulgu- ration ; qu'en outre, les
crises
viscérales : stomacales, laryngées, rénales, et
x, les coudes, les épaules. Ces douleurs survenaient, dit-elle, par
crises
de quelques minutes, tous les jours, pendant un
ent plus continues; elles revenaient une ou deux fois par mois, par
crises
de vingt-quatre heures. L'année suivante, elles s
1888., elle est entrée plusieurs fois à l'infirmerie au moment des
crises
de douleurs qui s'accompagnaient très souvent d
venue absolue, et depuis lors la malade n'a plus quitté le lit. Les
crises
douloureuses surviennent toujours avec leur car
la sensibilité. Dans le courant de cette année, la malade a eu des
crises
douloureuses. Ce sont des douleurs fulgurantes, t
sont très vives dans la région dorsale et autour de la taille. Ces
crises
durent vingt-quatre ou quarante-huit heures. Elle
lieux. Puis tous ces phénomènes disparaissent. La der- nière de ces
crises
violentes a eu lieu au mois de juillet. Dans l'in
s membres inférieurs, autour de la cein- ture, au niveau du rachis;
crises
gastriques accompagnées de vomisse- ments ; dér
oteurs dans le côté gauche du corps. Depuis lors, il a eu plusieurs
crises
analogues; elles duraient chacune trente minutes,
e une déviation de la bouche qui aurait disparu avec une nou- velle
crise
. Le 4 avril, attaque suivie de rétention d'urine.
mène névropathique. Les douleurs fulgurantes sont continues, avec
crises
presque quotidiennes, sans hyperesthésie cutanée;
'est modifié; un jour, dans un accès de colère, il a été pris d'une
crise
de palpitations intense et prolongée. On lui a
trique avec sensation d'un cercle de fer enserrant l'épigastre. Ces
crises
gastriques ne s'accompagnent jamais de vomissemen
laire et mi- cromégalopsie du môme côté. Le malade n'a,jamais eu de
crises
convulsives. Il est enfin porteur d'un goitre e
nférieurs, des douleurs en ceinture, des douleurs rachidiennes, des
crises
gastriques, les signes de Romberg et de Westpha
pliquer tous les signes constatés chez ce malade; les douleurs, les
crises
gastriques, l'incoordination, le signe de Romberg
douleur « pseudo-ovarienne » dans le flanc droit s'accompagnant de
crises
gastriques, puis passant dans le flanc gauche.
els » de l'ataxie locomotrice pro- gressive : douleurs fulgurantes,
crises
viscérales, incoordination motrice, troubles vé
es phénomènes de l'aura, voire même une attaque convulsive. (b) Les
crises
viscérales, gastriques, intestinales, rénales, of
mènes tels que étouffements, constriction il la gorge, suivis d'une
crise
de larmes. Il y a trois ans, durant une grossesse
de se marier, il y a trois ans. Si depuis un an elle n'a plus de
crises
convulsives, elle est toujours restée très émot
t prise souvent d'ennuis, de pleurs et de colères sans motif. Si la
crise
de larmes ne se produit pas, elle éprouve la sens
ÉRIQUES « SIMULATEURS ». 419 hémihyperesthésie, zones douloureuses,
crises
de pleurs, etc. L'ori- gine hystérique de son a
aques convulsives vraisemblablement hysté- riques. Actuellement les
crises
ont disparu ; il ne lui reste plus qu'un caractèr
l'adolescence. Elle n'a plus que deux frères, tous deux atteints de
crises
convulsives (hystérie ou épilepsie) : l'un qui
en outre des spasmes laryngés, l'autre âgé de trente ans ayant des
crises
depuis l'âge de onze ans. Dans ses collatéraux
420 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. prévenue. Dans cette
crise
elle s'est mordu la langue et a uriné sous elle;
1890, se trouvant dans sa famille, elle fut subitement prise d'une
crise
laryngée. On la transporta dans une ambulance urb
ment elle a eu de véritables accès d'épilepsie (hystéro-épilepsie à
crises
distinctes). Depuis son entrée elle a ou quatre o
ie à crises distinctes). Depuis son entrée elle a ou quatre ou cinq
crises
de spasmes laryngés véritablement effrayantes a
qui siègent à droite. Il s'agit ici d'une liy3léro-él)ileptique a
crises
distinctes, hérédité très fortement chargée. De
Depuis l'âge de seize mois jusque vers six ans, Cécile V... a eu des
crises
bizarres. Tout à coup, au milieu de ses jeux, i
es cris horribles qui ameu- taient les voisins et les passants. Ces
crises
de cris revenaient tous les jours, plusieurs fo
as, elle ne s'agitait pas, elle criait simplement. En dehors de ces
crises
, elle était d'un naturel très doux. A sept ans,
e n'en avait aucun souvenir. Elle a encore, à l'heure actuelle, ces
crises
de somnambulisme précédées de cauchemars et de rê
NOGRAPHIE DE LA S1L1'I : 'l'Pll;ItE. Au bout de quelques minutes la
crise
est finie. Elle ne perd pas connaissance, elle
langue ni de miction involontaire. Dans la journée, elle a eu quatre
crises
analogues, toujours sans mouvements ni grimaces
ements ni grimaces mais toujours raide et sans connaissance. Chaque
crise
a duré une demi-heure en moyenne. Les dernières
ayé en voyant quelqu'un tomber d'épilepsie et aurait eu ensuite une
crise
par an dans les cinq dernières années de sa vie.
atre heures. Jusqu'à l'âge de sept ans, il n'a eu que quatre autres
crises
violentes. De sept à douze ans, il avait environ
uettait sur lui-même deux ou trois fois. A partir de douze ans, ces
crises
sont devenues plus fréquentes et se produisaient
ires ; d'autres fois il y a au contraire aggravation des symptômes,
crises
nouvelles qui ne disparaissent pas toujours ave
i (29) cite un fait où, après la huitième séance, le malade eut une
crise
gastrique suivie au bout de trois jours d'un état
alet magnétiseur, qui s'empresse autour d'une malade en proie à une
crise
d'hystérie convulsive, résultat ordinaire des p
lle époque, mais appliquée sans règle et parfois pour provoquer les
crises
comme le montre une gravure que nous avons déjà
ude des divers personnages des effets du traitement : vomissements,
crises
convulsives, prostration qui suit les attaques
« d'attraction passionnelle » qui précédait parfois ou suivait les
crises
. - ' ' ' A droite Mesmer, coiffé d'un bonnet d'
roite Mesmer, coiffé d'un bonnet d'âne, emporte dans la chambre des
crises
un malade que' s'apprête à recevoir son valet mag
nché XLVI représente Mesmer sous forme d'un baudet provo- quant une
crise
d'hystérie chez « une jeune beauté » bien portant
iblepcinture deladamnation n'avaitpas peu contribuée jeter dans une
crise
d'hystérie convulsive. ' La planche XLVlf, fort
n'étaitpas dangereux que pour la bourse. Il produisait de violentes
crises
, ainsi que le montre le cartouche des « malades
rons pas aussi sévère pour Mesmer, à l'actif duquel il est assez de
crises
hystériques et d'opérations financières qui frise
maladies, dont les accès se présentent séparément; tantôt ce sont les
crises
hystériques qui se manifestent (les attaques, com
i se manifestent (les attaques, comme on dit ici), tantôt ce sont les
crises
d'épilepsie (les accès). On désigne, au contraire
accès). On désigne, au contraire, sous le non à'ky siéra-épi-lepsie à
crises
mixtes les cas dans lesquels l'hystérie seule exi
ur caractériser celle forme et remplacer ce mot d'hystéro-épilepsie à
crises
mixtes, qui prête à la confusion. Notre malade
lus comme une hystérique, mais bien comme une épileptique, dont les
crises
d'ailleurs tendaient à diminuer, sinon d'intensit
c'est à l'époque menstruelle qu'arrivent habituellement chez elle les
crises
d'épilepsie et qu'arrivaient autrefois aussi les
chez elle les crises d'épilepsie et qu'arrivaient autrefois aussi les
crises
hystériques. Il est au moins fort vraisemblable q
t un état intellectuel considérablement affecté par la répétition des
crises
épileptiques. L'une de ces malades offre une anes
s cause connue, sans douleur. Peu de temps après, il se produisit des
crises
nerveuses avec rires, pleurs, cris. En août derni
hez la femme, dans un de ses types classiques : l'hystéro-épilepsie à
crise
mixtes ou grande hystérie, telle qu'elle se prése
nous avons vu ensemble la malade? Les règles sont apparues, mais les
crises
hystériques sur lesquelles nous comptions pour me
s pour mettre fin à la contracture ne sont pas survenues ; les seules
crises
qui se produisirent, et qui furent au nombre de t
l'enfant se plaçait en arc de cercle, etc. Je fus témoin d'une de ces
crises
, je cherchai un point hystérogène, j'en trouvai u
sistante, avec un point de sensibilité exagérée sur le vértex, que la
crise
, depuis cinq mois, revient tous les jours à la mê
offrent, en effet, un exemple de l'hystérie anormale par l'absence de
crises
conyulsives. Ils ont de plus, en commun, un autre
thmée. — Caractères des mouvements : ils se manifestent sous forme de
crises
; ils sont cadencés, systématiques et reproduisen
urdissement de tout le corps, et ces accidents se terminaient par une
crise
de larmes. Elle eut également à cette époque des
que de l'affection dont elle est atteinte aujourd'hui. Le début des
crises
de mouvements rhythmés remonte au 15 mai 1884, c'
t à la suite du dîner. Puis la chorée se constitua en permanence, les
crises
survenant à toute heure, excepté pendant le somme
une jeune Polonaise dont les accès malléaloires du bras, revenant par
crises
d'une durée de une à deux heures, plusieurs fois
Flor... est aujourd'hui le suivant. Je vous ai dit qu'il y avait des
crises
spontanées et des crises provoquées. Les première
le suivant. Je vous ai dit qu'il y avait des crises spontanées et des
crises
provoquées. Les premières surviennent en général
parlais dans ma description générale. Quand le début est spontané, la
crise
paraît sans autre aura, qu'un battement de la pau
paraît sans autre aura, qu'un battement de la paupière droite. Les
crises
provoquées s'obtiennent en tirant sur le bras dro
été laites par M. Londe, dans le laboratoire de la Salpêtrière. la
crise
est passée ; mais, non, tout recommence bientôt,
se relève, elle est un peu fatiguée. Vous allez voir maintenant une
crise
fort analogue se pro- Fig. 46, 47, 48. duire
e s'est un peu améliorée, dans ces derniers temps, en ce sens que les
crises
spontanées sont devenues extrêmement rares'; on
ez elle qu'une grande émotivité, et les accès de chorée rhylhmée. Les
crises
se provoquent facilement soit en tirant sur le br
a, elle eut une perte de connaissance qui dura trois heures, puis une
crise
convulsive, grande attaque hystérique, suivie de
aboiement. C'est au bout de quelques mois seulement qu'apparurent les
crises
rhylhmées comme le sont celles d'aujourd'hui ; se
t de monde dans l'amphithéâtre, nous évitera la peine de provoquer la
crise
. Dans une première phase, on voit se produire les
ation, d'adaptation apparente qui est propre à la chorée rhylhmée. La
crise
cesse sous nos yeux spontanément. Pendant toute s
oréiques d'aujourd'hui. De 1878 à 1884, elle n'eut que quatre ou cinq
crises
et cela seulement à la suite de contrariétés. Je
. Il n'y a jamais d'aura céphalique. On peut d'ailleurs provoquer les
crises
en tirant sur le bras gauche et en le secouant en
l'attaque. La pression sur la région ovarienne droite fait cesser la
crise
et alors, pendant un moment, la malade reste sans
l s'agit, chez celte femme, en dehors des phénomènes malléatoires, de
crises
assez vulgaires, appartenant plutôt à la petite h
cier, chez ses parents : ajoutons qu'elle n'a jamais été témoin d'une
crise
convulsive. Je vous présente également le plus
ses durèrent ainsi jusqu'au 15 novembre, Julie continuait à avoir ses
crises
et n'étant guère améliorée par l'application de d
depuis quatre mois, et, si l'isolement paraît avoir un peu calmé ses
crises
ainsi que celles de ses frères, il n'en est pas m
tif de médium. À la fin de la séance, étaient survenues chez elle des
crises
convulsives, qui se renouvelèrent 15 à 20 fois pa
e, qui, du reste, ne l'avait nullement impressionné, était pris d'une
crise
hystérique délirante, alors qu'il était encore cl
s plus tard, le 17, l'aîné des garçons, Jacques, avait à son tour des
crises
délirantes avec hallucinations. A partir de cet
s jeune, François, peut être considéré comme guéri ; il n'a pas eu de
crises
depuis quinze jours, et hier il est allé souhaite
e aîné, de Jacques, qui, du reste, a été pris le dernier. Les grandes
crises
ont chez lui complètement disparu ; cependant, el
ères ; elle n'est, du reste, pas guérie, bien que de jour en jour ses
crises
diminuent de fréquence, de longueur et d'intensit
réunis tous les trois dans la salle d'électrolhérapie, sans qu'une
crise
«'en soit suivie. Je vais d'ailleurs vous les p
ystériques, comme nous les appelons, se sont modifiés de même que les
crises
spasmodiques ou délirantes; c'est là un fait impo
que la vision était redevenue normale. Je vous ai déjà dit que les
crises
avaient complètement disparu : laissez-moi vous r
en avait en moyenne trois par jour, ce qui donne un total de 20 à 25
crises
par semaine Je vous présente maintenant le peti
Ton appelle, chez la femme, la grande hystérie ou hysléro-épilepsie à
crises
mixtes. Si je me décide à aborder ce sujet, que j
iques, croiront, je suppose, s'il existe des troubles sensoriels avec
crises
nerveuses simulant plus ou moins la crise comi-ti
s troubles sensoriels avec crises nerveuses simulant plus ou moins la
crise
comi-tiale, aune lésion organique en foyer, à un
t célèbre, en raison du caractère « démoniaque » que présentaient ses
crises
convulsives, est aujourd'hui âgée de 63 ans. Elle
orts en bas âge. Des cinq qui vivent encore,une fille de 15 ans a des
crises
de nerfs; une autre,âgée de 10 ans, a des attaque
ublé par des visions d'animaux féroces. Autrefois, au sortir de ses
crises
, il se rappelait ce qu'il avait rêvé pendant l'at
uvé enfin complètement l'état normal. Jamais, pendant le cours de ces
crises
, il ne s'est mordu la langue, jamais il n'a uriné
ant bien là, vous en conviendrez tous, d'un cas d'hystéro-épilepsie à
crises
mixtes (hystérie épileptiforme), aussi nettement
t que, à cette époque, dans plusieurs accès, il a uriné sous lui. Les
crises
convulsives s'étaient depuis plusieurs années con
. que chez lui l'aura évolue avec une grande rapidité, et que dans la
crise
, les attitudes passionnelles font défaut. Voici m
re, d'après cela, que chez lui il s'agissait de l'hysléro-épilepsie à
crises
distinctes, à savoir : épilepsie vraie d'un côté,
lement défaut. Quelquefois seulement, nous avons vu vers la fin de la
crise
sa physionomie exprimer Fig. 53. ¦— Arc de cerc
ucinations en jeu aient par moment un caractère gai, tandis que si la
crise
a été provoquée par l'excitation de la plaque hys
, bien que deux ans se soient écoulés, depuis le moment du début, les
crises
convul-sives sont encore fréquentes aujourd'hui,
e la plus classique, toute la symptomatologie de Phystéro-épilepsie à
crises
mixtes. Dans les antécédents héréditaires, on ne
r à haute voix sans se réveiller. Pendant les mois qui suivirent, des
crises
, en tout semblables, se répétèrent tous les huit
r tout travail, à cause de l'état de faiblesse où il se trouvait. Ces
crises
furent considérées comme des attaques épileptifor
, moins inattendue, c'est, dans l'hystérie de la femme, l'absence des
crises
convul-sives. Vous savez, en effet, que, suivant
Deux autres attaques se produisent le 19. Le 21 survient une nouvelle
crise
pendant laquelle le bras gauche s agite. Au révei
s-là ; il n'a notamment jamais éprouvé, à aucune époque de sa vie, de
crises
nerveuses ni de manifestations rhumatismales. I
ns. A l'âge de 7 ans, contracture douloureuse du pied droit. A 9 ans,
crises
nerveuses. A l'âge de 10 ans, reprise des crises
pied droit. A 9 ans, crises nerveuses. A l'âge de 10 ans, reprise des
crises
nerveuses. A 11 ans, survient une douleur de la h
, âgée de 18 ans. Antécédents héréditaires nuls. A 6 ans et à 14 ans,
crises
nerveuses nombreuses qui paraissent avoir été des
Dans le cas actuel, en dehors des caractères spéciaux du mutisme, les
crises
antérieures sont les seuls symptômes que nous pui
Père, mort d'une laryngite tuberculeuse à l'âge de 57 ans; avait des
crises
épileptiques. Mère nerveuse, très emportée, morte
ortes de phtisie, à 24 et 26 ans. L'une d'elles était sujette à des
crises
de nerfs et à des attaques de sommeil cataleptiqu
amarades ne parviennent pas à le réveiller. Yers le matin, éclate une
crise
nerveuse avec délire terrible. Le médecin crut à
it à lui. Rechute, quelques jours plus tard; application de sangsues,
crise
nerveuse encore plus terrible que la première,
e ces étoulfe-menls, il entra dans une pharmacie où il fut pris d'une
crise
nerveuse analogue aux précédentes, mais qui ne du
donna les mêmes indications que la première fois. Le 4 juin, nouvelle
crise
de sommeil cataleptique. La parole revient quelqu
884 et 1885. Ce qu'on peut apprendre, c'est qu'il a eu, en 1884, cinq
crises
nerveuses ressemblant aux premières (en 18G9) e
ale, faite dans une station d'eaux sulfureuses, qu'il eut la première
crise
convulsive. Depuis cette époque (3 ans), il a eu
connaissance, que, le plus souvent, il ne prévoit pas. On regarde ces
crises
comme épileptiques et d'origine syphilitique. Un
que. Un traitement spécifique des plus énergiques fut institué et les
crises
n'en devinrent que plus longues, plus violentes e
de bégaiement. Le mutisme reparaissait par intervalles, a la suite de
crises
accompagnées d'étouffements, de constriction de l
ieurs heures et de plusieurs jours. A la date du 24 février 1885, une
crise
a été très violente, avec spasmes et accès de suf
aques, laissant du mutisme, qui se dissipe parfois après une nouvelle
crise
. D'autres fois, c'est spontanément que la parole
hystériques datent de l'année 1884. Au commencement de février 1885,
crises
convulsives, contracture, etc.. La voix s'affaibl
méd. des hop., 10 nov. 1882). — X..., atteint à diverses reprises de
crises
hystériques avec délire, contractions irrégulière
avec les personnes qui l'entourent et répond ainsi aux questions. La
crise
finit par céder, le sommeil survient sous l'influ
XII. — (Sevestre, ibid). — G... Léon, âgé de 25 ans, est sujet à des
crises
qu'on peut arrêter en comprimant le testicule. A
ez distinctement pour donner des renseignements. Après avoir eu des
crises
épileptiformes, il serait resté hémiplégique depu
hystérique d'origine traumatique. Sommaire. — Hystérie larvée, sans
crises
convulsivos. — Contracture spasmodique permanente
thmée. — Caractères des mouvements ; ils se manifestent sous forme de
crises
; ils sont cadencés, systématiques et reproduisen
7. Hystérie, 14, 38, 47; — chez les jeunes garçons, 80, 232; — deux
crises
convulsives, 97; — influence des émotions morales
épharospasine. Tantôt continu, tantôt intermittent, il survient par
crises
de quelques minutes, provoquées ou exagérées par
nations audi- tives, surdité. Ces symptômes font aussi partie de la
crise
elle-même, connue on peut le constater dans cer
lexes spasmodiques graves par eux-mêmes, à des convulsions et à des
crises
épileptiformes : on les a vues à la suite de lé
el est l'affaissement brusque avec perle de connaissance, mais sans
crise
convulsive; la perte de connais- sance, en supp
a fois des sensations vertigineuses, des attaques syncopales et des
crises
convulsives. Des troubles sensoriels ou viscéra
. Le vertige des arlério-seléreux est un vertige chronique dont les
crises
sont plus ou moins fréquentes (jusqu'à 40 dans
e plus souvent simple, il peut être, d'après Grasset, accompagné de
crises
épilepliforines, il peut n'être qu'un des éléme
n'être qu'un des éléments du syndrome « pouls lent permanent avec,
crises
vertigineuses, syncopales, épileptiformes ou apop
e ou une grande attaque, soit comme un symptôme de l'intervalle des
crises
convulsives, soit comme manifestation isolée su
tc.). Au cours de l'hystérie, le vertige peut être le prélude d'une
crise
convulsive ou une manifestation cérébrale isolé
ertige d'origine utérine s'observe dans les dysménorrhées, dans les
crises
douloureuses de la ménopause, dans les métrites e
u'exceptionnellement des troubles asphyxiques et même la mort. La
crise
n'est sans doute pas due seulement, connue le pen
et paroxystique, ceux qui chez les urémiques préludent souvent aux
crises
convulsives et chez les diabétiques au coma (vert
t de l'appareil circulatoire. L'hystérie et l'épilepsie, maladies à
crises
, simu- lent parfois l'apoplexie. Le diagnostic
parfois enfin, par excitation d'une zone hystérogène, couper d'une
crise
convulsive le sommeil névropa- thique. . Il n
rtie du syndrome clinique du pouls lent permanent. Enfin, la grande
crise
épileptique se termine par une phase de coma légi
, s'accompagnent également de sopor; le paludisme présente même des
crises
comateuses périodiques, que l'on peut faire dis
are que le coma s'installe d'emblée; il est généralement précédé de
crises
épileptiformes, d'accès de dyspnée pour l'urémi
mmeil est léger, facilement interrompu. Le malade demeure entre ses
crises
hébété, le regard atone, présentant tous les sign
observe soit des accès de somnolence passagère, soit de véritables
crises
d'un sommeil souvent intense, persistant plusieur
stant plusieurs semaines ou même plusieurs mois. Le début de telles
crises
peut être progressif chez un malade présentant
il impérieux est accom- pagne de ronflements; il précède parfois la
crise
épileptiquc légitime; il en est le plus souvent
11 s'observe généralement chez les individus présentant de grandes
crises
. Le malade tombe foudroyé (forme apoplec- tique
manifeste toujours en ces cas une dénutrition intense. La fin de la
crise
peut être calme, le réveil se faisant doucement,
ule se couche et s'endort comme d'habitude; mais il est rare qu'une
crise
survienne sans que quelque fatigue ou quelque con
l côté de l'étal, primitif de l'individu. Il se produit souvent des
crises
convulsives au départ des deux états, Il semble
e à citer dans cet ordre d'idées qur l'insomnie pl'od1'o- mique des
crises
d'épilepsie. Les préoccupations sont des causes
s du type glosso-labio-Iaryngé, dysphagie, écoulement de la salive,
crises
de rire ou de pleurer spasmodiques, affaiblisse
gence est souvent affaiblie. C'est dans ces cas que s'observent les
crises
de rire et de pleurer- spasmodiques. La voix de
aphasiques, les épileptiques dans l'étal crépusculaire qui suit la
crise
(A. Pick), dans les tumeurs cérébrales (l3rissa
emplissant parfois des pages de leur graphisme stéréotypé. Après la
crise
d'épilepsie, s'observent des troubles analogues.
u phrases sautés. L'automatisme est constant : au sortir même de la
crise
, l'épilcptiquc est parfois capable de tracer une'
de de la vie du malade; l'épileptique qui a perdu le souvenir de sa
crise
a une amnésie localisée. - " Dans .1'ccmzesie
ui permettent toujours de les reconnaître. L'obsession survient par
crise
dans le champ de la conscience; le malade, qui
tériques ont parfois du délire religieux coexistant ou non avec des
crises
convulsives; des épidémies de démonopathie se vir
sie qui se surajoute souvent l'idiotie après plusieurs années. Les.
crises
peuvent se multiplier, et l'a déchéance, mental
ation diurnes ou nocturnes, tantôt paroxys- tiques. Dans ce cas les
crises
douloureuses surviennent par crises parfois trè
aroxys- tiques. Dans ce cas les crises douloureuses surviennent par
crises
parfois très vives (crises gastriques du tabes)
les crises douloureuses surviennent par crises parfois très vives (
crises
gastriques du tabes), qui apparaissent périodique
riques du tabes), qui apparaissent périodiquement ou non. Entre les
crises
paroxystiques, l'accalmie est complète ou incompl
t les vis- ceratgies dans le tabès. Le type le plus fréquent est la
crise
gastrique (Voir art. Troubles nerveux de l'appa
veux de l'appareil digestif); mais on peut ob- server également des
crises
de douleurs paroxystiques intestinales ou à for
inaires peuvent être le siège soit de douleurs permanentes, soit de
crises
douloureuses occu- pant la vessie, le col, l'ur
la vessie, le col, l'urètre, le testicule, l'ovaire, le clitoris. La
crise
laryngée du tabès est peu douloureuse. 2° Dan
les névroses, les douleurs viscérales permanentes ou sous forme de
crises
sont communes dans le goitre exophtalmique (angin
ses sont communes dans le goitre exophtalmique (angine de poitrine,
crises
gastriques), dans Y hystérie (vaginisme, )1("l'it
Elles ne sont pas conti- nues habituellement, mais surviennent par
crises
provoquées par la fatigue, par un traumatisme e
es douloureux revêtent le caractère paroxystique et surviennent par
crises
; dans l'intervalle il ne persiste que des troub
llements; les engourdissements et les pico- tements surviennent par
crises
périodiques, habituellement nocturnes; ils occu
s sont quel- quefois unilatéraux. Tous ces troubles surviennent par
crises
qui appa- raissent ordinairement le soir après
nsations d'engourdisse- ment, d'onglée, de doigt mort survenant par
crises
, sous l'influence du froid et siégeant soit aux
ques sont fréquentes. Tout d'abord intermit- tentes', survenant par
crises
, il la suite d'une fatigue, elles deviennent en
durable, soit comme signe passager dans la période prodromique des
crises
convulsives. Dans Vépilepsie essentielle ou sym
eurs irradiées sont moins intenses que les douleurs primitives. Les
crises
douloureuses sont souvent accompagnées de trouble
lgiques existent souvent des sueurs et de la polyurie. Au cours des
crises
névralgiques, on constate parfois des tremblement
tous les malades atteints de douleur d'habitude attribuent à leurs
crises
telle ou telle origine organique (hépatique, gast
yant fréquemment le caractère fulgurant et térébrant, survenant par
crises
variables d'intensité. Les douleurs se font sen
de ces végétations avec une solution de cocaïne à 10 pour 100; les
crises
douloureuses iléo-alolominules ou sacrées peuve
es réveille aussi des douleurs. La marche est difficile pendant les
crises
douloureuses. On ne constate pas de troubles de
sménard. Ce signe permet de différencier les accès épileptiques des
crises
d'hystérie. 6° Le signe de Babinski se rencontr
tabès, Salrrazès a pn le constater chez un tabétique en période de
crise
de douleurs fulgurantes dans les membres inféri
eurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Dans l'intervalle des
crises
, ce signe disparaissait. Dans la paralysie géné
ve une soif intense. 5° Paraplégies consécutives ou associées à des
crises
douloureuses intéressant exclusivement les memb
araplégique flasque, consécutif chez les tabé- tiques aux violentes
crises
de douleurs fulgurantes. Il y aurait dans ce ca
fois par semaine, une fois par mois ; quelquefois la fréquence des
crises
augmente progressivement et peut diminuer par l
par minute. J'ai décrit, avec Guy Laroche, une forme apnéique de la
crise
bulbaire des tabétiques qui reconnaît sans dout
nsibilité (Moure). Enfin on l'a signa- lée comme un phénomène de la
crise
épileptique; elle peut même persis- ter un cert
e l'an- goisse lorsque brusquement la respiration se rétablit et la
crise
s'arrête. C'est la l'orme bénigne, à durée très
n redevenue normale : tout rentre dans l'ordre jusqu'à une nouvelle
crise
. ' Enfin on peut assister à des phénomènes plus
u côté des yeux, de la face, des extrémités, etc. Puis la fin de la
crise
est annoncée par des inspirations courtes, sono
icielle ou même ici tubage ou trachéotomie. Dans l'inter- valle des
crises
, les antispasmodiques, bromure, valériane, drap m
ie laryngée, il y en a qui se rapportent à des épileptiques dont la
crise
débute par le larynx, à des tabétiques présenta
oses. Nous avons déjà signalé la contraction des adducteurs dans la
crise
epiteptique : par- fois il y aune véritable aur
revenant par accès, de toux rythmique et incessante, de véritables
crises
d'aboiement. Le plus souvent il y a eu ou il y
n de la maladie causale ; fréquemment le malade suc- combe avec des
crises
dyspnéiques, tachycardiques et arythmiques que
tteinte des noyaux bulbaires (paralysie tabio-gtosso-taryngée). Ces
crises
sont peut-être dues aussi en grande partie à Y
pas pour rien dans certains troubles viscé- raux et dans certaines
crises
des tabétiques. Tête et face. - Rarement on obs
antes, paroxysti- ques, dans les membres inférieurs et en ceinture,
crises
gastralgiques, frigidité et impuissance, troubl
pnée permanente, sifflante, coupée de périodes de tirage ou même de
crises
de sufl'ocation dramatique. ' Ajoutons que cet
ts. On a également rangé, dans le cadre qui nous intéresse ici, des
crises
d'angine paroxystique pure (Brissaud, Bonnier).
Les muscles du visage se contractent violemment, se plissent; et la
crise
de rire ou de pleurer se prolonge, inextinguibl
ire assez jeune : ce malade nous fit clairement entendre que si une
crise
courte ou isolée de pleurer spasmodique le lais
ou isolée de pleurer spasmodique le laissait tout indifférent, une
crise
prolongée, des accès subintrants finissaient pa
ésitante entre le spasme du rire et la grimace du pleurer, avec ses
crises
émotionnelles désordonnées, ses troubles de la ma
tion de l'orbiculaire des paupières et des muscles de la nuque, les
crises
bul- baires, les rémissions, l'irrégularité de
D'ailleurs, chaque accès dure peu, de une à deux minutes; mais les
crises
peuvent se renouveler pendant plusieurs heures de
orce et sans brusquerie. Les mouvements athétosiqucs CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULSIVES. 819 sont encore plus lents que les
t nous aurons la convulsion tonique. [ROUSSY.] 820 CONVULSIONS ET
CRISES
CO\1`ULSIYFS.. L'analogie de ces résultats expé
, Ibis la convulsion survenue, elle affecte tantôt le tableau de la
crise
clonique, tantôt celui de la crise tonique, ou le
affecte tantôt le tableau de la crise clonique, tantôt celui de la
crise
tonique, ou les deux succes- sivement, une même
ulsif. - Les convulsions cloniques réalisent l'aspect typique de la
crise
épilep- tique, une fois la courte phase tonique
qui l'environnent. Le visage n'est pas épargné : on CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULSIVES. R21 voit les globes oculaires dévi
xemple, chassent le sang des muscles - [ROUSSY] 22 CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULSIVES. vers les viscères et il en peut ré
s sécrétions peuvent être augmentées, particulièrement à la fin des
crises
: larmes abondantes des hystériques, sueurs des t
Les maladies infectieuses peuvent s'accom- pagner, au contraire, de
crises
très courtes, passagères, définitivement curabl
ion généralisée, elles constituent l'épilepsie par-. CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULS1VES. 825 tielle ou Bravais-jacksonienne
minutieusement les signes de ces affections en se rappelant que les
crises
convulsives y sont fréquentes surtout au début
etc. Quand elles surviennent au cours de la maladie CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULSIVES. - 825 confirmée, on les reconnaît
rte de connaissance. Après quelques années, surviennent les grandes
crises
convulsives, très semblables à celles de l'adulte
d'attitudes passionnelles, enfin période de délire. Mais c'est une
crise
souvent très incomplète. En dernier lieu, et co
période d'accalmie naturellement - on ne trouverait rien pendant la
crise
- suffit à orienter déjil le diagnostic. Hanter a
gite. Une ponction lombaire - pour [ROUSSY.] 826 - CONVULSIONS ET
CRISES
CO\ ULSt1'h;s. laquelle tout praticien devrait
r ces signes parce qu'il peut arriver qu'une femme enceinte ait une
crise
(l'épilepsie vraie, et soit une ancienne comiti
exion forcée du pouce, mais encore dans le type qui ressemble à une
crise
(l'épilepsie Ilravais-,jaclaonnicnne ou dans le
ffaire le plus souvent à une tentative d'empoisonné- CONVULSIONS ET
CRISES
C011'ULSI'Is. 827 ment ou à un empoisonnement i
igle. Les ouvriers qui manient la céruse présentent quelquefois des
crises
épileptiformes qui sont plus longues que celles
r et. soutenu, hien que rapide et ce [ROUSSY.] 828 CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULS1VES. qui domine, c'est une somnolence p
urale, doit faire penser, chez un tuberculeux, à une CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULSIVES. 829 plaque méningée; l'exaspératio
arce que le médecin n'arrive que trop rarement à temps pour voir la
crise
et qu'il doit, dans bien des cas, se contenter
s cas, se contenter de la description que lui a fait l'entourage.
Crise
convulsive de l'épilepsie. L'accès épileptique pe
eur que le malade soit tombé comme foudroyé, et la brusquerie de la
crise
a empêché l'entourage de prendre aucune précaut
survenue prévient l'épileptique et son entourage qu'une nou- velle
crise
va éclater. Ces phénomènes sont d'une constatatio
ensorielles sont surtout visuelles : [ROUSSY.] 850 CONVULSIONS ET
CRISES
l;0\VULSlI'1 : 5. photophobie, obnubilation de
yant aucun souvenir de ce qui vient de se passer.. CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULSIVES. 851 Quand le médecin n'aura pas ét
alade s'est blessé; il insistera sur l'existence de l'amnésie de la
crise
. Il tiendra compte aussi de la possibilité de c
l'amnésie de la crise. Il tiendra compte aussi de la possibilité de
crises
atténuées, incom- plètes ou, au contraire, aggr
cua- tions manqueront quelquefois. Dans d'autres circonstances, les
crises
pourront se multiplier, se répéter même coup su
d'absences, d'épilepsie précU1'sive, d'automatisme ambulatoire, de
crises
stertoreuses, etc. Elle peut aussi alterner ave
retour périodique, de l'action de la médication broniurée sur eux.
Crise
convulsive de l'hystérie. Très difficile quand el
e l'épilepsie ou l'allaque jacksonienne, le diagnostic de la grande
crise
convulsive hystérique est plus facile quand on pe
ctère effrayant le pour- suivent. [ROUSSY] ] 852 CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULSIVES. Dans la période des altitudes pass
La quatrième période, dite période de délire, annonce la fin de la
crise
. C'est un délire surtout parlé. La terminaison
eille et en est quitte pour un peu de fatigue. Ainsi constituée, la
crise
peut se répéter il intervalle, variable, tous les
e, avec ébauche d'arc de cercle et d'attitudes passionnelles, et la
crise
se termine par une période post-convulsive ou d
n- cope et de sommeil, etc. - Le diagnostic différentiel entre la
crise
convulsive épileptique et la crise convulsive h
diagnostic différentiel entre la crise convulsive épileptique et la
crise
convulsive hystérique se basera sur les considéra
vulsive hystérique se basera sur les considérai ions suivantes : la
crise
hystérique est plus fréquente chez la femme; elle
opos de chagrins, d'émotions, de querelles; elle dure longtemps. La
crise
épileptique est aussi bien nocturne que diurne,
mobile à la lumière. En outre, en examinant le malade en dehors des
crises
, on verra que l'hystérique présente les signes du
ence exclusive de la persuasion. Cela revient à dire CONVULSIONS ET
CRISES
CONVULSIVES.. > 855 qu'il ne faudra pas s'at
re défaut, et il sera nécessaire de se contenter de l'analyse de la
crise
convulsive elle-même. L'épileptilluc aura eu so
e la crise convulsive elle-même. L'épileptilluc aura eu souvent des
crises
convut- sives dans l'enfance : il présentera le
sant dans les mouvements des paupières et quelquefois sous forme de
crise
trémulante. En résumé, comme l'a montré Brissau
ilepsie partielle continue. Les sujets qui en sont atteints ont des
crises
d'épilepsie jacksonienne, et dans l'intervalle
s ont des crises d'épilepsie jacksonienne, et dans l'intervalle des
crises
présentent des mouvements myocloniques. 5° Myoc
lus souvent, des enfants qui ont présenté, dans leur jeune âge, des
crises
épileptiformes qui, vers 10 ou 15 ans, cèdent p
: dans un de leurs cas, il y avait association de glycosurie et de
crises
épileptiformes. z Il y a lieu de se demander s'
rée plus ou moins longue,- en dehors de l'action accidentelle d'une
crise
con-. vulsive ou d'une maladie générale. De réc
e déséquilibre sécrétoire donne parfois naissance il des véritables
crises
sudorales, origine parfois de tics d'essuyage ou
donne lieu à des troubles très divers : dyspep- sie, constipation,
crises
diarrbéiques favorisées par l'habitude de mal m
itiale dans une irritation pharyngée ou laryngo-trachéale, dans des
crises
asthmatiques. Tics de la phonation. Tics de cri
omme atteint d'/téutÏspasme facial gauche. A). Phase clonique de la
crise
: On constate l'incurvation du nez, la fossette m
mmeatteinterl'laénaispasne - facial droit. - l'hase tonique de la
crise
. - On voit l'incurvation du nez et la fossette
lée, la phase de rigidité des téguments est d'ordinaire précédée de
crises
anémique ou asphyxique intéressant les phalange
ncontre surtout au niveau de la pulpe des doigts. Consécutive à des
crises
d'anémie locale, elle l'ait partie du syndrome
le cas échéant, soit en brûlures, soit en démangeaisons. Pendant la
crise
s'observe une oligurie notable, sans qu'il y ai
ruelle. Mais, d'une façon très générale. l'âge atténue beaucoup les
crises
et finit par les faire disparaître complètement
ie a pu être pratiquée jusqu'à trois fois sur le même individu. Des
crises
gastriques avec vomissements, des crises intest
sur le même individu. Des crises gastriques avec vomissements, des
crises
intestinales avec diarrhée ont été également sign
moins rapidement, sous l'influence d'une violente émotion ou d'une
crise
d'épilepsie. On la ren- contre dans l'aliénatio
. Cette apparition de sueurs profuses est liée à l'existence de ces
crises
thermiques que nous avons décrites. On voit é
ver dans certains cas des hémoptysies au cours du tabès liées à des
crises
thoraciques. Les troubles les plus fré- quents
sentielle paroxystique s'observe chez les sujets jeunes : c'est une
crise
d'accélération des battements du coeur qui s'ac-
ut être vu dans la méningite, dans l'hémorragie cérébrale, dans les
crises
gastriques du tabès, dans les traumatismes du crâ
REIL URI : \'AIRE. culier dans le tabès, où elles se produisent par
crises
plus ou moins pro- longées, irradiant vers l'ai
, un petit traumatisme par exemple, la douleur se manifeste par des
crises
qui simulent la colique néphrétique (Legueu), p
est même souvent sup- primée pendant quelques instants au début des
crises
qui durent de une à plusieurs heures. La fréq
urent de une à plusieurs heures. La fréquence et la nature de ces
crises
échappent à toute règle; le mouvement et l'exer
il est rare que la douleur cesse complètement dans l'intervalle des
crises
; un endolorissement, une courbature persistent
révèle une certaine douleur sur le trajet de l'uretère. Pendant la
crise
l'urine diminue de quantité, quelquefois une poly
de morphine, d'héroïne ou de dioninc seront pratiquées pendant les
crises
. Les révulsifs n'ont guère, d'action; mais des ma
e générale avec des caractères analogues à ceux des tabétiques. Les
crises
vésicales peuvent être preta- ]Jéti(lues, et ap
dernières gouttes y contribue davantage. Ces douleurs procèdent par
crises
dont la durée varie de quelques minutes à plusieu
s et si rapprochées qu'elles sem- blent continues, ou procédant par
crises
atroces irradiant dans la verge, les. aines, l'
lite déversant du pus qui se mélange dans l'urine et provoquant des
crises
vésicales. Un calcul vésical, un néoplasme peuv
ction. . . La névralgie urétrale du tabès, ordinairement liée à une
crise
de névralgie vésicale, peut exister seule; elle
telle qu'elle empêche le passage de la sonde; dans l'intervalle des
crises
l'évacuation est complète. Dans la paraplégie,
le vouloir ou ne résiste que quelques instants au besoin. Après une
crise
survenue pendant la nuit, le fait de trouver le
plaques, la polyurie est fréquente dans le tabes; elle procède par
crises
paroxystiques, soit qu'elle accompagne les cris
elle procède par crises paroxystiques, soit qu'elle accompagne les
crises
de névralgies rénale ou vésicale, soit que la « c
compagne les crises de névralgies rénale ou vésicale, soit que la «
crise
d'urine » se maintienne en dehors de toute doul
sité; elle se présente sous plusieurs aspects : le plus souvent des
crises
pas- sagères de polyurie, relativement, peu abo
ie, relativement, peu abondantes, surviennent ou accom- pagnent les
crises
d'hystérie pendant lesquelles les malades peuvent
peut plus être provoquée. De ces phénomènes nous rapprocherons les
crises
clitoridiennes de la femme dans le tabès; elles
ont de véritables spasmes vénériens. A ces symptômes s'ajoutent des
crises
vulvo-vaginates qui ne sont autres que des cris
es s'ajoutent des crises vulvo-vaginates qui ne sont autres que des
crises
de vaginisme. c'est-à-dire des contractures des
ours à une douleur vive, an- goissante et très prolongée. De telles
crises
sont provoquées par un simple attouchement, aus
torchidie, etc.). Les épileptiques s'y livrent souvent : on voit la
crise
éclater après des actes anormaux, ail- leurs, a
rise éclater après des actes anormaux, ail- leurs, an contraire, la
crise
est venue lorsqu'on a empêché une pratique onan
'une myélite confirmée par exemple, d'autres, anorexie psychi- que,
crise
pseudo-appendiculaire d'une hystérique, ne laisse
r ou non avec des troubles gustatifs, survenir subitement après une
crise
ou être précédée de prodromes, de sensations pare
s ou seulement la ligne médiane, brûlent atrocement le patient. Ces
crises
se renouvellent régulièrement le matin ou le soir
rs du tabès ou de la paralysie générale, des dysesllu'sies après la
crise
épileptique. Les modifications de la sensibilit
u syndrome observé. Il peut y avoir agueusie totale il la suite des
crises
d'épilepsie. Dans la paralysie faciale enfin, d
s hémiplégiques gauches (P. Marie). On la surprend encore après les
crises
d'épilepsie ; elle est à peu près constante dan
e total ou supérieur est un symptôme de névrose. 11 caractérise ces
crises
nerveuses dans lesquelles le malade est étrangl
isse du tympan, etc. On peut être consulté par un malade atteint de
crises
paroxystiques d'une moitié du visage, crises at
r un malade atteint de crises paroxystiques d'une moitié du visage,
crises
atrocement douloureuses, accompagnées de chorée
accompagnées de chorée musculaire et de sialorrhée. Quelquefois les
crises
de siittor- rhée alternent avec les mouvements
à reconnaître est la sialorrhée de l'épileptique; elle pré- cède sa
crise
ou même est toute la crise, cette équivalence pou
rhée de l'épileptique; elle pré- cède sa crise ou même est toute la
crise
, cette équivalence pouvant être difficile à rec
te union de la pathologie nerveuse et de la pathologie gastrique.
Crises
paroxystiques avec vomissement La plupart des c
e gastrique. Crises paroxystiques avec vomissement La plupart des
crises
gastriques que nous nous efforcerons de décrire e
lus diverses. Nous voulons parler seulement ici du vomissement sans
crise
douloureuse concomitante. En effet, le vomis- s
dérables. Vomissement épileptique. Il peut servir de prodrome à une
crise
typique par ailleurs, ou être un équivalent. Il
rique qui simule fréquemment l'ulcus; elle éclate souvent après une
crise
typique de la névrose. Hématémèses nerveuses. L
conviendra d'insti- tuer un régime et un traitement sévères. Les
crises
du tabès (voir plus loin) peuvent prendre le cara
et des hématémèses apparues à la suite d'hémorragies cérébrales.
Crises
liées à l'athérome cérébral. Ces crises gastrique
e d'hémorragies cérébrales. Crises liées à l'athérome cérébral. Ces
crises
gastriques réalisent le type de l'indigestion.
EIL DIGESTIF. Troubles gastriques du tabes. - Le tabes provoque des
crises
viscé- rales surtout à la période preataxique;
ue; il s'agit donc de symptômes pré- coces souvent révélateurs. Les
crises
gastriques du tabes sont essentiel- lement cara
dance au collapsus, puis par l'excellent état de la santé entre les
crises
. A ces vomissements incoercibles succèdent des pé
ndre signe de dyspepsie, sauf exceptions à préciser plus loin. La
crise
survient soudain, brutalement; parfois depuis que
us fréquemment. En tout cas, l'euphorie est 1'0111- plètc entre les
crises
; et c'est là un gros symptôme diagnostique. Ce
iques d'origine médicamen- teuse qui compliquent le syndrome. A ces
crises
manque la douleur épi- gastrique; le sujet souf
e, presque constante chez ces malades, favorisait la continuité des
crises
, et provoquait un étal nerveux propice il la réal
un grand rôle. Ces états pithiatiques se distinguent facilement des
crises
légitimes par l'absence absolue d'oligurie. La
acilement des crises légitimes par l'absence absolue d'oligurie. La
crise
labélique est d'ailleurs très polymorphe, tantôt
sements peuvent manquer. On a décrit des formes cr,t»llm ? lcs, des
crises
sèches, des formes avec hématémèses. La défi- n
facile que le diagnostic. Aussi en présence d'un malade il grandes
crises
gastriques, faut-il toujours songer au tabès, p
bles; tout ce qui est syndrome douloureux abdominal peut simuler la
crise
tabétique. Il convient spé- cialement néanmoins
abès viscéral (Leyden). Sclérose en plaques. On peut rencontrer des
crises
très voisines des crises tabétiques. Ces crises
clérose en plaques. On peut rencontrer des crises très voisines des
crises
tabétiques. Ces crises associées ou non à de l'in
peut rencontrer des crises très voisines des crises tabétiques. Ces
crises
associées ou non à de l'incontinence fécale, so
. L'estomac est dilaté, Pépigaslre douloureux; et. comme pendant la
crise
tabétique, la constipation et l'oligurie sont de
, en dehors de l'absence éventuelle de certains signes du tabès, la
crise
de Leyden est une crise du type tabétique. Et si
éventuelle de certains signes du tabès, la crise de Leyden est une
crise
du type tabétique. Et si l'on peut suivre les m
enfants et les jeunes gens surmenés; on a remarqué la cessation des
crises
pendant les vacances. Le syndrome s'atténue ver
ns. L'accès se produit surtout après le repas; la céphalée ouvre la
crise
et le vomissement la termine. Le visage est pale,
t la termine. Le visage est pale, le malade lipolhyniique. Après la
crise
survient un sommeil prolongé, et tout est fini
u angioneurotique. 11 existe parfois dans la maladie de Quinckc des
crises
gastriques violentes avec vomissements. On a si
REIL DIGESTIF. Vomissements paroxystiques des ptosés (Mathieu). Ces
crises
se voient chez des personnes atteintes de rein
tôt incoercibles; ils soulagent le malade qui se force à vomir. Ces
crises
peuvent durer des mois. Syndrome de Reichmann.
de l'estomac. Il pouvait y avoir, ou non, des vomis- sements ou des
crises
douloureuses d'intensité moyenne. Actuellement
d'ulcus juxtapylorique. Nous n'avons donc plus à y insister ici.
Crises
paroxystiques avec vertige. Dans les syndromes qu
hystériques, et dans les sténoses pyloriques peu serrées. Dans ces
crises
bénignes, les mains et les pieds (type d'extensio
ue; ou bien le coma survient et précède la mort. S'il y a plusieurs
crises
, entre ses paroxysmes le . [F. MOUTIER.] 996
ÉMÉIOLOGIE DE L'INTESTIN ET DU PÉRITOINE Paroxysmes douloureux. Des
crises
intestinales d'ordres divers sont fréquentes au
encontrer, peu fréquemment d'ailleurs, des paroxysmes douloureux.
Crises
tabétiques. Elles sont de deux ordres, les unes s
loureux. Dans ce cas l'entéralgie est généralement surajoutée à une
crise
gastrique; la diarrhée coexiste avec les vomiss
e cholérique; il peut même y avoir collapsus et mort au cours d'une
crise
de cet ordre. Hystérie. On trouve simplement ic
propos d'une émotion. , Epilepsie. Certains sujets présentent des
crises
subites d'entéralgie; ils éprouvent de violente
t, ni ne dépendant de l'étal général. Il peut exister également des
crises
intes- tinales dans la maladie de ()li«cl : c..
à peu près. Ces tenta- tives sont du reste indolentes. Après leur
crise
; lies épileptiques ont quelquefois de la diarrhée
éno- mènes, au lieu d'être post-paroxystiques, peuvent annoncer les
crises
ordinaires. ? . Paralysies intestinales. La c
les hystériques proprement dits, signalons chez les névropathes des
crises
intestinales décrites par Nollmagel. Il s'agil
ouleurs et des vomissements sur- viennent bientôt. Parfois même, la
crise
est précédée d'évacuations de matières amincies
lante (Benda-Ewald-Mathieu). Chaque'jour à la même heure revient la
crise
, caractérisée par du vertige, de la pâleur, des
au grand hoquet, suite d'éructations sonores, bruyantes, venant par
crises
à grand fracas. L'aéro- phagie peut enfin être
à un véritable spasme clonique du pharynx. Certains malades ont des
crises
d'aérophagie nocturne, sur- venant pendant le s
r l'aérophagie, est de consciller au malade, quand il sent venir sa
crise
, de se maintenir la bouche grande ouverte par u
IF. ulcère; le diagnostic en a été affirmé par des hématémèses, des
crises
paroxystiques il horaire particulier, etc. Ils
er, etc. Ils n'ont plus de gastrorragies, ils n'ont plus de grandes
crises
douloureuses; mais ils souffrent tout le temps.
s les y encourager ? Si la maladie, cause déterminante de certaines
crises
et cause occasionnelle des autres, peut être in
hronique déformant, le pied reste très longtemps dou- loureux. La
crise
typique de la goutte articulaire aiguë porte sur
par un abcès, sont des caractères tout il fait pathognomoniques. La
crise
douloureuse cède généralement au bout de peu de
spontanées ou opératoires. Celle gangrène a souvent été précédée de
crises
de claudication inter- mittente ; on peut const
avec les lois de Godin : cet auteur a montré, en effet, qu'avant la
crise
sexuelle la croissance se faisait surtout en long
e, il présente même parfois le syndrome des tumeurs cérébrales. Les
crises
épilepti- formes, les troubles visuels sont rem
mme, la mort atteint un cachecti- que, elle est parfois précédée de
crises
convulsives mal définies à ce jour. Fig. 3. U
tion lombaire a été pratiquée dans un but thérapeu- tique. Dans les
crises
gastriques du tabès, par Debove (Soc, médit, des
il 1001), trente centimètres cubes de liquide enlevés guérirent une
crise
gastrique instantanément. 10. CROUZON ] 1144
` diminution de l'acuité visuelle avec pholophobie et diplopie; des
crises
éplleptiformes avec perle de connaissance et ra
nienne, soit des monoplégies ou des hémiplégies, soit sur- tout des
crises
épilepliformes, généralisées ou jacksonniennes, q
tisme préalable. ' ? Les troubles cérébraux, et tout spécialement les
crises
d'épilepsie jacksonnienne, résulteront souvent
e, bien locali- sce, relativement bénigne, amènera la suspension de
crises
parfois par- ticulièrement répétées et tenaces.
uées allant, de l'espacement et de la diminution de l'intensité des
crises
jusqu'à 1. Babinski. Contracture généralisée du
Aubourg), mais la radiothérapie épigastrique a parfois atténué des
crises
gastriques (Zim- mern, Laquerrière). ' Un cas
les dans des cas de don- leurs fulgurantes, douleurs en ceinture et
crises
gastriques du tabès. [d. LÉRL] 1190 RADIOLOGI
s, et il n'est pas rare, de, la voir entrecoupée par des retours de
crises
plus ou moins douloureuses. Le traitement par l
douleurs si intenses parfois de la névralgie, soit en éloignant les
crises
, soit même en amenant une véritable guérison. a
agement, et dans certains cas il peut augmenter les douleurs et les
crises
névralgiques. Il y a donc souvent avantage il emp
e épileptiforme de Trousseau, les douleurs reviennent seulement par
crises
paroxystiques aiguës et plus ou moins prolongée
la séance d'électrisation on constate souvent une accalmie dans les
crises
douloureuses, et cette accalmie s'accentue et se
modes de traitement sont applicables aux douleurs en ceinture, aux
crises
viscérales, gastriques, vésicales ou rectales. La
aire et l'autre électrode sur la région épigastrique dans le cas de
crises
gastriques, et sur la région hypogastrique dans
de crises gastriques, et sur la région hypogastrique dans le cas de
crises
vésicules ou rectales; si l'on veut 1 essayer l
s, la radiothérapie a été employée, parfois avec succès, contre les
crises
viscérales, en dirigeant les rayons sur le creu
rayons sur le creux épigastrique, et le plexus coelial}lIe dans les
crises
gastriques, cl sur la colonne vertébrale au niv
ervation correspon- dants. On pourrait agir de même dans les cas de
crises
vésicales ou rec- tales sur le plexus hypogastr
modes d'électrisation soient bien supportés et ne provoquent pas de
crises
de douleurs fulgurantes. Dans le cas d'hypotoni
e de la sensibilité, ou qu'il s'agisse de troubles subjectifs et de
crises
douloureuses parfois très pénibles et très intens
ndaires comme l'irritabilité générale, l'agitation, l'insomnie, les
crises
diarrhéiques, la dénutrition et l'amaigrissemen
ppelée aussi asphyxie locale des extrémités, se caractérise.par des
crises
débutant par un spasme des vaso-moteurs suivi d
795. Exercices des membrcs supé- rieurs, 796. Athérome cérébral,
crises
gastriques, 991. .Athétose, 871. Description
8. Convulsions déterminées par les lésions de l'oreille,' 144. et
crises
convul- sives. Définition, S 18. - Physiologie
méiologique : convulsions chez l'enfant, 825. chez l'adulte, 826.
Crise
convulsive de l'épilepsie, z Crise convulsive d
fant, 825. chez l'adulte, 826. Crise convulsive de l'épilepsie, z
Crise
convulsive de l'hystérie, 851. Coordination.
c, 1170. Déforma- tions d'ensemble, 1171. Craniométrie, 1065. ,
Crises
convulsiues de l'épilepsie, 829. de l'hystérie,
s, l 159. Épilepsie, troubles de la sensibilité objec- tive, 550.
Crises
convulsives, z Vomissements, 990. Paroxysmes in
1028, 10 ! tG. Escarres de décubitus, 924. Estomac. Séméiologie.
Crises
paroxystiques avec vomissement, 989. Troubles d
pro- phagie, 1005. Goutte articulaire aiguë, localisation de la
crise
douloureuse sur le gros orteil, 1054. - chroniq
hésies, 556. - Atrophie musculaire, 726. - Incoordination, 781. -
Crises
convul- sives, 85'). - Tremblement, 843. - Ch
148. - Parosmie, 150. - OEdème angioneurotique de Qnincke, 919. -
crises
gastriques, 995. - hys- térique de la main, 102
à évolution lente, 504. - récidivantes, 505. - as- sociées à des
crises
douloureuses, 506. - flasques fonctionnelles, 5
Atrophie musculaire typeAran-Duchenne, 705. - Tremblement, 858. -
Crises
gastriques, 993. - Cytodiagnostic, 1137. - Ra
). - Hypotonie, 909. - Mal perforant, 025. Arthropathies, U1)1. -
Crises
gastriques, 992. - Crises intestinales, 997. -
al perforant, 025. Arthropathies, U1)1. - Crises gastriques, 992. -
Crises
intestinales, 997. - Pied bot, 1055. Lymphocy
pseudo-Ovarien, etc., etc.). Le malade n'a d'ailleurs jamais eu de
crises
de nerfs. Il n'y a, en aucun point du corps, de
statera que le tremblement est fortement exagéré à la suite de chaque
crise
hystérique. Enfin, dans les cas où il s'atté nu
chez lui, après avoir terminé son travail, il fut pris d'une violente
crise
de nerfs qui dura toute une après-midi. L'attaque
ois, il était bien portant. » Dès qu'il commença à être sujet à ces
crises
, son caractère, qui auparavant était calme, placi
e, de petites attaques dans lesquelles l'aura aboutit seulement à une
crise
de larmes, sans convulsions ni perte de connaissa
elevé, que quelques-uns de ces accidents, hémiopie, aphasie, parésie,
crises
épileptoïdes, etc., transitoires il est vrai dans
actuellement sur ce qui est relatif d'abord à la durée de chacune des
crises
, et aussi à la durée des intervalles qui les sépa
ype fondamental. Pour ce qui est d'abord de la durée de chacune des
crises
, il y a à considérer, en premier lieu, celles ou
la paupière ont été plusieurs fois jusqu'à deux ou trois mois. Les
crises
, dont l'intensité s'était atténuée déjà à l'âge d
et présentait cette particularité, que nous allons retrouver dans les
crises
ophthal-moplégiques, de se montrer violente surto
rice récidivante ? Quoiqu'il en soit, comme on l'a dit, la première
crise
présentant le caractère ophthalmoplégique s'est p
araît par moments, à titre d'intermède, dans l'intervalle des grandes
crises
et, pendant ce temps, les phénomènes paralytiques
lié sans doute, à peu près à la même époque de l'année, en mars. La
crise
paraît avoir été provoquée par une émotion morale
ersistent encore aujourd'hui, près de trois mois après le début de la
crise
, bien que fort amoindris toutefois. Voici, en a
tendance prononcée à s'établir en permanence dans les intervalles des
crises
, en même temps que l'hémicranie esquisse, si l'on
guère de l'admettre. C'est seulement par la répétition multipliée des
crises
que les lésions, purement dynamiques et essentiel
s'agit a presque à coup sûr pour effet, non seulement d'éloigner les
crises
migraineuses et de diminuer leur intensité, mai
fet l'action très favorable de la médication bromurée dans les cas de
crises
épilepti-formes relevant d'une lésion organique e
repris 4 grammes, puis 5, puis 6 et ainsi de suite. A part une petite
crise
migraineuse qui a eu lieu le 22 mai et a été suiv
ntinué pendant environ trois mois. 2e accès. — Après cette première
crise
, liberté presque absolue pendant près d'une année
e est tout à fait penchée, et c'est seulement plusieurs mois après la
crise
qu'elle se redresse. Etat actuel (31 mai 1890).
a eu de temps en temps le cou serré et elle s'est mise à pleurer par
crises
. Ces phénomènes cessèrent, mais il y a dix-huit m
e. Les sujets qui offrent cette complication souffrent fréquemment de
crises
gastriques et laryngées qui relèvent, assez sou
grand-père toutefois était un ivrogne fieffé. Lui-même aurait eu des
crises
blatt fur Sch. Aerzte. 1889, n° 14, p. 432). —
ment impossibles. Le ptosis est d'ailleurs très accentué. Jamais de
crises
d etouffement, ni cardiaques. Pouls très fréquent
ante et un ans, qui, à part deux attaques de coliques de plomb et des
crises
d'automatisme ambulatoire datant de sa jeunesse,
aucune maladie étant enfant. De quatorze à dix-huit ans il eut des
crises
d'automatisme ambulatoire, probablement d'origine
leptique. Il ne peut pas donner de renseignements bien précis sur ces
crises
. Cependant on arrive à savoir qu'elles étaient pr
on pantalon. Il ne se rappelle pas s'être jamais mordu la langue. Les
crises
étaient accompagnées d'une perte absolue de la co
iminel ou répré-hensible. Le retour h la connaissance se faisait sans
crise
convulsive, spontanément, et dans le reste de la
la journée le malade était abattu, fatigué, avait mal à la tête. La
crise
n'était annoncée par aucun phénomène spécial sino
une cause quelconque à la guérison. Le malade n'a jamais remarqué^de
crises
comitiales véritables pendant la nuit ni à aucun
talon d'ordonnance et sa chemise. Il était de nouveau dans une de ses
crises
d'automatisme qui avaient cessé depuis six ans (i
et emmené au poste. Il s'était souvenu tout de suite de ses anciennes
crises
et demanda à être soumis à Fexamen d'un médecin d
e de la déglutition. On ne constate pas d'accélération du pouls ni de
crises
d'étouîfement. En ce qui concerne la paralysie
cte, troubles de l'accommodation, étant complètement différents), des
crises
laryngées ou gastriques et enfin la préexistence
te, et 2° un tabès également vrai, mais sans troubles oculaires, sans
crises
gastriques ni laryngées. Je me demande, Messieu
uvent, dans ces observations de tabès avec glycosurie, la présence de
crises
laryngées ou gastriques, qui indiquent la partici
lait; nous avons pu déjà constater les bons effets de ce régime : les
crises
se sont notablement espacées. L'hydrothérapie et
nts héréditaires.— La mère de la malade soutfre depuis longtemps de «
crises
gastralgiques » qui s'accompagnent de sensation d
m, etc., et tout cela sans amélioration. Jamais elle n'aurait eu de
crises
convulsives. Etat actuel. — Jeune fille de tail
au lit; enfin, pendant son service militaire, il a présenté quelques
crises
nerveuses sur lesquelles nous n'avons pas de rens
e tout récemment, six jours avant son entrée dans le service, par une
crise
convulsive du type brachial. En six jours, elle a
erait la face et le membre inférieur, mais n'oubliez pas que dans ces
crises
la malade se mord la langue et perd involontairem
sortie guérie, sinon de tous les accidents spécifiques, du moins des
crises
épi-leptiformes pour lesquelles elle était entrée
notre malade perdit connaissance. Depuis cette époque, il a eu deux
crises
analogues. Chacune de ces crises épileptiformes s
Depuis cette époque, il a eu deux crises analogues. Chacune de ces
crises
épileptiformes s'est accompagnée, comme la premiè
; cette fluxion articulaire dura une huitaine de jours. Pendant cette
crise
, les mouvements choréiformes augmentèrent encore
se manifestèrent pas particulièrement la nuit. Elles survenaient par
crises
durant sept à huit heures environ, quelquefois do
tête, lesquels se terminèrent dès lors presque régulièrement par une
crise
de vomissements des vomissements isolés avaient à
les premiers jours de sa présence à la Salpêtrière, on a remarqué des
crises
un peu spéciales, revenant irrégulièrement à deux
s minutes, au moment où elle se réveille. Depuis quelques jours les
crises
sont plus complètes et se rapprochent davantage d
attaque se termine habituellement par un sommeil analogue à celui des
crises
précédentes. D'autres fois, les bâillements repré
récédentes. D'autres fois, les bâillements représentent de véritables
crises
précédées des phénomènes d'aura que nous venons d
écédées des phénomènes d'aura que nous venons d'indiquer. Pendant ces
crises
, on observe presque toujours un mélange de quelqu
evenue normale. Les quintes de toux ont disparu depuis longtemps. Les
crises
convulsives sont aussi devenues très rares, mais
our des troubles utérins (octobre 1888). La mère de la malade a des
crises
d'hystérie. — A partir du moment où elle a commen
lle eut une bronchite et, depuis cette époque, elle fut sujette à des
crises
nerveuses précédées d'é-tourdissements et accompa
étaient agités de mouvements convulsifs d'une certaine violence. Les
crises
revenaient périodiquement deux ou trois fois par
-thérapique. Elle sort de l'hôpital en juillet de la même année ; les
crises
nerveuses n'étaient point guéries. Elles persistè
, à l'endormir; mais, à la suite de cette séance, elle eut une grande
crise
de nerfs pendant laquelle se manifestèrent, pour
sous l'influence de la moindre contrariété. Elle ressent, avant ces
crises
, au niveau de l'estomac, une sensation de boule q
men, est, dit-elle, obnubilé certains jours lorsqu'elle doit avoir sa
crise
n° 1. — L'ouïe est normale. La perception des s
e peut les arrêter. Ils sont précédés d'une aura qui l'avertit que la
crise
va la prendre. Elle sent sa poitrine se serrer,
s une demi-heure et plus. En même temps, elle est très altérée. Ces
crises
la prennent régulièrement deux à trois fois par
a malade dit même avoir perdu connaissance plusieurs fois pendant ces
crises
; on n'a pas pu avoir de détails sur ces pertes d
oudain dans un trou, etc. Il a été impossible d'assister à une de ses
crises
de bâillement. A l'examen, la malade se présent
ersistance même. La malade de l'observation I, avant de présenter des
crises
véritables de bâillements, deuxième forme de cett
physiologique d'ailleurs, d'une sensation de soulagement. IV. Les
crises
de bâillements hystériques ne diffèrent pas, comm
accès, par les signes et symptômes constitutifs de l'aura. Avant la
crise
, ou même lorsque celle-ci va venir, la malade acc
ng, un quart d'heure, une demi-heure et plus suivant les cas. Puis la
crise
se termine, les bâillements cessent pour passer
état intermittent ou revenir ultérieurement sous forme d'une nouvelle
crise
. Il est bien rare que la crise de bâillement so
rieurement sous forme d'une nouvelle crise. Il est bien rare que la
crise
de bâillement soit absolument pure de tout mélang
ntré, — qu'un observateur attentif retrouve presque toujours dans les
crises
con-vulsives limitées, chorée rythmée, toux, dysp
i, de toniques, ne tardent pas à devenir cloniques. Enfin, lorsque la
crise
se termine, le regard devient fixe, la physionomi
ent observés dans les intervalles des accès. (Féré.) Dans le cas de
crises
, on peut faire intervenir un élément d'appréciati
lements comme pour les autres manifestations hystériques, qu'il y ait
crise
pour que les modifications se produisent. Nous in
nocturne, qui se mit, sous l'influence de la contagion, à imiter les
crises
de bâillements sans perte de connaissance de sa v
ts sans perte de connaissance de sa voisine. A l'une de ses premières
crises
, elle se luxa la mâchoire et resta la bouche ouve
de. Pendant quelque temps elle se luxa ainsi la mâchoire à toutes ses
crises
et on était obligé de la lui réduire plusieurs fo
oïde avec un claquement sec qui s'entendait à distance. Cependant ces
crises
do bâillements prirent par la suite une telle int
ment survint avec de la fièvre et des douleurs épouvantables à chaque
crise
. On fut obligé de maintenir la malade engourdie p
ral et de la morphine à hautes doses. A la suite de ce traitement les
crises
cessèrent et ne se reproduisirent plus par la sui
mitation, 441 ; — par suggestion hypnotique, 455 ; — simples, 419 ;
crises
de — paroxystiques, 451 ; nutrition dans Ja crise
— simples, 419 ; crises de — paroxystiques, 451 ; nutrition dans Ja
crise
de —, 453. Bâillements chez les épileptiques, 4
cardiaque. Elle est d'un tempérament nerveux, mais n'a jamais eu de
crises
de nerfs. Antécédents personnels I'a point eu d
l'influence de ces troubles que pour la première fois elle eut une
crise
nerveuse en février 1893. A la suite d'un accès
ouffement au niveau du cou, elle perdit connais- sance et tomba. La
crise
se composa de mouvements violents des membres s
ive douleur par la pression sur la région hypogastrique. D'autres
crises
succédèrent à la première, d'une durée moyenne
l'influence des calomnies de sa voisine, elle éprouva jusqu'à trois
crises
par semaine. Elle remarqua en même temps une di
comme ses doigts. La malade incrimina l'impression du froid. Les
crises
de syncope locale se produisaient au début une ou
u début une ou deux fois par jour, un jour se passait rarement sans
crise
. Pendant six semaines les alternatives de synco
e que la gauche, la différence de coloration s'accentue pendant les
crises
. ' La couche adipeuse sous-cutanée de la région
et à l'accommodation. Pas de rétrécissement du champ visuel. Les
crises
de syncope et d'asphyxie existent pendant le jour
La malade nous dit avoir vu ses seins devenir bleuâtres pendant la
crise
asphyxique. La pression au niveau des parties
e chaleur en plongeant les mains dans l'eau chaude. Au moment des
crises
, les doigts deviennent insensibles subjecti- ve
ent où l'observation est prise, la malade a pendant le jour 10 à 12
crises
, souvent d'une durée d'une heure. Elle ne peut
aisons lire : c Monsieur le docteur, je vais mieux. Je n'ai plus de
crises
. Demain je serai tout à fait guérie. La quantité
les jours il a été dressé un tableau de la quantité d'urine et des
crises
qui est continué par la malade depuis sa sortie d
ts et ses extré- mités commencèrent à prendre la teinte bleue de la
crise
asphyxi- que, taudis que des réseaux bleuâtres
que nous lui faisions écrire à son médecin qu'elle n'aurait plus de
crises
, nous lui commandions d'uriner davantage, et d'
1600 grammes pour vingt- quatre heures. Du jour au lendemain, les
crises
qui étaient un véritable supplice pour la malad
des proportions étonnantes : Le 3 avril, la malade n'a plus que. 2
crises
asphyxiques; Le 5 avril, elle a une crise synco
a malade n'a plus que. 2 crises asphyxiques; Le 5 avril, elle a une
crise
syncopale et une crise asphyxique : Le- 6 avril
2 crises asphyxiques; Le 5 avril, elle a une crise syncopale et une
crise
asphyxique : Le- 6 avril, une seule crise asphy
ne crise syncopale et une crise asphyxique : Le- 6 avril, une seule
crise
asphyxique; Le 7 avril, une seule crise syncopa
: Le- 6 avril, une seule crise asphyxique; Le 7 avril, une seule
crise
syncopale, qui dura vingt minutes ; Le 9 et le
ule crise syncopale, qui dura vingt minutes ; Le 9 et le 10, pas de
crise
ni asphyxique, ni syncopale; A partir du 11, qu
ni asphyxique, ni syncopale; A partir du 11, quand la malade a une
crise
, elle est purement de syncope locale, la durée
it doigt de la main gauche, durée dix minutes. Puis, les jours de
crises
syncopales sont espacés par des jours ,sans cri
is, les jours de crises syncopales sont espacés par des jours ,sans
crises
. A partir du 3 mai, ce n'est plus qu'à des inte
ignés (13 et 14 mai, 20 mai, 21 mai, 27 mai, 8 juin) qu'on note une
crise
le plus souvent de syncope locale, rarement d'a
e idée, elle l'a gardée à l'état de veille. L'examen du tableau des
crises
montre que les crises d'asphyxie disparurent le
e à l'état de veille. L'examen du tableau des crises montre que les
crises
d'asphyxie disparurent les premières, mais fait
is fait intéressant, après une dispari- tion de dix-sept jours, une
crise
bleue reparut dans les circonstances suivantes
teinte asphyxique. Endormie pour donner la clé de cette nouvelle
crise
, elle nous raconta que le roman qu'elle lisait
, malheureuse avec un mari jaloux. Elle eut d'ailleurs une nouvelle
crise
blanche, cette fois le 19 (après dix jours d'ab
velle crise blanche, cette fois le 19 (après dix jours d'absence de
crises
) : c'est un jour où devant la fenêtre de l'infi
and elle vit sa soeur arriver en deuil lui faire visite. Les autres
crises
blanches, quand elles survenaient le matin, éta
t des sueurs abondantes. La température a été prise au moment des
crises
. Une fois au début d'une crise avec frisson la
mpérature a été prise au moment des crises. Une fois au début d'une
crise
avec frisson la température s'éleva à 40°, En s
l'influence de l'hypnose on observa une dimi- nution du nombre des
crises
, l'atténuation de leur durée, la dispa- rition
, l'atténuation de leur durée, la dispa- rition presque absolue des
crises
d'asphyxie, le retour à des inter- valles éloig
e des crises d'asphyxie, le retour à des inter- valles éloignés des
crises
syncopales. L'impression du froid a perdu de so
ner au grand air, sans éprouver des frissons, sans voir survenir de
crise
syncopale. En même temps le caractère devient p
uin, pour sur- veiller son ménage. Depuis le 8 juin, elle a eu deux
crises
synco- pales aux mains, l'une le 19, d'une duré
mpte encore une fois par nous-même du rapport des émotions avec les
crises
des extrémités, nous sug- gérons à la malade en
abord des phénomènes de neurasthénie avec idée de suicide, puis des
crises
convulsives hystériques; et qui, subitement le
tain temps s'est installé un véritable état de mal avec dix à douze
crises
par jour d'une durée de une à deux heures, en m
nt de décembre. L'amé- lioration persiste. Il existe quelques rares
crises
syncopales d'une durée de vingt minutes sous l'
ème de la face. 14 CLINIQUE NERVEUSE. rie légère persistante. Les
crises
des extrémités ont diminué de fréquence, de dur
. Les crises des extrémités ont diminué de fréquence, de durée. Les
crises
asphyxiques ont disparu tout d'abord, puis les
de durée. Les crises asphyxiques ont disparu tout d'abord, puis les
crises
syncopales, pour ne revenir qu'à des intervalle
e s'être enfuie -de chez elle pendant la nuit, provoque la première
crise
syncopale. La causalité entre l'émotion et la
e la première crise syncopale. La causalité entre l'émotion et la
crise
apparaît dans le som- nambulisme provoqué. La c
Cette proposition est capitale, car elle explique le mécanisme des
crises
. L'émotion première a amené les premiers phénom
ciente ou sub- consciente, l'idée de calomnie, qui est la cause des
crises
spontanées en apparence, qui deviennent subintr
crises spontanées en apparence, qui deviennent subintrantes. Les
crises
, entretenant l'idée fixe de la malade, et son idé
ntretenant l'idée fixe de la malade, et son idée fixe rappelant ses
crises
, il s'établit un cercle dont l'état de mal est
jour au lendemain une transformation dans le genre et la durée des
crises
. Mais sur cette idée principale sont venues se
amp de la conscience. De nouvelles émotions provoquent de nouvelles
crises
, disparues depuis quelque temps : une lecture q
te que sa fille est morte détermine au bout de quelques minutes une
crise
asphyxique qui disparaîtra inver- sement pendan
uissait d'une excellente santé,'il est mort à soixante- huit ans de
crises
d'éclampsie. Ma mère vit encore et se porte très
aquelle a succédé la période asphyxique. Pendant le traitement, les
crises
asphyxiques ont disparu tout d'abord, alors que
ent, les crises asphyxiques ont disparu tout d'abord, alors que les
crises
syn- copales ont persisté plus longtemps pour d
es minutes, la lecture d'un livre rappelant des souvenirs amène une
crise
d'asphyxie. Plus tard cependant, le passage du
d cependant, le passage du corbillard d'une amie ne rappelle qu'une
crise
blanche. A son retour chez elle, des émotions v
son retour chez elle, des émotions variées provoquent de nouvelles
crises
bleues, alors que l'impression du froid se trad
s bleues, alors que l'impression du froid se traduit par de courtes
crises
syn- copales. L'influence de la nuit ou l'app
cette époque, les menstrues n'ont pas eu d'action spéciale sur les
crises
. - Ce qu'il faut encore indiquer, c'est l'inten
ynaud n'est pas douteux d'après les symptômes décrits. Bien que les
crises
fussent su- bintrantes, il était facile de retr
es fussent su- bintrantes, il était facile de retrouver chacune des
crises
. D'au- tre part, c'étaientbien les extrémités q
avant tout traitement, on ne peut méconnaître le rapport entre les
crises
subintrantes et l'oligurie permanente. Plus tar
ence de cri, de morsure de la langue, de miction involontaire. La
crise
se termine par des larmes. » Le malade présentait
t heures sans connaissance. Elle a eu successivement une série de
crises
de maladie de Raynaud, toutes survenues dans de
n- cierge, l'arrestation de son neveu. Deux à trois heures après,
crise
syncopale, suivie d'asphyxie des extrémités qui
tait morte en la déshéritant. Trois à quatre heures après, nouvelle
crise
qui dura trois à quatre heures. Enfin, au comme
er de l'argent qui lui était dû. On niala dette. Deux heures après,
crise
syncopale, puis asphyxique. La malade est catég
puis de rhumatisme, qui, sous l'influence des émotions, éprouve des
crises
de syncope, à preuve que ses amies s'étaient ap
e. Le père de la malade, éthylique, goutteux, nerveux, atteint de
crises
de pseudo-angine de poitrine, aurait, depuis ving
oite. A la fin du mois d'avril dernier. A. B... a eu une première
crise
d'asphyxie provoquée par une vive émotion. Elle a
précieuse, ce qui lui avait valu une verte semonce. Le jour de sa
crise
, elle s'était rendue coupable d'une maladresse pl
aient pâles, insensibles à la piqûre, froides et douloureuses. La
crise
dura trois quarts d'heure et ne se renouvela pas.
dus à de véritables chocs moraux, la malade ne présentait jamais de
crises
de syn- cope locale, pas même lorsqu'elle expos
ubintrants, chez toute hysté- rique, une émotion peut provoquer des
crises
syncopales ou asphyxiques d'une façon accidente
ant persécuté mégalomaniaque compliqué d'une hémiplégie droite avec
crises
épileptiformes. J. ROUI31NOVITCH. Il Mouvemen
tombait à chacun de ses accès. On présume qu'il aura été pris d'une
crise
en allant cueillir des noisettes et qu'il sera
parurent, mais, en revanche, le médius de la main gauche, après une
crise
syncopale intense, devint rouge, présenta une s
l'idée de la mort, les douleurs existaient soit continues, soit par
crises
. Les douleurs se présen- taient sous forme de b
diminue l'intensité et peu à peu les fait disparaître. La durée des
crises
est variable, durant moins d'une demi-heure ou
coucher et s'était fait un lit dans la salle à manger. Parfois les
crises
étaient si douloureuses que la malade poussait
des orteils, petits, en bâtonnets. Examinée dans l'intervalle des
crises
, elle montre des pieds froids et inertes. Le pi
eur. Nous lui ordon- nons de l'oublier. Ce jour-là elle n'a plus de
crises
, et, ce qui ne lui était pas arrivé depuis quat
r de cette date jusqu'au 8 septembre, la malade n'é- prouve plus de
crise
douloureuse, sauf le 14 août de G heures à Il h
En même temps que nous suggérions à la malade de n'avoir plus de
crise
douloureuse, en lui interdisant la pensée de sa s
ent, alors qu'elles avaient disparu depuis cinq jours, une nouvelle
crise
de dou- leurs. Elle avait de nouveau pensé à sa
s- thésie plantaire, une soif insolite, des troubles visuels, des
crises
de sommeil. Le malade éprouva un soulagement dès
quons seulement que toute émotion ne produit pas (G...r) une même
crise
. Elle est blanche où bleue suivant l'intensité
é de dermatologie. MALADIE DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMELALGIE. 181 Les
crises
de congestion rouge sont provoquées par la cha-
iagnostic du cas peut être résumé : érythromé- lalgie sous forme de
crises
avec troubles vaso-moteurs persistants, siégean
extrémités supérieures et inférieures et des lobules de l'oreille.
Crises
de syncope locale intercurrente. Aménorrhée. Sein
algie du pied gauche qui est très améliorée (fréquence et durée des
crises
). Elle est venue se plaindre à moi, le 22 février
nables au froid.- Sous cette doublé influence, elle fait encore des
crises
syncopales ^et asphyxiques. Mais l'affection du
ntécédents de nos malades bystéro-épilep- tiques dont les premières
crises
étaient purement hystériformes. Dans tous ces c
mais les accidents épileptiques ne sont pas terminés, de nouvelles
crises
survenaient dans le premier cas, ici c'est le t
ntraire son existence, Bazin2 la considère comme fréquente dans les
crises
terribles. Iluppert', de Witt7, Noth- nael8, di
été trépanés. 1° Freing..., âgé aujourd'hui de dix-huit ans, a des
crises
convul- sives depuis l'âge de quatre mois; les
cles du côté droit de la face et du cou ainsi que de la langue. Ces
crises
convulsives se renouvelèrent et bientôt s'établit
n, léger tremblement des mains et de la langue. Le 30 octobre 1892,
crise
convulsive caractérisée par des spasmes cloniqu
une lourde masse sur la chaussée. Cet homme, atteint d'une violente
crise
d'tpilepsie, écumait de la bouche. Un gardien d
accès épileptiques et' touche au-dessous de la'nor-T maie quand la
crise
est terminée. D'après lui, cet abaissement anor
t,, cinq fractures des deux os de la jambe pendant sa vie, dans des
crises
épilep- tiques. Cette observation témoigne'enco
P iIlOÏT* oh fcâéEüre'I déUla meme aâlbe au° même ,niveau''dans une
crise
épileptique (lâ mâlâdê'étaittë'inbéë dé sâhutéu
E PATHOLOGIQUE. prononciation, ils sont toujours exagérés après les
crises
épi- leptiques. Féré ' a démontré à l'aide du
six ans. A partir de neuf ans, elle a des accès. Dans une série de
crises
elle eut une hémiplégie gauche qui se modifie r
Rien jusqu'à douze ans, pas de convul- sions de l'enfance. Première
crise
épileptique à douze ans après, avoir eu peur d'
entourage ordinaire du malade cons- tatait à cette même époque, des
crises
transitoires d'aphasie, plu- sieurs fois répété
mités des doigts. Cet état qui survenait aux mêmes moments que la
crise
aphasique, pour disparaître avec elle, était péni
la nature de la maladie. U y avait déjà eu deux ans auparavant une
crise
semblable avec endocardite légère dont il est r
actère valut le nom d'enfant du Jubilé, avait été conçu pendant une
crise
de larmes et de remords de 111 ? de Montespan.
qui se présentent sous une forme critique. Ce sont des accès, des
crises
d'épilepsie qui reviennent à intervalles variable
64 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. rieure, perte générale de la volonté, ou
crises
de manie; plus tard encore affaiblissement, que
ues : REVUE CRITIQUE DE QUELQUES FACTEURS CAPABLES DE PROVOQUER DES
CRISES
CONVULSIVES ET DU TRAITEMENT DE L'ÉPILEPSIE SAN
ie chronique dans lesquels les malades ont été débarrassés de leurs
crises
pendant tout le temps où l'action de l'atropine
que exercée sur les muscles de l'oeil a eu pour effet d'arrêter les
crises
convulsives ; 1° En l'absence de symptômes ocul
mesure importante, être tenues pour responsables de l'exisleuce de
crises
épilep- tiques ; 100 Le traitement ophtalmolo
ls concluent à l'isolement à part des épileptiques enfants dont les
crises
influent défavorablement sur les classes d'enfa
épileptiques il cri- ses convulsives fréquentes, surtout quand les
crises
s'accompagnaient de troubles intellectuels grav
avec le tact et la patience qui conviendraient, Germaine... a des
crises
décolère ; elle devient pale, trépigne et se roul
t docile. Le 7 août, presque un mois après son entrée, survient une
crise
épileptique avortée : cri initial,chute à terre
ellement l'usage de tout excitant tel que vin pur,café,etc.Mais les
crises
ne firent qu'aug- menter de fréquence. Le plus
it d'un séjour d'une semaine avec traitement approprié pour que les
crises
se fussent espacées et notablement atténuées da
eux autres ont, l'une des ver- tiges très fréquents, la seconde des
crises
convulsives ra- res. Après quelques hésitations
Le 10 Juin 190 ? le malade subit un premier internement pour une
crise
d'exaltation avec idées vagues de grandeur et de
Le 25 mars 1906 le malade est réintégré à l'asile pour une nouvelle
crise
d'exaltation. Au bout de quelques jours, les phé-
dans les sinus veineux et lorsque tous les sinus sont bouché", une
crise
épileptique survient. Léonard Hill déclare qu'i
ées que l'injection intra-veinouse d'absinthe donne naissance à des
crises
épileptiformes. L. Pierce Clark dit que Joffroy
épileptiques. Les divers phénomènes qui remplacent quelquefois les
crises
convulsives, les attaques du petit mal et les f
èrement irritables, si bien que dans un cas la stase provoquera une
crise
unique, alors que dans un au- tre elle donnera
ue, alors que dans un au- tre elle donnera naissance à une série de
crises
, voire même à l'état de mal. Sauf dans les ca
ême qu'on ne leur a jamais connu d'attaques, peu- vent être pris de
crises
épileptiques à n'importe quel moment ; quelquef
utres fois pendant leur vie tout entière, ils n'auront qu'une seule
crise
ou une seule série de crises. C'est aussi un fa
tout entière, ils n'auront qu'une seule crise ou une seule série de
crises
. C'est aussi un fait très commun de voir appara
s âgés. Ces cas sont intéressants en ce que le mé- canisme de leurs
crises
convulsives reconnaît ici encore deux facteurs
Centralbl. XXV, f. 16, p. 738 à 741, 16 août 1906.) Homme mort en
crise
en 36 ans, observé depuis l'âge de 23 ans, à «
36 ans, observé depuis l'âge de 23 ans, à « lourde hérédité »; 1re
crise
à 16 ans, sans perte de connaissance : il lui s
ance : il lui sembla que quelqu'un «le tournait à gauche». Dans les
crises
ultérieures, de fréquence très variable, parmi
symptômes, chute à gauche, rotation des yeux à gauche au début des
crises
, secousses cloniques plus fortes à droite. Dans
L'auteur les classe en quatre catégories : fugues d'instabilité (
crises
de marche, de mouvement), fugues d'impulsion (sem
comme épileptique et qui est aujourd'hui pratiquement guéri de ses
crises
par la méthode liypnotliéi,apiclue.Done,ceitains
II1oinsémotif et diminue l'action des causes occasionnelles de ses
crises
. M. RÈRfLLON. L'hypnotisme accroîL aussi, chez
ation d'un meurtre accompli par une femme sur son amant pendant une
crise
de somnambu- lisme. Dans l'intéressant rappor
e médicament. Puis la grande hystérie se développe sous la forme de
crises
convulsives auxquelles s'ajoutent, dans la suit
rme de crises convulsives auxquelles s'ajoutent, dans la suite, des
crises
de somnambulisme ou d'état second pendant lesqu
s d'hys- térie le plus souvent limitées à la période délirante. Ces
crises
délirantes, extrêmement fréquentes, durent de q
nger, son état physique s'améliore néanmoins, car on profite de ses
crises
délirantes pour lui faire prendre de la nourrit
nge, etc., jusqu'à ses propres cheveux : ten- tatives ayant lieu en
crises
suivies d'amnésie, qui n'ont échoué que grùce à
et pendant plusieurs semaines. Mme X... a, chaque nuit, de grandes
crises
cloniques alternant avec des crises asphyxi- 'l
X... a, chaque nuit, de grandes crises cloniques alternant avec des
crises
asphyxi- 'lues subintrantes, pendant lesquelles
nnalités multiples. Le 18 octobre s'ouvre une nou- velle phase. Les
crises
de délire nocturne reparaissent, mais sous une
elques grandes atta- ques conduis ! vos. A partir du 17 novembre,
crises
de somnambulisme actif avec . retour des perver
on s'accentue encore et en août on constate la disparition de toute
crise
, comulsive ou délirante. Seul l'état neurasthén
mba en condition seconde. Pendant toute cette période, elle eut des
crises
convubiles et délirantes alter- nant avec des p
e croyait, mais au 18. Dans la suite, elleeutencore plusieursde ces
crises
de vigilambulisme d'une durée de plusieurs jour
- bles hystériques consistant surtout, comme la première fois, en
crises
de délire avec oubli total au réveil. Deux jour
mardi. » Le souvenir .le cet acte va désormais intervenir dans ses
crises
délirantes, qui sont de plus en plus fréquentes
feu ! Mais laissez-moi donc ! ...» Pendant plusieurs semaines. les
crises
délirantes sont inces- santes, la malade ne pre
variées. Dans cet état, qui est toujours un état second, un élat de
crise
avec vie som- nambulique, la malade se fut cert
malgré les altérations incessantes de sa personnalité, malgré ses
crises
continuelles de délire et de somnambulisme, par
au moment de l'acte, des ma- nifestations psychiques de l'hystérie,
crise
délirante, somnambulisme, état second, doit êtr
00 volts , fait qui peut paraître paradoxal au premier abord. Les
crises
cloniques sont dues à l'excitation de la cou- c
à l'excitation de la cou- che corticale du cerveau. Quelquefois les
crises
toniques subsistent seules ; c'est que la paral
ale qui a annihilé l'action de la couche corticale, d'où absence de
crises
de convul- sions cloniques. Cette expérience a
(électrodes bouche et nuque, procédé du Dr l3attelli) provoque une
crise
épileptiforme of- frant : 1° une phase tonique
l'addition d'une phase clonique qui prolonge la durée totale de la
crise
convulsive. - M. le Prof. Prévost se propose de
ours desquels il composa des volumes entiers de musique et quelques
crises
de mélancolie pendant lesquelles il lui était i
t de Hugo Wolff. La vie de Schumann a été traversée par six grandes
crises
de dépression mélancolique, entre lesquelles on
é productive, avec expansion de l'hu- meur, qui correspondent à des
crises
d'excitation. Dans les dernières années, l'oeuv
paralysie générale, présenta, de vingt- sept à quarante ans, quatre
crises
d'excitation, au cours des- CONGRÈS DES MÉDECIN
OGISTES. 139 quelles il composa des centaines de lieder : entre les
crises
, longues périodes d'inactivité et de silence mu
créé par l'émotion pourquoi déclarer que celui-ci sera limité à la
crise
convulsive dramatique. L'hémiplégie, la paraplé
la paraplégie, le mu- tisme, l'amaurose, sont des équivalents de la
crise
d'origine émotive.... Je crains que la définiti
ute dé- finition. M. Bernheim va même jusqu'à revendiquer pour la
crise
seule la dénomination d'hystérique. L'hystérie
proche qu'il me faisait au sujet de la fièvre, car, en dehors des
crises
spontanées d'asphyxie locale des extrémités, j'ai
ur du cadavre, les ongles violacés, l'insensibilité du cadavre. Ces
crises
duraient trois quarts d'heure à une heure envir
vu d'hysté- riques, ou très peu d'hystériques, puisque l'hystérie à
crises
est très rare en Vendée, 3 cas sur 300 environ,
A propos de 1'aphasiel3ovJOUR(Lausanne; Diagnostic différentiel des
crises
épileptiques'et des crises hysté- riques. Mlle
UR(Lausanne; Diagnostic différentiel des crises épileptiques'et des
crises
hysté- riques. Mlle Dr RouBixown-cH (New-York)
émence. Idées de richesse et de satisfaction. Inégalité pupillaire.
Crises
d'excitation. Mort à l'âge de 57 ans. La tempér
ger ptosis double. Embar- ras de la parole et inégalité pupillaire.
Crises
d'agitation. Dé- mence progressive. Hallucinati
ectieuse. Les arthro- pathies, les troubles trophiques cutanés, les
crises
gastriques ' etc., sont sous la dépendance d'un
se mettre à table, dans sun logement, rue bouvet, il fut pris d'une
crise
de folie furieuse et, se précipitant sur sa fem
Saint-Denis. Il était sur le siège de sa charrette. Tout-à-coup une
crise
d'épilep- sie le lit tomber du siège sur le sol
tre une demi-heure avant l'accès et le moment où le malade entre en
crise
ou subit son vertige. On a signalé, pendant cet
otion exacte des manifestations, du côté des yeux, qui précèdent la
crise
. Féré (3) a insisté sur la fréquence des manife
feld et Huchard (2) ont même nié qu'il y ait hyperesthésie avant la
crise
. Et ces auteurs se refusent aussi à admettre l'
as se fier d'une façon absolue aux dires des malades qui entrent en
crise
, il convient aussi de tenir compte de leurs, ge
ndonne la tâche com- mencée, et après un laps de temps variable, la
crise
ainsi prévue et annoncée éclate. Cette cécité d
uleurs ob- servée en tant que symptôme prémonitoire éloigné de la
crise
,ressemble au même trouble constaté au début de la
gné de la crise,ressemble au même trouble constaté au début de la
crise
d'hystérie. En pareil cas, « les objets n'apparai
e attaque. 2° Cette dyschromatopsie est purement temporaire et la
crise
passée, elle n'existe plus. 3° On ne peut établ
ai- sonneuve (3) rapporte que les épileptiques, au début de leurs
crises
, voient des traînées lumineuses. Voisin (4) cite
nir. M. Magnan cite encore le fait d'un épileptique prévenu de sa
crise
par des lueurs rouges ou jaunes. Pichon (1) rap
ns tuberculeuses du 2e degré aux sommets des pou- mons. La première
crise
s'est montrée quelques jours après le mariage.
ues et c'est cette contrainte qui serait l'occasion des premières
crises
. ' L'aura qui précède la crise est constituée p
i serait l'occasion des premières crises. ' L'aura qui précède la
crise
est constituée par une sensation voluptueuse qu
tion IV. Mlle Mi..., épileptique. Environ une heure à l'avance, les
crises
s'annonceraient par des battements des paupière
184 CLINIQUE NERVEUSE. alors dans une sorte de- crépuscule, et la
crise
débute aussitôt par un cri strident et la chute
ur la deuxième fois le 31 mai 1902. Il est atteint d'épilepsie avec
crises
fréquentes. A l'occasion d'excès alcooliques, M
a- tion dont les moindres détails lui échappent ensuite. Avant la
crise
, il ne ressent jamais de constriction à la gor-
oir. Quelquefois par ce subterfuge, il aurait pu éviter cer- taines
crises
, mais le plus souvent, ce procédé n'empêche pas
se garer. Colorées ou non, ces visions de l'épileptique avant la
crise
sont donc le plus souvent effrayantes et le jeu d
rès voisin de l'idée, de langage. Dans bien des cas nous voyons des
crises
singulières de logorrhée dans lesquelles le suj
t à travers de toutes espèces de choses sans pouvoir s'arrêter. Ces
crises
de lan- gage qui peuvent porter sur la parole o
n retrouve ici la même exagération, la même régularité que dans les
crises
d'idées fixes : on y retrouve les mêmes caractè
ie. Beaucoup d'auteurs ont signalé ces muets qui parlent en rêve en
crise
, en somnam- bulismé : j'en ai recueilli une vin
ènes que j'ai analysé à propos d'une au- tre maladie sous le nom de
crises
de psycholepsie,de diminution de la tension psy
ne parésie peut être mise en regard d'une hyperesthésie, etc. Les
crises
ou convulsions hystériques peuvent être considéré
uscles de la vessie eux-mêmes participent à la paralysie. Quand les
crises
sont moins violentes et se bornent à des trem-
frayeur que son cerveau se dé- rangea à nouveau et qu'une nouvelle
crise
de folie la reprit. Elle conçut le projet de tu
anser les pauvres petits un versant des torrents de larmes. Mais la
crise
reparut et elle les frappa encore. Les coups me
a mort dans un fourré où il se serait dissimulé sentant venir une
crise
? Une enquête paraît s'imposer. (L'Aurore, 8 sept
activité, sujette à des colères durables, plus que violentes, à dès
crises
de suffocation et de lar- mes durant parfois «
e plutôt que de rentrer dans leur chambre; bien d'au- tres,dans des
crises
d'anxiété, fuiraient ou appelleraient au secours
ègles, apparues à l'âge de treize ans et demie, elle ne présente de
crises
nerveuses. Elle avait quatorze ans, quand son p
nce progressive.Deux ans avant la mort (à 41 ans), après un état de
crises
, hémiplégie gauche qui présenta constamment les
facile. L. WAHL. XXXIX.- Rupture du coeur, ralentissement du pouls,
crise
épi- leptiforme ; importance pathogénique des l
ion d'une vieille femme de 75 ans qui mourut subitement pendant une
crise
épileptiforme après deux jours de maladie : ell
un ralentissement du pouls dont les paroxymes coincidaient avec des
crises
épileptiformes. A l'autopsie, on trouve le coeur
n l'in- fluence des kystes posl-traumatiques dans la production des
crises
jaksonniennes et d'autre part avec quelle préci
go-encéphaliques incurables ; guérison opératoire ; persistance des
crises
. L'intervention permit de voir sur le vivant de
) Un jeune épileptique héréditaire, tuberculeux au début, vit ses
crises
augmenter sous l'influence des troubles dyspeptiq
ue transforme en paroxysmes myotoniques douloureux ac- compagnés de
crises
myocloniques ces accès se produisant surtout à
il est plus difficile de reproduire les symptômes oculaires, de la
crise
dont les plus intéressants au point de vue médico
c prédominance à droite. Gâtisme. Marche et parole nulles. Deuxième
crise
de convulsions à 28 mois, durée 36 heures ; ave
d'ennui de se voir enceinte, pas de chagrins, pas d'albuminurie, de
crises
de nerfs, d'intoxication, de tentatives d'avort
nt fut alitée consécutivement pendant 8 jours. Avant cette première
crise
l'enfant se servait de préférence de sa main ga
t remuait bien les jambes, mais ne marchait pas en core. Deuxième
crise
de convulsions à 2 ans 1 /2 ; toujours limi- té
pétés journelle- ment, et auraient encore augmenté après la seconde
crise
. Déjà même avant la première atteinte on avait
nvulsions, on remar- que que l'agitation augmente après la première
crise
. Elle se met alors à grincer des dents, et pres
s et vertiges pendant le séjour de l'enfant dans le service. Les 38
crises
accusées en janvier auraient été plutôt des con
s'enrichir d'une salamandre. Une né- vropathe avec constipation et
crises
d'auto-intoxication deman- dait qu'on lui ouvrî
écrétion nasale etsinusale amène la diminutlonou la suppression des
crises
épileptiques. - L'auteur conclut de ces faits
it rapidement la disparition dès troubles mentaux. L. 'WAHL. XXI.
Crises
d'anxiété avec impossibilité de garder la positio
semonce un peu vive adressée à un de ses camarades,est sujet à des
crises
consistant en un état d'inquiétude générale avec
mmobilité dans la station debout et en un besoin de marcher. Chaque
crise
dure de 15 à 45 minutes. Au début, elles se ren
ellement, que tous les 2 ou 3 mois. Il s'agit, d'après l'auteur, de
crises
anxieuses semblables à celles qui constituent l
Enfants arriérés. Caun. Rupture du-, ralentisse- ment du pouls,
crise
épilcpti- forme ; importance pathogéni- que d
nts arriérés, par Quinque, p. 93. Criminalité. Voir Alcoolisme.
Crises
d'anxiété avec intpossibi- lité de garder la po
sclérose des cordons posté-rieurs. — Des douleurs fulgurantes et des
crises
gas-triques. Sommaire. — Relations entre les fi
mes viscéraux : douleurs vesicales, uréthrales; ténesme rectal. Des
crises
gastriques. — Spécificité de leurs caractères. —
s constrictives s'exaspèrent fréquemment dans le temps où régnent les
crises
terebrantes ou fulgurantes proprement dites. Nous
n à la règle et persistent à un certain degré, dans l'inter-valle des
crises
; VL Les faits nombreux qu'il m'a été donné d
e ne me trompe, est celui que j'ai proposé de désigner sous le nom de
crises
gastriques. Ces crises gastriques ou gastralgiq
que j'ai proposé de désigner sous le nom de crises gastriques. Ces
crises
gastriques ou gastralgiques, comme vous vou-drez
ge de M. Topinard. Mais la connexité qui existe réelle-ment entre les
crises
gastriques et l'ataxie locomotrice me paraît avoi
le par quelques-uns de ses caractères la paraplégie saturnine, et les
crises
cardialgiques ou enté-ralgiques qui l'accompagnen
veloppements. Mais il est temps de vous dire en quoi consistent ces
crises
gastriques. Tout à coup, le plus souvent à l'époq
gastriques. Tout à coup, le plus souvent à l'époque même où règne une
crise
de douleurs fulgurantes occupant les mem-bres, le
iolents et précipités. M. Rosenthal, qui a quelque-fois assisté à ces
crises
, signale un cas où le pouls était ralenti pendant
très commun, dès les premières périodes de l'ataxie, et en dehors des
crises
gastriques et des accès fulgurants, alors qu'il n
s presque incessants et extrêmement péni-bles s'associent souvent aux
crises
gastriques. Les aliments sont d'abord rejetés ; p
même temps dans les membres avec une intensité exceptionnelle. Les
crises
gastriques des ataxiques persistent habituelle-me
crises gastriques des ataxiques persistent habituelle-ment, comme les
crises
fulgurantes, à peu près sans répit, pendant deux
ement confirmée et que l'incoordination motrice s'est développée, les
crises
gastriques ne disparaissent pas toujours pour cel
connaissais pas alors le lien qui rattache ces divers accidents. Les
crises
gastriques ont disparu ; mais le malade souffre
is qu'il m'a été donné de reconnaître la vé-ritable signification des
crises
gastriques, il s'agissait d'un jeune médecin, qui
es gastriques, il s'agissait d'un jeune médecin, qui, en outre de ces
crises
, présentait des douleurs fulgurantes et une hydar
hez lui que quelques mois plus tard. Tout cet ensemble de symptômes —
crises
gastriques, douleurs fulgurantes, arthropathies,
nsidère ces symptômes sous leur véri-table jour. J'ai encore vu les
crises
gastriques coexister avec les dou-leurs fulgurant
tifiées. Nous n'en sommes pas réduits, d'ailleurs, pour traiter des
crises
gastriques, à faire appel seulement à des souveni
rantes revenant par accès, et qui se montrent souvent combinées aux
crises
gastriques. Celles-ci se déclarent environ tous l
arties des membres, mais encore la région occipitale et la nuque. Les
crises
cardialgiques coexistent souvent avec les accès f
ce. 4°Audib..., âgée de 36 ans environ, souffre de temps à autre de
crises
gastriques vraiment atroces, accompagnées de vomi
s dans la tête et les muscles, douleurs auxquelles s'asso-cièrent des
crises
gastriques. Depuis lors, la maladie n'a pas subi
g..., que je vous ai fait voir comme un spécimen d'ataxie fruste avec
crises
fulgurantes et crises gastriques, et non accompag
ait voir comme un spécimen d'ataxie fruste avec crises fulgurantes et
crises
gastriques, et non accompagnées d'incoordination
d'un bras ; vomissements reve-nant par accès, composant de véritables
crises
gastriques et; «'accompagnant d'une exaspération
ps d'arrêt et à des exacerbations ; des vomissements, se montrant par
crises
, de même que chez Deg..., et persistant quelque
T 1. Je vous ai entretenus, dans l'une des dernières séances, des
crises
gastriques et je vous ai montré le rôle diagnosti
s avons observée pendant longtemps à la Salpêtrière, et qui, lors des
crises
fulgurantes, éprouvait souvent des sensa-tions vo
grand sympathi-que joue un rôle quelconque dans la production de ces
crises
viscérales, comme je les appellerai pour plus de
en passant la fièvre réelle qui, au début de l'ataxie, accompagne les
crises
fulgurantes ainsi que je l'ai observé maintes foi
égale-ment le genou, avait paru plus tôt encore — dès les premiè-res
crises
de douleurs fulgurantes. De même que dans le der-
s. — L'histoire du docteur X..., que je vous ai racontée à propos des
crises
gastriques, se rapproche aussi de celle de M. B..
iquement constituée que par des accès de douleurs ful-gurantes et des
crises
gastriques, le docteur X... s'aperçut de l'existe
ai ici Aub..., que je vous ai présentée et qui, elle aussi, avait des
crises
gastriques et des douleurs fulgurantes et marchai
, nommée Mén..., sur la-quelle j'ai observé pour la première fois les
crises
gastriques qui avaient des caractères très tranch
question sont permanentes ou à peu près ; mais elles s'exaspèrent par
crises
qui se montrent surtout in-tenses pendant la nuit
e. Il convient de mettre ces troubles digestifs en parallèle avec les
crises
gastriques de l'ataxie locomotrice progressive et
u visage, écume à la bouche, etc. Le pouls qui, dans l'intervalle des
crises
, bat en moyenne, 30, 40 fois par minute, se ralen
rites. Ce n'est qu'au bout de ces deux années que survint la première
crise
syncopale {a fainting fit), et l'on reconnut à ce
en même temps qu'ils devenaient plus longs. Le plus souvent, dans ces
crises
, l'état syncopal faisait place bientôt aux phénom
ttre lorsque celui-ci avait éclaté. La mort survint dans une de ces
crises
, et voici ce que l'au-topsie, faite par Lister, p
mes relevés dans son intéressante observation — pouls lent permanent,
crises
syncopales suivies de symptômes apoplecliformes e
la paralysie générale spinale, des troubles gasiriques, survenant par
crises
, analogues à ceux qui ont été décrits, sous le
nt par crises, analogues à ceux qui ont été décrits, sous le nom de
crises
gastriques, à propos de l'ataxie locomotrice. L
lement à cette période. Enfin l'incontinence d'urine, la dysurie, les
crises
gastriques, sou-vent témoignent déjà, dès cette é
sance ; telles déterminer dans les membres inférieurs de véritables
crises
convulsives, revenant par accès et dont la dénomi
de la malade en mai 1875 : sensations vertigineu-ses permanentes ; —
crises
annoncées par un sifflement aigu. — Hallucina-tio
conscience ne subit aucune obnubilation et la malade, au sortir de la
crise
, peut rendre compte de ce qu'elle a éprouvé. Tant
des. Enfin des nausées et aussi parfois des vomissements terminent la
crise
, après quoi l'état vertigineux redescend à son ta
eporte à quelques années en arrière, c'est-à-dire à une époque où les
crises
pour ainsi dire dissociées se produisaient d'aill
le vertige de Ménière. Il importe de faire remarquer que pendant la
crise
, quelle qu'en soit du reste l'intensité, le malad
près constante, des nausées et des vomisse-ments marquent la fin delà
crise
. Pendant la durée de celle-ci, la face est pâle,
Ménière en est encore à ses débuts, le vertige apparaît sous forme de
crises
dis-tinctes, de courte durée, séparées par des in
moins fréquents et qui reproduisent tous les phénomènes des anciennes
crises
. La malade que je vous ai présentée offre un exem
alade que je vous ai présentée offre un exemple très ac-centué de ces
crises
subintrantes, qu'il est en quelque sorte habituel
e vomissements de matières glaireuses mêlées de bile, termi-nèrent la
crise
. Des accès du même genre se produisirent fré-quem
l'o-reille, G... était sujette à éprouver de temps à autre de grandes
crises
vertigineuses. J'ai insisté beaucoup, dans le tem
uses. J'ai insisté beaucoup, dans le temps, sur la description de ces
crises
, parce que je crois qu'elles consti-tuent le fait
bord d'intensité puis cessé complètement, et du même pas, les grandes
crises
vertigineu-ses. Le bourdonnement permanent avait
aine d'années, qui, depuis dix-huit mois, était devenue sujette à des
crises
épilep-tiformes, disait-on, ou, tout au moins, hy
er dans les plus minu- tieux détails concernant le caractère de ses
crises
. J'appris d'elle que, pendant ses accès, elle éta
u membre supérieur droit. Depuis 1869, elle est devenue sujette à des
crises
épileptiformes assez mal déterminées, et, vers la
es environ. Les phénomènes consécutifs, déjà signa-lés à propos de la
crise
du mois de septembre, n'ont fait que s'accentuer
ions, faites par le malade lui-même pendant le cours de celles de ses
crises
dans lesquelles la connaissance persis-tait. Le
suivant l'axe longitudi-nal du corps, et s'est trouvé à la fin de la
crise
couché sur le ventre1. Tel est l'ordre régulier
e l'aphasie; pas traces de convulsions sur aucun point au début de la
crise
. Le malade n'avait, lui, aucune connaissance de c
es étaient violentes, plus fortes la nuit que le jour, revenaient par
crises
, lesquelles duraient environ de 12 à 15 heures. V
nt habituel de construction douloureuse à la base de la poitrine. Les
crises
dou-loureuses qui, dans les premiers temps, se mo
g des murs. Elle éprouvait, comme par le passé, de temps a autre, des
crises
de douleurs fulgurantes dans les membres inférieu
(fin de 1866), et depuis tors, elles n'ont pas cessé de survivre par
crises
. Elles siègent, tantôt sur un point, tantôt sur u
té la moindre trace de convulsions. Le malade qui, au sortir de cette
crise
, assurait qu'il n'avait pas perdu complètement co
a quelques in slants après gisant à terre. Depuis cette époque, les
crises
se sont très souvent reproduites, quelquefois il
tes, quelquefois il y en a eu 3 ou 4 en un jour. Constamment dans ces
crises
, le malade perd connaissance et tombe à terre ; i
l'ont précédée. D'après le récit des personnes qui ont assisté à ces
crises
, la face devient quelquefois, au moment de la chu
l'in- 1 Dans le cas du docteur Sommcrbrodt, il est dit que dans ses
crises
le malade se mordait souvent la langue. 2 Voir:
s zYataxie locomotrice, ou ils consti-tuent l'une des variétés de ces
crises
laryngées tabétiques dont M. le Dr Féréol a le pr
la sclérose des cordons postérieurs.— des douleurs fulgurantes et des
crises
gastriques. Sommaire. — Relations entre les fil
e, sarcome, carcinome, gomme, dilatation kystique de la moelle. Des
crises
gastriques. — Spécificité de leurs caractères. —
de la malade en mai 1815 : sensations vertigineu-ses permanentes ; —
crises
annoncées par un sifflement aigu. — Hallucina-tio
ymptômes, 304. (Voir Anesthésie, Arthropathies, Atrophie musculaire ,
Crises
6astriques, Douleurs fulguran-tes, Tabes dorsal s
es, Ataxie, Atrophie musculaire.) — Postérieures (Lésions des), 16.
Crises
gastriques, 35 et suiv., 55, 56. — Laryngées
gurantes, 33; — lésion de la papille optique, 51. — Générale spinale,
crises
gastriques, 36, 280. — Glosso-laryngée, 167,2
2. Pemphigus, 275. Pouls(Ralentissement et fréquence du) dans les
crises
gastriques, 37. — Fréquence du — dans l'ataxie,
répidation, 3i5, 310. Tabétiques (Symptômes), 4, 12. Température:
crises
gastriques, 37 : — Douleurs fulgurantes, 66. —
ans les paraplégies urinaircs, 32o. Vomissements dans l'ataxie. (V.
Crises
gastriques.) — dans le vertige de Ménière, 311, 3
Il sait aussi qu'une de ses tantes, une soeur de son père avait des
crises
de somnambulisme. En somme, son hérédité pathol
à pousser, avec arrêt momentané du jet de temps en temps. l'as de
crises
vésicales, ni laryngées, ni stomacales, ni rectal
éprouvé les premières douleurs au niveau de la cuisse gauche. Celte
crise
douloureuse a duré vingt-quatre heures sous forme
TION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 87 lui Depuis cette époque ces
crises
de douleur se sont reproduites avec des caractè
t devenu irritable et impatient. Depuis trois mois il n'a pas eu de
crise
de douleurs fulgurantes, mais il éprouve des ag
dans les jambes, sensations qui n'ont, dit-il, rien d'analogue aux
crises
douloureuses qu'il connaît bien; les fourmillem
de troubles de la sensibilité autre que les engourdissements et les
crises
de douleurs fulgurantes. Pas d'anesthésie, plutôt
hésie et un peu de retard dans la perception des sensations. Pas de
crises
laryngées ni gastriques. Le goût, l'odorat, l'o
s de trente ans. Depuis lors, ces douleurs ont reparu sous forme de
crises
absolument classiques dans les membres inférieu
ord le tabes est avéré, indiscutable, suffisamment établi par les
crises
de douleur fulgurantes typiques, la constriction
qui l'a retenu trois mois au lit. Depuis cette époque, il a eu deux
crises
sembla- bles qui ont duré moins longtemps et en
En juin 1890 se montrèrent des douleurs fulgurantes survenant par
crises
, lancinantes ou térébrantes, siégeant dans les me
ontinuel. « Sur ce fond d'engourdissement, .dit-il, se greffent les
crises
douloureuses. » En outre, il se plaint de dérob
rent de l'insomnie, de l'inappé- 76 CLINIQUE NERVEUSE, tence, des
crises
convulsives et délirantes dans les- quelles l'a
ial qui s'offre aujour- d'hui à notre étude. Il est à noter que les
crises
con- vulsives et délirantes ne se sont pas repr
à quarante-sept ans d'une tuberculose pull monaire, n'ajamais eu de
crises
de nerfs. Un frère mort à un an de convulsions.
e celle-ci, on voit éclater trois catégories d'acci- dents : 1° des
crises
d'hystérie convulsive au nombre de trois, en l'
suivre les exercices de leurs cama- rades et que leurs tics, leurs
crises
convulsives troublent la disci- pline de la cla
n lui donna de l'éther à respirer et au bout de quelques minutes la
crise
était passée. Au sortir de cet ictus, il se plaig
que absolument inconscients, et tantôt il se laisse entraîner à des
crises
de fureur qui, elles, sont conscientes et dont
e avec les infirmiers. On doit au plus tôt l'isoler, en cellule. La
crise
se ter- mine par un sommeil semi-comateux, et a
rs, comme les accès de folie qui viennent d'être décrits, comme des
crises
de delirium tremens fébrile, comme des attaques
ire ASSOCIATION DU TABÈS AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 183 c'est que les
crises
de douleurs fulgurantes semblent plus courtes e
d, Drasche, Liemmssen, Rosenein, etc., il faut souligner : 1° Les
crises
laryngées. Ces crises sont assez fré- quentes d
Rosenein, etc., il faut souligner : 1° Les crises laryngées. Ces
crises
sont assez fré- quentes dans le tabes où elles
TE SUCRÉ. 191 1 Viennent en second ordre les signes suivants : 3°
Crises
gastriques et laryngées; 4° Troubles dans les f
nesthésie dans la sphère du trijumeau, la fréquence du pouls et des
crises
laryngées respiratoires. Si, au contraire, ces
nesthésie dans le domaine du trijumeau, de fré- quence du pouls, de
crises
laryngées, respiratoires, elle est sous la dépe
fulgurantes, de ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 19J'
crises
viscérales, de troubles de la sensibilité. Cepend
usque .et depuis ce moment son état a empiré. Elle a été prise de
crises
qui survenaient vers deux heures du matin. Elle
ements dans les tempes. Puis elle s'agi- tait et se raidissait. Ces
crises
ont duré six semaines à deux mois. . Elles étai
ns pour son travail. C'est sans doute ce que sa famille appelle une
crise
nerveuse, car elle n'a jamais eu d'attaques de
euse, car elle n'a jamais eu d'attaques de nerfs. C'est après cette
crise
que sa faiblesse de caractère s'est surtout acc
ieurs enfants; en 1884, après avoir nourri le dernier elle a eu une
crise
d'agitation, et a été placée dans une maison de
aches de la peau. Et ce n'est qu'au bout d'un certain temps, que la
crise
se termine et que le calme renaît, 238 REVUE DE
épileptiques doit se faire avec l'alcoolisme, qui peut provoquer la
crise
; mais l'attitude de l'individu après l'accès,~e
rencontre à titre transitoire chez les épileptiques au moment de la
crise
et un peu après; elle est fréquente dans les de
les; elle ne se rappelle plus du tout ce qui s'est passé pendant la
crise
de sommeil. Nous constatons une anesthésie pres
avoir raison de ce dormeur qui inquiète son entourage, car il a des
crises
nerveuses qui semblent le faire beaucoup souffr
nser qu'il s'agissait d'un cas de somnam- bulisme spontané dont les
crises
intercalées entre deux accès d'hystérie ressemb
éger degré d'excitation cérébrale. Le 24 avril apparaît la première
crise
. ' J'extrais d'une note fort détaillée, et fort
quoi, elle se réveille en se frottant les yeux, sans souvenir de sa
crise
, et en manifestant le même étonnement de se voi
stant le même étonnement de se voir étendue sur son lit. 26, 27. La
crise
se répète à la même heure, dans les mêmes condi
êmes conditions, invariablement semblable à elle-même. 28. - Même
crise
à une heure de l'après-midi, en sortant de déje
e soir, à 8 heures, après son dîner, elle est reprise d'une seconde
crise
léthargique avec l'en- semble symptomatique des
t accès, loin de ressembler aux précédents, fut la transition de la
crise
léthargique à une crise somnambulique dont nous
ler aux précédents, fut la transition de la crise léthargique à une
crise
somnambulique dont nous allons retracer les car
lle s'est faite une légère contusion dans une chule au moment de la
crise
; elle se tord les bras, en répétant qu'elle souff
! » , Aussitôt elle tombe dans le sommeil profond du début de la
crise
, avec résolution des membres, calme parfait des t
voir la plus légère impression, le moindre souvenir de cette longue
crise
d'agi- tation et de violences. Le désordre de s
aussi déraison- nable. Jusqu'à 1 heure, tout est bien. A 1 heure,
crise
de sommeil léthargique copiée sur les précédent
n famille, mange d'un bon appétit. - A 8 heures du soir, deuxième
crise
comme le jour précédent. Après vingt minutes de
ai à juillet, notre jeune malade présente - chaque après-midi, deux
crises
régulières de somnambulisme, la première à 1 he
omnambulisme, la première à 1 heure, la deuxième à 8 heures, toutes
crises
semblables à elles-mêmes, et invariablement int
ortantes se rapportent : ' - 1° A la durée plus ou moins longue des
crises
; 2° A l'intensité plus ou moins grande de l'agi
et la répéti- SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTERIE. 295 tion de ses
crises
, changea les heures de ses repas, en même temps
ue, de quinine, de zinc, dans la période d'accalmie... la série des
crises
ne fut point interrompue, peut-être la durée de
uelques-unes fut légèrement abrégée, mais il se produisit alors une
crise
supplémentaire, je dirais volontiers compensatr
parmi lesquelles la pensée de sa mère était l'idée dominante. Cette
crise
surajoutée s'est répétée pendant les trois ou q
t répétée pendant les trois ou quatre jours suivants, différant des
crises
régulières par l'absence de période léthargique,
s dans les périodes calmes, mais reparait avec intensité dans les
crises
des quelques jours suivants. Ces manifestations
on, elle ne se plaignait jamais, n'accusait de fatigues qu'après la
crise
terminée. Découragée de l'insuccès de toutes ce
comme agent perturbateur du système nerveux, et de substituer aux
crises
périodiquement établies des crises artificielle
me nerveux, et de substituer aux crises périodiquement établies des
crises
artificiellement provoquées, dont le médecin au
la guérirait si elle lui donnait sa confiance, soit que pendant ses
crises
il s'efforçât d'agir directe- ment sur l'accès
veau aux préoccupatious qu'elle avait dans la période active de ses
crises
. Elle décla- mait contre l'intervention de ces
produisit dans l'ensemble de tous les symptômes, la périodicité des
crises
étant d'ailleurs toujours la même. Le sommeil
maintenant d'une heure un quart à une heure et demie de durée. La
crise
d'une heure se prolonge jusqu'à 6 heures du soi
ulique , sur les vingt-quatre heures de la journée. Le délire des
crises
prend lui aussi un autre caractère ; une nouvel
n'en a pas le droit. Aussi répète-t-elle à chaque instant dans ses
crises
: quand SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉRIE. 299
droit ! ... - Du 15 au 20 juin, cette idée a dominé toutes ses
crises
, pendant toute leur durée. La situation devenue
cupation que celle de départ dont elle parlait sans cesse. Dans ses
crises
, elle récri- minait contre sa mère qui avait co
iolente impression qu'un phé-. iiomèné nouveau vint s'ajouter à ses
crises
bi-quoti- diennes. Trois et quatre fois par j
d'un accès subit de perte de connaissance, dans l'intervalle de ses
crises
régulières; elle tombait sans mouvement, sans t
un état tout semblable à la période léthargique qui précédait les
crises
, à cette différence près que ce sommeil ne 300
plus en plus longs; ne suc- çombera-t-elle pas à la violence de ses
crises
! ... Ne partageant pas cette inquiétude, j'ins
le coup de l'émotion. Depuis son lever elle avait eu trois petites
crises
de sommeil léthargique de cinq minutes. Penda
deux heures. Dans la soirée, une heure après son dîner, elle eut sa
crise
habi- tuelle, semblable aux précédentes, mais p
! « Je ne suis pas à ma place dans cette salle ! » Cette deuxième
crise
fut moins longue; elle se termina à 10 heures e
elle ne guérirait pas - qu'elle avait vu souvent, bien souvent, des
crises
comme les siennes, que toutes avaient guéri, et
ement... J'en ai la certitude ! » Dans la journée elle eut ses deux
crises
; celle du matin dura deux heures, celle du soir
du soir deux heures un quart. A dater du lendemain, 3 juillet, les
crises
bi-quotidiennes qui, depuis le 24 avril, se rep
dominante qui captive la malade; Sur la pathogénie du délire de la
crise
somnam- bulique : soit qu'il vienne des impress
origine l'excitation céré- brale spontanée de la malade, pendant sa
crise
. Il est entre tous ces faits un enseignement d'
bulisme spontané commence et se termine invariable- ment par une
crise
léthargique, dont il semble n'être qu'un épiphé
-cérébrale antérieure. De plus, elle était épileptique et avait des
crises
qui étaient suivies de 318 CLINIQUE MENTALE.
appétit, tandis qu'elle refusait de manger pendant la veille. Cette
crise
est remarquable, commme vous le voyez, par son
e les placer dans la posture de terreur qu'ils prenaient pendant la
crise
pour provoquer aussitôt une attaque. Rien de pl
la précaution de lui fermer les yeux avant de placer les bras et la
crise
n'en commençait 'pas moins, dès que les membres
aussi insensible ? Le procédé précédent qui consiste à provoquer la
crise
d'hys- térie au moyen de ces sensations en appa
sans doute, puisque vous savez que la vue d'une flamme amenait la
crise
. Mais ici encore une question obscure, ce malade
t à la suite de chagrins.et d'émotions, tristesse continue, petites
crises
d'hys- térie, anorexie et petites contractures
as répéter devant vous l'expérience qui consis- tait à provoquer la
crise
de ce jeune homme en lui montrant une allumette
coup moins vive. L'état mental est redevenu ce qu'il était avant la
crise
de surexilation des deux der- niers jours. 48
ns d'excitation. On doit cependant toujours craindre de nouvelles
crises
d'agitation et de nouvelles impulsions. Une fois
is l'in- cident n'a pas eu de suite, il est vite redevenu calme, la
crise
a avorté. On peut définir ainsi brièvement l'
e élection, il but un peu, et fut repris tout à coup d'une série de
crises
convulsives d'une très grande intensité. M. Cha
e la connaissance, tym- panite, paralysie des jambes. En dehors des
crises
, intégrité de l'état mental, l'enfant est rangé
it en 1890 dans le service de M. le professeur Charcot. Pendant des
crises
somnambuliques nocturnes (hystériques, épilepti
plus donner de ses nou- velles. Pendant le temps de son séjour, les
crises
de somnambu- lisme ne s'étaient pas produites u
, souffrir de très forts maux de tête. Cette céphalée survenait par
crises
qui duraient à peu près 24 heures et qui étaien
ils se faisaient supportables; cependant il y avait des fois où les
crises
de céphalée étaient presque intolérables. Marie
resta assez régulier, voire même que, dans ces derniers temps, les
crises
des maux de tête auraient eu une diminution .asse
ES ROTULIENS DANS LE TABES DORSALIS A PROPOS D'UN MALADE ATTEINT DE
CRISES
GASTRIQUES TABÉTIQUES l'III MM. J. CHALIER, L
ù un homme de 65 ans, atteint seulement de douleurs en ceinture, de
crises
rectales et nasales et de troubles de la sensib
t vérifiée. L'observation suivante est celle d'un malade atteint de
crises
gastriques, qui succomba à la tuberculose pulmo
s datant du début de juillet 1909. Ils consistent eu anorexie et en
crises
doulou- reuses avec vomissements aqueux ou bili
Il y a toujours persistance des douleurs gastriques, sous forme de
crises
(1) Nonne, Deutsche med. WoclienscLrift, XV, 18
et héroïuomane, l'habitude de se piquer à l'héroïne pour calmer ses
crises
gas- triques plus fréquentes et plus violentes
phylocoque. Il est maigre, cachectique, presque squelettique. . Les
crises
gastriques, à prédominance nocturne, durent en mo
SSERAND précédents - puisqu'ils peuvent n'être traduits que par des
crises
névralgiques, - dans lesquels le signe de Westp
considérations d'ordre plus pratique. Rappelons qu'en présence des
crises
gastriques de notre malade, l'idée avait été ab
e par plus d'un seul et unique symptôme : ce seront par exemple des
crises
gastriques, ou encore, il s'a- gira, comme dans
notamment à MM. Dejerine et Thomas (1) ; pour eux, très souvent la
crise
gastrique apparaît au début du tabes, peut donn
s sommes convaincus que la plupart des faits décrits sous le nom de
crises
gastriques essentielles ou de vomissements péri
vomissements périodiques paroxystiques ne sont autre chose que des
crises
gastriques chez des sujets présentant à un degré
es si- gnes de tabès. Il faut aussi être prévenu de ce fait que les
crises
gastriques peuvent précéder de plusieurs années
st beaucoup plus fréquent que le tabes avec ataxie ». En face d'une
crise
gastrique, on s'efforce non seulement à soulager
doute on ne connaît pas exactement les liens qui unissent tabès et
crises
gastriques ; mais ce n'est pas une raison pour
son sens le plus large, tenant compte de ce que chez le tabétique à
crise
gastrique ou viscéralgidue, la sclérose des cor
tre à ce que, en face d'une symptomatologie réalisant le syndrome «
crise
aastl idue », on se méfie d'un tabes, non carac
qui ne sont pas les seules ni sans doute les principales causes des
crises
viscéral- giques, qu'on chercherait à avoir pri
t faire à l'estomac et aux lésions nerveuses dans la pathogénie des
crises
gastriques du tabes. Cette pathogénie est toujo
es et des cordons postérieurs dans leurs rapports présumés avec les
crises
gastriques, les faits semblent bien démontrer q
gale- ment ces troubles gastriques ; et inversement, on observe des
crises
sto- macales avec des lésions radiculo-médullai
ut ou avancé, fruste ou caractérisé, un tabes peut s'accompagner de
crises
gas- triques. Il semble bien, dès lors, que la
s radiculo-médullaires ne sont pas indispensables à l'existence des
crises
gastriques ; dans la thèse de Ili vay, on en tr
on en trouve deux (1). Tout en éta- blissant qu'il peut exister des
crises
gastriques véritables en l'absence de lésions m
aux lésions radi- culo-médullaires du tabes toute participation aux
crises
gastriques, mais elles ne jouent qu'un rôle sec
Ch. Roux trouve ici son appli- cation. On connaît enfin des cas de
crises
gastriques sans lésions médul- laires tabétique
ent-ils pas de faire une place impor- tante, dans la pathogénie des
crises
gastriques, à des altérations nerveuses périphé
évolueraient pour leur compte, paral- (1) Obs. Vil. - Pseudo-labes,
crises
gastriques avec hématémèses. Autopsie; ulcère a
t Froment, Soc. Méd. des Hôpi- taux de Lyon, 1908, 2't novembre). -
Crises
gastriques, au cours d'une polynévrite ; tabès
thèse de Ittvay, Lyon, l9oR : Etat anatomique de l'estomac dans les
crises
gastriques. (2) Roux, Lésions du grand sympathi
étudier l'appareil d'innervation de l'estomac chez un labéticlite à
crises
gastriques, et dont les lésions radi- cuto-médu
diculo-médullaires apparaissent sans rap- port très étroit avec les
crises
gastriques dons le labes ; on peut soup- çonner
st maintenant la part de l'étal de l'estomac dans la pathogénie des
crises
gastriques. Dans la thèse de Rivay, on trouvera
l'état actuel de la question. Il w apparaît que les observations de
crises
gastriques où l'autopsie est assez complète pou
n mu- queuse, musculaire, périlouéale,.interslilielle, au cours des
crises
gastri- ques. Mais celte intégrité est véritabl
is dans quelle mesure ? Sont-elles nécessaires à l'ap- parition des
crises
gastriques ; autrement dit, pour qu'un tabétique
consister, sinon à créer, du moins à provoquer ou Ù entretenir les
crises
gastriques chez les malades atteints d'une affe
sont bien faites pour montrer la complexité de la patho- génie des
crises
gastriques du tabès. Il faut l'envisager de plus
primée dans des termes semblables, non pas il est vrai Ù propos des
crises
gastriques, mais à propos de l'incoordination.
t complètement et définitivement détruites. IV. - La pathogénie des
crises
gastriques dans le tabès est encore il l'étude.
eurs, par exemple), les autres contem- poraines ou consécutives aux
crises
et au tabes, et leur étant liées d'une manière
usceptibles d'être regardées comme les seules et uniques causes des
crises
gastriques analogues à celles du tabès; les cri
iques causes des crises gastriques analogues à celles du tabès; les
crises
violentes ressemblant beaucoup à celles du tabes
use principale, ni la conséquence, encore moins la cause unique des
crises
tabétiques, inter- viennent grandement pour les
veux, elle demande à èlre précisée par de nouvelles recherches. Les
crises
ue sont pas toujours parallèles et pro- portion
suppuration. Au cinquième jour après la blessure, le malade eut une
crise
de contracture tonique de l'abdomen (opistotonu
contractures cloniques dans la région faciale droite inférieure. La
crise
dura quelques minutes pendant lesquelles le pou
e. Durant les vingt-quatre heures suivantes, il y eut encore quatre
crises
analogues. Depuis, on constata une hémiplégie fac
nes, il expose des idées érotiques, contre nature s'accompagnant de
crises
pithiatiques et passionnelles. Idées délirantes
agnant de crises pithiatiques et passionnelles. Idées délirantes et
crises
névropathiques évoluent autour du thème suivant :
on autour de moi pour m'en faire un jupon. Sans « cela, j'avais des
crises
. Il fallait être très doux, ou je tombais en sync
rime journellement, aboutissent parfois à l'idée délirante et il la
crise
passionnelle. Notre géant réclame fréquemment d
sept mois, il eut une bronchite capillaire accompagnée de nouvelles
crises
convul- Nouvelle Iconographie DE la Salpètrière
t alors très mince et mange à peine. A quinze ans, il a plusieurs
crises
nerveuses a caractère névropaihique. Elles se p
camarade aîné pour se jouer de la pusillanimité du jeune homme. Les
crises
analogues à celles que nous avons observées nous-
de la langue, ni de cyanose, ni de miction involontaire. Après les
crises
il n'y a pas d'amnésie, mais le malade reste préo
des parents que plds tard, il 132 . GALLA1S ' devient sombre, les
crises
nerveuses se rapprochent, il en a plus de dix par
ses se rapprochent, il en a plus de dix par jour. Au cours de ces
crises
on l'entend s'écrier fréquemment : « Je suis poss
: « un cercle de fer lui enserre la tête. » . En 1907 : Nouvelles
crises
névropathiques avec délire onirique à caractère
en quelques mois dépasse 105 kilogrammes. En mai 1911 : Nouvelles
crises
névropathiques à l'occasion d'incidents insi- g
crises névropathiques à l'occasion d'incidents insi- gnifiants. Les
crises
qui n'ont jamais aucun caractère comitial conserv
s, contorsions, attitudes passionnelles. Elles se terminent par une
crise
sudorale et sont accompagnées et suivies d'un l
recherche les hommes vigoureux par amour. Il n'est pas jusqu'à ses
crises
névro- pathiques et ses idées délirantes qui ne
que ce n'est pas le tabes, c'est l'abolition des réflexes, c'est la
crise
gastrique, etc. Je remercie avec M. Babinski se
rit sans com- plication. . L'année suivante survient une nouvelle
crise
d'appendicite qui dure 15 jours, puis tout rent
ent qu'on pourrait soupçonner l'hérédosyphilis en se basant sur les
crises
convulsives du père, sur les fausses couches et
le de sa mort à Caroline, celle-ci se mit à pleurer bruyamment ; sa
crise
de larmes se renouvela les jours suivants penda
n apprenant 270 FHODERSTUOM cette nouvelle, elle eut une violente
crise
de larmes sans manifester autre- ment ses senti
re des muscles. Ces douleurs sont spontanées, elles surviennent par
crises
. En 1902, date à laquelle ce malade est examiné
its, 22 août. L'enfant nous fait volontiers le récit de sa deuxième
crise
, il se souvient de tout ce qui s'est passé : «
« pleure parce que trop tard sera. » Puis il reprend le récit de sa
crise
et nous dit : « Je me rappelais tout ... « cela
me crânien est-il à lui seul capable de provoquer l'ap- parition de
crises
convulsives, ou bien joue-t-il seulement un rôle
le plus ou moins prolongé écoulé entre celui-ci et l'apparition des
crises
convulsives, de la forme même de ces crises, cons
-ci et l'apparition des crises convulsives, de la forme même de ces
crises
, consti- tuent des éléments étiologiques et pat
tielle, dans l'apparition, après une longue période de latence, des
crises
convulsives et des troubles mentaux observés chez
e huit années seulement après le trauma- tisme, survint la première
crise
convulsive : chute brusque, sans cri initial, c
; aucun phénomène particulier post on pré-paroxystique. La deuxième
crise
eut lieu quatre mois après et affecta les mêmes c
ut lieu quatre mois après et affecta les mêmes caractères. Puis les
crises
convulsives se succédèrent à intervalles de trois
a femme de Th. n'a jamais eu de fausse-couche. Progressivement, les
crises
convulsives augmentèrent de fréquence : une cri
ressivement, les crises convulsives augmentèrent de fréquence : une
crise
toutes les trois' semaines environ à l'âge de 28
une crise toutes les trois' semaines environ à l'âge de 28 ans, une
crise
toutes les semaines à l'âge de 30 ans. Depuis p
toutes les semaines à l'âge de 30 ans. Depuis plusieurs années, les
crises
convulsives se succédaient au nombre de quatre
de présentait également, depuis plus de dix ans, alternant avec les
crises
convulsives, des vertiges et des absences, et acc
qu'il était âgé d'environ trente- cinq ans. Fréquemment, après ses
crises
convulsives, le malade était sujet à des impuls
rendant Th. dangereux pour son entourage. Dans les intervalles des
crises
convulsives, il apparaissait également troublé, m
sait cependant qu'il a eu un accident dans sa jeunesse, qu'il a des
crises
qu'il ne sent pas venir et durant lesquelles il t
ant lequel il urine dans son pantalon. Le jour suivant, en note une
crise
convulsive généralisée qui affecte les caractèr
uatre minutes : stertor consécutif,urination involontaire, Après la
crise
, le malade présente un état confusionnel plus acc
té il intervalles assez rapprochés, des absences, des vertiges, des
crises
de fureur, des accès convulsifs revêtant le même
et veut les chasser et les maltraiter. Depuis plusieurs mois, les
crises
convulsives, surtout nocturnes sont deve- nues
vité de la fracture - Huit ans après cet accident, apparaissent des
crises
convulsives généralisées, deve- nues dans la su
de troubles mentaux sous forme d'idées délirantes poly- morphes, de
crises
de fureur, d'absences et de vertiges, d'accès de
ce et peut-être sous l'influence adjuvante d'excès alcooliques, les
crises
convulsives et ultérieurement les troubles ment
s (intoxication par l'alcool, infections, etc.) par J'apparition de
crises
convulsives parais- sant alors ressortir à l'ép
essentielle. Dans le cas particulier des traumatismes crâniens, les
crises
convulsives surviennent après le trauma de faço
le traumatisme n.e provoque aucun phénomène moteur immédiat et les
crises
convulsives ne font leur apparition qu'après un
nous relevons 16 cas où le traumatisme datait de 5 ans, 9 cas où les
crises
convulsives apparurent 10 ans après le trauma,
antes dans les membres inférieurs et les membres supérieurs. Pas de
crises
gastriques, mais mictions impérieuses. En même
éphalée violente et s'alita. Le même jour, apparaissait la première
crise
convulsive, les crises se renouvelèrent le mémo
alita. Le même jour, apparaissait la première crise convulsive, les
crises
se renouvelèrent le mémo jour, on en compta dix
nouvelèrent le mémo jour, on en compta dix-sept. Le lendemain, onze
crises
, puis seulement deux les deux jours suivants. C
main, onze crises, puis seulement deux les deux jours suivants. Ces
crises
commençaient du côté gauche, et rapide- ment du
ait normal, peut-être une légère pollakiurie. Hier, de nouveau, les
crises
se sont reproduites, mais en commençant cette f
l'hôpital, dans le coma. Elle est secouée de temps à autre par des
crises
convulsives généralisées, avec participation des
son état. Le soir, la malade reste dans le coma. Elle a pris sept
crises
dans la jour- née. Une saignée de 300 grammes e
normale. Le 29, on apprend que la nuit s'est passée dans un état de
crises
subin- trantes. Le matin, les convulsions sont
heures suivantes, le coma persiste, se produit encore trois petites
crises
convulsives, la malade succombe il z heures de l'
er lieu. 1. - Le premier point consiste il savoir si le coma et les
crises
convul- sives constatés chez notre malade doive
facteurs sont malgré tout insuffisants à expliquer la violence des
crises
, et leur rapide évolution. C'est pour répondr
ans la pathogénie des accidents urémiques. Si bien que le coma, les
crises
cloniques sont bien plus sous la dépendance de
se localise aux extrémités, surtout aux pieds et s'ac- compagne de
crises
d'asphyxie symétrique. Le myxædème dans une for
t retour des - z dons le tabès, a propos d'un malade at- teint de
crises
gastriques tabétiques) (2 pl.), par Chalier et
réflexes lotuliens dans le - ; à propos d'un malade - atteint de
crises
gastriques tabettques) (2 pi.), par Cil ILlE !
tuliens dans le tabes dorsalis ; à propos d'un malade atteint de
crises
gastriques tabétiques (2 pl.), 76. Conte. Un
ement ou au cours de la maladie, la femme du malade prononce le mot
crises
. D'après l'interro- gatoire que nous lui fîmes
ara- lysies de toutes sortes, à l'astasie-abasie, au mutisme, aux
crises
, aux délires et surtout aux somnambulismes, si vo
l fallut se rendre à- l'évidence : Célestine avait eu la veille une
crise
assez forte qui avait bouleversé, comme cela ar
it jusque-là se porter assez bien, a une violente attaque. Quand la
crise
est finie, la ma- lade semble reprendre sa vie
st agitée et a parlé beaucoup, certains délires qui accompagnent la
crise
, certains états anormaux qui suivent quelquefoi
rappelle seulement que c'est un état spontané qui fait partie de la
crise
hystérique et dont elle sort par des convulsion
répétera minutieusement alors ce que vous lui aurez dit pendant la
crise
. Ici encore il y a conservation des souvenirs.
hystériques, celui qui suit les somnambulismes, celui qui suit les
crises
, celui qui est continu chez la malade de M. Cha
raconte ce qui est arrivé pendant la période de sommeil qui suit la
crise
, que telle personne est 52 CLINIQUE NERVEUSE.
ntenant quelque chose, elle pourra me le répéter, dans sa prochaine
crise
, pendant cette même période de sommeil. Ce sont
dans cet état de veille, Witm souffre de nombreuses amnésies, ses
crises
, ses somnambulismes nocturnes, toutes les période
taque d'épilepsie. Voici son histoire à partir de ce moment ; les
crises
d'épilepsie sont d'abord rares, puis elles se r
a tête s'embarrassait, il était averti par une sorte de vertige. La
crise
est classique : cri, chute, période tonique, pé
gtemps un caissier modèle dans cette maison. Dans ces périodes de
crises
dipsomaniques, il est, dit sa femme, tout chang
r; l'accès impulsif semble s'être terminé à la suite d'une violente
crise
de nerfs. Mais comme il était honteux de sa con-
ile. L'impulsion n'existait plus, elle semble être terminée par une
crise
d'étouffement et de larmes. Alors il prend la rue
ne ogi- vale. Il n'a jamais eu de maladies vénériennes, jamais de
crise
convul- sive d'aucune espèce, jamais d'absences
- manie. Cette émotivité est encore plus manifeste à la fin d'une
crise
ambulatoire : à la fin de la fugue, il est pris d
haque fugue, l'impulsion complètement assouvie, il a été pris d'une
crise
de larmes. Du reste, à la suite d'un ennui, d'u
es plus minimes occasions, un mot, un simple geste engendraient une
crise
de sommeil prolongé; l'hypnotisme spontané écla
embre supérieur gauche, survenue depuis trois mois à la suite d'une
crise
convulsive, et elle y a plei- nement réussi ».
M... a eu de bonne heure des rhumatismes et c'est à la suite d'une
crise
rhumatismale subaiguë qu'il a présenté, pendant s
ommunication, M. Féré note égale- ment que les épileptiques ont des
crises
de polyurie dans les vingt-quatre heures, desor
e) que les épileptiques présentent dans les vingt-quatre heures des
crises
de polyu- rie pendant lesquelles ils rendent pr
l'intensité qu'il présente) dure un temps très court, sous forme de
crises
, souvent accompagnées par d'autres troubles ner
me presque transpa- rent se met tout à coup à flamboyer de nouveau (
crises
subin- 12,antes)- Barry dit, à propos de son
u à cinquante ans. Une tante maternelle alcoolique et sujette à des
crises
ner- veuses. Des neuf frères et soeurs, que la
aroles inco- hérentes, dont elle ne gardait aucun souvenir après la
crise
. La crise de paralysie, comme l'appelle la mala
hérentes, dont elle ne gardait aucun souvenir après la crise. La
crise
de paralysie, comme l'appelle la malade, durait t
tantôt une demi-heure et était suivie de violent mal de tête. Les
crises
se développaient tantôt dans le côté droit, tantô
Depuis cinq ans, c'est-à-dire vers l'àge de trente-quatre ans, ces
crises
d'épilepsie sensitivo-sensorielle ont été remplac
Il lui semble, dit-elle, qu'elle regarde à travers un tube. » Les
crises
d'amblyopie, comme autrefois celles d'épilepsie s
aucun symptôme d'engourdissement dans aucune partie du corps. Les
crises
d'amblyopie sont plus fréquentes que l'étaient ja
Les crises d'amblyopie sont plus fréquentes que l'étaient jadis les
crises
épileptiques. Depuis bientôt un an ces crises sur
e l'étaient jadis les crises épileptiques. Depuis bientôt un an ces
crises
surviennent tous les jours, presque trois à qua
ccupée, dit-elle, cela la prendrait presque continuellement. Chaque
crise
dure de quinze à vingt minutes à peu près, mais
ns la tête et les 212 CLINIQUE nerveuse. yeux, surtout lorsqu'une
crise
l'a prise dans la matinée. Somnolence presque c
née. Somnolence presque continue, mais surtout pendant et après les
crises
. Etat des yeux. Un peu de rétrécissement du cha
ncer- nait un homme très intelligent, qui se plaignait de simples
crises
d'amblyopie transitoire, accompagnées parfois du
ique, et, dans certains cas, c'est l'amblyopie qui 1 Néanmoins, les
crises
d'amblyopie transitoire et l'hystérie pourraient
111"° Lise L..., vingt-neuf ans, consultation du 6 mars 1892), où les
crises
hystériques s'étaient alternées avec des crises
mars 1892), où les crises hystériques s'étaient alternées avec des
crises
d'amaurose monoculaire transitoire, et quelquef
e existe. - . Il est vrai, pourtant,' que l'amblyopie transitoire à
crises
bien caractérisées se montre plus souvent en ra
lyopie transitoire. , M. Haz... (Eug.), vingt-neuf ans.- Souffre de
crises
d'amblyopie transitoire depuis l'âge de dix-sep
riable, de quelques minutes à plusieurs heures. Parfois il a eu des
crises
subentrantes. Il lui est arrivé de se réveiller l
ubentrantes. Il lui est arrivé de se réveiller le matin pendant une
crise
, étant aveugle. L'amaurose disparait comme elle e
vue reste un peu confuse pendant une demi-heure environ. Pendant la
crise
les paupières clignotent constamment, il y a de
de se mordre la langue. Pas d'incontinence d'urine la nuit. ' Les
crises
sont très irrégulières. Il reste parfois six mois
rfois il en a plusieurs par semaine et même par jour. Le retour des
crises
peut affecter une grande régularité périodique.
ique. Un camarade qui l'accompagne, nous confirme que pendant les
crises
ilpàlit, mais il conserve toute sa lucidité d'esp
a lucidité d'esprit. Un jour on le conduit à la clinique pendant sa
crise
, qui s'était déclarée vers une heure de l'après
5 et V. - 7 des deux côtés).. , Le lendemain le malade a encore une
crise
. Il s'est réveillé étant z aveugle, et seulemen
et seulement au bout de quelques minutes la vue revient. Une autre
crise
encore au bout de quatre jours, le matin ; et la
ais arriver ces fourmillements, qui ne se produisaient que dans des
crises
un peu forles, nous dit le malade, je savais qu
e début des attaques d'épilepsie partielle; il se rappelle bien des
crises
d'amblyopie transitoire dans l'intervalle de ses
épilepsie partielle. Le 4 juin, il nous confirme que les véritables
crises
de migraine ophtalmique ne sont pas revenues, i
psie partielle un peu plus fréquents, et, dans les intervalles, les
crises
de migraine ophtal-. mique se sont présentées a
s uns des' autres. On a dit au malade que pendant quelques-unes des
crises
, avec perte de connaissance, il tordait la bouc
uriné involontairement et s'est mordu la langue. . La durée de ces
crises
est d'une minute environ; une minute après le r
is pendant cette migraine, d'autres fois sans aucun rapport avec la
crise
épileptique. '. OBSERVATION. 111. Epdepsie part
saccès,mais non les arrêter. Le malade tombe sur le côté gauche, la
crise
dure une dizaine de minutes. Les petits accès d
, des accès de scotôme scintillant. , : . : , Le malade dit que ces
crises
d'amblyopie transitoire non accoru ARCHIVES, t.
is, il y a deux mois, elle aurait uriné involontairement pendant la
crise
. Avant la perte de connaissance, elle a le temp
en même temps que l'épilepsie partielle, et que les deux sortes de
crises
peuvent s'alterner. Dans l'Observation V ci-des
(d'ordi- naire accompagnés seulement par la migraine), quand ces
crises
étaient plus violentes, on était porté de croire
migraine ophtalmique, datait dej'enfance. Deux fois de vé- ritables
crises
d'épilepsie sensitivo-sensorielle avaient précédé
paroxysmes d'un état d'angoisse très prononcé. J'ajouterai que les
crises
délirantes étaient toujours chez elle en rappor
enfants arriérés et chez les jeunes sujets présentant, avec ou sans
crises
épileplifornaes, des troubles moteurs ou psychi
t presque, mais se réveille aussitôt, aussi bien qu'auparavant. Ces
crises
, chutes de sommeil, durent deux ou trois second
gt-sept ans à une phtisie galopante; sa soeur plus jeune souffre de
crises
nerveuses. Antécédents personnels. - J'lotre ma
continues, mais qui s'exacerbaient de temps à autre sous forme de
crises
; MmeGi... affirme explicitement que ces crises do
autre sous forme de crises; MmeGi... affirme explicitement que ces
crises
douloureuses ne se calmaient pas avec le repos.
t, il n'y a de tous ces phénomènes alarmants que les deux séries de
crises
, lesquelles se manifestent deux ou trois fois p
ites ci-dessus. Jamais il ne lui est arrivé que les deux espèces de
crises
se con- fondent, s'entremêlent ou qu'elles se s
cette manière de voir, car les grandes attaques hystériques et les
crises
épileptiformes se manifestaient d'une façon tout
tere de Cha... : il est très affec- tueux, triste, surtout avant la
crise
, il s'émotionne avec une faci- lité extraordina
donne des résultats négatifs. Diagnostic - 1° L'interprétation des
crises
convulsives, L'HYSTÉHOE ET LES MALADIES ORGANIQ
phasie motrice, tous phénomènes qui accompagnent ou précèdent la,
crise
,' trouveraient une explication tout à fait nature
de ce cas comme du précédent : si l'on s'en tient à l'examen de la
crise
en elle-même, le diagnostic d'une grave lésion
es, diplopie, étourdissements avec sensation de défaillance; enfin,
crises
convulsives avec perte de la conscience. Telle
ont de nature hysté- rique, comment pourrions-nous admettre pour la
crise
actuelle une origine différente ? En présence
les lésions organiques. - Pour confirmer la nature hystérique de la
crise
, nous avons encore un autre épisode qui s'y est
èrent les muscles de la face et des yeux. Après quelques minutes la
crise
prit fin, enlaissant B... très fatigué. Des att
Soumis' à un traitement hydro- thérapique, il s'en trouva bien; les
crises
nerveuses s'arrêtèrent et B... parut guéri. Au
p visuel, tous phénomènes persistant, même plusieurs jours après la
crise
, comme nous l'avons pu constater lors du séjour
rie ? Une deuxième objection pourrait être fournie, parce que les
crises
convulsives se développèrent chez Bar... un an ap
dant quelques heures. D'autres fois, le malade était sujet à des
crises
convulsives débutant par la main droite et suivie
glandulaires. Sa femme est sujette au moins une fois par mois à des
crises
nerveuses ayant le caractère hystérique.. ' *
e persistent même à présent. Le 24 septembre, il eut une deuxième
crise
nerveuse. Cette fois, après avoir perdu connais
aucun phénomène digne de remarque ne suivit son accès. Après cette
crise
, F... entre à l'hôpital Tenon, où il est soigné
es et des iodures. Au commencementde janvier il eut une troisième
crise
: celle-ci eut le même caractère que la deuxièm
sent. Enfin vers* le milieu de mai, F... fut victime d'une dernière
crise
après laquelle il ressentit de la faiblesse au
s droit tandis que celle de la jambe devint plus forte. Après celte
crise
il resta vers la moitié du pli de l'aine droite
sente un bredouillement et un bégaiemennt qui datent de sa première
crise
. Ils sont parfois tellement intenses que F... n
ature hystérique, nous a porté à considérer comme de même nature la
crise
de céphalalgie après laquelle il s'é- tait mani
e il s'é- tait manifesté, de même la paralysie, survenue après la
crise
convulsive suivante, nous porte à, considérer cel
ble. Or, n'est-il pas logique de considérer comme de même nature la
crise
convulsive qui lui donna origine ? 3° Nous avon
ar elle que les attaques commencèrent. Maintenant, y a-t-il dans la
crise
convulsive quelque chose qui nous montre ses re
orf, qui aurait constaté la dilatation de ces vaisseaux pendant les
crises
; d'autres encore, plus nombreux (Forster, Diano
l'occasion (1882) d'examiner à l'ophtalmoscope, pendant une de ses
crises
monoculaires, un confrère atteint de migraine o
binoculaire, centrale ou hémiopique ; il peut, dans les différentes
crises
d'amblyopie transitoire chez un même individu,
rme (toujours la même voix, la même vision), et proprement dans les
crises
de ces maladies ner-' veuses (hystérie, épileps
la mémoire et de l'intelligence, maintes fois observés pendant les
crises
d'amblyopie transitoire. Or, tous ces troubles so
, même les troubles de la parole, si souvent observés pen- dant les
crises
d'amblyopie transitoire, doivent s'attribuer non
e '. Ajoutons, que puisque la migraine (lorsqu'il y en a dans les
crises
) part d'ordinaire du pourtour de l'orbite du côté
malie de distribution des fibres optiques. Toujours est-il, que les
crises
d'hémiamblyopie verticale, complète ou incomplè
x syndrômes, ou leur substitution réciproque dans les différentes
crises
, et d'autres arguments encore, nous démontrent qu
ividus où ce trouble précède de quelque temps la migraine, dans les
crises
, l'amblyopie transitoire reste sou- vent seule
ises, l'amblyopie transitoire reste sou- vent seule à constituer la
crise
entière, par suite de l'âge et de l'amélioratio
e. L'observation de Babinski, dans laquelle chez une hystérique des
crises
de mutisme alternaient avec des crises d'amblyo
elle chez une hystérique des crises de mutisme alternaient avec des
crises
d'amblyopie transitoire, plaide aussi dans ce s
a démence paralytique. Lorsque l'amblyopie transitoire remplace les
crises
d'épi- lepsie partielle, comme dans mon observa
e visuel, le trouble peut changer d'endroit. Chez cette malade, les
crises
d'épilepsie partielle étaient alternantes, bila
lète, pendant dix à quinze mois, dans les deux yeux). Dans d'autres
crises
, l'obscurcissement commençait du côté temporal,
un quart d'heure et une demi-heure, exceptionnellement plus. -Les
crises
les plus courtes, presque avortées, se voient de
r dans la caté- gorie des véritables névropathes. Mais, lorsque les
crises
d'am- blyopie transitoire sont certainement de
une plaisanterie, et, depuis deux ans, elle a, tous les soirs, une
crise
d'hystérie formidable et passe une heure tes ye
iller les pieds dans un ruisseau. D'autres accidents, en dehors des
crises
et des rêves, mani- festent le même phénomène.
ésire vous le raconter en quel- ques mots. Une hystérique avait des
crises
tous les jours, ne mangeait pas et ne dormait p
les hystériques changent beaucoup d'état psychologique. Après une
crise
, après un sommeil prolongé naturel ou artificiel,
ès sobres quand c'est leur intérêt égarement intellectuel durant la
crise
; il se rencontre le même dans toutes les ivress
rise; il se rencontre le même dans toutes les ivresses; durée de la
crise
; quand ces individus nous arrivent, ils sont dé
ténuation parfois remarquable. Chez un tabétique qui présentait des
crises
gastriques graves et qui, entre parenthèse, pre
asedow, ou bien il se présentait isolé- ment de la tachycardie, des
crises
laryngées, de la dyspnée. M. MENDEL. L'appareil
un instant. Enfin, il a vu se surajouter il quel- ques-unes de ses
crises
encore de nouveaux phénomènes : des picote- men
phalique est transitoire, il dure une heure environ. Ces grandes
crises
dans lesquelles se succèdent tous ces accidents n
qu'il y a chez lui des accès imparfaits, ou les phénomè- nes de la
crise
sont réduits à leur plus simple expression, et de
elle a maigri. Elle est assez nerveuse, très impressionnable et les
crises
de la dentition augmentaient sa nervosité. Je rép
tement le caractère fulgu- rant et s'étaient montrées sous forme de
crises
légères. La sensibilité au simple contact et à
e de se livrer à ses occupations habituelles. Au mois de mars 1892,
crises
gastralgiques très vives, avec vomissements fré
ondes à 2 ou 3 minutes, la douleur s'exagérait d'elle-même et cette
crise
de vives souffrances se traduisait par des cris
l'hérédité neuropa- thique : deux de ses tantes sont sujettes à des
crises
convulsives ; un de ses cousins germains est fr
l'opération, le sein droit est devenu douloureux et, au moment des
crises
, il devenait turgide, plus volumineux que celui
roxysme convulsif dont l'aura part de la mamelle. Au moment de la
crise
, il se produit localement la série des phénomènes
e ». Cet engorgement était beau- coup plus considérable lorsque les
crises
coïncidaient avec la période menstruelle. Au
hystérogène mammaire ; il est bien rare cependant qu'au moment des
crises
de gonflement du sein, on n'oh- serve pas quelq
ouloureux survenu à la suite d'une contu- sion et s'accompagnant de
crises
hystériques. Celles-ci cessèrent avec l'a- blat
rgane, mais les douleurs persistèrent, s'exaspérant à l'occasion de
crises
hystériques qui se mon- iraient au moment des m
it le long de la face interne de l'avant-bras jusqu'au coude : 'ces
crises
survenaient aussi FIG. 13 et 14. - Zone d'hypoe
e cette surface les contacls, quoique non sentis, déterminaient des
crises
doulou- reuses : phénomène que le malade a rema
tensité de la douleur per- manente, l'intensité et la fréquence des
crises
ne furent nullement modifiées. Nous ne savion
deux points bien détermi- nés de celle zone hyperesthésique que les
crises
douloureuses avaient leur point de départ : soi
hyperesthésie en pointillé. En noir, les taches point de départ des
crises
douloureuses. \ 140 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
rêtait à un examen détaillé. Depuis son réveil il n'avait pas eu de
crises
ni de dou- leur quelconque,, et pouvait laisser
ant tout le reste, il n'avait eu, depuis le jour de l'opération, ni
crises
ni douleurs spontanées ou provoquées et lui qui
la guérison persiste absolument parfaite : il n'y a plus la moindre
crise
douloureuses, les bandes hyperesthésiques posto
resthésique olécrânienne qui étail par- fois le point de départ des
crises
douloureuses n'avait rien à faire avec le névro
ter tout contact et tout changement de température, provocateurs de
crises
douloureuses atroces, pouvait, le soir même de
rie. On ne relève dans son passé aucun accident nerveux, sauf une «
crise
» sur laquelle la malade donne 174 NOUVELLE ICO
ONOGRAPHIE DE LA SAU'È't'fUÈHË des renseignements incomplets. Celte
crise
serait survenue sans aucun motif, 4 ou mois apr
nnaissance absolue. La malade n'a aucun souvenir personnel de celle
crise
; mais elle affirme ne pas s'être mordu la langu
t un autre sur la- face dorsale du pouce-; le 17 janvier, après une
crise
douloureuse intense dans le bras et clans la ma
suivi d'éléments éruptifs. Depuis lors, la malade n'a plus subi de
crises
aiguës; les crises qu'elle a ressenties ont cha
éruptifs. Depuis lors, la malade n'a plus subi de crises aiguës; les
crises
qu'elle a ressenties ont changé de caractères :
oyance du temps, « possédé du démon », autrement dit en proie à une
crise
d'hystérie. Les analogies sont assez frappantes
e. Ce n'est pas l'aspect du visage dans la variété démoniaque de la
crise
d'hystérie. On dirait plutôt que le Convive ind
SALPÊTRIÈRE Depuis lors le malade a encore eu deux séries de trois
crises
, mais la chute des cheveux ne s'est plus reprod
ohérent, agité, irri- table et souvent même agressif. En dehors des
crises
, il est apathique. Il passe la plus grande part
es deux mains se contractèrent, et enfin la malade eut une violente
crise
d'hystérie ». Ainsi donc, chez certains malades
p- tible de faire disparaître des contractures ou de déterminer des
crises
(1) WEiss, Beitràge zur Tétanie. Wien. med. Woc
hystérogènes dont la compres- sion est susceptible de produire des
crises
convulsives. Ces deux variétés de phénomènes so
atif à un ouvrier de 19 ans qui avait présenté anté- rieurement des
crises
d'hystérie joint au cas plus complexe de Minor (5
n" 14, 30 juillet 1895, p. 421. (G) Vautieh, Contrib. à l'élude des
crises
de tétanie dans la dilatation stomacale, Th. Pa
diathèse de contracture en particulier, sans compter les véritables
crises
d'hystérie convulsive qui coexistent souvent, n
tte chute elle rend de l'eau par la bou- che en grande quantité. La
crise
dure environ 3/4 d'heure pendant lesquels on cr
nt lesquels on croirait que l'intéressée va mourir. Elle sort de sa
crise
courbaturée pendant 2 à 3 jours. Cette crise su
ourir. Elle sort de sa crise courbaturée pendant 2 à 3 jours. Cette
crise
survient tantôt toutes les semaines, tantôt tous
'est à l'époque de «ses premières règles qu'elle commença avoir des
crises
à forme tétanique ressemblant aux crises actuelle
qu'elle commença avoir des crises à forme tétanique ressemblant aux
crises
actuelles et pour lesquelles elle fut soignée p
e potassium. Enfui les règles se sont établies régulièrement et les
crises
ont disparu jus- qu'à l'âge de 20 ans époque de
à rire ou à pleu- rer sans motif, puis étouffements à la fin de ces
crises
qui duraient 2 à 3 jours. La malade sentait une
et l'empêchait de respirer. Elle n'a cependant jamais eu de grandes
crises
à tomber par terre. Le sommeil était toujours a
nes nerveux que nous avons signalés tout à l'heure. Elle n'a pas de
crises
de tétanie. ' 284 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
emiers mois, puis dans le cours du 5e mois survint un beau jour une
crise
tétaniforme analogue à celles qu'elle avait eues
es mains étaient raides, mais non douloureuses." ' Cette première
crise
dura une heure et se termina par une abondante
ndante émission d'urine. Il est bon d'ajouter que, au moment de ses
crises
, la malade a toujours envie d'uriner et urine b
vie d'uriner et urine beaucoup (deux litres au moins). Une deuxième
crise
beaucoup plus accusée survint 3 jours après. La
ongles pénètrent dans la chair et laissent des écorchures après la
crise
. ' . , Celte fois, il n'y'eut pas de pronation
produisait de vives douleurs (hyperesthésie cutanée). Pendant la
crise
la malade avait des bâillements et sentait sa bou
le l'étouffer. Les jambes ne furent pas prises. La durée de cette
crise
fut de 10 heures. Le calme reviut peu à peu. La
blesse, puis tout disparut. Il y eut un intervalle de 10 jours sans
crise
et jusqu'à la fin de cette deuxiè- me grossesse
in de cette deuxiè- me grossesse, il survint tous les dix jours des
crises
identiques comme forme et comme intensité aux p
e pleure sou- vent, ne dort pas la nuit mais n'a jamais eu de vraie
crise
.nerveuse. La malade eut son retour de couches a
ièrement pendant 4 mois. Pendant tout ce temps,, elle n'a pas eu de
crises
. Survient une nouvelle grossesse. Les crises
, elle n'a pas eu de crises. Survient une nouvelle grossesse. Les
crises
tétaniques apparaissent au bout de 5 mois, plus f
ils, cependant, elle pouvait marcher. Ce n'est qu'au bout de 5 ou 6
crises
que les jambes ont été envahies, les crises allan
st qu'au bout de 5 ou 6 crises que les jambes ont été envahies, les
crises
allant d'ailleurs en augmentant. Elle accouch
aitée au sein et mourut à 6 mois de convulsions, en nourrice. Les
crises
avaient disparu avec l'accouchement. Au bout de
u enceinte et fait une fausse couche de 3 mois 1/2 sans avoir eu de
crises
. Peu de temps après cette fausse couche arrive
cette fausse couche arrive une nouvelle grossesse. Cette fois, les
crises
appa- raissent dans le cours du quatrième mois,
ils, sont en pied-bot varus équin ; la marche est impossible. Les
crises
qui durent une à deux heures environ se répètent
est une fille âgée de 5 ans aujourd'hui, très nerveuse, elle a des
crises
convulsives à la moindre contrariété, grince clos
deux fois sur le tapis endormie. Trois ans et demi se passent sans
crise
. Une nouvelle grossesse survient et au quatrièm
e nouvelle grossesse survient et au quatrième mois apparaissent les
crises
tétaniformes avec participation des bras et des
précédemment. Le tronc et la face ne sont pas pris. Cette fois les
crises
reviennent tous les 8 jours. Elle accouche normal
nourrice. Après l'accouche- ment, pour la première fois, elle.adeux
crises
, l'une deux heures après la par- turition, la s
urvient et cette fois c'est dans le cours du troisième mois que les
crises
se montrent plus violentes, s'accentuant de plus
i nous l'adresse deux ou trois jours après, avec le diagnostic de .
crises
tétaniques chez une femme enceinte de 7 mois ayan
ale sans hémianestllésie. Hyperesthésie géné- ralisée au moment des
crises
, très exaltée quand on touche les membres con-
certain temps, elle provoque des étouffements, des bâillements, la
crise
tétaniforme s'esquisse, des contractures appara
dant son séjour, nous avons pu être le témoin oculaire de plusieurs
crises
généralisées. Un agent provocateur très manifes
eurs crises généralisées. Un agent provocateur très manifeste de la
crise
est l'émotion. Dès que la malade sait qu'on va
malade sait qu'on va la voir, dès que la visite des élèves a lieu, la
crise
se produit, dans les premiers temps du séjour ;
rise se produit, dans les premiers temps du séjour ;i l'hôpital. La
crise
est en général précédée d'une aura caractérisée
t varus équin. Pendant cette dernière grossesse, la malade a eu des
crises
généralisées et cette fois, suivant son express
espirer. Les membres supérieurs contracturés sont douloureux. Les
crises
ont une durée de 1 à 2 heures et se répètent tous
e présente rien de grave, qu'elle va parfaitement guérir, aussi les
crises
diminuent-elles de fré- quence, ne se montrent
poids de 2 k. 650. L'accouchement s'est fait sans difficulté, sans
crises
et la malade revue avant son départ de l'hôpita
bien de son nouvel état de nourrice sans aucune souffrance et sans
crises
de tétanie. UN CAS DE GANGRÈNE CUTANÉE D'ORIGIN
. Pas de morsure de la langue, pas de mictions involontaires, ni de
crises
nocturnes. Depuis de 18 il a change nombre de foi
t dans les chevilles des douleurs assez aiguës, qui survenaient par
crises
et qui ressemblaient assez bien à des douleurs
tes, sauf qu'elles étaient moins rapides, moins instanta- nées. Ces
crises
se succédaient assez nombreuses pendant 3 ou 4 jo
e s'est aperçue que ses chevilles en- flaient légèrement et que les
crises
douloureuses s'accompagnaient de marbrures viol
produit des suffisions sanguines intradermiques pendant le cours de
crises
douloureuses, ainsi que cela s'observe parfois
uvenir même de leur exis- tence, c'est une infirmière témoin de ces
crises
qui les lui rappelle aujourd'hui. Un an se pass
r, survint, par rétention de la matière dans le cerveau, une grande
crise
d'épilepsie avec tremblements et frissons de tous
urs morts de con- vulsions ; - premières convulsions (19 9 mois); -
crises
nerveu- ses ; - accidents cérébraux prolongés (
urte durée.-De cette époque à4 ans 1r2, Lamb... a été sujette à des
crises
nerveuses, assez mal caractéri- sées. A l'origi
ivement, on n'aurait remarqué aucun indice de paralysie ( ? ).- Les
crises
que nous avons décrites ont continué. Dans le c
oacrdissements très-fréquents, ac- cès relativement rares. Dans ses
crises
, petites ou grandes, et qui étaient surtout diu
premier accès dont nous venons de parler, Berthe eut une espèce de
crise
semblable à un cauchemar : Une nuit elle appela
« Je rêve ! Je rêve ! » Après le réveil tout cessa. De 5 à 13 ans,
crises
légères et rares. Pas d'incontinence nocturne d
rmanentes, capables de ramener, chez nos malades en traitement, les
crises
convulsives. Une preuve frappante de cette infl
cer ce traitement et toujours nous constatâmes une diminution des
crises
et une amélioration de l'état nerveux habituel.
fois, sous l'influence du froid, les phéno- mènes précurseurs de la
crise
hystéro-épileptique se sont dissipés. En pareil
visage, écume à la bouche, etc. Le pouls qui, dans l'intervalle des
crises
, bat en moyenne 30, 40 fois par minute, se rale
Le second ne survint qu'au bout de trois mois. A partir de là, les
crises
se sont rap- prochées et, à 9 ans, on n'a plus
rs accidents remontent à l'âge de 14 ans. - Epilepsie et hystérie à
crises
distinctes ; étourdissements. Parmi les particu
ets : tout lui semblait noir; 2° Une autre fois, ayant eu plusieurs
crises
successives, elle fut prise d'une vive frayeur,
contusive, occupant le sommet de la tète. Elle déclare que, dans sa
crise
d'hier, elle n'a pas perdu connaissance, qu'elle
veiller pour pou- voir administrer le médicament dès le début de la
crise
. Il résulte de là que ce sont les données de la
les accès sont annoncés par une aura, on parvient à sup- primer la
crise
. Mais, lorsqu'il s'agit d'épileptiques qui ne p
al fut franchement établi; la connaissance ne reparût pas entre les
crises
convulsives. Le 10, on compta 25 accès; le poul
e demande qu'on lui mette la camisole. Voici en quoi con- siste ses
crises
: . Petites secousses de la tête qui se porte à
médicament. Trois fois, nous avons observé le même arrêt rapide des
crises
. Une fois, les attaques ont re- commencé enviro
t rapidement connaissance. Observation XXIX. Epilepsie partielle et
crises
hystériques. Nitrite d'amyle. . Paring..., Zé
tète lus intense que de cou.tumeaLla5(.e ' l IJ--7-~~~i ' -t de ses
crises
? Elle voyait des 0 Je colorés eu vert et en roug
ment. Durant cette première inhalation, on voit avorter plu- sieurs
crises
nerveuses qui se réduisent-à quelques mouve- me
essent tout-à-fait et la malade, / selon la coutume à la fin de ses
crises
, dit : « Çà y est ! Elle / regarde les personne
omènes seraient plus accusés qu'ils ne le sont d'habitude après ses
crises
. z 1875. 6, 94,jatoier : Nitrite d'amyle. ^janv
it de trois ou quatre minutes, on note les in- dices d'une nouvelle
crise
(battements des paupières, dévia- tion des yeux
alations de nitrite d'amyle, est restée huit semaines sans avoir de
crises
; - une autre, lier..., n'a pas eu de nouvelles
s le service, d'après la malade, sous le nom de tortillements; - 2°
crises
dans lesquelles prédomi- nent les phénomènes ép
vaDc HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 121 de ces grandes attaques, Ler... a des
crises
isolées plus ou moins violentes et conserve une
difié l'attitude respective des 'membres ; mais, après une nouvelle
crise
, la contracture cesse au membre supérieur gauch
gauche. - Il offre les mêmes convulsions dans l'une ou l'autre des
crises
qui constituent l'attaque dans son ensemble ; m
sa maladie revêtit un caractère de gravité que l'éloignement des
crises
convulsives antérieures ne pouvait faire prévoir
ntes. 1870. 12 janvier (1). Etch.... ne s'est pas levée depuis sa
crise
du 1er septembre, à la suite de laquelle la paral
econde attaque. Elle se décompose, pour ainsi dire, en une série de
crises
succes- sives. La malade reste durant quelques
e heure. L'intelligence fut simplement obnubilée. A partir de cette
crise
, impossibilité d'avaler quoi que ce soit : cont
quel- ques gouttes d'urine. - Depuis le 1er août jusqu'au 7 sep-
CRISES
NÉVRALGIQUES; ISCHURIE. 171 1 tembre, la malade
rs redoublent. Ce redoublement a été plus violent après la dernière
crise
. Les irradiations douloureuses, quand elles son
ne. Soir. Etch... a encore rendu par la sonde 800 gr. d'urine. La
crise
(attaque avortée) a laissé un grand abattement et
r aux membres pour constater le degré de la rigidité. 19 mai. Les
crises
névralgiques reviennent approximative- ment tou
auche. z3 mai. Voici comment la malade décrit les symptômes de la
crise
du 22 mai. Elle était couchée sur le côté gauche
haliques. - - La période convulsive n'avait rien de spécial. - La
crise
se terminait d'ordinaire par un retour rapide et
au : c'est une sorte d'alternance entre l'anurie et de véritables
crises
de polyurie. Nous retrouvons ce fait plus marqué
ra de diviser notre étude; nous examinerons l'ischurie d'abord, les
crises
urinaires ensuite, et enfin la période qui succ
explication ne saurait suffire. On voit, par exemple, qu'entre deux
crises
urinaires, pendant une période de vingt-quatre
ours (5, 30 mars, 15 mai), notre malade était prise d'une véritable
crise
. Elle souffrait de douleurs lom- baires très-vi
mières périodes, de semblables iS8 13ST1 : R0-I : PIL1 : PSIL;. -
crises
s'étaient produites, en particulier en janvier 18
s Leçons de M. Charcot, 2° édition.) » On remarquera qu'après ces
crises
l'action qui avait produit la décharge n'était
de très-normal ; mais du même coup cesse l'ischurie. Pendant cette
crise
doulouieuse qui produit la guérison, E... rend
urée ; en tout 8 gr. 1/2 d'urée. » C'était,en réalité, une de ces
crises
urinaires que nous avions déjà observées. Mais
dée elle-même du petit crochet que nous avions vu déjà succéder aux
crises
urinaires ; mais jamais nous ne revenons à 0. L
trouve en quantité égale à celle-ci. » En revanche, les jours de
crises
urinaires, on voit que les courbes ne concorden
, ischurie allant presque jusqu'à la suppres- sion de la sécrétion,
crises
urinaires subites, guérison instantanée de l'is
dans les cas de ce genre. Pendant une longue période (1G6 i), les
crises
hysté- ro-épileptiques n'avaient jamais produit
Les im- pulsions auxquelles ils sont sujets s'aggravant et leurs
crises
convulsives devenant plus fréquentes, les pa- r
'accès, d'habitude sans délire, sans excitai ion avant ou après les
crises
, ou encore aux épileptiques qui n'ont que des a
l mort à deux mois. - Tante maternelle très nerveuse. Frère, deux
crises
nerveuses attribuées à des vers. - Pas de convul-
he. Premières convulsions il. dix-huit mois, - Cinq ou six autres
crises
jusqu'à 5 ans. - Début de l'épilepsie vers 6 an
dont les accès affectaient des retours mensuels. L'un n'eut qu'une
crise
en huit mois, et l'autre trois seulement dans l
ans, après un an de maladie ( ? ). - Très nerveuse, elle avait des
crises
de nerfs et des moments d'abattement profond. -
trente-deux ans d'une affection cardiaque. - Grand'mère maternelle,
crises
nerveuses, congestion cérébrale. -Pas d'autres
el aucun renseignement. Grand'mère maternelle encore vivante, a des
crises
conuul- sives qui durent quelquefois deux heure
x méchants l'effraie au point de déterminer chez lui une violente
crise
nerveuse qui dura de huit heures du matin a dix h
alcoolique, la mère une névropathe, la grand'mère maternelle a des
crises
convulsives. Cette hérédité'1 a également touch
n retard au point de vue intellec- tuel, écolage difficile. - Vingt
crises
nerveuses en 1895- 1896. - Rémission de deux mo
appelé. On a dit le lende- main au père que R... avait eu une forte
crise
nerveuse, et qu'il ne fallait plus lui donner d
ts nerveux auraient recommencé et plus fréquemment : quatre ou cinq
crises
de mars au pre- mier mai 1897, date de son entr
ion, pas de morsures, quelquefois miction involontaire. Durée de la
crise
de trois à cinq minutes. Assoupissement consécu
ara- des le faisaient enrager à cause cle ses grimaces. Après les
crises
il est plus docile, « plus gentil. » Depuis l'a
Un médecin, parent de la famille, qui n'avait jamais assisté il une
crise
, nous l'avait signalé, il tort, comme épileptique
0 secondes environ ; ce tic serait plus fréquent à l'approche d'une
crise
. La sensibilité générale est normale. Etat ps
té signalé comme épileptique, jusqu'à vérification de la nature des
crises
. Mai, - Le soir même de son entrée a l'Institut
ainsi dire, agressif, et nous devions éviter sa rencontre. Dans la
crise
somnambulique du 1 i, nous avons eu recours am
nt ce mois il ne s'est produit aucune attaque'. Dans la nuit du 12.
crise
de som- nambulisme : après une; longue promenad
'enfant, qui, du reste, nous avait déclaré n'avoir assisté à aucune
crise
, nous n'avons pas hésité dès les premières atta
les atta- ques disparaissent, pour céder un moment la place à des
crises
cle somnambulisme et enfin dès le sixième mois
p. 3). - Cah..., Hir... 1896. - Alcoolisme ; instabilité mentale ;
crises
hysté- 1'ifoT)ne3 guérison. (En collaboration a
ulose. Mère, douleurs névralgiques, stig- mates de dégénérescence ;
crises
nerveuses passagères. - Grand-pèré maternel, al
table. - Petite cousine maternelle, nerveuse, chorée de l'enfance,
crise
de nerfs après une peur. Pas de consanguinité.
ant ses règles. Celles-ci se sont arrêtées et elle a eu plusieurs
crises
nerveuses. - [Son père, alcoolique, devenu aliéné
mois à l'hôpital Trousseau. A 9 ans, après une peur, elle a eu une
crise
de nerfs. Elle s'est mariée, n'a pas eu d'enfants
actère, ni cauchemars pendant le sommeil, très calme d'ailleurs. La
crise
débuta, sans prodromes, par des vomissements au
t à s'enfuir sans y réussir. Il n'eut jamais cliez lui de nouvelles
crises
convulsives. Sa mère dit que, après sa dernière
tète. Souvent il a, il quctqucs minutes d'intervalle, deux au trois
crises
. Une amélioration notable est remarquée pendant
uchemars pendant 15 jours. - Rémission de six mois. - Apparition de
crises
d'agitation hystériformes. - Marche des crises
ois. - Apparition de crises d'agitation hystériformes. - Marche des
crises
de juillet à novembre 1888. - Traitement médico
t les yeux grands ouverts, cherchait autour de lui, pleurait. Cette
crise
a duré pendant une heure sans qu'il se réveillâ
let 1888, un jour, la directrice a envoyé chercher sa mère pour des
crises
qui se produisaient depuis une dizaine de jours
les balustrades, sau- tait sur le calorifère, etc. A la fin de ces
crises
d'agitation, qui, dit-on, duraient deux ou troi
rait. Le lendemain, étant gardé à la maison, il a été pris d'une
crise
que sa mère décrit ainsi : tout d'un coup il s'es
taient « crispés ». Puis il a eu, durant trois heures, une série de
crises
analogues. Alors, il a eu un peu de « renâcleme
endant une heure et demie. (6 juillet 1888). Le 9 juillet, nouvelle
crise
, une heure. - Fin juillet, 3 crises en trois jo
et 1888). Le 9 juillet, nouvelle crise, une heure. - Fin juillet, 3
crises
en trois jours, durant d'une heure à une heure
. (Il est sujet à pleurer beaucoup pour la moindre chose.) Quatre
crises
en août, 3 en septembre, 2 en octobre, 3 en novem
iques; - celui d'af- laques, aux accidents hystériques ; - celui de
crises
pour les accidents indé- terminés ou sur la nat
en hurlant. Sa mère l'a fait coucher. A peine au lit, a éclaté une
crise
convulsive très forte, avec écume sanguinolente
forte, avec écume sanguinolente. 1900. 1G mars. - Pas de nouvelle
crise
. B... est resté chez Bourneville, Bicêtre, 1899
ant J) nuits consécutives, et, après un répit de quelques mois, des
crises
11 ! Jsté- riques qui motivent son placement cl
able et sous l'action d'un excès de boisson occasionnel il a eu une
crise
nerveuse, peut-être épilepliforme. Nous n'insis
ronflement. Durée, environ cinq minutes. Le même jour il a eu trois
crises
dans la matinée et cinq dans la soirée. Pendant
nte à noter, nous la verrons réapparaître plus tard à la suite de
crises
hystériques. Kilo accuse parfois de la céphalalgi
rsuivait « armé d'un tranchet ", menaçant de la tuer. Au début, les
crises
hystériques étaient très fréquentes, trois par
A l'âge de il ans, des troubles mentaux sont venus s'ajouter à ces
crises
et ont nécessite son internement a l'asile de V
e 3G ans 1.2, rien de bien particulier à signa- ler, elle avait des
crises
de temps en temps et particulière- ment au mome
était un peu « idiote », état qui serait survenu il la suite d'une
crise
de nerfs ( ? ). - Pas de. renseignements sur les
omme âgé aujourd'hui de 65 ans, sobre et laborieux, n'a pas ou de
crises
depuis sa sortie de Villejuif mais est toujours n
vies d'une augmentation du volume de la tête. - A partir de 9 ans
crises
épileptiformes. - Début de la parole à 2 ans. -
ant à son entrée. - Paraplégie spasmodique ? Puberté. - Onanisme.
Crises
et vertiges épileptiformes. - Description de la t
t sans nombre, jour et nuit. A partir de 18 mois jusqu'à 6 ans, les
crises
s'es- pacent assez irrégulièrement. Elles devie
us fréquentes. C'est à partir de la (je année qu'apparaissent des
crises
épileptiformes avec cri initial, convulsions toni
sans morsures de la langue, mais avec des émis- sions d'urine. Ces
crises
se répétent environ tous les trois jours sans c
ans. La mère donne les renseignement suivants sur ses pre- mières
crises
convulsives : Elles se raidissait, tournait les
du sacrum. Depuis son entrée il l'infirmerie, la malade a eu des
crises
épileplifonmes bien caractérisées avec cri init
ne sorte d'habitude, ce sont des tics. Octobre. L'on constate des
crises
épileptiformes chez l'enfant. Décembre. La sa
citation maniaque; réforme. z ? . - 7>aumatismes divers dans ses
crises
. Phénomè- nes proe et posl-épileptiques.. 228
, étant à faire une commission, il est tombé dans la rue La seconde
crise
a ou lieu trois ou quatre moi;; après. L'enfant
ommeil mauvais ; se réveille au moins bruit. En ce qui concerne ses
crises
, elle sent, dit-elle, qu'il lui est arrivé quel
plus qu'autrefois. Son irascibilité est grande, sur- tout avant les
crises
; clans ces moments-là il ne faut rien lui Misè
qu'il essaye de la battre. Il est parfois excité il la suite de ses
crises
. Il a maigri, il se voûte et Bourneville, Bicêt
'atelier où il travaille, il a eu un accès suivi de folie. Après la
crise
, comme il voulait jeter ses outils dans le feu,
ner son application. C'est ainsi que plusieurs auteurs ont noté des
crises
laryngées, provoquées par la pendaison, l'oedèm
des muscles, difficulté de marcher, nécessité de s'asseoir. Puis la
crise
disparaît. Charcot a fort bien donné la pathogé
des nerfs cutanés. M. H. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53, XXII.
Crises
gastriques et syringomyélie; par PARELY. (Revue d
ue de médecine, décembre 1900.) Dans l'observation présentée, les
crises
gastriques ont en même temps que des douleurs f
ans le numéro précédent du 14 octobre 1899, une monographie sur les
crises
gastriques du tabes par S. Basch. A. M. XXX. Pa
migraine; une attaque de migraine peut, d'autre part, provoquer une
crise
d'hystérie, l'hypéresthésie hémicranienne deven
ter l'attaque de migraine comme un syndrome ou l'équi- valent d'une
crise
d'hystérie, il y a loin, et K. EBLNG n'en con-
par jour, et c'est alors que la malade commença à crain- dre que la
crise
ne lui prit dès qu'elle sortirait. Il y a trois
persiste jusqu'à la mort survenue trois semaines après la dernière
crise
à la suite d'acci- dents infectieux. A l'autops
'observation d'une femme qui pré- 92 SOCIÉTÉS SAVANTES. sente des
crises
de masturbation trois fois par an pendant quinze
crises de masturbation trois fois par an pendant quinze jours. Ces
crises
offrent les caractères suivants : périodicité de
n sous-officier qui, tous les mois, avait pendant trois jours une
crise
d'onanisme, toujours consécutive à un rêve sangla
t. Quantité excrétée : 1/2 verre à 3/4 de verre et davan- tage. Les
crises
sont rares : il n'en survient qu'une en deux ou q
décroître. Cette affection est. continue, mais avec des périodes de
crises
suivies de périodes d'accalmie relative. Ces de
e pas du tout à ma facilité et à ma peur de rougir. Les périodes de
crise
sont très variables comme fréquence, comme duré
est en décroissance, je veux dire que, d'une façon générale, les
crises
sont moins longues, moins fréquentes, moins inten
cette maladie, s'em- 190 CLINIQUE NERVEUSE. parent de vous, et la
crise
se résout en larmes. On ne pleure pas ; les nua
uis capable d'entrevoir la « joie de vivre ». Suis-je en période de
crise
? Le levain pessimiste fermente. La vie m'ap- p
de ma pensée. Et puis, un beau jour, sans aucun motif apparent, une
crise
éclate. La phobie est pourtant le 9°, le 16e jo
rande, moins pénible. Mon travail en était à ce point, lorsqu'une
crise
morale me le fit abandonner. Je l'ai terminé hi
HECUE1L DE FAITS. Grande hystérie, datant de vingt-cinq ans, avec
crises
paroxystiques, fugues ambulatoires, hémia- nest
Mauvais état de santé de la mère pendant la grossesse de Louis; une
crise
d'hystérie au cinquième mois; accouchement péni
le dimanche après, s'en va cueillir des poires GRANDE HYSTÉRIE AVEC
CRISES
PAROXYSTIQUES, ETC, 203 dans le jardin d'un voi
ttiré par les aboiements d'un chien. Quelques jours après, première
crise
d'hystérie avec perte de connaissance ; les crise
s après, première crise d'hystérie avec perte de connaissance ; les
crises
continuent pendant deux ou trois ans. De quinze
sé. Il ne reprend conscience que quatre heures après le début de la
crise
. Les crises durent quatre à cinq ans encore, fr
eprend conscience que quatre heures après le début de la crise. Les
crises
durent quatre à cinq ans encore, fréquentes, à
qui dure de quatre à cinq heures, à la suite de laquelle une grande
crise
éclate. En juillet, deuxième fugue avec crise é
e laquelle une grande crise éclate. En juillet, deuxième fugue avec
crise
également. J'examine Louis fin juillet 1900 : c
00 : c'est un hystérique qui a présenté les accidents paroxystiques
crises
, fugues ambula- toires, que nous venons d'énumé
embres inférieurs et supérieurs. Au bout de cinq minutes éclate une
crise
de contracture qui dure deux à trois minutes et
rotation en dehors de la cuisse et du bras + La peau pique un peu +
Crise
de contracture de trente secondes + Ce qui étai
rente secondes + Ce qui était bloqué à la hanche a disparu après la
crise
, et la peau a récupéré toute sa sensibilit ,
és en quelque sorte ? IL y a une boule là- dedans -r-- Louis a deux
crises
de contracture qui durent quelques secondes + M
lement dans les oreilles. Il fait entrer la tête entre les épaules.
Crise
de con- tracture. après laquelle il dit : ne me
che. Sentez votre tête, votre cerveau : Ça me brûle sur la tète ?
Crise
de mouvements toniques -f- Ma tête est toute souf
- Ma tête est toute souffrante + Elle se partage en deux + Nouvelle
crise
+ Ça brûle -i- Il y a un chemin de fer dans la
ble, mais je crois que vous avez à la main gauche un porte-plume. -
Crise
de contracture après laquelle il ne voit plus c
tête est libre + Mouvements de salutation qui se terminent par une
crise
de contracture. 11. Interrogé sur les faits de
: j'entends le tonnerre Tout d'un coup, grand GRANDE HYSTÉRIE AVEC
CRISES
PARAXYSTIQUES, ETC. 207 7 soubresaut. On m'a ar
ariétal droit) + Le malade incline la tête sur le tronc et fait une
crise
de contracture qui se termine par un soubresaut
quer -Où êtes-vous ? Je ne sais pas + La tête me fait bien mal -
Crise
de contracture et soubresaut : je suis soulagé -f
se de pro- fond qui est encore bloqué. 19. Sentez votre cerveau :
crise
de contracture ? Tiens, F... pousse ce baril -1
à gauche et me levait le souffle + Je ne sais pas l'âge que j'ai +
Crise
de contracture ? Le malade porte la main an fla
te mener à Carry,ça te 208 ' RECUEIL DE FAITS. passera + Nouvelle
crise
-t- Quand j'étais à Marseille, M. Vial me faisa
? Charles, jouons aux billes ; à une heure, nous irons à l'école ?
Crise
avec violente douleur dans le flanc gauche et g
ils ne le sont pas encore z Voyez le bateau, comme il balance ! -)-
Crise
+ Craquements dans la hanche -f- Levez-moi cett
ts dans la hanche -f- Levez-moi cette table qui m'a rompu la tête +
Crise
- i- La lable m'était tombée dessus - On me l'a
s - On me l'a levée + M. L... dit que je ne suis pas mort z- Longue
crise
de contracture, dé mouvements toniques avec nom
+ Je ne suis pas bien malheureux ? Je vais aux GRANDE HYSTÉRIE AVEC
CRISES
PAR ? YS'1'1()UEz, ETC. 109 plaines d'Arbois +
va z- C'est de la tisane, ce que vous me donnez ? - Qu'as-tu : ' -
Crise
? Vous ne me tiendrez pas, je suis plus fort qu
ns demi z Mon père s'appelle C... Ce soir, j'irai à votre maison-)-
Crise
, sou- bresaut-Je demande à Louis ce qu'il a. J'
er. N'aie pas peur. - La table tombe. -Soubresauts.- Il est mort ! -
Crise
. - Soubresaut. Tu ne t'es pas fait mal ? Non. -
en avant des pariétaux, de chaque côté de la suture médiane), -}-
Crise
, soubresaut -(-Tout est parti + Crise, régression
té de la suture médiane), -}- Crise, soubresaut -(-Tout est parti +
Crise
, régression jusqu'à la journée de hier -j- Cris
(-Tout est parti + Crise, régression jusqu'à la journée de hier -j-
Crise
pendant laquelle on entend des craque- ments de
me fait mal -j- Si vous saviezlestortures qu'il y a là-dedans ! -(-
Crise
+ J'ai vingt-sept ans et demi + La tête me fait
quelque chose qui me pique les yeux. et qui part de la nuque -)-+-+
Crise
, petit soubresaut + Il y a quelque chose qui s'
qui s'est cassé là-dedans (nuque), les yeux ne me font plus mal +
Crise
z Louis ne m'entend plus, parle des mouches d'Afr
pas ? Le chemin de fer siffle beaucoup + Vous criez de bien loin +
Crise
+ Grand soubresaut + Vous n'avez pas entendu ?
, là-bas derrière + Il y a toujours un fil qui GRANDE HYSTÉRIE AVEC
CRISES
PARAXYSTIQUES, ETC. 211 tient dans le bras + Gr
l'enterrement de sa mère. Après la céré- monie funèbre, il fait une
crise
de grande hystérie. 1er septembre. Endormi, Lou
. A la restauration de la sensibilité de l'abdomen, Louis l'ait une
crise
de contracture qui amène une régression jusqu'à
'a claqué là (en avant des pariétaux) et je me GRANDE HYSTÉRIE AVEC
CRISES
PARAXYSTiQUES.KTC. 213 suis tout d'un coup rapp
rme, la face, les lèvres, les mâchoires, la langue + Louis entre en
crise
-)- La langue se paralyse -j- Louis m'explique
ouvre les yeux spontanément. 27. Resensibilisation progressive :
crises
à la restauration de la sensibilité de l'estoma
e de la langue avec soubresaut Grande hyperesthésie du cuir chevelu
Crise
à la resensibilisation du cerveau. Réveil spont
ai travaillé Louis une fois par semaine et, au sur et à mesure, les
crises
de contractures, de mouvements toniques, les so
été le témoin des mêmes souffrances et du même GRANDE HYSTÉRIE AVEC
CRISES
PAROXYSTIQUES, ETC. 215 résultat produit par la
este enfin à dire un mot du dernier accident de février 1901, de la
crise
de contracture que mon malade fit t en récupéra
nce organique, sclérose disséminée et ataxie locomotrice, sénilité,
crises
de manie chez des sujets ayant antérieurement q
lexe, qui détermine plutôt des attaques de petit mal que de grandes
crises
et comme phénomènes psychiques des états de rêv
'elle va mourir Un tremblement à petites oscillations accompagne la
crise
qui dure de quelques minutes à une heure et dem
e qui dure de quelques minutes à une heure et demie. A la fin de la
crise
, surviennent quelques éructations gazeuses et i
e territoire d'une ou de plusieurs racines médullaires et par des
crises
douloureuses à maxima siégeant en des points déte
siégeant en des points déterminés du territoire hyperalgésique. Ces
crises
peuvent s'accompagner de tic. Cette affection s
, les troubles oculaires, troubles de l'oculo-moteur (communs), les
crises
épileptiformes, un état de stupeur somno- lente
ent noté J. Falret, indiquent généralement le début précis de leurs
crises
, en le rapportant à un fait qui les a vivement
ondérant dans l'obsession. La marche de l'obsession par accès, par.
crises
plus ou moins violentes, que séparent des pério
n de l'obsession, on est porté à envisager presque exclusivement la
crise
obsédante, avec ses caractères tranchés et ses
die, en un mot, à l'état obsédant. L'état obsédant préexiste à la
crise
angoissante et il per- siste dans l'intervalle
nt des émotifs, et l'émotion est l'un des agents provocateurs de la
crise
obsédante. Mais encore faut-il reconnaître que
pas, qu'il s'agisse d'idées ou de mouvements. En dehors même des
crises
angoissantes, jusque dans les actes les plus étra
intervient dans l'apparition, dans l'intensité, dans le rappel des
crises
angoissantes qui accompagnent si souvent l'obse
et ce comique garçon à qui je montrais tout, m'a souvent évité des
crises
de maladie. De niaises et enfan- tines plaisant
; l'enfant se plaint du reste de palpitations et a quelquefois des
crises
d'étouffement. Mais il nous a été donné de cons
'acide urique excrétée. Le sang d'un épileptique prélevé pendant la
crise
et injecté à un lapin, a déter- miné une crise
e prélevé pendant la crise et injecté à un lapin, a déter- miné une
crise
épileptiforme après deux ou trois minutes. La p
ep- tiques devenus tuberculeux, sans avoir de diminution de leurs
crises
, démontrent qu'il n'y a rien à chercher avec les
sagers. Les résultats ont été médiocres et en réalité, la série des
crises
convulsives a été peu influencée parles injecti
l'intoxication du sujet, dans les maladies infectieuses, arrête les
crises
; car on ne peut comparer des injections de que
maladie infectieuse. Il envisage aussi l'hypothèse, que l'arrêt des
crises
peut être dû aux antitoxines fabriquées par l'o
dans la tête et qui eut, dans la suite, de l'hémi- plégie, puis des
crises
d'épiJspsie, jacksouienne. La radiographie perm
rahie et dont l'ablation guérit le sujet. Depuis trois mois, aucune
crise
n'est survenue. M. GUILLAIN rapporte un cas d'
accadée, etc. - M. Voisin. Tous ces phénomènes sont des ébauches de
crises
d'hystérie; il faut que les médecins en soient
t déroutés par leur apparition et qu'ils puissent faire avorter ces
crises
commençantes. Cela prouve une fois de plus que
UROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Note sur un cas d'hystéro-épilepsie à
crises
dis- tinctes, avec ecchymoses spontanées et acc
la vue d'une autre malade du service qui se trouvait atteinte d'une
crise
hystérique, Rosalie a été prise elle- même d'un
s très énervée et très irascible. Pendant la visite, elle prend une
crise
de larmes avec sanglots convulsifs; au bout de
z notre malade, c'est la coexsistence d'attaques épileptiques et de
crises
manifeste- ment hystériques. Comparons par exem
malade, qui a été très irritable toute la matinée, est prise d'une
crise
de larmes, glisse de sa chaise et se roule par
érie et de l'épilepsie que Landouzy a appelée « hystéro-épilepsie à
crises
distinctes ». En effet, il est certain que, si
voir « les deux affections marcher l' pour ainsi dire de pair, les
crises
caractéristiques de chacune d'elles se produisa
oppée que, pendant le deuxième séjour à l'hôpital, la plupart des
crises
observées purent lui être attribuées ; de plus, o
ez l'homme. (Progrès midi- cal, f80). Voir sm l'hystéro-épilepsie à
crises
distinctes : Cliarcot. Leçons sur les maladies
omplexe. Dans certains cas, elles sont en relation directe avec les
crises
convulsives, notamment avec les hallucinations
térie, par contre, la fièvre peut se présenter indépen- damment des
crises
convulsives 3, revêtant soit le type 1 Cf. Une
rès désiré. Cette rupture datant de trois semaines fut suivie d'une
crise
hystérique avec trouble mental, tendance aux idée
excitation électrique de ces deux points provoque immédiatement une
crise
hystérique. Les membres infé- rieurs y compris
sé et strabisme double pendant deux heures; après quoi elle eut une
crise
de diarrhée avec cinq à huit évacuations par jo
s un signe de grande valeur : elle succède généralement à une forte
crise
, et son étendue est variable, autant que sa loc
qui prédisposent plus que d'autres aux actes homicides. Quand les
crises
sont suivies d'un sommeil profond et prolongé, le
'intervalle des attaques se montrent ordinairement sous la forme de
crises
pa- roxystiques de manie violente; leur début e
ion men- tale depuis une vingtaine de jours, sous l'influence d'une
crise
cérébrale, menaça soudain ses parents de les cr
e sensation de lourdeur avec fourmillements intenses présentant des
crises
d'exacerbation. Il s'agit bien là d'une algie d
Zuccarelli 81. Criminalité. Voir Morphine. Voir Insensibilité .
CRISES
gastriques et syringomyélie, par Parely, 53.
l' - par 13abiiiski, 83. Grande -. datant de vingt-cinq ans avec
crises
paroxystiques, fugues ambulatoires, hémianes-
Bourneville, 517. IIS'S1'E ! t0 LPILEPSIE. Note sur un cas d' - à
crises
distinctes, avec fcchymoses spontanées et accès
, 390. - du système nerveux, par Onuf, 393. Syringomyélie. Voir
Crises
gastri- ques. Troubles trophiques de la , par
ès 60 jours ; l'amaigrissement est plus sensible qu'après la première
crise
de cinq mois. La malade se lève, circule dans les
utives, et, alors, il était en proie à de très vives souffrances. Des
crises
de cette dernière sorte s'étaient répétées quatre
re sorte s'étaient répétées quatre à cinq fois. Néanmoins, dans ces
crises
, il n'osait consulter de médecin, de peur do sond
la suggestion hypnotique et clic guérira très rapidement. Une grande
crise
d'hystérie pourrait très bien amener ce résultat,
ce résultat, mais il serait imprudent de provoquer délibérément cette
crise
et de faire appel aux phénomènes convulsifs Je co
ua disait que par moments l'envie de ronger du fil la prend comme une
crise
nerveuse, avec une sensation d'angoisse qui ne se
extase et les symptômes que présentait le sujet dans l'intervalle des
crises
, ce qui est cependant rigoureusement nécessaire p
it pour moi. » Cependant aucune amélioration ne se produisit et les
crises
nerveuses s'installèrent avec leur mise en scène
vent, jwurcu que « l'on ne me touchât pas. » C'est au milieu de ces
crises
nerveuses, si complètes qu'à elles seules elles f
ds, retirements de nerfs de la tête aux pieds, lojperestésie cutanée,
crises
de larmes, etc.; c'est au milieu de ces crises qu
lojperestésie cutanée, crises de larmes, etc.; c'est au milieu de ces
crises
que sainte Thérèse eut ses premières visions : Jé
lle marcha, voyant Jésus toujours à sa droite. Tout cet ensemble do
crises
nerveuses, d'hallucinations, d'extases, fut sévèr
ses extases qui devinrent de plus en plus parfaites jusqu'à la grande
crise
de la Tra7wcer6éra/ï07i dont il me semble mainten
d'apoplexie ; elle-même est hystérique. Chaque semaine, elle a des
crises
à grand fracas, perd connaissance et offre le
irailleur, se précipita dans l'enceinte en hurlant et gesticulant.'Sa
crise
fut longue: le marabout le calma par l'imposition
les yeux. i Enfin, comme les médecins, ils savent faire avorter les
crises
con-vulsives par la compression des fosses iliaqu
sujets manifestement en puissance d'hystérie : stigmates permanents,
crises
convul-- -sives, rêves somnambuliques. Chez plusi
st la conclusion d'une période d'agitation onirique intense, sorte de
crise
hystérique en miniature. Sur les 64 sujets traité
que en miniature. Sur les 64 sujets traités je trouve 7 hystériques à
crises
: 4 filles et 3 garçons. Chose à noter, sur les
accouchement assez rapide la veille au soir, elle avait été prise de
crises
nerveuses, avec perte de connaissance. Depuis ell
e de connaissance. Depuis elle paraissait dans une sorte de coma, les
crises
revenaient de temps en temps, ne s'accompagnant p
ur ce fait qu'elle dormirait ainsi, dans un calme profond sans aucune
crise
nerveuse, jusqu'au lendemain matin et qu'elle se
e prescrivis du chloral à donner par la bouche et en lavements si les
crises
reparaissaient. Cette prescription fut inutile,
égulière. On peut évidemment dans le cas présent se demander si les
crises
avaient été réellement de l'éclampsie. Les élém
ci fait défaut, mais les circonstances dans lesquelles apparurent les
crises
nerveuses signalées par la sage-femme et l'entour
impressionnable, riant et pleurant pour les choses les plus futiles.
Crises
nerveuses qui ont débuté à 19 ans et qui survienn
entrée à l'hôpital, à la suite d'une discussion d'ordre matrimonial,
crise
très violente avec perte de connaissance. Le lend
a été frappé par l'hérédité : sa mère était une hystérique à grandes
crises
et son frère est mort dans un asile. Lui-même, to
le dit et que, bien des fois, on se trouve simplement en présence de
crises
hystériques. Je reviendrai sur cette question e
, la joie de revoir le maitre bien aimé ont donné naissance à des
crises
plus ou moins persistantes mises au compte de l'é
ttre en contact maîtresse et chienne, sans cela celle-ci présente une
crise
qui se répète pendant quelques mois. Voici un c
fut le héros de l'histoire. La frayeur fut l'agent provocateur de la
crise
. Le serin exécutait dans sa cage ses trilles les
plus absolue, malgré la vie continuelle en commun. Xe sont-ce pas des
crises
hystériques, ces fureurs de chiennes inassouvies,
n qualifie sans preuves d'accès de rage? Ne peut-on en dire autant de
crises
intermittentes de méchanceté, de fureur, présenté
Cette femme a 52 ans. Sa mère était une triste et avait de grandes
crises
; son père était nerveux, colère, irritable. Elle
e à 12 ans. A cette époque, elle commence à présenter des ébauches de
crise
, avec perte d'appétit, bouffées de chaleur, etc.
perte d'appétit, bouffées de chaleur, etc. Plus tard apparaissent les
crises
convulsives proprement dites, sans perte de conna
elle cause avec lui. Dans la journée elle a de grandes et de petites
crises
. Alors, sur le conseil de Charcot, elle entre dan
stériques. En effet, avec la ménopause, survenue il y a deux ans, les
crises
convulsives ont reparu. Aujourd'hui, cette femm
d cette malade a eu dans la journée une violente émotion ou une forte
crise
, elle présente un piqueté hémorrhagique au pourto
de la volonté. Si l'on étudie l'état des obsédés, en dehors de leurs
crises
angoissantes, on reconnaît que ces malades sont t
les envoie habiter des pourceaux (Mat. VIII, 31), ceux-ci entrant en
crise
se précipitent dans le lac et s'y noient (Luc VII
do tous temps et tous lieux se soumettaient au jeûne pour obtenir des
crises
hystériques et des hallucinations. Jésus et ses
être accentuée par les troubles nerveux ou autres qui marquent cette
crise
de la vie féminine. En ce qui concerne le cas d
une fille a eu, six mois auparavant, pendant envirpn une semaine, des
crises
de vomissements, tantôt verts, tantôt jaunes, tan
le s'est mariée le mois dernier. Notons encore un détail. Depuis la
crise
aiguë dont il a été question plus haut, cette per
hystérie. Considérons les grandes manifestations de l'hystérie, les
crises
nerveuses, les paralysies, les contractures, les
ts, du reste, les anes-thésies, les paralysies, les contractures, les
crises
, etc., qui sont susceptibles d'apparaître sans av
re d'observer des cas d'hystérie incontestable se manifestant par des
crises
ou quelque autre accident bien caractérisé qui so
plusieurs attaques de nerfs, suivies de perte de connaissance. Les
crises
de masturbation, qui se sont révélées de très bon
intellectuelle et de prostration générale. Quelques jours avant la
crise
, M"e M... est agitée et cherche querelle à tous c
ours ; mais l'excitation devenant plus intense, elle entre bientôt en
crise
et se livre à la masturbation pendant quinze jour
e à l'aide de petits mouvements d'adduction. Dans l'intervalle de ses
crises
, la malade est très malheureuse et a horreur d'el
e, un sous-officier qui, tous les mois, avait pendant trois jours une
crise
d'onanisme, toujours consécutive à un rêve sangla
ans; il exerce la profession de mécanicien. Depuis huit ans, il a des
crises
qui se sont aggravées, il y quelques semaines. Il
'est pas mordu la langue. D'autres fois, ce sont seulement de petites
crises
: les mains tremblent, les objets s'éloignent ou
e très peu. Parfois cet impérieux besoin de manger constitue toute la
crise
. Il s'agit ici de mal comitia] tardif, lequel d
que, morte à la Salpé-trière: un de ses cousins-germains présente des
crises
convulsives. Il a été très bien portant jusqu'à d
traitement moral. II Ce jeune garçon de 13 ans a, lui aussi, des
crises
convulsivcs, mais le diagnostic en est différent.
êve beaucoup. Depuis lors il présente, à peu pris tous les jours, une
crise
qui débute par une sorte d'aura. Ce sont des batt
s connaissance; aujourd'hui la perte de connaissance est la règle. La
crise
dure environ deux minutes; il se relève très fati
il n'avait présenté rien de semblable. Quelle est la nature de ces
crises
? -C'est toujours un problème très difficile de
présentent des attaques séparées. Ce sont des hystériques qui ont des
crises
d'epilepsic ou des épileptiques qui ont des crise
riques qui ont des crises d'epilepsic ou des épileptiques qui ont des
crises
d'hystérie. Notre malade a-t-il uriné sous lui?
t suffisant en faveur de l'hystérie, car on a vu subsister, après les
crises
, épileptoides, des paralysies transitoires, hémip
rer, il faut toujours rechercher comment les malades sortent de leurs
crises
. Notre épîleptique de tout à l'Heure reste dans l
tertor et a envie de dormir; ce jeune homme, au contraire, termine sa
crise
par une envie de pleurer, puis il se reprend
sme, sécheresse de la bouche et de la gorge, hyperhidrose, anhidrose,
crises
de larmes, aménorrhée fonctionnelle, ténesme. ves
e âgée de 35 ans. C'est une hystérique qui a eu, jadis, de nombreuses
crises
convulsives et la plupart des troubles de la gran
ises convulsives et la plupart des troubles de la grande névrose. Les
crises
convulsives ont tout à fait disparu depuis plusie
eil provoqué. M. Voisin. — Tous ces phénomènes sont des ébauches de
crises
d'hystérie; il faut que les médecins en soient in
int déroutés par leur apparition et qu'ils puissent faire avorter ces
crises
commençantes. Cela prouve une fois de plus que l'
Trois mois après l'accident, la jeune fille commence à avoir des
crises
qui se répètent tous les mois d'abord, tous les q
jours ensuite et depuis un an, régulièrement tous les huit jours. Ces
crises
s'annonçaient ordinairement par une sensatien à l
ant jusqu'au cardia et de fortes douleurs suivies d'étouffe-ments, de
crises
de larmes et de convulsions. La malade perdait pa
larmes et de convulsions. La malade perdait parfois connaissance. Sa
crise
durait une, deux et même trois heures. Cette jeun
la clinique il y a trois semaines et depuis elle n'a eu qu'une seule
crise
le lendemain de la première séance de traitement
tion hypnotique ; c'était le huitième jour, précisément le jour où la
crise
devait se produire. Les deux autres crises, qu'el
, précisément le jour où la crise devait se produire. Les deux autres
crises
, qu'elle devait avoir ne se sont pas produites. L
ler ou parlent haut. Une de ses tantes était une hystérique à grandes
crises
, qui avait un automatisme semblable au sien, et e
le flanc droit. A la suite de cet accident, souffrances très vives et
crises
nerveuses fréquentes. Je suis amené à provoquer l
une jeune femme de 22 ans qui, depuis sept mois, présente de grandes
crises
: elle en a eu plusieurs, tout à l'heure, quand e
à l'heure, quand elle est entrée dans la salle de consultation. Ces
crises
comportent quatre périodes. C'est d'abord une aur
. D'ailleurs l'examen détaillé de la malade, les caractères de la
crise
et la genèse des accidents montrent qu'il s'agit
ent du champ visuel, également à gauche. En outre, elle a déjà eu des
crises
analogues, il y a deux ans. Elle est (illc d'un
enfant meurt à l'âge de huit mois ; pendant quelque temps elle a des
crises
de nerfs, puis elle revient à peu près à l'état n
iers s'est ainsi trouvée supprimée. Les premiers jours, elle a eu des
crises
très nombreuses avec cris perçants : au bout de q
ée; elle s'affaisse et tombe à deux genoux, puis elle est prise d'une
crise
d'extase. Sa sœur de loin s'en aperçoit : « Tie
elle a perdu conscience de ses actes ; c'est qu'elle est prise par la
crise
nerveuse, l'Extase, dont nous parlerons tout à l'
sophe Tarde a été trouvé mort dans sa chambre, le 13 mai au matin. La
crise
fatale le surprit en pleine énergie de travail in
erçu par le malade immédiatement avant une attaque d'épilepsie ou une
crise
d'hystérie : Si l'aura est moteur, le malade perc
ique un curieux exemple : c'est le cas d'un individu dont la première
crise
était provoquée par la terreur d'un incendie et q
issance qui fait que les extatiques sont si désireux d'entrer dans la
crise
et la recherchent si vivement. Bernadette en avai
sion involontaire d'urine. Enfin, chose curieuse, il semble que ces
crises
nerveuses doivent s'accompagner d'un peu de fièvr
mirablement décrit, trois siècles avant l'école de la Salpétrière, la
crise
d'Extase, mais cette sainte a tort de donner cett
as autrement que nous parlent d'elle ses biographes, en racontant les
crises
d'extase de la grotte de Massabielle. Bien plus,
ait éminemment hyi>notisable, on aurait pu lui donnera volonté des
crises
d'extase avec la vision d'un personnage profane a
onnaires de « Saint-Médard *, Un des assistants va se tordre dans une
crise
et reproduire dans ses gestes, dans ses paroles e
ir. Ces faits se passaient toujours pendant la première période de la
crise
, la période hallucinatoire. Après quelques minute
nts. Bernadette alors poussait un long soupir et se réveillait : la
crise
qui durait depuis plus d'un quart d'heure était t
e retournait au logis paternel. Mais sa mémoire non abolie pendant la
crise
, gardait très exactement dans ses replis les moin
atorze apparitions successives. X Preuves de l'Extase Or, cette
crise
d'extase est le nœud de la question, car c'est el
(2). » L'abbé Fourcade décrit mieux encore les deux périodes de la
crise
, l'hallucinatoire et l'extatique : « Ne la voyez-
ation la preuve que l'état de Bernadette était bien le résultat d'une
crise
nerveuse naturelle et non un fait surnaturel. Il
mains jointes, à genoux, les yeux au ciel, mettait son sujet dans une
crise
d'extase ; de même il fallait que Bernadette fût
on visage, et à tout son corps l'attitude de l'adoration, pour que la
crise
extatique se produisit et c'est toujours ainsi qu
ceci on ne parle pas, c'eût été intéressant de le savoir; dans leurs
crises
, le fait est fréquent, des épileptiques ou des hy
ur un seul objet? Cet excès d'attention nous l'avons noté pendant les
crises
de Marie Alacoque et celles de Ste Thérèse. Nous
isés dans une position une fois prise? Les extatiques pendant leurs
crises
changent de physionomie à ce point que les figure
assait à la Grotte, mais comme il ne connaissait de l'hystérie que la
crise
convulsive et la catalepsie, en ne rencontrant pa
e pouls normal, sans une pulsation de plus qu'à l'ordinaire, dans des
crises
d'extase ou autres, c'est le pouls caractéristiqu
en effet cette période de temps comme limite extrême à la durée de la
crise
: Ste Thérèse déclare formellement, d'après sa pro
le fait d'après un témoin enclin à grossir les choses? Pour une autre
crise
du reste, il déclare qu'elle fut d'un quart d'heu
e, il déclare qu'elle fut d'un quart d'heure. En somme, puisque les
crises
d'extase ne dépassent jamais une demi-heure, il e
e 38 et page 52. (2) Mgr de Séocr, page 29. durée normale dé la
crise
; nous sommes donc en droit de tirer une conclusio
coup il tomba en extase avec tous les symptômes habituelles de cette
crise
. Les jours suivants, chaque malin au lever du s
souvent il nous fut donné de constater. Il est arrivé parfois que la
crise
s'est produite à la chapelle lorsqu'un prêtre vêt
examiner est une femme de 3ï ans, hystérique. Elle a eu une première
crise
légère à la suite d'une frayeur; puis les crises
lle a eu une première crise légère à la suite d'une frayeur; puis les
crises
se sont répétées plus fortes à divers intervalles
à divers intervalles irréguliers. Elle a une véritable phobie de la
crise
; peur de tous les bruits; se rappelant l'origine
crise; peur de tous les bruits; se rappelant l'origine de sa première
crise
, on peut dire d'elle qu'elle a if peur d'avoir pe
manifestations hystériques sont toujours calmées, elle n'a plus eu de
crise
, elle n'a plus la phobie de la crise, plus de vom
urs calmées, elle n'a plus eu de crise, elle n'a plus la phobie de la
crise
, plus de vomissements, mais elle éprouve encore d
'extériorisation tombent souvent à 0. Un hystérique après plusieurs
crises
légères, mais répétées pendant plusieurs jours su
e -j- 43°. Après six semaines de traitement, le lendemain d'une forte
crise
, je pratique de nouveau son examen sthénométriqué
e = 0°. Six semaines plus tard, il y a amélioration considérable, les
crises
sont beaucoup plus rares, plus légères; la mémoir
ix. » La guérison ne fut pas complète. « Elle eut encore de petites
crises
. Plus tard, elle alla voir la Sainte Robe de Notr
résentée aux évoques de Trêves, Spire et Osnabrück, mais elle eut une
crise
telle, que les trois évoques se sauvèrent. » « Tr
le eut une forte attaque avec des convulsions terribles, cependant la
crise
ne dura pas longtemps. » * Comment ne pas rec
lme. C'est que les médecins ne s'intéressaient pas outre mesure à ses
crises
. De plus, elle avait (1) B. Hey.ne : La démonom
aine discipline. Maïs dans la cathédrale épiscopale de Luxembourg, la
crise
était en quelque sorte encouragée par la curiosit
son père était alcoolique et sa mère nerveuse ; elle a eu de grandes
crises
d'hystérie avec les phases classiques ; sur ce te
int d'hystérie infantile. L'entourage, qui ne pouvait s'expliquer ses
crises
, en attribua la cause à l'intervention de Satan.
iennent de plus en plus rares ; elle a, de temps en temps, de petites
crises
de larmes. 11 y a un an, elle joue au croquet ave
malade fut déclarée possédée. Elle souffrait depuis trois ans de ces
crises
. Enfin sa famille résolut d'avoir recours au remè
s, ne boit plus ; il voit sa vie manquee, son avenir perdu ; il a des
crises
de désespoir et, bientôt, des envies d'en finir p
ent alternativement pâle et rouge ; ses yeux sont hagards et il a une
crise
de nerfs. C'est un ancien cocher. Le matin, ava
On ne sait pas si le neurasthénique, l'hypocondre et ces malades avec
crises
maniaques sont des psychonévrosés ou des vésaniqu
r la santé. Rien ne débilite l'organisme comme la répétition de celte
crise
nerceuse. Un état neurasthénique succède à cet or
ême, et chacun comprendra, comme nous, que l'auteur traite le coit de
crise
nerveuse produisant un état neurasthénique. C'est
ystérie et pourquoi dire d'une hystérique agitée qu'elle présente des
crises
maniaques, puisque l'agitation et le langage du m
e aucun de ces réveils momentanés ; et, pendant toute la dui-ée de la
crise
, elle reste sans manger ni boire, comme sans urin
e de ces fugues et de ces sommeils. Ajoutons encore ceci. En pleine
crise
de sommeil, Argentina est inaccessible à la sugge
Des voisins, ignorants et crédules, n'ont pas manqué de voir dans ces
crises
de sommeil un phénomène surnaturel ; le bruit a m
motivée, etc., ceux de la sousconscience, les spasmes, contractures,
crises
, paralysies, etc. Nous ne comprenons pas pourqu
ses, de guérir des cas d'aménorrhée, de faire cesser sur-le-champ une
crise
de dysménorrhée. Nous avons dans l'hypnose un moy
Pour notre part, nous avons vu deux tabétiques atteints de violentes
crises
ne retirer aucun bénéfice de la psychothérapie et
tement, amélioration qui se poursuivit de façon que, dans un cas, les
crises
cessèrent complètement au bout de quelques semain
ussion des communications suivantes : 1° Dr Barbiee : Sur un cas de
crises
de sommeil léthargique chez une hystérique. Discu
aires de la-Société. La séance est levée à 6 h. 40. Sur un cas de
crises
de sommeil léthargique chez une hystérique par
ur violents, qu'un rien suffisait à faire réapparaître. Sa première
crise
se produisit au mois de décembre de la même année
ntra à l'hôpital Tenon dans le service du Dr Bourcy pour une deuxième
crise
analogue. Elle y resta un mois et fut soignée par
e par des applications d'aimant. Au mois d'avril suivant, troisième
crise
de léthargie : elle s'était trouvée mal chez un p
y resta encore un mois. Au mois d'août de la même année, quatrième
crise
de sommeil : elle était tombée dans la rue et ava
it à l'hôpital St-Antoine, où elle resta encore un mois. La sixième
crise
léthargique se produisit au mois de février sui-v
, service de if. Galliard, où elle resta sept semaines. La septième
crise
est celle que nous avons observée : la veille à 1
et l'avaient transportée à l'Hôtel-Dieu. Chose intéressante, cette
crise
de léthargie, comme d'ailleurs toutes les précéde
outefois nullement troublée. Pendant les quelques jours que dura la
crise
, elle ne prit aucun aliment solide, se contentant
un rien éprouvait des palpitations ; elle était souvent sujette à des
crises
de larmes. Au point de vue de la recherche des zo
fendait absolument et n'en présentait d'ailleurs aucun stigmate. Sa
crise
de sommeil ne dura que trois à quatre jours; elle
ouvée dans cet état, l'avaient transportée à St-Louis. Cette nouvelle
crise
de sommeil ne dura que deux à trois jours : à son
es hystériques, que l'on décrit sous le nom de forme léthargique : la
crise
de sommeil constitue ici l'équivalent d'une attaq
que, décrite par Gilles de la Tourette, la malade dans chacune de ses
crises
, tombant sans connaissance, comme foudroyée. Ce s
r l'attention de la Société, c'est cette coïncidence particulière des
crises
de sommeil avec les périodes menstruelles: ce fai
de nutrition, notre malade obéissait, elle aussi, pendant ses courtes
crises
de sommeil, à la règle générale : ces fonctions o
t la rareté des mictions. Si enfin, nous remontons à l'origine de ces
crises
de léthargie, nous rencontrons, comme dans toutes
ne peur, d'une contrariété quelconque. II y a quatre ans, après une
crise
convulsive, elle a perdu complètement la parole.
urs bien et qu'elle parle depuis lors aussi bien qu'avant sa dernière
crise
. Au moment où j'achevais d'écrire cette observa
s stigmates indéniables de petite hystérie. Elle n'avait jamais eu de
crises
. Sa convalescence parut tout d'abord s'effectuer
ystérique. Au bout de dix minutes, un quart d'heure, plus parfois, la
crise
se terminait par un vomissement et tout ce qui av
femme âgée de 64 ans, qui présente des hallucinations, du délire, des
crises
d'excitation presque maniaque, en apparence. Or e
a journée, à l'occasion d'une fatigue ou d'une émotion quelconque, de
crises
de sommeil hystérique. Elle habitait alors un pet
e feuille de papier sur laquelle j'avais écrit « Vous n'aurez plus de
crises
, votre douleur cessera dès votre sortie de chez m
sensibilité. Remarquez que c'est le jeudi, comme d'habitude, que la
crise
douloureuse s'est manifestée ; c'est toujours le
x troubles névropathiques, rien de bien particulier : hallucinations,
crises
fréquentes et terribles, suivies d'un long état d
deux ordres de faits. Il est des malades qui marchent au cours d'une
crise
hystérique, sous l'influence de leur délire. Les
défendre victorieusement ses idées. Il eut à plusieurs reprises des
crises
de léthargie. « Un samedi, à l'heure de compile
da, qui, depuis de longues années, était atteint d'épilepsie (?). Les
crises
étaient fréquentes, et si violentes que plusieurs
randes hystériques seules peuvent avoir, dès les premiers essais, une
crise
facile à réprimer. Or, j'arrive toujours à la sec
à maîtriser cette émo-tivité hystérogène et à prévenir le retour des
crises
. « Le sommeil provoqué par suggestion ne saurai
e pas à coup sûr que cette douleur soit purement auto-suggestive. Les
crises
d'hystérie convulsive, la contracture hystérique,
irradie, ce qui arrive quatre ou cinq fois par jour. En dehors de ces
crises
, elle est constante derrière les malléoles, comme
r lesquels on peut provoquer cet état, les différents symptômes de la
crise
elle-même, et, enfin, les phénomènes particuliers
rie confirmée, on découvre qu'ils ont présenté à certains moments des
crises
de somnambulisme spontané. Ce sont des sujets d'u
rois la première hypothèse plus vraisemblable. Les caractères de la
crise
elle-même rappellent, comme du reste les autres é
lle-même rappellent, comme du reste les autres élats hypnotiques, une
crise
hystérique dans laquelle la prédominance de certa
e les lèvres sont animées d'un sourire caractérislique. Pendant ces
crises
, il est intéressant de noter une hyperesthésie gé
sible, tremblement des membres et parfois mouvements convulsifs. La
crise
étant ainsi caractérisée par ces symptômes généra
s, donner lieu à des phénomènes beaucoup plus complexes. Après la
crise
, l'état du sujet change complètement, l'excitatio
éral, le sujet a perdu tout souvenir de ce qui s'est passé pendant la
crise
. Je veux terminer par une remarque de la plus g
coup une croissance très rapide qui l'a beaucoup fatigué. La première
crise
a paru à cette période et l'a saisi dans la rue,
demandé ce qu'il avait, il répondit : « C'est une mauvaise idée; » la
crise
passée, amnésie complète de ce qu'il avait fait o
face de leur habitation, X... eut peur, il fut aussitôt saisi par une
crise
,qui dura le temps de traverser la rue. N'ayant tr
t de nouveau chez le médecin, mais cette fois il n'eut pas peur et la
crise
ne survint pas. Celles-ci ont lieu tous les quinz
Celles-ci ont lieu tous les quinze jours environ. Description d'une
crise
. — La crise est précédée d'une idée fixe prise au
t lieu tous les quinze jours environ. Description d'une crise. — La
crise
est précédée d'une idée fixe prise au hasard, au
autres idées ; quand son hypertrophie a atteint un certain degré, la
crise
survient. Cependant, il sait qu'il peut lutter co
ser avec succès à la « mauvaise idée. » Il parvient ainsi à éviter la
crise
. Il est à remarquer qne la formation et l'intensi
fatigue psychique par la lutte qui s'établit entre les deux idées. La
crise
est encore évitée si son attention est fortement
'un sommeil d'où il sortirait à la suite d'une forte commotion. Si la
crise
le surprend quand il écrit, il ne s'arrête pas, b
au point où il l'a abandonnée, si bien que sur une page d'écriture la
crise
se révèle par une incoordination graphique, mais
nocturne, il l'appelait « maman ». Pas d'impulsions avant ou après la
crise
. Un jour étant en voiture et conduisant, il sen
répare l'oral. II travaille et se fatigue beaucoup cérébralement; les
crises
surviennent quotidiennement pendant les trois jou
notage, mais modérément; il se couche et se lève de bonne heure ; les
crises
sont très rares, elles ne surviennentjamais à bic
nt appuyé en faisant le simulacre d'uriner, il laissa ainsi passer la
crise
. Ses camarades ne s'aperçurent de rien ; il les r
rée à l'École centrale. Il se fatigue de nouveau cérébralement et les
crises
se reproduisent plus fréquemment, surtout d'une h
ssion de toute fatigue; j'applique la gymnastique médicale. Arrêt des
crises
pendant plusieurs mois. Unjour.X... m'apprend q
'un an, au bout duquel je perds ce jeune homme de vue. Le début des
crises
coïncide avec une croissance très rapide, qui
e fatigue organique. Une grande fatigue est cause de la fréquence des
crises
, qu'elle soit physique, intellectuelle ou émotive
rophie provoque une fatigue psychique, laquelle, à son tour, amène la
crise
. Cependant, il est plus admissible de penser que
à la formation de la volonté. Le jugement existejusqu'au moment de la
crise
, il réapparaît aussitôt après, puisque le malade
levée que la force nerveuse qui va se décharger, la volonté arrête la
crise
par l'action inhibitoire d'une idée thérapeutique
dans le sommeil lui-même. En effet, si par elle il peut supprimer la
crise
à l'état de veille, il en est incapable pendant l
ant à s'analyser pendant qu'il dort, il pourrait peut-être éviter les
crises
comme à l'état de veille ou du moins les espacer.
nd du coefficient de force neurique qu'il possède au moment de la
crise
; s'il est assez élevé pour qu'il puisse fournira
mission parallèle, l'inhibition volitive pourra se produire, sinon la
crise
suivra son cours. Si X... sort quelquefois vainqu
ement et qui, tout à coup, pendant cette croissance, a été atteint de
crises
épileptiques à aura psychique ; il peut les suppr
u par une impression sensorielle violente. L'amnésie prouve que les
crises
sont épileptiques. 11 est permis de se demander
s de se demander si l'irritation des centres nerveux qui provoque ces
crises
n'est pas due à la fatigue, puisqu'il y a coïncid
t peur de ne plus se réveiller. Elle attendit pendant un an. Mais les
crises
étant revenues à la suite de fatigues professionn
ale. Pendant trois mois, on dut la sonder. A cette atonie succède une
crise
d'anurie. La malade reste huit jours sans uriner.
ns l'observation de Marguerite N..., que la malade avait présenté une
crise
d'anurie qui avait duré huit jours. Nous ne nous
vait pas moins de dix à douze accès par jour ; que pendant une de ces
crises
, elle était tombée dans le feu et avait eu la fig
rouve, chose bizarre, qu'au mois suivant pendant, ou à la suite de sa
crise
. Navais-je pas raison d'appeler l'attention de
malade a présenté il y a quelque temps. Je tiens à affirmer que les
crises
qui se répétaient en moyenne 3 fois par semaine a
hambre de l'hypnotisé. Celui-ci se lève immédiatement, se réveille en
crise
, court dans la chambre de sa mère, en criant : «
n frère, se jette sur lui pour lui faire du mal. Quand j'arrive, la
crise
dure depuis 3 ou 4 heures. C'est la plus forte de
jamais, il l'a crue en détresse, attaquée par des voleurs ; de là, sa
crise
. Il ne se rappelle pas ce qu'il a fait pendant la
s ; de là, sa crise. Il ne se rappelle pas ce qu'il a fait pendant la
crise
. Après l'avoir tranquillisé et lui avoir promis
rront s'hypnotiser eux-mêmes. Le malade avait passé trois mois sans
crise
, et, depuis cet accident, quatre mois se sont éco
dant, il sentait pendant le jour, les symptômes avant-coureurs de ses
crises
(pâleur, vue troublée, marche incertaine), mais a
il commençait à fermer les yeux, quand il sentit les approches de la
crise
l'envahir. Comme d'habitude, il jeta le cri initi
s celles dont on parle. Je n'osais pas sortir seul, car. bien que mes
crises
n'éclatassent que la nuitt j'avais, dans le jour,
'ai reconnu par expérience qu'un repas trop copieux était suivi.d'une
crise
. C'est sans doute ce qui a fait attribuer ma mala
tion dans le plaisir conjugal et un régime plus sévère. Les grandes
crises
nocturnes disparurent presque immédiatement et fu
s automatiques pour avaler. C'était tout ce qui restait des anciennes
crises
. Bientôt les derniers vestiges d'ua mal si ancien
effet, sans éprouver d'aura proprement dite, sent dès son enfance ses
crises
le menacer; il pâlit, se sent mal à l'aise; la cr
r, n'étant pas chez lui, et il a réusside cette manière à atténuer sa
crise
et à la modérer! Il n'est pas de médecin ayant
ui lui est particulièrement agréable. — J'ai vu un malade arrêter ses
crises
en frappant fortement son radius avec une lourde
té; chez un autre encore, le ramollissement, les raideurs, etc. Les
crises
d'hystérie et d'épilepsie s'expliquent fort bien
d'un exemple, un rappel de souvenirs peut suffire à faire éclater une
crise
d'hystérie, d'épilepsie, de manie ou de folie, un
nce de souvenir au réveil dans la plupart de ces cas, comme après les
crises
d'épilepsie et souvent aussi d'hystérie ; c'est c
cination fut suivie d'une période d'agitation qui bientôt dégénéra en
crise
hystérique franche. Mais pendant tout ce temps j'
is la malade à mon influence et j'étais désormais maître absolu de sa
crise
. Je fis donc cesser la crise en quelques minutes,
et j'étais désormais maître absolu de sa crise. Je fis donc cesser la
crise
en quelques minutes, mais en agissant néanmoins a
é des hallucinations, puis, m'adressant à l'élément spasmodique de la
crise
, je fis entrer ma malade dans le calme ; enfin, c
ie de suggestion verbale, je suggérai à la malade de ne plus avoir de
crise
convulsive de ce genre dans l'avenir et de ne plu
dans les trois séances suivantes, il ne se produisit bien entendu ni
crise
convulsive ni hallucination, pas plus du reste da
ramène à la maison, où il le semonce vertement. Le jeune homme a une
crise
de pleurs, demande pardon et promet de ne plus re
iraud » et qu'elle ne doit pas le craindre, ni le voir. Pendant ses
crises
, en effet, elle se cache sous les lits, ou bien e
ide émanant de lui, avait 'subi tant d'expériences violentes, que des
crises
d'hystérie n'ont pas tardé à se manifester. Tout
à se manifester. Tout ce qui lui rappelait l'hypnotisme la mettait en
crise
. EJle souffrait déjà de cet état malheureux depui
ut attribuer non seulement les écarts de sa vie passée, mais aussi sa
crise
d'obsession passionnelle qui pouvait se terminer
édicales affectées à des enfants épileptiques et idiots atteints de
crises
fréquentes et qu'il importe que les agents de s
enfants arriérés et chez les jeunes sujets présetttant,avec ou sans
crises
ipilepti formes, des trou- bles moteurs ou psyc
tes attaques de ramollissement (de 79 à 82 ans). -Tante maternelle
crises
nerveuses. Tante maternelle morte phtisique. Ta
ante maternelle rhumatisante. - Cousin germain maternel sujet à des
crises
nerveuses. Pas de consanguinité. Inégalité d'âg
on vive au 5e mois de la grossesse. Premières convulsions à 3 mois;
crises
fréquentes jusqu'à un an. Rougeole et influenza
and-père paternel, migraineux. Grand'mère paternelle, rhumatisante,
crises
de nerfs. Arrière-grand-père paternel; m01't d'
ngite. - Deux soeurs ont eu de petites convulsions et une autre des
crises
épileptiformes. Chagrins durant la grossesse. N
affaiblissement de la vue; puis paralysie et cccttë, com- plètes;
crises
c01wt([sil)e. probables ('1). - 1lllaj7 ? z7.cs.;
des enfants arriérés, et des jeunes sujets présentant, avec ou sans
crises
épileptiformes, des trouilles moteurs ou psychi
nvulsions, ni d'attaques de nerfs, ni de chorée. On n'a constaté ni
crises
épileptiformes, ni vertiges, ni secousses. Il a
ningite. - Deux soeurs ont eu de petites convulsions, une autre des
crises
épilepti formes. Chagrins durant la grossesse.
né rosacea au visage. A 28 ans, à la suite d'une violente colère,
crises
cardiaques angineuses (palpitations avec dypsnée,
ée, pâleur, menaces de mort). Fumait un peu autrefois, depuis ces
crises
, il ne fume plus. Pas de traumatisme sérieux. C
re calme. Mère, 58 ans, sujette aux névralgies, nerveuse, mais sans
crises
. Grand-père paternel, mort à 47 ans du choléra.
- 4° Fille morte à 17 mois de fièvre typhoïde ; à partir de 9 mois,
crises
épileptifor- mes tous les 10 jours (cri initial
t, l'appui de cette hérédité, la méningite, les convulsions, et des
crises
épileptiformes. II. En ce qui concerne les an
nts fréquents avec perte de connaissance durant 10 à 15 minutes; la
crise
entière durait une heure et se terminait par de
crise entière durait une heure et se terminait par des pleurs. Les
crises
sont revenues tous les jours du cinquième mois
5 à 6 ans, convulsions toutes les six semaines. A partir de 6 ans,
crises
tous les mois; elles duraient de 15 minutes à 2
or- tes à gauche, dans l'autre à droite. Une fois, a la fin d'une
crise
, il râlait ; ou croyait qu'il allait mourir (8 an
rive d'avoir une évacuation des urines et des selles à la fin des
crises
.-Celles-ci sont diurnes et surtout nocturnes. On
tous les mois. A 8 mois convulsions pendant 10 heures. Vers 6 ans,
crises
convulsives fréquentes. - Prédomi- nance des co
is, a parlé et été propre de très bonne heure ( ? ). A 7 ans, les
crises
jusque là très fréquentes et violentes, sont deve
avec ses pieds. Il est très long à reprendre connaissance après ses
crises
. Il prétend toujours que le bon Dieu habite dan
scrofuleuse. C'est à 10 ans qu'a débuté l'épilepsie par de petites
crises
2 ou 3 fois par jour; ensuite il restait quelqu
ans ces derniers temps, il lui arrivait d'uriner sous lui clans ses
crises
. Dans l'une d'elles, il serait « tombé d'un sec
s bien différents des nôtres : « Chez les épileptiques, dit-il, les
crises
ont été modifiées dans leur fur- me et leur nom
clinée sur son oreiller. Un matin, on le trouva mort, victime d'une
crise
qui avait pour ainsi dire, collé son visage au
dans sa bouche des petits cailloux arrondis. Ayant été pris d'une
crise
, alors qu'il avait un caillou dans la bouche, c
ricot pour faire cesser une sécheresse incommode, quand survint une
crise
durant laquelle le noyau pénétra dans les voies
ement et à la naissance. Convulsions 8 heu- res après la naissance.
Crises
fréquentes à partir de ce moment. Rougeole et c
nts observés chez l'enfant peuvent se résumer ainsi : de 6 à 8 mois
crises
syncopales ; à 8 mois convulsions intermittente
t ne se rendait plus compte de ce qu'il faisait. Souvent, après ses
crises
, on avait remar- qué qu'il devenait plus irrita
berculeuse. Tante maternelle, tuberculeuse. Autre tante maternelle,
crises
de nerfs et paraplégie passa- gère. - Autre tan
rte tuberculeuse à 30 ans; une autre qui avait eu, étant jeune, des
crises
de nerfs, mourut à 25 ans il la suite de mauvai
urait des attaques convulsives avec aura ; un médecin témoin de ces
crises
a prétendu que ce n'était . pas de l'épilepsie.
nd de vin, est sujette à de fréquentes épistaxis et à de nombreuses
crises
de migraines, elle est nerveuse, irascible, mai
atteint d'accès épi- leptiformes dès le jeune âge et, à 13 ans, ces
crises
se renouvelant fréquemment, la famille de sa no
ares et le séjour à l'asile avait diminué notablement le nombre des
crises
. (Voir le tableau.) Sa mort paraît avoir été dé
I Hydrocéphalie; antécédents. 227. face et les yeux survenant par
crises
et durant de 4 à 5 jours. Migraines datant de l
ob... ne commença à grossir que vers le cinquième mois, après une
crise
convulsive interne. Il est à remarquer que ce f
ascarides dans ses selles ; c'est à eux que furent attribuées- ses
crises
convulsives. 7<at actuel (H mars 1889). Tête
889. 16 mars. Revill... a eu, durant la nuit dernière, une sorte de
crise
épileptiforme. Après quelques mouvements convul
tournaient simplement, sa physionomie ne se modifiait pas, mais ses
crises
convul- sives s'accompagnaient de miction et de
cer quelques mots, et être sujet dans certains cas déterminés à des
crises
de rires. Ces faits nous font persévérer dans l
dents ; cette der- nière habitude a disparu depuis un an. Il a des
crises
de colère violentes, déterminées par la moindre
excès. Grand'mère et oncle paternels, eczémateux. Cousine germaine,
crises
de colère. - Mère un peu nerveuse, céphalalgies
et bien développés; une fille du frère aîné a cependant parfois des
crises
de colère, elle est âgée de 7 ans, mais ni elle
règles et n'ont pas le caractère migraineux. Elle n'a jamais eu de
crises
convulsives. Étant jeune elle était sujette à la
ions durant seulement quelques minutes. Moq ? depuis, aurait eu des
crises
convul- sives régulièrement tous les quinze jou
son strabisme. Trois ou quatre mois plus tard survint une nouvelle
crise
, il resta deux heures sans connaissance, puis r
d, affaiblissement de la vue ; puis paralysie et cécité complètes ;
crises
convulsives probables( ? ). -Nystagmus; strabis
lume de la tête coïn- cide, chez le jeune enfant, avec une série de
crises
convulsives plus ou moins intenses et ne présen
ne présentant aucun caractère permettant de les différencier des
crises
éclamptiques des enfants en bas-âge. Ces cri- s
avant cle la maladie. Lorsque l'augmentation du liquide cesse, les
crises
disparais- sent ordinairement. Elles persistent
teint cl'épi- lepsie symplomalùpie. On pourrait rapprocher de ces
crises
les poussées congestives, et les accès de colère
Louis d'une affection de la langue. Mère, nerveuse, coléreuse, sans
crises
d'aucune sorte, sujette à des douleurs de tète
te, a eu à diverses reprises jusqu'à l'âge de 18 mois de nombreuses
crises
convulsives. Fièvre typhoïde à 10 ans avec déli
e-là bien portant et normal, est pris d'accidents méningitiques, de
crises
convulsives. Parfois, ces acci- dents éclatent
sont étonnés de ne pouvoir plus mettre aux enfants leur bonnet. Les
crises
convulsives, le plus souvent, disparaissent et,
paternel tuberculeux. Deux tantes paternelles tuberculeuses. Mère :
crises
nerveuses, paralysie postclipl2tcr·itique, émot
rès son mariage une angine couenneuse durant laquelle elle eut deux
crises
de nerfs et une paralysie complète, l'empêchant
physiologique de la Sorbonne, p. 19. III. — COURS ET CONFÉRENCES. —
Crises
hystériques men- suelles, par M. le Professeur
e, ex-Interne de la Salpétrlère Une cuillerée à soupe au moment des
crises
Envol gratuit d'échantillons a MV. les docteurs
ues et religieuses a son germe dans le rêve. COURS ET CONFÉRENCES
Crises
hystériques mensuelles, {') par m. le Professeu
qui, chaque mois, présente, durant une huitaine de jours, de grandes
crises
pendant lesquelles elle pvrd entièrement connaiss
'est même à une violente émotion qu'elle attribue l'apparition de ses
crises
. En réalité, l'émotion est survenue au moment de
ond lieu, au cours de son délire somnambulique, elle dessine tout une
crise
de grande hystérie, avec arcs de cercle, attitude
t, une écume rougeâtre sort de ses lèvres. C'est, en apparence, une
crise
comitiale parfaite. En réalité, il n'y a pas mors
nomènes qui précèdent, accompagnent et suivent cette partie de la
crise
, on pourrait se croire en présence d'une attaque
soumis. » Tout en questionnant, j'appris que l'enfant soufTrait de
crises
nerveuses depuis quelques semaines, qu'il avait é
hoses fréquentes, il n'y a pas lieu de s'étonner d'assister à des
crises
très sérieuses et parfois effrayantes. C'était le
le les stigmates hystériques. Ces signes qui existent en dehors des
crises
, a l'abri de la suggestion, de la simulation, con
, une immoti) Leçon faite A la Pitié. plégie, une paraplégie, une
crise
hystérique. On pensait autrefois que l'hytérie ét
s aujourd'hui et il y a plus de deux mois que la malade n'a pas eu de
crises
spontanées. « 7 avril 1887. — Nous trouvons M.
se trépidation spinale persistèrent jusqu'au réveil. Mais les grandes
crises
convulsives disparurent à partir des premiers moi
l'apparilion de la toux, la malade est prise brusquement d'une grande
crise
d'hystérie semblable à celle du début- de son éta
, nie Oberkampf. — Phix du flacox ; S francs. pathologique. Cette
crise
parait s'éteindre au bout de quelques minutes mai
racturée. Le samedi 33 mai, la situation demeure slationnaire, sans
crises
nouvelles. Le dimanche 21 mai, vers sept heures
nouvelles. Le dimanche 21 mai, vers sept heures du matin, nouvelle
crise
très violente, reproduisant la grande atlaque et
t durant près de quatre heures, sans interruption. A l'issue de celte
crise
, la mâchoire cesse d'être contracturée, mais la m
querait la perte du souvenir des événements ayant précédé la première
crise
convulsive et l'oubli complet, sous l'influence d
la première crise convulsive et l'oubli complet, sous l'influence des
crises
finales, de ce qui avait pu l'impressionner au co
isant à tout le corps, début immédiatement après une série de grandes
crises
d'hystérie et terminaison suivant de près la repr
s crises d'hystérie et terminaison suivant de près la reproduction de
crises
semblables; tous ces symptômes sont classiques et
plusieurs années son sommeil et principalement de ceux approchant la
crise
initiale ; 3e La perte absolue du souvenir de c
e terminaison est généralement consécutive à une ou plusieurs grandes
crises
d'hystérie. On peut admettre que chez la malade
citation suffisante pour déterminer à un moment donné l'explosion des
crises
finales. La première manifestation de l'intoxic
é que cette petite opération avait pour résultat, soit d'atténuer les
crises
nerveuses, soit même de les faire disparaître.
; la mère, nerveuse, irritable, a eu, dès sa plus tendre enfance, des
crises
de colère suivies de suffocation. Jusqu'à l'appro
our l'aulo-suggestion. Nous passerons rapidement sur la contagion des
crises
hystériques ou des possessions démoniaques. Les m
couverture de son Ht. Tous ces phénomènes répondent à des ébauches de
crises
hystériques, lesquelles coïncident avec la restau
lure que ces attaques ne sont point comme certains l'avaient cru, des
crises
d'épilepsic consécutives au traumatisme survenu e
s, que la suggestion puisse agir efficacement sur un malade en pleine
crise
, a moins qu'il ne soit doué d'une suggestibilité
r à l'Ecole de psychologie, p. 152. III. — COURS ET CONFÉRENCES, i-
Crises
classiques de grande hystérie et tremblement hy
mens. Mais après quelques consignations, il lui arriva d'éprouver une
crise
d'angoisse au moment designerle registred'incripl
ien précis. Sa mère est une nerveuse, et sa sœur autrefois a eu des
crises
hysté-riformes, mais se porte bien aujourd'hui. Q
dégénéré cérébral. coin; ET CONFÉRENCES COURS ET CONFÉRENCES
Crises
classiques de grande hystérie et tremblement hyst
epris sa parole ; elle en éprouve un choc mental qui amène de grandes
crises
hystériques. Elle est entrée ici, il y a quatre j
hystériques. Elle est entrée ici, il y a quatre jours; elle a eu six
crises
dans la journée d'hier et quatre dans la dernière
sion ovarienne provoque des efforts de vomissements et une ébauche de
crise
. La zone ovarienne est à la fois excitatrice et f
La zone ovarienne est à la fois excitatrice et frénatrice. La grande
crise
est précédée d'une aura à point de départ stomaca
emarquer qu'elle présente spontanément le tableau conipletdela grande
crise
classique telle que Charcot l'a décrite. Cet ho
une forte peur. Chez la première, le traumatisme provoque de grandes
crises
, desaccès délirants, tous les symptômes, enfin, d
à une femme d'environ (renie ans, littéralement clouée nu lit par une
crise
de rhumatisme aigu. Bras et jambes étaient doulou
ue ou qu'une tourmente de neige survinssent, ma malade était prise de
crises
intolérables. C'était du resle pendant un hiver a
u'elle va au théâtre. A la suite de ce spectacle, elle tombe dans une
crise
hystérique, avec délire et hallucinations. Elle s
mère nerveuse, tante maternelle également nerveuse, mais sans aucune
crise
. Antécédents personnels : santé physique faible
t, le soir, une pilule de cinq centigrammes d'extrait thébaïque. La
crise
continue malgré ce traitement; la malade arrache
on, on la fait tous les trois jours. Elle reste jusqu'au 1er mai sans
crise
et sort de l'hôpital tout à fait guérie. Elle r
pour se faire voir, elle est calme, travaille bien, et n'a plus eu de
crise
. Elle se plaint seulement de ne pas être réglée r
se, ex-Interne de la Salpétrière Une cuillerée à soupe au montent des
crises
Envoi gratuit d'échantillon» à MM. les docteurs L
i en avait pris : le malaise, s'accentuant, avait amené une véritable
crise
de larmes, à laquelle il n'avait pu mettre fin qu
se, «-Interne de la Salpétrière Une cuillerée à soupe au moment des
crises
Envol gratuit d'échantillons a MM. lot docUurs
se, ei-lnterne de la SalpétHere Une cuillerée à soupe au moment des
crises
HotoI Rraïutt d'ecoantllloni a MM. le* docteur»
es insectes; deux de ses filles sont des abouliques. Sa mère a eu des
crises
probablement hystériques. Une de ses sœurs, dans
elle est prise de rage, de désespoir, pousse des cris et présente une
crise
nerveuse. Ne vous y trompez pas, il ne s'agit poi
crise nerveuse. Ne vous y trompez pas, il ne s'agit point du tout de
crise
hystérique. Elle souffre de ces pensées parasites
chez ceux qui tuent; cilene se traduit pas toujours sous la forme de
crises
maladives, mais elle se révèle dans la conduite p
, ex-Interne de la Salpè trière Une cuillerée à soupe au moment des
crises
Envol gratuit d'échantillons à Mal. les docteun
e reposer. Sa sœur rapporle que l'année précédente, elle avait eu une
crise
analogue, dans le cours de laquelle elle était re
, il verse dans la mélancolie, ne dort plus, ne mange plus ; il a des
crises
de désespoir et assaille sa famille de lettres ép
en septembre 1904, a la suite d'une contrariété, elle a eu une grande
crise
de nerfs; les mois suivants, les crises sont deve
trariété, elle a eu une grande crise de nerfs; les mois suivants, les
crises
sont devenues nombreuses et intenses ; actuelleme
de tout ; les moindres choses lui sont prétextes à tourments et &
crises
, lesquelles simulent l'hystérie, mais ne sont que
s ; réglée très régulièrement bien qu'à chaque époque cite ait eu des
crises
d'excitation avec manie de destruction. Elle a eu
es excès, il s'y abandonne de plus en plus, et voilà le tableau de la
crise
d'ivrognerie. Ainsi se passe une semaine, puis de
semaine, puis deux et même davantage. Il arrive quelquefois que cette
crise
dure trois mois. Pendant toute cette période, le
ception sous ce rapport. C'est ainsi qu'arrive la fin naturelle de la
crise
alcoolique. Le malade souffre cruellement de la s
n arrive même au delirium tremens. Cependant, la plupart du temps, la
crise
, dans son développement, n'aboutit pas au deliriu
dire de tous les malades, il endure de terribles souffrances quand la
crise
touche à sa fin. Dans cette période, le vin, que
l broie du noir. Tout cela va en progressant et aboutit à la nouvelle
crise
alcoolique pour le malade, qui espère trouver dan
. Le lendemain 11 renouvelle la chose et voilà un autre tableau de la
crise
alcoolique à laquelle aboutit quelquefois l'alcoo
périodiques. Par opposition au sujet que nous venons d'examiner, la
crise
alcoolique peut atteindre les gens normaux, que d
éfavorables ont réduits au désespoir. Tous ceux qui ont débuté par la
crise
alcoolique citent, comme facteur étiologique, un
uffisantes. Si nous analysons les cas de développement spontané de la
crise
, nous verrons qu'ils ont cette origine commune qu
force à retourner à l'alcool, etc.; ainsi se développe de nouveau la
crise
alcoolique ou alcoolisme périodique. On peut ci
se de faire observer que j'ai nullement en vue les sujets chez qui la
crise
alcoolique est un des symptômes de l'affection me
psychiques. I. MmeX..., 32 ans, de Paris. Hystérie fruste; a eu des
crises
autrefois; malheureuse en ménage; très émaciée; o
chique. II. Mlle Y..., 20 ans, de Marseille. A eu, à Marseille, des
crises
qu'elle décrit comme des crises hystériques. Lors
de Marseille. A eu, à Marseille, des crises qu'elle décrit comme des
crises
hystériques. Lors de sa venue chez moi, elle a de
es syncopes et que la famille redoutait la mort de la malade dans une
crise
. Revue à la ûn de mal, six mois après la fin du t
à manifester les premiers symptômes de l'hystérie convulsive par des
crises
plus ou moins espacées, qui, peu à peu, s'accentu
ance, ne se souvenant nullement de tout ce qui s'est passé pendant sa
crise
. Tantôt c'est une défaillance subconsciente ave
donc chercher; et, comme j'arrive un peu tard,je la trouve en pleine
crise
convulsive, à laquelle j'assiste jusqu'à la fin.
es zones hystéro-fré natrice s), je parviens à abréger la durée de la
crise
. La période terminale, celle des hallucinations,
généralisent au point qu'à chaque séance la malade ébauche une vraie
crise
d'hystérie. Vers le milieu de mars 1904, Marie-Lo
e crise d'hystérie. Vers le milieu de mars 1904, Marie-Louise eut une
crise
convulsive beaucoup plus intense et plus longue q
ui m'est arrivé récemment a l'hôpital Dcsgcncttcs en observation pour
crises
de sommeil. Ce jeune soldat est pris à diverses r
pathologiques. Il est lui-même un peu nerveux, mais n'a jamais eu ni
crises
con-vulsives, ni rien qui rappelle l'épilepsie ou
il battait de 40 à 50 a la minute et n'a jamais paru modifié par les
crises
du sommeil. Cette affection peut avoir des cons
Cours pratique d'Hypnotisme et de Psychothérapie, p. 288, 320, 352.
Crises
hystériques mensuelles, par Raymond, p. 26. Cri
288, 320, 352. Crises hystériques mensuelles, par Raymond, p. 26.
Crises
classiques de grande hystérie, par Raymond, p. 15
pseudo-ovarien, etc., etc.). Le malade n'a d'ailleurs jamais eu de
crises
de nerfs. Il n'y a en aucun point du corps de t
âne et du cou » ; voici la description qu'il en donne : Ce sont des
crises
de douleurs à début subit. Tout à coup il éprouve
mais il n'a eu ni nausées, ni vomissements, ni vertiges pendant ces
crises
douloureuses qui cessent subitement comme elles
de leur première apparition, c'est-u'dire depuis l'année 1875, ces
crises
névralgiques ont toujours persisté; il en est d
du côté droit, douleurs dans la région dorsale et l'épaule droite,
crises
névralgiques accom- pagnées de diplopie, troubl
n de perte de la connaissance, le sujet s'aperçoit, au sortir de la
crise
, eh se levant par exemple, qu'il tremble de tou
i fut trouvée d'ailleurs à son degré normal. Après une ou plusieurs
crises
semblables, le tremblement peut s'établir à demeu
ns observé à cet égard. Si le malade a une attaque, au sortir de la
crise
, le tremblement atteint son maximum d'intensité
ettait à trembler violemment des quatre membres. Lors des premières
crises
, le tremblement ne dura que quelques jours, et
tremblement, que ce symptôme s'établit, à la suite de la' dernière
crise
, d'une façon définitive et devint véritablement
eille au soir, à la suite d'une vive contrariété, elle avait eu une
crise
de larmes; son sommeil avait été entrecoupé par
oral ne semblait avoir de prise sur elle. Pendant t le délire d'une
crise
d'hystérie je l'entends dire : « On ne me guéri
. Le sieur T... était l'amant de la demoiselle G..., hysté- rique à
crises
convulsives à forme léthargique ou de sommeil. La
u trois jours après une peur, il eut pen- dant le repas sa première
crise
qui parait avoir été une crise verti- gineuse ;
l eut pen- dant le repas sa première crise qui parait avoir été une
crise
verti- gineuse ; il serait restéimmobile, la bo
he ouverte pendant une minute environ. A partir de cette époque les
crises
se seraient répétées très souvent et sont deven
s. Pendant les premiers temps de son séjour il n'avait guère qu'une
crise
tous les deux jours, elles se sont éloignées de
sans résultat, peut-être en raison de l'insuffisance des doses. Les
crises
paraissent avoir diminué de moitié sous l'influen
intes de feu sont toujours continuées. A dater de cette époque, les
crises
convulsives et vertigineuses sont devenues beauco
contre le feu qui ne va pas, interpelle le mécanicien..., etc. Les
crises
sont assez fréquentes, elles se succèdent en séri
ant quelques heures, puis reparaissaient comme de plus belle. Cette
crise
dura près de dix jours et, pendant tout ce temps-
te et s'était enfui. A cette occa- sion, il fut pris d'une nouvelle
crise
de tremblement précédée d'une aura carac- téris
apprenant une nouvelle perte d'argent, il fut pris de rechef d'une
crise
de tremblement précédée de l'aura hystérique se
es premiers jours de sa présence la Salpètrière, on a ^remarqué des
crises
un peu spéciales, revenant irrégulièrement à deux
minutes, au moment où elle se réveille.. Depuis quelques jours les
crises
sont plus complètes et se rapt prochent davanta
taque se termine habituellement par un sommeil analogue à celui des
crises
précédentes. D'autres fois, les bâillements repré
cédentes. D'autres fois, les bâillements représentent de véritables
crises
précédées des phénomènes d'aura que nous venons
édées des phénomènes d'aura que nous venons d'indiquer. Pendant ces
crises
, on observe presque toujours un mélange de quel
enue normale. Les quintes de toux ont disparu depuis longtemps. Les
crises
convulsives sont aussi devenues très rares, mais
our des troubles utérins (octobre 1888). La mère de la malade a des
crises
d'hystérie. A partir du moment où elle a commen
elleeut unebronclitc et, depuis celte époque, elle futsujefte à des
crises
nerveuses précédées d'étourdissements et accompag
aient agités de mouvements convulsifs d'une. certaine violence. Les
crises
revenaient périodiquement deux ou trois fois pa
hérapique. Elle sort de- l'hôpital en juillet de la même année; les
crises
nerveuses n'étaient .point guéries. Elles persi
à l'endormir; mais, à la suite de cette séance, elle eut une grande
crise
de nerfs pendant laquelle se manifestèrent pour l
sous l'influence de la moindre contrariété. Elle ressent, avant ces
crises
, au niveau de l'estomac, une sensation de boule
esl, dit-elle, obnubilé certains jours ' lorsqu'elle doit avoir sa
crise
nul. - L'ouïe est normale. 1 ; NOUVELLE ICONOGR
nts comme pour les autres mani- festations hystériques, qu'il y ait
crise
pour que les modifications se produisent. Nous
peut les arrêter. Ils sont précédés d'une aura qui l'avertit que la
crise
va la prendre. Elle sent sa poitrine se serre
une demi-heure et plus. En même temps, elle est très altérée. Ces
crises
la prennent régulièrement deux à trois fois par s
ndant ces CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES. 113
crises
; on n'a pas pu avoir de détails sur ces pertes d
in dans un trou, etc. Il a été impossible d'assister à une de ses
crises
de bâillement. A l'examen, la malade se présent
sistance même. La malade de l'observation I, avant de présenter des
crises
véritables de bâillements, deuxième forme de cett
hysiologique d'ailleurs, d'une sensation de soulagement. IV Les
crises
de bâillements hystériques ne diffèrent pas, comm
accès, par les signes et symptômes constitutifs de l'aura. Avant la
crise
, ou même lorsque celle-ci va venir, la malade acc
, un quart d'heure, une demi-heure et plus suivant les cas. Puis la
crise
se termine, les bâillements cessent pour passer
at intermittent ou revenir ultérieurement sous forme d'une nouvelle
crise
. Il est bien rare que la crise de bâillements s
eurement sous forme d'une nouvelle crise. Il est bien rare que la
crise
de bâillements soit absolument pure de tout mél
é, -qu'un observa- teur attentif retrouve presque toujours dans les
crises
convulsives li- mitées, chorée rhythmée, toux,
de toniques, ne tardent pas à devenir cloniques. Enfin, lorsque la
crise
se termine, le regard devient fixe, la physiono
observés dans les intervalles des accès (Féré). ' Dans le cas de
crises
, on peut faire intervenir un élément d'appré- c
Sa mère est vive, se met facilement en colère; elle n'a jamais eu de
crises
nerveuses et jouit actuellement d'une bonne san
es douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs surve- nant par
crises
, huit à dix fois par jour ; chaque accès durait u
uffer, et devenait agité, anxieux. Jamais il n'est tombé pendant la
crise
, qui au bout de huit à dix minutes cessait comme
manifestèrent pas particulière- ment la nuit. Elles survenaient par
crises
durant sept à huit heures environ, quelquefois
ru), lesquels se terminèrent dès lors presque régulièrement par une
crise
de vomissements. L'état actuel de cette jeune f
ives, atroces parfois, à caractère térébrant. Elles surviennent par
crises
de durée variable et se répétent plusieurs fois
nous n'avons réussi qu'à faire crier le patient et à réveiller une
crise
douloureuse le long de son sciatique. La sciati
ion de la jambe droite sur la cuisse est incomplète et provoque une
crise
douloureuse si on veut la pratiquer de force. L
une garçon, c'est une jeune fille tombant à la renverse, en état de
crise
et soutenue par sa mère. Les cheveux dénoués, l
uvertes, nous devons reconnaître là, une bonne représentation de la
crise
hystérique. Le lecteur jugera lui-même par les re
n. Depuis cette époque, c'est-à-dire depuis huit ans, sans nouvelle
crise
aiguë, l'oedème du pied droit s'est progressive
Il se pourrait bien qu'il ne se fut agi dans les deux cas que d'une
crise
éléphantiasique douloureuse. Quoi qu'il en soit
définitif des pieds. Ainsi cet oedème éléphantiasique, après trois
crises
douloureuses séparées par des années d'accalmie
ment impossibles. Le ptosis est d'ailleurs très accentué. Jamais de
crises
d'élouffement, ni cardiaques. Pouls très fréquent
ant la crainte de se trouver mal, quoique n'ayant jamais présenté une
crise
quelconque, tandis qu'un épi-leptique craint rare
d'exacerbation et de mieux relatif; chez les femmes, les plus fortes
crises
coïncidaient avec la période. Il faudrait trop
ypnotiques étant survenus spontanément chez ces malades à la suite de
crises
d'hystérie, on ne saurait, a déclaré M. Babinski,
supposée, les spectateurs ont pu constater que le sujet a bien eu la
crise
de nerfs annoncée, mais seulement après avoir por
étaient, de ce fait, placés dans un état pathologique comparable à ta
crise
d'hystérie. Cette manière de voir me parait err
stérie ont toutes les allures des phénomènes d'auto-suggestion. Les
crises
hystériques, les hallucinations, les convulsions,
semblables sujets. Bien souvent, en présence d'un sujet en proie à la
crise
la plus violente, ayant de la contracture, de la
donné, jusqu'à ce jour, les résultats les plus favorables, sont : les
crises
, convulsions d'hystérie, les chorees anormales, l
et, dans ce dernier cas, il peut arriver que cette lutte provoque une
crise
, comme on l'observe souvent à la Salpétrièïc, che
umet aux exi»ériences hypnotiques. Névropathie caractérisée par des
crises
de pleurs, datant de dix ans; guérison. Par le
ater en sanglots, de telle sorte qu'on l'entend pleurer du dehors. La
crise
éclate sous le moindre prétexte : quand elle s'ha
tenir un sommeil profond ; malgré cela, au bout de quelques jours les
crises
sont devenues moins fortes et moins fréquentes, e
nc. — Oui ; j'ai fait à l'aide de la suggestion hypnotique cesser les
crises
cbez des épileptiques et la gaérison a été durabl
ombre des symptômes de l'épilepsie essentielle, et en particulier des
crises
convulsives n'est pas affirmée aujourd'hui pour l
a maladie et de combattre toutes les causes qui peuvent provoquer des
crises
. C'ost dans les conditions que je viens d'énumére
il a raison de combattre toutes les causes qui peuvent provoquer les
crises
, mais dans de telles conditions, après la suppres
les crises, mais dans de telles conditions, après la suppression des
crises
, suppression si souvent passagère, comment peut
firmer la guérison. Tous nous avons observé des cas dans lesquels les
crises
après avoir été très fréquentes cessaient. sans c
bromure. Cette dame était-elle guérie T Non, car au septième mois les
crises
reparurent. J'ai autrefois fait trépaner des ep
és par la suggestion, je n'ai vu survenir la disparition complète des
crises
que chez quatre d'entre eux. Chez plusieurs autre
ion n'avait amené qu'une diminution dans le nombre et l'intensité des
crises
. Les quatre malades que j'ai considérés comme gué
ses. Les quatre malades que j'ai considérés comme guéris étalent sans
crises
depuis plusieurs mois, quand j'ai rapporté leurs
obtenu par son usage que la disparition on la diminution notable des
crises
chex les sujets restant en puissance de la maladi
ouvent cette malade et depuis cette époque elle n'a plus lamais eu de
crises
. M. ballet — C'est évidemment là la seule solut
iante du procédé si célèbre de Boerhaarepour arrêter la contagion des
crises
dans sa clinique. Mais ce qui m'ouvrit définitive
adonné â l'intempérance et son état empirait rapidement. Il avait des
crises
où la passion tournait au paroxysme. Elles revena
ire, se plongeait dans une ivresse profonde. Dans l'intervalle de ces
crises
, il n'avait aucun penchant à la boisson. Je ne le
lui donnait librement des stimulants. C'est un vrai dipsomane, et des
crises
de désir ardent reviennent toutes les dix semaine
était impuissante k lutter contre 1 auto-suggestion; l'idée devenait
crise
. Cela se faisait pour ainsi dire seul, môme penda
.. née le 19 février 1869, est entrée à l'asile en mai 1888, pour des
crises
d'hysiéro-épilepsie, datant de sept mois, revenan
.., née le 26 janvier 1872,est entrée à l'asile en août 1887,pour des
crises
qu'on a rattachées à l'épilepsie et qui nous para
e étaient épileptiques. et celui-ci est mort à l'asile en 1890. Ses
crises
sont excessivement fréquentes. Du mois d'octobre
n •. (Bult. méd. de f Algérie, ? 90.) Colleville. — « Sur un cas de
crises
comitiaies ambulatoires •. (Union médicale du N
urs de lamorphinomanie comme on en rencontre dans l'alcoolisme. Les
crises
nocturnes des morphinomanes ne sont autre chose q
'il ne peut définir ; elle avait habitnelleraentdes maux de tête, des
crises
nerveuses: pendant la nuit, elle sautait dans son
remblement, contracture des mâchoires et impossibilité de parler; ces
crises
hystériformes, sans boule, ni strangulation, durè
llet, il fallut recourir à des injections de morphine pour calmer les
crises
les plus fortes; on ne dépassa jamais la dose d'u
, me dit-on, elle allait mourir. Elle avait tout simplement une belle
crise
d'hystérie avec tout son tableau symptomatique :
ance, etc. Celle femme, âgée de vingt-six ans, n'avait jamais eu de
crise
semblable. Mariée à vingt ans. elle eut un enfa
éprouvée la veille. U est possible que cette émotion ait provoqué la
crise
, mais la cause de l'affection nerveuse réside sur
p elle a connu la misère et les privations. Quoi qu'il en soit, Tes
crises
ont continué, augmentant de fréquence et de durée
pulvérisations d'élher, l'hydrothérapie, les bromures, etc. Quand la
crise
était terminée, la malade se plaignait d'une céci
us, sans cependant revenir complètement à son état normal. Pendant la
crise
, après la période bruyante et convulsive, elle en
fficuliésde son existence. Comme cette malade n'avaii presque plus de
crises
, j'étais resté un bon nombre de jours sans la voi
et j'ai eu la satisfaction de voir disparaître, non pas seulement les
crises
nerveuses, mais encore les idées de persécution e
mois que je n'ai pas pratiqué sur elle l'hypnotisme. Elle n'a plus de
crise
; elle a repris toute son intelligence et son ent
l'étal de somnambulisme hypnotique que je provoquais sans la moindre
crise
, ni avant ni après. Dans l'état de somnambulism
e j'ai eu l'occasion de me trouver auprès d'elle quand elle avait une
crise
, il m'aété toujours très facile d'arrêter la cris
and elle avait une crise, il m'aété toujours très facile d'arrêter la
crise
immédiatement et de mettre le malade en somnambul
nique; il se rapprocherait beaucoup plus, de l'hystérie : les petites
crises
qu'il a présentées, un tremblement vibratoire hab
e ne sais pourquoi, « le Biberon >. C'est un véritable aliéné avec
crises
déli- rantes. Il affecte, par moments, de se se
vais déjà eu l'occasion de la traiter par l'hypnose, d'abord pour des
crises
hystériques, ensuite pour une idée obsédante (ell
le siège d'autant de plaques dont la compression aurait provoqué une
crise
convulsive si on avait insisté. On déterminait tr
tion de l'état dermographique de la peau chez des alcooliques dont la
crise
aiguë était passée), mais aussi à l'influence évi
ayant été impuissants à les produire. Obs. II. — Hystérie grave. —
Crises
hystéro-épileptiques ; sensation de boule; grande
rge serrée et qu'elle allait étouffer; peu après, elle tomba dans une
crise
convulsive avec perte complète de connaissance. D
rise convulsive avec perte complète de connaissance. Depuis lors, les
crises
se sont renouvelées un très grand nombre de fois.
ui, d'ailleurs, en trois séances, a fait disparaître complètement les
crises
coovulsives et les hallucinations, mais n'n pas e
profonde. Marie S..., Agée de seize ans, a va survenir sa première
crise
en octobre 1891, à la suite d'une vive émotion. D
ertain nombre; elles reviennent toutes les trois semaines environ. La
crise
débute par un accès partant de l'estomac. Il lui
tout à coup elle grince des dents, se raidit et tombe par terre. Les
crises
durent longtemps, près de deux heures, pendant le
de connaissance et grands mouvements. Elle fut bientôt guérie de ces
crises
par l'emploi de la suggestion. Le 9 juin 1891, cl
loi de la suggestion. Le 9 juin 1891, clic a vu survenir une nouvelle
crise
en apprenant que son père venait de se casser la
le 22 septembre, se plaignant d'une gastralgie, mais n'ayant plus de
crises
. Je l'endors et cherche vainement à provoquer che
des décrites à U Salpétrière. Obs. V. — Hystérie infantile grave. —
Crises
convulsives à rage de dix ans. — Hémianesthésie.
re. A l'Age de dix ans, on a vu survenir, pendant plusieurs mois, des
crises
qui survenaient tous les deux jours, le malin. Da
s, des crises qui survenaient tous les deux jours, le malin. Dans ces
crises
, elle se déballait et perdait complètement connai
rie infantile. — Troubles du caractère. — Hallucinations de ta vue. —
Crises
convulsives. — Suggestibilité très grande et hypn
euf ans; grand-père maternel alcoolique; mère hystérique, atleinle de
crises
convulsives el de tremblements. — L'enfant est tr
Lorsque sa mère a des attaques, elle crio et tombe elle-même dans des
crises
, elle se raidit, grince des dents, a les yeux con
es à Genève, au xvn: siècle, par M. le D' Paul Ladaub. hir(I) Les
crises
de la démoniaque étaient si violentes qu'il falla
ion qui en est faite dans les procès-verbaux, qu'il s'agissait ici de
crises
nerveuses de grande hv»lérie, causées par un viol
ond Major, secrétaire général du Congrès de Rome. « Influence de la
crise
économique actuelle sur la délinquance. » — Rappo
odifiés d'une façon très favorable par l'emploi de la suggestion. Les
crises
très fréquentes de colère et tes tendances impuls
me particulière. Les phénomènes de ce genre qui surviennent après une
crise
disparaissent oureot après une nouvelle crise, et
i surviennent après une crise disparaissent oureot après une nouvelle
crise
, et l'on pourrait conclure à l'utilité d'en provo
a présence des pasteurs avait parfois pour effet la recrudescence des
crises
et des convulsions démoniaques. 11 en était de mê
ière grossesse, étant enceinte de deux mots, fut prise brusquement de
crises
nerveuses avec pleurs, agitations, sueurs, convul
entre, etc.... Elle reste anéantie, tes yeux hagards au réveil. Ces
crises
se répètent pendant toute la grossease, deux à tr
l'éclampsie pendant ou après l'accouchement; il n'y en eut pas. Ces
crises
, qui n'étaient pas de l'éclampsie, ont diminué ap
qui nécessita une ceinture spéciale pour la contention. Un jour de
crise
que je me trouvai là, en novembre 1890, j'essayai
s, répétées tous les deux ou trois jours, suppriment complètement les
crises
et les suggestions sont continuées de temps en te
de juin 1891, Ma» S... est de nouveau enceinte de trois mois, et les
crises
tendent à revenir; elles reviennent, mais moins I
qu'elle n'a cependant jamais eu d'attaque nerveuse bien caractérisée [
crises
hystériques ou autres). On me dit aussi que depui
notre maislresse. » Et là dessus les convulsions, les hurlements, les
crises
démoniaques, jusqu'à ce qu'on ait brûlé celte pai
re que celle-ci arrachait ce qu'on lut mettait autour du cou dans ses
crises
hystériques). /. Si elle fait pas prier Dieu à
au, déjà cité, pp. 5-13 cl suivantes. assaut' diaboliques certaines
crises
rioleutes de la nature, ot qu'on a exorcisé des s
on peut parfaitement exister, et de fait on en cite des cas, sans les
crises
qui l'accompagnent ordinairement. Rien ne nous au
veille [cas de), par Andrieu, 322. Névropathie caractérisée par des
crises
de pleurs, par David, de Sigean, 57. Névropathi
loches les expose, en effet, il voir augmenter le nombre de leurs
crises
nerveuses. Section III. - Assistance des enfant
d'un cancer au sein. Cousine, à un degré éloigné, arriérée. Mère,
crises
nerveuses de dix-neuf à vingt-six ans. Grand- p
a poitrine. - Tante maternelle, danse de Saint-Guy dans l'enfance ;
crises
hystériques. Pas de con- sanguinité. - Inégalit
dès qu'on suspend le traitement. Enfin nous n'avons pas observé les
crises
épileptiformes, la tachy- cardie proprement dit
ysie, l'autre d'un cancer du sein. - Petite-cousine arriérée. Mère,
crises
hystériques de 19 il 26 ans. - Grand-père mater
est devenue anémique, a eu des crampes d'estomac et a été prise de
crises
nerveuses occasionnées par les contrariétés due
oisson, puis s'emportait voulant battre sa femme et ses filles. Ces
crises
ont duré jus- qu'au mariage. D'abord quotidienn
hexie pachydermique. beaucoup et enfin rendait une urine claire. La
crise
était précédée d'une aura ovarienne aboutissant
issant à un étourdisse- ment. Depuis le mariage, elle n'a eu qu'une
crise
, quinze jours avant d'accoucher, il la suite d'
uite d'une discussion avec son frère. Depuis l'accouchement, pas de
crises
, pas de chorée, de migraines, de maladie de pea
plusieurs reprises. Elle est grande, forte, a de temps en temps des
crises
de nerfs qui reviennent toujours la nuit. Elle
nuit. Elle se mord la langue. (Ce n'est pas du tout le genre de mes
crises
, dit la mère). - Pas de suicide, d'aliénés, d'a
depuis que nous l'avons vue. - Sa tante maternelle n'aurait plus de
crises
depuis plusieurs mois et, dans le dernier semes
êt de dévelcppement ; PAR BOURNEVILLE et J. NOIR. SOMMAIRE.Père.,
crises
convulsives. - Grand-père pater- nel buveur.- G
u- lier. - Pas d'asphyxie à la naissance. - Allaitement au sein.-
Crises
convulsives à 2 ans. - Peurs à 3 ans. Hernie in
(chaud et froid ? ) ; à l'âge de 20 ans, il fut pris fréquemment de
crises
nerveuses, qui se répétèrent durant 6 ans- envi
t de crises nerveuses, qui se répétèrent durant 6 ans- environ. Les
crises
consistaient en chute bru-que sans cris avec mo
ifs des bras et jambes. Il se relevait seul, parait-il, une fois la
crise
passée mais avait les membres brisés et restait
e ces renseignements ne nous permet pas d'affirmer l'origine de ces
crises
épilep- 74 Antécédents HÉRÉDITAIRES. v tif'or
, il se met facilement en colère. - [Père, 70 ans, n'a jamais eu de
crises
analogues à celles de son fils. Il « boit sec »
festation nerveuse. Elle est vive, emportée môme mais n'a pas eu de
crises
de nerfs. Elle aurait toujours eu une conduite
e de l'enfant fut assez éprouvée ; la mère a constaté les premières
crises
conndsives à l'âge de deux ans seulement. Ces c
accidents du côté des membres. Aucun trouble n'accompa- gnait ces
crises
qui survenaient à des intervalles de 3 à 15 jou
du cerveau. 81 grand'mère aliénée et paralytique, père atteint de
crises
convulsives, probablement hystériques ou épi- l
es. Vers 7 heures du soir, le même jour, il fut pris d'une nouvelle
crise
, qui dura jusqu'à minuit, sous forme d'état de
dater de ce jour, D... eut quotidiennement, pendant trois mois, des
crises
convulsives qui duraient d'une demi-heure à une
enu colère, violent, brutal. Jusqu'à 15 ans c>, il n'eut plus de
crise
convulsive, mais sa paralysie ne se modifia pas
toujours gâteux, grossier. Il n'aime pas aller aux douches. Parfois
crises
de colère dans lesquelles il déchire ses habits
bout de plusieurs mois, d'un an, etc. Ici, pendant trois mois, les
crises
convulsives sont revenues quotidiennement, affe
l. Bien que, en général, il n'y ait pas non plus de folie après les
crises
, que l'intelligence se maintienne telle qu'elle
onze ans, convulsions et hémiplégie droite consécutive. - Nouvelle
crise
à il ans et 3 mois : hémiplégie droite et aphas
persisté six semaines. A 11 ans et 3 mois, elle a eu une nouvelle
crise
: elle a laissé tomber tout à coup sa tête dans
le elle mouvement sont revenus progressivement. A la suite de ces
crises
, le caractère était devenu triste et violent. P
les prenant alors une teinte cramoisie. En février 1895, nouvelle
crise
. Per... a été prise en mangeant. Mêmes caractèr
nent à droite et à gauche, en même temps que la face grimace. Cette
crise
dure trois quarts d'heure, et s'accompagne d'un
ion des instincts (kleptomanie, pyroma- nie, etc.). Une troisième
crise
en février 1895 n'a fait qu'accé- lérer la tend
tait souffrante, toussait, avait de la diarrhée. -De temps à autre,
crises
den- taires. - Desquamation abondante, prédomin
était déposé le cadavre. XVII. Alcoolisme : instabilité mentale,
crises
hystériformes, guérison; Par BOURNEVILLE et J
l'alcoolisme déterminent seulement des accès d'exci- tation, des
crises
hystériformes, une vive irritabilité du caractè
cès de colère, céphalalgies, vanité exagérée. - Excès de boisson. -
Crises
hystériformes fréquentes. - Description du mala
142-153. 220 Alcoolisme infantile. pédagogique. Disparition cles
crises
et de l'irritabilité nerveuse. - Amélioration p
des amygdales. Pas de dartres, ni de toux. Alcoolisme infantile :
crises
hystériformes. 221 L'enfant a été placé dès l'â
n père refuse, il se sauve et va en louer une. En février, première
crise
nerveuse : l'enfant était en train de déjeuner,
a pleuré abondamment en revenant à lui. Trois jours après, deuxième
crise
, même aspect, on venait de lui reprocher sa mau
pect, on venait de lui reprocher sa mauvaise tenue à table. Depuis,
crises
fréquentes, sans perles cle connaissance ; ce s
jamais de naïvetés et fait preuve souvent de Alcoolisme infantile :
crises
hystériformes. 223 beaucoup de logique dans ses
rades. Volonté active et énergique ; quand on veut la contrecarrer,
crises
de colère. - Aime la société. - Ten- dance iL l
ée à l'Institut médico- pédagogique, Camille C... a eu une violente
crise
de colère accompagnée de mouvements convulsifs.
de petits camarades plus jeunes que lui. A eu cependant une petite
crise
de colère le 1 7, parce qu'on ne voulait pas lu
ections d'une solu- tion de sublimé. Le mois de juin a été bon. Une
crise
de colère le li,, qui n'a pas duré cinq minutes
L'irritabilité croissante du caractère, les accès de colère et les
crises
nerveuses nous parais- sent devoir être rattach
, mort de tuberculose. Oncle maternel, ivrogne. - Cousine germaine,
crises
nerveuses. - Trois petits cou- sins, morts de c
rois mois, six semaines après l'accouchement. Elle n'a jamais eu de
crises
nerveuses. [Famille de la mère. Son père est mo
bien portant, l'autre, fille, âgée aujourd'hui de 30 ans, a eu des
crises
nerveuses de 3 à 15 ans; elle a eu quatre enfan
t force reste au traitement, mais c'est au moment où survient une
crise
, l'apparition des règles, qui a pu favoriser l'ac
ènes psychiques qui se sont peu à peu développés et ont abouti à la
crise
dont nous allons retracer les phases. Quand il
, convulsions fréquentes jusqu'à l'âge de trois ans ; à la puberté,
crises
de tétanie, lesquelles dis- paraissent jusqu'à
tte femme eut plusieurs grossesses, à chacune d'elles, elle eut des
crises
de tétanie. Ces crises étaient annoncées quelques
grossesses, à chacune d'elles, elle eut des crises de tétanie. Ces
crises
étaient annoncées quelques heures d'avance par
ment insensibles, ensuite les membres supérieurs, et dans certaines
crises
les membres inférieurs également, se raidissaie
peau insensible, auparavant, était au contraire hypéresthésiée. Ces
crises
se ressemblaient toutes , mais elles étaient pl
lis et le traumatisme, et qui se manifeste surtout par de grandes
crises
convulsives. Ce malade se présente à Saint-Louis
était saine et sauve, à cette nouvelle il enlra dans une violente
crise
d'agitation, criant, cherchant à se lever et dema
s neuf mois, développement du corps régulier. A trois mois première
crise
épi- leptiforme, attaques très fréquentes depui
très fréquentes depuis lors, jusqu'à 20 par jour; l'intervalle sans
crises
le plus long a été de dix-neuf jours. Aspect hé
ifestations paroxystiques de cette névrose; en d'autres termes, les
crises
gaslralgiques, entéralgiques, les coliques, etc.,
à des absences qui, depuis deux ans, éprouve une fois par mois des
crises
caractérisées par une douleur brusque que la mala
née par le choc et reste ensuite abasourdie quelques minutes. Les
crises
douloureuses ne laissent après elles aucun troubl
lissent régulièrement, sauf un peu de constipation. Les premières
crises
n'ont frappé la malade que par la douleur, mais
tanéité des douleurs ventrales, la coïn- cidence des vertiges et de
crises
convulsives prouvent bien la nature épileptique
signale la guérison d'un jeune hystéro-épileptique qui, atteint de
crises
convulsives formidables à son entrée, en a été
fulgurantes sont favorablement intluencées par les exercices. Les
crises
deviennent certainement plus rares et généralemen
ans le côté gauche de la poitrine. Observation III, atténuation des
crises
laryngées, qui devien- nent plus rares et moins
veillait son enfant malade pendant une dizaine de nuits) une forte
crise
de douleurs fulgurantes dans les jambes éclata. L
en temps des douleurs fulgurantes aux pieds et dans les jambes. La
crise
dure parfois plusieurs jours et empêche le mala
cernent, l'une, un oedème angio-neurotique de la main; l'autre, des
crises
de frissons et d'horripilations, avec dermograp
vée dès l'âge de quatre ans aux Enfants-Assistés, prétend avoir des
crises
nerveuses depuis l'âge de dix ans. Elle entre e
ite d'une chute, l'état ner- veux devient plus accentué encore, les
crises
recommencent. En novembre 1895 la malade réappa
895 la malade réapparaît à la Salpêtrière, chez M. Ray- mond où les
crises
se chiffrent par 3 environ par semaine, et, le
vieille habituée des hôpitaux, attirer l'attention sur elle par des
crises
de grande hystérie, avec contorsions, grands mo
ns, puis phase de somnambulisme, avec hallucinations visuelles. Les
crises
se répètent à des inter- valles irréguliers, ma
idérable que la tempé- rature extérieure est plus basse. Lors de la
crise
d'oedème à la main droite, il y a eu d'abord ab
ans, est scrofuleux. Antécédents personnels. Aurait eu une première
crise
déli- rante dès l'âge de sept ans ; ces crises
urait eu une première crise déli- rante dès l'âge de sept ans ; ces
crises
seraient devenues de plus en plus fiéquentes, d
nsféré à Ville- Evrard, il en sort le 25 mars 1894, n'ayant plus dé
crises
depuis six mois. Ebauche d'attaque le 25 mai. A
sistance son transfert, prétextant c qu'il s'ennuie beaucoup ». Les
crises
qui auraient débuté à l'âge de sept ans, conséc
l'hypocondre gauche fait bondir le malade. Frissons. Ce sont les
crises
de frissons qui frappent surtout. Brusquement s
nt indemnes. Inutile aussi de dire que l'apyrexie est complète. Ces
crises
de frissons peuvent se répéter à intervalles très
L... prétend ne pouvoir man- ger de poisson, sans que survienne une
crise
d'urticaire qui peut durer huit jours. Hyperh
ide, gluante, également des deux côtés. Elles sont sujettes à des
crises
paroxystiques de sueurs, égale- ment bilatérale
froid aux mains, et c'est alors qu'il y aurait transpi- ration. Ces
crises
ne coïncident pas avec les frissons, elles arrive
vue et de l'ouie. Celles-ci se montraient habituellement après les
crises
épileptiformes et duraient pendant deux ou troi
t pendant deux ou trois jours; quelquefois elles rempla- çaient ces
crises
et paraissaient en être les équivalents sensoriel
attaques de nerfs; elle était âgée de vingt-deux ans et avait des
crises
hystériques depuis environ trois ans. Comme antéc
ère), une petite grosseur qui s'est développée peu à peu. Premières
crises
d'épilepsie à quinze ans, c'est-à-dire six ans
igence rudimentaire constituant l'imbécillité. Pendant long- temps,
crises
d'épilepsie violentes, avec impulsions dangereuse
ans, par suite d'accidents méningés hémorragiques consécutifs à des
crises
d'épilepsie subin- trantes. Autopsie. - Cuir
valents de la migraine. Lecture d'une observation dans laquelle des
crises
de névralgies alternaient avec la migraine et é
ès la puberté, généralement à l'occasion d'un incident fortuit. Les
crises
de rougeur, en dehors des circonstances adju- v
ble, ou d'un obstacle difficile à surmonter pour leur timidité. Les
crises
de 254 'SOCIÉTÉS SAVANTES. rougeur ont, à que
quels ont recours les malades pour empêcher ou pour dissimuler leur
crise
de rougeur. Leur moyen habituel, pour essayer d
int de tic et bégaiement spasmodique, sorte d'aura convulsive, avec
crises
d'exaltation, colères impulsives ; qu'il se liv
lité ; il est d'autre part sujet à des colères impul- sives ; a des
crises
d'exaltation et depuis quelque temps pour un mo
r chiffre a été fortement dépassé l'an dernier, et, étant donnée la
crise
finan- cière, qui tend à exagérer l'influence d
la première attaque ou d'autres ont-elles précédé ? 1 Décrire les
crises
précédentes ? Le développement a-t-il-été brusq
r gauche, ces douleurs sont irrégulièrement intermittentes et les
crises
durent huit à quinze jours. Autre douleur en cein
n aboutit le plus sou- vent à un paroxysme convulsif. Au moment des
crises
, il se produit des phénomènes vaso-moteurs loca
con- tinue la modère. Les émotions vives provoquent également les
crises
, les époques menstruelles aussi. Le sein alors gr
e, elle est permanente alors mais elle s'exagère encore pendant les
crises
. Il y a dans ces cas oedème du tissu cellulaire
jambes, douleurs survenant par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 297
crises
, cette femme devint, en cinq ou six jours, complè
rès l'une d'elles, on a quelque raison de croire qu'il y a entre la
crise
et la pelade une relation de cause à effet. Voi
sans aucune manifestation comitiale. Il eut ensuite quatre grandes
crises
en moins de vingt-quatre heures, à la suite des
ecourir à l'extirpation du ganglion de Gasser qui seule mit fin aux
crises
douloureuses. L'examen anatomique de l'organe r
ntaire d'urine, hyperthermie 38°,2). Il faut noter cependant que la
crise
avait été caractérisée par une crise de larmes. S
Il faut noter cependant que la crise avait été caractérisée par une
crise
de larmes. S'agissait-il d'hystérie ? L'hérédit
er se coucher. Venner est un malheureux épileptique qui a plusieurs
crises
par jour ; son état l'empêche de se livrer au t
Jules Diot, âgé de quarante ans, cantonnier, qui, au moment de ses
crises
, constituait un danger pour la sécurité publiqu
rs, à la démollition du vieux marché, il fut pris tout à coup d'une
crise
, et, saisissant un revolver dans sa poche, en t
mois. Lecot, qui passe pour s'adonner à la boisson, est sujet à des
crises
d'épilepsie. » - On aurait évité cette « double
. Pendant plusieurs années névralgies faciales qui reve- naient par
crises
et duraient jour et nuit. La malade n'a jamais
ent par crises et duraient jour et nuit. La malade n'a jamais eu de
crises
du nerfs. ' - Début de la maladie. - Quelques m
u'elle avait les yeux « tout de travers » comme une mourante. Cette
crise
de diplopie n'a duré qu'une minute, et ne s'est
e incoordination motrice absolue des membres inférieurs. Fréquentes
crises
gastriques et laryngées qui empêchent souvent l
leurs aux reins surtout du côté gauche. Ces douleurs revenaient par
crises
, duraient une journée et donnaient à la malade
irasse et de ceinture en plomb. Au mois de juin de l'année suivante
crise
gastrique violente avec vomissements qui a duré
é le lit. Il y a trois ans la malade a eu pour la première fois une
crise
laryngée des plus graves. Elle éprouvait une do
ait cyanosée, toux coqueluchoïde, inspiration bruyante. La première
crise
a duré vingt minutes ( ? ). Depuis un an et dem
première crise a duré vingt minutes ( ? ). Depuis un an et demi ces
crises
se répètent tous les trois mois et semblent êtr
e timbre. Voix d'enfant. Au mois de juillet de l'année dernière une
crise
violente laryngée était accompagnée de perte de
s forcés d'interrompre le traitement, tantôt les règles, tantôt des
crises
gastriques d'une violence extrême, une autre fo
leurs fréquentes presque continuelles, sans rémission nocturne. Ces
crises
durèrent pendant une semaine et rendaient la mala
nt au milieu de la nuit. Un peu de céphalée pendant ces périodes de
crises
. Le phénomène plantaire est très prononcé des d
ix ans le malade avait souvent des maux de reins qui revenaient par
crises
et duraient plusieurs jours. En 1889 diplopie p
ant tout" le temps qu'a duré le traitement, le malade n'a pas eu de
crise
de douleurs fulgurantes. Observation VU. Tabe
es douleurs fulgurantes dans la peau des cuisses et des fesses. Ces
crises
deviennent avec le temps fréquentes. A la même
ouche de trois mois. Il a trois enfants, dont l'aîné est atteint de
crises
nocturnes d'hystéro-épilepsie. Début de la mala
t il reste couché pendant six semaines. Pendant toute cette période
crises
de douleurs fulgu- rantes atroces à l'endroit d
eux, mère névro- pathe), est pris à l'âge de vingt ans et après une
crise
hystérique de l'envie soudaine de pratiquer l'o
it à l'auteur la forme la plus pure de l'équivalent psychique de la
crise
épileptique. Il y a, chronologiquement, cinq va
ractures; -embarras de la parole, accès fréquents d'excitation avec
crises
convulsives; évolution fatale rapide; antécédents
férieurs; ataxie faciale marquée avec trouble extrême de la parole;
crises
épilep- tiformes amenant un affaiblissement int
dépression qui durait plusieurs semaines parfois. En dehors de ces
crises
les malades présentaient quelques particularité
la vue des parents à la phase de convalescence produit parfois une
crise
salu- taire. Le point de vue religieux et l'int
de tête et se retira dans sa cellule, où il éprouva tout à coup une
crise
de la maladie que les médecins appellent épilep
oussa un profond soupir, et dans l'espace d'une heure, il eut trois
crises
horribles, pendant lesquelles des voix mystérie
La plus grande partie de la nuit fut calme et silencieuse; puis les
crises
recommencèrent. Je fis aussitôt éveiller toute
ce, et quoiqu'il n'eût pas les violentes agita- tions des premières
crises
, il se roidissait et écumait. Je fis venir la c
de terreur et de fatigue, et, la nuit suivante, il eut une nouvelle
crise
tout aussi épouvantable, pendant laquelle il fil
de temps en temps, surtout après des écarts de régime, sortes de
crises
de tremblement durant une demi-heure et plus. Ce
réciser : un seul renseignement négatif à noter, c'est l'absence de
crises
épilepliformes pouvant faire penser a une irrit
es attaques d'épilepsie convulsives et psychiques et qu il était en
crise
psychique lors de son dernier attentat. Quant a
tion morphinique, nous suspendons le médicament. Le lendemain de la
crise
délirante, la maladie entre dans une phase d ré
quand des cysticerques siègent au niveau du cervelet ; ce sont les
crises
d'accès épileptiforme, d'épilepsie jacksonienne
, d'une attaque épileptiforme, était depuis deux années sujet à des
crises
convulsives périodiques suivies, dans les dernier
ation jusqu'à la mort qui survient trois semaines après la dernière
crise
. L'autopsie fait constater la présence dans les
pileptique. Bien portantjusqu'en 1892, Aum... a eu à cette date une
crise
épileptiforme sans suite fâcheuse. En 1898 une
e une crise épileptiforme sans suite fâcheuse. En 1898 une nouvelle
crise
survint suivie de plusieurs autres constituées
lo- quacité, de l'insomnie. Le 30 novembre 1900 à la suite d'une
crise
épileptiforme analogue aux pré- cédentes, le dé
des hallucinations de la vue. Accès épileptifonnes. - La première
crise
épileptiforme s'est produite en 1892 ; la secon
uite en 1892 ; la seconde n'est survenue qu'en 1898 et dès lors les
crises
se suc- cédèrent toutes les trois ou quatre sem
été signalée par Griesinger, Leubuscher, Friedrich. Rapprochons des
crises
épilepti- formes les hallucinations de la vue e
. - Sans insister sur ces symptômes, rappelons qu'à la suite de ses
crises
, le malade présentait un délire hallucinatoire (s
diagnosticable d'unedéformation pathologique et spécialement d'une
crise
hystérique, cet artiste était hors de pair. Savoi
ette représentation. L'artiste n'a fait aucun effort pour rendre la
crise
démoniaque. Le possédé est à genoux devant le Chr
un peu au.hasard. - Peut-être s'agit-il d'un lépreux atteint d'une
crise
démoniaque. La contracture de la main droite ne
ous mon- trer la grande attaque de possession, - disons : la grande
crise
d'hysté- rie, - avec ses attitudes convulsées e
tal. C'était l'usage de ligotter les malheureux atteints de grandes
crises
hystériques ; on croyait ainsi « enchaîner le dém
. On peut admettre, avec Charcot et Paul Richer, qu'il s'agit d'une
crise
de léthargie guérie par le Saint Evêque. Il e
olisme des parents. Quelquefois on trouve une histoire familiale de
crises
nerveuses, de troubles mentaux, de paralysie, e
cadence byzantine, une tendance, toute conventionnelle, à rendre la
crise
démoniaque par une altitude, en somme rare, mai
e siècle avait été de chercher à rendre le symptôme essentiel de la
crise
, c'est-à-dire la convulsion, mais nous sommes loi
e, Nicolas Pisano savait faire des possédés où les caractères de la
crise
hystérique sont fort bien représentés (tombeau
Il est bien certain ici que si l'artiste a essayé de représenter une
crise
démoniaque vue par lui,il n'a pas su,dans les m
e vue par lui,il n'a pas su,dans les mouvements compliqués de cette
crise
, saisir le mouvement caractéristique, toujours id
ir le mouvement caractéristique, toujours identique dans toutes les
crises
du même mal. Il a passé à côté, n'ayant pas une é
la fin d'avril éclatent, à quatre ou cinq reprises irrégulières, des
crises
convulsives épileptiques généralisées. A partir
r. J'ai en ce moment dans mon service une jeune femme épileptique à
crises
d'ailleurs peu fréquentes qui est assez netteme
ans, domestique, a fait plusieurs séjours à Ste-Clo- tilde pour des
crises
épileptiques. Les renseignements très suffisamm
ever d'intéressant dans ses antécé- dents héréditaires. Il n'y a ni
crises
ni maladies nerveuses dans sa famille. En dehor
gros- sesse ; elle nie l'alcoolisme et la syphilis. Le début des
crises
comitiales remonte à huit ans, c'est-à-dire à l'â
les remonte à huit ans, c'est-à-dire à l'âge de 24 ans. La première
crise
a été nocturne ; puis elle resta un an sans en av
uelques malaises tous les 2 à 3 mois. Elle eut alors deux nouvelles
crises
espacées encore d'un an, puis celles-ci se rappro
an, elle en a eu pres- que tous les mois ces temps derniers. Les
crises
sont précédées le plus souvent d'une sensation d'
songe à ses parents, regrette de ne pas être auprès d'eux, etc. La
crise
elle-même est annoncée par une sensation de const
jours dans ces chutes et chaque fois que nous l'avons vue après une
crise
elle avait la figure tuméfiée et ecchymosée. La c
vue après une crise elle avait la figure tuméfiée et ecchymosée. La
crise
se développe alors avec les caractères habituel
sans morsure de la langue et sans miction invo- lontaire. Après la
crise
, la malade qui a conscience de ce qui vient de lu
ue ni faiblesse, au bout d'un quart d'heure. En dehors de la première
crise
, toutes les autres ont été diurnes. Assez rar
utres ont été diurnes. Assez rarement d'ailleurs, elle a de petites
crises
, sans perte de connaissance, qui durent de 1 il
ni impulsions, ni vertige ambulatoire, etc. Dans l'intervalle des
crises
elle ne présente aucun phénomène anormal, ni pa
ait légèrement pendant le traitement. Enfin la malade qui prenait une
crise
par mois depuis 7 mois, resta 4 mois à Ste-Clot
a 4 mois à Ste-Clotilde sans rien présenter et n'eut t une nouvelle
crise
qu'un mois après sa sortie. Elle revint alors a
me la première fois et un nou- veau traitement suspendit encore les
crises
pendant 4 mois, l'attaque étant re- venue moins
ultats et cette fois plus de huit mois se sont passés sans nouvelle
crise
. En résumé, il s'agit ici d'une malade ayant de
e le mieux avec nos idées actuelles à la fois sur la production des
crises
comitiales et sur celle de l'urticaire. On ne p
ement du côté des méninges ou de l'écorce et donnant naissance à la
crise
. Il est bien évident que les vaso-moteurs sont
de taenia et pour laquelle nous invoquions la même patho- génie des
crises
comitiales sans songer à l'épilepsie par helminth
en effet d'une épilepsie avec hérédité similaire et apparition des
crises
bien avant le développement du tænia. Voici cette
Hérédité paternelle similaire. - J'ænia à 20 ans.- Réapparition des
crises
à 21 ans. Grand dermo- graphisme. 1 La nommée
ue (1892) et avons pu constater qu'il avait eu avant son entrée une
crise
tous les huit jours en moyenne et parfois 3 ou
n, probablement sous l'influence de la suppression de l'alcool, les
crises
disparureut et le malade put être renvoyé chez
e renvoyé chez lui. Depuis, au dire de sa femme et de sa fille, les
crises
n'auraient pas reparu. - Pas d'autres maladies
ts personnels au début de l'existence. Mais à 11 ans, elle prit une
crise
que la mère décrit comme épileptique. A 12 ans,
2 ans, il en survint une deuxième après une fièvre typhoïde. Puis les
crises
disparurent. A 17 ans 1/2, elle se maria et n
fit une tentative infructueuse pour s'en débarrasser. A 21 ans, les
crises
ont reparu avec une grande fréquence, d'abord t
s deux mois de séjour et après une amélioration nette du nombre des
crises
sous l'influence du bromure que la malade nous pa
rs mètres de ver (sans doute deux individus), mais pas de tête. Ses
crises
parurent moins nombreuses et la malade sortit le
. Mais elle revint au mois de février 1900 et nous dit avoir eu dix
crises
en janvier. C'est à ce moment qu'on constata qu
au mois de septembre 1900, pré- sentant toujours le même nombre de
crises
et rendant à nouveau des fragments de taenia. D
pu jouer le rôle de cause occasion- nelle dans la réapparition des
crises
à 21 ans et dans la production du dermographism
ineuse en raison de l'hérédité paternelle similaire et du début des
crises
huit à neuf ans avant la constatation du taenia
aux. I. Grand'mère paternelle. - La grand'mère paternelle avait dés
crises
ana- logues à celles que nous retrouverons chez
dés crises ana- logues à celles que nous retrouverons chez le père,
crises
assez fréquentes pour qu'on fût obligé de la fa
le membre supérieur gauche, coloration qui s'accentue au cours des
crises
. Après chacune d'elles, ce membre reste parésié p
son dire, facilement en colère, mais elle n'a ja- mais présenté de
crises
, dans lesquelles elle serait tombée et aurait per
ontracturée en extension. Il est en effet habituel de voir dans les
crises
hystériques la main fermée et en pronation, et
. Or il n'est pas admissible que Raphaël n'ait jamais assisté à une
crise
démoniaque. D'autre part, nous savons qu'il étu-
evé de terre, porté par un homme vigoureux éprouve certainement une
crise
d'une vio- lence'extraordinaire. Aussi nous exp
emier coup, sans effort, la perfection dans la représentation de la
crise
démoniaque. Non seulement, il a pu la voir, la re
is l'établissement de la menstruation, il y a trois mois environ, les
crises
coïncident avec la période menstruelle, apparai
'une quinzaine, d'un mois au plus aboutissait toujours à une grande
crise
de tremblement telle que celle qu'il présente a
t telle que celle qu'il présente actuellement. Jamais pendant ces
crises
ou pendant ces chutes il n'a perdu connaissance.
eux furoncles dont il souf- frait. Vers le 10 décembre, survint une
crise
de tremblement dont il ne se serait pas occupé,
n'empêchent pas W... de faire son service. Le 28 décembre nouvelle
crise
de tremblement, W... nettoyait ses basanes dans
le pas, ni les membres inférieurs si ce n'est pen- dant les grandes
crises
de tremblement général. Ces accès se manifestent,
le a engen- drés (céphalée, vertiges, stase papillaire et amaurose,
crises
épileptiques, syndrome psychique) nous pouvons
ents, obnubilation psychique, torpeur, affai- blissement démentiel,
crises
épileptiques, parésies localisées, coma, mort :
roniques d'origine interne, dont la lente évolution, entrecoupée de
crises
paroxystiques aiguës, de rémissions, de longues p
La face a une expression stnpide; de temps en temps surviennent des
crises
d'émotivité avec une expression navrée et larmoya
Père, éthylique. Mère bien portante jusqu'à 37 ans. A cette époque,
crises
gastriques, douleurs irradiées dans les membres
our revêtir bientôt le type épileploïde avec miction à la fin de la
crise
. Les membres inférieurs étaient raides, les réf
ion d'étranglement. Elle ne paraît pas avoir jamais pris de grandes
crises
, mais lorsque les dou- leurs de tête sont très
mais lorsque les dou- leurs de tête sont très violentes elle a des
crises
d'agitation et de pleurs, sans perte de connais
cées qui traversaient le sein comme une flèche. Le plus souvent ces
crises
correspondaient avec une douleur analogue siégean
une pierre. En résumé, il s'agit ici d'une femme que ses petites
crises
, la sensation de boule, les douleurs variées, l
t nettement dans l'hystérie bien qu'elle n'ait jamais eu de grandes
crises
. Depuis 15 mois, sans cause appréciable, son sein
ins étaient le siège d'un gonflement douloureux coïncidant avec les
crises
; sa deuxième malade était également atteinte des
sure du ventre, non en- core cicatrisée; il en résulta une violente
crise
convulsive. Depuis lors sa main gauche prit l'a
ue invétérée; 2° elle continue à l'être, ainsi que le démontrent sa
crise
convulsive provoquée par la cure douloureuse et
hons pas notre inquiétude. 11. - Bien qu'elle ait éprouvé plusieurs
crises
douloureuses dans la nuit, l'enfant paraît être
uu peu plus d'un an, au mois de février 1897, elle fut prise d'une
crise
nerveuse, elle se jeta dans les bras de son père,
se, elle se jeta dans les bras de son père, puis elle se raidit, la
crise
dura en tout deux minutes ; il n'y eut ni émissio
n'y eut ni émission d'urines, ni morsure il la langue. Au début les
crises
revenaient tous les mois, mais dans les derniers
par mois. Lorsqu'on demande à l'enfant ce qui se passe au début de la
crise
, elle dit qu'elle voit trouble, qu'elle voit dr
pas encore réglée. Nous avons eu l'occasion d'assister à une de ces
crises
, au cours de l'examen auquel nous avons soumis
Mais cette sorte d'aura intellectuelle qui précède immédiatement la
crise
et l'ohnu- bilation de la conscience, font incl
ée le lendemain (39°,4), il revint' un peu à lui, mais présenta des
crises
de manie furieuse pendant, lesquelles il cherch
six ou sept ans, cette malade éprouve chaque année au printemps des
crises
de névralgie orbitaire avec para- lysie transit
perte d'appétit, quelquefois des vomissements, c'est à la fin de la
crise
de douleurs que surviennent la diplopie et la c
malade ne pût sortir sans être accom- pagnée. 11 y a, entre chaque
crise
, des périodes de sept à neuf mois, où la malade
é, [). 283, 1885. NÉVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE. 17 règles, les
crises
ont diminué d'intensité. Elles revenaient tous
chute de la paupière. Depuis cinq ans que la malade est mariée, les
crises
sont . encore moins fortes; celle de 1883, n'a
celle de 1883, n'a duré que quinze jours. Au printemps de 1884, la
crise
a reparu, encore légère; mais, pour la première
instruction est moyenne. Elle est névropathe. Jamais "lie u'a eu do
crise
convulsive, mais elle éprouve de temps à autre
il tentait de se précipiter dans le vide. Pendant deux années, les
crises
revinrent fréquemment, espacées par des interva
est un léger égare- ment très passager. Depuis quelques années, les
crises
sont plus rares; souvent elles sont remplacées
elles sont remplacées par des vertiges. Jamais les intervalles des
crises
n'ont été marqués par des impulsions d'aucune s
areil cas, la gène respiratoire se produit sous forme de véritables
crises
, débu- tant brusquement avec une violence extrê
pro- fondes inspirations, s'exaspérant par moments sous forme de
crises
dyspnéiques. La deuxième période s'annonce par un
oins prolongée de ces attaques passagères et avortées, une dernière
crise
finit par revêtir la forme grave aiguë et le ma
En août 188a, à la suite de fatigue et de sur- menage, une nouvelle
crise
acétonémique se manifesta, mais, cette fois, l'
t des vomisse- ments, et dans la soirée le malade succomba dans une
crise
respiratoire. Nous ne savons s'il est permis
ns toniques des bras et des jambes. Ces convulsions survenaient par
crises
qui ne du- raient guère plus d'une demi minute
atérale droite stationnaire; toutes les fois qu'il se manifeste une
crise
d'angoisse, les moitiés conservées du champ vis
l'influence de cette cessation brusque du poison, elle fut prise de
crises
hystéro-maniaclues dont le Dr Garnier a pu suivre
de la simulation. Ce qui prouve, en outre, que l'apparition de ces
crises
était bien due à la morphine, c'est qu'une piqû
entes et tenaces; elle a eu trois attaques de somnambulisme et deux
crises
nerveuses avec perte 218 RECUEIL DE FAITS. in
t fois chaque année; la malade se sentait abattue à la suite de ces
crises
. C'est en 1875 que, pen- dant un de ses accès,
ues grognements qui se produisaient dans son gosier. Une fois ces
crises
épileptiques terminées, la malade ne présente pas
h... n'ayant pas uriné ni mordu la langue dans ses deux dernières
crises
. La durée de l'accès est de deux minutes au plus.
rs, alors que, depuis quinze à vingt ans, il souffrait de violentes
crises
gastri- ques, d'inappétence et offrait le signe
missements mucobilieux ; on l'a envoyé àMarienbad; il mentionne des
crises
gastriques anciennes. Depuis quinze ans, perte
ieur de mon corps est comme rembourré de briques. » (Al- lusion aux
crises
gastriques.) Chez un dernier malade et divers a
ge pendant lequel il se blessa et blessa sa mère gravement. Cette
crise
, pas plus que les autres crises consécutives, ne
a et blessa sa mère gravement. Cette crise, pas plus que les autres
crises
consécutives, ne lui laissa aucun souvenir, ou
ioration notable. Excès nombreux. Début vers 1870 ou 1872 par des
crises
douloureuses et de la diplopie; plus tard relâc
Suzanne. Nous avons voulu savoir quel était son état pendant « ses
crises
». Sa mère nous les décrit fort exactement. Aus
a- gement profond, en ce sens qu'elle put s'alimenter mieux. Les «
crises
» ne furent pas suspendues cependant ; elles euren
at d'angoisse qui va toujours croissant, et aboutit à de véritables
crises
d'excitation, de vio- lence, souvent même de dé
nté meilleure. Mais elle est encore sujette à des syncopes, à des
crises
cataleptoïdes, elle reste une malade chez laquell
lepsie essentielle, et deux sur des hommes qui avaient présenté des
crises
épileptiformes dans le cours d'une lésion céréb
n 1. Mlle D..., vingt ans. H;/sM<'0-ëpt<ep4'M«j/)'tMtei< .
crises
, vertiges, incontinence d'urine dès l'enfance, as
vacances, le 21 août 1878, apparition des règles et de la première
crise
. Depuis lors, retour périodique, et régulier de
que, et régulier des menstrues, sans la moindre interruption. Les
crises
reviennent d'abord à intervalles assez éloignés,
à B... où très affectée de sa situation, elle serait sujette à des
crises
très fréquentes (sept dans une nuit). Elle prés
le service des épilepti- ques le 22 août 1882, la malade prend des
crises
très fortes avec morsures de la langue, sans au
cesse, malgré un traitement bromure énergique de prendre de fortes
crises
tous les trois, quatre ou cinq jours, en moyenn
al n'a pas exercé d'influence bien appréciable sur la fréquence des
crises
. Les injec- tions hypodermiques répétées de mor
Ftat actuel. L'indice céphalique de la patiente est de 85-56. Des
crises
et des vertiges se succèdent presque tous les jou
(température vectale). Le 16 juin, lematin, surexcitation maniaque,
crises
aiguës, ré- pétées, subintrantes, avec températ
pendant quatre à cinq jours diminue notablement la fréquence des
crises
sans modifier le tracé du pouls ou du coeur. La m
e. Au coeur, les bruits sont éclatants, pas de souffle. Après une
crise
, l'urine est acide, d'un aspect louche avec léger
ulait l'expulser. Le 27 du même mois, on observe en dehors de toute
crise
des crampes dans les muscles des mains et une i
RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 409 Le 28 décembre au soir,
crises
épileptiques subintrantes avec râle à grosses b
et du chloral à l'intérieur. Le 29 décembre au soir, reprise des
crises
subintrantes, nou- velle injection de 0,01 d'ap
avec nausées, mais pas de vomissements. Quelques minutes après, les
crises
reviennent de plus en plus fortes, et voici ce
11. -Alile L. D..., dix-huit cens.- Epilepsie essentielle à grandes
crises
. Otite scléreuse et suppurée de l'oreille moyen
pendant sa convalescence que, sans cause connue, éclate la première
crise
. A ce moment, se manifeste une légère surdité à
e moment, se manifeste une légère surdité à gauche. Au début, les
crises
étaient plus fréquentes et plus fortes, sur- ve
Le. plus souvent les RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 411 i
crises
apparaissent au moment de la disparition du flux
est méchant. Actuellement, 7 août 1880, la malade n'a qu'une seule
crise
par mois. L'accès est complet, précédé d'un aur
re, jamais de vertiges ni d'absence. On note dans la même année une
crise
d'aphonie momentanée. A la suite de médication
phonie momentanée. A la suite de médication bromurée, cessation des
crises
pendant un an (1882). En 1883, elle prend des c
cessation des crises pendant un an (1882). En 1883, elle prend des
crises
tous les mois. L'exa- men du coeur n'offre rien
Ni sucre ni albumine dans les urines recueillies avant et après les
crises
. Le 13 du mois de novembre 1884, céphalées atro
- Les pupilles ne sont pas dilatées. Crampes stomacales. Plusieurs
crises
épileptiques dans la journée. Le 21 décembre, l
dus qui pendant le cours d'une affection cérébrale présentèrent des
crises
épileptiformes : là encore nous allons retrouve
III. 31.... âgé de soixante-seie, boulanger. Hémorrhagie cérébrale.
Crises
épileptiformes. Autopsie : ramollissement de la
e tous les gens du service. A plusieurs reprises, il fut atteint de
crises
caractérisées par des convulsions cloniques gén
é de quarante ans. Tailleur. Onanisme invétéré. Hémiplégie gauche. -
Crises
épileptiformes. Mort à la suite de crises subin
téré. Hémiplégie gauche. -Crises épileptiformes. Mort à la suite de
crises
subintrantes. Autopsie : ramollisse- ment de la
aux poumons. - Depuis son entrée à l'hospice, survint chez lui des
crises
épileptiformes sans cri initial, mais avec perte
rhée rebelle qui s'arrêta brusquement quatre jours avanlle décès.
Crises
subintrantes du 47 au 18 février et mort le 18 fé
lissement localisé à une région déterminée et coïnci- dant avec des
crises
épileptiformes répétées.- Ce qui attire surtout
atre phases assez distinctes : la première fut caractérisée par des
crises
convulsives limitées au bras droit, la deuxième p
ième par une paralysie de ce bras, la troisième par l'apparition de
crises
convulsives intenses probablement limitées aux
et la quatrième par une hémiplégie droite totale avec production de
crises
convulsives généralisées aux quatre membres et à
X. Observation DE déviation DU rhythme cardiaque avec POULS LENT ET
CRISES
ÉPILEPTIFORMES SYNCOPALES; par M. le Dr GUINAND
. Bourneville, Blon- deau etTruchet, sous le nom de pouls lent avec
crises
épifep- tiques. Mais, indépendamment de la lent
à l'épilepsie. La constatation bien nette, à l'approche de chaque
crise
, d'un ralentissement plus marqué du pouls et sa s
l'état syncopal ou de l'arrêt momentané du coeur, l'apparition des
crises
épileptiformes. G. D. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE
membres inférieurs. Les pupilles, observées immédiatement après la
crise
convulsive, ne paraissent pas affectées; avant la
nt après la crise convulsive, ne paraissent pas affectées; avant la
crise
et lors de son début, le pouls s'est affaibli;
vient hystéro-épileptique par imitation; elle avait de dix à quinze
crises
par jour : Tous les traitements ayant échoué ou
à 10 milligrammes. Quatre mois après le début de ce traitement, les
crises
disparurent complètement et, d'après l'auteur,
ions nerveuses à manifestations convulsives, soit qu'il s'agisse de
crises
intermittentes (épilepsie corticale), soit qu'i
hépatiques pendant une quinzaine de jours, puis de temps en temps des
crises
gastriques. Il faut dire qui! pendant ce temps il
e et un grand accent de conviction. Une fois la chanson terminée, une
crise
convulsive se déclare avec cris, agitation des me
e! Je ne veux pas qu'on m'enferme ! « Puis elle délire... De telles
crises
se répètent un assez grand nombre do fois par jou
e d'un fièvre typhoïde, elle a déjà « chanté », dit-elle, et puis les
crises
actuelles peuvent être jugulées par la compressio
la grande surprise de ses parents. II. — Un homme était atteint de
crises
dont le point de départ se témoignait par des dou
te absolue de connaissance. En lout temps, dans l'intervalle de ses
crises
, il avait une faiblesse de la jambe droite qui le
'éloigner de chez lui pour son travail de crainte d'être pris par une
crise
. Je lui fais une application de l'aimant pendan
aiblesse de ia jambo a reparu, mais i! n'a plus éprouvé ni douleur ni
crise
. Après quelques applications d'aimant la force
long; il n'a plus éprouvé une seule fois de crampe douloureuse ni de
crise
. III. — Une jeune fille souffrait de névralgies
gique, mais il ne peut s'empêcher de se plaindre quand il éprouve ces
crises
douloureuses. Les douleurs sont plu3 fortes et pl
la foudre ; 10° Les ébranlements du système nerveux consécutifs aux
crises
des maladies convulsives, (hystérie, épilepsie).
hmie. En outre, les secousses sont systématiques et se répètent par
crises
. Nous retrouvons tous ces caractères dans notre
x bains de mer ; c'était il y a dix ans, elle avait donc 45 ans, La
crise
débute par une sensation douloureuse dans l'estom
agnée et qu'elle s'était ainsi reposée sur un banc à l'approche d'une
crise
, elle a pendant cette crise abandonné le banc en
si reposée sur un banc à l'approche d'une crise, elle a pendant cette
crise
abandonné le banc en y laissant un paquet et est
, dans une note qu'il nous fait remettre, dit que sa mère, en état de
crise
, marche comme une personne normale, cause, s'entr
n'a donc pas en ce moment tcute sa lucidité. D'ailleurs, pendant les
crises
, elle n'est pas toujours d'une correction absolue
ssé durant ce temps Tenons-nous à ces données pour le moment. Ces
crises
qu'on nous racontent appartiennent à l'automatism
s. Je puis vous citer le cas d'un Parisien qui a le temps, pendant sa
crise
, d'aller à Melun où il est stupéfait de se trouve
semaine. C'était une grande hystérique. Or, en en 1890, elle eut une
crise
très forte et quand elle se réveilla, eile était
s sur l'hystérie? Dire que les gens atteints d'automatisme ont eu des
crises
comitiales n'est pas probant parce que le malade
nt à ce qu'on voit une sorte de balancement entre les deux espèces de
crises
dont l'une succède à l'autre. La deuxième preuve,
de chaque malade, de savoir, d'après le caractère intrinsèque de ses
crises
, rattacher la maladie ù sa cause véritable, soit
e. Quand la criss ambulatoire est de longue durée^ quand pendant la
crise
la conduite du sujet est correcte, le malade n'es
qui fait un voyage à Bombay n'était pas un épileptique. Lorsque les
crises
d'automatisme sont courtes et lorsque pendant la
érie ou épilepsic ? Cette dame, nous dit-on, a eu de tout temps des
crises
où elle se débattait; quand on la taquinait, elle
mordait pas la langue, elle ne perdait pas ses urines. C'étaient des
crises
d'hystérie. Elles ont disparu quand se sont produ
accidents bien différents de ceux qu'elle avait eus jusqu'alors. Les
crises
se produisaient la nuit avec morsure de la langue
ossible, ne se développe que quand le malade a sa connaissance. Donc,
crise
nocturne sans interruption du sommeil, avec morsu
sujet n'a nulle notion, et qui lui laisse de l'accablement, c'est une
crise
ayant tous les caractères d'une crise épileptique
sse de l'accablement, c'est une crise ayant tous les caractères d'une
crise
épileptique, sauf un, celui qui est relatif à la
nte-cinq ans. En résumé, cette dame qui nous demande conseil, a des
crises
d'automatisme ambulatoire et elle a le droit d'en
e et de par son épilepsie. Analysons maintenant le caractère de ses
crises
. Premier caractère : "Ulles sont courtes. Pendant
eindre les lumières d'une pharmacie. Voilà une deuxième propriété des
crises
. La troisième, c'est que quand elles finissent,
normale, et la quatrième, c'est que leur venue a fait disparaître les
crises
hystériques. Il n'est guère douteux qu'il faill
st que nous lui donnerons du bromure de potassium. J'espère que ses
crises
s'atténueront rapidement et que nous la guérirons
montrant que le somnambulisme hypnotique est idontique à celui de la
crise
ambulatoire. Voici une jeune hystérique qui fut
persiste pendant vingt-quatre heures, ne sera-ce point une véritable
crise
d'automatisme ambulatoire V/page> page n="89
ai. de mêd. de Lyon, 3 juillet 181*9). D'ordinaire, au moment de la
crise
, ces malades ont une tendance h marcher ou à se p
il effectue sept ou huit pas en arrière et tombe; une autre, avant sa
crise
, fait presque toujours trois ou quatre pas en arr
ou quatre pas en arriére et tombe ; une autre femme, au moment de sa
crise
marche en arrière: la touche-t-on, elle crie » au
à l'Eglise/page> page n="152"> Saint-Philippe-du-Iïoule une
crise
de choree, il y avait un quartd'heure plus tard,
en revenir à nos deux jeunes sœurs, l'aînée est encore sujette à des
crises
d'hystérie. Je la traite par la suggestion. Mais,
sentant des paralysies, du mutisme, de l'aphonie, ayant jusque trente
crises
par jour et qui, au bout de sept années sont sort
lles répondent les fidèles énergiquement. Deux énergumenes entrent en
crise
. On leur lance quelques noix de coco qu'ils brise
neurasthéniques. Voici le plus typique. Un homme qui présentait des
crises
neurasthéniques se marie ; sa neurasthénie parait
dix jours; aux approches de l'accouchement ho reproduisent les mêmes
crises
, amenées, comme on le voit, par une sorte de sugg
tion féminine est à longue échéance. Après le déchirement qui suit la
crise
de rupture, quand l'homme se reprend, il constate
suggestion, la toux disparait pendant trois jours. Mais, depuis, les
crises
ont recommencé : la toux est encore plus intense
n, elle était sincère. Les physiologistes qui l'ont observée dans ses
crises
ont trop souvent reconnu le magnétique caractère
al: été appelé en toute hâte, parce que la femme était en proie à une
crise
nerveuse des plus violentes. M. Mabboux lit ouvri
qu'il accusait d'être l'amant de sa femme. A partir de ce moment, les
crises
devinrent plus aiguCs. M. T... me parla de tuer s
là des modifications qui, dans certains cas, se balancent. L'une des
crises
dévotes de Biaise Pascal fut à ce qu'il semble l'
ésistible. En somme, c'était là l'ébauche et comme l'équivalent d'une
crise
d'hystérie. Le diagnostic entre l'hystérie et l'é
ultivateur, âgé de 31 ans, qui depuis quelques années est sujet à des
crises
dans lesquelles il se livre sur lui-même à des mu
aché coup sur coup sept dents avec des tenailles. Dans le cours d'une
crise
, un beau jour, il saisie ses organes génitaux dan
il éprouve même une sorte de satisfaction de les avoir accomplis. Ces
crises
ne sont jamais accompagnées de pertes de connaiss
t d'horreur pour ses concitoyens peut être considéré comme guéri. Les
crises
se sont atténuées progressivement et il ne s'est
il éprouve même une sorte de satisfaction de les avoir accomplis. Ces
crises
ne sont jamais accompagnées de pertes de connaiss
t d'horreur pour ses concitoyens peut être considéré comme guéri. Les
crises
se sont atténuées progressivement et il no s'est
lle se plaignait de strangulation, déboule à la gorge; elle avait de3
crises
de larmes et des plaques d'anesthésie. Cette je
opie et, en 1897, à la suite de contrariétés, elle eut de nouveau des
crises
convulsives, quatre dans l'année, qui se répétère
e suggestion la toux disparait pendant trois jours. Mais, depuis, les
crises
ont recommencé : la toux est encore plus intense
près avoir vu un cheval prendre le mors aux dents, avait présenté des
crises
d'hystérie, et, consécutivement, un tic de la fac
trouver, un beau jour, parce qu'elle avait quotidiennement cinq â six
crises
, à table, entre le premier et le second plat. Je
d plat. Je lui fis alors du vrai hypnotisme et elle n'eut plus aucune
crise
pendant dix-huit mois. Mais de retour au Brésil,
huit mois. Mais de retour au Brésil, elle a une émotion morale et les
crises
reparaissent. « — Pouvez-vous me traiter par corr
quoi vous vous éveillerez toute seule; ainsi vous serez guérie de vos
crises
. Vous ferez ce traitement pendant dix jours, et a
ce temps, je reçois une nouvelle lettre : cette personne n'a plus de
crises
; mais, depuis plusieurs semaines, elle a des obs
ctive et j'arrive ainsi à vaincre sa douleur. S'agit-il de guérir des
crises
hystériques? Je donne une crise, je la laisse se
sa douleur. S'agit-il de guérir des crises hystériques? Je donne une
crise
, je la laisse se développer, et alors, je l'arrêt
che, vos membres se décontracturent, je vous défie d'avoir encore une
crise
, ? J'apprends ainsi son cerveau à ne plus l'avoir
rsonnes pour le maîtriser ; on dut même l'attacher au lit. Pendant la
crise
, il avait refusé de boire, mais ensuite, il but e
en injections de sérum, lavements froids et bains froids. Ainsi, les
crises
qui, par vingt-quatre heures, s'étaient élevées à
es tracés très détaillés montrent avec évidence que la diminution des
crises
et l'abaissement de la température sont en rappor
opportun. Un des enfants adultérins de Louis XIV, conçu pendant une
crise
de larmes et de remords de Mme de Montespan, qu
i. Cyanose con- génitale avec rétrécissement pulmonaire; épilepsie,
crises
psy- chiques. - Soeur somnambule. Observation
e, tic de la bouche. Observation V. - Mm° V... Épilepsie (Grandes
crises
et vertiges) débutant sans cause connue à quara
eux névroses coexistent sur le même sujet et se manifestent par des
crises
séparées (Charcot) '. Les manifestations psyc
érique. Grand-père maternel mélancolique. Mère névralgique. Père,
crises
nerveuses ( ? ) jusqu'à treize ans. Observation
rs mois. Observation XVIII. - M. de C..., douze ans, hystérique à
crises
convulsives et psychiques. Hyperesthésie plantair
- reux de la face, du côté gauche, laissant dans l'intervalle des
crises
une parésie des muscles affectés. -- Sa mère a du
Observation XXXIII. - Milo L..., dix-neuf ans, épileptique (grandes
crises
et secousses) ? Oncles maternels originaux.- Un
original. - Soeur imbécile. Observation XLIII. M. A.... ataxique.
Crises
épilepti- formes dans l'enfance ; puis, tic des
oncé. Cette jeune fille est hystérique; elle a éprouvé une première
crise
nerveuse, à de quatorze ans, et, pendant l'anné
u dix ou onze attaques; rémis- sion depuis quatre ou cinq mois. Les
crises
survenaient à l'époque des règles, dès le premi
e»; elle avait le temps de prévenir ses amies de l'appro- che de la
crise
, et, une fois celle-ci terminée, elle pleurait et
du- rant le mois de mai 1880, il y eut une série de trois ou quatre
crises
consécutives dans un laps de six heures. L'enfa
envoyé à la suite d'une attaque. Du mois de mai au mois d'août, les
crises
furent très fréquentes, presque quoti- diennes
ère de B..., voici quels auraient élé les principaux caractères des
crises
observées par elle avant l'admission il l'hospi
vons que rapporter in extenso la des- cription de quelques-unes des
crises
auxquelles nous avons assisté. Au dire de l'inf
bord d'une table ; il est pris, dans cette position, d'une nouvelle
crise
. Elle débute par de grands mouvements des bras
ie. Interrogé sur les sensations qu'il a éprouvées au début de la
crise
, il raconte qu'elle s'est annoncée par une sorte
on de boule re- descend vers le pubis, disparait, et, en ce cas, la
crise
avorte. jU« ? f;<t6HMMM<') ? -fdtHoscopM.
le, il a eu une peur occasionnée par la chute d'un monte-charge. La
crise
n'a duré que deux minutes, et il s'est remis au
attaques de notre malade. 11 est sorti alors qu'il n'avait plus de
crises
depuis quatre mois. Et, depuis cette époque, il
rvi du bras droit pendant près d'un an. A partir de là, il a eu des
crises
quotidiennes, la nuit et le jour. En 1876, il e
remier abord beaucoup plus hystérique qu'épileptique, mais dont les
crises
m'avaient paru, malgré l'absence d'élévation de
000 attaques terminée, la malade ne présenta qu'un nombre limité de
crises
de mars à septembre 1883. Elle eut en moyenne d
ns l'espace d'une journée, avec plusieurs jours intermédiaires sans
crises
. Elle prenait alors 7 gr. 50 de bromure par jou
ste étonné du calme absolu qui se manifeste dans l'inter- valle des
crises
. La compression ovarienne, d'autre part, ne fourn
aucun résultat et nul phénomène hystériforme ne se prononce. Les
crises
sont donc seulement épileptoïdes. Après les attaq
s action aucune. Le 19 octobre, à trois heures de l'après-midi, les
crises
changent subitement de forme. A l'attaque épile
18, de 20 et 22 gr. par jour, ne modifièrent en rien le nombre des
crises
épileptoides, puisque du 3 octobre au 19, on a
pileptoides, puisque du 3 octobre au 19, on a compté plus de 11,000
crises
absolument épileptoides, et que du 19 au 28, on
es absolument épileptoides, et que du 19 au 28, on a observé 10,000
crises
environ également épileptoides, mais accompagné
latente pendant très longtemps, et,, ce n'est qu'après une série de
crises
épileptoïdes fort longues que se sont montrés l
es ordinaires par deux points très importants : 1° Par la forme des
crises
épileptoides qui est tout à fait ana- logue à c
voudrez bien me per- mettre de relever. , 1 Le total général des
crises
convulsives pour l'année 1883, dépasse 30,000.
iagnostic vers l'hystérie. Mais , ,durant la première période de la
crise
qui vient de se terminer, la symptomatologie, je
eu d'attaques d'hystérie franche; jamais notamment, au cours de ses
crises
, elle n'a présenté l'ébauche de la période des
La maladie de Du- d 1 lu'y rr -1 - . 1 chenne se termine par une
crise
dyspnéique ou .iii;ii J" t'd ci- »< - ' , t
Observation LXXIV. - Mn'e A..., cinquante ans. - Mère nerveuse sans
crises
. Elle a eu une chorée très forte vers douze ans
sa jeunesse. De trente à trente-deux ans, elle a été sujette à des
crises
convulsives, surtout noc- turnes, avec morsure
où, d'tiptcb les laits de il. liuziurd (drthl'opalllle" ataxiuues et
crises
gas- triques) , on pourrait placer le centre tr
ves. On observe quelquefois une polyurie passagère à la suite des
crises
néphrétiques et vésicales chez les alaxiques, et
te d'hystérie locale. On a signalé la rétention d'urine pendant les
crises
du téta- nos; mais, peut-être s'agit-il d'une d
ériques. Dans l'ataxie locomotrice, Maurice Raynaud a signalé des
crises
néphrétiques, analogues aux antres viscéralgies t
aison, la cystalgi'e idzopa-. thique; certains goutteux offrent des
crises
de vessie quelque- fois avec hématurie mais, en
dépendance de lésions du système nerveux, il faut surtout citer les
crises
vésicales et uréthrales de l'ataxie. Notons,
19. 236 REVUE critique. servent exceptionnellement à la suite des
crises
vésicales de l'ataxie. Nous avons passé en re
s fait allusion plus haut',1 paraît tout à fait exceptionnelle. Les
crises
'd'urine ," encore peu connues, semblent plus fré
uvent se 'produire de deux manières : tantôt c'est' à la suite dé '
crises
douloureuses sur les voies urinaires 5 t tantôt
est è.114eh ? rs de .toute autre manifes- tation. t1 la suite d'une
crise
vésicale,' et à la suite seulement de quelques"
essie se présentent sous trois formes : anesthésie, dysesthésie, et
crises
douloureuses, qui, comme tous les autres troubl
s de crises', sur lesquels M. Charcot a tout d'abord insisté. Ces
crises
offrent tous les caractères des douleurs dites fu
elquefois assez douloureuses pour arracher des cris au patient. Ces
crises
qui durent généralement douze heures, ou un ou
les de quelques minutes à un quart d'heure, quelquefois plus. Les
crises
douloureuses peuvent affecter la vessie et l'u-
ecter la vessie et l'u- rèthre isolément, ou les deux ensemble. Les
crises
vésicales sont caractérisées par des douleurs d
s souvent elles s'irradient vers l'urèthre et constituent alors les
crises
vésico-urélhrales. Quelquefois la douleur siège e
uelquefois la douleur siège exclusi- vement dans l'urèthre. Dans la
crise
u1'élll1'ale, la douleur rappelle encore plus e
rèthre et ressemble plus ou moins aux élancements d'un abcès. Ces
crises
uréthrales s'accompagnent fréquemment d'uréthro-
compagnent d'irradiations douloureuses vers l'anus ou de véritables
crises
anales, et nous ne serions pas surpris 1 Queudo
bles crises anales, et nous ne serions pas surpris 1 Queudot. - Des
crises
douloureuses qui peuvent se montrer sur les voi
omotrice. Un phénomène intéressant qui accompagne quelquefois les
crises
vésicales et uréthrales, c'est Yhémorrhagie. Nous
ons observé à la Salpêtrière une malade qui, à la suite de chaque
crise
vésicale, rendait des urines sanguinolentes et qu
e rapproché de ces ecchymoses les hémorrhagies qui accompagnent les
crises
gastralgiques et rectalgiques3. Les hématuries,
ses gastralgiques et rectalgiques3. Les hématuries, à la suite de
crises
vésicales, comportent la même interprétation path
rvation dans laquelle le pissement du sang était consé- cutif à des
crises
qui avaient surtout pour siège l'urèthre. b) Le
c. cit., p. 125, ' Straus. Des ecchymoses tabétiques à la suite des
crises
de douleurs fulgurantes (A2-ch. de Neurologie,
ille de dix-huit ans, qui, entre autres manifestations hystériques (
crises
nerveuses, apho- nie, hémianesthésie droite, et
ée ou fermée quand elle devrait être ouverte suffit à provoquer une
crise
de désespoir. M. P... reconnaît qu'il n'est plu
ente santé, mais depuis lors et peu après son mariage, elle eut des
crises
con- vulsives, suivies d'une perte entière de c
apparence com- plètement rétablie. A la guérison de sa psychose ses
crises
convul- sives disparurent, mais elles furent re
rrégularité du pouls, de la fixité dans les deux yeux sous forme de
crises
, de l'érythème facial passager, du strabisme in
che eût pré- senté rien d'anormal, en proie, il y a deux ans, à une
crise
d'agita- tion maniaque passagère avec désordre
ctérisée par de l'oedème et de la difficulté de la parole, puis une
crise
grave indéterminée de plusieurs semaines ayant la
ier cette observation, je l'aurais intitulée : IlysLéro-épilepsie à
crises
COI1\ ul- sives ; attaques de contracture; somm
parait s'étonner de voir le somnambulisme se développer entre deux
crises
et donner lieu à une double vue. Dans les Archi
t continuait aussitôt les actes commencés à la fin de sa précédente
crise
som- nambulique. M. B. Séance du 28 janvier 1
éréJilaírcs très graves. Sou jure élaît alcoolique, sa mère avait des
crises
conduisîtes d hystérie, sou grand-père uialeruel
mère n'accuse aucun trouble nerveux. Un oncle maternel a eu quelques
crises
de somnambulisme; vers l'âge de 15 ans. il se lev
e par noire confrère le Dr Arnaud. Depuis l'âge de 12 ans, elle a des
crises
d'hysléro-épilepsie qui reviennent presque loua l
tombe à la renverse el perd complètement connaissance. La durée delà
crise
varie de quelques minutes â nu quart d'heure. Son
l ou huit séance» de suggestion oui amené la disparition complète de»
crises
d'hystérie el de l'onyrhophagic. Observation IX
rculeuse— d'une légèreté île moeurs avérée, Grand d'mère maternelle —
crises
nerveuses — porlée un lihrrti-nage. Oncle materne
œur jumeaux, morts en bas âge. Mme D…, étant jeune fille, axait des
crises
de somnambulisme spontané. Pas d'autres acciden
mpêchera, dit-elle, de mourir subitement dans la rue. Fut prise d'une
crise
d'angoisse accompagnée d'une sensation d'étouffem
allait ouvrir la portière pour sauter sur la voie. Ce fut sa première
crise
de claustrophobie. I n séjour assez prolongé à la
dans un musée ou monument publie sans être prise immédiatement d'une
crise
violente qui disparaît aussitôt que Mme D... Retr
liques à cause-de la sensation qu'elle éprouve d'y être enfermée. Les
crises
d'angoisse se produisent aussi quand elle se trou
e ne plus avoir d'attaques ni d'idées de persécution. 22. N'a eu ni
crises
ni hallucinations, n'a plus de névralgie. 3e sé
inconvenantes et irrespectueuses. En même temps, elle cul linéiques
crises
de nerfs sans perle absolue de ratinais. sance, i
mes veux vu, une médium spirile. el ce fait n'est pas . rare, qui. en
crise
, tenait parfaitement conversation avec deux perso
'ordre. Hirt a examiné plusieurs de ees enfants et décrit iansi les
crises
qui Reproduisaient. L'accès débutait par un.tremb
continuellement; elle nait au milieu de ce que la famille appelle une
crise
. Ces accès surviennent ainsi; tantôt sous l'influ
menace, il veut frapper; il casse les meubles et les portes; puis la
crise
passe, il est calme, doux, parle comme tout le mo
, non d'un accès de colère, mais d'un accès de folie. Dans une de ces
crises
, il poursuit son père avec une bûche de bois disa
ivent, les mêmes accès de colère se reproduisent : pendant une de ses
crises
il regarde fixement sa mère et lui dit : « Toi au
« Toi aussi, tu y passeras ». Un autre jour, tout à coup, pendant une
crise
, il monte dans sa chambre et fait partir une espè
e. M. Y... met ses souliers pour parlir : un cordon casse ; aussitôt,
crise
île colère violente ; il entre dans sa chambre, e
la maison de santé, ne donne aucun signe d'aliénation mentale: aucune
crise
de colère ne survient; parfois lorsque je le pous
entrevues avec le père ont lieu, elles ont le même caractère, aucune
crise
ne survient : aucun reproche ne se produit, aucun
une homme peut-être encore dangereux. Il est convenu qu'à la première
crise
de colère on l'internera de nouveau. Le jour de s
s par l'émotion, ses examens qui le font errer comme un vagabond, ses
crises
de colère survenant pour des motifs à peine appré
rvice depuis l'âge de sept ans. Elle était atteinte d'épilep-sie. Les
crises
ont dîsparj depuis qu'elle est en traitement ; po
n bordier de la propriété) me fit plus tard soupçonner la cause de la
crise
névrosique bien que cela me parût tout à fait ext
us encore et alors, comme le démontre notre dernière observation, les
crises
épilep-tiques surviennent. Le plus souvent, dît
à la clinique du Dr Bérillou le 15 juin, pour nous consulter pour des
crises
convulsivos et sur laquelle j'ai fait quelques co
e elle s'est fait soigner pendant trois mois. Depuis cette époque des
crises
hystérîques complètes ont commencé avec de l'ovar
e de connaissance, des cris, des convulsions, des suffocations. Les
crises
d'abord rares apparaissaient une ou deux fois par
une ou deux fois par mois. Mais il y a quatre mois, à la suite d'une
crise
, plus violente que les précédentes et qui a duré
morragie. Depuis ce temps la maladie s'est aggravée; elle avait des
crises
tous les deux jours, quelquefois même tous les jo
e l'ai endormie au bout d'une minute; et après la première séance les
crises
ont considérablement diminué, car elle n'en a eu
uis. J'ai suggestionné la malade en lui disant : chaque fois qu'une
crise
sera pour vous prendre vous penserez à moi et vou
prendre vous penserez à moi et vous vous endormirez profondément, la
crise
passera et une minute après vous vous réveillerez
psie dont il n'est qu'un « équivalent ». Et l'amnésie qui succède aux
crises
Ml caractéristique. Les pérégrinations du somna
son caractère, avec les tendances habituelles de son esprit. Plus la
crise
est intense, plus le trouble est étendu, plus l'i
omnambulisme sont rarement isolés ; ils se groupent dans une série de
crises
à périodicité régulière, qui se succèdent pendant
sera l'agent essentiel et nécessaire du mouvement : il déterminera la
crise
à son heure, à sa convenance, rallongera ou la su
int, celui de simple observateur. Il assistera rarement à la première
crise
survenue inopinément. La périodicité établie sera
ateur. Son rôle se bornera à enregistrer les divers incidents de la
crise
, à observer l'évolution de ses différentes phases
tel mou-vement, telle expression, correspondent à telle période de la
crise
; qu'elle est dans une phase de progrès ou de décl
mplète de la mémoire au moment où ils se réveillent. Vienne une autre
crise
provoquée ou spontanée, il retrouve l'entière con
sée de son affection mentale, mais pour redevenir ensuite la proie de
crises
nerveuses aussi fréquentes qu'autrefois. Ce fut
tous les accidents dont j'ai parlé jusqu'ici, moins l'apparition des
crises
nerveuses. Cet examen fait, je lis immédiatement
pour l'emmener, il parall s'y décider, mais arrivé - l'eudroit ou la
crise
d'auxièté éclate, il s'arrête brusquement et imag
ndant 15 minutes. Au réveil il est douloureux ainsi que l'épaule; des
crises
d'hystérie convulsive éclatent dans la nuit. Le D
Le Df Friedrich ne trouve rien de mieux que de suggérer une nouvelle
crise
convulsive à la malade. Puis il l'hypnotise par f
ite, céphalalgie, vision nuageuse : la houle danse devant .ses yeux :
crises
hystériques. C'est après une semaine de celle s
n'en faut pour provoquer de l'hystérie. Suggérer ensuite une nouvelle
crise
, puis lixer l'œil terrilié de la patiente sur une
s, de lourdeur de tète, de sensations diverses; il en est qui ont des
crises
de nerfs. Ces accidents peuvent se produire avant
uit des tremblements, des sueurs froides, des battements de cœur, des
crises
de nerls. Ce n'est pas l'hypnotisation. c'est l'a
elques hystériques seuls peuvent avoir, dans les premiers essais, des
crises
d'hystérie faciles d'ailleurs à réprimer; ce sont
ystérie faciles d'ailleurs à réprimer; ce sont celles qui éclatent en
crises
, pour peu qu'on s'occupe d'elles. Mais on réussit
résultat est obtenu, on arrive toujours à supprimer radicalement les
crises
d'hystérie. j'affirme donc que tous les trouble
s habitant Itio-Janeiro vint me consulter le 23 juin dernier pour des
crises
d'hvs-térie datant de lïs mois, développées à la
e droite à laquelle elle était sujette: cl 2 heures après, une grande
crise
d'hystérie: pendant un an. elle eut 7 à et crises
es après, une grande crise d'hystérie: pendant un an. elle eut 7 à et
crises
par jour. A partir de la première, la névralgie s
sme cl parvint dès la seconde séance à guérir le tic facial. Mais les
crises
continuèrent malgré l'hypnotisme, en diminuant un
continuant lui-même à l'hypnotiser avec la plus grande facilité. Les
crises
étaient plus courtes, mais persistaient. La malad
taient plus courtes, mais persistaient. La malade avait un minimum de
crises
par jour, survenant régulièrement a chaque repas,
oi. Le 21 juin la malade vint chez moi. Dans mon cabinet elle eut une
crise
durant une minute, perte de connaissance, secouss
te, perte de connaissance, secousse des quatre membres. Pendant cetle
crise
, je lui dis doucement : « Vous savez ; cela est v
crise, je lui dis doucement : « Vous savez ; cela est votre dernière
crise
, » ReVenoe â elle, je l'endormis instantanément
ez très gaie, parce que vous sentez que vous ne pourrez plus avoir de
crise
. — Elle dit : « oui ».— «El quoi qu'il arrive, vo
u le mors aux dents, vous resterez calme, vous n'aurez plus jamais de
crise
. » Elle répond avec assurance : « Jamais ». Au ré
v et je répétai la suggestion chaque jour. Elle n'a plus eu une seule
crise
depuis la première séance, et me l'a conlirmé par
toujours aussi vite, mais on réussit toujours à supprimer les grandes
crises
d'hystérie en peu de temps, (rois semaines au plu
ez-vous, vous avez une attaque de nerfs », elle marche, s assied, une
crise
se développe, mais à son réveil, elle se souvient
sister, mais il v a un fait certain, c est que sous l'influence de la
crise
épîleptique. l'urine devient particulièrement tox
ussitôt enrayé et se demande si pendant son sommeil il n'a pas eu une
crise
épileptique. La troisième fois qu'il vînt a la cl
es réagissaient bien, mais il avait un peu d'écume sur les lèvres. Sa
crise
, d'une durée de 4 minutes s'est terminée par une
irmé que c'était la peur qui l'avait fait souffrir ainsi en voyant la
crise
de l'autre malade. Depuis je l'ai perdu de vue.
rent d'une manière synergique. Cette femme est sujette à de grandes
crises
manifestement hystériques ; elle m'a été adress
édecin qui, ayant constaté chez elle, peu de temps après une de ces
crises
, une asymétrie faciale, a pensé qu'il s'agissai
oires qui constituent un des signes les plus caractéristiques de la
crise
épileptique et permettent de la distinguer des
ômes pourraient être simulés par quelqu'un qui aurait assisté à des
crises
d'épilepsie et qui serait intéressé à induire le
pplication de substances irritantes. Je vous disais, à propos de la
crise
épileptique, que l'émission d'urine pendant l'a
es, ajoute qu'elles ne sont pas continues, qu'elles surviennent par
crises
et siègent tantôt à la jambe, tantôt à la cuiss
ppui de cette idée, c'est que cette personne avait eu autrefois des
crises
avec mouvements clowniques et arc de cercle. Or
être divisés en deux groupes : d'une part, les troubles transitoires (
crises
, paralysies, contractures, mutisme, etc.) ; d'a
et des élèves qui faisaient cercle autour de ces malades durant la
crise
, en échangeant leurs idées souvent pessimistes su
ce. Aujourd'hui, les médecins sont avertis, s'observent ; aussi ces
crises
sont-elles devenues bien moins communes et, qua
plus obtuse que du côté opposé. Cette jeune fille est sujette à des
crises
convulsives avec grands mouve- ments en arc de
de constater ce phé- nomène : il s'agissait d'un homme sujet à des
crises
d'épilepsie jackson- nienne, chez lequel, les m
té gauche du corps. Ayant examiné le malade immédiatement après une
crise
, j'ai vu que l'excitation de la plante du pied
donnait lieu à de l'extension des orteils à gauche ; en dehors des
crises
, le réflexe cutané plantaire était normal et le
mes de la maladie se traduisent par des douleurs ful- gurantes, des
crises
gastriques, des crises laryngées, de l'atrophie p
aduisent par des douleurs ful- gurantes, des crises gastriques, des
crises
laryngées, de l'atrophie papil- laire, etc., le
OGIE trophie musculaire progressive et de la myasthénie. Pendant la
crise
de paralysie, qui occupe généralement les quatr
uveaux relatifs à ce sujet. Examinant une jeune femme sujette à des
crises
d'épilepsie et recher- chant chez elle, d'une m
nues très violentes. Depuis plusieurs mois elle était sujette à des
crises
épileptiformes, et sa vue s'était notablement a
n déplace devant son oeil. Les douleurs de la tête augmentent ; les
crises
, qui deviennent plus fréquentes, débutent par u
de vue de son siège ; elle est exclusivement frontale et pendant les
crises
, elle prédo- mine du côté gauche. La cécité e
EN( : GPII1LITInUE E z la malade à l'hôpital, intervenant en pleine
crise
, quelques instants après avoir faradisé la régi
cune intervention étrangère, de son propre gré. La régres- sion des
crises
à la suite immédiate de pratiques thérapeutiques
uleurs dans la région dorso-lombaire ; elle est sujette aussi à des
crises
de douleurs d'un quart d'heure de durée dans, l
e douleurs d'un quart d'heure de durée dans, le pied droit et à des
crises
de douleurs fulgurantes dans tout le membre inf
y a pas de céphalée, pas de troubles sensitifs ni sensoriels. Les
crises
épileptiformes confirment le diagnostic de lésion
s 189g. . 328 . PARl'lPLÉÇ1ES -. AFFECTIONS DE LA MOELLE première
crise
, une cure hydrargyrique, nous proposant de consei
e- ment avec les reprises de la médication. Dans cette période deux
crises
épileptiformes. En octobre, le Dr J. Chaillous,
e cérébrale dont la perturbation était décelée par l'aphasie et les
crises
épileptiformes. La conclusion principale qui se
s'épuisant de même. Dans la période de douze heures qui sépare les
crises
ils semblent faire défaut ; il subsiste seuleme
a moitié sous-ombilicale gauche de la paroi de l'abdomen. Durant la
crise
, il existe un synchronisme parfait des contract
eu l'occasion de constater chez les grands blessés de la moelle des
crises
sympathiques plus ou moins durables, permanente
dans cette observation. Ce rythme a les caractères suivants : i"
Crises
sympathiques de 6 à 7 heures de durée ; séparées
urée ; séparées par des périodes de calme de 12 heures. 2" Chaque
crise
elle-même est discontinue, les contractions toniq
a- cique gauches). Les phénomènes médullaires qui accompagnent la
crise
devraient être mis alors sur le compte d'un ret
et une absence de tout phénomène d'irritation pyramidale entre les
crises
. ' Il nous paraît impossible de ne pas tenir co
des maladies nerveuses le réflexe du tendon d'Achille. UN CAS DE
CRISES
GASTRIQUES TABÉTIFORMES LIÉES A L'EXISTENCE D'U
Les auteurs formulent les conclusions suivantes : i" Il existe des
crises
gastriques ayant absolument la physionomie des
Il existe des crises gastriques ayant absolument la physionomie des
crises
gastriques tabétiques, en dehors de tout signe cl
caractères distinctifs qu'on a coutume d'invoquer pour opposer les
crises
gastriques tabétiques aux paroxysmes douloureux d
aleur sémiologique qu'on leur prête d'habitude. Dans notre cas, les
crises
étaient, depuis six ans environ, séparées par d
m,déna. 3° Il peut donc être indiqué, dans certains cas, en face de
crises
gastri- ques invétérées, quand on a éliminé par
er une gastropathie organique. duo Il est possible que de pareilles
crises
, reconnaissant la même cause, surviennent chez
exe rotulien et du réflexe du tendon d'Achille, qui est sujet à des
crises
de douleurs fulgurantes, et qui, par conséquent
dans les articulations des épaules et quelques mois plus tard d'une
crise
d'entérite. En igos, à 4 ans, elle présenta des
convulsion tonique et que cet ensemble de convulsions constitue une
crise
. Ces crises sont plus ou moins fortes suivant les
tonique et que cet ensemble de convulsions constitue une crise. Ces
crises
sont plus ou moins fortes suivant les divers mome
t ou atténuent HÉMISPASME FACIAL PÉRIPHÉRIQUE 43g l'intensité des
crises
; on peut dire cependant que la fatigue générale
ons sont rigoureusement unilatérales. d) Elles sont, au début de la
crise
, parcellaires ou fasciculaires, ce qui veut dire
u récemment l'occasion d'examiner une femme qui était sujette à des
crises
d'épilepsie jacksonienne limitées à la face et
hystérie. Considérons les grandes manifestations de l'hystérie, les
crises
ner- veuses, les paralysies, les contractures,
s, du reste, les anesthésies, les paralysies, les contractures, les
crises
, etc., qui sont susceptibles d'apparaître sans
d'observer des cas d'hystérie incontestable se manifestant par des
crises
ou quelque autre accident bien caractérisé qui
que le clou hystérique de la tête et l'hyperesthésie ovarienne. Les
crises
ou attaques, les paralysies, les contractures, l'
rie ; j'agis avec la même cir- conspection, même si le sujet est en
crise
et en apparence inconscient. sachant fort bien
es ; est-ce que la douleur de la colique néphrétique, est-ce que la
crise
gastrique tabétique ne cèdent pas souvent d'une m
importants, les anesthésies, les paralysies, les contractures, les
crises
, le mutisme, etc., qui sont susceptibles d'appara
en font réellement partie. L'hystérie peut donner naissance à des
crises
nerveuses sous des for- mes variées, à des para
hystériques ('). Il est impossible de reproduire par suggestion des
crises
nerveuses accompagnées de lividité des lèvres e
e parfois au début de la tuberculose ; si cette malade avait eu des
crises
hystériques, si, de plus, il existait chez elle
contenterai de mentionner les principaux d'entre eux ; ce sont des
crises
convulsives, des paralysies, des contractures t
t ainsi qu'on ne risque guère de se tromper quand on affirme qu'une
crise
de nerfs avec grands mouve- ments convulsifs et
important que la conta- gion, l'imitation dont l'influence sur les
crises
convulsives, en particulier, se manifeste d'une
e, ne sont pas en contact avec d'autres malades et dont la première
crise
, immédiate- ment consécutive à une émotion, a p
éité n'est qu'apparente, qu'il s'agit bien de la reproduction d'une
crise
observée chez autrui, et que parfois aussi, ce
crise observée chez autrui, et que parfois aussi, ce qu'on appelle
crise
hystérique n'est qu'une association de cris, de
drait feindre des convulsions, sans même avoir jamais assisté à une
crise
hystérique, pourrait être spontanément conduit à
rs, n'avait jamais présenté d'accidents semblables, est prise d'une
crise
hystérique identique, dans sa forme, à celles qu'
ernatives en bien et en mal et se manifestent parfois sous forme de
crises
de phobies, d'obsessions qui peuvent durer plusie
éter- minés; il sort presque toujours, sans s'être contusionné, des
crises
clowniques qui ont épouvanté l'entourage; en pr
salle plusieurs malades à la fois en proie à des contorsions, à des
crises
avec arc de cercle ; cela ne se voit plus jamais
se dégager que l'émotion, du moins l'émotion seule, ne crée pas de
crises
hystériques ? On pourrait faire des remarques a
phe, d'en voir un seul atteint de paralysie, de contrac- ture ou de
crises
convulsives. Les études qu'il fit ultérieurement,
elques instants sans connaissance, mais jamais il n'a assisté à une
crise
convulsive; il affirme n'avoir pas constaté un
MM. Tinel, Baruk et Lamache, dans un travail ayant pour titre : «
Crises
de catalepsie hystérique et rigidité décérébrée »
laté, avec grands détails, l'observation d'une malade sujette à des
crises
de cata- lepsie auxquelles s'associaient parfoi
e auxquelles s'associaient parfois « les mouvements désordonnés des
crises
convulsives hystériques ». Toutefois, s'appuyant
ues et sur l'étude « des moyens de provoquer et de faire cesser les
crises
», ces auteurs déclarent que, si la suggestion in
elle ne joue là qu'un rôle relativement peu important. « Elles (ces
crises
) supposent nécessairement, disent-ils, l'interven
pos de la communication de MM. Tinel, Baruk et Lamache, intitulée : «
Crises
de cata- lepsie hystérique et rigidité décérébr
ur ce motif, j'ai cru devoir prendre la parole. L'opinion que les
crises
hystériques en général sont, au moins pour la p
, écrivent : « Cette combinaison d'attaques toniques de torsion, de
crises
opistho- toniques, avec des crises d'hyperémoti
attaques toniques de torsion, de crises opistho- toniques, avec des
crises
d'hyperémotivité ou des bouffées confusionnel-
s, le diagnostic d'hystérie. Chez cette malade, en particulier, les
crises
toniques se trou- vaient déclenchées par la col
ère, l'effroi, l'angoisse, un bruit inattendu, absolument comme les
crises
vertigineuses de certains hystériques. Nous tou
e qu'on ne le pense ; il est probable que, dans quelques années, la
crise
hystérique aura fait sa preuve organique, qu'el
ritation méso- céphalique ayant la même valeur localisatrice qu'une
crise
jacksonienne. » Je sais fort bien, et j'ai insi
ies des hémisphères céré- braux, comme on rapproche aujourd'hui les
crises
hystériques de celles que réalisent parfois des
célèbre en raison du caractère « démoniaque » que présentaient ses
crises
convulsives. est aujourd'hui âgée de soixante-t
née des accidents pithiatiques. Prenons un autre exemple, celui des
crises
hystériques, et envisageons en particulier la g
avait, rassemblées dans le service, 6 ou 8 grandes hystériques. Les
crises
se renouvelaient à tout moment ; il se passait ra
es atteintes à la fois ou successivement, dans une même journée, de
crises
semblables. Et ce n'est pas seulement à la Salp
entation mentale est donc capital. Pour ce qui regarde les autres
crises
hystériques, notamment celles qui consistent en
en évidence. Mais la diminution considérable de la fréquence de ces
crises
, sous l'influence des moyens préventifs employés
t des blessés, je n'ai jamais vu de phénomènes hystériques tels que
crises
, contractures, paralysie d'un ou plusieurs memb
ttacher à l'hystérie les troubles nerveux qui les accompa- gnent,
CRISES
HYSTÉRIQUES. Les crises hystériques ont été fré
roubles nerveux qui les accompa- gnent, CRISES HYSTÉRIQUES. Les
crises
hystériques ont été fréquemment observées dans ce
mment observées dans certains Centres. Elle se distinguent déjà des
crises
épileptiques par l'absence constante des signes
éflexe cutané plan- taire et extension. Les autres caractères de la
crise
comitiale : cri initial, chute brusque, perte c
de grands services en pratique lorsqu'on n'a pas pu assister à une
crise
spontanée. Nous y avons recouru très souvent avec
endant pas oublier qu'un même individu peut être sujet tantôt à des
crises
d'hystérie, tantôt à des crises épileptiques ; au
dividu peut être sujet tantôt à des crises d'hystérie, tantôt à des
crises
épileptiques ; aussi, con- vient-il d'interroge
s infirmiers ou les personnes de l'entourage pour s'assurer que les
crises
spontanées étaient bien semblables à l'attaque
st ainsi, aucun doute ne subsiste plus sur la nature hystérique des
crises
. Enfin, il est une dernière remarque que nous c
des séances. En avril igo5, C... vint nous demander conseil. Ses
crises
, caractérisées par une violente sensation de dé
a deuxième séance, C... fut un peu soulagé; à la sixième, les grandes
crises
disparurent complètement. Après la neuvième, le
n. La mastication et la déglutition ne provoquaient plus de grandes
crises
et C... avait repris son travail. On fit en tou
pas complètement disparu et se manifestaient sous forme de petites
crises
; aussi, en novembre, fit-on quelques appli- ca
tatiques pour agir sur l'état général. En janvier 1906, les petites
crises
étaient très espacées, mais le malade, absolument
es, mais le malade, absolument hanté par le souvenir de ses grandes
crises
et par la crainte de les voir se reproduire, al
trique, c'est-à-dire depuis plus d'un an, n'a pas eu de ces grandes
crises
qui lui rendaient l'existence intolérable et l'
nq opérations. TRAITEMENT DE LA NÉVRALGIE FACIALE 6o5 Les petites
crises
tolérables qui se sont atténuées plus lentement n
de, qui n'était jamais revenu à l'état normal, se trouva pris d'une
crise
aiguë. La fesse, la cuisse, le mollet droits, s
e très marquée de la région lombaire. En fin janvier 1907, nouvelle
crise
aiguë. Le malade souffrait tellement que la mar
en. Toujours est-il que le sujet revu ces jours-ci, 4 ans après cette
crise
violente de sciatique-névrite, a un réflexe ach
3). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 625 xo3., Troubles pupillaires dans les
crises
gastriques (M.), 1.. 104. Sur la prétendue albu
laboration avec Vincent et Barré. Id., 6 mars igi3). 202. Un cas de
crises
gastriques tabétiformes liées à l'existence d'un
opos de la communication de MM. Tinel, Baruk et Lamache intitulée :
Crise
de catalepsie hystérique et rigidité décérébrée (
ci le résumé : Surdité progressive et complète de l'oreille gauche,
crises
d'hypersécrétion salivaire à droite, céphalée pa-
Dès l'âge de deux mois se montrent des convulsions et plus tard des
crises
épileptiques avec miction involontaire. C'est à
nt; par Olivier et H.1LIPR1 : . (Normandie médicale, n° 2. 1896.)
Crises
typiques au point de vue clinique survenant chez
la marche, engourdissement et sensation de froid dans la jambe. La
crise
dure quelques minutes, les symptômes, disparus
médicale, n° 13, 1896.) Un homme de trente-sept ans présente des
crises
d'éructations précédées de météorisme et surven
onservation d'un pouvoir digestif très suffisant même au moment des
crises
, l'absence de dilatation, de splanch- noptose,
. Chez une de ses malades l'auteur a vu se produire de véri- tables
crises
de cyanose. Les doigts de la main succulente sont
rit autrefois le vertige des artério- scléreux 1) : ce sont ici des
crises
intenses sans chute ni perte de connaissance, s
du cerveau sain. 4° Jeune homme. Quelques attaques convulsives puis
crises
de sommeil profond et durant trois jours de sui
alisé constituait à lui seul toute l'attaque et si dans la suite la
crise
a toujours com- mencé par ce môme spasme. Obs
, bonne santé habituelle jusqu'à dix-neuf ans. A ce moment première
crise
, sensation de secousse électrique dans l'index et
e somnolence et d'abattement. Opération deux mois après la première
crise
: en deux temps : 1° section du lambeau osseux
is après, apparition d'une attaque de petit mal non suivie d'autres
crises
. Quatorze mois après l'opération et un an après
ce qu'il allait dire. Pouls normal. Capacité men- tale très faible.
Crises
épileptiques fréquentes .- Mémoire insuf- fisan
pileptiques fréquentes .- Mémoire insuf- fisante. La répétition des
crises
épileptiques amena le marasme et la mort. A l'a
ution de la sensibilité et de l'action réflexe du voile du palais ;
crises
de gastralgie et vomissements; diminution de la
terminée par une miction, ébauchant en quelque sorte une véritable
crise
hystérique en miniature. Le diagnostic de l'h
ore, lorsqu'on rencontre une malade chez laquelle surviennent t des
crises
complètes d'hystérie, avec l'arc de cercle et les
le résultat d'une contagion nerveuse, l'enfant ayant assisté à des
crises
d'hystérie. Par contre l'hystérie se révèle fré
les jours, à l'heure même de l'explosion ; le second éprouvait des
crises
de sanglots ou de colère sans raison ; chez le
e, qu'à la suite d'un malaise VARIA. 287 i faisant pressentir une
crise
nerveuse dont elle avait une autre fois déjà ép
e 20 avril vers quatre heures du matin, pour y laisser passer cette
crise
et laisser en même temps ignorer à ses maîtres
et par la mimique de la face. Cet. accident était survenu après une
crise
de colère, l'enfant avait voulu suivre son père
e, pas de dyspnée ni le faux croup aucune gêne respiratoire, aucune
crise
de suffocation : c'était de l'aphonie 304 CLINI
ans. Hérédité nerveuse, mère neurasthénique; tante hystérique avec
crises
; père alcoolique. Comme antécédents personnels,
re, c'est aujourd'hui une belle enfant de cinq ans qui depuis cette
crise
s'est bien portée jusqu'au mois de janvier de c
s, dix ans et quatorze amas. - Hérédité nerveuse. Mère ayant eu des
crises
de nerfs dans sa jeunesse. Soeur ayant présenté
etite M... aurait présenté, à l'âge de deux ans et à cinq ans, des «
crises
de vers», dit sa mère. A l'âge de huit ans elle
e dois avouer que j'attendais avec anxiété le dénouement de cette
crise
. En raison de la petitesse de ce pouls vraiment f
guérison survint. En mars 1897 nouvelle chute sur la tête, nouvelle
crise
de fausse méningite; vomissements, fièvre, agit
presque toujours clos, elle se cache la figure dans ses draps. Ces
crises
se répètent tous les quarts d'heure. La respira
LINIQUE NERVEUSE je soigne actuellement d'un oedème Hystérique avec
crises
d'angine de poitrine hystérique. - nlère hystér
as, il y avait augmentation, et, dans d'autres, diminution après la
crise
. L'augmentation de l'urée trouvée dans l'urine
s la crise. L'augmentation de l'urée trouvée dans l'urine après une
crise
peut être mise sur le compte d'autres causes qu
après une crise peut être mise sur le compte d'autres causes que la
crise
, soit le grand travail musculaire effectué pend
que la crise, soit le grand travail musculaire effectué pendant la
crise
, soit l'action diurétique de l'urée elle-même q
rvation d'un enfant de quatre mois qui lui fut présenté, atteint de
crises
d'épilepsie depuis l'âge d'un mois. La veille d
mois. La veille du jour de l'examen, l'enfant avait encore eu trois
crises
. Trouvant à l'examen de cet enfant un phimosis
phimosis avec orifice préputial très étroit, l'auteur pensa que ces
crises
pouvaient être d'origine réflexe et pratiqua su
e et pratiqua sur-le-champ la circoncision. L'enfant eut encore une
crise
deux jours après l'opération, mais, depuis lors
core une crise deux jours après l'opération, mais, depuis lors, ces
crises
ont totalement disparu. (The alienist ancl neuro-
sent se compléter heureusement. D'autre part, au cours de certaines
crises
paroxystiques d'aboulie, survenant chez les ma-
e 6 et 10 heures ou aux heures matinales de la nuit si propices aux
crises
tluxionnaires. 4° Ainsi appliquée à l'observati
il est, en 1885, brusquement pris d'étouffe- ments. Cette première
crise
qui l'effraya, dura vingt secondes envi. ron. D
aya, dura vingt secondes envi. ron. Depuis il a de douze à dix-huit
crises
par jour et quatre ou cinq par nuit. Avant la
e à dix-huit crises par jour et quatre ou cinq par nuit. Avant la
crise
il y a de l'angoisse, puis sensation de boule. La
Avant la crise il y a de l'angoisse, puis sensation de boule. La
crise
est constituée par une expiration prolongée précé
, ou bien il précède cette, affection et lui prépare accès. ' Les
crises
convulsives hystériques, certaines névropathies l
on évidemment hystérique. Dans le cours du diabète il survenait des
crises
de sueurs vraiment extraordinaires, pendant les
? ,ozie- ment nerveux. A quatorze ans, après une tentative de viol,
crises
de sommeil, aboiement nerveux, accès convulsif.
édité nerveuse de l'enfant- grand'mère maternelle hysté- rique avec
crises
mère et tantes maternelles très impression- nab
petits camarades de Berck, atteints de coxalgie véritable. 2 Ces
crises
d'étouu'ement,.de laryngisme sont très fréquentes
'avoir une large respiration qui ne vient pas. A cette période de
crises
, caractérisées par des étouffements, période qu
ment aigus qu'ils s'entendent de loin. Quand l'enfant sent venir sa
crise
, elle se jette à terre, et là, la bouche largem
u quartier. Par la compres- sion des ovaires, j'arrive à arrêter la
crise
; par la suggestion, je l'ai supprimée totalemen
e totalement. Cette fillette a, parait-il, en ce moment, de grandes
crises
avec chute à terre, perte de connaissance, mouv
é du champ visuel, lors du dernier examen. Évidemment ces dernières
crises
sont des crises d'hystérie. Observation XV. Enf
l, lors du dernier examen. Évidemment ces dernières crises sont des
crises
d'hystérie. Observation XV. Enfant d'un an. Cri
crises sont des crises d'hystérie. Observation XV. Enfant d'un an.
Crises
d'hystérie. Convulsions toniques, cloniques san
e ; l'enfant est nourri aux seins. A l'âge d'un an il a sa première
crise
: les membres se raidissent, les yeux sont conv
les convulsions cloniques apparaissent, au bout de deux minutes la
crise
cesse et l'enfant se met tantôt à rire, tantôt
n. Lorsque j'arrive la première fois pour voir l'enfant, la seconde
crise
venait de se terminer, et je trouve un beau bébé
nt souffrir, il s'amusait. Je réserve mon diagnostic : était-ce une
crise
réservée à la dentition ? Était-ce une crise du
gnostic : était-ce une crise réservée à la dentition ? Était-ce une
crise
due à quelques lombrics ? Etait-ce une crise d'hy
ntition ? Était-ce une crise due à quelques lombrics ? Etait-ce une
crise
d'hystérie ou d'épilepsie ? Le réveil, à coup s
pas celui de l'épilepsie. Le lendemain on me rappelle, une nouvelle
crise
s'était pro- duite, pendant ma consultation, no
Puis tous les mois environ, et cela pendant plus d'un an ces mêmes
crises
se répètent. Depuis trois ans les accès n'ont p
recherche des stigmates hystériques ne donne pas de résultats ; les
crises
se répétant tous les mois, pendant un an et dem
dans mes expériences. J'ai assisté cette malade durant cinq ou six
crises
de ce sommeil ' Les paupières ne formaient null
tout le corps. Pas de réflexes pharyngiens, il a eu fréquemment des
crises
de dyspnée avec toux croupale. 378 CLINIQUE NER
ue. Combien d'enfants ai-je rencontrés, présentant vers un an des
crises
éclamptiques qui, depuis, n'ont jamais indiqué le
Ce n'est pas ainsi que se comporte ordinairement cette névrose avec
crises
convul- sives, mode d'accidents qui révèle une
nt cité un cas d'hystérie chez une jeune fille de quatorze ans avec
crises
convulsives, para- lysie, mutisme, ovaralgie, a
si grande à cet âge. J'ai toujours présente à l'esprit cette belle
crise
d'hystérie que je déter- minai en essayant un j
pas. Une demi-heure après cette chute, il a présenté sa première
crise
de convulsions. Les crises convulsives se sont ré
ès cette chute, il a présenté sa première crise de convulsions. Les
crises
convulsives se sont répétées depuis durant'trei
temps, il n'est jamais resté vingt-quatre heures sans présenter de
crises
. Ces attaques violentes, journalières, duraient
s de tête avec sensation de brûlure. Eu mars 1895, à la suite d'une
crise
plus violente que de cou- tume, il resta sans p
'avait eu d'autre résultat que d'amener une rémission passagère des
crises
. La cicatrice résultant de l'accident se trouve
important (déduction faite des cas relativement peu nombreux où les
crises
d'épilepsie sont directement sous l'influence d
fût bien pénétré de cette vérité que toute amélioration marquée des
crises
épileptiques, qu'elle porte sur leur fréquence
vrer à des mani- festations qui se terminaient pareillement par des
crises
de larmes. A la moindre indisposition de son ne
étendu sans mouvement ; l'émotion qu'il en ressentit détermina une
crise
de larmes, des sanglots, un véritable accès de
'elle soit tout à fait continue. En tout cas, dans l'intervalle des
crises
et même durant les crises, lorsqu'elles ne sont
tinue. En tout cas, dans l'intervalle des crises et même durant les
crises
, lorsqu'elles ne sont pas trop intenses, les su
stématisées, aux constitution- nelles notamment, dans lesquelles la
crise
n'a lieu qu'avec le retour de la cause provocat
riodes sont surtout marquées, en clinique, par une recrudescence de
crises
doulou- reuses, des troubles des sphincters, de
per sous cinq chefs principaux : 1° Les douleurs fulgurantes et les
crises
viscéralgiques sont justiciables de tous les sé
pos- sible les injections de morphine), antipyrine, etc. Contre les
crises
d'estomac, on a employé l'oxalate de cerium. L'
oculaires, les troubles trophiques, les troubles circulatoires, les
crises
bulbaires sont le point de départ d'indications
sements). Une deuxième phase d'excitation : dédire, contractures et
crises
jack- sonniennes. Enfin, une période terminale
tendance à les considérer comme pathogéniques, quoique la première
crise
vraie de maladie de Graves n'ait apparu qu'au m
à remarquer, noté déjà dans le cas de Paul', c'est l'éclosion d'une
crise
aiguë de goitre exophtalmique après la guérison
des habitudes nomades, eut des 504 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
crises
d'intempérance, chaque crise étant accompagnée de
s 504 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. crises d'intempérance, chaque
crise
étant accompagnée de douleurs localisées, d'exc
uleurs fulgurantes (antipyrine, antiféhriue, phénacétine, etc.) les
crises
douloureuses diverses (gastriques, ano-vésicales,
jacksonienne la plus grave que nous ayons jamais vue. La durée des
crises
, que nous n'avons pu déterminer facilement, par
euse jeune fille de vingt-trois ,ans, IIIlc Franclet; sujette à des
crises
, de nerfs est tombée la semaine dernière dans s
ue et impossible à constater de visu, comme cause du vertige. Cette
crise
passagère terminée, les intermittences sont rev
tatives, sans cesse recommen- cées et jamais achevées, elle eut des
crises
convulsives suivies d'une violente agitation, t
ervé la conscience de son état durant sa maladie. Au moment de la
crise
, en dépit d'elle, et malgré ses efforts pour se m
ès elle était admise d'office pour la seconde fois. Durant les deux
crises
, les sentiments affectifs de cette femme sont r
née, et ils sentent leur intelligence renaître avec l'absence des
crises
. Cette conscience d'un affaiblissement intellectu
prise, ensuite le bras et le tronc, et en dernier lieu la jambe. La
crise
totale a duré une demi-heure. Quand l'engour- d
e bien caractérisée dans le côté droit ; il a pu marcher pendant la
crise
. 11 n'y a pas eu de vomissements, ni de céphala
ements, ni de céphalalgie consécutive. Cinq jours après, nouvelle
crise
, en toutsemblabie a)a première. Le malade est r
nique. Le 23 juillet 1882, pendant son séjour à l'hôpital, nouvelle
crise
. L'amblyopie transitoire et l'engourdissement o
et le trouble de la vue s'est généralisé à tout le champ visuel.^La
crise
a été moins longue que les deux pre- mières, el
délicate. Elle a toujours été nerveuse, et avait souvent de petites
crises
hystériques. Mais, ce n'est que depuis trois ans
ons. A peine la malade était-elle mise sur son lit, qu'une nouvelle
crise
éclata. Il y eut une courte période de spasme t
rphine, les asper- sions d'eau froide demeurèrent impuissantes. Les
crises
se succé- daient rapidement à des intervalles d
e à plusieurs reprises, pour acquérir l'entière conviction, que les
crises
étaient bien complètement cal- mées par la comp
ds mouvements. Le gonflement du cou est un trait bien spécial de la
crise
hystérique et qui n'a pas échappé au Dr S. Ayres.
de la crise hystérique et qui n'a pas échappé au Dr S. Ayres. Les
crises
se succédaient de façon à constituer ce qui a été
double résultat opposé : l'arrêt des convulsions pendant l'état de
crise
et au contraire le développement des convulsions
u contraire le développement des convulsions en dehors de l'état de
crise
. C'est ce que le médecin américain a pu égaleme
admission à l'hospice, je fis, dans l'intention de provoquer une
crise
, une tentative qui aurait pleinement réussi, si l
te à un cas d'hystéro-épilepsie des plus manifestes dans lequel les
crises
convulsives revêtant les apparences de l'accès
très irré- gulièrement menstruée, et que la forme spéciale de ses
crises
avait d'abord conduite à l'hôpital des épileptiqu
ces aux espiègleries . Le Dr Hamilton donne le récit d'une série de
crises
dont il fut témoin, et qui débuta par plusieurs
gnée d'un bon dessin qui représente la malade à cette période de la
crise
. Il suffit d'un simple coup d'oeil pour être fr
pied- bot hystérique. La contracture ne céda que peu à peu. Cette
crise
fut accom- pagnée d'une suppression d'urine qui
se hystérique. Ce pourrait être là un exemple d'hystéro-épilepsic à
crises
distinctes, c'est-à-dire de cette forme de 1'li
i présente au rang de ses manifestations convulsives deux sortes de
crises
distinctes, les unes relevant uniquement de l'h
le delirium tremens, et qui est évidemment de nature hystérique. La
crise
avait débuté par un accès d'apparence épileptiq
uccession, tels que je les ai observés dans une circonstance où les
crises
furent très fortes. Une fois la malade couchée,
a position, le geste, la physionomie de la malade vers la fin de la
crise
et aussi par les paroles qu'elle proférait. Enf
de la malade qui se prolongeaient quelquefois longtemps après la
crise
. Dans le second cas rapporté par le même auteur
ment précisées. L'apnée jouait un rôle prédominant et donnait aux
crises
un aspect particulièrement effrayant. La crise
nant et donnait aux crises un aspect particulièrement effrayant. La
crise
semblait surtout composée des phénomènes de la
en avant. Cette attitude qu'elle prenait souvent au mi- lieu de ses
crises
semble bien répondre à une hallucination, et po
assionnelles qui caractérisent la troisième période. Enfin quelques
crises
furent suivies d'un sommeil léthargique de plu-
, aussi bien qu'en Russie, des malades hystériques ont présenté des
crises
parfaitement comparables à celles que nous avon
érale gauche. Parésie du côté droit du corps intéressant le facial.
Crises
laryngées. M. Lap ? trente-sept ans'. Aucune ma
tant jusqu'à cinq ou six fois dans la nuit. Quelques-unes de ces
crises
ont été assez violentes pour faire redouter une t
uis dix-huit mois, le malade éprouve de la polyurie qui revient par
crises
et s'accompagne de lourdeur de tête. Dans la
de lourdeur de tête. Dans la nuit du 8 février 1881, il éprouve une
crise
sem- blable : il urine plusieurs fois, et outre
observation les particularités suivantes : La polyurie revenant par
crises
et associée à un léger degré d'albuminurie doit
tase des veines de la rétine. 1 Depuis six semaines le malade a des
crises
épileptiformes qui, actuellement, se renouvelle
fatigue ou sous l'influence d'une émotion, mais surtout pendant les
crises
de vertige. Actuelle- ment elle est plus persis
héréditaires avoués. Depuis plusieurs années, vertiges revenant par
crises
d'une durée va- riable sans perte de connaissan
is la tête se prenait, et le sifflement et le ver- tige arrivaient.
Crises
, une par mois, sans rapport avec les règles. En
use, 176 CLINIQUE NERVEUSE. elle a remarqué qu'au plus fort de sa
crise
le bourdonnement cesse. L'action de tousser, de
s ans (1878), sans aucune cause appréciable, et a consisté en une «
crise
d'estomac ». A cette époque déjà la malade se pla
n si violent chagrin qu'elle resta près de quatre jours au lit. Les
crises
gastralgiques fort rares au début devinrent de
rachait des larmes. (Je passe sous silence le récit détaillé de ces
crises
gastralgiques évidemment de nature hystérique,
les voya- geurs faillirent être précipités. Le lendemain éclata une
crise
de gastralgie. Ces accès douloureux, bien qu'av
accidents nouveaux. Tout à coup, au plus fort de l'agitation d'une
crise
de gastralgie, J... perd subitement l'usage de
reste pas moins dans l'état semi-cataleptique qui avait précédé la
crise
. Les attaques d'hystéro-épilepsie se sont donc
présence d'hallucina- tions sur lesquelles la malade, en dehors des
crises
, a pu donner quelques détails. J... raconte a
cataleptique singulier, pour arriver au récit d'une autre série de
crises
hystéro- épileptiques, un peu différente de la
s règles de quatre heures du soir à sept heures, la malade entre en
crise
. Première attaque. Phase de l'aura, d'une durée
qui étaient d'ailleurs fort nets et très bien articulés. Après la
crise
, la malade se souvient parfaitement du rêve qu'el
mpagner son amie, et c'est sous cette impression qu'est survenue la
crise
. Comme d'ordinaire, l'attaque commence par la p
compression ovarienne a toujours amené la cessation immédiate de la
crise
, qui, sitôt la compression suspendue, reprenait
. La malade puise dans les impressions qui ont précédé le début des
crises
ou dans celles qui surviennent au cours de la m
ains phénomènes cataleptiques persistant même dans l'intervalle des
crises
. Mais chaque attaque débute par une période épi
réaction dégénérative. Après une série de mieux et de plus mal, de
crises
doiloureuses dans le tronc et les extrémités, l
cervicale) avant d'atteindre les racines postérieures : d'où les
crises
névralgiques reléguées au dernier stade et passag
troubles paralytiques divers, fugaces plutôt que perma- nents. Des
crises
laryngées, des attaques épileptiformes peuvent
es accès; pendant les années qui suivent des auras périodiques, des
crises
convulsives nocturnes, d'abord incomplètes, pui
lui peu de temps avant l'accès; seulement amnésie complète pour ces
crises
de sommation. En conséquence, dit l'ora- teur,
et exécutait des actes complexes et certaines pratiquesobscenes les
crises
d'épilepsio classique ne se montrèrent que plus f
surtout'des : sensations de-i-oiîgeïi2ent qui surve- , liaient par
crises
desrintervalles variables et .persistaient tant
ade aurait eu à.plusieurs reprises des- attaques apoplectiques avec
crises
épilelpisoi Fn Inisseiii6nts, j etc ? etc ? t
jlltesa9 tt7rrtus"deief rie;iLcI'ly intënses. ? B' ' d 1 · Le 18,
crise
épileptiforme, le matin, et qui dure environ' mie
pastiques. Passant aux vertiges qui surviennent aussi sous forme de
crises
, - prin- cipalement'l'après-i-nidi, en's'accomp
ptômes observés. , ? ,. D. B. , .YlL'SU12 une forme particulière de
crises
gastriques non gastralgiques dans l'ataxie loco
gressive ; par R. Lépine. (Got zzéclcal, n° 38, 1882.) A côté des
crises
gastralgiques, s'accompagnant souvent de vomiss
sormais décrire chez les tabétiques une forme beaucoup plus rare de
crises
gastriques, caractérisées 356 REVUE DE PATHOLOG
ent extrêmes donnaient les plus vives inquiétudes sur l'issue de la
crise
. Les vomissements non douloureux surviennent pl
oureux surviennent plus fréquem- ment à l'état isolé ou par petites
crises
, alors que leur indé- pendance de l'alimentatio
il s'acctoissentctscprolongent. Tel est son état à son arrivée. Les
crises
d'hypnotisme ne se res- semblent pas foutes : l
état; ces fonctions ne se rétablissent point dans l'intervalle des
crises
, mais le malade s'exprime parfaitement par écri
compagné de battements de cceur. La malade sent l'approche de ses
crises
; pendant leur durée clic entend et comprend sans
amie), de la précipitation et des tremblements dans les mouvements.
Crises
alternant avec des rémissions et inter- vallesl
es nerveux, d'abord irritatifs, puis psychopa- thiques (agitations,
crises
épileptoïdes, amnésie). L'extirpation de la cic
tupeur : (t) soit simple; b) soit avec hallucinations, c) soit avec
crises
d'excitation, soit avec une tendance spéciale à
urables (folie éhilcptique). La folie momentanée précède ou suit la
crise
, quelquefois même la remplace (ëptpsfe larvée);
au membre inférieur; paralysie prédominante au membre supérieur.
Crises
de larmes involontaires, spasmodiques quand on l'
fait récent. Silva ' a publié un cas d'épilepsie jacksonienne ; les
crises
débutaient par le facial supérieur (frontal et
ougeraient pas. Ils sont par- fois pris tout à coup d'une espèce de
crise
impulsive pendant laquelle ils se livrent autom
ils se livrent automatiquement à des violences et actes dangereux,
crise
désignée sous le nom de raptus melancolicus. Il
affectifs. - Tentatives de suicide. - Fumait beaucoup en cachette.
Crises
It ! lsléi-ifoî-nies. Menaces ci l'adresede ses
janvier 1896, à la suite de reproches faits au collège, vio- lente
crise
nerveuse : le corps s'est raidi, puis l'enfant s'
mbé si on ne l'avait pas retenu. Durée, moins d'une minute. La même
crise
s'est reproduite cinq fois, de janvier à j iiil
er à j iiillet 1896. Le caractère a dès lors continué empirer, le
crises
de colore sont devenues plus fréquentes. Une fois
ures, puis dans la Seine, s'accroche au parapet, aux réverbères. La
crise
a duré une heure et demie. Reconduit chez sa so
ts. Se figure que sa soeur lui en veut. Pleure quelquefois avant la
crise
, quelquefois après. Se plaint d'étouffer « ça p
des. Ne reste jamais seul, à moins qu'il ne soit sous le coup d'une
crise
de colère. Désordonné, indifférence personnelle
rée à l'endroit des réprimandes qui déter- minent chez lui soit des
crises
de colères, soit des accès de mélan- colie. Les
ue. Sens moral disparu. 16 juillet. Le jour de son entrée, violente
crise
de colère quand il a appris qu'on voulait le la
atigué, se traînant et va s'asseoir sur un banc. Durée totale de la
crise
de colère : une heure trois quarts. René ne m
omme les autres. Il cause même gaie- ment avec ses camarades. 24.
Crise
à la suite d'une invitation à écrire une lettre à
ras, il est restédix jours dans sa famille; n'a eu ni l'ombre d'une
crise
, ni la moindre velléité de désobéissance. Fait
a ALCOOLISME DE L'ENFANCE. 57 Î très bien, qu'il n'a plus eu de
crise
, qu'il est en pension à D... où on est très con
es accès de colère. A la fin de janvier 1896, il a eu ,une première
crise
nerveuse, hystériforme. De là, jusqu'à juillet
use, hystériforme. De là, jusqu'à juillet 1896, il a eu cinq autres
crises
. Puis, le caractère s'empire, les crises de col
1896, il a eu cinq autres crises. Puis, le caractère s'empire, les
crises
de colère se multiplient. 0... menace de se sui
e. 111. Durant les premiers jours de son admission, René a eu des
crises
de colères, a refusé de manger, et adressé des
ait la suivante : femme de soixante-quatre ans, toujours nerveuse ;
crise
de manie après la naissance de son premier enfa
e après la naissance de son premier enfant ; à vingt-trois ans, une
crise
de chorée ; vers cinquante-quatre ans, elle dev
quel- quefois même impossible, et avec l'hystérie, surtout avec les
crises
d'hystérie qui peuvent être confondues avec les
et notamment, au début, avant l'ap- paiition du premier accès, les
crises
de colère fréquentes, les absences, les vertige
ont entrer dans le diagnostic ainsi que les heures d'apparition des
crises
, l'aura, l'ac- cès lui-même sur lequel l'auteur
naison habituelle de la durée morbide par BIBLIOGRAPHIE. 85 une
crise
convulsive accompagnée et suivie de phénomènes ps
. Pendant la, période de convalescence, il y a de temps à autre des
crises
éliminatoires éloignées et le médecin doit redou-
les sur les causes et la nature du tabès, les symptômes cardinaux :
crises
douloureuses, troubles urinaires, troubles ocul
e s'est montrée surtout efficace sur le ? douleurs en ceinture, les
crises
gastriques, les dou- leurs dans les membres inf
évidents de dérangement cérébral. Hier ma- lin, pris d'une soudaine
crise
de folie furieuse, le malheureux descendit dans
x heures). Toute médication échoue et la fréquence moyenne de trois
crises
par jour se maintient. Opération en deux séance
quamations des mêmes organes glandu- laires, se manifestant par des
crises
éliminatoires d'intensité décroissante au cours
fils d'un commerçant de la rue Mont- martre, souvent en proie à des
crises
d'alcoolisme. Ce jeune homme se livrait alors à
que. Bazin 2 trouve qu'elle est fréquente surtout après les grandes
crises
. Iluppert 3, de Witt 4, Nothna- gel °, Furstner
pertoxicité du sérum sanguin, dans les névroses paroxys- tiques, la
crise
épileptique, les convulsions. Tout dernièrement
E... a eu une attaque épileptique le 20 mai. Vingt minutes après la
crise
nous avons pris du sang. L'injection du sérum,
ris ne prouvent qu'une légère toxicité du sang épileptique après la
crise
. Et ce sang a été recueilli une a deux heures a
s convulsions iso- lées, et là de vraies attaques épileptiques avec
crise
initiale ? Pourquoi toutes les femmes en couche
quoi toutes les femmes en couches albuminuriques n'ont-elles pas de
crises
éclamptiques ? Parce que, et tou- jours, il fau
e poids des habits. Le tact resta normal, puis s'exagéra lors d'une
crise
d'agitation et alors le malade n'eut plus cette
ion ni abolition ; ces deux troubles n'ont été notés que durant les
crises
d'agitation, tandis que l'affai- blissement a é
leur rendre le souvenir, en général, plus ou moins perdu de leur
crise
, et, parfois même, les replonge spontanément dans
rison en apparence subite indiquent un caractère périodique. Une
crise
de dépression mélancolique légère et de courte du
omme n'est pas une folie circulaire, mais peut être suivie d'autres
crises
d'agitation maniaque. Lorsque les alternatives
s mentaux périodiques est favorable en tant que termi- naison de la
crise
, mais défavorable pour l'ensemble des crises. L
que termi- naison de la crise, mais défavorable pour l'ensemble des
crises
. La thérapeutique n'offre que bien peu de resso
if des désordres nerveux et mentaux. Lorsque surviendra la première
crise
, le traitement devra être institué sur l'heure.
des réflexes, trépidation épileptoïde, attaques apo- pleetiformes,
crises
épileptiformes, migraine ophtalmique, parésie m
excitant les cellules motrices de la région, il aurait provoqué les
crises
convulsives. G. D. XXXL La fausse réminiscence
oïde vint encore rapidement à bout d'un nouveau retour offensif des
crises
de sommeil, survenu quelque temps après. Cett
asmc, le tremblement, les tics convulsifs, la chorée rythmique, les
crises
, les troubles vésicaux, dont le type est l'inco
auprès de la famille. A chaque malade correspond une fiche où les
crises
sont notées. Il arrive souvent qu'r leur entr
comme guéri avant que deux ans se soient écoulés depuis sa dernière
crise
. Prochainement sera réalisé le projet de créer
ue qui, il y a six mois, à la suite d'une violente émotion a eu une
crise
d'étouffement et est restée quatre jours sans m
irrésistibles qui constituent d'ordinaire l'équivalentpsychique des
crises
convulsives, invoquent à l'esprit de l'épileptiqu
jusque dans leurs moindres détails, les diverses péripéties de la
crise
. Il est rare au contraire, qu'au sortir d'un déli
on fils, en le maintenant, lui foula un doigt de la main droite. La
crise
passée, cet homme ne sachant d'où lui venait sa
dans laquelle se trouvent la plupart des malades au sortir de leur
crise
et on peut dire que dans aucune autre psychose
idérable : la santé générale n'est pas atteinte, il n'y a pas eu de
crises
de dyspnée, et la malade s'en- goue rarement. (
B. LI. Pathologie de l'épilepsie; par le Dr Kawse5·. La cause des
crises
d'épilepsie ne doit être cherchée ni dans l'aci
après avoir atteint une certaine intensité, se manifestent par des
crises
. Les recherches de l'auteur montrent que l'effe
ui reste dans le sang et s'y accumule jusqu'à ce qu'il produise une
crise
. Pendant ce temps il est transformé en urée ave
carbonate d'ammonium, l'intoxication se pro- duit rapidement et la
crise
épileptique apparaît. Reste à savoir quelle est
ique de carbamate d'ammonium dans l'orga- nisme, lequel produit les
crises
: au cours de ces dernières, il est décomposé e
pas non plus de rapport nécessaire entre l'existence antérieure de
crises
gastralgiques et la produc- tion de l'analgésie
M)' : (/ue.M.BËRiLLOK. Depuis deux ans, la malade est sujette à des
crises
d'hystéro-épilepsie qui surviennent sous l'infl
elle du côté gauche. Récemment elle nous donne le spectacle d'une
crise
convulsive complète avec secousses toniques et cl
reuse caractéristique de l'état cataleptique-franc. Daus ce cas, la
crise
d'hystérie, en déterminant l'inhibition des rég
ingt et un ans, elle eut dans les premiers temps de son mariage des
crises
nerveuses caractérisées par une sensa- tion d'c
ésenté àplusieurs reprises des symptômes d'hystérie (somnambulisme,
crises
à forme de contracture, sensation de boule). Ce
e de cette malade était très nerveuse, elle avait fré- quemment des
crises
d'étouffement avec sensation de boule à la gorg
n, reconnaissant qu'elle a été malade; puis, subitement, éclate une
crise
d'exaltation avec discours incohérents, agitati
sensation de froid presque continue; un peu plus tard, elle eut des
crises
doulou- reuses qui duraient souvent plus de vin
la vie de famille est désorganisée et cette même dame souffre d'une
crise
angineuse très intense. Il s'agit d'une fausse
roduction exacte d'un rêve survenu pendant la nuit qui a précédé la
crise
, mais oublié, SOCIÉTÉS SAVANTES. 401 lui au
a veine basilaire. 404 SOCIÉTÉS SAVANTES. Albuminurie après les
crises
épilepliq2aas. MM. Lannois et MAYET. 50 cas obs
l'intensité de l'asphyxie plus ou moins grande qui accom- pagne la
crise
, la constriction vaso-motrice des artérioles, le
ragraphes sommaires qui composent cette intéressante brochure : les
crises
épileptiques; prodromes' le pressentiment avant
ure : les crises épileptiques; prodromes' le pressentiment avant la
crise
, l'aura; la crise proprement dite ; l'état de m
pileptiques; prodromes' le pressentiment avant la crise, l'aura; la
crise
proprement dite ; l'état de mal; les crises épi
ant la crise, l'aura; la crise proprement dite ; l'état de mal; les
crises
épileptiques sous forme de psychoses; les crise
l'état de mal; les crises épileptiques sous forme de psychoses; les
crises
incomplètes; l'état des épileptiques dans l'inter
crises incomplètes; l'état des épileptiques dans l'intervalle des
crises
; la dégénérescence mentale de l'épilepsie; des so
au et de la bouche; vêtements des malades; le traitement pendant la
crise
; le traitement psychique des épileptiques; la m
causes occasionnelles. Dans l'hystérie, comme dans l'épilepsie, des
crises
viennent inter- rompre le devenir normal de la
s midi, sur le boulevard de Strasbourg. Pris soudain d'une violente
crise
épi- leptique, le malheureux est tombé lourdeme
entré dans l'état second, à HYSTÉRIE MALE. 1169 la faveur d'une
crise
délirante. Or, dès 1877, M. Gille» de la Touret
resque impossible; voix faible, chuchotée, respiration embarrassée,
crises
de dyspnée et de suffocation; la paralysie des
iologiques des familles des -, par Béchet, 202. Albumi- après les
crises
-, par Lannois et Ma) et, 40t. Des soins adon
désirer non plus que l'orthographe : « Depuis jeudi, à la suite d'une
crise
de nerfs et d'une attaque. Je voudrais parler, ma
ce qu'il voudrait, quand même elle ne le voudrait pas ». Plusieurs
crises
de convulsions toniques s'étaient produites sur c
urée de la nuit qui suivit la réintégration au domicile conjugal, les
crises
de raideur furent presque incessantes: elles se r
lant à elle d'une voix impérieuse, abréger quelquefois la durée de la
crise
. Mais il s'agit ici, veuillez le remarquer, d'u
n ont déterminé sur le coup, ou à courte échéance, l'apparition d'une
crise
hystérique. C'est là une remarque qu'il n'est pas
tte époque en effet, c'est-à-dire durant une période de six mois, les
crises
nerveuses, avec les troubles psychiques que vous
pnotisme ont eu lieu : mais, au bout de quinze jours, surviennent des
crises
se répétant presque tous les jours et qui effraye
ons, avaient été pris de convulsions. Boerhaave empêcha le retour des
crises
en faisant allumer des fourneaux ardents et en dé
un des infirmiers et demande impérieusement un bouton à la fin de la
crise
, il a presque toujours cette fantaisie, et il fau
nnaissance. II ne s'est pas mordu la langue et n'urine pas pendant la
crise
. Telle est l'attaque à laquelle L... est sujet.
. Il revoit l'homme armé d'un couteau et il l'invective comme dans sa
crise
. L... est non seulement suggestionnable pendant
ron un demi-verre de sang sous forme de vomique. mais sans la moindre
crise
nerveuse. A partir du 24 janvier, je cessai de le
1887. elle a perdu un enfant et son mari; n'a jamais eu de grandes
crises
nerveuses, mais est sujette à des crises de pleur
ri; n'a jamais eu de grandes crises nerveuses, mais est sujette à des
crises
de pleurs accompagnées de tremblement dans les me
thoraciques, vapeurs, hyperesthésicrachidienne défaillances, spasmes,
crises
convulsives, tout le cortège, en un mot, des phén
fini par l'ataxie locomotrice, était traitée depuis des mois pour des
crises
convulsives hystériques se répétant trois fois pa
ances restèrent infructueuses. Plus je disais : a Vous n'aurez pas de
crises
», plus elle s'opiniâtrait à en avoir. J'essayai
», plus elle s'opiniâtrait à en avoir. J'essayai de couper une de ces
crises
par suggestion ; (j'y réussis presque toujours).
n. Je recommandai à sa famille de ne jamais parler devant elle de ses
crises
et pendant l'hypnose, je ne lui en parlai plus ;
je me contentai de lui dire : « Votre système nerveux se modifie. Les
crises
pour moi n'ont pas de signification; je vous cons
r moi n'ont pas de signification; je vous considère comme guérie; les
crises
disparaîtront seules, etc. » Avec ce système, j
t, à l'insu de la malade, (je n'avais pas l'air de le savoir) que les
crises
diminuaient d'intensité et de durée, et au bout
cès de douleurs qui étaient toujours intolérables. Endormie en pleine
crise
de douleurs en ceinture, malgré ses cris, et hiss
i améliorée, quand )e fus rappelé, huit mois après, pour une nouvelle
crise
aiguè : accès de douleurs en ceintura comme autre
it paralysée du bras droit et enfin, peu de jours après, une dernière
crise
lui enlevait l'usage de la jambe. Dans la premièr
feignis de reconnaître à ses yeux qu'elle était sous l'éminence d'une
crise
et que dans quelques minutes elle serait guérie.
aient plus et j'engageai son mari a l'interroger au moment même de la
crise
et de me livrer le résultat de son enquête. Il fu
as» non pas aux résultats de M.Voisin. Sans doute, on peut couper des
crises
de manie hystérique ou certaines psychoses analog
stérie commune, à L'hystérie des anciens auteurs (c'est ainsi que les
crises
nerveuses font défaut), mais elle offre avec elle
ène, des accès incomplets qui se bornent aux symptômes de l'aura, des
crises
de larmes, puis des pertes de connaissance précéd
mais il s'était développé un état d' énervement général et de légères
crises
convulsives. Son mari que je traitais par la sugg
pas deviner ce que je pense? » Je parvins à la rassurer et après une
crise
convulsive qui eut lieu la nuit suivante, l'accès
condamné par le tribunal correctionnel de la Seine pendant une de ses
crises
. La Cour de Paris, éclairée par M. le Docteur Mot
me. Il présenta plus tard des phénomènes de différentes sortes, des
crises
et surtout de la contracture des membres. La co
la raison, je me rappelai que le sujet avait eu la veille au soir une
crise
assez violente provoquée par une grande contrarié
. Les contradictions successives de la fille Gabrielle Bompard, ses
crises
de larmes et de rires, enfin son attitude général
arfois embarrassé. Un malade venait me trouver pour être guéri de ses
crises
, j'avais la ferme volonté de les arrêter du premi
dois ajouter que j'arrivais dans bien des cas à me rendre maître des
crises
et à les réprimer; mais elles reparaissent ? la m
. On me reprochera sans doute de chercher à ressuciter la théorie des
crises
salutaires. Et cependant, n'at-t-on pas vu souven
lutaires. Et cependant, n'at-t-on pas vu souvent, sous l'influence de
crises
spontanées, certaines paralysies, persistant depu
tement les effets étaient nuls, parce qu'on s'efforçait d'empêcher la
crise
hallucinatoire et d'arrêter les mouvements convul
de souche nerveuse, était atteint depuis plusieurs années de grandes
crises
d'nystérie. Quand j'eus l'occasion de le voir, il
ystérie. Quand j'eus l'occasion de le voir, il sortait d'une série de
crises
, il était aphone. Dés que je lui appliquai mes ma
ge en lui disant que j'allais le guérir, je vis se dérouler la grande
crise
d'hystérie, avec les quatre périodes classiques ;
iodes classiques ; je continuai la suggestion, sans m'inquiéter de la
crise
et à son réveil la voix était revenue. Pendant qu
était revenue. Pendant quinze jours, je pratiquai la suggestion ; la
crise
survenait mais de moins en moins forte. Tout rent
ousses sur différentes parties du corps; d'autres fois, de vérirables
crises
, des convulsions, des pleurs, des rires ; parfois
e n'est point un paradoxe. L'organisme devient malade à la faveur des
crises
qui peuvent le guérir ; ce sont des crises qu'on
ent malade à la faveur des crises qui peuvent le guérir ; ce sont des
crises
qu'on peut appeler rétrogrades, parce que la mala
ate dans le couvent; quatre religieuses sont prises successivement de
crises
hystériques violentes et notre malade est appelée
le des chats : la vue d'un chai produit presque sûrement chez elle la
crise
convulsive. Les diverses manifestations de la n
éralement entre 1 et 2 heures de l'après-midi, sans secousses et sans
crise
convulsive. C'est en vain que Mlle X... a essay
on de la langue en dehors de la bouche, ce que la malade appelle sa «
crise
de pendu » ; une contraction violente des muscles
crire. Allaques spasmes. — Ces attaques que la malade appelle ses «
crises
d'étouffement » sont assurément, de tous les phén
t. Nous avons procédé de même pour les attaques de somnambulisme, les
crises
d'aboiement, en un mot pour toutes les manifestat
souvent, qu'à fermer les yeux d'un malheureux en proie à de violentes
crises
d'hystérie et à lui faire une suggestion pour cal
r ou le guérir de ses maux ; l'hypnotiser pour empêcher le retour des
crises
nerveuses, qu'on rencontre si fréquemment chez le
et à raconté l'histoire, se livrait à des vote incessants pendant ses
crises
. Ce sont ces vols qui décélèrent l'existence du p
ligente, Louise A...., offrait, depuis le mois de septembre 1S88. des
crises
nerveuses spontanées de deux types : de grandes c
mbre 1S88. des crises nerveuses spontanées de deux types : de grandes
crises
convulsives ( que je vous décrirai tout à l'heure
ises convulsives ( que je vous décrirai tout à l'heure) et de petites
crises
de sommeil à forme cataleptique et somnambulique.
résenta, durant les vacances et après mon retour dans le service, des
crises
très curieuses, souvent rapprochées, auxquelles l
untée à l'observation, soigneusement recueillie de M. Rauzier: « 1°
Crises
convulsives — Début par la sensation de boule et
res. La malade étouffe et ne peut parler pendant toute la durée de la
crise
. Elle tombe souvent sans perdre connaissance, mai
verticale; — gestes d'orateur etc. » Quelquefois, vers la fin de la
crise
, mouvements rhytmiques généralises, assez rapides
généralises, assez rapides, mais peu d'amplitude. » Durant toute la
crise
, les yeux sont fermés; la lace est souvent conges
t la malade de rentrer seule dans son lit. » 2° Sommeil spontané. —
Crises
pouvant durer plusieurs heures, débutent, le plus
et d'exécuter tous les actes qu'on lui commande. » En dehors de ces
crises
, curieuses et typiques, on retrouvait chez la jeu
ex. Le diagnostic n'était donc nullement douteux ; en raison de ses
crises
et de par ses stigmates, la malade était une gran
'observation de M.Rauzier, les caractères de ce sommeil provoqué: «
Crises
déterminées par la fixation du regard ou d'un obj
, répond le colporteur. Il se jette sur elle. La jeune fille tombe en
crise
, perd connaissance et ne se rappelle plus rien. Q
durant le sommeil étaient simulés. Egalement simulées, étaient les
crises
spontanées affectant la forme du sommeil. Il ne
re contestée, en raison des stigmates qu'elle présente et des grandes
crises
, dont la simulation parait impossible) qui. pou
ange, une bizarre association de phénomènes absolument vrais (grandes
crises
et stigmates), et de phénomènes simulés ou consid
essions surcertaines régions de la poitrine, déterminèrent de grandes
crises
omvulsives, avec arc de cercle. Apres trois heu
rend sa grossesse qu'elle ignorait alors, une commotion nerveuse avec
crises
convulsives. Rappelons encore le cas signalé pa
tère doux et affectueux, fut hypnotisée par un jeune médecin pour des
crises
d'hystérie. Chaque crise était ainsi transformée
ut hypnotisée par un jeune médecin pour des crises d'hystérie. Chaque
crise
était ainsi transformée en accès de somnambulisme
'écouler. Un jour, après une altercation avec son beau-père, il a une
crise
qui fait apparaître la seconde personnalité. Troi
ère survient à la même époque : alors se manifesta la première grande
crise
nerveuse. Elle perdit connaissance pendant troi
rps. A dix-huit ans, la mort de son frère lui provoque une nouvelle
crise
d'une violence extrême qui dura pendant neuf jour
s'irrite et entre à pleines voiles dans le nervosisme convulsif. Ses
crises
s'étendent et se multiplient en raison des diffic
influencent que peu ou pas les excréta urinaires. Il faut qu'il y ait
crise
pour que les modifications se produisent. L'HYP
considéré comme agent provocateur de l'hystérie et que contre cent
crises
déterminées par l'application d'une bonne giffle,
ar le seul jeu des états de conscience, il a pu faire disparaître des
crises
et des accidents dont un traitement purement soma
nétisme. Soyez certain que, quelle que soit la gravité du mal, si une
crise
est possible elle aura lieu , et, si la nature a
ais si vous avez eu le bonheur de les atteindre par votre action, les
crises
sont alors moins fréquentes, comme aussi moins do
lysies des membres et môme des nerfs optiques avaient cessé après des
crises
, des surdités aussi, mais en petit nombre. On pou
elle était extrêmement faibli», que je erai- gnais d'interrompre la
crise
salutaire qui semblait vouloir s'opérer; elle n’e
ation. RÈGLES GÉNÉRALK8. Dans toutes les maladies accompagnées de
crises
ou de redoublement, et elles sont nombreuses, l'a
lo pouvez. Reposez-vous , recommencez ensuite ; de cette manière des
crises
salutaires, bién au-dessus des ressources de la n
’il doit lui être proportionné pour la vaincre. Cet effort est appelé
crise
, et tous les effets qui résultent directement de
foie, je 11e magnétiserai point la tête. , Si jo veux produire des
crises
convulsives, les plexus m’en offrent le moyen.
d’en fixer les limites. Jamais il ne m’est arrivé de produire cette
crise
singulière sans éprouver une sorte de frémissemen
ucide, ne pouvant, éveillés, se douter de ce qui se passe durant leur
crise
, n’ont, par conséquent, nul souci et ignorent leu
, fixées, emmaillftttées, on est encore obligé de les contenir. Leurs
crises
se continuent presque sans interruption pendant t
et sa patience; car, lorsqu'il croira au succès de ses efforts, les
crises
reparailrout avec plus tic violence. Un agent i
Pour éviter toute supercherie sur la coïncidence Singulière de ces
crises
, se communiquant sans contact, à une grande dista
gnétise à une distance de plusieurs pas, et aussitôt je détermine une
crise
. Cette crise est sentie par l’autre malade , et b
distance de plusieurs pas, et aussitôt je détermine une crise. Cette
crise
est sentie par l’autre malade , et bientôt on vie
e quitter retomberiiiiis son premier état; il nie faut y revenir. Les
crises
que je fais Hàitre passent presque à ma volonté,
er nier ce qu’elle ne peut comprendre. A force de persévérance, les
crises
artificielles jjretinerit le desSiis cbe/, mes ma
. Plus tard cëpëHdant Füftë avance dans cet état, et peut prédite les
crises
qit’felfe doit encore avoir ; elle s’ordonne des
ller au delà : c’est beaucoup plus sûr. Enfin le jour arrive où les
crises
cessent de paraître; plus de troulile de la raiso
H LES MAGNÉTISEURS. Tant que je n’ai fait que chercher à calmer les
crises
des malades, par une application paisible des pro
calme, le système nerveux, et obtenir violemment la manifestation des
crises
; el, quelquefois, usant de ce procédé, j'ai renou
tion. Résolution de l'un et de l’autre dans les douleurs critiques (
crises
). Ne pas mesurer le temps, car il ne doit pas s
tisa lion s’endorment ainsi, sans que vous ayez en rien cherché celle
crise
; d’aulres, sans dormir, sentent s’opérer en eux d
exemple : « J’avais déjà, dit M. de Puységur (I), mis deux fois en
crise
magnétique (2) un homme de trente-trois ans, nomm
e : je voulus savoir un jour ce que pensait de lui un autre malade en
crise
; je pris, sans réfléchir, un jeune postillon de l
t qui venait pour la première fois de tomber dans cet état heureux de
crise
magnéti-qiie; je dis à ce jeune homme de loucher
rprit beaucoup... Ce jeune homme s’était débarrassé de la cause de sa
crise
d’une manière subite, sans que j'y eusse contribu
VOUS devez agir, car c’est là que se fait le travail, qu’aura lieu la
crise
. Quels que soient les engorgements glanduleux ain
tination, mes magnétisations étaient dirigées sur l’abdomen. Enfin la
crise
cherchée avec tant de persévérance se produisit.
uction, et, comme vous n’êtes plus là pour diriger et maintenir cette
crise
dans certaines limites, vous devez éviter de l’ab
traitement, ou bien, si vous continuez, vous exposez le malade à des
crises
qui ne sc calment qu’avec des précautions et du t
magnétisme que vingt ou trente secondes suffisent pour les mettre en
crise
, et l’agitation ainsi causée peut durer plusieurs
que dit JI. do Puységur : « La susceptibilité qu’ont les malades en
crise
niait gnétique de gagner avec promptitude certain
lonté el leur action en repous-« sent les influences, au lieu que les
crises
donnent et « reçoivent lafluidité, la transpirati
ment, l’autre, que vous avez laissé calme, reprend l'agitation et les
crises
déjà passées, et vice versa. Des heures s’écoulen
utre le second, aussitôt que je magnétisais l’une, l'autre tombait en
crise
. Ki n cependant n’avait pu avertir celle que jo n
ympathie pendant quelque temps, puis je l’ai rompue en produisant des
crises
artificielles, plusieurs de suite. J’ai détruit a
ontraire, qu’il faut remuer puissamment l’organisation, provoquer des
crises
artificielles el changer fréquemment l’heure de l
e ses Observations, dil : « M. Mesmer n’entend guérir qu’à l’aide des
crises
, cest-à-« dire en secondant ou provoquant les eff
comme lui, dans l’opinion que la plupart des folies ne sont « que des
crises
imparfaites de maladies), il ne le guérira « qu’e
n journalière prouve incontestablement qu on guérit sans provoquer de
crises
, môme sans eflets magnétiques apparents; néanmoin
nt il y a utilité, mais même urgence de provoquer le développement de
crises
toutes les fois que la sensibilité du malade le p
citer les extatiques (le l’Inde qui savent parfaitement sc mettre en
crise
magnétique sans le secours d'aucun magnétiseur, j
orces et de mouvement; mais on ne doit jamais chercher à se mettre en
crise
complète, parce que la volonté sc dérègle, et que
, i! s’exalte, pense que rien n’est plus facile que !c produire cette
crise
, n’examine plus, et il suffit qu’on ferme les yeu
jours le inéme langage. Le 25 mai, elle me dit qu’elle aurait trois
crises
le 2juin, une à huit heures du matin, une à trois
du matin, et une à huit heures et demie du soir; — le 4 juin, quatre
crises
, une à neuf heures, une à onze heures, une à cinq
mie du soir, et une à neuf heures et demie; — enfin, le 5 juin, trois
crises
, une à six heures du matin, une à une heure, et u
Je me suis rendu auprès d’elle aux jours et heures indiqués, et ses
crises
ont toujours eu lieu; elles lui duraient une heur
lle dit encore dans le cours de cette séance qu’elle aurait de fortes
crises
du 20 juillet au 15 août, et que sa dernière cris
aurait de fortes crises du 20 juillet au 15 août, et que sa dernière
crise
, celle de sa guérison, aurait lieu le lundi 13 oc
on, aurait lieu le lundi 13 octobre, à dix heures du malin; que cette
crise
ne durerait qu’une demi-heure, et que la douleur
frappait contre elle et la faisait alors bien souffrir. Toutes ces
crises
ont également eu lieu aux heures indiquées. Le
heures indiquées. Le 20 septembre, clic prédit encore de nouvelles
crises
qui commenceraient le 25 septembre jusqu’au 13 oc
oute la journée, et que le lundi 13, â dix heures, serait sa dernière
crise
; que cette tumeur se détacherait et s’évacuerait
e cette tumeur se détacherait et s’évacuerait par le bas. « Aussi, ma
crise
« passée, je boirai du lait ; cette boisson, qui
stant même et à grands courants; après plusieurs passes elle tomba en
crise
, cl je ne pus la calmer qu’après une demi-heure d
re mois, le 13 septembre, à six heures « du soir, j’aurai ma dernière
crise
. A partir du « 5 septembre, ajouta-t-elle, je ser
ts d’enfants, resta au lit pendant ces huit jours, et eut sa dernière
crise
le (3 au soir. Depuis ce jour elle se porte bie
la magnétise depuis le 2~> mai ; sa magnétisation est pénible; ses
crises
durent de quatre heures à quatre et demie ; elle
RES MAGNÉTIQUES. Bien souvent j’ai été appelé pour faire cesser des
crises
terribles, et d’une nature tellement singulière q
ture tellement singulière que nulle plume ne saurait les décrire. Ces
crises
avaient pris naissance pendant ou à la suite de m
sé, et ilnus ce cas rendormez, car à coup siir nn retour îles mômes
crises
aurait lieu. I„e souvenir effacé, et vous le pouv
ence ne pouvait rien pour lui. 4'enhepris son traitement. Bientôt des
crises
se manifestèrent ; dix, vingt, trente garderobes
importe? Ne perdez pas de vue ce fait-ci. Le magnétisme produit des
crises
heureuses, sachez les discerner, distinguer du tr
et du magnétiseur. 442 Cautères. 439 Chercheurs d'or (les). 425
Crises
magnétiques. 299 Congrès scientifique de Reims.
de café. Dans l'année qui précéda la naissance de Thérèse, il eut des
crises
nerveuses dans lesquelles il ne perdait pas conna
nce, mais il ne pouvait se tenir, tombait et parfois se blessait. Ces
crises
, qui se terminaient par des pleurs et du tremblem
absente de Paris ; elle revit sa fille en septembre. A ce moment, les
crises
étaient précédées de douleurs à la région cardiaq
'endormait. Elle n'avait ni écume, ni vomissements. En octobre, les
crises
se succédant à des époques de plus en plus rappro
ébut, T. V. 37°,7. — 9 août : T. V. 38°,2 une heure après la première
crise
. Traitement des attaques. --Divers moyens, méca
tion (l) La glace a été appliquée avec un certain succès contre les
crises
cardiaques. (Bourneville, loc. cit., p. 58.) n'a
re : toutefois nous devons dire que, à la fin de quelques-unes de ses
crises
, Th. revoyait son patron proférant des menaces co
sait pas lire et plus loin on verra que, même sous l'influence de ses
crises
convulsives, son imagination ne lui fournit que d
récaution, elle déchirerait tout \\). A peine est-elle couchée que la
crise
éclate. La face pâlit et se tourne à gauche ; l
n pendant des heures et ne redevient libre qu'à la suite de nouvelles
crises
convulsives. D'autres fois, L... pousse pointe de
ement. — Marche des deux maladies. — Relation entre les règles et les
crises
convidsives. W.. , Madeleine, était âgée de 17
irée sans connaissance. Un mois plus tard, elle aurait eu sa première
crise
nerveuse et 5 ou 6 semaines après celle-ci, les r
oup. Elle ne fait, elle-même, aucune différence entre ses différentes
crises
. A. Description des attaques d'hystéro-épilepsi
ons n'offrent rien de particulier. Relation entre les règles et les
crises
convulsives. — Depuis l'entrée de la malade à la
x seulement durant les six jours du flux menstruel ; en juin, sur six
crises
, on relève un accès et une attaque durant les cin
le déterrer. On accourut, on s'empara d'elle et elle fut prise d'une
crise
dans laquelle elle était « comme une morte.» Elle
ker, elle se serait foulé le poignet droit dans une attaque. Commeles
crises
persistaient, on la dirigea sur la Salpé trière l
a promis à la Sainte-Vierge, si elle sortait saine et sauve de cette
crise
, d'ètré pieuse et de se confesser. 22 mars. — D
iennent au moment de l'approche des attaques. Ce matin, G... a eu une
crise
épileptiforme, terminée par la période de stertor
encore, que les rapports sexuels, au moins au début, diminuaient les
crises
convulsives que les deux grossesses en ont augmen
nne du côté droit. — Autres caractères des convulsions : Lubricité- —
Crises
cardiaques. — Cautérisation du col utérin au fer
, est nerveux, sujet, s'il est contrarié, à des tremblements et à des
crises
dans lesquelles il étouffe, devient tout noir, to
, laisse échapper en abondance une salive mousseuse. Dans une autre
crise
, elle envoie des baisers avec les lèvres, sort et
ns lesquels la tète et le tronc battent brusquement l'oreiller. Ces
crises
, qui sont séparées par des intervalles de calme e
ont moins pénibles. Hier, à la suite d'un accès de ce genre, sorte de
crise
hystérique avortée, avec prédominance des phénomè
s très-faibles et engourdis. Il y a quelques jours, aussi après une
crise
semblable, M... a eu un torticolis: la face était
112; T. R. 39°,7. — Soir : T. R. 38°,9. 8 juillet. — M... a eu deux
crises
douloureuses dans l'après-midi. La nuit a été ass
i arrive d'habitude après l'inhalation de nitrite d'amyle. Dans cette
crise
, les membres inférieurs se dressent en l'air, s'e
qui l'emporte. — Au membre supérieur, elle n'apparaît que durant les
crises
épileptiformes signalées hier et que l'on désigne
le nom de « contractions ou d'accès de contracture. » Quelquefois ces
crises
se compliquent de contorsions avec grimaces affre
ois ces crises se compliquent de contorsions avec grimaces affreuses [
crises
démoniaques, Pl. XL.). Elles durent 15, 20, 30 se
1870 1871 1872 1873 1874 1875 1876 1877 NATURE DES
CRISES
HYSTÉRIQUES. Attaques et attaques épileptif orm
ns de passer en revue, constituent en quelque sorte, à eux seuls, une
crise
d'un genre spécial, ou, au contraire, s'ajoutent
survient, tantôt à la suite d'une attaque, tantôt en dehors de toute
crise
convulsive. Rosalie L... nous fournit un exemple
alors que M... n'avait pas eu d'attaques depuis trois mois, et si les
crises
convulsives ont encore manqué pendant les trois
rivait ses révélations sur des feuilles d’arbre et perdait, après ses
crises
, toute espèce de souvenir. Le caractère mélancoli
des oracles, soit pendant leur sommeil, soit pendant leurs accès. Ces
crises
ne présentent-elles pas une frappante ressemblanc
stition, m’offrent certainement l’analogie la plus frappante avec les
crises
du somnambulisme médical. La divination, chez l
des somnambules modernes présente la plus parfaite identité avec les
crises
prophétiques des anciens peuples. Aristide, apr
n somnambulisme et qui passaient pour sorcières. Ce lut pendant des
crises
de cette nature, que S. Thomas d’Aquin recueillit
de Mesmer : « Dans les maladies nerveuses, lorsque, dans un état de
crise
, l’irritabilité se porte en plus grande quantité
isiblement dans mes bras, sans convulsions ni douleurs! Je poussai la
crise
, ce qui lui occasionna des vertiges : il parlait,
l parlait, s’occupait tout haut de ses affaires. Après deux heures de
crise
, je l’apaisai et sortis de la chambre, etc. » (
ficiel n'est que le produit de la magnétisation. « Dans cet état de
crise
, dit Mesmer (1), ces êtres peuvent prévoir l’aven
imentaire, comme l’homme des champs, ressentira plus facilement cette
crise
salutaire, sous l’empire du magnétisme, car la na
nt de Mesmer, dont la méthode consistait spécialement à provoquer des
crises
; ces crises ou convulsions devinrent si communes
dont la méthode consistait spécialement à provoquer des crises ; ces
crises
ou convulsions devinrent si communes, qu’elles pa
tigues d’une intuition prolongée. Cette somnolence précède parfois la
crise
somnambulique, et se rencontre fréquemment aussi
ent chez les malades que chez les gens bien portants; c’est alors une
crise
de la nature qu’il faut utiliser au profit de la
y prendrait pour opérer une guérison. La nature ne guérit que par des
crises
, c’est-à-dire, par un combat entre elle et le mal
ées sur le dos, où je commençais à souffrir. J’eus alors une première
crise
nerveuse, pendant laquelle on me pratiqua une sai
veut plus me garder à Bretiége. I)e retour dans ma famille, j’eus des
crises
presque continuelles, pendant lesquelles je perda
e visage; le onzième, un violent regorgement de sang; le douzième une
crise
, avec raideur cataleptique pendant quarante-huit
nouveau pendant trois mois. Pendant ce temps, j’avais rarement îles
crises
dans la journée, mais la nuit j’en avais successi
ur le dos et les jambes ; continuation pendant sept jours. « Le 20,
crise
nerveuse avant de prendre la douche ; on transpor
uche ; on transporte la malade immédiatement dans son lit. (( Cette
crise
se manifeste, comme les précédentes, par les cara
yen échoue. Sa belle-sœur, qui était présente, nous dit que, dans ses
crises
, on parvenait toujours à lui rendre le calme en l
ment à elle, en demandant naïvement si elle ne venait pas d’avoir une
crise
. u Le lendemain 21, M“* *** est de nouveau soum
et dont, la plus forte durait une demi-heure environ, elle eut trois
crises
plus fortes, dont la plus violente, et qui selon
le avait annoncé durant son sommeil, le mercredi 9 octobre, que cette
crise
commencerait le dimanche 13, à neuf heures du soi
ouvenir de ce qui s'est passé dans son sommeil magnétique ou dans ses
crises
spontanées, et que nous nous gardons bien de lui
a pu faire. « Voici les phénomènes principaux qu’a présentés cette
crise
: Ce jour-là mon frère est obligé de s’absenter
’absenter ; je reste donc seul près d’elle, et, sans lui parler de la
crise
, j’attends et j’observe. A huit heures du soir, e
par la bouche ni en lavement le plus léger laxatif sans éprouver une
crise
violente, j’étais encore obligé de vaincre sa rép
e 15 février elle aura, à la suite d’une des syncopes de la nuit, une
crise
qui commencera à minuit trois quarts, et durera t
: « La faim dévorante est toujours chez moi le signe précurseur des
crises
, elle ne doit pas être satisfaite; depuis aujourd
doit pas être satisfaite; depuis aujourd’hui jusqu’au 15, jour de ma
crise
, je mangerai très-peu ; le matin, du lait et un t
n peu de veau; le soir, seulement du pain et du lait. La veille de ma
crise
, je ne prendrai, le matin, que du lait sans pain
di, un peu de potage, et diète absolue le soir. On pourra prévenir ma
crise
en me magnétisant depuis neuf heures du soir jusq
c, qui nécessiterait une application de sangsues. Quand l’heure de la
crise
sera venue et que je ressentirai des spasmes au c
e nouveau, et terminer ainsi jusqu’au calme com- Îilet. Après cette
crise
, j’aurai moins faim, j’éprouverai de la atigue et
l’emploi de l’eau froide. » 15 février. — A minuit trois quarts, la
crise
commence; exécution fidèle des prescriptions des
is qu’on doit éviter absolument de lui donner des pommes de terre. La
crise
. quoique avortée, lui a laissé beaucoup d’angoiss
l. —Névralgie dentaire et faciale très-intense, causant deux ou trois
crises
par jour; resserrement des mâchoires. 21 avril.
nt fourni peu de sang; après l'application des sangsues, une première
crise
nerveuse survint, puis une seconde pendant la. nu
oins de deux œufs de poule, et conservant l'empreinte dm cœcum. Trois
crises
nerveuses dans la nuit du 24 au 25. 28 avril. —
ste plongée dans un état comateux. 2 mai. — Dans la nuit du 2 au 3,
crise
violente, sans raideur cataleptique cependant, ma
ntifs, appelle par leur nom des personnes qui lui sont chères : cette
crise
dure vingt-six heures. Deux saignées du bras, une
te crise dure vingt-six heures. Deux saignées du bras, une pendant la
crise
, une seconde après la crise. La tête est plus cal
es. Deux saignées du bras, une pendant la crise, une seconde après la
crise
. La tête est plus calme et la douleur plus suppor
z moi M. l’abbé Combalot, et l'ai laissé seul avec un cataleptique en
crise
et non en crise. .l'ai lu depuis lors tout ou l
Combalot, et l'ai laissé seul avec un cataleptique en crise et non en
crise
. .l'ai lu depuis lors tout ou la majeure partie
parmi les mouvements instinctifs qui se sont manifestés pendant leurs
crises
, nul ne s’est attaché à autre chose, si ce n’est
ui, se trouvant dans les angoisses et les affreuses souffrances d’une
crise
de nerfs, a été instantanément soulagé par quelqu
t artificiellement, par la magnétisation, soit naturellement, par des
crises
spontanées, lesquels répugnent tous plus ou moins
alade se réveilla, se plaignant d’une douleur très-vive au front. Une
crise
nerveuse aurait eu lieu, sans doute, si j’avais c
, si une personne malade, qui lui était chère, venait à succomber. La
crise
qu’elle avait alors étant survenue après la récep
esser le mal, ce qui est un immense avantage, car il est rare que les
crises
durent moins d’une heure; le plus grand nombre es
. « Tout ce que le somnambule a lu, vu, entendu, imaginé pendant sa
crise
, il l’oublie entièrement lorsqu’il revient à son
te selon la volonté du magnétiseur. Le somnambule acquiert pendant la
crise
des facultés qu’il n’avait pas. Ainsi il jouit de
ternes d’une personne présente, qu’ils lui prédisent une maladie, une
crise
ou autre chose semblable, en en fixant le jour et
asses magnétiques, qui la tirèrent enfin de sa léthargie, soit que la
crise
fût naturellement terminée, soit parce que ces pa
présence. Que s’il arrive que quelques malades croient, pendant leurs
crises
, percevoir son odeur, un effet occasionné par son
ng du cou, se perd sur les épaules, donne quelques borborygmes, et la
crise
salutaire est opérée. C’est toujours une friction
t tuée ; mais je vois que j’en ai pris juste assez pour provoquer une
crise
, et c’était ce qu’il fallait.... Et tenez, en ce
elle parla librement à l'heure juste tfn’elle avait prédite, et les
crises
se succédèrent dans l'ordre qu’elle avait tracé.
ps en évitant la société, et elle venait reprendre les travaux que la
crise
lui avait fait interrompre. Elle a un accès hys
ns de siège froids dans la journée. Le quatrième jour, une deuxième
crise
hystérique survient ; je modifie le traitement dé
bain. Ce traitement continue pendant plus d’un mois sans qu aucune
crise
se manifeste. Tout à coup, et sans pouvoir y ra
nifeste. Tout à coup, et sans pouvoir y rattacher aucune cause, les
crises
reparaissent périodiquement tous les soirs à.huit
leurs formes et dans leurs caractères ; c’est-à-dire que, pendant la
crise
qui commence et se termine à peu près comme les p
e lui ordonne de se lever, de s’appuyer sur mon bras, elle obéit : la
crise
continue; et pendant qu’elle semble ainsi domptée
distante d’une centaine de pas du lieu où nous nous trouvons. Cette
crise
, d’un caractère nouveau, dure jusqu’au lendemain
issons et d’aliments excitants. Pendant trois semaines environ, des
crises
semblables à celle dont je viens de parler se ren
avant lui étaient sympathiques, qui pouvaient l’approcher pendant ses
crises
lui deviennent subitement antipathiques. Après
ntent un autre ordre de phénomènes ; ainsi, à huit heures du soir, la
crise
se présente comme à l’ordinaire, mais avec les ca
sans qu’on l’ait nullement questionnée à cet égard, que de nouvelles
crises
lui surviendront au bout de huit jours, pendant q
eront, la durée et le nombre d’accès dont chaque soir se composera sa
crise
. Au jour indiqué par elle, c’est-à-dire le 14 m
oir, à peine est-elle entrée en somnambulisme qu’elle nous dit que la
crise
dont elle a parlé commencera à neuf heures, qu’il
t elle s’étend sur son lit. A l’heure précise, le premier accès de la
crise
commence; plaintes d’abord étouffées, puis cris e
je vais dormir tranquillement toute la nuit, et je ne sortirai de ma
crise
que demain matin à neuf heures. » Pendant les i
e devait faire le lendemain ; elle reconnaissait que la nature de ces
crises
était très-favorable, qu’elles étaient produites
esterait encore huit jours pour continuer sa cure, mais sans avoir de
crise
, et que le 19 elle pourrait retourner dans sa fam
ces fonctions assez pénibles depuis plus d’une année, sans qu’aucune
crise
ait reparu ; elle donna même, pendant plusieurs m
important à signaler, c’est que pendant les époques menstruelles les
crises
et les accès étaient d’une violence encore plus g
ambule éveillé perd le souvenir de tout ce qu’il a éprouvé pendant sa
crise
; il n’a conscience d'aucune impression déposée da
res tombent dans le sommeil magnétique : on eu a même vu éprouver des
crises
qui rappellent le baquet mesmérien. On a remarqué
ure perte; ensuite elles ont causé souvent à des femmes nerveuses des
crises
qui les ont fait souffrir, parce qu’un magnétiseu
t riant, s’est plaint de douleurs d’estomac, auxquelles a succédé une
crise
nerveuse des plus intenses. Ne sachant de quelle
euse qui simulait l’épilepsie. Cette malade tombait en effet dans des
crises
où tous les symptômes de cette affreuse maladie p
rel; la chaleur de la peau ne paraissait point être augmentée, et les
crises
nerveuses dites épileptiques^n’avaient point repa
s mes efforts, je n’obtins rien de moins. Jusqu’au dernier moment les
crises
continuèrent pendant la magnétisation, et à la de
frêle était comme emporté dans l’espace. A dater de ce jour, plus de
crise
d’épilepsie, plus de malaise ; une santé parfaite
à 14 mois qu'il commença à perdre connaissance. L'en- fant dans ses
crises
ne voyait plus clair, n'entendait plus; il se c
émique, très nerveuse, prompte à la co- lère, mais n'a jamais eu de
crises
, ni de migraines. Dans sa jeunesse,elle a eu qu
ture de musc ; plus tard, phosphate de chaux). Jusqu'à ce jour, les
crises
ont persisté avec des variations de fréquence e
s l'enfance, migraines. - Grand-père ma- ternel : excès de boisson.
crises
convulsives. - Deux cousins aliénés.- Pas de co
rveux et a tous les 5 ou 6 mois, depuis une di- zaine d'années, des
crises
convulsives dans lesquelles il se mord la langu
ous les mois; Dub... a marché à un an. A partir de là, après chaque
crise
convul- sive, il était un ou deux jours sans po
jours et put marcher sans traîner la jambe. Comme par le passé, les
crises
con- vulsives redevinrent mensuelles. Vers l'âg
« qu'il laissait tomber les objets de la main gauche. » Bientôt les
crises
devinrent plus fréquentes (plusieurs par mois)
urd, plaintif, ', prolongé et était pris de convulsions. Un jour la
crise
débuta par une sorte d'hallur cination : « Oh !
ère, toutes ces couronnes ! » Ce fut le 12 juin 1880 que, après une
crise
de 6 heures, avec prédominance des convulsions
t contracture. Durant les- trois ou quatre mois qui suivirent cette
crise
, pas d'autres accès, mais le malade se plaignai
nutes et sont identiques à ceux que nous avons décrits. Depuis la
crise
de juin 1880, modification considérable de l'in
e précédent, suivi d'une parésie à gauche et d'une augmentation des
crises
convulsives. Du- rant cette phase, les facultés
1 de 96 pages. 28 imbécillité. trois ou quatre ans, sujette à des
crises
caractérisées de la façon suivante : elle tomba
eur caché dans la chambre à farine de son père), il eut sa première
crise
; il tomba privé de connais- sance et se débatti
ble qu'on ne l'aurait pas gardé aussi longtemps s'il avait eu des
crises
nerveuses. Un autre fait viendrait à l'appui de c
ts consignés sur les divers registres ne mentionne l'existence de
crises
convulsives observées à cette époque. Ce serait
ntéressant idiot à quel- que fonction utile, si malheureusement les
crises
nerveuses auxquelles il est sujet ne revenaient
eil est resté mauvais. « Hier encore, nous dit la mère, il a eu une
crise
dans la soirée; il voulait ouvrir la fenêtre po
pas de cris. ni de 58 H1 STrRO-rPILI;PSI1;, pleurs pendant cette
crise
qui a duré une heure et quart. Le 17 février, t
ation pénible dans toute la tête. Le clou hystérique participe à la
crise
nerveuse, en ce qu'il devient doulou- reux vers
et imite. Répète : « oh la la ! » à plusieurs reprises. Nouvelle
crise
, avec grands mouvements : il semble vouloir se
e. Ici, survient une rémission de plusieurs minutes. Une nouvelle
crise
se déclare : l'enfant en me voyant écrire, diri
ec céphalalgie. A partir du 17 février, jusqu'au 2 mars, date de la
crise
, qui est rapportée plus haut, les attaques revi
ents. L'attaque aujourd'hui dure deux heures. Survient une série de
crises
de deux à trois minutes chacune, dans lesquelle
protochlorure de fer. 14 mars. A huit heures du soir, survient une
crise
uni- que de cinq minutes de durée. Il n'y a pas
e suite, avec une durée d'une heure. Pendant cette semaine même les
crises
ont reparu tous les jours HYSTÉRO-$PILEP61E ? ]
ibilité est normale et égale des deux côtés; l'enfant n'a pas eu de
crises
depuis le 13 dé- cembre 1880. Il reprend les do
avec rêves et cris de terreur, phénomènes qui jadis annonçaient les
crises
. On continue le traitement par les douches, adm
ume buccale, ni miction involontaire. En 187- ? , D. : 1... eut une
crise
, dans laquelle il tomba de son siège de cocher
tense et survenaient principalement pcndaui le jour. A la lin de la
crise
, il n'y avait ni écume buccale, ni évacuations
nsité des phénomènes céphaliques, qui pré- cédaient et suivaient la
crise
. Mais, d'autre part, les accès survenus six ans
églée vers 13 ans, abondamment et régulièrement; à ce moment, les
crises
sont devenues à la fois plus fortes et plus fréqu
on séjour chez sa mère, elle avait du délire consécutivement aux «
crises
. Durant longtemps, elle ne tombait que le jour. A
fatigue rapide. Actuellement, elle est couchée ; on attribue cette
crise
à ce qu'elle s'est fatiguée le 18 no- vembre, é
suite desquels survenait une paralysie du côté gauche. Pendant les
crises
, on assure que « les mouvements étaient pareils
us tard, quatrième état de mal (pendant 4 heures). A chacune de ces
crises
, les con- vulsions portèrent exclusivement sur
sie qui a rendu au bras sa position nor- male ( ? ) Depuis,il a des
crises
fréquentes qui durent un jour et une nuit. Le m
le sein de sa mère, lui passe les bras autour du cou. La fin de la
crise
s'annonce par de la rougeur de la face et des s
séances publiques d'hypnotisme. Depuis » cette époque, le sujet a des
crises
de sommeil spontané, pendant les-» quelles il acc
» pour lui et pour les personnes de son entourage. Dans une de ces »
crises
, il a tenté de se suicider, et, pour celte raison
gnétisée revint-elle plu-» sieurs fois pour tâcher de régulariser ces
crises
spontanées ; elle n'en » put venir à bout et l'ab
ari. Cette femme faisait à son médecin des aveux d'amour, pendant des
crises
répétées de somnambulisme. Elle n'aurait jamais o
tains cas de délire alcoolique, j'emploie même, au besoin, pendant la
crise
, l'alimentation artificielle forcée au moyen de l
ucinations de l'ouïe qui surviennent par moments et s'accompagnent de
crises
d'agitation (cris, pleurs) plus ou moins violente
le Dr Godet remarqua alors qu'on pouvait parfois couper une nouvelle
crise
d'agitation par la suggestion. — On n'avait pas b
e, mais dont, depuis huit ans, la vie était un véritable martyre. Les
crises
se renouvelaient toutes les deux ou trois semaine
jour, et, de progrès en progrès, parvint à éloigner et à diminuer les
crises
, de façon à espérer une guérison tout au moins re
s quatre ans entiers, accompagnées des mêmes symptômes, seulement les
crises
étaient quotidiennes. Elles commençaient quand el
cas analogues. Chaque réussite agit comme une suggestion contre la
crise
à venir. A mesure que les réussites se répètent,
sme animal) divisait les phénomènes du magnétisme en demi-crise et en
crise
complète; il indiquait huit degrés pour U demi-cr
omplète; il indiquait huit degrés pour U demi-crise et quatre pour la
crise
complète, et en décrivait ainsi les traits princi
plus profond silence. Cet état est souvent suivi immédiatement de la
crise
complète. 4' degré. Le magnétisé est légèrement
ondes, ce qui vient du plus ou moins d'analogie qu'il a avec elles.
crise
complète. Les quatre degrés de la crise complèt
logie qu'il a avec elles. crise complète. Les quatre degrés de la
crise
complète présentent des traits communs qui sont l
omplètement le souvenir de tout ce qu'il a pu voir ou dire pendant la
crise
, si bien qu'il lui semble même n'avoir point dorm
vraiment moitié somnambuliques et moitié cataleptiques, pendant cette
crise
. Les femmes n'y sont point sujettes, du moins je
ségur dans ses Mémoires : « La susceptibilité qu'ont les malades en
crises
magnétiques de gagner avec promptitude certaines
puis de gauche à droite, de la tête. Le mouvement était incessant. La
crise
dura vingt à trente minutes, pour se terminer par
du calme, tantôt de l'excitation. S'il respirait de l'éther après une
crise
, il y avait généralement du calme; si c'était ava
rès une crise, il y avait généralement du calme; si c'était avant une
crise
, il y avait une grande excitation, il était pouss
énéral, après une heure de cette excitation, le calme survenait et la
crise
était le plus sou%ent modifiée ; cette excitation
tes déterminait généralement des nausées. Le chloral occasionne des
crises
. Ce médicament, administré pour calmer l'agitatio
estion, sensation de serrement au front et consécutivement une grande
crise
. La morphine donne de la surexcitation et de vi
multiples, douleurs cntêralgiqucs et articulaires, accès de dyspnée,
crises
angineuses nocturnes et périodiques. En 1884, l
t pris de tremblements dans les mâchoires et dans les membres : cette
crise
dura deux à trois minutes; il put se relever, mai
marcha comme un homme ivre. Dans la nuit qui suivit, il a eu trois
crises
nouvelles avec tremblements et secousses dans tou
ecousses dans tout le corps, sans perte complète de connaissance. Les
crises
se renouvelèrent presque toutes les nuits pendant
ava;t toujours devant ses yeux l'homme déguisé. Dans l'intervalle des
crises
, il éprou%-ait de l'oppression et restait couché.
promenades nocturnes durèrent environ six mois. Puis il fut repris de
crises
la nuit, sous forme de tremblements et de grincem
, sous forme de tremblements et de grincements de dents : chacune des
crises
durait cinq à dix minutes. A l'époque de ces cris
nts : chacune des crises durait cinq à dix minutes. A l'époque de ces
crises
, il ne se levait plus, et, chose plus curieuse, à
esta trois mois sans être pris de l'envie de se lever. De nouvelles
crises
de même espèce survinrent et il recommença à se l
dant huit mois. Au moment du conseil de révision, il n'avait pas de
crises
et ne se prévalut pas de sa maladie pour se faire
eurs mois s'écoulèrent sans que rien attirât sur lui l'attention. Des
crises
de pleurs avec grincements de dents revenant tout
moire ne porte que sur les faits qui se sont passés en dehors, de ses
crises
de sommeil. Il sait qu'il se lève quelquefois La
ils n'inventent dans le but de l'éviter. M n'y a d'ordinaire qu'une
crise
par nuit, ci ainsi que Moizard {i) a pu l'observe
e qu'une crise par nuit, ci ainsi que Moizard {i) a pu l'observer, la
crise
se produit dans les premières heures du sommeil e
, et c'est le malaise résultant de l'humidité du lit qui détermine la
crise
. Là. l'incontinence est la suite de la surexcitat
rs, et de digestion facile, mais dont l'usage, provoque fatalement la
crise
de terreur ; à part ces cas rares, exception-nels
faut les prendre. C'est à les calmer, â les rassurer au moment de la
crise
qu'il faut s'employer avant tout. Ce qui semble
; parfois elle se trouvait mal et tombait comme en défaillance ; deux
crises
de nerfs avec mouvements convulsifs, sans cause c
aller. Elle ne mangeait presque plus. Pendant ce temps, elle eut deux
crises
de raideurs. Enfin, un jour elle partit subitemen
ssionnée. Elle ne sort de cet état que pour tomber dans des sortes de
crises
, que provoque, d'ailleurs, le moindre attouchemen
à craindre du magnétiseur, qu'elle était désormais réveillée, que ses
crises
disparaîtraient très vite, surtout si elle prenji
re pra-tique. II s'agit — j'emploie la nomenclature de M. Moutin — de
crises
de nerfs et de convulsions violentes, de rires co
'inhibition des centres cérébraux, a été reconnu depuis longtemps Les
crises
des malades de Mesmer, qui nécessitaient leur iso
son enfance ; toutefois, avant son mariage, elle n'avait jamais eu de
crises
. Elle cohabita plusieurs années avec son mari; ma
ueillie dans un refuge, où clic passa cinq semaines sans avoir de
crises
. Les premières remontent i quelque temps avant sa
jambes l'une sur l'autre dans des positions variables. Pendant ces
crises
, la malade ne répond pas aux questions qu'on lnt
ensibilité c>i émoussec; la malade ne réagit pas aux piqûres. La
crise
se termine naturellement, les contractures dispar
ade a eu une attaque. Nous l'endormons en Joi interdisar: d'avoir une
crise
avant dix jours. Avec notre ami Ch. Fabre, nous f
. Les attaques ont duré jusqu'en i8j5, et ont été remplacées parles
crises
de sommeil. Les attaques antérieures étaient bel
rira évidemment pas. On a appelé l'état dans lequel est cette femme
crise
de sommeil : le mot sommeil est-il bon: Dans tous
ement, elle me verrait rentrer. A son réveil, elle craint d'avoir une
crise
nerveuse en mon absence; elle me cherche et, ne m
rend compte. Nous abrégeons. En janvier 1884, on note des espèces de
crises
apoplectiformes : c'est à partir de ce moment que
efort Mlle E..., 19 ans, chlorotique, a eu, le i5 octobre iS85, une
crise
d'évanouissement qui a duré une heure, et a la su
e heure, et a la suite de laquelle elle était devenue sourde. Cette
crise
avait été déterminée par le départ d'un cousin qu
'écrire pour se faire comprendre. Le 25 octobre, dix jours après la
crise
, je fus consulté. Cette jeune rille émit très dis
stème nerveux se réveillait plus ébranlé, plus névrosé qu'avant cette
crise
. On lui parlait, elle n'entendait plus ; sa sensi
emment, considéra également comme une conséquence de l'expérience une
crise
¦erveuse qu'elle eue le même soir en rentrant
n'ont pas su détruire les auto-suggestions de tremblement nerveux, de
crises
hystériques, de terreurs, etc., à leur racine mêm
ignet qui présente une zone hypnogène : immédiatement elle entrera en
crise
. Serrez toute autre partie du bras ou de la main,
alade: elle fut très affectée et présenta, pour la première fois, des
crises
nerveuses. En 1884, une de ses tantes tomba mal
e totale reparut et avec elle se montrèrent pour la première fois les
crises
hystériques alternant avec des crises de rommeil.
èrent pour la première fois les crises hystériques alternant avec des
crises
de rommeil. Peu de temps après, en janvier 1S8Ó
s de - persécution. Préoccupations hypocondriaques. Jalousie morbide.
Crises
d'exaltation avec menaces, violences. Alimentatio
s qu'avant-hier et j'ajoute qu'elle n'aura plus d'évanouissements, de
crises
; qu'elle est certaine de guérir et qu'elle se lai
e a failli mettre à exécution. A ces phénomènes se sont ajoutés des
crises
hystériques. Mme X... présentait, du reste, d'une
eil hypnotique avec son évolution complète ou tronquée, mais bien une
crise
hystérique identique à ses crises spontanées. E
complète ou tronquée, mais bien une crise hystérique identique à ses
crises
spontanées. Enfin, un troisième groupe d'hystér
es'accès mélancoliques, comme on les appelle cou- ramment, sont des
crises
d'excitation mêlées de phé- nomènes dépressifs
nte est de favoriser la dé- charge brusque, chez les épileptiques à
crises
rares mais à équi- v alents psychiques. Elle
sie déterminant des troubles du caractère et de la conscience, sans
crises
convul- sives. Tels sont : le petit mal comitia
ambulatoire, l'absorption irrésistible de boissons alcooliques, les
crises
de somnambulisme épileptique les dé- lires tran
me, l'expression de l'injure faite à la cellule parle poison. VI.
Crises
gastriques tabétiques, élongation du plexus' so
n médical, 15 avril 1900.) Homme de 41 ans, éthylique, souffrant de
crises
gastriques de- puis cinq ou six ans. Leur fréqu
(ll1e, A la suite de cette intervention, le malade, opéré en pleine
crise
, fut complètement soulagé et n'a pas souttert d
embre l'.IOâ.) Il s'agit d'une jeune fille qui ne présentait aucune
crise
con- vulsive, mais qui peu il peu en vintà ne p
nent des changements de carac- tère, des pertes de connaissance,des
crises
hystériques.En octobre 1900 elle s'endort : l'i
le se met à remuer les membres ; les jours suivants elle a quelques
crises
, puis apparaissent des mouvements de déglutitio
nc de leur activité même, en face de leur arrêt mental. Cer- taines
crises
anxieuses cependant naissent spontanément et écha
t prenait volontiers sa part de toutes les corvées du quartier. Les
crises
convulsives devinrent peu à peu plus rares, mais
ui s'amendèrent au bout de deux à trois mois. L'année suivante, les
crises
devinrentplus fréquentes; les chutes se produis
ans l'épilepsie,on note,au contraire, un abaissement qui précède la
crise
; la densité revient d'ailleurs très vite à la
lement. D'autre part, les sels dépotasse, qui dans l'intervalle des
crises
se dosent dans des proportions norma- les, sont
miliaire de l'écorce cérébrale qui parait être en rapport avec des
crises
d'épilepsie sénile, peut-être avec la démence (
erveux plus touché que la jeune fille chez laquelle on constate des
crises
syncopales avec une sensation plus ou moins net
s. L'hystérie est-elle,au contraire,grave, s'accom- pagne-t-elle de
crises
nombreuses, de délire hallucinatoire, de somnam
es vrais et qui doivent être considérés comme les équivalents de la
crise
convulsive. - La même irresponsabilité totale
tion, jusqu'ici, de la responsabilité des hysté- riques pendant les
crises
ou pendant les équivalents psychiques ; voyons
e l'irresponsabilité pour les. actes com- mis dans l'intervalle des
crises
. Dans l'impossibilité où nous sommes de répondr
monde est d'accord pour reconnaître que le crime commis en état de
crise
entraîne fir· responsabilité ; mais si le même
uggestibilité particulière, aboutissant surtout à l'organisation de
crises
ou de syndromes somati- ques, accessoirement à
diffusions infectieuses finales dans les démences, Physiologie des
crises
laryngées des tabétiques. 1'1. Maurice FAURE (d
alysies ou des parésies des cordes vocales dans la pa- thogénie des
crises
laryngées,sans nier la possibilité de spasmes d
lé que,dans la maiorité des cas, le mé- canisme physiologique de la
crise
laryngée du tabétique était le suivant : chez u
d'air nécessaire au balayage du larynx, et restent sans effet. La
crise
laryngée est donc composée des symptômes que vo
réent des variétés dans la durée, l'importance et la gravité de ces
crises
. Le malade per- çoit, d'abord, un picotement, u
et que l'incoordination des muscles du larynx se tra- duise par des
crises
laryngées. Il peut exister aussi des parésies e
asme laryngé, employé pour désigner l'ensemble des phénomènes de la
crise
laryngée, est certainement mal choisi. Rien n'e
des faits exceptionnels. Il noqs paraît donc que, sous le nom de «
crise
laryngée », ont été compris des accidents compl
nts résulte de leur mé- canisme physiologique. Au moment même de la
crise
, il faut recommander de grands efforts volontai
ement rendre des services. Mais c'est surtout dans l'intervalle des
crises
que la théra- peutique pourra être efficace ; o
t ont revêtu successivement la forme de névralgies faciales et de
crises
convulsives. Ces névralgies cl ces crises dispara
névralgies faciales et de crises convulsives. Ces névralgies cl ces
crises
disparaissent complètement tant que durent les
a perte de connaissance, l'élévation de température, l'ébauche de
crises
convulsives ; diagnostic controuvé à la séance
urs après cessation du régime, et y succomba. bien que le nombre de
crises
fut relativement restreint (25). et cette sorte
xication. Le résultat de cette hyperbromuration sur le nombre des
crises
fut très marqué. Nos épileptiques qui, les mois
uivi, l'an- née précédente, le même régime, et le nombre de leurs
crises
était tombé de 224 à 59. Cette fois-ci, le total
ocurer de renseignement. A partir de cette époque, ap- parurent des
crises
convulsives Se produisant assez irrégulière- me
produisant assez irrégulière- ment, environ tous les quinze jours,
crises
caractérisées par une syncope, des contractures
tractions toniques et cloniques, ayant en même temps l'apparence de
crises
hystériques et épileptiques. Historique. La pet
confrères et moi avons trouvé la malade. Elle se débattait dans des
crises
sur son lit et les personnes environ- nantes lu
prodiguaient des soins en lui frottant les membres et le corps ; la
crise
cesse brusquement, et la malade se réveille en-
up. Notons que c'est la première fois que la malade prend de telles
crises
nerveuses, que sa mère est hyste- rique et qu'e
a mère est hyste- rique et qu'elle avait plusieurs fois assisté aux
crises
de sa mère. Diagnostic. Je crus qu'il-s'agissai
ère était d'avis qu'il s'agissait de l'épilepsie essentielle. Les
crises
se répétèrent devant nos yeux plusieurs fois, tou
de nouveau à se dé- battre. Très embarrassé par la répétition des
crises
et parce que la malade ne pouvait rien avaler,
ue après 10 heures de séjour dans l'estomac. 'fout finit ainsi. Les
crises
disparaissent d'un seul coup, la res- piration
ôt trois ans. Conclusion ? De tout cela résulte qu'il s'agissait de
crises
nerveuses de forme liystéro-épileptique. Seulem
voqué les CONGRUS DLS MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 107
crises
, ou bien si l'état nerveux (par hérédité) de son
men du sang que nous avons effectué, en effet, le lende- main de la
crise
, nous a montré une pauvreté en hémo- globine tr
roubles psychographiques complètent les tableaux \ cliniques. Les
crises
d'inertie avec leur aspect clinique spécial et le
bable. A un examen plus attentif, on trouve des signes d'hystérie :
crises
nerveuses anciennes ; actuellement, large pla-
i- que provocatrice étala constitution névrosique. F. Tissot. XX.
Crises
épileptiformes d'origine pleurale ; par nOCH. (
; ils ouvrent un horizon nouveau sur la question si com- plexe des
crises
épileptiformes, delà palhogénie du mal comitial
xe plant. Entre les accès ils sont normaux ; immédiatement après la
crise
, ils sont exagérés, le plus souvent absents. Dans
asie et albuminurie six jours après l'accident.Plus tard il eut des
crises
d'épilepsie urémique et une hémorragie ré- tini
coïncident de toutes les manifestations de cette évolu- tion, des
crises
de rémission et d'exacerbation, d'agita- tion e
, près qu'à la même heure, sans aucune cause occa- sionnelle, d'une
crise
de manie aiguë qui en vingt-quatre heures acqui
arante-huit heures d'intervalle d'un garçon chacune, [tandis que la
crise
maniaque battait toujours son plein ; mais i m
Une fait des progrès, mais oublie tout ce qu'elle a appris à chaque
crise
d'excitation maniaque qu'elle éprouve (psychose
t assise sous un saule, au bord d'une mare lorsque, par suite d'une
crise
, elle tomba dans l'eau. Sa mère s'aperçut de l'
r. Jamais l'enfant ne pleurait. A 6 mois, elle fut prise de petites
crises
quotidiennes, dans lesquelles elle se raidissai
qu'on devait la réveiller pour l'allaiter (G mois). Alors, petites
crises
convul- sives, quotidiennes, qui déterminent du
, signe d'Argyll, perle du sens musculaire, incoordination motrice,
crises
gastriques, douleurs fulgurantes, ébauche de tr
lle de 25 40 i REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ans présentant des
crises
nerveuses depuis ans. Une de ses soeurs est une
uis ans. Une de ses soeurs est une névropathe avérée présentant des
crises
de dys- pepsie. A l'examen peu de stigmates hys
ie pharyngée, réflexes rotuliens exagérés. File présente de grandes
crises
ou les phases de tonisme et de clonisme ont per
ur céder le pas à des phénomènes délirants. A la suite d'une de ses
crises
, elle eut un délire hallucinatoire à forme lyca
tre un chat, " un chai très méchant qui mord tout le monde ». Cette
crise
de galéanthropie dura cinq heures. La malade pr
i s'entremêlaient el se reproduisaient avec une grande fréquence.
Crises
syncopales, crises d'étoulfeement, vertiges passa
l se reproduisaient avec une grande fréquence. Crises syncopales,
crises
d'étoulfeement, vertiges passagers, grincements
rait à quatre pattes, miaulait, griffait. 1. Dans l'intervalle des
crises
, l'enfant était bien ; il présentaitun esprit é
tection : s'ils reçoivent des soins médicaux insuffisants, si leur
crise
psychique passagère et qui aurait pu souvent être
hylaxie et trai- tement des - récidivistes, par Morel, 1). 227.
Crises
gastriques tabétiques; '1111Lli DES MATIERES.
te de tuberculose pulmonaire qui fut heureusement enrayée, de grandes
crises
apparurent. Voici ce qu'écrit M. P... : « J'ai
obtenir des renseignements précis sur la façon dont se comportent les
crises
après que j'ai perdu connaissance. J'en puis donc
fixe, qui a généralement trait à l'heure, au jour et à la durée de ma
crise
. Je demande vingt fois de suite : « Quelle heure
. Je demande vingt fois de suite : « Quelle heure est-il ? » Après la
crise
, pendant une heure environ, j'éprouve un mal de t
de la migraine, et qui est toujours localisé à gauche. « ..... Mes
crises
sont gémellaires ; ainsi, entre la première et la
moins longs et la fatigue qui les suivait moins marquée. Ma première
crise
avait duré cinquante minutes et m'avait laissé vi
utes et m'avait laissé vingt-quatre heures prostré ; aujourd'hui, les
crises
sont de trois ou quatre minutes et la fatigue se
ici le malade explique qu'il ne cessait de dormir que pour avoir des
crises
plus intenses et plus nombreuses que jamais (plus
ont les suivants : « Du 30 avril au 3 octobre 1905, j'avais eu onze
crises
(en six mois). Du 31 mars au 3 octobre 1906, je n
ens beaucoup plus fort au physique et au moral, et l'idée d'avoir une
crise
ne m'impressionne plus comme auparavant. » Depu
ut d'octobre 1906 jusqu'aujourd'hui, M. Lucien P... n'a eu que quatre
crises
. Chacune d'elles a été précédée d'une violente se
ive colère, — une dispute de ménage. Le dernier intervalle entre deux
crises
a été de trois mois ; il y a aujourd'hui plus de
ut cela, on l'avouera a nettement l'allure hystérique. Sans doute, la
crise
hystérique ordinaire comporte, le plus souvent, p
ractaire à l'émoti-vité, ne pouvais-je espérer lui être utile ? Sises
crises
étaient provoquées occasionnellement par un choc
le malade de son entourage ; affirmez ensuite, à haute voix, que la.
crise
touche à sa fin et, fréquemment, tout sera vite t
r Bonjour (de Lausanne) sur un moyen très pratique de différencier la
crise
hystérique de la crise épileptique, dans les cas
sur un moyen très pratique de différencier la crise hystérique de la
crise
épileptique, dans les cas douteux ; vous en lirez
mène, l'accident hystérique s'installe. Diagnostic différentiel des
crises
épileptiques et des crises hystériques : un sympt
s'installe. Diagnostic différentiel des crises épileptiques et des
crises
hystériques : un symptôme nouveau, par M. le Dr
uel de nos connaissances il est souvent impossible de différencier la
crise
hystérique de la crise épileptique, sans soumettr
s il est souvent impossible de différencier la crise hystérique de la
crise
épileptique, sans soumettre le malade à un examen
un examen prolongé pendant lequel on a peu de chance d'assister à une
crise
. La considération des points suivants rendra le
égime bromure indiquent toujours l'hystérie ; 2° L'augmentation des
crises
coïncidant avec une cure bromurée, doit faire con
ant avec une cure bromurée, doit faire conclure l'hystérie ; 3° Les
crises
qui apparaissent à l'époque de la puberté sont hy
ue tous les cas. Contrairement à l'opinion de Féré et Binswanger. les
crises
convulsives mentruelles sont toujours hystériques
ilepsie frappant des hystériques ; 4° Le malade qui. au début de la
crise
, « cherche à fuir », veut « s'asseoir », ou se «
es blessures graves et même la mort peuvent être la conséquence d'une
crise
hystérique ; G » L'épileplique est plutôt indif
e crise hystérique ; G » L'épileplique est plutôt indifférent à ses
crises
, l'hystérique les redoute. Les parents ou le ma
ant russe du journal des Débats, des idées morales, qui subissent une
crise
dont rien au monde ne saurait donner idée. De que
s variées. Dans cet état, qui est toujours un état second, un état de
crise
avec vie somnambulique, la malade se fût certaine
ns, malgré les altérations incessantes de sa personnalité, malgré ses
crises
continuelles de délire et de somnambulisme, par s
e diagnostic puisqu'il a permis d'établir l'origine hystérique de ces
crises
. Un cas de bégaiement guéri opératoirement A
ait violacée et en perdait connaissance. Pour éviter le retour de ces
crises
, la mère, vivant dans une inquiétude perpétuelle,
e atteinte d'épilepsie, cette personne fut tout à coup atteinte d'une
crise
dans un escalier et laissa tomber l'enfant sur la
l'anniversaire d'événements douloureux a pour effet de provoquer des
crises
de larmes en remémorant par auto-suggestion le so
ibrent aujourd'hui, ceux que M. Paul Bureau, dans son beau livre « La
crise
morale des temps nouveaux » a caractérisés des no
zéchiel un coprophage ; que le roi Saül "était fréquemment atteint de
crises
d'excitation maniaque aboutis-- sant à une noire
tômes tabétiques présentés par ce malade, pour vous démontrer que ces
crises
doivent être distinguées des douleurs habituelles
; elles affecteraient donc le nerf musculo-cutané. Elles éclatent par
crises
, jusqu'à quatre, six, dix et parfois davantage da
permet de suivre pour ainsi dire la marche du paroxysme. De plus, ces
crises
s'accompagnent de mouvements considérables du pie
fléchir et se redresser, tandis que la jambe reste immobile. Après la
crise
les contractions continuent, et, au dire du malad
sychiques, et suivant ses variations, son degré et sa durée, par des -
crises
transitoires, des stigmates permanents ou des acc
, maintes fois, l'occasion de constater que les sujets présentant des
crises
intestinales ou vésicales, de nature obsédante, s
activité. (Vièstnilc psychopatol., 1907, fasc. 2). V. Bekhterey : Les
crises
intestinales et vésicales obsédantes et leur trai
veux ou psychique. Nous sommes tous plus ou moins exposés à avoir des
crises
d'hystérie suivant qu'est plus ou moins grande no
erturbations morales, aux diverses émotions ; une fois déclarées, ces
crises
se renouvellent par auto-suggestion et il s'établ
ues s'ils existent sont dus aux maladies psychiques sur lesquelles la
crise
est greffée. La névrose se trouve donc réduite à
la crise est greffée. La névrose se trouve donc réduite à cette seule
crise
sans que soient d'ailleurs aucunement justifiées
tel appareil symptomatique. « Quand la réaction se fait sous forme de
crises
de nerfs, on a appelé cela de l'hystérie, mot qu'
s, on a appelé cela de l'hystérie, mot qu'on peut supprimer pour dire
crise
de nerfs » et du coup voilà, de par cette méthode
te champ d'études est ouvert dans ce domaine au médecin hypnologue.
Crises
hystériques survenant à. la suite d'un hystéro-tr
barras de voiture, elle présente une grande attaque d'hystérie. Ces
crises
d'hystérie empêchent la malade de vaquer à ses af
aise foi. M. Bérillon. — Chez de nombreux malades, j'ai observé des
crises
diverses, des névroses et des psychoses, consécut
allothérapie. M. Paul Parez. — Une femme a, le jour et la nuit, des
crises
que l'on prend pour de l'angine de poitrine. Aprè
raconter le rêve, ignoré au réveil, qui provoque la réapparition des
crises
. Après avoir lu, un soir, dans un ouvrage d'Alexa
re mise à mort de cette manière épouvantable... et elle a sa première
crise
. Depuis lors, le souvenir de ce rêve la fait tomb
ce rêve la fait tomber eh état second et lui donne, chaque fois, une
crise
très impressionnante, pendant laquelle elle croit
rès rapidement, grâce à l'hypnotisme, j'ai fait dispa- raitre ces
crises
en supprimant de son souvenir ce réve pathogène q
s, comme M. Bernheim, il rapporte certaines de ses manifestations, la
crise
entre autres, à l'émotivité primitive. L'hystérie
troubles moteurs, viscéraux, etc.) constituent, au même titre que la
crise
, les manifestations de processus psychiques anorm
six semaines. Pendant ce séjour, elle eut chaque semaine une violente
crise
nerveuse, avec perte de connaissance. Après sa so
rveuse, avec perte de connaissance. Après sa sortie de l'hôpital, les
crises
augmentèrent de fréquence et de durée, se renouve
e pendant 5 heures. Vers le milieu de juillet 1906 se produisit une
crise
particulièrement violente, annoncée par une sensa
ensations maladives, il peut se produire une phobie respiratoire, une
crise
d'asthme parfois des plus violentes. La localisat
Craniectomie à volet chez les enfants arriérés, par Doyen, p. 24.
Crises
hystériques survenant à la suite d'un hystéro-tra
sulmane, par Ubeyd-Oullah, p. 229, 258. Diagnostic différentiel des
crises
épi- leptiques et des crises hystériques, par
229, 258. Diagnostic différentiel des crises épi- leptiques et des
crises
hystériques, par Bonjour,.p. 117. Doit-on ave
es que je n'aurais jamais soupçonnées. Un jour qu'elle avait eu une
crise
nerveuse, dont elle n'était pas coutumière, et qu
appelée sur ce phénomène, et plusieurs fois j'ai pu constater que des
crises
nerveuses s'étaient produites par ce mécanisme. P
es compresses et touchait le malade. C'est alors que commençaient les
crises
convulsives et que tout le monde intervenait pour
ussitôt d'un sommeil très calme. A partir de ce jour il n'eut plus de
crises
. Sa convalescence fut courte. J'aurai l'occasion
jeune malade, ses pertes de mémoire, son somnanbulisme diurne et ses
crises
. L'efficacité du traitement suivi, que je vous
ronchite chronique avec sommets suspects, une dyspepsie atonique avec
crises
gastralgiques et constipation opiniâtre, une rétr
heure, pendant une durée déterminée, et le réveil a lieu, sans aucune
crise
, au moment qui a été indiqué. Les sujets hypnotis
Au point de vue nerveux, elle est très impressionnable. Elle a eu une
crise
nerveuse à la suite d'une visite de ses parents ;
e crise nerveuse à la suite d'une visite de ses parents ; une seconde
crise
à la deuxième visite et pour le même motif. Elle
te et pour le même motif. Elle n'a jamais perdu connaissance dans ses
crises
. Examen de la malade (19 janvier). — C'est une
, lorsque, sous l'influence de causes qui m'échappent, il fut pris de
crises
très violentes d'hystéro-épilepsie. On le conserv
pilepsie. On le conserva pendant une quinzaine de jours, et comme les
crises
devenaient de plus en plus fortes, on se décida à
ulter. Le soir des deux jours qui suivirent son arrivée, il .eut deux
crises
extrêmement violentes qui nécessitèrent l'emploi
du chloroforme. Je ne le vis que le troisième jour ; en dehors de sa
crise
je l'hypnotisai et lui défendis d'avoir une crise
r ; en dehors de sa crise je l'hypnotisai et lui défendis d'avoir une
crise
ce jour-là et les deux jours suivants. Il n'en eu
tisai une dernière fois, et ce fut fini. Ce jeune homme n'eut plus de
crises
pendant plusieurs années. Depuis, je l'ai perdu d
t; Lorsqu'il entra à l'hôpital, il avait une céphalée continue, des
crises
nerveuses fréquentes et une telle sensibilité qu'
n d'un élève suffisait à l'endormir. . i La principale cause de ses
crises
et de sa céphalée était l'hypnose fortuite à laqu
le second jour do son entrée, sa céphalée disparaissait.. Quant à ses
crises
nerveuses, il n'en eut plus jamais. } C'est l
hes. Son état général s'étant beaucoup amélioré, il n'avait plus de
crises
ni de maux de tête, il dormait et mangeait bien,
hystérique. « Depuis ma sortie de l'hôpital, m'écrit-il; j'ai eu deux
crises
, il y environ 3 ans, qui sont survenues à la suit
eu aussi au mois de janvier, à la suite do la grippe, de petites
crises
que le major prenait pour de l'hystérie. II me do
nt augmenté de volume, des hématuries et de temps en temps, après des
crises
de douleur plus vives, l'évacuation d'un abondant
plusieurs jours. Comme symptômes de névropathie elle a présenté des
crises
nerveuses, de l'aménorrhée, de l'anuriequi a duré
le contre-coup manifeste. C'est ainsi que certaines aura, certaines
crises
envahissantes peuvent rendre compte des troubles
nomènes d'angoisse, et les considère comme traduisant « une véritable
crise
nerveuse, non plus dans le domaine de la motricit
telligence et du caractère. Il s'agit, dans le premier cas, d'une
crise
intermittente de la sensibilité physique et moral
Et encore lorsqu'on rencontre une malade chez laquelle survienne des
crises
complètes d'hystérie, avec l'arc do cercle et les
it le résultat d'une contagion nerveuse, l'enfant ayant assisté à des
crises
d'hystérie. Par contre, l'hystérie se révèle fréq
tes sortes ; garçon mal équilibré, extrêmement nerveux et sujet à des
crises
d'agitation. Une sœur un peu plus âgée, non marié
qu'on ait su le motif. 8a mère est rhumatisante et nerveuse mais sans
crises
hystériques ou épileptiques. Elle a eu cinq frère
malade dit qu'elle était très nerveuse mais qu'elle n'a jamais eu de
crises
hystériques. Elle dit qu'elle est folle depuis le
courant du mois de juillet 1895 (renseignement donné par le mari) une
crise
de nerfs qui aurait duré deux heures. C'est depui
ue sur leurs instances que je a restai. Dans la nuit ma femme eut une
crise
de nerfs effroyable. » L'agitation a repris dep
gastralgies du tabos dorsal. (M. Eai. Spalikowrki). On connaît les
crises
gastralgiques terribles auxquelles sont sujets le
ent de ses règles, qui se montrent régulièrement encore, de violentes
crises
gastriques qui durent de cinq à dix minutes et se
ter qu'il n'existe chez cette malade aucun symptôme d'hystérie. Les
crises
étaient si douloureuses, au début, que la patient
rtés! pour que le sommeil ait lieu. C'est ce que j'ai fait à chaque
crise
gastrique. La suggestion aidant, les crises avo
e que j'ai fait à chaque crise gastrique. La suggestion aidant, les
crises
avortaient ; elles sont devenues de plus en plus
taires. Un malade avait eu trois attaques de delirium tremens, et six
crises
épileptiformes. Souvent l'abstinence forcée n'ava
l'éraotivité, actionnée par la tentative d'hypnotisme, ait donné une
crise
de sommeil hystérique qu'il-ne faut pas confondre
: attaques d'hystérie nettement caractérisées, gastralgies nerveuses,
crises
de larmes, accès d'angoisse, tics convulsifs, con
issent se compléter heureusement. D'autre part, au cours de certaines
crises
paroxystiques d'aboulie, survenant chez les malad
nfants. Mais immédiatement après la mort de sa femme, il présente des
crises
de larmes d'une extrême violence, qui s'accompagn
olence, qui s'accompagnent d'étouflements et de gêne respiratoire. La
crise
de désespoir prend de telles proportions qu'il po
sse des gémissements qui s'entendent à une assez longue distance. Ces
crises
se répètent chaqne fois qu'on lui parle de sa fem
cile de donner à la Société une démonstration de la production de ses
crises
. Ce qui est particulièrement intéressant chez c
bituel, l'égalité de son caractère excluent l'idée d'hystérie. Si les
crises
de larmes étaient sous la dépendance de l'hystéri
s psycho-mécaniques tendant à neutra- liser un des éléments de la
crise
de larmes, le spasme musculaire, et à reconstitue
que jour à la même heure, au moment de l'élévation, il est pris d'une
crise
de sanglots qu'il ne peut réprimer. Chez ce malad
te le fait dune femme qui, après avoir fait à son « médecin, dans des
crises
répétées de somnambulisme, des aveux et « des déc
ccompagne assez souvent d'autres manifestations graves telles que les
crises
d'hystéro-épilepsie. Chez certains malades, les
ême que Charcot, en expérimentant à la Salpôtrière, retrouva dans les
crises
de la grande hystérie les différentes phases de l
délire mystique, hallucinations religieuses, obsessions, idées fixes,
crises
de désespoir lamentations, verbigeration, etc., e
it le résultat d'une contagion nerveuse, l'enfant ayant été témoin de
crises
d'hystérie. L'observation suivante vient démontre
lle n'aime pus aller à l'école. Enfin, elle a de temps en temps des
crises
inquiétantes. Elle tombe à lu renverse, toute rui
« M0" X.., la mère de l'enfant que vous soignez, a elle-même des
crises
terribles, dont elle ne veut parler à aucun médec
he était simplifiée. Il fut facile d'obtenir de la mère l'aveu de ses
crises
don'- les manifestations correspondaient exacteme
que j'avais pu observer chez l'enfant. L'enfant, témoin des grandes
crises
d'hystérie de la mère, les reproduisait fidèlemen
btenu. Parallèlement, nous assistions non seulement à la guérison des
crises
convulsives chez l'enfant, mais aussi à celle des
il pas, une fois encore, mérité ce prétendu reproche de provoquer des
crises
?... Interrogée une autre fois pendant le sommeil
e de coma. Huit jours après, la même scène se renouvelle. Bientôt les
crises
apparaissent tous les deux jours, puis deux et mê
'être prescrits : ils ne modifient en rien l'évolution périodique des
crises
. C'est alors que le Dr Ferrand a recours à l'hypn
oigner de ce malade après la troisième séance d'hypnotisation, et les
crises
ne tardent pas à se reproduire ; l'hypnoplérapie,
ne certaine mesure produit une influence favorable, car les nouvelles
crises
ne se manifestent plus que tous los deux jours ;
ns inler. mittence). A partir de ce moment, le malade n'a plus aucune
crise
et la guérison se maintient sans défaillance depu
il, en répétant « Ah, c'est trop fort! Ah, elle est bien bonne ! » Sa
crise
de rire dure, au moins, cinq minutes pleines, ave
de son menton, de ses oreilles : il est marqué par l'hérédité. Ses
crises
, notez-le bien, surviennent sans prodrome,, sans
ux jumeaux, mais ils étaient morts en bas âge. Akbar subit une de ces
crises
de superstitions fréquentes chez les sceptiques.
, est somnoformisëe. Dès que le sommeil l'a envahie, elle ébauche une
crise
nerveuse, avec crispations, raideurs musculaires,
et cette simple suggestion verbale suffit à juguler immédiatement la
crise
. Un homme a subi, pendant le sommeil somnoformi
le des Hôpitaux, un soldat qui a été atteint d'hématurie. La première
crise
s'est manifestée à la suite d'une rétention d'uri
ent pas autrefois, sont apparus récemment à la suite d'une ébauche de
crise
d'hystérie à forme vertigineuse et syncopale. D'a
ées, présentait tous les jours et souvent plusieurs fois par jour des
crises
d'asphyxie locale des extrémités, localisées habi
de l'air ou de l'eau froide, plus fréquentes en hiver qu'en été, ces
crises
vaso-motrices s'accompagnaient d'anesthésie et de
uérison se maintient chez ce sujet qui, depuis trois mois, avait huit
crises
par jour. Cette observation présente un intérêt
aine des vapeurs anesthésiques pourra provoquer, d'emblée, une grande
crise
, au même titre, d'ailleurs, que le brusque coup d
ion par suite de mutilation inutile. ¦ • « M. A. est atteint de
crises
épileptiques environ tous les deux mois. Seulemen
ous les deux mois. Seulement il est plus malade de la peur d'avoir la
crise
que de la crise elle-même. Il est arrivé au point
s. Seulement il est plus malade de la peur d'avoir la crise que de la
crise
elle-même. Il est arrivé au point de ne presque p
oint de ne presque plus oser sortir de sa maison, de peur d'avoir une
crise
. Sa profession étantcelle de voyageur de commerce
tc.. Actuellement il voyage sans crainte, sent l'aura la veille de la
crise
, s'installe dans son lit, subit sa crise et le le
sent l'aura la veille de la crise, s'installe dans son lit, subit sa
crise
et le lendemain recommence ses voyages. Il n'atta
emain recommence ses voyages. Il n'attache pas plus d'importance à la
crise
qu'il n'en attacherait à une simple migraine. Qua
e à la crise qu'il n'en attacherait à une simple migraine. Quant à la
crise
même, l'effet de la suggestion est nul. • - M
deux ans plus tard, alors que la disparition à peu près complète des
crises
avait pour un moment pu faire croire à la guériso
n artério-seléreux. 11 y a une quinzaine d'années, il eut un jour une
crise
douloureuse que le médecin traitant qualifia sur
ferme qui le délivrerait de son angoisse. Peu à peu, il se remit; la
crise
d'A. P. ne se reproduisit plus. En sorte que le m
nce renaît momentanément; elle n'est pas durable. Avec le retour des.
crises
, l'idée obsédante renaît. On voit reparaître l'an
umeurs. Le traitement de la cause morbide calmant le plus souvent les
crises
, la confiance dans le médecin fera le reste. Car
médecin. Chez les angineux faux, la guérison se produit aisément, les
crises
angineuses étant elles-mêmes de cessation aisée.
le doute, on décide une observation à l'infirmerie, à l'hôpital. Les
crises
alors sont courtes, capricieuses; le médecin n'ar
ion médicale et directe des attaques convulsives ne s'impose plus Les
crises
se dérobent? il suffira de rechercher l'existant
tion est le seul remède à opposer aux manifestations hystériques : la
crise
hystérique la plus violente, avec contracture, ca
ants ni les collatéraux, pas d'antécédents personnels, sinon quelques
crises
d'hystérie notées depuis un an, date de rétabliss
e continuait à tousser, mais ne maigrissait pas, bien que pendant ces
crises
l'appétit fit constamment défaut. Cet état durait
1). Il s'agit d'une malade hystérique qui, depuis 11 ans, avait des
crises
hypéralgésiques périodiques, durant plusieurs jou
re 1900. Elle se plaint d'être sujette, depuis l'âge de 12 ans, à des
crises
nerveuses accom- * (i) Voir Congrès des alién
xelles 1903. pagnées de perte de connaissance. A l'approche de la
crise
, la malade a une sensation d'angoisse et de fraye
ns existaient déjà, dès son jeune âge, sans être toutefois suivies de
crises
; celles-ci sont apparues 5 l'âge de 12 ans. Elles
nutes, puis la malade reprend connaissance et s'endort. Autrefois les
crises
étaient plus espacées ; mais, à présent, elles se
embres sans aucun résultat thérapeutique. Le troisième jour amène une
crise
dans mon cabinet de consultation. Pendant la duré
lui pressant la région de l'ovaire gauche et en lui affirmant que la
crise
cessera tout de suite, je parviens à arrêter l'ac
décembre et la malade repart se sentant très bien; elle n'a pas eu de
crise
depuis le 18 décembre (dans mon cabinet de consul
ès m'avoir quitté elle s'est bien portée pendant un mois. Ensuite les
crises
ont reparu, rarement d'abord, puis une (1) Wiaz
par semaine. Cela a duré jusqu'au mois d'avril ; depuis ce temps. les
crises
ont cessé sans aucun traitement. La malade se pla
e au bout de trois séances. Le 19 octobre 1901, elle m'écrit: « Les
crises
n'ont point reparu, les sensations d'angoisse ne
este qu'un des enfants illégitimes de Louis XIV, conçu au cours d'une
crise
de larmes et de repentir par Mme de Montespan, pe
obre 1903. Bobanghi est mort il y a quelques semaines, au cours d'une
crise
cataleptiforme ; il y a trois jours, Macaia est p
ans ces accès de sommeil narcoleptique des accès frustes ou larvés de
crise
épileptique, des attaques ébauchées ou avortées d
le livre magistral de M. le Dr Jules Voisin sur l'Epilepsie. * La
crise
épileptique comporte donc une période de sommeil
ommeil ; et celui-ci fait partie intégrante de l'attaque complète. La
crise
hystérique, au contraire, se termine brusquement
plus rarement, l'attaque de sommeil constitue, à elle seule, toute la
crise
d'hystérie; elle survient, d'ordinaire, à la suit
reur apparut à fleur de peau, et il se produisit, lors de ces grandes
crises
, la Réforme et la Révolution, une sorte de desqua
l'enfant a présenté des troubles nerveux qui consistaient surtout en
crises
convulsives qui survenaient sous l'influence de l
sives qui survenaient sous l'influence de la moindre contrariété. Ces
crises
étaient violentes et l'enfant paraissait perdre c
enfant paraissait perdre connaissance et devenait toute violacée. Ces
crises
cessèrent vers l'âge de sept ans mais firent plac
re du sternum, elle est prise, à intervalles à peu près réguliers, de
crises
convulsives réflexes, sans jamais recouvrer la co
recouvrer la connaissance, puis le point sensible ayant disparu, les
crises
cessent, et elle continue à dormir sans qu'il soi
t depuis vingtannées consécutives, lorsque, à la suite d'une nouvelle
crise
convulsive, elle s'éveille peu à peu et reprend c
Cependant la mort par inanition marque ordinairement le terme de ces
crises
prolongées de léthargie. ß La nature hystérique
à l'occasion de ses premières règles, elle esquisse quelques petites
crises
. Il y a deux ans, son père meurt et aussitôt appa
ux ans, son père meurt et aussitôt apparaissent des séries de grandes
crises
: il y a deux mois, elle en avait huit, dix, et mô
it huit, dix, et môme jusqu'à quinze par jour ; elle était en état de
crises
subintrantes et présentait un véritable accès de
subintrantes et présentait un véritable accès de mal hystérique. Ces
crises
sont, de temps à autre, entrecoupées par des déli
le un liquide sanicux et même un peu de pus. On croitque, pendant une
crise
, elle s'est contusionnée et qu'une infection par
rme ou bien la suppuration s'établit. Chose curieuse, du même couples
crises
convulsives cessent, la sensibilité revient, l'an
ant que les plaies sont cicatrisées, il y a, de nouveau, tendance aux
crises
. En somme, il s'agit d'une hystérie profonde, g
ompression de la partie lombaire do la moelle épinière, compliquée de
crises
de somnambulisme et accompagnée de lésions rhumat
réduit à la plus triste situation ; il est complètement épuisé ; des
crises
gastriques le tourmentent souvent; les articulati
sommeil hypnotique est profond: toutefois ni ses douleurs ni ses
crises
gastriques ne cèdent à la suggestion ; l'hypnotis
sommes en présence d'un cercle vicieux. La maladie amène de violentes
crises
de faiblesse, la perte de l'appétit, des maux de
oques série con- vulsive, jusqu'à l'âge de 4 ans. Après la première
crise
, l'enfant se servait un peu de sa main ; après
sortir d'un rêve et reste 2 ou 3 minutes inconsciente. Ces petites
crises
sont fréquentes (25 de l'entrée de l'enfant à l
lutte énergique et inutile que soutient contre elle l'obsédé des
crises
d'angoisse qui éclatent à l'improviste et à des i
lieu aux troubles vaso-moteurs, lrultlti- ques, sécrétoires, et aux
crises
viscérales propres il certaines af- fections de
le bord t'uhilal de la main cl de l'avanl-lma. On noie de plus des
crises
extrêmement douloureuses à type névralgique dan
se reconnaissance. 31. D\LLEr présente une femme qui, a la suite de
crises
épilep- tiformes peut-être contiliales, peut-êt
nt publié deux observations, l'une d'un neurasthénique âge dont les
crises
d'anxiété diffuse se terminaient par de la cong
'o(Jli'lul' I ? i ? (' j lialincil1aLioll el délire toxique passager;
crises
dl' 11ll'UlÎSll1C j cdcs l\ll.\icIISC alcc than
Íl' cal' : diaques, respiratoires, boulimiques, pseudo-angineuses ;
crises
d'excitation génitale. , Il) Ch, Fi'.ui ? L'e
e loquacité excessive parfois poussée jusqu'à l'incohérence, et des
crises
de saisissement pl d'anxiété panuphobique avec
iformes, surtout du coeur et de la respiration, (''Lnuf- fenicnls ;
crises
de boulimie qu'il faut qu'elle satisfasse sur l
ables accès d'asthme reve- nanl tous les quinze jours, environ ; la
crise
la prend la nuit el dure environ une heure ; el
our prendre sa respi- ration. De temps en temps aussi, elle a des
crises
de pscudo-anginedc poitrine qu'elle décrit ains
pas seulement une psyehasténique, mais une véritable vésanique avec
crises
délirantes et qui, non soignée, serait vraisemb
xuelle ne paraît être, dans le cas actuel, qu'une dériva lion de la
crise
an- xieuse au même titre que les autres acciden
el, accès de confusion mentale passagère ; délire mélancolique avec
crises
an- aieurt·a 1·L imlmlaiwa d'un caractère dange
ue avec crises an- aieurt·a 1·L imlmlaiwa d'un caractère dangereux;
crises
d'excita- tion génitale. - I>... lenmieC..
sous deux chefs : 10 Idées fixes d'un carac- tère mélancolique avec
crises
anxieuses qui, lorsqu'elles onL al- feintau par
elle esfiso- lée des choses présentes et complètement anesthésique (
crises
de mentisme ou confusion mentale passagère).
jusqu'à cequ'el- le soif épuisée et baignée de sueur. ce moment la
crise
cerce après avoir duré une demi-heure environ.
après avoir duré une demi-heure environ. ' Dans l'intervalle des
crises
elle présente un état de dépression mélancoliqu
irantes de culpabilité et de damnation consta- tées au cours de ses
crises
délirantes. A noter l'extrême intensité de ses
ce, et nous ne pouvons les caractéri- ser nettement par rapport aux
crises
d'anxiété. Il sem- ble bien, cependant, qu'ils
Héréditaire dégénéré ; chagrins intimes ; aboulie ; mélancolie avec
crises
de confusion mentale panophobicluu ; an- xiete
se bles- ser sérieusement, tente de se noyer en se jetant à l'eau.
Crises
llanopliohicluuwcc fureur contre tous ceux qui
es mélancoliques S8 CLINIQUE MENTALE g'émisscurs de Morel (l). Sa
crise
d'excitation génitale, purement épisodique, coï
paroxystiques. Ce même malade a eu. pendant plusieurs semaines, une
crise
de vomissements incoercibles. 11 cst ;r rcnuuyu
obtus, les traits toujours anxieux, la bouche à demi-ouverte. Celte
crise
d'excitation génitale avec masturbation dure pl
stématisé avec anxiété formidable, avoir pour phase prodromique une
crise
de nymphomanie. Mais dans la plupart de ces fai
de rire spasmodiques ; puérilisme mental; ten- tative de suicide ;
crises
anxil'lIl'S' ioll'nll' accompagnées d'exci- tat
de dépression mélancoli- que avec hallucinations terrifiantes; ces
crises
sont de courte durée. 20 juin. Délire religie
,lliI que pour manger : n'exprimant aucune idée et n'ayant, plus de
crises
maniaques depuis plusieurs semaines. 1<2 ( a t
ente alternatives de stupidité et d'excitation maniaque par courtes
crises
, parfois quo- tidiennes : il a des accès de rir
s'est modifié depuis quelque- jours ; à la dépression succède, par
crises
, un état anxieux des plus violents : « Il faut
ux. Dans le courant de l'année 1\J03, il a manifesté de nouvelles
crises
délirantes tantôt de l'orme maniaque avec désordr
elancolique avec excitation ; une phase de stupidité prolongée, des
crises
de rires spasmodiques, de puérilisme mental, su
déli- rante avec impulsion irrésistible au suicide, et enfin des
crises
d'anxiété violente avec excitation génésiquc énor
une violente émotion, d'où suppression menstruelle l'1]Jll'nlil'l'e
crise
de trouble mental de peu de durée qui disparut
re des actes, périodes de stupeur avec phénomènes catatoni- (jules,
crises
délirantes à forme l(' 1 i ? i ('Lise, crises mél
nes catatoni- (jules, crises délirantes à forme l(' 1 i ? i ('Lise,
crises
mélancoliques avec délire d'indignité et de cll
nce. Ici encore l'excitation sexuelle coïncide exactement avec la
crise
anxieuse qui est elle-même purement épiso- diqu
aniaque, puis dl"- 1" L ? ion mélancolique a\ec délire de négation;
crise
anxieuse avec excitation sexuelle intense. F.
isodique d'une durée éphémère inlilllemen L lié à l'explosion de la
crise
anxieuse, relevant d'un mé- canisme particulier
pu recueillir se présentaient delà façon suivante : c'étaient des
crises
qu'il sentait venir à du tremblement ; il pâlissa
ents, devant être maintenu par plusieurs personnes. Quelquefois ces
crises
s'accompagnaient de morsure de la langue ; plus
s accidents auraient aussi changé de caractère : dans ces dernières
crises
les grands mou- vements avaient cessé, le malad
subitement prise d'aphasie motrice corticale. Elle eut une dernière
crise
au cours de la donorpbrnisation. Celle malade é
l'appareil moteur affecté pour son propre compte ; telles sont les
crises
épileptiformes signalées à titre d'élihlic- nom
e miction involontaire. Elle se terminerait le plus souvent par des
crises
de larmes ou de rires, et entraînerait à sa sui
lques jours. Il- existerait enfin, dans la journée et en dehors des
crises
, de courtes absences. La malade prétend ne se r
attaque d'hémiplé- gie gauche survenue récemment, consécutive à une
crise
d'exci- lalion, cl de nature hystérique. 1 Ci
uelles. D'autre part, c'est une hystérique ayant eu autrefois des
crises
convulsives, une hémiplégie fugace, et présen-
t l'instruction, déjà commencée, avaitdû être négligée par suite de
crises
épileptiques, a repris des habitudes de travail
postérieures. (Obersteiner et litalliclt). Elles alternent avec les
crises
gastriques et souvent troublent la nutri- tion
om- baire amène quelquefois l'atténuation de certains symptômes :
crises
gastriques tabétiques (Debove) céphalées de la mé
tant, mais de caractère vit et emporté : il n'au- rait jamais eu de
crises
convulsives ; et une fille, qui est la malade.
dernier, sa voix, même le mol de « papa» provoquaient chez elle une
crise
de tremblement généralisé : elle devenait pâle
devenait pâle subitement et tombait à terre sans connaissance ; la
crise
durait quelques minu- tes et n'était pas suivie
matières. Cauchemars nocturnes. A 7 ans, après la mort du père, les
crises
ont complètement cessé, mais elle a continué à
jour après le début deces accidents, le hoquet se transforme en une
crise
plus violente ; les mains sont d'abord crispées,
USE LXXI. - Le décubitus latéral gauche comme moyen d'arrêt de la
crise
épileptique; par M. Lannois. (Société médicale de
s seulement, la position seneslre eut une action évidente sur les
crises
. Celles-ci furent plus courtes et d'intensité moi
oif en diminuant le départ du sang, sera susceptible de modifier la
crise
et d'en diminuer l'intensité. Dans le décubitus
ite, si la gène circulatoire était bien en cause dans l'arrêt de la
crise
. Les résultats obtenus,' quoique moins marqués qu
l'opinion de l'auteur. On ne réussit qu'à la période initiale de la
crise
, celle qui correspond il la phase tic pâleur de l
r,le rire sardonique,la raideur passagère, de la nuque, les glandes
crises
tétaniques typiques, confirmèrent le diagnostic
t faire oeuvre très utile en diminuant le nombre et l'intensité des
crises
, en neutralisant surtout les toxines qui con- t
de Loa,13 décembre 1'.10.) Observation d'un jeune soldat atteint de
crises
de sommeil. Les crises surviennent à diverses r
) Observation d'un jeune soldat atteint de crises de sommeil. Les
crises
surviennent à diverses reprises dans la journée,
- logiques. Il est lui-même un peu nerveux, mais n'a jamais eu ni
crises
convulsives, ni rien qui rappelle l'épilepsie ou
à 50 pul- sations à la minute ; il ne se modifiait pas pendant les
crises
de sommeil. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
céphalalgie avait réapparu, mais pas de titubation, ni de vertiges.
Crises
douloureuses revenant tous les huit jours. (Cép
nférieurs à droite surtout avec signe de 'Ker- nig. ) : pendant les
crises
, la hernie cérébelleuse augmentait, dur- (1) Vo
n,·, 1"r.isfaiunl trois à quatre jours. A l'occasion d'une de ces
crises
, ponction de Quincke qui amène l'aO'aissemenl d
malade se transforma. Quatre semaines après, la cépha- lalgie, les
crises
de rachialgie ou de sciatique n'avaient pas re-
rangers dans la bouche peuvent également les ayalor au moment d'une
crise
. D'ailleurs, il existe chez les épi-, leptiques
illes, à la disposition du Parquet. Drame de l'alcoolisme. Dans une
crise
de folie alcoolique, Pierre Mounes,'20ans, deme
ilepto-frénateur. Le - latéral gauche comme mo- yen d'arrêt de la
crise
épilep- tique, par Lannois, 386. Déformations
». Sur le ou fausse reconnais- sance, par Ballet, 73. Phimosis.
Crises
de convulsions après l'opération du -, par Hé
issement. LXVII épileptiques et peuvent être pris à l'improviste de
crises
convulsives les exposant à des chûtes dangereus
ux sont hagards, le nez est pincé, les lèvres sont tremblantes. Ces
crises
durent 15, 20, 30 minutes. A la fin, le visage
nde et voleuse. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans.
Crises
éclamptiques durant la grossesse. - Lymphatisme
Mère, 53 ans, intelligente, émotive, très-bien portante. Jamais de
crises
nerveuses. - Grand-père paternel mort à 60 ans
e sait de quoi ; deux autres bien portantes, mais nerveuses, sans
crises
. - Dans le reste de la famille, pas de tare physi
e mais bien portante. Aucune maladie connue du mari. Nerveuse, sans
crises
. Bon caractère. Intelligente. Morte le 23 octob
sme ? Enfant naturel, ne connaît pas sa famille. - Mère, migraines,
crises
nerveuses, accès de colère, asymétrie crânienne
ut dans son enfance, elle aurait assez souvent, selon son mari, des
crises
nerveuses qu'elle n'avoue pas. Elle serait pris
ble durant lesquels, elle se roule à terre, appelle au secours. Ces
crises
qui persistent encore, se seraient mani- festée
te la durée de la grossesse, mais pas de véritables syncopes, ni de
crises
d'aucune sorte. La mère n'entrevoyait pas avec
puis restant un mois sans revenir. Une période d'anxiété ouvrait la
crise
. D'abord immobile, l'enfant devenait rouge, se
de déviation du tronc, ni des membres. Parfois survenait durant la
crise
, une expulsion d'urine et de matières fécales.
sensoriel ou 70 0 Antécédents personnels : méningite. moteur. Les
crises
n'étaient pas toujours aussi longues, par- fois
ningite et lui aurait fait appliquer un vésicatoire à la nuque, Les
crises
cependant, durant la coqueluche, n'auraient pas
dants dans toute l'étendue de la poitrine. Parfois dans la journée,
crises
asphyxiques avec apnée et cyanose intense. La d
u cinquième mois de la grossesse. Pre bières convulsions à 3 mots ;
crises
fré z quentes jusqu'à 4 ans. Rougeo'c et influe
ent, devenaient blancs, puis l'enfant se raidissait. La fin de la
crise
était annoncée par une pâleur de la face. Durant
e constata point de paralysies consécutives. Il dormait après ses
crises
mais sans être plongé dans le coma. Dans d'autres
onstances, il revenait d'emblée complètement à lui. Au cours de ces
crises
, il avait quelquefois des émissions d'urine 9'
tout le temps comme un moulin. » Ce phénomène se produi- sait par
crises
et elle le remarquait lorsque, durant la nuit, el
e remarquait lorsque, durant la nuit, elle lui donnait le sein. Ces
crises
se manifestèrent durant trois mois au moins une
d-père paternel : migraineux. - Grand'mère paternelle rhumatisante,
crises
de nerfs. - Arrière-grand-père paternel mort d'
ans, rhumatisante, très nerveuse, aurait eu à diverses reprises des
crises
de nerfs qu'elle a toujours cherché à dissimule
qui parfois manquaient durant deux jours, surve- naient souvent par
crises
de ) ou 7 ; en même temps, les yeux se convulsa
n état normal, sans avoir de paralysie. Elle n 'aurait jamais eu de
crises
de nerfs ou d'affections chroni- ques. Elle a d
facile. Elle cessa sur l'avis d'un médecin. Ni coups, ni envies, ni
crises
de nerfs, ni idées noires. Une seule syncope à
membres. Vers le huitième ou le neuvième mois, il a eu deux petites
crises
convulsives très courtes. En faveur de l'origin
trois ou quatre secondes. Il ne paraissait pas y avoir syncope. Ces
crises
se sont renouvelées cinq ou six fois en un mois o
trière. Au sujet cle sa mère, il n'y a pas de doute : elle a des
crises
nerveuses. Un des arrière-grands pères maternel
ôté maternel. - Une soeur mariée, sans enfants, a été sujette à des
crises
nerveuses qui n'avaient rien d'épileptique. - I
ns enfants, est très nerveuse ; elle a eu de 18 à 19 ans de petites
crises
nerveuses. Pas de consanguinité; mais notons qu
is après, il avait un accès. De 8 ans, à 9 ans 1/2 il aurait eu des
crises
tous les doux mois environ. De l'âge de 9 ans,
e. .193 ment la bouche et la tient ainsi ouverte pendant toute sa
crise
. Des secousses cloniques se manifestent alors d
cris gutturaux. Le pouls est un peu plus fort. 3 h. 20. Nouvelle
crise
absolument semblable. Notons une faible exagéra
s en légère abduction. Durée une minute à peine. T. R. 39° après la
crise
. L'enfant reste ensuite dans l'état de torpeur
eur décrit ce matin, sans avoir la moindre connaissance. Durant ses
crises
, l'enfant est pâle; après la crise, il a le vis
ndre connaissance. Durant ses crises, l'enfant est pâle; après la
crise
, il a le visage coloré, surtout aux pommettes. Ap
une de ses tantes paternelles, le nervosisme s'est traduit par des
crises
d'hystérie. Du côté maternel, même tempérament
Pas de dartres, ni de migraines. Femme nerveuse. émotive, mais sans
crises
nerveuses. - [Famille de la mère. Père, boulang
nu. 224 Antécédents. Mère, 65 ans, sujette aux migraines et à des
crises
de gas- tralgie, vive et emportée. Demi-frère m
mariée. Fièvres paludéennes de 2 à 9 ans. Santé toujours délicate,
crises
gastralgiques très fréquentes, très émotive, pl
- sions et la mère prétend que l'enfant avait alors de véritables
crises
épileptiformes sans perte de connaissance ( ? ).
ssance ( ? ). Jusqu'à cette époque, il n'avait pas eu de véritables
crises
convulsives, sauf celles de 14 mois. Gob ? n'a
s, affaiblissement de la vue; puis paralysie et cécité complètes; -
crises
convulsives probables ( ? ). - Nystag- mus ; st
igraines ; elle était excessivement nerveuse, mais n'a jamais eu de
crises
. - On ne connaît pas les grands-parents paterne
de traces de syphilis, est vive, nerveuse, sans avoir jamais eu de
crises
, ni d'accidents nerveux d'au- cune sorte - Père
fille (vingt-six ans), .ayant eu il onze mois, une seule fois, des
crises
convulsives il l'époque de la dentition. Cette
ons; 4° une fille morte à onze mois de méningite avec de nombreuses
crises
convulsives; 5° un garçon de dix- neuf ans, sob
it qu'elle était atteinte d'hydramnios. Elle n'eut néanmoins aucune
crise
syncopale ni éclamptique, ne reçut pas de coups
Ainsi Carti..., épilel>tiyhe, pris de délire après une série de
crises
, répétait tout ce qu'on disait, bien qu'en temp
ants arriérés el cl chez les jeunes sujets présentant, avec ou sans
crises
épileptiques, des trou- bles moteurs uu ]JsychÎ
nfants. Une soeur du même lit que le père est un peu nerveuse, sans
crises
, intelligente. Dans sa famille, le père n'a jam
rhumatismes, etc ? elle est assez nerveuse, très émotive mais sans
crises
. [Père, 60 ans, n'a jamais eu aucune maladie ne
vive au 5e mois de la grossesse. - Premières convulsions à 3 mois;
crises
fréquentes jusqu'à un an. - Rougeole et influen
; 37 . Sutures du crâne dans l'idiotie. 3t0 Inégalité (-le 6 ans.
Crises
éclamptiques durant la grossesse. - Lymphatisme
eptique (eu état de mal probablement). - Mère, émotive, mais sans
crises
nerveuses. - Une tante paternelle de la mère, épi
s. Retour mensuel ou bi-mensuel des convulsions jusqu'à cinq ans. -
Crises
plus rares à partir de 5 ans. -Parole à six ans
s à douze ans. Ennuis et tristesse dans la douzième année. Première
crise
à treize ans (février 1898). Ensuite quelques c
née. Première crise à treize ans (février 1898). Ensuite quelques
crises
espacées sur un laps de temps de deux mois (1898)
eux. Traitement par le bromure de camphre. Disparition complète des
crises
en juin de la même année. Main- tien de la guér
et a eu son certificat d'études à douze ans. 1 Avant la première
crise
(février 1898) qui a duré deux à trois heures,
ation de boule venant de l'estomac et s'arrêtant dans la gorge. Ces
crises
avec boule revenaient tous les jours pendant un
ent tous les jours pendant une heure. Vers le mois de mai 1898, les
crises
avec boule ont été remplacées par des crises co
mois de mai 1898, les crises avec boule ont été remplacées par des
crises
complètes. Elles étaient annoncées par une envie
t à elle en poussant des cris et en souffrant du coeur. La première
crise
dura deux heures. Les grandes crises se sont re
souffrant du coeur. La première crise dura deux heures. Les grandes
crises
se sont reproduites tous les jours jusqu'à quat
ment à la Sal- pêtrière (26 juillet 1898), elle aurait eu après ses
crises
des atta- ques de folie. Elle mangeait de l'her
e- du premier étage comme si elle voulait se jeter dans la rue. Les
crises
de folie duraient deux ou trois heures. Pas d'o
A la Salpêtriêre où elle reste jusqu'au 38 novembre, elle a eu deux
crises
en juillet et 5 en août (lettre de AI. J. Voisin)
mère pater- nelle nerveuse, sujette à de violentes colères et à des
crises
épilep- déserteur on ne sait pourquoi, à été co
squ'à l'approche'des attaques, pen- dant ou immédiatement après les
crises
incomplètes, les absences, les vertiges, on exa
ux, polymorphes, Tig. 2. Sang d'épileptique immédiatement avant une
crise
convulsive. Altérations globulaires. Parasites
hne, soit dans la thionine Fitl. 3. Sang d'épileptiques pendant une
crise
incomplète. Altérations globulaires. Parasites
à l'approche i) des attaques convulsives, pendant les vertiges, les
crises
incom- / plètes chez les épileptiques qui ne pr
decin légiste constata que Emma M..., était en proie à une violente
crise
épileptiques et ordonna son envoi à l'hôpital c
présenté chez un manufacturier du Vouldy, fut pris subitement d'une
crise
épileptique et tomba sur la chaussée boueuse en
hhnek pâlit, grinça des dents et se mit à gesticuler, en proie- une
crise
occasionnée sans doute par la fatigue et la mar
itrendu en forèe. le 2 jan- vier dernier lorsqu'il fut frappé d'une
crise
d'épilepsie. Quand il re- couvra ses sens, Laba
DIVERS. I t de passage dans notre ville, a été pris d'une violente
crise
épilep- tique. M. le De Daspres et un ou deux d
r l'exagé- ration des réflexes patellaires ; chez le second par des
crises
épileptiformes survenues de bonne heure et par
t ce fait qu'il ait causé lui-même son interne- ment au cours d'une
crise
convulsive, internement effectué dans des condi
faiblesse de constitution. qui devait être grande, lorsqu'éclata la
crise
première, début de la maladie. DE la PÉRIODE ai
rs excessives qui me tenaient des pieds jusqu'à la tête ». : 1° Les
crises
convulsives, durant lesquelles, nous dit-elle,
période de lit qu'elle eut dans la maison de son père, à Avila, une
crise
de sommeil hypnotique; voici comment elle racon
inquante-cinq ans, chez laquelle les sommeils hystériques après les
crises
étaient fréquents. Comme je connaissais son éta
teurs qui produit des actes plus ou moins complexes (impulsions,
crises
) et dans un ordre opposé de faits : état catalept
age, leurs actions, leurs habitudes étaient presque identiques. Les
crises
délirantes paraissent avoir été spontanées chez t
SOCIÉTÉS SAVANTES. En novembre 1900 et en mars 1901, à la suite de
crises
épilepti- formes, X... présente d'abord de la s
pides progrès ; l'agitation devient extrême et le malade, après des
crises
convulsives subsin- trantes, s'alite, devient g
iquer au malade un régime hygiénique destiné à éviter le retour des
crises
d'insuffisance. Le malade guéri devra non seule
l Lionne rapporte un cas de paralysie générale à marche rapide avec
crises
d'angoisse. M. Leredde revient sur sa communica
ication curative de la méthode à toutes les psychoses aiguës et aux
crises
symptomatiques des vésanies chroniques. Il pr
reux Boufol à la rage de son camarade. Le Bechec était pris d'une
crise
de fureur alcooliqee; ce n'est qu'à grand'peine q
t croyaient que le démon frappait Thérèse; elle ne sor- tait de ces
crises
que toute brisée, comme si on l'eût frap- pée a
olie avec angoisse précordiale (Krafft-Ebing), c'est-à-dire par des
crises
d'an- goisse paroxystique survenant principalem
és. Dans la période d'état, chez un fou hypochondriaque ayant des
crises
obsédantes de la mort, Morel raconte que ce malad
M. X..., peu épris d'art nouveau, morigéna sa femme qui après une
crise
de larmes promit de ne plus recommencer. - Prom
d'un violent chagrin, une jeune fille de dix-huit ans est prise de
crises
convulsives avec perte de connaissance; elles v
la persistance du délire hallucinatoire, tel qu'il existe en pleine
crise
d'alcoolisme aigu, et ce, plusieurs mois après
STÉRIE DE SAINTE THEKÈSE 317 décrire d'une façon parfaite certaines
crises
, un aliéniste n'aurait qu'à copier les oraisons
sonne, cet état n'était ni précédé, ni accompagné, ni suivi d'une
crise
convulsive quelconque. Quelquefois, mais très rar
erses perçues pendant l'accès, il se termine généralement par une
crise
de larmes et par une émission d'urine. On voit
lairent singulièrement le diagnostic de la maladie : au sujet de la
crise
convulsive, que lisons-nous dans nos livres cla
des sens, tels sont les troubles variés de cette période. Après la
crise
révulsive, il y a paifois la période des contor
hallucinations ? Elle a l'aura, ce coup de sifflet indicateur de la
crise
, sous la forme d'un sentiment de refroidissemen
es périodes d'extase et d'union viennent remplir l'in- tervalle des
crises
et apporter pendant quelques heures un peu de s
comme vraies ses hallucinations de divers sens. Lorsque la grande
crise
s'emparait d'elle, comme la pythie sur le tré-
diverses variétés de psy- choses, chez 1 épileptique, dans 1 cas de
crises
épileptiformes liées à l'albuminurie, 2 cas de
dyspnée, palpitations, sueurs profuses, etc. ; d) Equivalents de la
crise
d'angoisse et crises rudimenlaires, tels que :
s, sueurs profuses, etc. ; d) Equivalents de la crise d'angoisse et
crises
rudimenlaires, tels que : troubles cardiaques,
iniques qui caractérisent la névrose d'angoisse : attente anxieuse,
crises
d'angoisse aiguë, équivalents de crises, phobie
ngoisse : attente anxieuse, crises d'angoisse aiguë, équivalents de
crises
, phobies et obsessions. En conséquence, je croi
nt chez les typhiques; dans les états d'inanition et dans certaines
crises
oniriques d'étiologie imprécise , mais certaine
ode de mise en observation suffira le plus souvent pour juger cette
crise
psychopathique temporaire et curable, permettre
oses, il n'a jamais accusé la moindre diminution dans le nombre des
crises
: celles-ci se reproduisaient régulièrement deu
uté, au moins apparemment, d'une façon brusque (ictus apoplectique,
crises
d'épilepsie jalisonuienne ; hémiplégie flasque
t brusquement et qui rétrocéda. A l'âge de onze ans, apparurent des
crises
épileptiformes à la suite desquelles survint pr
ent intentionnel du bras gauche. Pas de troubles de la sensibilité.
Crises
épileptiformes à caractère jack- sonien survena
e des phénomènes hémiplégiques et de l'aphasie avec spasmodicité et
crises
épilep- tiformes jaclcsonieunes; 4° l'évolution
élineau, pour favoriser la dégénérescence des organes, mais que les
crises
épileptiques peuvent aussi, ;à elle seules, provo
'un mois en proie à des troubles cérébraux. C'est dans un moment de
crise
qu'il s'est suicidé. (Le Bonhomme normand, 8-14
dessein sur ce point.) - A partir de ce moment elle n'a plus de ces
crises
de désespoir auxquelles elle était en proie à c
ement net chez un sujet de dix-huit ans atteint depuis longtemps de
crises
d'épilepsie, mais présentant en même temps des
réactive violente allant jusqu'aux explosions de désespoirs et aux
crises
nerveuses. » En France. Magnan dit : Il ne faut
'la pho- bie. Lorsque la phobie, au lieu de se manifester par des
crises
d'angoisse intermittentes, avec calme complet dan
du sujet, le domine, l'inquiète si bien qu'au seul sou- venir d'une
crise
de rougeur, il en arrive à rougir. Dès lors, il
ts de la marche. Si bien qu'à un moment, pendant cette sorte de -
crise
, avant la certitude absolue, je suis conscient d'
nus dans lesquels les malades s'observent et s'étu- dient en pleine
crise
, ne peuvent laisser aucun doule à cet égard et
t rarement tout à fait continue. En tout cas, dans l'intervalle des
crises
et même durant les crises, lorsqu'elles ne sont
nue. En tout cas, dans l'intervalle des crises et même durant les
crises
, lorsqu'elles ne sont pas trop intenses, les suje
l'attaque, à la place du som- meil qui, le plus souvent, termine la
crise
convulsive. Au lieu de dormir, le malade tombe
imante, ou enfin dans les maladies mentales qui s'annoncent par une
crise
de mélancolie; 5° il est démontré que l'atrophi
ceptibles d'exister isolément ou bien ils peuvent alterner avec des
crises
nerveuses spasmodiques, être remplacés par elle
ante commune chez les au- teurs. Le début apparent de la première
crise
de folie de Nietzche fut caractérisé par une ch
ppant ce point de vue que la médication bromurée, en jugu- lant les
crises
, n'est qu'un palliatif des symptômes, mais pas un
fs de la sclérose en plaques et sujet en outre, actuellement, à des
crises
d'asthme qui se sont substituées à des crises d
, actuellement, à des crises d'asthme qui se sont substituées à des
crises
d'angine de poitrine. Il a observé les mêmes fait
d'office comme aliénée véri- table, car elle était au moment de ses
crises
hystéro-épdeptiques, et quelquefois même dans l
reuton, il passa sa thèse de doctorat : Sur la double influence des
crises
et du traitement dans la guérison de la folie.
nt la disparition coïncide précisément quelque temps après avec une
crise
de fureur génésique et dont le retour ne se pro
un délire génital aussi étrange qu'intense, qui disparaît dans une
crise
d'agitation pour ne plus revenir. Dans la quatr
e tout le côté gauche. Cet état dure trois jours, puis survient une
crise
convulsive et tout rentre dans l'ordre ; depuis
d'une aura visuelle, qui dure de vingt minutes à deux heures ; la
crise
convulsive débute par la main gauche. Il y a pert
tal, il réussit à éviter une nouvelle attaque, il resta sujet à des
crises
nerveuses intenses et demeura, pour le reste de
sentent l'hémisphère droit du malade mort à la suite d'une série de
crises
d'épilepsie jacksonienne gauche. Ce malade étai
orteur d'un vaste épanchement pleural purulent à streptocoques. Les
crises
survinrent brusquement, dé- butant invariableme
oit en rêve la scène de l'incendie. Ce rêve émotionnel provoque des
crises
très fréquentes. Iiypnoptisée, cette jeune fille
et par suite du cerveau, et aussi chez les épileptiques en état de
crises
subin- trantes. ? ° En exercant une action stim
s. Hémianesthesie sensitivo-sensorielle gauche com- plète. - Neuf
crises
d'amaurose double absolue. Perversion de la vis
ute sur la tète. Depuis une dizaine d'années, il serait sujet à des
crises
de rhumatisme. Pas de syphilis, pas de tuber- c
st mort à soixante-quatorze ans : il était sujet il de fré- quentes
crises
d'asthme, avait un tempérament nerveux; il aurait
le n'a jamais eu d'au- tres affections. Jamais de convulsions ou de
crises
de nerfs. histoire de la maladie. - Elle fait s
de la reconduire à la clinique dès qu'elle présentera une nouvelle
crise
. Cette troisième crise se produit quelque temps
inique dès qu'elle présentera une nouvelle crise. Cette troisième
crise
se produit quelque temps après, vers le 10 juil
e aveugle, on dût la ramener à la maison. C'est à la suite de cette
crise
qu'elle revient à la clinique ophtal- mologique
ille : elle fût aussitôt guérie. Le mois de septembre se passe sans
crises
, mais il y en a trois pendant le mois d'octobre
en a trois pendant le mois d'octobre (du 10 au 2a). La première (5e
crise
). qui dure trois jours, survient deux heures ap
s rouge d'un coussin sur lequel elle était appuyée. La deuxième (60
crise
), survenue sans cause bien connue, dure deux jo
nt le dos rouge d'un livre posé sur une table. ' La troisième (7°
crise
) se produit dans des conditions assez curieuses
leur apparition, pourla seconde fois, l'avant-veille de la dernière
crise
, le 3 février : elles ont duré trois jours, jus
que ce même 6 février au soir, la jeune Marthe a eu une véritable
crise
de rires suivie de larmes, qui a duré près d'un q
u en donner une explication quelconque. Il y a huit jours que cette
crise
de cécité dure sans aucune amélioration : le pè
pharmacien- de l'hôpital des Enfants, cinq jours après la dernière
crise
, indique pour 1.430 centimètres cubes d'urine (
t demeurées infructueuses. Elle a même eu, le 13 mars, une nouvelle
crise
de cécité complète (la neuvième) qui l'a prise
ont reparu, pour la seconde fois, que l'avant-veille de la huitième
crise
de cécité, c'est-à-dire après une inter- ruptio
inter- ruption de près de neuf mois. Entre ces deux époques, les
crises
d'amaurose double sont survenues à des quantièmes
la menstruation, et qui ont vraisemblablement provoqué la première
crise
de cécité, ont été suffisantes pour retentir ul
même la menstruation ne s'effectuant plus ? Il est certain que ces
crises
se sont produites à des dates relativement fixes,
on. Ce qui est plus probant, c'est que la malade, chez laquelle les
crises
avaient complètement cessé pendant trois. 1 92
u moment de l'apparition de sa seconde menstruation, d'une nouvelle
crise
(la huitième, du 5 au 16 février '190'1) bientô
n), il s'agit d'une fille hystérique, qui à vingt-sept ans, eût une
crise
de cécité qui dura une heure au moment des règl
u moment des règles. De vingt-sept à trente-sept ans elle eût six
crises
de même genre, qui survinrent dans des conditions
tiqué chez elle par M. Aubaret, ne l'a plus à partir de sa huitième
crise
. Seul le rouge est reconnu parfaitement, ce qui
eut pas dire que la vision du rouge ait provoqué la cessation de la
crise
, c'est elle cepen- dant qui a été la première r
écupérée au moment précis de la guérison. Ainsi, à la fin de chaque
crise
, la première percep- tion de la malade a toujou
es. Soignée à l'Hôtel-Dieu et à Tenon, elle prit dans l'hospice des
crises
d'hystérie à la vue d'une attaque présentée par
our des accidents hystériques caractérisés prin- cipalement par des
crises
convulsives. Ces crises étaient presque toujour
iques caractérisés prin- cipalement par des crises convulsives. Ces
crises
étaient presque toujours suivie de délire. G...
réveil était complet le calme revenait. Après quelques années, les
crises
motrices diminuèrent de fré- quence. C'est alor
que graduellement et comme par compensa- tion se développèrent les
crises
d'agitation. A ce moment la malade ne connaissa
plus M. Voisin, le sommeil hypnotique n'était plus possible. Cette
crise
d'agitation était annoncée deux ou trois jours
. 14 '210 PSYCHOLOGIE 11ORBIDE. Il -arrivait parfois que soit les
crises
motrices, soit les crises d'agitation'étaient s
ORBIDE. Il -arrivait parfois que soit les crises motrices, soit les
crises
d'agitation'étaient suivies d'un sommeil très p
rs. Les .crises de sommeil auraient à cette époque alterné avec des
crises
d'agitation ; 1;... demeure deux ans paralytiqu
. L'histoire pathologique de notre sujet a évolué avec l'âge. Les
crises
d'hystérie ont actuellement complètement disparu,
ses d'hystérie ont actuellement complètement disparu, ainsi que les
crises
d'agitation. Mais un autre phénomène s'est prod
ation. Mais un autre phénomène s'est produit, c'est l'apparition de
crises
sensorielles consti- tuées par des hallucinatio
ique qui ait causé son développement, et indépendamment de lui. Ces
crises
hallucinatoires durent une heure et demie envir
que de notre sujet', suivi' dans son évolution, nous montre que les
crises
hystériques du - début ont été remplacées par d
ations actuelles peuvent être considérées « largo senso » comme des
crises
psychiques. Ainsi une fois de plus on pense à l
indépendante et bien distincte d'une agitation motrice et, d'une
crise
ccnvulsive. L'explication intime du-phénomène é
ndant à démontrer la réalité de ces équivalents psychiques de la-
crise
motrice, notamment dans l'épilepsie. Ces document
... Lorsque la convalescence survient, on assiste à une véritable
crise
~urinaire au sujet de laquelle les rapporteurs ont
nalés par M. Bourneville. Il s'agit d'un épileptique, qui après les
crises
présentait des taches purpuriques sur le front, e
Pour sa part, il a pu observer des hémorrhagies diverses après les
crises
épilepliques, mais chez des sujets hémophiles.
bulboprotubérantielle, le seul symptôme relevé était la présence de
crises
revêtant les caractères des accès épileptiques.
me, sans antécédents héréditaires et personnels, qui a une première
crise
d'épilepsie à l'âge de 30 ans. Pendant plusieur
s une paire de béquilles et une minerve dont il se sert pendant ses
crises
pour assurer sa marche ou redresser sa tête. Il
la mémoire, délire de satis- - faction. Accès impulsifs fréquents :
crises
de larmes ou de gémis- sements. Mort à la suite
uai de la gare, le malheureux dément demanda à man- ger. On crut sa
crise
calmée, et on lui délia les mains ; mais aus- s
ster même dans la station debout ; il peut être intermittent et les
crises
sont provoquées alors par le moindre mouvement
lle est le plus souvent le signe d'un trouble nerveux profond), les
crises
de larmes ou de colère sans motif suffisant, ou
eresthésie, des zones hystérogènes dont la com- pression arrête une
crise
, et possédant des lieux d'élection, ce qui prou
que toujours les petites articulations. Quant au diagnostic de la
crise
hystérique, il peut être fort aisé ou très diff
ues, une irritabilité générale avec attente anxieuse entrecoupée de
crises
aiguës d'angoisse souvent précédées d'accès par
guës d'angoisse souvent précédées d'accès paresthésique, ou bien de
crises
rudimentaires : crises cardiaque, respiratoire,
précédées d'accès paresthésique, ou bien de crises rudimentaires :
crises
cardiaque, respiratoire, vertige, etc.... Cet
rvalle de ceux-ci l'absence des réflexes patellaires et pendant les
crises
l'exagération des réflexes. Différentes catég
es de la volonté. En étudiant l'état des obsédés en dehors de leurs
crises
angoissantes, on reconnaît que ces malades sont
e phobies pures, par exemple dans l'agoraphobie, tout se borne à la
crise
d'angoisse devant l'obstacle à franchir et, s'il
gine dans l'arsenal thérapeutique du neurologiste. Dans deux cas de
crises
gastriques violentes, nous avons eu recours à l
eu fréquents, où l'on se trouvera en .présence d'un de ces états de
crise
douloureuse, périphérique ou viscérale, qui sou
rence aux mains et aux muscles de l'abdomen. Il y a de véritables
crises
cataleptoïdes, dans lesquelles le corps est raidi
is à la malade de reprendre conscience d'elle-même et a mis fin aux
crises
convulsives. Rôle psychique des cautérisation
e. Le réflexe du genou était exagéré chez tous. Tous avaient eu des
crises
convulsives. Les anomalies pupillaires chez ces
ment déterminé une folie qui aboutit à la démence. L'apparition des
crises
épileptiques dans les cas de manie ou de mélanc
eté du stade tonique par rapport au stade clonique, la tendance des
crises
à s'imbriquer, et l'épuise- ment général qui le
ant de nombreuses années l'asile d'aliénés ; un frère atteint d'une
crise
de délire passagère, sous l'influence d'excès a
ent, coma. La mort survient le 17, trois jours après le début de la
crise
de délire aigu. L'autopsie n'a pu être laite.
n pourrait faire remarquer que chez le même épileptique, toutes les
crises
se ressemblent : l'aura est presque toujours le
augmentant d'une cuillerée par quinzaine.) 19 novembre. A eu une
crise
le 23 octobre. (Ses crises se sont du reste rep
e par quinzaine.) 19 novembre. A eu une crise le 23 octobre. (Ses
crises
se sont du reste reproduites sans modification
eux officiels); à l'âge de huit ans, elle a eu pendant six mois des
crises
hystériformes très violentes. Rougeole;-somno-
des crises hystériformes très violentes. Rougeole;-somno- lences,
crises
éclamptiques répétées pendant deux heures et de
cru étouffer dans un accident de voiture, eut pendant trois ans des
crises
nerveuses, dont il guérit, et aucun de ses enfa
atine vers l'àgede neuf ans. Pendant sa convalescence, elle eut une
crise
convulsive (on ne sait pas si elle a été enflée
ématurément, à huit mois, d'un enfant bien portant. Deux mois après
crise
épileptique; autre crise deux mois plus tard.
d'un enfant bien portant. Deux mois après crise épileptique; autre
crise
deux mois plus tard. 18 octobre 188 ? . - hau
s l'espace de quinze heures. 17 novembre 1882. Depuis la dernière
crise
, elle a assez souvent des vertiges soit le mati
La mémoire semble s'affaiblir. D'après la description du mari, les
crises
sont très carac- téristiques : cri initial, pâl
ménopause, quand elle fut prise, à la fin de janvier, de plusieurs
crises
convulsives qui survinrent coup sur coup avec u
uatre grammes par jour, en suspendant pendant huit jours, quand une
crise
venait de se produire. Il y eut des alternative
t de se produire. Il y eut des alternative» dans la fré- quence des
crises
qui souvent furent éloignées, mais augmen- tère
e d'Yvon à la dose de deux et trois cuillères à bouche par jour les
crises
fu- rent suspendues pendant cinq mois. illars
auquel on joignait le traitement hydrothérapique. Sus- pension des
crises
pendant seize mois. Les doses furent dimi- nuée
aux doses de deux à trois cuillerées à bouche par quinzaine; pas de
crise
, jusqu'en janvier 1881. Le traitement fut conti
se, jusqu'en janvier 1881. Le traitement fut continué. Une nouvelle
crise
se produisitcepen- dant vers la mi-août (1881).
VEUSE. l'oedème a disparu. Depuis les suspensions du bromure, les
crises
reviennent tous les quinze jours; on reprend l'él
fut prise, une nuit, d'une attaque qui, dit le mari, ressemble aux
crises
éclamptiques commençant par un grand cri. Ces c
ressemble aux crises éclamptiques commençant par un grand cri. Ces
crises
se sont répétées souvent depuis, quelquefois el
tte depuis l'âge de seize ans jusqu'à dix-neuf à des vapeurs, à des
crises
de larmes, pas d'éclampsie. Une tante maternell
eux ans, n'a pas d'en- fants. Une soeur, plus jeune d'un an, a des [
crises
d'étouffe- ments, il y a quelques mois, à la su
ertains symp- tûmes, tels que troubles de la sensibilité, douleurs,
crises
laryn- gées. Enfin, bien d'autres malades n'aur
partout, et en particulier chez des amis, qu'il a éprouvé jadis des
crises
d'épilepsie vertigineuse. L'interrogation prouve
s où il en est positivement fait mention), il y a eu coïncidence de
crises
gastriques et que cette fréquence ne doit pas,
umogastrique étaient altérés, l'auteur avait émis l'opinion que les
crises
gastriques dé- pendent d'une irritation du noya
noyau du pneumogastrique. Etant donnée cette localisation pour les
crises
gastriques, c'est à une lé- sion voisine de cel
000 attaques terminée, la malade ne pré- senta plus qu'un nombre de
crises
relativement limité de mars à septembre 1883; e
précédés d'aura; quelquefois un petit cri annonce le début d'une
crise
. Alors la tète se raidit et se tourne du côté dro
lle a conservé un vague souvenir de ce qui s'est passé. Après les
crises
, la main droite reste fermée convulsivement, et
mouvements ondulatoires du ventre au début et dans l'intervalle des
crises
, des battements des paupières pendant les accès
Nous constatons aussi pour la première fois (dans l'intervalle des
crises
) de l'amblyopie à droite avec achromatopsie, sign
es, pendant l'état de mal hystérique, et un mois après la fin des
crises
; et dans les deux cas, les résultats ont été iden
perznaneufe. DES ATTAQUES DHI'STER1E. lit « Chez Co..., dont les
crises
ont un cachet épilepti- forme si prédominant et
cin en présence d'une malade atteinte d'un nombre considérable de
crises
convulsives comme Rosa G..., celui-ci trouverait
r exemple, la compression ovarienne eût, chez Rosa G..., arrêté les
crises
, la ques- tion de la nature des convulsions eût
mométrique nê'dépasse 'jâmâis138 ? quell,que"^soitlêT'nonhire°des
crises
; chez Rosa G..., pas de paralysies des membres
t nous allons parler; s'atténuer au contraire dans l'intervalle des
crises
, mais jamais nous n'avons constaté leur dispari
se convainc, à l'aide des renseignements fournis par Ang..., que la
crise
convulsive est annoncée par des phénomènes prém
né. II. Variétés de l'attaque. Dans la plupart de ces périodes de
crises
, les attaques ont revêtu les caractères que nous
atténuer un peu les accès. , Nous avons cherché, à l'époque d'une
crise
, à arrêter les accès au moyen des inhalations d
ré à la dose de 8 à 10 grammes, pendant plusieurs jours, durant les
crises
, a paru sans effet. IV. Température. Quel qu'
ns effet. IV. Température. Quel qu'ait été durant les différentes
crises
la fréquence des attaques, dont le nombre a attei
s dépassé 37°, 5. V. État de la malade au sortir de la période de
crise
. D'habitude, à la suite de ses crises, surtout
ade au sortir de la période de crise. D'habitude, à la suite de ses
crises
, surtout lorsqu'elles ont com- pris un grand no
: Elles sont annoncées par des prodromes. Plusieurs heures avant sa
crise
la malade se sent agacée, devient très irritabl
côté du membre (exagération des réflexes, parésie) à la suite des
crises
éloigne l'hypothèse de phénomènes épilep- tique
le commence par dire qu'elle a entendu ce qu'on disait pen- dant sa
crise
, qu'elle n'est pas épileptique, qu'elle voudrait
'elle voudrait bien parler, mais qu'elle ne le peut pas, etc. Cette
crise
a duré en tout vingt à trente secondes; elle n'
y a trois ans, elle était grosse de trois mois quand la pre- mière
crise
a éclaté, suivie de crises identiques qui se repr
grosse de trois mois quand la pre- mière crise a éclaté, suivie de
crises
identiques qui se repro- duisirent à intervalle
mère se décida à le nourrir. Au huitième mois delà lacta- tion, les
crises
réapparurent, toutes pareilles aux premières; m
rie. Dans la journée qui suit son entré : à l'hôpital, elle a des
crises
à tout instant; les deux jours suivants le nombre
; le 5, 17; le 6, 16; le 7, 28. Ce jour-là, à la visite du soir une
crise
a lieu, qui parait moins violente que les précé
du côté convulsé. La malade ne .perd nullement connaissance dans sa
crise
. C'est bien, dans la forme, de l'épilepsie part
ase des hallucinations. Cela tient, le plus sou- vent, à ce que les
crises
, se succédant sans intervalles, empiètent les u
ements on- dulatoires du ventre au début et dans l'intervalle des
crises
). 8° Il va de soi que les autres éléments de di
celet, à condition qu'on le lui charge assez fréquemment. dans les
crises
, des dires fantastiques qui dansent autour de moi
e amyotrophique de Leyden. P. K. XXXI. DE la MORT SUBITE pendant la
crise
hystérique; par H. Mol- lière. (Lyon médical, 1
ction a débuté il y a trois ans et neuf ans après la ménopause. Les
crises
consistent en sensation classique de la boule h
depuis sa nais- sance ; est devenue sujette, en grandissant, à des
crises
d'excitation et de violence; intelligence bien
des attaques, était presque totalement parallèle à la violence des
crises
; cette albu- minurie disparaissait graduellemen
iforme), par Ballet et Crespin, 429, 277 ; - (mort subite dans la
crise
), par Motticre, 332; - (tmpanite), .t34. Idée
sesse. L'enfant, surtout à partir de deux ans, a été sujette à des
crises
de colère, indices d'un tempéra- ment nerveux.
vif; sobre ; n'a jamais eu le moindre accident nerveux (migraines,
crises
nerveuses, syn- copes, etc.). - [Son père, cult
nvulsions, à l'Age de deux mois. Dans la même journée il a eu trois
crises
. Depuis les convulsions ne se sont pas reprodui
rossesse normale. A un an, début des convulsions; établissement des
crises
épileptiformes, très fréquentes (dix a quinze p
ix a quinze par jour). Hémi- plégie gauche à la suite des premières
crises
. En juin 189't : contractures spasmodiques du b
il.) - Ce qui frappe tout d'abord c'est la régulière alternative de
crises
d'excitation et de dépres- sion de l'enfant. Au
- tifs. Tentatives de suicide. - Fumait beaucoup en - cachette. -
Crises
hystériformes. - Menaces à l'adresse de ses par
in janvier 1896, à la suite de reproches faits au collège, violente
crise
nerveuse : le corps s'est raidi, puis l'enfant
taires ET personnels. pas retenu. Durée moins d'une minute. La même
crise
s'est reproduite cinq fois, de janvier à juille
ier à juillet 1896. Le caractère a dès lors continué à empirer, les
crises
de colère sont deve- nues plus fréquentes. Une
es, puis dans la Seine, s'accroche au parapet, aux réverbères. La
crise
a duré une heure et demie, Reconduit chez sa soeu
ts. Se figure que sa soeur lui en veut. Pleure quelquefois avant la
crise
, quel- quefois après. Se plaint d'étouffer : «
des. Ne reste jamais seul, à moins qu'il ne soit sous le coup d'une
crise
de colère. - Désordonné, indifférence personnel
gérée à l'endroit des réprimandes qui déterminent chez lui soit des
crises
de colère, soit des accès de mélancolie. - Les
Sens moral disparu. 16 juillet. - Le jour de son entrée, violente
crise
de colère quand il a appris qu'on voulait le la
atigué, se traînant et va s'asseoir sur un banc. Durée totale de la
crise
de colère : une heure trois quarts. René ne man
omme les autres. Il cause même gaiement aves ses camarades. 21. -
Crise
it la suite d'une invitation à écrire une lettre
as, il est resté dix jours dans sa famille; n'a eu ni l'ombre d'une
crise
, ni la moindre velléité do désobéissance. Fait
ontrons nous disent que l'enfant va très bien, qu'il n'a plus eu de
crise
, qu'il est en pension a D... où on est très con
es accès de colère. A la lin cle janvier 1896, il a eu une première
crise
nerveuse, hystériforme. De là, jusqu'à juillet
hystériforme. De là, jusqu'à juillet 1896, il a eu cinq au- tres
crises
. Puis, le caractère s'empire, les crises cle co
896, il a eu cinq au- tres crises. Puis, le caractère s'empire, les
crises
cle colère se multiplient. 0.. menace de se sui
e. III. Durant les premiers jours de son admission, René a eu des
crises
cle colère, a refusé de manger, et a adressé de
e salacité. Les selles sont régu- lières et il y a parfois quelques
crises
diarrhéiques. L'enfant Cachexie progressive. 95
rt de convulsions. Une tante a eu des convul- sions ; sujette à des
crises
nerveuses. Cousins morts de méningite : un est
es, pas de rhumatismes, pas de maladies de peau. Sujet à de petites
crises
nerveuses s'accompagnant d'oppres- sion, spasme
. Premières convulsions limitées à la face. - A 8 mois pre- mière
crise
épileptifo1'1ne. ? Caractère emporté, mendiant
ffre ni raideur des membres ni émission d'urines. - (lette première
crise
a duré cinq minutes au plus et, à la 140 État d
, le malade est resté abattu un moment. Trois jours après, nouvelle
crise
. A partir de lit, les crises reviennent une foi
un moment. Trois jours après, nouvelle crise. A partir de lit, les
crises
reviennent une fois ou deux par semaine, avec l
utre. A mesure que le malade avançait en âge, le caractère de ces
crises
se modifiait légèrement : le début s'annonçait pa
ntaire. Ces accès durent un quart d'heure, vingt minutes ; après la
crise
le malade est plongé dans la somnolence est pré
rts très jeunes. - Mère : fièvres intermittentes ( ? ) ; migraines;
crises
avec (1) D'après un certain nombre d'observatio
érébrale. - Pas de consanguinité ; différence d'âge : treize ans.
Crises
nerveuses durant la grossesse. Asphyxie à la nais
taques d'hys- térie revenant à peu près tous les quinze jours : ces
crises
ont duré jusqu'au moment où elle était enceinte
nier en mars). Aucun accès dans le cours de sa maladie. Il a eu une
crise
le 30 janvier 1899. Mczc... (On ? XIV). Dans le
on, de vagabondage, de paralysie, etc. Du côté maternel, il y a des
crises
nerveuses, de l'aliénation, de l'alcoolisme, de
n'y avait pas de différence entre les deux côtés du corps. Cette
crise
a duré deux minutes. Le même jour elle en aurait
ait eu deux -autres. Pendant une semaine, on a noté deux ou trois
crises
par jour, durant chacune moins de deux minutes.
bsession. Ils n'y pensent que de temps à autre, à la suite de leurs
crises
de confusion, qui les laissent honteux et irrit
rougir. Les larmes arrivent aussi très facilement. A dix-huit ans,
crise
de B pathologie NERVEUSE. neurasthénie, troub
it ans, le plus,souvent à l'occa- sion d'un incident fortuit, d'une
crise
de rougeur particulière- ment désagréable. A da
rent aussi symptomatiquement, des caractères identiques. Ainsi, les
crises
de rougeur surviennent dans les mêmes con- diti
le, ou d'un obstacle difficile à surmonter pour leur timidité. La
crise
de rougeur, à part quelques différences légères,
ient d'habi- tude et marque, dans ce cas, la dernière période de la
crise
qui ne se prolonge guère au delà de quelques in
er maître de soi. C'est la vraie furor brevis des anciens. Quand la
crise
s'achève, la rougeur diminue rapidement et fait
nt et la satisfaction de n'avoir pas à rougir de quelque temps. Ces
crises
, d'intensité variable, se renouvellent plus ou
les influences qui les favorisent. En dehors de l'état mental de la
crise
ou du paroxysme, que nous venons d'indiquer, le
urs les euréthophobes soit pour empêcher^soit pour dissimuler leurs
crises
de rougeur. S'empêcher de rougir est pour eux c
assez rare que les obsédés de la rougeur puissent s'opposer à leur
crise
. En revanche, ils ont mille moyens, plus ingéni
talement les réflexes vaso-moteurs chez nos obsédés, soit durant la
crise
paroxys- tique de rougeur, soit dans l'état int
eur, de 24 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'élément affectif. C'est que les
crises
de rougeur, une fois l'obsession créée, sont gé
incita- tion purement mentale. On peut donc admettre que, dans la
crise
de rougeur, c'est l'idée qui provoque l'émotion,
oxystique, où l'idée de la rougeur, bien que n'aboutissant pas à la
crise
, est chaque fois accompagnée d'une émotion plus
La première, c'est la façon dont se passent les choses lorsque la
crise
survient brusquement, tout d'un coup, par exemp
ns-nous, une preuve péremptoire que l'idée ne suffit pas à créer la
crise
émotive et que, dans cette crise c'est, comme l
ue l'idée ne suffit pas à créer la crise émotive et que, dans cette
crise
c'est, comme le soutient Lange, le phénomène va
fois pour excitation mania- que, ayant eu, à diverses reprises des
crises
épileptiformes et qui, s'étant couché tranquill
hémianopsie double : cette lésion aurait été en rapport avec ses
crises
épileptiformes. (Amener ! journal of inscatzil, a
assidûment et l'un deux s'y était livré très peu de temps avant la
crise
, il attri- buait même son attaque à son dernier
ements choréiformes, atteinte convulsée des nerfs crâniens moteurs,
crises
tétanoïdes. -Autopsie. Lésion des artères de la b
es; par le Dr PETERSON. Ce n'est guère que pendant la durée de la
crise
, de quelque na- ture que soit sa manifestation,
quoique robuste et bien développée. (Mère hystérique ayant subi une
crise
d'aliénation mentale ; père nerveux, dissipé, m
idité des membres tend à s'amender légèrement dans l'intervalle des
crises
, mais s'exagère de nouveau après chacune. Urine
aura ovarienne, la pression de cette région provoque et arrête les
crises
. Réflexes tendineux exagérés. L'amaurose gauche
dure depuis huit mois, le= attaques depuis deux ans; en dehors des
crises
de mutisme la voix reste aphone. L'intervention
eut faire l'extension brusque et le massage des mem- bres amène une
crise
de huit heures de durée suivie de contracture p
Vers sept heures du soir, le même jour, il fut pris d'une nouvelle
crise
, qui dura jusqu'à minuit, sous forme d'état de
dater de ce jour, D... eut quotidiennement pendant trois mois, des
crises
convulsives qui duraient d'une demi-heure à une
re, violent, brutal. Jusqu'à treize ans et demi, il n'eut plus de
crise
convulsive, mais sa paralysie ne se modifia pas
toujours gâteux, grossier. il n'aime pas aller aux douches. Parfois
crises
de colère dans lesquelles il déchire ses habits
u bout de plusieurs mois, d'un an, etc. Ici pendant trois mois, les
crises
convulsives sont revenues quotidiennement, affe
il n'y ait pas non plus de folie 20t RECUEIL DE FAITS. après les
crises
, que l'intelligence se maintienne telle qu'elle
ion : toutefois leur usage continu est utile contre la violence des
crises
et l'excitation qui les accompagne, mais il ne
e nombre, 32 p. 100 sont morts d'attaque apoplectique, 19 p. 100 de
crises
épileptiformes et 30 p. 100 de cachexie. Dans
dié. Les phénomènes très accusés que présentent les jambes dans les
crises
convulsives correspondent bien à ce que faisait
pressentiments; il garde le silence et ne rend compte qu'après la
crise
des sensations qu'il a éprouvées; il a des tendan
e nous ayons rencontré de ces pares- thésies apparaissait comme une
crise
nasale aiguë qu'on peut à tout point de vue rap
crise nasale aiguë qu'on peut à tout point de vue rapprocher d'une
crise
laryngée ou d'une crise gastrique, etc., si bie
peut à tout point de vue rapprocher d'une crise laryngée ou d'une
crise
gastrique, etc., si bien connues au cours du tabe
désignons cette modalité dans le tableau précédent sous le nom de
crise
nasale. Crise nasale. - La crise nasale avec au
e modalité dans le tableau précédent sous le nom de crise nasale.
Crise
nasale. - La crise nasale avec aura paresthésique
tableau précédent sous le nom de crise nasale. Crise nasale. - La
crise
nasale avec aura paresthésique dans la sphère d
ucher et, du côté' gauche seulement, une diminution de l'odorat. La
crise
est caractérisée par un accès d'éternuement ave
e. Les éter- nuements qui viennent de se produire, mettent fin à la
crise
et les sensations anormales dans la sphère du t
uche, le même trouble qu'à gauche. Aucune odeur spéciale pendant la
crise
. Il semble donc certain que la crise nasale est
cune odeur spéciale pendant la crise. Il semble donc certain que la
crise
nasale est provoquée par un trouble de la sensi
non des sensations olfactives qui sont accusées par le malade. La
crise
nasale a donc pour origine les branches du triju-
nt du cou, et enfin au niveau de la muqueuse du nez. En résumé la
crise
nasale se caractérise par une première période,
la narine gauche et terminée par un accès d'éternue- ment. Cette
crise
n'est sans doute pas sans présenter des analogies
demment le tabes et non l'arthri- tisme qui est à l'étiologie de la
crise
du tabétique. Enfin l'accès tabétique s'accompa
uement et s'accompagner d'autres troubles bul- baires De même une
crise
laryngée, par exemple, peut se produire tout à
très fréquente. Voici la manière dont se comportent ces sortes de
crises
. Le malade accuse tous les quelques jours, tout
de importance d'envisager les autres symptômes qui accompagnent ces
crises
, car seuls ils peuvent nous donner quelques not
nc, soit le début aigu, soit la marche chronique d'emblée, soit des
crises
très variables d'intensité et de durée, à phéno
et fort intéressants. Ils se rapprochent, dans ce dernier cas, de
crises
douloureuses périphériques ou viscérales du tabes
t responsable, est aussi absurde que de dire qu'un homme en état de
crise
convulsive est, puisqu'il a toute sa force, cou
deux fois par mois. Trois mois après l'accouchement, elle a eu une
crise
convulsive qui s'est renouvelée huit fois jusqu
ervation directe sont les suivants : le médecin est appelé pour une
crise
convulsive téta- nique : état d'opisthotonos, b
leur articulaires. Pendant plusieurs semaines on vit reparaître ces
crises
convulsives à des intervalles plus ou moins élo
rme sans impor- tance, ou quelques différence d'intensité. Puis les
crises
se mirentàne plus reparaître qu'au moment des r
t de stupeur plus ou moins profond : il présenta un grand nombre de
crises
convulsives tantôt généralisées, tantôt limitée
iques accompagnées de vomissements et de constipation survenant par
crises
. Ces crises d'ailleurs sont encore très fréquen
agnées de vomissements et de constipation survenant par crises. Ces
crises
d'ailleurs sont encore très fréquentes, obligea
t a été commis pen- dant un accès délirant ou dans l'intervalle des
crises
. Dans ce der- nier cas, pour apprécier la respo
stence d'accès convulsifs ou vertigineux. M. Siemerling parle des
crises
convulsives chez les alcooliques. A côté d'autr
reste, acceptée par presque tous les médecins qui s'occupent de la
crise
des morphinomanes. A celle-ci il ajoute certain
lret, nous entendons par là les malades qui ont été atteints par la
crise
finale alors qu'ils conservaient encore, avec u
la région sacro-lombaire la contraignirent à se mettre au lit. Les
crises
douloureuses continuèrent avec une violence ext
s médicales, Lyon.) LXVI. Anévrisme CIRSOÏDE DE la VOUTE crânienne.
CRISES
épileptiques JACKSONNIENNES. M. Pollosson et
onnaître uil cas de tumeur vasculaire de la voûte s'accompagnant de
crises
épilep- tiques, chez un jeune garçon de neuf an
t ans, il n'eut aucune affection ; à ce moment il prit une première
crise
d'épilepsie (tremblement convulsif des membres,
a parole, sans cri initial, ni morsure de la langue), puis d'autres
crises
à intervalles réguliers. Actuellement, les cris
e), puis d'autres crises à intervalles réguliers. Actuellement, les
crises
sont un peu modifiées : l'enfant les sent venir
s. Il n'est pas accompagné de mouvements épilep- tiformes. Après la
crise
, la lucidité est complète, mais l'enfant a un b
l'enfant a un besoin invincible de sommeil. Dans l'intervalle des
crises
l'enfant s'amuse, son intelligence est normales
Le 18, à 9 h. 1/2, la malade est prise subitement d'une sorte de
crise
. Appelé auprès d'elle, nous la trouvons les quatr
aut surveiller l'ali- mentation et les fonctions digestives, car la
crise
peut être due à une autointoxication par fermen
canisme par lequel une émotion, telle que la peur, donne lieu à une
crise
convulsive est d'ailleurs inconnu. Elle agit pr
ncore à certains moments le désir de la mort. Ce désir survient par
crises
, le plus souvent sans motifs ou à l'occasion de c
ou à l'occasion de contra- riétés insignifiantes; et il est de ces
crises
qui ont été assez fortes pour les conduire mome
tion chez l'un, soit à la ferme volonté d'exécuter chez l'autre. La
crise
consiste en une sensation de désespoir infini,
es deux malades, absolument étrangers l'un à l'autre, du reste, les
crises
surviennent généralement le soir, et le sommeil
que l'un des deux malades, depuis qu'il s'est rendu compte qne les
crises
avaient une évolution régulière et qu'elles se
ière et qu'elles se terminaient, en est arrivé, même au cours de la
crise
, à se tranquilliser et à les considérer comme u
alité, les malades ayant complètement oublié, comme au sortir d'une
crise
de som- nambulisme, la période par laquelle ell
violent. Cécité complète. Aucun trouble objectif de la sensibilité.
Crises
convulsives. Cachexie progressive. Tuberculose
ères; celles-ci ne s'accompagnent plus de vomissements. Pendant ces
crises
douloureuses, elle prend des espèces de vertige
faiblie, elle n'entend la montre qu'à six centimètres. -Pendant les
crises
douloureuses, quelquefois en dehors d'elles, el
ve à l'examen les mêmes signes objectifs que plus haut. Pendant les
crises
douloureuses, tantôt les pupilles, un peu dilat
e cacbectise rapidement. 31. Hier à deux heures, la malade a eu une
crise
couvulsive, avec écume à la bouche et incontine
ense. Les troubles bulbaires n'ont pas reparu. 10 août. -Nouvelle
crise
convulsive. 16 octobre. - Aucune amélioration.
es bulbaires : amélioration spontanée. Recrudescence des symptômes,
crises
épilepli formes clébu- tant par la main droite,
de a repris un kilo. 5. - Un peu d'inégalité pupillaire. 9. Une
crise
douloureuse céphalique cette nuit. On ordonne d
es yeux et la face se convulsèrent; elle perdit connaissance. Cette
crise
fut suivie d'un sommeil profond. Au réveil el
de faiblesse dans le membre supérieur droit. Depuis, elle a eu deux
crises
semblables. Examen du 3 septembre. Dans ses cri
elle a eu deux crises semblables. Examen du 3 septembre. Dans ses
crises
la malade n'a pas d'aura. Les convulsions comme
e à droite; abolition des rétlexes rotuliens, oedème dé la papille;
crises
passagères de deux ordres : tantôt crises convuls
ns, oedème dé la papille; crises passagères de deux ordres : tantôt
crises
convulsives loca- lisées à la face et au bras d
(dyspnée, tachycardie). 13 septembre. La malade a eu deux nouvelles
crises
convulsives : elles ont débuté comme les précéd
s'est produit une amélio- ration considérable. Il n'y a plus eu de
crises
convulsives. La céphalalgie et les vomissements
fronto-pariétale gauche auraient notablement augmenté. Hier soir
crise
épileptiforme, sans aura; début des mouvements co
urine. La perte de connaissance a duré un quart d'heure. 22 mars.
Crise
semblable. 25. Analyse des phosphates urinaires
ente comme uhesortededédoublement de la personnalité, survenant par
crises
toutes les quatre semaines. En temps ordinaire,
elle, tant pour l'un que pour l'autre sexe. Quelques jours avant sa
crise
, son caractère devient irritable, il ne peut re
ur pour son propre sexe, se considérant comme changé de sexe. Cette
crise
cède à des pratiques de mastur- 1>ation,et l
leptique prenait la forme d'un rêve pénible. Un second exemple de
crises
semblables, avec palpitations angois- santes, m
arres qu'ils puissent être ; dans le second, on voit apparaître une
crise
brusque et courte, principalement caractérisée
physiques de dégéné- rescence, et atteinte, depuis son enfance, de
crises
épileptiformes, de tremblement et d'athétose. L
miplégique du tremblement et de l'athétose, sa coexistence avec des
crises
épileptiformes, ou l'exagération des réflexes t
othérapie. Dès la première 160 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. séance les
crises
convulsives furent supprimées, mais elles reparu-
tement; la maladie il est vrai, s'était sensiblement modifiée ; les
crises
étaient devenues moins nombreuses et moins viol
ébut de ce traitement, c'est-à-dire depuis près de six mois, aucune
crise
ne s'est produite. A. F. X. SUITE DE l'observat
d'autres cas (forme convulsive), la maladie s'est traduite par des
crises
épileptiformes. L'auteur a observé aussi un malad
bromures, les troubles mentaux ont une tendance à se substituer aux
crises
; de plus les éruptions bromurées appa- raissent
murées appa- raissent avec plus de fréquence ; enfin à la place des
crises
se pré- sentent parfois des troubles mentaux no
pes de phénomènes caractérisent la physiologie patho- logique de la
crise
épileptique : d'abord les conditions de l'épile
me, l'alcoolisme moderne, fléau généralisé, représente une nouvelle
crise
de l'his- toire de l'humanité. Le travailleur
uatre ans, aucune attaque convulsive; mais il est resté sujet à des
crises
d'excitation violente de formes diverses. Il est
a famille, et la dissimulation ne fut pas longtemps possible. A une
crise
de pleurs qui dura plusieurs heures, on vit succé
emiers rapprochements sexuels n'avaient pu s'accomplir qu'après une
crise
d'angoisse qui détermina une syncope. Mais la d
jouit d'une bonne santé générale; elle est nerveuse, sans avoir de
crises
cependant; les grandes émotions déterminent chez
e, les yeux étaient animés de mouve- ments, levisage était pâle. La
crise
durait ainsi deux heures environ et était suivi
nt, parfois plusieurs fois par jour. A quatorze mois, à la suite de
crises
répétées, elle resta durant quatre jours sans p
vre. Elle avait maigri pro- gressivement beaucoup. A la suite de la
crise
de quatre jours que nous venons de signaler, l'
on développement devenait nor- mal. A partir de l'époque de cette
crise
importante, la tête grossit peu à peu. Des conv
naient approximative- ment deux à quatre fois par mois. Parfois des
crises
plus graves se produisaient; on crut ainsi la p
ainsi la perdre au quatorze juillet de l'an dernier, elle resta en
crise
de cinq heures du matin à quatre heures du soir
résultante de poussées méningitiques répétées, poussées dont les
crises
convulsives ont été les symptômes les plus mani-
on est relatée, souffrit dès 1887 de névralgies sus-orbitaires. Les
crises
de douleurs duraient de une à quatre semaines e
une sensation de coton dans l'oreille gauche; dans l'intervalle des
crises
, il n'y a aucune modification de l'aspect de la
actère de la personne soit par simple.refus, soit en provoquant une
crise
, soit en rendant plus profond le degré de létha
ée l'hystérie, caractérisée par ses stigmates classiques et par des
crises
d'étouffement; cette dernière, par le rétréciss
335 l'auteur rapporte-douze cas de formes rares. Cas 1 : avant sa
crise
, le malade prononce à plusieurs reprises la phras
ccomplir l'acte le plus simple. Cas 6 : dix à douze heures avant la
crise
, migraine violente localisée à la tempe gauche.
spasme clonique des masseters. Cas 8 : dans la moi- tié des cas, la
crise
est précédée par une sensation d'odeur de fumée
prises à l'asile de Lafond, pour troubles mentaux consécutifs à des
crises
nerveuses. J'ai pu, de cette façon, l'observer
s premiers jours de son admission, elle est atteinte d'une série de
crises
nerveuses que la compression de l'ovaire réussi
'ovaire réussit à arrêter pour quelques instants. A la suite de ces
crises
, la malade a le caractère difficile ; elle se l
ente, a des accès de larmes suivis d'accès de rire incoercible. Les
crises
deviennent de plus en plus fréquentes et des vomi
ans le pavillon des malades excitées. A partir de cette époque, les
crises
nerveuses disparaissent, les vomissements s'arr
e tentée. Mais, après quelques mois de calme dans la famille, les
crises
reparaissent, et depuis cette époque, bien que pl
toire pendant les premières années en disant qu'elle a présenté des
crises
revenant par intervalles irréguliers, principalem
ces au suicide. Mais il faut néanmoins insister sur ce fait que les
crises
de la malade sont de deux sortes : -, les crise
ur ce fait que les crises de la malade sont de deux sortes : -, les
crises
épileptiques proprement dites et les crises hysté
de deux sortes : -, les crises épileptiques proprement dites et les
crises
hystéro- épileptiques, avec le cortège habituel
se produit au bout de quelques minutes. L'amnésie est absolue. Ces
crises
surviennent plusieurs fois par jour, principale
dents hallucinatoires, zoopsie, visions de fleurs, etc. Ces grandes
crises
, que la compression ovarienne suspend parfois p
sont précédées ou suivies d'amnésie, d'ischurie. A la suite de ces
crises
, la malade est souvent atteinte d'aphasie qui p
es. Cette aphasie et parfois aussi la paraplégie, qui succèdent aux
crises
, disparaissent brusque- ment. L'état d'anorex
ans inver- sion de la formule des phosphates (examen fait après les
crises
épileptiques.) Cet ensemble de symptômes perm
perte bilatérale intermittente de la vision survenant à la suite de
crises
hys- téro-épileptiques et disparaissant assez b
ec manifestations distinctes'des deux névroses, hystéro-épilepsie à
crises
distinctes, considérées dans les deux sexes et
Lannois. (Soc. des Se. méd. de Lyon, mars 1898.) Un épileptique à
crises
fréquentes fut opéré par M. Jaboulay, qui fit l
des deux ganglions sympathiques supérieurs. Après l'opération, les
crises
furent aussi fréquentes, et le malade succomba
tiples et hémiplégie organique. Cache (Eugène). Tabès. Syn- drome.
Crises
gastriques. Elude clinique. Campos (Moïse). Rec
nément l'année dernière, en se jetant contre une pierre, durant une
crise
de delirium tremens. Un poisson ivrogne 1 Voilà
RVEUSE. Épilepsie et fièvre typhoïde. (Deux épileptiques morts en
crises
subinlranles avec hyperthermie) ; PAR it M. l
sujet qui a succombé à la fin de la première semaine, en pleines
crises
convulsives subintrantes, avec hyperthermie. Ce
e dans toute affection aiguë avec hyperthermie, la réapparition des
crises
épileptiques soit un phénomène favorable, qui p
psie n'ont pas été influencées par la maladie, seul le nombre des
crises
semble avoir diminué pendant son cours, mais elle
typhoïde grave avec hyperthermie notable. Au bout d'un instant, une
crise
d'hystérie d'une violence extrême éclate avec s
n rythmée du bas- sin, délire passionnel, insensibilité absolue. La
crise
dure trois heures et se renouvelle les jours su
r met en relief « l'apparition, du syndrome agonique au début d'une
crise
hystérique, dont il représente l'aura vaso- 1 S
h. Paris, 1881. 20 CLINIQUE NERVEUSE. motrice et l'éclosion d'une
crise
convulsive dans la période hyperpyrétique d'une
nous avons deux observations communiquées et une personnelle où la
crise
épileptique, par son retour, a marqué le début
centué cette hyperthermie, et dans lesquels la mort est survenue en
crises
convulsvies. EPILEPSIE ET FIÈVRE TYPHOÏDE. 21
ie avec asymétrie cranio-faciale. Léger strabisme convergent. Une
crise
tous les deux jours. Il prend 3 grammes de bromur
ériode classique s'est prolon- gée pendant une heure, il sort de la
crise
cyanosé, très abattu, cependant que la températ
ains. Le 5, au matin, température 40°,4; à 8 heures et demie, les
crises
réapparaissent et se succèdent sans laisser de ré
5; il entre dans le service le 28 août 1900; c'est un épileptique à
crises
assez espacées, deux en moyenne par semaine. On
e saigne assez abondamment du nez. Le 5, même état. Le malade a une
crise
épileptique, formée subintrant's, qui dure envi
e très nom- breux, le faciès est un peu cyanosé, le malade a eu une
crise
con- vulsive, qui a duré une quinzaine de minut
t superficielle, il ne réagit plus aux appels. A midi, une nouvelle
crise
apparaît et la mort survient une demi-heure apr
ier, il s'est même esquissé une détente thermique après la première
crise
. Chez le second ce phénomène quoique moins net
ces deux cas nous engagent à ne plus envisager la réapparition des
crises
épileptiques, au cours d'une pyrexie, comme un
e qu'il s'agit d'un néoplasme. En faveur du néoplasme, il y a les
crises
convulsives, les vomissements, la céphalalgie et
uvent l'existence d'une courte affection initiale, telle que grande
crise
de diarrhée, fièvre septique, attaque de fièvre
t le siège de mouvements myocloniques, apparaissant sous forme de
crises
, sous l'influence d'excitations mécaniques de tou
urs étaient animés de mouve- ments mvocloniques qui survenaient par
crises
. A l'autopsie, on trouve de l'eedème cérébral t
parfaite santé physique donne lieu aux notes sui- vantes : 1885.
Crises
d'agitation violente, elle se dispute avec les au
tre son goût, a été cause de son mal. 1 880. Toujours soumise à des
crises
fréquentes d'excitation ma- niaque avec idées d
cun sentiment affectif; ne s'agite plus que de loin en loin, et par
crises
courtes et subites qui se traduisent surtout par
d'hypocon- drie et de persécution précédemment décrit : tantôt avec
crises
de désespoir accompagnées de larmes et d'idées
ole. ' Peu à peu son intelligence s'est affaiblie; actuellement les
crises
d'agitation sont presque purement motrices, ell
es mentaux chez les deux frères aux modifications apportées par ces
crises
psychopathiques aiguës dans le fonctionnement d
rs qu'Henri manifeste une dissociation progressive des idées avec
crises
d'excitation maniaque. En résumé, pour le diagn
e cyanosèrent et devinrent le siège de puresthésies accompagnées de
crises
doulou- reuses, surtout nocturnes. La peau elle
gyll- Ilobertson; troubles de la sensibilité; douleurs fulgurantes;
crises
gastro-intestinales. Examen microscopique de to
, s'accompagne de spasme pharyn- gien et se termine souvent par une
crise
de pleurs. Parmi les causes déterminantes les p
urasthé- nique, on rencontre la réplétion gazeuse de l'estomac, une
crise
de névralgie intercostale, la leclure d'un chap
on d'un homme de soixante-quinze ans qui, à la suite de sa dernière
crise
épileptifoime (la première remontant il huit ans)
- sista jusqu'à la mort survenue trois semaines après la dernière
crise
. - . A l'autopsie on constate la présence dans
e garçon, qui à la suite d'une maladie infectieuse fut affecté de
crises
de paralysie progressive des quatre membres, reve
decine, 1887. 2C8 CLINIQUE NERVEUSE. enfants, étaient frappées de
crises
paralytiques périodiques transitoires sensiblem
ires sensiblement analogues à l'intensité près. Le plus souvent, la
crise
était nocturne, accompagnée de prodromes (faibl
de sept ans, qui après des accès de fièvre intermit- tente eut cinq
crises
d'akinésie malarique avec perte de la contracti
contractilité électrique; l'autre âgé de six ans, présenta trois
crises
analogues en deux ans. Le malade d'IIartwig est s
ecté ; les sphincters, la sensibilité étaient intacts. La durée des
crises
était de vingt-quatre heures. Le sujet fut amél
actérisaient uniquement par des douleurs dans les jambes. Après les
crises
persistaient' de l'excitation, une sensation de
lé jouer le rôle d'aggravant. Dans deux observations notamment, les
crises
d'épilepsie n'existaient qu'à REVUE DE PATHOLOG
é l'aphasie. Le petit malade s'amaigrit rapidement. Il eut quelques
crises
de faiblesse cardiaque, avec des sortes de sync
cardiaque, avec des sortes de syncope ou de collapsus : la dernière
crise
traîna plusieurs jours : il survint de la rigidit
mme dans le cas actuel d'anesthésie d'une branche du trijumeau. Les
crises
débutent d'ordinaire brusquement par de la doul
isparaissent, sauf la douleur. Les récidives sont fré- quentes. Les
crises
peuvent s'accompagner de photophobie, d'oedème
ubles digestifs, surtout la constipation, précipitent le retour des
crises
; la menstruation, les maladies de l'appareil gé
point de douleur. Les trou- bles viscéraux et particulièrement les
crises
gastriques se rencon- trent fréquemment dans la
cès de folie avec divagation et suivis de sommeil. Elle a eu quatre
crises
hystériques après des contrariétés ou des impre
, urines assez abondantes. Elle dit que quand elle peut pleurer, la
crise
avorte. Elle est très suggestionnable. Un jour,
ne sait plus dans quel sens, léger écoulement de salive. Api es les
crises
, il était encore plus endormi que d'ordinaire.
pendant quelques jours seulement. Un peu après à l'occasion d'une
crise
nouvelle de céphalalgie le malade dit avoir rem
te de rectifier. A peu près vers la même époque, il y aurait eu une
crise
de nerfs caractérisée par l'émission de cris, u
rentré dans l'ordre, le malade avait conservé le souvenir de cette
crise
, et la température prise à ce moment aurait dénot
il mar- motte quelques monosyllabes inintelligibles. Une nouvelle
crise
d'agitation ne tarde pas à succéder à cette cou
sieurs jours. il a obtenu encore un soulagement réel dans un cas de
crises
gastriques tabétiques et dans un cas de zona cr
tion mentale et déjà, il y a un an environ, à la suite d'une de ces
crises
, où il se précipita par .une fenêtre d'un logem
omme par le passé. ' Lorsque hier, dans la soirée, à la suite d'une
crise
plus violente que celles qu'il avait eues, le m
a rien, mais à partir du lendemain de l'opération la malade eut des
crises
épileptiformes du type jacksonnien qui per- sis
drome se trouvait réalisé à peu près complètement. M. H. XLVIII. La
crise
nasale tabétique ; par H. Jullian. (Revue de mé
s une observation de M. Klippel. Dans le cas dont il s'agit ici, la
crise
d'éternuement survenait après un état prodomiqu
l'état de veille même en l'absence du hoquet, donnant lieu dans les
crises
les plus fortes à un véritable aboiement. Le tr
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 407 alcooliques pour combattre de prétendues
crises
cardiaques, qu'elle décrit comme étant de vérit
if, car elles ne s'accompagnent d'aucune modification du pouls. Ces
crises
étaient précédées d'une sensation de suffocatio
urie, ténesme vésical, enfin tout ce que l'on décrit sous le nom de
crises
gas- triques, intestinales, laryngées, vésicale
nt sa mort (on n'a pas de renseignements antérieurs) elle avait des
crises
épileptiformes, pas très fréquentes, mais inten
ces et qui fut frappé d'un attrait sexuel subit, suivi peu après de
crise
consulsive. Cet état se reproduisit plusieurs f
ligent, qui, il y a huit ans, et souvent depuis présenta de petites
crises
de dépression mentale, précédées de symptômes a
emment, irrégularités cardiaques ; quelquefois, à l'occasion de ces
crises
, il était obsédé par l'idée que son bétail alla
périodicité, sont variables suivant les espèces, phase d'évolution,
crise
saisonnière, ou menstruation plus ou moins à l'
assant de la théorie de Lombroso voulant assi- miler le génie à une
crise
épileptique, Personne ne peut soutenir sérieuse
s, en entrant dans les bureaux du commissa- riat, il fut pris d'une
crise
furieuse. S'échappant des mains de l'agent qui
deux femmes observées tant en état de mal que dans des moments sans
crises
, une fois seulement le signe de Quinquaud exist
dée de doute ne se pré- sente pas toujours de la même façon dans la
crise
obsédante : elle est fiéquemment due à des trou
vait les oreilles mal ourlées et était sujette dans l'enfance à des
crises
hystérifotmes. M. llvcaav. Ses antécédents pe
li aussi chez une femme que présente M. Babinski. Celle-ci a eu des
crises
de douleurs à l'es- tomac et des troubles nerve
gers troubles pupil- laires. C'est donc une tabétique au début avec
crises
gastriques. Enfin, il est encore aboli chez un
par Ferrand, 184. Atrophies - et radiographie, par Gilbert, 40`3.
Crise
-, lar Jullian, 404. Thyroïde. Sur la fonctio
riel, à la tête d'affaires considérables un moment compromises par la
crise
qui sévissait à la fin de 1885, avait cherché dan
air-voyants de sa famille, quand vers la fin de 1885 éclata une forte
crise
de delirium. A cette première crise qui céda aux
s la fin de 1885 éclata une forte crise de delirium. A cette première
crise
qui céda aux moyens ordinaires succéda, en févrie
, tout était pour le mieux dans la plus heureuse des familles... La »
crise
commerciale touchait a sa fin... on avait les plu
précédentes : il parut écouter avec intérêt les détails concernant la
crise
sucrière. Redescendant alors au salon, il repri
ion d'un procédé de fabrication diminuant les frais de production. La
crise
était commercialement conjurée, et on put bientôt
6, dans le service du professeur Pitres, un jeune homme qui, dans une
crise
de som-meil hypnotique, avait cherché à se suicid
ances publiques d'hypnotisme. Depuis cette époque, il est sujet à des
crises
de sommeil spontané pendant lesquelles il accompl
personnalité. Ces déroulements ont toujours eu lieu, soit après une
crise
d'hystéro-épilepsie. soit pendant la crise elle-m
rs eu lieu, soit après une crise d'hystéro-épilepsie. soit pendant la
crise
elle-même. C'est en effet dans cet état que nou
r un grand nombre de fois. Nous ne donnerons pas la description des
crises
hystéro-épileptiques de V... ces attaques réponde
isolement chez un même malade, à tel point qu'étant donnée une seule
crise
, celle avec aura de la vipère, on peut croire que
aire craindre pour les jours du malade. Or, c'est dans cette grande
crise
et en général pendant la période qui correspond,
nous occupent. En sorte qu'en réalité, dans la majorité des cas, la
crise
de V... est constituée non seulement par les phén
les paroles du malade que nous avons pu découvrir, pendant cette même
crise
, les états de personnalité décrits par les auteur
e-t-il, elle me mord ! » Un spasme s'empare de tout son être. Il a la
crise
épileptique amenée par la frayeur de la vipère.
e rend à Chartres, veut voir sa mère, la voit. Il est alors pris de
crises
nouvelles, revient a l'état de Luysan, décrit plu
ssé et désire se reposer. Nous pourrions reproduire les différentes
crises
pendant lesquelles V... a déroulé ses personnalit
e. Ainsi, le 10 octobre 1885, à l'asile de Lafond, après une grande
crise
, V... reste pendant un jour et demi en état d'hém
ur et demi en état d'hémiplégie droite. Il est à Rochefort. Une autre
crise
s'empare de lui et le ramène à la Rochelle. Un
ures et ne reprend conscience à Lafond qu'après une nouvelle série de
crises
. D'ailleurs, dans ces déroulements divers. V...
ont été suggérés et nous avons publié à diverses reprises le récit de
crises
du malade pendant lesquelles il reproduisit avec
u point de vue thérapeutique. Comme nous l'avons dit plus haut, les
crises
spontanées d'hystéro-épilepsie de V... durent par
sa vie. Or, il est toujours facile, V... étant en ,l'état de grande
crise
, après avoir comprimé la zone hystérogène, de dét
é normale, et de faire disparaître, comme par enchantement, la grande
crise
et la majeure partie des malaises. Telle est la
, avoir contribué à démontrer combien est intime le lien qui unit les
crises
nerveuses aux variations de la personnalité. Ca
jamais nous n'avons vu chez V... la personnalité se transformer sans
crise
ou modification nerveuse préalables. L'attaque
ité. L'activité psychique de l'hypnotisé est sous la dépendance d'une
crise
cérébrale dont il n'a pas conscience; c'est l'hyp
ictimes. Nous assistons successive-ment a l'incarnation du démon, aux
crises
, au sabbat: enfin, au dernier acte de cet horribl
à présenté à la Société médicale: il le trouva atteint d'une violente
crise
épileptiforme. C. avait été endormi par un négoci
ville, et, quand celui-ci avait voulu le réveiller, il fut pris de sa
crise
nerveuse, que l'endormeur ne réussissait pas à ca
éra qu'il n'avait rien, qu'il n'était plus malade et le réveilla. Les
crises
nerveuses ne se reproduisirent plus. La nou-velle
paravant, jamais il ne buvait plus d'un ou deux jours. Désormais, les
crises
vont durer cinq, six et huit jours, jusqu'à ce qu
après une émotion morale, joie ou chagrin, qu'éclatent dorénavant les
crises
. e Sous l'influence de la boisson, dit le malad
ntrariété. Des scènes analogues provoquaient parfois, auparavant, des
crises
de dipsomanie. Cette fois-ci, il n'y eut pas de c
uparavant, des crises de dipsomanie. Cette fois-ci, il n'y eut pas de
crises
, mais le malade se trouva comme au lendemain d'un
elles contrariétés qui, autrefois, auraient certainement provoqué une
crise
. Quatrième séance, 11 avril. — La somnolence et
douleur doit être très violente, comme cela a toujours été quand ces
crises
m'ont pris, mais je ne la ressens qu'extraordinai
les symptômes avant-coureurs : malaises, angoisses, etc., sans que la
crise
éclatât. Aujourd'hui, le malade se considère co
comme mesure préventive. 11 y a bientôt dix mois qu'il n'a plus eu de
crises
de dipsomanie. et tout fait espérer que. s'il con
d'un père alcoolique, elle a, depuis l'âge de six ans, de fréquentes
crises
épileptiformes. La menstruation ne modifie nullem
vec enrouement datant de neuf mois. Elle a eu autrefois de fréquentes
crises
d'hystérie qui ont diminué beaucoup depuis quatre
glées pour ainsi dire à heure fixe. Chez l'une d'elles, atteinte de
crises
convulsives, très impressionnable, des frayeurs s
es, quelle que soit la direction du courant, et peuvent provoquer des
crises
convulsives- Vingt-sept observations cliniques,
jamais beaucoup à la fois, mais sans cesse. Alors se déclaraient des
crises
aiguës d'alcoolisme; jamais de delirium tremens.
mais de tremblements des mains. La malade, même après ses plus fortes
crises
, n'a jamais manifesté de regret, ni le moindre re
ère s'enivre presque tous les jours, est alcoolique, et a parfois des
crises
de delirium tremens. » Avant d'avoir la rougeol
t son tour d'avoir peur. II a entendu parler d'accidents produits, de
crises
survenues, et, ne sachant comment réveiller cette
s. Déjà Hippocrate avait répondu affirmativement, dans le cas d'une
crise
de coma. Mais il est bien rare qu'une femme se tr
la Société de médecine de Rouen un jeune homme de 20 ans, sujet à des
crises
caractérisées par la sensation d'une boule remont
Mme B... ne suit pas ce consoil, car il parait que cela lui donne une
crise
hystéro-épileptique). Vers C h. 49, elle s'assoit
. Err 1873. à l'occasion de la mort de son grand-père, une première
crise
hystérique isolée. En 1875, quelques crises don
grand-père, une première crise hystérique isolée. En 1875, quelques
crises
dont la cause occasionnelle n'est pas connue. E
as connue. En 1880, après avoir travaillé beaucoup à des écritures,
crises
hystériques très violentes, accompagnées de faim
n juillet 1884 au milieu d'une santé parfaite en apparence, nouvelles
crises
qui éclatent après chaque repas. Cet état dure tr
reparait alors et, si la faim n'est pas immédiatement satisfaite, une
crise
arrive. D'ailleurs celles-ci se renouvellent à to
oquent des tiraillements. d'estomac, qui sont immédiatement suivis de
crises
. La situation reste ainsi la même jusqu'au mois d
insi la même jusqu'au mois d'octobre de la même année ; cependant les
crises
diminuent de nombre et d'intensité, quoique l'imp
elle est obligée de s'y faire transporter en voiture. Le soir, grande
crise
. Quelques pas seulement dans la chambre les jours
promenais avec elle, le matin, à neuf heures. Mlle X... était dans sa
crise
, mais réveillée (c'est-à-dire dans l'état second)
A la fin d'octobre, étant encore indisposée, elle eut une assez forte
crise
, à la suite d'une discussion avec son fiancé, et
eu après, dans l'état second. Dès lors, jusqu'au 18, elle a plusieurs
crises
. Elle revient chez moi, avec son fiancé, le 18 au
édents héréditaires, nous relevons que la grand'mère paternelle a des
crises
épileptiformes, que le père et la mère sont des p
les morilles, les poissons de mer. peuvent contribuer à provo-quer la
crise
convulsive chez les sujets prédisposés. Le café l
riel, à la tête d'affaires considérables un moment compromises par la
crise
qui sévissait à la fin de 1885, avait cherché dan
air-voyants de sa famille, quand vers la fin de 1885 éclata une forte
crise
de delirium. A cette première crise qui céda aux
s la fin de 1885 éclata une forte crise de delirium. A cette première
crise
qui céda aux moyens ordinaires succéda, en févrie
, tout était pour le mieux dans la plus heureuse des familles... La »
crise
commerciale touchait a sa fin... on avait les plu
précédentes : il parut écouter avec intérêt les détails concernant la
crise
sucrière. Redescendant alors au salon, il repri
ion d'un procédé de fabrication diminuant les frais de production. La
crise
était commercialement conjurée, et on put bientôt
6, dans le service du professeur Pitres, un jeune homme qui, dans une
crise
de som-meil hypnotique, avait cherché à se suicid
ances publiques d'hypnotisme. Depuis cette époque, il est sujet à des
crises
de sommeil spontané pendant lesquelles il accompl
personnalité. Ces déroulements ont toujours eu lieu, soit après une
crise
d'hystéro-épilepsie. soit pendant la crise elle-m
rs eu lieu, soit après une crise d'hystéro-épilepsie. soit pendant la
crise
elle-même. C'est en effet dans cet état que nou
r un grand nombre de fois. Nous ne donnerons pas la description des
crises
hystéro-épileptiques de V... ces attaques réponde
isolement chez un même malade, à tel point qu'étant donnée une seule
crise
, celle avec aura de la vipère, on peut croire que
aire craindre pour les jours du malade. Or, c'est dans cette grande
crise
et en général pendant la période qui correspond,
nous occupent. En sorte qu'en réalité, dans la majorité des cas, la
crise
de V... est constituée non seulement par les phén
les paroles du malade que nous avons pu découvrir, pendant cette même
crise
, les états de personnalité décrits par les auteur
e-t-il, elle me mord ! » Un spasme s'empare de tout son être. Il a la
crise
épileptique amenée par la frayeur de la vipère.
e rend à Chartres, veut voir sa mère, la voit. Il est alors pris de
crises
nouvelles, revient a l'état de Luysan, décrit plu
ssé et désire se reposer. Nous pourrions reproduire les différentes
crises
pendant lesquelles V... a déroulé ses personnalit
e. Ainsi, le 10 octobre 1885, à l'asile de Lafond, après une grande
crise
, V... reste pendant un jour et demi en état d'hém
ur et demi en état d'hémiplégie droite. Il est à Rochefort. Une autre
crise
s'empare de lui et le ramène à la Rochelle. Un
ures et ne reprend conscience à Lafond qu'après une nouvelle série de
crises
. D'ailleurs, dans ces déroulements divers. V...
ont été suggérés et nous avons publié à diverses reprises le récit de
crises
du malade pendant lesquelles il reproduisit avec
u point de vue thérapeutique. Comme nous l'avons dit plus haut, les
crises
spontanées d'hystéro-épilepsie de V... durent par
sa vie. Or, il est toujours facile, V... étant en ,l'état de grande
crise
, après avoir comprimé la zone hystérogène, de dét
é normale, et de faire disparaître, comme par enchantement, la grande
crise
et la majeure partie des malaises. Telle est la
, avoir contribué à démontrer combien est intime le lien qui unit les
crises
nerveuses aux variations de la personnalité. Ca
jamais nous n'avons vu chez V... la personnalité se transformer sans
crise
ou modification nerveuse préalables. L'attaque
ité. L'activité psychique de l'hypnotisé est sous la dépendance d'une
crise
cérébrale dont il n'a pas conscience; c'est l'hyp
ictimes. Nous assistons successive-ment a l'incarnation du démon, aux
crises
, au sabbat: enfin, au dernier acte de cet horribl
à présenté à la Société médicale: il le trouva atteint d'une violente
crise
épileptiforme. C. avait été endormi par un négoci
ville, et, quand celui-ci avait voulu le réveiller, il fut pris de sa
crise
nerveuse, que l'endormeur ne réussissait pas à ca
éra qu'il n'avait rien, qu'il n'était plus malade et le réveilla. Les
crises
nerveuses ne se reproduisirent plus. La nou-velle
paravant, jamais il ne buvait plus d'un ou deux jours. Désormais, les
crises
vont durer cinq, six et huit jours, jusqu'à ce qu
après une émotion morale, joie ou chagrin, qu'éclatent dorénavant les
crises
. e Sous l'influence de la boisson, dit le malad
ntrariété. Des scènes analogues provoquaient parfois, auparavant, des
crises
de dipsomanie. Cette fois-ci, il n'y eut pas de c
uparavant, des crises de dipsomanie. Cette fois-ci, il n'y eut pas de
crises
, mais le malade se trouva comme au lendemain d'un
elles contrariétés qui, autrefois, auraient certainement provoqué une
crise
. Quatrième séance, 11 avril. — La somnolence et
douleur doit être très violente, comme cela a toujours été quand ces
crises
m'ont pris, mais je ne la ressens qu'extraordinai
les symptômes avant-coureurs : malaises, angoisses, etc., sans que la
crise
éclatât. Aujourd'hui, le malade se considère co
comme mesure préventive. 11 y a bientôt dix mois qu'il n'a plus eu de
crises
de dipsomanie. et tout fait espérer que. s'il con
d'un père alcoolique, elle a, depuis l'âge de six ans, de fréquentes
crises
épileptiformes. La menstruation ne modifie nullem
vec enrouement datant de neuf mois. Elle a eu autrefois de fréquentes
crises
d'hystérie qui ont diminué beaucoup depuis quatre
glées pour ainsi dire à heure fixe. Chez l'une d'elles, atteinte de
crises
convulsives, très impressionnable, des frayeurs s
es, quelle que soit la direction du courant, et peuvent provoquer des
crises
convulsives- Vingt-sept observations cliniques,
jamais beaucoup à la fois, mais sans cesse. Alors se déclaraient des
crises
aiguës d'alcoolisme; jamais de delirium tremens.
mais de tremblements des mains. La malade, même après ses plus fortes
crises
, n'a jamais manifesté de regret, ni le moindre re
ère s'enivre presque tous les jours, est alcoolique, et a parfois des
crises
de delirium tremens. » Avant d'avoir la rougeol
t son tour d'avoir peur. II a entendu parler d'accidents produits, de
crises
survenues, et, ne sachant comment réveiller cette
s. Déjà Hippocrate avait répondu affirmativement, dans le cas d'une
crise
de coma. Mais il est bien rare qu'une femme se tr
la Société de médecine de Rouen un jeune homme de 20 ans, sujet à des
crises
caractérisées par la sensation d'une boule remont
Mme B... ne suit pas ce consoil, car il parait que cela lui donne une
crise
hystéro-épileptique). Vers C h. 49, elle s'assoit
. Err 1873. à l'occasion de la mort de son grand-père, une première
crise
hystérique isolée. En 1875, quelques crises don
grand-père, une première crise hystérique isolée. En 1875, quelques
crises
dont la cause occasionnelle n'est pas connue. E
as connue. En 1880, après avoir travaillé beaucoup à des écritures,
crises
hystériques très violentes, accompagnées de faim
n juillet 1884 au milieu d'une santé parfaite en apparence, nouvelles
crises
qui éclatent après chaque repas. Cet état dure tr
reparait alors et, si la faim n'est pas immédiatement satisfaite, une
crise
arrive. D'ailleurs celles-ci se renouvellent à to
oquent des tiraillements. d'estomac, qui sont immédiatement suivis de
crises
. La situation reste ainsi la même jusqu'au mois d
insi la même jusqu'au mois d'octobre de la même année ; cependant les
crises
diminuent de nombre et d'intensité, quoique l'imp
elle est obligée de s'y faire transporter en voiture. Le soir, grande
crise
. Quelques pas seulement dans la chambre les jours
promenais avec elle, le matin, à neuf heures. Mlle X... était dans sa
crise
, mais réveillée (c'est-à-dire dans l'état second)
A la fin d'octobre, étant encore indisposée, elle eut une assez forte
crise
, à la suite d'une discussion avec son fiancé, et
eu après, dans l'état second. Dès lors, jusqu'au 18, elle a plusieurs
crises
. Elle revient chez moi, avec son fiancé, le 18 au
édents héréditaires, nous relevons que la grand'mère paternelle a des
crises
épileptiformes, que le père et la mère sont des p
les morilles, les poissons de mer. peuvent contribuer à provo-quer la
crise
convulsive chez les sujets prédisposés. Le café l
dérable. Il faut suspecter également tout crisiaque qui entre seul en
crise
et à sa volonté. Il est cependant juste de cons
tions qu’il convient d’indiquer. lue somnambule fréquemment mise en
crise
sera plus lucide et moins fatiguée qu'une qui ne
in à mal faire, parvenez à le somnambuliser, et vous le trouverez, en
crise
, rougissant de lui-même et prenant la résolution
us qu’un balancement de tête qui indiquait qu’il subissait encore une
crise
nerveuse ; c’est alors qu’il commença à parler et
enir; il rapportait môme les manifestations du démon de Socrate à des
crises
extatiques pendant lesquelles l'âme étendait ses
puient encore sur ceci, qu’il arrive parfois qu’une personne tombe en
crise
en entrant dans un appartement où l’on magnétise,
t, les personnes douées de ces organisations tomberaient également en
crise
eu croisant dans la rue le premier magnétiseur ve
de l’appartement; d’autres, faisant partie de la chaîne, éprouver des
crises
. Ce phénomène, qui d’abord n’a excité que la cu
. Quand, avec tant de ressources, on ne parvient pas à maîtriser la
crise
, c’est que le cas est exceptionnel ; alors on doi
aître à volonté, qu’il sait diriger dans un but utile, tandis que les
crises
qui naissent eu dehors de son action sont désordo
antagonistes la main dans le sac, et ils nient. Ah ! vous calmez les
crises
avec votre main mouillée et en frictionnant la po
rfois des mois. Témoin souvent, comme nous l’avons été tous, de ces
crises
affreuses connues sous les noms de mal caduc, hau
don ce qui arrive aux personnes très-impressionnables, qui tombent en
crise
dang un appartement où l'on magnétise. « L’obje
forcées par une excita lion nerveuse (c’est ce que nous nom-ci nions
crise
) qui centuple la force. On voit par là combien «
des tables est dû aux impulsions des opérateurs arrivés à un état de
crise
magnétique, agissant, sans en avoir la conscience
normal. Nous conservons iï ce mode particulier d’existence le nom de
crise
, que lui avait donné Mesmer (1). Dans cet état de
nce le nom de crise, que lui avait donné Mesmer (1). Dans cet état de
crise
, le sujet n’est plus en possession complète de lu
tIl0l'm?1 • «“raient frappé son attention ; c’est un degré do I, t de
crise
. Ce qu on appello l’inspiration artistique en est
de celles qui proviennent de la faculté imaginative. Dans l’état de
crise
provoqué par les procédés du magnétisme individue
ne sorte de mélange ou de combinaison de l’état normal avec l’état de
crise
. L’état magnétique sans sommeil, que produit fr
n observe qu’il perd la mémoire de tout ce qui s’est passé pendant sa
crise
, même des plié- nomènes qu’il a produits el per
ous les autres actes. Peut-être y a-t-il plutôt succession d’états de
crise
ii divers degrés, ou alternance de l’état de cris
cession d’états de crise ii divers degrés, ou alternance de l’état de
crise
avec l’état normal, que mélange des deux étais.
lus forte raison, cette circonstance doit se présenter dans l’état de
crise
, où les facultés du sujet éprouvent toujours quel
mployé par Mesmer (le baquet) pour développer ou déterminer l’état de
crise
. Nous avons évité avec soin, dans tout ce qui p
ion; la digitale pourprée, qui (t) Nous savons que les effets de la
crise
ne sont pas admis par tout le monde; aussi, quand
les membres de la chaîne ou quelques-uns d’entre eux dans un état de
crise
plus ou moins prononcé. Si l’état de crise des
ntre eux dans un état de crise plus ou moins prononcé. Si l’état de
crise
des membres de la chaîne n’est pas assez prononcé
des tables tournantes. Ceux sur lesquels aucun effet appréciable de
crise
ne se produira, ne sentiront d’autre impression q
ssentiront rien du tout. Ceux, au contraire, qui sont dans un état de
crise
assez avancé (ce cas se rencontrera, si l’on fait
ôtaient tout ecchy-mosés (martelés de bleus). line fois cet état de
crise
admis pour un ou plusieurs membres de la chaîne,
s limites, difficile dans l’état normal, et impossible dans l’état de
crise
même légèrement développée, d’apprécier la pressi
c le pied situé du côté de ce membre. ”est un autre membre en état de
crise
qui soulève le meuble, influencé par la pensée de
ner l’état crisiaque. Il y a des sujets qui entrent spontanément en
crise
(quelques-uns même à volonté). 11 y en a chez qui
érience de tables tournantes, ou qu’ils y ont assisté, entrent-ils en
crise
sitôt qu’ils mettent la main sur un meuble avec l
ans leurs facultés les modifications que l’on remarque dans l’état de
crise
. Avant de m’occuper d’un genre de mouvement des
le sujet veut opérer en l’absence de témoins. Rien ne dirige alors la
crise
, rien ne peut la modérer, elle peut atteindre des
es, comme toutes celles i|iii se rattachent aux sujets dans l’état de
crise
, donnent des résultats excessivement variés. Mais
tables. Cette nécessité de la présence d’un sujet facile à mettre en
crise
suffit à elle seule pour justifier notre explicat
les très-développées. Suivant lui, ceux qui subissent facilement la
crise
ont la partie supérieure postérieure de la tête s
ctuelles) ferait reconnaître ceux dont l’action détermine le mieux la
crise
chez les autres. On doit, suivant lui, les altern
ion magnétique individuelle. Or beaucoup de sujets susceptibles de la
crise
sont peu ou point sensibles ;t la magnétisation.
y trouve un sujet sensitif de haut titre, ce sujet passe à un état de
crise
voisin de l’extase (1). Sans qu’il perde le sen
i l’on suit un léger mouvement oscillatoire, le medium dans l’état de
crise
ne saura pas être la cause elficiente du mouvemen
n se porte sur le phénomène produit, il cesse momentanément d’être en
crise
, ou n’y est que moins complètement, et qu’alors i
la volonté du patient !) — Le bâillement, les attaques de nerfs, les
crises
liistériques, etc., sont contagieux, (leux qui on
Nous avons parlé de l'illusion collective produite sur des sujets en
crise
, par la puissance imaginative du magnétiseur (1).
s deviennent perceptibles au moment où le medium, arrivé à un état de
crise
plus avancé, les perçoit par intervalles, de mani
quences les plus absurdes, s’ils ne le regardent pas comme une simple
crise
nerveuse, qui est dans l’ordre naturel, et qui ne
; ces femmes étourdissaient le monde du récit, souvent assez gai, des
crises
que leur procuraient de jeunes et jolis magnétise
er, emprunté à Hippocrate, que les maùidies ne guérissent que par des
crises
. A la fin de février, nous avons remarqué que l
l'acte respiratoire. — Pfaff et Ahrens. — L’idiot do Niepce. — Les
crises
, Galien, Hippocrate et Mesmer. — Heureux accident
tombe comme sous le poids d’un fardeau. S’il a de la vie en plus, une
crise
se développe, nous lui donnons une fièvre nerveus
ils d’Hippocrate, Gallien eut répondu : Le fluide s’échappera par une
crise
fébrile ou nerveuse, il jettera la perturbation d
iscères dans le but de provoquer des crites. Que dit Hip-pocrate? Les
crises
jugent les maladies. Supposons, selon ces idées,
artésien par la cause, newtonien par les résultats; cartésien par les
crises
de' sursaturation fluidique, mais newtonien par l
al, que ces avertissements surnaturels n’ont jamais c manqué à aucune
crise
de ma vie. Je venais de m’en-« dormir, lorsqu’une
s’écoulaienl qu’avec beaucoup de difficulté. En dehors et pendant ces
crises
, le pouls n’a jamais présenté de modification sen
eure, influençant de préférence la matrice, l’estomac et la tète. Les
crises
diminuèrent d’intensité. Les convulsions, qui se
agin, ainsi qu’en bains de siège. A l’aide de cette médication , la
crise
du second mois fut encore un peu forte, mais les
du magnétisme, 011 pourrait arrêter ces désordres, en provoquant une
crise
salutaire. Je communiquai 111011 intention à la f
te au despotismo do nia volonté en ce moment, ont seuls occasionné la
crise
do B... et sn chute sur lo parquet, de même que l
blait vouloir envahir tout le reste du corps. Pour la préserver d'une
crise
nouvelle, on venait de lui ordonner des applicati
exercice de tous les jours, ses membres reprirent de la fermeté. Les
crises
qui se développaient pendant les magnétisations d
gue, amenait une sensible amélioration dans l’organe malade, puis une
crise
favorable. Ces objets, une fois suffisamment impr
erai manie d’imitation, qui s’est passé quelque temps avant sa grande
crise
: Après souper, à la lingerie, plusieurs person
rre et dé- réglé et les hématémèses qui marchèrent avec la première
crise
. Rentrée dans sa vie première, j’eus occasion de
uérir, et que les plus belles cures viennent sans le secours de cette
crise
. Le soin qu’on met, à l’infirmerie et dans les co
hacun s’engagerait à ne point abandonner un malade s'il y avait une
crise
qui exigeât sa présence. « Le médecin tiendrait
xciter, suspendre ou paralyser la sensibilité, produire ou calmer des
crises
, dissiper des douleurs, amener ou faire cesser le
e le somnambulisme soit mieux dirigé, que les somnambules, dans leurs
crises
, qui composent comme une seconde existence, s'ini
nétique, des agacements de nerfs, des malaises, des maux de cœur, des
crises
nerveuses, des syncopes ; le somnambulisme même p
e dans des conditions identiques, je comprends mieux le mécanisme des
crises
qui se produisaient chez Mesmer. La différence en
lson et Parker. M"1 Louise Courteil, de Paris, avait cinq heures de
crises
par jour ; sa guérison fut complète en six semain
e au prochain numéro). FAITS ET EXPÉRIENCES. LUCIDITÉ A L’ÉTAT DE
CRISE
IMPARFAITE. Tant que les principaux phénomènes
lques-uns. Ainsi des rêveurs m'ont plusieurs fois déclaré, en état de
crise
, que lorsqu’ils perdaient quelque chose, ils en r
e. On n’a pas assez étudié les relations entre la vie normale et là
crise
. Les phénomènes du baquet de Mesmer, ceux que pré
passion, si facilement développé par le jeu, doit suffire à mettre en
crise
imparfaite certains sujets ; que les cartes manié
t plus facilement que tout autre jeu favoriser le développement de la
crise
; qu’il peut arriver que certains joueurs aient ai
; il faut donc trouver ce moyen de les concilier. La lucidité par la
crise
en donnerait une explication plausible et serait
rreries dont je n’ai pu me rendre compte que par la supposition d'une
crise
imparfaite. On voit des individus qui ont la ch
ux qui jouent le mieux. — Qu’on remarque qu'à ce jeu, pour exciter la
crise
, il y a, indépendamment des cartes, du vis-à-vis,
uable aux observations. Pour engager à éttidier la lucidité dans la
crise
imparfaite qui présente à première vue le semblan
, qui jouissait alors d’une lucidité remarquable. A peine fut-elle en
crise
, qu’elle partit d’un grand éclat de rire. Lui aya
messieurs, parce que le démon est complètement étranger à mon état de
crise
. « — Cependant vous présentez des facultés surh
n somnambulisme, 465, 468, 506, 551, 567, 614. Lucidité à l'état de
crise
imparfaite, 746. Lombago guéri par le massage ,
Et si l'on pouvait admettre qu'un brightique possède au début de sa
crise
délirante une allure spéciale, il n'en serait '
nel que le médecin aliéniste assiste dans les asiles au début d'une
crise
délirante d'origine urémique. Dans les cas cura-
s sa jeunesse, et qu'il a eu, vers l'âge de cin- quante-un ans, une
crise
de rhumatismes articulaires généralisés qui l'a
ssentir des crampes dans les jambes. Il y a deux mois, une nouvelle
crise
de dyspnée le fit suspendre son travail et gard
xemples : dans le premier il s'agit d'un idiot épileptique dont les
crises
se manifestent à propos des excitations sensori
nq ans chez lequel des accès d'épilepsie s'étaient substitués à des
crises
de migraine et survenaient constamment à la sui
taire du même côté. Depuis quatre ans ce malade a eu une dizaine de
crises
comitiales sans symptô- mes associés. Or AIM. B
hystologiques du sarcome angiolithique. On peut se demander si les
crises
convulsives du premier malade ne sont pas sympt
pflanzliclien « Zelle ». In-8- de 140 pages. Amsterdam. ZOLA. La
crise
agricole. 1 vol. in-8- de 244 pages. Librairie C.
us travailler et s'adonnait à la boisson. C'est sous 1 empire d'une
crise
alcoolique qu'il a mis lin à ses jours. (Le Bon
l est fréquent de constater, au cours de la paralysie générale, des
crises
d'agitation motrice de plus ou moins longue durée
poids de 29 kilog. Chez les 2 malades dont l'état s'aggrava, les
crises
et accidents épileptiques augmentèrent à tous é
par une ataxie tardive, une extrême rareté de l'arthropatliie, des
crises
gastriques ou autres moins fréquentes que chez
eune homme épileptique depuis son adolescence qui, à la suite d'une
crise
comitiale survenue vers midi, sans prodromes, p
conde il s'agissait d'une malade de cinquante ans chez laquelle une
crise
déteimina une amnésie ré- trograde, totale et p
lepsie reviennent à peu près tous les deux mois, et sont suivies de
crises
de manie de violence progressivement décroissan
etit à petit le malade s'affaiblit physiquement et mentalement. Les
crises
épileptiques deviennent plus fréquentes (97 en
à gauche, avec déviation conjuguée des yeux vers le même côté. Les
crises
étaient suivies d'un état de stupeur, auquel su
des localisations cérébrales que l'épilepsie. Le caractère de la
crise
indique assez exactement la partie du cerveau o
longues années inaperçue aux yeux des per- sonnes non exercées. Les
crises
mentales surviennent souvent chez des neurasthé
ues de grand mal, en sorte qu'un crime peut être commis pendant une
crise
psychique par un sujet qui ne présente à ce mom
-légal, ils enlèvent au criminel si le crime est commis pendant une
crise
psychique, absolument toute responsabilité. R.
elligence est actuellement très développée, et qui n'a jamais eu de
crises
convulsives. Cette enfant est atteinte de contr
d, il y a quel- ques mois, la jeune fille a été prise la nuit d'une
crise
épileptique franche. Les secousses chez les épi
nt l'escalier sans s'appuyer à la rampe, immédiatement éclatait une
crise
aiguë d'angoisse avec suf- focation et tremblem
ue l'idée obsédante, toujours consciente, d'une mort imminente avec
crises
paroxystiques presque journalières à l'occasion
sit un à son goût. Or, le matin du jour fixé pourla noce éclata une
crise
de manie aiguë qui prit rapidement de telles pro-
t toujours aliénée. Cette complication de l'état obsédant par une
crise
de manie ou de lypémanie sans être d'une excess
nt n'avait plus d'hallucinations de l'ouïe et était conscient de la
crise
délirante qu'il avait traversée. Il se ren- dai
transformation de l'obsession en délire et sa complication par une
crise
de manie ou de lypémanie sont rares, elles se c
es, ni convulsions des globes oculaires. On n'aurait observé qu'une
crise
de ce genre. Aucune trace de paralysie consécut
précoce, ne méri- tent pas moins d'être connus. Je veux parler- des
crises
épilepti- formes survenant dans la forme catato
bservé cinq cas sur un total de soixante-cinq déments précoces. Ces
crises
apparaissent tantôt à d'assez longs intervalles
- prochés (une seule journée). Mais éloignées ou rapprochées, ces
crises
, outre qu'elles sont rarement identiques aux accè
é. Traitement mécanique des troubles viscéraux chez les tabétiques (
crises
laryngées, troubles delà respiration, de la dig
es. C'est, en effet, l'incoordination de ces muscles, qui amène les
crises
laryngées, par perturbation des réflexes glotti
e, la perturbation des fonc- tions respiratoires et digestives, les
crises
laryngées, l'irrégularité delà miction, comprom
s au galvano-cautère. V° OBs. : 11m° F..., trente-cinq ans. Légères
crises
d'hydror- rhée nasale Au moment de la période c
e D1' Legrand du Saullequi l'examina à cette époque admit que cette
crise
d'excitation s'était produite sous l'influence de
oration de leur état et, même chez certains, l'absence complète des
crises
jusqu'à ce jour. La colonie familiale d'Ainay-l
guérie. Trois semai- nes environ après la guérison. survinrent des
crises
de coliques excessives dans la région abdominal
constipation opiniâtre et contrac- ture de la paroi abdominale. Ces
crises
journalières résistèrent à tous les traitements
u'aujourd'hui. Quand, au bout d'un an, le malade me fut confié, les
crises
revenaient régulièrement à peu près vers huit h
s du' matin. Lorsque j'étais présent, je voyais le malade couver sa
crise
, la face se gripper et je sentais sous ma main
ille et application de la main sur la région sensible, à arrêter la
crise
, à dissiper la con- tracture et les douleurs ex
duire. Pendant tout le temps que j'eus le malade en traitement, les
crises
étaient conjurées et. la morphine resta supprimée
ésilienne avait à la suite d'une frayeur, depuis dix-huit mois, des
crises
d'hystéiie convulsive; les crises venaient régu
rayeur, depuis dix-huit mois, des crises d'hystéiie convulsive; les
crises
venaient régulièrement à chaque repas, en- tre
ement par ma mé- thode a la guérir. Il est probable qu'une première
crise
ayant eu lieu à ce moment, entre le premier et
ce moment, entre le premier et le second plat, le souvenir de cette
crise
l'évoquait au même moment psychologique à chaque
persuasion. Citons encore un vieillard artérioscléreux, sujet à des
crises
ver- tigineuses, avec défaillance, qui furent e
motions vers l'âge de dix-neuf ans. A cette époque commencèrent des
crises
d'agitation irrégulières comme on en observe so
me on en observe souvent chez les psycbasthéni- ques. Peu à peu ces
crises
se sont régularisées comme de véritables tics e
e guérira parfois, soulagera souvent, consolera presque toujours.
Crises
hypcralgiques périodiques persistant pendant plus
la suggestion hypnotique. M. Jules Voisin (Paris). - Observation.
Crises
d'hyparalgésies hystériques, datant de douze an
vation est intéressante à plusieurs points de vue : 1 la nature des
crises
hyperalgésiques de la malade ont été méconnues
peralgésiques de la malade ont été méconnues pendant douze ans; les
crises
hyperalgésiques avec modification du caractère,
ésiques avec modification du caractère, sensation d'étranglement et
crises
de larmes sont les seules manifestations hystér
s'effacent et disparaissent, les arcs palpébraux s'arrondissent, la
crise
est terminée. A undecré plus avancé les crises
ux s'arrondissent, la crise est terminée. A undecré plus avancé les
crises
augmentent de fréquence et d'intensité; elles d
Enfin, un troisième aspect clinique se trouve réalisé'lorsque les
crises
précédentes sont très rapprochées, subintrantes.
e sujet, selon l'ancienneté de l'affection, selon l'intensité de la
crise
, on voit prédominer soit les contractions parcell
e la maladie, comme elles' sont généralement les avertisseurs de la
crise
. Mais les deux phénomènes coexistent aussi souv
domaine, mais jamais ils n'empiètent sur celui d'un autre nerf. La
crise
peut durer un ins- tant ; mais les crises sont
celui d'un autre nerf. La crise peut durer un ins- tant ; mais les
crises
sont parfois subintrantes, il n'y a aucune ré-
l'activité cérébrale reparait peu à peu, les troubles automatiques (
crises
de rire sur- fout) s'espacent de plus en plus,
ons, de ses craintes de tuberculose, de mort, sont accusées par des
crises
de craintivité, de phobies, à début subit, succ
intivité, de phobies, à début subit, succédant même brusquement aux
crises
de rire.; elle de- mande qu'on ne lui coupe pas
uelle de l'activité cérébrale et par la durée et la fré- quence des
crises
de stupeur catatonique observées dans les premier
quoique le fait soit plus rare. Généralement c'est à la suite d'une
crise
, d'un 490 CLINIQUE MENTALE. vertige qu'on les
c'est le plus souvent une insulte que le malade profère apiès sa
crise
. Un des malades de notre service dit constamment
crise. Un des malades de notre service dit constamment après ses
crises
: « m... ? cochon ». Dans d'autres cas le monol
parle Drp. Salnton. Sous le nom de narcolepsie, l'auteur entend des
crises
irrésis- tibles de sommeil survenant d'une faço
ée a trait à un homme de quarante-trois ans, obèse, qui fut pris de
crises
de narcolepsie au moment où l'adiposité atteign
ause de leurs habitudes malpropres, ou sui veiller à cause de leurs
crises
. .L'asile ne contient que trente chambres sépar
se Crime. Le- dans la 1),,idlvsie géné- rale, par Sulllvau, 155
Crises
irperalgiques I'éiiodiques per-ustant pendant p
a - mate- mallsrr a l'état de veille, par I)ee- ters. 3ti. - Voir
Crises
hypéral- giques. La - pendant le narcose par
z, 179, Traitement mécanique des trou- bles viscéraux chez les - (
crises
lalyngées, troubles de la respira- lion, de l
n de constater ce phénomène : il s'agissait d'un homme, sujet à des
crises
d'épilepsie jacksonienne, chez lequel les mouve
té gauche du corps. Ayant examiné le malade immédiatement après une
crise
, j'ai vu que l'excitation de la plante du pied do
u pied donnait lieu à de l'extension des orteils à gauche; hors des
crises
, le réflexe cutané plantaire était normal et le
dans l'épilepsie dite idiopathique ou essentielle, au moment de la
crise
et après la crise, pendant un laps de temps plu
dite idiopathique ou essentielle, au moment de la crise et après la
crise
, pendant un laps de temps plus ou moins long, c
es individus dont le réflexe cutané plantaire était normal hors des
crises
. Le phénomène des orteils est alors tantôt unil
du pied et de l'abolition du réflexe anal. Sa présence, pendant une
crise
. chez un sujet dont le réflexe plantaire est no
crise. chez un sujet dont le réflexe plantaire est normal hors des
crises
, permet d'écarter l'hypothèse d'attaque hystéri
eaux concernant ce sujet. « Examinant une jeune femme sujette à des
crises
d'épilepsie et recherchant chez elle, d'une man
FIG. 6. Femme atteinte d'hémispasme facial droit. Phase tonique de la
crise
; on voit l'incurvation du nez et la fossette me
e atteint d'hémispasme facial gauche. 7. - Etat de repos entre deux
crises
. 8. Phase clonique de la crise; on constate l'i
he. 7. - Etat de repos entre deux crises. 8. Phase clonique de la
crise
; on constate l'incurvation du nez, la fossette me
hémispasme facial guéri par une injection profonde d'alcool ». Les
crises
de spasme, disent ces auteurs, présentaient, entr
de nouvelles investigations. F. Crises gastriques tabétiques. Les
crises
gastriques du tabes ont-elles des caractères intr
gastriques très violentes accompagnées de vomissements ; pendant la
crise
qui durait de 24 à 4s heures, toute ingestion d
taitimpossible en raison de l'intolérance de l'estomac et, après la
crise
, les fonctions gastriques redevenaient immédiat
ien, d'apiès la description qui m'était tracée, avoir affaire à une
crise
gastrique tabé- tique ; mais je ne trouvais che
Il est infiniment probable que, malgré 1 identité apparente de ces
crises
avec les crises tabétiques, le tabes n'était pa
nt probable que, malgré 1 identité apparente de ces crises avec les
crises
tabétiques, le tabes n'était pas en cause. »
t d'ailleurs aucun signe de tabes, était depuis six ans sujet à des
crises
gastriques identiques au point de vue symptomat
ochant de la dernière observa- tion que j'ai rapportée, un cas de «
crises
gastriques tabétiformes au cours d'un ulco-canc
n ulco-cancer de la petite courbure ». J'extrais ce passage : « Les
crises
commencent subitement et finissent de même ; le
eun qu'à la fin des repas. Il y a intolérance absolue au moment des
crises
et le malade fait des efforts de vomissements à
rapidement mortel, s'est manifesté, entre autres symptômes, par des
crises
typiques d'épilepsie jacksonienne; etles auteurs
t degré de violence. Depuis plusieurs mois elle était sujette à des
crises
épileptiformes, et sa vue s'était notablement aff
ulée : « t1 propos d'un cas de syndrome de Basedow consécutif à une
crise
de rhumatisme articulaire aigu prolongé », écri
ents complémentaires. Au premier de ces groupes appartiennent : des
crises
convulsives, des paralysies, des contractures v
salle plusieurs malades à la fois en proie à des contorsions, à des
crises
avec arc de cercle ; cela ne se voit plus jamais
se dégager que l'émotion, du moins l'émotion seule. ne crée pas de
crises
hystériques ? On pourrait faire des remarques a
rophe, d'en voir un seul atteint de paralysie, de contracture ou de
crises
convulsives. Les études qu'il fit ultérieuremen
elques instants sans connaissance, mais jamais il n'a assisté à une
crise
con- vulsive ; il affirme n'avoir pas constaté
terminés ; il sort presque toujours, sans s'être con- tusionné, des
crises
clowniques qui ont épouvanté l'entourage; en pr
. `3 : 4 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE io3. Troubles pupillaires dans les
crises
gastriques (Id.). Io4. Sur la prétendue albumin
laboration avec Vincent et Barré. Id., 6 mars igi3). 202. Un cas de
crises
gastriques tabétiformes liées à l'existence d'un
92 Cytodiagnostic g3 Ostéopathies, Arthropathies tabétiques g3
Crises
gastriques tabétiques 95 Tabes conjugal et tabe
e met à pousser des cris d'effroi et voit devant elle le cheval. La
crise
hallucinatoire dura environ un quart d'heure. Q
ur constituer cette maladie qui a reçu le nom d'hystéro-épilepsie à
crises
sépa- rées. De même, il existe des cas dans les
r cas, c'est très remar- quable la persistance pendant deux ans des
crises
hystéro- épileptiques avec les attaques épilept
crurale, nous ont éclairé sur la nature de la céphalalgie et de la
crise
, à la suite de laquelle ces phénomènes avaient
Fig. 13. - Examen du 1" juillet 1892. 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. la
crise
? L'on serait tenté de le croire, si l'on réfléch
é longtemps comme phéno- mènes isolés et transitoires avant que les
crises
éclatassent, et qu'ils se montrent toujours à l
à savoir sur l'existence de phénomènes plus ou moins ébauchés de la
crise
hystéro-épileptique (mouvements convulsifs, dél
étaient continues, mais s'exacerbaient de temps à autre en forme de
crises
; après une de ces crises, une paralysie du memb
'exacerbaient de temps à autre en forme de crises; après une de ces
crises
, une paralysie du membre droit. jusqu'alors sai
la monoplé- . gie brachiale comme de nature différente. . 3° Les
crises
de rachialgie et la paralysie de la jambe droite,
ie de la jambe droite, survenue brusquement à la suite d'une de ces
crises
, sont des 1 V. Charcot. Leçons sur le spasme gl
d'une douleur d'ori- gine psychique, laquelle s'exacerbe à forme de
crises
. B... est très agité, il gémit continuellement.
diminution de l'état gastrique. C'est ce qui constitue la fin de la
crise
. Ces phénomènes sécrétoires sont le résultat da
euses. M. Lemoine, dans la Gazette des hôpitaux, 1889, comparait la
crise
épileptique à DE LA TOXICITÉ URINAIRE CHEZ LES
pileptique à DE LA TOXICITÉ URINAIRE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 71 la
crise
qui marque le déclin des maladies infectieuses; m
mois de janvier 1890 au mois de février 1891, fut atteint de trois
crises
d'automatisme ambulatoire. Pendant ces crises,
fut atteint de trois crises d'automatisme ambulatoire. Pendant ces
crises
, cet homme agit d'une façon aussi correcte que
let, causer sensément, etc. Le retour à l'état cons- cient dans ces
crises
, d'une durée de seize à quarante-cinq heures, e
à quarante-cinq heures, est suivi d'une amnésie absolue. Entre les
crises
d'automatisme on a noté quelques absences se pr
le tra- vail. Pas de stigmates hystériques. Pour admettre que les
crises
d'automatisme de ce malade dépen- dent de l'épi
bien à une aura épileptique de longue durée); 2° les caractères des
crises
elles-mêmes (céphalalgie, fatigue et amnésie co
igue et amnésie consécutives) ; 3° l'existence d'absences entre les
crises
et 4° l'efficacité du traitement bromure. (Rev.
puis huit mois, lorsqu'il mourut presque subite- ment à la suite de
crises
épileptiformes. Or, à l'autopsie, on trouva des
ent à 42u5. Cet état calo- rique dura environ deux heures, puis une
crise
arriva soudaine- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 9
durait ordinairement de dix il trente minutes et était suivi d'une
crise
. Le pouls n'excédait jamais 104 pulsations par
s sur- prenante. On voit aussi un trousseau de fibres dans l'écorce
crise
, qui se détache nettement et n'est autre que la
e l'aperception consciente. La guérison s'annonce souvent par des
crises
physiques (éruption de furoncles, entérites catar
stence de cetteatro- phie qu'il eut quelques ins- tants après une
crise
de nerfs. C'est un hystérique. Nous aurons l'
; il est facile de l'établir. Il a eu, à notre connais- sance, deux
crises
parfaitement caractérisées de petite hystérie à
ettré. Une tante a des attaques nerveuses « on la tient pendant ses
crises
et elle pousse des cris ». Une soell1' du malad
t jusqu'à l'âge de quatorze ans ou quinze ans, il a été sujet à des
crises
de nerfs très particulières, sortes de terreurs
ance. Il se rappelait très bien le lendemain tous les détails de la
crise
. Il se souvient que sa mère cherchait à le calm
; cette nouvelle décep- tion provoqua, séance tenante, une première
crise
.11 se trouvait dans un café; « quelque chose, d
rer les poings convulsivement, à claquer des dents.- A la fin de la
crise
, grands soupirs et pleurs. Pas de perte de connai
ns sa chambre, en montrant sa jambe à son frère il eut une deuxième
crise
de nerfs. Entré à la Salpêtrière le 19 janvier
endant des semaines cou- ché ; des sueurs froides, des nausées, des
crises
, des vomisse- ments ; de la surdité à tous ses
ique. L'an passé, nous avons à cette place décrit l'évolution des
crises
neurasthéniques consécutives aux otites de l'infl
e sec par Valsalva. Affaiblissement général, suite de' cette longue
crise
de douleurs, de suppuration et d'appréhension pou
es, dont l'oreille est atteinte de sclérose con- firmée, voient les
crises
de vertige apparaître, les bourdonne- ments red
5 un accès violent. On peut constater la surdité absolue après la
crise
, si déjà une oreille était perdue. Les hystériq
Les hystériques sourdes peuvent voir l'audition raparaître après la
crise
; ou bien une oreille seule reste anesthésiée; ou
st plus malade; mal de tête continuel, pas de bourdonnements,. mais
crises
de tournoiement qui se répè- tent plusieurs foi
s de traces de syphilis, est vive, nerveuse sans avoir jamais eu de
crises
, ni d'accidents nerveux d'aucune sorte. [Père r
une fille (vingt-six ans), ayant eu à onze mois une seule fois des
crises
convulsives il l'époque de la dentition. Celte
ons; 4° une fille morte à onze mois de méningite avec de nombreuses
crises
convulsives ; - 5° un garçon de dix-neuf ans, s
it qu'elle était atteinte d'hydramnios. Elle n'eut néanmoins aucune
crise
syncopale, ni Fig. 23. 232 RECUEIL DE faits.
s. Ainsi Carti..., épi- leptique, pris de délire après une série de
crises
, répétait tout ce qu'on disait, bien qu'en temp
s ne s'observent que d'une façon intermittente ; ils reviennent par
crises
plus ou moins complètes. On ne les a obser- vés
tive, et qui par crainte de ses examens a eu, en cinq accès, quatre
crises
de paralysie hystérique de l'un ou de l'autre b
l'autre bras, directement avant ses examens, et plu- sieurs autres
crises
dans le courant de l'année, survenues pour la p
fortement à pleine main l'épaule gauche. Pas de cauchemars, pas de
crise
d'aucune sorte. Le 26 février le malade se prés
s avons noté une récidive de paraly- sie et dans plusieurs cas, des
crises
hystériques plus ou moins nettes. Chez trois pe
des enfants; à la suite d'un amour contrarié, elle est prise d'une
crise
violente de lypémanie avec hallucinations et id
ng, Kropelin, Kischlolf, les découvertes de Heitzig et Fritsch (les
crises
internes cérébrales), Morel (la dégénérescence)
erveux cérébral, qui se manifeste plus ou moins brusquement par des
crises
de convulsions cloniques géné- ? ,ales et par la
s, disions-nous, passent très facilement d'un état à l'autre, de la
crise
au somnambulisme ou réciproquement =. La mé- mo
erminée appartenant au groupe des phénomènes psychologiques de la
crise
pour amener l'attaque de convulsions, de même qu'
l'esprit du sujet avant l'attaque et qui le remplissent pendant la
crise
. Et mettant le sujet en somnambulisme, en profi
oir chez une troisième se répètent régulièrement à chacune de ces
crises
1. Vraisemblablement, toutes ces crises hystériqu
ulièrement à chacune de ces crises 1. Vraisemblablement, toutes ces
crises
hystériques sont de même nature, elles consiste
famille et, difficilement, quatre personnes le peuvent contenir. La
crise
dura environ un quart d'heure. Malgré le temps éc
me encore qu'il n'avait pas pris la moindre boisson, que, durant la
crise
, il n'a pas uriné sous lui ni ne s'est mordu la
du malade, car on ne saurait rapporter à aucune autre affection la
crise
convulsive qu'il a valeur dans le diagnostic de
e une né- phrite gravidique avec phénomènes 'd'auto-intoxication et
crises
épileptiformes consécutives. La maladie subissa
e l'instabilité mentale congénitale, et pour cause déterminante les
crises
épileptiformes. La malade a guéri. R. M.-C. L
s épileptiques ans).— Menstruation.—Aggravation des accès (22 ans). —
Crises
gastriques. — Migraine. — Attitude des membres pa
ez bonne. Toutefois nous devons mentionner : 1° des migraines; 2° des
crises
gastriques. 4° Les migraines s'accompagnent : a
ni convulsions d'aucune nature. En 1869, nous avons été témoin d'une
crise
de ce genre. L'intelligence est médiocrement dé
nférieur et n'a pas de vision colorée. Décembre.—L... n'a pas eu de
crise
gastrique depuis quatre Iconographie. ans. El
le coude, sont le s'ége de douleurs plus ou moins vives, revenant par
crises
principalement au moment des variations brusques
la face avertissent de l'arrivée de l'accès. ChezGr... (Obs. IV), les
crises
, autrefois, étaient précédées d'une epistaxis. Ce
écume, ni perte de connaissance, car M... causait ou riait durant ces
crises
tout à fait partielles. Jusqu'en octobre 1875, ce
lui en annonceraient l'approche. —Elle n'urine pas sous elle dans ses
crises
. Etat actuel (1866). — Le membre supérieur gauc
uteuil. Pendant que nous causions avec elle, nous voyons survenir une
crise
d'un genre particulier : La figure grimace affr
ourent. Elle assure qu'elle ne perd pas connaissance dans ce genre de
crises
qu'elle appelle des « faiblesses » et qui ne s'ac
rche de la maladie. A partir du 14 novembre, P... a eu une série de
crises
hystériformes : 14 nov. . . 13 19 nov .. 22 1
. . . » Durant cette période de dix jours, bien que P... ait eu 235
crises
, la température, notée quotidiennement, a oscillé
étaux ; parfois, elle précise davantage et mon 17 septembre .... 15
crises
. 18 — ____ 25 — 19 — ____ 50 — 20 — ____ 60
. V. 38°,1. Nitrite d'amyle. Suspension des attaques; à 3 heures, une
crise
, puis rien. — Soir : T. R. 38°. Zjuin. — Pas d'
evenue à son état normal. 24 juillet. — V..., qui n'avait pas eu de
crises
depuis le 3 juin, a été reprise hier, à 4 heures.
r terre, etc. Elle n'a pas dormi durant la nuit et, sentant venir ses
crises
, elle s'est levée, est allée chercher la veilleus
« C'est à Fontainebleau, sous un chêne... » A ce moment survient une
crise
qui avorte, et le délire reparait : « Je ne boira
... quenotte, se mordille la lèvre inférieure, et revient à elle. Ces
crises
durent, au plus, une minute et demie. Outre ces
comme des secousses électriques. — Soir : T. R. 38°. 4 sept. — Les
crises
avortées, rares le 2, plus fréquentes le 3, se so
e aurait vu un serpent très-gros, très-ongettoutvert. Elle a eu trois
crises
avortées de 4 heures et demie à 5 heures. Le soir
riques de la Salpêtrière, nous avons fait réserver le mot d'actes aux
crises
convulsives des épileptiques et le moC.à'attaques
ctes aux crises convulsives des épileptiques et le moC.à'attaques aux
crises
con-vulsives des hystériques. De la sorte, les su
es motifs de ce silence. Elle dit que L... a toujours senti venir ses
crises
(douleurs dans le ventre à gauche) qui étaient tr
ave, précédées de douleurs dans le bas-ventre à droite. On arrête les
crises
convulsives par la compression ovarienne droite.
s droit se place en travers du dos et y demeure contracture entre les
crises
. Ces deux accidents: torsion exagérée du cou et
à 8 heures. Nous voyons la malade à 11 heures. Dans l'intervalle des
crises
convulsives et la malade ayant sa connaissance :
elle fait des projets d'évasion. « Seulement deux mois «ans avoir de
crises
, et je me tire des pieds. » (Repos; L... s'asseoi
i, j'ai dit ton nom à la Salpêtrière! Ce n'est pas vrai, ayant eu une
crise
ou non. Jamais on ne m'a fait une seule demande !
droit tourne, ce qui la fait chanceler. Elle a de temps en temps des
crises
d'un genre particulier. La tête se porte fortemen
us où elle est ; elle est en colère, grince des dents. Durant cette
crise
, X... a conservé toute sa connaissance ; elle se
les hystériques, permettent de les reconnaître avant l'apparition des
crises
convulsives; c'est aussi afin de montrer, d'une f
, les autres vivants. — L'aîné a un garçon et une fille, sujets à des
crises
nerveuses, qu'on qualifie de suffocations ; la fi
is, les attaques se bornent aux deux premières périodes, une nouvelle
crise
éclatant avant l'apparition de la période de déli
e matin, sa toilette faite, elle coud sa chemise, craignant, dans ses
crises
, de se découvrir. 31 octobre. — Elle est jalous
. Depuis l'année 1884, les accès se sont répétés quatre fois; les
crises
d'anxiété semblent avoir toujours eu, comme c'est
s années, si ce n'est qu'elle est un peu nerveuse, et a parfois des
crises
de larmes. Deux grossesses normales ; accouchem
et secon- daire, la démenée de la puberté peut aussi être coupée de
crises
aiguës, qui, si l'on n'a pas observé les premie
internede l'hémisphère droit; le malade avait depuis trois ans des
crises
épilepliformes. Mort avec phéno- mènes convulsi
plus marqué d'un côté que de l'autre ; apparilion, à la [fin de la
crise
, d'une polyurie assez accentuée avec abaissemen
squ'à son arrestation, G. D. XXXIII. LE diagnostic différentiel DES
crises
HYSTÉRIQUES ET des crises épileptiques; par le
XXXIII. LE diagnostic différentiel DES crises HYSTÉRIQUES ET des
crises
épileptiques; par le D1' BONJOUR. (Rev. méd. de l
nt souvent l'attaque d'épilepsie; ils sont moins fréquents avant la
crise
hystérique. L'aura manque rare- ment au début d
avant la crise hystérique. L'aura manque rare- ment au début de la
crise
épileptique mais ne dure que quelques secondes;
'épileptique et l'hystérique poussent souvent au commencement de la
crise
revêt un caractère particulièrement horrible et
lètement connaissance et ne se fail jamais de mal. Au début de la
crise
épileptique, les pupilles se dilatent et ne se
lsions cloniques consécutives sont saccadées et vio- lentes dans la
crise
épileptique, tandis que l'hystérique se borne g
t les jambes en extension. Le poids est petit, filiforme pendant la
crise
épileptique, tandis qu'il varie beaucoup pendan
endant la crise épileptique, tandis qu'il varie beaucoup pendant la
crise
hystérique; cette différence serait encore plus
e; cette différence serait encore plus accusée au sphypmographe. La
crise
épileptique se termine presque toujours lenteme
ssible. La moindre pres- sion au niveau des cicatrices provoque une
crise
nerveuse. Attitude vicieuse du tronc déterminée
rappor- tées dans ce travail concerne une malade qui n'a pas eu de
crise
depuis trois ans.) Aussi l'auteur estime-t-il q
. AIORISON. (British. médical journal, octobre 1856.) Deux cas de
crises
monoplégique trépanés avec succès chez des homm
ALCOOLIQUES. Le nommé Botereau, marié et père de famille, dans une
crise
nerveuse déterminée par l'ivresse, a tenté de se
e et manifeste des idées de suicide. De plus elle a de véri- tables
crises
d'onomatomanie. Elle éprouve une impulsion irrési
envers les personnes. Si par un exceptionnel et heu- reux hasard la
crise
d'aliénation mentale, qui va n'être que passa-
ie. Comme il ressemble à un comitial, ce malade qui, à la fin d'une
crise
qui a duré au maximum quelques heures, « tombe
ne peut sortir de chez lui ni monter son escalier sans être pris de
crises
d'angoisse, avec sueurs, facies vultueux, contr
rapie chaude et surtout par une gymnastique spéciale musculaire les
crises
cessèrent au bout d'un mois; puis la malade recou
névropa- thiques, mais à l'âge de dix-huit ans, la malade a eu une
crise
de dépression nerveuse de nature douteuse, et d
si. Il fallut dix minutes pour s'emparer du fou et le trotter. A la
crise
succéda un abattement absolu. On dut porter L ?
tement, éclate de l'excitation cérébrale avec anxiété, sensiblerie,
crises
de larmes, etc... Pour octobre, nous trouvons d
trai- tement, qu'il fonde sur l'hydrothérapie et la suggestion. Aux
crises
spasmodiques il applique le nitrite d'amyle, le
du développement de son ostéo-sarcome, elle avait eu de véritables
crises
délirantes. La deuxième malade a été atteinte,
PATHOLOGIE MENTALE. constiLuraient de véritables équivalents de la
crise
d'hystérie, d'épilepsie, de l'alcoolisme, etc.
des autres symptômes précoces (parésies du larynx et de la vessie,
crises
d'estomac, atrophie des nerfs optiques, mi- cro
ient permanent dès lors, tandis que reviennent, périodiquement, des
crises
de palpitations et d'angoisse aiguë, qui ne son
variables. Chez uu jeune homme de dix-sept ans, qui présentait des
crises
très fré- quentes à caractère hystérique et de
st resté slation- naire. Trois ont été aggravés, soit parce que les
crises
ont augmenté de fréquence, soit parce qu'il s'e
té sympatliectomisé quelques semaines plus tard et a vu revenir ses
crises
comme aupara- vant, après une rémission de troi
acher à la paralysie géné- rale. Vers fin décembre apparaissent des
crises
d'épilepsie prises pour des attaques épileptifo
e Dr Brunet constate à la quinzaine : « Intelligence presque nulle,
crises
fréquentes, caractère très irritable, malade malp
ant à son domicile. Cette triste détermination, est attribuée à une
crise
alcoolique. (Petite Gironde, 18 septembre.) 3
idu qui, buveur sans être ivrogne, fut atteint de mélancolie avec
crises
panophobiques et concurremment d'un trouble hépa-
t à la mélancolie et seuls les symptômes secondaires, tels que la
crise
panophobique transitoire signalée au début de la
tion d'une dame de trente ans, sujette depuis quelques années à des
crises
de coliques hépatiques, qui pendant plus d'un m
me, relèvent incontestablement d'une intoxication ; je veux dire la
crise
panophobique et les rêves terrifiants. Les attri-
our en revenir à notre malade il nous semble en défini- tive que la
crise
panophobique et les rêves terrifiants relèvent
on, nous avons affaire à un cas de folie aiguë éclos au cours d'une
crise
hépatique provo- quée par la lithiase biliaire.
omènes nerveux compli- quèrent son état : elle devint sujette à des
crises
qualifiées de catalepsie par le médecin qui la
a soignait. A la moindre contra- riété elle tombait dans une de ces
crises
, ce qui l'obligea à aban- donner l'enseignement
nt. D'après la description assez vague qui nous en a été faite, ces
crises
nous paraissent de nature hystérique et constit
rgées à l'Hôpital et à la Grande-Grille, quand elle fut prise d'une
crise
hépatique qui se prolongea et qui se compliqua pe
èrent de jeter la perturbation dans son état mental et une violente
crise
maniaque éclata. La malade fut, avec les plus g
apper : elle dit que ça la soulagerait de faire du mal à quelqu'un.
Crises
de forme léthargique : soudain elle se laisse tom
nuel ; mais quelques instants après elle a été reprise d'une de ses
crises
à forme léthargique. Dans l'après-midi, excitat
SES. 369 , droit de songer à l'intervention de cette maladie. Les
crises
à forme léthargique, en particulier, nous parai
e manifestée pendant de nombreuses années sous la forme atténuée de
crises
de forme léthargique, se serait établie à demeu
is d'une façon irrégulière. Trois mois après son entrée, elle a une
crise
de coliques hépati- ques qui attise son délire
u'elle ne veut pas supporter celle-ci. A partir de ce moment, les
crises
hépatiques se repétèrent à époques irrégulières
t. SCLÉRODERSIIE LARDACÉE EN COUP DE SABRE DE LA RÉGION FRON- TALE.
Crises
épileptiformes concomitantes; par L. Spillmann.
le raie blanche, parallèle à la première. En octobre 1897, première
crise
épileptiforme suivie d'nne deuxième crise huit
En octobre 1897, première crise épileptiforme suivie d'nne deuxième
crise
huit jours après. Céphalée post-paroxys- tique
ntal externe; ni douleur, ni anesthésie. En novembre 1897, nouvelle
crise
'convulsive avec, depuis cette époque, affaibli
t accident, des secousses muscu- laires, et quelques mois après des
crises
d'épilepsie. Les secousses surviennent par accè
lassitude quand ,l'accès est terminé. Au sujet de l'influence de la
crise
d'épilepsie sur les secousses, on peut constate
secousses, on peut constater que le malade, étant en immi- nence de
crise
comitiale, cette dernière mensuelle, a des spasme
a des spasmes plus intenses, et inversement on retrouve, après une
crise
, un calme absolu d'un jour ou.deux. Les auteu
des secousses myocloniques, lorsque le sujet est en imminence de
crises
, et le calme après la décharge épileptique; on co
le diagnostic clinique porté avait été : paralysie pseudo-bulbaire,
crises
subintrantes d'épilepsie. Cette autopsie ne rév
correspond aux altérations de la zone de dégénérescence. Enfin les
crises
épileptiformes à caractère subintrant reconnais
où le malade, après un gros rhume, eut des spasmes musculaires, des
crises
de pleurs et de rires et enfin une période d'ag
oulu rendre notre régime, notre école publique responsable de cette
crise
de moralité, ou s'est donc bien trompé, et c'est
a diffama- tion, sont devenues les deux mamelles». En face de cette
crise
actuelle (le la moralité, provoquée sans doute
e la putréfaction in- testinale, par Angerjo, Il Dia- gnostic des
crises
hystériques et par Bonjour, 120. Nécessité de
- Fracture du bras gauche à 2ans. - Pleurésie à 6 ans ? Début des
crises
nerveuses a 8 ans. - A 11 ans et demi, luxation
ien portante.] Mère, fleuriste ; pas de convulsions ni plus tard de
crises
de nerfs, peu émotionable ; pas de rhumatisme,
nte, de 40 ans, « un peu folle», a été à la Salpê- trière, a eu des
crises
de nerfs assez fréquentes ; alcoolisme ; hémipl
é dans la marche ; l'enfant se buttait au moin- dre obstacle. Les
crises
nerveuses ont débuté à l'âge de 8 ans. La pre-
cès, puis elle en eût deux ou trois en deux mois. - Chaque fois, la
crise
était suivie d'émission d'urine. Les bras se co
si que le tronc et les membres inférieurs. Depuis cette époque, les
crises
sont plus fréquentes; elle en a deux ou trois p
des excès de boisson graves avec accès de delirittnz tremens et des
crises
de vio- lences chez le grand-père paternel; des
on chez un oncle paternel ; l'aliénation, des excès de boisson, des
crises
de nerfs et une hénziplé- gie gaucho chez une g
es. Lorsque l'enfant a pu exprimer ses sensations, il annonçait ses
crises
en se plaignant de maux de tête ; on le couchai
ique. IV. A la première attaque convulsive ont succédé de petites
crises
revenant à peu près tous les mois, précédées de
de la mère de l'enfant ; il n'était pas alcoolique, n'avait pas de
crises
ner- veuses, mais était d'un caractère très vio
caractère est facilement irritable ; pourtant elle n'a jamais eu de
crises
nerveuses et, quoique cuisinière, fait un usage t
terribles, était caressant et bon. - Jamais il n'a eu de véritables
crises
nerveuses d'aucune sorte. - On attribue son éta
ents nerueux qui passaient avec des inhalations d'éther ; jamais de
crises
de nerfs. Toujours un peu anémique. Coliques né
n médecin qui lui donna dubro- murc. Pendant deux ans ces sortes de
crises
se manifestèrent au moins une fois par jour. Il
la suite, au contraire, il ne voulait plus travailler. Après chaque
crise
, surtout depuis un an, il est devenu voleur et
it très salement depuis sa maladie. Il ne gâtait pas, mais à chaque
crise
il urinait sous lui. Il avait des hallucination
pendant 3 ou 4 jours durant lesquels elle a pu assister à plusieurs
crises
. lten- voyée chez sa nourrice, elle a en des cr
ter à plusieurs crises. lten- voyée chez sa nourrice, elle a en des
crises
tous les 3 ou 4 jours, puis, au bout d'un mois,
se à la suite d'une contrariété ; cependant elle n'aurait pas eu de
crises
. Avant l'Age de 16 ans, elle se plai- gnait que
portée ; elle a eu des migraines pendant sa jeunesse, mais point de
crises
. - Grand-père paternel, pas de détails. - Grand
decin qui attribue aux désordres causés par cette intervention, les
crises
71e7'uewses constatées plus tard chez l'enfant.
dèrent sans interruption. Il n'y avait pas d'intervalle entre deux
crises
successives. Les yeux étaient convulsés en haut,
nsive, « caractère en dessous » elle n'avait jamais eu cependant de
crises
de nerfs ni d'accidents nerveux véritables. Ell
is alors survenait en outre de la cephalagie avec vomissements, par
crises
de deux jours de durée environ (migraine probab
par crises de deux jours de durée environ (migraine probable). Ces
crises
auraient disparu depuis 2 ans. Les yeux larmoya
ite d'une violente colère. A dix ans, traumatisme grave : boïterie,
crises
céphalalgie ques ; - troubles de la parole; - g
esté quelques jours. Après l'accident, boiterie de la jambe gauche,
crises
céphal- algiques, revenant 2 ou 3 fois par mois
deurs du cou, pas de cogne- ments de tète. Jusqu'à l'admission, ces
crises
seraient restées les mêmes. Parallèlement l'int
iolentes colères. Aucun autre accident ne serait venu s'ajouter aux
crises
céphalatgiques qui continuaient ; pas de vomiss
A cette époque survient un accident de voiture, qui occasionne des
crises
céphalalgiques intenses, fréquentes et accompag
vie et vérifiée à l'autopsie. Parallèlement à la répétition de ces
crises
, l'intelli- gence s'affaiblit et la parole devi
s de l'enfance, pas de migraines, tempéra- ment assez nerveux, sans
crises
; physionomie régulière, cheveux châtain foncé,
e de camphre contrôles douleurs vives, brûlantes, avec ténesme, des
crises
vésicales tabétiipies. Nous rappellerons auss
rogrès depuis 18 mois. Cas. V. - Epilepsie. Sommaire. - Début des
crises
il 5 ans 1/2. - Grand-père très alcoolique. - S
nourrice n'a donné aucun renseignement sur le début et la cause des
crises
. A partir de là, il a eu des accès diurnes et n
epsie partielle gauche. - Père, sciatique : excès de bois- son avec
crises
nerveuses. - Tante et oncle : excès de bois- so
e et du côté droit. Une tante maternelle de l'enfant a eu plusieurs
crises
nerveuses ; une autre a eu des attaques nerveus
l'origine, il ne perdait pas tout à fait con- naissance durant ses
crises
: il sautait en l'air, frappait la table à coup
thiques. - De 5 à G arls, tics, gri- maces, clignements des yeux. -
Crises
épileptiques en 1885. Traitement par la picroto
47 i Bien dans la famille. Cousin germain hystérique. Première
crise
à 8 ans, puis 2 ou 3 accès par mois, puis jusqu
es occupant la moitié antérieure du crâne ; deux fois elle a eu des
crises
nerveuses consécutives à une peur et à une cont
rphine. Premières convulsions internes à 5 mois, suivies de 12 à 15
crises
jus- qu'à 6 mois. - Symptômes classiques de la
es. - Depuis lors, jusqu'à ce jour (11 juin), Suzanne a eu l' ou 15
crises
semblables. Leur durée a varié de à à 15 minute
5 minutes. On n'a pas remarqué de secousses cloniques pen- dant les
crises
, ni de paralysie consécutive. - Parfois le somm
de la face, durée de trois quarts d'heure. Puis cinq ou six petites
crises
à partir de là jusqu'à quatre mois, mais beauco
est en ce moment placé dans une autre maison. 20 mai. - A eu des
crises
le 28 et le 30 avril et le 3 mai. L'une d'elles
18 décembrc. - Depuis le mois de juillet, il n'aurait eu que deux
crises
. Après avoir travaillé dans une corroirie, qu'il
nifestations nerveuses. La plus âgée des filles semble avoir eu des
crises
hystériques. Un garçon présentait des phéno- mè
elle est retom- bée sans connaissance et a été prise d'une nouvelle
crise
. catalep- tiforme. Elle aurait eu'cinq crises s
é prise d'une nouvelle crise. catalep- tiforme. Elle aurait eu'cinq
crises
semblables dans un espace de quarante minutes.
emblables dans un espace de quarante minutes. Dans l'intervalle des
crises
, elle avait les yeux hagards ; elle voyait les
auche qu'à droite. HYSTÉR0-ÉP1LEPSIE. 163 Le 12 juillet, nouvelle
crise
; le 15 et le 19, nouvelles crises d'une demi-h
PSIE. 163 Le 12 juillet, nouvelle crise ; le 15 et le 19, nouvelles
crises
d'une demi-heure environ. Pas de cris, pas de r
par jour de trente à quarante-cinq minutes. Voici le tableau des
crises
: 164 UNIT FAMILLE D'il YSTKRlQUliS. elle che
panisme. 4 août. - Les il, 12 et 13 août, elle a eu 152, 249 et 198
crises
, dont un certain nombre avec grands mouvements
- Les douches ont été prises régulièrement, depuis le 15 août. Les
crises
ont eu la marche suivante : HYSTEIiO-EPILT.PSIE
1 juillet. - Légère attaque le 2 juillet, une autre le 13. Ces deux
crises
ont été très légères. Elle dit a Ah ! », se laiss
trouver mal sans avoir de grandes attaques. En 1888, elle n'a eu ni
crises
, ni ver- tiges, ni syncopes, mais elle était ne
aux douches et aux toniques que nous avons dû la disparition des
crises
nerveuses. ? 4. Lav... (Joseph), onze ans, en 188
. S'il rentrait dix personnes de suite, il avait dix fois les mêmes
crises
. La nuit, sommeil agité, rêves, mais non cauche
omplète- ment connaissance. On l'a porté sur un lit et il a eu huit
crises
ce jour-là, de cinq heures et demie à huit heur
ie, sans cause appréciable. Pas de cri initial. Il cherche dans ses
crises
il marcher sur les mains et sur les pieds, les
iane, bains. 17 décembre. - Depuis la dernière visite il a eu trois
crises
le trente novembre. Elles auraient été très lég
nt hystérogène, pas de rachialgie. 11 est devenu peureux depuis ses
crises
. Par moments, il a de la boulimie; d'autres foi
re l'ombilic et les fausses côtes gauches. 26. - Il n'a pas eu de
crises
. Persistance du point douloureux dans le flanc
dies du système nerveux à la Salpétrière. outre plusieurs grandes
crises
et, une fois, elle est restée dix-huit à vingt mo
a eu, pendant les sept années qui ont suivi la mort de son père, des
crises
convulsives avec accès de larmes. Elle a eu sept
s à des migraines. Enfin il a une grand'mère maternelle sujette à des
crises
nerveuses convulsives, un grand-père paternel aya
naires apprennent pendant leur sommeil le moment et la durée de leurs
crises
; tel autre rêve qu'il est muet, aveugle, paralysé
r — au fond cet état pathologique est de l'aboulie — il a sa première
crise
nerveuse dont il nous donne la relation. Il tom
ques ; il tombe la face contre terre et demande aide à Dieu. Nouvelle
crise
nerveuse ; il s'endort et aperçoit dans son somme
vaines recherches de curiosités ». Tout en traversant ces séries de
crises
il avait voyagé pendant une période de dix ans (1
et mourut quelques années plus tard d'une maladie qui débuta par une
crise
d'asthme et se termina par une lièvre continue qu
loin. Pour le moment, revenons à l'homme, à son état nerveux, à ses
crises
, à ses hallucinations qu'il décrit avec complaisa
e laquelle il sort énervé, désenchanté, meurtri. La première de ses
crises
eut lieu en 1610, il avait 33 ans. « Après une lo
ouchai a la fiole et frappé d'horreur je me réveillai. » Dans cette
crise
, on remarque d'abord l'extase, puis l'hallucinati
e vouloir, d'agir en font un dégénéré, un neurasthénique. Quant à ses
crises
, elles semblent bien se rapporter à l'hystérie ;
'état fébrile ; enfin il pèse l'urine d'une jeune fille qui avait des
crises
nerveuses, après une crise et il remarque que l'u
e l'urine d'une jeune fille qui avait des crises nerveuses, après une
crise
et il remarque que l'urine a la densité de l'eau
nnaissance. Il y a trois ans, elle avait fréquemment, sous forme de
crises
, des troubles analogues ; elle éprouvait dans les
; et cela durait cinq minutes. Une fois elle eut, de suite, quatorze
crises
de cette nature. Aujourd'hui, si elle éprouve u
t hyperes-thésique du côté des seins ou des ovaires. En dehors de ces
crises
, elle est, en apparence, tout à fait bien portant
tractures; et puis il existe d'autres phénomènes somatiques, soit des
crises
de nerfs avant ou après, soit des troubles de la
e couchée, la mariée se remue, s'agite, crie, puis se calme ; mais la
crise
lui reprend deux ou trois fois dans la nuit et el
, il cherche à se défendre contre ces horribles apparitions. Puis, la
crise
passée, il se recouche, et caché sous ses vêtemen
s justement relevée par Patin (1), à l'arc protecteur d'Apollon. Sa
crise
apaisée, Oreste, dans un état de vague et de conf
rement à ce que nous avons vu dans Eschyle, de la folie-maladie, La
crise
passée, Ajax revient progressivement à lui. Quand
hopathiques qui se succèdent, plus ou moins liés l'un à l'autre : une
crise
aiguë de délire hallucinatoire nocturne, un accès
bulique et que j'ai nommé pour ce motif délire, onirique, que dans la
crise
en laquelle Hercule, égaré par ses illusions terr
achève la perfection de cette peinture, c'est que Hercule sort de sa
crise
absolument comme on sort d'un état de somnambulis
rose, parmi tant d'autres surnoms, celui de mal herculéen. Mais si la
crise
décrite par Euripide est pour quelque chose dans
e chose entre ses bras ; parfois elle a des soubresauts du corps. Ces
crises
se prolongent environ un quart d'heure après quoi
l'excitation deviendra alors si grande que nous aurons affaire à des
crises
cataleptiques et à un accès de manie aiguë. Un
le une jeune fille atteinte d'hystérie ; elle prenait chaque mois des
crises
convulsives qui remplissaient de terreur toute la
e moment l'histoire complète de l'hystérie n'était pas faite; sauf la
crise
convulsive, les médecins eux-mêmes ignoraient les
ayeurs à la vue et à l'idée des tramways. Enfin, véritable ébauche de
crise
hystérique. Rien à noter du côté des autres organ
une certaine dose de raisonnement persiste et permet aux malades, la
crise
passée; de raconter ou d'écrire leurs sensations
eux par son pauvre esprit de nonne ignorante, reproduisit pendant les
crises
des scènes analogues d'amour divin. Voici quelq
t été renversée par un énorme molosse et tombait depuis lors dans des
crises
nerveuses, chaque fois qu'elle le rencontrait Je
e lui et au contraire, tu le caresseras. — A partir de ce moment, les
crises
cessèrent. La même simplicité de moyens m'a sou
d'une mère nerveuse et qui était sujette, il y a un an à peine, à des
crises
d'hystéro-épilepsie. Cette entant est d'un bon
es et user de la suggestion, j'ai très rapidement obtenu la fin de la
crise
et je n"ai pas négligé non plus de lui persuader
e qu'il se fait du mal par sa bonne chère, il continue. Au jour de sa
crise
, il se repentira, fera toutes les promesses, les
fixes, au commencement de mars et à la fin de juillet, sous forme de
crises
momentanées, divers troubles somatiques, sensorie
insi que les choses se passent au début. Au fur et à mesure que les
crises
se répèlent, elles deviennent plus longues et plu
e lamente et répète : Cette fois, je ne vais pas encore échapper à ma
crise
! » Enfin, celle-ci, loin de se terminer rapideme
laisse après elle divers troubles, pendant au moins une quinzaine. La
crise
de mars 1902 ne s'est pas, à vrai dire, terminée
s de l'hystérie. A aucun moment ses règles n'ont été troublées. Ses
crises
, ainsi que leurs suites, ont résisté à toutes les
début de mars et la fin de juillet ne seraient plus marqués d'aucune
crise
. Après avoir assuré la curation, l'hypnotisme a f
s qu'il suivit à partir de sa 38e année aidèrent au développement des
crises
: Il se retirait pour méditer dans une caverne du
homet fut atteint d'un tremblement, comme il arrive souvent après des
crises
nerveuses. Il se fit envelopper la tête de linges
ses. Il se fit envelopper la tête de linges humides jusqu'à ce que la
crise
fut passée. Mahomet raconta ses visions à sa fe
uis son enfance, il était le type si souvent décrit de l'eczémateux à
crises
d'asthme : chez lui les éruptions alternaient ave
nne. On institua le traitement et, loin d'être soulagé, M. X. vit ses
crises
se reproduire et peu à peu augmenter de fréquence
c du lait sain et à peu près stérile — Le résultat fut immédiat et la
crise
retardée d'un mois. C'est à ce moment, en août
absorbé un beefteck de fraîcheur douteuse, le malade eut une violente
crise
épileptique. Par un hasard heureux, cette crise
de eut une violente crise épileptique. Par un hasard heureux, cette
crise
se produisit chez moi, pendant que nous étions en
échéance physique et morale qui torture. Au bout de dix minutes, la
crise
était finie et le malade avait recouvré toutes se
La seconde conclusion à déduire du déroulement des symptômes de cette
crise
d'épilepsie gastrique est qu'après le réveil, on
yndrome hystérique simulateur de l'hémiplégie spasmodique infantile ;
crises
convulsives, hémiplégie droite avec contracture
t a eu des convulsions dès sa plus ten- dre enfance. Au cours d'une
crise
convulsive, plus longue que les autres, sur- ve
e l'entoure dès ce moment de soins minutieux et extravagants. Les
crises
convulsives augmentent d'intensité et de nombre.
au commencement de 1887, celui-ci est figé d'environ 3 ansi/2. Les
crises
persistent; M. Valmont qui en a le témoin les déc
ns plus ou moins prolongées, suivies d'hypnose post-convulsivo. Ces
crises
se produi- sent tous les jours et même pendant
pendant un mois. Envoyée plus tard à l'école, elle y aurait eu des
crises
de nerfs ( ? ) Début. Au mois de mai 1891, elle
bord localisées au bras droit, se sont étendues à tout ce côté. Ces
crises
se répètent tous les jours plusieurs fois depuis
rquée à l'épaule et au bras. Nous venons d'assister il une de ces
crises
épilepliformes ; début par la main droite, puis
une sta- tion des Pyrénées. Depuis son retour, on aurait noté des
crises
convulsives : mais l'enfant, vivant 44 NOUVELLE
voulait pas le dire. Ceci se passait au mois de juillet 1891 et les
crises
convulsives auraient précédé de un ou deux mois
fut repris par ses parents qui purent constater la continuation des
crises
convulsives. Les attaques se répétaient quelquefo
iter le tissu nerveux comme agent chimique. Que de fois j'ai vu des
crises
douloureuses après la galvanisation delà moelle
rche devient presque impossible. A plusieurs reprises elle a eu des
crises
gastralgiques et intestinales ; 1. )3ATTAILLI :
rsal chez un syphilitique. Ataxie. Troubles oculaires et urinaires.
Crise
upoplectiforme. Artliropathie du genou gauche.
altique avec hémispasme facial; récidive. A nes thés ie en plaques,
crises
nerveuses. Augustine 11L.... âgée de 10 ans, se
pas de maladies antérieures, mais tempé- rament nerveux et petites
crises
( ? ) assez fréquentes. MALADIES ORGANIQUES DE
u'elle ouvre incomplètement l'oeil gauche. Ce même jour, elle a des
crises
de nerfs plus fortes que d'habitude. Cette fo
ractères de la céphalalgie hysté- rique qui se montre sous forme de
crises
et qui coïncide avec la présence de zones hysté
du cuir chevelu. La constatation de ces zones, faite en dehors des
crises
est d'une grande valeur pour le diagnostic, ainsi
i l'on ajoute à cela que la pseudo-méningite hystérique procède par
crises
et soubresauts dans sa marche, que les antécédent
112 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. époque, sujette il des
crises
nerveuses ( ? ) Bonne santé habituelle. Réglée po
a- rongée, de l'ovaralgie ci droite. Ces deux signes rapprochés des
crises
nerveuses d'autrefois fortifient singulièrement
ulant successivement la méningite, la péritonite et l' ll1'é- mise.
Crises
d'aboiement et secousses rhytmiques. -Stigmates d
sensibilité reste normale sur toute l'étendue do la peau. Pas de
crises
convulsives, pas de contractures ni de paralysies
laires normales. Depuis quelques jours, Léon Ch..... est atteint de
crises
convulsives avec aboie- ment qui se répètent tr
e, jusqu'à 20 ou 25 fois. En même temps et dans l'intervalle de ces
crises
, il est agité de secousses rhylmi- ques qui occ
lement et les douches, ou le menace même du thermo-cautère. 15. Les
crises
ont beaucoup diminué de nombre. L'enfant se lève
e la peau. 116 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 17. Les
crises
d'ahoiement ont complètement cessé et les secouss
s d'iso- lement et d'hydrothérapie, les accidents se sont amendés :
crises
moins fréquentes, céphalalgie moins vive, retou
uriner. Il eut les mêmes symptômes du côte du fondement. 1890, 1°
Crise
gastrique. -Il alla à la Bourboule de juin à juil
a colonne vertébrale. Au bout de 10 jours il fut pris la nuit d'une
crise
de douleurs dans le ventre, puis dans l'estomac.
it qu'il avait bu avec excès de l'eau minérale. Mais il a eu là une
crise
de la gastrique bien caractérisée : la douleur le
D'ARTHROPATHIE TABÉT1QUE DES DEUX HANCHES 147 Déjà il avait eu une
crise
analogue au moment où il avait pris le lit pour
remuer. Il n'avait pas d'appareil. Pendant cette période il eut une
crise
de vomissements qui dura 7 à 8 jours. Douleurs
issements glaireux. Il ne pouvait rien garder. C'était donc la 2°
crise
gastrique. En fin juillet 91 il repartit pour la
vomissements surtout glaireux. Cela a duré G à 8 jours environ (3"
crise
gastrique). La crise est suivie de quel- ques j
glaireux. Cela a duré G à 8 jours environ (3" crise gastrique). La
crise
est suivie de quel- ques jours de fatigue, aprè
ieux. 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 1892. Nouvelle
crise
en mars 92 puis en' juin (lie et De crises gas-
LPÊTRIÈRE. 1892. Nouvelle crise en mars 92 puis en' juin (lie et De
crises
gas- triques). Après la crise de juin il alla
n mars 92 puis en' juin (lie et De crises gas- triques). Après la
crise
de juin il alla à La Malou en juillet. Il se trou
ou en juillet. Il se trouva bien de sa saison. En novembre nouvelle
crise
, une autre en lin décembre (6° et 7e crises gas
on. En novembre nouvelle crise, une autre en lin décembre (6° et 7e
crises
gastriques). 1893. La dernière est survenue au
dernière est survenue au commencement de février. A cette dernière
crise
il a souffert davantage de l'estomac. Ces crises
r. A cette dernière crise il a souffert davantage de l'estomac. Ces
crises
auraient donc une tendance à devenir de plus en
donc une tendance à devenir de plus en plus fréquentes. Entre ces
crises
le malade a quelquefois des douleurs dans les épa
eut-être une mention particulière ; nous voulons parler surtout des
crises
gastriques. Sur les 5 cas d'arthropathies doubles
es doubles de la hanche que nous avons cités, 2 fois il y avait des
crises
gastriques dans l'observation d'Audibou et dans
un ensemble de zig cas d'arthralgics dont 12 2 se compliquaient de
crises
gastralgiques » (F. Haymond, Vict. encyclop. des
- cales. Art. Tabes dorsalis). On retrouve donc ici l'existence des
crises
gastriques dans la moitié des cas ou à peu près
la moitié des cas ou à peu près. Pour Buzzard, n les deux phénomènes (
crises
gastri- ques et arturopathies) sont liés à des
nocturnes reviennent à divers intervalles. A la suite d'une de' ces
crises
névralgiques, en mai 1891, survint subitement u
ier mariage de son père) qu'il aimait beaucoup. Il eut une sorte de
crise
nerveuse pendant la cérémonie fti- nèbre ; il v
e santé satisfaisante. Pas de convulsions dans l'enfance, jamais de
crises
de nerfs. Réglée il 13 ans, toujours bien. Une
n effet de retrouver les traces d'accidents épileptiques vulgaires,
crises
con- vulsives, morsures il la langue, urinalion
à Londres NOMS. MALADIES. Séances. Sommeil. 1. Catherine Brown. —
Crises
nerveuses très-violentes, qui en étaient au 449
er, le magnétisme porte sur les nerfs ; il les irrite et provoque des
crises
. Son emploi n’a aucune efficacité, etc. » La so
e line extatique de bonne foi ; elle ne donne de réponse que dans ses
crises
; alors elle est exaltée, de nouveaux horizons se
des appareils. Quelques extatiques entrent d’eux-mêmes dans l’état de
crise
où se produit leur lucidité, soit spontanément et
s avaient le don de lire dans l’avenir. Il y en a qui, pour entrer en
crise
, recourent à des drogues, à l’opium, au haschich,
des appareils. Quelques extatiques entrent d’eux-mêmes dans l’état de
crise
où se produit leur lucidité, soit spontanément et
s avaient le don de lire dans l’avenir. Il y en a qui, pour entrer en
crise
, recourent à des drogues, à l’opium, au haschich,
e dépense de forces, une constance à toute épreuve, du calme dans les
crises
, car celles-ci présentent quelquefois un danger t
t impressionnée dans son rêve, et elle s’écriait : Emma ! Emma!... La
crise
où elle se trouvai tétait semblable à celle qu’av
cours. Elle déclara qu’elle ne souffrait plus, qu’elle avait subi nne
crise
terrible, et que sans le secours de la magnétisat
uses, et plusieurs hommes sont impuissants à le tenir. Il sort de ces
crises
avec la fièvre et le délire. On consulte des méde
les plus illustres, on suit leurs ordonnances. La maladie empire; les
crises
, qui n’arrivaient que de temps à autre, deviennen
us ses mains. On me l’amène. A peine l’ai-je touché qu’il est pris de
crises
terribles. Il casse un fauteuil; me secoue à me r
evenir sur les guérisons que je viens de citer, traduire les diverses
crises
qui se sont manifestées, indiquer le travail merv
lui-même ou au-tomagnétisation. 11 y a même des êtres qui entrent en
crise
en faisant les cartes, ce qui expliquerait la cél
isson s'uivi de la fièvre : c’est bien, dis-je en moi-même, voici une
crise
favorable. En effet, un quart d’heure à peine éco
dressait le docteur; parlant de sa maladie, précisant les époques des
crises
à venir, indiquant celles où il devrait être magn
satisfaisante qüe les somnambules ne prévoient, suivant lui, que des
crises
nerveuses ou des attaques d’é-pilepsie, qui, à l’
satisfaisante qüe les somnambules ne prévoient, suivant lui, que des
crises
nerveuses ou des attaques d’é-pilepsie, qui, à l’
satisfaisante qüe les somnambules ne prévoient, suivant lui, que des
crises
nerveuses ou des attaques d’é-pilepsie, qui, à l’
satisfaisante qüe les somnambules ne prévoient, suivant lui, que des
crises
nerveuses ou des attaques d’é-pilepsie, qui, à l’
satisfaisante qüe les somnambules ne prévoient, suivant lui, que des
crises
nerveuses ou des attaques d’é-pilepsie, qui, à l’
satisfaisante qüe les somnambules ne prévoient, suivant lui, que des
crises
nerveuses ou des attaques d’é-pilepsie, qui, à l’
satisfaisante qüe les somnambules ne prévoient, suivant lui, que des
crises
nerveuses ou des attaques d’é-pilepsie, qui, à l’
satisfaisante qüe les somnambules ne prévoient, suivant lui, que des
crises
nerveuses ou des attaques d’é-pilepsie, qui, à l’
ncapable. Depuis plusieurs jours, j’avais préparé les organes à cette
crise
salutaire; je m’y attendais, et le père de la mal
ture, ou qu’ils se faisaient traiter par les médecins ordinaires, les
crises
apparaissaient plusieurs fois par mois; depuis qu
on ; au contraire, chez les hystériques, quel- ques-unes tombent en
crise
aussitôt qu'on les magnétise, et le somnambulisme
stitution frêle et délicate, chez laquelle le magnétisme provoque des
crises
d’une violence inouïe ; il est des moments où une
ogie la plus simple suffit à expliquer, n’ont rien de commun avec les
crises
curatives produites par l’action magnétique direc
oit alors se présenter le phénomène désigné par Mesmer sous le nom de
crise
, et dont l’état le plus avancé est l’extase , dés
/ues (1), — etc. Il faudrait distinguer ensuite les états divers de
crise
intellectuelle, en examinant celle des facultés i
magnétiseur s’enthousiasme; sa poitrine se gonfle, il entre dans une
crise
spéciale; sa main se porte d’elle-même au siège d
agnétisation. Tout magnétiseur sait qu’une fois que le sujet est en
crise
, même imparfaite, sa faculté relative est amoindr
el on veut agir, et qu’on le surveille en continuant à vouloir, et la
crise
sera brusquement arrêtée. C’est une expérience qu
tres les appellent, magiques, c'est-à-dire ceux qu'on observe dans la
crise
magnétique imparfaitement développée, présentent
était .attaché à lui par toutes les fibres de son cœur, il y a là une
crise
douloureuse dont l’analogie avec la parturition p
ellement. Un sentiment de pudeur déplacé lui avait fait supporter des
crises
atroces plutôt que de se soumettre à la visite d’
étique, en ce qu’elle exalte moins le sujet et le dispose moins à une
crise
favorable, a du moins pour effet de concentrer so
ons plus ou moins lucides que les sujets auraient eues dans l'état de
crise
imparfaite. Il est probable qu’on s’occupait d’
rit de ténèbres qui allumait son courroux, — on lui voyait calmer les
crises
du sujet, — ou bien les exalter ou bien les faire
'elle est possédée ; si quand, elle revient à l’état normal après une
crise
nerveuse, chacun de ceux qui l’entourent vient lu
daine, la chaleur s’y rétablit d’elle-même. Un instant je crus que la
crise
était passée. Mais je ne devais pas en être quitt
rreur de ce moment, et je résolus d’attendre stoïquement la fin de la
crise
. Cependant la crise se prolongeait d’une façon
je résolus d’attendre stoïquement la fin de la crise. Cependant la
crise
se prolongeait d’une façon menaçante. Une commoti
attues de la routine et des savants fossiles, semble, au milieu de la
crise
terrible d’où va sortir un nouveau monde social,
s fixée sans lui occasionner du malaise, signe toujours certain d’une
crise
. Cependant, qu’on lui parlât ou non, les crises n
toujours certain d’une crise. Cependant, qu’on lui parlât ou non, les
crises
n’en avaient pas moins lieu, à la différence près
lieu, à la différence près de l’intensité et de la durée. Toutes ces
crises
, avec ou sans délire, se ressemblaient presque. A
rises, avec ou sans délire, se ressemblaient presque. Au moment de la
crise
, les yeux se convulsaient ensemble et à la fois v
hommes suffisaient à peine à contenir la malade. Souvent encore, ces
crises
étaient ou précédées, ou annoncées par une douleu
oi-même de certains faits, à savoir s’il était vrai qu’elle entrât en
crise
si on venait à prononcer devant elle le nom de ma
hez elle plutôt une sorte d’impatience fébrile pouvant déterminer une
crise
r mais non pas immédiatement comme dans les autre
e long de la cour de Beauvallet. Voilà encore ce qui expliquerait les
crises
au prétendu nom de marchand. Mais dans tout cela,
tive, effrayer l’imagination de l’enfant à ce point de lui donner des
crises
au seul nom de religion. Voilà encore ce qui expl
crises au seul nom de religion. Voilà encore ce qui expliquerait les
crises
à ce sujet, comme aussi les brusqueries du père d
t les crises à ce sujet, comme aussi les brusqueries du père dans une
crise
, expliqueraient la répulsion de l’enfant à son ég
qu’on lui commandait de monter l’escalier conduisant chez lui. De là,
crise
, délire ; telle est l’histoire toute simple de la
fluide magnétique durant un quart d’heure et je continue malgré les -
crises
; après une demi-heure, cessation de la crise, neu
je continue malgré les -crises; après une demi-heure, cessation de la
crise
, neuf heures de sommeil. Jeudi 4, crise au réveil
e demi-heure, cessation de la crise, neuf heures de sommeil. Jeudi 4,
crise
au réveil, accès violents et fréquents dans la jo
: le soir, je la magnétise durant quelques minutes seulement, pas de
crises
, calme parfait, dix heures de sommeil. Vendiedi 5
crises, calme parfait, dix heures de sommeil. Vendiedi 5, absence de
crises
pen- dant la journée ; je la magnétise le soir
i avais fait bêcher une plate-bande de jardin. Le 6, une toute petite
crise
au réveil ; la journée est bonne, je lui fais bal
t de facultés qu’elle ne possède pas dans l’état ordinaire ; puis, la
crise
une fois terminée, elle n’en conserve aucun souve
onc qu’il n’a réussi qu’à éprouver une hallucination et peut-être une
crise
accompagnée de quelques éclairs de lucidité. Mais
reil. Et on supposant même que des personnes ne puissent se mettre en
crise
qu’à l’aide de certaines formalités qui frappen
musculaires, 29. Contracture de membres, 29. Convulsions, 225.
Crises
nerveuses, 29. Encéphalite, 225, 534. Entorse
n. Antécédents héréditaires : Mère très nerveuse, n'a pas de grande
crise
, mais éprouve pour un rien une angoisse avec im
suivit ses classes, quand brusquement elle fut prise de sa première
crise
le 11 novembre 1898. Elle avait passé plusieurs
s les bras de la voi- sine accourue. C'est le point de départ d'une
crise
terrible pendant laquelle cinq hommes étaient i
, elle crie et se débat et « toujours veut voir sa mère morte ». La
crise
dura de 6 heures à minuit, elle dormit bien ens
t la jambe avaient grossi démesurément et étaient tout noirs ». Les
crises
reviennent à chaque instant : ce sont des visio
main elle a la danse de St-Guy qui dure du mardi au vendredi et les
crises
réappa- raissent. La mère quitte la malade, le
quitte la malade, le 22 décembre tout s'arrête, il n'y a pas eu de
crises
depuis. On la mène à la campagne à Epernon ; dé
façon que sa mère fut appelée, elle arrive juste pour constater une
crise
horrible de vomissements et de diarrhée, flux sér
rde-robes sont devenues faciles et régulières depuis cette dernière
crise
d'anorexie, dès le moment où l'isolement à la Sal
107 titre de corollaire que la narcolepsie est surtout un sommeil à
crises
plus ou moins longues, mais jamais très longues
brantes survenant tous les mois ou tous les deux mois sous forme de
crises
: ces douleurs alternaient avec la sensation de l
es sensibilités spéciales sauf de la vue très affaiblie. , Pas de
crises
de douleurs viscérales. Rien d'intéressant à si
elle devint subitement bossue. Vers la même époque, apparition de
crises
de douleurs fulgurantes parcou- rant les membre
iques, ni visuels. L'application d'un appareil plâtré est suivie de
crises
de douleurs fulguran- tes extrêmement violentes
vénériens. A 15 ans, chancre proba- blement syphilitique. A 27 ans,
crises
de douleurs fulgurantes dans les membres et le
des membres inférieurs. Chute et dystrophie unguéale, Existence de
crises
clitoridiennes intenses-Pas de troubles de la sen
ènes acroparesthésiques dans les membres supérieurs. Diminution des
crises
clitoridiennes et des troubles vésicaux. Développ
te dou- leur reparut tout le long du jour, et depuis ce moment, les
crises
de doureurs fulgurantes se sont reproduites il
oduites il peu près tous les deux mois. L'apparition de la première
crise
avait été précédée de lassitude, de fatigue génér
is dans l'espace de quelques heures. Il y a quatre ans, après une
crise
nocturne de douleurs fulgurantes extrême- ment
our uriner. La menstruation est normale. La malade présente des
crises
clitoridiennes, survenant presque toutes les nu
rcissement, se montrent, quelquefois et coïncident avec le début de
crises
hémorrhoidaires : ces dernières existent depuis d
Quelques douleurs constrictives existent encore et revien- nent par
crises
. LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE TA
Il n'existe plus de troubles de la miction ou de la défécation. Les
crises
clitoridiennes ont disparu. Depuis six ans, elles
f le sens génésique entièrement disparu. e) Troubles viscéraux. -
Crises
de diarrhée. Déjà, à deux reprises, ictus laryn
rd connaissance, tombe et s'agite convulsivement. La durée de cette
crise
est très courte, le malade n'en con- serve aucu
d'un foetus mort et macéré (il y a deux ans), elle avait de terribles
crises
de tenesme rectal et vésical. Après ses couch
antécédents héréditaires bien accusés. Mariée à 15 ans,elle eut une
crise
nerveuse à 15 ans et demi à la suite d'une émot
une crise nerveuse à 15 ans et demi à la suite d'une émotion. Cette
crise
, comme les suivantes qu'elle a eues depuis, a c
a consisté en un évanouissementsubit.Il est arrivé parfois dans les
crises
suivantes qu'elle n'a pas repris ses sens pendant
pris ses sens pendant une journée en- tière, elle a eu en outre des
crises
de larmes et a souffert d'une insomnie continue
me absolu, mutisme qui à son tour a provoqué chez elle une nouvelle
crise
d'évanouissement. Quand elle s'est réveillée, e
vulsive, pas de perte de connaissance, pas de céphalal- gie, pas de
crises
de pleurs, de mauvaise humeur ni de colère. L'a
taxis fréquentes, règles abondantes). En 1898, apparition subite de
crises
gastriques : vomissements alimentai- res incoer
le tronc, mais sans éprouver de douleurs en ceinture. Parfois aussi
crises
gastriques. Pas d'autres douleurs viscérales.
ver mouillée par la sécrétion des glandes de Bartbolin ; elle a des
crises
clitoridien- nes. Elle a de tout temps été, dit
uleurs constrictives épigastriques. Douleurs fron- tales en casque.
Crises
gastriques. Paralysie double du posticus, avec co
dans la région lombaire, la région épigastrique, le front et la tète.
Crises
vési- cales, uréthrales et rectales.Crises gast
'en- gourdissement et de picotements. En 1870, retour des douleurs,
crises
aiguës aux changements de température. En 1875,
vations physiques et ennuis moraux. A 33 ans, apparition brusque de
crises
clitori- diennes. A 35 ans, premières douleurs
le avait alors trente-trois ans, apparurent d'une façon brusque des
crises
clitoridiennes très intenses. Ces crises revenaie
nt d'une façon brusque des crises clitoridiennes très intenses. Ces
crises
revenaient surtout au moment des règles, mais n
on de lassitude l'envahissait alors, rapidement dissipée. Comme ces
crises
se répétaient souvent et usaient ses forces, el
éussit, dit-elle, à les espacer de plus en plus. Deux ans après les
crises
clitoridiennes, apparaissent les premières douleu
Les céphalées devenaient plus fréquentes et plus violentes. Enfin des
crises
constrictives parcouraient les hypochondres et
temps en temps des douleurs, franchement fulgurantes, survenant par
crises
éloignées et moins violentes qu'autrefois. Il e
ore quelques douleurs en ceinture. Elle a eu ces temps derniers des
crises
douloureuses, rectales et vaginales, de grande in
lle-même il la pression d'un étau. Ces douleurs ne viennent pas par
crises
, elles sont continuelles et durent quinze jours.
u ; ils allaient cepen- dant en s'accentuant lorsque éclatèrent des
crises
douloureuses d'une intensité inouïe. Crises gas
lorsque éclatèrent des crises douloureuses d'une intensité inouïe.
Crises
gastriques, rectales, vésicales, douleurs fulgura
uelles, la malade fut emportée en deux jours. En raison même de ces
crises
douloureuses, il nous avait été impossible de la
, état vertigineux, sans chute, ni perte de connaissance. A 37 ans,
crises
gastriques, calmées par les lavages d'estomac. A
énible, analogue au mal de mer. ' A trente-sept ans, il a plusieurs
crises
de vomissements, se succédant il un mois d'inte
il continue à faire usage pendant douze ans, à cha- que retour des
crises
. Un an après, à trente-huit ans, apparaissent d
leurs constrictives du tronc font leur apparition. Dès le début des
crises
gastriques, le malade a commencé à faire usage de
paralysie du droit interne droit. A 48 ans, douleurs' en ceinture,
crises
gastriques. 49 ans, premiers troubles de la march
à type fulgurant, siégeant dans les pieds et les jambes, arrivant par
crises
. Ces douleurs n'étaient cependant jamais assez
même temps, s'installaient des douleurs gas- triques : une première
crise
dura trois jours. Une deuxième se montrait un an
syphilis. Alcoolisme probable. A 41 ans, douleurs rhumatismales et
crises
gastriques. A 54 ans, douleurs nettement ful- g
nstallaient des phénomènes gastriques, rappelant en tous points les
crises
gastriques tabéti- ques. Ces symptômes s'amendè
t des troubles des sphincters, incontinence puis rétention d'urine,
crises
doulou- reuses rectales avec constipation opini
ténacité remarquable,cède avec peine aux purgatifs drastiques et les
crises
rec- tales gardent leur caractère d'intensité r
n qu'il en fait, des douleurs fulgu- rantes : elles survenaient par
crises
, siégeaient dans les membres inférieurs, étaien
ulgurantes existent encore et gardent leur extrême violence. Pas de
crises
gastriques. Quelques érections se montrent le m
e tache ecchy- motique, survenue, dit le malade, après une violente
crise
de douleurs. Il n'existe pas de troubles trophi
ons, des boursouflures, dit le ma- lade, qui disparaissent après la
crise
ou persistent un certain temps. Les accès doulo
ent de quinze à vingt-quatre heures, presque sans interruption. Les
crises
, autrefois espacées de plusieurs semaines, revi
garde le malade depuis ses am- putations. Jamais il n'a éprouvé de
crises
viscéralgiques quelconques. , La sensibilité cu
de Thomas (obs. V) sont les suivants : la mère hystérique à grandes
crises
devint folle et mourut dans un asile ; un cousi
ommencent à pa- raître. Pas de convulsions, mais parfois la nuit,
crises
d'agitation avec plaintes et cris n'interrompan
pathie taléti- que et nous tenons pour une exception l'existence de
crises
douloureuses rachidiennes prodromiques (obs. I)
rit des malades, préoccupés par ailleurs de douleurs fulgurantes de
crises
viscérales, de l'impossibilité de la mar- che e
e M... en effet nous avons vu des douleurs vertébrales survenir par
crises
paroxystiques, précéder l'apparition des déviatio
les autres affections qui constituent la famille névropathique, Les
crises
phy- siologiques, les traumatismes, les émotion
es et matinaux, elle est sujette à des bouffées de chaleur et à des
crises
de sueur qui paraissent prédominer du côté droit.
bonne humeur qui caractérisent le tabéti- que dans l'intervalle des
crises
paroxystiques douloureuses, il escompte les jou
r une différence fondamentale entre les deux affections. Et, si les
crises
douloureuses du tabès jointes aux lésions du ra
availler. Le pied gauche se fatiguait aussi depuis l'apparition des
crises
et il pouvait à peine le bouger. Sa mémoire ava
s. Elle a marché à 15 mois et elle n'a jamais eu de convulsions, de
crises
de nerfs, de strabisme, de ptosis ou d'ophtalmo-
en colère. Elle crie alors et pleure longtemps. Elle n'a jamais de
crises
de nerfs. On ne découvre pas non plus de malfor
ngtemps la consultation externe pour de l'épi- lepsie essentielle à
crises
fréquentes (il a succombé ultérieurement à des ac
régulièrement réglée, mais peu abondamment. - Elle n'a jamais eu de
crises
nerveuses d'aucune espèce' ; de 18 à 24 ans, elle
nt mangé plusieurs fois fut pris quelques heures après d'une longue
crise
épileptique avec écume et resta longtemps très
dans l'enfance. Elle a toujours été nerveuse, mais n'a jamais eu de
crises
. Dès l'âge de 13 ans, elle a fait un mé- tier q
ère est maigre, sans aucune trace d'oedème, un peu nerveux ; pas de
crises
. » Le père donne les renseignements suivants :
oir des rapports avec elle. Sous l'influence de ces tribulations, les
crises
nerveuses auraient augmenté de fréquence et W...
r. » La pression simultanée, et assez énergique, produit aussitôt une
crise
convulsive ; 2° La pression est douloureuse de
absolue, car W... sentait qu'elle était toujours sous le coup de ses
crises
, et qu'elles éclateraient aussitôt que l'appareil
; avant, il n'y a rien de semblable. — La pression ne produit pas de
crise
con-vulsive, ni aucun des phénomènes de l'aura.
e. Il n'y a pas de douleurs dans l'intervalle des attaques. Avant les
crises
convulsives, cette région, est le point de départ
plusieurs fois, elle est deux, trois mois ou davantage sans avoir de
crises
, le sommeil est relativement calme et assez long.
aque. La compression ovarienne réussit très aisément à mettre fin aux
crises
convul-sives. — Nous n'avons pas découvert d'autr
série d'attaques ce matin à 8 heures et demie. Dans l'intervalle des
crises
, elle présente l'état suivant : La tête est dan
aques. Dans la soirée, nouvelle série qui finit à minuit après la 82e
crise
. 26 janv. — Ce matin, à 7 heures , on a trouvé
ion de bromure d'éthyle a été suivie d'un répit de 2 heures, puis les
crises
ont reparu. P.... assure qu'elle a eu hier, penda
ne heure. — Réapparition des attaques ce matin. Dans l'intervalle des
crises
con-vulsives, le corps décrit un arc de cercle; l
iformes1 la compression ovarienne arrêtait de suite l'évolution de la
crise
, effet qu'on n'observe pas non plus dans le cas d
traiter de tels accidents, est parfaitement autorisé à provoquer une
crise
convulsive en pressant sur la région hystérogène
e fait exception (p. 73). — D'autres fois, le sommeil qui succède aux
crises
convulsives se complique de somnambulisme naturel
s attaques de sommeil se présentent tantôt comme une complication des
crises
convulsives qu'elles prolongent, tantôt, au contr
t conscience. Les attaques de sommeil succédaient d'ordinaire à des
crises
convulsives; Y... n'était pas prévenue de leur ar
maladie aurait redoublé d'intensité et, dans la période de délire des
crises
convulsives, elle voyait le diable. « Il était gr
Juin-août. — D... n'a pas eu de nouvelles attaques de sommeil ni de
crises
convulsives. De temps en temps, elle est surexcit
ce qu'elle se rappelle seulement, c'est qu'elle pleurait ou riait par
crises
et sans motif. — Les règles, parues à f 11 an
ouveau vers 4 heures de l'après-midi. En raison de la périodicité des
crises
, on a administré, mais sans succès, du sulfate de
a en vain. Dans le cours de l'année, elle a eu très fréquemment des
crises
gastralgiques. Il est assez commun aussi d'observ
plaintes étouffées. A partir d'une heure du soir, hier, H... a eu des
crises
, offrant les symptômes suivants : les paupières é
le lit. Ces grands mouvements se répétaient 5 ou 6 fois de suite. Les
crises
étaient séparées par un répit d'environ 10 minute
Vintelligence n'a pas changé; en dehors des attaques de sommeil, des
crises
de rire nerveux, du délire de parole, H... est ac
re, de douleurs de tête, ont la vue troublée, refusent de parler. Des
crises
avortées, des rires inextinguibles, de plus en pl
qui n'ont jamais existé même de nom : des hystériques prédisent leurs
crises
et les ont naturellement à l'heure dite et les ob
feu. Peu à peu, ils tombent en extase, quelques-uns sont même pris de
crises
convulsives et poussent des cris prolongés : l'an
t, et les manifestations sont lourdes, le sentiment sauvage : quelque
crise
hystéro-épileptique termine généralement l'expéri
ir du mois de mai, jusqu'au jour de sa fuite, elle n'aurait eu aucune
crise
convulsive. — Elle n'aurait été réglée que 4 ou 5
rite d'amyle. L'application du compresseur retardait l'apparition des
crises
. Cette dernière observation, de même que les Ob
l'agraphie. M. IL ? qui est très instruit, a longuement analysé ses
crises
, et comme, pendant leur évolution, il jouit trè
res lésions qui diminuèrent notam- ment le mauvais pronostic et les
crises
douloureuses de cette funeste maladie. Ces lési
doit être en éveil, quand l'oppression et la douleur remplacent les
crises
d'angine de poi- trine. En général, ces lésions
uit en 24 heures) dans le tiers inférieur de la cuisse droite ; les
crises
douloureuses, duraient en moyenne de 24 à 36 he
s, duraient en moyenne de 24 à 36 heures. La plus violente de ces
crises
a eu une durée beaucoup plus longue. Elle est sur
nt. Le diagnostic de chorée franche s'imposait alors. La première
crise
dura quatre mois; elle cessa tout d'un coup, du j
p, du jour au lendemain. Après deux mois de rémission, une nouvelle
crise
semblable à la première survint brusquement; el
nt trois ans, cette jeune fille présenta une série ininterrompue de
crises
et de rémis- sions toujours approximativement é
insomnie, mais au fond des plus connexes. Le sommeil sous forme de
crise
est une rêverie absorbante qui supprime la perc
ix-sept ans, il entre dans une verrerie. A partir de ce moment, les
crises
deviennent de plus en plus fortes et de plus en
Conception. Pendant son séjour dans cet hôpital, il a de nouvelles
crises
. M. le De Poucel lui fait une trépanation de la
é à l'infirmerie le 14 mars 1899, ce même jour à il heures il a une
crise
qui n'a pas duré cinq minutes ; à 1 h. Si une aut
uré que deux minutes. La nuit a été tranquille. Depuis ce jour, les
crises
se sont succédé à des intervalles plus ou moins
rveau est en contact avec les téguments. Depuis quelques jours, ses
crises
s'accompagnent de délire mystique; -il fait le
s donner de toxalbumines et leucomaines. L'auteur à vu toujours les
crises
d'épilepsie diminuer; il cite le cas d'un garço
de sa langue couverte de morsures, n'a pu prendre que du lait, les
crises
s'amendèrent; quand il était fatigué du régime,
uvements passifs sont sans douleurs, mais les actifs provoquent les
crises
. La première fois l'enfant se couche sur le dos.
; une semaine l'état de l'enfant fut satisfaisant, mais après, les
crises
commencèrent, on donnait de nouveau la morphine
servations intéressantes qui démon- trent amplement l'influence des
crises
épileptiques sur la nature religieuse des hallu
* en effet, les hallucinations paraissent presque aussitôt après la
crise
épilep- tique ; elles se prolongent pendant un
jours. Le délire religieux tend à disparaître en même temps que les
crises
épileptiques, fait qui confirme les rapports ét
épileptiques, fait qui confirme les rapports étroits unissant les
crises
aux hallucinations religieuses. (Annules médico-p
urs après, elle pré- senta les premiers stigmates hystériques : les
crises
convulsives. Du phénomène des orteils dans l'ép
nienne où ce phénomène avait été constaté immédiatement après la
crise
, du côté qui était le siège dse mouvements convul
était le siège dse mouvements convulsifs, tan- dis qu'en dehors des
crises
, le réflexe cutané plantaire était normal. J'ai
tinence de l'urine et des matières fécales, j'ai noté pendant une
crise
, outre une abolition de réflexe anal, le phénomèn
pas de modification; un quart d'heure environ après le début de la
crise
, la malade ayant repris connaissance, le réflexe
enu normal. J'ai observé aussi le signe en question au moment de la
crise
pendant un espace de temps d'une durée plus ou
s d'une durée plus ou moins longue, chez les individus sujets à des
crises
d'épilepsie dite idiopathique, et chez lesquels
hez lesquels le réflexe cutané plantaire était normal en dehors des
crises
. Le signe des orteils dans les cas de ce genre
t défaut. Il en résulte que la constatation de ce signe pendant une
crise
chez un sujet dont le réflexe cutané plantaire
un sujet dont le réflexe cutané plantaire est normal en dehors des
crises
, permet d'écarter l'hypothèse d'attaque hystéri
as en cause car le phénomène des orteils peut faire défaut dans les
crises
épileptiques. - Traitement chirurgical de la mé
mais il apprend maintenant que depuis trois jour=, quelques légères
crises
douloureuses sont survenues; mais elles le sont
ique avéré, subit il y a six mois la résection du sympathique ; les
crises
cessèrent, puis reparurent; à l'heure actuelle,
e problème est très probablement inso- luble. Délire toxique avec
crises
épileplil'om1Cs causées par le sulfate . de cin
igrammes de sulfate de quinine ; quelques heures après elle eut une
crise
épileptiforme, suivie d'hallucina- tions visuel
sur le système nerveux. M. Joire rapporte plusieurs observations de
crises
douloureuses, rebelles aux diverses médications
es tendances pathologiques, de la fréquence et de l'in- tensité des
crises
d'énervement. Comparant l'énervement avec l'alc
iste, M. Chartier signale comme particulièrement significatives les
crises
de palpita- tions nocturnes et les pertes sémin
peut affirmer qu'après une observation de cinq années passées sans
crise
avec la diminution progressive de tout traiteme
onie grippale a présenté des impulsions irrésistibles au chant, des
crises
convulsives, du délire, etc., et qu'il a guérie
nsabilité de son client et a prétendu que le meurtre était dû à une
crise
épileptifo,ine. Le jury a rendu un verdict affirm
être considéré comme guéri de son accès de confusion mentale. La
crise
, qui vient de se terminer, n'a laissé aucune trac
d'abord qu'une idée extrêmement confuse des particularités de la
crise
qu'il venait de traverser; mais ses souvenirs se
ve dans la majorité des cas, notre malade est sorti de cette longue
crise
complètement guéri, sans affaiblissement intell
némie pour laquelle on l'a toujours traitée. Elle avait parfois des
crises
très violentes de colère, avec tremblements, mais
emportée et anémique, présente, à chaque émotion un peu forte, une
crise
de manie aiguë franche. Le suicide du père aprè
mentaux, il y a quinze ans, en fait une dégénérée; il n'y a pas de
crises
, ni d'autres stigmates d'hystérie. Nous sommes
rimées brusquement et leur suppression chaque fois coïncide avec la
crise
maniaque. De plus, une anémique qui n'a pas ses
es évidents de tabes : 1° signe de Bomberg; 2° signe de Wesphal; 3°
crises
gas- triques ; 4° douleurs fulgurantes; 5° engo
es, céphalalgies, cauchemars, comme des équivalents possibles de la
crise
comitiale. XXX. Un cas de spasme avec contracti
, s'y est noyé ; on suppose que le malheureux aura été pris d'une
crise
d'épilepsie. (Petit Parisien, 2 sept.) - La hai
trente-deux ans d'une affection cardiaque. - Grand'mère maternelle,
crises
net- veuses, congestion cérébrale. Pas d'autres
aucun renseignement. Grand'mère mater- nelle encore vivante, a des
crises
convulsives qui durent quelque- fois deux heure
échants l'effraie au point de déterminer chez l'enfant une violente
crise
nerveuse qui dura de huit heures du matm à dix
de l'épilepsie ne consiste pas seulement à empê- cher le retour des
crises
mais encore à porter remède aux causes et condi
ais encore à porter remède aux causes et conditions qui amènent ces
crises
. Il est probable que l'auto-intoxication joue u
s que c'est une faute de recher- cher uniquement la disparition des
crises
, car l'épilepsie aussi .des aspects alternative
atteinte. Il souffrait en effet d'une affection hépa- tique et une
crise
devrait l'enlever, en quelques'jours, à Aulus, où
'on allait le guillotiner. Sa mère, décédée encore jeune, avait des
crises
convulsives de nature probablement hystérique. Un
interrompre son tra- vail de mécanicien au chemin de fer à cause de
crises
gastriques intenses, périodiques etde vomisseme
et le mit au régime du lait. L'af- fection était plus sérieuse. Les
crises
gastriques « si atroces, au dire du malade, qu'
se trouve et ne se rappelle pas sa dernière 476 RECUEIL DE FAITS.
crise
d'agitation. Les idées de persécution sont aussi
roitement. i février 1898. Nous constatons à la visite une violente
crise
d'agitation, le malade s'est déshabillé complèt
terre, lui arracher les yeux, lui couper les jambes. Pendant ces
crises
qui durent une ou deux heures, le malade est très
og. Ccrztrv(Ll., VII, 1898.) Il s'agit d'un individu présentant des
crises
d'épilepsie et de l'alcoolisme. Des accès verti
goisse; par W. DE BFCIITEREW. (Nellrol. Centralbl., XVU, 1898.) Les
crises
anxieuses ne sont pas absolument rares dans le co
e proprement dites diminuent nettement de fréquence, tandis que les
crises
anxieuses se multiplient. D'ordinaire, les accè
a, 313. mens- truels périodiques, par 'l'rénel, 327. Toxique avec
crises
épi- leptiformes causées par le sulfate de ci
té de biologie, année 1866. permanent; et ainsi se produiraient ces
crises
d'élancements douloureux qui, suivant une loi phy
rcice des mouvements volontaires. On observe, de plus, des espèces de
crises
, de paroxysmes, éclatant sponta-nément, sans caus
toujours conservée dans tous ses modes. Les douleurs en ceinture, les
crises
fulgurantes, qui jouent un rôle si prédominant
mprimée à ses membres. — Elle y éprouve de temps à autre de violentes
crises
de douleurs fulgurantes. On constate enfin l'exis
intimement par un lien non reconnu jusqu'ici. Je fais allusion à des
crises
gastriques ou gastralgiques, comme vous voudrez l
ment danslaphaseinitialedecetteaffection.il est donc possible que les
crises
gastriques, coïncidant ou alternant avec les doul
le véritable caractère est alors trop souvent méconnu (2). Ces mêmes
crises
gastriques se rencontrent, ainsi que nous l'avons
Études sur quelques points de l'ataxie locomotrice. Paris, 1868. Des
crises
gastriques, p. 56. — Leçons sur les maladies du s
t de 3 à 4 décigrammes d'urée. Certains jours, pourtant, au milieu de
crises
douloureuses, la malade émettait en quelques heur
aura hysterica tels qu'ils se produisent d'eux-mêmes à l'approche des
crises
, et cette sensation provo-quée, les malades la re
erkers dans les Camp-meetings méthodistes et qui offraient dans leurs
crises
les attitudes les plus ^*ayante|!) ^Voy. Fig. 19,
ment sur les événements qui pa-raissent avoir déterminé les premières
crises
: elle adresse des invectives furieuses à des per
me également atteinte d'une contracture limitée à un seul membre. Les
crises
hystéri-ques proprement dites avaient depuis long
modifié, d'une façon appré-ciable, la fréquence et les caractères des
crises
convulsives. Au moment de son entrée à la Salpê
s convulsives dans lesquelles l'hystérie prédomine.Durant la deuxième
crise
, les personnes qui maintenaient la malade, de peu
ination. — Opinions des auteurs. — Hystérie épileptiforme, hystérie à
crises
mixtes. — Variétés de Phystéro-épilepsie : hystér
crises mixtes. — Variétés de Phystéro-épilepsie : hystéro-épilepsie à
crises
distinctes : — hystéro-épilep-sie à crises combin
psie : hystéro-épilepsie à crises distinctes : — hystéro-épilep-sie à
crises
combinées ou attaques-accès.— Différences et anal
ts : c'est ce que M. Landouzy a proposé d'appeler hystéro-épilepsie à
crises
distinctes. Eh bien, Messieurs, ce serait là le c
pilepsie sont coévales ; elles se sont développées en même temps. Les
crises
, ici,ne demeu-rent pas distinctes; elles ne l'ont
sjointes. On a encore donné à cet état le nom d'hystéro-épilepsie à
crises
combinées. Dans le jargon depuis longtemps usité,
epuis longtemps usité, dans le service spécial de la Salpêtrière, les
crises
sont en pareil cas désignées sous le nom à"1 atta
attaques-accès. IV. V a-t-il véritablement de Yépilepsie dans les
crises
mixtes? Telle est la question que nous devons mai
ffet, il convient de prendre la description de l'hystéro-épi-lepsie à
crises
mixtes consentie par les auteurs et de l'examiner
aussi est-il parfai-tement exact de direquTTesTiystéro-épileptiques à
crises
mixtes puissent, lors du développement d'un accès
ne durée de qua-rante-cinq jours. Chez notre malade Co..., dont les
crises
ont un cachet épi-leptiforme, si prédominant et s
des de notre service, atteinte depuis longtemps d'hystéro-épilepsie à
crises
mixtes (Hysteria major), un état pathologique rar
par laquelle elle se manifeste,s'exalte spontanément à l'approche des
crises
. En tout temps, on l'exas-père par la pression. C
mez mieux, des poses plastiques. La période du délire consécutif à la
crise
si prononcée chez quelques sujets, est, au contra
subordonnée, au même titre que les pa-ralysies,les contractures, les
crises
eonvulsives elles-mêmes. Je ferai remarquer, en
artenant à la série hysté-rique ordinaire. Je relèverai encore que la
crise
, à la suite de laquelle la chorée s'est produite,
ervée chez notre malade se rattache à l'ovarie, au même titre que les
crises
convulsives ordinaires et qu'elle doit prendre ra
taque, àun moment donné, chez une hystérique, peutjouer le rôle d'une
crise
favorable et provoquer la brusque 1. Debove etL
t à l'époque d'une grande marée nerveuse, en étatdemal, ou sort d'une
crise
. M. Charcot a présenté à ses auditeurs et inter
connaissent deux espèces d'hystéro épilep-sie: d'hystéro-épilepsie ci
crises
distinctes, dans laquelle les symptômes de l'hyst
s de l'hystérie et de l'épilepsie se manifestent séparé-ment dans des
crises
qui ne se confondent jamais et qui sont tantôt de
ques d'hystérie, tantôt des accès d'épilepsie ; Y hystéro-épilepsie à
crises
mixtes dans laquelle les signes de l'hystérie et
signes de l'hystérie et de l'épilepsie apparaîtraient mélangés ; ces
crises
mixtes portent depuis longtemps parmi les employé
onde forme d'hystéro-épilepsie, c'est-à-dire de l'hystéro-épilepsie à
crises
mixtes. M. Charcot défend depuis longtemps l'opin
end depuis longtemps l'opinion qui ne voit dans l'hysléro-épilepsie à
crises
mixtes, que le degré le plus intense de l'hystéri
on méthodique et régulière. 1. Compte rendu par P. Richer. 2. Les
crises
convulsives de l'hystérie s'appellent attaques. L
de l'hystérie s'appellent attaques. Le mot accès est réservé pour les
crises
épileptiques. Quelle est l'origine de cette nomen
fier, puis les larmes couler en abondance et constituer une véritable
crise
de sanglots, dans laquelle les malades recouvrent
ur le trajetdu nerf médian. Si l'on insiste, il s'ensuit une sorte de
crise
nerveuse qui, plusieurs fois, a amené une perte d
ques, à savoir : hémianesthésie sen-sorielle et sensitive, ovaralgie,
crises
convulsives caractéristi-ques, troubles particuli
ination. — Opinions des auteurs. — Hystérie épileptiforme, hystérie à
crises
mixtes. — Variétés de l'hystéro-épilepsie : hysté
rises mixtes. — Variétés de l'hystéro-épilepsie : hystéro-épilepsie à
crises
distinctes : — hystéro-épilep-sie à crises combin
psie : hystéro-épilepsie à crises distinctes : — hystéro-épilep-sie à
crises
combinées ou attaques-accès.— Différences et anal
e les C. continus et les C. inter-rompus, 39,44. (V. Farabisation.)
Crises
gastriques, 261. D Danse cle Saint-Guy, 459.
Hystéro-épilepsie, 332, 367. — Si-gnification de ce mot, 368 ; — à
crises
distinctes, 371. — Variétés de 1' —, 370. — Natur
Lésions des capsules surrénales, 127. —Altérations des urines, 129. —
Crises
gastriques, 261. — partielles : amyotrophie, 63
a-ques apoplectiformes, 249. — Pé-riodes, 257. — Rémissions, 259, —
Crises
gastriques, 261. — Mala-dies intercurrentes, 263.
ons de l'enfance, pas de migraines, tempérament assez nerveux, sans
crises
; physionomie régulière, cheveux châ- lain fonc
Les symptômes tabétiques sont peu accentués en dehors de cela et de
crises
gastriques ayant-cuïncidé avec l'arthropathie et
oses trop élevées : les symptômes dangereux consis- tent surtout en
crises
de sténocardie, avec rapidité et faiblesse du p
-neuf ans jusqu'au moment où l'auteur l'examina, il n'eut que trois
crises
convulsives, provoquées par de légers excès alcoo
environ, après un nouvel excès alcoolique, le malade fut pris d'une
crise
convulsive grave et demeura inconscient pendant
-six heures; le len- 70 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. demain soir, deux
crises
convulsives; le troisième jour, onze crises : l
IQUE. demain soir, deux crises convulsives; le troisième jour, onze
crises
: le quatrième jour, quinze. Toutes ces crises
troisième jour, onze crises : le quatrième jour, quinze. Toutes ces
crises
furent violentes, et durant leurs intervalles,
ons : celles-ci, toutefois, sont beaucoup plus faibles que dans les
crises
anlé-opératoires. La réapparition des convulsio
nseigne que, lors même que la cause épileptogène n'existe plus, les
crises
peuvent réparai Ire sous l'influence d'excitati
tion, celles-ci pouvant trop aisément provoquer la réapparition des
crises
convulsives. R. DE ! \lUSGRAVE Clay. XVII. UN
ment et à peu près complètement la parole et le mouvement; mais les
crises
spasmodiques subsistent environ deux fois par s
isant et une semaine entière se passa sans attaque épileptique. Les
crises
reparurent bientôt, mais moins fréquentes et mo
éphalalgie, surlout nocturne se manifesta de nouveau. Peu à peu les
crises
d'épilepsie reprirent leur fréquence ancienne.
blation totale. Trois heures après l'opé- ration, le malade eut une
crise
de convulsions généralisées. Fermée par les pro
alade est de nouveau examiné onze mois après l'opération : il a des
crises
convulsives à peu près une fois par mois ; elles
ns, ou 7 gr. 20. Elle fut alors prise d'une SOCIÉTÉS SAVANTES. 79
crise
d'excitation d'une intensité extrême ; il fallait
airement employée d'obsession ou d'impulsion consciente. Pendant la
crise
obsédante le malade n'a pas toute sa conscience
sont entamés. Ainsi, dans le cas particulier, X..., au cours de la
crise
obsédante, n'avait certainement pas toute sa co
procuré une grande satisfaction. Quelques jours plus lard, quand la
crise
a été terminée, alors, seulement, il est revenu
sur le trajet des nerfs maxillaires inférieurs. Enfin au moment des
crises
névralgiques, Merc... a parfois des ver- tiges
rge, les signes d'acidité stomacale étaient dues probablement à des
crises
pharyngées et gastriques. On constatait en outr
rapidité de la marche de la maladie, sa terminaison funeste par des
crises
con- vulsives plaident contre l'ataxie en faveu
i rendrait cette hypothèse fort admissible, c'est que, depuis cette
crise
, malgré ses souffrances et ses hallucinations p
n et l'absence d'activité spontanée, quelquefois entrecoupé par des
crises
d'exci- tation, rappelle le complexus symptomat
ar je vais m'en servir contre vous. Et il ajouta : Je sens que la
crise
va venir, je ne vais plus être maître de moi, att
. En ce moment je suis très calme, mais je sens parfaitement qu'une
crise
est prochaine. J'ai déjà été enfermé deux fois
t. Durant le trajet, le malheureux fut pris en effet d'une terrible
crise
et les agents qui l'accompagnaient eurent grand
pas la première fois que Mme Ythier est victime de dange- . reuses
crises
cérébrales, il est probable que l'on se trouvera
tion générale. RECUEIL DE FAITS. INSTABILITE MENTALE, ALCOOLISME,
CRISES
HYSTÉRIFORMES, GUÉRISON; Par MM. BOURNEVILLE
s accès de colère. Céphalalgies, vanité exagérée. Excès de boisson.
Crises
hystériformes fré- quentes. - Description du ma
à treize ans. - Traitement mé- dico-pédctgogique. - Disparition des
crises
et de l'irritabilité ne ? veuse. - Amélioration
père refuse, il se sauve et va en louer une. En février, première
crise
nerveuse : l'enfant était en train de déjeuner,
pleuré abondamment en reve- nant à lui. Trois jours après, deuxième
crise
, même aspect,'on venait de lui reprocher sa mau
pect,'on venait de lui reprocher sa mauvaise tenue à table. Depuis,
crises
fréquentes, sans perte de connaissance, ce sont
ades. - Volonté active et énergique; quand on veut la contrecarrer,
crises
de colère. - Aime la société. - Tendance à l'on
e à l'Institut médico-péda- gogique, Camille C... a eu une violente
crise
de colère accompagnée de mouvements convulsifs.
e petits camarades plus jeunes que lui. A eu cepen- dant une petite
crise
de colère le 17, parce qu'on ne voulait pas lui
ections d'une solution de sublimé. - Le mois de juin a été bon. Une
crise
de colère le 15, qui n'a pas duré cinq minutes.
'irrita- bilité croissante du caractère, les accès de colère et les
crises
nerveuses nous paraissent devoir être rattachés
depuis quatre mois. Depuis six mois l'aménorrhée est com- plète. La
crise
actuelle a débuté par des actes bizarres, de l'in
égion antérieure droite de la tête et répondait : « Oui. » Après la
crise
, les muscles du côté gauche de la face demeurai
raire adopté le diagnostic d'embolie infectieuse. Le lendemain, les
crises
convulsives avaient' disparu, mais les muscles
était halluciné ; la médication bromurée avait rendu plus rares les
crises
épileptiques : mais le malade était demeuré irr
que superficiels. La mort survint au bout de deux mois après deux
crises
d'affaiblissement de la respiration. Tel est le r
t de la malade resle stationnaire, puis elle est prise de plusieurs
crises
épileptiformes, et meurt dans le coma qui succè
e optique, surtout l'hémianopsie double passagère (Oppenheim); 6°
crises
épilepliformes, motrices ou sensorielles, en l'ab
ux fois par semaine, puis jusqu'à quatre ou cinq fois par jour, des
crises
bizarres, précédées d'une aura (qui se manifest
t l'accès et devient, au dire de sa femme. « étrange et jaune ». La
crise
ne dure jamais plus d'une minute, souvent moins
e répond raisonnablement à une question posée pendant l'attaque. La
crise
est suivie d'une légère confusion dans les idées;
érébrale limitée et circonscrite. M. Zucarelli leur donne le nom de
crises
d'épilepsie de nature érotique et carorc- térls
trophie des muscles et des attaches osseuses, et elle se double des
crises
choréiformes, athétoides, réflexes, avec troubl
ppartenant au type sensitif pur de Brissaud : douleurs lancinantes,
crises
gastriques, troubles génito-urinaires, troubles d
n syringomyélique plus ou moins complète. Paralysie des sphincters,
crises
pseudo-angineuses, léger nystagmus. Mort par br
de suicide et impulsions. Cette femme était en outre sujette à des
crises
convulsives épileptiformes et avait subi un arr
e affection mentale ne peut réellement gué- rir qu'à la suite d'une
crise
, il leur arrive assez souvent devoir une amélio
un à deux ans, et dans la forme tabétique de, deux à trois ans. Les
crises
congestives (attaques épileptiformes géné- rale
colie avec hallucinations et ayant présenté à diverses reprises des
crises
d'excitation, dont les der- nières (depuis avri
ecchymotiques, lesquelles ne sont jamais apparues en dehors de ces
crises
. Ces plaques étaient de nombre, de dimensions e
illeurs également inadmissible la coïnci- dence invariable avec les
crises
d'excitation. Il ne reste donc à invoquer comme
ntérieure tuméfiée. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 365 sphincters,
crises
pseudo-angineuses, léger nystagmus. Mort par br
éduisait progressi- vement puis tout disparaissait. En dehors des
crises
, dans le centre de la surface où se manifes- ta
les symptômes ne se sont guère modifiés. A une certaine période les
crises
se répétaient au nombre de cinq ou six dans une
ment presque immédiat. Du reste, le malade n'a jamais présenté de
crises
étant assis ou couché; pas plus, du reste, que
eumonie à la fin de la BIBLIOGRAPHIE. %tJ maladie au moment de la
crise
. Ce délire est caractérisé par les hallucinatio
te époque (1888). Cardiaque et atteinte, depuis l'âge de 14 ans, de
crises
épileptiques dont la fréquence avait augmenté p
; il n'a jamais eu la sensation de doigt mort, il n'a jamais eu de
crises
paroxystiques, le malade insiste sur ce point.
re, tumeur, névrite, sclérose en plaques, pouls lent permanent avec
crises
encéphaliques, sclérodermie, néphrites, hémoglo
extrémités. Elle n'est pas un syndrome de Raynaud : il n'y a pas de
crises
doulou- reuses, les douleurs sont continues,dur
gues Wolf a écrit des centaines de chansons dans le cours de quatre
crises
d'excitations, pendant les intervalles des- que
e n'en connais, pour ma part, aucune qui soit représentée en pleine
crise
, et je ne crois pas qu'on en ait signalé jusqu'à
ont rencontré la première représentation satisfaisante de la grande
crise
hystérique. Le gérant : P. Bouchez Imp. J.
localisées un côté du corps. . A 29 ans -- au mois de mai 1872 les
crises
de céphalée deviennent beau- coup plus violente
eur se localise nettement au côté droit de la tête. Au moment de la
crise
, et pendant quelques instants, il sen- tait com
consulter à l'infirmerie. Il se plaint tou- jours de vertiges et de
crises
de céphalée très intenses. Il présente, en outre,
u être assez souvent libéré. C'est dès les premières heures de la
crise
que X... est pris d'une véritable fureur de cra
de créer. ' - Si certaines mêmes idées se maintiennent au cours des
crises
et réapparais- sent dans chacune d'elles, s'il
est manifeste que tout un ensemble de disposi- (1) Au moment de ses
crises
, le malade, trop porté à gaspiller quoi que ce so
avement cette qualité aux autres dont il n'a jamais manqué, dans sa
crise
, d'orner sa signature... De plus en plus enfoncé
roquis que M. X... ébauche et dispense autour de lui, aux jours des
crises
, dire encore comment, naguère, rencontrant dans
. Toutefois, partout et toujours, la préoccupation dominante de ses
crises
, ou tout au moins la plus stable, demeure celle
actuellement 66 ans. Interné, une pre- mière fois en 1882, pour une
crise
de lypémanie suicidique, il fut libéré, comme g
e 1883. Réintégré le 21 octobre 1897, il se signalait alors par une
crise
de mégalomélancolie anxieuse, se prétendant le
une façon de fresque dont notre malade (Pl. XXX), actuelle- ment en
crise
,a décoré l'une des murailles de sa cour. Elle a u
cou à l'aide d'un rasoir. ' Comme on le voit, jusqu'à ce moment les
crises
d'exaltation avaient pris chez M. Y... un carac
10 juin 1904 à 6 heures de l'après-midi ; la malade eut une sévère
crise
de frissons qui dura une heure et demie. Alors
pileptique. La dernière fois il descendait d'une échelle lorsque la
crise
le prit. Il tomba sur le sol et se fit des cont
t des contusions sérieuses. Il dit que deux jours avant que vienne la
crise
il a un « serrement » dans sa voix. DL : h1 P
servée,elle commença le 6 juillet 1906 à 6 heures du matin, par une
crise
de frissons qui dura jusqu'à 8 heures. Elle e
e difficile que d'élucider les histoires d'aliénation mentale ou de
crises
convulsives dans une famille. Néanmoins il est in
délire; son frère, James, encore tout jeune, à déjà eu beaucoup de
crises
épileptiques. Une histoire similaire d'épilepsie
tations, étouffements, angoisse précor- diale, bouffées de chaleur,
crise
de sueur et de diarrhée. Ils ont une activité i
et lorsque, en même temps, les troubles psychiques surviennent par
crises
correspondant aux poussées basedowiennes, on doit
nt, mauvaise humeur, impossibilité de rester en place, parfois- des
crises
de larmes et même des crises de nerfs. L'hype
ilité de rester en place, parfois- des crises de larmes et même des
crises
de nerfs. L'hyperthyroïdie cardio-bulbaire est
mbaire qui est négative. Le facies est plus coloré, plus animé. Les
crises
de sueurs sont moindres. Le 13. - L'amélioratio
l de la Conception où il demeure 4 ans, durant lesquels il a 3 ou 4
crises
de douleurs dans les han- ches, et aussi dans l
lui met des pointes de feu, on lui donne du salycilate de soude. La
crise
passée, il con- serve une raideur de plus en pl
ire à 15 ans. A eu 7 enfants. En 1890 lors du premier accouchement,
crises
éclamptiqnes. Eu mai 1901 première attaque épilep
t du bras et de la jambe gauches. Morsure de la langue. Durée de la
crise
: un quart d'heure. Ces attaques se renouvelèrent
is sans localisation spéciale des convulsions. Depuis la première
crise
, la malade fut sujette aux maux de tête, surtout
ur Mme G... appelle son infirmière et lui dit qu'elle sent venir la
crise
. Les convulsions débutent au bras et à la jambe g
se croit en voiture. Délire, prétend qu'on veut lui faire du mal ;
crises
d'angoisse. Dès 1906 : réflexes tendineux exagé
altérée d'abord. Cela parlaiten faveurd'un siège cortical. Mais les
crises
épileptiformes n'eurent pas un caractère Jacksoni
es réflexes pupillaires étaient normaux. En août J905,apparition de
crises
épileptiformes, irrégulières, 12 au total jusqu
i lui était arrivé. En raison des habitudes éthy- liques de B ? ces
crises
furent considérées comme épilepsie alcoolique ; c
idéré comme épileptique par alcoolisme.Pendant uneannée environ les
crises
en furent en somme la seule manifestation. Après,
ca- sionna peu de symptômes. - Faut-il attribuer la précocité des
crises
épilepliformes qui n'eurent au- cun caraclère j
le liée à sa constitution intime, qu'il faut chercher l'origine des
crises
convulsives ? Entre le calme le' plus complet et
prises de nausées ou de frissons ou sont simplement en proie à une
crise
de larmes, rien qu'en se remémorant une situati
e en est parfois admirablement tracée. Les pleurs consti- tuent une
crise
de larmes en puissance. De la faiblesse musculair
cauchemars. Pierre reste six mois dans cet état, puis subitement la
crise
s'aggrave. C'est alors le tableau de l'inertie
t reprendre son travail,ayant conservé la mémoire de cette première
crise
, qui ne laissa pas, chez lui, de traces apparente
s manger que du pain et en très petite quantité. C'est une nouvelle
crise
qui commence. r Un matin, en effet, Pierre rejo
il injurie ses parents ; quelquefois même il menace de frapper. Ces
crises
d'excitation durent environ une heure ; un état d
nt de troubles de -l'idéation, mais au cours de ses deux .premières
crises
, Pierre a présenté, comme on l'a vu, des idées dé
pagnées d'hallucinations visuelles et d'impulsions violentes. Les
crises
d'agitation étaient suivies de périodes de stupeu
son tour et eut une roséole. En octobre 1906, elle est prise d'une
crise
de céphalée vive avec vomisse- ments, hyperther
l'hôpital Trousseau pour des convulsions épilep- tiformes. Après la
crise
, on constate entre autres phénomènes de l'aboliti
rillaires. Les troubles intellectuels, sauf immédiatement après les
crises
convulsives, sont réduits au minimum. 1 L'enf
ons- nous, jamais été rencontrée. Le 7 juillet, l'enfant fait une
crise
convulsive à type jacksonnien, puis sem- ble se
idement. Rentrée à la Fondation, elle eut, le 25 août, une nouvelle
crise
convulsive ; pendant 48 heures, les phénomènes
s phénomènes s'amendèrent, mais bientôt reprirent, et à la suite de
crises
plus violentes que les précédentes, l'enfant mour
ils sont typiquement hystériques, et ils finissent toujours par une
crise
de larmes. Début de l'affection. - En juin 1905
ut lieu à l'hôpital où j'avais isolé la malade qui pré- sentait des
crises
convulsives terribles, et des gastralgies très fo
rois mois (mai 1906), la plaque n'était pas encore guérie, mais les
crises
convulsives avaient complètement disparu et la je
prise de douleurs à la plante du pied droit, et elle tombe dans une
crise
convulsive. Le père, avisé par moi, m'appelle t
illée, et pratiqué immédiatement est complètement négatif. Après la
crise
convulsive les douleurs avaient complètement di
uleur rouge foncé ; depuis deux mois la jeune fille n'avait plus de
crises
convul- sives ; elle travaillait, son état géné
oid, la pâleur, l'insensibilité du cadavre. Ce sujet présentait des
crises
spontanées de main cadavérique de la durée d'un
pontanées de main cadavérique de la durée d'une heure. Pourquoi ces
crises
d'ischémie locale qui pouvaient être reproduite
A partir de cette époque jusqu'à ce jour, M"°F... a eu souvent des
crises
convulsives de nature hystérique. La paralysie
au nos soins à cette jeune fille, qui était atteinte à ce moment de
crises
convulsives hystériques avec hémianesthésie du
dents de famille : Père bien portant ; mère nerveuse, a souvent des
crises
convulsives s'accompagnant de perte de connaiss
t ans. Anté- cédents personnels : Rougeole à six ans ; à douze ans,
crises
ner- veuses s'accompagnant parfois de perte de
ner- veuses s'accompagnant parfois de perte de connaissance; ces
crises
persistèrent pendant trois à quatre mois environ,
de hauteur. Jamais il ne lui est arrivé d'accident. Au moment de sa
crise
, on le voit courir précipitamment sur les échaf
gissait d'une hémia- nesthésie d'origine corticale. G. DENY. III.
CRISES
Ü>ILEPTIFORMES provoquées par une otite moyenn
, sans antécédents héréditaires, qui depuis un an était sujet a des
crises
épileptiques qu'on ne savait à quoi attribuer.
ompression des filets nerveux, qu'il faut attribuer dans ce cas les
crises
épileptiques. Il s'agirait en un mot d'une épil
et est la consé- quence évidente de l'ébranlement nerveux dont la
crise
convulsive était la manifestation. Voici mainte
RTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 187 sont respectés, lorsque, dans une
crise
, le malade se mord accidentellement et légèreme
depuis deux ans, qui n'a jamais pré- senté la moindre tendance aux
crises
nerveuses et chez laquelle, même maintenant, l'
a de temps en temps, aux époques catamé- niales principalement, des
crises
de douleurs épigastriques intolérables, avec fl
il s'agit là évidemment z d'une névrose du plexus solaire, car ces
crises
durent depuis. près d'une trentaine d'années sa
longue qu'on ne l'observe d'habitude. Malgré l'absence complète de
crises
nerveuses et de stigmates hystériques, malgré l
maternels morts de phthisie. Chute pendant la grossesse. - Première
crise
procursive à trois ans. Pleurésie. - Mort. Au
vulsions. Pen- dant plusieurs années il courait en hurlant à chaque
crise
et se levait si l'accès le prenait lorsqu'il ét
qu'elle veut s'en retourner. 12 mai. Elle a eu ce matin une petite
crise
; elle s'est déshabillée, s'est mise au lit, pu
r, rentre au quartier, monte les escaliers jusqu'au grenier et la
crise
se termine. Une lacune existe ici dans mes notes.
hthisique, un peu nerveuse, vive, pas de migraines ; elle avait des
crises
douloureuses survenant subitement dans une orei
avait pu indiquer son adresse. - On s'apercevait de l'arrivée de la
crise
procursive parce que ses yeux changeaient, deve
es accès. Il se livre quelquefois à des actes de violence après les
crises
. M 0' 4.1 o f 5 S g C a R m
stance des vertiges. Jamais Alép... n'a prévenu de l'arrivée de ses
crises
. On a remarqué qu'il devenait sombre aux approc
contraire au but poursuivi. Chez un certain nombre de malades, les
crises
ont augmenté, mais dans la plupart des expérien
inspire. 11 vient d'avoir, dit-il, quelques syncopes suivies d'une
crise
d'excitation très vio- lente accompagnée de per
s tourmentez pas » ; un sommeil paisible met graduellement fin à la
crise
. Les jours suivants sorte d'assoupissement; P.,
tuée, eut pour résultat immédiat de rendre la folie plus calme, les
crises
moins dangereuses et moins prolongées. « Lors
u moins dans les cas semblables au nôtre, dominée par la nature des
crises
spontanées antérieures que le sujet a présentée
; elle ne pût pas davantage indiquer la cause provocatrice de cette
crise
ni les phénomènes qui en avaient caractérisé le d
écuter. Notons tout d'abord que tant qu'elle n'est pas sortie de sa
crise
, elle ne peut faire aucun mouvement bien qu'ell
jours, elle raconte que, conformément à l'ordre, elle n'a pas eu de
crise
hypnotique, sauf celle qui a précédé sa venue;
a précédé sa venue; mais à 11 heures du soir, heure à laquelle ces
crises
se produisent, elle était prise de vio- lents f
de ne plus avoir de ces accès de tremblement qui ont remplacé les
crises
hypnotiques et qui la fatiguent beaucoup. Le 26
elle est sujette à de fréquentes attaques de ce genre, bien que les
crises
hypnotiques n'aient pas disparu. En outre sa vu
de M. le.professeur Grasset'. Elle accuse une grande fréquence des
crises
hypnotiques qui remplaceraient presque complète
acture généralisée. On obtient par suggestion qu'elle n'ait plus de
crises
nocturnes et qu'elle dorme d'un sommeil naturel
x premiers lits de la salle des femmes. Elle tombe immédiatement en
crise
de sommeil. On lui ordonne alors de venir salue
dre, on la fait passer par la compression du facial ou du vertex en
crise
du second type avec les bras en croix et l'abol
avec les bras en croix et l'abolition de la parole. On la ramène en
crise
du premier type par la compression du poignet.
Au réveil, après quelques hésitations, elle n'obéit pas et tombe en
crise
du second type, que l'on transforme en crise de
'obéit pas et tombe en crise du second type, que l'on transforme en
crise
de sommeil par la compression du poignet. 24.
s de même quand on lui ordonne d'ouvrir l'ceil : elle a alors une
crise
du second type comme chaque fois qu'on lui donne
on lui donne un ordre qu'elle ne peut exécuter. On transforme cette
crise
en crise ordi- naire par la compression de l'ov
nne un ordre qu'elle ne peut exécuter. On transforme cette crise en
crise
ordi- naire par la compression de l'ovaire, et
tères spéciaux. Ces attaques ne représentent pas le tableau de la
crise
hystérique vulgaire. F... dort, son oeil unique
ne conversation suivie... Ce sont là des attaques de sommeil. Les
crises
de sommeil, bien étudiées par Briquet (Traité d
es présentés par le ma- lade. Chez F... le premier caractère de ces
crises
de sommeil c'est la contracture généralisée.
istinguer, conduisent du reste notre malade au même état, à la même
crise
, au même sommeil. Nous caractériserons d'un seu
de son sommeil provoqué ? Exactement et tout simplement ceux des
crises
d'hystérie spontanée, présentées par notre mala
ques mouvements de la tête, mais ne se débat pas. Il aurait eu deux
crises
la semaine dernière; il n'en avait pas eu depui
zaine, signé de M. Delasiauve, porte : Chorée, imbécillité ; pas de
crises
épileptiques. Voici , d'autre part , les notes
secourir le malade, de le surveiller encore quelque temps après sa
crise
jusqu'à ce qu'il ait repris toute sa connaissan
côté des grands-parents paternels ; mère nerveuse ; mais jamais de
crises
ni d'atta- ques ; un oncle paternel, alcoolique
por. Incontinence d'urine et quel- quefois des matières pendant ces
crises
. Bave et morsure de la langue. Il a eu, jusqu'i
nt ces crises. Bave et morsure de la langue. Il a eu, jusqu'ici, 16
crises
se produisant tous les huit ou quinze jours. Au
esses. Ni coups, ni chutes, ni émotions, ni envies, ni syncopes, ni
crises
ner- veuses. Pas d'albuminurie, pas d'éclampsie
ensuite en moyenne une fois par jour. A sa première dent. à 8 mois,
crises
convul- sives plus fortes. A chaque éruption de
eu aggravation des convulsions. Quelquefois il vomissait après la
crise
convulsive. Les accès ont diminué beaucoup de fré
ois. Dans la quatrième 2 ou 3 par an. Dans la cin- quième une seule
crise
convulsive. L'enfant n'a pas encore eu d'accès
us endormi,son esprit ne s'éveille plus. Pas de paralysie après les
crises
convulsives, ni athétose, ni contracture, ni ch
7 ans et demi, à la suite d'une peur, elle-aurait eu une dizaine de
crises
survenant à la suite de contrariétés.Ces crises
eu une dizaine de crises survenant à la suite de contrariétés.Ces
crises
semblent être de nature hystérique. Étant enfant,
e continuelle de la mort et peur de la maladie ; ni céphalalgies ni
crises
nerveuses. Caractère vif et emporté, intelligen
45. Faciès congestif, adipose moyenne. Ni convulsions ni chorée ni
crises
nerveuses. Pas d'éthylisme, pas de caféisme. En
age de deux ans jusqu'à l'admission. Elle a toujours en plusieurs
crises
par mois. De dix-huit mois à sept ans, l'enfant
toujours très court (une heure au plus) et très léger. Vers f0 ans,
crises
de nerfs. - Grand'père paternel mort tuberculeu
te époque, elle présenterait des signes d'hystérie, aurait eu une
crise
nerveuse avec raideur et perte de connaissance.
ent, elle se débattait et gesticulait pendant une demi-heure. » Les
crises
hystériformes se seraient produi- tesjusquà sam
ni tremblements, pas de miction involontaire, pas d'absence. Aucune
crise
épileptiforme depuis l'âge de 3 ans. Impression
des rémissions de deux heures environ. Jusqu'à l'âge de 7 ans, deux
crises
par mois. A partir de cet âge, elles s'espacent
généralisé. Fréquentes secousses brusques. Pas de vertiges, pas de
crises
épileptiformes. Sentiments affectifs assez déve
aques série con- vulsive, jusqu'à l'âge de 4 ans. Après la première
crise
, l'enfant se servait un peu de sa main ; après
sortir d'un rêve et reste 2 ou 3 minutes inconsciente. Ces petites
crises
sont fréquentes (25 de l'entrée de l'enfant à l
se ( ? ).-Oncle et tante maternels, excès de boisson. -Autre tante,
crises
de nerfs. - Autre tante, intelligence médiocre,
également sains; de ces trois soeurs vivantes, l'une aurait eu des
crises
de nerfs mal déterminées, dans lesquelles elle
ment du talon sur ie sol ; le bras ne tremblait pas. A la fin de la
crise
qui durait environ deux minutes, il y avait deux
sou- riait, d'autres fois avait quelques larmes ; mais aussitôt la
crise
passée, il redevenait tel qu'auparavant. Le c
uatorze ans, il n'apprenait rien, mais on le gardait, parce que ses
crises
n'attiraient pas l'attention : il n'y est plus al
t d'heure après, de 37°8 deux heures après. L'enfant sent venir les
crises
: « Cela va me reprendre, dit-il, les 256 Imbéc
ophie CROISÉE : cerveau ET CERVELET. 263 autre sce2tr sujette à des
crises
nerveuses, une nièce épilep- tique. II. Ham..
est grièvement blessé. Jamais il ne s'est mordu la langue. Après sa
crise
il ronfle, et l'écume s'échappe de ses lèvres.
l'écume s'échappe de ses lèvres. Il a uriné quelquefois pendant la
crise
. Après chacune il dort 20 minutes. - Pas de par
La seconde soeur de bonne santé et célibataire, serait sujette aux
crises
de nerfs sous l'influence de co ntrariétés. La
t mort tata ·rcu ! m i 21 ans ; 3 -eur> dont une est sujette aux
crises
de gait,'alg, ! 1 et à la migraine. Rien de plu
marche pas et n'est pas propre. Antécédents morbides. La première
crise
de convulsions z qui a frappé l'enfant a eu lie
rents et depuis cette époque il est frappé 7 ou 8 lois par jour cle
crises
convulsives. Il commençait par raidir le bras g
à gauche qu'à droite. Le bassin est symétrique. ' Description des
crises
convulsives (février 1895). L'enfant a jusqu'à
iption des crises convulsives (février 1895). L'enfant a jusqu'à 10
crises
par jour. Au début, les yeux roulent dans leurs
de durée qui se répètent cinq fois de seconde en seconde. Après la
crise
l'enfant s'endort et ne parait pas très abattu.
arents. Le père de la malade est alcoolique, sa mère a été prise de
crises
vraisemblablement hystériques (accès de raideur g
rs l'observation', les présentait accentués à un tel degré, que ses
crises
convulsives revêtaient un aspect particulièreme
signaler la place vraiment impor- tante que tient; dans- la grande,
crise
cohvulsive hystérique, le gonfle- ment du cou.
est' transitoire, il ne dure que quelques instants et cesse avec la
crise
elle-même.' - Le -malade3 qui fait l'objet de
ontraire une aug- mentation de volume du cou survenir en dehors des
crises
convulsives et persister sans interruption pend
teur. C'est dd reste un : cas fort intéressant et fort complet, avec
crises
convulsives, anesthésie, dyschromatopsie, rétré
de là que le gonflement du cou chez les hystériques, en dehors des
crises
convulsives, ne puisse relever d'autres causes qu
ts ; qu'il perfectionne leur action et qu'il provoque et dirige les
crises
salutaires de façon à s'en rendre maître. « ? 5
es miracles - opérés sur le tombeau du diacre Paris. La chambre des
crises
allait devenir le rendez-vous des nouveaux conv
a damnation n'avait pas peu contribué, d'ailleurs, à jeter dans une
crise
d'hystérie convulsive. ' . La Faculté était tou
, s'ef- forçait de mettre en lumière le danger des convulsions, des
crises
qui formaient le fond du traitement. « Ces co
ent aux malades tourmentés de ces convulsions, une salle nommée des
crises
... » Quelle meilleure description pourrait-on don
tenant général de police, si, lorsqu'une femme est magnétisée ou en
crise
, il ne serait pas facile d'en abuser. » M. Desl
que, quoiqu'il eût chez lui une chambre primitivement destinée aux
crises
, il ne se permet pas d'en faire usage; -, mais,
ire mélan- colique. Hallucinations de la vue. Idées de persécution.
Crises
d'anxiété et d'affolement avec fuite précipitée
e et sur la miction , puis survint une rechute caractérisée par une
crise
de douleurs fulgurantes et la chute de la paupièr
gurantes et la chute de la paupière supérieure gauche. Depuis cette
crise
, toutefois, le traitement semble devoir à nouve
s raides pendant un jour ou deux. Depuis il a de temps en temps des
crises
convulsives du même genre; en outre il a quelqu
connaissance et de chute avec morsure de la langue. Il a aussi des
crises
dans lesquelles il marche au hasard sans consci
oit. Depuis son entrée jusqu'au let janvier 1889 il n'a eu que deux
crises
convulsives qui n'ont pu être observées, et 34
Aglaé entre en des pâmoisons qui vont se terminer dans la salle des
crises
où l'emporte le fidèle Pierrot. L'aquarelle qui
te en cet endroit, car c'est là qu'il doit appuyer pour produire la
crise
. Ali ! je conçois qu'il n'est rien tel Que ce
ersel J'aime fort qu'on me magnétise Appuyez, docteur, j'entre en
crise
. Notre artiste inconnu était incontestablement
l, guère plus anodins que ceux que l'on observait dans la salle des
crises
, si nous en jugeons par la planche XV qui date
aitière qu'il porte en croupe. Et toujours, comme dans la salle des
crises
(pl. VIII), il se trouve là un amateur sur lequ
Elle sortit de l'hôpital Beaujon, où elle avait eu trois ou quatre
crises
convulsives. Son aphonie et sa coxalgie persist
scription d'un accès. Prodromes. La veille ou l'avant-veille de ses
crises
, le caractère du malade change brusquement, il de
sthésie. Ors. Vit Blanch..., 27 ans, lingère, hystéro-épileptique a
crises
séparées, entrée à la Salpêtrière, service de M
nesthésie; le goût est totalement aboli. Le malade n'a jamais eu de
crises
nerveuses. III Aux précédentes observations q
à l'état normal. OBs. IX. - Clés..., 20 ans, hystéro-épileptique à
crises
séparées, hémia- - neslhésique droite, se met d
aner dans son champ d'opérations. Noire malade n'avait jamais eu de
crises
, et mal- heureusement, pour beaucoup de médecin
pendant laquelle son caractère se modifia profondément (tristesse,
crises
de larmes, etc.) il eut sa première attaque d'hys
subits; durée, quelques secondes. Dans la nuit à trois reprises,
crise
d'étouffement, sensation de serrement de la gor
a vu M. D... lui a dit : « C'est un hystérique, mais il n'a pas eu de
crises
. » Le père Charcot a répondu : « S'il n'a pas e
as eu de crises. » Le père Charcot a répondu : « S'il n'a pas eu de
crises
, eh bien ! il en aura. » Si je savais pas qu'il
non sur la caboche. Voilà ! ... Vite consolé lui... « S'il n'a pas de
crise
, eh «hien, il en aura ! ... » Avec tout ça me p
ès bonne; deuxième grossesse très mauvaise; dans les derniers jours
crises
intenses; accouche, sans con- naissance, d'un e
u à vous rendre témoins aujourd'hui. J'aurais pu dès le début de la
crise
craindre à chaque instant de voir la malade se
uffement et sensation de déchirement dans l'intérieur du crâne. Les
crises
revenaient ;i peu près tous les deux jours. Ell
de ces attaques rappelait, au commencement, assez fidè- lement, une
crise
épileptique, mais dès les premiers jours on s'ape
es étaient bien nettes. Le sujet avait la sensation d'aura avant sa
crise
, à la poitrine, au cou et dans la tête; il sent
alisation précise; jamais d'ailleurs cette malade n'a pré- senté de
crises
d'épilepsie jacksonnienne. J'examine maintenant
rophie du cerve- let apparemment limitée à la base ; 2. Epilepsie à
crises
très fré- quentes avec aura sensitive du côté g
te de manie depuis deux ans, devenue agitée : comme au mo- ment des
crises
précédentes d'agitation, on donne du sulfonal à
ne fille de vingt-deux ans qui souffre depuis l'âge de seize ans de
crises
gas- triques avec vomissements. Les crises extr
is l'âge de seize ans de crises gas- triques avec vomissements. Les
crises
extrêmement violentes ame- nèrent la malade en
cun stigmate, ni d'une maladie organique de j'estomac : Ce sont des
crises
gastriques. Ces crises ayant débuté à l'âge de
maladie organique de j'estomac : Ce sont des crises gastriques. Ces
crises
ayant débuté à l'âge de seize ans il ne paraît
ostic probable est donc tabès juvénile par hérédité syphilitique et
crises
gastriques consécutives avec signe d'Argyll Rob
femme de cinquante ans, après trente ans de maladie est morte d'une
crise
d'asystolie due à une sthénose aortique. Les coup
SAVANTES. 83 tisation et de la guérir de divers troubles, tels que
crises
nerveuses avec perte de connaissance, paroxysme
ggestion hypnotique. Une institutrice souffrait, depuis dix ans, de
crises
hyperalgé- siques qui revenaient toutes les tro
nements exacts sur sa famille (donc mémoire), et elle n'eut plus de
crises
convul- sives, aucun trouble épileptique jusqu'
ion que, d'une façon générale, plus le goitre se développe plus les
crises
d'épilepsie doi- vent s'espacer, lorsqu'elles s
de vengeance, incendie d'une maison et recrudescence du nombre des
crises
, environ tous les deux jours un accès d'épileps
deux états : l'épilep- 132 REVUE CRITIQUE. tique, au sortir de sa
crise
est amoindri intellectuellement, ne se souvient
ur un grand nombre d'hypnotiques et d'hysté- riques, même en pleine
crise
, et jamais nous n'avons obtenu un résultat diff
ts, parole lente et monotone, accablement physique et moral absolu,
crises
d'angoisses avec idées de suicide, conviction d
uit ans, suivie quinze jours après la nais- sance de l'enfant d'une
crise
de dépression analogue à la crise actuelle, aya
la nais- sance de l'enfant d'une crise de dépression analogue à la
crise
actuelle, ayant duré six mois et se terminant b
nnées qui ont suivi, la malade put se croire guérie. Le début de la
crise
qui l'amène à l'hôpital date de trois mois. Nous
épétant pendant toute la vie. Le médecin de l'Hôtel-Dieu a vu des
crises
de mélancolie inter- mittente se reproduisant t
ournis par la mère apprennent que le malade a depuis quinze ans des
crises
convulsives classiques qui ont débuté deux jour
illeur ou tout au moins resté sta- tionnaire. Dans l'intervalle des
crises
, qui surviennent assez fré- - quemment, L... ma
vue la possibilité de l'acte réflexe comme moment déterminant de la
crise
. G. C. XXXIV. Etiologie de la paralysie génér
es) rapporte l'observation d'une hystérique qui avait jusqu'à douze
crises
dans la même nuit. Une seule séance de suggesti
moment fut prise en apercevant le cadavre de sa mère d'une terrible
crise
de nerfs. Urbain Gohier était absent pendant ce
r, pro- voqué par un mendiant qui venait d'être pris d'une violente
crise
d'épilepsie. Le malheureux écumait et se débatt
te crise d'épilepsie. Le malheureux écumait et se débattait. Dès la
crise
passée, c'est-à-dire au bout d'un quart d'heure
nce accompagnée d'agitation et de gâtisme. Elle aurait présenté des
crises
gastriques. , Examen du 10 septembre 1903. Idée
sécheresse de la peau, souvent de la constipation, et la fin de la
crise
semble annoncée en quelque sorte par des urines
'ils n'ont pas eu d'attaques depuis un certain temps. Survienne une
crise
, et surtout une série de crises, le tableau cha
puis un certain temps. Survienne une crise, et surtout une série de
crises
, le tableau change ; ils tombent dans la prostr
albuminuriques et un tiers d'entre elles ont à un moment donné des
crises
d'éclampsie. Heile a étudié récemment le cas d'
ionnellement associées. Cette opinion permet de penser qu'en cas de
crises
d'éclampsie, chez une femme enceinte ou en trav
lle on relève les principaux symptômes suivants : céphalée intense,
crises
convulsives épileptiformes, inégalité pupillaire,
émitremblement gauche. Athérome artériel et des valvules aortiques.
Crises
an- goissantes nocturnes dans la région précord
heures avant la mort, en présence d'une toux métallique et d'une
crise
de dyspnée. R. de 31USGRAVF-CL.Y. L1X. OEdème m
ion hypnotique et dont l'auteur rapporte l'observa- tion complète :
crises
d'li3,stéro-neurastliénie, constipation opiniâ-
ues, 27 choréiques, 29 dysménorrhées, 30 neurasthéniques, 95 cas de
crises
hystéri- ques, 22 d'incontinence d'urine, 469 d
é- tiques, la suggestion hypnotique peut améliorer la marche, les
crises
gastriques, les troubles vésicaux et surtout crée
e correc- tement vêtu étendu sur le pavé et en proie à une violente
crise
330 . varia. épileptique. Un agent ayant voul
. Janvier 1903). Homme de 27 ans, aurait eu à l'âge de deux ans-une
crise
avec spasme de la main et du bras droit, suivie
sept ans entré à l'asile comme épi- leptique : après deux séries de
crises
d'épilepsie (l'une de 36 et l'au- tre 73) en tr
bresauts des tendons, et anesthésie passagère en manchette. Grandes
crises
hystériques d'une' durée d'une demi-heure surve-
de présentait des antécédents personnels névropathi- ques : chorée,
crises
dans l'enfance, tempérament nerveux. M. Gallava
t un mal de tête qui alla en s'accentuant. Le 6 janvier, il eut une
crise
d'épilepsie jacksonienne et on vit apparaître u
iplégie. Exagération des réflexes ; anesthésie droite. Deux grandes
crises
épileptiformes, température constante autour de
PATHOLOGIE NERVEUSE. et des accès de palpitations allant jusqu'à la
crise
d'angor vaso- motrice. M. Bouveret fait remar
lules nerveuses dans l'alcoolisme chronique avant l'éclosion de la
crise
hypertoxique terminale. Il a pu démontrer ainsi,
. Pas de troubles de la sensibilité tactile ou à la douleur. Pas de
crises
convulsives. - Le malade a augmenté de 12 kilos
la moelle épinière (sic). Il semble avoir eu à cette époque deux
crises
épileptiformes à la suite desquelles il est res
trépanation cranienne en raison d'une hémiplégie survenue après des
crises
. L'observation peut se résu- mer ainsi : 488
lgré la présence d'une grosse lésion de la zone motrice droite, les
crises
ont toujours gardé l'allure de grandes attaques
lisées sans jamais présenter le caractère jacksonien, sauf dans les
crises
provoquées par l'inter- vention chirurgicale. D
er la lésion causale. Le résultat immédiat est très bon puisque les
crises
ne se sont pas renouvelées depuis deux mois alo
, malgré sa situation en pleine zone motrice, a donné seulement des
crises
et ce n'est qu'au bout de ce temps que s'est mo
. une cessation com- plète des douleurs pendant un an; de nouvelles
crises
se sont reproduites, qui cèdent actuellement à
rapporte l'observation d'un enfant qui présente de l'agitation, des
crises
nerveuses, des accès de colère et de violence,
Dans les premiers mois, il survenait, de temps à autre, de grandes
crises
convulsives qui disparurent rapidement pour rep
à la face dorsale'du pied droit, et, à la suite de quelques grandes
crises
convulsives, la ma- lade se réveille le 22 mai
plusieurs années le sommeil, et principalement deceux approchant la
crise
initiale ; - perte absolue du souvenir de ce qu
sait un malade, nommé Benel. Tout à coup, celui-ci fut pris d'une
crise
de démence et menaça son coiffeur, qui appela à l
te et condamnée par le tribunal. A l'audience, elle fut prise d'une
crise
hystérique qui détermina le parquet à la met- t
te elle porte une zone très sensible qui amènerait facilement une
crise
nerveuse par la pression. Cependant elle n'a ni h
s toutefois celui de la fille Madeleine, atteinte d'hys- térie avec
crises
de sommeil, qui a été violée à l'état de léthar
s. Dans la plupart des cas, les douleurs fulgu- rantes viennent par
crises
, qui durent tantôt quelques heures seulement (O
liers (Oss. XVII). Il va sans dire qu'elles peuvent exister et par
crises
et isolées (Oas. XVI). Les douleurs qui avaient
ment très désagréable et indéfinissable de tout le membre. 5).
Crises
gastriques. Elles ont existé seulement chez le
ez le malade de l'OBSERVATION XVI et avaient tous les caractères de
crises
gastriques, soit tabétiques, soit symptomatique
aissait, mais les jambes étaient de moins en moins fortes. Puis les
crises
sont devenues un peu plus fréquentes et sur huit
au supérieur droit, sensations de brûlure, douleurs fulgu- rantes,
crises
gastriques. Le avril, possibilité de se tenir deb
le concours de la vue. Douleurs en ceinture, douleurs fulgurantes,
crises
gastriques, aboli- tioit de réflexes, incontine
éclairs qui partaient tout d'un coup. Il a eu aussi deux fois des
crises
gastriques. Soudain le malade aurait été pris de
ord alimentaires, puis biliaires et parfois sangui- nolents. Chaque
crise
a duré une journée. Le 5 avril, il peut se teni
es surviennent, plus espacées, mais, par contre, plus fortes. Les
crises
gastriques sont plus fréquentes, plus violentes e
deux à trois jours. Aucun écart de régime ne précède l'invasion des
crises
; des digestions immédiatement après les crises
écède l'invasion des crises; des digestions immédiatement après les
crises
sont normales. La force des muscles est bien cons
n d'étouffement qui les accompagnait avant le traite ment. L. Les
crises
gastriques n'ont pas reparu. Les érections sont
nt des pieds. Douleurs fulgurantes. Chute des ongles. Pollution par
crises
. Incontinence d'urines pai-oxystique, spasmodiq
êves lascifs, etc., etc. Quelquefois même il lui arrive d'avoir des
crises
immédiatement après avoir eu des rapports avec
cette sensation dure et le malade souffre alors énor- mément. 3°
Crises
gastriques. Ce symptôme a été re- marqué deux f
vomissaient jour et nuit et rendaient parfois du sang. Après chaque
crise
qui durait quelques jours, l'estomac reprenait
jours, l'estomac reprenait aussitôt ses fonctions normales ? Les
crises
survenaient par intervalles irréguliers chez le
venaient alors tous les mois presque à la même date. Plus tard, les
crises
48 CLINIQUE NERVEUSE. gastriques de ce malade
plus tolérables, ne don- nant plus la sensation d'étouffements. Les
crises
gas- triques n'avaient plus reparu. Malheureuse
observons chez le malade de l'OBSERVA- tion XXII des pollutions par
crises
, c'est-à-dire qu'il avait des pollutions deux,
uelquefois 34 CLINIQUE NERVEUSE. même il lui arrivait d'avoir des
crises
immédiatement après avoir eu des rapports avec
ent chronique. Dans la seconde, l'asthme sup- prime et remplace une
crise
d'aliénation. Dans la troisième, un asthme habi
t pour faire place à la folie, qui disparait à son tour dès que les
crises
d'asthme se montrent de nouveau. Dans la quatri
um; 7° Examen des fonctions végé- tafives.Arthropathies tabétiques,
crises
laryngées, dyspnées neuro- pathiques, crises ga
hropathies tabétiques, crises laryngées, dyspnées neuro- pathiques,
crises
gastriques, intestinales, clitoridiennes, trouble
de quarante et un ans, se produisirent des accès ressemblant à des
crises
gastriques; l'année suivante, un vacille- ment
issement complet dans toute la face, à ce que dit la malade; chaque
crise
est accompagnée d'un trismusqui dure jusqu'à di
s de douleur dans la région de la vessie rappellent tout à fait les
crises
vésicales; la malade a z ressenti en ma présenc
a z ressenti en ma présence des douleurs ressemblant beaucoup aux
crises
néphrétiques. Réflexes rotuliens abolis dans les
effet, ne parait guère prendre comme critérium de l'hystérie que la
crise
, et semble négliger complètement les stigmates
it lentement à la lumière et se fatigue vite. Peu de temps avant la
crise
, l'inégalité commence à disparaître. Pendant la
e polysarcie généralisée, et souffrant depuis des années de légères
crises
de dépression mé- lancolique. Il est très proba
rdi. A peine commençait-il à se remettre d'un accès, qu'une autre
crise
se produisait. A cette maladie, comme en étant
t heures au total, a disparu complètement et définitivement par une
crise
de sommeil. Pas de paralysie. Il n'a pas conser
ce moment il vomit beaucoup sans être provoqué. Mais cette fois, la
crise
ne s'est pas terminée, le malade par les vomiss
rquer que le malade n'a jamais perdu connaissance, même pendant les
crises
, quelle qu'ait été leur intensité. Le 26 juil
nements d'oreilles. Ce n'est que de temps à autre seulement que les
crises
vertigineu- ses surviennent, à la vérité bien a
venu nous consulter non seulement pour son état vertigineux et ses
crises
, mais encore et surtout pour le fait suivant. L
rcier pour la disparition complète de son état vertigineux. Plus de
crises
de vertiges, il peut se comprimer à six atmosph
matologie de la maladie de Ménière à son complet développement. Les
crises
vertigineuses, on peut le dire classiques, déve
d'autres termes, le ver- tige fait son apparition sous la forme de
crises
distinctes, courtes et séparées par des interva
sait, en présence : 1° d'un état vertigineux per- manent ; et 2° de
crises
qui éclatent au milieu de cet état, ayant absol
cident du 7 septembre etles suivants, offre un exemple net de ces
crises
subintrantes. Eu effet, après la décompression,
subintrantes. Eu effet, après la décompression, il a été pris d'une
crise
de vertige de translation, le malade ayant la s
t communiqué par autrui, même le simple attouchement provoquent des
crises
vertigineuses si intenses, suivies de vomisseme
de ne pas le secouer ou de ne pas le toucher. On voit donc que ces
crises
subintrantes qu'on n'observe que chez les perso
n'eu souffrait plus que deux ou trois heures après son réveil ; ses
crises
survenaient bien plus rarement et d'une intensi
z fréquent; l'aphasie motrice de la forme aphasique ; une véritable
crise
mentale de notre forme mentale; les vertiges de
nt descrises épileptiformes. La mort survient parfois à la première
crise
; si l'animal survit quelque temps, il meurt da
aques d'hyperesthésie dont le moindre attouchement provoquait une
crise
. Ce sujet était suggestionnable à l'état de veill
nous avons pu déjà constater les bons effets de ce ré- gime : les
crises
se sont notablement espacées. L'hy- drothérapie
! je vois du sang ! Il est mort, il est mort ! » Après chacune des
crises
, la malade revient rapide- ment et entièrement
a fait que reproduire l'accident supposé cause de la frayeur et des
crises
convulsives, ce n'était autre chose qu'une phas
. Depuis un an environ, gastralgie se produisant fré- quemment, par
crises
et s'opposant pendant plusieurs jours à l'ali-
qui nous paraît proche parent de l'hystérie, malgré l'absence de
crises
nerveuses proprement dites. Nous constatons en ef
la mère a une santé délicate; une soeur de la malade a eu quelques
crises
nerveuses; un de ses frères est arriéré. Nous a
ssent les premiers phénomènes nerveux : modifications du caractère,
crises
convulsives, d'abord espacées, puis de plus en
convulsives, d'abord espacées, puis de plus en plus fréquentes. Ces
crises
se produisent par séries et durent parfois des
nitial. Le malade s'affaiblit progressivement. 22. P... est pris de
crises
hémiplégiques et convulsives vers 5 heures du s
ans les ventricules. Ce travail pathologique doit correspondre à la
crise
du 186 CLINIQUE NERVEUSE. '22 novembre, date
re, date de la paralysie de la paupière. Le même jour, dans la même
crise
, le pus devait perforer le corps cal- leux et a
n'est-ce pas par un mécanisme congestif analogue que se produit la
crise
d'épilepsie essentielle, c'est-à-dire pure- men
sédatif prompt et énergique dans les psychoses qui procèdent t par
crises
d'agitation : il n'a pas les inconvénients de l'h
au neuvième mois, accentuation de la démence et des paralysies. Les
crises
épileptiformes apparaissent. Si l'on fait l'aut
parce qu'ils peuvent devenir subitement impulsifs. S'ils tombent en
crise
sur la voie publique, ils sont transportés dans
sportés dans l'hôpital le plus voisin, où l'exeat est pro- noncé la
crise
à peine terminée. Le plus grand nombre erre sur
hospices. Quant aux épi- leptiques simples, valides, mais ayant des
crises
fréquentes, leur hospitalisation constante n'es
st pas nécessaire, parce que, avec une médication appropriée, leurs
crises
peuvent devenir plus rares. Les épileptiques à
opriée, leurs crises peuvent devenir plus rares. Les épileptiques à
crises
rares peuvent être assistés ainsi à l'aide d'un
tions thermiques, viennent de ce qu'on a examiné l'épileptique en
crise
à des moments différents. - . On observe enfin
ondant à la période ascensionnelle finale, mais non à la période de
crise
; on trouve une notable quantité d'acide phospho-
ène est très net, si on trépane l'ani- mal, on voit au moment de la
crise
la turgescence des vaisseaux encéphaliques et d
tigmates physiques avec phénomènes épisodiques, depsomanie, fugues,
crises
maniaques, état continu de subexcitation, insom
émotivité, superstitions, topopbol>ie).A1'âge de vingt-sept ans,
crises
hystériformes, disparues au bout de six mois, m
ques plus ou moins brusques et rapides, se présentant sous forme de
crises
. Parfois, ce sont uniquement des mouvements de
ste, il y a mélange des uns et des autres. Quelquefois isolées, les
crises
peuvent aussi se reproduire plusieurs fois par
s accidents convulsifs et ne cesse qu'après leur dispari- tion. Des
crises
de ? )'Mont été observées plusieurs fois pendant
LIOGRAPHIE. 289 Dans plusieurs cas a été constatée, au moment de la
crise
, une sorte de perte de la conscience, l'enfant
personnels, deux enfants étaient rachitiques, deux présentaient des
crises
d'épilepsie et deux autres y étaient prédisposés
parait être le maximum de fréquence de la maladie. . Durée. - Les
crises
forment des périodes durant de une à plu- sieur
LIOGRAPHIE. c'est-à-dire pendant lequel on a pu ne pas constater de
crises
co- mitiales alors que les malades sont cependa
etc. L'attaque dure un quart d'heure environ et se termine par une
crise
de larmes. État actuel (11 mars 1891). - 111m°
des mouvements identiques à ceux de l'athétose. A 8 h. 12, nouvelle
crise
,. Le malade pousse quelques gémissements faible
nvulsions cloniques identiques aux prcdédentes. A 8 h. 15, nouvelle
crise
précédée comme l'autre d'un gémissement. Il est
revêtir le caractère de véritables convulsions. A 8 h. 17 nouvelle
crise
. Le corps est fléchi en demi-cercle. La durée d
ne période de stertor avec écume. Il est bientôt prisd'une nouvelle
crise
. La tête se soulève un peu, le corps devient ri
s les quatre membres et aussi intenses d'un côté que de l'autre.-La
crise
se termine par une période de stertor bruyant,
hystérie nous voyons des émotions vives être le point de départ des
crises
convulsives. Ici il n'y a rien de ce genre d'ap
le hromure en 1886, au mois de mai, parce que ça le dégoûtait. Les
crises
venaient alors tous les mois, toutes les six se
ébattre. Cela dura une heure. En revenant à lui il fut repris d'une
crise
analogue aux anciennes (probablement attaque ép
le simulacre de se donner des coups dans la poitrine. - « Dans ses
crises
il cherche toujours à se déchirer la poitrine,
fait d'excès alcooliques. , Depuis longtemps, - avant sa première
crise
, - il se plaint de souffrir du coeur, d'être es
t les escaliers. Il s'en plaint de plus en plus depuis le début des
crises
. Etat actuel. 5 juillet 1887. - Tête. Pas d'asy
grinça des dents et poussa des sortes de grognements. Il eut quatre
crises
semblables à cinq minutes d'intervalle : la pre-
ngt minutes, les trois autres dix minutes seulement. 28. - Nouvelle
crise
en présence de l'un de nous. Il tombe brus- que
dre et égratigner, etc. '. IV. Nous avons vu que ce malade dans ses
crises
exécutait des sauts plus ou moins violents, sem
qu'on n'a pu assister qu'à une seule attaque, on peut hésiter. Ces
crises
isolées s'accompagnent parfois d'une légère éléva
on ajoute que S... a présenté au cours de son existence quel- ques
crises
qui devaient être épileptiques, d'après celle qu'
lement des folies périodiques menstruelles; les interruptions de la
crise
psychopatique correspondent exactement au milie
d'peine à apprendre, et qui, depuis 1886, est atteint d'épilepsie à
crises
progressivement violentes; une chute survenue e
xerça d'action spéciale ni sur les périodes d'agitation, ni sur les
crises
d'angoisse, ni sur le désordre dans les idées p
sieurs heures et, quand on la réveille, elle ne retombe pas dans la
crise
en question. On l'endort en lui suggérant qu'elle
réveillait et se montrait encore agitée. J'ai réussi à conjurer ces
crises
. Toute question de supercherie doit être écartée
ions du sujet, qui sont des réactions d'urgence, pour résoudre la
crise
angoissante. C'est ainsi que nos malades commi-
es, tomba dans le coma et en sortit avec une amaurose totale et des
crises
(l'épilepsie jacksonnienne aujourd'hui disparue
utre au sei- ice militaire. Tempérament nerveux, emporté, mais sans
crises
, 3 ans de sen ice militaire ; étant au serv ice m
ômes cardinaux. L'entérite muco-membraneuse, la constipation ou les
crises
diar- rliéiqucs sont également des signes de ch
la constipation fait suite la diarrhée ; parfois, il y a de vraies
crises
diarrhéiques, comme dans la cholémie. Les hémor
açon minutieuse depuis un mois a amené une cessation complète des
crises
et des absences. M. DI : aEI21NE, très enthousi
cérale sous-jacente (hyperesthésie thoracique en rap. port avec les
crises
gastriques des tabétiques, la dilatation d'esto
ne série d'accidents hystériques antérieurs, carac- térisés par des
crises
convulsives. Ces crises disparaissent complètem
tériques antérieurs, carac- térisés par des crises convulsives. Ces
crises
disparaissent complètement tant que durent les
is supportable,la douleur, se réveille, par instants, sous forme de
crises
paroxystiques d'une intensité extrême. Elle peu
olongé (Brierre) ou à la douche tempérée à faible pression. j Les
crises
d'excitation chez les épileptiques pourront, quoi
oides sur la tête, bains de siège et pédiluves chauds. - Dans les
crises
d'excitation survenant au cours des états mania
lièrement égard aux indications tirées du rapport nosologique de la
crise
avec le degré d'ancienneté et les chances de cu
e degré d'ancienneté et les chances de curabilitéde l'affection. La
crise
aiguë de chro- nique invétéré ou incurable ne s
le Dr CASTEX présentent des appareils. Note sur le traitement de la
crise
d'épilepsie. Dr J. SIZaRçT (médecin en chef de
hef de l'Asile d'aliénés de Ren- nes). L'examen de l'épileptique en
crise
révèle bien sou- vent qu'il y a, sous l'influen
agies, auxquelles PaulBert avait trouvé pour cause traitement DE la
crise
d'épilepsie. 227 7 1,(Illoxiléi711e.En outre, l
ées plus haut, l'aspect d'asphyxie lamentable de l'épileptique en
crise
m'ont donné l'idée d'essayer un traitement de l'a
e 50 ans, à l'asile depuis 1873, menacé d'as- phyxie au cours d'une
crise
violente faisant partie d'une sé- rie comme il
e une saignée ; cela nous fut impossible tant il se débattait. La
crise
était bien arrêtée et ne reparut plus. J'ai eu
nt de 13 ans, entré depuis quatre ans à l'asile, idiot, sujet à des
crises
qui sont parfois très nombreuses (jusqu'à '200
ises qui sont parfois très nombreuses (jusqu'à '200 par mois) ; les
crises
cessent de suite, le petit malade se calme et s
entendu, paraît tout à fait inoffensif), l'ait rapidement cesser la
crise
d'épilepsie. 228 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTE
t d'interpréter les accès intermittents comme des équivalents de la
crise
épileptique. Comme celle- ci, l'accès est un ph
is nerveuse et impressionnable. Vers 17 ou 18 ans, aurait eu 3 ou 4
crises
convulsives avec sensation de boule et de constri
que les autres maladies infectieuses aiguës, débute parfois par une
crise
de délire (Revilliod, W vald,Altbaus) qui, par
dangers ima- ginaires que lui créent ses terrifiantes visions. La
crise
délirante peut être très légère et très brève et
porte ou vers la fenêtre qu ils enjambent parfois dans une de ces
crises
de panophobie impulsive. , Très souvent aussi,
ontaine observe aussi que ce délire se produit en même temps que la
crise
itninaire, si bien décrite par Roger et Gaume e
usés, et présen- tant, outre une hérédité chargée et similaire, des
crises
convulsi- ves typiques, fut pris sans cause con
juxtaposé, qui n'est relié par aucun lien direct de causalité à la
crise
convulsive, non plus qu'inversement. C'est un
pas d'incontinence, pas de bave, ni de morsure de la lan- gue. La
crise
a été courte. 11 s'est rendormi. Le lendemain i
é courte. 11 s'est rendormi. Le lendemain il était fatigué. Seconde
crise
, également la nuit, trois mois après, puis les
oires étaient mues par un mécanisme. Itîtlc. Pas d'éva- cuation. La
crise
su termine par un fort ronllcmcnt suivi d'un an
apparente. Cela a commencé par de l'inquiétude, de l'insomnie, des
crises
de larmes. Suppression des règles. Salivation abo
nt tout noirs. » Elle avait peur, ne sachant de quoi. Cettepremière
crise
n'a duré que quelques jours. ' Le premier int
e, déformant. Prurit au cuir che- velu, dix jours avant la première
crise
de mélancolie. Urticaire il y a trois ans, pend
remonte à 14 ou 15 ans. Depuis, Madame G... a eu plusieurs fois des
crises
de mélancolie, avec idées de suicide, mais non
isait que j'étais folle.... oh ! monsieur, je ne suis pas folle... (
crise
de larmes), je sais, je sais... vous êtes de la
r II : : LA : \COLIE. : 3G : i 6 son publique comme fille (nouvelle
crise
de larmes, gémisse- ments) ». . ZD Avec insis
dont .les jour- naux parlaient il ce moment. avait par instants des
crises
d'ex- cilalion el d'agitation, puis des moments
mêmes mots. » [Signé Magnan). Une vingtaine de jours avant cette
crise
de manie, F... avait fait, parait-il, des excès d
il était loquace et parlait d'événements concernant sa vie. Celle
crise
passa vite également, F... fut rendu àla liberté.
xieuse et très déprimée ; par instants, elle voulait s'en aller. La
crise
a duré 2 mois seulement. Depuis, elle se portai
les n'influencent enparticulier ni l'intensité, ni la fréquence des
crises
épilepti- ques, ce qui semblerait plaider contr
conduction tant pour le rire que pour le pleurer ; et enfin que les
crises
de rire et de pleurer ne sont nullement en rapp
dans Ipqlll'l,apn", une ponction lombaire. le malade eut un l avec
crises
Ipill'p- lilorines, puis hémiplégie droite. Il
remiers, il accès nocturnes et rares, il vertiges imperceptibles, à
crises
psychiques, présentent une acti- \¡lé intellect
a manifestation des signes précurseurs, et c'est, précisément celle
crise
psychique précédai ! n 404 BIBLIOGRAPHIE. de
pilcpsio, cLont Uni par présenter quelque temps après de véritables
crises
épi- lepfiques : on avait affaire dans l'espèce
mmençait son interrogatoire, il a été pris soudain d'une effroyable
crise
d'épilepsie, et deux gardes municipaux ont du l
cipaux ont du l'emporll'I ? \1... esl assez fréquemment sujet à des
crises
de celle nature. Aussi le I)1' Roubinovitch, qu
s eu plus vin- lenles, irradiant en ceinlure, survenant surloul par
crises
de lm·udo-nW ral;;it·. 1 ? n nmémllrl· 1903 app
point de vue bactériologique le sang des épileptiques en état de
crises
. Leurs recherches ont été constamment négatives e
crois' pas trop m'avancer en posant en principe que, lorsque les
crises
ne sont pas très espacées, on est toujours sûr
des cultures, tout en manifestant le regret que les périodes de la
crise
ne fussent pas plus nettementtranchées. Avec de
foie. Au milieu des phéno- mènes cachectiques, il se produisit des
crises
épileptiformes du bras ou de la jambe. Mort par
rte dose; action remarquable par le traitement Toulouse-Richet. Les
crises
, jadis généralisées, sont maintenant limitées à
yxoedème, par lé- sion de la glande thyroïde, par Bayo, p. 481.
Crise
d'épilepsie. Note sur le traitement de la ! -,
ital deux mois après son accouchement. Elle était amenée à cause de
crises
convulsives qui duraient depuis 4 ou 5 jours. R
ient depuis 4 ou 5 jours. Reçue le soir, elle eut toute la nuit des
crises
convul- sives épileptiformes que je ne pus obse
rois, quatre ou cinq minutes la malade était subitement prise d'une
crise
de déviation conjuguée de la tête et des yeux s
les yeux qui présen- taient en même temps du nystagmus. Pendant la
crise
le bras gauche ne bougeait pas et la malade gar
et les yeux, ce qui, disait-elle, remettait ses yeux en place. La
crise
durait une minute environ puis cessait et la mala
prenait la conversation. Dans la journée la malade eut plus de cenl
crises
ana- logues. Cette femme ne paraissait pas en d
pérance. Lui aussi s'adonna à la boisson ; à 20 ans, il fut pris de
crises
épileptiques et mourut à 42 ans au cours d'un éta
mouvements actifs. Parfois la somnolence est entre- coupée par des
crises
d'irritabilité extrême, pendant lesquelles il cou
ais deux ou trois fois les gardes me rapportent qu'il a été pris de
crises
d'agita- tion, pendant lesquelles il bredouilla
, des oedèmes, l'ascite. Signes de lésions cérébrales ; somnolence,
crises
d'irritabilité extrême, raideur, trémulations. Du
sous l'étiquette de la « pseudosclérose » ; il y a la somnolence, les
crises
d'irritabilité, les trémulations; anatomiquemen
troubles démen- tiels, qui a présenté, à un mois d'intervalle, deux
crises
d'asphyxie locale symétrique intermittente, san
ente ni modification notable de son état mental. La première de ces
crises
a donné lieu à des localisations multiples ; le
qu'un grand nomhrede ces phénomènes, tels que les paraplégies, les
crises
convulsives, les aphonies, le vomissement, les
N suggérées ou autosustgérées, ils ont été atteints des plus fortes
crises
émo- tives accésconvulsifa,etn) ou de troubles
es caractères propres aux phénomènes hys- tériques. On a décrit des
crises
hystériques qui avaient leur origine dans des c
net (2), les zones hystérogènes, dont la compression provoquait des
crises
hystériques, étaient représentées par les point
èrent également du côté gauche. Quel- quefois le malade fut pris de
crises
pendant lesquelles il perdait connaissance. Ces
fut pris de crises pendant lesquelles il perdait connaissance. Ces
crises
, qui arrivaient très rarement, ne furent jamais o
elligence proprement dite n'est pas au-dessous de la moyenne. Les
crises
décrites par le malade n'ont pas été constatées p
s heures après le réveil, et le soir vers quatre ou cinq heures. La
crise
dure une heure ou doux ; la douleur siège toujo
es occupations ; jamais il n'a présenté de vomissements pendant ces
crises
. En 1901; celles-ci cessent brusquement, sans c
apparaissent brusquement et disparaissent de même, surviennent par
crises
durant une dizaine de jours et ne s'accompagnent
tombe sou- vent sur les genoux, ayantdes sortes de vertiges ou des
crises
de faiblesse dans les membres inférieurs. Il pr
urantes typiques ; douleurs en éclairs allant du genou au pied. Des
crises
gastriques et laryngées ont apparu en même temps
même temps que ces douleurs. Elles onl cessé au début de 1914. Les
crises
gastriques étaient caractérisées par des douleu
t brusquement pour reparaître quelque cinq ou huit jours après. Les
crises
laryngées étaient caractérisées par des sensation
nt dans la gorge, amenant des quintes de toux. Jamais il n'y eut de
crises
de suffocation. En août 1913, est apparu un mal
ns de prurit, très inconstantes d'ailleurs. Il se plaint surtout de
crises
anorectales ; les douleurs dans cette région sont
s matières amène un soulagement des douleurs. Enfin le malade a des
crises
vésico-uré- thrales : les paroxysmes des crises
fin le malade a des crises vésico-uré- thrales : les paroxysmes des
crises
anorectales, les mictions amènent des dou- leur
ant que la substance grise centrale entrait en ligne. C'étaient des
crises
intestinales sem- blables aux lancinantes, fulg
er et qui le plus souvent se dissipe aussitôt, en même temps que la
crise
doulou- reuse. Ces tuméfactions, d'origine pure
e, peuvent cependant parfois se prolonger au delà de la durée de la
crise
et en imposer, avec leurs limites bien nettes,
abes, les autres stigmates peuvent être latents ou faire défaut. La
crise
douloureuse dure à peine une minute et s'arrête
ner au lit. adoptant diverses altitudes pour éloigner le retour des
crises
dout elle a le pressentiment. Notons que les fo
é au moment propice rappelle l'évacuation et calme momentanément la
crise
douloureuse. D'autres fois le lavement est gard
mnolences et réveils pénibles, rêvasseries, divagations, retour des
crises
intestinales. Elle se plaint en outre des brûlu
pendant cette fin de juillet et le mois d'août, avec ces terribles]
crises
intestinales, se compliquant parfois d'accès fé
és ne peuvent pas être pro'- voqués. » LeDrSchnyder assiste à ces
crises
abdominales et les décrit comme nous l'avons fa
vée fort bien à la pension Ziégler, s'y est reposée, distraite. Les
crises
de tyrnpanisme local dans le côté droit du vent
trémités inférieures, vont se cantonner dans le tractus intestinal,
crises
intéressant tous les modes de sensibilités géné
s, des étourdissements.deux fois la malade perdit connaissance; ces
crises
n'ont pas été accompagnées de mouvements convul
ques épi- leptiques simultanément avec la tétanie ou au cours de la
crise
tétanique; 2° la fréquence des attaques de téta
es spécifiques, comme du suc gastrique, indifférent comme du mucus;
crises
c1'hypo-hépatie, d'hyper.hépatie, etc., lotis c
lémiques familiaux. Celte diathèse se manifeste par la fréquence de
crises
fébriles calarrhales, de crises de lithiase intes
se se manifeste par la fréquence de crises fébriles calarrhales, de
crises
de lithiase intes- tinale, dépendantes de la co
, mais le fait est que la flore intestinale s'exagère, et cause les
crises
dont nous parlons. En général, ce sont des indivi
lians l\Ioreix et Ilenrique Duque. Au moment de la ménopause, ces
crises
convulsives sont habituelles, soit chez la femm
ous livrions à cet examen nous étions sur- pris par l'apparition de
crises
convulsives. qui se déroulèrent à plusieurs rep
sives. qui se déroulèrent à plusieurs reprises devant nos yeux. Ces
crises
étaient apparues pour la première fois la veill
fois se généralisant et rappelant alors assez bien le tableau de la
crise
d'épilepsie vraie. Mais il n'y a ni émission in
vers la gauche. Cet état dure deux ou trois minutes seulement. 'Ces
crises
sont provo- quées facilement par des excitation
état de contracture de la face et des membres du côté droit. Les
crises
d'épilepsie jacksonienne se répètent fréquemment.
oite, déviation* des yeux à droite, myosis et inégalité pupillaire,
crises
d'épilepsie jacksonienne à point de. départ dan
ant les méninges du mésocéphale et celles do la moelle. Quant aux
crises
convulsives, elles sont ! regardées par bien de
cependant nous avons pu cons- tater chez notre malade une série do
crises
absolument typiques d'épilepsie jacksonienne, q
utre aucune trace de para- lysie, ici ce sont des contractures, des
crises
jacksoniennes, la on ne décèle que des phénomèn
s'y entre- mêlent ; les paralysies flasques, les contractures, les
crises
d'épilepsie jacksonienne s'y trouvent réunies.
ronflement. Durée, environ cinq minutes. Le même jour il a eu trois
crises
dans la matinée et cinq dans la soi- rée. Penda
dents quelquefois sérieux : vomis- sements, constipation opiniâtre,
crises
diarrhéiques, hyper- thermie, hallucinations, d
remier, sur 15 cas, a eu 15 améliorations portant à la fois sur les
crises
et les troubles psychiques ; et sur ce nombre,
iques ; et sur ce nombre, il y eut deux fois suppression totale des
crises
pendant sept mois. Le second, sur 45 cas, dont
me ayant subi un trauma- tisme céphalique est pris dans la suite de
crises
épilepti- formes à localisation corticale très
Quatorze mois après l'opération le patient n'a pas eu de nou- velle
crise
; mais on ne s'est pas borné à trépaner, on a en-
ar maladresse. Peu d'instants après se serait déclarée une série de
crises
convul- sives ayant duré cinq heures, avec émis
le aurait qualifiés de méningite. La convalescence arriva, mais les
crises
se renouvelèrent .de loin en loin'et finirent par
r la suggestion hypnotique et les aimants. Le résultat fut nul, Les
crises
augmen- tèrent encore de fréquence et d'intensi
passa immédiatement à Villejuif dans le service de M. Briand. Les
crises
convulsives avaient donc fait leur apparition apr
laire des pau- pières du même côté, ensuite le membre inférieur. La
crise
finis- sait par se généraliser, le corps se rai
ertor avec rougeur de la face et écume aux lèvres. Après les fortes
crises
il restait un peu d'hé- bétude. Il n'y avait pa
la langue et pas d'émission involontaire d'urine, du moins dans les
crises
isolées. La perte de connaissance était raremen
mouvements convulsifs plus intenses que le droit, dans les petites
crises
il était même seul intéressé. Au moment de son
el très atten- tivement appliqué mais sans aucune amélioration. Les
crises
aug- mentèrent même de fréquence en 1890. Au co
s'élève, la tête est très chaude, la bouche reste déviée entre les
crises
qui durent chacune une minute sans perte de con-
t et souffre de plus en plus, l'état général est très précaire; les
crises
tendent à devenir subintrantes. La présomption
e autre vertige suivi de deux heures d'hébétude ; enfin en décembre
crises
convulsives complètes et en série. Le 7 janvier 1
s convulsives complètes et en série. Le 7 janvier 1892 survint sans
crises
un accès d'excitation maniaque qui dura quelque
le 8 février survient un état de mal au cours duquel pendant une
crise
Léonie fait signe avec son bras droit encore libr
... En 1892, 1893, 1894, la situation reste identiquement la même ;
crises
revenant par petites séries de loin en loin, no
r suite après le chancre, par des douleurs fulgurantes revenant par
crises
, parcourant la face postérieure des membres MÉN
sante à noter, nous la verrons réapparaitre plus tard à la suite de
crises
hystériques. Elle accuse parfois de la céphalal
uivait « armé d'un tranchet », menaçant de la tuer. Au dé- but, les
crises
hystériques étaient très fréquentes,. trois par j
dé vingt-sept ans, des troubles mentaux sont venus s'ajouter à ces
crises
et ont nécessité son internement à l'asile de A
ix ans et demi, rien de bien particulier à signaler, elle avait des
crises
de temps en temps et parliculiè- rement au mome
e était un peu « idiote », état qui serait survenu à la suite d'une
crise
de nerfs ( ? ), - Pas de renseignements sur les
aujourd'hui de-soixante-cinq ans, sobre et laborieux, n'apas eu de
crises
depuis sa sortie de Villejuif mais elle est tou-
, une fillette de douze ans est prise d'une attaque de contracture,
crises
convulsives à caractère jacksonnien, asthénie m
s de souiller le local. L'agitation, qui procède habituellement par
crises
passagères, Unit en général par s'atténuer. En
Gâtisme. 16 janvier 1870. 11 succombe aujourd'hui à une série de
crises
épileptiques qui se sont succédés, pendant ving
mme de vingt-huit ans qui a été atteint pendant près de cinq ans de
crises
d'épilepsie jacksonienne débutant par la main d
et présentait des secousses de tout le corps. A côté de ces grandes
crises
, il en existait d'autres localisées à la main d
six centimètres de la paroi osseuse. Le malade présente encore des
crises
convulsives pendant une dizaine de jours après
cellules. D'après l'auteur, cette tumeur a été la cause unique des
crises
épileptiques, l'examen d'un grand nombre de cir
itive et tactile, sensation de boule. En somme, malgré l'absence de
crises
on a droit de conclure qu'on a affaire à un tem
illas ou bâtiments séparés et à une infirmerie pour les périodes de
crises
et les affections incidentes. Pour les seconds,
rive dans la moitié des cas; elle est annoncée généralement par des
crises
, sueurs, diarrhées, salivation, mens- trues, ab
. Une phobie se constitue, l'éneztthophobie, qui se traduit par des
crises
aiguës paroxystiques. Au troisième degré la peu
chronique d'attente anxieuse; SECTION DE PSYCHIATRIE. 251 c, des
crises
d'angoisse paroxystique ou des équivalents de cri
IE. 251 c, des crises d'angoisse paroxystique ou des équivalents de
crises
; d, des phobies et des obsessions. Cette aff
brave ménagère. Hier après midi, Lerentier fut pris d'une violente
crise
de folie au cours de laquelle il traita sa femm
es et survenaient surtout le matin. De temps en temps; de violentes
crises
de palpitations, venaient au dire du malade, co
rrectement auparavant, notam- ment à cause de la tachycardie et des
crises
de palpitations qu'il ressentait au moindre exe
qui ne rentra plus au logis que tout à fait ivre. Hier, pris d'une
crise
d'alcoolisme, il prit dans ses bras la fillette
nt impulsifs). On doit aussi mentionner des cas où, au comble de la
crise
. la conscience se trouve troublée transitoire-
demne de toute altération. On pourrait dire que l'impulsion est une
crise
de besoin alors que l'obsession n'est encore qu
l'attaque et retour du réflexe un certain temps après la fin de la
crise
; dans une seconde catégorie : immobilité au déb
t retour du réflexe après un certain temps, mais avant la fin de la
crise
. Enfin, dans une troisième catégorie, il y a ex
s malades rebelles à toute autre médication et qui présentaient des
crises
hystéro-épileptiques, du mutisme, de l'ano- rex
me qui l'accompagnait. En prison, Azelma Auvray a été prise d'une
crise
d'hystérie qui a dégénéré en folie furieuse et qu
avers, mais il parait que cela n'était pas continu et survenait par
crises
, elle titubait comme une personne ivre, ne marc
dépassé quatre jours. A ce nouvel amendement a succédé une nouvelle
crise
psychique avec les mêmes accès; mais, à l'aide
ns microscopiques. Un tabétique atteint de SOCIÉTÉS SAVANTES. 119
crises
gastriques et laryngées ne décela à l'autopsie au
oyaux bulbaires de ce nerf. Voici un autre patient qui présente des
crises
laryngées et des parésies des muscles du larynx
roubles vaso-moteurs et atrophiques. M. Westphal. A l'expression de
crises
(krisen) qui ne convient guère en allemand il f
. - M. BERNHAHDT ne croit pas à la fréquence de la coïncidence de
crises
laryngées et gastriques chez le même individu. D'
chez les tabétiques, les accès laryngés seraient plus rares que les
crises
gastriques, lesquelles sont relativement fréquent
rdt; ce n'est que dans quelques cas qu'il a vu survenir d'abord des
crises
gas- triques, puis, plus tard, chez le même ind
es crises gas- triques, puis, plus tard, chez le même individu, des
crises
laryn- gées. M. JasrnowrTZ insiste sur la pro
e reproduit à propos du nom d'un ami, et comme la première fois, la
crise
finit avec la découverte du nom. A partir de
o- mètres pour la revoir et il a pu de la sorte éviter une grande
crise
. Cet état a duré deux ans, avec des alternative
rer certains noms ; s'il le trouve, tout est bien ; sinon, il a une
crise
qui le fait horriblement souffrir. Il est oblig
es classiques de la grande attaque; zone hysté- rogène. Arrêt de la
crise
par la pression des tendons. Catalepsie, sommat
DE FAITS. En mai 1880, subitement, un matin, il prend une violente
crise
d'hvstéro-épilepsie. Quand il se réveille du so
e haut mal. Le 17 janvier 1884, à huit heures du soir, il prend une
crise
plus violente. Le lendemain, il se plaint d'un
niveau, arrache des cris au malade; la pression forte détermine la
crise
d'hysléro-épi- lepsie. Pas de prodromes à l'a
mmeil. Hyperexcila- bilité neuro-musculaire. Immédiatement après la
crise
, le ma- lade reprend sa polypnée et sa thoracal
a résolution musculaire. Ces manoeuvres sont toujours suivies d'une
crise
. On interrompt l'atta- que convulsive par la pr
be de l'oeil, et le malade reste alors hypnotisé, pour reprendre sa
crise
dès que cesse l'état hypnotique. Il faut qu'i
re sa crise dès que cesse l'état hypnotique. Il faut qu'il ait sa
crise
complète avant de se réveiller. On peut lui mor
YSTERIE CHEZ L'HOMME. 217 Î tions'de morphine pratiquées pendant la
crise
au point même où ici il souffre n'empêchent pas
Bicêtre même. Après quelques minutes d'état hypnotique, il prend sa
crise
comme d'habitude. Mais, pour la première fois,
e nourrir à la sonde. Le passage du tube oesophagien provo- que une
crise
violente, qui oblige à renoncer à ce moyen. On n'
e côtelette et des légumes, et but du vin. Il vomit le tout dans la
crise
qui suivit la somniation. Consti- pation opiniâ
is il reste là une zone liysté- rogène dont la pression provoque la
crise
. Dans la recherche da l'aphasie provoquée, c'es
en- don (tendon d'Achille, tendon rotulien) arrête brusquement la
crise
et réveille le malade. z Limitation de la contr
. V... garde toujours le lit avec sa contracture du côté droit. Les
crises
sont toujours assez fréquentes. A présent, à la
nt-bras gauche. 17 avril. Hier soir, à 9 heures, le malade a eu une
crise
légère. A la suite, la contracture du côté droi
meil, il n'est plus à Saint-Urbain, mais à Chartres. A la fin de sa
crise
, idées érotiques, spasme cynique, projeclion ryth
érection et n'a pas d'éjaculation. L'infirmier affirme que dans une
crise
précé- dente, suivie semblablement d'un coït im
ée. '10 juin, Dans la journée d'hier, le malade a eu une série de
crise
. A leur suite, la contracture du côté droit est r
est indiscipliné, taquin, voleur. Il travaille irrégulièrement. Les
crises
sont toujours assez fréquentes. La contracture
r 188 ? - Après une séance de somnambulisme pro- voqué suivie d'une
crise
, il s'évade de Bicêtre en volant des etfels d'h
t qui vient de mourir à l'àsiio d'Orléans. En 1875, après plusieurs
crises
convulsives, Michot t dans un accès de délire^
. Faible d'esprit et croyant au sortilège, il crut toujours que ses
crises
épileptiques lui étaient causées par quelques p
raitement, voyait,depuis quelque,temps diminuer le nombre,, de ses,
crises
; son, état, meiit1 ? élaii a'1é- lioré ; mais i
eprises : en tout, elles ont duré jusqu'à un an, les deux dernières
crises
ont été les plus courtes. A vingt mois, il n'
a con- dition qu'on le surveille. Observation VII. Imbécillité.
Crises
nerveuses ci quatre ans, suivies de strabisme pen
qui a été appelé a dit que ce n'était pas des convulsions, mais une
crise
nerveuse. Après, les yeux étaient retournés et
ILLES D'IDIOTS. 373 Observation XII. IDIOTIE complète; ÉPILEPSIE.
Crises
nerveuses simulant des peurs; accès épileptiques
ougeole à deux ans. Vacciné, pas de varioloïde. Il a eu d'abord des
crises
nerveuses (deux ans); il semblait avoir peur, e
ntrique; à vingt ans, elle a eu des céphalalgies, des syncopes, des
crises
nerveuses sans convulsions, pendant une grosses
eaux, du sang, des fleurs. - Ces hallucinations persistent après la
crise
et durent toute la journée, résistant aux suggest
t méconnais- sable el c'est à ce jour qu'on peut l'aire remonter la
crise
qui ter- mine l'accès. Elle semble se concentre
leurs encore de la migraine, une sciatique, de la gastralgie, des
crises
de névralgie de l'ovaire (Cas. XXXVIII). Ce qui d
ques des avant-bras et des jambes. Ces crampes se manifestaient par
crises
qui se répétaient quinze à vingt fois par jour;
t par crises qui se répétaient quinze à vingt fois par jour; chaque
crise
durait à peine 30 secondes. Elles s'accompagnai
igence était intacte ; la sensibilité parfaite. L'apparition de ces
crises
avait coïn- cidé avec une augmentation du chiff
ennent des faits très intéressants mais mal interprétés; il y a des
crises
et des accidents cérébraux subits à apparence g
apparence grave, mais d'un pronostic moins sérieux. Toutefois, ces
crises
cérébrales sont souvent un des modes de termina
, obstacle à ce flux de paroles qui semble agir comme une véritable
crise
. Je ne rappellerai pas les autres troubles psyc
i rien ne s’était passé. Les rechutes sont fréquentes, et la dernière
crise
peut encore être loin du temps que vous aviez ima
isme, prédit sa guérison; cette guérison devait être précédée pailles
crises
d’un nature toute particulière: une espèce de com
Il augmente les forces médicatrices, favorise le développement des
crises
heureuses et combat celles qui ne peuvent être ut
changements qui doivent arriver dans leur organisation^ annoncer les
crises
, etc., etc. Ils peuvent aussi parfois voir les ma
d» rédacteur.), « présente ne sont que les prodrômes de la grande «
crise
qui sépare l'enfance de la puberté. * Dès le ma
rrible, elle l’est depuis huit mois; jamais, depuis cette époque, ses
crises
n’ont reparu. Je puis donc remercier la divine Pr
combustible, qu’il aurait été peu prudent de vouloir lui dérober. Les
crises
éprouvées par ce jeûne homme duraient à peu près
prêtres, ignorant le fond de la magie, étaient inhabiles à diriger la
crise
prophétique; de là ces oracles ambigus et tant de
ces exhalaisons souterraines qui inspiraient les sibylles dans leurs
crises
et leurs convulsions, si ressemblantes à celles q
inspiration. 11 n:est pas d’époque, de localité, de génération et de
crise
qui n’offre, soit dans les beaux-arts, soit en li
mais les Trembleurs des Cévennes, comme les Méthodistes, tombaient en
crise
à la suite de réunions fanatiques où le plus habi
fièvre imitative, toute la population nègre tombait successivement en
crise
. Quant au suicide, fascination tan tôt animique
saya de lui administrer une potion calmante. J’arrivai pendant que la
crise
durait encore, quoique plus faiblement. Je trouva
upposée, interrogé sur les moyens propres à empêcher le retour de ses
crises
nerveuses, il me dit qu'il fallait que je le saig
ur lui faire des remontrances, notre jeune homme éprouva une nouvelle
crise
nerveuse qui pourtant fut plus faible que la préc
t définitivement. Annonce des règles pour le 28. 27mai.— Première
crise
. Je la soutiens au lieu de chercher à la calmer.
a calmer. Je dégage seulement la tète où tend à se porter le sang. La
crise
a lieu dans l’épi— gastrc. 28 mai. — Les règles
mai. — Les règles sont arrivées abondantes comme les dernières. Deux
crises
d’une durée chacune de 10 minutes. Je ne les calm
Magnétisations de deux jours l’un. Ces 20 magnétisations ont amené 24
crises
. 11 y en a eu d’âbord jusqu’à 3 clans le môme s
lle s’est endormie quatre fois. Dans un de ces sommeils elle a eu une
crise
; elle était seule, et s’est donnée, en se débatta
était seule, et s’est donnée, en se débattant sous l’effort de cette
crise
, de fortes contusions contre un lit près duquel
somnambulique pour être à môme de suivre le travail qui se fait. La
crise
est des plus fortes qui se puisse voir. Le ventre
nne les renseignements suivants sur les causes et les suites de cette
crise
: «La matrice s’est définitivement replacée au
jours. 12 août. — Guérison radicale de l’amaurose à la suite d’une
crise
toute spéciale dans l'œil droit. Le 16. — La ma
uine. Le 19a lieu cette évacuation. Le même jour, prévision d’une
crise
prochaine qui doit enlever momentanément la lucid
ra le signe certain de la guérison radicale à 30 jours de celui de la
crise
. Transpirations nombreuses presque toujours ann
passé dans ce laps de temps. Je l’endors immédiatement. Elle a eu la
crise
prédite comme prochaine le 19 août. Lucidité et s
ours abondantes et d’une durée de six jours. 3 septembre. —Nouvelle
crise
. Le 10 la lucidité commence à renaître. Do vives
re. — Le travail critique a repris. Annonce, pour le lendemain, d’une
crise
devant amener une lucidité merveilleuse. 26 sep
rise devant amener une lucidité merveilleuse. 26 septembre. — Cette
crise
se déclare dans le foie et l’épigastre ; mais au
enoux et les pieds. Enfin je finis par devenir maître de cette double
crise
qui n’a pas duré moins d'une heure et demie. La
ur que je devinsse d’une lucidité étonnante comme je le disais, cette
crise
devait être soutenue, et il vous a fallu l’arrête
ne contrariété sur le somnambulisme. » 27,28 et 29 septembre. — Une
crise
dépuratoire ce dernier jour. Elle intéresse l’est
ie, elle me donna l’assurance du fait. La magnétisation détermine une
crise
assez forte occasionnée par le travail simultané
nnée par le travail simultané du foie et la vessie. Prévision d’une
crise
terrible pour le lendemain, mais ce sera lu derni
rrible pour le lendemain, mais ce sera lu dernière. 2 octobre. — La
crise
prévue a lieu en deux pariies. Dans la première,
musculaire. Le laps de temps qui a séparé les deux parties de cette
crise
a été d’une demi heure. Dans ce moment de repos l
nt dans le foie, par les diarrhées. » 3 octobre. — Les suites de lu
crise
d’hier ont été, dans la soirée et la nuit, deux é
re sur les reins. Je n’ai usé de passes longitudinales qu’après des
crises
. La somnambule trouvait que ce genre do magnétisa
’action magnétique dans un cas semblable, et je pensais que l'état de
crise
dans lequel se trouvait cette malade pouvait s'
e magnétisme ait rencontré : le somnambulismo. Mesmer a connu cotte
crise
; mais son génie et sa prévoyance étaient tels, qu
me, il lit part de sa découverte, et les magnétiseurs provoquèrent la
crise
, qui paraissait alors surnaturelle. Mais bientôt
s et de leurs somnambules. On n’avait pas alors reconnu combien cette
crise
est variable ; on lui assignait une fixité qui n’
calme du sage pour abandonner à l’agent seul le soin do développer la
crise
. Ne trouvez pas ces faits extraordinaires? Song
a^cès de somnambulisme se développèrent chez M. L**‘. Chacune de ses
crises
enfante un drame dont il est le héros; il parle h
viction, de démonstration, étaient restreints; c’étaient toujours des
crises
, des convulsions autour du baquet. Quant aux guér
it la magnétisation manuelle , ambulante ; dès lors plus de salles de
crises
, plus do ces horribles convulsions qui duraient d
s huissiers. « On s’empresse de la secourir, on la relève ; mais la
crise
continuant, elle s’échappe des mains qui la souti
apparut un léger strabisme intermittent, en même temps que quelques
crises
convulsives se montraient du côté droit mais no
aucun ren- seignement précis. Nous avons appris, cependant, que ces
crises
convulsives s'accompagnèrent d'un affaiblisseme
i n'est pas constante et survient par intermittences. Il n'a pas de
crises
convulsives, soit généralisées, soit localisées
interpréter ces faits. On sait quelles analogies existent entre les
crises
convul- sives de l'éclampsie puerpérale et cell
ement une place prédo- minante. E. B. III. La conscience dans LES
crises
épileptiques; par le DI" Bombarda. . (Revue neu
sition entre l'inconscience absolue qui ac- compagne d'ordinaire la
crise
d'épilepsie généralisée et le maintien de la co
ilepsie généralisée et le maintien de la conscience au cours de ces
crises
, l'auteur cite deux cas qui lui paraissent prob
roire que la notion scientifique de la substitution possible, à une
crise
convul- sive, d'une crise de l'intelligence pou
ifique de la substitution possible, à une crise convul- sive, d'une
crise
de l'intelligence pouvant amener une impulsion
omment l'auteur put reconnaître la simulation ; par l'accusé, de la
crise
postérieure au crime et l'absence de rela- tion
médecins diagnostiquaient des symptômes d'hystérie. Au cours de ces
crises
, il lui arrivait de frapper ses grands-parents,
uérison peut être obtenue, même à un âge avancé; 10° la durée d'une
crise
de mélancolie avant l'internement du malade dan
utes de courte durée est supérieur au taux fourni par les premières
crises
d'égale durée; 11° la durée du trai- tement à l
as qui ne relèvent pas de l'hérédité; 14° le plus ordinairement, la
crise
de mélancolie a une cause physique; il est moin
s l'hypothèse d'une paralysie générale, on aurait pu penser que les
crises
épileptiformes avaient été prises pour de l'épi
ime qu'il s'agit là d'un cas d'épilepsie larvée, et que la dernière
crise
, qui a été plus longue et plus violente que les
ation consistaient au début en de la fièvre, de la tachycardie, des
crises
de tremblement et, souvent aussi, en une agitat
ids en moins de huit 230 SOCIÉTÉS SAVANTES. jours), accompagné de
crises
, de diarrhée et de malaise ; l'agitation fait p
e période d'excitation très manifeste (éclat particulier de l'oeil,
crises
de tremblement et de dyspnée qui duraient envir
Quand on multiplie les injections, l'amaigrissement s'accentue, les
crises
de diarrhée et de mélaena se répètent jusqu'à la
s et par une aggravation concomitante des troubles men- taux. A ces
crises
correspondait un gonflement de la tumeur thy- r
nomènes ont paru connexes, l'évolution du goitre semblait liée à la
crise
fébrile et aux manifestations délirantes. Il y
ompli les mêmes actes inconscients, tous deux enfin sortent de leur
crise
d'une manière identique. L'un a eu des attaques
rend aucun compte. L'inconscience résulte de l'évolution même de la
crise
et provient d'un autre phénomène bien plus impo
du souvenir des actes accomplis et des faits survenus pen- dant la
crise
impulsive. L'amnésie doit être considérée comme
une notion assez obs- cure, assez vague de certains incidents de sa
crise
. Il ne se rappelle pas tout, mais quelques part
ais chez eux l'incons- cience est tout à fait rare; le souvenir des
crises
persiste et, en tout cas, leur manière d'être,
ersiste et, en tout cas, leur manière d'être, dans l'intervalle des
crises
, est bien diffé- rente de celle des épileptique
pileptiques, il est certain qu'elle est pleine et entière entre les
crises
; mais cependant, après la fugue, la responsabi
s sans rapport avec leur état maladif; l'un d'eux a même simulé une
crise
peu après l'arrestation et prétendu ne se souve
qui même, en tant que simples vicieux et délinquants hors de leurs
crises
, ne peuveut pas ne pas subir, à quelque degré, un
toute autre idéal ion en sa faveur; le malade sentait à cela que la
crise
était proche et il s'arrangeait de façcn à l'évit
la grossissait par la volonté, et si la lutte pouvait s'établir, la
crise
ne survenait pas, l'idée thérapeutique combatta
ait pas, l'idée thérapeutique combattait l'idée pathogène, sinon la
crise
suivait son cours. La crise était aussi arrêtée p
e combattait l'idée pathogène, sinon la crise suivait son cours. La
crise
était aussi arrêtée par un appel violent de l'a
ux ordres de faits : il est des malades qui marchent au cours d'une
crise
hysté- rique, sous l'influence de leur délire.
ascendants d'épileptiques. Ne peut-on pas, en effet, considérer la
crise
épileptique comme partout au moins favo- risée,
commença à res- sentir des douleurs abdominales qui revenaient par
crises
, duraient quelques jours et se terminaient par
885, les douleurs cessèrent presque complètement, sauf pourtant les
crises
entéralgiques, mais les troubles de la marche o
s'exagérèrent, puis changèrent de caractère pour se transformer en
crises
rectales typiques, dont la violence conduisit l
el. - W... est de taille moyenne, maigre, pâle, très souffrant. Les
crises
rectales se répètent tous les jours et même deu
es sont terribles et durent plusieurs heures. Dans l'intervalle des
crises
, W... marche un peu en poussant une chaise deva
l'hô- pital, son affection évolue d'une façon lente, monotone; les
crises
rectales s'atténuent et disparaissent vers le m
r des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Diplopie.
Crises
de diarrhée avec coliques. En juillet, la marche
trijumeau, la céphalalgie, l'insomnie, la perte de la mémoire, des
crises
épileptiformes, la folie, etc., ont été signalé
ANNOIS (de Lyon). Hémianopsie hystérique chez un trépané atteint de
crises
épileptiques jachsoniennes. Un homme frappé d'un
né pour l'ablation d'esquilles osseuses, présente dans la suite des
crises
d'épilepsie jacksonienne. Après une série de ces
a suite des crises d'épilepsie jacksonienne. Après une série de ces
crises
, on constate chez lui de l'hémianopsie et une ane
annier. Amyotrophie Charcot-Marie chez l'adulte. BOURGUI- gnon. Des
crises
gastriques dans le tabes. l\IOUNDIC, Du délire
UE DE THÉRAPEUTIQUE. 377 3° Les bromures retardent l'apparition des
crises
, mais dans la plupart des cas font plus de mal
quantité d'urée éliminée ayant constamment été plus grande après la
crise
qu'avant. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
paraissent par l'abstinence, tandis que les seconds persistent. Les
crises
hystériques peuvent d'ailleurs être provoquées
suggestion a semblé constituer une véritable torture, une sorte de'
crise
épileptique. L'un d'eux était tellement fatigué q
age de s'afficher comme tel. Son exemple hâtera le dénouement de la
crise
1. » SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE DE BERLIN. Séance
- psychiatrique de Berlin, par Sérieux, 489. Conscience dans les
crises
épilepti- ques, par Rombarda, 38. CItA-,10.IÉ
ez l'homme par Maupâté, 474. Epileptiques. La conscience dans les
crises
-, par Bombarda, 38. Gliose cérébrale chez les
e aussi, mais moins que le mari. Ni l'un ni l'autre n'a présenté de
crises
nerveuses. Le malade a eu 2 frères et 2 soeurs.
ort du croup à 13 mois. Une soeur, âgée de 20 ans est sujette à des
crises
nerveuses, depuis plusieurs années : elle a été
ère emporté : il se met facile- ment en colère. Il n'a jamais eu de
crises
nerveuses, mais depuis 2 ans en- viron, il a qu
me temps, emporté, se met facilement en colère. Il n'a jamais eu de
crises
nerveuses, mais des secousses nocturnes, comme il
- gré bien accentué et surtout la maladie se présente sous forme de
crises
nocturnes, qui disparaissent ensuite dans la jo
de parents émotifs ou nerveux, d'un caractère emporté, prenant des
crises
ou affectés de migraines. Il y a une certaine c
nt. Cette jeune fille n'a présenté ni céphalalgie unila- térale, ni
crises
convulsives où douleurs dans le côté atteint ains
des convulsions que cette figure rappelle celle de l'hystérique en
crise
. Le dessin de Saint-Pétersbourg est peut-être p
rien d'invraisemblable. Jordaens n'a-t-il pas fait des possédés en
crise
. Et à la même époque, Breughel n'a-t-il pas repro
ifique resta sans effet. Peu de temps après survint brusquement une
crise
typique d'épilepsie jack- sonienne dans tout le
out le côté droit, côté opposé à la lésion du tégument crânien. Les
crises
se répétèrent fréquemment ; une intervention chir
un liquide clair. Les suites opératoires furent bénignes, mais les
crises
épileptiformes reparurent, toujours limitées au
e spasmodique immo- bilisa à peu près le malade ; en même temps les
crises
épileptiformes se répé- taient avec la même fré
ap- prit ni à lire ni à écrire. A 18 ans, la malade eut plusieurs
crises
convulsives ; depuis quelques mois, elle urinai
ives ; depuis quelques mois, elle urinait souvent au lit. Après ses
crises
, la malade présentait des troubles mentaux grav
En serrant fortement les poignets de la malade, on peut arrêter la
crise
. Cet état persiste sans changement pendant dix-
Cet état persiste sans changement pendant dix-sept ans. En 1897, les
crises
sont plus fréquentes ; la malade tombe tous les
guer sa droite de sa gauche, elle peut s'habiller seule. B... a des
crises
d'épilepsie beaucoup plus fréquentes; jamais, ell
tes; jamais, elle n'a eu d'hallucinations de la vue au début de ses
crises
; l'aura se manifeste toujours par une sensatio
accès, B... reste obnubilée. Dernièrement, à la suite de plusieurs
crises
subin- trantes, elle est restée huit jours dans
on caractère est resté gai. Le 14 juillet 1902, B... a une série de
crises
épileptiques et tombe dans le coma ; le lendema
ment physique et intellectuel normal. Jamais de convulsions ni de
crises
. Vers l'âge de 7 ans, traumatisme assez sérieux
vomissements incoercibles, alimentaires, muqueux ou bilieux. Les
crises
durent une huitaine de jours et se reproduisent à
bue cette kératose à ce qu'il se mord accidentellement, pendant les
crises
gastriques, lorsqu'il met les doigts dans la gorg
la série tabétique ont dé- buté. Ces symptôn1èsSOfiC ? ' ? 1- Des
crises
gastriques cadrant avec la description classique
drant avec la description classique de la forme la plus commune des
crises
gastriques du tabes ; 2° Des troubles oculaires
syphilis. Ce labes s'est traduit par des troubles oculaires, par des
crises
gastriques, par l'abolition des réflexes tendin
s le membre supérieur droit; ces douleurs survenaient sous forme de
crises
s'ir- radiant vers l'épaule et le dos. L'usage
ses, comme il s'en produit au début des paraplégies, et non plus de
crises
né- vralgiques, nécessitant une lésion névritiq
11 est fait mention également dans l'observation de Rendu, de trois
crises
vertigineuses, sans convulsions ni perte de con
ons ni perte de connaissance, qui sont peut-être à rapprocher de la
crise
d'obnubilation intellectuelle que nous avons ob
té des membres supérieurs et une certaine inhabileté des mains. Des
crises
névralgiques (céphalalgie, névralgie intercostale
nt dans le bras gauche et affectent le caractère paroxys- tique des
crises
angineuses. Cependant l'examen du coeur ne permet
e jour, il est pris brusquement à 1 heure 1/2 de l'après-midi d'une
crise
convulsive généralisée, à caractère épileptiforme
e crise convulsive généralisée, à caractère épileptiforme. D'autres
crises
semblables se succèdent à des intervalles plus ou
grimace, les yeux, injectés de sang, demeurent fixés en haut. Cette
crise
convulsive, d'une durée de deux minutes environ,
aduisit guère en effet que la veille de la mort par l'apparition de
crises
convulsives épileptiformes. Malgré son enclavem
t d'une femme d'une trentaine d'années qui semblait présen- ter des
crises
de'contracture des membres inférieurs. Pendant ce
ses de'contracture des membres inférieurs. Pendant certaines de ces
crises
, elleparaissait atteinte d'une contracture hystér
S ET TREMBLEMENT, ,WJ ? Z"P ? t&nÉNIQUES 211 temps en temps des
crises
d'agitation ? 6Th'"s routait dans son lit, se dé-
routait dans son lit, se dé- battait, criait, mais jamais dans ses
crises
elle n'a perdu connaissance, et elle gardait le
ouvoir d'arrêter ses gesticulations de temps en temps ; ce sont des
crises
hystériques bien incomplètes. D'autre part, il n'
us ou moins convulsive que l'on confond presque tou- jours avec des
crises
d'hystérie. Ces agitations diffuses ont existé ch
iffuses ont existé chez nos deux malades : la jeune femme, a eu des
crises
avec cris et convulsions, l'homme a eu surtout
a eu des crises avec cris et convulsions, l'homme a eu surtout des
crises
viscérales et des angoisses. De telles agitatio
matisation dans l'agitation motrice des psy- chasténiques. Entre la
crise
d'agitation motrice purement diffuse et les tic
t du côté malade. Appareil digestif. Sain. Appétit conservé, pas de
crises
viscérales. Appareil respiratoire . Normal, auc
é, pas de crises viscérales. Appareil respiratoire . Normal, aucune
crise
laryngée. Appareil urinaire. Le besoin d'uriner
rcroît, le prétendu possédé selon la règle un hystérique, avait des
crises
tapageuses, tirait la langue, grinçait des dents,
e est représenté debout, soutenu par un assistant et en proie à une
crise
nerveuse. Selon la tradition il est enchaîné ; -
lade qu'elle ne vomira plus après ses repas et qu'elle n'aura plus de
crises
nerveuses ni de contractures. Le réveil est facil
mamelon. Arrêté à la suite d'une tentative de suicide au cours d'une
crise
d'alcoolisme aigu. A tenté de se tuer en se donna
in d'une cause réelle ; une idée, un souvenir, suffit pour ramener la
crise
. Nous avons pu nous rendre compte de l'intensit
térinaire qui, après avoir été mordu par un chien enragé, fut pris de
crises
d'hydrophobie ; on substitua au chien qui l'avait
r mériter d'être publiés. Nous signalerons en particulier un cas de
crise
hystérique par imitation, qui a fait l'objet d'un
ie inconnue, le troisième est bien portant. La mère est sujette à des
crises
nerveuses pendant ses grossesses. Le malade que
re. Parmi les variétés et les formes dites incomplètes de la grande
crise
, il faut citer, en particulier, celles où les phé
supprime ce qui reste de conscience au malade clans l'intervalle des
crises
, ce qui le rapproche du somnambulisme. Les noti
ier et Mesnet ont guéri par l'hypnotisme beaucoup de gens atteints de
crises
nerveuses, ils n'ont jamais provoqué chez leurs m
Louise G... était en proie à un délire aigu entrecoupé par de grandes
crises
convulsives. La malade passait son temps à bercer
iter une poupée qu'on lui avait donnée, à la place de son enfant. Ses
crises
étaient de grandes crises convulsives, dans le co
avait donnée, à la place de son enfant. Ses crises étaient de grandes
crises
convulsives, dans le cours desquelles se reprodui
auvez-vous, la maison s'écroule. » Au bout de trois mois, après une
crise
plus violente que les autres, la raison lui revin
rentre chez elle, et trois jours après éclate brusquement une grande
crise
convulsive. C'est le commencement d'une nouvelle
est le commencement d'une nouvelle série d'accidents hystériques. Les
crises
se multiplient. Elle en a sept, huit, par jour; e
que analogue (Bouinais et Paulus, Bibl. Guimet, 73) et citait par les
crises
hystériques que se faisait l'évocation des morts.
, l'hystérie, etc., avait produit des accidents physiques et même des
crises
convutsives. J'ai pu toujours neutraliser ces acc
thésies psychiques; e) idées fixes (on les combat difficilement; ; f)
crises
convulsives ; g) morphino-manie (résultats très i
x antérieurs, telle devait être sa fin. La malheureuse souffrait de
crises
nerveuses fréquentes, au point qu'elle ne mangeai
médication classique par les médecins qu'elle avait consultés. Les
crises
n'étaient pas fréquentes autrefois, mais, depuis
la douleur, si bien que la malade, même dans la simple crainte d'une
crise
, se faisait une piqûre pour éviter la souffrance.
je recevais une dépêche qui me demandait en hâte. La malade avait une
crise
violente, le mari craignait d'augmenter la quanti
us vous sentirez prise de malaises qui vous indiquent d'ordinaire une
crise
, vous tomberez dans l'état hypnotique, et vous vo
tourné la voir et je retrouvai la malade en parfait état de santé. La
crise
, non seulement est enrayée dès son apparition, ma
tout autre stupéfiant, ou anesthésique, se conçoit aisément. Mais les
crises
éloignées, presque supprimées, ont laissé dans mo
niquer. La malade a le foie hyperthrophié ; les urines, pendant les
crises
, avaient la couleur caractéristique. Elle n'a auc
n état aussi bon que celui dont il jouissait dans l'intervalle de ses
crises
relativement bénignes. Il était capable de vaqu
fantômes effrayants qui passent sous les yeux du malade aux heures de
crise
. Ce rapprochement permettrait de traduire Menabé
ions. » « Appelé un jour auprès de trois jeunes filles atteintes de
crises
, il les trouva dans l'état suivant : « Les trois
mène à l'infirmerie de la Mission où il ne tarde pas a assister à une
crise
complète : « A peine rentrées dans la case-infirm
: « A peine rentrées dans la case-infirmerie, elles sentent venir la
crise
et demandent la présence du Père. Le garde-malade
eur promettant de les assister ; j'ai pu alors me rendre compte de la
crise
dans tout son développement. Les frissons précurs
ntrée, on fait venir les sorciers qui pendant que les malades sont en
crises
, se livrent À diverses jongleries accompagnées d'
ne véritable épidémie d'attaques hystériques qui se changent alors en
crises
maniaques que le P. Castets décrit comme il suit
e en pousant des cris et fait mille contorsions. A chaque fois que la
crise
reprend ou semble devenir plus aiguë, c'est un no
suite d'une frayeur, sont aux hystériques, rarement isolés dans leurs
crises
venues aussi par une même frayeur. Les premiers d
à Lausanne. Il s'agit d'un homme dans la force de l'âge atteint de
crises
soranam-buliques depuis plusieurs années, précédé
lusieurs années, précédées par une aura sensitive ou sensorielle, les
crises
s'accompagnaient de nombreux stigmates permettant
va en effet ainsi, et dès lors, c'est-à-dire depuis six semaines, les
crises
ont complètement cessé. Tous les narcotiques, chl
, à peu près toujours le même. Ne disons donc pas que la malade a des
crises
de sommeil, disons plutôt qu'elle a des attaques
ques, ni les rêves qui remplissaient ses extases. Pour comprendre ces
crises
singulières, il faut d'abord remonter à leur débu
tout un sommeil hystérique analogue à celui qui suivait ses premières
crises
. Une fois, ce sommeil s'est prolongé huit jours.
e ne buvait pas, etc. » Elle se souvient même que, dans ses premières
crises
, elle pensait constamment à son père, le'marchand
ussi, car cela est curieux, sur les pensées qu'elle avait pendant les
crises
d'extase que je vous ai décrites. Elle s'interrog
hanteur ambulant du nom de Joseph Lespris, 27 ans, a été pris d'une
crise
d'épilepsie sur le boule- vard de Bazeilles, au
ite pour leur réadmission. Une fois sortis, s'ils retombent, si les
crises
deviennent plus fréquentes, il faut recommen- c
ac a7zs.-Erznuis el et tristesse dans la douzième année. - Première
crise
à treize ans (février 1898). - Ensuite quelques
ux. - Traitement par le bromure de camphre Disparition complète des
crises
en juin de la même année. Main- tien de la guér
ès et a eu son certificat d'études à douze ans. Avant la première
crise
(février 1898) qui a duré deux à trois heures,
ation de boule venant de l'estomac et s'arrêtant dans la gorge. Ces
crises
avec boule revenaient tous les jours pendant un
ent tous les jours pendant une heure. Vers le mois de mai 1898, les
crises
avec boule onC été remplacées par des crises co
mois de mai 1898, les crises avec boule onC été remplacées par des
crises
complètes. Elles étaient annoncées par une envie
t à elle en poussant des cris et en souffrant du coeur. La première
crise
dura deux heures. Les grandes crises se sout re
souffrant du coeur. La première crise dura deux heures. Les grandes
crises
se sout reproduites tous les jours jusqu'à quat
ment à la Sal- pêtrière (2C juillet 1898), elle aurait eu après ses
crises
des atta- ques de folie. Elle mangeait de l'her
re du premier étage comme si elle voulait se jeter dans la rue. Les
crises
de folie duraient deux ou trois heures. Pas d'o
A la Salpêtrière où elle reste jusqu'au 28 novembre, elle a eu deux
crises
en juillet et 5 en août (lettre de M. J. Voisin).
mère pater- nelle nerveuse, sujette à de violentes colères et à des
crises
épilep- déserteur on ne sait pourquoi, à été co
; l'enfant se plaint du reste de palpitations et a quelquefois des
crises
d'étouffement. Mais il nous a été donné de cons
té très médiocre par suite de l'é- tat intellectuel du sujet et des
crises
épileptiques qui se renouvelaient fréquemment.
e. Mère, rien de particulier. - Grand'mère maternelle, migraineuse,
crises
hystériformes. - Arrière- grand-père maternel m
Vertiges au réveil de 3 mots à 18 mois. - Durant la même période,
crises
convulsives tous les 3 mois prédominant à droite
es migrai- nes qui duraient 3 jours ; très nerveuse ; aurait eu des
crises
/stërt/br)nes sans perte de connaissance. Elle
tenir comme une barre » puis il devenait mou. 11 aurait eu 6 ou 8
crises
par jour, durant de cinq minutes à une heure au
issait. Durée au plus une minute. - Pas de secous- ses isolées. Ces
crises
sont venues tous les jours jusqu'à un an et dem
il lui est arrivé d'avoir à peu près tous les trois mois de grandes
crises
convulsives avec contractions de la face, batte
gidité. Ces séries duraient environ deux heures. La dernière grande
crise
a eu lieu à 18 mois. Il aurait eu 6 grandes sér
chagrin ( ? ) de l'autre. - Du côté maternel, des migraines et des
crises
hystériformes chez la grand'mère, des attaques
usses très fréquentes, et environ tous les trois mois des grandes
crises
dans lesquelles les convulsions prédominaient h
arrivé pour que tout le monde soit si triste depuis quelques jours.
Crises
de pleurs très fréquentes. 7 février. II... s'a
Compte-rendu de 1895, p. 77; - 9° Alcoolisme, instabilité mentale,
crises
hystériformes, guérison (en collaboration avec
) des bras et des jambes, sembla se porter aussi bien, après cette
crise
. On ne remarqua pas de paralysie , on assure mê
ait sensiblement, était devenue dure et ne battait plus après cette
crise
. Ces convulsions du 15° jour furent les seules
ourit rarement. Le soir avant de s'endormir, elle a fréquemment des
crises
de colère ; son sommeil est parfois entrecoupé
uelle, inertie habituelle ; la malade dit ne pas se souvenir de ses
crises
passées. Le 1 cr décembre et les jours suivants
ce, tout se passe en paroles et en quelques ges- ticulations. Cette
crise
est loin d'égaler les précédentes par son inten
ations pessimistes de modifications cénesthésiques mal déterminées.
Crises
d'anxiété et de désespoir, sous l'influence des-
n. Le 5 nov. Elle est nettement au-desssous de la moyenne. et a une
crise
d'anxiété la nuit suivante. D. Champ visuel DES
t avec les troubles de l'activité générale, précédant ou suivant la
crise
. (1) Nous n'avons noté que les hallucinations s
le pour les 2 yeux, le lendemain matin à 10 heures, le malade a une
crise
très violente, le champ pris à 4 heures du soir,
yeux. Le 2 octobre. Ou a un rétrécissement pour l'oeil droit et une
crise
dans la soirée. Le 10 oct. Rétrécissement pour
30. Rétrécissement pour les 2 yeux.- Le 31 à 2 h. de l'après-midi,
crise
violente. On ne peut pas prendre le champ visue
ystérie ou d'épilep- sie ; on ne relève dans ses antécédents aucune
crise
convulsive, aucun vertige, aucune absence qui p
suivent les excès de boisson. » Pas de stigmates hystériques, ni de
crises
convulsives, ni d'ab- sences. Pas de cauchemars
le. l ? Janet en a observé quelques exemples (1). Il y voit des «
crises
de marche pour la marche » chez des psychasthén
« idées obsidantes » (Zwangsvorstellungen), Ces « agités » ont des
crises
plus ou moins durables dans (1) P . -1,%.iL'T.
nés. Peut-être s'agit- il ici parfois de circulaires frustes. Des «
crises
de mar- che » similaires se rencontrent encore
es secondes, on les distinguera, par l'anamnèse, les concomitances (
crises
convulsives,- stigmates), des fugues hystérique
l, n° 18, 1906.) Un sujet de 75 ans est depuis trois ans atteint de
crises
verti- gineuses-syncopales, avec diplopie. Sous
e prendre qu'un exem- ple, on éviterait à certains malades bien des
crises
d'agitation en respectant certaines de leurs ha
r muler de conclusions générales. R. 111. C. II. Simulation de la
crise
d'épilepsie-; par Cn.wIO : NY. (Bulle- tin médi
st en général très difficile d'être fixé sur la nature exacte d'une
crise
nerveuse à laquelle on n'a pas assisté et qui d'a
n ait constaté des signes nettement apocryphes. Maison sait que les
crises
sont souvent identiques chez un même sujet,de p
ue les crises sont souvent identiques chez un même sujet,de plus la
crise
laisse après elle des troubles de la réflectivité
au « petit mal » il est important de noter que la malade a eu trois
crises
épileptiformesdans aucune desquelles elle ne s'
erdent beau- coup des symptômes caractéristiques de l'hystérie; les
crises
hysté- riques notamment disparaissent souvent.
es généraux sujets à des accès d'angoisse cessant à l'apparition de
crises
épileptiformes ; l'au- teur se demande s'il n'y
résenta des phénomènes d'excitation maniaque à laquelle succéda une
crise
hystérique franche : ces phénomènes se renouvel
orphine calmèrent cette série d'attaques qui se terminèrent par une
crise
violente de manie aiguë qui dura six semaines s
deux enfants : un fils et une tille bien portants. Il a eu quelques
crises
de colique hépatique ; a été con- damné, dans s
llement âgé de 40 ans (1903). Mère, 70 ans, hien portante- A eu des
crises
de nerfs alors qu'elle était enceinte de noire
ses parents, aller déjeuner dans un restaurant de banlieue, etc. La
crise
passée, il recouvre le sommeil, dort même chaqu
emps et profondément, est apathique, déprimé, triste. Pendant ses
crises
d'excitation, il a de la diarrhée, des sueurs f
eur mélancolique. Le malade a eu de 16 mois à 7 ans, quatre ou cinq
crises
con- sulaires qui débutaient par des vomissemen
gleterre où reste six mois, pendant lesquels il aurait eu plusieurs
crises
hystériformes. Deux ans après sa réforme, il s'
onscientes, mné- siques. répétées ; le sujet présente une véritable
crise
de mouvement inquiet. Diagnostic différentiel a
ostic différentiel a) fugues d instabilité des déments précoces, b)
crises
de marche des psychasthéniques, c) fugues des a
ar le Pl BERNHEIM, de Nancy. (Bulletin médical, n° 52, 1906.) Les
crises
dites hystériques ne sont qu'une réaction psychod
l s'agit d'une femme de 3S ans qui depuis huit mois, présentait des
crises
nerveuses à type hystérique, puis la vue se per
ises tantôt du côté droit, tantôt du côté gauche : puis apparut une
crise
épileptiforme bravais-jacksonienne typique. Ell
les accès épileptiques se manifestant exclusivement par groupes de
crises
subintrantes ou très rapprochées, les intervall
e des symptômes qui peuvent fort bien n'être que les préludes d'une
crise
d'aliénation mentale.L'auteur examine et discut
yroïde, une surex- citation cérébrale désagréable, des colères, des
crises
de larmes, des points douloureux. Ultérieuremen
ieurement, un seul cachet de 0 gr. 06 a provoqué de l'insomnie, des
crises
de pleurs, de 1'liypeie;- thénie cérébrale. I
e précordiale et des autres troubles physiques qui accompagnent les
crises
paroxystiques. La disparition des sentiments de
daires, il faut signaler le clignement des paupières (Ziehen) ; les
crises
d'hypersécrétion sudorale (Ziehen, Trom- ner)la
n, Trom- ner)lasialorrhée (Tromner).J'ai constaté fréquemment les
crises
d'hypersécrétion sudorale. Quant à la sialorrhée,
d'être souvent piqué à la fesse, lia de nombreuses impulsions, des
crises
d'agitation dangereuses mais de courte durée, e
ations, les troubles cénestbésirlues, la dépression morale avec des
crises
d'anxiété, ouvrent la scène morbide de la pério
je sens que je deviens fou >. Par mo- ments, il a de véritables
crises
d'angoisse accompagnées de phé- nomènes d'oppre
res fois, ce sont des explosions de'rires brè- ves ou de véritables
crises
de « /'ou rire » durant environ une demi-heure
de « /'ou rire » durant environ une demi-heure et finissant par des
crises
de larmes, qui viennent interrompre la dépressi
ne durée et une in- tensité proportionnelles à la dose ingérée ; la
crise
thermique,c'est- à-dire la période du maximum d
, ce qui est plus intéressant, dans la ré-évolution consécutive aux
crises
d'épilepsie ; on la trou- ve aussi dans les éta
ticularités intéressantes, notamment le caractère très accentué des
crises
douloureuses au début, ce qui est inusité, ensuit
s, atteint jadis do paralysie spinale infantile et qui présente des
crises
de para- lysie passagère depuis l'âge de 18 ans
s de para- lysie passagère depuis l'âge de 18 ans. Il rapproche ces
crises
spinales de celles qu'ont discutées MM. Ballet
-Marie. MM. CLAUDE et F. Rose présentent une hystérique qui a des
crises
convulsives avec hématémèses abondantes, et un ca
chiques, et, suivant ses variations, son degré et sa durée, par des
crises
transitoires, des stigmates perma- nents ou des
ÉJERINE présente une femme de 45 ans, atteinte à l'âge de 13 ans de
crises
hystériques, qui durèrent deux ans ; elle guérit,
- vaient être impressionnés en présence d'un malade atteint d'une
crise
de haut mal : les convulsions, l'aspect grimaçant
ir consulter un spé- cialiste.llier matin, à9 heures.au cours d'une
crise
subite de folie aiguë, M. Blondel s'arma d'un r
e radiographie, p. 418. Crime. Voir Paralysie. -- Voir Folie.
Crise
d'épilepsie. Simulation de la ; par Chavigny, p
n ; par Lewis et Bruce, p. 492. -. V. Sciatique. Simulation. Voir
Crise
d'épilep- sic. - sur une base morbide ; par T
soit pour les épileptiques atteints de folie, avant ou après leurs
crises
convulsives, ou d'accès psychiques (cellules) ;
ntelligence, ceux qui dorment plus ou moins long- temps après leurs
crises
et conservent ensuite, durant le reste de la jo
nous l'ignorons. Elle était plus étendue à droite qu'à gauche. Les
crises
de colère, les troubles vaso-moteurs, les verti
uberculose pulmonaire. - Arrière-grand-père mater- nel, sujet à des
crises
probablement congestives. Chute avec frayeur au
31 ans; cette dernière aurait été atteinte d'hystérie, sans grande
crise
et « aurait eu le cerveau un peu fêlé. » Dans s
maladie ; tuberculose probable. -Grand-père paternel a été pris de
crises
nerveu- ses vers 65 ans, à la suite d'un chagri
ne de ses filles qui faisait des excès de boisson ; il mourut d'une
crise
, à l'âge de 81 ans. - Grand'mère paternelle, mort
mort d'alcoolisme. Un des arrière-grands-pères materne Is a eu des
crises
nerveuses ( ? ). - IL La conception de l'enfant
cinq ou six fois des con- vulsions. La première fois, il eut trois
crises
dans la mémo journée. La première d'une durée d
ralisée, paupières ouvertes, yeux fixes, face non grimaçante. Les
crises
ultérieures, nocturnes, furent moins longues, la
marqué de changement de l'intelligence après les con- vulsions. Les
crises
cessèrent ver 10 mois. L'enfant a toujours été
de défécation ; som- meil consécutif durant 2 à 3 heures. Après les
crises
, l'intel- ligence était diminuée. Le caractèr
tion d'un accès. L'enfant ne parait éprouver aucun malaise avant la
crise
. - Elle tombe subi- tement, crie puis s'agite b
jouit d'une bonne santé générale, elle est nerveuse, sans avoir de
crises
cependant ; les grandes émotions déter- minent
. les yeux étaient animés de mouvements, le visage était pâle. La
crise
durait ainsi deux heures environ et était suivie
quemment, parfois plusieurs fois par jour. A 14 mois, à la suite de
crises
répétées, elle resta durant quatre jours sans p
ièvre. Elle avait maigri progressivement beaucoup. A la suite de la
crise
de 4 jours que nous venons de signaler, l'oeil
si son développement devenait normal. A partir de l'époque de cette
crise
importante, la tête grossit peu à peu. Des conv
naient approximativement deux à quatre fois par mois. Parfois des
crises
plus graves se produisaient ; on crut ainsi la pe
n crut ainsi la perdre au 14 juillet de l'an dernier, elle resta en
crise
de 5 heures du matin à 4 heures du soir. L'atta
partir de cette attaque, début véritable de son hydrocéphalie, les
crises
convulsives se répètent le plus souvent peu int
la résultante de poussées méningitiques répétées, poussées dont les
crises
convulsives ont été les symp- tômes les plus ma
entourage. A partir de 4 mois et demi se sont manifestées de fortes
crises
avec convulsions cloniques généralisées qui se
uite de ce traitement, on n'aurait plus vu se reproduire de grandes
crises
mais seulement des vertiges qui se répétaient j
moyenne, trois par semaine. Il n'est jamais resté une semaine sans
crises
. Au début de la crise, il crie, puis tombe. Les
aine. Il n'est jamais resté une semaine sans crises. Au début de la
crise
, il crie, puis tombe. Les convulsions sont géné
que temps, vers 7 ou 8 heures du soir, il survient spontanément une
crise
douloureuse; en dehors de ces crises, l'hyperes
r, il survient spontanément une crise douloureuse; en dehors de ces
crises
, l'hyperesthesie ne se révèle que sous l'influe
ercle, attitudes passionnelles) d'après la description du père. Les
crises
, qui au début duraient parfois la journée entière
e. Quelques jours après l'accouchement, elle a commencé à avoir des
crises
nerveuses ainsi constituées : battements dans l
u l'alignée, mais sans présenter aucun abattement intellectuel. Ces
crises
se reproduisent parfois plu- sieurs fois par jo
période de quinze jours. La malade paît com- plètement guérie : les
crises
elles-mêmes n'ont pas reparu. Observation XI.
t ni alcoolique, ni syphilitique. Elle n'a jamais été sujette à des
crises
de nerfs, ou à d'autres phé- nomènes nerveux.
blanchi du même côté. Anstie a vu un enfant de six ans atteint de
crises
épileptiques avec éphidrose partielle de la fac
cette attaque par de l'obtusion des idées. Dans la nuit, deuxième
crise
semblable à la précédente. Il a de nouveau assi
aujourd'hui et il y a plus de deux mois que la malade n'a pas eu de
crises
spontanées. Fig. 12. 102 REVUE CRITIQUE. 7
dit-il, à rechercher la cause de symptômes observés dans le tabes :
crises
douloureuses viscérales, crises de diarrhée, tr
symptômes observés dans le tabes : crises douloureuses viscérales,
crises
de diarrhée, troubles sécréteurs ou vaso-moteur
la thermanes- thésie de la main ainsi que des élancements et des
crises
douloureuses dans le membre supérieur droit, et
u criard. - Ces sortes d'accès alter- nent irrégulièrement avec les
crises
vertigineuses décrites plus haut. Etal psychi
çon calme dépense moins que celui dont le sommeil est coupé par des
crises
convulsives. Mais un fait très intéressant, ser
prise entre deux convulsions, car. en somme, lorsqu'il survient une
crise
, on peut dire rationnellement que c'est une aut
de douleurs de tète, ont la vue troublée, refusent de par- ler. Des
crises
avortées, des rires inextinguibles de plus en plu
ntat à la pudeur commis sur une jeune fille atteinte d'hystcre avec
crises
de sommeil. (Ait- nales Medieo ? c/i., Ce série
blessure de la plante du pied présenta, un tétanos généralisé avec
crises
de contractures très douloureuses. Le bromure d
aux douleurs fulgurantes des ataxiques; elles peuvent produire des
crises
viscéralgiques ; elles peuvent enfin déterminer
ions inédites de malades se plai- gnant de douleurs fulgurantes, de
crises
gastralgiques, d'incoordination des mouvements,
e. Excès vénériens habituels. En 4 876, à l'âge de trente-cinq ans,
crises
de courbature muscu- luire. - En 1877, crises d
e de trente-cinq ans, crises de courbature muscu- luire. - En 1877,
crises
de douleurs aiguës, lancinantes siégeant primit
frigidité. De 1 88 ci 886, troubles de la miction, tenesme rectal,
crises
gastriques. Douleurs fulgurantes types. Persist
ice à l'hôpital Saint-André de Bordeaux, le 27 avril 4881, pour des
crises
douloureuses et de l'incoordination des mouveme
apparut dans le courant de l'année 1876, et fut constitué par des
crises
de courbature musculaire. Sans avoir fait de trav
pos, la courbature se dissipait et Pur.. reprenait son travail. Ces
crises
survenaient aussi bien dans la matinée que dans
dis que d'autres fois il s'écoulait quatre ou cinq jours entre deux
crises
successives. La sensation de cour- bature siége
se dissipait toujours spontanément après un moment de repos. Ces
crises
de courbature musculaire persistèrent pendant les
accidents nouveaux jusqu'au mois de mars 1880. A cette époque, les
crises
douloureuses devinrent plus violentes et plus r
is 1876. Il se plaint surtout de la violence et de la fréquence des
crises
douloureuses siégeant dans les hanches, et de l
station verticale ou dans la marche. Les douleurs surviennent par
crises
tous les deux à six jours. Elles sont d'une vio
ou toutes les deux minutes pendant des heures entières.» Quand la
crise
est terminée, il ne reste après elle aucun retent
n an environ, le malade a dans les membres inférieurs de véritables
crises
de douleurs fulgurantes. Elles sur- viennent à
ès pénibles dans les muscles des membres inférieurs. Depuis que ces
crises
fulgurantes ont fait leur apparition, les tirai
violente. » En mars eten juillet 1883, le malade a eu deux grandes
crises
gastralgiques. La première a duré six jours, la
gastralgiques. La première a duré six jours, la seconde quinze. Ces
crises
étaient caractérisées par des douleurs intolérabl
qués persistèrent sans modifications notables. Il y eut cinq ou six
crises
gastralgiques. En 1885, le protocole de l'observa
evant le feu, laissa brûler ses chaussons sans s'en apercevoir. Les
crises
de douleurs fulgurantes sont, en revanche, moin
rs à type fulgurant, incoordination motrice des membres inférieurs,
crises
gastralgiques, etc. Ces acci- dents persistent
reprises, des attaques convulsives avec perle de connaissance. Ces
crises
con- vulsives ne se sont pas renouvelées depuis
portant. Sa mère, nous dit-il, a eu, durant de longues années, des
crises
nerveuses qui se le ? -- minaient par un sommei
se manifestant surtout dans la cuisse droite; depuis ce temps, ces
crises
douloureuses n'ont pas cessé de se reproduire p
); le père est bien portant, la mère est nerveuse, a eu souvent des
crises
hystériques ; une sceun de la malade est morte
Adrienne D... a toujours été très ner- veuse, mais n'a jamais eu de
crises
convulsives; rougeole dans l'enfance. La para
vertiges ont disparu en grande partie, quelquefois cependant « la
crise
ne débordait pas»; s'il s'accrochait à quelque ch
servé, que nous sachions, dans l'athé- tose les troubles viscéraux (
crises
gastriques, laryngées, néphré- tiques, vésicale
'est prisedela même façon ; finalement a la raideur ont succédé des
crises
de tremble- ments à l'occasion des mouvements v
. 7u Guil... ? Il ans, atteint (l'arriération intellectuelle avec
crises
hystériques. - bon élève. Travaille bien et fait
vêtements. L'enfant était autrefois grognon, un rien provoquait une
crise
de larmes; actuellement, elle est caressante, a
l ne m'a pas été possible d'observer moi-même chez lui de grandes
crises
: mais on a noté un accès dans la nuit du 13 au l
t du 12 au 13 un nommé Michel Grindolet, alcoolique, en proie à une
crise
de délire, ouvrit une fenêtre et. poussant un h
nt poussés par le petit malade que sous l'influence d'une véritable
crise
, déter- minée par des lésions irritalives de so
lques-uns suni- ront. Pierre 1...., âgé de 1) ans, est atteint de
crises
épilep- tiformes. En dehors de ses accidents co
nt la tète des deux mains ou sur sa chaise, ensuite il se mord. Ces
crises
durent quelquefois des demi-journées entières.
e la tête. Il bat sa sieur, casse les portes, brise les objets. Ces
crises
de colère durent quelquefois un. quart d'heure.
o,2. 2. - l7juin.-Lafaiblessevenconauâmcutu.Gèuedeladilu- tition.
Crise
intense de dyspnée; syncopes répétées. La malad
accès d'asthme, parfois épouvan- tables ; elle n'a plus de grandes
crises
depuis qu'elle a des congestions du foie, des c
ion physique. 33 Le caractère, "resté enfant" s'est amélioré. Les
crises
d'en- têtement sont moins fréquentes et moins l
ppré- ciable. Diminution de l'intelligence. Répétition des accès.
Crise
de violence; suicide. Fracture de l'atlas et de
vers cinq du soir (c'est-à-dire deux heures après le début de sa
crise
) il a un accès; à sept heures nouvel accès; dans
illerées par jour (10 gr.) son état ne tarde pas à s'améliorer, les
crises
de violence et les accès s'espacent ; mais l'in
re change : d'affec- tueux il devient sournois, hargneux, il a clos
crises
de violence ; son intelligence baisse de plus e
et jour. A cette époque également, l'enfant est pris d'une série de
crises
: Il devenait violacé, semblait - sur le point
après il redevenait normal. La mère a remarqué qu'à la fin de la
crise
, l'enfant avait les mêmes secousses musculaires
. . 55 tête sur la gauche, mouvements de flexion de la main). Ces
crises
ont été au nombre de six, réparties sur trois jou
es, ni convulsions des globes oculaires. On n'aurait observé qu'une
crise
de ce genre. Aucune trace de paralysie consécut
e, pas de pro- czcrsiozz, pas de folie, pas de traumatisme dans les
crises
. Guérison depuis février 1902. ' - sinon.. (M
Trois jours après le premier accès, à 5 heures du matin, une autre
crise
durant ;1 à G minutes, et se reproduisant pendant
huit jours toujours le matin à 5 heures. Il y a un mois, nou- velle
crise
, avec perte de connaissance, durée cinq minutes.
avec perte de connaissance, durée cinq minutes. Depuis, il a 5 ou 6
crises
par jour. Pas de blessures dans les Description
de la langue, pas d'écume. Il parait tout à fait normal après sa
crise
, reprend sa conversation, ne se souvient de rien.
er le panse- ment. le malade a eu un fort accès. Dès le début de la
crise
, la plaie a été le siège d'une congestion viole
pileptique depuis l'âge de 11 ans. Le 22 mai 1301, à la suite d'une
crise
, il s'est pro- duit un piqueté hémorragique aut
MMAIRE. - Père très impressionnable, instabilité mentale passagère,
crises
nerveuses dans la rue ; migraines ; sobre. Demi
n mort tuberculeux.- Mère, rien de particulier. - Tante maternelle,
crises
de nerfs. Pas de consanguinité. Inégalité d.'âg
agissait d'un homme, habitant à l'étage supérieur, qui avait eu une
crise
d'épilepsie. Cette émotion fut passagère. L'enf
Compte-rendu de 1805, p. 77; 9° Alcoolisme, instabilité mentale,
crises
hY8téri[o1'Jnes, guérison (en collaboration ave
ands, sont épouvantés par le spectacle qu'offre cet enfant dans ses
crises
d'agitation. 24 octobre. Ler... est isolé dans
été souvent repris de ses coliques de plomb, il a eu une dizaine de
crises
au moins. Pas d'alcoolismu. Pas de syphilis. An
de parésie de ce membre. A l'âge de 23 ans, deux ou trois nouvelles
crises
nocturnes d'étouf- fement avec perte de connais
Prussiens ; mère vivante, très nerveuse, mais n'ayantjamais en de
crises
convulsives, ayant souffert de névralgie sciatiqu
ent, douze jours après le début du tétanos, qu'apparaît la première
crise
d'épilepsie, elle est observée seulement par le
seulement par les infirmiers. 60 RECUEIL DE FAITS. 14. - Nouvelle
crise
d'épilepsie que je peux observer moi-même. A ce
bo-sacrées avec diarrhée sanglante. Le second exemple a trait à des
crises
paroxys- tiques d'hémicpphalée fronto-occipital
est tout à fait penchée, et c'est seulement plusieurs mois après la
crise
qu'elle se redresse. Etal actuel (31 mai 1890).
alade est une hystérique ! Non pas qu'elle ait jamais eu de grandes
crises
et présenté la forme convulsive de la névrose;
implement bornée à l'une de ces quatre périodes, soit encore par la
crise
à forme d'épilepsie partielle, de toux, de bàil
ande hystérie et entrée ces jours derniers dans le service avec des
crises
fréquentes, on a trouvé également pour un chiff
pas de diathèse de con- 236 RECUEIL DE FAITS. tractures. - Pas de
crises
convulsives. - Point de rétrécissement du champ
tre, du genou gauche. Enfin pause de trois ans. Finalement nouvelle
crise
, cette fois, inutilité de tous médica- ments; à
ues jours, sans avoir présenté aucune élévation de température. Les
crises
qui avaient lieu douze fois par mois en moyenne
elle ne^ pouvait ni manger ni parler. - Une dizaine de jours après,
crise
d'apparence épileptiforrne ; puis la suite, nou
ographie. 295 cardio-vasculaire, le vertige simple, le vertige avec
crises
épilepti- formes et le vertige avec pouls lent
crises épilepti- formes et le vertige avec pouls lent permanent et
crises
syncopales ou épileptiformes. Le vertige consis
ues, les alcooliques. Le vertige simple ainsi que celui combiné aux
crises
épileptiformes et au ralentissement du pouls av
ons de renseignements précis, nous savons seulement que pendant ces
crises
elle conservait en partie sa connaissance et qu
attaque semblable àla précédente, et pendant quinze jours de suite,
crises
analogues, apparaissant à la même heure, surven
effort de volonté, retarder le moment de son appa- rition, mais la
crise
est alors plus intense. Le scotome et la migrai
caractères qui viennent d'être indiqués, indépendamment de toute
crise
convulsive. Parfois aussi, la douleur de tête qui
titué par la migraine ophthalmique, est représenté dans cer- taines
crises
, par du mutisme. Cela arrive particulièrement qua
us venons de mentionner s'atténuent et on voit apparaître alors des
crises
nerveuses semblables à celles qu'elle présente
représenté par un espace obscur parsemé de points brillants 1. Ces
crises
ne durent que quelques minutes ; elles apparais
suivi le traitement prescrit que d'une façon très irrégulière, les
crises
n'ont reparu qu'à de très rares intervalles.
ntes d'une personne en qui elle a confiance, qui lui affirme que la
crise
ne sera pas longue, suffit souvent à l'enrayer.
onnels. - Etant petite, de l'âge de trois à cinq ans, elle a en des
crises
nerveuses nocturnes, d'une durée de une à deux
ge de seize ans, à l'occasion d'une vive émotion, la malade eut une
crise
nerveuse constituée de la façon suivante : tout d
mitée à l'oeil droit et disparaissait enfin complètement. Après les
crises
violentes la langue était parfois embarrassée e
spendit tout traitement et quinze jours après, apparut une nouvelle
crise
très violente. La ma- lade reprit du bromure; l
ne nouvelle crise très violente. La ma- lade reprit du bromure; les
crises
ne se renouvelèrent plus. Nouvelle interruption
nt plus. Nouvelle interruption dans le traitement; réapparition des
crises
. La malade prit alors des pilules deGélineau; l
rition des crises. La malade prit alors des pilules deGélineau; les
crises
continuèrent à se produire ; elles apparaissaie
e revu la malade à plusieurs reprises. Son état s'est amélioré; les
crises
sont encore fréquentes mais sont loin d'avoir l
rises sont encore fréquentes mais sont loin d'avoir l'intensité des
crises
anciennes. La lumière, au lieu d'occuper toute
es causes morales avaient une grande influence sur l'apparition des
crises
; une peur, une émo- tion, le fait seul de pens
ntes d'une personne en qui elle a confiance, qui lui affirme que la
crise
ne sera pas longue, suffit souvent à l'enrayer.
térie et en constitue un véritable équivalent; ces deux ordres de
crises
sont unis par des liens moins étroits que ceux
VATION IV ; la malade prétend, en en'et,'qu'à un moment donné de la
crise
, elle ne perçoit que la moitié droite des objet
hodique pratiqué par M. Pa- rinaud qu'on ne constate pas pendant la
crise
les caractères objectifs de l'hémiopie permanen
19 femmes et 15 hommes. Tous les malades étaient des hystériques à
crise
avec des ^anesthésies et des points hystérogène
ient que de mal en pis. Elle aurait eu à cette époque des sortes de
crises
dans lesquelles elle mâchonnait et serrait les
fements, ces sensations de boule qu'elle avait dès sa jeunesse, ces
crises
d'aspect épileptique observées par son mari, et
ale gauche, de troubles de la vue (hémianopsie latérale droite), de
crises
, de vomissement, puis d'une hémiplégie droite f
rdissements, vertiges, hallucinations de la vue et de l'ouïe. Puis,
crises
d'agitation prolongée avec actes délictueux; amné
que, livré à moi-môme, pour la plus légère impression, redoutant une
crise
, je suis obligé d’entrer chez un pharmacien. J’ai
e du surmenage physique ou cérébral, cette personne subit parfois des
crises
qui 1 appellent singulièrement les attaques d’hys
hrpnotisables. Nous pourrions, avec Charcot. considérer comment les
crises
hystériques ont éclairé certains points do l’hist
tténuées ; les paroxysmes se manifestent périodiquement sous forme de
crises
paralytiques le matin, à chaque nouvelle lune. En
Académies avaient décrété la disparition des somnambules et de leurs
crises
. Un changement considérable s’est donc produit da
moyen d’investigation ; des docteurs Raymond et Pierre Janet sur les
crises
nocturnes d'angoisse ; du Dr Von Schrenk-Notzing
nt hypnotisables. Nous pourrions, avec Charcot, montrer comment les
crises
hystériques ont éclairé certains points de l’hist
t des symptômes cataleptiques et léthargiques spontanés pendant leurs
crises
névrosiques et chez lesquels l’hypnose donnait to
aphe nous montre divers exemples de marches nerveuses, de spasmes, de
crises
hystériques. Les arriérées de M. Voisin Une c
raînant tout le monde ; quand elles sont ainsi excitées, c’est que la
crise
est proche. » Photographie et lunch. Et l’on
res. Dans l’un, un cinématographe nous fait assister aux phases d’une
crise
d’hystérie. Admirable instrument de cours! Et nou
luidiques, de ces passes mystérieuses sous l’influence desquelles les
crises
les plus intenses s’atténuent peu à peu pour abou
est devenu pour cette femme une posture normale. Dans ses périodes de
crise
extatique, elle reste pendant des heures entières
ue médicale. I. — Une femme âgée de 30 ans présente tout à coup une
crise
à grand fracas qui semble un instant menacer ses
r ses jours et qu'un médecin, appelé en toute hâte, a diagnostiquée :
crise
d’angine de poitrine. Quelques jours après, celte
ée, la respiration haletante, elle se sent, dit-elle, en imminence de
crise
. Après avoir fait la critique des divers symptô
ersonne et j’apprends ce qui suit. La nuit qui a précédé cette grande
crise
, elle a rêvé qu'on lui infligeait le supplice des
elle a rêvé qu'on lui infligeait le supplice des « ernbucos ». Or sa
crise
a été l’exacte reproduction de ce rêve. Tous les
supplice des ernbucos la poursuit et menace de provoquer de nouvelles
crises
. Dans l’état de veille, elle n’a pas la moindre n
râce à la suggestion, faire rentrer ce rêve dans l'oubli, conjurer la
crise
imminente et rendre à cette personne un sommeil p
enir à me renseigner sur l’origine de ces attaques. Un beau jour, une
crise
se déroule sous mes yeux; je la fais cesser par s
veillée brusquement et c’est depuis cet incident qu’elle présente ces
crises
quotidiennes. J’instituai alors le traitement qui
us en trois séances d’hypnotisme débarrasser cette jeune fille de ses
crises
. II. — M. P..., âgé de 16 ans, a eu peur d*un l
refus persistant d’aliments ; en outre, elle présente chaque nuit des
crises
érotiques qui inquiètent et fatiguent le mari. En
ieds. Cette situation n’est interrompue que par de rares et courtes
crises
d’excitation pendant lesquelles le malade devient
à Montrouge, souffrait d une maladie nerveuse aggravée à la suite des
crises
de son petit garçon, étant déjà affaiblie par des
respiration difficile, tremblements continuels, môme intérieurement,
crises
de larmes, impossibilité de prendre aucun aliment
n’ai pas eu d’émotion dans les soins à donner à l'enfant pendant une
crise
qu’il a eue le 2 décembre, grande amélioration so
qu’ils nous fournissent. Il suffit qu’un homme de génie ait eu des
crises
convulsives pour qu’aussitôt on les attribue à l’
des accès de fureur. César avait de fréguenls vertiges, il eut des
crises
convulsives. Mahomet se retirait sous sa tente po
oque, on connaissait mieux l’épilepsie que l’hystérie. Arrivons aux
crises
convulsives. La première attaque se déclare au
ait pendant plusieurs jour?. » Cette attaque ressemble plutôt à une
crise
d’hystérie. Le mal comitial est plus dangereux et
lleurs s’il se mordait la langue, s’il écumait, s’il urinait après sa
crise
, l’absence de renseignements sur ces points perme
age, — éprouve des sensations génitales qui surviennent sous forme de
crises
aiguës, d’abord deux fois par jour, à heure fixe,
du chiffre 13. A chaque dizaine d’années, elle a, prétend-elle, une
crise
violente de l’imagination ou des sens, à quarante
M“'C... se trouve bientôt plus calme et passe de bonnes nuits. Les
crises
des sens deviennent de plus en plus rares, puis d
r dès qu’on les touchait, etc. Or, un beau jour, au lieu de faire une
crise
hystérique franchement (t) Présentation de malo
cit que lui a fait Georges. Il s’agit donc d'une transformation de la
crise
hystérique en un somnambulismeparticulier sous l'
ugal. La défloration avait été tentée pendant un mois, provoquant des
crises
douloureuses qui l'avaient toujours maintenu sur
, lors de chaque nouvelle période d’état second ou de chaque nouvelle
crise
de somnambulisme, exprimer des souvenirs se rappo
mnambulisme, exprimer des souvenirs se rapportant aux périodes et aux
crises
antérieures. Il peut arriver dans ce deuxième m
nte. après une couche, perte qui avait causé une grande anémie et des
crises
nerveuses. Tristesse invincible depuis cette époq
yndrome convulsif avait un aspect comparable il la tétanie, par ses
crises
répétées. Cette malade est morte pendant une de
ie, par ses crises répétées. Cette malade est morte pendant une des
crises
convulsives, et les recherches histo-patlrolonirl
année de sa vie, au cours de laquelle le sujet présenta différentes
crises
convulsives pendant' une longue infection fébri
dans les articulations des épaules et quelques mois plus tard d'une
crise
d'entérite. En 1908, à 41 ans, elle présenta des
de temps. Pendant près de trois ans, notre patiente fut atteinte de
crises
épileptiformes qui se manifestèrent régulièreme
rdre, et cette pauvre femme reprenait courage jus- qu'au jour où la
crise
suivante venait l'abattre de nouveau. Le 20 fév
de l'aphasie motrice transitoire qui a suivi régulièrement cha- que
crise
épileptiforme, l'interprétation en est de beaucou
que chez notre malade, l'aphasie passagère qui a suc- cédé à chaque
crise
épileptiforme a dû relever d'une perturbation, el
céphalalgirfue. Deux ou trois fois par semaine ap- paraissaient des
crises
de bourdonnements d'oreilles durant un quart d'he
à S minutes. puis disparaissent pour réapparaître ultérieurement. Les
crises
douloureuses qui survenaient 5 à 6 fois par jou
n observe pour notre seconde malade chez laquelle on voit de vraies
crises
de contractions suivies et très fortes. Les c
e de Kogewnikoff, c'est-à-dire, l'existence chez le même malade des
crises
d'épilepsie jacksonienne et des secousses myocl
es secousses comme la manifestation d'une maladie surajoutée. Ces
crises
myocloniques peuvent avoir des formes diverses :
en authentique. Il s'agit toujours d'épileptiques chez lesquels les
crises
ne sont pas très intenses. Entre 10 et 15 ans e
et au tronc, moins appréciables à la face. Dans quelques cas les
crises
épileptiques ne disparaissent jamais ; elles pe
indéfiniment. Les secousses dans ces cas coexistent, précèdent les
crises
et c'est à ce moment qu'elles sont le plus fortes
nt aujourd'hui nombreuses, et cette myoclonie familiale grave, avec
crises
épileptiques, mérite bien une placeà part dans le
différents les cas qu'ils ont étudiés. Dans un des cas il y avait des
crises
épileptiformes, ce qui a fait dire à Crouzon qu
Dans la myoclonie il y a des périodes de quiétude qui séparent les
crises
de secousses musculaires. On peut encore rappel
itut médico-pédagogique de Dury-les-Amiens le 30 décembre 1911 pour
crises
de nerfs et attaques de sommeil. Antécédents
nier du 4 au 8. SEIN HYSTÉRIQUE ET SUGGESTION 119 Le début de ses
crises
nerveuses date de novembre 1911. Il lui arrivait
ante-au niveau de la glabelle frontale avec paroxysme au moment des
crises
, une raucité congéni- tale de la voix. 5 janv
; elle est restée endormie jusqu'à ce matin 8 heures 1/2. 10. Une
crise
convulsive de 3 heures, soubresauts, cris, puis s
soubresauts, cris, puis sommeil. 18. - Depuis hier soir elle est en
crise
. Elle s'était couchée, quand soudain elle s'est
19. - Hier soir, à 7 heures du soir, voyant une camarade tomber en
crise
, elle tombe aussi en appelant « maman *, « mama
nuit. 10 juin. - Convulsions de 8 heures 1/2 il 5 heures 1/2. 20.
Crises
convulsives de 1 heure 1/2 à 5 heures du soir.
es convulsives de 1 heure 1/2 à 5 heures du soir. 1"' juillet. Deux
crises
convulsives. Toutes ces crises succèdent il une
5 heures du soir. 1"' juillet. Deux crises convulsives. Toutes ces
crises
succèdent il une émotion. L'enfant ne porte auc
git donc d'une enfant de 14 ans, en traitement depuis des mois pour
crises
convulsives et léthargiques, qui le lendemain du
ui des maux de tête assez fréquents, et surtout pendant dix ans des
crises
douloureuses gastri- ques, à type Iryperclrlory
e l'hiver et n'empêchant d'ailleurs pas le travail. En 1911, petite
crise
hémorroïdaire... Enfin depuis 2 mois, laryngo-t
ans et se sont manifestés par des transpirations profuses avec des
crises
de diarrhée alternant avec des époques de constip
petit doigt et à l'annulaire de la main droite. A l'âge de 29 ans,
crises
de tétanie. La malade, au moment de la présenta
de la tachy- cardie, des tremblements, des troubles oculaires, des
crises
de diarrhée, des bouffées de chaleur, etc. La s
haleur, etc. La sclérodermie occupait le front, le nez, les doigts.
Crises
fréquentes de tétanie. Mais il la discussion qui
ita- tions, la tuméfaction de la thyroïde, et de temps en temps des
crises
de diarrhée. Amaigrissement, pouls 88, goitre m
maigrie un peu, l'appétit est conservé, mais elle est sujette à des
crises
intestinales dans les intervalles d'une constip
système lymphatique, il faut relever les troubles vasomoteurs, les
crises
sudorales et les altérations thermiques que nou
ez bien, bien que depuis quelque temps la malade soit sujette à des
crises
de diarrhée. Rien aux poumons, coeur en limites
i donne le plus souvent le phénomène de l'onglée et il provoque des
crises
d'asphyxie locale. Comme chez tous les malades
ème nerveux n'a sur elles la moindre influence. Janvier 1912. - Les
crises
réapparaissent avec une intensité beaucoup plus
aco- uitine demeure sans effet. 21 février. Une nouvelle série de
crises
plus violentes et plus persistantes encore immo
, c'est dans les premiers mois qui suivent l'inter- vention que les
crises
à caractère névralgique trahissent l'existence du
très vite. La mi- mique est conservée. Jamais la malade n'a eu de
crises
convulsives. Elle a continué à faire des progrè
- Oui, oui .. très bien... trois ans à l'école. Avez-vous eu des
crises
? Non, non... Cochin... la tête. Avez-vous essa
. La malade est enceinte de sept mois. Elle a eu il y a un mois des
crises
d'éclampsie ; elle a encore de l'oedème malléol
is sa sortie de l'hôpital, ainsi que la diminution de l'ouïe et les
crises
d'éclampsie dont elle vient d'être atteinte sont
âgée* 25 ans, entre, le 6 avril 1913, salleEspéronnier,n° 29, pour
crises
nerveuses et céphalée intermittente à apparition
mois et s'accompagnant actuellement de fièvre (voir courbe). Les
crises
nerveuses sont assez fréquentes et datent de 7 ou
sure de la langue et présence d'écume à la bouche. Il semble que la
crise
, avant d'éclater, permette à la ma- lade de s'a
fatigue. Pas de paralysie des sphincters en dehors des périodes de
crise
. Ni toux ni expectoration : pas de points de cô
ique que nous venons de rapporter est sans contredit la présence de
crises
comitiales. Mais ici, il nous est permis d'élim
état atonique général du protoplasma produit le sommeil qui suit la
crise
. Le gérant : P. 130UCIlEZ. lmp. J. Thevenot,
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