pithélium cutané renfermant les cellules des neurones sensitifs. - r,
couche
de fibres musculaires aires. /, couche do fibre
des neurones sensitifs. - r, couche de fibres musculaires aires. /,
couche
do fibres musculaires longitudinales. - g, vaisse
s de gros calibre ou fibres nerveuses motrices, se terminent dans les
couches
ilaires et prennent leur origine dans les cellu
olaires de l'épithélium cutané. Leur prolongement principal dans la
couche
sous épithéliale des ramifications collatérales à
ojection des lobes frontaux et occipitaux-pédoncule antérieur de la
couche
optique, faisceau uncinatus, faisceau arqué, fa
, passant par la tête du noyau caudé et par la partie moyenne de la
couche
optique, (lig. : i, ligne .4F). La coupe de F
de réunion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la
couche
optique (fig. ? ligne XY). A Bicêtre, nous avon
int de repère de la coupe de Flechsig, le tubercule antérieur de la
couche
optique et l'extrémité antérieure du pli cunéo-
ue ne le fait cet auteur, c'est-à-dire par le tiers supérieur de la
couche
optique. On n'intéresse alors que deux des segm
en, une coupe horizontale (EF) passant par le tiers supérieur de la
couche
optique. Dans le premier comme dans le second cas
misphère une coupe horizontale passant par le tiers supérieur de la
couche
optique et, après avoir pris un croquis de la top
ntier, de le faire reposer sur sa convexité. Dans les deux cas, une
couche
épaisse d'ouate hydrophile, sera interposée ent
rdson, puis, avec un pinceau, on la recouvre rapidement d'une mince
couche
de collo- dion liquide. Cette couche une fois d
ecouvre rapidement d'une mince couche de collo- dion liquide. Cette
couche
une fois desséchée, on pratique la coupe ; on r
prégnée par le collodion, et que ce dernier forme autour d'elle une
couche
résis- tante. d'environ deux centimètres d'épai
imètres d'épaisseur, on pratique dans la partie inférieure de cette
couche
des incisions en différents sens et profondes de
la première vésicule encépha- lique, qui ne donne naissance ni aux
couches
optiques, ni aux hémisphères cérébraux. Si la
ion de von Baer, le nom de cerveau intermédiaire, (CI) vésicule des
couches
optiques, vésicule thala- mique ou thalamcncéph
tenir, car la paroi du cerveau intermédiaire donnera naissance à la
couche
optique, celle du cerveau antérieur à une partie
i latéralement; ses épaisses parois latérales donnent naissance aux
couches
optiques dans leur moitié supérieure, et aux ré
triés, au corps calleux et au trigone; le cerveau intermédiaire aux
couches
optiques, à la région sous- optique et à toutes
ique. - XII, grand hypoglosse. 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Couche
grise de la . substance réticulée. Faisceau l
ntale du bulbe et de la protubérance, donne en outre naissance à la
couche
grise disséminée de la substance réticulée. Les f
minée de la substance réticulée. Les fibres qui naissent de cette
couche
, concourent à former une partie des fibres lo
mologue du cordon antérieur de là moelle. Au sur et à mesure que la
couche
grise de la substance réti- culée s'accroît, le
arrière du faisceau solitaire, et viennent se placer en avant de la
couche
grise disséminée de la substance réticulée et d
u bulbe, le système des fibres oli- vaires, le corps trapézoïde, la
couche
inter-olivaire et le corps restiforme. . b) Dan
uement l'homologue du cervelet, des tuber- cules quadrijumeaux, des
couches
optiques et des hémisphères cérébraux, formatio
un embryon humain d'environ six semaines. (D'après \ ? His.) Cio,
couche
inter-olivaire. - Crst, corps restiforme. - Flp,
ties qui apparaissent les dernières, oc- cupent en même temps les
couches
les plus superficielles. Dans la région protu
toute la série des vertébrés, le uerf op- tique se termine dans la
couche
superficielle de la lame des tubercules qua- dr
erficielle de la lame des tubercules qua- drijumeaux, tandis que la
couche
profonde, donne naissance à un système sensitif
LIQUE ANTÉRIEURE PRIMITIVE. A. CERVEAU INTERMÉDIAIRE. VÉSICULES DES
COUCHES
OPTIQUES La vésicule des couches optiques s'apl
RVEAU INTERMÉDIAIRE. VÉSICULES DES COUCHES OPTIQUES La vésicule des
couches
optiques s'aplatit de bonne heure dans le sens
trié. Comme la paroi du cerveau intermédiaire, donne naissance à la
couche
optique et celle du cerveau antérieur au corps
His, qui contient les rudi- ments des saillies superficielles de la
couche
optique. A l'extrémité anté- rieure de l'arc, o
rieure de l'arc, on constate la saillie du tubercule antérieur de la
couche
optique; à la plus grande convexité de l'arc co
horizontal, et par former toute la partie de la face supérieure de la
couche
optique, recouverte par le corps du trigone et
nro et du tubercule antérieur du thalamus, la face supérieure de la
couche
optique s'élargit en arrière, déborde le cervea
. Elle ne comprend donc, que la partie de la face supérieure, de la
couche
optique définitive, située en dedans du sillon
termé- diaire subit d'impor- tantos modifications. rieure de la
couche
optique définitive, étendue de l'insertion des pl
lie supérieure correspond à la lame alaire, et donne naissance à la
couche
optique propre- ment dite ou à la région tlzala
rieure ou partie tha- lamique proprement dite, donne naissance à la
couche
optique (Th). Celle- ci s'accroît rapidement et
éjà avant la fin du deuxième mois de la vie intra-utérine, les deux
couches
optiques se soudent sur la ligne médiane, au-dess
s, sur une étendue beaucoup plus grande que chez Soudure des deux
couches
optiques; formation do lacom- missure moyenne
core com- ment, dans certaines malformations congénitales, les deux
couches
optiques soudées sur une grande étendue, peuven
er qu'une seule masse impaire et médiane. Une fois développée, la
couche
optique est limitée en bas par le sillon de Mon
de la voûte du cer- veau intermédiaire (ig. 42, 43). En avant, la
couche
optique est légèrement excavée et concourt à
correspond au col du cerveau in- termédiaire de His (fig. 42). La
couche
optique, en se dé- veloppant d'avant en arrière
e recessus geniculi une étroite fente curviligne, comprise entre la
couche
optique et l'extrémité antérieure de la calotte
intimes que [présente plus tard la calotte du cerveau moyen avec la
couche
optique. Le dernier ves- tige permanent du rece
sous- pinéal. - tb, trou borgne. Tm, tubercule mamillairc. - Th,
couche
optique. - T.11, trou de Mouro. - V, 4° ventric
ieure ou voûte, recouvre le troisième ventricule et réunit les deux
couches
optiques. Un sillon transversal la sépare en arri
érieure se réduit à une mince lamelle, recouverte par une abondante
couche
de tissu conjonctif embryonnaire, dans laquelle
postérieure; ses fibres apparaissent de bonne heure, et relient la
couche
optique d'un côté à la région de la calotte du
ule s'épais- sissent et s'insèrent sur le bord supéro-interne de la
couche
optique en formant les taenia thalami. Immédiat
suite du grand développement que prend le corps calleux, et elle se
couche
sur la lame des tubercules quadrijumeaux, au-de
ir, décou- vert par Graaf et par Spencer, possède une rétine et une
couche
pigmen- taire, et reçoit un cristallin et une c
nt le pédicule oculaire, est séparé dans sa partie supérieure de la
couche
optique au niveau du trou de Monro, par le sill
enfot1' des fibres blanches. Ces fibres relient le corps strié à la
couche
optique et à la région sous-optique; d'autres f
ral, constituent la couronne rayonnante de Reil, et se rendent à la
couche
optique, à la région sous-optique, ou encore à
e, la tête du noyau caudé située en avant du trou de Monro et de la
couche
optique; elle est en connexion intime, ainsi qu
du trigone cérébral (demi-schématique). Le cer- veau intermédiaire (
couche
optique, région sous-optique de Forel, bandelette
amygdalien, à la lame cornée, au tri- gone, au septum lucidum, à la
couche
épithéliale des plexus choroïdes et à l'induseum
du trigone cérébral (demi sché- matique). Le cerveau intermédiaire(
couche
optique) est coloré en bleu la partie de la par
DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 117 gone, au septum lucidum, à la
couche
épithéliale des plexus choroïdes et à l'induseum
rne de l'hémisphère, et représente une formation très analogue à la
couche
optique. Une mince lame de fibres blanches, la
, lenticulo-calldé (Cia), et " abordentl'extrémité antérieure de la
couche
optique, au niveau de la surface suturale opto-
urface suturale opto-striée secondaire : les unes pénètrent dans la
couche
optique et dans la région sous-optique, les aut
séparées de la surface suturale opto-striée secondaire, que par la
couche
épithéliale qui recouvre les plexus choroïdes d
corps et aux piliers postérieurs du trigone, et d'autre part, à la
couche
optique, au niveau du sillon choroïdien. Les pl
foetale du corps du trigone, elles entraînent avec elles une mince
couche
de substance grise, l'induseunz griseum, puis se
ire, par la voûte du troisième ventricule et la face supérieure des
couches
optiques, recouvertes par le repli mésodermique
ne sont unis entre eux que par la lame terminale embryonnaire, les
couches
optiques et les pédoncules cérébraux (fig. 65).
sent rapidement : vers la fin du troisième mois, ils recouvrent les
couches
optiques ; vers le quatrième mois, ils atteigne
e sillon ammonique, au contraire, s'accentue et contourne en arc la
couche
optique ; son segment inférieur ou sphénoïdal d
du limbe de l'hémisphère, c'est-à-dire autour du corps calleux, des
couches
optiques et des pédoncules cérébraux, un anneau
t embryon- naire chez les poissons osseux, et se réduit à une mince
couche
épithéliale, analogue celle qui tapisse les ple
les des mam- mifères. Chez les amphibies, il se réduit il une mince
couche
, dans laquelle on constate quelques rares cellu
rares cellules ganglionnaires inégalement disséminées, et une mince
couche
de fibres blanches sous-jacentes au ventricule. C
rouve le premier indice de l'écorce cérébrale, caractérisée par des
couches
superposées de cellules pyra- midales. Chez les
ont les cellules dites neuro-épi- théliales, disposées en une seule
couche
et en palissade, sont allongées dans le sens de
et arrivent ainsi à simuler trois, quatre, voire même six a huit
couches
strati- fiées sur les parties latérales du tube
ati- fiées sur les parties latérales du tube neural. Les noyaux des
couches
in- ternes, sont plus serrés les uns contre les
in- ternes, sont plus serrés les uns contre les autres que ceux des
couches
externes; particularité qui tient évidemment, a
qu'elles subiront, les carac- tères d'un épithélium à une seule
couche
(Hensen). Leurs extrémités s'implanteront tou
ème semaine de la vie embryonnaire, où elles forment par places une
couche
presque continue. Plus tard, leur nombre diminu
transparent, dans lequel His distingue à un fort grossissement, une
couche
endoplasmique fai- blement granuleuse et une co
ssissement, une couche endoplasmique fai- blement granuleuse et une
couche
ectoplasmique non granuleuse, les différencie n
re, présentant un réseau de chromatine et sont entourés d'une mince
couche
protoplasmique d'aspect fibrillaire. Celle-ci d
rmer (fig. 76). Les prolongements internes des spongioblastes des
couches
pé- riphériques, s'accolent aux corps des spo
t leur être appliqué. Tous les neuroblastes se développent dans les
couches
les plus internes de l'axe neural, aux dépens d
ellules germinatives, et de là ils émigrent secondairement dans les
couches
plus externes. (His.) La transformation des cel
s cellules germinatives en neuroblastes, et leur migration dans les
couches
plus externes, est postérieure à la formation du
e et la richesse en chromatine de leur noyau, entouré partout d'une
couche
protoplasmique continue, tandis que leur long p
me suivant lequel s'effectue la migration des neuroblastes dans les
couches
profondes est fort ob- scur et semble dépendre,
semble dépendre, non seule- ment des propriétés élastiques de la
couche
des colonnes, mais encore de l'activité vitale
a sub- stance grise embryonnaire, très épaisse à cette époque, deux
couches
, l'une interne, l'autre externe. La couche gris
se à cette époque, deux couches, l'une interne, l'autre externe. La
couche
grise interne (Innenplate de His) est compacte
ion radiaire et sont surtout formés de spongioblastes (fig. 84). La
couche
grise externe (Mantelschicht de His), riche en
nt la ligne médiane ni en avant ni en arrière; il en résulte que la
couche
interne forme à elle seule le plan- cher et la
u desquels il ne naît aucun neuroblaste. (His.) L'épaisseur de la
couche
grise externe n'est pas partout la même. Large
Cajal. Migration des neu- 1.01)lastes. i Existonco de deux
couches
grises, dans le tube médullaire. La couche gr
Existonco de deux couches grises, dans le tube médullaire. La
couche
grise interne tonne la planche et la voûte
e grise interne tonne la planche et la voûte de la moelle. La
couche
grise externe forme les cornes de la 'moelle.
larités des ccllnles épendymai- res au voisinage des sillons.
couche
et leurs connexions avec les membranes limitantes
ni avec les prolongements voisins, et se terminent au niveau de la
couche
sous-pie-mérienne, soit d'après Ret- zius en se
liales; les autres proviennent des cellules en voie de mitose de la
couche
péri-épendymaire d'Altmann, c'est-à-dire des même
formées à cette époque d'un noyau insignifiant, entouré d'une mince
couche
de protoplasma; elles n'attirent l'attention qu
efois jus- qu'au niveau du canal central (fig. 90 et 93). Dans la
couche
granuleuse de l'écoi-ce cérébelleuse, on trouve d
érébelleuse, on trouve des cel- lules araignées, tandis que dans la
couche
moléculaire, on trouve des cel- lules névrogliq
ervelet d'un chat do huit jours. - f, cellule de la névroglie de la
couche
moléculairo du cervelet d'un chat do huit jours.
eis vel'sico- 101'), elle occupe, ainsi que Retzius l'a montré, les
couches
profondes sous- épithéliales et chez les limace
sont si nombreux, que les dendrites semblent recou- vertes d'une
couche
de gi- vre (fig. 101). L'extension des dendri
nom de cellules de Cajal; (fig. 103, 94) on les rencontre dans la
couche
la plus superficielle de l'écorce cérébrale, da
1 1 lu tihlicité de ce dernier. On rencontre, en effet, dans la
couche
superficielle de l'écorce corticale, des cellul
axes Fig. 103. - Trois cellules de Cajal. Coupe longitudinale de la
couche
moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âge
Fin. 107. - Cellule nerveuse à cylindre-axe court de la quatrième
couche
de l'écorce du lapin nouveau- né. (D'après Ramo
bipolaires, comme les cellules olfactives et certaines cellules de la
couche
superficielle du cerveau; les unes sont pyramid
détache du sommet de la cellule, elle est épaisse, se dirige vers la
couche
superficielle de l'écorce cérébrale, donne dans
injc avec leurs branches collatérales (ar.li) qui se dirigent vers la
couche
moléculaire. - b, cellules horizontales de Caja
du cervelet dont les prolongements cylindre-axilcs montent dans la
couche
moléculaire et se continuent avec les fibros para
hiées et détruites, dans un noyau gris - que ce soit un noyau de la
couche
optique, un tubercule quadrijumeau, ou un noyau d
: la cellule pyramidale de gauche envoie son cylindre- axe dans la
couche
optique Th; le cylindre-axe de la cellule pyramid
e entre dans la constitution du ruban de Reil et s'arborise dans la
couche
optique (Th). Le neurone sensitif de 2' ordre ent
d Physiol., Bd VII, 1890. - Du même. Sur les fibres nerveuses de la
couche
granuleuse du cervelet et sur l'évolution des élé
e foule de nuances inter- médiaires, telles que le gris jaune de la
couche
optique, le gris rouge des noyaux rouges de Sti
ventricules latéraux, la substance grise se réduit à une très mince
couche
, qui ne présente une certaine épaisseur qu'au n
et occipitale. La substance grise périphérique revêt la forme d'une
couche
irréguliè- rement onduleuse, qui recouvre le ce
et les cavités encéphaliques sont disposées, chez l'adulte, en une
couche
unique et régulière et reposent sur une couche
hez l'adulte, en une couche unique et régulière et reposent sur une
couche
plus ou moins épaisse de névroglie presque pure
s cellules épendymaires sont disposées, d'après Lachi, en plusieurs
couches
superposées. Chaque cellule épendymaire est for
à la périphérie de la moelle et de l'encéphale, où elle . forme une
couche
continue d'environ 20 à 50 z. d'épaisseur, couche
elle . forme une couche continue d'environ 20 à 50 z. d'épaisseur,
couche
qui reçoit les gaines de Schwann des racines cé
nage du noyau, autour duquel elles circonscrivent souvent plusieurs
couches
con- centriques (Max Schultze). Les fibrilles n
sous le nom de paraplasma (Iiupffer).I;lle se conti- nue avec la
couche
protoplasmique qui entoure les fibrillesdu prol
evêtent de leur gaine de Schwann, qu'au moment où ils atteignent la
couche
de névroglie sous- pie-mérienne. La continuité
ie sous- pie-mérienne. La continuité de la gaine de Schwann avec la
couche
névro- plique sous-pie-mérienne se fait, non pa
ou les fibres nerveuses, dont elles sont toujours séparées par une
couche
plus ou moins épaisse de fibres névrogliques.
anulations, et, d'autre part, de fins filaments serrés, disposés en
couches
concentriques, filaments dont la longueur et l
nterne est tapissée, ainsi que Frantzell'a montré en 18G î, d'une
couche
de cellules épithéliales polygonales, dont le n
à la présence de vacuoles plus ou moins grandes développées dans la
couche
corticale du globe ganglionnaire, ne se retrouve
s, qui tra- versent le ganglion en tous sens (fig. 87, p. 148). Les
couches
les plus superficielles du ganglion sont formée
ent en contact avec les prolongements dendritiques des cellules des
couches
superficielles. Ces fibres nerveuses qui traver
des villosités de l'intestin (Drasch, Cajal, Millier), enfin dans la
couche
musculaire circulaire de l'intestin (Cajal), de
hancrure de la myéline déprimée à ce niveau. Il est entouré d'une
couche
mince de protoplasma qui l'isole de la myéline
ann, le fixe à cette dernière (Ranvier). Chez les jeunes sujets, la
couche
protoplasmique est plus abon- dante que chez l'
blement par l'acide osmique, la gaine de myéline apparaît formée de
couches
concentriques. Tantôt elle est formée de deux a
et recouvre le cylindre-axe, en constituant à ce dernier une mince
couche
protoplasmique, connue sous le nom de gaine de
ées au sein d'une substance intermédiaire qui l'entoure d'une mince
couche
, connue sous le nom de gaine de Mauthner. Nous av
gaine de Mauthner. Nous avons vu plus haut que, pour Ranvier, cette
couche
appartiendrait non pas au cylindre-axe, mais au
, mais au segment inter-annulaire, et se continuerait avec la mince
couche
protoplasmique qui recouvre le noyau et double la
nveloppe péri- phérique de nature protoplasmique, mais encore d'une
couche
protopfas- mique, séparant chaque fibrille de s
à myéline, les fibrilles nerveuses sont également entourées par une
couche
de proloplasma. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
Corpuscules de Re- naut. cette gaine formée d'un grand nombre de
couches
acquiert une épaisseur considérable (Ranvier) (
n que dans l'épiderme (fig. 134, 136). Les fibres ner- veuses de la
couche
conjonctive sous-muqueuse se dépouillent de leur
t,, enfin par leur terminaison, qui ne s'effectue jamais dans les
couches
épithéliales superficielles (Retzius). Dans l
ge du chat. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. ô,7,
couche
conjonctive sons-épithéliale. - o, sur- face de
zius.) Mèthode rapide de Golgi. o, surface de l'épithélium. - bg,
couche
conjonctive sous-épi- théliale. - n, fibre nerv
théliale. - n, fibre nerveuse montant du tissu conjonctif dans la
couche
épithéliale pour se terminer après un trajet tang
. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. n, fibres nerveuses qui, de la
couche
conjonctive, montent dans la couche épithéliale e
n, fibres nerveuses qui, de la couche conjonctive, montent dans la
couche
épithéliale et s'y terminent par des arborisati
s.) Méthode rapide de Golgi. , n, libres nerveuses montant (le la
couche
conjonctive- sous-épithéliale et se terminant p
5 à G jours. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. hst,
couche
cornée. - réseau de Malpighi. - c, plexus nerveux
Retzius. \ Méthode rapide de Golgi. d, dentino (Zahnbein). - nd,
couche
odontoblastiquo. p, pulpe dentaire avec ses v
formés d'une substance granuleuse, et d'une enveloppe il plusieurs
couches
hyalines concentriques, renfermant quelques noy
diffère pas des corpuscules de Pacini que l'on rencontre dans i les
couches
sous-dermiques de l'homme et dans le mésentère du
onnectives, séparées par une substance amorphe et disposées en deux
couches
, l'une interne formée de fibres longitudinales,
très probablement sa gaine de Schwann ; il est entouré d'une mince
couche
de protoplasma et présente une struc- ture fibr
ns différentes régions de la peau de l'homme, on rencontre dans les
couches
superficielles du derme et dans la couche de Ma
e, on rencontre dans les couches superficielles du derme et dans la
couche
de Malpighi, des nerfs qui, après avoir perdu leu
hémisphères céré- braux [corps calleux, septum lucid1lln, trigone,
couche
optique, etc., etc.). Les circonvolutions qui b
nvolutions temporales. - , troisième sillon temporal. - Th, thalamus (
couche
optique). ' U, circonvolution du crochet. MOR
ropre aux circonvolutions en général. Elle est re- couverte par une
couche
assez épaisse de substance blanche d'aspect réti-
s du corps calleux pour former le corps du trigone et contourner la
couche
optique. La circonvolution godronnée, au contra
rer avec celles du côté opposé, entraînent à leur surface une mince
couche
de l'écorce grise de la face interne des hémisp
tudinale logée dans le sillon olfactif (l,), est revêtu d'une mince
couche
de sub- stance grise. En arrière, le pédoncul
J). La « racine » olfactive interne (Roli) recouverte par une mince
couche
de substance grise est plus petite, moins const
s de la lame grise qui recouvre l'espace perforé antérieur, par une
couche
de fibres blanches toujours très manifeste (fig
ntérieur, analogue aux fibres langen- ticllc.s de l'écorce et il la
couche
réticulée d'Arnold. Leur origine apparente au n
des pédoncules cérébraux, atteignent la face inférieure libre de la
couche
optique, où elles se terminent dans deux ganglion
es se terminent dans deux ganglions pro- fondément enclavés dans la
couche
optique, les corps genouillés externe et intern
- tinue avec la substance grise du tuber cinereum et entourée d'une
couche
fibro-vasculaire dépendant de la pie-mère. 'r
ruban ,de Reil médian. - si, sillon latéral du mésencéphale. - Th,
couche
optique. - 7·po, toenia pontis. - 7 ? )/, tract
a calotte, région étendue du bulbe à l'extrémité anté- rieure de la
couche
optique. La calotte du pédoncule est formée de
l. Ses limites. La région de la calotte s'étend du bulbe à la
couche
optique. Constitution de la calotte du pédo
cule mamillaire latéral. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; 2,
couche
blanche moyenne du tubercule quadrijumeau antérie
bercule quadrijumeau antérieur, se rendant au ruban de Reil. -3, 3,
couche
blanche interne du tubercule quadrijumeau antérie
e cérébelleux supérieur. - Po, protubérance. P2tl, pul- vinar de la
couche
optique. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; de
. sell, sillon choroïdien. - Sexv, surface extraventriculaire de la
couche
optique. - si, sillon opto-strié. - si, sillon
ransversalement en dehors vers le corps genouillé externe (Cge) de la
couche
optique : ce cordon est connu sous le nom de br
me le tubercule quadrijumeau antérieur, par l'extrémité libre de la
couche
optique ou qui les surplombe; le bras ne devien
e vers le corps ge- z nouille interne, profondément enclavé dans la
couche
optique. Le tubercule quadrijumeau postérieur a
Troisième ventri- cule. Sillon de Monro. ".Septum lucidum.
Couche
optique et noyau caudé. l'hémisphère. Ces org
isième ventricule en deux régions, l'une supé- rieure formée par la
couche
optique, l'autre inférieure, connue sous le nom
t, de chaque côté, deux volumineux ganglions de substance grise, la
couche
optique (Th) en dedans, et le noyau caudé ou no
-zezztriculcciwr du corps strié, en dehors. La face interne de la
couche
optique forme la paroi latérale du troi- FIG. 1
ier et deuxième ventricules cérébraux. Le noyau caudé, séparé de la
couche
optique par un petit sillon dit sillon intermédia
e en haut par le corps calleux (Ce), en bas par le trigone (Tg), la
couche
optique (Th) et le noyau caudé (NC), en dedans
yme ventriculaire ou membrane épendymaire, qui repose sur une mince
couche
de substance grise; ils sont complètement indépen
a, 198). La face inférieure du noyau caudé et la face externe de la
couche
optique, sont en rapport avec une lame de subst
ied de la couronne- rayonnante (pCI3). La capsule interne sépare la
couche
optique et le noyau caudé d'un troisième noyau
toenia tecta. - Tg, trigone. Tga, pilier antérieur du trigone. - Th,
couche
optique (thalamus). - Va, troisième ventricule.
plan d'autant plus antéro-postérieur, qu'elles appartiennent à des
couches
plus superficielles du genou ou du bourrelet.
-dessous du corps calleux, au-dessus du troisième ventricule et des
couches
optiques, autour desquelles il décrit une courb
vaisseaux; cette membrane fibro-vasculaire la sépare à la fois des
couches
optiques (Th) et du ventricule moyen (V 3) (fig.
nterne ou extra ventriculaire (Sexv), de la face supé- rieure de la
couche
optique (fig. 196). En avant les bords latéraux
des ventricules latéraux. Ils se soulèvent en arc, forment avec la
couche
optique (Th),légè.rement excavée à ce niveau, un
. Après avoir contourné de haut en bas l'extrémité antérieure de la
couche
optique, les piliers antérieurs divergent, pass
nt de torsion en huit de chiffre, puis pénétrait de nouveau dans la
couche
optique (Th) et se lermi- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE
n dehors et en haut et se termine dans le tubercule antérieur de la
couche
optique (Na). Le faisceau de Vicq d'Azyr relie do
elie donc le tubercule mamillaire (Tm) au tubercule antérieur de la
couche
optique. Les piliers postérieurs du trigone fon
en bas, qui contournent le pulvinar ou extrémité postérieure de la
couche
optique (Pul), puis se portent brusquement et t
médiaire de la toile choroïdienne, avec la partie postérieure de la
couche
optique (Th), la glande pinéale (Gp) et les tub
erne fait suite à la partie interne du corps du trigone et forme la
couche
blanche intraventriculaire ou l'cclveu.s (ais) de
! ânenciphalon, au cerveau intermédiaire (tuber- cules mamillaires,
couche
optique) : Une petite partie des fibres longitudi
corne d'Ammon. Cç(Spl), bourrelet du corps calleux (Splenium). Csg,
couche
sagittale du lobe temporo-àccipital. de, divertic
rphologique que les autres ven- tricules, et n'est pas revêtu de la
couche
épendymaire qui tapisse ces derniers, mais d'un
que lame de ce ventri- cule présente à l'état rudimentaire les deux
couches
qui constituent les cir- convolutions cérébrale
s deux couches qui constituent les cir- convolutions cérébrales. La
couche
interne ou grise représente l'écorce grise rudi
ente l'écorce grise rudimentaire; elle est recouverte par une mince
couche
de fibres tangen- tielles et renferme dans les
par une mince couche de fibres tangen- tielles et renferme dans les
couches
superficielles (celles qui correspondent par co
nt le sommet regarde la cavité du cinquième ventricule, et dans les
couches
profondes des cellules plus irrégulières. La co
e, et dans les couches profondes des cellules plus irrégulières. La
couche
externe ou blanche, l'analogue de la substance bl
édoncules, on rencontre du côté du ventricule latéral une troisième
couche
, l'épendyme et la couche grise sous-épendymaire
u côté du ventricule latéral une troisième couche, l'épendyme et la
couche
grise sous-épendymaire, communes il tous les ve
mentaire, que l'on ne distingue que difficilement z ces différentes
couches
. Entre les deux pédoncules du septum, on ren- c
ane en avant, ils divergent en arrière, et s'enroulent autour de la
couche
optique et du pédoncule cérébral, en décrivant
ne (fig. 200). Arrivés au niveau de l'extrémité pos- térieure de la
couche
optique, ils divergent, changent de direction, et
de ces trois parties, au niveau de l'extrémité posté- rieure de la
couche
optique, représente un véritable carrefour ventri
du genou du corps calleux (Cc[g]) à l'extré- mité postérieure de la
couche
optique (Th) (fig. 208), et mesure en moyenne 7
par la tête du noyau caudé (NC), sur laquelle on rencontre, sous la
couche
épendymaire, les ramifications antérieures de la
caudé (NC, NC) ; 2° un sillon intermédiaire au noyau caudé et à la
couche
optique, le sillon opto-stl'ié (si) ; 3° le tiers
opto-stl'ié (si) ; 3° le tiers externe de la face supérieure de la
couche
optique (Th) ; i° la face supérieure du trigone
ne sphénoïdale (fig. 209). 2° En dedans du noyau caudé on trouve la
couche
optique (Th), dont la blancheur relative contra
geàtre du noyau caudé. Le tiers externe de la face supérieure de la
couche
optique, compris entre Étac npérip,l1rllll ve
on du plancher du ventricule latéral. Les deux tiers internes de la
couche
op- tique compris entre le sillon choroïdien et
ucidum. ' MORPHOLOGIE CÉRÉRRALE. 3o7 m'6;-fe ? ? <CM/M'e de la
couche
optique n'est pas lisse et régulière; elle corr
saillie mamelonnée et très accentuée, le tubercule antérieur de la
couche
optique, constitué par la partie saillante de s
, assez large en avant, plus étroit en arrière, décrit autour de la
couche
optique une courbe à concavité antérieure et in
du ta'nia semi-circularis, contourne l'extrémité postérieure de la
couche
optique, et se retrouve, comme la bandelette demi
caudé, quitte la lame cornée au niveau du tubercule antérieur de la
couche
optique (Na), reçoit à ce niveau la veine du se
demi-circulaire se rétrécit en arrière du tubercule antérieur de la
couche
optique; elle longe ensuite le sillon opto-stri
ensuite le sillon opto-strié jusqu'à l'extrémité postérieure de la
couche
optique, puis elle se recourbe en bas et en ava
et en avant, reçoit chemin faisant un grand nombre de libres de la
couche
optique et s'épanouit en un faisceau de libres
la corne sphénoïdale ( Vsph) contourne le pédoncule cérébral et la
couche
optique, se porte oblique- ment en bas, en avan
CNC, colliculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. - Csg,
couche
sagittale du lobe temporo-occipital. de, divert
ehors, la queue du noyau caudé (NC'), masquée souvent par une mince
couche
de fibres nerveuses. Contiguë en arrière à la ban
ie adhérente ou externe du pilier recouvre la I corne d'Ammon d'une
couche
blanche connue sous le nom d'alvéus (Alv) (fig.
corne d'Ammon. Cc(Spl), bourrelet du corps calleux (Spicnium). Csg,
couche
sagittale du lobe temporo-uccipital. - de, divert
u ventricule latéral (Pchl) reposent sur le sillon choroïdien de la
couche
optique, et longent le bord interne de la corne
rmée chez l'adulte par un épithélium pavimenteux qui repose sur une
couche
de substance grise riche en névroglie. L'épaiss
ne, et le point de réflexion inférieur, au sillon choroïdien, de la
couche
optique (fig. 212). Dans le prolongement sphénoïd
tre inférieure. La région supérieure ou thalamique, ou région de la
couche
optique, est formée par la face interne plane o
e, est formée par la face interne plane ou légèrement convexe de la
couche
optique (Th), revêtue d'une mince couche de subst
u légèrement convexe de la couche optique (Th), revêtue d'une mince
couche
de substance grise, la substance grise centrale
is se rétractent quel- quefois à tel point vers la face interne des
couches
optiques, qu'ils devien- nent difficiles il déc
[renia tecta. Tg, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th,
couche
optique (tha- lamus). 11, troisième ventricule.
situé à la limite de la face interne et de la face supérieure de la
couche
optique, et dont les fibres se terminent dans l
tite saillie triangulaire, située à la partie postéro-interne de la
couche
optique. Sur les tænia thalami (tth), s'insère
'une ver- 'T" "™ ticale, comprise entre les faces internes des deux
couches
optiques, l'autre horizontale et évasée, située
s du trigone et la moitié interne Wt$|j de la face supérieure de la
couche
optique. Cette soi-disant partie horizon- tale
icule latéral, mais représente la surface cxlra-ventriculaire de la
couche
optique (Sexv) (fig. ° ? 92, 213), et corres- p
eur, à base postérieure, elle s'étend horizontalement au-dessus des
couches
optiques et du troisième ventricule, au-dessous
par ses parties latérales, sur la surface extra-ventriculaire de la
couche
optique (Sexv); par sa partie moyenne, elle forme
ur. sch, sillon choroïdien. Sexv, surface extra-ventriculaire de la
couche
optique. si, sillon opto-strié. SZ,septumlucidu
latérales sont en rapport avec la surface extra-ventriculaire de la
couche
optique (Sexv) (fig. 212). Les bords latéraux
ècle par Willis, Riolan, Vieussens, etc. Willis le premier sépara les
couches
optiques des corps cannelés ou striés et les dé
rrorum opticorum. Vieussens ayant observé que les corps striés, les
couches
optiques et une partie des jambes ou pédoncules
rtie du noyau caudé. 2° Les c01'pom slniata superiora posteriori ou
couches
optiques. 3° Les cOl'pom striata inferna exteri
essous de la commissure antérieure et qui font peut-être partie de la
couche
optique. 6° Les corpora striata média qui corre
bandelette de substance blanche située entre les corps striés et la
couche
optique. Cette bandelette demi-circulaire, très b
rce des circonvolutions de l'insula dont il représente la cinquième
couche
; de là, par analogie de structure, le nom de cou
e la cinquième couche ; de là, par analogie de structure, le nom de
couche
claustrale donnée à la cinquième couche de l'éc
gie de structure, le nom de couche claustrale donnée à la cinquième
couche
de l'écorce cérébrale. Aujourd'hui les dénomina
s, Vicq d'Azyr et Burdach, sous le nom de corps opto-striés : 1° La
couche
optique ou thalamus. 2° Le corps strié formé de
eure de l'espace pen- j'orr' antérieur. Sa face interne répond à la
couche
optique, à la substance grise sous-épendymaire
nonce piriforme ou d'une cornue, située en avant et en dehors de la
couche
optique (fig. 215). Epais et arrondi au niveau de
grêle en arrière. Son extrémité postérieure ou queue, contourne la
couche
optique et le pédoncule cérébral, et se prolonge
l. : CNC, colliculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. Csg,
couche
sagittale du lobetemporo-occipital.c ! c, diver
ipito-fl'ontal de Forel (OF). Le bord interne, concave, embrasse la
couche
optique; il commence im- médiatement en arrière
idum ; il se di- rige ensuite en dehors et en arrière, séparé de la
couche
optique par la lame cornée, la veine du corps s
énoïdal du ventricule latéral, où elle est recouverte par une mince
couche
de substance blanche facile à enlever par un gr
du noyau lenticulaire (Al) et le pédoncule infào-inte1'7 ! c de la
couche
optique (PiTh) (fig. 244 à 246). Au niveau du c
Cia). En arrière il se dirige en dehors et en arrière, séparé de la
couche
optique par le segment postérieur ou lenliculo-
NL,) ; le segment moyen (NL2), dépasse l'extrémité antérieure de la
couche
optique et existe sur les coupes vertico-transver
ans les coupes vertico- transversales'qui intéressent les premières
couches
du noyau lenticulaire ,,(Iig. 222, 223, 242, 24
res interne et externe du noyau lenticulaire. Fibres radiées.
Couche
optique (thalamus). La face supérieure est
nse du noyau lenticu- laire, les autres relient le corps strié à la
couche
optique, d'autres se ren- dent à la région sous
r et interne et qu'elle contourne par son extrémité postérieure, la
couche
optique ou thalamus (Th) constitue une masse vo
eures que séparent seulement les piliers antérieurs du trigone, les
couches
optiques sont écartées en arrière et reçoivent
leur hauteur 20 à 2S millimètres. On peut considérer chacune des
couches
optiques quatre faces et deux extrémités. Les f
ère- ment convexe dans le sens transversal, est revêtue d'une mince
couche
de fibres blanches, le stratum zonale (strz). S
zonale, différencie nettement , MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. : 7 -i la
couche
optique du noyau caudé. Cette face est limitée en
ne et qui fait un léger relief le long du bord supéro-interne de la
couche
optique. Ce tractus blanc porte le nom de tænia t
et le cerveau intermédiaire. La partie de la face supérieure de la
couche
optique, située en avant et ' en dehors du sill
r l'épendyme ventriculaire. La partie de la face supérieure de la
couche
optique, située en arrière et en dedans du sill
are du trigone cérébral et appartient à la surface extérieure de la
couche
optique (Sexv). ('oy. Embryologie, p. 114 à 117.)
longuc, plus ou moins marquée, c'est le tuber- cule antérieur de la
couche
optique de Vicq d'Azyr (Na), le corpus album st
on rencontre une saillie volumineuse, le tubercule postérieur de la
couche
optique ou pulvinar (Pul) qui se renfle considé
blement en arrière pour former l'extrémité postérieure, libre de la
couche
optique. En dedans de la partie postéro-interne
et la sépare de la région sous-optique. Lès faces internes des deux
couches
optiques sont reliées Toenia thalami. Sa part
. sch, sillon choroïdien. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la
couche
optique. - si, sillon opto-strié. SI, septum lu
Rauber, facile à constater chez le nouveau-né. Les rapports que la
couche
optique affecte avec le pédoncule cérébral sont
bandelette op- tique croise sa face inférieure. Ces trois organes :
couche
optique, pulvinar et bandelette optique, formen
e optique, pulvinar et bandelette optique, forment le système de la
couche
optique et embrassent le pédoncule cérébral à l
r du pédoncule. La petite extrémité ou l'extrémité antérieure de la
couche
optique, libre dans sa moitié interne, présente
le interne; ce faisceau porte le , nom de pédoncule antérieur de la
couche
optique (Cia) (fig. 223, 224, 225,' 22G). Les
(fig. 223, 224, 225,' 22G). Les faces externe et inférieure de la
couche
optique, adhérentes aux parties voisines, ne pe
ar le pilier antérieur du tri- Corps genouillés. Rapports de la
couche
optique ave, le pédoncule céré bral. Son ex
re de la substance innominée, la face inférieure, plus large, de la
couche
optique, repose sur le prolongement antérieur de
amique et à l'étage supérieur du pédoncule et qui est entouré d'une
couche
de fibres blanches, la capsule du noyau rouge. Le
de Luys et le noyau rouge sont séparés de la face inférieure de la
couche
optique par une couche de fibres bien décrites pa
uge sont séparés de la face inférieure de la couche optique par une
couche
de fibres bien décrites par Forel et qui se con
de Forel (r) (Feld H, Forel). Face externe. La face externe de la
couche
optique, convexe dans dans le sens transversal
l'ensemble constitue les radiations ou la couronne rayonnante de la
couche
optique. Meynert y a dis- tingué trois segments
de la capsule interne et pénètre dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique. Arrivées dans l'intérieur de celles-ci
al. Ses fibres se dirigent d'arrière en avant et pénètrent dans les
couches
supérieures du pulvinar. Les plus inférieures s
92-293) ; les plus supérieures s'étalent sur la face supérieure de la
couche
optique et concourent à former le stratum zonal
à former le stratum zonale. En pénétrant dans la face externe de la
couche
optique, les fibres de ces trois pédoncules s'e
a substance grise. .Celle disposition donne à la face externe de la
couche
optique un aspect spécial, absolument caractéri
ormé la zone réticulée, les fibres pénètrent dans l'intérieur de la
couche
optique dont elles forment les fibres radiées.
re, avec Burdach, trois noyaux dans la masse grise qui constitue la
couche
optique. Un noyau interne qui répond au ventric
ans le ventricule latéral, où il forme le tubercule antérieur de la
couche
optique. Le noyau externe est séparé des noyaux
liquement dirigée en bas et en dedans, du bord supéro-externe de la
couche
optique à son bord inféro-interne. Cette lame n'e
en avant avec le noyau antérieur, près de la face supérieure de la
couche
optique, dans la région du faisceau de Vicq d'A
s faisceaux radiés de Meynert, qui proviennent des pédoncules de la
couche
optique et peuvent être suivis avec plus ou moi
s de netteté, jusqu'au delà de la lame médullaire interne. Dans les
couches
profondes et inférieures du pulvinar, ces fais-
les coupes vertico-transver- sales de l'extrémité antérieure de la
couche
optique, n'intéressent que les noyaux externe e
lig. 226, 253, z187, 307, 317, 318). Luys a décrit en outre dans la
couche
optique un quatrième noyau, le centre médian de
noyau, le centre médian de Luys (Nm), profondément enclavé dans la
couche
optique entre le noyau rouge, le noyau interne
mprise entre le noyau lenticulaire d'une part, le noyau caudé et la
couche
optique d'autre part. Pour Vicq d'Azyr, elle fais
ée en dedans du noyau lenticulaire, en dehors du noyau caudé, de la
couche
optique et de la région sous-optique (fig. 248
duquel se loge le noyau lenticulaire, tandis que le noyau caudé et la
couche
optique sont situés sur sa partie convexe. Cet
nnées parallèlement. Ces fibres se terminent presque toutes dans la
couche
optique dont elles forment le pédoncule antérieur
ue en arrière et en dehors, passe entre le noyau lenticulaire et la
couche
optique; il est le plus long et déborde en arrièr
Dans le segment rétro-lenticulaire (Cirl), limité en dedans par la
couche
optique et la portion réfléchie de la queue du
ques, se terminent pour la plupart dans la partie postérieure de la
couche
optique dont elles contribuent à former le pédonc
aire (Cirl) : le segment antérieur (Cia) disparait en effet avec la
couche
optique. Le segment rétro-lenticulaire (Cirl) e
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. mente considérablement, et forme une
couche
épaisse, qui coiffe les extrémités - , antérieu
ainsi que le prouvent les cas de malformation du corps calleux, la
couche
des fibres blanches qui constitue le tapetum (Tap
rieure du tronc du corps calleux (Ce), ['extrémité supérieure de la
couche
optique (Th) et du segment externe du noyau len
faisceau ocei/ilo- frontal (OF), son extrémité postérieure par une
couche
beaucoup plus mince de cette même substance gri
. En dehors, le ventricule est limité par le noyau caudé (NC) et la
couche
optique (Th). Corps opto-striés. Sur celte coup
recourbée de sa queue (\G'). Entre ces deux segments, on trouve la
couche
optique (Th), sectionnée il sa partie supérieur
ation du lobe frontal, tandis qu'en arrière, elle se prolonge dans la
couche
sagittale du lobe occipital qu'elle concourt à
partie supérieure du septum lucidum (SI), le noyau antérieur de la
couche
optique (Na Th) et l'extrémité supérieure du pu
, qui traverse le segment antérieur de la capsule interne (Cia). La
couche
optique(7h) comprise entre les deux- segments d
u putamen. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, interne et externe de la
couche
optique.- \'C', queue du noyau caudé. - 0., pre
ilxnds-maire. - SI, septum luci- dum. sp, sillon sous-pariétal. Th,
couche
optique. T, ! gsna;, circonvolution temporale s
le pu/amen de Y avant-mur (AM) et de J'écol'ce de l'insula (I). La
couche
optique (Th) est volumineuse et sectionnée il p
médullaire interne du thalamus (Lmi) encore très peu apparente. La
couche
optique est séparée du noyau caudé par un sillo
frontale. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne de la
couche
optique. - NC, noyau caudé. - : \'C', queue du
sillon du corps calleux. - - .xu, surface extra-ventriculairc de la
couche
optique. Sge, substance grise centrale. - SI, s
lier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th,
couche
optique. - Tp, circonvolution pariétale profond
nètrent toutes dans les noyaux anté1'iew'(Na) et externe (Ne) de la
couche
optique, dans lesquels elles s'irradient. Le segm
qui relient le troisième segment du noyau lenticulaire (nul;,) à la
couche
optique (Th), et des fibres coupées perpendicul
stème du pied du pédoncule cérébral. De la partie postérieure de la
couche
optique, partent des fibres horizontales, les rad
laire de la capsule interne (Cirl) et se portent en arrière dans la
couche
sagittale du lobe occipital. La masse blanche d
et le tapetum (Tap), qui tapisse la corne occi- pitale se trouve la
couche
sagittale du lobe occipital. Sur les coupes de ce
pital. Sur les coupes de cerveaux durcis par les bichromates, cette
couche
sagittale semble n'être formée que par un seul
on ne constate pas l'existence d'un système analogue à celui de la
couche
sagittale du lobe occipital; les fibres thalamiqu
segment du noyau lenticulaire (NL=,NL3) et la partie moyenne de la
couche
optique (Th). Écorce. L'écorce diffère de celle
lobule du corps strié). Elle est séparée du putamen (NL3) par trois
couches
, une blanche externe, formée par la substance bla
hée de l'écorce insulaire, dont elle suit les sinuosités, enfin une
couche
blanche interne, la capsule externe (Ce). A la pa
'Ammon (CA), en dehors par le /lIp1 ! /llIn (Tap), recouvert par la
couche
sagittale du lobe occipital. Au niveau de la co
Sge) et le faisceau occipito-fiontal (Or). Noyaux opto-striés. - La
couche
optique (Th) est nettement délimitée en dehors
et du segment rétro-lenticulaire (Cirl) de la cap- sule interne. La
couche
optique déborde en arrière le noyau lenticulaire
aux mdia- lions optiques de Graliulct (RTh) qui se portent dans la
couche
sagittale du lobe occipital. Sa face interne es
sagittale du lobe occipital. Sa face interne est bordée d'une mince
couche
de fibres blanches, le stmtulll zonale (Strz),
a capsule interne (Cip) d'une part, et le pédoncule antérieur de la
couche
ol)liq ? ie (1-'aTii) ou segment antérieur de la
yau lenticulaire, dans toute l'étendue de la partie postérieure de la
couche
optique qui correspond il la corticalité de la
nro. znp, sillon marginal postérieur. - Na, noyau ' antérieur de la
couche
optique. - NC, tète du noyau caudé NC', queue du
du noyau caudé NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la
couche
optique. - Ni, noyau interne de la couche optique
- Ne, noyau externe de la couche optique. - Ni, noyau interne de la
couche
optique. - 1'G, NG,, deuxième et troisième segm
irconvolution pariétale ascendante. l'a Th, pédoncule antérieur de la
couche
optique. - Pc, pli courbe. Plch, plexus choroïd
, sinus du corps calleux. - Sexe, surface extra-ventriculaire de la
couche
optique. S,ge, substance grise sous-épendymaire d
er antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th,
couche
optique. - Tp, circonvolution temporale profonde.
oyau caudé. - NC', queue du noyau chaude. - Ne, noyau externe de la
couche
optique. AIL3, iN'12, troisième et deuxième segme
sinus du corps calleux. .S'e.Et', surface eztra-ventriculairc de la
couche
optique. -Sye, substance grise sous-épendçntaire
tum. - lec, t.enia tecta. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th,
couche
optique. - Tp. circon- volution temporale profo
e pilier antérieur du trigone (Tga) et l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th). La corne occipitale (Voc) est lim
alzerrm calcal'iml1ll qui double la scissure calcarine (K), par une
couche
de fibres foncées appartenant au faisceau postéri
ors, la corne occipitale est recouverte par le tapetum (Tap) et les
couches
sagittales du lobe occipital, dont la partie inte
SCOPIQUES DU CERVEAU. 407 dinal inférieur (Fli). En dehors de cette
couche
on trouve les courtes fibres d'association du l
nt traversés par de nombreuses fibres blanches, qui se rendent à la
couche
optique en traversant le segment postérieur de
en traversant le segment postérieur de la capsule interne (Cip). La
couche
optique (Th) est intéressée au niveau de sa parti
ventriculaire (Sexv), libre et recouverte par le stratum zonale. La
couche
optique est formée de deux noyaux, le noyau inter
ssure cal- carine (K) que par l'écorce de la région, entourée d'une
couche
mince mais complexe de substance blanche. (Voy.
oyau chaude. - NC , queue du noyau caudé. = Ne, noyau externe de la
couche
optique. - NL3, NL2, NL,, troisième, deuxième e
ieur du trigone. - Tg,, trigone ou carrefour ventricu- laire. - Th,
couche
optique. - Tp, circonvolution temporale profonde.
grillagée. 1 : 410 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. convolutions, la
couche
sagittale du lobe occipital, formée en dehors par
i que nous l'avons constaté plusieurs fois. La partie interne de la
couche
sagittale est formée par les fibres de projection
pos- térieur de la capsule interne (Cip) et qui se dirigent vers la
couche
optique (Th). Dans la couche optique (Th) on re
terne (Cip) et qui se dirigent vers la couche optique (Th). Dans la
couche
optique (Th) on reconnaît les noyaux externe (Ne)
et le ganglion de l'habénula (Gh), situé à la partie interne de la
couche
optique qu'il divise en deux parties. La partie
orizontales qui se rendent toutes dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th). Il se compose en effet, presque exc
fibres cortico-thalamiques, et constitue le pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh). Les préparations microscopiques
quement en arrière et en dehors, entre le noyau lenticulaire et la
couche
optique (Th), et déborde le noyau lenticulaire
ibres des régions voisines et pénètrent dans le noyau externe de la
couche
optique (Ne), dont elles constituent les fibres
segment postérieur de la capsule interne (Cip), et se rendent dans la
couche
optique (Th) et les noyaux de la région sous-th
a), par la commissure postérieure (cop), la partie inférieure de la
couche
optique (Th)et l'extrémité supérieure des tuber
par la méthode de Weigert ou par le carmin différencient en quatre
couches
concentriques. La couche interne est formée par l
ou par le carmin différencient en quatre couches concentriques. La
couche
interne est formée par les fibres d'association
me cornée. - Lg, lobule lingual. Lme, lame médullaire externe de la
couche
optique. - lme, lame médullaire externe du noyau
externe du noyau lenticulaire. - Lmi, lame médullaire interne de la
couche
optique. - lmi, lame médullaire interne du noyau
système du forceps (Fin'). Comme sur la coupe précédente ces quatre
couches
sont ici très nettes, immédiatement en arrière
ceps. Elles s'effacent peuà peu en arrière et se confondent avec la
couche
blanche sagittale du lobe occipital. La paroi e
Voy. Faisceau occipito- frontal.) En dehors du tapetum se trouve la
couche
sagittale du lobe occipital, constituée par les
egments internes du noyau lenticu- lairc leur coloration pâle. La
couche
optique (Th) est intéressée dans sa partie inféri
Le noyau externe (Ne) reçoit en avant le pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh) qui fait suite au segment antéri
ure de ce noyau externe. En arrière du pédoncule anté- rieur de la.
couche
optique, on trouve la section transversale du fai
trouve la section transversale du faisceau de Vicq d'Azyr (VA). La
couche
optique est réunie il celle du côté opposé par la
côté opposé par la commis- sure postérieure (cop). La partie de la
couche
optique située en avant de la com- missure post
NC', queue du noyau caudé. .Ye, Ni, noyaux externe et interne de la
couche
optique. - Nez, NL" u'L,, ? troisième, deuxième e
u lenticulaire, - ce dernier étant dédouble. Nm, noyau médian de la
couche
optique (centre médian de Luys). - 0,, 0 ? premiè
pilier antérieur du trigone.- 7'p, pilier postérieur du trigone. Th,
couche
optique. lit i-i, premier et deuxième sillons t
(NL3, NL ? NL¡, NL¡')ne présentent rien de particulier il noter. La
couche
optique (Th) a diminué de volume : cette coupe
u interne (Ni), le noyau externe (Ne) et le pulvinar (Pul). Mais la
couche
optique présente en outre ici deux nouveaux noyau
(lignes 68 des lig. 217 et 218). Cette coupe passe au-dessous de la
couche
optique et de la corne frontale du ventricule l
du sillon collatéral, on rencontre encore, quoique très réduite, la
couche
sagittale du lobe occipital. La corne sphé- noï
blanche de l'hippocampe le contourne, et forme autour de lui trois
couches
concentriques, assez sem- blables à celles de l
lui trois couches concentriques, assez sem- blables à celles de la
couche
sagittale du lobe occipital. La couche profonde,
sem- blables à celles de la couche sagittale du lobe occipital. La
couche
profonde, blanche et très mince, appartient trè
ent au cingulum, l'externe enfin est blanche et se continue avec la
couche
des fibres d'association de la circonvolution d
), la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui se dis- tingue des
couches
blanches voisines par sa richesse en vaisseaux. A
e, mais le plus grand nombre le contourne en avant et en dedans. La
couche
optique a disparu, elle n'est plus représentée qu
différencient pas du reste de la masse blanche du lobe frontal. La
couche
sagittale du lobe occipilo-temporal est encore ne
noïdale. Le tapetum (Tap) très réduit de volume tapisse d'une mince
couche
la paroi externe de la corne sphénoïdale. Le co
cérébrale de Bichat. À la place du globus pallidus, on trouve une
couche
blanche, intermédiaire entre le globus pallidus
a partie externe de la substance perforée antérieure de la base. La
couche
grise située en dedans des orifices vasculaires
ACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 429 bandelette optique (II), on trouve la
couche
grise de la substance perforée anlé- rieure (Sp
ppartient à la paroi interne de l'hémisphère et se continue avec la
couche
épilhéliale qui re- couvre les plexus choroïdes
ehors duquel on trouve le faisceau longitudinal inférieur (Fli). La
couche
des fibres de projection ou radiations tha- lam
pe (h) avec la substance réticulée d'Arnold (Lms) qui représente la
couche
des fibres tangentielles de l'écorce de la circ
Sur la coupe n° 37 (fig. 239) la substance grise est réduite il la
couche
sous- épendymaire (Sge) qui double le ventricul
es forme sur les coupes de cerveaux durcis par les bichromates, une
couche
nettement distincte du centre ovale (CO). Ce de
l'écorce insulaire, dont il représente d'après Meynert la cinquième
couche
; à sa partie inférieure il se fusionne avec le tr
s l'angle inférieur du ventricule latéral, on trouve, en effet, une
couche
de substance grise, la substance grise centrale (
roisième sillons temporaux. - Tga, pilier antérieur du trigone. Th,
couche
optique (thalamus). - U, circonvolution du croche
VEUX. apparaît (coupe n° 63, fig. 245) l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th). Cette substance grise, qui recouv
partie du globus pallidus, qui représente un ganglion analogue à la
couche
optique; il est séparé du putamen par la lame mé-
chiasma des nerfs optiques (II) et de l'extrémité antérieure dé la
couche
optique (Th). Le noyau caudé (NC) est relié au
nt il est séparé par la commissure antérieure (coa) et par. une mince
couche
de COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 451 fibr
m. Tg, corps du tri- gone. Tga, pilier antérieur du trigone. - TIz,
couche
optique. - U, circonvolution du cro- chet. Vs,
érieur de la capsule interne (Cia) ; en dedans, il est séparé de la
couche
optique (Th) par le genou de la capsule interne
Sge) et se terminent dans les régions inférieures et internes de la
couche
optique (Th). Ces fibres qui viennent en partie
ne sphénoïdale, constituent le pédoncule inférieur ou interne de la
couche
optique (PiTh). Entre le segment interne du glo
interne du globus pallidus (NL,) et le pédoncule inféro-interne de la
couche
optique (PiTh), on trouve un autre faisceau de
ent la partie la plus antérieure. Le pédoncule inféro-interze de la
couche
optique (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire
ii qui donne insertion COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 453 à la
couche
, d'épithélium qui recouvre les ple.xncschoroïdes
es propres d'une incisure du sillon collatéral (ot'), par une mince
couche
de fibres blanches qui entourent l'extrémité an
235 et 236. La coupe n° 69 passe par le noyau antérieur (Na) de la
couche
optique (Th), la partie antérieure du pédoncule
oi inférieure par le noyau caudé (NC ! et la partie attenante de la
couche
optique (Thi. Son bord externe est coiffé par l
rent d'une part au bord libre du trigone (Tg), et d'autre part a la
couche
optique (Th), en dedans de la veine du corps stri
mince lamelle de substance blanche la sépare du globus pallidus. La
couche
optique (Th) est irrégulière; elle présente une f
ace supérieure qui présente la saillie du tubercule antérieur de la
couche
optique (Na), et que l'insertion des plexus cho
apetum. - 7 ? trigone. - 7,qa, pilier antérieur du tri- gone. - Th,
couche
optique. - Tm, tubercule mamillaire. - Tp, circon
, tapetum. - Tg, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th,
couche
optique. - Tm, tubercule mamillaire. - Tp, circon
co- transversales micl'oscopiques, fig. 286.) La face externe de la
couche
optique (Th) est en rapport avec le segment pos
t le faisceau inférieur ou lenticulaire (FI), séparés par une mince
couche
de substance grise, la zona incerta du même auteu
) situé au-dessus du corps de Luys (CL). Du noyau antérieur de la
couche
optique (Na) part un faisceau volumineux, le fa
bercule mamillaire (Tm) et se termine dans le noyau antérieur de la
couche
optique (Na). Ce faisceau fut décrit à tort sous
v. Monakow par l'étude des dégénérescences. Le noyau interne de la
couche
optique (Ni) est très peu accusé (fig. 248), il
érieur de la capsule interne (Cip) sépare le noyau caudé CSC) et la
couche
optique (Th) du noyau lenticulaire (NLa, 2' Il. I
hénoïdal (Vsph). Sa face superficielle est recou- verte d'une mince
couche
de substance blanche, qui correspond à la substan
t se continue avec Yalvéus (Alvj. Sur la coupe n° 75 (fig. 248), la
couche
de substance grise inter- médiaire décrit quelq
- Tap. tapetum. - lLs, trou borgne supérieur. - Tg, trigone. - Tlt,
couche
optique. - Tp, circonvolution temporale profond
par la lame cornée (le), la queue du noyau caudé (NC') et les trois
couches
de fibres qui limitent le ventricule en dehors
tronc dans la partie moyenne du ventricule latéral, en dehors de la
couche
optique; une seconde fois, au niveau de sa queue
tage du noyau amygdalien. Au niveau du carre four ventriculaire, la
couche
optique et la queue du noyau caudé sont rapproc
e la corne sphénoïdale, le noyau caudé et le thalamus divergent; la
couche
optique, après avoir formé le pulvinar, se rétr
é que par des îlots gris dissociés par les fibres de projection. La
couche
optique (Th) augmente de volume à mesure que le n
le tienia tlcalaoei (tth) (coupe n° 75 et 80, fig. ? .49. 251). La
couche
optique jTh) est divisée en deux noyaux, l'un int
nt postérieur de la capsule interne (Cip). La face supérieure de la
couche
optique présente sur cette coupe un mince noyau
ue présente sur cette coupe un mince noyau aplati, situé entre deux
couches
de fibres blanches, et qui répond il bipartie p
icroscopiques hori- zontales (fig. 301.) et sagittales, t. IL) La
couche
optique repose sur la région sous-optique. Cette
ns temporaux. - tec, tienia tecta. Tap, tapetum. - Tg, trigone. - Th,
couche
optique. - Tp, circonvolution temporale profond
n haut et en dehors. Sa face supérieure, convexe, est séparée de la
couche
optique (Th) Fil;. 2 : -ij. - Coupe vertico-tra
Il s'agit du faisceau longitudinal inférieur (Fli) qui constitue la
couche
sagittale externe du lobe <em.o-0f;c)'/a/. E
la capsule interne (Cip) et sépare le noyau lenticulaire (NL3) de la
couche
optique (Th), du corps de Luys (CL) (coupe n° 7
y, trigone. - Typ, pilier postérieur du trigone (Fimbri : v). - Th,
couche
optique. - Tp, circonvolution temporale profonde.
e Sylvius (Aq), c'est-il- dire la surface exlra-veniriculaire de la
couche
optique et la région du pédoncule. Noyaux opto-
'ap, tapetum. - Tg, trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. 7'/t,
couche
.optique. - Tp, circonvolution temporale profon
étro- lenticulaire de la capsule in terne (Cirl) (fig. 254-255). La
couche
op/ique(Th) a diminué de volume. On y reconnaît
ne (Ne) et le noyau interne (Ni). Sur la coupe n° 83 (fig. 252), la
couche
optique (Th) repose sur la région de la calotte
253-254) il se présente comme un ganglion arrondi, enclavé dans la
couche
optique (Th), situé en dedans du corp genouillé
s radiations thalamiques qui abordent les parties inférieures de la
couche
optique, s'entre-croisent avec des fibres qui,
s son segment rétro-lenticulaire (Cirl), elle ne forme plus ici une
couche
nettement distincte, mais dissocie le li-oi- si
scissure de Sylvius. - Se.vv, surface extra-ventricu- l;tire de la
couche
optique. - Syc, substance grise sous-épendymaire.
sième sillons temporaux. Tap, tapetum. - tec, t¡cnia tecta. - T'li,
couche
optique. - Tg, trigone. - 1'l, ventricule latéral
paroi externe du ventricule sphénoïdal (Vsph); est bordée par trois
couches
concentriques : le tapetum (Tap), les radia- li
ties qui recouvrent en arrière la surface extra-ventriculaire de la
couche
optique (Sexv). Écorce. - Le bord supérieur d
ie postérieure; le pilier ptostérieur (Tgp) forme sur ces coupes la
couche
de substance blaiielie qui recouvre la circonvolu
intéressent le carrefour ventriculaire et passent en arrière de la
couche
optique. Le noyau caudé est encore sectionné en
ec le tapetum (Tap); ce dernier constitue la plus interne des trois
couches
qui limitent la corne sphéno-occipitale en deho
i) nous trouvons sur les coupes n°S 95, 97,-99 (fig. 258 à 260), la
couche
des fibres de projection du lobe occipital, ou
du lobe occipital, ou radiations optiques de Gratiolet (RTh). Cette
couche
de fibres, pré- sente, dans son segment externe
rallèle (t,) et il la deuxième circonvolution temporale ('1), cette
couche
s'effile en haut où elle embrasse en dehors les f
rale (TJ, l'interne au lobule fusiforme (Fus). Ce faisceau forme la
couche
sagittale externe du lobe occipital; il représe
tapissée par le tapetum, (Tap), en dehors duquel nous trouvons les
couches
sagittales du lobe occipital a savoir : Fieu. -
lleclccl (l : c, fig. 204). Cette paroi est tapissée par les trois
couches
de la paroi externe qui sont effilées et recourbé
s (C) est plus étendu, la cavité ventriculaire est entourée par trois
couches
concentriques de fibres à direction pour la plu
d'association (faisceau longitudinal irrfé- rieur) (Fli). Ces trois
couches
de faisceaux, très distinctes à la face externe e
ne ou au carmin.' Au niveau de l'angle supérieur du ventricule, les
couches
de la paroi externe se recourbent et se réuniss
s de la paroi interne. Au niveau de la pointe occipitale, ces trois
couches
forment donc un cercle complet, quoique très ir
issable surtout sur les coupes microscopiques, coiffe le sommet des
couches
sagittales. Ce faisceau, décrit par Sachs sous
gueur de son tronc, l'extrémité interne du corps strié (NC+NL3), la
couche
optique (Th), la région sous-optique (F, NR), l
éunion du noyau caudé NC et du putamen NL3. Na, noyau antérieur de la
couche
optique. -Ni,'noyau interne de la couche optiqu
Na, noyau antérieur de la couche optique. -Ni,'noyau interne de la
couche
optique. NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau rouge.
ontinue en bas avec le corps du trigone (Tg), qui s'applique sur la
couche
optique et donne insertion en avant aux plexus ch
us choroïdes qui le séparent de la face extra-ven- triculaire de la
couche
optique (Pul); très irrégulier sur cette coupe, i
roïdienne entre le trigone et la surface extra- ventriculaire de la
couche
optique. Noyaux opto-striés et isthme de l'encé
nt encore partie du plancher du ven- utricule latéral, on trouve la
couche
optique (Th) séparée du corps strié par le sillon
du corps strié par le sillon, opto-strié (si). On reconnaît dans la
couche
optique (Th), le noyau antérieur (Na) et le noy
'irradie en pinceau et appartient au pédoncule inféro-interne de la
couche
optique (PiTh). Il ne vient pas des tubercules ma
u llilbe sphénoïdal et passe au-dessous de la face inférieure de la
couche
optique (Th). Cette coupe ne l'intéresse donc q
éresse donc que dans son segment vertical. La face supérieure de la
couche
optique (Th) est divisée en deux parties par l'in
oïdienne. L'insertion des plexus 'choroïdes dans cette région de la
couche
optique a lieu de surprendre au premier abord.
avantage en arrière (coupes nos 5, 7 et 10, fig. 268, 269, 270). La
couche
optique repose sur la région sous-optique, consti
rouge (NR) et le champ de Forel (F). En arrière et au-dessous de la
couche
optique on trouve les parties constituantes du
quadrijumeaux (Qa, Qp) et la région de la calotte du pédoncule. La
couche
optique (Th) est séparée des tubercules quadrijum
bercule quadrijumeau postérieur (Qp), nous trouvons enfin une mince
couche
de fibres blanches, qui répond au ruban de 1 ? (i
ce de séparation du noyau caudé (21C) et du putamen (\L.,), vers la
couche
optique (Th) dans laquelle il s'irradie. Ce fai
ique (Th) dans laquelle il s'irradie. Ce faisceau fait partie de la
couche
la plus interne du pédoncule antérieur du thala
se en effet en dedans du genou de la capsule. (Voy. fig. 267.) La
couche
optique (Th) est séparée du noyau caudé (NC) par
belleux inférieur et postérieur. Lmi, lame médullaire interne de la
couche
optique. Ln, locus niger. Lsa, lobe cérébelleux a
de la première circonvolution frontale. - Na, noyau antérieur de la
couche
optique. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de
ieur de la couche optique. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de la
couche
optique. - NF, noyau setrri-lunaire de Flechsig
ue. - NF, noyau setrri-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne de la
couche
optique. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau médian d
ne de la couche optique. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau médian de la
couche
optique. - NR, noyau rouge. - 0,, première circon
tionnée transversalement, et qui soulève l'épendyme qui recouvre la
couche
optique, c'est la veine du corps strié (Vcst).
oupes sagittales, l'insertion des plexus choroïdes (Pchl) divise la
couche
optique en deux parties : l'une intra, l'autre ex
région intra-ventriculaire, nous trouvons le noyau antérieur de la
couche
. optique (Na), qu'un dédoublement de slralum sona
rne (N.e) et interne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na) de la
couche
optique, nous trouvons, d'avant en arrière : le n
e médian de Luys (Nm) ou noyau médian du thalamus. Les noyaux de la
couche
optique reposent sur la région sous-optique. Cell
u corps de COUPES MACROSCOPIQUES DU, CERVEAU. 40o Luys (CL) et la
couche
optique (Th) au niveau de son noyau externe (Ne).
un espace compris entre la circonvolution de l'hippocampe (H) et la
couche
optique (Th), limité en haut par le trigone (Tg
ectionné au niveau de sa tète; on le voit s'effiler au-dessus de la
couche
optique (Th) pour former la queue du noyau caudé,
ouche optique (Th) pour former la queue du noyau caudé, séparée de la
couche
optique par le sillon opta-strié (si). Au-desso
la série des coupes horizontales) appar- tiennent au système de la
couche
optique; elles sont ici sectionnées très obli-
ment les rapports qu'affectent les noyaux opto-striés entre eux. La
couche
optique (Th) est située- en arrière du corps st
), facile il reconnaitre grâce à la présence des fibres radiées. La
couche
optique repose sur le pied du pédoncule (P) don
anneau presque complet, que le manteau cérébral décrit autour de la
couche
optique (Th) et du pédoncule cérébral. Cet anne
'hippocampe (H) d'une part, le pied du pédoncule cérébral (P) et la
couche
optique (Th) d'autre part. Sur la coupe n° 17 (
stance blanche. - Le ventricule latéral est recouvert par une mince
couche
de substance grise, la substance grise, sous-épcn
le j(I/'ccpsmajOl'(Fm); en avant et en dehors il est limité par une
couche
foncée, qui suit la courbe du corps calleux et qu
aversent pour la plupart. La queue du noyau caudé est séparée de la
couche
optique (Th) par une laine de fibres claires, qui
système lhalamique dont elles forment le pédoncule moyen (PThm). La
couche
optique (Th) est en outre par une couche de fib
pédoncule moyen (PThm). La couche optique (Th) est en outre par une
couche
de fibres blanches, la zone réticulée ou grillagé
pvs, sillon pre-rotan- dique supérieur. PThm, pédoncule moyen de la
couche
optique.Pi<<, pulvinar. w/, pli rétro-lin
ur du trigone. TgYI, trigone du ventricule latéral. Th, thala- mus (
couche
optique). U, circonvolution du crochet. Voc, corn
laires, qui livrent pas- sage aux artères lel1liculo-sll'iées. La
couche
optique est réduite au pulvinar (Pul). La bandele
a calotte du pédoncule* La seconde série de fibres appartient il la
couche
optique et constitue le pédoncule antérieur de
ient il la couche optique et constitue le pédoncule antérieur de la
couche
optique qui aborde le thalamus au niveau du genou
isée en deux lames, l'une inférieure, l'autre supé- rieure, par une
couche
festonnée de substance blanche, connue sous le no
ojet- tion. Cette zone claire est limitée en dehors par une seconde
couche
concentrique- qui appartient au centre ovale (C
s qui doublent la corne occipitale, à savoir : le tapetum (Tap), la
couche
des radiations thalamiques de Gratiolet (RTh) e
ion temporale et du lobule fusiforme. Tap, tapetum. - Th, thalamus (
couche
optique). Tgp, pilier postérieur du trigone. - Tg
du trigone. - TgVl, tri- gone du ventricule latéral. Th, thalamus (
couche
optique). v, orifices vasculaires. Voc, corne o
cérébrale de Bichat et toute la sur- face extra-ventriculaire de la
couche
optique. Écorce. L'écorce ne se distingue que p
Quant à la corne occipitale (Voc), elle est limitée en haut par la
couche
épaisse des fibres calleuses (Cc) doublées de l
haut par la couche épaisse des fibres calleuses (Cc) doublées de la
couche
des radiations thalamiques (RTh). Au niveau du fo
de la paroi inférieure de la corne occipitale, on retrouve ces deux
couches
superposées, auxquelles s'est ajoutée une trois
es deux couches superposées, auxquelles s'est ajoutée une troisième
couche
, constituée par le faisceau lonrli- tudinal inf
très distinctes au niveau du fond de la corne occipitale, ces trois
couches
se réduisent au niveau de la paroi infé- rieure
, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Th,
couche
optique (thalamus). - t'l, partie verti- cale d
e carrefour ventriculaire (NC'), on trouve le dernier vestige de la
couche
optique (Th) et le segment, rétro- lenticulaire
couronne rayonnante (pCR). La couronne rayonnante ne forme plus une
couche
aussi régu- lière que sur les coupes précédente
longueur, il est en- touré en arrière par le corps calleux (Ce), la
couche
des radiations thalamiques FiG. 275. - Coupe sa
n bas, et qui entoure Y avant-mur lorsque le putamen a disparu. Cette
couche
blanche appartient il la capsule externe (Ce),
es, de telle sorte qu'elle se présente toujours sous l'aspect d'une
couche
blanche mal délimitée (Voy. pour son étude les
substance grise sous-épendymaire (SgVsph) et entourée par les trois
couches
de cette région, à savoir : immédiatement en de
a capsule interne. Elles sont destinées à montrer les relations des
couches
sagittales du lobe occipilo-temporal, avec les ca
ne rayonnante et du segment antérieur de la capsule interne dans la
couche
optique. La coupe D est intéressante au point d
re de la substance grise s01ls-épendymail'e (Sge) et se réunir à la
couche
de libres sectionnées perpendiculairement à leur
culairement à leur axe, qui limite cette substance en dehors. Cette
couche
appartient encore au système cal- leux et répon
ceau est toujours séparé du fond du sillon olfactif (1'4) par trois
couches
de fibres qui sont, en allant de l'écorce aux fib
ibres qui sont, en allant de l'écorce aux fibres calleuses : 1° une
couche
de fibres claires qui doublent le fond du sillon,
représentent les fibres d'association propres de la région; 2° une
couche
de fibres plus foncées qui appartiennent la la
es qui appartiennent la la couronne rayonnante (CIl), enfin, 3° une
couche
de fibres claires qui font partie du même systè
s. Les fibres de la couronne rayonnante (CR) entourent en dehors la
couche
des fibres calleuses; ce sont pour la plupart d
'irradient dans la première circonvolution frontale (FjinfF,]), cette
couche
est au contraire très nettement délimitée en ba
du gyrus reclus (oFl). La direction des fibres qui composent cette
couche
n'est pas partout la même. Nous venons de voir
les s'entre-croisent avec les fibres d'association courtes et avec la
couche
des fibres d'association externe de Meynert (Va
fibres. Venues de la substance blanche, elles s'épanouissent dans la
couche
profonde de l'écorce cérébrale, et s'entre-croi
supérieur, et entoure la paroi externe de la. corne frontale d'une
couche
de fibres continues. Mais tandis que le faisceau
érieur et que le genou sont formés de fibres presque parallèles, la
couche
de fibres calleuses qui entoure la paroi externe
res sectionnées perpendiculairement à leur axe et disposées en deux
couches
, une couche interne claire et une couche extern
es perpendiculairement à leur axe et disposées en deux couches, une
couche
interne claire et une couche externe beaucoup p
ur axe et disposées en deux couches, une couche interne claire et une
couche
externe beaucoup plus foncée et groupée en gros
che externe beaucoup plus foncée et groupée en gros fascicules. Ces
couches
se dédoublent au niveau de la partie supéro-ext
ues-unes d'entre elles dans cette circonvolution. En dehors de la
couche
des fibres de la couronne rayonnante, on trouve l
dans le système des fibres calleuses, après avoir traversé les deux
couches
de la couronne rayonnante, soit dans la couronne
cidum. Ces fibres se portent en dehors, se confondent avec la mince
couche
de fibres tangentielles qui tapissent le collicul
putamen (NL : 1) repose sur la capsule externe (Ce) et sur la mince
couche
de fibres propres qui doublent le seuil de l'in
les fibres radiées sont clairsemées et les fibres tangentielles des
couches
profondes de l'écorce prédominent . En dedans
séparé du putamen (NL.,) par la capsule externe (Ce), formée d'une
couche
assez épaisse de libres sectionnées parallèlement
rieur de la capsule interne et s'épuisent pour la plu- part dans la
couche
optique, la région sous-optÙ/1/1 ? (corps de LI/Y
du noyau lenticulaire (NL3, Nul=, NL,) l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th), l'anse du noyau len- ticulaire (A
erforé antérieur, se trouve la section du pédoncule inférieur de la
couche
optique (PiTh), formé de fibres parallèles qui se
culaire. Suivi sur des coupes sériées, le pédoncule inférieur de la
couche
optique se porte en dedans, au-dessous de l'ext
ique se porte en dedans, au-dessous de l'extrémité antérieure de la
couche
optique qu'il borde au niveau de sa face intern
t très réduite, elle recouvre en effet l'extrémité antérieure de la
couche
optique, repré- sentée seulement ici par le stm
ies : la partie interne et supérieure forme le stmtllm zonale de la
couche
optique (strz); la partie moyenne forme un fais
du II 'if JOlie (Tga) et qui constitue le pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh). Le faisceau 1,x;[I'I'I/(', ondu
nduleux, beaucoup moins volumineux que le pédoncule antérieur de la
couche
optique, est englobé dans le bord supérieur du se
.grise SI1tls ? pendYlllllire, la corne sphénoïdale est entourée des
couches
sagittales du lobe temporo-occipilal, constitué
sagittales du lobe temporo-occipilal, constituées en dedans par la
couche
de fibres peu colorées liai' l'léuuatoyline des
. tec, Uenia tecta. Tga, pilier antérieur du trigone. Th, thalamus (
couche
optique;. U, circonvolution du cruche). VI, ven
EUX. et du faisceau uncinalus (Fu) par le pédoncule inférieur de la
couche
optique (PiTh), dont les fibres peuvent être su
térieure du pied du pédoncule cérébral (P), la partie moyenne de la
couche
optique (Th) et intéresse la partie anté- rieur
ne masse unique limi- tée en avant par le pédoncule inférieur de la
couche
optique (voy. coupe n° V, fig. 283) et en arriè
t, la queue du noyau caudé (NC') est séparée du putamen (NLa) par une
couche
de fibres sectionnées parallèlement, fibres qui
poral. Sur celle coupe les radiations thalamiques (RTh) forment une
couche
mal dé- limitée, située le long de la paroi ext
est séparée par les rares fibres du tapetum (Tap). En dehors, cette
couche
est limitée par un faisceau de fibres foncées, di
dent le corps de Luys (CL). L'intérêt de cette coupe réside dans la
couche
optique, la région sous-optique et le segment p
n sous-optique et le segment postérieur de la capsule interne. La
couche
optique (Th) représente sur cette coupe un noyau
r Yépendymé ventriculaire et correspond au noyau externe (Ne) de la
couche
optique. Une couche épaisse de fibres qui cons-
laire et correspond au noyau externe (Ne) de la couche optique. Une
couche
épaisse de fibres qui cons- tituent le stratum
me lenlicztlo-caztdé. La partie interne de la face supérieure de la
couche
optique, comprise entre le sillon choroïdien et l
thalami, appar- tient il la surface e,L'ii'OE-ventl'iculail'e de la
couche
optique; elle correspond au noyau, antérieur du
mpris dans un dédoublement du stratum zonale. La face interne de la
couche
optique répond à son noyau interne (Ni) et limi
n trouve une mince lame de substance grise, la zone réticulée de la
couche
optique ou zone grillagée d'Arnold ('l,r), riche
s angles plus ou moins obliques. Elle est limitée en dedans par une
couche
de fibres fines, il direction verticale, la lame
terne du thalamus (Lme), qui la sépare du noyau externe. (Ne) de la
couche
optique. La face inférieure de la couche, optiq
noyau externe. (Ne) de la couche optique. La face inférieure de la
couche
, optique est mal délimitée et repose sur la régio
ette coupe par le champ de Forci (F) et le corps de Luys (CL). La
couche
optique est formée de trois noyaux, présentant un
antéro-postérieure. Ce sont les fibres du pédoncule antérieur de la
couche
optique qui, abordant la couche optique a son ext
fibres du pédoncule antérieur de la couche optique qui, abordant la
couche
optique a son extrémité antérieure, s'irradient
coloré, qui longe d'avant en arrière le bord corres- pondant de la
couche
optique ; c'est le (oenia thalami (tth) qui se re
imite entre la face interne et la surface exlra-venlriculaire de la
couche
optique. A la limite inférieure du noyau interne,
et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum tec, tæuia tecta. - Th,
couche
optique (thalamus). - Ilh, hcnia thalami. - U,
eau de Vicq d'Azyr (VA) qui relie le tubercule antérieur (Na) de la
couche
optique au tubercule mamillaire. Du champ de Fo
(Zr), soit le stratum zonale (strz), soit les fibres radiées de la
couche
optique. Les fibres du stratum zonale décrivent
s abordent des régions plus inférieures du noyau externe (Ne) de la
couche
optique. A côté de ces fibres qui constituent l
ous-thalamique de la capsule, où les dernières fibres radiées de la
couche
, optique affectent une direction paral- lèle au
le ventricule sphénoïdal (Vsph), entre la bandelette optique et la
couche
des fibres du tapetum (Tap). Le noyau lenticula
tro-lenticulaire de la capsule interne. Le noyau externe (Ne) de la
couche
optique (Th) est toujours caractéristique par l
ous sommes en effet ici assez éloignés du pédoncule antérieur de la
couche
optique. Le. [¡uuin thalami (tth) est très accu
les lames médullaires du thalamus, soit dans le noyau externe de la
couche
optique Ne). En dehors, le noyau rouge est ento
A la paroi externe de la corne sphénoïdale (Vsph), au-dessous de la
couche
du tapetum (Tap), on reconnaît la couche faible
e (Vsph), au-dessous de la couche du tapetum (Tap), on reconnaît la
couche
faiblement colorée des- radiations optiques de
aiblement colorée des- radiations optiques de Graliolel (RTh) et la
couche
de fibres plus épaisses du faisceau lonuiludi1l1l
épaisses du faisceau lonuiludi1l1lIinfi'- rieur (Fli). De ces deux
couches
partent un certain nombre de fibres fortement c
es coupes I, II, III, IV, V. Elle intéresse la partie moyenne de la
couche
optique (Th), le noyau ronge (NR), et le pédonc
.· ? (Plch) du ventricule latéral, qui s'insèrent d'autre part sur la
couche
optique (Th)au voisinage du sillon choroïdien.
ule, ainsi que de l'étendue de la surface extra-venlriculaire de la
couche
optique, comprise entre le sillon choroïdien et l
dedans, l'abordent dans la région lhalamique. Les deux noyaux de la
couche
optique, le noyau externe (Ne) et le noyau in-
plus accusée. Au niveau de la surface 1',rtm-velltl'iculaÎl'e de la
couche
optique, on retrouve encore le noyau antérieur
(Na), compris dans un dédoublement du stratum zonale (strz)'. La
couche
optique (Th) repose sur la région sous-optique, e
diations de la calotte (HC), qui pénètrent en grande partie dans la
couche
optique dans un plan situé un peu en arrière de
u pied de la couronne rayonnante (pCR) qui se rendent, soit dans la
couche
optique (Th) dont elles for- ment les fibres ra
de la corne sphénoïdale, où elles se présentent sous la forme d'une
couche
de fibres forte- ment colorées, formée de fibre
n dedans du faisceau de 7'ürcl, : (FT) et qui se continuent avec la
couche
des radiations thalamiques (RTh) du lobe occipilo
e de la capsule interne et se rendent il la partie inférieure de la
couche
optique. Les fibres du faisceau de 7'M/'c/- (FT
ieures (FPoa). Dans la corne sphénoïdale on trouve, en dedans de la
couche
formée par les radiations thalamiques (RTh), un
iveau des parois inféro-externe de la corne sphénoïdale il existe une
couche
de libres foncées, nettement sectionnées en tra
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;¡,)l iriculaire par une mince
couche
de fibres peu colorées par l'hématoxyline et qui
ticulaire de la capsule interne (Cirl), la partie postérieure de la
couche
optique (Th), la coiii- missure postérieure (co
te (NC) et de la queue (NC) du noyau caudé, puis pénètrent dans la
couche
optique (Th) dont elles forment les fibres radi
llé exter»e (Cge), puis s'irradient dans la partie inférieure de la
couche
optique et dans le corps genouillé interne (Cgi
tain nombre de fibres qui se dirigent de dehors en dedans, du il la
couche
optique dans laquelle elles s'irradient pour form
C', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne de la
couche
optique. NU, troisième segment du noyau lenticu-
a lgl), I)ilier POSL('-i-iciir dit ti-igoiie. - 7'lui, tlitiliiiiiis (
couche
oliti(luie). - ventricule tecta. - l'gpt, pilie
ricule tecta. - l'gpt, pilier postérieur du triâonc. - T/a, thalamus (
couche
optique). VI, ventricule latéral. - Vsph, corne
rne (Cge) et la partie recourbée de la queue du noyau caudé (NC, La
couche
optique (Th), considérablement diminuée de volume
et s'entre- croisent avec les fibres du pédoncule postérieur de la
couche
, optique (PpTh). Toutes les fibres du corps gen
corps genouillé interne (Cgi), situé il la partie inférieure de la
couche
optique et qui envoie de nombreuses libres dans
itent nettement la substance grise de l'aqueduc et forment dans les
couches
plus inférieures de la région de la calotte la
ent dans les couches plus inférieures de la région de la calotte la
couche
blanche profonde du tubercule qiiudrijumeau antér
eau, forme la fasciola cinerea (Fc), puisse continue avec une mince
couche
grise qui tapisse la face inférieure du bourrelet
on trouve, au-dessous de la substance grise sous-ohendyzuaine; une
couche
de fibres sectionnées parallèlement à leur axe,
érieur, on trouve, le long de toute la hauteur de ce carrefour, une
couche
de fines fibres peu colorées par l'hématoxyline
forme l'ergot de Morand. La corne occipitale est entourée par trois
couches
con- centriques de fibres; ces couches, très ép
itale est entourée par trois couches con- centriques de fibres; ces
couches
, très épaisses au niveau de la paroi externe et
épendyme et de la subs- tance grise sous-épendymaire, on trouve la
couche
des fibres du tapetum (Tap) incisure. Sage, sub
Le tapetum et le forceps major entourent la corne occipitale d'une
couche
continue, très analogue à celle que forment autou
et du faisceau oceipito ? f1'ontal (Voy. fig. 279 et 280). De cette
couche
se détachent des fibres qui traversent les deux c
280). De cette couche se détachent des fibres qui traversent les deux
couches
sagittales de la corne occipitale, pour se rend
le latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5; ! 9 Autour de la
couche
du tapetum se trouve une couche de fibres pâles,
UES DU CERVEAU. 5; ! 9 Autour de la couche du tapetum se trouve une
couche
de fibres pâles, très fines, quiappartiennentau
eau de la paroi externe et inférieure de la corne ocicpitule, cette
couche
est très mince au niveau du fond des scissures
s scissures pariéto-occipitale (po) et calcarine (K). Tandis que la
couche
du tapetum est formée de fibres il direction vert
ment rétro-lenticulaire de la capsule interne et se rendent dans la
couche
optique (pulvinar) et dans le corps genouillé e
lles forment la couronne rayonnante. En dehors des radiations de la
couche
optique (RTh), se trouve une couche de libres é
En dehors des radiations de la couche optique (RTh), se trouve une
couche
de libres épaisses, fortement colorées par l'hé
de libres épaisses, fortement colorées par l'hématoxyline, c'est la
couche
des fibres longues d'association ou du faisceau
n ou du faisceau longitudinal inférieur (Fli). De même que les deux
couches
précédentes, cette couche entoure d'un anneau com
al inférieur (Fli). De même que les deux couches précédentes, cette
couche
entoure d'un anneau complet la corne occipitale
niveau de la partie inférieure et de l'angle inféro-externe, celte
couche
se réduit au niveau de la partie supérieure et in
le, la largeur de deux ou trois fascicules de fibres. Comme pour la
couche
des radiations thalamiques (RTh), il s'agit ici e
la zone visuelle au centre auditif des mots. En dehors de ces trois
couches
de fibres qui constituent les couches s'agit- t
mots. En dehors de ces trois couches de fibres qui constituent les
couches
s'agit- tales du lobe occipital, on trouve les
uoique la scissure calcarine (K) ne soit revêtue que d'une très mince
couche
de libres blanches, cette couche de fibres en U
soit revêtue que d'une très mince couche de libres blanches, cette
couche
de fibres en U existe cependant à ce niveau, où
scissure calcarine jusqu'au 'ventricule occipital, on compte quatre
couches
de fibres : 1° le stratum calcarinum; 2° le faisc
tum calcarinum; 2° le faisceau longitudinal inférieur ; 3° la mince
couche
des radiations thalamiques, et 4.° les fibres d
i encore une forme triangulaire et se trouve entourée par ses trois
couches
concentriques. Le forceps major a disparu. Les
res du tapetum (Tap) sont très réduites, mais forment néanmoins une
couche
complète autour du ventricule. Comme sur la coupe
ectionnées parallèlement ou obliquement à leur axe. En dehors de la
couche
du tapetum (Tap), se trouve la couche des radia
t à leur axe. En dehors de la couche du tapetum (Tap), se trouve la
couche
des radiations thalamiques ([luth) , plus épaisse
la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc) d'une très épaisse
couche
de libres, forte- menl colorées et nettement dé
, forte- menl colorées et nettement délimitées. Au-dessous de cette
couche
, on trouve un court faisceau d'association de l
les coupes passant en arrière de la corne occipitale (Voc), les trois
couches
de fibres disparaissent graduellement. Ce sont
nt. Ce sont d'abord les fibres du tapetum (Tap), qui ne forment une
couche
distincte qu'au voisinage immédiat de la corne,
e et postérieure de la corne d'Ammon (CA), le tiers supérieur de la
couche
optique (Th), le putamen (NL3) et le segment ex
bus pallidus (NL2).. Cette coupe est surtout destinée à l'étude des
couches
sagittales du lobe occipital. Sur la face int
xlerne de lzcillarzier, qui établit une limite très nette entre les
couches
profondes de l'écorce riches en fibres radiées,
les couches profondes de l'écorce riches en fibres radiées, et les
couches
superficielles qui en sont dépourvues et qui prés
ance blan- che du lobe lemporo-oecipilal ne présente, en dehors des
couches
sagittales, aucun faisceau nettement distinct.
onvolution limbique (L,) au voi- sinage du tænia tecta (tec). Les
couches
sagittales du lobe occipital se voient sur celle
isseur même du cunéus. Très nettes le long de la paroi externe, ces
couches
se réduisent sur la paroi interne au niveau de
e, grâce à la coloration spéciale et à la direction des fibres. Ces
couches
sagittales sont séparées de l'écorce de la sCzS
les sont séparées de l'écorce de la sCzSsU7'e calcarine (K) par une
couche
relativement épaisse de libres propres, le stra
e coupe horizontale sous l'aspect d'un fin pointillé de libres. Les
couches
sagittales du lobe temporo-occipital comprennen
l'ergot de on trouve en dehors du stratum calcarinum (fk) une mince
couche
de libres à direc- tion horizontale, fortement
r, on trouve le long de la paroi externe de la corne occipitale une
couche
caracté- risée par la finesse et la faible colo
ur. Au niveau de la pointe occipitale (0,) on les voit traverser la
couche
des fibres du faisceau longitudinal inférieur (Fl
(NL ? I il la queue du noyau caudé (NC'), puis s'irradient dans la
couche
optique (Th) dont elles concou- rent à former l
e (Th) dont elles concou- rent à former les fibres radiées. Cette
couche
des radiations représente le système de projectio
réfléchit, au niveau de l'ergot de Morand et le tapisse d'une mince
couche
de fibres peu colorées, comprise entre le faiscea
rées, comprise entre le faisceau longitudinal inférieur et la mince
couche
des fibres calleuses. Les radiations thalamique
reux faisceaux ondulés et fortement colorés qui s'irradient dans la
couche
optique. L'origine de ces faisceaux n'est pas élu
des fibres de projection /r'II1POI'O- //itM/«e ? qui traversent les
couches
sagittales avant d'aborder le segment rétro- le
'aborder le segment rétro- lenticulaire de la capsule interne et la
couche
optique ? Appartiennent-ils, comme l'admettent
ngitudinal inférieur dont quel- ques fibres s'irradieraient dans la
couche
optique ? L'étude systématique de dégé- néresce
onro. n : jo, sillon marginal postérieur. -.Va, noyau antérieur de la
couche
optique.. - NC, noyau caudé. - v'C', queue du n
noyau caudé. - v'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la
couche
optique. - 1 NL3, deuxième et troisième segment
sec, sinus du corps calleux. Sexv, surface cxtra-veniriculaire de la
couche
optique. - Sge, substance grise sous-épendymair
ier antérieur du trigone.- Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th,
couche
optique (thalamus). tlh, tænia thalami. - V, ruba
Au niveau de la paroi interne du carrefour ventriculaire, la mince
couche
des fibres de projection (fp) est recouverte pa
e couche des fibres de projection (fp) est recouverte par une mince
couche
de fibres calleuses (Fc) qui se continue manife
u corps du trigone, située entre la corne d' si m11 ! on (CA) et la
couche
optique (Th). La fimbria donne insertion aux plex
oe, corne occipitale du ventricule latéral. - W, zone de Wernicke. ;,
couche
superficielle du tubercule quadrijumeau antérie
rcule quadrijumeau antérieur, allant au corps genouillé externe. - ;,
couche
moyenne allant au ruban de Reil. 3, couche prof
genouillé externe. - ;, couche moyenne allant au ruban de Reil. 3,
couche
profonde appartenant au système de la commissure
de projection et les fibres commissurales , non encore disposées en
couches
constituées. . Le carrefour ventriculaire (Voc)
ubiculum. Au- tour du carrefour ventriculaire on retrouve les trois
couches
de fibres de la ligure précédente, mais beaucou
subiculum,. où elles sont sectionnées parallèlement il leur axe. La
couche
des radiations thalamiques (rait) est facile il r
loppées. La substance blanche de cette circonvolution présente deux
couches
assez nettement différenciées. La couche foncée
convolution présente deux couches assez nettement différenciées. La
couche
foncée appartient au cingulum et semble se cont
dehors avec le système du faisceau longitudinal inférieur (Fli); la
couche
des fibre» claires* entoure le diverticule du sub
gments du noyau lenticulaire (NL3' NL2), et la partie moyenne de la
couche
optique (Th). Cette coupe est destinée à montre
ourent -Il former, puis s'irradient dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th). Ces fibres de la couronne rayonna
Ce mode de pénétration des fibres dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique explique pourquoi, sur les coupes verli
sillon sus-orhitaire. - T,, première circonvolution temporale. Th,
couche
optique. - Tga, pilier antérieur du trigone. tt
its dans cette courbe de la couronne rayonnante (CR), on trouve une
couche
de fibres claires, puis un faisceau à direction s
e l'espace perforé antérieur (Epa). On voit très nettement la mince
couche
de fibres tangentielles qui tapissent le gyrus
Entre le putamen (NL3) et la corne sphénoïdale, on trouve : 1° une
couche
épaisse de fibres enchevêtrées (Cirl), qui appa
temporale (Tj) et qui appartiennent au tapetum (Tap). En dehors des
couches
Fic. -n8. - Coupe horizontale microscopique F,
est doublée du côté du ventricule par l'alvéus (Alv) formé de deux
couches
de fibres : l'une épaisse, fortement colorée co
issent considérablement au niveau du subiculum, où elles forment la
couche
réticulée d'Arnold (Lms). Arrivée au niveau du fo
u fond du sillon de l'hippo- campe (h), elles se dédoublent en deux
couches
, la lamina involuta de la corne ,l'c11nllwn et
la corne ,l'c11nllwn et le stratum lacunosmn (Sll). Cette dernière
couche
est particulièrement riche en fibres fortement
e est particulièrement riche en fibres fortement colorées. Ces deux
couches
de fibres tangentielles appar- tiennent à la co
rées. Ces deux couches de fibres tangentielles appar- tiennent à la
couche
moléculaire de la corne d'Ammon (CAi et suivent t
sociation courtes; elles doublent le fond de tous les sillons d'une
couche
de fibres parallèles, d'autant plus régu- lière
frontale (Fa) et pariétale ascendantes (Pa). A la face interne, la
couche
des courtes fibres d'association qui double les f
s la première circonvolution limbique (L,) et en dehors d'une mince
couche
de fibres propres à cette circonvolution, un vo
COPIQUES DU CERVEAU. 379 est toujours séparé de l'écorce, par une
couche
plus ou moins mince de fibres d'association cou
s du pied de la couronne rayonnante, au delà elles se perdent dans la
couche
des fibres d'associafion..A la partie moyenne d
,znaire (Sge) n'est intéressée qu'à sa partie moyenne. La troisième
couche
de fibres différenciées sur cette coupe est formé
lum et le pied de la cort- ronne rayonnante, se trouve la troisième
couche
ou couche moyenne, constituée par les radiation
pied de la cort- ronne rayonnante, se trouve la troisième couche ou
couche
moyenne, constituée par les radiations du corps
(Ll). Le long du sinus du corps calleux (sec), on trouve une mince
couche
de fibres sectionnées parallèlement et qui appart
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le tænia tecta (tec) est doublé par une
couche
de fibres parallèles, il direction antéro-posté
tricule latéral (VI), et il est recouvert à ce niveau par une mince
couche
épendymaire. Il est constitué, en grande partie,
3, fig. 302) sectionne parallèlement à leur longueur les fibres des
couches
super- ficielles et perpendiculairement à leur
s super- ficielles et perpendiculairement à leur axe les fibres des
couches
profondes du corps calleux. La section de ces f
ouble les angles latéraux du ventricule et qui recouvre d'une mince
couche
le noyau caudé. La face interne du noyau caudé
Ce), par le ventricule latéral (VI) et l'extrémité supérieure de la
couche
optique (Th.) L'écorce est représentée -IL la
emière circonvolution limbique (L,) et le l[('nia tecta (tec). La
couche
de fibres non différenciées qui forme le centre o
bres de projection , qui appartiennent déjà, dans celte région, aux
couches
sagittales du lobe occipito-pariélal. Sur celle
ral (VI), la tète et la queue du noyau caudé sont recouvertes par une
couche
de substance grise sous-I}¡iend ! Jlnail'e (Sge
-I}¡iend ! Jlnail'e (Sge), particulièrement épaisse en avant. Celte
couche
s'eflile en dedans pour tapisser toute la face ve
ule interne. Entre la tête et la queue du noyau caudé, on trouve la
couche
optique (Th) dont les dimensions sont encore ré
dont les dimensions sont encore réduites; elle est recouverte par une
couche
dé fibres enchevêtrées, à direction onduleuse,
dedans, soit d'avant en arrière et constitue le stratum zonale de la
couche
optique (ThLa couche optique est limitée en deh
n arrière et constitue le stratum zonale de la couche optique (ThLa
couche
optique est limitée en dehors par des îlots de
s des autres par de gros fascicules de fibres qui pénètrent dans la
couche
optique (Th), où ils forment soit le stratum zona
férieures, on les voit s'irradier dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th) (fig. 30.1 il 308). A coté de ces
ulée (Zr), sous forme de gros fascicules qui pénètrent tous dans la
couche
optique (Th) ; ces fibres appartiennent à la cour
ptique (Th) ; ces fibres appartiennent à la couronne rayonnante de la
couche
optique. On y trouve, en outre, des fibres pâle
versale, passant par la lame cornée (le). Au sur et à mesure que la
couche
optique (Th) grossit et que le noyau lenticulai
ue, ainsi qu'on le verra sur les coupes suivantes. En arrière de la
couche
optique (Th), au niveau de la queue du noyau caud
ie supérieure du noyau lenticulaire (NL3), le noyau antérieur de la
couche
optique (Na), le corps du trigone (Tg), le septum
et t,enia semi- circularis. - Lma, lame médullaire antérieure de la
couche
optique. Line, lame médullaire externe de la co
ntérieure de la couche optique. Line, lame médullaire externe de la
couche
optique. - mp, sillon marginal postérieur. - ms,
us supra-nmrginalis). - Tch, toile choroïdienne. - Tg, trigone. - Th,
couche
optique (thalamus).W, ventricule latéral. - ven
) et la face ventriculaire du corps calleux sont recouverts par une
couche
de substance grise sous-épendymaire (Sge), qui do
passage il la toile choroidienne (Tch) (Voy. fig. 21 ? et 286). La
couche
optique (Th) a augmenté de volume : la coupe inté
j en arrière il s'effile et atteint l'extré- mité postérieure de la
couche
optique. Il est limité en dedans par une couche
ité postérieure de la couche optique. Il est limité en dedans par une
couche
de fibres qui forment le stratum zonale (strz),
res qui forment le stratum zonale (strz), en dehors par une seconde
couche
de fibres il direction oblique et antéro-postérie
econde couche de fibres il direction oblique et antéro-postérieure,
couche
que nous désignons sous le nom de lame médullai
aré de la zone réticulée (Zr) qui constitue la limite externe de la
couche
optique, par la lame médullaire externe du thalam
sule interne (Cia) et s'irradient dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique, dont elles forment les fibres radiées.
isceau occipito-li'lil11al (OF). En arrière, elle est séparée de la
couche
optique par la lame cornée (lc), qui renferme u
onnées une seconde fois, au niveau de l'extrémité postérieure de la
couche
optique, immédiatement en avant de la queue du
obliquement. La plupart pénètrent dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th), quelques-unes appartiennent aux f
de fibres horizontales, qui pénètrent dans la partie moyenne de la
couche
optique (Th), et d'autres fibres, horizontales
de la figure 299. Cette coupe passe par la partie postérieure de la
couche
optique (Th), intéresse le noyau caudé (NC) et
e (T,), on trouve quelques particularités intéressantes à noter. La
couche
superficielle est claire et ne reçoit que de ra
rares fibres à myéline, colorées par la méthode de Weigert. Dans la
couche
profonde, on observe, surtout au niveau de la p
antérieure (la), un très bel épanouissement de fibres radiaires. La
couche
de fibres qui double les circonvolutions de l'ins
, de même que les fibres en U abon- dent au fond des sillons. Cette
couche
de fibres est limitée en dedans par la substanc
de l'insula. Il s'effile en avant et en arrière et se perd dans la
couche
des fibres qui doublent le fond du sillon margina
des deux circonvolutions antérieures de l'insula (la). Il sépare la
couche
des fibres propres de l'insula des fibres de la
s la substance grise de l'avant-mur (AM), pour se confondre avec la
couche
des fibres propres de l'insula. La capsule extern
et taenia semi-circularis. - Lma, lame médullaire antérieure de la
couche
optique. Lme, lame médullaire externe de la couch
antérieure de la couche optique. Lme, lame médullaire externe de la
couche
optique. mp, sillon marginal postérieur. Na, no
ième segment du noyau lenticulaire. PaTh, pédoncule antérieur de la
couche
optique. pCR, pied de la couronne rayonnante. P
nnante. Plch, plexus choroïdes. -l'pTla, pédoncule postérieur do la
couche
optique. RTh, radiations optiques de Gratiolet. -
sillon temporal. Tg V, carrefour ventriculaire. Tg, trigone. - Th,
couche
optique. VC) ? veine du corps strié. - Zr, zone
de fibres à direc- tion horizontale, étendus du putamen (NL) il la
couche
optique (Th). Ces fibres sont surtout nombreuse
t qui pénètrent pour la plupart dans l'extrél mité antérieure de la
couche
optique (Th, et les fibres du segment postérieur
tes la paroi externe du carrefour ventriculaire (TgV), formant deux
couches
encore mal déli- mitées sur cette coupe, et qui
ndront extrêmement nettes sur les coupes plus inférieures. Ces deux
couches
sont formées par le faisceau, longitudinal iujh
ostérieures (RTh) et qui n'apparaît nettement distinct que dans ses
couches
les plus externes. Les fibres les plus internes
Th) contournent la queue du noyau caudé (NC'), et pénètrent dans la
couche
optique (Th), dont elles forment les fibres rad
Cette coupe intéresse les noyaux externe (Ne) et antérieur (Na) de la
couche
optique (Th). Cette dernière est limitée en deh
(Zr), morcelée par un grand nombre de fibres qui pénètrent dans la
couche
optique, au niveau de ses extrémités antérieure e
aisceaux de fibres, non seulement horizontales et pénétrant dans la
couche
optique, mais de faisceaux il direction verticale
t aucune fibre radiai re ne paraît pénétrer dans cette région de la
couche
optique. Il serait cependant inexact de dire, q
comme au niveau des extrémités antérieures et posté- rieures de la
couche
optique. En avant, la lame médullaire n,.xUnrue
édullaire n,.xUnrue(Lme)se prolonge sur la face ventriculaire de la
couche
optique et concourt à former le slratum zonale (s
ince lame de libres blanches, qui recouvre la face supérieure de la
couche
optique, et qui contribue à lui donner à l'état f
alum zonale (strz) un petit noyau arrondi, le noyau antérieur de la
couche
optique (Na). Ce noyau qui fait saillie sur le
ionnés per- pendiculairement ; il forme la plus grande partie de la
couche
optique et reçoit, en avant et en arrière, les
adiaires des pédoncules antérieur (PaTh) et postérieur (PpTh) de la
couche
optique. Dans le sillon opto-strié (si), qui sé
de la couche optique. Dans le sillon opto-strié (si), qui sépare la
couche
optique de la tête (NC) et de la queue (NC) du
strié et s'arrête en avant au niveau du stratum zonale (strz) de la
couche
optique. Dans le carrefour vent riculaire (TgV),
la lame cornée (le), puis se réfléchit sur le stratum zonale de la
couche
optique, pour donner insertion aux plexus choroïd
egments du noyau len- ticulaire (NL2, NL), le noyau antérieur de la
couche
optique (Na) et le pé- doncule antérieur de la
t à leur axe, et pénètrent toutes dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th); elles en forment le pédoncule antér
externe, puis divergent et embrassent le noyau antérieur (Na) de la
couche
optique; les plus internes se confondent avec l
avant du genou est formée de libres horizontales et appartient a la
couche
optique; toute la partie (Cip) étendue du genou
u genou au segment rétro-lenticulaire de la capsule appartient à la
couche
optique, à la région sous-optique et au pied du
ulaire (Cirl) appartient de nouveau et presque exclusi- vement à la
couche
optique. Le segment postérieur de la capsule (C
s s'étendent du deuxième segment du noyau len- ticulaire (NL,) à la
couche
optique (Th); peu nombreuses dans le tiers antéri
rne du noyau lenticulaire (mi). Ces fibres se dirigent toutes vers la
couche
optique (Th), elles traversent la zone réticulé
, sillon marginal postérieur de l'insula. Na, noyau antérieur de la
couche
optique. JVC, tête du noyau caudé. NC', queue d
du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe de la
couche
optique. Ni, noyau interne de la couche optique
dé. Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la
couche
optique. Aïs, deuxième segment du noyau lenticula
sième segment du noyau lenticulaire (putamen). Nm, noyau médian de la
couche
optique (centre médian de Luys). PaTh, pédoncul
he optique (centre médian de Luys). PaTh, pédoncule antérieur de la
couche
optique. pCR, pied de la couronne rayonnante. P
si. sillon opto-strié. SI, septum lucidum. strz, stratum zonale. Th,
couche
optique. ï't, première circonvolution temporale
a lame cornée (le), puis pénètrent dans la partie postérieure de la
couche
optique, dans toute la région qui appartient au
ticulaire de la capsule (Cirl). Cette paroi est constituée par quatre
couches
de fibres qui sont de dedans en dehors : les fi
coupe comme sur toutes celles qui vont suivre, sous la forme d'une
couche
étroite, limitée en avant par la queue du noyau
forme de gros fascicules, et pénètrent dans le pulvinar (Pul) de la
couche
optique dont elles constituent les fibres radiair
tra- versé la zone réticulée (Zr), elles s'entre-croisent avec une
couche
épaisse de libres il direction verticale, et fo
la lame médullaire externe (Lme) des régions post(ro-externes de la
couche
optique, en bas il s'élargit, s'épaissit consid
tions posté- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5fl9 rieures de la
couche
optique (RTh) et dans la région sous-thallimique
ations thala- ? niques (RTh); elles constituent avec ces dernières la
couche
sagittale du lobe oecipito-tempoml (voy. fig. 2
ns plus ou moins rapprochées. Sur cette coupe n° 7 (fig. 306), la
couche
optique (Th) a considérablement augmenté de vol
ratum zonale (strz) qui recouvre sa face libre ne lui forme pas une
couche
continue, et les libres qui le constituent n'appa
ul et même système; le slratum zonale de la face postérieure de la,
couche
optique est formé, comme sur la coupe précédente
eures (RTh); les fibres qui recouvrent l'extrémité antérieure de la
couche
optique constituent un faisceau volumineux, épa
(frein ou pédoncule antérieur de la glande pinéale). En dehors, la
couche
optique est limitée par la zone réticulée (Zr) qu
a forme d'un pointillé ; au niveau de l'extrémité postérieure de la
couche
optique, c'est-il-dire au niveau de la zone de
t le noyau externe du thalamus (Ne). Le pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh), qui entre dans la constitu- tio
es radiaires de l'extrémité antérieure du thalamus, pénètre dans la
couche
optique sous forme d'un pinceau, dont les fibres
et est croisé parles fibres radiaires du pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh). Le noyau antérieur (Na), a cons
çoit cependant quelques fibres radiaires du pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh). En arrière, ce noyau se continu
difications principales portent sur le noyau lenticulaire et sur la
couche
optique. Le pulamen (NL.,) a peu changé comme for
ions optiques de Gratiolet. Sexv, surface extra-vontriculàire de la
couche
optique. si, sillon opto-strié. - strz, stratum-z
ur du trigone. Tgp(Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). Th,
couche
optique (thalamus). TItI, trou de Monro. tlh, tae
antérieur (Cia) s'irradient toutes dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th) dont elles constituent le pédoncul
e segment du noyau lenticulaire (N1) à l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th). Les fibres du genou s'infléchissent
échissent donc en avant, et s'accolent au pédoncule antérieur de la
couche
, optique ou seg- ment antérieur de la capsule i
ls (Alv) ou en d'autres termes, entre la queue du noyau caudé et la
couche
de substance blanche appar- tenant au pilier po
onde de la circonvolution de la corne d'Ammon (CA), et constitue la
couche
de substance blanche qui recouvre la face ventr
.e (Alv) et la corne d'Ammon (CA); sa paroi externe présente quatre
couches
très nettes de fibres qui sont de dedans en dehor
s fibres propres du fond du sillon parallèle (t,), formées dans les
couches
profondes par des fibres entre-croisées dans fous
ondes par des fibres entre-croisées dans fous les sens, et dans les
couches
superficielles par des fibres parallèles qui embr
brassent le fond du sillon. ' 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Couche
optique (Th). Le noyau antérieur de la couche opt
DES CENTRES NERVEUX. Couche optique (Th). Le noyau antérieur de la
couche
optique a disparu, et l'extrémité antérieure de
fibres radiaires, qui lui viennent du 1)(.,doîicule antérieur de la
couche
optique ou segment antérieur de la capsule, int
équent une forme sphérique. Il occupe les parties inférieures de la
couche
optique (Th) et se trouve situé immédiatement au-
de volume. 11 représente sur cette coupe à peu près le tiers de la
couche
optique, il est séparé du centre médian de Luys
ontre un petit ganglion surajouté, saillant à la face interne de la
couche
optique, le ganglion de l'lw/ilillllla (Gh). Ce
s intl'a et c.rtm- ventriculaire du thalamus. Toute la partie de la
couche
optique située en avant de ce ganglion fait par
(fig. 308), passe en effet par le trou de J/01/l'o. La partie de la
couche
optique située en arrière du ganglion de l'habé
ion de l'habénula appartient à la surface extra-ventriculaire de la
couche
optique, elle est recouverte par la toile choroïd
08 passant par la ligne 9 de la fig. 299). Cette coupe intéresse la
couche
optique à la limite de la région sous- thalamiq
psule (Ci[g]), et qui s'irradient dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th). Les fibres horizontales de la lame
globus pallidus (NL2, NI,, Le ganglion de l'habénula (Gh) divise la
couche
optique (Th) en deux par. lies inégales. La par
r. lies inégales. La partie antérieure est tapissée par une épaisse
couche
de sub- stance grise, la substance grise centra
lier antérieur du trigone. Tgp, pilier pos- térieur du trigone. Th,
couche
optique. V3, troisième ventricule. - VA, faisceau
; les fibres antérieures appartiennent au pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh). Les fibres postérieures séparent
n faisceau, qui apparaît ici pour la première fois, et qui relie la
couche
optique (Th) avec la région de la Cll- lotte. C
oit en avant quelques fibres radiaires du pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh); en arrière, il se confond avec
'Oflexe de Meynert (FM) (fasciculus retroflexus). La partie de la
couche
optique située en arrière An ganglion de l'habénu
noyau allongé, volumineux, curviligne, profondément enclavé dans la
couche
optique, et nettement séparé du pulvinar par le b
) par quelques rares fibres; il est limité en avant par une épaisse
couche
de fibres, dans laquelle s'irradie le bras du t
s du tubercule quadrijumeau antérieur (Br Qa), et en dehors par une
couche
beaucoup plus épaisse et qui appartient au champ
Sur cette coupe n" 9 (fig. 308) nous voyons donc apparaître dans la
couche
optique trois nouveaux systèmes de fibres à sav
du ruban de. lleil (rgRm), qui apparaît à la face inférieure de la
couche
optique, entre le corps genouillé interne (Cgi)
r des fibres sectionnées horizontalement, qui s'ir- radient dans la
couche
optique. A sa partie externe, il présente, au niv
l direction horizontale, reliant le globus pallidus (NL2,NL¡) il la
couche
optique. Notons cependant déjà ici une richesse
la continuation dans Vêlage inférieur du pédoncule, des fibres des
couches
sagittales du lobe occipital (radiations optiques
érieur de la cap- sule interne aborder l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th); sur les coupes suivantes, la couc
antérieure de la couche optique (Th); sur les coupes suivantes, la
couche
optique a disparu, et le segment antérieur de la
duit, au sur et à mesure que le corps genouillé externe grandit. La
couche
optique (Th) n'est représentée ici que par sa par
tie antérieure dans laquelle s'irradie le pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh). En ar- rière, elle est réduite
antéro-postérieur, est séparé en avant du pédoncule antérieur de la
couche
optique (Path) par le faisceau de Vicq d'Azyr (
rijumeau antérieur (Qa) a augmenté de volume ; il est recouvert d'une
couche
de substance grise superficielle; dans sa parti
es lames médullaires, lme', lmi'. PaTh, pédoncule anté- rieur de la
couche
optique. pCR, pied de la couronne rayonnante. PiT
CR, pied de la couronne rayonnante. PiTh. pédoncule inférieur de la
couche
optique. Plch, plexus choroïdes. Pul, pulvinar. Q
antérieure (coa) et qui appartiennent au pédoncule antérieur de la
couche
optique. Ce système de fibres qui sépare, fort
13) (fig. 311, 3)3), mais il a perdu alors toute connexion avec la
couche
optique, et les fibres qui le constituent ne dé
en haut et en arrière, et attei- gnent l'extrémité antérieure de la
couche
optique, au niveau de la région sous- thalamiqu
ar, pied de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule inférieur de la
couche
optique. - l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadri
ngueur, elle passe par la partie moyenne du corps de Luys (CL), les
couches
supérieures de la capsule du noyau rouge (RC) et
fascicules peu nombreux, appartenant au pédoncule anté- rieur de la
couche
optique (Cia), l'autre postérieure, comprise entr
(II), est situé ronne rayonnante. PiTIi. pédoncule inférieur de la
couche
optique. Qa, tubercule qua- drijumeau antérieur
ercule quadrijumeau antérieur (Qa) laisse déjà apercevoir ses trois
couches
caractéristiques, à savoir : la couche superficie
e déjà apercevoir ses trois couches caractéristiques, à savoir : la
couche
superficielle grise, qui donne nais- sance aux
stitution du bras du tubercule quadri-- jumeau antérieur (BrQa); la
couche
moyenne, formée de fines fibres fortement color
ment en bas et en dehors pour entrer dans le ruban de Reil (Rm). La
couche
profonde est formée de fibres parallèles qui se p
mmissure postérieure (cop) et formeront sur les coupes inférieures la
couche
blanche profonde du tubercule quadrijumeau anté
e de Gratiolet et en particulier au pédoncule infél'o-interne de la
couche
optique (PiTh). En avant, la tète -Au noyau caudé
t disparu, le prcocicr·,cn.gncenl (\L,) n'est représenté que par la
couche
de fibres qui double sa base, et qui forme l'an
ise sous un angle très aigu, avec le pédoncule inféro-inlerne de la
couche
optique (PiTh); antérieur. Rm, ruban de Reil mé
s laquelle se loge le corps de Lu ys (CL), nettement délimité par une
couche
de fibres il ses parties interne et externe. En
e splereoïdale (Vsph). Sa face venlriculaire est recouverte par une
couche
de fibres sectionnées transversalement il leur ax
. Ces fibres, qui appartien- nent au pédoncule inféro-interne de la
couche
optique (PiTh) proviennent du lobe temporal, et
t (Sti), en s'entre-croisant avec le pédoncule inféro-interne de la
couche
optique (Pith). Elles appartiennent aux couches
inféro-interne de la couche optique (Pith). Elles appartiennent aux
couches
superficielles de la substance perforée antérieur
La face ventriculaire de la corne d'Ammon (CA) est recouverte d'une
couche
de libres blanches, l'alvéus (Alv), qui provien
a corne sphénoïdale (Vsph). La paroi externe est tapissée par trois
couches
concentriques de libres, qui sont en allant de de
ement entrer dans la constitution du pédoncule inféro-interne de la
couche
optique (PiTh). Ces fibres des radiations optiq
du faisceau longitudinal inférieur entrent dans la constitution des
couches
inférieures de la capsule externe (Ce), traversen
ient. La circonvolution de l'hippocampe (H) est recouverte par une,
couche
plus ou moins épaisse de fibres blanches, la su
nce la circonvolution du crochet (U), dont elle est séparée par une
couche
de fibres très lâches, tout à fait comparable à c
unique plus avec le troisième ventricule (V3), il est entouré d'une
couche
épaisse de substance grise (SgAq). En un mot, s
de la même série. Il résulte de l'obliquité même de la coupe que la
couche
optique (Th) est moins étendue que sur les coup
ontale du ventricule latéral. Les noyaux in- terne et externe de la
couche
optique (Ni) (Ne) sont nettement différenciés; on
au externe (Ne) avec le pulvinar (Pul). Toute la partie externe de la
couche
optique (Th) est sillonnée par des fibres radia
s (\Ti). Celui-ci reçoit, en avant, Ie/)0)ic'M<c antérieur de la
couche
optique (PaTh), qui ne se différencie guère au ni
alami (tth), appartient il la surface v.rlra-ucrriricu- faire de la
couche
optique (Sexv), recouverte au niveau du pulvinar
nvolution temporale. Tga pilier antérieur du trigone. Th, thalamus (
couche
optique). Ilh, twnia thalami. ! '3, troisième ven
634 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. A l'extrémité antérieure de la
couche
nhlic/tte (Tlr), entre le pédoncule antérieur (
C) du noyau lenticulaire (NL : pNL2-2,NL¡) et qui pénètrent dans la
couche
optique dont elles constituent le pédoncule rttrl
re circonvolution temporale. Tga, pilier antérieur du trigone. Tlt,
couche
optique (thalamus). llh, trenia thalami. Pa, troi
rares fibres horizontales appartenant au pédoncule antérieure de la
couche
optique (PaTh), et qui sillonnent l'extrémité ant
grise situé entre les parties extra et intm-vent1'iculaÍl'es de la
couche
optique. A sa partie postéro-interne se trouve
ricule (V3) se trouve la section du pédoncule inféro-interne de, la
couche
optique (PiTh) et Au pilier anté- rieur du tr°i
yau lenticulaire (NL2), assez en dehors duo·doncule antérieur de la
couche
optique (PaTh). Coupe n° 3 x (fib. 318), passan
strz, stratum zonale. Tga, pilier antérieur du trigone. Th, thalamus (
couche
optique). VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - i'3, t
se de ce faisceau est traversée par le pédoncule inféro-interne de la
couche
optique (PiTh), qui croise également le faiscea
le corps de Luys (CL); d'autres, traversant ce dernier, forment une
couche
de libres il sa partie postérieure, et se rende
se rendent par la zona incerta (Zi) il l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th) dans un champ irrégulier de fibres,
mp de, Forel, nous trouvons le pr·donccclcit7 fi·ro-iztter·nc de la
couche
optique (PiTh) et le faisceau de Vicq d'Azyr (V
hert. strz, stratum zonale. Tga, pilier antérieur du tri- gone. Th,
couche
optique. Tznl, tubercule mamillaire latéral. VA,
ns le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), apparaissent les trois
couches
de fibres caractéristiques de ce noyau, les sup
ant. La substance perforée antérieure (Spa) est intéressée dans ses
couches
les plus superficielles. Elle est formée de deu
interne (Cgi), profondément enclavé dans la partie inférieure de la
couche
optique (Th). Les fibres du bras du tubercule q
ite en arrière les fibres qui forment la capsule du noyau rouge. La
couche
des fibres moyennes du tubercule quadrijumeau a
il (Rm). Elle est formée de fibres obliques en avant et en dehors. La
couche
superficielle est formée de fibres parallèles à
le quadrijumeau antérieur (BrQa), et sépare, en s'enfonçant dans la
couche
optique (Th), le corps genouillé interne (Cgi) du
halamiques postérieures (RTh), abordent la partie postérieure de la
couche
optique (Th); elles sont croisées en outre par
PIQUES DU CERVEAU. 647 el passent par les régions antérieures des
couches
sagittales du carre four vent ri- culaire. Para
e. - T,, première circonvolution temporale. Te, tuber cinereum. Th,
couche
optique (thalamus). Tm, tubercule mamillaire. 1
s noyau gris situé très près de la ligne médiane, entouré d'une mince
couche
de fibres blanches, et logé dans la substance g
rébral. l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. 1, , 3,
couches
super- ficielle, moyenne et profonde du tubercu
latéral. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur ,, 3, 3,
couches
superficielle, moyenne et profonde du tubercule
iolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Th, thalamus,
couche
optique. Tol, tubercule ou trigone olfactif. U, c
s fibres radiculaires de la troisième paire (III). Les fibres de la
couche
profonde du tubercule quadri- jumeau antérieur
llaire. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur ,, 3,3,
couches
superficielle, moyenne et profonde du tubercule
iasma des nerfs optiques (xll) et le trigone olfactif (Toi) avec sa
couche
de fibres nerveuses. Au niveau de sa partie pos
e coupes la com- préhension de la partie extra-vent riculaire de la
couche
optique. 6 : i0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
e masse oblongue, très réduite de volume, entourée d'une très mince
couche
de fibres nerveuses. Le corps genouillé externe
(Qa) et certains éléments du tubercule quadrijumeau postérieur. La
couche
de fibres profondes (3) et la couche de libres
le quadrijumeau postérieur. La couche de fibres profondes (3) et la
couche
de libres moyennes (2) du tubercule quadrijumeau
augmenté d'étendue, el ses fibres entrent en connexion soit avec la
couche
profonde, soit avec la couche moyenne. La couch
res entrent en connexion soit avec la couche profonde, soit avec la
couche
moyenne. La couche des libres profondes se porte
exion soit avec la couche profonde, soit avec la couche moyenne. La
couche
des libres profondes se porte en avant, et décrit
te de la 5° paire (Vc) (voy. coupes suivantes, fig. 327 et 328), la
couche
profonde du tuber- cule quadrijumeau mztr,·'oin
opposé au niveau de la partie antérieure du raphé. Les fibres de la
couche
moyenne ('2) du tubercule quadrijumeau antérieu
(lim), auquel elles apportent un contingent assez important. Quant la
couche
superficielle, elle a presque disparu et n'est
très net sur cette coupe. En avant de ce noyau, et embrassé par la
couche
profonde des fibres du tubercule quadrijumeau a
nstitués, en effet, par de la substance grise diffuse, et par trois
couches
de fibres superposées : une couche superficielle,
nce grise diffuse, et par trois couches de fibres superposées : une
couche
superficielle, une couche moyenne et une couche
trois couches de fibres superposées : une couche superficielle, une
couche
moyenne et une couche profonde. Dans les tuberc
s superposées : une couche superficielle, une couche moyenne et une
couche
profonde. Dans les tubercules quadrijumeaux posté
ais représentent des fibres ascendantes de la protubérance, que les
couches
de fibres protubérantielles plus profondes ont
e occipital, l'écorce cérébrale apparaît formée seulement par trois
couches
, l'externe et l'interne de coloration grise, la
ES CENTRES NERVEUX. Huhan de Vicq on de (;en- nari. Les trois
couches
,le Iüillikcr. Les cinq couches de Meynert.
on de (;en- nari. Les trois couches ,le Iüillikcr. Les cinq
couches
de Meynert.. miter et à suivre sur tous les c
rtout la même. Kollikcr divisait en z ? l'écorce cérébrale en trois
couches
: une couche externe blanche, transparente, ext
Kollikcr divisait en z ? l'écorce cérébrale en trois couches : une
couche
externe blanche, transparente, extrêmement minc
xtrêmement mince, située à la surface des circonvolutions, c'est la
couche
blanche corticale de Remak; une couche moyenne,
es circonvolutions, c'est la couche blanche corticale de Remak; une
couche
moyenne, grise, et une couche interne grise éga
ouche blanche corticale de Remak; une couche moyenne, grise, et une
couche
interne grise également, mais présentant une co
ais présentant une coloration rouge jaunâtre (fig. 330). Ces deux
couches
grises, assez épaisses, sont séparées l'une de l'
nce et mal délimitée en général, la strie externe de Baillarger, ou
couche
blanche intermédiaire externe de Remak, qui con
e correspond au ruban de Vicq d'Azyr, la strie interne subdivise la
couche
grise interne et constitue la strie interne de
couche grise interne et constitue la strie interne de Baillarger ou
couche
blanche intermédiaire interne de Remak (lig. 33
corce au point de vue de l'agencement des cellules, y décrivit cinq
couches
régulièrement stratifiées dans lesquelles les cel
quelles les cellules varient en forme et en nombre; ce sont : 1" La
couche
granuleuse ou molé- culaire; 2° la couche des p
n nombre; ce sont : 1" La couche granuleuse ou molé- culaire; 2° la
couche
des petites cellules pyramidales; 3° la couche de
molé- culaire; 2° la couche des petites cellules pyramidales; 3° la
couche
des grandes cellules pyramidales; 4° la couche
s pyramidales; 3° la couche des grandes cellules pyramidales; 4° la
couche
des petites cellules irrégulières; : 50 la couche
pyramidales; 4° la couche des petites cellules irrégulières; : 50 la
couche
des cellules fusiformes (fig. 329 et 330). La 3
es; : 50 la couche des cellules fusiformes (fig. 329 et 330). La 3°
couche
ou couche des grandes cellules pyramidales est pa
a couche des cellules fusiformes (fig. 329 et 330). La 3° couche ou
couche
des grandes cellules pyramidales est parcourue
dans le lobe occipital une grande épaisseur et y forme une véritable
couche
, la troisième couche de lleynert; cet auteur su
une grande épaisseur et y forme une véritable couche, la troisième
couche
de lleynert; cet auteur subdivisa en outre, dans
e lleynert; cet auteur subdivisa en outre, dans cette région, la 2°
couche
ou couche des petites cellules pyramidales en deu
; cet auteur subdivisa en outre, dans cette région, la 2° couche ou
couche
des petites cellules pyramidales en deux coudes
titué, dans le lobe occipital, le type longtemps classique des huit
couches
de Meynert (fig. 345). Cette division de l'écor
. 345). Cette division de l'écorce cérébrale en un nombre limité de
couches
présente évidemment quelque chose d'arbitraire;
s présente évidemment quelque chose d'arbitraire; car, sauf pour la
couche
granuleuse ou moléculaire dont les limites sont
use ou moléculaire dont les limites sont assez précises, les autres
couches
de l'écorce se continuent entre elles par des tra
urs n'ont-ils pas admis le schéma si longtemps clas- sique des cinq
couches
de Meynert. Stieda, llenle, Boll, Schwalbe décriv
couches de Meynert. Stieda, llenle, Boll, Schwalbe décrivent quatre
couches
, Krause sept, et Golgi, ne trouvant pas que l'on
, et Golgi, ne trouvant pas que l'on puisse admettre l'existence de
couches
nettement tranchées, divise l'écorce en trois p
CÉRÉBRALE. 665 . -- Ramon y Cajal, considérant que la 4° et la. 5°
couche
de Mevnert n'en font en réalité qu'une seule, d
gion psycho-motrice de l'écorce du cerveau des mammifères, quatre
couches
, à savoir : 1° la zone moléculaire;, 2° la zone
cupent toute l'épaisseur de l'écorce céré- brale, forment une mince
couche
à la surface des circonvolutions, et donnent na
centrique que présente l'écorce cérébrale sur une coupe Lesquatro
couches
le Ramon y Cajai. ; i Structure de l'é=;
u picro-carmin. Gross.2a0diam. (d'après W. Vignal.) A ,prcmière
couche
de Meynert ou . couche granuleuse. B, deuxième
a0diam. (d'après W. Vignal.) A ,prcmière couche de Meynert ou .
couche
granuleuse. B, deuxième couche de Meynert ou co
A ,prcmière couche de Meynert ou . couche granuleuse. B, deuxième
couche
de Meynert ou couche des, . petites cellules py
Meynert ou . couche granuleuse. B, deuxième couche de Meynert ou
couche
des, . petites cellules pyramidales. C, trois
ynert ou couche des, . petites cellules pyramidales. C, troisième
couche
de Meynert ou couche des grandes cellules py-
. petites cellules pyramidales. C, troisième couche de Meynert ou
couche
des grandes cellules py- ramidales. D, quatrièm
eynert ou couche des grandes cellules py- ramidales. D, quatrième
couche
de Meynert ou couche des petites .cellules ir
grandes cellules py- ramidales. D, quatrième couche de Meynert ou
couche
des petites .cellules irrégulières. E, cin- q
nert ou couche des petites .cellules irrégulières. E, cin- quième
couche
de Meynert ou . couche des cellules fusiformes.
s .cellules irrégulières. E, cin- quième couche de Meynert ou .
couche
des cellules fusiformes. 6li6 ANATOMIE DES CENT
S NERVEUX. ric. 330. Schéma résumant la concordance des différentes
couches
de l'écorce céré- brale, depuis Vicq d'Azyr (17
qu'à Ramon y Cajal (1890). La première colonne représente les trois
couches
de Vicq d'Azyr (1790) et les six couches de Bai
colonne représente les trois couches de Vicq d'Azyr (1790) et les six
couches
de Baillarger (1840). La deuxième colonne repré
ches de Baillarger (1840). La deuxième colonne représente les trois
couches
décrites par Iütlliker en 18 : p ? . La troisiè
tlliker en 18 : p ? . La troisième colonne reproduit le type à cinq
couches
de Meynert (1867) et la quatrième colonne repré
hes de Meynert (1867) et la quatrième colonne représente les quatre
couches
de Cajal (1890). Les fibres tangentielles, le rub
de Baillarger et la substance blanche sont colorés en rouge : 1\[,
couche
moléculaire. pPg, couche des petites cellules pyr
tance blanche sont colorés en rouge : 1\[, couche moléculaire. pPg,
couche
des petites cellules pyramidales. gPy, couche d
ouche moléculaire. pPg, couche des petites cellules pyramidales. gPy,
couche
des grandes cellules pyramidales. - Pm, couche
es pyramidales. gPy, couche des grandes cellules pyramidales. - Pm,
couche
des cellules polymorphes. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
écorce de la région rolandique se disposent d'après Cajal en quatre
couches
. Ce sont, ainsi que nous l'avons vu plus haut :
uatre couches. Ce sont, ainsi que nous l'avons vu plus haut : 1° la
couche
moléculaire ; 2° la couche des petites cellules
si que nous l'avons vu plus haut : 1° la couche moléculaire ; 2° la
couche
des petites cellules pyramidales ; 3" la couche d
moléculaire ; 2° la couche des petites cellules pyramidales ; 3" la
couche
des grandes cellules $pyramidales ; 4° la couch
yramidales ; 3" la couche des grandes cellules $pyramidales ; 4° la
couche
des cellules polymorphes. . 1° Zone moléculaire
; 4° la couche des cellules polymorphes. . 1° Zone moléculaire (1r
couche
de Meynert, couche granuleuse, couche sans cell
cellules polymorphes. . 1° Zone moléculaire (1r couche de Meynert,
couche
granuleuse, couche sans cellules de Stieda, cou
es. . 1° Zone moléculaire (1r couche de Meynert, couche granuleuse,
couche
sans cellules de Stieda, couche des fibres tang
uche de Meynert, couche granuleuse, couche sans cellules de Stieda,
couche
des fibres tangentielles) (fig. 329, 339, A). -
ement sous-jacente à la pie-mère, elle en est séparée par une mince
couche
de névroglie sous-pie-mérienne riche en cellules
acide osmique, les méthodes de Weigert, de Pal ou de Wolters, cette
couche
est formée presque exclusivement de fibres à my
e il la surface et tangente à la courbe de la circonvolution. Cette
couche
de fibres tan- gentielles, découverte par K6111
. Elles siègent surtout dans la portion la plus superficielle de la
couche
molécu- laire, affectent une direction principa
rce du l'l11noncéphalon. Ecoroodumautcau cérébral. Les quatre
couche
de Ramon y Cajal. Zone moléculaire (1" couc
ral. Les quatre couche de Ramon y Cajal. Zone moléculaire (1"
couche
), Son épaisseur. Fibres tanc'ettticties ou
vec le cylindre-axe ascendant de certaines cellules polymorphes des
couches
sous-jacentes, et que la plus grande partie de
e des fibres du réseau d'Exner proviennent de cellules propres à la
couche
moléculaire, cellules considérées jusqu'à lui com
qu'à lui comme étant de nature névroglique, et distingua dans cette
couche
trois espèces de cellules : des cellules fisifo
dans tous les sens, et dont quelques-unes descendent jusque dans la
couche
des petites cellules pyramidales. Leur cylindre-a
le à la surface de la circon- volution, mais n'atteignent jamais la
couche
sous-jacente. Les cellules fusiformes et es ce
ches qui se dirigent toutes du Fig. 331. Cellules polygonales de la
couche
moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin de 8
32. - Cellules fusiformes du type de Cajal. Coupe longitudinale de la
couche
moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âgé
3. Cellules triangulaires du type de Cajal. Coupe longitudinale de la
couche
moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âgé
CENTRES NERVEUX. Le cylindre-axe des cellules fusiformes de la
couche
molé- culaire est double et même triple. Ce
e est double et même triple. Cellules triangu- laires. j La
couche
molé- culaire de l'écorce est formée de libre
ivec les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales. La
couche
moléculaire est donc formée par les cellules et
: i. Cellule de la cou- che des grandes cellules pyramidales (3°
couche
de Meyiiert) de l'écorce céré- brale d'un sup
es cellules névro- gliques de la région. Cette 'structure de la
couche
moléculaire est la même chez tous les Ver- té
llèles des grains et les dendrites des cellules de Purkinje. 2°
Couche
des petites cellules pyramidales.-(2° couche
de Purkinje. 2° Couche des petites cellules pyramidales.-(2°
couche
de Meynert, stralo- superiorede Golgi) (fin. 32
e Meynert, stralo- superiorede Golgi) (fin. 329 et 339, B). Cette
couche
, à peu près aussi large que la précédente, do
es p,1Jl'a- midales (fig. 335,336,338, 339) présentent toujours
Couche
des petites cellules pyramidales 12. couche d
présentent toujours Couche des petites cellules pyramidales 12.
couche
de Cajal). Caractères géné- l'aux de la cellu
lèlement à celle des autres cellules pyrami- dales. Arrivée dans la
couche
moléculaire, cette tige ascendante se décompose
drite basi- laire. Il se dirige en bas, et traverse les différentes
couches
de l'écorce l tc. 337. - l'ortiort tle l'arhori
asilaires que l'on rencontre chez les mammifères (Cajal). Dans la
couche
des petites cellules pyramidales, les cellules si
ur de leur dendrite principale, augmentent avec la profondeur de la
couche
. La dendrite ascendante se termine par un panache
de de Golgi. Objectif C. Zeiss. Ocul.3. (D'après Ramon y Cajal.) A,
couche
moléculaire. B, couche des petites pyramides. C,
. Zeiss. Ocul.3. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. B,
couche
des petites pyramides. C, couche des grandes pyra
Cajal.) A, couche moléculaire. B, couche des petites pyramides. C,
couche
des grandes pyra- mides. D, couche des corpuscu
couche des petites pyramides. C, couche des grandes pyra- mides. D,
couche
des corpuscules polymorphes. E, substance blanche
es se ter- minent par des ex- trémités libres et renflées. s.
Couche
des gran- des cellules pyrami- dalcs (3' couc
renflées. s. Couche des gran- des cellules pyrami- dalcs (3'
couche
). Le cylindre-axe des grandes cellules pyra
cylindre-axe des petites cellules pyramidales descend à travers les
couches
sous-jacentes, dans la substance blanche où il se
dichotomisés et terminés par des extrémités renflées et libres. 3°
Couche
des grandes cellules pyramidales (3° couche ou co
renflées et libres. 3° Couche des grandes cellules pyramidales (3°
couche
ou couche anznzo- nique de Meynert, couche moye
et libres. 3° Couche des grandes cellules pyramidales (3° couche ou
couche
anznzo- nique de Meynert, couche moyenne des ce
cellules pyramidales (3° couche ou couche anznzo- nique de Meynert,
couche
moyenne des cellules nerveuses de Stieda, strata-
es de Stieda, strata- medio de Golgi, fig. 329 et 339, C.). Cette
couche
se distingue de la précédente par le plus grand v
leur prolongement cylindre-axile. Mal délimitée en dehors d'avec la
couche
précédente, la couche des grandes cellules pyra-
ndre-axile. Mal délimitée en dehors d'avec la couche précédente, la
couche
des grandes cellules pyra- midales est un peu m
s rare de voir de grandes cellules pyramidales, disséminées dans la
couche
des cellules polymorphes (live couche). Le cy
amidales, disséminées dans la couche des cellules polymorphes (live
couche
). Le cylindre-axe des grandes cellules pyramida
sités libres. Quant aux dendrites, elles se com- portent dans cette
couche
comme dans la couche précédente (Cajal). Les in
ux dendrites, elles se com- portent dans cette couche comme dans la
couche
précédente (Cajal). Les intervalles qui séparen
UCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 677 niveau de la partie moyenne de la
couche
des grandes cellules pyramidales, où il se prés
ne ligne foncée correspondant à la. strie externe de Baillarger. 4°
Couche
des cellules polymorphes ÏD, E, fib. 329 et D. fi
courtes dendrites ascendantes ou obliques, qui s'arborisent dans la
couche
des grandes cellules pyramidales, mais n'atteig
ouche des grandes cellules pyramidales, mais n'atteignent jamais la
couche
moléculaire, zone dans laquelle se trouvent les
uent avec une fibre nerveuse de la substance blanche (Cajal). i
Couche
des cellules polygonales (-le cuu- che). i
l;. a : r0. -Cellule à cylindre-axe court (type II de Golgi) de la 4"
couche
de l'écorce t du lapin nouveau-né. (D'après Ram
les cellules polymorphes, on trouve encore dans les trois dernières
couches
de l'écorce cérébrale des cellules de Golgi, ce
une direction ascendante, on les rencontre dans les trois dernières
couches
de l'écorce et principalement dans la couche des
s les trois dernières couches de l'écorce et principalement dans la
couche
des cellules poly- morphes (fig. 339, f, g). Fu
ndue. Pour quelques cellules, cette arborisation se termine dans la
couche
des petites cellules pyramidales (Cajal). Cellu
r) forment des faisceaux régu- lièrement espacés, qui traversent la
couche
des cellules polymorphes ainsi que la couche de
cés, qui traversent la couche des cellules polymorphes ainsi que la
couche
des grandes cellules pyramidales et qui sur de bo
auteurs pour les désigner. Les lignes pointillées séparent les cinq
couches
cellulaires de Meynert et les quatre couches ce
lées séparent les cinq couches cellulaires de Meynert et les quatre
couches
cellulaires de Cajal. fl, fibres tangenticlles.
fl, fibres tangenticlles. fll-lll, fibres des deuxième et troisième
couches
. -se, strie externe de Baillarger (strie interm
re externe de Remak). flfl-l1', fibres des troisième et qua- trième
couches
. sBi, strie interne de Baillarger (strie interméd
diaire interne de Remak). . /7-f, fibres des quatrième et cinquième
couches
. Sb, substance blanche. 682 ANATOMIE DES CENTRE
à sa partie moyenne la strie externe de Baillarger, et en dedans la
couche
des fibres d'association intm-col'ticales de Meyn
ans la couche des fibres d'association intm-col'ticales de Meynert (
couche
des fibres d'association externes) (Kaes). Ces
ules pyramidales. f, éléments globu- leux. A, substance blanche. B,
couche
moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. C
radiaire. L'écorce cérébrale présente donc de dehors en dedans cinq
couches
de fibres à direction transversale (fig. 342);
de fibres à direction transversale (fig. 342); ce sont : - 1° La
couche
des fibres tangentielles proprement dite ou résea
prement dite ou réseau rl' £ .1'1/{'1' située à la périphérie de la
couche
moléculaire ; 2° Le feutrage super-radiaire d'E
oléculaire ; 2° Le feutrage super-radiaire d'Edinger, qui occupe la
couche
des petites cellules pyramidales et une partie
s; 3° La strie externe de Baillarger, située dans l'épaisseur de la
couche
des grandes cellules pyramidales; 4° Le feutr
es pyramidales; 4° Le feutrage mter-radiaire a AfMy ? qui occupe la
couche
des grandes cellules pyramidales et une partie
cupe la couche des grandes cellules pyramidales et une partie de la
couche
des cellules polymorphes; 5° Les fibres d'assoc
orticales de Meynert, qui occupent au niveau du fond des sillons la
couche
des cellules polymorphes, et se con- tinuent pr
'association, fibres en U, ou librioe proprise de Meynert. De ces
couches
de fibres tangentielles, le réseau d'Exner est le
lient, ainsi que le fait remarquer Cajal, à ce que dans les autres
couches
, les rameaux des collatérales d'une couche cell
ce que dans les autres couches, les rameaux des collatérales d'une
couche
cellulaire se mélangent avec ceux prove- nant d
es d'une couche cellulaire se mélangent avec ceux prove- nant de la
couche
voisine. Du reste, pour avoir une idée nette de c
jal, les fibres ner- veuses qui paraissent dominer dans chacune des
couches
de l'écorce. 1° Couche des fibres tangentielles
ses qui paraissent dominer dans chacune des couches de l'écorce. 1°
Couche
des fibres tangentielles proprement dite {réseau
des fibres tangentielles proprement dite {réseau d'Exner, Les cinq
couches
de libres tangon- tielles. lléD1cnts qui en
s fibres tan- gentielles. GS4 Al'\ATOl\I1E DES CENTRES NERVEUX.
Couche
des fibres tangentielles propre- ment dites o
Feutrage super- radiaire d'I : diuger, plexus de la deu- xième
couche
(2° plexus). Origine de ces libres. zone
tratum zonale, premier plexus de Cajal, fig. 342 et 347, fl). Cette
couche
, relativement épaisse et visible à l'oeil nu, s
ivement épaisse et visible à l'oeil nu, siège à la périphérie de la
couche
moléculaire. Plus épaisse d'après Kaes au fond
e la crète des circonvolutions où elle n'atteint que 0 ? 244, cette
couche
contient un grand nombre de fibres amyélinique
voy. p. 668) ; y, les collatérales de la substance blanche. Cette
couche
est nettement délimitée en dedans et en dehors, m
lus dense à la périphérie des circonvolutions qu'au voisinage de la
couche
des petites cellules pyramidales. Son épaisseur
faces interne et inférieure de . l'hémisphère, l'épaisseur de cette
couche
s'accroît avec l'âge, tandis que les parties pr
'accroît avec l'âge, tandis que les parties profondes de cette même
couche
subissent une sorte de rare- HÉ faction au nive
our l'anatomo-pathologiste, car avant de décider de l'état de cette
couche
, dans tel ou tel cas, il devra comparer la régi
Feutrage super-radiaire d'Edinger (fibres des deuxième et troisième
couches
de Meynert, deuxième plexus de Cajal, fig. 342 et
lexus de Cajal, fig. 342 et fig. 31.-1, fsr). Ce feutrage occupe la
couche
des petites cellules pyramidales et bipartie supé
che des petites cellules pyramidales et bipartie supé- rieure de la
couche
des grandes cellules pyramidales contient, ainsi
ions terminales des libres de la substance blanche (Cajal). Celte
couche
, qui a été l'objet de la part de Kaes d'une élude
plus ou moins longues, qui occupent d'abord la moitié interne de la
couche
, puis s'étendent à sa moitié externe. A mesure
une strie, d'autant plus nettement délimitée, que la raréfaction des
couches
inférieures du stratum zonale est plus grande (
t plus grande (Kaes). C'est au moment de la stratification de cette
couche
, quelquefois avant (Kaes), qu'apparaissent quel
er- radiaire et seraient, dans le lobe occipital, l'homologue de la
couche
l1uf- douaire moyenne (stratwn lacunosum) de la
riche en fibres médullaires, courtes et fines. Elle correspond à la
couche
des cellules pyramidales grosses et moyennes (3
espond à la couche des cellules pyramidales grosses et moyennes (3"
couche
) et se compose principalement, d'après Cajal : «,
tie moyenne de l'écorce cérébrale et se délimite mal en général des
couches
adjacentes. La strie de Baillarger s'épaissit c
Feutrage inter- radiaire d'Edinger, plexus de la qua- trième
couche
(4" plexus). Fibres d'associa- tion intra-c
coucne ues granaes cellules pyramidales, la strie interne occupe la
couche
des cellules polymorphes (fig. 342), et apparti
eutrage inter-radiaire d'Edinger (Fibres des troisième et quatrième
couches
de Meynert, quatrième plexus de Cajal, (fig. 342
e Cajal, (fig. 342 et fig. 347, fir). Ce feutrage est situé dans la
couche
des corpuscules polymorphes (4° couche) ; il es
e feutrage est situé dans la couche des corpuscules polymorphes (4°
couche
) ; il est formé par : les collatérales des cyli
(Fibres d'asso- ciation externes de l'écorce cérébrale [Bechterew],
couche
d'association externe de, Meynert [aussere Meyn
n décrites par Kaes, ces fibres occupent la partie pro- fonde de la
couche
des cellules polymorphes, et représentent la part
'en distinguent par leur situation nettement intra-corticale. Cette
couche
est formée de fines fibres parallèles entre ell
rébrale assurent les connexions, soit entre les cellules d'une même
couche
, soit entre les cellules de couches voisines. L
it entre les cellules d'une même couche, soit entre les cellules de
couches
voisines. Les connexions des cellules pyramidal
le : par son panache proloplasmique, elle atteint les confins de la
couche
mole- STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 687 cu
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 687 culaire, et elle plonge dans les autres
couches
de l'écorce par sa tige, ses dendrites collatér
ndre-axiles des cellules de Cajal ou cellules autochtones de la
couche
moléculaire; 2° Avec les arbori- sations supé
ence. plus impor- tantes que le nombre de ces cellules. dans la
couche
des cellules pyramidales, des cellules d'associat
seulement suivant les régions, mais encore suivant les différentes
couches
d'une même région. Les premières fibres tangent
res tangentielles apparaissent au niveau du réseau d'Exner et de la
couche
des cellules polymorphes, vers le quatrième mois
s polymorphes, vers le quatrième mois après la nais- sance. Dans la
couche
des petites et des grandes cellules pyramidales,
er et interradiaire d'Edinger, fibres des deuxième et troi- ? sième
couches
de Meynert), elles n'apparaissent que vers le hui
). Les fibres tangentielles du réseau d'Exner, ainsi que celles des
couches
moyennes et profondes de l'écorce, sont détruites
n voit que, bien que les caractères généraux de structure nombre de
couches
, etc ? restent les mêmes; par contre les cellul
rce cérébrale (Mayor, Meynert, Mondino). Elle pré- sente les quatre
couches
de l'écorce typique (5 couches d'après Meynert),
Mondino). Elle pré- sente les quatre couches de l'écorce typique (5
couches
d'après Meynert), et renferme des cellules pyra
cellules polygonales, fusiformes, ou plus ou moins irrégulières. La
couche
moléculaire de l'insula est large particulièremen
rieure du cerveau; les fines fibres font au contraire défaut. Les
couches
des cellules pyramidales petites et grandes conti
ant plus serrées les unes contre les autres, que l'on considère des
couches
plus profondes. Leur dendrite principale ou asc
ortical de nombreuses collatérales. Mondino décrit en outre dans la
couche
des petites et des grandes cellules pyramidales,
té de cellules il cylindre-axe ascendant décrite par Martinotti. La
couche
des cellules polymorphes renferme des cellules de
qui tapissent le sillon marginal postérieur de l'insula d'une épaisse
couche
de fibres parallèles. Le feutrage interradiaire
nelle de l'écorce typique. Coucbo molécu- laire (1re couchc),
Couche
des cellules pyramidales ('2n et 3° couches;.
laire (1re couchc), Couche des cellules pyramidales ('2n et 3°
couches
;. Couche des ce(- lules polymorphes (4° cou
couchc), Couche des cellules pyramidales ('2n et 3° couches;.
Couche
des ce(- lules polymorphes (4° couche). Dan
es ('2n et 3° couches;. Couche des ce(- lules polymorphes (4°
couche
). Dans l'insula le fCl1tt"agc illterr-a- di
inféro-in- terno du thalamus. Ecorce du lobe occipital. Les 8
couches
de l'écorce du lobe occi- pital d'après Mey-
ches de l'écorce du lobe occi- pital d'après Mey- ncrt. Les 5
couches
de l'écorce du lobc occi- l,ital d'après Caja
e corps calleux, soit en bas vers le pédoncule inféra-interne de la
couche
optique. Ces dernières fibres repré- sentent le
à ce niveau des particularités spéciales. Meynert distinguait huit
couches
dans l'écorce du lobe occipital, et créa le typ
t huit couches dans l'écorce du lobe occipital, et créa le type à 8
couches
stratifiées qu'il opposa au type à cinq couches
et créa le type à 8 couches stratifiées qu'il opposa au type à cinq
couches
stratifiées du reste de la corticalité. Ce sché
et la majorité des auteurs, est longtemps resté classique. Les huit
couches
de Meynert comprenaient (fig. 345) de dehors en
es de Meynert comprenaient (fig. 345) de dehors en dedans : 1° La
couche
moléculaire, plus étroite ici que dans les autres
re, plus étroite ici que dans les autres régions de l'écorce; 2° la
couche
des petites cellules pyramidales, analogue à cell
l'on rencontre dans les circonvolutions des autres régions ; 3° la
couche
granuleuse externe formée par de petites cellul
granuleuse externe formée par de petites cellules irrégulières; 4° la
couche
intermédiaire (Kahle Schicht, Meynert) qui renf
les pyramidales géantes dites cellules solitaires (Meynert) ; DO la
couche
granu- leuse moyenne; 6° La couche intermédiair
les solitaires (Meynert) ; DO la couche granu- leuse moyenne; 6° La
couche
intermédiaire, pauvre en éléments cellulaires e
en éléments cellulaires et dans laquelle on trouve comme dans la 4e
couche
de rares cellules soli- taires de Meynert; 7° l
dans la 4e couche de rares cellules soli- taires de Meynert; 7° la
couche
des petits éléments ou couche granuleuse intern
llules soli- taires de Meynert; 7° la couche des petits éléments ou
couche
granuleuse interne; 8° la couche des cellules f
° la couche des petits éléments ou couche granuleuse interne; 8° la
couche
des cellules fusiformes (fig. 345). Le ruban de
(fig. 345). Le ruban de Vicq d'Azyr correspondait aux 4e, 5e et (;e
couches
et était dû, d'après Meynert, à la pauvreté de
e et (;e couches et était dû, d'après Meynert, à la pauvreté de ces
couches
en cellules et partant en pigment et non, comme
a pré- sence de nombreuses fibres à myéline. Le type cortical à 8
couches
stratifiées se distingue donc du type à 5 couch
type cortical à 8 couches stratifiées se distingue donc du type à 5
couches
de Meynert, par la présence de 3 couches granuleu
distingue donc du type à 5 couches de Meynert, par la présence de 3
couches
granuleuses; la couche granuleuse externe (3e c
5 couches de Meynert, par la présence de 3 couches granuleuses; la
couche
granuleuse externe (3e couche) est comprise ent
présence de 3 couches granuleuses; la couche granuleuse externe (3e
couche
) est comprise entre la couche des petites cel-
ses; la couche granuleuse externe (3e couche) est comprise entre la
couche
des petites cel- lules pyramidales (2e couche)
est comprise entre la couche des petites cel- lules pyramidales (2e
couche
) et la couche des grandes cellules pyramidales
ntre la couche des petites cel- lules pyramidales (2e couche) et la
couche
des grandes cellules pyramidales (4e couche). L
dales (2e couche) et la couche des grandes cellules pyramidales (4e
couche
). La couche granuleuse moyenne 5" couche) dédoubl
uche) et la couche des grandes cellules pyramidales (4e couche). La
couche
granuleuse moyenne 5" couche) dédouble la 3° couc
s cellules pyramidales (4e couche). La couche granuleuse moyenne 5"
couche
) dédouble la 3° couche du type commun en deux c
(4e couche). La couche granuleuse moyenne 5" couche) dédouble la 3°
couche
du type commun en deux couches intermédiaires,
use moyenne 5" couche) dédouble la 3° couche du type commun en deux
couches
intermédiaires, pauvres en cellules, situées l'
vres en cellules, situées l'une au-dessus, l'autre au-dessous de la
couche
granuleuse moyenne ; la couche granuleuse inter
au-dessus, l'autre au-dessous de la couche granuleuse moyenne ; la
couche
granuleuse interne, enfin, répond à la 4° couche
leuse moyenne ; la couche granuleuse interne, enfin, répond à la 4°
couche
du type commun. ' Hamon y Cajal, étudiant l'éco
gion et les autres régions de la corticalité, ne portent que sur la
couche
moléculaire et sur les deuxième et troisième co
tent que sur la couche moléculaire et sur les deuxième et troisième
couches
. Cet auteur, dont nous suivrons la description (f
nt nous suivrons la description (fig. 345 et 346), n'admet que cinq
couches
dans l'écorce occipitale, à savoir : - STRUCTUR
ipitale, à savoir : - STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.. 693 1° La
couche
moléculaire; 2° La couche des cellules fusi-
CTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.. 693 1° La couche moléculaire; 2° La
couche
des cellules fusi- formes verticales; 3° La c
laire; 2° La couche des cellules fusi- formes verticales; 3° La
couche
des fibres médul- laierez moyennes (ruban de Vi
uche des fibres médul- laierez moyennes (ruban de Vicq d'Azyr) ou
couche
des petites cel- lules-PY7'amidalès ? 4° La c
q d'Azyr) ou couche des petites cel- lules-PY7'amidalès ? 4° La
couche
des grandes cel- lules pyramidales; 5° La cou
idalès ? 4° La couche des grandes cel- lules pyramidales; 5° La
couche
des corpuscules polymorphes (fig, 346). 1° Co
idales; 5° La couche des corpuscules polymorphes (fig, 346). 1°
Couche
moléculaire (A. fig. 346). - Contrairement à l'
re (A. fig. 346). - Contrairement à l'opi- nion de Meynert, cette
couche
est remarquable par son épaisseur et sa riche
ochtones, soit des cy- lindres-axes ascendants des cel- lules des
couches
sous-jacentes. Les fibres à myéline à direc-
d'un grand nombre de fibres ascendantes, re- vêtues d'une épaisse
couche
de myéline; elle contient en outre de nombreu
myéline; elle contient en outre de nombreuses cellules apparte-
Couche
molécu- laire. (1" couche de Cajal.) La cou
outre de nombreuses cellules apparte- Couche molécu- laire. (1"
couche
de Cajal.) La couche mo- léculaire du lobe
lules apparte- Couche molécu- laire. (1" couche de Cajal.) La
couche
mo- léculaire du lobe oc- cipital présente le
de ses fi- bres tangentielles. Dans la partie pro- fonde do la
couche
moléculaire, le feu- trage des fibres tan-
es de l'écorce occipitale d'après Meynert et - d'après Cajal. Les
couches
de fibres trans- versales sont colorées en roug
III, les Irait cou- ches de Meynert. -'1, Il, 111 IV, V, les cinq
couches
de Cajal. M, couche moléculaire. Fv, couche des
ches de Meynert. -'1, Il, 111 IV, V, les cinq couches de Cajal. M,
couche
moléculaire. Fv, couche des cellules fusiformes
111 IV, V, les cinq couches de Cajal. M, couche moléculaire. Fv,
couche
des cellules fusiformes verticales. pPy, couche
moléculaire. Fv, couche des cellules fusiformes verticales. pPy,
couche
des petites cellules pyramidales. gPy, couche d
es verticales. pPy, couche des petites cellules pyramidales. gPy,
couche
des grandes cellules pyrami- : : dales.- Pm, couc
ramidales. gPy, couche des grandes cellules pyrami- : : dales.- Pm,
couche
des cellules polymorphes. CU4 ANATOMIE DES CENT
cobaye de 8 jours. Méthode double de Golgi. (D'après Cajal.) . A,
couche
moléculaire.-73, couche des cellules fusiformes.-
hode double de Golgi. (D'après Cajal.) . A, couche moléculaire.-73,
couche
des cellules fusiformes.-C, couche des fibres méd
l.) . A, couche moléculaire.-73, couche des cellules fusiformes.-C,
couche
des fibres médullaires moyennes ou du ruban de
e des fibres médullaires moyennes ou du ruban de Vicq d'Axyr. D, E,
couche
des cellules pyramidales moyennes et grandes. F
Axyr. D, E, couche des cellules pyramidales moyennes et grandes. F,
couche
des corpuscules polymorphes. a, cellules étoilées
he des corpuscules polymorphes. a, cellules étoilées de la première
couche
. b, cellules fusiformes ou cellules spéciales de
indre-axe ascendant. h, cellule fusiforme verticale de la troisième
couche
. i, cellule à cylindre-axe ascendant s'arborisa
me couche. i, cellule à cylindre-axe ascendant s'arborisant dans la
couche
moléculaire. - j, petite cellule pyramidale. - r,
ale. - r, cellule ' pyramidale géante. S, cellules fusiformes de la
couche
des cellules polymorphes, munies d'un cylindre-
olymorphes, munies d'un cylindre-axe ascendant se terminant dans la
couche
moléculaire. l, cellule il cylindrc- axc ascend
il cylindrc- axc ascendant de Martinotti. zt, cellule ovoïde de la
couche
fibrillaire moyenne, dont le cylindre-axe suit
direction descendante puis se recourbe en haut et se dirige vers la
couche
moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉRRALE. 6
tous d'une dendrite. Elles sont situées dans le voisinage de la 2°
couche
ou couche des cellules fusiformes verticales; l
e dendrite. Elles sont situées dans le voisinage de la 2° couche ou
couche
des cellules fusiformes verticales; leur grand
ellules de Cajal sont très rares dans la partie superficielle de la
couche
moléculaire [sous-zone externe de Cajal); dans le
plexe et libre, dont les rameaux vari- queux ne dépassent jamais la
couche
moléculaire. 2° Couche des cellules fusiformes
rameaux vari- queux ne dépassent jamais la couche moléculaire. 2°
Couche
des cellules fusiformes verticales (B. iig. 346).
quatre rameaux, aussitôt qu'elle atteint le ruban de Vicq d'Azyr (3
couche
). Le cylindre-axe de ces cellules, d'une extrêm
e la dendrite descendante (fig. 346, c). 3° Ruban de Vicq d'Azyr.
Couche
fibrillaire moyenne (Cajal) (C, fig. 346). Immé
laire moyenne (Cajal) (C, fig. 346). Immédiatement au-dessous de la
couche
des cellules fusi- formes verticales, se trouve
lules fusi- formes verticales, se trouve le ruban de Vicq d'Azyr ou
couche
des fibres médullaires moyennes de Cajal, qui c
a strie externe de Baillarger des autres régions de l'écorce. Cette
couche
qui représente, Dans la partie superficielle
Cette couche qui représente, Dans la partie superficielle de la
couche
moléculaire, le feutrage des li- hres tangent
s dense et ou y rencontre des cella- les du type II de Golgi.
Couche
des col- lules fusiformes ver- ticales. ( : °
indre axe de ces cellules n'atteint pastasubstan-c tran- che.
Couche
fibrillaire moyenne ou ruban de Vicq d'Azyr.
che. Couche fibrillaire moyenne ou ruban de Vicq d'Azyr. (3"
couche
de Cajal.) 696 ANATOMIE DES CENTRES .NERVEUX.
de Cajal.) 696 ANATOMIE DES CENTRES .NERVEUX. Cellules de cette
couche
. avec quelques modifications, la couche des pet
VEUX. Cellules de cette couche. avec quelques modifications, la
couche
des petites cellules pyramidales (2° couche) de
lques modifications, la couche des petites cellules pyramidales (2°
couche
) des autres régions de l'écorce cérébrale, est co
ellules fusiformes à direction verticale, semblables a celles de la
couche
précédente (fig. 346, h), cellules triangulaires
L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 697 rection ascendante, qui se termine dans la
couche
moléculaire par une arborisation étendue (fig.
atérales, et dont les ramifications terminales se terminent dans la
couche
moléculaire, au voisinage des cellules dites de
es dites de Cajal. Les fibres nerveuses du ruban de Vicq d'Azyr, ou
couche
médullaire moyenne de Cajal, sont extrêmement n
les cellules ner- veuses d'un feutrage fibrillaire très dense. 4°
Couche
des grandes cellules pyramidales (D et E, fig. 34
Couche des grandes cellules pyramidales (D et E, fig. 346). -Cette
couche
se présente ici avec les mêmes caractères que dan
con- fondent peu à peu avec les petites cellules pyramidales de la
couche
du ruban de Vicq d'Azyr. 5° Couche des corpus
tes cellules pyramidales de la couche du ruban de Vicq d'Azyr. 5°
Couche
des corpuscules polymorphes (F, fig. 346). Dans c
. 5° Couche des corpuscules polymorphes (F, fig. 346). Dans cette
couche
, se trouve un grand nombre de petites cellules py
s pyramidales, dont la dendrite radiaire ne parait pas atteindre la
couche
moléculaire. On y trouve en outre un certain no
lindre-axe ascendant se termine par de riches arborisations dans la
couche
moléculaire, après avoir fourni de nom- breuses
re le ruban de Vicq d'Azyr (V) et les fibres tangen- il'elles (ft) (
couche
zonale d'Exner) - la strie de Bechte1'ew (sBK) si
q 1 d'Azyr est formé par · un plexus de libres ' 1 à myéline.
Couche
des gran- des cellules pyrami- dales. (4- cou
1 à myéline. Couche des gran- des cellules pyrami- dales. (4-
couche
de Cajal.) Cette couche est la même que dan
gran- des cellules pyrami- dales. (4- couche de Cajal.) Cette
couche
est la même que dans le reste de l'écorce.
jal.) Cette couche est la même que dans le reste de l'écorce.
Couche
des cor- opuscules polymor- phes. (58 couche
reste de l'écorce. Couche des cor- opuscules polymor- phes. (58
couche
de Cajal.) Dans l'écorce du z lobe occipita
rce de ! : ), pure- mière circonvolution Umbiquc. confins de la
couche
des cellules fusiformes verticales, les feutrages
ciation intracorticales de Mcynert(fAc). Ces dernières occupent les
couches
des cellules polymorphes et des grandes cellule
ses fibres tangentielles, dont les plus superficielles forment une
couche
épaisse, visible à l'oeil nu, et particulièrement
n limbique (L,), les dif- férences ne portent que sur le nombre des
couches
ainsi que sur la forme et le volume des élément
lleux, soit d'une modification considérable dans la disposition des
couches
, se traduisant par une morphologie spéciale, s'él
LE. G99 de la strie interne, de Baillarger, et la pauvreté de la 3°
couche
en grandes cellules pyramidales. Les deux pre
la 3° couche en grandes cellules pyramidales. Les deux premières
couches
de cette circonvolution (couche moléculaire et
es pyramidales. Les deux premières couches de cette circonvolution (
couche
moléculaire et couche des petites cellules pyra
ux premières couches de cette circonvolution (couche moléculaire et
couche
des petites cellules pyramidales) ne présentent r
pyramidales) ne présentent rien de spécial dans leur structure. La
couche
moléculaire, quoique très large, est toutefois
tangentielles que dans les autres régions de l'écorce. La troisième
couche
(couche des grandes cellules pyramidales), con-
elles que dans les autres régions de l'écorce. La troisième couche (
couche
des grandes cellules pyramidales), con- tient d
(25 à 36 ! j.'), qui occupent presque toutes la profondeur de cette
couche
. Il résulte de cette disposition que la partie
che. Il résulte de cette disposition que la partie moyenne de la 3C
couche
, pauvre en cel- lules, est traversée par les de
s haut degré de développement dans la corne d'Ammon. La quatrième
couche
enfin, ou couche des cellules polymorphes, pré-
développement dans la corne d'Ammon. La quatrième couche enfin, ou
couche
des cellules polymorphes, pré- sente les mêmes
s fibres tangentielles sont peu nombreuses, le réseau d'Exner de la
couche
moléculaire est plus large, mais moins serré, e
la couche moléculaire est plus large, mais moins serré, et dans les
couches
profondes, les feutrages super et interracliair
a tecta, l'amincissement se fait surtout aux dépens de la troisième
couche
, dont les cellules pyramidales deviennent de plus
ême par disparaître, de telle sorte que la deuxième et la quatrième
couches
se confondent l'une avec l'autre au niveau du c
ec l'écorce grise des hémisphères (Blumenau). Cajal distingue trois
couches
dans les nerfs de Lancisi, une superficielle ou
cellulaire et une profonde ou de substance blanche (fig. 318). La
couche
moyenne est composée de cellules ovoïdes ou fusif
nerfs de Lancisi. - c, grosses cellules de la région profonde. - d,
couche
moléculaire ou superficielle. e, cylindre-axe d
TURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 701 1 ' une fibre à myéline, soit de la
couche
profonde, soit de la substance blanche. Parfois
e à deux fibres se dirigeant en sens inverse (Cajal) (fig. 349). La
couche
profonde est constituée par la réunion des cylind
est constituée par la réunion des cylindres-axes des cellules de la
couche
moyenne. Ces fibres nerveuses donnent nais- san
es donnent nais- sance à des collatérales, qui se terminent dans la
couche
moyenne et dans la couche moléculaire par de ri
es collatérales, qui se terminent dans la couche moyenne et dans la
couche
moléculaire par de riches arborisations (fig. 349
orisations (fig. 349). On rencontre encore, d'après Cajal, dans les
couches
moyennes et profondes, des cylin- dres-axes plu
a manière des cylindres-axes des cellules du type II de Golgi. La
couche
moléculaire, formée par la réunion de presque tou
dinale ou antéro-postérieure (fig. 349). On trouve aussi dans cette
couche
quelques rares éléments fusiformes, dont le mode
ils possèdent la même structure fondamentale. La simplification des
couches
cérébrales est encore beaucoup plus grande dans
MIE DES CENTRES NERVEUX. les autres régions de l'écorce, les quatre
couches
décrites par Cajal et [qui sont, en allant de l
Cajal et [qui sont, en allant de la surface à la profondeur : 1° la
couche
moléculaire; Inc. : 150. - Coupe vertico-transv
onvolution godronnée est colorée en rouge. Ci, corne d'Ammon et ses
couches
. - Alv, alvéus. - l', couche des cellules pyramid
ée en rouge. Ci, corne d'Ammon et ses couches. - Alv, alvéus. - l',
couche
des cellules pyramidales. - L, stratum lacunosu
ou lamina medullaris involula. Cg, circonvolution godronnée et ses
couches
. M, stratum molecu- lare.- G, couche des grains
rconvolution godronnée et ses couches. M, stratum molecu- lare.- G,
couche
des grains. -- Pm, couche des cellules polymorphe
ses couches. M, stratum molecu- lare.- G, couche des grains. -- Pm,
couche
des cellules polymorphes. Ails, avant-mur. Cge,
éticulée ou grillagée. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 703 2° la
couche
des petites cellules pyramidales ; 3° la couche d
ÉRÉBRALE. 703 2° la couche des petites cellules pyramidales ; 3° la
couche
des grandes cellules pyramidales ; 4° la couche
pyramidales ; 3° la couche des grandes cellules pyramidales ; 4° la
couche
des cellules polymorphes. Mais déjà au niveau d
nution du nombre des cellules pyramidales petites et moyennes. La
couche
moléculaire est beaucoup plus large que dans les
sidérable que prennent les fibres tangentielles qui forment ici une
couche
appréciable à l'oeil nu et d'as- pect réticulé.
une couche appréciable à l'oeil nu et d'as- pect réticulé. C'est la
couche
réticulée d'Arnold ou lame médullaire superfi-
cielle ou externe du subiculum (fig. 3su, Lms). L'épaisseur de cette
couche
n'est pas partout la même ; lorsqu'on examine u
, colorée par les méthodes de Weigert ou de Pal, on constate que la
couche
moléculaire contient un grand nombre de fibres
laire contient un grand nombre de fibres parallèles, revêtues d'une
couche
rela- tivement épaisse de myéline et qu'elle es
régulière, mais par une ligne festonnée ou crétée, qui empiète sur la
couche
des petites cellules pyramidales. C'est à cette
s petites cellules pyramidales. C'est à cette épaisseur inégale de la
couche
des fibres tangentielles, qu'est dû l'aspect ré
la circonvolution de l'hippocampe. L'inégalité d'épaisseur de cette
couche
est d'autant plus appréciable que du sommet des
ue dans la substance blanche de la circonvolution (fig. 350). Cette
couche
moléculaire, qui contient comme celle- de l'écorc
- bre considérable de cellules du type II de Golgi (Cajal). La 2°
couche
ou couche des petites cellules pyramidales ne for
nsidérable de cellules du type II de Golgi (Cajal). La 2° couche ou
couche
des petites cellules pyramidales ne forme pas u
couche ou couche des petites cellules pyramidales ne forme pas une
couche
régulière; elle s'emboîte en effet dans les festo
elle s'emboîte en effet dans les festons et les den- telures de la
couche
moléculaire. Dans la 3c couche ou couche des gr
festons et les den- telures de la couche moléculaire. Dans la 3c
couche
ou couche des grandes cellules pyramidales, nous
t les den- telures de la couche moléculaire. Dans la 3c couche ou
couche
des grandes cellules pyramidales, nous voyons s
e des celulles pyramidales petites et moyennes s'éclaircit et la 3e
couche
ne con- tient, pour ainsi dire, que de grandes
de longueur et qui occupent surtout les parties profondes de cette
couche
. Leurs dendrites ascendantes s'arborisent dans la
dantes s'arborisent dans la zone molécu- laire et impriment à la 3c
couche
un aspect radié très manifeste, qui lui a valu
ié très manifeste, qui lui a valu le nom de stratum radiatum. Cette
couche
est en outre riche en fibres tangen- tielles à
les traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, donnent à cette
couche
un aspect tacheté tout particulier (fig. 350).
particulier (fig. 350). Sa structure au ni- veau du subiculum.
Couche
mulécn- laire. Cette couche est plus épaiss
ructure au ni- veau du subiculum. Couche mulécn- laire. Cette
couche
est plus épaisse ici que dans le reste de l'é
taugcn- tielles constituent la substance réticulée d'Arnold.
Couche
des petites cellules pyramidales. Couche des
réticulée d'Arnold. Couche des petites cellules pyramidales.
Couche
des gran- des cellules yrami- dales et stratu
et la circonvolution godronnée adhèrent entre elles par leurs
couches
moléculai- res. Aspect de la corne d'Ammon
e d'Ammon sur une coupe vertico-trans- versale. Quant à la 4e
couche
, couche des cellules polymorphes, elle ne se dis-
mon sur une coupe vertico-trans- versale. Quant à la 4e couche,
couche
des cellules polymorphes, elle ne se dis- tingu
couche des cellules polymorphes, elle ne se dis- tingue guère de la
couche
semblable des autres régions de l'écorce. La. s
ce. La. substance blanche du subiculum est épaisse et contient deux
couches
de fibres à myéline. La couche profonde celle q
iculum est épaisse et contient deux couches de fibres à myéline. La
couche
profonde celle qui entoure le diverticule du su
orne sphénoïdale se compose de fines fibres entou- rées d'une mince
couche
de myéline; elles appartiennent au système des
rent dans la constitution de la lyre de David ou psalterium. ' La
couche
de fibres commissurales est entourée d'une couche
psalterium. ' La couche de fibres commissurales est entourée d'une
couche
de fibres de plus gros calibre, revêtues d'une
d'une couche de fibres de plus gros calibre, revêtues d'une épaisse
couche
de myéline et se colo- rant intensivement par l
tré, deux circonvolutions cérébrales adhérentes entre elles par leur
couche
1 moléculaire : Cette conception de Mathias Duv
reçoit un seul feuillet pie-mérien par l'intermédiaire duquel, les
couches
moléculaires de ces deux circonvolu- tions sont
e l'on pratique une coupe vertico-t.ransversale de cette région, la
couche
moléculaire de la corne d'Ammon et la couche mo
le de cette région, la couche moléculaire de la corne d'Ammon et la
couche
moléculaire de la circonvolution godronnée sont
rées l'une de l'autre, que par le feuillet pie- mérien et par leurs
couches
respectives de fibres tangentielles (Ii ? 3â0).
e de cette région se trouve donc expliquée : 1° par l'adhérence des
couches
moléculaires respectives de la circonvolution 1
connexions que la région godronnée proprement dite. Les différentes
couches
constituantes de la corne d'Ammon ont été décri
ielles ou lamina medullaris involuta. - Fus, lobule fusiforme. - G,
couche
des grains ou des cellules ovoïdes. yP, grande ce
atum lacunosum. Lus, lame médullaire superficielle du subiculum. M,
couche
moléculaire. - i\'C', queue du noyau caudé. - 0
moléculaire. - i\'C', queue du noyau caudé. - 0, stratum oriens ou
couche
des cellules polymorphes. - o, cellule de Golgi à
-o', cellule à cylindre-axe arqué de Cajal du stratum oriens. - l',
couche
des cellules pyramidales. ), p, cellules pyramida
couche des cellules pyramidales. ), p, cellules pyramidales de cette
couche
. - Pchl, plexus choroïdes. Pm, couche des cellu
cellules pyramidales de cette couche. - Pchl, plexus choroïdes. Pm,
couche
des cellules polymorphes.pPy; petite cellule pyra
rains » de la circonvolution godronnée (Cajal). Quant au nombre des
couches
et à leur structure, elles sont, ainsi que l'a
que, ainsi que le lait remarquer Cajal, que par la complexité de sa
couche
moléculaire et par la simplicité relative de se
exité de sa couche moléculaire et par la simplicité relative de ses
couches
profondes. En abordant la corne d'Ammon, l'épai
e de ses couches profondes. En abordant la corne d'Ammon, l'épaisse
couche
de fibres tangentielles, qui forme la lame médu
nt, les grandes cellules s'accumulent dans la partie profonde de la
couche
des cellules pyramidales. Leurs longues den- dr
tes traversent ainsi, avant d'aborder les parties supérieures de la
couche
moléculaire, une zone pauvre en cellule, le strat
stratum radiatum. On a décrit à la corne d'Ammon sept et même huit
couches
distinctes : ce sont en allant de la cavité crâ
lemands ou la lamina medullaris involuta s. cir- cumvoluta. 2" La
couche
moléculaire, stratum moleculare. 3° La couche l
cumvoluta. 2" La couche moléculaire, stratum moleculare. 3° La
couche
lacunaire, stratum lacunosum (Meynert), stratum r
arc (Kuplfer), stratum medullare médium (Ohersteiner, Cajal). 4" La
couche
radiaire, stratum radiatum (Meynert). 5° La cou
Cajal). 4" La couche radiaire, stratum radiatum (Meynert). 5° La
couche
des cellules pyramidales (stratum cellularum pyra
Le stratum oriens. Sa richesse en li- bres tangentielles. Les 8
couches
de la corne d'Ammon de Meynert. 708 .ANATOM
Meynert. 708 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Parallèle entre les
couches
de la corne d'Ammon et celles de l'écorce du
ne d'Ammon et celles de l'écorce du man- teau cérébral. Les 5
couches
de la corne d'Ammon de Cajal. Couche molécu
teau cérébral. Les 5 couches de la corne d'Ammon de Cajal.
Couche
molécu- laire de la corne d'Ammon. Cette cou-
lnéxs; feuillet vallonné des auteurs allemands (Muldenblatt). 8° La
couche
épithéliale de la corne sphénoïdale. Si l'on ve
he épithéliale de la corne sphénoïdale. Si l'on veut- ramener les 8
couches
de la corne d'Ammon aux quatre couches de l'éco
Si l'on veut- ramener les 8 couches de la corne d'Ammon aux quatre
couches
de l'écorce du manteau cérébral, on peut construi
: mt, : v . '. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 70'9 « . tum, la
couche
dès cellules pyramidales, et se terminent dans le
n réalité, ces deux. colonnes sont adossées l'une à l'autre par leurs
couches
moléculaires (M) qui ne sont séparées l'une de
de l'écorce de la région hippocampique de la corne d'Ammon. 1,
couche
moléculaire compre- nant : le stratum molecular
l ! ), le stratum lacunosum (L) et le stra- tum radiatum (R). 77,
couche
des cellules pyramidales (Py). - Il[, couche
um radiatum (R). 77, couche des cellules pyramidales (Py). - Il[,
couche
des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens
e deux écorces ce'ré- . braies superposées. Les trois pre- mières
couches
I, II, III appartien- nent à la couche molécula
es. Les trois pre- mières couches I, II, III appartien- nent à la
couche
moléculaire (Jf) à la couche granuleuse (Py) et
ches I, II, III appartien- nent à la couche moléculaire (Jf) à la
couche
granuleuse (Py) et à la couche des cellules pol
à la couche moléculaire (Jf) à la couche granuleuse (Py) et à la
couche
des cellules polymorphes (Pm) de la circonvolut
olymorphes (Pm) de la circonvolution godron- née (Cg) ; les trois
couches
suivantes I, TI,'III appartiennent à la couche
ée (Cg) ; les trois couches suivantes I, TI,'III appartiennent à la
couche
' moléculaire (M), à la couche des cellules p
ntes I, TI,'III appartiennent à la couche ' moléculaire (M), à la
couche
des cellules pyramidales géantes (Py) et àla
ire (M), à la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et àla
couche
des cellules polymor- plies(Pnx)dela;régiongodr
la circonvolution godronnée, sont obligés de traverser les trois
couches
de la corne d'Ammon (CA) ' avant d'arriver àl'a
u cel- lules ovoïdes de la circonvolution godronnée, traversentla
couche
des cellules polymorphes de la circon- voluti
e des cellules polymorphes de la circon- volution godronnée et la
couche
- moléculaire de la corne d'Ammon. Ils se cou
la corne . d'Ammon. , 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. oriens ou
couche
des cellules polymorphes, par des extrémités non
laire, s'étend plus ou moins horizontalement dans l'épaisseur de la
couche
lacunaire, et s'y termine par une arborisation
us ou moins horizontales, dontles branches terminales atteignent la
couche
moléculaire. c) Stratum radiatum (fig. 352, R).
e de , Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, substance blanche. - B,
couche
des cellules polymorphes ou stratum oriens. - C,
anche. - B, couche des cellules polymorphes ou stratum oriens. - C,
couche
des cellules pyramidales. D, stratum radiatum. E,
u stratum lacunosum dont le cylindre-axe s'arborisc soit dans cette
couche
soit dans la couche moléculaire. STRUCTURE DE L
dont le cylindre-axe s'arborisc soit dans cette couche soit dans la
couche
moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. i
ns la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. ili la
couche
des cellules pyramidales; il est presque exclusiv
mi les cellules, les unes représentent des éléments égarés des deux
couches
adjacentes : telles sont les cellules pyramidal
après Ramon y Cajal.) B, substance blanche. O, stratum oriens. P,
couche
des cellules pyramidales. /i, stratum radiatum.
s pyramidales. /i, stratum radiatum. - L, stratum lacunosum. - J)/,
couche
moléculaire. a, b, d, cellules de Golgi du stra
le du stratum lacunosum. m, n, deux petites cellules de Golgi de la
couche
moléculaire. 712 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
lgi de la couche moléculaire. 712 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Couche
des cellules pyramidales (2 cou- che). - Ca
des cellules pyramidales (2 cou- che). - Caractères de cette
couche
dans la classe des mammifères. Caractères qui
tion étendue et vari- ' queuse, soit dans l'épaisseur même de cette
couche
(fig. 355, f), soit dans le slratumlacunosum(fi
uses parcourent de grandes distances; quelques-unes traver- sent la
couche
des cellules pyramidales et atteignent le stratum
, g, fig. 355, i) ou triangulaires. Leur cylindre-axe, destiné à la
couche
des cel- lules pyramidales, émet quelques colla
et entre dans la constitution du riche plexus peri-cellulaire de la
couche
des cellules pyramidales; quel- ques rares rami
ues rares ramifications terminales atteignent le stratum oriens. 2.
Couche
des cellules pyramidales (fig. 352, Py). - Cette
oriens. 2. Couche des cellules pyramidales (fig. 352, Py). - Cette
couche
correspond aux couches des petites et des grand
cellules pyramidales (fig. 352, Py). - Cette couche correspond aux
couches
des petites et des grandes cellules pyramidales d
midales de l'écorce typique. Chez le lapin, le cobaye, le rat, la
couche
des cellules pyramidales est épaisse, bien déli
la couche des cellules pyramidales est épaisse, bien délimitée des
couches
voisines et renferme trois ou quatre rangées de
pyramidales grandes et moyennes de l'écorce cérébrale typique. Les
couches
les plus supérieures contiennent les plus petit
s les plus volumineuses, cequi a amené Schiiffer à consi- dérer les
couches
supérieures, comme l'homologue- de la couche des
er à consi- dérer les couches supérieures, comme l'homologue- de la
couche
des petites cellules pyramidales de l'écorce ty
t lisse comme le corps de la cellule et traverse sans se diviser la
couche
des cellules pyramidales; une fois dans le stra
s (les rameaux de Golgi. ), qui peuvent atteindre les confins de la
couche
moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. i
tratum oriens, et qui s'arborisent toutes dans l'épaisseur de cette
couche
(fig 356). Dans la région godronnée de la corne
godronnée de la corne d'Ammon. : 1, alvéus. B, stratum ariens. - C,
couche
des cellules pyramidales. D, stratum radiatum.
e de la corne d'Ammon, - provenant de la partie superficielle de la
couche
des cellules pyramidales. Enfant de vingt-deux
s dichotomisées, hérissées d'épines et atteignant la périphérie de la
couche
moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 7
corne d'Am- mon et appartenant à la partie superfi- cielle de la
couche
des cellules pyra- midales. Foetus de mois. (De
ramifications protoplasmiques se dirigeant vers la périphérie de la
couche
moléculaire et hérissées de globules pro- top
fibres moussues provenant, des grains. (D'après Ramon yCajal.) A,
couche
moléculaire de la circonvolution godronnée. - B,
yCajal.) A, couche moléculaire de la circonvolution godronnée. - B,
couche
des grains. - C, couche moléculaire de la porti
ulaire de la circonvolution godronnée. - B, couche des grains. - C,
couche
moléculaire de la portion terminale de la corne d
'Ammon. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 717 1 3. Stratum oriens.
Couche
des cellules polymorphes. Cajal distingue dans
rites as- cendantes, plus variqueuses que les autres, traversent la
couche
des cel- lules pyramidales ainsi que le stratum
que le stratum, radiatum, et se terminent sans se ramifier dans la
couche
moléculaire. Leurs dendrites descendantes se diri
ais, qui divergent dans tous les sens, mais qui atteignent tous, la
couche
des cellules pyra- midales qu'ils parcourent ho
r Martinotli dans l'écorce cérébrale typique, il s'arborise dans la
couche
moléculaire au voisinage des fibres tangentiell
te disposition est relativement rare (Cajal) Stratum oriens I (3e
couche
). j. z Zone inférieure. Sa zone plexiforme.
axe se détache de la partie supérieure de la cel- lule, traverse la
couche
des cellules pyramidales, puis se recourbe en arc
um, redescend en ligne droite et parallèlement a lui-même, clans la
couche
des cellules pyramidales, voire même dans le st
D, cellule de Golgi du stratum oriens à cylindre-axe horizontal. F,
couche
des cellules pyramidales avec son plexus nerveux
orizontales du stratum lacunosum. J, cellule fusiforme de Cajal de la
couche
moléculaire. - c, c, cylindres-axes. STRUCTUR
es, ainsi qu'Azoulay vient de le montrer récemment. En dedans de la
couche
épithéliale, elles peuvent présenter cinq ou si
le stratum oriens, puis il se coude pour traverser radiairement la
couche
des cellules pyramidales et la couche moléculaire
our traverser radiairement la couche des cellules pyramidales et la
couche
moléculaire dans lesquelles il s'arborise. Il n
ns lesquelles il s'arborise. Il ne s'insère pas sur les confins de la
couche
moléculaire, par un cône terminal comme dans le
se termine par des arborisations libres dans l'épaisseur même de la
couche
moléculaire (Cajal). De la face profonde de la ce
e la corne d'Ammon. intra-cortlcales qui occupent les différentes
couches
de la corne d'Ammon. 1° Alvéus (Substance blanc
la corne d'Ammon. 1° Alvéus (Substance blanche de la corne d'Ammon.
Couche
des fibres blanches du pilier postérieur du tri
postérieur du trigone). Golgi, Sala, Schüffer ont montré que cette
couche
est formée par les cylindres-axes des cellules py
tuées sous l'épendyme ventriculaire, où elles forment une véritable
couche
; elles correspondent aux collatérales émises pa
es s'arborisent dans le stratum oricns; quelques-unes traversent la
couche
des cellules pyramidales et le stratum radiatum
radiatum et s'arborisent soit dans le stratum lacunosum, soit dans la
couche
moléculaire de la corne d'Ammon. Le cylindre-
rticales à direction plus ou moins tangentielle ; elles occupent la
couche
moléculaire, la couche des cellules pyramidales,
us ou moins tangentielle ; elles occupent la couche moléculaire, la
couche
des cellules pyramidales, le STRUCTURE DE L'ÉCO
s des régions godronnée et hippocampique de la corne d'Ammon. 1° La
couche
moléculaire possède il elle seule trois feutrages
lamina medullaris involuta s. circonvolula; située aux confins de la
couche
moléculaire, elle assure les connexions des ram
préparations traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, cette
couche
de fibres apparaît d'autant plus épaisse que l'on
3;4, a, et fig. 360, A); 3° des cellules étoilées autochtones de la
couche
moléculaire (Gg. 355, m, n). Les deux premières o
les fines ramifications du cylindre-axe des cellules de Golgi de la
couche
moléculaire se recou- vrent de myéline. b) Le
e d'Arnold du subiculum (fig. z0 et 351). Ces libres ne forment une
couche
indépendante que dans la région hip- pocampique
tout l'intervalle qui sépare les cellules pyramidales géantes de la
couche
des cellules polymorphes de la circonvolution go-
gion godronnée de la corne d'Ammon ; ces collatérales traversent la
couche
des cellules pyramidales et le stratum radiatum,
Fibres du stratum radiatum. Feutrage péri-ccl- lulairc de la
couche
des cellules pyrami- dales. 2. D'autres fib
collatérales et des cylindres-axes qui montent de l'alvéus. - 2°
Couche
des cellules pyramidales. Les corps des cellules
corce d'une circonvolution cérébrale, à texture simplifiée dans les
couches
pro- fondes et compliquée dans la couche superf
xture simplifiée dans les couches pro- fondes et compliquée dans la
couche
superficielle ou moléculaire. Tandis que dans l
uée dans la couche superficielle ou moléculaire. Tandis que dans la
couche
moléculaire de l'écore cérébrale typique, il n'ex
nales des cellules du type de Cajal et du type II de Golgi, dans la
couche
moléculaire de la corne d'Ammon, les arborisati
l du stratum oriens et les cellules à cylindre-axe arqué de la même
couche
associent entre eux les corps des cellules pyra
sente une petite circonvolution céré- brale avortée, adossée par sa
couche
moléculaire à la couche moléculaire É de la cor
olution céré- brale avortée, adossée par sa couche moléculaire à la
couche
moléculaire É de la corne d'Ammon, et disposée
lle en est séparée par une deuxième écorce, cérébrale possédant une
couche
molécu- laire, une couche de cellules pyramidal
deuxième écorce, cérébrale possédant une couche molécu- laire, une
couche
de cellules pyramidales et une couche de cellules
une couche molécu- laire, une couche de cellules pyramidales et une
couche
de cellules poly- morphes, écorce qui appartien
donc, en passant par le hile de la circonvolution godronnée, les 7
couches
sui- vantes (fig. 353) : La circonvolu- tio
S NERVEUX. i La circonvolution odronnéc est for- mée de trois
couches
. Couche molécu- laire (1" couche). Cellules
i La circonvolution odronnéc est for- mée de trois couches.
Couche
molécu- laire (1" couche). Cellules de la cou
dronnéc est for- mée de trois couches. Couche molécu- laire (1"
couche
). Cellules de la cou- che moléculaire. Orig
cou- che moléculaire. Origine des fihres tangentielles de la
couche
moléculaire. 1° Couche moléculaire adossée au n
Origine des fihres tangentielles de la couche moléculaire. 1°
Couche
moléculaire adossée au niveau du sillon de l'hi
Couche moléculaire adossée au niveau du sillon de l'hippocampe à la
couche
mo- ... léculaire de la région hippocampique de
. léculaire de la région hippocampique de la corne (l'Am\l1on. 2°
Couche
granuleuse (ou couche des cellules pyramidales
on hippocampique de la corne (l'Am\l1on. 2° Couche granuleuse (ou
couche
des cellules pyramidales modifiée). 3° Couche
uche granuleuse (ou couche des cellules pyramidales modifiée). 3°
Couche
des cellules polymorphes. S 4° Couche moléculai
pyramidales modifiée). 3° Couche des cellules polymorphes. S 4°
Couche
moléculaire. , B. Hégion godronnee de la 3° Cou
ymorphes. S 4° Couche moléculaire. , B. Hégion godronnee de la 3°
Couche
des cellules pyramidales géantes. corne d'Ammon
la 3° Couche des cellules pyramidales géantes. corne d'Ammon. f 6°
Couche
des cellules polymorphes. { 7° Alvéus. Nous a
nsensiblement au voisinage du pilier postérieur du trigone, avec la
couche
des cellules po- lymorphes de la circonvolution
olution godronnée. La circonvolution godronnée se compose des trois
couches
fondamen- tales que l'on rencontre dans la cort
ns la corticalité cérébrale et dans la corne d'Ammon, à savoir : la
couche
moléculaire, la couche granuleuse et la couche
rale et dans la corne d'Ammon, à savoir : la couche moléculaire, la
couche
granuleuse et la couche des cellules polymorphe
d'Ammon, à savoir : la couche moléculaire, la couche granuleuse et la
couche
des cellules polymorphes. 4° Couche moléculai
e, la couche granuleuse et la couche des cellules polymorphes. 4°
Couche
moléculaire. Cette couche, analogue à celle de mê
la couche des cellules polymorphes. 4° Couche moléculaire. Cette
couche
, analogue à celle de même nom de la corticalité
eur court cylindre-axe s'arborisent toutes dans l'épais- seur de la
couche
moléculaire (fig. 363, b). Les profondes sont tri
ntes, leur cylindre-axe s'ar- borise de même dans l'épaisseur de la
couche
moléculaire; leurs dendrites divergent; les plu
lumineuses traversent le stratum granulosum et se terminent dans la
couche
des cellules polymorphes. . Les fibres tangenti
a couche des cellules polymorphes. . Les fibres tangentielles de la
couche
moléculaire forment le stratum nz«rizzccle de f
s-axes des cellules du type Il de Golgi, cellules autochtones de la
couche
moléculaire (fig. 363, b). Collatérales du cyli
3, b). Collatérales du cylindre-axe des grains égarés de cette même
couche
(fig. 363, a). y Ramifications terminales des
amifications terminales des cellules à cylindre-axe ascendant de la
couche
des éléments polymorphes (fig. 363, c, f). STRU
s des cellules du type II de Golgi, dont les corps résident dans la
couche
des éléments polymorphes : Fis. 361 et 362. Sch
En réalité, ces deux colonnes sont adossées l'une à l'autre par leurs
couches
moléculaires, qui ne sont séparées l'une de l'a
de l'écorce de la région hippocampique de la corne d'Ammon. T,
couche
moléculaire compre- nant : le stratum molecular
(M), le stratum lacunosum (L) et le stra- ' ' tum radiatum (R). ?
couche
des cellules pyramidales (Py). - III, couche
tum radiatum (R). ? couche des cellules pyramidales (Py). - III,
couche
des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens
i de deux écorces céré- brales superposées. Les trois pro- mières
couches
/, ? III appar- tiennent à la couche moléculair
sées. Les trois pro- mières couches /, ? III appar- tiennent à la
couche
moléculaire (M), àla couche granuleuse (Py) et
couches /, ? III appar- tiennent à la couche moléculaire (M), àla
couche
granuleuse (Py) et à la couche des céllules pol
t à la couche moléculaire (M), àla couche granuleuse (Py) et à la
couche
des céllules polymorphes (Pm) de la circonvolut
polymorphes (Pm) de la circonvolution godron- nee (Cg); les trois
couches
suivantes I,71,111 appartiennent à la couche
nee (Cg); les trois couches suivantes I,71,111 appartiennent à la
couche
moléculaire (111), iL la couche des cellules
antes I,71,111 appartiennent à la couche moléculaire (111), iL la
couche
des cellules pyramidales géantes (Py) et à la
(111), iL la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et à la
couche
des cellules polymor- phes (Pm) de la région go
dela circonvolution godronnée sont obligés de traverser les trois
couches
de la corne d'Ammon ( CA) . avant d'arriver à l
u cel- lules ovoïdes de la circonvolution godronnée traversent la
couche
des cellules polymorphes de la cir- convoluti
e des cellules polymorphes de la cir- convolution godronnée et la
couche
moléculaire de la corne d'Ammon. Ils se coude
. 1 726 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Stratum granulo- siim (2-
couche
). Les grains de la circonvolution go- dronn
l'alvéus. Ces fibres, très difficiles à imprégner, n'arrivent à la
couche
moléculaire de la cir- convolution godronnée, q
é la région godronnée de la corne d'Ammon. 2° Stratum granulosum (
Couche
des grains ou des celhues ovoïdes). - Le stratu
tement sur le corps cellulaire (fig. 364); les cellules ovoïdes des
couches
profondes du stratum granulosum peuvent toutefo
ye de huit jours. MuUtode - de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A,
couche
moléculaire. - B, couche des grains. - C, zone pl
- de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. - B,
couche
des grains. - C, zone plexiforme de la couche des
ouche moléculaire. - B, couche des grains. - C, zone plexiforme de la
couche
des cel- lules polymorphes. - D, zone des cellu
- lules polymorphes. - D, zone des cellules irrégulières de la même
couche
. - a, grain égaré. - b, cellule iL cylindre-axe
autres cellules dont les expansions nerveuses s'arborisent dans la
couche
moléculaire. - h, cellule cylindre-aae court. i,
les variqueuses des cylindres-axes ascendants, s'arborisant dans la
couche
des grains par des terminaisons ren- flées. - 7
n- flées. - 7, n, bifurcation des cylindres-axes ascendants dans la
couche
moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. ï
nervoso-protoplasmiqiies avec les fibres nerveuses terminales de la
couche
moléculaire. Par leur cylindre-axe, les cellule
es cellules est fin et dépourvu de gaine de myéline; il traverse la
couche
des cellules polymorphes de la cir- Cylindre-ax
Fie. 3gui. - Grain de la circonvolution godronnée au voisinage de la
couche
molécu- laire. Méthode rapide de Golgi. (Dessin
sucs des grains. Le cylindre -axe des grains pénètre dans la
couche
des cellules pyramidales géantes de la corne
rps des cellules poly- morphes. Après avoir traversé la troisième
couche
de la circonvolution godronnée, ces cylindres-a
dans la région godronnée de la corne d'Ammon dont ils traversent la
couche
moléculaire. Arrivés dans la couche des cellule
d'Ammon dont ils traversent la couche moléculaire. Arrivés dans la
couche
des cellules pyramidales géantes, ils se couden
e la corne d'Ammon. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A,
couche
moléculaire. B, couche des grains. C, zone plexif
éthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. B,
couche
des grains. C, zone plexiforme ou partie supérieu
B, couche des grains. C, zone plexiforme ou partie supérieure de la
couche
des cellules polymorphes. D, couche moléculaire d
orme ou partie supérieure de la couche des cellules polymorphes. D,
couche
moléculaire de la corne d'Ammon. E, couche des
cellules polymorphes. D, couche moléculaire de la corne d'Ammon. E,
couche
des petites cellules pyramidales de la corne d'Am
fibres moussues provenant des grains. (D'après Ramon y Cajal.) A,
couche
moléculaire de la circonvolution godronnée. - B,
Cajal.) A, couche moléculaire de la circonvolution godronnée. - B,
couche
des grains. - C, couche moléculaire de la porti
ulaire de la circonvolution godronnée. - B, couche des grains. - C,
couche
moléculaire de la portion terminale de la corne d
née avec les cellules pyramidales géantes delacorne d'Ammon.
Couche
des cellules polymorphes (3° cou- che). Sa
es géantes de la région- godronnée de la corne d'Ammon. -' - - 3°
Couche
! des cellules polymorphes. - Cette couche, analo
rne d'Ammon. -' - - 3° Couche ! des cellules polymorphes. - Cette
couche
, analogue ainsi due l'a indiqué Schâffer, à cel
est limitée en haut par le stratum granulosum et en bas par la
couche
molécu- laire de la région godron- née de la
n godron- née de la corne d'Am- mon. Cajal distingue dans cette
couche
trois ou quatre zones secondaires à savoir :
qui est en contact in- time avec le stratum gra- nulosum. . La
couche
des cellu- les polymorphes contient des cellu
moyenne. Elles correspondent aux cellules à cylindre-axe arqué de la
couche
des cellules polymorphes de la corne d'Ammon, d
ielle sont pyramidales ou étoilées, enclavées par leur base dans la
couche
des cellules polymorphes (fig. 367, a, b) ; leur
radiaire est volumineuse et lisse et remonte jusqu'aux confins de la
couche
moléculaire où elle s'arborise ; les dendrites
res. -c, c, cylindres-axes et leurs col- latérales descendantes.-A,
couche
moléculaire.. B, cou- che des grains. STRUCTU
e.. B, cou- che des grains. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. nI
couche
moléculaire de la circonvolution godronnée, devie
tement pyramidales ; leurs dendrites ne dépassent pas en général la
couche
des cellules polymorphes, leur cylindre-axe asc
e-axe ascendant traverse le stratum granulosum, se bifurque dans la
couche
moléculaire en branches horizontales, qui émetten
intergraczulaire. Elles entourent surtout les corps cellulaires des
couches
inférieures du stratum granulosum. Les cellules
elle, sont plus fréquentes dans les zones moyenne et profonde de la
couche
des cellules polymorphes. Ce sont des cellules ét
direction horizontale, et s'arborisent dans l'épaisseur même de la
couche
des cellules polymorphes. Les dendrites des cel
e de huit jours. Méthode de . Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) .l,
couche
moléculaire. - B, couche des grains. C, zone plex
de . Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) .l, couche moléculaire. - B,
couche
des grains. C, zone plexiforme de la couche des
couche moléculaire. - B, couche des grains. C, zone plexiforme de la
couche
des cellules polymorphes. D, zone des cellules
cellules polymorphes. D, zone des cellules irrègulières de la mème
couche
. a, grain égaré. - b, cellule à cylindre-axe co
autres cellules dont les expansions nerveuses s'arborisent dans la
couche
moléculaire. - h, cellule iL cylindre-axe court.
les variqueuses des cylindres-axes ascendants, s'arborisant dans la
couche
des grains par des extré- mités renflées. - n,
s renflées. - n, n, bifurcation des cylindres-axes ascendants dans la
couche
moléculaire. 732 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
cylindre-axe de ces cellules est en général épais ; il traverse la
couche
moléculaire et la couche des cellules pyrami- d
ules est en général épais ; il traverse la couche moléculaire et la
couche
des cellules pyrami- dales de la région godronn
ascendant et rétrograde, qui s'arborise autour des élé- ments de la
couche
des cellules polymorphes de la circonvolutiongodr
s du type II de Golgi 1Hg. 368, h) occupent toute l'épaisseur de la
couche
des cellules polymorphes; elles sont étoilées et
dendrites divergentes, dont quelques-unes gagnent les confins de la
couche
moléculaire de la circonvolution godronnée. Leu
sation terminale extrêmement riche et étendue, qui se perd clans la
couche
des cellules polymorphes; quelques branches tra
es traversent toutefois le stratum granulosum et se perdent dans la
couche
moléculaire de la circonvolution godronnée. C
iche et abondant chevelu et siègent de préférence aux confins de la
couche
moléculaire. Les cellules fusiformes, bien décr
-ci, par une extrémité recourbée et pourvue d'une nodosité. Dans la
couche
des cellules polymorphes et dans la région godr
er, Retzius, Calleja, etc. Les premiers auteurs connaissaient les
couches
stratifiées du bulbe olfactif, l'exis- tence de
crit dans le bulbe olfactif cinq cou- ches concentriques : 'Í. La
couche
des fibres nerveuses super- ficielles. 2. La
es : 'Í. La couche des fibres nerveuses super- ficielles. 2. La
couche
des glomérules olfactifs. 3. La couche molécula
super- ficielles. 2. La couche des glomérules olfactifs. 3. La
couche
moléculaire. 4. La couche des cellules mitrales
couche des glomérules olfactifs. 3. La couche moléculaire. 4. La
couche
des cellules mitrales. 5. La couche des grains
La couche moléculaire. 4. La couche des cellules mitrales. 5. La
couche
des grains et des fibres nerveuses profondes. 1
5. La couche des grains et des fibres nerveuses profondes. 1. La
couche
des fibres nerveuses superficielles est exclusive
cellules nerveuses périphériques (Voy. fig. a69 et p. 162). , 2"
Couche
des glomérules olfactifs. Les glomérules olfactif
lle de l'écorce (',énhrale pro1'oll1l0- ment modifiée. Les cinq
couches
du bulbe olfactif. Couche des libres nerveu
o1'oll1l0- ment modifiée. Les cinq couches du bulbe olfactif.
Couche
des libres nerveuses superfi- cielles. (1re c
be olfactif. Couche des libres nerveuses superfi- cielles. (1re
couche
.) Couche des glose- rules olfactifs (2° cou-
. Couche des libres nerveuses superfi- cielles. (1re couche.)
Couche
des glose- rules olfactifs (2° cou- che.) F
ent dans les glomérules par des arborisations libres (Cajal).
Couche
molécu- laire. (3e couche.) Couche des cel-
par des arborisations libres (Cajal). Couche molécu- laire. (3e
couche
.) Couche des cel- lules mitrales (-1 cou- c
orisations libres (Cajal). Couche molécu- laire. (3e couche.)
Couche
des cel- lules mitrales (-1 cou- che). Couc
e. (3e couche.) Couche des cel- lules mitrales (-1 cou- che).
Couche
des grains et des libres à myé- line. (5' cou
1 cou- che). Couche des grains et des libres à myé- line. (5'
couche
.) de 0mi",20 à omm,25 de diamètre, assez sembla
ives, mais il ne contient qu'une seule dendrite empanachée. 3° La
couche
moléculaire, d'aspect finement granuleux, est com
che moléculaire, d'aspect finement granuleux, est comprise entre la
couche
des glomérules et la couche des cellules mitrales
nement granuleux, est comprise entre la couche des glomérules et la
couche
des cellules mitrales; elle reçoit les dendrite
fusiformes, qui se comportent comme les cellules mitrales. 4° La
couche
des cellules mitrales renferme des cellules nerve
atérales, qui se détachent il angle droit et s'arbori- sent dans la
couche
moléculaire du trigone olfactif, et de la « racin
cylindre-axe, il se termine, ainsi que Calleja l'a montré, dans la
couche
moléculaire de la circonvolution de l'hippocampe,
ellules pyramidales de l'écorce de la circonvolution du crochet. : jo
Couche
des grains et des fibres à myéline. Cette couche
ion du crochet. : jo Couche des grains et des fibres à myéline. Cette
couche
com- prend une trame de fibres nerveuses à myél
longues, tantôt courtes. Elles tra-- versent perpendiculairement la
couche
des grains et celle des cellules mitrales, et s
iche arborisation vari- queuse et libre dans l'épaisseur même de la
couche
moléculaire. Le dense feutrage, formé par les d
ventail du bulbe olfactif et se continuent avec les faisceaux de la
couche
des grains, elles sont toujours superficielles,
terminent toutes, ainsi que Cajal et Callcja l'ont montré, dans la
couche
moléculaire de l'écorce de la circonvolution de l
orce de la circonvolution de l'hippocampe, sans jamais atteindre la
couche
des cellules pyramidales. Aucune fibre de la ra
fibre de la racine olfactive externe ne descend, en effet, dans les
couches
profondes (fib. 371). Le bulbe olfactif émet,
déposée par les fibres de la « racine » olfactive externe, dans la
couche
moléculaire de la circonvolution du crochet et
dont les dendrites périphé- riques actionnent à leur tour, dans la
couche
moléculaire du lobe olfactif, les dendrites bas
ionomie caractéristique. Calleja décrit au tubercule olfactif trois
couches
, ce sont : 1° La couche moléculaire ; 2° la couch
Calleja décrit au tubercule olfactif trois couches, ce sont : 1° La
couche
moléculaire ; 2° la couche des cellules pyra- m
olfactif trois couches, ce sont : 1° La couche moléculaire ; 2° la
couche
des cellules pyra- midales petites et moyennes;
2° la couche des cellules pyra- midales petites et moyennes; 3° la
couche
plexiforme ou des cellules poly- mOJ7J/Jes. 1
s; 3° la couche plexiforme ou des cellules poly- mOJ7J/Jes. 1" La
couche
moléculaire, tout à fait analogue à celle de l'éc
mifications terminales des cellules à cylindre- axe ascendant de la
couche
des cellules polymorphes, décrites par Martinotti
emblable- ment aux cellules pluripolaires du type de Cajal. 2° La
couche
des cellules pyramidales petites et moyennes comp
it l'im- pression olfactive. Tubercule ou tri- gone olfactif.
Couches
du tuber- cule olfactif. Couche molfku- lai
rcule ou tri- gone olfactif. Couches du tuber- cule olfactif.
Couche
molfku- laire (Ire couche). Couche des ccilu-
f. Couches du tuber- cule olfactif. Couche molfku- laire (Ire
couche
). Couche des ccilu- les pyramidales (-" cou
s du tuber- cule olfactif. Couche molfku- laire (Ire couche).
Couche
des ccilu- les pyramidales (-" couche). 738
ku- laire (Ire couche). Couche des ccilu- les pyramidales (-"
couche
). 738 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche pl
les pyramidales (-" couche). 738 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Couche
plexiforme mu des ccllules poly- : norplies (3=
S NERVEUX. Couche plexiforme mu des ccllules poly- : norplies (3=
couche
). Couche de sub- stance blanche (4' ' : ouc
Couche plexiforme mu des ccllules poly- : norplies (3= couche).
Couche
de sub- stance blanche (4' ' : ouche). Sept
, les autres affectent une forme ovoïde ou arrondie et occupent les
couches
profondes. Ils contiennent des cellules petites e
e en général au niveau des îlots. Leur fin cylindre-axe traverse la
couche
des cellules polymorphes et se continue avec une
antes et basilaires fortement épineuses, qui s'arbori- sent dans la
couche
moléculaire. Le cylindre-axe est épais, il traver
moléculaire. Le cylindre-axe est épais, il traverse obliquement la
couche
des cellules polymorphes et se continue avec une
es, qui proviennent probablement du bulbe olfactif (Calleja). 3° La
couche
plexiforme ou des cellules polymorphes, riche en
me les cellules pyramidales; leurs den- drites s'arborisent dans la
couche
moléculaire, leur cylindre-axe se con- tinue av
4° La substance blanche, simple condensation des faisceaux de la
couche
précédente, se continue profondément avec les fai
ielle de cette écorce rudimentaire. Elle est revêtue, non pas d'une
couche
épithéliale analogue à l'épendyme ventriculaire,
héliale analogue à l'épendyme ventriculaire, mais d'une véri- table
couche
de fibres tangentielles, couche mince, qui corres
ntriculaire, mais d'une véri- table couche de fibres tangentielles,
couche
mince, qui correspond au réseau d'Exner de la c
tangentielles, couche mince, qui correspond au réseau d'Exner de la
couche
moléculaire. Au-dessous de la couche de fibres ta
espond au réseau d'Exner de la couche moléculaire. Au-dessous de la
couche
de fibres tan- gentielles, on rencontre une cou
Au-dessous de la couche de fibres tan- gentielles, on rencontre une
couche
mince de cellules nerveuses, de forme pyramidal
ison du cylindre-axe de ces cellules n'estpas encore élucidé. Cette
couche
grise est plus épaisse au niveau de la partie i
u septum bordant le ventricule latéral, elle est constituée par une
couche
de fibres à myéline, recouverte de l'épendyme ven
gonale la substance perforée antérieure, se terminent, soit dans la
couche
grise de cette substance, soit dans l'extrémité a
c. de Biologie, 1894. Baillarger. Recherches sur la structure de la
couche
corticale des circonvolutions du cerveau. Paris,
- Du même. Stricker's Handbuch, 1871. MONAKOW (V.). Rôle des diverses
couches
de cellules ganglionnaires dans le gyrus sigmoï
destination ; Que les fibres du 'système d'association occupent les
couches
les plus périphériques dé la substance blanche;
t, et entrentainsi davantage encore en contact avec les différentes
couches
de l'écorce céré- brale (Cajal). 2° Les fibre
ui occupent la deuxième, la troisième et une partie de la quatrième
couche
. Cajal a même pu suivre des arborisations jusqu
ème couche. Cajal a même pu suivre des arborisations jusque dans la
couche
molécu- laire. Ces libres ne s'anastomosent jam
sont revêtues, ainsi que leurs branches principales, d'une épaisse
couche
de myéline, munies d'étran- glements annulaires
axes des cellules pyramidales non seulement par l'épaisseur de leur
couche
de myéline, mais surtout par leur trajet irrégu
t oblique ou horizontal, qui sillonnent la substance grise dans les
couches
moyennes et inférieures de l'écorce cérébrale.
pyramidales. J', cellules poly- morphes. - A, substance blanche. B,
couche
moléculaire. 748 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
apissent. Ces fibres en U forment au niveau du fond des sillons une
couche
assez épaisse; elles se colorent intensivement
guent que par leur situation sous-corticale. La face profonde de la
couche
des fibres en U est en rapport avec la masse bl
volutions de l'opercule sylvien; son angle supérieur se perd dans la
couche
des fibres avoisinantes. Mal délimité en dehors
r se porter dans le lobe temporal; il se confond en arrière avec la
couche
des fibres verticales de la convexité des régio
de Forci et Onufrowicz sur l'agénésie du corps calleux. raie,
couche
constituée par le faisceau occipital vertical (Ov
ssociation, mettant en connexion deux circonvolutions voisines; ses
couches
profondes, en particulier celles qui sont en rapp
vid) (fig. 378, 379, 380). Le lapetum au contraire, c'est-à-dire la
couche
de fibres qui tapisse la paroi externe des corn
Fore] et Onufrowicz. - ot, sillon collatéral. - Put, pulvinar de la
couche
optique. - Tg, corps du trigone. - Top, pilier
bord su- périeur du putamen, au niveau de la partie moyenne de la
couche
optique; ce faisceau ne s'identifierait donc pa
on choroïdien. - 7 ? a, pilier antérieur du trigone. Tle, thalamus (
couche
optique). - 1'h(Va), partie de la couche optique
du trigone. Tle, thalamus (couche optique). - 1'h(Va), partie de la
couche
optique formant la paroi du troisième ventri- c
rt à ce système. Faisceau longitudinal inférieur (Burdach) (Fli). -
Couches
sagittales du lobe occipital (Wernicke). Stratu
occipital et étendu du pôle occipital au pôle temporal. Il forme la
couche
externe des fibres sagittales du lobe occipito-te
s qu'il se réduit, au niveau de l'ergot de Morand, à une très mince
couche
de fibres, décelable seulement au microscope.
ble seulement au microscope. Sa face concave est en rapport avec la
couche
des fibres de projection du lobe <c ? ? o/'o
u lobe <c ? ? o/'o-oc< ? <7/, connue encore sous les noms de
couche
sagittale interne, de radiations thalamiques, e
. Il résulte de cette disposition, que ce faisceau ne se dispose en
couche
net- tement distincte, que dans les régions sit
rs FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ï71 t supérieur de la
couche
optique. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturel
e Monro. mp, sillon marginal postérieur. .Va, noyau antérieur de la
couche
optique. - NC, noyau caudé. - VC', queue du noyau
noyau caudé. - VC', queue du noyau caudé. z Ne, noyau externe de la
couche
optique. NL-2, ,VL3. deuxième et troisième segmen
ire de la corne occipitale. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la
couche
optique. - strz, stratum zonale. - 1 ? Vs, prem
lier antérieur du trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th,
couche
optique (thalamus). tlh, toenia thalami. - V, rub
aux circonvolutions de ce lobe de nombreuses fibres. Les fibres des
couches
inférieures se rendent dans la circonvolution de
stitution de la capsule externe, dont elles concourent à former les
couches
les plus inférieures. Ces fibres, qui ne dépass
lés externe et interne, et dans les noyaux externe et interne de la
couche
optique. Les plus antérieurs de ces fascicules on
rieur ne serait formé que de fibres de projection. Pour Sachs, la
couche
de fibres que cet auteur désigne sous le nom de
des fibres de pro- jection, destinées aux centres infra-corticaux, (
couche
optique, corps genouillé externe, globus pallid
nsversale de l'hémisphère droit passant par la partie moyenne de la
couche
optique, le noyau rouge et le pédoncule cérébral.
ia tecta. - Tg, trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th,
couche
optique (thalamus). tilt, taenia thalami. Tp, c
es qui de l'écorce occipitale se rendent dans le tapetum et dans la
couche
des radia- tions thalamiques. Nous croyons qu'i
sceau, et que la plupart des fibres que l'on voit se détacher de la
couche
sagittale du lobe occipito-temporal pour s'irradi
370). Cette couronne rayonnante du lobe temporal est destinée à la
couche
optique, au corps genouillé interne, au pulvinar,
les fibres temporales destinées au pulvinar, au noyau externe de la
couche
optique, etc., traversent de même le faisceau lon
ie du corps genouillé interne qui est profondément enclavée dans la
couche
optique. Il en est de même des fibres temporale
dans et en haut vers le pulvinar. Le pédoncule illféro-inteme de la
couche
optique de Meynert, - dont les libres passent p
segment antérieur de la capsule interne (pédoncule antérieur de la
couche
optique). - Cip, segment postérieur de la capsu
ION ET COMMISSU 11 AUX. ï0 (voy. fig. : 388\ on ne retrouve dans la
couche
sagittale du lobe temporo- occipital les différ
re chez l'homme; il ne semble exister, de prime abord, qu'une seule
couche
sagittale (RTh, fig. 388) correspondant à la fusi
Th, fig. 388) correspondant à la fusion des radiations thalamiques (
couche
sagittale interne) et du faisceau longitudinal in
s (couche sagittale interne) et du faisceau longitudinal inférieur (
couche
sagittale externe), et formée de fibres serrées,
inant les choses de plus près, on constate qu'il existe entre cette
couche
de fibres fortement colorées par l'hématoxyline e
au occipilo-vertical de Wernicke (voy. fib. 388, Ov) une très mince
couche
de fibres fines, peu colorées par l'hématoxylin
aces interne et externe; de là il se porte en avant, et entoure d'une
couche
mince, mais complète, l'épaisse couche des radi
e en avant, et entoure d'une couche mince, mais complète, l'épaisse
couche
des radiations thalamiques. Sur les coupes inté
us-jacente et en particulier dans les cas de lésions en foyer de la
couche
sagittale du lobe tcmporo-occipital, on voit qu
-78t Le stratum calcarinum (fig. 290 et 389, strK) est une épaisse
couche
de fibres verticales, qui double l'écorce de l'
rne du cunéus à la face inféro-in- - terne du lobule lingual. Cette
couche
de fibres verticales s'étend du pôle occipital
au postérieur du cingulum. Elle repré- sente en d'autres termes, la
couche
des fibres en U de la scissure calcarine. Briss
rine, traverser perpendiculairement ou plus ou moins obliquement la
couche
des fibres en U, puis les faisceaux d'association
isceaux d'association plus ou moins longs, et concourir à former la
couche
des fibres de projection, dont la situa- tion e
les fibres d'association plus ou moins longues, avant d'arriver la
couche
des fibres sagittales du lobe occipital. Le fai
389) stratum proprium convexitatis de Sachs, constitue une épaisse
couche
de fibres propres au lobe occipital et qui relie
le lobule fusiforme. Très épaisse dans la région occipitale, cette
couche
s'amincit en avant; elle est toutefois facile à c
sième circonvolutions temporales et recouvre profondément la mince'
couche
des fibres propres du sillon parallèle. En arri
du lobule lingual. Grâce à ces nombreux entre-croise- ments, cette
couche
de fibres verticales est mal délimitée en dehors,
aisceau (fig. 394) (Voy. Th. de Vialet, Obs. III). Outre ces quatre
couches
de fibres propres au lobe occipital, Sachs dé-
s de fibres propres au lobe occipital, Sachs dé- crit une cinquième
couche
de oourtes fibres d'association propresau cunéus,
arinum : elles prennent leur origine comme celles de cette dernière
couche
et comme celles du faisceau transverse du cunéu
cipitale du ventricule latéral. 78t ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Couche
des libres propres des circon- volutions de f
e de l'hémi- sphère. Fibres d'associa- tiou lu IoVc l'routal.
Couche
des fibres propres des circonvolutions de la face
opres des circonvolutions de la face interne de l'hémisphère. - Une
couche
de fibres verticales, analogues aux fibres prop
nent autou des scissures calloso-marginale et sous-pariétale. Cette
couche
de fibres s'étend du cunéus au pôle frontal, et
de l'hémisphère; grâce à la direction oblique de ses libres, cette
couche
apparaît foncée sur les coupes vertico-transversa
rsales microscopiques (p. 528 lig. 281 à 287 et 387). C'est cette
couche
de fibres propres des circonvolutions de la face
al au cunéus, voire même au lobule lingual. Appliquer en outre à la
couche
des courtes fibres d'association des circonvolu
rons donc le terme de forai ? au trigone cérébral et désignerons la
couche
de fibres d'association dont il est question ici,
he de fibres d'association dont il est question ici, sous le nom de
couche
des fibres propres des circonvolutions de la face
occipital. La corne occipitale, autour de laquelle se groupent les
couches
sagittales et les différentes couches des court
r de laquelle se groupent les couches sagittales et les différentes
couches
des courtes fibres d'association, se prolonge en
Sge) qui double la corne frontale (Vf) en avant, une disposition en
couche
annulaire, très analogue d'aspect, quoique beau
nne rayonnante du lobe frontal (CR). Ces fibres se disposent en une
couche
épaisse en dehors, en haut et en bas, et mince en
a première circonvolution limbique (fig. 390). Cette disposition en
couches
sagittales ne se retrouve pas sur les coupes ho
est autour des fibres de la couronne rayonnante que se groupent les
couches
des fibres d'association propres au lobe frontal
tales. Mais ces courtes fibres d'association ne se disposent pas en
couches
compactes comme dans le lobe occipital - elles
de la région. En avant de la substance grise sous-épendymaire, les
couches
de fibres 1... différenciées perdent rapidement
t au-dessous du genou du corps calleux, par la partie moyenne de la
couche
optique et les deux segments du noyau lenticulair
é et s'y irradier, quelques . rares fascicules traversent seuls les
couches
les plus superficielles de ce noyau. , Les ra
me circonvolution frontale (off. quelques fibres proviendraient des
couches
les plus inférieures de la capsule externe (Ce) (
fibres de la couronne rayonnante, elles sont séparées en effet des
couches
inférieures du segment antérieur de la capsule
sillon sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temporale. - Th,
couche
optique. - 7'ltt, pilier antérieur du trigone.
à l'autre, dans toute l'étendue de la corne occipi- ? tale, par une
couche
continue de libres qui tapisse les parois interne
et de projection non encore différenciées, elles n'apparaissent en
couche
annulaire distincte qu'au voisinage immédiat de l
cavité ventri- ' culaire. Elles entourent la corne occipitale d'une
couche
mince et régulière . (Tap) fig. 290, p. 560), q
la substance grise sous-épendymaire, et qui est recouverte par les
couches
concentriques des radiations thalamiques (RTh) et
ur (Fli). Sur les coupes vertico-transversales, les fibres de cette
couche
annulaire se trouvent toutes sectionnées plus o
fusiforme affectent une direction sagittale. Les fibres de la mince
couche
qui tapisse l'ergot de Morand proviennent des d
- nent vers la paroi externe du ventricule, traversent les épaisses
couches
de fibres du faisceau longitudinal inférieur (F
nant, vers l'angle supérieur de la corne occipitale, traversent les
couches
des faisceaux d'association et de projection, p
rayonnant vers l'angle externe du ventricule latéral, traversent les
couches
des libres d'association, des fibres de project
tapetum. Ce terme date de Reil, qui comprenait sous ce nom la mince
couche
de fibres d'aspect triangulaire, qui tapisse la
la paroi supéro-externe des cornes sphénoïdale et occipitale; cette
couche
se continuait en haut avec la partie^ postérieure
le. Burdach, au contraire, ne désigne sous le nom de tapetum que la
couche
de fibres qui tapisse la paroi supéro-externe d
ne des fibres dégénérées, et aborder soit le forceps major, soit la
couche
des radiations thalamiques. Si la lésion est pl
rC, precuneus. so, sillon sus-orbitaire de Broca. Th, tha- lamus (
couche
optique). 798 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. L
/t, pied de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule inférieur de la
couche
optique. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. RC
e moyenne de la commissure antérieure, les fibres sont disposées en
couches
parallèles régulièrement superposées; elles ne s'
contingent principal des fibres du pédon- cule inféro-interne de la
couche
optique (PiTh) (Voy. i. II). Recouverte par l'é
de projection et en parti- culier au pédoncule inféro-interne de la
couche
optique. De toute l'étendue de la capsule exter
ement chez les poissons où l'écorce cérébrale se réduit à une mince
couche
épithéliale, mais encore chez les reptiles et les
e pédonculaire. FIBIIES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 3 la
couche
optique, les corps genouillés, les tubercules qua
itue un faisceau volu- mineux, dont les fibres se disposent en deux
couches
parallèles. La couche externe, la plus importan
mineux, dont les fibres se disposent en deux couches parallèles. La
couche
externe, la plus importante et la plus épaisse, e
les qui la limitent et se continue insensiblement en dedans avec la
couche
interne. Celle-ci con- ticnt des libres plus pâ
scicules très lâches , etla différence de coloration entre ces deux
couches
tient peut-être moins à la finesse qu'à la moin
'à la moindre abondance de ces fibres (Fig. 4). La dis- tinclion en
couches
externe et interne est très nette sur les coupes
sillon sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temporale. - Th,
couche
optique. - ï'.7n, pilier antérieur du trigone.
- Le segment antérieur de la couronne rayonnante, son pied, ses deux
couches
sagittales et le faisceau occipito-frontal vus
pied du segment antérieur ou frontal de la couronne rayonnante; ses
couches
sagittales interne (fSgi) et externe l/Sge). OF,
. \'C, noyau caudé. \~l ventricule latéral. Sa division en deux
couches
sagittales. 8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. S
ère du genou, au niveau du pied de la couronne rayonnante, les deux
couches
se fusionnent en une couche unique oblique en b
ed de la couronne rayonnante, les deux couches se fusionnent en une
couche
unique oblique en bas et en dedans, qui se cont
passe dans le lobe temporo-occipilal, on pourrait désigner ces deux
couches
sous les noms de couche sagittale interne (fSgi
o-occipilal, on pourrait désigner ces deux couches sous les noms de
couche
sagittale interne (fSgi) et de couche sagittale e
deux couches sous les noms de couche sagittale interne (fSgi) et de
couche
sagittale externe (fSge) du lobe frontal (Fig.
FiG. 5. - Le segment antérieur de la couronne rayonnante et ses deux
couches
sagit- tales vus sur une coupe vertico-transver
. 9 rieur de la couronne rayonnante se présente sous l'aspect d'une
couche
coudée, dont l'angle saillant correspond à la p
capsule interne que sur des plans plus postérieurs. Les fibres des
couches
sagittales du lobe frontal ne se rendent pas to
ur de la capsule interne. Un petit nombre, appartenant surtout à la
couche
sagittale interne, prennent la voie du faisceau
ale et temporo-pariétale. Son origine. Sa disposition en deux
couches
sagit- tales. partie moyenne de l'hémisphère,
ond de la scissure calcarine n'étant tapissé que par une très mince
couche
de fibres appréciable seulement au microscope.
segment postérieur de la couronne rayonnante se dis- posent en deux
couches
sagittales : l'une externe, fortement colorée par
sse de ses fibres. Nous avons étudié dans le tome 1er, page 765, la
couche
sagittale externe du lobe occipito-temporal sou
projection destinées aux ganglions infra-corticaux. Les fibres de la
couche
sagittale interne (RTh) appartiennent toutes, p
itale et dans la partie postérieure du carrefour ventriculaire, les
couches
sagittales externe et interne constituent deux
FiG. 8. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante et ses deux
couches
sagit- tales externe et interne dans la région
laire. - Fbi, faisceau basai interne ou partie inféro-interne de la
couche
sagittale externe du segment postérieur de la cou
e la couronne rayon- nante. Fli, faisceau longitudinal inférieur ou
couche
sagittale externe du segment postérieur de la c
adiations calleuses.- It1'Ie, radia- tions thalamiques. - Sge, Sgi,
couches
sagittales externe et interne du segment postérie
. - Fc, fasciola cinerea. - Fli, faisceau longitudinal inférieur ou
couche
sagittale externe du segment postérieur de la cou
ronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION DE LËCORCE CEREBRALE. 15
couches
nettement distinctes, traversées par les fibres c
e et dans la partie antérieure du carrefour ventriculaire, ces deux
couches
fusionnent en une seule (Fig. 10). Les fibres d
s fusionnent en une seule (Fig. 10). Les fibres de projection de la
couche
sagittale externe s'enchevêtrent avec celles de
ion de la couche sagittale externe s'enchevêtrent avec celles de la
couche
sagittale interne, s'infléchissent en dedans et e
segment rétrolenticulaire de la capsule interne. La fusion des deux
couches
sagittales est en outre complétée par les nom-
icules onduleux fortement colorés par la laque hématoxylinique, les
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne r
terne de la corne sphénoïdale (Vsph) (Fig. 7). Elles font suite aux
couches
sagittales externe et interne du lobe occipital,
du tri- gone. TgV, carrefour ventriculaire. Fusion de ces deux
couches
au voisinage du pied do la cou- ronno rayonna
Fc. 10. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante, ses deux
couches
sagit- tales externe et interne et leur continu
sillon marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la
couche
optique. - SC, noyau caudé. - \'C', queue du no
oyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - Se, noyau externe de la
couche
optique. - VL2, VL3, deuxième et troisième segm
de la corne occi- pitale. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la
couche
optique. sl),z, stratum zonale de la couche opt
tra-ventriculaire de la couche optique. sl),z, stratum zonale de la
couche
optique. - 1 ? 7 ? première et deuxième circonvol
lier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th,
couche
op- tique (thalamus). - llh, taenia llialami. -
de Sylvius, - SR, substance réticulée. - slrz, stratum zonale de la
couche
optique. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - U
rc dc la capsule interne. - cm, sillon calloso- marginal. - CSgl,
couches
sagittales du segment posté- rieur de la cour
sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante et les deux
couches
sagittales de son segment antérieur ou lronta
ourbe. l'ul, pu I vin ar. RTh, radia- lions thalamiques. - Sge,
couche
sagittale externe; Sgi, couche sagiltale in-
radia- lions thalamiques. - Sge, couche sagittale externe; Sgi,
couche
sagiltale in- terne du segment posté- rieur d
f4, sillon crn- cial. - Fli, faisceau longi- tudinal inférieur ou
couche
sagittale externe du segment postérieur de la
qun- drijumeauantérieur, - / ! 7'/t, radiations thal;uuiyucs ou
couche
sagittale interne du segment postérieur de la
r" sillon crucial. - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur ou
couche
sagittale externe du segment postérieur de la
diations olfactives pro- fondes. - RTh. Radiations thalamiqucs ou
couche
sa- gittale interne du segment postérieur de
(Cia) et postérieur (Cip) à la façon d'un coin et de la forme de la
couche
optique dont le pulvinar refoule le segment rét
apsule interne en deux régions, l'une supérieure en rapport avec la
couche
optique région thalamique de la capsule interne
segment antérieur ou frontal de la couronne rayonnante. - CSgt, les
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
noyau lenticulaire, et convergent vers l'extrémité antérieure de la
couche
optique dans laquelle elles s'irradient. Les mo
ur; Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - CSgt,
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne r
i sectionnent le tronc du noyau caudé ou la partie supérieure de la
couche
optique, les segments antérieur (Cia) et postér
itudi- nales, et pénètrent toutes dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique en constituant les fibres radiées. Sur
es radiées. Sur les coupes qui intéressent le tiers inférieur de la
couche
optique (Fig. 22), l'on voit à découvert l'extrém
sillon marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la
couche
optique. - NC, tète du noyau caudé. - \'C' queu
noyau caudé. - \'C' queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la
couche
optique. Ni, noyau interne de la couche optique
. - Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la
couche
optique. -VLj, deuxième segment du noyau lenticul
me segment du noyau lenticulaire (putamen). - Vm, centre médian de la
couche
optique. - PaTh, pédoncule antérieur de la couc
ntre médian de la couche optique. - PaTh, pédoncule antérieur de la
couche
optique. - pCR, pied de la couronne rayonnante.
lon opto- strié. - Sl, septum lucidum. - slm, stratum zonale. - Th,
couche
optique. - T,, première circonvolution temporal
is segments du noyau lenticulaire. J'a Th , pédoncule antérieur de la
couche
optique. - Tga, pilier antérieur du trigone. 7'
c, toenia tecta. - 1'oa, pilier antérieur du trigone. - Th, thalamus (
couche
optique). - U, circonvolution du crochet. - l'l
oyenne et postérieure, les corps genouillés externe et interne, les
couches
sagittales du seg- ment inférieur de la couronn
? pied de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la
couche
optique. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule quad
eur du putamen (NLj), puis descen- dent entre la face externe de la
couche
optique (Th) et les trois segments du noyau len
ur les coupes horizontales qui passent par le tiers supérieur de la
couche
optique (Fig. 13, 20), sont très accusées sur cel
millaire. l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; ses
couches
superficielle (1), moyenne (2) et profonde (3).
t. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius». - Th, tlialamus,
couche
optique. - l'ol, tubercule ou trigone olfactif. -
tion frontale ascendante. Fli, fais- ceau longitudinal inférieur ou
couche
sagittale externe du segment inférieur de la cour
lvinar (Pul) par sa face externe. Ces fascicules ne forment pas une
couche
continue, mais sont dissociés par les nom- breu
de ses fibres; sur les coupes passant par le tiers inférieur de la
couche
optique et la région sous-thalamique (Fig. 24),
du segment sous- leiitictilaire de la capsule interne. Ses deux
couches
. 42 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Faisceau
tion du segment sous-lenticulaire de la capsule interne et ses deux
couches
formées par le faisceau de Turck et le faisceau
) et le corps genouillé externe (Cge) et sa continuation avec les
couches
sagittales (CSgt) du segment postérieur delà cou-
CR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la
couche
optique. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur
Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - CSgt. les
couches
sagittales du segment inférieur de la couronne
gment sous-len- ticulaire de la capsule interne et se dédoublent en
couches
sagittales interne (Sgi) ou radia- tions thalam
couches sagittales interne (Sgi) ou radia- tions thalamiques et en
couche
sagittale et externe (Sle) ou faisceau longitudin
aiscerlU rétroflexe de Meynert. - 1·'T faisceau de Turck formant la
couche
supérieure du segment sous-lenticulaire de la c
édonculaire (VI'). - fTlk, faisceau temporo-thalamique d'Arnold, ou
couche
inférieure du segment sous-lenticulaire de la cap
ent sous-lenticulaire de la capsule interne du (Cisl) comprend deux
couches
de fibres superposées et de direction différent
-transversales et sagittales de la région (Fig. 29, 30 et 281) : la
couche
supérieure comprend les fibres du faisceau de Tur
e rayonnante jusqu'au pied du pédoncule cérébral (Fig. 29 et 7). La
couche
inférieure est con- stituée par le faisceau tem
ire de la capsule interne. - coa, commissure antérieure - CSgt, les
couches
sagittales du segment inférieur de la couronne ra
rémité antérieure de la corne sphénoïdale et sa continuation avec les
couches
sagittales du segment inférieur de la couronne
e la corne sphénoldale. - h'li, faisceau longitudinal postérieur ou
couche
sagittale externe du segment inférieur de la co
adiations de ta calotte. 7 ? ruban de Reil médian; 7 ? région de la
couche
optique située immé- diatement en avant du corp
terne dans laquelle il s'irradie. - RTIe, radiations thalamiques ou
couche
sagittale interne du segment inférieur de la cour
faisceau temporo-thalamique ne relie donc pas le pôle temporal à la
couche
optique. L'étude des dégénérescences secon- dai
, se dirigent vers le locus niger et forment dans leur ensemble une
couche
de lâches fascicules séparés par de la substanc
grise et connue sous le nom de stratum inter- medium (Meynert), de
couche
dorsale du pied du pédoncule cérébral (Flechsig
s, elles rentrent dans Fig. 35. - Le pied du pédoncule cérébral, sa
couche
intermédiaire ou profonde, et le pes lemniscus
culaire, ses fibres horizontales et les fascicules dissociées de sa
couche
profonde. - 171 ? valvule de \'ieussens. - l ? qu
ant ainsi une dégénérescence du faisceau interne, au moins dans ses
couches
superficielles. Cette disposition si spéciale ne
radiations du noyau rouge. 1. radiations thalamiques. Le thalamus (
couche
optique) esl, de tous les centres ganglionnaire
u expérimentale retentit toujours, quel qu'en soit le siège, sur la
couche
optique. Ces fibres, dites radiations de la cou
siège, sur la couche optique. Ces fibres, dites radiations de la
couche
optique, radiations thalamiques , fibres cortic
59 Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - CSgt,
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
e et à la capsule interne, et convergent vers la face externe de la
couche
optique. Elles se séparent, à ce niveau, du reste
achent un grand nombre de petits fascicules qui s'irradient dans la
couche
optique et forment les fibres radiées (Fig. 41).
nom dopé- doncules antérieur, moyen, postérieur cl inférieur de la
couche
optique. Ils correspondent aux segments de même
nces secondaires (voy. p. 90 et suiv.), une région déterminée de la
couche
optique. Les lésions du lobe frontal entraînent u
ue territoire cor- tical correspond une région déterminée de la
couche
optique. 60 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fib
Elles relient le lobe frontal à l'extré- mité antérieure do la
couche
optique. Présentent un tra- jet sagittal mtra
e du noyau externe du thalamus, et la zone dégénérée occupe dans la
couche
optique une région qui correspond très exacteme
nn), p. 137, Fig. 12 à 136) sur la partie ventrale et externe de la
couche
optique. 1. Fibres cortico-thalamiques antérieu
s. - (Radiations thalamiques antérieures, pédoncule antérieur de la
couche
optique) PaTh, Fig. 3, 14, 20 à 23, 41, 12, 43.
uis pénètrent dans toute la hauteur de l'extrémité antérieure de la
couche
optique. Après avoir formé la zone grillagée (Z
(Lmi), et peuvent être suivies dans les deux tiers antérieurs de la
couche
optique jusqu'au plan vertico-transversal qui p
djacente du tronc encéphalique intéressant le noyau antérieur de la
couche
optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faiscea
ions thalamiques moyennes ou supérieures, pédoncule supérieur de la
couche
optique.) (Fig. 7, 26.) Les fibres cortico-thal
co-protubérantielles et cortico-médullaires, ces fibres abordent la
couche
optique par toute la hauteur et toute l'étendue
quoi, sur les coupes horizontales (Fig. 41), le noyau externe de la
couche
optique est tacheté par de gros fascicules sect
NTRES NERVEUX. Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la
couche
optique. - si, sillon opto-strié. - strz, strat
trigone. - l'gp(Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). - 1'le,
couche
optique (thala- mus). - nI, trou de Monro. - tl
a partie adjacente du lobe pariétal à l'extrémité postérieure de la
couche
optique, en particulier au pulvinar (Pul). Elle
cas Le Seguillon, Fig. 129 à 133.) Elles font partie intégrante des
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
segment postérieur de la couronne rayonnante (en particulier de la
couche
sagittale interne) et du segment rétrolenticula
rtico-thalamiques inférieures relient le lobe occipilo. temporal la
couche
optique. Les unes, très nombreuses, se rendent '
dent ' ! ans le pulvinar et dans la partie ventrale adjacente de la
couche
optique. Le : TOME II. 5 Fibres eortico-tlta-
interne du thalamus, forment le pédoncule inféro-interne de la
couche
optique et passent par la sub- stance innomin
du thalamus de Meynert, et abordent la partie antéro-inlerne de la
couche
optique. 1. Les fibres destinées au pulvinar (F
le in- féro-interne du thalamus (Pith) et son irradiation dans la
couche
optique; l'anse lenticulaire (Al), sa continuat
S DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. G7 semblent faire suite à la
couche
sagittale interne du lobe temporal. (RTh, Fig.
entri- cule (Fig. 43), les libres du pédoncule inféro-interne de la
couche
optique se recourbent en arrière et en dedans,
rradient en éven- tail dans l'extrémité antérieure et interne de la
couche
optique; elles affectent un trajet sagittal, cr
enticulaire de Reichert (Fig. 46) le pédoncule inféro-interne de la
couche
optique est croisé par les radiations olfactive
gauche, Fig. 93) qu'elles occupent dans le segment postérieur de la
couche
rayonnante à peu près la hau- teur de la deuxiè
er antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th,
couche
optique. 3, troisième ventricule. - VA, faiscea
e quadrijumeau antérieur (BrQa), et s'irradient finalement dans les
couches
superficielle et moyenne du tubercule quadrijum
corps genouillé externe, restent pro- fondes et s'irradient dans la
couche
moyenne du tubercule quadrijumeau antérieur (RQ
e. T,, première circonvolution temporale. - Te, tuber cinereum. Th,
couche
optique. Tm, tubercule mamillaire. - '3, troisi
ouillé interne (RCgi) abordent à ce niveau la partie ventrale de la
couche
optique, entre le pulvinar et le noyau externe,
partie du corps genouillé interne, profon- dément enclavée dans la
couche
optique (Fig. 47 et 48). Elles persistent intac
g- ment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Elles abordent la
couche
optique au-dessus des radiations du corps genou
qu'alors, que If pied du pédoncule cérébral ne contient, ni dans sa
couche
périphérique, ni dans le stratum intermedium, d
et le segment postérieur de la capsule interne, s'irradient dans la
couche
optique et forment à elles seules l'étage inférie
noyau rouge. - Il pul- vinar. - RsTh, région sous-thalamique. - Th,
couche
optique. - Qa, tubercule quadriju- meau antérie
intéressant l'écorce grise avec intégrité des corps striés et des
couches
optiques. Ainsi se trouva donc posé le problème
leur constituaient une véritable couronne rayonnante (Fia.. 50). La
couche
optique recevait Fie. 50. - Les connexions des
orps calleux. - CE, capsule externe. - CI, capsule interne, - CO,
couche
optique. - FC, fibres pédoncu- laires destinées
iculaire qui se jettent dans le lobe sphénoïdaL- FT, fibres de la
couche
optique qui vont il la corticalité cérébrale.
rh" l'h3 (coupes 2 et 3), une fibre protubérantielle qui occupe la
couche
superficielle du pédoncule cérébelleux moyen ga
ngitudinales de la protubérance et se continue avec une fibre de la
couche
profonde du pédoncule cérébelleux moyen gauche.
lbaire et pénètre dans le cordon postérieur droit. - fb', fibre des
couches
profondes du corps restiforme droit qui entre e
rdre constitué par les nerfs périphériques cérébro-rachidiens. La
couche
optique et les tubercules quadrijumeaux envoyaien
ocus niger de Meynert) (SS,Fig. 51, coupe 1), elles occupaient la
couche
profonde ou stratum intermedium des parties in-
ale du pied du pédon- cule cérébral. a, le faisceau externe de la
couche
inférieure du pied du pédoncule cérébral (faiscea
culier du facial et de l'hypoglosse. - c, le faisceau interne de la
couche
inférieure du pied du pédoncule cérébral (fibres
du noyau caudé) non encore myélinisé. - d, la partie interne de la
couche
supérieure ou dor- sale du pied du pédoncule cé
du noyau caudé) non encore myélinisée. - b, la partie externe de la
couche
supérieure ou dorsale du pied du pédoncule céré
. - La constitution du pied du pédoncule d'après Flechsig. La
couche
ven- trale. Son contingent cortical. Son
trale. Son contingent cortical. Son contingent strié. La
couche
dorsale. Son contingent strié. Flechsig, da
et divise chez le nouveau-né le pied du pédoncule céi ébral en deux
couches
, l'une ventrale inférieure ou périphérique, l'aut
trale inférieure ou périphérique, l'autre dorsale ou supérieure. La
couche
ventrale comprend quatre faisceaux (Fig. 53) : .
e inférieure du pédoncule et occupent alors la partie interne de la
couche
dorsale ou profonde; elles aboutissent finaleme
es. c) Quant aux fibres du noyau lenticulaire, les unes occupent la
couche
dorsale, les autres se rendent dans la couche v
les unes occupent la couche dorsale, les autres se rendent dans la
couche
ventrale et sont situées entre le faisceau des ne
faisceau strio-protubéranliel (Slrei- feiilingel-Brückenbahn). La
couche
dorsale du pied du pédoncule cérébral est située
midal, un faisceau cortico-protubérantiel pos- térieur et, dans les
couches
internes et profondes du pied du pédoncule des fi
et le pli courbe envoient de nombreuses fibres de projection dans la
couche
optique, et les faits que nous rapportons dans
des fibres de projection, et qu'il participe à la constitution des
couches
sagittales du lobe occipito-temporal et du segmen
de la pyramide anté- rieure du bulbe (Py), atrophie indirecte de la
couche
interolivaire (im(a) et hémia- trophie en masse
mitif cortical et se réduira Fig. 59, - Cas Pichepin. fragments des
couches
interolivaires du côté sain et du côté atrophié
ment rétro-lenticulaire de la capsule interne et dégénérescence des
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne r
es corticaux déterminés : tels sont les deux tiers supérieurs de la
couche
optique, (en particulier le pulvinar, les noyau
iétal, la lésion atteint l'épendyme ventriculaire e et sectionne la
couche
sagittale et que c'est par cette couche que passe
riculaire e et sectionne la couche sagittale et que c'est par cette
couche
que passent les fibres de projection de la régi
gauche dans tous ses diamètres et une atrophie très prononcée de la
couche
optique, ainsi qu'une réduction de volume très ne
ig. Gi à 70 et 78). En d'autres termes, toutes les connexions de la
couche
optique avec la corticalité cérébrale étaient d
ne et interne, du bras du tubercule quadrijumeau antérieur et de la
couche
superficielle du tubercule quadrijumeau antérieur
Pradel. Dégénérescence totale de la pyramide gauche. Atrophie de la
couche
inter-olivaire gauche. Atrophie en masse de la mo
x contrastaient singulièrement avec l'atro- phie considérable de la
couche
optique. Si ce cas nous renseigne parfaitement
unicante postérieure (jaune) irrigue l'extrémité an- térieure de la
couche
optique et de la région sous-optique. FIBRES DE
nom de radiations optiques de Gratiolet (RTh) et occupent, dans la
couche
sagittale interne du lobe occipiLo-Lemporal, à
nférieur (Fli). Les fibres dégénérées de ce faisceau passent par la
couche
sagittale externe du lobe temporo- occipital et
yme du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau les
couches
sagittales (en particulier le faisceau longitud
ès intense du segment postérieur de la couronne rayonnante dans les
couches
sagittales qui tapissent la paroi inférieure et
rieur (BrQa) (Fig. 81 il 83). D'autre part elle se poursuit dans la
couche
sagittale externe (faisceau longitudinal inféri
nérescence. - On constate néanmoins une dégénérescence très nette des
couches
sagittales (radiations thalamiques (RTh) et fai
des scissures calca- rine et collatérale. Dégénérescence des
couches
sagittales du segment postérieur de la couron
l), du corps ge- nouillé externe (Cge), du bras (BrQa) et de la
couche
de fibres superficielles du tu- bercule quadr
s en avant une ligne verticale rasant l'extrémité postérieure de la
couche
optique; elle sectionne à ce niveau l'isthme de
ansversales (Fig. 89) montrent que celte plaque a détruit les trois
couches
de fibres qui doublent le plancher de la corne
ure et supérieure (Fig. 92). 2° Une dégénérescence très intense des
couches
sagittales des segments postérieur et inférieur
la couronne rayonnante (Fig. 89). Au milieu des fibres dégénérées des
couches
sagittales qui longent la paroi externe de la c
Tgp. quelques coupes depuis la crête des circonvolutions jusqu'à la
couche
des radiations thalamiques ou sagittale interne
adiations thalamiques ou sagittale interne. - La dégénérescence des
couches
sagittales (radia- tions thalamiques (RTh) et f
um et du forceps postérieur du corps calleux. Dégé- nérescences des
couches
sagittales (radiations thalamiques (RTh) et faisc
ntacte, ainsi que la commissure antérieure. La dégénérescence des
couches
sagittales, en particulier du faisceau longitudin
um zonale), du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des
couches
superficielle et moyenne de ce tubercule et du pi
2° Il existe une dégénérescence très intense, bien que limitée, des
couches
sagittales Fic. 91. - Cas Bras. Cécité cortical
apsule interne. - Dégénérescences secondaires du tapetum (Tap), des
couches
sagittales du segment postéro-inférieur de la cou
rnicke (W), du pulvinar (Pul), du corps genouillé externe (Cge) des
couches
superficielle et moyenne du tubercule quadrijumea
et de suivre d'une façon très manifeste les fibres dégénérées dans la
couche
sagittale de la deuxième circonvolution tempora
oblique en bas et en dehors passant par la partie supérieure de la
couche
optique et la voûte de la corne sphénoidale, in
les quatre segments de la capsule interne. - Dégéné- rescences des
couches
sagittales des segments postérieur et inférieur d
ule quadrijumeau antérieur paraît peu touché, ainsi du reste que la
couche
superficielle de ce tubercule. La bandelette opti
du pli courbe dans le fond de laquelle on aperçoit la striation des
couches
sagittales. Dessin fait d'après une photographi
néral l'éhen- dyme ventriculaire, et sectionnent par conséquent les
couches
sagittales du segment FIG. 9-1.- Cas Jouan. (Bi
ontale passant par la région thalamique moyenne. Dégénérescence des
couches
sagittales externe (Sge) et interne (Sgi), du s
ns ces cas, on observe toujours une dégéné- rescence secondaire des
couches
sagittales se faisant dans les deux sens, du côté
interne et du pulvinar d'autre part. Ce fait montre nettement que les
couches
sagittales du lobe occipito-pariéto-temporal co
rte que l'on voit intacte, dans le fond du foyer, la striai ion des
couches
sagittales (Fig. 96). Fin. 98. - Cas Jouan. Cou
gion thalamique moyenne de la capsule interne : 1° dégénérescence des
couches
sagittales externe et interne (Sge et Sgi) du s
tiellement a la lésion primitive. Elle occupe la partie interne de la
couche
sagittale externe (se, Fli), et la partie centr
la couche sagittale externe (se, Fli), et la partie centrale de la
couche
sagittale interne (Sgi, H1'h), et ce siège indi
TION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 125 les envoie dans le pulvinar par les
couches
sagittales interne et externe et le segment rét
plaque jaune a atteint l'épendyme ventriculaire et sectionné les
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne r
olenticulaire de la capsule interne (Fig. 102). Dégénérescences des
couches
sagittales en amont de la lésion pouvant être sui
de la région et du faisceau occipital vertical (Ov), qui recouvre les
couches
sagit- tales et se prolonge en avant jusqu'à la
on; faisceau longitudinal inférieur (Fli), qui concourt à former la
couche
sagitlale externe et dont les fibres dégénérées s
la zone rolan- dique, quel que soit leur siège, retentissent sur la
couche
optique (Th), le locus niger (Ln), le pied du p
association et des fibres de projection, mais encore les libres de la
couche
sous-épen- dymaire (Sge); on peut la suivre d'a
eau arqué ou longi- tudinal supérieur, de la capsule externe, de la
couche
sagittale interne du lobe frontal, du faisceau
ticu- lée, et des fibres radiées del'extrémité antérieure de la
couche
optique. Dans la région sous- thalamique de l
e (Cia), ce faisceau est fusionné avec le pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh). Au moment où il s'en détache pour
. La plupart des fibres dégénérées se portent, en effet, vers les
couches
profondes du bord interne du pied du pédoncule
de lésions à la fois corticales et sous-corticales qui atteignent les
couches
sagittales du FiG. 125, 126, 127. -Cas Heudeber
icke (W), du corps genouillé externe (Cge), du bras (BrQa) et de la
couche
de fibres superficielles du tubercule quadrijum
nces secondaires propres au lobe occipital, au lobe pariétal et aux
couches
sagittales sous-jacentes - (dégénérescences du se
, non seulement l'écorce du lobe occipito- temporal, mais encore la
couche
blanche sous- jacente et qu'elle atteint, dans
che sous- jacente et qu'elle atteint, dans le lobe tempo- ral, la
couche
épendymaire du plancher de la corne sphénoïdale
ettelésion a sectionné dans la région thalamique su- périeure les
couches
sagittales de la région, mais n'atteint pas l'é
, de de la partie postérieure de T¡,de t)pP2Ct Ip i section des
couches
sagittales. 1>egûné- rescence du segment
et moyenne (Fig. 131). La plaque jaune (Ram a) a sectionné les
couches
sagittales au voisinage du segmentrétro-lenti
P., de la partie postérieure de T,,de 01)1'2 etlp; section des
couches
sagittales. Dégéné- rescence du segment ret
s coupes sériées, il peut être suivi en bas et en arrière, dans les
couches
sagittales voisines du segment rétro-lenticu- l
u lobe temporal. Il est vrai que ces lésions intéressent parfois la
couche
sagittale du lobe temporo- occipital et détruis
blanche sous-jacente du lobe temporal, mais ne sectionnait pas les
couches
sagittales de la région. Dans deux autres cas, à
voie donc ses fibres de /projection dans la partie inférieure de la
couche
optique, dans le pulvinar (Pul), dans le corps ge
fibres empruntent, dans une partie de leur trajet, la voie de la
couche
sagittale externe. Quant il la dégénérescence
l. Si l'on fait abstraction des fibres de projection destinées à la
couche
optique, aux corps genouillés, au noyau rouge,
interne (Ci ri). Certaines de ces fibres saines s'irradient dans la
couche
optique (Th), en particulier dans son extrémité a
ur la Fig. 147 sectionne le bord postérieur du putamen, longe les
couches
sagittales du lobe tem- poro-occipital et côtoi
enouillés interne (Cgi) et externe (Cge), du bras (l3rQla) et de la
couche
de fibres superficielles du tubercule quadrijumea
e en masse de toute la moitié droite du bulbe, en particulier de la
couche
interolivaire (Rm(a). Amincissement de l'olive bu
et 153); remplacée par un petit amas névroglique situé en avant de la
couche
interolivaire. L'atrophie complète de la pyrami
par le iviiia semicircularis (Lsc) et les fibres qu'il envoie à la
couche
optique. Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur na
'est la petitesse, l'atrophie extrême de la partie supérieure de la
couche
optique (pulvinar, noyaux externe et interne) (Fi
fibres que le tænia semi-circularis (fisc) (Fig. 160) envoie il la
couche
optique. Contrairement à ce qui existe à l'état n
icules onduleux, denses, serrés et parallèles, et forment presque une
couche
con- tinue (Fig. 161). A première vue le segmen
la paroi du troisième ventricule, les deux tiers postérieurs de la
couche
optique, de la légion sous-optique et du pédonc
rne, le pilier antérieur du trigone, ;'extré- mité antérieure de la
couche
optique et de la région sous-optique. - L'arlère
permettent de suivre les fibres saines du pédoncule antérieur de la
couche
optique dans la partie inférieure du segment anté
tégrité du segment rétro- lenticulaire de la capsule interne et des
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
de la capsule interne, s'irradient dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Fig. 167); il existe néanmoins dans ce
ce des piliers antérieurs (Tga) et postérieur (Tgp; du trigone, des
couches
sagittales du segment postérieur de la capsule in
BrQa, Qa, Tgp, et du ruban de Rei- médian. Dégénéres- cence des
couches
sagittales du seg- ment postérieur do la co
pédoncule cérébral (Fig. 177). Dégénérescence du bras (BrQa) et des
couches
superficielle et moyenne du tubercule quadrijumea
avec intégrité de la commissure de Meynert (CM). Dégénérescence des
couches
sagittales (Sgi et Sge-d) du segment postérieur
édian droi t (Hm-a) dans son trajet protubérau- tiel. Minceur de la
couche
interolivaire droite. Diminution de volume des li
rQa, Qa, 1'gp, et du ruban de Reil médian. Dégénéres- cence des
couches
sagittales du segment postériour de la cou-
Qa, Qa, Tgp, et du ruban de Reil mé- dian. Dégénéres- cence des
couches
sagittales du seg- ment postérieur de la co
e de la capsule interne (Cirl), une dégénéres- cence très nette des
couches
sagittales des segments inférieur et postérieur d
rayonnante, intéressant plus particulièrement la partie externe de la
couche
sagittale externe et la partie interne de la co
e externe de la couche sagittale externe et la partie interne de la
couche
sagittale interne (Fig. t 7'1 et 170). Cette dé
be (Fig. 199). Mais il existe encore ici une certaine minceur de la
couche
inlerolivaire, une diminution de volume des fibre
182), il s'agit d'une lésion centrale de l'extrémité antérieure de la
couche
oplique et de la pailie moyenne du globus palli
e moyenne du globus pallidus et de l'extrémité antérieure de la
couche
optique sectionnant la partie antérieure du seg
us, de la zone de Wernicke, du segment rétrolenti- culaire et des
couches
sagittales du segment pos- térieur de la couron
segment rétro-lenticulaire, s'étendant à la partie adjacente de la
couche
optique et du globus pallidus. Méthode de Weige
OJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 181 Le loyer pnmItlroccupe, dans la
couche
oplique, la partie antérieure du pulvinar (Pu
ée (Zr) du noyau externe du thalamus (Fig. 190); dégénérescence de la
couche
de fibres superficielles du tubercule quadrijum
ré (Fig- 188). 11 existe enfin dans ce cas une dégénérescence de la
couche
de fibres superficielles du tubercule quadrijumea
rne. Dégénérescence complète du pulvinar (Pul) ; dégénérescence des
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
E PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 183 Dégénérescence complète des
couches
sagittales du segment postérieur de lt couronne
illé externe (Cge), de le bandelette optique (II), du bras et de la
couche
superficielle du tubercule quadriju- meau antér
amont du foyer primitif : 10 une dégéné- rescence très intense des
couches
sagittales externe et interne (Sge, Sgi), (faisce
eau occipito-frontal (OF) qui peut être suivie, d'une part, dans la
couche
sous-épendymaire du tapetum et d'autie part le
dans toute la partie externe du carrefour ventriculaire et foi me une
couche
très bien délimitée en dehors par la dégénéresc
une couche très bien délimitée en dehors par la dégénérescence des
couches
sagittales, en dedans par la dégénérescence des
une dégénérescence du corps genouillé externe (Cge), du bras et de la
couche
superfi- cielle du tubercule quadrijumeau antér
rigone sont reliées entre elles par une mince lame qui recouvre les
couches
optiques. Mais il n'est figuré dans aucun cas u
SS). Remarquer la situation du corps du trigone (Tg) entre les deux
couches
optiques (Th) et la face intraventriculaire du
ico-transversale passant : à droite, par la partie antérieure de la
couche
optique (Th) et du segment postérieur de la capsu
grand nombre de fibres thalamo-corticales, leurs connexions avec la
couche
optique et leur épanouissement dans la membrane é
le corps de Luys (CL) il droite, et par la partie postérieure de la
couche
optique à gauche. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 gra
tie antéro-externe le corps strié, à leur partie postéro-interne la
couche
optique ! (Th), et à leur partie inféro- extern
mique, des fibres thalami- corticales, qui, nées des cellules de la
couche
optique, se dirigent vers la corticalité qu'ell
tance blanche non différen- ciée du centre ovale et se disposent en
couches
distinctes au voisinage de la cavité ventricula
cavité ventriculaire. Dans le lobe occipital on trouve les trois
couches
concentriques du cerveau normal (fiv. 219). Le
(Tap), avec ses fibres fortement colorées par l'héma- toxyline, les
couches
sagittales interne et externe (CSgt) 'en dehors/
es couches sagittales interne et externe (CSgt) 'en dehors/ Ces trois
couches
entourent complètement l'épendyme ventriculaire
. Immédiatement en arrière de la porencéphalie (Fig. 220) les trois
couches
entourent bien encore complètement la cavité ve
encore complètement la cavité ventriculaire (VI), mais les fibres des
couches
sagit- tales s'amassent le long de la paroi ext
oré par l'hémaloxyline (Fcj. En dedans des fibres calleuses, dans les
couches
profondes de la membrane épendymaire, on trouve
occipital comme, dans toute la convexité de l'hémisphère, une mince
couche
presque continue de fines fibres, faiblement co
nne rayonnante de la face supéro-exlerne de l'hémi- sphère. - CSgt,
couches
sagittales se concentrant le long de la face exte
é- phalie, détruit la face externe du ventricule, et les fibres des
couches
différenciées s'amassent en deux tronçons autou
o-externe et s'étalent sur la paroi supérieure du ventricule en une
couche
infiniment plus épaisse que celle des régions p
es régions pariéto-occipitale, puis se continuent en une très mince
couche
qui double l'angle interne et la paroi inférieu
crochet les fibres cal- leuses et forme au-dessus d'elles une mince
couche
de fibres à direction transversale. Le faisceau
e. Le faisceau inférieur (CSgt), très volumineux, forme une épaisse
couche
verticale, homo- Fig. 222. Cas Richard. Fragmen
ayonnante. Ces deux fais- ceaux sont reliés entre eux par une mince
couche
de fibres qui entoure l'angle interne et la fac
es occipitales s'ouvrent dans la cavité ventriculaire unique, cette
couche
disparait et les deux faisceaux sont complè- te
es régions antérieures du manteau, les fibres calleuses forment une
couche
transversale mince qui relie les deux hémisphères
les fibres calleuses entourent complètement la corne occipitale d'une
couche
épaisse, surtout le long des parois supérieure
ctionne le stratum zonale (Strz) et le noyau antérieur (ThXa) de la
couche
optique, la partie supérieure et antérieure du co
rayonnante (voy. fig. 213, le plan de direction de ces coupes). La
couche
optique remarquablement petite présente un noyau
dont un faisceau important appartient au pédoncule antérieur de la
couche
optique (PaTh) et provient du segment antérieur
à sa place, on trouve une zona incerta (Zi) anormalement large. Les
couches
sagittales (CSgt) du segment postérieur de la c
s des autres par les différents segments de la capsule interne. Les
couches
sagittales (CSgt) du segment postérieur de la c
es sont absentes, et les noyaux arqués directement appliqués sur la
couche
inter-olivaire. La voie pédon- culaire fait par
ar l'anatomie que le ruban de Reil se termine en s'arborisant dans la
couche
optique, et que de ce dernier ganglion partent
e lésion corticale s'étendant jusqu'au pli courbe et sectionnant la
couche
sagittale à ce niveau, Caractères de l'hé- mi
ruisant les con- ducteurs centraux de la vision qui passent par les
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
aires (Pul, Cge, Qa) ou qui sectionnent les voies optiques centrales (
couches
sagittales du lobe occipito-temporal). Dans ces
le pure - connexions qui s'établissent par le corps calleux, par la
couche
sagittale du lobe occipital, par le faisceau lo
postérieur et rciru-lcnliculairc de la capsule interne. - CSgt, les
couches
sagittales du segment postérieur de la cou- ron
nt entre elles les deux circonvolutions pre- mière temporale. - Th,
couche
optique. - VI, ventricule latéral. Ainsi que l'
eurones de projection fronto-thalamiques ou pédoncule antérieur de la
couche
optique s'épuisant dans ce dernier ganglion. Ce
ras droit accompagnée d'anesthésie et rele- vant d'une tumeur de la
couche
optique comprimant la capsule interne; la secon
té- rieur de la capsule interne (Cip), Gowers la localisait dans la
couche
optique. Ci (dernier ganglion est en effet lésé
'on rencontre le plus souvent dans ce cas relève de la lésion de la
couche
optique, ainsi que nous le montrerons plus loin,
carrefour sensitif, et insista à maintes reprises sur ce fait que la
couche
optique n'avait rien à voir dans la conduction
portées jusqu'ici, on voit que, dans l'immense majorité des cas, la
couche
optique était lésée en même temps que le segment
pendant la vie par une hémiplégie accompagnée d'hémianesthésie, la
couche
optique participait à la lésion capsulaire. Mai
cas, en effet, où le segment postérieur de la capsule interne et la
couche
optique sont lésés dans la région thalamique de
vêtent le plus souvent le pédoncule et le tubercule olfactifs d'une
couche
de fibres plus particu- lièrement denses et épa
la circonvolution olfactive externe; les plus longues atteignent la
couche
moléculaire de la circonvolution du crochet, et
-thalamique. fisc, fibres que le toenia semi circularis envoie à la
couche
optique. Fla, fornix transversus, ou commis- su
- Li, première circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la
couche
optique. - NA, noyau amygdalien. - l'ol, pédoncul
er antérieur du trigone. - 7'f/p, pilier postérieur du trigone. - Th,
couche
optique. - Tm, tubercule mamillaire. - fisc, te
tsc) relie l'aire olfactive (Aol) au noyau amygdalien (i\'A) età la
couche
optique. Il représente un neurone olfactif de t
que lui envoic la commis- sure antérieure, il est recouvert par une
couche
très épaisse de la sub- stance grise sous-épend
la veine du corps strié et ses branches de bifurcation d'une mince
couche
de fibres lon- gitudinales, et contient dans so
e la partie recourbée delà queue du noyau caudé, reste accollé à la
couche
optique et se trouve placé immédiatement en deh
bres qui se détachent du tamia semicircularis, et s'irradient dans la
couche
optique. - Lme, lame médullaire externe. - \'G2
rmettent d'affirmer les connexions du taenia semicircularis avec la
couche
optique, connexions soupçonnées par Honegger et
et antérieur, se dirigent d'avant en arrière et pénètrent entre la
couche
optique et le segment postérieur de la capsule
ieur de la capsule interne. Elles forment au thalamus une véritable
couche
limi- tante externe, séparée de la lame médulla
ns de la capsule interne, entre celle-ci et la zone réticulée de la
couche
optique, on trouve alors (Fig. 255) des fascicu
se terminent en pointe au voisinage de la partie postérieure de la
couche
optique (Fig. 145), et abandonnent à cette dern
rne. - Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - les
couches
sagittales du segment inférieur de la couronne ra
e dédoublent le long de la paroi externe de la corne sphénoïdale en
couche
sagittale interne (Sgi) ou radiations thalamiqu
ale en couche sagittale interne (Sgi) ou radiations thalamiques, et
couche
sagittale externe (Sge) ou faisceau longitudinal
faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Turck; il forme la
couche
supérieure du segment sous-lenticulaire de la c
édoncule cérébral. - (Tilt, faisceau temporo-thalamique d'Arnold ou
couche
inférieure du segment sous-lenti- culaire de la
u rouge. - Rm, ruban de Reil. - SI ? , formation réticulée. - Slrm,
couche
moyenne. - Slrp, couche profonde. - Sirs, couche
Reil. - SI ? , formation réticulée. - Slrm, couche moyenne. - Slrp,
couche
profonde. - Sirs, couche superficielle des libres
réticulée. - Slrm, couche moyenne. - Slrp, couche profonde. - Sirs,
couche
superficielle des libres transversales de la pr
onnent les digilalions de la corne d'Ammon et les revêt d'une mince
couche
de fibres presque toutes parallèles au plan ver
o-lransversal de l'hémisphère. Sur les coupes plus postérieures, la
couche
s'épaissit, les fibres deviennent plus obliques
r. - Fol, son faisceau olfactif. - Tna, tubercule mamillaire. - Th,
couche
optique. - elle, tænia thalami. - ]T" troisième
yenne du tronc du corps calleux. Au niveau du tiers antérieur de la
couche
optique, un grand nombre de lâches et minces fasc
s du genou de la capsule interne ci de la partie anté- rieure de la
couche
optique. Il croise dans cette région (Fig. 25 i)
us primitif. Il existait en outre une destruction partielle de la
couche
des cellules pyramidales de la corne d'Ammon et
leux Dégénéres- cence du forceps postérieur, du tape- tum, des
couches
sa- gittales du plancher de la corno splic-
lleux, du pilier postérieur du trigone (Tgp), du tapetum (Tap), des
couches
sagittales externe (Sge, Fli) et interne (Sgi, RT
u occipito- frontal (OF), en particulier des fibres qui occupent la
couche
profonde sous-épen- dymaire. FIBRES DE PROJEC
um (Tap), de la paroi inférieure du carrefour ventriculaire, et des
couches
sagittales interne (Sgi, IIT11) et externe (Sge
leux. Dégénéres- cence du forceps postérieur, du tape- tum, des
couches
sa- gittales du plancher de la corne sphc-
u minor du forceps du corps calleux (Ce, Fp), du tapetum (Tap), des
couches
sagittales interne et externe du segment ])0 ?
leux. Dégénérés- cence du forceps postérieur, du tape- tum,des
couches
sa- gittales du plancher de Ja corne sphé-
leux. Dégénéres- cence du forceps postérieur, du tape- tum,dos
couches
sa- gittales du plancher de la corne sphé-
sure antérieure et du faisceau occipito- frontal. nérées des
couches
sagittales interne et externe du lobe temporal oc
iculaire et de la corne sphénoïdale (Fig. 207 et 268). Celles de la
couche
sagittale externe s'épuisent rapidement; les fibr
e la couche sagittale externe s'épuisent rapidement; les fibres de la
couche
sagittale interne se portent peu à peu en haut
mpe. Coupe vertico-transversale passant par la partie moyenne de la
couche
optique. La dégénérescence intéresse le faiscea
ment temporal du faisceau occipito-frontal, ses libres occupent les
couches
profondes de l'épendyme ventriculaire et sont par
du noyau caudé et mélangées aux fibres conservées du tapetum. S ! lc,
couche
sagittale externe (ou faisceau longitudinal inf
uche sagittale externe (ou faisceau longitudinal inférieur). - Sgi,
couche
sagittale interne (ou radiations thalamiques) d
sure antérieure (Fig. 271). Le tapetum est surtout dégénéré dans sa
couche
interne sous-épendymaire. Au niveau des parois
n ou commissurales), mais qu'ils constituent des faisceaux mixtes. La
couche
sagittale externe (faisceau longitudinal inféri
ro-occipital contient des fibres d'association et de projection; la
couche
sagittale interne des fibres de projection et c
scences secondaires. Chez l'enfant, on distingue dans le tapetum deux
couches
, l'une mince interne, formée de fines fibres à
de fines fibres à direction sagittale qui empiètent en dedans sur la
couche
profonde de la membrane épendymaire particulièr
de la membrane épendymaire particulièrement épaisse à cet âge, et une
couche
externe plus épaisse adossée aux couches sagitt
t épaisse à cet âge, et une couche externe plus épaisse adossée aux
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
agittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. Ces deux
couches
sont particulièrement manifestes sur le cerveau d
rale (cas Richard, Fig. 220 à 223, p. 201). Chez l'adulte, ces deux
couches
se fusionnent, mais peuvent devenir manifestes pa
ectionnant, sur un plan plus élevé que la Fig. 213, le tapetum et les
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
la commissure anté- rieure : elle entie dans la constitution de la
couche
sagittale inlerne du lobe temporal, longe les p
be avec le fascia dentata au- dessous du corps calleux, recouvre la
couche
optique dont le sépare un feuillet pie-mérien e
traventiculaire, elle dépasse en avant l'extrémité antérieure de la
couche
optique et se divise à ce niveau en deux faisce
tr " lent à la fimbria et atteignent, l'extrémité antérieure de la
couche
optique où elles s'in- fléchissent en dedans et
tale du cerveau du lapin adulte passant par la partie interne de la
couche
optique, le tubercule mamillaire et le ganglion d
interne sur lequel il se moule en général, mais dont le sépare une
couche
plus ou moins épaisse de fibres qui appartienne
ume inégal, dont l'un se termine dans le] tubercule antérieur de la
couche
optique et constitue le faisceau de Vicq cl'I .7
CENTRES NERVEUX. Sa terminaison dans le noyau anté- rieur de la
couche
optique. Pédoncule du tu- bercule mamillair
re. du thalamus, passe en arrière du pédoncule inféro-interne de la
couche
optique (PiTh) qui le sépare du pilier antérieu
interne, et croise les fibres radiées du pédoncule antérieur de la
couche
optique (Fig. 253 et 254). Arrivé dans la régio
dans, s'élargit en entonnoir et embrasse le noyau anté- rieur de la
couche
optique dans lequel il pénètre en s'Irradiant et
8, p. 20G. CHAPITRE VII GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ,
COUCHE
OPTIQUE, RÉGION SOUS-OPTIQUE I. - STRUCTURE ET
e de 15 à 30, 50 et 60 ? D'après Edinger, elles se disposeraient en
couches
stratifiées au voisinage de la face libre du noya
cortico-striées et ne possèdent pas de cou- ronne rayonnante
couche
optique et à la région sous-optique, en particuli
ur le noyau caudé et sur le putamen comme elles retentissent sur la
couche
optique. Cette opposition qui existe entre le l
ion du segment sous-lenticulaire de la capsule in- terne : ses deux
couches
superposées, la supérieure formée de fibres secti
u putamen. CR, segment supérieur de la couronne rayonnante. - CSgt,
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
. S, scissure de Sylvius. - Sexv, surface extra ventriculaire de la
couche
optique. - Sge, substance grise sous-épendymaire.
u- tefois pas comparables à l'atrophie souvent extrême que subit la
couche
optique dans ces mêmes circonstances. La très m
ce. (Comparez la Figure 1Mi à la Figure 144 (côté sain) et les deux
couches
optiques de la Figure 1 Í : 7 entre elles.) L
ous-calleux de Mzerato ff. Bien qu'il paraisse évident que la mince
couche
de fibres il myéline sous-épendymaire qui tapisse
es on peut, dans ce cas, les suivre, en bas et en arrière, dans les
couches
sagittales du lobe occipilo-temporal au voisina
laires, soit du feutrage, comparable à ce que l'on constate dans la
couche
optique dans les mêmes cas; mais, d'autre part,
convolution temporale; cette lésion s'étend en profondeur jusqu'aux
couches
sagittales et au segment supérieur de la couronne
nt supérieur de la couronne rayonnante qu'elle sectionne près de la
couche
optique, mais n'atteint pas le segment rétrolenti
. Elle occupe toute la hau- eur du noyau externe, en particulier sa
couche
ventrale, au niveau de la région du 'uban de Re
tico- thalamiques et cortico-sous-thalamiques), le corps strié à la
couche
optique et à la région sous-optique, en particu
ithéliale. Elle n'atteintsa structure véritable, caractérisée par des
couches
stratifiées de cellules pyramidales, que chez l
les VOI'derhirnbiindel) dont les fibres, recouvei les d'une épaisse
couche
de myéline, prennent leur origine dans la masse g
s horizontales qui intéressent les tiers moyen et infé- rieur de la
couche
optique (Fig. 291, 21, 13 et 47), les fascicules
; Cip, segment postérieur; Cirl, segment rétrolenticulaire. - CSgt,
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne r
eur; Cirl, segment rétrolenticulaire de la capsule interne. - CSgt,
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne r
veau de la face inférieure de ce noyau, et la tapissent d'une dense
couche
de fibres, d'autant plus épaisse que l'on s'app
rois groupes de fibres : taenia semi-circularis (tsc) envoie à la
couche
optique et entrent dans la constitution des fib
si denses, si serrées, si nombreuses, qu'elles forment presque une
couche
continue, qui, - grâce à la rétraction des tissus
e long du sommet du noyau lenticulaire, elles se concentrent en une
couche
compacte de fibres (FI), Fig. 7, p. 69) qui se
de Luys (CL), (Fig. 318 T. ICI', p. 637 et Fig. 312) en formant la
couche
dorsale du corps de Luys de quelques auteurs. Il
et auteur, puis s'enchevêtre avec le pédoncule inféro-interne de la
couche
optique (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire
ans, le segment postérieur de la capsule interne avant de former la
couche
dorsale du corps de Luys (Fig. 323, 324, 325).
ques fibres lenti- 1- La faisceau len- ticulaire de Forel ou la
couche
dorsale .\1\ corps de Luys. Ses connexions.
tion du globus pallidus. - RsL, radiations strio luysiennes. - Sge,
couche
sagittale e\.terne; Sgi, couche sagittale interne
radiations strio luysiennes. - Sge, couche sagittale e\.terne; Sgi,
couche
sagittale interne du segmenl postérieur de la c
itutifs de l'anse pédonculaire sont séparés l'un de l'autre par une
couche
de substance grise riche en volu- mineuses cell
peu sur la partie supérieure et postérieure du noyau externe de la
couche
optique ; elle s'est manifestée pendant la vie
scence du corps de Luys, de la partie antéro-infé- rieurs de la
couche
optique, du noyau rougo et de sa cap- sule
u- ronne-rayonnanto et empiété sur la partie supérieure de la
couche
optique. Dé- générescence de la partie moyenn
scence du corps de Luys, de la partie antéro-infé- rieure de la
couche
optique, du noyau rouge et de sa cap- sule
ire externe (Lme) et des fibres radiées du noyau externe (Ne) de la
couche
optique dans toute la partie adja- cente a la d
xtension de la lésion sous-corticale à la partie supé- rieure de la
couche
optique. Dégénérescence du noyau rouge et de sa
ou- ronne rayonnante et empiété sur lapartio supérieure de la
couche
optique. Dé- générescence do la partie moyenn
ence du corps de Luys, de la partie antéro - iuré- rieure de la
couche
optique, du noyau rouge et de sa cap- sule
rnes (lmi) et les lames supplémentaires (lmi') et s'amassent en une
couche
épaisse le long du bord externe du segment post
e du thalamus relève évidemment en grande partie de la lésion de la
couche
optique. La lésion thalamique siège à la partie
La lésion thalamique siège à la partie antéro-inféro-interne de la
couche
optique. C'est un foyer de ramollissement avec
uysiennes et le corps de Luys n'affectent pas de connexions avec la
couche
optique. Fie. 308 et 309. -- Cas Gardette (Salp
, consécutive à une lésion de la partie antéro-inféro-interne de la
couche
optique. Cette dégénérescence, très légère, ne
dégénèrent à la suite de lésions de la partie antéro-ventrale de la
couche
optique et qui entrent dans la constitution de
Soc. Biologie, 1898, p. 861. - Des mêmes. Sur les connexions de la
couche
optique avec la corticalité cérébrale. Soc. de Bi
. f. mikr. Anat., 1880, p. 468. II. - STRUCTURE ET CONNEXIONS DE LA
COUCHE
OPTIQUE Structure. - Les coupes vertico-lransve
vertico-lransversales, horizontales et sagit- tales montrent que la
couche
optique n'est pas constituée par une masse homo
e médullaire interne (Lmi) ; leur face libre est recouverte par une
couche
de fibres à myéline connue sous le nom de couch
recouverte par une couche de fibres à myéline connue sous le nom de
couche
zonale, de stratum zonale (Strz, Fig. 290). Bur
nale, de stratum zonale (Strz, Fig. 290). Burdach distingua dans la
couche
optique quatre noyaux : les noyaux antérieur, e
e ou inférieure comme un noyau spécial qu'il désigna sous le nom de
couche
ventrale du thalamus ; v. Tschisch et Flechsig dé
unaire de Flechsig (NF). Nissl (1889) montra que les cellules de la
couche
optique se disposent en groupes de volume et de
visions établies par Burdach et par Meynert, et nous décrirons à la
couche
optique quatre noyaux principaux, les noyaux anté
noyaux principaux, les noyaux antérieur, GANGLIONS INII ACORTICAU :
COUCHE
OPTIQUE. 345 externe, interne et le pulvinar. A
lamus la zone grillagée ou réti- culée, le noyau semi-lunaire et la
couche
ventrale du thalamus. L'étude des coupes horizo
vreté en fibres à myéline. Dans le centre médian de Luys et dans la
couche
ventrale du thalamus, les fibres à myéline sont
ker) (Na). Ce noyau occupe la partie antérieure et supérieure de la
couche
optique et s'enfonce à la manière d'un coin ent
roduit la saillie connue sous le nom de tubercule aalé- rieur de la
couche
optique ou corpus album subrotundum, son extrémit
umineux fascicules de fibres appartenant au pédoncule interne de la
couche
optique. Ses cellules sont très analogues à cel
uses fibres radiées qui pénètrent dans l'extrémité antérieure de la
couche
optique au-dessous du stratum zonale, traversent
e de la couche optique au-dessous du stratum zonale, traversent les
couches
super- ficielles du noyau externe (Ne), puis ab
nternes en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRA CORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 341 lamo-corticales), sont-elles d'ori
e inféro-interne, quelques fibres du pédoncule inféra-interne de la
couche
optique. 2. Noyau interne (Ni). -- Le noyau int
). -- Le noyau interne n'atteintpas les limites anté- rieures de la
couche
optique (Fig. 310 et 291) et n'apparaît sur les c
djacente du tronc encéphalique intéressant le noyau antérieur de la
couche
optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faiscea
substance grise de l'aqueduc de Sylvius. GANGLIONS INFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 349 Sgc, substance grise centrale. - S
médian de Luys (Nm), (Fig. 15, 43, 47, 311). Au noyau interne de la
couche
optique se rattache le centre médian de Luys (Nm)
ures du centre médian. Il se confond à ce niveau avec cette épaisse
couche
de fibres situées à la partie postéro- inféro-e
ns toute la longueur de leur trajet avec GANGLIONS INFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 331 d'autres catégories de fibres, tel
antérieur du thalamus. Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne de la
couche
optique. - Nm, centre médian de Luys, séparé de l
tions olfactives profondes. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la
couche
optique. - si, sillon intermédiaire ou opto-str
- Strz, stratum zonale du thalamus. - T,q, corps du trigone. - Th,
couche
optique. - Tol, tubercule olfactif. - tse, ta : n
lamus. Les coupes horizontales qui passent par le tiers moyen de la
couche
optique montrent qu'elle n'atteint pas le pulvina
lame médullaire interne n'atteint plus l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Fig. 43, p. 63). Sur les coupes qui inté
, p. 63). Sur les coupes qui inté- ressent le tiers inférieur de la
couche
optique (Fig. 47, p. 69), la partie antérieure
nvoie un grand nombre de ses fibres dans GANGLIONS tNFRACOR'HCAUX :
COUCHE
OPTIQUE 3 : i3 la région sous-optique : les ant
s, les autres se recourbent en bas dans les régions ventrales de la
couche
optique et se joignent aux fibres verticales.
ues, le noyau externe, occupe la partie supérieure et externe de la
couche
optique, corres- pond au segment postérieur ou
e cette disposition que sur les coupes horizontales passant par les
couches
supérieures du thalamus, les noyaux externe et
paraître le noyau interne. Il en est de même lorsque l'on étudie la
couche
optique sur des coupes vertico-transversales. T
nticulaire de Forel (FI) qui correspondent au tiers antérieur de la
couche
optique; 3" plus en arrière, le noyau externe r
nue avec le pulvinar, mais la fusion GANGLIONS I\l'R : 1CORTICIUI :
COUCHE
OPTIQUE. Sa ! ) de ces deux noyaux est moins in
p. 321). Elles relient le noyau lenticulaire elle noyau caudé à la
couche
optique, croisent, dans le segment postérieur de
nférieure ou venlraledu noyau externe, partie qui corres- pond à la
couche
ventrale du thalamus de Meynert et au groupe des
ernes en Médecine de la Salpêtrièr< GANGLIONS INFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. : ¡ : ;7 la partie antérieure de la ca
réseau, sorte de grillage qui recouvre toute la face externe de la
couche
optique. Les mailles de ce réseau sont remplies
Fig. 312 et 47, p. G9). La partie posté- GANGLIONS INFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 359 Fic. 312. - La région ventrale du
aires sup- plémentaires lme', lmi'. PaTh, pédoncule antérieur de la
couche
optique. pCR, pied de la couronne rayonnante. -
, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la
couche
optique. Plch, plexus choroïdes. - 7 ? pulvinar
yéline. Ces fibres s'entre-croisent dans GANGLIONS INFHACOHTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 361 tous les sens, forment un feutrage
au noyau interne, le pulvinar forme il la partie postérieure de la
couche
optique cette saillie volumi- neuse et libre, v
[Spl], Fig. 310 et 311). 11 constitue l'extrémité postérieure de la
couche
optique, atteint chez l'homme son plein dévelop
e du thalamus. La face libre du pulvinar est recouverte d'une mince
couche
de libres à myéline, le stratum zonale, qui mes
eur du thalamus. Les libres qui forment le re- vêtement zonal de la
couche
optique, affectent surtout une direction GANGLI
optique, affectent surtout une direction GANGLIONS INFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 363 FIG. 313. - Le pulvinar, le corps
ne. - on, sillon calloso-marginal ; cm', sa branche verticale. cp, la
couche
des fibres profondes du tubercule quadrijumeau
e de Sylvius. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Sge (Fli),
couche
sagittale externe ou faisceau longitudinal infé
férieur du segment inférieur de lacouronne rayonnante. - Sgi (RTh),
couche
sagittale interne ou radiations thalamiques du se
té de ces fibres terminales cortico- thalamiques qui constituent la
couche
profonde du stratum zonale, ce dernier contient
i prennent leur origine dans les petites cellules multipolaires des
couches
superfi- cielles du thalamus et dont les cylind
e segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, jusque dans les
couches
sagittales interne et externe du segment postérie
glion, l'enchâssent dans une véritable capsule et l'entourent d'une
couche
de fines fibres qui se colorent intensivement par
ternes , en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 367 vinar représentent donc de véritab
le segment rétro-lenticulaire de la cap- sule interne (Cirl) et la
couche
sagittale du lobe occipital. Elles se rendent e
Cajal, elles se termineraient par des arborisations libres dans les
couches
profondes de la rétine (Voy. nerf optique, p. r
313). Le corps genouillé inlerne esl profondément enclavé dans la
couche
optique, et quoique plus volumineux que le corps
stérieur (BrQa, BrQp). Le bras du tuber- GANGLIONS OEFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 369 cule quadrijumcau antérieur (BrQa)
es ; sa face libre ou postéro-inférieure est recouverte d'une mince
couche
de fibres zonales qui appartiennent en partie a
ie aux centres auditifs bulbo- pro lubérantiels. CONNEXIONS DE LA
COUCHE
OPTIQUE Les connexions du thalamus sont multipl
xes. Siluée entre le tronc encéphalique et le cerveau antérieur, la
couche
optique représente en effet une véritable stati
e et le ruhan do Reil latéral. Les connexions multiples do la
couche
optique. 370 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Co
radiées, tandis que le dense feutrage de fibres qui occupe toute la
couche
ventrale du thalamus assure les connexions de c
on avec le cervelet et le tronc encéphalique. 1. Connexions de la
couche
optique avec la corticalité cérébrale. L'union
uche optique avec la corticalité cérébrale. L'union si intime de la
couche
optique avec la corticalité cérébrale ('oy. Dég
ables fibres de projection que la corticalité cérébrale envoie à la
couche
optique (p. 57), mais encore par de nombreuses fi
t-Pal, ou par le carmin. Or, si ces méthodes nous ont appris que la
couche
optique est en rapport avec l'écorce entière de c
entière de chaque hémisphère puisqu'une GANGLIONS INFRACOHTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 371 4 lésion d'une partie quelconque
la corticale cérébrale par l'intermédiaire de fibres passant par la
couche
optique. Si ces faisceaux diminuent de volume à
arré, p. 179, cas Lavigne, p. 180). Dans les lésions récentes de la
couche
optique traitées par la méthode de Marchi, on n
ales, des fibres d'origine thalamique, qui, nées des cellules de la
couche
optique, se dirigent vers la corti- calité qu'e
re par suite même de la malformation cérébrale. 2. Connexions de la
couche
optique avec le corps strié. Les con- nexions d
ns de la couche optique avec le corps strié. Les con- nexions de la
couche
optique avec le corps slrié ont été étudiées, p.
ont été étudiées, p. 313. Elles s'effectuent dans les deux sens, la
couche
optique recevant du corps strié des fibres thal
lamique (Cas Gardette, p. 336, Fig. 302 à 309). 3. Connexions de la
couche
optique avec le rhombencéphale et le cer- veau
la couche optique avec le rhombencéphale et le cer- veau moyen. La
couche
optique envoie peu de fibres dans le rhom- benc
apsule du noyau rouge sous forme de gros GANGLIONS INIR1CORTICAUt :
COUCHE
OPTIQUE. 313 fascicules onduleux qui se portent
mation ré- ticulée homolatérale, et croisée. Connexions de la
couche
optique avec le cerveau moyen, situé à la par
du noyau externe du thalamus. Il assure ainsi les connexions de la
couche
optique avec les noyaux des cordons de Goll et
s de la calotte et établissent des connexions très intimes entre la
couche
optique, le noyau rouge et la substance grise d
réticulée. Le complexus de fibres qui relie le rhombencéphale à la
couche
opti- que, contient surtout des fibres ascendan
endantes, afférentes, thalamopèles, des fibres se terminant dans la
couche
optique ; il contient néanmoins un petit nombre
Par les corps genouillés interne et externe et par le pulvinar, la
couche
optique entre en outre en connexion avec le cer
ieur et, par son intermédiaire, au ruban GANGLIONS I\'IRACORTICAU :
COUCHE
OPTIQUE. : 3ï : ; de Reil latéral et aux centre
meau antérieur, et par l'intermédiaire de cet amas ganglionnaire la
couche
optique entre indirectement en connexion avec la
ord inférieur se continuent sans ligne de démarcation nette avec la
couche
des fibres profondes (cp) du tubercule quadri
ehors et, en arrière dans le tubercule quadrijumeau antérieur et la
couche
oplique (pulvinar et partie postérieure des noy
missure interhabenulaire. - cop, com- missure postérieure. - cp,
couche
profonde des fibres du tubercule qua- drijume
tubercules quadrijumeaux antérieurs et de la partie adjacente de la
couche
optique et de la calotte pédonculaire. En prati
insi une véritable commissure inlerlhala- mique ; en partie dans la
couche
profonde du tubercule quadrijumeau antérieur et
longitudinal postérieur. Malgré les connexions si nombreuses de la
couche
optique avec le Bibliothèque des Internes en
Internes en Médecine de la Salpêtrièrt GANGLIONS INFHACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 311 -i rhombencéphale et le cerveau mo
nomalies d'évolution du manteau cérébral démontrent en effet que la
couche
optique n'envoie aucune fibre dans le pied du p
icale el reçoivent les arborisations terminales du nerf optique. La
couche
optique représente en effet un relais ganglionnai
(G) est un petit renflement fusiforme ou piriforme, surajoulé à la
couche
optique, el en rapport avec l'appareil olfactif
gle à sommet antérieur, le triangle de l'habenula, compris entre la
couche
optique, le tubercule quadri- jumeau antérieur
meau antérieur et la glande pinéale (Fig. 321, 338, 339). Il est La
couche
optique n'cnvotoaucunonbrc descendante dans l
ules du noyau externe. - c, collatérales. GANGLIONS INFRACORTICAU :
COUCHE
OPTIQUE. 379 Gudden avait déjà signalé, chez le
Daller, Sehstreifen de Burdach) occupe le bord supéro-interne de la
couche
optique. Les termes de pédoncule antérieur, de
ventricule. Mince en avant où il longe l'extrémité antérieure de la
couche
optique et où on le voit apparaître immédiateme
in nombre le traversent simplement, ou GANGLIONS Il\'FRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 381 le recouvrent en lui formant son r
bordent le tænia thalami, au niveau de l'extrémité antérieure de la
couche
optique. 3. La plupart des auteurs admettent av
la couronne rayonnante et le noyau lenticulaire sans intéresser la
couche
optique. Une partie des fibres dégénérées se te
du côté croisé. (Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFRACORTIC AUX :
COUCHE
OPTIQUE. 383 4. Les autres connexions du taenia
ion de l'habenula avec les fibres du pédoncule inféro-interne de la
couche
optique. Il s'agirait dans l'espèce de fibres p
. - Ne, Ni, Nm. noyau externe, noyau interne et centre médian de la
couche
optique. - NR, noyau rouge, if\, pied du pédonc
, stratum intermedium. - Star : , stratum zonale du pulvinar. - Th,
couche
optique. - tlh, tienia thalami. - F3, troisième
ernes en P ? weirne du la S : 1pêtTiè] GANGLIONS INFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 387 voit très bien à l'oeil nu chez le
e, dont l'étude se rattache jusqu'à un certain degré il celle de la
couche
optique. Développée aux dépens de la voûte du tro
commissure postérieure, entre les deux GANGLIONS 1\NFRACORTICAUX :
COUCHE
OPTIQUE. 389 tubercules quadrijumeaux antérieur
t composées de carbonate et de phosphate acide de chaux disposés en
couches
concentriques ou réunies en amas irrégulièremen
nschen und der Saugethicrc. Recueil GANGLIONS INPB1COR'l'I( : AUX :
COUCHE
OPTIQUE. 391 zoologique suisse, t. V, 1890. Gen
rel en 1877, est une petite région aplatie, située au-dessous de la
couche
optique, au-dessus du locus niger et du pied du
s coupes vertico-transversales qui passent par le tiers moyen de la
couche
optique (depuis la commissure postérieure jusqu
thalamus qui s'ir- radient dans l'extrémité antéro-inférieure de la
couche
optique; 2° avec le faisceau de Vicq d'Azyr qui
. 394 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son sommet et sa base. La
couche
dorsale de la région sous- optique. Son éte
optique ne correspond en effet qu'aux deux tiers anté- rieurs de la
couche
optique. Constitution. La région sous-optique e
a région sous-optique est essentiellement consti- tuée : 1° par une
couche
de fibres à myéline, la couche dorsale de la régi
tiellement consti- tuée : 1° par une couche de fibres à myéline, la
couche
dorsale de la région sous-optique ; 2° par un p
-optique ; 2° par un petit amas ganglionnaire, le corps de Luys. 1.
COUCHE
DORSALE DE LA RÉGION SOUS-OPTIQUE. (Fig. 24, 28,
OUS-OPTIQUE. (Fig. 24, 28, 46, 47, 7, 253, 310, 323, 321r, 325.) La
couche
dorsale occupe foute l'étendue de la région sou
. Elle augmente d'épaisseur d'avant en arrière, se continue avec la
couche
de fibres qui entoure le noyau rouge et avec le
rticulièrement favorables à son étude. La partie antérieure de la
couche
dorsale est formée par les faisceaux lenticulai
corne sphénoïdale du ventricule latéral, par le tiers antérieur de la
couche
optique, et sectionnant le pied du pédoncule cé
missure anté- rieure. -peR, pied de la couronne rayonnante. - CSgt.
couches
sagittales du segment inférieur de la couronne
de l'insula. - le, lame cornée. - Lme, lame médullaire exlerne de la
couche
optique. - lme, lame médullaire externe du noya
A, noyau amygdalien. - Na, noyau antérieur, Ni, noyau interne de la
couche
optique. - NC, noyau caudé. - 1\'C', la partie
u lenticulaire de Forel, en même temps que les deux faisceaux de la
couche
dorsale se réunissent en un faisceau volumineux
blement grâce à l'apport incessant de fibres qui lui viennent de la
couche
optique; il reçoit en effet les nombreuses fibres
culée de la calotte. L'origine et la terminaison des fibres de la
couche
dorsale de la région sous-optique est fort comp
rne d'Ammon. La région sous-optique comprend le corps de Luys et la
couche
dorsale, consti- tuée par les faisceaux thalami
alien. - Na, Ni, Ne, les noyaux antérieur, interne et externe de la
couche
optique. - NC, le noyau caudé. - NL3 NL2, NL,,
roïdes du ventricule latéral. - Pal, pédoncule du putamen. - S ! I,
couches
sagittales du segment inférieur de la couronne ra
e grise centrale. - SI, septum lucidum. - Slm, stratum zonale de la
couche
optique. -1·cle, toile choroïdienne. - Tg, corp
optique. -1·cle, toile choroïdienne. - Tg, corps du trigone. - Th,
couche
optique. - 7'm, tubercule mamillaire. - llh, ta
plus convexe; elle est recou- verte dans toute son étendue par une
couche
continue defibres à myéline, la capsule du corp
orel (Méthode de Weigert). La région sous-optique comprise entre la
couche
optique, le pied du pédoncule cérébral et le lo
édoncule cérébral et le locus niger comprend le corps de Luys et la
couche
dorsale avec les faisceaux lenticulaire thalami
e de Forel. - le, lame cornée. - Lme, lame médullaire externe de la
couche
optique. - lme, lmi, lames médullaires externe
L, pédoncule du putamen. - Sexv, surface extra ventriculaire de' la
couche
optique. - Sge, substance grise centrale. - SI, s
onvolution du crochet. - Zi, zona incerta. Zr, zone réticulée de la
couche
optique. - II, bandelette optique. 408 ANATOM
ête du noyau caudé et de la zona incerta, s'entre-croisent dans les
couches
ventrales delà commissure sous-tha- lamique pos
ie, Rhombencéphale, constitution de la calotte). Chez l'homme, la
couche
ventrale de la commissure sous-thalamique posté
es cellules nerveuses périphériques et disséminées, non groupées en
couches
ou en ganglions, profondément enclavées entre les
NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 413 3 arrondi, entouré d'une très mince
couche
de protoplasma ; il se loge dans les cupules de
variqueux ; il traverse la partie inférieure de l'épithélium et la
couche
sous-muqueuse, puis s'unit aux prolongements vo
longues forment la strie olfactive externe et s'arborisent dans la
couche
des fibres tangentielles et du feutrage sus-radia
-thalamique. fisc, fibres que le taenia semi-circularis envoie à la
couche
optique. - Flv, fornix transversus, ou commis-
L(1), première circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la
couche
optique. - noyau amygdalien. Pol, pédoncule olfac
lier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. Th,
couche
optique. - Tm, tubercule mamillaire. - tsc, txnia
postérieui de la couronne rayonnante. Elles concourent à former les
couches
sagit' tales(CSgt) du lobe occipito-temporal, p
nar et du tubercule quadrijumeau antérieur, et s'arborisent dans la
couche
des cellules polymorphes et les couches des cellu
eur, et s'arborisent dans la couche des cellules polymorphes et les
couches
des cellules pyrami- dales géantes de la zone v
ERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. -123 ments centripètes. Elles occupent la
couche
interne de la rétine au con- tact immédiat de l
de l'ora serrata, les libres rétiniennes se disposent en une mince
couche
qui s'épaissit très rapidement et qui est parti
rétine très mince à ce niveau n'étant représentée que par une simple
couche
de cellules visuelles en cônes. Mais à la périp
ganglionnaires sont excessivement nombreuses, s'entassent en 7 à 9
couches
et donnent naissance à un faisceau nerveux volumi
Tch, toile choroidienne. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th,
couche
optique. - l'Ci-si, veine du corps strié. - rG,
it du qua- trième ventricule de l'olive cérébelleuse et de la mince
couche
de fibres blanches qui la recouvre dans celte r
avec l'olive cérébelleuse dont elle n'est séparée que par une mince
couche
de fibres blanches appartenant en partie aux aile
guir- lande qui coitlent le fond du sillon post-central. - Pj, la
couche
des cellules de Purkinje intermédiaire entre la
. - Pj, la couche des cellules de Purkinje intermédiaire entre la
couche
moléculaire et la couche granuleuse de l'écorce
ellules de Purkinje intermédiaire entre la couche moléculaire et la
couche
granuleuse de l'écorce du cervelet. Disposition
e dernière, la face supérieure du nodule donne insertion à la mince
couche
épithéliale qui tapisse les plexus choroïdes tran
et tranchante (Fig. 345). Elle se continue en réalité avec la mince
couche
épithéliale qui lapisse les plexus choroïdes tr
m, ruban de Iteil médian. si, sillon latéral du mésencéphale. - Th,
couche
optique. - Tpo, txnia pontis. - Tlcl, tractus p
ieure, faisant en quelque sorte hernie, et recouverte par une mince
couche
de fibres appartenant à la grosse racine sensit
loppement. Chez l'adulte, elle se réduit à sa partie centrale à une
couche
d'épithélium épendymaire qui tapisse la toile c
plus ou moins développées, profondes et recouvertes par une épaisse
couche
de substance grise centrale; quelquefois, elles
e d'arrêt pérmcntriculaire. Le cervelet est surtout composé d'une
couche
superficielle de substance grise, l'écorce céré
cérébelleuse recouvre foule la surface plissée de l'or- gane, d'une
couche
égale d'un millimètre à un millimètre et demi d'é
elleuse sous-jacente (Oc). La préparation intéresse en effet la
couche
de fibres qui entoure le corps dentelé et qui
extra-ciliaire. La périphérie du corps dentelé est recouverte d'une
couche
de sub- stance blanche, d'épaisseur fort inégal
e de l'olive céré- belleuse sont entourées par contre d'une épaisse
couche
de substance blanche, dans laquelle on distingu
e de l'olive cérébel- leuse, on trouve, en dehors de la toison, une
couche
de fibres curvilignes et parallèles, mince et é
u toit (xNt coupes H 5, H 6, C 4, Fig. 428, 429, 135). La troisième
couche
recouvre le groupe externe des fibres semi-circu-
-croisées dans tous les sens qui constituent dans leur ensemble une
couche
mal délimitée, située à la base des lobes et lobu
u'elles affectent avec cette dernière, on peul les diviser en trois
couches
, qui sont l'une superficielle, l'autre profonde,
elle, l'autre profonde, la troisième intermédiaire ou moyenne. La
couche
superficielle ou antérieure (stratum superfictate
es antérieurs) (SgPo), qui dissocie toute la face profonde de celle
couche
en fascicules souvent fort grêles (Fig. 362). L
un faisceau oblique du pont (Fig. 349), on voit se déta- cher de la
couche
superficielle un volumineux faisceau qui s'isole
substance blanche des hémisphères cérébelleux (Fo, Fig. 362). La
couche
profonde et postérieure (stratum profondum (Strp)
parallèles ou onduleux, de volume et d'épaisseur très variables. La
couche
intermédiaire ou moyenne (Strc) (stratum complexu
éranliclles dans les noyaux pontiques, les fibres protubérantielles
Couche
superti- cielle du pont. Noyaux pontiques.
Noyaux pontiques. Faisceau oblique du pont. Coucho profonde
Couche
11111.\ (,HIIf' Ello n'appartient, ]n'aux deu
en un volumineux faisceau irrégulièrement arrondi, entouré par une
couche
plus ou moins épaisse de substance grise et limit
tain nombre de fibres protubérantielles, qu'elles appartiennent aux
couches
superficielles, profondes ou intermédiaires, s'en
é et du feutrage inlra- ciliaire au noyau rouge de Stilling et à la
couche
optique du côté opposé. Ils forment deux cordon
ulaire et intra-tegmentaire. Coupe oblique en, avant et en haut des
couches
optiques, du tronc encéphalique et du cervelet,
ive cérébelleuse jusqu'à leur terminaison dans le noyau rouge et la
couche
optique du côté opposé. Méthode de Weigert-Pal. 2
le de fascicules qui le sillonnent. Il est, en outre, entouré d'une
couche
assez épaisse de fibres à myéline signalée par Re
m de radiations de la calotte (Haubenstrahlung, Edinger, Flechsig),
couche
latérale du noyau rouge (latérales Mark des rot
e postérieure de l'olive, la perfore ou la côtoie, puis traverse la
couche
inler-olivaire et s'en tre-croise au niveau du ra
ouverture ou hile occupe le milieu de sa face interne et regarde la
couche
inter-olivaire. Sur les coupes sagil laies (cou
yau juxta-olivaire interne et s'adossent en partie aux fibres de la
couche
inler-olivaire. Leurs ori- gines et leurs conne
me des fibres arciformes du bulbe. L'olive est ainsi entourée d'une
couche
d'épaisseur inégale, qui régularise les contour
uxta-olivaire externe, il longe le hile de l'olive, le sépare de la
couche
inter-olivaire et représente une lame grise sagit
e coudée, dont la branche sagittale est petite et s'enfonce dans la
couche
inter-olivaire et dont la branche transversale
lus haut (coupes H3etH6, Fig. 362, p. 518 et 365, p. 527), en trois
couches
qui passent l'une en avant (stratum superficielle
c) la voie pédonculaire (voy. p.54517), la divisant en une série de
couches
anléro-poslérieures superposées. Les fascicules d
erse le tiers inférieur de la protubérance, entouré en avant par la
couche
des fibres transversales superficielles (stratw
ales superficielles (stratwn superficiale, Strs), en arrière par la
couche
des fibres transversales profondes (stratum profu
l (coupe H 8, Fig. 398, p. 5G3), le stratum profundum disparaît, la
couche
des fibres superficielles du pont recouvre seul
t piniforme. - SyR, substance gélatineuse de Rolando. - SRce (cio),
couche
inter-olivaire de la formation réticulée blanch
'appliquent contre le raphé et déterminent ainsi la formation de la
couche
inler-olivaire (SRa, cio, coupe H 9, Fig. 3GG, p.
Fig. 3GG, p. 529). La délimitation du faisceau pyramidal d'avec la
couche
inler-olivaire est difficile à établir, et cela
endante du trijumeau. - xPy, entre- croisement pyramidal. Avec la
couche
intcr-olivairc et l'o- livo bulbaire. 540 A
que par l'obliquité de ses fibres lâchement fasciculées de la dense
couche
de fibres qui recouvre la corne antérieure et q
ur place il existe un méplat répondant à la partie antérieure de la
couche
inter- olivaire (Fig. 152, p. 158; 210, p. 196;
ati ou arrondi, con- tenant le noyau arqué et situé au-devant de la
couche
inter-olivaire. La disposition inverse peut s'o
t dans le tubercule quadrijumeau antérieur, en particulier dans ses
couches
pro- fondes el moyennes. Leur trajet est partic
ans le ruban de Reil médian (Rm) (Fig. 378), descendent dans la
couche
inter-olivaire, puis réintègrent la voie pédonc
rticulièrement abondantes en arrière de l'olive (Fig. 383 et 384). La
couche
inlero- livaire contient dans sa partie antero-
bres transversales profondes du pont; la plupart descendent dans la
couche
inter-olivaire, puis rentrent dans la pyramide
r du pont. - SR, formation réticulée. - Strs, Strc, Strp, les trois
couches
de fibres transversales du pont : stratum superfi
ongitudinal postérieur (Flp) dont il est constamment séparé par une
couche
assez épaisse de fibres longitudinales; il envo
avant à la pyramide antérieure du bulbe (Py), concourt à former la
couche
inler-olivaire et fait définitivement corps avec
8, Fig. 398), le noyau central inférieur (Nci) limite en arrière la
couche
inter-olivaire et la sépare du faisceau longitu
l concourt la grande majorité mais non la totalité des fibres de la
couche
inter-olivaire (SRa cio). Les fibres entre-croisé
la Salpêtrièr CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCEPHALE. : : 67
couche
de fibres longitudinales à surface de section tri
neuse de Rolando. - SRa, formation réticulée blanche. - SRa (cio), la
couche
interoli- -\aire de la formation réticulée blan
de Haller, Burdach, Tiedemann, est encore désigné sous les noms de
couche
rubanée, Schleifecasc7viclaG, parlie antérieure d
ere Schleife (Forel) ; La partie qui aborde le thalamus est appelée
couche
rubanée principale ou proprement dite, Hanptthe
nom de ruban cortical, Rizzdenschleife. Bechterew distingue dans la
couche
rubanée ou ruban de Reil médian un segment inte
der Schleifenschicht (Bechterew), faisceau interne accessoire de la
couche
rubanée; mediale Blindel der Schleifenscleiclet
ong de la face externe du pédoncule cérébral et pénétraient dans la
couche
optique. Ces auteurs reconnurent et figurèrent
, la continuation des fibres de l'entre-croisement sensitif avec la
couche
inter-olivaire du bulbe et avec la couche ruban
oisement sensitif avec la couche inter-olivaire du bulbe et avec la
couche
rubanée de la protubérance. En 1883, v. Monakow a
Monakow avait, du reste, signalé la dégénérescence ascendante de la
couche
inter-olivaire et du ruban de Reil, à la suite
lbe. Il change ensuite de direction, devient ascendant, parcourt la
couche
interolivaire, la partie antérieure de la calolle
enl dans la partie postérieure et inférieure du noyau externe de la
couche
optique, dans celle région située au-dessous el e
culées, la partie supérieure de l'entre- croisement piniforme et la
couche
interolivaire. Coupe passant par le tiers inférie
e gélatineuse de Rolando. SRa (cio), formation réti- culée blanche (
couche
interolivaire). - TM, trou de Magendie. - 1 ·scl,
; la face postérieure irrégulièrement l dentelée est entourée d'une
couche
de fibres longitudinales, d'abord mince CONFIGU
e base d'implantation; elle est. entourée en cupule par une épaisse
couche
de fibres du cordon posté- rieur qui la sépare,
rsal, qui n'est séparée de la périphérie du bulbe que par une mince
couche
de fibres longitudinales et qui est reliée à la
fascicules compacts et à leur mode d'entre-croisement à angle aigu.
Couche
interolivaire (SR, cio). - Après leur décussation
du bulbe. 1.. 'C11 lrc-l' l'Olelileli 1 ! "C' ! 1O ? ll¡t 011 La
couche
ilitei- oln aire. S76 ANATOMIE DES CENTRES NE
formalion réticulée dans la région hulbo- protubérantielle. La
couche
ruba- liée et ses deux seg- ments Kuban de
cio, coupe H17, Fig. 400), mais ne constituent pas à elles seules la
couche
inter-olivaire ; elles se mélangent en effet av
iculée blanche (coupes Hll à H17, Fig. 441 à 447, p. 669 à 682). La
couche
interolivaire est traversée et cloi- sonnée par
r, l'extrémité supérieure de l'olive bulbaire et le raphé médian.
Couche
rubanée. Au-dessus de l'olive bulbaire (coupe H8,
euse. Sur les coupes horizontales, le ruban de Reil forme ainsi une
couche
de fibres aplatie d'avant en arrière, désignée pa
s aplatie d'avant en arrière, désignée par Reichert sous le nom cle
couche
rubanée (Sclileifenscliicht), par Haller sous c
de Reil latéral (RI). Le Ruban de Reil médian (Rm) procède de la
couche
inler-olivaire Bibliothèque des Internes en M
vermis. - Sgn, substance gélatineuse de Rolando. Slis, Slrc, Strp,
couches
des fibres transversales superficielles, moyennes
s), atteint la face latérale du tronc encéphalique et y forme cette
couche
de fibres obliques désignée par les anciens ana
beaucoup les plus nombreuses abordent la région sous-optique et la
couche
optique; elles sont quelquefois désignées sous
le Flp est toujours séparé du noyau réticulé de la calotte par une
couche
assez épaisse de fibres longitudinales, dont il
c encéphalique un peu en dehors de la ligne médiane et passe par la
couche
inter-olivaire et le hile de l'olive bulbaire.
6) et présente une sorte de crête, sur laquelle s'implante la mince
couche
épithéliale qui tapisse les plexus choroïdes tr
Fig. 424 à 435). Les libres sagittales du raphé sont dis- posées en
couches
si denses, qu'elles permettent à peine d'apercevo
formation réticulée : en avant, adossée à la pyramide, se trouve la
couche
iiiterolivai7-e (SR) ; en arrière, adossée à la s
bres transversales de l'étage antérieur de la protubérance en trois
couches
: l'une, antérieure, le stratum sitpe ? ,ficial
ement et entourés .de fibres longues plus ou moins onduleuses. La
couche
inler-olivaire de la coupe précédente, renferme i
ement de la région protubérantielle à la région bulbaire; les trois
couches
, superficielle, intermédiaire et profonde de l'ét
st-central. - sta, sillon transverse antérieur. - Strs, Strc, Slip,
couches
transversales antérieure, moyenne et postérieure
Fig. 410), la surface de la protubérance, mais en est séparée par une
couche
très dense et compacte de fibres transversales
'est représenté que par sa partie protubérantielle. Les fibres dela
couche
superficielle du pont sont encore plus denses, pl
rébelleuse. A la surface extérieure de l'olive, on trouve une mince
couche
de fibres entre-croisées dans tous les sens qui
ec). La moitié supérieure de la toison, enfin, est tapissée par une
couche
de fibres courbes à direction sagittale et qui ap
-11, nerf facial. 614 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. tiennent à la
couche
des fibres semi-circulaires externe (fsme) du cer
se groupent à la face profonde du pied du pédoncule cérébral en une
couche
de lâches fascicules, la couche dorsale du pied d
u pied du pédoncule cérébral en une couche de lâches fascicules, la
couche
dorsale du pied du pédoncule ou stratum interme
en fascicules presque FIG. 419. - Le pied du pédoncule cérébral, sa
couche
intermédiaire ou profonde, et le pes lemniscus
e sur une grande hau- Fic. 420. - Le pied du pédoncule cérébral, la
couche
intermédiaire, le pes lemniscus profond, la cal
s'effectue par les fibres transversales profondes du pont (FPop). La
couche
des fibres transversales superficielles (FPoa)
llon latéral de l'isthme et dissocient la voie pédonculaire (VP) en
couches
transversales, superposées d'arrière en avant.
nculaire, ses fibres horizontales et les fascicules dissociés de sa
couche
profonde. - VV, valvule de Vieussens. - 114, qu
r les coupes des tiers moyen et inférieur de la protubérance, et la
couche
des fibres transversales profondes du pont y es
très variés, mais qui se disposent en général d'avant en arrière en
couches
stratifiées FIG. 123. - L'étage antérieur et la
se antérieure du pont. - SR, formation réticulée. - Strc, Strp, Strs,
couche
transversale moyenne, profonde et superficielle
ncule cérébelleux moyen (Pcm), réduit encore à une mince mais dense
couche
de fibres, qui occupe la partie latérale de l'éta
scicules, dissociés par les nombreuses fibres toanscer- sales de la
couche
protubérantielle moyenne (F Pom). Les fibres de
sales de la couche protubérantielle moyenne (F Pom). Les fibres des
couches
antérieures (FPoa) et postérieures (FPop) ont pre
) s'entre-croisent en fascicules presque parallèles, les fibres des
couches
moyennes (FPom) et profondes (FPop) s'entre-cro
cédente, que par la concentration de la voie pédonculaire (VP)dans la
couche
moyenne du pont et par l'augmentation d'épaisse
la couche moyenne du pont et par l'augmentation d'épaisseur de ses
couches
superficielles et profondes. La substance grise
(Nrt). En dehors, il est mal délimité et se fusionne avec l'étroite
couche
de fibres (Fit) d'origine fort com- plexe, situ
olando. - Sli, formation réticulée de la calotte. - Strc, Strp, Strs,
couches
moyennes, profonde et superficielle des fibres
par de rares fibres transversales du stratum complexum (Strc). Les
couches
profondes (Strp) et superficielles (Strs) de la p
de la pro- tubérance ont encore augmenté de volume, et la dernière
couche
contient une gangue de substance grise plus abo
a coupe passe par la substance blanche centrale (Sbc) et intéresse la
couche
de fibres qui recouvrent les noyaux du toit et
substance grise qui tapisse le corps intra-ciliaire, par une mince
couche
de sub stance blanche qui recouvre l'extrémité
rieure du nid d'hirondelle est limitée comme à droite par une mince
couche
de substance grise en connexion avec l'écorce de
leux supérieur (Pes). L'olive est entourée en dehors. par une mince
couche
de feutrage extra-ciliaire, la toison (fec), que
ure ou bulbaire (Oi), et se continue sans délimitation nette avec une
couche
de fibres sectionnées plus ou moins obliquement
, il est séparé du faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp) par une
couche
de fibres beaucoup plus épaisse et dense que su
a diviser en deux parties : l'une antérieure ou interoli- vaire, la
couche
intl'1'olivai1'e de Flechsig; l'autre postérieure
aire, la couche intl'1'olivai1'e de Flechsig; l'autre postérieure, la
couche
inlerréti- culée. Les deux couches, interolivai
Flechsig; l'autre postérieure, la couche inlerréti- culée. Les deux
couches
, interolivaire et interréliculée, forment un tout
un certain nombre de systèmes de fibres. Cette étude montre; que la
couche
interolivaire comprend surtout les fibres du ru
omprend surtout les fibres du ruban de Reil médian, de là le nom de
couche
lemniscule qui lui est quelquefois donné, et qu
en connexion avec les cordons antéro- latéraux de la moelle; que la
couche
inte1'J'éticlllée con- tient, à sa partie posté
térieur de la moelle ou qui en dérivent; la partie antérieure de la
couche
inle1'1'éticlllée con- tient surtout des fibres
iable. Celles qui parcourent la formation réticulée grise (SRg) et la
couche
inter- réticulée de la formation réticulée blan
formes qui, sur cette coupe, traversent la partie postérieure de la
couche
interolitaire (SRa,cio), sont beaucoup plus épais
ineuse de Rolando. - SRa, formation reticulée blanche. - SRa (cio),
couche
inter-olivaire de la formation réticulée blanche.
), couche inter-olivaire de la formation réticulée blanche. SRa (cir)
couche
interréticulée de cette même formation. - SRg,
rrière et en dedans, elle s'adosse au ruban de Reil compris dans la
couche
inierolivaire de la formation réticulée blanche
t l'origine est encore obscure et qui se confondent en dedans avec la
couche
L c. 440. - La région bulbaire supérieure au-de
vant ou en arrière de l'olive bulbaire (Oi), puis traversent les deux
couches
inler-olivaire droite et gauche et s'irradient
arciformes occupent sur cette coupe toute l'étendue sagittale de la
couche
inter-olivaire, alors qu'elles n'en atteignent qu
evêtré des fibres du raphé. Les fibres arciformes qui traversent la
couche
inter-olivaire sont parallèles, nombreuses, for
ascicules rela- tivement volumineux; celles (fad) qui traversent la
couche
tilde de la formation réticulée blanche (SRa) s
sse (XII). La formation réticulée blanche forme sur cette coupe une
couche
homogène; on n'y distingue même plus la légère
i que les noyaux juxta-olivaires inlerne (Noi) et externe (Noe). La
couche
inierolivaire (SRa, cio) de la formation réticulé
euse de Rolando. - SRa, formation réticulée blanche. - SRa,cio), sa
couche
interolivaire. - SRg, formation réticulée grise.
st-à-dire au corps juxta-restiforme. Cette masse est entourée d'une
couche
de fibres sectionnées perpendiculairement à leu
séparées par les fibres du corps restiforme (Crst) disposées en une
couche
mince, étroite et curviligne qui contourne le cor
e du bulbe. - Sf/li, substance gélatineuse de Rolando. - ·Ra,(cio),
couche
inierolivaire de la formation réticulée blanche
contournent ce corps, puis par- courent en fascicules parallèles la
couche
inter-olivaire pour s'irradier dans le hile de
r entre-croisement avec les fibres longitudinales ascendantes de la
couche
inter-olivaire, en particulier du ruban de Reil m
cellules des noyaux des cordons postérieurs (NCp), montent dans la
couche
inter-olivaire et dans le ruban de Reil médian,
ans le ruban de Reil médian, du côté opposé et se terminent dans la
couche
optique. La cavité du quatrième ventricule qui,
effet reporté en avant et s'est coudé, une partie s'adossant il la
couche
inler-olivaire (SRa), l'autre à la pyramide (Py
raversent en effet la forma- tion réticulée, l'olive bulbaire et la
couche
interolivaire en affectant un trajet oblique en
érébello-olivaires traverser la formation réticulée, l'olive et les
couches
inter-olivaires (coupes H 14 et H 15), ou seuleme
hes inter-olivaires (coupes H 14 et H 15), ou seulement l'olive et la
couche
inter-olivaire (coupes H 16). En d'autres terme
ruban de Reil médian, c'est-à-dire avec une partie des fibres de la
couche
inter-olivaire. Au sur et à mesure que les fibr
e antérieure. - SgR, substance gélatineuse de Rolando,. - SRa (cio)
couche
interolivaire de la formation réticulée blanche.
rsent le noyau juxta-olivaire interne et la partie antérieure de la
couche
inte2-olivaii-e. La formation réticulée grise (
.cPin, entre-croisement piniforme ou sensitif du bulbe. - SRa (cio),
couche
interolivaire de la formation réticulée blanche
tif du bulbe. - S7R, subslance gélatineuse de Rolando. - SRa (cio),
couche
inter-olivaire de la formation réticulée blanche.
oyaux des cordons postérieurs et entrent dans la constitution de la
couche
inter-olivaire et du ruban de Reil médian. Les
neuse de Rolando. -SRa, forma- tion réticulée blanche. - SRa (cio),
couche
interolivaire de la formation réticulée blanche.
resque la péri- phérie du bulbe dont ne le sépare qu'une très mince
couche
de fibres section- nées perpendiculairement à l
substance grise limités parun feu- trage de fibres et par l'épaisse
couche
de fibres du cordon postérieur qui le recouvre.
ar sa coloration grise, translucide. Ces coupes montrent qu'une mince
couche
de fibres appartenant à la grosse racine sensit
pe H 19, Fig. 449), puis s'étrangle sur la coupe H20 (Fig. 450). La
couche
de fibres qui le revêt et qui constitue le cordon
rme, refoulent en dehors la base des cornes antérieures et la mince
couche
de fibres du cordon antérieur (Ca) qui la recouvr
ulle part sur ces coupes la périphérie du bulbe, dont la sépare une
couche
plus ou moins épaisse de substance blanche esse
cture de l'écorce cérébelleuse. L'oeil nu permet de distinguer deux
couches
dans l'écorce cérébelleuse, l'une externe, grise
e, l'autre inlerne, roui liée ou granuleuse, séparées par une mince
couche
claire, intermédiaire, qui contient les corps des
sillons. Cette différence tient surtout à l'inégale épaisseur de la
couche
interne ou granuleuse (cg), dont les éléments cel
inage du fond des sillons. Nous étudierons successivement : 1° La
couche
intermédiaire ou la couche des cellules de Purkin
Nous étudierons successivement : 1° La couche intermédiaire ou la
couche
des cellules de Purkinje (cP) ; 2° La couche mo
he intermédiaire ou la couche des cellules de Purkinje (cP) ; 2° La
couche
moléculaire (cm); 3° La couche granuleuse (cg);
cellules de Purkinje (cP) ; 2° La couche moléculaire (cm); 3° La
couche
granuleuse (cg); '1-° Les fibres terminales qui
anuleuse (cg); '1-° Les fibres terminales qui s'arborisent dans ces
couches
. Si nous dérogeons aux habitudes prises de décr
ces couches. Si nous dérogeons aux habitudes prises de décrire les
couches
céré- belleuses de dehors en dedans, cela tient
rtants de l'écorce cérébelleuse et qu'elles appartiennent aux trois
couches
: à la couche moléculaire, par leurs ramificati
rce cérébelleuse et qu'elles appartiennent aux trois couches : à la
couche
moléculaire, par leurs ramifications dendritiqu
la couche moléculaire, par leurs ramifications dendritiques; il la
couche
intermédiaire, par leurs corps cellulaires : à
ues; il la couche intermédiaire, par leurs corps cellulaires : à la
couche
granuleuse, par les collatérales de leur cylindre
leur cylindre- axe - et que la plupart des éléments cellulaires des
couches
moléculaire et granuleuse sont destinés a assur
es corps cel- Écorce curebol- leuse. Son épaisseur. Ses trois
couches
. 692 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. lulaires,
tions dendritiques d'un certain nombre de cel- lules de Purkinje.
Couche
intermé- diaire. La cellule de Pur- kinje.
intermé- diaire. La cellule de Pur- kinje. Ses dimensions.
Couche
intermédiaire, couche des grandes cellules ou cou
La cellule de Pur- kinje. Ses dimensions. Couche intermédiaire,
couche
des grandes cellules ou couche des cellules cle
es dimensions. Couche intermédiaire, couche des grandes cellules ou
couche
des cellules cle Purkinje. Les cellules de Purk
ents de très grande taille, dont le corps est situé aux confins des
couches
moléculaire et granuleuse, plus près toutefois
leux de l'homme adulte. (Coloration par la méthode de Rosin.) cg,
couche
granuleuse ; cette couche, très épaisse au niveau
oloration par la méthode de Rosin.) cg, couche granuleuse ; cette
couche
, très épaisse au niveau des crêtes des lames et l
le fond des sillons à une mince bande de grains stratifiés. - cm, .
couche
'moléculaire d'épaisseur a peu près partout égale
. couche 'moléculaire d'épaisseur a peu près partout égale. - cl',
couche
intermédiaire o couche des cellules de Purkinje
d'épaisseur a peu près partout égale. - cl', couche intermédiaire o
couche
des cellules de Purkinje disposées en une seule r
FIG. 155. - Les cellules de Purkinje elles libres terminales de la
couche
granuleuse du cervelet de l'homme. Coupe sagitt
s en bois de cerf de ces cellules occupent toute la hau- teur de la
couche
moléculaire. - cy, cylindre-axe des cellules de P
du cylindre-axe des cellules de Purkinje. -cs, cellule étoilée de la
couche
moléculaire, dont les arborisations cylindre-ax
e par les arborisations cylindre-axiles d'une cellule étoilée de la
couche
moléculaire, en partie par les arborisations cyli
ibres terminales de la substance blanche (sali s'arborisant dans la
couche
granuleuse. - as, cellule araignée ou astrocyte d
rolongements dendritiques. Us occupent toute la hauteur de la
couche
moléculaire. s'arborisent en bois do cerf,
lle esl striée ou fibrillaire, autour du noyau elle forme plusieurs
couches
concentriques très denses qui se prolongent en
e la base ou des parties latérales du corps cellulaire, traverse la
couche
rouillée, granuleuse ou interne, el se con- tin
ie de branches radiées, qui atteignent l'extrême péri- phérie de la
couche
moléculaire et émettent chemin faisant une infini
extrémités libres et épineuses dans les différentes hauteurs de la
couche
moléculaire; quelques-uns se terminent au voisi
? 8 de diamètre et qui occupe chez l'adulte toute l'épaisseur de la
couche
moléculaire (Fig. 435 et 4JG). Chez l'embryon
nt, elle atteint à peine chez le nouveau-né la partie moyenne de la
couche
moléculaire; elle se trouve recouverte par la cou
moyenne de la couche moléculaire; elle se trouve recouverte par la
couche
de cellules embryonnaires de Vignal qui diminue
- nissenko), traverse en ligne droite ou légère- ment courbe la
couche
e granuleuse ou interne, puis entre dans la con
ll, ses co l- latérales récurrentes. - ce, cellule empanachée de la
couche
granuleuse, dont les prolongements disposés en
les prolongements disposés en branches de candélabre traversent la
couche
moléculaire, en formant t les fibres de Bergman
ientés dans 696 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses collatérales.
Couche
mtcmo Les grains du cer- velet. Leurs arbor
les cylmdm·s-azes. Ils forment les fi- Ores parallelos de la
couche
moléculaire. Dans son trajet à travers la couch
parallelos de la couche moléculaire. Dans son trajet à travers la
couche
granuleuse, le cylindre-axe présente quelques é
tes par Cajal, Retzius, v. K6lliker, etc. Elles se dirigent vers la
couche
moléculaire, se divisent une ou deux fois dicho
ou deux fois dichotomiquement, puis s'arborisent en partie dans la
couche
interne, en partie dans les régions inférieures d
ans la couche interne, en partie dans les régions inférieures de la
couche
molé- culaire, puis se terminent librement auto
s dendrites des cellules de Purkinje voisines (Fig. 155 et 1-56).
Couche
interne. - Comparée à la couche granuleuse intern
rkinje voisines (Fig. 155 et 1-56). Couche interne. - Comparée à la
couche
granuleuse interne de la rétine, la couche inte
interne. - Comparée à la couche granuleuse interne de la rétine, la
couche
interne, couche granuleuse (Gerlach), couche des
rée à la couche granuleuse interne de la rétine, la couche interne,
couche
granuleuse (Gerlach), couche des grains ou couc
terne de la rétine, la couche interne, couche granuleuse (Gerlach),
couche
des grains ou couche rouillée de v. Kôlliker, s
a couche interne, couche granuleuse (Gerlach), couche des grains ou
couche
rouillée de v. Kôlliker, se présente sur les coup
serré de grains polyédriques fortement teintés par le carmin. Cette
couche
présente, ainsi que nous l'avons vu plus haut,
t, soit après un trajet plus ou moins oblique, puis pénètre dans la
couche
moléculaire et s'y bifurque en T en donnant naiss
par une extrémité effilée qui se recourbe et peul pénétrer dans la
couche
interne ou granuleuse (Cajal, Retzius). Ces fib
es, sont très nombreuses; elles occupent toute la liaittelli- de la
couche
moléculaire il laquelle elles impriment un aspect
sous l'aspect d'un fin pointillé, qui occupe toute la hauteur de la
couche
moléculaire, alors que les arborisations des cell
. Outre ces grains si caractéristiques de l'écorce cérébelleuse, la
couche
interne contient encore un certain nombre de ce
cérébelleuse. On les trouve disséminées dans toute la hauteur de la
couche
granuleuse interne, voire même dans la Fie. 45T
la Fie. 45T. - Les grains du cervelet, les fibres parallèles de la
couche
moléculaire et les cellules de Purkinje vues de
de de Golgi.) - Figure demi-schématique d'après Cajal (1893). .4,
couche
moléculaire. - l3, couche granuleuse. - C,' subst
i-schématique d'après Cajal (1893). .4, couche moléculaire. - l3,
couche
granuleuse. - C,' substanche blanche/ Chaque gr
e grain émet un cylindre-axe ascendant, qui se bifurque (6) dans la
couche
moléculaire, et donne naissance à une libre par
olgi de la coucho interne. 698 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La
couche
externe couche intermédiaire, aux confins de la
interne. 698 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La couche externe
couche
intermédiaire, aux confins de la zone moléculaire
complexe, d'une étendue extrême, qui occupe toute la hauteur de la
couche
gra- nuleuse et peul être suivie jusque dans la
les coupes un peu épaisses traitées suivant la méthode de Golgi, la
couche
granuleuse parait presque complètement colorée en
gulièrement sur de grandes étendues ; quelques endrilestraversentla
couche
granuleuse, puis pénètrent de chaque côté dans
aversentla couche granuleuse, puis pénètrent de chaque côté dans la
couche
moléculaire adjacente (Retzius) (Fig. 458). D'a
) (Fig. 458). D'autres dendrites se coudent après avoir traversé la
couche
moléculaire, deviennent horizontales, puis four
en 1895, ont décrit, chez la souris et le chai nouveau-né, dans la
couche
granuleuse et dans la substance blanche, de vol
cylindre-axe dans la sub- stance blanche et leurs dendrites dans la
couche
moléculaire. Ces cellules très rares, et qui n'
les au grand axe de la lamelle; 2 il 3 dendrites se portent dans la
couche
moléculaire et s'y arborisent. Quant au cylindr
et se perdait clans le feutrage de fibres qui entoure ces noyaux.
Couche
externe ou moléculaire (couche grise de v. Kôllik
ge de fibres qui entoure ces noyaux. Couche externe ou moléculaire (
couche
grise de v. Kôlliker, couche finement grenue, c
yaux. Couche externe ou moléculaire (couche grise de v. Kôlliker,
couche
finement grenue, couche granuleuse externe, couch
u moléculaire (couche grise de v. Kôlliker, couche finement grenue,
couche
granuleuse externe, couche superficielle). Cett
de v. Kôlliker, couche finement grenue, couche granuleuse externe,
couche
superficielle). Cette couche, très régulière et
ent grenue, couche granuleuse externe, couche superficielle). Cette
couche
, très régulière et d'épaisseur à peu près égale,
rc 3 U¡l11- Fin. r : i8. - Cellule du type II de Golgi de la
couche
granuleuse de l'écorce du cervelet. - Coupe perpe
s. Sy%tème de soute- jacment. Absence à l'état noi-rnal d'une
couche
névroglique sous- pi e-mérienno. ramifiés e
ure de la cellule et atteignent en se ramifiant la périphérie de la
couche
moléculaire. Le cylindre-axe se comporte d'une
collatérales ascendantes qui se por- tent vers la périphérie de la
couche
moléculaire où elles s'arborisent libre- ment (
risent libre- ment (Fig. 459). Cajal (1895) a signalé enfin dans la
couche
moléculaire, des fibres en anse dont l'origine
outènement . Névroglie. - L'écorce cérébelleuse est dépourvue d'une
couche
de névroglie sous-pie-mérienne et occupe de ce
ut que toute la surface extérieure du névraxe soit recouverte d'une
couche
névroglique sous-pie- mérienne plus ou moins de
que sous-pie- mérienne plus ou moins dense. On voit toutefois celle
couche
apparaître dans des cas pathologiques, an cours
ce, Fig. 456), dont les corps siègent dans la partie supérieure de la
couche
STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBENCÉPHALE. .01
01 granuleuse et [dont les prolongements traversent radiairement la
couche
moléculaire en formant les fibres dites cle Ber
de Bergmann provenaient d'un corps cellulaire situé en dedans de la
couche
moléculaire, et décrivit la forme étoilée des c
'une lamelle cérébelleuse de mammifère. (D'après Cajal, 1893.) A,
couche
moléculaire. - B, couche granuleuse. - C, substan
de mammifère. (D'après Cajal, 1893.) A, couche moléculaire. - B,
couche
granuleuse. - C, substance blanche de la lamelle
axe de la cellule de Purkinje. - b, petites cellules étoilées de la
couche
moléculaire. d, nid péricellulaire péripurkinji
descendantes des cylindres-axes des petites cellules étoilées de la
couche
moléculaire. - e, cellule étoilée superficielle
zone des grains. ? grande cellule isolée du type Il de Golgi, de la
couche
granuleuse. La cellule névru- glique empanach
myé- line de l'écorce cé- rébelleuse. 1-eiir pénurie dans la
couche
molécu- laire. Golgi; leur corps est irréguli
mbreux prolongements, dont les uns, très courts, se rendent dans la
couche
granuleuse, et dont les autres, beaucoup plus lon
onstate que de très rares fibres névrogliques transversales dans la
couche
moléculaire. Les libres de Berg- mann et les fi
les cellules de Purkinje de véritable paniers névrogliques. Dans la
couche
granuleuse, on ne constate à l'aide de la méthode
e colorée à l'aide de la méthode de Weigert-Pal, on constate que la
couche
moléculaire ne contient que peu de libres à myé
e contient que peu de libres à myéline. Elle est dépourvue de cette
couche
de fibres tangen- tielles superficielle, si car
inje, c'est-à-dire au niveau du quart ou du cinquième interne de la
couche
moléculaire. Les fibres radiées passent entre l
des grains du cervelet. Si le quart ou le cinquième interne de la
couche
moléculaire contient de nombreuses fibres à myé
es parallèles de Cajal, comme les fibres des parties internes de la
couche
moléculaire. La couche granuleuse contient de n
omme les fibres des parties internes de la couche moléculaire. La
couche
granuleuse contient de nombreuses fibres à myélin
ile supérieure, au-dessous du corps des cellules de Pur- kinje, une
couche
assez épaisse de libres à myéline à direction tra
cellules de Purkinje et au-dessous des fibres longitudinales de la
couche
moléculaire qui croisent leur direction. Les co
surface de la circonvolution montrent qu'il ne s'agil pas ici d'une
couche
de fibres continue, mais d'une sorte de feutrag
'étroits ponts de fibres à direction plus ou moins oblique. Cette
couche
de fibres transversales 5Ous-purkÙjiennc reçoit l
bres transversales 5Ous-purkÙjiennc reçoit les fibres radiées de la
couche
moléculaire qui se coudent en l'abordant. De sa
à myéline, rectilignes ou plus ou moins obliques, qui traversent la
couche
granuleuse, s'enche- vêtrent et s'entre-croisen
la circonvolution; elle fait défaut dans le fond du sillon; ici la
couche
granuleuse est sillonnée de fibres obliques ou
- cales ou fibres en U de Meynert, que nous avons décrites dans les
couches
profondes de l'écorce des sillons cérébraux (Vo
e sont donc toutes d'origine purkinjienne. Leur abondanco dans la
couche
gra- nuleuse. Le feutrage sous- purkinjicn
constituent les fibres parallèles; 2° les cel- lules étoilées de la
couche
moléculaire dont les cylindres-axes entourent l
a branche ascendante des grains, à la forma- lion du feutrage de la
couche
granuleuse. Ces libres terminales ont été décou
méthode de Golgi : les unes, fibres moussues, s'arborisent dans la
couche
granuleuse; les autres, fibres grim- pantes, so
he granuleuse; les autres, fibres grim- pantes, sont destinées à la
couche
moléculaire et s'enroulent a la ma- nière d'une
musgosas de Cajal, Moosfasern de v. Kôlliker) s'arborisent dans la
couche
granuleuse et présentent de distance en dis- la
région des cellules de Purkinje et se prolongent en partie dans la
couche
moléculaire. D'après c-- U -s C co n !
t des libres terminales qui, de la substance blanche, traversent la
couche
granuleuse pour s'arbo- boriser dans la couche
anche, traversent la couche granuleuse pour s'arbo- boriser dans la
couche
moléculaire : libres moussues, fibres étoilées ou
uges et centripètes de l'écorce cérébelleuse, après avoir traversé la
couche
granuleuse, se réunissent dans l'axe de la lame
s sillons inlcrlamellaires, interlobulaires et interlobaires, d'une
couche
assez épaisse qui mesure 0 ? 2 il 0 ? J, eldonl l
raduellement avec les fibres d'association intra-cor- ticales de la
couche
granuleuse (voy. p. 703). Les fibres longues ou
les forment un faisceau à direction sagittale, connu sous le nom de
couche
sagittale de la branche horizontale de l'arbre
sous-lobaire inextricable (Fig. 4G3), tout à fait analogue à cette
couche
périphérique du centre ovale du cerveau que nou
fais- ceaux plus ou moins nettement délimités : Les fibres de la
couche
sagittale de la branche horizontale de l'arbre
de transition entre le vermis et les hémisphères cérébelleux, cette
couche
s'épaissit considé- rablement en avant et en de
(innerc et aussere Leur-» faisceaux '\ dIII'éIC.1C.l ? 3. 1° La
couche
sa- ttittale de la branche horizontale de l'a
es dépressions des surfaces externe et interne du corps dentelé. La
couche
qui recouvre la face externe, convexe, du corps d
toison, de plexus extraciliaire, de cap- sule du noyau dentelé ; la
couche
qui tapisse la face interne de l'olive céré- be
el la partie supé- rieure de la face interne du corps dentelé d'une
couche
, mince en arrière et en bas, beaucoup plus épai
rizontale de l'arbre de vie du lobe médian (Fig. 437, p. G : 3); la
couche
sagittale de cette branche horizontale sépare d
e la toison, dont le moyen (fsmé) recouvre le bouchon, traverse ses
couches
les plus superficielles ou passe entre la toiso
t et séparé du petit entre-croisement commissural postérieur par la
couche
sagiltale de la branche horizontale de l'arbre de
du vermis. bv, branche verlicale de l'arbre de vie du vermis. Cor ?
couche
sagittale de la branche horizontale de l'arbre de
CHAPITRE VII GANGLIONS SIN F H AC 0 1\ T J C A U X : CORPS STRIÉ,
COUCHE
OPTIQUE RÉGION SOUS-OPTIQUE TABLE DES .MATIÈR
qui ferme l'espace perforé antérieur (EPÀ) et dans lequel s'étale une
couche
de substance grise (GS) désignée sous le nom de p
diane, se perd, au-dessus et en avant du chiasma (CH), dans une mince
couche
verticale de substance grise : la lame terminale
essous et en avant du rostrum, s'étend, à la surface de l'écorce, une
couche
irrégulière et gaufrée de substance blanche, qui
ventricule moyen et va se jeter dans le tubercule mamillaire (TM).
Couche
optique, thalamus. — Toutes les parties situées a
sidérable, ovoïde, allongée dans le sens antéro-postérieur : c'est la
couche
optique ou thalamus. On peut y reconnaître facile
substance grise; il n'est pas, comme l'étage supérieur, revêtu par la
couche
blanche du stratum zonale. Vers sa partie moyenne
Reil. Le ruban de Reil, ou faisceau triangulaire de l'isthme, est la
couche
superficielle de la face postéro-externe du pont
lotte dans un repli de la pie-mère, la glande pinéale est reliée à la
couche
optique à droite et à gauche par trois pédoncules
t, que l'habénule fait suite à un ganglion de l'étage supérieur de la
couche
optique (GI1). C'est qu'en effet la glande pinéal
. Là, elle se confond avec le pied du septum. Elle se compose de deux
couches
: une antérieure blanche, qui forme une véritable
ier descendant de la voûte (DF). Plus bas, derrière le chiasma, cette
couche
grise représente ce qu'on appelle la racine grise
est le pulvinar (Pul), en partie constitué par le noyau interne de la
couche
optique (NiC). Au-dessous et en avant du spleni
encore et disparaît. LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la
couche
gaufrée de substance blanche qui revêt la circonv
uble a contracté des connexions définitives avec les noyaux centraux (
couche
optique, etc.). Et ainsi s'établit le premier sys
e antérieure, la commissure postérieure, le tubercule antérieur de la
couche
optique, etc. Ces repères-là sont invariables, ou
limitant sur son bord interne ; il sépare ainsi le noyau caudé de la
couche
optique. Nous étudierons ultérieurement le détail
sant à la fois au milieu de la tête du corps strié et au milieu de la
couche
optique. La surface de section représentée sur
ne; le noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau postérieur est la
couche
optique. En dehors et dans la profondeur, un tr
ticulaire. Le noyau lenticulaire est séparé du noyau caudé et de la
couche
optique par une lame blanche épaisse, coudée, c'e
enou de la capsule, étant toujours sous-jacent au noyau caudé et à la
couche
optique, répond nécessairement aussi, sur les cou
fonde du tamia; le lamia, en effet, est la ligne de démarcation de la
couche
optique; et du noyau caudé sur toute l'étendue an
au caudé ; Tic, ta'iiia ; P, ])édonculo cérébral IKMn'tranL dans la
couche
optique (CO) ; x, y, z, trois coupes horizontal
tricule moyen dont la paroi est représentée par la face interne de la
couche
optique (Th), et il a divisé le pied du pédoncule
de la commissure postérieure (CP) ; il entame le noyau interne de la
couche
optique (NiC), passe en dehors de l'habénule (IIA
en dehors de l'habénule (IIAB), et traverse le noyau antérieur de la
couche
optique (NaC). A mesure qu'on procède à cette div
it que la coupe avait été pratiquée sur cet liémi-sphère à travers la
couche
optique. Il nous reste à énumérer les-parties, en
niveau de sa pénétration dans l'hémisphère à la face inférieure de la
couche
optique. Le faisceau de Tiïrck-Meynert s'enfonce
s sagittales), le discus lentifor-mis (DL), sous-jacent lui-môme à la
couche
optique. FG. Le faisceau géniculé est la moitié
rière en avant et de dedans en dehors, toujours situé au-devant de la
couche
optique. ANL. L'anse du noyau lenticulaire est
e entre les faisceaux du pédoncule qui viennent d'être énumérés et la
couche
optique à la face inférieure de laquelle il est m
semi-circularis est la petite bande de fibres blanches qui sépare la
couche
optique (Pul) de la queue du noyau caudé (NCC).
lus claire que tout le reste de l'écorce, est due à la présence de la
couche
réticulaire d'Arnold. — En arrière, la circonvolu
COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LA BASE DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA
COUCHE
OPTIQUE [corpus album subrotundum). Écorce. Les
érieure. — TM, tubercule mamillaire. — NaC, tubercule antérieur de la
couche
optique. postérieure de la face interne de l'hé
e la scissure calcarine (K). Le prolongement sphénoïdal passe sous la
couche
optique (NiC). Substance grise. NC. Le noyau
dehors il repose sur une large masse de fibres qui convergent vers la
couche
optique (NeC); cette masse de fibres est la couro
quement en haut et en dehors. NaC, NeC, NiC. Les trois noyaux de la
couche
optique forment aussi, dans leur ensemble, la mas
en bas et de dehors en dedans, avec le stratum zonale qui recouvre la
couche
optique. "Le stratum zonale est cette lamelle b
terne (NiC), parce que ses fibres, vers l'extrémité postérieure de la
couche
optique, sont coupées perpendiculairement à leur
). Cette lame est formée de fibres venues de la face inférieure de la
couche
optique, c'est-à-dire de la région de l'étage sup
la région de l'étage supérieur de la calotte; elle se compose de deux
couches
entrecroisées, qui constituent ce qu'on a appelé
e de deux couches entrecroisées, qui constituent ce qu'on a appelé la
couche
grillagée (voy. CG, pl. XXVIII, fig. 114). Les
e grillagée (voy. CG, pl. XXVIII, fig. 114). Les trois noyaux de la
couche
optique sont d'une teinte plus claire que le noya
e (RC), et un prolongement interne entre la couronne rayonnante et la
couche
optique. Ce dernier prolongement se perd môme, en
ngement se perd môme, en grande partie, dans la substance grise de la
couche
optique. CR. La couronne rayonnante, que nous a
au devant de la commissure (CA). Sur la ligne médiane, la très mince
couche
de substance grise qui réunit ainsi les deux tête
pe toute la région profonde de l'insula, dont il est séparé par trois
couches
distinctes : 1" la capsule externe, blanche (CE);
ulvinar (Pul). Pul. Le pulvinar est la tubérosité postérieure de la
couche
optique faisant saillie dans le carrefour ventric
me pour le pulvinar; ce noyau en efl'et, quoique faisant partie de la
couche
optique, ne s'arrête pas nettement à la lame médu
. Le tubercule quadrijumeau antérieur, qui semble faire corps avec la
couche
optique, présente dans sa masse grise une tache f
e la scissure de Sylvius (S') que par le pôle de l'insula (PI) et une
couche
de substance grise, que nous appelons l'isthme gr
par la face externe de la corne d'Ammon (Fd). Substance grise. La
couche
optique n'est plus intéressée sur cette coupe, no
d'ailleurs séparé de l'écorce de BUISSAUD. 6 l'hippocampe par une
couche
blanche, fenôtrée, la substance réticulaire d'Arn
), s'enfonce à une grande profondeur dans la substance cérébrale ; la
couche
corticale qui le revêt arrive ainsi presque au co
rnix, séparé de l'écorce grise, surtout dans le pli inférieur, par la
couche
claire de la lame festonnée (LFE). La cavité ve
f (FS) en dehors, et du faisceau compact du fornix en dedans, par une
couche
claire, qui n'est autre que la membrane épendymai
t autre que la membrane épendymaire (EP), et, plus en dehors, par une
couche
de fibres foncées, dirigées dans le sens antéro-p
faisceau longitudinal inférieur se divise ici très nettement en trois
couches
: ime supérieure (FLl), foncée, compacte, dirigée
partie externe du faisceau sensitif FS. Cette disposition en trois
couches
n'existe que dans la région la plus postérieure d
plancher de la cavité ventriculaire. Un peu plus en avant, les trois
couches
en question se réduiront à deux. La couche supéri
plus en avant, les trois couches en question se réduiront à deux. La
couche
supérieure (FLi) aura disparu; c'est-à-dire que s
rvent les dernières. Donc, les fibres antéro-postérieures, formant la
couche
supérieure (FLi) du faisceau longitu- Figure 8.
s'incurvent seulement dans la région postérieure du cerveau. Si cette
couche
manque dans une région plus anhîrieunî, c'est qu'
supérieure, se divise après sa réflexion sous le ventricule en trois
couches
horizontales (FLI), toujours interposées entre le
e est cependant relativement facile à dissocier. Il est formé de deux
couches
ou lames verticales adossées, marchant d'avant en
. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 9, 10, 12) divisé en trois
couches
, se porte en dedans et en avant vers la moitié in
I. Le faisceau longitudinal inférieur ne présente plus guère que deux
couches
: une blanche, supérieure, dont il vient d'être q
la planche précédente, on reconnaît que la différence est grande. La
couche
supérieure (FLi) a disparu. Cela revient à dire q
de la substance blanche du faisceau supérieur du forceps (FOs). La
couche
moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FL2),
rtie supérieure, se condense à sa partie inférieure. Au-dessous de la
couche
moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FL2),
LI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose plus que de deux
couches
(FL2 et FL3), la moyenne et l'inférieure. La supé
ent de dehors en dedans pour se porter vers le gyrus lingual (T) La
couche
moyenne (FL2) représente les fibres du faisceau s
moyenne (FL2) représente les fibres du faisceau sensitif réfléchi. La
couche
inférieure (FL3) représente également des fibres
ici une seule particularité. Il augmente d'épaisseur surtout dans sa
couche
inférieure et particulièrement dans la région du
du faisceau longitudinal inférieur (FLI) s'accuse de plus en plus. La
couche
inférieure (FL3), l'emporte, de ce fait, sur la c
us en plus. La couche inférieure (FL3), l'emporte, de ce fait, sur la
couche
moyenne (FL2). Quant à la couche supérieure (FLi)
(FL3), l'emporte, de ce fait, sur la couche moyenne (FL2). Quant à la
couche
supérieure (FLi), encore visible sur la figure 14
et en avant, dans le manteau du gyrus fusiforme (T4), en dehors de la
couche
moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FLI),
tudinal inférieur (FLI), et paraît mêler ses fibres avec celles de la
couche
inférieure (FL3) de ce faisceau (voy. fig-17 et
sillon occipito-temporal (otk), se réduit de plus en plus à une seule
couche
; cette couche inférieure (FL3) est formée en maj
-temporal (otk), se réduit de plus en plus à une seule couche ; cette
couche
inférieure (FL3) est formée en majeure partie des
sensitif (FS), et spécialement des fibres externes de ce faisceau. La
couche
moyenne (FL2) a perdu beaucoup de son épaisseur.
précédemment. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, réduit à sa
couche
inférieure, est formé des fibres de la partie ext
ion évidente de ses fibres de dehors en dedans, mais à la présence de
couches
grises, minces, interposées entre les trousseaux
23); enfin, à sa partie inférieure, il tend déjà à se diviser en deux
couches
, une externe et une interne (fig. 19 et suiv.). L
er en deux couches, une externe et une interne (fig. 19 et suiv.). La
couche
interne est plus compacte que l'externe, surtout
étudiés. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur est réduit à deux
couches
; la plus importante (FL3, fîg. 21), est la couche
est réduit à deux couches; la plus importante (FL3, fîg. 21), est la
couche
inférieure, celle qui renferme les fibres antéro-
stérieures, venues en majeure partie du faisceau sensitif externe. La
couche
moyenne (FL2) représente des fibres transversales
cette circonvolution est occupée par la corne d'Àmmon, les fibres des
couches
inférieure et moyenne du faisceau longitudinal in
entuée, que les fibres du faisceeu sensitif (FS) se composent de deux
couches
; mais c'est sur la planche suivante que cette di
. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose que de deux
couches
. La couche inférieure foncée (FLs) est en grande
faisceau longitudinal inférieur ne se compose que de deux couches. La
couche
inférieure foncée (FLs) est en grande partie form
est déjà en presque totalité épuisé dans le gyrus fusiforme (T4). La
couche
moyenne (FL2, fig. 26, 29), composée de fibres tr
tassés au-dessus du corps calleux, se présentent sous l'apparence de
couches
plus condensées; leur teinte est plus foncée et l
bientôt pour se prolonger en haut, au-dessus du corps strié et de la
couche
optique, en bas au-dessous du noyau caudô et du p
lis de la bandelette cendrée, laquelle est recouverte par une mince
couche
de fibres. Cette couche blanche commence à revêti
endrée, laquelle est recouverte par une mince couche de fibres. Cette
couche
blanche commence à revêtir la bandelette cendrée,
s sépare pas; elle les recouvre l'une et l'autre. Mais comme ces deux
couches
grises décrivent des ondulations, et comme ces on
l'hippocampe. Cette dépression de la surface corticale, revêtue d'une
couche
blanche, représente la section verticale de la co
, revêtue d'une couche blanche, représente la section verticale de la
couche
blanche elle-même, qui, sur des coupes plus antér
eulement pour quelques-unes d'entre elles. Celles-ci forment alors la
couche
supérieure du faisceau longitudinal inférieur; et
et c'est parce quelles ne se réfléchissent pas toutes ensemble que la
couche
supérieure de ce faisceau est nécessairement mo
tions occipitales internes. FS. Le faisceau sensitif, dont les deux
couches
sont déjà recon-naissables sur les premières figu
faisceau longitudinal inférieur change d'aspect; il est réduit à une
couche
sur la figure 51 (FLI) ; il en a trois sur les co
nd sillon occipito-tamporal. Mais cela ne veut pas dire que les trois
couches
du faisceau longitudinal inférieur, signalées pré
inférieur, signalées précédemment, se soient reconstituées ici. Deux
couches
nouvelles (FL4, FLs) ont fait leur apparition. El
ibres. Seulement les fibres qui sur une coupe précédente formaient la
couche
moyenne, forment maintenant la couche inférieure.
e coupe précédente formaient la couche moyenne, forment maintenant la
couche
inférieure. Celles qui formaient la couche inféri
nne, forment maintenant la couche inférieure. Celles qui formaient la
couche
inférieure, Proiil du faisceau longitudinal inf
s la direction du grand sillon occipito-temporal (oi4). forment une
couche
plus inférieure encore. On comprend ainsi que les
forment une couche plus inférieure encore. On comprend ainsi que les
couches
(FLs, FL4, FLs) du faisceau longitudinal inférieu
iment peu différente de ce qui avait été signalé jusqu'à présent : la
couche
la plus inférieure, quelque numéro qu'elle porte,
F), une fois qu'il s'est réfléchi dans le gyrus fusiforme. Quant à la
couche
la plus supérieure, elle répond toujours au tapet
à la couche la plus supérieure, elle répond toujours au tapetum ; les
couches
intermédiaires (entre la plus supérieure et la pl
nu au fond du sillon occipito-temporal (otk), paraît se stratifier en
couches
supplémentaires. On constatera, en examinant la p
oupe pratiquée en arrière (A, Schéma 64) dans une région où les trois
couches
sous-ventriculaires sont nettement parallèles, fe
arrêtées. Une coupe pratiquée en avant (B), en un point où les trois
couches
ventriculaires du faisceau longitudinal inférieur
ippocampe, fera voir, sur la surface de section, une superposition de
couches
différemment teintées, et plus nombreuses que ne
fféremment teintées, et plus nombreuses que ne le sont en réalité ces
couches
elles-mêmes. Toutes les fois, en effet, qu'un fai
e la face interne du cerveau nous est représenté par la section de la
couche
optique (Th). Il s'agit seulement de la portion l
la reconnaît encore (Fci) sous le corps calleux, mais ce n'est qu'une
couche
de substance grise d'une extrême minceur, représe
es nous font voir ainsi que l'alveus, envisagé généralement comme une
couche
blanche tapissant la face externe de la corne d'A
petit triangle blanc (Fci), interposé entre le corps calleux (ce), la
couche
optique (Th) et la fimbria (FI). C'est la coupe t
les unes des autres pour donner un aspect aussi net à l'œil nu. Th.
Couche
optique. Les premières entailles faites dans la p
. Les premières entailles faites dans la partie la plus reculée de la
couche
optique apparaissent sur cette planche sous la fo
s. La portion externe, claire, est la coupe de revêtement blanc de la
couche
optique. Celui-ci se compose de fibres dont la di
ensemble, strié transversalement. Les stries foncées qui séparent les
couches
blanches et qui sont visibles seulement sur les c
qui sont visibles seulement sur les cerveaux durcis, représentent les
couches
de fibres antéro-postérieures qui se groupent, da
calleux. FS. Le faisceau sensitif (fig. 57) esteomposé de ses deux
couches
: l'externe, compacte, foncée, dirigée d'avant en
e faisceau sensitif, sur toutes ces coupes, ne se compose pas de deux
couches
de fibres, mais seulement d'une seule, incurvée d
nterne. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur présente ici quatre
couches
(fig. 57 et suiv.) : Io une couche supérieure cla
nal inférieur présente ici quatre couches (fig. 57 et suiv.) : Io une
couche
supérieure claire, formée des fibres les plus int
lus internes du tapetum (TAP), réfléchies sous le ventricule ; 2° une
couche
foncée, formée des fibres du faisceau sensitif in
Si, fig. 59) et des fibres du faisceau sensitif externe (FSe); 3° une
couche
claire, formée d'une bonne partie des fibres du f
fibres les plus internes du faisceau diffus du fornix (FDF) ; 4° une
couche
foncée (FLs, fig. 58), qui est la continuation, s
n, sous le ventricule, du faisceau diffus du fornix (FDF). Toutes ces
couches
du faisceau longitudinal inférieur, sous-jacentes
é sur ce point (FLI, pl. VI). Ce qui est incontestable, c'est que les
couches
foncées représentent des faisceaux antéro-postéri
couches foncées représentent des faisceaux antéro-postérieurs, et les
couches
claires des faisceaux transversaux. Les faisceaux
venons de dire qu'une bonne partie de ce faisceau se prolonge dans la
couche
la plus inférieure du faisceau longitudinal infér
Sylvius (S') s'enfonce dans l'hémisphère, repoussant devant elle une
couche
de substance grise dont on reconnaît une tache ab
ps calleux et lui adhérant, on voit une tache blanche représentant la
couche
de substance médullaire qui tapisse le fasciola
, il faut s'attendre à la retrouver sur le segment inférieur de cette
couche
grise à la partie supérieure de la corne d'Ammon.
re les deux tubercules gauche et droit (45, 48). Th. Le thalamus ou
couche
optique (Th), composé de substance grise en dedan
s plus loin (voy. FI). FS. Le faisceau sensitif composé de ses deux
couches
[faisceau sensitif externe (FSe) et faisceau sens
rieur, sur la première figure de la planche VIII, présente les quatre
couches
sous-ventriculaires que nous connaissons déjà. Ma
-dessous du grand sillon occipitotemporal (o4). celle où toutes les
couches
de ce faisceau convergent et s'épuisent. Elles se
nsitif interne (FSi) se continue sous le ventricule avec la troisième
couche
du faisceau longitudinal infé rieur (FL3), mais
nfé rieur (FL3), mais qu'il se continue également avec la quatrième
couche
(FL4). C'est-à-dire que les fibres les plus inter
ne laisse plus guère apercevoir au-dessous du ventricule qu'une seule
couche
foncée, la cinquième, qui sur les coupes suivante
encore, puis, finalement, se réduit à une mince lamelle foncée. Cette
couche
, la plus inférieure (FLs, fîg. 47, pl. VIII) est
uant aux fibres du tapetum que nous avons vues former précédemment la
couche
la plus' superficielle du faisceau longitudinal i
eaux au-dessous du fond de la scissure limbique. Laq. Le laqueus ou
couche
latéral du ruban de Reil (fig. 45) est un faiscea
zonale (fig. 46, 47) représente le revêtement blanc du pulvinar de la
couche
optique. Son origine et sa terminaison seront étu
ine et sa terminaison seront étudiées à l'occasion des rapports de la
couche
optique avec l'écorce. COUPES VERT ICO-TRANSVER
o. A la face interne de l'hémisphère, les surfaces de section de la
couche
optique (Th, fig. 54) deviennent bien plus larges
ous le corps calleux, au-dessus des tubercules quadrijumeaux et de la
couche
optique. Or, si l'on se reporte à la figure 49 (m
-dessus de la corne d'Ammon, se prolonger entre la fimbria (FI) et la
couche
optique (Th), et se continuer, sous le corps call
en bas parle tubercule quadrijumeau postérieur (QP), en dehors par la
couche
optique (Th), est le prolongement antérieur et mé
au milieu du tapetum (TAF) ; il est dû aussi à l'élargissement de la
couche
optique (Th), qui se porte en dehors à la rencont
de la coupe. Il ne faut donc pas voir dans ce petit tractus blanc une
couche
spéciale, surajoutée à la constitution déjà décri
enouillé interne (50, 51, 55) commence à être aperçu au-dessous de la
couche
optique (Th, fig. 49, 51) dans la profondeur de l
(Th, fig. 49, 51) dans la profondeur de la fente de Bichat. Th. La
couche
optique, complètement isolée encore des parties a
du noyau caudé, pour aller se jeter dans la partie postérieure de la
couche
optique ou pulvinar (Pul). ELI. Le faisceau lon
LI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose plus que de deux
couches
. La supérieure, transversale, renferme les fibres
du thalamus. Le faisceau inférieur (fig. 54), clair au-dessous de la
couche
optique, devient foncé à sa partie externe, où il
rne, où il change de nom ; ses fibres, Projection horizontale de la
couche
optique Th, au niveau de la coupe vertico-transve
tion occipitale du ventricule latéral. Iïf, l'ente de Bichat. Th,
couche
optique recouverte en arrière par le stratuin zon
que qui continue le straluni zonale à la partie postero-interne de la
couche
optique est sectionnée, en dehors parallèlement à
rce sphénoïdale et qui contribue à former la racine postérieure de la
couche
optique. Le schéma ci-dessus représente une secti
optique. Le schéma ci-dessus représente une section horizontale de la
couche
optique sur laquelle est indiqué le trait de la c
e coloration du stratum zonale (ZS), lorsqu'à la partie externe de la
couche
optique il devient la bandelette sous-optique (BS
squ'à la surface môme du pul-vinar. Il en est séparé toujours par une
couche
de substance grise. Et c'est pourquoi on ne le di
nt de la corne occipitale. La séparation est due ici à ce fait que la
couche
optique (Th) rejoint le corps strié (NC) à traver
en arrière, elle se bifurque au niveau de la partie postérieure de la
couche
optique : un prolongement supérieur se porte au-d
a couche optique : un prolongement supérieur se porte au-dessus de la
couche
optique (Th) et de la fimbria (FI) : c'est la por
al (VF, fig. 56). Un prolongement inférieur se porte au-dessous de la
couche
optique : c'est la portion sphénoïdale du ventric
Cette portion sphé-noïdale est celle qui communique au-dessous de la
couche
optique avec la fente de Bichat, tout le long de
a face inférieure du corps calleux; une base formée parla fimbria, la
couche
optique, la bandelette demi-circulaire ou tœnia s
uadrangulairc : le côté supérieur du quadrangle est représenté par la
couche
optique et ses annexes (corps gcnouillé externe,
QA. Le tubercule quadrijumeau antérieur, d'abord indépendant de la
couche
optique sur les premières coupes de cette planche
oupes de cette planche, se confond avec elle sur la coupe 60. La même
couche
blanche de stratum zonale qui revêt les faces inf
stratum zonale qui revêt les faces inférieure et postérieure de la
couche
optique, passe à la face supérieure du tubercule
reviendrons plus loin. — La fusion du tubercule quadrijumeau et de la
couche
optique s'effectue immédiatement au-dessus et en
le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (IIQP) se jeter sous la
couche
optique, en dedans du corps genouillé interne.
éparés l'un de l'autre par les fibres de la couronne rayonnante de la
couche
optique (Rth). VF, corne frontale du ventricule
as seulement à la surface, une démarcation entre le noyau caudé et la
couche
optique (Tse, fig. 59). Substance blanche. ce
e établit, comme nous venons de le dire, la ligne de séparation de la
couche
optique et du corps strié. Elle se compose surtou
sation ; FLP, faisceau longitudinal postérieur; Lem, lemniscus ou
couche
de Reil (Schleife des Allemands) ; Laq, laqueus
es fibres antéro-postérieures est le lcmnisque (Lem) ou lemniscus, ou
couche
du ruban de Reil (Schleife des Allemands). Le fai
'un seul et même faisceau. Seulement les fibres du lemnisque ou de la
couche
de Reil (Lem), arrivées à un certain point de leu
it en dehors, tandis que les plus externes se portent en dedans. La
couche
de Reil (Lem) a une épaisseur considérable à sa p
hors pour constituer le laqucus. Ainsi que l'indique le schéma 89, la
couche
la plus profonde est celle qui poursuit le plus
rière en avant son trajet rectiligne (Lem en bas, Laq' en haut). Deux
couches
seulement sont représentées. Maison peut facileme
lemniscus, deviendra le plus tard laqueus. C'est cette portion de la
couche
de Reil, parvenue à la face externe de la région
raît sur les coupes Lem, fibres antéro-postérieures du lemnisque ou
couche
profonde de Reil. Laq, laqueus ou ruban de Reil
Reil proprement dit. Laq', portion du ruban de Reil provenant de la
couche
profonde de Reil ou lemnisque. comme une petite
e sait, de la région bulbo-protubérantielle, toujours au-dessus de la
couche
de Reil, et toujours limité en dehors par le laqu
se rapproche de la bandelette blanche qui sépare le corps strié de la
couche
optique et que nous avons déjà vue appa raitre
ransversales. Projection horizontale de la partie postérieure de la
couche
optique : insertion de la bandelette sous-optique
inant la direction générale des fibres qui se portent en dehors de la
couche
optique, vers le taenia, que la bandelette sous-o
stratum zonale du pulvinar, mais aussi de la région supérieure de la
couche
optique. — Sur les coupes 59 et 60 la bandelette
elle est souvent dissociée par des fibres transversales venues de la
couche
optique, du corps genouillé et même du'pédoncule
rsales. On voit (fig. 60) que celles-ci proviennent directement de la
couche
optique (Pul). Un certain nombre d'entre elles pa
d'ailleurs dans le faisceau sensitif externe. Elles ne vont pas de la
couche
optique à ce faisceau horizontalement ; on peut v
FLI. Le faisceau longitudinal inférieur se réduit de plus en plus. La
couche
inférieure, faisant suite au faisceau sensitif ex
doute. QA. Le tubercule quadrijumeau antérieur, interposé entre la
couche
optique et l'aqueduc de Sylvius, est perdu dans u
t partie du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Th. La
couche
optique (61, 62, 65, 64) est représentée par une
calleux (ce, fig. 65). D'autre part, en bas et en dehors, on voit la
couche
optique former une proéminence (Pul, fig. 65, 66)
grosse extrémité postérieure de l'ovoïde irrégulier que représente la
couche
optique vue par sa face supérieure. Or, la partie
aisceau sensitif interne. L'ensemble de ces fibres constitue, dans la
couche
optique, le système de la couronne rayonnante du
ne rayonnante du pulvinar. Figure schématique représentant les deux
couches
optiques vues par leur face supérieure (Th). Le
é interne (GI) sont vus par transparence à travers la substance de la
couche
optique gauche; on reconnaît de cette façon leurs
; on reconnaît de cette façon leurs rapports exacts relativement à la
couche
optique. Ce schéma démontre que le pulvinar s'é
GII, ganglion de l'hahénule; 1IAB, habénule; NiC, noyau interne de la
couche
optique. Schéma 94. CL. Le claustrum ou avant
postérieur (FLP, fig. 61, 62, 65). En bas, il est en contact avec la
couche
de Reil ou lemniscus (Lem). FLP. Le faisceau lo
ieur a une disposition piriforme sur la coupe. Lem. Le lemnisque ou
couche
de Reil est une lame de fibres antéro-postôricure
leux supérieur (Pcs) et le pont de Varole (PV). Il se compose de deux
couches
: une couche inférieure foncée (Lem, If. 61, 62,
(Pcs) et le pont de Varole (PV). Il se compose de deux couches : une
couche
inférieure foncée (Lem, If. 61, 62, 65, 64), et u
ches : une couche inférieure foncée (Lem, If. 61, 62, 65, 64), et une
couche
supérieure claire. La couche inférieure, foncée,
foncée (Lem, If. 61, 62, 65, 64), et une couche supérieure claire. La
couche
inférieure, foncée, est constituée par un faiscea
st constituée par un faisceau aplati de fibres dirigées en avant ; la
couche
supérieure, claire, est une émanation de la précé
es fibres coupées en Schéma représentant de profil les fibres de la
couche
du ruban de Reil (A) se portant en haut et en deh
et même plus loin encore peut-être. C'est là, à proprement parler, la
couche
deReil (Lem). La partie latérale ou laqueus est l
lter ici de la similitude des noms ne tire pas à conséquence, puisque
couche
de Reil et ruban de Reil sont une seule et même c
s indiqué (pl. XX) le procédé par lequel les fibres supérieures de la
couche
de Reil se portent en haut et en dehors. Il faut
de chaque côté de l'isthme; et ce ruban de Reil provient d'une seule
couche
profonde de fibres antéro-postérieures, la couche
rovient d'une seule couche profonde de fibres antéro-postérieures, la
couche
de Reil (Lem). Pour les besoins de la démonstrati
-joint le représente dans son ensemble. Schéma 97, représentant les
couches
superposées du ruban de Reil (LM1, LM2, LM3^ LM4,
isceau longitudinal postérieur de la calotte; Laq1, Laq2, Laq3, Laq4,
couches
du laqueus correspondant aux couches du lemniscus
calotte; Laq1, Laq2, Laq3, Laq4, couches du laqueus correspondant aux
couches
du lemniscus LM1, LM2, LM3, LM4; Lem, couche la p
queus correspondant aux couches du lemniscus LM1, LM2, LM3, LM4; Lem,
couche
la plus superficielle du lemniscus correspondant
e la plus superficielle du lemniscus correspondant à LM1 ; Lem = Teg,
couche
du lemniscus correspondant au faisceau propre de
ieure, dont les deux côtés sont formés par le tubercule interne de la
couche
optique (NiC) et le ganglion de l'habénule (GH),
1, LM2, LM3, LM*, LM3), et qui représentent les stratifications de la
couche
de Reil à sa sortie du bulbe, c'est-à-dire au mom
en forment, en réalité, qu'un seul. On peut cependant admettre que la
couche
de Reil a été artificiellement dissociée. Il ne r
me ce dernier, à gauche de la ligne médiane, appartenant ainsi à la
couche
de Reil. Puis il s'infléchit en dehors (Laqs), dé
t du plan imaginaire de section que nous avons choisi. La quatrième
couche
(LM4) s'incline en dehors, alors que les trois pr
duquel on reconnaît le noyau rouge de Stilling (NR). Cette quatrième
couche
, qu'on appelle le faisceau propre de la calotte (
le va se jeter dans la capsule interne, en arrière et en dehors de la
couche
optique. Il est très difficile, comme on peut l
oncevoir d'après ce que nous avons déjà dit, de disssocier les quatre
couches
de Reil et les quatre rubans qui en émanent, cett
Reil et les quatre rubans qui en émanent, cette distinction en quatre
couches
n'est pas dans la nature ; il est constant néanmo
; il est constant néanmoins que les fibres les plus supérieures de la
couche
de Reil proprement dite s'inclinent les premières
ont se mêler à la capsule interne du même côté. Reste une cinquième
couche
(LMS) encore plus profonde que les quatre premièr
glion interpédonculaire, les reçoit en majeure partie. Cette dernière
couche
porte un nom spécial : on l'appelle faisceau médi
ière couche porte un nom spécial : on l'appelle faisceau médian de la
couche
de Reil. Il nous reste à ajouter que les fibres
urface du bras de ce corps genouillé; elles sont donc superposées aux
couches
homologues du coté opposé venues par la voie du l
é externe, plus rares et plus profondes que les fibres directes de la
couche
précédente. Celles du faisceau de la commissure
lle apparaît sur les coupes de la planche XXI. Lem. Le lemniscus ou
couche
de Reil (fig. 61, 62, 63, etc.) est formé de deux
e que les fibres antéro-postérieures (Lem), c'est-à-dire celles de la
couche
de Reil, changent de direction pour devenir obliq
s (Lem) se portent vers la surface latérale de l'isthme, de nouvelles
couches
, plus profondes, les remplacent (RR) figure 63, v
s leur majeure partie se porte en dehors et en bas, s'insinue sous la
couche
optique (Th), glisse au-dessus du corps genouillé
ure de la lame de hache se continue sans démarcation tranchée avec la
couche
de Reil (Lem). Sur la coupe 65, une partie de cet
ée avec la couche de Reil (Lem). Sur la coupe 65, une partie de cette
couche
se confond, en dehors avec le ruban de Reil (Laq)
chéma 99). Elles passent alors du côté opposé et se perdent dans la
couche
optique, aux environs du centre médian (vo.y. plu
ommissure qui ont franchi la ligne médiane représentent donc, pour la
couche
optique, l'analogue des bras des corps genouillés
ion des coupes de la planche suivante. Lm. Le faisceau médian de la
couche
de Reil (Lm) est ce petit faisceau isolé, dont no
alis Reili, lamina ad pedunculum, portion interne et inférieure de la
couche
de Reil, en allemand Schleifenbûndel zum Hirnsche
| les plus^inférieures sont tout simplement les plus internes de la !
couche
de Reil. Les plus supérieures sont des fibres du
s'épanouir avec le stratum zonale sur toute la face supérieure de la
couche
optique. Cela signifie, en d'autres termes, que l
halamus (LML). Celles-ci paraissent être des fibres rayonnantes de la
couche
optique ; il n'en est rien. Les fibres rayonnante
de la couche optique ; il n'en est rien. Les fibres rayonnantes de la
couche
optique forment, comme nous le verrons plus loin,
itif externe (FSe) et le tapetum réfléchi (TAP). Elles viennent de la
couche
optique (Th, fig. 62) et plus spécialement du pul
é des fibres transversales qui forment la striation horizontale de la
couche
optique, depuis la face inférieure jusqu'à la fac
qu'une seule et même chose, du moins J à la partie postérieure de la
couche
optique. FLl. Le faisceau longitudinal inférieu
; mais les différences sont, en tout cas, peu considérables. Th. La
couche
optique (fig. 68), sectionnée ici encore tout au
noyau interne (NiC, fig. 09, 72) formant le bord supéro-interne de la
couche
optique. Plus en dehors, sera le noyau externe qu
alami optici intergenicularis. Schéma 101. — Face postérieure de la
couche
optique (Th) et des tubercules quadrijumeaux ' an
érents étages ou noyaux de la substance grise de l'aqueduc. Lem. La
couche
de Reil ou lemniscus (fig. 69) se trouve réduite,
s (Lm) se confond avec le lemniscus. Nous verrons plus loin que si la
couche
de Reil s'épuise par l'expansion latérale progres
érer aussi comme faisant partie de la commissure postérieure toute la
couche
de substance blanche qui revêt les corps quadriju
es fibres qui constituent les racines antérieure et postérieure de la
couche
optique. Mais ces racines, envisagées isolément,
eaux de fibres venus des racines antérieures et postérieures des deux
couches
optiques s'entre-croisent à ce niveau, il faut cr
ès petit nombre de fibres des racines antérieure et postérieure de la
couche
optique vont directement s'y entre-croiser; ou bi
hes établissait une communication immédiate et directe entre les deux
couches
optiques. Les coupes 66 et 67 de notre série vert
Lmd. La lamina lateralis du ruban de Reil ou faisceau direct de la
couche
de Reil succède au faisceau de la commissure post
aire à la protubérance et à la calotte. Elle provient (fig. 69) de la
couche
de Reil ou lemniscus (Lem), comme tous les faisce
ent (fig. 70) avec le stratum zonale de la convexité supérieure de la
couche
optique (ZS, fig. 71^ 72). Dans sa profondeur, il
nguette de fibres obliques, ou presque transversales, au-dessus de la
couche
optique (Th) dont il suit les sinuosités. FSe.
de Les deux ganglions de l'iiabénule, vus d'en haut, adliérents aux
couches
optiques par leur face externe et confondus avec
nterne du thalamus (fig. 78) est à l'angle supérieur et interne de la
couche
optique. Il est séparé du noyau externe (NeC, 78)
a calotte. Pul. Le pulvinar est, avons-nous dit, cette partie de la
couche
optique qu'on voit proéminer en arrière, dans le
lieu où s'opère la fusion du noyau externe et du noyau interne de la
couche
optique. Nous savons, en effet, que les noyaux ex
é du noyau externe du thalamus (NeC) par la couronne rayonnante de la
couche
optique (Rth, fig. 75), à laquelle il fournit de
(IlAB). On sait qu'au-dessous de l'habénule, la substance grise de la
couche
optique forme la paroi du troisième ventricule. L
ubstance lilanche, permet donc de le distinguer très facilement de la
couche
On r(3inarqi]cra sur les coupes 75 et 74, qu'il
, conl'ondne avec la base de la glande pinéale, et recouverte par une
couche
de stratum zonalo (ZS) appartenant à la commissur
avec la lamina me-dialis. Celle-ci émane, comme nous le savons, de la
couche
de Reil ou lemniscus. D'autre part, nous venons d
ion n'est donc pas autre chose qu'une portion du lemniscus, née de la
couche
de Reil au voisinage de la lamina medialis et des
isceau longitudinal postérieur se porte en haut et en dehors, sous la
couche
optique, mais toujours au voisinage de la substan
le nouveau, marche directement en avant et se perd, mi-partie dans la
couche
optique môme, mi-partie dans la capsule interne,
de sa largeur; il couvre une moindre étendue de la convexité de la
couche
optique; et, à mesure qu'il perd en largeur, la d
de la capsule interne, où il constitue la lame latérale externe de la
couche
optique (LML, fig. 76). Rth. La couronne rayonn
. La couronne rayonnante du thalamus (fig. 75) sort de la masse de la
couche
optique, entre le noyau thalamique externe (NeC,
porte en dehors et en bas, pour pénétrer dans la lame latérale de la
couche
optique (LML, fig. 78). RGE. La couronne rayonn
s genouillé externe, qui vont former la lame médullaire externe de la
couche
optique (LML, fig. 76) ; 3" enfin par les fibres
fig. 76) ; 3" enfin par les fibres du stratum zonale, qui recouvre la
couche
optique (ZO, fig. 74). On voit, sur les coupes 76
; elles-mêmes deviennent foncées et se perdent sur le fond gris de la
couche
optique. NeC. Le noyau externe du thalamus (fig
rtant. Le corps genouillé externe, on le sait, forme au-dessous de la
couche
optique une saillie très notable, ovoïde, allongé
eur, il est très régulièrement demi-circulaire; toujours séparé de la
couche
optique et du pédoncule (FM, fig. 83) par les fib
Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur ; VV, valvule de Vieussens.
couche
de Reil et la substance noire de Sœmmering. Une t
t précisément les mêmes qu'on retrouverait du côté opposé, formant la
couche
de fibres ascendantes qui constituent le faisceau
e la glande pinéale. Le schéma représente la partie postérieure do la
couche
optique (Th) et les tubercules quadrijumeaux (QA,
s précédentes. 11 fait une moindre saillie sur la paroi interne de la
couche
optique; il tend de plus en plus à se confondre a
mité externe passe nettement au-dessous du ganglion, au-dessous de la
couche
optique. Il se confond en dedans avec le frein de
l'habénule, c'est-à-dire qu'il va courir d'arrière en avant, entre la
couche
optique (Th, fig. 83) et le ganglion de l'habénul
res accompagnent dans la capsule interne la couronne rayonnante de la
couche
optique (Rth, fig. 80). TEG. Le faisceau de la
eau que les fibres du tegmentum se divisent pour se répartir, sous la
couche
optique, AQ, aqueduc de Sylvius; SG, substance
ouillé interne; Pul, pulvinar; NR, noyau rouge de la calotte; Laq',
couche
superficielle du laqueus, s'cntrecroisantavec sa
rieur gauche, formé en partie par des libres venues directement de la
couche
superficielle du laqueus du même côté (Laq*). Laq
a couche superficielle du laqueus du même côté (Laq*). Laq*, deuxième
couche
du laqueus destinée au bras du tubercule quadriju
é gauche) reçoit aussi qiielques libres directes (BQA) de la deuxième
couche
du laqueus (Laq*); FCP, faisceau de la commissure
oise avec les fibres convergentes de la lame médullaire externe de la
couche
optique (LML, fig. 82, 83). Bientôt nous les perd
lamus (fig. 82) n'occupe plus, strictement, que la face externe de la
couche
optique. Nous avons dit précédemment (Lmd), qu'el
noïdale, toujours accompagnée par le tsenia (Ta?., fig. 89). Th. La
couche
optique (fig. 85, 88, 89) augmente d'abord de lar
à la lamina lateralis (Lmd), qui se perd dans le noyau externe de la
couche
optique (NeC, fig. 87). On comprend que ces bande
on. 11 s'en faut aussi que leur imbrication soit complète, puisque la
couche
optique n'est abordée par les faisceaux de la cal
elleux supérieur. Ce faisceau s'épanouit en éventail au-dessous de la
couche
optique, pour aboutir à la limite de celle-ci, da
s la lame médullaire externe (LML), indiquée par la ligne ponctuée.
couche
optique. Ces fibres forment un faisceau bien homo
interne; il forme même la limite de séparation de la capsule et de la
couche
optique : c'est au faisceau cérébello-thalamique
ait voisin de la cavité ventriculaire. 11 n'en est séparé que par une
couche
très mince de substance grise. Sur certaines coup
une couche très mince de substance grise. Sur certaines coupes cette
couche
paraît faire défaut, m -n" -SG Schéma repré
ère de Monro, s'épanouit en rayonnant dans la substance grise de la
couche
optique : ses fibres postérieures, revenant en ar
ehors ; elle s'étend de la ligne médiane à la région inférieure de la
couche
optique. Elle est située entre le pédoncule céréb
. Le stratum intermedium (Meynert), ainsi nommé parce qu'il forme une
couche
lamellaire de fd^res interposées entre l'étage in
isceau sensitif interne. La ligne pointillée indique le contour de la
couche
optique (Th) à travers laquelle les parties décri
tum zonale à la face supérieure du thalamus. En bas, au-dessous de la
couche
optique, il se confond en grande partie avec la b
cette lame latérale qu'aboutissent toutes les stries blanches de la
couche
optique; ou, si l'on préiere, c'est de la lame la
préiere, c'est de la lame latérale que partent, pour pénétrer dans la
couche
optique, toutes les fibres corticales du premier
latérale que convergent les fibres de l'écorce qui ont pour foyer la
couche
optique. Les fibres de l'écorce sont celles qui o
-transversale montrant la pénétration des faisceaux corticaux dans la
couche
oi)tique et leur enlre-cioisement avec les faisce
ral ; LN,locus niger de Sœmmering. VM, le ventricule moyen ; Th, la
couche
optique ; NC, la tête du noyau caudé ; Cl, la cap
noyau caudé ; Cl, la capsule interne ; ThA, racine antérieure de la
couche
optique; Rth, sa couronne rayonnante ou racine su
rs faisceaux proviennent de l'étage supérieur des pédoncviles). — CG,
couche
grillagée formée par l'entrecroisement des fibres
s, lamina tegmenti) ; nous savons que ces faisceaux pénètrent dans la
couche
optique par sa face inférieure, s'y répandant en
e, forment, immédiatement en dedans de la lame médullaire externe, la
couche
grillagée d'Arnold (stratum reticulatum). 11 ne f
. 11 ne faut donc pas con fondre la lame médullaire externe avec la
couche
grillagée. La couche grillagée est dans la couche
con fondre la lame médullaire externe avec la couche grillagée. La
couche
grillagée est dans la couche optique; la lame méd
ire externe avec la couche grillagée. La couche grillagée est dans la
couche
optique; la lame médullaire est à sa surface. C
ans en dehors sur la face interne de ce noyau. Elle est séparée de la
couche
optique (Th) par la lame médullaire externe du th
porale et par la temporale transverse (Tt). A la face interne de la
couche
optique (Th, fig. 94), et entre ce ganglion et le
s pour cela qu'il y ait entre ce faisceau et la substance grise de la
couche
optique plus qu'un rapport anatoinique. La lame m
u externe et le noyau interne du thalamus. NiC. Noyau interne de la
couche
optique (fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe d
ne de la couche optique (fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe de la
couche
optique (fig. 91, 92). NR. Le noyau rouge de la
ue (fig. 91, 92). NR. Le noyau rouge de la calotte, enveloppé d'une
couche
de substance blanche appartenant aux fibres les p
ce antérieure ; par conséquent ce sont les fibres transversales de la
couche
la plus superficielle qui réapparaissent sur la s
voit apparaître une bandelette foncée (CAO) qui s'interpose entre la
couche
optique et lui. Cette bandelette représente un fa
il émerge de la substance grise de la calotte, et va se jeter dans la
couche
optique dans une région plus antérieure : nous le
que se continue sans transition avec la lame médullaire externe de la
couche
optique (LML). FLP. Le faisceau longitudinal po
, 92, 94, 96) s'insinue, sous la forme d'une lamelle foncée, entre la
couche
optique et la calotte. 11 enveloppe celle-ci dans
sur toutes les coupes suivantes (Lm, 92, 95, 94, 95, 06). Los deux
couches
de h\ lamina medialis sont placées, par conséquen
il se confond. Celle-ci n'est, comme on le sait, qu'un faisceau de la
couche
de Reil (Lem). Ainsi nous paraît se justifier une
pedunculi : à savoir que ce faisceau est une portion aberrante de la
couche
de Reil, particulièrement de la lamina lateralis.
, qui s'étend de la région de la calotte à la partie inférieure de la
couche
optique, est une lamelle assez mince de fibres di
ire. Cg dernier faisceau est ainsi désigné parce qu'il provient d'une
couche
blanche de fibres sous-jacentes aux deux segments
rne. Il est bien certain qu'elle les emprunte au stratum zonale de la
couche
optique dans toute l'étendue de la voûte du ventr
t remplacé par la commissure antérieure et la racine inférieure de la
couche
optique (voy. pl. XXVIf, fig. 100, 101). CI. La
lame médullaire externe du thalamus les sépare du noyau externe de la
couche
optique (NeC). La capsule interne (fig. 91, 95)
la capsule interne (Cl) en dedans du noyau lenticulaire (NLe). Th,
couche
optique ; PAR, faisceau parallèle ; F', F*, F
e la calotte au tlialanuis pénètrent dans les différents noyaux de la
couche
optique de bas en haut directement, sans prendre
saillie formée à sa face inférieure par le tubercule antérieur de la
couche
optique (NaC, tig. 101, 102). La corne sphénoïd
omme la circonvolution de l'hippocampe (Hip), recouvert par une mince
couche
de substance blanche (LMA). Celle-ci est la subst
1). H a la forme d'une demi-sphère [corpus subrotundum) revêtue d'une
couche
épaisse de fibres nerveuses, dont la plupart prov
où elles atteignent le tubercule antérieur, elles se divisent en deux
couches
: l'une, superficielle, recouvre le tubercule don
ace, le faisceau de la calotte (TEG) s'étale transversalement sous la
couche
optique, jusqu'au voisinage de la ligne médiane,
immédiatement en avant et au-dessus du locus niger, au-dessous de la
couche
optique, en dehors du noyau rouge, en dedans et a
lentiformis n'est relié par aucune traînée de substance grise avec la
couche
optique, ni môme avec le noyau rouge de la calott
'étude des faisceaux sus-jacents au discus lentiformis a valu à cette
couche
de fibres le nom de zona incerta (Forel). Subst
rs : mais nous savons que lorsqu'elles sont arrivées au-dessous de la
couche
optique pour former une bonne part de la lame méd
ent qu'il n'est pas en contact immédiat avec la substance grise de la
couche
optique. Il en est séparé par une mince lamelle b
CS fibres se portent, de dedans en dehors, à la face inférieure de la
couche
optique (Th), où elles se perdent. Sur foules les
radiation (ou couronne rayonnante) au-dessus du noyau rouge, sous la
couche
optique (voy. pl. XXY, fig. 90). Nous n'y reviend
ibres de la bandelette sous-optique Thl. La racine inférieure de la
couche
optique que nous voyons apparaître pour la premiè
e sphénoïdal; 2" l'espace perforé antérieur; 5° la face interne de la
couche
optique. Si l'on voulait indiquer grossièrement s
amygdalicn; CA, commissure antérieure ; Thl, racine inférieure de la
couche
optique. partir de l'écorce de la circonvolutio
). La troisième portion, verticale appartient à la face interne de la
couche
optique, où elle contribue à former le slratum zo
donné, après lui, le nom de racine inférieure ou racine interne de la
couche
optique. Le nom de racine inférieure est de beauc
capsule interne qui passe du pédoncule dans le centre ovale, entre la
couche
optique et le noyau lenticulaire. Lorsqu'on étudi
ment postérieur (CID). Quand la coupe intéresse, en même temps que la
couche
optique, les deux seuls noyaux externes du noyau
u pilier antérieur; Cl', commissure postérieure s'enfonçant dans la
couche
optique. rieure, car à partir du moment où la c
la capsule est interposée non plus entre le noyau lenticulaire et la
couche
optique, mais entre le noyau caudé et le noyau le
e du thalamus (fig. 97, 98, 99) termine en dessous et en dehors de la
couche
optique tous les faisceaux de la calotte que nous
e (fig. 105, 106) est toujours tapissé, en haut comme en bas, par une
couche
de substance blanche, qui est la continuation de
um zonale, il reçoit à sa face inférieure, adhérente à la masse de la
couche
optique, le faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, fig 108
ame médullaire externe, forme cette sorte de treillage qu'on a appelé
couche
grillagée (CG, fig. 104). La couche grillagée est
sorte de treillage qu'on a appelé couche grillagée (CG, fig. 104). La
couche
grillagée est toujours beaucoup plus facile à voi
e grande et de petite ceinture. L'irradiation du stratum zonale de la
couche
optique est le type de cet encapsulemcnt des mass
4, 105, 106, 107). PY. Le pont de Varole (fig. 105) est réduit à la
couche
la plus superficielle des libres transversales de
que nous avons vu se confondre avec la lame médullaire externe de la
couche
optique (LML), n'est plus reconnaissable ici. Tou
enté ici. Il s'est épuisé, comme nous l'avons vu, d'une part, dans la
couche
optique, au-dessus du faisceau tegmento-thalamiqu
fibres de plus en plus nombreuses à la lame médullaire externe de la
couche
optique (fig. 104, 106); les fibres les plus inte
6,107), semble s'étendre beaucoup plus loin que précédemment entre la
couche
optique (ThA) et le noyau lenticulaire GLM (fig.
ne du thalamus (fig. 106) et en hauteur vers la substance grise de la
couche
optique. Sur la coupe 108, le faisceau rubro-thal
ue le faisceau capsulairc (MF) est un ensemble de fibres venues de la
couche
optique en convergeant vers le discus lentiformis
11 s'agirait de savoir avec quelque précision de quelle partie de la
couche
optique descend le faisceau capsu-laire. Nous ne
partie supérieure de ce noyau, vont former dans la capsule interne la
couche
la plus interne de la lame médullaire externe du
ontales de l'hémisphère (voy. pl. XXXV, fig. 6) nous font voir que la
couche
blanche des fibres qui recouvrent le discus lenti
se jeter dans le thalamus (Th) en formant la racine antérieure de la
couche
optique (ThA), et le faisceau d'Arnold (AU). Le
un seul et unique faisceau, disposé en lamelle à la périphérie de la
couche
optique et séparant celle-ci de la capsule intern
la ligne médiane avec le pédoncule cérébelleux du côté opposé ; Tli,
couche
optique; NC, noyau caudé; NCC, queue du noyau cau
tegmento-thalamique; Lmd, lamina lateralis. ou fibres directes de la
couche
latérale de Reil; CIA, segment antérieur de la ca
pénétration des faisceaux de la calotte dans la capsule interne et la
couche
optique. du genou delà capsule (Gci), elle est
peront sa face libre dans la cavité vcntriculaire. De cette façon, la
couche
optique pourra être envisagée comme un noyau pres
est indispensable de remarquer qu'ils forment la limite externe de la
couche
optique, exclusivement dans l'étendue de la face
i vont former le faisceau d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la
couche
optique (ThA). 11 ne faudrait pas admettre comm
qui participent à la formation de la lame médullaire externe de la
couche
optique. Ces faisceaux, en effet, ne sont pas ran
our du thalamus (Th). où ils forment la lame médullaire externe de la
couche
optique (LML). comporte une figure destinée à u
s, dans le discus lentiformis (DL). ThA. La racine antérieure de la
couche
optique, située immédiatement au-dessus du faisce
res en pinceaux superposés, issus de la lame médullaire externe de la
couche
optique (LML). On voit cette formation apparaître
e entament le genou de la capsule interne. La racine antérieure de la
couche
optique est constituée par des fibres du segment
ettent et se terminent dans la substance grise du noyau externe de la
couche
optique (NeC, fig. 107) ; à la fin de ce trajet,
n voit les fibres les plus postérieures de la racine antérieure de la
couche
optique se continuer avec le faisceau tegmento-th
ux lamellaires, auxquels on a donné le nom de racine antérieure de la
couche
optique, ne permet pas de considérer un pareil en
hauteur des lames, dans le plan de section vcrtico-transversal de la
couche
optique. Une division en tout cas s'impose, atten
division en tout cas s'impose, attendu que la racine antérieure de la
couche
optique, sur des coupes un peu plus antérieures,
auquel on peut réserver la dénomination de racine antérieure de la
couche
optique (ThA). BSO. La bandelette sous-optique
ion de l'extrémité supérieure de ce faisceau, à la face interne de la
couche
optique, en Schéma 161. — Face interne de l'hém
millaire (TM), en haut et en dehors vers le tubercule antérieur de la
couche
optique; ThI, racine inférieure du thalamus, prov
erticales du noyau lenticulaire (MLE, MLI). NC, noyau caudé ; Tb,
couche
optique ; PUT, putamen ; ANL, anse du noyau l
104, 105, il est séparé du fond de la scissure lim-bique (L) par une
couche
claire de fibres transversales qui lui appartienn
sversales qui lui appartiennent évidemment, puisque nous voyons cette
couche
se confondre insensiblement avec les parties somb
de Vicq-d'Azyr (FVA). Il remonte vers le tubercule antérieur de la
couche
optique (NaC), séparé de la substance grise intra
idente, se terminer à la face inférieure du tubercule antérieur de la
couche
optique (NaC). On le voit apparaître sur la coupe
boutit à la capsule blanche sous-jacente au tubercule antérieur de la
couche
optique (corpus album subrotundum, NaC), et plus
En dedans, il est séparé du ventricule par la racine inférieure de la
couche
optique. Nous verrons dans un instant la raison d
partie interne de la cavité ventriculairc. Elle est enveloppée d'une
couche
blanche continue, où s'entremêlent les fibres de
la lame médullaire. Nous avons déjà signalé les rapports de ces deux
couches
enveloppantes à leur extrémité antérieure, dans l
erne du thalamus (fig. 110) est toujours celui des trois noyaux de la
couche
optique dont les limites sont le plus nettement t
u antérieur du thalamus. Au voisinage de l'extrémité antérieure de la
couche
optique, le noyau externe est rempli, en quelque
lui-ci, après s'être infléchi sur lui-même, remonterait (FVA) vers la
couche
optique. été tiraillée, les éminences mamillair
art un faisceau compact qui se jette dans le ganglion antérieur de la
couche
optique. Vicq-d'Azyr croyait que le pilier antéri
ieur (schéma 171, 4), et un externe et 1, tubercule antérieur'de la
couche
optique; 2, pilier antérieur du trigone; 5, 5,
eur du tubercule mamillaire ; 6, fibres du pilier se jetant dans la
couche
optique sans s'arrêter au tubercule mamillaire;
de la calotte; — 12, faisceau du noyau externe se continuant avec la
couche
de Reil;— 13, pédoncule antérieur du tubercule ma
) pour se porter dans la substance grise du tubercule antérieur de la
couche
optique (1) sans s'arrêter, ni au ganglion intern
en de la calotte, qu'il accompagnerait jusque dans l'aqueduc, avec la
couche
de Reil. Enfin, du ganglion antérieur et interne
ne inférieure du thalamus; GAP, noyau de l'anse, étalé entre ces deux
couches
de l'anse pédonculaire; GE, corps gcnouillé exter
d'avoir su reconnaître la subdivision de l'anse pédonculaire en deux
couches
principales de substance blanche séparées par une
oré antérieur (schéma 172). Quant à la substance grise qui forme la
couche
intermédiaire, elle est commune à l'étendue des d
optique (BO) vient du lobe temporal et va, en avant, se jeter dans la
couche
optique (Th) ; là seulement elle se divise en deu
ter dans la couche optique (Th) ; là seulement elle se divise en deux
couches
secondaires. La lame blanche supérieure (ANL) ou
ment interne et inférieur duputamen (PUT), s'insinue entre les deux
couches
précédentes, après être passé au-dessus de la com
nt adhérente au lobule de l'hippocampe. Quant à la subdivision delà
couche
inférieure ou racine inférieure du thalamus en de
ision delà couche inférieure ou racine inférieure du thalamus en deux
couches
de second ordre, elle n'a rien à voir avec l'anse
ement un problème anatomique déjà très complexe; la subdivision de la
couche
inférieure n'existe en effet que sur la paroi ver
nds sous le nom de substance innominée. Puis on a réservé ce nom à la
couche
grise intermédiaire à l'anse du noyau lenticulair
oyau lenticulaire et à la racine inférieure du thalamus ; c'est cette
couche
grise que nous allons étudier maintenant (GAP).
ec la substance grise du troisième ventricule (TC, schéma 173). Cette
couche
horizontale n'est que l'expansion transversale de
u noyau lenticulaire, située au-dessus, et la racine inférieure de la
couche
optique, située au-dessous. Dans ce trajet, qu'il
oupes verticales, elle constitue une cloison de séparation entre deux
couches
blanches. Elle s'étend en dehors jusqu'à la base
commissure plane, à convexité antéro-inférieure située entre les deux
couches
blanches de l'anse pédonculaire. Mais on se ren
, au sens géométrique de ce mot. Le noyau de l'anse, comme toutes les
couches
de la base du cerveau, décrit une courbe à convex
re, celles du faisceau d'Arnold, celles de la racine antérieure de la
couche
optique. La section intéresse en effet la région
haut et en dehors; le faisceau d'Arnold et la racine antérieure de la
couche
optique se dirigent en arrière et en bas. De cet
t à fait claires et démonstratives. ThA. La racine antérieure de la
couche
optique dirigée d'avant en arrière, frêle la face
rne, un interne (ThA") qui contribue à former le stratum zonale de la
couche
optique entre le noyau antérieur et le noyau inte
amellaires (AR, fîg. 109), sous-jacentes à la racine antérieure de la
couche
optique (ThA) et insensiblement confondues avec c
ectement de bas en haut jusqu'au-dessous du tubercule antérieur de la
couche
optique (NaC) et se porte à sa face externe (fig.
e Yicq d'Azyr est croisé par les fibres de la racine inférieure de la
couche
optique (ThI). Sur la fig. 112, une partie de ses
d'Azyr se termine en grande partie dans le tubercule antérieur de la
couche
optique, mais non sans avoir préalablement abando
u sensitif externe (fig. 114), de plus en plus mince, se perd dans la
couche
basilaire du putamen, en dehors de la commissure
rontale du ventricule latéral, après que le tubercule antérieur de la
couche
optique a disparu, augmente tout à coup de hauteu
érieure du faisceau capsulairc et de la lame médullaire latérale delà
couche
optique (voy. MF et LML, pl. XXIX). Ces deux fais
de Tùrck-Meynert; FP, faisceau pyramidal; Lra, lamina medialis de la
couche
de Reil; RFP, région de l'espace perforé postérie
age du taenia (Òàç, fig. 117, 118). ThA. La racine antérieure de la
couche
optique (fig. 115 et suiv.) se présente sous l'as
plus internes de ce faisceau qui se rendent dans cette partie de la
couche
optique. Les plus externes, ainsi que nous l'avon
u d'Arnold. Mais plus en avant Schéma de la racine antérieure de la
couche
optique sur une coupe horizontale. NC, noyau caud
une coupe horizontale. NC, noyau caudé; NLe, noyau lenticulaire; Th,
couche
optique ; CI, capsule interne (Segment postérie
capsule interne (Segment postérieur). ThA, racine antérieure de la
couche
optique formant un seul faisceau dans le segment
aisceaux, un antérieur et un postérieur dans la substance grise de la
couche
optique. AR, faisceau d'Arnold accompagnant les f
xiste plus, la racine antérieure (ThA) et la racine postérieure de la
couche
optique (ThP) sont au contact l'une de l'autre ;
avant, mêlant ses fibres avec celles de la racine antérieure de la
couche
optique (ThÀ, fig. 116, 117 et suiv.). La masse
oit ainsi que le faisceau d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la
couche
optique (ThA) forment ensemble une grande masse f
de sa convexité antérieure (fig. 118), et la racine inférieure de la
couche
optique (ThI) remplace, au-dessous de l'hippocamp
er descendant de la voûte (DF) et pénètre dans le noyau interne de la
couche
optique. Nous savons que ses fibres se reportent
de sa terminaison (ou de son origine) dans la région antérieure de la
couche
optique. NC, noyau caudé ; NaC, tubercule antér
faisceau de Vicq d'Azyr) allant aboutir au tubercule antérieur do la
couche
optique (NaC). ThI, la racine inférieure du tha
ue les fibres de la racine inférieure du thalamus se relèvent vers la
couche
optique, après avoir traversé l'espace perforé an
e reporte à la figure 119 de cette planche, et l'on constatera que la
couche
la plus inférieure du corps calleux contourne le
si le corps calleux fournit à la tête du corps strié les fibres de sa
couche
la plus inférieure, et ces fibres se réfléchissen
du noyau caudé (NC). ce, corps calleux ; TRI, trigone cérébral ; Th,
couche
optique ; R.NC, couronne rayonnante du noyau caud
us l'aspect d'une lamelle blanche étalée à la surface convexe de la
couche
optique ; cette lamelle se porte de haut en bas e
rection de ses fibres, se termine en haut, entre le noyau caudé et la
couche
optique. Elle forme ici le faisceau le plus inter
entricule, adhérente à la face supérieure du chiasma, est cette mince
couche
de substance grise qui se laisse perforer si faci
nerfs optiques. C'est de là que s'élève, vers la commissure, la mince
couche
grise de la lame terminale (LAT, fig. 125,126), l
les plus étroites avec l'insula. Meynert le considéra môme comme une
couche
de l'écorce insulaire, détachée en quelque sorte
comme une couche de l'écorce insulaire, détachée en quelque sorte des
couches
plus superficielles, mais faisant partie réelleme
a les points de l'écorce de Sylvius où s'effectue le raccordement des
couches
grises superficielles avec la couche profonde rep
s'effectue le raccordement des couches grises superficielles avec la
couche
profonde représentée par l'avant-mur. La contin
dont les anastomoses coinmissurales avec son congénère se font par la
couche
inférieure du corps calleux. Enfin, comme le no
état de faisceau ou de lame isolée. ThA. La racine antérieure de la
couche
optique (fig. 121, 122, 125, 125, 126) forme la p
res du taenia (fig. 121), parvenues en avant du noyau antérieur de la
couche
optique (qui n'est plus visible sur les coupes de
tent le stratum zonale (ZS) pour pénétrer dans le noyau interne de la
couche
optique et se mêler aux fibres de la racine antér
une disposition que nous avons déjà signalée : il se compose de deux
couches
: une inférieure, claire, adjacente au cingulum;
e, lamellaire, qu'on retrouve sur les coupes 125, 124, 125. 126; la
couche
supérieure ne renferme évidemment que des fibres
te ; GVE, gyrus vestibuli, recouvert à sa partie postérieure par la
couche
blanche de la substance réliculaire; psp, pédoncu
siibslancc réticulairc de la corne d'Ammon, n'est autre chose que la
couche
la plus superficielle du corps calleux, ou, pour
rne (CI) n'est plus représentée que par la racine antérieur(3 de la
couche
optique, prolongée en haut par la couronne rayonn
nse (GAP). GAP. Le ganglion ou noyau de l'anse pédonculaire est une
couche
grise très mince, étendue depuis la partie inféri
nce dans la substance grise de la base (fig. 2), puis, de là, dans la
couche
optique. Mais alors ses fibres, devenues vertical
e noyau interne du thalamus pour constituer le noyau postérieur de la
couche
optique (NpC). NmC. Le centre médian, situé jus
masse grise où se confondent les deux noyaux interne et externe de la
couche
optique, au-dessus du centre médian. Il en a été
moment où ceux-ci entrent en connexion avec la face inférieure de la
couche
optique. FLP. Le faisceau longitudinal postérie
pénètre pas ; il contribue à former la lame médullaire latérale de la
couche
optique (LML). LML. La lame médullaire latérale
de la couche optique (LML). LML. La lame médullaire latérale de la
couche
optique, très franchement claire au-dessus du dis
noyau postérieur du thalamus appartient à la région inférieure de la
couche
optique (fig. 7). Il n'est donc plus visible sur
appartenant au même système, les fibres de la racine antérieure de la
couche
optique (ThA) qui, venues du segment antérieur de
en bas et d'avant en arrière pour constituer le pied du septuni et la
couche
blanche antérieure de la lame terminale. AR. Le
la partie externe du segment antérieur de la capsule, est destiné aux
couches
inférieures du thalamus. 11 disparaît donc sur le
cine antérieure du thalamus pénètre dans le noyau externe (NeC) de la
couche
optique, où elle se croise avec la racine inférie
En avant, le tsenia pénètre dans l'intervalle du corps strié et de la
couche
optique, tout au voisinage du pilier antérieur du
du noyau caudé sépare le taenia des fibres du tapetum, réduites à une
couche
d'une minceur extrême. Là, le taenia passe sous l
i par des fibres venues du stratum zonale de la face supérieure de la
couche
; elles s'enfoncent en spirale dans la profondeur
pe 10, c'est-à-dire qu'il occupe seulement la région supérieure de la
couche
optique. D'abord allongé, fusiforme (fig. 10), il
rfaitement. Enfin, sur une coupe plus supérieure encore (fig. 12), la
couche
optique n'existe plus. Le plan de section n'intér
au contact de la lame médullaire et se perd ainsi à la surface de la
couche
optique, au voisinage du taenia. FSe. Le faisce
stérieure du gyrus reclus (GR) et la commissure antérieure (CA) trois
couches
distinctes : 1" le pied du septum lucidum, dont l
ur axe ont une teinte foncée, confondue avec celle de l'écorce; 2" la
couche
blanche de la lame terminale (LAT) dont les fibre
ement verticales, font suite au rostrum du corps calleux; 3° enfui la
couche
grise de la lame terminale, derrière laquelle se
lame festonnée (LFE). LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la
couche
de substance blanche qui tapisse le fasciola cine
son indépendance dans la capsule, mais encore sa subdivision en deux
couches
. La couche la plus externe, tout à fait adjacente
dance dans la capsule, mais encore sa subdivision en deux couches. La
couche
la plus externe, tout à fait adjacente à la capsu
ite, est formée par les libres de l'étage supérieur de la calotte; la
couche
interne, adjacente à la substance grise du thalam
thalamus, dans la lame médullaire latérale (LML), n'est autre que la
couche
grillagée de certains auteurs*. Cin. Le cingulu
limité en avant par le bras du pulvinar (BP). Les autres noyaux de la
couche
optique sont situés au-dessus de la coupe. La sec
. D'autre part, on reconnait, au contact du globus medialis (GLM) une
couche
lamellaire uniforme (CID) appartenant également à
antérieur de la capsule interne (CIA) à l'extrémité antérieure de la
couche
optique (Th). Cette coupe, en efl'et, pratiquée à
venues du segment antérieur de la capsule (CIA), s'enfoncent dans la
couche
optique sous la forme de deux faisceaux diffus, l
lamus (ThA). 4° La séparation réelle des fibres du splenium en deux
couches
: les fibres supérieures du splenium (ce) apparti
ce blanche de l'hémisphère, au niveau du tubercule de jonction. Cette
couche
s'étend de dedans en dehors, 1. On Fa appelée,
iculée d'Arnold. Il n'est pas exact, comme on l'a prétendu, que cette
couche
médullaire ne présente, un grand développement qu
le noyau amygdalien (NA) est entouré, sur tout son pourtour, par une
couche
blanche. Cette couche, qui lui forme une sorte de
NA) est entouré, sur tout son pourtour, par une couche blanche. Cette
couche
, qui lui forme une sorte de capsule, le sépare, e
porte obliquement en dehors est la bandelette diagonale. La milice
couche
lilauche qui la limite en avant est la substance
n arrière du splenium, la substance réticulaire d'Arnold (LMA). Cette
couche
blanche revêt le fasciola cinerea. Le fascia dent
colliculum, ergot de Morand. CAM. Corne d'Anmion. CAO. Fibres de la
couche
optique allant à la calotte ou inversement, fai
externe. CEO. Fibres du pédoncule cérébelleux supérieur allant à la
couche
optique, faisceau cérébello-thalamique. CEP. Cr
ceaux croisés de la calotte, fasciculi' decussationis aritica'. ce.
Couche
grillagée (Arnold), slratum reticulatum {Gittersc
2, FLs, FL4, FLs. Première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième
couches
du faisceau longitudinal inférieur. ; FLP. Fais
lo-caiidées. Loin. Lemniscus, feuillet horizontal du ruban de Reil,
couche
de Reil {Schlelfe des Allemands). LF. Lobe fron
l'insula. Lm. Lamina medialis, portion interne et inférieure de la
couche
horizontale de Reil, lamina ad, pedunculum. LMA
antérieur. Lmd. Lamina lateralis de Reil, ou fibres directes de la
couche
latérale de Reil. LML Lame médullaire interne d
Repli du splenium. Rth. Radialio thalami, couronne rayonnante de la
couche
optique. RTP. Recessus du tubercule quadrijumeau
on métopique ou incisures métopiques. SMT. Stries médullaires de la
couche
optique. SO. Sillon opto-strié. soe» Sillon o
érieur du pédoncule. Tf. Tubercule du fascia dentata. Th. Thalamus,
couche
optique. ThA. Racine antérieure ou pédoncule an
e)....... vu, 558 Corpus sub-thalamicum (DL)................. 511
Couche
de Reil (Schleife) (Lem)............. 199, 209
....... 511 Couche de Reil (Schleife) (Lem)............. 199, 209
Couche
de Reil (portion interne et inférieure) (Lm).....
9 Couche de Reil (portion interne et inférieure) (Lm)........ 218
Couche
grillagée (CG)................... 552 Couche op
re) (Lm)........ 218 Couche grillagée (CG)................... 552
Couche
optique (Th).................... xx Couronne ra
FLI)......... 78,102, 154 Faisceau longitudinal inférieur (première
couche
) FLi)...... 212 Faisceau longitudinal inférieur
re couche) FLi)...... 212 Faisceau longitudinal inférieur (deuxième
couche
) (FL2)...... 212 Faisceau longitudinal inférieu
couche) (FL2)...... 212 Faisceau longitudinal inférieur (troisième
couche
) (FLs)..... 215 Faisceau longitudinal inférieur
e couche) (FLs)..... 215 Faisceau longitudinal inférieur (quatrième
couche
) (FL4). . 155, 215 Faisceau longitudinal inféri
ouche) (FL4). . 155, 215 Faisceau longitudinal inférieur (cinquième
couche
) (FLo). . 155, 213 Faisceau longitudinal postér
ngitudinal supérieur (ARC).......... 254, 504 Faisceau médian de la
couche
de Reil (Lm)........... 214 Faisceau médullaire
DOG)..................... 284, 290 Fibres de la calotte allant à la
couche
optique (CAO)....... 297 F'ibres directes de la
allant à la couche optique (CAO)....... 297 F'ibres directes de la
couche
latérale de Reil (Lmd)........ 251 Fibres direc
oyau amygdahforrae (DL).................. 511 Noyau antérieur de la
couche
optique (NaG)......... 69, 557 Noyau caudé (NG)
7 Pédoncule cérébelleux supérieur (portion postérieure aHant à la
couche
optique), (CEO)................. xni Pédoncules
CC).. . . . . . . . . . . . . . . lxxix R Racine antérieure de la
couche
optique (ThA)....... 545, 567 Racine descendant
substance; pour établir l'uniformité de pression à sa surface, une
couche
mince de liquide, le liquide céphalo-rachidien, s
ntraux. § 1. — La substance grise périphérique du cerveau forme une
couche
onduleuse de 2 à 4 millimètres d'épaisseur, repli
e la substance corticale est séparé du plan superficiel par une mince
couche
granuleuse, d'un aspect caractéristique et nettem
rs, la substance grise des circonvolutions ne serait pas formée d'une
couche
unique : Baillarger (1) dit qu'en examinant une c
ale fraîche pressée entre deux lames de verre, on reconnaît plusieurs
couches
inégales d'épaisseur, apparaissant sous l'aspect
sparentes et opaques. Meynert divise la substance corticale en cinq
couches
régulièrement stratifiées, 'possédant chacune une
fiées, 'possédant chacune une épaisseur déterminée (2). La première
couche
se présente sous l'apparence d'une ligne claire.
es de prolongements fins. Son épaisseur est de 0,25 f¿. La deuxième
couche
a une couleur foncée et une épaisseur égale à cel
nombreuses et très serrées les unes contre les autres. La troisième
couche
, d'une couleur jaunâtre, offre trois fois l'épais
, d'une couleur jaunâtre, offre trois fois l'épaisseur de chacune des
couches
précédentes ; elle est formée par des cellules py
p en raison de la profondeur de leur situation. Meynert décrit cette
couche
sous le nom de formation corticale de la corne dA
éléments nerveux. (1) Baillarger, Recherches sur la structure de la
couche
corticale des circonvolutions du cerveau (Mém. de
é par Math. Duval. Paris, 1879. Gavoy. —Encéphale. 2 La quatrième
couche
rappelle par son aspect, sa transparence, son épa
rappelle par son aspect, sa transparence, son épaisseur, la première
couche
. Elle est formée par du tissu conjonctif contenan
tres. Leurs prolongements sont très difficiles à voir. La cinquième
couche
, de couleur foncée, a une épaisseur de 0,5 millim
la substance grise de l'écorce de la pointe du lobe occipital en huit
couches
. La lre et la 2e couche sont semblables à celle
rce de la pointe du lobe occipital en huit couches. La lre et la 2e
couche
sont semblables à celles du type général précéden
e, à grosses cellules pyramidales, manque; elle est remplacée par une
couche
de noyaux analogue à la 4edu type général. La 4
ur, que Meynert nomme cellules solitaires. La 5e est semblable à la
couche
de noyaux. La 6e est formée par un stratum engl
es cellules à noyaux arrondis ; elle est semblable à la 3e et à la 5e
couche
. La 8e couche renferme les cellules dites fusif
yaux arrondis ; elle est semblable à la 3e et à la 5e couche. La 8e
couche
renferme les cellules dites fusiformes ; elle est
s fusiformes ; elle est conforme à celle du type général. Les trois
couches
à noyaux correspondent à la traînée blanche média
ée ruban de Vicq-d'Azyr. Ces divisions de la substance corticale en
couches
régulièrement stratifiées, d'une épaisseur consta
établie d'une manière positive. Il est préférable de considérer cette
couche
corticale comme composée de deux zones, renferman
ule paracentral, on trouve, dans la partie inférieure seulement de la
couche
à cellules, des cellules pyramidales d'une dimens
iés, centres générateurs de l'innervation encéphalique, comprenant la
couche
optique et le corps strié. (1) Voir Système des
(1) Voir Système des artères corticales, loco citato, page 7. a.
Couche
optique. La couche optique, ou thalamus (Pl. II
es artères corticales, loco citato, page 7. a. Couche optique. La
couche
optique, ou thalamus (Pl. II, 4), est un amas ovo
face hiterne de l'hémisphère. Elle intercepte par conséquent, avec la
couche
optique de l'hémisphère du côté opposé, un espace
brotundum, et par Vicq-d'Azyr sous celui de tubercule antérieur de la
couche
optique. En arrière, on trouve une autre sailli
oéminence de deux petits noyaux gris contenus dans la substance de la
couche
optique et bien nettement circonscrits à l'intéri
décrit le premier un quatrième tubercule, situé au milieu même de la
couche
optique, c'est le centrum médium Luysii. M. Luy
sidère ces tubercules ou noyaux, isolés dans la substance grise de la
couche
optique, comme des centres de réception, en rappo
ne longueur de 12 millimètres; il est contigu à la face interne de la
couche
optique sur laquelle il produit une intumescence
ostérieur, en dehors et un peu au-dessous d'eux, au centre même de la
couche
optique ; son dia-mètre est de 7 à 8 millimètres
e petite masse de substance blanchâtre. Ces centres ou noyaux de la
couche
optique n'ont pas une structure histologique part
ode de distribution et à la catégorie de fibres qui pénètrent dans la
couche
optique et vont aboutir à ces centres d'immersion
. Il occupe toute l'étendue des régions antérieure et externe de la
couche
optique, dont il est séparé par un sillon curvili
par Burdach sous celui de capsule interne. La portion contiguë à la
couche
optique porte le nom de noyau intra-ventri-culair
ent en arrière en forme de queue jusqu'à la région posté-rieure de la
couche
optique, ce qui a fait désigner par Burdach cette
e composent d'un filament cylindrique, le cylinder-axis, revêtu d'une
couche
de myéline. Le cylinder-axis est l'élément essent
cellulaire. Quelques fibres nerveuses paraissent s'amortir dans la
couche
la plus superfi-cielle de la substance corticale
ale ; il est cependant difficile d'affirmer qu'elles atteignent cette
couche
. Les diverses régions de la substance grise pér
'un faisceau conoide, contournent la face interne et antérieure de la
couche
optique, passent en dehors du pilier antérieur du
PL IV, 7), et pénètrent dans la région antérieure et supérieure de la
couche
optique. Meynert donne à ce faisceau le nom de ra
ptique. Meynert donne à ce faisceau le nom de racine inférieure de la
couche
optique et le décrit comme la troisième et la qua
de la couche optique et le décrit comme la troisième et la quatrième
couche
de l'anse pédonculaire de Gratiolet. Ces différ
de fibres convergentes se condensent sur le côté antéro-externe de la
couche
optique en un gros faisceau spiroïde, aplati d'av
respectives dans les noyaux opto-striés. Une partie pénètre dans la
couche
optique; les fibres s'effilent, s'amincissent, tr
u lenticulaire du corps strié, gagnent les parties postérieures de la
couche
optique en formant une coque extérieure nommée ca
nouvelles, à mesure qu'il se rapproche des régions postérieures de la
couche
optique. Arrivées à ce niveau, les fibres se di
gent vers la paroi du ventricule moyen et vers le centre médian de la
couche
optique. Un troisième groupe suit un trajet curvi
e les fibres des régions externes se portent dans la profondeur de la
couche
optique jusqu'à la paroi du ventricule moyen ; qu
bres nerveuses qui relient tous les points de la pulpe corticale à la
couche
optique ; ce sont les fibres cortico-thalamiques
e dirige directement en avant, appliquée sur la face supérieure de la
couche
optique qui lui correspond. Ces bandelettes ont
[piliers antérieurs de la voûte), qui s'infléchit en bas, traverse la
couche
optique, se dirige en arrière vers les tuber-cule
, qui s'étend, en s'effilant, de la base du tubercule antérieur de la
couche
optique, ou centre antérieur, jusqu'aux tubercule
aisceau de Vicq-d'Azyr relie par conséquent le centre antérieur de la
couche
optique à la substance grise des tubercules mamil
composés de cellules fusiformes, absolument pareilles à celles de la
couche
optique. Au niveau de la région antérieure de l
elles de la couche optique. Au niveau de la région antérieure de la
couche
optique, les faisceaux cylindriques des fibres co
térieurs de la glande pinéale, s'applique sur la face interne de la
couche
optique, aborde la base du conarium et s'épanouit
u supérieurs se dirigent en avant en cheminant dans l'épaisseur de la
couche
grise qui tapisse les parois du ventricule moyen.
rois du ventricule moyen. On les aperçoit par transparence dans cette
couche
, et l'on peut les suivre jusqu'au trou de Monro,
doncules moyens se portent latéralement dans la substance grise de la
couche
optique, vers le centre médian. Les pédoncules
tral. § I. La substance grise du cervelet forme à sa périphérie une
couche
corticale pliée et repliée sur elle-même sous l'a
t lamelles juxtaposées, qui lui donnent une apparence foliacée. Cette
couche
corticale offre à l'œil nu par sa teinte l'aspect
perficielle, d'une couleur jaune rougeâtre, est connue sous le nom de
couche
rouillée; la plus profonde est d'une coloration g
de nombreux capillaires. Elle est séparée de la zone profonde par une
couche
de fibres nerveuses dirigées parallèlement à la s
o-buleux de la cellule, tandis que son extrémité caudale émet vers la
couche
superficielle un prolongement bifide dont chaque
d'un nucléole; il envoie quelques prolongements très déliés vers les
couches
sous-jacentes, en continuité avec les filaments d
ules rondes, mesurant de 6 p. à 9 p. de diamètre, qui donnent à cette
couche
un aspect granuleux. Ces cellules sont pourvues d
réseau plexiforme. La description donnée par Meynert comprend trois
couches
: La première couche, la plus externe, est la c
description donnée par Meynert comprend trois couches : La première
couche
, la plus externe, est la couche grise ou molécula
omprend trois couches : La première couche, la plus externe, est la
couche
grise ou moléculaire; elle contient seulement que
ites cellules isolées dans la névroglie. A sa limite interne, cette
couche
renferme des cellules fusiformes et des fibres mé
des fibres médullaires parallèles à la surface externe. La seconde
couche
est la couche des cellules, elle contient les cel
dullaires parallèles à la surface externe. La seconde couche est la
couche
des cellules, elle contient les cellules de Purki
des cellules, elle contient les cellules de Purkinje. La troisième
couche
, la plus interne, ou la couche des granulations,
s cellules de Purkinje. La troisième couche, la plus interne, ou la
couche
des granulations, est formée par une substance gr
es qu'on voit se diriger en dehors à travers la substance grise de la
couche
optique. A la base du ventricule moyen, la subs
se détache du ganglion olfactif, se porte en arrière et contourne la
couche
optique sous le nom de tsenia semi-circularis.
mas de substance grise sont situés à la région postéro-inférieure des
couches
optiques sur les bords de la fente cérébrale de B
par un grand nombre de granulations pigmentaires, qui donnent à cette
couche
, connue sous le nom de locus niger de Sœmmering,
eurs du trigone, au-dessus des bandelettes optiques, au-dessous de la
couche
optique, se plie de nouveau totalement en dehors,
u antéro-interne pédonculaire constitue le plan le plus profond de la
couche
médullaire appelée anse pédonculaire par Gratiole
ent en haut vers la partie correspondante de la face inférieure de la
couche
optique, pénètrent à travers la substance grise d
immerge dans la substance grise du ventricule moyen sous-jacente à la
couche
optique, et s'épanouit dans les cellules nerveuse
culaire commun. Meynert et Huguenin le décrivent, comme la deuxième
couche
de l'anse pédon-culaire, sous le nom de faisceau
son congénère, la commissure blanche postérieure, et se perd dans la
couche
de substance grise qui tapisse le troisième ventr
veau {circonvolution frontale ascendante). a. Zone superficielle ou
couche
de cellules pyramidales de 25 ¡¿ à 40 ¡7. de gr
40 ¡7. de grandeur, régulièrement stratifiées. b. Zone profonde ou
couche
de cellules fusiformes de 30 y. de diamètre (ce
zyr, compris entre la zone super- ficielle et la zone profonde. Ces
couches
de substance grise sont formées de cellules arron
g. IV. — Substance grise corticale du cervelet. a. Zone profonde ou
couche
granuleuse. b. Substance médullaire centrale ax
ition des cellules de Purkinje autour de la limite supérieure de la
couche
granuleuse. d. Zone superficielle ou couche rou
mite supérieure de la couche granuleuse. d. Zone superficielle ou
couche
rouillée, renfermant des cellules triangulaires
etit espace appelé ventricule de la cloison (voir Pl. LUI). 4. — La
couche
optique, thalamus opticus} a la forme d'un ovoide
térieure qu'on a sectionné en séparant les deux hémisphères. Entre la
couche
optique et le pilier antérieur du trigone, existe
(5), qui le premier en a fait la description. La face interne de la
couche
optique se continue en bas et en avant avec un am
. En arrière, la substance grise, qui tapisse la face interne de la
couche
optique, se continue avec les tubercules quadriju
x hémisphères sont réunis l'un à l'autre, les deux faces internes des
couches
optiques interceptent entre elles un espace libre
our-relet, apparaît nettement; elle est bordée inférieurement par une
couche
de substance corticale, séparée en haut des circo
La section antéro-postérieure a enlevé la substance grisâtre de la
couche
optique qui forme la paroi du ventricule moyen. E
n intérieure des deux saillies signalées sur la face supérieure de la
couche
optique, le corpus album subro-tundum et le tuber
ant et en bas est la substance grise du locus niger, qui recouvre une
couche
de substance blanche, formant l'écorce du pédoncu
corps calleux ; une gouttière profonde sépare le corps calleux de la
couche
de substance corticale qui borde inférieurement l
aventriculaire du corps strié, formant, avec la face supérieure de la
couche
optique, le plancher des ventricules latéraux. Su
e la bandelette optique (8). 9. — Section du centre antérieur de la
couche
optique suivant son grand diamètre antéro-postéri
diriger en arrière, en enlaçant la région supérieure et externe de la
couche
optique. Dans le sillon intermédiaire est la coup
s efîérentes du noyau rouge de Stilling et celui du corpus Luysii. La
couche
optique reçoit également l'épanouissement des fib
eure, passant par ïextrémité antérieure du sillon intermédiaire de la
couche
optique et du corps strié. 1. — La substance gr
le pilier postérieur du trigone (3), qui se continue au-dessus de la
couche
optique, sous le nom de bandelette géminée. 4.
u pilier postérieur du trigone. Il recouvre le centre moyen (8) de la
couche
optique, vers lequel s'effilent les fibres conver
ntes de la capsule interne; en arrière est le centre postérieur de la
couche
optique (9); le centre médian (10) est situé entr
es convergentes pénètrent en serpentant dans la substance grise de la
couche
optique; elles s'épanouissent dans le centre moye
stérieur de fibres, qui paraît s'arrêter au locus niger, aboutit à la
couche
optique. La section du cervelet montre la dispo
Coupe verticale antéro-postérieure, passant par la face externe de la
couche
optique. 1. — La section représente le vestig
le orbitaire, contourne la face supérieure du corps strié, puis de la
couche
optique, passe dans la région in-férieure en se d
né-tration (15) des fibres convergentes dans la substance grise de la
couche
optique, atteignant les segments externes du cent
La substance grise corticale forme, à la périphérie de la coupe, une
couche
ondulée qui représente la section des circonvolut
réduite à sa portion supérieure et postérieure; elle est séparée delà
couche
optique parle taenia semi-circularis. Au-dessous
s fibres convergentes traversent l'épaisseur de la face externe de la
couche
optique et se dirigent vers le centre postérieur.
en situé dans un plan plus externe. Ces deux noyaux sont isolés de la
couche
optique par le groupement des faisceaux divers de
7) appelés noyaux jaunes. 8. — Régions postérieure et externe de la
couche
optique (pulvinar) en rapport avec les corps geno
rce de substance blanche et contient dans son intérieur également une
couche
de substance blanche. Cette substance grise est p
ace supérieure du corps calleux vers la base du cerveau.) 1. — La
couche
de substance grise corticale des deux hémisphères
ibres convergentes et commissurantes émanant de la face interne de la
couche
corticale. Les fibres commissurantes de chaque lo
(6) du noyau intraventriculaire, séparée de la face supérieure de la
couche
optique (8) par le sillon intermédiaire (7). Le
lon intermédiaire séparant le noyau caudé de la face supérieure de la
couche
optique (7); ce sillon est recouvert par la lame
térieure et externe du tubercule anté-rieur ou centre antérieur de la
couche
optique. 8. — Bandelette géminée se dirigeant e
stance grise du noyau intra-ventriculaire jusqu'au bord externe de la
couche
optique, en passant au-dessous de la portion moye
roupées en un gros faisceau qui aboutit à la partie postérieure de la
couche
optique et se distribue en partie dans le pul vin
et se distribue en partie dans le pul vinar. La face supérieure des
couches
optiques a été effleurée par la section horizonta
, juxtaposées par leur bord interne, reposant sur la face interne des
couches
optiques et sur la toile choroïdienne. Le bord ex
mé pilier antérieur du trigone, pénètre dans la substance grise de la
couche
optique et va aboutir aux tuber-cules mamillaires
antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la
couche
optique. 1. — Portion réfléchie ou genou du cor
lamiques, se rendant de la base des circonvolutions au pourtour de la
couche
optique. A travers l'écartement de ces faisceaux,
en un faisceau conique, se dirigeant vers la région postérieure de la
couche
optique. 8. — Substance grise de la couche opti
région postérieure de la couche optique. 8. — Substance grise de la
couche
optique pénétrée par des filaments blancs de fibr
re formé par les fibres cortico-thalamiques sur le bord externe de la
couche
optique. 10. — Centre antérieur de la couche op
le bord externe de la couche optique. 10. — Centre antérieur de la
couche
optique. 11. — Centre postérieur de la couche o
entre antérieur de la couche optique. 11. — Centre postérieur de la
couche
optique. 12. — Section du pédoncule antérieur d
e. 13. — Bandelette géminée, s'appuyant par son bord externe sur la
couche
optique. Le bord interne de chaque bandelette se
rent en haut, en avant et en bas. Ces lamelles sont recouvertes d'une
couche
de substance grise sur leurs deux faces : celle q
lique de dehors en dedans, qui vient rencontrer la face externe de la
couche
optique (6, Pl. XVIII), l'autre vertical et trans
cal et transverse qui aboutit à la région antérieure et externe de la
couche
optique (6, Pl. XX). Cette substance blanche inte
onvergentes postérieures vient abou-tir à la région postérieure de la
couche
optique, en passant entre la portion caudale du n
ée. Gavoy. — Encéphale. 12 La section de la substance grise de la
couche
optique montre le mode de pénétra-tion des fibres
. La cavité du ventricule moyen apparaît entre les faces internes des
couches
optiques; en avant est la corne frontale de la ca
ne adhérence avec elle, et se dirige vers la région postérieure de la
couche
optique; il porte le nom de capsule externe (7).
(7). 8. — Section des fibres convergentes sur le bord externe de la
couche
op-tique (6, Pl. XVIII). Cette portion du faiscea
ur (3), qui appartient au corps strié. 14. — Centre antérieur de la
couche
optique, séparé du noyau intra-ventriculaire par
rcularis qui s'épanouissent dans sa masse. 15. — Centre moyen de la
couche
optique; des fibrilles blanches traversent la cou
ntre moyen de la couche optique; des fibrilles blanches traversent la
couche
optique, atteignent ce noyau et la paroi latérale
rapport avec la cavité des ventricules latéraux est recouverte d'une
couche
de substance grise. Ces lamelles de substance bla
-ventriculaire. A égale distance à peu près des deux extrémités de la
couche
optique, et vers le bord interne, apparaît le cen
ection transversale des fibres convergentes sur le bord externe de la
couche
optique (Région moyenne de la capsule interne).
té sphénoïdale et se jette en partie dans la région postérieure de la
couche
optique. Son fascicule antérieur se dirige en ded
entes des circonvolutions de l'insula. 14. — Centre antérieur de la
couche
optique. Ses dimensions sont beaucoup moins grand
anche XIX. 15. — Région inférieure et interne du centre moyen de la
couche
optique. 16. — Centre médian. Il reçoit par son
médian. Il reçoit par son côté externe des fibres qui ont traversé la
couche
optique et, en dedans, un petit faisceau qui para
ît provenir de la commissure blanche. 17. — Centre postérieur de la
couche
optique. Le faisceau des fibres convergentes post
ons pos-térieures se jette en partie dans la région postérieure de la
couche
optique; le fascicule antérieur (8, Pl. XXII) se
u lobe occipital soient en connexion avec la région postérieure de la
couche
optique. Le noyau lenticulaire (10, Pl. XXII) p
convergentes antérieures et supérieures. Le centre antérieur de la
couche
optique (6, Pl. XX) est réduit à son dernier segm
tte commissure est formée par un faisceau de fibres qui s'étend de la
couche
optique d'un côté à celle du côté opposé. Elle es
e la commissure blanche postérieure apparaît, sur le bord interne des
couches
optiques, la section des pédoncules antérieurs de
elie la commissure blanche postérieure avec la région postérieure des
couches
optiques ou pulvinar. Gavoy.— Encéphale. ^ La
— Section transversale des fibres convergentes au bord externe de la
couche
optique. — Région lenticulo-optique de la capsule
dian. Les fibres convergentes pénètrent dans la substance grise de la
couche
optique sous l'aspect de fibrilles extrêmement fi
l'aspect de fibrilles extrêmement fines. La région postérieure de la
couche
optique (13) est parcourue par des fibrilles tr
par une section des fibres spinales antérieures, faite au-dessous des
couches
optiques. En dedans de ces faisceaux apparaît l
sversale des fibres spinales au-dessous de la région inférieure de la
couche
optique. 12. — Corpus Luysii ou bandelette acce
la partie postérieure du sillon intermédiaire au corps strié et à la
couche
optique dans lequel il se loge. 10. — Section d
les artérioles qui la sillonnent. La coupe du cervelet présente une
couche
corticale de substance grise entourant les fibres
La paroi ou le plancher du quatrième ventricule est formée par une
couche
de sub-stance grise en continuité avec la substan
e des piliers postérieurs du trigone (7, Pl. XXXIV) : au-dessus de la
couche
optique, de chaque côté du bourrelet, on aperçoit
des bandelettes géminées. Une partie de la région postérieure de la
couche
optique est enlevée; cette coupe a mis à découver
a mis à découvert le tubercule postérieur ou centre postérieur de la
couche
optique, et montre le mode de pénétration dans sa
es convergentes des régions postérieures. En avant et en dehors de la
couche
optique est la lame cornée, qui la sépare du noya
— Fibres du taenia semi-circularis contournant le bord externe de la
couche
optique. 4. — Section des bandelettes géminées
4. — Section des bandelettes géminées sur la face supérieure de la
couche
optique. 5. — Section de la substance grise de
gone dans le diverticulum sphénoïdal. 6. — Région postérieure de la
couche
optique. Les fibres convergentes des régions post
one, les bandelettes géminées, se voit entre la face supérieure de la
couche
optique et le bord externe du corps calleux. La s
des ventri-cules latéraux ; il est séparé de la substance grise de la
couche
optique par la section des fibres du taenia semi-
Le centre postérieur occupe la partie interne de cette région de la
couche
optique; les fibres convergentes pénètrent en lon
à l'autre et semble émettre un faisceau dans la région inférieure des
couches
optiques. Au-dessus de cette commissure apparaît
ion supérieure et celles de la région moyenne (3) se dirigent vers la
couche
optique ; les fibres du lobe sphenoidal (4) s'élè
trent, sous l'aspect de filaments très déliés, dans l'intérieur de la
couche
optique et atteignent les différents noyaux qu'el
des faisceaux des fibres convergentes. 10. — Centre antérieur de la
couche
optique. 11. — Centre moyen de la couche optiqu
. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Centre moyen de la
couche
optique. 12. — Centre postérieur de la couche o
— Centre moyen de la couche optique. 12. — Centre postérieur de la
couche
optique. 13. — Section de la portion horizontal
e comment ces bandelettes, en s'appliquant sur la face supérieure des
couches
optiques, isolent le ventricule moyen des ventric
Ces divers groupes de fibres se condensent sur le bord externe de la
couche
optique en un gros faisceau appelé capsule intern
apsule interne; elles pénètrent ensuite dans la substance grise de la
couche
optique, sous forme de petits filaments très fins
ne de la cavité du ventricule latéral. 11. — Centre antérieur de la
couche
optique. 11 est séparé du noyau caudé parles fibr
t dans la capsule interne pour pénétrer dans la substance grise de la
couche
optique. 24. — Section de la région antérieure
ramifiées, issues des faisceaux spi-naux. Le centre antérieur de la
couche
optique a augmenté de volume ; le centre moyen a
isent pour former la capsule interne, et vont se grouper autour de la
couche
optique. Un fascicule longe la face externe du no
des fibres convergentes dans l'intérieur de la substance grise de la
couche
optique. 11. — Centre antérieur de la couche op
substance grise de la couche optique. 11. — Centre antérieur de la
couche
optique. 12. — Centre moyen de la couche optiqu
. — Centre antérieur de la couche optique. 12. — Centre moyen de la
couche
optique. 13. — Portion antérieure du centre méd
e fibres spinales postérieures. Ces fibres se portent en haut dans la
couche
optique ; elles se terminent en bas dans la subst
s est la coupe des bande-lettes optiques. Le centre antérieur de la
couche
optique présente son plus grand diamètre. Il est
dans le noyau lenticulaire, serpentent dans la substance grise de la
couche
optique. 4. — Fibres convergentes du lobe sphén
s du taenia semi-circularis en rapport avec le centre antérieur de la
couche
optique. 13. — Section de la portion horizontal
de pénétration des fibres convergentes dans la substance grise de la
couche
optique. 15. — Centre antérieur, son volume est
dans la substance grise du noyau caudé, du noyau lenticulaire et delà
couche
optique. En dehors du centre antérieur est la c
Mode d'épanouissement des fibres convergentes dans l'intérieur de la
couche
optique. 14. — Centre antérieur recevant les fi
on croise celle des fibres convergentes des régions supérieures. La
couche
optique est réduite à la portion antérieure du ce
ondi, les piliers antérieurs du trigone, qui plongent en bas, dans la
couche
optique et dans la substance grise centrale du pl
de la cavité des ventricules latéraux. 10. — Centre antérieur de la
couche
optique. 11. — Substance grise du plancher du v
du noyau lenticulaire, dans le noyau caudé du corps strié et dans la
couche
optique. Les lobes sphénoïdaux sont composés pa
e ne comprend que les lobes frontaux. La substance grise qui forme la
couche
corticale est moins abondante que dans les région
duc de Sylvius, sur la région médiane de l'encéphale ; chacune de ces
couches
de substance grise est en outre recouverte par l'
pointe effilée. Le noyau extra-ventriculaire est réduit à une mince
couche
de substance grise du putamen ; il est séparé de
8 § 2. Substance grise des noyaux centraux................. H a)
couche
optique.......................... 12 b) corps s
re, passant par l'extrémité antérieure du sillon intermé-diaire de la
couche
optique et du corps strié.................. 68
Coupe verticale antéro-postérieure, passant sur la face externe de la
couche
optique. 71 IX. Encéphale dont on a détaché la
antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la
couche
optique...........................• .... 87 XIX
................ ...... 103 ; XXVII. Encéphale dont on a détaché la
couche
précédente par une section horizontale antéro-pos
, dont l'un est mort à 13 mois, de congestion pulmonaire, 4 fausses
couches
entremêlées aux accouchements. A 55 ans, elle
coupe transversale soit du fémur, soit du tibia, soit du péroné, la
couche
com- pacte apparaissait très amincie. Nous po
l'époque normale. Morte à l'âge de S ans. Tante : Née ,d'une même
couche
avec la précédente. Rien d'anormal jusqu'à 9 an
xcentrique et mal équilibré. Antécédents personnels. Pas de fausses
couches
. Pas de gemelliparité Après un enfant mort-né l
ntiles comme l'exagération de son em- bonpoint habituel, de cette «
couche
adipeuse d'une assez grande épais- seur qui env
ension occasionnent la plus vive douleur. Dans le lit, la malade se
couche
sur le côté dans une position accroupie : les gen
ons corticales sur une étendue considérable, sans participation des
couches
sagittales profondes. Les faits qui se sont dég
étaient plu- tôt primitifs. Il fait une description remarquable des
couches
profondes qui, pour lui, représentent l'express
ession intra-cérébrale de la bandelette optique ; il reconnaît deux
couches
de radiations optiques dont l'une,la branche exte
sagittale externum ». Charcot (1) et Ballet (2) réunissent les deux
couches
sagittales sous le nom de « faisceau sensitif c
nstitution de la capsule externe dont elles concourent à former les
couches
les plus inférieures et s'entrecroi- sent avec
Ce faisceau provient de la partie inférieure du noyau'latéral de la
couche
optique et du noyau principal du pul- vinar ; à
t dans la constitution du stratum zonale. Après son émergence de la
couche
optique, le faisceau longitudinal est accompagn
que, le faisceau longitudinal est accompagné de fibres venant de la
couche
optique et desti- nées à la sphère olfactive et
et qui se rendent au lobe temporal et à la sphère auditive. - La
couche
sagittale externe de Sachs ne représente pas un f
w (2) le faisceau longitudinal inférieur (qu'il identifie avec la «
couche
sagittale ») ne doit pas être considéré comme une
INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 107 ceau se distingue toutefois de la
couche
des radiations thalamiques qu'il recou- vre en
travers toute l'étendue du lobe temporal-occipital et constitue la
couche
externe des fibres profondes. Dans son trajet p
n réalité il est difficile de délimiter d'une façon absolue les trois
couches
situées en dehors de la paroi ventriculaire, to
uillé externe, du corps quadrijumeau antérieur et du pulvinar de la
couche
optique. Ces ganglions fournissent une grande p
se rendent au lobe occipital ; elles concourent à former surtout la
couche
sa- gittale interne, mais elles occupent aussi
lé externe, la dégénérescence s'épuise dans le pulvinar et dans les
couches
super- ficielles et moyennes du corps quadrijum
aire les radiations optiques occupent surtout la partie moyenne des
couches
sagittales profondes, aussi bien la couche sa-
t la partie moyenne des couches sagittales profondes, aussi bien la
couche
sa- gittale externe que la couche sagittale int
gittales profondes, aussi bien la couche sa- gittale externe que la
couche
sagittale interne. Les lésions du corps genouil
isceau longitudinal supérieur (qui, pour lui aussi, correspond à la
couche
sagittale externe) ; dans chacun de ses nombreu
d'association. Dans ses premières études (a, b et c) il dit que la
couche
sagittale interne contient des fibres qui passe
interne contient des fibres qui passent de l'écorce occipitale à la
couche
optique, et la couche sagittale externe des fib
ibres qui passent de l'écorce occipitale à la couche optique, et la
couche
sagittale externe des fibres dont le trajet est l
nt le trajet est l'inverse, c'est-à-dire qu'elles proviennent de la
couche
optique et se rendent à la corticalité. Plus ta
lus tard, il insiste sur la délimitation peu précise entre ces deux
couches
; un bon nombre de fibres proviennent des faces
llés externe et interne, au noyau latéral (partie supérieure) de la
couche
optique et aux couches superfi- cielles du corp
e, au noyau latéral (partie supérieure) de la couche optique et aux
couches
superfi- cielles du corps quadrijumeau antérieu
au antérieur. D'une façon générale, la partie infé- rieure de cette
couche
sagittale (commune) recevrait les fibres de trois
s au pulvinar, au corps genouillé externe et au noyau latéral de la
couche
optique ; la partie supérieure renfer- merait l
8, 1904. FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRALE 109
couche
sagittale latérale une fonction déterminée, elle
résenterait la voie visuelle centrale, ses fibres proviennent de la
couche
optique et se rendent à la sphère visuelle cort
ccorde à ces fibres une origine plus étendue, non seulement dans la
couche
optique (noyaux latéral et posté- rieur), mais
illé externe. Plus récemment, à l'occasion d'un cas de lésion de la
couche
optique (h), Probst fait subir à ses idées de g
olet » comprend des libres corticifuges destinées au pulvinar de la
couche
optique et au corps quadriju- meau antérieur. L
une fibre à la capsule ex- terne. ' Dans des cas de lésions de la
couche
optique et sur d-3s coupes traitées par la méth
et de la scis- sure calcarine ; il en conclut, comme avant, que la
couche
sagittale externe renferme les fibres visuelles
bres visuelles centrales et que celles-ci tirent leur origine de la
couche
optique. Dans son mémoire le plus récent Probst
s dégénérescence consé- cutives à une lésion étendue qui atteint la
couche
optique mais aussi la capsule interne et le noy
cette dégénérescence tient à la destruction du noyau latéral de la
couche
optique dont les fibres passent au-dessus du corp
ieur de la capsule interne pour entrer dans la constitu- tion de la
couche
sagittale externe. Une partie du faisceau longitu
es ayant la même origine et qui se rendraient au noyau médian de la
couche
optique et aux circonvolutions rolandiques. Out
de Flechsig correspondent au faisceau longitudinal inférieur, à la
couche
sagittale externe. '" ' ' 2° Les radiations opt
tions optiques de Gratiolet (telles que décrites actuellement), la
couche
sagittale interne. ' Les radiations optiques
t leur origine du'corps genouillé externe et du noyau latéral de la
couche
optique,' se dirigent irrégulièrement en avant
en bas et en dehors le long de la paroi ventriculaire et forment la
couche
la plus externe des fibres sagittales profondes
rconvolution occipitale; elles se terminent,dans le .pulvinar de la
couche
optique et dans les couches superficielles et m
elles se terminent,dans le .pulvinar de la couche optique et dans les
couches
superficielles et moyennes du corps quadrijumea
,d'association n'entrent nullement dans la constitution de ces deux
couches
de fibres. , Siarokotlitzki (1) se range parmi
ngulaire de Wernicke et se terminent surtout dans le pulvinar de la
couche
optique, mais aussi dans les corps genouillés ext
orale. Ces fibres, dont la grande majorité se termineraient dans la
couche
optique, correspon- dent aux fibres thalamo-cor
lcarine, 1-e segment dorso-latéral du corps genouillé externe et la
couche
des radiations optiques. Il conclut que le faisce
ait partie de la couronne rayonnante : elle entre en relation avec la
couche
optique et avec le corps genouillé externe, mai
loration de Weigert ne permet pas d'établir avec quels noyaux de la
couche
optique ces relations ont lieu. Quant au segm
du lobe temporal. En tout cas, Redlich pense que cette partie de la
couche
externe se termine dans le voisinage de la circon
u noyau amygdalien. L'auteur considère que, d'une façon générale,la
couche
sagittale externe ren- ferme des fibres cortici
,la couche sagittale externe ren- ferme des fibres corticipètes, la
couche
sagittale interne des fibres corticifu- ges ; m
nt à la capsule interne et enfin au corps genouillé externe et à la
couche
optique. Il cite un exemple : il a observé chez
à l'angle inféro-interne de la corne occipitale et sectionnant les
couches
sagittales profondes jusqu'à l'épendyme ventricul
ation du stratum zonale de ce noyau ; les altérations du côté de la
couche
optique sont beaucoup moins accusées. Dans ce m
érieur renferme avant tout « des fibres corticifuges » destinées à la
couche
optique et au corps genouillé externe. Il n'est
r insisté de nouveau sur la délimitation peu précise entre les deux
couches
sagittales, il donne le nom de « Stratum sagitt
ète de la cou- ronne rayonnante du lobe temporo-occipital occupe la
couche
externe, et le- contingent corticifuge, qui est
, qui est de beaucoup le plus considérable, occupe non seulement la
couche
interne, mais concourt à former une bonne partie
nt la couche interne, mais concourt à former une bonne partie de la
couche
externe. Quoi qu'il en soit, l'auteur considère
e être enfoncé plus profondément dans l'orbite, ce qui dépend de la
couche
musculaire, qui chez l'homme est en effet plus dé
s (état rugueux de la peau qui est sèche et semble recouverte d'une
couche
de collodion), a deux enfants bien portants. Le
pées dans la peau se continue sans aucune démarcation nette avec la
couche
profonde du derme. Bien que (1) Cadéac, Path, c
aiseau pyramidal. Le mot faisceau n'est pas l'équivalent du terme «
couche
de fibres » ; or depuis de nombreuses années on
; or depuis de nombreuses années on a appliqué indifféremment à la
couche
de fibres la plus externe du lobe temporo-occip
et l'autre de ces dénominations : faisceau longitudinal inférieur,
couche
sagittale externe. Dans le lobe occipital la di
étro-lenticulaire de la capsule interne. A cet endroit en effet, la
couche
sagittale externe contient des fibres de projec
ain nombre de fibres d'association, elle ne représente nullement la
couche
sagit- tale externe du lobe occipital. Plus loi
s loin encore, à un niveau antérieur au corps genouillé externe, la
couche
sagittale externe contient des fibres de la commi
cinatus. , Il ressort nettement de toutes ces considérations que la
couche
sagittale ex- terne varie continuellement dans
CENTRAL 179 Le but que nous avons en vue est de démontrer : que, la
couche
sagittale externe du lobe occipital, le faiscea
rations nouvelles sur l'origine, la terminaison et la nature de la
couche
sagit- tale externe du lobe uccipital. En fai
i- tion qu'affecte le « faisceau optique central » par rapport à la
couche
sagittale externe prise dans son ensemble, à tr
erne et la plus grande partie du noyau lenticulaire ont disparu. La
couche
optique est énormément aplatie et atrophiée et
ceau qui se continue à l'angle inféro-externe du ventricule avec la
couche
sagittale externe. A ce faisceau on a donné le no
t serait accompagné de fibres que le faisceau de Türclt envoie à la
couche
opti- que. Or, ce faisceau est en grande partie
nte à notre avis la « totalité des fibres corticifuges destinées à la
couche
optique » et faisant partie du faisceau temporo
cérébral. Le faisceau normal ne se continue pas directement avec la
couche
sagittale externe (segment inférieur); en effet
rne, mais sur les coupes antérieures le ramollissement respecte les
couches
sagittales profondes, et alors on constate leur
tement en arrière du bourrelet du corps calleux il n'existe plus de
couches
sagittales le long de la paroi ventriculaire exte
LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL (Lasalle- A rclJtl11/ lia IIlt) S;e.
Couche
sagittale externe. - Rtb. Radiations thalamiques
alement dégénérées à cet endroit. Il se continue en dedans avec une
couche
de fibres saines occupant le lobule lingual et qu
niveau de la pointe delà corne occipitale, est privée elle aussi de
couches
sagittales. Le ramollissement atteint les deuxi
ésions corticales et sous- corticales. Le faisceau optique central (
couche
sagittale externe de cette région) est en grand
central, des radiations thalamiques et des fibres d'association. La
couche
sagittale interne est partout grandement dégénéré
paroi ventriculaire inférieure et supéro-externe. En de- hors de la
couche
sagittale externe on constate une décoloration co
nt indemnes. Le foyer s'étend jusqu'à l'épen- dyme et sectionne les
couches
sagittales profondes. Le faisceau optique central
enticulaire de la capsule in- terne, de la partie postérieure de la
couche
optique. Une lacune considérable du pulvinar a
SCEAU OPTIQUE CENTRAL 185 appréciable de la partie inférieure de la
couche
sagittale externe de lobe tem- poral. Malheureu
..., planche XXXII ; 1) il existe également une petite lésion de la
couche
optique avec participation de la partie attenante
n constate une dégénérescence diffuse de la partie supérieure de la
couche
sagittale externe. Dans nos autres cas, alors que
n dans son seg- ment externe, c'est le faisceau optique central, la
couche
sagittale externe du lobe occipital, le faiscea
stérieur, occupe la profondeur du lobule fusiforme et sectionne les
couches
sagittales. La coupe suivante (Planche XXIX, 4)
l, circon- volutions lombiques, première et deuxième temporales. La
couche
sagittale externe est normale, excepté au nivea
existence d'une zone grandement dégénérée à peu près limi- tée à la
couche
externe. Cette dégénérescence occupe exactement l
ita- les profondes, l'on ne retrouve pas cette dégénérescence de la
couche
sagittale externe au niveau du carrefour ventri
ui suit ne donnent lieu à aucune dégénérescence appré- ciable de la
couche
externe des régions antérieures. C'est donc qu'il
ure du noyau lenticulaire avant d'entrer dans la constitution de la
couche
sagittale externe. Nous sommes donc en présence
venant de la lésion lenticulaire occupe le segment horizontal de la
couche
sagittale externe au niveau même de la terminai
ues provenant des circonvolutions lésées. La délimitation entre les
couches
sagittales externe et interne est bien moins pr
sa paroi externe. On remarque une dégénérescence considérable de la
couche
* sagittale interne, mais dans sa partie inféri
la couche * sagittale interne, mais dans sa partie inférieure cette
couche
contient un bon nombre de fibres saines. A un
la coupe précédente. La prochaine coupe intéresse le pulvinar de la
couche
optique (Planche II, 5) et le segment rétro-len
u antérieur ; elle semble se continuer avec la zone dégénérée de la
couche
, sagittale externe, mais ce n'est là qu'une appar
e que cette strie renferme les fibres de la partie supérieure de la
couche
sagittale interne, c'est-à-dire les radiations th
remarque la recons- titution ad iniegrum du segment inférieur de la
couche
sagittale externe. En avant, aucun nouveau foye
bstance profonde diminue progressivement et la zone dégénérée de la
couche
sagittale externe remonte petit à petit vers le n
ruc- tion totale du noyau lenticulaire, les fibres dégénérées de la
couche
sagittale ex- terne en émergent ; en dedans et
ut chercher la cause de la grosse dégénérescence qui. occupe ici la
couche
sagittale externe. La moitié supérieure de cett
cupe ici la couche sagittale externe. La moitié supérieure de cette
couche
est totalement dégénérée ; bien qu'il existe de l
ofon- dément jusqu'à l'épendyme. Au-dessous de ce vaste foyer, la
couche
sagittale externe est intacte, car c'est ici se
n avant il n'y a guère que la première temporale qui soit lésée. La
couche
sagittale interne aussi est- en grande partie nor
-dessus du ramollissement une grosse dégénérescence occupe les deux
couches
,mais surtout la couche sagittale interne ; elle r
t une grosse dégénérescence occupe les deux couches,mais surtout la
couche
sagittale interne ; elle renferme les radia- ti
radiations calleuses qui se ren- dent au splénium. En dehors de la
couche
sagittale externe et au-dessus et au- dessous d
dessous du foyer, la partie supérieure (du segment inférieur) de la
couche
sagittale externe est dégénérée, car ces fibres s
eau du gyrus supramarginalis, la dégénérescence occupe encore et la
couche
externe et la couche interne, mais elle s'est d
ginalis, la dégénérescence occupe encore et la couche externe et la
couche
interne, mais elle s'est déjà rapprochée de la pa
nche XXXIII, 21) est prise au niveau de la partie postérieure de la
couche
optique et du corps quadrijumeau antérieur et int
rétro-lenticulaire de la capsule interne et se rend au pulvinar de la
couche
optique. Une traînée pâle, cependant, se contin
ne traînée pâle, cependant, se continue jusqu'au bord interne de la
couche
optique et disparaît dans les couches superficiel
ue jusqu'au bord interne de la couche optique et disparaît dans les
couches
superficielles du corps quadriju- meau. Cette z
. A part cela, le ramollissement ne semble avoir retenti que sur la
couche
optique ; sur des coupes postérieures à celle-ci,
ence d'un certain nombre de radiations de ce noyau. On voit que les
couches
sagittales se sont entièrement reconstituées, mai
ur une courte étendue (environ 1 cm.) le seg- ment horizontal de la
couche
sagittale externe, ce ramollissement n'inté- re
resse que l'écorce et la substance immédiatement sous-corticale ; les
couches
profondes sont partout ailleurs respectées. Il
prolongement a inter- rompu les fibres du segment horizontal de la
couche
sagittale externe ; il en a résulté une dégénér
aite de cette dégénérescence occasionnée par la section directe des
couches
sagittales profondes, nous n'avons à considérer q
calleuses se rendent au tapetum et les radiations thalamiques à la
couche
sagittale interne (d'une façon générale) ; ces fi
énérale) ; ces fibres doivent donc, à un moment donné, traverser la
couche
sagittale externe. Or, dans le cas que nous étu
nérées , par conséquent le trajet qu'elles suivent en traversant la
couche
sagittale externe sera indiqué par de petites r
actement ce que l'on voit sur les coupes (Planche XXX, 7, 8, 9). La
couche
sagittale externe renferme par- tout de petites
état de choses détermine nécessairement de la pâleur générale de la
couche
sagittale externe, mais nous ne croyons pas que
mais nous ne croyons pas que l'on doit la considérer dégénérée. La
couche
externe contient encore un très grand nombre de f
la totalité des fibres qui lui sont propres. En d'autres termes, la
couche
sagittale externe, étant privée des fibres qni, à
eau optique central » ; elles constituent la presque totalité de la
couche
sagittale externe du lobe occipital, mais dans
egment horizontal et la partie inférieure du segment vertical de la
couche
sagittale externe. Nous croyons que ces fibres
tie de la troisième temporale sont atteintes. La dégénérescence de la
couche
sagittale externe occupe l'angle interne de son
occupe l'angle interne de son segment inférieur. Cette partie de la
couche
[sagittale interne située au-dessous du ventricul
voit une zone très dégénérée, située immédiatement en dedans de la
couche
sagittale externe et qui se porte vers le lobul
it foyer cortical de la deuxième temporale. La zone dégénérée de la
couche
sagittale externe a abandonné sa position média
médiane et occupe la partie moyenne du segment horizontal de cette
couche
, elle affecte une forme triangulaire. Sur cette c
érescence délimite avec une netteté remarquable le territoire de la
couche
sagittale ex- terne au-dessous de la paroi vent
peu en dedans de l'angle inféro- externe du ventricule, on voit la
couche
externe se porter brusquement en haut, s'accole
ssociation se préci- sent également et on remarque, en dedans de la
couche
sagittale externe, une zone totalement dégénéré
t surtout accusée immédiatement en dehors du segment vertical de la
couche
sagittale externe où elle constitue un véritabl
agittale externe où elle constitue un véritable liséré blanchâtre. La
couche
sagittale interne est grandement dégénérée, aus
le s'étend plus profondément et atteint le segment horizontal de la
couche
sagit- tale externe au niveau de son tiers moye
e l'étendue plus considérable du foyer de la deuxième temporale, la
couche
sagittale externe semble beaucoup plus dégénéré
oupes postérieures et beaucoup plus qu'elle ne l'est en réalité. La
couche
sagittale interne est entièrement dégénérée, car
rne accuse une décoloration considérable. La moitié in- terne de la
couche
optique est notablement atrophiée et décolorée.
l existe une dégénérescence appréciable du segment horizontal de la
couche
sagittale externe au niveau du pôle temporal, car
destinées aux fibres corticipètes de la couronne rayonnante) de la
couche
sagittale externe se sont presque totalement re
elle -même totalement détruite à un niveau légèrement postérieur.La
couche
sagittale interne est partiellement dégénérée, le
norme zone dégénérée qui, à ce niveau, passe dans le pulvinar de la
couche
optique. On remarque l'atrophie considérable et l
et l'on voit très nettement, au-dessous du segment horizontal de la
couche
sagittale externe, une large bande très dégé- n
En effet, il est généralement admis qu'au-dessous du ventricule la
couche
sagittale externe (qui est aussi, à cet endroit
fibres d'association de la région. Elles ont également retenti sur'la
couche
sa- gittale interne, sur le tapetum et sur la p
- gittale interne, sur le tapetum et sur la partie supérieure de la
couche
sagit- tale externe (radiations genouillées), m
ne. Nous ne prétendons pas que toutes les fibres corticipètes de la
couche
sagittale externe proviennent du corps genouillé
ent destinées à la sphère visuelle corticale; il est certain que la
couche
optique envoie des fibres au lobe temporal, peu
temporal, peut-être aussi au lobe pariétal ( ? )mais pour nous, la
couche
sagittale externe du lobe occipital ne renferme q
res fibres forment la presque totalité de la partie respectée de la
couche
sagittale externe et certaines de ces fibres oc
he sagittale externe et certaines de ces fibres occupent en plus la
couche
sagittale interne. Il est certain que, dès que
ue, il n'est pas inutile d'établir cette délimitation au niveau des
couches
sagittale voisines. Nous avons dit que la dégén
nce du cingulum nous permet d'apprécier la répartition exacte de la
couche
sagittale externe au-dessous du ventricule... o
icule... or, nous voyons qu'en réalité, le segment horizontal de la
couche
externe est peu considérable au niveau du pulvi
oisines et qui se continue en bas avec des fibres qui traversent la
couche
sagittale interne et se confondent avec la mass
e confondent avec la masse des fibres de la partie inférieure de la
couche
sagit- tale externe. Ce fascicule fait partie d
niveau les fibres de ce faisceau occupent le segment horizontal de la
couche
externe et le long de la paroi ventriculaire ex
rne et le long de la paroi ventriculaire externe elles occupent et la
couche
externe et la couche interne ; une ligne imagin
roi ventriculaire externe elles occupent et la couche externe et la
couche
interne ; une ligne imaginaire reliant le noyau c
le noyau coudé (partie sphéuoïdale) à l'angle inféro-externe de la
couche
externe représenterait à peu près le territoire
t redevenue 196 LASALLE-ARCUAMBAULT normale en grande partie. Les
couches
sagittales sont plus volumineuses et l'on ne sa
l'on ne saurait isoler maintenant le faisceau optique central. Les
couches
sagittales externe et interne se confondent, l'en
très accusée et on voit que les fibres du segment horizontal de la
couche
sagittale externe se sont por- tées légèrement
ce pulvinar et occupe maintenant surtout la partie inférieure de la
couche
optique, qu'elle traverse complètement ; arrivé
la partie dn corps genouillé interne, profondément enclavée dans la
couche
optique. Ces fibres qui se terminent dans le corp
Comme sur la coupe précédente il est difficile de distinguer entre
couche
externe et couche interne ; le tapetum est touj
e précédente il est difficile de distinguer entre couche externe et
couche
interne ; le tapetum est toujours dégénéré, mai
e de la capsule interne et ne pénètre plus dans la profondeur de la
couche
optique, mais on voit nettement la décoloration i
nettement la décoloration intense du corps genouillé interne et des
couches
superficielles du corps quadrijumeau antérieur
97 légèrement touché par un foyer de désintégration lacunaire de la
couche
opti- que. Cette lésion du corps genouillé a dé
du corps genouillé a déterminé la pâleur du segment inférieur de la
couche
sagittale externe que présente la première coupe
truc- tifs. Nos recherches ayant porté tout particulièrement sur la
couche
sagittale externe occipitale, sur le faisceau l
dénommé faisceau optique central) ; c'est la considération de cette
couche
, de ce faisceau qui a réclamé la majeure partie
r de Beevor et sur ses rela- tions avec le segment horizontal de la
couche
sagittale externe. Nos cas sont également favor
agittale externe. Nos cas sont également favorables à l'étude de la
couche
sagittale interne temporo-occipitale, à l'étude
re ou de rendre avec une netteté suffisante. Considérons d'abord la
couche
sagittale interne, nous nous en sommes occupé c
particularités dignes d'être signalées. Nous avons déjà dit que la
couche
sagittale externe du lobe temporal ne représent
e la couche sagittale externe du lobe temporal ne représente pas la
couche
sagittale externe du lobe occipital, sa constitut
plus loin en faisant la description du faisceau optique central. La
couche
sagittale interne se comporte exactement de la
t de la même façon ; nous croyons que dans le lobe occipital, cette
couche
ne renferme que des fibres corticifuges et que sa
droit et des fibres corticipètes et des fibres corti- cifuges. La
couche
sagittale interne dégénère à la suite de lésions
s cou- ches sagittales, on observe toujours la dégénérescence de la
couche
sagittale interne, des radiations thalamiques.
amiques. Nous croyons donc que les fibres dont est constituée cette
couche
, proviennent de toutes les circonvolutions occipi
radiations thalamiques », mais parmi les fibres corticifuges de la
couche
sagittale interne, il existe non seulement des
umeau antérieur. Dans le lobe occipital, la majorité des fibres de la
couche
sagittale interne proviennent de la sphère visu
térieur. On pourrait exprimer schématiquement la constitution de la
couche
sagittale interne occipitale de la façon suivan
de la couche sagittale interne occipitale de la façon suivante :
Couche
sagittale interne du lobe occipital renferme des
) se terminent dans le pulvinar et dans la partie postérieure de la
couche
optique, à l'exception des fibres qui entrent d
i sont en relation avec la partie antérieure du noyau interne de la
couche
optique. Mais toutes ces radiations thalamiques
lation avec la partie interne du pulvinar et le noyau interne de la
couche
optique. Nous avons déjà parlé des radiations d
jamais observé, à la suite de ces lésions, la dégénérescence de la
couche
saggittale interne du lobe fronlo-pariétal, du fa
et, Foville), zone réticu- lée de la couronne rayonnante (Sachs), «
couche
sagittale interne de la cou- ronne rayonnante »
res, c'est pourquoi nous préférons nous servir de la dénomination «
couche
sagittale interne » (An- ton, Zingerle). La c
dénomination « couche sagittale interne » (An- ton, Zingerle). La
couche
sagittale interne du lobe fronto-pariétal est for
circonvolution temporale entraîne la dégénérescence partielle de la
couche
sa- gittale interne fronto-pariétale. Mais ce
porte uniquement sur les fibres verticales (coupes frontales) de la
couche
sagittale interne,et les gros fascicules resten
rtie respecté au-dessous, vers les royaux centraux. Par contre la
couche
sagittale interne fronto-pariétale dégénère à la
n qu'elles soient limitées à ces noyaux, ne retentissent pas sur la
couche
sagittale interne ; il en est tout autrement des
; il en est tout autrement des lacunes qui siègent au niveau de la
couche
optique,surtout dans sa partie supérieure. On con
dans nos cas) de quelques lacunes, mais nettement appréciable de la
couche
sagittale interne ; cette dégénérescence s'épui
t en dehors du noyau caudé et qui ne sectionne que les fibres de la
couche
interne. Il est inutile de nous étendre longuem
utres on constate que la dégénérescence se cantonne absolument à la
couche
sagittale interne et qu'elle se dirige en dedan
ue les fibres de projection (de beaucoup les plus nombreuses) de la
couche
sagittale interne fronto-parié- tale représente
irent leur origine du tubercule antérieur et du noyau interne de la
couche
optique. Occupons-nous maintenant tout particul
ant tout particulièrement du faisceau longitudinal inférieur, de la
couche
sagittale externe du lobe occipital, car c'est su
ce faisceau que portent nos conclusions. Nous avons vu que cette
couche
de fibres ne dégénère pas à la suite de lé- sio
pitales (Gg. 6, lésion du lobule lingual et du lobule fusiforme, la
couche
, sagittale externe est normale), ou de lésions
ières soient purement corticales et qu'elles ne sectionnent pas les
couches
sagittales pro- fondes). Par contre, nous avo
convolution occipitale), lésions profondes avec partici- pation des
couches
sagittales (PI. XXXII,13, 14 et PI. XXX) ; nous l
u lenticulaire, du corps genouillé ex- terne, de cette partie de la
couche
optique immédiatement attenante. Nous avons sui
sse le bourrelet du corps calleux, le liseré blanchâtre oc- cupe la
couche
sagittale externe du lobe occipital et,selon qu'i
,selon qu'il siège dans la partie supérieure ou inférieure de cette
couche
, on le voit s'engager dans la profondeur du cun
rigent obliquement en bas et en dedans et passent en partie dans la
couche
sagittale externe, en partie dans la couche sagit
ssent en partie dans la couche sagittale externe, en partie dans la
couche
sagittale interne, elles s'enchevêtrent à ce ni
étale et temporale qui, à ce niveau, passent dans le pulvinar de la
couche
optique. Nous voyons donc que ce faisceau optiq
co-transversales, ce faisceau cons- titue dans le lobe occipital la
couche
sagittale externe de Sachs, le faisceau longitu
mais il contient en outre les fibres de la partie supérieure de la
couche
sagittale externe qui vont se terminer dans le cu
ral où la corne sphénoïdale atteint ses plus grandes dimensions, la
couche
sagittale ex- terne ne représente plus la couch
des dimensions, la couche sagittale ex- terne ne représente plus la
couche
sagittale externe du lobe occipital ; elle en d
fig. 2) et déjà, à la jonction des tiers infé- rieur et moyen de la
couche
sagittale externe, les fibres du faisceau optique
aisceau optique, cependant, occupent encore la partie moyenne de la
couche
sagittale externe. Nous pourrions donc, pour
poral, résumer de la façon suivante : a) Le tiers supérieur de la
couche
sagittale externe contient la couronne rayonnan
r : les fibres du faisceau optique central. d) Le tiers moyen de la
couche
sagittale interne contient un bon nombre de 206
à peu près la même que dans le lobe occipital, c'est-à-dire que la
couche
externe comprend surtout les fibres du faisceau o
rne comprend surtout les fibres du faisceau opti- que central et la
couche
interne des fibres thalamiques provenant des circ
eliant le noyau caudé à l'angle inférieur du segment vertical de la
couche
sagittale externe; quelques fibres occupent la pa
lques fibres occupent la partie la plus supérieure ou dorsale de la
couche
sagittale externe et entrent dans la constituti
ée par le passage des radiations thalamiques dans le pulvinar de la
couche
optique, des radiations du corps quadrijumeau a
ion partielle, mais progressive des fibres qui constituent les deux
couches
sagittales. Il se fait un véritable entrecroise
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, le pulvinar de la
couche
optique. A cet endroit, les fibres deviennent v
r- tout croisées par les radiations thalamiques qui, abandonnant la
couche
sagit- tale interne, se dirigent en haut et lég
es. En arrière du pulvinar, le faisceau de Türck occupait encore la
couche
sagittale externe, mais au sur et à mesure que le
au sur et à mesure que les radiations thalami- ques abandonnent la
couche
sagittale interne pour passer dans la capsule in-
eau qui constitue la plus grande partie e du segment vertical de la
couche
sagittale interne : c'est peut-être ce qui a po
répartir les fibres sagittales du lobe temporo-occi- pital en deux
couches
bien délimitées ; ils ne veulent admettre que des
obe occi- pital, il n'est plus question de confondre les fibres des
couches
sagittales ; la couche externe est franchement
t plus question de confondre les fibres des couches sagittales ; la
couche
externe est franchement corticipète et la couche
es sagittales ; la couche externe est franchement corticipète et la
couche
interne franchement corticifuge. Parmi les fibr
faite de la calcarine) sont peu profonds et par conséquent entre les
couches
sagittales qui entourent ie ventricule et l'éco
considérable pour que l'on puisse donner à l'ensem- ble de ces deux
couches
de fibres le nom de faisceau longitudinal inférie
esprit, des auteurs ? ces faisceaux étaient bien indépendants de la
couche
sagittale externe occipitale, et c'est ce que n
s les parties médianes et se délimitent assez bien des fibres de la
couche
sagittale externe, excepté aux angles supéro-in
aux angles supéro-interne et inféro-interne, c'est-à-dire là où la
couche
sagittale externe abandonne des fibres à la sciss
part, ces fibres sont dirigées dans le même sens que les fibres de la
couche
sagittale externe, s'enchevêtrent plus ou moins
ire d'une façon générale : cette zone plus compacte appartient à la
couche
sagittale externe et cette ombre immédiatement
rs nous constatons que les fibres dégénérées passent en dessous des
couches
sagittales, mais qu'un grand nombre traverse ces
mais qu'un grand nombre traverse ces cou- ches et non seulement la
couche
sagittale externe, mais aussi la couche sagittale
u- ches et non seulement la couche sagittale externe, mais aussi la
couche
sagittale interne et même le « tapetum » ; ces
si les choses, pas plus que de faire du faisceau de Vialet et de la
couche
sagittale externe occipitale un seul et même fais
temporales ; la lésion s'étend dans la profondeur et sectionne les
couches
sagittales profondes au niveau de la partie supér
E CENTRAL 213 nombre la partie inférieure du segment vertical de la
couche
sagittale externe; elles n'existent qu'en très
fibres du faisceau optique abandonnent le segment horizontal de la
couche
sagittale externe, deviennent verticales, se gr
lenticulaire, elles n'occupent guère que la partie supérieure de la
couche
verticale peu différenciée de la région. De pai
r la ligne médiane, la presque totalité du segment horizontal de la
couche
sagittale externe. Ce segment horizontal semble s
nous avons voulu dégager de la masse de fibres dont est constituée la
couche
sagittale externe du lobe temporo-occipital, un
ous, n'admettent dans le faisceau longitudinal inférieur ou dans la
couche
sagittale externe, que des fibres de projection,
CHAMBAULT mais ces auteurs parlent indifféremment de faisceau ou de
couche
sagittale. Pour nous, ainsi que nous l'avons dé
er, il existe une différence appréciable entre ces deux termes ; la
couche
sagittale externe contient le faisceau longitud
ème circonvolution temporale, il a observé une dégénérescence de la
couche
sagittale externe dans le lobe occipital et a v
s deux lèvres de la scissure calcarine ; mais lui aussi parle de la
couche
sagittale externe sans préciser davantage et fi
gine dans le corps genouillé externe et dans le noyau latéral de la
couche
optique. Pour nous, le faisceau optique central
orps genouillé externe et nous ne croyons pas que les lésions de la
couche
optique retentissent sur le lobe. occipital ; e
ces lésions situées dans la partie postérieure et inférieure de la
couche
optique et qui, en raison même de leur siège, a
ttre à notre disposition des coupes sériées de cas de lésions de la
couche
optique ; il s'agissait de foyers plus ou moins é
ans le territoire qu'occupe le faisceau optique central. Quant à la
couche
sagittale externe du lobe temporal, nous admetton
ien- nent pas. Pour entrer dans la constitution du tapetum et de la
couche
sagit- tale interne, les radiations calleuses e
mière et deuxième circonvolutions temporales ne passent pas dans la
couche
sagittale interne, mais se confondent avec les
aisceau longitudinal et concourent avec ces dernières à for- mer la
couche
sagittale externe fort compliquée de cette région
nnent de. ces circonvolu- tions sont dégénérées, on constate que la
couche
sagittale externe est partout traversée par de
s fibres saines sont les fibres de projection corticipètes de cette
couche
, elles représentent l'ensemhle des fibres qui con
Il existe un faisceau qui, dans le lobe temporal, occupe en partie la
couche
sagittale externe, en partie la couche sagittal
emporal, occupe en partie la couche sagittale externe, en partie la
couche
sagittale interne et qui, dans le lobe occi- pi
et qui, dans le lobe occi- pital, constitue la presque totalité de
couche
sagittale externe. Ce faisceau qui représente l
res calleuses ; il ne renferme pas de fibres d'association. 9) La
couche
sagittale interne de la couroune rayonnante du lo
t à la première circonvolution limbique et tire son ori- gine de la
couche
optique. 10) Il n'existe pas chez l'homme de fa
XIX). Les vaisseaux ont des parois constituées par une ou plusieurs
couches
de cel- lules à noyau volumineux allongé, très
ement, avec des parois embryon- naires, constituées par une ou deux
couches
de ces gros éléments à noyau clair, surmonté au
. Faible grossissement. Pas de modification dans l'architecture des
couches
cellulaires corticales. La stratification spéci
r les moyennes pyramides ou sur les petits éléments de la troisième
couche
, la substance foncée dessine un réseau très irr
gros éléments prolifératifs que nous décrirons plus tard. Dans la
couche
directement sous-pie-mérienne, certaines cellules
ÈS CÉRÉBRAL, NÉCROSE CORTICALE cessus morbide. La présence dans les
couches
sous-pie-mériennes des élé- mentsirrégulièremen
ique. Marié depuis 1882 ; sa femme a eu deux enfants, pas de fausse
couche
. Travailleur, bon père de famille. En 1898, ple
n avant dans la région frontale on peut constater l'existence de la
couche
des fibres tangentielles. Cervelet. - Le lobe g
approchant des méninges, lesquelles sont restées protégées par une
couche
de bourgeons charnus. Pas de troubles tro- phiq
cérébraux des plaques grises en très petit nombre, au niveau de la
couche
sous-épendymaire.Les parois ventriculaires et l
zone de sclérose occupe les deux pyra- mides, les noyaux arqués, la
couche
plus superficielle du corps restiforme et le tu
par des cellules à noyau assez grand, rond ou ovalaire, entouré d'une
couche
très mince de protoplasma. Cette infiltration e
ssus anatomique qui les caractérise. Ainsi par- fois on observe une
couche
très mince d'infiltration nucléaire située entre
d'une cachexie qu'on ne peut pas préciser. Il est né à terme d'une
couche
normale. En fait de maladies infectieuses il a
avec l'épendyme. Les parois de cette espèce de kyste présentent une
couche
épaisse de tissu embryonnaire, inflammatoire, dan
on voit de temps en temps de ces fibres régénérées entourées d'une
couche
de protoplasma granuleux et de noyaux Quelquefois
rice. Une certaine quantité de ces boules sont constituées par deux
couches
: l'une, périphérique, pâle, granuleuse ; l'aut
petites expansions ou bien des épines, elles offrent évidemment une
couche
mince de myéline et des incisures de Lautermann
cun stigmate, pas plus que la mère, qui cependant a fait une fausse
couche
trois mois après son mariage. Cet enfant est ne
présentent aucune inflammation et leur paroi est formée d'une seule
couche
de cellules endothéliales. Sur les coupes trait
; la mère est également en bonne santé; elle n'a pas fait de fausse
couche
. Rien ne permet de soupçonner la syphilis chez
hon constitué par des fibres et des noyaux dispo- sés sur plusieurs
couches
concentriques : les uns et les autres laissent en
ie protubérantielle, laissant intacte la moitié superficielle de la
couche
transversale superficielle de l'étage antérieur
s'arrête sur la ligne médiane. Il a détruit la partie profonde de la
couche
transversale superficielle de l'étage antérieur
erficielle de l'étage antérieur du pont, la partie antérieure de la
couche
transversale moyenne et la moitié antérieure de l
on sanguine dans les faisceaux moyens de la voie pédonculaire et la
couche
transversale moyenne de l'étage antérieur du po
ault admet que le faisceau longitudinal inférieur, c'est-à-dire, la
couche
sagittale externe tout entière du lobe occipito
ceau pyra- midal. Le mot faisceau n'est pas l'équivalent du terme «
couches
défibres ». Or, depuis de nombreuses années on
Or, depuis de nombreuses années on a appliqué, indifféremment à la
couche
de fibres la plus externe du lobe temporo-occip
et l'autre de ces dénominations : faisceau longitudinal inférieur,
couche
sagittale externe. Dans le lobe occipital la di
» Ensuite « Le but que nous avons en vue est de démontrer : que la
couche
sagittale externe du lobe occipital, le faiscea
-775) : « Que la plupart des fibres que l'on voit se détacher de la
couche
sagittale du lobe occipito-tem- poral, pour s'i
t unies . » De plus (p. 65) « ces fibres font partie intégrante des
couches
sagittales, en particulier, de la couche sagittal
ont partie intégrante des couches sagittales, en particulier, de la
couche
sagittale interne ». Il est donc question de
tale interne ». Il est donc question de fibres corticifuges et de
couche
sagittale interne... alors que nous, lors de no
notre mémoire (Revue Neurol., n° 22,il905), n'avons considéré que la
couche
sagittale externe (en insistant sur la disposit
et nous n'avons maintenu le caractère purement corticipète de cette
couche
qu'au niveau du lobe occipital. Surtout n'avons
re, etc. ». « Les fibres du segment postérieur se disposent en deux
couches
sagittales, l'une externe, l'autre interne. Nou
l'une externe, l'autre interne. Nous avons étudié dans le tome I, la
couche
sagittale externe sous le nom de faisceau longi
ux ganglions infracorticaux. » Il ressort de tout cela que les deux
couches
sagittales renferment et des fibres d'association
ué préopinant, puisque ce grief consiste il nous faire refuser à la
couche
sagittale externe, le rôle très important d'assur
ter sur la modification capitale qu'apporte à la constitution de la
couche
sagittale externe, l'arrivée, au niveau du carre-
de son principe cardinal dans cette question, à savoir : « Que les
couches
sagittales externe et interne du lobe pariéto-t
ire que ces fibres forment la totalité ou la presque totalité de la
couche
sagittale exter- ne ». Elles sont mélangées dan
de la couche sagittale exter- ne ». Elles sont mélangées dans cette
couche
« avec des fibres provenant de territoires cort
es que le pulvinar, par exemple. La dégénérescence si intense de la
couche
sagittale externe que l'on observe à la suite de
ue la corticalité occipitale envoie aux noyaux centraux occupent la
couche
sagittale interne et non la couche sagittale ex
aux noyaux centraux occupent la couche sagittale interne et non la
couche
sagittale externe ; et d'autre part les fibres pa
es fibres par lesquelles le pulvinar contribue à la formation de la
couche
sagittale externe (si réellement tel contingent
ui s'unissent aux fibres géniculo-calcariniennes pour constituer la
couche
sagittale externe, sont des fibres et corticipète
ENTRAL 565 Nous ne parlons, bien entendu, que de cette partie de la
couche
sagittale externe qu'implique la discussion act
res- que totalité de ce que l'on peut raisonnablement dénommer la «
couche
sa- gittale externe » de la couronne rayonnante
un, nous tenons à dire que notre point de départ n'est autre que la
couche
sagittale externe occipitale. Nous acceptons cepe
centres nerveux, t. II, p. 176) « la dégénérescence très nette des
couches
sagittales des segments inférieur et postérieur d
yonnante, intéressant plus particulièrement la partie externe de la
couche
sagittale externe, et la partie interne de la cou
externe de la couche sagittale externe, et la partie interne de la
couche
sagittale interne. Cette dégénérescence peut êt
iennes). On observe (pp. 182-184), « la dégénérescence complète des
couches
sagit- tales du segment postérieur de la couron
raduisent par « la dégénérescence très nette », même « complète des
couches
sagittales », et que l'on n'établit pas les con
. Ainsi, l'on abandonnerait l'ancienne théorie qui accorde aux deux
couches
sagittales du segment postéro-inférieur de la cou
ier soient absolument confirmatifs de nos idées sur l'origine de la
couche
sagittale externe occipitale ; ils ne suffisent c
maintenir qu'ils sont encore beaucoup moins propres à assurer à la
couche
sagittale externe, le pa- tronage du pulvinar.
du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau, les
couches
sagittales (en particulier, le faisceau longitudi
ès intense du segment postérieur de la couronne rayonnante dans les
couches
sagittales qui tapissent la paroi inférieure et l
LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 567 dégénérescence se poursuit dans la
couche
sagittale externe (faisceau longitu- dinal infé
a frontière temporale, qu'il empiète sur le segment inférieur de la
couche
sagittale externe, sur une étendue indéterminab
voir ci-contre. Nous croyons que la dégénérescence très intense des
couches
sagittales (en particulier, du faisceau longitu
au optique central que nous avons décrit. Leur localisation dans la
couche
sagittale interne à cet endroit, tient à la « tra
nérescence. On constate néanmoins une dégénérescence très nette des
couches
sagittales (radiations thalamiques et faisceau lo
en avant une ligne verticale ra- sant l'extrémité postérieure de la
couche
optique, elle sectionne à ce niveau l'isthme de
oupe frontale), et à la partie inférieure du segment vertical de la
couche
sagittale externe, on ne trouve guère étonnant qu
ment à l'étude, ait déterminé « une dégénérescence très intense des
couches
sagittales des segments postérieur et inférieur d
e et la substance blanche sous-jacente, mais ne sectionnait pas les
couches
sagittales de la région. » Ce cas nous paraît f
té sur une courte étendue au niveau du cçrps genouillé externe, des
couches
sagittales profondes. Nous sommes peu surpris d
aisceau longitudinal infé- rieur (il s'agit vraisemblablement de la
couche
sagittale externe) peut être suivie jusqu'à la
profondeur qu'au niveau des ganglions de la base, où il atteint la
couche
sagittale externe à l'angle de réunion de ses d
que « lorsque l'on observe une dégénéres- cence considérable de la
couche
sagittale externe occipitale, il s'agit soit d'un
une lésion centrale ou d'un ramollissement temporal intéressant les
couches
profondes, la réaction occipitale se cantonne p
ndes, la réaction occipitale se cantonne presque exclusivement à la
couche
sagittale externe ». S'il s'agit d'un foyer p
ement sur les plans postérieurs une dégénérescence rétrograde de la
couche
interne. Mais cette dernière s'épuise assez rap
on ne retrouve guère de dégénérescence que dans le territoire de la
couche
sagittale externe. Reste à considérer : les lés
pariétales « on observe toujours une dégénérescence secondaire des
couches
sagittales se faisant dans les deux sens, du côté
t « en amont du foyer primitif, une dégénérescence très intense des
couches
sagittales externe et interne, pouvait être sui
TRAL 571 Nous tenons à faire remarquer qu'il s'agit cette fois de «
couches
sagittales ». Or, nous n'avons pour notre part,
sible, en effet, que le caractère et corticipète et corticifuge des
couches
sagit- tales de la couronne rayonnante. Nous no
s de rappeler à notre tour, que la discussion porte non pas sur les
couches
sagittales, mais sur « la couche sagittale exte
discussion porte non pas sur les couches sagittales, mais sur « la
couche
sagittale externe ». Aussi, nous ne voyons pas
nent en amont du foyer primitif une dégénérescence très intense des
couches
sagittales externe et interne (faisceau longitu
cariniennes, mais aussi « du contingent que le pulvinar envoie à la
couche
sagittale externe ». Ce sont de très beaux foye
cation logique. .Peut-on parler de dégénérescence rétrograde des
couches
sagittales, alors que l'on insiste sur leur con
laissent certainement entrevoir, un peu en arrière du pulvinar, des
couches
sagittales qui renferment, à côté d'une grosse dé
nérescence de la totalité ou de la presque totalité de ce segment des
couches
sagittales qui longe la moitié inférieure de la
ble, et sans connaître le trajet exact des fibres constitutives des
couches
externe et interne, on pourrait dire sans crain
ons eu le soin : 1° de ne comparer le faisceau longitudinal avec la
couche
externe qu'au niveau du lobe occipital ce que nou
ourcentage du faisceau op- tique central dans la constitution de la
couche
sagittale externe. La descrip- tion de ce faisc
01, dut sacrifier son titre de faisceau et se laisser englober par la
couche
sagittale externe. Ce même principe a encore ét
bral, sauf dans le voisinage im- médiat de la capsule interne. La
couche
sagittale externe temporale égale l'étage antérie
même logique aux faits que nous a enseignés l'étude, non pas de la
couche
sagittale externe tout en- tière, mais de son s
oduit en effet un fendillement du faisceau 'primitif aux dépens des
couches
superficielles de ses segments inférieur et irifé
rupule; mais nous pourrions en désigner l'ensemble sous le nom de «
couche
sagittale extrême », cette nomenclature étant a
-2 ; Pl. XXX, 7-8 ; raie blanche en dehors du segment latéral de la
couche
externe) ; nous espérons en faire voir de plus
xtra-cérébral, mais qui en possède totalement la physionomie. Les
couches
sagittales ne présentent plus le même aspect dès
s fibres qui occupent le segment latéral ou perpen- diculaire de la
couche
sagittale, deviennent obliquement ou franchement
si que ce dernier se confond avec la capsule in- terne, de même les
couches
sagittales passent-elles insensiblement dans la c
s, nous croyons pouvoir dire que « le segment perpendiculaire de la
couche
sagittale compris entre le noyau caudé sphénoïd
al au-dessus et l'angle saillant qui réunit les deux lames de cette
couche
au-dessous », constitue un pied de pédoncule asse
es au-dessous du noyau lenticulaire se disposent de nouveau en deux
couches
plus ou moins régulières. Elles sont séparées ç
Bien que cela ne soit pas rigoureusement exact, nous croyons que la
couche
LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCE
e Vialet), et dont un bon nombre rappellent les fibres transverses (
couches
moyenne et profonde) du pont de Varole. Enfin c
ramidal dans l'étage antérieur de la protubérance ; il occupe et la
couche
externe et la couche interne et concourt largem
antérieur de la protubérance ; il occupe et la couche externe et la
couche
interne et concourt largement à former le tiers m
l de cette dernière. Ainsi que la voie motrice est recouverte de la
couche
superficielle des fibres transverses ponto-cérébe
fibres du faisceau optique ne se localisent pas entièrement dans la
couche
sagittale externe, mais empiètent plus ou moins s
ns la couche sagittale externe, mais empiètent plus ou moins sur la
couche
interne. Ce sont là des faits dont il faut teni
oient progressivement et se cantonnent dans le lobe occipital, à la
couche
sagittale externe dont elles constituent la presq
raient aux libres que chaque nerf sensitif ou sensoriel envoie à la
couche
optique, soit directement soit indirectement. Ce
érieur les libres qui forment le stratum zonale de ce noyau, ou, la
couche
superficielle. 3° Au pulvinar, un très petit no
à former le stratum zonal de ce noyau, mais se rendent surtout à la
couche
moyenne. 3° Au pulvinar (de la totalité de son
et au point de vue fonc- tionnel, l'analogue du noyau ventral de la
couche
optique qui reçoit les fibres du ruban de Reil.
peut paraître étrange, mais il faut bien dire.que les noyaux de la
couche
optique ne sont contraires qu'au point de vue top
ce; certainement que de nouvelles fibres prennent naissance dans la
couche
optique et se rendent à la partie postérieure de
t donc des noyaux sensitifs. Mais, ainsi que le noyau ventral de la
couche
optique est (pour nous) l'analogue de l'é- corc
ce est stimulée par des impressions sensitives qui lui viennent de la
couche
optique et réagit sur les masses grises inférie
du faisceau optique central. Ses fibres font partie intégrante des
couches
sagittales et s'enchevêtrent plus ou moins avec l
(externe) et la moitié externe du segment sous- ventriculaire de la
couche
sagittale externe occipitale. Les libres qui sièg
. Les libres qui siègent dans le segment sus-ventriculaire de cette
couche
et longent la paroi médiane (interne) sont disp
couche et longent la paroi médiane (interne) sont disposées en une
couche
très mince, que comme la grande majo- rité des
eures, soit une lacune, soit un petit foyer analogue détruisant les
couches
sagittales à l'angle supéro-interne de la corne
nconstante. Quelle n'est pas la différence entre la répartition des
couches
sagittales d'un lobe occipital avec symphyse ve
ans l'écorce calcariuieuue, devront forcément prendre la voie de la
couche
interne et même se mêler aux radiations calleuses
plus éloignée du segment inférieur ou horizontal (coupe frontale) des
couches
sagittales. Ces deux segments du faisceau optiq
res de toute longueur existent à l'état de pu- reté presque dans la
couche
sagittale externe du lobe occipital, entourent d'
iculaire de ce lobe, occupent en avant le segment infé- rieur de la
couche
externe temporale, passent par la capsule externe
ue ; que le second neurone visuel existe à l'état de pureté dans la
couche
sagittale externe du lobe occipital. Ainsi qu'u
ntérieure du lobe temporal ne détermine que la dégénérescence de la
couche
externe, au niveau du lobe occipital. M. et M
ée à 84 ans, était sobre. Sa mère est morte à 35 ans, à la suite de
couches
. Aucune trace d'acci- dents nerveux clans le re
de la mâchoire supérieure sont recouvertes, autour du collet, d'une
couche
de tartre jaune verdàtre. Mâchoire inférieure :
émisphère ont laissé, par places, après la pie-mère une très lègère
couche
de subs- tance grise. La scissure de Sylvius es
nt rien de spécial. - Le ventri- cule latéral, le corps strié et la
couche
optique semblent nor- maux. Sur cet hémisphère,
erm du cou, région antérieure. L'épiderme est mince, avec une forte
couche
cornée. Le plan papillaire est peu épais, les g
décrite M. Fletcher Beach, ni de vacuolisation. Dans le cervelet la
couche
granuleuse est extrêmement riche en cellules ;
es sont très peu marquéos. Les lésions des fibres à myéline dans la
couche
corticale, dans les faisceaux descendants do la
t il est possible de se retrou- ver assez bien dans les différentes
couches
de la subs- tance grise, surtout si l'on emploi
le second perpendiculaire au premier. Dans le pre- mier plan, les
couches
sont étagées au nombre de cinq, d'après le sché
s le résumons ici d'après la psychia- trie de Meynert, que les cinq
couches
de l'écorce sont les suivantes : la première, c
coup sûr dans les cas de méningo-encéphatite avec adhérences. Cette
couche
est, surtout chez les jeunes sujets, séparée de
urs de même dans les faits que nous avons regardés. Celle-ci est la
couche
des petites cellules pyramidales qui sont serré
sont serrées, à pointe dirigée vers la surface corticale. Dans la
couche
suivante, les cellules pyramidales sont moyenne
les faisceaux de fibres de la couronne de Reil qui vont jusqu'à la
couche
supérieure s'inter- posent entre elles et les s
posent entre elles et les séparent. Ces éléments font place aune
couche
distincte, celle des grandes cellules 118 ENCÉP
s, mais existant dans toute l'écorce. Meynert ne fait qu'une même
couche
de la zone des cellules pyrami- dales moyennes
s'accroît encore dans le lobe occi- pital par l'interposition d'une
couche
de cellules. Puis viennent les quatrième et cin
d'une couche de cellules. Puis viennent les quatrième et cinquième
couches
de Meynert que l'on peut facilement réunir en u
n'ont pas encore été comme les cellules correspondantes de la même
couche
du cer- velet divisées en deux espèces, c'est l
de la même couche du cer- velet divisées en deux espèces, c'est la
couche
gra- nuleuse ; à sa partie inférieure des éléme
UES DE LA SUBSTANCE GRISE. 1119 divisent, au niveau de la cinquième
couche
, comme ceux d'un goupillon d'église, et montent
upillon d'église, et montent en s'amincis- sant jusqu'à la deuxième
couche
. Ils forment autant de colonnes fibrillaires qu
angées- les unes au-dessus des autres et se continuant jusqu'à la
couche
des petites cellules pyramidales. Dans les couc
uant jusqu'à la couche des petites cellules pyramidales. Dans les
couches
superficielles, les capillaires pénétrant per-
t une diminution des faisceaux blancs, soit un morcel- lement des
couches
, par un développement exagéré des capillaires p
ur forme pyramidale et des prolongements nets. En somme, les cinq
couches
de la substance grise ne présentent pas des lésio
rise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq
couches
; la vascularisation est exa- gérée; les capilla
des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans les
couches
moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la
dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la
couche
de petites cellules pyramidales (2e couche de M
rveuses, surtout dans la couche de petites cellules pyramidales (2e
couche
de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les
montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
couches
reconnaissables. Il existe un certain nombre de
la subslance blanche, comprennent en général les trois premières
couches
de l'écorce. On les trouve dans la plupart des ce
u côté gauche, on trouve une raréfaction des éléments nerveux de la
couche
des myélocytes, et un certain degré de fibrilla
es de faire la distinction entre les deux espèces de cellules de la
couche
granuleuse. La moelle cervicale a ses parties s
ent visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la
couche
superficielle de névroglie a son épaisseur norm
n peu plus abondants que chez un enfant sain du mme âge. La seconde
couche
, celle des petites cellules pyramidales, présente
n ne retrouve pas à un faible grossissement l'aspect connu de cette
couche
, et qu'il en faut chercher les élé- ments. Dans
tte couche, et qu'il en faut chercher les élé- ments. Dans les deux
couches
suivantes, couche des cellules pyra- midales mo
l en faut chercher les élé- ments. Dans les deux couches suivantes,
couche
des cellules pyra- midales moyennes et couche d
ux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales moyennes et
couche
des grosses cellules, on observe, vu la grosseu
de cellules de cartilage. Les cellules situées à la limite des deux
couches
intermédiaires, aux grandes cellules pyramidale
une altération dont on retrouve des états différents sur toutes les
couches
. Elles sont d'abord gonflées, hyalines, avec une
des groupes de cellules à autre état. Les capillaires dans ces deux
couches
sont ramifiés et dilatés, mais leur développe-
et dilatés, mais leur développe- ment n'est pas excessif. Dans la
couche
suivante de la substance grise et dans la subs-
u centre à la périphérie. En effet, si nous reprenons l'étude des
couches
en sens inverse, nous voyons d'abord la substance
présentant les figures connues sous le nom d'éléments araignées. La
couche
intermédiaire, couche des fibres arquées, et la
connues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermédiaire,
couche
des fibres arquées, et la couche des grandes ce
raignées. La couche intermédiaire, couche des fibres arquées, et la
couche
des grandes cellules pyramidales ne se com- pos
dants avec de nombreuses cellules interstitielles, et c'est dans la
couche
des cellules pyramidales moyennes que l'on retr
uer. Au-dessus, la sériation des cellules a tout à fait disparu. La
couche
la plus superficielle de la substance grise a é
ce de l'hémisphère; quelques foyers opaques, peu abondants dans les
couches
superficielles. Dans les inférieures, rareté de
uver une cellule nettement triangulaire dans n'importe laquelle des
couches
de la substance grise. - Coupe au niveau du lob
on est plus marquée et morcelle le tissu. La première et la seconde
couche
ne se peu- vent distinguer, il n'y a pas de tra
r les élé- ments sphériques est nettement accusée. Les cellules des
couches
profondes sont groupées par petits îlots, comme
es aux essences et montées au baume de Canada. Dans le cervelet, la
couche
névroglique est très aplatie, son réseau se voi
être assez abondant, à en juger par les vacuoles que présente cette
couche
. Les cellules de Purlunje sont rares et très es
unes des autres. Les myélocites sont aussi très peu serrés dans la
couche
suivante. 11 existe quelques corps granuleux da
, etc. Examen histologique. Coupes du lobe paracentral droit. Les
couches
de la substance grise ne sont pas distinctes les
opaques, plus abon- dants en noyaux, dans la première et la seconde
couche
. Sur quelques-uns on voit nettement un vaisseau
s de cellules rondes sont abondants entre la première et la seconde
couche
, constituant le premier degré de l'altération e
araissant plus épaisse que celle qui l'entoure dans l'épaisseur des
couches
, on peut voir çà et là quelques rares cel- lule
ls éléments, caractéristiques que l'on retrouve dans la hauteur des
couches
. La substance blanche présente une grande quant
comparer les deux états, la limite entre la première et la seconde
couche
de l'écorce est toujours très marquée, celle-ci
s éléments vont seulement diminuant de nombre vers la qua- trième
couche
de cellules de l'écorce grise : oI35t·.1r1' : \
- tale droite. - Vascularisation rameuse très développée dans les
couches
superficielles de la substance grise ; beaucoup d
Examen histologique. Coupes du lobe frontal droit. La pre- mière
couche
est très réduite, composée d'un réticulum fin où
'un réticulum fin où les noyaux de cellules sont rares. Entre cette
couche
et la seconde existe une bande sombre, régnant
, visibles à l'oeil nu par transparence. Cette bande empièle sur la
couche
des petites cel- lules pyramidales qu'elle remp
'elle remplace par endroits entièrement, débordant sur la troisième
couche
de l'écorce. C'est une nappe uniforme composée
ment des circonvolutions. La limite entre la première et la seconde
couche
de l'écorce n'est pas nette; il existe là une ban
st pas nette; il existe là une bande diffuse intermédiaire aux deux
couches
et riche en noyaux. Mais elle est beaucoup moin
petites cellules rondes dans les colonnettes cellulaires, entre la
couche
des cellules moyenne^ et la couche des grandes
olonnettes cellulaires, entre la couche des cellules moyenne^ et la
couche
des grandes cellules, se voit nettement. Les ce
t que le tissu pathologique siège entre la première et la troisième
couche
de l'écorce, l : -3S \. ENCÉPHALITES CHRONIQUES
tion des éléments parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie des
couches
et les atrophie d'une façon inégale, puisque se
ise en nappe, toujours au même point, au niveau des trois premières
couches
et présente à ce niveau trois ordres de lésions
oyers d'inégal volume, ayant ce même aspect plus accusé encore. Les
couches
suivantes sont infiltrées d'un grand nombre de
e vascularisation ; l'espace comprenant la deuxième et la troisième
couche
des cellules de la substance grise présente de
che sont parsemées de corps amyloïdes. L'infiltration de toutes les
couches
par de. petites cellules est assez marquée. Les
vé des portions de substance cérébrale en se délachant; la première
couche
de la substance grise est confondue avec la sec
s sclé- reuses larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième
couche
de la substance grise, celle des petites cellul
es et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux
couches
qui les contiennent par des bandes conjonctives q
t un bord dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première
couche
de subs- tance grise est épaissie, fibrillaire
rise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. La troi- sième
couche
, celle des grandes cellules, ne présente que des
trame névroglique granuleuse. Mais la vascularisation exagérée des
couches
corticales moyennes et la formation de bandes d
u grand épiploon réticulé de certains ron- geurs. En même temps, la
couche
corticale qui recouvre ce tissu aréolaire s'ami
ions expliquent l'état chagriné qui résulte de l'effondre- ment des
couches
moyennes de la substance grise et l'état kystique
eu d'être disposées en séries verticales comme à l'état normal. Les
couches
suivantes de la substance grise et la substance
rtance est conservée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la
couche
la plus profonde de la substance grise où elle
'indiquer. Cervelet droit. - Cellules de Purkinje assez nombreuses.
Couche
138 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. externe et couch
assez nombreuses. Couche 138 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. externe et
couche
des myélocytes normales. On retrouve un certain
lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième
couche
de la substance grise et on peut leur distinguer
ie tardive. Coupes du para, central gauche. - Les trois premières
couches
de l'écorce sont partout envahies et modifiées, l
aspect finement vacuolaire du tissu, c'est au niveau de la seconde
couche
que cet aspect est le plus marqué. Les trois co
u de la seconde couche que cet aspect est le plus marqué. Les trois
couches
ainsi envahies sont parsemées de noyaux petits,
superficielle, ne se distingue plus. Au-dessous de celte bande, la
couche
des grandes cellules pyramidales se retrouve, mai
circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des premières
couches
de l'écorce sont comparables, mais beaucoup moi
ordonnance des séries longitudinales et prenant les trois premières
couches
. Elles ne sont pas au contact les unes des autr
and nombre de petits foyers de couleur ocreuse, recouverts par la
couche
la plus superficielle du cerveau, sous la forme d
sque et for- mant une vaste bande entre la première et la troisième
couches
de la substance grise, et comprenant ainsi la m
pas disposées en séries, mais dispersées et globuleuses. Celles des
couches
profondes sont allongées, gra- nuleuses et fort
se restante. Cette paroi est composée de dehors en dedans, de trois
couches
: la plus superficielle, mince et homogène, for
ts, s'amincit aux poinls extrêmes de la lésion et disparait dans la
couche
superfi- cielle de la substance grise normale.
i- cielle de la substance grise normale. Au-dessous, apparaît une
couche
de deux à trois fois plus épaisse. Cette couche e
ssous, apparaît une couche de deux à trois fois plus épaisse. Cette
couche
est compo- sée surtout de cellules rondes assez
brilles convergent en bas par des faisceaux distincts. La troisième
couche
est occupée par ces faisceaux et un certain nom
paroi, ainsi constituée sur les parties latérales, on voit que les
couches
se perdent successive- ment dans la couche exte
érales, on voit que les couches se perdent successive- ment dans la
couche
externe névroglique de la substance grise; c'es
e externe névroglique de la substance grise; c'est donc entre cette
couche
externe et la deuxième couche de Meynert que s'
bstance grise; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième
couche
de Meynert que s'est opérée la scissure qui a d
ce grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouverte par une
couche
fibrillaire névroglique. Au-dessous, elle se mo
u foyer sont moins avancées, quoi- que très étendues. La première
couche
, couche névroglique de Meynert, est très mince,
sont moins avancées, quoi- que très étendues. La première couche,
couche
névroglique de Meynert, est très mince, avec de
t raréfiée, qui forment autant d'espaces clairs. Dans la deuxième
couche
, celle des petites cellules pyramidales, on voi
rts normaux sont détruits et leur nombre diminué. Dans la troisième
couche
, celle des cellules moyennes, on voit les colon-
la cellule. Le prolongement inférieur est le plus distinct. Dans la
couche
suivante des grandes cellules, les altérations
s qui vont former la substance grise, on voit, de plus que dans les
couches
précédentes, un assez grand nombre de noyaux de
ut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la
couche
de névroglie est fibrillaire dans le sens longi
peut pourtant suivre très loin les prolongements de la plupart. La
couche
des cellules névrogliques n'offre rien de particu
ent en un point de celles que nous venons de voir; c'est dans les
couches
les plus profondes de la subslance grise, et mê
é- sions des fibres conductrices. Les fibres fines à myéline delà
couche
superficielle des circonvolutions, les fibres a
en passant sous le vallon intermédiaire, le réseau qui occupe la
couche
la plus profonde de la substance grise, enfin B
dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf des accidents suite de fausses
couches
. [Père, disparu eu 1870, boulanger ; nombreux e
on passage. Il paraît qu'il voyait un chien rouge. 21 août. - Il se
couche
à 6 heures et demie ou 7 heures. Le plus souven
attaque. Il n'a pas poussé de cris. Tout le corps est rigide. On le
couche
sur le parquet et presque aussitôt, sans avoir
anastomosés, et remanient complètement le plan des trois premières
couches
de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissables (
de désintégration (B). La limite entre la première et la seconde
couche
de l'écorce, très nette d'ordinaire, est ici conf
t foyer scléreux, irrégulier, comprenant la seconde et la troisième
couche
de la substance grissc (A) et donnant à la surf
autc. Tout t autour, les vaisseaux sont dilatés et la sériation des
couches
est troublée et méconnaissable (picrocarmin, gl
tion (A) et la vascularisation développée jusqu'au niveau de ces
couches
(hématoxyline. baume de Canada). ERRATUM. A l
iculé externe. T, partie postérieure du cotylédon ventriculaire de la
couche
optique. P, protubérance annulaire. R, prolongeme
aison des tubercules quadrijumeaux , du cotylédon ventriculaire de la
couche
opti-que , et celle du tractus optique avec cette
actus optique. S S, corps géniculés. T, cotylédon ventriculaire de la
couche
optique. D, tubercules quadrijumeaux. Y', région
ne de ce nerf allant au faisceau postérieur et à Ja protubérance. QQ/
couches
fibreuses combinées avec ce nerf. E, nerf au-diti
e ce pédon-cule sont rendus fort distincts par cette dissection. T T'
couche
optique. RR, corps géniculés. DD, tubercules quad
, tige pituitaire. A, quadrilatère perforé. T, T, S, tractus optique,
couche
optique, corps géniculés. M, éminences mamillaire
s-sure antérieure. T, partie convexe du cotylédon ventriculaire de la
couche
optique. V, partie plane du même cotylédon. S, co
iasma. K', tige pi-tuitaire. TY, face plane et commissure molle de la
couche
optique. M, éminence mamillaire. N, région fascic
entrecroise-ments de la moelle allongée. K, chiasma. L TS, tractus et
couche
opti-que, corps géniculé. K/, tige pituitaire. M,
e des lobules des parties inférieures du cervelet ont été séparés des
couches
fibreuses sur lesquelles ils reposaient. P, protu
T, corps rhomboïdal du côté gauche mis à découvert par l'ablation des
couches
fibreuses qui l'enveloppaient. Ces couches fibreu
couvert par l'ablation des couches fibreuses qui l'enveloppaient. Ces
couches
fibreuses ont été res-pectées du côté droit. G, é
quadrijumeaux. Le plus interne de ces faisceaux, n° l, se porte de la
couche
fibreuse à laquelle sont rattachés tous les éléme
ors du précédent. L'externe, n°3, correspond du côté du cervelet à la
couche
fibreuse de laquelle émanent tous les éléments fi
face du faisceau antérieur du pédoncule cérébelleux, se porte sous la
couche
corticale du cervelet, dont elle forme la doublur
ence vermiforme supérieure. B, membrane nerveuse blanche allant de la
couche
corticale du cervelet à la surface des tubercules
partie des lobules de l'hémisphère cérébelleux, dont elle dou-ble la
couche
corticale. De cette manière, les rayonnements les
e ordre. On voit en H H H H II les appendices fibreux qui unissent la
couche
corticale de la première circonvolution de deuxiè
corticale de la première circonvolution de deuxième ordre à la grande
couche
fibreuse rayonnante de la face interne de l'hémis
nterne de l'hémisphère, voy. en O O O la face externe de cette grande
couche
rayonnante dépouillée des appendices fibreux qui
he rayonnante dépouillée des appendices fibreux qui l'unissaient à la
couche
corticale des circonvolutions enlevées. On voit
cissure de Sylvius. C C C C C C, insula. B B B B, moignon des grandes
couches
fibreuses rayonnantes de l'hé-misphère, a A A J A
randes couches fibreuses rayonnantes de l'hé-misphère, a A A J A A b,
couches
fibreuses excentriques de la face la-térale du no
eure dont la coupe est représentée en Z. T t i, surface convexe de la
couche
optique. P, surface plane de la même couche. W, a
i, surface convexe de la couche optique. P, surface plane de la même
couche
. W, aqueduc de Sylvius. S, glande pinéale. X', tr
édoncules cérébraux ont été cou-pés à quelque distance en arrière des
couches
et des tractus optiques. On voit dans le centre d
educ de Sylvius. T, bord posté-rieur du cotylédon ventriculaire de la
couche
optique. S, corpus genicu-latum internum : dans l
coupe du faisceau moyen, séparée comme le fais-ceau postérieur par la
couche
noire de Sœmmerring indiquée par le signe + de la
elle toute la masse du corps strié, plus les parties centrales de la
couche
optique. Les plexus choroïdes ont été éliminés. O
cule latéral. + -f- marquent la coupe de la coque superficielle de la
couche
optique qui forme la lèvre convexe de cet orifice
concave. T, face inférieure disséquée de la coque superficielle de la
couche
optique. L, face profonde du tractus optique.P, a
tractus optique.P, angle antérieur du cotylédon ventri-culaire de la
couche
optique, rattaché aux parties superficielles du q
u qui de cette éminence se prolonge sous la coque superficielle de la
couche
optique. R, cloison transparente. J, face ven-tri
un espace irrégulièrement circulaire, entièrement circonscrit par une
couche
de matière blanche. J' Y indi-quent la portion de
ar une couche de matière blanche. J' Y indi-quent la portion de cette
couche
de matière blanche qui appartient au corps calleu
iques par la cloison transparente. On voit en R le lieu où les deux
couches
h h viennent au contact l'une de l'autre pour con
on ventri-culaire du corps strié. La lettre F montre la coupe de la
couche
fibreuse qui sépare le coty-lédon ventriculaire d
t la face supérieure du corps calleux; O O, la face exté-rieure de la
couche
fibreuse qui enveloppe le cotylédon extra-ventric
ce où. le tronc de l'arbre fibreux de l'hémisphère se combine avec la
couche
fibreuse F, qui sépare les deux co-tylédons du co
couche fibreuse F, qui sépare les deux co-tylédons du corps strié. La
couche
fibreuse du corps calleux J J E E se combine, com
rié. La couche fibreuse du corps calleux J J E E se combine, comme la
couche
fibreuse de l'hémisphère G G, avec la couche fibr
E E se combine, comme la couche fibreuse de l'hémisphère G G, avec la
couche
fibreuse F de l'intérieur du corps strié. L'on
r du corps strié. L'on voit en--un entrecroisement des fibres de la
couche
fibreuse du corps calleux avec celle de l'hémis
calleux avec celle de l'hémisphère. En X' X' se trouve l'union d'une
couche
fibreuse, V V, sous-jacente à la couche corticale
X' X' se trouve l'union d'une couche fibreuse, V V, sous-jacente à la
couche
corticale de l'in-sula V V avec la couche d'envel
use, V V, sous-jacente à la couche corticale de l'in-sula V V avec la
couche
d'enveloppe du cotylédon extra-ventriculaire du c
a scissure de Sylvius, de l'arbre fibreux de l'hémisphère X G avec la
couche
fibreuse de l'insula X' V. S, scissure de Sylvi
orizontale. H , nerf trijumeau. IE, doublure fibreuse immédiate de la
couche
corticale émanée de. ce nerf. E, nerf auditif.
e corticale émanée de. ce nerf. E, nerf auditif. E', doublure de la
couche
corticale émanée de ce nerf. Q, membrane nerveuse
sceau moyen. X X', deux régions distinctes du faisceau postérieur. Y,
couche
blanche qui sépare ces deux régions du faisceau p
nereum. M, éminence mamillaire. N, coupe du tronçon pédonculaire. TU,
couche
optique, O, commissure antérieure. V V, piliers a
tiques. D J J, coupe de la partie transversale du corps calleux. H H,
couche
fibreuse d'enveloppe du cotylédon extra-ventricul
oison transparente R. B, cotylédon ventriculaire du corps strié. F,
couche
fibreuse intrinsè-que du corps strié. G, tronc de
eures du corps calleux, en dehors duquel on voit rayonner les grandes
couches
fibreuses des hémisphères. M, cervelet. G F H'
ersale; L, partie recourbée en dehors de ce même corps. K K K, grande
couche
rayon-nante de l'hémisphère. N -f- -f-, ruban fib
centrale des faces latérales du noyau ; en h h h L L, la section des
couches
fibreuses qui, de la circonférence de la saillie
llie centrale dans les par-ties temporales R K". A A A, moignon des
couches
fibreuses qui, de la circonférence de la saillie
latérale réfléchie du corps calleux. A A A' A', moignons des grandes
couches
rayonnantes de l'hémisphère. L L, saillie central
mamillaire. X, partie postérieure du cotylédon ventriculaire de la
couche
optique. E E, coupe transversale des cotylédons v
rié prolongée en pointe dans la base de l'olfactif. Z', portion de la
couche
corticale dans laquelle plongent des radicules de
de cette glande au pilier antérieur de la voûte. T, face plane de la
couche
optique. + +, gouttière creusée sur cette face pl
num. M , corpus geniculatum externum. X cotylédon ventriculaire de la
couche
optique. D D D, bandelettes cor-née et demi-circu
s'insère à la partie externe du noyau cérébral dans l'intervalle des
couches
fibreuses qui montent au corps calleux et de cell
qui re-vêtent la saillie centrale des faces latérales du noyau. Les
couches
fibreuses qui succèdent au tronc de l'arbre fibre
uses is-sues du ruban fibreux de l'ourlet D. A, face profonde de la
couche
superficielle du quadrilatère perforé. g g, couch
ace profonde de la couche superficielle du quadrilatère perforé. g g,
couche
fibreuse de la saillie centrale des faces latéral
ure du corps calleux en croisant le tronc-fibreux de l'hémisphère, f,
couche
fibreuse profonde des circonvolutions de l'insula
e profonde des circonvolutions de l'insula. R E S, plicature de cette
couche
qui va s'unir, dans la circon-volution d'enceinte
ans la figure précédente, en 0 le cotylédon ex-traventriculaire de la
couche
optique. FIGURE 4e. Dans cette figure comme d
ement de ce faisceau dans l'espace perforé. 0 , angle antérieur de la
couche
optique rattaché à ce faisceau postérieur. A A A,
A, bandelette demi-circulaire émanée du même faisceau, séparée de la
couche
optique, et relevée. R R, rayonnements fibreux de
rée de la couche optique, et relevée. R R, rayonnements fibreux de la
couche
optique passant sous la bandelette demi-circulair
sement à l'autre. Chacun d'eux est recouvert et comme enveloppé d'une
couche
de substance grise. La partie centrale est formée
sent comme enclavés les noyaux gan-glionnaires centraux, à savoir les
couches
optiques et les corps striés. Une coupe transve
millaires ou en avant des pédoncules. — S, commissure grise ; — 0, 0,
couches
optiques — V, ventricule latéral ; — V, sa corne
dé du corps strié; l'autre, interne et pos-térieure, ovalaire, est la
couche
optique; les couches optiques de chaque côté sont
'autre, interne et pos-térieure, ovalaire, est la couche optique; les
couches
optiques de chaque côté sont séparées par la prof
ses grises, intra-ventriculaires, le noyau caudé du corps strié et la
couche
optique reposent au-des-sus et en dedans de l'éve
on l'appelle noyau extravenlt'i-culaire du corps strié. lion de la
couche
optique (0) et de la queue du corps strié (C). En
res; — névroglie. Rapports de ces éléments entre eux; — type à cinq
couches
, [ mportance de l'examen de la structure de la su
précédentes, occupent d'ordinaire la région la plus inférieure de la
couche
des cellules pyramidales. Leur diamètre atteint j
nts, disséminés un peu partout ou composant, sur certains points, une
couche
assez dense. Divers auteurs les regardent comme d
dénient ce caractère et les comparent aux éléments qui constituent la
couche
granuleuse de la rétine. M. Meynert range encor
mes, ramifiées, et qui, en certains endroits, composent une cinquième
couche
. Ces cellules ont le plus souvent leur grand axe
l'on distingue, sur des coupes minces, examinées au microscope, cinq
couches
superposées. 11 se rencontre à peu près partout d
rieurs. Voici comment les élé-ments sont répartis : 1° La. première
couche
, la plus rapprochée des méninges, est presque exc
olliker et Arndt (1) décrivent vers la surface, sous la pie-mère, une
couche
de tubes nerveux parallèles, très délicats. Là au
cellules nerveuses sont très disséminées^'//. 5,1). A l'œil nu, cette
couche
offre l'aspect d'une petite zone blanche. Ce défa
ut de coloration paraît être en rapport et avec la pau-vreté de cette
couche
en éléments nerveux et avec le petit nombre des v
ires qu'elle renferme. En effet, les artérioles qui pénètrent dans la
couche
corticale ne fournissent de nombreux capillaires
l de M. Meynert(i). Les numéros 1, 2, 3, 4, 5, dési-gnent l'ordre des
couches
de l'é-corce grise: m, la substance mé-dullaire.
er Süuqethiere. Siricher's Handbuch: T.' II, p. 704. 2° La deuxième
couche
{Fig. 5, 2) est marquée par une agglomération de
lui communiquent une couleur grise très manifeste. 3° La troisième
couche
(Fig. 5, 3) est en grande partie formée par des c
, sont situées de préférence à la partie la plus in-férieure de cette
couche
, et pénètrent même dans la couche sui-vante. Outr
partie la plus in-férieure de cette couche, et pénètrent même dans la
couche
sui-vante. Outre les cellules, on trouve encore d
sui-vante. Outre les cellules, on trouve encore dans cette troisième
couche
des faisceaux de fibres médullaires qui s'enfonce
(1) et par Henle (2). C'est dans la zone la plus inférieure de cette
couche
qu'existent dans certaines ré-gions les cellules
es cel-lules et la présence des fibres médullaires dût donner à cette
couche
une coloration blanche, il n'en est rien ; la réa
e à l'œil une coloration jaunâtre. 4° Viennent ensuite la quatrième
couche
(Fig. 5, 4) où l'on aperçoit des granulations ou
partie médiane jusqu'au bord antérieur du lobe quadrilatère. Là, les
couches
granuleuses l'emportent sur les grandes cellules,
Meynert, le désigner sous le nom de type de stratification en cinq
couches
des éléments cellu-laires nerveux ou réputés tels
Dans l'écorce grise du cervelet, vous remarquez successivement: l°une
couche
épaisse,, pauvre en éléments cellulaires et qui r
ro-longements protoplasmiques des cellules nerveuses situées dans une
couche
sous-jacente ; — 2° plus bas, une couche où l'on
s nerveuses situées dans une couche sous-jacente ; — 2° plus bas, une
couche
où l'on retrouve, suivant M. Meynert, des cellule
ous, les cellules de Purkinje qui occupent la limite supérieure d'une
couche
granuleuse très accentuée ; — 4° plus bas enfin,
nant vous jetez un coup d'oeil sur la figure qui re-présente les cinq
couches
de l'écorce grise du cerveau propre-ment dit, vou
s qu'on exa-mine ; mais je dois revenir auparavant sur le type à cinq
couches
. B. Le mode d'arrangement, ainsi désigné, se re
dans les régions des hémisphères où règne sans partage le type à cinq
couches
, il existe, je le répète, tout un département où
ontale. — I, Corps calleux; — 2, Cavité du ventri-cule latéral : — 3,
Couche
optique ; —4, Partie antérieure et externe du pé-
re (Fig. 6, 1) ; au-dessous, le septum lucidum, la face interne de la
couche
optique (Fig. 6, 3), puis, la surface de section
arrêter. Les régions à grandes cellules^appar-tiennent au type à cinq
couches
et elles ne se caractérisent en définitive, anato
point, à proprement parler, de lésions systématiquement limitées aux
couches
optiques, aux différents noyaux du corps strié, a
ent les artères nourricières des ganglions centraux : corps striés et
couches
optiques. Ces artères nourricières forment six
caillot oblitérant la carotide interne près de sa bifur-cation. des
couches
optiques et les parois du troisième ventricule.
lvienne, vascularisent les corps striés et la partie antérieure de la
couche
optique. Le cinquième et le sixième — groupes p
urné les pédoncules cérébraux; ils nourris-sent une grande partie des
couches
optiques. Une ligne circulaire, tracée à deux c
tent pour ainsi dire en chemin. Les unes vont jusqu'à la limite de la
couche
grise, du côté du centre médullaire; les autres s
autres s'étendent moins loin et se ter-minent dans l'épaisseur de la
couche
grise. Ces artères courtes donnent naissance à de
le réseau possède les caractères suivants (Fig. 11) : 1° la première
couche
, «, a une épais-seur d'un demi-millimètre; elle e
-seur d'un demi-millimètre; elle est peu vascularisée ; 2° la seconde
couche
, 6, correspond aux deux zones de cellules ner-veu
s serré, à mailles poly-gonales très fines; 3° sur la limite de cette
couche
, c, les mailles deviennent plus larges ; 4° enf
Réseau à mailles polygonales plu? serrées, situé dans la région de la
couche
grise. — c, Réseau de transition à mailles plus l
st respectée en partie, mais manifestement atrophiée. Or, bien que la
couche
optique etle corps strié fussent dans ce cas tout
des noyaux gris centraux. Vous savez que, sous ce nom, on désigne les
couches
optiques, les corps striés et ce qu'on pourrait a
vont nous occuper, les altérations ischémiques signalées à propos des
couches
superficielles de l'encéphale, mais nous y rencon
insi, sur 119 cas rassemblés par Andral et Durand-Fardel, 102 fois la
couche
optique et le corps strié ont été le point de dé-
artères qui se rendent aux di-verses parties du corps strié ou de la
couche
optique. Malgré toutes les précautions possibles,
utes les précautions possibles, on ne parviendra jamais à injecter la
couche
optique ou le corps strié tout entier. Vous n'inj
aine beaucoup plus vaste et beaucoup plus important. Elle fournit aux
couches
optiques, dans une grande étendue, à l'étage supé
point de vue de la théorie des loca-lisations cérébrales, à savoir la
couche
optique, le noyau caudé, le noyau lenticulaire et
vous comment le pédoncule cérébral, arrondi au moment où il aborde la
couche
optique, s'aplatit après qu'il l'a dépassée de de
ce grise sont disposés ainsi qu'il suit : en dedans et en arrière, la
couche
optique ; en dedans encore, mais en avant et au-d
-dessus, le noyau caudé ; en dehors de l'éventail et au-dessous de la
couche
optique et du noyau caudé est situé le noyau lent
rincipaux rapports des noyaux gris que je viens d'énumé-rer : 1° La
couche
optique a l'aspect d'un ovoïde aplati. De ses d
t d'être indi-quées, que les trois noyaux ou masses grises centrales,
couche
optique, noyau caudé, noyau lenticulaire, sont en
cérébraux, à la manière de cotylédons. Du côté des ventricules, la
couche
optique et les noyaux caudés sont isolés, le noya
, entre en connexité surtout avec les tubercules quadriju-meaux et la
couche
optique : il ne prend point une part di-recte à l
e dans les régions les plus in- Fig. 18. — N C, noyau caudé. — C 0,
couche
optique. — N L, noyau lenticu-laire avec ses troi
, fibres du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, fibres de la
couche
optique qui vont à la périphérie, — F D? fibres
res pédonculaires provenant du pied de la couronne rayonnante pour la
couche
optique, celle-ci ne recevant pas du pédoncule cé
roisième ventricule. G 0 L et G 0 E, parties interne et externe de la
couche
optique. — N C, iipyau camlé, — F fibres émanées
ments internes du noyau lenticulaire. — S Th, S ch 1 et Z, les quatre
couches
de la substance innominée. [Figure d'après M. Mey
ourir à la formation de la couronne rayonnante et se dirigent vers la
couche
grise corticale. Ces faisceaux portent le nom de
sceaux rayonnants des corps striés; 2° les faisceaux rayonnants de la
couche
optique ; 3° les faisceaux rayonnants issus du no
ce des circonvolutions. Ce sont : 1° les faisceaux rayonnants de la
couche
optique ; 2° ceux du corps strié ; 3° ceux du noy
t caudé, 2° au noyau lenticulaire tout entier; 3° à une portion de la
couche
optique] 4° à toute l'étendue de la capsule int
nce grise du troisième ventricule qui se con-tinue en arrière avec la
couche
optique. Territoires vascalaires. — I, artère c
millaires ou en avant des pédoncules. — S, commissure grise ; — 0, 0,
couches
optiques ; — V, ventricule latéral; — V, sa corne
, aux régions suivantes : Io à la partie externe et postérieure de la
couche
optique ; 2° aux tubercules quadrijumeaux ; 3° à
), nous montre seulement le noyau caudé et le noyau lenti-culaire, la
couche
optique étant plus postérieure. On retrouve sur c
capsule interne, elles abordent la partie externe t antérieure de la
couche
optique où elles se répandent. Je vous rappelle
tefois, je ne veux m'occuper ici que des artères qu'elle en-voie à la
couche
optique. Ces artères sont de deux ordres : 1° V
e son origine au tronc basilaire, qui fournit à la face interne de la
couche
optique, et est capable, dans son trajet ultérieu
e monte obliquement, avant d'entrer dans la portion postérieure de la
couche
optique. Les ruptures de ce vaisseau déterminent
ui de reconnaître à des symptômes particuliers les destructions de la
couche
optique, celles du noyau caudé, celles du noyau l
s, se produise dans l'épaisseur même, soit des corps striés, soit des
couches
optiques. Quoi qu'il en soit, les seules locali
e, d'une lésion circonscrite dans le noyau caudé et les lésions de la
couche
optique, — bien que sur ce dernier point il y ait
morrhagie extra-lenticulaire au niveau de la partie postérieure de la
couche
optique; — hémianeslhésie cérébrale. — A. corps c
térieurs de la voûte. — B, B, cavité des ventricules latéraux. —G, G,
couches
optiques. — D, D, noyaux lenticulaires. — EE, rég
e-ci passe entre l'extrémité pos-térieure du noyau lenticulaire et la
couche
optique, la présence de Yhémianesthésie cérébrale
— de rapporter à la destruction de l'un quel-conque des noyaux gris,
couches
optiques ou corps striés, des symptômes qui son
rne. (Hémianesthésies). — Rupture de l'artère lenticulo-optique. — 0,
couche
optique. —I, capsule interne. —L, noyau lenticula
(destruction de la capsule in-terne, refoulement ou destruction de la
couche
optique). ensemble vers les cavités ventriculai
bre de faits où une lésion des tractus de la partie postérieure de la
couche
optique, déterminée par un épanchement sanguin, a
pé- c rieur du pédoncule ; 2" les tubercules quadri-jumeaux ; 3° la
couche
optique tout entière. Cela étant fait, on a sou
sur ce que, suivant lui, ces fibres pourraient, par la comparaison de
couches
minces, être suivies par en bas jusqu'à la protub
sions sensitives n'est ni dans le cerveau proprement dit, ni dans les
couches
optiques, mais plus bas, dans la pro-tubérance, o
ale du cerveau du chien au niveau des tubercules mamillaires. — 0, 0,
couches
optiques. — S, S, noyaux caudés. — L, L, noyaux
nnants cortico-optiques : Fibres antérieures (racine antérieure de la
couche
optique; ; — Fibres moyennes (expansions latérale
ie sensitive). Bandelettes optiques. —Origine de la racine externe (
couche
optique, corps ge-nouillés externes, tubercules q
es unes antérieures (hh,Fig. 32), sont dites racine anté-rieure de la
couche
optique (Vordere Stiel) ; elles se dirigent vers
e lobe frontal et le sphénoïdal. Fig. 31. — N G, noyau caudé. — GO,
couche
optique. — N L, noyau lenticu-laire avec ses troi
, libres du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, fibres de la
couche
optique qui vont à la périphérie. P D, fibres dir
es ou des nerfs optiques (/•, k, Fig. 32). Fig 32.—Radiations de la
couche
optique — (Schéma emprunté à l'ouvrage de M. Hu
— (Schéma emprunté à l'ouvrage de M. Huguenin, p. 93, fig. 69.) «,
couche
optique. — b, corps strié. — c, voûte à 3 piliers
étaché de l'encéphale l'isthme tout entier, y laissant attenantes les
couches
optiques, on examine la pré-paration ainsi obtenu
re dans la même région, lorsqu'on soulève l'extrémité postérieure des
couches
optiques ou pulvinar, en dedans le corps ge-nouil
d son origine dans trois noyaux de subs-tance grise, à savoir : 1° la
couche
optique ; 2° le corps ge-nouillé externe ; 3° les
s parties centrales, sur les tubercules quadrijumeauN antérieurs, les
couches
optiques et enfin les corps genouillés externes ;
bres qui constitue la partie la plus postérieure des radiations de la
couche
optique (faisceaux rayonnants cortico-optiques) e
ticulaire. — Na, tête et Ne, queue du noyau caudé. Th, partie de la
couche
optique située en avant des corps genouillés. — T
ie de la couche optique située en avant des corps genouillés. — TA.
couche
optique ; pulvinar. Qu, tubercules quadrijumeaux.
e brusquement développé dans l'épaisseur de la partie postérieure des
couches
optiques, pourrait, elle aussi, on le comprend, ê
ale du cerveau du chien au niveau des tubercules mamillaires. — 0, 0,
couches
optiques. —S, S, noyaux caudés. — L. L, noyaux
brales, à savoir : le noyau lenticulaire, le noyau caudé, et enfin la
couche
optique, ne produisent pas la sclé-rose consécuti
ui, sur une coupe antéro-postérieure, ne s'éten-dra pas au-delà de la
couche
grise de Sœmmering. — La co-loration grise dispar
ation des parties antérieures d'un hémisphère, — les masses centrales,
couche
optique etcorps strié, étant demeurées intactes,
le ramollissement avait complètement respecté les masses centrales :
couches
optiques, noyau caudé, noyau Fiç/. 45. — Fa, va
avez qu'en remontant vers l'encéphale, nous les verrions aboutir à la
couche
optique, où elles se perdent. Elles ne prennent d
de la capsule. — Sp, segment postérieur delà capsule interne. -- Go,
couche
optique. -- F, Foyer circonscrit dans le segment
. En arrière et en dedans, au voisinage de la ligne médiane, est la
couche
optique ; en avant de la couche optique, la tête
voisinage de la ligne médiane, est la couche optique ; en avant de la
couche
optique, la tête du noyau caudé : en dehors, le n
caudé et Ciiaiicot. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 14 la
couche
optique. Mais les masses ganglionnaires internes
ons. 14 la couche optique. Mais les masses ganglionnaires internes (
couche
optique et corps strié) sont séparées de la masse
dé ; 2° une partie postérieure, intermédiaire à la face externe de la
couche
optique et au bord postéro-interne du noyau len-t
poursuivi jusque dans l'épaisseur du centre ovale, et même jusqu'à la
couche
grisé corticale. 4° Pour rechercher les fibres
et en dehors ; — le noyau lenti-culaire accolé à son bord externe, la
couche
optique coupée Fig. 55. — Coupe pariétale de l'
phère (Pitres). — 8, corps calleux. --9, queue du noyau caudé. -- 10,
couche
optique. -- 11, capsule interne (segment postérie
terne; en dehors de ce tractus, le noyau lenticulaire ; en dedans, la
couche
optique et le noyau caudé. Il n'est pas rare, t
ntra-encéphaliques. Les foyers plus ou moins volumi-neux limités à la
couche
optique, ceux qui se circonscrivent dans la tête
nous sommes pro-posé de déterminer les limites. Faites partir de la
couche
profonde de toute cette zone grise, Fig. 60. —
upe horizontale du noyau caudé. — B, du noyau lenticulaire. — G,de la
couche
optique.— D, lobule paracentral. — E,circonvoluti
onvolutions frontales, et de l'autre par l'extrémité antérieure de la
couche
optique (c'est à peu près la coupe pree-rolandiqu
res; — névroglie. Rapports de ces éléments entre eux; — type à cinq
couches
. importance de l'examen de la structure de la s
coupe de l'ecorce grise du cervelet. — Type de stratification en cinq
couches
des éléments cellulaires nerveux. — Régions où ex
nnants cortico-opliques : Fibres antérieures (racine antérieure de la
couche
optique) ; — Fibres moyennes (expansions latérale
ie sensitive). Bandelettes optiques. —Origine de la racine externe (
couche
optique, corps ge-nouillés externes, tubercules q
es rapports avec la capsule interne, 91 ; — sa circulation, 95, 96.
Couches
optiques. Leur situation, 4 ; — Leur importance a
s éléments de 1' —, 208. Egorge cérébelleuse, 32 ; — type à trois
couches
. Ecorce cérébrale, 42; — type à cinq couches, 3
32 ; — type à trois couches. Ecorce cérébrale, 42; — type à cinq
couches
, 33. Electrothérapie, 321. Embryogénie, 186. Emin
ules quadriju- meaux.) tétanos artificiel, 318. Thalamus, 140 (V.
Couche
optique.) Tonicité musculaire, 327, 350. Tonu
es agglomérées BBB n'ont en effet apparu qu'après la lacération d'une
couche
superficielle, que constituait une membrane blanc
ansformation n'est annoncée par aucun accident ; mais aussitôt que la
couche
placentaire la plus superficielle est envahie, so
nt des vésicules déjà existantes, soit par la transformation de cette
couche
elle-même, alors surviennent des hémorrhagies qui
cer encéphaloïde cru) EEEE ; très-mince à la partie inférieure, cette
couche
encéphaloïde devient beaucoup plus épaisse à la p
rface, adhérentes seulement par un pédicule très-mince. C'est sous la
couche
la plus excentrique, formée par le tissu du rein
figure 2 donne une idée aussi exacte que possible et des différentes
couches
et de leur coloration. L'uretère naissait de la
e tuberculeuse TTT, fig. 2, ne présente aucun vaisseau, tandis que la
couche
encéphaloïde EEE en fourmille; et c'est là, à mon
rein , ici par une sérosité trouble, là par du pus , tantôt déposé en
couche
mince, tantôt ramassé en foyers qui pénétraient p
arois intestinales, dont ils traversaient successivement les diverses
couches
pour venir se ramifier sous la membrane péritonéa
dinaire, et qui, lorsque les papilles cutanées sont recouvertes d'une
couche
inorganique épaisse, sont précédés par un tube ép
la plus grande facilité. Je me suis assuré que, chez l'homme , cette
couche
, qu'on appelle le corps muqueux, est creusée de
que celle du côté sain ; mais la jambe était évidemment atrophiée. La
couche
adipeuse sous-cutanée avait une épaisseur très-co
est-à-dire le derme épaissi, l'épiderme composé de plusieurs lames ou
couches
au niveau de la tubérosité du calcanéum TC (fig.
tilage semi-lunaire interposé étaient usés; il y avait même usure des
couches
osseuses sous-jacentes. Tout cela se conçoit aisé
astragalo-scaphoïdienne, existe entre la saillie de l'astragale et la
couche
fibreuse qui forme le ligament supérieur de cette
n'en est pas de même du ligament latéral interne ; il existait i° une
couche
superficielle ligamenteuse étendue de la malléole
rate, était d'un vouge vif, et cette coloration était due à plusieurs
couches
de fausse membrane plaquées de rouge qui tapissai
ifférence qui apparaît sur les figures tient à l'action de F air. Les
couches
adjacentes du tissu splénique sont denses et d'un
icule pour soulever la voûte à trois piliers et le corps calleux. Les
couches
optiques CO, CO fortement comprimées, déjetées en
apacité de ce troisième ventricule, dont les parois, c'est-à-dire les
couches
optiques, ont été déjetées en dehors, comprimées,
a consistance de la moelle des os ou bien du suif, recouverte par une
couche
plus cohérente, sorte de cristallisation lamelleu
érance, des pédoncules cérébraux, des faisceaux sus-olivaires, et des
couches
optiques : certes, ce désordre remontait à plusie
mortels. Dans le cas actuel j'attribue la mort au ramollissement des
couches
optiques. Fig. 5. Les faits de ce genre ne sont
édent. PA me paraît la coupe de la protubérance, reconnaissable à ses
couches
alrernativement blanches et grises; BR doit être
certaines coquilles. Coupée « dans son milieu, elle paraît formée de
couches
concentriques, unies entre elles par des lames du
tinuité, de même que nous avons vu, dans la première observation, les
couches
optiques ramollies, d'où l'opinion émise par l'ob
; la mort survient. Le ramollissement, qui a lieu si souvent dans les
couches
cérébrales adjacentes, précipite le terme fatal.
le succomba. A l'autopsie, on trouva autour des vertèbres cariées une
couche
épaisse de matière grasse concrète. Dans un secon
é, leur frangibilité, contrastaient avec l'état parfaitement sain des
couches
pulmonaires adjacentes : leur volume variait depu
dit un caillot de sang concret. Au reste, la macération, en enlevant
couche
par couche ces caillots, a mis à découvert la tra
llot de sang concret. Au reste, la macération, en enlevant couche par
couche
ces caillots, a mis à découvert la trame spongieu
œur. A l'ouverture, on trouva le cœur enveloppé de tous côtés par une
couche
de sang concret, laquelle s'était exactement moul
dent. Il existe en outre un peu de sang liquide dans le péricarde. La
couche
de sang enlevée, on vit sur la face antérieure du
foration était purement accidentelle, que le stylet avait traversé la
couche
mince qui formait le fond du foyer sanguin. Le ve
eur : c'est l'œdème de la gangrène. Or, dans les foyers récens, cette
couche
pulmonaire adjacente offrait une grande mollesse;
vec la plus grande facilité : autour des foyers anciens se voyait une
couche
peu épaisse de tissu pulmonaire induré. Le tiss
étaient formées par la pellicule interne artérielle que soulevait une
couche
mince de matière plâtreuse infiltrée. Les vaiss
en avons découvert au lit du malade les caractères diagnostiques. Les
couches
pulmonaires adjacentes étaient bleuâtres, comme d
ide, adhérent encore au tissu du poumon et qui m'a paru formé par les
couches
superficielles de cet organe. — Enfin rien de plu
que les foyers gangreneux du poumon sont en général environnés d'une
couche
plus ou moins épaisse d'hépatisation mollasse, d'
ment la,face postérieure de la tumeur, était oblitérée. On voyait une
couche
brun-marron interposée entre les parois opposées
uni qu'il m'a été impossible de l'en séparer sans déchirure. Déjà les
couches
superficielles du poumon avaient été envahies. La
uines qui touchaient à nu les cerceaux de ce conduit dépouillés de la
couche
fibreuse dont ils sont revêtus et légèrement éroc
par des concrétions sanguines, que ces concrétions sont disposées par
couches
concentriques, mais non point autour d'un centre
comme plusieurs systèmes de concrétions sanguines ; que ces diverses
couches
ne sont pas contemporaines; que, bien que les cou
ue ces diverses couches ne sont pas contemporaines; que, bien que les
couches
les plus voisines des parois artérielles soient e
. Autour de chacun de ces deux foyers sanguins existait un système de
couches
concentriques , formant des espèces d'îles ou de
ois de la tumeur , et les vides qui se trouvent entre ces systèmes de
couches
sont remplis par des concrétions exactement moulé
e couches sont remplis par des concrétions exactement moulées sur les
couches
adjacentes. Enfin les couches les plus voisines d
concrétions exactement moulées sur les couches adjacentes. Enfin les
couches
les plus voisines de la dilatation AD semblaient
ncrétions concentriques, ondulées, irrégulières et circulaires qu'aux
couches
concentriques du corps ligneux; comme celles-ci,
l'époque de leur formation à leur couleur et à leur cohérence. Chaque
couche
est elle-même composée d'une succession de lamell
s variable que la cohérence et la couleur de ces diverses lames ; les
couches
voisines des parois de la poche, et qui n'avaient
a reproduction du tissu artériel émise par quelques auteurs. D'autres
couches
de date plus récente offraient le demi-transparen
es anciens sous le nom de polypes du cœur. Enfin un certain nombre de
couches
présentaient une coloration brunâtre, brun-marron
ollée au voisinage du sternum ; le sang s'insinuait entre elle et les
couches
celluleuscs adjacentes. Je ne doute nullement que
ois (aux dépens pour l'ordinaire de la membrane interne), soulève les
couches
les plus profondes, les déchire, d'où une poche q
g. Ces concrétions s'organisent-elles? Leur disposition régulière par
couches
concentriques, leur ténacité, leur adhésion aux p
s, produit qui a filtré par un phénomène de capillarité à travers les
couches
réticulées qui le séparent de ces parois. La régu
moins trouble; ce pus, quelquefois peu abondant, filtre à travers les
couches
concentriques jusqu'au milieu des concrétions; da
d'autres fois, n'ayant pas de prise sur ces concrétions, il forme une
couche
plus ou moins épaisse entre elles et les parois.
heures et même plus long-temps après la perforation. S'il existe une
couche
épaisse de parties molles entre la poche anévrysm
ent se former avant la rupture définitive. L'altération spontanée des
couches
de sang concret, devenu corps étranger, pourrait
le modifiée. Ces concrétions, que j'ai vues plusieurs fois former une
couche
épaisse analogue aux calculs biliaires , tapissan
une part avec les tubercules quadrijumeaux, d'une autre part avec les
couches
optiques. J'ai fait représenter (fig. 1), deux pe
y avait eu hématémèse, et que les intestins étaient tapissés par une
couche
de sang, et j'adopte volontiers l'explication don
n corps résistant*, les extrémités inférieures faibles et raides , se
couche
le soir à six heures , comme de coutume •, le len
constance remarquable est celle-ci : toutes les fois que la malade se
couche
sur le côté gauche, la bouche se remplit d'eau qu
ituées par une trame vasculaire veineuse aréolaire, en un mot par une
couche
mince de tissu érectile; les follicules ne sont q
nécessaire dans ce genre de maladies : mais tantôt elle use lentement
couche
par couche les parties qu'elle affecte ; c'est le
dans ce genre de maladies : mais tantôt elle use lentement couche par
couche
les parties qu'elle affecte ; c'est le cas le plu
uide qu'elles contenaient était trouble comme de la chaux délayée. La
couche
fibreuse qui revêt la rotule était également péné
ute la surface interne de cette articulation était recouverte d'une «
couche
de matière blanchâtre, rugueuse, inégale, sillonn
issaient voir la substance osseuse à nu : dans d'autres points, cette
couche
s'enlevait en grattant « un peu fort, et laissait
aces articulaires, un peu en dehors, au-« dessous de la rotule, cette
couche
était fort épaisse et se trouvait en contact immé
ament rotulien (ce qui veut dire, sans « doute, entre la rotule et la
couche
fibreuse qui revêt sa face antérieure). Au-dessou
n fémoro-tibiale droite présentait, au niveau du condyle externe, une
couche
plus épaisse encore que du côté gauche ; on trouv
nce osseuse rugueuse et entamée. Aux articulations tibio-tarsiennes ,
couche
très-mince et très-lisse, qui semblait déposée en
urface articulaire du tibia, entre l'os et les parties ligamenteuses,
couche
plâtreuse épaisse d'un pouce. — Les articulations
métatarso-phalangiennes et phalangiennes conservaient leur mobilité :
couche
mince de matière plâtreuse qui semble être déposé
anche, formée par une très-grande quantité de petits grains crétacés.—
Couche
plâtreuse mince dans les articulations radio-carp
forme de points et de lignes. Cavité cotyloïde droite tapissée d'une
couche
mince et lisse, laissant voirie cartilage sain au
A la partie interne de la jambe j entre l'aponévrose et les muscles,
couche
de matière crétacée épaisse de six lignes. — A F
ticulation. Je ferai remarquer, en terminant, que la présence d'une
couche
d'urate sur les cartilages milite en faveur de l'
ieure de la première vertèbre lombaire : la face postérieure de cette
couche
de végétations , lesquelles se confondaient avec
i° concrétions sanguines au milieu desquelles est contenu du pus; une
couche
mince de concrétion plus ou moins décolorée, semb
seur du tissu de l'utérus, qui, du reste, était sain, excepté dans sa
couche
la plus interne et dans ses mamelons placentaires
urface de la tumeur et dans un point circonscrit. Là elle formait une
couche
peu épaisse, infiltrée, grisâtre, demi-transparen
n'adhère nullement à ce corps fibreux, dont elle est séparée par une
couche
épaisse de liquide. A la partie supérieure de la
s-large ouverture O avec le ventricule moyen. Le corps strié CS et la
couche
optique CO sont atrophiés; ils étaient très-dense
corps genouillés externe et interne participaient à l'atrophie de sa
couche
optique. Jamais je n'ai vu plus manifestement les
ique. Jamais je n'ai vu plus manifestement les radiations sorties des
couches
optiques et des corps striés se recourber pour ve
ait pas atrophié, et cependant les radiations du corps strié et de la
couche
optique avec lesquelles il se continuait, l'étaie
it des nerfs proprement dits. L'hémisphère gauche est atrophié, et la
couche
optique et le corps strié du même côté le sont ég
dé que l'atrophie primitive d'un hémisphère entraîne l'atrophie de la
couche
optique et du corps strié du même côté, et récipr
tie.) mulée clans les ventricules latéraux. Les corps striés et les
couches
optiques sont en rapport avec le peu de développe
les ventricules : les cerveaux petits sont toujours entourés par une
couche
épaisse de liquide. Ce fait intéresse encore so
ophie. Les circonvolutions, le centre médullaire, les corps striés et
couches
optiques, le corps calleux, la voûte à trois pili
entricule et la cavité de l'arachnoïde extérieure, à l'atrophie de la
couche
optique gauche, au défaut de symétrie des circonv
quent point de corne d'Ammon, point de bandelette demi-circulaire. La
couche
optique GO était atrophiée. La différence de disp
GO était atrophiée. La différence de disposition que présentaient la
couche
optique et le corps strié droit et gauche se trou
urbé que le corps strié droit CSD, sans doute pour venir embrasser la
couche
optique gauche atrophiée COG, qui n'est que la mo
la couche optique gauche atrophiée COG, qui n'est que la moitié de la
couche
optique droite COD. Il est difficile de faire l
on involontaire des urines. Mort le cinquième jour. — Apoplexie de la
couche
optique gauche avec communication du foyer dans l
céphalalgie. Diagnostic. Foyer apoplectique très-considérable de la
couche
optique gauche, qui est en grande partie détruite
ctique très-considérable FA (fig. 1 ) existait dans l'épaisseur de la
couche
optique gauche CO. Un sang concret et noir rempli
geait un caillot sanguin. Les corps striés droit et gauche CS, CS, la
couche
optique droite CO, les tubercules quadrijumeaux T
nguin FA largement ouvert et ses parois développées, les débris de la
couche
optique CO renversés, les tubercules quadrijumeau
s et un grand nombre de vaisseaux déchirés. Ce sont les vaisseaux des
couches
optiques dont les uns ont été déchirés et les aut
ns le cas actuel est celui-ci : j'ai diagnostiqué une apoplexie de la
couche
optique, i° parce que cette apoplexie est, d'aprè
, attendu que les radiations du corps strié procèdent elles-mêmes des
couches
optiques, J'ai diagnostiqué la communication avec
à droite n'intéressant que médiocrement soit le corps strié, soit la
couche
optique. La malade, indépendamment de l'apoplexie
plaques ossiformes si communes chez les vieillards. En divisant la
couche
optique et le corps strié droits, j'ai rencontré
Une apoplexie dix fois moindre soit dans le corps strié, soit dans la
couche
optique aurait entraîné une paralysie complète du
aison, je vais rapporter ici. Hémorrhagie cérébrale spontanée de la
couche
optique avec communication dans le ventricule lat
ation de ce dernier avec un vaste foyer creusé dans l'épaisseur de la
couche
optique et de la partie voisine du centre médulla
e. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la
couche
optique et de la partie postérieure du corps stri
); il occupe la partie postérieure du corps strié CS et externe de la
couche
optique CO. La bandelette demi-circulaire a été d
ines très - considérables rampaient à la face externe de la poche. La
couche
cérébrale adjacente était comme granuleuse. Réf
ert, la surface convexe du cerveau présente ( Planche 1, fig. 1 ) une
couche
d'un blanc jaunâtre, demi-concrète, dont le siège
iège est évidemment dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien; cette
couche
occupe non-seulement la surface convexe, mais enc
n. i se conçoit à merveille en raison du siège bien déterminé de la
couche
pseudo-membraneuse dans le tissu cellulaire sous-
-membraneuse dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien ; aussi cette
couche
présente-t-elle une épaisseur rigoureusement prop
le cerveau, le cervelet et la protubérance annulaire environnés d'une
couche
assez épaisse de pus couenneux et de sérosité, do
s sembleraient l'indiquer. On cherche en vain une membrane qui, de la
couche
optique et des corps striés, se réfléchisse sur l
renversé présentait à sa base, dans la grande excavation médiane, une
couche
très-épaisse de pus concret déposé dans le tissu
onneux, dont une partie plus cohérente est restée attachée autour des
couches
optiques CO, CO, et des corps striés CS, CS. Le t
arrivé souvent de reconnaitre des vestiges du tissu rénal entre deux
couches
minces de tissu fibreux qui constituaient les par
organisation envahit au loin les membranes muqueuse, fibreuse, et une
couche
plus ou moins épaisse de la membrane musculeuse,
naires de péritonite. L'intestin ouvert, je l'ai trouvé tapissé d'une
couche
épaisse de mucosités sanguinolentes, tandis que l
t. Ouverture du cadavre. Péritonite circonscrite manifestée par une
couche
pseudo-membraneuse entourant le cœcum et la parti
de trois à quatre pouces de diamètre et qui est formée par plusieurs
couches
superposées. Les figures 2 et 2' représentent l
Une matière carcinomateuse remplissait les interstices et formait une
couche
mince à la surface de ces tumeurs. Enfin il n'est
érable qu'il m'aurait été très-facile de voir sur le vivant. Sous une
couche
fibreuse extrêmement épaisse, très-adhérente et t
e, les circonvolutions (fig. 3) avaient disparu. Il ne restait qu'une
couche
mince de substance grise. La substance cérébrale
uleurs sont peut-être le résultat du ramollissement gélatiniforme des
couches
cérébrales adjacentes : voilà bien des fois que j
blables petits foyers existaient dans le corps strié droit et dans la
couche
optique gauche. Dans l'autre cas, le sinus longit
Le cerveau ( fig. i, planche iv) est enveloppé de tous côtés par une
couche
jaune-verdâtre extrêmement dense. Au premier abor
noïde ; mais avec un peu d'attention, il fut facile de voir que cette
couche
purulente pseudomembraneuse était située entre l'
ansparence de la matière infiltrée : d'ailleurs, l'épaisseur de cette
couche
était un peu plus considérable le long des troncs
eau et le long des prolongemens celluleux qui semblent en partir. Une
couche
pseudo-membraneuse était également infiltrée entr
t comme dans le Cas précédent, avec cette différence qu'au lieu d'une
couche
pseudo-membraneuse bien compacte, nous trouvons u
le premier cas, l'inflammation a eu pour résultat la formation d'une
couche
pseudo-membraneuse concrète, sèche en quelque sor
es de lames formées par les circonvolutions. Le corps strié CS' et la
couche
optique CO' atrophiés étaient exactement en rappo
refoulée à la partie supérieure de la poche, se moulait sur elle; la
couche
la plus superficielle était facile à reconnaître,
econnaître, et pouvait se décomposer en longs filamens jaunâtres. Une
couche
plus profonde était infiltrée de sérosité, mais e
nde était infiltrée de sérosité, mais encore reconnaissable; enfin la
couche
la plus profonde, celle qui touchait immédiatemen
ets de la tunique vaginale adhéraient entre eux au moyen de plusieurs
couches
pseudo-membraneuses parsemées de vaisseaux sangui
us et s'attachait d'une autre part au bord externe de l'olécrane. Une
couche
très-mince de cartilage revêtait cette tête: il n
ttemens. Aucun phénomène vital ne se manifeste sur ces surfaces : une
couche
éburnée incessamment reproduite aux dépens de la
ransformation est complète, les parties désorganisées sont entraînées
couche
par couche, et ce qui reste parait aminci; le pér
on est complète, les parties désorganisées sont entraînées couche par
couche
, et ce qui reste parait aminci; le péritoine seul
t ici ; car on ne peut pas appeler ulcère une destruction successive,
couche
par couche, sans manifestation aucune de vitalité
on ne peut pas appeler ulcère une destruction successive, couche par
couche
, sans manifestation aucune de vitalité dans la co
ive, couche par couche, sans manifestation aucune de vitalité dans la
couche
qui avoisine la destruction. V. La dégénération
avancé, non-seulement les végétations sont détruites, mais encore la
couche
qui les soutient et successivement toutes les cou
, mais encore la couche qui les soutient et successivement toutes les
couches
qui constituent la tumeur s'usent de dedans en de
des tuniques dégénérées ; plus tard, elle deviendra adhérente, et sa
couche
la plus profonde formera çà et là des espèces de
ion. On voit sur cette coupe faite le long de la petite courbure deux
couches
bien distinctes unies entre elles par un tissu ce
u cellulaire assez lâche qui permettait une séparation facile. Or, la
couche
interne MM, MM, est formée par les membranes muqu
M, MM, est formée par les membranes muqueuse et fibreuse réunies ; la
couche
externe MP, MP, est formée par les membranes musc
culaire se voient quelques concrétions ossiformes arrondies. Ces deux
couches
présentent une teinte un peu différente : l'inter
a un peu plus d'opacité et une teinte blanchâtre. Du reste, les deux
couches
n'étaient pas distinctes dans toute leur étendue.
vertures faites aux loges ou cellules, mais ne s'écoule pas. Déjà les
couches
les plus internes ont été usées. Nous ne trouvons
si souvent l'ulcère de l'estomac : si l'on examine en effet, sous une
couche
d'eau, à l'œil nu ou à l'aide d'une forte loupe,
le péritoine. Le duodénum et l'intestin grêle sont tapissés par une
couche
mince de mucosités sanguinolentes ; le gros intes
u pourtour de l'ulcère. La surface de l'ulcère se couvre ensuite dune
couche
fibreuse ; ses bords deviennent durs, extrêmement
té de la formation de ces abcès ; 5° sur le défaut d'inflammation des
couches
adjacentes ; 6° sur la présence du pus dans les v
rs globules de mercure. Quelques-uns de ces tubercules offraient deux
couches
bien distinctes; une couche tuberculeuse qui occu
ues-uns de ces tubercules offraient deux couches bien distinctes; une
couche
tuberculeuse qui occupait la circonférence, et un
inctes; une couche tuberculeuse qui occupait la circonférence, et une
couche
puriforme qui occupait le centre et au milieu de
sculaire ambiant n'avait nullement changé de couleur, excepté dans la
couche
mince qui confinait l'abcès, et qui était comme p
tel est le tissu cellulaire comme aussi la lamelle mince qui forme la
couche
la plus superficielle des membranes muqueuses : l
infiltrés. Dans l'œdème douloureux, ou hydropisie aiguë des femmes en
couche
, j'ai rencontré plusieurs fois les veines iliaque
de pus concret. Chaque grain était entouré xie livraison. 6 d'une
couche
gris-ardoisée, en sorte que la coupe ou la cassur
point encore arrivés à la période de l'abcès. Dans presque tous, une
couche
épaisse d'induration rouge entoure une masse blan
thologique communiquées à la Société Anatomique par M. Bergeon. Une
couche
épaisse d'hépatisatiuu rouge, mollasse, cerne en
e. Cette proposition découle, non de la circonstance anatomique d'une
couche
épaisse d'induration pneumonique circonscrivant d
la totalité de la portion enflammée, et que tantôt elle respecte les
couches
les plus excentriques. III. La terminaison par
rut trois jours après l'accouchement, d'une métrite avec gangrène des
couches
les plus profondes de l'utérus. Les tumeurs fibre
lies et infiltrées de sérosité; quelques-unes infiltrées de sang. Les
couches
les plus profondes de l'utérus étaient détruites
ont quelquefois séparés de la surface interne de l'utérus que par une
couche
extrêmement mince, soient expulsés par suite d'un
soient expulsés par suite d'un travail morbide qui s'opère dans cette
couche
intermédiaire entre la cavité qu'occupe le polype
en est un autre qui s'opère sans l'intermédiaire delà suppuration; la
couche
qui sépare la tumeur delà cavité utérine est usée
des tumeurs fibreuses développées sous la muqueuse ou plutôt sous les
couches
les plus profondes du tissu de l'utérus lui-même,
térine dans la cavité vaginale se fait exclusivement aux dépens de la
couche
de tissu utérin qui recouvre la tumeur fibreuse e
n'en est pas de même de l'accroissement des calculs biliaires par des
couches
nouvelles surajoutées. On se fonde sur le volume
muqueuse auraient été successivement envahies, et qu'enfin toutes les
couches
de tissu cellulaire qui séparent les diverses tun
, 11, 111.) Considérations générales sur les maladies des femmes en
couches
en général et sur le typhus puerpéral en partic
ne blessure grave ou de subir une opération chirurgicale. La femme en
couches
, comme l'amputé, est épuisée de fatigues, de doul
pond une guérison sans fièvre,sans lochies purulentes, de la femme en
couches
; mode de guérison qui est excessivement rare, car
t leurs mailles; que la surface interne de l'utérus est enduite d'une
couche
pseudomembraneuse , purulente , sanguinolente , s
d'ailleurs long-temps plus volumineux qu'avant l'accouchement, et les
couches
les plus profondes de cet organe jouissent d'une
chement. X. De toutes les maladies qui peuvent attaquer la femme en
couches
, il n'en est aucune qui soit plus fréquente, plus
pace qui ne permet d'en admettre que de 15oo à 2000; car une femme en
couches
a une puissance d'infection bien supérieure à cel
ordinaire. La question de l'encombrement est donc, pour les femmes en
couches
, une question de vie ou de mort. Le traitement pr
mphatiques qui sont en évidence sur cette figure, le péritoine et une
couche
superficielle très-mince de l'utérus ont été. enl
ns le plus grand nombre des cas par un détritus sanguinolent, par une
couche
séro-sanguinolente où il serait bien difficile de
isseaux lymphatiques pleins de pus qui soulevaient le péritoine et la
couche
la plus superficielle du tissu de l'utérus. La li
flammation : la veine est épaissie, fragile, souvent tapissée par une
couche
blanchâtre ou grisâtre; la couche utérine qui l'e
, fragile, souvent tapissée par une couche blanchâtre ou grisâtre; la
couche
utérine qui l'environne est injectée; dans les va
isseaux ne s'affaissaient pas complètement. En coupant l'utérus par
couches
minces successives, on voyait une multitude d'ouv
seaux lymphatiques, lesquels formaient des aréoles entre les diverses
couches
de l'utérus. Les veines étaient dans l'état le pl
interne de l'utérus, les cotylédons utérins étaient recouverts d'une
couche
noirâtre pseudomembraneuse ; les veines de ces co
couverte par une membrane extrêmement mince , formée aux dépens de la
couche
la plus superficielle de la paroi postérieure de
ritoine T*F', l'autre sous le péritoine dont elle est séparée par une
couche
mince du tissu de l'utérus, T'F" ; d'autres, t f,
ppée dans l'épaisseur de la paroi antérieure, P A, et qui soulève une
couche
assez épaisse de cette paroi antérieure. La cou
efforts d'expulsion peuvent avoir pour résultat le déchirement de la
couche
qui recouvre les tumeurs ; et si de gros vaisseau
et si de gros vaisseaux se trouvent compris dans l'épaisseur de cette
couche
, une hémorrhagie mortelle peut en être la suite.
elle accoucha prématurément le 15 avril 1852. Le troisième jour des
couches
, un dévoiement cholérique, remarquable par le nom
'était point alitée et remplissait ses fonctions auprès des femmes en
couche
. Prescription : Un quart de lavem. amidon, avec
tés inférieures, aux mains et aux lèvres; point d'emaciation notable;
couche
épaisse de graisse sous la peau. L'estomac et l
verture du cadavre. Estomac sain; intestin grêle sain tapissé par une
couche
épaisse de mucosités jaunâtres ; les follicules i
oindre réaction, avec tendance manifeste à l'extinction, une femme en
couches
, qui aurait probablement résisté dans toute autre
Ecouffes, n° 20, était très bien portant le 26 avril, au soir; il se
couche
immédiatement après souper, comme de coutume. Il
résenté fig. I. pl. 1 , 14e liv. ; sa face interne est tapissée d'une
couche
épaisse de mucosité très collante, très difficile
ritonite. La surface interne de l'intestin grêle est tapissée d'une
couche
uniforme de mucosités blanches dans sa moitié sup
jectés à leur surface extérieure; leurs parois sont tapissées par une
couche
épaisse de bouillie jaunâtre, qui devient sanguin
pas une goutte de liquide, mais leur face interne était enduite d'une
couche
épaisse très adhérente de mucosités. La muqueus
ue à la matière colorante du sang; la muqueuse était tapissée par une
couche
épaisse de mucosités rougeâtres. Lorsque le cholé
lentement et qu'il ne rougissait même pas du tout, dans le cas où la
couche
superficielle ou croûte vient à se dessécher. Plu
rampent à la surface interne du ventricule, sur les corps striés, les
couches
optiques, et sur les autres points des parois ven
fin, dans certains cas, le cerveau et le cervelet sont couverts d'une
couche
de sang , dont il n'est pas toujours facile de dé
râne des deux pariétaux et de l'occipital était séparé des os par une
couche
épaisse de sang coagulé. Ce décollement, qui a qu
très distendue et bleuâtre; moelle nageant dans du sang liquide. Une
couche
mince de sang entourait le cerveau; une couche pl
s du sang liquide. Une couche mince de sang entourait le cerveau; une
couche
plus épaisse entourait le cervelet. Les poumons c
ital rapprochés avaient refoulé sur les côtés les deux pariétaux. Une
couche
mince de sang était épanchée à la base du cerveau
te. Les os et les téguments sont très injectés. Cerveau très injecté.
Couche
mince de sang autour du cerveau et du cervelet. P
ement petit ; les membranes arachnoïde et pie-mère, tapissées par une
couche
pulpeuse et grisâtre très mince, revêtaient la su
aux en volume ; 2° à peine, entre les corps striés, découvrait-on des
couches
optiques atrophiées: 3° quelques circonvolutions
et aminci était presqu'au niveau de la surface des hémisphères ; les
couches
optiques et les corps striés avaient acquis un gr
ue, M G, soulevée sur la figure avec le manche du scalpel : c'est une
couche
grisâtre , transparente, étendue sur les membrane
transparente, étendue sur les membranes pie-mère et arachnoïde. Cette
couche
est probablement le vestige du cerveau. On voit
rois piliers et le plexus choroïde droit ont été enlevés; on voit les
couches
optiques , C O, CO, qui sont très peu développées
une idée exacte de la manière dont étaient disposées les différentes
couches
du sang coagulé et de la coloration de ces couche
es les différentes couches du sang coagulé et de la coloration de ces
couches
. Il y a là le double caractère et des foyers apop
uleur lie-de-vin, épaisse, rugueuse, aréolaire, peu cohérente dans sa
couche
superficielle, cohérente et granuleuse dans sa co
hérente dans sa couche superficielle, cohérente et granuleuse dans sa
couche
profonde, qui revêt immédiatement le feuillet sér
ns le cas représenté fig. 1., la pseudo^membrane était formée de deux
couches
bien distinctes: l'une superficielle, couenneuse,
culeuse ou granuleuse,blanche, très cohérente, facile à séparer de la
couche
superficielle , mais assez intimement unie à la s
is assez intimement unie à la séreuse du cœur. Lorsqu'on sépare cette
couche
granuleuse de la membrane séreuse, on voit se déc
on que sur ce qui a trait à la péricardite. Or, la présence de deux
couches
pseudo-membraneuses d'aspect si dissemblable me p
e parait dénoter deux périodes bien distinctes dans cette maladie; la
couche
granuleuse, compacte, adhérente ou vasculaire, do
asculaire, doit évidemment remonter à une époque bien antérieure à la
couche
molle, élastique, sans cohérence, aréolaire, mame
alternatives de dilatation et de contraction du cœur, la rupture des
couches
qui enveloppent le foyer doive se faire avec la p
iques. Dans un cas de péricardite présenté à la Société anatomique la
couche
pseudo-membraneuse hérissée de végétations adhéra
aire croire à la nature tuberculeuse de cette altération. Toujours la
couche
du foie qui avoisine le foyer, présente une coule
les autres profonds, irréguliers, d'un volume inégal, entourés d'une
couche
d'un brun ardoisé, fragiles. On voyait très bien
tissu cellulaire sous-arachnoïdien, et cette pseudo-membrane ou cette
couche
purulente est quelquefois assez épaisse pour dist
tissu cellulaire sous-cutané et sont séparées du muscle droit par les
couches
les plus profondes d'une lame aponévrotique, qu'o
e. Souvent alors il ne reste du cerveau qu'un noyau représenté par la
couche
optique et le corps strié plus ou moins altéré. C
face interne. On voit le ventricule latéral VL, la face interne de la
couche
optique CO, le corps strié CS , la coupe du corps
re était un caillot sanguin décoloré, quiest figuré à part en 6'. Les
couches
concentriques de ce calcul, leurs différents tons
différents tons de coloration, l'aspect poreux d'un certain nombre de
couches
, ont été très exactement rendus. Les reins et les
du cadavre, faite 18 heures après la mort. Abdomen volumineux. Une
couche
pseudo-membraneuse fort mince, à peine adhérente
ns intestinales, et les circonvolutions intestinales entre elles. Une
couche
mince de pus existait entre le diaphragme et le f
t du rhumatisme une des affections les plus graves dont les femmes en
couche
puissent être affectées. Le rhumatisme puerpéra
lus ordinairement ce rhumatisme avec l'œdème douloureux des femmes en
couches
, lequel m'a toujours paru l'effet de la phlébite.
ure de la jambe et delà cuisse. La malade se plaint de la gorge : une
couche
pseudo-membraneuse existe en effet sur les pilier
centre de cette vaste dénudation. L'œdème douloureux des femmes en
couches
n'est pas une maladie primitive, mais bien le sym
ation et la mort, que la malade succomba, le 18 février, 31e jour des
couches
. Ouverture du cadavre. Il y avait du pus dans l
ifférentes portions de ce muscle ont participé à l'inflammation. La
couche
de tissu cellulaire interposée au jumeau J, et au
es sont d'inégales dimensions. La cavité de cette tumeur présente une
couche
stratifiée peu épaisse et cohérente, et au centre
idente une préparation qui consiste à séparer, après la section de la
couche
des fibres communes, les cavités droites des cavi
bérance annulaire. La coupe de ce tubercule GT (fig. 3') présente les
couches
concentriques qui lui donnent l'apparence d'un ca
ronchique tuberculeuse. Péricardite chronique, caractérisée par une
couche
épaisse de fausses membranes denses qui revêtent
cérébrale presque toujours altérée, ramollie, et dont on emporte une
couche
plus ou moins épaisse en enlevant le tubercule. I
ntôt non enkystés. La masse tuberculeuse est quelquefois disposée par
couches
concentriques bien distinctes, dont plusieurs son
u cerveau et du cervelet; il y en avait un dans l'épaisseur de chaque
couche
optique. Un de ces tubercules, du volume et de la
rvés 4 mois auparavant, me parurent le résultat de l'inflammation des
couches
cérébrales adjacentes. L'entorse avait été le rés
à côté de la mèche , a démontré 1° que la peau était doublée par une
couche
assez épaisse de tissu adipeux; qu'au milieu de c
dans une plus ou moins grande partie de leur longueur, à l'aide d'une
couche
très ténue et comme transparente, formée par les
ïdale, volumineuse, formée par un kyste ovarique renversé, et dont la
couche
extérieure était constituée par le placenta. Dans
emme qui fait le sujet de cette observation , après plusieurs fausses
couches
, se crut grosse; elle éprouva, au 9e mois, des do
lle mourut 32 ans après la conception. Le fœtus était couvert d'une
couche
mince de substance calcaire : il pesait 7 livres.
4 ans, devint grosse pour la seconde fois (elle avait fait une fausse
couche
la première année de son mariage). Les signes ord
rps striés ; l'autre à gauche, un peu plus volumineux en dehors de la
couche
optique. Ce dernier fo\^er communiquait avec le v
la coloration noire ardoisée cadavérique, que présente si souvent la
couche
superficielle de la rate et du foie, coloration q
usé, corrodé par une tumeur très volumineuse qui l'avait réduit à sa
couche
la plus externe, en sorte qu'il n'est pas diffici
ait comme une enveloppe corticale compacte et partout homogène. ce La
couche
extérieure divisée, on trouvait des cellules disp
ration était purement accidentelle et que le stylet avait traversé la
couche
musculaire peu épaisse qui formait le fond du foy
pour la substance grise des circonvolutions, et respectant souvent la
couche
blanche subjacente, me parait rendre un compte sa
cela dans une assez grande étendue. La coloration ne dépassait pas la
couche
la plus superficielle de ces organes. La pie-mère
vient d'être enlevée irrégulièrement par un instrument tranchant. Une
couche
celluleuse très fine, colorée en jaune, atteste l
ane formée aux dépens de la substance grise, sous laquelle existe une
couche
mince de bouillie jaunâtre. La substance blanche
a substance grise de ces circonvolutions, et qui s'étendait même à la
couche
adjacente de substance blanche. Dans l'hémisphère
blables petits foyers existaient dans le corps strié droit et dans la
couche
optique gauche. Dans l'autre cas, le sinus long
le moindre contact, l'immersion dans l'eau ont suffi pour détacher la
couche
superficielle ramollie. La substance grise du cor
toute son étendue ; d'autres fois, le ramollissement n'envahit que la
couche
la plus superficielle; d'autres fois, il attaque
n'est point altérée dans toute son épaisseur, mais seulement dans sa
couche
la plus superficielle. Les circonvolutions en p
ro-antérieur, d'an-téro-postérieur qu'il était jusque-là, derrière la
couche
optique, à l'entrée delà cavité digitale; i° un p
ance grise du corps strié droit, au niveau de la partie moyenne de la
couche
optique; 3° un petit foyer également rempli de ce
également subi un ramollissement pultacé couleur blanc-lilas, et les
couches
superficielles s'enlèvent avec les membranes. 3
ur se produire de toutes pièces; un tissu,fibreux non recouvert d'une
couche
muqueuse remplace la portion d'estomac détruite.
éas, une cicatrice UC, formée par ce dernier organe, que recouvre une
couche
de tissu fibreux lisse. La muqueuse forme tout au
vaires. Considérations et observations sur les maladies des femmes en
couches
en général et sur le typhus puerpéral en particul
er le corps des os longs ainsi atrophiés en lamelles séparées par des
couches
très minces de tissu spongieux. L'atrophie des
courts et même des os larges, se manifeste par l'amincissement de la
couche
compacte qui les revêt, et par la raréfaction de
acilité. Le corps du fémur, le corps du tibia, présentaient, sous une
couche
très mince de substance compacte, une cavité très
ent les caractères du cartilage, et enfin ceux de l'os. Ce sont « les
couches
les plus profondes des muscles qui éprouvent cett
ontinuaient avec les fibres musculaires et étaient séparées par des «
couches
de muscles. L'extrémité de ces lamelles était obt
sait non-seulement aux dépens du périoste, mais encore aux dépens des
couches
musculaires adjacentes : j'ai donc eu lieu d'être
de la surface, le tissu était spongieux et pénétré de graisse; que la
couche
fibreuse qui maintenait les fragmens réunis était
cette disparition s'opère graduellement. Les cartilages sont absorbés
couche
par couche, molécule par molécule, sans qu'ils ma
rition s'opère graduellement. Les cartilages sont absorbés couche par
couche
, molécule par molécule, sans qu'ils manifestent l
obules ne sont cartilagineux qu'à leur surface. Pour quelques-uns, la
couche
cartilagineuse est extrêmement mince, et chaque m
'est épanoui en tissu spongieux, lequel s'enfonce et se perd, par ses
couches
superficielles, dans l'épaisseur de la tumeur. Le
ractère d'organisation, et qui sont enveloppées de tous côtés par des
couches
inégalement épaisses de cartilage. Ces concrétion
ux. Les mamelons osseux de la surface apparaissent recouverts par une
couche
fibreuse mince, formée par la portion cartilagine
jâ couleur blanc-grisâtre de la surface de la tumeur,couleur due à la
couche
cartilagineuse qui la revêt; la mollesse élastiqu
-phyte} pour désigner les excroissances qui tirent leur origine de la
couche
superficielle des os, pourvu qu'on en sépare rigo
nsidérable n'éprouve pas quelque changement de texture, soit dans ses
couches
superficielles, soit dans toute son épaisseur, et
eu lieu aux dépens du système veineux appartenant au périoste et aux
couches
superficielles de l'os. Des deux exostoses que
formées aux dépens du système veineux appartenant au périoste et à la
couche
la plus superficielle de .xxie livraison. 1 L
lleure santé. Elle a eu huit enfans, dont le dernier a trois ans. Ses
couches
ont été heureuses. Depuis son enfance, elle était
est resté adhérent à l'œil. La surface de la tumeur est bosselée; une
couche
de tissu fibreux d'inégale épaisseur l'enveloppe.
pertes de substance des membranes muqueuses est fibreuse, mais que la
couche
fibreuse est tellement ténue, qu'on dirait que le
ent quelquefois à un examen superficiel, cachées qu'elles sont par la
couche
épaisse de mucus qui revêt habituellement la surf
, avait éprouvé une hématémèse. j'ai trouvé l'estomac tapissé par une
couche
épaisse de mucosités couleur de suie : la matière
it mêlée au mucus sous la forme de stries noirâtres : à travers cette
couche
épaisse de mucosités, on voyait la surface intern
ouverions la source de ce sang dans l'estomac ; et en effet, sous une
couche
épaisse de mucosité parcourue de stries noires, n
n devoir faire diminuer ce nombre. Les granulations constituaient une
couche
uniforme , et étaient tellement pressées les unes
, dures et grisâtres. Les autres follicules , moins gros, forment une
couche
épaisse, dans laquelle ils sont serrés les uns co
és les uns contre les autres et disposés, du cardia au pylore, en une
couche
continue dont la surface, ayant plus d'étendue qu
miliaires et pisiformes très nombreux et formant en quelque sorte une
couche
sur la muqueuse. « Dans le gros intestin les fo
veloppement remarquable. Sous la mâchoire inférieure, ils forment une
couche
continue allant de l'une à l'autre oreille, le lo
une phlegmasie chronique. Le péritoine pariétal était tapissé par une
couche
pseudo-membraneuse très dense, épaisse d'une ou d
evaient avec facilité. Le foie atrophié était refoulé en haut : une
couche
épaisse de pseudo-membrane, ayant la consistance
raient à leur centre un petit foyer purulent, autour duquel était une
couche
épaisse brun-ardoisé ponctuée de blanc, ce qui do
s. Ce serait en vain qu'on chercherait à les rapporter exactement aux
couches
qui recouvrent le cordon testiculaire dans l'état
ouches qui recouvrent le cordon testiculaire dans l'état naturel. Ces
couches
augmentent, diminuent, se dénaturent par suite de
t le péritoine. 4° C'est entre ces deux membranes qu'est contenue une
couche
assez épaisse de sérosité et de matière gélatinif
i-même. Sa surface, qui est muqueuse SMF, SMF, est recouverte par une
couche
pseudo-membraneuse inégale et comme rugueuse, qui
ctérisée par une pseudo-membrane au-dessous de laquelle se voyait une
couche
assez épaisse de sang coagulé qui la séparait du
estin, non moins que la tranche de la section, m'ont démontré que les
couches
celluleuses qui séparent ces tuniques étaient inf
rquable par un grand développement de graisse, laquelle occupait deux
couches
bien distinctes de tissu cellulaire : i° le tissu
éritonéal. La graisse sous-muqueuse, qui était très fine, formait une
couche
uniforme et présentait çà et là de petites masses
je n'avais pas encore eu occasion de rencontrer la graisse déposée en
couche
uniforme dans une certaine étendue du tissu cellu
de la Maternité au moins de juin 183o, le vingt-et-unième jour de ses
couches
. Voici les détails de cette observation. Lorsqu
stance qui est d'ailleurs commune à toutes les maladies des femmes en
couche
, même les plus graves; il en est qui demandent de
esque éteinte. La malade succombe le 9 juin, vingt-et-unième jour des
couches
. Ouverture. — Rien sous l'érysipèle. — Utérus :
l, il constitue quelquefois une très grave maladie'chez les femmes en
couches
. J'ai assez de faits pour être en mesure de trace
tissu. La surface libre de la membrane muqueuse est couverte d'une
couche
pseudo-mernbraneuse morcelée, blanchâtre dans la
stin sous l'aspect d'un bourrelet proéminent. Indépendamment de cette
couche
pseudo-membraneuse, les plaques agminées étaient
té, au contraire, toutes les traces d'une inflammation violente : une
couche
de matière mucoso-purulente la tapissait; couleur
ne véritable gangrène ; la membrane muqueuse était transformée en une
couche
noirâtre, épaisse, adhérente, gangreneuse : on eû
plissement de la muqueuse à la manière des valvules conniventes : une
couche
pseudomembraneuse, morcelée, recouvrait les villo
cancer se présente sous la forme ulcéreuse, et détruit successivement
couche
par couche, toutes les parties environnantes. Sou
résente sous la forme ulcéreuse, et détruit successivement couche par
couche
, toutes les parties environnantes. Souvent une in
hauteur. Cette partie dégénérée adhérait à l'utérus et au vagin : la
couche
superficielle du col de l'utérus avait participé
rande étendue; la membrane musculeuse avait même été envahie dans ses
couches
les plus profondes. La coupe de l'intestin montre
du tissu: il ne présente qu'un seul mode de destruction, l'usure par
couches
successives. Cette usure, quelquefois rapide, per
trêmement épaisses , fibreuses , et paraissaient formées de plusieurs
couches
superposées. Le tissu propre de la rate ne recouv
alocyste du foie présenté à la Société anatomique, le pus formait une
couche
épaisse autour du kyste; les parois de celui-ci é
son centre, où il touchait le diaphragme, il était recouvert par une
couche
de tissu hépatique qui allait en augmentant à mes
kyste était "fibreux, cartilagineux, parsemé de plaques calcaires. La
couche
qui le tapissait immédiatement était couleur de b
illaires d'une extrême ténuité qui apparaissent lorsqu'on absterge la
couche
crémeuse qui recouvre la surface de la section ou
termédiaire: dans d'autres points, ces foyers étaient séparés par une
couche
plus ou moins épaisse de tissu hépatique. Il y av
épaisseur variable; elles étaient évidemment formées aux dépens de la
couche
la plus superficielle du poumon. L'autre poumon
t dur. Elle est traversée par des veines volumineuses perméables. Ses
couches
superficielles ont beaucoup plus de densité et mo
miner par gangrène. Or, tantôt la gangrène envahit successivement, et
couches
par couches, l'organe cancéreux; tantôt elle atta
ngrène. Or, tantôt la gangrène envahit successivement, et couches par
couches
, l'organe cancéreux; tantôt elle attaque l'organe
hérait à la plèvre costale dans une certaine étendue, offrait dans sa
couche
superficielle une induration qui, si elle avait é
ent disséminées à diverses profondeurs; quelques-unes soulevaient les
couches
superficielles du foie, qui était bosselé à leur
biliaire plus considérable que dans le gros calcul et entourée d'une
couche
de cholestérine. Réflexions._i ° De V influence
t que plusieurs grains appliqués sur la peau. Le 11 au soir, j'incise
couche
par couche l'eschare avec une lancette et j'arriv
eurs grains appliqués sur la peau. Le 11 au soir, j'incise couche par
couche
l'eschare avec une lancette et j'arrive au foyer:
hragme et à la paroi antérieure de l'abdomen,était constituée par une
couche
hépatique mince, couche hépatique qui a dégénéré
érieure de l'abdomen,était constituée par une couche hépatique mince,
couche
hépatique qui a dégénéré en tissu fibreux dans un
, le canal cholédoque présentait une eschare formée aux dépens de sa
couche
la plus profonde. Au niveau du canal cystique, do
osseuses et cartilagineuses, contenant une matière gélatiniforme. La
couche
fibreuse qui constituait l'écorce de la tumeur ét
ses et fibreuses, remplie par un liquide lie-de-vin, tapissée par une
couche
pseudomembraneuse, épaisse, maculée de sang, orga
ouche pseudomembraneuse, épaisse, maculée de sang, organisée dans ses
couches
les plus extérieures, présentant diverses colorat
ans le doute à cet égard, le plus souvent j'ai pu reconnaître que les
couches
les plus superficielles des poumons avaient été e
c ces plaques cireuses comme ayant essentiellement leur siège dans la
couche
la plus superficielle du poumon. Des degrés insen
reux proprement dits qui affectent toujours une prédilection pour les
couches
superficielles du poumon , mais qui s'observent a
ficielles du poumon , mais qui s'observent aussi quelquefois dans les
couches
profondes. Il ne faudrait pas conclure de ce qu
t passage aux parties déplacées. Sous la peau, on trouvait : i° une
couche
de tissu adipeux, et sous cette couche, une membr
la peau, on trouvait : i° une couche de tissu adipeux, et sous cette
couche
, une membrane séreuse parfaitement transparente e
âtre, si bien qu'en enlevant la tumeur, on enlevait en même temps une
couche
de tissu cérébral. Des vaisseaux veineux très dév
e apporté à la circulation veineuse. L'œdème douloureux des femmes en
couches
présente des variétés. Lorsque la phlébite occupe
phlébite, qui n'est autre chose que l'œdème douloureux des femmes en
couches
, se termine en général d'une manière heureuse, ft
surprendra pas si on se rappelle que c'est ce centre qu'occupent les
couches
les moins cohérentes, et d'après ma manière de vo
e plus liquide au centre du caillot, je répondrai que de même que les
couches
les plus excentriques du caillot peuvent servir d
supérieure du vagin gangrenée communiquant largement avec la vessie.
Couches
cancéreuses aux limites de la gangrène. — Corps d
veloppées dans l'épaisseur des muscles, les unes dans l'épaisseur des
couches
superficielles, les autres au centre des muscles,
autres au centre des muscles, un certain nombre dans l'épaisseur des
couches
profondes. 4° Les tendons, le périoste, les syn
ant par les progrès de la dilatation veineuse et se dépouillant de la
couche
graisseuse qui la double et qui pénètre dans son
ai vu des varices ampullaires perméables au sang et tapissées par une
couche
pseudo-membraneuse jaune-orangé qui rappelle exac
, et le pied sur sa face dorsale et le long de son bord interne. La
couche
sous-épidermique de la peau, le derme lui-même ét
contrastaient avec l'injection et les extravasations sanguines de la
couche
sous-cutanée. A la cuisse le tronc de la saphène
parfaitement circonscrite. Membres inférieurs. Le sang infiltre la
couche
cutanée sous-épidermique: il infiltre le derme. L
sont séparés les uns des autres par du sang extravasé. Il y avait une
couche
de sang entre cette couche adipeuse et l'aponévro
tres par du sang extravasé. Il y avait une couche de sang entre cette
couche
adipeuse et l'aponévrose jambière. Epanchement de
muscles et dans l'épaisseur de ces muscles. On voyait, en outre, une
couche
de sang au devant du ligament interosseux. Hémo
on sanguine de tout le tissu cellulaire séreux, intermédiaire à cette
couche
adipeuse et à l'aponévrose jambière. Rien sous l'
le cartilage qui revêt la face supérieure de cet os est décollé de la
couche
osseuse subjacente , laquelle est pénétrée de san
e sang sous le périoste, et, en effet, le périoste était décollé. Une
couche
de sang très dense le séparait de la surface de l
it une gouttelette de mercure; chaque tubercule était environné d'une
couche
mince de tissu musculaire rouge et fragile. L'a
pondantes sont remplies de caillots. Ces caillots que constituent des
couches
stratifiées d'inégale consistance ne débordent nu
onsistance ne débordent nullement la surface interne de l'artère; une
couche
d'apparence organisée , parcourue de rides parall
té de cette artère jusqu'au renflement terminal, lequel est rempli de
couches
stratifiées, au milieu desquelles le sang chercha
nduré. Dans plusieurs coupes des parois du sac, on retrouve ces trois
couches
distinctes. Cette tumeur communiquant avec l'ao
ssu artériel : c'était une membrane fibro-celluleuse tapissée par une
couche
pseudo-membraneuse assez dense, ridée, plissée, m
nostiquer l'anévrysme. Déjà le sang avait pénétré entre plusieurs des
couches
de lamelles décolorées qui tapissaient immédiatem
poche, et le temps n'était pas éloigné où ce sang allait atteindre la
couche
la plus extérieure de ces lamelles, pour pénétrer
rait rendu inutile la digue contre l'impulsion du sang, formée par la
couche
de lamelles intermédiaires au sang en circulation
dhérence; la surface externe des caillots sanguins SCS présentait une
couche
brunâtre tomenteuse qui annonçait qu'un travail d
iées qui tapissent la poche. Ces concrétions étaient très denses; les
couches
les plus externes avaient une densité bien plus g
ouches les plus externes avaient une densité bien plus grande que les
couches
internes. La surface interne de la poche, formée
ur : cette fausse membrane était peu cohérente, mince, et formait une
couche
morcelée. Le cœur était très volumineux : il ét
rieure, le bord gauche, la cloison et le sommet sont tapissés par une
couche
épaisse de caillots stratifiés qui méritent de fi
es du cœur offraient divers degrés de consistance; on voyait même des
couches
de sang noir concret récemment déposé, intermédia
s couches de sang noir concret récemment déposé, intermédiaires à des
couches
denses, élastiques et décolorées, dénotant une fo
du cœur sont mises à nu, et on voit parfaitement la disposition de la
couche
superficielle de ces fibres. Une coupe du cœur
plectiques FA, FA. Sur le bord droit de la coupe, la séparation des
couches
superficielles du cœur a permis de voir que le sa
sanguines s'enlèvent avec une grande facilité, à l'exception de leur
couche
la plus extérieure qui est très dense, organisée,
i complètement séparée des parois du cœur, dont elle paraît former la
couche
la plus interne. Cette couche se voit très bien d
ois du cœur, dont elle paraît former la couche la plus interne. Cette
couche
se voit très bien dans la figure, et sur la moiti
(a) Pièce anatomique communiquée par M. Padieu, interne à Bicêtre.
couches
. La dissection attentive de la coque fibreuse dém
dans (ï) l'examen anatomique de cette plaque a montré que sous une
couche
cartilagineuse étaient des concrétions de phospha
aisse est encore plus abondante que dans ce dernier cas, et forme une
couche
plus épaisse, qui s'étend en diminuant jusqu'au-d
rement graisseux dans ses parois, sauf les colonnes charnues, sauf la
couche
mince de fibres musculaires qui les soutient, san
se rompre dans toute l'épaisseur de l'organe, mais seulement dans ses
couches
les plus internes, le sang peut s'infiltrer dans
ais jamais comme un corps capable de se pénétrer de la vie. Ainsi une
couche
de sang, interposée aux deux lèvres d'une plaie ,
bition. Si elles s'accroissent, c'est par l'application successive de
couches
nouvelles; si elles décroissent, c'est par une so
dans la préparation par laquelle on sépare les deux ventricules, une
couche
mince de la cloison appartient seule au ventricul
ation de l'oreillette et l'épaississement de ses parois, soit dans sa
couche
musculaire, soit dans sa membrane interne. Mais
miliaires que présentent les pseudo-membranes du péricarde dans leur
couche
la plus profonde, c'est-à-dire dans celle qui est
stans où le malade peut rester autrement qu'assis sur son séant,il se
couche
à droite: aussi l'iufiltration du tronc et de la
ique de l'aorte et de l'artère pulmonaire étaient recouvertes par une
couche
pseudo-membraneuse, blanchâtre, aréolaire, mamelo
ane. La surface interne du péricarde était également tapissée par une
couche
pseudo-membraneuse , mais beaucoup moins épaisse.
ins épaisse. La coupe du cœur (fig. 2) représente l'épaisseur de la
couche
pseudo-membraneuse qui recouvre cet organe. Cette
ui recouvre cet organe. Cette épaisseur est vraiment prodigieuse. Les
couches
les plus profondes sont très cohérentes ; les cou
rodigieuse. Les couches les plus profondes sont très cohérentes ; les
couches
les plus superficielles sont évidemment de nouvel
t de nouvelle formation, en sorte qu'il faut admettre ou bien que ces
couches
superficielles ont été sécrétées par les couches
ttre ou bien que ces couches superficielles ont été sécrétées par les
couches
les plus profondes, ou bien que les produits aux
les plus profondes, ou bien que les produits aux dépens desquels ces
couches
superficielles ont été formées, avaient dû traver
ces couches superficielles ont été formées, avaient dû traverser les
couches
profondes. La pseudo-membrane du péricarde présen
rane du péricarde présentait la même disposition, c'est-à-dire que la
couche
superficielle était molle et aréolaire, et que la
-dire que la couche superficielle était molle et aréolaire, et que la
couche
profonde était très dense. Les poumons, refoulé
s avant et après leur chiasma, ont été atrophiés par compression. Les
couches
optiques, et plus particulièrement les corps geno
nerfs optiques, sans lésion aucune des corps genouillés externes, des
couches
optiques, ni de quelque partie que ce soit du cer
as subi la même altération, elle offre sa disposition accoutumée. Les
couches
optiques et les tubercules quadrijumeaux sont par
, étaient frappés de pneumonie. Comme dans toutes les pneumonies, Une
couche
pseudo-membraneuse mince tapissait la plèvre et r
atrices apoplectiques, suite de la destruction presque complète de la
couche
optique, j'ai rencontré la pyramide antérieure du
travers la protubérance, et même en avant de la protubérance dans la
couche
inférieure du pédoncule antérieur. Je n'ai pas su
nfoncent dans l'épaisseur des corps res-tiformes, dont on sait que la
couche
blanche est formée par les faisceaux latéraux de
moelle, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des
couches
optiques des corps calleux, de la voûte à trois p
f. Leur circonférence est comme dentelée. Il est donc probable que la
couche
superficielle de cette substance blanche a été dé
doncule cérébral droita.VB.it éprouvé la transformation grise dans sa
couche
inférieure, c'est-à-dire dans celle qui fait suit
st-à-dire dans celle qui fait suite aux pyramides antérieures ; cette
couche
inférieure était dense, fàsciculée et semblait n'
est indurée et grise comme le ruban optique qui lui fait suite. La
couche
optique droite paraissait, au premier abord, avoi
avec attention, il m'a paru qu'il y avait seulement destruction de la
couche
blanche qui revêt la substance grise. Le corps
nt de l'épaisseur de ce corps ; plusieurs sont formées aux dépens des
couches
les plus inférieures ; telles étaient deux larges
bas et humides; elle y est accouchée et a éprouvé, à la suite de ses
couches
, un rhumatisme général dont elle a parfaitement
légie. Voici les antécédens : Mariée à dix-neuf ans, elle a eu deux
couches
fort heureuses. Son mari lui donna un écoulement,
kyste, était convertie en une poche purulente. Il restait à peine une
couche
de tissu médullaire intermédiaire à la pie-mère e
tissu médullaire intermédiaire à la pie-mère et au pus. Encore cette
couche
manquait-elle en grande partie. Il restait égalem
gauche: rien. Je trouve la source de la douleur deltoïdienne dans une
couche
purulente, située sous le deltoïde , entre ce mus
quadrijumal postérieur droit. Quelques îles ou taches grises sur la
couche
optique ; deux îles ou taches grises à la face in
itive? i° JNbn-seulement la moelle, mais encore la protubérance, la
couche
optique, les tubercules quadrijumaux, le corps ca
purulens. Cette altération est : ici superficielle, là profonde ; les
couches
purulentes qui entourent les vertèbres sont pénét
élaniques, qui ne sont autre chose que des érosions recouvertes d'une
couche
de sang noir. De ces érosions les unes sont très
es, lesquels étaient lacérés jusqu'au lieu de leur continuité avec la
couche
optique ; une très grande quantité de sang était
les : la protubérance proprement dite n'avait été entamée que dans sa
couche
la plus supérieure, et les pédoncules cérébelleux
ral de l'arachnoïde, dans la cavité même de l'arachnoïde, se voit une
couche
de sang de deux lignes d'épaisseur, moitié liquid
xité : le cerveau, le cervelet et la protubérance sont entourés d'une
couche
de sang. La protubérance (1) Observation recuei
irement, mais entièrement musculeuse, ou plutôt qui consiste dans une
couche
musculeuse, un véritable sphincter, ayant toute l
malade étant morte six ans après l'attaque, je trouvai en dehors des
couches
optiques et des corps striés, et aux dépens de ce
rnes ? un foyer celluleux cicatrisé occupant toute la longueur de ces
couches
et de ces corps; je trouvai en outre plusieurs ci
ssibilité d'articuler les sons, il y avait destruction complète de la
couche
optique gauche, et de la partie correspondante du
'à gauche, il y avait -deux é;panchemens, l'un dans l'épaisseur de la
couche
optique du côté droit, l'autre dans l'épaisseur d
ur de la couche optique du côté droit, l'autre dans l'épaisseur de la
couche
optique gauche. Enfin, la rapidité de la mort n
très superficiellement dans l'épaisseur du lobe occipital, et que la
couche
mince qui la séparait des membranes a été atrophi
rveau, et qui, dans le reste de son étendue, en était séparée par une
couche
mince de substance cérébrale. Les tubercules dont
à des vaisseaux extrêmement déliés visibles seulement à la coupe. Une
couche
mince demi transparente, appliquée sur un verre e
chute sur la tête avec perte de connaissance. Le ramollissement de la
couche
cérébrale qui environnait le premier abcès, la co
jacent aux circonvolutions du lobule ; destruction d'une partie de la
couche
optique, dont il ne reste que le tiers interne en
estruction de la niasse encéphalique, quels qu'en soient le siège, la
couche
optique, les corps striés, la protubérance, le ce
à sa surface, se voit le corps strié externe, en dedans duquel est la
couche
optique en arrière et le corps strié interne en a
s du cerveau occupe ce lobule, qui est moulé sur le corps strié et la
couche
optique, lesquels peuvent être considérés comme l
rice. Sous la membrane ventriculaire, au niveau et aux dépens de la
couche
optique", se voyait une petite cavité, traversée
traversée par des filamens celluleux et qui s'étendait, à travers la
couche
optique, jusqu'au corps strié externe, lequel éta
stance grise , des pellicules peau de chamois. Dans l'épaisseur de la
couche
optique, deux petits foyers celluleux, sans color
Ces petits foyers occupent en général la substance grise, les uns la
couche
superficielle, les autres la couche profonde de c
al la substance grise, les uns la couche superficielle, les autres la
couche
profonde de cette substance grise; les premiers s
nu après l'ablation de la pie-mère ; ceux-ci sont recouverts par une
couche
mince de substance grise, et à leur niveau, la su
nt tout-à-fait superficielles, les autres étaient recouvertes par une
couche
mince de substance cérébrale à travers la transpa
aisseur. On ne trouvait d'ecchymose ni dans le corps strié ni dans la
couche
optique. Toutes ces lésions existaient dans l'hém
atement lorsqu'on a enlevé la pie-mère; les autres recouverts par une
couche
mince de substance cérébrale. Ces petits foyers m
met de la tête. La malade mourut le soir, le vingt-et-unième jour des
couches
, le sixième jour de l'invasion de la céphalalgie.
urface du cerveau présentait des ecchymoses , qui n'occupaient que la
couche
superficielle de la substance grise. Ces ecchymos
uverture du corps. Dans la cavité de l'arachnoïde, sous la dure-mère,
couche
mince de sang coagulé, récemment épanché, qui occ
rface convexe des hémisphères cérébraux. Sous l'arachnoïde cérébrale,
couche
de sérosité de deux lignes d'épaisseur. La sérosi
idérable de cette circonvolution. Il est des foyers qui occupent la
couche
superficielle seulement de la substance grise ; i
ne apoplexie capillaire de la substance grise des circonvolutions, la
couche
optique et le corps strié étant intacts; la cicat
ite avec beaucoup de précau-sion entraîne, dans plusieurs points, une
couche
de bouillie cérébrale appartenant aux parties ram
lui donnent un aspect marbré. — Une grande anfractuosité présente la
couche
lie-de-vin foncée, ou celle de fraise écrasée, et
hères cérébraux se voit de chaque côté une grosse masse formée par la
couche
optique et le corps strié. PC sont les plexus cho
oncules antérieurs très petits. Les corps olivaires, le cervelet, les
couches
optiques et les corps striés avaient leur volume
t commencer à la lame cornée qu'on voit au sillon de séparation de la
couche
optique et du corps strié, revêtait le corps stri
uadrijumeaux,les olives, les pédoncules cérébelleux, le cervelet, les
couches
optiques et les corps striés n'avaient nullement
opsie, ne put découvrir ni corps calleux, ni ventricules latéraux, ni
couches
optiques, ni corps striés, ni tubercules quadri j
a face correspondante de la faux étaient tapissées en arrière par une
couche
purulente; renversant alors le cerveau d'avant en
entricules. Le cerveau étudié par sa base m'a présenté (fîg. 1) une
couche
de pus concret ou fausse membrane purulente FM, F
e pus concret ou fausse membrane purulente FM, FM, faisant suite à la
couche
purulente observée dans la scissure de l'hémisphè
e l'arachnoïde; la tente du cervelet était également tapissée par une
couche
de pus concret. En outre, le cerveau, incisé d'
d'odeur: le kyste purulent peut être très aisément énu-cléé, mais une
couche
de substance cérébrale ramollie est restée adhére
mplis , leurs parois xxxiiie livraison. 1 étaient tapissées par une
couche
de pus à derrîi concret, les plexus choroïdes éta
pus à derrîi concret, les plexus choroïdes étaient enveloppés par une
couche
pseudo-membraneuse. Le cerveau était verdâtre au
par laquelle le pus des ventricules s'était échappé au dehors. Cette
couche
verdâtre n'occupait que l'épaisseur de la substan
qui établit la présence d'une collection de liquide au-dessous d'une
couche
mince de substance cérébrale; et, en effet, une p
la dure-mère leur adhérait si intimement qu'on ne pouvait enlever ses
couches
superficielles. La coupe de cette tumeur avait
ependant, dans un cas, la tumeur de la dure-mère était entourée d'une
couche
de sang dont la source était une déchirure sponta
tance était celle d'un caillot sanguin décoloré, et la présence d'une
couche
épaisse de sang coagulé motivait cette manière de
estait, à proprement parler, que la substance grise, tapissée par une
couche
blanche analogue au blanc-manger et par une cellu
, comme tuberculeuse. Ses parois étaient con-« stituées par plusieurs
couches
successives. La lame externe était fibreuse; sous
hes successives. La lame externe était fibreuse; sous elle était une «
couche
calcaire. Cette matière était contenue, ajoutais-
nombre de lamelles, et atrophie de ce lobe. —Apoplexie récente de la
couche
optique gauche et de la portion attenante du corp
al proprement dit, c'est-à-dire la masse gangliforme constituée parla
couche
optique et le corps strié. Ce foyer, qui apparais
e de la membrane ventri-culaire intacte, était formé aux dépens de la
couche
optique et de la portion du corps strié située en
che optique et de la portion du corps strié située en dehors de cette
couche
optique , et qu'on appelle généralement aujourd'h
ce cérébrale adjacente, qu'on ne peut l'en séparer sans déchirure. La
couche
cérébrale adjacente est d'ailleurs d'une couleur
ou plutôt brun clair : sa consistance est moins grande cpie celle des
couches
les plus voisines : dans ces couches, j'ai trouvé
est moins grande cpie celle des couches les plus voisines : dans ces
couches
, j'ai trouvé de petites taches de sang comme dans
ce brun jaunâtre, qui s'enlève à la manière d'une pellicule mince. La
couche
cérébelleuse subjacente est d'une densité remarqu
de l'apoplexie. Le foyer sanguin récent occupait essentiellement la
couche
optique : aussi le membre supérieur du coté oppos
ille et Pinel-Grandchamp ont donc eu quelque raison de placer dans la
couche
optique le principe des mouvemens du membre supér
de cette « partie, mais peu profond et comme engorgé, obstrué par des
couches
horizontales celluleuses, occa-ce sionées sans do
grande du centre de cette excroissance, on pourrait présumer que les
couches
intérieures ont ce été formées les premières, ou
e production cornée n'a pas été accompagnée de suppuration, et qu'une
couche
cornée restait encore adhérente à la portion de p
, de même que le tronc des vieux arbres atteste, par l'altération des
couches
ligneuses, les désordres dans la végétation qui o
dit-il, l'aspect de calculs vésicaux dont l'accroissement se fait par
couches
successives, ou de squames superposées, de grande
s dans l'épaisseur des muscles, les uns faisant saillie du côté de la
couche
superficielle de ces muscles, les autres enseveli
s nerfs de la base du crâne présentaient à leur origine apparente une
couche
mince de matière tuberculeuse, irrégulièrement dé
rminer sur la portion membraneuse du canal de l'urètre. En outre, une
couche
mince de fibres musculaires comme rayonnantes, fa
manière d'une injection. Les grains glanduleux sont séparés par des
couches
musculaires extrêmement prononcées, qui font suit
ion que les fibres musculaires delà vessie, non-seulement forment une
couche
extérieure et intérieure à la prostate, mais enco
accoutumée, mais bien sur la tunique musculeuse, laquelle formait une
couche
épaisse CM, et sur la couche graisseuse CG, qui f
tunique musculeuse, laquelle formait une couche épaisse CM, et sur la
couche
graisseuse CG, qui formait une couche épaisse int
ne couche épaisse CM, et sur la couche graisseuse CG, qui formait une
couche
épaisse intermédiaire au péritoine et à la tuniqu
de l'hypertrophie de la vessie, de l'épaisseur si considérable de la
couche
musculeuse et de la couche graisseuse, de la sail
ssie, de l'épaisseur si considérable de la couche musculeuse et de la
couche
graisseuse, de la saillie des colonnes charnues e
sain. La surface interne des calices était livide et tapissée par une
couche
purulente. Les testicules étaient sains, à l'exce
ion d'urine avec regorgement. Je ferai remarquer l'hypertrophie de la
couche
graisseuse sous-péritonéale qui semble établir qu
ces lobules dans l'intérieur de la vessie. Quant à la présence d'une
couche
prostatique épaisse autour de la moitié supérieur
rsée par des fibres musculaires qui sont encore le prolongement de la
couche
musculaire de la vessie. L'épaisseur de la couche
prolongement de la couche musculaire de la vessie. L'épaisseur de la
couche
musculeuse prostatique externe et la ténuité de l
sseur de la couche musculeuse prostatique externe et la ténuité de la
couche
musculeuse prostatique interne expliquent pourquo
à l'hypertrophie de la tunique musculeuse, ne constituait ici qu'une
couche
mince. Les bosselures de la surface interne de
étroit, multiloculaires. Le tissu adipeux sous-péritonéal formait une
couche
extrêmement épaisse. J'ai rencontré un autre ca
du cadavre— Cerveau. La dure-mère incisée, je trouve , à droite , une
couche
mince de sang dans la cavité de l'arachnoïde; mai
les autres parties du cerveau étaient saines, et, en particulier, les
couches
optiques et les corps striés. Reins. Le rein dr
e défaut de circonscription du sang épanché, et par l'intégrité de la
couche
optique et du corps strié. C'est à l'irriiaiion e
ineuses; et, s'il vient des parois veineuses, il filtre à travers les
couches
les plus extérieures, qui sont en même temps les
core organisées, mais qui datent de quelques jours, sont composées de
couches
concentriques de densité différente. Or, constamm
s de couches concentriques de densité différente. Or, constamment les
couches
les plus extérieures, celles qui avoisinent la pl
mbrane séreuse, ont une densité de beaucoup plus considérable que les
couches
les plus intérieures, qui présentent, pour ainsi
mbrane et qui ont certainement été formées les dernières; comment ces
couches
les moins cohérentes, les plus intérieures, c'est
res, comment et par quoi ont-elles été sécrétées? Ce n'est pas par la
couche
pseudo-membraneuse adjacente qui est à peine disp
est à peine disposée en membrane; ce ne peut pas être non plus par la
couche
plus voisine de la séreuse que nous avons supposé
s produits de sécrétien, au lieu de se déposer entre la séreuse et la
couche
pseudo-membraneuse contiguë, filtrent à travers t
la couche pseudo-membraneuse contiguë, filtrent à travers toutes les
couches
jusqu'à la surface libre. Le même raisonnement s'
s'appliqtierait parfaitement à la fausse membrane organisée dans ses
couches
les plus extérieures. Je conclus que, pour expl
'os. Dans d'autres points, la dégénération a débuté, tantôt par les
couches
les plus superficielles de l'os : il semble alors
eux envoie des prolongemens dans l'épaisseur de l'os ; tantôt par les
couches
moyennes ou le centre du tissu compacte, où quelq
seuses sont remplacées par du tissu cancéreux; ailleurs enfin par les
couches
les plus profondes. Aux extrémités de l'os, la dé
culaire, qu'on pourrait considérer comme la peau amincie ou comme une
couche
superficielle de la peau dégénérée dans toute son
il, armé d'une loupe, distinguait, à travers la transparence de cette
couche
superficielle, des alvéoles fibreuses remplies d'
transformée en* une seule masse fibreuse et lobuleuse. Il y avait une
couche
épaisse de pus entre cette tumeur et le grand pec
du côté de la face superficielle. D'où il résulte que c'est dans ses
couches
su-perficielles que la peau avait été primitiveme
ancée, la peau, le tissu adipeux sous-cutané, la glande mammaire, les
couches
adjacentes du grand pectoral étaient transformés
ui est dune dureté pierreuse, ne fournit de suc cancéreux que dans la
couche
la plus profonde. Les tubercules carcinomateux
eau et le tissu cellulaire sous-cutané étaient seuls intéressés : une
couche
de chlorure de zinc, appliquée après vésication p
sont formées à-la-fois et par la peau et par la glande mammaire. Une
couche
mince de tissu adipeux sépare la peau de la gland
: on pourrait l'appeler gangrène par érosion. Elle peut se faire par
couches
successives; elle peut se faire en masse. i° La
souvent huit, quinze jours de retard). Treize mois après sa première
couche
, petite glande à la mamelle droite, qui augmenta
onvertir en une masse homogène, pulpeuse, qui se détruit et tombe par
couches
successives en détritus gangreneux. La transfor
portion altérée, soit d'une manière successive, en commençant par la
couche
la plus superficielle. Les fig. i et 2, pl. vi,
isinage de la muqueuse utérine, de telle façon qu'il avait soulevé la
couche
mince qui le séparait de la cavité de l'utérus po
qu'un corps fibreux développé dans l'épaisseur du col utérin sous la
couche
la plus interne de ce col, laquelle était soulevé
nt du corps de l'utérus, au voisinage de la muqueuse, est celui où la
couche
mince qui forme la coque de la tumeur du côté de
ure de la cavité utérine, je vis que sous la muqueuse doublée par une
couche
mince de tissu utérin, était une tumeur qu'il me
inage du péritoine, alors le développement de l'utérus est limité aux
couches
superficielles, c'est-à-dire à celles qui sont in
t demie de poids. La grosse tumeur était fibreuse et ossiforme : la
couche
superficielle était fibreuse ; de cette couche pa
euse et ossiforme : la couche superficielle était fibreuse ; de cette
couche
partaient des prolongemens également fibreux qui
r ostéo-fibreuse s'était formée, non sous le péritoine, mais sous les
couches
les plus superficielles de l'utérus, qui ont été
rus ne présentaient la moindre trace de dégénération cancéreuse : les
couches
du col utérin qui a voisinent la partie gangrenée
présente divers degrés : tantôt elle est bornée à la muqueuse et à la
couche
la plus voisine du tissu utérin ; d'autres fois e
éteindre la vie. Or, tantôt la gangrène détruit les tissus cancéreux
couche
par couche; tantôt elle envahit en masse les part
a vie. Or, tantôt la gangrène détruit les tissus cancéreux couche par
couche
; tantôt elle envahit en masse les parties dégénér
r qu'à la pourriture d'hôpital. Or, cette destruction des parties par
couches
successives se fait tantôt avec une grande rapidi
te deux variétés, comme la gangrène consécutive : tantôt elle détruit
couche
par couche l'utérus, dont on ne trouve plus quelq
iétés, comme la gangrène consécutive : tantôt elle détruit couche par
couche
l'utérus, dont on ne trouve plus quelquefois que
grande étendue de parties. La fig. i est le type de la gangrène par
couches
successives. Je trouve dans mes notes la descript
maculée de sang. Gangrène primitive. — Destruction de l'utérus par
couches
successives. — Mort lente. Sur une femme réputé
ché des parois du vagin qui s'était en quelque sorte continué par les
couches
superficielles de l'utérus, lesquelles étaient sé
s couches superficielles de l'utérus, lesquelles étaient séparées des
couches
plus profondes de l'organe; que l'hypertrophie de
surface correspondante du vagin lui-même, étaient recouvertes par une
couche
gangreneuse. Il n'y avait pas le plus léger ves
euse. Il n'y avait pas le plus léger vestige de tissu cancéreux. La
couche
vivante subjacente à la couche gangreneuse était
s léger vestige de tissu cancéreux. La couche vivante subjacente à la
couche
gangreneuse était pénétrée de sang et un peu ramo
ne soient exactement celles de la dégénération cancéreuse, et que les
couches
adjacentes soient simplement maculées de sang. Je
e 11 ans, et dont l'autre fournit un cas de gangrène ayant envahi les
couches
les plus internes de l'utérus en procédant du ded
naison funeste. Gangrène primitive de l'utérus ayant débuté par les
couches
les plus internes de cet organe. Gléry, âgée de
isé, j'ai vu que la cavité de cet organe était considérable , que ses
couches
internes avaient été détruites par la gangrène, q
haut et à gauche, la gangrène de l'utérus s'était propagée jusqu'aux
couches
subjacentes au péritoine, lequel n'aurait certain
ectée de gangrène humide du col utérin, laquelle s'était propagée aux
couches
les plus internes du corps de l'organe. La qual
Quant à l'état général, il varie suivant que la gangrène se fait par
couches
successives ou qu'elle envahit à-la-fois une gran
système lymphatique dont l'inflammation très fréquente à la suite des
couches
a été si souvent prise pour l'inflammation des ve
est saine.—Elle n'a eu qu'un enfant, il y a i4 ans; à la suite de ses
couches
, est survenue à la glande mammaire gauche une tum
aphragmes extrêmement remarquables. Le rein droit est entouré d'une
couche
adipeuse TA extrêmement dense, intimement unie à
ncer de cet organe; or, la gangrène, tantôt détruit successivement et
couches
par couches les parties envahies par le cancer, t
organe; or, la gangrène, tantôt détruit successivement et couches par
couches
les parties envahies par le cancer, tantôt s'empa
ène peut se reconnaître au lit du malade. Dans le cas de gangrène par
couches
successives, une fièvre intense, l'écoulement d'u
très adhérent, qui occupe la face interne de l'utérus, aux dépens des
couches
internes dont il est constitué. Existe-t-il, ho
paré du sang en circulation par une espèce de kyste que constitue une
couche
quelquefois très mince de caillot dense et décolo
douloureux, tout-à-fait semblable à l'œdème douloureux des femmes en
couches
, est presque toujours la conséquence de l'inflamm
tte dégénération avait lieu aux dépens de la membrane muqueuse et des
couches
les plus internes de cet organe. La figure i' ren
itivement la membrane muqueuse, et s'était étendu progressivement des
couches
internes du tissu utérin aux couches les plus ext
était étendu progressivement des couches internes du tissu utérin aux
couches
les plus externes; cette forme, ou plutôt ce mode
n, que le corps présentait une infiltration de suc cancéreux dans ses
couches
les plus internes, et seulement dans une partie d
ement dans une partie de la circonférence de cet organe; mais que ses
couches
externes avaient été respectées : je saisissais,
l'utérus occupant la surface interne de cet organe qu'il détruit par
couches
successives, je citerai le fait suivant. Une femm
utérus était converti en une poche à parois molles, recouvertes d'une
couche
d'eschare et de sang, et présentant un aspect rug
re et de sang, et présentant un aspect rugueux très prononcé; sous la
couche
d'eschare était une couche encéphaloïde extrêmeme
t un aspect rugueux très prononcé; sous la couche d'eschare était une
couche
encéphaloïde extrêmement vasculaire. La portion d
'est point morbide, elle est physiologique, mais un peu exagérée. Une
couche
de matière tuberculeuse est restée adhérente à la
ouche de matière tuberculeuse est restée adhérente à la muqueuse. Une
couche
de matière tuberculeuse tout-à-fait semblable est
le, 13e liv., pl. i, n, m, p. i.— Puissance d'infection des femmes en
couches
. 13e liv. pl. i, n, ni, p. 3. ACCOUCHEMENT. Phl
on involontaire des urines. Mort le cinquième jour. = Apoplexie de la
couche
optique gauche avec communication du foyerdans le
érus. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Hé-morrhagie cérébrale spontanée de la
couche
optique avec communication dans le ventricule lat
e. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la
couche
optique et de la partie postérieure du corps trié
v,p. //, i2. — Dégénération cancéreuse de la membrane muqueuse et des
couches
les plus internes de l'utérus. Rareté de ce mode
ssion involontaire des urines. Mon le cinquième jour. Apoplexie de la
couche
optique gauche avec communication du foyer dans l
côté. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Hémorrhagie cérébrale spontanée de la
couche
optique avec communication dans le ventricule lat
e. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la
couche
optique et de la partie postérieure du corps stri
d nombre de lamelles, et atrophie de ce lobe. Apoplexie récente de la
couche
optique gauche et de la portion attenante du corp
T. Terribles effets de l'encombrement des hospices pour les femmes en
couches
. 13e liv., pl. 1, 11, ni, p. 3. ENDOCARDITE. Ca
eu lieu aux dépens du système veineux appartenant au périoste et aux
couches
superficielles de l'os. 21e liv., pl. n, p. . — D
rus. = Observations. Gangrène primitive • destruction de l'utérus par
couches
successives. Mort lente. 24e liv,, pl. 1, 11, p.
1, n , p. 11. — Gangrène primitive de l'utérus, ayant débuté par les
couches
les plus internes de cet organe. 24e liv., pl. 1,
y. HÉMIPLÉGIE. Hémiplégie complète résultant d'une apoplexie de la
couche
optique. 5e liv., pl. vi, p. /, 4-—Hémiplégie inc
e liv. , pl. vi, p. 2.— Hémiplégie gauche résultant d'apoplexie de la
couche
optique et du corps strié. 5e liv., pl. vi, p. 5.
Terribles effets de l'encombrement des hospices pour les femmes en
couches
. 13e liv., pl. i, n, m, p. 3. — In- convéniens
e. 10e liv., pl. m, iv, p. 4. — De l'hydropisie aiguë des femmes en
couche
. 11e liv., pl. 1, 11, m, p. 18. — L'hydropisie es
., pl..i, n , p. i5. INFECTION. Puissance d'infeclion des femmes en
couches
. 13e liv., pl. i, n , m, p. 3. — Infection cancér
moelle, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des
couches
optiques, du corps calleux, de la voûte à trois p
quente du rhumatisme puerpéral et de l'œdème douloureux des femmes eu
couches
. 17cliv., pl. m, p. /. — L'œdème douloureux des f
eu couches. 17cliv., pl. m, p. /. — L'œdème douloureux des femmes en
couches
n'est pas une maladie primitive. 17e liv., pl. m,
eu lieu aux dépens du système veineux appartenant au périoste et aux
couches
superficielles de l'os. 21e liv., pl. n, p. — Atr
moelle, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des
couches
optiques, des corps calleux, de la voûte à trois
utérus. Observations. Gangrène primitive. Destruction de l'utérus par
couches
successives. Mortlenle. 24eliv., pl. 1,11,p. /0.—
l. 1,11, p. t /.— Gangrène primitive de l'utérus ayant débuté par les
couches
les plus internes de cet organe. 24e liv., pl. 1,
pl. n, p. a.— Degeneration cancéreuse de la membrane muqueuse et des
couches
les plus internes de l'utérus. Rareté de ce mode
pédoncule traverse d'abord un premier noyau de substance grise appelé
couche
optique ; puis un second noyau qui est le corps s
e lieu le nom d'aqueduc de Sylvius ; puis il s'abaisse entre les deux
couches
optiques, passe au-dessous d'un pont transverse q
t, le ventricule enroulé dont nous parlons est propre à la région des
couches
optiques. La commissure molle qui unit le centre
n des couches optiques. La commissure molle qui unit le centre de ces
couches
est le centre ou le noyau de cet enroulement. N
très-large, qui recouvre toute l'étendue de la région supérieure des
couches
optiques. Nous lui donnerons le nom de vestibule.
nt il pratiquait la coupe célèbre qui porte son nom. Il détachait les
couches
corticales d'avec les corps striés, et renversant
la moelle proprement dits, ou du moins elles n'émanent point de leurs
couches
superficielles. Ainsi ces cordons antérieurs écar
s de décrire, on voit qu'elles sont immédiatement enveloppées par une
couche
mince de substance blanche formée de fibres trans
le latéral, vers les faisceaux postérieurs du bulbe. Elle est appelée
couche
des fibres arciformes. Rolando a le premier fait
r affirmer l'existence d'une certaine connexion de ce nerf avec cette
couche
superficielle du pédoncule. Mais nous pensons, av
sses latérales, la protubérance n'est en aucune façon distincte de la
couche
des fibres arciformes. M. Valentin reconnaît av
me; une dissection facile permet en effet de le suivre au travers des
couches
fibreuses du pont, et en le suivant ainsi, on con
tes. Sa surface grisâtre et parfaitement définie, est revêtue par une
couche
de petites bandes fibreuses, grêles, qui, nées de
tie du noyau d'enroulement est recouverte et comme enveloppée par les
couches
propres aux hémisphères du cerveau. Une seule par
ute percée de trous, pour le passage des vaisseaux. Le bord libre des
couches
corticales de l'hémisphère la limite en avant et
de racines du nerf olfactif. Nous donnerons à cette colline le nom de
couche
du noyau d'enroulement. Ceci posé, nous pouvons
stances dans le lobe supérieur, l'une extérieure, rougeâtre forme une
couche
épaisse de 2mm50 environ, et une intérieure blanc
que nous avons signalées il n'y a qu'un instant. La première est la
couche
optique, la seconde est le corps strié. A. A la
que nous désignerons l'un et l'autre sous le nom de noyau central des
couches
optiques, communiquent entre eux, dès le cinquièm
res, très-adhérentes aux parties sous-jacentes, forment Yécorce de la
couche
optique. La lame qu'elles constituent, offre plus
ps entier (1). Les habenœ séparent nettement la face supérieure de la
couche
optique d'avec sa face médiane. II. Le second f
. II. Le second faisceau s'étale en une membrane mince autour de la
couche
optique. Ses fibres clair-semées se recourbent d'
'éventail pédonculaire. Elles composent essentiellement Vécorce de la
couche
optique. temps dans les animaux. Ces corpuscule
oisième faisceau, mieux distinct, s'enroule sur le bord externe de la
couche
optique, dans un sillon qui la sépare du corps st
êlées de beaucoup de substance ganglionnaire, entoure le centre de la
couche
optique; d'abord très-adhérente au noyau, elle s'
plus sur la grise. Ce cordon continue le mouvement d'enroulement des
couches
, et conduit en quelque sorte par la gouttière de
acile rétablit aisément le sens des choses. Quoi qu'il en soit, les
couches
optiques présentent, à leur surface, certaines pa
genouillé antérieur. L'autre, situé en arrière, mi intermédiaire à la
couche
optique proprement dite, et à la bandelette qui
me degré dans le groupe des primates et dans l'homme. B. — Après la
couche
optique, vient la deuxième grande production annu
e de massue, s'enroule sur la convexité de l'éventail en dehors de la
couche
optique, s'atténue peu à peu, descend sous forme
ervalle médian qui sépare les deux axes pédonculaires, entre les deux
couches
optiques, qu'est situé le ventricule médian. Ce v
symétrique qui recouvre fort exactement l'écorce enroulée autour des
couches
optiques. La cavité de cette dilatation communiqu
éveloppement relatif énorme, d'enroulement, adhèrent fortement à la
couche
optique et au corps strié intraventriculaire à la
epithelium. Elles sont étendues à la surface de ces corps, comme une
couche
de vernis. Mais au niveau du tœnia semicircularis
ent aux parties adjacentes, et suit le bord postérieur ou interne des
couches
optiques ; ses limites sont celles de l'écorce bl
couches optiques ; ses limites sont celles de l'écorce blanche de ces
couches
. La lèvre circonscrite est libre et bordée par
entre des eminences mamillaires. Ces deux cordons s'élèvent entre les
couches
optiques à droite et à gauche de l'infundibulum,
eur du vestibule, et, vers son milieu, l'œil plongeant entre les deux
couches
optiques, aperçoit la commissure molle, au-devant
gé dans un canal particulier et parfaitement défini (1), traverse les
couches
inférieures des corps striés, d'où il se dégage
nt, et celles qu'ils enferment. Il y a en effet des segments dans les
couches
musculaires ; et la moelle, composée elle-même pa
monter et circonscrire ainsi dans un cercle complet la commissure des
couches
optiques, et c'est ainsi que s'est formé le ventr
ps strié externe. Le corps strié interne, le tœnia semicircularis, la
couche
optique, les habenœ de la glande pinéale, suivent
. Les parois des bourses sont grises. On les désigne sous le nom de
couches
corticales. Dans les animaux supérieurs, elles so
al le bord libre de la grande ouverture en fer à cheval, contourne la
couche
du noyau d'enroulement (voir p. 57), et se porte
braux, le tuber cinereum, le chiasma des bandelettes optiques, et les
couches
inférieures des corps striés extraven-triculaires
e régions est-elle artificielle. L'hémisphère est un, il n'y a qu'une
couche
corticale, mais certains groupes de plis se dessi
n seul nerf olfactif, qui semblait naître du centre de l'une des deux
couches
optiques. Les pédoncules, les tubercules quadriju
ouverture de l'hémisphère qui adhère au noyau cérébral au devant des
couches
du corps strié extra-ventriculaire, c'est-à-dire,
cette difficulté. Les axes gris sont évidemment représentés par cette
couche
de substance grise qui touche à la paroi antérieu
nent de la face postérieure des faisceaux moyens, se dirigent sous la
couche
grise des axes, vers la ligne médiane, traversent
ond. Or, de même que les pyramides antérieures cheminaient entre deux
couches
de fibres arciformes, de même elles continuent le
à l'aqueduc de Sylvius et peut être suivi, d'une part, au centre des
couches
optiques, et de l'autre, jusqu'à la base du cerve
ns, la première aux tubercules quadrijumaux, la seconde au centre des
couches
optiques, la troisième au champ olfactif. Celle d
veloppant le pédoncule, se prolongent dans la profondeur du noyau des
couches
optiques. Leurs interstices donnent passage à des
sceaux gris qui plongent d'arrière .en avant sous le noyau gris de la
couche
optique. 11 est si marqué qu'il mérite un nom par
et du pédoncule supérieur du cervelet, s'étalent au centre de chaque
couche
optique en une cupule dont la concavité regarde l
t la concavité regarde le plan médian et embrasse les noyaux gris des
couches
. Ces noyaux gris sont en communication d'un côté
deux corps striés externes, par l'intermédiaire des noyaux gris, des
couches
optiques et de la commissure molle. Peut-être les
tement mesuré les deux moitiés du noyau cérébral, le noyau gris de la
couche
optique étant pris comme centre, on peut aisément
noyau gris compris dans l'intérieur de la cupule, à la surface des
couches
optiques, et se portent dans l'écorce blanche de
face des couches optiques, et se portent dans l'écorce blanche de ces
couches
, au niveau de leur genou antérieur, à partir duqu
e elle-même. 2° D'autres fibres, constituant en partie l'écorce des
couches
optiques, naissent de la partie la plus interne d
semble n'être qu'une dépendance, enveloppent toute la périphérie des
couches
optiques. 11 faut bien remarquer que cette écor
e la gouttière de l'anneau qui touche au corps strié inférieur. Les
couches
optiques, proprement dites, sont intermédiaires à
les précédentes, et se continuent dans les bandelettes optiques. Ces
couches
sont formées d'une bande de substance grise que p
uvent être considérées comme une dépendance de l'écorce blanche de la
couche
optique, seulement, au lieu de continuer leur mou
essous de la glande pinéale. Les parties qui s'enroulent autour des
couches
optiques, mais sans y adhérer, sont : 1° Les ba
ainsi que nous l'avons déjà dit, en suivant le sillon qui sépare la
couche
optique du corps strié interne, sillon au fond du
elles sont revêtues par un epithelium très-délicat. 3° Au delà des
couches
optiques sont les corps striés internes. Ceux-ci
irige vers les champs olfactifs, il chemine au-dessous du noyau de la
couche
optique, et après avoir passé sous les anneaux se
s d'un titre. A. Écorce grise du cervelet. Elle est formée de trois
couches
superposées dont l'épaisseur diffère. De ces troi
e de trois couches superposées dont l'épaisseur diffère. De ces trois
couches
, la superficielle est la plus épaisse, l'interméd
ficielle est la plus épaisse, l'intermédiaire est la,plus mince. La
couche
la plus profonde est formée de petites cellules d
ules sont nombreuses et très-rapprochées les unes des autres. Cette
couche
est presque entièrement opaque. La couche inter
unes des autres. Cette couche est presque entièrement opaque. La
couche
intermédiaire est transparente, elle comprend de
ct. De ces cellules sortent des prolongements qui s'enfoncent dans la
couche
superficielle. Celle-ci n'a d'analogue dans auc
éléments se continuent-ils avec les rayons des grandes cellules de la
couche
intermédiaire ? Cela peut avoir lieu quelquefois,
e. A. Structure de l'écorce des hémisphères (1). La structure des
couches
qui composent cette écorce n'est connue que depui
mes des parties qu'on y a distinguées. Fracassati supposait que les
couches
corticales résultent d'une lymphe coagulée, ce qu
r. Gennari(2), fit faire un premier pas à l'étude de la structure des
couches
corticales en distinguant dans toute leur étendue
cin distingue, dans toute l'étendue de l'écorce du cerveau, plusieurs
couches
distinctes, alternativement blanches et grises, à
tenus par M. Bail-larger. Pour ces deux auteurs l'écorce comprend six
couches
, savoir : 1° A l'extérieur, une couche blanche,
teurs l'écorce comprend six couches, savoir : 1° A l'extérieur, une
couche
blanche, fort mince, dont les fibres sont étendue
t mince, dont les fibres sont étendues à la surface du cerveau. Cette
couche
est la plus distincte de toutes, et peut être ape
mois. Sa structure la fait au premier abord reconnaître (1). 2° Une
couche
grise d'un reflet foncé, vient ensuite; 3° Puis
couche grise d'un reflet foncé, vient ensuite; 3° Puis une deuxième
couche
branche; 4° Une deuxième couche grise ; 5° Un
ent ensuite; 3° Puis une deuxième couche branche; 4° Une deuxième
couche
grise ; 5° Une troisième couche blanche ; 6°
e couche branche; 4° Une deuxième couche grise ; 5° Une troisième
couche
blanche ; 6° Une troisième couche grise. Dans
couche grise ; 5° Une troisième couche blanche ; 6° Une troisième
couche
grise. Dans la couche extérieure, et peut-être
troisième couche blanche ; 6° Une troisième couche grise. Dans la
couche
extérieure, et peut-être aussi dans la suivante,
, et ces fibres ne paraissent pas en connexion avec celles des autres
couches
. D'ailleurs, le plus ou moins de coloration de ce
des autres couches. D'ailleurs, le plus ou moins de coloration de ces
couches
, provient du plus ou moins de cellules qui sont m
es (2). M. Hannover assure qu'il a le plus distinctement vu ces six
couches
dans le cerveau et le cervelet, absolument frais
Journ. des progrès, mai 1830. (2) Recherches sur la structure de la
couche
corticale des circonvolutions du cerveau {Mémoire
int M. Hannover a été la dupe de quelque illusion, car d'une part les
couches
corticales du cervelet diffèrent absolument de ce
Or, l'application du microscope, loin de rendre cette distinction des
couches
plus apparente, la rend en réalité plus obscure,
e du cerveau. Cet anatomiste n'a distingué dans le cerveau que quatre
couches
. La plus superficielle est formée, comme l'avai
l'avait déjà vu M. Hannover, de fibres parallèles à la direction des
couches
corticales. La deuxième couche est grise, et co
ibres parallèles à la direction des couches corticales. La deuxième
couche
est grise, et contient une grande quantité de pet
et contient une grande quantité de petites cellules nerveuses. Cette
couche
est parcourue par des fibres nerveuses très-grêle
paisse, elle contient des cellules semblables à celles de la deuxième
couche
, mais beaucoup plus rares. Un grand nombre de fib
dans son épaisseur et semblent s'y terminer pour la plupart. Cette
couche
touche immédiatement à la masse blanche qui occup
ntre de l'hémisphère (1). Il n'y a donc pour M. Kôlliker que quatre
couches
, et à coup sûr le microscope lui donne raison, ma
me semble donc bien loin d'être résolu. Les éléments principaux des
couches
grises sont : 1° une cellule arrondie fort petite
e sont bien distincts; 2° des cellules à prolongements multiples. Ces
couches
sont traversées par des fibres très-déliées. Quan
s. Ces couches sont traversées par des fibres très-déliées. Quant aux
couches
blanches, elles semblent formées par des stratifi
ifications très-minces de fibres nerveuses. La mieux distincte de ces
couches
est la superficielle. En certains points les fibr
ne pouvoir donner ici une histoire plus complète, plus précise de ces
couches
. Il y a déjà bien longtemps qu'on a distingué les
152. (2) Tabulée anatomicœ. (3) Journal des progrès, mai 1830.
couches
corticales sont le siège d'un travail vital très-
ieussens. Nos bases ont été posées. Les différents départements des
couches
corticales ont été déterminés et définis. Il sera
t ces amas blancs intermédiaires aux noyaux terminaux de l'axe et aux
couches
corticales, qu'on peut comprendre sous le nom gén
stitut., mai 1854 et 4 juillet 1855- hémisphère. Elles doublent les
couches
corticales en passant sous leurs anfractuosités.
ent encore à l'hémisphère en occupe le centre, et la face interne des
couches
optiques y est visible dans toute son étendue.
de la commissure dont la tranche médiane occupe le centre même de la
couche
optique. L'étage inférieur du ventricule s'y vo
du pédoncule, on peut apercevoir une partie de la face supérieure des
couches
optiques. Le bord supérieur de l'ouverture qui
nt nous disséquons l'hémisphère. Nous soulevons en premier lieu les
couches
corticales le long du bord de l'ouverture de l'hé
ouvrons ainsi un premier plan de fibres immédiatement sous-jacent aux
couches
corticales. 1° La base de ce plan est un anneau
ette gouttière contient l'extrémité sphenoidale du repli marginal des
couches
corticales. Elle embrasse donc le fond de l'anfra
alle qui correspond à la cavité ancyroïde est, après l'ablation des
couches
corticales, exclusivement fermé par la membrane p
e du ventricule, en sorte que, chez ces animaux, la face profonde des
couches
corticales et la paroi propre du ventricule se to
percevoir, d'un seul coup d'œil, l'enroulement des bandelettes et des
couches
optiques, du taenia semicircularis et du corps st
st dans ce point que les fibres qui les composent, pénètrent dans les
couches
corticales, en sorte que le sommet des circonvolu
-dessous d'elle, puis au dedans, s'engage sous l'écorce blanche de la
couche
optique et s'enroule d'arrière en avant autour de
iocre. Il s'enroule comme à l'ordinaire sur la partie postérieure des
couches
optiques, où il se renfle en un corps genouillé e
ne bien apparent. Mais, au lieu de se prolonger en avant autour de la
couche
optique comme cela a lieu dans les monodelphes (1
rs de l'étage inférieur des deux corps striés, dans l'épaisseur d'une
couche
grise toute pénétrée de fibres qui, de l'anneau p
s-compliqué, n'est nulle part interrompu. Il double immédiatement les
couches
corticales. Ces choses sont si compliquées, qu'
nguons dans chaque hémisphère, à partir de sa face interne : 4° Les
couches
corticales de la face interne ; 2° Le système d
des commissures propres à la face externe de l'hémisphère ; 13° Les
couches
corticales de la face externe. Ces divers plans
eau. Ils se détachent de l'hémisphère immédiatement au-devant des
couches
du corps strié externe, je veux dire des champs o
neau pédonculaire, pénètrent dans leur intérieur. La partie grise des
couches
corticales du cerveau se prolonge assez loin sur
chez quelques animaux, de véritables plis. Mais partout ailleurs ces
couches
sont dans le lobe olfactif très-minces et transpa
x bien distincts de ces fibres se portent dans la substance grise des
couches
optiques et des corps genouillés externes, immédi
x plans des fibres transversales du pont, et descend au-dessous de la
couche
des fibres arciformes jusqu'au tubercule cendré d
prolongement du faisceau postérieur qui se dirige vers le centre des
couches
optiques et concourt avec lui à la formation de l
nes vont aux lobes optiques ou tubercules quadrijumeaux, d'autres aux
couches
optiques où elles se terminent peut-être; le plus
u'ait été ma persévérance, je n'ai pu aller au delà du noyau gris des
couches
optiques. C'en est assez sans doute pour affirmer
trois moyens semblables : 10 des fibres nerveuses en s'éloi-gnant des
couches
corticales pourraient, au lieu de se continuer da
l nous suffise de dire que ce centre s'accroît d'autant plus, que les
couches
corticales se plissent et grandissent davantage.
uadrijumeaux ou lobes optiques se superposeront au cerveau moyen; les
couches
optiques au cerveau intermédiaire ; les hémisphèr
es d'une déchirure dont les débris irréguliers demeurent attaches aux
couches
optiques, le long des lignes où l'on distinguera
piliers de la voûte suivent en effet le sillon qui s'étend entre les
couches
optiques et les corps striés internes, et disting
es ventricules on distinguait déjà des élévations correspondantes aux
couches
optiques et aux corps striés. Une petite lame tra
vie. Les deux moitiés de la commissure molle formaient, au centre des
couches
optiques très-saillantes à cette époque, une él
d de la grande ouverture de l'hémisphère ceignait fort exactement les
couches
optiques, et sa marge était formée par les bandel
de centrum ovale. Cette vaste poche, que tapissait intérieurement une
couche
grise fort épaisse était remplie par une masse én
. Ils formaient de véritables circonvolutions internes revêtues d'une
couche
grise épaisse, dont l'existence coïncide avec l'e
istence coïncide avec l'expansion primitive du plexus choroïde. Cette
couche
grise interne et ses circonvolutions s'atrophient
ses circonvolutions s'atrophient et s'effacent quand apparaissent les
couches
corticales et les circonvolutions externes. Il y
oint cette couleur blanche qui la distingue dans l'adulte ; quant aux
couches
corticales, elles n'ont point acquis la teinte fo
font ainsi des progrès, ils « s'étendent sur les corps cannelés, les
couches
optiques, les « tubercules quadrijumeaux et le ce
imaux dont nous parlons, les dimensions réduites de l'âge adulte. Les
couches
corticales sont à peine distinctes dans le premie
veau plus plissé que les petits. Il est certain, par exemple, que les
couches
corticales du Bœuf sont plus plissées que celles
petit que celui du Mouton, il ne s'ensuit pas rigoureusement que les
couches
corticales de celui-ci soient, eu égard à sa tail
s cérébraux étant semblables dans l'un et dans l'autre, l'étendue des
couches
corticales du premier serait à celle des couches
autre, l'étendue des couches corticales du premier serait à celle des
couches
corticales du second : : 1 : 4. Mais il est trè
cérébraux étant supposés semblables dans l'un et l'autre cerveau, les
couches
corticales du petit seraient à celles du grand :
al aurait, eu égard à sa taille, deux fois plus (ou peu s'en faut) de
couches
corticales que le plus grand. Ainsi, pour que la
e; ses bords, du moins chez l'adulte, suivent le sillon qui sépare la
couche
optique du corps strié jusqu'à l'extrémité de la
is qui partout ailleurs est libre à sa face externe et revêtu par une
couche
de cellules épithéliales, semblables à celles qui
ieur du corps rhom-boïdal. Quant aux artères qui pénètrent dans les
couches
corticales, elles sont fort déliées et forment, d
(1) Icônes, Analom. Fasc, I, Tab. 1 et 2. grande vascularitô des
couches
corticales suffirait pour indiquer qu'elles sont
te une portion de la voûte crânienne, et la bande flexueuse A' B', la
couche
des circonvolutions. Dans ces conditions, consi
ne confirmation en montrant par des expériences très-délicates qu'une
couche
mince de substance grise intermédiaire aux deux s
. On peut soustraire dans un animal le cerveau, les corps striés, les
couches
optiques, le cervelet et les tubercules quadrijum
es de la vraie structure de la moelle allongée, des pédoncules et des
couches
optiques, les explications les plus ingénieuses n
y a pas de moins grandes divergences. Les anciens plaçaient dans la
couche
optique l'origine des nerfs de ce nom, ce que bea
ns sont également exagérées. Nous avons distingué plus haut dans la
couche
optique trois éléments distincts, savoir : 1° son
ans l'homme le plus grand nombre de ces fibres s'enroule autour de la
couche
optique pour se répandre dans le centre ovale de
de Vieussens. Ainsi l'anatomie oblige d'admettre qu'en détruisant la
couche
optique dans l'homme et dans les singes, on anéan
gression sont encore possibles chez les mammifères. Mais si l'une des
couches
optiques est détruite, l'animal tombe sur le côté
s fonctions des corps striés ne sont pas mieux connues que celles des
couches
optiques. M. Magendie imagina de les détruire par
diations blanches de la couronne de Reil (1) M. Serres admet que la
couche
optique est l'excitateur de la vue dans l'homme e
e par leurs radiations dans les lobes antérieurs du cerveau. Ainsi la
couche
optique et les lobes postérieurs du cerveau prési
es, accepte et soutient l'opinion de Saucerotte. Les radiations de la
couche
optique sont excitateurs des mouvements des membr
'influence qu'ils exercent sur les mouvements. Quand on attaque leurs
couches
profondes, il se produit des convulsions, et l'an
de l'espèce. La part lumineuse est séparée du sang par l'action des
couches
encéphaliques; de là, elle rayonne dans les centr
ns l'huile elle ne distingue l'oléagineux. En effet, des corps qu'une
couche
intermédiaire d'eau fait adhérer n'adhèrent plus
qu'on touche est plus poli. Quand une surface brunie et enduite d'une
couche
d'huile glisse sur une portion de la couche des d
e brunie et enduite d'une couche d'huile glisse sur une portion de la
couche
des doigts circonscrite par un petit cadre de bau
près s'être recueilli, prenant cette vision pour un vain songe, il se
couche
et se rendort. A peine endormi le fantôme apparaî
elles qui composent le centre ovale. C'est en effet par elles que les
couches
corticales entrent en relation avec le corps. L'e
re que nous sentons, que nous voyons, que nous entendons. Si donc les
couches
corticales sont capables d'affecter sympathi- (
ce cas évidemment, la cause qui détruit l'équilibre agit, ou sur les
couches
corticales, ou sur. les fibres qui composent le c
tante question. M. Piédagnel avait été appelé auprès d'une femme en
couches
. Le travail n'avançait pas, et on ne pouvait juge
la masse totale de l'encéphale, mais de celle du centre ovale et des
couches
corticales plissées autour de ce centre; plus le
un peut être grand par son noyau, l'autre par le développement de ses
couches
corticales. Or, plus la moelle et le noyau sont g
pport avec le développement des nerfs extérieurs, mais avec celui des
couches
corticales. Elle s'accrott donc, non en raison de
que, chez les mammifères, outre les tubercules quadri- jumeaux, les
couches
optiques, etc., « les faisceaux de fibres issus
nt qu'une lésion inté- ressant les faisceaux qui, du pulvinar de la
couche
optique, viennent s'épanouir dans les « circonv
oeil, hypertrophie qui s'était étendue, toujours du même côté, à la
couche
optique, au corps ge- nouillé externe et aux tu
ules quadrijumeaux antérieurs, des corps genouillés externes, de la
couche
optique, et des faisceaux qui s'irradient dans
estitution a lieu par les ganglions de labase, c'est-à-dire par les
couches
optiques et les tubercules quadrijumeaux. Or le
our siège, en dehors des hémisphères cérébraux, le mésocéphale, les
couches
optiques, les tubercules quadrijumeaux, etc., v
oit aux centres secondaires de la base (tubercules quadrijumeaux et
couches
optiques). Sans parler ici des cliniciens allem
bercules quadrijumeaux ni des corps genouillés, du pulvinar de la
couche
optique, du lobule pariétal inférieur, etc., n'
en neutralisent une fraction. La pression subsistante condense les
couches
placées au-dessous des premières, mais elle épr
pression extérieure qui a pu se propager jusqu'à lui à travers les
couches
les plus superficielles. Il en résulte que les
'extérieur est faible; diminution du calibre des vaisseaux dans les
couches
superfi- cielles où la pression extérieure est
guée des yeux. Celle déviation s'obtient soit après avoir enlevé la
couche
corticale, soit par des électrodes isolés, intr
le lobe pariétal au tronc, ont subi une telle dégénérescence que la
couche
optique droite est atrophiée de plus de moitié
be occipital et le lobe temporal sont demeurés presque intacts. l.a
couche
optique droite est coquillée et mame- lonnée, l
aisceaux directs dans le pied du pédoncule; c'est au pulvinar de la
couche
optique et aux ganglions de la bandelette optiq
t il est possible de se retrou- ver assez bien dans les différentes
couches
de la subs- tance grise, surtout si l'on emploi
le second perpendiculaire au premier. Dans le pre- mier plan, les
couches
sont étagées au nombre de cinq, d'après le sché
s le résumons ici d'après la psychia- trie de Meynert, que les cinq
couches
de l'écorce sont les suivantes : La première co
coup sûr dans les cas de méningo-encéphalite avec adhérences. Cette
couche
est, surtout chez les jeunes sujets, séparée de
urs de même dans les faits que nous avons regardés. Celle-ci est la
couche
des petites cellules pyramidales qui sont serré
sont serrées, à pointe dirigée vers la surface corticale. Dans la
couche
suivante, les cellules pyramidales sont moyenne
les faisceaux de fibres de la couronne de Reil qui vont jusqu'à la
couche
supérieure s'inter- posent entre elles et les s
posent entre elles et les séparent. Ces éléments font place à une
couche
distincte, celle des grandes cellules 182 ANATO
s, mais existant dans toute l'écorce. Meynert ne fait qu'une même
couche
de la zone des cellules pyrami- dates moyennes
s'accroît encore dans le lobe occi- pital par l'interposition d'une
couche
de cellules. Puis viennent les quatrième et cin
d'une couche de cellules. Puis viennent les quatrième et cinquième
couches
de Meynert que l'on peut facilement réunir en u
n'ont pas encore été comme les cellules correspondantes de la même
couche
du cer- velet divisées en deux espèces, c'est l
de la même couche du cer- velet divisées en deux espèces, c'est la
couche
grau- .leuse ; à sa partie inférieure des éléme
se DE LA SUBSTANCE GRISE. 183 divisent, au niveau de la cinquième
couche
, comme ceux d'un goupillon d'église, et montent
upillon d'église, et montent en s'amincis- sant jusqu'à la deuxième
couche
. Ils forment autant de colonnes fibrillaires qu
rangées les unes au-dessus des autres et se continuant jusqu'à la
couche
des petites cellules pyramidales. Dans les couc
uant jusqu'à la couche des petites cellules pyramidales. Dans les
couches
superficielles, les capillaires pénétrant per-
t une diminution des faisceaux blancs, soit un morcel- lement des
couches
, par un développement exagéré des capillaires p
ur forme pyramidale et des prolongements nets. En somme, les cinq
couches
de la substance grise ne présentent pas des lésio
rise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq
couches
; la vascularisation est exa- gérée ;. les capil
des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans les
couches
moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la
veuses, surtout dans la couche' de petites cellules pyramidales (2°
couche
de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les
montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
couches
reconnaissables. Il existe un certain nombre de
la substance blanche, comprennent en général les trois premières
couches
de l'écorce. On les trouve dans la plupart des ce
u côté gauche, on trouve une raréfaction des éléments nerveux de la
couche
des myélocytes, et un certain degré de fibrilla
es de faire la distinction entre les deux espèces de cellules de la
couche
granuleuse. (A suivre.) PATHOLOGIE MENTALE
imaux. Lorsque la réaction est terminée, l'alcool se sépare en deux
couches
; la couche inférieure se prend le plus souvent
la réaction est terminée, l'alcool se sépare en deux couches; la
couche
inférieure se prend le plus souvent en masse par
sés, et que la lésion centrale avait probablement son siège dans la
couche
optique et dans d'autres parties des ganglions
XVII, p. 92. 300 SOCIÉTÉS SAVANTES. pèce, ni la multiplicité des
couches
, ni leur gravité, ni les irré- gularités de la
trois enfants bien constitués, sa femme n'a pas fait de fausses-
couches
. En juillet 1881, sans prodromes, il est pris b
bout de quinze mois. Elle fait ensuite successivement cinq fausses
couches
, de deux, trois, trois et demi et quatre mois.
ois et demi et quatre mois. C'est ci la suite de la dernière fausse
couche
, il y a un an à peu près, qu'a débuté l'affection
épressive, physique autant que morale, d'une succes- sion rapide de
couches
malheureuses, dont la mort du dernier enfant a
nt visibles,, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la
couche
superficielle de névroglie a son épaisseur norm
peu plus abondants que chez un enfant sain du mime âge. La seconde
couche
, celle des petites cellules pyramidales, présente
n ne retrouve pas à un faible grossissement l'aspect connu de celte
couche
, et qu'il en faut chercher les élé- ments. Dans
lte couche, et qu'il en faut chercher les élé- ments. Dans les deux
couches
suivantes, couche des cellules pyra- midales mo
l en faut chercher les élé- ments. Dans les deux couches suivantes,
couche
des cellules pyra- midales moyennes et couche d
ux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales moyennes et
couche
des grosses cellules, on observe vu la grosseur
de cellules de cartilage. Les cellules situées à la limite des deux
couches
intermédiaires, aux grandes cellules pyramidale
une altération dont on retrouve des états différents sur toutes les
couches
. Elles sont d'abord gonflées, hyalines, avec une
des groupes de cellules à autre état. Les capillaires dans ces deux
couches
sont ramifiés et dilatés, mais leur développe-
et dilatés, mais leur développe- ment n'est pas excessif. Dans la
couche
suivante de la substance grise et dans la subs-
u centre à la périphérie. En effet, si nous reprenons l'étude des
couches
en sens inverse, nous voyons d'abord la substance
présentant les figures connues sous le nom d'éléments araignées. La
couche
intermédiaire, couche des fibres arquées, et la
connues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermédiaire,
couche
des fibres arquées, et la couche des grandes ce
raignées. La couche intermédiaire, couche des fibres arquées, et la
couche
des grandes cellules pyramidales ne se com- pos
dants avec de nombreuses cellules interstitielles, et c'est dans la
couche
des cellules pyramidales moyennes que l'on retr
uer. Au-dessus, la sérialion des cellules a tout à fait disparu. La
couche
la plus superficielle de la substance grise a é
ce de l'hémisphère; quelques foyers opaques, peu abondants dans les
couches
superficielles. Dans les inférieures, rareté de
uver une cellule nettement triangulaire dans n'importe laquelle des
couches
de la substance grise. - Coupe au niveau du lob
on est plus marquée et morcelle le tissu. La première et la seconde
couche
ne se peu- vent distinguer, il n'y a pas de tra
r les élé- ments sphériques est nettement accusée. Les cellules des
couches
profondes sont groupées par petits îlots, comme
aux essences et montées au baume de Canada. Dans le cervelet, la
couche
névroglique est très aplatie, son- réseau se vo
être assez abondant, à en juger par les vacuoles que présente cette
couche
. Les cellules de Purkinje sont rares et très es
unes des autres. Les myélocites sont aussi très peu serrés dans la
couche
suivante. Il existe quelques corps granuleux da
c. Examen IIISTOLOGIQUE. -Coupes du lobe paracentral droit. - Les
couches
de la substance grise ne sont pas distinctes les
opaques, plus abon- dants en noyaux, dans la première et la seconde
couche
. Sur quelques-uns on voit nettement un vaisseau
s de cellules rondes sont abondants entre la première et la seconde
couche
, constituant le premier degré de l'altération e
araissant plus épaisse que celle qui l'entoure dans l'épaisseur des
couches
, on peut voir ça et là quelques rares cel- lule
ls éléments. caractéristiques que l'on retrouve dans la hauteur des
couches
. La substance blanche présente une grande quant
comparer les deux états, la limite 'entre la première et la seconde
couche
de l'écorce est - toujours très marquée, celle-
éléments - vont seulement diminuant de nombre vers la qua- trième
couche
de cellules de l'écorce grise : Observation VI.
- tale droite. Vascularisation rameuse très développée dans les .
couches
superficielles de la substance grise; beaucoup de
xamen IIISTOLOGIQLE. - Coiipes du lobe frontal droit. La pre- mière
couche
est très réduite, composée d'un réticulum fin où
un réticulum fin où les ^noyaux de cellules sont rares. Entre cette
couche
et la seconde existe une bande sombre, régnant
, visibles à l'oeil nu par transparence. Cette bande empiète sur la
couche
des petites cel- lules pyramidales qu'elle remp
'elle remplace par endroits entièrement, débordant sur la troisième
couche
de l'écorce. C'est une nappe uniforme composée
ment des circonvolutions. La limite entre la première et la seconde
couche
de l'écorce n'est pas nette; il existe là une ban
st pas nette; il existe là une bande diffuse intermédiaire aux deux
couches
et riche en noyaux. Mais elle est beaucoup moin
petites cellules rondes dans les colonnettes cellulaires, entre la
couche
des cellules moyennes et la couche des grandes
olonnettes cellulaires, entre la couche des cellules moyennes et la
couche
des grandes cellules, se voit nettement. Les ce
t que le tissu pathologique siège entre la première et la troisième
couche
de l'écorce, LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE.. 34
tion des éléments parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie des
couches
et les atrophie d'une façon inégale, puisque se
ise en nappe, toujours au même point, au niveau des trois premières
couches
et présente à ce niveau trois ordres de lésions
oyers d'inégal volume, ayant ce même aspect plus accusé encore. Les
couches
suivantes sont infiltrées d'un grand nombre de
e vascularisation ; l'espace comprenant la deuxième et la troisième
couche
des cellules de la substance grise présente de
che sont parsemées de corps amyloïdes. L'infiltration de toutes les
couches
par de petites cellules est assez marquée. Les
vé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première
couche
de la .substance grise est confondue avec la se
s sclé- reuses larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième
couche
de la substance grise, celle des petites cellul
es et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux
couches
qui les contiennent par des bandes conjonctives q
t un bord dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première
couche
de subs- tance grise est épaissie, fibrillaire
rise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. La troi- sième
couche
, celle des grandes cellules, ne présente que des
trame névroglique granuleuse. Mais la vascularisation exagérée des
couches
corticales moyennes et la formation de bandes d
u grand épiploon réticulé de certains ron- geurs. En même temps, la
couche
corticale qui recouvre ce tissu aréolaire s'ami
ions expliquent l'état chagriné qui résulte de l'effondre- ment des
couches
moyennes de la substance grise et l'état kystique
eu d'être disposées en séries verticales comme à l'état normal. Les
couches
suivantes de la substance grise et la substance
rtance est conservée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la
couche
la plus profonde de la substance grise où elle
d'indiquer. Cervelet droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses.
Couche
LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 349 externe et
nombreuses. Couche LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 349 externe et
couche
des myélocytes normales. On retrouve un certain
lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième
couche
de la substance grise et on peut leur distinguer
ie tardive. Coupes du para, central gauche. - Les trois premières
couches
de l'écorce sont partout envahies et modifiées, l
aspect finement vacuolaire du tissu, c'est au niveau de la seconde
couche
que cet aspect est le plus marqué. Les trois co
u de la seconde couche que cet aspect est le plus marqué. Les trois
couches
ainsi envahies sont parsemées de noyaux petits.
superficielle, ne se distingue plus. Au-dessous de cette bande, la
couche
des grandes cellules pyramidales se retrouve, mai
circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des premières
couches
de l'écorce sont comparables, mais beaucoup moi
ordonnance des séries longitudinales et prenant les trois premières
couches
. Elles ne sont pas au contact les unes des autr
and nombre de petits foyers de couleur ocreuse, recouverts par la
couche
la plus superficielle du cerveau, sous la forme d
sque et for- mant une vaste bande entre la première et la troisième
couches
de la substance grise, et comprenant ainsi la m
pas disposées en séries, mais dispersées et globuleuses. Celles des
couches
profondes sont allongées, gra- nuleuses et fort
se restante. Cette paroi est composée de dehors en dedans, de trois
couches
: la plus superficielle, mince et homogène, for
ts, s'amincit aux points extrêmes de la lésion et disparaît dans la
couche
superfi- cielle de la substance grise normale.
i- cielle de la substance grise normale. Au-dessous, apparaît une
couche
de deux à trois fois plus épaisse. Cette couche e
ssous, apparaît une couche de deux à trois fois plus épaisse. Cette
couche
est compo- sée surtout de cellules rondes assez
brilles convergent en bas par des faisceaux distincts. La troisième
couche
est occupée par ces faisceaux et un certain nom
paroi, ainsi constituée sur les parties latérales, on voit que les
couches
se perdent successive- ment dans la couche exte
érales, on voit que les couches se perdent successive- ment dans la
couche
externe névroglique de la substance grise; c'es
e externe névroglique de la substance grise; c'est donc entre cette
couche
externe et la deuxième couche de Meynert que s'
bstance grise; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième
couche
de Meynert que s'est opérée la scissure qui a d
ce grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouverte par une
couche
fibrillaire névroglique. Au-dessous, elle se mo
u foyer sont moins avancées, quoi- que très étendues. La première
couche
, couche névroglique de Meynert, est très mince,
sont moins avancées, quoi- que très étendues. La première couche,
couche
névroglique de Meynert, est très mince, avec de
t raréfiée, qui forment autant d'espaces clairs. Dans la deuxième
couche
, celle des petites cellules pyramidales, on voi
rts normaux sont détruits et leur nombre diminué. Dans la troisième
couche
, celle des cellules moyennes, on voit les colon-
la cellule. Le prolongement inférieur est le plus distinct. Dans la
couche
suivante des grandes cellules, les altérations
s qui vont former la substance grise, on voit, de plus que dans les
couches
précédentes, un assez grand nombre de noyaux de
ut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la
couche
de névroglie est fibrillaire dans le sens longi
peut pourtant suivre très loin les prolongements de la plupart. La
couche
des cellules névrogliques n'offre rien de particu
ent en un point de celles que nous venons de voir; c'est dans les
couches
les plus profondes de la substance grise, et mê
- sions des fibres conductrices. Les fibres fines à myéline de la
couche
superficielle des circonvolutions, les fibres a
en passant sous le vallon intermédiaire, le réseau qui occupe la
couche
la plus profonde de la substance grise, enfin l
anastomosés, et remanient complètement le plan des trois premières
couches
de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissables (B)
n (B). La limite 360 PHYSIOLOGIE. entre la première et la seconde
couche
de l'écorce, très nette d'ordinaire, ' est ici
foyer sclereux, irrégulier, comprenant la seconde et la troi- sième
couche
de la substance grise (A) et donnant il la surfac
nhaute). Tout autour les vaisseaux sont dilatés et la sériation des
couches
est troublée et méconnaissable (picro- carmin,
ction (A) et la vascularisation déve- loppée jusqu'au niveau de ces
couches
(hématoxyline, baume de Canada). PHYSIOLOGIE
entre ovale dans le noyau leiitieu- 1 Pour Lussana et Lemoigne, les
couches
optiques seraient des centres d'innervation mot
t au contraire en rapport avec le corps strie. Le développement des
couches
optiques chez l'homme correspondrait au degré e
us parlerons, sur la structure histologique des corps striés et des
couches
optiques, il résulte que les corps striés aurai
téressé en même temps la capsule interne, le noyau lenticulaire, la
couche
op- tique. Il n'y aurait donc pas lieu d'attrib
ses grises situées profondément dans le cerveau, probablement les
couches
optiques'. » ' ' Bechtft'ew. P ? 0 ? <' de s
dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf des accidents suite de fausses
couches
. [Père, disparu en 1870, boulanger; nombreux ex
son passage. Il paraît qu'il voyait un chien rouge. 21 août. -Il se
couche
à 6 heures et demie ou 7 heures. Le plus souven
attaque. 11 n'a pas poussé de cris. Tout le corps est rigide. On le
couche
sur le parquet et presque aussitôt, sans avoir
ieur, d'une structure extraordinairement simple, des amphibies; une
couche
interne composée de cellules, une couche extern
simple, des amphibies; une couche interne composée de cellules, une
couche
externe constituée par des fibres et de la névr
olution de la corne d'Ammon, se révèle, chez les amphibies, par une
couche
- externe comprenautdeux groupes distincts de c
orce du manteau n'a pas progressé. C'est chez les mammifères que la
couche
corticale, en- score si incomplète chez les rep
réséqué les hémisphères, le corps strié, le noyau lenticulaire, la
couche
optique, les tuber- cules quadrijumeaux. L'aute
r la capsule interne. 2° L'excitation mécanique superficielle de la
couche
optique reste inaclive, de même que l'excitatio
rieure - patte postérieure. Faisons passer une section à travers la
couche
optique dans le plan antérieur nous obtenons un
qui figurent la marche et la course. Par conséquent, la région des
couches
optiques et des tubercules quadrijumeaux antéri
ide, au moins comme station de renforcement. La région qn'occupe la
couche
inférieure du noyau de Deilers (iéseau de fibre
anastomosés, et remanient complètement le plan des tiois premières
couches
de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissables (B)
he de désintégration (B). La limite entre la première et la seconde
couche
de l'écorce, très nette d'ordinaire, est ici co
foyer scléreux, irrégulier, comprenant la seconde et la troi- sième
couche
de la substance grise (A) et donnant à la surface
baute). Tout autour, les vaisseaux sont dilatés et la sériation des
couches
est troublée et méconnaissable (picro- carmin,
tion (A) et la vascularisation déve- loppée jusqu'au 111\eau de ces
couches
(ltbmatuyliue, baume de Canada). KvrCUl, Ch.
ont en rapport avec la peau, mais seulement par l'intermédiaire d'une
couche
de tissu cellulaire fibreux à larges mailles, qui
l, les radiales, basilique et cépha-lique au membre thoracique. Cette
couche
fibro-celluleuse sous-cutanée, renferme dans ses
qu'une exsudation du sang que renferment ces vaisseaux , C'est cette
couche
qui a reçu le nom impropre de jacia superficialis
s supportent les vaisseaux. Ainsi, dans la profondeur des membres, la
couche
cellulo-vasculaire commune se trouve reproduite,
vasculaire commune se trouve reproduite, en dégradant d'épaisseur par
couches
successives. De fortes cloisons tendues en rayonn
ampent les gros vaisseaux. A leur surface elles sont tapissées par la
couche
celluleuse des vaisseaux secondaires, dont la dis
faite plus haut, qu'elles sont tapissées à leur surface libre par la
couche
cellulo-vasculaire, qui n'est que la répétition d
enveloppe des os, est en rapport, par sa surface extérieure, avec les
couches
musculaires profondes; dans beaucoup de lieux il
isseaux sanguins destinés «à la nutrition de l'os dont ils forment la
couche
vasculaire extérieure, sorte d'intermédiaire de l
ement définie M. de Blainville, représente la peau extérieure dans sa
couche
dermique amincie, avec un réseau vas-culaire beau
rface profonde, les membranes muqueuses, comme la peau, adhèrent à la
couche
musculaire qui leur est propre par un tissu cellu
au. Au-delà se présente comme à la peau, mais beaucoup plus mince, la
couche
musculaire revêtue, comme dernière enveloppe, de
ités : la bouche, le pharynx, et l'œsophage, elle est protégée par la
couche
épidermique, très mince, dite épithé-lium. Dans s
es ou du rectum, cette membrane est molle, onctueuse, n'adhérant à la
couche
musculaire que par un tissu cellulaire très lâche
exes, quant à sa portion vésicale. Elle est molle, peu adhérente à la
couche
musculaire, et forme, à l'état de demi-réplétion,
surface. Elle est composée d'un tissu fibreux, le derme, revêtu d'une
couche
celluleuse garnie d'un grand nombre de vaisseaux
s et de papilles nerveuses, et imprégnée d'un pigmentum coloré. Cette
couche
perspirable et sensible, dite le réseau muqueux,
it sécrété, [épi-derme. Par sa face interne la peau est séparée de la
couche
musculaire ou aponévrotique sous-jacente, parle t
habituelles qu'elle subit : c'est ainsi que, par la superposition des
couches
épidermiques, elle prend une consistance cornée a
ouches épidermiques, elle prend une consistance cornée au talon, à la
couche
sous-métatarsienne, et à la main, dans certaines
de la superficie vers la profondeur, donne pour élément la peau , la
couche
cellulo-vas-culaire sous-cutanée, et l'aponévrose
e de nutrition, le troisième de contention. Au-dessous se présente la
couche
musculaire, dont le degré de complication est en
en raison directe de la multiplicité des mouvemens. Dans l'homme, la
couche
musculaire n'est simple que dans un petit nombre
s, les régions dorsales de la main et du pied. Partout ailleurs cette
couche
est multiple et composée de deux ou trois plans d
s, qui font de plus l'office d'un squelette flexible. Au thorax, la
couche
osseuse profonde est représentée par les côtes do
ar les aponévroses et le feuillet sous-péritonéal. Enfin au crâne, la
couche
musculaire mince est immédiatement appliquée sur
crâne, la couche musculaire mince est immédiatement appliquée sur la
couche
osseuse, elle-même étalée en membrane pour circon
cialités fonctionnelles , les mêmes parties composantes : ainsi, à la
couche
dermique, correspond la membrane muqueuse, à la c
: ainsi, à la couche dermique, correspond la membrane muqueuse, à la
couche
cellulo-vasculaire sous-cutanée, le tissu analogu
anée, le tissu analogue sous-muqueux ; puis viennent l'une et l'autre
couches
musculaires revêtues de chaque côté par le feuill
de la face. Crâne. La grande cavité encéphalique est formée par la
couche
osseuse, étalée en membrane, et circonscrivant un
xtérieurement le crâne, outre son périoste, est doublé par la mince
couche
musculaire de l'occipito-frontal, la couche cellu
est doublé par la mince couche musculaire de l'occipito-frontal, la
couche
cellulo-vasculaire sous-cutanée et la peau. Fac
et en dedans par la racine du nez. Au devant elle est protégée par la
couche
musculaire et cutanée des paupières et de leurs c
es fosses nasales, protégées latéralement par les os eux-mêmes et les
couches
musculaires et dermiques ; elles sont isolées par
c osseux du maxillaire inférieur, elle est fermée latéralement par la
couche
der-niomusculaire des joues, et communique au-deh
halo-pharyngienne. Au-dessous de l'os hyoïde se présentent, par trois
couches
superposées, les loges des muscles abaisseurs de
olongement rachidien, environnée, latéralement et en arrière, par les
couches
musculaires qui s'insèrent à ses tubercules apoph
eux axillaires, épaisse sur les épaules et à la région dorsale. 2° La
couche
vasculaire et adipeuse sous-cutanée, ou le fascia
réquemment d'une énorme quantité de graisse; à la région inguinale la
couche
cellulo-vasculaire sous-cutanée est remarquable p
aux sanguins sous-cutanés, les lymphatiques et leurs ganglions. 3° La
couche
musculaire est formée,dans la circonférence de l'
une épaisseur et une densité considérables, et se revêt de nombreuses
couches
épider-miques. (Ex : le talon et le coussinet sou
e mêle avec le périoste , qu'elle recouvre néanmoins par une première
couche
de fibres entre croisées. Dans la profondeur du m
des extenseurs du talon, d'un volume considérable, est formé de deux
couches
superposées : sous l'aponévrose, et dans la moiti
par la voûte osseuse du taise et du métatarse, interposée entre deux
couches
musculaires. A la face dorsale , une seule loge e
neuses divergentes qui s'épanouissent sur la face dorsale du pied. La
couche
musculaire sous-plantaire est beaucoup plus compl
sous-osseux, le vaste ligament calcanéo-cuboïdien et métatarsien. La
couche
musculaire ne se compose, à la portion tarsienne,
ine, la résistance de la cage ostéo-eartilagiiieuse, augmentée par la
couche
musculaire et cutanée, isole également les mala
un moyen très efficace d'isolement. C'est par la superposition de ses
couches
que se forment les kvstes celluleux ou les envelo
, etc., limitées dans leur tissu et devenant elles-mêmes une nouvelle
couche
isolante, comparées au squirrhe, aux divers sarco
s réitérés par l'extension de la cuisse, la gaine est doublée par une
couche
d'un tissu jaune élastique, qui augmente la résis
ière, et supérieurement à la portion qui commence le cuir chevelu. 2°
Couche
cellulo-graisseuse. Formée d'un tissu cellulaire
e. Formée d'un tissu cellulaire dense et serré, renfermant une légère
couche
de tissu adipeux, qui constitue l'ad-hérence inti
t du crâne où les cheveux se conservent jusque dans un âge avancé. 2°
Couche
cellulo-graisseuse. Dense, serrée, garnie d'un gr
d'une petite quantité de tissu adipeux. 3° Muscles et aponévrose. La
couche
musculaire est formée par le peaucier occipital,
t à blanchir, d'où le nom de tempe (tempora), qui lui a été donné. 2°
Couche
cellulo-graisseuse. Mince, peu adhérente à la pea
gère avec l'aponévrose sous-jacente. 3° Muscles et aponévroses. Cette
couche
se compose de deux plans: (A) Le premier plan est
r l'apophyse zygomatique. Entre elle et l'aponévrose profonde est une
couche
adipeuse ou fascia superficialis, dans laquelle r
santes, i °Lapeau. Elle appartient en totalité au cuir chevelu. 2° La
couche
cellulo-adipeuse, et au-dessous [aponévrose épicr
La peau. Lisse et dépourvue de cheveux au contour de l'oreille. i° La
couche
cellulo-adipeuse et [aponévrose épicrânienne, int
ATOMICO-PATHOLOGIQUES sur le crane en général. i° Cuir chevelu et
couche
cellulo-vasculnre. La densité de la peau du crâne
ulnre. La densité de la peau du crâne et son adhérence intime avec la
couche
sous-ja-cente, expliquent la promptitude et l'éte
verses tumeurs qui prennent suivant leur forme des noms différens. 1°
Couche
cellulo-vasculaire.Lâche à la racine du nez, sur
Mince, garnie de bulbes pileux dans l'homme, fortement adhérente à la
couche
musculaire sous-jacente; elle présente au milieu,
de Meibomius, qui versent leurs produits sur les bords lacrymaux. 3°
Couche
musculaire. Elle se compose de l'or-biculaire pal
ulaire palpébral et de l'élévateur de la paupière supérieure. A cette
couche
appartiennent les cartilages tarses, point d'appu
d'âge, de sexe, et un signe pathognomonique de certaines maladies. 2°
Couche
cellulo-vasculaire. Adhérente sur la pommette, ga
le. La peau, fine et très adhérente, revêt, par l'intermédiaire d'une
couche
celluleuse, dense et très vasculaire, les replis
vieillards, et produites par la saillie des faisceaux du peaucier. 2°
Couche
cellulo-grais-seuse. Assez mince dans la jeunesse
une ou deux saillies vulgairement nommées double et triple menton. 3°
Couche
musculaire sous-cutanée. Formée par le peaucier,
nstituantes. i° Peau. Mince, lisse, et glabre dans les deux sexes. 2°
Couche
sous-cutanée. Composée de trois feuillets : le pr
et unie, peu adhérente en regard de la fossette sus-claviculaire. 2°
Couche
sous-cutanée. Elle se compose de trois feuillets
es cheveux à la partie supérieure, elle est glabre inférieurement. 20
Couche
celluleuse sous-cutanée. Dense et très adhérente
, vu la résistance de la peau. 3° Aponévrose. Elle ne forme point une
couche
isolée, et ne se compose en fait que de la réunio
nombreux, émanés du sous-occipital et du plexus cervical, forment une
couche
entre le complexus et les muscles profonds. 70 Sq
constituantes. Peau. Lisse, glabre, et fortement adhérente au milieu.
Couche
sous-cutanée. Trèsvasculaire, et doublée par un t
able; elle est, comme partout, mince en avant, épaisse en arrière. La
couche
sous-cutanée, comme dans toute l'enveloppe du tro
ce ; il renferme dans sa portion aréolaire des follicules sébacés. 20
Couche
sous-cutanée. Elle est remarquable dans les deux
laire assez lâche, et qui permet une grande mobilité aux tégumens. La
couche
musculaire, après le grand dentelé et le grand do
piques dans les congestions des organes thoraciques et abdominaux. 20
Couche
sous-cutanée. D'une texture assez dense, elle s'i
elle s'imprègne néanmoins d'une grande quantité de tissu adipeux. 3°
Couche
musculaire. Elle est formée seulement par les deu
st garnie de follicules sébacés au pourtour de l'anneau ombilical. La
couche
sous-cutanée se charge, dans les sujets obèses, d
e, dans les sujets obèses, d'une quantité considérable de graisse. La
couche
musculaire est formée, comme à la région épigastr
nneau ombilical lui-même présente une texture différente, suivant les
couches
des tissus superposés. A la peau, la cicatrice a
is, qui augmente graduellement en descendant vers le pli inguinal, ha
couche
musculaire est constituée en arrière par le grand
rties molles en ce point, où la cavité abdominale n'est séparée de la
couche
sous-cutanée que par des aponévroses, a fait prop
ieu de cette région, correspondant au pli de l'extension du tronc. La
couche
celluleuse sous-cutanée, de texture fibreuse et t
de graisse, à mesure qu'elle s'approche de la région ilio-costale. La
couche
musculaire et aponévrotique est très épaisse. On
milieu de poils dont l'abondance augmente en Rapprochant du pénil. 20
Couche
sous-cutanée. Elle est formée par le fascia su-pe
s la texture aréolaire du fascia superficialis est plus apparente. 3°
Couche
musculaire. D'avant en arrière, on y trouve : (
es transversales et de vergetures chez celle cpii a eu des enfans. 2°
Couche
sous-cutanée : ses caractères sont les mêmes et e
c, augmente graduellement d'épaisseur jusque vers le pli inguinal. 3°
Couche
musculaire. On y trouve d'arrière en avant : (a)
re une arcade de passage au-dessus du canal inguinal, (c) Derrière la
couche
musculaire se présente le fascia transversalis, d
l'épaisseur est de cinq à six lignes. En second plan se présente une
couche
fibreuse à plusieurs feuillets superposés, formée
anches verticales des pubis réunis par leur symphyse médiane. Dans la
couche
sous-cutanée rampent des artérioles et des veinul
e de follicules qui sécrètent un fluide sébacé très abondant. Dans la
couche
sous-cutanée du pénis rampent de chaque côté les
ucosités, tapissé en dedans par une membrane muqueuse, doublé par une
couche
ccllulo-fibreuse et un tissu spongieux qui prend
y rencontrent. Voici de dehors en dedans l'ordre de superposition des
couches
: (a) Peau. Épaisse, de couleur brune, rétractile
raphé, eu deux prolongemcns latéraux remplis par les testicules, (h)
Couche
sous-cutanée. Formée par une membrane fibreuse à
rcation bien sensible, avec l'aponévrose superficielle du périnée. La
couche
de tissu cellulaire séreux qui unit les dartos au
se. Elle est formée par l'épanouissement du crémaster, constituant la
couche
musculeuse, dite tunique érythroïde, dont l'épais
les sujets gras, cette membrane offre parfois à sa surface une légère
couche
graisseuse, dont l'accumulation dans les cas de h
l'opérateur, en masquant l'aspect des tissus. C'est aussi dans cette
couche
que se développent les pèches de tissu séreux acc
des enveloppes testiculaires. Les vaisseaux sanguins rampent dans la
couche
sous-cutanée, épanouis en nombreuses ramification
z certains sujets malpropres, pour donner lieu à des excoriations. 2°
Couche
sous-cutanée. Elle est formé par un fascia superf
et veines sont des branches des honteuses internes, disposées en deux
couches
, sous-cutanée et musculaire, séparées par l'aponé
prostate, clans la portion formant le bas-fond de la vessie. Dans la
couche
celluleuse, très lâche, intermédiaire aux deux pa
acés dont le nombre augmente en approchant du pli fémoro-périnéal. La
couche
cellulo-adipeuse sous-cutanée est formée par le f
disposés sur deux plans : superficiellement clans l'épaisseur cle la
couche
sous-aponévrotique, les artères et veines inguino
e adhérence intime de la peau avec les tissus fibreux sous-jacens. La
couche
aponévrotique très forte se compose de deux feuil
ace d'insertion de la masse du sacro-spinal. Les muscles forment deux
couches
, en arrière l'extrémité inférieure du sacro-spina
ique la fréquence des furoncles et des anthrax que l'on y observe. 2°
Couche
cellulo-adipeuse. Formée d'un tissu cellulaire se
e. Parties composantes. i° Peau : Fine, souple et peu adhérente. 2°
Couche
cellulo-adipeuse. D'un tissu lache, médiocrement
ent fournie de graisse, elle n'offre du reste rien de remarquable. 3°
Couche
fibro-musculaire. Disposée en trois plans, superf
me pileux est rouge, coïncide avec l'énergie des organes génitaux. 2°
Couche
cellulo-adipeuse. Elle est formée par un fascia s
des fardeaux. Dans le reste de son étendue elle est lisse et unie. 2°
Couche
cellulo-adipeuse. Elle forme sous la peau un pann
des os et des muscles que cette région emprunte tout son intérêt. La
couche
superficielle est formée par le deltoïde qui enve
Épaisse et dense comme en général à la face postérieure du tronc. 20
Couche
sous-cutanée. Elle ferme un pannicule adipeux ass
le ferme un pannicule adipeux assez abondant chez les sujets gras. 3°
Couche
ostéo-musculaire. En premier plan, le trapèze don
en dedans, doublée par un pannicule adipeux de médiocre épaisseur. 2°
Couche
fibro-musculaire.En premier plan, l'aponévrose br
parsemée de petites rides de flexion seulement dans le vieillard. i°
Couche
sous-cutanée. Formée en premier plan par un panni
l'aponévrose, montent les veines radiale et cubitale antérieures. 3°
Couche
profonde: muscles, vaisseaux et nerfs. L'aponévro
s cutanés externe et interne. Les muscles sont superposés en quatre
couches
: la première formée par le rond pronatcur , le r
ieure de l'avant-bras, par le groupe des extenseurs disposés sur deux
couches
: en plan superficiel de dehors en dedans, l'exte
t correspondant à la flexion médiane de la main dans son ensemble. La
couche
sous-culanée est garnie d'un coussin adipeux déve
dhérer très intimement la peau à l'aponévrose palmaire. Au dessous la
couche
tiponévrotique se compose pour le creux palmaire
ice de l'ongle qui revêt lui-même l'extrémité du doigt en ce sens. La
couche
sous-cutanée dépourvue de graisse, est formée par
ules sébacés, dont le nombre diminue graduellement de haut en bas. 2°
Couche
sous-cutanée. Formée par une double aponévrose ,
, qui leur fournit des gaines protectrices à diverses profondeurs. 3°
Couche
musculaire. Formée en dehors par la partie supéri
de follicules sébacés et de poils abondans chez les sujets bruns. La
couche
sous-cutanée est formée par un tissu cellulaire a
s verticales de renforcement fixées au pubis et à l'épine iliaque. La
couche
musculaire est constituée par le droit antérieur
paration des muscles biceps en dehors et demi-tendineux en dedans. La
couche
musculaire se compose superficiellement des deux
ncles et d'anthrax dans son enveloppe cutanée et de phlegmons dans sa
couche
profonde. Vu sa structure et ses maladies, on n'y
lques poils à la partie supérieure, sur-tout dans le pli périnéal. 2°
Couche
sous-cutanée. Formée par le fascia-superfîcialis,
, pour les muscles adducteurs, une sorte de capsule de contention. 4°
Couche
musculaire. Elle se compose d'un plan superficiel
ons. La peau est fréquemment affectée d'érysipèle et de dartres. A la
couche
sous-cutanée se rapportent les phlegmons, les phl
a, tendon membraneux des muscles fessier supérieur et fascia-lata. La
couche
musculaire est formée uniquement par le vaste ext
st exposée sont la cause de maladies assez nombreuses en ce point. 2°
Couche
sous-cutanée. Adhérente aux aponévroses par un ti
nt affectée d'œdème; sur la rotule existe une bourse synoviale. Cette
couche
sous-cutanée est parcourue par un grand nombre de
onier, après la ligature ou l'oblitération de l'artère principale. 3°
Couche
aponéurolique et tendineuse. Elle se compose de p
des transversales dans le sillon de flexion au-dessus des jumeaux. 2°
Couche
sous-cutanée. Formée par un pannicule adipeux ass
externe postérieure, accompagnée de quelques rameaux lymphatiques. 4°
Couche
musculaire. Elle se compose, en haut, des fléchis
ion l'expose à des frottemens variés, cause fréquente d'érysipèle. i°
Couche
sous-cutanée. Pourvue d'un pannicule adipeux de m
elle subit dans la marche l'exposent à de nombreuses phleg-masies. i°
Couche
sous-cutanée. Formée par un pannicule adipeux de
s avec les aponévroses du pied par le ligament annulaire du tarse. 4°
Couche
musculaire. Elle est constituée par deux groupes
cale, fermée à l'extérieur par l'aponévrose jambière, et isolée de la
couche
profonde par son aponévrose d'enveloppe. Le plan
breux de solutions de continuité auxquelles l'expose sa situation. 2°
Couche
sous-cutanée. Peu fournie en graisse, en raison d
douleurs qui accompagnent les contusions si fréquentes de cet os. 3°
Couche
fibreuse. Elle est formée, en haut, par l'épanoui
ar la pression des chaussures en regard de la saillie des tendons. i°
Couche
aponévrotique. Formée par la ceinture d epaississ
xquelles participent fréquemment le périoste et l'os sous-ja-cent. 2°
Couche
sous-cutanée. Formée d'un tissu serré, qui établi
glement, dans la gaine fibreuse, causé par la congestion première. 3°
Couche
fibro-musculaire. Elle se compose de l'épanouisse
ns toute l'étendue, doublée au-dessous et en arrière du talon par une
couche
épaisse de feuillets épidermiques superposés, ent
ides transversales correspondant au mouvement d'extension du pied. 2°
Couche
sous-cutanée. Disposée en vue d'une forte pressio
seaux fournis par les branches tibiales, péronières et plantaires. 3°
Couche
fibro-musculaire. Sur le calcanéum, le tissu fibr
ues, sur les saillies tendineuses, par la pression des chaussures. 2°
Couche
sous-cutanée. Formée par un tissu cellulaire sére
ère profondément, par un tissu très lâche, aux gaines des tendons. 4°
Couche
fibro-musculaire. En plan superficiel se présente
lcanien et sous-métatarsien , où elle est renforcée par de nombreuses
couches
épiderrniques, qui, chez les sujets qui marchent
hez les sujets qui marchent beaucoup, lui donnent un aspect corné. 2°
Couche
sous-cutanée. Formée par un tissu 1 Planche i,
d'enveloppe de protection pour les parties molles sous-plantaires. 4°
Couche
musculaire. Elle est disposée sur quatre plans. E
uatrième plan, les inter-osseux plantaires. 5° Vaisseaux et nerfs. La
couche
sous-cutanée, au point de vue anatomique, est, so
ion de l'ongle connue sous le nom d'ongle rentré clans les chairs. 2°
Couche
sous-cutanée. Elle est constituée par un tissu ce
u cellulaire fibreux qui unit l'aponévrose aux gaines des tendons. 3°
Couche
tendineuse. Elle est constituée sur la face dorsa
re de circonstances cependant, la prudence conseille de n'inciser que
couche
par couche ; mais, clans ces cas mêmes, la peau,
nstances cependant, la prudence conseille de n'inciser que couche par
couche
; mais, clans ces cas mêmes, la peau, du premier
, de manière à n'inciser cette membrane et les tissus sous-jacens que
couche
par couche. Ce procédé est long et douloureux, ma
e à n'inciser cette membrane et les tissus sous-jacens que couche par
couche
. Ce procédé est long et douloureux, mais il offre
issection en dédolant. Ce n'est que l'application réitérée à diverses
couches
superposées de l'incision de môme nature, dont le
est le cas des séquestres. 3° Rugination. Elle consiste à détruire
couche
par couche, par l'amincissement du tissu, la surf
des séquestres. 3° Rugination. Elle consiste à détruire couche par
couche
, par l'amincissement du tissu, la surface d'un os
e la plaie et dans chacune des petites cavités qui s'y ouvrent. Si la
couche
des parties molles à cautériser est considérable,
par celle de la surface sur laquelle on veut agir, et en formant une
couche
d'une demi-ligne d'épaisseur. On applique ce ling
t, il est souvent nécessaire de renouveler dans ce laps de temps la
couche
de pommade, la première étant promptement affaibl
on l'applique et on l'étalé sur l'ulcération ; on en étend ainsi une
couche
, qui est proportionnée à la profondeur de l'escha
portionnée à la profondeur de l'escharre que l'on veut obtenir. Cette
couche
doit avoir une à deux lignes d'épaisseur, et dépa
caustique se dessèche, et lorsqu'il a épuisé son action il forme une
couche
noirâtre qui devient très consistante. Cette croû
rigoureusement ses effets pour détruire en une seule application une
couche
de tissus très épaisse, comme une plus superficie
de doubler la surface du caustique sans augmenter son épaisseur ; une
couche
de deux millimètres suffit dans tous les cas pour
res caustiques en pâte dont l'action est très vive, on l'applique par
couches
dont on circonscrit exactement la forme, suivant
contour de la pâte, indique (pue son effet est produit : on enlève la
couche
cautérisante, et, pour en neutraliser les molécul
s charnus exubérans à la surface des plaies. Etendu en poudre, en une
couche
de peu d'épaisseur, il forme, avec les tissus qu'
oins; l'aiguille, présentée trop parallèlement, n'embrasserait qu'une
couche
trop mince, et, outre la déchirure plus facile, n
'imbibe après un bain. En apparence inorganique et formé seulement de
couches
de mucus concret superposé à la longue, par la pr
lame courte, enlever en dédolant ou en pressant avec les ciseaux les
couches
supérieures centrales et le bourrelet de circonfé
aire et fendillée à sa surface ; en profondeur on la trouve formée de
couches
épidermiques inégales , revêtant le chorion épais
la pratique avec le bistouri, le grattoir ou les ciseaux, en enlevant
couche
par couche; ce procédé se combine avec le suivant
avec le bistouri, le grattoir ou les ciseaux, en enlevant couche par
couche
; ce procédé se combine avec le suivant. 4° Cautér
ction purulente développée sous un ongle, on l'amincit en raclant par
couches
successives avec un grattoir ou un éclat de verre
ésente dégarnie d'émail ou amollie dans son tissu, laisser une légère
couche
tartreuse qui préserve le tissu du contact de l'a
es plus profondes» Dès que la surface est recouverte par Une première
couche
inégale, avec le fouloir mousse on repousse une n
mière couche inégale, avec le fouloir mousse on repousse une nouvelle
couche
métallique et on remplit ainsi exactement toute l
proportionnellement considérable, qui peut en déterminer l'altération
couche
par couche, et augmente inutilement le volume de
ellement considérable, qui peut en déterminer l'altération couche par
couche
, et augmente inutilement le volume de l'appareil.
affetas vésicans. — Procédé d!application. L'emplâtre étant étendu en
couche
mince sur de la peau ou du linge, dans l'étendue
l'étendue convenable, et saupoudré à sa surfice libre d'une nouvelle
couche
de cantharides, on rase la peau et on la friction
lus de parties qu'un peu moins , mais surtout conserver au lambeau sa
couche
vasculaire sous-cutanée, et bien se garder, dans
ppuration abondante et de gangrènes superficielles qui ont détruit la
couche
vasculaire sous-cutanée. Tel est le fait des brûl
ux points en regard, à chaque bord, dans l'angle de sa gaîne; puis il
couche
la sonde et la glisse sur la face postérieure du
à plat, la lame d'un bistouri droit qu'il plonge directement dans la
couche
celluleuse qui sépare le tendon de l'aponévrose t
plaie, afin de découvrir successivement les parties par plans ou par
couches
superposés et prévus à l'avance: seul moyen de pr
sur l'un ou sur les deux côtés suivant le besoin, (c) Parvenu sur la
couche
musculaire, en général on dépose le bistouri et l
ose d'un seul trait ou en deux fois suivant le lieu de la piqûre. Une
couche
mince de tissu adipeux se présente et au-dessous
vrose, et continuer avec la sonde cannelée. D'abord se présentent une
couche
de tissu adipeux d'environ un centi mètre, puis
viser ensuite l'aponévrose fémorale superficielle: au-dessous est une
couche
de tissu cellulaire fibreux entremêlé de ganglion
diviser l'aponévrose antibrachiale sur la sonde cannelée. La première
couche
musculaire mise à nu, décoller et couper de bas e
n humerai du grand pectoral ; illusion produite par l'épaisseur de la
couche
tégumentaire, tandis qu'en réalité la distance es
t du grand pectoral. Après la section de la peau, inciser à plat, par
couches
successives, dans toute la longueur de la plaie,
hors la branche de communication que lui envoie la céphalique; 3° une
couche
de tissu cellulaire remplie par les ganglions et
lis en ménageant les artères, puis à petits coups les trois premières
couches
, aponé-vrotiques et musculaires. Entrouvrir avec
tumeur était située à l'aîné. 3° L'induration. Dans ce cas, ou les
couches
fibrineuses, s'accu-mulantdans le sac, parviennen
dans une dilatation en masse, par un canal accidentel au travers des
couches
fibrineuses, comme dans les cas de Guattani et si
lée de la circulation se vide d'abord des liquides et s'affaisse; les
couches
fibrineuses contenues dans son intérieur sont rés
u par une grande épaisseur de tissus, la division ou l'écar-tementdes
couches
qu'il faut traverser nécessite certaines manœuvre
lélisme et s'opposeraient à l'issue du liquide. 2° Inflammation des
couches
intermédiaires. Après l'incision cle la peau et d
relativement superficiel, s'ouvre de lui-même par l'inflammation des
couches
intermédiaires. Au besoin, si ce résultat se fais
etite portion de peau non altérée, et glisser sous la tumeur, dans la
couche
celluleuse sous-cutanée, en enlevant toute l'épai
ts, ne sont environnés que par un tissu cellulaire lâche, formant une
couche
mince et facile à déchirer. C'est cette considéra
sous-aponévrotiques. Les lipomes sous-cutanés qui appartiennent à la
couche
adipeuse la plus épaisse, et qui éprouvent moins
on irrite le naevus par des frictions et l'on étend à sa surface une
couche
de couleur imitant le ton de la peau voisine. L'a
étruire la carie ne font que hâter son envahissement sur de nouvelles
couches
d'os. Les substances qui détruisent l'organisatio
veau dans sa rainure; et lorsque l'opérateur sent qu'il a traversé la
couche
diploïque, il ralentit graduellement les mouvemen
temps, et, dans un second, coupait, au niveau de leur rétraction, la
couche
profonde. Valentin voulait que les muscles fuss
Considérés en eux-mêmes, les muscles se présentent groupes en deux
couches
séparées par clu tissu cellulaire qui entraîne la
se qu'en considération secondaire. L'épaisseur des fascias et de la
couche
graisseuse permet d'intéresser seulement, au cont
s muscles groupés en deux séries superposées. La première comprend la
couche
des muscles superficiels, qui parcourent la cuiss
tive a la même force et la même valeur dans leur totalité. La seconde
couche
est for niée par les muscles profonds : adhéren
x procédés. Tailler deux lambeaux, interne et externe, aux dépens des
couches
musculaires superficielles, les relever, et, à le
e la face dorsale à la face palmaire, la pointe du bistouri, que l'on
couche
ensuite, le tranchant en haut, en rasant le bord
ale, et le faire relever. 20 Inciser alors circulairement la première
couche
de muscles, faire remonter les chairs, puis incis
ver au contour, en ayant soin de faire conserver à sa face interne la
couche
ccllulo-graisseusc qui la double : faisant remont
UR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGURE 1.
COUCHE
PROFONDE DE LA PARTIE LATERALE DU COU, ET DE l/EX
DISPOSITION GÉNÉRALE DES FIGURES. Figure i. Plan superficiel à deux
couches
: côté droit, aponévrose sous-cutanée; côté gauch
inférieur du muscle sterno-pubien. Les deux côtés représentent des
couches
et des détails difféiens. Du côté droit, toutes l
. ADUT-iTE, DEMI-NATURE. LES DEUX COTÉS DE LA FIGURE MONTRENT DES
COUCHES
DIFFÉRENTES. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIF
. Nerf radial. 19. Vaisseaux radiaux. Main. La figure montre la
couche
superficielle de la main, l'aponévrose palmaire é
continue avec le lobe d'hippocampe. c. c. Corps calleux. c. o.
Couche
optique. c. a. Commissure antérieure. o. Nerf
partie moyenne. g. p. Glande pinéale, dont la racine s'étend sur la
couche
optique. t. q. Tubercules quadrijumeaux qui se
issure antérieure. o. a. Ouverture antérieure située en avant de la
couche
optique et par laquelle le troisième ventricule c
commissure molle, commissure moyenne qui unit entre elles les deux
couches
optiques. 3me v. Cavité du troisième ventricule
enlevé ; on voit en relief le cervelet qui est resté intact, et la
couche
optique appartenant au lobe gauche. AA. Partie
circonvolution supérieure (S', '*? S', S?, %. 4). . ' •' J c. o.
Couche
optique gauche contournée par la racine du nerf o
moelle allongée, les tubercules quadriju-meaux,la glande pinéale, la
couche
et la commissure optiques sont plus considérables
ne qui va s'unir à la circonvolution supérieure. CC. Cervelet, c.o.
Couche
optique. pv'. Pilier droit de la voûte à trois
mmon. c. s., c s., Corps strié. t. s. Tamia semicircularis. co.
Couche
optique. gp. Glande pinéale. h. Sa rêne droit
on postérieure, ce. Corps calleux, c. a. Commissure antérieure, c. o.
Couche
optique, c. m. Commissure molle, g. p. Glande pin
ral ou ventricule de la moelle épinière, revêtu à l'intérieur d'une
couche
de cellules épithéliales. g\ Petits canaux vasc
de fibres blanches provenant du novau blanc du cervelet. t/ b.
Couche
de cellules grises, c. Couche de cellules multi
du novau blanc du cervelet. t/ b. Couche de cellules grises, c.
Couche
de cellules multipolaires pâles et trans- paren
es pâles et trans- parentes, qui envoient des prolongements dans la
couche
superficielle. d. Couche superficielle, formée
es, qui envoient des prolongements dans la couche superficielle. d.
Couche
superficielle, formée d'éléments prisma- tiques
ques semblables aux bâtonnets de la rétine. Fig. 5. Structure de la
couche
corticale du cerveau (d'après M. Baillarger). a
cerveau (d'après M. Baillarger). a. Premier système, formé de deux
couches
, l'une blanche superficielle, l'autre grise. a.
cielle, l'autre grise. a. Deuxième système, également formé de deux
couches
, l'une blanche, l'autre grise. c. Troisième sys
nt ies racines du lobe olfactif, et que nous désignons sous le nom de
couche
du lobe olfactif. m. Prolongement de la masse d
té enlevés pour mettre à découvert l'ensemble des corps striés et des
couches
optiques. a. Cordons médians postérieurs. //.
le jusque dans la base du lobe olfactif. k. Anse du pédoncule. /.
Couche
optique dans la région de la commissure molle.
d'où la bandelette optique a été détachée. s. Êcorce blanche de la
couche
optique. t. Corps strié interne. u. Commissure an
plan médian. n. Rêne gauche des habena? de la glande pinéale. o.
Couche
optique. p. Tsenia semicircularis. q. Corps s
é. b\ Prolongement de ce faisceau qui se porte vers le centre de la
couche
optique. 6". Dilatation en forme de cupule de c
ion en forme de cupule de ce prolongement qui embrasse le noyau de la
couche
optique. c. Fibres qui de l'étage moyen du pédo
des anses qui embrassent en avant les pyramides pédoncu-laires. d.
Couche
optique. e. Faisceau formé par certaines racine
s racines de la troi- sième paire qui remontent vers l'écorce de la
couche
optique et vers les tubercules qua-drijumeaux ant
rcules qua-drijumeaux antérieurs. f. Bord de l'écorce blanche de la
couche
optique formant par une fasciculation plus serr
roite des habense de la glande pinéale. g. Noyau gris central de la
couche
optique. k. Pilier droit de la voûte. I. Commis
tte planche représente l'hémisphère cérébral droit d'un Fig. \. Les
couches
corticales seules ont été enlevées pour mettre à
ndiquées en a de celles désignées en a"', et que ferme au-dessous des
couches
corticales la membrane propre de la cavité ancyro
du pédoncule. /. Faisceau perforant du pédoncule. Papion disséqué
couche
par couche, à partir de sa face interne. m.m. B
e. /. Faisceau perforant du pédoncule. Papion disséqué couche par
couche
, à partir de sa face interne. m.m. Bandelette e
le. E.O. Extrémité occipitale. E.S. Extrémité sphénoïdale. C.C.j CC
Couches
corticales. CCI Fig. 2. Le plan des fibres de l
voûte. cIv. Cavité de la gouttière destinée à contenir un repli des
couches
corticales doublées par un plan très-mince de leu
pus fimbriatum. e. — Septum lucidum. /'.— Corps strié externe. i. —
Couche
optique. k.k. Étage perforé du pédoncule. I.
ème précédent. k.k.k. Commissures propres doublant immédia-ment les
couches
corticales. /. Décussation des fibres du corps
cinereum et éminences mamillaires. h. Chiasma du nerf optique. i.
Couches
du nerf olfactif ou Insu la. j. Commissure entr
du nerf optique et corps ge-nouillé externe. t. Écorce propre de la
couche
optique. u. Corps genouillé interne. v. Lobul
al que remplissait un plexus choroïde énorme. Des plis rayonnants des
couches
corticales font saillie dans son intérieur, que r
des couches corticales font saillie dans son intérieur, que revêt une
couche
grise très-épaisse. Fig. 6. Face interne de l'u
. Lobes optiques. C. M. Commissure molle au-dessus de laquelle la
couche
optique fait une grande saillie. C. S. Corps stri
undibulum. N. 0. Nerf optique. C. A. Commissure antérieure. C. 0.
Couche
optique. S. L. Septum lucidum. G. P. Glande pinéa
xtrémité occipitale. L. SPH. Lobe sphénoïdal. CC, CC, CC, CC, CC.
Couches
corticales. C, C. Corps calleux. Jr _|_ _j_ A
frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale. C C; C. C,
Couches
corticales. C, C Corps calleux. G. Gouttière de
ie. L. OP. Lobes optiques. H. Habense de la glande pinéale. C. 0.
Couche
optique. C. M. Commissure molle. V. L, V. L T
foyers de ramollissement occasionnés par elles, notamment en pleine
couche
optique où les cellules sont délruites, ainsi q
sser concentriquement de dedans en dehors et finit par atteindre la
couche
granuleuse périphérique. Il est des cas où cett
aucoup plus souvent qu'on est tenté de le croire. M. A. Voisin ne
couche
ses paralytiques qu'à la dernière période et ce
s 1867, Meynert, indiquait l'existence, dans l'écorce cérébrale, de
couches
d'éléments nerveux, à morphologie différente, rég
s, les coupes transparentes de l'écorce laissent voir, dit-il, cinq
couches
1 Cf. Golgi. Unlersucliungez üLer den feineren
TOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 97 à partir de la pie-mère : 1°
couche
de névroglie; 2° couche des petites cellules py
EMPORAINES. 97 à partir de la pie-mère : 1° couche de névroglie; 2°
couche
des petites cellules pyramidales; 3° couche des
couche de névroglie; 2° couche des petites cellules pyramidales; 3°
couche
des grandes cellules pyramidales ; 4° couche de
llules pyramidales; 3° couche des grandes cellules pyramidales ; 4°
couche
des cellules granulées ou des granulations (couch
pyramidales ; 4° couche des cellules granulées ou des granulations (
couche
grccnu- leuse); 5° couche des cellules fusiform
s cellules granulées ou des granulations (couche grccnu- leuse); 5°
couche
des cellules fusiformes, où d'assez grandes pyram
une finesse extrême, véritable disposition épithéliale, qu'il nomme
couche
de la névroglie (cellules en pinceau de Boll, cel
we), qui descendait en rayonnant dans l'écorce. Dans la troisième
couche
, les fibres nerveuses issues de la base des petit
amifiés du sommet de ces pyramides, dont le faite peut atteindre la
couche
des petites pyramides, elles émettent un prolon
ascendant des grandes cellules pyramidales montant jusque dans les
couches
externes de l'écorce '. Outre ces ramifi- catio
nsions relatives des pyramides, étudiées dans le type commun à cinq
couches
ou dans le type à huit couches de la scissure c
étudiées dans le type commun à cinq couches ou dans le type à huit
couches
de la scissure calcarine, etc. Meynert les expl
ion ascendante vers la surface de l'écorce, au delà de la troisième
couche
de son schéma; Berlin les avait suivis plus loi
) ; Remak, dès 1841, avait découvert, à la surface de l'écorce, une
couche
de fibres nerveuses à myéline. Exner, avec sa m
eau amoniaquée), put constater l'existence, dans toute la première
couche
de Meynert, au-dessous de la couche de névro- g
istence, dans toute la première couche de Meynert, au-dessous de la
couche
de névro- glie (dont il compare les fibres à de
vro- glie (dont il compare les fibres à des fils de chanvre), d'une
couche
de fibres nerveuses myélilliques, d'épaisseur e
u cerveau, fibres taneentieiles, Exner en vit d'autres s'élever des
couches
inférieures de l'écorce qui, après s'être recou
de l'écorce. Chez l'enfant nou- veau-né, Exner ne trouva dans cette
couche
aucune fibre nerveuse à myéline, mais de très g
les cellules de l'url : iuje du cervelet. Au niveau de la deuxième
couche
, les fibres myéliniques, très nombreuses, appa-
ès nombreuses, appa- raissent plus minces que celles d'aucune autre
couche
de l'écorce. Dans la troisième couche, ces fibr
ces que celles d'aucune autre couche de l'écorce. Dans la troisième
couche
, ces fibres commencent à se grouper en faisceau
'Azyr du lobe occipital, beaucoup plus large que les stries des six
couches
de Baillarger, est constitué par des fibres nerve
es fibres d'association (fi6)' (t ? 'cM6[<oe.) Dans la quatrième
couche
, les fibres myéliniques deviennent si nombreuse
type générai de structure de l'écorce, c'est-à-dire au type à cinq
couches
de Meynert. En réalité, Golgi ne trouva dans cett
es distinctes de cellules : u, des cellules pyramidales (1 ? 2°, 3°
couches
de Meynert); b, des cellules fusi- formes (5° c
s (1 ? 2°, 3° couches de Meynert); b, des cellules fusi- formes (5°
couche
de Meynert); c, des cellules globuleuses ou poly-
c, des cellules globuleuses ou poly- gonales, à angles émoussés (4°
couche
de Meynert). Il ne put recon- naître l'existenc
ssés (4° couche de Meynert). Il ne put recon- naître l'existence de
couches
stratifiées nettement isolées. Toute- fois, si
orce. Golgi propose de diviser l'écorce cérébrale, non plus en cinq
couches
, mais en trois : 10 en une couche superficielle
orce cérébrale, non plus en cinq couches, mais en trois : 10 en une
couche
superficielle comprenant le tiers supé- rieur d
ée presque exclusivement de petites cellules pyramidales; 2° en une
couche
moyenne, occupant le tiers moyen de l'écorce, e
dales moyennes et grandes, ces dernières surtout au voisinage de la
couche
sui- vante ; 3° en une couche profonde, ou du d
dernières surtout au voisinage de la couche sui- vante ; 3° en une
couche
profonde, ou du dernier tiers de l'écorce, où,
la 0,, Golgi nie que les divisions de cette région en sept ou huit
couches
(Clarke, Meynert, Huguenin) aient aucun fondeme
ns où n'existent pas de fibres nerveuses ». Ces régions étaient les
couches
supérieures de l'écorce du cerveau et surtout la
cornu Ammonis. Or Iiülliher rappelait qu'il avait démontré dans les
couches
superficielles de l'écorce cérébrale l'existence
t de nature neurokéra- tinique, ayant la forme d'un réseau ou d'une
couche
continue », s'étendant non seulement sur le cor
ntales ET : 1VAT0)IOP.1TIIOLOGIQUES sur la RÉGION DE LA CALOTTE, LA
COUCHE
OPTIQUK ET LA RÉGION SOUS- OPTIQUE AVEC CONTRIB
La première partie commence par une description anatomique de la
couche
optique et de ses dépendances chez le chat et le
a couche optique et de ses dépendances chez le chat et le chien. La
couche
optique est divisée par des lames et lamelles.méd
a, vent ? b. et vent ? antérieur ; i;° groupe postérieur, et G° la
couche
grillagée avec ses îlots cellulaires. ' La su
La substance grise du corps genouillé externe est divisée par une
couche
de fibres venant de la capsule interne en deux no
sions bien tranchées. Dans la région sous-thalamique se trouvent la
couche
dorsale de Forel, la zona incerta qui contient
Cette description est vraie, à quelques variations près, pour la
couche
optique de l'homme. Chez ce dernier, les fibres d
u ruban 120 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de Reil supérieur et sa
couche
principale se dissocient et pénètrent dans les
couche principale se dissocient et pénètrent dans les noyaux de la
couche
optique; de nouvelles fibres, prove- nant du vo
res qu'il considère comme autonomes et les désigne sous les noms de
couche
dorsale, couche latérale, couche inférieure et
e comme autonomes et les désigne sous les noms de couche dorsale,
couche
latérale, couche inférieure et couche antérieure
es et les désigne sous les noms de couche dorsale, couche latérale,
couche
inférieure et couche antérieure du noyau rouge,
s les noms de couche dorsale, couche latérale, couche inférieure et
couche
antérieure du noyau rouge, d'après leurs rappor
le pédoncule antérieur et pénètre dans les noyaux antérieurs de la
couche
optique en se confondant avec les fibres des fais
t entier, on observe : une dégénérescence complète des noyaux de la
couche
optique, y com- pris la couche grillagée et la
nérescence complète des noyaux de la couche optique, y com- pris la
couche
grillagée et la zona incerta du corps de Luys et
us atrophiques dans la substance grise de la protubérance dans la
couche
grise superficielle des tubercules quadrijumeaux
s, dans les noyaux des cordons postérieurs et dans le noyau de la
couche
réticulaire de la moelle cervicale ; une atrophie
cence secondaire des diverses c dépendances du cerveau ». Dans la
couche
optique, chaque noyau possède comme chez les an
iques et physiolo- giques nous devons noter que d'après l'auteur la
couche
optique Fig. 1. Hémisphère d'un chat. '122 )
rôle ; mais le plus souvent indirectement en s'interrompant dans la
couche
optique. La transmission des impressions sensib
es ne possèdent qu'un seul prolongement cylindraxile ou nerveux. La
couche
externe de l'écorce du cerveau de ces animaux e
t il n'est pas rare de voir quelques-uns des cylindraxes qui, de la
couche
granuleuse profonde, vont, entre les cellules de
e granuleuse profonde, vont, entre les cellules de Purkinje dans la
couche
moléculaire, entrelacés avec les plus fins ramusc
uscules des cylindraxes qui proviennent des cellules étoilées de la
couche
moléculaire (de Bechterew). De ces constatati
visuel; mais, en avant, elles aboutissent non à l'écorce, mais à la
couche
optique. Elles font donc un coude énorme, car,
oude à angle aigu qui embrasse d'abord la corne inférieure. Dans la
couche
optique, elles entrent en contact avec les segm
e; quelques-unes montent à la face postérieure du pulvinar, dans la
couche
des fibres arciformes pour atteindre Je noyau p
ied du pédoncule cérébral du segment situé en avant du milieu de la
couche
optique, côtoient le noyau caudé, viennent en p
poraux ; il ne s'y mêle qu'un très petit nombre de faisceaux de la
couche
des fibres arciformes. Il n'y a donc, d'après l
nérées qui vont de la pyramide affectée, par l'intermédiaire de la
couche
interolivaire, à l'olive de l'autre côté; leur si
est tout à fait lisse. Le ventricule latéral est un peu dilaté, la
couche
optique et le corps strié très atrophiés. Les s
après avoir eu un ictus apoplectique à soixante ans; mère morte en
couches
; deux soeurs normales. Pas de déformation crâni
léments nerveux et de substance névroglique. Les kystes avaient une
couche
unique d'un épithélium cubique. L'auteur rappel
agiques capillaires de la grosseur d'une lentille (gyrus angulaire,
couche
optique, noyau lenticulaire, centre ovale). Il
s, mais bien d'autres élé- ments cellulaires encoie des différentes
couches
de l'écorce grise et des territoires les plus d
au fond chez tous les mammi- fères, Ramon y Cajal distingue quatre
couches
: : 1° zone moléculaire; 2° couche des petites
Ramon y Cajal distingue quatre couches : : 1° zone moléculaire; 2°
couche
des petites pyramides; 3° couche des grandes pyra
ouches : : 1° zone moléculaire; 2° couche des petites pyramides; 3°
couche
des grandes pyramides; 4° couche des cellules p
° couche des petites pyramides; 3° couche des grandes pyramides; 4°
couche
des cellules polymorphes . 1. Zone moléculaire.
IQUE. d'aspérités, grêles, dont quelques-unes descendent jusqu'à la
couche
inférieure des petites pyramides, à cylindraxe
; 4° cellules fusiformes unipolaires. Ces cellules fusiformes de la
couche
moléculaire doivent être, comme le pense Cajal,
de toutes ces fibres autochtones, jointes à celles qui montent des
couches
inférieures et aux arborisations terminales cyl
ignore le lieu des cellules d'origine, forment dans cette première
couche
de l'écorce un plexus très serré, entre les mai
use aux cellules pyramidales. Toute cellule pyramidale, à quelque
couche
de l'écorce qu'elle appartienne, présente, comm
distingue : a, une tige ascendante, épaisse, se ramifiant dans la
couche
moléculaire en ramures, souvent très étendues, qu
st d'ailleurs qu'une des conditions anatomiques de la pensée. II.
Couche
des petites cellules pyramidales (10 à 12 p.).
e. II. Couche des petites cellules pyramidales (10 à 12 p.). III.
Couche
des grandes cellules pyramidales (20 à 30 p.). Le
se collatérale qui semble destinée à former le corps calleux. IV.
Couche
des cellules polymorphes. Les cellules de cette c
calleux. IV. Couche des cellules polymorphes. Les cellules de cette
couche
, où l'on rencontre encore quelques cellules pyr
fibres nerveuses de la substance blanche. On distingue dans cette
couche
des cellules à cylindraxe court; Cajal en compte
d'association. Les secondes, qu'on trouve d'ailleurs dans les trois
couches
infé- rieures de l'écorce, mais surtout dans la
s les trois couches infé- rieures de l'écorce, mais surtout dans la
couche
des cellules poly- morphes, fusiformes ou trian
Les collatérales des fibres d'association montent dans les diverses
couches
de l'écorce cérébrale et atteignent même la zone
rizontalement, toute l'épais- seur de la substance grise jusqu'à la
couche
moléculaire. Cajal signale l'extension énorme d
rielles se terminent toujours, par de libres arborisations, dans la
couche
moléculaire du cerveau, en se mettant en rappor
s sans doute aussi ceux des fibres sensitives, se terminent dans la
couche
moléculaire du cer- veau. L'incitation du mouve
smiques des cellules pyramidales et polymorphes des trois dernières
couches
de l'écorce grise des vertébrés sont plus énorm
en nombre infini, émanées des cylindraxes des cellules de ces trois
couches
profondes pendant leur trajet intracortical. Le
corps de la cellule est en rapport avec les cellules étoilées de la
couche
molé- culaire ; la lige maîtresse et les princi
: 1° des cellules de Golgi ou à cylindraxe court, situées dans les
couches
de ces cellules ; 2° des cellules d'association
uins, ni cellules de névroglie. 11 n'en existe pas non plus dans la
couche
plexiforme interne de la rétine, où les ramificat
it permis de comparer ces éléments aux corpuscules fusiformes des
couches
du sarcoplasma des fibres musculaires striées, do
endant de Martinotti et les cellules pluripo- laires de la première
couche
corticale y jouent-elles un rôle impor- tant. L
out là où. se rencontrent les courants nerveux, par exemple dans la
couche
moléculaire de l'écorce cérébrable, où les pana
l'épithélium des ventricules et du canal central git toujours une
couche
épaisse de fibres de névroglie d'un tissu très se
ourage des petits; on l'y rencontre pourtant toujours même dans les
couches
profondes de l'écorce cérébrale, où les fibrill
aces externes du cerveau et de la moelle. Il est remarquable que la
couche
pie- mérienne de névroglie du cerveau manque au
ne de névroglie du cerveau manque au cervelet. L'épaisseur de cette
couche
varie entre 0,003 et 0,03 selon la région du cerv
vieillesse, la névroglie de l'écorce cérébrale (Golgi) et de cette
couche
en particulier est plus épaisse et ses fibres s
isse et ses fibres sont plus grosses. La direction des fibres de la
couche
pie-mérienne de névroglie varie beaucoup, quoiq
varie beaucoup, quoiqu'elle soit en général tangentielle. De cette
couche
rayonnent, dans la profon- deur de [l'écorce, d
qu'elles descendent jusqu'au milieu des grandes pyramides. Dans les
couches
profondes de l'écorce du cerveau, même dans cel
es gaines de myéline ; à quoi servirait, demande Weigert, une autre
couche
isolante de névroglie ? Dans la substance grise
rer en dehors des voies prescrites et de faire fausse route. Aucune
couche
isolatrice de substance de névroglie ne doit do
nt les auteurs espa- gnols ne saurait, à coup sûr, exister dans les
couches
profondes de l'écorce cérébrale, puisqu'il ne s
amais été bien : elle souffrait de la tête et du dos ; le retour de
couches
sur- vint au bout de neuf mois, et les règles r
ce point de vue, c'est la structure fine du cerveau, surtout de sa
couche
corticale, qui nous présente pour le moment le
rphologiques ; elles occupent la seconde et la troisième des quatre
couches
de l'écorce cérébrale. Les petites cellules pyra-
utres se dirigent vers le bord extérieur de l'écorce, atteignent sa
couche
supérieure et y forment une quantité de dendrit
et se terminent librement. Dans cette région, c'est- à-dire dans la
couche
supérieure de l'écorce cérébrale, dans ce résea
au bord de l'écorce cérébrale ; ce sont elles qui constituent la
couche
des fibres tangentielles. Ces dernières servent à
tantôt s'étendant, tantôt se contractant. Ainsi, dans la première
couche
de l'écorce cérébrale siège un mécanisme extrêmem
ique. Quel est donc le rôle des cellules situées dans la première
couche
de l'écorce cérébrale ? Sont-elles destinées à re
u du mécanisme de l'écorce cérébrale, notons, que dans sa quatrième
couche
sont situées des cellules de différentes dimens
une grande cellule pyramidale, à d'autres cellules, situées dans la
couche
sous- jacente. L'écorce cérébrale garde presq
gentielles; ces dernières en occupent deux zones délimitées par une
couche
de cellules fusiformes verticales. Les couches
es délimitées par une couche de cellules fusiformes verticales. Les
couches
inférieures ont plus de cellules, dont le cylin
le cylindraxe prend la direction ascen- dante et se dirige vers la
couche
moléculaire supérieure. En ce qui concerne le m
sont les cellules de Purkinje et celles qui se développent dans la
couche
profonde de la zone granuleuse externe pour pre
ôle dans la vision. Dans les tubercules quadrijumeaux antérieurs la
couche
grise superficielle et les fibres blanches de la
eurs. Dans l'écorce, l'auteur constate une atrophie de la quatrième
couche
(couche des noyaux) dans la circonvolution calc
ns l'écorce, l'auteur constate une atrophie de la quatrième couche (
couche
des noyaux) dans la circonvolution calcarine et
calcarine et une diminution assez marquée des cellules des autres
couches
de la même circonvolution. On ne trouve pas de
ons cérébrales, et il est évident que l'existence de la qua- trième
couche
de la circonvolution calcarine est subordonnée à
carine est subordonnée à l'intégrité du globe oculaire et que cette
couche
joue un rôle con- sidérable dans la vision. L
s occipitales et particulièrement dans la circonvolution calcarine (
couche
des noyaux). Ln-OFF. XXVIII. Lésion du plexus b
té à la périphérie. Les élé- ments chromatophiles n'occupent qu'une
couche
mince qui borde le contour de la cellule nerveu
cellule plus riche en éléments chromatophiles disposés en plusieurs
couches
. En somme la conclusion temporaire de l'importa
ssaire à l'exécution de ces mouve- ments est autre part que dans la
couche
corticale, probablement surtout dans les centre
12 décembre 1881. C'est le second de neuf frères. Sa mère à eu sept
couches
sur lesquelles, deux fois, elle a eu des jumeau
r exemple les excès sexuels et le surmenage du corps, ainsi que des
couches
réitérées des femmes comme une cause fréquente
ité interne. Il est inégal, bosselé, le périoste est vasculaire, la
couche
sous périostique éburnée. Le col du fémur fait un
te, offrant les carac- tères d'une paralysie par névrite. Suites de
couches
fébriles avec REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 473
sera vraisemblablement bénigne et de courte durée si les suites de
couches
sont simples, alors qu'au cas contraire elle aura
ntourées d'une membrane pareille à celle de Schwann; puis vient une
couche
d'une substance homogène ou granuleuse, avec un
lindres-axes; la lamelle elle-même se divise en deux cou- ches : la
couche
antérieure et la couche postérieure qui, se confo
elle-même se divise en deux cou- ches : la couche antérieure et la
couche
postérieure qui, se confou- dant à leurs bouts,
ant à leurs bouts, se composent d'un protoplasme granuleux. Dans la
couche
inférieure pénètre une substance homogène de fi
rieure pénètre une substance homogène de fibres avec ses noyaux. La
couche
moyenne est composée d'une couche très mince de
e de fibres avec ses noyaux. La couche moyenne est composée d'une
couche
très mince de fibres musculaires striées. La colo
r la méthode de Golgi permettent de suivre les fibrilles jusqu'à la
couche
moyenne, où le fin fascicule de fibrilles se ter-
ro-occipitale) et suivre cette subs- tance grise corticale, avec la
couche
blanche sous-ja- cente, vers la formation ammon
convolution godronnée, le manteau de l'hémisphère est réduit à sa
couche
de substance blanche, formant ici un gros cor-
circonvolution : 4 ANATOMIE. Si nous examinons la disposition des
couches
que forment ces parties, c'est-à-dire la struct
sente, en allant de la superficie à la profondeur : 1° D'abord une
couche
de substance blanche (0, /%'. ,8,) formée de fi
dans la profondeur de ce sillon. 2° Au-dessous du subiculum est une
couche
formée de substance d'ap- parence amorphe, pars
st-à-dire parallèlement à la surface. 3° Au-dessous est une épaisse
couche
de cellules pyramidales, qu'on ne voit pas dist
es pyramidales les plus profondes LA CORNE D'AMMON. 5 succède une
couche
de cellules nerveuses étoilées ou fusiformes. 5
che de cellules nerveuses étoilées ou fusiformes. 5° Enfin vient la
couche
médullaire de substance blanche. B. -Au nivea
ulum ou revêtement blanc super- ficiel disparaît (a, lîq. 2). 2° La
couche
sous-jacente (substance amorphe avec cellules i
est assez prononcée pour faire croire à la présence d'une nouvelle
couche
(fzg. 2 entre cet a) ; c'est ce que Meynert a a
orce, c'est-à-dire de la distri- bution des éléments nerveux. 3" La
couche
des cellules pyramidales est formée d'éléments
presque complète- ment (c. feg. 2). 4° Rien de particulier pour la
couche
de cellules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non
de cellules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non plus que pour la
couche
de substance médullaire blanche (f, fig. 2) qui
ofondeur (de gauche à droite ou de bas en haut, dans la fig. 2) les
couches
qui composent la circonvo- lution godronnée , n
que nous venons de décrire, mais avec interposition d'une nouvelle
couche
au-dessous de la première. En effet : 1° La pre
ouvelle couche au-dessous de la première. En effet : 1° La première
couche
(substance amorphe avec cellules irrégulièremen
fig. 2). Nous verrons plus loin que, chez divers mammifères, cette
couche
amorphe devient de plus en plus caractéristique
irconvolution go- dronnée. 2° Au-dessous apparaît, comme nouvelle
couche
, une mince nappe contournée (b, fig. 2), d'un a
ement le carmin, de sorte que, sur les coupes ainsi colorées, cette
couche
se distingue, même à l'eeil nu, comme un ruban
us ou moins nombreuses. (Voy. les figures des PL. II et III.) Cette
couche
est caractéristique de la circonvolution godron
lorzinî. (Voy. Huguenin, page 297.) 3° Vient ensuite (c, fig. 2) la
couche
des grandes pyramides, qui, vu la dimension réd
de la partie profonde vers la partie superficielle ; aussi cette
couche
mérite-t-elle plus spécialement ici le nom de s
dans l'ensemble de la formation ammonique. 4° Au- dessous est la
couche
de cellules nerveuses étoilées, et enfin, 5° la
ssous est la couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin, 5° la
couche
médullaire de substance blanche, laquelle se co
convolutions. En même temps, comme ses vaisseaux pénètrent dans les
couches
superficielles de la circonvolution de l'hippoc
(sera- tum lacunosunz), et comme, à mesure qu'il se rétrécit les
couches
superficielles des deux circonvolutions arriven
nique, on trouve en allant de la superficie à la pro- fondeur : une
couche
de substance amorphe, une couche de cellules py
perficie à la pro- fondeur : une couche de substance amorphe, une
couche
de cellules pyramidales (stratum racliaitim), une
phe, une couche de cellules pyramidales (stratum racliaitim), une
couche
de cellules nerveuses étoilées, et enfin la subs-
ce blanche; seulement dans la circonvolution godronnée une nouvelle
couche
vient s'interposer entre la première et la seco
première et la seconde, c'est le siraliimqi,aîîzi- losum, entre la
couche
amorphe et le stratum radiatum. Mais cette adjo
cavité ventriculaire, soit une trop grande importance attachée à la
couche
blanche superficielle dite szcbiczc- lîim, et d
'hémisphère pour devenir profonde... elle se recouvre d'une mince
couche
de substance blanche à laquelle est due la cou-
e posté- rieure du corps godronné et répond très médiatement à la
couche
optique, son bord postérieur très mince se cont
Quant à l'étude de la structure, c'est-à-dire de la disposition des
couches
dans la circonvolution de l'hip- pocampe, elle
emands que 12 ANATOMIE. l'auteur résume, il nie la présence d'une
couche
de cellules étoilées entre la couche des grande
sume, il nie la présence d'une couche de cellules étoilées entre la
couche
des grandes pyra- mides et la substance médulla
lle qu'est due la couleur blanche de cette der- nière. La prenzière
couche
, appartenant en propre à l'écorce, la couche ex
nière. La prenzière couche, appartenant en propre à l'écorce, la
couche
externe, est formée de petites cel- lules trans
à reconnaître et appar- tiennent au tissu interstitiel. La deuxième
couche
est caractérisée par l'absence des petites pyra
lacunosum de Meynert (stratum reticulare de Kuppfer). La troisième
couche
(stratum radiatum) est composée en dehors par l
MMON. 13 longements périphériques des pyramides qui en forment la
couche
la plus profonde... Les dimensions de ces pyram
mensions de ces pyramides sont considérables et l'épaisseur de la
couche
qu'elles forment a déterminé Meynert à donner,
s les autres régions de l'écorce, le nom d'am- nzons formation à la
couche
plus particulièrement com- posée de ces élément
e substance conjonctive ou de matière unissante interposée entre la
couche
nerveuse profonde et ce qui représente dans la
onvolution de l'hippocampe ; mais en même temps la continuité de la
couche
des grandes pyramides d'une circonvolution dans
que nous l'avons dit, de les com- prendre dans la nomenclature des
couches
de cette il k ANATOMIE. région corticale. Enf
u trigone (Ia). Cette bandelette est, avec la face supérieure de la
couche
optique et avec les plexus choroïdes, dans les
rts que le corps bordant est avec la face inférieure de ces mêmes
couches
et de ces mêmes plexus. On voit que sous le cor
ou bandelette du trigone) et d'autre part à la limite externe de la
couche
optique (contre le noyau caudé du corps strié)
u rat; coupe passant par les tuber- cules quadrijumeaux (TQ) et les
couches
optiques : en arrière de la couronne rayonnante
es plexus choroïdes et venir se rattacher à la limite externe de la
couche
optique, contre le noyau caudé du corps strié (
lle du côté opposé LA CORNE D'AMMON. 21 par toute l'épaisseur des
couches
optiques (ou pour mieux dire des tubercules qua
calleux est occupé sur toute sa face inférieure par deux épaisses
couches
grises qui sont pour le moins aussi volumineuse
es que les masses corticales dévelop- pées au-dessus de lui. De ces
couches
, l'une est supérieure (C H) et continue d'un cô
phases de cette soudure; l'autre est inférieure et ne forme pas une
couche
continue, quoique ses moi- 22 ANATOMIE. tiés
pe, l'autre godron- née), il énumère de haut en bas les différentes
couches
; il en compte sept qu'il décrit laborieusement,
écrit laborieusement, sans même tenir bien compte de ce qu'une même
couche
, par le fait de la courbe qu'elle décrit ( par
ant son étude est très complète, surtout lorsqu'il s'at- tache à la
couche
qu'il nomme stratum granulosum et qui depuis a
t qui depuis a conservé ce nom. Kôlliker avait déjà signalé cette
couche
: « La corne d'Ammon et l'ergot de Morand, disa
est que dans la substance grise de la corne d'Ammon on trouve une
couche
particulière de cellules rondes, dépourvues de
ressées les unes contre les autres. » Kupffer indique combien cette
couche
se teint énergiquement par le carminé et il déc
nt se terminer dans la circonvolution de l'hippocampe en formant la
couche
blanche superficielle de cette circonvolution,
écorce cérébrale uniforme en surface, on trouve, en une région, une
couche
interposée, reproduisant la dis- position du st
nvolution godronnée; et cependant, par le fait de la présence de la
couche
b, il serait impossible de ne pas reconnaître l
circon- volution godronnée est due surtout à l'augmentation de sa
couche
superficielle (a) dans laquelle va appa- raître
peut-être pas tenu assez compte de ce fait lorsqu'il a classé les
couches
qu'on trouve dans la formation ammonique (voy.
ale de l'encéphale de l'homme au niveau des corps genouillés; - CO,
couche
optique; CC, corps genouillés ; V, ca- vité du
irconvolu- tion de l'hippocampe de la circonvolution godronnée ; a,
couche
de subs- tance amorphe; A, stratum granulosum ;
s- tance amorphe; A, stratum granulosum ; c, stratum tadiatum; d,
couches
des cellules nerveuses étoilées ; couette de subs
cavité des hémisphères (ventricules laté- téraux) ; 2, cavité de la
couche
optique (3- ventricule); 3, cavité des tubercul
érieur, un interne et un externe. Le noyau antérieur siège dans les
couches
superfi- cielles de la protubérance et du corps
ATOMIE. De notre côté, voici ce que nous avons pu constater : les
couches
transversales du nerf auditif, préalable- ment
naissent guère que sous l'aspect de points noirs, au centre de la
couche
jaunâtre et mince de myéline qui les en- toure.
récé- dente. Ce sont des (ils assez déliés et fins, revêtus d'une
couche
circulaire de myéline très mince, qui ne pré- s
4) dus probablement aux cylindres d'axe ainsi qu'à leurs gaines. La
couche
cir- culaire de myéline conserve la même épaiss
n'est qu'exceptionnellement que je trouvai des tubes uniformes, à
couche
circulaire de myéline. Mais je n'eus jamais l'o
e doigt, comme infil- trée ; il semble qu'elle recouvre une épaisse
couche
de tissu cellulaire lâche. En divers points du
tholomew's Ilospital. Elle a eu neuf enfants et plu- sieurs fausses
couches
et ne présente aucun antécédent syphilitique. A
ves, atrophie des cellules nerveuses un travail identique dans la
couche
sous-épithéliale de l'épendyme, dans la pie-mère
il y avait eu un nombre consi- dérable de grossesses ou de fausses
couches
. La mala- die peut survenir chez des personnes
dement. Elle se met à genoux sur son lit, arrange ses oreillers, se
couche
sur le côté droit et s'endort bientôt. Les at
e : Destruction du lobule de l'insula du colé droit; Atrophie de la
couche
optique et du corps strié correspondants; Dégén
6 millimètres sans déterminer de dou- leur ; tout autour existe la
couche
de squames épidermiques habituelle, au-dessus d
rte que, entre Fig, 9. C , corps calleux. C. S., corps strié. 0.,
couche
optique. RECUEIL DE FAITS. 183 l'extérieur et
'extérieur et la paroi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince
couche
de substance blanche. Les circonvolutions du vois
ue sous forme de deux petits noyaux du volume d'un gros haricot. La
couche
optique est diminuée d'au moins les deux tiers
pariétale ascendantes), et produit une atrophie considérable de la
couche
optique et du corps strié (Faj. 9 et 10), s'est
gent les organes supérieurs qui pré- sident à la vie psychique; les
couches
grises ont été sacrifiées à l'élément blanc, la
la zone corticale. Tandis que dans trois cer- veaux quelconques, la
couche
corticale est de 2,57 millim., que sur trois id
DR P1TH()IO.IIs MENTALE. ruban de substance blanche qui précède la
couche
optique surle plancher ventriculaire. Nulle tra
adjacents. Un bourrelet caudiforme, paraissant bien distinctde la
couche
optique soudée inférieurement, tient lieu de corp
d'hypérémie et des ecchymoses dans les noyaux lenticulaires et les
couches
optiques; tout le long de la moelle, prolifératio
s l'auteur n'a pu les poursuivre jusque sur le tectum opticum de la
couche
optique. La racine descendante se divise en deu
céphalopathie rhumatismale, le choléra, l'insolation, les suites de
couches
, l'ataxie locomotrice, etc., etc. ; dans certaine
ssais, et malgré le plus grand soin, on constate que c'est toute la
couche
de substance grise qui suit la pie-mère, laissa
ion pédon- culaire, sur une ligne verticale passant en dehors de la
couche
optique, a coupe irrégulièrement triangulaire d
océdés, que l'expansion du nerf optique est indépendante des autres
couches
de la rétine, y compris celle des cellules nerv
chauve-souris, la taupe et le lapin, entraine la conviction que la
couche
moyenne des fibres de ces or- ganes contient le
par des travaux antérieurs au présent mémoire à admettre, dans les
couches
optiques, des centres inhibiloires empêchant le
la section d'un hémisphère cérébral immédiatement eu arrière de la
couche
optique, puis une hémi-section de la moelle ou
tractions rhythmiques des sphinc- ters, prennent naissance dans les
couches
optiques, puis des- cendent dans l'axe gris, et
u noyau lenticulaire du corps strié; 3° d'autres se jettent dans la
couche
revue d'anatomie. 34Î optique et les corps ge
l'autre. En dé- finitive, il localise les émotions tristes dans les
couches
optiques droites, et les gaies dans les couches
ns tristes dans les couches optiques droites, et les gaies dans les
couches
optiques gauches. Le tra- ducteur admet les opi
in 1882, à l'auteur du meilleur mémoire relatif aux fonctions de la
couche
optique chez l'homme. Les conditions du concour
ite de l'encéphale de l'homme au nireau des corps genouillés; - C0,
couche
optique; CC, corps genouiIIGs; - V, ca- N lié d
tance amorphe; - b, stratum yanulosum ; - c, stratum radiatum; - z
couches
des cellules nerveuses étoilées; ? couche de subs
c, stratum radiatum; - z couches des cellules nerveuses étoilées; ?
couche
de substance blanche médullaire. 390 EXPLICAT
- cavité des hémisphùies (ventricules laté- iau\) ; 2, cavité de la
couche
optique (3e ventricule); 3, cavité des tubercul
t né à Strasbourg le 13 avril 1858 où sa mère était allée faire ses
couches
, bien qu'habitant Paris de- puis son mariage ;
is, il commença à mar- 'Elle s'esl mariée à 19 ans, fait une fausse
couche
; en 1883, elle était bien portante. 22 IDIOTI
ante sous le doigt, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaisse
couche
de tissu cellulaire lâche; au devant du thorax
hritique est comme oedématié. Le rein gauche, entouré d'une épaisse
couche
de graisse, se décortique facilement (quelques
à l'oeil nu de lésions de néphrite interstitielle (épaisseur de la
couche
corticale : 4 millim.). - Le rein droit se déco
be à con- vexité supérieure. Le corps calleux, le corps strié, la
couche
optique, ne présentent rien de particulier. H
signalées, est assez profonde. Le corps calleux, le corps strié, la
couche
optique, sont normaux. Cervelet. - Les hémisphè
-jacents qui sont mous et flasques. On sent qu'il existe une légère
couche
de graisse sur toute la surface du corps. Les m
es. Des incisions faites à la peau niellent à découvert une épaisse
couche
de tissu cellulo-graisseux. Nulle part on ne tr
sie ni sérosité, ni substance colloïde, mais simplement une épaisse
couche
de graisse sous- cutanée. Il esta noter, du res
elle est comme paralysée des extrémités, surtout depuis sa dernière
couche
; en 1881, sa santé n'a fait que décliner. » 9°
s de con- sanguinité - antécédents personnels. 107 Deux fausses
couches
et deux enfants : 1° Un fils, né avant le maria
se trouva mal et qu'on dut aller chercher un médecin ; 2° fausse
couche
de deux mois, sans cause connue;-3° no- tre mal
he de deux mois, sans cause connue;-3° no- tre malade ; - 4° fausse
couche
de cinq mois et demi. Notre malade. Conception
plus antérieure par un sillon transverse. Le ventricule latéral, la
couche
optique, le corps strié, la corne d'Ammon, le c
t étalé. Vers la protubérance, la tumeur est recouverte d'une mince
couche
de tissu nerveux, en avant, elle arrive au cont
umeur occupe tout le pédoncule, qu'elle s'étend en avant jusqu'à la
couche
optique et s'enfonce un peu en arrière dans la
u lobe olfactif ne peut se faire qu'en entraînant une assez forte
couche
de substance grise. -Autant qu'on peut le voir pa
rticipation du tissu cérébral. A leur périphérie, on voit une mince
couche
de cellules embryonnaires, dont les plus intern
ide calcifié. Quelques cellules géantes sont répandues dans cette
couche
. La zone centraleest composée de tissu calci- f
zone de tissu de granulations richement vascula- risées, enfin une
couche
de cellules embryonnaires, sans vaisseaux, pars
llules géantes développées. Les cellules les plus internes de cette
couche
subissent la transformation granulo-graisseuse,
ée. - La corne d'Ammon, le ventricule latéral, le corps calleux, la
couche
optique, le corps strié, n'offrent rien de part
xterne est tomen- teuse, comme déchiquetée, car presque partout une
couche
assez épaisse de la substance grise a été entra
ur le bord du coin. La corne d'Azzzmon, le ventricule latéral, la
couche
optique, le corps calleux sont normaux. Exame
ent visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la
couche
superficielle de né- vroglie a son épaisseur no
peu plus abondants que chez un enfant sain du même âge. La seconde
couche
, celle des petites cellules pyramidales, présen
n ne retrouve pas à un faible grossissement l'aspect connu de cette
couche
, et qu'il en faut chercher les éléments. Dans l
cette couche, et qu'il en faut chercher les éléments. Dans les deux
couches
suivantes, couche des cellules pyramidales moye
l en faut chercher les éléments. Dans les deux couches suivantes,
couche
des cellules pyramidales moyennes et couche des
deux couches suivantes, couche des cellules pyramidales moyennes et
couche
des grosses cellules, on observe, vu la grosseu
s de cellules de cartilage. Les cellules situées àlalimite des deux
couches
intermédiaires aux grandes cellules pyramidales
e altération dont on retrouve des états différents sur toutes les
couches
. Elles sont d'abord gonflées, hyalines, avec une
s groupes de cel- lules à autre état. Les capillaires dans ces deux
couches
sont ramifiés et dilatés, mais leur développeme
iés et dilatés, mais leur développement n'est pas excessif. Dans la
couche
suivante de la substance grise et dans la subst
du centre à la périphérie. En effet, si nous reprenons l'étude des
couches
en sens inverse, nous voyons d'abord la substan
présentant les figures connues sous le nom d'éléments araignées. La
couche
intermé- diaire, couche des fibres arquées, et
onnues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermé- diaire,
couche
des fibres arquées, et la couche des grandes ce
ignées. La couche intermé- diaire, couche des fibres arquées, et la
couche
des grandes cellules pyramidales ne se composen
nts avec de nombreuses cellules intersti- tielles, et c'est dans la
couche
des cellules pyramidales moyen- nes que l'on re
uer. Au-dessus, la sériation des cellules a tout à fait disparu. La
couche
la plus superficielle de la substance grise a é
Une soeur, 26 ans, n'a pas eu de convulsions, a fait des fausses
couches
et a eu des enfants morts jeunes. Pas d'idiots,
rieure (bourrelet) est comprise dans le kyste. Le corps strié, la
couche
optique, n'offrent rien de particulier. Le ventri
dans le kyste temporal. Le corps strié paraît normal, ainsi que la
couche
optique. Le ventricule latéral ne paraît pas en
n arrière, à peu près lisse. La corne d'Ammon, le corps calleux, la
couche
optique, le corps strié ne présentent rien de p
ssée. La circonvolution du corps calleux, le ventricule latéral, la
couche
optique, n'offrent rien de particulier.-Les sci
leur forme pyramidale et des prolongements nets. En somme, les cinq
couches
de la substance grise ne présentent pas de lési
rise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq
couches
; la vasculari- sation est exagérée; les capilla
l des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans les
couches
moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans
dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la
couche
des petites cellules pyramidales 1,2° couche de
euses, surtout dans la couche des petites cellules pyramidales 1,2°
couche
de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les
montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses
couches
reconnaissables. Il existe un certain nombre de
- che des cellules de Purkinjo ; une diminution d'épaisseur de la
couche
des myélocytes, et un certain degré de sclérose d
rieure de la circonvolution frontale. - Le ven- tricule latéral, la
couche
optique, le corps strié et la conie d'Ammon par
resque et formant une vaste bande entre la première et la troisième
couche
de la substance grise, et comprenant ainsi la m
pas disposées en séries, mais dispersées et globuleuses. Celles des
couches
profondes sont allongées, granuleuses et très f
es- tante. Cette paroi est composée, de dehors en dedans, detrois
couches
: la plus superficielle, mince et homogène, formé
ts, s'amincit aux points extrêmes do la lésion et disparait dans la
couche
superficielle de la subs- tance grise normale.
erficielle de la subs- tance grise normale. Au-dessous apparaît une
couche
deux à trois fois plus épaisse. Cette couche es
u-dessous apparaît une couche deux à trois fois plus épaisse. Cette
couche
est composée surtout de cellules rondes assez v
s fibrilles convergent en bas par faisceaux distincts. La troisième
couche
est occupée parces faisceaux et un certain nomb
paroi, ainsi constituée sur les parties latérales, on voit que les
couches
se perdent successivement dans la couche extern
atérales, on voit que les couches se perdent successivement dans la
couche
externe névroglique de la subs- tance grise ; c
xterne névroglique de la subs- tance grise ; c'est donc entre cette
couche
externe et la deuxième couche de Meynert que s'
tance grise ; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième
couche
de Meynert que s'est opérée la scissure qui a don
ce grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouverte par une
couche
fibril- laire névroglique. Au-dessous, elle se
du foyer sont moins avancées, quoique très étendues. La première
couche
, couche névroglique de Meynert, est très mince,
r sont moins avancées, quoique très étendues. La première couche,
couche
névroglique de Meynert, est très mince, avec de
est raréfiée, qui forment autant d'espaces clairs. Dans la deuxième
couche
, celle des petites cellules pyrami- dales, on v
s normaux sont détruits et leur nom- bre diminué. Dans la troisième
couche
, celle des cellules moyennes, on voit les colon
ellule. Le prolonge- ment inférieur est le plus distinct. Dans la
couche
suivante des grandes cellules, les altérations
es qui vont former la substance grise, on voit de plus que dans les
couches
précédentes un assez grand nombre de noyaux de
ut dans la substance grise. Cervelet, - Dans la substance grise, la
couche
de névroglie est fibrillairo dans le sens longi
les prolonge- RÉFLEXIONS : HÉRÉDITÉ. 191 ments de la plupart. La
couche
des cellules névrogliques n'offre rien de parti
dont l'origine est évidemment sanguine. Elle est constituée par la
couche
la plus superficielle de la substance grise, ép
nt bien développés et normaux. Le corps calleux, le corps strié, la
couche
optique et le ventri- cule latéral ne présenten
à gauche. il en est de même du corps calleux, du corps strié, de la
couche
optique et du ventricule latéral. BOURNEVILLE
- ret.) 1° Une fausse-couche; 2° notre malade; - 3° une fausse-
couche
(cette dernière grossesse provient d'un second mi
sure calcarine sont normaux. Le corps calleux, le corps strié et la
couche
optique, le ven- tricule latéral, la corne d'Am
is enfants vivants, deux sont morts (tuberculose ? ), trois fausses
couches
. La maladie actuelle date de septembre 1911.A c
de Nissl ce pigment est coloré en vert jaune. Ecorce (Nissl). Les
couches
différentes sont partout bien reconnaissa- bles
de ces foyers est très restreinte. Souvent ils ne dépassent pas la
couche
dans la- quelle ils sont situés ; les couches s
ls ne dépassent pas la couche dans la- quelle ils sont situés ; les
couches
sous-et sus-jacentes ont les caractères ordi- n
t coloré. Ces noyaux sont distribués entrés grand nom- bre dans les
couches
profondes où l'on trouve les plus beaux spécimens
couches profondes où l'on trouve les plus beaux spécimens, dans les
couches
supérieures ils deviennent plus petits. Ils sont
sous-piemérien est épaissi. Entre les cel- lules névrogliques de la
couche
moléculaire nous en remarquons qui ont un proto
s araignées donnant naissance à des fibres névrogli- ques. Dans les
couches
sous-jacentes ce sont les cellules à noyaux grand
s ré- duites), la richesse en fibres à myéline n'a pas diminué. Les
couches
optiques et les autres amas de substance grise,
ut, pour trouver les foyers perforés, les chercher attentivement.
Couches
optiques. Cellules nerveuses en forte dégénératio
, se différencie bien du type clair. Ecorce du cervelet. Ni dans la
couche
plexiforme, ni dans la couche des grains le typ
clair. Ecorce du cervelet. Ni dans la couche plexiforme, ni dans la
couche
des grains le type du noyau névroglique sus-déc
ces processus de dégénération bien connus nous remarquons dans les
couches
profondes quelques noyaux se distinguant par le
en nucléïne, parfois il y a deux amas chromatiques ou plus. Dans la
couche
des cellules fusiformes ces noyaux ont des dime
ux cas surtout, c'est la présence des grands noyaux clairs dans les
couches
profondes de l'écorce ; dans le casKr... ils s'
s s'y limitent, dans le premier cas ils se présentent déjà dans les
couches
supérieures. CONCLUSIONS. Chez des gens à un
tra- vers la moelle cervicale et l'isthme de l'encéphale jusqu'à la
couche
opti- que. La série des figures 7-22 nous dispe
par la formation réticulée pédoncl1lo- protubérantielle jusqu'à la
couche
optique (1). Trajet cervical et connexions intr
s indiqué sur nos dessins, que des fibres plus ténues arrivent à la
couche
interolivaire et la traversent pour aller à l'oli
ey, Bumke, Blume- nau,Goldslein qui ont suivi jusqu'à la base de la
couche
optique,des con- nexions spino-thalamiques, trè
psule qui les entoure est très épaisse, et constituée par plusieurs
couches
de fibres cellules a noyau allongé et disposées
lui, afin d'être au chaud pen- dant son sommeil, ce qui donne à sa
couche
une allure fantomatique, dont s'épouvante chaqu
rme de la gaine de Schwann qui apparaît formée d'un grand nombre de
couches
concentriques, en bulbe d'oignon, com- primant
segment rétro lenticulaire de la capsule interne. Elles abordent la
couche
optique au-dessus des radiations du corps genou
ariétal, la lésion atteint l'épendyme ventriculaire et sectionne la
couche
sagittale et que c'est par cette couche que pas
ntriculaire et sectionne la couche sagittale et que c'est par cette
couche
que passent les fihres de projection de la région
te plaque jaune a atteint l'épendyme ventriculaire et sectionné les
couches
sagittales du segment postérieur de la couronne
onvolution postérieure de l'insula. La plaque jaune a sectionné les
couches
sagittales au voisinage du segment rétrolen- ti
trolen- ticulaire de la capsule interne ». Ainsi, en atteignant les
couches
sagit- tales très en avant, et tout près des ga
très marquées au ni- veau de la capsule interne et des noyaux de la
couche
optique, von Mona- kow considère que l'intégrit
ait sur la voie cortico-protubérantielle frontale, ainsi que sur la
couche
opti- que (noyau antérieur, noyau ventral antér
Alors qu'on constatait une intégrité parfaite du noyau médian de la
couche
optique et de la zone capsulaire frontale du noya
oyau antérieur, le noyau ventral antérieur et le noyau médian de la
couche
optique, puis, après avoir traversé la région s
interne, porte sur les noyaux du segment inférieur on ventral de la
couche
optique, et, gagnant alors la partie latérale de
nt du noyau interne, du centre médian et de la zone réticulée de la
couche
optique et peut-être même de la zona incerla..
t de fibres fourni par les masses grises du segment inférieur de la
couche
optique, y compris la zone réticulée, . et peut
le noyau rouge à la lame médullaire externe (partie médiane), ai la
couche
optique (centre médian en particulier), et à la
Ces mêmes fibres forment la majeure partie du tiers antérieur de la
couche
péri-capsulaire dorsale ou supérieure et entrent
et entrent également dans la constitution du tiers antérieur de la
couche
péri-cap- sulaire médiane. Pour ce qui en est d
qui proviennent de la région operculaire et du noyau ventral de la
couche
optique, ces fibres concourent à former cette p
n dehors les deux tiers antérieurs du noyau rouge, c'est-à- dire la
couche
péri -rubrique ventro-latérale. - Nos travaux p
circonvolution tem- porale etdu lobule fusiforme, ne sectionnait la
couche
sagittale externe que sur une très faible étend
par un foyer rectangulaire lequel sectionne largement toutefois les
couches
sagittales sous-ventriculaires. La lésion de l'hi
t dans le lobe pariétal, soit dans le lobe frontal. Au niveau de la
couche
optique, cependant, on remarque quel- ques foye
ésente également une pâleur manifeste. Près du bord supérieur de la
couche
optique, on voit un petit foyer lacunaire lequel
duaire affecte particulièrement le domaine du cingulum ainsi que la
couche
marginale de l'alvéus et la fimbria. La couche sa
ingulum ainsi que la couche marginale de l'alvéus et la fimbria. La
couche
sagittale externe temporale se colore fortement
E ARCHAMBAULT du noyau rouge, traverse le tubercule antérieur de la
couche
optique, le corps de Luys et la bandelette opti
foyer lacunaire est encore visible dans la partie supérieure de la
couche
optique et semble avoir déterminé une dégénéresce
miné une dégénérescence partielle du stratum zonale ainsi que de la
couche
sagittale interne de la cou- ronne rayonnante p
ne de la cou- ronne rayonnante pariétale. Dans le lobe temporal les
couches
sagittales re- prennent un aspect relativement
obe temporal, dans le domaine du cingulum en particulier. Quant aux
couches
sagittales profondes, elles pré- sentent une dé
t, c'est l'atrophie rétrograde énorme, la résorption presque, de la
couche
sagittale externe. Le tapetum par contre n'est gu
ne. Le tapetum par contre n'est guère touché- La dégénérescence des
couches
sagittales temporales se poursuit directement dan
générescence rii ! ru1\ du noyau latéral et du stratum zonale de la
couche
optique, ainsi que l'affaissement du bord supérie
ue le stratum zonale, le noyau latéral et le bord su- périeur de la
couche
optique, et, d'autre part, la couronne rayonnante
etits foyers lacunaires nu niveau de la partie supéro-interne de la
couche
optique, lesquels contribuent LES CONNEXIONS CO
dégénérescence s'épuise dans la partie externe du noyau latéral de la
couche
optique ; en bas elle abandonne un prolongement
end directement dans le pied du pédoncule cérébral. Au niveau de la
couche
optique, on remarque outre la dé- générescence
a substance profonde du lobe pariétal, lequel siège au niveau de la
couche
sagittale externe de la couronne rayonnante un pe
st ainsi que dans le lobe temporal, la déco- loration partielle des
couches
sagittales et de la substance profonde est diffi.
e une dégénérescence assez légère et diffuse du noyau latéral de la
couche
optique. Sur les coupes passant par l'extrémité p
corps quadrijumeau antérieur, du pulvinar et du noyau interne de la
couche
optique, ainsi que de la partie pos- térieure d
existe aucune autre lésion dans ce cas, sauf quelques lacunes de la
couche
optique et du noyau lenticulaire. On constate u
rescence très marquée de la partie laté- rale du corps calleux, des
couches
sagittales de la couronne rayonnante et de tout
de la convexité pariétale-et de la capsule externe. Au niveau de la
couche
optique, on remarque une atrophie notable du bord
s relèvent en partie de la grosse lacune sié- geant au centre de la
couche
optique. On note une raréfaction très considérabl
te, de la capsule interne et de la capsule externe. Au niveau de la
couche
optique, la réaction dégénérative semble plus acc
ante, et contribue sans doute à intensifier la dégénérescence de la
couche
sagittale externe et de la capsule externe. La
externe et de la capsule externe. La dégénérescence rétrograde de la
couche
sagittale interne de la couronne rayonnante est
vie directement dans le pied du pédoncule cérébral. Au niveau de la
couche
optique, on constate la dégénéres- cence de la
égénérescence. Il est vrai qu'à cet endroit le bord supérieur de la
couche
optique semble être intéressé par des altérations
nt une légère dégénérescence du bord externe du noyau latéral de la
couche
optique ainsi que de la lame médullaire externe.
nce capsulaire ienticuio-tha'amique est encore très marquée mais la
couche
optique reprend un aspect relative- ment normal
rale, et sectionne à peu [très complètement le segment vertical des
couches
sagittales profondes du lobe temporal. Cette vast
andique. Malgré le voisinage si intime de la lésion, on voit que la
couche
sagittale externe temporale est relativement inta
la couche sagittale externe temporale est relativement intacte ; la
couche
sagittale interne et le tapétum, au contraire, so
I immédiatement au-dessus du corps genouillé externe. Au niveau de,
couche
optique, on remarque une atrophie déformante pl
ée des deux tiers supérieurs de la capsule interne. Au niveau de la
couche
optique, on remarque encore une atrophie très not
génératifs au niveau du noyau rouge que lorsqu'elles impliquent les
couches
sagittales profondes sur une étendue considérab
téro-inférieure, c'est-à-dire au cours de leur passage à travers la
couche
sagittale interne temporale. Ce qui paraît être
erne. La dégénérescence s'étend ensuite d'une part aux noyaux de la
couche
optique, et d'autre part au noyau rouge. Au niv
la couche optique, et d'autre part au noyau rouge. Au niveau de la
couche
optique, elle atteint la lame médul- laire exte
pied du pédoncule cérébral. Ces lésions entraînent, au niveau de la
couche
optique, la dégénérescence surlout de la lame méd
culaire, au niveau du bord externe de la moi- tié postérieure de la
couche
optique (Charroi et Raymond), ou même à l'intér
ire de la capsule interne et par la parlie posléro-In Férieui de la
couche
optique Tout récemment, J11. Pierre llarieelJ.
la preuve de l'existence d'un centre de la mimique au niveau de la
couche
optique. Pour nous, ce phénomène peut tout auss
vation du facial inférieur que l'on a décrit dans les lésions de la
couche
optique est ordinairement transitoire, ce qui 2
teignant tan- tôt la partie médiane du noyau lenticulaire tantôt la
couche
optique ou la calotte pédonculo'pl'otubél'antie
Le malade est marié ; sa femme est bien portante ; après une fausse
couche
de trois mois, elle eut uu garçon actuellement
montra des altéra- tions soit dans les noyaux rouges, soit dans les
couches
optiques, a per- mis de formuler la théorie, ma
s inferior thalami. Coupe V (intéressant la partie antérieure de la
couche
optique). Le noyau caudé, le putamen et le glob
Leur nombre apparaît très faible. L'affaissement très évident de la
couche
optique est expliqué par l'atrophie de la régio
une prolifération de la névroglie bien appréciable à la base de la
couche
optique, aux confins de la région sous- thalami
sous- thalamique En étudiant le réseau de fibres à myéline dans la
couche
optique, des réductions ne sont pas constatées.
aisceau volumineux, qui aboutit dans la base du noyau externe de la
couche
optique. Comme dans la coupe précédente, nous rem
s l'affaissement de cet organe. Microscopiquement, les noyaux de la
couche
opti- que ne montrent pas une diminution du rés
rquons les faisceaux fibrillaires entourant le. noyau externe de la
couche
optique ; la zone reticularis et la lamina medull
la névroglie, surtout autour 286 VAN WOERKOM - des vaisseaux. La
couche
optique ne montre ni des réductions cellulaires
noyau rouge). Nous remarquons l'intégrité de la capsule interne. La
couche
optique montre la défor-, Série normale Série o
mes altérations qui attirent notre attention : la déformation de la
couche
optique, la coupe d'après Weigert-Pal sans altéra
an Gieson montrant l'augmen- tation de la névroglie à la base de la
couche
optique. Du reste rien d'anormal n'est constaté
ent ce que l'on trouve d'ordinaire chez les vieillards. Partout les
couches
sont bien différenciées. Les cellules pyramidal
importantes. Les cellules de Purkinje ont l'aspect normal. Dans la
couche
des grains, on reconnaît les cellules de Gol-i
la couche des grains, on reconnaît les cellules de Gol-i ; dans la
couche
plexiforme, on remarque, en bon nombre, les cel
bon nombre, les cellules étoilées. Les cornes d'Ammon montrent une
couche
de cellules pyramidales normales ; à certaines
névroglie est en prolifération. D'après Weigert-Pal, l'alveus el la
couche
fibrillaire superficielle du subiculum sont bie
Les corps de Luys ont perdu la moitié de leur volume. A la base des
couches
optiques (les places pointillées) , la névroglie
llées) , la névroglie est enproliféra- tion accentuée. Du reste les
couches
optiques sont sans altérations appréciables.
les pyramidales ont conservé leur disposition normale et toutes les
couches
sont bien reconnaissables. Dans l'écorce, la né
aru. Les altérations y sont peu prononcées. Le noyau lenticulaire, la
couche
optique et le noyau rouge ont, dans ces coupes,
t morte 11. 56 ans de bronchite chronique, elle u'eut pas de fausse
couche
et lui a laissé deux fils actuellement bien porta
centrique. Quant à la dure-mère elle-même, cette memhrane forme une
couche
solide autour de la tumeur qui en est net- teme
ussi secondaires : Cpaslin a mis en évidence la fréquence, dans les
couches
superficielles de l'écorce, de faisceaux de fib
. Pas d'autres maladies. Elle a 7 enfants bien portants. Une fausse
couche
au troisième mois. Elle était déjà à l'hôpital (a
d'autres maladies, pas de syphilis. Sa femme n'a pas eu de fausses
couches
. Il y a quelques années il a été traité par des i
e la pariétale ascendantes ; cette lésion ne devait occuper que les
couches
superficielles du cortex et consister très vrai
s en bonne santé. Elle a eu 6 enfants dont 3 sont morts. Une fausse
couche
. La famille est bien por- tante. Etat actuel.
syphilis ; 4 enfants bien portants. Sa femme n'a pas eu de fausses
couches
. ' Etat actuel. Bonne conformation, bon état gé
miée avec de nombreuses extra - vasations sanguines, couverte d'une
couche
épaisse de mucosités et de pus. Intestins norma
néoplasiques sur la face externe de la dure-mère. 170 FLATAU les
couches
de la dure-mère. Dans certains segments de la moe
l'on sera a même de déterminer dans quelles régions et dans quelles
couches
évoluent les processus pathologi; dues qui cara
oir la lésion par symptôme ? Il est évident que la lésion delà même
couche
dans la même région doit L constamment produire
ple que les altérations étaient plus marquées dans telles ou telles
couches
corticales ; qu'elles étaient uniquement locali
hes corticales ; qu'elles étaient uniquement localisées dans telles
couches
de l'écorce ! D'autres savants même, ont déjà
e ! D'autres savants même, ont déjà notéque dans certains cas telle
couche
de l'écorce ne s'était pas développée du tout.
s'agis- sait là de la persistance partielle du type infantile de la
couche
intéres- sée. Janet, dans son dernier volume
0 U I)N E \' produite par l'anémie et la manie par l'hyperémie des
couches
corticales du cerveau. Ceci nous montre de quel
me est violent et impulsif comme son père ; il n'y a pas de fausses
couches
. Notre garçon fut conçu au grand déplaisir des
e sujet a eu d'autres frères ou soeurs, si sa mère a eu des fausses
couches
, car dès son enfance il a vécu hors de sa famil
la substance osseuse même est altérée, car en certains endroits la
couche
corticale est fort épaisse et abondante ; en d'au
gieuse est très abondante et sur plusieurs on peut même dire que la
couche
corticale a presque disparu. Le raccourcissemen
morts et le treizième est notre malade. Elle n'eut jamais de fausses
couches
. Deux des enfants moururent tout de suite après
pouvons rien affirmer, d'autant plus qu'il n'y a pas eu de fausses
couches
. Certainement chez les parents il n'y avait ni
n regard de la lésion osseuse, s'étale, sur la dure-mère, une mince
couche
de fongosités englobant légèrement les raci- ne
ernier est né il y a 18 ans, et dont 6 sont vivants. Pas de fausses
couches
. La-syphilis ne se retrouve pas. Le malade ne b
inférieurs manquent complètement. La malade affirme que si elle se
couche
sur le côté droit,son membre droit se fléchit dan
. 30). A un fort grossis- sement on peut voir comme les différentes
couches
de la dure-mère se sépa- rent et sous forme d'u
les cellules ne gardaient plus la disposition caracté- ristique en
couches
,mais elles étaient séparées par des bandes cicatr
ractérisé par la présence des cel- lules géantes et l'absence d'une
couche
granuleuse, l'autre postérieur, (1) W. BETZ. An
ENTS VOLONTAIRES 371 caractérisé au contraire par la présence d'une
couche
granuleuse évidente et par l'absence des pyrami
de sorte qu'il n'y a pas de limite distincte entre les différentes
couches
et les cellules sont moins denses que dans la p
frontate. Tandis que dans la frontale ascendante, les diffé- rentes
couches
, et particulièrement la troisième, la quatrième e
en -opère d'autres d'ordre histologique. C'est ainsi que la seconde
couche
de la frontale ascendante contientpeu de cellules
les granu- leuses et beaucoup de petites pyramides. D'autre part la
couche
granu- leuse interne fait défaut à peu près com
fait défaut à peu près complètement et la troisième et la cinquième
couche
se continuent directement. La dernière contient l
et la substance blanche, car les cellules fusiformes de la sixième
couche
des- cendent profondément dans cette dernière (
trouvons sur toute l'étendue de la circonvolution la présence d'une
couche
granuleuse interne très bien indiquée qui sépar
1. Structure de l'écorce correspondant au type 4 de Brodmann. j I,
Couche
zonale. II, Couche de petites pyramides. III, Cou
écorce correspondant au type 4 de Brodmann. j I, Couche zonale. II,
Couche
de petites pyramides. III, Couche de moyennes et
Brodmann. j I, Couche zonale. II, Couche de petites pyramides. III,
Couche
de moyennes et grandes pyf3R]id V, Couche des c
e petites pyramides. III, Couche de moyennes et grandes pyf3R]id V,
Couche
des cellules géantes. VI, Couche des cellules mul
de moyennes et grandes pyf3R]id V, Couche des cellules géantes. VI,
Couche
des cellules multiformes. 1 DES CELLULES DE BET
la pariétale ascendante correspondant au type 1 ae tsroan : ann. I,
Couche
zonale. - Il, Couche des petites pyramides. III.
te correspondant au type 1 ae tsroan : ann. I, Couche zonale. - Il,
Couche
des petites pyramides. III. Couche des moyennes
n : ann. I, Couche zonale. - Il, Couche des petites pyramides. III.
Couche
des moyennes et grandes pyramides. IV, Couche g
tites pyramides. III. Couche des moyennes et grandes pyramides. IV,
Couche
granulaire. V, Couche des grandes pyrami- des p
Couche des moyennes et grandes pyramides. IV, Couche granulaire. V,
Couche
des grandes pyrami- des profondes. VI, Couche d
Couche granulaire. V, Couche des grandes pyrami- des profondes. VI,
Couche
des cellules multiformes. 374 MAU1NESC0 1 pla
qui se fait assez brusquement se caractérise par l'apparition de la
couche
granuleuse interne dans la partie postérieure et
grosses cellules pyramidales profon- des, situées au-dessous de la
couche
granuleuse interne nous avons pour le corps cel
. Gesellschaft, février 1883. (2) VoN Monakow. Du râle des diverses
couches
des cellules ganglionnaires du gyrus sigmoideus
qui avait détruit la capsule in- terne, le noyau lenticulaire et la
couche
optique, les réactions cellulaires ne se limite
es, mais elles se produisent encore dans les grandes pyramides delà
couche
sous-granulaire et également dans un certain no
BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 381 avait pas de lésion dans les
couches
superficielles ni dans la couche polymorphe. Pu
381 avait pas de lésion dans les couches superficielles ni dans la
couche
polymorphe. Puis les lésions ne se limitent pas
trale, dans une disparition partielle des grandes pyramidales de la
couche
sous-granulaire de la frontale et pa- riétale a
. Ils remarquent en outre.qu'il est possible que des cellules de la
couche
supraranulaire aient disparu, mais qu'il leur e
leur origine exclusivement des cel- lules pyramidales géantes de la
couche
sous-granulaire de cette zone et ces cellules n
l. Vol. XVI, no (-2, 1910. 384 MARINESCO de la base détruisant la
couche
optique, les deux tiers du noyau lenticu.aire et
les cellules de Betz sont en réaction ; les grandes cellules de la
couche
sous-granulaire de la pariétale ascendante sont é
u jusqu'au voisinage du pli courbe. Un foyer plus récent détruit la
couche
optique gauche et la capsule interne. Examen mi
s de réaction et d'atrophie dans quelques grandes pyramidales de la
couche
sous-granulaire. 6° Jean P... Notes cliniques.
externe. Un autre foyer, petit, siège à la partie supérieure de la
couche
optique droite. Examen microscopique. Dans le
cellules pigmentées et atrophiées dans la par- tie supérieure de la
couche
granuleuse.La différence est nette quand on compa
xamen macroscopique. Foyer hémorragique récent qui détruit toute la
couche
optique gauche et le segment postérieur de la cap
r plus grand et plus récent qui détruit la plus grande partie de la
couche
optique et tout le segment postérieur de la capsu
ement ; un autre foyer dé- truit la tête du noyau caudé gauche ; la
couche
optique droite est détruite par un foyer hémorr
s les noyaux delà base, un peu plus nombreux et plus grands dans la
couche
optique et dans le noyau lenticulaire gauche. Des
rface limitante du chorion et de l'épidémie s'étendent à toutes les
couches
sus-jacentes. Mais s'il existe un trouble de l'or
it n'a marché qu'à cinq ans, et, ma- riée, a fait plusieurs fausses
couches
. Cinq enfants sont plus jeunes; deux moururent
éticulée de la couronne rayonnante décrite par Sachs, ou encore, la
couche
sagittale interne fronto-pariétale de Anton et
tal. Pour lui, le faisceau d'Onufrowicz doit être identifié avec la
couche
sagittale interne du lobe fronto-pariétal et co
frontal de celui-ci existe bien qu'il ne soit représenté que par une
couche
de fibres commissurales très mince, limitée à l
ide séreux clair et tapissés par un épendyme épaissi et velouté. La
couche
optique gauche est extrêmement saillante, d'aut
ci-dessus décrit et se continue plus loin sous la forme d'une mince
couche
de fibres qui engaine plus ou moins complètemen
de la'partie moyenne de ce ventricule, nous dit Zingerle, la mince
couche
de radia- tions calleuses qui n'est que la cont
maire, mais aussi des' troubles circulatoires dans le domaine de la
couche
périventriculaire, auxquels il faut encore ajoute
née par l'augmentation de la pression intraventriculaire. Or, cette
couche
étant en grande partie constituée par l'épanouiss
La continuation intra-hémisphérique du corps calleux neforme qu'une
couche
très mince au-dessus de la voûte du ventricule,
Dejerine, dans lesquels on ne retrouve pas au niveau du tapétum, la
couche
pour- tant bien caractéristique que forment les
bris cellulaires et filamenteux, et siè- gent de préférence dans la
couche
des cellules pyramidales. On note égale- ment u
t pas contracté la syphilis. La mère n'avait jamais fait de fausses
couches
et avait mis au monde, en dehors de notre sujet,
absolument normale ; elle fut bientôt enceinte mais fit une fausse
couche
de 5 mois ; à la seconde grossesse elle accouch
coupes les bandelettes optiques paraissent normales ; les diverses
couches
myéliniques du tubercule quadrijumeau antérieur p
cune lésion importante. Peut-être les libres à myéline des diverses
couches
y sont-elles moins nombreuses ? On ne peut rien a
les à peu près jusqu'à la même distance. 1 , L'épaisseur de cette
couche
de tissu pathologique est variable ; elle atteint
ts on s'aperçoit souvent que ces petites plaques se rejoignent à la
couche
péri- ventriculaire et qu'elles n'en sont qu'un
'une dépendance. La membrane épendymaire elle-même, qui recouvre la
couche
de sclérose, paraît par endroits comme détachée
rrent inflammatoire bouleverse naturellement toute l'ordonnance des
couches
. Il se forme des foyers d'infiltration, très ri
udé des circonvolutions de la face médiane. Elle est entourée d'une
couche
de fibres assez épaisse, mais qui se colore fort
orent mal, étant plutôt jaunâtres, et se dégagent directement de la
couche
sous-épendy- maire. Ces fibres, nous les attrib
maire. Ces fibres, nous les attribuons au système calleux, puisque la
couche
LA SOI-DISANT AGÉKËStH DU CORPS CALLEUX (La5t
lexe de la paroi interne renferme des libres qui se détachent de la
couche
sagittale interne de la cou- ronne rayonnante,
trop considérable. On distingue très nettement à ce niveau les deux
couches
sagittales de la couronne rayonnante bien qu'el
ps du trigone. Au-dessus de ce champ, on voit très nettement que la
couche
sagittale interne de la couronne rayonnante fro
e dans la région sous-corticale de la circonvo- lution limbique. La
couche
sagittale externe est encore partiellement dissoc
ieure de cette région et correspondant à la moitié antérieure de la
couche
optique (PI. LXXIV-D), le ventricule latéral es
estant attaché par son extrémité inférieure à la face dorsale de la
couche
optique, le corps du trigone, qui à l'état norm
pourtour de la circonvolution limbique et de la face médiane de la
couche
optique on trouve une abondance de débris pie-mér
laquelle repose le faisceau sagittal médian. La configuration de la
couche
optique (PI.LXXIV-D,et fig.3) est quelque peu m
t repoussé en dehors. La strie médul- . laire passe au-dessus de la
couche
optique au lieu de côtoyer son bord supéro- int
laire, très remonté, s'applique directement à la face interne de la
couche
optique et tombe presque dans le même plan horizo
ches sagittales, mais quand on y regarde de plus près, on voit que la
couche
la plus interne est formée de fascicules pâles
LLEUX ( 9 l'insula et de la face externe du lobe temporal. Des deux
couches
sagittales de la couronne rayonnante proprement
te proprement dite, à l'inverse de la disposition normale, c'est la
couche
interne qui est la plus forte ; la couche externe
osition normale, c'est la couche interne qui est la plus forte ; la
couche
externe ne formant qu'une mince lame arquée qui
tes). A travers toute l'étendue du lobe pariétal se détachent de la
couche
sagittale interne des fascicules assez considérab
en grande partie du tuber- cule antérieur et du noyau dorsal de la
couche
optique. Dans le lobe temporal, la corne sphéno
e rien d'anormal du côté du plexus choroïdien ou de l'épendyme. Les
couches
sagittales pro- fondes paraissent indemnes, sau
t sur les coupes qui intéressent le corps de Luys, le tapétum et la
couche
sagittale interne présentent une légère dégénér
pariéto-temporal (PI. LXXIV-E) et corres- pondant au pulvinar de la
couche
optique et au corps genouillé externe, le ventr
tre le bord inférieur de l'écorce limbique et la face dorsale de la
couche
optique. A ce niveau, l'ensemble des fibres sit
egment médian, nettement dégénéré, s'accole à la face dorsale de la
couche
optique où il est retenu par le plexus choroïdi
de pinéale. Cette memhraue adhère fortement au bord supérieur de la
couche
optique et au bord inférieur de la circonvoluti
en effet, dans le voi- sinage du noyau caudé, du noyau dorsal de la
couche
optique et le long de la face médiane de ce gan
partie profondément enclavé dans la substance du noyau médian de la
couche
optique. Ses rapports avec le segment dorsal de l
Meynert et avec la strie médullaire et le tubercule antérieur de la
couche
optique, sont des plus faciles à constater. Le
petit foyer de ramollissement siège au niveau du noyau médian de la
couche
optique et a probablement déterminé la légère d
e ne présente à cet endroit aucune particu- larité intéressante. La
couche
interne se rend toujours avec la même régula- r
AGÉNÉS1E DU CORPS CALLEUX 641 vée dans le segment vertical de la
couche
sagittale externe. Ce segment reçoit également
im et Dejerine. Le segment sous-ventri- culaire du tapétum et de la
couche
sagittale interne présente encore eu divers end
porale. Dans la région comprise entre l'extrémité postérieure de la
couche
optique (pl. LXXIV-Fj et le plein développement
ent à la paroi ventriculaire un contour irrégulièrement bosselé. La
couche
sagittale interne de la couronne rayonnante parié
avec une singulière netteté. Le segment sous-ventri- culaire de la
couche
sagittale interne temporale est passablement dégé
leuses du bord supérieur et de la convexité du lobe occipital. La
couche
sagittale interne est très dégénérée surtout le l
l'est à un moindre degré au-dessus et au-dessous du ventricule. La
couche
sagittale externe est remarquablement bien délimi
ement la dégénérescence très intense du segment correspondant de la
couche
sagittale interne. La couche sagittale externe se
intense du segment correspondant de la couche sagittale interne. La
couche
sagittale externe se colore parfaitement aussi
ité de son trajet, la corne temporo-occipitale du ventricule et les
couches
de fibres qui l'entourent pré- sentent un bon n
ur de la paroi interne. En raison de cette anomalie du tapétum, les
couches
sagittales péri-ventriculaires des régions corr
résentent un aspect assez curieux et plutôt intrigant. Alors que la
couche
sagittale externe paraît bien développée et norma
agittale externe paraît bien développée et normalement disposée, la
couche
sagittale interne, au contraire, semble notableme
démontre qu'il ne s'agit là que d'une appa- rence. Les fibres de la
couche
sagittale interne, qui à l'état normal sont d'un
considérable que le leur propre. II en résulte que le domaine de la
couche
sagittale interne est extrêmement décoloré et q
mement décoloré et que la zone sous-épendymaire est occupée par une
couche
de fibres relativement bien conservée. Cette disp
ère nous a d'abord conduit à considérer le tapétum comme sain et la
couche
sagit- tale interne comme presque totalement dé
ude absolue que ces fibres saines se continuent directement avec la
couche
sagittale interne et non avec le tapétum, au ni
s de cette commissure avec la forma- tion rétro-lenticulaire et les
couches
sagittales profondes du lobe temporal. On voit
rieure du corps genouillé externe, les rapports de celui-ci avec la
couche
sagittale externe temporale, le trajet ininterr
x et dévie notablement l'axe antéro-postérieur du ventricule et des
couches
sagittales voisines. Il est difficile d'être bien
lvinar recouvre en arrière le corps genouillé externe et reçoit des
couches
sagittales profondes du lobe temporal, de nombreu
utions de la face médiane de l'hémisphère, on ne distingue que deux
couches
sagitta- les prôfondes. Toutefois, on voit très
iane un bon nombre de fibres courtes qui traversent obliquement les
couches
sagit- tales pour disparaître dans la zone sous
eau se confondent plus ou moins avec les fibres constituantes de la
couche
interne de la couronne rayonnante fronto-pariétal
- sieurs endroits une désorganisation épendymaire considérable. Les
couches
sagittales péri-ventriculaires n'ont guère chan
nettement dégénérée. Dans le lobe frontal, on parvient à suivre la
couche
interne de la couronne rayonnante, malgré son e
a plus postérieure (circonvolution limbique) de la face médiane. La
couche
externe peut être suivie sans difficulté jusqu'
être suivies en avant jusque dans le voisinage du pôle frontal. La
couche
sous- épendymaire qui recouvre la corne frontal
lore. , Les coupes prises un peu au-dessous du bord supérieur de la
couche
opti- que nous font voir une membrane assez épa
rme, ainsi que la déformation considérable de la face interne de la
couche
optique suffisent à démontrer que toute cette rég
s la forme d'un croissant qui recouvre le tuhercule antérieur de la
couche
opti- ( ! 50 ARCHAMBAULT que sur lequel il se
olution limbique s'étend en arrière jusqu'à la face in- terne de la
couche
optique et dépasse nettement le pilier du trigone
l) s'étend en arrière bien au delà de l'extrémité postérieure de la
couche
optique, mais toujours en côtoyant la face inte
t en dedans de la fimbria du trigone qui constitue à cet endroit la
couche
périventriculaire la plus profonde, on voit app
et qui représentent sans doute le contin- gent calleux restauré des
couches
sagittales médianes. En arrière, ces fasci- cul
ue et se confondent près de l'ergot de Morand avec les fibres de la
couche
sagittale interne. On voit encore se détacher de
rne du lobe temporo-occipital, de courtes fihres qui traversent les
couches
sagittales profondes pour se rendre au tapétum.
u tapétum. Sur les coupes qui passent immédiatement au-dessus de la
couche
optique (fig. 5), le ventricule latéral se trou
Ballcenlangsbündel de Probst) forme à ce niveau la plus interne des
couches
sagittales médianes de l'hémi- sphère, recouvre
a lon- gueur de la paroi ventriculaire interne la plus profonde des
couches
sagittales médianes et se trouve ainsi à consti
irige horizontalement en arrière au-dessus de la face dorsale de la
couche
optique et présente le long de son bord externe
ment périventriculaire considérable, qui sectionne complètement les
couches
sagittales profondes et qui, s'étendant en deho
reuses lésions, l'entoure complètement. Dans le lobe frontal, les
couches
sagittales interne et externe se détachent avec
les interne et externe se détachent avec la plus grande netteté. La
couche
externe se rend en partie au pôle frontal, en p
Fig. 6 au ARCHAMBAULT chevêtrent plus ou moins avec ceux de la
couche
sagittale interne, dont le trajet vers la régio
ssure calleuse constitue, sur toute la longueur de l'hémisphère, la
couche
immédiatement péri-ventriculaire, nous comprenons
ventriculaire est plus ou moins respectée en divers endroits, et la
couche
calleuse péri- ventriculaire correspondante l'e
eux les ra- diations de l'insula et de la convexité temporale. La
couche
sagittale interne de la couronne rayonnante front
ent sur toute la longueur du lobe fronto-pariétal gauche, que celle
couche
de fibres se rend tout d'une pièce dans la zone s
e que nous croyons avoir été le premier à soutenir, à savoir que la
couche
sagittale interne fronlo-pariétale, la zone rétic
ie ; cette lésion agit soit en détrui- sant une grande partie de la
couche
calleuse périventriculaire, soit en provoquant
imbique qui lui parviennent en traversant le corps calleux. 5° La
couche
sagittale interne du lobe fi,onto-pai-i étal, la
ses, etc., etc. Le tissu cel- lulaire sous-cutané forme partout une
couche
épaisse de plusieurs centimètres. La plupart de
e intimement au vaisseau, tandis que sa face externe , répond à une
couche
de tissu cellulo-graisseux, épaisse de quelques m
ques millimè- tres, partout continue, et anormalement dense ; cette
couche
est elle-même limitée, en dehors, par une nouve
, il existe une lame membraneuse, doublée à sa face externe par une
couche
cellulo-graisseuse dense, que limite une nouvelle
s. La paroi des principaux vaisseaux est épaissie, surtout dans ses
couches
externes ; les capillaires sont fortement dilat
La plèvre est irrégulièrement épaissie et, sur certains points, les
couches
qui i constituent son feuillet viscéral ont sub
qui prend l'aspect d'une volumineuse gaine de Schwann est formé de
couches
concentriques ; les cellules conjonctives qui le
rmin. Ce- pendant, même à l'oeil nu, la distinction entre les trois
couches
(moléculaire, des grains et médullaire) est con
ration atrophique de l'écorce cérébelleuse qui porte surtout sur la
couche
moléculaire, sur la couche des grains et sur ce
orce cérébelleuse qui porte surtout sur la couche moléculaire, sur la
couche
des grains et sur celle des cellules de Purkinj
ent pris il existe un parallélisme entre le degré de lésion des trois
couches
citées de la corticalité et si dans les mêmes l
e de constater en plus que la lésion épargne l'une ou l'autre des 3
couches
citées, ou qu'elle se cantonne dans la seule co
l'autre des 3 couches citées, ou qu'elle se cantonne dans la seule
couche
de Purkinje dans des lamelles présentant alors un
lésions atrophiques sont plus fortes et atteignent dans leurs trois
couches
, avec une intensité à peu près égale, toutes les
ité à peu près égale, toutes les lamelles qui leur correspondent.
Couche
moléculaire. - Elle est manifestement atrophiée.
t manifestement atrophiée. Dans les lamelles où l'atrophie de cette
couche
atteintson maximum, elle est réduite d'un tiers e
rotoplasmiques des cellules de Purkinje qui sont assez nets dans la
couche
moléculaire des lamelles non atrophiées de la mêm
rares et peu nets. Il n'existe aucune trace de sclérose dans cette
couche
; il n'y a pas de mul- tiplication nucléaire. L
hémorragie. Sur toutes les coupes nous avons pu observer dans cette
couche
un grand nombre de corps amyloides. Cellules de
ceux-ci sont peu nets et ne se laissent suivre que très peu dans la
couche
moléculaire. On ne trouve que rarement des lamell
es lamelles avec une ou deux cellules de Purkinje non atrophiées.
Couche
des grains. Elle présente des altérations nettes,
utôt mal avec l'hématéine et le carmin ; dans certains points de la
couche
la raréfaction des grains est si forte qu'il en
prolifération de tissu interstitiel nulle part. Ici, comme dans la
couche
moléculaire les vaisseaux ne présentent pas de
, d'hémorragies. La raréfaction des grains et la réduction de cette
couche
sont plus accusées à la crête des lamelles qu'a
à la crête des lamelles qu'au fond des sillons interlamellaires.
Couche
médullaire. L'état de cette couche contraste avec
nd des sillons interlamellaires. Couche médullaire. L'état de cette
couche
contraste avec les altérations des autres couch
e. L'état de cette couche contraste avec les altérations des autres
couches
de l'écorce. En effet, la substance blanche qui s
les. De même le réseau des fibres myéliniques qui se trouve dans la
couche
des grains paraît être dans les mêmes points un p
réfié. Il est à noter cependant que sur les coupes transversales la
couche
des fibres transver- sales sous-purkiniennes es
lle. En effet, côté de nombreuses lamelles avec forte réduction de la
couche
moléculaire, avec raréfaction et réduction d'ép
moléculaire, avec raréfaction et réduction d'épaisseur marquée de la
couche
des grains et une perte complète ou presque des
melles l'atrophie se limite presque aux cellules de Pur- kinje ; la
couche
des grains présente une raréfaction, mais pas une
présente une raréfaction, mais pas une diminu- tion d'épaisseur, la
couche
moléculaire ne paraît pas atrophiée. Enfin on t
sont aussi bien colorés et tassés que ceux d'un cervelet normal, la
couche
moléculaire ne paraît présenter, pas plus que c
presque toutes les cellules de Purkinje étaient disparues, et où la
couche
des grains et la couche moléculaire avaient un as
les de Purkinje étaient disparues, et où la couche des grains et la
couche
moléculaire avaient un aspect normal. Dans le
'écorce ; en outre, elle ne s'accompagne pas ni d'altérations de la
couche
des grains ni de la molécu- laire. C'est tout a
e la molécu- laire. C'est tout au plus si dans quelques lamelles la
couche
de grains présente une légère raréfaction et dé
ouche de grains présente une légère raréfaction et décoloration. La
couche
médullaire est intacte. Comme dans les lobes le
selon les diverses lamelles, intéressent généralement aussi bien la
couche
moléculaire que 78 ITALO ROSSI la couche des
néralement aussi bien la couche moléculaire que 78 ITALO ROSSI la
couche
des cellules de Purkinje et celle des grains : el
lle des grains : elles consistent en une réduction de largeur de la
couche
moléculaire et de la couche des grains, en une
stent en une réduction de largeur de la couche moléculaire et de la
couche
des grains, en une raréfaction de cette dernièr
e Purkinje. Dans d'autres lamelles les lésions sont cantonnées à la
couche
des grains et aux cellules de Purkinje. Ailleur
ies dans lesquelles « les cel- lules de Purkinje et des différentes
couches
de l'écorce s'atrophient et disparaissent, par
s, vermis supérieur) l'atrophie frappe avec une intensité égale les
couches
moléculaires, des grains et les cellules de Pur
me ordre de lésions, d'autres lamelles où l'atrophie se limite à la
couche
des grains et aux cellules de Purkinje. On en obs
e Purkinje, auxquelles succèdent la raréfaction et l'atrophie de la
couche
des grains, et, en dernier lieu, l'atrophie de
phie de la couche des grains, et, en dernier lieu, l'atrophie de la
couche
moléculaire. Pourrait-on conclure que parmi les
a Salpêtrière, 1900, p. 330. 80 ITALO ROSSI l'atrophie des autres
couches
(moléculaire et des grains) dépend en grande pa
(moléculaire et des grains) dépend en grande partie de l'état de la
couche
des cellules de Purkinje ? Si quelques observat
certain nombre de cellules de Pur- kinje, et des altérations de la
couche
des grains consistant dans leur diminution de n
trairement au cas de Thomas, il n'y avait aucune altération dans la
couche
moléculaire ou des grains ; ici non plus, il n'
inje (2), qui cependant manquent presque complètement à droite, où la
couche
moléculaire (1) est légèrement réduite en large
, où la couche moléculaire (1) est légèrement réduite en largeur. -
Couche
des grains d'aspect normal (3). B (id.) - Lam
phiées (2). D (id.). - Type de lamelles atrophiées : atrophie de la
couche
moléculaire (1), dispa- rition presque complète
sque complète des cellules de Purkinje, atrophie et raréfaction de la
couche
des grains (2). LÉGENDES DE LA PLANCHE IX F
arition pres- que complète des cellules de Purkinje. Atrophie de la
couche
moléculaire (1), raré- faction et atrophie de l
ophie de la couche moléculaire (1), raré- faction et atrophie de la
couche
des grains (3). G (object. 2). - Groupe de lame
. 2). - Groupe de lamelles montrant un certain degré d'atrophie de la
couche
moléculaire (1) et de la raréfaction de la couc
d'atrophie de la couche moléculaire (1) et de la raréfaction de la
couche
des grains (2). H (object. 6). 2. Couche des gr
et de la raréfaction de la couche des grains (2). H (object. 6). 2.
Couche
des grains d'une lamelle non atrophiée (l'éclairc
qu'on observe à droite est dû à un défaut de photographie). 1. -
Couche
moléculaire. 3. - Une cellule de Purkinje. /
1. - Couche moléculaire. 3. - Une cellule de Purkinje. / (id.). -
Couche
des grains raréfiée d'une lamelle atrophiée. SO
à 23 ans. A 16 ans elle se marie. Elle n'eut ni enfants ni fausses
couches
. Son mari eut trois ictus apoplectiques en l'es
ant de ce fait en avant,des productions périostiques dis- posées en
couches
successives, os parsemé d'orifices ou de points r
ien qui permette d'affirmer la syphilis. Ni érup- tions, ni fausses
couches
(pas de grossesse). Cependant la malade dit avoir
ecro- quevillé par suite du durcissement dans le formol) ; 2° Une
couche
de tissu conjonctif fibreux dense, d'une épaisseu
e la peau ; on y trouve des noyaux en assez grand nombre ; 3° Une
couche
de tissu adipeux qui est l'élément essentiel de c
ar d'étroites fentes où le tissu conjonctif est réticulé ; 4° Une
couche
de 3 millimètres environ constituée par du tissu
s autres ; chacun d'eux est entouré d'une gaine lamelleuse dont les
couches
sont concentriques et de dimensions normales. L
par la présence, dans le tissu cellulaire sous-cutané,d'une épaisse
couche
adipeuse sanglée par un derme fibreux dense. Le
le pulvinar, délruit le corps genouillé externe en s'arrêtant à la
couche
grillagée et au champ de Wernicke dont il secti
es rares fibres saines, et une diminution de largeur évidente de la
couche
des fibres représentant les radiations optiques.
es représentant les radiations optiques. Il n'existe pas dans cette
couche
de fibres, de dégénération proprement dite, bie
optique est aussi nette que sur les coupes précédentes ! et que la
couche
de fibres représentant les radiations optiques
e nette du champ de Wernicke et du corps de Luys du côté gauche. La
couche
des fibres représentant les radiations optiques
ppo- sé et qu'il existe une légère prolifération interstitielle. La
couche
sagittale ex- terne (faisceau longitudinal infé
on note : une atrophie très marquée du ruban de Reil médian dont la
couche
des fibres est réduite au moins des deux tiers
mon- trent qu'il existe une diminution de largeur très notable des
couches
sagittales de ce lobe, surtout accusée pour la
notable des couches sagittales de ce lobe, surtout accusée pour la
couche
sagittale interne (radiations optiques), mais é
agittale interne (radiations optiques), mais évidente aussi pour la
couche
sagittale externe (faisceau longitudinal infé-
énération proprement dite. A noter cepen- dant que, surtout dans la
couche
sagittale interne, il existe une certaine raré-
e interne, il existe une certaine raré- faction des fibres de cette
couche
, ce qui lui donne un aspect plus pâle que celle
ment au côté sain, une diminution de largeur évidente des différentes
couches
cellulaires, surtout accusée pour les couches p
dente des différentes couches cellulaires, surtout accusée pour les
couches
profondes (3°, 4e, 5e couches). 196 ROSSI ET RO
cellulaires, surtout accusée pour les couches profondes (3°, 4e, 5e
couches
). 196 ROSSI ET ROUSSY Résumé. 1° Clinique.
bandelette optique gauche; une atrophie du champ de Wernicke et des
couches
sagittales interne et externe du lobe temporo-occ
an- ces ; la face interne est par endroit adhérente au cortex. La
couche
moléculaire du cerveau est scléreuse : les cellul
llules épithéliales cubi- ques à gros noyaux rangés sur une ou deux
couches
. Ces cellules épithélia- les ne sont pas différ
t a eu deux enfants bien portants ; sa femme u'a pas fait de fausse
couche
. Il n'a eu d'autre affection oculaire qu'un org
trouve sous la peau dont l'aspect et l'épaisseur sont normaux, une
couche
de graisse très abondante, du côté de la flexio
ubital antérieur). Ces muscles une fois sectionnés, c'est-à-dire la
couche
superficielle élimi- née, on constate que la co
c'est-à-dire la couche superficielle élimi- née, on constate que la
couche
musculaire profonde est très réduite et très inti
iphyse inférieure. Ces deux faisceaux représentent une partie de la
couche
profonde du pronato-flexormass. Il n'existe pas
on inférieur ; l, m, Faisceaux musculaires anormaux représentant la
couche
profonde. HÉMIMÉL1E AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
hisseurs ne pouvant se faire sur des doigts absents se font sur des
couches
aponévrotiques intermédiaires aux deux branches
halange, ce qui est normal, tandis que l'autre va se perdre dans la
couche
profonde de la peau interdigitale. Comme le ten
très grêle, finit en bas par un tendon aplati, qui se perd dans les
couches
fibreuses recouvrant le 5e méta- carpien. A n
dieux représenté par quelques faisceaux musculaires qui partent des
couches
aponévrotiques recouvrant l'extrémité inférieur
deux hémisphères. Dissection. L'enlèvement de la peau met à nu une
couche
de tissu cellulo- adipeux un peu plus épaisse d
neuses des muscles de l'avant-bras, surtout des extenseurs ; 3° une
couche
celluleuse ; 4° le massif osseux représentant le
e, du métacarpe et des os non développés, le tout recouvert par une
couche
pé- riostique, sur laquelle viennent prendre at
ien être des rudiments de doigts; car on constate à la coupe que la
couche
cornée de l'épiderme s'invagine à ce niveau, cons
ïde radiale. Les tubercules du bord inférieur sont recouverts d'une
couche
de cartilage d'apparence hyaline et formant un
elle adhère à la peau. Sa face profonde est séparée de l'os par une
couche
celluleuse, qui est tellement lâche qu'elle aff
s. Chaque fois la présentation était celle du sommet. Les suites de
couches
ont été physiologiques. La 2" grossesse cependa
cérébelleuse. Pour ne parler que de la dlarpente névrogl ique de la
couche
moléculaire, Cajal, Oberstei- ner, Van Gehuchte
use- ment électives pour la névroglie, le réseau de soutien dans la
couche
moléculaire aussi bien d'ailleurs qu'autour des
aussi bien d'ailleurs qu'autour des cellules de Purkinje et dans la
couche
des grains est excessivement discret. Par ces deu
e, dira-t-on : sans doute, mais il faut savoir que, normalement, la
couche
moléculaire ne possède que quelques fibres radi
rkinje, les corbeilles fibrillaires sont fort discrètes et, dans la
couche
des grains, il faut parcourir plusieurs champs
pèce d'éponge dans les trous de laquelle se logent les éléments de la
couche
plexi- forme ». - 08r.RSTEIiri, loc. cit., p. 5
déjà très denses ; on distingue pourtant celles qui appartiennent Il
couche
moléculaire ; on reconnaît des îlots de grains
ravail de sclérose peut s'opérer dans la substance blanche, dans la
couche
des grains, dans la couche moléculaire. C'est dan
pérer dans la substance blanche, dans la couche des grains, dans la
couche
moléculaire. C'est dans celle-ci que l'ont surp
ise les figures 1 et 2 de la planche LXI. Dans la figure 1 toute la
couche
moléculaire, y compris la zone des cel- lules d
rait plutôt mamelonnée. Le fait est retenir. Dans cette figure 1 la
couche
moléculaire est uniformément scléreuse et il se
; on re- marquera le changement brusque et profond survenu dans la
couche
molé- culaire. La membrane basale, si on peut a
près toutes parallèles, réalisant un contraste avec le réseau de la
couche
des cellules de Purkinje disposé en nids, en pe
t le cas ici, autour des vaisseaux. Dans la Usure 2 au contraire la
couche
moléculaire étant aussi très scié- 362 ANGLADE
ons pas rencon- trée ailleurs que dans le cerveau sénile. Dans la
couche
des grains, on voit aussi s'organiser ,habiluelle
ui est dessinée dans la figure 1 de la planche LXII se substitue la
couche
des grains dans toute son épaisseur et s'étend
et des plaques identiques à celles qui s'observent dans les autres
couches
. Des îlots de sclérose peuvent s'observer partout
e distinguer de la plaque véritablement sénile : la névroglie de la
couche
moléculaire est trop tourmentée ; le réseau fib
entée ; le réseau fibrillaire n'est pas assez dense au niveau de la
couche
des cellules de Purkinje. Celle vieille femme n
une des nom- breuses formations lacunaires qui se réalisent dans la
couche
moléculaire au fond des sillons ; et la figure
ue située plus profondément. La lacune qui se forme au niveau de la
couche
des grains et de la substance blanche n'est que l
beaucoup de noyaux et peu de fibrilles (voir pl. LXII, fig. 2) ; la
couche
des grains et la subs- tance blanche sonl indiv
ns et qu'elle va en diminuant de la périphérie vers le centre de la
couche
moléculaire. Cette méningo-corticalite suffirai
des ni ulcérations. Au point de vue histologique,on constate que la
couche
cornée est très épaissie et a au moins quadrupl
sseur. L'hypertrophie porte surtout sur le stra- tum lucidum, et la
couche
de Malpighi est intacte. Le derme est augmenté
voir que l'hypertrophie de la peau était due à l'augmentation de la
couche
épidermique ainsi que du derme, sans que les gl
échisseur du pouce, carré pronateur. Le médian passe entre ces deux
couches
. le) Extenseurs. 1er groupe, superficiel, s'é
chacun d'eux. Humérus, radius et cubitus ont à leurs extrémités une
couche
de car- tilage hyalin. Carpe : Tissu condensé
stinguent nette- ment les différents muscles qui composent les deux
couches
du pronato flexor mass d'Uumphry ; qu'apparaiss
laire lâche qui unit la mamelle au grand pectoral : cependant cette
couche
celluleuse était traversée, de distance en dist
nt à la diaphyse, ont été refoulées loin de la tête de l'os par les
couches
osseuses de formation plus récente. D'autres exos
voici com- ment mon état m'oblige à procéder : Si, lorsque je me
couche
, je me trouve en un moment de décontraction rel
mon départ de Paris. Les contractions sont violentes dès que je me
couche
, mais elles diminuent peu à peu à mesure que vi
père est bien portant, très sobre ; la mère n'a pas fait de fausse
couche
; elle a trois enfants bien portants dont notre
capsule interne et se termine à la partie externe et antérieure delà
couche
optique. - . Enfin l'artère cérébrale postéri
che optique. - . Enfin l'artère cérébrale postérieure envoie à la
couche
optique plusieurs branches : ' Les artères op
oyaux centraux, c'est-à-dire les segments du noyau lenticulaire, la
couche
optique ou le noyau caudé. Elles se limitent pa
il en existait certainement dans les points d'élection. C'est la
couche
optique qui est ensuite préférée par les lacunes,
és d'une lacune qui a pris naissance dans le noyau lenticulaire, la
couche
optique on le noyau caudé. Elle est alors attei
lysie. Donc que la lacune siège dans le noyau lenticulaire, dans la
couche
optique ou dans la capsule interne, même réacti
nie formellement avoir eu la syphilis. Sa première femme mourut en
couches
; l'enfant, bien conformé et né à terme, mourut
la cir- convolution du corps calleux on note l'épaississement de la
couche
corticale qui présente un aspect translucide to
trêmement nombreuses dans les régions les plus superficielles de la
couche
corticale, mais elles pénètrent en travées péri-v
'elles encastrent complètement en se disposant sur une ou plusieurs
couches
; cette disposition est visible aussi bien sur
i ne tarde pas à s'épaissir, les éléments se disposent en plusieurs
couches
concentriques dont l'accumulation étouffe peu à p
rois ans après la naissance, sans avoir eu d'autre enfant ni fausse
couche
. Le père jouit d'une bonne santé et selon les a
leuse à 25 ans. Dix-sept ans après elle, sans grossesses ni fausses
couches
' nouvelles dans l'intervalle, naissait notre m
ns, elle se maria à 19. Elle eut deux grossesses, terminées par des
couches
faciles, assez courtes, bien que les enfants euss
p; Cie. Éditeurs UN CAS D'HÉMIMÉLIE DU MEMBRE ABDOMINAL DROIT 267
couche
de graisse sous-cutanée que coupent des plis prof
ux côtés. 11 a été malheureusement impossible, vu l'épaisseur de la
couche
adi- peuse, d'obtenir une épreuve radiographiqu
. Cellule réduite à un amas de pigment H)perplasie de la capsule en
couches
concentriques. - En haut, droite : Il n'existe pl
rennent des noyaux bien arrondis, assez gros, vési- culeux avec une
couche
fort mince de protoplasma. En certains points ils
séparé de l'anneau fibreux que par des noyaux disposés en plusieurs
couches
, les uns arrondis et réguliers, les autres allo
périphérie sont gonflées, pren- nent un aspect hyalin et, comme les
couches
les plus centrales de la gaine fibreuse ont un
pe la racine postérieure ; il est fibreux à sa périphérie, mais ses
couches
centrales sont constituées d'a- mas conjonctifs
int de pénétration des racines. La structure est fibreuse pour la
couche
périphérique ; au contraire la zone interne app
e jeune fille de quinze ans,merveilleusementbelle, s'approcha de sa
couche
, l'éveilla et lui dit : « Seigneur, vous êtes ici
'adjonction de fibres conjonc- tives nouvelles qui s'agglomèrent en
couches
concentriques et tendent à rétrécir l'aire du f
spéciale ; ces fibres consti- tueraient la partie postérieure de la
couche
interolivaire et se myélinise- raient à une épo
du noyau cunéi- forme, qui occuperaient la partie antérieure de la
couche
interolivaire. Comme le noyau grêle répond' aux
L on remarquera que, dans notre cas, où la région postérieure de la
couche
interolivaire était plus atteinte que la région
aisseur. Pourtant Bechterew admet que les fibres postérieures de la
couche
interolivaire occupent plus haut la région intern
roisant à angle droit les fascicules des fibres rayon- nantes de la
couche
optique. Ces amas dépendent de la portion antérie
endent de la portion antérieure (inférieure) du noyau externe de la
couche
optique, dans laquelle une partie des fibres dé
e ramollissement, on observe une dégénéres- cence descendante de la
couche
interolivaire, qui est notablement moins dense
tement de la même taille que ces fibres, indice d'un calibre égal. La
couche
interolivaire ne contiendrait ainsi que des fib
bres supérieurs), du trijumeau (face) et destinées aux noyaux de la
couche
optique (PI. LVI, LV, fig. I, J, K, L, M). Le r
uban de Reil sont surtout intenses dans la partie postérieure de la
couche
interolivaire où siègent les fibres nerveuses p
cervelet on pouvait voir disparaître les cellules de Purkinje et la
couche
des grains, tandis que se montrait une couche n
les de Purkinje et la couche des grains, tandis que se montrait une
couche
nouvelle n'ayant pas encore attiré l'attention
tiré l'attention des histologistes. Quelle était la nature de cette
couche
nouvelle, ou plutôt non encore décrite, de cell
cellules apparaissent déjà sur un cervelet normal, à la limite des
couches
moléculaire et granuleuse, autour des cellules
en évidence, par l'atrophie dite parenchymalevse, du cervelet d'une
couche
cellulaire innommée de la corlicalilé cérébelleus
l). Les circonvolutions sont grêles d'une façon très apparente : la
couche
molé- culaire comparée à celle d'un cervelet no
ormal est réduite au moins de moitié. A un faible grossissement, la
couche
des grains présente une diminution nota- ble du
stituent une large bande bleue granuleuse, on ne trouve plus qu'une
couche
de grains, encore confluents, il est vrai, mais
qui donne normalement l'aspect d'un gros ren- flement en massue; la
couche
granuleuse se continue sous forme d'un ruban be
lace qu'elles devraient occuper, c'est- à-dire bordant en dehors la
couche
des grains, mais très nettement séparée d'elle,
ouche des grains, mais très nettement séparée d'elle, on trouve une
couche
régulière de cellules ovales, pâles, dont le noya
axe dirigé perpendiculairement à l'axe de la circonvolution. Cette
couche
particulière ou du moins particulièrement visible
totale et absolue des cellules de Pur- kinje ; même réduction de la
couche
moléculaire ; même raréfaction de la LÉSIONS 1J
ion de la LÉSIONS 1JISTOLOGIQU¡';S DE l'ÉCORCE DU CERVELET 517 "à
couche
des grains ; enfin même isolement, en dehors de l
ET 517 "à couche des grains ; enfin même isolement, en dehors de la
couche
des grains, de cette couche de cellules ovales
; enfin même isolement, en dehors de la couche des grains, de cette
couche
de cellules ovales à noyau pâle et à 1 ou 2 nuclé
cellules nerveuses du cortex, au Nissl, elles se montrent en leurs
couches
superposées classiques et non déformées, sans alt
ragment a été prélevé. Toutefois, petites et grandes pyra- midales,
couche
des polymorphes profondes sont parfaitement recon
es histologiques d'une inflammation subaiguë de la pie- mère et des
couches
superficielles du cortex sont évidents. 518 LAN
es normaux. De plus, cette infiltration est surtout marquée dans la
couche
des fibres transversales du pont et dans les il
fibrillaire peu épais immédiatement appliqué en dehors de la double
couche
musculaire lisse de l'artériole. Nous eûmes a
agment apparaissent considérablement décolo- rées. Au microscope la
couche
moléculaire est diminuée des deux tiers de son
ers de son épaisseur et notablement pauvre en cellules. « Pour la
couche
des grains, elle n'est plus marquée que par une l
densation des cellules qui y sout à peine plus nombreuses que dans la
couche
moléculaire. Quelle que soit la coupe de ce fra
rquée, moins totale que sur le fragment précédent. L'atrophie de la
couche
moléculaire, la raréfaction de la cou- che des
iphériques sont encore intactes. « On constate alors que dès que la
couche
des grains a subi la plus légère réduction dans
: ce que nous avions considéré comme une simple condensation de la
couche
des grains, c'était t en réalité la disparition
la couche des grains, c'était t en réalité la disparition de cette
couche
, en même temps que des cellu- (1) Nous renvoyon
'ÉCORCE DU CERVELET 521 les de Purkinje, qui mettait en évidence la
couche
nouvelle des gran- des cellules étoilées. C'e
t, comme nous l'avons dit, les cellules de Purkinje disparaître, la
couche
des grains s'amoindrir pour disparaître à son t
moindrir pour disparaître à son tour, ne laissant plus que la mince
couche
de cellules à caractères si tranchés que nous avo
ité d'une dentelure ou un peu avant que la modification se fait. La
couche
se continue dès lors avec les mômes caractères le
axe orienté du côté de la surface des lamelles cérébel- leuses. La
couche
moléculaire est très réduite d'épaisseur et la co
l- leuses. La couche moléculaire est très réduite d'épaisseur et la
couche
des grains n'est plus représentée que par de ra
n générale d'être réduite dans toutes ses parties constitutives. La
couche
molé- culaire est diminuée de hauteur ; la zone
and on parcourt la surface de la circonvo- lution, il semble que la
couche
des petites cellules nerveuses polygonales la p
s polygonales la plus superficielle est comme isolée, séparée de la
couche
des grandes cellules pyramidales ; il y a entre
la couche des grandes cellules pyramidales ; il y a entre ces deux
couches
un espace où les cellules petites pyramidales m
ent. Puis si l'on va plus loin, quelquefois même à côté, toutes les
couches
de cellules nerveuses, raréfiées il est vrai, s
ernières parties, on voit quelques petites cellules pigmentaires en
couche
assez homogène, sous la zone moléculaire et plu
enfin immédiatement au-dessous. Au contraire, dans les points où la
couche
de cellules corticales parait au complet comme
el- lule est bien constituée. En somme, dans cette atrophie de la
couche
cellulaire corticale, on remarque surtout une g
dre qui montre sur une de ses faces l'atrophie intense de ses trois
couches
quand l'autre face lui offre les trois couches
intense de ses trois couches quand l'autre face lui offre les trois
couches
intactes. Ou bien encore on peut voir une arboris
é de plus, quand les grains sont devenus très rares, on voit que la
couche
moléculaire a beaucoup diminué de hauteur et qu
ue la couche moléculaire a beaucoup diminué de hauteur et que notre
couche
de cellules innommée, à l'union de la couche mo
de hauteur et que notre couche de cellules innommée, à l'union de la
couche
moléculaire et de la couche des grains, s'isole
e de cellules innommée, à l'union de la couche moléculaire et de la
couche
des grains, s'isole et persiste seule. Même sur
et persiste seule. Même sur les lamelles les plus atrophiées, cette
couche
de cellules persiste quand même. Les cellules q
quand même. Les cellules qui la composent se dégagent et s'isolent en
couche
continue au sur et mesure que les grains se rar
grains, quelques-unes débordant même dans la partie profonde de la
couche
moléculaire. Nous retrouvons à ces cellules d
de de la couche moléculaire. Nous retrouvons à ces cellules de la
couche
innommée les mêmes caractères. Leurs noyaux son
x. Ils sont aussi plus volumineux que les noyaux des cellules de la
couche
moléculaire, bien que comme constitution ils s'
laire, bien que comme constitution ils s'en rapprochent assez. La
couche
moléculaire, quand on passe d'un point normal à u
des grains, atteignent leur 526 LANNOIS ET PAVIOT maximum que la
couche
innominée des cellules atteint son plein développ
ion : on les voit normales ou on n'en voit aucune. En même temps la
couche
des grains s'atténue; elle devient moins épaiss
ints bleus disséminés. Concurremment à cette double disparition des
couches
de cellules nor- males du cervelet, on voit app
cellules nor- males du cervelet, on voit apparaître en dehors de la
couche
des grains et nettement séparée d'elle, une cou
en dehors de la couche des grains et nettement séparée d'elle, une
couche
innominée de cellules ovales, pâles, à noyau fo
lus gros atteignant trois ou quatre fois ce volume. Ils forment une
couche
continue, assez dense à son centre, qui contourne
tiers à la ligne de galets laissée par le flot qui se retire. Cette
couche
nouvellement apparue ne donne pas l'impression d'
ent en même temps une diminution très évidente de l'épaisseur de la
couche
moléculaire et de la couche médullaire. Nous ne
tion très évidente de l'épaisseur de la couche moléculaire et de la
couche
médullaire. Nous ne saurions trop insister en t
dine, soit à la paraffine. Ce n'est pas' qu'on ne puisse voir cette
couche
de cellules sur les fragments conservés dans le
hié considérablement. Les lamelles sont étroites et mollasses... La
couche
granuleuse de l'écorce est étroite et pau- vre
anuleuse de l'écorce est étroite et pau- vre en corps granuleux. La
couche
moléculaire est étroite... Le déficit des gross
et nous sommes persuadés que beaucoup retrouveraient dans '< la
couche
granuleuse étroite » la nouvelle couche à la de
etrouveraient dans '< la couche granuleuse étroite » la nouvelle
couche
à la description de laquelle nous nous som- mes
ous som- mes attachés. Quelle est la nature des cellules de cette
couche
? Leur volume, les ca- ractères et l'aspect du
déjà distinguer quelques-unes de ces cellules, soit éparses dans la
couche
moléculaire, soit plutôt à la limite de la couche
t éparses dans la couche moléculaire, soit plutôt à la limite de la
couche
moléculaire et de la couche des grains, autour
éculaire, soit plutôt à la limite de la couche moléculaire et de la
couche
des grains, autour des cellules de Purkinje, ce q
rtie superficielle de l'écorce pour gagner la partie profonde de la
couche
des grains. Ce sont ces grandes cellules étoilé
a cou- che moléculaire et dans l'espace primitivement occupé par la
couche
des grains, existent-elles normalement à l'état
pé par la couche des grains, existent-elles normalement à l'état de
couche
condensée rendue invisible par l'épaisseur des
des grains ? Faut-il penser, au contraire, que c'est l'atrophiedes
couches
moléculaire et médullaire qui amène leur tassemen
Quoi qu'il en soit, d'ailleurs, le fait important est de voir cette
couche
de cellules de relation persister, intacte et c
eux autres, cellules de Purkinge et petites cellules étoilées de la
couche
des grains, peuvent disparaître d'une façon aus
ment; 1 2° Dans ce processus d'atrophie, il s'isole constamment une
couche
qui répond probablement à la persistance et à l
à la persistance et à la condensation des cellules de relation des
couches
granuleuse et moléculaire (cellules du type Il de
ouches granuleuse et moléculaire (cellules du type Il de Golgi), la
couche
moléculaire s'atrophiant en même temps que dispar
vrysme est rouge brun, ocreux ou même noirâtre ; et, généralement, la
couche
contiguë du tissu cérébral présente, à un moindre
rmément répandus partout : ils ont leurs organes de prédilection. Les
couches
optiques, les corps striés, les circonvolutions,
'épanchement s'était opéré primitivement dans les corps striés ou les
couches
optiques, 50 fois ; dans le centre ovale, ou au v
a substance grise, soit à la réunion de la substance blanche a\Tec la
couche
corticale. Cette position plus superficielle des
A Yautopsie, on trouve un vaste foyer hémorhagique qui a détruit la
couche
optique gauche, la partie postérieure du noyau in
contre plusieurs anévrysmes miliaires dans la protubérance et dans la
couche
optique droite. Les artères de la base de l'encép
yers hémorrhagiques occupant les deux hémisphères, ayant dilacéré les
couches
optiques et envahi tous les ventricules. On trouv
près l'attaque. A Yautopsie, on trouve un foyer anfractueux dans ta
couche
optique gauche, empiétant sur la partie postérieu
autopsie, un vaste épanchement sanguin qui, ayant sou origine dans la
couche
optique gauche, a fait irruption dans les ventric
les ventricules, qui sont complètement injectés. On rencontre dans la
couche
optique dilacérée plusieurs anévrysmes miliaires.
es clans la protubérance, les circonvolutions, le centre ovale et fes
couches
optiques. Les artères de la base sont très athéro
Avril 1867. A Vaufopsie, on trouve une hémorrhagie qui a labouré la
couche
optique et le corps strié du côté gauche et qui a
il 1867. A Yautopsie, on trouve un foyer hémorrhagique récent de la
couche
optique du côté droit, ouvert dans le troisième v
°,0. Al'autopsie, on trouve un foyer hémorrhagique qui a détruit la
couche
optique gauche et intéressé le noyau extraventric
ve une vaste hérnorrhagie récente qui, ayant pris son origine dans la
couche
optique, est venue se faire jour clans le ventric
aque, le 31 juillet 1866. A Y autopsie, vaste foyer récent entre la
couche
optique et le corps strié de l'hémisphère droit.
e un caillot sanguin du volume d'une noisette, dans l'épaisseur de la
couche
optique droite. Ce caillot, qui intéresse l'étage
rieur du pédoncule cérébral droit, a déchiré la face supérieure de fa
couche
optique, ce qui a permis au sang de s'épancher da
it et jusque dans le ventricule moyen. Dans un point symétrique de la
couche
optique gauche, on trouve un très petit foyer ocr
issable à une cicatrice linéaire brunâtre, entre le corps strié et la
couche
optique du côté droit. Du côté de l'hémorrhagie r
A Vautopsie, on trouve une vaste hémorrhagie du corps strié et de la
couche
optique du côté droit ayant fait irruption dans l
la du côté gauche, pénétrant dans l'intérieur du corps strié et de la
couche
optique. On rencontre des anévrysmes miliaires da
juillet 1857. A Vautopsie, on trouve une hémorrhagie récente cle la
couche
optique droite avec pénétration dans les ventricu
sans pénétrer dans le quatrième ventricule. Une autre déchirure de la
couche
corticale à la face inférieure du lobe gauche a a
es qu'à l'ordinaire. A Vautopsie, on trouve un foyer ocreux dans la
couche
optique droite, un autre à la partie antérieure d
lutions frontales droites; on en trouve également un en arrière de la
couche
optique gauche, et un autre enfin dans la substan
dehors du corps strié du côté droit, et un autre foyer ocreux dans la
couche
optique du même côté. — On trouve de plus deux fo
18 mai 1868. On trouve un foyer ocreux d'hémorrhagie ancienne dans la
couche
optique gauche. — On découvre dans la couche opti
rrhagie ancienne dans la couche optique gauche. — On découvre dans la
couche
optique droite un très petit foyer. On trouve que
s deux, hémisphères, et un vaste foyer d'hémorrhagie ancienne dans la
couche
optique droite. Dégénération secondaire descendan
gros dans les circonvolutions; on en rencontre cle nombreux dans les
couches
optiques et clans les corps striés, il y en a aus
miliaires des circonvolutions, mais quelques anévrysmes dans les deux
couches
optiques et dans la protubérance. Les artères de
miliaires des circonvolutions et quelques autres disséminés dans les
couches
optiques et clans la protubérance. Les reins pr
sphère droit, une cicatrice jaune ocre use, divisant verticalement la
couche
optique et le corps strié, à l'union cle son tier
cien foyer d'hémorrhagie au niveau de l'union du corps strié et de la
couche
optique du côté droit. Autre ancien foyer à la pa
Ancien foyer d'hémorrhagie, celluleux, de coloration ocreuse, dans la
couche
optique du côté droit. Quantité considérable d'an
contenu liquide, jaunâtre occupant le noyau intraventriculaire et la
couche
optique de l'hémisphère droit. Ce foyer s'ouvre d
oi externe du ventricule latéral droit, en arrière et en dehors de la
couche
optique. On trouve de plus un ramollissement réce
r 1868. A Vautopsie, on trouve un ancien foyer d'hémorrhagie sur la
couche
optique gauche et sur le corps strié du même côté
rouve à Vautopsie, une large cicatrice d'hémorrhagie ancienne, sur la
couche
optique et le corps strié de l'hémisphère droit.
ve de plus une vaste cicatrice d'hémorrhagie ancienne, intéressant la
couche
optique et le corps strié du côté droit. Deux ané
gauche, et une autre cicatrice ocreuse cle la partie supérieure de la
couche
optique et du corps strié de l'hémisphère droit.
dans son épaisseur un foyer sanguin récent du volume d'une amande. La
couche
optique droite contient un foyer ocreux. On trouv
découvre plusieurs anévrysmes miliaires dans les corps striés et les
couches
optiques. On en a compté en tout quarante dans le
janvier 1868. A Vautopsie, on trouve une hémorrhagie récente de la
couche
optique et du corps strié du côté droit. Plusieur
s un certain nombre d'anévrysmes ampullaires des circonvolutions, des
couches
optiques et de la protubérance. Coloration feui
) dans les lobes frontaux. — Nombreux anévrysmes des petites artères (
couches
corticales et noyaux blancs des hémisphères, corp
trième jour.T. R. 39°. Obs. XL Baudois, 91 ans. — Hémorrhagie de la
couche
optique avec perforation du ventricule. Début a
mollissement. Obs. XVII.Eméry, 75 ans. — Ramollissement rouge de la
couche
optique gauche et du pédoncule cérébral correspon
intra-encéphalique. Obs. XIX. Lecrique, 73 ans. — Hémorragie de la
couche
optique et du corps strié droits. — Perforation v
our. TR. 39°, 1/5. Obs. XXVII. Rarthélémi, 09 ans. — Corps strié et
couche
optique sans perforation ventriculaire. — Début a
me jour. TR. 10°, 0. Obs. XXVIII. Hénon, 58 ans. — Hémorragie de la
couche
optique avec perforation ventriculaire. — Analgés
ensi-tives, cette irritation retentira à la périphérie jusque dans la
couche
muqueuse de Malpighi, et pourra se traduire là pa
rachnoïde ; le sang épanché, soit par suite d'une modification de ces
couches
superficielles, soit par suite de la formation d'
res très tenues. La lamelle la plus interne se confond avec une mince
couche
de fibrine renfermant, en certaines proportions,
s jaunâtres et grisâtres d'une couleur boueuse. La face interne de la
couche
membraneuse a, sur presque toute son étendue, un
celle du vermillon. L'examen microscopique fait reconnaître que ces
couches
membraneuses sont réellement organisées. On y tro
al constituées par deux tuniques seulement; il y a, profondément, une
couche
caractérisée par la présence de noyaux larges, el
grand axe dirigé suivant l'axe du vaisseau, et extérieurement, cette
couche
est recouverte par une autre couche contenant des
aisseau, et extérieurement, cette couche est recouverte par une autre
couche
contenant des noyaux très allongés et très étroit
ns cependant trouvé des noyaux transversaux intermédiaires aux deux
couches
précédemment indiquées, dans plusieurs vaisseaux,
analogues, la membrane se serait développée par une modification des
couches
superficielles de l'épanchement, modification qui
e l'arachnoïde; ce tissu acquiert bientôt des vaisseaux, et plusieurs
couches
peuvent se former successivement, de manière à co
chronique et exsudative. Dès les premières périodes se développe une
couche
mince d'un exsudât comme fibrineux, couche souven
périodes se développe une couche mince d'un exsudât comme fibrineux,
couche
souvent difficile à apercevoir et qu'on ne parvie
e parvient à mettre en évidence que par le grattage. Peu à peu, cette
couche
augmente d'épaisseur, et, en même temps, elle s'o
noyaux, des corps fusiformes, des vaisseaux. Plus tard, de nouvelles
couches
d'exsudat se déposent et se changent à leur tour
elquefois de cinq à vingt de ces lamelles superposées : ee sont les
couches
les plus rapprochées de la dure-mère qui sont les
dans la très grande majorité des cas. Il n'est représenté que par une
couche
d'épithélium. M. Brunet pense que les néomembrane
néo-membranes se développent et s'accroissent par la superposition de
couches
nouvelles, et déjà, par le seul fait de cet accro
nt que le siège véritable se trouve en dedans de ce feuillet ou de la
couche
épithéliale qui le représente, l'hypothèse bien c
chée à sa périphérie. Cette production membraneuse est couverte d'une
couche
du liquide purulent signalé plus haut. On peut, p
nu; le pus couvre tout l'hémisphère gauche et forme à sa surface une
couche
qui au milieu peut avoir près de 1 centimètre d'é
a scissure médiane, tout le long de cette scissure, mais non point en
couche
continue, comme du côté gauche; de plus, le pus s
oitié postérieure seulement étaient envahis par le ramollissement. La
couche
optique était restée intacte. Les circonvolutions
e dans l'épaisseur de la substance blanche, et est recouverte par une
couche
ex.trôme-ment mince de la substance grise de la c
e altération appréciable à l'œil nu. Leur surface est réouverte d'une
couche
mince d'une substance glaireuse, transparente, qu
Les muscles sont superficiels, disposés le plus souvent en une seule
couche
, et, par là même, facilement accessibles à l'exci
prolongements, chargés d'électricité contraires, sont séparée par la
couche
d'air qui se trouve entre le sol et le tabouret.
au se dilate. Fig. 2. — Artère cérébrale moyenne. B, Artère de la
couche
optique. C, Un anévrysme miliaire dans la couch
B, Artère de la couche optique. C, Un anévrysme miliaire dans la
couche
optique. Fig. 3. — Artérioles atteintes de péri
pe d'une bronche de 6 millim. de diamètre. — Homme, grossissement; a,
Couche
fibreuse externe. — b, Couche musculaire. — c, Co
de diamètre. — Homme, grossissement; a, Couche fibreuse externe. — b,
Couche
musculaire. — c, Couche fibreuse interne, avec la
ossissement; a, Couche fibreuse externe. — b, Couche musculaire. — c,
Couche
fibreuse interne, avec la membran fondamentale. —
aire. — c, Couche fibreuse interne, avec la membran fondamentale. —d,
Couche
epitheliale. (D'après F.-E. Schultze.) dinaux,
faisceaux circulaires (Fig. 6, b). Chez l'homme, l'épaisseur de celte
couche
sur une bronche de 4 ^ est de 0,1 p., et, sur une
4 ^ est de 0,1 p., et, sur une bronche de 2 ^ elle est de 0,05 Cette
couche
, envisagée sous le rapport pa- thologique, offr
offre un intérêt incontestable. La transformation embryonnaire de la
couche
, décrite tout d'abord, et la des-truction concomi
résultats expérimentaux. 3° Plus en dedans encore, on rencontre la
couche
fibreuse interne, ainsi que l'appelle M. Schultze
aisseur des plis longitudinaux. i Biermer, p. 753. 4o La dernière
couche
, que nous devons étudier, est remar-quable en ce
es à cils vibrátiles (Fig. 6, d). Le revêtement, ici, est formé d'une
couche
unique de grandes cellules dont les extrémités ef
à la vérité plus ou moins pro-fondément altérées — former encore une
couche
distincte entre la membrane fondamentale et la fa
stance, à la surface de la membrane muqueuse. Cette persistance de la
couche
d'épi-thélium cylindrique se voit aussi, d'après
aires dont le diamètre, vous le savez, est au-dessous de 1 u. 2° La
couche
musculaire (Fig. 1,, b) est, ici encore, très acc
bronchiole terminale s'ouvre dans les conduits alvéolai-res2. 3° La
couche
interne ou muqueuse (Fig. 7, c), conserve Fig.
une bronche de 0,4 millim. d'épaisseur (porc). — Grosseur, 24 0/1.-a,
Couche
externe. — b, Couche musculaire — c, Cou ho fibre
llim. d'épaisseur (porc). — Grosseur, 24 0/1.-a, Couche externe. — b,
Couche
musculaire — c, Cou ho fibreuse interne. — d, Epi
ME LEÇON De l'épithélium pulmonaire. Sommaire. — Importance de la
couche
èpithéliale. — Réalité de son exis-tence. — Sa di
in. Messieurs, Je me propose de vous entretenir aujourd'hui de la
couche
èpithéliale — ou endothéliale ainsi qu'on l'appel
uré en litige jusque dans ces derniers temps, c'est la présence de la
couche
épithéliale, dont il s'agit, à toutes les époques
lus simples : une bordure régulière de cel-lules, composant une seule
couche
, plus haute que large, se rapportant, par conséqu
el je veux appeler votre attention estle suivant: Composé d'une seule
couche
de cellules plates, soudées entre elles par un ci
terne donnent naissance h des revêtements cellulaires ayant plusieurs
couches
— tels sont les revêtements épidermiques, — ou en
ments épidermiques, — ou encore à des revête-ments d'une ou plusieurs
couches
constituées par des cellules molles et épaisses :
ine, je vous faisais remarquer que ce revêtement, composé d'une seule
couche
de cellules plates, juxtaposées et soudées entre
se composent essentiellement de deux parties bien distinctes: 1° une
couche
de cellules hypoblastiques qui pren-nent bientôt
ntôt le caractère d'un revêtement épithélial cylindri-que ; et 2° une
couche
épaisse de tissu mêsoblastique. Par la suite, les
de l'œsophage, sont com-posés de deux parties bien distinctes: i° une
couche
de cel-lules hypoblastiques, bientôt représentée
drique, régnant sur toute l'étendue des canaux respiratoires ; 2° une
couche
épaisse de tissu mésoblastique au sein de laquell
e, diminue de diamètre et, du même pas, il se forme autour d'elle une
couche
conjonctive embryonnaire plus ou moins épaisse qu
a-bord, rempli qu'il est de cellules hypoblasliques et qu'entoure une
couche
épaisse de tissu mésoblaslique. Vers la fin du
verdin. Le lambeau transplanté doit comprendre dans son épaisseur, la
couche
vraiment vivante de l'épiderme c'est-à-dire une p
scemet. — ,E, epithélium de la cornée. — E', epithélium nouveau. — F,
couche
fibrineuse. peler, à part la multiciplité des c
nouveau. — F, couche fibrineuse. peler, à part la multiciplité des
couches
, le revêtement endo-thelial d'une membrane séreus
cancer épithélial de la partie externe du nez. (Can-cer corné). — a,
Couche
cornée. — b, Couche de Malpighi. — c, c, Racine d
e la partie externe du nez. (Can-cer corné). — a, Couche cornée. — b,
Couche
de Malpighi. — c, c, Racine des poils, disposés i
ighi. — c, c, Racine des poils, disposés irrégulièrement et formes de
couches
concentriques de cellules épithéliales. — d, Stro
sou-vent visible que sur un petit nombre de ces corps fusiformes. La
couche
èpithéliale, qui dans l'état normal sépare le con
néral peu étendue, et, le plus communément, disposée sous forme d'une
couche
qui n'a guère que quelques lignes d'épaisseur. M.
rès un cas observé par M. Olivier, chez une femme de 20 ans, morte en
couches
, un an après le début des accidents pulmonaires.
paré que par l'épaisseur de sa propre paroi, composée elle-même d'une
couche
endothéliale. En certains points, des orifices ré
dans la composi-tion d'un liquide qui tantôt se concrète en une mince
couche
grisâtre, sous laquelle on trouve la surface gran
rs du bord limi-tant de la région centrale. Cette zone offre, sur les
couches
traitées par le carmin, une coloration rosée, qui
Les parois de ces ventricules sont ramollies et comme tapissées d'une
couche
blanche, pultacée. La substance cérébrale blanche
rès abondant, mais on n'y rencontre pas de véritables ecchymoses. Les
couches
optiques et les corps striés ne présentent pas d'
x, en assez grand nombre. Le thrombus était dense, décoloré, formé de
couches
fibri-neuses stratifiées. Il se prolongeait dans
tement fibrillaire et nettement granuleuse, et une partie composée de
couches
homo-gènes simplement striées, sans distinction a
e corpuscules de pigment; elle peut se montrer non-seule-ment dans la
couche
corticale, mais encore, bien qu'à un de-gré moins
fait surtout dans la région tout à fait inférieure des cellules de la
couche
muqueuse. C'est au voisinage des noyaux que le dé
l'artère pulmonaire et dans ses branches principales, entourées d'une
couche
de sang noir à peine coagulé : nulle part elles n
entôt en pointe dans ces deux derniers points, il est enveloppé d'une
couche
de sang noir à peine coagulé. — La section du cai
ns isolée au centre du ventricule droit ; mais, dans ces deux cas, la
couche
membraniforme qui contient le liquide, est bien d
es, compactes, homogènes, formées de fibrine coagulée et disposée par
couches
concentriques. On peut voir des figures représent
tissu fibreux blanc, légèrement nacré, très résistant : en tout deux
couches
. Plus haut, et dans toute l'étendue supérieure du
e sorte de trame fibreuse de nouvelle formation se continuant avec la
couche
nacrée dont il a été question plus haut et présen
question plus haut et présentant le même aspect ; 3° une troisième
couche
formée de fibres musculaires, pâles, décolorées e
ins de formation récente; elle est formée d'une enveloppe composée de
couches
fibrineuses concentriques, très minces (environ 2
raît constituée par un tissu fibrineux, résis-tant, nacré, composé de
couches
superposées. (La pointe du cœur déployée présente
nsi qu'on s'en assure en les divisant transversalement, de nombreuses
couches
concentriques. Ils sont d'une consistance ferme,
emment du môme âge que ceux-ci; il en diffère seulement en ce que les
couches
externes sont évidemment de formation plus récent
n lorsqu'il dit que, dans les cas de gonflement de la jambe, suite de
couches
, l'imprudence des malades a causé quelquefois une
primipare, âgée de vingt et un ans, éprouve, le troisième jour de ses
couches
, un frisson suivi de douleurs vives sur le trajet
» ou le point de départ de la phlegmatia alba dolens des » femmes en
couches
. » Si maintenant on est conduit à admet-tre que,
re pulmonaire, on sera naturellement porté à penser que les femmes en
couches
sont tout particulièrement expo-sées à ce dernier
couleur gris-brun à l'extérieur, rouge-foncé à l'intérieur, formé de
couches
concentriques, plusieurs fois replié sur lui-même
en partie décoloré, ridé à l'extérieur, mou à l'intérieur, composé de
couches
concentriques, avec une sorte de bouillie rougeât
couches concentriques, avec une sorte de bouillie rougeâtre entre les
couches
. Ce caillot n'adhère nullement aux parois du vais
ulmonaires sont saines ; les caillots qu'elle renferme sont formés de
couches
superposées comme ceux qu'on rencontre clans les
anévrysmales ; mais ils n'adhé-raient pas aux parois du vaisseau. Les
couches
extérieures étaient d'une consistance plus ferme
outre qu'ils étaient décolorés, de texture grenue, friable, formés de
couches
superposées, imprégnées d'une substance demi-liqu
le nom de caillot prolongé, s'accroît par l'opposition successive de
couches
fîbrineuses nouvelles. En même temps qu'il s'allo
on complète du caillot prolongé. Par le fait de la désagrégation, les
couches
périphériques sont détruites en premier lieu, pui
circulation pouvait s'y faire tant bien que mal. Alors, de nouvelles
couches
fibrineuses se sont déposées, tant en avant et en
environ le volume du petit doigt, long de 5 pouces et demi, formé de
couches
concentriques et plusieurs fois replié sur lui-mê
ure homogène ; il se compose d'un noyau central et, à l'extérieur, de
couches
fibrineuses cencentrique-ment disposées. Les plus
brineuses cencentrique-ment disposées. Les plus superficielles de ces
couches
sont de formation très récente, tandis que les pl
e-ment le calibre du vaisseau. C'est seulement alors que de nouvelles
couches
fîbrineuses se seront déposées, en se strali-lian
t pas solidement enclavé et qu'il ne s'est pas enveloppé de nouvelles
couches
fîbrineuses, peuvent rendre compte, ce nous sembl
s troncs principaux de lartère pulmonaire, observés chez une femme en
couches
et terminés par la guérison. — Madame G..., 3, pl
quinze mois des suites d'une hydrocéphalie chronique. Les suites de
couches
suivaient régulièrement leur cours, exemptes de t
it quelquefois pendant des journées en-tières. Le douzième jour des
couches
, à cinq heures de l'après-midi, étant assise dans
exsudats ou des collections purulentes, ne peut exister que dans les
couches
externes ou moyennes du vaisseau; c'est ce qu'il
urface. D'abord hyaline et transparente, cette substance, formée de
couches
stratifiées, ne larde pas à s'épaissir et à prend
habituellement des caillots fibrineux ; ordinairement stratifiés par
couches
d'inégale densité, ils prennent, au voisi-nage de
exture fibroïde. Leur consistance s'accroît de dedans en dehors ; les
couches
les plus anciennes sont naturellement les plus ex
rineuses, qui remplissent presque tout le sac, sont recouvertes d'une
couche
de même nature, qui se pro-longe sur la paroi art
gétations des valvules du cœur. On trouve quelquefois du pus dans les
couches
du caillot les plus voisines des parois de la poc
ndonner tout espoir. On sait depuis longtemps que l'accumulation de
couches
fîbrineuses à l'intérieur du sac est le mécanisme
er des autres, d'autant plus aisément que l'adhérence de ces diverses
couches
entre elles est dimi-nuée en raison même de leur
la membrane moyenne est presque toujours consécutif aux lésions de la
couche
èpithéliale, et s'accompagne d'une friabilité et
caillot fibrineux décoloré, jaunâ-tre, résistant, élastique, formé de
couches
concentriques, en un mot, de formation ancienne.
celle des fîbro-carti-lages. Elle est tapissée à l'intérieur par une
couche
épaisse de lamelles fibrineuses superposées, et s
une balle de fusil de fort calibre, enveloppée de tous côtés par une
couche
épaisse de tissu cellulaire dense qui la fixe aux
et distendus par un caillot tibrineux, décoloré, consistant, formé de
couches
concen-triques. De ce caillot part une sorte d'ap
enlevé cette production, on trouve le tissu cérébral qui avoisine les
couches
optiques et le corps strié, ramolli et d'une tein
externe du ventricule cérébral lui-même; mais, chose remarquable, la
couche
optique et le corps strié sont restés sains au mi
agiques, un ramollissement de la substance cérébrale au voisinage des
couches
optiques et du corps strié du côté droit, et dans
ME LEÇON de l'épithélium pulmonaire. Sommaire. — Importance de la
couche
épithéliale. — Réalité de son exis-tence. — Sa di
cartilagineuses des — ,30 ; 33, — tunique musculeuse des — 30, 33; —
couche
fibreuse in-terne des —, 31 ; — altérations des
que hémisphère). La face interne de l'hémisphère doit reposer sur une
couche
uniforme de coton hydro-phile, étendue au fond du
n hydro-phile, étendue au fond du cristallisoir. L'épaisseur de cette
couche
n'a guère d'importance; mais il y a ici une préca
e relativement sec. On enveloppe alors celui-ci complètement dans une
couche
épaisse d'ouate hydrophile, imprégnée d'eau pure
lte des variations de l'angle d'incidence des rayons solaires sur les
couches
de clivage de l'alumine. Il en est ainsi du cha
se compose de fibrilles comme le velours; elle aussi est répartie en
couches
de stratification comme le corindon nacré., La ma
des coupes, c'est la déformation du profil de l'hémisphère, c'est la
couche
de celloïdine qui subsiste dans les espaces ventr
du pédoncule, 16, 17. Tf. Tubercule du fascia dentata. Th. Thalamus,
couche
optique. TJ. Tubercule de jonction, 27, 29. TM. T
mbryon-naire. Lem. Lemniscus, feuillet horizontal du ruban de Reil,
couche
de Reil (Sclileife des Allemands). LMA. Lame bl
occipitale interne. Rlh. Radiatio thalami, couronne rayonnante de la
couche
optique, 77. S'. Rranche postérieure de la scis
is, stria terminalis, 80. TAP. Tapelum, 71, 75, 78. Th. Thalamus,
couche
optique, 76. Une. Crochet, uncus, 79, 80. E.
101, 102, 104, 108. FLi, FL2, FLô. Première, deuxième et troisième
couches
du faisceau longitudinal inférieur, 102. FOi. F
, 119, 122, 125, 128. FLi. FLr2, FLs. Première, deuxième, troisième
couches
du faisceau longitudinal inférieur, 112, 116, 1
isceau longitudinal inférieur, 156. FLs, Fis. Deuxième et troisième
couches
du faisceau longitudinal inférieur, 156. FOi. F
ceau longitudinal inférieur, 145, 146. FIA FLo. Deuxième et troisième
couches
du faisceau longitudinal inférieur, 146. FOi. F
l inférieur, 154. FLr , FLi, FLo. Troisième, quatrième et cinquième
couches
du faisceau longitudinal inférieur, 155. FOi. F
, 165, 164, 169. FLr , FLï, FI.5. Troisième, quatrième et cinquième
couches
du fais-ceau longitudinal inférieur. FOi. Fibres
apelum, 166, 168. Tf. Tubercule du fascia dentata, 165. TH. Thalamus,
couche
optique, 165. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 17
l inférieur, 182. FLô, FL.4, FLs. Troisième, quatrième et cinquième
couches
du fais-ceau longitudinal inférieur, 185. FOi.
e, 219. RR. Ruban de Reil, 206, 215. Rth. Couronne rayonnante de la
couche
optique, 219, 221, 222. S'. Rranche postérieure d
228, 252. Lm. Lamina medialis, portion interne et inférieure de la
couche
horizontale de Reil. Lmd. Lamina lateralis de R
tale de Reil. Lmd. Lamina lateralis de Reil, ou fibres directes de la
couche
latérale de Reil, 224, 251. NC. Noyau caudé, 22
de Reil, 227, 252. Rth. Radialio thalami, couronne rayonnante de la
couche
opti-que, 224, 257. S'. Branche postérieure de la
. Tsenia tecta, 224. TEG. Tegmentum, 227, 228, 229. Th. Thalamus,
couche
optique, 224. TRI. Trigone cérébral, 257. TRO
onnante du noyau caudé, 241, 252, 255. Rth. Couronne rayonnante de la
couche
optique, 255. Tee. Tsenia semi-circularis, 252. T
onvolution de l'hippocampe, 272, 275. SMT. Stries médullaires de la
couche
optique, 275. T1. Première circonvolution tempora
on temporale. TB. Trou borgne, forameu csecum, 290, 296 Th. Thalamus,
couche
optique, 292. TP. Tractus transvers us pedunculi,
éma, 526. Lui. Lamina medialis, portion interne et inférieure de la
couche
horizontale de Reil, 516. LMA. Lame blanche cor
e externe, 551. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 554, 541. CC.
Couche
grillagée, 532. CI. Capsule interne, 549. GIF
te du noyau caudé. Rth, Radiatio thalami, couronne rayonnante de la
couche
optique, 456. sC. Sinus du corps calleux. sh.
e passage externe. Rth. Radiatio thalami, couronne rayonnante de la
couche
optique, 440, 445. sC. Sinus du corps calleux.
circularis, 445. TAP. Tapetum. tec. Tsenia tecta. Th. Thalamus,
couche
optique, 445. ThÀ. Racine antérieure ou pédoncu
udé. ROS. Roslrum. Rth. Radiatio thalami, couronne rayonnante de la
couche
op-tique, 452. S'". Rranche verticale de Sylvius.
-circularis. TAP. Tapelum, 454. tec. Tsenia tecta, 450. Th. Thalamus,
couche
optique, 456. ThA. Racine antérieure ou pédoncu
d'acquisitions, ou, comme dit Sergi, de stratifica- tions ; que la
couche
la plus récente et la plus parfaite s'al- tère,
; que la couche la plus récente et la plus parfaite s'al- tère, les
couches
sous-jacentes reparaissent et l'homme ainsi dim
aud est tenté de la conserver. A. Fenayrou. XII. Tubercules de la
couche
optique; par MM. Démange et Spillmann. (Presse
le, et une tumeur du volume d'une noisette siégeant au milieu de la
couche
optique droite et touchant par sa péri- phérie
complices. Elvire P..., qui fait des bâtards dans l'asile (pour ses
couches
, elle s'alite), habite avec un interne dans le bâ
a femme, il l'autorisa à se retirer dans sa famille jusqu'après ses
couches
, ignorant qu'il existait aussi des relations en
a revit quatre mois plus tard sur son lit de mort à la suite de ses
couches
. Une pièce qne sa femme croyait avoir près d'elle
ême courbe : les deux pro- fils sont superposables. C'est que les
couches
superficielles sont un peu plus flasques et p
actères morphologiques et fonctionnels des éléments constituant les
couches
de l'écorce du cuneus et de la scissure calcari
res mor- phologiques tout à fait particuliers. Tandis que, des huit
couches
stratifiées de cette écorce, les trois première
s huit couches stratifiées de cette écorce, les trois premières, la
couche
moléculaire, ou couche des panaches des pyramid
ées de cette écorce, les trois premières, la couche moléculaire, ou
couche
des panaches des pyramides, la couche des petites
es, la couche moléculaire, ou couche des panaches des pyramides, la
couche
des petites pyramides et la couche des pyramide
e des panaches des pyramides, la couche des petites pyramides et la
couche
des pyramides moyennes n'offrent rien de spécia
uche des pyramides moyennes n'offrent rien de spécial, la quatrième
couche
, celle des cellules étoilées ou strie de 126 RE
blanche ; 3° des ramifications d'axones ascendants de cellules des
couches
infé- rieures (zone des grains, zone des pyrami
ifications collatérales d'axones de cellules des zones supérieures (
couches
des pyramides petites et moyennes). Des élément
tout étoilée, constituent donc en fort grand nombre cette quatrième
couche
, cellules dont les dendrites se ramifient exclu
die de cette zone a déjà per- mis à Cajal de la subdiviser en deux (
couches
des grandes et des petites cellules étoilées),e
à épaisses collatérales ascendantes et à collatérales destinées aux
couches
inférieures ; 3° des cellules petites à courts
stance blanche pour se rami- fier horizontalement dans la quatrième
couche
. Comme ces fibres conservent leur gaine de myél
dendrites des cellules indigènes de cette zone, c'est-à-dire de la
couche
des cellules étoilées, comme elles ont fait d'a
nt fait d'ailleurs pour les tiges des pyramides et des cellules des
couches
inférieures. Souvent ces longues fibres myéli-
calement la strie de GE;>¡1\AIII et vont au delà, jusque dans la
couche
des pyramides moyennes (troisième couche), puis
nt au delà, jusque dans la couche des pyramides moyennes (troisième
couche
), puis se recourbent brusquement en bas ou s'in
échissent sur de grands espaces pour se résoudre finalement dans la
couche
des cellules étoilées en collatérales et en pro
sorte le facteur spécifique de la sphère visuelle. » Enfin, de la
couche
sous-jacente, cinquième couche de cette aire co
la sphère visuelle. » Enfin, de la couche sous-jacente, cinquième
couche
de cette aire corticale, couche des petites cel
e la couche sous-jacente, cinquième couche de cette aire corticale,
couche
des petites cellules sphéroïdales {couche des gra
de cette aire corticale, couche des petites cellules sphéroïdales {
couche
des grains) ou couche des petites cellules ri a
le, couche des petites cellules sphéroïdales {couche des grains) ou
couche
des petites cellules ri axone ascendant, comme la
axone ascendant, comme la dé- nomme CAJAL, ainsi que de la septième
couche
des cellules 'polo- morphes, montent d'innombra
innombrables axones qui, après avoir émis des collatérales dans les
couches
inférieures se ramifient dans le plexus optique
qu'en traversant cette région, les axones ascendants destinés à la
couche
moléculaire y abandonnent des collatérales, en
que nombre d'autres prolonge- ments axiles de neurones des diverses
couches
stratifiées, et que, à travers cette strie, pas
cette strie, passent les tiges des pyramides géantes de la sixième
couche
et celles des corpuscule polymorphes, les dendrit
cendant des petites et moyennes pyramides des deuxième et troisième
couches
. Les cellules de la couche des grains (cinquièm
nes pyramides des deuxième et troisième couches. Les cellules de la
couche
des grains (cinquième couche ou couche de petit
troisième couches. Les cellules de la couche des grains (cinquième
couche
ou couche de petites cellules il axone ascendan
ouches. Les cellules de la couche des grains (cinquième couche ou
couche
de petites cellules il axone ascendant) sont des
la strie de Gennaiu où il s'arborise. 128 . REVUE CRITIQUE. La
couche
cles cellules pyramidales géantes, ou sixième zon
tance blanche après avoir envoyé deux ou trois collatérales dans la
couche
des cellules polymorphes. La couche des cellule
x ou trois collatérales dans la couche des cellules polymorphes. La
couche
des cellules polymorphes, ou septième zone, renfe
térales sortent aussi de cet axone au cours de son trajet dans la
couche
des grains, destinées aux couches inférieures. La
one au cours de son trajet dans la couche des grains, destinées aux
couches
inférieures. La tige pro- toplasmique s'épuise
ntesque, dont l'axe traverse toute l'écorce et monte jusque dans la
couche
molé- culaire, non sans abandonner des collatér
s sont fort rares et gisent souvent en pleine substance blanche (8°
couche
). Dans le travail in caeM qu'il prépare, l'émin
il prépare, l'éminent histologiste espagnol divise ainsi en deux la
couche
des cellules polymorphes : 1° couche des grandes
pagnol divise ainsi en deux la couche des cellules polymorphes : 1°
couche
des grandes cellules à axones ascendants ; 2° c
lymorphes : 1° couche des grandes cellules à axones ascendants ; 2°
couches
des cellules polymorplies propre- ment dites ou
ndants ; 2° couches des cellules polymorplies propre- ment dites ou
couche
des éléments fusiformes de IEYNEllT; la plu- pa
morphologie comparée des éléments nerveux constituant les diverses
couches
stratifiées d'une aire fonctionnelle de l'écorc
éments seraient, dans l'épaisseur de l'écorce, ce que sont, dans la
couche
moléculaire, les cellules de CAJAL et de lii,,r
. Or là aussi aussi ces fibres se terminent électivement dans une
couche
de l'écorce grise où abondent, quoiqu'en moins gr
lixiisig demeurant en dehors il serait légitime de considérer cette
couche
comme le facteur anatomique spécifique de l'éco
mais les actifs provoquent les crises. La première fois l'enfant se
couche
sur le dos. A l'injection du troisième flacon l
eurent lieu trois mois et demi et un mois respectivement après des
couches
normales (les grossesses furent également norma
noyau lenticulaire, et plus en avant la partie supéro-interne de la
couche
optique. « Sur le pli de passage du lobule pari
xiste en même temps un foyer ancien du volume d'un haricot, dans la
couche
optique, à sa sur- face externe, contre la caps
s plus étendues. Au niveau de la pédiculo-pariétale, le foyer de la
couche
optique a creusé presque toute la partie ventri
e immédiatement sur le foyer hémorragique, à travers une très mince
couche
de substance cérébrale ramollie. Dans certains
ventricule et rejoignant une hémorragie de la partie externe de la
couche
optique. Dans un cas, l'hémor- ragie était limi
rés sur une table spéciale faite de deux planches sur lesquelles ou
couche
les opérés pendant deux heures et deux fois par
tes bizarres qui paraissent dépourvus de toute signification; il se
couche
dans les positions les plus anormales, et, parf
mène dans le dortoir; puis, incapable de reconnaître son lit, il se
couche
à la place d'un autre malade. En un mot, il a abs
ns en dehors, il l'union du tiers supérieur et du tiers moyen de la
couche
optique. C'est la surface de section du fragmen
yant détruit le tiers postérieur au noyau lenticulaire et de la
couche
optique et les deux tiers postérieurs de l'av
x cen- traux : le quart postérieur du noyau lenticulaire et de la
couche
optique, les deux tiers postérieurs de l'avant-mu
rizontale qui est ici représentée (flg. 6) a sectionné en dedans la
couche
optique à l'union de son tiers supérieur avec s
au niveau d'une coupe passant par la partie la plus inférieme de la
couche
optique. L'extension vers l'écorce cérébrale en
ce n'est quelques-uns à la partie anté¡ o-extel'1le des cuisses. La
couche
adipeuse sous-cutanée est relativement épaisse.
7 heures du matin. V. Autopsie 1. Amaigrissement considérable ; la
couche
adipeuse sous-cutanée est moins développée qu'à
e d'âge moyen. L'auteur estime qu'il y a une lésion au niveau de la
couche
optique, tout en admettant la possibilité d'alt
ésion de la partie posté- rieure de la capsule interne affectant la
couche
optique, pourrait tendre à chercher de ce côté
du côté opposé à la lésion thalamique) laisserait supposer que la
couche
optique est indemne. Faut-il rechercher dans l'éc
jonctif à la face interne de laquelle existe un endothé- lium à une
couche
. Cette capsule est en rapport immédiat avec le
e corps de la cellule res- tant, comme à l'état normal contigu à la
couche
endothéliale. Il n'y a qu'a confirmer les détai
évrite parenchymatellse subaiguë (troisième attaque, à la suite des
couches
) greffée sur le terrain d'une polynévrite inter
puberté, ca- ractère hystérique. En 1896, trois semaines avant ses
couches
, éruption généralisée et rhinite persistante (s
alisée et rhinite persistante (syphilis ? ). Quinze jours après les
couches
, première attaque hystérique Dix-huit mois plus
dantes réunissant les noyaux des cordons de Goll et de Burdach à la
couche
optique et des fibres moins longues s'arrêtant
tance grise et les voies courtes de la formation réticulée ; 6° La
couche
optique constitue un relai pour les voies ascen-
l médian s'arrête dans le noyau externe et le centre médian de la
couche
optique ; -, 7° Les connexions de la couche opt
e centre médian de la couche optique ; -, 7° Les connexions de la
couche
optique avec l'écorce cérébrale se font par le
re du système nerveux central et périphérique, p. 249 et 250). La
couche
granuleuse du cervelet et ses fibres mousseuses c
i portent les réseaux de fibres nerveuses se déploient à travers la
couche
granuleuse formant un système continu. 11 est f
si à suivre de ces fibres jusqu'aux cellules du noyau externe de la
couche
optique ; -elles subissent donc, dans l'espèce, u
eure du pulvinar, les parties postérieures du noyau antérieur de la
couche
optique, notre faisceau était presque seul cons
la lumière du conduit. Pour la membrane, c'est un épithélium à une
couche
; pour le ligament, c'est quantité de petites ce
membrane basilaire, de sa cou- che de revêtement lympanique, de sa
couche
épithéliale, mais elles sont incomplètement dév
nt dans toutes les parties du cerveau, mais surtout dans celles des
couches
corticales externes d'animaux morts-de bonne he
mme, explicables par les dégénérescences cellulaires des di- verses
couches
corticales, dont les lésions permettent de déchif
anglion de l'isthme, il fournit, à travers le cer- veau moyen et la
couche
optique, des libres à l'écorce du lobe optique,
oblique de haut en bas et de de- hors en dedans sous la forme d'une
couche
grêle qui reste cepen- dant à égale distance de
optiques, dans la rétine où il se termine entre les cellules de la
couche
ganglionnaire. Quelques fibres isolées semblent p
che ganglionnaire. Quelques fibres isolées semblent pénétrer par la
couche
moléculaire interne jusqu'au voisinage de la couc
pénétrer par la couche moléculaire interne jusqu'au voisinage de la
couche
41G REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
rs de la papille et va jusqu'au voisinage de la macula, où cesse la
couche
des fibres nerveuses. En dedans de la papille,
de l'isthme et se termine dans la rétine autour des cellules de la
couche
ganglionnaire. Dans ce trajet, il fournit aux p
es cellules). D'autre part, l'écorce du lobe optique contient une
couche
de cellules profondes qui fournissent des fibre
e 0,50 à 0,80 on l'ad- ministre en trois fois ; à partir de 0,70 on
couche
le malade, on l'alite aussi quand on passe de l
tonus nerveux, amélioreront sa stabilité nerveuse surtout dans les
couches
psy- chomotrices du cerveau, et favoriseront so
ement la rapidité avec laquelle le sang dépose spontanément en deux
couches
: celle du plasma et celle du sédiment rouge (d
riée à vingt-sept ans, a eu en dix ans sept enfants et deux fausses
couches
. Un fils est alcoolique; un autre, faible d'esp
lle sent du vent sur la tête. Le soir elle est maigre quand elle se
couche
, le matin elle est grasse et bouffie. 11 lui se
'antisepsie les plus scrupuleuses; enfin on couvrait la plaie d'une
couche
de collodion iodoformé. Ordinairement la plaie
e épinière, sans bémorrhagie. La plaie est cousue et couverte d'une
couche
de collodion iodoformé. Etat aussitôt après l
ui a pénétré à travers les téguments, les os du crâne et atteint la
couche
supérieure du cerveau. Aux bords de la plaie, d
s avoir enlevé la bandelette optique, on le voyait constituer une
couche
de tissu blanc, se dirigeant en dehors ; il ven
ntérieur le bord posté- rieur de la bande diagonale, constituant la
couche
profonde de celle-ci et pouvait être suivie à s
fascicules, passent sous la bandelette optique et vont former la
couche
inférieure et postérieure de la bande diago- na
les du cerveau terminés par des éminences qui paraissaient être les
couches
optiques et les corps striés. En outre, la moel
queduc de Sylvius. » IV. CONNEXIONS DU CARREFOUR OLFACTIF AVEC la
couche
optique. (Arc intermédiaire.) Dans quelques cas
ge, et par suite moins épais, il contourne le bord postérieur de la
couche
optique, s'étale sur la face supérieure de ce r
cs que je décris comme une production à part ne sont-ils que « la
couche
fenêtrée » dont parlent quelques auteurs et qui
appareil optique. Ceux-là, en eflet, pénètrent profondément dans la
couche
optique et vont DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL D
de- ment de ce tubercule avec la partie antérieure et externe de la
couche
optique. Ces deux faisceaux réunis constituerai
que j'ai indiqué pour aller coiffer le tubercule anté- rieur de la
couche
optique. Filet du sillon opto-strié. Toenia. La
ndiquent les auteurs, mais encore dans le tubercule antérieur de la
couche
optique. De plus, quand il con- tourne en dehor
L DE L'OLFACTION. 79 où ce pilier contourne le bord postérieur delà
couche
optique, revêtue du ruban. J'appelle aussi l'at
e large voie sont établies les connexions entre le carrefour e la
couche
optique. Je me demande, à ce sujet, si les anci
le carrefour olfactif se trouve relié au tubercule antérieur de la
couche
optique par le ruban péri-optique et par la ban
ication évidente entre le carrefour et le tubercule antérieur de la
couche
optique.' Notes bibliographiques. -Ruban péri-o
s ventricules latéraux et qui sont placés à la partie externe des
couches
optiques. Dans ces lames, des filets blancs sont
titué par les Itabenæ) s'étale en une membrane mince au- tour de la
couche
optique. Les fibres clairsemées se recourbent t
entail pédonculaire. Elles composent essentiellement l'écorce de la
couche
optique. » « ... Un troisième faisceau, mieux d
sième faisceau, mieux distinct, s'enroule sur le bord externe de la
couche
optique, dans un sillon qui la sépare de la cou
L DE L'OLFACTION. 81 dit : « Nous avons distingué plus haut dans la
couche
optique trois éléments distincts, savoir : 1° s
insi un faisceau « qui s'enroule en une membrane mince autour de la
couche
optique ». Bandellette demi- circulaire. - FOVI
faisceau postérieur se porte dans l'intervalle du corps strié et la
couche
optique en décrivant une belle courbe connue so
istes. En avant, on la voit se perdre dans la substance grise de la
couche
optique. Son extrémité postérieure s'épanouit e
s, dans le pilier antérieur, et par l'autre, dans l'épaisseur de la
couche
optique. ' La bandelette étant admise avec Vicq
ir jusqu'à plus ample recueil d'observations. V. CONNEXIONS DE LA
COUCHE
OPTIQUE (DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OP
V. CONNEXIONS DE LA COUCHE OPTIQUE (DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA
COUCHE
OPTIQUE) AVEC l'ÉCORCE cérébrale. (Arc cérébral
au lieu de les faire se terminer dans le tubercule antérieur de la
couche
optique, je les fais y ( prendre leur origine,
ue et les piliers, au moment où ceux-ci contournent en arrière la
couche
optique. Je dirai aussi qu'une seule fois, il est
ne de la voûte et aller se jeter sur le tubercule antérieur de la
couche
optique, en dedans de la terminaison du ruban p
important. En effet, ces filaments sont en très grand nombre et la
couche
médullaire de chacune des parois du ventricule
lement de ces filaments et de ceux du taenia. Le restant de cette
couche
blanche est formée par des fibres émanant d'une
re-croi- sés, mettent en communication directe le tubercule de la
couche
optique dans laquelle ils prennent naissance, a
ssance, avec la formation godronnée. Le tubercule antérieur de la
couche
optique est-il une station olfactive ? Cela ne
ns des piliers antérieurs avec celles de la bande diagonale dans la
couche
blanche du septum et, comme on le verra plus lo
un seul nerf olfac- tif, qui semblait naître du centre de l'une des
couches
optiques. » Ce fait me paraît très intéressant
autrement. Une bifur- cation profonde du tænia « s'enfonce dans la
couche
optique, se porte d'arrière en avant, gagne le
mplique des rapports intimes avec l'olfaction. » Cruveilhier : « La
couche
médullaire (du septum) est composée de fibres r
mécanique ou faradique du noyau caudé et du noyau lenticulaire, des
couches
optiques et des tubercules quadrijumeaux antéri
tion isolée directe; 2° l'excitation mécanique et fara- dique de la
couche
optique produit soit une, soit plusieurs convulsi
s à l'excitation. La section transverse du segment postérieur de la
couche
optique et du tubercule quadrijumeau antérieur,
oyaux d'origine des cordons postérieurs gagnent, en traver- sant la
couche
intermédiaire des olives, l'organe central, abou-
u noyau rouge de Stilling qui, de son côté, envoie des fibres il la
couche
optique, au noyau lenticulaire, à l'écorce du cer
. S. Kiriltsef. Contribution ci la casuistique des affections de la
couche
optique . Les symptômes suivants ont été remarqué
ments spontanés. Exitus letalis. A l'autopsie, on a trouvé, dans la
couche
optique gauche, une tumeur (gliosarcoma) de la
puisées dans la littérature médicale, le rapporteur conclut que les
couches
optiques ont un rapport intime avec l'origine d
laire. M. Kornilof dit qu'il a pu observer un cas de tumeur de la
couche
optique, dans lequel il n'y avait pas de paralysi
nveloppe de myéline est constituée, d'après l'auteur, de cinq à six
couches
concentriques absolument égales. Jusqu'àprésent,
iques absolument égales. Jusqu'àprésent, onvoyait cette division en
couches
de la myéline, mais on la con- sidérait comme é
tion de l'a- cide osmique : il est très probable que la division en
couches
n'était pas très nette, car les méthodes employ
s l'auteur, dans un état gélatineux. La dis- position régulière des
couches
dans l'enveloppe de myéline permet de supposer
sensation de suffocation qui l'opprésse pendant dix minutes. Il se
couche
, la douleur devient moins aiguë, et le lendemai
foyer purulent et son trajet fistuleux. C S, corps strié. - C 0,
couche
optique. C C, corps calleux. Y, quatrième ventr
ousue d'après toutes les règles de l'antiseptique et couverte d'une
couche
de collodium iodoformé. Aussitôt après l'opérat
lante du pied de la patte droite postérieure se détache par grandes
couches
. 20 juin. - Les mouvements volontaires de l'ext
a moelle épinière (fig. 23) ; la plaie est pansée et couverte d'une
couche
de collodion iodoformé. Etat aussitôt après l'o
gauche de la moelle épinière. La plaie est pansée et couverte d'une
couche
de Ô ANATOMIE. collodion iodoformé. Après l'o
ire par des conducteurs qui n'ont pas à passer par le noyau de la
couche
optique. L'intermédiaire est le septum lucidum.
x modes diffé- rents. On a vu, dans le chapitre précédent, que la
couche
médullaire de la cloison transparente était en
forme déterminée » qui me paraît avoir beaucoup de parenté avec la
couche
granuleuse caractéristique du corps godronné.
? Les connexions par les habence avec le tubercule antérieur de la
couche
optique sont tellement évidentes qu'il ne saura
PAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 11 tubercule antérieur de la
couche
optique. Le carrefour est donc mis en communica
et celle-ci est mise en rapport avec le tu- bercule antérieur de la
couche
optique. Ces faits admis, il ne restait plus qu
IL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 213 le tubercule antérieur de la
couche
optique. La bande diagonale par son angle posté
avoir fourni le filet du sillon opto-strié (taenia), contourne la
couche
optique et va aboutir au tubercule antérieur :
térieur : c'est l'arc intermédiaire. Du tubercule antérieur de la
couche
optique, part une voie de conduction reliant le
n'en sont pas moins indiquées d'une façon générale. Le rôle de la
couche
optique et du corps strié, bien qu'encore conte
in du tissu nerveux. Leur structure révélait la stratifi- cation eu
couches
concentriques. Le segment externe du noyau lent
de l'hémisphère droit entraîne une dégénérescence secondaire de la
couche
optique et du faisceau latéral du pédoncule céréb
psychiatrie : Dr 1\Ionak'l>w : dégénéra- tion secondaire dans la
couche
optique chez l'homme ; professeur Flechsig : an
' ou deux oignons, les étendre dans un saladier en les couvrant par
couches
de poudre de sucre candi, et laisser macérer tr
ns de Francfort; tous deux Juifs). Douze enfants et trois fausses
couches
: 1° Garçon, vingt-sept ans, bien portant, pas
nsi que les membres. Puis il se tortille, se retourne très vile, se
couche
sur le ventre, se remet sur le dos. - Nouveau r
e a des secousses, 368 RECUEIL DE FAITS. s'agite dans son lit, se
couche
tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Le malade
ordre. Repos. Cris prolongés et plaintifs. Il demande à boire et se
couche
sur le côté droit. Il est 11 h. 30. 12 octobr
du couvre-objet et l'on comprime de façon à l'étaler en une mince
couche
. On instille sur le bord du couvre-objet une gout
On trouve, au microscope, une atrophie des cellules de la deuxième
couche
(ascendants et troisième frontale), un léger de
de leurs parois), une diminution médiocre des fibres tangentielles (
couche
externe) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 411 et
ement scléreuses, il n'y a plus du tout de cellules de Purkinje; la
couche
granuleuse s'est' aussi considéra- blement écla
otte du côté opposé; atrophie également prononcée du pulvinar de la
couche
optique du côté opposé. Comme il n'y a pas d'al
monyme et croisé) du cordon postérieur (fibres arciformes externes,
couche
intermédiaire des olives, fibres arciformes int
ner- veuses. Les fibres intra-corticales sont bien développées; la
couche
des grandes cellules pyramidales est au contrai
401. Connes antérieures, histologie des - , par Kronthal, 399.
Couche
optique, affections de la -, par Kiriltseff, 13
tissu spongieux, mais encore dans les canaux de Havers et dans cette
couche
sous-périostique dite ostéoïde par M. Robin, et q
eux et tissu élastique y concourent, ce dernier peu abondant dans les
couches
superficielles est très-répandu dans la profond
ineux y aboutis-sent, mais la plupart ne font que se ramifier dans la
couche
externe, se préparer en quelque sorte pour pénétr
u'il n'a jamais pu remplir. — Voisin par sa lace interne d'une petite
couche
très-active, très-productive, très-irritable, il
solument ces rôles emprun-tés. M. Robin, à notre époque, montre cette
couche
ostéoïde aux dépens de laquelle le périoste usurp
ne, a montré que, réduit à lui-même, privé parle raclage de la petite
couche
ostéoïde qu'il rete. nait à lui, le périoste n'ét
st au point de vuepathologique d'une importance secondaire. Sur cette
couche
interne... est superposée une couche de tissu c
portance secondaire. Sur cette couche interne... est superposée une
couche
de tissu cellulaire lâche, qui également doit êtr
t doit être consi-déré comme faisant encore partie du périoste. Celte
couche
externe est le siège le plus fréquent des process
externe; c'est un petit phlegmon qui peut, à la rigueur, agir sur la
couche
ostéoïde, ou moelle externe, à travers la partie
u siège, application du for-ceps) ; le quatrième à 25 ans; une fausse
couche
(six mois) à 24 ans; le sixième enfant, à 26 ans;
11 et le 12 octobre, semblables à celles qu'elle avait ressenties aux
couches
précédentes. Elles ont cessé tout à fait le 13. D
HIE Traité clinique et pratique des maladies puerpérales, suites de
couches
, par le docteur E. Hlrvieux, médecin de la Mate
ouvelles accouchées, l'oc-cupation permanente des salles de femmes en
couches
et l'encom-brement, telles sont les circonstances
; elles jouent un rôle considérable dans la pathologie de la femme en
couche
, et on ne peut les méconnaître sans s'exposer à t
ler, pour ainsi dire, tous les recoins de la pathologie des femmes en
couches
, trancher bien des questions restées jusqu'à ce j
tel est le cadre dans lequel sont entrées les maladies des femmes en
couches
. Toujours les descr plions sont faites avec beauc
de sels cal-caires et c'est autour de ces noyaux que se déposent, par
couches
concentriques, les poils végétaux ou les poils an
ur duquel les poils se sont tassés avec ordre. Quelquefois il y a des
couches
alternatives de substances calculeuses et de poil
tant le long de la face postérieure du fémur, entre le périoste et la
couche
musculaire profonde. Les cartilages articu-laires
lite. A la coupe, marbrures couleur hortensia des corps striés et des
couches
optiques, s'observant aussi bien dans la substanc
ont, dans un mouvement forcé, tiraillé ce périoste, et, par suite, la
couche
sous-jacente. Un garçon de 21 ans, forgeron : l
la médullite aiguë reconnaît pour cause une irri-tation directe de la
couche
sous-périestique; que cette irritation provienne
ée chez noire malade? Tout en reconnaissant que la multiplicité des
couches
faites par cette femme ava t pu amener un affaibl
un très-grand rôle dans la production des accidents qui succèdent aux
couches
Pour s'en convaincre, il suffit de se rappeler co
-à-dire inté-ressant seulement, soit la tunique péritonéale, soit les
couches
musculaires, sont plus rares.— Les bords de la dé
s deux côtés, lorsqu'on la détache, entraîne en beaucoup de points la
couche
superficielle des circonvolutions, principalement
entricule latéral est très-ramollie ; le corps strié est séparé de la
couche
optique. La partie antérieure de ce veniricule es
est assez ferme. A gauche, le cor| s strié est également séparé de la
couche
optique. A part les bords qui répondent à ctlte d
couche optique. A part les bords qui répondent à ctlte dissection, la
couche
optique et le corps strié sont assez résistants.
r la cause morbide, fourniront des produits viables, et de nou-velles
couches
osseuses se formeront, engainant la diaphyse. Ces
s couches osseuses se formeront, engainant la diaphyse. Ces nouvelles
couches
pourront même se produire dans le tissu osseux,
i, avec la péri-phérie de l'os, sont essentiellement vivantes. Si les
couches
médul-laires sous-pêriostiques accroissent l'os e
hes médul-laires sous-pêriostiques accroissent l'os en épaisseur, les
couches
dia-épiphysaires l'accroissent en longueur. Il y
iphysaire de la diaphyse ou de l'épiphyse, et occupe en même temps la
couche
sous-périostique, d'où l'existence d'un vaste foy
mme celles des os longs. L'inflammation débute le plus souvent par la
couche
sous-périostique externe et, par les canalicules
nt observé aux crânes et aux fosses iliaques, de décollement des deux
couches
périostales dans une étendue égale sur chaque fac
ment complet; d'autre part, la formation constante aussi de nouvelles
couches
osseuses dans la moelle sous-périostique, nouvell
nouvelles couches osseuses dans la moelle sous-périostique, nouvelles
couches
qui trop gêné-* ralement englobent en partie le s
droit, tumeur dure, indolente à la pression, mobile en masse sur les
couches
profondes, du volume d'un sein de femme pubère. P
ieux, Traité clinique et pratique des maladies puerpérales, suites de
couches
, article Vulvitediphthéritique, p. 439. REVUE P
umeurs à l'aide d'un serre-nœud et j'appliquai sur la plaie une forte
couche
de caustique de Vienne, que j'y maintins pendant
lente d'ailleurs, n'arrête pas la médullite, qui continue à gagner la
couche
sous-périostique. Je citerai à l'appui l'observat
ugès comme l'apanage à peu près exclusif de l'état de grossesse ou de
couches
, a été étudiée dans ces dernières années par un a
au 20 avril, jour où N... passe dans le service spécial des femmes en
couches
. C'est là où nous l'avons observée. 20 avril, m
cas d'anémie profonde, dans les hémorrhagies abon-dantes par suite de
couches
ou par causes traumaliques, dans l'asphyxie des n
ondants aux vertèbres malades, était enveloppée à l'extérieur par une
couche
épaisse de pus caséeux, laquelle se prolongeait s
était trouble et d'un jaune vineux ; au bout de quelques minutes, les
couches
supé-rieures se clarifièrent, les inférieures dev
après son évacuation, elle était faiblement alcaline dans toutes ses
couches
; après quelques minutes de repos, elle était ne
ouches; après quelques minutes de repos, elle était neutre dans les
couches
supérieures, alcaline dans les inférieures; au bo
du pus ; les graviers phosphatiques nageaient d'abord dans toutes les
couches
de l'urine et lui donnaient l'aspect de petit-lai
ules miliaires ; la coupe démontre qu'ils pren-nent naissance dans la
couche
supérieure du péricarde. A l'ouverture du ventr
19 octobre. — Apparition au fond de la solution de continuité d'une
couche
blanc grisâtre, qu'on cautérise avec une solution
de tissu malade,incomplètement sphacélé,nécessita l'application d'une
couche
depâtedeCanquoin. A partir du 9 juin,la cicatrisa
gnement fourni par le malade nous indique en outre que c'est dans les
couches
superficielles de la glande qu'on doit localiser
ux dans la majeure partie de la tumeur et qui est plus molle dans les
couches
superficielles et dans les lobes mamelonnés de la
éments sont les mêmes sur les coupes pratiquées au centre ou dans les
couches
superficielles de la tumeur. À un fort grossiss
signalée par M. Vigla. 11 semble que le tissu soit constitué par deux
couches
superposées, l'une superficielle, réduite en boui
e dernier cas, d'une femme atteinte de choléra peu de jours après ses
couches
, à l'hôpital. Elle présentait des symptômes très-
hie. Traité clinique et prati-que des maladies puerpérales, suites de
couches
, par E. Hervieux (analyse G. Peltier), 28. — Co
objet quelconque. Ces opérations sont : i° L'impressionnement de la
couche
sensible; 2° Le développement de l'image latente,
considérables réalisés depuis quelques années dans la fabrication des
couches
sensibles, il est encore bien des journées, dans
plus, on élimine les bulles d'air qui peuvent rester adhérentes à la
couche
et occasionner autant de points non développés, c
ditions, parce que la plaque n'est pas toujours en présence des mêmes
couches
du révélateur et qu'elle est mise fréquemment au
de soins. La plaque photographique a deux faces, celle qui porte la
couche
sensible et l'autre qui est à nu; il faut toujour
a couche sensible et l'autre qui est à nu; il faut toujours mettre la
couche
du côté du volet du châssis. On distingue la couc
oujours mettre la couche du côté du volet du châssis. On distingue la
couche
qui est mate à ce qu'elle réfléchit moins la lumi
ière on enlève toutes les poussières qui pourraient se trouver sur la
couche
et qui feraient autant de taches. Bien souvent, l
ite, en général, les bulles, d'air qui peuvent rester adhérentes à la
couche
, et former autant de taches transparentes. Si mal
il permet, pendant que la plaque y séjourne, le ramollissement de la
couche
, son imbibition égale et l'enlèvement des bulles
i,2,3 secondes donnent, par exemple, des réductions croissantes de la
couche
, il arrive un moment où cette progression cesse d
t de dissoudre le bromure d'argent non impressionné qui reste dans la
couche
. Le fixage est complet lorsque toute apparence la
ain de bichlorure en ayant soin de l'agiter constamment. Peu à peu la
couche
blanchit; il faut prolonger l'action du bain d'au
ant l'écriture, le côté enfumé par-dessus. L'image à reproduire et la
couche
sensible sont séparées par l'épaisseur de la lame
très intenses pour notre œil, n'ont qu'une action très faible sur la
couche
sensible, alors que d'autres, au contraire, sont
i° Emploi des plaques isochromatiques. — Si l'on incorpore dans la
couche
sensible des substances chimiques capables d'abso
ion de certaines substances telles que l'éosine, par exemple, dans la
couche
sensible, on augmente sa sensibilité pour certain
ervé à l'abri de l'humidité; ceci est indispensable, surtout avec les
couches
actuellement employées qui sont à base de gélatin
aches produites par une combinaison du sel d'argent du papier avec la
couche
de gélatine. Or ces taches sont irrémédiables e
mède radical, pour éviter ces inconvénients, consistera à protéger la
couche
au moyen d'un enduit spécial qui l'isolera du pap
réalable d'en bien essuyer le dos et de passer un blaireau fin sur la
couche
pour enlever la poussière. On met alors le papier
ans un livre, ou bien si on les roule, il faut toujours les rouler la
couche
en dehors. Comme elles ont tendance naturellement
achète dans le commerce du papier dit au charbon qui est formé d'une
couche
de gélatine additionnée d'une matière colorante f
hotocollographie consiste à imprimer directement des épreuves sur une
couche
de gélatine bichromatée préalablement exposée à l
procédé a été découvert en 1855 par notre compatriote, Poitevin. Une
couche
de gélatine bichromatée étant exposée au jour (c'
s. Lorsque l'on passera un rouleau chargé d'encre d'imprimerie sur la
couche
de gélatine, l'encre ne prendra pas dans les part
rie nouvelle. L'étuve qui est destinée à faire sécher rapidement la
couche
de gélatine bichromatée coulée sur la plaque de v
e doivent être doucies d'un côté, afin de faciliter l'adhérence de la
couche
, et biseautées, afin de pouvoir être montées sur
de cuir demande à être fait : on devra Fig. 77 Préparation de la
couche
sensible. — Voici la formule que nous employons :
re subir une préparation préliminaire, pour assurer l'adhérence de la
couche
de gélatine : on frotte d'abord les plaques avec
sur chaque plaque la quantité reconnue nécessaire. L'épaisseur de la
couche
n'est pas indifférente; pour un cliché normal il
se. Cette opération a pour but d'insoler complètement la partie de la
couche
qui est en contact avec le verre et d'en augmente
sur le marbre et avec le rouleau de cuir on l'étend jusqu'à ce que la
couche
soit bien égale. On passe alors le rouleau sur la
trouve que dans quelques rares ateliers. En voici le principe. Une
couche
épaisse de gélatine bichro-matée est insolée sous
eau distillée. Lorsqu'elle est distendue, on l'applique sur le cliché
couche
contre couche et avec la main à plat on enlève le
Lorsqu'elle est distendue, on l'applique sur le cliché couche contre
couche
et avec la main à plat on enlève les bulles d'air
nt recouvertes d'un verre mince de même format de façon à protéger la
couche
. Ces deux verres seront réunis par des bandes étr
ous les modes de tirage d'avoir une adhérence parfaite entre les deux
couches
; or, ce n'est pas le cas ici. Nous obtenons néanm
ge. On ne saurait, en effet, mettre dans la lanterne à projection une
couche
qui n'est pas parfaitement sèche, car, à cause de
-VILLARS ET FILS, quai des (irands-Augustins, 55. Préparation de la
couche
sensible............................ ig5 Insola
'HOMME ET DES PRIMÂTES. PREMIÈRE PARTIE. § Ier L'importance des
couches
corticales du cerveau et de leurs plis est depuis
-unes de ces grandes hypothèses. Suivant cet illustre anatomiste, les
couches
corticales sont composées de petites glandes dont
importance on a attachée, dès le XYU*" siècle, à la considération des
couches
corticales, de leur structure et de leurs plis. T
lï, 1840.) M. le docteur Baillarger admet, dans toute l'étendue des
couches
corticales, l'existence de six couches distinctes
dmet, dans toute l'étendue des couches corticales, l'existence de six
couches
distinctes. Ces couches, alternativement grises
des couches corticales, l'existence de six couches distinctes. Ces
couches
, alternativement grises et blanches, se succèdent
Toutefois, je me suis assuré, par des préparations nombreuses, qu'aux
couches
qu'il a signalées il faut en ajouter une septième
ux couches qu'il a signalées il faut en ajouter une septième. Cette
couche
, formée de fibres blanches, double dans toute son
rmée de fibres blanches, double dans toute son étendue le système des
couches
corticales. Ses fibres ne paraissent avoir aucun
rigine avec les faisceaux rayonnants de l'axe. La vraie structure des
couches
stratifiées au-dessus d'elle est moins facile à d
le est moins facile à découvrir. En effet, si la distinction de ces
couches
est nettement exprimée quand on observe à l'oeil
essive ténuité. M. Baillarger a essayé d'expliquer la formation des
couches
stratifiées, en supposant que les fibres rayonnan
te propose encore une autre hypothèse. Suivant cette hypothèse, les
couches
opaques sont formées de fibres propres constituan
s de fibres propres constituant des plans parallèles que séparent des
couches
de substance grise. Ces couches de fibres horizon
des plans parallèles que séparent des couches de substance grise. Ces
couches
de fibres horizontales sont coupées à angle droit
es rayonnantes. Les unes et les autres sont surtout visibles dans les
couches
corticales du lapin. Toutes les probabilités me
ins une haute importance. Ces faits permettent de démontrer que les
couches
corticales constituent un système indépendant des
tuent un système indépendant des fibres rayonnantes. 11 y a entre ces
couches
et ces fibres un rapport d'harmonie. Il n'y a poi
le dire ainsi, les fibres rayonnantes de l'axe se comportent avec les
couches
corticales, comme les nerfs cutanés avec la peau.
outes les fibrilles nerveuses, qu'où peut suivre dans l'épaisseur des
couches
corticales. La disposition de ces plans foliacé
lles pénètrent, immédiatement et tout entières , dans l'épaisseur des
couches
corticales. Ces couches, appliquées sur le noyau
ement et tout entières , dans l'épaisseur des couches corticales. Ces
couches
, appliquées sur le noyau cérébral et moulées, en
es. Mais, si les feuilles sont plus élevées, leur limbe soulève les
couches
corticales, et ainsi se forment dans ces couches
ur limbe soulève les couches corticales, et ainsi se forment dans ces
couches
des plis plus ou moins apparents, dont la disposi
ntervalles des feuillets. 2 Dans les points rentrants des plis, les
couches
corticales n'ont aucune adhérence avec les fibres
ral ; au sommet des plis, au contraire, les fibres pénètrent dans les
couches
, et l'adhérence est intime. % Ainsi les plis
externe de l'hémisphère et ceux qui en occupent la face interne. La
couche
corticale de l'hémisphère étant un tout partout c
ar la bandelette de la voûte à trois piliers; il forme le limbe de la
couche
corticale, dans toute l'étendue du bord inférieur
tres termes, c'est l'ouverture de la bourse à laquelle l'ensemble des
couches
corticales de l'hémisphère est comparé. Les lob
s qui lient au cerveau un appareil organique spécial occupent, sur la
couche
des hémisphères, une grande surface, l'intelligen
r. Ainsi, de la grandeur totale des hémisphères et de l'étendue des
couches
corticales naus un groupe défini d'animaux, on po
le cerveau, quelque chose de semblable? Suivant que les relations des
couches
corticales avec les organes des fonctions inférie
je viens de citer, il n'y avait aucune adhérence des membranes à la
couche
corticale et l'explosion du délire datait de qu
inges. Vaisseaux. La pie-mère est notablement épaissie ainsi que la
couche
sous pie-mérienne sur tout son pourtour ; la pa
occupant le lerritoil e du pli courbe. Hémorrhagies encore dans les
couches
optiques, en foyers lenticulaires, mouchetés, pun
cellules cylindriques assez hautes, disposées sur une ou plusieurs
couches
. Dans la lumière de ces vésicules, la subs- tan
\Ime Br..., vingtans. Entrée le 26 juin 1896. Manie aiguë, suite de
couches
; loquacité exagérée, insomnie, idées rapides, so
ée sur ses bords au moyeu d'une bande de caoutchouc et garnie d'une
couche
de 1 cent. 1/2 d'épaisseur de gaze hydrophile.
tes hémorragies et inflammation des tubercules quadriju- meaux, des
couches
optiques des corps genouillés. La névrite op- t
e et de la sta. tion debout, elles cessent dès qu'il s'assied ou se
couche
. Rien à la peau ; la pression n'est pas doulour
sans qu'on puisse, comme le dit Eiehhorst, exclure l'atteinte de la
couche
optique ou du corps strié. Même remarque à l'égar
s graves, il est bien rare de voir une atrophie aussi avancée de la
couche
optique. Il n'est guère admis- sible de rattach
t expliquer que dans ces faits-là il n'y ait pas eu d'athétose ? La
couche
optique a été génératrice de l'athétose. Tel ét
conséquent, moins del'affection cor- ticale que de l'atrophie de la
couche
optique. Pathogénie. La lésion des conducteurs
- mètre et demi à 2 millimètres d'épaisseur, garnie d'une épaisse
couche
de gaze hydrophile et isolée sur ses bords au moy
e ronde, d'un centimètre de diamètre; elle ne paraît envahir que la
couche
superficielle de l'écorce. Des taches analogues
au de névroglie très dense, infiltrée et riche en vaisseaux ; cette
couche
contient aussi le canal central tapissé de gran
le cervelet. Les éléments cellulaires forment dans les méninges des
couches
plus ou moins épaisses, n'infiltrant point ou t
ARCOMATOSE DE LA MOELLE. H ! 3 croire que la névroglie qui forme la
couche
périphérique du cordon médullaire soit une barr
ériel n'est représenté que par l'endothélium vasculaire et la mince
couche
sous-endothéliale. D'ailleurs ces maladies infe
n'y a quelquefois qu'une seule pièce habitable et où tout le monde
couche
en hiver); le renvoi pour cause de mau- vais tr
du côté hémiplégique 12 fois sur 15 '. R. C. VI. STRUCTURE DE la
couche
superficielle DE l'écorce cérébrale; par BEWAN
e technique de Golgi et Ramon y Cajal. On décrivait jusqu'ici cette
couche
corticale comme formée uniquement de faisceaux
que les pro- longements des cellules pyramidales traversaient cette
couche
, mais c'est seulement par les méthodes de color
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. D'une façon générale, l'épaisseur de cette
couche
diminue sur chaque hémisphère en allant de la s
relation étroite entre les]cellules nerveuses et les éléments de la
couche
péri- phérique. La couche en question comprend
]cellules nerveuses et les éléments de la couche péri- phérique. La
couche
en question comprend : » 1° Des éléments névrog
des cellules pyramidales qui constituent les troisième etquatrième
couches
, les autres des cellules de laseconde couche. A
troisième etquatrième couches, les autres des cellules de laseconde
couche
. A mesure qu'ils s'approchent dé la périphérie, i
ites elles connexions qui existent entre les éléments de la seconde
couche
corticale avec la couche superficielle, cherche
existent entre les éléments de la seconde couche corticale avec la
couche
superficielle, cherche à établir dans des consi
ès répétés d'épilepsie; adhérences des membranes viscé- rales ci la
couche
corticale du cerveau. P.... quarante-trois ans,
dhérences généralisées des membranes viscérales entre elles et à la
couche
corticale ramollie. C..., célibataire, sans pro
out on constate des adhérences entre les membranes viscérales et la
couche
corticale qui est ramollie. La consistance de l
e long de la fente inte7'-hémisphérique, etc., sans adhérences à la
couche
corticale. F..., quarante-six ans, marié, culti
alescentes (ohs. 9, 10 et 11); il y a adhérence de la pie-mère à la
couche
corticale du cerveau dans trois cas (obs. 6, 8
oportions d'une pellicule ; à la base du cerveau il ne reste que la
couche
optique et le noyau len- ticulaire. Quant au ce
x pyramidaux et la disparition presque complète des faisceaux de la
couche
réticulaire et de la couche supplémentaire inte
on presque complète des faisceaux de la couche réticulaire et de la
couche
supplémentaire interne. Dans un cas de ce genre
peu dilaté et revêtu entièrement d'épithélium disposé en plusieurs
couches
irrégulières. Sur des coupes transversales de l
le prolongement est parallèle au vaisseau, il se con- fond avec les
couches
externes de l'advenlice et il est le plus sou-
n des cellules de la paroi vasculaire, et c'est par la formation de
couches
assez régu- lièrement concentriques que cette p
lules névrogliques répondent avec plus de vivacité que celles de la
couche
cor- ticale aux mêmes irritations. La plupart d
- sivement à travers les cellules à cônes et à bâtonnets (B) - la
couche
plexiforme externe (G), les cellulaires bipolaire
couche plexiforme externe (G), les cellulaires bipolaires (D), la
couche
plexiforme interne (E), les cellules ganglionnair
s probable l'hypothèse suivante : au niveau des noyaux gris de la
couche
optique, réflexion de l'influx nerveux vers le no
ces filets n'ont pas pu être sui- vis dans la rétine au delà de la
couche
des grains internes. - MÉCANISME ANATOMIQUE D
allons étudier le rôle pro- bable. 1 Cellules horizontales de la
couche
granuleuse interne. Ce sont de petites cellules
leuse interne. Ce sont de petites cellules situées au-dessous de la
couche
plexiforme externe et envoyant leur prolongemen
ngioblastes. Le corps de ces cellules est égale- ment situé dans la
couche
granuleuse interne (/ ? . 28). Mais leurs prolo
28). Mais leurs prolongements se dirigent du côté opposé vers la
couche
plexiforme interne, au niveau du point où les cel
rones intercalaires des noyaux gris centraux. Les noyaux gris de la
couche
optique sont des stations où passe l'impression
rajet la communication de neurone à neurone se fait au niveau de la
couche
des fibres tangentielles, où les cylindraxes ce
laire. MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTENTION. 465. \ Dans cette
couche
des fibres tangenlielles sont trois espèces de
'être tout en- tières situées avec tous leurs prolongements dans la
couche
des fibres tangentielles Elles ne peuvent que r
ue : le perfection- nement des contacts qui se fait au niveau de Ld
couche
des fibres tangentielles du cerveau. L'influx
Archives, 2e série, t. VI. 30 fit. 30. Structure schématique de la
couche
des libres tangentielles du cotte. Les flèches
la rue, toujours par l'intermédiaire des cellules de Cajal de la
couche
des fibres tangentielles. Le mécanisme de l'att
accès mélan- coliques, sans délire, dont deux pendant les suites de
couches
(accouchements normaux). Etat de dépression ave
elle allongée, un pont de varole, des tubercules quadrijumeaux, des
couches
optiques défigurées ; absence presque absolue des
artie des cordons latéraux blancs contigué à la substance grise, ou
couche
limitante de Flechsig, ne contient pas de filtres
, entre autres dégénérescences, celle de la partie antérieure de la
couche
limitante et l'intégrité de sa partie postérieure
lanche de la moelle tranche sur la substance grise plus claire ; la
couche
blanche du cerveau devient noire, la couche gri
grise plus claire ; la couche blanche du cerveau devient noire, la
couche
grise, plus claire. Déjà souvent, dans les quelqu
es ganglions sous-corticaux. Les dégénérescences constatées dans la
couche
optique et ses organes antéro-mférieurs-(couche
constatées dans la couche optique et ses organes antéro-mférieurs-(
couche
grillée) prouvent qu'en outre des fibres qui de
férieurs-(couche grillée) prouvent qu'en outre des fibres qui de la
couche
optique vont à l'écorce (Monakow) il y en a qui
en a qui prennent naissance dans l'écorce et se terminent dans la
couche
optique (IiolUher). Quelques animaux présentent
régu- lière mi-partie dans le faisceau de Gowres, mi-partie dans la
couche
limitante; la dégénérescence dépasse encore les
.) E. B. ). LXVI. DES fibres spinales centrifuges originaires DE la
couche
optique ET DES tubercules quadrijumeaux ; par W
ar W. de BECIl'l'E12E\V (uczvrolog. Ce ? ! hYf/6 ? XVI, 1897.) La
couche
optique et la paire antérieure des tubercules qua
La démonstration pour les tubercules quadrijumeaux est ancienne. La
couche
optique sert aux réflexes psychiques qui exprim
partie des fibres du ruban de Reil va à la partie postérieure de la
couche
optique, où elles s'éparpillent entre les cellu
e. Les excitations des racines postérieures arlivent donc bien à la
couche
optique et aux tubercules quadrijumeaux. Fibres
de fibres qui du tuber- cule quad1'ijll1neau antérieur en gagne la
couche
profonde et con- tribue à l'entrecroisement fon
pathétique et de l'oculo-moteur externe du coté opposé. Et de la
couche
optique à la moelle ? Quand on enlève un hémisphè
l'oculo-moteur commun, c'est-à-dire immédiatement en arrière de la
couche
optique, on produit la dégénérescence des fibre
moelle lombaire. Tel est le système de Boyce qui relève bien de la
couche
optique, car la destruction isolée de la couche
i relève bien de la couche optique, car la destruction isolée de la
couche
optique (de Bechtercw et Souko- witsch) entraîn
ace importante qui lui revient dans la pratique thé- rapeutique. La
couche
motrice des bras et des jambes renferme un , no
l et nleine, 407. Spinales. Fibres centrifuges originaires (le la
couche
optique et ries tubercules quadrijumeaux, par
an transversal et vertical passant par l'extrémité antérieure de la
couche
optique. Nous rappelons que, dans notre étude s
t remar- quer que la coupe porte sur l'extrémité antérieure de la
couche
optique, point limite pour nous entre le lobe f
u-dessus de la scissure de Sylvius, à 5 millimètres au-dessus de la
couche
corticale, juste en dehors du corps strié auque
olution du corps calleux. planche V C i, Capsule interne. C op.
Couche
optique. F S, Ligne fornicato-sylvienue. Ne,
au caudé. N 4, Noyau lenticulaire. fi. 1, Racine inférieure de la
couche
optique. S l, Septum lucidum. C. c, a, Commis
quence de l'albuminurie chez les scarla- tineux, chez les femmes en
couches
offrant des con- vulsions éclamptiques, le cour
que; autre crise deux mois plus tard. 18 octobre 188 ? . - hausse
couche
de deux mois; le cin- quième jour, trois attaqu
ix. Traité clinique et pratique des maladies puerpérales; suites de
couches
. 1870, p. 1036. ECLAMPSIE ET ÉPILEPSIE. 47 ac
lsifs paraissent avoir cessé après la délivrance; et les suites des
couches
ont été des plus simples. Il était né un enfant m
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. en outre, un début d'atrophie des
couches
de fibres des moitiés homonymes des deux rétine
tubercule bigéminé antérieur comprendrait, d'après M. Ganser, sept
couches
: REVUE D ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 79 néra
à fait en dedans, des fibres issues du faisceau cunéi- forme ; une
couche
moyenne formée des cordons latéraux céré- belle
elette optique, l'origine de l'olfactif, la partie antérieure de la
couche
optique et sa région moyenne, la partie inféro-
s l'acide osmique a conduit M. Tuczek '. A l'état normal toutes les
couches
de l'écorce sont extrêmement riches en fibres d
'écorce sont extrêmement riches en fibres de ce genre : la première
couche
con- tient surtout des fibres arcifomes qui rej
ociation : mais il existe aussi des fibres de toutes directions; la
couche
des grandes cellules pyramidales renferme des f
ipital. Passons aux particularités : les fibres d'association de la
couche
externe sont très fines et très nombreuses dans
fines et très nombreuses dans le lobe frontal et l'insula. La même
couche
est très riche en libres intermédiaires d'épais
considérable de toutes les fibres à myéline à tra- vers toutes les
couches
corticales des lobes frontaux,'y compris l'in-
u corps ? [ ? tf,' ? R ? ? 1 ? ! d -; -'i < " I z strie et de la
couche
optique. , ™ , rr S : )Tt ? G, r·r'T . î.Ja a*,
fait partie des trois premières zones mésolobaires, tandis que la
couche
optique leur est étrangère. L'aphasie n'exister
, au contraire, dans la destruction de l'extrémité antérieure de la
couche
optique, parce que, dans ce dernier cas, elle a
ier, un peu rejeté en dedans, il est séparé du foyer par une légère
couche
de substance blanche; hémiplégie gauche; membre
lièrement abondant à l'état nor- mal, c'est-à-dire dans la-première
couche
corticale, et dans la couche de cellules fusifo
- mal, c'est-à-dire dans la-première couche corticale, et dans la
couche
de cellules fusiformes située au-dessous de la ci
a couche de cellules fusiformes située au-dessous de la cinquième
couche
. · En comparant une série de douze coupes de la
amètre; elle était enveloppée d'une mince capsule, et séparée de la
couche
optique et, en partie, de la corne descendante
de la troisième circonvolution frontale gauche; ils occupaient les
couches
les plus profondes de la substance grise et la
I,']' fi'llll.l : i9+1llir; iii ,1,1 -J.IJw pour soi-même. On ne le
couche
ni mieux nt plus s 1 t -1,-n >« '] ? y ri ri
x troisième'et'cinquiÈme" eoucbes,cortieaies, tandis que les autres
couches
demeuraient assez intactes. Il faut avant tout
ème couctie de l'éçrce, et,düne9, petite p"oi-ti611de la cinquièine
couche
; les autres couches.restent' i- z en outré ûne
rce, et,düne9, petite p"oi-ti611de la cinquièine couche; les autres
couches
.restent' i- z en outré ûne réductioà géiiéi'âlé
'écorce grise contient un grand nombre de ces fibres, même dans les
couches
les plus externes. Mais ces fibres ;ne sont pas
émités et du facial de côté, a la destruction des libres qui, de la
couche
optique, gagnent le lobule occipital. Lapathog-
Fore... a été atteinte de paralysie des membres ( ? ) à la suite de
couches
. Son père est d'un caractère très violent. La mal
s,,e [Cb eii-- convolutions ainsi qu'une partie du centre ovale. La
couche
optique et le corps strié sont un peu moins vol
elle 2. Elles aboutissent aux éléments des troisième et cinquième
couches
. Deuxième expérience. La destruction, dans le f
nx à sectionner le bras antérieur entre le segment postérieur de la
couche
optique et le tubercule quadri- jumeau antérieu
par la physiologie expéri- mentale. P. K. XIII. LA FONCTION DI.S
COUCHES
OPTIQUES. RECHERCHES EXPERIMENTALES; par W. BEC
ainsi.-La destruction, chez le chien, du segment antérieur de la
couche
optique produit des troubles de la vue tout à fai
dans l'espèce par l'auteur déri- vent, non de la destruction de la
couche
optique, mais de la lésion simultanée de la sub
lité ne subissent aucune atteinte quand on limite l'altération à la
couche
optique seule. En revanche, la couche optique e
d on limite l'altération à la couche optique seule. En revanche, la
couche
optique est le lieu de concentration des voies
ux nettement caractérisé ; de plus entre la substance blanche et la
couche
corticale, on rencontre des rayures vitreuses à
tance blanche con- ligué des cornes antérieures, ainsi que toute la
couche
latérale limitrophe. La dégénérescence ascendan
nce blanche des lobes antérieur et moyen est réduite à gauche à une
couche
linéaire. Malheureusement le corps strié et la
gauche à une couche linéaire. Malheureusement le corps strié et la
couche
optique n'ont pas été étudiés au point de vue d'u
tricules, et atrophie d'un hémisphère, y compris le corps strié, la
couche
optique et laprotubérance du côté atteint. Su
se immédiate de la mort. Cerveau petit; circonvolutions normales;
couche
corticale pâle, d'épaisseur ordinaire, ne parai
tissu sain en même temps que du tissu altéré. Dans les différentes
couches
, mais seulement sur la portion de la coupe qui
disparaître à mesure qu'on passe du tissu sain au tissu malade. La
couche
dite granuleuse, située REVUE DE PATHOLOGIE MEN
lules. Mais bien que le nombre des éléments consti- tuants de cette
couche
soit très réduit, ces éléments eux-mêmes,- qui
peu altérés. Les fibres nerveuses qui succèdent ordinairement à la
couche
granuleuse sous la forme d'un petit centre blan
dire, fusionné, dans les régions malades, par une sorte d'union des
couches
adjacentes de substance grise pure. Cet état, q
quatre fois d'aibumine, on la bronze, et l'on passe finalement une
couche
de vernisdes peintres. Mais, ajoute M. Stark, il
édominance des phé- nomènes paralytiques du côté droit, ce sont les
couches
corticales gauches qui devraient réceler la lés
générescence secondaire, qui succède constamment à l'extirpation de
couches
corticales dans la zone motrice, et qui se renc
PLICATION DES PLANCHES. PLANCHE V C i, Capsnle interne. ' C op,
Couche
optique. F S, Ligne fornicato-sylvienne. Ne,
yau caudé. N 4, Noyau lenticulaire. i. l, Racine inférieure de la
couche
optique. S l, Septum lucidum. C. c, a, Commis
tion du corps calleux. C, Corps calleux. C S, Corps strié. C 0,
Couche
optique. C 11, circonvolution de l'hippocampe.
e carré L C, Coin. L 0, Lobe occipital C S, Corps strié. C 0.
Couche
optique. C H, Circonvolution de l'hyppucampe.
strié du côté, droit est notablement plus petit que le gauche. Les
couches
optiques pa- raissent à peu près d'égale dimens
des méninges, mais dans le premier il n'y a qu'une irritation des
couches
corticales sous-jacentes, dans le second il y a
r chez notre malade à une hyper- hémie active des méninges et de la
couche
corticale sous-jacente. Il y avait vraisemblabl
Marie Per..., vingt- six ans, mariée, trois enfants, pas de fausses
couches
, bonne santé habituelle d'un caractère un peu e
ramollissement cérébral occupant la zone rolundique du côté gauche (
couches
corticales motrices, couche optique, corps stri
ant la zone rolundique du côté gauche (couches corticales motrices,
couche
optique, corps strié); dégénération secondaire
contiennent pas de liquide et ne présentent aucune altération. La
couche
optique gauche et le bord antéro-interne du noyau
et à la frontale ascen- dante, laissant intact tout le reste de la
couche
corticale à partir de la pariétale ascendante,
ral a gauche ; 2° sur une portion de noyau lenticulaire et sur la
couche
optique du même hémisphère,- c'est-à-dire sur les
t sur la couche optique du même hémisphère,- c'est-à-dire sur les
couches
profondes de la zone grise : couches situées au s
isphère,- c'est-à-dire sur les couches profondes de la zone grise :
couches
situées au som- met de cette région pyramidale
her du canal circumpédoncutaire. Le trigone cérébral est intact. La
couche
optique, le noyau lenticulaire du corps strié,
ur terminaison dans les noyaux ganglionnaires delà base du cerveau (
couche
optique, corps strié); ainsi en est-il surtout
ursuivi jusque dans l'épaisseur du centre ovale, et même jusqu'à la
couche
corticale »(Charcot)2; qu'enfin la thèse de Pit
isceaux pyramidaux. Important donc est le fait de l'intégrité de la
couche
optique et de la capsule interne, car il faut e
à retirer de nos observations : 1- Que des lésions destructives des
couches
corticales de la troisième circonvolution front
Ce, corps calleux. ventricule de la cloison transparente. C 0,
Couche
optique. Anz, corne d'Ammon. SI ? , sillon de
Un frère mort en venant au monde; Un frère venu avant terme (fausse
couche
de quatre mois); Enfin, une soeur âgée de trent
bservé que le sang, après la mort, se séparait par le repos en deux
couches
, l'une inférieure rouge, formée par les globule
s facile et plus nette la séparation de ces matières grasses en une
couche
surnageant au-dessous du caillot cruo- rique, c
rance et un petit foyer nécrobiotique, probablement ancien, dans la
couche
optique gauche. En raison de l'intégrité complè
dant (fais- ceau de Vicq d'Azyr), issu du tubercule antérieur de la
couche
op- tique se dirige intérieurement d'avant en a
u faisceau de l'hémisphère qui se rend au tubercule antérieur de la
couche
optique, faisceau dont le trajet n'est pas enco
ral, le corps strié, avec le corps strié la partie antérieure de la
couche
optique, y compris son tu- bercule antérieur; m
et au-dessus du point où la commissure postérieure pénètre dans la
couche
optique) au ganglion interpédonculaire découvert
vec ou sans le corps strié, avec ou sans la partie antérieure de la
couche
optique, détermine l'atrophie des tractus du fa
trict du mot, c'est-à- dire des masses grises situées au delà de la
couche
optique, cette opinion aurait en apparence un é
emble pour constituer les lames médullaires (laminas medullares) en
couches
épaisses de tractus qui, en descendant, forment
a folie éclater, à la suite d'une émotion morale, chez une femme en
couches
, ou encore pendant le cours ou à la fin d'une m
177 7 d'une lésion dans quelque partie du cerveau, y compris les
couches
optiques. Depuis, l'important travail du D' Starr
ianopsie était due à une lésion du corps genouillé latéral ou de la
couche
optique, ou des deux ensemble. 4. Les cas où
vait été : embolie de l'artère irriguant la partie postérieure delà
couche
optique droite. Observation 29. (Huguenin). F
est physiologique. Il y a quelques altérations punctiformes dans la
couche
de pigment des deux rétines, principalement à g
ntérieur de la substance blanche. L'état de la capsule interne, des
couches
optiques, etc., reste donc inconnu, par le fait
ns du corps genouillé latéral ou des parties postéro-latérales delà
couche
optique peuvent causer l'hémia- nopsie, en géné
r une même feuille de papier, par des applications successives de
couches
d'encre de Chine. Les couches se superposant ains
, par des applications successives de couches d'encre de Chine. Les
couches
se superposant ainsi les unes sur les autres, j
sité de coloration due à la superposition du plus grand nombre de
couches
, correspondait au coin et à la portion voisine de
et Wernicke, dans son trajet depuis la face postéro latérale delà
couche
optique, passant au dehors, dans la capsule inter
st probablement due à la lésion de la partie postéro-latérale de la
couche
optique ou du faisceau postérieur de division d
sceau cunéiforme. 11 prend une part importante à la formation de la
couche
olivaire intermédiaire du côté opposé sans qu'i
fibres arciformes du faisceau grêle et leurs prolongements dans la
couche
intermédiaire des olives s'atrophient, et après l
t impossible de dire pourquoi l'on ne perçoit plus d'atrophie de la
couche
intermédiaire des olives dès qu'on a dépassé le c
s portions antérieures et latérales du corps genouillé externe, des
couches
supérieures du tubercule bijumeau antérieur, la
qui ne se voyait pas chez le lapin, les cellules ner- veuses de la
couche
grise superficielle qui commandent à l'atrophie.
orde, siffle, est moins impression- nable, n'a plus peur la nuit et
couche
seul. Il peut maintenir les mains- appuyées sur
nombreux retraits. La coupe décèle une expansion considérable de la
couche
corticale externe; il en part des orga- nites n
erstner rattache le point de départ et le terrain du processus à la
couche
externe; c'est d'elle (émigration de leucocytes
sion exclusivement limitée aux parties superficielles de la seconde
couche
: intégrité complète des troisièmes et qua- tri
a seconde couche : intégrité complète des troisièmes et qua- trième
couches
dans lesquelles on ne trouve aucune trace d'hype-
es altérations vasculaires se présentent en bien des points dans la
couche
externe. On distinguera cette maladie de la scl
ne fixe pas uniformément ni complètement les fibres dans toutes les
couches
de l'écorce indistinctement ; sur bien des prép
u manquer presque abso- lument la coloration des fibres fines de la
couche
des petites cel- lules nerveuses. H n'est d'ail
ernier a vu disparaitre non-seulement les fibres pa- rallèles de la
couche
la plus externe (fibres tangentielles de Tuc- z
ngentielles de Tuc- zek, zonales de Zacher), mais encore celles des
couches
successives y compris les couches profondes. Si
e Zacher), mais encore celles des couches successives y compris les
couches
profondes. Si Zacher prétend que ce sont des fi
s couches profondes. Si Zacher prétend que ce sont des fibres de la
couche
n" Il qui font le plus défaut=, cela tient à l'
titude toute particulière, fort complète, les fibres de chacune des
couches
de l'écorce; sans doute, elle ne représente pas
scendante qui est entrecroisée; très mince, elle se dirige dans les
couches
les plus postérieures et les plus supérieures d
hérie vers le centre de la gaîne de myéline, alté- rant d'abord les
couches
externes, avant d'atteindre les parties profond
périphérie du cylindre de myéline est seule atteinte (fig. 1). Les
couches
les plus excentriques, celles qui sont immédiat
n de l'activité plus ou moins grande du processus qui a détruit les
couches
excentriques. A un degré plus avancé, le cylind
a moelle épinière et sont transmis, selon les lois de Pflûger, de
couche
en couche; ceux du deuxième ordre s'étendent mo
épinière et sont transmis, selon les lois de Pflûger, de couche en
couche
; ceux du deuxième ordre s'étendent moins de cet
ue une tumeur de la grosseur d'une noix et recouverte par une mince
couche
de substance cérébrale. Cette tumeur forme l'un
Schôoder van *der Kolk l'hypo- thèse d'une excitation constante des
couches
corticales du cer- veau (du lobe occipital surt
, corps calleux. VSI, ventricule de la cloison transparente. C 0,
Couche
optique. A m, corne (I'Aininoii SR, sillon de
jusqu'à la paroi interne de la corne postérieure. Les fibres de la
couche
sagittale, qui entourent la paroi externe de
e postérieure près de la lésion. Dans la partie intermédiaire de la
couche
sagittale, les fibres sont atrophiées. Le ram
La partie blanche indique le siège de la sclérose.) 4 JOUKOWSKY
couche
de la substance nerveuse de la paroi interne de l
veuse de la paroi interne de la corne postérieure. Une partie de la
couche
sagittale et des fibres du tapetum, qui se trouve
de la corne postérieure, sont sclérosés. Dans l'autre partie de la
couche
sagittale interne les fibres sont atrophiées.
ns sa partie interne : la corne d'Ammon est aussi détruite. Dans la
couche
des radiations de Gratiolet,qui entoure la paro
te par le ramol- lissement, de même que la corne d'Ammon. Dans la
couche
des radiations de Gratiolet on remarque une petit
uleux. A l'entour de cette lésion, ainsi que dans le reste de cette
couche
, on voit la sclérose des libres. Cette scléro
interne ré- trolenticulaire et sur la partie inféro-postérieure des
couches
systiques (Fig. 4). Fig. 3 et 4. - Cas I. - P,
Fus, fusiforme. - L, linguale. - K, calcarine, - T, temporale. Th,
couche
optique. (La partie en blanc indique le siège d
uve vis-à-vis l'insula de Reil. Dans la capsule interne et dans les
couches
optiques on ne voit aucune lésion. Sur les coup
interne rétro- lenticulaire et de la partie inféro-postérieure des
couches
optiques. Cette sclérose ne présentait pas la d
ent détruite par le ramollissement ; il reste seulement une mince
couche
de l'écorce cérébrale, qui limite l'endroit du
mc uu 'il uutiic puoLCifcutc uc fctuucnc Il se sépare par une mince
couche
de substance nerveuse. L'écorce du coin, u se s
de substance nerveuse. L'écorce du coin, u se sépare par une mince
couche
de substance nerveuse. L'écorce du coin, qui bo
ssement ; le foyer de la destruction ne se sépare que par une mince
couche
de la substance nerveuse de la corne postérieure.
tie interne et inférieure de ce lobe, il ne reste qu'une très mince
couche
de l'é- corce cérébrale, qui limite la lésion.
volution limbique et du lobe lingual est con- servée avec une mince
couche
de substance blanche. Dans le lobe fusiforme re
he de substance blanche. Dans le lobe fusiforme reste seulement une
couche
très mince de l'écorce cérébrale. Le foyer du
e de la corne pos- térieure, de laquelle il se sépare par une mince
couche
de la substance ner- veuse. La partie interne
rale. Le foyer du ramol- lissement ne se sépare que par une mince
couche
de la substance nerveuse de la corne postérieur
outre on voit un ramollisse- ment dans la région des fibres de la
couche
sagittale, qui passe près de la paroi externe d
près de la paroi externe de la corne postérieure. La partie de la
couche
sagittale, qui se trouve dans la paroi inférieu
ituées plus en avant, qui passent par la partie posté- rieure des
couches
optiques, on voit de nombreuses lacunes dans la
ans la région de la capsule interne rétro-lenticulaire et dans la
couche
des radiations de Gratiolet. Autour de ces lacu
sceau longitudinal inférieur, ainsi que la sclérose du pulvinar des
couches
optiques. En outre, on remarque que la partie
externe de la corne postérieure et déterminait l'interruption de la
couche
des radiations deGratiolet et des fibresdu fais
xterne. Cette lésion était accompagnée de sclérose des fibres de la
couche
sagittale, du pulvinar et de la partie postérieur
re droit, tant dans le putamen qu'au niveau du noyau caudé et de la
couche
optique. Il en existe trois dans la protubéranc
erge qui soit toujours auprès du vieux Monarque, qui le chérisse et
couche
dans son sein pour qu'il puisse acquérir de la
se sont rapprochées et contiennent entre elles le commencement de la
couche
des fibres sensitives. Grâce à ce rapprochement
plus en avant, apparaît une partie triangulaire, correspondant à la
couche
des fibres sensitives. Sur le plancher du 4° vent
arents. Il n'a jamais entendu dire que sa mère ait fait des fausses
couches
. Souvent on a interrogé celle-ci pour savoir si e
nous avons observé un semis extrêmement riche, dans les différentes
couches
de l'écorce, d'éléments cellulaires ronds, pren
tte variété de cancroïdes sous-dermiques qui se développent dans la
couche
sous-épithélialè en soulevant l'épilhélinm sus-
ses arrondies, quelquefois sans structure, d'autres fois formées de
couches
stratifiées concentriquement emboîtées. Virch
crétions. Ils augmentent ultérieurement par les dépôts de nouvelles
couches
molles, et par la juxtaposition et la conglomérat
la conglomération, sous une enveloppe commune, de plusieurs de ces
couches
. On ne trouve nulle part de noyaux cellulaires,
lle se montre Soit à la surface de la dure-mère, soit sous forme de
couches
concentriques, (1) Rokitansky, Anatomie patholo
ut d'enfaut qu'il y a 3 mois ; peut-être eut-elle plusieurs fausses
couches
. L'accouchement fut difficile, nécessita l'em-
coordination du rire et du pleurer spasmo- dique est situé dans la
couche
optique, les neuro-diélectriques qui déter- min
e perte de sang abondante qu'elle avait considérée comme une fausse
couche
. Son mari mourut de phtisie galopante à 29 ans, s
e eu ar- rière. Dans sa partie dorsale il est couvert d'une épaisse
couche
de fibres myé- liniques qui forment les cordons
opposé ils sont colorés uniformément. Les cordons latéraux ont une
couche
de fibres myéliniques seulement aux bords . P
eau pyramidal. Les cordons latéraux sont couverts sur le bord d'une
couche
très fine de fibres myéliniques, qui diminue en é
nes latérales se montrent les olives et entre elles est disposée la
couche
interoli- vaire. ' Là où les olives inférieur
rs. En avant d'eux nous trouvons les pyramides et derrière elles la
couche
du ruban de Reil. Comparant ce cas avec le pr
ue la parlie antérieure reste sans changement jusqu'au moment où la
couche
inter-olivaire paraîtra. Les cordonspostérieurs s
itié antérieure reste sans changements jusqu'à l'ap- parition de la
couche
des fibres sensitives, qui portent des noyaux des
entaux des cordons antérieurs sont reculés, entre eux est placée la
couche
du ruban de Reil. Des deux côtés des faisceaux fo
sthme, se lissent ; ceci se produit au niveau de la formation de la
couche
du ruban de Reil (Phot. 40). Cas V. Ici nou
e la moelle. En avant les pyramides, en arrière d'elles de suite la
couche
du ruban de Reil. Les fibres ponta-cérébelleuse
apparaît entre les faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs la
couche
du ruban de Reil.L'apparitiondecesfibres sensit
, que 1V... ne peut définir autrement. Elle n'a pas fait de fausses
couches
; W... est venu au monde sans incidents après un
déniable intérêt, parce qu'elle témoigne d'une réaction diffuse des
couches
corticales à des influences in- flammatoires ou
ques et quelques plaques de tissus osseux. En dedans de ces diverses
couches
, la masse de la tumeur est formée par deux espè
issie sur toutes les circonvolutions, elle est constituée par trois
couches
; l'une, mince et dense, renferme des fibres à di
ourés par un manchon de cellules rondes. Circonvolutions.- Dans les
couches
superficielles de l'écorce grise, le réseau de
elles sont peut-être raréfiées. Les cellules nerveuses des diverses
couches
sont normales comme nombre, comme volume et com
n très marquée dans la substance grise atteint son maximum dans les
couches
,de cellules moyennes. Dans les couches superfici
tteint son maximum dans les couches ,de cellules moyennes. Dans les
couches
superficielles les vaisseaux sont peut-être moi
ons inférieures de la moelle, ses parois sont revêtues de plusieurs
couches
des cellules rondes. Dans ses par- ties supérie
parues. Cette disparition des fibres est surtout prononcée dans les
couches
superficielles et moyennes de la protubérance. Ce
épendyme du plancher du Il ventricule et de l'aqueduc on trouve une
couche
épaisse formée par les fibres névrogliques. Dans
lus larges et plus profonds. On voit une zone non colorée entre les
couches
granuleuse et moléculaire. Les méninges sont ép
ès larges. Dans l'écorce, existence d'une zone non colorée entre la
couche
granuleuse et la couche moléculaire. Réduction de
, existence d'une zone non colorée entre la couche granuleuse et la
couche
moléculaire. Réduction de volume de la substanc
ses. Les cellules du noyau dentelé étaient en partie ratatinées. La
couche
de substance blanche entourant le corps dentelé
tance blanche entourant le corps dentelé était pauvre en fibres. La
couche
gra- nuleuse de l'écorce étaitétroite etpauvre
a- nuleuse de l'écorce étaitétroite etpauvre en corps granuleux, la
couche
mo- léculaire étroite, le nombre des cellules d
ies, l'espace sous-méningé est large- ment distendu par une épaisse
couche
d'éléments embryonnaires. Ces mêmes éléments fo
bord interne est mousse dans sa partie supérieure. A ce niveau des
couches
d'os néoformé le recouvrent, au niveau des insert
es 2/3 supérieurs', l'ombre opaque du bord externe correspond à une
couche
compacte épaisse de plus de 15 millimètres, tandi
intéressant toute l'épaisseur de la diaphyse. Il ne se fait pas de
couches
super- UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 423
enfants, tous bien portants, qu'elle a nour- ris, et quatre fausses
couches
Elle n'a connu personne dans sa famille avec sem-
toujours été bonne. Réglée à 15 ans, mariée à 23 ans, elle a eu une
couche
à terme. L'enfant qu'elle a nourri 6 mois, est un
a cuisse, vers le tiers supérieur. Cependant, dès qu'on atteint les
couches
musculaires profondes, la malade accuse une réa
crurale. L'aînée est âgée de 18 ans. Il y a eu en outre une fausse
couche
de six semaines. Sans accidents particuliers, l
ondant aux vertèbres malades, était en-veloppée à l'extérieur par une
couche
épaisse de puscaséeux, laquelle se prolongeait ju
y montrent accumulés en grand nombre. A une période plus avancée, une
couche
plus ou moins épaisse de tissu fibreux se trouv
de beaucoup plus étendu qu'à droite dans toutes les directions. — Les
couches
optiques et les corps striés sont parfaitement in
fiées, d'une coloration rouge brun; elle était recouverte d'une mince
couche
purulente. Au-dessous de la plaie, le cordon la-t
taines altérations de l'encéphale, celles surtout qui portent sur les
couches
optiques, les corps striés, et en par-ticulier le
éri-tables ecchymoses, consécutivement à l'irritation traumatique des
couches
optiques, des corps striés, de la protubérance, d
la moelle épinière. — Tubes nerveux. — Névroglie : sa distribution. —
Couche
cor-ticale du réticulum. — Caractère de la névrog
leux (Pl. VII) et enfin dans certaines régions de la substance grise (
Couches
optiques, corps striés. Pl. IV et VII, Fig. 1 et
ite avec soin par Bidder etparFrommann, quiladésignent sous le nom de
couche
corticale du réticulum (Rindenschicht) ; nous ver
que, un intérêt incontestable (1). Du bord interne de cette zone ou
couche
corticale, on voit naître et se détacher, de dist
(Ch. Robin) (1) ou de noyaux de la névroglie (Virchow) (2). Une mince
couche
de protoplasma, sans apparence cellulaire distinc
t pas distincte, les noyaux, nus ou recouverts seule-ment d'une mince
couche
de protoplasma, apparaissent comme des centres d'
ties des faisceaux blancs où n'existent pas de tubes nerveux, dans la
couche
cor-ticale (Rindenschicht),parexemple et dans les
e et, déplus, la tunique adven-tice se trouve remplacée par plusieurs
couches
de fibrilles en tout semblables à celles qui se s
l en est de même du corps de cellule qui, en outre, semble composé de
couches
concentriques. Enfin, une atrophie, capable d'ame
er-curielle,dans la méningite chronique cervicale avec sclérose de la
couche
corticale de la moelle, dans la sclérose primitiv
à droite, disséminée à gauche. Le cerveau et le cervelet, dans leurs
couches
corticales, sont le siège d'une double dégérescen
céphaliques capables de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la
couche
optique : théorie anglaise et théorie française.
ément la motilité—en particulier quand elles occupent la région de la
couche
optique et du corps strié—restent à peuprès sans
qu'il s'agisse de lésions intéressant spécialement le corps strié, la
couche
optique, ou encore l'avant-mur. Tout d'abord, l
oujours, lorsque l'hémianesthésie se présente avec ces caractères, la
couche
optique est lésée d'une manière-sinon exclusive d
* Faut-il, Messieurs, induire de ce qui précède que la lésion de la
couche
optique est la véritable cause organique de l'hém
les premiers, je crois, émise et soutenue. D'après cette théorie, la
couche
op-tique serait le centre de perception des impre
veau proprement dit, puisqu'un animal auquel le cerveau, y compris la
couche
optique et le corps strié, a été enlevé, continue
ns le domaine pathologique, les faits bien avérés où une lésion de la
couche
optique coïncide avec la diminution ou l'abolitio
lissement, ou bien encore de tumeurs, lésions par suite desquelles la
couche
optique se trouve distendue à l'ex-trême et qui p
ple. Il est bien établi, d'un autre côté, que, dans nombre de cas, la
couche
optique peut être lésée, même profondément et dan
n me paraît forcée, du moment surtout où l'on pose en principe que la
couche
op-tique doit être considérée comme un centre; ca
te masse de substance grise ; — au-dessous de lui, et en dedans, la
couche
optique, offrant ici un grand développement ; — e
ouche optique, offrant ici un grand développement ; — en dehors de la
couche
optique, la capsule interne, formée princi-paleme
férieur du pédoncule Fig. 18. — Coupe transversale du cerveau. — a,
couche
optique: — b, corps strié, noyau lenticulaire: —
ions avaient envahi à la fois la partie supérieure et externe de la
couche
optique, le troisième noyau de la partie extra-ve
té de même dans le fait observé parM. Luys(2): le centre médian de la
couche
optique étaitlésé, mais l'altération avait envahi
personne n'est en droit de dire si c'est, dans la région indiquée, la
couche
optique qui doit être incriminée plutôt que la ca
lacune siège à deux lignes en arrière de l'extrémité antérieure de la
couche
optique. A deux ou trois lignes plus loin, on voi
coupe optique, de telle sorte que, comme la longeur habituelle de la
couche
optique est de 18 lignes, la portion de la couron
d'une sorte de con- tleuxlignes en arrière du bord antérieur de la
couche
optique et finit a quatre li-gnes environ de l'ex
ue et finit a quatre li-gnes environ de l'extrémité postérieure de la
couche
optique. Dans son long trajet d'un pouce,il occup
toute la couronne radiée était sé-parée delà capsule interne et delà
couche
optique. — Moelle épinière : amas de corps granul
rgeur et 8 de longeur, située à la partie supérieure et externe de la
couche
optique droite. La cicatrice commence à quatre li
le commence à deux lignes en arrière de l'extrémité an-térieure de la
couche
optique et se termine à peu près trois lignes en
mine à peu près trois lignes en avant de l'extrémité postérieure delà
couche
optique (Fig. 18, 2') ; Il y avait, en outre, une
de la grosseur d'une tête d'épingle dans la partie anté-rieure de la
couche
optique droite ; deux dans le pont de Varole ; en
le à celle d'un floiùn, jaunes, ramollies et dé-primées (Fig. 18, 3).
Couche
optique, saine. Peut-être un petit fragment de la
ue ancien, pigmenté de brun, situé le long de la partie externe de la
couche
optique gauche et tout près de la queue du corps
. Il commence à six lignes en arrière de l'extrémité antérieure de la
couche
optique et s'étend jusqu'à deux ou trois lignes e
usqu'à deux ou trois lignes en avant de l'extrémité postérieure de la
couche
optique. En avant, il est à une demi-ligne et en
n arrière à deux ou trois lignes au-dessus de la face supérieurede la
couche
optique qui est considé- d'une tumeur; dans tou
ecueillis dans les auteurs, elle occupait la région postérieure de la
couche
optique et les parties adjacentes de l'hémisphère
droit. En résumé, les foyers siègeaienL à la périphérie externe des
couches
optiques, s'étendaient d'avant en arrière suivant
tudinal du cerveau sans atteindre le plus souvent les extrémités delà
couche
optique. Ils avaient de huit lignes à un pouce de
s. Les régions lésées étaient : la partie supérieure et extrême de la
couche
optique : la 3e partie du nucléole lenticulaire ;
laire ; la partie postérieure de la capsule interne comprise entre la
couche
optique et le noyau lenticulaire: la portion corr
de la substance blanche de l'hémisphère dans la partie externe de la
couche
optique étaient constamment lésées. 1. Voyez, d
ans. Mariée à 28 ans, elle a eu cinq enfants. Ses grossesses et ses
couches
, en général, ont été bonnes. De ses cinq enfants,
e grandes plaques grises, dures, qui empiètent sur le corps strié, la
couche
optique, le corps calleux. Les coupes faites au n
a., a, a,____Plaques de sclérose occupant le corps calleux, CC : — la
couche
optique, CO, la circonvolution de l'hippocampe,
moelle épinière. — Tubes nerveux. — Névroglie : sa distribution. —
Couche
cor-ticale du réticulum. — Caractères de la névro
éphaliques, capables de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la
couche
optique : théorie anglaise et théorie française.
de Mnyor, d'Oyon, de Ley- den. 1C A. JOFFROY . cérébral, de la
couche
optique, du lobe occipital et de la plus grande p
ètre et six dans le sens du plus grand. Elle était recouverte d'une
couche
de cortex épaisse d'un millimètre. - L'examen m
siste en ce que celle-ci et celle-là ne correspondent pas à la même
couche
de l'écorce » (1). Suivant Lino, la sensibili
es plus superficielles, la sensibilité musculaire les cellules des'
couches
moyennes, et la motilité les grandes cellules p
de la scissure calcarine, de là des neurones centrifuges vont à la
couche
optique correspondante puis aux masses grises i
rne, la partie moyenne et interne du faisceau de Burdach, enfin une
couche
de fibres limitant la périphérie de la moelle,
s les dernières phases de celle maladie on observe l'atrophie de la
couche
papillaire de la peau. Plusieurs dermatologisle
ur la paume de la main présente sur ses parties pé- riphériques une
couche
abondante de masses cornées, tandis que leurs r
spect et la consistance du fibrome; sa surface est couverte par une
couche
musculaire plus ou moins épaisse suivant que le
ouve : 1° Au centre un noyau osseux ; 2° Plus en dehors se voit une
couche
plus ou moins épaisse de tissu fibreux dense, q
ulaire normal se montre avec tousses attributs. Pour Munchmeyer, la
couche
de tissu conjonctif qui avoisine ce noyau se tr
arcs de la colonne vertébrale, par exem- ple, sont réunis par deux
couches
de tissu compact qui recouvrent leurs surfaces
re faites pour la succion ? Tout son corps dodu est enveloppé d'une
couche
graisseuse qui masque les reliefs des muscles e
urvues à leurs extrémités d'une épiphyse, c'est-à-dire, d'une mince
couche
de cartilage hyalin, gar- nie d'une zone d'ossi
nt les nouvelles localisations du mal, l'infiltration séreuse de la
couche
sous-cutanée, qui s'étend même à la périphérie de
stilefï.) B. - Cas I. Encéphale vu de face, réduit au cervelet, aux
couches
optiques et a une faible portion des hémi- sphè
il. (Ph. l3crcstmtF.) D. Ou Il. Encéphale réduit au cervelet et aux
couches
optiques avec plexus vasculaires. (Ph. Wlaciewsky
reste des hémisphères, et sur la base inférieure se trouvaient deux
couches
de la grosseur d'un oeuf de pigeon, la couche gau
e se trouvaient deux couches de la grosseur d'un oeuf de pigeon, la
couche
gauche plus saillante que la couche droite. (Pl
rosseur d'un oeuf de pigeon, la couche gauche plus saillante que la
couche
droite. (Pl. XXIII, B.) Dans l'enfoncement, entre
que la couche droite. (Pl. XXIII, B.) Dans l'enfoncement, entre les
couches
optiques se trouvait un plexus choroïdien. Derriè
a 4 centimètres de longueur et est situé directement der- rière les
couches
optiques; du côté droit il est moins grand, sa lo
res et large de 4 centimètres. (Pl. XX)1J, D.) Il consistait en une
couche
de la grandeur d'une noisette, située près de l
d'une noisette, située près de l'extrémité ventrale. Derrière cette
couche
se trouvait un reste de subs- tance cérébrale,
avec la tente du cervelet. Au-dessous du cervelet se trouvent deux
couches
: la longueur de la couche droite est de li. cent
Au-dessous du cervelet se trouvent deux couches : la longueur de la
couche
droite est de li. centimètres et de la gauche d
droite est de li. centimètres et de la gauche de 3 centimètres. La
couche
droite a la forme d'un fer à cheval, l, sa part
s qua- drijumeaux défigurés, il est vrai, dans les trois cas et les
couches
optiques également défigurées. Il n'est presque
Cnc 1 Coupe faite au niveau du cerveau rudimentaire. 3me ventricule.
Couches
optiques défigurées ; capsule interne. (Ph. Sal
degré, la qualité et la durée delà douleur. Enfin l'épaisseur de la
couche
indolore et son rapport avec la profondeur de l
re. La mère a eu trois grossesses : . Première grossesse : fausse
couche
. Deuxième grossesse : fausse couche, à la suite
. Première grossesse : fausse couche. Deuxième grossesse : fausse
couche
, à la suite de laquelle phlegmon et sal- pingo-
ues-unes seulement sont à l'état d'ébauche. Cerveau lisse. Seuls, les
couches
optiques et les corps striés présentent un cert
erminées de la façon suivante : les trois premières par des fausses
couches
et la dernière par la naissance d'un enfant hydro
l Tenon. Antécédents héréditaires. - Sa mère est morte de suites de
couches
. Son père de maladie inconnue. Sur 9 enfants qu
dense, d'une couleur plus claire et le scalpel traverse d'abord une
couche
dense, puis pénètre avec une grande facilité. A
ption du muscle homo-hyoïdien dont les contrac- tions persistent.
Couche
profonde de la fesse droite ossifiée de façon à i
t par une lamelle épaisse, très compacte, et intérieurement par une
couche
de tissu osseux friable et cassant. Friabilité se
éunion des vertèbres n'en est pas moins solidement réalisée par des
couches
de tractus osseux qui, très nettement, sont le ré
a surtout consisté dans une transformation osseuse des différentes
couches
fibreuses péri-vertébrales ; les articulations de
qué sur un fragment cunéiforme de la lèvre supérieure. Les diverses
couches
de l'épiderme et du derme sont nor- males comme
rtie du cerveau attenante à ces derniers est déviée sur le côté; la
couche
optique, recouverte du plexus choroïdien, et le
ux, atrophie de l'écorce du corps calleux et du septum lucidum. Les
couches
optiques apparaissent très net- tement. 370 N
iane qu'on aperçoit un restant de substance cérébrale, formant deux
couches
et ressemblant à des oeufs de pigeon ; elles sont
n aspect exté- rieur. Lorsqu'on enleva le cerveau, on trouva deux
couches
, desquelles par- tait une membrane très fine; o
transparente (reste du cerveau). Dans la fosse médiane on voit les
couches
optiques ; dans la fosse postérieure, un reste de
ent. Sur la base crânienne (la voûte étant retirée) on observe deux
couches
, derrière lesquelles on voit la face du cerveau
cumulé déjà par-dessus la membrane, refoule cette dernière vers les
couches
optiques; ceci peul encore provenir de ce fait,
t la membrane vers le bas; elle se fusionne alors avec le reste des
couches
optiques. Et quand on enlève le cerveau on ne t
iane que l'on découvre un reste de cerveau ayant l'as- pect de deux
couches
, recouverles de grosses membranes fibreuses d'où
voit la preuve dans ces faisceaux fibreux épais qui recouvrent les
couches
optiques. En somme, dans les cas où l'écorce cé
tL,l)), on distingue le bulbe, le pont de Varole, et plus loin les
couches
optiques défigurées. Au-dessus se trouve le cer
défigurées. Au-dessus se trouve le cervelet tout à fait normal. Des
couches
optiques part un fais- ceau du tissu conjonctif
l. Coupe au niveau des olives. Absence de pyramides. Diminution de la
couche
interolivaire. S. Cas 1. Même coupe, un peu plu
aire. S. Cas 1. Même coupe, un peu plus haut. Absence de pyramides.
Couche
interolivaire normale. MASSON & cie, Editeu
totalement (PI. XLIII, R). (La coupe appar- tient au cas II, où les
couches
optiques manquaient presque tout à fait. L'enfa
rien d'anormal à ce niveau (PI. XLIII, S). (La coupe du cas où les
couches
opti- ques sont bien développées. L'enfant étai
ans le cas Il, chez l'enfant qui a vécu 4 jours, et chez lequel les
couches
optiques étaient très peu développées, outre qu
faisceaux accessoires disséminés, le ruban de Reil principal et la
couche
inter- olivaire étaient mal développés, comme n
l'avons vu plus haut. Chez lenfant qui a vécu 2 ans et chez qui les
couches
optiques étaient plus dé- veloppées (Cas I), le
mais les faisceaux disséminés manquaient; le faisceau interne de la
couche
du ruban de Reil, manquait aussi totalement (l'
nt (PI. XLV, X). Enfin, en examinant les coupes qui passent par les
couches
qui sont v isi- bles dans la cavité crânienne,
voit le troisième ventricule dont la paroi externe est formée de la
couche
optique : en outre on distingue la lamina medul
e : en outre on distingue la lamina medullaris medialis divisant la
couche
optique en deux noyaux : le noyau médian et le
ténia du : 3e ventricule ; sur cette pièce le noyau antérieur de la
couche
optique est mal développé, la capsule interne ne
le noyau lenticu- laire, le corps sous-thalamique, les fibres de la
couche
optique qui vont vers le corps lenticulaire son
aux disséminés et accessoires, du faisceau interne accessoire de la
couche
du ruban de Keil. U. Coupe faite un peu plus ha
nce du 30 ventricule ; mêmes constatations. Y. Coupe passant par la
couche
optique. Absence des voies pyramidales et protubé
u développé, ouplus exactement, l'absence du faisceau interne de la
couche
du ruban de Reil et de ses faisceaux acces- soi
ans était bien développé, et chez celui qui n'avait presque pas de
couches
optiques, le ruban de Reil était très peu dével
t très peu développé) ; GO développement incomplet des noyaux de la
couche
optique; 7° le pulvinar et le corps genouillé m
t de Varole au cerveau) et l'absence des faisceaux disséminés de la
couche
du ruban de Reil et des faisceaux internes access
rieurs et latéraux, ils étaient, il la périphérie, enveloppés d'une
couche
très fine des fibres myéliniques. Plus haut, dans
idales et ruban de Reil). Les olives manquent aussi, de même que la
couche
inter-olivaire, le nerf trijumeau, les voies céré
hypoglosse et pneumo-gastrique. L'absence des pyra- mides et de la
couche
du ruban de Reil s'explique par l'absence presque
ystème temporal du pont de Varole, des faisceaux dissémi- nés de la
couche
du ruhan de Reil et des faisceaux internes access
étaient pourvus à leur extrémité d'une épiphyse, c'est-à-dire d'une
couche
mince de cartilage hyalin. Cette couche présent
épiphyse, c'est-à-dire d'une couche mince de cartilage hyalin. Cette
couche
présentait une zone d'ossification et était con
ternelle de la mère, épileptique. Sur dix grossesses, trois fausses
couches
, cinq enfants bien portants et nos deux malades
les deux époux. (Père plus âgé.) .. Sept enfants et trois fausses
couches
: 1° Une fausse couche à deux mois, sans cause
us âgé.) .. Sept enfants et trois fausses couches : 1° Une fausse
couche
à deux mois, sans cause connue; - 2° Hene; 3° f
s; - 7° un garçon, intelligent, pas de convulsions; 8° une fausse
couche
; 9° une fausse couche; 10- garçon, se porte bie
ntelligent, pas de convulsions; 8° une fausse couche; 9° une fausse
couche
; 10- garçon, se porte bien, pas de convulsions.
ien portante jusqu'au mariage, moins bien depuis, fatiguée par sept
couches
. Elle est assez grande, cheveux châtains, nez a
mais est turbulent, plutôt désobéissant et entêté; 4° une fausse
couche
de six semaines avec pertes abondantes; 5° une
ans très intelligent, n'a jamais eu de convulsions ; 7° une fausse
couche
de 4 mois 1/2. Notre malade. A la conception qu
n seau plein d'eau ; 80 fille, 5 ans, n'a jamais rien eu; 9° fausse
couche
au 3e mois. Notre malade. - Au moment de la con
nfants : 1er Garçon, mort de convulsions à 5 semaines ; - 2° fausse
couche
à 6 mois 1/2, survenue un mois après une scarla
mois (mars 1901) bien venue, pas de convulsions. - Jamais de fausse
couche
. Notre malade. Au moment de la conception, la m
s non transparentes paraissent être formées par la pie- mère et une
couche
de tissu cellulaire; elles ont une coloration l
té par une masse scléreuse, qui, à la pression, n'est qu'une petite
couche
de substance corticale. Les deux hémisphères so
our des vaisseaux émanés de la pie-mère qu'au voisinage de ceux des
couches
inférieures de la substance grise, mécanisme qu
; abon- dantes en certains points, presque absentes ailleurs, leurs
couches
sont tassées et disposées très irrégulièrement.
iation de l'écorce ont presque totalement dis- paru. Les diverses
couches
cellulaires ne sont plus reconnais- sablés, leu
les araignées il. protoplasma granuleux. , ? '" ' u, : Les diverses
couches
cellulaires ne sont pas reconnaisse- : blés, le
e de la névroglie ; leurs bords ne tardent pas à s'envelopper d'une
couche
de libres denses qui forme il la perte de subst
e presque plus. La plus grosse lésion s'observe dans les diverses
couches
de libres tangentielles ; il n'y a, pour ainsi di
mbre des éléments. Il est impossible de diffé- rencier les diverses
couches
; les cellules sont toutes de dimensions sensib
s possédant des fibres névrotiques, à noyaux allongés, disposées en
couches
parallèles. Si l'on examine à un faible gross
ritables angiomes, des blocs déchiquetés de substance nerveuse. Les
couches
les plus externes de l'écorce sont moins altéré
ques épithéliales sont nombreuses, souvent disposées en plusieurs
couches
; on aperçoit au dessus de la paroi et dans son ép
lles. Ces dernières apparaissent généralement formées par plusieurs
couches
d'aspect et de structure très différentes. La c
par plusieurs couches d'aspect et de structure très différentes. La
couche
la plus externe est surtout constituée par une
e au sur et à mesure que l'on s'approchede l'écorce, si bien que la
couche
la plus interne des méninges contient surtout d
s. Les grosses lésions destructives se limitent généralement à la
couche
sous-pie-iW riennect aux deux autres couches de
itent généralement à la couche sous-pie-iW riennect aux deux autres
couches
de l'écorce. Néanmoins, dans toute la substance
nts surtout dans la région correspondant aux Histologie. 1. in. 1
couches
inférieures de la substance grise. A ce niveau, l
étudié, il existait une méningite chronique, avec destruction de la
couche
sous-piemérienne, comme dans les méningo-en- cé
ement malgré la minceur de la pie-mère. Le ventricule latéral, la
couche
optique, le corps strié, la corne d'Ammon n'offre
us scléreux, les vais- seaux ne sont pas augmentés de nombre. Les
couches
des fibres tangentielles superficielles et pro-
ère maternelle morte à 42 ans d'une péritonite à la suite de sa 14°
couche
. Cousine au deu- xième degré, cauchemars à 14 a
eux hémisphères ouverts, la substance cérébrale réduite à une mince
couche
, les ventricules latéraux très dilatés et les m
? p. 107.) Pie-mère de l'hémisphère droit. Elle est doublée de la
couche
de substance grise et montre le moule de toutes
la comparaison avec les vertébrés, le ganglion céphalique devient la
couche
optique, ou l'un des tubercules quadrijumeaux.
endré, dans une boîte vitrée dont le fond était couvert d'une épaisse
couche
de terre , et il versa un peu de miel dans un coi
3° Ganglions optiques. Haller, Vicq-d'Azyr, M. Cams, les ont appelés
couches
optiques; Camper, hémisphères cérébraux; Scarpa,
issent dans cet endroit, et se recourbent pour monter ensuite dans la
couche
optique où ils se divisent en plusieurs filamens,
l; l'analogue du ganglion de renforcement, c'est le corps strié et la
couche
optique ; l'analogue de la commissure, c'est le c
commissures antérieure, postérieure et inférieure, le corps strié, la
couche
optique, Yinfundibulum, l'aqueduc de Syl-vius, la
en d'une commissure analogue pour l'aspect, à la commissure molle des
couches
optiques du cerveau de l'homme. La surface en est
re en ouvrant le ventricule cérébral dont j'ai parlé plus haut. 11°
Couche
optique. M. Carus décrit comme telle une petite p
ehors de Yinfundibulum, chez la tortue d'Europe , est un indice de la
couche
optique. Quant aux autres parties secondaires d
de substance blanche que Bojanus et M. Carus désignent sous le nom de
couche
optique, saillie que l'on remarque sur les pro-lo
tous les animaux de cette classe, un corps strié, un commencement de
couche
optique, un corps calleux, une commissure antérie
ai conservés vivans pendant plusieurs mois. A travers les pores de la
couche
calcaire qui les enveloppait de tous côtés, il pé
ié. C'est un petit tubercule gris qui est un véritable rudiment de la
couche
optique des mammifères. Le même auteur signale le
velet comparé au cerveau, et il explique ce fait par la situation des
couches
optiques, qui dans l'homme et les quadrupèdes fon
des oiseaux comme l'analogue des corps striés. Sœmmering (5) appelle
couches
optiques les lobes optiques, ainsi que Har-wood (
ié comme formant à lui seul presque tout l'hémisphère. Cuvier appelle
couches
optiques les lobes optiques; il dit que, entre le
er appelle couches optiques les lobes optiques; il dit que, entre les
couches
optiques et les corps cannelés, sont des éminence
t par leur adossement le troisième ventricule. Ce sont en réalité les
couches
optiques, ou plutôt un rudiment des couches optiq
e. Ce sont en réalité les couches optiques, ou plutôt un rudiment des
couches
optiques. Le corps calleux, refusé aux oiseaux pa
dont il s'agit, au genou du corps calleux des mammifères. Il appelle
couches
optiques les petits ganglions placés en avant des
nce, savoir, les deux tubercules quadrijumeaux i) Op. cit. et les
couches
optiques. Si la détermination de ces tubercules e
dire, dans le cas où un seul de ces tubercules existera, si c'est la
couche
optique, le tubercule testes ou le tubercule nate
s optiques ; il a également prouvé que ces tubercules ne sont pas les
couches
optiques. Mais il a été moins heureux quand il a
emple : il y a seulement analogie, et cette analogie n'exclut pas les
couches
optiques de toute participation à la production d
eaux , développé chez les mammifères et considérable chez l'homme, la
couche
optique, ne concourt-elle pas aussi à donner nais
ubercules quadrijumeaux, et le nouvel organe surajouté aux autres, la
couche
optique a un autre usage , c'est d'être un gangli
nerf optique vont en partie s'épanouir à la surface postérieure delà
couche
optique, et que les raisonnemens ne peuvent rien
e dirai ensuite que celte insertion ne s'oppose nullement à ce que la
couche
optique ne soit en même temps, pour les pédoncule
temps, pour les pédoncules cérébraux, un organe de renforcement. Les
couches
optiques ont une double destination, et se montre
et qui, chez les oiseaux où on le rencontre, est placé en avant de la
couche
optique. 1° Cerveau. Cet organe est formé de de
la commissure antérieure. La troisième est située un peu en avant des
couches
optiques. La première de ces commissures est rega
résente un petit tubercule qui donne naissance au nerf olfactif. 2.
Couche
optique. C'est un petit tubercule grisâtre, pair,
nalogue à celle que l'on voit chez les mammifères. L'adossement de la
couche
optique gauche avec la droite donne lieu à une pe
eurs de l'encéphale des poissons. 3. Lobes optiques. En arrière des
couches
optiques et sur les côtés de l'encéphale, sont de
elief, une partie des faisceaux fulcraux, l'aqueduc de Sylvius et les
couches
optiques; sur les côtés, l'implantation du cervel
es optiques par les lobes cérébraux, la formation bien déterminée des
couches
optiques, enfin le volume et la lamellation du ce
ptiques très volumineux viennent seulement des lobes optiques, et les
couches
optiques paraissent être complètement étrangères
, le cervelet, les lobes optiques et d'un ganglion supplémentaire, la
couche
optique : des commissures réunissent entre elles
cavité, les substances grises et blanches n'y sont pas disposées par
couches
distinctes. 5. Les couches optiques existent à
s et blanches n'y sont pas disposées par couches distinctes. 5. Les
couches
optiques existent à l'état rudimentaire. 6. Les
orme d'un cordon arrondi, placé au travers de la moelle allongée. Les
couches
optiques sont striées comme chez l'homme par les
. Seulement, quoique située à l'extérieur, elle n'est pas disposée en
couche
, comme chez les mammifères. Chaque lobe cérébral
le reste du système nerveux, ses parties accessoires, telles que les
couches
optiques et les corps striés l'emportent de beauc
le corps calleux, la commissure antérieure, la commissure moyenne des
couches
optiques, et la commissure postérieure. La commis
Keil appelait couronne rayonnée. C'est à tort que l'on a décrit la
couche
optique comme faisant partie du ventricule latéra
icule. C'est une sorte de fenle qui résulte du rapprochement des deux
couches
optiques, ce ventricule s'ouvre en haut; la voûte
, appelée commissure moyenne ou molle, qui réunit l'une à l'autre les
couches
optiques dans une grande partie de leur étendue
partie de leur étendue (on voit la section de celte commissure de la
couche
optique c. o. pl. iv, fig. 3 du cerveau du renard
bstance blanche qui, de la glande pinéale, se portent en avant sur la
couche
optique. Le plancher du troisième ventricule es
rès mince, demi transparente, c'est la pars pellu-eida de Tarin. La
couche
optique est un gros tubercule, placé sur les cuis
or, dont il vient d'être parlé. Deux commissures appartiennent à la
couche
optique, savoir la commissure molle, dont l'exist
ns des directions différentes; les plus nombreuses s'avancent sur les
couches
optiques et constituent ce qu'on appelle les rêne
e de deux piliers latéraux longs et flexueux qui s'étendent depuis la
couche
optique jusqu'à l'extrémité du pied d'hippocampe.
trémité du pied d'hippocampe. A la partie inférieure et interne de la
couche
optique se trouvent, dans l'épaisseur même de l'o
es,, et remontent pour se placer entre la commissure antérieure et la
couche
optique. Jusque au-dessus de la couche optique, l
la commissure antérieure et la couche optique. Jusque au-dessus de la
couche
optique, les fibres du côté droit et celles du cô
) Arc'iit'. dup'ns., 1. n: , [ . iofi. Y. aussi LauUi, op. cit. la
couche
optique, qu'il s'oppose à toute communication ent
nt et au-dessus du pont de varole, elles sont soudées, en avant, à la
couche
optique, en dehors elles sont en rapport avec les
antérieur, elle établit la communication entre les hippocampes et les
couches
optiques; par le septum lucidum, les rapports qu'
calleux est petit. Les corps frangés se prolongent en avant dans les
couches
optiques, dans les lobes antérieurs des hémisphèr
lasse, et plus la moelle allongée est volumineuse comparativement aux
couches
optiques et aux corps striés, organes qui apparti
pes éléphans au-dessus des autres quadrupèdes. D'après Perrault, les
couches
optiques et les corps striés sont très gros, tand
aires de ces organes, telle que les commissures,les corps striés, les
couches
optiques, etc. diamètre des fibres nerveuses de
ges, d'ceufs. La femelle nourrit ses petits avec grand soin, elle les
couche
au fond de son terrier sur un lit d'herbes qu'ell
eur, elle est enduite d'une glaise bien détrempée et recouverte d'une
couche
de joncs secs. (c Us se creusent des puits pour
ecourbent, convergent en arrière, en dedans et en bas, traversent les
couches
optiques, vont aux tubercules quadrijumeaux, au c
est constituée par les tables interne et externe de l'écaillé et une
couche
intermédiaire spongieuse, pneumatique ou compacte
u'au bord antéro-externe de l'apophyse, où elle forme quelquefois une
couche
sensible à travers les téguments. Cette face pr
eloppée, qui comprend l'ensemble des cellules mastoïdiennes, et d'une
couche
corticale qu'on peut diviser topo-graphiquement e
structure. A la naissance, en dehors de l'antre, on ne trouve qu'une
couche
finement spongieuse, au sein de laquelle les cell
limètres, répond à la fosse cérébelleuse. Elle est constituée par une
couche
de tissu spongieux qui, en avant, appartient à la
petite noix. Une trépanation au lieu d'élection ouvrit, à travers une
couche
osseuse compacte, un petit antre à muqueuse conge
nne un peu en dedans de l'hiatus de Fallope: il en est séparé par une
couche
osseuse épaisse de 3-,'$ millimètres. En bas et e
r, en dedans au conduit auditif interne dont elle est séparée par une
couche
diploïque épaisse de G millimètres. Le coude semb
ières, renforcées à la périphérie, forment l'anneau de Gerlach. Cette
couche
fibreuse, qui fait défaut au niveau de la membran
est tapissée en dedans par la muqueuse tympanique et en dehors par la
couche
épidermique du conduit. Les artères de la membr
ec les ampoules des canaux demi-circulaires externe et supérieur. Une
couche
osseuse, dont l'épaisseur atteint 2-3 millimètres
re, Je nerf se dirige obliquement en avant et en bas, enfoui dans une
couche
de tissu cellulaire, en passant au-dessus du vent
us la forme d'un cordon de i millimètres d'épaisseur, enfoui dans une
couche
de tissu cellullaire et recouvert de quelques gan
parois de ces veinules, extrêmement ténues, sont formées d'une seule
couche
de cellules endothéliaies et présentent un trajet
eckel et le sac endolymphatique. Sa face interne est recouverte d'une
couche
endothéliale, constituée par le feuillet pariétal
n démontrée par Ghipault et Berezouski, provoquent la formation d'une
couche
osseuse qui double le lambeau cutané et protège e
au cutané et protège efficacement l'encéphale. L'inflammation de la
couche
interne de la dure-mère, ou pachyméningite intern
'encéphale comprend le cerveau, le cervelet et le tronc encéphalique (
couche
optique, tubercules quadriju-meaux antérieurs et
ale. — D'après Ramon y Cajal, l'écorce cérébrale est formée de quatre
couches
de cellules, disposées dans l'ordre suivant : i
u du lobe temporal, on constate, dans la troisième zone de Cajal, une
couche
de très petites cellules pyramidales (grains cort
mière circonvolution temporale. Dans l'épaisseur de ces différentes
couches
, on trouve des fibres radiées et transversales qu
interne, etc.) ; leurs ramifications terminales parcourent les quatre
couches
de Cajal. Les fibres d'association relient un p
x fibres de la radiation thalamique et au tapetum pour constituer les
couches
sagittales du lobe occipito-temporal. Il établit
d) Le faisceau occipital vertical de Wernicke, placé en dehors des
couches
sagittales entre la première et la troisième occi
, sphérique et les bouchons. Ecorce. — Elle est constituée par deux
couches
: 1 " La couche moléculaire, qui contient les c
bouchons. Ecorce. — Elle est constituée par deux couches : 1 " La
couche
moléculaire, qui contient les cellules de Purkinj
lle des minuscules collatéraux descendants des cylindre-axes. 2" La
couche
granuleuse, formée de grandes cellules étoilées e
ire de Soemmering, le globidus pallidus et la partie inférieure de la
couche
optique. Là, un dernier neurone centripète, thala
oïdale du ventricule latéral, le tronc et la queue du noyau caudé, la
couche
optique, le noyau lenticulaire, l'avant-mur, le n
latéral, la glande pinéale, l'aqueduc de Sylvius, le pulvi-nar de la
couche
optique, la queue du noyau caudé, le patamen, les
ouve également des taches semblables, très exactement limitées à la
couche
moléculaire de l'écorce du cervelet et disposées
érieures. Les ventricules sont dilatés ; l'épendyme qui recouvre la
couche
optique est légèrement dépoli; celui du quatriè
sé pour^ objet de montrer la relation intime', qui existe entre les
couches
et'les troubles psychiques qui survien- nent fr
: 1° causes;prédisposantes; 2° causes déterminantes. En dehors' des
couches
elles-mêmes, on trouve, .dans la première catég
b, l'influence compliquée de la première'grossesse et des premières
couches
? '-^'C6mparéeJ à' celle des couches ' suivantes,
ère'grossesse et des premières couches ? '-^'C6mparéeJ à' celle des
couches
' suivantes, l'influence des premières'' couche
aréeJ à' celle des couches ' suivantes, l'influence des premières''
couches
s'ob'séivë dans 45 p. 1(l0"des cas de psy- chos
néologisme en question se trouvait tout indiqué,' attendu que la
couche
de Renaut occupe en 'réalité une position intermé
de' ce'tissutubroïde et' disséminés *. dans toute l'épaisseur deda
couche
reposent des noyaux tantôt z rares, tantôtnombr
ampleur inusitée des capillaires,' une turgescence excessive de la
couche
endothéliale des artérioles et éaucoupplus rareme
nstate pour ainsi dire jamais l'existence d'un méso réticulaire. La
couche
profonde du' foyer confine immédiatement à la m
énéralement 'plus accentuée ; enfin l'espace compris entre ces deux
couches
est occupé par des lamelles à peu près rectilig
ction des lames. D'habitude ces lacunes sont très étroites dans les
couches
périphériques ; on les~voit au contraire s'élar
mières, on doit signaler tout d'abord des foyers- noduleux où lest)
couches
? broïdes, s'épaississent -, déjà en lamelles p
ire et qui.se trouvent en, outre reliés-au faisceau nerveux par une
couche
du même tissu. " ' . Quant aux productions comp
es éléments endothéliaux tend sans cesse à développer sur place des
couches
nouvelles et que, d'autre part, la structure pr
se poursuit alors dans les régions moyennes et superficielles, les
couches
profondes rangées autour d'un centre virtuel su
es foyers noduleux : il s'agit en effet, d'une simple apposition de
couches
nouvelles sur la face interne du périnèvre. En
e de l'adventice des vaisseaux, la condensation sclérotique de la
couche
corticale de'l'endonèvre, la richesse nucléaire t
ndonèvre, la richesse nucléaire tout à fait exceptionnelle de cette
couche
, enfini l'hypertrophie 'qui souvent atteint la
- z ·1 ' taire, par une masse conjonctive sphéroïdale, nucléée, à
couches
concentriques pressées les unes contre les autres
du segment affecté.' Tous deux offrent déjà en plusieurs points une
couche
mésoneuriale (m, m, m) bien distincte, laquelle
diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellules entourées déjà de
couches
condensées et formant avec celles-ci des petits
celles-ci des petits nodules rudimentaires. La démarcation entre la
couche
foculaire etl'endonèvre est ici presque partout
ule mésoneuritique à noyau claviforme cen- tral (n) enveloppé d'une
couche
vitreuse (u). En m, reticulum mésoneu- rial. '
ion très nette (d, d), due à la condensation de l'endonèvre dans la
couche
superficielle du faisceau. En b deux cellules i
ig. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (f) pris entre deux
couches
mésoneuriales. Les fibres renfermées dans ce fais
s épaissie. t . d, cloison de partage bordée des deux côtes par une
couche
mésoneu- riale dense. - `Fig. 17. 1/300. Un p
tendance manifeste à la nodulisation du loyer etauconcehtrisme des
couches
. En guise.de corps central, un'groupe de trois al
r leurs bo'rds'et les noyaux paraissent en sortir, enveloppés d'une
couche
de protoplasma peu coloré. Sur les coupes longi
les noyaux,multiples s'isoler, de cette masse, puis sortiravec une
couche
de protoplasma clair, comme feraient des .cellu
semblent dégé- nérer et expulser leurs noyaux, entourés d'une mince
couche
de pro- toplasma clair. f .... . ' ` t t 12
res de moyen volume qui sont les plus atteints sur- l tout. dans la
couche
des cellules;pyramidales ; : les;ros capillaires-
STIC DE TROUBLES PSYCHIQUES QUI SE PRODUISENT PENDANT LES SUITES DE
COUCHES
POUR SERVIR A L'ÉTUDE DE-LA CONFUSION MENTALE '
rbations intellectuelles qui se présentent pendant les suites de. ,
couches
(63 p. 100). C'est d'ailleurs le type de la folie
normales mais les espaces péricellulaires des deuxième et troisième
couches
sont augmentés et dilatés. En un point seulemen
uites ? he nraves, avée hémorra-ies ment convenable . Les suites de
couches
graves, avec hémorragies profuses paraissent jo
suite^d'un foyer ayant détruit le segment le plus postérieur de la
couche
optique et le'segment le plus antérieur 1 de la
ncule cérébral; le ruban de Reil cortical entre directement dans la
couche
optique. L'irradiation optique reste donc, infr
se dans' la substance blanche ordinaire a la même structure que 'la
couche
profonde de l'écorce. Confor- mément aux- trava
mpris le faisceau pyramidal, les fibres qui vont de l'écorce à à la
couche
optique et les cellules nerveuses des divers noya
la couche optique et les cellules nerveuses des divers noyaux de la
couche
optique et' de la région sous-thalamique en rela-
Parties restées normales. Ce sont : le tubercule antérieur de la
couche
,optique; lèafàisèëau'de,Vicq-d'Âzÿr; les tubercu
optique; le corps genouillé externe : les faisceaux irradiant de la
couche
optique; le pulvinar. Toutefois, la bandelette
corps genouillé ,, externe, le pulvinar, et les, irradiations de(la
couche
optique sont* peut-être un peu moins développés
leinement de- l'écorce ? Bien > plus, 1 chaque jsegmentj de la -
couche
optique est en .rapport avec, une- région détermi
ion, corticale entraîne unei destruction de tel ou tel; noyau de la
couche
optique, les autres restant normaux; 10°(le cor
'ééôre·é, côlriâie'lé coi·ps ieiiouillé ztèrile et les noyaux de la
couche
, optique. Il y a longtemps que de Gudden a démo
l'entrecroisement supérieur des pyramides deMeynertne vont pas à ta
couche
intermédiaire' dés o ives, ni au ruban de Reil;
pressions profondes dans la substance grise du noyau caudé ou de la
couche
optique, il y aura avantage à pratiquer la coup
'-A'gauche,'sur l'extrémité ""externe de la face supérieure de la
couche
optique, on voit une de ces tumeurs dus volume d'
9; 1 autre, du ^volume d une grosse, noisette, y, réunit lés deux,
couches
opftiques 4Lequatrlëme,ventriculenest complète-
par la même cause, où par une irritation'directe du sarcome sur les;
couches
. optiques; à'-la superficie' desquelles ,Ies,no
-- ? il, hJr"-rtr n' , ., H . r · - ` Ayant examine au mierose3e la
couche
interne de la dure- mère'dans uncasde pach'ymén
probable) que pendant'que. l'on -énucléait la tumeur d'entre -les-y
couches
du liament'tlar·e,rlerrectum a été -mis' nu, et''
, très^ intéressant ? intitirlé : Un cas de lésion secondaire de la
couche
optique et de la région sotts-thalanzi- que, dû
actes de violence sur sa femme. Mère : migraineuse; pas de fausses
couches
. Tous deux sont morts à un âge avancé. Ils ont
lës~n5vrogliques;^i sont légèrement \ multipliées dans les diverses
couches
de la"u7staiicd>,-i,ise,< 1\ ^Les cellule
nerveuse* pàr'des-phagocytes. Cette lésion intéresse la plupart des
couches
de Meynert; elle est très rare dans les grandes
u ? noyaml cell ulaire ; entre v chaque ! nodule.comme entre chaque
couche
.de'noduiesihy a la substance» incolore. Le noya
noyau lui-même possède- une; fine; membrane (sous laf formeid'une,
couche
,co 1 orée', p épipliéri que; dans cette, membrane
ment £ , de vingt et un, dix-neuf et dix-sept ans; jamais de fà71se
couche
Deux ans après la dernière grossesse,^ bouton a
ssauer, il serait du reste à souhaiter ? u*e l'on examinât aussi-la
couche
optique par la méthode de Marchi. ,i ,« ? ? M.
segment affecté.' Tous' deux-5 offrent déjà en plusieurs points une
couche
mésoneuriale (m,i7z,'m)bieii distincte, laquelle
diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellules entourées déjà de
couches
condensées et formant avec celles-ci des petits
celles-ci des petits nodules rudimentaires. La démarcation entre la
couche
foculaire etl'endonèvre est ici presque partout
ule mésoneuritique à noyau claviforme cen- tral (n) enveloppé d'une
couche
vitreuse (v). En m, reticulum mésoneu- rial , ,
ion très nette (d, d), due à la condensation de l'endonèvre dans la
couche
superficielle du faisceau. En b deux cellules i
ig. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (y) pris entre deux
couches
xnésoneuriales. Les fibres renfermées dans ce fai
très épaissie. d, cloison de partage bordée des deux côtés par une
couche
mésoneu- riale dense. Fig. 17. 1/300. Un peti
tendance manifeste àlanodulisation du foyer et au concentrisme des
couches
. En guise de corps 'central, un'groupe'de trois a
annuel des médecins aliénis- tes et neurologistes de France, 77,
Couche
optique, un cas de lésions se- condaires de la-
optique, un cas de lésions se- condaires de la-, par Ncehanu,210.
Couches
, symptomatologie et pro- nostic de troubles psy
motrice (déjà entrecroisée) des pyramides et en cons- tituent la
couche
profonde. D'après les auteurs que nous venons d
extré- mités du segment interannulaire, n'a dégénéré que dans ses
couches
externes à la partie moyenne de celui-ci. Or, c
ectue bien comme nous venons de le dire de dehors en dedans, de ses
couches
superficielles vers ses couches profondes. On c
le dire de dehors en dedans, de ses couches superficielles vers ses
couches
profondes. On comprend s'il en est réellement a
qu'en c, à la partie moyenne, la dégénération n'a en- vahi que les
couches
externes de cette gaine. Le plus souvent, toute
ment de la puberté. - Pas de consanguinité. 6 enfants et une fausse
couche
. L'ainé est mort de convulsions à 5 mois ; notr
onnant, du corps strié à la partie supérieure des ventricules. - La
couche
optique est moins longue de 6 millimètres que l
cules. - La couche optique est moins longue de 6 millimètres que la
couche
optique gauche. La tête du corps strié est sépa
oyers d'induration. La cavité du ventricule latéral est normale. La
couche
optique est saine ; mais le corps strié est par
eurs aux recherches anatomiques. Après une étude histologique des
couches
qui les constituent, il décrit des faisceaux bl
. Ott (Journal of physiology., vol. II, n° 1) avait trouvé dans les
couches
optiques des centres d'arrêt des con- tractions
trépanation. On fait ensuite une hémisection du cerveau derrière la
couche
optique, à l'aide d'une lame recourbée. La moel
s contractions rythmiques des sphincters prennent naissance dans la
couche
optique de chaque côté, descendent le long des
s sinus pétreux étaient sains. Le nerf facial était entouré d'une
couche
de pus qui remplissait le conduit auditif interne
La dure-mère à la partie supérieure du rocher était couverte d'une
couche
épaisse de matière purulente ; il n'y avait pas
tout le corps strié, l'insula de Reil et la partie antérieure de la
couche
optique. - L'endocarde de l'oreil- lette gauche
du processus dans ce cas. Gonflée et rendue plus claire dans ses
couches
externes, là gaîne a subi une modification très
ureau. d'un érysi- pèle de la face; non alcoolique. 'Mère, morte en
couches
; 8 en- fants dont 4 sont morts 'de la poitrine
deuxième de 18 ans, n'ont jamais eu d'accidents nerveux. Une fausse
couche
. ' Notre malade est née à terme, a été élevée e
. - ftlète, morte après quatre jours de maladie à'la suite* d'une
couche
. - Un'/)'<M'e et une soeii2, bien portants. Pa
e névropathies chez les ascen- dants. La malade a fait cinq fausses
couches
sur six grossesses; le seul enfant survivant es
nvolution frontale de chaque côté est ainsi entièrement dépouillée.
Couches
optiques violacées et comme oedémateuses. En ré
ez grand nombre de fibres élastiques qui semblent englobées dans la
couche
la 16 242 ? CLINIQUE MENTALE. T ' plus supe
es caractères normaux'. Pourtant le carmin colore plus vivement les
couches
superficielles; mais il'est aisé de reconnaître
de reconnaître, dans la région frontale par exemple, le type à cinq
couches
décrit par M. Meynert. Avec un plus fort grossi
- 211O'J ? .GfI21TOJG Balr(jl n,ll 1 Jm.n r Irtjl' : h b' 9t .. les
couches
moyennes de la substance grise; et ensuite julo
1 t', F avons signalé l'existence des cellules araignées dans la
couche
superficielle de la substance grise; mais ici,
uçhe,profonde ,deI la ,subs- tance, grise , et), intéresserait ? la^
couche
, contiguë^de ;substance, blanche, qui , ;à t.'o
a^si| lesj fibres i .et ganglions, sénsitifs,"qui X< ? tJdE ! s.
couches
? optiquesj,aux ? lobes ^occipitaux' eJ4aeJà sé
être dus à des con- formations particulières, ' individuelles, des
couches
corticales du cerveau. Les anomalies des sillon
es arrêts de développement, des anomalies dans la disposition des
couches
corticales, qui s'accompagnaient, durant )a vie
cule latéral, grâce à un orifice large et béant. Le corps strié, la
couche
optique étaient d'un volume moindre à droite qu
ifice per- mettait d'apercevoir le noyau caudé du corps strié, la
couche
optique, et une partie de la corne postérieure
e latéral était dilaté : déprimés sur ses parois, on distinguait la
couche
optique et le noyau caudé. Sur l'hémisphère cér
PINALE AIGUË. 383 canal rachidien. La moelle est enveloppée d'une
couche
fibrino- purulente. Les parois du canal rachidi
cellulaires, mais on sait la difficulté de cette constatation. Les
couches
corticales étaient très congestionnées et sillonn
comme l'indique cet auteur, une simple commissure entre les deux
couches
optiques et les deux corps genouillés internes, e
va pour sa plus grande partie composer la portion inférieure de la
couche
blanc-cendrée superficielle ; 5° La périphérie
e de la couche blanc-cendrée superficielle ; 5° La périphérie de la
couche
optique ne reçoit pas de fibres de la bandelett
couche optique ne reçoit pas de fibres de la bandelette optique; la
couche
optique n'est pas un organe central de la visio
able de nuit. Croisant les bras sur la tablette de celle-ci, elle y
couche
sa tête, tandis qu'elle engage ses jambes dans
t déprimée transversalement, son tissu est mou et très pâle ; les
couches
grises en sont jaunâtres; cervelet anémié, anémie
grand nombre de femmes, sous l'influence des excès de travail, des
couches
répétées, de la lactation, etc. La plus grand
tion presque impos- sible. A l'autopsie, adhérences nombreuses à la
couche
corticale des deux hémisphères, point d'altérat
de réunion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la
couche
op- tique ; d'après M. Brissaud, la capsule int
m - en tisé, rendre ,sdnsle,srégŸonsméréhrales so 9-jacentes.1 Laç,
couche
« optique, ou, thalamus, To^lS capsule'1 int'er
..... -"» i- Fr ao-nBjyn 0 ' -Iloti 11,2 le noyau lenticulaire, la
couche
, optique. Il convient , , , J ? bllV,'l-< ?
8-U 9oon>a 92 ? n tA qirrufr) nez par - le .commencement de la'
couche
optique (corpus ï» «JQto 1JJ ! ' S>" h-l'^B
IWlf'l ftl Tq ')nf0 ri(, n. ! >F(" -r i -t tum zonale de. cette,
couche
, avec sa racine intérieure 1.)1),U. 'ti '> '
^r^crî'V.to^'.o™* , ,en dehors et en, bas, du noyau caude, et.de la
couche
bi.,ji : nj jlii9.'01 9'0ftif'7O 1,1 9'«JJoar,,
ar '0 i.i y ? M jÀt)Mi) : \\ie ? (r^ . f>\ ip<- sépare de la,
couche
optique, ce grillage qui aboutit en-haut au tae
entreÿle,enou duq corpsjccalleuxo et't 1°extrémitéLantéieurel;dela
couche
. optique7o envhaut et enîdehors-,scelteq bandel
'V1 yatBffti super- tière èolorante's etaîfr diffusée a travers les
couches
plus super- 1·rCÇHYSIOSE gBEIpUES. 55 CS ? s,
: sa nature ne peut être déterminée. Les tumeurs trouvées entre la
couche
optique et le corps strié symétriquement de cha
entant une pénétra- tion identique de la substance blanche dans les
couches
grises (moelle dorso-lombaire). Au même ordre d
mmond pense que le siège anatomique de ce type épilep- tique est la
couche
optique. Pour lui, la couche optique est 588 RE
omique de ce type épilep- tique est la couche optique. Pour lui, la
couche
optique est 588 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. un centre de perception, sensorielle. Si la
couche
optique est lésée, l'impression sensorielle tra
cevant aucune impression, cette impression peut se , former dans la
couche
optique ; nous avons alors une hallucination. L
n sera appréciée à sa juste valeur par un cerveau sain ; mais si la
couche
corti- cale est dans un état anormal, l'halluci
cale, et que la maladie est limitée entièrement, ou à peu près, aux
couches
optiques. 1«, Je dis à peu près, ajoute-t-il, p
terait pour les folies de grossesse 3,1 ; pour celles des suites de
couches
, 8,6; pour celles de l'allaitement, 5,6 0/0 sur
hmidt aurait trouvé 17,6 vésanies pendant la grossesse, pendant les
couches
49,3 et pendant la lacta- REVUE DE PATHOLOGIE M
a 20° et la inox année, tandis qu'après 35 ans, celles de suites de
couches
dimi- nuent rapidement de nombre, à l'inverse d
la grossesse, tandis que la manie appartient plutôt aux folies des
couches
, la proportion des deux entités morbides en que
de la grossesse coïncideraient avec sa seconde moitié ; celles des
couches
se montreraient immédiatement après l'accouchem
antité des guérisons est la plus grande pour celles des suites de
couches
, la moindre pour celles de l'allaitement : la man
mps pour guérir que l'autre, de même que . l'aliénation mentale des
couches
est plus lente à disparaître que celle de la gr
consécutives aux lésions des différentes parties du système nerveux(
couche
optique, pédoncule, bulbe, etc.) Pour M. Schiff,
épétés. Personne, dans l'hôtel, n'entend excepté elle, bien qu'elle
couche
au deuxième étage. Rapportant ce bruit à l'idée
itot,524. Corps quadrijumeaux (anatomie des), par Spitzka, 127.
Couches
optiques (épilepsie liée aux lésions des), par
r Cle\eland, 326. Epilepsie (rapports de l') et des lé- sions des
couches
optiques, par Hammond, 587. Etalagistes, par
ure antérieure. N C, noyau caudé. - N L, noyau lenticulaire. - T o,
couche
optique, (thalamus opticus). C n, capsule int
chiasma des nerfs optiques. ( C'est la face posté- rieure.) T o,
couche
optique (thalamus ojdicus). - N L, noyau lenticul
illante de l'insula. U, Cavité du ventricule latéral gauche. T o,
couche
optique (thalamus opticus). EXPLICATION DES PLA
LICATION DES PLANCHES. PLANCHE XVIII Ci, capsule interne. C oy,
couche
optique. Fs, ligne forilicitc-sylvieillie. Ne
noyau caudé. N L, noyau lenticulaire. R 1, racine inférieure delà
couche
optique. S l, septum lucidum. cca, commissure
ATION DES PLANCHES. 687 PLANCHE XIX C i, capsule interne. C op,
couche
optique. Ne, noyau caudé. NI, noyau lenticula
nal inférieur. f Al., faisceau de Meynert. gr. c. op., gril de la
couche
optique. ()88 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANC
Ce, capsule externe. C i, capsule interne. C. op. gr., gril de la
couche
optique. F, fasciculus uncinatus. F 111, fais
a cellule. Si la coupe est épaisse, de manière à contenir une ou deux
couches
cellulaires, vous voyez, comme sur la figure 5 du
phérie des cellules, une sorte d'empreinte effectuée aux dépens de la
couche
la plus superficielle du protoplasma, rappelant l
uel-ques gouttes de la solution dans l'acide, il se produit plusieurs
couches
successives offrant les colorations susdites dans
Klebs fait remarquer avec raison que si ce mécanisme était exact, les
couches
intérieures qui composent l'écorce devraient être
ce devraient être interrompues par places. Or, ceci n'a pas lieu. Les
couches
lamelleuses sont généralement complètes. Il sembl
calculs biliaires n'est pas constamment aussi simple. En outre de la
couche
formée par les aiguilles rayonnantes, il convient
. b. Il me reste peu de chose à exposer touchant la structure de la
couche
moyenne après ce qui en a été dit plus haut. Cett
dié. Quelquefois, les ra-diations sont interrompues par des stries ou
couches
concen-triques qui coupent les pyramides cristall
les pyramides cristallines perpendiculai-rement à leur grand axe. La
couche
moyenne est tout à fait blanche, transparente, ou
a cholestérine qui en est exempte dans le premier. Il est rare que la
couche
moyenne, cependant com-posée aussi de cholestérin
sa consistance. Elle est composée tantôt de cholestérine, disposée en
couches
minces paraissant séparées, sur une coupe du calc
combinaison de pigment biliaire et de chaux formant une ou plusieurs
couches
plus ou moins épaisses, de couleur brune ou verte
rune ou verte. Enfin, il est possible que, dans l'écorce, on voie des
couches
de carbonate de chaux séparées par des dépôts de
ité relativement considérable (surtout chez les ruminants), forme des
couches
blanchâtres, paraissant, en dehors de toute prépa
, forme quelquefois des calculs entiers ou plus fréquemment certaines
couches
de l'écorce de quelques calculs. D. La matière
oc. cit., p. 199. calcul dans l'intestin est nécessaire pour qu'une
couche
de ces substances puisse se déposer à sa périphér
à autre, apporte de nouveaux matériaux nécessaires à la formation de
couches
successives. Des modifications, survenant à diffé
1) Diseases of the Liuer. Lettson. Lect^p. 70. L'épaisseur de cette
couche
varie selon les sujets ; néanmoins, elle est en g
munications faites à la Société anatomique, en 1850 (1). La seconde
couche
, ou couche conjonctive, ne doit pas nous arrêter.
faites à la Société anatomique, en 1850 (1). La seconde couche, ou
couche
conjonctive, ne doit pas nous arrêter. Je noterai
t faits sur le même modèle que la vésicule du fiel. On y observe deux
couches
de tissu fibroïde, com-posées principalement de f
en outre, l'existence d'une sorte de corro-sion, grâce à laquelle les
couches
externes des concrétions peuvent disparaître en c
pris naissance. Jamais ces concrétions n'ont la structure radiée, les
couches
concentriques, ni les facettes qui distinguent le
tissu de jeunes cellules ou déjà adultes et limités seulement par une
couche
endothéliale. 11 est certain que ces vaisseaux
Structure des canalicules urinifères. — Paroi propre des canaux. —
Couche
endotheliale. — Epithelium à bâtonnets des tubes
es, prend naissance dans une dilatation ampullaire, qui siège dans la
couche
corticale et vient finalement s'ouvrir dans la ca
tubuli con- torti, sont tous situés, comme les glomérules, dans la
couche
corticale du rein. A un moment donné, les tubuli
; cette pièce, qui occupe les parties les plus superfi-cielles de la
couche
corticale du rein, présente un calibre comparativ
laquelle on distingue, sur-tout après les imprégnations d'argent, une
couche
endothéliale complète. Cet endothélium se continu
ein, offre des caractères particuliers (1) Debove. — Mémoire sur la
couche
endothéliale sous-épithéliale de mem-branes muque
ig. 138, Edit. angl.) p, région papillaire. — g, zone limitante. — r,
couche
cor-ticale. Les stries foncées de la substance mé
e de cavités ou espaces lymphatiques ; 2° au-dessous de celle-ci, une
couche
mince formée de canaux sinueux qui sont, surtout
es. — b, Une des branches principales de l'artère rénale séparant les
couches
mé-dullaire et corticale, et envoyant dans la sub
eprésentent des figures étoilées. quées plug ^ yerg ]e milieu de la
couche
corticale, par exemple, vous montrent le lobule r
atiquées dans la zone li-mitante ou intermédiaire, au voisinage de la
couche
corti-cale, on constate une disposition bien repr
oc. cit.), et qui rappelle la distribution lobulaire observée dans la
couche
corticale : à la périphérie se trouvent des group
one limitante, communique d'ailleurs avec le système capillaire de la
couche
corticale. Ainsi, d'après l'opinion de Ludwig,
ux que ceux qu'on trouve dans les canaux contournés et présentent des
couches
concentriques, qui se sont stratifiées, chemin fa
ui se présente sous forme de petits blocs amorphes, à la fois dans la
couche
corti-cale et les pyramides , on trouve toujours
e Malpighi enveloppés d'une capsule épaissie et composée de plusieurs
couches
; le glomérule lui-même a subi diverses altération
plement épaississement de la capsule qui parait composée de plusieurs
couches
concentriques ; le glomérule qui occupe le centre
t une altération spé-ciale et constante : c'est un épaississement par
couches
con-centriques, résultant d'une hyperplasie de la
t, en particulier, l'infiltration de petites cellules rondes. Dans la
couche
corti-cale, les tubes urinifères étaient dissocié
on existe, non pas seulement dans un point limité, mais dans toute la
couche
corticale. — L'épilhélium des tubuli est à peine
t colorées, mais la coloration acajou spéciale est localisée, dans la
couche
corticale, sur les glomérules; et dans la substan
itrique redeviennent claires ; mais, dans celle de l'œuf, surnage une
couche
d'albumine coagulée, colorée enjaune. Un autre ca
Structure des canalicules urinifères. — Paroi propre des canaux. —
Couche
endotheliale. — Epithelium à bâtonnets des tubes
dérablement plus larges, leurs pro- longements plus volumineux, les
couches
de l'écorce plus épaisses. REVUE D'ANATOMIE ET
avancé par Tuczek que le processus morbide commence toujours par la
couche
superficielle de l'écorce pour atteindre succes
couche superficielle de l'écorce pour atteindre successivement les
couches
plus profondément situées ; il a trouvé, au con
cas (observations 3 et 6) que tandis que les fibres à myéline des
couches
profondes avaient totalement disparu, celles des
yéline des couches profondes avaient totalement disparu, celles des
couches
superficielles n'étaient souvent qu'à peine alt
ce : parce qu'un mouvement suit l'excitation d'un point donné de la
couche
corticale, il ne s'en suit pas que cette aire c
moelle et qui n'était séparé de la surface que par une très faible
couche
de tissu nerveux, mesurant de 1 à 2 millimètres
GL1QUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 111 une petite lacune tapissée d'une
couche
très régulière d'épithé- lium cubique cilié.
périeure; cette tige est isolée du reste de la moelle par une mince
couche
fibrillaire, lâche, très visible en certains po
reste donc que la périphérie du tractus, sous la forme d'une mince
couche
hyaline, qui est du tissu conjonctif modifié, e
e des cordons grêle et cunéiforme dégénérés on aperçoit une mince
couche
de fibres arciformes exlernes (fig. 12). On remar
a description d'une de ses attaques de léthargie. Un soir, Jack se,
couche
après son dîner et ne se réveille plus; son som
nglions et l'absence des cellules de ces der-, niers dans certaines
couches
, et le manque de fibres nerveuses. L'embryologi
si à pénétrer dans toutes les communes du canton et dans toutes les
couches
de la population. La Société appenzelloise de s
(1, 1', fig. 16), autour desquels on aperçoit à peine une très fine
couche
de protoplasma ; ce sont là des formes purement
fin de fibrilles fines, qui doivent un aspect grenu au dépôt d'une
couche
de substance interstitielle (fig. 17) ; traitée
t été décrits plus haut ; - 2° des noyaux analogues, entourés d'uue
couche
assez épaisse d'un prbtoplasma un peu trouble, tr
s bran- ches d'un lierre qui grimpe le long d'un mur, et former une
couche
feutrée plus ou moins épaisse, plus ou moins ir
es qui sont faites sur le même type et qui sont toutes munies d'une
couche
, simple ou double, formée par un pareil feutrag
fig. : 21). Ces noyaux, dont quelques- uns sont entourés déjà d'une
couche
de protoplasma visible, déri- vent évidemment d
stance blanche. Il nous faut étudier les lésions de ces différentes
couches
dans les diverses régions de l'écorce céré- bra
antérieure ne con- tient plus de fibres à myéline dans la deuxième
couche
; elles sont fortement diminuées dans la troisi
les fibres restent bien moins nombreuses, surtout dans la deuxième
couche
. Il en est de même au niveau du cap de Broca. ,
le à celle du gauche, mais moius intense; les fibres de la deuxième
couche
qui sont complètement détruites vers la pointe,
sillons elles sont absolument normales; à la périphérie la deuxième
couche
est assez fortement lésée et la première n'est pl
es, sauf encore une certaine diminution des fibres de la deuxième
couche
dans la partie superficielle des circonvolutions;
re de ce lobe, on ne trouve presque plus de fibres dans la première
couche
, à la face supérieure des circonvo- lutions ; c
à la face supérieure des circonvo- lutions ; celles de la deuxième
couche
ont complètement disparu. Sur les faces latéral
lètement disparu. Sur les faces latérales, les première et deuxième
couches
sont encore Fig. 22. Coupe de la circonvolution
oloration de Pal. (Obj. 2, Vérick, oc. 1.) NOTA. Sur ce dessin la
couche
superficielle des libres à myéline horizontales
sin la couche superficielle des libres à myéline horizontales et la
couche
profonde ne tranchent pas aussi nettement sur
les et la couche profonde ne tranchent pas aussi nettement sur la
couche
moyenne que dans la réalité. Fig. 23. - Même co
lle de la circonvolution. Atro- phie des fibres tangentielles des
couches
superficielle et moyenne. 292 CLINIQUE NERVEUSE
, on retrouve encore une atrophie très marquée des deux premières
couches
à la face su- périeure des circonvolutions tan-
gauche, plus direc- tement comprimé; elle débute par la deuxième
couche
, qui répond aux petites cellules pyramidales,
lon. Atrophie considérable des fibres tangentielles dans toutes les
couches
de l'écorce. UN CAS DE GLIOME l'OEUH.O-FOlOIA
sciatique contenait de très nombreuses fibres fines entourées d'une
couche
de myéline. mortifiée; faible prolifération du ti
s, les riches amas cellulaires qui existent habituellement dans les
couches
antérieures des protu- bérances normales. Le ti
pour se terminer dans les cellules ner- veuses qui remplissent les
couches
antérieures de la protubé- rance. Dans son prem
ncore discuté. Nous affirmons seulement la parfaite intégrité de la
couche
interolivaire postérieure du raphé. Or, précisé
cerveaux. 1° Le nouveau-né n'a pas de fibres myéliniques dans les
couches
spéciales de son écorce ni dans la substance bl
ce blanche de la frontale ascendante. 2° Il existe réellement trois
couches
(interne, externe, moyenne), de fibres tangenti
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 montrent dans les
couches
externe et interne à l'àge de quatre mois, dans
dans les couches externe et interne à l'àge de quatre mois, dans la
couche
moyenne à t'âge de huit mois. 4° Le déve- loppe
est très différent suivant les diverses régions du cer- veau et les
couches
envisagées. 5° Les troubles de la nutrition gén
des sillons dans lesquels s'épandent les trousseaux radiaires à la
couche
externe. 9° Le nombre des fibres tangentielles
e occipitale) commande au corps genouillé externe, au pulvinar, aux
couches
superficielles des tubercules quadrijumeaux ant
maux, les cellules nerveuses qui occupent l'extrémité caudale de la
couche
opti- que sont en relation avec les parties cor
scope : nombreux foyers dans le corps strié, la capsule interne, la
couche
optique, de diamètres variés, surtout à gauche.
e mouvement et la sensation. P. SOLLIER. XXXIX. Description DE la
couche
motrice DE l'écorce cérébrale d'un enfant; par
ur et du tiers moyen de la circonvolution frontale ascendante. La
couche
la plus externe de l'écorce est bien délimitée. A
f ronds ou ovales ont de 4 à 10 la de diamètre. Au-dessous de cette
couche
externe est une bande de tissu nerveux de 150 d
élimitée vers la périphé- rie, mais se confondant peu à peu avec la
couche
sous-jacente : elle se compose tout d'abord de
ont comparativement plus larges que ceux des cellules de la seconde
couche
chez l'adulte; comme la première, cette seconde
e la seconde couche chez l'adulte; comme la première, cette seconde
couche
est très riche en capillaires sanguins. Entre c
couche est très riche en capillaires sanguins. Entre celte seconde
couche
etla substance blanche, en existe une troisième
e développeront chez l'adulte les troisième, quatrième et cinquième
couche
, mais ici il n'existe pas encore de différencia
as encore de différenciation suffisante pour y déterminer plusieurs
couches
. On y distingue 1° des noyaux du tissu conjonctif
nerveuses à forme pyramidale constituées par un noyau entouré d'une
couche
de protoplasma légèrement coloré. Aucun prolong
s cellules fusiformes. Les capillaires sanguins, ici comme dans les
couches
superficielles, sont très développés; les sacs
les a constatés dans l'écorce cérébrale du chat. En résumé, trois
couches
de l'écorce ont pu seulement être dif- férencié
rale motrice d'un enfant de deux ans. La différenciation des cinq
couches
de l'écorce était complète et l'aspect des couc
ciation des cinq couches de l'écorce était complète et l'aspect des
couches
élait à peu de chose près celui de l'écorce cér
nt en ce qui touche le siège de ces lésions (ganglions delà base ou
couches
superficielles) : on peut noter seulement que d
ue dans la mélancolie, les trois quarts des foyers siègent dans les
couches
optiques, les- quelles sont demeurées absolumen
vent que dans les diverses autres catégories, l'amincissement des
couches
corticales. Enfin il y a deux autres altérations
el on trouva une lésion au foyer de la partie la plus externe de la
couche
optique et du segment le plus postérieur de la
" 31 ,. ? LV. De. l'abondance DES fibres INTRA-CORTICALES D.1NS LES
couches
II ET de Meynert ;^ études 'de'1 proportion DE'
- a.ri fl- a'lt, x1 ri) < ' '' Ce sont les deuxième et troisième
couches
de Meynert qui; sont le plus faciles à analyser
marne ! onde là circonvolution montre que les deuxième et troisième
couches
de'Meynert mesu- rent ensemble 1 millimètre 58
eur origine dans les cellules de,.Ia,nevrogt[e placées entre ;les,,
couches
^ les., plus, profondes ,,du tissu, conjonctif de
Fritsch, 265 ; de l'abondance des fibres mtra-corticates dans les
couches
Il et III de, par Kaes, 485. MICROCÉPHALIE, r
ers le milieu de l'année 1869. Ce fut presque immédiatement après ses
couches
que commença son affection. — Le mal débuta par u
r que ces tumeurs formaient des masses sphériques qui naissaient delà
couche
profonde du chorion. Elles étaient composées d'un
su fibreux, plus ou moins développé. Elles étaient recouvertes par la
couche
papil-laire de la peau et par l'épiderme dont la
vertes par la couche papil-laire de la peau et par l'épiderme dont la
couche
muqueuse (mu-couse layer) contenait plus de pigme
s. Une coupe prati-quée de la périphérie au centre fait voir : Io une
couche
épidermi-que; 2° une couche dermique; 5° un centr
a périphérie au centre fait voir : Io une couche épidermi-que; 2° une
couche
dermique; 5° un centre de tissu cellulaire lâch
s graisseux dans la grosse tumeur. Au mi-croscope, on constate que la
couche
épideimique est moins épaisse que celle de la pea
ellules épithô-liales qui se divisent, comme à l'état normal, en deux
couches
: le tissu de la couche dermique est de nature co
se divisent, comme à l'état normal, en deux couches : le tissu de la
couche
dermique est de nature conjonctive. Il est formé
-sique de la peau ; on pourrait même préciser davantage et dire : des
couches
superficielles de cette peau et d'une partie très
ches superficielles de cette peau et d'une partie très-limitée de ces
couches
. » L'auteur termine son intéressante communicat
e est fixée à 2 centimètres. — La pierre est facilement retirée ; les
couches
superficielles molles se brisent, mais les morcea
s habitudes. La pierre (fig. 3) a la forme générale d'un galet; les
couches
superficielles que montre la coupe, sont composée
épithélium, prolongement de celui qui recouvre l'amnios, est formé de
couches
, l'une superficielle, l'autre profonde. Au-des-so
utre profonde. Au-des-sous de ces deux lames épithéliales, existe une
couche
de cellules plates qui les sépare des tissus muqu
roprement dits. « Ces cellules plates sont analogues à celles de la
couche
con-jonctive qui revêt la surface des tendons. »
sus de la prostate, et les deux viscères ne sont séparées que par une
couche
en général assez mince de tissu cellulaire, mais
n dissèque alors la peau et le tissu cellulaire sous-cutané. Ces deux
couches
ne, nous offrent rien de remarquable, si ce n'est
neuses précédemment décrites. Il n'en est pas de même de la troisième
couche
constituée par l'aponévrose fémorale et les muscl
s sur la tumeur absolument comme s'il s'agis-sait du fémur. Ces trois
couches
une fois enlevées, on arrive sur la surface exter
aroi, surtout vers la partie moyenne. Ces caillots ne forment pas une
couche
continue, mais sont irréguliè-rement disposés et
utres, on peut s'assurer que le tissu morbide, après avoir détruit la
couche
calcifiée qui sépare le cartilage de l'épiphyse o
tion des péritonites puerpérales et autres accidents consécu-tifs aux
couches
, la péritonite par rétention du placenta, etc., e
ie du développement des accidents périto-niques pendant les suites de
couches
. L'auteur y réfute, l'une après l'autre, les diff
e ; il ajouta même qu'on devait attendre au moins deux mois après les
couches
pour tenter une opération sanglante. — MM. Blot e
n, au point de jonction, se continue sans tran-sition appréciable; la
couche
corticale, la couche de Malpigbi, ne présentent a
on, se continue sans tran-sition appréciable; la couche corticale, la
couche
de Malpigbi, ne présentent aucun intervalle de sé
se termina très-naturellement, du moins en apparence. Les suit .s de
couche
furent d'abord régulières, bien que la malade se
rtie de la fesse du côté opposé. (Voy. Planche XIX.) Si la femme se
couche
sur le ventre, la tumeur se détache en saillie su
qui se transportent d'un pôle à l'autre sont obligés de traverser une
couche
de liquide plus épaisse. Quelle est l'influence
passer deux courants fournis chacun par quatre éléments à travers une
couche
d'eau de trois centimètres. Les conditions étai
les; seu-lement, pour l'une, nous faisions en même temps traverser la
couche
d'eau par un courant fourni par 20 éléments. Vo
ont été durcies dans facide chromique, on reconnaît facilement que la
couche
d'épithélium épidermique augmente de volume petit
tumeur, elle devint enceinte pour la deuxième fois; et fit une fausse
couche
à six semaines. Il lui est resté, depuis cette ép
qui n'ont point vécu ; d'autre part, elle a en outre fait une fausse
couche
. Il y a 23 ans que madame X. est mariée, et depui
t que par devoir. Madame X. fait remonter à l'époque de sa dernière
couche
l'origine de ce qu'elle appelle sa descente de ma
e injection solidifiable, n'offrait rien d'anormal, au moins dans des
couches
excentriques. La couche moyenne, considérableme
'offrait rien d'anormal, au moins dans des couches excentriques. La
couche
moyenne, considérablement épaisse, 0mm,l, se comp
xpliquer le processus morbide, par une hypertro-phie irritative de la
couche
moyenne à laquelle succéderait une dégénérescence
fungiformes atteignent les dimensions des papilles caliciformes : la
couche
épithéliale est également épaissie. La surface
alement la muqueuse des parties sous-jacentes, sous forme d'une mince
couche
grisâtre. Ce tissu spongieux existe principalem
plaie en train de bour-geonner et se recouvrant peu à peu d'une mince
couche
épider- mique? Cotte question délicate a déjà é
ide) ne jouent qu'un rôle insignifiant; le corps muqueux de Malpighi,
couche
essentiellement vivante, présente, au contraire,
sposés autour de la jointure malade s'atrophient en même temps que la
couche
de tissu celfulo-adipeux qui double la peau devie
aires primitives. Quant au tissu cellulaire sous-cutané, il forme une
couche
plus épaisse, que M. Gubler mesure avec un com-pa
transversale, allant du hile au bord convexe, ce tissu, soit dans sa
couche
corticale, soit dans sa couche médullaire, est vé
u bord convexe, ce tissu, soit dans sa couche corticale, soit dans sa
couche
médullaire, est véritablement criblé de ces mêmes
véritables bourgeons qui tapissent sa face externe; mais bientôt, les
couches
périphériques de ces bourgeons trop éloignées des
à l'œil nu, la face externe de la dure-mére paraît recouverte par une
couche
de pus concret ou de matière tubercu-leuse. Des c
coupes de la membrane ainsi altérée y montrent l'exis-tence de trois
couches
: 1° une couche profonde de tissu demeuré sain ;
brane ainsi altérée y montrent l'exis-tence de trois couches : 1° une
couche
profonde de tissu demeuré sain ; 2° une couche mo
trois couches : 1° une couche profonde de tissu demeuré sain ; 2° une
couche
moyenne constituée par le tissu normal infiltré d
tituée par le tissu normal infiltré d'éléments embryonnaires ; 3° une
couche
périphérique formée principalement de noyaux et d
la tête manque et que nous avons affaire à un acéphalien. Quand on le
couche
, sa longueur totale est de 25 centimètres, dont 1
rieure de la capsule est en rapport en arrière et en haut avec la
couche
optique. A son pied, elle se continue avec les
lui-même aurait été intéressé. Les fibres fines, qui traversent la
couche
optique et se jettent dans la capsule interne,
la ligne médiane. Ces faisceaux extrinsèques, qui passent par les
couches
du centre ovale les plus rapprochées du ventric
hauteur sur quatre points inégalement distants, dont deux sur les
couches
les plus déclives, le troisième sur le milieu de
lement par les fibres qui viennent de la partie postérieure de la
couche
optique (pulvinar et corps genouillés) et secon-
atement au-dessus des tuber- 8 ANATOMIE. cules quadrijumeaux ; la
couche
optique et la capsule interne sont coupées dans
nte de la commissure cérébrale antérieure, et en est séparé par une
couche
de substance grise de quelques millimètres d'ép
rvant à unir celles du septum luci- dum et de la face interne de la
couche
optique. e) Les bords ou segments de la capsule
ce cornet ou genou de Flechsig répond à la partie antérieure de la
couche
optique, et le bord de la base se recroqueville
e plus en avant, passe égale- ment sur l'extrémité antérieure de la
couche
optique. Or, la coupe sagittale faite à 2 centi
te réellement que dans les coupes qui intéressent le mésolobe et la
couche
optique. Dans ces dernières, l'aspect lisse de
st en rapport d'avant en arrière : 24 ANATOMIE. En haut, avec les
couches
inférieures de la troisiè- me frontale, avec la
tale ascendante, et le lobule pariétal inférieur; En bas, avec les
couches
supérieures de la circon- volution externe du l
ux fibres de la commissure cérébrale antérieure et venir former les
couches
les plus élevées de la première temporale. (Voi
de réunion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la
couche
optique (Brissaud, loc. cit., p. 25). En procéd
, noyau lenticulaire. l'L1\CtIE C. i., capsule interne. C. op.,
couche
optique. F. op., fibres optiques. , N. c., no
noyau caudé. V. l., noyau lenticulaire. P, c. oy., Pulvinar de la
couche
optique. PLANCHE IV C, claustrum ou avant-mur
fibres optiques de Gratiolet. N. L., noyau de Luys; pulvinar de la
couche
optique. N. c., noyau caudé. V, v·. St., noya
faction est due à un épanchement de synovie qui s'infiltre dans les
couches
celluleuses profondes et amène de la sorte la t
s qui avaient été recon- nues pour agir chez certaines malades ; la
couche
isolante ne recouvrait que la partie du métal q
ordinaires. La plaque de métal actif, au lieu d'être enduite d'une
couche
isolante, fut simplement recouverte d'une plaqu
até en effet que des plaques de zinc, par exemple, encrassées d'une
couche
épaisse d'oxyde, n'avaient, pour cela, rien per
écrivons, sir Wil- liam Thomson a trouvé que l'interposition d'une
couche
d'oxyde ne modifie pas la tension résultant du
e scie spirale, a pu enlever chez le chien de fortes éten- dues des
couches
corticales dans les lobes cérébraux sans dé- te
pure du cerveau M. Major dit que l'étude comparée des différentes
couches
corticales dans l'état sain et dans l'état d'im
égard, et a trouvé dans les espèces supé- rieures le même nombre de
couches
que chez l'homme. Le De HACK TuiiE demande au D
e. - 2° Il a trouvé certaines différences assez marquées dans les
couches
corticales des imbéciles et des personnes saines
s personnes saines d'es- prit : les seconde, troisième et quatrième
couches
avaient des cellules rondes et d'autres pyramid
in 1882, à l'auteur du meilleur travail relatif aux fonctions de la
couche
optique chez l'homme. Les conditions du concour
re, au contraire, ou circonvolution godronnée, présente de plus une
couche
toute spéciale, caractéristique de cette circon
enferme, lesquels sont très serrés, empiètent dans la substance des
couches
les plus super- ficielles des deux circonvoluti
lorsque le photographe prépare une plaque, s'y étale en une mince
couche
adhérente : on laisse alors (quel- ques fractio
placée sur la lame de verre, où on la fait baigner dans une mince
couche
de glycérine colorée au picrocarmin (moitié gly
e à se condenser sur la plaque de verre, au contact des bords de la
couche
ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 173
muscles sont superfi- ciels, disposés le plus souvent en une seule
couche
, et, par là même, facilement accessibles à l'ex
cipitales avoisinantes. La destruc- tion de la série alternante des
couches
médullaires et corticales qui composent la'corn
un cas d'hémorrhagie cérébrale syphilitique dans l'épaisseur déjà ?
couche
optique, et,, quant aux dans le cervelet, elles
pas dans la tunique externe, .'au niveau de l'endothélium ou de la
couche
immédia- tement sous-jacente,1 mais dans les tu
anglions, cérébraux qu'est son siège de prédilection, c'est dans la
couche
corticale' (42;56 p ! 100). Les'récidivës'd'hém
seuse de' la névroglie, 1 dés cellules' et dêâ' vais~seaux dans les
couches
corticales'etf la 'moelle allongée,"pouvant se
expéri- mentalement démontré les irradiations corticales dans les
couches
superficielles du manteau cérébral. H. DE BOYER.
PLANCHES. p l'anche' Il -1 C. i., capsule interne ? '" C. op.,
couche
optique. j ''T ' F. op., fibres optiques.' ? '
noyau caudé. N, I., noyau lenticulaire. P. c. op., Pulvinar de la
couche
optique. 324 EXPLICATION ' DES ' PLANCHES. PL
d'un foyer ancien du côté de la partie interne et postérieure de la
couche
optique droite. Examen histologique de la moell
mmun, allant vers la dendrite. - Assez souvent on rencontre dans la
couche
périphérique des dendrites sur lesquelles les a
ou 2 appendices collatéraux. - Il faut encore remarquer que dans la
couche
périphé- rique, les dendrites de certaines cell
régulièrement. Mariée à 30 ans ; n'a jamais eu ni enfant ni fausse
couche
. On ne trouve pas de trace de syphilis dans son h
'au niveau de la frontale. Il y a prolifération névroglique dans la
couche
moléculaire. Les cel- lules corticales sont vis
pportée à un des étages supérieurs de l'encéphale (au- dessus de la
couche
optique considérée comme centre de coordination
croisée du cervelet et ces lésions n'ont pas besoin d'intéresser la
couche
optique, comme le déclare Mingazzini, mais l'écor
Une coupe hori- zontale montre un second ramollissement occupant la
couche
optique et qui paraît n'empiéter que très peu à
cellule réduite à un amas de pigment. Hyperplasie de la capsule en
couches
concentriques. - En haut à droite : il n'existe p
é, a un enfant sain de corps, et sa femme n'a jamais fait de fausse
couche
. Reste l'hypothèse d'une syphilis héréditaire.
ans, et 2 garçons. Entre la 2° et la 3e enfant, elle fit une fausse
couche
. Quand on recherche chez notre malade les tares
moelle épaissies, surtout à la face postérieure. Elargissement de la
couche
sons-pie-mérienne de névroglie. Cordons postéri
qu'il devient perméable, et alors il paraît élargi et entouré d'une
couche
formée de plusieurs rangs de cellules. Les ra
sans prolifération conjonc- tive, ayant son point de départ dans la
couche
ganglionnaire de la rétine ; cependant les alté
atrophie optique. Rappelons rapidement quelles sont les différentes
couches
qui consti- tuent une rétine normale ; on compr
réduction progressive du nombre des éléments conducteurs depuis la
couche
la plus externe, couche des cellules sensorielles
u nombre des éléments conducteurs depuis la couche la plus externe,
couche
des cellules sensorielles, jusqu'à la couche la
ouche la plus externe, couche des cellules sensorielles, jusqu'à la
couche
la plus interne, celle d'où partent les fibres mê
, celle d'où partent les fibres mêmes du nerf opti- que ; les trois
couches
qui répondent aux corps des trois neurones sont d
urones sont donc de moins en moins épaisses de dehors en dedans. La
couche
des neurones la plus externe est dite couche de
e dehors en dedans. La couche des neurones la plus externe est dite
couche
de grains externes ou couche granuleuse externe
des neurones la plus externe est dite couche de grains externes ou
couche
granuleuse externe, ou encore couche des grains
e couche de grains externes ou couche granuleuse externe, ou encore
couche
des grains de cônes et des bâtonnets : le prolon-
olongements restent parallèles les uns aux autres et constituent la
couche
dite des fibres de Henle,Kus, ils s'articulent
ent avec les prolongements périphériques et panaches de la deuxième
couche
de neurones ; la zone d'articulation est la cou
s de la deuxième couche de neurones ; la zone d'articulation est la
couche
plexiforme externe, la zone qui contient les co
terne, la zone qui contient les corps des seconds neurones est dite
couche
des grains internes ou des cellules bipolaires
dite couche des grains internes ou des cellules bipolaires : cette
couche
est beaucoup moins épaisse que celle des grains
s. Le prolongement central de ces grains se met en rapport dans une
couche
dite plexiforme interne avec les pana- ches pér
les nerveuses d'où partent directe- ment les fibres optiques. Cette
couche
est très peu épaisse, formée seule- ment de que
307 au sur et à mesure qu'on approche de la papille et une épaisse
couche
de fibres constitue seule la papille avec les v
e fibres constitue seule la papille avec les vaisseaux. Entre ces
couches
.de neurones sont quelques éléments de soutien
rs en dedans, en suivant le sens de la conduc- tion visuelle, les 9
couches
suivantes : 308 LORI pas uniquement ; sur une
alors qu'il en contient t encore un bon nombre. L'importance de la
couche
des fibres optiques est certainement moins enco
la re- cherche de la pathogénie de l'atrophie optique. Les autres
couches
de la rétine ne sont nullement indemnes ; les deu
nés, revenus sur eux-mê- mes, moins longs qu'à l'état normal ; leur
couche
est fréquemment plissée. Parfois ils semblent d
les arron- dies et qui sont sans doute dus a la prolifération de la
couche
des grains externes ; mais la rétine est trop f
u- vent les cônes et les bâtonnets persistent, altérés ou non. La
couche
intergranuleuse est presque toujours diminuée d'é
courtes qu'à l'état normal, mais souvent aussi plus espacées, et la
couche
prend un aspect vacuolaire ; parfois enfin, l'asp
is enfin, l'aspect en fibrilles parallèles caractéristique de cette
couche
disparaît, la couche de Henle se confond avec l
fibrilles parallèles caractéristique de cette couche disparaît, la
couche
de Henle se confond avec la couche plexiforme e
ue de cette couche disparaît, la couche de Henle se confond avec la
couche
plexiforme externe. . Les grains internes sont
inution parait bien plus sensible que pour les grains externes ; la
couche
est parfois nettement subdivisée en deux cou- c
conte- nant que des fibrilles (oeil de Melin... par exemple). La
couche
plexiforme interne subsiste nettement dans tous l
cas ; elle ne subit pas une diminution relative aussi grande que la
couche
intergra- nuleuse. Les vaisseaux de la rétine
HE XL1U' 1. - Rétine normale (Migne). On voit distinctement les 9
couches
avec leur importance respective. On remarquera
leur importance respective. On remarquera ta faible épaisseur de la
couche
des cellules ganglionnaires à l'état normal, alor
des cellules ganglionnaires à l'état normal, alors même (7) que la
couche
des fibres optiques (8) est très épaisse. 1 . C
3. Grains externes, corps des lors neurones, cellules visuelles. 4.
Couche
intergranuleuse. a) Fibres de Henle. b) Couch
es visuelles. 4. Couche intergranuleuse. a) Fibres de Henle. b)
Couche
plexiforme externe. 5. Grains internes, corps d
rains internes, corps des 20. neurones, cellules intermédiaires. 6.
Couche
plexiforme interne. 7. Cellules ganglionnaires
s ganglionnaires (7) sont encore re- lativement très nombreuses. La
couche
des fibres optiques (8) est très diminuée, mais
et le nerf optique contenait encore un petit nombre de fibres. Or, la
couche
des cellules ganglionnaires est presque aussi é
ules ganglionnaires est presque aussi épaisse qu'à l'état normal ; la
couche
des fibres optiques a au contraire presque disp
isparu. Il exisle d'ailleurs une diminution manifeste de toutes les
couches
et notamment les couches des grains internes sont
urs une diminution manifeste de toutes les couches et notamment les
couches
des grains internes sont éclaircies et dédoublé
le temps de la gestation son état avait été déséquilibré ; après les
couches
exaltation, loquacité puis la malade commença à
véritables anneaux fermés. Chaque cercle est constitué par plusieurs
couches
d'éléments calcaires : les couches les plus int
rcle est constitué par plusieurs couches d'éléments calcaires : les
couches
les plus internes sont représentées par des pet
re de fascicules secondaires bien li- mités, on ne voit plus qu'une
couche
à peu près uniforme de tissu fine- ment granule
un fort grossissement montre que chacun de ces nodules est formé de
couches
fibreuses concentriques; de leur périphérie parte
parfois un ou deux globules rouges, complètement enserrés dans les
couches
fibreuses. Quant au tissu granuleux qui forme
86 ans. Elle n'a eu qu'un frère, mort jeune. Elle a eu une fausse
couche
et cinq enfants dont trois sont morts en bas âge
cavité centrale, nulle part tapissée d'épithélium, est bordée d'une
couche
assez étroite de fibres conjonctives agglomérées
montre des fentes diverticulaires du canal central tapissées d'une
couche
continue d'épithélium cylindrique ; à côté, il
l ne reste donc que la périphérie du tractus sous forme d'une mince
couche
hyaline, qui est du tissu conjonctif modifié, et
mou, apathique, a l'oreille tombante ; le cheval méfiant, hargneux,
couche
souvent les oreilles ; celui qui est peureux, c
smale dont lui-même fut atteint. Elle s'est terminée par une fausse
couche
. Jusqu'en 1901. la santé de K... fut généraleme
des cellules épithéliales, l'hyperplasie de la névro- glie et de la
couche
sous-épithéliale, la dilatation des vaisseaux,
émisphère, et même dans le cas de Zingerle il y a compression de la
couche
optique. Un symptôme seul, relevé par la majori
nt soutenu Goltz et son école ; 3° Il existe dans l'épaisseur de la
couche
corticale des centres moteurs et des centres se
urs, et il est probable par conséquent qu'elle est une fonction des
couches
corticales, des ganglions de la base, et du sys
er. La mentalisation consciente est pro- bablement une fonction des
couches
corticales seules. L'importance relative des di
issl dans l'écorce et la substance blanche de la circonvolution, la
couche
moléculaire du manteau gris étant respectée.
. Subitement il devient violacé. Aussitôt on le déshabille et on le
couche
. Il se jette en arrière, les membres supérieurs
le coin, C, est petit. Le corps calleux, CC, le corps strié, CS, la
couche
optique, C0,'et le ventricule latéral n'ont rie
int ni les végétations volumineuses, ni les 122 RECUEIL DE FAITS.
couches
denses de tissu fibreux, qui se voient toujours d
ifférenciées, à tel point qu'il devient difficile de distinguer les
couches
qui apparaissent si nettement à l'état normal,
ramidales, grandes et moyennes, sont très peu nom- breuses dan- les
couches
dites profondes, là où ces éléments sont d'ordi
note nue diminution de nombie des tubes nerveux, qu'il s'agisse des
couches
tangentielles ou des fascicules radiaires. Mais c
e n'a pas subi des modifications bien considérables. Sans doute, la
couche
névrogtique immédiatement sous-pie-mérienne est
. 129 décrites à ce niveau, et les fibres et cellules nerveuses des
couches
correspondantes ont disparu pour faire place au
njonctives et névrogli- ques qui aux abords de la papille occupe la
couche
des fibres ner- veuses, devient moins dense, ma
roïde au niveau du décollement. Voyons succes- sivement chacune des
couches
et étudions les modifications qu'elle a pu subi
izontalement puis s'infléchir pour descendre verticalement vers les
couches
externes delà rétine,' La couche des fibres ner
descendre verticalement vers les couches externes delà rétine,' La
couche
des fibres nerveuses, ne semble plus contenir de
r exemple présentent une notable hypertrophie de leurs parois. La
couche
ganglionnaire présente des altérations extrêmemen
d'une cellule nerveuse irri- tée. Les éléments fibrillaires de la
couche
moléculaire sont diminués en nombre et les mail
Archives, 2« série, t. XVI. 9 130 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. La
couche
granuleuse interne, épaisse de ;i0 li. a quelques
édominent dans la partie externe. Les altérations présentées par la
couche
intergranuleuse sont des LE FOND DE L'(EIL CHEZ
r des intervalles de S à 7 p. remplis par un liquide incolore. La
couche
granuleuse externe, épaisse d'environ HO 1-t ne p
e la figure 19 (en 9), elle ne semble pas exister en d'autres. La
couche
des cônes et des bâtonnets, est le siège d'altéra
désagrégés et leur extrémité libre a disparu. Avant d'étudier la
couche
pigmentaire. nous devons dire quel- ques mots d
l'exsudat, ce dernier se trouvant épanché entre la rétine et cette
couche
. 1,'exstitlai, contient en assez grand nombre d
lumineux enfin on rencontre surtout en abondance des cellules de la
couche
pigmentaire encore bien reconnaissables en Il mai
u libre, leurs granulations dispersées comme en 1 par exemple. La
couche
pigmentaire (16, fig. 19) complètement séparée de
dans notre figure 19. Les cellules épilhéhales qui composent cette
couche
, sont plus ou moins altérées, quel- ques unes p
ésintégration des tissus 5, petit vaisseau Ci paroi hypertrophiée; 6,
couche
granuleuse interne; 7, fibres de Muller formant
et; 14, cello coucllcpi,-mciitaire; 13, débris de cellules de la même
couche
; 16, couche pigmentaire; 17, cellules dépourvue
o coucllcpi,-mciitaire; 13, débris de cellules de la même couche; 16,
couche
pigmentaire; 17, cellules dépourvues de pigment
s d'éclairer la pathogénie du décollement. La membrane vitrée et la
couche
des capillaires ne semblent pas très altérées m
es ne semblent pas très altérées mais il n'en est pas de même de la
couche
des gros vais- seaux; les artères ont leurs par
nés, nous trouvons toujours les mêmes altérations des différentes
couches
; toutefois la sclérose en arcades diminue peu à p
ue peu à peu, et bientôt, à environ un centimètre de la papille, la
couche
intergranuleuse présente un aspect à peu près n
qu'ailleurs et chacun d'entre eux paraît gonflé. Les éléments de la
couche
des cônes et des bâton- nets, sont peu nets, on
. A une plus grande distance encore de la papille, nous voyons ia
couche
intergranuleuse disparaitie; les couches granul
la papille, nous voyons ia couche intergranuleuse disparaitie; les
couches
granuleuses interne et'externe dont les élément
ble. Enfin dans les parties les plus éloignées, toute division en
couches
est impossible, la rétine diminuée de volume, inf
s et représentées figure 2 mais bientôt l'atrophie si marquée de la
couche
intergranuleuse disparaît et l'on n'observe plu
sente jusque dans ses par- ties les plus éloignées de lapapille des
couches
bien distinctes quoique plus ou moins altérées
' n'observait pas comme du côté décollé l'aspect en arcades de la
couche
intergranuleuse de la rétine ni les lésions d'im-
ce sont réalisées par des brides névrogliques de néoformation. La
couche
névroglique qui recouvre la zone moléculaire entr
s étaient prépondérantes, ou tout au moins plus apparentes, dans la
couche
des cellules de Purkinje, qui étaient modifiées
SAVANTES. 241 la disparition quasi totale de l'élément. Dans cette
couche
ainsi altérée apparaissent des noyaux plus ou m
es vaisseaux san- guins dilatés à parois épaissies, entourées d'une
couche
épaisse de petites cellules. Ces lésions vascul
M. de VRirs (d'Amsterdam). La simple mémoire se développe dans la
couche
optique et dans le corps strié. La vue d'un obj
ues dans leur voie vers le centre par des cellules des noyaux de la
couche
optique; de même les fibrilles du nerf acoustiq
ale; jusqu'ici la même chose qui a eu lieu dans un des noyaux de la
couche
optique; mais ensuite nous tâtons l'objet, nous
enfantins, le visage un peu bouffi, le corps enveloppé d'une forte
couche
adipeuse et presque dépourvu de poils ; elle réal
rouve dans nos infirmières des hôpitaux parisiens, mais issue d'une
couche
sociale plus élevée, fille de pasteur, de march
ses grossesses furent toutes normales, normales aussi les suites de
couches
. L'aîné de ses enfants eut des convulsions infa
P. 11E11.1VdL. XVII. Y a-t-il des voies centrifuges qui vont de la
couche
optique à la moelle ? par A. V.1LLE\I3ERG (Neur
i permettent d'affirmer ce qui suit : 1° Les zones spinales de la
couche
optique, contiguës en dehors et en avant à la c
e Elle est siinpleiiierit un peu iiioitis éteii- due en surface. La
couche
etiticulaire, bien dessinée, a subi les altérat
nomalies; en arrivant au tissu conjonctif, elle est arrêtée par une
couche
de noyaux couchés ovoïdes. On ne voit nulle fib
yau lenticulaire, la partie postérieure de la capsule interne et la
couche
optique, a constaté la dégénérescence d'un trac
onsidérablement souffert. De plus. tandis que le noyau médian de la
couche
optique est intact, le noyau latéral contient u
malade reste au lit étendu sur le dos comme » s'il était rivé à sa
couche
. Les membres inférieurs allongés ont leurs orte
orps striés exercent une influence vasomotrice sur l'organe. 9° Les
couches
optiques exercent sur la rate une double influe
purement motrice.- 10° Dans la profondeur du tiers antérieurde la
couche
optique se trouve un centre sous-cortical de la r
on à la période clonique. l'. KEMAVAL. XXSV11. Dégénérescence des
couches
optiques (noie préliminaire , par J.-B. IIL1CII
vérifié à l'autopsie, il existait une dégénérescence manifeste des
couches
optiques et des tubercules quadiijumeaux antéri
acile et se trouve probablement dans la différence de fonctions des
couches
optiques et des tubercules quadrijumeaux antéri
ans, des coliques néphrétiques il y a cinq ans. Elle a fait lausses
couches
, a perdu une fille de t4 mois du choléra infantil
LP, Lobule paracentral. CC, corps calleux. CS, corps strie. CO,
couche
optique. CA, Corne d'Ammon. CH, Circonvolutio
, pal Wijnaenrits SI Le mécanisme de la -, par de Viies, 371.
Couche
optique. Voir Voies centre- fuges Dégénérescenc
Chardon, o34 Voies CE\TI11FUG1 : 1. l'-a-tnl des - qui vont de la
couche
optique a la inoelle ? par Wallenberg, 123. V
ail organique. Depuis plusieurs nuits, la malade ne dort pas, ne se
couche
même pas, et ne cesse de parler à très haute vo
sont plus généralisées, la pie-mère entraîne avec elle une mince
couche
de substance grise, moins épaisse à la vérité que
ce que tous les libies des cordons postérieurs soient parvenus à la
couche
intermédiaire des olives. Plus haut, au point où
us le nom de fibres ara formes, des cercles allongés pour gagner la
couche
olivâtre du côte oppose; beaucoup d'entre eux tra
rdon postérieur; toutes les fibres de ce dernier se rendent dans la
couche
intermédiaire des olives; à mesure que cette co
rendent dans la couche intermédiaire des olives; à mesure que cette
couche
augmente suprà, le taux des fibres des noyaux d
rps restiforme... etc..» En résumé, la moelle épinière fournit à la
couche
intermédiaire des olives ou ruban de Reil du cô
se trouve pas, dans le bulbe, en dedans des grosses olives; dans la
couche
intermé- diaire des olives, il est conligu aux
dons postérieurs poussent donc principalement leurs rameaux vers la
couche
intermédiaire des olives et dans le ruban de Reil
Centralbl., 1885.) . Voici un chat de trois jours. On lui lèse la
couche
optique et probablement aussi les parties conti
cérébelleux droit est un peu plus petit que celui de'gauche ; 8° la
couche
optique est absente. Pour tirer parti de ce cas
he, les cellules ganglionnaires disséminées ou groupées au sein des
couches
profondes des fibres immédiatement adjacentes 8
la portion latérale du pédoncule cérébral ; le noyau latéral de la
couche
optique est en connexion avec l'avant-coin et l
trophie dégénérative du pulvinar, du corps penouillé externe, de la
couche
optique, du tubercule quadri- jumeau antérieur
de dehors en dedans et d'arrière en avant pour disparaitre dans la
couche
intermédiaire des olives. Les trousseaux de fib
s deviennent impossi- bles. N. SKWORTZOFF. X. SUR la FONCTION DES
COUCHES
OPTIQUES CHEZ LES animaux ET chez l'homme; par
analyse de certains faits cliniques, pense devoir affirmer que les
couches
optiques ont une fonction motrice, qu'elles ser
ses expériences : I. En enlevant les hémisphères sans toucher aux
couches
optiques, on prive l'animal de la faculté des m
tement normal. II. La destruction simultanée des hémisphères et des
couches
optiques prive l'animal non seulement de tous l
cris et de l'inquiétude. III. Une irritation électrique directe des
couches
optiques (les hémisphères enlevés ou non indiff
ession des sentiments. IV. Enfin, les animaux dont on a détruit les
couches
opti- ques, mais sans enlever les hémisphères,
nant a la suite d'irritations modérées. V. L'irritation directe des
couches
optiques produit parfois des mouvements choréif
vir à confirmer la théorie de la localisation de la chorée dans les
couches
optiques. A la fin de son ouvrage, l'auteur rap
r- vations dans lesquelles les malades, à la suite de lésions des
couches
optiques, avaient perdu la faculté des expression
ne diminution des cellules nerveuses ganglionnaires dans les deux
couches
optiques, les quatre tubercules quadrijumeaux, le
illé externe droit. Intégrité des tuber- cules quadrijumeaux et des
couches
optiques. Si la malade en question eût vécu, il
ux tubercules quadrijumeaux supérieurs et infé- rieurs ainsi qu'aux
couches
optiques et consécutivement les éléments nerveu
pulvinar, et dans la partie postérieure et ' postéro-interno de la
couche
optique. Quant à la sphère visuelle de Munck, l
ien dans la salle de jour. M. de Gudden. A Munich aussi, un gardien
couche
également dans le quartier de surveillance pour
s, mais accolé à la saillie latéro-dorsale la plus antérieure de la
couche
optique, saillie qui est probablement l'analogu
ement l'analogue du pulvinar. On ren- contre enfin l'atrophie de la
couche
la plus supérieure du tubercule quadrijumeau an
a- duit par rien sur l'écorce. Nerf olfactif. Le centre en est la
couche
glomérulaire, tandis que toutes les autres part
dhérences dans la plaie, vous aurez une atrophie très modérée de la
couche
glomérulaire et de la bandelette olfactive. Che
que du tubercule quadrijumeau antérieur et l'écorce. Sans doute les
couches
supérieures de fibres nerveuses du tuber- cule
re centre du tubercule quadrijumeau antérieur, celui de la deuxième
couche
grise de sa coiffe grise. Le centre de la vue l
ième couche grise de sa coiffe grise. Le centre de la vue lui-même (
couche
grise la plus supérieure) ne saurait être tenu
ien, du chat. Quant au centre primaire du nerf olfactif, quant à la
couche
glomérulaire du renflement olfactif, la section
eint la partie externe de la capsule interne ou l'irradiation de la
couche
optique. Si les animaux ainsi mutilés vivent en
umérés disparaître, du moins pour la plupart. 50 Les noyaux de la
couche
optique sont en partie indépendants de l'écorce e
autres cellules. On peut, par suite, se demander si les différentes
couches
de cellules ne se relient pas à diverses foncti
n est obligé de reconnaître, en ce qui les concerne, le type à cinq
couches
par toute l'écorce. Sans doute sa composition p
re les diverses parties de l'écorce, que partout on trouve les cinq
couches
, mais que cependant tantôt l'une tantôt l'autre
cinq couches, mais que cependant tantôt l'une tantôt l'autre de ces
couches
manque; donc la composition n'est pas uniforme;
vient se buter contre la cloison de la ga- lerie de l'école ; il se
couche
alors sur un banc. La physiono- mie est hébétée
. , DE l'épilepsie PROCURSIVE. 345 Douze enfants et trois fausses
couches
. 4° Garçon, mort à trois mois, en nourrice, « d
née qui auraient corrigé la malformation des pieds ( ? ). 5° fausse
couche
à quatre mois, attribuée à un effort; 6° fille
up ; 8° fille, morte à vingt-six jours, du croup ( ? ); - 9° fausse
couche
de deux mois ; -10° garçon, onze ans, intellige
eluche ; 12° fille morte à dix mois, on ne sait de quoi; 13° fausse
couche
de deux mois ; 14° et 15° grossesse double : au
rveuse est pâle dans tout son ensemble mais surtout au niveau de la
couche
optique et du noyau extra- ventriculaire. Pou
ants, l'un d'eux, un peu nerveux ; sa femme n'a pas fait de fausses
couches
. Aucun traumatisme important. 388 RECUEIL DE
iju- meau antérieur pour gagner la bandelette optique. Les autres
couches
de ce tubercule n'ont directement que peu de rela
avec les fibres optiques. Y a-t-il dans le segment inférieur de la
couche
optique des cellules nerveuses ganglionnaires q
us rectus et uncinatus, des frontales et pariétales ascendantes. La
couche
corticale externe est, en ces régions, surtout
econdairement se sont altérées des cellules nerveuses de la seconde
couche
corticale; intégrité des couches profondes. Nous
es cellules nerveuses de la seconde couche corticale; intégrité des
couches
profondes. Nous passons sur les lésions des cor
des choses extérieures, lésions limitées aux première et deuxième
couches
corticales, et n'affectant pas les mêmes régions
lires si nés qui constituent des pro- longements du treillis de la
couche
spongieuse postérieure; 3° la substance spongie
sses - avec ]ecerveau),parBechterewet L leclisir, 81. Optiques (
couches
), fonction chez les animaux et chez l'homme,
4° garçon mort à 1 mois, de diarrhée, sans convulsions ; 5° fausse
couche
à 4 mois et 1/2, duo à des émotions; 6° fausse
s ; 5° fausse couche à 4 mois et 1/2, duo à des émotions; 6° fausse
couche
due à l'anémie; 7° fausse couche à 4 mois et 1/
1/2, duo à des émotions; 6° fausse couche due à l'anémie; 7° fausse
couche
à 4 mois et 1/2; 8° quatrième fausse couche à i
e à l'anémie; 7° fausse couche à 4 mois et 1/2; 8° quatrième fausse
couche
à i mois 1/2; 9° garçon, âgé de 7 ans. intellig
e 7 ans. intelligent et bien portant; 10° notre malade ; 11° fausse
couche
à 4 mois 1/2, alors qu'elle était atteinte de l
volume moyen d'un grain de chêne vis et disséminés dans les deux
couches
du parenchyme, qui se montre anémié. Le 14 IDIO
s sont particuliè- rement ramollies; à la périphérie, il existe une
couche
encore résistante, d'aspect lardacé.Les deux au
ir toute la largeur du noyau caudé et le sillon qui le sépare de la
couche
optique. Au fond du ven- tricule, sur laparoi e
noyau caudé. Il n'en existe ni sur la queue de ce noyau, ni sur la
couche
optique. Réflexions. Cette observation nous par
les deux cas, même disposition des îlots, même localisation à la
couche
corticale des circonvolutions et au corps strié,
ier et les dé- truire, les éléments cellulaires et tubulaires de la
couche
corticale et secondairement une partiede ceux d
s, de telle sorte que l'ablation des méninges en- traînait toute la
couche
de substance grise et mettait à nu la substance
ssais, et malgré le plus grand soin, on constate que c'est toute la
couche
de substance grise qui suit la pie-mère, laissa
s accidents à la « force du sang » ; ils cessèrent à la suite d'une
couche
. Très active, prompte à se mettre en colère, el
e bien portante, mère de 7 enfants en bonne santé; l'autre morte en
couches
à 47 ans. Un frère mort de fièvre typhoïde].
cris de fureur ; il montre le poing, fait le geste de frapper et se
couche
sur le ventre en insultant quiconque le touche.
'extérieur et la paroi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince
couche
de substance blanche. Les circonvo- lutions du
ue sous forme de deux petits noyaux du volume d'un gros haricot. La
couche
optique est diminuée d'au moins des deux tiers
et déformée. La ; Fig. 2. C, Corps calleux. - CS, Corps strié. z 0,
Couche
optique. LÉSIONS CONSÉCUTIVES. 83 paroi du ve
ariétale ascendantes), et produit une atro- phie considérable de la
couche
optique et du corps strié (Fia- 2 et 3), s'est
, on ne sait de quoi. Deux de ses soeurs ont succombé à la suite de
couches
, la cadette était très nerveuse et avait des at
e fut, en outre, prise de tremblement. Malgré des menaces de fausse
couche
, l'ac- couchement se fit à terme, facile. L'enf
ans la famille.] -Pas de consanguinité. Trois enfants et une fausse
couche
: 1° fausse couche à 4 mois, à la suite d'un ef
as de consanguinité. Trois enfants et une fausse couche : 1° fausse
couche
à 4 mois, à la suite d'un effort ; 2° fille mor
s la famille.] . Pas de consanguinité. Deux enfants et une fausse
couche
: 1° Fausse couche à 3 mois, al occasion de con
Pas de consanguinité. Deux enfants et une fausse couche : 1° Fausse
couche
à 3 mois, al occasion de contra- riétés ; - 2
ur l'hémisphère précédent, elle entraîne avec elle, par places, les
couches
superficielles de la substance grise. Les circo
tre, les circonvolutions et la substance blanche forment encore une
couche
épaisse entre le ventricule et la surface des h
ans, intelligente, pas de convulsions ; 3° notre malade; 4° fausse
couche
à 4 ou 5 mois; 5° garçon, 8 ans, bien portant;
e (Flechsig) et ceux de l'interruption du faisceau sensitif dans la
couche
optique (Von Monakow et 11anhaim) n'est pas encor
es sensitives elles ont un relai au moins partiel au niveau de la
couche
optique. La clinique montre en tout cas que dans
gaire due à des lésions. capsulaires empiétant plus ou moins sur la
couche
, optique et les noyaux du corps strié, les trou
raissait envahi, et à la région frontale la tumeur empiétait sur la
couche
corticale. A la partie inférieure de l'hémisphè
s tangentielles de l'écorce, et atrophie des cellules de la seconde
couche
. Je me réserve de discuter cette question dans
s en question, on constate une structure fibrillaire évi- dente des
couches
marginales, une disposition réticulaire de la s
faisceaux centraux du même étage; de presque toute la région de la
couche
intermé- diaire des olives et du ruban de Reil
en arrière du genou et se continue jusqu'à la partie moyenne de la
couche
optique. Les symptômes ont été de la dysarthrie
maman, parce qu'elle n'aurait pas voulu que j'aille à la mer+ Je me
couche
, je dors, je me réveille + Je travaille, je fai
pro- toplaslique des cellules pyramidales et les dendrites de la
couche
superficielle de l'écorce cérébrale, qui sont ric
s des dendrites terminales, préalablement celles qui traversent les
couches
superficielles de l'écorce cérébrale, se trouve
ent le plus facilement et préalablement celles qui passent dans les
couches
superfi- cielles de l'écorce cérébrale; le proc
enfant qui a vécu. Pas d'autre grossesse. A la suite des dernières
couches
, prolapsus utérin qu'il a fallu contenir par un p
t sur la ligne mé. diane, brûlure profonde ayant atteint toutes les
couches
de l'épi- crane, et allant jusqu'à l'os ; d'une
cellules des cornes antérieures, petits dans les granulations de la
couche
granuleuse du cervelet, très petits dans les fibr
à l'appui, de grandes cellules pyramidales de l'écorce (lapin), la
couche
externe de la substance corticale grise du cerv
chsig), montrent la forme du corps des cellules, la disposition des
couches
de celles-ci, le rapport quantitatif entre les
Figures. Chez un chat de six jours et chez le lapin nouveau-né, la
couche
' intermédiaire des olives, qui ne contient que
tubérance). Chez un chat de trois jours ou de six jours, cette même
couche
intermédiaire des olives s'avance au-dessus de l'
ule quadrijumeau antérieur. Chez des lapins de cinq à huit jours la
couche
intermédiaire des olives se termine à peu près
cercle à conca- vité antérieure, passe dans le centre médian de la
couche
optique et dans les parties mitoyennes du noyau
eloppé chez le chat, le chien, les rongeurs, le centre médian de la
couche
optique n'est pas tout à fait médian (Détails d
et interne de la substance noire et un peu en dehors, au hile de la
couche
optique ; c'est un trousseau peu compact entre
dans la partie postérieure du groupe nucléaire antéro-latéral de la
couche
optique. Le ruban de Reil traverse en assez bon
optique. Le ruban de Reil traverse en assez bon ordre le hile de la
couche
optique, fournit un certain trajet antéro-posté
ment aux segments antérieurs du groupe nucléaire antérieur de la
couche
optique. Voici maintenant un cerveau de chat an
à quatre jours et demi un trousseau de fibres blanches allant de la
couche
optique à la capsule interne. D'ordinaire c'est
onne rayonnante. Il n'existe pas de fibres myéliniques allant de la
couche
optique à la cou- ronne rayonnante. Mais, plus
inique qui, du globus pallidus, par-dessus la face antérieure de la
couche
optique, va au pédoncule antérieur de la glande
s (Bechterew et Tschermak). Les faisceaux de Reil corticaux de la
couche
optique n'appa- raissent point avant le neuvièm
e neuvième jour; à ce moment apparaissent des fibres qui vont de la
couche
optique à la capsule interne. Nous avons vu l'e
la même époque une invin- cible somnolence, elle se lève à midi, se
couche
de bonne heure et souvent encore elle est prise
s la sphère- de tel ou tel sens, phénomène dû à l'hyperesthésie des
couches
grises du cerveau. Ce sont ces phénomènes que
st à ce moment qu'on peut se rendre compte de l'hyper- esthésie des
couches
corticales du cerveau. Dans deux ser- vices seu
as une réaction aussi marquée, et il semble que ce soit surtout une
couche
superficielle de la peau qui soit hyperesthésié
e générale avec trouble du sens musculaire à forme hémiplégique, la
couche
superficielle seule des fibres tan- gentielles
partie postérieure de ce ganglion, dont il n'est séparé que par une
couche
étroite ; à partir de là il forme le segment an
femme, on ne relève pas d'autres traces de sypliilis qu'une fausse
couche
de septmois. Une autre malade eut, en 1884, une p
vait paru mani- fester son action chez la femme que par des fausses
couches
, des accouchements d'enfants morts-nés, et enfi
. Les sujets jeunes per- çoivent mieux que les personnes âgées. Une
couche
épaisse de tissus mous affaiblit quelque peu ce
. L'alcool est venu, l'excitant par excellence; l'éréthisme de la
couche
grise s'est encore développé et a produit les hal
entricule latéral et il existe, entre le foyer et le ventricule une
couche
de substance nerveuse ayant encore une certaine
issent non pas seulement jusque dans la partie antérolatérale de la
couche
optique c'est-à- dire dans la couche nucléaire
la partie antérolatérale de la couche optique c'est-à- dire dans la
couche
nucléaire antérieure de la masse de la couche o
c'est-à- dire dans la couche nucléaire antérieure de la masse de la
couche
optique, dans l'écorce de la couche optique et
re antérieure de la masse de la couche optique, dans l'écorce de la
couche
optique et dans la couche grillée ainsi qu'au c
de la couche optique, dans l'écorce de la couche optique et dans la
couche
grillée ainsi qu'au centre médian (Singer et Mu
(Singer et Munzer, Ferrier et Tur- ner, W. Mott), mais à travers la
couche
optique même, c'est-à-dire qu'un nombre assez c
considérable de fibres sont atteintes dans leur trajet à travers la
couche
optique, entre l'écorce de celle-ci et sa masse
couche optique, entre l'écorce de celle-ci et sa masse (hile de la
couche
optique) et à leur point de sortie, dans leur e
libres qui antérieurement et antéro- latéralement ressortent de la
couche
optique et traversent le pédoncule cérébral, ar
vant surtout de la lame médullaire médiane et latérale ainsi que la
couche
blanche inter- médiaire au putamen et à l'écorc
catégorie de fibres, dites directés, s'échappent latéralement de la
couche
optique, par la coque de celle-ci, pénètrent da
erveau au noyau du cordon postérieur, et passent par la masse de la
couche
optique, et, en partie, par le noyau lenticulai
tie, par le noyau lenticulaire. Ce système entre en rapport avec la
couche
optique par des rameaux latéraux. Il est surtou
bres longues du noyau du cordon postérieur qui se terminent dans la
couche
nucléaire de la couche optique. C'est le systèm
u cordon postérieur qui se terminent dans la couche nucléaire de la
couche
optique. C'est le système thalamique croisé du
riches en fibres qui subissent une interruption momentanée dans la
couche
optique, du système thalnmocortical (Monakow).
93. On trouve un kyste hémorragique dans le segment occipital de la
couche
optique et du pulvinsr, qui a pénétré jusqu'à l
modifiée par Kaes (Neicrolog. Centralbl., 1891). Nomencla- ture des
couches
d'Edinger (Nervoese CcntmIOr;¡al1e, Leipzig, 1896
nte droite. - De bloc en bloc, les fibres tangentielles forment des
couches
de plus en plus four- nies et de plus en plus l
es superradiaires, vers la base de la circonvolution, constitue des
couches
de plus en plus et uniformément touffues du bloc
cette richesse de fibres s'accompagne du rétrécissement de toute la
couche
; dans les deux derniers blocs, la couche est d
étrécissement de toute la couche ; dans les deux derniers blocs, la
couche
est de nouveau large mais presque complètement
au niveau de la partie antérieure de la portion ventriculaire de la
couche
optique gauche; ce foyer dépassait en bas lacouch
rolandique. Après avoir fait remarquer que les altérations de la
couche
optique n'ont aucun rapport avec la motilité du
s ininterrompues et colorées par la solution aqueuse de carmin. Les
couches
optiques et leurs annexes, ainsi que certaines
tats très satisfaisants dans le tronc cérébral, moins bons pour les
couches
optiques, le cerveau ayant été conservé pendant p
eure. XII, fibres radiculaires de l'hypoglosse. ? J pyramide. io,
couche
interolivaire. Noi, noyau jnxta-olivaire intern
l'ds, racine descendante de la Ve paire. Namb, noyau ambigu. io,
couche
interolivaire (diminuée à gau- che). Pli, pyr
t affirmer qu'il y a une réduction de ces fibres des deux côtés. La
couche
interolivaire est plus mince à gauche. Le ruban
eurs. Et même dans le voisinage du centre médian de Luys et dans la
couche
optique les fascicules du ruban de Reil sont en
dans les faisceaux de fibres du noyau ventral, de même que dans la
couche
grillagée. La différence entre les deux côtés n
de modifications saillantes dans la structure de cette partie de la
couche
opti- que. L'anse lenticulaire est normale et
Il en est de même du noyau latéral et du tubercule antérieur de la
couche
optique. * Le corps genouillé externe il gauche
ssi partie de ce foyer de ramollissement. Le noyau postérieur de la
couche
optique (v. Monakow) e généré de même et atroph
halamus. Le foyer de ramollis- sement s'étend comme un coin dans la
couche
ventrale du côté interne. Dans les noyaux inter
ns la couche ventrale du côté interne. Dans les noyaux internes des
couches
optiques les artères sont dilatées et les capil
ogues à celles que nous avons décrites dans les noyaux internes des
couches
optiques. ANÉ'iRYSME DE ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCH
un léger degré-d'atrophie. . La substance grise des noyaux de la
couche
optique à droite, dans notre cas, n'offrait pas
ger n'a constaté aucune différence appréciable entre les noyaux des
couches
optiques à droite et à gauche. Il ne paraît don
laire au niveau d'nn fibrome der- mique ; 1 et 2, épiderme : 3,
couche
superficielle du derme; 4, fibrome dermique ric
rès peu proéminentes. Par sa base la petite tu- meur repose sur les
couches
les plus superficielles de l'hypoderme. Le tiss
meur. En revanche il est moins grossier et plus tassé que celui de la
couche
profonde du derme. A ces éléments fibrillaires
ons constaté la présence de fibres ner- veuses. Les tumeurs de la
couche
profonde du derme et de 1'liyl)odci,me sont de de
trera qu'une ou deux coupes de tubes séparés non plus par une mince
couche
conjonctive mais par une très large bande de ti
tour des poils et des glandes. Il s'agit là d'un fibrome diffus des
couches
profondes du derme. Les tumeurs nodulaires et e
3, 4 nodules juxtaposés. L'ensemble a toujours son siège en pleine
couche
musculaire. La tumeur fait saillie sous la muqueu
sa croyance en cette origine sur le siège de ces tumeurs en pleine
couche
musculaire et sur l'existence dans ces . noyaux
ue nous pouvons dire c'est que ces tumeurs sont développées dans la
couche
musculaire et que vraisem- blablement ce sont d
- pares et sébacées, autrement dit on trouve du fibrome diffus des
couches
profondes du derme. Ne sont-ce pas là des fig
Le stroma de la tumeur est conjonctif et infiltré de sérosité, les
couches
sous-cutanées notamment sonl très oedematiées.
ette. Elle a eu neuf grossesses, dont cinq normales et quatre fausses
couches
Tous ses enfants sont morts en très bas âge ; u
avait de terribles crises de tenesme rectal et vésical. Après ses
couches
, elle ressent comme une ceinture de fer qui l'étr
e assez bien à la surface; on perçoit une certaine mobilité sur les
couches
profondes, mais on ne trouve pas cette sensation
grossesses doubles et même triples est morte à 35 ans de suites de
couches
; elle avait eu successivement six grossesses gé-
gémellaire d'un garçon et d'une fille bien portants avec suites de
couches
excellentes.Le garçon est mort à l'âge de dix-h
maturé, à six mois et demi d'une grossesse gémellaire. Cette fausse
couche
se fit brusquement au moment où la malade revenai
reils splanchniques est à peu près nor- mal. Musculature flasque,
couche
cellulo-graisseuse très réduite. Peau sèche par-
Obs. \1 (Kroenig). Fig. 3. - Obs. VI (Kroenig). 266 JEAN ABADIE
couche
que par un effort de toute son énergie et réussit
le au-dessus de la moyenne; squelette vigoureux, forte musculature,
couche
adipeuse épaisse. Les pupilles réagissent à la
e et sont tous bien portants ; elle fit à la suite une seule fausse
couche
. A la suite de son deuxième accouchement, c'est
i et qui est en parfaite santé. Sa femme n'a jamais fait de fausses
couches
. Il jouit lui-même d'une très bonne santé jusqu
ortante. Elle n'a pas eu d'enfants, mais n'a jamais fait de fausses
couches
. LES OSTÉO-ARTIIROPATIIIES VERTÉBRALES DANS LE
est si abondante en ce point que le malade est obligé d'enlever les
couches
successives avec un canif au moins tous les huit
ns le décubitus dorsal, il est mal il son aise ainsi, dit-il, il se
couche
d'habitude sur un côté. En raison de sa cyphose d
aucune modification no- table de la colonne lombaire. Le malade se
couche
difficilement sur le ventre; il repose alors un
ssède encore un noyau sphérique, vésiculeux, volumi- neux, dont les
couches
périphériques sont condensées en une membrane n
ns toutes les régions du cervelet et l'atrophie porte sur les trois
couches
: la couche molé- culaire, la couche des grains
régions du cervelet et l'atrophie porte sur les trois couches : la
couche
molé- culaire, la couche des grains, la substan
'atrophie porte sur les trois couches : la couche molé- culaire, la
couche
des grains, la substance blanche. Sur les coupes
eau des lobes semi-lunaires et colorés par le carmin en masse. 1°
Couche
médullaire. - Cette couche est constituée par un
es et colorés par le carmin en masse. 1° Couche médullaire. - Cette
couche
est constituée par un réticulum né- vroglique à
t des parois, ni hémorrhagie. Si on considère qu'à l'état normal la
couche
médullaire est constituée par des fibres à myél
ges et très ténues, on peut imaginer que, dans le cas actuel, cette
couche
, dé- pouillée de la plupart de ses fibres nerve
l n'existe ni lésions vasculaires, ni prolifération névroglique. 3°
Couche
des grains. - Les grains sont moins intensivement
ylindres-axes. Les vaisseaux ne sont ni proliférés ni malades. 4"
Couche
moléculaire. - Cette couche comprend normalement
ne sont ni proliférés ni malades. 4" Couche moléculaire. - Cette
couche
comprend normalement : 1° des prolongements pro
amyloïdes existent en assez grand nombre, en certains points de la
couche
moléculaire. En présence de telles lésions, la
émisphères ; on peut en suivre quelques-unes jusqu'aux limitesde la
couche
granuleuse et de la couche moléculaire. 2° No
uivre quelques-unes jusqu'aux limitesde la couche granuleuse et de la
couche
moléculaire. 2° Noyaux gris centraux. - Il a
s rapprochés de la ligne médiane ; on peut les reconnaître dans les
couches
passant au-dessous du corps restiforme, à leur
d'un côté; le hile est presque totalement décoloré de .même que la
couche
la plus interne de la substance mé- dullaire pé
central de la calotte contribuent à former en dehors de l'olive la
couche
externe de la subs- tance blanche périolivaire.
. Les noyaux rouges sont plus petits, leurs cellules conservées. La
couche
optique est un peu moins développée dans toutes
lement se tenir en équilibre sur une seule jambe. Il s'assied et se
couche
seul par terre, mais lentement et maladroitement
nécrobiotique des éléments constituant le manteau gris cérébelleux
couche
des grains et cellules de Purkinje. C'est une a
antes ? c/m«te<M<M : les cellules dePurkiujeetdes différentes
couches
de l'écorce s'atrophient et disparais- sent, pa
ie sera simple (lésion de la capsule interne, du corps strié, de la
couche
optique, dupédoncule) oucompliquée : de trouble
rveau ou au-dessous, la corne sphé- noïdale, la capsule interne, la
couche
optique, le corps strié c'est-à-dire qu'on déte
dehors et c'est la face externe de la coupe qui est représentée. La
couche
optique FiG. 11. CO, Couche optique. SR, Sillon
rne de la coupe qui est représentée. La couche optique FiG. 11. CO,
Couche
optique. SR, Sillon de Rolando. - VL, Ventricule
es enlevant, elles ont entraîné dans toute l'étendue de l'abcès une
couche
épaisse de tissu nerveux. Le pus évacué est ver
de taille moyenne ; sa santé est bonne; elle n'a pas fait de fausse
couche
et n'a pas eu d'enfant mort en bas âge ; la syp
ême après cha- que accouchement. Pour finir, elle a eu deux fausses
couches
. Il n'est pas étonnant que le système utérin se
e ses gros- sesses : trois avortements avant trois mois, une fausse
couche
à huit mois ; le cinquième enfant est notre mal
rfois- de douleurs rhumatismales; la mère n'a jamais fait de fausse
couche
, ses accouchements ont toujours été réguliers. En
des cellules nerveuses est rembourrée par des globules noirs; dans
couches
plus superficielles on peut s'assurer dans le pér
tiennent une grande quantité de pigment ; on peut les voir dans les
couches
su- perficielles de l'écorce cérébrale. Point d
en portant, actuellement soldat. Sa femme a fait ensuite une fausse
couche
de trois mois, sans cause appréciable. Début
t sur la vacuole ; la vésicule n'est plus alors limitée que par une
couche
d'une minceur extrême (Pl. LXXVII, n). Le proce
hromatiques, le noyau encore normal et englobé dans une très petite
couche
protoplasmique baignant dans le liquide vacuola
parole augmentent beau- coup. Il faut alors qu'il sorte ou qu'il se
couche
. Quand il se réveille, il est abattu comme s'il
F et dont il sera question tout à l'heure, n'a jamais eu de fausses
couches
. Voici les renseignements que nous avons obtenu
lle s'est toujours bien portée et attribue son oedème à sa première
couche
à l'âge de 1 ans. Cet oedème avait débuté d'une
après 6 mois 1/2 de gestation. Un an après, elle a fait une fausse
couche
de 4 mois. Elle a un deuxième enfant, actuellem
croup en mars 1891 ; quelque temps après la mère a fait une fausse
couche
de 5 mois 1/2). Le père de Louis X..., âgé de 3
it sain et est mort à 2 ans, du croup ; puis elle a fait une fausse
couche
de 5 mois 1/2. L'enfant, atteint de la maladie de
es racines nerveuses. Les méninges sont toujours épaissies, mais la
couche
sous-pie-mérienne est moins épaissie. Coupe f
es de l'écorce ainsi que des fibres perpendiculaires de la première
couche
, presque au môme degré dans le lobe occipital q
rents endroits agit sur l'impressionnabilité à la douleur : plus la
couche
sous-jacente est ferme, plus vive sera la douleur
ous-jacente est ferme, plus vive sera la douleur. L'épaisseur de la
couche
épidermique a une grande influence sur la sen-
on épidermique est un fait constant dans la maladie : elle se fait-
couche
par couche, et sur les mains par larges lambeaux)
que est un fait constant dans la maladie : elle se fait- couche par
couche
, et sur les mains par larges lambeaux). L'érupt
1 Elle est probablement secondaire à la lésion épidermique, car les
couches
profondes sont moins altérées que les superfici
bénins où la peau a été le siège d'une inflammation moins vive. Les
couches
profondes de l'épidémie se montrent très foncées,
, parce que les cellules n'y sont pas aussi grosses et que dans les
couches
superficielles le protoplasma très abondant pre
ndant prend mal la couleur, tandis que les noyaux agrandis dans les
couches
profondes la fixent davantage. L'exfoliation de
r également l'épaississement anormal de l'épidémie, surtout dans la
couche
de Malpighi. La coupe B à un plus fort grossiss
t plu- . sieurs de ces modifications. On y remarque l'absence de la
couche
gra- nuleuse (moyenne ou kératohyaline) (Pl. V)
ai observer l'abondance du protoplasma des cellules à pointes de la
couche
de Mal- pighi, surtout visible à la partie supé
ue. Dans 1' « epidemic skin disease », les cellules à pointes de la
couche
profonde ne sont pas notablement augmentées de
rofonde ne sont pas notablement augmentées de volume, tandis que la
couche
superficielle contient un grand nombre de gross
l'exté- rieur à l'intérieur, envahissant successivement toutes les
couches
de la peau. Dans un autre cas plus bénin j'ai t
les couches de la peau. Dans un autre cas plus bénin j'ai trouvé la
couche
la plus superfi- cielle seule atteinte. A un
lé- sions sont limitées aux cellules les plus superficielles de la
couche
de Mal- pighi. Le cas de Georges Cockson dont
ésentent rien d'intéressant à noter. Sa mère est morte de suites de
couches
. Son père est bien portant. Il a neuf frères ou
ctuelle. Le samedi soir, 13 octobre 1894, son ser- vice fini, il se
couche
vers onze heures, comme d'habitude, sans avoir ri
r la ligure. Les membres inférieurs sont enveloppés par une épaisse
couche
grais- seuse, sans saillies musculaires. Les fe
e qui remonte sur les faces postérieure et latérale du tronc. Cette
couche
graisseuse fait disparaître les sillons supérieur
nt, qui mourut quelques heures après la naissance. Jamais de fausse
couche
. Deux mois avant son accouchement, elle avait f
put néanmoins conduire sa grossesse jus- qu'à terme. Les suites de
couches
furent des plus simples. 1 t 70 NOUVELLE ICON
ce fait que l'hyperes- thésie réside tout particulièrement dans les
couches
superficielles de la peau. Le mémoire de Fowl
été divisées au bistouri de chaque côté de la crête apophysaire, la
couche
musculaire fut, à la sonde cannelée et à la rugin
ui est mort à 13 mois d'accidents méningitiques ; à la suite de ses
couches
elle aurait eu une péritonite et une phtegmatia
douleurs » de l'entre-côte et du fiel » augmentant, il augmente les
couches
isolantes en se fabriquant d'abord une première
lanc verre, le papier blanc verre servant à la fois à renforcer les
couches
isolantes et à former avec le caoutchouc et la
é dans du papier collé, au-devant des bronches ; ' . 4° Plusieurs
couches
de papier collé, au-devant de la poitrine ;' 5°
es causes extérieures ont plus de prise sur vous », il renforce les
couches
isolantes de sa fameuse cuirasse en caoutchouc,
fameuse cuirasse en caoutchouc, pesant 8 kilogrammes passés, et se
couche
par terre sur un matelas, dans la position assi
r le corps, à l'exception du pubis et des ais- selles ; une épaisse
couche
adipeuse continue d'envelopper les reliefs mus-
MME 221 Membres potelés, effilés de la racine aux extrémités. Une
couche
adipeuse assez épaisse enveloppe tout le corps, e
érieur latéral. 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRIÈRE de la
couche
optique; que les centres du nerf moteur oculaire
cidée. D'aucuns ont prétendu qu'elle indique la participation de la
couche
optique au foyer morbide. Je ne voudrais pas me
té, le siège du foyer supposé, dans notre cas, au voisi- nage de la
couche
optique, pourrait légitimer pareille hypothèse; m
n'a jamais eu de vraie crise.nerveuse. La malade eut son retour de
couches
au bout de six semaines et les règles se montrè
deuxième accouchement arrêt des règles pendant 3 mois, puis fausse
couche
. Pas de retour de couches. Deux mois et demi ap
rêt des règles pendant 3 mois, puis fausse couche. Pas de retour de
couches
. Deux mois et demi après, nouvelle fausse couch
Pas de retour de couches. Deux mois et demi après, nouvelle fausse
couche
. Puis la malade est ensuite réglée régulièremen
emaines, la malade se trouve de nouveau enceinte et fait une fausse
couche
de 3 mois 1/2 sans avoir eu de crises. Peu de tem
3 mois 1/2 sans avoir eu de crises. Peu de temps après cette fausse
couche
arrive une nouvelle grossesse. Cette fois, les cr
mme enceinte de 7 mois ayant déjà eu 5 accouche- ments et 4 fausses
couches
. La malade est admise dans notre service et on pr
rantes; au lieu des noyaux ronds, petits, réguliers, entourés d'une
couche
à peu près invisible de protoplasma, qui consti
musculaire. Celle-ci est seulement rendue moins appa- rente par la
couche
adipeuse sous-cutanée plus épaisse chez 011... qu
dans la pyèle du liquide trouble, de mauvaise couleur et purulent.
Couches
épaisses de pus dans la vessie. La moelle dur
t comprimée de la périphérie au centre. Dans les troncules nerveux,
couches
d'un tissu formé par de grands noyaux fusiforme
jeunes cellules du tissu conjonctif et qui en sont réellement; ces
couches
concentriques comme les couches corticales de l'o
ctif et qui en sont réellement; ces couches concentriques comme les
couches
corticales de l'oignon, ne se distinguent pas d
le chez les paralytiques généraux en question, que les fibres de la
couche
limitante aient diminué ; chez les fous systéma
es, la paroi pos- térieure de la même région semble altérée dans sa
couche
con- jonctive. Cependant, il serait prématuré d
s l'écorce du cerveau. 11 y avait dans l'espèce prolifération de la
couche
externe et production d'une tumeur; au sein de
nt en vain, selon Golgi, à découvrir soit dans la disposition des
couches
stratifiées de l'écorce, soit dans celle de pré-
type général de structure de l'éçorce, c'est-à-dire au type à cinq
couches
(Meynert), En réalité, Golgi ne trouve dans cet
distinctes de cellules : «, des cellules py- ramidales (ll°, 2e, 3e
couche
de Meynert); b, des cel- lules fusiformes (5e c
s (ll°, 2e, 3e couche de Meynert); b, des cel- lules fusiformes (5e
couche
de Meynert); c, des cel- lules globuleuses ou p
des cel- lules globuleuses ou polygonades, à angles émoussés (4e
couche
de Meynert). Mais il n'a pu reconnaître l'exist
(4e couche de Meynert). Mais il n'a pu reconnaître l'existence de
couches
stratifiées nettement isolées. Toutefois, si le
les- quelles ne se trouvent presque exclusivement que « dans les
couches
les plus profondes de l'écorce ». Quant aux cel
ropose de diviser l'écorce cérébrale non plus, il est vrai, en cinq
couches
, mais en trois : 1° en une couche superficielle
non plus, il est vrai, en cinq couches, mais en trois : 1° en une
couche
superficielle (slrulo slflJeJjicia'e) comprenant
resque exclu- sivement de petites cellules pyramidales; 2° en une
couche
moyenne, occupant le tiers moyen de l'écorce, e
les moyennes et grandes, ces dernières surtout au voisinage de la
couche
suivante; 3° en une couche profonde, ou du dern
ces dernières surtout au voisinage de la couche suivante; 3° en une
couche
profonde, ou du dernier tiers de l'écorce, où,
ne correspondent-ils pas aux trois premiers strates du type à cinq
couches
? La seule réforme valable, et qui est bien dan
l, Golgi, qui nie que les divisions de cette région en sept ou huit
couches
(Clarke, Meynert, Huguenin) aient aucun fondeme
ence de cellules pyramidales des trois dimensions, surtout dans les
couches
superficielles et moyennes, de cellules géantes
lules géantes, de grandes cellules solitaires. Ici encore, les huit
couches
du schéma classique me pa- raissent assez bien
pa- raissent assez bien correspondre aux vagues confins des trois
couches
stratifiées de Golgi. Voilà pour les faits d'ob
193 remarquer que par toute l'écorce, on retrouve le type à cinq
couches
, quoique avec quelques variantes dans la dispos
uelques variantes dans la disposition topographique des différentes
couches
de cellules, Mendel répondait que ce sont préci
scularisation plus abondante des deuxième, troisième et quatrième
couches
de l'écorce soit en rapport avec le nombre et l
hi, a publié, sur la structure histologique des corps striés et des
couches
optiques, toute une série d'études bien faites
mie fine du système nerveux '. Dans les corps striés comme dans les
couches
optiques, Marchi a rencontré les deux sortes de
valent dans les corps striés, surtout dans le noyau caudé. Dans les
couches
optiques, où coexistent éga- lement les deux ty
ellules nerveuses coexistent dans les corps striés comme dans les
couches
optiques, Marchi conclut d'abord que des foncti
ire, les cellules du premier type l'emportent décidément dans les
couches
optiques; il y a donc apparence que les fonctio
iniciens savent aujour- d'hui des fonctions des corps striés et des
couches
optiques est trop peu de chose, nous l'avons di
, etc., sont rapportés à l'activité normale ou patholo- gique des
couches
optiques. Les études de Marchi fournissent déjà
elle est à son minimum dans cette région où existe le type à huit
couches
de Meynert. Cette diminution est si rapide qu'e
l'écorce cérébrale : il faudrait déterminer quelle est celle des
couches
de cellules nerveuses stratifiées, ou, si l'on
orce, et dans quelle proportion. Il faudrait étudier chacune de ces
couches
dans leurs éléments cons- titutifs, en noter le
es, du chiasma, des bandelettes optiques, des corps genouillés, des
couches
optiques et des tubercules quadrijumeaux. Il est
déchéance fort accusée et un ramollissement de la face latérale des
couches
optiques. Les ban- delettes optiques sont divis
ptiques sont divisées. La face supérieure révèle que les débris des
couches
optiques sont recouverts d'une traînée informe
ort à huit mois et demi. On constate : une rétraction extrême de la
couche
optique, du corps genouillé externe et du corps
al. Atrophie secondaire de la pyramide gauche, du noyau moyen de la
couche
optique et du tubercule quadrijumeau anté- rieu
montre un foyer exclusivement limité à la partie postérieure de la
couche
optique. - Il est certain que la capsule intern
coupe, on enduit le bloc de la prépa- ration paraffinée d'une mince
couche
de celloïdine; cette couche sèche très rapideme
la prépa- ration paraffinée d'une mince couche de celloïdine; cette
couche
sèche très rapidement; on dissout la paraffine
olution concentrée de dextrine, ou de n'en mettre qu'uneUrès petite
couche
et détacher le surplus avec un morceau de papie
es. Le caur présente de l'épaississement du péricarde, et dans la
couche
située immédiatement au-dessous, on observe des t
ibres des parties internes des cordons de Goll possèdent déjà une
couche
de myéline complètement formée, tandis que les
z les reptiles, les oiseaux, et les mammi- fères, incluses dans une
couche
de substance finement grenue. Les nerfs sensiti
, notre malade. La mère est enceinte actuellement. - Pas de fausses
couches
. Notre malade. - Au moment de la conception, ri
al ainsi que ses parois constituantes : corps calleux, noyau caudé,
couche
optique. Face inférieure. La scissure de Sylv
arde par le ventricule, on constate une atrophie considérable de la
couche
optique et du noyau caudê. A part cette lésion,
seule fois des convulsions très fortes. Après avoir fait 10 fausses
couches
, elle aurait eu un enfant sur lequel on manque
nsanguinité ; inégalité d'âge de 10 ans. Deux enfants et une fausse
couche
: 1° une fille, morte à l'âge de 6 mois, du car
pas de convulsions ; 2° notre malade, et, il y a 2 ans, une fausse
couche
de 6 mois, par rupture de la poche des eaux dan
nes frontale et occipitale nous trouvons le porus déjà étudié. - La
couche
optique, CO, et le noyau caudé, NC, sont sans l
es et en vaisseaux. Ce tissu conjonctif existe abondamment dans les
couches
externes ou superficielles des méninges ; il es
sont, çà et là, en voie de dégénérescence hyaline. . L'examen des
couches
plus profondes de la méninge révèle un autre as
l'énorme infiltration cellulaire que présentent leurs prin- cipales
couches
constituantes. Il est, d'abord, facile de const
constater que le maximum des lésions commence au-des- sous de la
couche
moléculaire externe (couche de fibres tangentie
des lésions commence au-des- sous de la couche moléculaire externe (
couche
de fibres tangentielles). Au niveau de la couch
léculaire externe (couche de fibres tangentielles). Au niveau de la
couche
des petites et des grandes cellules pyramidales
onvolutions moyennement atteintes. Dans d'autres, au contraire, les
couches
ne sont plus reconnaissables; la destruction a
évolution, semble-t-il. Le feutrage néoformé occupe surtout -les
couches
superficielles de la substance grise, tout en p
ect très-particulier : le feutrage .névroglique ne forme plus une
couche
continue ; il s'est creusé çà et là, de lacunes
manquent. Une soeur avait épousé un sourd-muet ; elle est morte en
couches
à l'âge de 10 ans. - Un oncle paternel, bègue.
cipalement du lobe temporal. - La corne d'Ammon, le corps strié, la
couche
optique n'offrent rien de particulier, ainsi qu
xiste pas d'aspect chagriné. - La corne d'Ammon, le corps strié, la
couche
optique sont normaux. Le ventricule latéral est
t demi et beaucoup plus fort. Pas d'oedème. Accouchement à terme,
couche
sèche. - L'enfant a crié de suite ; elle était as
euse, ainsi que la quatrième temporale. Le ven- tricule latéral, la
couche
optique (CO) et le corps strié n'ont rien de pa
ds, les plis de passages rares ou nuls. - Le ventricule latéral, la
couche
optique (CO) et le corps strié n'offrent aucune
it violent, mais ne buvait pas. z Sa mère, vigoureuse, est morte en
couches
11. 33 ans. Grand-père paternel, en bonne santé
idents nerveux ni de migraines, ainsi que sa mère, qui est morte en
couches
. - Il en serait de môme de ses oncles et tantes
conjonctives et les lèvres sont colorées. Sous la peau on sent une
couche
de graisse assez abondante, sans qu'il y ait ré
, circonvolutions temporales. P, coupe du pédoncule cérébral. CO,
couche
optique. NC, noyau coudé. VL, ventricule laté
e. CCC, circonvolutions du corps calleux. CC'corps calleux. CO,
couche
optique. CH, circonvolution de l'hippocampe.
l. CCC, circonvolution du corps calleux. CC, corps calleux. CO,
couche
optique. CI-I, circonvolution de l'hippocampe.
fronto-limbique. NC, noyau caudé. Tr, trigone. Th, thalamus ou
couche
optique. ; 'l'm, tubercule mamillaire. ' P, p
e foyer de centres combinés pour l'expression des senti- ments ; la
couche
optique, en particulier, participe à la réalisati
n des mouvements affectifs ou de l'expression. Quand on excite la
couche
optique, on accélère la respiration en faisant en
ablement les hémisphères ou qu'on les ait auparavant résé- qués. La
couche
optique influence aussi les vaso-moteurs et la sé
cré- tion des larmes. Le rire a donc lieu par l'intermédiaire de la
couche
optique. Le système des fibres, qui relève de c
errom- pant les voies de conjonction entre les zones motrices et la
couche
optique, a empêché l'arrêt volontaire du rire q
s de la sécrétion lacrymale et des vaso-moteurs. Ce sont encore les
couches
optiques et les systèmes de fibres qui servent
ents plans cellulaires de la substance grise corticale, dont chaque
couche
, ainsi que le pensent Horsley et plusieurs autr
oduite dans différentes' directions ne donne ni liquide, ni pus. La
couche
corticale, mise à nu par le détachement des mem
émoire est constituée par une stratification d'impressions dont les
couches
les plus profondes sont les plus anciennes, et
our employer la terminologie de Jackson, un état de dissolution des
couches
les plus supérieures des centres les plus élevés,
e malade est le cadet de la famille. Il est né à ternie, mais les
couches
étaient longues et pénibles. Un jour, étant enfan
uis on la divise en petites masses que l'on enrobe ensuite dans une
couche
de gélatine. Chacune des capsules ainsi obtenue
faire comme les autres, mauvaise tenue en classe, à table où il se
couche
à moitié près de son assiette. Siffle continuel
autres segments de ce même noyau, puis le noyau caudé, et enfin la
couche
op- tique. Les ventricules sont toujours consid
ouvent des corpuscules dits amyloides. La profondeur de la première
couche
cellulaire corticale est ordinairement diminuée
ire corticale est ordinairement diminuée, et la présence dans cette
couche
de nombreuses cellules étoilées, est, comme l'a
nation des mouvements nécessaires à l'opération de manger serait la
couche
optique (Réthi). M. de Bechterew trouve dans le
r serait la couche optique (Réthi). M. de Bechterew trouve dans les
couches
optiques un centre pour les mouvements de l'est
rieures. La section isolée, à l'aide du couteau de de Groefe, de la
couche
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologique
s souvent le foyer de ramollissement occupe soit le centre, soit la
couche
cor- ticale d'un hémisphère ; rarement, dans ce
as : ; ? ' débarrassé des caillots adhérents apparaît couvert d'une
couche
épaisse de tissu adipeux. Les ventricules sont de
l'on rencontre dans cette affection, portant principalement sur les
couches
corticales superficielles, auront pour effet, s
e, soit d'affaiblir, soit de détruire le pouvoir d'inhibition de la
couche
sensorielle. laissant les cellules motrices lib
nt, ou encore dans les mouvements intentionnels. - Si la lésion des
couches
motrices n'est pas assez profonde pour rompre l
avabo (avec une bai- gnoire) et des cabinets d'aisance. L'infirmier
couche
dans le dor- toir des malades, mais il dispose
re est gonflé, décollé par place de la 326 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
couche
sous-jacente; la tunique moyenne devient homogène
des hémorragies interstitielles. Les cellules épi- théliales de la
couche
de 111alpiâhi au niveau de l'oedème sont très p
e la cou- ronne rayonnante émanés du corps genouillé externe, de la
couche
optique, du tubercule quadrijumeau antérieur. C
olution en crochet dans le point où elle touche l'insula, etc. La
couche
optique a des connexions directes, mais exclusive
antérieur et dans le cordon latéral de la moelle dor- sale, en une
couche
ininterrompue qui entoure la substance grise (z
tendre aux résultats généraux suivants. Voici d'abord le tapetum ou
couche
de fibres occupant la paroi latérale des cornes
que de fibres du corps calleux lui-même, et se compo- serait d'une
couche
interne de fibres fines d'un jaune clair, et d'
ait d'une couche interne de fibres fines d'un jaune clair, et d'une
couche
externe, bien plus large, surtout en arrière, de
res épaisses sont commissurales. Plusieurs des premières gagnent la
couche
externe, mais elles sont complètement recouvert
égrité du tapetum dans les cas d'absence du corps calleux. Les deux
couches
passent dans le lobe occipital (Sachs); à la pa
dans le lobe occipital (Sachs); à la partie moyenne de celui-ci, la
couche
interne a une direction antéro-poslérieure, la
celui-ci, la couche interne a une direction antéro-poslérieure, la
couche
externe une direction verticale. Cela vient de
d'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 381 transversalement la
couche
externe du tapetum. Aussi la diffé- rence d'ori
erne du tapetum. Aussi la diffé- rence d'orientation entre les deux
couches
est-elle bien moins frap- pante dans le lobe te
eux systèmes de fibres suivent l'arc d'inflexion du noyau caudé. La
couche
interne s'étend dans la corne postérieure, depu
le lobe tem- poral, elles arrivent, du reste comme les fibres de la
couche
externe, aux parties homologues du segment infé
sales s'entrelacent avec celles du corps calleux. Sur les côtes, la
couche
des fibres s'étale en s'amm- cissant jusqu'au n
du noyau caudé à la base duquel il se termine gra- duellement ; une
couche
interne correspondante visite la .paroi médiane
aroi médiane du lobe occipital présente, du côté du ventricule, une
couche
ininterrompue de fibres du corps calleux ; en a
antéro-iatératement pour former en cet endroit l'ancienne quatrième
couche
de Meynert dans la substance innominée. Et l'on
oduit pas de dégénérescence du ruban de Reil quand on a épargné les
couches
optiques. Le ruban de Reil ne va donc pas direc
ban de Reil ne va donc pas directement à l'écorce, il passe dans la
couche
optique (théorie de Mahaim). P. K. XLVII. DES p
ns de la région sublhalamique, et peut-être les zones basales de la
couche
optique notamment le globule pallidus du noyau
érie, à travers les neurones de la moelle, du bulbe, etc., dans les
couches
corticales. Nous nous sommes efforcé d'accu- mu
s points d'autres neurones conduisent l'impression sensible dans la
couche
optique, de la couche optique par un nouveau ne
ones conduisent l'impression sensible dans la couche optique, de la
couche
optique par un nouveau neurone dans le cerveau,
dans les noyaux grêles, cunéiformes, etc., dans les neurones de la
couche
optique dont l'extrémité cylindraxe vient se mett
récédents, dans les neurones de l'écorce qui unissent à celle-ci la
couche
optique, etc. Mais si la dégénérescence primiti
une cellule dont le prolongement cylindraxe va se terminer dans la
couche
optique, et dont les dendrites se mettent en co
substratum est dur, plus violente est la douleur.-L'épaisseur de la
couche
épidermoïde exerce une grande influence sur la
opposé, mais c'est parce qu'alors il y a lésion concomitante de la
couche
optique du même côté qui est la voie de communi
façon d'un globe creux, ils sont en continuité au moyen d'une large
couche
optique intermédiaire. Chacun d'eux est aussi a
opposé. La bandelette optique correspondante est recouverte d'une
couche
de fibres bien conservées assez uniformément disp
s la substance grise de la paroi latérale du cerveau intermédiaire (
couches
optiques) qui, en dedans du corps genouillé tha
osité donnât naissance aux fibres optiques qui se terminent dans la
couche
granuleuse interne de la rétine à l'état de ram
a respi- ration, par de Bechterew et Os- tankow, 226. La - et les
couches
optiques, par de Bechterew, 226. Délirante. E
dire ainsi, en ce sens que sur une hauteur déterminée toutes les
couches
du vaisseau se sont transformées en un maigre tis
ibres élastiques et cellules musculaires des membranes extérieures,
couche
lamellaire de la membrane interne, tout est dis
cellule, il y a des alté- rations profondes des fibres fines de la
couche
superficielle de l'écorce, des fibres myéliniqu
ue réduits à leur cylindraxe ». Cette prolifération nucléaire des
couches
corticales dans les lésions avancées se propage
ues. Elle est mariée, mère d'une fille bien portante. Pas de fausse
couche
. Le commencement de la maladie remonte à l'été
N'a jamais eu de maladie vénérienne. Pas d'enfant, pas de fausse
couche
. Son mari est chez un marchand de vins, mais ni
pupillaire. a Mariée à 35 ans, n'a jamais eu d'enfant ni de fausse
couche
. Pas 'de maladie vénérienne. En 1887, elle buva
ent ? Une partie du ruban de Reil se termine probablement dans la
couche
optique ; après avoir traversé transversalement l
irectement en dendrites finales. Les cellules de cette région de la
couche
optique sont indubitable- ment reliées à la par
es des trous- seaux latéraux du ruban de Reil principal) va, par la
couche
optique, directement à la capsule interne. P. K
ule est le noyau avec son nucléole ; autour du noyau, se trouve une
couche
concentrique d'éléments chromatophiles qui, à l
e dans les noyaux lenticulaire et coudé du côté droit, et dans la
couche
optique du même côté. Deuxième cas. - Un homme,
res; - f. III. l'anyemenls; - 'I'. IV.' Soins adonner aux femmes en
couches
. Soins à donner aux aliénés. Petite pharmacie. Pe
ndre l'action irritative de la méningite sur la corticalité, que la
couche
la plus superfi- cielle de l'écorce, la couche
corticalité, que la couche la plus superfi- cielle de l'écorce, la
couche
des fibres tangentielles, celle qui est immédia
ans, l'autre sept ans après Son mariage. Il n'y a pas eu de fausses
couches
. Aucun signe pouvant faire songer à la syphilis s
au toucher, sèche, légèrement par- cheminée et couverte d'une mince
couche
de fines lamelles épider- miques argentées. Les
eu très probablement la syphilis donnée par son mari. Pas de fausse
couche
. Cinq mois avant son entrée D... Cécile perdait
détruites. Au milieu, comme en un tronc d'arbre coupé, on voit une
couche
jaune, la pulpe, entourée d'un tissu blanc gris
ur son début. Les ongles des doigts présentent une stratification à
couches
friables, ils sont jaunes. Dents légèrement usé
imaux (macaques, chiens, chats, lapins, cobayes, boeufs, poules) la
couche
granuleuse superficielle fait souvent défaut; l
poules) la couche granuleuse superficielle fait souvent défaut; la
couche
granuleuse profonde n'existe pas, sauf chez le
ant centre vaso-moteur des vaisseaux cérébraux existe sous forme de
couche
diffuse placée entre le thalamus et la région s
deux lobes. Noyau rouge droit légèrement plus petit que le gauche.
Couche
optique gauche beaucoup plus petite que la droi
rement les grosses cellules pyramidales de la deuxième et troisième
couche
. Un neurone sur 5 environ était flétri avec ami
tion artificielle, etc., etc.); T. IV. Soins à donner aux femmes en
couches
. Soins à donner aux aliénés. Petite phar- macie
pf m'enveloppait, je la voyais, je la sen- tais ; c'était comme une
couche
de quelque chose de mauvais* conducteur qui m'i
re des polyaxones dans les ganglions viscéraux du sympathique, la
couche
moléculaire du cerveau (cellules de Cajal). Mais
sans se bifurquer (corpuscules de Vater, fibres paral- lèles de la
couche
moléculaire du cervelet, etc.), soit en se rami-
ondamentale aurait une structure alvéolaire. En particulier dans la
couche
marginale, libre de granules, de fines granulatio
et van Gehuchten ont en effet trouvé ces éléments : ils occupent la
couche
moyenne de ces ganglions; ce sont de petites ce
l y Cajal conjecture que ces fibres agissent sur les cellules de la
couche
ganglionnaire de la rétine, non pas directement
ngements proto- plasmiques des spongioblastes, si abondants dans la
couche
molé- culaire interne de la rétine : « On peut
s fonctions de ces fibres centri- fuges, à quelque influence sur la
couche
du pigment ou sur la nu- trition de la rétine.
fibres de ce nerf se terminent, au moins en grande partie, dans la
couche
moléculaire ou superficielle de l'écorce. Or, p
t, ces fibres émettent nombre de collatérales qui pénètrent dans la
couche
moléculaire et qui s'y arborisent tout à fait d
tivité des excitations nerveuses ». THÉORIE DES NEURONES. 385 Les
couches
superficielles de l'écorce du cerveau et du cerve
prolongements nerveux souvent multiples, qui appartiennent à cette
couche
, etc. De même, dans l'écorce du cervelet, la co
iennent à cette couche, etc. De même, dans l'écorce du cervelet, la
couche
moléculaire est jusqu'à sa surface traversée pa
au moins ceux de la racine olfactive externe, s'arborisent dans les
couches
superficielles des territoires corticaux, là où
la peau environnante, dans une assez grande étendue, d'une épaisse
couche
de coton bien arrosée de liniment oléo-calcaire
âgée de trente et un ans. Hérédité psychopathique. Les dernières
couches
eurent lieu le 25 mars 1896 ; la ma- lade allai
t que le cervelet et la tige cérébrale, avec corps quadrijumeaux et
couches
optiques difformes et couverts de méninges; qua
isceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux jusqu'aux
couches
optiques, les faisceaux de Gowers jusqu'à la prot
de connexion entre le cervelet et les noyaux de la tige cérébrale (
couche
optique et noyau lenticulaire), l'auteur considèr
comme un trouble d'équilibre dans les fonctions établies entre les
couches
optiques et le cervelet. La soustraction du sys
braux; on peut suivre de la dégénération de ces faisceaux jusqu'aux
couches
optiques. De ces observations, l'auteur tire le
femme n'a jamais UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 435 eu de fausse
couche
. Il n'est pas rhumatisant, n'a jamais eu de fiè
hnomorplie ; telle autre est pâle, surtout à la paroi externe de la
couche
olivaire; dans certains cas le cylindraxe est d
es fibres qui vont de la région frontale supérieure ou moyenne à la
couche
optique. Donc, toute dégéné- rescence secondair
consécutive à des lésions frontales, dans la racine antérieure delà
couche
optique, indique que la région pré- fontale est
optique, indique que la région pré- fontale est en rapport avec la
couche
optique, aec plzc>w; il n'y a que des lésion
ation dans toute leur étendue s'unissent avec le noyau médian de la
couche
optique, par quelques fibres de projection isol
ères seusorio-corticales, tant que le rapport du noyau médian de la
couche
optique avec les conducteurs senso- riels ne se
rieure de cette masse grise, montent en haut et en arrière dans la
couche
optique, passent par la capsule interne, et le se
t par le tronc du cerveau entier, et peuvent être suivis jusqu'à la
couche
optique. Le trajet du faisceau de Gowers est,
ginales du cordon latéral de la moelle cervicale et probablement la
couche
optique. Un autre trousseau tbalamospinal parti
tête des coussins remplis de paille et en les recouvrant d'uneléère
couche
demousse. Toutefois, on fera bien d'économiser
lorsque le lit est rempli uniquement de mousse. Le lit préparé, on
couche
le malade en plaçant la tête sur un oreiller or
s immédiatement sur la mousse. Trois fois par jour, en enlève les
couches
salies de mousse et on les remplace par des cou
, en enlève les couches salies de mousse et on les remplace par des
couches
propres. Pendant ce temps on met le malade sur
t que pendant toutes les manipulations nécessaires pour enlever les
couches
salies de mousse, aucune mauvaise odeur ne se rép
uccèdent au rap- pel de la vie chez les pendus, par Kompe, 498.
Couche
optique. Anatomie de la racine antérieure (le l
cette dernière maladie, elle n'a jamais été alitée que pour quatre
couches
qui se sont passées sans incident. Ses règles éta
f, sur le vivant, peut s'accuser encore très nettement à travers la
couche
musculaire mince et étalée que représente le gran
fois telle qu'en enlevant l'os, il est arrivé de le fracturer. La
couche
compacte de la diaphyse est parfois nettement dim
ent parfois très accusé des canaux de Havers, la di- minution de la
couche
compacte de l'os, et la raréfaction du tissu spon
rimitif de la Personnalité, mis au jour par le bouleverse- ment des
couches
supérieures de notre stratification psychique.
et bien fournis, mais les fibres sont d'une ex- trême minceur, les
couches
cellulaires sont tassées ; les éléments en sont n
a pas de surcharge pigmentaire. 90 Autres cellules nerveuses. - a)
Couche
moléculaire, très diminuée de hauteur, sans dou
prolongements des cellules de Pur- kinje qui se perdent dans cette
couche
. De plus, les cellules nerveuses de cette même
nt dans cette couche. De plus, les cellules nerveuses de cette même
couche
sont petites, souvent étoilées, moins nombreuse
égulières en stries ou en colonnes, qu'on observe normalement. b)
Couche
des grains. Qu'on examine ces grains un à un, ou
et riches en fibres myéliniques) portant sur les fibres fines de la
couche
des grains, sur le faisceau axial de chaque lam
111 : ftÉDO-ATAlIE CÉRÉBELLEUSE 137 de Purkinje et ses différentes
couches
de l'écorce s'atrophient et dispa- raissent, sa
larges espaces. Les filaments qui relient la paroi du vaisseau à la
couche
sclérosée qui borde l'espace périvas- culaire,
eau de la calotte protubéran- tielle immédiatement en arrière de la
couche
des fibres sensitives, au-des- sous de l'entrec
aissé (fig. 1). · Le tuberculome dans sa hauteur, sans atteindre la
couche
optique, faisait lé- gèrement saillie dans le p
existence des lésions destructives dans le ruban de Reil et dans la
couche
optique gauche. Dans les derniers jours de la v
ouva à l'examen microscopique un petit tubercule sié- geant dans la
couche
optique du même côté. Or dans le cas en question,
che optique du même côté. Or dans le cas en question, c'est bien la
couche
optique qui doit être incriminée; Edinger, Mann,
tres montrent leurs cellules proliférées et disposées sur plusieurs
couches
. A mesure qu'on approche du centre cette prolif
immédiatement frappé par le grand nombre de corpuscules calcaires à
couches
concentriques. Ces cor- puscules très brillants
e, moins long, mais plus large, occupe le quart antéro-externede la
couche
optique. Tubercules mamillaires et glande pinéale
mie avec palpitations à la puberté. Elle n'a jamais fait de fausses
couches
, et ses enfants sont nés à terme et bien constitu
infiltrée de globules de sang et de pus ; elle est recouverte d'une
couche
de pus. Les vaisseaux et surtout les veines ont
e MÉNINGO-ENCÉPHALITE DIFFUSE ET HÉMIATROPHIE CÉRÉBELLEUSE 235 se
couche
en sphinx, le corps légèrement incliné à droite.
tie la plus su- perficielle du cortex une bordure épaisse; toute la
couche
moléculaire est en- vahie par de grosses cellul
autour du noyau. La névroglie est hy- perplasiée par places dans la
couche
moléculaire. 2° Lobe gauche. Les lésions inflam
'un tissu de sclérose névroglique avec conservation partielle de la
couche
de grains. Partout, les vaisseaux sont atteints
strués par des cellules embryonnaires. Fig. 2. Lobe frontal gauche,
couche
moléculaire. Prolifération névroglique (méthode
e il s'agit d'un épanchement liquide plus ou moins profond dans les
couches
anatomiques de la peau, lequel liquide se résor
s rapporter les observations et entre les deux premiers, une fausse
couche
de 3 mois. Actuellement c'est une femme de peti
nner en nous basant sur les crises convulsives du père, les fausses
couches
et les tibias de la mère, l'état du fond d'ocil
surtout à la partie postérieure. Là, les vaisseaux constituent une
couche
sur plusieurs assises, couche com- pacte qui re
re. Là, les vaisseaux constituent une couche sur plusieurs assises,
couche
com- pacte qui remplit presque tout l'espace in
plit presque tout l'espace inter-méningé. Mais l'épaisseur de cette
couche
vasculaire ne provient pas seulement de la format
portantes. Elle ne renferme plus, sauf excep- tion, les différentes
couches
habituellement décrites : une assise génératrice
381 les assises du corps de Malpighi ; ce qui existe seul, c'est la
couche
cornée, disposée en assises, plus ou moins nomb
examine des champs de plus en plus voisins de la tumeur, on voit la
couche
génératrice perdre peu à peu ces caractères : ell
nct, le plus souvent, de la tumeur sous- jacente. L'existence de la
couche
cornée a été vue et nettement mentionnée par Zi
cohérent, dans lequel prédominent nettement les vaisseaux. Cette
couche
vasculaire se retrouve sur toute la périphérie de
V-E). L'interprétation de ces dispositions s'impose à l'esprit : la
couche
vasculaire correspond nettement à la gaîne péri
gion superficielle correspondant à la pie-mère; au-dessous de cette
couche
, est disposée une masse assez compacte où prédo-
e ou deux, puis mises dans un cristallisoir et baignées d'une haute
couche
(2 travers de doigt) de collodion non riciné et
oncentre peu à peu. Quand il commence à durcir on le recouvre d'une
couche
d'alcool à 90°. Le collodion. durcit en quelque
emier coup. D'autres fois il faut le chercher au-dessous d'une légère
couche
de myéline qui le recouvre. Il apparaît comme
raxes et de nombreux prolongements protoplasmiques. Enfin dans la
couche
toute superficielle les fibres de névroglie forme
bles. Depuis que le malade s'est alité, il n'a jamais pu quitter sa
couche
. Lorsqu'il avait des douleurs, il avait l'habit
tent nettement et, vers le bas, commencent à se calcifier. Ces deux
couches
forment ensemble une mince zone bleuâ- tre tran
mince zone bleuâ- tre translucide de 1 à 2 millimètres d'épaisseur (
couche
chondroide). c) Ligne d'ossification (Couche os
llimètres d'épaisseur (couche chondroide). c) Ligne d'ossification (
Couche
ossiforme). Elle se présente comme une mince zone
stitueront l'os définitif. 2° OM ? ca<K) ? ët' : os<<e. La
couche
ostéotçène est constituée par une substance fon
persistantes (d) qui, mêlées aux travées os- seuses, constituent la
couche
ostéoide. Fio. 12. Dysplasie périostale. b) z
t calcifiée. Fio. 15.- Achondroplasie. Ossification périoslale p)
couche
fibreuse du périoste. o) couche régulière des ost
oplasie. Ossification périoslale p) couche fibreuse du périoste. o)
couche
régulière des ostéoblastes tapissant les travée
éralement épais et riche en cellules, mais ne recouvre qu'une mince
couche
de tissu compact. De sa face profonde partent d
régulière- ment disposées sous le périoste et ne constituent qu'une
couche
discontinue (voy. pl. LVI, fig. 19). Dans le
et formés par une masse de cellules indifférentes entourées par une
couche
ectodermiquecomplète.Pendantla semaine suivante
Dejerine (fig. 407, anatomie des centres nerveux), on voit que les
couches
superficielle et profonde de l'étage antérieur de
'y a pas la plus petite lésion. Corticalité cérébelleuse. Les trois
couches
de la corticalité cérébelleuse sont atrophiées
e les cellules de Purkinje conservées sont en plus grand nombre. La
couche
intermédiaire se fait remarquer non seulement p
ique ; les noyaux de glia y sont très nombreux et y constituent une
couche
à épaisseur irrégulière presque ininterrompue :
ncore existantes ou en voie de disparition. La partie interne de la
couche
moléculaire contient encore un nombre dis- cret
t encore un nombre dis- cret de fibres nerveuses. Le feutrage de la
couche
granuleuse et le feutrage sous-purkinjien sont
x entourés d'un large anneau de glia et les septa qui partent de la
couche
sous- pie-mérienne beaucoup plus épais que d'or
ussi une paroi plus épaisse et plus homogène qu'à l'état normal. La
couche
névroglique sous-pie-mérienne forme une lisière a
ules de Purkinje et augmentation de la nevroglia au niveau de cette
couche
; dégénérescence de différents fais- ceaux dans
fférents fais- ceaux dans la moelle; lésion de la pie-mère et de la
couche
névroglique sous-pie-mérienne ; lésions vascula
nt bien portants et bien conformés. Sa mère est morte des suites de
couches
au moment de sa naissance ; son père, très vigour
Les cellules cartilagineuses sont beaucoup plus nombreuses dans les
couches
profondes de la lamelle que dans la zone superf
dans la zone superficielle. Au-dessous de ce cette bande existe une
couche
, six à huit fois plus épaisse, qui est composée
encore des groupes de cellules cartilagineuses qu'entoure une mince
couche
de substance hyaline. Toute la surface du massi
rquer par son abondante vascularisation. En résumé, il existe une
couche
de cartilage hyalin comparable par sa struc- 63
la tumeur, dans le reste de sa superficie était revêtue d'une mince
couche
d'os compact, précisément comme dans s les cas
tance assez relative. La superficie des exostoses est revêtue d'une
couche
mince d'os (1) \Ve.Tnan, loc. cit. 644 SlhioN
épendymaires sont conservées en majeure partie et recouvertes d'une
couche
de détritus protoplasmatiques contenant des mic
otoplasmatiques contenant des microbes divers. L'épendyme forme une
couche
d'un millimètre et demi d'épaisseur, formée de fi
tal les cel- lules épendymaires ont disparu en quelques points ; la
couche
superficielle se compose de cellules rondes et
. 5) de quelques millimètres d'épaisseur. Séparés de ce pus par une
couche
de tissu très infiltrée on voit tous les vaisseau
Les plexus cho- roïdes sont à ce niveau recouverts par places d'une
couche
épaisse de pus, mais eux-mêmes ne participent p
une série d'altérations similaires mais plus accentuées encore. La
couche
des grains est entourée de vacuoles très volume-
aladie au cours de sa vie, a mené à bien sept grossesses, sans fausse
couche
intercurrente ; elle a été mariée à un homme de
parties de la peau, à l'exception des assises superficielles de la
couche
cornée qui persistent et constituent autour de la
ue : une période d'acmé, et une période de régénération osseuse. La
couche
corticale externe de l'os trahit une résistance
grands parents. Sa mère est morte à trente-quatre ans, de suite de
couches
. Le père est mort d'accident. Rien à signaler c
ans, est atteinte du tabes dorsalis depuis six ans. Eut une fausse
couche
. ^Marche bien et n'a jamais présenté de. l'inco
ée. Mue Lem..., ménagère, âgée de trente-neuf ans, mariée, fausse
couche
il y a dix-sept ans. Pas d'enfants. Fut prise au
nts de vingt-quatre, vingt et un et quatorze ans. Eut trois fausses
couches
. Au commencement du mois d'octobre 1898 la mala
ont les fibrilles sont transverses ou obliques, tantôt groupées par
couches
, au nombre de deux ou trois, dont la plus inter
grossesse, le ptyalisme s'est prolongé neuf à dix jours pendant les
couches
. Il y a quelques années, elle est atteinte sans m
o-glandulaire du suc gastrique est exclusivement nerveuse. D. - Les
couches
optiques et les tubercules quadri junteatcx ant
en évidence par l'atrophie dite parenchymateuse du cervelet, d'une
couche
cellulaire innommée de la corticalité cérébelle
d'Unna, montre que la disparition des cellules de Purkinje et de la
couche
des grains met en vue une couche cellulaire jusqu
des cellules de Purkinje et de la couche des grains met en vue une
couche
cellulaire jusque-là non décrite. Dans les phot
ns les photomicrographies présentées par les auteurs, on voit cette
couche
de cellules apparaître au sur et à mesure que l
les grains se raréfient. Elle apparaît à la partie extérieure de la
couche
des grains, formée par des cellules dont les noya
s-unes de ces cellules sur un cervelet normal, à la limite des deux
couches
moléculaire et granuleuse autour des cellules de
Purkinje, pensent qu'il s'agit de grandes cellules étoilées de la
couche
des grains, cellules qui s'étendent jusqu'à la pa
grains, cellules qui s'étendent jusqu'à la partie pro- fonde de la
couche
moléculaire, comme l'ont démontré Golgi, Ra- z
t déjà pu voir qu'elles sont décélables par le carmin sous forme de
couche
continue ; mais c'est la méthode de Nissl qui l
especterait seulement les cellules de relation, si toutefois, cette
couche
innommée est celle des cellules de relation de
nnelle secondaire pour les grains et les cellules de Pur- kinje, la
couche
innommée, probablement de cellules de relation,
e l'écorce d'un foetus de chien presque à terme, on distingue trois
couches
: une couche supérieure super- ficielle, très é
n foetus de chien presque à terme, on distingue trois couches : une
couche
supérieure super- ficielle, très épaisse, compo
en rangs serrés per-. pendiculaires à la surface de l'écorce ; une
couche
très mince inférieure ou profonde, à la limite
nce blanche; qui se compose d'éléments fort semblables à ceux de la
couche
supé- rieure ; une couche moyenne, qui prend de
e d'éléments fort semblables à ceux de la couche supé- rieure ; une
couche
moyenne, qui prend de l'ampleur aux dépens 150
des deux autres, et comprend des éléments plus développés. Cette
couche
est la plus colorée, les éléments y sont moins no
ulbe et de la protubérance, tandis que les éléments des deux autres
couches
sont plus semblables aux noyaux secondaires. On
emblables aux noyaux secondaires. On trouve cependant aussi dans la
couche
moyenne des noyaux secon- daires qui s'applique
pour leur former un bonnet. Les cordons de cellules qui forment la
couche
supérieure se transforment en cordons de fibres
transforment en cordons de fibres, dont chacune pénètre dans les
couches
profondes, atteint un noyau primitif, et se parta
en décrivant des arcs de cercles à concavité postéro-externe, à la
couche
médiane de l'aire du faisceau de REVUE D'ANATOM
antes, dans la partie supérieure de la moelle cervicale, forment la
couche
médiane du faisceau de Gowers. 11 est aussi pro
res des régions de l'autre côté éloignées du centre, tandis que les
couches
médianes du même faisceau sont en grande partie
me intérieur du cordon latéral de Ziehen : ce dernier monte dans la
couche
limitrophe externe de la substance grise et dan
ATHOLOGIQUES. plus nette au niveau du bulbe, qui tient à ce que ses
couches
mé- dianes émanent des neurones voisins du cent
es couches mé- dianes émanent des neurones voisins du centre et ses
couches
externes, des neurones éloignés. D'après les po
ble, ne vont que jusqu'au toit des tubercules quadrijumeaux et à la
couche
optique. La même distance est parcourue par les
sement des travées osseuses et irrégularité dans la disposition des
couches
des cellules cartilagineuses du cartilage d'enc
tamment sur le trajet des sillons. Légère hydrocéphalie externe. La
couche
corticale est quelque peu amincie, surtout dans
e). Prolifération des noyaux de la substance névroglique dans les
couches
corticales profondes, avec tuméfaction des cellul
ndes, avec tuméfaction des cellules névro- gliques en plus dans les
couches
superficielles et dans la subs- 164 ' SOCIÉTÉS
uis me dit spontanément que depuis la mort de sa mère, dès qu'il se
couche
le soir et ferme les yeux, il se sent étouffé,
. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec dégénération des
couches
cellulaires profondes de l'écorce, et diagnostiqu
traverse la joue en trois minutes. Elle semble ne pas traverser une
couche
musculaire de un centimètre d'épaisseur, ou plutô
tre d'épaisseur, ou plutôt on peut penser qu'après avoir pénétré la
couche
en question, elle a perdu son action sur les pe
de la diallièse syphilitique laquelle se manifesta par une fausse
couche
de sa femme non contaminée. Du délire de Grosse
al. Peu après cet examen, la malade se sent mal à son aise; elle se
couche
et, à peine au lit, elle est prise de convulsio
de se plaint toute la'matinée de vertiges et de ma- laise ; elle se
couche
vers midi, sans vouloir rien manger. A 2 h. 1/2
pres- crit de se mettre au lit, elle se déshabille toute seule, se
couche
et se tient tranquille, sans cesser de répondre
us forme de filaments, plus ou moins oblongs, disposés en plusieurs
couches
autour du noyau. En dehors de cette zone centra
lis. Cependant, neuf mois après son mariage, elle a fait une fausse
couche
, à la suite d'une chute, assure-t-elle. Il y a
irconstances signalées pré- cédemment : la malade a fait une fausse
couche
; son mari est affecté du tabes, et, dans la trè
nd naissance dans la cou- che la plus interne de la rétine, dans la
couche
dite des cel- lules nerveuses. Les prolongement
à l'écorce du pulvinar, c'est-à-dire à la partie postérieure de la;
couche
optique. De ces trois territoires d'aboutisseme
és : Des neurones périphériques, leur origine est dans la rétine (
couche
des cellules nerveuses), et leur aboutissement da
e. Le neurone central ne serait autre que la cellule nerveuse de la
couche
ganglionnaire, rétinienne et son prolongement l
rnes, tubercules quadrijumeaux antérieurs, partie postérieure des
couches
optiques. ' Les autres pénétrant directement da
Cal, scissure calcarine. 454 CLINIQUE NERVEUSE. .postérieur de la
couche
optique, de faisceau optique intra- cérébral (T
icule latéral. Il est séparé de ce ventricule par le tapetum, mince
couche
de substance blanche, formée par des fibres qui
, par le corps genouillé externe et par la partie postérieure de la
couche
optique (pulvinar), sont de véritables postes d
contraire, les lésions qui inté- ressent la partie postérieure des
couches
optiques donnent incontestablement lieu à de l'
n du corps genouillé externe Cge, ou de la partie postérieure de la
couche
optique, du pulvinar P, est toujours homonyme.
qui bientôt doit rentrer, ne pourrait pénétrer dans le logis. Il se
couche
habillé, après avoir écrit quelques mots sur un
s accidents à la « force du sang » ; ils cessèrent à la suite d'une
couche
. Très active, prompte à se mettre en colère, el
ien portante, mère de sept enfants en bonne santé; l'autre morte en
couches
à quarante-sept ans. Un frère mort de fièvre ty
symptomatiques . Paris, 1876. Lafforgue, Rapports des lésions de la
couche
optique avec l'hémianesthésie d'origine cérébra
ions de sensibilité, la protubérance (Gordy, Longet, Vulpian) ou la
couche
optique (Carpenter, Luys, Broadbent), ne saurai
au- dessus de la protubérance par conséquent, et en dehors de la
couche
optique, peut en interrompant la conductibilité c
onge plus à y placer le siège des sensations conscientes. Quanta la
couche
optique, pas plus la pathologie (Luys) que l'ex
leur avait départi. Cette ques- tion des fonctions sensitives de la
couche
optique a d'ailleurs été très longuement et for
es nerfs opti- ques et peut-être olfactifs, paraissent traverser la
couche
optique avant de gagner la couronne rayonnante.
e donc établi que les impressions sensitives sont per- çues par les
couches
corticales du cerveau. De la périphérie à l'éco
s optiques et dont les fibres émanées des corps genouillés et de la
couche
optique côtoieraient celles du premier faisceau
7 . REVUE CRITIQUE. postérieur et des deux tiers antérieurs de la
couche
optique; en examinant un hémisphère, on se conv
çoit bientôt un certain nombre de fibres, qui lui viennent de la
couche
optique et des corps genouillés, et qui sont la c
qui s.ont comme l'épa- nouissement de la couronne ; 3° enfin de la
couche
grise des circonvolutions, aboutissant ultime d
difficilement à tout le système sensitif cortical, en revanche les
couches
grises peuvent être le siège de troubles passager
s certaines influences (nerveuses et peut-être aussi toxiques), les
couches
corticales sont momenta- nément troublées dans
y a simplement compression du faisceau par une lésion de voisinage (
couche
optique, noyau lenticulaire), et, comme une com
ernier groupe qu'on doit ranger les observa- tions de lésions de la
couche
optique, considérées à tort par quelques auteur
elles des fibres de la sensi- bilité spéciale qui proviennent de la
couche
optique et des corps genouillés. Et nous avons
ue du système sexuel (vierge ou non, nombre découches et de fausses
couches
); 4° forme de la'mala- 180 PATHOLOGIE MENTALE.
, se divisaient comme suit : vierges, trente-une; n'ayant pas eu de
couches
, quarante-une; ayant eu des couches, soixante-h
, trente-une; n'ayant pas eu de couches, quarante-une; ayant eu des
couches
, soixante-huit (dans ce nombre trente-huit étai
s après la ménopause, il y avait : vierges, deux; n'ayant pas eu de
couches
, quatre; ayant eu plusieurs couches, quarante-q
ierges, deux; n'ayant pas eu de couches, quatre; ayant eu plusieurs
couches
, quarante-quatre (dans celles-ci, neuf avaient
s, quarante-quatre (dans celles-ci, neuf avaient eu de huit à douze
couches
). Les formes des maladies mentales dans le grou
es (trente-trois vierges, cinquante-cinq femmes qui n'ont pas eu de
couches
et cent douze qui en ont eu (de une jusqu'à dou
aginite, etc. Au contraire, dansée groupe des femmes qui ont eu des
couches
, les formes gynécologiques deviennent beaucoup
effet, sur seize aliénées de la même catégorie qui n'ont pas eu de
couches
, on rencontre les affections génitales dans tro
t constatées quinze fois, et c'est chez celles qui ont eu plusieurs
couches
(de huit à douze) qu'on voit les lésions sexuel
d'une provenance évidemment puerpérale. Il en résulte donc que les
couches
et leurs consé- quences, de même que les autres
ette complication de- vient beaucoup plus rare. La grossesse et les
couches
influent considérablement sur le. degré de fréq
s, très faibles, augmentent considé- rablement l'excitabilité de la
couche
corticale du cerveau, on sera nécessairement co
ignon qui était en contact avec l'os iliaque est recouverte d'une
couche
de tissu fibreux rappelant le fibro- carhlage.
d'un jaune terne, constituée par un exsu- datfibrineux organisé en
couches
mesurant par place plusieurs millimètres, qui p
s indurées. Au microscope, on sociétés savantes. 2t7 constate une
couche
de tissu conjonctif dont les libres résistantes
s blancs pour se masturber ; rêves de tabliers blancs ; quelquefois
couche
avec le tablier blanc ; trois condamnations pou
présentait à l'oeil comme une projection en fuseau de la moelle; la
couche
superficielle était composée de substance médul
i^ç'é bjan'che a tel j point '.qu'il n'en restait plus qu'une mince
couche
.. ,1 ? ? Pins bas la tumeur prenait une forme c
328 RECUEIL DE FAITS. et 5) qu'il n'en restait plus qu'une mince
couche
qui recouvrait, à peu près, les deux tiers inte
rait, à peu près, les deux tiers internes de sa périphérie. Cette
couche
avait la forme d'une faux, étroite au milieu, lar
sissement de la tumeur (fig. 4). Fig. 7. Concrétions cristallines v
couches
concentriques (de la fiq. 5). Fig. 8.- Représen
ce occipito-tem- porale gauche, ainsi que la lésion partielle de la
couche
op- tique gauche (pour ne rien dire de la lésio
ingées REVUE DE PATHOLOGE MENTALE. 397 et des modifications de la
couche
corticale qui accompagnent les adhérences. Dans
sement de la tumeur (fig. 4). . Fig.7. - Concrétions cristallines à
couches
concentriques (de la fig. 5). Fig. 8.-Représent
ention. L'enfant vit encore, comme tous les autres. Les suites de
couches
étant régulières, le onzième ou douzième jour la
u; c'est seulement à la périphérie que l'on voyait des vestiges des
couches
les plus profondes de la cornée; cette membrane é
amelons fongueux, ulcérés, enduits d'une sanie sanguinolente ou d'une
couche
de pus concret. — Elles sont humides et sécrètent
s variétés : Tantôt les cellules de l'épithéliôme sont disposées en
couches
stratifiées, comme cela a lieu dans la muqueuse b
antôt elles sont cylindriques et généralement ne forment qu'une seule
couche
. Dans le premier cas, on a Y épithéliôme paviment
iers dans lesquels, de la périphérie au centre, on reconnaît dans les
couches
stratifiées de l'épithélium une évolution semblab
c. Les parois abdominales très amincies sont successivement incisées,
couche
par couche, jusqu'au péritoine, sur lequel on pra
is abdominales très amincies sont successivement incisées, couche par
couche
, jusqu'au péritoine, sur lequel on pratique une b
manœuvre, la face antérieure de l'utérus étant accessible fut incisée
couche
par couche jusqu'au moment où apparurent les memb
a face antérieure de l'utérus étant accessible fut incisée couche par
couche
jusqu'au moment où apparurent les membranes. La p
mité de la canule qui les engaînait. Le contact fut immédiat pour les
couches
musculaires les plus rapprochées de la cavité uté
uches musculaires les plus rapprochées de la cavité utérine, mais les
couches
les plus rapprochées de la séreuse restèrent sépa
s parties voisines. Les os même peuvent être atteints et de nouvelles
couches
osseuses se développent sous le périoste; il y a
r, et se termine au pli de l'aine. L'épaississement de la peau et des
couches
sous-cutanées empêche de constater l'état des gan
ue, en arrière, avec la sous-cloison du nez. Il est recouvert par une
couche
muqueuse sans revêtement cutané; il n'y a en ce p
pour l'étude histologique à M. Ranvier. A la surface, on trouve une
couche
d'épithélium à cellules cylindro-coniques ; cette
n trouve une couche d'épithélium à cellules cylindro-coniques ; cette
couche
est régulière; les cellules les plus superficiell
ie encore plus précieuse des hommes : elle multiplie les blessures et
couche
sur le sol une foule de combattants braves et vig
iles, partout séparées l'une de l'autre, et qui livrent passage à une
couche
d'air sans cesse renouvelée, qui contribue puissa
de petits trous, qui le divise au moment où il pénètre et s'étend en
couches
vers le plafond. La fenêtre anglaise à guillotine
au poids de l'hémisphère droit. Dans les parties correspondantes, la
couche
comprise entre la péri- (1) Voir page 15 3. p
ent une particularité curieuse : quand on incise avec précaution leur
couche
superficielle, on voit sortir de la sérosité cont
Le ventricule latéral est un peu dilaté. La queue du corps strié, la
couche
optique, dans une largeur de trois millimètres en
antiasis débutant par les téguments et envahissant successivement les
couches
les plus profondes des membres. Déformation du
he antérieure; accouchement naturel, délivrance facile. Les suites de
couches
ne présentent rien à noter. La malade allait bien
aires. La langue est très sèche et cornée ; les dents couvertes d'une
couche
épaisse et adhérente. Le ventre n'est pas ballo
fille, 7 ans, 11° fille, 5 ans, bien portantes. - Pas de fausses-
couches
. Notre malade. Au moment de la conception, rien
alité d'âge de 3 ans. (Père pi us âgé). Deux enfants (pas de fausse
couche
) : 1° notre malade ; 2° un garçon âgé de 12 ans
une péri-artérite légère, un pro- cessus fibreux dans les diverses
couches
de la méninge, mais il n'y a pas, comme dans le
lettres de l'alphabet. Elle s'habille seule, mais sans soins, et se
couche
tout habillée, ne se gâte pas, mais ne prend au
ifs el de faisceaux fibreux, se groupant de façon à constituer deux
couches
d'inégale importance : une plut; externe, formé
tplus dense, à fibres perpendiculaires aux premières. Dans ces deux
couches
cheminent des vaisseaux san- guins. La tumeur e
à la membrane, perikys- fique, formée primitivemuntaux dépens de la
couche
profonde de la dure-mère, qui s'est peu il peu
ir la propriété osteogenique de la dure- mère. (;'est, en effet, la
couche
la plus externe de la dure-mère qui joue vis-à-
âge. Dans notre observation, l'ossification s'est produite dans la
couche
durale la plus profonde, il en est du reste ainsi
de masses caséeuses, grumeleuses, d'un blanc jaunâtre, disposées en
couches
stratifiées contre la paroi avec, au centre, un
corps ; ils ne s'en sontpas moins nécrosés. On a revêtu d'une mince
couche
de collocliomlepetifo morceaux de nerfs avant l
de sang, avec issue d'un cail- lot, que l'on pensa être une fausse
couche
. A partir du mois de décembre 1903, jusqu'au mo
cesse de se lamenter et prend immédiatement dans le lit où on la
couche
une attitude absolument semblable à celle qu'elle
ancien et de nodosités disséminées dans les cotylédons. Suites de
couches
: physiologiques au point de vue obstétrical. P
ent). Un trouve une diminution numérique des éléments nerveux de la
couche
corti- cale cérébrale, siégeant surtout au nive
commissions dans la mai- son, continue à frotter le pavillon où il
couche
. Déc. - Maz ? reste le même, toujours docile, a
e de la « ltamliculaLio spasmodica », tend à faire admettre pour la
couche
optique une fonction active automatique dans l'
ur la pierre, sans autre paillasse que leurs ordures et une épaisse
couche
de poussière, sont les malheureux privés de leur
est obtus et sourd. Il y a sept ans, trois mois après ses dernières
couches
elle fut prise d'une sorte de parésie de tout l
orts histologiques de la capsule-enveloppe, Bincl- fleisch dit : la
couche
superficielle, la plus interne est lisse et re-
he superficielle, la plus interne est lisse et re- couverte par une
couche
de cellules en dégénérescence grais- seuse qui
seuse qui lui donnent un aspect opaque, jaunâtre.En dehors suit une
couche
de tissu embryonnaire, d'épaisseur variable ; en
lle aboutit à un tissu lâche de cellules fusiformes, enfin vient la
couche
propre des faisceaux de la capsule. A l'extérieur
ques dans le voisinage. Klippel (2) reconnaît à l'abcès cérébral' 4
couches
: (1) Oppenheim. - Speciele Pathologie u. Théra
UE Au niveau de la membrane en contact avec le pus, on trouve une
couche
irrégulière, granuleuse, formée de cellules ron
u- che pauvre en noyaux,colorée en jaune rouge par le Van Gieson,
couche
de tissu névroglique nettement dilféren- ciéede
Gieson, couche de tissu névroglique nettement dilféren- ciéedela
couche
externe conjonctive, il n'ose se pronon- cer su
suivant les vaisseaux. Friedmann (1) décrit à la paroi de l'abcès 3
couches
: La couche interne, mal différenciée de la cav
sseaux. Friedmann (1) décrit à la paroi de l'abcès 3 couches : La
couche
interne, mal différenciée de la cavité de l'ab-
les et peunombreux, des cellules nucléées et des éléments morts. La
couche
moyenne nettement limi- tée est la plus large.
ellules fusiformes, irrégulièrement entrecroisées ou disposées en
couches
plus ou moins parallèles, ébauche d'une pre- mi
le contient en outre des éléments fusiformes analogues à ceux de la
couche
précédente.Des éléments nerveux préexistants, i
ant tous les types de transition avec les cellules fusiformes de la
couche
précédente et ayant par suite la même origine.
les éléments névrogliques ne participent pas à la for- mation des
couches
d'organisation fasciculaire ; celles-ci sont co
semblablement aussi par les nombreuses cellu- les épithélioïdes des
couches
externes. Enfin Kelpin (1), à propos d'un cas p
ucléaires fortement tassés; 2° la zone de la capsule formée de deux
couches
: l'une interne, composée de tissu lâche très r
liques gon- flées, enfin des lymphocytes et des plasmazellen ; la
couche
externe est constituée par des fibroblastes ensé-
la paroi de l'abcès céré- bral les auteurs différencient plusieurs
couches
: La couche la plus interne, caractérisée surto
abcès céré- bral les auteurs différencient plusieurs couches : La
couche
la plus interne, caractérisée surtoutpar la pré-
aractérisée surtoutpar la pré- sence des cellules granuleuses ; les
couches
les plus ex- ternes où s'organise progressiveme
riables suivant les points examinés, suivant que l'abcès atteint la
couche
grise du cerveau ou qu'il ne dépasse pas la sub
d'organisa- tion défensive, une zone externe d'irritation. I. La
couche
interne, grisaille et claire sur les coupes col
contiennent à peine de-ci de-là quelques rares noyaux épars. Cette
couche
ne con- tient pas de vaisseaux ou seulement que
r la richesse vasculaire. Avec Kôlpin on peut lui distinguer deux
couches
. La couche interne, placée au voisinage même de
vasculaire. Avec Kôlpin on peut lui distinguer deux couches. La
couche
interne, placée au voisinage même de l'ab- cès,
st infiltrée de cellules poly- nucléaires, analogues à celles de la
couche
précédente, mais de moins en moins nombreuses à
névrogliques gonflées et déformées; enfin des leucocytes.Dans cette
couche
,les vaisseaux sont très nombreux, largement dil
nant malles colorants, extrê- mement pauvres en noyau. La seconde
couche
de cette zone est caractérisée,com- me l'a bien
s cellules conjonctives. Ala place des mailles irrégu- lières de la
couche
précédente, progressivement, les cel- lules s'o
a couche précédente, progressivement, les cel- lules s'orientent en
couches
parallèles entre elles et con- centriques àla c
eur noyau unique est plus volumi- neux,. régulier, et entouré d'une
couche
relativement abondante et nettement appréciable
tivement abondante et nettement appréciable de protoplasma. Cette
couche
contient des vaisseaux en abondance, très varia
es auteurs et en particulier celle de Kolpin ; la division en trois
couches
nous a semblé nettement correspondre à la réali
he et ténu à la partie interne de cette zone, puis- se tassent en
couches
parallèles à mesure que l'on se rapproche de la
orien- tation différente des fibrilles névrogliques dans les deux
couches
de la zone moyenne, son parallélisme avec la di
. ORGANES PROTECTEURS DE L'OEIL. Les paupières, dans les diverses
couches
qui les composent, la peau, les cartilages tarses
ure anormale et faire glisser la lame à plat entre la mu-queuse et la
couche
musculaire jusqu'au point où l'on doit transporte
nds traits, parallèlement au bord alvéolaire, toute l'épaisseur de la
couche
indurée. 3° Incision de la joue. Pour éviter le
rs l'os hyoïde. Pour éviter toute erreur, diviser successivement, par
couches
régu-lières, dans toute l'étendue delà plaie, la
rs les tissus sains dont, par prudence, il faut tou-jours enlever une
couche
. Si la tumeur est d'un grand volume, quelques c
immédiatement suivie de l'application du fer rouge (Scultet) ou d'une
couche
épaisse des caustiques les plus énergiques. Aujou
, comme jadis pour l'empyème, de manière à cecpie le parallélisme des
couches
, dans le trajet nouveau, se détruise de lui-même
les points déclives, 23 et, suivant la loi de gravité, forme une
couche
horizontale, à la circonférence abdominale, entre
e et dense au toucher, comme il devient assuré qu'elle est doublée de
couches
pseudo-membraneuses qui peu-vent avoir une épaiss
, il faut continuer d'inciser, mais avec beaucoup de pré-caution, par
couches
très minces, en touchant à chaque fois pour tâche
ponction opérée, ce trajet s'efface avec la perte du parallélisme des
couches
divisées. Mais un précepte très important, pendan
M. Graves. La première proposition en remonte à 1827. L'auteur incise
couche
par couche les tissus avec le bis-touri, jusqu'à
La première proposition en remonte à 1827. L'auteur incise couche par
couche
les tissus avec le bis-touri, jusqu'à 2 ou 3 mill
couche les tissus avec le bis-touri, jusqu'à 2 ou 3 millimètres de la
couche
d'adhérences ou au moins du feuillet péritonéal d
première eschare superficielle pour mettre à décou-vert une nouvelle
couche
de tissus, au centre de laquelle il ap-plique de
esoin il continue ainsi par une série de cautérisations à entamer des
couches
de plus en plus profondes, dont la dernière, au v
à 9 centimètres, une incision à plat que l'on continue régulièrement
couche
par couche, d'un angle à l'autre de la division,
ètres, une incision à plat que l'on continue régulièrement couche par
couche
, d'un angle à l'autre de la division, dans l'épai
at sur le doigt la pointe d'un bistouri, et incise successivement par
couches
la peau et les muscles jusqu'au voisinage du péri
ies superposées sont : i° à l'intérieur, la longue virole; en seconde
couche
, les deux bords renversés de l'intestin, situés e
ollet et la face externe de l'intestin ; quelquefois même une lé-gère
couche
de lymphe plastique recouvre les deux bouts de l'
nous venons de consigner, avait pensé que c'était 1 é-lasticité de la
couche
celluleuse placée entre le col du sac her- niai
ous trouvons : i" que ce canal est recouvert en avant par la peau, la
couche
graisseuse et les deux lames du fascia superficia
superficialis; i° qu'il est séparé du péritoine, en arrière, par une
couche
celluleuse interposée entre le péri-toine et le f
uve qu'elle est recouverte dans le canal inguinal même par toutes les
couches
qui constituent la paroi abdominale anté-rieure.
ine et que quelques anatomistes nomment fascia pro-pria. Ces diverses
couches
sont loin de se présenter toujours d'une manière
entent d'épaisseur par l'interposition de graisse entre la peau et la
couche
musculaire, au pourtour de la cicatrice, il se fo
t, parce qu'alors l'anneau est enfoncé comme un entonnoir derrière la
couche
de graisse. Ceci nous montre qu'on devra toujours
ntrer l'intestin, qui n'est quelquefois séparé de la peau que par des
couches
très minces. Ce précepte est si important qu'il n
qu'à ce que l'on reconnaisse le sac au fond de la plaie. Le nombre de
couches
à diviser, varie suivant le siège de la hernie
er à l'avance, d'autant plus que parfois des pelotons de graisse, des
couches
anormales de tissu cellulaire ou des kystes séreu
ment abandonnées. Ainsi, au lieu d'in-ciser successivement toutes les
couches
qui sont comprises entre le sac et la peau, Louis
e curseur qui pousse l'aiguille, celle-ci traverse les parties, de la
couche
profonde à la surface, d'abord la lame antérieure
nt parallèlement au ligament de Fallope. On divise successivement, et
couche
par couche, sur la sonde can-nelée, toutes les pa
ement au ligament de Fallope. On divise successivement, et couche par
couche
, sur la sonde can-nelée, toutes les parties qui c
ine et avec la paroi abdominale correspondante. Après avoir détaché
couche
par couche tous les tissus qui re-couvrent le col
la paroi abdominale correspondante. Après avoir détaché couche par
couche
tous les tissus qui re-couvrent le colon lombaire
s de doigts de son point d'origine. Après avoir divisé la peau et les
couches
sous-cutanées, on coupe d'a-bord dans la même dir
transverse et son aponévrose. Ensuite on incise verticalement, cette
couche
profonde. L'incision cruciale des couches profond
incise verticalement, cette couche profonde. L'incision cruciale des
couches
profondes donne la facilité de mieux découvrir l'
i le sujet avait beaucoup d'embonpoint. Lorsqu'on a divisé toutes les
couches
précédentes, on est arrivé sur le tissu cellulair
rgien n'a pas trouvé qu'il fût nécessaire de diviser crucialement les
couches
musculeuses , qui se rétrac-tèrent assez pour lai
perforation superficielle formée par la peau , doublée ou non par une
couche
celluleuse et aussi par la membrane mu-queuse for
gueur de 2 centi-mètres (8 lignes). Puis il divise successivement, et
couche
par couche, les tissus qui se présentent, mais pl
centi-mètres (8 lignes). Puis il divise successivement, et couche par
couche
, les tissus qui se présentent, mais plutôt en déc
ale une double incision elliptique qui doit comprendre la peau et les
couches
superficielles de la poche testiculaire. Au lie
cision étant faite, il faut isoler la tumeur et le cordon. Lorsque la
couche
sous-cutanée est libre d'ad hérences, en saisissa
est coupée, et l'on incise toutes les parties de la paroi du ventre,
couche
par couche, sur une sonde cannelée. Lorsqu'on arr
, et l'on incise toutes les parties de la paroi du ventre, couche par
couche
, sur une sonde cannelée. Lorsqu'on arrive près du
uire tout le pénis et même le scrotum, le pubis et le périnée , d'une
couche
de pommade, composée de parties égales d'extrait
ainsi que le conseillait Sabatier, inciser d'abord circulairement la
couche
tégumentaire. 2" Amputation avec Tinstrument tr
que la verge. Procédé de Schrœger. Il consiste à trancher la verge
couche
par couche du haut en bas , afin de lier les vais
ge. Procédé de Schrœger. Il consiste à trancher la verge couche par
couche
du haut en bas , afin de lier les vaisseaux à mes
t aller en décroissant depuis son origine jusqu'à sa terminaison : la
couche
de tissu érectile qui l'entoure est d'au-tant plu
u-tant plus épaisse qu'on l'examine plus près du bulbe. La peau et la
couche
sous-cutanée qui se continue avec l'aponévrose su
ntournait en spirale de la soie non torse qu'on couvrait d'une légère
couche
de cire amol-lie au feu ; alors on l'unissait en
, une toile résistante ou du drap solide, qu'on enduisait ensuite de
couches
successives d'huile de lin, destinées adonner aux
en olive est un peu plus épais. Enfin le tout est enduit de plusieurs
couches
d'une dissolution de caoutchouc qui pénètre le ca
e caoutchouc qui pénètre le canevas et s'incorpore avec lui. A chaque
couche
qu'on applique, on place les sondes dans une étuv
ement en fil de fer simple ou en fil de fer revêtu à la filière d'une
couche
d'argent, ne sera pas assez volumineux pour rempl
en d'un fil qui entoure « cette extrémité et la lanière elle-même. On
couche
ces lanières « sur la verge, on place circulairem
astique, comme du diachylum gommé, roulé sur lui-même et enduit d'une
couche
de cire. Quelques fa-bricans aiment mieux employe
écrue ou bien un canevas plein et solide, qu'on enduit de même d'une
couche
de cire. M. Guillon en a fait fabriquer en balein
la fistule d'un côté, puis enlevé un petit lambeau quadrilatère de sa
couche
tégumentaire, il circonscrivit du côté opposé, en
ntenant la canule en place, on trouve qu'elle a traversé la peau, une
couche
épaisse de tissu cellulaire graisseux, le muscle
re une incision lon-gitudinale sur la ligne blanche, diviser toute la
couche
graisseuse, et ponctionner ensuite. Cette opérati
où l'on croyait être, d'em-ployer, suivant le nombre et la nature des
couches
composantes:, un ou plusieurs agens de dissolutio
ne la disgrégation de la masse quelle que soit la nature chimique des
couches
qui la composent. C'est à ce mode d'action que ré
lades, qui avaient fait usage de boissons alcalines, présentaient des
couches
très épaisses de carbonate de chaux dont M. Leroy
Or, qu'est-il résulté de cette enquête? Suivant M. C. Petit (i), les
couches
épaisses de carbonate de chaux, déposées par l'ac
plus considé-rable que les sujets ont plus d'embonpoint. Les diverses
couches
qui la constituent sont très essentielles à conna
le tissu cellulaire sous-jacent; 3° l'aponévrose superficielle; 4° Ia
couche
musculeuse, le bulbe de l'urètre et les principau
'on n'a pas le soin de la fixer préalablement avec les doigts ; i" La
couche
du tissu cel-lulaire adipeux qui la double est au
ur la surface externe des ischions, et de l'autre se confond avec les
couches
sous-cutanées des cuisses; 4° La couche musculair
l'autre se confond avec les couches sous-cutanées des cuisses; 4° La
couche
musculaire du périnée ren-ferme l'ischio-caverneu
e dans la plupart des tailles périnéales. 5° Plus profondément que la
couche
mus-culaire, existe sur la ligne médiane le bulbe
rme triangulaire, s'insère à son pourtour en se confondant avec les
couches
fibreuses qui tapissent sa surface interne, et va
ercevoir. Ultérieurement elle gagne l'excavation ischio-rectale ou la
couche
cellulo-graisseuse du périnée et des bourses; aus
ège d'un gonflement con-sidérable, comme si le mal avait débuté parla
couche
cellulo-graisseuse; 6° au-dessus de l'aponévrose
et caverneuse de la verge. Ainsi placée immédiatement au-dessus de la
couche
musculaire, et derrière les os, l'artère hon-teus
se à 14 millimètres en arrière du muscle transverse, se porte dans la
couche
sous-cutanée, et sous ce mus-cle , qu'elle croise
bourses jusqu'à un travers de doigt de l'anus; il coupait ensuite la
couche
musculaire, constituée seulement par le muscle bu
au lithotome, avec lequel il divisait tous les tissus intermédiaires
couche
par couche. Lorsqu'il y était arrivé, il re-comma
me, avec lequel il divisait tous les tissus intermédiaires couche par
couche
. Lorsqu'il y était arrivé, il re-commandait à l'a
lure était bien placée, il continuait à inciser les parties profondes
couche
par couche, en ayant le soin de sentir constammen
bien placée, il continuait à inciser les parties profondes couche par
couche
, en ayant le soin de sentir constamment le cathét
udrait beaucoup mieux commen-cer par inciser les parties extérieures,
couche
par couche, et arriver à la vessie en se servant
coup mieux commen-cer par inciser les parties extérieures, couche par
couche
, et arriver à la vessie en se servant de la canne
orrespondant, en passant à 11 millim. au devant de l'anus. Toutes les
couches
si-tuées entre la peau et l'urètre, le tissu cell
: « Si le sang s'échappe de « l'angle supérieur de la plaie, ou de la
couche
sous-cutanée, a ce sont les branches superficiell
arallèle ou non à celle de l'urètre ou du col de la vessie, et que la
couche
de tissu cellulaire qui se trouve entre ces parti
du clitoris. Pour cette incision, il divise les parties profondes par
couches
dans la même direction, en ayant le soin d'introd
on était complète, on ferait tendre les parties, et on les diviserait
couche
par couche, avec un bistouri convexe ; on s'oppos
mplète, on ferait tendre les parties, et on les diviserait couche par
couche
, avec un bistouri convexe ; on s'opposerait ensui
estion. Toutefois M. Dieffenbach a opéré dans un cas le lendemain des
couches
; il s'agissait d'une demoiselle de trente-six ans
oursouflées, et que lafemmeest parfaitement rétablie de ses suites de
couches
, c'est-à-dire un mois ou deux après l'accident, q
là on avait maintenue à son pavillon, fut abandonnée à elle-même. Une
couche
épaisse de charpie placée au devant du méat urina
eur. Outre la peau il doit encore comprendre, dans son épaisseur, les
couches
adi-peuse et cellulo-vaseulaire qui le soutiennen
ortent des observations. On tenta d'y remédier en le recouvrant d'une
couche
de cire vierge ; mais celle-ci, bien-tôt détruite
ésentent enchaton-nées dans l'épaisseur de l'utérus, revêtues par une
couche
plus ou moins épaisse du tissu de cet organe, con
puisse donner à l'incision une cer-taine étendue, et diviser toute la
couche
de tissu naturel qui en-veloppe la production mor
e le péritoine, peut-être à nu, ou, du moins, recouvert à peine d'une
couche
très mince du tissu de l'utérus. Pendant les ma-n
ive. La tumeur constituée par une niasse fibreuse, molle, formée de
couches
concentriques, pesait 338 grammes ( 11 onces). Sa
plète du coït, les accouchemens trop fréquemment répétés, les fausses
couches
, et une foule d'autres que nous ne pouvons ni énu
, servirent de guide à un long couteau courbe, avec lequel on divisa,
couche
par couche, tout le collet de l'organe, de manièr
de guide à un long couteau courbe, avec lequel on divisa, couche par
couche
, tout le collet de l'organe, de manière à n'en la
essous, sur le collet de la tumeur, M. Malgaigne conseille d'inciser,
couche
par couche, le tissu du vagin ou de l'utérus, jus
le collet de la tumeur, M. Malgaigne conseille d'inciser, couche par
couche
, le tissu du vagin ou de l'utérus, jusqu'à la mem
enues d ans son intérieur, s'il y en a; puis diviser, circulairement,
couche
par couche, et avec une minutieuse attention, jus
son intérieur, s'il y en a; puis diviser, circulairement, couche par
couche
, et avec une minutieuse attention, jusqu'au périt
d depuis l'ombilic jusqu'à 2 centimètres et demi du pubis, et divise,
couche
par couche, tous les tissus, jusqu'au péritoine.
ombilic jusqu'à 2 centimètres et demi du pubis, et divise, couche par
couche
, tous les tissus, jusqu'au péritoine. Arrivé à la
èrent, avec raison, agir d'avant en arrière. En incisant le cartilage
couche
par couche et avec précaution, on voit les pubis
raison, agir d'avant en arrière. En incisant le cartilage couche par
couche
et avec précaution, on voit les pubis se séparer
des pubis jusqu'à l'extrémité antérieure de lácrete iliaque; diviser
couche
par couche tous les tissus jusqu'au péritoine, et
jusqu'à l'extrémité antérieure de lácrete iliaque; diviser couche par
couche
tous les tissus jusqu'au péritoine, et le décol-l
aides de ramener le fond de l'utérus en avant , le chi-rurgien incise
couche
par couche le tissu de l'organe dans toute son ép
mener le fond de l'utérus en avant , le chi-rurgien incise couche par
couche
le tissu de l'organe dans toute son épaisseur, en
passé par la plaie supérieure, soulève légèrement la conjonctive, la
couche
cellulaire, et il suffît (pour les diviser) d'un
de précau-tion et d'habileté dans la manœuvre. Reste donc la première
couche
de muscles, les deux palmaires et cubital antérie
entral d'oxalate de chaux qui existait depuis dix-huit ans; l'épaisse
couche
extérieure de phosphate cal-caire s'est aggloméré
ique. Oncle aliéné. Une soeur a eu un accès de mélancolie, suite de
couches
. Observation LV. M. G..., ataxique. Oncle mater
nute environ, lorsque se produit une véritable détente. L'enfaut se
couche
sur le côté gauche, puis se relève aussitôt et
; pas de strabisme. Elle a eu pendant deux mois, après sa quatrième
couche
, des idées tristes et de sui- cide. Elle souffr
stomac et celle de l'oesophage, ainsi que la presque totalité de la
couche
sous-muqueuse, ontdisparu. La. couche musculair
que la presque totalité de la couche sous-muqueuse, ontdisparu. La.
couche
musculaire (fibres circulaires et longitudinale
ficiels sur la face interne, surtout eu avant. Les corps striés, la
couche
optique n'ont rien de particulier. Hémisphère d
e occi- pital offrent la même disposition. Les corps striés et la
couche
optique, le ventricule latéral, etc., n'ont rie
miné le cerveau, l'auteur a retrouvé les deux types à cinq et à six
couches
; chez tous, la struc- ture fondamentale des cou
à cinq et à six couches; chez tous, la struc- ture fondamentale des
couches
s'est montrée la même. Les dilfé- rences dans c
es éléments anatomiques constituent des groupes, et se disposent en
couches
. L'aire motrice relève du type à cinq couches e
s, et se disposent en couches. L'aire motrice relève du type à cinq
couches
et se caractérise, en outre, par les éléments q
uches et se caractérise, en outre, par les éléments qui forment ces
couches
. La première de celles-ci, chez le porc, est pl
tre les cellules qui constituent, chez le même animal, la troisième
couche
de l'écorce. Le type à six couches résulte de l
chez le même animal, la troisième couche de l'écorce. Le type à six
couches
résulte de l'interposition d'un plan de petites
ement celle d'une pyramide allongée. Chez le porc, le type à cinq
couches
se retrouve au niveau du grand lobe limbique, d
e, constitue la délimita- tion entre les deux types à cinq et à six
couches
. Chez le chat, les cel- lules de la troisième c
cinq et à six couches. Chez le chat, les cel- lules de la troisième
couche
augmententde volume àmesurequ'elles sont plus p
n. La différence d'aspect et d'épaisseur que présente la premiere
couche
dans les diverses espèces animales démontre l'acc
cinq noyaux ou tubercules (antérieur, moyen, externe, postérieur et
couche
grillée) de la couche optique, ainsi que des co
les (antérieur, moyen, externe, postérieur et couche grillée) de la
couche
optique, ainsi que des corps genouillés externe
l'arrêt de développement de portions du tubercule externe et de la
couche
des fibres en grille, de la bandelette optique,
la capsule interne. - Celle qui préside au tubercule externe de la
couche
optique se trouve en avant du centre visuel; cell
e optique se trouve en avant du centre visuel; celle dont relève la
couche
grillée, tout à côté, commande en outre à la nu
à laquelle ressorlissent les tuber- cules antérieur et moyen de la
couche
optique en avant des deux précédentes et compre
i que dans les muscles de la langue, du côté gauche : abcès de la
couche
corticale à droite, siégeant dans le 1/3 inférieu
e par ces deux foyers. De plus, foyer récent dans l'intérieur de la
couche
optique, complètement dilacérée; c'est lui qui
d'une noisette, et empiète un peu sur la substance blanche; mais la
couche
optique est intacte. Indépendamment de ces foye
e quelques points sains. La substance grise est réduite à une mince
couche
qui est sous-jacente à l'épendyme épaissi ; plu
ond de ceux des gâteux est taillé en pente, et percé au 'éentre. La
couche
se compose d'un matelas et d'un oreiller en' vare
et le segment postérieur compris entre le noyau lenticulaire et la
couche
optique, tous deux ve- nant se réunir par leur
breuses formations rondes de différentes dimensions consistant en
couches
concentriques, très faiblement colorées parle car
iutenses, les éclaircissent après un traitement plus prolongé; ces
couches
con- centriques se laissent dissocier et se dis
rapport avec la démence de l'individu, procédant non du foyer de la
couche
optique, mars des altérations vasculaires patho
er qu'un trousseau de fibres d'ordre moteur joint le pulvinar et la
couche
optique au cervelet. Peut-être le pulvinar est-
deux circonvolutions ascen- dantes, mais l'atteinte simultanée des
couches
blanches nuit à la détermination fonctionnelle
e tumeur de la grosseur d'un oeuf de pigeon a détruit l'ecorce, les
couches
supé- rieures de substance blanche dans le doma
ticaux. Leur dispa- rition est toujours des plus frappantes dans la
couche
laplusexterne où, à l'état normal, on rencontre
bules granuleux et disparition absolue des libres myéli- niques. La
couche
la plus externe de l'écorce contient une grande
s la mort, on observe une excessive abondance de ces fibres dans la
couche
externe. On en voit au contraire très peu dans
ffec- tion, en expliquant l'mertie du cerveau et en particulier des
couches
corlicales. L'observateur attentif arrivera tou
psychique est le facteur premier des symptômes ; c'est donc sur les
couches
corticales des hémis- phères, toute théorie phy
HrrziG disserte sur la dégénérescence parfaite de l'olive et de la
couche
intermédiaire de cet organe, consécutive aux foye
c le temps. En certains endroits, elles affectent la disposition en
couches
concentriques, à peu près comme pour les corpus
este des tissus est normal. Ces lésions s'observent dans toutes les
couches
de l'écorce, mais leur maximum de développement
ches de l'écorce, mais leur maximum de développement appartient aux
couches
qui renferment des SOCIÉTÉS SAVANTES. 381 cel
vient se buter contre la cloison de la ga- lerie de l'école; il se
couche
alors sur un banc. La physiono- mie est hébétée
é. DE l'épilepsie PROCURSIVE. : 49 Douze enfants et trois fausses
couches
. ' - ' . 1° Garçon, mort à trois mois, en nourr
née qui auraient corrigé la malformation des pieds ( ? ). 5° fausse
couche
à quatre mois, attribuée à un effort; - 6° fille
up ; 8° fille, morte à vingt-six jours, du croup ( ? ); - 9° fausse
couche
de deux mois ; -10° garçon, onze ans, intellige
he ; - 120 fille morte à dix mois, on ne sait de quoi; - 13e fausse
couche
de deux mois; z- 140 e.t 15° grossesse double :
ariétal supérieur. Pas de lésions en foyer. - Ventricule laté- ral,
couche
optique, corps strié, corne d'Ammon, etc., rien d
la famille.] - Pas de consanguinité. Cinq enfants, quatre fausses
couches
(à 6, 4, et 3 mois) : 1° fille, modiste, bien p
sur la circonvolution du corps calleux immédiatement en avant de la
couche
optique; - sur le pli qui va de la cir- convolu
- Pas d'aliénés, etc., dans la famille.] Deux enfants etune fausse
couche
: 1° notre malade ; 20 fausse couche à deux moi
.] Deux enfants etune fausse couche : 1° notre malade ; 20 fausse
couche
à deux mois et demi ; 3° garçon, cinq ans, intell
présentent aucune anomalie. - Le corps calleux, le corps strié, la
couche
optique paraissent nor- maux. Il en est de môme
présentent pas d'anomalies. - Le corps calleux, le corps strié, la
couche
optique n'offrent rien de particulier. - Il en
ssaie de l'ouvrir parle pied, finit enfin par relever le drap et se
couche
sous la couverture. Il répond à peine aux questio
Le coin, la fissure calcarone, le corps calleux, le corps strié, la
couche
optique, paraissent normaux. ,Hémisphère gauc
être un peu moins développé que normalement. Le coin, la fissure la
couche
optique, le corps strié ne présentent rien de p
particulier ; tous ces enfants sont bien conformés. - Deux fausses
couches
à cinq et à trois mois. Notre malade. - Rien
. peu grêle dans sa partie supérieure. - La fissure calcarine, la
couche
optique, le lobule de l'insula n'offrent rien à n
la fissure calcarone est normale. Le corps strié est atrophié ; la
couche
optique semble à peu près normale, elle a cepen
vé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première
couche
de la substance grise est confondue avec la sec
des scléreuses larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième
couche
de la substance grise, celle des petites cellul
uses et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux
couches
qui les contiennent par des bandes conjonctives q
un bord dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première
couche
de substance grise est épaissie, fibrillaire et c
grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. La troisième
couche
, celle des grandes cellules, ne pré- sente que
trame névroglique granuleuse. Mais la vascularisation exagérée des
couches
corticales moyennes et la formation de bandes d
i du grand épiploon réticulé de certains rongeurs. En même temps la
couche
corti- cale qui recouvre ce tissu aréolaire s'a
ions expliquent l'état cha- griné qui résulte de l'effondrement des
couches
moyennes de la substance grise et l'état kystiq
eu d'être disposées en séries verticales comme à l'état normal. Les
couches
suivantes de la substance grise et la substance
rtance est conservée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la
couche
la plus profonde de la substance grise où elle
r. Cervelet du calé droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses.
Couche
externe et couche des myélocytes normales. On ret
alé droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche externe et
couche
des myélocytes normales. On retrouve un certain
lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième
couche
de la substance grise et on peut leur distinguer
se, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. - Mère, morte en
couches
à vingt-sept ans, pas de détails. - Un frère bien
ments propres très peu étendus. L'abdomen est très volumineux; sa
couche
adipeuse est très épaisse; l'ombilic est très p
rit son paletot. « Où vas-tu ? lui demanda son père ? » « Moi je ne
couche
pas ici, répondit- il, donne-moi deux francs. »
nombre, contiennent des fibres nerveuses nor- males entourées d'une
couche
de myéline. Au voisinage des deux foyers des co
ments parfaitement semblables et formant, comme dans notre cas, des
couches
assez régulièrement stratifiées. D'après eux, i
es deux côtés, louchant le corps strié et le noyau lenticulaire. la
couche
optique du même côté, gagnant la capsule interne,
ibres sous-corticales, on détermine, par l'atteinle exclusive de la
couche
corticale motrice, une dégénérescence d'un syst
e dégénérescence d'un système de fibres sous la dépendance de cette
couche
; le corps strié est au moyen de la couronne ra
s ; il n'y a pas davantage de règle à établir au sujet des diverses
couches
de l'écorce atteintes par l'atrophie des fibres
nt privé de myéline, en même temps que la substance blanche de la
couche
intermédiaire des olives cessait à la hauteur du
en- trule obscure, à peine visible chez les foetus jeunes, et d'une
couche
limitante plus claire qui seule appartient aux
e primitif (virgule à tête épaisse se terminant par une queue) : la
couche
limitante, pauvre en myéline, est le corps rest
ou champ externe du côté opposé; dans l'espèce se distingue, comme
couche
intermédiaire des olives proprement dites, le s
rveux, vie dissipée, infection syphilitique il y a huit ans, fausse
couche
de sa femme accès récent de delirium tremens. c
dis- sipée. infection syphilitique il y a dix-huit mois. fausses-
couches
multiples de sa femme ; tremblement des mains ; c
e, de la troisième froulale, du coin, de la temporale moyenne de la
couche
optique du côté gauche. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES
lisière de la substance blanche, vont en se ramifiant à travers la
couche
des granulations et des cellules jusque dans le
es fibres itî les ont disparu irrégulièrement en n'importe quelle
couche
; aucune cireoiivol u Lion, n'est épargnée à des d
Lion, n'est épargnée à des degrés divers. Ce sont surtout les deux
couches
externes qui ont souffert; les circonvolutions
. Le cervelet est atteint de la même façon que le cerveau, c'est la
couche
granu- leuse de l'écorce qui en témoigne; le co
te. Pas d'atrophie de la cuisse ni de la jambe. L'épaisseur de la
couche
adipeuse sous-cutanée est égale des deux côtés. P
ICS ET TREMBLEMENT. 193 anatomiques doit être cherché du côté de la
couche
corticale des circonvolutions. » Huet assimil
ative sans'lésion organique. P. K. XLV. UN cas DE CYSTICERQUE DE la
couche
OPTIQUE; par W. MANASSE. (Newol. Centralbl., 18
duré 3 jours. On trouve un cysticerque unique en plein milieu de la
couche
optique gauche ; la tumeur a le volume d'un gra
erveaux normaux. Hyperplasie des cellules-araignées dans toutes les
couches
de la substance grise. Hyperplasie du tissu con-
ctif en question occupe la profondeur de la partie antérieure de la
couche
optique, son étendue ne dépasserait pas quelques
faisceau de fibres au centre de la moelle. Ce centre vésical de la
couche
optique a en même temps une fonction réflexe ;
uenza avait débuté cinq semaines après la délivrance, les suites de
couches
s'étant d'ailleurs montrées normales. Dans les
ndantes des faisceaux ascen- dants de la substance blanche dans les
couches
interne et moyenne; on en trouve également une
rne et moyenne; on en trouve également une grande abondance dans la
couche
ex- terne. Tangentielles et transversales à la
emier arc rachidien s'en ajoute un second, dont une branche va à la
couche
optique et dont l'autre vient du corps strié. L
isceaux provenant de la moelle ne s'arrêtent pas à la station de la
couche
optique et vont directement aux centres cortica
s élevé et sont mis en communication les uns avec les autres ' La
couche
grise de l'intellect serait surajoutée aux centre
z Fig.28. c, ? Corps calleux. - C. g., Corps godraniié. - C. o.,
Couche
optique. - r, 111. 'fuberrule nutnyillairc. - l
e tubercule mamillaire, forme le pilier réfléchi P. r., qui va à la
couche
optique. Ces éléments constituent l'arc cérébral.
constituent l'arc cérébral. H. p. o. Ruban péri-optique, reliant la
couche
optique à la bande diagonale : arc intermédiair
edans autour d'une ligne pas- sant par le tubercule antérieur de la
couche
optique. C'est ce qui explique certaines dispro
et, se rapproche beaucoup de celle de la rétine : le nom- bre des
couches
y est moins nombreux, il est vrai; mais il faut
s nombreux, il est vrai; mais il faut ne pas perdre de vue que ces.
couches
se continuent sur la tache olfactive de la muqu
ce lamelle le plus souvent; d'autres fois, elle est au contraire en
couche
assez épaisse. Sa couleur varie aussi : elle es
assée dans une partie seulement du quadrilatère, qu'elle s'étale en
couches
plus ou moins minces sur toute la surface de ce
on côté interne, la surface du quadrilatère est traversée par une
couche
blanchâtre plus large au dehors qu'en dedans. » P
urel que toutes ces parties soient reliées entre elles par une même
couche
corticale. Il ne s'agit point ici de cette cont
s. Son mari est mort au bout de six- mois, la laissant enceinte. Sa
couche
fut des plus laborieuses, mais ne fut suivie d'
clut que la cathode virtuelle produit une excitation réelle sur les
couches
profondes de l'écorce ou sur la terminaison des f
e que la substance grise de l'écorce ne se com- porte pas comme une
couche
inerte qui transmet simplement le courant élect
ente au prolongement des pyramides. Atrophie presque complète de la
couche
profonde et des couches supérieures des noyaux
s pyramides. Atrophie presque complète de la couche profonde et des
couches
supérieures des noyaux centraux dupont de Varol
ianopsie d'origine occipitale. La perception des couleurs occupe la
couche
la plus externe de l'écorce du lobe occipital ;
SE hémilatérale de la face, par Rosenbach, 247. Cysticerque de la
couche
optique, par Manasse, 242. CYTISINE contre la
er l'existence des lésions suivantes : OEil droit. - 10 Rétine : La
couche
des fibres nerveuses est en certains points trè
côté temporal; ces lésions sont surtout apparentes aux points où la
couche
des cellules nerveuses présente des altérations
ente des altérations plus intenses. De nombreuses cellules de cette
couche
présentent en effet, à divers degrés, les altérat
'mil droit du malade 13... Grossissement 'r10 diamèlres. Seules les
couches
des fibres et des cellules non ruses ont été repr
rtout cantonnées aux cellules nerveuses de la rétine, et les autres
couches
ne présentent pas de lésions manifestes. Toutef
eure à celle que leur assigne Testut dans son Traité d'anatonaie.
Couche
granuleuse interne : 24 au lieu de 35. Couche i
Traité d'anatonaie. Couche granuleuse interne : 24 au lieu de 35.
Couche
intergranuleuse : épaisseur normale. Fig. o C
éterminant la production tl un coude. - 12 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
Couche
granuleuse externe : 3o (Jt au lieu de 60. Couc
E PATHOLOGIQUE. Couche granuleuse externe : 3o (Jt au lieu de 60.
Couche
des cônes et des bâtonnets : 30 x au lieu de 80.
ets : 30 x au lieu de 80. 2° Papille : Nous avons rencontré dans la
couche
des fibres ner- veuses de la rétine un certain
, v, fig. 3), qui apparaissent sectionnées transversalement, ont la
couche
externe de leur paroi très épaissie. Elle est c
e de leur paroi très épaissie. Elle est constituée par de multiples
couches
concentriques de fibres conjonctives, autour 'd
'oeil, telle qu'elle est représentée, figure 2, nous voyons que les
couches
de cellules névrogliques qui, normalement, se t
étine présente des altérations multiples, diffuses, cantonnées à la
couche
des fibres et surtout à celle des cellules nerv
est moniliforme, leur minceur extrême en certains points. Dans la
couche
des cellules nerveuses, de nombreux éléments so
uronophages existent également. Pas de lésions évidentes des autres
couches
delà rétine. 2° Papille : Bien qu'infiltrée par
acranienne. OEil droit. 1° Rétine : Pas de lésions apparentes de la
couche
des fibres nerveuses. La couche des cellules ne
e : Pas de lésions apparentes de la couche des fibres nerveuses. La
couche
des cellules nerveuses présente quelques élémen
aible partie des éléments. Pas d'alté- rations sensibles des autres
couches
de la rétine dont l'épaisseur est normale. 2°
ance grise. Les circonvolutions cérébrales étaient atrophiées et la
couche
de substance grise amincie, friable, couverte d
tte membrane se montre très altérée dans toute son étendue. a) La
couche
des fibres nerveuses présente de notables altérat
s diminué et en quelques points ils ont totalement disparu, b) La
couche
des cellules nerveuses est celle qui présente le
4 à 8 de dia- mètre. La figure 6 montre bien l'envahissement de la
couche
des cellules nerveuses par ces éléments tous po
viter toute sur- charge, n'ont pas été représentés. c) Les autres
couches
de la rétine ne présentent pas d'altération bie
u iii%,catl du I)oiLI de la macula. Seules sont représentées ici la
couche
des fibres et des cellules nerveuses et une pai
la couche des fibres et des cellules nerveuses et une paitie (le la
couche
granuleuse interne. Les cellules nerveuses ont di
plètement la partie voi- sine de la rétine où en M, par exemple, la
couche
des cellules nerveuses qui ne contient plus un
de nombreux éléments conjonctifs; 7, rétine avec ses diffé- rentes
couches
; 7), couche de cellules nerveuses de la rétine au
éléments conjonctifs; 7, rétine avec ses diffé- rentes couches; 7),
couche
de cellules nerveuses de la rétine au niveau de l
° le nerf optique ; 10 La rétine présentait des altérations de la
couche
des cellules nerveuses caractérisées par une sé
la valeur de ses confessions, etc., vient à tomber à la suite d'une
couche
, de la mort de sa mère, d'embarras d'argent sur
très normales cependant, ma- nifeste l'idée qu'elle fait une fausse
couche
, suivie rapidement d'une série d'idées, de tein
ncolique. Mariée à dix-neuf ans, elle eut 6 enfants et deux fausses
couches
: la première de deux mois et l'autre de six se
altée mais gaie et active; elle a eu quatre enfants et deux fausses
couches
, la dernière survenue à la suite d'une chute ét
te était de deux mois, il y a six mois de cela. Depuis cette fausse
couche
, elle a eu des métrorrhagies très abondantes et
idées de culpabi- lité se surajoutent; elle est cause de sa fausse
couche
, elle est indigne de vivre. Comme le Dieu des
étain, ce métal étant extrêmement malléable, recouvert d'une double
couche
de feutre, le tout enveloppé dans une peau de c
ctrode excellente au moyen d'une lame d'étain entourée de plusieurs
couches
de coton hydrophile le tout enveloppé dans une
le laiton, l'étain, le plomb, le nickel, parce qu'il se produit une
couche
de carbo- nate et d'oxyde par suite des actions
in de l'eau retenue par imbibition dans l'élec- trode, et que cette
couche
de composés métalliques offre une grande résist
253 quelques séances il se produise une légère desquamation de la
couche
la plus superficielle de l'épiderme. Cette éventu
uf en certains cas légers et chroniques où l'irritation caresse les
couches
périphériques des fibres nerveuses, fouette la
s le cours des grossesses et se manifestait quelque temps après les
couches
. E. B. Archives, 2» série, t. XV. 18 274 RE
re incriminée bien que la malade ait eu sur 8 grossesses, 4 fausses
couches
de deux, trois et quatre mois. La malade présen
tite fille âgée actuellement de cinq ans et n'a jamais eu de fausse
couche
, ni constaté de retard dans ses règles. Mais, s
Étiolroqie. Rien de particulier dans les antécédents. Pas de fausse
couche
; la malade a eu 3 enfants dont l'un est mort de
rois jours de route en automobile, le malade dîne de bon appétit et
couche
à Avignon. Vers onze heures, il est brusquement
e ici la même alternance des présentations anor- males que dans les
couches
de sa mère. Observation 112. Femme normale. Mar
mère. Observation 112. Femme normale. Mari dégénéré. Après trois
couches
parfaitement normales, la femme devient enceinte
ces de laboratoire. Il s'agit de femmes qui, après une ou plusieurs
couches
nor- males, contractent des crises d'épilepsie,
a femme prend ensuite un amant parfaitement normal; trois nouvelles
couches
, toutes normales, en OIGA, et sans éclampsie pu
loration brunâtre se poursuivant, dans l'un des cas, jusque dans la
couche
sous-épen- dymairede la paroi interne de la cor
oyaux gris du cerveau, par ordre de fréquence : noyau lenticulaire,
couche
optique, noyau caudé, capsule interne, c'est-à-
s une masse homogène dure de la surface au fond sans distinction de
couche
. M. Pierre Marie présente un homme de soixante
périphérique. MM. DÉ.1ER1NE ET M. Eggeu. - Deux cas de lésion de la
couche
optique, dont un confirmé par l'autopsie. Hémia
itive et le faisceau de '1·ïrrl : , pour la racine antérieure de la
couche
optique et le faisceau d'Arnold. L'étude approfon
d'assistance. Dans l'asile que dirige l'auteur, aucun serviteur ne
couche
dans les dortoirs : leur présence serait une de
s nos efforts depuis 25 ans, confié aux débutants. Aucun agent ne
couche
dans les dortoirs; c'est la thèse que nous avon
halamique, M. Marie n'a trouvé à l'autopsie aucune altération de la
couche
optique. 1 , M. Déjerine a cependant depuis cet
des autres le nombre des fibres restantes ait été très minime. La
couche
des fibres optiques'de la rétine était dans tous
ns le nerf, ni au nombre des cellules multipolaires. - Les autres
couches
de neurones de la rétine nous ont paru présente
ésion corticale et seulement une petite lésion linéaire séparant la
couche
sous-épendymaire de la substance blanche d'une
u bacille de la tuberculose. Comme ce dernier, il est entouré d'une
couche
de matière grasse qui lui constitue une envelop
mais depuis, il ne s'est touché. La première fois qu'il partagea la
couche
de la jeune servante, il désirait surtout ses p
côté de la lésion. Encore plus en dedans, les diverses parties des
couches
optiques ne présentent pas de dégénérescence du
t à croire qu'il s'est agi d'une toxine qui a lésé les cellules des
couches
nucléaires du nerf optique et leur parenchyme;
ptembre.) PHYSIOLOGIE. Contribution à l'étude des fonctions de la
couche
optique. Par LE D' BENAKY Médecin de l'hôpi
les mouvements mimiques de la face sont sous la dépen- dance de la
couche
optique. C'est à ce titre que nous publions l'o
qu'il serait impossible de ne pas les attribuer à une lésion de la
couche
optique. A... L..., âgée de cinquante-cinq ans,
postérieurs et a envahi le corps strié, la partie postérieure de la
couche
optique, toute la capsule interne, le noyau len
de la mimique. Or, il résulte des travaux ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA
COUCHE
OPTIQUE. 387 -j de plusieurs observateurs que l
eurs que les mouvements de la mimique sont sous la dépendance de la
couche
optique. Romberg cite une observation de Strome
ontractaient pas chez lui. L'autopsie avait montré une tumeur de la
couche
optique droite avec destruction de celle-ci'.
et auteur montraient l'existence d'altérations dans la région de la
couche
optique. Il y avait en même temps tendance irré
r3 expliquent ce phénomène comme une conséquence d'irritation de la
couche
optique, l3echterew6 a également publié un cas
clue que la lésion devait siéger vers la partie postérieure de la
couche
optique. A côté de ces observations où l'autopsie
tions où l'autopsie avait démontré des altérations limitées dans la
couche
optique. La première de ces observations est du
les mouvements volontaires. Voici ce que démontrait l'autopsie : la
couche
optique gauche présente à sa surface en avant d
plein d'un contenu jaune ocreux ; il occupe presque le milieu de la
couche
optique s'éten- dant en dedans et en arrière ju
jumeau antérieur ; en dehors il ne va pas au delà des limites de la
couche
optique. La deuxième observation est due à Yi
l dans la Grèce médicale, 1-15 oct. 1903. ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA
COUCHE
OPTIQUE. 389 communiquant avec le ventricule la
OPTIQUE. 389 communiquant avec le ventricule latéral droit. Dans la
couche
optique gauche, tumeur de la grosseur d'une ave
ituée dans l'angle formé par la surface supérieure et interne de la
couche
optique. Cette tumeur faisait une légère sailli
es mimiques de la face à la suite d'altérations pathologiques de la
couche
optique. Cette contradiction, cependant ne sera
est le siège ou bien des symptômes d'irritation. « La tumeur de la
couche
optique (dit Yimoucopoulo) décrite par Nothnage
ant davantage, aurait occasionné des symptômes de destruction de la
couche
optique. » Il en fut de même de notre malade. L
l en fut de même de notre malade. La tumeur tout en ayant envahi la
couche
optique n'en avait détruit que la partie postér
raient fait place à des symptômes d'abolition des fonc- tions de la
couche
optique par l'envahissement total de celle-ci p
parla tumeur. Ces faits prouvent que des processus irritatifs de la
couche
optique, quelle qu'en soit la nature, peuvent d
rvir de contribution à l'étude de la physiologie pathologique de la
couche
optique. RECUEIL DE FAITS. Deux cas de méryci
tre d'un hémisphère est indépendante de celle de l'autre.. II. La
couche
optique est utéromotrice, mais il faut que les él
squ'on excite l'écorce. Si l'on tient compte que l'excitation de la
couche
optique a tou- jours lieu après celle de l'écor
les contractions obtenues sont plus énergiques, il s'ensuit que la
couche
optique renferme un centre plus puissant que l'
ques expériences semblent démontrer dans la partie antérieure de la
couche
optique l'existence d'un centre d'arrêt des con
ux postérieurs a donné des contractions moins vives que celle de la
couche
optique. Celle du noyau caudé et du cervelet es
ltérations consécutives en deux directions : atrophie marquée de la
couche
optique, dégénérescence descen- dante des pyram
ubérance, le bulbe et le côté opposé de la moelle. L'atrophie de la
couche
optique porte principalement sur son noyau exte
l'interruption de la communication entre l'écorce et cet organe. La
couche
optique n'est pas directement lésée, car le ra-
irectement lésée, car le ra- mollissement ne s'étend que jusqu'à la
couche
réticulée ou grilla- gée d'Arnold. Comme il app
quadrijumeaux, ce que peut faire aussi une tumeur originaire de la
couche
opti- que. ' P. KKHAYAL. LXXV. Des relations
n, mais au cervean moyen. Fleclisig d'ailleurs le fait partir de la
couche
optique. De recherches par 1\1. Schülz sur des
de Bechterew, pour qui le symptôme est réalisé par une lésion de la
couche
optique. Dans l'observation de l'auteur la loca
ation de ces deux syndromes juxtaposés exige même l'intégrité de la
couche
optique dont la lésion détermine un syndrome fa
ombé elle-même ces jours derniers, probable- ment aux suites de ses
couches
, et son enterrement a eu lieu aujour- d'hui jeu
ion allant de la chromatolyse ordinaire à la destruction totale. La
couche
des grains est touchée, mais sa lésion est moins
he des grains est touchée, mais sa lésion est moins appa- rente. La
couche
moléculaire est également atteinte. La méninge
sont disséminés sur une certaine épaisseur. On en reconnaît dans la
couche
des grains, dans la zone moléculaire. La plupar
intense que dans le cerveau et se montre surtout au voisinage de la
couche
dp Purkinje. 11 leur a semblé que les formes du
ux cellules de Purkinje, mais plus petits et doublant en dessous la
couche
normale de ces cellules ; enfin dans une démence
du noyau, plissement de la mem- brane nucléaire; endo-nucléole. Les
couches
profondes sont les plus atteintes. Mêmes altéra
corps strié, dont l'autre partie est cachée par le trigone Tg. CO,
couche
optique. NO, nerf optique. - PC, pédoncule céré
rps calleux. CC, corps calleux très réduit. -, CS, corps strié. f0,
couche
optique. PC, pédoncule cérébral. Planche XI.
Tics. Cornée. Voir Sensibilité. Corps étranger. Voir Mydriase.
Couche
optique. Contribution à l'étude des fonctions d
me que sur la face externe, le lobe occipital est petit. V L., C C,
couche
optique, corps ttrié, rien de particulier. D'un
aracentral ; circonv. Examen IIISTOLOGIQUE. 21 temporales), cette
couche
névroglique a doublé d'épaisseur. De plus, elle
e. Les fibres tangentielles sont altérées surtout au niveau de la
couche
d'Exner. Bien que ce feutrage n'ait nulle part
u môme perpendiculaires cette surface. A mesure qu'on examine les
couches
corticales situées plus profondément, les fibre
s qui, à l'état nor- mal, se distinguent aisément d'avec les autres
couches
faiblement teintées. Cette même diminution de
quand ils abordent le centre ovale de chaque circonvolution. Les
couches
cellulaires sont certainement bien moins- attei
ralement bien orientées; c'est ainsi qu'on retrouve les différentes
couches
bien connues (Meynert), et, dans chacune de ces
différentes couches bien connues (Meynert), et, dans chacune de ces
couches
, les cléments cellulaires sont nets, possédant
hie, nous ont paru suffisamment nombreuses, au niveau de toutes les
couches
de l'écorce cérébrale. La processus pathologiqu
[Père, mort d'un coup d'apoplexie, à 65 ans, sobre. Mère, morte en
couches
, d'une hémorrhagie. Grand-père paternel, mort d
les aucun cas semblable à Mar- celle. Trois enfants et une fausse
couche
: -10 garçon, mort de méningite avec convulsion
méningite avec convulsions à (i mois ; 2° noire malade; 3° fausse
couche
à G semaines, à la suite d'une émotion pro- voq
ien nourries avec de nombreux plis de passage. Des deux côtés, la
couche
optique, le corps strié, le ven- tricule latéra
é dans sa partie moyenne. Le ventricule latéral, le corps strié, la
couche
optique, la corne d'Ammon parais- sent sains. L
mporale, T sont assez bien développées. - Le ventricule latéral, la
couche
optique, CO, le corps strie, CS, la corne d'Amm
. Subitement il devient violacé. Aussitôt on le déshabille et on le
couche
. Il se jette en arrière, les membres supérieurs
e coin, C, est petit. Le corps calleux, C C, le corps strié, CS, la
couche
optique, CO,;et le ventricule latéral n'ont rie
végétations volumineuses, ni les 128 8 Idiotie lIlYXOEDÉMATEUSE.
couches
dpn<ps de lis=u fibreux, qui se voient toujour
ifférenciées, à tel point qu'il devient difficile de distinguer les
couches
qui apparaissent si nettement à l'état normal,
amidales, grandes et. moyennes, sont très peu nom- breuses dans les
couches
dites profondes, là où ces éléments sont d'ordi
note une diminution de nombre des tubes nerveux, qu'il s'agisse des
couches
tangentielles ou des fascicules radiaires. Mais c
e n'a pas subi des modifications bien considérables. Sans doute, la
couche
névroglique immédiatement sous-pie-mérienne est
obes du corps thyroïde. Elle a eu 13 enfants et a fait deux fausses
couches
. Grand- père paternel ? . Grand'mère paternelle
couloirs et l'on voit beaucoup de lits vides. Dans le dortoir où je
couche
il y en a des petites des grandes et l'on fait
ternelle de la mère, épileptique. Sur dix grossesses, trois fausses
couches
, cinq enfants bien portants et nos deux malades
re les deux époux. (Père plus âgé.) Sept enfants et trois fausses
couches
: 1° Une fausse cou- che à deux.mois, sans caus
ns ; - 7° un garçon, intelligent, pas de convulsions; 8° une fausse
couche
; 9" une fausse couche; 10° garçon, se porte bie
ntelligent, pas de convulsions; 8° une fausse couche; 9" une fausse
couche
; 10° garçon, se porte bien, pas de convulsions;
ution du corps calleux. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO,
Couche
optique. LQ, Lobule quadrilatère. C, Coin.
ution du corps calleux. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO,
Couche
optique. LQ, Lobule quadrilatère. P, Pédoncul
LP, Lobule paracentral. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO,
Couche
optique. CA, Corne d'Ammon. CH, Circonvolutio
e montrent pas à la phase ultime où par suite des altérations de la
couche
cen- trale psychique le désir ne saurait se man
droit. Odorat très ob- tus, Pommettes assez saillantes, régulières.
Couche
petite, lèvre SCLÉROSE TUBÉREUSE. 33 inférieu
du sillon opto-strié, il existe plusieurs nodosités scléreuses. La
couche
optique, le corps strié, la corne d'A 1111/10n
e de petites tumeurs blanches et dures, sur le sillon qui sépare la
couche
optique du corps strié ; elle envahit la partie
ité du gyrus rectus et deux sur Te Des deux côtés le ventiicule, la
couche
optique, le corps strié, la corne d'Ammon, le c
8 mois après, iritis de l'oeil gauche et dans la suite deux fausses
couches
de sa femme. Le malade nie tout excès alcooliqu
la malade aurait eu 9 grossesses, et nous y avons relevé 2 fausses
couches
; 4 enfants morts dans les premiers mois avec de
ale. Famille nerveuse. Pas d'antécé- dents personnels, Deux fausses
couches
dont la première suivie d'une céphalée intense
r du septo-marginal qui ne fusionne plus avec lui que par une mince
couche
appliquée contre la cloison ; dès le cinquième
phérie, jusqu'à s'éloigner complètement de la cloison et former une
couche
appliquée à la face postérieure du cordon. Le cor
laissent généralement le noyau de la cellule libre, et préfèrent la
couche
externe de celle-ci; il y en a aussi un grand n
ne. Aussi, peu à près l'action du courant voit-on déjà d'épaisses
couches
de cette matière colorante à la cathode. Le neuro
et nombreux corps amyloides. Ramollissement de la surface des deux
couches
optiques, vascularisation excessive de la surfa
lissement cortical des deux premières frontales. s'étendant dans la
couche
blanche à une profondeur de 3,2 cent. il 3. cen
la capsule interne. Les corps transverses et perpendiculaires de la
couche
optique décèlent tout 11 fait en avant, au-dess
es du même côté, dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 169 le cingulum, dans la
couche
des fibres tangentielles de la substance grise
ons -symétriques du côté opposé, dans la capsule interne et dans la
couche
optique du même côté, dans la lame médullaire e
vers le tubercule quadrijumeau antérieur. Ces fibres arrivent à la
couche
grise superficielle, la plupart cependant se re
couche grise superficielle, la plupart cependant se rendent dans la
couche
blanche profonde du tubercule quadrijumeau anté
genouillé interne et la calotte d'autre part pour se perdre dans la
couche
grise superficielle et dans la couche blanche s
e part pour se perdre dans la couche grise superficielle et dans la
couche
blanche superficielle (oberflaechliches Mark de
égé- 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. nérescences du côté opposé et dans la
couche
optique, la capsule interne, le corps genouillé
le segment antérieur de la capsule interne du côté opposé, dans la
couche
optique (autour des noyaux antérieur et externe
que (autour des noyaux antérieur et externe), dans une partie de la
couche
optique, située au-dessus du faisceau de Vicq d
ne légère dégénérescence dans le corps genouillé externe et dans la
couche
des fibres superficielles du tubercule quadriju
est due à certaines manières de voir normales propres à certaines
couches
sociales. C'est ainsi que chez certains alcooliqu
lit, je crois que le milieu doit contribuer à ce que le malade se
couche
volontairement. Pour cela, il faut d'abord une or
e des circonvolutions se présente dans certains cas avec toutes ses
couches
caractéristiques bien distinctes et leurs élément
misphères de pareils cerveaux, c'est l'existence entre la quatrième
couche
de la subs- tance grise de l'écorce et le centr
de la subs- tance grise de l'écorce et le centre semi-ovale, d'une
couche
inter- médiaire large et puissante de neuroblas
ter- médiaire large et puissante de neuroblastes (mon cas) ou une
couche
d'éléments ganglionnaires ressemblant à la quatri
u une couche d'éléments ganglionnaires ressemblant à la quatrième
couche
de la substance grise des circonvolutions (cas de
e la subs- tance blanche sépare, dans le cas de Meine, la quatrième
couche
de la couche intercalée. Quant à cette couche i
nce blanche sépare, dans le cas de Meine, la quatrième couche de la
couche
intercalée. Quant à cette couche intermédiaire,
e Meine, la quatrième couche de la couche intercalée. Quant à cette
couche
intermédiaire, elle est composée d'éléments gan
ns la substance blanche. Chez les microcéphales avec microgyrie, la
couche
intercalaire est formée de neuroblastes chez le
phales d'éléments plus dé- veloppés, qui ressemblent à la quatrième
couche
de la substance grise de l'écorce (cellules pol
présence des éléments ressemblant aux cellules ganglionnaires de la
couche
profonde de l'écorce). Sur les préparations m
rg, nous avons pu démontrer : SECTION DE PSYCHIATRIE. 317 Sur une
couche
faite du lobe temporal droit : 318 CONGRÈS INTE
érées en forme d'ilots dans la substance blanche. En outre, dans la
couche
zonale de l'écorce paraissaient parfois descell
ension rappelant les grandes cellules pyramidales de la troi- sième
couche
de l'écorce. Ainsi on constate dans ce cerveau la
corticale et l'hétérotopie des grandes cellules pyramidales dans la
couche
zonale. L'examen des cerveaux d'idiots dont nou
u- mulent et se combinent les forces nerveuses. L'abondance de la
couche
de neuroblastes dans les hémisphères des idiots
ents d'ordre supérieur, c'est-à-dire en cellules nerveuses. Dans la
couche
des neuroblastes se rencontrent quelquefois des
de l'atrophie, des contractures, de l'oedème et de l'épaisseur des
couches
adipeuses, qui couvrent souvent les muscles atr
s portes; l'une d'elles est munie d'une porte massive. Un infirmier
couche
à proximité de ces chambres. Le parquet des deu
es ont des grilles. Deux infirmiers assurent le service. L'un d'eux
couche
dans la chambre d'observation, l'autre dans cet
tance noircide Sümmeriug, du noyau rouge, de maintes- régions des
couches
optiques (pulvinar), etc., dont les zones de rayo
secondaire, qu'il existe des fibres d'association dans toutes les
couches
du centre ovale, entre l'écorce elle-même et l'ép
açon, car ce qui domine chez elles, c'est la fréquence de la fausse
couche
et de la morte-naissance. Elles le sont moins, pa
ce des lésions suivantes : 1° Distension des grandes cellules de la
couche
pyramidale dont la forme est devenue arrondie ;
ssement en masse de ses fibres, particulièrement manifestes dans la
couche
interolivaire du bulbe. Dans la région protubéran
nt pro- tubérantiel du ruban de lteil et plus ou moins loin dans la
couche
interolivaire, puis réintègrent la voie pédoncu
orragies de la capsule externe, des lésions du noyau lenticu- de la
couche
optique, etc.) intéressaient toutes le segment
des muscles, de la physio- nomie, on trouve une grosse tumeur de la
couche
optique gauche qui, plantée dans la partie médi
l'expression qui occupent la même place dans l'écorce et dans la
couche
optique. Chez les deux malades en question cette
che est réduit à une 88 SOCIÉTÉS SAVANTES. bandelette étroite, la
couche
optique gauche consiste en un mor- ceau assez g
plus compétents doutent que, pendant la vie, le corps strié ou la
couche
optique aient pu agir. Il n'est donc pas forcé
e bulbe. L'autre, à fibres grossières, gagne le gros ganglion de le
couche
optique où il se termine. Ce ganglion donne nai
donne naissance à un nouveau faisceau. Immédiatement en avant de la
couche
optique, on trouve une commissure qui unit les
ans le cabanon n° 4. Lorsqu'il y a un cabanon libre, un infirmier y
couche
, dit-on, qu'il y ait ou non des femmes. Si les
de particulier; tous ces enfants sont bien conformés. Deux fausses
couches
à cinq et à trois mois. Notre malade. Rien de
3 peu grêle' dans sa partie supérieure. La fissure calcarine, la
couche
optique, le lobule de l'insula n'offrent rien à n
; la fissure calcarine est normale. Le corps strié est atrophié; la
couche
optique semble à peu près normale,. elle a cepe
vé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première
couche
de la substance grise est confondue avec la sec
des scléreuses larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième
couche
de la substance grise, celle des petites cellul
ses et pigmentées ; elles empiètent sur la substance grise des deux
couches
qui les contiennent par des bandes conjonctives q
un bord dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première
couche
de substance grise est épaissie, fibrillaire et c
grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. La troisième
couche
, celle des grandes cellules, ne pré- sente que
trame névrogtique granuleuse. Mais la vascularisation exagérée des
couches
corticales moyennes et la formation de bandes d
i du grand épiploon réticulé de certains rongeurs. En même temps la
couche
corti- cale qui recouvre ce tissu aréolaire s'a
ions expliquent l'état cha- griné qui résulte de l'effondrement des
couches
moyennes de la substance grise et l'état kystiq
, d'être disposées en, séries verticales comme à l'état normal. Les
couches
suivantes de la substance grise et la substance
rtance est conservée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la
couche
la plus profonde de la substance grise où elle
. Cervelet du côté droit ? Cellules de Purkinje assez nombreuses.
Couche
externe et couche des myélocytes normales. On ret
té droit ? Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche externe et
couche
des myélocytes normales. On retrouve un certain
lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième
couche
de la substance grise et on peut leur distinguer
aire cette coupe, on passe le cou- teau par la partie moyenne de la
couche
optique 1. La coupe du pédoncule, celle de la p
oncule aux noyaux du corps strié en suivant l'étage inférieur; à la
couche
optique, en suivant l'étage supérieur; 2° les aut
d'un côté s'unit à la portion croisée du côté opposé pour former la
couche
superficielle Ou motrice des pyra- mides antéri
croisé. Le faisceau croisé cons- titue alors presque à lui seul la
couche
motrice de la pyramide, d'où l'interprétation f
le faisceau direct prime le faisceau croise dans la formation de la
couche
motrice de la pyramide et l'explication anato-
complète se produit ; la section portant plus en arrière « entre la
couche
optique et le noyau lenticulaire » c'est de l'h
moteurs . dégénérés; au bulbe, elle suit les pyramides antérieures (
couche
superficielle) et subissent au collet du bulbe
s avons vues distinctes du fais- ceau de Meynert se rendent dans la
couche
optique où elles aboutissent, se terminant dans
être de deux ordres : une partie du faisceau sensitif atteignant la
couche
optique ou fibres indirectes sensitives de la c
ettre toutefois que les fibres sensitives- qui doivent aboutir à la
couche
optique occupent aussi le segment postérieur de
optique occupent aussi le segment postérieur de la capsule, que la
couche
optique précisément limite en de- dans. Enfin
ux. 9; njyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure). 10;
couche
optique. 11 ; capsule interne (genou). 12; noya
; estr. postérieure du noyau caiulé. - 2 ; noyau lenticulaire. 1 ;
couche
optique 5 ; capsule ex- terne, G; avant mur. 7
on tissu est compacte. Les deux reins sont d'un volume moyen ; leur
couche
corti- cale est hypérémiéo; la capsule s'enlève
oucher son mari après lui avoir fait absorber du rhum. Elle-même se
couche
auprès de lui, après avoir été chercher sa fill
plégiques se jugent généralement par une alté- ration qui englobe :
couche
optique, pied de la couronne rayon- nante, part
imitrophe de la capsule interne, qui, quelquefois ne dépasse pas la
couche
optique, qui même peut se limiter au segment po
ostérieur de la capsule interne, qui, quelquefois ne dépasse pas la
couche
optique, qui même peut se limiter au seg- ment
se limiter au seg- ment postérieur de la capsule interne (entre la
couche
optique et le noyau lenticulaire) ; somme toute
ique des cas et des opinions des auteurs. M. Stephan penche pour la
couche
optique. P. K. XXII. Contribution A l'étude cli
seconde circonvolution frontales. Cette lésion, tout en irritant la
couche
corticale qu'on en suspendant le fonctionnement,
agitée, est actuelle- ment calme dans la journée ; le soir elle se
couche
tranquillement dort d'un sommeil paisible duran
eur a pris des moyennes. Il a trouvé que : Sur un cerveau normal la
couche
des grandes pyramides présente dans la 111 temp
sente dans la même temporale 1,8 pour 1. Sur un cerveau normal la
couche
des grandes pyramides présente dans la 2, front
ux. 9; noyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure). 10;
couche
optique. 11 ; capsule interne (genou). 12; noya
3 ; CXLR. postérieure du noyau caudé. 2 ; noyau lenticulaire. - f ;
couche
optique 5 ; capsule ex- terne, 0; avant mur. 7
r,80 à 1 gram. Emplâtre de diachylum......4 gram. Il applique une
couche
de cet emplâtre sur la tumeur, de ma¬nière à la r
lacée par une membrane mince, cellulo-fibreuse, ferme, adhérente à la
couche
profonde. Le toucher dénote la présence, au-desso
s, et occupant son tiers postérieur ; la déchirure se continue sur la
couche
optique et toute la paroi externe du ventricule,
nt plongés dans un amas considérable de granulations élémentaires. La
couche
extérieure au nucléus, semi-transparente, privée
ajoute un peu de sel. Le soir, le malade prend un verre de vin et se
couche
. Le second jour on lui administre en une fois cin
face antérieure du rectum, dont elle n'est séparée que par une mince
couche
de tissu cellulaire. Le cordon fibreux qui occu
la poitrine » à 31 ans ; sa maladie serait survenue à la suite d'une
couche
; elle toussait beaucoup, mais ne paraît pas avoi
ne pbthi-sie pulmonaire qui serait survenue à la suite de sa dernière
couche
; par conséquent, elle aurait été malade environ
¬vation des femmes qui ont présenté des accidents à la suite de leurs
couches
. En rassemblant aujourd'hui ces différents matéri
auteurs qui ont étudié la marche de la température chez les femmes en
couches
sont assez nombreux. Tout récemment dans sa thèse
bientôt trois ans, un enfant qui est vivant et elle a fait une fausse
couche
il y a dix mois. Sans cause connue, les dou¬leurs
cette nuit, et elle est entrée à l'hôpital où elle a fait une fausse
couche
(5 mois) à 7 heures, le 26 décembre. A dix heures
température la plus basse se montrerait vingt-quatre heures après les
couches
. Sur ce point, nos observations, ainsi que le lec
rités : l°Les lochies n'ont coulé qu'un seul jour et, aux cinq autres
couches
, il en aurait été de même ; 2° la température n'a
ement. Cette femme dit qu'elle n'a jamais eu de lait après ses autres
couches
. Lochies naturelles. — Soir: P. 78; T. V. 37°,8.
à l'âge de vingt ans, et sa grossesse s'est ter¬minée par une fausse
couche
. — Il y a trois ans, sans cause appré¬ciable, ell
a se¬conde fois. Elle n'aurait pas eu de fièvre de lait à sa première
couche
. 20 décembre, 10 heures du matin. Petites doule
ain point, de la comparer au type rémit¬tent. Observation X. Fausse
couche
. — Frisson : fièvre intense. — Herpès labialis. —
le 20 décembre au n° 15 de la salle Ferdinand. — Multipare. — Fausse
couche
de 6 mois, sans cause connue, le 21 décembre à 5
s, elle a eu deux enfants qui sont morts de convulsions et une fausse
couche
à la suite d'une chute. Le premier accouchement a
observer dans un même calcul, surtout s'il est volumineux, plusieurs
couches
de composition différente. CHIRURGIE KYSTE DE
— — 57° — 38° — II... Pauline, 52 ans, cinquième grossesse, fausse
couche
à six mois. (Obs. LXII.) 2*' jour matin 57°,4 s
aussi bien chez les primipares que chez les multipares. Le nombre des
couches
antérieures ne jouerait donc pas un rôle importan
ont et des joues, aussi bien que celle du corps, est recouverte d'une
couche
épaisse de poussière qui suffirait pour donner à
vieux (Traité clinique et pratique des maladies puerpérales suites de
couches
, Pa¬ris, 1870), distinguent la péritonite général
mptômes qui la ca¬ractérisent y figurent. Observation XII. — Fausse
couche
de quatre mois.-— Péritonite puerpérale légère et
, elle a été prise de douleurs très-fortes, et elle a fait une fausse
couche
à 2 heures de l'après-midi. A 5 heures : pouls à
quelque temps, une femme qui, sortie d'un hôpital dix jours après ses
couches
, fut prise à l'Asile du Vésinet, où elle avait ét
, la loi suivante : " La température la plus basse chez les femmes en
couches
se montre le matin jusqu'à neuf heures, puis une
oujours en continuité avec cette lacune tend à se reconstituer. Une
couche
de cellules épithéliales,bien que discontinue,m
caractère le plus remarquable de la lésion est la pénétration de la
couche
moléculaire par des travées cellulaires très régu
s à celle-ci, quelquefois sur une assez grande longueur. Les autres
couches
sont pénétrées plus irrégulièrement ; les cellule
èrement ; les cellules de Purkinje restent longtemps distinctes, la
couche
granuleuse contient parfois ainsi que la suGs-
e de dureté. L'examen macroscopique ne révèle aucune atrophie des
couches
optiques, des tubercules quadrijumeaux,des corp
s cornes occipitales des ventricules latéraux, réduite à une milice
couche
de quelques millimètres, est constituée par un ti
trouve plus aucune trace du ruban 104 MARCHAND de Vicq d'Azir. La
couche
épendymaire qui tapisse le ventricule est en voie
rolifération. La pie-mère très vascularisée est formée de plusieurs
couches
. Elle est le siège d'une inflammation ; on trou
. La descendance comprend deux garçons bien portants ; deux fausses
couches
successives ; un garçon atteint depuis la pre-
x d'antécédents syphilitiques; jamais la femme n'a l'ai t de fausse
couche
. Les deux soeurs de notre malade, âgées de 23 e
vésicules oculaires ont évolué normalement ; la rétine présente ses
couches
normales (Fig. 2) ; une couche répond à celle du
ormalement ; la rétine présente ses couches normales (Fig. 2) ; une
couche
répond à celle du pourpre rétinien, puis une co
(Fig. 2) ; une couche répond à celle du pourpre rétinien, puis une
couche
de cellules aux cônes et aux bâtonnets, viennen
uche de cellules aux cônes et aux bâtonnets, viennent ensuite : une
couche
de cellules ganglionnaires, une couche de cellu
nets, viennent ensuite : une couche de cellules ganglionnaires, une
couche
de cellules homologues à celles de l'écorce cér
ules homologues à celles de l'écorce cérébrale, enfin au centre une
couche
de fibres nerveuses. Un nerf optique se constitue
système des ganglions spinaux sensitissest Fig. 2. Les différentes
couches
de la rétine. En bas celle qui est adjacente à la
la cavité arachnoïdienne, et se caractérise par la formation d'une
couche
épaisse de tissu en tous points analogue à la n
s sont constituées de dedaus endehors, pour les artérioles, par une
couche
endothéliale formée de cellules gonflées, à gros
de cellules gonflées, à gros noyau, et revêtue extérieurement d'une
couche
de cellules musculaires, lisses, et de quelques
its différents sous forme de fentes irrégulières, tapissées par une
couche
incomplète de cellules cylin- driques, ou mieux
née de son épithélium. On voit cet épithé- lium, formé de plusieurs
couches
dans sa portion la mieux conservée, se dis- soc
d'oedème. Le canal épendymaire est très apparent, entouré par une
couche
épaisse, feutrée, de fibrilles névrogliques. L'
trée, de fibrilles névrogliques. L'épithélium est formé par plusieurs
couches
de cellules cylindriques pressées les unes cont
maire est plus régulier, toujours légèrement dilaté, avec plusieurs
couches
d'épithélium et une gaine de fibrilles névrogli
sclé, mais cependant considérablement amaigri. La disparition de la
couche
graisseuse sous-cutanée rend plus appa- rentes
ter au lit pendant la plus grande partie de la journée, bien que sa
couche
soit, par son exiguïté, peu en rapport avec les
e des travées entourant les capillaires à l'état normal. Il y a une
couche
interne d'élément fib¡'o-plas- tiques absolumen
les aliments à la bouche de main gauche. Pour écrire, le malade se
couche
en quelque sorte sur l'avant-bras droit, le mem
izarreries qui se relèvent dans la morphologie de la surface et des
couches
musculaires superficielles de la langue de notre
masse musculaire de la langue, et il arrive enfin et finit dans les
couches
inférieures (longitudi- 254 BIANCUINI nales)
plus contiguës et voisines s'entrelacent et s'entrecroisent avec les
couches
proximales des fibres transversoe (Sappey, Quai
'àge de 26 ans. Sa femme est bien portante, n'a jamais eu de fausse
couche
; deux enfants, l'un est bien portant; l'autre es
V, B). Lobe frontal gauche. - Diminution du nombre des cellules des
couches
superficielles : pigmentation hématique éparpil
couches superficielles : pigmentation hématique éparpillée dans les
couches
super- ficielles et profondes de l'écorce. Dans
ans les couches super- ficielles et profondes de l'écorce. Dans les
couches
profondes encore on observe les différentes alt
oints la méninge est comme séparée de l'écorce de la moelle par des
couches
de fibrine. On ren- contre par ci par là plusie
s muscles soit difficile à apprécier en raison de l'épaisseur de la
couche
de graisse qui les recouvre, on peut les consi
e la ponction lombaire n'a pu être pratiquée en raison de l'épaisse
couche
de graisse recouvrant la région des lombes et de
Salpêtrière qui a eu lieu à 50 ans. Elle n'a jamais fait de fausse
couche
et a eu trois enfants encore vivants actuellement
araissent formées d'une bande protoplasmique recouverte d'une mince
couche
irrégulière de myéline. D'autres ont une myéline
es étroites non différenciées. Quelques-unes présentaient une mince
couche
de myéline et un cylin- draxe segmentaire. On p
ides, tantôt occupés par un grêle cylindraxe entouré d'une délicate
couche
protoplasmique incolore. Planche LXIV. Fis. I.
t ; intégrité du sys- tème pileux. Pas de courbature de fatigue, se
couche
rarement. Asymétries faciales et corporelles :
euse ; mange et boit lentement, courbature de fatigue fréquente, se
couche
souvent, très fatigué par les écoles à feu. Tra
etien, se fati- gue beaucoup en trottinant à côté des attelages, se
couche
assez fréquemment; sueurs abondantes sans cause
peinture générale des boiseries, murs et plafonds a. l'huile, trois
couches
. Les appareils des water-closets seraient à eff
tique. Ajoutons qu'en maints endroits sa minceur était telle que la
couche
cérébrale n'avait même pas un millimètre. OBS
'enfance; très nerveuse, migraineuse, caractère irritable, morte en
couches
; paralysée du côté gauche. Grand-père maternel
AC, lwant-eoin. C, coili. LTS, lobe temporo-sphéiioïdal/ co,
couche
optique. V, ventricule. spe, scissure perpend
C, coin. LTS, lobe temporo-spnénolual. ce, corps calleux, co,
couche
optique, sr, sillon de Rolamio. .0 idiotie.
nvolution tem- porale. ce, corps calleux. cs, corps strie, eu,
couche
optique. P. pédoncule. SPH, scissure perpendi
. AC, avant-coin. C, coin, LTS, lobe temporo-sphénoïdal. 00,'
couche
optique. v, ventricule. ce, corps calleux.
circonvolution du corps calleux. Ventricule latéral un peu dilaté.
Couche
optique et corps, striés normaux. Au niveau des
nts de Il mais pas de sclérose. Ventricule latéral un peu dilaté. -
Couche
optique, corps strié, corne d'A9)721110on , rie
le malade s'incline en arrière. On le soutient dans sa chute. Il se
couche
sur le côté gauche, le bras droit est étendu ve
nombreuses sur le lobe oceipital. Ventricule latéral non dilaté.
Couche
optique et corps strié sains. D'une façon génér
cès épileptique (1) ont rapporté les cas suivants : « Boull... se
couche
un soir bien portant. Le len- demain matin, on
yant l'aspect et la forme des cellules qu'on trouve dans la seconde
couche
de Meynert. Ces cellules sont contenues dans de
luse dans la substance blanche ordinaire a la même structure que la
couche
profonde de l'écorce. Confor- mément aux travau
un peu aminci à son sommet. À la partie moyenne des ventricules, la
couche
optique et le corps strié forment une légère ém
eune, des crises de nerfs, mourut à 25 ans il la suite de mauvaises
couches
. Elle resta à leur suite, 18 mois paraplégique.
este de la base, il offre un aspect membraneux, recouvert de minces
couches
de substance cérébrale. On peut constater sur l
Mère, 56 ans, d'une bonne santé, conserve cepen- dant depuis ses
couches
un « gonflement du genou ». - Grand-père patern
est recouverte de nombreuses arborisations. Les corps striés et les
couches
optiques n'offrent rien d'anor- mal. Hémisphè
leur. Parmi ceux qui n'ont pas vécu, quatre répondent à des fausses
couches
et deux sont morts en nourrice, on ne sait de q
anspasente. C R, cir- convolution retournée. C S, corps strié. C 0,
couche
optique. V M, ventricule moyen. T Q, tubercules
moment de la puberté. Pas de consanguinité. 6 enfants et une fausse
couche
. L'aîné est mort de convul- sions à 5 mois ; no
ormée de deux lames de tissu compact entre lesquelles est une large
couche
d'un tissu spongoïde qui permettrait de compare
des pédoncules et de la protubérance, est infiltrée d'une épaisse
couche
purulente (méningite purulente). 282 « Hydrocép
surtout au niveau de sa corne occipitale et à sa partie moyenne. La
couche
optique est un peu aplatie et le corps calleux am
s de colère. - Mère un peu nerveuse, céphalalgies. Deux faus- ses
couches
à 6 mois. - Grand-père maternel aliéné et alcoo
age sont nés 4 enfants et la mère est enceinte de 5 mois. 1° fausse
couche
à 5 mois, attribuée à la fatigue ; 2° autre fau
1° fausse couche à 5 mois, attribuée à la fatigue ; 2° autre fausse
couche
de 6 mois sans cause appréciable ; - 30 notre m
, les gencives sont saignantes, le tout est recouvert d'une épaisse
couche
de muguet. Les ganglions submaxillaires sont tr
tent une teinte vitreuse. Les bandelettes sont réduites à une mince
couche
. Les tubercules mamillaires sont tout-à-fait ap
e ; 2" le second, 28 ans, est sobre. - Une sur, morte à la suite de
couches
d'une affection aiguë, avait eu trois enfants d
es ; elle a aujourd lmi le monde entier pour domaine; le soleil ne se
couche
ja-mais sur son territoire. Les individus se repo
, M. Gallois a quelquefois constaté que les calculs étaient formés de
couches
concentriques, dans lesquelles l'acide urique et
vider à la surface libre du cartilage. aboutit à la formation d'une
couche
osseuse nouvelle. Les capsules mères s'infiltrent
odial, comme on sait, est recouvert à Fia. 13. — Rhumatisme noueux.
Couche
profonde du cartilage d'une phalange (d'après M.
actérise essentiel-lement cette arthropathie, c'est l'existence d'une
couche
de tissu conjonctif qui recouvre le cartilage dia
peut devenir le siège. L'endocarde se compose essentiellement d'une
couche
très mince de tissu conjonctif, renfermant un cer
— Lamelle supérieure de l'endocarde. a". — Lamelle inférieure. b. —
Couche
moyenne dont les vaisseaux présentent un degré ma
de l'inflammation des tissus eux-mêmes, et du dépôt consé-cutif d'une
couche
fibrineuse. Mais pendant que ce travail s'accom
me de ces tubercules s'est considérablement accru par l'apposition de
couches
osseuses nouvelles. Il n'existe pas trace de dépô
pathies purulentes multiples peuvent se développer chez les femmes en
couches
. C'est à tort, suivant nous, que ces faits ont ét
sa-tion d'une fausse fluctuation, et qui est due à l'hypertrophie des
couches
celluleuses qui doublent la synovialeà l'extérieu
e fait à terme sans accident ; la malade n'allaite pas, les suites de
couches
n'ontrien d'anormal ; l'enfantmeurtunanaprès sa n
ossesse, elle quitte Paris, et va habiter une maison de laboureur, et
couche
dans une cham-bre parfaitement saine. Vers le six
'en outre, la face externe de la membrane synoviale est doublée d'une
couche
fibreuse, très résistante, qui la sépare des liga
ante, qui la sépare des ligaments articulaires proprement dits. Cette
couche
nouvelle, qui semble due au tissu cellulaire sous
ulaires que nous enle- vàmes avec précaution, nous rencontrâmes une
couche
épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synovia
he épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synoviale. Quand cette
couche
eut été coupée et qu'il ne resta plus que la sére
que gisait la cause de cette contracture apparente, mais bien dans la
couche
intermédiaire à la synoviale et aux ligaments pér
culations pré-sentaient, en outre, en dehors de la synoviale, dans la
couche
même dont l'épaississement avait causé au coude u
tière d'aspect crayeux est à nu ou recouverte seulement par une mince
couche
épidermique. Extraite à l'aide d'une légère inc
-sant faire corps avec la peau, et recouverte seulement par une mince
couche
d'épiderme, siégeait depuis plusieurs mois sur l'
ge des jointures ; le tissu cellulaire sous-cutané, le névrilemme,les
couches
profondes du derme pré-sentaient de semblables dé
e sorte qu'il est bien certain que ledépôt d'urate de soude, dans les
couches
superficielles des cartilages, se fait à la fois
des nerfs des doigts, dans le tissus conjonctif sous-cutané, dans les
couches
profondes du derme, en un mot, dans tous les tiss
ous venons d'analyser. A la surface des cartilages, se trouvait une
couche
assez épaisse, opaque à la lumière directe, blanc
. Examinée à un faible grossissement sur des coupes verticales, cette
couche
était limitée d'un côté, par la surface du cartil
ns. Il s'enrhume très facilement et tousse presque tous les hivers.
couche
cellulaire de la séreuse, dans les tendons et les
intures précédentes, le dépôt de sels uriques était constitué par une
couche
très mince. La surface de ces dépôts était rugu
n outre, la face externe de la membrane synoviale est doublée par une
couche
fibreuse très résistante qui la sépare des ligame
tante qui la sépare des ligaments articulaires proprement dits. Cette
couche
nou-velle, qui semble due au tissu cellulaire sou
ticulaires que nous enlevâmes avec précaution, nous ren-contrâmes une
couche
épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synovia
uche épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synoviale. Quand cette
couche
eût été coupée, et qu'il ne resta plus que la sér
ue gisait la cause de cette contracture appa-rente, mais bien dans la
couche
intermédiaire à la synoviale et aux ligaments pér
iculations pré-sentaient en outre, en dehors de la synoviale, dans la
couche
même dont l'épaississement avait causé au coude u
tiguës, soit à l'épaississement avec production détiens fibreux de la
couche
celluleuse, sous-synoviale. C'est à cette dernièr
de jointures, les surfaces articulaires paraissent recouvertes d'une
couche
d'un blanc mat, semblable à du plâtre ; cette mat
és arti-culaires et la surface rotulienne sont revêtues de cette même
couche
blanche qui se retrouve aussi par plaques aux fac
. — Des deux côtés, les articulations tibio-tarsiennes présentent une
couche
d'un blanc laiteux, uniformément répandue sur tou
rfaces articulaires étaient recouvertes dans toute leur étendue d'une
couche
d'une matière blanche qui, examinée chimiquement
ge des jointures, le tissu cellu-laire sous-cutané, le névriième, les
couches
profondes du derme présentaient de semblables dép
on velvétique, puis ils disparaissent et l'on trouve à leur place une
couche
éburnée. Les surfaces articulaires s'élargissent
e de ces tubercules s'est considérablement accru, par l'apposition de
couches
osseuses nouvelles. Il n'existe pas de traces de
hêne, ainsi que les portes et croisées ; les peintures a l'huile, 3
couches
; vitrerie ordinaire, calorifère de puissance s
vint à si mois non viable; une frayeur avait provoqué cette fausse
couche
. Parmi les 5 enfants vivants, signalons un jeun
es d'adhérences assez nombreuses au niveau du lobe orbitaire. Les
couches
optiques paraissent un peu rétrécies. RÉFLEXION
utions occipitales, qui est détruite sauf au niveau de la 5e. Les
couches
optiques, les corps striés, les ventricules laté-
toute sa vie. Sa première femme serait morte subitement durant ses
couches
. D'après sa seconde femme, il aurait un caractè
'une frayeur que lui aurait faite son mari au troisième jour de ses
couches
. «Il s'est lové la nuit ayant il la main deux p
des adhé- rences. Le corps calleux, le trigone, le ventricule, la
couche
optique, le corps strié et le pédoncule ne prés
éjour de 1-2 ans dans un asile d'Odessa. La folie la prit après ses
couches
. File ne pouvait plus voir son mari et se croya
d-père maternel mort tout jeune. - Grand' mère maternelle, morte en
couches
. Rieii comme maladies nerveuses ou mentales. -
tes et contiguës, assez bien rangées'. Langue enduite d'une épaisse
couche
saburrale, rouge à la pointe. Palais absolument
ofondeur, et dont les parois montrent la disposition stratifiée des
couches
qui ont été intéressées. Nous ne nous occuperon
cclo-pore7tréhlzalie, et qui dénote la destruc- tion successive des
couches
constituantes de l'hémis- phère. Sur nos quatre
ne fille, morte un quart d'heure après la nais- sance ; - 2° fausse
couche
de 3 mois; 3° fille, 21 ans, domes- tietfie, pa
conservé et vigoureux. Grand'mère mater- nelle, morte à 28 ans, en
couches
, « de chagrin,' dit-on. » Un oncle paternel est
ur toute son étendue. - Ventricule latéral dilaté. - Corps strié et
couche
optique peu volumineux mais ne paraissant pas a
t 1(i ventricule latéral n'ont rien d'anormal. - Le corps strié, la
couche
optique et le pédoncule cérébral sont très déve
Il n'y a, à la suite, ni nausées ni vomissements. La patiente ne se
couche
pas. Ce qui domine ce sont surtout des scotomes
ien de particulier dans le ventricule latéral, la corne d'Ammon, la
couche
optique, le corps strié. ' * Hémisphère cérébra
âge de 57 ans. - Mère morte des suites d'accès d'épilepsie après la
couche
de son second enfant. Pendant la grossesse de s
SomfAmE. - Père, caractère emporté. Mère, caractère vif, morte en
couches
. Grand'mère maternelle morte en cou- ches. - Pa
phoïde. [Père, mort à 50 ans, on ne sa' de quoi. - Mère, morte en
couches
: 1 36 ans. Le reste de la famille est totalement
blement atrophiée. Le ventricule latéral est notablement dilaté, la
couche
optique, le corps strié ainsi que la corne d'Am
dosités atrophiques..Le ventricule latéral ne parait pas dilaté. La
couche
optique, le corps strié et la corne dam- mon pa
e : 5 ans, la mère était la plus âgée. Quatre enfants : 1° fausse
couche
de 5 mois 1/2; 2° un garçon, mort en naissant ;
tent une teinte vitreuse. Les bandelettes sont réduites à une mince
couche
. Les tuber- cules mamillaires sont tout-à-fait
i déprimés par cette dilatation ventriculaire. Le corps strié et la
couche
optique sont aplatis surtout à leur partie post
-quatre ans d'une affec- tion pulmonaire à la suite de sa quatrième
couche
. Dans le reste de la famille du père, aucune af
ses positons (fig. 18, 19, 20,21), se lève en se contorsionnant, se
couche
à terre (fig. 22, 23. 2h, 2;i 26), se relève sa
ernet mort phtisique. - Mère morte d'une péritonite un an après une
couche
. Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 7 a
C, coin. LTS, lobe temporo-sphénoïdal. ce, corps calleux. co,
couche
optique. sr, sillon de Rolando. BOURNEVILLE,
in. C, coin. Lo, lobe occipital. T3, troisième temporale. CO,
couche
optique. P, pédoncule. SL, septum lucidum.
rconvolution temporale. ce, corps calleux. es, corps strié. co,
couche
optique. P, pédoncule. SPE, scissure perpendi
. AC, avant-coin. C, coin. LTS, lobe temporo-spliénoïdal. co,
couche
optique. V, ventricule. ope, scissure perpend
l. AC, avant-coin. C, coin. LTS, lobe temporo-sphénoïdal. co,
couche
optique. v, ventricule. ce, corps calleux.
de toutes façons pendantle siège de Metz. Prisonnier en Prusse, il
couche
sur la terre nue et se réveille un matin avec t
Observation IL Glio-sarcome cérébral. Epilepsie. Tumeur occupant la
couche
optique et le corps strié d'un côté. Homme de q
le segment postérieur de la capsule interne, avec propagation à la
couche
optique : mais il faut remarquer qu'ici, le spa
ont fibro-plastiques; c'est d'elles qu'émane le tissu scléreux; les
couches
de fibres conjonctives de nouvelle formation proc
sis au-dessous du tubercule bijumeau inférieur, un second gagne les
couches
trans- verses et inférieures de l'S de l'étage
qui s'y trouvent. P.K. III. Contribution A La connaissance DE la
couche
intermédiaire DES olives; par S. FREUD. (Neurol
trapézoïde, sont venus du ganglion de l'acous- tique (Flechsig). La
couche
intermédiaire des olives avoisine le point d'en
r le raphé, en dehors par les racines de l'hypoglosse, ou, dans des
couches
inférieures de la protubérance, par les racines d
rencontre aussi des fibres longitudinales issues, les unes de la
couche
limitantelatérale de substance grise spinale et p
s grises qui environnent le troisième' ventricule (peut-être à la
couche
optique ? ), à la partie médian du ruban de Reil
situation systématique. A cet âge de la vie en effet il existe une
couche
dépourvue de myé- 108 revue d'anatomie le,'[' d
ation corticale jusqu'à la partie infé- rieure et postérieure de la
couche
optique partiellement atro- 1 Voy. AI'Clt. de N
SAVANTES. lit 1 phiée et de là dans la même direction à travers la
couche
tÏn te 1'- médiaire des olives (Flechsig), à tr
t né à Strasbourg le 13 avril 1858 où sa mère était allée faire ses
couches
, bien qu'habitant Paris 1 Les autopsies de cas
ènes inflammatoires qui aboutissent à une hyperplasie d'abord des
couches
nerveuses, immédiatement soumises à l'agent com-
lange d'air ne contenant que 1/2 p. 100 de Co) l'excitabilité de la
couche
cor- ticale augmente d'abord; puis cela s'amoin
ugmente d'abord; puis cela s'amoindrit pour aboutir à l'inertie. La
couche
blanche résiste plus longtemps de sorte qu'en l
oque des contractions musculaires alors même que l'excitation de la
couche
corticale reste silencieuse. Les nerfs hériphér
bientôt, s'infléchissant vertica- lement, ils se condensent en vne
couche
propre située à la pointe de la corne postérieu
ès, et que la lésion y est d'autant moins avancée qu'on examine les
couches
les plus antérieures de la corne posté- rieure,
anté- rieure du tubercule quadrijumeau antérieur, empiète sur les
couches
optiques au milieu de la commissure postérieure e
ale. Intégri té des cellules nerveuses et des éléments des diverses
couches
cor- ticales ; artérite syphilitique demème nat
ictus apoplectiforme avec perturbations du côté droit. Autopsie La
couche
optique gauche renferme le plus vieux foyer ; ra-
sula du côté gauche ; de date plus récente que l'altération de la
couche
optique, ces lésions expliquent l'aphasie (très l
ement mouvoir ses jambes dans son lit, il peut marcher à côté de sa
couche
, mais les contrac- tures des jambes, quand il b
ynx, de la conjonctive); 15, 20 minutes avant l'accès, le malade se
couche
, tombe en état de stupeur, 288 CLINIQUE NERVEUS
nvenablement, tenu par 'Elle s'est mariée à 19 ans, fait une fausse
couche
; en 1883, elle était bien portante. Fig. 95.
ante sous le doigt, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaisse
couche
de tissu cellulaire lâche; au devant du thorax
hritique est comme oedématié. Le rein gauche, entouré d'une épaisse
couche
de graisse, se décortique facilement (quelques
à l'oeil nu de lésions de néphrite interstitielle (épaisseur de la
couche
corticale : 4 millim.). Le rein droit se décort
be à con- vexité supérieure. Le corps calleux, le corps strié, la
couche
optique, ne présentent rien de particulier. H
signalées, est assez profonde. Le corps calleux, le corps strié, la
couche
optique, sont normaux. Cervelet. ' Les hémisphè
-jacents qui sont mous et flasques. On sent qu'il existe une légère
couche
de graisse sur toute la surface du corps. Les m
ues. Des incisions faites à la peau mettent à découvert une épaisse
couche
de tissu cellulo-graisseux. Nulle part on ne tr
sie ni sérosité, ni substance colloïde, mais simplement une épaisse
couche
de graisse sous- cutanée. Il est noter, dureste
elle est comme paralysée des extrémités, surtout depuis sa dernière
couche
; en 1881, sa santé n'a fmt que décliner. » 9° K
tous ces individus, les grandes cellules nerveuses de la troisième
couche
de l'écorce, dans les parties comprises entre l
e utérine consécutive à des maladies rapidement consomptives, à des
couches
et à des lactations se succédant à des interval
taire), par Tippel, 92. Nominations et promotions, 262. Olives (
couche
intermédiaire des), 103. OphLhalmoplégie (et
nd nombre de petits sillons superficiels. Le ventricule latéral, la
couche
optique, le corps strié et la corne d'Ammon n'o
tuhercule mamillaire, du pédoncule cérébral, du corps strié, de la
couche
optique et de la moitié de la protubérance. D'a
la base frontale du cerveau antérieur, sans l'intermédiaire de la
couche
optique (ligure^). ' > P. lvra.w.ar. II. Con
e interne, des lames médullaires internes du globus pallidus, de la
couche
intermédiaire de la région de la calotte, de la
eux, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 49 dans la
couche
tangentielle de la substance grise sous-épcndy-
l'autre hémis- phère, dans la capsule interne du même côté, dans la
couche
optique, dans la lame médullaire externe de la
côté, dans la couche optique, dans la lame médullaire externe de la
couche
optique de Forel, dans le corps de Luys, dans l
le pied du pédoncule : elles se dirigent en dedans, franchissent la
couche
grillagée, la zone de Wcrnicke, et arrivent à l
/ avant et vers la gauche. Le couteau long et étroit a perforé la
couche
musculaire et la membrane obturatrice postérieure
atiqnes, les cellules en bâtonnet, la dis- position irrégulière des
couches
cellulaires, les cellules nerveu- ses sclérosée
lrophie des libres des nerfs optiques, un lé- ger (J'dl'IIIl' de la
couche
des cellules nerveuses, un épaissis-c- 11ll'111
de la couche des cellules nerveuses, un épaissis-c- 11ll'111 dl' la
couche
moléculaire externe et des libres de Renie dans
.t/'oMftcc))'t(<t6'<'unUent une substance grenue accolée à la
couche
granuleuse externe; ce;'(, pour Jlnlm, un débri
gler. Par moments, il a des périodes de calme avec demi-stupeur, se
couche
et gémit : « Je suis perdu ! j'ai commis un cri
2' série 1905, l. XIX. 7 08 CLINIQUE MENTALE z gancs superposés,
couches
optiques, bulbe, moelle, dans lesquels existent
rs dont l'activité peut être réveillée d'une façon automatique. Les
couches
optiques, en particulier, contiennent des noyau
fants tous morts en bas-âge, el sa femme a fait en outre une fausse
couche
; mai, peut-être, il est- vrai, faut-il tenir c
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XVIII. Des fibres d'association de la
couche
finement grenue de l'écorce du cervelet ; par L
(Weurol. Ceatrolbl., ttlll, 1904.) llamon y Cajalasignafettans la
couche
finement grenue en question des libres qui, pro
ment grenue en question des libres qui, provenant de cellules de la
couche
sou* jacente arrivent en se divisant a la surfa
ivent en se divisant a la surface de l'écorce. Les cel- lules de la
couche
grenue, petites, ont un gros noyau ainsi que tr
· lJn oulre, lil Cecl- terew, chaque cellule granuleuse envoie à la
couche
finement grenue un neurile dépourvu de collatér
dans son trajet, vertical jusqu'à la région superficielle de celle
couche
». ;\1. Poussèpe, après avoir détruit le lobule
la substance blanche ; leurs prolongements arrivent ensuite dans la
couche
grenue, finalement, la dégéné- rescence atteint
rescence atteint les prolongements cylindrwilus des cellules de la
couche
grenue. Ces prolongements c limlravilus,luni·In.n
a couche grenue. Ces prolongements c limlravilus,luni·In.nl dans la
couche
finement grenue, en formant une rangée de fihl'l'
ne dans l'é- corce du cerveau des épileptiques, notamment dans la
couche
d'association externe (zonale) ; par Th. liar s.(
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la portion la plus superficielle de la
couche
, tandis qu'elles sont extrêmement abondantes im
tion gagnent le corps genouillé externe, les deux pulvinars de la
couche
optique, les corps quadrijumeaux antérieurs. 9. L
ant, il y a prédominance des lésions du côté sur lequel l'animal se
couche
. L. W. XL1V. Nouvelles études sur le cervelet ;
la méthode de \Iarclii-Busch. L'excitation du noyau après ablation
couche
par couche de l'hémisphère cérébral du chien dé
e \Iarclii-Busch. L'excitation du noyau après ablation couche par
couche
de l'hémisphère cérébral du chien détermine : la
étendu de l'hémisphère droit (circonvolution lenlhoro-occipilale el
couche
optique), lé- sions multiples du bulbe. it. CHA
it laver avec une infusion de camomille. Elle dine à 7 heu- res, se
couche
à 9 heures comme à l'habitude et s'endort parfait
a vue à tel point qu'elle ne peut se guider dans la chambre où elle
couche
qu'en utilisant ses lunettes. Elle ne se trouve
achine, ils ont tous la même valeur : L'excentrique vaut l'arbre de
couche
. Il y aurait pour mon ami Franc-Nohain, qui prê
° les foyers de ramollissement unilatéraux du corps strié et (le'la
couche
optique déterminent une inconti- nence d'urine
priver des trois semaines de repos dont elles onthesoin après leurs
couches
: on conviendra que c'est pure fantasmagorie et
e, de chiens non curarises. A partir du 3s mois, l'excitation dp la
couche
optique et du noyau caudé produit des phénomènes
trent chez le chien de deux semaines la pleine diffé- renciation de
couches
isolées de cellules; les cellules pyramida- les
s cellules pyramida- les sont bien développées. Donc, à cet âge, la
couche
corticale delà région sigmoide possède ses élém
; il en est, à cette époque, de même, des libres myéljniques de la
couche
optique dont l'aspect est celui des animaux plus
dent, comprise entre les deux pyramides, les olives inférieures, la
couche
interolivaire et la substance arti- culée grise
agressifs, le gardien va encore passer la nuit au milieu d'eux. Il
couche
le plus souvent dans le même dortoir, côte à côte
w,390. Fibres nerveuses. Voir Sclérose. Des d'association de la
couche
finement grenue de l'écorce du cervelet, par Po
ine dans l'écorce du cerveau 'des épileptiques, notamment dans la
couche
d'association externe (zonale), par Kaes, 125
ience claire de n'avoir plus été la même à-partir dé ses. dernières
couches
..Depuis lors,- avoué-telle,, elle n'a ira- mais
Elle se'sa- vait hallucinée, et pourtant, la nuit, elle quittait la
couche
conjugale et, tremblante, se cachait pour se dé
us olfaolorius. T¥.I¡\ somme, les ; cellules ganglionnaires ;de lai
couche
, grise' des lqr ¡2 ! Ca.çt,ifs. &g.nt¡.tnll
e la plus grande attention : ' "^ ' " ? " 111"'1 1 n i ',rt " 10 La
couche
grise corticale n'est pas excitable"l'ar elle1mfi
. intense,ll'atrophie des,cellules de Purkinjeet des cellules de la
couche
externe, l'épaississement strié des pa-, rois v
)t 'V)r.'I 'LI XVII. Contribution A L'ÉTUDE DE la. PHYSIOLOGIE des.
COUCHES
"Utf ? -* ' ? 't- t "" ' /"r)r.0''j7r'"< ? i
leurs, d'une manière très incomplète paril'auteur. On 1 trouva' les
couches
optiques- envahies -par lune tumeur fougueuse «
lésions : 1° des nerfs, 2° de la capsule'interne,' 3° ou J de" la'
couche
optique leile-iiièàie ? Là est toute la questio
ux de ses camarades placent son lit entre les leurs; mais il n'en
couche
pas moins avec son sabre-baïonnette. Le 8 octob
pousse des sanglots. Le soir, il se plaint beaucoup de la tête, se
couche
, et, d'après le rapport du veilleur, il n'a pas
oit, mais il lui semble souvent que le pied gauche repose sur une
couche
d'ouate. Le sens musculaire est assez bien conser
M. Charcot, des mensura- tions exactes de la partie épaissie de la
couche
de la substance grise qui tapisse le sillon ent
resque pas de différence notable, quant à la largeur relative de la
couche
de substance grise. (Fig. 1 et 2.) Dans la dire
nes. Dans la direction occipitale, la différence de lar- geur de la
couche
de substance grise, dans des endroits iden- tiq
de cette région. Remarquons, cependant, que les cellules des autres
couches
présentaient les mômes ? altérations. Le corps
uméfaction très prononcée. Les mensurations des cellules des autres
couches
nous ont donné des résultats analogues. Le méth
ules nerveuses, qui les atteint indifféremment dans toutes les cinq
couches
de la substance grise. Les cellules - tuméfiées
Dans la partie horizontale de la région corticale, les cellules des
couches
superficielles de la substance grise sont encore
ellulaire diffuse et qui se propage indifféremment, dans toutes les
couches
, est accompagnée de leur vacuolisation, 'mais s
t pas de différence sen- sible, elle devient presque nulle dans les
couches
superficielles de la partie horizontale de la s
de départ de l'altération. Quant à la tuméfaction des cellules des
couches
superficielles et des parties excentriques, leu
présentaient pas d'altération, il remarque que leur disposition en
couches
ré- gulières est infirmée et qu'il y a là une i
els dans la famille.] -Pas de consanguinité. Dix enfants et fausses
couches
: 1° garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas d
, bien portant, a eu des convulsions jusqu'à trois ans; 6° fausse
couche
à six mois, sans motifs ; -io fille, morte à deux
s et demi de méningite, avait déjà eu des convulsions ; - 8° fausse
couche
; 9° notre malade; - 10° fille, de sept mois, pa
3° circonvolutions; mais, au niveau de la 2, on enlève avec elle la
couche
superficielle de la substance grise dans la moiti
TS. Le ventricule latéral offre une dilatation uniforme; mais une
couche
encore assez épaisse le sépare du foyer. Hémisp
ortiquant la pie-mère, on enlève en un certain nombre de points une
couche
plus ou moins épaisse de substance grise, notam
ion émane de ce double jeu, en même temps qu'elle dépose dans les
couches
grises des hémisphères, l'image de l'impression p
Au bout d'un mois, il se produisit une solution de continuité de la
couche
cornée de la plante du pied droit, et il se fit
six mois de gestation, deux foetus mort-nés. A la suite de cette
couche
, on a constaté l'existence d'une éruption mal dét
être attribué à la syphilis'. 1. Un an environ après ses premières
couches
, elle en eut une seconde, l'enfant vint bien à
quelle maladie il succomba. L'année suivante elle eut une nouvelle
couche
, l'enfant vint mort à huit mois. Elle avait vin
ie de la moelle, mais ne l'atteignait pas, en étant séparée par une
couche
de fibres nerveuses normales (directe kleinhirn
écisément dans la moitié postérieure de la capsule interne entre la
couche
optique et le noyau lenticulaire ; en divisant
rieure de la cap- sule en comptant du genou et se trouvent entre la
couche
optique d'un côté et le deuxième et en partie l
atéral. N. c.. Noyau caudé. N. I., Noyau lenticulaire. C. opt.,
Couche
optique. Sp. c. c., Coupe du corps calleux. C
-mur. N. 1., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt.,
Couche
optique. C. in., Capsule interne. C. c., Corp
cinq il sept centimètres acco- lées vers bipartie antérieure de la
couche
optique, entrant un peu dans la corne frontale)
olli, déformé; le septum lucidum a disparu; les corps striés et les
couches
optiques ramollies. Les reins sont durs, volumi
ment dévolu l'hémianopsie croisée (obs. VI et VII), seulement les
couches
optiques, les tubercules mamillaires et le lobe p
la paralysie générale. Le début de la lésion est manifesté dans la
couche
névrotique épaississement; cellules-araignées; ép
substance grise; elle n'occupe qu'une profondeur de 2 mil. dans la
couche
blanche sous-jacente. Pour M. Richter, les dest
ticulaire, 146. Olfactif (tractus), 96. Optiques (physiologie des
couches
), 115 Ouïe (psychoses dans les affections d
atéral. N. c., Noyau caudé. N. t., Noyau lenticulaire. C. opt.,
Couche
optique. Sp. c. c., Coupe du corps calleux. C
. , . N. I., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt.,
Couche
optique. C. in., Capsule interne. ( : . c., C
sante. Une soeur est morte d'une péritonite à la suite d'une fausse
couche
; elle a laissé quatre enfants dont l'un, âgé d
écu que 3 jours; il n'a jamais pu avaler aucun liquide. - 60 Fausse
couche
à deux mois. Notre malade. Rien de spécial, lor
e, est très-étroit dans ses deux tiers antérieurs. Corps calleux,
couche
optique, corps strié, corne d'Am- mon, ventricu
e un aplatissement de ce bord à la face interne. On constate que la
couche
opti- que du côté gauche est sensiblement moins
à 75 ans de vieillesse. Mère morte à 35 ans des suites d'une fausse
couche
. Pas d'antécé- dents nerveux dans la famille]-.
nfant s'est mariée deux fois. D'un premier mari elle a eu 6 fausses
couches
et 2 enfants; l'un, de ceux-ci est mort à 5 moi
me mari, le père de notre malade, elle a eu 5 enfants et une fausse
couche
grossesse môlaire ; - Notre malade ; Une fille
t très peu abon- dants et présentent une paroi formée par une seule
couche
de cellules. (Fig. 2). Fig. 2.-Coupe de la tu
state aussi de petits ilôts de corps granuleux. Les vaisseaux de la
couche
interne de la pic-mère sont for- tement dilatés
ons déjà signalé l'existence de petits foyers hémorragiques dans la
couche
moyenne de la substance grise, apparaissant à l
éments nerveux proprement dits, voici en quoi elles consistent : la
couche
superfi- cielle des fibres parallèles est atrop
rétracté. Le corps strié, jaunâtre, parait également atrophié : la
couche
optique, le ventricule latéral, etc, n'ont rien
ulier; elle est plus développée qu'à gauche. Le corps calleux, la
couche
optique sont semblables à ceux de gauche. - Le
rdeaux dont il était le valet de chambre). Mère morte à la suite de
couches
, n'aurait pas été nerveuse.- Deux frères, dont
re le père et la mère, quatorze ans. Un seul enfant et deux fausses
couches
. Notre malade. A la conception tous deux étaien
Inégalité d'àge de huit ans. Un enfant, notre malade, et une fausse
couche
à deux mois. Notre malade. Au moment de la conc
tricule latéral n'est nulle- ment dilaté ; il est plutôt étroit. La
couche
optique et le corps strié paraissent réguliers.
dant à la corne d'Ammon, forme une masse arron- die, uniforme. La
couche
optique semble assez régulière. La cloison cache
té de la membrane se trouve une autre par- tie du corps strié et la
couche
optique. Celte membrane laisse entre elle et le
ligne. Un pli de passage l'empêche de communiquer, en arrière de la
couche
optique, avec le sillon qui sépare la circonvol
vu, de la lit temporale qui est irrégulière. z Le corps strié et la
couche
optique paraissent sains, normaux. - Le ventric
ance blanche sous-jacente. Le fond du kyste est formé par une mince
couche
de substance blanche recouverte d'une mem- bran
brane cclluleuse, très résistante, qui lui adhère intimement. Cette
couche
de substance cérébrale est continue et, en aucun
1870, une autre des suites d'une chute, une autre des suites d'une
couche
, une autre poitrinaire, le reste on ne sait de
demi ( ? ) ; 30, 4°, 5° des garçons morts en naissant à la suite de
couches
Antécédents. 193 laborieuses; 6° un garçon, v
la poche est formé par cette membrane lisse, et doublée d'une mince
couche
de la substance blanche qui la sépare du ventri
ns de Francfort; tous deux Juifs). Douze enfants et trois fausses
couches
: 1° Garçon, vingt-sept ans, bien portant, pas
nsi que les membres. Puis il se tortille, se retourne très vite, se
couche
sur le ventre, se remet sur le dos. Nouveau rep
NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 9 s'agite dans son lit, se
couche
tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Le malade
ordre. Repos. Cris prolongés et plaintifs. Il demande à boire et se
couche
sur le côté droit. Il est 11 h. 30. 12 octobr
Après dessèchement à l'air, ces parties se séparent sous forme de
couches
concentriques plus ou moins épaisses. Par contr
blanche. La substance grise est diminuée d'épais- seur ; lapremière
couche
de Deiters est étroite, elle offre beau- coup p
e suivante avec laquelle elle se confond. En effet, cette deuxième,
couche
, ou des petites cellules pyramidales, est la pe
es petites cellules pyramidales, est la peu distincte. La troisième
couche
des cellules pyramidales moyennes n'a plus les
sphériques, appartenant à de petites cellules. La 4.111. et la 5 ?
couches
, celles des cellules volumineuses, n'en ont à p
ation est évidente. Il y a pourtant peu de corps granuleux dans les
couches
profondes de la substance grise. Les vais- seau
certain nombre d'îlots, ou foyers com- prenant les trois premières
couches
. Sur ces points, la disposition des fibres se d
r ainsi : sclérosé prolifératine, au point de vue des cellules, des
couches
superficielles de la substance grise, sclérose
rologie, p.. 113 - go, 18J0.j Examen iiistologique DU cerveau. r9
couches
profondes, reprise du processus irritatif dans la
lie ssont confondues. Seules, quelques cellules pyramida- les de la
couche
clos petites cellules ou de celles des cellules
s ont conservé leur forme spéciale. Le cervelet présente ses quatre
couches
de la substance grise normales en apparence ; l
e de plus, sur la partie latérale, une encoche qui arrive jusqu'aux
couches
optiques et qui occupe le tiers de la péri- phé
jours ivre; on le ramassait souvent dans les rues. Mère, morte en
couches
du père de la malade. Grands- pas de renseignem
tremblement sénile. Ce tremblement aurait commencé à la suite d'une
couche
, du reste normale. Elle est assez nerveuse, mai
s circonvolutions sont fermes. La corne d'Ammon, le corps strié, la
couche
optique, n'offrent aucune lésion. Le ventricule
l'ouverture du thorax, immédiatement sous le sternum, on trouve une
couche
abondante de graisse au milieu de laquelle les
veau et face interne de l'hémisphère gauche. (Voir p. 9b.) C. 0.,
couche
optique. V. L., ventricule latéral. FI, F2, F
éphale (Voir p. 96). L. Or., lobe orbitaire. Po ? porus. C. O.,
couche
optique. Péd., pédoncule cérébral droit. Pr.,
lequel nous n'avons pas de détails. Depuis, elle a fait une fausse
couche
à la suite de laquelle elle aurait été très mal
a peau du thorax et des membres est également doublée d'une épaisse
couche
graisseuse. Le facies du sujet est jouf- flu, c
ge de dix mois. Quatre e22faztsdont trois vivants; pas de fausses
couches
: 10 Une fille, 20 ans, bien portante, intellig
sent mal le corps thyroïde. Thorax normal, mais recouvert d'une-
couche
de graisse abondante qui masque complètement les
ité d'âge de cinq ans, en faveur du mari. 7 enfants et une fausse
couche
il quatre mois et demi à la suite de chute : 1°
melons légèrement saillants. Pénil saillant, doublé d'une épaisse
couche
de graisse. Le pli sus-pubien est très profond, t
marqués. Dans toutes ces régions la peau est doublée d'une épaisse
couche
de graisse très ferme. -Les arcades sourcil- li
renversé en avant. Le palper du bassin est impossible vu l'épaisse
couche
de graisse. Organes génitaux et puberlé. Aiss
ans avoir repris connaissance. - 2 des soeurs sont mortes, l'une en
couches
à 311 ans, l'autre à 56 ans on ne sait de quoi
és : le père il 27 ans, la mère à. 20. Neuf enfants, pas de fausses
couches
. Aucun des enfants n'a eu de convulsions ni de
lobe frontal est absolument intact. - Corps calleux, corps strié,
couche
optique et corne d'Ammon, n'offrant rien de par
ns présentent un épaississement nota- ])le, sans infiltration de la
couche
sous-pic-mérienne, une diminution du reste de l
entrée de celles- ci, on voit la pie mère se souder intimement à la
couche
nerveuse sous-jacente, en envoyant des prolonge
ns frontales inférieures, temporales et occipitales. Agencement des
couches
cellulaires. Celles-ci, dans leur ensemble, son
Nulle part on ne peut constater d'adhérences, d'ulcérations de la
couche
sous-pie-mèrienne ; à peine peut-on dire qu'il y
orce, ce qui frap- pe, à première vue, c'est l'extrême pauvreté des
couches
. Leur épaisseur est normale; en aucun point les
nt plus souffert, et cette raréfac- tion est plus sensible pour les
couches
profondes cle l'é- corce que pour le réseau d'E
qui s'altère facilement, dans un ilacon bien bouché, contenant une
couche
d'acide borique cristallisé ou de sel marin.
it. Le tissu osseux du crâne est formé, sur la coupe, d'une large
couche
spongieuse entre deux minces lames compactes. L
nombre de petits sillons superficiels. - Le ventricule latéral, la
couche
optique, le Sclérose atrophique ; méningite. 21
tubercule mamillaire, du pédoncule cérébral, du corps strié, de la
couche
optique et de la moitié de la protubérance. D'a
us, on voit le bord droit du corps calleux CC. Le corps strié et la
couche
optique, à gauche, ont leur volume et leur conf
mon, lésion fréquente dans l'état de mal. Le ventricule latéral, la
couche
optique., le corps strié, la corne d'Ammon n'of
ntal relativement un peu grêles. Corps calleux, ventricule latéral,
couche
optique, corps strié bien développés. Plusieu
riangle 1 centi- mètres 1 2. Cette fosse est recouverte d'une mince
couche
membraneuse qui la sépare du ventricule. On dir
ine laformation d'une dépression dont le fond consiste en une mince
couche
membraneuse qui la sépare du ventricule. La res
orps calleux. C C, corps calleux. V L, ventricule latéral. C C,
couche
optique. C A, corne d'Ammon. C H, circonvolut
ps strié, dont l'autre partie est cachée par le trigone Tg. - CO,
couche
optique. - NO, nerf optique. - PC, pédoncule céré
calleux. - CC, corps calleux très réduit. - CS, corps strié. - CO,
couche
optique. - PC, pédoncule cérébral. Planche XVII
n lit, 20 CLINIQUE MENTALE. , r mais durant la journée il ne se
couche
pas au lit, mais passe tout le temps dans son c
e ; on les observe d'aboi d sur les rameaux protoplasmiques de la
couche
des petites cellules pyramidales, où elles affect
OLOGIQUES. grise de cet organe. Il y a distingué néanmoins : 1. Une
couche
névroglique, constituée par une énorme quantité
lobes mats de Popow, mais sans noyau (surtout chez l'homme). 2. Une
couche
de petites cellules nerveuses multipolaires de
e petites cellules nerveuses multipolaires de toutes formes. 3. Une
couche
de grandes cellules nerveuses, surtout dans la
grandeur aux cel- lules des cornes antérieures de la moelle. 4. Une
couche
de petites cellules ganglionnaires, au delà des
, en allant de la péri- phérie à la profondeur de l'organe : 1. Une
couche
de névroglie, ayant l'aspect d'un épais réseau
étroites embras- sent les éléments cellulaires sus-indiqués. 2. Une
couche
de fibres nerveuses minces qui correspond à la
s. 2. Une couche de fibres nerveuses minces qui correspond à la jre
couche
de petites cel- lules nerveuses : elle est plus
erveau. 3. La carra cinerea de Tartuferi. Correspond également à la
couche
des petites cellules, et n'est en réalité pas u
ement à la couche des petites cellules, et n'est en réalité pas une
couche
distincte. Elle est de part en part en abondanc
ns toutes les directions. 4. Strato bianco cineFPO, correspond à la
couche
des grandes cellules nerveuses. 5. Cin- quième
rrespond à la couche des grandes cellules nerveuses. 5. Cin- quième
couche
. Strato bianco et cinereo profundo. Elle correspo
. Strato bianco et cinereo profundo. Elle correspond à la troisième
couche
de petites cellules nerveuses. Elle forme la li
ubercule quadrijumeau et la substance grise cavitaire. Toutes ces
couches
sont traversées par une énorme quantité de fibr
es radiaires allant de la substance grise centrale à la troi- sième
couche
de Tartuferi inclusivement : c'est à ces fibres q
u'il n'existe pas de systèmes de fibres pre- nant naissance dans la
couche
optique et se terminant dans le tubercule quadr
radiaires de l'écorce du cer- velet ; c) les grandes cellules de la
couche
à gros grains et les cel- lules de Purkinje; d)
anté- rieur ; f) le noyau rouge; c)le faisceau qui pénètre dans la
couche
optique, et notamment dans son article externe
ment ; 2" dans ce processus d'atrophie, il s'isole constamment une
couche
qui répond probablement à la persistance et à la
la persistance et à la conden- sation des cellules de relation des
couches
granuleuses et molécu- laires, la couche molécu
cellules de relation des couches granuleuses et molécu- laires, la
couche
moléculaire s'atrophiant en même temps que disp
étant les plus superficiels par von Frey et Thunberg ; la deuxième
couche
de nerfs serait constituée par tes nerfs du fro
de nerfs serait constituée par tes nerfs du froid, et la troisième
couche
par les » nerfs du chaud. Cette localisation tr
a fait trois grossesses, toutes les trois terminées par des fausses
couches
ou la naissance d'en- fants morts. De nombreuse
le a dû être contemporaine des premiers rapports sexuels (fausses
couches
successives). En 1890, au Congrès de Rouen, j'a
s pour nous : - Marie, trente-cinq ans. C'est le soir; le soleil se
couche
, illu- minant en rouge la campagne et le ciel.
ie dépendait d'une 'altération anatomique du cerveau et surtout des
couches
corticales ? - Chaque spécialiste pourrait cite
ut à fait lisses. C'est bien l'aspect du kyste de l'échinocoque. La
couche
optique et le corps strié sont comprimés; le 3e
s parois des [ ventricules latéraux; la surface ventriculaire de la
couche
optique } et le corps strié en étaient couverts
ur, de- vient intraitable ; dans l'espoir de moins souffrir elle se
couche
sur bibliographie. 347 le côté, en chien de f
s suivants : lésions prédominantes dans le cerveau et au niveau des
couches
de cellules du manteau gris, lésions analogues, m
it altéré; 2" Les noyaux caudé et lenticulaire étaient sains; 3- La
couche
optique gauche était atrophiée, et l'atrophie i
acts. La radiation optique gauche était atrophiée, L'atrophie de la
couche
optique était entièrement sous la dépendance de
dégénérescence des fibres provenant de l'écorce cérébrale et de la
couche
optique est survenue avant que la myélination fût
on considère que l'opi, : ion de Mott sur l'auto-intoxi- cation des
couches
corticales par la choline et d'autres produits
formes diverses. Elles s'accompagnent d'une légère infiltration des
couches
profondes de l'écorce par de petits éléments rond
t et l'en- nuient : ici il n'a à s'occuper de rien, il mange, il se
couche
à une heure fixe sans qu'intervienne aucune déc
le de savoir s'il l'avait contractée, mais sa femme a eu une fausse
couche
de deux mois, et deux de ses petites filles se
résentent une malade qu'ils crurent atteinte de lésion isolée de la
couche
oplique. Ils pensent qu'à l'heure actuelle on p
peu sur le cours de la grossesse ; au contraire la grossesse et les
couches
ne sont pas sans influence sur le cours de la par
e démence paraly- tique. La grossesse avait un cours normal, et les
couches
étaient faciles- et rapides ; l'enfant né un pe
nfant né un peu avant terme, vécut pen- dant un an. La facilité des
couches
indique probablement l'exis- tence des anesthés
ablement l'exis- tence des anesthésies profondes. Bientôt après les
couches
com- mencèrent chez la malade des accès épilept
z la malade en question. G.-J. PII.IBYTKOFF se souvient d'un cas de
couches
, observées dans la Clinique des maladies nerveu
e, troubles uri- naires et constipation opiniâtre. Un peu avant les
couches
se déve- loppa chez elle le décubitus sacré pro
es couches se déve- loppa chez elle le décubitus sacré profond. Les
couches
survinrent avant terme, et vu l'insuffisance de
igé d'appliquer l'mtewention instrumentale. Deux semaines après les
couches
la malade mourut, et à l'autopsie on constata u
occipilczle et creuses.-LO bien plissé. - Le ventricule latéral, la
couche
optique, le corps strié n'offrent rien iL signa
aucun ren- seignement. Grand'mère paternelle morte à la suite de
couches
. - Six oncles paternels ; cinq sont morts, un seu
avril 1893, le père de l'enfant nous dit que sa femme est morte en
couches
de son quatrième enfant, un garçon, qui a maint
sur aucun point enlever une parcelle de pie-mère sans entraîner une
couche
plus ou moins épaisse de substance grise. Les
econnu d'autre accident syphilitique. Elle eut cependant une fausse
couche
de sept mois, provoquée, dit-elle, par une peur
nté, au moment de sa naissance, de lésions cutanées. Cette fausse
couche
précéda la naissance de l'enfant que nous avons d
ication se fait avec une facilité remarquable. La corne d'Ammon, la
couche
optique, le corps strié, les plexus choroïdes n
dont l'étendue est du reste fort restreinte. Au-dessous de cette
couche
se trouve une nappe de tissu fibrillaire d'appa
vraie, mais plutôt une lésion du foyer de la pre- mière enfance. La
couche
de myélocytes qui constitue à elle seule la sub
sanguinité. - Différence d'âge de 10 ans. Six enfants et une fausse
couche
: 1° Une fille morte à 4 mois d'athrepsie ; 2°
né les résultats sui- vants : 1° Lobe frontal. On constate que la
couche
superficielle de la substance grise est intacte
stance grise est intacte. Il n'y avait donc pas d'adhé- rences. Les
couches
sous-jacentes, des petites cellules, des cellul
s de consanguinité. Inégalité d'âge de 8 ans. - - 1°-G" Six fausses
couches
en trois ans, la première à 6 mois de grossesse
. seml)le-t-il, étaient en puissance de syphilis, les six fausses
couches
précédentes en témoignent. La gros- sesse a été
es mêmes dans les différents points examinés. 1° Lobe frontal. La
couche
superficielle, sous pie-mérienne, a son épaisse
a son épaisseur normale, mais elle est fort peu vascularisée. Les
couches
sous-jacentes sont tout à fait confondues, par-
obe occipital. Ici l'atrophie est très prononcée. Les dif- férentes
couches
delà substance grise, sauf la première, sont ab
ace convexe de l'hémisphère ; son enlèvement entraine avec elle une
couche
plus ou moins profonde de substance grise sur l
te. A son mariage, nous dit-elle, elle était très blonde, iL chaque
couche
, ses cheveux tombaient en abondance et repoussa
anguinité; inégalité d'âge de six mois. Six enfants et deux fausses
couches
: 1" et 2° jumeaux (gar- çon qui mourut à trois
sage; nés à sept mois ou sept mois et demi) ; 3" et 4" deux fausses
couches
; - 5° une fille qui a dix-sept ans, pas de con
si... Bien que le cerveau ait macéré depuis 3 ans dans l'alcool, la
couche
ortique et le corps strié des deux côtés, surto
ision verticale qui ne comprend que la muqueuse du vagin et un peu la
couche
sous-jacente ; cette incision est longue de lo à
vagin, et non obliquement, sans cela on ne compren-drait qu'une mince
couche
de tissu; il ne faut pas oublier que toutes les s
la majorité des chirurgiens craindraient soit de provoquer une fausse
couche
, soit d'agir sur des tissus gorgés de sang veineu
renant non-seulement la nouvelle membrane orga-nisée, mais encore une
couche
du tissu utérin. Rapprochez les surfaces avivées
r aviver, il se sert d'un bistouri qui n'enlève des deux côtés qu'une
couche
très-mince, soit de la peau, soit de tissu cicatr
agin de celle du rectum. De cette façon, il évite de pénétrer dans la
couche
de tissu cellulaire lâche qui sépare la muqueuse
fondes de la cautérisation au col de l'utérus. On peut l'appliquer en
couches
plus ou moins épaisses à la surface du col, en cy
à l'aide du bistouri. On a même étendu ce caustique sur une toile en
couches
d'épaisseur variable, ce spa-radrap se taille com
ès profonde; l'abaissement rapide de la tempéra-ture des cautères; la
couche
isolante que produit la surface atteinte la premi
auses les plus com-munes sont un accouchement laborieux, une suite de
couche
ou défausse couche, ayant produit la gangrène,la
munes sont un accouchement laborieux, une suite de couche ou défausse
couche
, ayant produit la gangrène,la suppuration, des dé
dévelop-per; il ne faut admettre qu'avec réserve les récits de fausse
couche
faits par les femmes atteintes de cette anomalie
l'écraseur porte d'abord sur les fibres centrales et ensuite sur les
couches
périphéri-ques. Accidents observés dans Vamputa
i l'est le plus. Si l'hypertrophie s'est surtout dévelop-pée dans les
couches
externes du col les bords de l'orifice sont incli
fice sont inclinés vers la cavité du col; si au contraire ce sont les
couches
internes qui se sont le plus développées, les lèv
c un pédicule assez long, un polype fibreux est toujours revêtu d'une
couche
de tissu utérin, qui se continue avec celui de la
s tumeurs expose à des dangers qui leur sont particuliers; souvent la
couche
de tissu qui les sépare du péritoine est extrêmem
s facilement constater la limite de la tumeur et du tissu utérin. Une
couche
de tissu cellulaire séparait le corps fibreux (hi
su cellulaire sous-cutané, tissu fibreux de la ligne blanche, seconde
couche
de tissu cellulaire dite sous-péritonéale ; au mi
couche de tissu cellulaire dite sous-péritonéale ; au milieu de cette
couche
on trouve l'ouraque, et si l'on n'est pas exactem
rface fisse du péritoine ; il serait même utile d'y laisser une mince
couche
de sang afin d'agglutiner les anses intestinales
ur la peau après les avoir rendus plus adhérents à l'aide de quelques
couches
de collodion. Puis, lorsque ces fils commencent à
ue généralement que leur consistance diminue un peu, surtout dans les
couches
les plus extérieures. « Ces deux phénomènes, au
r les signes caractéristiques des deux maladies, et pour déplacer une
couche
du liquide ascitique de manière à percevoir plus
cution de cette incision, il faut procéder comme pour la herniotomie,
couches
par couches, et avoir soin de lier les vaisseaux
tte incision, il faut procéder comme pour la herniotomie, couches par
couches
, et avoir soin de lier les vaisseaux de la paroi
long peignoir de flanelle bien chauffé, on lui couvre le ventre d'une
couche
de ouate arrosée de laudanum ou d'un cata-plasme
nale, entre les anses d'intestin grêle, M. Kœberlé étendit une légère
couche
de perchlorure de fer sur les bords de la cicatri
ablement écartées et fixées sur la peau en BB, à l'aide de plu-sieurs
couches
de collodion. Pour donner plus de consistance, on
e 5 millimètres d'épais-seur, et qui paraissait avoir été déposée par
couches
successives ; dans le centre de sa partie supérie
st allé jusqu'à dire que les convulsions éclamptiques des femmes en
couches
méritaient le nom d'épi- DE L'INTOXICATION DANS
on D. Pendant un congé une femme a pu accoucher ou faire une fausse
couche
; elle était d'ailleurs enceinte au moment de so
ire le pulvinar gauche. Intégrité des deux tiers anté- rieurs de la
couche
optique. On voit qu'il ne s'agit pas d'une lésion
liénées, et l'on apprendra qu'à plusieurs, sinon à chacune de leurs
couches
, elles ont déliré bruyamment pendant quelques h
me par des moyens très prémédités, se livrant le lendemain de ses
couches
à ses travaux habituels, soignant son bétail, cha
ctions. On recouvre ensuite le point piqué et toute la région d'une
couche
de collodion élastique. Lorsqu'on arrive aux do
ns la paralysie agitante; chez le vieillard, on ne rencontre pas la
couche
grenue externe des vaisseaux, ni la sclérose pé
Observation I. Gliôme du volume d'un oeuf de poule implanté dans la
couche
blanche sous-corticale correspondant au rameau
it encore nette en bas sur le côté droit dans le terri- toire de la
couche
intermédiaire des olives. Au niveau du champ mo
couche intermédiaire des olives. Au niveau du champ moyen de celte
couche
, il y a une légère déchéance des fibres transve
ur des cordons postérieurs. Dégéné- rescence très accentuée dans la
couche
optique et dans les deux nerfs optiques sans lé
ement, il se fasse une pause dans le développement; à ce moment les
couches
II et III atteignent la largeur du ruban des fi
vingt-trois ans. Elle n'a pas eu d'enfants, n'a pas fait de fausses
couches
Elle est veuve depuis dix mois. Son mari est mort
vaisseaux est particulièrement abondante et elle pénètre toutes les
couches
de ces mêmes parois. Dans l'artère spinale anté
1894, elle fait cadeau sans rai- son de sa robe à une amie, puis se
couche
comme à l'ordinaire sans présenter aucun symptô
relient sont doublés d'une néoformation conjonctive ^ mince, d'une
couche
de cellules plates endothéliformes qu'on ne ret
x pour la plupart; au-dessous d'eux on reconnaît très bien les deux
couches
normales de la mé- linge. Ces faisceauxsont dis
jonctifs prennent un aspect réfringent spécial. Au-dessous de cette
couche
adventice la pie-mère proprement dite est pauvr
ent plus pour la plupart. En outre, chaque veine est entourée d'une
couche
plus ou moins épaisse de fibres conjonctives long
uniques externes décrit plus haut. Sur quelques-unes on voit que la
couche
fibreuse, développée aux dépens de l'endartère,
altération appréciable. La névroglie est épaissie, surtout dans les
couches
superficielles des circonvolutions frontales, o
e; les faisceaux fibreux qui la forment, par- ticulièrement dan, la
couche
longitudinale externe, sunt manifes- tement plu
bien portante; sa femme, morte de la poitrine, n'a pas eu de fausse
couche
. Il nie toute maladie véné- rienne, ne porte au
s presque toute son 296 CLINIQUE NERVEUSE. étendue, par une mince
couche
de fibres saines. Toute sa partie supérieure a
us nom- breux.. R. M. C. XXIII. GLIO-SARCOME intéressant LES deux
couches
OPTIQUES; par Charles-E. NAMMACK. (The New-York
educ de Sylvius et qui fait corps, de chaque côté, avec chacune des
couches
optiques de façon à jeter entre elles un pont q
'insula du côté gauche; l'autre, dans le segment pos- térieur de la
couche
optique du même côté. z Conclusion. 1. Le ruban
e des fibres du ruban de Reil de la calotte, qui se termine dans la
couche
optique (ruban de Reilthala- mique). ' P. Tli.
es par des cellules est plus dissymétrique que dans la seconde, les
couches
des parois sont plus lâches, le nombre des leuc
ordinaires des leucocytes, exemple ceux que l'on rencontre dans la
couche
des noyaux du cervelet : Type CI. , Cellules de
dans la couche des noyaux du cervelet : Type CI. , Cellules de la
couche
nucléaire. Cellules périphériques de la couche
CI. , Cellules de la couche nucléaire. Cellules périphériques de la
couche
nucléaire, presque au niveau des cellules de Pu
e les cellules de la substance gélatineuse de Rolando : : Type a.
Couche
de Rolando. Cellules du ganglion de l'habenula.
yonnante composés de fibres sensitives, motrices et de fibres de la
couche
optique, et qui paraissent avoir leur appareil
orticales du lobe frontal. On sait que ces fibres constituent trois
couches
: l'une externe, située sous la pie-mère, compo
la troisième, corres- pondant aux cellules ganglionnaires. C'est la
couche
moyenne qui parait atteinte la première; puis v
s viennent les fibres tangentielles et enfin celles de la troisième
couche
. Parfois, surtout chez les paralytiques générau
a constaté dans un cas de paranoïa une atrophie des fibres dans les
couches
externe et moyenne (méthode de Weigert). Il est
oups ; il entretient des relations avec sa domes- tique pendant les
couches
de sa femme. Il enferme celle-ci et la soumet à
e doit être laissé seul ; c'est pourquoi il est indispensable qu'il
couche
en commun au milieu d'autres malades qui n'ont
nte. A son mariage, nous dit-elle, elle était très blonde, à chaque
couche
, ses cheveux tombaient en abondance et repoussa
nguinité ; inégalité d'âge de six mois. Six enfants et deux fausses
couches
: 1° et 2° jumeaux (garçon qui mourut à trois m
ssage; nés à sept mois ou sept mois et demi); 3° et 4° deux fausses
couches
; 5° une fille qui a dix- sept ans, pas de convu
e dans l'en- fance ; mariée à 16 ans, elle ne fit jamais de fausses
couches
et eut trois en- fants dont deux sont morts de
morts de méningite en bas âge ; à 28 ans à la suite de sa dernière
couche
elle eut une métrite; à 3S ans elle souffrit dura
rotubérance, le cervelet et les pédon- cules cérébraux, formant une
couche
blanchâtre qui englobe les vaisseaux et les ner
important que celui de l'arachnoïde ; elle est composée de nombreuses
couches
concentriques de tissu conjonctif. Les éléments
noyau allongé accolé à une fibre.En certains points les différentes
couches
de cet anneau fibreux s'écartent et font place
s aucune préparation, on. était déjà très frappé de l'aspect de cette
couche
moyenne formée de deux feuillets également volu
tère des lésions syphilitiques. C'est du reste l'intérieur de cette
couche
, qu'existait la tumeur gommeuse que nous avons si
compte de la façon dont s'opère la coalescence de ces différen- tes
couches
, d'abord sur la face postérieure de la moelle, pu
de. Py. droite au voisinage de la pie-mère fortement irritée ; Cio,
couche
interolivaire ; XII. noyau de l'hypoglosse. FAC
ne s'étend pas au delà d'une ligne rasant le bord postérieur de la
couche
optique. Elle respecte entièrement, à ce niveau,
r de la couche optique. Elle respecte entièrement, à ce niveau, les
couches
sagittales profondes, et se cantonne étroitemen
chements de sang. Enfants bien portants, sa femme n'a eu ni fausses
couches
, ni vérole, pas d'abus de boissons alcooliques.
ue-là assez bien portante ; elle a 3 enfants. n'a pas eu de fausses
couches
, ni la vérole. Etat actuel. Nerfs crâniens, ext
ez libres. La malade a deux enfants bien portants ; a eu une fausse
couche
, n'a pas connaissance de la vérole. Elle se plain
Pendant le sommeil elle n'a pas de contractions, mais quand elle se
couche
elles sont violentes et au réveil elles recomme
vroglique, tantôt enveloppées sur une partie de leur trajet par une
couche
plus ou moins épaisse de cytoplasme. Un coup d'oe
qui est si ennuyeux aux autres. « Sa Majesté, peu avant sa dernière
couche
, brodait avec soin et plaisir un parement d'aut
nombre n'est pas trop grand. Les capsules surrénales présentent la
couche
corticale assez riche en gra- nulations lipoïde
ponsabilité, et jamais d'autre part il n'y eut ni enfant, ni fausse
couche
. L'examen du sperme a pu être pratiqué. Il est
régulières. Mariée a 20 ans,' elle n'a pas eu d'enfant ni de fausse
couche
. Son mari n'au- rait pas eu de maladies vénérie
mbre 1893. Elle eut une perte de connaissance trois jours après une
couche
(c'était son troisième enfant, qui était à terme,
avait eu auparavant un premier enfant venu à 8 mois, et une fausse
couche
de cinq mois. On ne trouve pas chez elle de spé
ns. Avez-vous des enfants ? - J'en ai un garçon, et puis une fausse
couche
, et ma fille. Trois enfants en trois ans. Qua
corps fait complètement défaut. 340 DEJERINE ET ANDRE-THOMAS ' La
couche
optique est extrêmement réduite dans les plans su
'atrophie extrême du thalamus dans sa partie la plus supérieure. La
couche
optique est non seulement réduite dans tous ses d
a destruction totale du noyau lenticulaire. - Tout le reste de la
couche
optique est normal, on n'y observe qu'un cer- t
s thalamiques (PI. LI, a). Il eu résulte une dégénéres- cence de la
couche
sagittale qui peut être poursuivie en arrière jus
le fond de la cavité (PI. L, B). Au niveau'du tiers supérieur de la
couche
optique et du noyau lenticulaire, le faisceau l
ation du segment postérieur de la capsule interne. - Atrophie de la
couche
optique. le,(;. B. - Coupe horizontale de l'hém
elle se marie, devient enceinte trois mois après et fait une fausse
couche
de quatre mois environ ; depuis elle n'a jamais p
oujours été sobre. La mère est morte à Page de 2S ans à la suite de
couches
. Deux frères et une soeur, qui sont tous trois
onne santé. On ne note ni éthylisme ni spécificité ; pas de fausses
couches
, de maux de gorge. D'ailleurs le Wassermann fai
S DU CERVEAU ET DES MÉNINGES Hémisphère droit. t, tuherculome de la
couche
optique. ? tuberculomes des lobes occipitaux. (
corce ; en faisant une pression un peu plus forte, on énuclée de la
couche
optique, dans laquelle elle était logée, une ma
ns (deux ou trois dont un aussi volumineux que celui trouvé dans la
couche
optique) au niveau de la fron- tale ascendante,
n'y a jamais eu de suppuration quel- conque. L'absence de fausses
couches
, le Wassermann négatif font éliminer la sy- phi
ification dans la lésion des lobes occipitaux et à la rigueur de la
couche
optique, il n'en reste pas moins que nous n'avi
et occupant tout l'espace compris entre celte circonvolution et la
couche
optique. En avant cepen- dant de celle-ci'se vo
rale, véritable cartilage de conjugaison du squelette crânien, de la
couche
externe de la dure-mère, et des cellules inters
ésés du cerveau nous irons petit à petit depuis le tissu normal des
couches
profondes du cerveau jusqu'à sa périphérie. Nou
LXI11 Fie 5. - Un vaisseau de la pie-mère. Stroma reticulaire de la
couche
musculaire. L. lumen. FiG. 6. -- A la partie
aliques (pli. LXIII, fig. 5) en formant un stroma reticulaire de la
couche
musculaire des gros vaisseaux et une 440 SNESSA
syringomyélitique était formée par la pie-mère doublée d'une mince
couche
de névroglie. Dans la seconde observation publi
n suspecte. Elle n'a pas eu d'enfants, elle n'a pas fait de fausses
couches
. Elle ne présente pas de symptômes d'éthylisme.
éningite à 1 an 1/2 ; 2° garçon mort en nourrice à 1 an ; 3° fausse
couche
de 5 mois ; lio garçon mort de péritonite subaigu
mois ; lio garçon mort de péritonite subaiguë à 12 ans ; 5° fausse
couche
de 6 mois ; 6° fille vivante âgée de 9 ans, très
nes et paraissent régulièrement conformées, toute- fois une épaisse
couche
de(tartre ne permet pas de juger de leur exacte c
lir, car elle contient des particularités très saillantes : fausses
couches
répétées de la mère, amélioration à la suite de
rius R... il ignorait complètement que sa mère eût fait des fausses
couches
. « Ce ne fut véritablement que la seconde fois
mille, qui ne manquent pas d'intérêt. Sa mère aurait fait 5 fausses
couches
ainsi qu'il nous l'avait déjà dit ; il existe e
t 18 mois avec suppression du flux menstruel. Ni enfants ni fausses
couches
. En 1884, à l'âge de 28 ans, après avoir éprouv
de mariage ; elle n'eut pas d'autres enfants et ne fit pas de fausses
couches
. Son père est mort il 5 ans d'une affection chr
actuellement âge de 13 ans ; pas d'autres enfants : pas de fausses
couches
. Au mois de janvier 1895, ses membres inférieur
re fonctionnelle. Comme nous le savons, le uoyeau rouge s'unit à la
couche
optique et aux circonvolutions centrales par de
des radiations de fibres blanches (Flech- sig et 7e/) (1). Sur la
couche
optique nous ne pouvons dire que peu de chose. No
lsions... en bas âge. Nous devons signaler cependant quatre fausses
couches
, mais celles-ci se rapportent à son troisième m
lade, elle n'a rien présenté d'anormal et n'a jamais fait de fausse
couche
. Les premiers symptômes de la maladie actuelle,
e petites tumeurs implantées sur la moelle. Elle est formée par des
couches
stratifiées de tissu conjonctif il larges mailles
tration de cellules rondes, infiltration des plus marquées dans Jes
couches
externes mais qui diminue au sur et a mesure qu
idé- rable que normalement, on ne trouve plus trace de myéline, une
couche
uni- forme colorée faiblement en rose par le pi
e ces parois épaisses le ca- libre est plutôt rétréci, cependant la
couche
musculaire reste il peu près intacte formant su
figure très nette représentant une sorte de bourgeon formé par des
couches
stratifiées concentriques à la tunique élastiqu
ut le canal rachidien, on ne peut plus distinguer ce qui dans cette
couche
fibreuse appartient il la méninge et ce qui dépen
impossibilité de retrouver l'accident primitif, c'est la 3e fausse
couche
. Foetus macéré pèse 750 grammes. Organes ^viscé
ril 1896 (Broca). Foetus de 6 mois. Mère spécifique : trois fausses
couches
antérieures. L'enfant naît vivant, mort au bout
e antérieure est transparente et elle doit sa coloration noire à la
couche
sous-jacente adhérente au derme sous-unguéal. Nou
face dorsale, mais par son bord anté- rieur, s'est dédoublé en deux
couches
, surperficielle et profonde. Nous connaissons l
lé en deux couches, surperficielle et profonde. Nous connaissons la
couche
superficielle que limite en avant le bord libre.
superficielle que limite en avant le bord libre. Avant d'étudier la
couche
profonde, disons qu'il est difficile de savoir da
la ligne médiane, environ la moitié de la hauteur de l'ongle. La
couche
profonde, noirâtre ou brunâtre, irrégulière, fine
blement apparent ou réel de ces ongles, et sur l'aspect grenu de la
couche
profonde. Nous verrons ultérieurement l'intérêt
nous notons un caractère fondamental commun : l'aspect grenu de la
couche
profonde adhérente de l'ongle. TROUBLES TROPHIQ
rd libre, irrégulièrement dentelé, est séparé de la matrice par une
couche
grise et grenue. Celte couche qui relie la face p
elé, est séparé de la matrice par une couche grise et grenue. Celte
couche
qui relie la face profonde de l'ongle au derme
, très maigre, est accusée de vols multiples. ' Depuis une fausse
couche
faite il y a trois ans, elle est prise à chaque
un pseudo-oedème plus ou moins abondant, selon les régions.' Cette
couche
sous-cutanée est très épaisse à la face, au-des
s les mamelons. La partie antérieure du thorax est recouverte d'une
couche
pseudo-oedémateuse épaisse. Viscères. Autant qu
istincts, la commissure postérieure qu'elle forme exclusivement, la
couche
optique et le lobe frontal (terminaison probabl
ijumeaux. 11 en existe une autre qui occupe le segment médian de la
couche
du ruban de Reil et se prolonge dans la portion
ce qui prouve que le segment en question ne se termine pas dans la
couche
intermédiaire des olives. L'atrophie de la port
. Quoi qu'il en soit, ce sont surtout les granulations normales des
couches
cérébrales du système nerveux et non les grosse
Multiplication des éléments granuleux et expansion de la première
couche
(ou des granulations corticales de Meynert); trans
ou des granulations corticales de Meynert); transformation de cette
couche
en un fin réseau de fibrilles dans lequel s'enche
ostéro-périphériques, contigus à ceux de Goll, offraient encore une
couche
de myéline mince et délicate. Bechtereff, à ce
tant généralement très fragile, il est très difficile d'obtenir des
couches
minces, d'après la méthode adoptée de plonger des
res des parties internes des faisceaux de Goll possédaient déjà une
couche
de myéline complètement formée, tandis que ceux
faisceaux de Goll avoisinant la scissure postérieure, possèdent une
couche
de myéline infini- ment plus développée que les
it pas assez sur les parties adjacentes de ceux de Burdach, dont la
couche
de myéline est en- core plus mince que celle de
près une guérison apparente, elle devint enceinte et fit une fausse
couche
. Depuis lors, pas dérègles; la malade nie tout
lle parut guérie, mais dans la suite fit, semble-t-il, deux fausses
couches
. Depuis ce moment jusqu'à la maladie actuelle, ri
s de la grossesse. Enfin, elle fit une quatrième et dernière fausse
couche
, au sixième mois également. Depuis ce moment, e
elles et des bains sulfureux. Depuis l'époque de sa dernière fausse
couche
environ, la malade commença à souffrir de const
n obstacle au passage des impulsions de l'appareil auriculaire à la
couche
corticale du cerveau. Dans le fait, la sensatio
s pfus ou moins probables. Ainsi, quoique la région motrice de la
couche
corticale ait été dessinée avec une précision e
ogique de Lon- dres. Comme on pouvait cependant objecter que la
couche
corticale du pli courbe ayant été détruite jus-
loides, très fortement colorés par le carmin. Les corps striés, les
couches
optiques, l'avant-mur présentent le même proces
du tractus optique qui- passent par le corps géniculé latéral et la
couche
optique, traversent la commis- sure postérieure
ent sur le singe, que le centre expressif de la face siège dans les
couches
optiques. 278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I
t les cônes se forment aux dépens du protoplasma des cellules de la
couche
granuleuse externe, au cinquième mois de la vie
he granuleuse externe, au cinquième mois de la vie foetale. Dans la
couche
granuleuse externe se trouvent des éléments non
oie en sens inverse). SCHÉMA Ecorce cérébrale. Capsula interne.
Couche
optique. Capsule interne. Noyau rouge. Pied du
autre centre sous-cortical (tuber- cule quadrijumeau postérieur, -
couche
optique ? ) expliquant la surdité. Intégrité ps
qui appar- tiennent aux ganglions sous-corticaux (corps striés et
couches
optiques). D'après les faits acquis jusqu'ici à
; la langue est 378 8 PATHOLOGIE XERVEUSE. couverte d'une épaisse
couche
. Le 2 janvier, température, au matin, 39°8, au
immédiatement l'attention de ses proches sur cela, en ordonnant des
couches
convenables, des changements fréquents de posit
position, ni les moyens pour avoir la pro- preté nécessaire dans sa
couche
, etc., par conséquent au mois de mars se présen
nce blanche, l'exsudat avait l'aspect de masses amor- phes. Dans la
couche
des cellules pyramidales s'étaient pro- duites
oute l'écorce; elles sont moins avancées dans les corps striés, les
couches
opti- ques, les tubercules quadrijumeaux, le bu
ercules quadrijumeaux, le bulbe et la moelle ; dans le cervelet, la
couche
des cellules de Purkinje est la plus atteinte.
résultent d'une part des propriétés excitantes de la cocaine sur la
couche
corticale des hémisphères cérébraux, d'autre pa
e cinq à sept centimètres acco- lées vers bipartie antérieure de la
couche
optique, entrant un peu dans la corne frontale)
lli, déformé; le septum lucidunz a disparu; les corps striés et les
couches
optiques sont ramollies. Les J'eins sontdurs, v
; pas de strabisme. Elle a eu pendant deux mois, après sa quatrième
couche
, des idées tristes et de sui- cide. Elle souffr
ficiels sur la face interne, surtout en avant. Les corps striés, la
couche
optique n'ont rien de parti- culier. Hémisphè
e occi- pital offrent la même disposition. Les corps striés et la
couche
optique, le ventricule latéral, etc., n'ont rie
nute environ, lorsque se produit une véritable détente. L'enfaut se
couche
sur le côté gauche, puis se relève aussitôt et
atorze ans et demi, n'ont pas reparu jusque deux semaines après ses
couches
(dix-huit ans).Un soir, son mari, qui est ivrogne
s dans la famille.] -Pas de consanguinité. , Dix enfants et fausses
couches
: 1° garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas d
, bien portant, a eu des convulsions jusqu'à trois ans; 6° fausse
couche
à six mois, sans motifs ; - 7° fille, morte à deu
ns et demi de méningite, avait déjà eu des convulsions; - 8° fausse
couche
: 9° notre malade; - 10° fille, de sept mois, p
ges ont eu la marche ci-après : 110 IDIOTIE ET EPILEPSIE. elle la
couche
superficielle de la substance grise dans la moiti
ut. Le ventricule latéral offre une dilatation uniforme; mais une
couche
encore assez épaisse le sépare du foyer. Hémisp
ortiquant la pie-mère, on enlève en un certain nombre de points une
couche
plus ou moins épaisse de substance grise, notam
est entré pour un rhumatisme chronique. - Mère- morte à 31 ans, en
couches
.- Grand'mère paternelle morte en 1878, à la Sal
otre malade. La conception s'est produite aussitôt après une fausse
couche
de six mois. A cette époque, le ménage était tr
s grande mollesse, la plus légère pression suffit pour entraîner la
couche
superficielle. Ce défaut de consistance établit
parente. - C R, cir- convolution retournée. - CS, corps strié. C 0,
couche
optique.- Vil, ven- tricule moyen. - T Q, tuber
s calleux, le ventricule latéral, la corne d'Ammon sont normaux. La
couche
optique et le corps strié sont assez développés
sels calcaires. On trouve entre cette substance et les cartilages des
couches
d'une matière de nature intermédiaire, propre à c
des points parfaitement correspondants. Chez l'enfant, qui offre une
couche
épaisse de tissu adipeux sous-cutané et des émine
'épaisseur des os larges. Le tissu compacte forme sur tous ces os une
couche
plus mince ; mais il offre une disposition partic
ieurs transformations successives, démontrées par la présence de deux
couches
de nature différente entre la diaphyse et le cart
rtilages, et dans quelques autres points du squelette. L'une de ces
couches
est du côté du cartilage; M. Broca la nomme tissu
ut-être mieux l'appeler tissu ossiforme ou ostéoïde. Entre ces deux
couches
, il en est une troisième, intermédiaire, formée p
troisième, intermédiaire, formée par des prolongements de la première
couche
qui pénètrent dans la deuxième : aussi cette couc
ts de la première couche qui pénètrent dans la deuxième : aussi cette
couche
intermédiaire a-t-elle été nommée chondro-spongoï
52. (2) Gazette médicale, 1839. (3) Gazette médicale, 1834. Les
couches
chondroïde et spongoïde sont très-minces et se vo
itisme, leur épaisseur devient très-sensible, parce que les nouvelles
couches
se produisent plus vite que les anciennes ne s'os
pièce, en voici de 2 à 3 centimètres d'épaisseur. La texture de ces
couches
est très-curieuse à observer au microscope. Je ne
dans des cellules particulières, au milieu d'une gangue amorphe. 2°
Couche
chondroïde : les cellules précédentes, ainsi que
mmencent à devenir fibreuses : ce sont les rivières de M. Broca. 3°
Couche
spongoïde : Élargissement des boyaux de la couche
s de M. Broca. 3° Couche spongoïde : Élargissement des boyaux de la
couche
précédente, effacement des rivières par le contac
sités. Notons encore que, dans le rachitisme, les granules des deux
couches
ont des formes bizarres et beaucoup plus irréguli
les os courts. Sur la diaphyse des os longs, on voit se former des
couches
qui ne contiennent plus de matières salines, soit
des couches qui ne contiennent plus de matières salines, soit que ces
couches
en aient été privées dès leur formation, soit qu'
s calcaires par l'action directe du rachitisme. On a prétendu que ces
couches
étaient surajoutées à l'ancien os. Il est très-vr
s on doit plutôt les considérer comme le produit d'une altération des
couches
osseuses normales, que comme une production patho
ise, se courbe vers son milieu. Quelquefois, il ne reste même plus de
couches
intérieures du vieil os, qui est transformé tout
s courbures, c'est surtout du côté de la concavité que s'amassent les
couches
de matière organique fibroïde ; elles refoulent l
cartilage épiphysaire et le périoste, produisant l'un et l'autre des
couches
qui, au lieu de s'ossifier, restent molles dans l
du tissu spongieux, enfin d'achever l'ossification suspendue dans les
couches
chondroïde et spongoïde accumulées au voisinage d
st très-différent de l'ancien. Le travail de réparation se fait par
couches
successives. Dans les os longs, on voit ces couch
ation se fait par couches successives. Dans les os longs, on voit ces
couches
s'incruster de matière calcaire, des parties prof
voyez sur la coupe de ce péroné, du côté concave de la courbure, des
couches
dont l'organisation osseuse est d'autant plus ava
ique. Il existe déjà, à ce moment, entre la côte et le cartilage, une
couche
de tissus chondroïde et ostéoïde un peu plus épai
tiques principales des os des membres, savoir : 1° l'accumulation des
couches
chondroïde et ostéoïde; 2° les nœuds des extrémit
amollies. D'après les observations de M. Broca $ l'accumulation des
couches
chondroïde et spongoïde se fait simultanément dan
le sens opposé. Enfin, c'est à une époque encore plus avancée que ces
couches
chondroïde et ostéoïde s'accumulent à l'extrémité
e long de la ligne âpre, dans la courbure du fémur; des muscles de la
couche
profonde de la jambe, dans les diverses courbures
e membre le plus élevé. Cette courbure disparaît dès que le malade se
couche
, s'assied, ou si l'on rétablit par quelque autre
s que la colonne postérieure, dont les os ne sont pas séparés par des
couches
flexibles et compressibles. De là l'inclinaison d
ur sera prescrite dans les derniers mois de la grossesse et après les
couches
, jusqu'à ce que l'on suppose que les ligaments on
cette jeune personne, mariée peu de temps après, mourut à sa seconde
couche
. IIe cas. — Ces deux moules appartiennent encor
a forme de deux traînées étendues entre le noyau lenticulaire et la
couche
optique. Quoique tout à fait voisines l'une de
t dont la coupe affecte une forme ovalaire à grand axe dirigé de la
couche
optique vers le noyau lenticulaire ; l'autre (l
aque coupe qu'envi- ron une trentaine de ces corpuscules. Dans la
couche
optique, non plus que dans le noyau lenticu- la
s de lésions apparentes ; les faisceaux de fibres qui traversent la
couche
optique sont notamment très bien développés.
cupent presque tout l'espace qui sépare le noyau lenticulaire de la
couche
optique; de plus, non seulement les corps granu
à la dégéné- ration de fibres se portant du noyau lenticulaire à la
couche
optique. Quant à la région de la capsule inte
il peut arriver que, soit dans les circonvolu- tions, soit dans la
couche
optique des cellules ner- veuses un peu granule
bres de la capsule interne à la hauteur de la face supérieure de la
couche
optique, immédiatement en dehors de la zone où
er occipital, la surdité complète à celui du lobe temporal droit (
couche
blanche); l'intégrité de la parole résultait, pou
rt fou ; une soeur avait été prise d'accès maniaque à la suite de
couches
et une seconde soeur, délirante chronique, est en
'insuccès de ses recherches. Sur les instances de sa famille, il se
couche
quelques heures vers le matin après avoir conse
après une nouvelle déjection. 11 se calme alors, prend un bain, se
couche
et passe une bonne nuit. Il pousse, par momen
de fer et rentre 164 PATHOLOGIE MENTALE. chez lui; le soir il se
couche
comme d'habitude, sans le moindre incident. Au
capsule interne et semblent se diriger du noyau lenti- culaire à la
couche
optique. Enfin, comme nous l'avons dit dans l'a
omme nous l'avons dit dans l'autopsie, les cellules nerveuses de la
couche
optique quoique très nombreuses et très belles,
upes. Fie. 3. - Capsule interne, Observation II, côté gauche.; A,
couche
optique. - B, noyau lenticulaire. C, corps granul
Notre malade Philippe ; 4° Notre autre malade Julien ; 5° Fausse
couche
à sept mois et demi; 6° Enfant mort-né. Ces deu
moment de la puberté pour revenir plus violents après les premières
couches
. Enfin se montre le tableau complet observé à l
gauche plus petit que le droit; diltérencecorrespondante dans la
couche
optique, le pédoncule cérébral, le faisceau pyram
s ''encore aux corps genouiiiés/aux tubercules quadrijumeaux et'aux
couches
optiques, soit du même côté, soit du côté oppos
morrhagiques des bandelettes optiques, des corps genouillés, et des
couches
optiques (cas de Gudden), de tumeurs 268 SOCIÉT
es tubercules quia-j drijumeaux supérieurs ! et inférieurs dans les
couches
, optiques ;,des; cellules épargnées prennent ma
ouvaient très larges dans les orgues en question, notamment dans la
couche
oplique; uniformité' des lésions partout, môme
és, des tubercules quadrijumeaux supé- rieurs et inférieurs et à'ia
couche
optique d'une manière égale; toute atrophie uni
pe, la surface d'un millimètre carré sur la partie intérieure de la
couche
optique, un peu au-dessus du plancher du troisi
théorie de cécité cérébrale émise par M. Munk, que la lésion de la
couche
superficielle du lobe occipi- tal, tout en prod
n 1866, l'autre tué en z1 ? - Deux soeU1'S, dont l'une est morte en
couches
; leurs enfants sont bien portants. Il n'y a dan
Saint-Antoine, et qui est morte à trois mois. Après cette troisième
couche
, elle a mené une vie plus régulière et a connu so
en somme dix enfants : 1° un garçon, Des... (Ons. V); -°2° fausse
couche
de sept mois ; - 3° fille morte à sept mois de co
s. VI); 5° un garçon mort de convulsions à treize mois; - 6° fausse
couche
de trois mois 7° Horn..., Stéphane (Oss. VU); 8
convulsions, pendant une grossesse. En 1883. à propos d'une fausse
couche
, les accidents nerveux redoublent, syncopes, atta
les fonctions motrices, deux petits foyers hémorrhagiques dans la
couche
optique droite. C'est à l'un de ces derniers que
ff attribue l'hémichorée, parce que dans le segment inférieur de la
couche
optique, il occupe entre elle et le milieu du p
e sa volonté. Si nous remontons de la moelle et du mésocéphale à la
couche
corticale postérieure, nous allons trouver enco
groupes. Fig. 3. Capsule interne, Observation II, côté gauche. A,
couche
optique. B, noyau lenticulaire. C, corps granuleu
rt à vingt-deux ans d'une méningite qui a duré onze mois; 4° fausse
couche
de trois mois, suite d'une peur; 5°`garçon, fiè
e, Avril 1901). ` ' ' e L'auteur conclut : 1° que l'épaisseur de la
couche
pyramidale i REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
s parois du kyste étaient couverts d'épithélium pavimenteux sur une
couche
de tissu conjonctif sclé- reux, qui contenait ç
ité supé- Fin. 7. 88 CLINIQUE NERVEUSE. rieure n'atteint pas la
couche
optique, son extrémité supérieure se trouve à l
mineux. Dans ce dernier cas, la paroi est formée soit par une seule
couche
de cellules cylindriques, soit par plusieurs co
t par une seule couche de cellules cylindriques, soit par plusieurs
couches
de cellules CAS DE PAPILLOME ÉPITHÉLIOIDE DU NO
e véritable papille. Cette papille, qu'un léger espace sépare de la
couche
des cellules néoplasiques, présente au centre u
ux vasculo-conjonctifs s'anastomoser, de même on peut apercevoir la
couche
de cellules épithéliales, pousser des prolongem
ssent une multiplication active, revêtent le tube, de deux ou trois
couches
de cellules qui deviennent alors plus petites e
pie- mère est recouverte sur sa face interne, pédozzculuire, d'une
couche
de cellules cylindriques néoplasiques ; or ces
très peu de tissu conjonctif et un double revêtement épithélial. La
couche
cel- luleuse externe était formée de cellules c
lles vasculaires nées de la pie-mère et revêtues d'une ou plusieurs
couches
de cellules cubiques ou cylindriques. Mais il e
âgée de trois mois le 18 avril 1901. L'enfant est née à terme, les
couches
ont été bonnes : l'accouche- ment avait duré tr
te dans le lobe occipital, d'autres fois c'était le corps strié, la
couche
optique, enfin le cervelet et ' Etude sur le Ny
ir à l'instruction des nouvelles 126 L'HYSTLRIE DE SAINTE THLRÈSE
couches
de savants; les volumes coûteux achetés par le pè
même et pour les autres. Trois enfants bien portants. Pas de fausse
couche
. Bien réglée. Pas d'antécédents héréditaires de
houc; ce résultat est encore obtenu si, sur le vivant, on place une
couche
semblable entre le diapason et la peau. Alignez
en se projetant dans l'espace; non, cette image est restée dans les
couches
du cerveau où elle a pris naissance et le trois
le son remplaçant l'image, le nerf auditif, le nerf optique, les
couches
auditives, les couches optiques. Ce sont ces ha
image, le nerf auditif, le nerf optique, les couches auditives, les
couches
optiques. Ce sont ces hallucinations que Bailla
t depuis quelques jours en traitement à l'hôpital à la suite de ses
couches
. Hier soir Minodier, alla chercher sa femme à l
ès l'examen des yeux. 1° La rétine présentait des altérations de la
couche
des cellules nerveuses, caractérisées par une s
cellules de Purkinje disparaissent brusquement en même temps que la
couche
des grains se raréfie, s'amincit peu à peu et d
e, s'amincit peu à peu et disparait à son tour en même temps que la
couche
moléculaire diminue considérable- ment de.volum
lules de Purkinje et les grains disparaissent, on voit s'isoler une
couche
de cellules ovales, pâles, à noyau formé de chr
Les noyaux, beaucoup plus volu- mineux que les grains, forment une
couche
continue, assez dense à son centre, qui contour
les dentelures cérébelleuses comme un feston ininterrompu. Cette
couche
, nouvellement apparue, est constituée par les g
ent apparue, est constituée par les grandes cellules étoilées de la
couche
des grains, cellules de rela- tion ou du type I
type II de Golgi/et est mise en évidence par la dispa- rition de la
couche
des grains. Il n'y a pas de différence histolog
tout différent.. - - Les vaisseaux sont souvent formés d'une seule
couche
d'appa- rence endothéliale, sertis de quelques
ont plus épais, plus abondants, leurs parois formées de plusieurs
couches
de cellules arrondies qui peuvent subir des dégén
lésions inté- ressant un certain nombre d'éléments isolés dans les
couches
des grandes et pelites cellules, excentricité d
mon y Cajal, etc., etc., que les cellules de Ramon, situées dans la
couche
moléculaire, immédiatement sous la pie-mère, donn
admettre que les cellules polyaxoniques., de Ramon, situées dans la
couche
la plus superficielle de l'écorce cérébrale, so
liers, où elle entend dire, entre autres choses, qu'une apprentie «
couche
» avec son père; enfin par l'intervention de ce
e leur étendue, d'une épaisse Fig. 36. 4t\6 - RECUEIL DE FAITS.
couche
de fausses membranes villeuses. La cavité pcricar
se porte au cervelet, sans prendre aucune part à la formation de la
couche
intermédiaire des olives, ni du ruban de Reil pri
e, il est probable que la faculté de comparer est localisée dans la
couche
moléculaire de l'écorce cérébrale et qu'elle es
bolies fines, et Letschenow avance que la lésion se trouve dans les
couches
optiques. Clouston a publié deux cas de folie c
écificité héréditaire ou acquise. Elle a eu 8 enfants et une fausse
couche
(entre le 4' et le 5° enfant). Tous ses enfants s
ndensation ou d'une raréfaction parfois extrêmement accentuée de la
couche
compacte périphérique (1) un aspect en écheveau
coque de tissu compact consti tuait cet épaississement, for- mée de
couches
concentriques de néoformation osseuse; rien dans
resque aussi caractéristique que celle de la maladie de Paget. La
couche
compacte est conservée au moins en partie sur une
u moins conservée, on voit surtout un épaississement mar- qué de la
couche
compacte du côté concave et au centre une légère
gulièrement. Mariée à 24 ans, elle a eu 7 en- fants. Pas de fausses
couches
. Dans ses antécédents pathologiques, on ne relè
térieure, aucun signe ni d'éthylisme ni de syphilis, pas de fausses
couches
. Mariée à 17 ans, après deux ans elle accouche
ue. Pas d'in- toxication d'aucune sorte. Sa femme a eu cinq fausses
couches
et. le seul enfant qui ait vu le jour est un po
r des neurones, l'étage basilaire, avec les noyaux opto- striés, la
couche
optique, la capsule interne. D'autres enfin, se r
ET, ROSCNBACI1, etc. Actuellement aussi, on s'accorde à regarder la
couche
optique comme jouant le rôle important dans la
nt certainement les mê- mes, et qu'il y a toujours intervention des
couches
optiques et de leurs fibres nerveuses (2). BE
re et le pleurer. Ces fibres traversent le putamen pour porter à la
couche
optique leur influence régulatrice, elles passent
ucun cas analogue. La mère de notre patient n'a pas fait de fausses
couches
. Antécédents personnels. - Notre nain est né à
silisés et quelques empreintes ; la seconde n'a devant elle que des
couches
de terrain diversement superposées et les trans
que transparents, ce qui. indique la dimi- nution de la densité des
couches
osseuses aussi bien du tissu compact que du tis
homogène, d'une teinte grise uniforme, extrêmement transparent; la
couche
compacte, d'une minceur extrême, est pour ainsi d
ères fibres du deltoïde; c'est aussi la région où l'épaisseur de la
couche
musculaire autour de l'os est le plus faible. C
st le plus faible. Cette diaphyse, malgré sa gracilité, possède une
couche
de tissu compact assez épaisse et n'a pas l'asp
ants qui sont venus à terme et déclare n'avoir jamais eu de fausses
couches
. ' Le premier enfant serait mort 15 jours après
âcheuse. Il se maria à l'âge de 34 ans et sa femme eut deux fausses
couches
, après quoi elle fut soumise au curettagede l'u
rtement érodés et détruits partiellement par le noyau cancéreux. La
couche
optique est saine. En dedans, la tumeur est sép
estionnés surtout à leur base. Le coeur est recouvert d'une épaisse
couche
de graisse; le myocarde n'est pas hypertrophié;
ctement en haut, atteignant les noyaux gros centraux et surtout les
couches
optiques, se propageant à la partie inférieure
t l'envahissement néoplasique des noyaux gris centraux, surtout des
couches
optiques, les masses néoplasiques intra-ventric
é de deux zones, comprimant la protubérance en bas, se soudant à la
couche
op- tique et se continuant avec la substance cé
orte- ment cyanosée ; elle se plaint d'étouffer et demande qu'on la
couche
sur le côté, mouvement qu'elle ne peut exécuter
imètres seulement. A la coupe, cette tumeur apparaît entourée d'une
couche
de tissu conjonctif épaissi. Sa couleur est uni
coloré occupe presque tout le corps, entouré seulement d'une mince
couche
de protoplasma : ces cel- lules sont donc des l
(fig. 4) : certaines vésicules volumineuses, entourées d'une mince
couche
de tissu conjonctif, présentent sur un point de
a été le seul fruit de cette union et la mère n'eutjamais de fausse
couche
. Les aïeuls paternels et maternels moururent à
rface limitante du chorion et de t'épiderme s'étendent à toutes les
couches
sus-jacentes. Si pour une cause ou une autre il
ellules gan- glionnaires. Ce foyer osseux est entouré par une mince
couche
de tissu con- jonctif fibreux. Il résulte de
on n'observe pas de pigmentation. En beaucoup d'endroits, entre la
couche
des grains et la couche moléculaire, il existe
mentation. En beaucoup d'endroits, entre la couche des grains et la
couche
moléculaire, il existe un espace clair répondant
un espace clair répondant aux cellules de Purkinje disparues. La
couche
moléculaire présente une atrophie prononcée ; ell
elle est constituée par des fibres névrogliques qui rayonnent de la
couche
des grains vers la surface des circonvolutions
ne sont pas plus nombreuses qu'ailleurs autour des vaisseaux. La
couche
des grains est également atrophiée ; on observe u
; on observe une diminution considérable du nombre des grains et la
couche
elle-même est transformée en un tissu réticulé
rélicu- lum très dense ; elles se continuent avec le feutrage de la
couche
moléculaire d'une part et d'autre part avec le
ins sont très rares, un peu plus nombreux à la limite externe de la
couche
. Ceux qui persistent sont irréguliers, se coloren
olorations au Weigert ou au Pal, on se rend bien compte que dans la
couche
moléculaire profonde il n'y a plus trace de ces f
ui se terminent en corbeille autour des cellules de Purkinje. Dans la
couche
des grains, les fibres sont rares, irrégulières
chez les vieillards. Les vaisseaux du cervelet tant au niveau des
couches
superficielles que des couches profondes, ne pr
seaux du cervelet tant au niveau des couches superficielles que des
couches
profondes, ne présentent aucune altération vraime
(Lejonne et Hermille) ATROPHIE OLtVO-RUI3R0-CERL.BELLEIJSE 613 La
couche
optique est semblable des deux côtés et ne parait
utes les cellules de Purkinje, d'un grand nombre des cellules de la
couche
des grains remplacée par un feutrage névroglique
minée, par places, les cel- lules de Purkinje ou les éléments de la
couche
des grains, sans qu'on puisse reconnaître une s
ites sont également assez bien conservées, de même que les 5e et 6e
couches
qui ont un aspect normal. L'hypophyse présent
Cer- tains acini sont constitués par des cellules entourées par une
couche
très mince de protoplasme coloré en rouge. Quan
es. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 635 pés, la
couche
des cellules épithéliales qui les tapisse est rég
efois également dans la substance médul- laire l'infiltration de la
couche
glomérulaire est évidemment plus prononcée que
fibres intrci corticales sont excessive- ment fines surtout dans la
couche
zonulaire, et que, des deux côtés, les faisceau
l'autopsie, on constata une adhérence généralisée des méninges à la
couche
corticale et une atrophie du cerveau avec accom
les reptiles et chez les oiseaux, notamment en ce qui concerne les
couches
optiques et leurs relations avec le cer- veau a
ehors des fibres commissurales, on trouve des fibres blanches de la
couche
nndul- laire profonde. Ces dernières proviennen
l'époque dans lesquels M. Baillarger a traité de la structuie de la
couche
corticale des circonvolutions cérébrales, avec
cale des circonvolutions cérébrales, avec leur superposition de six
couches
alternativement blanches et grises, rappelant l
onnée empiétant un peu dans la 196 ANATOMIE. corne d'Ammon par sa
couche
granulée me semble suffire au sens de l'olfacti
x)... - Plus loin, il dit : « Il (le centre) va se perdre dans la
couche
de la substance grise qui revêt l'origine du co
n- dissement ou tête située entre la voûte à trois piliers et les
couches
optiques. Les singes sont les seuls dans lesque
pour aller à sa face supérieure et se continuer'avec cette petite
couche
de substance grise qui la recouvre ou avec les
avoir ainsi constaté la terminaison ou mieux la continuation de la
couche
granuleuse, qui, comme nous l'avons dit, représ
de circonvolution de l'ourlet ou d'ourlet cortical au re- pli de
couche
corticale qui l'enveloppe. » L'ourlet de Fovill
rise des régions atro- phiées avait entièrement disparu, laisant la
couche
externe adhérer à la pie-mère avec une cavité a
d'associa- tion qui joignent plusieurs centres sensoriels, dans la
couche
blanche sous-corticale. P. K. XVI. Remarques
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES T. EFFET DES lésions DU CORPS strié ET DES
couches
OPTIQUES SUR la température du corps (The effec
ahrenheit) qui dure jusqu'à soixante-deux heures. Les lésions de la
couche
optique ont moins d'influence à cet égard. Il e
es cellules nerveuses de la 2' catégorie et lesfibies nerveuses des
couches
granuleuses et moléculaires du cervelet ; REVUE
TOmE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 279 i° Les cylindres-axes des
couches
zonulaire et mierocelltilaire de l'é- corce ; .
et cinquième cou- ches de l'écorce du lobe occipital. La troisième
couche
corticale du même lobe contient de grosses cell
né, le tubercule acoustique est médiocre, il n'est pas divisé en
couches
. Les stries acoustiques de Monakow (fibres allant
l'acoustique, à l'aide des fibres arciformes, et, par suite, de la
couche
intermé- diaire des olives, et que, de là, il s
, et que, de là, il se rattache à la substance fonda- mentale de la
couche
de Reil dans la protubérance. Impossible de con
vont agir directement ou indirectement sur la substance grise de la
couche
optique ou du corps strié sont connus. De sorte
, le bulbe, les pédoncules cérébraux, les segments supérieurs des
couches
optiques (centres d'arrêt). L'excitation du gyrus
es indiscutables du maître. Les recherches sur la structure de la
couche
corticale des circonvo- lutions du cerveau (184
ties de l'encé- phale : non seulement le pédoncule mais encore la
couche
optique, le lobe temporal et le lobe occipital
ns DE l'attaque hystérique. 333 Après ces expériences, le malade se
couche
- Son pouls est fré- quent et il a quelques bat
nt la décussation dans les nucléi graciles et dans les noyaux de la
couche
intéro livaire et de là dans la formation rétic
i, glomérule olfactif. - hl, fascicule postérieur tonptudinal. - k,
couche
granuleuse du bulbe olfactif. - mp, pédoncule moy
if est indirectement en rap- port avec le tubercule antérieur de la
couche
optique, mais il n'y a pas de rapport entre la
e l'écorce motrice sont sensitives, ils ont detruit dans un cas les
couches
superficielles de la substance grise au moyen du
laire, incomplète comme résultat de l'opération : mais, quoique les
couches
superficielles de l'écorce fus- sent détruites,
chiat., XLVI, 5.) Manie consécutive à une fièvre typhoïde, suite de
couches
, guérie à son tour par une pleurésie, L'anémie
r sur ce point. Le 9 août, B... soulève de terre un malade et il le
couche
sur le lit; cet effort musculaire ne donne lieu
Neurolog ? revues analyti- ques) distinguait dans l'écorce : 1° une
couche
tangentielle, la plus externe; -20 une couche i
ans l'écorce : 1° une couche tangentielle, la plus externe; -20 une
couche
intermédiaire ; - 3° une couche externe des fib
gentielle, la plus externe; -20 une couche intermédiaire ; - 3° une
couche
externe des fibrespropres de Meynert sous-corti
dans l'écorce crise, qui se détache nettement et n'est autre que la
couche
d'association la plus externe de Meynert. P. K.
stance grise centrale des cavités, se terminent dans les noyaux des
couches
optiques, dans le ganglion de l'habenula, dans
érébral et un autre faisceau, plus gros, qui va directement dans la
couche
optique et les ganglions nerveux adjacents ; dans
avancée du corps genouillé interne et des segments latéraux de la
couche
optique, qui est probablement consécutive à l'atr
us l'écorce, zones gris clair, parfois séparées de l'écorce par une
couche
blanche étroite. 1 P. K. XVI. Contribution A l'
e osmique, ni à la lessive de potasse ; la concentri- cité de leurs
couches
n'est pas mieux dessinée 'par l'acide acétique.
tinguer un noyau central et une écorce périphérique, mais jamais de
couches
concentriques. La solution sulfurique d'iode le
ve dans la moelle et le bulbe, disséminés parmi les noyaux, dans la
couche
corticale au sein des gaines des vais- seaux et
e générale entée sur la syphilis. P. K. XX. DES altérations DE la
COUCHE
OPTIQUE dans la paralysie PROGRESSIVE; par G. Z
GIE PATHOLOGIQUES. 115 à l'autopsie des lésions circonscrites de la
couche
optique, tandis que cet organe est indemne dans
à rapprocher des rapports établis par Monakow entre l'écorce et la
couche
optique (dégéné- rescence de celle-ci à la suit
ler cette assertion à l'aide de cinq observations. Conclusions. Les
couches
optiques sont, dans la paralysie générale, souv
e revient aux antécédents héréditaires (56 p. 100) et aux premières
couches
(45 p. 100). Quant aux causes déterminantes, il
orteur sur les modifications du chymisme du sang chez les femmes en
couches
et enceintes. Il est vraisemblable que dans ces
et cependant elle ne les fait pas; la nuit elle reste comme elle se
couche
; une fois la lumière éteinte, si elle est jetée
la même affection. La mère de Léonie a eu six enfants et une fausse
couche
; deux sont morts d'affections non nerveuses. Pa
altérés, soit que leur tunique externe soit épaissie, soit que leur
couche
interne soit hypertrophiée et rétrécisse la lu-
eux par une formation lamelleuse qui résulte de l'hyperplasie de la
couche
profonde du périnèvre, et, du côté central, par
quatre ans, d'une affection pul- monaire à la suite de sa quatrième
couche
. Dans le reste de la famille du père, aucune au
. IDIOTIE CONGÉNITALE : 'l'ICS. 24o lève en se contorsionnant, se
couche
à terre (fig. 32, 33, 34 35, 36), se relève, sa
sylvienne droite; plusieurs petits foyers de ramollissement dans la
couche
optique droite, le noyau lenticulaire du même c
lésions histolo- giques : 1° Dans les deux caisses tympaniques, les
couches
épider- miques du bord du manche du marteau dét
froidis- sement ( ? ), l'autre à quarante-quatre ans, des suites de
couches
; les quatre survivants ont soixante-quatorze,
. Enfin, il franchit le seuil de la ' porte, monte à sa chambre, se
couche
. Il était au lit depuis un moment, lorsqu'il se
uffit d'étendre sur toute la surface interne de l'oreille plusieurs
couches
de collo- dion élastique. Après dix ou quinze j
n'épar* gnait qu'une faible portion de la partie postérieure de la
couche
optique droite. Ce qu'il y a surtout de remarqu
e préférence sur le bord médian de l'hémisphère cé- rébral dans ses
couches
superficielles; des paralysies flasques mais su
nés de troubles visuels, la lésion n'avait pas seulement détruit la
couche
corticale de ce lobe, mais avait pénétré si pro
- tomie pathologique, par Binswan- ger, 114 ; altérations de la
couche
optique, par Zagari, 114; névrite périphérique
ndue sur laquelle on constate à sa partie inférieure une très mince
couche
de Description DU cerveau. 23 substance céréb
corps calleux et l'avant-coin sont dis- tendus et forment une mince
couche
de substance cérébrale recouvrant la poche memb
éduite à une mince membrane. Le corps calleux est épaissi, toute la
couche
optique droite est atrophiée et remplacée par u
corne temporale. Les corps opto-striés sont volumineux, surtout la
couche
optique qui est saillante et contraste beaucoup
nante au niveau de la zone motrice de l'hémisphère droit et de la
couche
optique du même côté. V. La tuberculose général
es (l'L. lII), Face inférieure du lobe frontal, ventricule latéral,
couche
optique, corps strié, rien de particulier. Hé
s, répète vingt fois la même chose. - Elle a quitté l'infir- merie,
couche
on dortoir et dort, sans potion. - Elle a reçu
e rien -Il dîner, il est sombre et ne desserre pas les dents. Il se
couche
sans rien dire. La nuit a été bonne. 17. René n
a suite d'une invitation à écrire une lettre à ses parents. René se
couche
par terre, fait semblant de dor- mir ; au bout
al et du lobe temporal. - Ces deux lobes se composent d'une mince
couche
de substance grise recouvrant la membrane ventri-
be frontal et du lobule P. S. ; elle forme seule, avec une légère
couche
de substance nerveuse, la plus grande partie de
e, convulsions clans l'en- fance, dix grossesses dont trois fausses
couches
. Grand- père maternel asthmatique. Un frère /¡q
se ni d'aspect chagriné des circonvolutions. - Le corps strié, la
couche
optique, la corne d'Ammon, ne présentent rien de
ans (père, plus âgé). (i enfants dont 5 vivants ; pas de fausses
couches
: 10 garçon, 22 ans, très bien portant, intelli
puis n'a pas eu d'autres enfants que notre malade ; pas de fausse
couche
. Notre malade. - État satisfaisant du père et d
icule latéral. - Le corps strié paraît avoir son volume normal ; la
couche
optidne est un peu plus petite. Poids : 550 gr.
existe dans le ventricule latéral, le long du sillon qui sépare la
couche
optique du corps strié, une trai- née de petits
al, calotte. P F L, pli fronto-limbique. G R, gyrus reotus. Ta,
couche
optique. P, Pédoncule. - .' ' C, coin. L G,
écillité, épilepsie boisson. I g. mort on ne sait de quoi. 1 fausse
couche
à 5 mois. Hor.............Ouvrier chapelier. »
N. m., imb. et épileptique. » Môzié........... Peintre » 4 2fausses
couches
. Un g., né à 7 mois.idiot. Père excès de en bât
e, la rougeole. I garçon mort à 3 ans 1/2 de la gangrène. 5 fausses
couches
. Arb............. Marbrier. Chapelière. 1 | gar
ne Fille très Père et Mère sions. nerveux. alcooliques. 3 fausses
couches
. 2 autres Filles bien portan- tes. JV. m., Dé
oolique JV. m., épilepsie. Blav............ Tourneur » 2 1 fausse
couche
. N. m., imbécillité. » sur cuivre Lanf.......
e alcoolique N. m., idiot. Bidoi ........... Plombier. » 5 Hausse
couche
. 1 fille bien portante. » Igarçon mort du croup
tie. I garçon mort à 1 jour. Jean............ Tourneur » 4 i fausse
couche
à 4 mois. 1 garçon bien portant. » sur cuivre.
aitmcnts. 11. mort de diarrhée. ar. m., imbécile, épilepti- Jfausse
couche
à 3 mois 1/2. que. ïjumeaux morts à 4 mois. Riv
que. ïjumeaux morts à 4 mois. Riviè........... Tourneur » 8 Hausses
couches
, 2ct3 mois 1 garçon[bicn portant. » sur cuivre.
mort de tuberculose à 6 ans. Baill............ Peintre » 2 i fausse
couche
à 3 mois. at. m., idiot. Mère syphilis. en bâti
morte de coqueluche à ¡1 ans. March.......... Plombier- » 4 Hausses
couches
. N. m., idiot épileptique. Père alcoolique. fer
N. m., idiot. » en bâtiments. Pet............. Peintre » 3 Ihusse
couche
. N. m., idiot. » en bâtiments. ( mort de convul
grossesses. décédés. vivants. Sud............. Peintre « 2 Ifausse
couche
à 5 mois. JV. m., imbécile. » en bâtiments. L
bécile. » en bâtiments. Lherm.......... Tabac. Tabac. 10 2fausses
couches
. 1 fille bien portante. » I g. mort-né. N. m.,
1). Des deux côtés, les ventricules latéraux, les cornes d'Ammon, les
couches
optiques, les corps striés n'offrent rien de nota
galité d'âge de 3 ans. (Père plus âgé). Deux enfanta (pas de fausse
couche
) : 1° notre malade ; — 2° un garçon âgé de 12 ans
e; G0 une fille de 14 ans en bonne santé, pas nerveuse; 7° une fausse
couche
de 6 mois occasionnée par une chute. Antécédent
e de la corne occipitale de l'hémisphère gauche. — Le corps strié, la
couche
optique ainsi que la corne d'Ammon paraissent nor
t un peu nerveuse et très impressionnable, elle a fait une fausse
couche
et a un autre garçon et une fille plus jeunes que
peu intense. Effectivement, dans cette éventualité, la malade ne se
couche
pas, reste sur une chaise et, après avoir eu une
glions de la base manquent; il ne resle que quelques vestiges de la
couche
optique. Le pédoncule cérébral est libre au mil
phie de l'étage supé- rieur du pédoncule, du ruhan de Reil et de la
couche
intermédiaire des olives. Intégrité du faisceau
dans les membranes, ou d'une dégénérescence affectant peut- être la
couche
optique droite, c'est-là un problème que M. Savag
rgence; c'est pourquoi l'aphasie partielle mo- trice réside dans la
couche
blanche sous-jacente à la zone de Broca, l'apha
e à la zone de Broca, l'aphasie partielle sensorielle relevant delà
couche
blanche située au-dessous de la première tempor
microscope décèle un développement remarquablement étendu Li de la
couche
externe de névroglie de l'écorce qui ne tranche p
Id., t. V, p. 94. 100 SOCIÉTÉS SAVANTES. nettement sur les autres
couches
sous-jacontes. En partant de la première sans q
Le terrain du processus est la né- vroglie; habituellement c'est la
couche
externe où il commence pour marcher soit vers l
ne façon très complète les fibres nerveuses à myéline de toutes les
couches
corticales; 2° des coupes à travers l'écorce du
: a dans le lobe occipital (fibres très abondantes dans toutes les
couches
), b dans le lobe frontal (absence presque compl
le lobe frontal (absence presque complète de fibres dans toutes les
couches
; seule la couche des grandes cellules présente
bsence presque complète de fibres dans toutes les couches; seule la
couche
des grandes cellules présente quelques libres i
hopathique. Le 1 avril, elle signale trois métrorrbagies, suites de
couches
, après lesquelles la menstruation ne s'est pas
e de telle sorte que les tours secs recouvrent partout de plusieurs
couches
les tours humides; on peut encore lier par dess
angera les compresses toutes les trois à quatre heures, dès que les
couches
internes seront sèches. Les résultats favorable
t aucune relation avec la maladie actuelle, car jusqu'à sa dernière
couche
, qui eut lieu l'an dernier au mois de février,
cette dame a eu trois grossesses heureuses, terminées par de bonnes
couches
... » « En face de ces renseignements, et en l'a
ue présentent les faits pathologiques. M. Wilbrand admet dans les
couches
corticales du cerveau, trois centres distincts
infra-corticaux, en rapport étroit avec les troisième et cinquième
couches
de l'é- corce occipitale. Il en est de même che
s mois plus tard il arrive morose et taciturne, se désha- bille, se
couche
, subit la flagellation, s'excite, prononce des pa
arrive au secours, il se jette sur elle et se livre au coït. Il se
couche
après ne se réveille qu'au bout de douze heures
s d'une fièvre typhoïde, d'un traumatisme crânien ou d'une dernière
couche
chez des sujets de cet âge; dans tous ces cas,
ocampe et corne d'Ammon normaux. Corps calleux, pédoncule cérébral,
couche
optique, corps strié, bien développés, normaux.
sovie, et une autre tante maternelle est devenue maniaque après ses
couches
. Un oncle maternel a été atteint de manie, et le
aria à vingt-cinq ans, et eut quatre enfants. Les grossesses et les
couches
furent normales et sans influence sur l'état ment
ue était niée, mais on notait l'existence d'avortements, de fausses
couches
,' et la mort précoce d'enfants. Dans neuf obser
ariétale ascendante. C C, cops calleux. V,vrntricu)elaté- ral. C 0,
couche
optique. N l', noyau intra-ventriculaire du corps
ule latéral. -N V, noyau intra-ventriculaire du corps strié. - C 0,
couche
optique. NE, noyau extra ventriculaire du corps s
cissement des hémisphères, le pulvinar, les corps genouillés et les
couches
optiques ne sont pas déve- loppés. Dans ce cas
ézoïde est très bien développé ainsi que les olives supérieures. La
couche
des fibres sensitives manque, ainsi que dans la
eau. Nous trouvons encore les olives supérieures et l'origine de la
couche
latérale du ruban de Reil. La couche médiane de
supérieures et l'origine de la couche latérale du ruban de Reil. La
couche
médiane des fibres sensitives n'est pas dévelop
arciformes internes de la formation réticulaire mal développées, la
couche
latérale des fibres sensitives. Mais les pédoncul
s fibres sensitives. Mais les pédoncules cérébelleux supérieurs, la
couche
médiane des fibres sensitives manquent; manquent
erveuses qui forment le pied du pédoncule manquent; manque aussi la
couche
des fibres sensitives. Plus haut, au niveau du 3e
aut, au niveau du 3e ventricule,' nous voyons tous les noyaux de la
couche
optique et le noyau lenticulaire pres- que non
aux centraux (le pulvinar, les corps genouillés et les noyaux de la
couche
optique man- quent de même que les noyaux lenti
ulaires) ; 4° l'absence de voies pyramidales ; 50 l'absence de la
couche
du ruban de Reil ; 6° l'absence du faisceau cér
idales s'explique par l'atrophie des hémi- sphères. L'absence de la
couche
du ruban de Reil résulte de l'absence de la cou
L'absence de la couche du ruban de Reil résulte de l'absence de la
couche
optique . Toutes les modifications indiquées en 6
F traversé par l'aqueduc de Sylvius ; 5° le diencéphale produit les
couches
optiques. La partie du canal neural primitif qu
éphale provoquant l'absence du pulvinar, de corps genouillés et des
couches
optiques. L'hydrocéphalie de la vésicule cérébr
nt,avec leurs noyaux. Par exemple, le manque des hémisphères et des
couches
optiques produit une absence des pyramides et d
et des couches optiques produit une absence des pyramides et de la
couche
du ruban de Reil qui provient des noyaux du cor
qui provient des noyaux du cordon postérieur et se termine dans les
couches
optiques. Nous observons la même chose,sisousl'
ord externe des cornes postérieures qui est recouvert par une mince
couche
de tubes nerveux conservés. Tous les autres cor
e et prolongements. Fibres tangentielles conservées. Fibres de la
couche
moyenne légèrement diminuées de nombre. Fibres
le traitement. Mme D... a été hypothyroïdique depuis ses premières
couches
et peut- être bien dès avant son mariage. Les m
laire du corps thyroïde. Elle ne combat les ménorrhagies, la fausse
couche
récidivante, la dégénérescence fibromateuse de
le mis au monde. vivants et à terme ? A-t elle présenté des fausses
couches
? Les couches ont-elles été suivies d'accidents
e. vivants et à terme ? A-t elle présenté des fausses couches ? Les
couches
ont-elles été suivies d'accidents hémorrhagique
ade et perd beaucoup de sang. La seconde présenta plusieurs fausses
couches
avant de porter à terme des jumeaux dont l'un m
termittente et dut se réfugier fina- lement en ville pour faire ses
couches
. On a vu l'influence néfaste de la ma- laria su
s au monde deux enfants vivants et à terme. Elle a eu trois fausses
couches
dont l'une accom- pagnée d'accès éclamptiques.
ans, d'une maladie de coeur, la mère est morte à 30 ans de suite de
couches
. Une soeur est morte à 35 ans, il en reste une
e au cours duquel elle a perdu les cheveux ; elle a fait une fausse
couche
de trois mois. 336 ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD
luxion de poi- trine, l'autre a été enlevée à la suite d'une fausse
couche
. Il n'y a pas de maladies nerveuses dans la fam
de la jambe droite. Elle a deux enfants, et n'a pas fait de fausses
couches
. Début de la maladie. - Il y a trois ans, elle
que c'est. Je ne peux pas. (Et effec- tivement elle y monte et s'y
couche
.) La répétition d'une phrase est impossible : «
erne du ventricule n'est pas lésé ; on en distingue les différentes
couches
. Dans la substance blanche de la partie supérie
la substance grise est séparée du foyer hémorrhagique par une mince
couche
cle substance blanche. La lésion a complètement d
re do Sylvius. - sp. Scissure sous-pariétale. - SP. Splenium. - Th.
Couche
optique. - TRI. Trigone. 446 TRÉNEL A ce prop
nel se porte bien, la grand'mère paternelle est morte a la suite de
couches
, les grands-parents maternels sont morts de vie
ande; il se nourrit surtout de lait et de pain. Été comme hiver, il
couche
la fenêtre ouverte; je n'en finirais pas 44 CLI
marié à vingt-neuf ans. Sa femme a eu neuf grossesses (cinq fausses
couches
, quatre grossesses à terme; il reste aujour- d'
partent les fibres qui se rendent à la commissure postérieure; à la
couche
limitante latérale de la substance grise des cord
secousses morales, de suractivité intellectuelle, -anémie, fièvre,
couches
. Le début est aigu : de nombreuses idées délirant
vid, à qui les médecins de l'époque conseillèrent de mettre dans sa
couche
une «jeunesse» » pour réconforter ses forces dé
1° adhérence de la pie-mère à la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 223
couche
corticale, au' niveau de la région frontale gauch
sement occupant la partie la plus supérieure du noyau externe de la
couche
optique gauche; il s'était étendu en arrière ju
ables, les autres thromboses. L'atrophie de la rétine se limite aux
couches
profondes de la membrane; les cellules y sont n
très petit nombre; il en est de même des granulations internes; la
couche
des fibres du nerf optique est très amincie; né
aspect sénil et plissé, peau amincie, disparition complète de la
couche
graisseuse sous-cutanée, tous les os apparents de
st désa- gréable,.elle se lève pour tout remettre en place, puis se
couche
à 294 CLINIQUE MENTALE. , côté de sa mère, et
nse, on sait aujourd'hui que cet état correspond à une lésion de la
couche
corticale située sur la première temporale et q
gmate de syphilis héré- ditaire et sa femme n'a jamais eu de fausse
couche
. On peut donc 372 MÉDECINE LÉGALE. supposer q
ncidents de cette nuit, et il les raconte volontiers. D'abord il se
couche
et s'endort, mais il ne tarde pas à se réveille
la ou de la base du noyau lenticulaire qui vont se terminer dans la
couche
supérieure de la protubérance. Le corps genouil
stérieures de l'insula pour aller au corps genouillé interne et aux
couches
inférieures du pulvinar ; on trouve aussi des t
quer la forme de la surface externe du cerveau par la texture de la
couche
blanche immédiatement sous-jacente à l'écorce c
he blanche immédiatement sous-jacente à l'écorce c'est-à-dire de la
couche
blanche, intermédiaire à l'écorce et aux gangli
e la basilaire/remplies d'échinocoques. Foyer hémorrhagique dans la
couche
optique droite avec irruption dans le ventricul
ais leur mère, avant cette grossesse normale, avait fait une fausse
couche
. Enfin, tous trois avaient, sans aucun doute, p
ses cellules ont dégénéré, principalement au niveau de la troisième
couche
; pas de lésions notables sur les vaisseaux, ni
upes épaisses de préparations à l'acide chromique, on rencontre des
couches
d'une transparence insolite; cette transparence
alcool, d'une atrophie plus prononcée des cellules nerveuses en des
couches
déterminées, notamment dans les seconde et troi
en des couches déterminées, notamment dans les seconde et troisième
couches
de Meynert. Celles-ci peuvent même presque tota
atteint aussi les autres éléments cellulaires, à l'exception de la
couche
granuleuse (externe) très résistante, par place
ésistante, par places tout à fait indemne. Cette dégénérescence par
couches
occupe le coin, le lobe occi- pital et le lobe
corticale engendre la dégénérescence en plaques et en cordons de la
couche
blanche des hémisphères, décrite par Friedmann,
he des hémisphères, décrite par Friedmann, et les altérations de la
couche
optique consécutives aux attaques congestives (
e de recherches pathologique', de la Salpêtrière, où s'entassent en
couches
pressées les maladies chroniques incurables, le
Partout ailleurs la dure-mère est séparée des parois osseuses par une
couche
de tissu adipeux qui livre passage à des artè-res
t d'analogies, car les parties qu'il a envahies (dans le cerveau, les
couches
optiques par exemple) se tuméfient d'une manière
tout à fait indemnes. Les produits de l'inflammation dissocient ces
couches
super-ficielles et, conservant une certaine cohér
, dans l'état pathologique, le siège de douleurs vives. Puis vient la
couche
cellulo-grais-seuse (périméninge) où pénètrent pa
ostérieure. En dehors, toutefois, elle est séparée constam-ment de la
couche
corticéile de la moelle par un tractus de substan
re. Celle-ci, examinée de plus près, se montre composée de nombreuses
couches
concentriques (elle peut atteindre six à sept mil
Quelquefois la pachy méninge hypertrophiée semble com-posée de deux
couches
: l'une externe, l'autre interne. Cette dernière,
s auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité postérieure de la
couche
optique; — partie postérieure du noyau caudé ; —
t, c'est-à-dire dans tous les cas : 1° l'extrémité pos-térieure de la
couche
optique ; — 2° La partie la plus posté-rieure du
la couronne rayon-nante. L'altération de l'extrémité postérieur de la
couche
op-tique, celle de la queue du corps strié rester
es quadrijumeaux. Mais, d'un côté, on a vu maintes et maintes fois la
couche
optique et le noyau lenticulaire, atteints dans l
cot. Œuvres complètes, ?.?. 24 dait, dans sa moitié postérieure, la
couche
optique. La malade avait succombé trois semaines
plus haut, ce n'est évidemment pas en désor-ganisant une partie de la
couche
optique que l'hémorragie a produit ici, soit l'hé
et 15 mois. Une autre a succombé à l'âge de 3-4 ans, des suites d'une
couche
. Il n'y a rien à noter dans les antécédents de la
qu'à l'état normal. Beaucoup d'entre eux sont enveloppés d'une mince
couche
tantôt globuleuse, tantôt légèrement allongée, de
ée à proportion et elle forme autour des cy-lindres hypertrophiés une
couche
circulaire mince. On trouve çà et là quelques tub
contours irréguliers où les cylindres d'axe entourés seulement d'une
couche
de myéline ont acquis pour la plupart des dimensi
, Schweigger 4 et Nagel % dans le cerveau (ramollissement jaune de la
couche
corticale et encé-phalite congénitale interstitie
ile ( Hauptaxencylinder Forsatz) des grandes cellules nerveuses de la
couche
cor-ticale du cervelet, chez un sujet atteint d'h
ent également normaux. La langue a son volume normal, ses différentes
couches
musculaires sont rouges ; il n'y a pas trace de s
ur tous les points de la périphérie de la moelle. Il a retenti sur la
couche
qui lui est immédiatement sous-jacente et il en e
rieurs. — A la région lombaire, ces diverses lésions disparaissent la
couche
corticale et la zone radiculaire antérieure se re
es postérieures tandis qu'en dehors, elle s'étend presque jus-qu'à la
couche
corticale : la gangue conjonctive est devenue tou
lules et corps fusiformes. — g, Capillaires en anse ou fiexueux. — h,
Couche
privée de vaisseaux et formés d'éléments caséeux.
auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité postérieure de la
couche
optique; —partie posté-rieure du noyau caudé : —
▲