ition des tailleurs. Nous avons fait un examen avec l'électricité à courant inter-rompu, et nous avons noté les résultats sui

70, pag. 45.) Aujourd'hui nous n'avons plus qu'à teñirnos lecteurs au courant du contenu des deux premières parties du tome sec

un seul fascicule dont l'ap-parition est annoncée pour la fin du mois courant . A. de M. Nota. M. II. Duret a fait voir à la

ÉSICAL — CONTRACTURE DE LA VESSIE SUR LA PIERRE action comparée des courants électriques continus et de lanesthésie chloroform

lcaire, semblables à celles que j'ai obser-vées*, nous appliquons les courants électriques continus. Pour cela je me sers d'une

négatif sur le ventre au-dessus du pubis. Immédia-tement avant que le courant soit établi, j'injecte un peu d'eau, de façon à r

ations des voies urinaires, par Reliquet, p. 758, 1871. sure que le courant continu agit, qu'il fait cesser l'irritation spas

réapparition rapide des spasmes de la vessie, après l'application de courants électriques continus, je pense à proposer la tail

yau est très-dense et est formé d'urate. Mon but, en appliquant les courants électriques continus, était de calmer les spasm

du chloroforme sur la contracture de la vessie : elle est nulle. Les courants électriques continus, au contraire, agissent en f

'exagération du pronostic attaché à ce signe. Conclusions. — 1° Les courants électriques constants font cesser instantanément

aux de paris Observation. — G..., âgée de 81 ans, est morte dans le courant du mois de mars 1872, à la Salpêtrière (service d

oins grande du fer central de la bobine, lequel sert à interrompre le courant au moyen d'un trembleur. À chaque interruption, l

se présenta à l'hôpital. M. Paul le soumit d'abord à l'influence des courants continus. Mais au bout d'une douzaine de séances,

alade dont nous venons de raconter l'histoire, qu'il s'éleva, dans le courant de mai s dernier, à la Société de chirurgie, une

lanches XIX et XX.) ÉLECTROTHÉRAPIE DE LA DIFFÉRENCE D'ACTION DES COURANTS ÉLECTRIQUES SUR L'ORGANISME CONSIDÉRÉ COMME CONDU

indiquer les lois prin-cipales et les propriétés spéciales des divers courants électriques. Il est bien difficile de comprendre

es de l'électrothé' rapie. On distingue en médecine deux espèces de courants électriques : les courants continus qui provienne

On distingue en médecine deux espèces de courants électriques : les courants continus qui proviennent directement de la pile,

les courants continus qui proviennent directement de la pile, et les courants induits, que l'on appelle encore quelquefois, mai

s courants induits, que l'on appelle encore quelquefois, mais à tort, courants interrompus. Dans les courants continus, il faut

pelle encore quelquefois, mais à tort, courants interrompus. Dans les courants continus, il faut étudier successivement les phén

s plus de quantité qu'un seul élément, mais permet, sans accroître le courant , de surmonter des résistances extérieures et d'ob

iformes nous donne une idée très-juste de la différence d'action d'un courant à forte tension et d'un courant à tension faible.

-juste de la différence d'action d'un courant à forte tension et d'un courant à tension faible. Dans cet appareil, le poids de

à traverser un morceau de carton ou à enlever l'épiderme. De même, un courant à grande tension passera à travers les corps inte

action chimique plus faible, et, en deuxième lieu, la production d'un courant qui conservera une intensité égale, malgré les va

ensité égale, malgré les variations des résistances extérieures. Le courant qui est engendré par des piles dont la résistance

es millimètres de distance, ou à plusieurs décimètres ; tandis que le courant produit par des piles à grande tension inté-rieur

sé le corps hu-main. Une des particularités les plus importantes du courant est d'avoir une direction déterminée et définie :

. Mais l'expérience qui démontre le plus nettement cette direction du courant et en même temps le transport des molécules inter

phénomènes se produire nor-malement. L'influence de la direction du courant est donc tellement consi-dérable, qu'elle est mêm

s, et qu'elle peut agir en sens inverse de ceux-ci. — Le passage du courant dans les conducteurs présente trois phases dist

e le mouvement commence dans le conducteur, l'état définitif quand le courant continu a tra-versé le conducteur, et l'état fina

nt continu a tra-versé le conducteur, et l'état final au moment où le courant cesse de traverser le conducteur. État initial.

s que la télégraphie a permis d'ob-server, on sait que l'intensité du courant est plus faible au com-mencement qu'à la fin, car

nsité du courant est plus faible au com-mencement qu'à la fin, car le courant n'arrive que graduellement au maximum de son inte

poste de départ. — En même temps il se produit, et spécialement si le courant traverse une bobine, un courant induit faible qui

il se produit, et spécialement si le courant traverse une bobine, un courant induit faible qui est de sens in-verse du courant

erse une bobine, un courant induit faible qui est de sens in-verse du courant de la pile. En résumé, le passage du courant mo-d

est de sens in-verse du courant de la pile. En résumé, le passage du courant mo-difie l'état moléculaire des corps, mais cette

e et n'a point la rapidité qu'on observe au moment de la cessation du courant . État définitif. Pendant toute la durée du pass

du courant. État définitif. Pendant toute la durée du passage d'un courant , l'influence du courant se manifeste par la décom

nitif. Pendant toute la durée du passage d'un courant, l'influence du courant se manifeste par la décomposition des li-quides,

otations imprimées aux conducteurs mobiles. Sur tout son parcours, le courant élec-trique détermine des modifications dans les

phénomène. Les fils qui ont servi pendant longtemps à transmettre le courant électrique présentent les signes d'une violente a

eur structure moléculaire est modifiée. État final. Au moment où le courant est interrompu, il se pro-duit un changement molé

changement moléculaire, et il se forme dans un circuit métallique un courant induit qui a reçu le nom d'extra-courant. Ce cour

it métallique un courant induit qui a reçu le nom d'extra-courant. Ce courant est bien plus énergique que le courant qui a lieu

eçu le nom d'extra-courant. Ce courant est bien plus énergique que le courant qui a lieu au moment initial, et cela ne tient pa

ons l'examiner avec quelques détails. Disons de suite que, dans les courants induits proprement dits, C'est-à-dire dans ceux

roprement dits, C'est-à-dire dans ceux de la seconde hélice, que le courant de la pile ne traverse jamais, on observe la même

de la pile ne traverse jamais, on observe la même différence entre le courant initial ou de fermeture et le courant final ou d'

rve la même différence entre le courant initial ou de fermeture et le courant final ou d'ouverture. Le cou-rant qui se produit

rant final ou d'ouverture. Le cou-rant qui se produit au moment où le courant cesse de traverser le circuit est de beaucoup le

ordinaires, c'est presque lui seul qui agit. Sa force est à celle du courant de fermeture comme 6 est à 1 et les durées évalué

t à 1 et les durées évaluées en unité de temps sont de 0,0042 pour le courant d'ouverture, et de 0,0114 pour le courant de ferm

emps sont de 0,0042 pour le courant d'ouverture, et de 0,0114 pour le courant de fermeture. C'est donc le courant dont la durée

d'ouverture, et de 0,0114 pour le courant de fermeture. C'est donc le courant dont la durée est la plus faible qui est le plus

est la plus faible qui est le plus énergique. De plus, la tension du courant d'ouverture est bien supérieure, car, lancé dans

, il transmet une dépêche à une distance de 250 lieues, tandis que le courant de fermeture franchit seulement une longueur de 2

hit seulement une longueur de 20 lieues. Cette différence entre les courants d'ouverture et de fermeture s'expliquerait facile

i, à l'exemple de M. Marié-Davy et du R. P. Secchi, nous comparons le courant électrique au courant d'une masse d'eau. Suppos

arié-Davy et du R. P. Secchi, nous comparons le courant électrique au courant d'une masse d'eau. Supposons un récipient R (Fi

celui qu'il occupe pendant l'écoulement continu du liquide ; 2° Le courant étant établi d'une façon définitive, et le niveau

primitif correspon-dant à cette ligne horizontale. L'induction d'un courant au moment de la rupture du courant est comparable

ne horizontale. L'induction d'un courant au moment de la rupture du courant est comparable au coup de bélier, et l'on peut av

rait à s'arrêter brusque-ment. La première secousse est comparable au courant de ferme-ture, et la seconde à celui d'ouverture.

rture. En un mot, et c'est là, même au point de vue de l'emploi des courants continus, un fait très-important, plus la cessati

très-important, plus la cessation d'un cou-rant est brusque, plus le courant qui se forme à ce moment est fort. On doit se rep

courant qui se forme à ce moment est fort. On doit se représenter les courants induits comme un choc molécu-laire qui est d'auta

f ou d'un muscle dépend moins de la valeur absolue de la tension d'un courant que de la modifica-tion de cette valeur d'un mome

t également pour cela que cette excitation peut varier, même pour des courants in-duits, d'un appareil à l'autre. Avec l'appar

ous avons fait construire par M. Trouvé, on peut à volonté prendre un courant induit dont la ra-pidité de production peut être

re un peu plus de temps. Dans la plupart des appareils induits, les courants induits de fer-meture et d'ouverture se suivent s

. Legros, que cette déformation est produite par les deux Fig. 6. courants qui se succèdent. On ne la retrouve pas, en effet

ve pas, en effet, lorsque l'excitalion n'est produite que par un seul courant , celui d'ouverture ou celui de fermeture, et de p

ent d'autant plus pronon-cée que le temps qui s'écoule entre ces deux courants est plus long, comme cela se voit très-bien sur l

citations sont rendues très-sensibles lorsqu'on emploie un appareil à courants induits, qui ne donne qu'une secousse par seconde

. Nous pouvons les rendre visibles, même à l'œil, avec cet appareil à courants induits, construit par M. Mangenot, et auquel, d'

ils, pour avoir des interruptions rares, il a ajouté un métronome. Le courant induit ne se forme qu'à chaque double os-cillatio

dire qu'il se passe plus de temps entre la fermeture et la rupture du courant . Vous pouvez encore constater très-facilement cet

autre fait que je vous ai indiqué, à savoir que la contraction due au courant d'ouverture est plus forte que celle du courant d

la contraction due au courant d'ouverture est plus forte que celle du courant de fermeture. Avec un courant assez intense et

ouverture est plus forte que celle du courant de fermeture. Avec un courant assez intense et une seule interruption par se-co

le seul, d'un changement dans la contraclilité; et alors même que les courants induits ordinaires ou des courants continus n'ind

ntraclilité; et alors même que les courants induits ordinaires ou des courants continus n'indiqueraient au-cune modification dan

tes faites avec notre ami, Ch. Legros. Cela est très-visible avec les courants induits, mais a également lieu avec les courants

rès-visible avec les courants induits, mais a également lieu avec les courants continus. A partir de la 9e ligne (Fig. 7), c'est

de la 9e ligne (Fig. 7), c'est-à-dire après 9 minutes de passage d'un courant continu, on n'obtient plus qu'une seule contracti

ui paraîtra étange et qui recevra tout à l'heure son explication, les courants continus, à l'opposé des courants induits, ne dét

tout à l'heure son explication, les courants continus, à l'opposé des courants induits, ne détermine-ront de contraction que par

osé des courants induits, ne détermine-ront de contraction que par le courant de fermeture. Vous voyez également sur ces trac

t plus aucune contraction dans les mômes conditions d'interruption du courant ; pour les voir reparaître, il faut prolonger le t

our les voir reparaître, il faut prolonger le temps pendant lequel le courant est interrompu, c'est-à-dire que plus la fibre mu

rter la diffé-rence d'action, si remarquable dans ces paralysies, des courants induits et des courants continus. Ces appareils

tion, si remarquable dans ces paralysies, des courants induits et des courants continus. Ces appareils, celui que nous avons f

u métronome, ont cet immense avantage en pratique, qu'ils donnent des courants induits à intervalles très-rares, et que les cour

ils donnent des courants induits à intervalles très-rares, et que les courants à intermittences rares sont infiniment moins doul

s2, à la valeur des résections sous-périostées, à la substitution des courants continus faibles, mais persistants, aux courants

la substitution des courants continus faibles, mais persistants, aux courants continus énergiques et temporaires; à l'é-rysipèl

ce champ limité de la prati-que chirurgicale. IX. Substitution des courants continus faibles, mais permanents, aux courants c

IX. Substitution des courants continus faibles, mais permanents, aux courants continus énergiques et temporaires dans les paral

lication permanente, ou du moins très longtemps prolongée, de faibles courants électriques ; dans un cas, il s'agissait d'une pa

fait longtemps attendre. 11 n'est plus de doute aujourd'hui que les courants continus peu-vent être d'un immense secours dans

res de la Société n'ont pas récusé les heureux effets obtenus par les courants continus ; mais quelques-uns, M. Bouvier entre au

a une différence entre l'action des cou-rants continus directs et les courants induits, du moins sur la nutri-tion des tissus. T

tissus. Telle n'estpas l'opinion de M. L. Lefort, qui prétend que les courants induits, placés sur les muscles, les tétanisent o

sur les muscles, les tétanisent ou ne produisent rien, tandis que les courants continus y réveillent des contractions, alors que

ue les courants continus y réveillent des contractions, alors que les courants induits sont impuissants. L'action des courants c

ctions, alors que les courants induits sont impuissants. L'action des courants continus sur les tissus paraît être différente de

urants continus sur les tissus paraît être différente de l'action des courants induits. Si les courants induits font déve-lopper

issus paraît être différente de l'action des courants induits. Si les courants induits font déve-lopper le muscle par une sorte

t tout à fait analogue à l'exercice de la gym-nastique ordinaire, les courants continus, là où la faradisation est impuissante,

En résumé, ce qu'a fait M. Lefort, c'est une étude de l'action des courants continus longtemps prolongés. Jusqu'à présent on

remplacer ces éléments par deux ou trois seulement, et d'en tirer des courants faibles, mais longtemps continués. Voilà ce qu'il

S HOPITAUX DE PARIS ÉLECTROTHÉRAPIE DE LA DIFFÉRENCE D'ACTION DES COURANTS ÉLECTRIQUES SUR L'ORGANISME CONSIDÉRÉ COMME CONDU

22 juin à la Salpêtrière par m. onimus — suite - — Revenons aux. courants continus, et, pour comprendre leur in-fluence sur

électriques. Quelle va être sur tous ces phénomènes l'influence d'un courant électrique que l'on introduit artificielle-ment ?

; 2° état définitif; 3° état final. État initial. — Au moment où le courant pénètre dans le corps, il détermine une modificat

ation fonc-tionnelle. Etat définitif. — Pendant tout le temps où le courant est main-tenu, l'état moléculaire reste en équili

de sens divers, il imprime à tous son mouvement, et entraîne tous les courants secondaires dans sa direction. Ainsi, pendant le

ourants secondaires dans sa direction. Ainsi, pendant le passage d'un courant électrique, les spasmes, les contractures, les ac

ou moins long. C'est surtout pour obtenir ces effets, qu'il faut un courant à grande tension, caril ne faut pas seulement que

faut un courant à grande tension, caril ne faut pas seulement que le courant traverse les tissus, il faut encore qu'il puisse

vitesse et de rapidité. État final. — Au moment de la cessation du courant , il y a de nouveau rupture de l'état moléculaire,

e déterminera par cela seul une excitation, et c'est pour cela que le courant détermine une activité nerveuse ou musculaire au

u au moment initial et au moment final, car sur l'organisme, c'est le courant de fermeture et non celui d'ouverture qui détermi

le plus rapidement modi-fier leur état moléculaire, que la rupture du courant a le plus d'ac-tion. Sous ce rapport, le système

s nerfs spéciaux des sens, sont les plus excitables par la rupture du courant , et lorsqu'on électrise un nerf, surtout le nerf

tion à l'excitation très-vive qui a lieu au moment de la cessation du courant . Il faut, dans ce cas, ne jamais enlever lesrhéop

les étourdissements se produisent au mo-ment de la rupture rapide du courant . À l'instant où le courant cesse, il se produit

isent au mo-ment de la rupture rapide du courant. À l'instant où le courant cesse, il se produit dans les tissus qu'il a trav

nes, que nous avons observés dès nos premières recherches. Dès que le courant cesse, on con-state avec un galvanomètre sensible

t cesse, on con-state avec un galvanomètre sensible qu'il se forme un courant en sens inverse du courant primitif, et ce couran

un galvanomètre sensible qu'il se forme un courant en sens inverse du courant primitif, et ce courant, dit courant de po-lorisa

qu'il se forme un courant en sens inverse du courant primitif, et ce courant , dit courant de po-lorisation, dure un certain te

me un courant en sens inverse du courant primitif, et ce courant, dit courant de po-lorisation, dure un certain temps. Nous l'a

tées deux épingles communiquant avec un galvanomètre; au moment où le courant est établi, nous voyons l'aiguille dévier à droit

es ; et maintenant en enlevant un des fds du galvanomètre afin que le courant ne passe plus par le galvanomètre et en laissant

membre. Il se forme donc dans les tissus, au moment de la rupture du courant , un courant propre qui est dirigé en sens inverse

se forme donc dans les tissus, au moment de la rupture du courant, un courant propre qui est dirigé en sens inverse du courant

pture du courant, un courant propre qui est dirigé en sens inverse du courant pri-mitif, et qui dure quelques minutes. Cela exp

f, et qui dure quelques minutes. Cela explique également pour-quoi le courant d'ouverture a une action si faible. Comme vous po

aible. Comme vous pourrez le constater, cela n'a jamais lieu avec les courants induits, et cela démontre bien que ceux-ci ont pe

n sur les phéno-mènes chimiques des tissus. Il y a encore entre les courants induits et les courants continus celte autre diff

imiques des tissus. Il y a encore entre les courants induits et les courants continus celte autre différence, que les courants

ants induits et les courants continus celte autre différence, que les courants se localisent facilement, et c'est avec raison qu

lisée pour indiquer l'influence physiologique et thérapeutique de ces courants . Malgré leur grande tension, ils n'agissent pas a

leur grande tension, ils n'agissent pas aussi profondément que les courants continus. Ceux-ci ne peuvent même être isolés dan

faits analogues, et il cite comme un fait curieux cette propriété des courants continus. Il a vu, comme nous, des courants indui

rieux cette propriété des courants continus. Il a vu, comme nous, des courants induits ne pas agir sur des nerfs profonds, tandi

s courants induits ne pas agir sur des nerfs profonds, tandis que des courants provenant d'une pile et dont la force électro-mot

ectro-motrice était bien moindre provoquaient des contrac-tons. Les courants continus pénètrent donc dans tout l'organisme, et

entier est un assemblage d'un nombre infini de couples voltaïques? Le courant que nous faisons pénétrer artificiellement, étant

cité est égale-ment celle qui la première a démontré l'existence d'un courant élec-trique dans les corps vivants. Plus tard Nob

tard Nobili, Matteucci et surtout M. du Bois-Reymond ont démontré des courants dans les muscles et dans les nerfs. A l'occasion

gtemps que M. du Bois-Reymond constate dans les tissus organiques des courants électriques, il est dans le vrai, mais où il cess

vrai, mais où il cesse d'être exact, c'est quand il veut faire de ces courants électriques la cause des actions nerveuses et mus

en talie et M. Becquerel en France démontraient qu'il se forme des courants électriques dans toute espèce de tissu organique,

it depuis bien longtemps, aussi bien que cet autre fait que lorsqu'un courant passe à travers des corps chimiquement décomposab

u'il se forme partout et dans toute espèce de substance organique des courants électriques. En général, on ne rattache l'idée de

s acides et de métaux, et l'esprit se fait difficilement à ce que des courants électriques puissent être produits par des substa

t que des animaux possèdent des appareils spéciaux qui produisent des courants élec-triques très-intenses. Or ces appareils ne s

ulaire ou chaque cellule constitue une pile. On constate en effet des courants électriques dans tous les tissus, dans les tendon

able de couples électro-capillaires donnant lieu pendant la vie à des courants élec-triques, et l'on peut dire que nous sommes f

formés par un assem-blage infini de petits appareils électriques. Les courants se com-binent dès leur formation et restent limit

ssons. Il est important d'étudier quelle peut être l'influence d'un courant électrique extérieur, sur les phénomènes électriq

plus intéressante sous ce rapport serait de rechercher l'action d'un courant continu passant pendant quelque temps à travers l

rs l'appareil électrique des poissons; on verrait peut-être ainsi les courants électriques pro-pres augmenter ou diminuer selon

ants électriques pro-pres augmenter ou diminuer selon la direction du courant arti-ficiel, et l'on pourrait en même temps étudi

n pourrait en même temps étudier les rapports de la production de ces courants avec la nutrition de ces tissus. Pour nous plac

peu près analogues, nous avons cherché quelle était l'influence d'un courant extérieur sur l'action chimique de chaque élément

faisions passer d'un élément à l'autre, pendant huit à dix heures, un courant de trente éléments. Voici quelques-uns des résult

. Voici quelques-uns des résultats que nous avons obtenus. Lorsque le courant extérieur C passait par les quatre éléments, et e

extérieur C passait par les quatre éléments, et en sens inverse f du courant propre de ces éléments qui est dirigé selon la fl

ndis que les zincs de la pile où l'on faisait agir en sens inverse un courant de trente éléments ne perdaient que 7 grammes de

ents ne perdaient que 7 grammes de leur poids. Si, au contraire, le courant était dirigé dans le sens du courant propre de la

ur poids. Si, au contraire, le courant était dirigé dans le sens du courant propre de la pile, les mêmes zincs perdaient 17 g

nt dans le même temps que 9 grammes. Enfin, en ne faisant passer le courant extérieur que par deux élé-ments, il y avait égal

piles ; l'usure du zinc était plus prononcée pour la pile où un autre courant était interposé dans une partie du circuit. On

simple action chimique surajoutée, et que rien ne prouve ainsi que ce courant ait une action sur les phé-nomènes chimiques prop

à la pile. A cela nous répondons : 1° que l'action décomposante du courant surajouté est la même, quelle que soit la directi

rajouté est la même, quelle que soit la direction que l'on donne à ce courant ; que, par conséquent, la différence très-remarqu

que nous constatons dans l'oxydation des zincs, selon la direction du courant , ne devrait pas exister ; 2° les effets sont bien

ister ; 2° les effets sont bien moindres lorsqu'au lieu d'employer un courant à grande tension et à action chimique faible, on

n courant à grande tension et à action chimique faible, on emploie un courant à tension faible et à action chimique forte, et c

urait lieu en admettant l'objection qui est faite. Pourquoi donc un courant extérieur surajouté peut-il diminuer ou augmenter

corps mauvais conducteur, mais se laissant cependant traverser par le courant , nous aurions eu dans celte pile une action chimi

ur le prouver par une expérience directe, nous avons fait passer deux courants fournis chacun par quatre éléments à travers une

r l'une, nous faisions en même temps traverser la couche d'eau par un courant fourni par 20 éléments. Voici comment est dispo

'une, dans l'espace MN rempli d'eau, nous faisons de plus passer le courant de vingt autres éléments, dont les rhéophorcs plo

au et sont placés en B et en S au-dessus des extré-mités M et N. Le courant CBSG ne s'ajoute donc pas au courant PMNP, mais i

sus des extré-mités M et N. Le courant CBSG ne s'ajoute donc pas au courant PMNP, mais il traverse le môme corps, détermine c

rime par son passage un état dynamique particulier. Par cela seul, ce courant arrive à diminuer la résistance que l'eau placée

nt arrive à diminuer la résistance que l'eau placée en MN présente au courant PM et PN, car sans l'influence de ce courant exté

placée en MN présente au courant PM et PN, car sans l'influence de ce courant extérieur CB et CS, l'action chimi-que augmente d

changer les conditions. Nous voyons donc par ces expériences qu'un courant extérieur, remarquable surtout pas une grande ten

tal dans la pile, et par conséquent lorsque nous faisons traverser un courant électrique par l'organisme, nous aurons la même a

ons ainsi sur la nutrition et c'est principalement à cette action des courants continus qu'il faut attribuer leur influence trop

ant que nos recherches physio-logiques nous avaient déjà démontré, un courant provenant direc-tement de la pile peut favoriser

ormant un couple électrique, que les résistances sont moindres. Les courants électriques qui se forment directement dans les t

éléments organiques doit justement être la résistance extérieure. Ces courants , si petits qu'ils soient, ont tou-jours une résis

aniques bien plus que pour les corps inorganiques, on peut définir le courant , selon l'expression de Faraday, une action chimiq

temps combien il est nécessaire de tenir compte de la direction des courants , et expliquent en même temps pourquoi la nutritio

ourquoi la nutrition est modifiée différemment selon la direction des courants . Il y a trois ans déjà, avec M. le docteur Legr

u-rieux, que l'urée est diminuée lorsqu'on électrise la moelle par un courant descendant, et qu'elle est au contraire augmentée

r un courant descendant, et qu'elle est au contraire augmentée par un courant ascendant. — Nous pouvons résumer cette leçon e

ant ascendant. — Nous pouvons résumer cette leçon en disant que les courants induits diffèrent des courants continus par leur

résumer cette leçon en disant que les courants induits diffèrent des courants continus par leur production plus rapide, par leu

c laquelle ils peuvent être localisés malgré leur grande tension. Les courants continus, au contraire, maintiennent pendant un t

minent des mouvements de transport, ils impriment leur di-rection aux courants secondaires qui naissent dans les tissus, ils ont

de cette grande division, il est encore nécessaire de distinguer les courants induits entre eux, car, selon leur mode de produc

ifférents. Gomme M. Du-chenne l'a observé, il y a déjà longtemps, les courants de la pre-mière hélice ont des propriétés quine s

re hélice ont des propriétés quine sont point identiques à celles des courants de la deuxième hélice. M. Becquerel a expliqué ce

fous les cas, il est important, selon les cas, de savoir employer les courants de la première hélice ou ceux de la seconde ; on

econde ; on obtient encore des effets opposés, selon qu'on se sert de courants à interruptions rapides ou à interruptions lentes

tions rapides ou à interruptions lentes. Il en est de môme pour les courants continus ; ils diffèrent entre eux par l'action c

r compte de tous ces éléments, et ne jamais croire qu'il suffit qu'un courant provienne directement d'une pile quelconque pour

pile quelconque pour qu'il jouisse des propriétés thérapeutiques des courants continus. Certes l'électricité est une, mais, s

Il se compose d'une série de lames de platine par lesquelles passe le courant de piles de Bunsen, ou d'une pile, à force électr

eur ; si au contraire, comme dans cet appareil, je fais traver-ser le courant par une série de petites auges renfermant de l'ea

or-mations, j'aurai obtenu, avec deux ou trois éléments de Bunsen, un courant ayant les mêmes propriétés qu'un courant fourni d

trois éléments de Bunsen, un courant ayant les mêmes propriétés qu'un courant fourni directement par vingt ou trente éléments D

ues, et s'attacher aucontraire à profiter des propriétés diverses des courants selon leur production et le genre d'appareil que

864, t, V, p. 210). ÉLECTROTHÉRAPIE DE L'ACTION THÉRAPEUTIQUE DES COURANTS CONTINUS Leçon faite le 13 juillet à la Salpètr

rocédés d'application des cou-rants électriques et principalement des courants continus. Exami-nons d'abord quels sont les appar

ou le morceau de peau qui recouvre les tampons et on s'assure que le courant passe. Pour cela, le galvanomètre est un instrume

t un instrument presque indispensable pour tout appareil électrique à courants continus. Il est utile non-seulement au commencem

clrise, car la déviation de l'aiguille indique à chaque moment que le courant traverse le corps. Comme dans beaucoup de cas, la

rps. Comme dans beaucoup de cas, la sensation que donne le passage du courant est presque impercep-tible ; on a besoin d'un moy

ue impercep-tible ; on a besoin d'un moyen certain qui indique que le courant passe. D'ailleurs il ne faut jamais se fier aux s

lter plusieurs fois. Les modes d'application, la durée, la force du courant , etc., dé-pendent évidemment de chaque cas, et il

a donné d'excellents résultats, il est toujours utile d'agir avec les courants continus sur les centres nerveux, même dans les l

que les effets étaient bien plus mani-festes lorsqu'on appliquait les courants sur les centres que lors-qu'on les applique direc

remontant à une époque plus ou moins éloignée, nous avons employé les courants continus de la façon suivante : Nous mettions le

re classe, les muscles paralysés se contractent encore un peu par les courants induits, mais plus difficilement et plus faibleme

mais plus difficilement et plus faiblement que les muscles sains. Les courants continus déterminent des contractions, mais avec

ins. Les courants continus déterminent des contractions, mais avec un courant assez énergique, et ces contractions sont plus fa

deuxième classe, les muscles paralysés ne se contractent pas par les courants induits, il se contractent par les courants con-t

e contractent pas par les courants induits, il se contractent par les courants con-tinus, mais il faut encore un courant plus én

il se contractent par les courants con-tinus, mais il faut encore un courant plus énergique que pour les muscles sains. Enfi

roisième classe, les muscles paralysés ne se con-tractent pas par les courants induits, mais ils se contractent sous l'influence

par les courants induits, mais ils se contractent sous l'influence de courants continus, et, fait bien curieux, avec un couran

us l'influence de courants continus, et, fait bien curieux, avec un courant moins fort que celui qu'il est nécessaire d'emplo

lleur, lorsque ces mômes muscles se contractent difficilement par les courants continus, que lorsqu'ils se contractent très-faci

contractilité ira en s'affaiblissant. Eh bien, cela est vrai pour les courants continus, mais dans les limites suivantes : il fa

, mais bien le simple raccourcis-sement musculaire ayant lieu sous un courant plus ou moins faible. M. Charcot nous a rapport

ure que l'état de cette malade s'aggravait, la con-tractilité par les courants induits, ou farado-musculaire, s'affaiblis-sait e

'affaiblis-sait et disparaissait, tandis que la contractilité par les courants con-tinus, ou galvano-musculaire, augmentait. Ce

Je n'insisterai pas sur l'importance de ces différences d'action des courants électriques dans les paralysies faciales, dans le

dans les paralysies faciales périphériques, la contractilité par les courants induits s'éteint complètement, tandis qu'elle aug

rants induits s'éteint complètement, tandis qu'elle augmente pour les courants continus. Le surlendemain, la contractilité éta

e la même, c'est-à-dire que, du côté paralysé comme du côté sain, les courants induits déterminaient de fortes contractions, et

courants induits déterminaient de fortes contractions, et qu'avec les courants conti-nus, il fallait pour les deux côtés la même

urants conti-nus, il fallait pour les deux côtés la même intensité de courant . Nous commençâmes à douter de notre diagnostic, d

raumatique. La plaie s'est mise rapidement à bourgeon-ner, et dans le courant de mars le malade quittait nos salles pour acheve

er et produire de la chaleur sans être im-médiatement traversé par un courant sanguin, c'est-à-dire en dehors de la circulation

montant à six ans. — Trai-tements variés par les bains sulfureux, les courants continus, Vextrait thébaïque, le bromure de potas

endre du vin de quinquina, de l'iodure de potassium; on le soumit aux courants continus sans résultat bien appréciable, et le ma

20 mai. Les signes d'œdème périglottique se sont présentés dans le courant de la nuit, mais cet œdème n'était qu'un œdème de

ciété de chirurgie. ÉLEGTROTHÉRAPIE DE L'ACTION THÉRAPEUTIQUE DES COURANTS CONTINUS Leçon faite le 15 juillet à la Salpètr

en voulu nous seconder, je vous dirai quelques mots de l'intensité du courant à employer et de la durée de l'électrisation. h

elle puisse être supportée par les malades. On peut même employer des courants assez intenses, mais seulement dans les cas où l'

vanomètre est d'une grande utilité, car lui seul doit indiquer que le courant traverse les tissus. Nous avons toujours insisté

ujours insisté sur ce point, et nous sommes partisan de l'emploi d'un courant modéré et assez longtemps prolongé. Mais il y a

ouloir, comme l'a fait récemment M. le docteur Lefort, préconiser les courants excessive-ment faibles et permanents. C'est une t

, et il commen-çait à y renoncer vers la fin de sa vie, préférant des courants plus énergiques et d'une durée moins longue. Ce

moins longue. Certes, avec les éléments employés par M. Lefort, le courant est plus constant qu'avec les chaînes de Pulverma

, mais ce procédé offre néanmoins de grands inconvénients. D'abord le courant n'est même pas constant, car la conductibilité de

ne éléva-tion à peu près correspondante dans le membre parcouru parle courant descendant. Mais cette différence de température

s, dans les cas où il est difficile de bien limiter la direc-tion des courants , il faut se rappeler que le pôle positif est calm

de la pesan-teur du membre et de la faiblesse. Le traitement par les courants continus a fait disparaître la plupart de ces sym

ulement sur les membres paralysés, mais encore nous faisons passer un courant à travers la tête. Ce courant de 8 à 12 éléments

sés, mais encore nous faisons passer un courant à travers la tête. Ce courant de 8 à 12 éléments n'est maintenu que pendant une

ératoire n'offre aucun danger. C'est là un des grands avantages des courants continus, c'est qu'ils peuvent être appliqués san

nt craint de l'employer du côté de la tète. C'est une erreur, car les courants continus peuvent agir comme sédatif et comme calm

me et pro-longé. Cette influence est due à l'action incontestable des courants continus sur la circulation intra-crânienne. Mais

'est surtout dans ces cas qu'il faut tenir compte de la direction des courants . Voici une expérience qui, sous ce rapport, est

e afin d'examiner l'état des vaisseaux cérébraux sous l'influence des courants continus. En mettant le pôle positif sur la porti

la circulation intra-crânienne n'est pas toujours de faire passer un courant à travers la tête, en met-tant par exemple le pôl

lieu, comme nous vous l'avons démontré dans la der-nière séance, les courants électriques agissent surtout par leur ten-sion; o

nlraire, que le médecin soit constamment présent à l'applica-tion des courants électriques et que ce soit lui-môme qui maintienn

un traitement incomplet. Nous ne voulons pas dire pour cela que les courants très-faibles et appliqués pendant plusieurs heure

oir quel est le meilleur pro-cédé; est-ce celui qui consiste dans des courants faibles et perma-nents ou celui qui consiste dans

ns des courants faibles et perma-nents ou celui qui consiste dans des courants plus énergiques et dont la durée varie de dix à t

ares qui n'ont guéri qu'au bout de deux à trois mois. En somme, les courants très-faibles n'agissent guère, que lorsque l'épid

que lorsque l'épiderme est détruit, mais alors l'action chimique des courants désorganise les tissus en contact avec les rhéoph

fre aucun avantage sur le procédé ordinaire. Dans l'application des courants continus, il est nécessaire de tenir compte de la

rants continus, il est nécessaire de tenir compte de la direction des courants , car l'action du courant est différente sur la ci

essaire de tenir compte de la direction des courants, car l'action du courant est différente sur la circulation et sur le systè

différente sur la circulation et sur le système nerveux, selon que le courant est ascendant ou descendant. Avec M. Ch. Legros,

us être présentes dans les applications électrothérapeutiques : 1° le courant ascendant resserre les vaisseaux et diminue la ci

ndant resserre les vaisseaux et diminue la circulation, tandis que le courant descendant dilate les vaisseaux et amène une cong

ate les vaisseaux et amène une congestion plus ou moins forte ; 2° le courant ascendant excite la moelle et agit plus vivement

a moelle et agit plus vivement sur les nerfs sensitifs, tandis que le courant descendant diminue l'excitabilité de la moelle, e

ncipalement sur les nerfs mo-teurs. L'influence de la direction des courants sur la circulation est très-manifeste dans beauco

ogiques. Elle est également sensible au ther-momètre surtout pour des courants énergiques et momentanés. Avec des courants plus

-momètre surtout pour des courants énergiques et momentanés. Avec des courants plus faibles et prolongés pendant quelques heures

hes à ce sujet, et nous avons observé dans le membre par-couru par le courant ascendant un léger abaissement de tempéra- REVU

les veines reprennent leur calibre normal. Au moment où l'on cesse le courant , il y a de nouveau un léger resserrement artériel

utre fait qui est très-important et qui démontre bien l'influence des courants continus sur la circulation. Chez une de ces mala

et très-faiblement. Dès les premières semaines du traitement par les courants continus, les règles sont devenues plus abondante

entent plus de gonflement. Un des plus beaux succès de l'action des courants continus est celui que nous avons obtenu chez une

ssement permanent de la fibre musculaire pendant tout le passage d'un courant continu. On sait qu'en général, les courants cont

dant tout le passage d'un courant continu. On sait qu'en général, les courants continus ne déterminent de con-traction qu'au mom

traction qu'au moment de la fermeture et au moment de l'ouver-ture du courant , tandis que dans ces cas, il y a une contraction

cas, il y a une contraction qui subsiste pendant tout le temps que le courant continu est appliqué sur les muscles ou sur les n

que chez les personnes très-excitables et surtout avec l'emploi d'un courant ascendant. Chez cette malade, nous avons égalemen

s rhéc-phores, ou si on employait même sur les vertèbres dorsales, un courant très-fort, les vomissements se répétaient dans la

amélioration, si légère qu'elle soit. Nous avons encore employé les courants continus chez des femmes atteintes de paralysies

ande au début a été arrêtée depuis l'époque où nous avons employé des courants faibles et permanents, bile a eu, à la suite de c

disparaître les progrès qui avaient été obtenus précédemment avec des courants momentanés. 11 ne faut pas oublier que, dans ce

ogiques et pa-thologiques. Mais, nous possédons dans les différents courants électriques un .moyen puissant d'agir sur la circ

ppareil uri-naire. Les études intéressantes sur le traitement par les courants continus de l'hydrocèle, de l'hypertrophie prosta

'employer, vous ne trouverez rien, et si vous n'êtes pas déjà fort au courant de la thérapeutique des voies urinaires, vous ne

y a absence de bile dans l'intes-tin, c'est trop absolu, et, dans le courant de sa thèse, M. Pouzol prendra soin, pour ainsi d

ale; anomalie, 182. Atrophie musculaire progressive traitée par les courants continus, 353. B Ball (B.), 6. Bains électr

ne femme enceinte, par J. Cornil-lon, 178. — de l'utérus, 522, 341. Courants continus (Des), par L. Lel'ort, 235. —De l'action

, par Hervieux, 210. Électrothékapie. Delà différence d'ac-tion des courants électriques sur l'organisme humain, etc., par Oni

chez les en-fants, par Southey, 20. Hemiplegie, traitement par les courants continus, par Onimus, 255. Héworbhagie vulvaire

des nouveau-nés, par Na-daud (An. P. Budin), 569, — traitées par les courants continus, par L. Le-fort, 255 (voy. Hémiplégie).

rveuses dans nos plus récents Traités médicaux sont-parfaitement au courant de la Science : sans peine on y trouve l'ensemb

eau des excitations diverses (piqûres, pincement, cha- louillcmuut, courant électrique...). On voit la pupille se dilater len

manifesterait dans certaines maladies nerveuses sous l'influence du courant galvanique. Le nerf auditif réagit en somme comme

détermine une sensation sonore qui s'atténue pendant le passage du courant et l'ouverture du négatif ne produit rien. La fer

fermeture du pôle positif ne donne rien, non plus que le passage du courant , et l'ou- verture détermine une faible sensatio

vie d'une secousse rapide, a « sa direction constituée par celle du courant endolymphatique qui lui a donné naissance ». Par

ant endolymphatique qui lui a donné naissance ». Par exemple, si le courant provoqué expérimentalement dans le canal semi-

t que le labyrinthe est détruit. Le plus pratique est d'employer le courant d'eau froide. L'étude des réac- tions normales

on le retire, la sensation odorante sera d'autant plus forte que le courant d'air passera sur une plus longue étendue du cy

u périphérique; elle résulte d'un obstacle quelconque au passage du courant d'air vers la zone olfactive. Cet obstacle. pou

deux apophyses mastoïdes d'un sujet normal les deux électrodes d'un courant continu dont on augmente pro- gressivement l'in

- Vertiges. Le phénomène se produit en général quand l'intensité du courant .1 atteints à 5 milliampères; il serait particul

liqués aux tempes ; b) on augmente pro- gressivement l'intensité du courant : la tête s'incline d'un côté. Si le pôle positif

exagérée au vertige voltaïque; il ne se produit parfois qu'avec un courant de 10 à 15 milliampères au lieu de 2 Ù 3. Dan

Ces malades aiment les changements d'écriture (penchée, renversée, courante , calligraphiée, etc.); ils abusent des mots souli

é l'ont qu'ils ne sont guère employés dans les recherches cliniques courantes . Dans certaines affections du système nerveux,

ilité électrique indifférente persiste seule et l'aug- mentation du courant ne fait naître aucune douleur; inversement, lors-

est engendrée car le mouvement passif; on la recherche au moyen du courant élec- trique en s'efforçant de bien faire compr

sibilité « sui generis », dite électro-musculaire. En augmentant le courant , on détermine une sensation douloureuse; celle-

ut facilement analyser, et qu'il compare à un fourmillement ou à un courant électrique. Cette sensation n'est nullement fon

, etc.). On arrive presque toujours à la réveiller en appliquant un courant faradique intense sur une région très sensible

'apparente puisqu'on peut arriver à réveiller la sensibilité par un courant faradique fort, par exemple); allure para- doxa

centrale. .Moins fréquentes que les précédentes el. de notion moins courante , elles doivent pour celte rai- son nous arrêter

, des sensations de chaud ou de froid, de doigt mort, de bain ou de courant d'eau chaude ou d'eau froide, de courant électr

doigt mort, de bain ou de courant d'eau chaude ou d'eau froide, de courant électrique. Ces dysesthésies peuvent exister seul

IES ET ALGIES. TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. A2 ! les étincelles, le courant faradique de tension, le courant ondulatoire, l

ÉVRALGIES. A2 ! les étincelles, le courant faradique de tension, le courant ondulatoire, l'effluve de haute fréquence, l'ét

atoire, l'effluve de haute fréquence, l'étincelle condensatrice, le courant continu, l'introduction éleclrolytique de médic

n. La recherche du réflexe rotulien qui est entrée dans la pratique courante est cependant des plus délicates et une mauvais

juin 1908). Mais ce sont là des procédés qui sortent de la pratique courante . Réflexe contralatéral des adducteurs. Ce réfle

idation épileptoïde) n'est pas cependant recherché dans la pratique courante de la iaçon que nous venons d'in- diquer. E

et conservent leur individua- lité jusqu'au bout de leur trajet. Un courant minimum appliqué sur les divers points de la ci

il faut en outre la mise en activité de muscles très divers et d'un courant respiratoire. Katzenstein a bien mis en évidenc

ion sont encore faciles. La deuxième phase est de constatation plus courante : la corde est im- mobilisée en position médian

uns des autres par des gout- tières : il est en effet d'observation courante que les faisceaux d'un même muscle s'atrophient

but spécial . Mais ces procédés ne sont pas entrés dans la pratique courante et, pour les employer, il faudrait qu'ils parai

ions minium apparaissent pendant long- temps avec des intensités de courant presque normales, mais les contrac- tions avec

sités de courant presque normales, mais les contrac- tions avec des courants plus forts sont diminuées d'étendue et de puis-

sorte d'agitation de la main qui se produit quand on interrompt un courant faradique ou galvanique traversant les muscles

ons antérieures, qui ont toutes pré- cédé la période où la pratique courante de la ponction lombaire et du cyto-diagnostic

NE LÉSION LOCALE. 709 rapide; elle est d'ordinaire manifeste dès le courant du premier mois qui suit le début d'une inflamm

ils seraient même nettement nuisibles pour peu que l'on emploie des courants un peu forts, et P. Marie et Sorel, Babinski (2),

dans certains cas. donner quelques succès relatifs localisés : des courants continus d'intensité modérée paraissent devoir

e en posant les deux électrodes aux deux extrémités du rachis : des courants galvaniques juste suffisants pour amener une cont

suffisants pour amener une contraction notable des muscles, ou des courants faradiques peu intenses et à inlcr- ruptions fr

phies réflexes, une de ses principales indications ; les différents courants pourront être appli- qués avec succès, mais le

différents courants pourront être appli- qués avec succès, mais le courant faradique peu intense et à interrup- tions espa

lus volontiers sur son point moteur. Denoyès (') a constaté que les courants de haute fréquence auraient une influence très

rtant le massage superficiel et léger, reffleurage, et mamy (j) les courants statiques. La cure des amyotrophies post-paraly

et pratiquée seulement, dans ces cas, avec prudence, à l'aide d un courant 1. Deaooa. Olonlpcllier médical, 1900. 2. Loc

ctilité faradique et galvanique des muscles est augmentée. Avec les courants galvaniques, les secousses de ferme- turc sont

e secousses d'ouverture, le relâchement se fait lentement. Avec les courants faradiques ou avec les courants galvaniques fixes

chement se fait lentement. Avec les courants faradiques ou avec les courants galvaniques fixes, on peut produire souvent des

mais si l'on pro- longe ou si l'on accumule les excitations par un courant galvanique labile ou par un courant faradique à

accumule les excitations par un courant galvanique labile ou par un courant faradique à interruptions fréquentes, on déter-

t aptes à la rééducation. ' 5° Il faut que l'éducateur soit très au courant de la physiologie des mouvements, qu'il sache a

on suffisant au rôle ordinaire qui leur est dévolu dans l'existence courante . NOTIONS PRATIQUES GÉNÉRALES ^|f L'un des pri

uérison absolue hors de proportion avec les obliga- tions de sa vie courante , et, par exemple, on exigera plus, pour la rééd

il l'incomplète précision que l'on exige de ces membres dans la vie courante . A) Exercices sans appareils. 1° Exercices alte

articulièrement pour les femmes que leur jupe em- pêche dans la vie courante de voir leurs pieds. Aussi, quand les malades a

és, enfin à faire exécuter progressivement certains actes de la vie courante , tels que écrire, dessiner, boulonner ses vêtemen

rveillance aussi continue que possible, aux menus travaux de la vie courante dont souvent il s'était volontiers déshabitué :

qu'il doit certainement en être ainsi. Electrisons, en effet, avec un courant modéré, un muscle en ne lançant qu'une seule ex

, la phase de descente indiquant le relâchement progressif. Avec un courant plus intense et surtout la répétition des excitat

brusques en général systématisées et reproduisant un acte de la vie courante . Enfin, chez certains malades, la raideur muscu-

pie y prédisposent moins que les travaux de composition, à écriture courante , qui nécessitent une certaine tension d'esprit.

erforant diabétique est également com- mun et que, dans la pratique courante , les maux perforants plantaires ne relèvent guè

rcher la pression artérielle est la sui- vante : l'appareil le plus courant est celui de Potain qui s'applique à l'artère r

s et hypogas- triques, en augmentant progressivement l'intensité du courant pendant 5 ou 10 minutes. Les courants de haute

progressivement l'intensité du courant pendant 5 ou 10 minutes. Les courants de haute fréquence ont aussi donné de bons résu

: l'autre électrode étant placée sur le périnée, on l'ait passer un courant faradique pendant ai ou 10 minutes; une dizaine

er, séjour aux eaux minérales, électrisation, surtout sous forme de courants de haute fréquence, suppression des travaux intel

ysement, douches tièdes ou froides. L'électricité, sous la forme de courants de haute fré- 1(11enec, donne certains résultat

ertains aliénés, des paralytiques généraux notamment, est de notion courante . Certaines faims seraient d'origine bulbaire1 :

. Parmi les instruments d'anthro- pométrie, les uns sont d'un usage courant , d'autres sont plus spéciaux. Règle générale, o

n d'éosine à l'eau à 1 ? pendant cinq minutes, on la lavera à l'eau courante , on la plongera ensuite dans une solution d'hém

est caractérisé par l'inclinaison de la tête sous l'influence d'un courant galvanique. La ponction lombaire diminue la rés

cité sont assez nombreux; suivant les cas, en effet, on utilise les courants faradiques, les courants galvaniques, l'électrisa

suivant les cas, en effet, on utilise les courants faradiques, les courants galvaniques, l'électrisation statique. les cour

faradiques, les courants galvaniques, l'électrisation statique. les courants dits de haute fréquence et les rayons de Roentgen

de Roentgen ou rayons X. On utilise encore, mais plus rarement, les courants dits ondu- latoires et les courants sinusoïdaux

encore, mais plus rarement, les courants dits ondu- latoires et les courants sinusoïdaux. Parmi ces divers modes d'application

es d'application de l'électricité, nous nous occuperons surtout des courants galvaniques et des courants faradiques qui sont

icité, nous nous occuperons surtout des courants galvaniques et des courants faradiques qui sont le plus souvent mis en usage

s faradiques qui sont le plus souvent mis en usage dans la pratique courante et qui peuvent être facilement employés par tout

ourante et qui peuvent être facilement employés par tout médecin. COURANTS GALVANIQUES Les courants galvaniques ou voltaïq

facilement employés par tout médecin. COURANTS GALVANIQUES Les courants galvaniques ou voltaïques ont été ainsi appelés d

mmes redevables de la pile électrique. On les appelle parfois aussi courants continus : dans bien des cas, cette dernière dé

dernière dénomination laisse à désirer, car on applique souvent ces courants en les interrompant, ou encore en les soumettant

tant à de brusques renversements de direction. Nous les appellerons courants galvaniques, dénomination qui a le plus général

énomination qui a le plus généralement prévalu. On peut demander le courant galvanique à une machine dynainivèleir- trique

achine dynainivèleir- trique ou à un secteur urbain qui débitent du courant considéré l('mnuuul(" continu au point de vue i

nsidéré l('mnuuul(" continu au point de vue industriel, bien que ce courant ne puisse èta" considéré comme rigoureusement c

ICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. plusieurs personnes aux applications des courants galvaniques. Si une seule prise de courant suff

es aux applications des courants galvaniques. Si une seule prise de courant suffit, il vaut mieux, au point de vue de l'éco-

laire. Si même on n'a pas à faire un grand nombre d'applications du courant électrique, on peut se contenter pour le cabine

fonctionnement. ' 11 est très important, .pour les applications du courant galvanique, d'avoir toujours présente a la mémo

- rant, la loi d'Ohm. Elle peut s'exprimer ainsi : l'intensité d'un courant est directement proportionnelle à la force élec

'ig. 1. - Batterie transportais de piles au hisnll'all' de mercure. COURANT .S GALVANIQUES.' " 1105 1 .. et inversement pr

u'il rencontre; elle se formule par la notation : Ces éléments du courant peuvent être évalués en les rapportant à des un

on n'utilise que de faibles intensités; on prend alors comme unité courante la. millième. partie de l'ampère, c'est-à-dire le

m. A. On évalue en volts la -force électro-motrice, qui engendre le courant , ou bien encore la différence de potentiel qui

ohms. De toutes ces valeurs, la plus importante à connaître pour le courant galvanique, au point de vue médical, est l'in

'un jusqu'à 25 m. A., le second jusqu'à 125 ni. A. Dans la pratique courante , cependant, un galvanomètre avec un seul shunt

de potentiel existant entre deux points du circuit parcouru par le courant , est moins indispensable que le miHIampere- mèt

de potentiel; il doit, en effet, être placé l'ig. 5. - Voltmètre. COURANTS GAL1'9\IOULS. 11a en dérivation entre ces deux

C'est la différence de potentiel entre les points d'application du courant sur le corps qu'il importe le plus généralement

ie pour le voltmètre, il ne mesurerait pas seulement l'intensité du courant traversant le corps, mais la somme des deux cou

l'intensité du courant traversant le corps, mais la somme des deux courants passant l'un par le circuit où se trouve le corps

tre dans la partie du circuit où l'on veut connaître l'intensité du courant , c'est-à-dire, pour le cas présent. dans la par

Ù cet inconvénient, il faut laisser le voltmètre en circuit, et, le courant passant par le corps et le voltmètre, lire la val

ia- tions que celte résistance snbit sous l'influence du passage du courant , et en raison de la polarisation produite du cô

en prendre une notion relative, lorsque l'on connaît l'intensité du courant qui traverse le corps, et la différence de pote

sert de piles Leelanché ou de piles au bisul- fate de mercure. Le courant galvanique peut être appliqué, soit en le laissan

u avec renversements de direction. . Dans le premier cas, le nom de courant galvanique continu peut lui convenir; il met en

peut lui convenir; il met en jeu les effets de l'état permanent du courant . Nous appellerons galvanisation continue ce mod

t. Nous appellerons galvanisation continue ce mode d'application du courant galvanique. Nous appellerons galvanisation par

erons galvanisation par interruptions simples, ou galvanisation par courants intermittents, ou plus simplement encore galvan

us simplement encore galvanisation interrompue, les applications du courant galvanique interrompu et rétabli sans changer d

de direction, et galvanisation aller- native les applications de ce courant avec renversements brusques de sa direction, c'

à-dire avec ce qu'on a encore appelé des alternatives voltiennes. COURANTS GALVANIQUES. 1197 î COURANT GALVANIQUE CONTIN

elé des alternatives voltiennes. COURANTS GALVANIQUES. 1197 î COURANT GALVANIQUE CONTINU Lorsqu'on applique la galvan

ion continue proprement dite, on recherche généralement l'action du courant galvanique dans son état permanent. Faisant par

la ramène graduellement à zéro. Avant de parler des effets de ce courant continu, il nous importe de savoir comment grad

de ce courant continu, il nous importe de savoir comment graduer le courant galvanique et aussi comment le faire pénétrer d

et aussi comment le faire pénétrer dans le corps. Pour graduer le courant galvanique, on a plusieurs procédés à sa dis- p

ent la force électro- motrice prise sur la batterie. L'intensité du courant augmente en consé- quence. Quand elle a atteint

a diminution de la résistance de la peau produite par le passage du courant . On la ramène il la valeur proposée en diminuan

un nombre fixe d'éléments, on fait varier la résistance opposée au courant . Au début, cette résistance doit être aussi éle

possible ; en la faisant diminuer progressive- ment, l'intensité du courant s'élève peu à peu. Quand celle-ci a atteint la

é, de Bordier et de Guilloz. . Les deux procédés de graduation du courant dont il vient d'être ques- tion présentent chac

s Fig. 6. Rhéostat de Bergonié. Fie-. 7. - Rhéostat de Guilloz. COURANTS GALVANIQUES. 1199 surtout, le courant s'établit

7. - Rhéostat de Guilloz. COURANTS GALVANIQUES. 1199 surtout, le courant s'établit parfois assez brusquement, atteignant a

remédier aux inconvénients de ces deux procédés de gra- duation du courant galvanique en les combinant l'un avec l'autre. Po

'élec- tricité dans le circuit du rhéostat quand on veut de faibles courants dans le circuit du corps et qui, pour cette rai

rapidement les bat- teries de piles. (Dans d'autres applications du courant galvanique, dans la recherche des effets de l'é

rant galvanique, dans la recherche des effets de l'état variable du courant pour l'électro-diagnostic, par exemple, ce proc

e du précédent, mais il a sur lui l'avantage de laisser toujours le courant fermé sur une résistance assez élevée. Dans un

0 à 1500 ohms par exemple. Sur ce circuit on prend en dérivation le courant destiné au corps. Lorsque la résistance entre les

de milliampère ou par fractions plus faibles encore, l'intensité du courant qui traverse le corps. C'est le procédé auquel

éférence; il convient tout particulièrement au cas où l'on prend le courant sur une dynamo ou sur un secteur il courant con

au cas où l'on prend le courant sur une dynamo ou sur un secteur il courant continu; il est applicable encore avec une batt

es appareils transportables le mode le plus simple de graduation du courant est le collecteur d'éléments auquel on associe ?

du réducteur de potentiel, traversé d'une façon continue par le courant pro- venant de la batte- ric ; - BB'B", po-

la bran- che de dérivationTll. pour augmenter l'in- tensité du courant traversant le corps ; - AB, AB', AU", porti

réducteur de potentiel sur lesquelles sont prises en dérivation le courant allant au corps II. Représentation schématique

nsion entre la batterie et les dérivations. . .. Fig. 9. - Modèle courant de réducteur de potentiel. COURANTS GALVANIQUES

vations. . .. Fig. 9. - Modèle courant de réducteur de potentiel. COURANTS GALVANIQUES. 1201 ou non, suivant les cas, une

rhéostat placé en tension dans le circuit. Pour faire pénétrer le courant dans le corps, les conducteurs doivent être rel

le corps. Il n'en est pas ainsi dans la plupart des applications du courant galvanique au traitement et au diagnostic des m

tuellement placées sur la peau, la résistance opposée au passage du courant serait très grande avec des électrodes nues, pa

autant plus élevée que cet épiderme est plus sec. De plus, comme le courant ne s'établirait guère que par des points où la

, c'est-à-dire au niveau des ori- lices glandulaires, la densité du courant serait très forte en ces points et il s'y dével

re). En somme, ce liquide constitue l'intermédiaire con- duisant le courant : il a de plus l'avantage, en humectant l'épiderm

ulée; ces liquides ont l'inconvénient de rendre les applications du courant galvanique plus douloureuses; ils ont encore l'

lectrodes; d'elle, en effet,. dépend en grande partie la densité du courant , facteur très important en électrothérapie. P

ur très important en électrothérapie. Par densité électrique d'un courant , on entend le rapport de l'inten- site de ce co

lectrique d'un courant, on entend le rapport de l'inten- site de ce courant à la section du conducteur qu'il traverse. Cette

même résistance électrique, et l'on sait que les lignes de flux du courant suivent de préférence les voies de plus faible ré

voies de plus faible résis- tance ; il en résulte que la densité du courant n'est sans doute pas régu- lièrement répartie d

Fig. 12 (d'après Erb). Schémas de la distribution et de la densité du courant dans le Irnnc. selon les dimensions des électro

t dans le Irnnc. selon les dimensions des électrodes. A. Densité du courant avec deux électrodes d'égales dimensions; leurs

s d'égales dimensions; leurs densités sout les mêmes; B. Densité du courant avec des électrodes de grandeurs différentes :

hode ; la densité de la cathode est double de celle de l'anode. - COURANTS .' GALVANIQUES. 1205 Les deux premières propos

erminé d'après la situation qu'il occupe. '1 °. Pour localiser le courant sur un point situé superficiellement ou peu élo

es. On l'utilise également en électrothérapie. 2° Pour localiser le courant sur une étendue plus grande mais encore peu élo

dessous de la peau traversent cet espace. 5° Pour atteindre avec le courant des parties plus ou moins étendues situées dans

Fig. 15 (d'après Erb). Schémas de la distribution et de la densité du courant relativement à sa direction dans le corps. - A,

à atteindre. Si elles étaient rapprochées, la plus grande partie du courant resterait dans le voisinage de la peau (A. fig. 1

x pénètrent dans la profondeur (B. fig. 14). 4° Pour localiser le courant sur un point déterminé situé dans la profondeur

du cerveau. On l'emploiera encore pour sou- mettre à l'action du courant une articulation, comme le genou, l'épaule, etc

Les considérations qui précèdent ne s'adres- sent pas seulement au courant galvanique con- tinu, elles peuvent valoir auss

con- tinu, elles peuvent valoir aussi pour les appli- cations des courants galvaniques interrompus, des courants faradique

pour les appli- cations des courants galvaniques interrompus, des courants faradiques, etc. A d'autres points de vue encor

es points de vue encore il importe de tenir compte de la densité du courant . On en tiendra compte, par exemple, pour éviter

ple, pour éviter les brûlures de la peau. Si l'on doit employer des courants de forte intensité et que l'on prenne de petite

e intensité et que l'on prenne de petites électrodes, la densité du courant est très grande sur la peau et les actions chim

ng. 14 (d'après Erb). Schémas de la distribution et de la densité du courant relativement à sa pénétration dans la profondeu

la zone des lignes de flux les plus denses et les plus actives. COURANT GALVANIQUE CONTINU. 1207 énergie suffisante pou

électrodes, au contraire, la densité est beaucoup plus faible, les courants sont répartis sur une surface plus étendue et l'e

urface plus étendue et l'escarrilica- tion est évitée. Action DES courants galvaniques continus. Effets DE l'état permanen

on DES courants galvaniques continus. Effets DE l'état permanent DU courant . Le courant galvanique passant d'une façon cont

s galvaniques continus. Effets DE l'état permanent DU courant. Le courant galvanique passant d'une façon continue développe

s et physiologiques. Les effets thermiques dans les applications du courant galvanique au traitement des maladies nerveuses

uses sont insignifiants en raison des faibles intensités données au courant et en raison de la grande masse du con- ducteur

particules, principalement de particules liquides entraînées par le courant . Les phénomènes de cataphorèse sont d'ailleurs as

s. L'on sait que. dans une solution électrolytique traversée par un courant continu, les ions de l'électrolyte sont entraîn

un courant continu, les ions de l'électrolyte sont entraînés par le courant ; ceux qui sont chargés positivement, les ions é

uide et en ayant soin de ne pas employer une trop grande densité de courant . 1 Lorsque le métal des électrodes est attaquab

ns opposé. Sous chaque électrode, en effet, il se produit un double courant ionique. A la cathode les cations descendent le

t un double courant ionique. A la cathode les cations descendent le courant et sortent du corps, tandis que les anions remo

le courant et sortent du corps, tandis que les anions remontent le courant et pénètrent dans le corps. A l'anode, les effe

l'anode, les effets inverses se produisent, les anions remontent le courant , sortent du corps, tandis que les cations desce

le courant, sortent du corps, tandis que les cations descendent le courant et pénètrent dans le corps. Ces phénomènes de t

e pénétration des ions dans le corps sous l'influence du passage du courant est bien démontrée aujourd'hui, après les expérie

une force électro-motrice dont la direction est opposée il celle du courant qui leur a donné naissance. Cette force contre-

eaucoup plus rare- ment dans les applications etcctrotherapiqucs. COURANT GALVANIQUE CONTINU. 1209 stances toxiques. Avec

es, en plaçant en même temps deux animaux en série sur le trajet du courant , on ne détermine des effets d'intoxication que

peau, en un point déterminé, il suffit d'orienter convenablement le courant après avoir appliqué sur ce point une électrode

sent surtout au niveau des électrodes, à l'entrée et à la sortie du courant . Nous devons nous demander encore quels sont les

issus, sur l'espace interpolaire parcouru par les lignes de flux du courant . On sait que, lorsque deux électrolytes de comp

lectrolytes de composition différente sont contigus,le passage d'un courant continu produit entre eux des échanges d'ions c

rouvent réalisées par les tissus de l'orga- nisme. Sous l'action du courant galvanique continu, il doit y avoir échange d'i

sons des effets physiolo- giques et des effets thérapeutiques de ce courant . Ces phénomènes d'élec trolyse interpolaire, da

développe une force électro-motrice de direction opposée à celle du courant qui la produit. On peut constater expérimentale

ss a constaté qu'elle pouvait atteindre 0.4 à 0,5 de volt, avec les courants utilisés communément en électrothérapie. 1 Qu

les courants utilisés communément en électrothérapie. 1 Quand les courants sont très intenses, l'électrolyse interpolaire pe

t la mort des tissus. En soumettant des muscles de grenouille à des courants galvaniques, même faibles, M. Weiss a constaté

s s'atrophiaient définitivement. Dans ces conditions, la densité du courant était très élevée en raison des faibles dimension

t de ne pas dépasser; l'observa- tion d'accidents survenus avec des courants continus industriels montre que les muscles de

lement détruits et s'atro- phier définitivement après le passage de courants trop intenses. Les effets physiologiques produi

trop intenses. Les effets physiologiques produits par le passage du courant galva- nique sont de différents ordres et se ma

ets dits catalytiques, Sur les nerfs moteurs et sur les muscles, le courant galvanique, dans son état permanent, ne parait

t guère produire directement des effets d'excitation. Avec de forts courants , cependant, on peut voir les muscles mis en éta

ont produits plus facilement lorsqu'on arrive à l'état permanent du courant en élevant rapidement son intensité, que si on

CONTINU. 211 On observe encore sur les nerfs moteurs des effets du courant gaha- nique constant ayant comme conséquence de

les observe facilement sur un nerf dénudé et isolé, parcouru par un courant continu dans les conditions réalisables en physio

ont différentes suivant la direction descendante ou ascen- dante du courant . Le courant descendant est celui qui suit la dire

tes suivant la direction descendante ou ascen- dante du courant. Le courant descendant est celui qui suit la direction de l

des centres nerveux et le pôle négatif du côté de la périphérie. Le courant ascendant est celui qui répond aux conditions inv

e considérer ce qui se passe à chaque pôle. Pendant le passage du courant , l'excitabilité du nerf est augmentée au niveau

lé ces effets catélectrotonus et onë/fc'ooHMs. Après l'ouverture du courant ces effets s'inversent; il y a diminution de l'

squelles on opère chez l'homme; on ne peut faire agir, en effet, le courant produisant l'électrotonus et explorer l'excitab

ceux-ci s'explique par la façon dont le nerf est par- couru par le courant ; la figure 16 fait comprendre comment de chaque

les actions secondaires qui se développent après la suppression du courant . - . Les nerfs sensitifs seraient donc soumis,

s moteurs en ce sens qu ils paraissent davan- tage excités par le courant galvanique dans son état per- manent. En effe

par le courant galvanique dans son état per- manent. En effet, le courant , pendant son passage continu, non seulement p

s la production de ces sensations non seulement l'action directe du courant , mais encore les effets résul- tant des produit

de l'électrolyse. Les nerfs vaso-moteurs sont aussi excités par le courant galvanique Il Fit. 16 (d'après Erb). Représen

n'est que la moitié de ce qu'elle est à la cathode (-). ). ÉTATS DU COURANT GALVANIQUE 1 : 115 passant d'une manière contin

oncée qui, le plus souvent, s'accentue encore après la cessation du courant . Cette dilatation des vaisseaux se produit plus

Cette dilatation des vaisseaux se produit plus rapidement avec des courants forts qu'avec des courants faibles. Le courant

eaux se produit plus rapidement avec des courants forts qu'avec des courants faibles. Le courant galvanique continu agit enc

rapidement avec des courants forts qu'avec des courants faibles. Le courant galvanique continu agit encore sur les organes gl

galvanisation de la glande elle-même. Pen- dant les applications du courant galvanique à la face ou au cou, on observe souv

gustatives, en effet, sont facile- ment produites par le passage du courant galvanique continu, même avec de faibles intens

continu, même avec de faibles intensités. A ces divers effets du courant galvanique continu, nous pourrions ajouter les

la nutrition intime des tissus par l'action directe ou indirecte du courant apportant des modifications dans les circulations

s la consti- tution moléculaire des éléments de l'organisme, etc. COURANT GALVANIQUE DANS SES ÉTATS VARIABLES (Excitation

(Excitations de fermeture et d'ouverture.) Au lieu d'appliquer le courant galvanique en le laissant passer d'une manière

ats variables. Supposons que par l'un des procédés de graduation du courant , dont il a été déjà question, nous ayons établi

oprié, un interrupteur placé dans le circuit, nous ayons empêché le courant dépasser. (Un des meilleurs interrupteurs que l

fermer le circuit, en appuyant sur la clef de Morse par exemple, le courant s'établit et atteint presque immé- diatement un

iveau des électrodes et avec la résistance opposée par le corps. Le courant passe par la période d'état variable de fermeture

DE L'ÉLECTRICITÉ. nous maintenons l'interrupteur de manière que le courant continue il passer, nous avons affaire à une pé

nue il passer, nous avons affaire à une période d'étal permanent du courant . Puis, si nous agissons sur l'interrupteur de

nous agissons sur l'interrupteur de ma- nière à interrompre le courant , à ouvrir le cir- cuit, l'intensité retombe p

panique que nous venons défaire passer ainsi par le corps. N. Le courant galvanique, au moment de ses états variables, a l

n;* lorsqu'elle est suffisante, c'est-à-dire lorsque l'intensité du courant est suffisamment élevée, se manifeste par la co

ariable d'ouverture. Elle est aussi en rapport avec la direction du courant , différente suivant que le courant est ascendan

en rapport avec la direction du courant, différente suivant que le courant est ascendant ou descendant, autrement dit enco

méthode, l'une des électrodes est large, de façon que la densité du courant y soit faible, c'est Y électrode neutre ou indi

ions appropriées il l'organe que l'on veut exciter, de façon que le courant 1 aborde dans les conditions de densité les plus

lIellt; OB, période d'état variable d'ouverture. ÉTATS VARIABLES DU COURANT GALVANIQUE. 1215 Y électrode active, différen

ets produits avec l'un et l'autre pôle au moment de la fermeture du courant , pendant la durée de passage du courant en état

u moment de la fermeture du courant, pendant la durée de passage du courant en état permanent, puis au moment de l'ouvertur

citation ne se manifeste avec le pôle négatif pendant le passage du courant ni au moment de l'ouver- ture ; aucune excitati

le positif ni au moment de la ferme- ture, ni pendant le passage du courant , ni au moment de l'ouverture. 2° Avec des coura

ant le passage du courant, ni au moment de l'ouverture. 2° Avec des courants que nous appellerons moyens (de 1 m. A. par exe

n n'est encore manifeste,- avec ce pôle, soit pendant le passage du courant , soit au moment de l'ouverture. Mais l'excitati

ce pôle P, l'exci- tation au moment de l'ouverture apparaît avec un courant de même, intensité que l'excitation au moment d

tion produite au pôle P, au moment de l'ouverture, apparaît avec un courant plus faible qu'au moment de la fermeture, sites

us citerons les quelques exemples suivants : .. ÉTATS. VARIABLES DU COURANT GALVANIQUE. 1217 POC > PFC. Pendant la durée

URANT GALVANIQUE. 1217 POC > PFC. Pendant la durée de passage du courant , aucune excitation ne se manifeste avec le pôle

épendre plutôt des conditions qui favorisent l'action secondaire du courant de polarisation que d'une façon spéciale de réa

fet, ;qui augmentent la polarisation des électrodes et des tissus. ( courants de forte intensité, pas- sage prolongé du coura

et des tissus. (courants de forte intensité, pas- sage prolongé du courant , excitations répétées avec la .même direction du

rolongé du courant, excitations répétées avec la .même direction du courant ), de même que les conditions qui facilitent l'éco

clef, par exemple) développent l'excitation produite l'ouverture du courant prin- PfUTI.JCE HUROL. t 77 [B. HUET.] Ivig

e produit au moment de PO, s'ajoute la variation d'intensité due au courant de polarisation, et cette dernière correspond à

nière correspond à une fermeture de pôle N, puisque la direction du courant de polarisation est inverse de la direction du

direction du courant de polarisation est inverse de la direction du courant principal. (Nous sommes tout porté à croire que

ipal. (Nous sommes tout porté à croire que c'est cette fermeture du courant secon- daire de polarisation qui joue le princi

rôle dans la production des excitations d'ouverture.) 5" Avec des courants forts (variant suivant les cas entre 5, 10, 15

l'excitation produite avec le pôle N, au moment de la fermeture du courant , croit encore et se prolonge plus ou moins pend

nt, croit encore et se prolonge plus ou moins pendant le passage du courant , 1FCC ou NFCCC devenant NFTe; au moment de l'ou

une légère excitation, 10c; celle-ci n'apparaît souvent qu'avec des courants très forts et n'est pas facile à constater, car

ile à constater, car la tétanisation produite pendant le passage du courant se prolonge généralement jusqu'au moment de l'ouv

P, les excitations produites augmentent aussi avec l'in- tensité du courant ; à la fermeture, cependant, la contraction obtenu

ant, la contraction obtenue PFC ou PFCC reste, plus petite, pour un courant de même intensité, que la contraction à NF; il

e la voir devenir tétanique et se pro- longer pendant le passage du courant , même avec des intensités élevées et difficiles

es réactions normales produites par l'excitation des nerfs uvec les courants galvaniques peuvent être résumées de la. façon su

obtenir; les excitations se produisent surtout à la fer- meture du courant ; elles sont généralement plus faibles et même fon

19 et 20). Dans le cas où l'exploration nécessite une intensité de courant assez élevée, il vaut mieux placer cetle électr

'élec- tion, un faible éloignement de ceux-ci nécessite souvent des courants heauconp plus forts pour obtenir le seuil de l'

u du muscle sur lequel l'électrode est appliquée en établissant des courants que l'on interrompt et que l'on rétablit tour à t

pour cet examen. Il importe que les fermetures et les ouvertures du courant soient faites d'une manière franche et nette. L

on un rcnverscur de cou- rant qui permet de changer la direction du courant et de pratiquer l'examen avec l'un et l'autre p

'EXCITABILITÉ GALVAMOUE. 1225 En produisant des fermetures avec des courants faibles que l'on augmente ou que l'on diminue,

cita- tion à la fermeture avec le pôle négatif. Renversant alors le courant , on recherche de la même façon le seuil de l'ex

excitations de fermeture. Au moment où l'on vient de renverser le courant pour pro- céder, à l'examen avec le pôle posi

ndant rien changé à la force électro-motrice prise à la source du courant . Il ne faudrait pas en conclure, avant d'avoir

nt. Il ne faudrait pas en conclure, avant d'avoir lu l'intensité du courant sur le milliampè-. rcmètre, que l'action du pôl

on produite pendant t l'examen avec le pôle négatif, l'intensité du courant est généralement plus forte au moment des premi

sure les inconvénients de la polarisation, il importe de laisser le courant fermé le moins longtemps possible. C'est pourquoi

e de la batterie (le pôle négatif sur la figure), par conséquent le courant ne passe pas. Si l'on abaisse l'une des clefs,

s que l'autre électrode conserve ses connexions avec la cathode, le courant se trouve- . ainsi fermé. Si on laisse la. cl

u'avec la clef double les contractions pro- duites à l'ouverture du courant s'obtiennent plus facilement, et qu'elles sont

facilement, et qu'elles sont plus fortes qu'avec la clef simple. Le courant provenant de la pola- risation des électrodes e

enverseur qui permette de faire des fermetures et des ouvertures du courant franches], et nettes.. . On peut encore emplo

terruptions simples, mais aussi des interruptions avec inversion du courant . dans l'association. de deux clefs de Morse, le

ersion du courant. dans l'association. de deux clefs de Morse, le courant de polarisation ne se trouve pas mis en' court

ité médi- cale, décembre 1895. ' ro.. 28. - Métronome inverseur COURANTS GALVANIQUES INTERROMPUS EN THÉRAPEUTIQUE. 1227

traitement des maladies nerveuses les actions de l'état variable du courant galvanique, on se servira des appareils dont il

et renverseurs, t métronome. .. Au point de vue thérapeutique le courant galvanique peut être appli- que en l'interrompa

r que l'une des clefs ('). Dans certains cas, on laisse passer le courant un temps assez long dans l'intervalle des inter

nner à l'interrupteur la disposition qui laisse passer librement le courant dans sa situation de ,. repos et qui l'interrom

t. Il est préfé- rable alors de choisir la disposition qui ferme le courant en agissant sur l'interrupteur et le laisse ouv

oyer le métronome interrupteur. Au lieu d'interrompre simplement le courant de l'une ou l'autre des façons qui viennent d'ê

anisation alternative. En pareil cas, on agit avec un renverseur de courant . La clef double est particulièrement appropriée

En somme, dans ce genre d'électrisation on associe aux effets d'un courant galvanique qui passe d'une façon continue, mais d

es, des effets se rapprochant des excitations de l'état variable du courant et dus aux fluctuations de l'intensité. COURA

'état variable du courant et dus aux fluctuations de l'intensité. COURANTS FARADIQUES > \ Les courants faradiques ont

x fluctuations de l'intensité. COURANTS FARADIQUES > \ Les courants faradiques ont été appelés aussi courants interro

S FARADIQUES > \ Les courants faradiques ont été appelés aussi courants interrompus, courants intermittents, courants i

Les courants faradiques ont été appelés aussi courants interrompus, courants intermittents, courants induits. La première déno

ont été appelés aussi courants interrompus, courants intermittents, courants induits. La première dénomination doit être pré

nation doit être préférée; elle évite toute confusion avec d'autres courants appliqués d'une façon interrompue, tels par exe

es courants appliqués d'une façon interrompue, tels par exemple les courants galvaniques interrompus. . Les appareils four

courants galvaniques interrompus. . Les appareils fournissant ces courants sont de deux ordres : les appa- reils magnéto-f

physiologiques ne sont pas absolument semblables. Dans la pratique courante , pour l'électro-dia- gnostic surtout, on n'empl

peut les considérer comme des transformateurs donnant, au lieu d'un courant de bas voltage circulant dans un circuit primai

d'un courant de bas voltage circulant dans un circuit primaire, un courant de voltage beaucoup plus élevé produit dans un

bobine inductrice. Cette disposition permet de graduer l'énergie du courant en engainant plus ou moins les deux bobines l'u

les deux bobines l'une dans l'autre; elle permet aussi de se servir COURANTS FARADIQUES. 1 : W de bobines induites formées p

ent comporte un très grand nombre de tours. Cette bobine fournit un courant induit de voltage élevé, un courant de tension, c

tours. Cette bobine fournit un courant induit de voltage élevé, un courant de tension, comme on dit parfois, mais dont l'i

eaucoup moins de tours que dans la bobine précédente; elle donne un courant induit de voltage beaucoup plus faible, mais, p

plus faible, mais, par suite de la faible résistance de son fil, le courant qu'elle peut débiter atteint une intensité rela

est fermé sur un circuit extérieur assez peu résistant : on le dit courant de quantité par opposition avec le courant de t

eu résistant : on le dit courant de quantité par opposition avec le courant de tension de la bobine à fil fin Parfois, avec

rapproche beaucoup plus par les qualités et les pro- priétés de son courant de la bobine à gros fil que de la bobine à fil fi

son courant de la bobine à gros fil que de la bobine à fil fin. Le courant inducteur de bas voltage est généralement fourni

ces piles soient d'assez grandes dimensions et puissent débiter un courant suffisamment constant. Pour les appareils porta

reils portatifs il y a avantage il .se servir de piles sèches. Le courant inducteur circulant dans le primaire ne détermine

Celles-ci sont produites par rétablisse- ment et la disparition du courant primaire et sont renforcées dans la plupart de

s dans l'axe de la bobine inductrice. La fermeture et la rupture du courant inducteur peuvent être faites avec un interrupt

ites par un dispositif qui établit et interrompt automatiquement le courant . L'interrupteur le plus simple est constitué pa

: orli. Cet interrupteur fonctionne bien, mais il ne donne que des courants faradiques à intermittences rapides. Lorsque le

lles restent toujours assez fréquentes. Dans les appli- cations des courants faradiques au traitement ou il l'électro-diagnost

ou il l'électro-diagnostic, il y a souvent avantage à employer des courants à intermittences plus [E. HUET. 1250 APPLIC

e Gaine-Tripier. Un pendule, dont le mouvement est entretenu par le courant primaire, permet d'avoir des interruptions rare

tés physiologiques de l'onde faradique Au moment de la fermeture du courant dans le circuit primaire, il se produit dans le

e du cou- rant qui lui donne naissance. Pendant l'état permanent du courant pri- maire, il n'existe aucun courant dans le c

. Pendant l'état permanent du courant pri- maire, il n'existe aucun courant dans le circuit secondaire. Au moment de l'ouve

cun courant dans le circuit secondaire. Au moment de l'ouverture du courant , primaire, il se produit dans le circuit secon-

con- daire une nouvelle onde induite qui a la même direction que le courant primaire. Ces effets d'induction sont représent

eincnl sur la ligure 51. ¡'IG. 2(}. - Chariot de Gaine-Tripier. COURANTS FARADIQUES. 1251 Les deux ondes induites, l'u

deux ondes induites, l'une à la fermeture, l'autre à l'ouverture du courant primaire, sont égales en quantité, mais elles dif

le de constater, en établissant les fermetures et les ouvertures du courant inducteur avec l'interrupteur manoeuvré à la ma

u- rants, reste inefficace; il faut augmenter beaucoup l'énergie du courant pour voir cette excitation apparaître avec cett

e polarité aux bor- nes de la bobine se- condaire, bien que les courants induits y soient alternatifs et que, par cons

a polarité des bornes change à la fermeture et à l'ouverture du courant primaire. On ne tient pas compte des courants

t à l'ouverture du courant primaire. On ne tient pas compte des courants induits de fermeture dont Faction excitante e

x bornes de la bobine secondaire que la polarité qui correspond aux courants induits d'ou- verture. -- Le courant faradiqu

polarité qui correspond aux courants induits d'ou- verture. -- Le courant faradique excite les nerfs et les muscles en rais

. Lorsqu'on augmente la fréquence des interruptions produisant le courant induit, des résultats un peu différents sont obte

2. FiG. ol. Onde faradique. Représentation schématique des ondes du courant inducteur ou courant primaire, P, et du courant

dique. Représentation schématique des ondes du courant inducteur ou courant primaire, P, et du courant induit ou courant seco

atique des ondes du courant inducteur ou courant primaire, P, et du courant induit ou courant secondaire, S. F A période d'ét

u courant inducteur ou courant primaire, P, et du courant induit ou courant secondaire, S. F A période d'étal variable de f

courant secondaire, S. F A période d'étal variable de fermeture du courant primaire, à laquelle correspond l'onde induite de

ferme- ture F' A' de sens inverse : A 0 période d'état permanent du courant primaire pendant laquelle il n'y a pas d'induct

n dans le. secondaire; 0 B période d'état variable d'ouver- ture du courant primaire a laquelle correspond l'onde induite d'o

e correspond l'onde induite d'ouverture 0' B' de rnèmr sens que. le courant inducteur.- rcc. 32. Contraction musculaire. 31

ratique, il im- porte de tenir compte des effets différents des courants faradi- ques suivant leurs fréquences, et l'o

ques suivant leurs fréquences, et l'on peut t distinguer les courants avec inter- ruptions rares ou es- pacées prod

ou es- pacées produisant des secousses isolées des muscles, les courants avec interruptions semi-fréquentes, pro- du

t plus développé que les interruptions sont plus nombreuses, et les courants avec interruptions fréquentes produisant iateta

s fréquentes produisant iatetanisation complète. Applications des courants faradiques A LGLECTRO-DL1G\OSTIC et au traiteme

ent f Pour exciter les nerfs moteurs et les muscles striés avec les courants faradiques, on prendra le courant fourni par un

s et les muscles striés avec les courants faradiques, on prendra le courant fourni par unc bobine induite à gros fil ou il

trodes seront les mêmes que celles dont il a été parlé à propos des courants galvaniques. Elles seront bien mouillées, le plus

? si l'appareil qu'on emploie est trop faible et ne fournit pas un courant d'une énergie suffisante. Pour graduer les co

fournit pas un courant d'une énergie suffisante. Pour graduer les courants faradiques, divers procédés sont à notre dispos

, dans lesquels l'une des bobines est mobile, on règle l'énergie du courant en rapprochant plus ou moins la bobine induite

recouvre complètement la seconde. On ne possède pas, comme pour les courants galvaniques, des moyens de mesures per- mettant

atique. Ils ne font connaître d'ailleurs que l'intensité moyenne du courant , et la valeur d'excitation de celui-ci dépend enc

uoi on se contente généralement d'estimer la valeur d'excitation du courant faradique on mesurant en centimètres ou en mill

couvrant complètement l'autre, on augmente ou diminue l'énergie des courants à l'aide d'un cylindre métallique creux placé d

uvrant le faisceau de fer doux. Dans ce cylindre se développent des courants de Foucault. On augmente l'énergie des courants

se développent des courants de Foucault. On augmente l'énergie des courants en retirant plus ou moins ce cylindre; les cour

e l'énergie des courants en retirant plus ou moins ce cylindre; les courants sont d'autant plus forts que le noyau de fer doux

er doux est plus découvert. On diminue, au contraire, l'énergie des courants en enfonçai ! plus ou moins le cylindre métalli

le rhéostat en tension de la façon que nous avons vue déjà pour les courants galvaniques. Pour apprécier le degré d'excitabi

'un muscle, on note la résistance qu'il est nécessaire d'opposer au courant pour obtenir le seuil 1. Ce mode d'évaluation d

les divers nerfs et muscles présentent dans l'état normal pour les courants faradiques comme pour les courants galvaniques.

tent dans l'état normal pour les courants faradiques comme pour les courants galvaniques. Quant aux résultats obtenus avec u

e convenablement appropriée, valeur bien déterminée et constante du courant inducteur, même fréquence des interruptions, etc.

on préfère le procédé précédemment exposé dans lequel on règle le courant en écartant plus ou moins les bobines. Dans l'a

urant en écartant plus ou moins les bobines. Dans l'application des courants faradiques, pour exciter les nerfs moteurs ou l

uellement la méthode polaire dont il a été parlé déjà il propos des courants galvaniques. Avec des courants fara- diques il

nt il a été parlé déjà il propos des courants galvaniques. Avec des courants fara- diques il intermittences rares, donnant l

nant lieu à des chocs faradiques espacés, on peut laisser passer le courant librement; il ne se produit que des contraction

séparées par des intervalles de repos plus ou moins longs. Avec des courants à intermittences fréquentes, ou même seulement

la bobine secondaire. A l'aide de cet interrupteur, on ne laisse le courant exciter les nerfs ou les muscles qu'un temps as

deux ou (rois secondes par exemple : puis on suspend le passage du courant de façon à laisser les muscles à l'état de repo

on se propose de remplir. On se sert parfois aussi d'onduleurs de courants pour rythmer les excitations faradiques tétanis

ils ont l'avantage de provoquer chaque série d'excitations avec des courants dont l'énergie va graduellement en croissant, att

ologiques que les contractions produites en rythmant simplement les courants avec les interrupteurs ordinaires. Cependant ces

ls assez compliqués ne sont pas indispensables, et dans la pratique courante on peut faire de bonne thérapeutique faradique

thmant les excita- tions avec des interrupteurs simples. Pour les courants faradiques l'orientation des potes a beaucoup moi

l'orientation des potes a beaucoup moins d'importance que pour les courants galvaniques. Néanmoins le pôle consi- déré comm

sser ou en la faisant rouler si l'on se sert d'un rouleau. Avec les courants faradiques à intermittences espacées, on voit q

- trode passe sur les points d'élection. Il en est de même avec les courants à intermittences semi-fréquentes et à intermitt

u le muscle au niveau des points d'élection, et l'on fait passer le courant en le graduant convenablement de la même façon qu

uscles, on peut tenir les électrodes en place en laissant passer le courant libre- ment. Si l'on provoque des contractions

de permettre de chercher facilement et rapidement l'orientation du courant donnant la meilleure excitation. La méthode d

fortement diminuée. Dans ces conditions, il faut mettre en jeu des courants forts qui souvent excitent dans le voisinage ou à

e permet d'éviter ou de diminuer ces excitations il distance. Les courants faradiques peuvent être utilisés aussi pour excit

ou cle Ivco- pode. Dans ces conditions, la résistance au passage du courant est très grande et il faut prendre le courant d

istance au passage du courant est très grande et il faut prendre le courant de la bobine à lil fin. L'électrode excitatrice

l. On la promène plus ou moins rapidement sur la peau en prenant un courant a intermittences fréquentes et d'énergie suffisan

nt mélangées de sensations de brûlure assez désagréables dès que le courant est un lieu fort, et les sensations deviennent

deviennent rapidement douloureuses lorsqu'on augmente la force du courant . Au moment où commencent les premières excitation

tation, la peau rougit et reste rouge tissez longtemps. Lorsque les courants sont suffisamment faibles et que la peau est bi

, les excitations sensi- tives peuvent être seules en jeu. Avec des courants un peu plus forts, il s'y ajoute des excitation

trice se trouve à la hauteur des points électro- moteurs ; avec des courants encore plus forts, l'excitation se diffuse z [E

d'Erb.Pour l'électro- diagnostic il y a souvent lieu d'employer des courants assez forts afin de rechercher si l'anesthésie

complète ou pour déterminer le degré d'hypoesthésie qui existe. Ces courants forts peuvent agir sur les nerfs moteurs et sur

uisque les deux pôles de la bobine aboutissent a ce râteau. ». ce COURANTS GALVANO-FARADIQUES \ k On a associé, au point d

ARADIQUES \ k On a associé, au point de vue du traitement, les deux courants et on a appelé cette association des courants l

traitement, les deux courants et on a appelé cette association des courants l'un à l'autre courants galvano-fara- diques, c

ociation des courants l'un à l'autre courants galvano-fara- diques, courants combinés, ou encore courants de De AVatteville du

l'autre courants galvano-fara- diques, courants combinés, ou encore courants de De AVatteville du nom de l'auteur qui a le p

eur qui a le premier employé cette combinaison. On associe les deux courants en série, et, pour cela, on relie la bobine far

aux électrodes appliquées sur le corps. Cette association des deux courants peut être faite simplement de la façon qui vien

de De Walteville qui permet par le jeu d'une manette de prendre le courant faradique seul, ou le courant galvanique, ou la

ar le jeu d'une manette de prendre le courant faradique seul, ou le courant galvanique, ou la réunion des deux courants.

nt faradique seul, ou le courant galvanique, ou la réunion des deux courants . Dans les applications du courant galvano-farad

lvanique, ou la réunion des deux courants. Dans les applications du courant galvano-faradique, il faut distinguer deux genr

e, il faut distinguer deux genres un peu différents, suivant que le courant faradique est à intermittences espacées ou à in

ées ou à intermittences fréquentes. Dans le premier cas, lorsque le courant faradique est à intermittences espacées, on règle

orsque le courant faradique est à intermittences espacées, on règle COURANTS GALVANO-FARADIQUES. 1259 d'abord le courant g

espacées, on règle COURANTS GALVANO-FARADIQUES. 1259 d'abord le courant galvanique de façon à lui donner l'intensité que

e faire agir dans son passage à l'état continu; on règle ensuite le courant faradique de façon que les chocs faradiques en ex

avec une énergie modérée. On laisse alors passer librement les deux courants . A l'action du courant galvanique dans son état

. On laisse alors passer librement les deux courants. A l'action du courant galvanique dans son état continu, effets ioniques

s chocs faradiques espacés; cette dernière est plus forte due si le courant faradique était employé seul non seulement en r

figure 55, mais encore en raison des effets électrotoniques dus au courant galvanique et en raison de la dimi- nution de l

on de la résistance de la peau, produite par le passage de ce même « courant . 1 Lorsque le courant faradique est à intermitt

a peau, produite par le passage de ce même «courant. 1 Lorsque le courant faradique est à intermittences fréquentes, on ne

ne doit plus laisser passer lihrement pendant un temps prolongé le courant gaivano-faradique ; il convient de le rythmer d

faradique ; il convient de le rythmer de la façon déjà dite pour le courant faradique seul. Au moyen d'un interrupteur on fai

ourant faradique seul. Au moyen d'un interrupteur on fait passer le courant un temps déterminé, de une à quelques secondes; o

plus ou moins répété, suivant le temps que l'on veut faire agir ce courant galvano-faradique rythmé. A chaque passage du c

faire agir ce courant galvano-faradique rythmé. A chaque passage du courant on détermine ainsi avec le courant galvanique u

ique rythmé. A chaque passage du courant on détermine ainsi avec le courant galvanique une excitation de fermeture suivie d

ourant galvanique une excitation de fermeture suivie de l'action du courant dans son étal continu puis une excitation d'ouv

ntinu puis une excitation d'ouverture; aux effets pro- duits par le courant galvanique s'ajoutent les excitations du courant

pro- duits par le courant galvanique s'ajoutent les excitations du courant faradique produisant, lorsque l'énergie est suf

diques se montrent plus fortes que les excitations produites par le courant faradique seul, résultat explicable par les mêmes

-faradique. G Courant galvanique e; F Courant fara- i ifique e'; I. Courant galvanique et courant faradique en tension e - e'

galvanique e; F Courant fara- i ifique e'; I. Courant galvanique et courant faradique en tension e - e'; II. Courant t galv

e'; I. Courant galvanique et courant faradique en tension e - e'; II. Courant t galvanique et courant faradique en opposition

et courant faradique en tension e - e'; II. Courant t galvanique et courant faradique en opposition c r'. . 1240 . ÉLECTRO-

ition c r'. . 1240 . ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. régler convenablement le courant galvano-faradique dans ce dernier genre d'appli

s le premier. Au lieu d'être faite en série, l'association des deux courants pourrait, être faite en opposition c'est-à-dire

e nom. Il vaut mieux ne pas employer ce mode d'association des deux courants . Si l'on considère la forme de l'onde faradique

faradique d'ouverture se trouve diminuée par son opposition avec le courant galvanique, et que par conséquent son action exci

a diminution de la résistance de la peau produite par le passage du courant galvanique, vraisemblablement aussi par suite des

semblablement aussi par suite des effets électrotoniques de ce même courant . Pratiquement le courant galvano-faradique est

te des effets électrotoniques de ce même courant. Pratiquement le courant galvano-faradique est employé dans certaines co

lisses. On sait que ces muscles se montrent peu excitables par les courants sa ra- diques ; lorsque ceux-ci sont employés s

mployés seuls, les muscles lisses ne sont guère excités que par des courants de bobine à fil fin ; avec le courant galvano-f

nt guère excités que par des courants de bobine à fil fin ; avec le courant galvano-faradique ils deviennent aussi assez fa

-faradique ils deviennent aussi assez facilement excitables nar des courants de bobine à gros fil, DE L'EXCITABILITÉ FARADIQ

nnaît également lorsque le seuil de l'excitation se montre avec des courants dont l'inten- sité est plus faible que dans l'é

lus accusée sur les nerfs que sur les muscles; elle existe pour les courants faradiques et pour les courants galvaniques, mais

r les muscles; elle existe pour les courants faradiques et pour les courants galvaniques, mais elle est sou- vent plus accen

du ralentissement de la circulation favorisant le développement des courants de polarisa- tion dont on connaît le rôle dans

dont on connaît le rôle dans les excitations d'ouverture. Avec les courants faradiques qui ne produisent guère de polarisatio

rencontre plus sou- vent que augmentation. On la reconnaît avec les courants faradiques et galvaniques, lorsque le seuil de

galvaniques, lorsque le seuil de l'excitation n'apparaît qu'avec des courants plus forts que dans l'état normal. Lorsque l'hy

te généralement à la fois sur les nerfs et sur les muscles pour les courants faradiques et pour les cou- rants galvaniques.

e peut aussi, dans certains cas, être plus marquée avec un genre de courants qu'avec l'autre. Dans les affections du système

olontaire. Pour exciter des muscles contractés il faut, en effet, des courants plus forts que pour exciter des muscles en état

ur le nerf, en effet, l'excitabilité est abolie aussi bien pour les courants galva- niques que pour les courants faradiques.

est abolie aussi bien pour les courants galva- niques que pour les courants faradiques. Sur le muscle, l'excitabilité farad

a appelé phénomène de la double contraction. Si on excite avec des courants galvaniques des muscles dégénérés (les extenseurs

cles antagonistes sont normaux (fléchisseurs des doigts) et que les courants soient assez forts pour exciter il distance ces d

s l'espace interpolaire se trouve parcouru longitudinalement par le courant excitateur. Lorsqu'il existe de la DR, on voit

ermeture de la cathode au seuil de l'excitation, tandis qu'avec des courants plus forts les contractions se montrent lentes et

e des lèvres restent Dexotes, si on a le soin de ne pas prendre des courants trop forts, auquel cas ils seraient excités eux

ent à NF et plus tard elles disparaissent aussi à PF, même avec les courants les plus forts qu'on puisse faire supporter, 25

r leur excitation directe et par leur excitation indirecte avec les courants faradiques et avec les courants galvaniques. Ce

leur excitation indirecte avec les courants faradiques et avec les courants galvaniques. Cette augmentation de l'excitabili

este aussi sensiblement normale en qualité, si forts que soient les courants . Avec des courants tétanisants (courants à inte

ment normale en qualité, si forts que soient les courants. Avec des courants tétanisants (courants à intermittences fréquent

é, si forts que soient les courants. Avec des courants tétanisants ( courants à intermittences fréquentes) le tétanos musculair

qu'il s'agit des excitations minimales; en augmentant l'énergie des courants on voit la contraction persister un temps appré

contraction persister un temps appréciable après l'interruption du courant excitateur. L'excitabilité galvanique des nerfs

mmant les excitations par la répétition fréquente des fermetures du courant , ou encore avec des courants labiles, on peut obs

répétition fréquente des fermetures du courant, ou encore avec des courants labiles, on peut observer aussi la persistance

c les chocs faradiques isolés et avec les excitations minimales des courants tétanisants, les contractions restent sensiblem

tanisants, les contractions restent sensiblement normales. Avec des courants tétani- sants plus forts la persistance des con

rsistance des contractions apparaît ; au moment où on interrompt le courant excitateur, le muscle ne revient pas immédiate-

es secondes à une minute ou davantage, suivant les cas. Lorsque les courants tétanisants sont forts et un peu prolongés, la

c- tion lente qui la suit. Eu renouvelant convenablement avec les courants faradiques les excitations du muscle, on voit l

-DIAGNOSTIC. Pour observer ce résultat il faut, si l'on emploie des courants fara- diques tétanisants (courants à intermitte

tat il faut, si l'on emploie des courants fara- diques tétanisants ( courants à intermittences fréquentes) prendre des couran

ques tétanisants (courants à intermittences fréquentes) prendre des courants d'énergie modérée et répéter des excitations asse

ques secondes également. On peut observer le même résultat avec des courants à intermittences semi-fré- quentes ne provoquan

dans l'état normal. On observe encore un effet sem- blable avec des courants il intermittences assez peu fréquentes qui, dans

des autres; dans le cas de réaction myotonique, on voit souvent ces courants produire au début de l'excitation une tétanisa-

ilité galvanique des muscles est généralement un peu augmentée; des courants de faible intensité, un quart, un demi, un mill

n, les contractions restent quelquefois assez brèves, mais avec des courants un peu plus intenses les contractions deviennent

la fermeture de l'anode, et persistent, meute après l'ouverture du courant , un temps variable de quelques secondes il une

e, sur les faisceaux musculaires exposés à la plus forte densité du courant . La répétition des excitations de fermeture, avec

té du courant. La répétition des excitations de fermeture, avec les courants galvaniques, produit les mêmes effets que la répé

produit les mêmes effets que la répétition des excitations avec les courants faradiques, c'est-à-dire la diminution pro- gre

es contractions qui redeviennent brèves et sans persistance, si les courants ont une intensité modérée. On a dit que dans

une intensité modérée. On a dit que dans la réaction myotonique les courants galvaniques RÉACTION troTOwnrt;. 9s provoquai

s de secousses d'ouverture. Cette règle n'est pas absolue; avec des courants suffisamment intenses, les secousses d'ouverture

ntrent également toniques et un peu persistantes. Enfin, avec les courants galvaniques, des courants stables, d'intensité

et un peu persistantes. Enfin, avec les courants galvaniques, des courants stables, d'intensité assez élevée, peuvent prov

et ondulatoires, surtout lorsque les muscles sont parcourus par le courant dans le sens de leur longueur, c'est-à-dire lor

es à faire apparaître, car elles ne se montrent souvent qu'avec des courants assez intenses et assez prolongés qui ne sont p

es : en augmentant et diminuant à plusieurs reprises l'intensité du courant ; en renversant le sens du courant plusieurs foi

plusieurs reprises l'intensité du courant; en renversant le sens du courant plusieurs fois et à intervalles rapprochés ; en f

rsistance des contractions aussi bien à NF qu'à PF, avec de faibles courants galvaniques, réaction qui a été signalée par Eu

, les con- tractions tétaniques persistantes produites par de forts courants faradiques, deviennent très prononcées; divers

llement diminuée, parfois dans des pro- portions très grandes ; des courants tétanisants (c'est-à-dire des courants forts et

portions très grandes ; des courants tétanisants (c'est-à-dire des courants forts et avec intermittences fréquentes) provoq

est très dur, comme contracture et en état de crampe véritable; les courants avec intermittences assez peu -fréquentes (ZI à 1

oins complet de cette excitabilité. On les obtient surtout avec les courants faradiques. Si l'on soumet un nerf ou un muscle à

radiques. Si l'on soumet un nerf ou un muscle à l'excita- tion d'un courant faradique à intermittences fréquentes, courant té

l'excita- tion d'un courant faradique à intermittences fréquentes, courant tétani- sant, en prolongeant convenablement cet

et disparaître même complètement. Si on augmente alors l'énergie dn courant la contraction reparait d'abord, mais faible, p

provoque de nouveau l'épuise- ment de leur excitabilité. Avec les courants faradiques à intermittences espacées (chocs fara-

te plus ou moins diminuée, et nécessite, pour être mise en jeu, des courants assez forts. Si l'on excite un nerf animant ces m

eur contraction diminue ou disparait; si, après avoir interrompu le courant excitateur on le rétablit, les mêmes phénomènes s

d'appuyer fortement l'électrode. Enfin, en augmentant l'énergie du courant excitateur, on peut voir encore diminuer ou dispa

Nerfs sensitifs de la peau et nerfs de la sensibilité générale. Le courant électrique, galvanique et faradique, impressionne

la peau, et met en jeu l'excitabilité des nerfs sensitifs. Avec un courant galvanique, suffisamment intense, on perçoit no

t de douleur souvent très vive lorsque l'intensité et la densité du courant sont un peu élevées. Cette sensation se produit n

evées. Cette sensation se produit non seule- ment à la fermeture du courant , niais elle persiste plus ou moins accusée pend

té par l'électrolyse, et pour une partie aussi à l'action propre du courant électrique. Lorsque le courant atteint le tronc

ne partie aussi à l'action propre du courant électrique. Lorsque le courant atteint le tronc ou un rameau d'un nerf sensitif

on du nerf; elle est plus marquée, au moment des états variables du courant , à la fermeture et a l'ouverture, mais se fait

la fermeture et a l'ouverture, mais se fait sentir aussi, lorsque le courant est suffisamment intense, pendant le passage du

lorsque le courant est suffisamment intense, pendant le passage du courant . En dirigeant leurs recherches sur des personne

sensation est perçue à NF et elle est de courte durée ; puis, si le courant est plus fort, la sensation (picotements, fourm

e, ne se convertissant en sensation durable pendant PI) qu'avec des courants plus forts ; enfin, avec des courants forts, lo

rable pendant PI) qu'avec des courants plus forts ; enfin, avec des courants forts, lorsqu'on a attendu suffisamment pour que

excitation faradique de la peau, avec des électrodes humides et des courants suffisamment énergiques, provoque à chaque choc d

ment dont le degré est en rapport avec l'intensité et la tension du courant . Lorsque les intermit- tences du courant sont r

intensité et la tension du courant. Lorsque les intermit- tences du courant sont rapides, la sensation devient continue, cons

le de graduer l'énergie par les 1. Les sensations provoquées par le courant diminuent, en effet, progressivement 'pendant l

courant diminuent, en effet, progressivement 'pendant le passage du courant , et cela permet, dans les applications thérapeuti

oins lentement et graduellement l'intensité, de faire agir de forts courants qui n'auraient pas élé supportes si on les avait

électrique. ¡ Dans l'examen de la sensibilité de la peau envers le courant électrique on peut rechercher à quel moment le

r la simulation; on peut être conduit ^dans ces cas il employer des courants assez forts et vivement douloureux. On rencontr

rique conservée seulement en partie, la sensa- tion produite par le courant était perçue, même avec des courants faibles, à

la sensa- tion produite par le courant était perçue, même avec des courants faibles, à peu près comme dans l'état normal, m

cun moment cette sen- sation ne devenait douloureuse, même avec des courants très forts. Quelquefois la sensibilité envers l

avec des courants très forts. Quelquefois la sensibilité envers les courants galvaniques se comporte différemment de la sens

s galvaniques se comporte différemment de la sensibilité envers les courants faradiques, la première étant conservée, parfoi

Nerf olfactif. Le nerf optique et la rétine assez peu sensibles aux courants faradiques sont au contraire facilement impress

rants faradiques sont au contraire facilement impressionnés par les courants galvaniques, que ceux-ci soient dirigés sur l'u

e à une distance assez grande. Sur l'oeil ou dans son voisinage des courants de faible intensité, se comptant par fractions

s colorées. C'est particulièrement au moment des états variables du courant ou à l'occasion de fluctuations dans son intens

variables de fermeture et d'ouverture, mais aussi par le passage du courant il l'état permanent. Du côté du pote positif on

que ces sensations soient exclusivement dues il l'action directe du courant sur les nerfs du goùt; il semble très vraisembl

ur production. L'examen des sensations gustatives provoquées par le courant galva- nique ne présente qu'un intérêt bien sec

s nerfs olfactifs se montrent au contraire peu sensibles envers les courants électriques, et l'examen de leurs réactions ne pr

tions d'équilibration. Réactions auditives. Dans l'état normal le courant faradique impres- sionne peu le nerf auditif. D

nne peu le nerf auditif. Dans certaines conditions pathologiques ce courant provoque des sensations auditives, bruissements o

çus par une oreille en état d'hyperexcitabilité fonctionnelle. Le courant galvanique donne difficilement aussi, dans l'état

des réactions auditives. Pour en obtenir il faut employer de forts courants qui le plus souvent provoquent, à distance l'exci

P F prédominer sur N F. Les réactions auditives provoquées par les courants galvaniques paraissent dépendre de l'excitation

rcher, de même que pour rechercher les réactions provoquées par les courants faradiques, quand il en existe, il convient d'e

l'autre oreille correspond au pôle positif avec une ferme- ture du courant , PF : souvent aussi une sensation auditive est

tige voltaïque en laissant passer librement, sans interruptions, un courant galvanique dont on augmente graduellement l'int

uellement l'intensité. Dans ces conditions le mode de graduation du courant a une influence appréciable sur le moment d'app

uant de temps à autre des inter- ruptions et des rétablissements du courant . On commence avec un cou- rant faible, de 1 à 2

i. t1. ; en restant cette intensité ou interrompt et on rétablit le courant à plusieurs reprises; on élève ensuite l'intensit

u 4 m. A. et de nouveau on interrompt et rétablit plusieurs fois le courant ; puis, s'il y a lieu, on continue il élever le

eurs fois le courant; puis, s'il y a lieu, on continue il élever le courant en augmentant succes- sivement l'intensité de 1

2 ni. A. et en faisant quelques interruptions et rétablissements du courant après chaque augmentation. Dans l'état normal,

abord qu'une sensation subjec- tive ; niais, si on laisse passer le courant et surtout si on l'augmente un peu, à la sensat

r recherché le vertige voltaïque avec une direction déter- minée du courant , il convient de le rechercher de nouveau en donna

e du courant, il convient de le rechercher de nouveau en donnant au courant une direction inverse. En reprenant, pour commenc

lièrement vers le côté du pôle positif, dans les deux directions du courant , se produit constamment du même côté, aussi bie

ue, mais l'entraînement se fait, pour l'une et l'autre direction du courant , du côté de l'oreille malade si l'affection est

re de l'acoustique (nerf du sens de l'espace), et non à l'action du courant électrique sur le cerveau ou sur le cervelet, com

iffère cependant par suite de réactions produites par le passage du courant . . La résistance du corps ne se comporte d'aill

te d'ailleurs pas d'une faron iden- tique pour les divers genres de courants ; elle n'est pas exactement son- blable avec les

genres de courants; elle n'est pas exactement son- blable avec les courants faradiques et avec les courants galvaniques; et

pas exactement son- blable avec les courants faradiques et avec les courants galvaniques; et même pour ces derniers elle dif

s derniers elle diffère notablement suivant que l'on consi- dère le courant dans son état continu ou dans ses étals variables

quelques particularités qu'il importe de connaître dans la pratique courante , en raison aussi des quelques appli- cations qu

pour l'électro-diagnostic. Résistance électrique du corps envers le courant galvanique con- tinu. Si l'on établit, avec un

un faible voltage de manière à avoir une intensité assez faible, un courant galvanique continu entre deux régions du corps

es sur un épidémie intact, on voit, au moment de l'établissement du courant , l'aiguille du galvanomètre indiquer une certaine

nitiale opposée par le corps au cou- rant électrique. mesure que le courant passe on voit l'intensité s'élever plus ou moin

t, si on augmente alors le voltage et qu'on établisse de nouveau le courant , l'intensité prend immédiatement une valeur qui

ible que celle du minimum relatif précédent. Si on laisse passer le courant , l'intensité s'élève de nouveau graduellement et

mum relatif atteint est d'autant plus bas que l'intensité donnée au courant est dès le début plus élevée. Le minimum absolu

on minimum absolu, ou seulement à un minimum relatif, on diminue le courant , la résistance remonte dans des proportions d'a

oportions d'autant plus grandes que la nouvelle intensité donnée au courant est plus abaissée, mais le nouveau minimum rela

e de la manière dont ! a résistance du corps se comporte envers les courants galvaniques que nombre d'auteurs sont arrivés à

é sa valeur initiale, surtout lorsqu'ils l'ont fait avec de faibles courants ; pour Gaertner et Jolly, la résistance ainsi re

r ceux qui l'ont mesurée après le passage plus ou moins prolongé du courant , pour Remak et Runge, elle serait habituellemen

faible encore si les mesures sont faites après le passage de forts courants . Pour D. d'Arman, dans les conditions ordinaire

; il dépend aussi de conditions qui déterminent la péné- tration du courant dans la peau. Lorsque les électrodes sont de di

ont de dimensions inégales il faut tenir compte de l'orientation du courant . Généralement, la résistance est plus faible qu

sultat peut être inverse. Les interruptions et les renversements du courant ont une certaine influence sur la résistance. L

s est beaucoup plus prononcée. Immé- diatement après l'inversion du courant , l'intensité s'élève, non seulement sous l'acti

ion du courant, l'intensité s'élève, non seulement sous l'action du courant de polarisation qui s'ajoute au courant principal

seulement sous l'action du courant de polarisation qui s'ajoute au courant principal, mais encore par le fait de la diminu

L'augmentation secondaire de la résistance après le renversement du courant s'observe notamment avec des électrodes contena

fient que peu la résistance dans les diverses directions données au courant , aussi y a-t-il avantage à s'en servir dans les r

initiale ? Il est difficile de l'évaluer exactement; le passage du courant modifie rapidement la résistance; pendant les m

, initiale se montre très différente sui- vant qu'on opère avec des courants faibles, moyens ou forts. Vaut-il mieux recherc

[E HUET.] 1280 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. Mais, à moins d'employer des courants forts, souvent pénibles à supporter, le minimum

stante, parfois même elle augmente légèrement pendant le passage du courant , et, dans tous les cas, la résistance finale s'y

siologiques de la résistance du corps et de ses variations avec les courants galvaniques. Le siège principal de la forte rés

. Le siège principal de la forte résistance opposée par le corps au courant électrique réside dans 1 épidémie. Si, après av

ou sans l'épiderme. Jolly a ainsi estimé que l'épiderme opposait au courant , aux deux points d'application des électrodes,

Les causes de la diminution de la résistance pendant le passage du courant sont multiples : c'est tout d'abord l'humeetation

er, cependant, la diminution de la résistance pendant le passage du courant est moins accusée. Sur le vivant, en effet, int

nnent d'autres causes d'ordre physiologique : pendant le passage du courant , les vaisseaux sanguins subissent des modificatio

Méthodes d'évaluation de la résistance électrique du corps avec les courants galvaniques. -- Les procédés pour évaluer la rési

i- Intion. Après avoir noté à divers moments, pendant le passage du courant 1. Avec certains ions, et dans certaines condit

ers le corps, les déviations d'un galvanomètre ou les intensités du courant pour une force électro-motrice constante, on subs

i correspondent aux déviations du galvanomètre ou aux intensités du courant précédemment observées. Les résultats ainsi obten

e dérivation dans laquelle se trouve le corps est parcourue par des courants sous des diffé- rences de potentiel variables.

sance de la résistance; comme le précédent il soumet le corps à des courants sous des différences de potentiel variables. Le

laide d'un voltmètre en dérivation, et d'autre part l'intensité du courant traversant le corps. On obtient la résistance p

, la détermination des volts faite en laissant ouvert le circuit du courant passant par le corps. Comme le voltage ne peut êt

réducteur de potentiel on établit aussi rapidement que possible un courant de 1 m. A. passant par le corps. Rompant alors le

orps. Rompant alors le circuit fermé sur le corps on fait passer le courant par un autre circuit qui com- prend un voltmètr

à 1 0/0 par exemple, ainsi que l'a proposé Leduc. . On établit un courant continu, soit avec un voltage constant, soit avec

avec un voltage constant, soit avec une intensité constante. Si le courant est à voltage constant, 10 volts par [E. HUET.l

té atteinte sur le galvanomètre au moment de p l'établissement du courant ; la formule d'Ohm, Il = E@ 1 donnera la valeur

On suit l'augmentation que subit, l'intensité pendant le passage du courant , et on la note à intervalles assez rapproches d

son minimum relatif. Il est un peu plus compliqué d'opérer avec un courant maintenu à intensité constante ; mais ce procéd

uellement 9 m. A. Les électrodes étant mises en place on établit un courant qu'on amène aussi rapidement que possible avec le

'un d'eux, ne viennent pas d'être soumis précédemment au passage du courant galvanique ; dans le cas contraire, cette compara

tats erronés, surtout si ces deux points n'ont pas été soumis à des courants de même intensité et de même durée par suite de

s déjà apportées dans leur résistance. Résistance du corps avec les courants faradiques. La résistance du corps ne se compor

ctement de la même façon avec les cou- rants faradiques qu'avec les courants galvaniques. Avec les premiers, même lorsqu'ils

es, la résistance ne se trouve guère modifiée pendant le passage du courant ; avec de forts courants faradiques, cependant,

trouve guère modifiée pendant le passage du courant; avec de forts courants faradiques, cependant, on peut voir la résistance

endant, on peut voir la résistance diminuer un peu sous l'action du courant , mais la chute de la résistance est loin d'atte

in d'atteindre en durée et en proportions ce qu'on observe avec les courants galvaniques. De la manière différente dont la r

différente dont la résistance se comporte envers ces deux ordres de courants , il résulte que dans la pratique de l'électrodi

ue qui, au contraire, modifie plus ou moins cette résistance. Les courants alternatifs, lorsque leurs ondes sont égales et s

r lieu à la polarisation des électrodes et des tissus du corps. Les courants faradiques, qui sont des courants alternatifs d

rodes et des tissus du corps. Les courants faradiques, qui sont des courants alternatifs dont les ondes inverses sont égales e

ite de la tension plus grande de l'onde d'ouverture, l'intensité du courant qui traverse le corps au moment où cette onde a

les erreurs dties à la polarisation, a-t-on cherché à se servir des courants alternatifs et particulièrement des courants fa

herché à se servir des courants alternatifs et particulièrement des courants faradiques d'un emploi si fréquent' dans la pra

proposée par Bergonié. Dans ces deux dernières méthodes, lorsque le courant traverse le corps, on n'obtient pas au télé- ph

de la résistance. Aussi l'examen de la résistance du corps avec les courants faradiques n'a-t-il pas été utilisé jusqu'alors

façon dont se comporte la résistance. On cons- tatera souvent qu'un courant même de force électro-motrice faible atteint ra

ux semaines, quelque- fois même après quelques jours seulement, des courants galvaniques continus dirigés sur la tète. On pl

correspondant au siège supposé de ce foyer. On établit lentement un courant continu dont on élève peu à peu l'intensité jusqu

de monter parfois jusqu'à 50, 40 ou 50 m. A. ;) on laisse passer le courant pendant un temps variant de quelques minutes il

Il est très important, quand on établit ou quand on fait cesser le courant , de faire varier son intensité doucement et pro

évitant toute fluctuation brusque; on gradue donc de préférence le courant avec le réducteur de potentiel ou avec le rhéos

n doute aujourd'hui, comme on l'a fait autrefois, la pénétration du courant galvanique dans l'intérieur de l'encéphale à tr

cérébrale, il n'est peut-être, pas sans inconvénient d'employer le courant galvanique dirigé sur la tête dans des conditio

lvanisation cérébrale dans l'hémiplégie organique, surtout avec des courants forts et à une époque rapprochée du début. Si l'o

ut donner il convient d'agir avec prudence, en com- mençant par des courants faibles, d'assez courte durée, et en évitant les

suivant les cas. On a cherché à y remédier par des applications de courants galvaniques continus dirigés sur la moelle. On

sur la région lombaire; on établit lentement et progressivement un courant galvanique continu dont on élève l'intensité, à

l'intensité, à 5, 10 ou 15 m. A. Quelques auteurs conseil- lent des courants plus forts, atteignant 20. 50 et même 40 m. A., m

les. La direction à donner [E HUET.] ] 1290 ÉLECTROTHÉRAPIE. au courant ne semble avoir qu'une importance secondaire; ass

endante, la cathode en haut et l'anode en bas ; on laisse passer le courant de 5 à 20 minutes, puis on le ramène progressiv

hanger plusieurs fois, pendant la même application, la direction du courant ; après l'avoir laissé passer quelques minutes,

une durée de passage sensiblement égale à la première on ramène le courant à zéro, soit pour terminer l'application, soit

ns les mêmes conditions et en changeant chaque fois la direction du courant . 11 n'est pas démontré que la galvanisation conti

n cérébrale il importe d'agir avec prudence, de ne pas employer des courants trop forts ni trop prolongés, d'en surveiller les

'avons vu à l'éleelro-diagnostic, une bonne exci- tabilité pour les courants faradiques et pour les courants galvaniques ; l

, une bonne exci- tabilité pour les courants faradiques et pour les courants galvaniques ; leur excitabilité est même souven

r, en effet, des inconvénients graves surtout lorsqu'on emploie des courants faradiques un peu forts, avec intermittences fr

quelques semaines ou seule- zonent après quelques mois. Avec les courants faradiques on pourra provoquer des excitations as

bilité faradique est généralement bien conservée). On prendra comme courant excitateur le courant d'une bobine à gros fil ou

énéralement bien conservée). On prendra comme courant excitateur le courant d'une bobine à gros fil ou à fil moyen, de préf

ermittences espacées (chocs faradiques isolés). Si l'on emploie des courants à intermittences fréquentes ou semi-fré- quente

loie des courants à intermittences fréquentes ou semi-fré- quentes ( courants donnant un tétanos complet ou incomplet), on ryth

vec le rouleau ainsi qu'il a été dit précédemment; et on donnera au courant une énergie modérée en s'éloi- gnant peu de l'é

i dans les hémiplégies cérébrales le traitement fara- dique avec le courant de la bobine à fil lin et des excitations faites

grande prudence, il faut avoir soin de ne pas mettre en action des courants trop forts, ni trop prolongés ; au pinceau ou au

dance à l'appa- rition ou à l'augmentation de la contracture. Les courants galvaniques ont été utilisés aussi pour le traite

ns lequel on fait plonger la main ou le pied; l'intensité donnée au courant doit être assez faible de 5 à 5 m. A., elle peu

m. A., elle peut être élevée à 8 ou 10 m. A., rarement au delà. Le courant est établi progressivement, sans secousses, et ap

ogres- sivement il zéro. . Le bain galvanique diffuse l'action du courant sur l'ensemble des nerfs et muscles du membre s

sculaires choisis. Les excitations des nerfs et des muscles par les courants galvaniques interrompus ou les courants galvani

erfs et des muscles par les courants galvaniques interrompus ou les courants galvaniques avec alternatives voltiennes ne doi

nes ne doivent être essayées qu'avec prudence, en s'en tenant à des courants faibles, voisins de ceux qui produisent le seui

itation, et en applications peu prolongées. Le traitement par les courants galvaniques suivant l'un ou l'autre de ces proc

et sur la surveillance à observer du côté de la contracture. Les courants galvaniques sont utilisables aussi pour le traite

, l'autre en arrière sur le deltoïde et la région sous-épineuse. Un courant continu est établi pendant 10 il 15 minutes ave

forte, 10, 15 ou 20 m. A., élevée même parfois à 25 ou 50 ni. A. Le courant ramené à zéro, la même électrode est replacée s

nes . embrassant le deltoïde en avant et en arrière ; de nouveau un courant continu est établi dans les mêmes conditions de

de membre que l'on voudra particulièrement soumettre à l'action du courant . Dans les affections médullaires il y a souvent l

furqué au même pôle de la source galvanique. Dans ces conditions le courant se divise sur chaque membre et il y a lieu de don

le courant se divise sur chaque membre et il y a lieu de donner au courant une intensité plus forte que lorsqu'on électrise

ge sur certains muscles ou groupes musculaires. Les excitations par courants galvaniques avec interruptions simples ou avec

oivent être employées qu'avec ména- gement. Le traitement par les courants faradiques peut être appliqué suivant les procé

sur la région sternale. On établit, lentement et sans secousses, un courant continu avec une intensité de 5 à 15 m. A. Quelqu

n, on peut la pratiquer en changeant plusieurs fois la direction du courant après avoir ramené son intensité à zéro; en par

oir ramené son intensité à zéro; en pareils cas on laisse passer le courant dans chaque direction pendant 5 ou minutes donn

e aiguë le traitement périphérique doit être l'ait, d'abord avec le courant , galvanique, et on commence par le courant galv

e l'ait, d'abord avec le courant, galvanique, et on commence par le courant galvanique continu. Si les troubles paralytique

a région cervico-dorsale. On fait passer pendant 10 à 20 minutes un courant continu auquel on donne une intensité de a à 1.

peut aussi établir successivement des direc- 1 ions différentes du courant , en ramenant le courant à zéro chaque fois que

essivement des direc- 1 ions différentes du courant, en ramenant le courant à zéro chaque fois que l'on change sa direction

s muscles les plus atteints. Générale- ment dans ce cas on donne au courant une intensité plus faible qu'avec le bain élect

ournies par l'état des mus- ('les on reporte, après avoir ramené lc courant à zéro, l'électrode sur d'autres groupes muscul

membre. Sur chacune des régions choisies on prolonge le passage du courant de façon que la durée totale de l'électrisation n

urs semaines suivant les cas, des exci- tations des muscles avec le courant galvanique interrompu. Ces exci- tations peuven

exci- tations peuvent être faites d'abord pendant l'application du courant alva- nique continu soit avec le bain soit avec

ndant cette application on interrompt et on rétablit brusquement le courant de 15 à 00 fois à intervalles de quelques secon

de quelques secondes. Au moment de ces ouvertures et fermetures du courant il faut avoir soin d'abaisser t intcu- sité de

manière que les excitations ne soient pas trop fortes; on donne au courant une intensité voisine de celle qui produit les co

xcitations on laisse généralement passer quelques minutes encore le courant , à l'état continu, en relevant son intensité à

itations des muscles, soit en continuant encore les applications de courant galvanique continu, soit en les remplaçant par

tations sur les muscles que l'on se propose d'exciter, soit avec le courant galvanique simplement inter- rompu, soit avec l

it avec le courant galvanique simplement inter- rompu, soit avec le courant galvanique interrompu et renversé. Il y a avant

plement interrompue ou par la galvanisation alternative on donne au courant une intensité suffisante pour produire des excita

ue et surtout la galvanisation alternative. Le traitement pur les courants faradiques comporte beaucoup moins d'Indication

ues comporte beaucoup moins d'Indications que le traitement par les courants galvaniques. Il est même contre-indiqué pour le

t être employé de bonne heure; il vaut mieux If' commencer avec des courants faradiques à intermittences espacées et [E HUET

aire. Un peu plus tard on peut employer, mais avec ménagements, les courants faradiques à intermittences fréquentes, avec ex

à trois secondes au moins. Dans les polio- myélites plus graves, le courant faradique pourrait être employé aussi sur des m

ec ménagements peut se trouver indiqué. On le commen- cera avec les courants faradiques à intermittences espacées ; on n'em-

tions rythmées. Dans ces cas il y à souvent avantage à employer les courants galvano-faradiques, d'abord les courants dans les

nt avantage à employer les courants galvano-faradiques, d'abord les courants dans lesquels le fan- dique est à intermittence

squels le fan- dique est à intermittences espacées et plus tard les courants avec fara- dique à intermittences fréquentes.

traitement, dans la grande majorité des cas, le traitement par les courants galvaniques et accessoirement par les courants

e traitement par les courants galvaniques et accessoirement par les courants faradiques ou galvano-faradiques. La direction

ctro- diagnostique montre plus particulièrement atteints,, avec les courants galvaniques simplement interrompus ou avec les

,, avec les courants galvaniques simplement interrompus ou avec les courants , galvaniques interrompus et renversés. Parfois

r la galvano-faradisation. On peut commencer le traitement avec les courants à intermittences espacées. mais bientôt, parfois

ntôt, parfois même dès le début du traitement, on peut employer les courants à intermittences fré- [E MUET] 1Ô04 1 : ;U<

en rythmant les excitations; celles-ci doivent être faites avec des courants d'énergie modérée, et prolongées de 1. à 2 ou min

nerf, on peut chercher à ramollir et à réduire la cicatrice par le courant continu en la recouvrant avec la cathode de for

ons des muscles paralysés et plus ou moins atrophiés faites avec le courant gal- vanique simplement interrompu ou avec le c

aites avec le courant gal- vanique simplement interrompu ou avec le courant galvanique inter- rompu et renversé. Plus tard,

que l'excitabilité faradique des nerfs et des muscles a reparu, les courants faradiques ou galvano-faradiques peuvent être uti

s, en général, il vaut mieux aussi commencer le traitement avec les courants galvaniques continus, puis avec les courants ga

le traitement avec les courants galvaniques continus, puis avec les courants galvaniques interrompus et renversés. Comme dan

.par des excitations faradiques des muscles, de préférence avec des courants à intermitlences espacées; ces excitations doiven

res semaines le traitement des paralysies faciales légères avec les courants galvaniques comme s'il s'agissait de paralysies

é depuis longtemps qu'un traitement électrique mal dirigé, avec des courants trop intenses, ou trop prolongés, augmente la c

n'est pas abolie; nous déconseillons surtout le traitement avec les courants faradiques à inter- mittences fréquentes et le

p de praticiens. Le traitement galvanique sera fait d'abord avec le courant continu seulement. Une large anode, sera appliq

r chacun de ces points on fait passer pendant une à deux minutes un courant continu de 3 il 5 m. A. On peut employer aussi

ton ; dans ces conditions on fait passer pendant 10 à 12 minutes un courant de il 10 m. A., courant faible étant donné la l

s on fait passer pendant 10 à 12 minutes un courant de il 10 m. A., courant faible étant donné la large surface, de l'élect

exemple, on fait en plus quelques exci- tations des muscles avec le courant galvanique simplement interrompu ou avec le cou

muscles avec le courant galvanique simplement interrompu ou avec le courant galvanique interrompu et renversé. C'est à ce der

nt de l'hypoexcitabilité. On termine la séance par l'application du courant gal- vanique continu suivant l'un ou l'autre de

ut, lorsque l'excitabilité faradique des muscles est, présente, les courants faradiques peuvent être employés pour exciter l

ujours être très modérées, peu prolongées et faites plutôt avec des courants à intermit- tences espacées qu'avec des courant

es plutôt avec des courants à intermit- tences espacées qu'avec des courants à intermittences fréquentes. développement poss

lement sur les muscles les moins réparés qu'on excite soit avec les courants galvaniques, soit avec les cou- rants faradique

es courants galvaniques, soit avec les cou- rants faradiques ou les courants galvano-faradiques; si la contracture ne parait

ralysies on peut se borner le plus souvent à des appiicn- fions' de courants galvaniques continus. L'une des électrodes, l'ano

n arrière et en dehors de l'angle externe de l'oeil. On utilise des courants d'assez faible intensité, de il 5111. A.. par e

é aussi à agir plus directement sur les muscles de l'oeil. avec les courants faradiques ou avec les courants galvaniques inter

sur les muscles de l'oeil. avec les courants faradiques ou avec les courants galvaniques interrompus, en plaçant dans les cu

oile du palais. On a conseillé de traiter ces para- lysies.avec les courants faradiques ou avec les courants galvaniques en

e traiter ces para- lysies.avec les courants faradiques ou avec les courants galvaniques en portant directement sur le voile

il vaut mieux agir, croyons-nous, d'une façon indirecte au moyen du courant galvanique continu appliqué extérieurement. L'u

sur chacun de ces points on fait passer pendant quelques minutes un courant galvanique continu avec une intensité, de 5 a 1

uque, cathode successivement sur l'un et l'autre côté du larynx, et courant con- ATROPHIES MUSCtt.AHOES \1 Ü : LOI'.\TfIHjr

it la galvanisation continue on pourrait ajouter des secousses par courants galvaniques interrompus, mais avec intensités p

ités plus faibles de 5 à 5 lu. : 1., et parfois des excitations par courants faradiques modérés avec intermittences espacées o

hie, faites suivant l'étal de leur excitabilité électrique avec les courants faradiques ou galvano-faradiques ou avec les cour

ique avec les courants faradiques ou galvano-faradiques ou avec les courants gaha- niques simplement interrompus ou interrom

les muscles atrophiés a été aussi employée. Ou a encore essayé les courants de haute fréquence, et d'autres modes il électr

soit le. mode de traitement électrique utilisé, il faut éviter les courants trop forts, les séances trop prolongées et trop s

ient été obtenues avec le traitement électrique, notamment avec les courants sinusoïdaux et avec des courants polyphasés; il c

ent électrique, notamment avec les courants sinusoïdaux et avec des courants polyphasés; il convient de n'accueillir qu'avec

aradisation sont particuliè- rement utilisables. Il faut éviter des courants trop forts et trop prolongés qui, en fatiguant

es les plus affaiblis. La galvano-faradisation peut être faite avec courants faradiques à intermittences espacées ou avec co

re faite avec courants faradiques à intermittences espacées ou avec courants faradiques à intermittences fréquentes. Dans le

ns sont plus douces et ménagent davantage les muscles ; on donne au courant galvanique une intensité comprise en moyenne en

sur toute la longueur du muscle. Pour la galvano-faradisation avec courants faradiques à intermittences semi-fréquentes ou fr

s, on observe la même conduite au sujet de l'intensité il donner au courant galvanique, et au sujet de l'énergie du courant

ensité il donner au courant galvanique, et au sujet de l'énergie du courant faradique; mais que l'on se serve de l'électrod

thmées avec [E. HUET.] ! 512 `3 ÉLECTROTHÉRAPIE. un onduleur de courant si on dispose d'un semblable appareil; avec l'é

e ceux qui i viennent d'être indiqués, avec cette différence que le courant galva- nique est supprimé. , D'autres modes d

s, soit avec excitations des muscles par le wave current ou par les courants statiques induits de Morton. Nous rappelleron

s courants statiques induits de Morton. Nous rappellerons que les courants sinusoïdaux appliqués dans des bains auraient d

et l'on fait passer pendant un temps variant de 10 à 50 minutes un courant continu dont l'intensité est habi- tuellement c

les à une électrisation prolongée pendant plusieurs heures avec des courants conti- nus de faible intensité. On peut aussi s

soumettre les muscles atrophiés il la galvanisation labile avec des courants d'une intensité moyenne de 5 à li m. A. Lorsque

peut à la galva- nisation continue ajouter des excitations avec les courants galvaniques simplement interrompus ou interromp

progressivement, en évitant les variations brusques d'intensité, un courant qu'on élève jusqu'à 20, 40. fi0 m. A. ou même d

re ou 1 heure. En terminant on ramène lentement et graduellement le courant à zéro. Il est parfois préférable de pratiquer

ues placées sur l'une et l'autre jambe. Pour le reste, intensité du courant , durée de l'électrisation, manière d'établir et d

, durée de l'électrisation, manière d'établir et de faire cesser le courant , on opère comme il vient d'être dit. La galvani

hacun des points choisis on fait passer pendant 10 il 20 minutes un courant galvanique continu avec une intensité d'au moins

outefois habituellement la densité de 1/2 m. A. par d'électrode; le courant est établi lentement et graduellement et. il est

nous parait en général pré- l'oral]le. La direction ascendante du courant que nous avons indiquée dans les divers modes d

s points sur lesquels sont appliquées les électrodes, le passage du courant devient très douloureux et il y peut produire d

bre des points à soumettre à l'électrisation. Après avoir ramené le courant à zéro on reporte l'électrode sur un autre point

à zéro on reporte l'électrode sur un autre point et on rétablit le courant comme précédemment. 1 Ce genre d'électrisation

peu la peau; l'ion quinine l'altère davantage : après le passage du courant la peau reste longtemps rouge, puis elle prend un

res névralgies, par la farta- disafion. On emploie en pareil cas le courant de la bobine à fil fin et le pinceau métallique

ment est assez douloureux, d'autant plus que l'on doit employer des courants assez forts; il a donné des succès, mais il ne

e dans certaines névralgies des névropathes et des hystériques. Les courants de haute fréquence ont été employés encore dans l

ux ou sur le trajet du nerf. Celle seule électrode peut suffire, le courant se trouvant fermé sur le sol par le corps du mala

extrémité du petit solénoïde. Dans un autre genre d'application ces courants sont portés [E. HUET ] 1518 ÉL t C)TI 1 ÉIIAI

s électrodes, ce qui permet, tout en tenant compte de la densité du courant , d'employer des intensités fortes ou assez fortes

fortes ou assez fortes. La direction la plus habituelle à donner au courant est la direction ascen- dante (pôle négatif du

r"que l'eau en s'ac- cumulànt dans les parties déclives ne donne au courant une densité plus grande en ces points. Pour la

e 200 à 500 centimètres carrés, par exemple. On a soin d'établir le courant doucement et d'élever lentement et progressivem

sont donc bien préférables au collecteur d'éléments pour graduer le courant ; si l'on doit se servir du collecteur il est ha

bituellement nécessaire de lui associer un rhéostat. L'intensité du courant est élevée graduellement jusqu'au maximum qu'il "

, il convient de rester à des intensités plus basses. Le passage du courant est prolonge NÉVRALGIE FACIALE. t : n1 1 pend

Pour cesser l'électrisation on ramène lentement et graduellement le courant à zéro. On conseille souvent de répéter l'électri

es sont tolérées; mais on prolonge davantage la durée de passage du courant , au moins une demi-heure, souvent trois quarts

ité de 1 à I 1/2 m. A. par centimètre carré; la durée de passage du courant était assez longue, une demi-heure ou davantage

urrait employer ce même pro- cédé avec des densités plus faibles du courant . 1. ('<1 IH' a conseillé tout particulièreme

E HUET ] 15'2'J ÉLECTROTHÉRAPIE. de l'ion quinine. L'intensité du courant doit être assez forte, de 20 à 40 m. A. ou même

ico-dorsale, l'autre à la région dorso-lombaire; puis on établit un courant continu d'intensité et de durée variables suiva

. A., ou plus forte encore, 20 à 40 m..\. : la durée de passage, du courant varie également : courte pour les uns, "> à

une durée de 10 minutes à une demi-heure, suivant la façon dont ces courants sont tolérés. La direction du courant ne parait

e, suivant la façon dont ces courants sont tolérés. La direction du courant ne parait pas avoir d'importance parti- culière

parti- culière; quelques-uns cependant ont donné la préférence aux courants ascendants; on pourrait aussi établir dans la m

ssi établir dans la même séance plusieurs directions successives du courant , comme il a été indiqué précédemment pour la ga

ure du cou, entre le larynx et le muscle sterno-cléido-mastoïdien ; courant de ai à 10 m. A. pendant J minutes de chaque cô

se d'agir sur les membres inférieurs ou sur les membres supérieurs; courant de 10 à 50 m. A., pendant 10 il 20 minutes. Le

atif aux plaques placées sur l'un et l'autre côté; l'inten- sité du courant est proportionnée à la surface des électrodes et

e plus souvent on pourra s'en tenir à des applications externes des courants sans recourir à leur application NÉVROSES ET AF

RSES. 9.'n ? : , interne intra-urétrale ou intra-vésicale. Avec les courants galvaniques, par exemple, on placera une grande

ontinence). On fera agir pendant dix minutes ou un quart d'heure un courant continu avec une intensité de a 'lui m. A. A l'ac

souvent avantage il ajouter quelques secousses de fer- meture. Les courants faradiques ou galvano-faradiques sont aussi utili

ien conservées non seulement en qualité mais aussi en quantité. Les courants faradiques se trouvent donc indiqués pour excit

rter la faradisation on peut commencer par des excitations avec des courants faradiques il intermittences espacées, mais il

nces espacées, mais il y a avantage à les remplacer bientôt par des courants à intermit- tences fréquentes. En excitant les

er les muscles, d'autant plus qu'il y a lieu d'employer souvent des courants assez forts pour amener le déplacement des part

ion plus énergiques, tels que la faradisalion avec le pinceau et le courant de la bobine à fil fin; pendant qu'on augmente

bine à fil fin; pendant qu'on augmente progressivement l'énergie du courant il arrive généra- lement un moment où l'on reco

tinue quelque temps encore l'éleclri- station, mais en diminuant le courant si la sensation paraît devenir trop douloureuse

friction, a assez souvent réussi, surtout dans les cas récents. Les courants de haute fréquence semblent aussi assez recommand

du membre, et l'on fera passer, pendant un temps assez prolongé, un courant faible, de quelques milliampères seulement. HYS

s contractures, on bien exciter ces muscles anta- gonistes avec des courants faradiques tétanisants et assez forts pendant q

ures. Enfin, on a obtenu parfois des résultats en excitant avec des courants faradiques assez forts et assez prolongés les m

astoïdien de chaque côté; on fait passer pendant 10 à 20 minutes un courant continu avec une intensité de à 1 m..1., pouvan

r la colonne vertébrale. On a traité encore l'rcsophagisme par le courant galvanique porté directement dans l'oesophage à

PIIA1'IQUE M : ChOI.. 84 [E. HUET.] 1550 ÉLEcTROTJI]IIAPIE, - courant pendant 10 il 15 minutes; avec l'électrode métall

sur le côté droit. On établit d'abord pendant quelques, minutes un courant assez faible de 2 à G ni. A. Puis, le courant c

quelques, minutes un courant assez faible de 2 à G ni. A. Puis, le courant continuant passer, on fait boire une petite qua

s nausées, et des menaces de vomissement, on augmente rapidement le courant et l'on porte son intensité : t l0, 15 m. A. ou

ême davantage. Souvent les nausées -disparaissent et l'on ramène le courant à une intensité plus faible, entre 10 et m. A.

au un peu de liquide et l'on se tient prêt à relever l'intensité du courant , s'il survient des nausées. En opérant ainsi pl

s'il est possible; au bout d'une minute, on renverse brusquement le courant ; l'intensité s'élève alors d'une part sous l'in

dizaine de minutes, en faisant il chaque minute un renversement du courant . Les renver- sements brusques ainsi faits ne so

ent avec des intensités assez élevées en diminuant plus ou moins le courant , le ramenant même au zéro, avant chaque renvers

reliée de préférence au pote positif. On établit progressivement un courant continu, qu'on élève il de fortes intensités, d

des électrodes qui viennent d'être dites, et on établit d'abord le courant galvanique continu, avec une forte intensité :

u, avec une forte intensité : on met alors en jeu l'interrupteur du courant faradique réglé pour donner des intermittences

que réglé pour donner des intermittences fréquentes et on gradue ce courant , de façon que son action soit assez faible et n

en. Delllcrm et Laquerrière conseillent d'employer de préférence le courant de la bobine il fil fin. - Connue précédemment,

artérielle, au bain statique on préfère souvent des applications de courants de haute fréquence dans le grand solénoïde ou s

on le sait, la tension artérielle. D'autres modes d'application des courants de haute fréquence élèvent au contraire la tens

avec le tampon. On commence par la faradisalion de la tète avec un courant modéré : la main est promenée légèrement sur le

ulières, on insiste davantage sur certains points. Ensuite, avec un courant plus faible, on porte la faradisation sur le co

ieure de la poitrine, surtout la région précordiale : puis avec des courants plus énergiques l'abdomen : on insiste plus spéci

t un procédé d'électrisation analogue au précédent, dans lequel les courants galvaniques remplacent les courants faradiques. E

e au précédent, dans lequel les courants galvaniques remplacent les courants faradiques. Elle aurait des effets semblables;

l'abdomen, et l'on fait passer pendant un quart d'heure environ, un courant galvanique continu auquel on donne une intensité

la nuque ou sur la région cer- vico-dorsale, et l'on fait passer un courant de il 20 ni. A. pendant un temps variant de JO

t de JO minutes à une demi-heure; on établit et l'on fait cesser le courant progressivement, et pendant son passage, on évite

u bien encore, si on a recours à la fara- disation, on emploiera le courant de tension avec le pinceau ou le rouleau métall

utre électrode sur la région dorsale ou sur la région épigastrique, courant de 5 10 ni. A. pendant 10 à 20 minutes. Dans le

rodes sur la région dorso-lom- haire et sur la région épigastrique, courant de 10 à 20 m. A. ou courant plus intense comme

m- haire et sur la région épigastrique, courant de 10 à 20 m. A. ou courant plus intense comme dans la méthode de traitemen

e sur les régions dorsale et lombaire. On pourra employer aussi les courants galvaniques : large électrode, en rapport avec

uinal, sur le pubis à la racine du pénis : sur chacun de ces points courants de 5 il J 2 m. A. pendant quelques minutes. On

été assez variés, pour la plupart ils sont pratiqués soit avec les courants faradiques, soit avec les courants galvaniques, s

ils sont pratiqués soit avec les courants faradiques, soit avec les courants galvaniques, soit à la fois avec ces deux genre

ec les courants galvaniques, soit à la fois avec ces deux genres de courants . Vigouroux, qui s'est occupé tout particulièrem

is premiers temps, à la borne négative dans le dernier; on prend un courant il intermittences fréquentes. Dans le premier

e qu'on perçoive les pulsations de la carotide. On établit alors un courant assez fort, tel qu'il produise des contractions

vant d'écarter les bobines du chariot faradique pour n'avoir pas un courant trop fort ; puis on gradue le courant de façon

faradique pour n'avoir pas un courant trop fort ; puis on gradue le courant de façon il produire des contractions de l'orhi

ternum, les malades peuvent supporter habituelle- ment une force de courant assez grande. On promène ensuite l'électrode su

ans le temps précédent ou avec une électrode un peu plus grande. Le courant est au préalable renversé, dans la pratique de

sinage du sternum et on laisse agir pendant deux à trois minutes un courant assez faible pour provoquer tout au plus de légèr

même en augmentant de plus en plus les intervalles de repos. Les courants galvaniques ont été employés souvent aussi dans l

ette dernière électrode avec le pote négatif et l'on fait passer un courant de 10 à 20 m. A. pendant un temps variant de un

ps variant de un quart il une demi-heure; i on a même conseillé des courants plus intenses atteignant 50 ou 40 lu. 1., parfo

ouiller encore avec une solution de salicylate de soude. Avec les courants galvaniques, surtout lorsqu'on emploie des couran

soude. Avec les courants galvaniques, surtout lorsqu'on emploie des courants un peu intenses, on ne peut guère faire de séan

une électrode-tampon de 4 il G cm. de dia- mètre ; mais au lieu de courants faradiques nous prenions des courants galvaniqu

dia- mètre ; mais au lieu de courants faradiques nous prenions des courants galvaniques continus avec une intensité de il 1

u traitement par la galvanisation l'électrisation oculaire avec les courants faradiques suivant le procédé de Vigoureux, plu

ants faradiques suivant le procédé de Vigoureux, plutôt qu'avec les courants galvaniques. On peut d'ailleurs associer le tra

lectrique est généralement bien conservée, en les excitant avec des courants faradiques rythmés ou avec des courants gal- va

e, en les excitant avec des courants faradiques rythmés ou avec des courants gal- vano-faradiques. Dans la chorée hystériq

sur les muscles qui sont le siège de la contracture ou des spasmes, courant continu faible et prolongé, de 5 (i ni. A. ou cou

des spasmes, courant continu faible et prolongé, de 5 (i ni. A. ou courants plus forts de 15 à 20 m. A. On peut encore empl

ployer l'électrisation statique, bain, effluves et friction, ou les courants de haute fréquence, effluvation et frictions av

uscles antagonistes des muscles atteints en les exci- tant avec des courants faradiques rythmés. Crampes professionnelles. -

tive recouvrant les muscles sur lesquels se produisent les spasmes, courants faibles de quelques milli-ampères pendant une d

i- sation labile avec l'électrode rouleau positive et également des courants faibles et peu prolongés. La faradisation lég

raitement indiqué par Raynaud : galvanisation de la moelle avec des courants descendants, le pôle positif sur la 5° cervical

t les cas, on v ferait plonger les pieds ou les mains en donnant au courant une intensité de 10 à 15 m. A. et une durée d'u

emaines, lavés pendant plusieurs jours à l'eau distillée ou a l'eau courante jusqu ce que l'eau de lavage ne se colore plus

s par le formol, mais il faut dans ce dernier cas les laver à l'eau courante pen- dant 24 ou 4K heures avant de les mettre d

dant 24 heures. La solution de formol doit être faite avec de l'eau courante (de source) et non avec de l'eau dis- tillée, l

S. sériées, procédé pour obtenir des coupes non fragiles, 1555. Courants faradiques, 1228. Courant de tension, courant d

obtenir des coupes non fragiles, 1555. Courants faradiques, 1228. Courant de tension, courant de quantité, 1229. Qualit

fragiles, 1555. Courants faradiques, 1228. Courant de tension, courant de quantité, 1229. Qualités physiques et propri

ns à l'électrodiagnostic et au traite- ment, 1235. - Graduation des courants , 1254. Excitations rythmées, ondula- teurs de

ation des courants, 1254. Excitations rythmées, ondula- teurs des courants , 1255. - Méthode bipolaire, 1256. - galvaniqu

. ' Réducteur de potentiel, 1199. Électro- des, 1201. Densité des courants , 1204. Localisation des courants, 1205. - - E

Électro- des, 1201. Densité des courants, 1204. Localisation des courants , 1205. - - Effels de l'état permanent du cour

ocalisation des courants, 1205. - - Effels de l'état permanent du courant ; effets thermiques, méca- - J582 1) INDEX ALP

fets sur les organes glandu- laires, effets catalytiques, 1215. " Courant galvanique dans les états va- riables. Excitati

moteurs et sur. les muscles,. méthode d'excitation polaire, 1214. Courants faibles, 1215. Courants moyens, 1216. Courants

les,. méthode d'excitation polaire, 1214. Courants faibles, 1215. Courants moyens, 1216. Courants forts, '12'[8. - galva

ion polaire, 1214. Courants faibles, 1215. Courants moyens, 1216. Courants forts, '12'[8. - galvaniques labiles, '1227. -

Application au diagnostic des maladies du système nerveux, 1191. Courants galvaniques, 1191. Courants faradiques, 1228. C

es maladies du système nerveux, 1191. Courants galvaniques, 1191. Courants faradiques, 1228. Courants galvano- faradique

eux, 1191. Courants galvaniques, 1191. Courants faradiques, 1228. Courants galvano- faradiques, 1238. Application au trai-

Électrodiagnostic, application des -effets de l'état variable du courant galvanique, 1219. Points moteurs, 1220. Re- c

ter- rupteurs, 1225. Rcnverseurs, 1226. Application des en'pts du courant faradique, 1255. Excitabilité fara- dique et

Fibres à myéline. Résistance électrique du corps, 1276, envers le courant galvanique continu, 1276.- Causes de ses variat

hodes d'évaluation avec les cou- rats galvaniques, 1281. avec les courants faradiques, 1285. - modifia- tions de la résist

t microscopiques est peut-être unique en son genre. Elle a, dans le courant de ces dernières années, donné une très large p

nique, longuement persistante. L'excitation des nerfs par de forts courants faradiques, produit aussi une contraction durab

sillons sous l'électrode excitatrice. Enfin on observe ici, avec le courant stable, le phénomène spécial des contractions r

tabilité faradique des muscles, nous avons constaté par l'emploi de courants interrompus à intervalles réguliers mais assez es

musculaires rapides et sans persistance. Il en est de même pour les courants fréquemment interrompus, d'intensité fai- ble o

tes, même après NFTe ; elles deviennent durables seulement avec des courants labiles. .Pour les muscles, au contraire, l'exc

e normalement ; les muscles se contractent facilement même avec des courants assez faibles. Les chocs isolés d'ouverture, même

nts assez faibles. Les chocs isolés d'ouverture, même avec de forts courants , ne produisent encore le plus souvent que des con

s des muscles normaux, c'est-à-dire brèves et sans persistance. Des courants à interruptions fréquentes produisent facilement

es internes de la cuisse, les jumeaux, les deltoïdes, etc. Avec des courants à interruptions assez peu fréquentes (2 à 15 par

de tétanos électro- physiologique incomplet, suivant l'intensité du courant et la fréquence des in- ' terruptions. Si l'exc

ons fréquemment répétées, ou longtemps prolongées, surtout avec des courants un peu forts, provoquent, avec des interruptions

ourte et rapide. - Enfin en faisant passer pendant quelque temps un courant assez intense (courant stabile) à travers un me

n en faisant passer pendant quelque temps un courant assez intense ( courant stabile) à travers un membre tout entier (bras,

- vanique des nerfs moteurs. I Excitabilité DES muscles par LES courants faradiques. Dans l'étude de l'excitabilité des

ants faradiques. Dans l'étude de l'excitabilité des muscles par les courants d'induction, nous distinguerons trois modes d'e

es assez longs (de une à plusieurs secondes). A chaque ouverture du courant inducteur, il se produit dans ces conditions, s

e normal, une contraction, unique, rapide, instantanée. 2° Ou des courants avec interruptions fréquentes et rapprochées (de

rapprochées (de 15 à 50 interruptions par seconde) qui, dès que le courant est suffisamment intense pour faire contracter

normal, en produisent la contrac- tion tétanique. 3° Ou enfin des courants avec interruptions encore fréquentes, mais assez

isolée à chaque interruption, étant ou non, suivant l'intensité du courant , en état de tétanos incomplet. Voyons ce qui se

de Thomsen, dans ces trois conditions différentes d'application du courant faradique. I. « Avecfles décharges isolées d'ou

ant si l'on prolongeait quelque temps l'examen, si on employait des courants forts, ou si l'on répétait coup sur coup et à i

s l'aurions voulu, nous n'y insisterons pas davantage ici. IL Les courants avec interruptions fréquentes (15 à 50 interrupti

le tétanos du muscle ; mais ce tétanos cesse aussitôt que cesse le courant . Il n'en est pas de même dans la maladie de Tho

e de Thomsen ; mais les effets produits varient suivant la force du courant . « Les excitations minimales provoquent des con

cessent en même temps que l'excitation. Les excitations avec des courants de force modérée, produisent des con- tractions

ta- tion et ne disparaissant que graduellement, suivant la force du courant , cette durée de la contraction faradique se pro

n de l'ex- citation faradique, c'est-à-dire de l'excitation par des courants avec inter- ruptions encore fréquentes, quoique

quentes, quoique assez espacées pour produire à chaque ouverture du courant une contraction isolée du muscle. Les effets prod

adie de Thomsen, en se plaçant dans ces conditions d'application du courant faradique, ne nous paraissent pas avoir été suf

ntraction à chaque interruption, c'est-à-dire à chaque ouverture du courant inducteur. De plus, suivant l'énergie du couran

haque ouverture du courant inducteur. De plus, suivant l'énergie du courant et aussi suivant la fréquence des interruptions,

tations précédentes longtemps répétées, ou par suite de l'emploi de courants très forts. Effet produit : contraction tonique d

tétanisé. Il en est ainsi, notamment, lorsque les interruptions du courant sont d'une fréquence moyenne (6, 7, 8, par exempl

tracter, et il répond comme un muscle normal à chaque excitation du courant ; ses contractions sont isochrones avec les mouvem

nces de fréquences différentes. La première, A, est produite par un courant inter- rompu 165 fois à la minute (2 interrupti

le répond par des secousses assez étendues à chaque interruption du courant , mais présente cependant encore une ébauche du sp

ergiquement la bouche avec les doigts, ou qu'on fa- vorise avec des courants faibles le menton contracté, la contraction de to

cture persistait pen- dant le sommeil. L'examen minutieux avec le courant faradique et le courant galvanique nous apprena

dant le sommeil. L'examen minutieux avec le courant faradique et le courant galvanique nous apprenait que les muscles mimiq

picotement et celle de douleur ne sont perçues à gauche qu'avec des courants plus forts qu'à droite. El si cela ne suffisait

examiné les muscles mimiques avec le cou- rant faradique et avec le courant galvanique, je lui donnais l'assurance que ses

inute (il par seconde). Elles produi- saient, avec la même force de courant , sur un autre malade du service, dont le systèm

inscription des secousses musculaires, celle des inter- ruptions du courant enregistrées à l'aide du signal de Depretz. (Nous

ment du muscle qui continue néanmoins à répondre aux dé- charges du courant par des secousses isolées); puis au bout de 10 à

la plus longue, la première, n'a duré que 20 secondes ; lorsque le courant faradique est suspendu le muscle se décontracté d

fet prodnit sur le droit antérieur, l'ex- citation provoquée par le courant s'étendant à ce muscle. On voit ici que le spas

s sui- vantes, 30, live, 5e. (La 5e excitation est produite avec un courant plus fai- ble, l'écarlement des bobines ayant é

xploration directe. - Le premier tracé, fig. 12, a été pris avec un courant interrompu 8 fois 1/2 par seconde. La première

me myotonique ait disparu, le muscle, au moment où on interrompt le courant , se décontracté d'abord brusquement (f à 6) mai

la succession des lettres capitales qui désignent chaque ligne). Le courant induit était celui de la bobine à gros fil. Sur u

avons pu facilement constater celle différence, aussi bien pour le courant faradique dans ses divers modes d'application, qu

courant faradique dans ses divers modes d'application, que pour le courant galvanique. Le trace suivant, fig. 14, pris sur l

étude des décontractions lentes, la fréquence des interruptions du courant était assez grande (8 à 9 interruptions par sec

adie de Thomsen, lorsque les exci- tations d'un muscle au moyen des courants interrompus sont courtes, de .une à quelques se

xcitations précédentes réité- rées, on par des excitations avec des courants forts. Mouvements 0,NDU- latoires. Il nous re

e groupe de modifications dans l'exci- tabilité des muscles par les courants faradiques-. Ces troubles avaient été- signalés

veau sur eux l'attention : « Sur certains muscles, dit-il, avec des courants faradiques forts, les électrodes maintenues en

rovoquer sont : la fatigue du muscle, les excitations avec de forts courants , et peut-être aussi le froid. Lorsqu'un muscle,

muscle, en elfel, a élé exploré longtemps dans la même séance, des courants d'une force moyenne font apparaître des mouvement

riger nos recherches dans ce sens. Lorsqu'on aug- mente la force du courant excitateur et qu'au lieu de courants modérés on

orsqu'on aug- mente la force du courant excitateur et qu'au lieu de courants modérés on emploie des courants forts, on voit

courant excitateur et qu'au lieu de courants modérés on emploie des courants forts, on voit apparaître aussi les mouvements on

cilemenl, encore, lorsqu'on augmente le nombre des interruptions du courant . La cause réelle, dans ces deux derniers cas, n

s deux derniers cas, nous paraît être la même que précédemment, des courants forts, ou des courants fréquemment interrompus

us paraît être la même que précédemment, des courants forts, ou des courants fréquemment interrompus épuisant et fatiguant plu

produits re- paraissent avec la plus grande facilité, même avec des courants modérés, soit dans la journée, soit les journée

alade ont fait l'objet d'une leçon clinique de M. Char- cot dans le courant de cette année. Observation II (personnelle).

érébro-spinale et se termine par la mort à l'àge de 24 ans. Dans le courant du mois qui précède la mort, on note un « af- f

; le muscle esl en tétanos très incomplet et, à chaque ouverture du courant , présente une contraction isolée el assez étend

on état de repos, R, surtout en B' el li". A la ligne C la force du courant esl augmentée, la bobine, induite à gros fil n'

ndes, est prolongée pendant plus longtemps, pendant 18 secondes. Au courant de cette excitation le spasme myotonique appa-

à répondre par des contractions isolées aux chocs d'ou- verture du courant ; les ondulations du tracé sont très nelles ici da

ondulatoires se pro- longent encore pendant plus d'une minute et au courant de la décontrac- tion le muscle semble revenir

mouvements ondulatoires se produisent, soit parce qu'on emploie des courants forts, soit parce que les muscles ont été fatigué

, mais avec un écartement moindre des bobines, c'est-à-dire avec un courant plus fort. Ils montrent à la première excitation

qu'ils peuvent être produits par l'excitation des muscles avec les courants faradiques dans certaines condi- tions qui ont

ire. On les voit, en effet, apparaître lorsqu'on em- ploie de forts courants , ou bien après des excitations réitérées d'un mêm

uence manifeste sur leur production. Nous verrons plus loin que les courants galvaniques peuvent provoquer aussi les mêmes mou

la quantité l'excitabilité galvanique paraît un peu augmentée. Des courants d'une intensité de 1/4, z, 1 ou 2 milliampères

ssi des contractions dans les mus- cles voisins, par propagation du courant . Les modifications qualitatives sont les suivan

des contractions se manifestent à PF souvent même avec les faibles courants . A NF les premières secousses sont fré- quemmen

ncore brèves, et elles ne deviennent lentes et toniques qu'avec des courants plus forts. On reconnaît facilement sur un grand

issant lentement et persistant un long temps. Lorsqu'on emploie des courants forts on constate aussi à l'ouverture du couran

qu'on emploie des courants forts on constate aussi à l'ouverture du courant une contraction tonique d'une durée plus ou moins

dans l'existence de contractions ondulatoires, sous l'influence de courants stabiles. Ce phénomène tout particulier apparaît

s sur sa terminaison tendineuse, ou plus bas encore. Si la force du courant est suffisamment intense, on voit d'abord apparaî

é galvanique était manifeste- ment augmentée chez Boul...; avec des courants de faible intensité nous voyions apparaître déj

e NFS et PFS apparus- sent, comme chez les malades de Erb, avec des courants d'intensité à peu près égale, tantôt l'un des p

soit après les secousses de fer- meture, soit après l'ouverture du courant . Relativement à cette durée nous n'avons pas à

ion très appréciable entre les deux pôles. A PO, en effet, avec des courants suffisamment forts, nous voyons presque toujours

gatif, au contraire, il y a rarement des secousses à l'ouverture du courant ; lorsqu'il en existe elles sont brèves, instantan

ous avons choisis, déjà, dans la plupart de nos recherches avec les courants faradiques, c'est-à-dire le plus souvent les dr

a plus grande ana- logie avec les secousses produites par un faible courant d'induction ; elles sont en règle générale faib

se sciatique. Un sujet entre dans le service de la clinique dans le courant de l'année dernière, pour une douleur sciatique d

cription des secousses produites par la fermeture et l'ouverture de courants galvaniques d'une intensité de 15, 17 (1) Voir

e, F, et d'ouverture, 0. 6° à 80 Secousses par inversion du sens du courant . (Sur ce tracé et ceux qui suivent les chiffres

t le nombre d'éléments employés, les chiffres arabes l'intensité du courant en milliampères. An : pôle positif; Ka : pôle nég

(1). Elle montre que les contractions produites à la fer- meture du courant par le pôle positif sont lentes, paresseuses et t

lateau, la décontraction du muscle se fait lentement, même avec des courants assez faibles. A chaque ouverture du pôle positif

action tonique et se décontracte paresseusement. Lorsqu'on ouvre le courant il n'y a pas à NO comme à PO de nouvelle contra

contractions tétaniques provoquées sur des muscles normaux avec des courants d'une intensité élevée (Voy. figure 30, 3° et 4°)

ousses pro- duites en faisant avec le commutateur des inversions du courant . Ces tra- cés montrent que les secousses sont m

s- (1) Les intensités indiquées pour tous nos tracés, pris avec les courants continus, sont plus fortes qu'elles n'étaient e

pour éviter de modifier peut-être l'excitabilité des muscles par un courant de longue durée, nous no- tions l'intensité seu

res lignes représentent les secousses produites par la fermeture du courant avec le pôle positif, 1°, et avec le pôle négat

e pôle positif, 1°, et avec le pôle négatif, 2°. On voit qu'avec un courant ayant une intensité de 15 milliampères les seco

écontracte brusquement et complètement. Au moment de l'ouverture du courant , en 0, il ne se produit pas de contraction. Le pô

, il ne se produit pas de contraction. Le pôle négatif, 2°, avec un courant d'une intensité un peu plus faible, 12 milliampèr

et suivies aussitôt d'une décontraction complète. A l'ouverture du courant il n'y a pas non plus de contraction. Lorsqu'on e

urant il n'y a pas non plus de contraction. Lorsqu'on em- ploie des courants plus intenses on voit se produire, à l'état norma

7 repré- sente des secousses produites par le pôle positif, avec un courant d'une intensité de. 26 milliampères, chez le mê

se décontracte pas complètement mais reste, pendant le pas- sage du courant , en tétanos incomplet et irrégulier. A l'ouvertur

die de Thomsen. De même les secousses suivantes de PF, avec le même courant de 26 milliampères, ne sont pas brèves comme po

roduit à PO de petites contractions. La ligne suivante, 4°, avec un courant plus faible, de 22 milliampères seulement, mont

contraction, plus élevée qu'avec le pôle po- sitif, où cependant le courant était plus intense, et également de durée persi

tante ; mais ici nous ne voyons pas de contraction à l'ouverture du courant . Il s'en serait produit vraisemblablement avec de

rture du courant. Il s'en serait produit vraisemblablement avec des courants plus forts. La comparaison de ces tracés, pri

ées par le pôle négatif et le pôle positif, en inversant le sens du courant . Nous voyons ici qu'avec les intensités employées

de NF l'emportent de beaucoup en étendue sur celles de PF. Avec un courant d'une intensité de 4 milliampères les secousses d

sur d'autres tracés, encore des secousses au pôle positif avec des courants de celte intensité de 1. milliampères, et même

es courants de celte intensité de 1. milliampères, et même avec des courants plus faibles, mais nous croyons inutile de les re

sente des secousses de fermeture et d'ouverture, produites avec des courants d'une intensité assez élevée (jus- qu'à 20 mill

'il', elles sont plus brèves, mais restent Ioniques, même avec des courants d'une in- tensité assez faible (12 milliampères

que celles de PF, mais elles sont également toniques. A NO avec un courant de 20 milliampères, ligne 2°, il y a une petite s

cle, puis celui-ci achève de .se décontrac- ter lentement. Avec des courants plus faibles, 15 et 12 milliampères, il n'y a p

oduites au pôle négatif et au pôle positif, en inversant le sens du courant . Ils montrent que les secousses du pôle positif s

uche. Secousses de fermeture à An et à la par renversement du sens du courant . (Réduit au 1/3). Pta. 30. Boul... (Maladie de

ex- trêmement Ionique et de longue durée. Il est a remarquer que le courant était d'une forte intensité, 25 milliampères. A

rant était d'une forte intensité, 25 milliampères. A l'ouverture du courant il ne se produit pas de secousse et le muscle s

muscle se décontracté lentement. Pour la ligne suivante, 2°, où le courant avait la même intensité de 25 milliam- pères, e

e intensité de 25 milliam- pères, et la ligne 4°, où l'intensité du courant était plus faible, de 17 mil- liampères seuleme

e, elles l'emportent en étendue sur celle du pôle négatif, pour des courants d'une même intensité. Ce n'est que pour les deu

nsité. Ce n'est que pour les deux dernières lignes, G° et 7°, où le courant est seulement d'une intensité de 8 milliampères

ion petite, lente et tonique. Nous avons recherché, aussi, pour les courants galvaniques, comme nous l'avons fait pour les c

si, pour les courants galvaniques, comme nous l'avons fait pour les courants faradiques, quelle était l'influence de la ré-

commencement de l'expérience les secousses du pôle positif, avec un courant de 20 milliampères, sont durables et for- .teme

ion de fermeture il ne se produit pas de secousses à l'ouverture du courant , pour les 2 premières excitations, mais ensuite n

secousses qui se produisent il la fermeture et il l'ou- verture du courant , reste en partie contracté pendant toute la durée

relative aux secousses du pôle positif. Non seulement, en effet, le courant était d'une intensité plus faible (14 milliampère

Nous avons vu, plus haut, que le même effet était produit pour les courants faradiques par la répétition des excitations. M

les premières secousses du pôle positif n'apparaissent qu'avec des courants de 8 milliampères tandis que celles du pôle nég

iampères tandis que celles du pôle négatif se montrent déjà avec un courant de 6 milliam- pères ; la forme des tracés montr

atif restent beaucoup plus brèves et moins toniques; enfin, avec un courant de 8 milliampères les secousses du pôle négatif s

e négatif sont déjà plus élevées que celles du pôle positif avec un courant de 13 milliampères. D'autres de nos tracés conf

hangement du cylindre. Pendant ce temps la résistance au passage du courant a diminué et l'inten- sité du courant s'est tro

s la résistance au passage du courant a diminué et l'inten- sité du courant s'est trouvée portée, pour le même nombre d'éléme

peu de chose près, jusqu'à la fin de l'expérience. A l'ouverture du courant il se produit sur tous ces tracés une secousse pe

a- lement diminué, comme l'indique l'augmentation de l'intensité du courant pour le même nombre d'éléments. Sur cette figur

nous avons vus dans les précédentes figures. Ici il l'ouverture du courant il n'y a pas de secousse, absolument comme nous l

si que nous l'avons déjà constaté il propos des excitations par les courants faradiques, présentait chez notre malade des tr

se gauche.) Il était facile de produire, chez notre malade, par les courants galvani- ques stabiles, les mouvements ondulato

par un myographe placé sur le droit antérieur de la cuisse. Avec un courant de 22 milliampères il Cc. 33. - Houl... (Maladi

n'apparaît pas de mouvements ondulatoires. Avec le pôle négatif, le courant ayant une même intensité, il se produit à chaqu

après la 3e fermeture apparaissent des mouvements ondulatoires. Le courant étant porlé à une intensité cle 35 milliampères i

lle est suivie, bientôt, de mouvements ondulatoires. L'intensité du courant est alors diminuée et ramenée il 18 milliampères

maladie de Thomsen, que la période d'exci- tation latente, pour les courants galvaniques comme pour les courants fa- radique

'exci- tation latente, pour les courants galvaniques comme pour les courants fa- radiques, était augmentée ; au lieu d'être

res rapides et sans durée consécutive. Il en était de même pour des courants avec interrup- tions fréquentes, lorsqu'ils éta

ls étaient de faible intensité; ce n'est que lorsque l'intensité du courant devenait assez grande que le tétanos produit dans

aible intensité, de 1 à 2 milliampères ; les premières PFC avec des courants un peu plus forts, 2, 3 et 4 milliampères ; POC a

'électrode excitatrice le long du nerf, c'est-à-direen employant le courant labile. Dans l'étude que nous venons de faire n

ctrique des nerfs reste normale : NFC apparaît d'abord, et avec des courants assez faibles, entre 0, 5 et 2 milliampères ; pui

ntractions produites par de telles excitations, aussi bien avec les courants faradiques qu'avec les courants galvaniques, sont

es excitations, aussi bien avec les courants faradiques qu'avec les courants galvaniques, sont brèves et sans durée consécut

ée consécutive, même après NFTe. Seules les excitations accumulées ( courant galvanique labile, courant faradique à interrup

NFTe. Seules les excitations accumulées (courant galvanique labile, courant faradique à interruptions fréquentes) provoquen

tabilité faradique des muscles est aussi manifestement accrue : des courants assez faibles provoquent déjà facilement la contr

oniques, avec durée consécutive, sont provoquées facilement par des courants fré- quemment interrompus et de force modérée ;

orce modérée ; les mouvements ondulatoi- res se produisent avec des courants également fréquemment interrompus, de forte int

ure, même très fortes, ainsi que les excitations minimales avec les courants fréquem- ment interrompus, ne produisent, au co

és, en tenant davantage compte de la fréquence des interruptions du courant (interruptions rares, peu fréquentes, et fréquen-

e, les contrac- tions que nous avons obtenues, même avec de faibles courants , étaient nor- males, brèves, instantanées et sa

males, brèves, instantanées et sans persistance. Toutefois avec des courants très forts, ou en répétant un peu plus fréquemm

déjà une tendance à devenir toniques et persistantes. 2° Avec des courants à interruptions assez peu fréquentes (de 2 à 15 i

on pro- longée (de 1/2 à 3/4 de minute) et une intensité modérée de courant , d'a- bord quelques secousses correspondant aux

'excitation avait été suffisamment pro- longée et si l'intensité du courant était suffisamment modérée pour ne pas faire ap

mps suffisant (10 à 15 minutes au moins). Lorsque, avec les mêmes courants il interruptions assez peu fréquentes, les exci

igués par des explorations répétées ou par des excitations avec des courants forts, on voyait apparaître des mouvements ondu

térations des muscles atteignent un degré plus élevé. 3° Avec des courants à interruptions fréquentes (de 15 à 50 par second

ar seconde) on retrouve à peu près les mêmes phénomènes qu'avec les courants à in- terruptions semi-fréquentes. Mais, comme

vec les courants à in- terruptions semi-fréquentes. Mais, comme ces courants fréquemment inter- rompus provoquent le tétanos

ularités que nous avons signalées sont moins frappantes qu'avec des courants à interruptions moins rapides. Là encore, cependa

citations sont assez prolongées (pendant 1/2 à 3/4 de minute) et le courant de force modérée, on voit encore le spasme myoton

duction du spasme myotonique. Mais il ne faut pas oublier que les courants à interruptions fréquentes provoquent beaucoup

nterruptions fréquentes provoquent beaucoup plus rapidement que les courants à interruptions semi-fréquentes la fatigue musc

pparaître facilement les mouvements ondulatoires, si l'intensité du courant est un peu élevée, ou si l'examen est quelque p

ifeste. Cette augmentation se reconnaît non seulement en ce que des courants de faible intensité (1/4, 1/2, 1 et 2 milliampère

ent des contractions dans des muscles voi- sins, par propagation du courant . , ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES. MUSC

tat normal le pôle négatif a sur le pôle positif, à la fermeture du courant , une prédomi- nance d'action bien accusée dans

ie. De plus les contractions des muscles sont, môme avec de faibles courants , lentes, paresseuses et toniques. Le pôle posit

plus ou moins longtemps (de 5 à 30 secondes) suivant l'intensité du courant , et qui dis- paraît graduellement. Sur le malad

ure existaient d'une façon constante au pôle positif, même avec des courants assez peu intenses ; elles étaient plus faibles q

écédentes. La répétition fréquente des excitations produit avec les courants galva- niques le même effet qu'avec les courant

s produit avec les courants galva- niques le même effet qu'avec les courants faradiques, c'est-à-dire que les caractères myo

myotonique, est la production de mouvements ondulatoi- res avec des courants stabiles. Ces mouvements ondulatoires, sur lesque

es eux-mêmes. Ils se montrent également lorsque l'on fait passer un courant slahilc à travers un membre entier, le bras par

dulatoires. Il est nécessaire, pour les provo- quer, d'employer des courants d'une intensité assez forte el tels que cer- ta

ation et la diminution répétées à plusieurs reprises de la force du courant , des inversions plusieurs fois renouvelées du s

ce du courant, des inversions plusieurs fois renouvelées du sens du courant , le glissement des électrodes sur la région exami

avons vu se pro- duire, déjà, les mouvements ondulatoires avec les courants faradiques, c'est- à-dire la fatigue musculaire

est diminuée souvent dans des propor- tions considérables ; 2° des courants tétanisants seuls (c'est-à-dire des courants fort

s considérables ; 2° des courants tétanisants seuls (c'est-à-dire des courants forts et avec interruptions fréquentes) provoqu

racté au maximum, très dur, et en état de crampe véritable ; 3° les courants avec interruptions assez peu fréquentes (2 à 15

herches seront pour- suivies et j'aurai l'occasion de vous tenir au courant de ce que nous obtien- drons. C'est déjà beauco

dans le traitement de certaines formes de l'aliénation mentale, des courants trans- cérébraux. On conçoit que les vibrations

éfaveur ancienne de ce mot a disparu devant les exigences de la vie courante et de la médecine prati- que. Non seulement le

intacte des deux côtés. On peut par l'applica- tion prolongée d'un courant faradique faire cesser la contracture du pied dro

en agissant sur les muscles antagonistes. La résistance, mesurée au courant galvanique, donne pour le côté sain une résista

iciles à détermi- ner ; 2° parce qu'on se servait d'après Remak des courants continus, tandis que les physiologistes ont éta

es ont établi l'existence des nerfs vaso-constricteurs au moyen des courants induits. On pourrait croire que la faradisation

roire que la faradisation du grand sympathique au cou (point où les courants électriques le peuvent atteindre le plus facileme

brusques et désagréables. Mais c'est une erreur d'employer de forts courants induits dans ce but. Il suffit, comme le démontre

omme le démontre l'expérience thé- rapeutique, de commencer par des courants faibles et de les augmenter jusqu'à l'apparitio

L.\ -1" A l\ .\ 1) 1 s : , T ION T II 1'] Il.- .- U T 1 QUE ? 3G9 courants induits apparaissant et disparaissant QIl'I1 ? 11

rhéophores d'une main, réservant l'autre main pour la correction du courant .) Je fais agir le courant induit pendant 5-10 m

ervant l'autre main pour la correction du courant.) Je fais agir le courant induit pendant 5-10 minutes. Voici les résultats

non, du cerveau, de l'oreille, de la face etc., en faisant agir le courant induit sur la région supérieure du cou. Au cont

ion inférieur du grand sympathique qui ressen- tira les effets d'un courant induit plus dense ; dans l'autre, on excitera da-

rieure du ster- du -1 ; il doit donc être possible d'exciter par le courant induit les fibres "enI)1otrices contenues dans

es dans le plexus de l'aorte thoracique et de provoquer au moyen du courant induit le resserrement des vaisseaux dilatés du f

fférent est placé au sternum ou n'importe à quel point du corps. Le courant galvanique ne provoquant pas la dilatation de l

n. Ce rhéophore est alors posé plus près du grand sympathique et le courant n'a pas à traverser la parotide et les ligament

illaires semblables, mais il fallait toujours augmenter la force du courant . La faradisation du cou excite encore d'autres

de l'encéphale Le pneumo- gastrique doit être aussi atteint par le courant ; mais son excitation ne se manifeste par aucun

l'o- reille moyenne ; il fallait en outre comparer l'efficacité des courants in- duits et celle des courants continus. Nou

en outre comparer l'efficacité des courants in- duits et celle des courants continus. Nous avons constaté une influence éno

e de la mâchoire inférieure. II fallait alors augmenter la force du courant ce qui n'est pas toujours possible, et l'effet ap

- sultat satisfaisant dans le minimum de temps. A la fermeture du courant continu, la congestion du tympan et de l'oreille

emps est écoulé, la congestion reste la même jusqu'à l'ouverture du courant qui est à son tour souvent suivie d'une diminut

n tour souvent suivie d'une diminution. Il faut fermer et ouvrir le courant plusieurs fois pour obtenir un résultat plus sa

isant (1), c'est-à-dire qu'il vaut mieux dans notre but recourir au courant induit qu'au courant galvanique continu. L'amen

re qu'il vaut mieux dans notre but recourir au courant induit qu'au courant galvanique continu. L'amendement que produit la

, valant beaucoup mieux que toute médication locale irritante. Le courant faradique traversant le cou, l'excitation des fib

est destinée il la moelle épinière. J'ai dit déjà plus haut que le courant faradique peut atteindre l'artère sous-cla- viè

e la région cervicale inférieure. Est-il possible d'affirmer que le courant atteintle grand symphatique ? Mes recherches à

s penser que le ganglion cervical supé- rieur serait atteint par un courante ! ' une intensité suffisante pour l'exciter. J'

rent à un degré plus considérable. Il était démontré ainsi que le courant passant par la région claviculaire peut exciter

tes sur les animaux n'étant pas toujours irréprocha- bles (1). Le courant circulant dans les tissus de la région claviculai

res avec l'assis- tance d'un aide. Voici ce nu'on observe avec un courant modéré. On voit la respiration devenir plus amp

ue la poi- trine devient de plus en plus sonore. Ayant fait agir le courant 5 minutes ou environ de chaque côté, je constat

nt à faci- liter l'inspiration qui est si ample sous l'influence du courant (1). Les malades se portent mieux quelque temps

tion de la région claviculaire qu'une action vaso-constrictrice. Le courant induit excite la partie cervicale inférieure et

e qu'est due l'augmentation de la chaleur du sang. En dirigeant des courants interrompus à travers la moelle épinière chez des

rychnine ou d'extrait de fève de Calabar, soit par l'application d'un courant induit dans l'épaisseur des muscles des gouttière

à ce moment. Troisième série d'expériences. — Téianisaiion par des courants induits. VII. Lapin gros et vigoureux. Températ

rature s'élève en cinq minutes trois quarts à 40°,2. On interrompt le courant , la température redescend en cinq minutes à 39°,

nt, la température redescend en cinq minutes à 39°, 8. On rétablit le courant , la température remonte en six minutes et demie à

t, la température redescend en trois minutes, à 40°. On interrompt le courant . L'animal meurt. La température se maintient à 49

e en une minute à 39°, 5. L'animal ne respirant pas, on interrompt le courant , la respiration se rétablit et la température des

n se rétablit et la température descend en cinq minutes, à 39°, 1. Le courant est rétabli, la roideur reparaît et la températur

onte en une minute à 39°,4. A ce moment, la roideur cesse, quoique le courant soit maintenu, la température descend en deux min

enu, la température descend en deux minutes à 39°,2. On interrompt le courant et après deux minutes trois quarts, la températur

inutes trois quarts, la température est encore descendue à 39°, 1. Le courant est alors rétabli, la roideur se reproduit, et en

uit, et en cinq minutes et quart, la température a monté à 39°, 0. Le courant est supprimé, et en trois minutes et demie, la te

s accidents du même genre. Obs. II. M. X... me tut adressé, dans le courant du mois d'octobre 1866, par quelques-uns de ses a

sicatoires volants ont été appliqués à plusieurs reprises, pendant le courant de juin et juillet, sur les principaux points dou

e l'hystérie. — Action des applications métalliques, des aimants, des courants galvaniques faibles, sur l'anesthésie des hystéri

mesure. (Regnard. Soc. de Biol., janv. 1877 et 1er rapport.) B. Les courants de même intensité que les précédents ont la même

métaux. Détails relatifs à l'influence du degré d'intensité pour les courants très faibles. (Regnard. Loc. cit. et 1er rapport.

it. et 1er rapport.) C. Au-delà d'un certain degré (un Daniel), ]es courants de toute intensité proflui en généralement les ef

ment polarisés ont des effets analogues. Modification de l'action des courants par l'emploi d'électrodes impolaxisabies. (Vigour

es notions 'précédentes. Les effets des applications métalliques, des courants faibles, des aimants et des solénoïdes, ne sont p

es étant placées sur un tabouret isolant, on fait passer sur elles le courant de l'appareil d'élec tricité statique, courant

passer sur elles le courant de l'appareil d'élec tricité statique, courant que l'on constate par l'apparition de l'aigrette

e de ces phénomènes. M. P. Regnard a trouvé ce fait important que des courants galvaniques extrêmement faibles, produisent tous

à cette époque, l'étude du magnétisme, les grandes découvertes sur le courant de la pile occupant uniquement les savants et les

des barreaux aimantés très-faibles et des spirales parcourues par un courant . Les expériences du médecin italien sont bien s

ter au curieux phénomène du transfert, déjà signalé pour l'action des courants faibles. La seconde malade que nous avons à vou

perçoit môme pas. Nous avons pensé que si l'aimant agissait par les courants d'induction ou les tensions qu'il peut produire à

nsions qu'il peut produire à distance, une spirale parcourue par un courant , un solenoide, aurait sur liiémianesthésie une ac

uisons le bras gauche de Gl... dans ce solenoide, et nous envoyons le courant qui, pendant cinq minutes, traverse la spirale.

revanche, elle a disparu à gauche. Nous interrompons le passage du courant et fous les phénomènes d'oscillation observés sur

la nommée Alphonsine Ba..., le solenoide est à peine traversé par le courant que tout le côté du corps anes-thésié fout à l'he

la Société et le résultat a toujours été le même. Ainsi, voilà des courants qui passent à côté des malades et qui agissent su

fermé,.on donne lieu à la production, dans le deuxième circuit, d'un courant en sens inverse du courant inducteur. Si l'aimant

production, dans le deuxième circuit, d'un courant en sens inverse du courant inducteur. Si l'aimant est retiré, il se produit

courant inducteur. Si l'aimant est retiré, il se produit aussitôt un courant de môme sens que le courant du circuit inducteur.

ant est retiré, il se produit aussitôt un courant de môme sens que le courant du circuit inducteur. Dans nos expériences, les

induction qui modifie tantôt dans un sens, tantôt dans un autre, les courants qui les parcourent, et en particulier probablemen

e, les courants qui les parcourent, et en particulier probablement le courant nerveux qui se trouve augmenté ou diminué d'autan

d'ailleurs l'action de l'aimanta celle des plaques métalliques et des courants faibles, et jette une véritable lumière sur ces p

nnervés par le facial, fout à fait comme s'y j'y avais fait passer un courant à la manière de Duchenne (de Boulogne). Je touc

ent de l'année 1878. Elles sont donc antérieures àcelles qui, dans le courant des dernières années, ont été poursuivies sur le

la faradisation du nerf cubital demande une assez grande intensité du courant pour que l'excitation se transmette à tous les mu

imètres pour éviter cette contraction complexe; 2° De l'emploi d'un courant trop intense et qui pénètre trop profondément. La

e Duchenne représente un exemple de non localisation dans l'emploi du courant faradique. « Le rhéophore, dit Duchenne, placé au

ée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera dans la figure 30 ; mais, le courant trop intense, ayant pénétré profondément jusqu'à

érieur. Expression du rire franc, d'après Duchenne. cile ; car le courant électrique rencontre souvent un ou deux filets mo

r Phénomènes produits par l'application sur la voûte du crâne du courant galvanique, pendant la période . léthargique de l

cette fois que de simples excitations mécaniques, mais de l'action du courant galvanique sur l'encéphale pendant l'état de léth

encéphale pendant l'état de léthargie hypnotique. Dans cet état, le courant galvanique, appliqué sur un des côtés du cr/îne,

moitié de la face ; tandis que, la malade une fois réveillée, le même courant appliqué de la même façon ne donne lieu chez elle

ans le cours de recherches sur la résistance des tissus au passage du courant galvanique, chez les hystériques dans l'état hypn

mètres au-dessus du pavillon de l'oreille. On interrompait alors le courant , et, quelquefois à l'ouverture, le plus souvent à

s provoquées n'ont toujours eu lieu qu'au moment de l'interruption du courant , interruption simple ou inversion, et le courant

de l'interruption du courant, interruption simple ou inversion, et le courant galvanique devait avoir en général, pour produire

e trouve placée, d'une façon plus ou moins directe, sur le passage du courant , et les mouvements observés dans cette région pou

t, à la rigueur, être attribués à une action plus ou moins directe du courant sur les muscles ou les nerfs de la face. Aussi,

nt pas été modifiés par ce dispositif nouveau et les interruptions du courant , dans des conditions d'égale intensité, ont provo

veille dans des conditions identiques et avec une égale intensité du courant . Or, toujours, dans ce dernier cas, le résultat a

et quelquefois la présence des étincelles de Purkinje, le passage du courant ainsi que les interruptions ou inversions ; aucun

'hui le nombre des sujets est de 5, tant, comment il se fait que le courant galvanique agisse sur le centre nerveux, au trave

t son action, suivant le lieu d'application des excitateurs. Que le courant agisse sur l'encéphale directement ou par inducti

nous voulions, pour le moment, relever, c'est l'impressionnabilité au courant galvanique, des régions encéphaliques motrices pe

moins brusque, et ils se sont montrés généralement à la fermeture du courant . La même expérience, répétée dans l'état de veill

trémités libres des deux tiges sont reliées à un téléphone. Alors, le courant galvanique est appliqué sur le côté du crâne deme

peu au-dessus et en arrière du pavillon de l'oreille. L'intensité du courant était représentée par 1° du galvanomètre gradué e

tant ainsi disposées, chaque fois, à l'ouverture et à la fermeture du courant , l'oreille appliquée sur le téléphone perçoit un

ouvements des membres et de la face occasionnés par l'interruption du courant galvanique, appliqué sur un des côtés du crâne, s

exclusivement au moment de l'ouverture et surtout de la fermeture du courant . On voit que ces faits diffèrent complètement de

veux. On peut également produire la contracture par l'application des courants induits ou par le contact de l'extrémité ouverte

que l'action magnétisante (due à la quantité) est très grande pour le courant galvanique dont la déviation de l'aiguille aimant

use la moindre trace ; qu'elle est presque nulle au contraire pour le courant de la machine électrique. Je me bornerai à vous

e dans certaines lésions des nerfs ou de leurs centres trophiques, le courant galvanique provoque la contraction du muscle et m

ormal, alors qu'il est impossible d'obtenir cette contraction avec le courant faradique, au moins dans l'exploration faite chez

ite chez l'homme à travers le tégument externe. D'un autre côté, un courant galvanique môme faible a sur les organes des sens

elon la tension de la machine) du malade. La sensation est celle d'un courant d'air frais ou tiède. Si la pointe est approchée

rtains cas de paralysie spinale où des muscles ne répondaient pas aux courants les plus forts de nos appareils faradiques, l'éti

ffle buccal ou l'agitation de la main à distance, produisant un léger courant d'air, on provoque une contracture des muscles so

firmé absolument ce que nous avons vu. » Pour quiconque est bien au courant de ce qui se passe dans les hôpitaux de Paris, l'

raient pu provenir d'une simulation, je m'arraugeai à faire passer le courant et à le suspendre pour aimanter et désaimanter l'

plusieurs reprises que le transfert ne se produisait jamais quand le courant ne passait pas. Je fis forger aussi une pièce d

hystérie. — Action des applications mé- talliques, des aimants, des courants galvaniques faibles, surl'a-nesthésie des hystéri

XI. Phénomènes produits par l'application sur la voûte du cràue du courant galvanique pendant la période léthargique de l'hy

ens spéciaux, p. 215; — métallique, p. 216, 247, 274; — influence des courants électriques sur 1' —, p. 217; — influence des bar

ine, p. 98: — par injection d'extraitde fève de Calabar, p. 99: — par courants induits, p. 100. îi Dyschromatopsie hystériqu

82; — signe d'une mort prochaine, p. 84. ii Galvanique (Action du courant ) sur le crâne, p. 423; — procédé de recherche du

e (Action du courant) sur le crâne, p. 423; — procédé de recherche du courant , — p. 424;— passage du courant — à travers le crâ

âne, p. 423; — procédé de recherche du courant, — p. 424;— passage du courant — à travers le crâne,, p. 427. Grìffé cubitale

ssiner. Les muscles des éminences thénar répondent faiblement aux courants induits. La main n'a pas d'attitude particulièr

poids auquel résistent les nerfs, leur propriété au point de vue du courant inductif et les altérations microscopiques que

gaîne de Schwan intacte. Les observations que l'auteur fit sur les courants ner- veux, avant et après la traction, prouvère

allures DES nerfs ET DES muscles malades (dégénérés) A l'égard DES courants magnéto-électriques ; par A. EULENBURG. (Neurol

uteur a trouvé que, dans l'espèce, le degré d'excitabilité pour les courants d'induction magnéto- électriques marche parallè

lectriques marche parallèlement à celui de l'excitabilité [pour les courants volta-électriques. Mais il se présente certains c

dans lesquels l'excitabilité des muscles dégénérés à l'égard des courants magnétiques revient plus tôt (et peut-être même

mêmes cas s'est épuisée plus tard) que l'excitabilité à l'égard des courants voltaïques. P. K. II. SUR la signification DE l

(électrothérapie, 1873). Premier procédé. On essaie, à l'aide d'un courant fara- dique fort, de provoquer la contraction d

[. LE mode d'action thérapeutique DISSEMBLABLE DES deux SORTES DE courants ÉLECTRIQUES ET l'examen ÉLECTRO diagnostique DU

évroses vas- culaires de la peau, ont établi que les deux sortes de courants élec- triques, usités en application locale sur

de façons opposées relativement à leur action sur les vaisseaux. Le courant faradique dilate les vaisseaux spasmodique- men

dilate les vaisseaux spasmodique- ment contractés ; inversement le courant galvanique rétracte les vais- seaux en état de

atation active. Par conséquent, on observe en même temps, de par le courant faradique une élévation de la température ; de

ar le courant faradique une élévation de la température ; de par le courant galvanique, de l'hypothermie. Cette différence en

galvanique, de l'hypothermie. Cette différence entre les effets des courants parait être le résultat de l'influence de l'élect

vasculaires de la peau, une action différente, suivant le genre de courants employés ; ainsi, en un cas donné, l'emploi exclu

, de même, montré que, dans une application centrale appropriée, le courant faradique se comporte, au point de vue thérapeu

oint de vue thérapeutique, d'une façon opposée à celle dont agit le courant galvanique; en un cas donné c'est un des genres

vertu thérapeutique négative). L'action variable des deux sortes de courants sur les symptômes morbides subjectifs se montra a

te. - On peut en réalité supprimer l'effet émané d'un des genres de courants par l'action de l'autre; ce dont on peut souven

s cen- trales que dans l'hémicranie ; c'est-à-dire qu'en tel cas le courant fara- dique guérit seul tandis qu'en tel autre

el cas le courant fara- dique guérit seul tandis qu'en tel autre le courant galvanique réussit exclusivement, l'autre élect

s la sténocardie, la cardialgie, etc. se com- portent vis-à-vis des courants électriques exactement comme les névroses des o

es centraux; or, ils se sont comportés vis-à-vis des deux sortes de courants tout à fait comme des névroses, et ils ont prom

erions à même, en un cas donné, de choi- sir exactement le genre de courants nécessaire. 8° Un état patholo- gique des gangl

ane secondairement atteint doit être traité par une autre espèce de courants que l'organe primitivement affecté. 9° Je trait

les règles thérapeutiques, cette aggravation provient des effets du courant sur le tissu nerveux sain (névrose électrique). -

on puissante sur les fonctions de la rétine ; dans un cas donné, le courant à vertu thérapeutique positive agrandit le cham

et augmente, au moins parfois, la puissance visuelle; tandis que le courant a vertu thérapeutique négative rétrécit le champ

e négative rétrécit le champ visuel. Comme cette action du genre de courants électriques apparaît instantanément et que l'ef

eut être utilisée par celui qui veut constater quel est l'espèce de courants qu'il lui va falloir employer dans un cas morbi

condition bien entendu que l'action diffé- rente des deux sortes de courants sur les symptômes morbides subjec- tifs ne se r

roide sui la peau, est la même, quant au champ visuel, que celle du courant galvanique ; l'eau chaude agit sur le champ vis

courant galvanique ; l'eau chaude agit sur le champ visuel comme le courant d'induction. Les observations sont au reste 1 c

un cas morbide, est la môme que celle de l'application centrale des courants galvaniques et faradiques. L'eau froide agit co

chaude, comme la faradi- sation. Quand donc on connaît l'espèce de courants qui convient à un cas spécial on est en état d'

risation du revête- ment cutané, c'est-a dire à l'action réflexe du courant .- 15, On ren- contre 11 cet égard des divergenc

en- contre 11 cet égard des divergences. Tantôt les deux espèces de courants produisent par l'intermédiaire de la peau des r

ne action thérapeutique différente. 11 semble donc qu'en tel cas le courant impressionne surtout les fibres nerveuses cen-

les ganglions. Elles se comportaient à l'égard des deux espèces de courants exactement comme l'hémicranie et disparaissaient,

furent également influencés favorahlement par l'action excitante du courant . 17° Les éléments écologiques paraissent aussi ex

s. L'épreuve du champ visuel peut aider le médecin dans le choix du courant . P. K. II. COURTE communication SUR LES essais

a perdu partiellement ou totalement son excitabilité à l'égard des courants électriques; la substance blanche ne subit aucu

ces de 30 millim. et plus); elle en modifie la qualité, car un fort courant , qui ne détermine pas d'épilepsie partielle, prov

ui traversent les régions hystérogènes ou les tétaniser à J'aide de courants faradiques intenses sans amener les convulsions

il rencontre ces tensions qui le font, finalement,- entrer dans le courant des mouvements du suggesteur. Chaque mouvement

terrompue de ces obstacles fait entrer peu à peu le lecteur dans le courant des mouvements intentionnés du suggesteur. Votr

nscience du suggesteur est préoccupée d'une quantité de perceptions courantes , de manière que la liaison immédiate entre l'ac

lle aurait toujours été « imbécile »; elle parlait, mais n'était au courant de rien. Pas de paralytiques, d'épileptiques, d

mométrique donne les chiffres suivants : 206 RECUEIL DE FAITS. 1. Courants galvaniques. (Électrode indifférente appliquée su

milliampères. KSTe KOZ très faible. ' An OZ=0 0 An STe Il. Courants faradiques. (Appareil à chariot de Tripier excité

es se produisent lorsque le muscle est tétanisé par le passage d'un courant faradique assez intense à interruptions rapides

e de caoutchouc étant placée dans la paume de la main, on lance les courants dans les muscles fléchisseurs. Si le muscle est

sur ta va- leur du traitement au pinceau faradique, ¡mimé (le for^s courants . tSO) ! : . M. Schuele. Cette méthode ne suff

ations : , , il- r go, l' I" ., .4, a 1 , 1, .. recueillies dans le courant de l'an dernier il, ) ? '- (lI'J' ...q ,. t '\)

décembre de cataracte : de phthisie du glp ! Je, oculaire,,dans,le courant de, 1SS3; l'oeil droit a invariablement présent

illeurs de ce genre dépassait le chiffre 30; il sera doublé.dans le courant de l'été par les transformations archi- tectura

EUSE. exagérés. La réaction des muscles et des nerfs sur les deux courants dans les extrémités inférieures et supérieures es

avait reçu une instruction primaire complète; il paraissait très au courant de son métier d'huilier. Il se faisait une idée

sé me DES INCENDIES MULTIPLES A MOBILES FUTILES. 333 mit ainsi au courant des inimitiés qui divisaient les deux branches

. Cette mesure mit le comble à l'exaspération de Berger qui, peu au courant des affaires, vit dans cette location à un tier

avait obéi ne prouvait pas non plus son irresponsabilité. Peu au courant des affaires, ainsi que la plupart des gens de

-deux ans, bien por- tant, d'une taille assez élevée, a eu, dans le courant de l'hiver 1872, un eczéma de la face et du tro

aplégie sous l'influence d'une seule séance d'électrisation par les courants faradiques aidée de sug- gestions à l'état de v

dans ce cas toujours du myosis, à la condition qu'on fasse agir des courants faibles. Il prend un adolescent d'origine bavar

l'autre en contact avec le côté dorsal dumétacarpe du même côté; le courant , au début faible, est graduellement renforcé. D

X. LE MODE d'action thérapeutique dissemblable DES DEUX SORTES DE COURANTS ÉLECTRIQUES ET L'EXAMEN ÉLECTRO- DIAGNOSTIQUE d

es chapitres premier (mode d'action dissemblable des deux sortes de courants ) et cinq (effets des deux sortes de courants él

e des deux sortes de courants) et cinq (effets des deux sortes de courants électriques dans l'électrisation de la peau) se r

dilatation vasculaire des mi11ns (érythromélalgie) est soumise au courant continu, elle guérit; l'électrisation faradique

vaisseaux cutanés (asphyxie locale) voit son mal s'aggraver par les courants constants; elle guérit sous l'influence des cou

graver par les courants constants; elle guérit sous l'influence des courants faradiques. L'électrisation, par quelque genre

ence des courants faradiques. L'électrisation, par quelque genre de courants que ce soit, des nerfs du bras, ne produit, che

s, ne produit, chez aucune de ces malades, aucun changement; chaque courant agit donc spécifiquement suivant tel ou tel gen

reils vaso-moteurs locaux. L'action spécifique de chaque sorte de courants est encore prouvée par le traitement électrique d

l'autre au niveau du larynx, et qu'on fait intervenir une force de courant insuffisante pour produire une contrac- tion mu

. Quinze xamens sont la source originelle de cette conclusion qu'un courant à action thérapeutique positive amplifie le cha

ion thérapeutique positive amplifie le champ visuel, tandis qu'un courant à action thérapeutique négative rétrécit le champ

ant donné un malade, examinez son champ visuel sous l'influence des courants continus ou induits, vous trouverez ainsi l'age

ui agira favorablement sur lui. Mais il faut éviter que la force du courant ne soit telle qu'il se produise de l'irritation

rtance des facteurs éliolo- giques pour le choix des deux sortes de courants . Mode d'action de certains médicaments. Un bain

Mode d'action de certains médicaments. Un bain froid agit comme un courant galvanique; un bain chaud, comme un courant far

ain froid agit comme un courant galvanique; un bain chaud, comme un courant faradique. Placez les mains d'un névropathe dan

suel : vous obtiendrez les mêmes effets que si vous faisiez agir un courant à action thérapeutique positive ou un courant à

vous faisiez agir un courant à action thérapeutique positive ou un courant à action thérapeutique négative; l'eau froide =

dépressions morales (frayeurs, afflic- tion, chagrin), il faut les courants induits; il en est de même pour l'intoxication

érébral ou musculaire, avec les fatigues physiques, on opposera les courants continus. Dans l'espèce, il n'y a à se préoccup

èce, il n'y a à se préoccuper ni du choix des pôles, ni du sens des courants . P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCH

des de tabac et d'argent. Du reste, il est intelligent, se tient au courant des nou- velles du jour, affiche les opinions l

ées d'o- rigine nerveuse, par Keller, 9 ? Electriques (action des courants et électro-diagnostic du champ vi- suel), par

(le mode d'action thé- rapeutique dissemblable des deux sortes de courants et l'examen électro-diagnostique du champ vis

rveuses A' A" A"'. L'une d'elles, A"',_devient point de départ du courant centrifuge d"' qui viendra en M pour aboutir au m

té reconnu plus long à se produire que l'acte réflexe. On voit que le courant sensitif, au lieu de passer de S en M, accomplit

Il réside donc dans l'éveil des idées provoqué par la sensation D. Le courant A allant en a' a" excite d'autres cellules A' A"

pourraient devenir point de départ de mouvements centrifuges, mais le courant a"' est plus intense, et c'est la cellule A'" qui

sons l'acte volontaire à l'involontaire. En dehors du réflexe dont le courant est médullaire ou bulbaire, nous pouvons avoir de

itude; tel enfin celui causé par l'imitation. Dans tous ces cas, le courant passe directement de A en A'" sans (1)Nous avon

pourtant saisir l'utilité. L'acte habitue] amène la disparition des courants dérivés A' A" ; l'excitation de la cellule A amèn

s capables d'amener une restriction. Notons pourtant que, lorsque des courants associatifs sont au préalable fortement établis,

s associations. On comprend les variations de la volonté. Moins les courants dérivés seront nombreux, moins nombreuses s'éveil

mbreuses s'éveilleront les idées, plus rapide tendra à se produire le courant centrifuge, le mouvement. Tels les sauvages, les

laire sous l'influence d'une sensation constituent l'attention. Les courants dérivés peuvent se multiplier, s'épuiser sans ame

Les courants dérivés peuvent se multiplier, s'épuiser sans amener de courant centrifuge, de mouvement correspondant à la sensa

de mouvement correspondant à la sensation. L'esprit qui offre trop de courants dérivés est irrésolu. Les caractères irrésolus

; classons ses maladies d'après la même méthode. Dans Vaboulie, le courant centrifuge est nul. Le contact de d"' avec M ne s

be. la vue de l'espace amène une impossibilité d'aller de l'avant. Le courant se dépense à exciter intensément* un groupe cellu

d il y a aboulie avec folie du doute, le processus est autre. Ici, le courant centripète se dépense en dérivés multiples. La se

pposé de l'aboulie, les impulsions. Le sujet ne peut lutter contre le courant centrifuge qui passe directement de A en A'" d"',

e). La sensation excite vivement la cellule A"' d'où part immédiat le courant centrifuge. En d'autres termes, la cellule conçoi

faisait passer en se mordant lui-même. Tandis que dans l'aboulie le courant est dérivé hors de la voie centrifuge d"\ dans l'

égligé pour réaliser ce succès. Mais il faut également l'attribuer au courant qui, en Allemagne, entraine les esprits vers les

is ce sont des sensations et même des visions de bêtes ou de serpents courant sur la peau et sur les vêtements ; enfin se pro-

e et cependant lesjournalistes, dans certaines Cours, sont souvent au courant , grâce aux révélations — j'allais dire à la compl

mémoire pendant ses accès et ensuite, il avait besoin qu'on le mit au courant des affaires et marchés qu'il avait conclus à ce

, après les précautions antiseptiques d'usage, par l'application d'un courant de 15 milliampères. Il fut facile d'introduire, a

et émissif. Si on met en contact les fils de ces deux appareils, tout courant d'arrivée détermine un courant de sortie ; une se

t les fils de ces deux appareils, tout courant d'arrivée détermine un courant de sortie ; une sensation centripète détermine un

étermine un courant de sortie ; une sensation centripète détermine un courant centrifuge. Mais si nous tenons les deux extrém

ation détermine immédiatement le mouvement : il s'agit du réflexe. Le courant sensilif apporte la sensation â une cellule de la

u cylindraxe sensilif ec de la cellule motrice. Suivant rintensité du courant centripète ou sensitif, le courant centrifuge var

ule motrice. Suivant rintensité du courant centripète ou sensitif, le courant centrifuge variera. Le courant centripète agit d'

du courant centripète ou sensitif, le courant centrifuge variera. Le courant centripète agit d'abord sur les muscles du côté e

frent toujours des mouvements moins intenses que le premier. Enfin le courant centripète peut s'irradier aux quatre membres et

pète peut s'irradier aux quatre membres et à tout le corps. Donc le courant sensitif passe â la cellule de la corne antérieur

ntérieure de la moitié symétrique de la moelle; d'où mouvement. Si le courant n'est (1) Ce travail fait suite a un précédent

oit où on provoquait une douleur. Ici la chaîne est plus complexe. Le courant centripète excite de nombreuses cellules centrifu

ments. Comme ces mouvements sont consécutifs, il faut admettre que le courant excite successivement une cellule de la corne ant

es habituels. Une sensation a provoqué un acte. Le fait seul que le courant a passé entre la cellule sensitive et la motrice,

ainsi expliquer les mouvements sincinésiquus dans les hémiplégies, le courant centripète passant de la cellule sensitive à la c

ellule moirice de l'hémisphère correspondant, d'où acte ; puis, si le courant (1) Taine : De l'intelligence. 2 vol. in-8° 188

sphère opposé, d'où acte semblable dans l'autre moitié du corps. Le courant nerveux semble tendre toujours à prendre le traje

un acte cérébral voulu, appris ; puis quand l'habitude est venue, le courant centripète, qui a d'abord passé par le cerveau, s

a marche. Un mouvement automatique donné peut être causé par divers courants centripètes. Ainsi l'ataxique ne sent plus le sol

courants centripètes. Ainsi l'ataxique ne sent plus le sol, aussi le courant centripète faisant défaut.il titube dans l'obscur

r, ses yeux suppléeront ; la sensation visuelle du sol déterminera un courant centripète dont le centrifuge sera la marche. Jus

ie d'actes complexes, toujours suivant le même mécanisme : passage du courant centripète à une première cellule A ; celle-ci pr

ne première cellule A ; celle-ci provoque un mouvement et transmet le courant à une seconde cellule B qui fournit un second mou

une seconde cellule B qui fournit un second mouvement et transmet le courant à une troisième, ainsi de suite. La preuve de l

ent de suite après, sans tenir compte d'aucune circonstance (l). Le courant qui provoque l'acte instinctif se transmettant pa

'est donc pas immuable (*). Jusqu'à présent, nous avons envisagé le courant qui détermine l'acte (courant centripète, cellule

Jusqu'à présent, nous avons envisagé le courant qui détermine l'acte ( courant centripète, cellule sensitive, cellule motrice, c

rmine l'acte (courant centripète, cellule sensitive, cellule motrice, courant centrifuge), comme simple du côté de la cellule s

° vue du bâton ; 2° rappel du souvenir du coup qui amène la fuite. Le courant passe donc par les cellules visuelles, puis par l

montré que le déterminisme de l'acte volontaire consiste en ce que le courant venant de la cellule sensitive actionne plusieurs

e cylindraxe sensitif ; une de plus forte, l'emporte, qui provoque le courant centrifuge. Le déterminisme est amené par cette e

Dr Charcot, son fils le Dr Jean Charcot était absent de Paris. Mis au courant de la question dès son retour, il s'est empressé

u Dr Dubois (d'Amiens ; 1841). Depuis ce moment, il s'était tenu au courant des publications concernant le magnétisme. C'est

lignes suivantes : « Je me contente de feuilleter, pour me tenir au courant , la Revue de l'Hypnotisme, du Dr Berillon. qui es

ns, ménagère, entre à l'hôpital Saint-André, salle 5, lit 11. dans le courant du mois d'août 1896. Pas de tare névropathique

s corps qu'ils connaissent moins encore, » En effet, bien peu sont au courant des recherches de l'Ecole psychique française sur

Collongues. — Recherches sur l'unité du Vilaliame avec l'ensemble des courants nerveux. Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan

flùger et Seeligmiiller lorsqu'ils traitent le blépharospasme par les courants continus, Meyer en se servant de la cocainc, Harl

n une seule séance. Par M. le Docteur David, de Norbonne. Dans le courant du mois de mai de l'année dernière, il y a donc u

rfaite connaissance de ses écrits. Beaucoup paraissent n'être bien au courant que d'un seul de ses ouvrages intitulé : "Neurolo

découvrit qu'il pouvait déterminer l'état hypnotique par le moyen des courants d'air froid. Il remarqua aussi : qu'il pouvait, e

t qu'ils se présentaient invariablement, quelle que soit l'origine du courant d'air, soit que celui-ci vint des lèvres, ou d'un

t de même... Une heure s'était à peine écoulée, qu'elle revenait en courant dans mon cabinet. Je crus que M. X... avait eu un

eur et me charger d'une mission délicate : celle de mettre sa mère au courant de la situation afin qu'elle fit le mariage tout

me ou d'un animal est absorbée par une idée associée au mouvement, un courant de la force nerveuse est envoyé dans les muscles,

Braid avouait dans Neurologie éire incapable d'expliquer l'action du courant d'air sur les sujets hypnotisés ; mais, à une dat

ormies, il expliqua la cessation de la rigidité musculaire, lorsqu'un courant d'air froid est dirigé sur la peau, par le fait q

Collongues. — Recherches sur l'unité du Vitalisme avec l'ensemble des courants nerveux. Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan

pérature élevée. La famille, consternée, nous met en quelques mots au courant du passé pathologique de la malade. S'agit-il enc

QUE Par M. le Dr Henry Aimé, de Nancy. On oppose, dans le langage courant , le moral au physique, et l'acception sous laquel

es observateurs. Aberrations du goût et des mœurs, épidémies morales, courants de haine ou d'enthousiasme, qui, à un moment donn

du peuple comme quelque chose ressemblant à un essieu de voiture, le courant électrique comme un liquide qui doit couler à l'i

rbée par une lecture pour ne pas remarquer qu'elle est assise dans un courant d'air, et ce fait, non distinctement conçu par so

rédominantes sont plus ou moins également vives. Il n'est pas d'usage courant de produire les conditions opposées dans un même

log. Centralblutl. XVIII, 1899.) - Quand on soumet à l'action d'un courant induit un nerf sensitil, les cellules nerveuses

ural sur une des extrémités postérieures, il l'incite au moyen d'un courant faradique capable -de faire nettement 134 REVUE

dine, le rouge magenta, la safranine. Aussi, peu à près l'action du courant voit-on déjà d'épaisses couches de cette matièr

s suivi ce conseil donné d'ailleurs par tous les médecins un peu au courant de l'his- toire de la folie. Ici le médecin n'a

toire de Copin, qui n'est pas banale, mérite d'être contée. Dans le courant de l'année dernière, trois malfaiteurs masqués

1h'° Connans et... cette dame en personne vint leur ouvrir. Mise au courant du récit fait par sa fille, elle déclara que ce

rusque, comme si cette action n'agissait que par l'intermédiaire de courants induits. Sa coupe ressemble d'une façon frappan

sé- pare, et qui oppose une résistance encore infranchissable au courant , est un diélectrique. Soit un fil de cuivre réuni

eurs de la jambe gauche, on constatait encore l'excitabilité par le courant faradique, et, alors même que les muscles de la

'excitabilité d'une partie de l'écorce grise des hémisphères par le courant électrique, mécon- nue jusqu'alors, nous fut dé

La vibration ainsi produite se propage le long du nerf : c'est le courant nerveux, mesurable et comparable à toutes les vib

urable et comparable à toutes les vibra- tions d'ordre physique. Ce courant nerveux aboutit, en sui- vant les fibres nerveu

que spécial, dont le potentiel est dans un rapport constant avec le courant ner- veux qui l'a produit, de même que celui-ci

nature de cette excitation soit tout à fait différente de celle du courant nerveux. - De sorte qu'en fin de compte l'état

lièrement aussi sur les résistances qui s'opposent au passage du courant nerveux et à l'accumulation de l'énergie psy- c

utrition du cerveau, les fuites qui se produisent dans le trajet du courant nerveux au niveau des groupes de neurones éche-

desbarragesplus ou moins résistants interposés sur le passage du courant nerveux, mais j'ai encore étudié ces variations d

impressions qui l'atteignent peut être mesurée par sa résistance au courant galvanique. SECTION DE PSYCHIATRIE. 301 1 Aya

ives, 2' série, t. X. 21 370 THÉRAPEUTIQUE. parfois l'emploi d'un courant continu et très léger, mais appliqué par l'élec

t. X. 25 386 ENSEIGNEMENT. que le cerveau était excitable par les courants électriques dans une zone déterminée, que l'éco

echerches ainsi qu'on en pourra juger par ce qui a été fait dans le courant de cette année sur cette importante question. 3

rce musculaire. Les recherches qu'il publie ont trait à l'action du courant voltaïque et de l'élec- trisation statique. Ell

es applications voltaïque ? il a employé de larges électrodes Ox 15 courant stable, ascendant dans quelques expériences, de

des applications fut de dix minutes. La fermeture et l'ouverture du courant a toujours été lente et insensible. Pour l'élec

e puisqu'elle se produit avec d'autres modalités électriques que le courant voltaïque et reste indépendante du changement de

le courant voltaïque et reste indépendante du changement de sens du courant . L'action des courants électriques sur le coeur

reste indépendante du changement de sens du courant. L'action des courants électriques sur le coeur a été étudiée par J. F

ussi bien avec le choc voltaïque fréquemment interrompu qu'avec les courants alternatifs. La fatigue de l'appareil neuro-mus

eur s'exprime par son arrêt en diastole et dépend de l'intensité du courant . Pour le moment l'auteur ne pense pas qu'il s'a

ne se prononce pas sur sa vraie nature. Arullani a recherché si le courant faradique ou galvanique ap- pliqué sur la régio

nce du pouls. Pour avoir des modifications appréciables il faut des courants intenses, quinze mA pour le courant voltaïque,

tions appréciables il faut des courants intenses, quinze mA pour le courant voltaïque, 170 millièmes de volt pour le fara-

ession sauguine est peu durable. On peut l'obtenir en appliquant le courant intense sur d'autres ré- gions du corps. D'où l

cage thora- cique est intacte on ne peut exciter le coeur avec les courants or- dinaires et que les effels qu'on obtient av

les courants or- dinaires et que les effels qu'on obtient avec des courants beaucoup plus intenses sont dus aux réflexes do

professeur l3ernslein à Halle les expériences de Mendelssohn sur le courant nerveux axial c'est-à-dire sur la différence de

duirait la différence de potentiel et déterminerait la direction du courant axial. L'in- tensité de celui-ci est en rapport

ences qu'il a entreprises sur l'Evaluation galvano- tlcétrigtce des courants électriques qui se prodiusent dans les circon-

nt le nerf acoustique à l'aide d'un diapason, il a constaté que les courants de repos prennent toujours une direc- tion desc

t-à-dire du cerveau vers le fascia où est la seconde électrode. Les courants d'action prennent une direction contraire dans

entre cortical présumé de l'organe excité. Dans le cas contraire le courant de repos est simplement renforcé. Il en déduit

ue. présente un muscle traversé suivant son axe longitudinal par un courant voltaïque intense ; il y voyait une conséquence

contraction d'un muscle est toujours accompagnée du dégagement d'un courant électrique décelable par le galvanomètre et des

une diminution notable (une variation négative) de l'in- tensité du courant produit par le mouvement volontaire du bras et

de l'hvperexcita- bililé musculaire, on observe une augmentation du courant qui -accompagne le mouvement du bras. Cette aug

contraction jusqu'à un certain degré à partir duquel l'intensité du courant après être restée stationnaire pendant quelque

contrôler la part qui revient aux muscles dans la production de ces courant ? . Chez quelques malades atteints d'hyperhydro

ébro-spinale le mouvement du bras du côté affecté n'a pas accusé un courant sensiblement plus fort que celui du côté sain,

epos on pût dériver de la surface cutanée du bras du côté malade un courant (glandulaire) bien plus fort que celui que four

3 du côté malade, la contraction du bras de ce côté-provoquait un courant dont l'intensité ne différait pas sensiblement de

née, tandis que l'hypersécrétion sudorale due à l'effort donnait au courant dérivé de la peau une intensité notable. Ces fa

ence d'Hermann sur la contraction provoquée artificiellement par le courant électrique. Le courant d'action qui se produit

ontraction provoquée artificiellement par le courant électrique. Le courant d'action qui se produit alors est diphasique av

- dante et uue seconde ascendante. Dans les processus morbides ce courant d'action peut subir certaines modifications. Ains

mais dont les muscles ont conservé leur excitabilité électrique, le courant d'action se manifeste très évidemment avec ses

e la contraclilité et conservation de l'excitabilité électrique, le courant d'action diphasique est nettement accusé, un pe

n- cées, si.bien qu'une diminution notable de la seconde phase du courant d'aclion dans .un. bras, paralysé et en train de

rtains cas de paralysie atrophique dégénérative la seconde phase du courant d'action peut manquer totalement. Dans la con

Dans la contracture à la seconde période le caractère diphasique du courant d'action est très net, ses deux phases sont toujo

olution du processus pathologique. Les sensations provoquées par le courant voltaïque ont préoc- cupé Muller et Bordier.

à la nuque, une électrode active spéciale est placée sur l'oeil. Le courant ascendant exagère la perception du blanc et dim

oir, il produit une sensation chromatique du bleu vers le rouge. Le courant descen- dant agit en sens inverse et la sensati

nverse et la sensation chromatique va du jaune au vert. L'action du courant ascendant est plus énergique, l'éclair provoqué

r provoqué à sa fermeture donne la sensation de violet ; celui du courant descendant apparaît vert jaune. Bordier a cherc

les phénomènes giistatifs et salivaires déterminés pur l'action du courant voltaïque. Il place l'électrode indifférente sous

aires à distance sont dues à l'excitation par les lignes de flux du courant des nerfs glosso- pharyngien, lingual, facial e

es modifications de l'excitabilité des nerfs et des muscles par les courants continus. Après avoir rappelé les études de Pfiug

eux cas. Une bobine induite est placée dans le circuit d'une pile à courant continu. Le passage du courant inducteur se fai

placée dans le circuit d'une pile à courant continu. Le passage du courant inducteur se fait toutes les deux secondes pend

qui sont sur le nerf. Les 5° et G' expériences dans les- quelles le courant modificateur est successivement établi puis sup

ulent des conclusions importantes ; le cerveau semble accessible au courant galvanique. Les expériences de physiologie de D

par l'électricité et ceux de Prévost et Batelli sur-la mort pur les courants électriques. Le premier, après- avoir passé e

que de Lanciano (Abbruzes) fournie par deux, dynamos lype Thury à courant . continu donnant 1,500 volts et 34 ampères. Les é

a tète est en opistotonos. Ils restent ainsi jusqu'à l'ouverture du courant qui détermine la. chute. La durée d'application

rture du courant qui détermine la. chute. La durée d'application du courant avarié du.temps de fermer et-ouvrir le courant

rée d'application du courant avarié du.temps de fermer et-ouvrir le courant à quelques secondes. La mort instantanée s'est

I'ROTHE1tAPIE. 407 note à l'Académie des sciences, sur l'action des courants aller- natifs sur divers animaux et.'avaient co

i de la respiration ont dans le présent mémoire étudié l'action des courants continus. Ils ont utilisé le courant de la stat

t mémoire étudié l'action des courants continus. Ils ont utilisé le courant de la station électrique deGenève donnant' une

nant' une différence de potentiel de 550 volts. Ils ont gradué leur courant avec un rhéostat à spirale et placé une des éle

le rectum ou sur le dos bien rasé Le méca- nisme de la mort par les courants continus paraît dans ses grandes lignes- analog

t dans ses grandes lignes- analogue à celui qu'on constate avec les courants alternatifs cependant il y a quelques différenc

bilité et la respiration semblent plus forte- ment atteinte par les courants continus. Les convulsions sont surtout provoqué

l'absence d'excitation vasomotrice que provoquera au contraire le courant alternatif. II. Electrodiagnostic-. Lévi Siru

que année enrichir son patrimoine. Ainsi E. Alger a recommandé le courant continu pour lutter contre la douleur chez les ma

rveux central dans certaines névroses. Il nie que les effets de ces courants soient dus à la seule suggestion et énumère leu

de introduite dans l'urètlire. Claus emploie dans les mêmes cas les courants de Morton un pôle est relié à la terre, l'autre

e Traitement électrique des paralysies périphériques. Il emploie le courant galvanique suivant la méthode monopolaire négat

éral facile à déterminer. Avec un hérostat. on règle l'intensité du courant qui doit atteindre suivant la tolérance des mal

onde partie du traitement, on excite le nerf ou les muscles avec le courant galvanique interrompu dont on réglera 1 intensi

'aide d'une électrode de 60 à 80 centimètres carrés. L'intensité du courant varie, suivant les malades, de 5 10 milliampères.

ravail sur le Traitement des névrites d'origine traumatique par les courants alternatifs à basse fréquence. Le courant utili

gine traumatique par les courants alternatifs à basse fréquence. Le courant utilisé est celui du secteur parisien de la 410

un enfaut de douze ans. Il a guéri en vingt séances. L'action des courants alternatifs à basse fréquence rappelle celle de

cement du membre, que l'on peut étudier très facilement en clinique courante avec le petit appareil décrit dans cette note.

ermes obsession et impulsion sont souvent confondus dans le langage courant et employés assez indifféremment l'un pour l'au

directeur. LEDUC (S.). Rhéostat oscillant pour la production des courants on- dulés. brochure in-8° de 8 pages, avec 12 l

- Modifications de l'excitabilité des nerfs el des muscles par les courants continus. - Brochure in-8° de 8 pages, avec 7 lig

malades (403 hommes, 361 femmes;. Le nombre des admissions dans le courant de l'année 1897 a été de 200 (100 hom- mes, 94

des réflexes pathologiques résultant d'une sorte de débordement du courant nerveux empêché de trouver son chemin au cerveau,

la variation d'excitation des nerfs et la variation de densité des courants excitateurs ii différents potentiels. Brochure

u, etc.) sans trop de difficulté. Les membres, sous l'influence des courants faradiques, reprennent leurs mouve- ments, et i

Klin. Woch., 1885, no 40. 22 CLINIQUE NERVEUSE. ' - L'emploi du courant constant aurait, d'après le malade, quel- quefo

- rine. La pupille s'était bien rétractée ; après deux séances de courants continus , les fonctions de l'oeil s'étaient amé-

és; le 30 mars, on commence une série d'électrisations au moyen des courants continus descendants sur toute l'étendue de la

d'atrophie; réaction normale des muscles et des nerfs à l'égard du courant galva- nique et, excepté pour le facial droit,

courant galva- nique et, excepté pour le facial droit, à l'égard du courant fara- aique; finalement la moelle allongée est

égulariserait ces enregistre- ments seusorlo-couceptuels. Du double courant vibratoire du cerveau, actionné par l'extérieur

'aide d'un système étanche. On dirige dans le vaisseau élastique un courant continu de liquide sous pression d'une colonne d'

int une hauteur déterminée, le vaisseau élastique se metàvibreretie courant de Hquidejusque-Ià continu, est rapidement et s

genèse des vibrations vasculaires et des oscillations continues du courant , à l'aide des formules physiques ayant cours dans

ythmique ? C'est que : Il dans tout tuyau élastique parcouru par un courant de liquide, la pression la plus faible règne à

seau G, règne la plus faible pression lorsqu'il est parcouru par un courant de liquide; dans le tuyau R se produit pendant

ru par un courant de liquide; dans le tuyau R se produit pendant le courant une pression positive qui comprime l'extrémité

on la plus faible résistance. La compression du vaisseau suspend le courant de liquide ; mais, en même temps que cesse le c

suspend le courant de liquide ; mais, en même temps que cesse le courant , la pression positive croit à l'extrémité périphé

té périphérique du conduit G devient donc libre et perméable, et le courant interrompu se rétablit; ce qui abaisse encore l

e ses capillaires; il en résultera la stase et le ralentissement du courant san- guin ainsi que la v il)L-itioii (les paroi

n en quatorze jours, même sur la moitié du corps non touchée par le courant . L'exposé de deux autres faits sert à établir l

oindre bruit fait tressaillir le malade. Le quinzième jour, dans le courant de la nuit, éclate un violent accès d'agitation

es deux ordres de phénomènes, tout en persistant, alternent dans le courant d'une même journée. Voici ce que nous notions à

est fou », dit-il. A ces phénomènes d'agitation succèdent, dans le courant d'une même journée, des périodes d'affaissement

tat mental de B... reste stationnaire. On constate toujours dans le courant d'une même journée ces curieuses alternatives d

'agitation et de somnolence qui reviennent plusieurs fois dans le courant d'une même journée. Pendant le cours de l'alié-

d'une façon très analogue, comparés les uns aux autres. Pendant le courant de 84, elle eut vingt-quatre accès que séparaie

nuits antécédentes, il a été interrompu par des cauchemars. Dans le courant de la journée, elle commence à accu- ser les pr

ions sur les chefs d'oeuvre de l'art ; car, de même que dans la vie courante , nous cherchons volontiers à modifier l'attitud

retrouver dernièrement cette faculté après quelques applications de courants induits. 11 ne s'agit pas, à pro- prement parle

ns laquelle il est resté vingt ans ? Un jour, sous l'influence de courants électriques ou de toute autre cause, il sort de

abitants; il y aurait donc un aliéné pour 34,200 habitants. Dans le courant de cette année, M. Sakaky possédera des chiffre

arde champêtre, facteur rural, facteur au chemin de fera raison des courants d'air, et finit par devenir sergent de ville, seu

uche ; extrémités froides et cyanosées. La peau conduit très peu Je courant élec- trique ; contractions et réactions normal

ons normales des muscles et des nerfs à l'égard des deux espèces de courant ; pas de réaction dé- générative. L'emploi du co

eux espèces de courant; pas de réaction dé- générative. L'emploi du courant faradique détermine une amélio- ration graduell

anose, le refroidisse- ment, la résistance de la peau à conduire le courant électrique, prouveraient que les vaso-constrict

trois nouveaux édifices pour in- curables et pour malades. Dans le courant de l'année on a vu naître de nombreux cas d'éry

contre le frère, malgré l'intervention des agents qui furent mis au courant des faits. La foule ne voulut point en- tendre

artie de l'écorce grise qui correspondait à un membre à l'aide d'un courant faradique, la contraction du muscle qui s'était

s'était subite- ment produite ne finissait pas avec la rupture du courant , mais au contraire, pareille à l'état catalep-

e par l'irritation de la zone motrice correspondante, à l'aide d'un courant beaucoup plus faible que sans la touche, parce

la contraction tonique provoquée soit par DE l'hypnotisme. 369 un courant électrique, soit par des autres procédés, ils o

procédés, ils ont appliqué sur la zone motrice correspondante un courant moins fort que celui qui pouvait produire la co

ment donc pourrait-on com- prendre, disent-ils, que, tandis que les courants forts provoquent les images du mouvement, les c

ndis que les courants forts provoquent les images du mouvement, les courants faibles provoquent ceux du repos. Pour ma part,

citation dont l'intensité sera en proportion directe de la force du courant , et cette excitation finira avec la rupture du

la force du courant, et cette excitation finira avec la rupture du courant . Après les expériences que je viens de relater,

use. plus fort évoquera une image d'un mouvement plus intense; un courant faible, au contraire, une image plus petite. Or

lus petite. Or, si on a produit une contraction forte à l'aide d'un courant intense, et si cette contracture reste aussi ap

nt intense, et si cette contracture reste aussi après la rupture du courant à cause du morphi- nisme ; et, voici le point s

cons- tance que voici : plusieurs fois, quand ils ont appliqué le courant faible sur la zone motrice d'un muscle, qui éta

d'extension de l'irritation. Pendant la catalepsie, l'extension du courant nerveux centripète est déjà un peu plus grande,

'ouvrir la voie par laquelle la substance corti- cale entretient le courant nerveux. On pourrait aussi comprendre le relâch

ection que l'ou doit, suivant les rasult,Ils à atteindre, donner au courant , etc.; enfin il engage -vivement 'ses conifères

muscles palpébraux échappent complètement à l'action volontaire, le courant agit sur l'innervation de ces muscles. Or, les

er les modifications du champ visuel en question aune action que le courant exercerait sur le centre du bulbe et d'attribuer

ercerait sur le centre du bulbe et d'attribuer à l'un des genres de courants une valeur spécifique quelconque. L'excitation

r de norme pour choisir, dans les névroses centrales, le genre de courants à employer. P. K. XXVIII. SUR UN cas DE DESTRUC

XIX. LE mode d'action thérapeutique dissemblable DES DEUX sortes DE COURANTS ÉLECTRIQUES ET L'EXAMEN ÉLECTRO-DIAGNOSTIQUE DU

u. Il met en relief les effets curatifs réflexes des deux sortes de courants qui agiraient par excitation simple et par acti

anglions dans les névroses viscérales). L'excitation directe parles courants des ganglions vaso-moteurs et, par suite, le ch

nts des ganglions vaso-moteurs et, par suite, le choix du genre des courants basé sur cette excitation, cède la place à l'ac

r excitation périphérique). L'auteur avoue que le choix du genre de courants en un cas donné est loin d'être toujours aussi

oints douloureux en exerçant une pression forte. On se sert soit de courants faibles ou modérément forts, soit de courants g

e. On se sert soit de courants faibles ou modérément forts, soit de courants graduellement augmentés, sans nuire au coeur ni

ontinuité avec la cathode dans le lieu douloureux; action d'un fort courant pendant 1 minute et demie; nul autre inconvénie

es résistent à toute espèce de traite- ment gynécologique ou autre. Courants galvaniques au début excessivement faibles et t

is la tolérance établie, on en augmente la force, on passe même aux courants d'induc- tion. Grande prudence pour la recherch

l'a- node ou par lamétliodepolairesymétrique;arriverfinalementaux courants d'induction (phénomènes de transfert). 6.)Celles

, l'augmentation de l'intensité, les commu- tations métalliques des courants ; cette méthode excellerait souvent d'une façon

et une large .cathode à l'épigastre en renforçant graduellement le courant sans secousses, puis en en abaissant progressiv

ble incoercible n'ayant cédé à aucun moyen de traitement. Emploi de courants d'induction de plus en plus intenses au cours d

e le meilleur procédé consiste en l'application ascendante de forts courants d'induction, alternativement augmentés et dimin

e l'appareil instru- mental, les notions relatives à l'intensité du courant , (les collec- teurs, les commutateurs, les galv

ger ou atténuer ces troubles par l'application de « l'un ou l'autre courant , ou mieux encore par la méthode que « ,j'ai déc

n'a fait aucune allusion à la direction qu'il convient de donner au courant ; il s'explique sur ce silence volontaire enrapp

les règles données par les partisans de telle ou telle direction du courant , de tel ou tel mode d'application des pôles, re

et acceptés dans une certaine mesure par quelques personnes peu au courant des difficultés du problème à résoudre. C'est p

ecte des muscles et que l'excitabilité disparait plus vite pour les courants faradiques que pour les courants voltaïques. Ch

ilité disparait plus vite pour les courants faradiques que pour les courants voltaïques. Chez la grenouille, la diminution d

se contractent lentement, paresseusement sous l'action directe des courants voltaïques et présentent une inver- sion de la

apophyses mastoïdes, une de chaque côté, et que l'on fait passer un courant électrique de quelques milliampères, on provoque,

rience de cette manière, on soustrait l'autre oreille à l'action du courant , ce qui est indispensable pour atteindre le but

que l'excitation d'une même partie du labyrinthe, à la fermeture du courant , donne lieu tour à tour à deux mouvements en sens

igeon, le lapin et le cobaye. li" J'ai montré que, chez l'homme, le courant électrique, outre l'in- clination connue depuis

le positif une rotation qui com- mence au moment de la fermeture du courant et continue ensuite à s'effectuer avec lenteur.

la destruction d'un labyrinthe chez le cobaye, en faisant passer un courant galvanique de courte durée, la « rotation volta

dire défaut quand le pôle positif se trouve du côté lésé ; que, le courant étant inversé, on obtient une rotation conjuguée

résultats obtenus diffèrent des précédents lorsqu'on fait passer le courant pendant un certain temps (de quelques secondes

Lorsque le pôle positif est appliqué du côté opéré, le passage d'un courant prolongé RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTANÉS

rend la rectitude et, à condition de ne pas exagérer l'intensité du courant , on peut le voir se mettre à courir droit devan

t utiles tantôt nuisibles, que l'on obtient en électrisant avec des courants voltaïques les malades atteints de vertige auri

e toute affection du système nerveux, j'ai pu redresser des erreurs courantes , préciser certains points, contribuer à détermine

re affaiblie ou abolie et, dans ce dernier cas, en faisant agir les courants induits à leur maximum d'intensité « en monopol

61«i cetle exploration, on fait traverser la région examinée par un courant galvanique constant d'une intensité de 10, 15,

certains cas, on constate que les muscles, ne réagissant pas à des courants faradiques aussi forts que l'appareil peut les fo

disation est employée seule, se contractent très nettement avec des courants beaucoup moins intenses si l'on procède comme n

ains états morbides il est souvent possible, par l'application d'un courant faradique à interruptions fréquentes, d'une int

N cil mentionnés peuvent faire défaut. Or, l'électrisation avec les courants induits les a presque toujours provoquées chez

e la vessie qui ont été longtemps prati- qués ; c'est là une notion courante . Le mercure a peut-être exercé une MÉNINGITES 1

dée de néoplasie intra- crânienne. C'est une donnée qui n'est pas courante puisque, tout récemment, au Congrès internation

ritique. « Le mot équilibre a plusieurs acceptions. Dans le langage courant , il signifie « qu'un corps se tient debout sans

xagérées, affaiblies ou abolies. Tandis qu'à l'état normal, avec un courant peu intense, de i à 3 168 AFFECTIONS DE L'APPAR

olérables et disparaissent dès que l'électrisation est terminée, un courant semblable, de quelques secondes de durée, peut

tant parfois aux malades de supporter, sans en être incommodés, des courants de 10, 15 milliampères et même d'une intensité

e plus grande. Passons aux phénomènes objectifs. La résistance au courant voltaïque ou plus exactement à l'exci- tation p

u lieu qu'à l'état normal elle est généralement perceptible avec un courant de 1 à 2 milliampères. Cette augmentation de ré

tête se porte en avant. Dans certains cas, pendant le passage du courant , on voit la tête exécuter des mouvements altern

ui présente des modalités variées. Tantôt, quel que soit le sens du courant , la tête s'incline du côté de l'oreille malade

cline du côté de l'oreille malade ; en pareil cas, à l'ouverture du courant , la tête reprend immédiatement sa position prim

usque qui augmente encore l'inclination provoquée par le passage du courant . Tantôt la tête s'incline, comme à l'état norma

le pôle positif occupe ce côté et, quand on intervertit le sens du courant , au lieu de s'incliner, elle se porte en arrière.

opposé. Enfin, le nystagmus provoqué à l'état physiologique par le courant électrique peut manquer. Telles sont les prin

tête à droite et la déviation s'accompagne de rotation ; le sens du courant étant renversé, le malade éprouve une sensation

électrique, entre autres particularités, a noté ceci : « Avec le courant continu, l'électrode positive étant à droite, le

t à 10 ma. La tête s'incline à droite et en arrière. Pendant que le courant passe, la déviation de la tête persiste et on con

aucune incli- naison ni déviation de la tête. Mais, pendant que le courant passe, on cons- tate un nystagmus orienté de la

permettant au sujet qu'on examine de marcher pendant le passage du courant . Après avoir déterminé les phénomènes que l'on

ée que chez les sujets dont le labyrinthe est sain ; l'intensité du courant nécessaire pour déterminer de l'in- clination p

d., il, mars 1906). 124. Traitement de la névralgie faciale par les courants voltaïques à intensité élevée (en collaboration

iques sont des manifestations fort communes des affections les plus courantes du système nerveux, de la syphilis, du tabes qui

erche des réflexes tendineux est, comme vous le savez, une pratique courante en clinique neurologique; il est essentiel, en ef

elle est, soit hystérique, soit simulée. Si, en pareil cas, avec un courant de 15 ou 20 milliampères, on n'obtient ni inclina

on ou la rotation ne s'opère que d'un côté quel que soit le sens du courant , ou si seulement elle prédomine notablement d'u