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1 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
pithélium cutané renfermant les cellules des neurones sensitifs. - r, couche de fibres musculaires aires. /, couche do fibre
des neurones sensitifs. - r, couche de fibres musculaires aires. /, couche do fibres musculaires longitudinales. - g, vaisse
s de gros calibre ou fibres nerveuses motrices, se terminent dans les couches ilaires et prennent leur origine dans les cellu
olaires de l'épithélium cutané. Leur prolongement principal dans la couche sous épithéliale des ramifications collatérales à
ojection des lobes frontaux et occipitaux-pédoncule antérieur de la couche optique, faisceau uncinatus, faisceau arqué, fa
, passant par la tête du noyau caudé et par la partie moyenne de la couche optique, (lig. : i, ligne .4F). La coupe de F
de réunion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la couche optique (fig. ? ligne XY). A Bicêtre, nous avon
int de repère de la coupe de Flechsig, le tubercule antérieur de la couche optique et l'extrémité antérieure du pli cunéo-
ue ne le fait cet auteur, c'est-à-dire par le tiers supérieur de la couche optique. On n'intéresse alors que deux des segm
en, une coupe horizontale (EF) passant par le tiers supérieur de la couche optique. Dans le premier comme dans le second cas
misphère une coupe horizontale passant par le tiers supérieur de la couche optique et, après avoir pris un croquis de la top
ntier, de le faire reposer sur sa convexité. Dans les deux cas, une couche épaisse d'ouate hydrophile, sera interposée ent
rdson, puis, avec un pinceau, on la recouvre rapidement d'une mince couche de collo- dion liquide. Cette couche une fois d
ecouvre rapidement d'une mince couche de collo- dion liquide. Cette couche une fois desséchée, on pratique la coupe ; on r
prégnée par le collodion, et que ce dernier forme autour d'elle une couche résis- tante. d'environ deux centimètres d'épai
imètres d'épaisseur, on pratique dans la partie inférieure de cette couche des incisions en différents sens et profondes de
la première vésicule encépha- lique, qui ne donne naissance ni aux couches optiques, ni aux hémisphères cérébraux. Si la
ion de von Baer, le nom de cerveau intermédiaire, (CI) vésicule des couches optiques, vésicule thala- mique ou thalamcncéph
tenir, car la paroi du cerveau intermédiaire donnera naissance à la couche optique, celle du cerveau antérieur à une partie
i latéralement; ses épaisses parois latérales donnent naissance aux couches optiques dans leur moitié supérieure, et aux ré
triés, au corps calleux et au trigone; le cerveau intermédiaire aux couches optiques, à la région sous- optique et à toutes
ique. - XII, grand hypoglosse. 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche grise de la . substance réticulée. Faisceau l
ntale du bulbe et de la protubérance, donne en outre naissance à la couche grise disséminée de la substance réticulée. Les f
minée de la substance réticulée. Les fibres qui naissent de cette couche , concourent à former une partie des fibres lo
mologue du cordon antérieur de là moelle. Au sur et à mesure que la couche grise de la substance réti- culée s'accroît, le
arrière du faisceau solitaire, et viennent se placer en avant de la couche grise disséminée de la substance réticulée et d
u bulbe, le système des fibres oli- vaires, le corps trapézoïde, la couche inter-olivaire et le corps restiforme. . b) Dan
uement l'homologue du cervelet, des tuber- cules quadrijumeaux, des couches optiques et des hémisphères cérébraux, formatio
un embryon humain d'environ six semaines. (D'après \ ? His.) Cio, couche inter-olivaire. - Crst, corps restiforme. - Flp,
ties qui apparaissent les dernières, oc- cupent en même temps les couches les plus superficielles. Dans la région protu
toute la série des vertébrés, le uerf op- tique se termine dans la couche superficielle de la lame des tubercules qua- dr
erficielle de la lame des tubercules qua- drijumeaux, tandis que la couche profonde, donne naissance à un système sensitif
LIQUE ANTÉRIEURE PRIMITIVE. A. CERVEAU INTERMÉDIAIRE. VÉSICULES DES COUCHES OPTIQUES La vésicule des couches optiques s'apl
RVEAU INTERMÉDIAIRE. VÉSICULES DES COUCHES OPTIQUES La vésicule des couches optiques s'aplatit de bonne heure dans le sens
trié. Comme la paroi du cerveau intermédiaire, donne naissance à la couche optique et celle du cerveau antérieur au corps
His, qui contient les rudi- ments des saillies superficielles de la couche optique. A l'extrémité anté- rieure de l'arc, o
rieure de l'arc, on constate la saillie du tubercule antérieur de la couche optique; à la plus grande convexité de l'arc co
horizontal, et par former toute la partie de la face supérieure de la couche optique, recouverte par le corps du trigone et
nro et du tubercule antérieur du thalamus, la face supérieure de la couche optique s'élargit en arrière, déborde le cervea
. Elle ne comprend donc, que la partie de la face supérieure, de la couche optique définitive, située en dedans du sillon
termé- diaire subit d'impor- tantos modifications. rieure de la couche optique définitive, étendue de l'insertion des pl
lie supérieure correspond à la lame alaire, et donne naissance à la couche optique propre- ment dite ou à la région tlzala
rieure ou partie tha- lamique proprement dite, donne naissance à la couche optique (Th). Celle- ci s'accroît rapidement et
éjà avant la fin du deuxième mois de la vie intra-utérine, les deux couches optiques se soudent sur la ligne médiane, au-dess
s, sur une étendue beaucoup plus grande que chez Soudure des deux couches optiques; formation do lacom- missure moyenne
core com- ment, dans certaines malformations congénitales, les deux couches optiques soudées sur une grande étendue, peuven
er qu'une seule masse impaire et médiane. Une fois développée, la couche optique est limitée en bas par le sillon de Mon
de la voûte du cer- veau intermédiaire (ig. 42, 43). En avant, la couche optique est légèrement excavée et concourt à
correspond au col du cerveau in- termédiaire de His (fig. 42). La couche optique, en se dé- veloppant d'avant en arrière
e recessus geniculi une étroite fente curviligne, comprise entre la couche optique et l'extrémité antérieure de la calotte
intimes que [présente plus tard la calotte du cerveau moyen avec la couche optique. Le dernier ves- tige permanent du rece
sous- pinéal. - tb, trou borgne. Tm, tubercule mamillairc. - Th, couche optique. - T.11, trou de Mouro. - V, 4° ventric
ieure ou voûte, recouvre le troisième ventricule et réunit les deux couches optiques. Un sillon transversal la sépare en arri
érieure se réduit à une mince lamelle, recouverte par une abondante couche de tissu conjonctif embryonnaire, dans laquelle
postérieure; ses fibres apparaissent de bonne heure, et relient la couche optique d'un côté à la région de la calotte du
ule s'épais- sissent et s'insèrent sur le bord supéro-interne de la couche optique en formant les taenia thalami. Immédiat
suite du grand développement que prend le corps calleux, et elle se couche sur la lame des tubercules quadrijumeaux, au-de
ir, décou- vert par Graaf et par Spencer, possède une rétine et une couche pigmen- taire, et reçoit un cristallin et une c
nt le pédicule oculaire, est séparé dans sa partie supérieure de la couche optique au niveau du trou de Monro, par le sill
enfot1' des fibres blanches. Ces fibres relient le corps strié à la couche optique et à la région sous-optique; d'autres f
ral, constituent la couronne rayonnante de Reil, et se rendent à la couche optique, à la région sous-optique, ou encore à
e, la tête du noyau caudé située en avant du trou de Monro et de la couche optique; elle est en connexion intime, ainsi qu
du trigone cérébral (demi-schématique). Le cer- veau intermédiaire ( couche optique, région sous-optique de Forel, bandelette
amygdalien, à la lame cornée, au tri- gone, au septum lucidum, à la couche épithéliale des plexus choroïdes et à l'induseum
du trigone cérébral (demi sché- matique). Le cerveau intermédiaire( couche optique) est coloré en bleu la partie de la par
DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 117 gone, au septum lucidum, à la couche épithéliale des plexus choroïdes et à l'induseum
rne de l'hémisphère, et représente une formation très analogue à la couche optique. Une mince lame de fibres blanches, la
, lenticulo-calldé (Cia), et " abordentl'extrémité antérieure de la couche optique, au niveau de la surface suturale opto-
urface suturale opto-striée secondaire : les unes pénètrent dans la couche optique et dans la région sous-optique, les aut
séparées de la surface suturale opto-striée secondaire, que par la couche épithéliale qui recouvre les plexus choroïdes d
corps et aux piliers postérieurs du trigone, et d'autre part, à la couche optique, au niveau du sillon choroïdien. Les pl
foetale du corps du trigone, elles entraînent avec elles une mince couche de substance grise, l'induseunz griseum, puis se
ire, par la voûte du troisième ventricule et la face supérieure des couches optiques, recouvertes par le repli mésodermique
ne sont unis entre eux que par la lame terminale embryonnaire, les couches optiques et les pédoncules cérébraux (fig. 65).
sent rapidement : vers la fin du troisième mois, ils recouvrent les couches optiques ; vers le quatrième mois, ils atteigne
e sillon ammonique, au contraire, s'accentue et contourne en arc la couche optique ; son segment inférieur ou sphénoïdal d
du limbe de l'hémisphère, c'est-à-dire autour du corps calleux, des couches optiques et des pédoncules cérébraux, un anneau
t embryon- naire chez les poissons osseux, et se réduit à une mince couche épithéliale, analogue celle qui tapisse les ple
les des mam- mifères. Chez les amphibies, il se réduit il une mince couche , dans laquelle on constate quelques rares cellu
rares cellules ganglionnaires inégalement disséminées, et une mince couche de fibres blanches sous-jacentes au ventricule. C
rouve le premier indice de l'écorce cérébrale, caractérisée par des couches superposées de cellules pyra- midales. Chez les
ont les cellules dites neuro-épi- théliales, disposées en une seule couche et en palissade, sont allongées dans le sens de
et arrivent ainsi à simuler trois, quatre, voire même six a huit couches strati- fiées sur les parties latérales du tube
ati- fiées sur les parties latérales du tube neural. Les noyaux des couches in- ternes, sont plus serrés les uns contre les
in- ternes, sont plus serrés les uns contre les autres que ceux des couches externes; particularité qui tient évidemment, a
qu'elles subiront, les carac- tères d'un épithélium à une seule couche (Hensen). Leurs extrémités s'implanteront tou
ème semaine de la vie embryonnaire, où elles forment par places une couche presque continue. Plus tard, leur nombre diminu
transparent, dans lequel His distingue à un fort grossissement, une couche endoplasmique fai- blement granuleuse et une co
ssissement, une couche endoplasmique fai- blement granuleuse et une couche ectoplasmique non granuleuse, les différencie n
re, présentant un réseau de chromatine et sont entourés d'une mince couche protoplasmique d'aspect fibrillaire. Celle-ci d
rmer (fig. 76). Les prolongements internes des spongioblastes des couches pé- riphériques, s'accolent aux corps des spo
t leur être appliqué. Tous les neuroblastes se développent dans les couches les plus internes de l'axe neural, aux dépens d
ellules germinatives, et de là ils émigrent secondairement dans les couches plus externes. (His.) La transformation des cel
s cellules germinatives en neuroblastes, et leur migration dans les couches plus externes, est postérieure à la formation du
e et la richesse en chromatine de leur noyau, entouré partout d'une couche protoplasmique continue, tandis que leur long p
me suivant lequel s'effectue la migration des neuroblastes dans les couches profondes est fort ob- scur et semble dépendre,
semble dépendre, non seule- ment des propriétés élastiques de la couche des colonnes, mais encore de l'activité vitale
a sub- stance grise embryonnaire, très épaisse à cette époque, deux couches , l'une interne, l'autre externe. La couche gris
se à cette époque, deux couches, l'une interne, l'autre externe. La couche grise interne (Innenplate de His) est compacte
ion radiaire et sont surtout formés de spongioblastes (fig. 84). La couche grise externe (Mantelschicht de His), riche en
nt la ligne médiane ni en avant ni en arrière; il en résulte que la couche interne forme à elle seule le plan- cher et la
u desquels il ne naît aucun neuroblaste. (His.) L'épaisseur de la couche grise externe n'est pas partout la même. Large
Cajal. Migration des neu- 1.01)lastes. i Existonco de deux couches grises, dans le tube médullaire. La couche gr
Existonco de deux couches grises, dans le tube médullaire. La couche grise interne tonne la planche et la voûte
e grise interne tonne la planche et la voûte de la moelle. La couche grise externe forme les cornes de la 'moelle.
larités des ccllnles épendymai- res au voisinage des sillons. couche et leurs connexions avec les membranes limitantes
ni avec les prolongements voisins, et se terminent au niveau de la couche sous-pie-mérienne, soit d'après Ret- zius en se
liales; les autres proviennent des cellules en voie de mitose de la couche péri-épendymaire d'Altmann, c'est-à-dire des même
formées à cette époque d'un noyau insignifiant, entouré d'une mince couche de protoplasma; elles n'attirent l'attention qu
efois jus- qu'au niveau du canal central (fig. 90 et 93). Dans la couche granuleuse de l'écoi-ce cérébelleuse, on trouve d
érébelleuse, on trouve des cel- lules araignées, tandis que dans la couche moléculaire, on trouve des cel- lules névrogliq
ervelet d'un chat do huit jours. - f, cellule de la névroglie de la couche moléculairo du cervelet d'un chat do huit jours.
eis vel'sico- 101'), elle occupe, ainsi que Retzius l'a montré, les couches profondes sous- épithéliales et chez les limace
sont si nombreux, que les dendrites semblent recou- vertes d'une couche de gi- vre (fig. 101). L'extension des dendri
nom de cellules de Cajal; (fig. 103, 94) on les rencontre dans la couche la plus superficielle de l'écorce cérébrale, da
1 1 lu tihlicité de ce dernier. On rencontre, en effet, dans la couche superficielle de l'écorce corticale, des cellul
axes Fig. 103. - Trois cellules de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âge
Fin. 107. - Cellule nerveuse à cylindre-axe court de la quatrième couche de l'écorce du lapin nouveau- né. (D'après Ramo
bipolaires, comme les cellules olfactives et certaines cellules de la couche superficielle du cerveau; les unes sont pyramid
détache du sommet de la cellule, elle est épaisse, se dirige vers la couche superficielle de l'écorce cérébrale, donne dans
injc avec leurs branches collatérales (ar.li) qui se dirigent vers la couche moléculaire. - b, cellules horizontales de Caja
du cervelet dont les prolongements cylindre-axilcs montent dans la couche moléculaire et se continuent avec les fibros para
hiées et détruites, dans un noyau gris - que ce soit un noyau de la couche optique, un tubercule quadrijumeau, ou un noyau d
: la cellule pyramidale de gauche envoie son cylindre- axe dans la couche optique Th; le cylindre-axe de la cellule pyramid
e entre dans la constitution du ruban de Reil et s'arborise dans la couche optique (Th). Le neurone sensitif de 2' ordre ent
d Physiol., Bd VII, 1890. - Du même. Sur les fibres nerveuses de la couche granuleuse du cervelet et sur l'évolution des élé
e foule de nuances inter- médiaires, telles que le gris jaune de la couche optique, le gris rouge des noyaux rouges de Sti
ventricules latéraux, la substance grise se réduit à une très mince couche , qui ne présente une certaine épaisseur qu'au n
et occipitale. La substance grise périphérique revêt la forme d'une couche irréguliè- rement onduleuse, qui recouvre le ce
et les cavités encéphaliques sont disposées, chez l'adulte, en une couche unique et régulière et reposent sur une couche
hez l'adulte, en une couche unique et régulière et reposent sur une couche plus ou moins épaisse de névroglie presque pure
s cellules épendymaires sont disposées, d'après Lachi, en plusieurs couches superposées. Chaque cellule épendymaire est for
à la périphérie de la moelle et de l'encéphale, où elle . forme une couche continue d'environ 20 à 50 z. d'épaisseur, couche
elle . forme une couche continue d'environ 20 à 50 z. d'épaisseur, couche qui reçoit les gaines de Schwann des racines cé
nage du noyau, autour duquel elles circonscrivent souvent plusieurs couches con- centriques (Max Schultze). Les fibrilles n
sous le nom de paraplasma (Iiupffer).I;lle se conti- nue avec la couche protoplasmique qui entoure les fibrillesdu prol
evêtent de leur gaine de Schwann, qu'au moment où ils atteignent la couche de névroglie sous- pie-mérienne. La continuité
ie sous- pie-mérienne. La continuité de la gaine de Schwann avec la couche névro- plique sous-pie-mérienne se fait, non pa
ou les fibres nerveuses, dont elles sont toujours séparées par une couche plus ou moins épaisse de fibres névrogliques.
anulations, et, d'autre part, de fins filaments serrés, disposés en couches concentriques, filaments dont la longueur et l
nterne est tapissée, ainsi que Frantzell'a montré en 18G î, d'une couche de cellules épithéliales polygonales, dont le n
à la présence de vacuoles plus ou moins grandes développées dans la couche corticale du globe ganglionnaire, ne se retrouve
s, qui tra- versent le ganglion en tous sens (fig. 87, p. 148). Les couches les plus superficielles du ganglion sont formée
ent en contact avec les prolongements dendritiques des cellules des couches superficielles. Ces fibres nerveuses qui traver
des villosités de l'intestin (Drasch, Cajal, Millier), enfin dans la couche musculaire circulaire de l'intestin (Cajal), de
hancrure de la myéline déprimée à ce niveau. Il est entouré d'une couche mince de protoplasma qui l'isole de la myéline
ann, le fixe à cette dernière (Ranvier). Chez les jeunes sujets, la couche protoplasmique est plus abon- dante que chez l'
blement par l'acide osmique, la gaine de myéline apparaît formée de couches concentriques. Tantôt elle est formée de deux a
et recouvre le cylindre-axe, en constituant à ce dernier une mince couche protoplasmique, connue sous le nom de gaine de
ées au sein d'une substance intermédiaire qui l'entoure d'une mince couche , connue sous le nom de gaine de Mauthner. Nous av
gaine de Mauthner. Nous avons vu plus haut que, pour Ranvier, cette couche appartiendrait non pas au cylindre-axe, mais au
, mais au segment inter-annulaire, et se continuerait avec la mince couche protoplasmique qui recouvre le noyau et double la
nveloppe péri- phérique de nature protoplasmique, mais encore d'une couche protopfas- mique, séparant chaque fibrille de s
à myéline, les fibrilles nerveuses sont également entourées par une couche de proloplasma. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
Corpuscules de Re- naut. cette gaine formée d'un grand nombre de couches acquiert une épaisseur considérable (Ranvier) (
n que dans l'épiderme (fig. 134, 136). Les fibres ner- veuses de la couche conjonctive sous-muqueuse se dépouillent de leur
t,, enfin par leur terminaison, qui ne s'effectue jamais dans les couches épithéliales superficielles (Retzius). Dans l
ge du chat. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. ô,7, couche conjonctive sons-épithéliale. - o, sur- face de
zius.) Mèthode rapide de Golgi. o, surface de l'épithélium. - bg, couche conjonctive sous-épi- théliale. - n, fibre nerv
théliale. - n, fibre nerveuse montant du tissu conjonctif dans la couche épithéliale pour se terminer après un trajet tang
. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. n, fibres nerveuses qui, de la couche conjonctive, montent dans la couche épithéliale e
n, fibres nerveuses qui, de la couche conjonctive, montent dans la couche épithéliale et s'y terminent par des arborisati
s.) Méthode rapide de Golgi. , n, libres nerveuses montant (le la couche conjonctive- sous-épithéliale et se terminant p
5 à G jours. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. hst, couche cornée. - réseau de Malpighi. - c, plexus nerveux
Retzius. \ Méthode rapide de Golgi. d, dentino (Zahnbein). - nd, couche odontoblastiquo. p, pulpe dentaire avec ses v
formés d'une substance granuleuse, et d'une enveloppe il plusieurs couches hyalines concentriques, renfermant quelques noy
diffère pas des corpuscules de Pacini que l'on rencontre dans i les couches sous-dermiques de l'homme et dans le mésentère du
onnectives, séparées par une substance amorphe et disposées en deux couches , l'une interne formée de fibres longitudinales,
très probablement sa gaine de Schwann ; il est entouré d'une mince couche de protoplasma et présente une struc- ture fibr
ns différentes régions de la peau de l'homme, on rencontre dans les couches superficielles du derme et dans la couche de Ma
e, on rencontre dans les couches superficielles du derme et dans la couche de Malpighi, des nerfs qui, après avoir perdu leu
hémisphères céré- braux [corps calleux, septum lucid1lln, trigone, couche optique, etc., etc.). Les circonvolutions qui b
nvolutions temporales. - , troisième sillon temporal. - Th, thalamus ( couche optique). ' U, circonvolution du crochet. MOR
ropre aux circonvolutions en général. Elle est re- couverte par une couche assez épaisse de substance blanche d'aspect réti-
s du corps calleux pour former le corps du trigone et contourner la couche optique. La circonvolution godronnée, au contra
rer avec celles du côté opposé, entraînent à leur surface une mince couche de l'écorce grise de la face interne des hémisp
tudinale logée dans le sillon olfactif (l,), est revêtu d'une mince couche de sub- stance grise. En arrière, le pédoncul
J). La « racine » olfactive interne (Roli) recouverte par une mince couche de substance grise est plus petite, moins const
s de la lame grise qui recouvre l'espace perforé antérieur, par une couche de fibres blanches toujours très manifeste (fig
ntérieur, analogue aux fibres langen- ticllc.s de l'écorce et il la couche réticulée d'Arnold. Leur origine apparente au n
des pédoncules cérébraux, atteignent la face inférieure libre de la couche optique, où elles se terminent dans deux ganglion
es se terminent dans deux ganglions pro- fondément enclavés dans la couche optique, les corps genouillés externe et intern
- tinue avec la substance grise du tuber cinereum et entourée d'une couche fibro-vasculaire dépendant de la pie-mère. 'r
ruban ,de Reil médian. - si, sillon latéral du mésencéphale. - Th, couche optique. - 7·po, toenia pontis. - 7 ? )/, tract
a calotte, région étendue du bulbe à l'extrémité anté- rieure de la couche optique. La calotte du pédoncule est formée de
l. Ses limites. La région de la calotte s'étend du bulbe à la couche optique. Constitution de la calotte du pédo
cule mamillaire latéral. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; 2, couche blanche moyenne du tubercule quadrijumeau antérie
bercule quadrijumeau antérieur, se rendant au ruban de Reil. -3, 3, couche blanche interne du tubercule quadrijumeau antérie
e cérébelleux supérieur. - Po, protubérance. P2tl, pul- vinar de la couche optique. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; de
. sell, sillon choroïdien. - Sexv, surface extraventriculaire de la couche optique. - si, sillon opto-strié. - si, sillon
ransversalement en dehors vers le corps genouillé externe (Cge) de la couche optique : ce cordon est connu sous le nom de br
me le tubercule quadrijumeau antérieur, par l'extrémité libre de la couche optique ou qui les surplombe; le bras ne devien
e vers le corps ge- z nouille interne, profondément enclavé dans la couche optique. Le tubercule quadrijumeau postérieur a
Troisième ventri- cule. Sillon de Monro. ".Septum lucidum. Couche optique et noyau caudé. l'hémisphère. Ces org
isième ventricule en deux régions, l'une supé- rieure formée par la couche optique, l'autre inférieure, connue sous le nom
t, de chaque côté, deux volumineux ganglions de substance grise, la couche optique (Th) en dedans, et le noyau caudé ou no
-zezztriculcciwr du corps strié, en dehors. La face interne de la couche optique forme la paroi latérale du troi- FIG. 1
ier et deuxième ventricules cérébraux. Le noyau caudé, séparé de la couche optique par un petit sillon dit sillon intermédia
e en haut par le corps calleux (Ce), en bas par le trigone (Tg), la couche optique (Th) et le noyau caudé (NC), en dedans
yme ventriculaire ou membrane épendymaire, qui repose sur une mince couche de substance grise; ils sont complètement indépen
a, 198). La face inférieure du noyau caudé et la face externe de la couche optique, sont en rapport avec une lame de subst
ied de la couronne- rayonnante (pCI3). La capsule interne sépare la couche optique et le noyau caudé d'un troisième noyau
toenia tecta. - Tg, trigone. Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche optique (thalamus). - Va, troisième ventricule.
plan d'autant plus antéro-postérieur, qu'elles appartiennent à des couches plus superficielles du genou ou du bourrelet.
-dessous du corps calleux, au-dessus du troisième ventricule et des couches optiques, autour desquelles il décrit une courb
vaisseaux; cette membrane fibro-vasculaire la sépare à la fois des couches optiques (Th) et du ventricule moyen (V 3) (fig.
nterne ou extra ventriculaire (Sexv), de la face supé- rieure de la couche optique (fig. 196). En avant les bords latéraux
des ventricules latéraux. Ils se soulèvent en arc, forment avec la couche optique (Th),légè.rement excavée à ce niveau, un
. Après avoir contourné de haut en bas l'extrémité antérieure de la couche optique, les piliers antérieurs divergent, pass
nt de torsion en huit de chiffre, puis pénétrait de nouveau dans la couche optique (Th) et se lermi- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE
n dehors et en haut et se termine dans le tubercule antérieur de la couche optique (Na). Le faisceau de Vicq d'Azyr relie do
elie donc le tubercule mamillaire (Tm) au tubercule antérieur de la couche optique. Les piliers postérieurs du trigone fon
en bas, qui contournent le pulvinar ou extrémité postérieure de la couche optique (Pul), puis se portent brusquement et t
médiaire de la toile choroïdienne, avec la partie postérieure de la couche optique (Th), la glande pinéale (Gp) et les tub
erne fait suite à la partie interne du corps du trigone et forme la couche blanche intraventriculaire ou l'cclveu.s (ais) de
! ânenciphalon, au cerveau intermédiaire (tuber- cules mamillaires, couche optique) : Une petite partie des fibres longitudi
corne d'Ammon. Cç(Spl), bourrelet du corps calleux (Splenium). Csg, couche sagittale du lobe temporo-àccipital. de, divertic
rphologique que les autres ven- tricules, et n'est pas revêtu de la couche épendymaire qui tapisse ces derniers, mais d'un
que lame de ce ventri- cule présente à l'état rudimentaire les deux couches qui constituent les cir- convolutions cérébrale
s deux couches qui constituent les cir- convolutions cérébrales. La couche interne ou grise représente l'écorce grise rudi
ente l'écorce grise rudimentaire; elle est recouverte par une mince couche de fibres tangen- tielles et renferme dans les
par une mince couche de fibres tangen- tielles et renferme dans les couches superficielles (celles qui correspondent par co
nt le sommet regarde la cavité du cinquième ventricule, et dans les couches profondes des cellules plus irrégulières. La co
e, et dans les couches profondes des cellules plus irrégulières. La couche externe ou blanche, l'analogue de la substance bl
édoncules, on rencontre du côté du ventricule latéral une troisième couche , l'épendyme et la couche grise sous-épendymaire
u côté du ventricule latéral une troisième couche, l'épendyme et la couche grise sous-épendymaire, communes il tous les ve
mentaire, que l'on ne distingue que difficilement z ces différentes couches . Entre les deux pédoncules du septum, on ren- c
ane en avant, ils divergent en arrière, et s'enroulent autour de la couche optique et du pédoncule cérébral, en décrivant
ne (fig. 200). Arrivés au niveau de l'extrémité pos- térieure de la couche optique, ils divergent, changent de direction, et
de ces trois parties, au niveau de l'extrémité posté- rieure de la couche optique, représente un véritable carrefour ventri
du genou du corps calleux (Cc[g]) à l'extré- mité postérieure de la couche optique (Th) (fig. 208), et mesure en moyenne 7
par la tête du noyau caudé (NC), sur laquelle on rencontre, sous la couche épendymaire, les ramifications antérieures de la
caudé (NC, NC) ; 2° un sillon intermédiaire au noyau caudé et à la couche optique, le sillon opto-stl'ié (si) ; 3° le tiers
opto-stl'ié (si) ; 3° le tiers externe de la face supérieure de la couche optique (Th) ; i° la face supérieure du trigone
ne sphénoïdale (fig. 209). 2° En dedans du noyau caudé on trouve la couche optique (Th), dont la blancheur relative contra
geàtre du noyau caudé. Le tiers externe de la face supérieure de la couche optique, compris entre Étac npérip,l1rllll ve
on du plancher du ventricule latéral. Les deux tiers internes de la couche op- tique compris entre le sillon choroïdien et
ucidum. ' MORPHOLOGIE CÉRÉRRALE. 3o7 m'6;-fe ? ? <CM/M'e de la couche optique n'est pas lisse et régulière; elle corr
saillie mamelonnée et très accentuée, le tubercule antérieur de la couche optique, constitué par la partie saillante de s
, assez large en avant, plus étroit en arrière, décrit autour de la couche optique une courbe à concavité antérieure et in
du ta'nia semi-circularis, contourne l'extrémité postérieure de la couche optique, et se retrouve, comme la bandelette demi
caudé, quitte la lame cornée au niveau du tubercule antérieur de la couche optique (Na), reçoit à ce niveau la veine du se
demi-circulaire se rétrécit en arrière du tubercule antérieur de la couche optique; elle longe ensuite le sillon opto-stri
ensuite le sillon opto-strié jusqu'à l'extrémité postérieure de la couche optique, puis elle se recourbe en bas et en ava
et en avant, reçoit chemin faisant un grand nombre de libres de la couche optique et s'épanouit en un faisceau de libres
la corne sphénoïdale ( Vsph) contourne le pédoncule cérébral et la couche optique, se porte oblique- ment en bas, en avan
CNC, colliculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. - Csg, couche sagittale du lobe temporo-occipital. de, divert
ehors, la queue du noyau caudé (NC'), masquée souvent par une mince couche de fibres nerveuses. Contiguë en arrière à la ban
ie adhérente ou externe du pilier recouvre la I corne d'Ammon d'une couche blanche connue sous le nom d'alvéus (Alv) (fig.
corne d'Ammon. Cc(Spl), bourrelet du corps calleux (Spicnium). Csg, couche sagittale du lobe temporo-uccipital. - de, divert
u ventricule latéral (Pchl) reposent sur le sillon choroïdien de la couche optique, et longent le bord interne de la corne
rmée chez l'adulte par un épithélium pavimenteux qui repose sur une couche de substance grise riche en névroglie. L'épaiss
ne, et le point de réflexion inférieur, au sillon choroïdien, de la couche optique (fig. 212). Dans le prolongement sphénoïd
tre inférieure. La région supérieure ou thalamique, ou région de la couche optique, est formée par la face interne plane o
e, est formée par la face interne plane ou légèrement convexe de la couche optique (Th), revêtue d'une mince couche de subst
u légèrement convexe de la couche optique (Th), revêtue d'une mince couche de substance grise, la substance grise centrale
is se rétractent quel- quefois à tel point vers la face interne des couches optiques, qu'ils devien- nent difficiles il déc
[renia tecta. Tg, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche optique (tha- lamus). 11, troisième ventricule.
situé à la limite de la face interne et de la face supérieure de la couche optique, et dont les fibres se terminent dans l
tite saillie triangulaire, située à la partie postéro-interne de la couche optique. Sur les tænia thalami (tth), s'insère
'une ver- 'T" "™ ticale, comprise entre les faces internes des deux couches optiques, l'autre horizontale et évasée, située
s du trigone et la moitié interne Wt$|j de la face supérieure de la couche optique. Cette soi-disant partie horizon- tale
icule latéral, mais représente la surface cxlra-ventriculaire de la couche optique (Sexv) (fig. ° ? 92, 213), et corres- p
eur, à base postérieure, elle s'étend horizontalement au-dessus des couches optiques et du troisième ventricule, au-dessous
par ses parties latérales, sur la surface extra-ventriculaire de la couche optique (Sexv); par sa partie moyenne, elle forme
ur. sch, sillon choroïdien. Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. si, sillon opto-strié. SZ,septumlucidu
latérales sont en rapport avec la surface extra-ventriculaire de la couche optique (Sexv) (fig. 212). Les bords latéraux
ècle par Willis, Riolan, Vieussens, etc. Willis le premier sépara les couches optiques des corps cannelés ou striés et les dé
rrorum opticorum. Vieussens ayant observé que les corps striés, les couches optiques et une partie des jambes ou pédoncules
rtie du noyau caudé. 2° Les c01'pom slniata superiora posteriori ou couches optiques. 3° Les cOl'pom striata inferna exteri
essous de la commissure antérieure et qui font peut-être partie de la couche optique. 6° Les corpora striata média qui corre
bandelette de substance blanche située entre les corps striés et la couche optique. Cette bandelette demi-circulaire, très b
rce des circonvolutions de l'insula dont il représente la cinquième couche ; de là, par analogie de structure, le nom de cou
e la cinquième couche ; de là, par analogie de structure, le nom de couche claustrale donnée à la cinquième couche de l'éc
gie de structure, le nom de couche claustrale donnée à la cinquième couche de l'écorce cérébrale. Aujourd'hui les dénomina
s, Vicq d'Azyr et Burdach, sous le nom de corps opto-striés : 1° La couche optique ou thalamus. 2° Le corps strié formé de
eure de l'espace pen- j'orr' antérieur. Sa face interne répond à la couche optique, à la substance grise sous-épendymaire
nonce piriforme ou d'une cornue, située en avant et en dehors de la couche optique (fig. 215). Epais et arrondi au niveau de
grêle en arrière. Son extrémité postérieure ou queue, contourne la couche optique et le pédoncule cérébral, et se prolonge
l. : CNC, colliculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. Csg, couche sagittale du lobetemporo-occipital.c ! c, diver
ipito-fl'ontal de Forel (OF). Le bord interne, concave, embrasse la couche optique; il commence im- médiatement en arrière
idum ; il se di- rige ensuite en dehors et en arrière, séparé de la couche optique par la lame cornée, la veine du corps s
énoïdal du ventricule latéral, où elle est recouverte par une mince couche de substance blanche facile à enlever par un gr
du noyau lenticulaire (Al) et le pédoncule infào-inte1'7 ! c de la couche optique (PiTh) (fig. 244 à 246). Au niveau du c
Cia). En arrière il se dirige en dehors et en arrière, séparé de la couche optique par le segment postérieur ou lenliculo-
NL,) ; le segment moyen (NL2), dépasse l'extrémité antérieure de la couche optique et existe sur les coupes vertico-transver
ans les coupes vertico- transversales'qui intéressent les premières couches du noyau lenticulaire ,,(Iig. 222, 223, 242, 24
res interne et externe du noyau lenticulaire. Fibres radiées. Couche optique (thalamus). La face supérieure est
nse du noyau lenticu- laire, les autres relient le corps strié à la couche optique, d'autres se ren- dent à la région sous
r et interne et qu'elle contourne par son extrémité postérieure, la couche optique ou thalamus (Th) constitue une masse vo
eures que séparent seulement les piliers antérieurs du trigone, les couches optiques sont écartées en arrière et reçoivent
leur hauteur 20 à 2S millimètres. On peut considérer chacune des couches optiques quatre faces et deux extrémités. Les f
ère- ment convexe dans le sens transversal, est revêtue d'une mince couche de fibres blanches, le stratum zonale (strz). S
zonale, différencie nettement , MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. : 7 -i la couche optique du noyau caudé. Cette face est limitée en
ne et qui fait un léger relief le long du bord supéro-interne de la couche optique. Ce tractus blanc porte le nom de tænia t
et le cerveau intermédiaire. La partie de la face supérieure de la couche optique, située en avant et ' en dehors du sill
r l'épendyme ventriculaire. La partie de la face supérieure de la couche optique, située en arrière et en dedans du sill
are du trigone cérébral et appartient à la surface extérieure de la couche optique (Sexv). ('oy. Embryologie, p. 114 à 117.)
longuc, plus ou moins marquée, c'est le tuber- cule antérieur de la couche optique de Vicq d'Azyr (Na), le corpus album st
on rencontre une saillie volumineuse, le tubercule postérieur de la couche optique ou pulvinar (Pul) qui se renfle considé
blement en arrière pour former l'extrémité postérieure, libre de la couche optique. En dedans de la partie postéro-interne
et la sépare de la région sous-optique. Lès faces internes des deux couches optiques sont reliées Toenia thalami. Sa part
. sch, sillon choroïdien. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - si, sillon opto-strié. SI, septum lu
Rauber, facile à constater chez le nouveau-né. Les rapports que la couche optique affecte avec le pédoncule cérébral sont
bandelette op- tique croise sa face inférieure. Ces trois organes : couche optique, pulvinar et bandelette optique, formen
e optique, pulvinar et bandelette optique, forment le système de la couche optique et embrassent le pédoncule cérébral à l
r du pédoncule. La petite extrémité ou l'extrémité antérieure de la couche optique, libre dans sa moitié interne, présente
le interne; ce faisceau porte le , nom de pédoncule antérieur de la couche optique (Cia) (fig. 223, 224, 225,' 22G). Les
(fig. 223, 224, 225,' 22G). Les faces externe et inférieure de la couche optique, adhérentes aux parties voisines, ne pe
ar le pilier antérieur du tri- Corps genouillés. Rapports de la couche optique ave, le pédoncule céré bral. Son ex
re de la substance innominée, la face inférieure, plus large, de la couche optique, repose sur le prolongement antérieur de
amique et à l'étage supérieur du pédoncule et qui est entouré d'une couche de fibres blanches, la capsule du noyau rouge. Le
de Luys et le noyau rouge sont séparés de la face inférieure de la couche optique par une couche de fibres bien décrites pa
uge sont séparés de la face inférieure de la couche optique par une couche de fibres bien décrites par Forel et qui se con
de Forel (r) (Feld H, Forel). Face externe. La face externe de la couche optique, convexe dans dans le sens transversal
l'ensemble constitue les radiations ou la couronne rayonnante de la couche optique. Meynert y a dis- tingué trois segments
de la capsule interne et pénètre dans l'extrémité antérieure de la couche optique. Arrivées dans l'intérieur de celles-ci
al. Ses fibres se dirigent d'arrière en avant et pénètrent dans les couches supérieures du pulvinar. Les plus inférieures s
92-293) ; les plus supérieures s'étalent sur la face supérieure de la couche optique et concourent à former le stratum zonal
à former le stratum zonale. En pénétrant dans la face externe de la couche optique, les fibres de ces trois pédoncules s'e
a substance grise. .Celle disposition donne à la face externe de la couche optique un aspect spécial, absolument caractéri
ormé la zone réticulée, les fibres pénètrent dans l'intérieur de la couche optique dont elles forment les fibres radiées.
re, avec Burdach, trois noyaux dans la masse grise qui constitue la couche optique. Un noyau interne qui répond au ventric
ans le ventricule latéral, où il forme le tubercule antérieur de la couche optique. Le noyau externe est séparé des noyaux
liquement dirigée en bas et en dedans, du bord supéro-externe de la couche optique à son bord inféro-interne. Cette lame n'e
en avant avec le noyau antérieur, près de la face supérieure de la couche optique, dans la région du faisceau de Vicq d'A
s faisceaux radiés de Meynert, qui proviennent des pédoncules de la couche optique et peuvent être suivis avec plus ou moi
s de netteté, jusqu'au delà de la lame médullaire interne. Dans les couches profondes et inférieures du pulvinar, ces fais-
les coupes vertico-transver- sales de l'extrémité antérieure de la couche optique, n'intéressent que les noyaux externe e
lig. 226, 253, z187, 307, 317, 318). Luys a décrit en outre dans la couche optique un quatrième noyau, le centre médian de
noyau, le centre médian de Luys (Nm), profondément enclavé dans la couche optique entre le noyau rouge, le noyau interne
mprise entre le noyau lenticulaire d'une part, le noyau caudé et la couche optique d'autre part. Pour Vicq d'Azyr, elle fais
ée en dedans du noyau lenticulaire, en dehors du noyau caudé, de la couche optique et de la région sous-optique (fig. 248
duquel se loge le noyau lenticulaire, tandis que le noyau caudé et la couche optique sont situés sur sa partie convexe. Cet
nnées parallèlement. Ces fibres se terminent presque toutes dans la couche optique dont elles forment le pédoncule antérieur
ue en arrière et en dehors, passe entre le noyau lenticulaire et la couche optique; il est le plus long et déborde en arrièr
Dans le segment rétro-lenticulaire (Cirl), limité en dedans par la couche optique et la portion réfléchie de la queue du
ques, se terminent pour la plupart dans la partie postérieure de la couche optique dont elles contribuent à former le pédonc
aire (Cirl) : le segment antérieur (Cia) disparait en effet avec la couche optique. Le segment rétro-lenticulaire (Cirl) e
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. mente considérablement, et forme une couche épaisse, qui coiffe les extrémités - , antérieu
ainsi que le prouvent les cas de malformation du corps calleux, la couche des fibres blanches qui constitue le tapetum (Tap
rieure du tronc du corps calleux (Ce), ['extrémité supérieure de la couche optique (Th) et du segment externe du noyau len
faisceau ocei/ilo- frontal (OF), son extrémité postérieure par une couche beaucoup plus mince de cette même substance gri
. En dehors, le ventricule est limité par le noyau caudé (NC) et la couche optique (Th). Corps opto-striés. Sur celte coup
recourbée de sa queue (\G'). Entre ces deux segments, on trouve la couche optique (Th), sectionnée il sa partie supérieur
ation du lobe frontal, tandis qu'en arrière, elle se prolonge dans la couche sagittale du lobe occipital qu'elle concourt à
partie supérieure du septum lucidum (SI), le noyau antérieur de la couche optique (Na Th) et l'extrémité supérieure du pu
, qui traverse le segment antérieur de la capsule interne (Cia). La couche optique(7h) comprise entre les deux- segments d
u putamen. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, interne et externe de la couche optique.- \'C', queue du noyau caudé. - 0., pre
ilxnds-maire. - SI, septum luci- dum. sp, sillon sous-pariétal. Th, couche optique. T, ! gsna;, circonvolution temporale s
le pu/amen de Y avant-mur (AM) et de J'écol'ce de l'insula (I). La couche optique (Th) est volumineuse et sectionnée il p
médullaire interne du thalamus (Lmi) encore très peu apparente. La couche optique est séparée du noyau caudé par un sillo
frontale. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne de la couche optique. - NC, noyau caudé. - : \'C', queue du
sillon du corps calleux. - - .xu, surface extra-ventriculairc de la couche optique. Sge, substance grise centrale. - SI, s
lier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonvolution pariétale profond
nètrent toutes dans les noyaux anté1'iew'(Na) et externe (Ne) de la couche optique, dans lesquels elles s'irradient. Le segm
qui relient le troisième segment du noyau lenticulaire (nul;,) à la couche optique (Th), et des fibres coupées perpendicul
stème du pied du pédoncule cérébral. De la partie postérieure de la couche optique, partent des fibres horizontales, les rad
laire de la capsule interne (Cirl) et se portent en arrière dans la couche sagittale du lobe occipital. La masse blanche d
et le tapetum (Tap), qui tapisse la corne occi- pitale se trouve la couche sagittale du lobe occipital. Sur les coupes de ce
pital. Sur les coupes de cerveaux durcis par les bichromates, cette couche sagittale semble n'être formée que par un seul
on ne constate pas l'existence d'un système analogue à celui de la couche sagittale du lobe occipital; les fibres thalamiqu
segment du noyau lenticulaire (NL=,NL3) et la partie moyenne de la couche optique (Th). Écorce. L'écorce diffère de celle
lobule du corps strié). Elle est séparée du putamen (NL3) par trois couches , une blanche externe, formée par la substance bla
hée de l'écorce insulaire, dont elle suit les sinuosités, enfin une couche blanche interne, la capsule externe (Ce). A la pa
'Ammon (CA), en dehors par le /lIp1 ! /llIn (Tap), recouvert par la couche sagittale du lobe occipital. Au niveau de la co
Sge) et le faisceau occipito-fiontal (Or). Noyaux opto-striés. - La couche optique (Th) est nettement délimitée en dehors
et du segment rétro-lenticulaire (Cirl) de la cap- sule interne. La couche optique déborde en arrière le noyau lenticulaire
aux mdia- lions optiques de Graliulct (RTh) qui se portent dans la couche sagittale du lobe occipital. Sa face interne es
sagittale du lobe occipital. Sa face interne est bordée d'une mince couche de fibres blanches, le stmtulll zonale (Strz),
a capsule interne (Cip) d'une part, et le pédoncule antérieur de la couche ol)liq ? ie (1-'aTii) ou segment antérieur de la
yau lenticulaire, dans toute l'étendue de la partie postérieure de la couche optique qui correspond il la corticalité de la
nro. znp, sillon marginal postérieur. - Na, noyau ' antérieur de la couche optique. - NC, tète du noyau caudé NC', queue du
du noyau caudé NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. - Ni, noyau interne de la couche optique
- Ne, noyau externe de la couche optique. - Ni, noyau interne de la couche optique. - 1'G, NG,, deuxième et troisième segm
irconvolution pariétale ascendante. l'a Th, pédoncule antérieur de la couche optique. - Pc, pli courbe. Plch, plexus choroïd
, sinus du corps calleux. - Sexe, surface extra-ventriculaire de la couche optique. S,ge, substance grise sous-épendymaire d
er antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde.
oyau caudé. - NC', queue du noyau chaude. - Ne, noyau externe de la couche optique. AIL3, iN'12, troisième et deuxième segme
sinus du corps calleux. .S'e.Et', surface eztra-ventriculairc de la couche optique. -Sye, substance grise sous-épendçntaire
tum. - lec, t.enia tecta. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche optique. - Tp. circon- volution temporale profo
e pilier antérieur du trigone (Tga) et l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). La corne occipitale (Voc) est lim
alzerrm calcal'iml1ll qui double la scissure calcarine (K), par une couche de fibres foncées appartenant au faisceau postéri
ors, la corne occipitale est recouverte par le tapetum (Tap) et les couches sagittales du lobe occipital, dont la partie inte
SCOPIQUES DU CERVEAU. 407 dinal inférieur (Fli). En dehors de cette couche on trouve les courtes fibres d'association du l
nt traversés par de nombreuses fibres blanches, qui se rendent à la couche optique en traversant le segment postérieur de
en traversant le segment postérieur de la capsule interne (Cip). La couche optique (Th) est intéressée au niveau de sa parti
ventriculaire (Sexv), libre et recouverte par le stratum zonale. La couche optique est formée de deux noyaux, le noyau inter
ssure cal- carine (K) que par l'écorce de la région, entourée d'une couche mince mais complexe de substance blanche. (Voy.
oyau chaude. - NC , queue du noyau caudé. = Ne, noyau externe de la couche optique. - NL3, NL2, NL,, troisième, deuxième e
ieur du trigone. - Tg,, trigone ou carrefour ventricu- laire. - Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde.
grillagée. 1 : 410 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. convolutions, la couche sagittale du lobe occipital, formée en dehors par
i que nous l'avons constaté plusieurs fois. La partie interne de la couche sagittale est formée par les fibres de projection
pos- térieur de la capsule interne (Cip) et qui se dirigent vers la couche optique (Th). Dans la couche optique (Th) on re
terne (Cip) et qui se dirigent vers la couche optique (Th). Dans la couche optique (Th) on reconnaît les noyaux externe (Ne)
et le ganglion de l'habénula (Gh), situé à la partie interne de la couche optique qu'il divise en deux parties. La partie
orizontales qui se rendent toutes dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Il se compose en effet, presque exc
fibres cortico-thalamiques, et constitue le pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Les préparations microscopiques
quement en arrière et en dehors, entre le noyau lenticulaire et la couche optique (Th), et déborde le noyau lenticulaire
ibres des régions voisines et pénètrent dans le noyau externe de la couche optique (Ne), dont elles constituent les fibres
segment postérieur de la capsule interne (Cip), et se rendent dans la couche optique (Th) et les noyaux de la région sous-th
a), par la commissure postérieure (cop), la partie inférieure de la couche optique (Th)et l'extrémité supérieure des tuber
par la méthode de Weigert ou par le carmin différencient en quatre couches concentriques. La couche interne est formée par l
ou par le carmin différencient en quatre couches concentriques. La couche interne est formée par les fibres d'association
me cornée. - Lg, lobule lingual. Lme, lame médullaire externe de la couche optique. - lme, lame médullaire externe du noyau
externe du noyau lenticulaire. - Lmi, lame médullaire interne de la couche optique. - lmi, lame médullaire interne du noyau
système du forceps (Fin'). Comme sur la coupe précédente ces quatre couches sont ici très nettes, immédiatement en arrière
ceps. Elles s'effacent peuà peu en arrière et se confondent avec la couche blanche sagittale du lobe occipital. La paroi e
Voy. Faisceau occipito- frontal.) En dehors du tapetum se trouve la couche sagittale du lobe occipital, constituée par les
egments internes du noyau lenticu- lairc leur coloration pâle. La couche optique (Th) est intéressée dans sa partie inféri
Le noyau externe (Ne) reçoit en avant le pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh) qui fait suite au segment antéri
ure de ce noyau externe. En arrière du pédoncule anté- rieur de la. couche optique, on trouve la section transversale du fai
trouve la section transversale du faisceau de Vicq d'Azyr (VA). La couche optique est réunie il celle du côté opposé par la
côté opposé par la commis- sure postérieure (cop). La partie de la couche optique située en avant de la com- missure post
NC', queue du noyau caudé. .Ye, Ni, noyaux externe et interne de la couche optique. - Nez, NL" u'L,, ? troisième, deuxième e
u lenticulaire, - ce dernier étant dédouble. Nm, noyau médian de la couche optique (centre médian de Luys). - 0,, 0 ? premiè
pilier antérieur du trigone.- 7'p, pilier postérieur du trigone. Th, couche optique. lit i-i, premier et deuxième sillons t
(NL3, NL ? NL¡, NL¡')ne présentent rien de particulier il noter. La couche optique (Th) a diminué de volume : cette coupe
u interne (Ni), le noyau externe (Ne) et le pulvinar (Pul). Mais la couche optique présente en outre ici deux nouveaux noyau
(lignes 68 des lig. 217 et 218). Cette coupe passe au-dessous de la couche optique et de la corne frontale du ventricule l
du sillon collatéral, on rencontre encore, quoique très réduite, la couche sagittale du lobe occipital. La corne sphé- noï
blanche de l'hippocampe le contourne, et forme autour de lui trois couches concentriques, assez sem- blables à celles de l
lui trois couches concentriques, assez sem- blables à celles de la couche sagittale du lobe occipital. La couche profonde,
sem- blables à celles de la couche sagittale du lobe occipital. La couche profonde, blanche et très mince, appartient trè
ent au cingulum, l'externe enfin est blanche et se continue avec la couche des fibres d'association de la circonvolution d
), la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui se dis- tingue des couches blanches voisines par sa richesse en vaisseaux. A
e, mais le plus grand nombre le contourne en avant et en dedans. La couche optique a disparu, elle n'est plus représentée qu
différencient pas du reste de la masse blanche du lobe frontal. La couche sagittale du lobe occipilo-temporal est encore ne
noïdale. Le tapetum (Tap) très réduit de volume tapisse d'une mince couche la paroi externe de la corne sphénoïdale. Le co
cérébrale de Bichat. À la place du globus pallidus, on trouve une couche blanche, intermédiaire entre le globus pallidus
a partie externe de la substance perforée antérieure de la base. La couche grise située en dedans des orifices vasculaires
ACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 429 bandelette optique (II), on trouve la couche grise de la substance perforée anlé- rieure (Sp
ppartient à la paroi interne de l'hémisphère et se continue avec la couche épilhéliale qui re- couvre les plexus choroïdes
ehors duquel on trouve le faisceau longitudinal inférieur (Fli). La couche des fibres de projection ou radiations tha- lam
pe (h) avec la substance réticulée d'Arnold (Lms) qui représente la couche des fibres tangentielles de l'écorce de la circ
Sur la coupe n° 37 (fig. 239) la substance grise est réduite il la couche sous- épendymaire (Sge) qui double le ventricul
es forme sur les coupes de cerveaux durcis par les bichromates, une couche nettement distincte du centre ovale (CO). Ce de
l'écorce insulaire, dont il représente d'après Meynert la cinquième couche ; à sa partie inférieure il se fusionne avec le tr
s l'angle inférieur du ventricule latéral, on trouve, en effet, une couche de substance grise, la substance grise centrale (
roisième sillons temporaux. - Tga, pilier antérieur du trigone. Th, couche optique (thalamus). - U, circonvolution du croche
VEUX. apparaît (coupe n° 63, fig. 245) l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Cette substance grise, qui recouv
partie du globus pallidus, qui représente un ganglion analogue à la couche optique; il est séparé du putamen par la lame mé-
chiasma des nerfs optiques (II) et de l'extrémité antérieure dé la couche optique (Th). Le noyau caudé (NC) est relié au
nt il est séparé par la commissure antérieure (coa) et par. une mince couche de COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 451 fibr
m. Tg, corps du tri- gone. Tga, pilier antérieur du trigone. - TIz, couche optique. - U, circonvolution du cro- chet. Vs,
érieur de la capsule interne (Cia) ; en dedans, il est séparé de la couche optique (Th) par le genou de la capsule interne
Sge) et se terminent dans les régions inférieures et internes de la couche optique (Th). Ces fibres qui viennent en partie
ne sphénoïdale, constituent le pédoncule inférieur ou interne de la couche optique (PiTh). Entre le segment interne du glo
interne du globus pallidus (NL,) et le pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh), on trouve un autre faisceau de
ent la partie la plus antérieure. Le pédoncule inféro-interze de la couche optique (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire
ii qui donne insertion COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 453 à la couche , d'épithélium qui recouvre les ple.xncschoroïdes
es propres d'une incisure du sillon collatéral (ot'), par une mince couche de fibres blanches qui entourent l'extrémité an
235 et 236. La coupe n° 69 passe par le noyau antérieur (Na) de la couche optique (Th), la partie antérieure du pédoncule
oi inférieure par le noyau caudé (NC ! et la partie attenante de la couche optique (Thi. Son bord externe est coiffé par l
rent d'une part au bord libre du trigone (Tg), et d'autre part a la couche optique (Th), en dedans de la veine du corps stri
mince lamelle de substance blanche la sépare du globus pallidus. La couche optique (Th) est irrégulière; elle présente une f
ace supérieure qui présente la saillie du tubercule antérieur de la couche optique (Na), et que l'insertion des plexus cho
apetum. - 7 ? trigone. - 7,qa, pilier antérieur du tri- gone. - Th, couche optique. - Tm, tubercule mamillaire. - Tp, circon
, tapetum. - Tg, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche optique. - Tm, tubercule mamillaire. - Tp, circon
co- transversales micl'oscopiques, fig. 286.) La face externe de la couche optique (Th) est en rapport avec le segment pos
t le faisceau inférieur ou lenticulaire (FI), séparés par une mince couche de substance grise, la zona incerta du même auteu
) situé au-dessus du corps de Luys (CL). Du noyau antérieur de la couche optique (Na) part un faisceau volumineux, le fa
bercule mamillaire (Tm) et se termine dans le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce faisceau fut décrit à tort sous
v. Monakow par l'étude des dégénérescences. Le noyau interne de la couche optique (Ni) est très peu accusé (fig. 248), il
érieur de la capsule interne (Cip) sépare le noyau caudé CSC) et la couche optique (Th) du noyau lenticulaire (NLa, 2' Il. I
hénoïdal (Vsph). Sa face superficielle est recou- verte d'une mince couche de substance blanche, qui correspond à la substan
t se continue avec Yalvéus (Alvj. Sur la coupe n° 75 (fig. 248), la couche de substance grise inter- médiaire décrit quelq
- Tap. tapetum. - lLs, trou borgne supérieur. - Tg, trigone. - Tlt, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profond
par la lame cornée (le), la queue du noyau caudé (NC') et les trois couches de fibres qui limitent le ventricule en dehors
tronc dans la partie moyenne du ventricule latéral, en dehors de la couche optique; une seconde fois, au niveau de sa queue
tage du noyau amygdalien. Au niveau du carre four ventriculaire, la couche optique et la queue du noyau caudé sont rapproc
e la corne sphénoïdale, le noyau caudé et le thalamus divergent; la couche optique, après avoir formé le pulvinar, se rétr
é que par des îlots gris dissociés par les fibres de projection. La couche optique (Th) augmente de volume à mesure que le n
le tienia tlcalaoei (tth) (coupe n° 75 et 80, fig. ? .49. 251). La couche optique jTh) est divisée en deux noyaux, l'un int
nt postérieur de la capsule interne (Cip). La face supérieure de la couche optique présente sur cette coupe un mince noyau
ue présente sur cette coupe un mince noyau aplati, situé entre deux couches de fibres blanches, et qui répond il bipartie p
icroscopiques hori- zontales (fig. 301.) et sagittales, t. IL) La couche optique repose sur la région sous-optique. Cette
ns temporaux. - tec, tienia tecta. Tap, tapetum. - Tg, trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profond
n haut et en dehors. Sa face supérieure, convexe, est séparée de la couche optique (Th) Fil;. 2 : -ij. - Coupe vertico-tra
Il s'agit du faisceau longitudinal inférieur (Fli) qui constitue la couche sagittale externe du lobe <em.o-0f;c)'/a/. E
la capsule interne (Cip) et sépare le noyau lenticulaire (NL3) de la couche optique (Th), du corps de Luys (CL) (coupe n° 7
y, trigone. - Typ, pilier postérieur du trigone (Fimbri : v). - Th, couche optique. - Tp, circonvolution temporale profonde.
e Sylvius (Aq), c'est-il- dire la surface exlra-veniriculaire de la couche optique et la région du pédoncule. Noyaux opto-
'ap, tapetum. - Tg, trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. 7'/t, couche .optique. - Tp, circonvolution temporale profon
étro- lenticulaire de la capsule in terne (Cirl) (fig. 254-255). La couche op/ique(Th) a diminué de volume. On y reconnaît
ne (Ne) et le noyau interne (Ni). Sur la coupe n° 83 (fig. 252), la couche optique (Th) repose sur la région de la calotte
253-254) il se présente comme un ganglion arrondi, enclavé dans la couche optique (Th), situé en dedans du corp genouillé
s radiations thalamiques qui abordent les parties inférieures de la couche optique, s'entre-croisent avec des fibres qui,
s son segment rétro-lenticulaire (Cirl), elle ne forme plus ici une couche nettement distincte, mais dissocie le li-oi- si
scissure de Sylvius. - Se.vv, surface extra-ventricu- l;tire de la couche optique. - Syc, substance grise sous-épendymaire.
sième sillons temporaux. Tap, tapetum. - tec, t¡cnia tecta. - T'li, couche optique. - Tg, trigone. - 1'l, ventricule latéral
paroi externe du ventricule sphénoïdal (Vsph); est bordée par trois couches concentriques : le tapetum (Tap), les radia- li
ties qui recouvrent en arrière la surface extra-ventriculaire de la couche optique (Sexv). Écorce. - Le bord supérieur d
ie postérieure; le pilier ptostérieur (Tgp) forme sur ces coupes la couche de substance blaiielie qui recouvre la circonvolu
intéressent le carrefour ventriculaire et passent en arrière de la couche optique. Le noyau caudé est encore sectionné en
ec le tapetum (Tap); ce dernier constitue la plus interne des trois couches qui limitent la corne sphéno-occipitale en deho
i) nous trouvons sur les coupes n°S 95, 97,-99 (fig. 258 à 260), la couche des fibres de projection du lobe occipital, ou
du lobe occipital, ou radiations optiques de Gratiolet (RTh). Cette couche de fibres, pré- sente, dans son segment externe
rallèle (t,) et il la deuxième circonvolution temporale ('1), cette couche s'effile en haut où elle embrasse en dehors les f
rale (TJ, l'interne au lobule fusiforme (Fus). Ce faisceau forme la couche sagittale externe du lobe occipital; il représe
tapissée par le tapetum, (Tap), en dehors duquel nous trouvons les couches sagittales du lobe occipital a savoir : Fieu. -
lleclccl (l : c, fig. 204). Cette paroi est tapissée par les trois couches de la paroi externe qui sont effilées et recourbé
s (C) est plus étendu, la cavité ventriculaire est entourée par trois couches concentriques de fibres à direction pour la plu
d'association (faisceau longitudinal irrfé- rieur) (Fli). Ces trois couches de faisceaux, très distinctes à la face externe e
ne ou au carmin.' Au niveau de l'angle supérieur du ventricule, les couches de la paroi externe se recourbent et se réuniss
s de la paroi interne. Au niveau de la pointe occipitale, ces trois couches forment donc un cercle complet, quoique très ir
issable surtout sur les coupes microscopiques, coiffe le sommet des couches sagittales. Ce faisceau, décrit par Sachs sous
gueur de son tronc, l'extrémité interne du corps strié (NC+NL3), la couche optique (Th), la région sous-optique (F, NR), l
éunion du noyau caudé NC et du putamen NL3. Na, noyau antérieur de la couche optique. -Ni,'noyau interne de la couche optiqu
Na, noyau antérieur de la couche optique. -Ni,'noyau interne de la couche optique. NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau rouge.
ontinue en bas avec le corps du trigone (Tg), qui s'applique sur la couche optique et donne insertion en avant aux plexus ch
us choroïdes qui le séparent de la face extra-ven- triculaire de la couche optique (Pul); très irrégulier sur cette coupe, i
roïdienne entre le trigone et la surface extra- ventriculaire de la couche optique. Noyaux opto-striés et isthme de l'encé
nt encore partie du plancher du ven- utricule latéral, on trouve la couche optique (Th) séparée du corps strié par le sillon
du corps strié par le sillon, opto-strié (si). On reconnaît dans la couche optique (Th), le noyau antérieur (Na) et le noy
'irradie en pinceau et appartient au pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh). Il ne vient pas des tubercules ma
u llilbe sphénoïdal et passe au-dessous de la face inférieure de la couche optique (Th). Cette coupe ne l'intéresse donc q
éresse donc que dans son segment vertical. La face supérieure de la couche optique (Th) est divisée en deux parties par l'in
oïdienne. L'insertion des plexus 'choroïdes dans cette région de la couche optique a lieu de surprendre au premier abord.
avantage en arrière (coupes nos 5, 7 et 10, fig. 268, 269, 270). La couche optique repose sur la région sous-optique, consti
rouge (NR) et le champ de Forel (F). En arrière et au-dessous de la couche optique on trouve les parties constituantes du
quadrijumeaux (Qa, Qp) et la région de la calotte du pédoncule. La couche optique (Th) est séparée des tubercules quadrijum
bercule quadrijumeau postérieur (Qp), nous trouvons enfin une mince couche de fibres blanches, qui répond au ruban de 1 ? (i
ce de séparation du noyau caudé (21C) et du putamen (\L.,), vers la couche optique (Th) dans laquelle il s'irradie. Ce fai
ique (Th) dans laquelle il s'irradie. Ce faisceau fait partie de la couche la plus interne du pédoncule antérieur du thala
se en effet en dedans du genou de la capsule. (Voy. fig. 267.) La couche optique (Th) est séparée du noyau caudé (NC) par
belleux inférieur et postérieur. Lmi, lame médullaire interne de la couche optique. Ln, locus niger. Lsa, lobe cérébelleux a
de la première circonvolution frontale. - Na, noyau antérieur de la couche optique. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de
ieur de la couche optique. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. - NF, noyau setrri-lunaire de Flechsig
ue. - NF, noyau setrri-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne de la couche optique. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau médian d
ne de la couche optique. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau médian de la couche optique. - NR, noyau rouge. - 0,, première circon
tionnée transversalement, et qui soulève l'épendyme qui recouvre la couche optique, c'est la veine du corps strié (Vcst).
oupes sagittales, l'insertion des plexus choroïdes (Pchl) divise la couche optique en deux parties : l'une intra, l'autre ex
région intra-ventriculaire, nous trouvons le noyau antérieur de la couche . optique (Na), qu'un dédoublement de slralum sona
rne (N.e) et interne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na) de la couche optique, nous trouvons, d'avant en arrière : le n
e médian de Luys (Nm) ou noyau médian du thalamus. Les noyaux de la couche optique reposent sur la région sous-optique. Cell
u corps de COUPES MACROSCOPIQUES DU, CERVEAU. 40o Luys (CL) et la couche optique (Th) au niveau de son noyau externe (Ne).
un espace compris entre la circonvolution de l'hippocampe (H) et la couche optique (Th), limité en haut par le trigone (Tg
ectionné au niveau de sa tète; on le voit s'effiler au-dessus de la couche optique (Th) pour former la queue du noyau caudé,
ouche optique (Th) pour former la queue du noyau caudé, séparée de la couche optique par le sillon opta-strié (si). Au-desso
la série des coupes horizontales) appar- tiennent au système de la couche optique; elles sont ici sectionnées très obli-
ment les rapports qu'affectent les noyaux opto-striés entre eux. La couche optique (Th) est située- en arrière du corps st
), facile il reconnaitre grâce à la présence des fibres radiées. La couche optique repose sur le pied du pédoncule (P) don
anneau presque complet, que le manteau cérébral décrit autour de la couche optique (Th) et du pédoncule cérébral. Cet anne
'hippocampe (H) d'une part, le pied du pédoncule cérébral (P) et la couche optique (Th) d'autre part. Sur la coupe n° 17 (
stance blanche. - Le ventricule latéral est recouvert par une mince couche de substance grise, la substance grise, sous-épcn
le j(I/'ccpsmajOl'(Fm); en avant et en dehors il est limité par une couche foncée, qui suit la courbe du corps calleux et qu
aversent pour la plupart. La queue du noyau caudé est séparée de la couche optique (Th) par une laine de fibres claires, qui
système lhalamique dont elles forment le pédoncule moyen (PThm). La couche optique (Th) est en outre par une couche de fib
pédoncule moyen (PThm). La couche optique (Th) est en outre par une couche de fibres blanches, la zone réticulée ou grillagé
pvs, sillon pre-rotan- dique supérieur. PThm, pédoncule moyen de la couche optique.Pi<<, pulvinar. w/, pli rétro-lin
ur du trigone. TgYI, trigone du ventricule latéral. Th, thala- mus ( couche optique). U, circonvolution du crochet. Voc, corn
laires, qui livrent pas- sage aux artères lel1liculo-sll'iées. La couche optique est réduite au pulvinar (Pul). La bandele
a calotte du pédoncule* La seconde série de fibres appartient il la couche optique et constitue le pédoncule antérieur de
ient il la couche optique et constitue le pédoncule antérieur de la couche optique qui aborde le thalamus au niveau du genou
isée en deux lames, l'une inférieure, l'autre supé- rieure, par une couche festonnée de substance blanche, connue sous le no
ojet- tion. Cette zone claire est limitée en dehors par une seconde couche concentrique- qui appartient au centre ovale (C
s qui doublent la corne occipitale, à savoir : le tapetum (Tap), la couche des radiations thalamiques de Gratiolet (RTh) e
ion temporale et du lobule fusiforme. Tap, tapetum. - Th, thalamus ( couche optique). Tgp, pilier postérieur du trigone. - Tg
du trigone. - TgVl, tri- gone du ventricule latéral. Th, thalamus ( couche optique). v, orifices vasculaires. Voc, corne o
cérébrale de Bichat et toute la sur- face extra-ventriculaire de la couche optique. Écorce. L'écorce ne se distingue que p
Quant à la corne occipitale (Voc), elle est limitée en haut par la couche épaisse des fibres calleuses (Cc) doublées de l
haut par la couche épaisse des fibres calleuses (Cc) doublées de la couche des radiations thalamiques (RTh). Au niveau du fo
de la paroi inférieure de la corne occipitale, on retrouve ces deux couches superposées, auxquelles s'est ajoutée une trois
es deux couches superposées, auxquelles s'est ajoutée une troisième couche , constituée par le faisceau lonrli- tudinal inf
très distinctes au niveau du fond de la corne occipitale, ces trois couches se réduisent au niveau de la paroi infé- rieure
, première, deuxième et troisième circonvolutions temporales. - Th, couche optique (thalamus). - t'l, partie verti- cale d
e carrefour ventriculaire (NC'), on trouve le dernier vestige de la couche optique (Th) et le segment, rétro- lenticulaire
couronne rayonnante (pCR). La couronne rayonnante ne forme plus une couche aussi régu- lière que sur les coupes précédente
longueur, il est en- touré en arrière par le corps calleux (Ce), la couche des radiations thalamiques FiG. 275. - Coupe sa
n bas, et qui entoure Y avant-mur lorsque le putamen a disparu. Cette couche blanche appartient il la capsule externe (Ce),
es, de telle sorte qu'elle se présente toujours sous l'aspect d'une couche blanche mal délimitée (Voy. pour son étude les
substance grise sous-épendymaire (SgVsph) et entourée par les trois couches de cette région, à savoir : immédiatement en de
a capsule interne. Elles sont destinées à montrer les relations des couches sagittales du lobe occipilo-temporal, avec les ca
ne rayonnante et du segment antérieur de la capsule interne dans la couche optique. La coupe D est intéressante au point d
re de la substance grise s01ls-épendymail'e (Sge) et se réunir à la couche de libres sectionnées perpendiculairement à leur
culairement à leur axe, qui limite cette substance en dehors. Cette couche appartient encore au système cal- leux et répon
ceau est toujours séparé du fond du sillon olfactif (1'4) par trois couches de fibres qui sont, en allant de l'écorce aux fib
ibres qui sont, en allant de l'écorce aux fibres calleuses : 1° une couche de fibres claires qui doublent le fond du sillon,
représentent les fibres d'association propres de la région; 2° une couche de fibres plus foncées qui appartiennent la la
es qui appartiennent la la couronne rayonnante (CIl), enfin, 3° une couche de fibres claires qui font partie du même systè
s. Les fibres de la couronne rayonnante (CR) entourent en dehors la couche des fibres calleuses; ce sont pour la plupart d
'irradient dans la première circonvolution frontale (FjinfF,]), cette couche est au contraire très nettement délimitée en ba
du gyrus reclus (oFl). La direction des fibres qui composent cette couche n'est pas partout la même. Nous venons de voir
les s'entre-croisent avec les fibres d'association courtes et avec la couche des fibres d'association externe de Meynert (Va
fibres. Venues de la substance blanche, elles s'épanouissent dans la couche profonde de l'écorce cérébrale, et s'entre-croi
supérieur, et entoure la paroi externe de la. corne frontale d'une couche de fibres continues. Mais tandis que le faisceau
érieur et que le genou sont formés de fibres presque parallèles, la couche de fibres calleuses qui entoure la paroi externe
res sectionnées perpendiculairement à leur axe et disposées en deux couches , une couche interne claire et une couche extern
es perpendiculairement à leur axe et disposées en deux couches, une couche interne claire et une couche externe beaucoup p
ur axe et disposées en deux couches, une couche interne claire et une couche externe beaucoup plus foncée et groupée en gros
che externe beaucoup plus foncée et groupée en gros fascicules. Ces couches se dédoublent au niveau de la partie supéro-ext
ues-unes d'entre elles dans cette circonvolution. En dehors de la couche des fibres de la couronne rayonnante, on trouve l
dans le système des fibres calleuses, après avoir traversé les deux couches de la couronne rayonnante, soit dans la couronne
cidum. Ces fibres se portent en dehors, se confondent avec la mince couche de fibres tangentielles qui tapissent le collicul
putamen (NL : 1) repose sur la capsule externe (Ce) et sur la mince couche de fibres propres qui doublent le seuil de l'in
les fibres radiées sont clairsemées et les fibres tangentielles des couches profondes de l'écorce prédominent . En dedans
séparé du putamen (NL.,) par la capsule externe (Ce), formée d'une couche assez épaisse de libres sectionnées parallèlement
rieur de la capsule interne et s'épuisent pour la plu- part dans la couche optique, la région sous-optÙ/1/1 ? (corps de LI/Y
du noyau lenticulaire (NL3, Nul=, NL,) l'extrémité antérieure de la couche optique (Th), l'anse du noyau len- ticulaire (A
erforé antérieur, se trouve la section du pédoncule inférieur de la couche optique (PiTh), formé de fibres parallèles qui se
culaire. Suivi sur des coupes sériées, le pédoncule inférieur de la couche optique se porte en dedans, au-dessous de l'ext
ique se porte en dedans, au-dessous de l'extrémité antérieure de la couche optique qu'il borde au niveau de sa face intern
t très réduite, elle recouvre en effet l'extrémité antérieure de la couche optique, repré- sentée seulement ici par le stm
ies : la partie interne et supérieure forme le stmtllm zonale de la couche optique (strz); la partie moyenne forme un fais
du II 'if JOlie (Tga) et qui constitue le pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Le faisceau 1,x;[I'I'I/(', ondu
nduleux, beaucoup moins volumineux que le pédoncule antérieur de la couche optique, est englobé dans le bord supérieur du se
.grise SI1tls ? pendYlllllire, la corne sphénoïdale est entourée des couches sagittales du lobe temporo-occipilal, constitué
sagittales du lobe temporo-occipilal, constituées en dedans par la couche de fibres peu colorées liai' l'léuuatoyline des
. tec, Uenia tecta. Tga, pilier antérieur du trigone. Th, thalamus ( couche optique;. U, circonvolution du cruche). VI, ven
EUX. et du faisceau uncinalus (Fu) par le pédoncule inférieur de la couche optique (PiTh), dont les fibres peuvent être su
térieure du pied du pédoncule cérébral (P), la partie moyenne de la couche optique (Th) et intéresse la partie anté- rieur
ne masse unique limi- tée en avant par le pédoncule inférieur de la couche optique (voy. coupe n° V, fig. 283) et en arriè
t, la queue du noyau caudé (NC') est séparée du putamen (NLa) par une couche de fibres sectionnées parallèlement, fibres qui
poral. Sur celle coupe les radiations thalamiques (RTh) forment une couche mal dé- limitée, située le long de la paroi ext
est séparée par les rares fibres du tapetum (Tap). En dehors, cette couche est limitée par un faisceau de fibres foncées, di
dent le corps de Luys (CL). L'intérêt de cette coupe réside dans la couche optique, la région sous-optique et le segment p
n sous-optique et le segment postérieur de la capsule interne. La couche optique (Th) représente sur cette coupe un noyau
r Yépendymé ventriculaire et correspond au noyau externe (Ne) de la couche optique. Une couche épaisse de fibres qui cons-
laire et correspond au noyau externe (Ne) de la couche optique. Une couche épaisse de fibres qui cons- tituent le stratum
me lenlicztlo-caztdé. La partie interne de la face supérieure de la couche optique, comprise entre le sillon choroïdien et l
thalami, appar- tient il la surface e,L'ii'OE-ventl'iculail'e de la couche optique; elle correspond au noyau, antérieur du
mpris dans un dédoublement du stratum zonale. La face interne de la couche optique répond à son noyau interne (Ni) et limi
n trouve une mince lame de substance grise, la zone réticulée de la couche optique ou zone grillagée d'Arnold ('l,r), riche
s angles plus ou moins obliques. Elle est limitée en dedans par une couche de fibres fines, il direction verticale, la lame
terne du thalamus (Lme), qui la sépare du noyau externe. (Ne) de la couche optique. La face inférieure de la couche, optiq
noyau externe. (Ne) de la couche optique. La face inférieure de la couche , optique est mal délimitée et repose sur la régio
ette coupe par le champ de Forci (F) et le corps de Luys (CL). La couche optique est formée de trois noyaux, présentant un
antéro-postérieure. Ce sont les fibres du pédoncule antérieur de la couche optique qui, abordant la couche optique a son ext
fibres du pédoncule antérieur de la couche optique qui, abordant la couche optique a son extrémité antérieure, s'irradient
coloré, qui longe d'avant en arrière le bord corres- pondant de la couche optique ; c'est le (oenia thalami (tth) qui se re
imite entre la face interne et la surface exlra-venlriculaire de la couche optique. A la limite inférieure du noyau interne,
et deuxième sillons temporaux. Tap, tapetum tec, tæuia tecta. - Th, couche optique (thalamus). - Ilh, hcnia thalami. - U,
eau de Vicq d'Azyr (VA) qui relie le tubercule antérieur (Na) de la couche optique au tubercule mamillaire. Du champ de Fo
(Zr), soit le stratum zonale (strz), soit les fibres radiées de la couche optique. Les fibres du stratum zonale décrivent
s abordent des régions plus inférieures du noyau externe (Ne) de la couche optique. A côté de ces fibres qui constituent l
ous-thalamique de la capsule, où les dernières fibres radiées de la couche , optique affectent une direction paral- lèle au
le ventricule sphénoïdal (Vsph), entre la bandelette optique et la couche des fibres du tapetum (Tap). Le noyau lenticula
tro-lenticulaire de la capsule interne. Le noyau externe (Ne) de la couche optique (Th) est toujours caractéristique par l
ous sommes en effet ici assez éloignés du pédoncule antérieur de la couche optique. Le. [¡uuin thalami (tth) est très accu
les lames médullaires du thalamus, soit dans le noyau externe de la couche optique Ne). En dehors, le noyau rouge est ento
A la paroi externe de la corne sphénoïdale (Vsph), au-dessous de la couche du tapetum (Tap), on reconnaît la couche faible
e (Vsph), au-dessous de la couche du tapetum (Tap), on reconnaît la couche faiblement colorée des- radiations optiques de
aiblement colorée des- radiations optiques de Graliolel (RTh) et la couche de fibres plus épaisses du faisceau lonuiludi1l1l
épaisses du faisceau lonuiludi1l1lIinfi'- rieur (Fli). De ces deux couches partent un certain nombre de fibres fortement c
es coupes I, II, III, IV, V. Elle intéresse la partie moyenne de la couche optique (Th), le noyau ronge (NR), et le pédonc
.· ? (Plch) du ventricule latéral, qui s'insèrent d'autre part sur la couche optique (Th)au voisinage du sillon choroïdien.
ule, ainsi que de l'étendue de la surface extra-venlriculaire de la couche optique, comprise entre le sillon choroïdien et l
dedans, l'abordent dans la région lhalamique. Les deux noyaux de la couche optique, le noyau externe (Ne) et le noyau in-
plus accusée. Au niveau de la surface 1',rtm-velltl'iculaÎl'e de la couche optique, on retrouve encore le noyau antérieur
(Na), compris dans un dédoublement du stratum zonale (strz)'. La couche optique (Th) repose sur la région sous-optique, e
diations de la calotte (HC), qui pénètrent en grande partie dans la couche optique dans un plan situé un peu en arrière de
u pied de la couronne rayonnante (pCR) qui se rendent, soit dans la couche optique (Th) dont elles for- ment les fibres ra
de la corne sphénoïdale, où elles se présentent sous la forme d'une couche de fibres forte- ment colorées, formée de fibre
n dedans du faisceau de 7'ürcl, : (FT) et qui se continuent avec la couche des radiations thalamiques (RTh) du lobe occipilo
e de la capsule interne et se rendent il la partie inférieure de la couche optique. Les fibres du faisceau de 7'M/'c/- (FT
ieures (FPoa). Dans la corne sphénoïdale on trouve, en dedans de la couche formée par les radiations thalamiques (RTh), un
iveau des parois inféro-externe de la corne sphénoïdale il existe une couche de libres foncées, nettement sectionnées en tra
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;¡,)l iriculaire par une mince couche de fibres peu colorées par l'hématoxyline et qui
ticulaire de la capsule interne (Cirl), la partie postérieure de la couche optique (Th), la coiii- missure postérieure (co
te (NC) et de la queue (NC) du noyau caudé, puis pénètrent dans la couche optique (Th) dont elles forment les fibres radi
llé exter»e (Cge), puis s'irradient dans la partie inférieure de la couche optique et dans le corps genouillé interne (Cgi
tain nombre de fibres qui se dirigent de dehors en dedans, du il la couche optique dans laquelle elles s'irradient pour form
C', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne de la couche optique. NU, troisième segment du noyau lenticu-
a lgl), I)ilier POSL('-i-iciir dit ti-igoiie. - 7'lui, tlitiliiiiiis ( couche oliti(luie). - ventricule tecta. - l'gpt, pilie
ricule tecta. - l'gpt, pilier postérieur du triâonc. - T/a, thalamus ( couche optique). VI, ventricule latéral. - Vsph, corne
rne (Cge) et la partie recourbée de la queue du noyau caudé (NC, La couche optique (Th), considérablement diminuée de volume
et s'entre- croisent avec les fibres du pédoncule postérieur de la couche , optique (PpTh). Toutes les fibres du corps gen
corps genouillé interne (Cgi), situé il la partie inférieure de la couche optique et qui envoie de nombreuses libres dans
itent nettement la substance grise de l'aqueduc et forment dans les couches plus inférieures de la région de la calotte la
ent dans les couches plus inférieures de la région de la calotte la couche blanche profonde du tubercule qiiudrijumeau antér
eau, forme la fasciola cinerea (Fc), puisse continue avec une mince couche grise qui tapisse la face inférieure du bourrelet
on trouve, au-dessous de la substance grise sous-ohendyzuaine; une couche de fibres sectionnées parallèlement à leur axe,
érieur, on trouve, le long de toute la hauteur de ce carrefour, une couche de fines fibres peu colorées par l'hématoxyline
forme l'ergot de Morand. La corne occipitale est entourée par trois couches con- centriques de fibres; ces couches, très ép
itale est entourée par trois couches con- centriques de fibres; ces couches , très épaisses au niveau de la paroi externe et
épendyme et de la subs- tance grise sous-épendymaire, on trouve la couche des fibres du tapetum (Tap) incisure. Sage, sub
Le tapetum et le forceps major entourent la corne occipitale d'une couche continue, très analogue à celle que forment autou
et du faisceau oceipito ? f1'ontal (Voy. fig. 279 et 280). De cette couche se détachent des fibres qui traversent les deux c
280). De cette couche se détachent des fibres qui traversent les deux couches sagittales de la corne occipitale, pour se rend
le latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5; ! 9 Autour de la couche du tapetum se trouve une couche de fibres pâles,
UES DU CERVEAU. 5; ! 9 Autour de la couche du tapetum se trouve une couche de fibres pâles, très fines, quiappartiennentau
eau de la paroi externe et inférieure de la corne ocicpitule, cette couche est très mince au niveau du fond des scissures
s scissures pariéto-occipitale (po) et calcarine (K). Tandis que la couche du tapetum est formée de fibres il direction vert
ment rétro-lenticulaire de la capsule interne et se rendent dans la couche optique (pulvinar) et dans le corps genouillé e
lles forment la couronne rayonnante. En dehors des radiations de la couche optique (RTh), se trouve une couche de libres é
En dehors des radiations de la couche optique (RTh), se trouve une couche de libres épaisses, fortement colorées par l'hé
de libres épaisses, fortement colorées par l'hématoxyline, c'est la couche des fibres longues d'association ou du faisceau
n ou du faisceau longitudinal inférieur (Fli). De même que les deux couches précédentes, cette couche entoure d'un anneau com
al inférieur (Fli). De même que les deux couches précédentes, cette couche entoure d'un anneau complet la corne occipitale
niveau de la partie inférieure et de l'angle inféro-externe, celte couche se réduit au niveau de la partie supérieure et in
le, la largeur de deux ou trois fascicules de fibres. Comme pour la couche des radiations thalamiques (RTh), il s'agit ici e
la zone visuelle au centre auditif des mots. En dehors de ces trois couches de fibres qui constituent les couches s'agit- t
mots. En dehors de ces trois couches de fibres qui constituent les couches s'agit- tales du lobe occipital, on trouve les
uoique la scissure calcarine (K) ne soit revêtue que d'une très mince couche de libres blanches, cette couche de fibres en U
soit revêtue que d'une très mince couche de libres blanches, cette couche de fibres en U existe cependant à ce niveau, où
scissure calcarine jusqu'au 'ventricule occipital, on compte quatre couches de fibres : 1° le stratum calcarinum; 2° le faisc
tum calcarinum; 2° le faisceau longitudinal inférieur ; 3° la mince couche des radiations thalamiques, et 4.° les fibres d
i encore une forme triangulaire et se trouve entourée par ses trois couches concentriques. Le forceps major a disparu. Les
res du tapetum (Tap) sont très réduites, mais forment néanmoins une couche complète autour du ventricule. Comme sur la coupe
ectionnées parallèlement ou obliquement à leur axe. En dehors de la couche du tapetum (Tap), se trouve la couche des radia
t à leur axe. En dehors de la couche du tapetum (Tap), se trouve la couche des radiations thalamiques ([luth) , plus épaisse
la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc) d'une très épaisse couche de libres, forte- menl colorées et nettement dé
, forte- menl colorées et nettement délimitées. Au-dessous de cette couche , on trouve un court faisceau d'association de l
les coupes passant en arrière de la corne occipitale (Voc), les trois couches de fibres disparaissent graduellement. Ce sont
nt. Ce sont d'abord les fibres du tapetum (Tap), qui ne forment une couche distincte qu'au voisinage immédiat de la corne,
e et postérieure de la corne d'Ammon (CA), le tiers supérieur de la couche optique (Th), le putamen (NL3) et le segment ex
bus pallidus (NL2).. Cette coupe est surtout destinée à l'étude des couches sagittales du lobe occipital. Sur la face int
xlerne de lzcillarzier, qui établit une limite très nette entre les couches profondes de l'écorce riches en fibres radiées,
les couches profondes de l'écorce riches en fibres radiées, et les couches superficielles qui en sont dépourvues et qui prés
ance blan- che du lobe lemporo-oecipilal ne présente, en dehors des couches sagittales, aucun faisceau nettement distinct.
onvolution limbique (L,) au voi- sinage du tænia tecta (tec). Les couches sagittales du lobe occipital se voient sur celle
isseur même du cunéus. Très nettes le long de la paroi externe, ces couches se réduisent sur la paroi interne au niveau de
e, grâce à la coloration spéciale et à la direction des fibres. Ces couches sagittales sont séparées de l'écorce de la sCzS
les sont séparées de l'écorce de la sCzSsU7'e calcarine (K) par une couche relativement épaisse de libres propres, le stra
e coupe horizontale sous l'aspect d'un fin pointillé de libres. Les couches sagittales du lobe temporo-occipital comprennen
l'ergot de on trouve en dehors du stratum calcarinum (fk) une mince couche de libres à direc- tion horizontale, fortement
r, on trouve le long de la paroi externe de la corne occipitale une couche caracté- risée par la finesse et la faible colo
ur. Au niveau de la pointe occipitale (0,) on les voit traverser la couche des fibres du faisceau longitudinal inférieur (Fl
(NL ? I il la queue du noyau caudé (NC'), puis s'irradient dans la couche optique (Th) dont elles concou- rent à former l
e (Th) dont elles concou- rent à former les fibres radiées. Cette couche des radiations représente le système de projectio
réfléchit, au niveau de l'ergot de Morand et le tapisse d'une mince couche de fibres peu colorées, comprise entre le faiscea
rées, comprise entre le faisceau longitudinal inférieur et la mince couche des fibres calleuses. Les radiations thalamique
reux faisceaux ondulés et fortement colorés qui s'irradient dans la couche optique. L'origine de ces faisceaux n'est pas élu
des fibres de projection /r'II1POI'O- //itM/«e ? qui traversent les couches sagittales avant d'aborder le segment rétro- le
'aborder le segment rétro- lenticulaire de la capsule interne et la couche optique ? Appartiennent-ils, comme l'admettent
ngitudinal inférieur dont quel- ques fibres s'irradieraient dans la couche optique ? L'étude systématique de dégé- néresce
onro. n : jo, sillon marginal postérieur. -.Va, noyau antérieur de la couche optique.. - NC, noyau caudé. - v'C', queue du n
noyau caudé. - v'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. - 1 NL3, deuxième et troisième segment
sec, sinus du corps calleux. Sexv, surface cxtra-veniriculaire de la couche optique. - Sge, substance grise sous-épendymair
ier antérieur du trigone.- Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique (thalamus). tlh, tænia thalami. - V, ruba
Au niveau de la paroi interne du carrefour ventriculaire, la mince couche des fibres de projection (fp) est recouverte pa
e couche des fibres de projection (fp) est recouverte par une mince couche de fibres calleuses (Fc) qui se continue manife
u corps du trigone, située entre la corne d' si m11 ! on (CA) et la couche optique (Th). La fimbria donne insertion aux plex
oe, corne occipitale du ventricule latéral. - W, zone de Wernicke. ;, couche superficielle du tubercule quadrijumeau antérie
rcule quadrijumeau antérieur, allant au corps genouillé externe. - ;, couche moyenne allant au ruban de Reil. 3, couche prof
genouillé externe. - ;, couche moyenne allant au ruban de Reil. 3, couche profonde appartenant au système de la commissure
de projection et les fibres commissurales , non encore disposées en couches constituées. . Le carrefour ventriculaire (Voc)
ubiculum. Au- tour du carrefour ventriculaire on retrouve les trois couches de fibres de la ligure précédente, mais beaucou
subiculum,. où elles sont sectionnées parallèlement il leur axe. La couche des radiations thalamiques (rait) est facile il r
loppées. La substance blanche de cette circonvolution présente deux couches assez nettement différenciées. La couche foncée
convolution présente deux couches assez nettement différenciées. La couche foncée appartient au cingulum et semble se cont
dehors avec le système du faisceau longitudinal inférieur (Fli); la couche des fibre» claires* entoure le diverticule du sub
gments du noyau lenticulaire (NL3' NL2), et la partie moyenne de la couche optique (Th). Cette coupe est destinée à montre
ourent -Il former, puis s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Ces fibres de la couronne rayonna
Ce mode de pénétration des fibres dans l'extrémité antérieure de la couche optique explique pourquoi, sur les coupes verli
sillon sus-orhitaire. - T,, première circonvolution temporale. Th, couche optique. - Tga, pilier antérieur du trigone. tt
its dans cette courbe de la couronne rayonnante (CR), on trouve une couche de fibres claires, puis un faisceau à direction s
e l'espace perforé antérieur (Epa). On voit très nettement la mince couche de fibres tangentielles qui tapissent le gyrus
Entre le putamen (NL3) et la corne sphénoïdale, on trouve : 1° une couche épaisse de fibres enchevêtrées (Cirl), qui appa
temporale (Tj) et qui appartiennent au tapetum (Tap). En dehors des couches Fic. -n8. - Coupe horizontale microscopique F,
est doublée du côté du ventricule par l'alvéus (Alv) formé de deux couches de fibres : l'une épaisse, fortement colorée co
issent considérablement au niveau du subiculum, où elles forment la couche réticulée d'Arnold (Lms). Arrivée au niveau du fo
u fond du sillon de l'hippo- campe (h), elles se dédoublent en deux couches , la lamina involuta de la corne ,l'c11nllwn et
la corne ,l'c11nllwn et le stratum lacunosmn (Sll). Cette dernière couche est particulièrement riche en fibres fortement
e est particulièrement riche en fibres fortement colorées. Ces deux couches de fibres tangentielles appar- tiennent à la co
rées. Ces deux couches de fibres tangentielles appar- tiennent à la couche moléculaire de la corne d'Ammon (CAi et suivent t
sociation courtes; elles doublent le fond de tous les sillons d'une couche de fibres parallèles, d'autant plus régu- lière
frontale (Fa) et pariétale ascendantes (Pa). A la face interne, la couche des courtes fibres d'association qui double les f
s la première circonvolution limbique (L,) et en dehors d'une mince couche de fibres propres à cette circonvolution, un vo
COPIQUES DU CERVEAU. 379 est toujours séparé de l'écorce, par une couche plus ou moins mince de fibres d'association cou
s du pied de la couronne rayonnante, au delà elles se perdent dans la couche des fibres d'associafion..A la partie moyenne d
,znaire (Sge) n'est intéressée qu'à sa partie moyenne. La troisième couche de fibres différenciées sur cette coupe est formé
lum et le pied de la cort- ronne rayonnante, se trouve la troisième couche ou couche moyenne, constituée par les radiation
pied de la cort- ronne rayonnante, se trouve la troisième couche ou couche moyenne, constituée par les radiations du corps
(Ll). Le long du sinus du corps calleux (sec), on trouve une mince couche de fibres sectionnées parallèlement et qui appart
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le tænia tecta (tec) est doublé par une couche de fibres parallèles, il direction antéro-posté
tricule latéral (VI), et il est recouvert à ce niveau par une mince couche épendymaire. Il est constitué, en grande partie,
3, fig. 302) sectionne parallèlement à leur longueur les fibres des couches super- ficielles et perpendiculairement à leur
s super- ficielles et perpendiculairement à leur axe les fibres des couches profondes du corps calleux. La section de ces f
ouble les angles latéraux du ventricule et qui recouvre d'une mince couche le noyau caudé. La face interne du noyau caudé
Ce), par le ventricule latéral (VI) et l'extrémité supérieure de la couche optique (Th.) L'écorce est représentée -IL la
emière circonvolution limbique (L,) et le l[('nia tecta (tec). La couche de fibres non différenciées qui forme le centre o
bres de projection , qui appartiennent déjà, dans celte région, aux couches sagittales du lobe occipito-pariélal. Sur celle
ral (VI), la tète et la queue du noyau caudé sont recouvertes par une couche de substance grise sous-I}¡iend ! Jlnail'e (Sge
-I}¡iend ! Jlnail'e (Sge), particulièrement épaisse en avant. Celte couche s'eflile en dedans pour tapisser toute la face ve
ule interne. Entre la tête et la queue du noyau caudé, on trouve la couche optique (Th) dont les dimensions sont encore ré
dont les dimensions sont encore réduites; elle est recouverte par une couche dé fibres enchevêtrées, à direction onduleuse,
dedans, soit d'avant en arrière et constitue le stratum zonale de la couche optique (ThLa couche optique est limitée en deh
n arrière et constitue le stratum zonale de la couche optique (ThLa couche optique est limitée en dehors par des îlots de
s des autres par de gros fascicules de fibres qui pénètrent dans la couche optique (Th), où ils forment soit le stratum zona
férieures, on les voit s'irradier dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th) (fig. 30.1 il 308). A coté de ces
ulée (Zr), sous forme de gros fascicules qui pénètrent tous dans la couche optique (Th) ; ces fibres appartiennent à la cour
ptique (Th) ; ces fibres appartiennent à la couronne rayonnante de la couche optique. On y trouve, en outre, des fibres pâle
versale, passant par la lame cornée (le). Au sur et à mesure que la couche optique (Th) grossit et que le noyau lenticulai
ue, ainsi qu'on le verra sur les coupes suivantes. En arrière de la couche optique (Th), au niveau de la queue du noyau caud
ie supérieure du noyau lenticulaire (NL3), le noyau antérieur de la couche optique (Na), le corps du trigone (Tg), le septum
et t,enia semi- circularis. - Lma, lame médullaire antérieure de la couche optique. Line, lame médullaire externe de la co
ntérieure de la couche optique. Line, lame médullaire externe de la couche optique. - mp, sillon marginal postérieur. - ms,
us supra-nmrginalis). - Tch, toile choroïdienne. - Tg, trigone. - Th, couche optique (thalamus).W, ventricule latéral. - ven
) et la face ventriculaire du corps calleux sont recouverts par une couche de substance grise sous-épendymaire (Sge), qui do
passage il la toile choroidienne (Tch) (Voy. fig. 21 ? et 286). La couche optique (Th) a augmenté de volume : la coupe inté
j en arrière il s'effile et atteint l'extré- mité postérieure de la couche optique. Il est limité en dedans par une couche
ité postérieure de la couche optique. Il est limité en dedans par une couche de fibres qui forment le stratum zonale (strz),
res qui forment le stratum zonale (strz), en dehors par une seconde couche de fibres il direction oblique et antéro-postérie
econde couche de fibres il direction oblique et antéro-postérieure, couche que nous désignons sous le nom de lame médullai
aré de la zone réticulée (Zr) qui constitue la limite externe de la couche optique, par la lame médullaire externe du thalam
sule interne (Cia) et s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche optique, dont elles forment les fibres radiées.
isceau occipito-li'lil11al (OF). En arrière, elle est séparée de la couche optique par la lame cornée (lc), qui renferme u
onnées une seconde fois, au niveau de l'extrémité postérieure de la couche optique, immédiatement en avant de la queue du
obliquement. La plupart pénètrent dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th), quelques-unes appartiennent aux f
de fibres horizontales, qui pénètrent dans la partie moyenne de la couche optique (Th), et d'autres fibres, horizontales
de la figure 299. Cette coupe passe par la partie postérieure de la couche optique (Th), intéresse le noyau caudé (NC) et
e (T,), on trouve quelques particularités intéressantes à noter. La couche superficielle est claire et ne reçoit que de ra
rares fibres à myéline, colorées par la méthode de Weigert. Dans la couche profonde, on observe, surtout au niveau de la p
antérieure (la), un très bel épanouissement de fibres radiaires. La couche de fibres qui double les circonvolutions de l'ins
, de même que les fibres en U abon- dent au fond des sillons. Cette couche de fibres est limitée en dedans par la substanc
de l'insula. Il s'effile en avant et en arrière et se perd dans la couche des fibres qui doublent le fond du sillon margina
des deux circonvolutions antérieures de l'insula (la). Il sépare la couche des fibres propres de l'insula des fibres de la
s la substance grise de l'avant-mur (AM), pour se confondre avec la couche des fibres propres de l'insula. La capsule extern
et taenia semi-circularis. - Lma, lame médullaire antérieure de la couche optique. Lme, lame médullaire externe de la couch
antérieure de la couche optique. Lme, lame médullaire externe de la couche optique. mp, sillon marginal postérieur. Na, no
ième segment du noyau lenticulaire. PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique. pCR, pied de la couronne rayonnante. P
nnante. Plch, plexus choroïdes. -l'pTla, pédoncule postérieur do la couche optique. RTh, radiations optiques de Gratiolet. -
sillon temporal. Tg V, carrefour ventriculaire. Tg, trigone. - Th, couche optique. VC) ? veine du corps strié. - Zr, zone
de fibres à direc- tion horizontale, étendus du putamen (NL) il la couche optique (Th). Ces fibres sont surtout nombreuse
t qui pénètrent pour la plupart dans l'extrél mité antérieure de la couche optique (Th, et les fibres du segment postérieur
tes la paroi externe du carrefour ventriculaire (TgV), formant deux couches encore mal déli- mitées sur cette coupe, et qui
ndront extrêmement nettes sur les coupes plus inférieures. Ces deux couches sont formées par le faisceau, longitudinal iujh
ostérieures (RTh) et qui n'apparaît nettement distinct que dans ses couches les plus externes. Les fibres les plus internes
Th) contournent la queue du noyau caudé (NC'), et pénètrent dans la couche optique (Th), dont elles forment les fibres rad
Cette coupe intéresse les noyaux externe (Ne) et antérieur (Na) de la couche optique (Th). Cette dernière est limitée en deh
(Zr), morcelée par un grand nombre de fibres qui pénètrent dans la couche optique, au niveau de ses extrémités antérieure e
aisceaux de fibres, non seulement horizontales et pénétrant dans la couche optique, mais de faisceaux il direction verticale
t aucune fibre radiai re ne paraît pénétrer dans cette région de la couche optique. Il serait cependant inexact de dire, q
comme au niveau des extrémités antérieures et posté- rieures de la couche optique. En avant, la lame médullaire n,.xUnrue
édullaire n,.xUnrue(Lme)se prolonge sur la face ventriculaire de la couche optique et concourt à former le slratum zonale (s
ince lame de libres blanches, qui recouvre la face supérieure de la couche optique, et qui contribue à lui donner à l'état f
alum zonale (strz) un petit noyau arrondi, le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce noyau qui fait saillie sur le
ionnés per- pendiculairement ; il forme la plus grande partie de la couche optique et reçoit, en avant et en arrière, les
adiaires des pédoncules antérieur (PaTh) et postérieur (PpTh) de la couche optique. Dans le sillon opto-strié (si), qui sé
de la couche optique. Dans le sillon opto-strié (si), qui sépare la couche optique de la tête (NC) et de la queue (NC) du
strié et s'arrête en avant au niveau du stratum zonale (strz) de la couche optique. Dans le carrefour vent riculaire (TgV),
la lame cornée (le), puis se réfléchit sur le stratum zonale de la couche optique, pour donner insertion aux plexus choroïd
egments du noyau len- ticulaire (NL2, NL), le noyau antérieur de la couche optique (Na) et le pé- doncule antérieur de la
t à leur axe, et pénètrent toutes dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th); elles en forment le pédoncule antér
externe, puis divergent et embrassent le noyau antérieur (Na) de la couche optique; les plus internes se confondent avec l
avant du genou est formée de libres horizontales et appartient a la couche optique; toute la partie (Cip) étendue du genou
u genou au segment rétro-lenticulaire de la capsule appartient à la couche optique, à la région sous-optique et au pied du
ulaire (Cirl) appartient de nouveau et presque exclusi- vement à la couche optique. Le segment postérieur de la capsule (C
s s'étendent du deuxième segment du noyau len- ticulaire (NL,) à la couche optique (Th); peu nombreuses dans le tiers antéri
rne du noyau lenticulaire (mi). Ces fibres se dirigent toutes vers la couche optique (Th), elles traversent la zone réticulé
, sillon marginal postérieur de l'insula. Na, noyau antérieur de la couche optique. JVC, tête du noyau caudé. NC', queue d
du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la couche optique
dé. Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la couche optique. Aïs, deuxième segment du noyau lenticula
sième segment du noyau lenticulaire (putamen). Nm, noyau médian de la couche optique (centre médian de Luys). PaTh, pédoncul
he optique (centre médian de Luys). PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique. pCR, pied de la couronne rayonnante. P
si. sillon opto-strié. SI, septum lucidum. strz, stratum zonale. Th, couche optique. ï't, première circonvolution temporale
a lame cornée (le), puis pénètrent dans la partie postérieure de la couche optique, dans toute la région qui appartient au
ticulaire de la capsule (Cirl). Cette paroi est constituée par quatre couches de fibres qui sont de dedans en dehors : les fi
coupe comme sur toutes celles qui vont suivre, sous la forme d'une couche étroite, limitée en avant par la queue du noyau
forme de gros fascicules, et pénètrent dans le pulvinar (Pul) de la couche optique dont elles constituent les fibres radiair
tra- versé la zone réticulée (Zr), elles s'entre-croisent avec une couche épaisse de libres il direction verticale, et fo
la lame médullaire externe (Lme) des régions post(ro-externes de la couche optique, en bas il s'élargit, s'épaissit consid
tions posté- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 5fl9 rieures de la couche optique (RTh) et dans la région sous-thallimique
ations thala- ? niques (RTh); elles constituent avec ces dernières la couche sagittale du lobe oecipito-tempoml (voy. fig. 2
ns plus ou moins rapprochées. Sur cette coupe n° 7 (fig. 306), la couche optique (Th) a considérablement augmenté de vol
ratum zonale (strz) qui recouvre sa face libre ne lui forme pas une couche continue, et les libres qui le constituent n'appa
ul et même système; le slratum zonale de la face postérieure de la, couche optique est formé, comme sur la coupe précédente
eures (RTh); les fibres qui recouvrent l'extrémité antérieure de la couche optique constituent un faisceau volumineux, épa
(frein ou pédoncule antérieur de la glande pinéale). En dehors, la couche optique est limitée par la zone réticulée (Zr) qu
a forme d'un pointillé ; au niveau de l'extrémité postérieure de la couche optique, c'est-il-dire au niveau de la zone de
t le noyau externe du thalamus (Ne). Le pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh), qui entre dans la constitu- tio
es radiaires de l'extrémité antérieure du thalamus, pénètre dans la couche optique sous forme d'un pinceau, dont les fibres
et est croisé parles fibres radiaires du pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Le noyau antérieur (Na), a cons
çoit cependant quelques fibres radiaires du pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). En arrière, ce noyau se continu
difications principales portent sur le noyau lenticulaire et sur la couche optique. Le pulamen (NL.,) a peu changé comme for
ions optiques de Gratiolet. Sexv, surface extra-vontriculàire de la couche optique. si, sillon opto-strié. - strz, stratum-z
ur du trigone. Tgp(Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). Th, couche optique (thalamus). TItI, trou de Monro. tlh, tae
antérieur (Cia) s'irradient toutes dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th) dont elles constituent le pédoncul
e segment du noyau lenticulaire (N1) à l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Les fibres du genou s'infléchissent
échissent donc en avant, et s'accolent au pédoncule antérieur de la couche , optique ou seg- ment antérieur de la capsule i
ls (Alv) ou en d'autres termes, entre la queue du noyau caudé et la couche de substance blanche appar- tenant au pilier po
onde de la circonvolution de la corne d'Ammon (CA), et constitue la couche de substance blanche qui recouvre la face ventr
.e (Alv) et la corne d'Ammon (CA); sa paroi externe présente quatre couches très nettes de fibres qui sont de dedans en dehor
s fibres propres du fond du sillon parallèle (t,), formées dans les couches profondes par des fibres entre-croisées dans fous
ondes par des fibres entre-croisées dans fous les sens, et dans les couches superficielles par des fibres parallèles qui embr
brassent le fond du sillon. ' 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche optique (Th). Le noyau antérieur de la couche opt
DES CENTRES NERVEUX. Couche optique (Th). Le noyau antérieur de la couche optique a disparu, et l'extrémité antérieure de
fibres radiaires, qui lui viennent du 1)(.,doîicule antérieur de la couche optique ou segment antérieur de la capsule, int
équent une forme sphérique. Il occupe les parties inférieures de la couche optique (Th) et se trouve situé immédiatement au-
de volume. 11 représente sur cette coupe à peu près le tiers de la couche optique, il est séparé du centre médian de Luys
ontre un petit ganglion surajouté, saillant à la face interne de la couche optique, le ganglion de l'lw/ilillllla (Gh). Ce
s intl'a et c.rtm- ventriculaire du thalamus. Toute la partie de la couche optique située en avant de ce ganglion fait par
(fig. 308), passe en effet par le trou de J/01/l'o. La partie de la couche optique située en arrière du ganglion de l'habé
ion de l'habénula appartient à la surface extra-ventriculaire de la couche optique, elle est recouverte par la toile choroïd
08 passant par la ligne 9 de la fig. 299). Cette coupe intéresse la couche optique à la limite de la région sous- thalamiq
psule (Ci[g]), et qui s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Les fibres horizontales de la lame
globus pallidus (NL2, NI,, Le ganglion de l'habénula (Gh) divise la couche optique (Th) en deux par. lies inégales. La par
r. lies inégales. La partie antérieure est tapissée par une épaisse couche de sub- stance grise, la substance grise centra
lier antérieur du trigone. Tgp, pilier pos- térieur du trigone. Th, couche optique. V3, troisième ventricule. - VA, faisceau
; les fibres antérieures appartiennent au pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Les fibres postérieures séparent
n faisceau, qui apparaît ici pour la première fois, et qui relie la couche optique (Th) avec la région de la Cll- lotte. C
oit en avant quelques fibres radiaires du pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh); en arrière, il se confond avec
'Oflexe de Meynert (FM) (fasciculus retroflexus). La partie de la couche optique située en arrière An ganglion de l'habénu
noyau allongé, volumineux, curviligne, profondément enclavé dans la couche optique, et nettement séparé du pulvinar par le b
) par quelques rares fibres; il est limité en avant par une épaisse couche de fibres, dans laquelle s'irradie le bras du t
s du tubercule quadrijumeau antérieur (Br Qa), et en dehors par une couche beaucoup plus épaisse et qui appartient au champ
Sur cette coupe n" 9 (fig. 308) nous voyons donc apparaître dans la couche optique trois nouveaux systèmes de fibres à sav
du ruban de. lleil (rgRm), qui apparaît à la face inférieure de la couche optique, entre le corps genouillé interne (Cgi)
r des fibres sectionnées horizontalement, qui s'ir- radient dans la couche optique. A sa partie externe, il présente, au niv
l direction horizontale, reliant le globus pallidus (NL2,NL¡) il la couche optique. Notons cependant déjà ici une richesse
la continuation dans Vêlage inférieur du pédoncule, des fibres des couches sagittales du lobe occipital (radiations optiques
érieur de la cap- sule interne aborder l'extrémité antérieure de la couche optique (Th); sur les coupes suivantes, la couc
antérieure de la couche optique (Th); sur les coupes suivantes, la couche optique a disparu, et le segment antérieur de la
duit, au sur et à mesure que le corps genouillé externe grandit. La couche optique (Th) n'est représentée ici que par sa par
tie antérieure dans laquelle s'irradie le pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). En ar- rière, elle est réduite
antéro-postérieur, est séparé en avant du pédoncule antérieur de la couche optique (Path) par le faisceau de Vicq d'Azyr (
rijumeau antérieur (Qa) a augmenté de volume ; il est recouvert d'une couche de substance grise superficielle; dans sa parti
es lames médullaires, lme', lmi'. PaTh, pédoncule anté- rieur de la couche optique. pCR, pied de la couronne rayonnante. PiT
CR, pied de la couronne rayonnante. PiTh. pédoncule inférieur de la couche optique. Plch, plexus choroïdes. Pul, pulvinar. Q
antérieure (coa) et qui appartiennent au pédoncule antérieur de la couche optique. Ce système de fibres qui sépare, fort
13) (fig. 311, 3)3), mais il a perdu alors toute connexion avec la couche optique, et les fibres qui le constituent ne dé
en haut et en arrière, et attei- gnent l'extrémité antérieure de la couche optique, au niveau de la région sous- thalamiqu
ar, pied de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule inférieur de la couche optique. - l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadri
ngueur, elle passe par la partie moyenne du corps de Luys (CL), les couches supérieures de la capsule du noyau rouge (RC) et
fascicules peu nombreux, appartenant au pédoncule anté- rieur de la couche optique (Cia), l'autre postérieure, comprise entr
(II), est situé ronne rayonnante. PiTIi. pédoncule inférieur de la couche optique. Qa, tubercule qua- drijumeau antérieur
ercule quadrijumeau antérieur (Qa) laisse déjà apercevoir ses trois couches caractéristiques, à savoir : la couche superficie
e déjà apercevoir ses trois couches caractéristiques, à savoir : la couche superficielle grise, qui donne nais- sance aux
stitution du bras du tubercule quadri-- jumeau antérieur (BrQa); la couche moyenne, formée de fines fibres fortement color
ment en bas et en dehors pour entrer dans le ruban de Reil (Rm). La couche profonde est formée de fibres parallèles qui se p
mmissure postérieure (cop) et formeront sur les coupes inférieures la couche blanche profonde du tubercule quadrijumeau anté
e de Gratiolet et en particulier au pédoncule infél'o-interne de la couche optique (PiTh). En avant, la tète -Au noyau caudé
t disparu, le prcocicr·,cn.gncenl (\L,) n'est représenté que par la couche de fibres qui double sa base, et qui forme l'an
ise sous un angle très aigu, avec le pédoncule inféro-inlerne de la couche optique (PiTh); antérieur. Rm, ruban de Reil mé
s laquelle se loge le corps de Lu ys (CL), nettement délimité par une couche de fibres il ses parties interne et externe. En
e splereoïdale (Vsph). Sa face venlriculaire est recouverte par une couche de fibres sectionnées transversalement il leur ax
. Ces fibres, qui appartien- nent au pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh) proviennent du lobe temporal, et
t (Sti), en s'entre-croisant avec le pédoncule inféro-interne de la couche optique (Pith). Elles appartiennent aux couches
inféro-interne de la couche optique (Pith). Elles appartiennent aux couches superficielles de la substance perforée antérieur
La face ventriculaire de la corne d'Ammon (CA) est recouverte d'une couche de libres blanches, l'alvéus (Alv), qui provien
a corne sphénoïdale (Vsph). La paroi externe est tapissée par trois couches concentriques de libres, qui sont en allant de de
ement entrer dans la constitution du pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh). Ces fibres des radiations optiq
du faisceau longitudinal inférieur entrent dans la constitution des couches inférieures de la capsule externe (Ce), traversen
ient. La circonvolution de l'hippocampe (H) est recouverte par une, couche plus ou moins épaisse de fibres blanches, la su
nce la circonvolution du crochet (U), dont elle est séparée par une couche de fibres très lâches, tout à fait comparable à c
unique plus avec le troisième ventricule (V3), il est entouré d'une couche épaisse de substance grise (SgAq). En un mot, s
de la même série. Il résulte de l'obliquité même de la coupe que la couche optique (Th) est moins étendue que sur les coup
ontale du ventricule latéral. Les noyaux in- terne et externe de la couche optique (Ni) (Ne) sont nettement différenciés; on
au externe (Ne) avec le pulvinar (Pul). Toute la partie externe de la couche optique (Th) est sillonnée par des fibres radia
s (\Ti). Celui-ci reçoit, en avant, Ie/)0)ic'M<c antérieur de la couche optique (PaTh), qui ne se différencie guère au ni
alami (tth), appartient il la surface v.rlra-ucrriricu- faire de la couche optique (Sexv), recouverte au niveau du pulvinar
nvolution temporale. Tga pilier antérieur du trigone. Th, thalamus ( couche optique). Ilh, twnia thalami. ! '3, troisième ven
634 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. A l'extrémité antérieure de la couche nhlic/tte (Tlr), entre le pédoncule antérieur (
C) du noyau lenticulaire (NL : pNL2-2,NL¡) et qui pénètrent dans la couche optique dont elles constituent le pédoncule rttrl
re circonvolution temporale. Tga, pilier antérieur du trigone. Tlt, couche optique (thalamus). llh, trenia thalami. Pa, troi
rares fibres horizontales appartenant au pédoncule antérieure de la couche optique (PaTh), et qui sillonnent l'extrémité ant
grise situé entre les parties extra et intm-vent1'iculaÍl'es de la couche optique. A sa partie postéro-interne se trouve
ricule (V3) se trouve la section du pédoncule inféro-interne de, la couche optique (PiTh) et Au pilier anté- rieur du tr°i
yau lenticulaire (NL2), assez en dehors duo·doncule antérieur de la couche optique (PaTh). Coupe n° 3 x (fib. 318), passan
strz, stratum zonale. Tga, pilier antérieur du trigone. Th, thalamus ( couche optique). VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - i'3, t
se de ce faisceau est traversée par le pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh), qui croise également le faiscea
le corps de Luys (CL); d'autres, traversant ce dernier, forment une couche de libres il sa partie postérieure, et se rende
se rendent par la zona incerta (Zi) il l'extrémité antérieure de la couche optique (Th) dans un champ irrégulier de fibres,
mp de, Forel, nous trouvons le pr·donccclcit7 fi·ro-iztter·nc de la couche optique (PiTh) et le faisceau de Vicq d'Azyr (V
hert. strz, stratum zonale. Tga, pilier antérieur du tri- gone. Th, couche optique. Tznl, tubercule mamillaire latéral. VA,
ns le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), apparaissent les trois couches de fibres caractéristiques de ce noyau, les sup
ant. La substance perforée antérieure (Spa) est intéressée dans ses couches les plus superficielles. Elle est formée de deu
interne (Cgi), profondément enclavé dans la partie inférieure de la couche optique (Th). Les fibres du bras du tubercule q
ite en arrière les fibres qui forment la capsule du noyau rouge. La couche des fibres moyennes du tubercule quadrijumeau a
il (Rm). Elle est formée de fibres obliques en avant et en dehors. La couche superficielle est formée de fibres parallèles à
le quadrijumeau antérieur (BrQa), et sépare, en s'enfonçant dans la couche optique (Th), le corps genouillé interne (Cgi) du
halamiques postérieures (RTh), abordent la partie postérieure de la couche optique (Th); elles sont croisées en outre par
PIQUES DU CERVEAU. 647 el passent par les régions antérieures des couches sagittales du carre four vent ri- culaire. Para
e. - T,, première circonvolution temporale. Te, tuber cinereum. Th, couche optique (thalamus). Tm, tubercule mamillaire. 1
s noyau gris situé très près de la ligne médiane, entouré d'une mince couche de fibres blanches, et logé dans la substance g
rébral. l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. 1, , 3, couches super- ficielle, moyenne et profonde du tubercu
latéral. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur ,, 3, 3, couches superficielle, moyenne et profonde du tubercule
iolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Th, thalamus, couche optique. Tol, tubercule ou trigone olfactif. U, c
s fibres radiculaires de la troisième paire (III). Les fibres de la couche profonde du tubercule quadri- jumeau antérieur
llaire. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur ,, 3,3, couches superficielle, moyenne et profonde du tubercule
iasma des nerfs optiques (xll) et le trigone olfactif (Toi) avec sa couche de fibres nerveuses. Au niveau de sa partie pos
e coupes la com- préhension de la partie extra-vent riculaire de la couche optique. 6 : i0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
e masse oblongue, très réduite de volume, entourée d'une très mince couche de fibres nerveuses. Le corps genouillé externe
(Qa) et certains éléments du tubercule quadrijumeau postérieur. La couche de fibres profondes (3) et la couche de libres
le quadrijumeau postérieur. La couche de fibres profondes (3) et la couche de libres moyennes (2) du tubercule quadrijumeau
augmenté d'étendue, el ses fibres entrent en connexion soit avec la couche profonde, soit avec la couche moyenne. La couch
res entrent en connexion soit avec la couche profonde, soit avec la couche moyenne. La couche des libres profondes se porte
exion soit avec la couche profonde, soit avec la couche moyenne. La couche des libres profondes se porte en avant, et décrit
te de la 5° paire (Vc) (voy. coupes suivantes, fig. 327 et 328), la couche profonde du tuber- cule quadrijumeau mztr,·'oin
opposé au niveau de la partie antérieure du raphé. Les fibres de la couche moyenne ('2) du tubercule quadrijumeau antérieu
(lim), auquel elles apportent un contingent assez important. Quant la couche superficielle, elle a presque disparu et n'est
très net sur cette coupe. En avant de ce noyau, et embrassé par la couche profonde des fibres du tubercule quadrijumeau a
nstitués, en effet, par de la substance grise diffuse, et par trois couches de fibres superposées : une couche superficielle,
nce grise diffuse, et par trois couches de fibres superposées : une couche superficielle, une couche moyenne et une couche
trois couches de fibres superposées : une couche superficielle, une couche moyenne et une couche profonde. Dans les tuberc
s superposées : une couche superficielle, une couche moyenne et une couche profonde. Dans les tubercules quadrijumeaux posté
ais représentent des fibres ascendantes de la protubérance, que les couches de fibres protubérantielles plus profondes ont
e occipital, l'écorce cérébrale apparaît formée seulement par trois couches , l'externe et l'interne de coloration grise, la
ES CENTRES NERVEUX. Huhan de Vicq on de (;en- nari. Les trois couches ,le Iüillikcr. Les cinq couches de Meynert.
on de (;en- nari. Les trois couches ,le Iüillikcr. Les cinq couches de Meynert.. miter et à suivre sur tous les c
rtout la même. Kollikcr divisait en z ? l'écorce cérébrale en trois couches : une couche externe blanche, transparente, ext
Kollikcr divisait en z ? l'écorce cérébrale en trois couches : une couche externe blanche, transparente, extrêmement minc
xtrêmement mince, située à la surface des circonvolutions, c'est la couche blanche corticale de Remak; une couche moyenne,
es circonvolutions, c'est la couche blanche corticale de Remak; une couche moyenne, grise, et une couche interne grise éga
ouche blanche corticale de Remak; une couche moyenne, grise, et une couche interne grise également, mais présentant une co
ais présentant une coloration rouge jaunâtre (fig. 330). Ces deux couches grises, assez épaisses, sont séparées l'une de l'
nce et mal délimitée en général, la strie externe de Baillarger, ou couche blanche intermédiaire externe de Remak, qui con
e correspond au ruban de Vicq d'Azyr, la strie interne subdivise la couche grise interne et constitue la strie interne de
couche grise interne et constitue la strie interne de Baillarger ou couche blanche intermédiaire interne de Remak (lig. 33
corce au point de vue de l'agencement des cellules, y décrivit cinq couches régulièrement stratifiées dans lesquelles les cel
quelles les cellules varient en forme et en nombre; ce sont : 1" La couche granuleuse ou molé- culaire; 2° la couche des p
n nombre; ce sont : 1" La couche granuleuse ou molé- culaire; 2° la couche des petites cellules pyramidales; 3° la couche de
molé- culaire; 2° la couche des petites cellules pyramidales; 3° la couche des grandes cellules pyramidales; 4° la couche
s pyramidales; 3° la couche des grandes cellules pyramidales; 4° la couche des petites cellules irrégulières; : 50 la couche
pyramidales; 4° la couche des petites cellules irrégulières; : 50 la couche des cellules fusiformes (fig. 329 et 330). La 3
es; : 50 la couche des cellules fusiformes (fig. 329 et 330). La 3° couche ou couche des grandes cellules pyramidales est pa
a couche des cellules fusiformes (fig. 329 et 330). La 3° couche ou couche des grandes cellules pyramidales est parcourue
dans le lobe occipital une grande épaisseur et y forme une véritable couche , la troisième couche de lleynert; cet auteur su
une grande épaisseur et y forme une véritable couche, la troisième couche de lleynert; cet auteur subdivisa en outre, dans
e lleynert; cet auteur subdivisa en outre, dans cette région, la 2° couche ou couche des petites cellules pyramidales en deu
; cet auteur subdivisa en outre, dans cette région, la 2° couche ou couche des petites cellules pyramidales en deux coudes
titué, dans le lobe occipital, le type longtemps classique des huit couches de Meynert (fig. 345). Cette division de l'écor
. 345). Cette division de l'écorce cérébrale en un nombre limité de couches présente évidemment quelque chose d'arbitraire;
s présente évidemment quelque chose d'arbitraire; car, sauf pour la couche granuleuse ou moléculaire dont les limites sont
use ou moléculaire dont les limites sont assez précises, les autres couches de l'écorce se continuent entre elles par des tra
urs n'ont-ils pas admis le schéma si longtemps clas- sique des cinq couches de Meynert. Stieda, llenle, Boll, Schwalbe décriv
couches de Meynert. Stieda, llenle, Boll, Schwalbe décrivent quatre couches , Krause sept, et Golgi, ne trouvant pas que l'on
, et Golgi, ne trouvant pas que l'on puisse admettre l'existence de couches nettement tranchées, divise l'écorce en trois p
CÉRÉBRALE. 665 . -- Ramon y Cajal, considérant que la 4° et la. 5° couche de Mevnert n'en font en réalité qu'une seule, d
gion psycho-motrice de l'écorce du cerveau des mammifères, quatre couches , à savoir : 1° la zone moléculaire;, 2° la zone
cupent toute l'épaisseur de l'écorce céré- brale, forment une mince couche à la surface des circonvolutions, et donnent na
centrique que présente l'écorce cérébrale sur une coupe Lesquatro couches le Ramon y Cajai. ; i Structure de l'é=;
u picro-carmin. Gross.2a0diam. (d'après W. Vignal.) A ,prcmière couche de Meynert ou . couche granuleuse. B, deuxième
a0diam. (d'après W. Vignal.) A ,prcmière couche de Meynert ou . couche granuleuse. B, deuxième couche de Meynert ou co
A ,prcmière couche de Meynert ou . couche granuleuse. B, deuxième couche de Meynert ou couche des, . petites cellules py
Meynert ou . couche granuleuse. B, deuxième couche de Meynert ou couche des, . petites cellules pyramidales. C, trois
ynert ou couche des, . petites cellules pyramidales. C, troisième couche de Meynert ou couche des grandes cellules py-
. petites cellules pyramidales. C, troisième couche de Meynert ou couche des grandes cellules py- ramidales. D, quatrièm
eynert ou couche des grandes cellules py- ramidales. D, quatrième couche de Meynert ou couche des petites .cellules ir
grandes cellules py- ramidales. D, quatrième couche de Meynert ou couche des petites .cellules irrégulières. E, cin- q
nert ou couche des petites .cellules irrégulières. E, cin- quième couche de Meynert ou . couche des cellules fusiformes.
s .cellules irrégulières. E, cin- quième couche de Meynert ou . couche des cellules fusiformes. 6li6 ANATOMIE DES CENT
S NERVEUX. ric. 330. Schéma résumant la concordance des différentes couches de l'écorce céré- brale, depuis Vicq d'Azyr (17
qu'à Ramon y Cajal (1890). La première colonne représente les trois couches de Vicq d'Azyr (1790) et les six couches de Bai
colonne représente les trois couches de Vicq d'Azyr (1790) et les six couches de Baillarger (1840). La deuxième colonne repré
ches de Baillarger (1840). La deuxième colonne représente les trois couches décrites par Iütlliker en 18 : p ? . La troisiè
tlliker en 18 : p ? . La troisième colonne reproduit le type à cinq couches de Meynert (1867) et la quatrième colonne repré
hes de Meynert (1867) et la quatrième colonne représente les quatre couches de Cajal (1890). Les fibres tangentielles, le rub
de Baillarger et la substance blanche sont colorés en rouge : 1\[, couche moléculaire. pPg, couche des petites cellules pyr
tance blanche sont colorés en rouge : 1\[, couche moléculaire. pPg, couche des petites cellules pyramidales. gPy, couche d
ouche moléculaire. pPg, couche des petites cellules pyramidales. gPy, couche des grandes cellules pyramidales. - Pm, couche
es pyramidales. gPy, couche des grandes cellules pyramidales. - Pm, couche des cellules polymorphes. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
écorce de la région rolandique se disposent d'après Cajal en quatre couches . Ce sont, ainsi que nous l'avons vu plus haut :
uatre couches. Ce sont, ainsi que nous l'avons vu plus haut : 1° la couche moléculaire ; 2° la couche des petites cellules
si que nous l'avons vu plus haut : 1° la couche moléculaire ; 2° la couche des petites cellules pyramidales ; 3" la couche d
moléculaire ; 2° la couche des petites cellules pyramidales ; 3" la couche des grandes cellules $pyramidales ; 4° la couch
yramidales ; 3" la couche des grandes cellules $pyramidales ; 4° la couche des cellules polymorphes. . 1° Zone moléculaire
; 4° la couche des cellules polymorphes. . 1° Zone moléculaire (1r couche de Meynert, couche granuleuse, couche sans cell
cellules polymorphes. . 1° Zone moléculaire (1r couche de Meynert, couche granuleuse, couche sans cellules de Stieda, cou
es. . 1° Zone moléculaire (1r couche de Meynert, couche granuleuse, couche sans cellules de Stieda, couche des fibres tang
uche de Meynert, couche granuleuse, couche sans cellules de Stieda, couche des fibres tangentielles) (fig. 329, 339, A). -
ement sous-jacente à la pie-mère, elle en est séparée par une mince couche de névroglie sous-pie-mérienne riche en cellules
acide osmique, les méthodes de Weigert, de Pal ou de Wolters, cette couche est formée presque exclusivement de fibres à my
e il la surface et tangente à la courbe de la circonvolution. Cette couche de fibres tan- gentielles, découverte par K6111
. Elles siègent surtout dans la portion la plus superficielle de la couche molécu- laire, affectent une direction principa
rce du l'l11noncéphalon. Ecoroodumautcau cérébral. Les quatre couche de Ramon y Cajal. Zone moléculaire (1" couc
ral. Les quatre couche de Ramon y Cajal. Zone moléculaire (1" couche ), Son épaisseur. Fibres tanc'ettticties ou
vec le cylindre-axe ascendant de certaines cellules polymorphes des couches sous-jacentes, et que la plus grande partie de
e des fibres du réseau d'Exner proviennent de cellules propres à la couche moléculaire, cellules considérées jusqu'à lui com
qu'à lui comme étant de nature névroglique, et distingua dans cette couche trois espèces de cellules : des cellules fisifo
dans tous les sens, et dont quelques-unes descendent jusque dans la couche des petites cellules pyramidales. Leur cylindre-a
le à la surface de la circon- volution, mais n'atteignent jamais la couche sous-jacente. Les cellules fusiformes et es ce
ches qui se dirigent toutes du Fig. 331. Cellules polygonales de la couche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin de 8
32. - Cellules fusiformes du type de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âgé
3. Cellules triangulaires du type de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âgé
CENTRES NERVEUX. Le cylindre-axe des cellules fusiformes de la couche molé- culaire est double et même triple. Ce
e est double et même triple. Cellules triangu- laires. j La couche molé- culaire de l'écorce est formée de libre
ivec les panaches protoplasmiques des cellules pyramidales. La couche moléculaire est donc formée par les cellules et
: i. Cellule de la cou- che des grandes cellules pyramidales (3° couche de Meyiiert) de l'écorce céré- brale d'un sup
es cellules névro- gliques de la région. Cette 'structure de la couche moléculaire est la même chez tous les Ver- té
llèles des grains et les dendrites des cellules de Purkinje. 2° Couche des petites cellules pyramidales.-(2° couche
de Purkinje. 2° Couche des petites cellules pyramidales.-(2° couche de Meynert, stralo- superiorede Golgi) (fin. 32
e Meynert, stralo- superiorede Golgi) (fin. 329 et 339, B). Cette couche , à peu près aussi large que la précédente, do
es p,1Jl'a- midales (fig. 335,336,338, 339) présentent toujours Couche des petites cellules pyramidales 12. couche d
présentent toujours Couche des petites cellules pyramidales 12. couche de Cajal). Caractères géné- l'aux de la cellu
lèlement à celle des autres cellules pyrami- dales. Arrivée dans la couche moléculaire, cette tige ascendante se décompose
drite basi- laire. Il se dirige en bas, et traverse les différentes couches de l'écorce l tc. 337. - l'ortiort tle l'arhori
asilaires que l'on rencontre chez les mammifères (Cajal). Dans la couche des petites cellules pyramidales, les cellules si
ur de leur dendrite principale, augmentent avec la profondeur de la couche . La dendrite ascendante se termine par un panache
de de Golgi. Objectif C. Zeiss. Ocul.3. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. B, couche des petites pyramides. C,
. Zeiss. Ocul.3. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. B, couche des petites pyramides. C, couche des grandes pyra
Cajal.) A, couche moléculaire. B, couche des petites pyramides. C, couche des grandes pyra- mides. D, couche des corpuscu
couche des petites pyramides. C, couche des grandes pyra- mides. D, couche des corpuscules polymorphes. E, substance blanche
es se ter- minent par des ex- trémités libres et renflées. s. Couche des gran- des cellules pyrami- dalcs (3' couc
renflées. s. Couche des gran- des cellules pyrami- dalcs (3' couche ). Le cylindre-axe des grandes cellules pyra
cylindre-axe des petites cellules pyramidales descend à travers les couches sous-jacentes, dans la substance blanche où il se
dichotomisés et terminés par des extrémités renflées et libres. 3° Couche des grandes cellules pyramidales (3° couche ou co
renflées et libres. 3° Couche des grandes cellules pyramidales (3° couche ou couche anznzo- nique de Meynert, couche moye
et libres. 3° Couche des grandes cellules pyramidales (3° couche ou couche anznzo- nique de Meynert, couche moyenne des ce
cellules pyramidales (3° couche ou couche anznzo- nique de Meynert, couche moyenne des cellules nerveuses de Stieda, strata-
es de Stieda, strata- medio de Golgi, fig. 329 et 339, C.). Cette couche se distingue de la précédente par le plus grand v
leur prolongement cylindre-axile. Mal délimitée en dehors d'avec la couche précédente, la couche des grandes cellules pyra-
ndre-axile. Mal délimitée en dehors d'avec la couche précédente, la couche des grandes cellules pyra- midales est un peu m
s rare de voir de grandes cellules pyramidales, disséminées dans la couche des cellules polymorphes (live couche). Le cy
amidales, disséminées dans la couche des cellules polymorphes (live couche ). Le cylindre-axe des grandes cellules pyramida
sités libres. Quant aux dendrites, elles se com- portent dans cette couche comme dans la couche précédente (Cajal). Les in
ux dendrites, elles se com- portent dans cette couche comme dans la couche précédente (Cajal). Les intervalles qui séparen
UCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 677 niveau de la partie moyenne de la couche des grandes cellules pyramidales, où il se prés
ne ligne foncée correspondant à la. strie externe de Baillarger. 4° Couche des cellules polymorphes ÏD, E, fib. 329 et D. fi
courtes dendrites ascendantes ou obliques, qui s'arborisent dans la couche des grandes cellules pyramidales, mais n'atteig
ouche des grandes cellules pyramidales, mais n'atteignent jamais la couche moléculaire, zone dans laquelle se trouvent les
uent avec une fibre nerveuse de la substance blanche (Cajal). i Couche des cellules polygonales (-le cuu- che). i
l;. a : r0. -Cellule à cylindre-axe court (type II de Golgi) de la 4" couche de l'écorce t du lapin nouveau-né. (D'après Ram
les cellules polymorphes, on trouve encore dans les trois dernières couches de l'écorce cérébrale des cellules de Golgi, ce
une direction ascendante, on les rencontre dans les trois dernières couches de l'écorce et principalement dans la couche des
s les trois dernières couches de l'écorce et principalement dans la couche des cellules poly- morphes (fig. 339, f, g). Fu
ndue. Pour quelques cellules, cette arborisation se termine dans la couche des petites cellules pyramidales (Cajal). Cellu
r) forment des faisceaux régu- lièrement espacés, qui traversent la couche des cellules polymorphes ainsi que la couche de
cés, qui traversent la couche des cellules polymorphes ainsi que la couche des grandes cellules pyramidales et qui sur de bo
auteurs pour les désigner. Les lignes pointillées séparent les cinq couches cellulaires de Meynert et les quatre couches ce
lées séparent les cinq couches cellulaires de Meynert et les quatre couches cellulaires de Cajal. fl, fibres tangenticlles.
fl, fibres tangenticlles. fll-lll, fibres des deuxième et troisième couches . -se, strie externe de Baillarger (strie interm
re externe de Remak). flfl-l1', fibres des troisième et qua- trième couches . sBi, strie interne de Baillarger (strie interméd
diaire interne de Remak). . /7-f, fibres des quatrième et cinquième couches . Sb, substance blanche. 682 ANATOMIE DES CENTRE
à sa partie moyenne la strie externe de Baillarger, et en dedans la couche des fibres d'association intm-col'ticales de Meyn
ans la couche des fibres d'association intm-col'ticales de Meynert ( couche des fibres d'association externes) (Kaes). Ces
ules pyramidales. f, éléments globu- leux. A, substance blanche. B, couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. C
radiaire. L'écorce cérébrale présente donc de dehors en dedans cinq couches de fibres à direction transversale (fig. 342);
de fibres à direction transversale (fig. 342); ce sont : - 1° La couche des fibres tangentielles proprement dite ou résea
prement dite ou réseau rl' £ .1'1/{'1' située à la périphérie de la couche moléculaire ; 2° Le feutrage super-radiaire d'E
oléculaire ; 2° Le feutrage super-radiaire d'Edinger, qui occupe la couche des petites cellules pyramidales et une partie
s; 3° La strie externe de Baillarger, située dans l'épaisseur de la couche des grandes cellules pyramidales; 4° Le feutr
es pyramidales; 4° Le feutrage mter-radiaire a AfMy ? qui occupe la couche des grandes cellules pyramidales et une partie
cupe la couche des grandes cellules pyramidales et une partie de la couche des cellules polymorphes; 5° Les fibres d'assoc
orticales de Meynert, qui occupent au niveau du fond des sillons la couche des cellules polymorphes, et se con- tinuent pr
'association, fibres en U, ou librioe proprise de Meynert. De ces couches de fibres tangentielles, le réseau d'Exner est le
lient, ainsi que le fait remarquer Cajal, à ce que dans les autres couches , les rameaux des collatérales d'une couche cell
ce que dans les autres couches, les rameaux des collatérales d'une couche cellulaire se mélangent avec ceux prove- nant d
es d'une couche cellulaire se mélangent avec ceux prove- nant de la couche voisine. Du reste, pour avoir une idée nette de c
jal, les fibres ner- veuses qui paraissent dominer dans chacune des couches de l'écorce. 1° Couche des fibres tangentielles
ses qui paraissent dominer dans chacune des couches de l'écorce. 1° Couche des fibres tangentielles proprement dite {réseau
des fibres tangentielles proprement dite {réseau d'Exner, Les cinq couches de libres tangon- tielles. lléD1cnts qui en
s fibres tan- gentielles. GS4 Al'\ATOl\I1E DES CENTRES NERVEUX. Couche des fibres tangentielles propre- ment dites o
Feutrage super- radiaire d'I : diuger, plexus de la deu- xième couche (2° plexus). Origine de ces libres. zone
tratum zonale, premier plexus de Cajal, fig. 342 et 347, fl). Cette couche , relativement épaisse et visible à l'oeil nu, s
ivement épaisse et visible à l'oeil nu, siège à la périphérie de la couche moléculaire. Plus épaisse d'après Kaes au fond
e la crète des circonvolutions où elle n'atteint que 0 ? 244, cette couche contient un grand nombre de fibres amyélinique
voy. p. 668) ; y, les collatérales de la substance blanche. Cette couche est nettement délimitée en dedans et en dehors, m
lus dense à la périphérie des circonvolutions qu'au voisinage de la couche des petites cellules pyramidales. Son épaisseur
faces interne et inférieure de . l'hémisphère, l'épaisseur de cette couche s'accroît avec l'âge, tandis que les parties pr
'accroît avec l'âge, tandis que les parties profondes de cette même couche subissent une sorte de rare- HÉ faction au nive
our l'anatomo-pathologiste, car avant de décider de l'état de cette couche , dans tel ou tel cas, il devra comparer la régi
Feutrage super-radiaire d'Edinger (fibres des deuxième et troisième couches de Meynert, deuxième plexus de Cajal, fig. 342 et
lexus de Cajal, fig. 342 et fig. 31.-1, fsr). Ce feutrage occupe la couche des petites cellules pyramidales et bipartie supé
che des petites cellules pyramidales et bipartie supé- rieure de la couche des grandes cellules pyramidales contient, ainsi
ions terminales des libres de la substance blanche (Cajal). Celte couche , qui a été l'objet de la part de Kaes d'une élude
plus ou moins longues, qui occupent d'abord la moitié interne de la couche , puis s'étendent à sa moitié externe. A mesure
une strie, d'autant plus nettement délimitée, que la raréfaction des couches inférieures du stratum zonale est plus grande (
t plus grande (Kaes). C'est au moment de la stratification de cette couche , quelquefois avant (Kaes), qu'apparaissent quel
er- radiaire et seraient, dans le lobe occipital, l'homologue de la couche l1uf- douaire moyenne (stratwn lacunosum) de la
riche en fibres médullaires, courtes et fines. Elle correspond à la couche des cellules pyramidales grosses et moyennes (3
espond à la couche des cellules pyramidales grosses et moyennes (3" couche ) et se compose principalement, d'après Cajal : «,
tie moyenne de l'écorce cérébrale et se délimite mal en général des couches adjacentes. La strie de Baillarger s'épaissit c
Feutrage inter- radiaire d'Edinger, plexus de la qua- trième couche (4" plexus). Fibres d'associa- tion intra-c
coucne ues granaes cellules pyramidales, la strie interne occupe la couche des cellules polymorphes (fig. 342), et apparti
eutrage inter-radiaire d'Edinger (Fibres des troisième et quatrième couches de Meynert, quatrième plexus de Cajal, (fig. 342
e Cajal, (fig. 342 et fig. 347, fir). Ce feutrage est situé dans la couche des corpuscules polymorphes (4° couche) ; il es
e feutrage est situé dans la couche des corpuscules polymorphes (4° couche ) ; il est formé par : les collatérales des cyli
(Fibres d'asso- ciation externes de l'écorce cérébrale [Bechterew], couche d'association externe de, Meynert [aussere Meyn
n décrites par Kaes, ces fibres occupent la partie pro- fonde de la couche des cellules polymorphes, et représentent la part
'en distinguent par leur situation nettement intra-corticale. Cette couche est formée de fines fibres parallèles entre ell
rébrale assurent les connexions, soit entre les cellules d'une même couche , soit entre les cellules de couches voisines. L
it entre les cellules d'une même couche, soit entre les cellules de couches voisines. Les connexions des cellules pyramidal
le : par son panache proloplasmique, elle atteint les confins de la couche mole- STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 687 cu
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 687 culaire, et elle plonge dans les autres couches de l'écorce par sa tige, ses dendrites collatér
ndre-axiles des cellules de Cajal ou cellules autochtones de la couche moléculaire; 2° Avec les arbori- sations supé
ence. plus impor- tantes que le nombre de ces cellules. dans la couche des cellules pyramidales, des cellules d'associat
seulement suivant les régions, mais encore suivant les différentes couches d'une même région. Les premières fibres tangent
res tangentielles apparaissent au niveau du réseau d'Exner et de la couche des cellules polymorphes, vers le quatrième mois
s polymorphes, vers le quatrième mois après la nais- sance. Dans la couche des petites et des grandes cellules pyramidales,
er et interradiaire d'Edinger, fibres des deuxième et troi- ? sième couches de Meynert), elles n'apparaissent que vers le hui
). Les fibres tangentielles du réseau d'Exner, ainsi que celles des couches moyennes et profondes de l'écorce, sont détruites
n voit que, bien que les caractères généraux de structure nombre de couches , etc ? restent les mêmes; par contre les cellul
rce cérébrale (Mayor, Meynert, Mondino). Elle pré- sente les quatre couches de l'écorce typique (5 couches d'après Meynert),
Mondino). Elle pré- sente les quatre couches de l'écorce typique (5 couches d'après Meynert), et renferme des cellules pyra
cellules polygonales, fusiformes, ou plus ou moins irrégulières. La couche moléculaire de l'insula est large particulièremen
rieure du cerveau; les fines fibres font au contraire défaut. Les couches des cellules pyramidales petites et grandes conti
ant plus serrées les unes contre les autres, que l'on considère des couches plus profondes. Leur dendrite principale ou asc
ortical de nombreuses collatérales. Mondino décrit en outre dans la couche des petites et des grandes cellules pyramidales,
té de cellules il cylindre-axe ascendant décrite par Martinotti. La couche des cellules polymorphes renferme des cellules de
qui tapissent le sillon marginal postérieur de l'insula d'une épaisse couche de fibres parallèles. Le feutrage interradiaire
nelle de l'écorce typique. Coucbo molécu- laire (1re couchc), Couche des cellules pyramidales ('2n et 3° couches;.
laire (1re couchc), Couche des cellules pyramidales ('2n et 3° couches ;. Couche des ce(- lules polymorphes (4° cou
couchc), Couche des cellules pyramidales ('2n et 3° couches;. Couche des ce(- lules polymorphes (4° couche). Dan
es ('2n et 3° couches;. Couche des ce(- lules polymorphes (4° couche ). Dans l'insula le fCl1tt"agc illterr-a- di
inféro-in- terno du thalamus. Ecorce du lobe occipital. Les 8 couches de l'écorce du lobe occi- pital d'après Mey-
ches de l'écorce du lobe occi- pital d'après Mey- ncrt. Les 5 couches de l'écorce du lobc occi- l,ital d'après Caja
e corps calleux, soit en bas vers le pédoncule inféra-interne de la couche optique. Ces dernières fibres repré- sentent le
à ce niveau des particularités spéciales. Meynert distinguait huit couches dans l'écorce du lobe occipital, et créa le typ
t huit couches dans l'écorce du lobe occipital, et créa le type à 8 couches stratifiées qu'il opposa au type à cinq couches
et créa le type à 8 couches stratifiées qu'il opposa au type à cinq couches stratifiées du reste de la corticalité. Ce sché
et la majorité des auteurs, est longtemps resté classique. Les huit couches de Meynert comprenaient (fig. 345) de dehors en
es de Meynert comprenaient (fig. 345) de dehors en dedans : 1° La couche moléculaire, plus étroite ici que dans les autres
re, plus étroite ici que dans les autres régions de l'écorce; 2° la couche des petites cellules pyramidales, analogue à cell
l'on rencontre dans les circonvolutions des autres régions ; 3° la couche granuleuse externe formée par de petites cellul
granuleuse externe formée par de petites cellules irrégulières; 4° la couche intermédiaire (Kahle Schicht, Meynert) qui renf
les pyramidales géantes dites cellules solitaires (Meynert) ; DO la couche granu- leuse moyenne; 6° La couche intermédiair
les solitaires (Meynert) ; DO la couche granu- leuse moyenne; 6° La couche intermédiaire, pauvre en éléments cellulaires e
en éléments cellulaires et dans laquelle on trouve comme dans la 4e couche de rares cellules soli- taires de Meynert; 7° l
dans la 4e couche de rares cellules soli- taires de Meynert; 7° la couche des petits éléments ou couche granuleuse intern
llules soli- taires de Meynert; 7° la couche des petits éléments ou couche granuleuse interne; 8° la couche des cellules f
° la couche des petits éléments ou couche granuleuse interne; 8° la couche des cellules fusiformes (fig. 345). Le ruban de
(fig. 345). Le ruban de Vicq d'Azyr correspondait aux 4e, 5e et (;e couches et était dû, d'après Meynert, à la pauvreté de
e et (;e couches et était dû, d'après Meynert, à la pauvreté de ces couches en cellules et partant en pigment et non, comme
a pré- sence de nombreuses fibres à myéline. Le type cortical à 8 couches stratifiées se distingue donc du type à 5 couch
type cortical à 8 couches stratifiées se distingue donc du type à 5 couches de Meynert, par la présence de 3 couches granuleu
distingue donc du type à 5 couches de Meynert, par la présence de 3 couches granuleuses; la couche granuleuse externe (3e c
5 couches de Meynert, par la présence de 3 couches granuleuses; la couche granuleuse externe (3e couche) est comprise ent
présence de 3 couches granuleuses; la couche granuleuse externe (3e couche ) est comprise entre la couche des petites cel-
ses; la couche granuleuse externe (3e couche) est comprise entre la couche des petites cel- lules pyramidales (2e couche)
est comprise entre la couche des petites cel- lules pyramidales (2e couche ) et la couche des grandes cellules pyramidales
ntre la couche des petites cel- lules pyramidales (2e couche) et la couche des grandes cellules pyramidales (4e couche). L
dales (2e couche) et la couche des grandes cellules pyramidales (4e couche ). La couche granuleuse moyenne 5" couche) dédoubl
uche) et la couche des grandes cellules pyramidales (4e couche). La couche granuleuse moyenne 5" couche) dédouble la 3° couc
s cellules pyramidales (4e couche). La couche granuleuse moyenne 5" couche ) dédouble la 3° couche du type commun en deux c
(4e couche). La couche granuleuse moyenne 5" couche) dédouble la 3° couche du type commun en deux couches intermédiaires,
use moyenne 5" couche) dédouble la 3° couche du type commun en deux couches intermédiaires, pauvres en cellules, situées l'
vres en cellules, situées l'une au-dessus, l'autre au-dessous de la couche granuleuse moyenne ; la couche granuleuse inter
au-dessus, l'autre au-dessous de la couche granuleuse moyenne ; la couche granuleuse interne, enfin, répond à la 4° couche
leuse moyenne ; la couche granuleuse interne, enfin, répond à la 4° couche du type commun. ' Hamon y Cajal, étudiant l'éco
gion et les autres régions de la corticalité, ne portent que sur la couche moléculaire et sur les deuxième et troisième co
tent que sur la couche moléculaire et sur les deuxième et troisième couches . Cet auteur, dont nous suivrons la description (f
nt nous suivrons la description (fig. 345 et 346), n'admet que cinq couches dans l'écorce occipitale, à savoir : - STRUCTUR
ipitale, à savoir : - STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.. 693 1° La couche moléculaire; 2° La couche des cellules fusi-
CTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.. 693 1° La couche moléculaire; 2° La couche des cellules fusi- formes verticales; 3° La c
laire; 2° La couche des cellules fusi- formes verticales; 3° La couche des fibres médul- laierez moyennes (ruban de Vi
uche des fibres médul- laierez moyennes (ruban de Vicq d'Azyr) ou couche des petites cel- lules-PY7'amidalès ? 4° La c
q d'Azyr) ou couche des petites cel- lules-PY7'amidalès ? 4° La couche des grandes cel- lules pyramidales; 5° La cou
idalès ? 4° La couche des grandes cel- lules pyramidales; 5° La couche des corpuscules polymorphes (fig, 346). 1° Co
idales; 5° La couche des corpuscules polymorphes (fig, 346). 1° Couche moléculaire (A. fig. 346). - Contrairement à l'
re (A. fig. 346). - Contrairement à l'opi- nion de Meynert, cette couche est remarquable par son épaisseur et sa riche
ochtones, soit des cy- lindres-axes ascendants des cel- lules des couches sous-jacentes. Les fibres à myéline à direc-
d'un grand nombre de fibres ascendantes, re- vêtues d'une épaisse couche de myéline; elle contient en outre de nombreu
myéline; elle contient en outre de nombreuses cellules apparte- Couche molécu- laire. (1" couche de Cajal.) La cou
outre de nombreuses cellules apparte- Couche molécu- laire. (1" couche de Cajal.) La couche mo- léculaire du lobe
lules apparte- Couche molécu- laire. (1" couche de Cajal.) La couche mo- léculaire du lobe oc- cipital présente le
de ses fi- bres tangentielles. Dans la partie pro- fonde do la couche moléculaire, le feu- trage des fibres tan-
es de l'écorce occipitale d'après Meynert et - d'après Cajal. Les couches de fibres trans- versales sont colorées en roug
III, les Irait cou- ches de Meynert. -'1, Il, 111 IV, V, les cinq couches de Cajal. M, couche moléculaire. Fv, couche des
ches de Meynert. -'1, Il, 111 IV, V, les cinq couches de Cajal. M, couche moléculaire. Fv, couche des cellules fusiformes
111 IV, V, les cinq couches de Cajal. M, couche moléculaire. Fv, couche des cellules fusiformes verticales. pPy, couche
moléculaire. Fv, couche des cellules fusiformes verticales. pPy, couche des petites cellules pyramidales. gPy, couche d
es verticales. pPy, couche des petites cellules pyramidales. gPy, couche des grandes cellules pyrami- : : dales.- Pm, couc
ramidales. gPy, couche des grandes cellules pyrami- : : dales.- Pm, couche des cellules polymorphes. CU4 ANATOMIE DES CENT
cobaye de 8 jours. Méthode double de Golgi. (D'après Cajal.) . A, couche moléculaire.-73, couche des cellules fusiformes.-
hode double de Golgi. (D'après Cajal.) . A, couche moléculaire.-73, couche des cellules fusiformes.-C, couche des fibres méd
l.) . A, couche moléculaire.-73, couche des cellules fusiformes.-C, couche des fibres médullaires moyennes ou du ruban de
e des fibres médullaires moyennes ou du ruban de Vicq d'Axyr. D, E, couche des cellules pyramidales moyennes et grandes. F
Axyr. D, E, couche des cellules pyramidales moyennes et grandes. F, couche des corpuscules polymorphes. a, cellules étoilées
he des corpuscules polymorphes. a, cellules étoilées de la première couche . b, cellules fusiformes ou cellules spéciales de
indre-axe ascendant. h, cellule fusiforme verticale de la troisième couche . i, cellule à cylindre-axe ascendant s'arborisa
me couche. i, cellule à cylindre-axe ascendant s'arborisant dans la couche moléculaire. - j, petite cellule pyramidale. - r,
ale. - r, cellule ' pyramidale géante. S, cellules fusiformes de la couche des cellules polymorphes, munies d'un cylindre-
olymorphes, munies d'un cylindre-axe ascendant se terminant dans la couche moléculaire. l, cellule il cylindrc- axc ascend
il cylindrc- axc ascendant de Martinotti. zt, cellule ovoïde de la couche fibrillaire moyenne, dont le cylindre-axe suit
direction descendante puis se recourbe en haut et se dirige vers la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉRRALE. 6
tous d'une dendrite. Elles sont situées dans le voisinage de la 2° couche ou couche des cellules fusiformes verticales; l
e dendrite. Elles sont situées dans le voisinage de la 2° couche ou couche des cellules fusiformes verticales; leur grand
ellules de Cajal sont très rares dans la partie superficielle de la couche moléculaire [sous-zone externe de Cajal); dans le
plexe et libre, dont les rameaux vari- queux ne dépassent jamais la couche moléculaire. 2° Couche des cellules fusiformes
rameaux vari- queux ne dépassent jamais la couche moléculaire. 2° Couche des cellules fusiformes verticales (B. iig. 346).
quatre rameaux, aussitôt qu'elle atteint le ruban de Vicq d'Azyr (3 couche ). Le cylindre-axe de ces cellules, d'une extrêm
e la dendrite descendante (fig. 346, c). 3° Ruban de Vicq d'Azyr. Couche fibrillaire moyenne (Cajal) (C, fig. 346). Immé
laire moyenne (Cajal) (C, fig. 346). Immédiatement au-dessous de la couche des cellules fusi- formes verticales, se trouve
lules fusi- formes verticales, se trouve le ruban de Vicq d'Azyr ou couche des fibres médullaires moyennes de Cajal, qui c
a strie externe de Baillarger des autres régions de l'écorce. Cette couche qui représente, Dans la partie superficielle
Cette couche qui représente, Dans la partie superficielle de la couche moléculaire, le feutrage des li- hres tangent
s dense et ou y rencontre des cella- les du type II de Golgi. Couche des col- lules fusiformes ver- ticales. ( : °
indre axe de ces cellules n'atteint pastasubstan-c tran- che. Couche fibrillaire moyenne ou ruban de Vicq d'Azyr.
che. Couche fibrillaire moyenne ou ruban de Vicq d'Azyr. (3" couche de Cajal.) 696 ANATOMIE DES CENTRES .NERVEUX.
de Cajal.) 696 ANATOMIE DES CENTRES .NERVEUX. Cellules de cette couche . avec quelques modifications, la couche des pet
VEUX. Cellules de cette couche. avec quelques modifications, la couche des petites cellules pyramidales (2° couche) de
lques modifications, la couche des petites cellules pyramidales (2° couche ) des autres régions de l'écorce cérébrale, est co
ellules fusiformes à direction verticale, semblables a celles de la couche précédente (fig. 346, h), cellules triangulaires
L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 697 rection ascendante, qui se termine dans la couche moléculaire par une arborisation étendue (fig.
atérales, et dont les ramifications terminales se terminent dans la couche moléculaire, au voisinage des cellules dites de
es dites de Cajal. Les fibres nerveuses du ruban de Vicq d'Azyr, ou couche médullaire moyenne de Cajal, sont extrêmement n
les cellules ner- veuses d'un feutrage fibrillaire très dense. 4° Couche des grandes cellules pyramidales (D et E, fig. 34
Couche des grandes cellules pyramidales (D et E, fig. 346). -Cette couche se présente ici avec les mêmes caractères que dan
con- fondent peu à peu avec les petites cellules pyramidales de la couche du ruban de Vicq d'Azyr. 5° Couche des corpus
tes cellules pyramidales de la couche du ruban de Vicq d'Azyr. 5° Couche des corpuscules polymorphes (F, fig. 346). Dans c
. 5° Couche des corpuscules polymorphes (F, fig. 346). Dans cette couche , se trouve un grand nombre de petites cellules py
s pyramidales, dont la dendrite radiaire ne parait pas atteindre la couche moléculaire. On y trouve en outre un certain no
lindre-axe ascendant se termine par de riches arborisations dans la couche moléculaire, après avoir fourni de nom- breuses
re le ruban de Vicq d'Azyr (V) et les fibres tangen- il'elles (ft) ( couche zonale d'Exner) - la strie de Bechte1'ew (sBK) si
q 1 d'Azyr est formé par · un plexus de libres ' 1 à myéline. Couche des gran- des cellules pyrami- dales. (4- cou
1 à myéline. Couche des gran- des cellules pyrami- dales. (4- couche de Cajal.) Cette couche est la même que dan
gran- des cellules pyrami- dales. (4- couche de Cajal.) Cette couche est la même que dans le reste de l'écorce.
jal.) Cette couche est la même que dans le reste de l'écorce. Couche des cor- opuscules polymor- phes. (58 couche
reste de l'écorce. Couche des cor- opuscules polymor- phes. (58 couche de Cajal.) Dans l'écorce du z lobe occipita
rce de ! : ), pure- mière circonvolution Umbiquc. confins de la couche des cellules fusiformes verticales, les feutrages
ciation intracorticales de Mcynert(fAc). Ces dernières occupent les couches des cellules polymorphes et des grandes cellule
ses fibres tangentielles, dont les plus superficielles forment une couche épaisse, visible à l'oeil nu, et particulièrement
n limbique (L,), les dif- férences ne portent que sur le nombre des couches ainsi que sur la forme et le volume des élément
lleux, soit d'une modification considérable dans la disposition des couches , se traduisant par une morphologie spéciale, s'él
LE. G99 de la strie interne, de Baillarger, et la pauvreté de la 3° couche en grandes cellules pyramidales. Les deux pre
la 3° couche en grandes cellules pyramidales. Les deux premières couches de cette circonvolution (couche moléculaire et
es pyramidales. Les deux premières couches de cette circonvolution ( couche moléculaire et couche des petites cellules pyra
ux premières couches de cette circonvolution (couche moléculaire et couche des petites cellules pyramidales) ne présentent r
pyramidales) ne présentent rien de spécial dans leur structure. La couche moléculaire, quoique très large, est toutefois
tangentielles que dans les autres régions de l'écorce. La troisième couche (couche des grandes cellules pyramidales), con-
elles que dans les autres régions de l'écorce. La troisième couche ( couche des grandes cellules pyramidales), con- tient d
(25 à 36 ! j.'), qui occupent presque toutes la profondeur de cette couche . Il résulte de cette disposition que la partie
che. Il résulte de cette disposition que la partie moyenne de la 3C couche , pauvre en cel- lules, est traversée par les de
s haut degré de développement dans la corne d'Ammon. La quatrième couche enfin, ou couche des cellules polymorphes, pré-
développement dans la corne d'Ammon. La quatrième couche enfin, ou couche des cellules polymorphes, pré- sente les mêmes
s fibres tangentielles sont peu nombreuses, le réseau d'Exner de la couche moléculaire est plus large, mais moins serré, e
la couche moléculaire est plus large, mais moins serré, et dans les couches profondes, les feutrages super et interracliair
a tecta, l'amincissement se fait surtout aux dépens de la troisième couche , dont les cellules pyramidales deviennent de plus
ême par disparaître, de telle sorte que la deuxième et la quatrième couches se confondent l'une avec l'autre au niveau du c
ec l'écorce grise des hémisphères (Blumenau). Cajal distingue trois couches dans les nerfs de Lancisi, une superficielle ou
cellulaire et une profonde ou de substance blanche (fig. 318). La couche moyenne est composée de cellules ovoïdes ou fusif
nerfs de Lancisi. - c, grosses cellules de la région profonde. - d, couche moléculaire ou superficielle. e, cylindre-axe d
TURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 701 1 ' une fibre à myéline, soit de la couche profonde, soit de la substance blanche. Parfois
e à deux fibres se dirigeant en sens inverse (Cajal) (fig. 349). La couche profonde est constituée par la réunion des cylind
est constituée par la réunion des cylindres-axes des cellules de la couche moyenne. Ces fibres nerveuses donnent nais- san
es donnent nais- sance à des collatérales, qui se terminent dans la couche moyenne et dans la couche moléculaire par de ri
es collatérales, qui se terminent dans la couche moyenne et dans la couche moléculaire par de riches arborisations (fig. 349
orisations (fig. 349). On rencontre encore, d'après Cajal, dans les couches moyennes et profondes, des cylin- dres-axes plu
a manière des cylindres-axes des cellules du type II de Golgi. La couche moléculaire, formée par la réunion de presque tou
dinale ou antéro-postérieure (fig. 349). On trouve aussi dans cette couche quelques rares éléments fusiformes, dont le mode
ils possèdent la même structure fondamentale. La simplification des couches cérébrales est encore beaucoup plus grande dans
MIE DES CENTRES NERVEUX. les autres régions de l'écorce, les quatre couches décrites par Cajal et [qui sont, en allant de l
Cajal et [qui sont, en allant de la surface à la profondeur : 1° la couche moléculaire; Inc. : 150. - Coupe vertico-transv
onvolution godronnée est colorée en rouge. Ci, corne d'Ammon et ses couches . - Alv, alvéus. - l', couche des cellules pyramid
ée en rouge. Ci, corne d'Ammon et ses couches. - Alv, alvéus. - l', couche des cellules pyramidales. - L, stratum lacunosu
ou lamina medullaris involula. Cg, circonvolution godronnée et ses couches . M, stratum molecu- lare.- G, couche des grains
rconvolution godronnée et ses couches. M, stratum molecu- lare.- G, couche des grains. -- Pm, couche des cellules polymorphe
ses couches. M, stratum molecu- lare.- G, couche des grains. -- Pm, couche des cellules polymorphes. Ails, avant-mur. Cge,
éticulée ou grillagée. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 703 2° la couche des petites cellules pyramidales ; 3° la couche d
ÉRÉBRALE. 703 2° la couche des petites cellules pyramidales ; 3° la couche des grandes cellules pyramidales ; 4° la couche
pyramidales ; 3° la couche des grandes cellules pyramidales ; 4° la couche des cellules polymorphes. Mais déjà au niveau d
nution du nombre des cellules pyramidales petites et moyennes. La couche moléculaire est beaucoup plus large que dans les
sidérable que prennent les fibres tangentielles qui forment ici une couche appréciable à l'oeil nu et d'as- pect réticulé.
une couche appréciable à l'oeil nu et d'as- pect réticulé. C'est la couche réticulée d'Arnold ou lame médullaire superfi-
cielle ou externe du subiculum (fig. 3su, Lms). L'épaisseur de cette couche n'est pas partout la même ; lorsqu'on examine u
, colorée par les méthodes de Weigert ou de Pal, on constate que la couche moléculaire contient un grand nombre de fibres
laire contient un grand nombre de fibres parallèles, revêtues d'une couche rela- tivement épaisse de myéline et qu'elle es
régulière, mais par une ligne festonnée ou crétée, qui empiète sur la couche des petites cellules pyramidales. C'est à cette
s petites cellules pyramidales. C'est à cette épaisseur inégale de la couche des fibres tangentielles, qu'est dû l'aspect ré
la circonvolution de l'hippocampe. L'inégalité d'épaisseur de cette couche est d'autant plus appréciable que du sommet des
ue dans la substance blanche de la circonvolution (fig. 350). Cette couche moléculaire, qui contient comme celle- de l'écorc
- bre considérable de cellules du type II de Golgi (Cajal). La 2° couche ou couche des petites cellules pyramidales ne for
nsidérable de cellules du type II de Golgi (Cajal). La 2° couche ou couche des petites cellules pyramidales ne forme pas u
couche ou couche des petites cellules pyramidales ne forme pas une couche régulière; elle s'emboîte en effet dans les festo
elle s'emboîte en effet dans les festons et les den- telures de la couche moléculaire. Dans la 3c couche ou couche des gr
festons et les den- telures de la couche moléculaire. Dans la 3c couche ou couche des grandes cellules pyramidales, nous
t les den- telures de la couche moléculaire. Dans la 3c couche ou couche des grandes cellules pyramidales, nous voyons s
e des celulles pyramidales petites et moyennes s'éclaircit et la 3e couche ne con- tient, pour ainsi dire, que de grandes
de longueur et qui occupent surtout les parties profondes de cette couche . Leurs dendrites ascendantes s'arborisent dans la
dantes s'arborisent dans la zone molécu- laire et impriment à la 3c couche un aspect radié très manifeste, qui lui a valu
ié très manifeste, qui lui a valu le nom de stratum radiatum. Cette couche est en outre riche en fibres tangen- tielles à
les traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, donnent à cette couche un aspect tacheté tout particulier (fig. 350).
particulier (fig. 350). Sa structure au ni- veau du subiculum. Couche mulécn- laire. Cette couche est plus épaiss
ructure au ni- veau du subiculum. Couche mulécn- laire. Cette couche est plus épaisse ici que dans le reste de l'é
taugcn- tielles constituent la substance réticulée d'Arnold. Couche des petites cellules pyramidales. Couche des
réticulée d'Arnold. Couche des petites cellules pyramidales. Couche des gran- des cellules yrami- dales et stratu
et la circonvolution godronnée adhèrent entre elles par leurs couches moléculai- res. Aspect de la corne d'Ammon
e d'Ammon sur une coupe vertico-trans- versale. Quant à la 4e couche , couche des cellules polymorphes, elle ne se dis-
mon sur une coupe vertico-trans- versale. Quant à la 4e couche, couche des cellules polymorphes, elle ne se dis- tingu
couche des cellules polymorphes, elle ne se dis- tingue guère de la couche semblable des autres régions de l'écorce. La. s
ce. La. substance blanche du subiculum est épaisse et contient deux couches de fibres à myéline. La couche profonde celle q
iculum est épaisse et contient deux couches de fibres à myéline. La couche profonde celle qui entoure le diverticule du su
orne sphénoïdale se compose de fines fibres entou- rées d'une mince couche de myéline; elles appartiennent au système des
rent dans la constitution de la lyre de David ou psalterium. ' La couche de fibres commissurales est entourée d'une couche
psalterium. ' La couche de fibres commissurales est entourée d'une couche de fibres de plus gros calibre, revêtues d'une
d'une couche de fibres de plus gros calibre, revêtues d'une épaisse couche de myéline et se colo- rant intensivement par l
tré, deux circonvolutions cérébrales adhérentes entre elles par leur couche 1 moléculaire : Cette conception de Mathias Duv
reçoit un seul feuillet pie-mérien par l'intermédiaire duquel, les couches moléculaires de ces deux circonvolu- tions sont
e l'on pratique une coupe vertico-t.ransversale de cette région, la couche moléculaire de la corne d'Ammon et la couche mo
le de cette région, la couche moléculaire de la corne d'Ammon et la couche moléculaire de la circonvolution godronnée sont
rées l'une de l'autre, que par le feuillet pie- mérien et par leurs couches respectives de fibres tangentielles (Ii ? 3â0).
e de cette région se trouve donc expliquée : 1° par l'adhérence des couches moléculaires respectives de la circonvolution 1
connexions que la région godronnée proprement dite. Les différentes couches constituantes de la corne d'Ammon ont été décri
ielles ou lamina medullaris involuta. - Fus, lobule fusiforme. - G, couche des grains ou des cellules ovoïdes. yP, grande ce
atum lacunosum. Lus, lame médullaire superficielle du subiculum. M, couche moléculaire. - i\'C', queue du noyau caudé. - 0
moléculaire. - i\'C', queue du noyau caudé. - 0, stratum oriens ou couche des cellules polymorphes. - o, cellule de Golgi à
-o', cellule à cylindre-axe arqué de Cajal du stratum oriens. - l', couche des cellules pyramidales. ), p, cellules pyramida
couche des cellules pyramidales. ), p, cellules pyramidales de cette couche . - Pchl, plexus choroïdes. Pm, couche des cellu
cellules pyramidales de cette couche. - Pchl, plexus choroïdes. Pm, couche des cellules polymorphes.pPy; petite cellule pyra
rains » de la circonvolution godronnée (Cajal). Quant au nombre des couches et à leur structure, elles sont, ainsi que l'a
que, ainsi que le lait remarquer Cajal, que par la complexité de sa couche moléculaire et par la simplicité relative de se
exité de sa couche moléculaire et par la simplicité relative de ses couches profondes. En abordant la corne d'Ammon, l'épai
e de ses couches profondes. En abordant la corne d'Ammon, l'épaisse couche de fibres tangentielles, qui forme la lame médu
nt, les grandes cellules s'accumulent dans la partie profonde de la couche des cellules pyramidales. Leurs longues den- dr
tes traversent ainsi, avant d'aborder les parties supérieures de la couche moléculaire, une zone pauvre en cellule, le strat
stratum radiatum. On a décrit à la corne d'Ammon sept et même huit couches distinctes : ce sont en allant de la cavité crâ
lemands ou la lamina medullaris involuta s. cir- cumvoluta. 2" La couche moléculaire, stratum moleculare. 3° La couche l
cumvoluta. 2" La couche moléculaire, stratum moleculare. 3° La couche lacunaire, stratum lacunosum (Meynert), stratum r
arc (Kuplfer), stratum medullare médium (Ohersteiner, Cajal). 4" La couche radiaire, stratum radiatum (Meynert). 5° La cou
Cajal). 4" La couche radiaire, stratum radiatum (Meynert). 5° La couche des cellules pyramidales (stratum cellularum pyra
Le stratum oriens. Sa richesse en li- bres tangentielles. Les 8 couches de la corne d'Ammon de Meynert. 708 .ANATOM
Meynert. 708 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Parallèle entre les couches de la corne d'Ammon et celles de l'écorce du
ne d'Ammon et celles de l'écorce du man- teau cérébral. Les 5 couches de la corne d'Ammon de Cajal. Couche molécu
teau cérébral. Les 5 couches de la corne d'Ammon de Cajal. Couche molécu- laire de la corne d'Ammon. Cette cou-
lnéxs; feuillet vallonné des auteurs allemands (Muldenblatt). 8° La couche épithéliale de la corne sphénoïdale. Si l'on ve
he épithéliale de la corne sphénoïdale. Si l'on veut- ramener les 8 couches de la corne d'Ammon aux quatre couches de l'éco
Si l'on veut- ramener les 8 couches de la corne d'Ammon aux quatre couches de l'écorce du manteau cérébral, on peut construi
: mt, : v . '. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 70'9 « . tum, la couche dès cellules pyramidales, et se terminent dans le
n réalité, ces deux. colonnes sont adossées l'une à l'autre par leurs couches moléculaires (M) qui ne sont séparées l'une de
de l'écorce de la région hippocampique de la corne d'Ammon. 1, couche moléculaire compre- nant : le stratum molecular
l ! ), le stratum lacunosum (L) et le stra- tum radiatum (R). 77, couche des cellules pyramidales (Py). - Il[, couche
um radiatum (R). 77, couche des cellules pyramidales (Py). - Il[, couche des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens
e deux écorces ce'ré- . braies superposées. Les trois pre- mières couches I, II, III appartien- nent à la couche molécula
es. Les trois pre- mières couches I, II, III appartien- nent à la couche moléculaire (Jf) à la couche granuleuse (Py) et
ches I, II, III appartien- nent à la couche moléculaire (Jf) à la couche granuleuse (Py) et à la couche des cellules pol
à la couche moléculaire (Jf) à la couche granuleuse (Py) et à la couche des cellules polymorphes (Pm) de la circonvolut
olymorphes (Pm) de la circonvolution godron- née (Cg) ; les trois couches suivantes I, TI,'III appartiennent à la couche
ée (Cg) ; les trois couches suivantes I, TI,'III appartiennent à la couche ' moléculaire (M), à la couche des cellules p
ntes I, TI,'III appartiennent à la couche ' moléculaire (M), à la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et àla
ire (M), à la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et àla couche des cellules polymor- plies(Pnx)dela;régiongodr
la circonvolution godronnée, sont obligés de traverser les trois couches de la corne d'Ammon (CA) ' avant d'arriver àl'a
u cel- lules ovoïdes de la circonvolution godronnée, traversentla couche des cellules polymorphes de la circon- voluti
e des cellules polymorphes de la circon- volution godronnée et la couche - moléculaire de la corne d'Ammon. Ils se cou
la corne . d'Ammon. , 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. oriens ou couche des cellules polymorphes, par des extrémités non
laire, s'étend plus ou moins horizontalement dans l'épaisseur de la couche lacunaire, et s'y termine par une arborisation
us ou moins horizontales, dontles branches terminales atteignent la couche moléculaire. c) Stratum radiatum (fig. 352, R).
e de , Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, substance blanche. - B, couche des cellules polymorphes ou stratum oriens. - C,
anche. - B, couche des cellules polymorphes ou stratum oriens. - C, couche des cellules pyramidales. D, stratum radiatum. E,
u stratum lacunosum dont le cylindre-axe s'arborisc soit dans cette couche soit dans la couche moléculaire. STRUCTURE DE L
dont le cylindre-axe s'arborisc soit dans cette couche soit dans la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. i
ns la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. ili la couche des cellules pyramidales; il est presque exclusiv
mi les cellules, les unes représentent des éléments égarés des deux couches adjacentes : telles sont les cellules pyramidal
après Ramon y Cajal.) B, substance blanche. O, stratum oriens. P, couche des cellules pyramidales. /i, stratum radiatum.
s pyramidales. /i, stratum radiatum. - L, stratum lacunosum. - J)/, couche moléculaire. a, b, d, cellules de Golgi du stra
le du stratum lacunosum. m, n, deux petites cellules de Golgi de la couche moléculaire. 712 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
lgi de la couche moléculaire. 712 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche des cellules pyramidales (2 cou- che). - Ca
des cellules pyramidales (2 cou- che). - Caractères de cette couche dans la classe des mammifères. Caractères qui
tion étendue et vari- ' queuse, soit dans l'épaisseur même de cette couche (fig. 355, f), soit dans le slratumlacunosum(fi
uses parcourent de grandes distances; quelques-unes traver- sent la couche des cellules pyramidales et atteignent le stratum
, g, fig. 355, i) ou triangulaires. Leur cylindre-axe, destiné à la couche des cel- lules pyramidales, émet quelques colla
et entre dans la constitution du riche plexus peri-cellulaire de la couche des cellules pyramidales; quel- ques rares rami
ues rares ramifications terminales atteignent le stratum oriens. 2. Couche des cellules pyramidales (fig. 352, Py). - Cette
oriens. 2. Couche des cellules pyramidales (fig. 352, Py). - Cette couche correspond aux couches des petites et des grand
cellules pyramidales (fig. 352, Py). - Cette couche correspond aux couches des petites et des grandes cellules pyramidales d
midales de l'écorce typique. Chez le lapin, le cobaye, le rat, la couche des cellules pyramidales est épaisse, bien déli
la couche des cellules pyramidales est épaisse, bien délimitée des couches voisines et renferme trois ou quatre rangées de
pyramidales grandes et moyennes de l'écorce cérébrale typique. Les couches les plus supérieures contiennent les plus petit
s les plus volumineuses, cequi a amené Schiiffer à consi- dérer les couches supérieures, comme l'homologue- de la couche des
er à consi- dérer les couches supérieures, comme l'homologue- de la couche des petites cellules pyramidales de l'écorce ty
t lisse comme le corps de la cellule et traverse sans se diviser la couche des cellules pyramidales; une fois dans le stra
s (les rameaux de Golgi. ), qui peuvent atteindre les confins de la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. i
tratum oriens, et qui s'arborisent toutes dans l'épaisseur de cette couche (fig 356). Dans la région godronnée de la corne
godronnée de la corne d'Ammon. : 1, alvéus. B, stratum ariens. - C, couche des cellules pyramidales. D, stratum radiatum.
e de la corne d'Ammon, - provenant de la partie superficielle de la couche des cellules pyramidales. Enfant de vingt-deux
s dichotomisées, hérissées d'épines et atteignant la périphérie de la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 7
corne d'Am- mon et appartenant à la partie superfi- cielle de la couche des cellules pyra- midales. Foetus de mois. (De
ramifications protoplasmiques se dirigeant vers la périphérie de la couche moléculaire et hérissées de globules pro- top
fibres moussues provenant, des grains. (D'après Ramon yCajal.) A, couche moléculaire de la circonvolution godronnée. - B,
yCajal.) A, couche moléculaire de la circonvolution godronnée. - B, couche des grains. - C, couche moléculaire de la porti
ulaire de la circonvolution godronnée. - B, couche des grains. - C, couche moléculaire de la portion terminale de la corne d
'Ammon. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 717 1 3. Stratum oriens. Couche des cellules polymorphes. Cajal distingue dans
rites as- cendantes, plus variqueuses que les autres, traversent la couche des cel- lules pyramidales ainsi que le stratum
que le stratum, radiatum, et se terminent sans se ramifier dans la couche moléculaire. Leurs dendrites descendantes se diri
ais, qui divergent dans tous les sens, mais qui atteignent tous, la couche des cellules pyra- midales qu'ils parcourent ho
r Martinotli dans l'écorce cérébrale typique, il s'arborise dans la couche moléculaire au voisinage des fibres tangentiell
te disposition est relativement rare (Cajal) Stratum oriens I (3e couche ). j. z Zone inférieure. Sa zone plexiforme.
axe se détache de la partie supérieure de la cel- lule, traverse la couche des cellules pyramidales, puis se recourbe en arc
um, redescend en ligne droite et parallèlement a lui-même, clans la couche des cellules pyramidales, voire même dans le st
D, cellule de Golgi du stratum oriens à cylindre-axe horizontal. F, couche des cellules pyramidales avec son plexus nerveux
orizontales du stratum lacunosum. J, cellule fusiforme de Cajal de la couche moléculaire. - c, c, cylindres-axes. STRUCTUR
es, ainsi qu'Azoulay vient de le montrer récemment. En dedans de la couche épithéliale, elles peuvent présenter cinq ou si
le stratum oriens, puis il se coude pour traverser radiairement la couche des cellules pyramidales et la couche moléculaire
our traverser radiairement la couche des cellules pyramidales et la couche moléculaire dans lesquelles il s'arborise. Il n
ns lesquelles il s'arborise. Il ne s'insère pas sur les confins de la couche moléculaire, par un cône terminal comme dans le
se termine par des arborisations libres dans l'épaisseur même de la couche moléculaire (Cajal). De la face profonde de la ce
e la corne d'Ammon. intra-cortlcales qui occupent les différentes couches de la corne d'Ammon. 1° Alvéus (Substance blanc
la corne d'Ammon. 1° Alvéus (Substance blanche de la corne d'Ammon. Couche des fibres blanches du pilier postérieur du tri
postérieur du trigone). Golgi, Sala, Schüffer ont montré que cette couche est formée par les cylindres-axes des cellules py
tuées sous l'épendyme ventriculaire, où elles forment une véritable couche ; elles correspondent aux collatérales émises pa
es s'arborisent dans le stratum oricns; quelques-unes traversent la couche des cellules pyramidales et le stratum radiatum
radiatum et s'arborisent soit dans le stratum lacunosum, soit dans la couche moléculaire de la corne d'Ammon. Le cylindre-
rticales à direction plus ou moins tangentielle ; elles occupent la couche moléculaire, la couche des cellules pyramidales,
us ou moins tangentielle ; elles occupent la couche moléculaire, la couche des cellules pyramidales, le STRUCTURE DE L'ÉCO
s des régions godronnée et hippocampique de la corne d'Ammon. 1° La couche moléculaire possède il elle seule trois feutrages
lamina medullaris involuta s. circonvolula; située aux confins de la couche moléculaire, elle assure les connexions des ram
préparations traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, cette couche de fibres apparaît d'autant plus épaisse que l'on
3;4, a, et fig. 360, A); 3° des cellules étoilées autochtones de la couche moléculaire (Gg. 355, m, n). Les deux premières o
les fines ramifications du cylindre-axe des cellules de Golgi de la couche moléculaire se recou- vrent de myéline. b) Le
e d'Arnold du subiculum (fig. z0 et 351). Ces libres ne forment une couche indépendante que dans la région hip- pocampique
tout l'intervalle qui sépare les cellules pyramidales géantes de la couche des cellules polymorphes de la circonvolution go-
gion godronnée de la corne d'Ammon ; ces collatérales traversent la couche des cellules pyramidales et le stratum radiatum,
Fibres du stratum radiatum. Feutrage péri-ccl- lulairc de la couche des cellules pyrami- dales. 2. D'autres fib
collatérales et des cylindres-axes qui montent de l'alvéus. - 2° Couche des cellules pyramidales. Les corps des cellules
corce d'une circonvolution cérébrale, à texture simplifiée dans les couches pro- fondes et compliquée dans la couche superf
xture simplifiée dans les couches pro- fondes et compliquée dans la couche superficielle ou moléculaire. Tandis que dans l
uée dans la couche superficielle ou moléculaire. Tandis que dans la couche moléculaire de l'écore cérébrale typique, il n'ex
nales des cellules du type de Cajal et du type II de Golgi, dans la couche moléculaire de la corne d'Ammon, les arborisati
l du stratum oriens et les cellules à cylindre-axe arqué de la même couche associent entre eux les corps des cellules pyra
sente une petite circonvolution céré- brale avortée, adossée par sa couche moléculaire à la couche moléculaire É de la cor
olution céré- brale avortée, adossée par sa couche moléculaire à la couche moléculaire É de la corne d'Ammon, et disposée
lle en est séparée par une deuxième écorce, cérébrale possédant une couche molécu- laire, une couche de cellules pyramidal
deuxième écorce, cérébrale possédant une couche molécu- laire, une couche de cellules pyramidales et une couche de cellules
une couche molécu- laire, une couche de cellules pyramidales et une couche de cellules poly- morphes, écorce qui appartien
donc, en passant par le hile de la circonvolution godronnée, les 7 couches sui- vantes (fig. 353) : La circonvolu- tio
S NERVEUX. i La circonvolution odronnéc est for- mée de trois couches . Couche molécu- laire (1" couche). Cellules
i La circonvolution odronnéc est for- mée de trois couches. Couche molécu- laire (1" couche). Cellules de la cou
dronnéc est for- mée de trois couches. Couche molécu- laire (1" couche ). Cellules de la cou- che moléculaire. Orig
cou- che moléculaire. Origine des fihres tangentielles de la couche moléculaire. 1° Couche moléculaire adossée au n
Origine des fihres tangentielles de la couche moléculaire. 1° Couche moléculaire adossée au niveau du sillon de l'hi
Couche moléculaire adossée au niveau du sillon de l'hippocampe à la couche mo- ... léculaire de la région hippocampique de
. léculaire de la région hippocampique de la corne (l'Am\l1on. 2° Couche granuleuse (ou couche des cellules pyramidales
on hippocampique de la corne (l'Am\l1on. 2° Couche granuleuse (ou couche des cellules pyramidales modifiée). 3° Couche
uche granuleuse (ou couche des cellules pyramidales modifiée). 3° Couche des cellules polymorphes. S 4° Couche moléculai
pyramidales modifiée). 3° Couche des cellules polymorphes. S 4° Couche moléculaire. , B. Hégion godronnee de la 3° Cou
ymorphes. S 4° Couche moléculaire. , B. Hégion godronnee de la 3° Couche des cellules pyramidales géantes. corne d'Ammon
la 3° Couche des cellules pyramidales géantes. corne d'Ammon. f 6° Couche des cellules polymorphes. { 7° Alvéus. Nous a
nsensiblement au voisinage du pilier postérieur du trigone, avec la couche des cellules po- lymorphes de la circonvolution
olution godronnée. La circonvolution godronnée se compose des trois couches fondamen- tales que l'on rencontre dans la cort
ns la corticalité cérébrale et dans la corne d'Ammon, à savoir : la couche moléculaire, la couche granuleuse et la couche
rale et dans la corne d'Ammon, à savoir : la couche moléculaire, la couche granuleuse et la couche des cellules polymorphe
d'Ammon, à savoir : la couche moléculaire, la couche granuleuse et la couche des cellules polymorphes. 4° Couche moléculai
e, la couche granuleuse et la couche des cellules polymorphes. 4° Couche moléculaire. Cette couche, analogue à celle de mê
la couche des cellules polymorphes. 4° Couche moléculaire. Cette couche , analogue à celle de même nom de la corticalité
eur court cylindre-axe s'arborisent toutes dans l'épais- seur de la couche moléculaire (fig. 363, b). Les profondes sont tri
ntes, leur cylindre-axe s'ar- borise de même dans l'épaisseur de la couche moléculaire; leurs dendrites divergent; les plu
lumineuses traversent le stratum granulosum et se terminent dans la couche des cellules polymorphes. . Les fibres tangenti
a couche des cellules polymorphes. . Les fibres tangentielles de la couche moléculaire forment le stratum nz«rizzccle de f
s-axes des cellules du type Il de Golgi, cellules autochtones de la couche moléculaire (fig. 363, b). Collatérales du cyli
3, b). Collatérales du cylindre-axe des grains égarés de cette même couche (fig. 363, a). y Ramifications terminales des
amifications terminales des cellules à cylindre-axe ascendant de la couche des éléments polymorphes (fig. 363, c, f). STRU
s des cellules du type II de Golgi, dont les corps résident dans la couche des éléments polymorphes : Fis. 361 et 362. Sch
En réalité, ces deux colonnes sont adossées l'une à l'autre par leurs couches moléculaires, qui ne sont séparées l'une de l'a
de l'écorce de la région hippocampique de la corne d'Ammon. T, couche moléculaire compre- nant : le stratum molecular
(M), le stratum lacunosum (L) et le stra- ' ' tum radiatum (R). ? couche des cellules pyramidales (Py). - III, couche
tum radiatum (R). ? couche des cellules pyramidales (Py). - III, couche des cellules polymorphes (Pm) ou stratum oriens
i de deux écorces céré- brales superposées. Les trois pro- mières couches /, ? III appar- tiennent à la couche moléculair
sées. Les trois pro- mières couches /, ? III appar- tiennent à la couche moléculaire (M), àla couche granuleuse (Py) et
couches /, ? III appar- tiennent à la couche moléculaire (M), àla couche granuleuse (Py) et à la couche des céllules pol
t à la couche moléculaire (M), àla couche granuleuse (Py) et à la couche des céllules polymorphes (Pm) de la circonvolut
polymorphes (Pm) de la circonvolution godron- nee (Cg); les trois couches suivantes I,71,111 appartiennent à la couche
nee (Cg); les trois couches suivantes I,71,111 appartiennent à la couche moléculaire (111), iL la couche des cellules
antes I,71,111 appartiennent à la couche moléculaire (111), iL la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et à la
(111), iL la couche des cellules pyramidales géantes (Py) et à la couche des cellules polymor- phes (Pm) de la région go
dela circonvolution godronnée sont obligés de traverser les trois couches de la corne d'Ammon ( CA) . avant d'arriver à l
u cel- lules ovoïdes de la circonvolution godronnée traversent la couche des cellules polymorphes de la cir- convoluti
e des cellules polymorphes de la cir- convolution godronnée et la couche moléculaire de la corne d'Ammon. Ils se coude
. 1 726 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Stratum granulo- siim (2- couche ). Les grains de la circonvolution go- dronn
l'alvéus. Ces fibres, très difficiles à imprégner, n'arrivent à la couche moléculaire de la cir- convolution godronnée, q
é la région godronnée de la corne d'Ammon. 2° Stratum granulosum ( Couche des grains ou des celhues ovoïdes). - Le stratu
tement sur le corps cellulaire (fig. 364); les cellules ovoïdes des couches profondes du stratum granulosum peuvent toutefo
ye de huit jours. MuUtode - de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. - B, couche des grains. - C, zone pl
- de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. - B, couche des grains. - C, zone plexiforme de la couche des
ouche moléculaire. - B, couche des grains. - C, zone plexiforme de la couche des cel- lules polymorphes. - D, zone des cellu
- lules polymorphes. - D, zone des cellules irrégulières de la même couche . - a, grain égaré. - b, cellule iL cylindre-axe
autres cellules dont les expansions nerveuses s'arborisent dans la couche moléculaire. - h, cellule cylindre-aae court. i,
les variqueuses des cylindres-axes ascendants, s'arborisant dans la couche des grains par des terminaisons ren- flées. - 7
n- flées. - 7, n, bifurcation des cylindres-axes ascendants dans la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. ï
nervoso-protoplasmiqiies avec les fibres nerveuses terminales de la couche moléculaire. Par leur cylindre-axe, les cellule
es cellules est fin et dépourvu de gaine de myéline; il traverse la couche des cellules polymorphes de la cir- Cylindre-ax
Fie. 3gui. - Grain de la circonvolution godronnée au voisinage de la couche molécu- laire. Méthode rapide de Golgi. (Dessin
sucs des grains. Le cylindre -axe des grains pénètre dans la couche des cellules pyramidales géantes de la corne
rps des cellules poly- morphes. Après avoir traversé la troisième couche de la circonvolution godronnée, ces cylindres-a
dans la région godronnée de la corne d'Ammon dont ils traversent la couche moléculaire. Arrivés dans la couche des cellule
d'Ammon dont ils traversent la couche moléculaire. Arrivés dans la couche des cellules pyramidales géantes, ils se couden
e la corne d'Ammon. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. B, couche des grains. C, zone plexif
éthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire. B, couche des grains. C, zone plexiforme ou partie supérieu
B, couche des grains. C, zone plexiforme ou partie supérieure de la couche des cellules polymorphes. D, couche moléculaire d
orme ou partie supérieure de la couche des cellules polymorphes. D, couche moléculaire de la corne d'Ammon. E, couche des
cellules polymorphes. D, couche moléculaire de la corne d'Ammon. E, couche des petites cellules pyramidales de la corne d'Am
fibres moussues provenant des grains. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche moléculaire de la circonvolution godronnée. - B,
Cajal.) A, couche moléculaire de la circonvolution godronnée. - B, couche des grains. - C, couche moléculaire de la porti
ulaire de la circonvolution godronnée. - B, couche des grains. - C, couche moléculaire de la portion terminale de la corne d
née avec les cellules pyramidales géantes delacorne d'Ammon. Couche des cellules polymorphes (3° cou- che). Sa
es géantes de la région- godronnée de la corne d'Ammon. -' - - 3° Couche ! des cellules polymorphes. - Cette couche, analo
rne d'Ammon. -' - - 3° Couche ! des cellules polymorphes. - Cette couche , analogue ainsi due l'a indiqué Schâffer, à cel
est limitée en haut par le stratum granulosum et en bas par la couche molécu- laire de la région godron- née de la
n godron- née de la corne d'Am- mon. Cajal distingue dans cette couche trois ou quatre zones secondaires à savoir :
qui est en contact in- time avec le stratum gra- nulosum. . La couche des cellu- les polymorphes contient des cellu
moyenne. Elles correspondent aux cellules à cylindre-axe arqué de la couche des cellules polymorphes de la corne d'Ammon, d
ielle sont pyramidales ou étoilées, enclavées par leur base dans la couche des cellules polymorphes (fig. 367, a, b) ; leur
radiaire est volumineuse et lisse et remonte jusqu'aux confins de la couche moléculaire où elle s'arborise ; les dendrites
res. -c, c, cylindres-axes et leurs col- latérales descendantes.-A, couche moléculaire.. B, cou- che des grains. STRUCTU
e.. B, cou- che des grains. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. nI couche moléculaire de la circonvolution godronnée, devie
tement pyramidales ; leurs dendrites ne dépassent pas en général la couche des cellules polymorphes, leur cylindre-axe asc
e-axe ascendant traverse le stratum granulosum, se bifurque dans la couche moléculaire en branches horizontales, qui émetten
intergraczulaire. Elles entourent surtout les corps cellulaires des couches inférieures du stratum granulosum. Les cellules
elle, sont plus fréquentes dans les zones moyenne et profonde de la couche des cellules polymorphes. Ce sont des cellules ét
direction horizontale, et s'arborisent dans l'épaisseur même de la couche des cellules polymorphes. Les dendrites des cel
e de huit jours. Méthode de . Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) .l, couche moléculaire. - B, couche des grains. C, zone plex
de . Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) .l, couche moléculaire. - B, couche des grains. C, zone plexiforme de la couche des
couche moléculaire. - B, couche des grains. C, zone plexiforme de la couche des cellules polymorphes. D, zone des cellules
cellules polymorphes. D, zone des cellules irrègulières de la mème couche . a, grain égaré. - b, cellule à cylindre-axe co
autres cellules dont les expansions nerveuses s'arborisent dans la couche moléculaire. - h, cellule iL cylindre-axe court.
les variqueuses des cylindres-axes ascendants, s'arborisant dans la couche des grains par des extré- mités renflées. - n,
s renflées. - n, n, bifurcation des cylindres-axes ascendants dans la couche moléculaire. 732 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
cylindre-axe de ces cellules est en général épais ; il traverse la couche moléculaire et la couche des cellules pyrami- d
ules est en général épais ; il traverse la couche moléculaire et la couche des cellules pyrami- dales de la région godronn
ascendant et rétrograde, qui s'arborise autour des élé- ments de la couche des cellules polymorphes de la circonvolutiongodr
s du type II de Golgi 1Hg. 368, h) occupent toute l'épaisseur de la couche des cellules polymorphes; elles sont étoilées et
dendrites divergentes, dont quelques-unes gagnent les confins de la couche moléculaire de la circonvolution godronnée. Leu
sation terminale extrêmement riche et étendue, qui se perd clans la couche des cellules polymorphes; quelques branches tra
es traversent toutefois le stratum granulosum et se perdent dans la couche moléculaire de la circonvolution godronnée. C
iche et abondant chevelu et siègent de préférence aux confins de la couche moléculaire. Les cellules fusiformes, bien décr
-ci, par une extrémité recourbée et pourvue d'une nodosité. Dans la couche des cellules polymorphes et dans la région godr
er, Retzius, Calleja, etc. Les premiers auteurs connaissaient les couches stratifiées du bulbe olfactif, l'exis- tence de
crit dans le bulbe olfactif cinq cou- ches concentriques : 'Í. La couche des fibres nerveuses super- ficielles. 2. La
es : 'Í. La couche des fibres nerveuses super- ficielles. 2. La couche des glomérules olfactifs. 3. La couche molécula
super- ficielles. 2. La couche des glomérules olfactifs. 3. La couche moléculaire. 4. La couche des cellules mitrales
couche des glomérules olfactifs. 3. La couche moléculaire. 4. La couche des cellules mitrales. 5. La couche des grains
La couche moléculaire. 4. La couche des cellules mitrales. 5. La couche des grains et des fibres nerveuses profondes. 1
5. La couche des grains et des fibres nerveuses profondes. 1. La couche des fibres nerveuses superficielles est exclusive
cellules nerveuses périphériques (Voy. fig. a69 et p. 162). , 2" Couche des glomérules olfactifs. Les glomérules olfactif
lle de l'écorce (',énhrale pro1'oll1l0- ment modifiée. Les cinq couches du bulbe olfactif. Couche des libres nerveu
o1'oll1l0- ment modifiée. Les cinq couches du bulbe olfactif. Couche des libres nerveuses superfi- cielles. (1re c
be olfactif. Couche des libres nerveuses superfi- cielles. (1re couche .) Couche des glose- rules olfactifs (2° cou-
. Couche des libres nerveuses superfi- cielles. (1re couche.) Couche des glose- rules olfactifs (2° cou- che.) F
ent dans les glomérules par des arborisations libres (Cajal). Couche molécu- laire. (3e couche.) Couche des cel-
par des arborisations libres (Cajal). Couche molécu- laire. (3e couche .) Couche des cel- lules mitrales (-1 cou- c
orisations libres (Cajal). Couche molécu- laire. (3e couche.) Couche des cel- lules mitrales (-1 cou- che). Couc
e. (3e couche.) Couche des cel- lules mitrales (-1 cou- che). Couche des grains et des libres à myé- line. (5' cou
1 cou- che). Couche des grains et des libres à myé- line. (5' couche .) de 0mi",20 à omm,25 de diamètre, assez sembla
ives, mais il ne contient qu'une seule dendrite empanachée. 3° La couche moléculaire, d'aspect finement granuleux, est com
che moléculaire, d'aspect finement granuleux, est comprise entre la couche des glomérules et la couche des cellules mitrales
nement granuleux, est comprise entre la couche des glomérules et la couche des cellules mitrales; elle reçoit les dendrite
fusiformes, qui se comportent comme les cellules mitrales. 4° La couche des cellules mitrales renferme des cellules nerve
atérales, qui se détachent il angle droit et s'arbori- sent dans la couche moléculaire du trigone olfactif, et de la « racin
cylindre-axe, il se termine, ainsi que Calleja l'a montré, dans la couche moléculaire de la circonvolution de l'hippocampe,
ellules pyramidales de l'écorce de la circonvolution du crochet. : jo Couche des grains et des fibres à myéline. Cette couche
ion du crochet. : jo Couche des grains et des fibres à myéline. Cette couche com- prend une trame de fibres nerveuses à myél
longues, tantôt courtes. Elles tra-- versent perpendiculairement la couche des grains et celle des cellules mitrales, et s
iche arborisation vari- queuse et libre dans l'épaisseur même de la couche moléculaire. Le dense feutrage, formé par les d
ventail du bulbe olfactif et se continuent avec les faisceaux de la couche des grains, elles sont toujours superficielles,
terminent toutes, ainsi que Cajal et Callcja l'ont montré, dans la couche moléculaire de l'écorce de la circonvolution de l
orce de la circonvolution de l'hippocampe, sans jamais atteindre la couche des cellules pyramidales. Aucune fibre de la ra
fibre de la racine olfactive externe ne descend, en effet, dans les couches profondes (fib. 371). Le bulbe olfactif émet,
déposée par les fibres de la « racine » olfactive externe, dans la couche moléculaire de la circonvolution du crochet et
dont les dendrites périphé- riques actionnent à leur tour, dans la couche moléculaire du lobe olfactif, les dendrites bas
ionomie caractéristique. Calleja décrit au tubercule olfactif trois couches , ce sont : 1° La couche moléculaire ; 2° la couch
Calleja décrit au tubercule olfactif trois couches, ce sont : 1° La couche moléculaire ; 2° la couche des cellules pyra- m
olfactif trois couches, ce sont : 1° La couche moléculaire ; 2° la couche des cellules pyra- midales petites et moyennes;
2° la couche des cellules pyra- midales petites et moyennes; 3° la couche plexiforme ou des cellules poly- mOJ7J/Jes. 1
s; 3° la couche plexiforme ou des cellules poly- mOJ7J/Jes. 1" La couche moléculaire, tout à fait analogue à celle de l'éc
mifications terminales des cellules à cylindre- axe ascendant de la couche des cellules polymorphes, décrites par Martinotti
emblable- ment aux cellules pluripolaires du type de Cajal. 2° La couche des cellules pyramidales petites et moyennes comp
it l'im- pression olfactive. Tubercule ou tri- gone olfactif. Couches du tuber- cule olfactif. Couche molfku- lai
rcule ou tri- gone olfactif. Couches du tuber- cule olfactif. Couche molfku- laire (Ire couche). Couche des ccilu-
f. Couches du tuber- cule olfactif. Couche molfku- laire (Ire couche ). Couche des ccilu- les pyramidales (-" cou
s du tuber- cule olfactif. Couche molfku- laire (Ire couche). Couche des ccilu- les pyramidales (-" couche). 738
ku- laire (Ire couche). Couche des ccilu- les pyramidales (-" couche ). 738 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche pl
les pyramidales (-" couche). 738 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche plexiforme mu des ccllules poly- : norplies (3=
S NERVEUX. Couche plexiforme mu des ccllules poly- : norplies (3= couche ). Couche de sub- stance blanche (4' ' : ouc
Couche plexiforme mu des ccllules poly- : norplies (3= couche). Couche de sub- stance blanche (4' ' : ouche). Sept
, les autres affectent une forme ovoïde ou arrondie et occupent les couches profondes. Ils contiennent des cellules petites e
e en général au niveau des îlots. Leur fin cylindre-axe traverse la couche des cellules polymorphes et se continue avec une
antes et basilaires fortement épineuses, qui s'arbori- sent dans la couche moléculaire. Le cylindre-axe est épais, il traver
moléculaire. Le cylindre-axe est épais, il traverse obliquement la couche des cellules polymorphes et se continue avec une
es, qui proviennent probablement du bulbe olfactif (Calleja). 3° La couche plexiforme ou des cellules polymorphes, riche en
me les cellules pyramidales; leurs den- drites s'arborisent dans la couche moléculaire, leur cylindre-axe se con- tinue av
4° La substance blanche, simple condensation des faisceaux de la couche précédente, se continue profondément avec les fai
ielle de cette écorce rudimentaire. Elle est revêtue, non pas d'une couche épithéliale analogue à l'épendyme ventriculaire,
héliale analogue à l'épendyme ventriculaire, mais d'une véri- table couche de fibres tangentielles, couche mince, qui corres
ntriculaire, mais d'une véri- table couche de fibres tangentielles, couche mince, qui correspond au réseau d'Exner de la c
tangentielles, couche mince, qui correspond au réseau d'Exner de la couche moléculaire. Au-dessous de la couche de fibres ta
espond au réseau d'Exner de la couche moléculaire. Au-dessous de la couche de fibres tan- gentielles, on rencontre une cou
Au-dessous de la couche de fibres tan- gentielles, on rencontre une couche mince de cellules nerveuses, de forme pyramidal
ison du cylindre-axe de ces cellules n'estpas encore élucidé. Cette couche grise est plus épaisse au niveau de la partie i
u septum bordant le ventricule latéral, elle est constituée par une couche de fibres à myéline, recouverte de l'épendyme ven
gonale la substance perforée antérieure, se terminent, soit dans la couche grise de cette substance, soit dans l'extrémité a
c. de Biologie, 1894. Baillarger. Recherches sur la structure de la couche corticale des circonvolutions du cerveau. Paris,
- Du même. Stricker's Handbuch, 1871. MONAKOW (V.). Rôle des diverses couches de cellules ganglionnaires dans le gyrus sigmoï
destination ; Que les fibres du 'système d'association occupent les couches les plus périphériques dé la substance blanche;
t, et entrentainsi davantage encore en contact avec les différentes couches de l'écorce céré- brale (Cajal). 2° Les fibre
ui occupent la deuxième, la troisième et une partie de la quatrième couche . Cajal a même pu suivre des arborisations jusqu
ème couche. Cajal a même pu suivre des arborisations jusque dans la couche molécu- laire. Ces libres ne s'anastomosent jam
sont revêtues, ainsi que leurs branches principales, d'une épaisse couche de myéline, munies d'étran- glements annulaires
axes des cellules pyramidales non seulement par l'épaisseur de leur couche de myéline, mais surtout par leur trajet irrégu
t oblique ou horizontal, qui sillonnent la substance grise dans les couches moyennes et inférieures de l'écorce cérébrale.
pyramidales. J', cellules poly- morphes. - A, substance blanche. B, couche moléculaire. 748 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
apissent. Ces fibres en U forment au niveau du fond des sillons une couche assez épaisse; elles se colorent intensivement
guent que par leur situation sous-corticale. La face profonde de la couche des fibres en U est en rapport avec la masse bl
volutions de l'opercule sylvien; son angle supérieur se perd dans la couche des fibres avoisinantes. Mal délimité en dehors
r se porter dans le lobe temporal; il se confond en arrière avec la couche des fibres verticales de la convexité des régio
de Forci et Onufrowicz sur l'agénésie du corps calleux. raie, couche constituée par le faisceau occipital vertical (Ov
ssociation, mettant en connexion deux circonvolutions voisines; ses couches profondes, en particulier celles qui sont en rapp
vid) (fig. 378, 379, 380). Le lapetum au contraire, c'est-à-dire la couche de fibres qui tapisse la paroi externe des corn
Fore] et Onufrowicz. - ot, sillon collatéral. - Put, pulvinar de la couche optique. - Tg, corps du trigone. - Top, pilier
bord su- périeur du putamen, au niveau de la partie moyenne de la couche optique; ce faisceau ne s'identifierait donc pa
on choroïdien. - 7 ? a, pilier antérieur du trigone. Tle, thalamus ( couche optique). - 1'h(Va), partie de la couche optique
du trigone. Tle, thalamus (couche optique). - 1'h(Va), partie de la couche optique formant la paroi du troisième ventri- c
rt à ce système. Faisceau longitudinal inférieur (Burdach) (Fli). - Couches sagittales du lobe occipital (Wernicke). Stratu
occipital et étendu du pôle occipital au pôle temporal. Il forme la couche externe des fibres sagittales du lobe occipito-te
s qu'il se réduit, au niveau de l'ergot de Morand, à une très mince couche de fibres, décelable seulement au microscope.
ble seulement au microscope. Sa face concave est en rapport avec la couche des fibres de projection du lobe <c ? ? o/'o
u lobe <c ? ? o/'o-oc< ? <7/, connue encore sous les noms de couche sagittale interne, de radiations thalamiques, e
. Il résulte de cette disposition, que ce faisceau ne se dispose en couche net- tement distincte, que dans les régions sit
rs FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ï71 t supérieur de la couche optique. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturel
e Monro. mp, sillon marginal postérieur. .Va, noyau antérieur de la couche optique. - NC, noyau caudé. - VC', queue du noyau
noyau caudé. - VC', queue du noyau caudé. z Ne, noyau externe de la couche optique. NL-2, ,VL3. deuxième et troisième segmen
ire de la corne occipitale. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - strz, stratum zonale. - 1 ? Vs, prem
lier antérieur du trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique (thalamus). tlh, toenia thalami. - V, rub
aux circonvolutions de ce lobe de nombreuses fibres. Les fibres des couches inférieures se rendent dans la circonvolution de
stitution de la capsule externe, dont elles concourent à former les couches les plus inférieures. Ces fibres, qui ne dépass
lés externe et interne, et dans les noyaux externe et interne de la couche optique. Les plus antérieurs de ces fascicules on
rieur ne serait formé que de fibres de projection. Pour Sachs, la couche de fibres que cet auteur désigne sous le nom de
des fibres de pro- jection, destinées aux centres infra-corticaux, ( couche optique, corps genouillé externe, globus pallid
nsversale de l'hémisphère droit passant par la partie moyenne de la couche optique, le noyau rouge et le pédoncule cérébral.
ia tecta. - Tg, trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique (thalamus). tilt, taenia thalami. Tp, c
es qui de l'écorce occipitale se rendent dans le tapetum et dans la couche des radia- tions thalamiques. Nous croyons qu'i
sceau, et que la plupart des fibres que l'on voit se détacher de la couche sagittale du lobe occipito-temporal pour s'irradi
370). Cette couronne rayonnante du lobe temporal est destinée à la couche optique, au corps genouillé interne, au pulvinar,
les fibres temporales destinées au pulvinar, au noyau externe de la couche optique, etc., traversent de même le faisceau lon
ie du corps genouillé interne qui est profondément enclavée dans la couche optique. Il en est de même des fibres temporale
dans et en haut vers le pulvinar. Le pédoncule illféro-inteme de la couche optique de Meynert, - dont les libres passent p
segment antérieur de la capsule interne (pédoncule antérieur de la couche optique). - Cip, segment postérieur de la capsu
ION ET COMMISSU 11 AUX. ï0 (voy. fig. : 388\ on ne retrouve dans la couche sagittale du lobe temporo- occipital les différ
re chez l'homme; il ne semble exister, de prime abord, qu'une seule couche sagittale (RTh, fig. 388) correspondant à la fusi
Th, fig. 388) correspondant à la fusion des radiations thalamiques ( couche sagittale interne) et du faisceau longitudinal in
s (couche sagittale interne) et du faisceau longitudinal inférieur ( couche sagittale externe), et formée de fibres serrées,
inant les choses de plus près, on constate qu'il existe entre cette couche de fibres fortement colorées par l'hématoxyline e
au occipilo-vertical de Wernicke (voy. fib. 388, Ov) une très mince couche de fibres fines, peu colorées par l'hématoxylin
aces interne et externe; de là il se porte en avant, et entoure d'une couche mince, mais complète, l'épaisse couche des radi
e en avant, et entoure d'une couche mince, mais complète, l'épaisse couche des radiations thalamiques. Sur les coupes inté
us-jacente et en particulier dans les cas de lésions en foyer de la couche sagittale du lobe tcmporo-occipital, on voit qu
-78t Le stratum calcarinum (fig. 290 et 389, strK) est une épaisse couche de fibres verticales, qui double l'écorce de l'
rne du cunéus à la face inféro-in- - terne du lobule lingual. Cette couche de fibres verticales s'étend du pôle occipital
au postérieur du cingulum. Elle repré- sente en d'autres termes, la couche des fibres en U de la scissure calcarine. Briss
rine, traverser perpendiculairement ou plus ou moins obliquement la couche des fibres en U, puis les faisceaux d'association
isceaux d'association plus ou moins longs, et concourir à former la couche des fibres de projection, dont la situa- tion e
les fibres d'association plus ou moins longues, avant d'arriver la couche des fibres sagittales du lobe occipital. Le fai
389) stratum proprium convexitatis de Sachs, constitue une épaisse couche de fibres propres au lobe occipital et qui relie
le lobule fusiforme. Très épaisse dans la région occipitale, cette couche s'amincit en avant; elle est toutefois facile à c
sième circonvolutions temporales et recouvre profondément la mince' couche des fibres propres du sillon parallèle. En arri
du lobule lingual. Grâce à ces nombreux entre-croise- ments, cette couche de fibres verticales est mal délimitée en dehors,
aisceau (fig. 394) (Voy. Th. de Vialet, Obs. III). Outre ces quatre couches de fibres propres au lobe occipital, Sachs dé-
s de fibres propres au lobe occipital, Sachs dé- crit une cinquième couche de oourtes fibres d'association propresau cunéus,
arinum : elles prennent leur origine comme celles de cette dernière couche et comme celles du faisceau transverse du cunéu
cipitale du ventricule latéral. 78t ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche des libres propres des circon- volutions de f
e de l'hémi- sphère. Fibres d'associa- tiou lu IoVc l'routal. Couche des fibres propres des circonvolutions de la face
opres des circonvolutions de la face interne de l'hémisphère. - Une couche de fibres verticales, analogues aux fibres prop
nent autou des scissures calloso-marginale et sous-pariétale. Cette couche de fibres s'étend du cunéus au pôle frontal, et
de l'hémisphère; grâce à la direction oblique de ses libres, cette couche apparaît foncée sur les coupes vertico-transversa
rsales microscopiques (p. 528 lig. 281 à 287 et 387). C'est cette couche de fibres propres des circonvolutions de la face
al au cunéus, voire même au lobule lingual. Appliquer en outre à la couche des courtes fibres d'association des circonvolu
rons donc le terme de forai ? au trigone cérébral et désignerons la couche de fibres d'association dont il est question ici,
he de fibres d'association dont il est question ici, sous le nom de couche des fibres propres des circonvolutions de la face
occipital. La corne occipitale, autour de laquelle se groupent les couches sagittales et les différentes couches des court
r de laquelle se groupent les couches sagittales et les différentes couches des courtes fibres d'association, se prolonge en
Sge) qui double la corne frontale (Vf) en avant, une disposition en couche annulaire, très analogue d'aspect, quoique beau
nne rayonnante du lobe frontal (CR). Ces fibres se disposent en une couche épaisse en dehors, en haut et en bas, et mince en
a première circonvolution limbique (fig. 390). Cette disposition en couches sagittales ne se retrouve pas sur les coupes ho
est autour des fibres de la couronne rayonnante que se groupent les couches des fibres d'association propres au lobe frontal
tales. Mais ces courtes fibres d'association ne se disposent pas en couches compactes comme dans le lobe occipital - elles
de la région. En avant de la substance grise sous-épendymaire, les couches de fibres 1... différenciées perdent rapidement
t au-dessous du genou du corps calleux, par la partie moyenne de la couche optique et les deux segments du noyau lenticulair
é et s'y irradier, quelques . rares fascicules traversent seuls les couches les plus superficielles de ce noyau. , Les ra
me circonvolution frontale (off. quelques fibres proviendraient des couches les plus inférieures de la capsule externe (Ce) (
fibres de la couronne rayonnante, elles sont séparées en effet des couches inférieures du segment antérieur de la capsule
sillon sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temporale. - Th, couche optique. - 7'ltt, pilier antérieur du trigone.
à l'autre, dans toute l'étendue de la corne occipi- ? tale, par une couche continue de libres qui tapisse les parois interne
et de projection non encore différenciées, elles n'apparaissent en couche annulaire distincte qu'au voisinage immédiat de l
cavité ventri- ' culaire. Elles entourent la corne occipitale d'une couche mince et régulière . (Tap) fig. 290, p. 560), q
la substance grise sous-épendymaire, et qui est recouverte par les couches concentriques des radiations thalamiques (RTh) et
ur (Fli). Sur les coupes vertico-transversales, les fibres de cette couche annulaire se trouvent toutes sectionnées plus o
fusiforme affectent une direction sagittale. Les fibres de la mince couche qui tapisse l'ergot de Morand proviennent des d
- nent vers la paroi externe du ventricule, traversent les épaisses couches de fibres du faisceau longitudinal inférieur (F
nant, vers l'angle supérieur de la corne occipitale, traversent les couches des faisceaux d'association et de projection, p
rayonnant vers l'angle externe du ventricule latéral, traversent les couches des libres d'association, des fibres de project
tapetum. Ce terme date de Reil, qui comprenait sous ce nom la mince couche de fibres d'aspect triangulaire, qui tapisse la
la paroi supéro-externe des cornes sphénoïdale et occipitale; cette couche se continuait en haut avec la partie^ postérieure
le. Burdach, au contraire, ne désigne sous le nom de tapetum que la couche de fibres qui tapisse la paroi supéro-externe d
ne des fibres dégénérées, et aborder soit le forceps major, soit la couche des radiations thalamiques. Si la lésion est pl
rC, precuneus. so, sillon sus-orbitaire de Broca. Th, tha- lamus ( couche optique). 798 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. L
/t, pied de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule inférieur de la couche optique. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. RC
e moyenne de la commissure antérieure, les fibres sont disposées en couches parallèles régulièrement superposées; elles ne s'
contingent principal des fibres du pédon- cule inféro-interne de la couche optique (PiTh) (Voy. i. II). Recouverte par l'é
de projection et en parti- culier au pédoncule inféro-interne de la couche optique. De toute l'étendue de la capsule exter
2 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ement chez les poissons où l'écorce cérébrale se réduit à une mince couche épithéliale, mais encore chez les reptiles et les
e pédonculaire. FIBIIES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 3 la couche optique, les corps genouillés, les tubercules qua
itue un faisceau volu- mineux, dont les fibres se disposent en deux couches parallèles. La couche externe, la plus importan
mineux, dont les fibres se disposent en deux couches parallèles. La couche externe, la plus importante et la plus épaisse, e
les qui la limitent et se continue insensiblement en dedans avec la couche interne. Celle-ci con- ticnt des libres plus pâ
scicules très lâches , etla différence de coloration entre ces deux couches tient peut-être moins à la finesse qu'à la moin
'à la moindre abondance de ces fibres (Fig. 4). La dis- tinclion en couches externe et interne est très nette sur les coupes
sillon sus-orbitaire. - T,, première circonvolution temporale. - Th, couche optique. - ï'.7n, pilier antérieur du trigone.
- Le segment antérieur de la couronne rayonnante, son pied, ses deux couches sagittales et le faisceau occipito-frontal vus
pied du segment antérieur ou frontal de la couronne rayonnante; ses couches sagittales interne (fSgi) et externe l/Sge). OF,
. \'C, noyau caudé. \~l ventricule latéral. Sa division en deux couches sagittales. 8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. S
ère du genou, au niveau du pied de la couronne rayonnante, les deux couches se fusionnent en une couche unique oblique en b
ed de la couronne rayonnante, les deux couches se fusionnent en une couche unique oblique en bas et en dedans, qui se cont
passe dans le lobe temporo-occipilal, on pourrait désigner ces deux couches sous les noms de couche sagittale interne (fSgi
o-occipilal, on pourrait désigner ces deux couches sous les noms de couche sagittale interne (fSgi) et de couche sagittale e
deux couches sous les noms de couche sagittale interne (fSgi) et de couche sagittale externe (fSge) du lobe frontal (Fig.
FiG. 5. - Le segment antérieur de la couronne rayonnante et ses deux couches sagit- tales vus sur une coupe vertico-transver
. 9 rieur de la couronne rayonnante se présente sous l'aspect d'une couche coudée, dont l'angle saillant correspond à la p
capsule interne que sur des plans plus postérieurs. Les fibres des couches sagittales du lobe frontal ne se rendent pas to
ur de la capsule interne. Un petit nombre, appartenant surtout à la couche sagittale interne, prennent la voie du faisceau
ale et temporo-pariétale. Son origine. Sa disposition en deux couches sagit- tales. partie moyenne de l'hémisphère,
ond de la scissure calcarine n'étant tapissé que par une très mince couche de fibres appréciable seulement au microscope.
segment postérieur de la couronne rayonnante se dis- posent en deux couches sagittales : l'une externe, fortement colorée par
sse de ses fibres. Nous avons étudié dans le tome 1er, page 765, la couche sagittale externe du lobe occipito-temporal sou
projection destinées aux ganglions infra-corticaux. Les fibres de la couche sagittale interne (RTh) appartiennent toutes, p
itale et dans la partie postérieure du carrefour ventriculaire, les couches sagittales externe et interne constituent deux
FiG. 8. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante et ses deux couches sagit- tales externe et interne dans la région
laire. - Fbi, faisceau basai interne ou partie inféro-interne de la couche sagittale externe du segment postérieur de la cou
e la couronne rayon- nante. Fli, faisceau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment postérieur de la c
adiations calleuses.- It1'Ie, radia- tions thalamiques. - Sge, Sgi, couches sagittales externe et interne du segment postérie
. - Fc, fasciola cinerea. - Fli, faisceau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment postérieur de la cou
ronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION DE LËCORCE CEREBRALE. 15 couches nettement distinctes, traversées par les fibres c
e et dans la partie antérieure du carrefour ventriculaire, ces deux couches fusionnent en une seule (Fig. 10). Les fibres d
s fusionnent en une seule (Fig. 10). Les fibres de projection de la couche sagittale externe s'enchevêtrent avec celles de
ion de la couche sagittale externe s'enchevêtrent avec celles de la couche sagittale interne, s'infléchissent en dedans et e
segment rétrolenticulaire de la capsule interne. La fusion des deux couches sagittales est en outre complétée par les nom-
icules onduleux fortement colorés par la laque hématoxylinique, les couches sagittales du segment postérieur de la couronne r
terne de la corne sphénoïdale (Vsph) (Fig. 7). Elles font suite aux couches sagittales externe et interne du lobe occipital,
du tri- gone. TgV, carrefour ventriculaire. Fusion de ces deux couches au voisinage du pied do la cou- ronno rayonna
Fc. 10. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante, ses deux couches sagit- tales externe et interne et leur continu
sillon marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche optique. - SC, noyau caudé. - \'C', queue du no
oyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - Se, noyau externe de la couche optique. - VL2, VL3, deuxième et troisième segm
de la corne occi- pitale. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. sl),z, stratum zonale de la couche opt
tra-ventriculaire de la couche optique. sl),z, stratum zonale de la couche optique. - 1 ? 7 ? première et deuxième circonvol
lier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche op- tique (thalamus). - llh, taenia llialami. -
de Sylvius, - SR, substance réticulée. - slrz, stratum zonale de la couche optique. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - U
rc dc la capsule interne. - cm, sillon calloso- marginal. - CSgl, couches sagittales du segment posté- rieur de la cour
sillon calloso-marginal. - CR, couronne rayonnante et les deux couches sagittales de son segment antérieur ou lronta
ourbe. l'ul, pu I vin ar. RTh, radia- lions thalamiques. - Sge, couche sagittale externe; Sgi, couche sagiltale in-
radia- lions thalamiques. - Sge, couche sagittale externe; Sgi, couche sagiltale in- terne du segment posté- rieur d
f4, sillon crn- cial. - Fli, faisceau longi- tudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment postérieur de la
qun- drijumeauantérieur, - / ! 7'/t, radiations thal;uuiyucs ou couche sagittale interne du segment postérieur de la
r" sillon crucial. - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment postérieur de la
diations olfactives pro- fondes. - RTh. Radiations thalamiqucs ou couche sa- gittale interne du segment postérieur de
(Cia) et postérieur (Cip) à la façon d'un coin et de la forme de la couche optique dont le pulvinar refoule le segment rét
apsule interne en deux régions, l'une supérieure en rapport avec la couche optique région thalamique de la capsule interne
segment antérieur ou frontal de la couronne rayonnante. - CSgt, les couches sagittales du segment postérieur de la couronne
noyau lenticulaire, et convergent vers l'extrémité antérieure de la couche optique dans laquelle elles s'irradient. Les mo
ur; Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne r
i sectionnent le tronc du noyau caudé ou la partie supérieure de la couche optique, les segments antérieur (Cia) et postér
itudi- nales, et pénètrent toutes dans l'extrémité antérieure de la couche optique en constituant les fibres radiées. Sur
es radiées. Sur les coupes qui intéressent le tiers inférieur de la couche optique (Fig. 22), l'on voit à découvert l'extrém
sillon marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche optique. - NC, tète du noyau caudé. - \'C' queu
noyau caudé. - \'C' queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la couche optique
. - Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la couche optique. -VLj, deuxième segment du noyau lenticul
me segment du noyau lenticulaire (putamen). - Vm, centre médian de la couche optique. - PaTh, pédoncule antérieur de la couc
ntre médian de la couche optique. - PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique. - pCR, pied de la couronne rayonnante.
lon opto- strié. - Sl, septum lucidum. - slm, stratum zonale. - Th, couche optique. - T,, première circonvolution temporal
is segments du noyau lenticulaire. J'a Th , pédoncule antérieur de la couche optique. - Tga, pilier antérieur du trigone. 7'
c, toenia tecta. - 1'oa, pilier antérieur du trigone. - Th, thalamus ( couche optique). - U, circonvolution du crochet. - l'l
oyenne et postérieure, les corps genouillés externe et interne, les couches sagittales du seg- ment inférieur de la couronn
? pied de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la couche optique. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule quad
eur du putamen (NLj), puis descen- dent entre la face externe de la couche optique (Th) et les trois segments du noyau len
ur les coupes horizontales qui passent par le tiers supérieur de la couche optique (Fig. 13, 20), sont très accusées sur cel
millaire. l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; ses couches superficielle (1), moyenne (2) et profonde (3).
t. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius». - Th, tlialamus, couche optique. - l'ol, tubercule ou trigone olfactif. -
tion frontale ascendante. Fli, fais- ceau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment inférieur de la cour
lvinar (Pul) par sa face externe. Ces fascicules ne forment pas une couche continue, mais sont dissociés par les nom- breu
de ses fibres; sur les coupes passant par le tiers inférieur de la couche optique et la région sous-thalamique (Fig. 24),
du segment sous- leiitictilaire de la capsule interne. Ses deux couches . 42 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Faisceau
tion du segment sous-lenticulaire de la capsule interne et ses deux couches formées par le faisceau de Turck et le faisceau
) et le corps genouillé externe (Cge) et sa continuation avec les couches sagittales (CSgt) du segment postérieur delà cou-
CR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la couche optique. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur
Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - CSgt. les couches sagittales du segment inférieur de la couronne
gment sous-len- ticulaire de la capsule interne et se dédoublent en couches sagittales interne (Sgi) ou radia- tions thalam
couches sagittales interne (Sgi) ou radia- tions thalamiques et en couche sagittale et externe (Sle) ou faisceau longitudin
aiscerlU rétroflexe de Meynert. - 1·'T faisceau de Turck formant la couche supérieure du segment sous-lenticulaire de la c
édonculaire (VI'). - fTlk, faisceau temporo-thalamique d'Arnold, ou couche inférieure du segment sous-lenticulaire de la cap
ent sous-lenticulaire de la capsule interne du (Cisl) comprend deux couches de fibres superposées et de direction différent
-transversales et sagittales de la région (Fig. 29, 30 et 281) : la couche supérieure comprend les fibres du faisceau de Tur
e rayonnante jusqu'au pied du pédoncule cérébral (Fig. 29 et 7). La couche inférieure est con- stituée par le faisceau tem
ire de la capsule interne. - coa, commissure antérieure - CSgt, les couches sagittales du segment inférieur de la couronne ra
rémité antérieure de la corne sphénoïdale et sa continuation avec les couches sagittales du segment inférieur de la couronne
e la corne sphénoldale. - h'li, faisceau longitudinal postérieur ou couche sagittale externe du segment inférieur de la co
adiations de ta calotte. 7 ? ruban de Reil médian; 7 ? région de la couche optique située immé- diatement en avant du corp
terne dans laquelle il s'irradie. - RTIe, radiations thalamiques ou couche sagittale interne du segment inférieur de la cour
faisceau temporo-thalamique ne relie donc pas le pôle temporal à la couche optique. L'étude des dégénérescences secon- dai
, se dirigent vers le locus niger et forment dans leur ensemble une couche de lâches fascicules séparés par de la substanc
grise et connue sous le nom de stratum inter- medium (Meynert), de couche dorsale du pied du pédoncule cérébral (Flechsig
s, elles rentrent dans Fig. 35. - Le pied du pédoncule cérébral, sa couche intermédiaire ou profonde, et le pes lemniscus
culaire, ses fibres horizontales et les fascicules dissociées de sa couche profonde. - 171 ? valvule de \'ieussens. - l ? qu
ant ainsi une dégénérescence du faisceau interne, au moins dans ses couches superficielles. Cette disposition si spéciale ne
radiations du noyau rouge. 1. radiations thalamiques. Le thalamus ( couche optique) esl, de tous les centres ganglionnaire
u expérimentale retentit toujours, quel qu'en soit le siège, sur la couche optique. Ces fibres, dites radiations de la cou
siège, sur la couche optique. Ces fibres, dites radiations de la couche optique, radiations thalamiques , fibres cortic
59 Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne
e et à la capsule interne, et convergent vers la face externe de la couche optique. Elles se séparent, à ce niveau, du reste
achent un grand nombre de petits fascicules qui s'irradient dans la couche optique et forment les fibres radiées (Fig. 41).
nom dopé- doncules antérieur, moyen, postérieur cl inférieur de la couche optique. Ils correspondent aux segments de même
nces secondaires (voy. p. 90 et suiv.), une région déterminée de la couche optique. Les lésions du lobe frontal entraînent u
ue territoire cor- tical correspond une région déterminée de la couche optique. 60 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fib
Elles relient le lobe frontal à l'extré- mité antérieure do la couche optique. Présentent un tra- jet sagittal mtra
e du noyau externe du thalamus, et la zone dégénérée occupe dans la couche optique une région qui correspond très exacteme
nn), p. 137, Fig. 12 à 136) sur la partie ventrale et externe de la couche optique. 1. Fibres cortico-thalamiques antérieu
s. - (Radiations thalamiques antérieures, pédoncule antérieur de la couche optique) PaTh, Fig. 3, 14, 20 à 23, 41, 12, 43.
uis pénètrent dans toute la hauteur de l'extrémité antérieure de la couche optique. Après avoir formé la zone grillagée (Z
(Lmi), et peuvent être suivies dans les deux tiers antérieurs de la couche optique jusqu'au plan vertico-transversal qui p
djacente du tronc encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faiscea
ions thalamiques moyennes ou supérieures, pédoncule supérieur de la couche optique.) (Fig. 7, 26.) Les fibres cortico-thal
co-protubérantielles et cortico-médullaires, ces fibres abordent la couche optique par toute la hauteur et toute l'étendue
quoi, sur les coupes horizontales (Fig. 41), le noyau externe de la couche optique est tacheté par de gros fascicules sect
NTRES NERVEUX. Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - si, sillon opto-strié. - strz, strat
trigone. - l'gp(Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). - 1'le, couche optique (thala- mus). - nI, trou de Monro. - tl
a partie adjacente du lobe pariétal à l'extrémité postérieure de la couche optique, en particulier au pulvinar (Pul). Elle
cas Le Seguillon, Fig. 129 à 133.) Elles font partie intégrante des couches sagittales du segment postérieur de la couronne
segment postérieur de la couronne rayonnante (en particulier de la couche sagittale interne) et du segment rétrolenticula
rtico-thalamiques inférieures relient le lobe occipilo. temporal la couche optique. Les unes, très nombreuses, se rendent '
dent ' ! ans le pulvinar et dans la partie ventrale adjacente de la couche optique. Le : TOME II. 5 Fibres eortico-tlta-
interne du thalamus, forment le pédoncule inféro-interne de la couche optique et passent par la sub- stance innomin
du thalamus de Meynert, et abordent la partie antéro-inlerne de la couche optique. 1. Les fibres destinées au pulvinar (F
le in- féro-interne du thalamus (Pith) et son irradiation dans la couche optique; l'anse lenticulaire (Al), sa continuat
S DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. G7 semblent faire suite à la couche sagittale interne du lobe temporal. (RTh, Fig.
entri- cule (Fig. 43), les libres du pédoncule inféro-interne de la couche optique se recourbent en arrière et en dedans,
rradient en éven- tail dans l'extrémité antérieure et interne de la couche optique; elles affectent un trajet sagittal, cr
enticulaire de Reichert (Fig. 46) le pédoncule inféro-interne de la couche optique est croisé par les radiations olfactive
gauche, Fig. 93) qu'elles occupent dans le segment postérieur de la couche rayonnante à peu près la hau- teur de la deuxiè
er antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique. 3, troisième ventricule. - VA, faiscea
e quadrijumeau antérieur (BrQa), et s'irradient finalement dans les couches superficielle et moyenne du tubercule quadrijum
corps genouillé externe, restent pro- fondes et s'irradient dans la couche moyenne du tubercule quadrijumeau antérieur (RQ
e. T,, première circonvolution temporale. - Te, tuber cinereum. Th, couche optique. Tm, tubercule mamillaire. - '3, troisi
ouillé interne (RCgi) abordent à ce niveau la partie ventrale de la couche optique, entre le pulvinar et le noyau externe,
partie du corps genouillé interne, profon- dément enclavée dans la couche optique (Fig. 47 et 48). Elles persistent intac
g- ment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Elles abordent la couche optique au-dessus des radiations du corps genou
qu'alors, que If pied du pédoncule cérébral ne contient, ni dans sa couche périphérique, ni dans le stratum intermedium, d
et le segment postérieur de la capsule interne, s'irradient dans la couche optique et forment à elles seules l'étage inférie
noyau rouge. - Il pul- vinar. - RsTh, région sous-thalamique. - Th, couche optique. - Qa, tubercule quadriju- meau antérie
intéressant l'écorce grise avec intégrité des corps striés et des couches optiques. Ainsi se trouva donc posé le problème
leur constituaient une véritable couronne rayonnante (Fia.. 50). La couche optique recevait Fie. 50. - Les connexions des
orps calleux. - CE, capsule externe. - CI, capsule interne, - CO, couche optique. - FC, fibres pédoncu- laires destinées
iculaire qui se jettent dans le lobe sphénoïdaL- FT, fibres de la couche optique qui vont il la corticalité cérébrale.
rh" l'h3 (coupes 2 et 3), une fibre protubérantielle qui occupe la couche superficielle du pédoncule cérébelleux moyen ga
ngitudinales de la protubérance et se continue avec une fibre de la couche profonde du pédoncule cérébelleux moyen gauche.
lbaire et pénètre dans le cordon postérieur droit. - fb', fibre des couches profondes du corps restiforme droit qui entre e
rdre constitué par les nerfs périphériques cérébro-rachidiens. La couche optique et les tubercules quadrijumeaux envoyaien
ocus niger de Meynert) (SS,Fig. 51, coupe 1), elles occupaient la couche profonde ou stratum intermedium des parties in-
ale du pied du pédon- cule cérébral. a, le faisceau externe de la couche inférieure du pied du pédoncule cérébral (faiscea
culier du facial et de l'hypoglosse. - c, le faisceau interne de la couche inférieure du pied du pédoncule cérébral (fibres
du noyau caudé) non encore myélinisé. - d, la partie interne de la couche supérieure ou dor- sale du pied du pédoncule cé
du noyau caudé) non encore myélinisée. - b, la partie externe de la couche supérieure ou dorsale du pied du pédoncule céré
. - La constitution du pied du pédoncule d'après Flechsig. La couche ven- trale. Son contingent cortical. Son
trale. Son contingent cortical. Son contingent strié. La couche dorsale. Son contingent strié. Flechsig, da
et divise chez le nouveau-né le pied du pédoncule céi ébral en deux couches , l'une ventrale inférieure ou périphérique, l'aut
trale inférieure ou périphérique, l'autre dorsale ou supérieure. La couche ventrale comprend quatre faisceaux (Fig. 53) : .
e inférieure du pédoncule et occupent alors la partie interne de la couche dorsale ou profonde; elles aboutissent finaleme
es. c) Quant aux fibres du noyau lenticulaire, les unes occupent la couche dorsale, les autres se rendent dans la couche v
les unes occupent la couche dorsale, les autres se rendent dans la couche ventrale et sont situées entre le faisceau des ne
faisceau strio-protubéranliel (Slrei- feiilingel-Brückenbahn). La couche dorsale du pied du pédoncule cérébral est située
midal, un faisceau cortico-protubérantiel pos- térieur et, dans les couches internes et profondes du pied du pédoncule des fi
et le pli courbe envoient de nombreuses fibres de projection dans la couche optique, et les faits que nous rapportons dans
des fibres de projection, et qu'il participe à la constitution des couches sagittales du lobe occipito-temporal et du segmen
de la pyramide anté- rieure du bulbe (Py), atrophie indirecte de la couche interolivaire (im(a) et hémia- trophie en masse
mitif cortical et se réduira Fig. 59, - Cas Pichepin. fragments des couches interolivaires du côté sain et du côté atrophié
ment rétro-lenticulaire de la capsule interne et dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur de la couronne r
es corticaux déterminés : tels sont les deux tiers supérieurs de la couche optique, (en particulier le pulvinar, les noyau
iétal, la lésion atteint l'épendyme ventriculaire e et sectionne la couche sagittale et que c'est par cette couche que passe
riculaire e et sectionne la couche sagittale et que c'est par cette couche que passent les fibres de projection de la régi
gauche dans tous ses diamètres et une atrophie très prononcée de la couche optique, ainsi qu'une réduction de volume très ne
ig. Gi à 70 et 78). En d'autres termes, toutes les connexions de la couche optique avec la corticalité cérébrale étaient d
ne et interne, du bras du tubercule quadrijumeau antérieur et de la couche superficielle du tubercule quadrijumeau antérieur
Pradel. Dégénérescence totale de la pyramide gauche. Atrophie de la couche inter-olivaire gauche. Atrophie en masse de la mo
x contrastaient singulièrement avec l'atro- phie considérable de la couche optique. Si ce cas nous renseigne parfaitement
unicante postérieure (jaune) irrigue l'extrémité an- térieure de la couche optique et de la région sous-optique. FIBRES DE
nom de radiations optiques de Gratiolet (RTh) et occupent, dans la couche sagittale interne du lobe occipiLo-Lemporal, à
nférieur (Fli). Les fibres dégénérées de ce faisceau passent par la couche sagittale externe du lobe temporo- occipital et
yme du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau les couches sagittales (en particulier le faisceau longitud
ès intense du segment postérieur de la couronne rayonnante dans les couches sagittales qui tapissent la paroi inférieure et
rieur (BrQa) (Fig. 81 il 83). D'autre part elle se poursuit dans la couche sagittale externe (faisceau longitudinal inféri
nérescence. - On constate néanmoins une dégénérescence très nette des couches sagittales (radiations thalamiques (RTh) et fai
des scissures calca- rine et collatérale. Dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur de la couron
l), du corps ge- nouillé externe (Cge), du bras (BrQa) et de la couche de fibres superficielles du tu- bercule quadr
s en avant une ligne verticale rasant l'extrémité postérieure de la couche optique; elle sectionne à ce niveau l'isthme de
ansversales (Fig. 89) montrent que celte plaque a détruit les trois couches de fibres qui doublent le plancher de la corne
ure et supérieure (Fig. 92). 2° Une dégénérescence très intense des couches sagittales des segments postérieur et inférieur
la couronne rayonnante (Fig. 89). Au milieu des fibres dégénérées des couches sagittales qui longent la paroi externe de la c
Tgp. quelques coupes depuis la crête des circonvolutions jusqu'à la couche des radiations thalamiques ou sagittale interne
adiations thalamiques ou sagittale interne. - La dégénérescence des couches sagittales (radia- tions thalamiques (RTh) et f
um et du forceps postérieur du corps calleux. Dégé- nérescences des couches sagittales (radiations thalamiques (RTh) et faisc
ntacte, ainsi que la commissure antérieure. La dégénérescence des couches sagittales, en particulier du faisceau longitudin
um zonale), du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des couches superficielle et moyenne de ce tubercule et du pi
2° Il existe une dégénérescence très intense, bien que limitée, des couches sagittales Fic. 91. - Cas Bras. Cécité cortical
apsule interne. - Dégénérescences secondaires du tapetum (Tap), des couches sagittales du segment postéro-inférieur de la cou
rnicke (W), du pulvinar (Pul), du corps genouillé externe (Cge) des couches superficielle et moyenne du tubercule quadrijumea
et de suivre d'une façon très manifeste les fibres dégénérées dans la couche sagittale de la deuxième circonvolution tempora
oblique en bas et en dehors passant par la partie supérieure de la couche optique et la voûte de la corne sphénoidale, in
les quatre segments de la capsule interne. - Dégéné- rescences des couches sagittales des segments postérieur et inférieur d
ule quadrijumeau antérieur paraît peu touché, ainsi du reste que la couche superficielle de ce tubercule. La bandelette opti
du pli courbe dans le fond de laquelle on aperçoit la striation des couches sagittales. Dessin fait d'après une photographi
néral l'éhen- dyme ventriculaire, et sectionnent par conséquent les couches sagittales du segment FIG. 9-1.- Cas Jouan. (Bi
ontale passant par la région thalamique moyenne. Dégénérescence des couches sagittales externe (Sge) et interne (Sgi), du s
ns ces cas, on observe toujours une dégéné- rescence secondaire des couches sagittales se faisant dans les deux sens, du côté
interne et du pulvinar d'autre part. Ce fait montre nettement que les couches sagittales du lobe occipito-pariéto-temporal co
rte que l'on voit intacte, dans le fond du foyer, la striai ion des couches sagittales (Fig. 96). Fin. 98. - Cas Jouan. Cou
gion thalamique moyenne de la capsule interne : 1° dégénérescence des couches sagittales externe et interne (Sge et Sgi) du s
tiellement a la lésion primitive. Elle occupe la partie interne de la couche sagittale externe (se, Fli), et la partie centr
la couche sagittale externe (se, Fli), et la partie centrale de la couche sagittale interne (Sgi, H1'h), et ce siège indi
TION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 125 les envoie dans le pulvinar par les couches sagittales interne et externe et le segment rét
plaque jaune a atteint l'épendyme ventriculaire et sectionné les couches sagittales du segment postérieur de la couronne r
olenticulaire de la capsule interne (Fig. 102). Dégénérescences des couches sagittales en amont de la lésion pouvant être sui
de la région et du faisceau occipital vertical (Ov), qui recouvre les couches sagit- tales et se prolonge en avant jusqu'à la
on; faisceau longitudinal inférieur (Fli), qui concourt à former la couche sagitlale externe et dont les fibres dégénérées s
la zone rolan- dique, quel que soit leur siège, retentissent sur la couche optique (Th), le locus niger (Ln), le pied du p
association et des fibres de projection, mais encore les libres de la couche sous-épen- dymaire (Sge); on peut la suivre d'a
eau arqué ou longi- tudinal supérieur, de la capsule externe, de la couche sagittale interne du lobe frontal, du faisceau
ticu- lée, et des fibres radiées del'extrémité antérieure de la couche optique. Dans la région sous- thalamique de l
e (Cia), ce faisceau est fusionné avec le pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Au moment où il s'en détache pour
. La plupart des fibres dégénérées se portent, en effet, vers les couches profondes du bord interne du pied du pédoncule
de lésions à la fois corticales et sous-corticales qui atteignent les couches sagittales du FiG. 125, 126, 127. -Cas Heudeber
icke (W), du corps genouillé externe (Cge), du bras (BrQa) et de la couche de fibres superficielles du tubercule quadrijum
nces secondaires propres au lobe occipital, au lobe pariétal et aux couches sagittales sous-jacentes - (dégénérescences du se
, non seulement l'écorce du lobe occipito- temporal, mais encore la couche blanche sous- jacente et qu'elle atteint, dans
che sous- jacente et qu'elle atteint, dans le lobe tempo- ral, la couche épendymaire du plancher de la corne sphénoïdale
ettelésion a sectionné dans la région thalamique su- périeure les couches sagittales de la région, mais n'atteint pas l'é
, de de la partie postérieure de T¡,de t)pP2Ct Ip i section des couches sagittales. 1>egûné- rescence du segment
et moyenne (Fig. 131). La plaque jaune (Ram a) a sectionné les couches sagittales au voisinage du segmentrétro-lenti
P., de la partie postérieure de T,,de 01)1'2 etlp; section des couches sagittales. Dégéné- rescence du segment ret
s coupes sériées, il peut être suivi en bas et en arrière, dans les couches sagittales voisines du segment rétro-lenticu- l
u lobe temporal. Il est vrai que ces lésions intéressent parfois la couche sagittale du lobe temporo- occipital et détruis
blanche sous-jacente du lobe temporal, mais ne sectionnait pas les couches sagittales de la région. Dans deux autres cas, à
voie donc ses fibres de /projection dans la partie inférieure de la couche optique, dans le pulvinar (Pul), dans le corps ge
fibres empruntent, dans une partie de leur trajet, la voie de la couche sagittale externe. Quant il la dégénérescence
l. Si l'on fait abstraction des fibres de projection destinées à la couche optique, aux corps genouillés, au noyau rouge,
interne (Ci ri). Certaines de ces fibres saines s'irradient dans la couche optique (Th), en particulier dans son extrémité a
ur la Fig. 147 sectionne le bord postérieur du putamen, longe les couches sagittales du lobe tem- poro-occipital et côtoi
enouillés interne (Cgi) et externe (Cge), du bras (l3rQla) et de la couche de fibres superficielles du tubercule quadrijumea
e en masse de toute la moitié droite du bulbe, en particulier de la couche interolivaire (Rm(a). Amincissement de l'olive bu
et 153); remplacée par un petit amas névroglique situé en avant de la couche interolivaire. L'atrophie complète de la pyrami
par le iviiia semicircularis (Lsc) et les fibres qu'il envoie à la couche optique. Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur na
'est la petitesse, l'atrophie extrême de la partie supérieure de la couche optique (pulvinar, noyaux externe et interne) (Fi
fibres que le tænia semi-circularis (fisc) (Fig. 160) envoie il la couche optique. Contrairement à ce qui existe à l'état n
icules onduleux, denses, serrés et parallèles, et forment presque une couche con- tinue (Fig. 161). A première vue le segmen
la paroi du troisième ventricule, les deux tiers postérieurs de la couche optique, de la légion sous-optique et du pédonc
rne, le pilier antérieur du trigone, ;'extré- mité antérieure de la couche optique et de la région sous-optique. - L'arlère
permettent de suivre les fibres saines du pédoncule antérieur de la couche optique dans la partie inférieure du segment anté
tégrité du segment rétro- lenticulaire de la capsule interne et des couches sagittales du segment postérieur de la couronne
de la capsule interne, s'irradient dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Fig. 167); il existe néanmoins dans ce
ce des piliers antérieurs (Tga) et postérieur (Tgp; du trigone, des couches sagittales du segment postérieur de la capsule in
BrQa, Qa, Tgp, et du ruban de Rei- médian. Dégénéres- cence des couches sagittales du seg- ment postérieur do la co
pédoncule cérébral (Fig. 177). Dégénérescence du bras (BrQa) et des couches superficielle et moyenne du tubercule quadrijumea
avec intégrité de la commissure de Meynert (CM). Dégénérescence des couches sagittales (Sgi et Sge-d) du segment postérieur
édian droi t (Hm-a) dans son trajet protubérau- tiel. Minceur de la couche interolivaire droite. Diminution de volume des li
rQa, Qa, 1'gp, et du ruban de Reil médian. Dégénéres- cence des couches sagittales du segment postériour de la cou-
Qa, Qa, Tgp, et du ruban de Reil mé- dian. Dégénéres- cence des couches sagittales du seg- ment postérieur de la co
e de la capsule interne (Cirl), une dégénéres- cence très nette des couches sagittales des segments inférieur et postérieur d
rayonnante, intéressant plus particulièrement la partie externe de la couche sagittale externe et la partie interne de la co
e externe de la couche sagittale externe et la partie interne de la couche sagittale interne (Fig. t 7'1 et 170). Cette dé
be (Fig. 199). Mais il existe encore ici une certaine minceur de la couche inlerolivaire, une diminution de volume des fibre
182), il s'agit d'une lésion centrale de l'extrémité antérieure de la couche oplique et de la pailie moyenne du globus palli
e moyenne du globus pallidus et de l'extrémité antérieure de la couche optique sectionnant la partie antérieure du seg
us, de la zone de Wernicke, du segment rétrolenti- culaire et des couches sagittales du segment pos- térieur de la couron
segment rétro-lenticulaire, s'étendant à la partie adjacente de la couche optique et du globus pallidus. Méthode de Weige
OJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 181 Le loyer pnmItlroccupe, dans la couche oplique, la partie antérieure du pulvinar (Pu
ée (Zr) du noyau externe du thalamus (Fig. 190); dégénérescence de la couche de fibres superficielles du tubercule quadrijum
ré (Fig- 188). 11 existe enfin dans ce cas une dégénérescence de la couche de fibres superficielles du tubercule quadrijumea
rne. Dégénérescence complète du pulvinar (Pul) ; dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur de la couronne
E PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 183 Dégénérescence complète des couches sagittales du segment postérieur de lt couronne
illé externe (Cge), de le bandelette optique (II), du bras et de la couche superficielle du tubercule quadriju- meau antér
amont du foyer primitif : 10 une dégéné- rescence très intense des couches sagittales externe et interne (Sge, Sgi), (faisce
eau occipito-frontal (OF) qui peut être suivie, d'une part, dans la couche sous-épendymaire du tapetum et d'autie part le
dans toute la partie externe du carrefour ventriculaire et foi me une couche très bien délimitée en dehors par la dégénéresc
une couche très bien délimitée en dehors par la dégénérescence des couches sagittales, en dedans par la dégénérescence des
une dégénérescence du corps genouillé externe (Cge), du bras et de la couche superfi- cielle du tubercule quadrijumeau antér
rigone sont reliées entre elles par une mince lame qui recouvre les couches optiques. Mais il n'est figuré dans aucun cas u
SS). Remarquer la situation du corps du trigone (Tg) entre les deux couches optiques (Th) et la face intraventriculaire du
ico-transversale passant : à droite, par la partie antérieure de la couche optique (Th) et du segment postérieur de la capsu
grand nombre de fibres thalamo-corticales, leurs connexions avec la couche optique et leur épanouissement dans la membrane é
le corps de Luys (CL) il droite, et par la partie postérieure de la couche optique à gauche. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 gra
tie antéro-externe le corps strié, à leur partie postéro-interne la couche optique ! (Th), et à leur partie inféro- extern
mique, des fibres thalami- corticales, qui, nées des cellules de la couche optique, se dirigent vers la corticalité qu'ell
tance blanche non différen- ciée du centre ovale et se disposent en couches distinctes au voisinage de la cavité ventricula
cavité ventriculaire. Dans le lobe occipital on trouve les trois couches concentriques du cerveau normal (fiv. 219). Le
(Tap), avec ses fibres fortement colorées par l'héma- toxyline, les couches sagittales interne et externe (CSgt) 'en dehors/
es couches sagittales interne et externe (CSgt) 'en dehors/ Ces trois couches entourent complètement l'épendyme ventriculaire
. Immédiatement en arrière de la porencéphalie (Fig. 220) les trois couches entourent bien encore complètement la cavité ve
encore complètement la cavité ventriculaire (VI), mais les fibres des couches sagit- tales s'amassent le long de la paroi ext
oré par l'hémaloxyline (Fcj. En dedans des fibres calleuses, dans les couches profondes de la membrane épendymaire, on trouve
occipital comme, dans toute la convexité de l'hémisphère, une mince couche presque continue de fines fibres, faiblement co
nne rayonnante de la face supéro-exlerne de l'hémi- sphère. - CSgt, couches sagittales se concentrant le long de la face exte
é- phalie, détruit la face externe du ventricule, et les fibres des couches différenciées s'amassent en deux tronçons autou
o-externe et s'étalent sur la paroi supérieure du ventricule en une couche infiniment plus épaisse que celle des régions p
es régions pariéto-occipitale, puis se continuent en une très mince couche qui double l'angle interne et la paroi inférieu
crochet les fibres cal- leuses et forme au-dessus d'elles une mince couche de fibres à direction transversale. Le faisceau
e. Le faisceau inférieur (CSgt), très volumineux, forme une épaisse couche verticale, homo- Fig. 222. Cas Richard. Fragmen
ayonnante. Ces deux fais- ceaux sont reliés entre eux par une mince couche de fibres qui entoure l'angle interne et la fac
es occipitales s'ouvrent dans la cavité ventriculaire unique, cette couche disparait et les deux faisceaux sont complè- te
es régions antérieures du manteau, les fibres calleuses forment une couche transversale mince qui relie les deux hémisphères
les fibres calleuses entourent complètement la corne occipitale d'une couche épaisse, surtout le long des parois supérieure
ctionne le stratum zonale (Strz) et le noyau antérieur (ThXa) de la couche optique, la partie supérieure et antérieure du co
rayonnante (voy. fig. 213, le plan de direction de ces coupes). La couche optique remarquablement petite présente un noyau
dont un faisceau important appartient au pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh) et provient du segment antérieur
à sa place, on trouve une zona incerta (Zi) anormalement large. Les couches sagittales (CSgt) du segment postérieur de la c
s des autres par les différents segments de la capsule interne. Les couches sagittales (CSgt) du segment postérieur de la c
es sont absentes, et les noyaux arqués directement appliqués sur la couche inter-olivaire. La voie pédon- culaire fait par
ar l'anatomie que le ruban de Reil se termine en s'arborisant dans la couche optique, et que de ce dernier ganglion partent
e lésion corticale s'étendant jusqu'au pli courbe et sectionnant la couche sagittale à ce niveau, Caractères de l'hé- mi
ruisant les con- ducteurs centraux de la vision qui passent par les couches sagittales du segment postérieur de la couronne
aires (Pul, Cge, Qa) ou qui sectionnent les voies optiques centrales ( couches sagittales du lobe occipito-temporal). Dans ces
le pure - connexions qui s'établissent par le corps calleux, par la couche sagittale du lobe occipital, par le faisceau lo
postérieur et rciru-lcnliculairc de la capsule interne. - CSgt, les couches sagittales du segment postérieur de la cou- ron
nt entre elles les deux circonvolutions pre- mière temporale. - Th, couche optique. - VI, ventricule latéral. Ainsi que l'
eurones de projection fronto-thalamiques ou pédoncule antérieur de la couche optique s'épuisant dans ce dernier ganglion. Ce
ras droit accompagnée d'anesthésie et rele- vant d'une tumeur de la couche optique comprimant la capsule interne; la secon
té- rieur de la capsule interne (Cip), Gowers la localisait dans la couche optique. Ci (dernier ganglion est en effet lésé
'on rencontre le plus souvent dans ce cas relève de la lésion de la couche optique, ainsi que nous le montrerons plus loin,
carrefour sensitif, et insista à maintes reprises sur ce fait que la couche optique n'avait rien à voir dans la conduction
portées jusqu'ici, on voit que, dans l'immense majorité des cas, la couche optique était lésée en même temps que le segment
pendant la vie par une hémiplégie accompagnée d'hémianesthésie, la couche optique participait à la lésion capsulaire. Mai
cas, en effet, où le segment postérieur de la capsule interne et la couche optique sont lésés dans la région thalamique de
vêtent le plus souvent le pédoncule et le tubercule olfactifs d'une couche de fibres plus particu- lièrement denses et épa
la circonvolution olfactive externe; les plus longues atteignent la couche moléculaire de la circonvolution du crochet, et
-thalamique. fisc, fibres que le toenia semi circularis envoie à la couche optique. Fla, fornix transversus, ou commis- su
- Li, première circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la couche optique. - NA, noyau amygdalien. - l'ol, pédoncul
er antérieur du trigone. - 7'f/p, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique. - Tm, tubercule mamillaire. - fisc, te
tsc) relie l'aire olfactive (Aol) au noyau amygdalien (i\'A) età la couche optique. Il représente un neurone olfactif de t
que lui envoic la commis- sure antérieure, il est recouvert par une couche très épaisse de la sub- stance grise sous-épend
la veine du corps strié et ses branches de bifurcation d'une mince couche de fibres lon- gitudinales, et contient dans so
e la partie recourbée delà queue du noyau caudé, reste accollé à la couche optique et se trouve placé immédiatement en deh
bres qui se détachent du tamia semicircularis, et s'irradient dans la couche optique. - Lme, lame médullaire externe. - \'G2
rmettent d'affirmer les connexions du taenia semicircularis avec la couche optique, connexions soupçonnées par Honegger et
et antérieur, se dirigent d'avant en arrière et pénètrent entre la couche optique et le segment postérieur de la capsule
ieur de la capsule interne. Elles forment au thalamus une véritable couche limi- tante externe, séparée de la lame médulla
ns de la capsule interne, entre celle-ci et la zone réticulée de la couche optique, on trouve alors (Fig. 255) des fascicu
se terminent en pointe au voisinage de la partie postérieure de la couche optique (Fig. 145), et abandonnent à cette dern
rne. - Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - les couches sagittales du segment inférieur de la couronne ra
e dédoublent le long de la paroi externe de la corne sphénoïdale en couche sagittale interne (Sgi) ou radiations thalamiqu
ale en couche sagittale interne (Sgi) ou radiations thalamiques, et couche sagittale externe (Sge) ou faisceau longitudinal
faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau de Turck; il forme la couche supérieure du segment sous-lenticulaire de la c
édoncule cérébral. - (Tilt, faisceau temporo-thalamique d'Arnold ou couche inférieure du segment sous-lenti- culaire de la
u rouge. - Rm, ruban de Reil. - SI ? , formation réticulée. - Slrm, couche moyenne. - Slrp, couche profonde. - Sirs, couche
Reil. - SI ? , formation réticulée. - Slrm, couche moyenne. - Slrp, couche profonde. - Sirs, couche superficielle des libres
réticulée. - Slrm, couche moyenne. - Slrp, couche profonde. - Sirs, couche superficielle des libres transversales de la pr
onnent les digilalions de la corne d'Ammon et les revêt d'une mince couche de fibres presque toutes parallèles au plan ver
o-lransversal de l'hémisphère. Sur les coupes plus postérieures, la couche s'épaissit, les fibres deviennent plus obliques
r. - Fol, son faisceau olfactif. - Tna, tubercule mamillaire. - Th, couche optique. - elle, tænia thalami. - ]T" troisième
yenne du tronc du corps calleux. Au niveau du tiers antérieur de la couche optique, un grand nombre de lâches et minces fasc
s du genou de la capsule interne ci de la partie anté- rieure de la couche optique. Il croise dans cette région (Fig. 25 i)
us primitif. Il existait en outre une destruction partielle de la couche des cellules pyramidales de la corne d'Ammon et
leux Dégénéres- cence du forceps postérieur, du tape- tum, des couches sa- gittales du plancher de la corno splic-
lleux, du pilier postérieur du trigone (Tgp), du tapetum (Tap), des couches sagittales externe (Sge, Fli) et interne (Sgi, RT
u occipito- frontal (OF), en particulier des fibres qui occupent la couche profonde sous-épen- dymaire. FIBRES DE PROJEC
um (Tap), de la paroi inférieure du carrefour ventriculaire, et des couches sagittales interne (Sgi, IIT11) et externe (Sge
leux. Dégénéres- cence du forceps postérieur, du tape- tum, des couches sa- gittales du plancher de la corne sphc-
u minor du forceps du corps calleux (Ce, Fp), du tapetum (Tap), des couches sagittales interne et externe du segment ])0 ?
leux. Dégénérés- cence du forceps postérieur, du tape- tum,des couches sa- gittales du plancher de Ja corne sphé-
leux. Dégénéres- cence du forceps postérieur, du tape- tum,dos couches sa- gittales du plancher de la corne sphé-
sure antérieure et du faisceau occipito- frontal. nérées des couches sagittales interne et externe du lobe temporal oc
iculaire et de la corne sphénoïdale (Fig. 207 et 268). Celles de la couche sagittale externe s'épuisent rapidement; les fibr
e la couche sagittale externe s'épuisent rapidement; les fibres de la couche sagittale interne se portent peu à peu en haut
mpe. Coupe vertico-transversale passant par la partie moyenne de la couche optique. La dégénérescence intéresse le faiscea
ment temporal du faisceau occipito-frontal, ses libres occupent les couches profondes de l'épendyme ventriculaire et sont par
du noyau caudé et mélangées aux fibres conservées du tapetum. S ! lc, couche sagittale externe (ou faisceau longitudinal inf
uche sagittale externe (ou faisceau longitudinal inférieur). - Sgi, couche sagittale interne (ou radiations thalamiques) d
sure antérieure (Fig. 271). Le tapetum est surtout dégénéré dans sa couche interne sous-épendymaire. Au niveau des parois
n ou commissurales), mais qu'ils constituent des faisceaux mixtes. La couche sagittale externe (faisceau longitudinal inféri
ro-occipital contient des fibres d'association et de projection; la couche sagittale interne des fibres de projection et c
scences secondaires. Chez l'enfant, on distingue dans le tapetum deux couches , l'une mince interne, formée de fines fibres à
de fines fibres à direction sagittale qui empiètent en dedans sur la couche profonde de la membrane épendymaire particulièr
de la membrane épendymaire particulièrement épaisse à cet âge, et une couche externe plus épaisse adossée aux couches sagitt
t épaisse à cet âge, et une couche externe plus épaisse adossée aux couches sagittales du segment postérieur de la couronne
agittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. Ces deux couches sont particulièrement manifestes sur le cerveau d
rale (cas Richard, Fig. 220 à 223, p. 201). Chez l'adulte, ces deux couches se fusionnent, mais peuvent devenir manifestes pa
ectionnant, sur un plan plus élevé que la Fig. 213, le tapetum et les couches sagittales du segment postérieur de la couronne
la commissure anté- rieure : elle entie dans la constitution de la couche sagittale inlerne du lobe temporal, longe les p
be avec le fascia dentata au- dessous du corps calleux, recouvre la couche optique dont le sépare un feuillet pie-mérien e
traventiculaire, elle dépasse en avant l'extrémité antérieure de la couche optique et se divise à ce niveau en deux faisce
tr " lent à la fimbria et atteignent, l'extrémité antérieure de la couche optique où elles s'in- fléchissent en dedans et
tale du cerveau du lapin adulte passant par la partie interne de la couche optique, le tubercule mamillaire et le ganglion d
interne sur lequel il se moule en général, mais dont le sépare une couche plus ou moins épaisse de fibres qui appartienne
ume inégal, dont l'un se termine dans le] tubercule antérieur de la couche optique et constitue le faisceau de Vicq cl'I .7
CENTRES NERVEUX. Sa terminaison dans le noyau anté- rieur de la couche optique. Pédoncule du tu- bercule mamillair
re. du thalamus, passe en arrière du pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh) qui le sépare du pilier antérieu
interne, et croise les fibres radiées du pédoncule antérieur de la couche optique (Fig. 253 et 254). Arrivé dans la régio
dans, s'élargit en entonnoir et embrasse le noyau anté- rieur de la couche optique dans lequel il pénètre en s'Irradiant et
8, p. 20G. CHAPITRE VII GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ, COUCHE OPTIQUE, RÉGION SOUS-OPTIQUE I. - STRUCTURE ET
e de 15 à 30, 50 et 60 ? D'après Edinger, elles se disposeraient en couches stratifiées au voisinage de la face libre du noya
cortico-striées et ne possèdent pas de cou- ronne rayonnante couche optique et à la région sous-optique, en particuli
ur le noyau caudé et sur le putamen comme elles retentissent sur la couche optique. Cette opposition qui existe entre le l
ion du segment sous-lenticulaire de la capsule in- terne : ses deux couches superposées, la supérieure formée de fibres secti
u putamen. CR, segment supérieur de la couronne rayonnante. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne
. S, scissure de Sylvius. - Sexv, surface extra ventriculaire de la couche optique. - Sge, substance grise sous-épendymaire.
u- tefois pas comparables à l'atrophie souvent extrême que subit la couche optique dans ces mêmes circonstances. La très m
ce. (Comparez la Figure 1Mi à la Figure 144 (côté sain) et les deux couches optiques de la Figure 1 Í : 7 entre elles.) L
ous-calleux de Mzerato ff. Bien qu'il paraisse évident que la mince couche de fibres il myéline sous-épendymaire qui tapisse
es on peut, dans ce cas, les suivre, en bas et en arrière, dans les couches sagittales du lobe occipilo-temporal au voisina
laires, soit du feutrage, comparable à ce que l'on constate dans la couche optique dans les mêmes cas; mais, d'autre part,
convolution temporale; cette lésion s'étend en profondeur jusqu'aux couches sagittales et au segment supérieur de la couronne
nt supérieur de la couronne rayonnante qu'elle sectionne près de la couche optique, mais n'atteint pas le segment rétrolenti
. Elle occupe toute la hau- eur du noyau externe, en particulier sa couche ventrale, au niveau de la région du 'uban de Re
tico- thalamiques et cortico-sous-thalamiques), le corps strié à la couche optique et à la région sous-optique, en particu
ithéliale. Elle n'atteintsa structure véritable, caractérisée par des couches stratifiées de cellules pyramidales, que chez l
les VOI'derhirnbiindel) dont les fibres, recouvei les d'une épaisse couche de myéline, prennent leur origine dans la masse g
s horizontales qui intéressent les tiers moyen et infé- rieur de la couche optique (Fig. 291, 21, 13 et 47), les fascicules
; Cip, segment postérieur; Cirl, segment rétrolenticulaire. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne r
eur; Cirl, segment rétrolenticulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne r
veau de la face inférieure de ce noyau, et la tapissent d'une dense couche de fibres, d'autant plus épaisse que l'on s'app
rois groupes de fibres : taenia semi-circularis (tsc) envoie à la couche optique et entrent dans la constitution des fib
si denses, si serrées, si nombreuses, qu'elles forment presque une couche continue, qui, - grâce à la rétraction des tissus
e long du sommet du noyau lenticulaire, elles se concentrent en une couche compacte de fibres (FI), Fig. 7, p. 69) qui se
de Luys (CL), (Fig. 318 T. ICI', p. 637 et Fig. 312) en formant la couche dorsale du corps de Luys de quelques auteurs. Il
et auteur, puis s'enchevêtre avec le pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire
ans, le segment postérieur de la capsule interne avant de former la couche dorsale du corps de Luys (Fig. 323, 324, 325).
ques fibres lenti- 1- La faisceau len- ticulaire de Forel ou la couche dorsale .\1\ corps de Luys. Ses connexions.
tion du globus pallidus. - RsL, radiations strio luysiennes. - Sge, couche sagittale e\.terne; Sgi, couche sagittale interne
radiations strio luysiennes. - Sge, couche sagittale e\.terne; Sgi, couche sagittale interne du segmenl postérieur de la c
itutifs de l'anse pédonculaire sont séparés l'un de l'autre par une couche de substance grise riche en volu- mineuses cell
peu sur la partie supérieure et postérieure du noyau externe de la couche optique ; elle s'est manifestée pendant la vie
scence du corps de Luys, de la partie antéro-infé- rieurs de la couche optique, du noyau rougo et de sa cap- sule
u- ronne-rayonnanto et empiété sur la partie supérieure de la couche optique. Dé- générescence de la partie moyenn
scence du corps de Luys, de la partie antéro-infé- rieure de la couche optique, du noyau rouge et de sa cap- sule
ire externe (Lme) et des fibres radiées du noyau externe (Ne) de la couche optique dans toute la partie adja- cente a la d
xtension de la lésion sous-corticale à la partie supé- rieure de la couche optique. Dégénérescence du noyau rouge et de sa
ou- ronne rayonnante et empiété sur lapartio supérieure de la couche optique. Dé- générescence do la partie moyenn
ence du corps de Luys, de la partie antéro - iuré- rieure de la couche optique, du noyau rouge et de sa cap- sule
rnes (lmi) et les lames supplémentaires (lmi') et s'amassent en une couche épaisse le long du bord externe du segment post
e du thalamus relève évidemment en grande partie de la lésion de la couche optique. La lésion thalamique siège à la partie
La lésion thalamique siège à la partie antéro-inféro-interne de la couche optique. C'est un foyer de ramollissement avec
uysiennes et le corps de Luys n'affectent pas de connexions avec la couche optique. Fie. 308 et 309. -- Cas Gardette (Salp
, consécutive à une lésion de la partie antéro-inféro-interne de la couche optique. Cette dégénérescence, très légère, ne
dégénèrent à la suite de lésions de la partie antéro-ventrale de la couche optique et qui entrent dans la constitution de
Soc. Biologie, 1898, p. 861. - Des mêmes. Sur les connexions de la couche optique avec la corticalité cérébrale. Soc. de Bi
. f. mikr. Anat., 1880, p. 468. II. - STRUCTURE ET CONNEXIONS DE LA COUCHE OPTIQUE Structure. - Les coupes vertico-lransve
vertico-lransversales, horizontales et sagit- tales montrent que la couche optique n'est pas constituée par une masse homo
e médullaire interne (Lmi) ; leur face libre est recouverte par une couche de fibres à myéline connue sous le nom de couch
recouverte par une couche de fibres à myéline connue sous le nom de couche zonale, de stratum zonale (Strz, Fig. 290). Bur
nale, de stratum zonale (Strz, Fig. 290). Burdach distingua dans la couche optique quatre noyaux : les noyaux antérieur, e
e ou inférieure comme un noyau spécial qu'il désigna sous le nom de couche ventrale du thalamus ; v. Tschisch et Flechsig dé
unaire de Flechsig (NF). Nissl (1889) montra que les cellules de la couche optique se disposent en groupes de volume et de
visions établies par Burdach et par Meynert, et nous décrirons à la couche optique quatre noyaux principaux, les noyaux anté
noyaux principaux, les noyaux antérieur, GANGLIONS INII ACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. 345 externe, interne et le pulvinar. A
lamus la zone grillagée ou réti- culée, le noyau semi-lunaire et la couche ventrale du thalamus. L'étude des coupes horizo
vreté en fibres à myéline. Dans le centre médian de Luys et dans la couche ventrale du thalamus, les fibres à myéline sont
ker) (Na). Ce noyau occupe la partie antérieure et supérieure de la couche optique et s'enfonce à la manière d'un coin ent
roduit la saillie connue sous le nom de tubercule aalé- rieur de la couche optique ou corpus album subrotundum, son extrémit
umineux fascicules de fibres appartenant au pédoncule interne de la couche optique. Ses cellules sont très analogues à cel
uses fibres radiées qui pénètrent dans l'extrémité antérieure de la couche optique au-dessous du stratum zonale, traversent
e de la couche optique au-dessous du stratum zonale, traversent les couches super- ficielles du noyau externe (Ne), puis ab
nternes en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRA CORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 341 lamo-corticales), sont-elles d'ori
e inféro-interne, quelques fibres du pédoncule inféra-interne de la couche optique. 2. Noyau interne (Ni). -- Le noyau int
). -- Le noyau interne n'atteintpas les limites anté- rieures de la couche optique (Fig. 310 et 291) et n'apparaît sur les c
djacente du tronc encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche optique, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faiscea
substance grise de l'aqueduc de Sylvius. GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, substance grise centrale. - S
médian de Luys (Nm), (Fig. 15, 43, 47, 311). Au noyau interne de la couche optique se rattache le centre médian de Luys (Nm)
ures du centre médian. Il se confond à ce niveau avec cette épaisse couche de fibres situées à la partie postéro- inféro-e
ns toute la longueur de leur trajet avec GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 331 d'autres catégories de fibres, tel
antérieur du thalamus. Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne de la couche optique. - Nm, centre médian de Luys, séparé de l
tions olfactives profondes. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - si, sillon intermédiaire ou opto-str
- Strz, stratum zonale du thalamus. - T,q, corps du trigone. - Th, couche optique. - Tol, tubercule olfactif. - tse, ta : n
lamus. Les coupes horizontales qui passent par le tiers moyen de la couche optique montrent qu'elle n'atteint pas le pulvina
lame médullaire interne n'atteint plus l'extrémité antérieure de la couche optique (Fig. 43, p. 63). Sur les coupes qui inté
, p. 63). Sur les coupes qui inté- ressent le tiers inférieur de la couche optique (Fig. 47, p. 69), la partie antérieure
nvoie un grand nombre de ses fibres dans GANGLIONS tNFRACOR'HCAUX : COUCHE OPTIQUE 3 : i3 la région sous-optique : les ant
s, les autres se recourbent en bas dans les régions ventrales de la couche optique et se joignent aux fibres verticales.
ues, le noyau externe, occupe la partie supérieure et externe de la couche optique, corres- pond au segment postérieur ou
e cette disposition que sur les coupes horizontales passant par les couches supérieures du thalamus, les noyaux externe et
paraître le noyau interne. Il en est de même lorsque l'on étudie la couche optique sur des coupes vertico-transversales. T
nticulaire de Forel (FI) qui correspondent au tiers antérieur de la couche optique; 3" plus en arrière, le noyau externe r
nue avec le pulvinar, mais la fusion GANGLIONS I\l'R : 1CORTICIUI : COUCHE OPTIQUE. Sa ! ) de ces deux noyaux est moins in
p. 321). Elles relient le noyau lenticulaire elle noyau caudé à la couche optique, croisent, dans le segment postérieur de
nférieure ou venlraledu noyau externe, partie qui corres- pond à la couche ventrale du thalamus de Meynert et au groupe des
ernes en Médecine de la Salpêtrièr< GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. : ¡ : ;7 la partie antérieure de la ca
réseau, sorte de grillage qui recouvre toute la face externe de la couche optique. Les mailles de ce réseau sont remplies
Fig. 312 et 47, p. G9). La partie posté- GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 359 Fic. 312. - La région ventrale du
aires sup- plémentaires lme', lmi'. PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique. pCR, pied de la couronne rayonnante. -
, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule inférieur de la couche optique. Plch, plexus choroïdes. - 7 ? pulvinar
yéline. Ces fibres s'entre-croisent dans GANGLIONS INFHACOHTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 361 tous les sens, forment un feutrage
au noyau interne, le pulvinar forme il la partie postérieure de la couche optique cette saillie volumi- neuse et libre, v
[Spl], Fig. 310 et 311). 11 constitue l'extrémité postérieure de la couche optique, atteint chez l'homme son plein dévelop
e du thalamus. La face libre du pulvinar est recouverte d'une mince couche de libres à myéline, le stratum zonale, qui mes
eur du thalamus. Les libres qui forment le re- vêtement zonal de la couche optique, affectent surtout une direction GANGLI
optique, affectent surtout une direction GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 363 FIG. 313. - Le pulvinar, le corps
ne. - on, sillon calloso-marginal ; cm', sa branche verticale. cp, la couche des fibres profondes du tubercule quadrijumeau
e de Sylvius. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Sge (Fli), couche sagittale externe ou faisceau longitudinal infé
férieur du segment inférieur de lacouronne rayonnante. - Sgi (RTh), couche sagittale interne ou radiations thalamiques du se
té de ces fibres terminales cortico- thalamiques qui constituent la couche profonde du stratum zonale, ce dernier contient
i prennent leur origine dans les petites cellules multipolaires des couches superfi- cielles du thalamus et dont les cylind
e segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, jusque dans les couches sagittales interne et externe du segment postérie
glion, l'enchâssent dans une véritable capsule et l'entourent d'une couche de fines fibres qui se colorent intensivement par
ternes , en Médecine de la Salpêtrière GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 367 vinar représentent donc de véritab
le segment rétro-lenticulaire de la cap- sule interne (Cirl) et la couche sagittale du lobe occipital. Elles se rendent e
Cajal, elles se termineraient par des arborisations libres dans les couches profondes de la rétine (Voy. nerf optique, p. r
313). Le corps genouillé inlerne esl profondément enclavé dans la couche optique, et quoique plus volumineux que le corps
stérieur (BrQa, BrQp). Le bras du tuber- GANGLIONS OEFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 369 cule quadrijumcau antérieur (BrQa)
es ; sa face libre ou postéro-inférieure est recouverte d'une mince couche de fibres zonales qui appartiennent en partie a
ie aux centres auditifs bulbo- pro lubérantiels. CONNEXIONS DE LA COUCHE OPTIQUE Les connexions du thalamus sont multipl
xes. Siluée entre le tronc encéphalique et le cerveau antérieur, la couche optique représente en effet une véritable stati
e et le ruhan do Reil latéral. Les connexions multiples do la couche optique. 370 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Co
radiées, tandis que le dense feutrage de fibres qui occupe toute la couche ventrale du thalamus assure les connexions de c
on avec le cervelet et le tronc encéphalique. 1. Connexions de la couche optique avec la corticalité cérébrale. L'union
uche optique avec la corticalité cérébrale. L'union si intime de la couche optique avec la corticalité cérébrale ('oy. Dég
ables fibres de projection que la corticalité cérébrale envoie à la couche optique (p. 57), mais encore par de nombreuses fi
t-Pal, ou par le carmin. Or, si ces méthodes nous ont appris que la couche optique est en rapport avec l'écorce entière de c
entière de chaque hémisphère puisqu'une GANGLIONS INFRACOHTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 371 4 lésion d'une partie quelconque
la corticale cérébrale par l'intermédiaire de fibres passant par la couche optique. Si ces faisceaux diminuent de volume à
arré, p. 179, cas Lavigne, p. 180). Dans les lésions récentes de la couche optique traitées par la méthode de Marchi, on n
ales, des fibres d'origine thalamique, qui, nées des cellules de la couche optique, se dirigent vers la corti- calité qu'e
re par suite même de la malformation cérébrale. 2. Connexions de la couche optique avec le corps strié. Les con- nexions d
ns de la couche optique avec le corps strié. Les con- nexions de la couche optique avec le corps slrié ont été étudiées, p.
ont été étudiées, p. 313. Elles s'effectuent dans les deux sens, la couche optique recevant du corps strié des fibres thal
lamique (Cas Gardette, p. 336, Fig. 302 à 309). 3. Connexions de la couche optique avec le rhombencéphale et le cer- veau
la couche optique avec le rhombencéphale et le cer- veau moyen. La couche optique envoie peu de fibres dans le rhom- benc
apsule du noyau rouge sous forme de gros GANGLIONS INIR1CORTICAUt : COUCHE OPTIQUE. 313 fascicules onduleux qui se portent
mation ré- ticulée homolatérale, et croisée. Connexions de la couche optique avec le cerveau moyen, situé à la par
du noyau externe du thalamus. Il assure ainsi les connexions de la couche optique avec les noyaux des cordons de Goll et
s de la calotte et établissent des connexions très intimes entre la couche optique, le noyau rouge et la substance grise d
réticulée. Le complexus de fibres qui relie le rhombencéphale à la couche opti- que, contient surtout des fibres ascendan
endantes, afférentes, thalamopèles, des fibres se terminant dans la couche optique ; il contient néanmoins un petit nombre
Par les corps genouillés interne et externe et par le pulvinar, la couche optique entre en outre en connexion avec le cer
ieur et, par son intermédiaire, au ruban GANGLIONS I\'IRACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. : 3ï : ; de Reil latéral et aux centre
meau antérieur, et par l'intermédiaire de cet amas ganglionnaire la couche optique entre indirectement en connexion avec la
ord inférieur se continuent sans ligne de démarcation nette avec la couche des fibres profondes (cp) du tubercule quadri
ehors et, en arrière dans le tubercule quadrijumeau antérieur et la couche oplique (pulvinar et partie postérieure des noy
missure interhabenulaire. - cop, com- missure postérieure. - cp, couche profonde des fibres du tubercule qua- drijume
tubercules quadrijumeaux antérieurs et de la partie adjacente de la couche optique et de la calotte pédonculaire. En prati
insi une véritable commissure inlerlhala- mique ; en partie dans la couche profonde du tubercule quadrijumeau antérieur et
longitudinal postérieur. Malgré les connexions si nombreuses de la couche optique avec le Bibliothèque des Internes en
Internes en Médecine de la Salpêtrièrt GANGLIONS INFHACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 311 -i rhombencéphale et le cerveau mo
nomalies d'évolution du manteau cérébral démontrent en effet que la couche optique n'envoie aucune fibre dans le pied du p
icale el reçoivent les arborisations terminales du nerf optique. La couche optique représente en effet un relais ganglionnai
(G) est un petit renflement fusiforme ou piriforme, surajoulé à la couche optique, el en rapport avec l'appareil olfactif
gle à sommet antérieur, le triangle de l'habenula, compris entre la couche optique, le tubercule quadri- jumeau antérieur
meau antérieur et la glande pinéale (Fig. 321, 338, 339). Il est La couche optique n'cnvotoaucunonbrc descendante dans l
ules du noyau externe. - c, collatérales. GANGLIONS INFRACORTICAU : COUCHE OPTIQUE. 379 Gudden avait déjà signalé, chez le
Daller, Sehstreifen de Burdach) occupe le bord supéro-interne de la couche optique. Les termes de pédoncule antérieur, de
ventricule. Mince en avant où il longe l'extrémité antérieure de la couche optique et où on le voit apparaître immédiateme
in nombre le traversent simplement, ou GANGLIONS Il\'FRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 381 le recouvrent en lui formant son r
bordent le tænia thalami, au niveau de l'extrémité antérieure de la couche optique. 3. La plupart des auteurs admettent av
la couronne rayonnante et le noyau lenticulaire sans intéresser la couche optique. Une partie des fibres dégénérées se te
du côté croisé. (Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFRACORTIC AUX : COUCHE OPTIQUE. 383 4. Les autres connexions du taenia
ion de l'habenula avec les fibres du pédoncule inféro-interne de la couche optique. Il s'agirait dans l'espèce de fibres p
. - Ne, Ni, Nm. noyau externe, noyau interne et centre médian de la couche optique. - NR, noyau rouge, if\, pied du pédonc
, stratum intermedium. - Star : , stratum zonale du pulvinar. - Th, couche optique. - tlh, tienia thalami. - F3, troisième
ernes en P ? weirne du la S : 1pêtTiè] GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 387 voit très bien à l'oeil nu chez le
e, dont l'étude se rattache jusqu'à un certain degré il celle de la couche optique. Développée aux dépens de la voûte du tro
commissure postérieure, entre les deux GANGLIONS 1\NFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 389 tubercules quadrijumeaux antérieur
t composées de carbonate et de phosphate acide de chaux disposés en couches concentriques ou réunies en amas irrégulièremen
nschen und der Saugethicrc. Recueil GANGLIONS INPB1COR'l'I( : AUX : COUCHE OPTIQUE. 391 zoologique suisse, t. V, 1890. Gen
rel en 1877, est une petite région aplatie, située au-dessous de la couche optique, au-dessus du locus niger et du pied du
s coupes vertico-transversales qui passent par le tiers moyen de la couche optique (depuis la commissure postérieure jusqu
thalamus qui s'ir- radient dans l'extrémité antéro-inférieure de la couche optique; 2° avec le faisceau de Vicq d'Azyr qui
. 394 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son sommet et sa base. La couche dorsale de la région sous- optique. Son éte
optique ne correspond en effet qu'aux deux tiers anté- rieurs de la couche optique. Constitution. La région sous-optique e
a région sous-optique est essentiellement consti- tuée : 1° par une couche de fibres à myéline, la couche dorsale de la régi
tiellement consti- tuée : 1° par une couche de fibres à myéline, la couche dorsale de la région sous-optique ; 2° par un p
-optique ; 2° par un petit amas ganglionnaire, le corps de Luys. 1. COUCHE DORSALE DE LA RÉGION SOUS-OPTIQUE. (Fig. 24, 28,
OUS-OPTIQUE. (Fig. 24, 28, 46, 47, 7, 253, 310, 323, 321r, 325.) La couche dorsale occupe foute l'étendue de la région sou
. Elle augmente d'épaisseur d'avant en arrière, se continue avec la couche de fibres qui entoure le noyau rouge et avec le
rticulièrement favorables à son étude. La partie antérieure de la couche dorsale est formée par les faisceaux lenticulai
corne sphénoïdale du ventricule latéral, par le tiers antérieur de la couche optique, et sectionnant le pied du pédoncule cé
missure anté- rieure. -peR, pied de la couronne rayonnante. - CSgt. couches sagittales du segment inférieur de la couronne
de l'insula. - le, lame cornée. - Lme, lame médullaire exlerne de la couche optique. - lme, lame médullaire externe du noya
A, noyau amygdalien. - Na, noyau antérieur, Ni, noyau interne de la couche optique. - NC, noyau caudé. - 1\'C', la partie
u lenticulaire de Forel, en même temps que les deux faisceaux de la couche dorsale se réunissent en un faisceau volumineux
blement grâce à l'apport incessant de fibres qui lui viennent de la couche optique; il reçoit en effet les nombreuses fibres
culée de la calotte. L'origine et la terminaison des fibres de la couche dorsale de la région sous-optique est fort comp
rne d'Ammon. La région sous-optique comprend le corps de Luys et la couche dorsale, consti- tuée par les faisceaux thalami
alien. - Na, Ni, Ne, les noyaux antérieur, interne et externe de la couche optique. - NC, le noyau caudé. - NL3 NL2, NL,,
roïdes du ventricule latéral. - Pal, pédoncule du putamen. - S ! I, couches sagittales du segment inférieur de la couronne ra
e grise centrale. - SI, septum lucidum. - Slm, stratum zonale de la couche optique. -1·cle, toile choroïdienne. - Tg, corp
optique. -1·cle, toile choroïdienne. - Tg, corps du trigone. - Th, couche optique. - 7'm, tubercule mamillaire. - llh, ta
plus convexe; elle est recou- verte dans toute son étendue par une couche continue defibres à myéline, la capsule du corp
orel (Méthode de Weigert). La région sous-optique comprise entre la couche optique, le pied du pédoncule cérébral et le lo
édoncule cérébral et le locus niger comprend le corps de Luys et la couche dorsale avec les faisceaux lenticulaire thalami
e de Forel. - le, lame cornée. - Lme, lame médullaire externe de la couche optique. - lme, lmi, lames médullaires externe
L, pédoncule du putamen. - Sexv, surface extra ventriculaire de' la couche optique. - Sge, substance grise centrale. - SI, s
onvolution du crochet. - Zi, zona incerta. Zr, zone réticulée de la couche optique. - II, bandelette optique. 408 ANATOM
ête du noyau caudé et de la zona incerta, s'entre-croisent dans les couches ventrales delà commissure sous-tha- lamique pos
ie, Rhombencéphale, constitution de la calotte). Chez l'homme, la couche ventrale de la commissure sous-thalamique posté
es cellules nerveuses périphériques et disséminées, non groupées en couches ou en ganglions, profondément enclavées entre les
NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 413 3 arrondi, entouré d'une très mince couche de protoplasma ; il se loge dans les cupules de
variqueux ; il traverse la partie inférieure de l'épithélium et la couche sous-muqueuse, puis s'unit aux prolongements vo
longues forment la strie olfactive externe et s'arborisent dans la couche des fibres tangentielles et du feutrage sus-radia
-thalamique. fisc, fibres que le taenia semi-circularis envoie à la couche optique. - Flv, fornix transversus, ou commis-
L(1), première circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la couche optique. - noyau amygdalien. Pol, pédoncule olfac
lier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. Th, couche optique. - Tm, tubercule mamillaire. - tsc, txnia
postérieui de la couronne rayonnante. Elles concourent à former les couches sagit' tales(CSgt) du lobe occipito-temporal, p
nar et du tubercule quadrijumeau antérieur, et s'arborisent dans la couche des cellules polymorphes et les couches des cellu
eur, et s'arborisent dans la couche des cellules polymorphes et les couches des cellules pyrami- dales géantes de la zone v
ERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. -123 ments centripètes. Elles occupent la couche interne de la rétine au con- tact immédiat de l
de l'ora serrata, les libres rétiniennes se disposent en une mince couche qui s'épaissit très rapidement et qui est parti
rétine très mince à ce niveau n'étant représentée que par une simple couche de cellules visuelles en cônes. Mais à la périp
ganglionnaires sont excessivement nombreuses, s'entassent en 7 à 9 couches et donnent naissance à un faisceau nerveux volumi
Tch, toile choroidienne. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Th, couche optique. - l'Ci-si, veine du corps strié. - rG,
it du qua- trième ventricule de l'olive cérébelleuse et de la mince couche de fibres blanches qui la recouvre dans celte r
avec l'olive cérébelleuse dont elle n'est séparée que par une mince couche de fibres blanches appartenant en partie aux aile
guir- lande qui coitlent le fond du sillon post-central. - Pj, la couche des cellules de Purkinje intermédiaire entre la
. - Pj, la couche des cellules de Purkinje intermédiaire entre la couche moléculaire et la couche granuleuse de l'écorce
ellules de Purkinje intermédiaire entre la couche moléculaire et la couche granuleuse de l'écorce du cervelet. Disposition
e dernière, la face supérieure du nodule donne insertion à la mince couche épithéliale qui tapisse les plexus choroïdes tran
et tranchante (Fig. 345). Elle se continue en réalité avec la mince couche épithéliale qui lapisse les plexus choroïdes tr
m, ruban de Iteil médian. si, sillon latéral du mésencéphale. - Th, couche optique. - Tpo, txnia pontis. - Tlcl, tractus p
ieure, faisant en quelque sorte hernie, et recouverte par une mince couche de fibres appartenant à la grosse racine sensit
loppement. Chez l'adulte, elle se réduit à sa partie centrale à une couche d'épithélium épendymaire qui tapisse la toile c
plus ou moins développées, profondes et recouvertes par une épaisse couche de substance grise centrale; quelquefois, elles
e d'arrêt pérmcntriculaire. Le cervelet est surtout composé d'une couche superficielle de substance grise, l'écorce céré
cérébelleuse recouvre foule la surface plissée de l'or- gane, d'une couche égale d'un millimètre à un millimètre et demi d'é
elleuse sous-jacente (Oc). La préparation intéresse en effet la couche de fibres qui entoure le corps dentelé et qui
extra-ciliaire. La périphérie du corps dentelé est recouverte d'une couche de sub- stance blanche, d'épaisseur fort inégal
e de l'olive céré- belleuse sont entourées par contre d'une épaisse couche de substance blanche, dans laquelle on distingu
e de l'olive cérébel- leuse, on trouve, en dehors de la toison, une couche de fibres curvilignes et parallèles, mince et é
u toit (xNt coupes H 5, H 6, C 4, Fig. 428, 429, 135). La troisième couche recouvre le groupe externe des fibres semi-circu-
-croisées dans tous les sens qui constituent dans leur ensemble une couche mal délimitée, située à la base des lobes et lobu
u'elles affectent avec cette dernière, on peul les diviser en trois couches , qui sont l'une superficielle, l'autre profonde,
elle, l'autre profonde, la troisième intermédiaire ou moyenne. La couche superficielle ou antérieure (stratum superfictate
es antérieurs) (SgPo), qui dissocie toute la face profonde de celle couche en fascicules souvent fort grêles (Fig. 362). L
un faisceau oblique du pont (Fig. 349), on voit se déta- cher de la couche superficielle un volumineux faisceau qui s'isole
substance blanche des hémisphères cérébelleux (Fo, Fig. 362). La couche profonde et postérieure (stratum profondum (Strp)
parallèles ou onduleux, de volume et d'épaisseur très variables. La couche intermédiaire ou moyenne (Strc) (stratum complexu
éranliclles dans les noyaux pontiques, les fibres protubérantielles Couche superti- cielle du pont. Noyaux pontiques.
Noyaux pontiques. Faisceau oblique du pont. Coucho profonde Couche 11111.\ (,HIIf' Ello n'appartient, ]n'aux deu
en un volumineux faisceau irrégulièrement arrondi, entouré par une couche plus ou moins épaisse de substance grise et limit
tain nombre de fibres protubérantielles, qu'elles appartiennent aux couches superficielles, profondes ou intermédiaires, s'en
é et du feutrage inlra- ciliaire au noyau rouge de Stilling et à la couche optique du côté opposé. Ils forment deux cordon
ulaire et intra-tegmentaire. Coupe oblique en, avant et en haut des couches optiques, du tronc encéphalique et du cervelet,
ive cérébelleuse jusqu'à leur terminaison dans le noyau rouge et la couche optique du côté opposé. Méthode de Weigert-Pal. 2
le de fascicules qui le sillonnent. Il est, en outre, entouré d'une couche assez épaisse de fibres à myéline signalée par Re
m de radiations de la calotte (Haubenstrahlung, Edinger, Flechsig), couche latérale du noyau rouge (latérales Mark des rot
e postérieure de l'olive, la perfore ou la côtoie, puis traverse la couche inler-olivaire et s'en tre-croise au niveau du ra
ouverture ou hile occupe le milieu de sa face interne et regarde la couche inter-olivaire. Sur les coupes sagil laies (cou
yau juxta-olivaire interne et s'adossent en partie aux fibres de la couche inler-olivaire. Leurs ori- gines et leurs conne
me des fibres arciformes du bulbe. L'olive est ainsi entourée d'une couche d'épaisseur inégale, qui régularise les contour
uxta-olivaire externe, il longe le hile de l'olive, le sépare de la couche inter-olivaire et représente une lame grise sagit
e coudée, dont la branche sagittale est petite et s'enfonce dans la couche inter-olivaire et dont la branche transversale
lus haut (coupes H3etH6, Fig. 362, p. 518 et 365, p. 527), en trois couches qui passent l'une en avant (stratum superficielle
c) la voie pédonculaire (voy. p.54517), la divisant en une série de couches anléro-poslérieures superposées. Les fascicules d
erse le tiers inférieur de la protubérance, entouré en avant par la couche des fibres transversales superficielles (stratw
ales superficielles (stratwn superficiale, Strs), en arrière par la couche des fibres transversales profondes (stratum profu
l (coupe H 8, Fig. 398, p. 5G3), le stratum profundum disparaît, la couche des fibres superficielles du pont recouvre seul
t piniforme. - SyR, substance gélatineuse de Rolando. - SRce (cio), couche inter-olivaire de la formation réticulée blanch
'appliquent contre le raphé et déterminent ainsi la formation de la couche inler-olivaire (SRa, cio, coupe H 9, Fig. 3GG, p.
Fig. 3GG, p. 529). La délimitation du faisceau pyramidal d'avec la couche inler-olivaire est difficile à établir, et cela
endante du trijumeau. - xPy, entre- croisement pyramidal. Avec la couche intcr-olivairc et l'o- livo bulbaire. 540 A
que par l'obliquité de ses fibres lâchement fasciculées de la dense couche de fibres qui recouvre la corne antérieure et q
ur place il existe un méplat répondant à la partie antérieure de la couche inter- olivaire (Fig. 152, p. 158; 210, p. 196;
ati ou arrondi, con- tenant le noyau arqué et situé au-devant de la couche inter-olivaire. La disposition inverse peut s'o
t dans le tubercule quadrijumeau antérieur, en particulier dans ses couches pro- fondes el moyennes. Leur trajet est partic
ans le ruban de Reil médian (Rm) (Fig. 378), descendent dans la couche inter-olivaire, puis réintègrent la voie pédonc
rticulièrement abondantes en arrière de l'olive (Fig. 383 et 384). La couche inlero- livaire contient dans sa partie antero-
bres transversales profondes du pont; la plupart descendent dans la couche inter-olivaire, puis rentrent dans la pyramide
r du pont. - SR, formation réticulée. - Strs, Strc, Strp, les trois couches de fibres transversales du pont : stratum superfi
ongitudinal postérieur (Flp) dont il est constamment séparé par une couche assez épaisse de fibres longitudinales; il envo
avant à la pyramide antérieure du bulbe (Py), concourt à former la couche inler-olivaire et fait définitivement corps avec
8, Fig. 398), le noyau central inférieur (Nci) limite en arrière la couche inter-olivaire et la sépare du faisceau longitu
l concourt la grande majorité mais non la totalité des fibres de la couche inter-olivaire (SRa cio). Les fibres entre-croisé
la Salpêtrièr CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCEPHALE. : : 67 couche de fibres longitudinales à surface de section tri
neuse de Rolando. - SRa, formation réticulée blanche. - SRa (cio), la couche interoli- -\aire de la formation réticulée blan
de Haller, Burdach, Tiedemann, est encore désigné sous les noms de couche rubanée, Schleifecasc7viclaG, parlie antérieure d
ere Schleife (Forel) ; La partie qui aborde le thalamus est appelée couche rubanée principale ou proprement dite, Hanptthe
nom de ruban cortical, Rizzdenschleife. Bechterew distingue dans la couche rubanée ou ruban de Reil médian un segment inte
der Schleifenschicht (Bechterew), faisceau interne accessoire de la couche rubanée; mediale Blindel der Schleifenscleiclet
ong de la face externe du pédoncule cérébral et pénétraient dans la couche optique. Ces auteurs reconnurent et figurèrent
, la continuation des fibres de l'entre-croisement sensitif avec la couche inter-olivaire du bulbe et avec la couche ruban
oisement sensitif avec la couche inter-olivaire du bulbe et avec la couche rubanée de la protubérance. En 1883, v. Monakow a
Monakow avait, du reste, signalé la dégénérescence ascendante de la couche inter-olivaire et du ruban de Reil, à la suite
lbe. Il change ensuite de direction, devient ascendant, parcourt la couche interolivaire, la partie antérieure de la calolle
enl dans la partie postérieure et inférieure du noyau externe de la couche optique, dans celle région située au-dessous el e
culées, la partie supérieure de l'entre- croisement piniforme et la couche interolivaire. Coupe passant par le tiers inférie
e gélatineuse de Rolando. SRa (cio), formation réti- culée blanche ( couche interolivaire). - TM, trou de Magendie. - 1 ·scl,
; la face postérieure irrégulièrement l dentelée est entourée d'une couche de fibres longitudinales, d'abord mince CONFIGU
e base d'implantation; elle est. entourée en cupule par une épaisse couche de fibres du cordon posté- rieur qui la sépare,
rsal, qui n'est séparée de la périphérie du bulbe que par une mince couche de fibres longitudinales et qui est reliée à la
fascicules compacts et à leur mode d'entre-croisement à angle aigu. Couche interolivaire (SR, cio). - Après leur décussation
du bulbe. 1.. 'C11 lrc-l' l'Olelileli 1 ! "C' ! 1O ? ll¡t 011 La couche ilitei- oln aire. S76 ANATOMIE DES CENTRES NE
formalion réticulée dans la région hulbo- protubérantielle. La couche ruba- liée et ses deux seg- ments Kuban de
cio, coupe H17, Fig. 400), mais ne constituent pas à elles seules la couche inter-olivaire ; elles se mélangent en effet av
iculée blanche (coupes Hll à H17, Fig. 441 à 447, p. 669 à 682). La couche interolivaire est traversée et cloi- sonnée par
r, l'extrémité supérieure de l'olive bulbaire et le raphé médian. Couche rubanée. Au-dessus de l'olive bulbaire (coupe H8,
euse. Sur les coupes horizontales, le ruban de Reil forme ainsi une couche de fibres aplatie d'avant en arrière, désignée pa
s aplatie d'avant en arrière, désignée par Reichert sous le nom cle couche rubanée (Sclileifenscliicht), par Haller sous c
de Reil latéral (RI). Le Ruban de Reil médian (Rm) procède de la couche inler-olivaire Bibliothèque des Internes en M
vermis. - Sgn, substance gélatineuse de Rolando. Slis, Slrc, Strp, couches des fibres transversales superficielles, moyennes
s), atteint la face latérale du tronc encéphalique et y forme cette couche de fibres obliques désignée par les anciens ana
beaucoup les plus nombreuses abordent la région sous-optique et la couche optique; elles sont quelquefois désignées sous
le Flp est toujours séparé du noyau réticulé de la calotte par une couche assez épaisse de fibres longitudinales, dont il
c encéphalique un peu en dehors de la ligne médiane et passe par la couche inter-olivaire et le hile de l'olive bulbaire.
6) et présente une sorte de crête, sur laquelle s'implante la mince couche épithéliale qui tapisse les plexus choroïdes tr
Fig. 424 à 435). Les libres sagittales du raphé sont dis- posées en couches si denses, qu'elles permettent à peine d'apercevo
formation réticulée : en avant, adossée à la pyramide, se trouve la couche iiiterolivai7-e (SR) ; en arrière, adossée à la s
bres transversales de l'étage antérieur de la protubérance en trois couches : l'une, antérieure, le stratum sitpe ? ,ficial
ement et entourés .de fibres longues plus ou moins onduleuses. La couche inler-olivaire de la coupe précédente, renferme i
ement de la région protubérantielle à la région bulbaire; les trois couches , superficielle, intermédiaire et profonde de l'ét
st-central. - sta, sillon transverse antérieur. - Strs, Strc, Slip, couches transversales antérieure, moyenne et postérieure
Fig. 410), la surface de la protubérance, mais en est séparée par une couche très dense et compacte de fibres transversales
'est représenté que par sa partie protubérantielle. Les fibres dela couche superficielle du pont sont encore plus denses, pl
rébelleuse. A la surface extérieure de l'olive, on trouve une mince couche de fibres entre-croisées dans tous les sens qui
ec). La moitié supérieure de la toison, enfin, est tapissée par une couche de fibres courbes à direction sagittale et qui ap
-11, nerf facial. 614 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. tiennent à la couche des fibres semi-circulaires externe (fsme) du cer
se groupent à la face profonde du pied du pédoncule cérébral en une couche de lâches fascicules, la couche dorsale du pied d
u pied du pédoncule cérébral en une couche de lâches fascicules, la couche dorsale du pied du pédoncule ou stratum interme
en fascicules presque FIG. 419. - Le pied du pédoncule cérébral, sa couche intermédiaire ou profonde, et le pes lemniscus
e sur une grande hau- Fic. 420. - Le pied du pédoncule cérébral, la couche intermédiaire, le pes lemniscus profond, la cal
s'effectue par les fibres transversales profondes du pont (FPop). La couche des fibres transversales superficielles (FPoa)
llon latéral de l'isthme et dissocient la voie pédonculaire (VP) en couches transversales, superposées d'arrière en avant.
nculaire, ses fibres horizontales et les fascicules dissociés de sa couche profonde. - VV, valvule de Vieussens. - 114, qu
r les coupes des tiers moyen et inférieur de la protubérance, et la couche des fibres transversales profondes du pont y es
très variés, mais qui se disposent en général d'avant en arrière en couches stratifiées FIG. 123. - L'étage antérieur et la
se antérieure du pont. - SR, formation réticulée. - Strc, Strp, Strs, couche transversale moyenne, profonde et superficielle
ncule cérébelleux moyen (Pcm), réduit encore à une mince mais dense couche de fibres, qui occupe la partie latérale de l'éta
scicules, dissociés par les nombreuses fibres toanscer- sales de la couche protubérantielle moyenne (F Pom). Les fibres de
sales de la couche protubérantielle moyenne (F Pom). Les fibres des couches antérieures (FPoa) et postérieures (FPop) ont pre
) s'entre-croisent en fascicules presque parallèles, les fibres des couches moyennes (FPom) et profondes (FPop) s'entre-cro
cédente, que par la concentration de la voie pédonculaire (VP)dans la couche moyenne du pont et par l'augmentation d'épaisse
la couche moyenne du pont et par l'augmentation d'épaisseur de ses couches superficielles et profondes. La substance grise
(Nrt). En dehors, il est mal délimité et se fusionne avec l'étroite couche de fibres (Fit) d'origine fort com- plexe, situ
olando. - Sli, formation réticulée de la calotte. - Strc, Strp, Strs, couches moyennes, profonde et superficielle des fibres
par de rares fibres transversales du stratum complexum (Strc). Les couches profondes (Strp) et superficielles (Strs) de la p
de la pro- tubérance ont encore augmenté de volume, et la dernière couche contient une gangue de substance grise plus abo
a coupe passe par la substance blanche centrale (Sbc) et intéresse la couche de fibres qui recouvrent les noyaux du toit et
substance grise qui tapisse le corps intra-ciliaire, par une mince couche de sub stance blanche qui recouvre l'extrémité
rieure du nid d'hirondelle est limitée comme à droite par une mince couche de substance grise en connexion avec l'écorce de
leux supérieur (Pes). L'olive est entourée en dehors. par une mince couche de feutrage extra-ciliaire, la toison (fec), que
ure ou bulbaire (Oi), et se continue sans délimitation nette avec une couche de fibres sectionnées plus ou moins obliquement
, il est séparé du faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp) par une couche de fibres beaucoup plus épaisse et dense que su
a diviser en deux parties : l'une antérieure ou interoli- vaire, la couche intl'1'olivai1'e de Flechsig; l'autre postérieure
aire, la couche intl'1'olivai1'e de Flechsig; l'autre postérieure, la couche inlerréti- culée. Les deux couches, interolivai
Flechsig; l'autre postérieure, la couche inlerréti- culée. Les deux couches , interolivaire et interréliculée, forment un tout
un certain nombre de systèmes de fibres. Cette étude montre; que la couche interolivaire comprend surtout les fibres du ru
omprend surtout les fibres du ruban de Reil médian, de là le nom de couche lemniscule qui lui est quelquefois donné, et qu
en connexion avec les cordons antéro- latéraux de la moelle; que la couche inte1'J'éticlllée con- tient, à sa partie posté
térieur de la moelle ou qui en dérivent; la partie antérieure de la couche inle1'1'éticlllée con- tient surtout des fibres
iable. Celles qui parcourent la formation réticulée grise (SRg) et la couche inter- réticulée de la formation réticulée blan
formes qui, sur cette coupe, traversent la partie postérieure de la couche interolitaire (SRa,cio), sont beaucoup plus épais
ineuse de Rolando. - SRa, formation reticulée blanche. - SRa (cio), couche inter-olivaire de la formation réticulée blanche.
), couche inter-olivaire de la formation réticulée blanche. SRa (cir) couche interréticulée de cette même formation. - SRg,
rrière et en dedans, elle s'adosse au ruban de Reil compris dans la couche inierolivaire de la formation réticulée blanche
t l'origine est encore obscure et qui se confondent en dedans avec la couche L c. 440. - La région bulbaire supérieure au-de
vant ou en arrière de l'olive bulbaire (Oi), puis traversent les deux couches inler-olivaire droite et gauche et s'irradient
arciformes occupent sur cette coupe toute l'étendue sagittale de la couche inter-olivaire, alors qu'elles n'en atteignent qu
evêtré des fibres du raphé. Les fibres arciformes qui traversent la couche inter-olivaire sont parallèles, nombreuses, for
ascicules rela- tivement volumineux; celles (fad) qui traversent la couche tilde de la formation réticulée blanche (SRa) s
sse (XII). La formation réticulée blanche forme sur cette coupe une couche homogène; on n'y distingue même plus la légère
i que les noyaux juxta-olivaires inlerne (Noi) et externe (Noe). La couche inierolivaire (SRa, cio) de la formation réticulé
euse de Rolando. - SRa, formation réticulée blanche. - SRa,cio), sa couche interolivaire. - SRg, formation réticulée grise.
st-à-dire au corps juxta-restiforme. Cette masse est entourée d'une couche de fibres sectionnées perpendiculairement à leu
séparées par les fibres du corps restiforme (Crst) disposées en une couche mince, étroite et curviligne qui contourne le cor
e du bulbe. - Sf/li, substance gélatineuse de Rolando. - ·Ra,(cio), couche inierolivaire de la formation réticulée blanche
contournent ce corps, puis par- courent en fascicules parallèles la couche inter-olivaire pour s'irradier dans le hile de
r entre-croisement avec les fibres longitudinales ascendantes de la couche inter-olivaire, en particulier du ruban de Reil m
cellules des noyaux des cordons postérieurs (NCp), montent dans la couche inter-olivaire et dans le ruban de Reil médian,
ans le ruban de Reil médian, du côté opposé et se terminent dans la couche optique. La cavité du quatrième ventricule qui,
effet reporté en avant et s'est coudé, une partie s'adossant il la couche inler-olivaire (SRa), l'autre à la pyramide (Py
raversent en effet la forma- tion réticulée, l'olive bulbaire et la couche interolivaire en affectant un trajet oblique en
érébello-olivaires traverser la formation réticulée, l'olive et les couches inter-olivaires (coupes H 14 et H 15), ou seuleme
hes inter-olivaires (coupes H 14 et H 15), ou seulement l'olive et la couche inter-olivaire (coupes H 16). En d'autres terme
ruban de Reil médian, c'est-à-dire avec une partie des fibres de la couche inter-olivaire. Au sur et à mesure que les fibr
e antérieure. - SgR, substance gélatineuse de Rolando,. - SRa (cio) couche interolivaire de la formation réticulée blanche.
rsent le noyau juxta-olivaire interne et la partie antérieure de la couche inte2-olivaii-e. La formation réticulée grise (
.cPin, entre-croisement piniforme ou sensitif du bulbe. - SRa (cio), couche interolivaire de la formation réticulée blanche
tif du bulbe. - S7R, subslance gélatineuse de Rolando. - SRa (cio), couche inter-olivaire de la formation réticulée blanche.
oyaux des cordons postérieurs et entrent dans la constitution de la couche inter-olivaire et du ruban de Reil médian. Les
neuse de Rolando. -SRa, forma- tion réticulée blanche. - SRa (cio), couche interolivaire de la formation réticulée blanche.
resque la péri- phérie du bulbe dont ne le sépare qu'une très mince couche de fibres section- nées perpendiculairement à l
substance grise limités parun feu- trage de fibres et par l'épaisse couche de fibres du cordon postérieur qui le recouvre.
ar sa coloration grise, translucide. Ces coupes montrent qu'une mince couche de fibres appartenant à la grosse racine sensit
pe H 19, Fig. 449), puis s'étrangle sur la coupe H20 (Fig. 450). La couche de fibres qui le revêt et qui constitue le cordon
rme, refoulent en dehors la base des cornes antérieures et la mince couche de fibres du cordon antérieur (Ca) qui la recouvr
ulle part sur ces coupes la périphérie du bulbe, dont la sépare une couche plus ou moins épaisse de substance blanche esse
cture de l'écorce cérébelleuse. L'oeil nu permet de distinguer deux couches dans l'écorce cérébelleuse, l'une externe, grise
e, l'autre inlerne, roui liée ou granuleuse, séparées par une mince couche claire, intermédiaire, qui contient les corps des
sillons. Cette différence tient surtout à l'inégale épaisseur de la couche interne ou granuleuse (cg), dont les éléments cel
inage du fond des sillons. Nous étudierons successivement : 1° La couche intermédiaire ou la couche des cellules de Purkin
Nous étudierons successivement : 1° La couche intermédiaire ou la couche des cellules de Purkinje (cP) ; 2° La couche mo
he intermédiaire ou la couche des cellules de Purkinje (cP) ; 2° La couche moléculaire (cm); 3° La couche granuleuse (cg);
cellules de Purkinje (cP) ; 2° La couche moléculaire (cm); 3° La couche granuleuse (cg); '1-° Les fibres terminales qui
anuleuse (cg); '1-° Les fibres terminales qui s'arborisent dans ces couches . Si nous dérogeons aux habitudes prises de décr
ces couches. Si nous dérogeons aux habitudes prises de décrire les couches céré- belleuses de dehors en dedans, cela tient
rtants de l'écorce cérébelleuse et qu'elles appartiennent aux trois couches : à la couche moléculaire, par leurs ramificati
rce cérébelleuse et qu'elles appartiennent aux trois couches : à la couche moléculaire, par leurs ramifications dendritiqu
la couche moléculaire, par leurs ramifications dendritiques; il la couche intermédiaire, par leurs corps cellulaires : à
ues; il la couche intermédiaire, par leurs corps cellulaires : à la couche granuleuse, par les collatérales de leur cylindre
leur cylindre- axe - et que la plupart des éléments cellulaires des couches moléculaire et granuleuse sont destinés a assur
es corps cel- Écorce curebol- leuse. Son épaisseur. Ses trois couches . 692 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. lulaires,
tions dendritiques d'un certain nombre de cel- lules de Purkinje. Couche intermé- diaire. La cellule de Pur- kinje.
intermé- diaire. La cellule de Pur- kinje. Ses dimensions. Couche intermédiaire, couche des grandes cellules ou cou
La cellule de Pur- kinje. Ses dimensions. Couche intermédiaire, couche des grandes cellules ou couche des cellules cle
es dimensions. Couche intermédiaire, couche des grandes cellules ou couche des cellules cle Purkinje. Les cellules de Purk
ents de très grande taille, dont le corps est situé aux confins des couches moléculaire et granuleuse, plus près toutefois
leux de l'homme adulte. (Coloration par la méthode de Rosin.) cg, couche granuleuse ; cette couche, très épaisse au niveau
oloration par la méthode de Rosin.) cg, couche granuleuse ; cette couche , très épaisse au niveau des crêtes des lames et l
le fond des sillons à une mince bande de grains stratifiés. - cm, . couche 'moléculaire d'épaisseur a peu près partout égale
. couche 'moléculaire d'épaisseur a peu près partout égale. - cl', couche intermédiaire o couche des cellules de Purkinje
d'épaisseur a peu près partout égale. - cl', couche intermédiaire o couche des cellules de Purkinje disposées en une seule r
FIG. 155. - Les cellules de Purkinje elles libres terminales de la couche granuleuse du cervelet de l'homme. Coupe sagitt
s en bois de cerf de ces cellules occupent toute la hau- teur de la couche moléculaire. - cy, cylindre-axe des cellules de P
du cylindre-axe des cellules de Purkinje. -cs, cellule étoilée de la couche moléculaire, dont les arborisations cylindre-ax
e par les arborisations cylindre-axiles d'une cellule étoilée de la couche moléculaire, en partie par les arborisations cyli
ibres terminales de la substance blanche (sali s'arborisant dans la couche granuleuse. - as, cellule araignée ou astrocyte d
rolongements dendritiques. Us occupent toute la hauteur de la couche moléculaire. s'arborisent en bois do cerf,
lle esl striée ou fibrillaire, autour du noyau elle forme plusieurs couches concentriques très denses qui se prolongent en
e la base ou des parties latérales du corps cellulaire, traverse la couche rouillée, granuleuse ou interne, el se con- tin
ie de branches radiées, qui atteignent l'extrême péri- phérie de la couche moléculaire et émettent chemin faisant une infini
extrémités libres et épineuses dans les différentes hauteurs de la couche moléculaire; quelques-uns se terminent au voisi
? 8 de diamètre et qui occupe chez l'adulte toute l'épaisseur de la couche moléculaire (Fig. 435 et 4JG). Chez l'embryon
nt, elle atteint à peine chez le nouveau-né la partie moyenne de la couche moléculaire; elle se trouve recouverte par la cou
moyenne de la couche moléculaire; elle se trouve recouverte par la couche de cellules embryonnaires de Vignal qui diminue
- nissenko), traverse en ligne droite ou légère- ment courbe la couche e granuleuse ou interne, puis entre dans la con
ll, ses co l- latérales récurrentes. - ce, cellule empanachée de la couche granuleuse, dont les prolongements disposés en
les prolongements disposés en branches de candélabre traversent la couche moléculaire, en formant t les fibres de Bergman
ientés dans 696 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses collatérales. Couche mtcmo Les grains du cer- velet. Leurs arbor
les cylmdm·s-azes. Ils forment les fi- Ores parallelos de la couche moléculaire. Dans son trajet à travers la couch
parallelos de la couche moléculaire. Dans son trajet à travers la couche granuleuse, le cylindre-axe présente quelques é
tes par Cajal, Retzius, v. K6lliker, etc. Elles se dirigent vers la couche moléculaire, se divisent une ou deux fois dicho
ou deux fois dichotomiquement, puis s'arborisent en partie dans la couche interne, en partie dans les régions inférieures d
ans la couche interne, en partie dans les régions inférieures de la couche molé- culaire, puis se terminent librement auto
s dendrites des cellules de Purkinje voisines (Fig. 155 et 1-56). Couche interne. - Comparée à la couche granuleuse intern
rkinje voisines (Fig. 155 et 1-56). Couche interne. - Comparée à la couche granuleuse interne de la rétine, la couche inte
interne. - Comparée à la couche granuleuse interne de la rétine, la couche interne, couche granuleuse (Gerlach), couche des
rée à la couche granuleuse interne de la rétine, la couche interne, couche granuleuse (Gerlach), couche des grains ou couc
terne de la rétine, la couche interne, couche granuleuse (Gerlach), couche des grains ou couche rouillée de v. Kôlliker, s
a couche interne, couche granuleuse (Gerlach), couche des grains ou couche rouillée de v. Kôlliker, se présente sur les coup
serré de grains polyédriques fortement teintés par le carmin. Cette couche présente, ainsi que nous l'avons vu plus haut,
t, soit après un trajet plus ou moins oblique, puis pénètre dans la couche moléculaire et s'y bifurque en T en donnant naiss
par une extrémité effilée qui se recourbe et peul pénétrer dans la couche interne ou granuleuse (Cajal, Retzius). Ces fib
es, sont très nombreuses; elles occupent toute la liaittelli- de la couche moléculaire il laquelle elles impriment un aspect
sous l'aspect d'un fin pointillé, qui occupe toute la hauteur de la couche moléculaire, alors que les arborisations des cell
. Outre ces grains si caractéristiques de l'écorce cérébelleuse, la couche interne contient encore un certain nombre de ce
cérébelleuse. On les trouve disséminées dans toute la hauteur de la couche granuleuse interne, voire même dans la Fie. 45T
la Fie. 45T. - Les grains du cervelet, les fibres parallèles de la couche moléculaire et les cellules de Purkinje vues de
de de Golgi.) - Figure demi-schématique d'après Cajal (1893). .4, couche moléculaire. - l3, couche granuleuse. - C,' subst
i-schématique d'après Cajal (1893). .4, couche moléculaire. - l3, couche granuleuse. - C,' substanche blanche/ Chaque gr
e grain émet un cylindre-axe ascendant, qui se bifurque (6) dans la couche moléculaire, et donne naissance à une libre par
olgi de la coucho interne. 698 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La couche externe couche intermédiaire, aux confins de la
interne. 698 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La couche externe couche intermédiaire, aux confins de la zone moléculaire
complexe, d'une étendue extrême, qui occupe toute la hauteur de la couche gra- nuleuse et peul être suivie jusque dans la
les coupes un peu épaisses traitées suivant la méthode de Golgi, la couche granuleuse parait presque complètement colorée en
gulièrement sur de grandes étendues ; quelques endrilestraversentla couche granuleuse, puis pénètrent de chaque côté dans
aversentla couche granuleuse, puis pénètrent de chaque côté dans la couche moléculaire adjacente (Retzius) (Fig. 458). D'a
) (Fig. 458). D'autres dendrites se coudent après avoir traversé la couche moléculaire, deviennent horizontales, puis four
en 1895, ont décrit, chez la souris et le chai nouveau-né, dans la couche granuleuse et dans la substance blanche, de vol
cylindre-axe dans la sub- stance blanche et leurs dendrites dans la couche moléculaire. Ces cellules très rares, et qui n'
les au grand axe de la lamelle; 2 il 3 dendrites se portent dans la couche moléculaire et s'y arborisent. Quant au cylindr
et se perdait clans le feutrage de fibres qui entoure ces noyaux. Couche externe ou moléculaire (couche grise de v. Kôllik
ge de fibres qui entoure ces noyaux. Couche externe ou moléculaire ( couche grise de v. Kôlliker, couche finement grenue, c
yaux. Couche externe ou moléculaire (couche grise de v. Kôlliker, couche finement grenue, couche granuleuse externe, couch
u moléculaire (couche grise de v. Kôlliker, couche finement grenue, couche granuleuse externe, couche superficielle). Cett
de v. Kôlliker, couche finement grenue, couche granuleuse externe, couche superficielle). Cette couche, très régulière et
ent grenue, couche granuleuse externe, couche superficielle). Cette couche , très régulière et d'épaisseur à peu près égale,
rc 3 U¡l11- Fin. r : i8. - Cellule du type II de Golgi de la couche granuleuse de l'écorce du cervelet. - Coupe perpe
s. Sy%tème de soute- jacment. Absence à l'état noi-rnal d'une couche névroglique sous- pi e-mérienno. ramifiés e
ure de la cellule et atteignent en se ramifiant la périphérie de la couche moléculaire. Le cylindre-axe se comporte d'une
collatérales ascendantes qui se por- tent vers la périphérie de la couche moléculaire où elles s'arborisent libre- ment (
risent libre- ment (Fig. 459). Cajal (1895) a signalé enfin dans la couche moléculaire, des fibres en anse dont l'origine
outènement . Névroglie. - L'écorce cérébelleuse est dépourvue d'une couche de névroglie sous-pie-mérienne et occupe de ce
ut que toute la surface extérieure du névraxe soit recouverte d'une couche névroglique sous-pie- mérienne plus ou moins de
que sous-pie- mérienne plus ou moins dense. On voit toutefois celle couche apparaître dans des cas pathologiques, an cours
ce, Fig. 456), dont les corps siègent dans la partie supérieure de la couche STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBENCÉPHALE. .01
01 granuleuse et [dont les prolongements traversent radiairement la couche moléculaire en formant les fibres dites cle Ber
de Bergmann provenaient d'un corps cellulaire situé en dedans de la couche moléculaire, et décrivit la forme étoilée des c
'une lamelle cérébelleuse de mammifère. (D'après Cajal, 1893.) A, couche moléculaire. - B, couche granuleuse. - C, substan
de mammifère. (D'après Cajal, 1893.) A, couche moléculaire. - B, couche granuleuse. - C, substance blanche de la lamelle
axe de la cellule de Purkinje. - b, petites cellules étoilées de la couche moléculaire. d, nid péricellulaire péripurkinji
descendantes des cylindres-axes des petites cellules étoilées de la couche moléculaire. - e, cellule étoilée superficielle
zone des grains. ? grande cellule isolée du type Il de Golgi, de la couche granuleuse. La cellule névru- glique empanach
myé- line de l'écorce cé- rébelleuse. 1-eiir pénurie dans la couche molécu- laire. Golgi; leur corps est irréguli
mbreux prolongements, dont les uns, très courts, se rendent dans la couche granuleuse, et dont les autres, beaucoup plus lon
onstate que de très rares fibres névrogliques transversales dans la couche moléculaire. Les libres de Berg- mann et les fi
les cellules de Purkinje de véritable paniers névrogliques. Dans la couche granuleuse, on ne constate à l'aide de la méthode
e colorée à l'aide de la méthode de Weigert-Pal, on constate que la couche moléculaire ne contient que peu de libres à myé
e contient que peu de libres à myéline. Elle est dépourvue de cette couche de fibres tangen- tielles superficielle, si car
inje, c'est-à-dire au niveau du quart ou du cinquième interne de la couche moléculaire. Les fibres radiées passent entre l
des grains du cervelet. Si le quart ou le cinquième interne de la couche moléculaire contient de nombreuses fibres à myé
es parallèles de Cajal, comme les fibres des parties internes de la couche moléculaire. La couche granuleuse contient de n
omme les fibres des parties internes de la couche moléculaire. La couche granuleuse contient de nombreuses fibres à myélin
ile supérieure, au-dessous du corps des cellules de Pur- kinje, une couche assez épaisse de libres à myéline à direction tra
cellules de Purkinje et au-dessous des fibres longitudinales de la couche moléculaire qui croisent leur direction. Les co
surface de la circonvolution montrent qu'il ne s'agil pas ici d'une couche de fibres continue, mais d'une sorte de feutrag
'étroits ponts de fibres à direction plus ou moins oblique. Cette couche de fibres transversales 5Ous-purkÙjiennc reçoit l
bres transversales 5Ous-purkÙjiennc reçoit les fibres radiées de la couche moléculaire qui se coudent en l'abordant. De sa
à myéline, rectilignes ou plus ou moins obliques, qui traversent la couche granuleuse, s'enche- vêtrent et s'entre-croisen
la circonvolution; elle fait défaut dans le fond du sillon; ici la couche granuleuse est sillonnée de fibres obliques ou
- cales ou fibres en U de Meynert, que nous avons décrites dans les couches profondes de l'écorce des sillons cérébraux (Vo
e sont donc toutes d'origine purkinjienne. Leur abondanco dans la couche gra- nuleuse. Le feutrage sous- purkinjicn
constituent les fibres parallèles; 2° les cel- lules étoilées de la couche moléculaire dont les cylindres-axes entourent l
a branche ascendante des grains, à la forma- lion du feutrage de la couche granuleuse. Ces libres terminales ont été décou
méthode de Golgi : les unes, fibres moussues, s'arborisent dans la couche granuleuse; les autres, fibres grim- pantes, so
he granuleuse; les autres, fibres grim- pantes, sont destinées à la couche moléculaire et s'enroulent a la ma- nière d'une
musgosas de Cajal, Moosfasern de v. Kôlliker) s'arborisent dans la couche granuleuse et présentent de distance en dis- la
région des cellules de Purkinje et se prolongent en partie dans la couche moléculaire. D'après c-- U -s C co n !
t des libres terminales qui, de la substance blanche, traversent la couche granuleuse pour s'arbo- boriser dans la couche
anche, traversent la couche granuleuse pour s'arbo- boriser dans la couche moléculaire : libres moussues, fibres étoilées ou
uges et centripètes de l'écorce cérébelleuse, après avoir traversé la couche granuleuse, se réunissent dans l'axe de la lame
s sillons inlcrlamellaires, interlobulaires et interlobaires, d'une couche assez épaisse qui mesure 0 ? 2 il 0 ? J, eldonl l
raduellement avec les fibres d'association intra-cor- ticales de la couche granuleuse (voy. p. 703). Les fibres longues ou
les forment un faisceau à direction sagittale, connu sous le nom de couche sagittale de la branche horizontale de l'arbre
sous-lobaire inextricable (Fig. 4G3), tout à fait analogue à cette couche périphérique du centre ovale du cerveau que nou
fais- ceaux plus ou moins nettement délimités : Les fibres de la couche sagittale de la branche horizontale de l'arbre
de transition entre le vermis et les hémisphères cérébelleux, cette couche s'épaissit considé- rablement en avant et en de
(innerc et aussere Leur-» faisceaux '\ dIII'éIC.1C.l ? 3. 1° La couche sa- ttittale de la branche horizontale de l'a
es dépressions des surfaces externe et interne du corps dentelé. La couche qui recouvre la face externe, convexe, du corps d
toison, de plexus extraciliaire, de cap- sule du noyau dentelé ; la couche qui tapisse la face interne de l'olive céré- be
el la partie supé- rieure de la face interne du corps dentelé d'une couche , mince en arrière et en bas, beaucoup plus épai
rizontale de l'arbre de vie du lobe médian (Fig. 437, p. G : 3); la couche sagittale de cette branche horizontale sépare d
e la toison, dont le moyen (fsmé) recouvre le bouchon, traverse ses couches les plus superficielles ou passe entre la toiso
t et séparé du petit entre-croisement commissural postérieur par la couche sagiltale de la branche horizontale de l'arbre de
du vermis. bv, branche verlicale de l'arbre de vie du vermis. Cor ? couche sagittale de la branche horizontale de l'arbre de
CHAPITRE VII GANGLIONS SIN F H AC 0 1\ T J C A U X : CORPS STRIÉ, COUCHE OPTIQUE RÉGION SOUS-OPTIQUE TABLE DES .MATIÈR
3 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
qui ferme l'espace perforé antérieur (EPÀ) et dans lequel s'étale une couche de substance grise (GS) désignée sous le nom de p
diane, se perd, au-dessus et en avant du chiasma (CH), dans une mince couche verticale de substance grise : la lame terminale
essous et en avant du rostrum, s'étend, à la surface de l'écorce, une couche irrégulière et gaufrée de substance blanche, qui
ventricule moyen et va se jeter dans le tubercule mamillaire (TM). Couche optique, thalamus. — Toutes les parties situées a
sidérable, ovoïde, allongée dans le sens antéro-postérieur : c'est la couche optique ou thalamus. On peut y reconnaître facile
substance grise; il n'est pas, comme l'étage supérieur, revêtu par la couche blanche du stratum zonale. Vers sa partie moyenne
Reil. Le ruban de Reil, ou faisceau triangulaire de l'isthme, est la couche superficielle de la face postéro-externe du pont
lotte dans un repli de la pie-mère, la glande pinéale est reliée à la couche optique à droite et à gauche par trois pédoncules
t, que l'habénule fait suite à un ganglion de l'étage supérieur de la couche optique (GI1). C'est qu'en effet la glande pinéal
. Là, elle se confond avec le pied du septum. Elle se compose de deux couches : une antérieure blanche, qui forme une véritable
ier descendant de la voûte (DF). Plus bas, derrière le chiasma, cette couche grise représente ce qu'on appelle la racine grise
est le pulvinar (Pul), en partie constitué par le noyau interne de la couche optique (NiC). Au-dessous et en avant du spleni
encore et disparaît. LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche gaufrée de substance blanche qui revêt la circonv
uble a contracté des connexions définitives avec les noyaux centraux ( couche optique, etc.). Et ainsi s'établit le premier sys
e antérieure, la commissure postérieure, le tubercule antérieur de la couche optique, etc. Ces repères-là sont invariables, ou
limitant sur son bord interne ; il sépare ainsi le noyau caudé de la couche optique. Nous étudierons ultérieurement le détail
sant à la fois au milieu de la tête du corps strié et au milieu de la couche optique. La surface de section représentée sur
ne; le noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau postérieur est la couche optique. En dehors et dans la profondeur, un tr
ticulaire. Le noyau lenticulaire est séparé du noyau caudé et de la couche optique par une lame blanche épaisse, coudée, c'e
enou de la capsule, étant toujours sous-jacent au noyau caudé et à la couche optique, répond nécessairement aussi, sur les cou
fonde du tamia; le lamia, en effet, est la ligne de démarcation de la couche optique; et du noyau caudé sur toute l'étendue an
au caudé ; Tic, ta'iiia ; P, ])édonculo cérébral IKMn'tranL dans la couche optique (CO) ; x, y, z, trois coupes horizontal
tricule moyen dont la paroi est représentée par la face interne de la couche optique (Th), et il a divisé le pied du pédoncule
de la commissure postérieure (CP) ; il entame le noyau interne de la couche optique (NiC), passe en dehors de l'habénule (IIA
en dehors de l'habénule (IIAB), et traverse le noyau antérieur de la couche optique (NaC). A mesure qu'on procède à cette div
it que la coupe avait été pratiquée sur cet liémi-sphère à travers la couche optique. Il nous reste à énumérer les-parties, en
niveau de sa pénétration dans l'hémisphère à la face inférieure de la couche optique. Le faisceau de Tiïrck-Meynert s'enfonce
s sagittales), le discus lentifor-mis (DL), sous-jacent lui-môme à la couche optique. FG. Le faisceau géniculé est la moitié
rière en avant et de dedans en dehors, toujours situé au-devant de la couche optique. ANL. L'anse du noyau lenticulaire est
e entre les faisceaux du pédoncule qui viennent d'être énumérés et la couche optique à la face inférieure de laquelle il est m
semi-circularis est la petite bande de fibres blanches qui sépare la couche optique (Pul) de la queue du noyau caudé (NCC).
lus claire que tout le reste de l'écorce, est due à la présence de la couche réticulaire d'Arnold. — En arrière, la circonvolu
COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LA BASE DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE [corpus album subrotundum). Écorce. Les
érieure. — TM, tubercule mamillaire. — NaC, tubercule antérieur de la couche optique. postérieure de la face interne de l'hé
e la scissure calcarine (K). Le prolongement sphénoïdal passe sous la couche optique (NiC). Substance grise. NC. Le noyau
dehors il repose sur une large masse de fibres qui convergent vers la couche optique (NeC); cette masse de fibres est la couro
quement en haut et en dehors. NaC, NeC, NiC. Les trois noyaux de la couche optique forment aussi, dans leur ensemble, la mas
en bas et de dehors en dedans, avec le stratum zonale qui recouvre la couche optique. "Le stratum zonale est cette lamelle b
terne (NiC), parce que ses fibres, vers l'extrémité postérieure de la couche optique, sont coupées perpendiculairement à leur
). Cette lame est formée de fibres venues de la face inférieure de la couche optique, c'est-à-dire de la région de l'étage sup
la région de l'étage supérieur de la calotte; elle se compose de deux couches entrecroisées, qui constituent ce qu'on a appelé
e de deux couches entrecroisées, qui constituent ce qu'on a appelé la couche grillagée (voy. CG, pl. XXVIII, fig. 114). Les
e grillagée (voy. CG, pl. XXVIII, fig. 114). Les trois noyaux de la couche optique sont d'une teinte plus claire que le noya
e (RC), et un prolongement interne entre la couronne rayonnante et la couche optique. Ce dernier prolongement se perd môme, en
ngement se perd môme, en grande partie, dans la substance grise de la couche optique. CR. La couronne rayonnante, que nous a
au devant de la commissure (CA). Sur la ligne médiane, la très mince couche de substance grise qui réunit ainsi les deux tête
pe toute la région profonde de l'insula, dont il est séparé par trois couches distinctes : 1" la capsule externe, blanche (CE);
ulvinar (Pul). Pul. Le pulvinar est la tubérosité postérieure de la couche optique faisant saillie dans le carrefour ventric
me pour le pulvinar; ce noyau en efl'et, quoique faisant partie de la couche optique, ne s'arrête pas nettement à la lame médu
. Le tubercule quadrijumeau antérieur, qui semble faire corps avec la couche optique, présente dans sa masse grise une tache f
e la scissure de Sylvius (S') que par le pôle de l'insula (PI) et une couche de substance grise, que nous appelons l'isthme gr
par la face externe de la corne d'Ammon (Fd). Substance grise. La couche optique n'est plus intéressée sur cette coupe, no
d'ailleurs séparé de l'écorce de BUISSAUD. 6 l'hippocampe par une couche blanche, fenôtrée, la substance réticulaire d'Arn
), s'enfonce à une grande profondeur dans la substance cérébrale ; la couche corticale qui le revêt arrive ainsi presque au co
rnix, séparé de l'écorce grise, surtout dans le pli inférieur, par la couche claire de la lame festonnée (LFE). La cavité ve
f (FS) en dehors, et du faisceau compact du fornix en dedans, par une couche claire, qui n'est autre que la membrane épendymai
t autre que la membrane épendymaire (EP), et, plus en dehors, par une couche de fibres foncées, dirigées dans le sens antéro-p
faisceau longitudinal inférieur se divise ici très nettement en trois couches : ime supérieure (FLl), foncée, compacte, dirigée
partie externe du faisceau sensitif FS. Cette disposition en trois couches n'existe que dans la région la plus postérieure d
plancher de la cavité ventriculaire. Un peu plus en avant, les trois couches en question se réduiront à deux. La couche supéri
plus en avant, les trois couches en question se réduiront à deux. La couche supérieure (FLi) aura disparu; c'est-à-dire que s
rvent les dernières. Donc, les fibres antéro-postérieures, formant la couche supérieure (FLi) du faisceau longitu- Figure 8.
s'incurvent seulement dans la région postérieure du cerveau. Si cette couche manque dans une région plus anhîrieunî, c'est qu'
supérieure, se divise après sa réflexion sous le ventricule en trois couches horizontales (FLI), toujours interposées entre le
e est cependant relativement facile à dissocier. Il est formé de deux couches ou lames verticales adossées, marchant d'avant en
. Le faisceau longitudinal inférieur (fig. 9, 10, 12) divisé en trois couches , se porte en dedans et en avant vers la moitié in
I. Le faisceau longitudinal inférieur ne présente plus guère que deux couches : une blanche, supérieure, dont il vient d'être q
la planche précédente, on reconnaît que la différence est grande. La couche supérieure (FLi) a disparu. Cela revient à dire q
de la substance blanche du faisceau supérieur du forceps (FOs). La couche moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FL2),
rtie supérieure, se condense à sa partie inférieure. Au-dessous de la couche moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FL2),
LI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose plus que de deux couches (FL2 et FL3), la moyenne et l'inférieure. La supé
ent de dehors en dedans pour se porter vers le gyrus lingual (T) La couche moyenne (FL2) représente les fibres du faisceau s
moyenne (FL2) représente les fibres du faisceau sensitif réfléchi. La couche inférieure (FL3) représente également des fibres
ici une seule particularité. Il augmente d'épaisseur surtout dans sa couche inférieure et particulièrement dans la région du
du faisceau longitudinal inférieur (FLI) s'accuse de plus en plus. La couche inférieure (FL3), l'emporte, de ce fait, sur la c
us en plus. La couche inférieure (FL3), l'emporte, de ce fait, sur la couche moyenne (FL2). Quant à la couche supérieure (FLi)
(FL3), l'emporte, de ce fait, sur la couche moyenne (FL2). Quant à la couche supérieure (FLi), encore visible sur la figure 14
et en avant, dans le manteau du gyrus fusiforme (T4), en dehors de la couche moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FLI),
tudinal inférieur (FLI), et paraît mêler ses fibres avec celles de la couche inférieure (FL3) de ce faisceau (voy. fig-17 et
sillon occipito-temporal (otk), se réduit de plus en plus à une seule couche ; cette couche inférieure (FL3) est formée en maj
-temporal (otk), se réduit de plus en plus à une seule couche ; cette couche inférieure (FL3) est formée en majeure partie des
sensitif (FS), et spécialement des fibres externes de ce faisceau. La couche moyenne (FL2) a perdu beaucoup de son épaisseur.
précédemment. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur, réduit à sa couche inférieure, est formé des fibres de la partie ext
ion évidente de ses fibres de dehors en dedans, mais à la présence de couches grises, minces, interposées entre les trousseaux
23); enfin, à sa partie inférieure, il tend déjà à se diviser en deux couches , une externe et une interne (fig. 19 et suiv.). L
er en deux couches, une externe et une interne (fig. 19 et suiv.). La couche interne est plus compacte que l'externe, surtout
étudiés. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur est réduit à deux couches ; la plus importante (FL3, fîg. 21), est la couche
est réduit à deux couches; la plus importante (FL3, fîg. 21), est la couche inférieure, celle qui renferme les fibres antéro-
stérieures, venues en majeure partie du faisceau sensitif externe. La couche moyenne (FL2) représente des fibres transversales
cette circonvolution est occupée par la corne d'Àmmon, les fibres des couches inférieure et moyenne du faisceau longitudinal in
entuée, que les fibres du faisceeu sensitif (FS) se composent de deux couches ; mais c'est sur la planche suivante que cette di
. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose que de deux couches . La couche inférieure foncée (FLs) est en grande
faisceau longitudinal inférieur ne se compose que de deux couches. La couche inférieure foncée (FLs) est en grande partie form
est déjà en presque totalité épuisé dans le gyrus fusiforme (T4). La couche moyenne (FL2, fig. 26, 29), composée de fibres tr
tassés au-dessus du corps calleux, se présentent sous l'apparence de couches plus condensées; leur teinte est plus foncée et l
bientôt pour se prolonger en haut, au-dessus du corps strié et de la couche optique, en bas au-dessous du noyau caudô et du p
lis de la bandelette cendrée, laquelle est recouverte par une mince couche de fibres. Cette couche blanche commence à revêti
endrée, laquelle est recouverte par une mince couche de fibres. Cette couche blanche commence à revêtir la bandelette cendrée,
s sépare pas; elle les recouvre l'une et l'autre. Mais comme ces deux couches grises décrivent des ondulations, et comme ces on
l'hippocampe. Cette dépression de la surface corticale, revêtue d'une couche blanche, représente la section verticale de la co
, revêtue d'une couche blanche, représente la section verticale de la couche blanche elle-même, qui, sur des coupes plus antér
eulement pour quelques-unes d'entre elles. Celles-ci forment alors la couche supérieure du faisceau longitudinal inférieur; et
et c'est parce quelles ne se réfléchissent pas toutes ensemble que la couche supérieure de ce faisceau est nécessairement mo
tions occipitales internes. FS. Le faisceau sensitif, dont les deux couches sont déjà recon-naissables sur les premières figu
faisceau longitudinal inférieur change d'aspect; il est réduit à une couche sur la figure 51 (FLI) ; il en a trois sur les co
nd sillon occipito-tamporal. Mais cela ne veut pas dire que les trois couches du faisceau longitudinal inférieur, signalées pré
inférieur, signalées précédemment, se soient reconstituées ici. Deux couches nouvelles (FL4, FLs) ont fait leur apparition. El
ibres. Seulement les fibres qui sur une coupe précédente formaient la couche moyenne, forment maintenant la couche inférieure.
e coupe précédente formaient la couche moyenne, forment maintenant la couche inférieure. Celles qui formaient la couche inféri
nne, forment maintenant la couche inférieure. Celles qui formaient la couche inférieure, Proiil du faisceau longitudinal inf
s la direction du grand sillon occipito-temporal (oi4). forment une couche plus inférieure encore. On comprend ainsi que les
forment une couche plus inférieure encore. On comprend ainsi que les couches (FLs, FL4, FLs) du faisceau longitudinal inférieu
iment peu différente de ce qui avait été signalé jusqu'à présent : la couche la plus inférieure, quelque numéro qu'elle porte,
F), une fois qu'il s'est réfléchi dans le gyrus fusiforme. Quant à la couche la plus supérieure, elle répond toujours au tapet
à la couche la plus supérieure, elle répond toujours au tapetum ; les couches intermédiaires (entre la plus supérieure et la pl
nu au fond du sillon occipito-temporal (otk), paraît se stratifier en couches supplémentaires. On constatera, en examinant la p
oupe pratiquée en arrière (A, Schéma 64) dans une région où les trois couches sous-ventriculaires sont nettement parallèles, fe
arrêtées. Une coupe pratiquée en avant (B), en un point où les trois couches ventriculaires du faisceau longitudinal inférieur
ippocampe, fera voir, sur la surface de section, une superposition de couches différemment teintées, et plus nombreuses que ne
fféremment teintées, et plus nombreuses que ne le sont en réalité ces couches elles-mêmes. Toutes les fois, en effet, qu'un fai
e la face interne du cerveau nous est représenté par la section de la couche optique (Th). Il s'agit seulement de la portion l
la reconnaît encore (Fci) sous le corps calleux, mais ce n'est qu'une couche de substance grise d'une extrême minceur, représe
es nous font voir ainsi que l'alveus, envisagé généralement comme une couche blanche tapissant la face externe de la corne d'A
petit triangle blanc (Fci), interposé entre le corps calleux (ce), la couche optique (Th) et la fimbria (FI). C'est la coupe t
les unes des autres pour donner un aspect aussi net à l'œil nu. Th. Couche optique. Les premières entailles faites dans la p
. Les premières entailles faites dans la partie la plus reculée de la couche optique apparaissent sur cette planche sous la fo
s. La portion externe, claire, est la coupe de revêtement blanc de la couche optique. Celui-ci se compose de fibres dont la di
ensemble, strié transversalement. Les stries foncées qui séparent les couches blanches et qui sont visibles seulement sur les c
qui sont visibles seulement sur les cerveaux durcis, représentent les couches de fibres antéro-postérieures qui se groupent, da
calleux. FS. Le faisceau sensitif (fig. 57) esteomposé de ses deux couches : l'externe, compacte, foncée, dirigée d'avant en
e faisceau sensitif, sur toutes ces coupes, ne se compose pas de deux couches de fibres, mais seulement d'une seule, incurvée d
nterne. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur présente ici quatre couches (fig. 57 et suiv.) : Io une couche supérieure cla
nal inférieur présente ici quatre couches (fig. 57 et suiv.) : Io une couche supérieure claire, formée des fibres les plus int
lus internes du tapetum (TAP), réfléchies sous le ventricule ; 2° une couche foncée, formée des fibres du faisceau sensitif in
Si, fig. 59) et des fibres du faisceau sensitif externe (FSe); 3° une couche claire, formée d'une bonne partie des fibres du f
fibres les plus internes du faisceau diffus du fornix (FDF) ; 4° une couche foncée (FLs, fig. 58), qui est la continuation, s
n, sous le ventricule, du faisceau diffus du fornix (FDF). Toutes ces couches du faisceau longitudinal inférieur, sous-jacentes
é sur ce point (FLI, pl. VI). Ce qui est incontestable, c'est que les couches foncées représentent des faisceaux antéro-postéri
couches foncées représentent des faisceaux antéro-postérieurs, et les couches claires des faisceaux transversaux. Les faisceaux
venons de dire qu'une bonne partie de ce faisceau se prolonge dans la couche la plus inférieure du faisceau longitudinal infér
Sylvius (S') s'enfonce dans l'hémisphère, repoussant devant elle une couche de substance grise dont on reconnaît une tache ab
ps calleux et lui adhérant, on voit une tache blanche représentant la couche de substance médullaire qui tapisse le fasciola
, il faut s'attendre à la retrouver sur le segment inférieur de cette couche grise à la partie supérieure de la corne d'Ammon.
re les deux tubercules gauche et droit (45, 48). Th. Le thalamus ou couche optique (Th), composé de substance grise en dedan
s plus loin (voy. FI). FS. Le faisceau sensitif composé de ses deux couches [faisceau sensitif externe (FSe) et faisceau sens
rieur, sur la première figure de la planche VIII, présente les quatre couches sous-ventriculaires que nous connaissons déjà. Ma
-dessous du grand sillon occipitotemporal (o4). celle où toutes les couches de ce faisceau convergent et s'épuisent. Elles se
nsitif interne (FSi) se continue sous le ventricule avec la troisième couche du faisceau longitudinal infé rieur (FL3), mais
nfé rieur (FL3), mais qu'il se continue également avec la quatrième couche (FL4). C'est-à-dire que les fibres les plus inter
ne laisse plus guère apercevoir au-dessous du ventricule qu'une seule couche foncée, la cinquième, qui sur les coupes suivante
encore, puis, finalement, se réduit à une mince lamelle foncée. Cette couche , la plus inférieure (FLs, fîg. 47, pl. VIII) est
uant aux fibres du tapetum que nous avons vues former précédemment la couche la plus' superficielle du faisceau longitudinal i
eaux au-dessous du fond de la scissure limbique. Laq. Le laqueus ou couche latéral du ruban de Reil (fig. 45) est un faiscea
zonale (fig. 46, 47) représente le revêtement blanc du pulvinar de la couche optique. Son origine et sa terminaison seront étu
ine et sa terminaison seront étudiées à l'occasion des rapports de la couche optique avec l'écorce. COUPES VERT ICO-TRANSVER
o. A la face interne de l'hémisphère, les surfaces de section de la couche optique (Th, fig. 54) deviennent bien plus larges
ous le corps calleux, au-dessus des tubercules quadrijumeaux et de la couche optique. Or, si l'on se reporte à la figure 49 (m
-dessus de la corne d'Ammon, se prolonger entre la fimbria (FI) et la couche optique (Th), et se continuer, sous le corps call
en bas parle tubercule quadrijumeau postérieur (QP), en dehors par la couche optique (Th), est le prolongement antérieur et mé
au milieu du tapetum (TAF) ; il est dû aussi à l'élargissement de la couche optique (Th), qui se porte en dehors à la rencont
de la coupe. Il ne faut donc pas voir dans ce petit tractus blanc une couche spéciale, surajoutée à la constitution déjà décri
enouillé interne (50, 51, 55) commence à être aperçu au-dessous de la couche optique (Th, fig. 49, 51) dans la profondeur de l
(Th, fig. 49, 51) dans la profondeur de la fente de Bichat. Th. La couche optique, complètement isolée encore des parties a
du noyau caudé, pour aller se jeter dans la partie postérieure de la couche optique ou pulvinar (Pul). ELI. Le faisceau lon
LI. Le faisceau longitudinal inférieur ne se compose plus que de deux couches . La supérieure, transversale, renferme les fibres
du thalamus. Le faisceau inférieur (fig. 54), clair au-dessous de la couche optique, devient foncé à sa partie externe, où il
rne, où il change de nom ; ses fibres, Projection horizontale de la couche optique Th, au niveau de la coupe vertico-transve
tion occipitale du ventricule latéral. Iïf, l'ente de Bichat. Th, couche optique recouverte en arrière par le stratuin zon
que qui continue le straluni zonale à la partie postero-interne de la couche optique est sectionnée, en dehors parallèlement à
rce sphénoïdale et qui contribue à former la racine postérieure de la couche optique. Le schéma ci-dessus représente une secti
optique. Le schéma ci-dessus représente une section horizontale de la couche optique sur laquelle est indiqué le trait de la c
e coloration du stratum zonale (ZS), lorsqu'à la partie externe de la couche optique il devient la bandelette sous-optique (BS
squ'à la surface môme du pul-vinar. Il en est séparé toujours par une couche de substance grise. Et c'est pourquoi on ne le di
nt de la corne occipitale. La séparation est due ici à ce fait que la couche optique (Th) rejoint le corps strié (NC) à traver
en arrière, elle se bifurque au niveau de la partie postérieure de la couche optique : un prolongement supérieur se porte au-d
a couche optique : un prolongement supérieur se porte au-dessus de la couche optique (Th) et de la fimbria (FI) : c'est la por
al (VF, fig. 56). Un prolongement inférieur se porte au-dessous de la couche optique : c'est la portion sphénoïdale du ventric
Cette portion sphé-noïdale est celle qui communique au-dessous de la couche optique avec la fente de Bichat, tout le long de
a face inférieure du corps calleux; une base formée parla fimbria, la couche optique, la bandelette demi-circulaire ou tœnia s
uadrangulairc : le côté supérieur du quadrangle est représenté par la couche optique et ses annexes (corps gcnouillé externe,
QA. Le tubercule quadrijumeau antérieur, d'abord indépendant de la couche optique sur les premières coupes de cette planche
oupes de cette planche, se confond avec elle sur la coupe 60. La même couche blanche de stratum zonale qui revêt les faces inf
stratum zonale qui revêt les faces inférieure et postérieure de la couche optique, passe à la face supérieure du tubercule
reviendrons plus loin. — La fusion du tubercule quadrijumeau et de la couche optique s'effectue immédiatement au-dessus et en
le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (IIQP) se jeter sous la couche optique, en dedans du corps genouillé interne.
éparés l'un de l'autre par les fibres de la couronne rayonnante de la couche optique (Rth). VF, corne frontale du ventricule
as seulement à la surface, une démarcation entre le noyau caudé et la couche optique (Tse, fig. 59). Substance blanche. ce
e établit, comme nous venons de le dire, la ligne de séparation de la couche optique et du corps strié. Elle se compose surtou
sation ; FLP, faisceau longitudinal postérieur; Lem, lemniscus ou couche de Reil (Schleife des Allemands) ; Laq, laqueus
es fibres antéro-postérieures est le lcmnisque (Lem) ou lemniscus, ou couche du ruban de Reil (Schleife des Allemands). Le fai
'un seul et même faisceau. Seulement les fibres du lemnisque ou de la couche de Reil (Lem), arrivées à un certain point de leu
it en dehors, tandis que les plus externes se portent en dedans. La couche de Reil (Lem) a une épaisseur considérable à sa p
hors pour constituer le laqucus. Ainsi que l'indique le schéma 89, la couche la plus profonde est celle qui poursuit le plus
rière en avant son trajet rectiligne (Lem en bas, Laq' en haut). Deux couches seulement sont représentées. Maison peut facileme
lemniscus, deviendra le plus tard laqueus. C'est cette portion de la couche de Reil, parvenue à la face externe de la région
raît sur les coupes Lem, fibres antéro-postérieures du lemnisque ou couche profonde de Reil. Laq, laqueus ou ruban de Reil
Reil proprement dit. Laq', portion du ruban de Reil provenant de la couche profonde de Reil ou lemnisque. comme une petite
e sait, de la région bulbo-protubérantielle, toujours au-dessus de la couche de Reil, et toujours limité en dehors par le laqu
se rapproche de la bandelette blanche qui sépare le corps strié de la couche optique et que nous avons déjà vue appa raitre
ransversales. Projection horizontale de la partie postérieure de la couche optique : insertion de la bandelette sous-optique
inant la direction générale des fibres qui se portent en dehors de la couche optique, vers le taenia, que la bandelette sous-o
stratum zonale du pulvinar, mais aussi de la région supérieure de la couche optique. — Sur les coupes 59 et 60 la bandelette
elle est souvent dissociée par des fibres transversales venues de la couche optique, du corps genouillé et même du'pédoncule
rsales. On voit (fig. 60) que celles-ci proviennent directement de la couche optique (Pul). Un certain nombre d'entre elles pa
d'ailleurs dans le faisceau sensitif externe. Elles ne vont pas de la couche optique à ce faisceau horizontalement ; on peut v
FLI. Le faisceau longitudinal inférieur se réduit de plus en plus. La couche inférieure, faisant suite au faisceau sensitif ex
doute. QA. Le tubercule quadrijumeau antérieur, interposé entre la couche optique et l'aqueduc de Sylvius, est perdu dans u
t partie du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Th. La couche optique (61, 62, 65, 64) est représentée par une
calleux (ce, fig. 65). D'autre part, en bas et en dehors, on voit la couche optique former une proéminence (Pul, fig. 65, 66)
grosse extrémité postérieure de l'ovoïde irrégulier que représente la couche optique vue par sa face supérieure. Or, la partie
aisceau sensitif interne. L'ensemble de ces fibres constitue, dans la couche optique, le système de la couronne rayonnante du
ne rayonnante du pulvinar. Figure schématique représentant les deux couches optiques vues par leur face supérieure (Th). Le
é interne (GI) sont vus par transparence à travers la substance de la couche optique gauche; on reconnaît de cette façon leurs
; on reconnaît de cette façon leurs rapports exacts relativement à la couche optique. Ce schéma démontre que le pulvinar s'é
GII, ganglion de l'hahénule; 1IAB, habénule; NiC, noyau interne de la couche optique. Schéma 94. CL. Le claustrum ou avant
postérieur (FLP, fig. 61, 62, 65). En bas, il est en contact avec la couche de Reil ou lemniscus (Lem). FLP. Le faisceau lo
ieur a une disposition piriforme sur la coupe. Lem. Le lemnisque ou couche de Reil est une lame de fibres antéro-postôricure
leux supérieur (Pcs) et le pont de Varole (PV). Il se compose de deux couches : une couche inférieure foncée (Lem, If. 61, 62,
(Pcs) et le pont de Varole (PV). Il se compose de deux couches : une couche inférieure foncée (Lem, If. 61, 62, 65, 64), et u
ches : une couche inférieure foncée (Lem, If. 61, 62, 65, 64), et une couche supérieure claire. La couche inférieure, foncée,
foncée (Lem, If. 61, 62, 65, 64), et une couche supérieure claire. La couche inférieure, foncée, est constituée par un faiscea
st constituée par un faisceau aplati de fibres dirigées en avant ; la couche supérieure, claire, est une émanation de la précé
es fibres coupées en Schéma représentant de profil les fibres de la couche du ruban de Reil (A) se portant en haut et en deh
et même plus loin encore peut-être. C'est là, à proprement parler, la couche deReil (Lem). La partie latérale ou laqueus est l
lter ici de la similitude des noms ne tire pas à conséquence, puisque couche de Reil et ruban de Reil sont une seule et même c
s indiqué (pl. XX) le procédé par lequel les fibres supérieures de la couche de Reil se portent en haut et en dehors. Il faut
de chaque côté de l'isthme; et ce ruban de Reil provient d'une seule couche profonde de fibres antéro-postérieures, la couche
rovient d'une seule couche profonde de fibres antéro-postérieures, la couche de Reil (Lem). Pour les besoins de la démonstrati
-joint le représente dans son ensemble. Schéma 97, représentant les couches superposées du ruban de Reil (LM1, LM2, LM3^ LM4,
isceau longitudinal postérieur de la calotte; Laq1, Laq2, Laq3, Laq4, couches du laqueus correspondant aux couches du lemniscus
calotte; Laq1, Laq2, Laq3, Laq4, couches du laqueus correspondant aux couches du lemniscus LM1, LM2, LM3, LM4; Lem, couche la p
queus correspondant aux couches du lemniscus LM1, LM2, LM3, LM4; Lem, couche la plus superficielle du lemniscus correspondant
e la plus superficielle du lemniscus correspondant à LM1 ; Lem = Teg, couche du lemniscus correspondant au faisceau propre de
ieure, dont les deux côtés sont formés par le tubercule interne de la couche optique (NiC) et le ganglion de l'habénule (GH),
1, LM2, LM3, LM*, LM3), et qui représentent les stratifications de la couche de Reil à sa sortie du bulbe, c'est-à-dire au mom
en forment, en réalité, qu'un seul. On peut cependant admettre que la couche de Reil a été artificiellement dissociée. Il ne r
me ce dernier, à gauche de la ligne médiane, appartenant ainsi à la couche de Reil. Puis il s'infléchit en dehors (Laqs), dé
t du plan imaginaire de section que nous avons choisi. La quatrième couche (LM4) s'incline en dehors, alors que les trois pr
duquel on reconnaît le noyau rouge de Stilling (NR). Cette quatrième couche , qu'on appelle le faisceau propre de la calotte (
le va se jeter dans la capsule interne, en arrière et en dehors de la couche optique. Il est très difficile, comme on peut l
oncevoir d'après ce que nous avons déjà dit, de disssocier les quatre couches de Reil et les quatre rubans qui en émanent, cett
Reil et les quatre rubans qui en émanent, cette distinction en quatre couches n'est pas dans la nature ; il est constant néanmo
; il est constant néanmoins que les fibres les plus supérieures de la couche de Reil proprement dite s'inclinent les premières
ont se mêler à la capsule interne du même côté. Reste une cinquième couche (LMS) encore plus profonde que les quatre premièr
glion interpédonculaire, les reçoit en majeure partie. Cette dernière couche porte un nom spécial : on l'appelle faisceau médi
ière couche porte un nom spécial : on l'appelle faisceau médian de la couche de Reil. Il nous reste à ajouter que les fibres
urface du bras de ce corps genouillé; elles sont donc superposées aux couches homologues du coté opposé venues par la voie du l
é externe, plus rares et plus profondes que les fibres directes de la couche précédente. Celles du faisceau de la commissure
lle apparaît sur les coupes de la planche XXI. Lem. Le lemniscus ou couche de Reil (fig. 61, 62, 63, etc.) est formé de deux
e que les fibres antéro-postérieures (Lem), c'est-à-dire celles de la couche de Reil, changent de direction pour devenir obliq
s (Lem) se portent vers la surface latérale de l'isthme, de nouvelles couches , plus profondes, les remplacent (RR) figure 63, v
s leur majeure partie se porte en dehors et en bas, s'insinue sous la couche optique (Th), glisse au-dessus du corps genouillé
ure de la lame de hache se continue sans démarcation tranchée avec la couche de Reil (Lem). Sur la coupe 65, une partie de cet
ée avec la couche de Reil (Lem). Sur la coupe 65, une partie de cette couche se confond, en dehors avec le ruban de Reil (Laq)
chéma 99). Elles passent alors du côté opposé et se perdent dans la couche optique, aux environs du centre médian (vo.y. plu
ommissure qui ont franchi la ligne médiane représentent donc, pour la couche optique, l'analogue des bras des corps genouillés
ion des coupes de la planche suivante. Lm. Le faisceau médian de la couche de Reil (Lm) est ce petit faisceau isolé, dont no
alis Reili, lamina ad pedunculum, portion interne et inférieure de la couche de Reil, en allemand Schleifenbûndel zum Hirnsche
| les plus^inférieures sont tout simplement les plus internes de la ! couche de Reil. Les plus supérieures sont des fibres du
s'épanouir avec le stratum zonale sur toute la face supérieure de la couche optique. Cela signifie, en d'autres termes, que l
halamus (LML). Celles-ci paraissent être des fibres rayonnantes de la couche optique ; il n'en est rien. Les fibres rayonnante
de la couche optique ; il n'en est rien. Les fibres rayonnantes de la couche optique forment, comme nous le verrons plus loin,
itif externe (FSe) et le tapetum réfléchi (TAP). Elles viennent de la couche optique (Th, fig. 62) et plus spécialement du pul
é des fibres transversales qui forment la striation horizontale de la couche optique, depuis la face inférieure jusqu'à la fac
qu'une seule et même chose, du moins J à la partie postérieure de la couche optique. FLl. Le faisceau longitudinal inférieu
; mais les différences sont, en tout cas, peu considérables. Th. La couche optique (fig. 68), sectionnée ici encore tout au
noyau interne (NiC, fig. 09, 72) formant le bord supéro-interne de la couche optique. Plus en dehors, sera le noyau externe qu
alami optici intergenicularis. Schéma 101. — Face postérieure de la couche optique (Th) et des tubercules quadrijumeaux ' an
érents étages ou noyaux de la substance grise de l'aqueduc. Lem. La couche de Reil ou lemniscus (fig. 69) se trouve réduite,
s (Lm) se confond avec le lemniscus. Nous verrons plus loin que si la couche de Reil s'épuise par l'expansion latérale progres
érer aussi comme faisant partie de la commissure postérieure toute la couche de substance blanche qui revêt les corps quadriju
es fibres qui constituent les racines antérieure et postérieure de la couche optique. Mais ces racines, envisagées isolément,
eaux de fibres venus des racines antérieures et postérieures des deux couches optiques s'entre-croisent à ce niveau, il faut cr
ès petit nombre de fibres des racines antérieure et postérieure de la couche optique vont directement s'y entre-croiser; ou bi
hes établissait une communication immédiate et directe entre les deux couches optiques. Les coupes 66 et 67 de notre série vert
Lmd. La lamina lateralis du ruban de Reil ou faisceau direct de la couche de Reil succède au faisceau de la commissure post
aire à la protubérance et à la calotte. Elle provient (fig. 69) de la couche de Reil ou lemniscus (Lem), comme tous les faisce
ent (fig. 70) avec le stratum zonale de la convexité supérieure de la couche optique (ZS, fig. 71^ 72). Dans sa profondeur, il
nguette de fibres obliques, ou presque transversales, au-dessus de la couche optique (Th) dont il suit les sinuosités. FSe.
de Les deux ganglions de l'iiabénule, vus d'en haut, adliérents aux couches optiques par leur face externe et confondus avec
nterne du thalamus (fig. 78) est à l'angle supérieur et interne de la couche optique. Il est séparé du noyau externe (NeC, 78)
a calotte. Pul. Le pulvinar est, avons-nous dit, cette partie de la couche optique qu'on voit proéminer en arrière, dans le
lieu où s'opère la fusion du noyau externe et du noyau interne de la couche optique. Nous savons, en effet, que les noyaux ex
é du noyau externe du thalamus (NeC) par la couronne rayonnante de la couche optique (Rth, fig. 75), à laquelle il fournit de
(IlAB). On sait qu'au-dessous de l'habénule, la substance grise de la couche optique forme la paroi du troisième ventricule. L
ubstance lilanche, permet donc de le distinguer très facilement de la couche On r(3inarqi]cra sur les coupes 75 et 74, qu'il
, conl'ondne avec la base de la glande pinéale, et recouverte par une couche de stratum zonalo (ZS) appartenant à la commissur
avec la lamina me-dialis. Celle-ci émane, comme nous le savons, de la couche de Reil ou lemniscus. D'autre part, nous venons d
ion n'est donc pas autre chose qu'une portion du lemniscus, née de la couche de Reil au voisinage de la lamina medialis et des
isceau longitudinal postérieur se porte en haut et en dehors, sous la couche optique, mais toujours au voisinage de la substan
le nouveau, marche directement en avant et se perd, mi-partie dans la couche optique môme, mi-partie dans la capsule interne,
de sa largeur; il couvre une moindre étendue de la convexité de la couche optique; et, à mesure qu'il perd en largeur, la d
de la capsule interne, où il constitue la lame latérale externe de la couche optique (LML, fig. 76). Rth. La couronne rayonn
. La couronne rayonnante du thalamus (fig. 75) sort de la masse de la couche optique, entre le noyau thalamique externe (NeC,
porte en dehors et en bas, pour pénétrer dans la lame latérale de la couche optique (LML, fig. 78). RGE. La couronne rayonn
s genouillé externe, qui vont former la lame médullaire externe de la couche optique (LML, fig. 76) ; 3" enfin par les fibres
fig. 76) ; 3" enfin par les fibres du stratum zonale, qui recouvre la couche optique (ZO, fig. 74). On voit, sur les coupes 76
; elles-mêmes deviennent foncées et se perdent sur le fond gris de la couche optique. NeC. Le noyau externe du thalamus (fig
rtant. Le corps genouillé externe, on le sait, forme au-dessous de la couche optique une saillie très notable, ovoïde, allongé
eur, il est très régulièrement demi-circulaire; toujours séparé de la couche optique et du pédoncule (FM, fig. 83) par les fib
Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur ; VV, valvule de Vieussens. couche de Reil et la substance noire de Sœmmering. Une t
t précisément les mêmes qu'on retrouverait du côté opposé, formant la couche de fibres ascendantes qui constituent le faisceau
e la glande pinéale. Le schéma représente la partie postérieure do la couche optique (Th) et les tubercules quadrijumeaux (QA,
s précédentes. 11 fait une moindre saillie sur la paroi interne de la couche optique; il tend de plus en plus à se confondre a
mité externe passe nettement au-dessous du ganglion, au-dessous de la couche optique. Il se confond en dedans avec le frein de
l'habénule, c'est-à-dire qu'il va courir d'arrière en avant, entre la couche optique (Th, fig. 83) et le ganglion de l'habénul
res accompagnent dans la capsule interne la couronne rayonnante de la couche optique (Rth, fig. 80). TEG. Le faisceau de la
eau que les fibres du tegmentum se divisent pour se répartir, sous la couche optique, AQ, aqueduc de Sylvius; SG, substance
ouillé interne; Pul, pulvinar; NR, noyau rouge de la calotte; Laq', couche superficielle du laqueus, s'cntrecroisantavec sa
rieur gauche, formé en partie par des libres venues directement de la couche superficielle du laqueus du même côté (Laq*). Laq
a couche superficielle du laqueus du même côté (Laq*). Laq*, deuxième couche du laqueus destinée au bras du tubercule quadriju
é gauche) reçoit aussi qiielques libres directes (BQA) de la deuxième couche du laqueus (Laq*); FCP, faisceau de la commissure
oise avec les fibres convergentes de la lame médullaire externe de la couche optique (LML, fig. 82, 83). Bientôt nous les perd
lamus (fig. 82) n'occupe plus, strictement, que la face externe de la couche optique. Nous avons dit précédemment (Lmd), qu'el
noïdale, toujours accompagnée par le tsenia (Ta?., fig. 89). Th. La couche optique (fig. 85, 88, 89) augmente d'abord de lar
à la lamina lateralis (Lmd), qui se perd dans le noyau externe de la couche optique (NeC, fig. 87). On comprend que ces bande
on. 11 s'en faut aussi que leur imbrication soit complète, puisque la couche optique n'est abordée par les faisceaux de la cal
elleux supérieur. Ce faisceau s'épanouit en éventail au-dessous de la couche optique, pour aboutir à la limite de celle-ci, da
s la lame médullaire externe (LML), indiquée par la ligne ponctuée. couche optique. Ces fibres forment un faisceau bien homo
interne; il forme même la limite de séparation de la capsule et de la couche optique : c'est au faisceau cérébello-thalamique
ait voisin de la cavité ventriculaire. 11 n'en est séparé que par une couche très mince de substance grise. Sur certaines coup
une couche très mince de substance grise. Sur certaines coupes cette couche paraît faire défaut, m -n" -SG Schéma repré
ère de Monro, s'épanouit en rayonnant dans la substance grise de la couche optique : ses fibres postérieures, revenant en ar
ehors ; elle s'étend de la ligne médiane à la région inférieure de la couche optique. Elle est située entre le pédoncule céréb
. Le stratum intermedium (Meynert), ainsi nommé parce qu'il forme une couche lamellaire de fd^res interposées entre l'étage in
isceau sensitif interne. La ligne pointillée indique le contour de la couche optique (Th) à travers laquelle les parties décri
tum zonale à la face supérieure du thalamus. En bas, au-dessous de la couche optique, il se confond en grande partie avec la b
cette lame latérale qu'aboutissent toutes les stries blanches de la couche optique; ou, si l'on préiere, c'est de la lame la
préiere, c'est de la lame latérale que partent, pour pénétrer dans la couche optique, toutes les fibres corticales du premier
latérale que convergent les fibres de l'écorce qui ont pour foyer la couche optique. Les fibres de l'écorce sont celles qui o
-transversale montrant la pénétration des faisceaux corticaux dans la couche oi)tique et leur enlre-cioisement avec les faisce
ral ; LN,locus niger de Sœmmering. VM, le ventricule moyen ; Th, la couche optique ; NC, la tête du noyau caudé ; Cl, la cap
noyau caudé ; Cl, la capsule interne ; ThA, racine antérieure de la couche optique; Rth, sa couronne rayonnante ou racine su
rs faisceaux proviennent de l'étage supérieur des pédoncviles). — CG, couche grillagée formée par l'entrecroisement des fibres
s, lamina tegmenti) ; nous savons que ces faisceaux pénètrent dans la couche optique par sa face inférieure, s'y répandant en
e, forment, immédiatement en dedans de la lame médullaire externe, la couche grillagée d'Arnold (stratum reticulatum). 11 ne f
. 11 ne faut donc pas con fondre la lame médullaire externe avec la couche grillagée. La couche grillagée est dans la couche
con fondre la lame médullaire externe avec la couche grillagée. La couche grillagée est dans la couche optique; la lame méd
ire externe avec la couche grillagée. La couche grillagée est dans la couche optique; la lame médullaire est à sa surface. C
ans en dehors sur la face interne de ce noyau. Elle est séparée de la couche optique (Th) par la lame médullaire externe du th
porale et par la temporale transverse (Tt). A la face interne de la couche optique (Th, fig. 94), et entre ce ganglion et le
s pour cela qu'il y ait entre ce faisceau et la substance grise de la couche optique plus qu'un rapport anatoinique. La lame m
u externe et le noyau interne du thalamus. NiC. Noyau interne de la couche optique (fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe d
ne de la couche optique (fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe de la couche optique (fig. 91, 92). NR. Le noyau rouge de la
ue (fig. 91, 92). NR. Le noyau rouge de la calotte, enveloppé d'une couche de substance blanche appartenant aux fibres les p
ce antérieure ; par conséquent ce sont les fibres transversales de la couche la plus superficielle qui réapparaissent sur la s
voit apparaître une bandelette foncée (CAO) qui s'interpose entre la couche optique et lui. Cette bandelette représente un fa
il émerge de la substance grise de la calotte, et va se jeter dans la couche optique dans une région plus antérieure : nous le
que se continue sans transition avec la lame médullaire externe de la couche optique (LML). FLP. Le faisceau longitudinal po
, 92, 94, 96) s'insinue, sous la forme d'une lamelle foncée, entre la couche optique et la calotte. 11 enveloppe celle-ci dans
sur toutes les coupes suivantes (Lm, 92, 95, 94, 95, 06). Los deux couches de h\ lamina medialis sont placées, par conséquen
il se confond. Celle-ci n'est, comme on le sait, qu'un faisceau de la couche de Reil (Lem). Ainsi nous paraît se justifier une
pedunculi : à savoir que ce faisceau est une portion aberrante de la couche de Reil, particulièrement de la lamina lateralis.
, qui s'étend de la région de la calotte à la partie inférieure de la couche optique, est une lamelle assez mince de fibres di
ire. Cg dernier faisceau est ainsi désigné parce qu'il provient d'une couche blanche de fibres sous-jacentes aux deux segments
rne. Il est bien certain qu'elle les emprunte au stratum zonale de la couche optique dans toute l'étendue de la voûte du ventr
t remplacé par la commissure antérieure et la racine inférieure de la couche optique (voy. pl. XXVIf, fig. 100, 101). CI. La
lame médullaire externe du thalamus les sépare du noyau externe de la couche optique (NeC). La capsule interne (fig. 91, 95)
la capsule interne (Cl) en dedans du noyau lenticulaire (NLe). Th, couche optique ; PAR, faisceau parallèle ; F', F*, F
e la calotte au tlialanuis pénètrent dans les différents noyaux de la couche optique de bas en haut directement, sans prendre
saillie formée à sa face inférieure par le tubercule antérieur de la couche optique (NaC, tig. 101, 102). La corne sphénoïd
omme la circonvolution de l'hippocampe (Hip), recouvert par une mince couche de substance blanche (LMA). Celle-ci est la subst
1). H a la forme d'une demi-sphère [corpus subrotundum) revêtue d'une couche épaisse de fibres nerveuses, dont la plupart prov
où elles atteignent le tubercule antérieur, elles se divisent en deux couches : l'une, superficielle, recouvre le tubercule don
ace, le faisceau de la calotte (TEG) s'étale transversalement sous la couche optique, jusqu'au voisinage de la ligne médiane,
immédiatement en avant et au-dessus du locus niger, au-dessous de la couche optique, en dehors du noyau rouge, en dedans et a
lentiformis n'est relié par aucune traînée de substance grise avec la couche optique, ni môme avec le noyau rouge de la calott
'étude des faisceaux sus-jacents au discus lentiformis a valu à cette couche de fibres le nom de zona incerta (Forel). Subst
rs : mais nous savons que lorsqu'elles sont arrivées au-dessous de la couche optique pour former une bonne part de la lame méd
ent qu'il n'est pas en contact immédiat avec la substance grise de la couche optique. Il en est séparé par une mince lamelle b
CS fibres se portent, de dedans en dehors, à la face inférieure de la couche optique (Th), où elles se perdent. Sur foules les
radiation (ou couronne rayonnante) au-dessus du noyau rouge, sous la couche optique (voy. pl. XXY, fig. 90). Nous n'y reviend
ibres de la bandelette sous-optique Thl. La racine inférieure de la couche optique que nous voyons apparaître pour la premiè
e sphénoïdal; 2" l'espace perforé antérieur; 5° la face interne de la couche optique. Si l'on voulait indiquer grossièrement s
amygdalicn; CA, commissure antérieure ; Thl, racine inférieure de la couche optique. partir de l'écorce de la circonvolutio
). La troisième portion, verticale appartient à la face interne de la couche optique, où elle contribue à former le slratum zo
donné, après lui, le nom de racine inférieure ou racine interne de la couche optique. Le nom de racine inférieure est de beauc
capsule interne qui passe du pédoncule dans le centre ovale, entre la couche optique et le noyau lenticulaire. Lorsqu'on étudi
ment postérieur (CID). Quand la coupe intéresse, en même temps que la couche optique, les deux seuls noyaux externes du noyau
u pilier antérieur; Cl', commissure postérieure s'enfonçant dans la couche optique. rieure, car à partir du moment où la c
la capsule est interposée non plus entre le noyau lenticulaire et la couche optique, mais entre le noyau caudé et le noyau le
e du thalamus (fig. 97, 98, 99) termine en dessous et en dehors de la couche optique tous les faisceaux de la calotte que nous
e (fig. 105, 106) est toujours tapissé, en haut comme en bas, par une couche de substance blanche, qui est la continuation de
um zonale, il reçoit à sa face inférieure, adhérente à la masse de la couche optique, le faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, fig 108
ame médullaire externe, forme cette sorte de treillage qu'on a appelé couche grillagée (CG, fig. 104). La couche grillagée est
sorte de treillage qu'on a appelé couche grillagée (CG, fig. 104). La couche grillagée est toujours beaucoup plus facile à voi
e grande et de petite ceinture. L'irradiation du stratum zonale de la couche optique est le type de cet encapsulemcnt des mass
4, 105, 106, 107). PY. Le pont de Varole (fig. 105) est réduit à la couche la plus superficielle des libres transversales de
que nous avons vu se confondre avec la lame médullaire externe de la couche optique (LML), n'est plus reconnaissable ici. Tou
enté ici. Il s'est épuisé, comme nous l'avons vu, d'une part, dans la couche optique, au-dessus du faisceau tegmento-thalamiqu
fibres de plus en plus nombreuses à la lame médullaire externe de la couche optique (fig. 104, 106); les fibres les plus inte
6,107), semble s'étendre beaucoup plus loin que précédemment entre la couche optique (ThA) et le noyau lenticulaire GLM (fig.
ne du thalamus (fig. 106) et en hauteur vers la substance grise de la couche optique. Sur la coupe 108, le faisceau rubro-thal
ue le faisceau capsulairc (MF) est un ensemble de fibres venues de la couche optique en convergeant vers le discus lentiformis
11 s'agirait de savoir avec quelque précision de quelle partie de la couche optique descend le faisceau capsu-laire. Nous ne
partie supérieure de ce noyau, vont former dans la capsule interne la couche la plus interne de la lame médullaire externe du
ontales de l'hémisphère (voy. pl. XXXV, fig. 6) nous font voir que la couche blanche des fibres qui recouvrent le discus lenti
se jeter dans le thalamus (Th) en formant la racine antérieure de la couche optique (ThA), et le faisceau d'Arnold (AU). Le
un seul et unique faisceau, disposé en lamelle à la périphérie de la couche optique et séparant celle-ci de la capsule intern
la ligne médiane avec le pédoncule cérébelleux du côté opposé ; Tli, couche optique; NC, noyau caudé; NCC, queue du noyau cau
tegmento-thalamique; Lmd, lamina lateralis. ou fibres directes de la couche latérale de Reil; CIA, segment antérieur de la ca
pénétration des faisceaux de la calotte dans la capsule interne et la couche optique. du genou delà capsule (Gci), elle est
peront sa face libre dans la cavité vcntriculaire. De cette façon, la couche optique pourra être envisagée comme un noyau pres
est indispensable de remarquer qu'ils forment la limite externe de la couche optique, exclusivement dans l'étendue de la face
i vont former le faisceau d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la couche optique (ThA). 11 ne faudrait pas admettre comm
qui participent à la formation de la lame médullaire externe de la couche optique. Ces faisceaux, en effet, ne sont pas ran
our du thalamus (Th). où ils forment la lame médullaire externe de la couche optique (LML). comporte une figure destinée à u
s, dans le discus lentiformis (DL). ThA. La racine antérieure de la couche optique, située immédiatement au-dessus du faisce
res en pinceaux superposés, issus de la lame médullaire externe de la couche optique (LML). On voit cette formation apparaître
e entament le genou de la capsule interne. La racine antérieure de la couche optique est constituée par des fibres du segment
ettent et se terminent dans la substance grise du noyau externe de la couche optique (NeC, fig. 107) ; à la fin de ce trajet,
n voit les fibres les plus postérieures de la racine antérieure de la couche optique se continuer avec le faisceau tegmento-th
ux lamellaires, auxquels on a donné le nom de racine antérieure de la couche optique, ne permet pas de considérer un pareil en
hauteur des lames, dans le plan de section vcrtico-transversal de la couche optique. Une division en tout cas s'impose, atten
division en tout cas s'impose, attendu que la racine antérieure de la couche optique, sur des coupes un peu plus antérieures,
auquel on peut réserver la dénomination de racine antérieure de la couche optique (ThA). BSO. La bandelette sous-optique
ion de l'extrémité supérieure de ce faisceau, à la face interne de la couche optique, en Schéma 161. — Face interne de l'hém
millaire (TM), en haut et en dehors vers le tubercule antérieur de la couche optique; ThI, racine inférieure du thalamus, prov
erticales du noyau lenticulaire (MLE, MLI). NC, noyau caudé ; Tb, couche optique ; PUT, putamen ; ANL, anse du noyau l
104, 105, il est séparé du fond de la scissure lim-bique (L) par une couche claire de fibres transversales qui lui appartienn
sversales qui lui appartiennent évidemment, puisque nous voyons cette couche se confondre insensiblement avec les parties somb
de Vicq-d'Azyr (FVA). Il remonte vers le tubercule antérieur de la couche optique (NaC), séparé de la substance grise intra
idente, se terminer à la face inférieure du tubercule antérieur de la couche optique (NaC). On le voit apparaître sur la coupe
boutit à la capsule blanche sous-jacente au tubercule antérieur de la couche optique (corpus album subrotundum, NaC), et plus
En dedans, il est séparé du ventricule par la racine inférieure de la couche optique. Nous verrons dans un instant la raison d
partie interne de la cavité ventriculairc. Elle est enveloppée d'une couche blanche continue, où s'entremêlent les fibres de
la lame médullaire. Nous avons déjà signalé les rapports de ces deux couches enveloppantes à leur extrémité antérieure, dans l
erne du thalamus (fig. 110) est toujours celui des trois noyaux de la couche optique dont les limites sont le plus nettement t
u antérieur du thalamus. Au voisinage de l'extrémité antérieure de la couche optique, le noyau externe est rempli, en quelque
lui-ci, après s'être infléchi sur lui-même, remonterait (FVA) vers la couche optique. été tiraillée, les éminences mamillair
art un faisceau compact qui se jette dans le ganglion antérieur de la couche optique. Vicq-d'Azyr croyait que le pilier antéri
ieur (schéma 171, 4), et un externe et 1, tubercule antérieur'de la couche optique; 2, pilier antérieur du trigone; 5, 5,
eur du tubercule mamillaire ; 6, fibres du pilier se jetant dans la couche optique sans s'arrêter au tubercule mamillaire;
de la calotte; — 12, faisceau du noyau externe se continuant avec la couche de Reil;— 13, pédoncule antérieur du tubercule ma
) pour se porter dans la substance grise du tubercule antérieur de la couche optique (1) sans s'arrêter, ni au ganglion intern
en de la calotte, qu'il accompagnerait jusque dans l'aqueduc, avec la couche de Reil. Enfin, du ganglion antérieur et interne
ne inférieure du thalamus; GAP, noyau de l'anse, étalé entre ces deux couches de l'anse pédonculaire; GE, corps gcnouillé exter
d'avoir su reconnaître la subdivision de l'anse pédonculaire en deux couches principales de substance blanche séparées par une
oré antérieur (schéma 172). Quant à la substance grise qui forme la couche intermédiaire, elle est commune à l'étendue des d
optique (BO) vient du lobe temporal et va, en avant, se jeter dans la couche optique (Th) ; là seulement elle se divise en deu
ter dans la couche optique (Th) ; là seulement elle se divise en deux couches secondaires. La lame blanche supérieure (ANL) ou
ment interne et inférieur duputamen (PUT), s'insinue entre les deux couches précédentes, après être passé au-dessus de la com
nt adhérente au lobule de l'hippocampe. Quant à la subdivision delà couche inférieure ou racine inférieure du thalamus en de
ision delà couche inférieure ou racine inférieure du thalamus en deux couches de second ordre, elle n'a rien à voir avec l'anse
ement un problème anatomique déjà très complexe; la subdivision de la couche inférieure n'existe en effet que sur la paroi ver
nds sous le nom de substance innominée. Puis on a réservé ce nom à la couche grise intermédiaire à l'anse du noyau lenticulair
oyau lenticulaire et à la racine inférieure du thalamus ; c'est cette couche grise que nous allons étudier maintenant (GAP).
ec la substance grise du troisième ventricule (TC, schéma 173). Cette couche horizontale n'est que l'expansion transversale de
u noyau lenticulaire, située au-dessus, et la racine inférieure de la couche optique, située au-dessous. Dans ce trajet, qu'il
oupes verticales, elle constitue une cloison de séparation entre deux couches blanches. Elle s'étend en dehors jusqu'à la base
commissure plane, à convexité antéro-inférieure située entre les deux couches blanches de l'anse pédonculaire. Mais on se ren
, au sens géométrique de ce mot. Le noyau de l'anse, comme toutes les couches de la base du cerveau, décrit une courbe à convex
re, celles du faisceau d'Arnold, celles de la racine antérieure de la couche optique. La section intéresse en effet la région
haut et en dehors; le faisceau d'Arnold et la racine antérieure de la couche optique se dirigent en arrière et en bas. De cet
t à fait claires et démonstratives. ThA. La racine antérieure de la couche optique dirigée d'avant en arrière, frêle la face
rne, un interne (ThA") qui contribue à former le stratum zonale de la couche optique entre le noyau antérieur et le noyau inte
amellaires (AR, fîg. 109), sous-jacentes à la racine antérieure de la couche optique (ThA) et insensiblement confondues avec c
ectement de bas en haut jusqu'au-dessous du tubercule antérieur de la couche optique (NaC) et se porte à sa face externe (fig.
e Yicq d'Azyr est croisé par les fibres de la racine inférieure de la couche optique (ThI). Sur la fig. 112, une partie de ses
d'Azyr se termine en grande partie dans le tubercule antérieur de la couche optique, mais non sans avoir préalablement abando
u sensitif externe (fig. 114), de plus en plus mince, se perd dans la couche basilaire du putamen, en dehors de la commissure
rontale du ventricule latéral, après que le tubercule antérieur de la couche optique a disparu, augmente tout à coup de hauteu
érieure du faisceau capsulairc et de la lame médullaire latérale delà couche optique (voy. MF et LML, pl. XXIX). Ces deux fais
de Tùrck-Meynert; FP, faisceau pyramidal; Lra, lamina medialis de la couche de Reil; RFP, région de l'espace perforé postérie
age du taenia (Òàç, fig. 117, 118). ThA. La racine antérieure de la couche optique (fig. 115 et suiv.) se présente sous l'as
plus internes de ce faisceau qui se rendent dans cette partie de la couche optique. Les plus externes, ainsi que nous l'avon
u d'Arnold. Mais plus en avant Schéma de la racine antérieure de la couche optique sur une coupe horizontale. NC, noyau caud
une coupe horizontale. NC, noyau caudé; NLe, noyau lenticulaire; Th, couche optique ; CI, capsule interne (Segment postérie
capsule interne (Segment postérieur). ThA, racine antérieure de la couche optique formant un seul faisceau dans le segment
aisceaux, un antérieur et un postérieur dans la substance grise de la couche optique. AR, faisceau d'Arnold accompagnant les f
xiste plus, la racine antérieure (ThA) et la racine postérieure de la couche optique (ThP) sont au contact l'une de l'autre ;
avant, mêlant ses fibres avec celles de la racine antérieure de la couche optique (ThÀ, fig. 116, 117 et suiv.). La masse
oit ainsi que le faisceau d'Arnold (AR) et la racine antérieure de la couche optique (ThA) forment ensemble une grande masse f
de sa convexité antérieure (fig. 118), et la racine inférieure de la couche optique (ThI) remplace, au-dessous de l'hippocamp
er descendant de la voûte (DF) et pénètre dans le noyau interne de la couche optique. Nous savons que ses fibres se reportent
de sa terminaison (ou de son origine) dans la région antérieure de la couche optique. NC, noyau caudé ; NaC, tubercule antér
faisceau de Vicq d'Azyr) allant aboutir au tubercule antérieur do la couche optique (NaC). ThI, la racine inférieure du tha
ue les fibres de la racine inférieure du thalamus se relèvent vers la couche optique, après avoir traversé l'espace perforé an
e reporte à la figure 119 de cette planche, et l'on constatera que la couche la plus inférieure du corps calleux contourne le
si le corps calleux fournit à la tête du corps strié les fibres de sa couche la plus inférieure, et ces fibres se réfléchissen
du noyau caudé (NC). ce, corps calleux ; TRI, trigone cérébral ; Th, couche optique ; R.NC, couronne rayonnante du noyau caud
us l'aspect d'une lamelle blanche étalée à la surface convexe de la couche optique ; cette lamelle se porte de haut en bas e
rection de ses fibres, se termine en haut, entre le noyau caudé et la couche optique. Elle forme ici le faisceau le plus inter
entricule, adhérente à la face supérieure du chiasma, est cette mince couche de substance grise qui se laisse perforer si faci
nerfs optiques. C'est de là que s'élève, vers la commissure, la mince couche grise de la lame terminale (LAT, fig. 125,126), l
les plus étroites avec l'insula. Meynert le considéra môme comme une couche de l'écorce insulaire, détachée en quelque sorte
comme une couche de l'écorce insulaire, détachée en quelque sorte des couches plus superficielles, mais faisant partie réelleme
a les points de l'écorce de Sylvius où s'effectue le raccordement des couches grises superficielles avec la couche profonde rep
s'effectue le raccordement des couches grises superficielles avec la couche profonde représentée par l'avant-mur. La contin
dont les anastomoses coinmissurales avec son congénère se font par la couche inférieure du corps calleux. Enfin, comme le no
état de faisceau ou de lame isolée. ThA. La racine antérieure de la couche optique (fig. 121, 122, 125, 125, 126) forme la p
res du taenia (fig. 121), parvenues en avant du noyau antérieur de la couche optique (qui n'est plus visible sur les coupes de
tent le stratum zonale (ZS) pour pénétrer dans le noyau interne de la couche optique et se mêler aux fibres de la racine antér
une disposition que nous avons déjà signalée : il se compose de deux couches : une inférieure, claire, adjacente au cingulum;
e, lamellaire, qu'on retrouve sur les coupes 125, 124, 125. 126; la couche supérieure ne renferme évidemment que des fibres
te ; GVE, gyrus vestibuli, recouvert à sa partie postérieure par la couche blanche de la substance réliculaire; psp, pédoncu
siibslancc réticulairc de la corne d'Ammon, n'est autre chose que la couche la plus superficielle du corps calleux, ou, pour
rne (CI) n'est plus représentée que par la racine antérieur(3 de la couche optique, prolongée en haut par la couronne rayonn
nse (GAP). GAP. Le ganglion ou noyau de l'anse pédonculaire est une couche grise très mince, étendue depuis la partie inféri
nce dans la substance grise de la base (fig. 2), puis, de là, dans la couche optique. Mais alors ses fibres, devenues vertical
e noyau interne du thalamus pour constituer le noyau postérieur de la couche optique (NpC). NmC. Le centre médian, situé jus
masse grise où se confondent les deux noyaux interne et externe de la couche optique, au-dessus du centre médian. Il en a été
moment où ceux-ci entrent en connexion avec la face inférieure de la couche optique. FLP. Le faisceau longitudinal postérie
pénètre pas ; il contribue à former la lame médullaire latérale de la couche optique (LML). LML. La lame médullaire latérale
de la couche optique (LML). LML. La lame médullaire latérale de la couche optique, très franchement claire au-dessus du dis
noyau postérieur du thalamus appartient à la région inférieure de la couche optique (fig. 7). Il n'est donc plus visible sur
appartenant au même système, les fibres de la racine antérieure de la couche optique (ThA) qui, venues du segment antérieur de
en bas et d'avant en arrière pour constituer le pied du septuni et la couche blanche antérieure de la lame terminale. AR. Le
la partie externe du segment antérieur de la capsule, est destiné aux couches inférieures du thalamus. 11 disparaît donc sur le
cine antérieure du thalamus pénètre dans le noyau externe (NeC) de la couche optique, où elle se croise avec la racine inférie
En avant, le tsenia pénètre dans l'intervalle du corps strié et de la couche optique, tout au voisinage du pilier antérieur du
du noyau caudé sépare le taenia des fibres du tapetum, réduites à une couche d'une minceur extrême. Là, le taenia passe sous l
i par des fibres venues du stratum zonale de la face supérieure de la couche ; elles s'enfoncent en spirale dans la profondeur
pe 10, c'est-à-dire qu'il occupe seulement la région supérieure de la couche optique. D'abord allongé, fusiforme (fig. 10), il
rfaitement. Enfin, sur une coupe plus supérieure encore (fig. 12), la couche optique n'existe plus. Le plan de section n'intér
au contact de la lame médullaire et se perd ainsi à la surface de la couche optique, au voisinage du taenia. FSe. Le faisce
stérieure du gyrus reclus (GR) et la commissure antérieure (CA) trois couches distinctes : 1" le pied du septum lucidum, dont l
ur axe ont une teinte foncée, confondue avec celle de l'écorce; 2" la couche blanche de la lame terminale (LAT) dont les fibre
ement verticales, font suite au rostrum du corps calleux; 3° enfui la couche grise de la lame terminale, derrière laquelle se
lame festonnée (LFE). LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche de substance blanche qui tapisse le fasciola cine
son indépendance dans la capsule, mais encore sa subdivision en deux couches . La couche la plus externe, tout à fait adjacente
dance dans la capsule, mais encore sa subdivision en deux couches. La couche la plus externe, tout à fait adjacente à la capsu
ite, est formée par les libres de l'étage supérieur de la calotte; la couche interne, adjacente à la substance grise du thalam
thalamus, dans la lame médullaire latérale (LML), n'est autre que la couche grillagée de certains auteurs*. Cin. Le cingulu
limité en avant par le bras du pulvinar (BP). Les autres noyaux de la couche optique sont situés au-dessus de la coupe. La sec
. D'autre part, on reconnait, au contact du globus medialis (GLM) une couche lamellaire uniforme (CID) appartenant également à
antérieur de la capsule interne (CIA) à l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Cette coupe, en efl'et, pratiquée à
venues du segment antérieur de la capsule (CIA), s'enfoncent dans la couche optique sous la forme de deux faisceaux diffus, l
lamus (ThA). 4° La séparation réelle des fibres du splenium en deux couches : les fibres supérieures du splenium (ce) apparti
ce blanche de l'hémisphère, au niveau du tubercule de jonction. Cette couche s'étend de dedans en dehors, 1. On Fa appelée,
iculée d'Arnold. Il n'est pas exact, comme on l'a prétendu, que cette couche médullaire ne présente, un grand développement qu
le noyau amygdalien (NA) est entouré, sur tout son pourtour, par une couche blanche. Cette couche, qui lui forme une sorte de
NA) est entouré, sur tout son pourtour, par une couche blanche. Cette couche , qui lui forme une sorte de capsule, le sépare, e
porte obliquement en dehors est la bandelette diagonale. La milice couche lilauche qui la limite en avant est la substance
n arrière du splenium, la substance réticulaire d'Arnold (LMA). Cette couche blanche revêt le fasciola cinerea. Le fascia dent
colliculum, ergot de Morand. CAM. Corne d'Anmion. CAO. Fibres de la couche optique allant à la calotte ou inversement, fai
externe. CEO. Fibres du pédoncule cérébelleux supérieur allant à la couche optique, faisceau cérébello-thalamique. CEP. Cr
ceaux croisés de la calotte, fasciculi' decussationis aritica'. ce. Couche grillagée (Arnold), slratum reticulatum {Gittersc
2, FLs, FL4, FLs. Première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième couches du faisceau longitudinal inférieur. ; FLP. Fais
lo-caiidées. Loin. Lemniscus, feuillet horizontal du ruban de Reil, couche de Reil {Schlelfe des Allemands). LF. Lobe fron
l'insula. Lm. Lamina medialis, portion interne et inférieure de la couche horizontale de Reil, lamina ad, pedunculum. LMA
antérieur. Lmd. Lamina lateralis de Reil, ou fibres directes de la couche latérale de Reil. LML Lame médullaire interne d
Repli du splenium. Rth. Radialio thalami, couronne rayonnante de la couche optique. RTP. Recessus du tubercule quadrijumeau
on métopique ou incisures métopiques. SMT. Stries médullaires de la couche optique. SO. Sillon opto-strié. soe» Sillon o
érieur du pédoncule. Tf. Tubercule du fascia dentata. Th. Thalamus, couche optique. ThA. Racine antérieure ou pédoncule an
e)....... vu, 558 Corpus sub-thalamicum (DL)................. 511 Couche de Reil (Schleife) (Lem)............. 199, 209
....... 511 Couche de Reil (Schleife) (Lem)............. 199, 209 Couche de Reil (portion interne et inférieure) (Lm).....
9 Couche de Reil (portion interne et inférieure) (Lm)........ 218 Couche grillagée (CG)................... 552 Couche op
re) (Lm)........ 218 Couche grillagée (CG)................... 552 Couche optique (Th).................... xx Couronne ra
FLI)......... 78,102, 154 Faisceau longitudinal inférieur (première couche ) FLi)...... 212 Faisceau longitudinal inférieur
re couche) FLi)...... 212 Faisceau longitudinal inférieur (deuxième couche ) (FL2)...... 212 Faisceau longitudinal inférieu
couche) (FL2)...... 212 Faisceau longitudinal inférieur (troisième couche ) (FLs)..... 215 Faisceau longitudinal inférieur
e couche) (FLs)..... 215 Faisceau longitudinal inférieur (quatrième couche ) (FL4). . 155, 215 Faisceau longitudinal inféri
ouche) (FL4). . 155, 215 Faisceau longitudinal inférieur (cinquième couche ) (FLo). . 155, 213 Faisceau longitudinal postér
ngitudinal supérieur (ARC).......... 254, 504 Faisceau médian de la couche de Reil (Lm)........... 214 Faisceau médullaire
DOG)..................... 284, 290 Fibres de la calotte allant à la couche optique (CAO)....... 297 F'ibres directes de la
allant à la couche optique (CAO)....... 297 F'ibres directes de la couche latérale de Reil (Lmd)........ 251 Fibres direc
oyau amygdahforrae (DL).................. 511 Noyau antérieur de la couche optique (NaG)......... 69, 557 Noyau caudé (NG)
7 Pédoncule cérébelleux supérieur (portion postérieure aHant à la couche optique), (CEO)................. xni Pédoncules
CC).. . . . . . . . . . . . . . . lxxix R Racine antérieure de la couche optique (ThA)....... 545, 567 Racine descendant
4 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
substance; pour établir l'uniformité de pression à sa surface, une couche mince de liquide, le liquide céphalo-rachidien, s
ntraux. § 1. — La substance grise périphérique du cerveau forme une couche onduleuse de 2 à 4 millimètres d'épaisseur, repli
e la substance corticale est séparé du plan superficiel par une mince couche granuleuse, d'un aspect caractéristique et nettem
rs, la substance grise des circonvolutions ne serait pas formée d'une couche unique : Baillarger (1) dit qu'en examinant une c
ale fraîche pressée entre deux lames de verre, on reconnaît plusieurs couches inégales d'épaisseur, apparaissant sous l'aspect
sparentes et opaques. Meynert divise la substance corticale en cinq couches régulièrement stratifiées, 'possédant chacune une
fiées, 'possédant chacune une épaisseur déterminée (2). La première couche se présente sous l'apparence d'une ligne claire.
es de prolongements fins. Son épaisseur est de 0,25 f¿. La deuxième couche a une couleur foncée et une épaisseur égale à cel
nombreuses et très serrées les unes contre les autres. La troisième couche , d'une couleur jaunâtre, offre trois fois l'épais
, d'une couleur jaunâtre, offre trois fois l'épaisseur de chacune des couches précédentes ; elle est formée par des cellules py
p en raison de la profondeur de leur situation. Meynert décrit cette couche sous le nom de formation corticale de la corne dA
éléments nerveux. (1) Baillarger, Recherches sur la structure de la couche corticale des circonvolutions du cerveau (Mém. de
é par Math. Duval. Paris, 1879. Gavoy. —Encéphale. 2 La quatrième couche rappelle par son aspect, sa transparence, son épa
rappelle par son aspect, sa transparence, son épaisseur, la première couche . Elle est formée par du tissu conjonctif contenan
tres. Leurs prolongements sont très difficiles à voir. La cinquième couche , de couleur foncée, a une épaisseur de 0,5 millim
la substance grise de l'écorce de la pointe du lobe occipital en huit couches . La lre et la 2e couche sont semblables à celle
rce de la pointe du lobe occipital en huit couches. La lre et la 2e couche sont semblables à celles du type général précéden
e, à grosses cellules pyramidales, manque; elle est remplacée par une couche de noyaux analogue à la 4edu type général. La 4
ur, que Meynert nomme cellules solitaires. La 5e est semblable à la couche de noyaux. La 6e est formée par un stratum engl
es cellules à noyaux arrondis ; elle est semblable à la 3e et à la 5e couche . La 8e couche renferme les cellules dites fusif
yaux arrondis ; elle est semblable à la 3e et à la 5e couche. La 8e couche renferme les cellules dites fusiformes ; elle est
s fusiformes ; elle est conforme à celle du type général. Les trois couches à noyaux correspondent à la traînée blanche média
ée ruban de Vicq-d'Azyr. Ces divisions de la substance corticale en couches régulièrement stratifiées, d'une épaisseur consta
établie d'une manière positive. Il est préférable de considérer cette couche corticale comme composée de deux zones, renferman
ule paracentral, on trouve, dans la partie inférieure seulement de la couche à cellules, des cellules pyramidales d'une dimens
iés, centres générateurs de l'innervation encéphalique, comprenant la couche optique et le corps strié. (1) Voir Système des
(1) Voir Système des artères corticales, loco citato, page 7. a. Couche optique. La couche optique, ou thalamus (Pl. II
es artères corticales, loco citato, page 7. a. Couche optique. La couche optique, ou thalamus (Pl. II, 4), est un amas ovo
face hiterne de l'hémisphère. Elle intercepte par conséquent, avec la couche optique de l'hémisphère du côté opposé, un espace
brotundum, et par Vicq-d'Azyr sous celui de tubercule antérieur de la couche optique. En arrière, on trouve une autre sailli
oéminence de deux petits noyaux gris contenus dans la substance de la couche optique et bien nettement circonscrits à l'intéri
décrit le premier un quatrième tubercule, situé au milieu même de la couche optique, c'est le centrum médium Luysii. M. Luy
sidère ces tubercules ou noyaux, isolés dans la substance grise de la couche optique, comme des centres de réception, en rappo
ne longueur de 12 millimètres; il est contigu à la face interne de la couche optique sur laquelle il produit une intumescence
ostérieur, en dehors et un peu au-dessous d'eux, au centre même de la couche optique ; son dia-mètre est de 7 à 8 millimètres
e petite masse de substance blanchâtre. Ces centres ou noyaux de la couche optique n'ont pas une structure histologique part
ode de distribution et à la catégorie de fibres qui pénètrent dans la couche optique et vont aboutir à ces centres d'immersion
. Il occupe toute l'étendue des régions antérieure et externe de la couche optique, dont il est séparé par un sillon curvili
par Burdach sous celui de capsule interne. La portion contiguë à la couche optique porte le nom de noyau intra-ventri-culair
ent en arrière en forme de queue jusqu'à la région posté-rieure de la couche optique, ce qui a fait désigner par Burdach cette
e composent d'un filament cylindrique, le cylinder-axis, revêtu d'une couche de myéline. Le cylinder-axis est l'élément essent
cellulaire. Quelques fibres nerveuses paraissent s'amortir dans la couche la plus superfi-cielle de la substance corticale
ale ; il est cependant difficile d'affirmer qu'elles atteignent cette couche . Les diverses régions de la substance grise pér
'un faisceau conoide, contournent la face interne et antérieure de la couche optique, passent en dehors du pilier antérieur du
PL IV, 7), et pénètrent dans la région antérieure et supérieure de la couche optique. Meynert donne à ce faisceau le nom de ra
ptique. Meynert donne à ce faisceau le nom de racine inférieure de la couche optique et le décrit comme la troisième et la qua
de la couche optique et le décrit comme la troisième et la quatrième couche de l'anse pédonculaire de Gratiolet. Ces différ
de fibres convergentes se condensent sur le côté antéro-externe de la couche optique en un gros faisceau spiroïde, aplati d'av
respectives dans les noyaux opto-striés. Une partie pénètre dans la couche optique; les fibres s'effilent, s'amincissent, tr
u lenticulaire du corps strié, gagnent les parties postérieures de la couche optique en formant une coque extérieure nommée ca
nouvelles, à mesure qu'il se rapproche des régions postérieures de la couche optique. Arrivées à ce niveau, les fibres se di
gent vers la paroi du ventricule moyen et vers le centre médian de la couche optique. Un troisième groupe suit un trajet curvi
e les fibres des régions externes se portent dans la profondeur de la couche optique jusqu'à la paroi du ventricule moyen ; qu
bres nerveuses qui relient tous les points de la pulpe corticale à la couche optique ; ce sont les fibres cortico-thalamiques
e dirige directement en avant, appliquée sur la face supérieure de la couche optique qui lui correspond. Ces bandelettes ont
[piliers antérieurs de la voûte), qui s'infléchit en bas, traverse la couche optique, se dirige en arrière vers les tuber-cule
, qui s'étend, en s'effilant, de la base du tubercule antérieur de la couche optique, ou centre antérieur, jusqu'aux tubercule
aisceau de Vicq-d'Azyr relie par conséquent le centre antérieur de la couche optique à la substance grise des tubercules mamil
composés de cellules fusiformes, absolument pareilles à celles de la couche optique. Au niveau de la région antérieure de l
elles de la couche optique. Au niveau de la région antérieure de la couche optique, les faisceaux cylindriques des fibres co
térieurs de la glande pinéale, s'applique sur la face interne de la couche optique, aborde la base du conarium et s'épanouit
u supérieurs se dirigent en avant en cheminant dans l'épaisseur de la couche grise qui tapisse les parois du ventricule moyen.
rois du ventricule moyen. On les aperçoit par transparence dans cette couche , et l'on peut les suivre jusqu'au trou de Monro,
doncules moyens se portent latéralement dans la substance grise de la couche optique, vers le centre médian. Les pédoncules
tral. § I. La substance grise du cervelet forme à sa périphérie une couche corticale pliée et repliée sur elle-même sous l'a
t lamelles juxtaposées, qui lui donnent une apparence foliacée. Cette couche corticale offre à l'œil nu par sa teinte l'aspect
perficielle, d'une couleur jaune rougeâtre, est connue sous le nom de couche rouillée; la plus profonde est d'une coloration g
de nombreux capillaires. Elle est séparée de la zone profonde par une couche de fibres nerveuses dirigées parallèlement à la s
o-buleux de la cellule, tandis que son extrémité caudale émet vers la couche superficielle un prolongement bifide dont chaque
d'un nucléole; il envoie quelques prolongements très déliés vers les couches sous-jacentes, en continuité avec les filaments d
ules rondes, mesurant de 6 p. à 9 p. de diamètre, qui donnent à cette couche un aspect granuleux. Ces cellules sont pourvues d
réseau plexiforme. La description donnée par Meynert comprend trois couches : La première couche, la plus externe, est la c
description donnée par Meynert comprend trois couches : La première couche , la plus externe, est la couche grise ou molécula
omprend trois couches : La première couche, la plus externe, est la couche grise ou moléculaire; elle contient seulement que
ites cellules isolées dans la névroglie. A sa limite interne, cette couche renferme des cellules fusiformes et des fibres mé
des fibres médullaires parallèles à la surface externe. La seconde couche est la couche des cellules, elle contient les cel
dullaires parallèles à la surface externe. La seconde couche est la couche des cellules, elle contient les cellules de Purki
des cellules, elle contient les cellules de Purkinje. La troisième couche , la plus interne, ou la couche des granulations,
s cellules de Purkinje. La troisième couche, la plus interne, ou la couche des granulations, est formée par une substance gr
es qu'on voit se diriger en dehors à travers la substance grise de la couche optique. A la base du ventricule moyen, la subs
se détache du ganglion olfactif, se porte en arrière et contourne la couche optique sous le nom de tsenia semi-circularis.
mas de substance grise sont situés à la région postéro-inférieure des couches optiques sur les bords de la fente cérébrale de B
par un grand nombre de granulations pigmentaires, qui donnent à cette couche , connue sous le nom de locus niger de Sœmmering,
eurs du trigone, au-dessus des bandelettes optiques, au-dessous de la couche optique, se plie de nouveau totalement en dehors,
u antéro-interne pédonculaire constitue le plan le plus profond de la couche médullaire appelée anse pédonculaire par Gratiole
ent en haut vers la partie correspondante de la face inférieure de la couche optique, pénètrent à travers la substance grise d
immerge dans la substance grise du ventricule moyen sous-jacente à la couche optique, et s'épanouit dans les cellules nerveuse
culaire commun. Meynert et Huguenin le décrivent, comme la deuxième couche de l'anse pédon-culaire, sous le nom de faisceau
son congénère, la commissure blanche postérieure, et se perd dans la couche de substance grise qui tapisse le troisième ventr
veau {circonvolution frontale ascendante). a. Zone superficielle ou couche de cellules pyramidales de 25 ¡¿ à 40 ¡7. de gr
40 ¡7. de grandeur, régulièrement stratifiées. b. Zone profonde ou couche de cellules fusiformes de 30 y. de diamètre (ce
zyr, compris entre la zone super- ficielle et la zone profonde. Ces couches de substance grise sont formées de cellules arron
g. IV. — Substance grise corticale du cervelet. a. Zone profonde ou couche granuleuse. b. Substance médullaire centrale ax
ition des cellules de Purkinje autour de la limite supérieure de la couche granuleuse. d. Zone superficielle ou couche rou
mite supérieure de la couche granuleuse. d. Zone superficielle ou couche rouillée, renfermant des cellules triangulaires
etit espace appelé ventricule de la cloison (voir Pl. LUI). 4. — La couche optique, thalamus opticus} a la forme d'un ovoide
térieure qu'on a sectionné en séparant les deux hémisphères. Entre la couche optique et le pilier antérieur du trigone, existe
(5), qui le premier en a fait la description. La face interne de la couche optique se continue en bas et en avant avec un am
. En arrière, la substance grise, qui tapisse la face interne de la couche optique, se continue avec les tubercules quadriju
x hémisphères sont réunis l'un à l'autre, les deux faces internes des couches optiques interceptent entre elles un espace libre
our-relet, apparaît nettement; elle est bordée inférieurement par une couche de substance corticale, séparée en haut des circo
La section antéro-postérieure a enlevé la substance grisâtre de la couche optique qui forme la paroi du ventricule moyen. E
n intérieure des deux saillies signalées sur la face supérieure de la couche optique, le corpus album subro-tundum et le tuber
ant et en bas est la substance grise du locus niger, qui recouvre une couche de substance blanche, formant l'écorce du pédoncu
corps calleux ; une gouttière profonde sépare le corps calleux de la couche de substance corticale qui borde inférieurement l
aventriculaire du corps strié, formant, avec la face supérieure de la couche optique, le plancher des ventricules latéraux. Su
e la bandelette optique (8). 9. — Section du centre antérieur de la couche optique suivant son grand diamètre antéro-postéri
diriger en arrière, en enlaçant la région supérieure et externe de la couche optique. Dans le sillon intermédiaire est la coup
s efîérentes du noyau rouge de Stilling et celui du corpus Luysii. La couche optique reçoit également l'épanouissement des fib
eure, passant par ïextrémité antérieure du sillon intermédiaire de la couche optique et du corps strié. 1. — La substance gr
le pilier postérieur du trigone (3), qui se continue au-dessus de la couche optique, sous le nom de bandelette géminée. 4.
u pilier postérieur du trigone. Il recouvre le centre moyen (8) de la couche optique, vers lequel s'effilent les fibres conver
ntes de la capsule interne; en arrière est le centre postérieur de la couche optique (9); le centre médian (10) est situé entr
es convergentes pénètrent en serpentant dans la substance grise de la couche optique; elles s'épanouissent dans le centre moye
stérieur de fibres, qui paraît s'arrêter au locus niger, aboutit à la couche optique. La section du cervelet montre la dispo
Coupe verticale antéro-postérieure, passant par la face externe de la couche optique. 1. — La section représente le vestig
le orbitaire, contourne la face supérieure du corps strié, puis de la couche optique, passe dans la région in-férieure en se d
né-tration (15) des fibres convergentes dans la substance grise de la couche optique, atteignant les segments externes du cent
La substance grise corticale forme, à la périphérie de la coupe, une couche ondulée qui représente la section des circonvolut
réduite à sa portion supérieure et postérieure; elle est séparée delà couche optique parle taenia semi-circularis. Au-dessous
s fibres convergentes traversent l'épaisseur de la face externe de la couche optique et se dirigent vers le centre postérieur.
en situé dans un plan plus externe. Ces deux noyaux sont isolés de la couche optique par le groupement des faisceaux divers de
7) appelés noyaux jaunes. 8. — Régions postérieure et externe de la couche optique (pulvinar) en rapport avec les corps geno
rce de substance blanche et contient dans son intérieur également une couche de substance blanche. Cette substance grise est p
ace supérieure du corps calleux vers la base du cerveau.) 1. — La couche de substance grise corticale des deux hémisphères
ibres convergentes et commissurantes émanant de la face interne de la couche corticale. Les fibres commissurantes de chaque lo
(6) du noyau intraventriculaire, séparée de la face supérieure de la couche optique (8) par le sillon intermédiaire (7). Le
lon intermédiaire séparant le noyau caudé de la face supérieure de la couche optique (7); ce sillon est recouvert par la lame
térieure et externe du tubercule anté-rieur ou centre antérieur de la couche optique. 8. — Bandelette géminée se dirigeant e
stance grise du noyau intra-ventriculaire jusqu'au bord externe de la couche optique, en passant au-dessous de la portion moye
roupées en un gros faisceau qui aboutit à la partie postérieure de la couche optique et se distribue en partie dans le pul vin
et se distribue en partie dans le pul vinar. La face supérieure des couches optiques a été effleurée par la section horizonta
, juxtaposées par leur bord interne, reposant sur la face interne des couches optiques et sur la toile choroïdienne. Le bord ex
mé pilier antérieur du trigone, pénètre dans la substance grise de la couche optique et va aboutir aux tuber-cules mamillaires
antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la couche optique. 1. — Portion réfléchie ou genou du cor
lamiques, se rendant de la base des circonvolutions au pourtour de la couche optique. A travers l'écartement de ces faisceaux,
en un faisceau conique, se dirigeant vers la région postérieure de la couche optique. 8. — Substance grise de la couche opti
région postérieure de la couche optique. 8. — Substance grise de la couche optique pénétrée par des filaments blancs de fibr
re formé par les fibres cortico-thalamiques sur le bord externe de la couche optique. 10. — Centre antérieur de la couche op
le bord externe de la couche optique. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Centre postérieur de la couche o
entre antérieur de la couche optique. 11. — Centre postérieur de la couche optique. 12. — Section du pédoncule antérieur d
e. 13. — Bandelette géminée, s'appuyant par son bord externe sur la couche optique. Le bord interne de chaque bandelette se
rent en haut, en avant et en bas. Ces lamelles sont recouvertes d'une couche de substance grise sur leurs deux faces : celle q
lique de dehors en dedans, qui vient rencontrer la face externe de la couche optique (6, Pl. XVIII), l'autre vertical et trans
cal et transverse qui aboutit à la région antérieure et externe de la couche optique (6, Pl. XX). Cette substance blanche inte
onvergentes postérieures vient abou-tir à la région postérieure de la couche optique, en passant entre la portion caudale du n
ée. Gavoy. — Encéphale. 12 La section de la substance grise de la couche optique montre le mode de pénétra-tion des fibres
. La cavité du ventricule moyen apparaît entre les faces internes des couches optiques; en avant est la corne frontale de la ca
ne adhérence avec elle, et se dirige vers la région postérieure de la couche optique; il porte le nom de capsule externe (7).
(7). 8. — Section des fibres convergentes sur le bord externe de la couche op-tique (6, Pl. XVIII). Cette portion du faiscea
ur (3), qui appartient au corps strié. 14. — Centre antérieur de la couche optique, séparé du noyau intra-ventriculaire par
rcularis qui s'épanouissent dans sa masse. 15. — Centre moyen de la couche optique; des fibrilles blanches traversent la cou
ntre moyen de la couche optique; des fibrilles blanches traversent la couche optique, atteignent ce noyau et la paroi latérale
rapport avec la cavité des ventricules latéraux est recouverte d'une couche de substance grise. Ces lamelles de substance bla
-ventriculaire. A égale distance à peu près des deux extrémités de la couche optique, et vers le bord interne, apparaît le cen
ection transversale des fibres convergentes sur le bord externe de la couche optique (Région moyenne de la capsule interne).
té sphénoïdale et se jette en partie dans la région postérieure de la couche optique. Son fascicule antérieur se dirige en ded
entes des circonvolutions de l'insula. 14. — Centre antérieur de la couche optique. Ses dimensions sont beaucoup moins grand
anche XIX. 15. — Région inférieure et interne du centre moyen de la couche optique. 16. — Centre médian. Il reçoit par son
médian. Il reçoit par son côté externe des fibres qui ont traversé la couche optique et, en dedans, un petit faisceau qui para
ît provenir de la commissure blanche. 17. — Centre postérieur de la couche optique. Le faisceau des fibres convergentes post
ons pos-térieures se jette en partie dans la région postérieure de la couche optique; le fascicule antérieur (8, Pl. XXII) se
u lobe occipital soient en connexion avec la région postérieure de la couche optique. Le noyau lenticulaire (10, Pl. XXII) p
convergentes antérieures et supérieures. Le centre antérieur de la couche optique (6, Pl. XX) est réduit à son dernier segm
tte commissure est formée par un faisceau de fibres qui s'étend de la couche optique d'un côté à celle du côté opposé. Elle es
e la commissure blanche postérieure apparaît, sur le bord interne des couches optiques, la section des pédoncules antérieurs de
elie la commissure blanche postérieure avec la région postérieure des couches optiques ou pulvinar. Gavoy.— Encéphale. ^ La
— Section transversale des fibres convergentes au bord externe de la couche optique. — Région lenticulo-optique de la capsule
dian. Les fibres convergentes pénètrent dans la substance grise de la couche optique sous l'aspect de fibrilles extrêmement fi
l'aspect de fibrilles extrêmement fines. La région postérieure de la couche optique (13) est parcourue par des fibrilles tr
par une section des fibres spinales antérieures, faite au-dessous des couches optiques. En dedans de ces faisceaux apparaît l
sversale des fibres spinales au-dessous de la région inférieure de la couche optique. 12. — Corpus Luysii ou bandelette acce
la partie postérieure du sillon intermédiaire au corps strié et à la couche optique dans lequel il se loge. 10. — Section d
les artérioles qui la sillonnent. La coupe du cervelet présente une couche corticale de substance grise entourant les fibres
La paroi ou le plancher du quatrième ventricule est formée par une couche de sub-stance grise en continuité avec la substan
e des piliers postérieurs du trigone (7, Pl. XXXIV) : au-dessus de la couche optique, de chaque côté du bourrelet, on aperçoit
des bandelettes géminées. Une partie de la région postérieure de la couche optique est enlevée; cette coupe a mis à découver
a mis à découvert le tubercule postérieur ou centre postérieur de la couche optique, et montre le mode de pénétration dans sa
es convergentes des régions postérieures. En avant et en dehors de la couche optique est la lame cornée, qui la sépare du noya
— Fibres du taenia semi-circularis contournant le bord externe de la couche optique. 4. — Section des bandelettes géminées
4. — Section des bandelettes géminées sur la face supérieure de la couche optique. 5. — Section de la substance grise de
gone dans le diverticulum sphénoïdal. 6. — Région postérieure de la couche optique. Les fibres convergentes des régions post
one, les bandelettes géminées, se voit entre la face supérieure de la couche optique et le bord externe du corps calleux. La s
des ventri-cules latéraux ; il est séparé de la substance grise de la couche optique par la section des fibres du taenia semi-
Le centre postérieur occupe la partie interne de cette région de la couche optique; les fibres convergentes pénètrent en lon
à l'autre et semble émettre un faisceau dans la région inférieure des couches optiques. Au-dessus de cette commissure apparaît
ion supérieure et celles de la région moyenne (3) se dirigent vers la couche optique ; les fibres du lobe sphenoidal (4) s'élè
trent, sous l'aspect de filaments très déliés, dans l'intérieur de la couche optique et atteignent les différents noyaux qu'el
des faisceaux des fibres convergentes. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Centre moyen de la couche optiqu
. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Centre moyen de la couche optique. 12. — Centre postérieur de la couche o
— Centre moyen de la couche optique. 12. — Centre postérieur de la couche optique. 13. — Section de la portion horizontal
e comment ces bandelettes, en s'appliquant sur la face supérieure des couches optiques, isolent le ventricule moyen des ventric
Ces divers groupes de fibres se condensent sur le bord externe de la couche optique en un gros faisceau appelé capsule intern
apsule interne; elles pénètrent ensuite dans la substance grise de la couche optique, sous forme de petits filaments très fins
ne de la cavité du ventricule latéral. 11. — Centre antérieur de la couche optique. 11 est séparé du noyau caudé parles fibr
t dans la capsule interne pour pénétrer dans la substance grise de la couche optique. 24. — Section de la région antérieure
ramifiées, issues des faisceaux spi-naux. Le centre antérieur de la couche optique a augmenté de volume ; le centre moyen a
isent pour former la capsule interne, et vont se grouper autour de la couche optique. Un fascicule longe la face externe du no
des fibres convergentes dans l'intérieur de la substance grise de la couche optique. 11. — Centre antérieur de la couche op
substance grise de la couche optique. 11. — Centre antérieur de la couche optique. 12. — Centre moyen de la couche optiqu
. — Centre antérieur de la couche optique. 12. — Centre moyen de la couche optique. 13. — Portion antérieure du centre méd
e fibres spinales postérieures. Ces fibres se portent en haut dans la couche optique ; elles se terminent en bas dans la subst
s est la coupe des bande-lettes optiques. Le centre antérieur de la couche optique présente son plus grand diamètre. Il est
dans le noyau lenticulaire, serpentent dans la substance grise de la couche optique. 4. — Fibres convergentes du lobe sphén
s du taenia semi-circularis en rapport avec le centre antérieur de la couche optique. 13. — Section de la portion horizontal
de pénétration des fibres convergentes dans la substance grise de la couche optique. 15. — Centre antérieur, son volume est
dans la substance grise du noyau caudé, du noyau lenticulaire et delà couche optique. En dehors du centre antérieur est la c
Mode d'épanouissement des fibres convergentes dans l'intérieur de la couche optique. 14. — Centre antérieur recevant les fi
on croise celle des fibres convergentes des régions supérieures. La couche optique est réduite à la portion antérieure du ce
ondi, les piliers antérieurs du trigone, qui plongent en bas, dans la couche optique et dans la substance grise centrale du pl
de la cavité des ventricules latéraux. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Substance grise du plancher du v
du noyau lenticulaire, dans le noyau caudé du corps strié et dans la couche optique. Les lobes sphénoïdaux sont composés pa
e ne comprend que les lobes frontaux. La substance grise qui forme la couche corticale est moins abondante que dans les région
duc de Sylvius, sur la région médiane de l'encéphale ; chacune de ces couches de substance grise est en outre recouverte par l'
pointe effilée. Le noyau extra-ventriculaire est réduit à une mince couche de substance grise du putamen ; il est séparé de
8 § 2. Substance grise des noyaux centraux................. H a) couche optique.......................... 12 b) corps s
re, passant par l'extrémité antérieure du sillon intermé-diaire de la couche optique et du corps strié.................. 68
Coupe verticale antéro-postérieure, passant sur la face externe de la couche optique. 71 IX. Encéphale dont on a détaché la
antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure de la couche optique...........................• .... 87 XIX
................ ...... 103 ; XXVII. Encéphale dont on a détaché la couche précédente par une section horizontale antéro-pos
5 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
, dont l'un est mort à 13 mois, de congestion pulmonaire, 4 fausses couches entremêlées aux accouchements. A 55 ans, elle
coupe transversale soit du fémur, soit du tibia, soit du péroné, la couche com- pacte apparaissait très amincie. Nous po
l'époque normale. Morte à l'âge de S ans. Tante : Née ,d'une même couche avec la précédente. Rien d'anormal jusqu'à 9 an
xcentrique et mal équilibré. Antécédents personnels. Pas de fausses couches . Pas de gemelliparité Après un enfant mort-né l
ntiles comme l'exagération de son em- bonpoint habituel, de cette « couche adipeuse d'une assez grande épais- seur qui env
ension occasionnent la plus vive douleur. Dans le lit, la malade se couche sur le côté dans une position accroupie : les gen
ons corticales sur une étendue considérable, sans participation des couches sagittales profondes. Les faits qui se sont dég
étaient plu- tôt primitifs. Il fait une description remarquable des couches profondes qui, pour lui, représentent l'express
ession intra-cérébrale de la bandelette optique ; il reconnaît deux couches de radiations optiques dont l'une,la branche exte
sagittale externum ». Charcot (1) et Ballet (2) réunissent les deux couches sagittales sous le nom de « faisceau sensitif c
nstitution de la capsule externe dont elles concourent à former les couches les plus inférieures et s'entrecroi- sent avec
Ce faisceau provient de la partie inférieure du noyau'latéral de la couche optique et du noyau principal du pul- vinar ; à
t dans la constitution du stratum zonale. Après son émergence de la couche optique, le faisceau longitudinal est accompagn
que, le faisceau longitudinal est accompagné de fibres venant de la couche optique et desti- nées à la sphère olfactive et
et qui se rendent au lobe temporal et à la sphère auditive. - La couche sagittale externe de Sachs ne représente pas un f
w (2) le faisceau longitudinal inférieur (qu'il identifie avec la « couche sagittale ») ne doit pas être considéré comme une
INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 107 ceau se distingue toutefois de la couche des radiations thalamiques qu'il recou- vre en
travers toute l'étendue du lobe temporal-occipital et constitue la couche externe des fibres profondes. Dans son trajet p
n réalité il est difficile de délimiter d'une façon absolue les trois couches situées en dehors de la paroi ventriculaire, to
uillé externe, du corps quadrijumeau antérieur et du pulvinar de la couche optique. Ces ganglions fournissent une grande p
se rendent au lobe occipital ; elles concourent à former surtout la couche sa- gittale interne, mais elles occupent aussi
lé externe, la dégénérescence s'épuise dans le pulvinar et dans les couches super- ficielles et moyennes du corps quadrijum
aire les radiations optiques occupent surtout la partie moyenne des couches sagittales profondes, aussi bien la couche sa-
t la partie moyenne des couches sagittales profondes, aussi bien la couche sa- gittale externe que la couche sagittale int
gittales profondes, aussi bien la couche sa- gittale externe que la couche sagittale interne. Les lésions du corps genouil
isceau longitudinal supérieur (qui, pour lui aussi, correspond à la couche sagittale externe) ; dans chacun de ses nombreu
d'association. Dans ses premières études (a, b et c) il dit que la couche sagittale interne contient des fibres qui passe
interne contient des fibres qui passent de l'écorce occipitale à la couche optique, et la couche sagittale externe des fib
ibres qui passent de l'écorce occipitale à la couche optique, et la couche sagittale externe des fibres dont le trajet est l
nt le trajet est l'inverse, c'est-à-dire qu'elles proviennent de la couche optique et se rendent à la corticalité. Plus ta
lus tard, il insiste sur la délimitation peu précise entre ces deux couches ; un bon nombre de fibres proviennent des faces
llés externe et interne, au noyau latéral (partie supérieure) de la couche optique et aux couches superfi- cielles du corp
e, au noyau latéral (partie supérieure) de la couche optique et aux couches superfi- cielles du corps quadrijumeau antérieu
au antérieur. D'une façon générale, la partie infé- rieure de cette couche sagittale (commune) recevrait les fibres de trois
s au pulvinar, au corps genouillé externe et au noyau latéral de la couche optique ; la partie supérieure renfer- merait l
8, 1904. FAISCEAUX LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRALE 109 couche sagittale latérale une fonction déterminée, elle
résenterait la voie visuelle centrale, ses fibres proviennent de la couche optique et se rendent à la sphère visuelle cort
ccorde à ces fibres une origine plus étendue, non seulement dans la couche optique (noyaux latéral et posté- rieur), mais
illé externe. Plus récemment, à l'occasion d'un cas de lésion de la couche optique (h), Probst fait subir à ses idées de g
olet » comprend des libres corticifuges destinées au pulvinar de la couche optique et au corps quadriju- meau antérieur. L
une fibre à la capsule ex- terne. ' Dans des cas de lésions de la couche optique et sur d-3s coupes traitées par la méth
et de la scis- sure calcarine ; il en conclut, comme avant, que la couche sagittale externe renferme les fibres visuelles
bres visuelles centrales et que celles-ci tirent leur origine de la couche optique. Dans son mémoire le plus récent Probst
s dégénérescence consé- cutives à une lésion étendue qui atteint la couche optique mais aussi la capsule interne et le noy
cette dégénérescence tient à la destruction du noyau latéral de la couche optique dont les fibres passent au-dessus du corp
ieur de la capsule interne pour entrer dans la constitu- tion de la couche sagittale externe. Une partie du faisceau longitu
es ayant la même origine et qui se rendraient au noyau médian de la couche optique et aux circonvolutions rolandiques. Out
de Flechsig correspondent au faisceau longitudinal inférieur, à la couche sagittale externe. '" ' ' 2° Les radiations opt
tions optiques de Gratiolet (telles que décrites actuellement), la couche sagittale interne. ' Les radiations optiques
t leur origine du'corps genouillé externe et du noyau latéral de la couche optique,' se dirigent irrégulièrement en avant
en bas et en dehors le long de la paroi ventriculaire et forment la couche la plus externe des fibres sagittales profondes
rconvolution occipitale; elles se terminent,dans le .pulvinar de la couche optique et dans les couches superficielles et m
elles se terminent,dans le .pulvinar de la couche optique et dans les couches superficielles et moyennes du corps quadrijumea
,d'association n'entrent nullement dans la constitution de ces deux couches de fibres. , Siarokotlitzki (1) se range parmi
ngulaire de Wernicke et se terminent surtout dans le pulvinar de la couche optique, mais aussi dans les corps genouillés ext
orale. Ces fibres, dont la grande majorité se termineraient dans la couche optique, correspon- dent aux fibres thalamo-cor
lcarine, 1-e segment dorso-latéral du corps genouillé externe et la couche des radiations optiques. Il conclut que le faisce
ait partie de la couronne rayonnante : elle entre en relation avec la couche optique et avec le corps genouillé externe, mai
loration de Weigert ne permet pas d'établir avec quels noyaux de la couche optique ces relations ont lieu. Quant au segm
du lobe temporal. En tout cas, Redlich pense que cette partie de la couche externe se termine dans le voisinage de la circon
u noyau amygdalien. L'auteur considère que, d'une façon générale,la couche sagittale externe ren- ferme des fibres cortici
,la couche sagittale externe ren- ferme des fibres corticipètes, la couche sagittale interne des fibres corticifu- ges ; m
nt à la capsule interne et enfin au corps genouillé externe et à la couche optique. Il cite un exemple : il a observé chez
à l'angle inféro-interne de la corne occipitale et sectionnant les couches sagittales profondes jusqu'à l'épendyme ventricul
ation du stratum zonale de ce noyau ; les altérations du côté de la couche optique sont beaucoup moins accusées. Dans ce m
érieur renferme avant tout « des fibres corticifuges » destinées à la couche optique et au corps genouillé externe. Il n'est
r insisté de nouveau sur la délimitation peu précise entre les deux couches sagittales, il donne le nom de « Stratum sagitt
ète de la cou- ronne rayonnante du lobe temporo-occipital occupe la couche externe, et le- contingent corticifuge, qui est
, qui est de beaucoup le plus considérable, occupe non seulement la couche interne, mais concourt à former une bonne partie
nt la couche interne, mais concourt à former une bonne partie de la couche externe. Quoi qu'il en soit, l'auteur considère
e être enfoncé plus profondément dans l'orbite, ce qui dépend de la couche musculaire, qui chez l'homme est en effet plus dé
s (état rugueux de la peau qui est sèche et semble recouverte d'une couche de collodion), a deux enfants bien portants. Le
pées dans la peau se continue sans aucune démarcation nette avec la couche profonde du derme. Bien que (1) Cadéac, Path, c
aiseau pyramidal. Le mot faisceau n'est pas l'équivalent du terme « couche de fibres » ; or depuis de nombreuses années on
; or depuis de nombreuses années on a appliqué indifféremment à la couche de fibres la plus externe du lobe temporo-occip
et l'autre de ces dénominations : faisceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe. Dans le lobe occipital la di
étro-lenticulaire de la capsule interne. A cet endroit en effet, la couche sagittale externe contient des fibres de projec
ain nombre de fibres d'association, elle ne représente nullement la couche sagit- tale externe du lobe occipital. Plus loi
s loin encore, à un niveau antérieur au corps genouillé externe, la couche sagittale externe contient des fibres de la commi
cinatus. , Il ressort nettement de toutes ces considérations que la couche sagittale ex- terne varie continuellement dans
CENTRAL 179 Le but que nous avons en vue est de démontrer : que, la couche sagittale externe du lobe occipital, le faiscea
rations nouvelles sur l'origine, la terminaison et la nature de la couche sagit- tale externe du lobe uccipital. En fai
i- tion qu'affecte le « faisceau optique central » par rapport à la couche sagittale externe prise dans son ensemble, à tr
erne et la plus grande partie du noyau lenticulaire ont disparu. La couche optique est énormément aplatie et atrophiée et
ceau qui se continue à l'angle inféro-externe du ventricule avec la couche sagittale externe. A ce faisceau on a donné le no
t serait accompagné de fibres que le faisceau de Türclt envoie à la couche opti- que. Or, ce faisceau est en grande partie
nte à notre avis la « totalité des fibres corticifuges destinées à la couche optique » et faisant partie du faisceau temporo
cérébral. Le faisceau normal ne se continue pas directement avec la couche sagittale externe (segment inférieur); en effet
rne, mais sur les coupes antérieures le ramollissement respecte les couches sagittales profondes, et alors on constate leur
tement en arrière du bourrelet du corps calleux il n'existe plus de couches sagittales le long de la paroi ventriculaire exte
LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL (Lasalle- A rclJtl11/ lia IIlt) S;e. Couche sagittale externe. - Rtb. Radiations thalamiques
alement dégénérées à cet endroit. Il se continue en dedans avec une couche de fibres saines occupant le lobule lingual et qu
niveau de la pointe delà corne occipitale, est privée elle aussi de couches sagittales. Le ramollissement atteint les deuxi
ésions corticales et sous- corticales. Le faisceau optique central ( couche sagittale externe de cette région) est en grand
central, des radiations thalamiques et des fibres d'association. La couche sagittale interne est partout grandement dégénéré
paroi ventriculaire inférieure et supéro-externe. En de- hors de la couche sagittale externe on constate une décoloration co
nt indemnes. Le foyer s'étend jusqu'à l'épen- dyme et sectionne les couches sagittales profondes. Le faisceau optique central
enticulaire de la capsule in- terne, de la partie postérieure de la couche optique. Une lacune considérable du pulvinar a
SCEAU OPTIQUE CENTRAL 185 appréciable de la partie inférieure de la couche sagittale externe de lobe tem- poral. Malheureu
..., planche XXXII ; 1) il existe également une petite lésion de la couche optique avec participation de la partie attenante
n constate une dégénérescence diffuse de la partie supérieure de la couche sagittale externe. Dans nos autres cas, alors que
n dans son seg- ment externe, c'est le faisceau optique central, la couche sagittale externe du lobe occipital, le faiscea
stérieur, occupe la profondeur du lobule fusiforme et sectionne les couches sagittales. La coupe suivante (Planche XXIX, 4)
l, circon- volutions lombiques, première et deuxième temporales. La couche sagittale externe est normale, excepté au nivea
existence d'une zone grandement dégénérée à peu près limi- tée à la couche externe. Cette dégénérescence occupe exactement l
ita- les profondes, l'on ne retrouve pas cette dégénérescence de la couche sagittale externe au niveau du carrefour ventri
ui suit ne donnent lieu à aucune dégénérescence appré- ciable de la couche externe des régions antérieures. C'est donc qu'il
ure du noyau lenticulaire avant d'entrer dans la constitution de la couche sagittale externe. Nous sommes donc en présence
venant de la lésion lenticulaire occupe le segment horizontal de la couche sagittale externe au niveau même de la terminai
ues provenant des circonvolutions lésées. La délimitation entre les couches sagittales externe et interne est bien moins pr
sa paroi externe. On remarque une dégénérescence considérable de la couche * sagittale interne, mais dans sa partie inféri
la couche * sagittale interne, mais dans sa partie inférieure cette couche contient un bon nombre de fibres saines. A un
la coupe précédente. La prochaine coupe intéresse le pulvinar de la couche optique (Planche II, 5) et le segment rétro-len
u antérieur ; elle semble se continuer avec la zone dégénérée de la couche , sagittale externe, mais ce n'est là qu'une appar
e que cette strie renferme les fibres de la partie supérieure de la couche sagittale interne, c'est-à-dire les radiations th
remarque la recons- titution ad iniegrum du segment inférieur de la couche sagittale externe. En avant, aucun nouveau foye
bstance profonde diminue progressivement et la zone dégénérée de la couche sagittale externe remonte petit à petit vers le n
ruc- tion totale du noyau lenticulaire, les fibres dégénérées de la couche sagittale ex- terne en émergent ; en dedans et
ut chercher la cause de la grosse dégénérescence qui. occupe ici la couche sagittale externe. La moitié supérieure de cett
cupe ici la couche sagittale externe. La moitié supérieure de cette couche est totalement dégénérée ; bien qu'il existe de l
ofon- dément jusqu'à l'épendyme. Au-dessous de ce vaste foyer, la couche sagittale externe est intacte, car c'est ici se
n avant il n'y a guère que la première temporale qui soit lésée. La couche sagittale interne aussi est- en grande partie nor
-dessus du ramollissement une grosse dégénérescence occupe les deux couches ,mais surtout la couche sagittale interne ; elle r
t une grosse dégénérescence occupe les deux couches,mais surtout la couche sagittale interne ; elle renferme les radia- ti
radiations calleuses qui se ren- dent au splénium. En dehors de la couche sagittale externe et au-dessus et au- dessous d
dessous du foyer, la partie supérieure (du segment inférieur) de la couche sagittale externe est dégénérée, car ces fibres s
eau du gyrus supramarginalis, la dégénérescence occupe encore et la couche externe et la couche interne, mais elle s'est d
ginalis, la dégénérescence occupe encore et la couche externe et la couche interne, mais elle s'est déjà rapprochée de la pa
nche XXXIII, 21) est prise au niveau de la partie postérieure de la couche optique et du corps quadrijumeau antérieur et int
rétro-lenticulaire de la capsule interne et se rend au pulvinar de la couche optique. Une traînée pâle, cependant, se contin
ne traînée pâle, cependant, se continue jusqu'au bord interne de la couche optique et disparaît dans les couches superficiel
ue jusqu'au bord interne de la couche optique et disparaît dans les couches superficielles du corps quadriju- meau. Cette z
. A part cela, le ramollissement ne semble avoir retenti que sur la couche optique ; sur des coupes postérieures à celle-ci,
ence d'un certain nombre de radiations de ce noyau. On voit que les couches sagittales se sont entièrement reconstituées, mai
ur une courte étendue (environ 1 cm.) le seg- ment horizontal de la couche sagittale externe, ce ramollissement n'inté- re
resse que l'écorce et la substance immédiatement sous-corticale ; les couches profondes sont partout ailleurs respectées. Il
prolongement a inter- rompu les fibres du segment horizontal de la couche sagittale externe ; il en a résulté une dégénér
aite de cette dégénérescence occasionnée par la section directe des couches sagittales profondes, nous n'avons à considérer q
calleuses se rendent au tapetum et les radiations thalamiques à la couche sagittale interne (d'une façon générale) ; ces fi
énérale) ; ces fibres doivent donc, à un moment donné, traverser la couche sagittale externe. Or, dans le cas que nous étu
nérées , par conséquent le trajet qu'elles suivent en traversant la couche sagittale externe sera indiqué par de petites r
actement ce que l'on voit sur les coupes (Planche XXX, 7, 8, 9). La couche sagittale externe renferme par- tout de petites
état de choses détermine nécessairement de la pâleur générale de la couche sagittale externe, mais nous ne croyons pas que
mais nous ne croyons pas que l'on doit la considérer dégénérée. La couche externe contient encore un très grand nombre de f
la totalité des fibres qui lui sont propres. En d'autres termes, la couche sagittale externe, étant privée des fibres qni, à
eau optique central » ; elles constituent la presque totalité de la couche sagittale externe du lobe occipital, mais dans
egment horizontal et la partie inférieure du segment vertical de la couche sagittale externe. Nous croyons que ces fibres
tie de la troisième temporale sont atteintes. La dégénérescence de la couche sagittale externe occupe l'angle interne de son
occupe l'angle interne de son segment inférieur. Cette partie de la couche [sagittale interne située au-dessous du ventricul
voit une zone très dégénérée, située immédiatement en dedans de la couche sagittale externe et qui se porte vers le lobul
it foyer cortical de la deuxième temporale. La zone dégénérée de la couche sagittale externe a abandonné sa position média
médiane et occupe la partie moyenne du segment horizontal de cette couche , elle affecte une forme triangulaire. Sur cette c
érescence délimite avec une netteté remarquable le territoire de la couche sagittale ex- terne au-dessous de la paroi vent
peu en dedans de l'angle inféro- externe du ventricule, on voit la couche externe se porter brusquement en haut, s'accole
ssociation se préci- sent également et on remarque, en dedans de la couche sagittale externe, une zone totalement dégénéré
t surtout accusée immédiatement en dehors du segment vertical de la couche sagittale externe où elle constitue un véritabl
agittale externe où elle constitue un véritable liséré blanchâtre. La couche sagittale interne est grandement dégénérée, aus
le s'étend plus profondément et atteint le segment horizontal de la couche sagit- tale externe au niveau de son tiers moye
e l'étendue plus considérable du foyer de la deuxième temporale, la couche sagittale externe semble beaucoup plus dégénéré
oupes postérieures et beaucoup plus qu'elle ne l'est en réalité. La couche sagittale interne est entièrement dégénérée, car
rne accuse une décoloration considérable. La moitié in- terne de la couche optique est notablement atrophiée et décolorée.
l existe une dégénérescence appréciable du segment horizontal de la couche sagittale externe au niveau du pôle temporal, car
destinées aux fibres corticipètes de la couronne rayonnante) de la couche sagittale externe se sont presque totalement re
elle -même totalement détruite à un niveau légèrement postérieur.La couche sagittale interne est partiellement dégénérée, le
norme zone dégénérée qui, à ce niveau, passe dans le pulvinar de la couche optique. On remarque l'atrophie considérable et l
et l'on voit très nettement, au-dessous du segment horizontal de la couche sagittale externe, une large bande très dégé- n
En effet, il est généralement admis qu'au-dessous du ventricule la couche sagittale externe (qui est aussi, à cet endroit
fibres d'association de la région. Elles ont également retenti sur'la couche sa- gittale interne, sur le tapetum et sur la p
- gittale interne, sur le tapetum et sur la partie supérieure de la couche sagit- tale externe (radiations genouillées), m
ne. Nous ne prétendons pas que toutes les fibres corticipètes de la couche sagittale externe proviennent du corps genouillé
ent destinées à la sphère visuelle corticale; il est certain que la couche optique envoie des fibres au lobe temporal, peu
temporal, peut-être aussi au lobe pariétal ( ? )mais pour nous, la couche sagittale externe du lobe occipital ne renferme q
res fibres forment la presque totalité de la partie respectée de la couche sagittale externe et certaines de ces fibres oc
he sagittale externe et certaines de ces fibres occupent en plus la couche sagittale interne. Il est certain que, dès que
ue, il n'est pas inutile d'établir cette délimitation au niveau des couches sagittale voisines. Nous avons dit que la dégén
nce du cingulum nous permet d'apprécier la répartition exacte de la couche sagittale externe au-dessous du ventricule... o
icule... or, nous voyons qu'en réalité, le segment horizontal de la couche externe est peu considérable au niveau du pulvi
oisines et qui se continue en bas avec des fibres qui traversent la couche sagittale interne et se confondent avec la mass
e confondent avec la masse des fibres de la partie inférieure de la couche sagit- tale externe. Ce fascicule fait partie d
niveau les fibres de ce faisceau occupent le segment horizontal de la couche externe et le long de la paroi ventriculaire ex
rne et le long de la paroi ventriculaire externe elles occupent et la couche externe et la couche interne ; une ligne imagin
roi ventriculaire externe elles occupent et la couche externe et la couche interne ; une ligne imaginaire reliant le noyau c
le noyau coudé (partie sphéuoïdale) à l'angle inféro-externe de la couche externe représenterait à peu près le territoire
t redevenue 196 LASALLE-ARCUAMBAULT normale en grande partie. Les couches sagittales sont plus volumineuses et l'on ne sa
l'on ne saurait isoler maintenant le faisceau optique central. Les couches sagittales externe et interne se confondent, l'en
très accusée et on voit que les fibres du segment horizontal de la couche sagittale externe se sont por- tées légèrement
ce pulvinar et occupe maintenant surtout la partie inférieure de la couche optique, qu'elle traverse complètement ; arrivé
la partie dn corps genouillé interne, profondément enclavée dans la couche optique. Ces fibres qui se terminent dans le corp
Comme sur la coupe précédente il est difficile de distinguer entre couche externe et couche interne ; le tapetum est touj
e précédente il est difficile de distinguer entre couche externe et couche interne ; le tapetum est toujours dégénéré, mai
e de la capsule interne et ne pénètre plus dans la profondeur de la couche optique, mais on voit nettement la décoloration i
nettement la décoloration intense du corps genouillé interne et des couches superficielles du corps quadrijumeau antérieur
97 légèrement touché par un foyer de désintégration lacunaire de la couche opti- que. Cette lésion du corps genouillé a dé
du corps genouillé a déterminé la pâleur du segment inférieur de la couche sagittale externe que présente la première coupe
truc- tifs. Nos recherches ayant porté tout particulièrement sur la couche sagittale externe occipitale, sur le faisceau l
dénommé faisceau optique central) ; c'est la considération de cette couche , de ce faisceau qui a réclamé la majeure partie
r de Beevor et sur ses rela- tions avec le segment horizontal de la couche sagittale externe. Nos cas sont également favor
agittale externe. Nos cas sont également favorables à l'étude de la couche sagittale interne temporo-occipitale, à l'étude
re ou de rendre avec une netteté suffisante. Considérons d'abord la couche sagittale interne, nous nous en sommes occupé c
particularités dignes d'être signalées. Nous avons déjà dit que la couche sagittale externe du lobe temporal ne représent
e la couche sagittale externe du lobe temporal ne représente pas la couche sagittale externe du lobe occipital, sa constitut
plus loin en faisant la description du faisceau optique central. La couche sagittale interne se comporte exactement de la
t de la même façon ; nous croyons que dans le lobe occipital, cette couche ne renferme que des fibres corticifuges et que sa
droit et des fibres corticipètes et des fibres corti- cifuges. La couche sagittale interne dégénère à la suite de lésions
s cou- ches sagittales, on observe toujours la dégénérescence de la couche sagittale interne, des radiations thalamiques.
amiques. Nous croyons donc que les fibres dont est constituée cette couche , proviennent de toutes les circonvolutions occipi
radiations thalamiques », mais parmi les fibres corticifuges de la couche sagittale interne, il existe non seulement des
umeau antérieur. Dans le lobe occipital, la majorité des fibres de la couche sagittale interne proviennent de la sphère visu
térieur. On pourrait exprimer schématiquement la constitution de la couche sagittale interne occipitale de la façon suivan
de la couche sagittale interne occipitale de la façon suivante : Couche sagittale interne du lobe occipital renferme des
) se terminent dans le pulvinar et dans la partie postérieure de la couche optique, à l'exception des fibres qui entrent d
i sont en relation avec la partie antérieure du noyau interne de la couche optique. Mais toutes ces radiations thalamiques
lation avec la partie interne du pulvinar et le noyau interne de la couche optique. Nous avons déjà parlé des radiations d
jamais observé, à la suite de ces lésions, la dégénérescence de la couche saggittale interne du lobe fronlo-pariétal, du fa
et, Foville), zone réticu- lée de la couronne rayonnante (Sachs), « couche sagittale interne de la cou- ronne rayonnante »
res, c'est pourquoi nous préférons nous servir de la dénomination « couche sagittale interne » (An- ton, Zingerle). La c
dénomination « couche sagittale interne » (An- ton, Zingerle). La couche sagittale interne du lobe fronto-pariétal est for
circonvolution temporale entraîne la dégénérescence partielle de la couche sa- gittale interne fronto-pariétale. Mais ce
porte uniquement sur les fibres verticales (coupes frontales) de la couche sagittale interne,et les gros fascicules resten
rtie respecté au-dessous, vers les royaux centraux. Par contre la couche sagittale interne fronto-pariétale dégénère à la
n qu'elles soient limitées à ces noyaux, ne retentissent pas sur la couche sagittale interne ; il en est tout autrement des
; il en est tout autrement des lacunes qui siègent au niveau de la couche optique,surtout dans sa partie supérieure. On con
dans nos cas) de quelques lacunes, mais nettement appréciable de la couche sagittale interne ; cette dégénérescence s'épui
t en dehors du noyau caudé et qui ne sectionne que les fibres de la couche interne. Il est inutile de nous étendre longuem
utres on constate que la dégénérescence se cantonne absolument à la couche sagittale interne et qu'elle se dirige en dedan
ue les fibres de projection (de beaucoup les plus nombreuses) de la couche sagittale interne fronto-parié- tale représente
irent leur origine du tubercule antérieur et du noyau interne de la couche optique. Occupons-nous maintenant tout particul
ant tout particulièrement du faisceau longitudinal inférieur, de la couche sagittale externe du lobe occipital, car c'est su
ce faisceau que portent nos conclusions. Nous avons vu que cette couche de fibres ne dégénère pas à la suite de lé- sio
pitales (Gg. 6, lésion du lobule lingual et du lobule fusiforme, la couche , sagittale externe est normale), ou de lésions
ières soient purement corticales et qu'elles ne sectionnent pas les couches sagittales pro- fondes). Par contre, nous avo
convolution occipitale), lésions profondes avec partici- pation des couches sagittales (PI. XXXII,13, 14 et PI. XXX) ; nous l
u lenticulaire, du corps genouillé ex- terne, de cette partie de la couche optique immédiatement attenante. Nous avons sui
sse le bourrelet du corps calleux, le liseré blanchâtre oc- cupe la couche sagittale externe du lobe occipital et,selon qu'i
,selon qu'il siège dans la partie supérieure ou inférieure de cette couche , on le voit s'engager dans la profondeur du cun
rigent obliquement en bas et en dedans et passent en partie dans la couche sagittale externe, en partie dans la couche sagit
ssent en partie dans la couche sagittale externe, en partie dans la couche sagittale interne, elles s'enchevêtrent à ce ni
étale et temporale qui, à ce niveau, passent dans le pulvinar de la couche optique. Nous voyons donc que ce faisceau optiq
co-transversales, ce faisceau cons- titue dans le lobe occipital la couche sagittale externe de Sachs, le faisceau longitu
mais il contient en outre les fibres de la partie supérieure de la couche sagittale externe qui vont se terminer dans le cu
ral où la corne sphénoïdale atteint ses plus grandes dimensions, la couche sagittale ex- terne ne représente plus la couch
des dimensions, la couche sagittale ex- terne ne représente plus la couche sagittale externe du lobe occipital ; elle en d
fig. 2) et déjà, à la jonction des tiers infé- rieur et moyen de la couche sagittale externe, les fibres du faisceau optique
aisceau optique, cependant, occupent encore la partie moyenne de la couche sagittale externe. Nous pourrions donc, pour
poral, résumer de la façon suivante : a) Le tiers supérieur de la couche sagittale externe contient la couronne rayonnan
r : les fibres du faisceau optique central. d) Le tiers moyen de la couche sagittale interne contient un bon nombre de 206
à peu près la même que dans le lobe occipital, c'est-à-dire que la couche externe comprend surtout les fibres du faisceau o
rne comprend surtout les fibres du faisceau opti- que central et la couche interne des fibres thalamiques provenant des circ
eliant le noyau caudé à l'angle inférieur du segment vertical de la couche sagittale externe; quelques fibres occupent la pa
lques fibres occupent la partie la plus supérieure ou dorsale de la couche sagittale externe et entrent dans la constituti
ée par le passage des radiations thalamiques dans le pulvinar de la couche optique, des radiations du corps quadrijumeau a
ion partielle, mais progressive des fibres qui constituent les deux couches sagittales. Il se fait un véritable entrecroise
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, le pulvinar de la couche optique. A cet endroit, les fibres deviennent v
r- tout croisées par les radiations thalamiques qui, abandonnant la couche sagit- tale interne, se dirigent en haut et lég
es. En arrière du pulvinar, le faisceau de Türck occupait encore la couche sagittale externe, mais au sur et à mesure que le
au sur et à mesure que les radiations thalami- ques abandonnent la couche sagittale interne pour passer dans la capsule in-
eau qui constitue la plus grande partie e du segment vertical de la couche sagittale interne : c'est peut-être ce qui a po
répartir les fibres sagittales du lobe temporo-occi- pital en deux couches bien délimitées ; ils ne veulent admettre que des
obe occi- pital, il n'est plus question de confondre les fibres des couches sagittales ; la couche externe est franchement
t plus question de confondre les fibres des couches sagittales ; la couche externe est franchement corticipète et la couche
es sagittales ; la couche externe est franchement corticipète et la couche interne franchement corticifuge. Parmi les fibr
faite de la calcarine) sont peu profonds et par conséquent entre les couches sagittales qui entourent ie ventricule et l'éco
considérable pour que l'on puisse donner à l'ensem- ble de ces deux couches de fibres le nom de faisceau longitudinal inférie
esprit, des auteurs ? ces faisceaux étaient bien indépendants de la couche sagittale externe occipitale, et c'est ce que n
s les parties médianes et se délimitent assez bien des fibres de la couche sagittale externe, excepté aux angles supéro-in
aux angles supéro-interne et inféro-interne, c'est-à-dire là où la couche sagittale externe abandonne des fibres à la sciss
part, ces fibres sont dirigées dans le même sens que les fibres de la couche sagittale externe, s'enchevêtrent plus ou moins
ire d'une façon générale : cette zone plus compacte appartient à la couche sagittale externe et cette ombre immédiatement
rs nous constatons que les fibres dégénérées passent en dessous des couches sagittales, mais qu'un grand nombre traverse ces
mais qu'un grand nombre traverse ces cou- ches et non seulement la couche sagittale externe, mais aussi la couche sagittale
u- ches et non seulement la couche sagittale externe, mais aussi la couche sagittale interne et même le « tapetum » ; ces
si les choses, pas plus que de faire du faisceau de Vialet et de la couche sagittale externe occipitale un seul et même fais
temporales ; la lésion s'étend dans la profondeur et sectionne les couches sagittales profondes au niveau de la partie supér
E CENTRAL 213 nombre la partie inférieure du segment vertical de la couche sagittale externe; elles n'existent qu'en très
fibres du faisceau optique abandonnent le segment horizontal de la couche sagittale externe, deviennent verticales, se gr
lenticulaire, elles n'occupent guère que la partie supérieure de la couche verticale peu différenciée de la région. De pai
r la ligne médiane, la presque totalité du segment horizontal de la couche sagittale externe. Ce segment horizontal semble s
nous avons voulu dégager de la masse de fibres dont est constituée la couche sagittale externe du lobe temporo-occipital, un
ous, n'admettent dans le faisceau longitudinal inférieur ou dans la couche sagittale externe, que des fibres de projection,
CHAMBAULT mais ces auteurs parlent indifféremment de faisceau ou de couche sagittale. Pour nous, ainsi que nous l'avons dé
er, il existe une différence appréciable entre ces deux termes ; la couche sagittale externe contient le faisceau longitud
ème circonvolution temporale, il a observé une dégénérescence de la couche sagittale externe dans le lobe occipital et a v
s deux lèvres de la scissure calcarine ; mais lui aussi parle de la couche sagittale externe sans préciser davantage et fi
gine dans le corps genouillé externe et dans le noyau latéral de la couche optique. Pour nous, le faisceau optique central
orps genouillé externe et nous ne croyons pas que les lésions de la couche optique retentissent sur le lobe. occipital ; e
ces lésions situées dans la partie postérieure et inférieure de la couche optique et qui, en raison même de leur siège, a
ttre à notre disposition des coupes sériées de cas de lésions de la couche optique ; il s'agissait de foyers plus ou moins é
ans le territoire qu'occupe le faisceau optique central. Quant à la couche sagittale externe du lobe temporal, nous admetton
ien- nent pas. Pour entrer dans la constitution du tapetum et de la couche sagit- tale interne, les radiations calleuses e
mière et deuxième circonvolutions temporales ne passent pas dans la couche sagittale interne, mais se confondent avec les
aisceau longitudinal et concourent avec ces dernières à for- mer la couche sagittale externe fort compliquée de cette région
nnent de. ces circonvolu- tions sont dégénérées, on constate que la couche sagittale externe est partout traversée par de
s fibres saines sont les fibres de projection corticipètes de cette couche , elles représentent l'ensemhle des fibres qui con
Il existe un faisceau qui, dans le lobe temporal, occupe en partie la couche sagittale externe, en partie la couche sagittal
emporal, occupe en partie la couche sagittale externe, en partie la couche sagittale interne et qui, dans le lobe occi- pi
et qui, dans le lobe occi- pital, constitue la presque totalité de couche sagittale externe. Ce faisceau qui représente l
res calleuses ; il ne renferme pas de fibres d'association. 9) La couche sagittale interne de la couroune rayonnante du lo
t à la première circonvolution limbique et tire son ori- gine de la couche optique. 10) Il n'existe pas chez l'homme de fa
XIX). Les vaisseaux ont des parois constituées par une ou plusieurs couches de cel- lules à noyau volumineux allongé, très
ement, avec des parois embryon- naires, constituées par une ou deux couches de ces gros éléments à noyau clair, surmonté au
. Faible grossissement. Pas de modification dans l'architecture des couches cellulaires corticales. La stratification spéci
r les moyennes pyramides ou sur les petits éléments de la troisième couche , la substance foncée dessine un réseau très irr
gros éléments prolifératifs que nous décrirons plus tard. Dans la couche directement sous-pie-mérienne, certaines cellules
ÈS CÉRÉBRAL, NÉCROSE CORTICALE cessus morbide. La présence dans les couches sous-pie-mériennes des élé- mentsirrégulièremen
ique. Marié depuis 1882 ; sa femme a eu deux enfants, pas de fausse couche . Travailleur, bon père de famille. En 1898, ple
n avant dans la région frontale on peut constater l'existence de la couche des fibres tangentielles. Cervelet. - Le lobe g
approchant des méninges, lesquelles sont restées protégées par une couche de bourgeons charnus. Pas de troubles tro- phiq
cérébraux des plaques grises en très petit nombre, au niveau de la couche sous-épendymaire.Les parois ventriculaires et l
zone de sclérose occupe les deux pyra- mides, les noyaux arqués, la couche plus superficielle du corps restiforme et le tu
par des cellules à noyau assez grand, rond ou ovalaire, entouré d'une couche très mince de protoplasma. Cette infiltration e
ssus anatomique qui les caractérise. Ainsi par- fois on observe une couche très mince d'infiltration nucléaire située entre
d'une cachexie qu'on ne peut pas préciser. Il est né à terme d'une couche normale. En fait de maladies infectieuses il a
avec l'épendyme. Les parois de cette espèce de kyste présentent une couche épaisse de tissu embryonnaire, inflammatoire, dan
on voit de temps en temps de ces fibres régénérées entourées d'une couche de protoplasma granuleux et de noyaux Quelquefois
rice. Une certaine quantité de ces boules sont constituées par deux couches : l'une, périphérique, pâle, granuleuse ; l'aut
petites expansions ou bien des épines, elles offrent évidemment une couche mince de myéline et des incisures de Lautermann
cun stigmate, pas plus que la mère, qui cependant a fait une fausse couche trois mois après son mariage. Cet enfant est ne
présentent aucune inflammation et leur paroi est formée d'une seule couche de cellules endothéliales. Sur les coupes trait
; la mère est également en bonne santé; elle n'a pas fait de fausse couche . Rien ne permet de soupçonner la syphilis chez
hon constitué par des fibres et des noyaux dispo- sés sur plusieurs couches concentriques : les uns et les autres laissent en
ie protubérantielle, laissant intacte la moitié superficielle de la couche transversale superficielle de l'étage antérieur
s'arrête sur la ligne médiane. Il a détruit la partie profonde de la couche transversale superficielle de l'étage antérieur
erficielle de l'étage antérieur du pont, la partie antérieure de la couche transversale moyenne et la moitié antérieure de l
on sanguine dans les faisceaux moyens de la voie pédonculaire et la couche transversale moyenne de l'étage antérieur du po
ault admet que le faisceau longitudinal inférieur, c'est-à-dire, la couche sagittale externe tout entière du lobe occipito
ceau pyra- midal. Le mot faisceau n'est pas l'équivalent du terme « couches défibres ». Or, depuis de nombreuses années on
Or, depuis de nombreuses années on a appliqué, indifféremment à la couche de fibres la plus externe du lobe temporo-occip
et l'autre de ces dénominations : faisceau longitudinal inférieur, couche sagittale externe. Dans le lobe occipital la di
» Ensuite « Le but que nous avons en vue est de démontrer : que la couche sagittale externe du lobe occipital, le faiscea
-775) : « Que la plupart des fibres que l'on voit se détacher de la couche sagittale du lobe occipito-tem- poral, pour s'i
t unies . » De plus (p. 65) « ces fibres font partie intégrante des couches sagittales, en particulier, de la couche sagittal
ont partie intégrante des couches sagittales, en particulier, de la couche sagittale interne ». Il est donc question de
tale interne ». Il est donc question de fibres corticifuges et de couche sagittale interne... alors que nous, lors de no
notre mémoire (Revue Neurol., n° 22,il905), n'avons considéré que la couche sagittale externe (en insistant sur la disposit
et nous n'avons maintenu le caractère purement corticipète de cette couche qu'au niveau du lobe occipital. Surtout n'avons
re, etc. ». « Les fibres du segment postérieur se disposent en deux couches sagittales, l'une externe, l'autre interne. Nou
l'une externe, l'autre interne. Nous avons étudié dans le tome I, la couche sagittale externe sous le nom de faisceau longi
ux ganglions infracorticaux. » Il ressort de tout cela que les deux couches sagittales renferment et des fibres d'association
ué préopinant, puisque ce grief consiste il nous faire refuser à la couche sagittale externe, le rôle très important d'assur
ter sur la modification capitale qu'apporte à la constitution de la couche sagittale externe, l'arrivée, au niveau du carre-
de son principe cardinal dans cette question, à savoir : « Que les couches sagittales externe et interne du lobe pariéto-t
ire que ces fibres forment la totalité ou la presque totalité de la couche sagittale exter- ne ». Elles sont mélangées dan
de la couche sagittale exter- ne ». Elles sont mélangées dans cette couche « avec des fibres provenant de territoires cort
es que le pulvinar, par exemple. La dégénérescence si intense de la couche sagittale externe que l'on observe à la suite de
ue la corticalité occipitale envoie aux noyaux centraux occupent la couche sagittale interne et non la couche sagittale ex
aux noyaux centraux occupent la couche sagittale interne et non la couche sagittale externe ; et d'autre part les fibres pa
es fibres par lesquelles le pulvinar contribue à la formation de la couche sagittale externe (si réellement tel contingent
ui s'unissent aux fibres géniculo-calcariniennes pour constituer la couche sagittale externe, sont des fibres et corticipète
ENTRAL 565 Nous ne parlons, bien entendu, que de cette partie de la couche sagittale externe qu'implique la discussion act
res- que totalité de ce que l'on peut raisonnablement dénommer la « couche sa- gittale externe » de la couronne rayonnante
un, nous tenons à dire que notre point de départ n'est autre que la couche sagittale externe occipitale. Nous acceptons cepe
centres nerveux, t. II, p. 176) « la dégénérescence très nette des couches sagittales des segments inférieur et postérieur d
yonnante, intéressant plus particulièrement la partie externe de la couche sagittale externe, et la partie interne de la cou
externe de la couche sagittale externe, et la partie interne de la couche sagittale interne. Cette dégénérescence peut êt
iennes). On observe (pp. 182-184), « la dégénérescence complète des couches sagit- tales du segment postérieur de la couron
raduisent par « la dégénérescence très nette », même « complète des couches sagittales », et que l'on n'établit pas les con
. Ainsi, l'on abandonnerait l'ancienne théorie qui accorde aux deux couches sagittales du segment postéro-inférieur de la cou
ier soient absolument confirmatifs de nos idées sur l'origine de la couche sagittale externe occipitale ; ils ne suffisent c
maintenir qu'ils sont encore beaucoup moins propres à assurer à la couche sagittale externe, le pa- tronage du pulvinar.
du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau, les couches sagittales (en particulier, le faisceau longitudi
ès intense du segment postérieur de la couronne rayonnante dans les couches sagittales qui tapissent la paroi inférieure et l
LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 567 dégénérescence se poursuit dans la couche sagittale externe (faisceau longitu- dinal infé
a frontière temporale, qu'il empiète sur le segment inférieur de la couche sagittale externe, sur une étendue indéterminab
voir ci-contre. Nous croyons que la dégénérescence très intense des couches sagittales (en particulier, du faisceau longitu
au optique central que nous avons décrit. Leur localisation dans la couche sagittale interne à cet endroit, tient à la « tra
nérescence. On constate néanmoins une dégénérescence très nette des couches sagittales (radiations thalamiques et faisceau lo
en avant une ligne verticale ra- sant l'extrémité postérieure de la couche optique, elle sectionne à ce niveau l'isthme de
oupe frontale), et à la partie inférieure du segment vertical de la couche sagittale externe, on ne trouve guère étonnant qu
ment à l'étude, ait déterminé « une dégénérescence très intense des couches sagittales des segments postérieur et inférieur d
e et la substance blanche sous-jacente, mais ne sectionnait pas les couches sagittales de la région. » Ce cas nous paraît f
té sur une courte étendue au niveau du cçrps genouillé externe, des couches sagittales profondes. Nous sommes peu surpris d
aisceau longitudinal infé- rieur (il s'agit vraisemblablement de la couche sagittale externe) peut être suivie jusqu'à la
profondeur qu'au niveau des ganglions de la base, où il atteint la couche sagittale externe à l'angle de réunion de ses d
que « lorsque l'on observe une dégénéres- cence considérable de la couche sagittale externe occipitale, il s'agit soit d'un
une lésion centrale ou d'un ramollissement temporal intéressant les couches profondes, la réaction occipitale se cantonne p
ndes, la réaction occipitale se cantonne presque exclusivement à la couche sagittale externe ». S'il s'agit d'un foyer p
ement sur les plans postérieurs une dégénérescence rétrograde de la couche interne. Mais cette dernière s'épuise assez rap
on ne retrouve guère de dégénérescence que dans le territoire de la couche sagittale externe. Reste à considérer : les lés
pariétales « on observe toujours une dégénérescence secondaire des couches sagittales se faisant dans les deux sens, du côté
t « en amont du foyer primitif, une dégénérescence très intense des couches sagittales externe et interne, pouvait être sui
TRAL 571 Nous tenons à faire remarquer qu'il s'agit cette fois de « couches sagittales ». Or, nous n'avons pour notre part,
sible, en effet, que le caractère et corticipète et corticifuge des couches sagit- tales de la couronne rayonnante. Nous no
s de rappeler à notre tour, que la discussion porte non pas sur les couches sagittales, mais sur « la couche sagittale exte
discussion porte non pas sur les couches sagittales, mais sur « la couche sagittale externe ». Aussi, nous ne voyons pas
nent en amont du foyer primitif une dégénérescence très intense des couches sagittales externe et interne (faisceau longitu
cariniennes, mais aussi « du contingent que le pulvinar envoie à la couche sagittale externe ». Ce sont de très beaux foye
cation logique. .Peut-on parler de dégénérescence rétrograde des couches sagittales, alors que l'on insiste sur leur con
laissent certainement entrevoir, un peu en arrière du pulvinar, des couches sagittales qui renferment, à côté d'une grosse dé
nérescence de la totalité ou de la presque totalité de ce segment des couches sagittales qui longe la moitié inférieure de la
ble, et sans connaître le trajet exact des fibres constitutives des couches externe et interne, on pourrait dire sans crain
ons eu le soin : 1° de ne comparer le faisceau longitudinal avec la couche externe qu'au niveau du lobe occipital ce que nou
ourcentage du faisceau op- tique central dans la constitution de la couche sagittale externe. La descrip- tion de ce faisc
01, dut sacrifier son titre de faisceau et se laisser englober par la couche sagittale externe. Ce même principe a encore ét
bral, sauf dans le voisinage im- médiat de la capsule interne. La couche sagittale externe temporale égale l'étage antérie
même logique aux faits que nous a enseignés l'étude, non pas de la couche sagittale externe tout en- tière, mais de son s
oduit en effet un fendillement du faisceau 'primitif aux dépens des couches superficielles de ses segments inférieur et irifé
rupule; mais nous pourrions en désigner l'ensemble sous le nom de « couche sagittale extrême », cette nomenclature étant a
-2 ; Pl. XXX, 7-8 ; raie blanche en dehors du segment latéral de la couche externe) ; nous espérons en faire voir de plus
xtra-cérébral, mais qui en possède totalement la physionomie. Les couches sagittales ne présentent plus le même aspect dès
s fibres qui occupent le segment latéral ou perpen- diculaire de la couche sagittale, deviennent obliquement ou franchement
si que ce dernier se confond avec la capsule in- terne, de même les couches sagittales passent-elles insensiblement dans la c
s, nous croyons pouvoir dire que « le segment perpendiculaire de la couche sagittale compris entre le noyau caudé sphénoïd
al au-dessus et l'angle saillant qui réunit les deux lames de cette couche au-dessous », constitue un pied de pédoncule asse
es au-dessous du noyau lenticulaire se disposent de nouveau en deux couches plus ou moins régulières. Elles sont séparées ç
Bien que cela ne soit pas rigoureusement exact, nous croyons que la couche LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCE
e Vialet), et dont un bon nombre rappellent les fibres transverses ( couches moyenne et profonde) du pont de Varole. Enfin c
ramidal dans l'étage antérieur de la protubérance ; il occupe et la couche externe et la couche interne et concourt largem
antérieur de la protubérance ; il occupe et la couche externe et la couche interne et concourt largement à former le tiers m
l de cette dernière. Ainsi que la voie motrice est recouverte de la couche superficielle des fibres transverses ponto-cérébe
fibres du faisceau optique ne se localisent pas entièrement dans la couche sagittale externe, mais empiètent plus ou moins s
ns la couche sagittale externe, mais empiètent plus ou moins sur la couche interne. Ce sont là des faits dont il faut teni
oient progressivement et se cantonnent dans le lobe occipital, à la couche sagittale externe dont elles constituent la presq
raient aux libres que chaque nerf sensitif ou sensoriel envoie à la couche optique, soit directement soit indirectement. Ce
érieur les libres qui forment le stratum zonale de ce noyau, ou, la couche superficielle. 3° Au pulvinar, un très petit no
à former le stratum zonal de ce noyau, mais se rendent surtout à la couche moyenne. 3° Au pulvinar (de la totalité de son
et au point de vue fonc- tionnel, l'analogue du noyau ventral de la couche optique qui reçoit les fibres du ruban de Reil.
peut paraître étrange, mais il faut bien dire.que les noyaux de la couche optique ne sont contraires qu'au point de vue top
ce; certainement que de nouvelles fibres prennent naissance dans la couche optique et se rendent à la partie postérieure de
t donc des noyaux sensitifs. Mais, ainsi que le noyau ventral de la couche optique est (pour nous) l'analogue de l'é- corc
ce est stimulée par des impressions sensitives qui lui viennent de la couche optique et réagit sur les masses grises inférie
du faisceau optique central. Ses fibres font partie intégrante des couches sagittales et s'enchevêtrent plus ou moins avec l
(externe) et la moitié externe du segment sous- ventriculaire de la couche sagittale externe occipitale. Les libres qui sièg
. Les libres qui siègent dans le segment sus-ventriculaire de cette couche et longent la paroi médiane (interne) sont disp
couche et longent la paroi médiane (interne) sont disposées en une couche très mince, que comme la grande majo- rité des
eures, soit une lacune, soit un petit foyer analogue détruisant les couches sagittales à l'angle supéro-interne de la corne
nconstante. Quelle n'est pas la différence entre la répartition des couches sagittales d'un lobe occipital avec symphyse ve
ans l'écorce calcariuieuue, devront forcément prendre la voie de la couche interne et même se mêler aux radiations calleuses
plus éloignée du segment inférieur ou horizontal (coupe frontale) des couches sagittales. Ces deux segments du faisceau optiq
res de toute longueur existent à l'état de pu- reté presque dans la couche sagittale externe du lobe occipital, entourent d'
iculaire de ce lobe, occupent en avant le segment infé- rieur de la couche externe temporale, passent par la capsule externe
ue ; que le second neurone visuel existe à l'état de pureté dans la couche sagittale externe du lobe occipital. Ainsi qu'u
ntérieure du lobe temporal ne détermine que la dégénérescence de la couche externe, au niveau du lobe occipital. M. et M
6 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
ée à 84 ans, était sobre. Sa mère est morte à 35 ans, à la suite de couches . Aucune trace d'acci- dents nerveux clans le re
de la mâchoire supérieure sont recouvertes, autour du collet, d'une couche de tartre jaune verdàtre. Mâchoire inférieure :
émisphère ont laissé, par places, après la pie-mère une très lègère couche de subs- tance grise. La scissure de Sylvius es
nt rien de spécial. - Le ventri- cule latéral, le corps strié et la couche optique semblent nor- maux. Sur cet hémisphère,
erm du cou, région antérieure. L'épiderme est mince, avec une forte couche cornée. Le plan papillaire est peu épais, les g
décrite M. Fletcher Beach, ni de vacuolisation. Dans le cervelet la couche granuleuse est extrêmement riche en cellules ;
es sont très peu marquéos. Les lésions des fibres à myéline dans la couche corticale, dans les faisceaux descendants do la
t il est possible de se retrou- ver assez bien dans les différentes couches de la subs- tance grise, surtout si l'on emploi
le second perpendiculaire au premier. Dans le pre- mier plan, les couches sont étagées au nombre de cinq, d'après le sché
s le résumons ici d'après la psychia- trie de Meynert, que les cinq couches de l'écorce sont les suivantes : la première, c
coup sûr dans les cas de méningo-encéphatite avec adhérences. Cette couche est, surtout chez les jeunes sujets, séparée de
urs de même dans les faits que nous avons regardés. Celle-ci est la couche des petites cellules pyramidales qui sont serré
sont serrées, à pointe dirigée vers la surface corticale. Dans la couche suivante, les cellules pyramidales sont moyenne
les faisceaux de fibres de la couronne de Reil qui vont jusqu'à la couche supérieure s'inter- posent entre elles et les s
posent entre elles et les séparent. Ces éléments font place aune couche distincte, celle des grandes cellules 118 ENCÉP
s, mais existant dans toute l'écorce. Meynert ne fait qu'une même couche de la zone des cellules pyrami- dales moyennes
s'accroît encore dans le lobe occi- pital par l'interposition d'une couche de cellules. Puis viennent les quatrième et cin
d'une couche de cellules. Puis viennent les quatrième et cinquième couches de Meynert que l'on peut facilement réunir en u
n'ont pas encore été comme les cellules correspondantes de la même couche du cer- velet divisées en deux espèces, c'est l
de la même couche du cer- velet divisées en deux espèces, c'est la couche gra- nuleuse ; à sa partie inférieure des éléme
UES DE LA SUBSTANCE GRISE. 1119 divisent, au niveau de la cinquième couche , comme ceux d'un goupillon d'église, et montent
upillon d'église, et montent en s'amincis- sant jusqu'à la deuxième couche . Ils forment autant de colonnes fibrillaires qu
angées- les unes au-dessus des autres et se continuant jusqu'à la couche des petites cellules pyramidales. Dans les couc
uant jusqu'à la couche des petites cellules pyramidales. Dans les couches superficielles, les capillaires pénétrant per-
t une diminution des faisceaux blancs, soit un morcel- lement des couches , par un développement exagéré des capillaires p
ur forme pyramidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas des lésio
rise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq couches ; la vascularisation est exa- gérée; les capilla
des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la
dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la couche de petites cellules pyramidales (2e couche de M
rveuses, surtout dans la couche de petites cellules pyramidales (2e couche de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les
montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses couches reconnaissables. Il existe un certain nombre de
la subslance blanche, comprennent en général les trois premières couches de l'écorce. On les trouve dans la plupart des ce
u côté gauche, on trouve une raréfaction des éléments nerveux de la couche des myélocytes, et un certain degré de fibrilla
es de faire la distinction entre les deux espèces de cellules de la couche granuleuse. La moelle cervicale a ses parties s
ent visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la couche superficielle de névroglie a son épaisseur norm
n peu plus abondants que chez un enfant sain du mme âge. La seconde couche , celle des petites cellules pyramidales, présente
n ne retrouve pas à un faible grossissement l'aspect connu de cette couche , et qu'il en faut chercher les élé- ments. Dans
tte couche, et qu'il en faut chercher les élé- ments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales mo
l en faut chercher les élé- ments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales moyennes et couche d
ux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales moyennes et couche des grosses cellules, on observe, vu la grosseu
de cellules de cartilage. Les cellules situées à la limite des deux couches intermédiaires, aux grandes cellules pyramidale
une altération dont on retrouve des états différents sur toutes les couches . Elles sont d'abord gonflées, hyalines, avec une
des groupes de cellules à autre état. Les capillaires dans ces deux couches sont ramifiés et dilatés, mais leur développe-
et dilatés, mais leur développe- ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la subs-
u centre à la périphérie. En effet, si nous reprenons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substance
présentant les figures connues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermédiaire, couche des fibres arquées, et la
connues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermédiaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes ce
raignées. La couche intermédiaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes cellules pyramidales ne se com- pos
dants avec de nombreuses cellules interstitielles, et c'est dans la couche des cellules pyramidales moyennes que l'on retr
uer. Au-dessus, la sériation des cellules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a é
ce de l'hémisphère; quelques foyers opaques, peu abondants dans les couches superficielles. Dans les inférieures, rareté de
uver une cellule nettement triangulaire dans n'importe laquelle des couches de la substance grise. - Coupe au niveau du lob
on est plus marquée et morcelle le tissu. La première et la seconde couche ne se peu- vent distinguer, il n'y a pas de tra
r les élé- ments sphériques est nettement accusée. Les cellules des couches profondes sont groupées par petits îlots, comme
es aux essences et montées au baume de Canada. Dans le cervelet, la couche névroglique est très aplatie, son réseau se voi
être assez abondant, à en juger par les vacuoles que présente cette couche . Les cellules de Purlunje sont rares et très es
unes des autres. Les myélocites sont aussi très peu serrés dans la couche suivante. 11 existe quelques corps granuleux da
, etc. Examen histologique. Coupes du lobe paracentral droit. Les couches de la substance grise ne sont pas distinctes les
opaques, plus abon- dants en noyaux, dans la première et la seconde couche . Sur quelques-uns on voit nettement un vaisseau
s de cellules rondes sont abondants entre la première et la seconde couche , constituant le premier degré de l'altération e
araissant plus épaisse que celle qui l'entoure dans l'épaisseur des couches , on peut voir çà et là quelques rares cel- lule
ls éléments, caractéristiques que l'on retrouve dans la hauteur des couches . La substance blanche présente une grande quant
comparer les deux états, la limite entre la première et la seconde couche de l'écorce est toujours très marquée, celle-ci
s éléments vont seulement diminuant de nombre vers la qua- trième couche de cellules de l'écorce grise : oI35t·.1r1' : \
- tale droite. - Vascularisation rameuse très développée dans les couches superficielles de la substance grise ; beaucoup d
Examen histologique. Coupes du lobe frontal droit. La pre- mière couche est très réduite, composée d'un réticulum fin où
'un réticulum fin où les noyaux de cellules sont rares. Entre cette couche et la seconde existe une bande sombre, régnant
, visibles à l'oeil nu par transparence. Cette bande empièle sur la couche des petites cel- lules pyramidales qu'elle remp
'elle remplace par endroits entièrement, débordant sur la troisième couche de l'écorce. C'est une nappe uniforme composée
ment des circonvolutions. La limite entre la première et la seconde couche de l'écorce n'est pas nette; il existe là une ban
st pas nette; il existe là une bande diffuse intermédiaire aux deux couches et riche en noyaux. Mais elle est beaucoup moin
petites cellules rondes dans les colonnettes cellulaires, entre la couche des cellules moyenne^ et la couche des grandes
olonnettes cellulaires, entre la couche des cellules moyenne^ et la couche des grandes cellules, se voit nettement. Les ce
t que le tissu pathologique siège entre la première et la troisième couche de l'écorce, l : -3S \. ENCÉPHALITES CHRONIQUES
tion des éléments parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie des couches et les atrophie d'une façon inégale, puisque se
ise en nappe, toujours au même point, au niveau des trois premières couches et présente à ce niveau trois ordres de lésions
oyers d'inégal volume, ayant ce même aspect plus accusé encore. Les couches suivantes sont infiltrées d'un grand nombre de
e vascularisation ; l'espace comprenant la deuxième et la troisième couche des cellules de la substance grise présente de
che sont parsemées de corps amyloïdes. L'infiltration de toutes les couches par de. petites cellules est assez marquée. Les
vé des portions de substance cérébrale en se délachant; la première couche de la substance grise est confondue avec la sec
s sclé- reuses larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellul
es et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par des bandes conjonctives q
t un bord dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première couche de subs- tance grise est épaissie, fibrillaire
rise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. La troi- sième couche , celle des grandes cellules, ne présente que des
trame névroglique granuleuse. Mais la vascularisation exagérée des couches corticales moyennes et la formation de bandes d
u grand épiploon réticulé de certains ron- geurs. En même temps, la couche corticale qui recouvre ce tissu aréolaire s'ami
ions expliquent l'état chagriné qui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l'état kystique
eu d'être disposées en séries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance
rtance est conservée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle
'indiquer. Cervelet droit. - Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche 138 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. externe et couch
assez nombreuses. Couche 138 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. externe et couche des myélocytes normales. On retrouve un certain
lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer
ie tardive. Coupes du para, central gauche. - Les trois premières couches de l'écorce sont partout envahies et modifiées, l
aspect finement vacuolaire du tissu, c'est au niveau de la seconde couche que cet aspect est le plus marqué. Les trois co
u de la seconde couche que cet aspect est le plus marqué. Les trois couches ainsi envahies sont parsemées de noyaux petits,
superficielle, ne se distingue plus. Au-dessous de celte bande, la couche des grandes cellules pyramidales se retrouve, mai
circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des premières couches de l'écorce sont comparables, mais beaucoup moi
ordonnance des séries longitudinales et prenant les trois premières couches . Elles ne sont pas au contact les unes des autr
and nombre de petits foyers de couleur ocreuse, recouverts par la couche la plus superficielle du cerveau, sous la forme d
sque et for- mant une vaste bande entre la première et la troisième couches de la substance grise, et comprenant ainsi la m
pas disposées en séries, mais dispersées et globuleuses. Celles des couches profondes sont allongées, gra- nuleuses et fort
se restante. Cette paroi est composée de dehors en dedans, de trois couches : la plus superficielle, mince et homogène, for
ts, s'amincit aux poinls extrêmes de la lésion et disparait dans la couche superfi- cielle de la substance grise normale.
i- cielle de la substance grise normale. Au-dessous, apparaît une couche de deux à trois fois plus épaisse. Cette couche e
ssous, apparaît une couche de deux à trois fois plus épaisse. Cette couche est compo- sée surtout de cellules rondes assez
brilles convergent en bas par des faisceaux distincts. La troisième couche est occupée par ces faisceaux et un certain nom
paroi, ainsi constituée sur les parties latérales, on voit que les couches se perdent successive- ment dans la couche exte
érales, on voit que les couches se perdent successive- ment dans la couche externe névroglique de la substance grise; c'es
e externe névroglique de la substance grise; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième couche de Meynert que s'
bstance grise; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième couche de Meynert que s'est opérée la scissure qui a d
ce grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouverte par une couche fibrillaire névroglique. Au-dessous, elle se mo
u foyer sont moins avancées, quoi- que très étendues. La première couche , couche névroglique de Meynert, est très mince,
sont moins avancées, quoi- que très étendues. La première couche, couche névroglique de Meynert, est très mince, avec de
t raréfiée, qui forment autant d'espaces clairs. Dans la deuxième couche , celle des petites cellules pyramidales, on voi
rts normaux sont détruits et leur nombre diminué. Dans la troisième couche , celle des cellules moyennes, on voit les colon-
la cellule. Le prolongement inférieur est le plus distinct. Dans la couche suivante des grandes cellules, les altérations
s qui vont former la substance grise, on voit, de plus que dans les couches précédentes, un assez grand nombre de noyaux de
ut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la couche de névroglie est fibrillaire dans le sens longi
peut pourtant suivre très loin les prolongements de la plupart. La couche des cellules névrogliques n'offre rien de particu
ent en un point de celles que nous venons de voir; c'est dans les couches les plus profondes de la subslance grise, et mê
é- sions des fibres conductrices. Les fibres fines à myéline delà couche superficielle des circonvolutions, les fibres a
en passant sous le vallon intermédiaire, le réseau qui occupe la couche la plus profonde de la substance grise, enfin B
dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf des accidents suite de fausses couches . [Père, disparu eu 1870, boulanger ; nombreux e
on passage. Il paraît qu'il voyait un chien rouge. 21 août. - Il se couche à 6 heures et demie ou 7 heures. Le plus souven
attaque. Il n'a pas poussé de cris. Tout le corps est rigide. On le couche sur le parquet et presque aussitôt, sans avoir
anastomosés, et remanient complètement le plan des trois premières couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissables (
de désintégration (B). La limite entre la première et la seconde couche de l'écorce, très nette d'ordinaire, est ici conf
t foyer scléreux, irrégulier, comprenant la seconde et la troisième couche de la substance grissc (A) et donnant à la surf
autc. Tout t autour, les vaisseaux sont dilatés et la sériation des couches est troublée et méconnaissable (picrocarmin, gl
tion (A) et la vascularisation développée jusqu'au niveau de ces couches (hématoxyline. baume de Canada). ERRATUM. A l
7 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
iculé externe. T, partie postérieure du cotylédon ventriculaire de la couche optique. P, protubérance annulaire. R, prolongeme
aison des tubercules quadrijumeaux , du cotylédon ventriculaire de la couche opti-que , et celle du tractus optique avec cette
actus optique. S S, corps géniculés. T, cotylédon ventriculaire de la couche optique. D, tubercules quadrijumeaux. Y', région
ne de ce nerf allant au faisceau postérieur et à Ja protubérance. QQ/ couches fibreuses combinées avec ce nerf. E, nerf au-diti
e ce pédon-cule sont rendus fort distincts par cette dissection. T T' couche optique. RR, corps géniculés. DD, tubercules quad
, tige pituitaire. A, quadrilatère perforé. T, T, S, tractus optique, couche optique, corps géniculés. M, éminences mamillaire
s-sure antérieure. T, partie convexe du cotylédon ventriculaire de la couche optique. V, partie plane du même cotylédon. S, co
iasma. K', tige pi-tuitaire. TY, face plane et commissure molle de la couche optique. M, éminence mamillaire. N, région fascic
entrecroise-ments de la moelle allongée. K, chiasma. L TS, tractus et couche opti-que, corps géniculé. K/, tige pituitaire. M,
e des lobules des parties inférieures du cervelet ont été séparés des couches fibreuses sur lesquelles ils reposaient. P, protu
T, corps rhomboïdal du côté gauche mis à découvert par l'ablation des couches fibreuses qui l'enveloppaient. Ces couches fibreu
couvert par l'ablation des couches fibreuses qui l'enveloppaient. Ces couches fibreuses ont été res-pectées du côté droit. G, é
quadrijumeaux. Le plus interne de ces faisceaux, n° l, se porte de la couche fibreuse à laquelle sont rattachés tous les éléme
ors du précédent. L'externe, n°3, correspond du côté du cervelet à la couche fibreuse de laquelle émanent tous les éléments fi
face du faisceau antérieur du pédoncule cérébelleux, se porte sous la couche corticale du cervelet, dont elle forme la doublur
ence vermiforme supérieure. B, membrane nerveuse blanche allant de la couche corticale du cervelet à la surface des tubercules
partie des lobules de l'hémisphère cérébelleux, dont elle dou-ble la couche corticale. De cette manière, les rayonnements les
e ordre. On voit en H H H H II les appendices fibreux qui unissent la couche corticale de la première circonvolution de deuxiè
corticale de la première circonvolution de deuxième ordre à la grande couche fibreuse rayonnante de la face interne de l'hémis
nterne de l'hémisphère, voy. en O O O la face externe de cette grande couche rayonnante dépouillée des appendices fibreux qui
he rayonnante dépouillée des appendices fibreux qui l'unissaient à la couche corticale des circonvolutions enlevées. On voit
cissure de Sylvius. C C C C C C, insula. B B B B, moignon des grandes couches fibreuses rayonnantes de l'hé-misphère, a A A J A
randes couches fibreuses rayonnantes de l'hé-misphère, a A A J A A b, couches fibreuses excentriques de la face la-térale du no
eure dont la coupe est représentée en Z. T t i, surface convexe de la couche optique. P, surface plane de la même couche. W, a
i, surface convexe de la couche optique. P, surface plane de la même couche . W, aqueduc de Sylvius. S, glande pinéale. X', tr
édoncules cérébraux ont été cou-pés à quelque distance en arrière des couches et des tractus optiques. On voit dans le centre d
educ de Sylvius. T, bord posté-rieur du cotylédon ventriculaire de la couche optique. S, corpus genicu-latum internum : dans l
coupe du faisceau moyen, séparée comme le fais-ceau postérieur par la couche noire de Sœmmerring indiquée par le signe + de la
elle toute la masse du corps strié, plus les parties centrales de la couche optique. Les plexus choroïdes ont été éliminés. O
cule latéral. + -f- marquent la coupe de la coque superficielle de la couche optique qui forme la lèvre convexe de cet orifice
concave. T, face inférieure disséquée de la coque superficielle de la couche optique. L, face profonde du tractus optique.P, a
tractus optique.P, angle antérieur du cotylédon ventri-culaire de la couche optique, rattaché aux parties superficielles du q
u qui de cette éminence se prolonge sous la coque superficielle de la couche optique. R, cloison transparente. J, face ven-tri
un espace irrégulièrement circulaire, entièrement circonscrit par une couche de matière blanche. J' Y indi-quent la portion de
ar une couche de matière blanche. J' Y indi-quent la portion de cette couche de matière blanche qui appartient au corps calleu
iques par la cloison transparente. On voit en R le lieu où les deux couches h h viennent au contact l'une de l'autre pour con
on ventri-culaire du corps strié. La lettre F montre la coupe de la couche fibreuse qui sépare le coty-lédon ventriculaire d
t la face supérieure du corps calleux; O O, la face exté-rieure de la couche fibreuse qui enveloppe le cotylédon extra-ventric
ce où. le tronc de l'arbre fibreux de l'hémisphère se combine avec la couche fibreuse F, qui sépare les deux co-tylédons du co
couche fibreuse F, qui sépare les deux co-tylédons du corps strié. La couche fibreuse du corps calleux J J E E se combine, com
rié. La couche fibreuse du corps calleux J J E E se combine, comme la couche fibreuse de l'hémisphère G G, avec la couche fibr
E E se combine, comme la couche fibreuse de l'hémisphère G G, avec la couche fibreuse F de l'intérieur du corps strié. L'on
r du corps strié. L'on voit en--un entrecroisement des fibres de la couche fibreuse du corps calleux avec celle de l'hémis
calleux avec celle de l'hémisphère. En X' X' se trouve l'union d'une couche fibreuse, V V, sous-jacente à la couche corticale
X' X' se trouve l'union d'une couche fibreuse, V V, sous-jacente à la couche corticale de l'in-sula V V avec la couche d'envel
use, V V, sous-jacente à la couche corticale de l'in-sula V V avec la couche d'enveloppe du cotylédon extra-ventriculaire du c
a scissure de Sylvius, de l'arbre fibreux de l'hémisphère X G avec la couche fibreuse de l'insula X' V. S, scissure de Sylvi
orizontale. H , nerf trijumeau. IE, doublure fibreuse immédiate de la couche corticale émanée de. ce nerf. E, nerf auditif.
e corticale émanée de. ce nerf. E, nerf auditif. E', doublure de la couche corticale émanée de ce nerf. Q, membrane nerveuse
sceau moyen. X X', deux régions distinctes du faisceau postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du faisceau p
nereum. M, éminence mamillaire. N, coupe du tronçon pédonculaire. TU, couche optique, O, commissure antérieure. V V, piliers a
tiques. D J J, coupe de la partie transversale du corps calleux. H H, couche fibreuse d'enveloppe du cotylédon extra-ventricul
oison transparente R. B, cotylédon ventriculaire du corps strié. F, couche fibreuse intrinsè-que du corps strié. G, tronc de
eures du corps calleux, en dehors duquel on voit rayonner les grandes couches fibreuses des hémisphères. M, cervelet. G F H'
ersale; L, partie recourbée en dehors de ce même corps. K K K, grande couche rayon-nante de l'hémisphère. N -f- -f-, ruban fib
centrale des faces latérales du noyau ; en h h h L L, la section des couches fibreuses qui, de la circonférence de la saillie
llie centrale dans les par-ties temporales R K". A A A, moignon des couches fibreuses qui, de la circonférence de la saillie
latérale réfléchie du corps calleux. A A A' A', moignons des grandes couches rayonnantes de l'hémisphère. L L, saillie central
mamillaire. X, partie postérieure du cotylédon ventriculaire de la couche optique. E E, coupe transversale des cotylédons v
rié prolongée en pointe dans la base de l'olfactif. Z', portion de la couche corticale dans laquelle plongent des radicules de
de cette glande au pilier antérieur de la voûte. T, face plane de la couche optique. + +, gouttière creusée sur cette face pl
num. M , corpus geniculatum externum. X cotylédon ventriculaire de la couche optique. D D D, bandelettes cor-née et demi-circu
s'insère à la partie externe du noyau cérébral dans l'intervalle des couches fibreuses qui montent au corps calleux et de cell
qui re-vêtent la saillie centrale des faces latérales du noyau. Les couches fibreuses qui succèdent au tronc de l'arbre fibre
uses is-sues du ruban fibreux de l'ourlet D. A, face profonde de la couche superficielle du quadrilatère perforé. g g, couch
ace profonde de la couche superficielle du quadrilatère perforé. g g, couche fibreuse de la saillie centrale des faces latéral
ure du corps calleux en croisant le tronc-fibreux de l'hémisphère, f, couche fibreuse profonde des circonvolutions de l'insula
e profonde des circonvolutions de l'insula. R E S, plicature de cette couche qui va s'unir, dans la circon-volution d'enceinte
ans la figure précédente, en 0 le cotylédon ex-traventriculaire de la couche optique. FIGURE 4e. Dans cette figure comme d
ement de ce faisceau dans l'espace perforé. 0 , angle antérieur de la couche optique rattaché à ce faisceau postérieur. A A A,
A, bandelette demi-circulaire émanée du même faisceau, séparée de la couche optique, et relevée. R R, rayonnements fibreux de
rée de la couche optique, et relevée. R R, rayonnements fibreux de la couche optique passant sous la bandelette demi-circulair
8 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
sement à l'autre. Chacun d'eux est recouvert et comme enveloppé d'une couche de substance grise. La partie centrale est formée
sent comme enclavés les noyaux gan-glionnaires centraux, à savoir les couches optiques et les corps striés. Une coupe transve
millaires ou en avant des pédoncules. — S, commissure grise ; — 0, 0, couches optiques — V, ventricule latéral ; — V, sa corne
dé du corps strié; l'autre, interne et pos-térieure, ovalaire, est la couche optique; les couches optiques de chaque côté sont
'autre, interne et pos-térieure, ovalaire, est la couche optique; les couches optiques de chaque côté sont séparées par la prof
ses grises, intra-ventriculaires, le noyau caudé du corps strié et la couche optique reposent au-des-sus et en dedans de l'éve
on l'appelle noyau extravenlt'i-culaire du corps strié. lion de la couche optique (0) et de la queue du corps strié (C). En
res; — névroglie. Rapports de ces éléments entre eux; — type à cinq couches , [ mportance de l'examen de la structure de la su
précédentes, occupent d'ordinaire la région la plus inférieure de la couche des cellules pyramidales. Leur diamètre atteint j
nts, disséminés un peu partout ou composant, sur certains points, une couche assez dense. Divers auteurs les regardent comme d
dénient ce caractère et les comparent aux éléments qui constituent la couche granuleuse de la rétine. M. Meynert range encor
mes, ramifiées, et qui, en certains endroits, composent une cinquième couche . Ces cellules ont le plus souvent leur grand axe
l'on distingue, sur des coupes minces, examinées au microscope, cinq couches superposées. 11 se rencontre à peu près partout d
rieurs. Voici comment les élé-ments sont répartis : 1° La. première couche , la plus rapprochée des méninges, est presque exc
olliker et Arndt (1) décrivent vers la surface, sous la pie-mère, une couche de tubes nerveux parallèles, très délicats. Là au
cellules nerveuses sont très disséminées^'//. 5,1). A l'œil nu, cette couche offre l'aspect d'une petite zone blanche. Ce défa
ut de coloration paraît être en rapport et avec la pau-vreté de cette couche en éléments nerveux et avec le petit nombre des v
ires qu'elle renferme. En effet, les artérioles qui pénètrent dans la couche corticale ne fournissent de nombreux capillaires
l de M. Meynert(i). Les numéros 1, 2, 3, 4, 5, dési-gnent l'ordre des couches de l'é-corce grise: m, la substance mé-dullaire.
er Süuqethiere. Siricher's Handbuch: T.' II, p. 704. 2° La deuxième couche {Fig. 5, 2) est marquée par une agglomération de
lui communiquent une couleur grise très manifeste. 3° La troisième couche (Fig. 5, 3) est en grande partie formée par des c
, sont situées de préférence à la partie la plus in-férieure de cette couche , et pénètrent même dans la couche sui-vante. Outr
partie la plus in-férieure de cette couche, et pénètrent même dans la couche sui-vante. Outre les cellules, on trouve encore d
sui-vante. Outre les cellules, on trouve encore dans cette troisième couche des faisceaux de fibres médullaires qui s'enfonce
(1) et par Henle (2). C'est dans la zone la plus inférieure de cette couche qu'existent dans certaines ré-gions les cellules
es cel-lules et la présence des fibres médullaires dût donner à cette couche une coloration blanche, il n'en est rien ; la réa
e à l'œil une coloration jaunâtre. 4° Viennent ensuite la quatrième couche (Fig. 5, 4) où l'on aperçoit des granulations ou
partie médiane jusqu'au bord antérieur du lobe quadrilatère. Là, les couches granuleuses l'emportent sur les grandes cellules,
Meynert, le désigner sous le nom de type de stratification en cinq couches des éléments cellu-laires nerveux ou réputés tels
Dans l'écorce grise du cervelet, vous remarquez successivement: l°une couche épaisse,, pauvre en éléments cellulaires et qui r
ro-longements protoplasmiques des cellules nerveuses situées dans une couche sous-jacente ; — 2° plus bas, une couche où l'on
s nerveuses situées dans une couche sous-jacente ; — 2° plus bas, une couche où l'on retrouve, suivant M. Meynert, des cellule
ous, les cellules de Purkinje qui occupent la limite supérieure d'une couche granuleuse très accentuée ; — 4° plus bas enfin,
nant vous jetez un coup d'oeil sur la figure qui re-présente les cinq couches de l'écorce grise du cerveau propre-ment dit, vou
s qu'on exa-mine ; mais je dois revenir auparavant sur le type à cinq couches . B. Le mode d'arrangement, ainsi désigné, se re
dans les régions des hémisphères où règne sans partage le type à cinq couches , il existe, je le répète, tout un département où
ontale. — I, Corps calleux; — 2, Cavité du ventri-cule latéral : — 3, Couche optique ; —4, Partie antérieure et externe du pé-
re (Fig. 6, 1) ; au-dessous, le septum lucidum, la face interne de la couche optique (Fig. 6, 3), puis, la surface de section
arrêter. Les régions à grandes cellules^appar-tiennent au type à cinq couches et elles ne se caractérisent en définitive, anato
point, à proprement parler, de lésions systématiquement limitées aux couches optiques, aux différents noyaux du corps strié, a
ent les artères nourricières des ganglions centraux : corps striés et couches optiques. Ces artères nourricières forment six
caillot oblitérant la carotide interne près de sa bifur-cation. des couches optiques et les parois du troisième ventricule.
lvienne, vascularisent les corps striés et la partie antérieure de la couche optique. Le cinquième et le sixième — groupes p
urné les pédoncules cérébraux; ils nourris-sent une grande partie des couches optiques. Une ligne circulaire, tracée à deux c
tent pour ainsi dire en chemin. Les unes vont jusqu'à la limite de la couche grise, du côté du centre médullaire; les autres s
autres s'étendent moins loin et se ter-minent dans l'épaisseur de la couche grise. Ces artères courtes donnent naissance à de
le réseau possède les caractères suivants (Fig. 11) : 1° la première couche , «, a une épais-seur d'un demi-millimètre; elle e
-seur d'un demi-millimètre; elle est peu vascularisée ; 2° la seconde couche , 6, correspond aux deux zones de cellules ner-veu
s serré, à mailles poly-gonales très fines; 3° sur la limite de cette couche , c, les mailles deviennent plus larges ; 4° enf
Réseau à mailles polygonales plu? serrées, situé dans la région de la couche grise. — c, Réseau de transition à mailles plus l
st respectée en partie, mais manifestement atrophiée. Or, bien que la couche optique etle corps strié fussent dans ce cas tout
des noyaux gris centraux. Vous savez que, sous ce nom, on désigne les couches optiques, les corps striés et ce qu'on pourrait a
vont nous occuper, les altérations ischémiques signalées à propos des couches superficielles de l'encéphale, mais nous y rencon
insi, sur 119 cas rassemblés par Andral et Durand-Fardel, 102 fois la couche optique et le corps strié ont été le point de dé-
artères qui se rendent aux di-verses parties du corps strié ou de la couche optique. Malgré toutes les précautions possibles,
utes les précautions possibles, on ne parviendra jamais à injecter la couche optique ou le corps strié tout entier. Vous n'inj
aine beaucoup plus vaste et beaucoup plus important. Elle fournit aux couches optiques, dans une grande étendue, à l'étage supé
point de vue de la théorie des loca-lisations cérébrales, à savoir la couche optique, le noyau caudé, le noyau lenticulaire et
vous comment le pédoncule cérébral, arrondi au moment où il aborde la couche optique, s'aplatit après qu'il l'a dépassée de de
ce grise sont disposés ainsi qu'il suit : en dedans et en arrière, la couche optique ; en dedans encore, mais en avant et au-d
-dessus, le noyau caudé ; en dehors de l'éventail et au-dessous de la couche optique et du noyau caudé est situé le noyau lent
rincipaux rapports des noyaux gris que je viens d'énumé-rer : 1° La couche optique a l'aspect d'un ovoïde aplati. De ses d
t d'être indi-quées, que les trois noyaux ou masses grises centrales, couche optique, noyau caudé, noyau lenticulaire, sont en
cérébraux, à la manière de cotylédons. Du côté des ventricules, la couche optique et les noyaux caudés sont isolés, le noya
, entre en connexité surtout avec les tubercules quadriju-meaux et la couche optique : il ne prend point une part di-recte à l
e dans les régions les plus in- Fig. 18. — N C, noyau caudé. — C 0, couche optique. — N L, noyau lenticu-laire avec ses troi
, fibres du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, fibres de la couche optique qui vont à la périphérie, — F D? fibres
res pédonculaires provenant du pied de la couronne rayonnante pour la couche optique, celle-ci ne recevant pas du pédoncule cé
roisième ventricule. G 0 L et G 0 E, parties interne et externe de la couche optique. — N C, iipyau camlé, — F fibres émanées
ments internes du noyau lenticulaire. — S Th, S ch 1 et Z, les quatre couches de la substance innominée. [Figure d'après M. Mey
ourir à la formation de la couronne rayonnante et se dirigent vers la couche grise corticale. Ces faisceaux portent le nom de
sceaux rayonnants des corps striés; 2° les faisceaux rayonnants de la couche optique ; 3° les faisceaux rayonnants issus du no
ce des circonvolutions. Ce sont : 1° les faisceaux rayonnants de la couche optique ; 2° ceux du corps strié ; 3° ceux du noy
t caudé, 2° au noyau lenticulaire tout entier; 3° à une portion de la couche optique] 4° à toute l'étendue de la capsule int
nce grise du troisième ventricule qui se con-tinue en arrière avec la couche optique. Territoires vascalaires. — I, artère c
millaires ou en avant des pédoncules. — S, commissure grise ; — 0, 0, couches optiques ; — V, ventricule latéral; — V, sa corne
, aux régions suivantes : Io à la partie externe et postérieure de la couche optique ; 2° aux tubercules quadrijumeaux ; 3° à
), nous montre seulement le noyau caudé et le noyau lenti-culaire, la couche optique étant plus postérieure. On retrouve sur c
capsule interne, elles abordent la partie externe t antérieure de la couche optique où elles se répandent. Je vous rappelle
tefois, je ne veux m'occuper ici que des artères qu'elle en-voie à la couche optique. Ces artères sont de deux ordres : 1° V
e son origine au tronc basilaire, qui fournit à la face interne de la couche optique, et est capable, dans son trajet ultérieu
e monte obliquement, avant d'entrer dans la portion postérieure de la couche optique. Les ruptures de ce vaisseau déterminent
ui de reconnaître à des symptômes particuliers les destructions de la couche optique, celles du noyau caudé, celles du noyau l
s, se produise dans l'épaisseur même, soit des corps striés, soit des couches optiques. Quoi qu'il en soit, les seules locali
e, d'une lésion circonscrite dans le noyau caudé et les lésions de la couche optique, — bien que sur ce dernier point il y ait
morrhagie extra-lenticulaire au niveau de la partie postérieure de la couche optique; — hémianeslhésie cérébrale. — A. corps c
térieurs de la voûte. — B, B, cavité des ventricules latéraux. —G, G, couches optiques. — D, D, noyaux lenticulaires. — EE, rég
e-ci passe entre l'extrémité pos-térieure du noyau lenticulaire et la couche optique, la présence de Yhémianesthésie cérébrale
— de rapporter à la destruction de l'un quel-conque des noyaux gris, couches optiques ou corps striés, des symptômes qui son
rne. (Hémianesthésies). — Rupture de l'artère lenticulo-optique. — 0, couche optique. —I, capsule interne. —L, noyau lenticula
(destruction de la capsule in-terne, refoulement ou destruction de la couche optique). ensemble vers les cavités ventriculai
bre de faits où une lésion des tractus de la partie postérieure de la couche optique, déterminée par un épanchement sanguin, a
pé- c rieur du pédoncule ; 2" les tubercules quadri-jumeaux ; 3° la couche optique tout entière. Cela étant fait, on a sou
sur ce que, suivant lui, ces fibres pourraient, par la comparaison de couches minces, être suivies par en bas jusqu'à la protub
sions sensitives n'est ni dans le cerveau proprement dit, ni dans les couches optiques, mais plus bas, dans la pro-tubérance, o
ale du cerveau du chien au niveau des tubercules mamillaires. — 0, 0, couches optiques. — S, S, noyaux caudés. — L, L, noyaux
nnants cortico-optiques : Fibres antérieures (racine antérieure de la couche optique; ; — Fibres moyennes (expansions latérale
ie sensitive). Bandelettes optiques. —Origine de la racine externe ( couche optique, corps ge-nouillés externes, tubercules q
es unes antérieures (hh,Fig. 32), sont dites racine anté-rieure de la couche optique (Vordere Stiel) ; elles se dirigent vers
e lobe frontal et le sphénoïdal. Fig. 31. — N G, noyau caudé. — GO, couche optique. — N L, noyau lenticu-laire avec ses troi
, libres du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, fibres de la couche optique qui vont à la périphérie. P D, fibres dir
es ou des nerfs optiques (/•, k, Fig. 32). Fig 32.—Radiations de la couche optique — (Schéma emprunté à l'ouvrage de M. Hu
— (Schéma emprunté à l'ouvrage de M. Huguenin, p. 93, fig. 69.) «, couche optique. — b, corps strié. — c, voûte à 3 piliers
étaché de l'encéphale l'isthme tout entier, y laissant attenantes les couches optiques, on examine la pré-paration ainsi obtenu
re dans la même région, lorsqu'on soulève l'extrémité postérieure des couches optiques ou pulvinar, en dedans le corps ge-nouil
d son origine dans trois noyaux de subs-tance grise, à savoir : 1° la couche optique ; 2° le corps ge-nouillé externe ; 3° les
s parties centrales, sur les tubercules quadrijumeauN antérieurs, les couches optiques et enfin les corps genouillés externes ;
bres qui constitue la partie la plus postérieure des radiations de la couche optique (faisceaux rayonnants cortico-optiques) e
ticulaire. — Na, tête et Ne, queue du noyau caudé. Th, partie de la couche optique située en avant des corps genouillés. — T
ie de la couche optique située en avant des corps genouillés. — TA. couche optique ; pulvinar. Qu, tubercules quadrijumeaux.
e brusquement développé dans l'épaisseur de la partie postérieure des couches optiques, pourrait, elle aussi, on le comprend, ê
ale du cerveau du chien au niveau des tubercules mamillaires. — 0, 0, couches optiques. —S, S, noyaux caudés. — L. L, noyaux
brales, à savoir : le noyau lenticulaire, le noyau caudé, et enfin la couche optique, ne produisent pas la sclé-rose consécuti
ui, sur une coupe antéro-postérieure, ne s'éten-dra pas au-delà de la couche grise de Sœmmering. — La co-loration grise dispar
ation des parties antérieures d'un hémisphère, — les masses centrales, couche optique etcorps strié, étant demeurées intactes,
le ramollissement avait complètement respecté les masses centrales : couches optiques, noyau caudé, noyau Fiç/. 45. — Fa, va
avez qu'en remontant vers l'encéphale, nous les verrions aboutir à la couche optique, où elles se perdent. Elles ne prennent d
de la capsule. — Sp, segment postérieur delà capsule interne. -- Go, couche optique. -- F, Foyer circonscrit dans le segment
. En arrière et en dedans, au voisinage de la ligne médiane, est la couche optique ; en avant de la couche optique, la tête
voisinage de la ligne médiane, est la couche optique ; en avant de la couche optique, la tête du noyau caudé : en dehors, le n
caudé et Ciiaiicot. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 14 la couche optique. Mais les masses ganglionnaires internes
ons. 14 la couche optique. Mais les masses ganglionnaires internes ( couche optique et corps strié) sont séparées de la masse
dé ; 2° une partie postérieure, intermédiaire à la face externe de la couche optique et au bord postéro-interne du noyau len-t
poursuivi jusque dans l'épaisseur du centre ovale, et même jusqu'à la couche grisé corticale. 4° Pour rechercher les fibres
et en dehors ; — le noyau lenti-culaire accolé à son bord externe, la couche optique coupée Fig. 55. — Coupe pariétale de l'
phère (Pitres). — 8, corps calleux. --9, queue du noyau caudé. -- 10, couche optique. -- 11, capsule interne (segment postérie
terne; en dehors de ce tractus, le noyau lenticulaire ; en dedans, la couche optique et le noyau caudé. Il n'est pas rare, t
ntra-encéphaliques. Les foyers plus ou moins volumi-neux limités à la couche optique, ceux qui se circonscrivent dans la tête
nous sommes pro-posé de déterminer les limites. Faites partir de la couche profonde de toute cette zone grise, Fig. 60. —
upe horizontale du noyau caudé. — B, du noyau lenticulaire. — G,de la couche optique.— D, lobule paracentral. — E,circonvoluti
onvolutions frontales, et de l'autre par l'extrémité antérieure de la couche optique (c'est à peu près la coupe pree-rolandiqu
res; — névroglie. Rapports de ces éléments entre eux; — type à cinq couches . importance de l'examen de la structure de la s
coupe de l'ecorce grise du cervelet. — Type de stratification en cinq couches des éléments cellulaires nerveux. — Régions où ex
nnants cortico-opliques : Fibres antérieures (racine antérieure de la couche optique) ; — Fibres moyennes (expansions latérale
ie sensitive). Bandelettes optiques. —Origine de la racine externe ( couche optique, corps ge-nouillés externes, tubercules q
es rapports avec la capsule interne, 91 ; — sa circulation, 95, 96. Couches optiques. Leur situation, 4 ; — Leur importance a
s éléments de 1' —, 208. Egorge cérébelleuse, 32 ; — type à trois couches . Ecorce cérébrale, 42; — type à cinq couches, 3
32 ; — type à trois couches. Ecorce cérébrale, 42; — type à cinq couches , 33. Electrothérapie, 321. Embryogénie, 186. Emin
ules quadriju- meaux.) tétanos artificiel, 318. Thalamus, 140 (V. Couche optique.) Tonicité musculaire, 327, 350. Tonu
9 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
es agglomérées BBB n'ont en effet apparu qu'après la lacération d'une couche superficielle, que constituait une membrane blanc
ansformation n'est annoncée par aucun accident ; mais aussitôt que la couche placentaire la plus superficielle est envahie, so
nt des vésicules déjà existantes, soit par la transformation de cette couche elle-même, alors surviennent des hémorrhagies qui
cer encéphaloïde cru) EEEE ; très-mince à la partie inférieure, cette couche encéphaloïde devient beaucoup plus épaisse à la p
rface, adhérentes seulement par un pédicule très-mince. C'est sous la couche la plus excentrique, formée par le tissu du rein
figure 2 donne une idée aussi exacte que possible et des différentes couches et de leur coloration. L'uretère naissait de la
e tuberculeuse TTT, fig. 2, ne présente aucun vaisseau, tandis que la couche encéphaloïde EEE en fourmille; et c'est là, à mon
rein , ici par une sérosité trouble, là par du pus , tantôt déposé en couche mince, tantôt ramassé en foyers qui pénétraient p
arois intestinales, dont ils traversaient successivement les diverses couches pour venir se ramifier sous la membrane péritonéa
dinaire, et qui, lorsque les papilles cutanées sont recouvertes d'une couche inorganique épaisse, sont précédés par un tube ép
la plus grande facilité. Je me suis assuré que, chez l'homme , cette couche , qu'on appelle le corps muqueux, est creusée de
que celle du côté sain ; mais la jambe était évidemment atrophiée. La couche adipeuse sous-cutanée avait une épaisseur très-co
est-à-dire le derme épaissi, l'épiderme composé de plusieurs lames ou couches au niveau de la tubérosité du calcanéum TC (fig.
tilage semi-lunaire interposé étaient usés; il y avait même usure des couches osseuses sous-jacentes. Tout cela se conçoit aisé
astragalo-scaphoïdienne, existe entre la saillie de l'astragale et la couche fibreuse qui forme le ligament supérieur de cette
n'en est pas de même du ligament latéral interne ; il existait i° une couche superficielle ligamenteuse étendue de la malléole
rate, était d'un vouge vif, et cette coloration était due à plusieurs couches de fausse membrane plaquées de rouge qui tapissai
ifférence qui apparaît sur les figures tient à l'action de F air. Les couches adjacentes du tissu splénique sont denses et d'un
icule pour soulever la voûte à trois piliers et le corps calleux. Les couches optiques CO, CO fortement comprimées, déjetées en
apacité de ce troisième ventricule, dont les parois, c'est-à-dire les couches optiques, ont été déjetées en dehors, comprimées,
a consistance de la moelle des os ou bien du suif, recouverte par une couche plus cohérente, sorte de cristallisation lamelleu
érance, des pédoncules cérébraux, des faisceaux sus-olivaires, et des couches optiques : certes, ce désordre remontait à plusie
mortels. Dans le cas actuel j'attribue la mort au ramollissement des couches optiques. Fig. 5. Les faits de ce genre ne sont
édent. PA me paraît la coupe de la protubérance, reconnaissable à ses couches alrernativement blanches et grises; BR doit être
certaines coquilles. Coupée « dans son milieu, elle paraît formée de couches concentriques, unies entre elles par des lames du
tinuité, de même que nous avons vu, dans la première observation, les couches optiques ramollies, d'où l'opinion émise par l'ob
; la mort survient. Le ramollissement, qui a lieu si souvent dans les couches cérébrales adjacentes, précipite le terme fatal.
le succomba. A l'autopsie, on trouva autour des vertèbres cariées une couche épaisse de matière grasse concrète. Dans un secon
é, leur frangibilité, contrastaient avec l'état parfaitement sain des couches pulmonaires adjacentes : leur volume variait depu
dit un caillot de sang concret. Au reste, la macération, en enlevant couche par couche ces caillots, a mis à découvert la tra
llot de sang concret. Au reste, la macération, en enlevant couche par couche ces caillots, a mis à découvert la trame spongieu
œur. A l'ouverture, on trouva le cœur enveloppé de tous côtés par une couche de sang concret, laquelle s'était exactement moul
dent. Il existe en outre un peu de sang liquide dans le péricarde. La couche de sang enlevée, on vit sur la face antérieure du
foration était purement accidentelle, que le stylet avait traversé la couche mince qui formait le fond du foyer sanguin. Le ve
eur : c'est l'œdème de la gangrène. Or, dans les foyers récens, cette couche pulmonaire adjacente offrait une grande mollesse;
vec la plus grande facilité : autour des foyers anciens se voyait une couche peu épaisse de tissu pulmonaire induré. Le tiss
étaient formées par la pellicule interne artérielle que soulevait une couche mince de matière plâtreuse infiltrée. Les vaiss
en avons découvert au lit du malade les caractères diagnostiques. Les couches pulmonaires adjacentes étaient bleuâtres, comme d
ide, adhérent encore au tissu du poumon et qui m'a paru formé par les couches superficielles de cet organe. — Enfin rien de plu
que les foyers gangreneux du poumon sont en général environnés d'une couche plus ou moins épaisse d'hépatisation mollasse, d'
ment la,face postérieure de la tumeur, était oblitérée. On voyait une couche brun-marron interposée entre les parois opposées
uni qu'il m'a été impossible de l'en séparer sans déchirure. Déjà les couches superficielles du poumon avaient été envahies. La
uines qui touchaient à nu les cerceaux de ce conduit dépouillés de la couche fibreuse dont ils sont revêtus et légèrement éroc
par des concrétions sanguines, que ces concrétions sont disposées par couches concentriques, mais non point autour d'un centre
comme plusieurs systèmes de concrétions sanguines ; que ces diverses couches ne sont pas contemporaines; que, bien que les cou
ue ces diverses couches ne sont pas contemporaines; que, bien que les couches les plus voisines des parois artérielles soient e
. Autour de chacun de ces deux foyers sanguins existait un système de couches concentriques , formant des espèces d'îles ou de
ois de la tumeur , et les vides qui se trouvent entre ces systèmes de couches sont remplis par des concrétions exactement moulé
e couches sont remplis par des concrétions exactement moulées sur les couches adjacentes. Enfin les couches les plus voisines d
concrétions exactement moulées sur les couches adjacentes. Enfin les couches les plus voisines de la dilatation AD semblaient
ncrétions concentriques, ondulées, irrégulières et circulaires qu'aux couches concentriques du corps ligneux; comme celles-ci,
l'époque de leur formation à leur couleur et à leur cohérence. Chaque couche est elle-même composée d'une succession de lamell
s variable que la cohérence et la couleur de ces diverses lames ; les couches voisines des parois de la poche, et qui n'avaient
a reproduction du tissu artériel émise par quelques auteurs. D'autres couches de date plus récente offraient le demi-transparen
es anciens sous le nom de polypes du cœur. Enfin un certain nombre de couches présentaient une coloration brunâtre, brun-marron
ollée au voisinage du sternum ; le sang s'insinuait entre elle et les couches celluleuscs adjacentes. Je ne doute nullement que
ois (aux dépens pour l'ordinaire de la membrane interne), soulève les couches les plus profondes, les déchire, d'où une poche q
g. Ces concrétions s'organisent-elles? Leur disposition régulière par couches concentriques, leur ténacité, leur adhésion aux p
s, produit qui a filtré par un phénomène de capillarité à travers les couches réticulées qui le séparent de ces parois. La régu
moins trouble; ce pus, quelquefois peu abondant, filtre à travers les couches concentriques jusqu'au milieu des concrétions; da
d'autres fois, n'ayant pas de prise sur ces concrétions, il forme une couche plus ou moins épaisse entre elles et les parois.
heures et même plus long-temps après la perforation. S'il existe une couche épaisse de parties molles entre la poche anévrysm
ent se former avant la rupture définitive. L'altération spontanée des couches de sang concret, devenu corps étranger, pourrait
le modifiée. Ces concrétions, que j'ai vues plusieurs fois former une couche épaisse analogue aux calculs biliaires , tapissan
une part avec les tubercules quadrijumeaux, d'une autre part avec les couches optiques. J'ai fait représenter (fig. 1), deux pe
y avait eu hématémèse, et que les intestins étaient tapissés par une couche de sang, et j'adopte volontiers l'explication don
n corps résistant*, les extrémités inférieures faibles et raides , se couche le soir à six heures , comme de coutume •, le len
constance remarquable est celle-ci : toutes les fois que la malade se couche sur le côté gauche, la bouche se remplit d'eau qu
ituées par une trame vasculaire veineuse aréolaire, en un mot par une couche mince de tissu érectile; les follicules ne sont q
nécessaire dans ce genre de maladies : mais tantôt elle use lentement couche par couche les parties qu'elle affecte ; c'est le
dans ce genre de maladies : mais tantôt elle use lentement couche par couche les parties qu'elle affecte ; c'est le cas le plu
uide qu'elles contenaient était trouble comme de la chaux délayée. La couche fibreuse qui revêt la rotule était également péné
ute la surface interne de cette articulation était recouverte d'une « couche de matière blanchâtre, rugueuse, inégale, sillonn
issaient voir la substance osseuse à nu : dans d'autres points, cette couche s'enlevait en grattant « un peu fort, et laissait
aces articulaires, un peu en dehors, au-« dessous de la rotule, cette couche était fort épaisse et se trouvait en contact immé
ament rotulien (ce qui veut dire, sans « doute, entre la rotule et la couche fibreuse qui revêt sa face antérieure). Au-dessou
n fémoro-tibiale droite présentait, au niveau du condyle externe, une couche plus épaisse encore que du côté gauche ; on trouv
nce osseuse rugueuse et entamée. Aux articulations tibio-tarsiennes , couche très-mince et très-lisse, qui semblait déposée en
urface articulaire du tibia, entre l'os et les parties ligamenteuses, couche plâtreuse épaisse d'un pouce. — Les articulations
métatarso-phalangiennes et phalangiennes conservaient leur mobilité : couche mince de matière plâtreuse qui semble être déposé
anche, formée par une très-grande quantité de petits grains crétacés.— Couche plâtreuse mince dans les articulations radio-carp
forme de points et de lignes. Cavité cotyloïde droite tapissée d'une couche mince et lisse, laissant voirie cartilage sain au
A la partie interne de la jambe j entre l'aponévrose et les muscles, couche de matière crétacée épaisse de six lignes. — A F
ticulation. Je ferai remarquer, en terminant, que la présence d'une couche d'urate sur les cartilages milite en faveur de l'
ieure de la première vertèbre lombaire : la face postérieure de cette couche de végétations , lesquelles se confondaient avec
i° concrétions sanguines au milieu desquelles est contenu du pus; une couche mince de concrétion plus ou moins décolorée, semb
seur du tissu de l'utérus, qui, du reste, était sain, excepté dans sa couche la plus interne et dans ses mamelons placentaires
urface de la tumeur et dans un point circonscrit. Là elle formait une couche peu épaisse, infiltrée, grisâtre, demi-transparen
n'adhère nullement à ce corps fibreux, dont elle est séparée par une couche épaisse de liquide. A la partie supérieure de la
s-large ouverture O avec le ventricule moyen. Le corps strié CS et la couche optique CO sont atrophiés; ils étaient très-dense
corps genouillés externe et interne participaient à l'atrophie de sa couche optique. Jamais je n'ai vu plus manifestement les
ique. Jamais je n'ai vu plus manifestement les radiations sorties des couches optiques et des corps striés se recourber pour ve
ait pas atrophié, et cependant les radiations du corps strié et de la couche optique avec lesquelles il se continuait, l'étaie
it des nerfs proprement dits. L'hémisphère gauche est atrophié, et la couche optique et le corps strié du même côté le sont ég
dé que l'atrophie primitive d'un hémisphère entraîne l'atrophie de la couche optique et du corps strié du même côté, et récipr
tie.) mulée clans les ventricules latéraux. Les corps striés et les couches optiques sont en rapport avec le peu de développe
les ventricules : les cerveaux petits sont toujours entourés par une couche épaisse de liquide. Ce fait intéresse encore so
ophie. Les circonvolutions, le centre médullaire, les corps striés et couches optiques, le corps calleux, la voûte à trois pili
entricule et la cavité de l'arachnoïde extérieure, à l'atrophie de la couche optique gauche, au défaut de symétrie des circonv
quent point de corne d'Ammon, point de bandelette demi-circulaire. La couche optique GO était atrophiée. La différence de disp
GO était atrophiée. La différence de disposition que présentaient la couche optique et le corps strié droit et gauche se trou
urbé que le corps strié droit CSD, sans doute pour venir embrasser la couche optique gauche atrophiée COG, qui n'est que la mo
la couche optique gauche atrophiée COG, qui n'est que la moitié de la couche optique droite COD. Il est difficile de faire l
on involontaire des urines. Mort le cinquième jour. — Apoplexie de la couche optique gauche avec communication du foyer dans l
céphalalgie. Diagnostic. Foyer apoplectique très-considérable de la couche optique gauche, qui est en grande partie détruite
ctique très-considérable FA (fig. 1 ) existait dans l'épaisseur de la couche optique gauche CO. Un sang concret et noir rempli
geait un caillot sanguin. Les corps striés droit et gauche CS, CS, la couche optique droite CO, les tubercules quadrijumeaux T
nguin FA largement ouvert et ses parois développées, les débris de la couche optique CO renversés, les tubercules quadrijumeau
s et un grand nombre de vaisseaux déchirés. Ce sont les vaisseaux des couches optiques dont les uns ont été déchirés et les aut
ns le cas actuel est celui-ci : j'ai diagnostiqué une apoplexie de la couche optique, i° parce que cette apoplexie est, d'aprè
, attendu que les radiations du corps strié procèdent elles-mêmes des couches optiques, J'ai diagnostiqué la communication avec
à droite n'intéressant que médiocrement soit le corps strié, soit la couche optique. La malade, indépendamment de l'apoplexie
plaques ossiformes si communes chez les vieillards. En divisant la couche optique et le corps strié droits, j'ai rencontré
Une apoplexie dix fois moindre soit dans le corps strié, soit dans la couche optique aurait entraîné une paralysie complète du
aison, je vais rapporter ici. Hémorrhagie cérébrale spontanée de la couche optique avec communication dans le ventricule lat
ation de ce dernier avec un vaste foyer creusé dans l'épaisseur de la couche optique et de la partie voisine du centre médulla
e. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie postérieure du corps stri
); il occupe la partie postérieure du corps strié CS et externe de la couche optique CO. La bandelette demi-circulaire a été d
ines très - considérables rampaient à la face externe de la poche. La couche cérébrale adjacente était comme granuleuse. Réf
ert, la surface convexe du cerveau présente ( Planche 1, fig. 1 ) une couche d'un blanc jaunâtre, demi-concrète, dont le siège
iège est évidemment dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien; cette couche occupe non-seulement la surface convexe, mais enc
n. i se conçoit à merveille en raison du siège bien déterminé de la couche pseudo-membraneuse dans le tissu cellulaire sous-
-membraneuse dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien ; aussi cette couche présente-t-elle une épaisseur rigoureusement prop
le cerveau, le cervelet et la protubérance annulaire environnés d'une couche assez épaisse de pus couenneux et de sérosité, do
s sembleraient l'indiquer. On cherche en vain une membrane qui, de la couche optique et des corps striés, se réfléchisse sur l
renversé présentait à sa base, dans la grande excavation médiane, une couche très-épaisse de pus concret déposé dans le tissu
onneux, dont une partie plus cohérente est restée attachée autour des couches optiques CO, CO, et des corps striés CS, CS. Le t
arrivé souvent de reconnaitre des vestiges du tissu rénal entre deux couches minces de tissu fibreux qui constituaient les par
organisation envahit au loin les membranes muqueuse, fibreuse, et une couche plus ou moins épaisse de la membrane musculeuse,
naires de péritonite. L'intestin ouvert, je l'ai trouvé tapissé d'une couche épaisse de mucosités sanguinolentes, tandis que l
t. Ouverture du cadavre. Péritonite circonscrite manifestée par une couche pseudo-membraneuse entourant le cœcum et la parti
de trois à quatre pouces de diamètre et qui est formée par plusieurs couches superposées. Les figures 2 et 2' représentent l
Une matière carcinomateuse remplissait les interstices et formait une couche mince à la surface de ces tumeurs. Enfin il n'est
érable qu'il m'aurait été très-facile de voir sur le vivant. Sous une couche fibreuse extrêmement épaisse, très-adhérente et t
e, les circonvolutions (fig. 3) avaient disparu. Il ne restait qu'une couche mince de substance grise. La substance cérébrale
uleurs sont peut-être le résultat du ramollissement gélatiniforme des couches cérébrales adjacentes : voilà bien des fois que j
blables petits foyers existaient dans le corps strié droit et dans la couche optique gauche. Dans l'autre cas, le sinus longit
Le cerveau ( fig. i, planche iv) est enveloppé de tous côtés par une couche jaune-verdâtre extrêmement dense. Au premier abor
noïde ; mais avec un peu d'attention, il fut facile de voir que cette couche purulente pseudomembraneuse était située entre l'
ansparence de la matière infiltrée : d'ailleurs, l'épaisseur de cette couche était un peu plus considérable le long des troncs
eau et le long des prolongemens celluleux qui semblent en partir. Une couche pseudo-membraneuse était également infiltrée entr
t comme dans le Cas précédent, avec cette différence qu'au lieu d'une couche pseudo-membraneuse bien compacte, nous trouvons u
le premier cas, l'inflammation a eu pour résultat la formation d'une couche pseudo-membraneuse concrète, sèche en quelque sor
es de lames formées par les circonvolutions. Le corps strié CS' et la couche optique CO' atrophiés étaient exactement en rappo
refoulée à la partie supérieure de la poche, se moulait sur elle; la couche la plus superficielle était facile à reconnaître,
econnaître, et pouvait se décomposer en longs filamens jaunâtres. Une couche plus profonde était infiltrée de sérosité, mais e
nde était infiltrée de sérosité, mais encore reconnaissable; enfin la couche la plus profonde, celle qui touchait immédiatemen
ets de la tunique vaginale adhéraient entre eux au moyen de plusieurs couches pseudo-membraneuses parsemées de vaisseaux sangui
us et s'attachait d'une autre part au bord externe de l'olécrane. Une couche très-mince de cartilage revêtait cette tête: il n
ttemens. Aucun phénomène vital ne se manifeste sur ces surfaces : une couche éburnée incessamment reproduite aux dépens de la
ransformation est complète, les parties désorganisées sont entraînées couche par couche, et ce qui reste parait aminci; le pér
on est complète, les parties désorganisées sont entraînées couche par couche , et ce qui reste parait aminci; le péritoine seul
t ici ; car on ne peut pas appeler ulcère une destruction successive, couche par couche, sans manifestation aucune de vitalité
on ne peut pas appeler ulcère une destruction successive, couche par couche , sans manifestation aucune de vitalité dans la co
ive, couche par couche, sans manifestation aucune de vitalité dans la couche qui avoisine la destruction. V. La dégénération
avancé, non-seulement les végétations sont détruites, mais encore la couche qui les soutient et successivement toutes les cou
, mais encore la couche qui les soutient et successivement toutes les couches qui constituent la tumeur s'usent de dedans en de
des tuniques dégénérées ; plus tard, elle deviendra adhérente, et sa couche la plus profonde formera çà et là des espèces de
ion. On voit sur cette coupe faite le long de la petite courbure deux couches bien distinctes unies entre elles par un tissu ce
u cellulaire assez lâche qui permettait une séparation facile. Or, la couche interne MM, MM, est formée par les membranes muqu
M, MM, est formée par les membranes muqueuse et fibreuse réunies ; la couche externe MP, MP, est formée par les membranes musc
culaire se voient quelques concrétions ossiformes arrondies. Ces deux couches présentent une teinte un peu différente : l'inter
a un peu plus d'opacité et une teinte blanchâtre. Du reste, les deux couches n'étaient pas distinctes dans toute leur étendue.
vertures faites aux loges ou cellules, mais ne s'écoule pas. Déjà les couches les plus internes ont été usées. Nous ne trouvons
si souvent l'ulcère de l'estomac : si l'on examine en effet, sous une couche d'eau, à l'œil nu ou à l'aide d'une forte loupe,
le péritoine. Le duodénum et l'intestin grêle sont tapissés par une couche mince de mucosités sanguinolentes ; le gros intes
u pourtour de l'ulcère. La surface de l'ulcère se couvre ensuite dune couche fibreuse ; ses bords deviennent durs, extrêmement
té de la formation de ces abcès ; 5° sur le défaut d'inflammation des couches adjacentes ; 6° sur la présence du pus dans les v
rs globules de mercure. Quelques-uns de ces tubercules offraient deux couches bien distinctes; une couche tuberculeuse qui occu
ues-uns de ces tubercules offraient deux couches bien distinctes; une couche tuberculeuse qui occupait la circonférence, et un
inctes; une couche tuberculeuse qui occupait la circonférence, et une couche puriforme qui occupait le centre et au milieu de
sculaire ambiant n'avait nullement changé de couleur, excepté dans la couche mince qui confinait l'abcès, et qui était comme p
tel est le tissu cellulaire comme aussi la lamelle mince qui forme la couche la plus superficielle des membranes muqueuses : l
infiltrés. Dans l'œdème douloureux, ou hydropisie aiguë des femmes en couche , j'ai rencontré plusieurs fois les veines iliaque
de pus concret. Chaque grain était entouré xie livraison. 6 d'une couche gris-ardoisée, en sorte que la coupe ou la cassur
point encore arrivés à la période de l'abcès. Dans presque tous, une couche épaisse d'induration rouge entoure une masse blan
thologique communiquées à la Société Anatomique par M. Bergeon. Une couche épaisse d'hépatisatiuu rouge, mollasse, cerne en
e. Cette proposition découle, non de la circonstance anatomique d'une couche épaisse d'induration pneumonique circonscrivant d
la totalité de la portion enflammée, et que tantôt elle respecte les couches les plus excentriques. III. La terminaison par
rut trois jours après l'accouchement, d'une métrite avec gangrène des couches les plus profondes de l'utérus. Les tumeurs fibre
lies et infiltrées de sérosité; quelques-unes infiltrées de sang. Les couches les plus profondes de l'utérus étaient détruites
ont quelquefois séparés de la surface interne de l'utérus que par une couche extrêmement mince, soient expulsés par suite d'un
soient expulsés par suite d'un travail morbide qui s'opère dans cette couche intermédiaire entre la cavité qu'occupe le polype
en est un autre qui s'opère sans l'intermédiaire delà suppuration; la couche qui sépare la tumeur delà cavité utérine est usée
des tumeurs fibreuses développées sous la muqueuse ou plutôt sous les couches les plus profondes du tissu de l'utérus lui-même,
térine dans la cavité vaginale se fait exclusivement aux dépens de la couche de tissu utérin qui recouvre la tumeur fibreuse e
n'en est pas de même de l'accroissement des calculs biliaires par des couches nouvelles surajoutées. On se fonde sur le volume
muqueuse auraient été successivement envahies, et qu'enfin toutes les couches de tissu cellulaire qui séparent les diverses tun
, 11, 111.) Considérations générales sur les maladies des femmes en couches en général et sur le typhus puerpéral en partic
ne blessure grave ou de subir une opération chirurgicale. La femme en couches , comme l'amputé, est épuisée de fatigues, de doul
pond une guérison sans fièvre,sans lochies purulentes, de la femme en couches ; mode de guérison qui est excessivement rare, car
t leurs mailles; que la surface interne de l'utérus est enduite d'une couche pseudomembraneuse , purulente , sanguinolente , s
d'ailleurs long-temps plus volumineux qu'avant l'accouchement, et les couches les plus profondes de cet organe jouissent d'une
chement. X. De toutes les maladies qui peuvent attaquer la femme en couches , il n'en est aucune qui soit plus fréquente, plus
pace qui ne permet d'en admettre que de 15oo à 2000; car une femme en couches a une puissance d'infection bien supérieure à cel
ordinaire. La question de l'encombrement est donc, pour les femmes en couches , une question de vie ou de mort. Le traitement pr
mphatiques qui sont en évidence sur cette figure, le péritoine et une couche superficielle très-mince de l'utérus ont été. enl
ns le plus grand nombre des cas par un détritus sanguinolent, par une couche séro-sanguinolente où il serait bien difficile de
isseaux lymphatiques pleins de pus qui soulevaient le péritoine et la couche la plus superficielle du tissu de l'utérus. La li
flammation : la veine est épaissie, fragile, souvent tapissée par une couche blanchâtre ou grisâtre; la couche utérine qui l'e
, fragile, souvent tapissée par une couche blanchâtre ou grisâtre; la couche utérine qui l'environne est injectée; dans les va
isseaux ne s'affaissaient pas complètement. En coupant l'utérus par couches minces successives, on voyait une multitude d'ouv
seaux lymphatiques, lesquels formaient des aréoles entre les diverses couches de l'utérus. Les veines étaient dans l'état le pl
interne de l'utérus, les cotylédons utérins étaient recouverts d'une couche noirâtre pseudomembraneuse ; les veines de ces co
couverte par une membrane extrêmement mince , formée aux dépens de la couche la plus superficielle de la paroi postérieure de
ritoine T*F', l'autre sous le péritoine dont elle est séparée par une couche mince du tissu de l'utérus, T'F" ; d'autres, t f,
ppée dans l'épaisseur de la paroi antérieure, P A, et qui soulève une couche assez épaisse de cette paroi antérieure. La cou
efforts d'expulsion peuvent avoir pour résultat le déchirement de la couche qui recouvre les tumeurs ; et si de gros vaisseau
et si de gros vaisseaux se trouvent compris dans l'épaisseur de cette couche , une hémorrhagie mortelle peut en être la suite.
elle accoucha prématurément le 15 avril 1852. Le troisième jour des couches , un dévoiement cholérique, remarquable par le nom
'était point alitée et remplissait ses fonctions auprès des femmes en couche . Prescription : Un quart de lavem. amidon, avec
tés inférieures, aux mains et aux lèvres; point d'emaciation notable; couche épaisse de graisse sous la peau. L'estomac et l
verture du cadavre. Estomac sain; intestin grêle sain tapissé par une couche épaisse de mucosités jaunâtres ; les follicules i
oindre réaction, avec tendance manifeste à l'extinction, une femme en couches , qui aurait probablement résisté dans toute autre
Ecouffes, n° 20, était très bien portant le 26 avril, au soir; il se couche immédiatement après souper, comme de coutume. Il
résenté fig. I. pl. 1 , 14e liv. ; sa face interne est tapissée d'une couche épaisse de mucosité très collante, très difficile
ritonite. La surface interne de l'intestin grêle est tapissée d'une couche uniforme de mucosités blanches dans sa moitié sup
jectés à leur surface extérieure; leurs parois sont tapissées par une couche épaisse de bouillie jaunâtre, qui devient sanguin
pas une goutte de liquide, mais leur face interne était enduite d'une couche épaisse très adhérente de mucosités. La muqueus
ue à la matière colorante du sang; la muqueuse était tapissée par une couche épaisse de mucosités rougeâtres. Lorsque le cholé
lentement et qu'il ne rougissait même pas du tout, dans le cas où la couche superficielle ou croûte vient à se dessécher. Plu
rampent à la surface interne du ventricule, sur les corps striés, les couches optiques, et sur les autres points des parois ven
fin, dans certains cas, le cerveau et le cervelet sont couverts d'une couche de sang , dont il n'est pas toujours facile de dé
râne des deux pariétaux et de l'occipital était séparé des os par une couche épaisse de sang coagulé. Ce décollement, qui a qu
très distendue et bleuâtre; moelle nageant dans du sang liquide. Une couche mince de sang entourait le cerveau; une couche pl
s du sang liquide. Une couche mince de sang entourait le cerveau; une couche plus épaisse entourait le cervelet. Les poumons c
ital rapprochés avaient refoulé sur les côtés les deux pariétaux. Une couche mince de sang était épanchée à la base du cerveau
te. Les os et les téguments sont très injectés. Cerveau très injecté. Couche mince de sang autour du cerveau et du cervelet. P
ement petit ; les membranes arachnoïde et pie-mère, tapissées par une couche pulpeuse et grisâtre très mince, revêtaient la su
aux en volume ; 2° à peine, entre les corps striés, découvrait-on des couches optiques atrophiées: 3° quelques circonvolutions
et aminci était presqu'au niveau de la surface des hémisphères ; les couches optiques et les corps striés avaient acquis un gr
ue, M G, soulevée sur la figure avec le manche du scalpel : c'est une couche grisâtre , transparente, étendue sur les membrane
transparente, étendue sur les membranes pie-mère et arachnoïde. Cette couche est probablement le vestige du cerveau. On voit
rois piliers et le plexus choroïde droit ont été enlevés; on voit les couches optiques , C O, CO, qui sont très peu développées
une idée exacte de la manière dont étaient disposées les différentes couches du sang coagulé et de la coloration de ces couche
es les différentes couches du sang coagulé et de la coloration de ces couches . Il y a là le double caractère et des foyers apop
uleur lie-de-vin, épaisse, rugueuse, aréolaire, peu cohérente dans sa couche superficielle, cohérente et granuleuse dans sa co
hérente dans sa couche superficielle, cohérente et granuleuse dans sa couche profonde, qui revêt immédiatement le feuillet sér
ns le cas représenté fig. 1., la pseudo^membrane était formée de deux couches bien distinctes: l'une superficielle, couenneuse,
culeuse ou granuleuse,blanche, très cohérente, facile à séparer de la couche superficielle , mais assez intimement unie à la s
is assez intimement unie à la séreuse du cœur. Lorsqu'on sépare cette couche granuleuse de la membrane séreuse, on voit se déc
on que sur ce qui a trait à la péricardite. Or, la présence de deux couches pseudo-membraneuses d'aspect si dissemblable me p
e parait dénoter deux périodes bien distinctes dans cette maladie; la couche granuleuse, compacte, adhérente ou vasculaire, do
asculaire, doit évidemment remonter à une époque bien antérieure à la couche molle, élastique, sans cohérence, aréolaire, mame
alternatives de dilatation et de contraction du cœur, la rupture des couches qui enveloppent le foyer doive se faire avec la p
iques. Dans un cas de péricardite présenté à la Société anatomique la couche pseudo-membraneuse hérissée de végétations adhéra
aire croire à la nature tuberculeuse de cette altération. Toujours la couche du foie qui avoisine le foyer, présente une coule
les autres profonds, irréguliers, d'un volume inégal, entourés d'une couche d'un brun ardoisé, fragiles. On voyait très bien
tissu cellulaire sous-arachnoïdien, et cette pseudo-membrane ou cette couche purulente est quelquefois assez épaisse pour dist
tissu cellulaire sous-cutané et sont séparées du muscle droit par les couches les plus profondes d'une lame aponévrotique, qu'o
e. Souvent alors il ne reste du cerveau qu'un noyau représenté par la couche optique et le corps strié plus ou moins altéré. C
face interne. On voit le ventricule latéral VL, la face interne de la couche optique CO, le corps strié CS , la coupe du corps
re était un caillot sanguin décoloré, quiest figuré à part en 6'. Les couches concentriques de ce calcul, leurs différents tons
différents tons de coloration, l'aspect poreux d'un certain nombre de couches , ont été très exactement rendus. Les reins et les
du cadavre, faite 18 heures après la mort. Abdomen volumineux. Une couche pseudo-membraneuse fort mince, à peine adhérente
ns intestinales, et les circonvolutions intestinales entre elles. Une couche mince de pus existait entre le diaphragme et le f
t du rhumatisme une des affections les plus graves dont les femmes en couche puissent être affectées. Le rhumatisme puerpéra
lus ordinairement ce rhumatisme avec l'œdème douloureux des femmes en couches , lequel m'a toujours paru l'effet de la phlébite.
ure de la jambe et delà cuisse. La malade se plaint de la gorge : une couche pseudo-membraneuse existe en effet sur les pilier
centre de cette vaste dénudation. L'œdème douloureux des femmes en couches n'est pas une maladie primitive, mais bien le sym
ation et la mort, que la malade succomba, le 18 février, 31e jour des couches . Ouverture du cadavre. Il y avait du pus dans l
ifférentes portions de ce muscle ont participé à l'inflammation. La couche de tissu cellulaire interposée au jumeau J, et au
es sont d'inégales dimensions. La cavité de cette tumeur présente une couche stratifiée peu épaisse et cohérente, et au centre
idente une préparation qui consiste à séparer, après la section de la couche des fibres communes, les cavités droites des cavi
bérance annulaire. La coupe de ce tubercule GT (fig. 3') présente les couches concentriques qui lui donnent l'apparence d'un ca
ronchique tuberculeuse. Péricardite chronique, caractérisée par une couche épaisse de fausses membranes denses qui revêtent
cérébrale presque toujours altérée, ramollie, et dont on emporte une couche plus ou moins épaisse en enlevant le tubercule. I
ntôt non enkystés. La masse tuberculeuse est quelquefois disposée par couches concentriques bien distinctes, dont plusieurs son
u cerveau et du cervelet; il y en avait un dans l'épaisseur de chaque couche optique. Un de ces tubercules, du volume et de la
rvés 4 mois auparavant, me parurent le résultat de l'inflammation des couches cérébrales adjacentes. L'entorse avait été le rés
à côté de la mèche , a démontré 1° que la peau était doublée par une couche assez épaisse de tissu adipeux; qu'au milieu de c
dans une plus ou moins grande partie de leur longueur, à l'aide d'une couche très ténue et comme transparente, formée par les
ïdale, volumineuse, formée par un kyste ovarique renversé, et dont la couche extérieure était constituée par le placenta. Dans
emme qui fait le sujet de cette observation , après plusieurs fausses couches , se crut grosse; elle éprouva, au 9e mois, des do
lle mourut 32 ans après la conception. Le fœtus était couvert d'une couche mince de substance calcaire : il pesait 7 livres.
4 ans, devint grosse pour la seconde fois (elle avait fait une fausse couche la première année de son mariage). Les signes ord
rps striés ; l'autre à gauche, un peu plus volumineux en dehors de la couche optique. Ce dernier fo\^er communiquait avec le v
la coloration noire ardoisée cadavérique, que présente si souvent la couche superficielle de la rate et du foie, coloration q
usé, corrodé par une tumeur très volumineuse qui l'avait réduit à sa couche la plus externe, en sorte qu'il n'est pas diffici
ait comme une enveloppe corticale compacte et partout homogène. ce La couche extérieure divisée, on trouvait des cellules disp
ration était purement accidentelle et que le stylet avait traversé la couche musculaire peu épaisse qui formait le fond du foy
pour la substance grise des circonvolutions, et respectant souvent la couche blanche subjacente, me parait rendre un compte sa
cela dans une assez grande étendue. La coloration ne dépassait pas la couche la plus superficielle de ces organes. La pie-mère
vient d'être enlevée irrégulièrement par un instrument tranchant. Une couche celluleuse très fine, colorée en jaune, atteste l
ane formée aux dépens de la substance grise, sous laquelle existe une couche mince de bouillie jaunâtre. La substance blanche
a substance grise de ces circonvolutions, et qui s'étendait même à la couche adjacente de substance blanche. Dans l'hémisphère
blables petits foyers existaient dans le corps strié droit et dans la couche optique gauche. Dans l'autre cas, le sinus long
le moindre contact, l'immersion dans l'eau ont suffi pour détacher la couche superficielle ramollie. La substance grise du cor
toute son étendue ; d'autres fois, le ramollissement n'envahit que la couche la plus superficielle; d'autres fois, il attaque
n'est point altérée dans toute son épaisseur, mais seulement dans sa couche la plus superficielle. Les circonvolutions en p
ro-antérieur, d'an-téro-postérieur qu'il était jusque-là, derrière la couche optique, à l'entrée delà cavité digitale; i° un p
ance grise du corps strié droit, au niveau de la partie moyenne de la couche optique; 3° un petit foyer également rempli de ce
également subi un ramollissement pultacé couleur blanc-lilas, et les couches superficielles s'enlèvent avec les membranes. 3
ur se produire de toutes pièces; un tissu,fibreux non recouvert d'une couche muqueuse remplace la portion d'estomac détruite.
éas, une cicatrice UC, formée par ce dernier organe, que recouvre une couche de tissu fibreux lisse. La muqueuse forme tout au
vaires. Considérations et observations sur les maladies des femmes en couches en général et sur le typhus puerpéral en particul
10 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
er le corps des os longs ainsi atrophiés en lamelles séparées par des couches très minces de tissu spongieux. L'atrophie des
courts et même des os larges, se manifeste par l'amincissement de la couche compacte qui les revêt, et par la raréfaction de
acilité. Le corps du fémur, le corps du tibia, présentaient, sous une couche très mince de substance compacte, une cavité très
ent les caractères du cartilage, et enfin ceux de l'os. Ce sont « les couches les plus profondes des muscles qui éprouvent cett
ontinuaient avec les fibres musculaires et étaient séparées par des « couches de muscles. L'extrémité de ces lamelles était obt
sait non-seulement aux dépens du périoste, mais encore aux dépens des couches musculaires adjacentes : j'ai donc eu lieu d'être
de la surface, le tissu était spongieux et pénétré de graisse; que la couche fibreuse qui maintenait les fragmens réunis était
cette disparition s'opère graduellement. Les cartilages sont absorbés couche par couche, molécule par molécule, sans qu'ils ma
rition s'opère graduellement. Les cartilages sont absorbés couche par couche , molécule par molécule, sans qu'ils manifestent l
obules ne sont cartilagineux qu'à leur surface. Pour quelques-uns, la couche cartilagineuse est extrêmement mince, et chaque m
'est épanoui en tissu spongieux, lequel s'enfonce et se perd, par ses couches superficielles, dans l'épaisseur de la tumeur. Le
ractère d'organisation, et qui sont enveloppées de tous côtés par des couches inégalement épaisses de cartilage. Ces concrétion
ux. Les mamelons osseux de la surface apparaissent recouverts par une couche fibreuse mince, formée par la portion cartilagine
jâ couleur blanc-grisâtre de la surface de la tumeur,couleur due à la couche cartilagineuse qui la revêt; la mollesse élastiqu
-phyte} pour désigner les excroissances qui tirent leur origine de la couche superficielle des os, pourvu qu'on en sépare rigo
nsidérable n'éprouve pas quelque changement de texture, soit dans ses couches superficielles, soit dans toute son épaisseur, et
eu lieu aux dépens du système veineux appartenant au périoste et aux couches superficielles de l'os. Des deux exostoses que
formées aux dépens du système veineux appartenant au périoste et à la couche la plus superficielle de .xxie livraison. 1 L
lleure santé. Elle a eu huit enfans, dont le dernier a trois ans. Ses couches ont été heureuses. Depuis son enfance, elle était
est resté adhérent à l'œil. La surface de la tumeur est bosselée; une couche de tissu fibreux d'inégale épaisseur l'enveloppe.
pertes de substance des membranes muqueuses est fibreuse, mais que la couche fibreuse est tellement ténue, qu'on dirait que le
ent quelquefois à un examen superficiel, cachées qu'elles sont par la couche épaisse de mucus qui revêt habituellement la surf
, avait éprouvé une hématémèse. j'ai trouvé l'estomac tapissé par une couche épaisse de mucosités couleur de suie : la matière
it mêlée au mucus sous la forme de stries noirâtres : à travers cette couche épaisse de mucosités, on voyait la surface intern
ouverions la source de ce sang dans l'estomac ; et en effet, sous une couche épaisse de mucosité parcourue de stries noires, n
n devoir faire diminuer ce nombre. Les granulations constituaient une couche uniforme , et étaient tellement pressées les unes
, dures et grisâtres. Les autres follicules , moins gros, forment une couche épaisse, dans laquelle ils sont serrés les uns co
és les uns contre les autres et disposés, du cardia au pylore, en une couche continue dont la surface, ayant plus d'étendue qu
miliaires et pisiformes très nombreux et formant en quelque sorte une couche sur la muqueuse. « Dans le gros intestin les fo
veloppement remarquable. Sous la mâchoire inférieure, ils forment une couche continue allant de l'une à l'autre oreille, le lo
une phlegmasie chronique. Le péritoine pariétal était tapissé par une couche pseudo-membraneuse très dense, épaisse d'une ou d
evaient avec facilité. Le foie atrophié était refoulé en haut : une couche épaisse de pseudo-membrane, ayant la consistance
raient à leur centre un petit foyer purulent, autour duquel était une couche épaisse brun-ardoisé ponctuée de blanc, ce qui do
s. Ce serait en vain qu'on chercherait à les rapporter exactement aux couches qui recouvrent le cordon testiculaire dans l'état
ouches qui recouvrent le cordon testiculaire dans l'état naturel. Ces couches augmentent, diminuent, se dénaturent par suite de
t le péritoine. 4° C'est entre ces deux membranes qu'est contenue une couche assez épaisse de sérosité et de matière gélatinif
i-même. Sa surface, qui est muqueuse SMF, SMF, est recouverte par une couche pseudo-membraneuse inégale et comme rugueuse, qui
ctérisée par une pseudo-membrane au-dessous de laquelle se voyait une couche assez épaisse de sang coagulé qui la séparait du
estin, non moins que la tranche de la section, m'ont démontré que les couches celluleuses qui séparent ces tuniques étaient inf
rquable par un grand développement de graisse, laquelle occupait deux couches bien distinctes de tissu cellulaire : i° le tissu
éritonéal. La graisse sous-muqueuse, qui était très fine, formait une couche uniforme et présentait çà et là de petites masses
je n'avais pas encore eu occasion de rencontrer la graisse déposée en couche uniforme dans une certaine étendue du tissu cellu
de la Maternité au moins de juin 183o, le vingt-et-unième jour de ses couches . Voici les détails de cette observation. Lorsqu
stance qui est d'ailleurs commune à toutes les maladies des femmes en couche , même les plus graves; il en est qui demandent de
esque éteinte. La malade succombe le 9 juin, vingt-et-unième jour des couches . Ouverture. — Rien sous l'érysipèle. — Utérus :
l, il constitue quelquefois une très grave maladie'chez les femmes en couches . J'ai assez de faits pour être en mesure de trace
tissu. La surface libre de la membrane muqueuse est couverte d'une couche pseudo-mernbraneuse morcelée, blanchâtre dans la
stin sous l'aspect d'un bourrelet proéminent. Indépendamment de cette couche pseudo-membraneuse, les plaques agminées étaient
té, au contraire, toutes les traces d'une inflammation violente : une couche de matière mucoso-purulente la tapissait; couleur
ne véritable gangrène ; la membrane muqueuse était transformée en une couche noirâtre, épaisse, adhérente, gangreneuse : on eû
plissement de la muqueuse à la manière des valvules conniventes : une couche pseudomembraneuse, morcelée, recouvrait les villo
cancer se présente sous la forme ulcéreuse, et détruit successivement couche par couche, toutes les parties environnantes. Sou
résente sous la forme ulcéreuse, et détruit successivement couche par couche , toutes les parties environnantes. Souvent une in
hauteur. Cette partie dégénérée adhérait à l'utérus et au vagin : la couche superficielle du col de l'utérus avait participé
rande étendue; la membrane musculeuse avait même été envahie dans ses couches les plus profondes. La coupe de l'intestin montre
du tissu: il ne présente qu'un seul mode de destruction, l'usure par couches successives. Cette usure, quelquefois rapide, per
trêmement épaisses , fibreuses , et paraissaient formées de plusieurs couches superposées. Le tissu propre de la rate ne recouv
alocyste du foie présenté à la Société anatomique, le pus formait une couche épaisse autour du kyste; les parois de celui-ci é
son centre, où il touchait le diaphragme, il était recouvert par une couche de tissu hépatique qui allait en augmentant à mes
kyste était "fibreux, cartilagineux, parsemé de plaques calcaires. La couche qui le tapissait immédiatement était couleur de b
illaires d'une extrême ténuité qui apparaissent lorsqu'on absterge la couche crémeuse qui recouvre la surface de la section ou
termédiaire: dans d'autres points, ces foyers étaient séparés par une couche plus ou moins épaisse de tissu hépatique. Il y av
épaisseur variable; elles étaient évidemment formées aux dépens de la couche la plus superficielle du poumon. L'autre poumon
t dur. Elle est traversée par des veines volumineuses perméables. Ses couches superficielles ont beaucoup plus de densité et mo
miner par gangrène. Or, tantôt la gangrène envahit successivement, et couches par couches, l'organe cancéreux; tantôt elle atta
ngrène. Or, tantôt la gangrène envahit successivement, et couches par couches , l'organe cancéreux; tantôt elle attaque l'organe
hérait à la plèvre costale dans une certaine étendue, offrait dans sa couche superficielle une induration qui, si elle avait é
ent disséminées à diverses profondeurs; quelques-unes soulevaient les couches superficielles du foie, qui était bosselé à leur
biliaire plus considérable que dans le gros calcul et entourée d'une couche de cholestérine. Réflexions._i ° De V influence
t que plusieurs grains appliqués sur la peau. Le 11 au soir, j'incise couche par couche l'eschare avec une lancette et j'arriv
eurs grains appliqués sur la peau. Le 11 au soir, j'incise couche par couche l'eschare avec une lancette et j'arrive au foyer:
hragme et à la paroi antérieure de l'abdomen,était constituée par une couche hépatique mince, couche hépatique qui a dégénéré
érieure de l'abdomen,était constituée par une couche hépatique mince, couche hépatique qui a dégénéré en tissu fibreux dans un
, le canal cholédoque présentait une eschare formée aux dépens de sa couche la plus profonde. Au niveau du canal cystique, do
osseuses et cartilagineuses, contenant une matière gélatiniforme. La couche fibreuse qui constituait l'écorce de la tumeur ét
ses et fibreuses, remplie par un liquide lie-de-vin, tapissée par une couche pseudomembraneuse, épaisse, maculée de sang, orga
ouche pseudomembraneuse, épaisse, maculée de sang, organisée dans ses couches les plus extérieures, présentant diverses colorat
ans le doute à cet égard, le plus souvent j'ai pu reconnaître que les couches les plus superficielles des poumons avaient été e
c ces plaques cireuses comme ayant essentiellement leur siège dans la couche la plus superficielle du poumon. Des degrés insen
reux proprement dits qui affectent toujours une prédilection pour les couches superficielles du poumon , mais qui s'observent a
ficielles du poumon , mais qui s'observent aussi quelquefois dans les couches profondes. Il ne faudrait pas conclure de ce qu
t passage aux parties déplacées. Sous la peau, on trouvait : i° une couche de tissu adipeux, et sous cette couche, une membr
la peau, on trouvait : i° une couche de tissu adipeux, et sous cette couche , une membrane séreuse parfaitement transparente e
âtre, si bien qu'en enlevant la tumeur, on enlevait en même temps une couche de tissu cérébral. Des vaisseaux veineux très dév
e apporté à la circulation veineuse. L'œdème douloureux des femmes en couches présente des variétés. Lorsque la phlébite occupe
phlébite, qui n'est autre chose que l'œdème douloureux des femmes en couches , se termine en général d'une manière heureuse, ft
surprendra pas si on se rappelle que c'est ce centre qu'occupent les couches les moins cohérentes, et d'après ma manière de vo
e plus liquide au centre du caillot, je répondrai que de même que les couches les plus excentriques du caillot peuvent servir d
supérieure du vagin gangrenée communiquant largement avec la vessie. Couches cancéreuses aux limites de la gangrène. — Corps d
veloppées dans l'épaisseur des muscles, les unes dans l'épaisseur des couches superficielles, les autres au centre des muscles,
autres au centre des muscles, un certain nombre dans l'épaisseur des couches profondes. 4° Les tendons, le périoste, les syn
ant par les progrès de la dilatation veineuse et se dépouillant de la couche graisseuse qui la double et qui pénètre dans son
ai vu des varices ampullaires perméables au sang et tapissées par une couche pseudo-membraneuse jaune-orangé qui rappelle exac
, et le pied sur sa face dorsale et le long de son bord interne. La couche sous-épidermique de la peau, le derme lui-même ét
contrastaient avec l'injection et les extravasations sanguines de la couche sous-cutanée. A la cuisse le tronc de la saphène
parfaitement circonscrite. Membres inférieurs. Le sang infiltre la couche cutanée sous-épidermique: il infiltre le derme. L
sont séparés les uns des autres par du sang extravasé. Il y avait une couche de sang entre cette couche adipeuse et l'aponévro
tres par du sang extravasé. Il y avait une couche de sang entre cette couche adipeuse et l'aponévrose jambière. Epanchement de
muscles et dans l'épaisseur de ces muscles. On voyait, en outre, une couche de sang au devant du ligament interosseux. Hémo
on sanguine de tout le tissu cellulaire séreux, intermédiaire à cette couche adipeuse et à l'aponévrose jambière. Rien sous l'
le cartilage qui revêt la face supérieure de cet os est décollé de la couche osseuse subjacente , laquelle est pénétrée de san
e sang sous le périoste, et, en effet, le périoste était décollé. Une couche de sang très dense le séparait de la surface de l
it une gouttelette de mercure; chaque tubercule était environné d'une couche mince de tissu musculaire rouge et fragile. L'a
pondantes sont remplies de caillots. Ces caillots que constituent des couches stratifiées d'inégale consistance ne débordent nu
onsistance ne débordent nullement la surface interne de l'artère; une couche d'apparence organisée , parcourue de rides parall
té de cette artère jusqu'au renflement terminal, lequel est rempli de couches stratifiées, au milieu desquelles le sang chercha
nduré. Dans plusieurs coupes des parois du sac, on retrouve ces trois couches distinctes. Cette tumeur communiquant avec l'ao
ssu artériel : c'était une membrane fibro-celluleuse tapissée par une couche pseudo-membraneuse assez dense, ridée, plissée, m
nostiquer l'anévrysme. Déjà le sang avait pénétré entre plusieurs des couches de lamelles décolorées qui tapissaient immédiatem
poche, et le temps n'était pas éloigné où ce sang allait atteindre la couche la plus extérieure de ces lamelles, pour pénétrer
rait rendu inutile la digue contre l'impulsion du sang, formée par la couche de lamelles intermédiaires au sang en circulation
dhérence; la surface externe des caillots sanguins SCS présentait une couche brunâtre tomenteuse qui annonçait qu'un travail d
iées qui tapissent la poche. Ces concrétions étaient très denses; les couches les plus externes avaient une densité bien plus g
ouches les plus externes avaient une densité bien plus grande que les couches internes. La surface interne de la poche, formée
ur : cette fausse membrane était peu cohérente, mince, et formait une couche morcelée. Le cœur était très volumineux : il ét
rieure, le bord gauche, la cloison et le sommet sont tapissés par une couche épaisse de caillots stratifiés qui méritent de fi
es du cœur offraient divers degrés de consistance; on voyait même des couches de sang noir concret récemment déposé, intermédia
s couches de sang noir concret récemment déposé, intermédiaires à des couches denses, élastiques et décolorées, dénotant une fo
du cœur sont mises à nu, et on voit parfaitement la disposition de la couche superficielle de ces fibres. Une coupe du cœur
plectiques FA, FA. Sur le bord droit de la coupe, la séparation des couches superficielles du cœur a permis de voir que le sa
sanguines s'enlèvent avec une grande facilité, à l'exception de leur couche la plus extérieure qui est très dense, organisée,
i complètement séparée des parois du cœur, dont elle paraît former la couche la plus interne. Cette couche se voit très bien d
ois du cœur, dont elle paraît former la couche la plus interne. Cette couche se voit très bien dans la figure, et sur la moiti
(a) Pièce anatomique communiquée par M. Padieu, interne à Bicêtre. couches . La dissection attentive de la coque fibreuse dém
dans (ï) l'examen anatomique de cette plaque a montré que sous une couche cartilagineuse étaient des concrétions de phospha
aisse est encore plus abondante que dans ce dernier cas, et forme une couche plus épaisse, qui s'étend en diminuant jusqu'au-d
rement graisseux dans ses parois, sauf les colonnes charnues, sauf la couche mince de fibres musculaires qui les soutient, san
se rompre dans toute l'épaisseur de l'organe, mais seulement dans ses couches les plus internes, le sang peut s'infiltrer dans
ais jamais comme un corps capable de se pénétrer de la vie. Ainsi une couche de sang, interposée aux deux lèvres d'une plaie ,
bition. Si elles s'accroissent, c'est par l'application successive de couches nouvelles; si elles décroissent, c'est par une so
dans la préparation par laquelle on sépare les deux ventricules, une couche mince de la cloison appartient seule au ventricul
ation de l'oreillette et l'épaississement de ses parois, soit dans sa couche musculaire, soit dans sa membrane interne. Mais
miliaires que présentent les pseudo-membranes du péricarde dans leur couche la plus profonde, c'est-à-dire dans celle qui est
stans où le malade peut rester autrement qu'assis sur son séant,il se couche à droite: aussi l'iufiltration du tronc et de la
ique de l'aorte et de l'artère pulmonaire étaient recouvertes par une couche pseudo-membraneuse, blanchâtre, aréolaire, mamelo
ane. La surface interne du péricarde était également tapissée par une couche pseudo-membraneuse , mais beaucoup moins épaisse.
ins épaisse. La coupe du cœur (fig. 2) représente l'épaisseur de la couche pseudo-membraneuse qui recouvre cet organe. Cette
ui recouvre cet organe. Cette épaisseur est vraiment prodigieuse. Les couches les plus profondes sont très cohérentes ; les cou
rodigieuse. Les couches les plus profondes sont très cohérentes ; les couches les plus superficielles sont évidemment de nouvel
t de nouvelle formation, en sorte qu'il faut admettre ou bien que ces couches superficielles ont été sécrétées par les couches
ttre ou bien que ces couches superficielles ont été sécrétées par les couches les plus profondes, ou bien que les produits aux
les plus profondes, ou bien que les produits aux dépens desquels ces couches superficielles ont été formées, avaient dû traver
ces couches superficielles ont été formées, avaient dû traverser les couches profondes. La pseudo-membrane du péricarde présen
rane du péricarde présentait la même disposition, c'est-à-dire que la couche superficielle était molle et aréolaire, et que la
-dire que la couche superficielle était molle et aréolaire, et que la couche profonde était très dense. Les poumons, refoulé
s avant et après leur chiasma, ont été atrophiés par compression. Les couches optiques, et plus particulièrement les corps geno
nerfs optiques, sans lésion aucune des corps genouillés externes, des couches optiques, ni de quelque partie que ce soit du cer
as subi la même altération, elle offre sa disposition accoutumée. Les couches optiques et les tubercules quadrijumeaux sont par
, étaient frappés de pneumonie. Comme dans toutes les pneumonies, Une couche pseudo-membraneuse mince tapissait la plèvre et r
atrices apoplectiques, suite de la destruction presque complète de la couche optique, j'ai rencontré la pyramide antérieure du
travers la protubérance, et même en avant de la protubérance dans la couche inférieure du pédoncule antérieur. Je n'ai pas su
nfoncent dans l'épaisseur des corps res-tiformes, dont on sait que la couche blanche est formée par les faisceaux latéraux de
moelle, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des couches optiques des corps calleux, de la voûte à trois p
f. Leur circonférence est comme dentelée. Il est donc probable que la couche superficielle de cette substance blanche a été dé
doncule cérébral droita.VB.it éprouvé la transformation grise dans sa couche inférieure, c'est-à-dire dans celle qui fait suit
st-à-dire dans celle qui fait suite aux pyramides antérieures ; cette couche inférieure était dense, fàsciculée et semblait n'
est indurée et grise comme le ruban optique qui lui fait suite. La couche optique droite paraissait, au premier abord, avoi
avec attention, il m'a paru qu'il y avait seulement destruction de la couche blanche qui revêt la substance grise. Le corps
nt de l'épaisseur de ce corps ; plusieurs sont formées aux dépens des couches les plus inférieures ; telles étaient deux larges
bas et humides; elle y est accouchée et a éprouvé, à la suite de ses couches , un rhumatisme général dont elle a parfaitement
légie. Voici les antécédens : Mariée à dix-neuf ans, elle a eu deux couches fort heureuses. Son mari lui donna un écoulement,
kyste, était convertie en une poche purulente. Il restait à peine une couche de tissu médullaire intermédiaire à la pie-mère e
tissu médullaire intermédiaire à la pie-mère et au pus. Encore cette couche manquait-elle en grande partie. Il restait égalem
gauche: rien. Je trouve la source de la douleur deltoïdienne dans une couche purulente, située sous le deltoïde , entre ce mus
quadrijumal postérieur droit. Quelques îles ou taches grises sur la couche optique ; deux îles ou taches grises à la face in
itive? i° JNbn-seulement la moelle, mais encore la protubérance, la couche optique, les tubercules quadrijumaux, le corps ca
purulens. Cette altération est : ici superficielle, là profonde ; les couches purulentes qui entourent les vertèbres sont pénét
élaniques, qui ne sont autre chose que des érosions recouvertes d'une couche de sang noir. De ces érosions les unes sont très
es, lesquels étaient lacérés jusqu'au lieu de leur continuité avec la couche optique ; une très grande quantité de sang était
les : la protubérance proprement dite n'avait été entamée que dans sa couche la plus supérieure, et les pédoncules cérébelleux
ral de l'arachnoïde, dans la cavité même de l'arachnoïde, se voit une couche de sang de deux lignes d'épaisseur, moitié liquid
xité : le cerveau, le cervelet et la protubérance sont entourés d'une couche de sang. La protubérance (1) Observation recuei
irement, mais entièrement musculeuse, ou plutôt qui consiste dans une couche musculeuse, un véritable sphincter, ayant toute l
malade étant morte six ans après l'attaque, je trouvai en dehors des couches optiques et des corps striés, et aux dépens de ce
rnes ? un foyer celluleux cicatrisé occupant toute la longueur de ces couches et de ces corps; je trouvai en outre plusieurs ci
ssibilité d'articuler les sons, il y avait destruction complète de la couche optique gauche, et de la partie correspondante du
'à gauche, il y avait -deux é;panchemens, l'un dans l'épaisseur de la couche optique du côté droit, l'autre dans l'épaisseur d
ur de la couche optique du côté droit, l'autre dans l'épaisseur de la couche optique gauche. Enfin, la rapidité de la mort n
très superficiellement dans l'épaisseur du lobe occipital, et que la couche mince qui la séparait des membranes a été atrophi
rveau, et qui, dans le reste de son étendue, en était séparée par une couche mince de substance cérébrale. Les tubercules dont
à des vaisseaux extrêmement déliés visibles seulement à la coupe. Une couche mince demi transparente, appliquée sur un verre e
chute sur la tête avec perte de connaissance. Le ramollissement de la couche cérébrale qui environnait le premier abcès, la co
jacent aux circonvolutions du lobule ; destruction d'une partie de la couche optique, dont il ne reste que le tiers interne en
estruction de la niasse encéphalique, quels qu'en soient le siège, la couche optique, les corps striés, la protubérance, le ce
à sa surface, se voit le corps strié externe, en dedans duquel est la couche optique en arrière et le corps strié interne en a
s du cerveau occupe ce lobule, qui est moulé sur le corps strié et la couche optique, lesquels peuvent être considérés comme l
rice. Sous la membrane ventriculaire, au niveau et aux dépens de la couche optique", se voyait une petite cavité, traversée
traversée par des filamens celluleux et qui s'étendait, à travers la couche optique, jusqu'au corps strié externe, lequel éta
stance grise , des pellicules peau de chamois. Dans l'épaisseur de la couche optique, deux petits foyers celluleux, sans color
Ces petits foyers occupent en général la substance grise, les uns la couche superficielle, les autres la couche profonde de c
al la substance grise, les uns la couche superficielle, les autres la couche profonde de cette substance grise; les premiers s
nu après l'ablation de la pie-mère ; ceux-ci sont recouverts par une couche mince de substance grise, et à leur niveau, la su
nt tout-à-fait superficielles, les autres étaient recouvertes par une couche mince de substance cérébrale à travers la transpa
aisseur. On ne trouvait d'ecchymose ni dans le corps strié ni dans la couche optique. Toutes ces lésions existaient dans l'hém
atement lorsqu'on a enlevé la pie-mère; les autres recouverts par une couche mince de substance cérébrale. Ces petits foyers m
met de la tête. La malade mourut le soir, le vingt-et-unième jour des couches , le sixième jour de l'invasion de la céphalalgie.
urface du cerveau présentait des ecchymoses , qui n'occupaient que la couche superficielle de la substance grise. Ces ecchymos
uverture du corps. Dans la cavité de l'arachnoïde, sous la dure-mère, couche mince de sang coagulé, récemment épanché, qui occ
rface convexe des hémisphères cérébraux. Sous l'arachnoïde cérébrale, couche de sérosité de deux lignes d'épaisseur. La sérosi
idérable de cette circonvolution. Il est des foyers qui occupent la couche superficielle seulement de la substance grise ; i
ne apoplexie capillaire de la substance grise des circonvolutions, la couche optique et le corps strié étant intacts; la cicat
ite avec beaucoup de précau-sion entraîne, dans plusieurs points, une couche de bouillie cérébrale appartenant aux parties ram
lui donnent un aspect marbré. — Une grande anfractuosité présente la couche lie-de-vin foncée, ou celle de fraise écrasée, et
hères cérébraux se voit de chaque côté une grosse masse formée par la couche optique et le corps strié. PC sont les plexus cho
oncules antérieurs très petits. Les corps olivaires, le cervelet, les couches optiques et les corps striés avaient leur volume
t commencer à la lame cornée qu'on voit au sillon de séparation de la couche optique et du corps strié, revêtait le corps stri
uadrijumeaux,les olives, les pédoncules cérébelleux, le cervelet, les couches optiques et les corps striés n'avaient nullement
opsie, ne put découvrir ni corps calleux, ni ventricules latéraux, ni couches optiques, ni corps striés, ni tubercules quadri j
a face correspondante de la faux étaient tapissées en arrière par une couche purulente; renversant alors le cerveau d'avant en
entricules. Le cerveau étudié par sa base m'a présenté (fîg. 1) une couche de pus concret ou fausse membrane purulente FM, F
e pus concret ou fausse membrane purulente FM, FM, faisant suite à la couche purulente observée dans la scissure de l'hémisphè
e l'arachnoïde; la tente du cervelet était également tapissée par une couche de pus concret. En outre, le cerveau, incisé d'
d'odeur: le kyste purulent peut être très aisément énu-cléé, mais une couche de substance cérébrale ramollie est restée adhére
mplis , leurs parois xxxiiie livraison. 1 étaient tapissées par une couche de pus à derrîi concret, les plexus choroïdes éta
pus à derrîi concret, les plexus choroïdes étaient enveloppés par une couche pseudo-membraneuse. Le cerveau était verdâtre au
par laquelle le pus des ventricules s'était échappé au dehors. Cette couche verdâtre n'occupait que l'épaisseur de la substan
qui établit la présence d'une collection de liquide au-dessous d'une couche mince de substance cérébrale; et, en effet, une p
la dure-mère leur adhérait si intimement qu'on ne pouvait enlever ses couches superficielles. La coupe de cette tumeur avait
ependant, dans un cas, la tumeur de la dure-mère était entourée d'une couche de sang dont la source était une déchirure sponta
tance était celle d'un caillot sanguin décoloré, et la présence d'une couche épaisse de sang coagulé motivait cette manière de
estait, à proprement parler, que la substance grise, tapissée par une couche blanche analogue au blanc-manger et par une cellu
, comme tuberculeuse. Ses parois étaient con-« stituées par plusieurs couches successives. La lame externe était fibreuse; sous
hes successives. La lame externe était fibreuse; sous elle était une « couche calcaire. Cette matière était contenue, ajoutais-
nombre de lamelles, et atrophie de ce lobe. —Apoplexie récente de la couche optique gauche et de la portion attenante du corp
al proprement dit, c'est-à-dire la masse gangliforme constituée parla couche optique et le corps strié. Ce foyer, qui apparais
e de la membrane ventri-culaire intacte, était formé aux dépens de la couche optique et de la portion du corps strié située en
che optique et de la portion du corps strié située en dehors de cette couche optique , et qu'on appelle généralement aujourd'h
ce cérébrale adjacente, qu'on ne peut l'en séparer sans déchirure. La couche cérébrale adjacente est d'ailleurs d'une couleur
ou plutôt brun clair : sa consistance est moins grande cpie celle des couches les plus voisines : dans ces couches, j'ai trouvé
est moins grande cpie celle des couches les plus voisines : dans ces couches , j'ai trouvé de petites taches de sang comme dans
ce brun jaunâtre, qui s'enlève à la manière d'une pellicule mince. La couche cérébelleuse subjacente est d'une densité remarqu
de l'apoplexie. Le foyer sanguin récent occupait essentiellement la couche optique : aussi le membre supérieur du coté oppos
ille et Pinel-Grandchamp ont donc eu quelque raison de placer dans la couche optique le principe des mouvemens du membre supér
de cette « partie, mais peu profond et comme engorgé, obstrué par des couches horizontales celluleuses, occa-ce sionées sans do
grande du centre de cette excroissance, on pourrait présumer que les couches intérieures ont ce été formées les premières, ou
e production cornée n'a pas été accompagnée de suppuration, et qu'une couche cornée restait encore adhérente à la portion de p
, de même que le tronc des vieux arbres atteste, par l'altération des couches ligneuses, les désordres dans la végétation qui o
dit-il, l'aspect de calculs vésicaux dont l'accroissement se fait par couches successives, ou de squames superposées, de grande
s dans l'épaisseur des muscles, les uns faisant saillie du côté de la couche superficielle de ces muscles, les autres enseveli
s nerfs de la base du crâne présentaient à leur origine apparente une couche mince de matière tuberculeuse, irrégulièrement dé
rminer sur la portion membraneuse du canal de l'urètre. En outre, une couche mince de fibres musculaires comme rayonnantes, fa
manière d'une injection. Les grains glanduleux sont séparés par des couches musculaires extrêmement prononcées, qui font suit
ion que les fibres musculaires delà vessie, non-seulement forment une couche extérieure et intérieure à la prostate, mais enco
accoutumée, mais bien sur la tunique musculeuse, laquelle formait une couche épaisse CM, et sur la couche graisseuse CG, qui f
tunique musculeuse, laquelle formait une couche épaisse CM, et sur la couche graisseuse CG, qui formait une couche épaisse int
ne couche épaisse CM, et sur la couche graisseuse CG, qui formait une couche épaisse intermédiaire au péritoine et à la tuniqu
de l'hypertrophie de la vessie, de l'épaisseur si considérable de la couche musculeuse et de la couche graisseuse, de la sail
ssie, de l'épaisseur si considérable de la couche musculeuse et de la couche graisseuse, de la saillie des colonnes charnues e
sain. La surface interne des calices était livide et tapissée par une couche purulente. Les testicules étaient sains, à l'exce
ion d'urine avec regorgement. Je ferai remarquer l'hypertrophie de la couche graisseuse sous-péritonéale qui semble établir qu
ces lobules dans l'intérieur de la vessie. Quant à la présence d'une couche prostatique épaisse autour de la moitié supérieur
rsée par des fibres musculaires qui sont encore le prolongement de la couche musculaire de la vessie. L'épaisseur de la couche
prolongement de la couche musculaire de la vessie. L'épaisseur de la couche musculeuse prostatique externe et la ténuité de l
sseur de la couche musculeuse prostatique externe et la ténuité de la couche musculeuse prostatique interne expliquent pourquo
à l'hypertrophie de la tunique musculeuse, ne constituait ici qu'une couche mince. Les bosselures de la surface interne de
étroit, multiloculaires. Le tissu adipeux sous-péritonéal formait une couche extrêmement épaisse. J'ai rencontré un autre ca
du cadavre— Cerveau. La dure-mère incisée, je trouve , à droite , une couche mince de sang dans la cavité de l'arachnoïde; mai
les autres parties du cerveau étaient saines, et, en particulier, les couches optiques et les corps striés. Reins. Le rein dr
e défaut de circonscription du sang épanché, et par l'intégrité de la couche optique et du corps strié. C'est à l'irriiaiion e
ineuses; et, s'il vient des parois veineuses, il filtre à travers les couches les plus extérieures, qui sont en même temps les
core organisées, mais qui datent de quelques jours, sont composées de couches concentriques de densité différente. Or, constamm
s de couches concentriques de densité différente. Or, constamment les couches les plus extérieures, celles qui avoisinent la pl
mbrane séreuse, ont une densité de beaucoup plus considérable que les couches les plus intérieures, qui présentent, pour ainsi
mbrane et qui ont certainement été formées les dernières; comment ces couches les moins cohérentes, les plus intérieures, c'est
res, comment et par quoi ont-elles été sécrétées? Ce n'est pas par la couche pseudo-membraneuse adjacente qui est à peine disp
est à peine disposée en membrane; ce ne peut pas être non plus par la couche plus voisine de la séreuse que nous avons supposé
s produits de sécrétien, au lieu de se déposer entre la séreuse et la couche pseudo-membraneuse contiguë, filtrent à travers t
la couche pseudo-membraneuse contiguë, filtrent à travers toutes les couches jusqu'à la surface libre. Le même raisonnement s'
s'appliqtierait parfaitement à la fausse membrane organisée dans ses couches les plus extérieures. Je conclus que, pour expl
'os. Dans d'autres points, la dégénération a débuté, tantôt par les couches les plus superficielles de l'os : il semble alors
eux envoie des prolongemens dans l'épaisseur de l'os ; tantôt par les couches moyennes ou le centre du tissu compacte, où quelq
seuses sont remplacées par du tissu cancéreux; ailleurs enfin par les couches les plus profondes. Aux extrémités de l'os, la dé
culaire, qu'on pourrait considérer comme la peau amincie ou comme une couche superficielle de la peau dégénérée dans toute son
il, armé d'une loupe, distinguait, à travers la transparence de cette couche superficielle, des alvéoles fibreuses remplies d'
transformée en* une seule masse fibreuse et lobuleuse. Il y avait une couche épaisse de pus entre cette tumeur et le grand pec
du côté de la face superficielle. D'où il résulte que c'est dans ses couches su-perficielles que la peau avait été primitiveme
ancée, la peau, le tissu adipeux sous-cutané, la glande mammaire, les couches adjacentes du grand pectoral étaient transformés
ui est dune dureté pierreuse, ne fournit de suc cancéreux que dans la couche la plus profonde. Les tubercules carcinomateux
eau et le tissu cellulaire sous-cutané étaient seuls intéressés : une couche de chlorure de zinc, appliquée après vésication p
sont formées à-la-fois et par la peau et par la glande mammaire. Une couche mince de tissu adipeux sépare la peau de la gland
: on pourrait l'appeler gangrène par érosion. Elle peut se faire par couches successives; elle peut se faire en masse. i° La
souvent huit, quinze jours de retard). Treize mois après sa première couche , petite glande à la mamelle droite, qui augmenta
onvertir en une masse homogène, pulpeuse, qui se détruit et tombe par couches successives en détritus gangreneux. La transfor
portion altérée, soit d'une manière successive, en commençant par la couche la plus superficielle. Les fig. i et 2, pl. vi,
isinage de la muqueuse utérine, de telle façon qu'il avait soulevé la couche mince qui le séparait de la cavité de l'utérus po
qu'un corps fibreux développé dans l'épaisseur du col utérin sous la couche la plus interne de ce col, laquelle était soulevé
nt du corps de l'utérus, au voisinage de la muqueuse, est celui où la couche mince qui forme la coque de la tumeur du côté de
ure de la cavité utérine, je vis que sous la muqueuse doublée par une couche mince de tissu utérin, était une tumeur qu'il me
inage du péritoine, alors le développement de l'utérus est limité aux couches superficielles, c'est-à-dire à celles qui sont in
t demie de poids. La grosse tumeur était fibreuse et ossiforme : la couche superficielle était fibreuse ; de cette couche pa
euse et ossiforme : la couche superficielle était fibreuse ; de cette couche partaient des prolongemens également fibreux qui
r ostéo-fibreuse s'était formée, non sous le péritoine, mais sous les couches les plus superficielles de l'utérus, qui ont été
rus ne présentaient la moindre trace de dégénération cancéreuse : les couches du col utérin qui a voisinent la partie gangrenée
présente divers degrés : tantôt elle est bornée à la muqueuse et à la couche la plus voisine du tissu utérin ; d'autres fois e
éteindre la vie. Or, tantôt la gangrène détruit les tissus cancéreux couche par couche; tantôt elle envahit en masse les part
a vie. Or, tantôt la gangrène détruit les tissus cancéreux couche par couche ; tantôt elle envahit en masse les parties dégénér
r qu'à la pourriture d'hôpital. Or, cette destruction des parties par couches successives se fait tantôt avec une grande rapidi
te deux variétés, comme la gangrène consécutive : tantôt elle détruit couche par couche l'utérus, dont on ne trouve plus quelq
iétés, comme la gangrène consécutive : tantôt elle détruit couche par couche l'utérus, dont on ne trouve plus quelquefois que
grande étendue de parties. La fig. i est le type de la gangrène par couches successives. Je trouve dans mes notes la descript
maculée de sang. Gangrène primitive. — Destruction de l'utérus par couches successives. — Mort lente. Sur une femme réputé
ché des parois du vagin qui s'était en quelque sorte continué par les couches superficielles de l'utérus, lesquelles étaient sé
s couches superficielles de l'utérus, lesquelles étaient séparées des couches plus profondes de l'organe; que l'hypertrophie de
surface correspondante du vagin lui-même, étaient recouvertes par une couche gangreneuse. Il n'y avait pas le plus léger ves
euse. Il n'y avait pas le plus léger vestige de tissu cancéreux. La couche vivante subjacente à la couche gangreneuse était
s léger vestige de tissu cancéreux. La couche vivante subjacente à la couche gangreneuse était pénétrée de sang et un peu ramo
ne soient exactement celles de la dégénération cancéreuse, et que les couches adjacentes soient simplement maculées de sang. Je
e 11 ans, et dont l'autre fournit un cas de gangrène ayant envahi les couches les plus internes de l'utérus en procédant du ded
naison funeste. Gangrène primitive de l'utérus ayant débuté par les couches les plus internes de cet organe. Gléry, âgée de
isé, j'ai vu que la cavité de cet organe était considérable , que ses couches internes avaient été détruites par la gangrène, q
haut et à gauche, la gangrène de l'utérus s'était propagée jusqu'aux couches subjacentes au péritoine, lequel n'aurait certain
ectée de gangrène humide du col utérin, laquelle s'était propagée aux couches les plus internes du corps de l'organe. La qual
Quant à l'état général, il varie suivant que la gangrène se fait par couches successives ou qu'elle envahit à-la-fois une gran
système lymphatique dont l'inflammation très fréquente à la suite des couches a été si souvent prise pour l'inflammation des ve
est saine.—Elle n'a eu qu'un enfant, il y a i4 ans; à la suite de ses couches , est survenue à la glande mammaire gauche une tum
aphragmes extrêmement remarquables. Le rein droit est entouré d'une couche adipeuse TA extrêmement dense, intimement unie à
ncer de cet organe; or, la gangrène, tantôt détruit successivement et couches par couches les parties envahies par le cancer, t
organe; or, la gangrène, tantôt détruit successivement et couches par couches les parties envahies par le cancer, tantôt s'empa
ène peut se reconnaître au lit du malade. Dans le cas de gangrène par couches successives, une fièvre intense, l'écoulement d'u
très adhérent, qui occupe la face interne de l'utérus, aux dépens des couches internes dont il est constitué. Existe-t-il, ho
paré du sang en circulation par une espèce de kyste que constitue une couche quelquefois très mince de caillot dense et décolo
douloureux, tout-à-fait semblable à l'œdème douloureux des femmes en couches , est presque toujours la conséquence de l'inflamm
tte dégénération avait lieu aux dépens de la membrane muqueuse et des couches les plus internes de cet organe. La figure i' ren
itivement la membrane muqueuse, et s'était étendu progressivement des couches internes du tissu utérin aux couches les plus ext
était étendu progressivement des couches internes du tissu utérin aux couches les plus externes; cette forme, ou plutôt ce mode
n, que le corps présentait une infiltration de suc cancéreux dans ses couches les plus internes, et seulement dans une partie d
ement dans une partie de la circonférence de cet organe; mais que ses couches externes avaient été respectées : je saisissais,
l'utérus occupant la surface interne de cet organe qu'il détruit par couches successives, je citerai le fait suivant. Une femm
utérus était converti en une poche à parois molles, recouvertes d'une couche d'eschare et de sang, et présentant un aspect rug
re et de sang, et présentant un aspect rugueux très prononcé; sous la couche d'eschare était une couche encéphaloïde extrêmeme
t un aspect rugueux très prononcé; sous la couche d'eschare était une couche encéphaloïde extrêmement vasculaire. La portion d
'est point morbide, elle est physiologique, mais un peu exagérée. Une couche de matière tuberculeuse est restée adhérente à la
ouche de matière tuberculeuse est restée adhérente à la muqueuse. Une couche de matière tuberculeuse tout-à-fait semblable est
le, 13e liv., pl. i, n, m, p. i.— Puissance d'infection des femmes en couches . 13e liv. pl. i, n, ni, p. 3. ACCOUCHEMENT. Phl
on involontaire des urines. Mort le cinquième jour. = Apoplexie de la couche optique gauche avec communication du foyerdans le
érus. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Hé-morrhagie cérébrale spontanée de la couche optique avec communication dans le ventricule lat
e. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie postérieure du corps trié
v,p. //, i2. — Dégénération cancéreuse de la membrane muqueuse et des couches les plus internes de l'utérus. Rareté de ce mode
ssion involontaire des urines. Mon le cinquième jour. Apoplexie de la couche optique gauche avec communication du foyer dans l
côté. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Hémorrhagie cérébrale spontanée de la couche optique avec communication dans le ventricule lat
e. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie postérieure du corps stri
d nombre de lamelles, et atrophie de ce lobe. Apoplexie récente de la couche optique gauche et de la portion attenante du corp
T. Terribles effets de l'encombrement des hospices pour les femmes en couches . 13e liv., pl. 1, 11, ni, p. 3. ENDOCARDITE. Ca
eu lieu aux dépens du système veineux appartenant au périoste et aux couches superficielles de l'os. 21e liv., pl. n, p. . — D
rus. = Observations. Gangrène primitive • destruction de l'utérus par couches successives. Mort lente. 24e liv,, pl. 1, 11, p.
1, n , p. 11. — Gangrène primitive de l'utérus, ayant débuté par les couches les plus internes de cet organe. 24e liv., pl. 1,
y. HÉMIPLÉGIE. Hémiplégie complète résultant d'une apoplexie de la couche optique. 5e liv., pl. vi, p. /, 4-—Hémiplégie inc
e liv. , pl. vi, p. 2.— Hémiplégie gauche résultant d'apoplexie de la couche optique et du corps strié. 5e liv., pl. vi, p. 5.
Terribles effets de l'encombrement des hospices pour les femmes en couches . 13e liv., pl. i, n, m, p. 3. — In- convéniens
e. 10e liv., pl. m, iv, p. 4. — De l'hydropisie aiguë des femmes en couche . 11e liv., pl. 1, 11, m, p. 18. — L'hydropisie es
., pl..i, n , p. i5. INFECTION. Puissance d'infeclion des femmes en couches . 13e liv., pl. i, n , m, p. 3. — Infection cancér
moelle, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des couches optiques, du corps calleux, de la voûte à trois p
quente du rhumatisme puerpéral et de l'œdème douloureux des femmes eu couches . 17cliv., pl. m, p. /. — L'œdème douloureux des f
eu couches. 17cliv., pl. m, p. /. — L'œdème douloureux des femmes en couches n'est pas une maladie primitive. 17e liv., pl. m,
eu lieu aux dépens du système veineux appartenant au périoste et aux couches superficielles de l'os. 21e liv., pl. n, p. — Atr
moelle, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cérébelleux, des couches optiques, des corps calleux, de la voûte à trois
utérus. Observations. Gangrène primitive. Destruction de l'utérus par couches successives. Mortlenle. 24eliv., pl. 1,11,p. /0.—
l. 1,11, p. t /.— Gangrène primitive de l'utérus ayant débuté par les couches les plus internes de cet organe. 24e liv., pl. 1,
pl. n, p. a.— Degeneration cancéreuse de la membrane muqueuse et des couches les plus internes de l'utérus. Rareté de ce mode
11 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
pédoncule traverse d'abord un premier noyau de substance grise appelé couche optique ; puis un second noyau qui est le corps s
e lieu le nom d'aqueduc de Sylvius ; puis il s'abaisse entre les deux couches optiques, passe au-dessous d'un pont transverse q
t, le ventricule enroulé dont nous parlons est propre à la région des couches optiques. La commissure molle qui unit le centre
n des couches optiques. La commissure molle qui unit le centre de ces couches est le centre ou le noyau de cet enroulement. N
très-large, qui recouvre toute l'étendue de la région supérieure des couches optiques. Nous lui donnerons le nom de vestibule.
nt il pratiquait la coupe célèbre qui porte son nom. Il détachait les couches corticales d'avec les corps striés, et renversant
la moelle proprement dits, ou du moins elles n'émanent point de leurs couches superficielles. Ainsi ces cordons antérieurs écar
s de décrire, on voit qu'elles sont immédiatement enveloppées par une couche mince de substance blanche formée de fibres trans
le latéral, vers les faisceaux postérieurs du bulbe. Elle est appelée couche des fibres arciformes. Rolando a le premier fait
r affirmer l'existence d'une certaine connexion de ce nerf avec cette couche superficielle du pédoncule. Mais nous pensons, av
sses latérales, la protubérance n'est en aucune façon distincte de la couche des fibres arciformes. M. Valentin reconnaît av
me; une dissection facile permet en effet de le suivre au travers des couches fibreuses du pont, et en le suivant ainsi, on con
tes. Sa surface grisâtre et parfaitement définie, est revêtue par une couche de petites bandes fibreuses, grêles, qui, nées de
tie du noyau d'enroulement est recouverte et comme enveloppée par les couches propres aux hémisphères du cerveau. Une seule par
ute percée de trous, pour le passage des vaisseaux. Le bord libre des couches corticales de l'hémisphère la limite en avant et
de racines du nerf olfactif. Nous donnerons à cette colline le nom de couche du noyau d'enroulement. Ceci posé, nous pouvons
stances dans le lobe supérieur, l'une extérieure, rougeâtre forme une couche épaisse de 2mm50 environ, et une intérieure blanc
que nous avons signalées il n'y a qu'un instant. La première est la couche optique, la seconde est le corps strié. A. A la
que nous désignerons l'un et l'autre sous le nom de noyau central des couches optiques, communiquent entre eux, dès le cinquièm
res, très-adhérentes aux parties sous-jacentes, forment Yécorce de la couche optique. La lame qu'elles constituent, offre plus
ps entier (1). Les habenœ séparent nettement la face supérieure de la couche optique d'avec sa face médiane. II. Le second f
. II. Le second faisceau s'étale en une membrane mince autour de la couche optique. Ses fibres clair-semées se recourbent d'
'éventail pédonculaire. Elles composent essentiellement Vécorce de la couche optique. temps dans les animaux. Ces corpuscule
oisième faisceau, mieux distinct, s'enroule sur le bord externe de la couche optique, dans un sillon qui la sépare du corps st
êlées de beaucoup de substance ganglionnaire, entoure le centre de la couche optique; d'abord très-adhérente au noyau, elle s'
plus sur la grise. Ce cordon continue le mouvement d'enroulement des couches , et conduit en quelque sorte par la gouttière de
acile rétablit aisément le sens des choses. Quoi qu'il en soit, les couches optiques présentent, à leur surface, certaines pa
genouillé antérieur. L'autre, situé en arrière, mi intermédiaire à la couche optique proprement dite, et à la bandelette qui
me degré dans le groupe des primates et dans l'homme. B. — Après la couche optique, vient la deuxième grande production annu
e de massue, s'enroule sur la convexité de l'éventail en dehors de la couche optique, s'atténue peu à peu, descend sous forme
ervalle médian qui sépare les deux axes pédonculaires, entre les deux couches optiques, qu'est situé le ventricule médian. Ce v
symétrique qui recouvre fort exactement l'écorce enroulée autour des couches optiques. La cavité de cette dilatation communiqu
éveloppement relatif énorme, d'enroulement, adhèrent fortement à la couche optique et au corps strié intraventriculaire à la
epithelium. Elles sont étendues à la surface de ces corps, comme une couche de vernis. Mais au niveau du tœnia semicircularis
ent aux parties adjacentes, et suit le bord postérieur ou interne des couches optiques ; ses limites sont celles de l'écorce bl
couches optiques ; ses limites sont celles de l'écorce blanche de ces couches . La lèvre circonscrite est libre et bordée par
entre des eminences mamillaires. Ces deux cordons s'élèvent entre les couches optiques à droite et à gauche de l'infundibulum,
eur du vestibule, et, vers son milieu, l'œil plongeant entre les deux couches optiques, aperçoit la commissure molle, au-devant
gé dans un canal particulier et parfaitement défini (1), traverse les couches inférieures des corps striés, d'où il se dégage
nt, et celles qu'ils enferment. Il y a en effet des segments dans les couches musculaires ; et la moelle, composée elle-même pa
monter et circonscrire ainsi dans un cercle complet la commissure des couches optiques, et c'est ainsi que s'est formé le ventr
ps strié externe. Le corps strié interne, le tœnia semicircularis, la couche optique, les habenœ de la glande pinéale, suivent
. Les parois des bourses sont grises. On les désigne sous le nom de couches corticales. Dans les animaux supérieurs, elles so
al le bord libre de la grande ouverture en fer à cheval, contourne la couche du noyau d'enroulement (voir p. 57), et se porte
braux, le tuber cinereum, le chiasma des bandelettes optiques, et les couches inférieures des corps striés extraven-triculaires
e régions est-elle artificielle. L'hémisphère est un, il n'y a qu'une couche corticale, mais certains groupes de plis se dessi
n seul nerf olfactif, qui semblait naître du centre de l'une des deux couches optiques. Les pédoncules, les tubercules quadriju
ouverture de l'hémisphère qui adhère au noyau cérébral au devant des couches du corps strié extra-ventriculaire, c'est-à-dire,
cette difficulté. Les axes gris sont évidemment représentés par cette couche de substance grise qui touche à la paroi antérieu
nent de la face postérieure des faisceaux moyens, se dirigent sous la couche grise des axes, vers la ligne médiane, traversent
ond. Or, de même que les pyramides antérieures cheminaient entre deux couches de fibres arciformes, de même elles continuent le
à l'aqueduc de Sylvius et peut être suivi, d'une part, au centre des couches optiques, et de l'autre, jusqu'à la base du cerve
ns, la première aux tubercules quadrijumaux, la seconde au centre des couches optiques, la troisième au champ olfactif. Celle d
veloppant le pédoncule, se prolongent dans la profondeur du noyau des couches optiques. Leurs interstices donnent passage à des
sceaux gris qui plongent d'arrière .en avant sous le noyau gris de la couche optique. 11 est si marqué qu'il mérite un nom par
et du pédoncule supérieur du cervelet, s'étalent au centre de chaque couche optique en une cupule dont la concavité regarde l
t la concavité regarde le plan médian et embrasse les noyaux gris des couches . Ces noyaux gris sont en communication d'un côté
deux corps striés externes, par l'intermédiaire des noyaux gris, des couches optiques et de la commissure molle. Peut-être les
tement mesuré les deux moitiés du noyau cérébral, le noyau gris de la couche optique étant pris comme centre, on peut aisément
noyau gris compris dans l'intérieur de la cupule, à la surface des couches optiques, et se portent dans l'écorce blanche de
face des couches optiques, et se portent dans l'écorce blanche de ces couches , au niveau de leur genou antérieur, à partir duqu
e elle-même. 2° D'autres fibres, constituant en partie l'écorce des couches optiques, naissent de la partie la plus interne d
semble n'être qu'une dépendance, enveloppent toute la périphérie des couches optiques. 11 faut bien remarquer que cette écor
e la gouttière de l'anneau qui touche au corps strié inférieur. Les couches optiques, proprement dites, sont intermédiaires à
les précédentes, et se continuent dans les bandelettes optiques. Ces couches sont formées d'une bande de substance grise que p
uvent être considérées comme une dépendance de l'écorce blanche de la couche optique, seulement, au lieu de continuer leur mou
essous de la glande pinéale. Les parties qui s'enroulent autour des couches optiques, mais sans y adhérer, sont : 1° Les ba
ainsi que nous l'avons déjà dit, en suivant le sillon qui sépare la couche optique du corps strié interne, sillon au fond du
elles sont revêtues par un epithelium très-délicat. 3° Au delà des couches optiques sont les corps striés internes. Ceux-ci
irige vers les champs olfactifs, il chemine au-dessous du noyau de la couche optique, et après avoir passé sous les anneaux se
s d'un titre. A. Écorce grise du cervelet. Elle est formée de trois couches superposées dont l'épaisseur diffère. De ces troi
e de trois couches superposées dont l'épaisseur diffère. De ces trois couches , la superficielle est la plus épaisse, l'interméd
ficielle est la plus épaisse, l'intermédiaire est la,plus mince. La couche la plus profonde est formée de petites cellules d
ules sont nombreuses et très-rapprochées les unes des autres. Cette couche est presque entièrement opaque. La couche inter
unes des autres. Cette couche est presque entièrement opaque. La couche intermédiaire est transparente, elle comprend de
ct. De ces cellules sortent des prolongements qui s'enfoncent dans la couche superficielle. Celle-ci n'a d'analogue dans auc
éléments se continuent-ils avec les rayons des grandes cellules de la couche intermédiaire ? Cela peut avoir lieu quelquefois,
e. A. Structure de l'écorce des hémisphères (1). La structure des couches qui composent cette écorce n'est connue que depui
mes des parties qu'on y a distinguées. Fracassati supposait que les couches corticales résultent d'une lymphe coagulée, ce qu
r. Gennari(2), fit faire un premier pas à l'étude de la structure des couches corticales en distinguant dans toute leur étendue
cin distingue, dans toute l'étendue de l'écorce du cerveau, plusieurs couches distinctes, alternativement blanches et grises, à
tenus par M. Bail-larger. Pour ces deux auteurs l'écorce comprend six couches , savoir : 1° A l'extérieur, une couche blanche,
teurs l'écorce comprend six couches, savoir : 1° A l'extérieur, une couche blanche, fort mince, dont les fibres sont étendue
t mince, dont les fibres sont étendues à la surface du cerveau. Cette couche est la plus distincte de toutes, et peut être ape
mois. Sa structure la fait au premier abord reconnaître (1). 2° Une couche grise d'un reflet foncé, vient ensuite; 3° Puis
couche grise d'un reflet foncé, vient ensuite; 3° Puis une deuxième couche branche; 4° Une deuxième couche grise ; 5° Un
ent ensuite; 3° Puis une deuxième couche branche; 4° Une deuxième couche grise ; 5° Une troisième couche blanche ; 6°
e couche branche; 4° Une deuxième couche grise ; 5° Une troisième couche blanche ; 6° Une troisième couche grise. Dans
couche grise ; 5° Une troisième couche blanche ; 6° Une troisième couche grise. Dans la couche extérieure, et peut-être
troisième couche blanche ; 6° Une troisième couche grise. Dans la couche extérieure, et peut-être aussi dans la suivante,
, et ces fibres ne paraissent pas en connexion avec celles des autres couches . D'ailleurs, le plus ou moins de coloration de ce
des autres couches. D'ailleurs, le plus ou moins de coloration de ces couches , provient du plus ou moins de cellules qui sont m
es (2). M. Hannover assure qu'il a le plus distinctement vu ces six couches dans le cerveau et le cervelet, absolument frais
Journ. des progrès, mai 1830. (2) Recherches sur la structure de la couche corticale des circonvolutions du cerveau {Mémoire
int M. Hannover a été la dupe de quelque illusion, car d'une part les couches corticales du cervelet diffèrent absolument de ce
Or, l'application du microscope, loin de rendre cette distinction des couches plus apparente, la rend en réalité plus obscure,
e du cerveau. Cet anatomiste n'a distingué dans le cerveau que quatre couches . La plus superficielle est formée, comme l'avai
l'avait déjà vu M. Hannover, de fibres parallèles à la direction des couches corticales. La deuxième couche est grise, et co
ibres parallèles à la direction des couches corticales. La deuxième couche est grise, et contient une grande quantité de pet
et contient une grande quantité de petites cellules nerveuses. Cette couche est parcourue par des fibres nerveuses très-grêle
paisse, elle contient des cellules semblables à celles de la deuxième couche , mais beaucoup plus rares. Un grand nombre de fib
dans son épaisseur et semblent s'y terminer pour la plupart. Cette couche touche immédiatement à la masse blanche qui occup
ntre de l'hémisphère (1). Il n'y a donc pour M. Kôlliker que quatre couches , et à coup sûr le microscope lui donne raison, ma
me semble donc bien loin d'être résolu. Les éléments principaux des couches grises sont : 1° une cellule arrondie fort petite
e sont bien distincts; 2° des cellules à prolongements multiples. Ces couches sont traversées par des fibres très-déliées. Quan
s. Ces couches sont traversées par des fibres très-déliées. Quant aux couches blanches, elles semblent formées par des stratifi
ifications très-minces de fibres nerveuses. La mieux distincte de ces couches est la superficielle. En certains points les fibr
ne pouvoir donner ici une histoire plus complète, plus précise de ces couches . Il y a déjà bien longtemps qu'on a distingué les
152. (2) Tabulée anatomicœ. (3) Journal des progrès, mai 1830. couches corticales sont le siège d'un travail vital très-
ieussens. Nos bases ont été posées. Les différents départements des couches corticales ont été déterminés et définis. Il sera
t ces amas blancs intermédiaires aux noyaux terminaux de l'axe et aux couches corticales, qu'on peut comprendre sous le nom gén
stitut., mai 1854 et 4 juillet 1855- hémisphère. Elles doublent les couches corticales en passant sous leurs anfractuosités.
ent encore à l'hémisphère en occupe le centre, et la face interne des couches optiques y est visible dans toute son étendue.
de la commissure dont la tranche médiane occupe le centre même de la couche optique. L'étage inférieur du ventricule s'y vo
du pédoncule, on peut apercevoir une partie de la face supérieure des couches optiques. Le bord supérieur de l'ouverture qui
nt nous disséquons l'hémisphère. Nous soulevons en premier lieu les couches corticales le long du bord de l'ouverture de l'hé
ouvrons ainsi un premier plan de fibres immédiatement sous-jacent aux couches corticales. 1° La base de ce plan est un anneau
ette gouttière contient l'extrémité sphenoidale du repli marginal des couches corticales. Elle embrasse donc le fond de l'anfra
alle qui correspond à la cavité ancyroïde est, après l'ablation des couches corticales, exclusivement fermé par la membrane p
e du ventricule, en sorte que, chez ces animaux, la face profonde des couches corticales et la paroi propre du ventricule se to
percevoir, d'un seul coup d'œil, l'enroulement des bandelettes et des couches optiques, du taenia semicircularis et du corps st
st dans ce point que les fibres qui les composent, pénètrent dans les couches corticales, en sorte que le sommet des circonvolu
-dessous d'elle, puis au dedans, s'engage sous l'écorce blanche de la couche optique et s'enroule d'arrière en avant autour de
iocre. Il s'enroule comme à l'ordinaire sur la partie postérieure des couches optiques, où il se renfle en un corps genouillé e
ne bien apparent. Mais, au lieu de se prolonger en avant autour de la couche optique comme cela a lieu dans les monodelphes (1
rs de l'étage inférieur des deux corps striés, dans l'épaisseur d'une couche grise toute pénétrée de fibres qui, de l'anneau p
s-compliqué, n'est nulle part interrompu. Il double immédiatement les couches corticales. Ces choses sont si compliquées, qu'
nguons dans chaque hémisphère, à partir de sa face interne : 4° Les couches corticales de la face interne ; 2° Le système d
des commissures propres à la face externe de l'hémisphère ; 13° Les couches corticales de la face externe. Ces divers plans
eau. Ils se détachent de l'hémisphère immédiatement au-devant des couches du corps strié externe, je veux dire des champs o
neau pédonculaire, pénètrent dans leur intérieur. La partie grise des couches corticales du cerveau se prolonge assez loin sur
chez quelques animaux, de véritables plis. Mais partout ailleurs ces couches sont dans le lobe olfactif très-minces et transpa
x bien distincts de ces fibres se portent dans la substance grise des couches optiques et des corps genouillés externes, immédi
x plans des fibres transversales du pont, et descend au-dessous de la couche des fibres arciformes jusqu'au tubercule cendré d
prolongement du faisceau postérieur qui se dirige vers le centre des couches optiques et concourt avec lui à la formation de l
nes vont aux lobes optiques ou tubercules quadrijumeaux, d'autres aux couches optiques où elles se terminent peut-être; le plus
u'ait été ma persévérance, je n'ai pu aller au delà du noyau gris des couches optiques. C'en est assez sans doute pour affirmer
trois moyens semblables : 10 des fibres nerveuses en s'éloi-gnant des couches corticales pourraient, au lieu de se continuer da
l nous suffise de dire que ce centre s'accroît d'autant plus, que les couches corticales se plissent et grandissent davantage.
uadrijumeaux ou lobes optiques se superposeront au cerveau moyen; les couches optiques au cerveau intermédiaire ; les hémisphèr
es d'une déchirure dont les débris irréguliers demeurent attaches aux couches optiques, le long des lignes où l'on distinguera
piliers de la voûte suivent en effet le sillon qui s'étend entre les couches optiques et les corps striés internes, et disting
es ventricules on distinguait déjà des élévations correspondantes aux couches optiques et aux corps striés. Une petite lame tra
vie. Les deux moitiés de la commissure molle formaient, au centre des couches optiques très-saillantes à cette époque, une él
d de la grande ouverture de l'hémisphère ceignait fort exactement les couches optiques, et sa marge était formée par les bandel
de centrum ovale. Cette vaste poche, que tapissait intérieurement une couche grise fort épaisse était remplie par une masse én
. Ils formaient de véritables circonvolutions internes revêtues d'une couche grise épaisse, dont l'existence coïncide avec l'e
istence coïncide avec l'expansion primitive du plexus choroïde. Cette couche grise interne et ses circonvolutions s'atrophient
ses circonvolutions s'atrophient et s'effacent quand apparaissent les couches corticales et les circonvolutions externes. Il y
oint cette couleur blanche qui la distingue dans l'adulte ; quant aux couches corticales, elles n'ont point acquis la teinte fo
font ainsi des progrès, ils « s'étendent sur les corps cannelés, les couches optiques, les « tubercules quadrijumeaux et le ce
imaux dont nous parlons, les dimensions réduites de l'âge adulte. Les couches corticales sont à peine distinctes dans le premie
veau plus plissé que les petits. Il est certain, par exemple, que les couches corticales du Bœuf sont plus plissées que celles
petit que celui du Mouton, il ne s'ensuit pas rigoureusement que les couches corticales de celui-ci soient, eu égard à sa tail
s cérébraux étant semblables dans l'un et dans l'autre, l'étendue des couches corticales du premier serait à celle des couches
autre, l'étendue des couches corticales du premier serait à celle des couches corticales du second : : 1 : 4. Mais il est trè
cérébraux étant supposés semblables dans l'un et l'autre cerveau, les couches corticales du petit seraient à celles du grand :
al aurait, eu égard à sa taille, deux fois plus (ou peu s'en faut) de couches corticales que le plus grand. Ainsi, pour que la
e; ses bords, du moins chez l'adulte, suivent le sillon qui sépare la couche optique du corps strié jusqu'à l'extrémité de la
is qui partout ailleurs est libre à sa face externe et revêtu par une couche de cellules épithéliales, semblables à celles qui
ieur du corps rhom-boïdal. Quant aux artères qui pénètrent dans les couches corticales, elles sont fort déliées et forment, d
(1) Icônes, Analom. Fasc, I, Tab. 1 et 2. grande vascularitô des couches corticales suffirait pour indiquer qu'elles sont
te une portion de la voûte crânienne, et la bande flexueuse A' B', la couche des circonvolutions. Dans ces conditions, consi
ne confirmation en montrant par des expériences très-délicates qu'une couche mince de substance grise intermédiaire aux deux s
. On peut soustraire dans un animal le cerveau, les corps striés, les couches optiques, le cervelet et les tubercules quadrijum
es de la vraie structure de la moelle allongée, des pédoncules et des couches optiques, les explications les plus ingénieuses n
y a pas de moins grandes divergences. Les anciens plaçaient dans la couche optique l'origine des nerfs de ce nom, ce que bea
ns sont également exagérées. Nous avons distingué plus haut dans la couche optique trois éléments distincts, savoir : 1° son
ans l'homme le plus grand nombre de ces fibres s'enroule autour de la couche optique pour se répandre dans le centre ovale de
de Vieussens. Ainsi l'anatomie oblige d'admettre qu'en détruisant la couche optique dans l'homme et dans les singes, on anéan
gression sont encore possibles chez les mammifères. Mais si l'une des couches optiques est détruite, l'animal tombe sur le côté
s fonctions des corps striés ne sont pas mieux connues que celles des couches optiques. M. Magendie imagina de les détruire par
diations blanches de la couronne de Reil (1) M. Serres admet que la couche optique est l'excitateur de la vue dans l'homme e
e par leurs radiations dans les lobes antérieurs du cerveau. Ainsi la couche optique et les lobes postérieurs du cerveau prési
es, accepte et soutient l'opinion de Saucerotte. Les radiations de la couche optique sont excitateurs des mouvements des membr
'influence qu'ils exercent sur les mouvements. Quand on attaque leurs couches profondes, il se produit des convulsions, et l'an
de l'espèce. La part lumineuse est séparée du sang par l'action des couches encéphaliques; de là, elle rayonne dans les centr
ns l'huile elle ne distingue l'oléagineux. En effet, des corps qu'une couche intermédiaire d'eau fait adhérer n'adhèrent plus
qu'on touche est plus poli. Quand une surface brunie et enduite d'une couche d'huile glisse sur une portion de la couche des d
e brunie et enduite d'une couche d'huile glisse sur une portion de la couche des doigts circonscrite par un petit cadre de bau
près s'être recueilli, prenant cette vision pour un vain songe, il se couche et se rendort. A peine endormi le fantôme apparaî
elles qui composent le centre ovale. C'est en effet par elles que les couches corticales entrent en relation avec le corps. L'e
re que nous sentons, que nous voyons, que nous entendons. Si donc les couches corticales sont capables d'affecter sympathi- (
ce cas évidemment, la cause qui détruit l'équilibre agit, ou sur les couches corticales, ou sur. les fibres qui composent le c
tante question. M. Piédagnel avait été appelé auprès d'une femme en couches . Le travail n'avançait pas, et on ne pouvait juge
la masse totale de l'encéphale, mais de celle du centre ovale et des couches corticales plissées autour de ce centre; plus le
un peut être grand par son noyau, l'autre par le développement de ses couches corticales. Or, plus la moelle et le noyau sont g
pport avec le développement des nerfs extérieurs, mais avec celui des couches corticales. Elle s'accrott donc, non en raison de
12 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
que, chez les mammifères, outre les tubercules quadri- jumeaux, les couches optiques, etc., « les faisceaux de fibres issus
nt qu'une lésion inté- ressant les faisceaux qui, du pulvinar de la couche optique, viennent s'épanouir dans les « circonv
oeil, hypertrophie qui s'était étendue, toujours du même côté, à la couche optique, au corps ge- nouillé externe et aux tu
ules quadrijumeaux antérieurs, des corps genouillés externes, de la couche optique, et des faisceaux qui s'irradient dans
estitution a lieu par les ganglions de labase, c'est-à-dire par les couches optiques et les tubercules quadrijumeaux. Or le
our siège, en dehors des hémisphères cérébraux, le mésocéphale, les couches optiques, les tubercules quadrijumeaux, etc., v
oit aux centres secondaires de la base (tubercules quadrijumeaux et couches optiques). Sans parler ici des cliniciens allem
bercules quadrijumeaux ni des corps genouillés, du pulvinar de la couche optique, du lobule pariétal inférieur, etc., n'
en neutralisent une fraction. La pression subsistante condense les couches placées au-dessous des premières, mais elle épr
pression extérieure qui a pu se propager jusqu'à lui à travers les couches les plus superficielles. Il en résulte que les
'extérieur est faible; diminution du calibre des vaisseaux dans les couches superfi- cielles où la pression extérieure est
guée des yeux. Celle déviation s'obtient soit après avoir enlevé la couche corticale, soit par des électrodes isolés, intr
le lobe pariétal au tronc, ont subi une telle dégénérescence que la couche optique droite est atrophiée de plus de moitié
be occipital et le lobe temporal sont demeurés presque intacts. l.a couche optique droite est coquillée et mame- lonnée, l
aisceaux directs dans le pied du pédoncule; c'est au pulvinar de la couche optique et aux ganglions de la bandelette optiq
t il est possible de se retrou- ver assez bien dans les différentes couches de la subs- tance grise, surtout si l'on emploi
le second perpendiculaire au premier. Dans le pre- mier plan, les couches sont étagées au nombre de cinq, d'après le sché
s le résumons ici d'après la psychia- trie de Meynert, que les cinq couches de l'écorce sont les suivantes : La première co
coup sûr dans les cas de méningo-encéphalite avec adhérences. Cette couche est, surtout chez les jeunes sujets, séparée de
urs de même dans les faits que nous avons regardés. Celle-ci est la couche des petites cellules pyramidales qui sont serré
sont serrées, à pointe dirigée vers la surface corticale. Dans la couche suivante, les cellules pyramidales sont moyenne
les faisceaux de fibres de la couronne de Reil qui vont jusqu'à la couche supérieure s'inter- posent entre elles et les s
posent entre elles et les séparent. Ces éléments font place à une couche distincte, celle des grandes cellules 182 ANATO
s, mais existant dans toute l'écorce. Meynert ne fait qu'une même couche de la zone des cellules pyrami- dates moyennes
s'accroît encore dans le lobe occi- pital par l'interposition d'une couche de cellules. Puis viennent les quatrième et cin
d'une couche de cellules. Puis viennent les quatrième et cinquième couches de Meynert que l'on peut facilement réunir en u
n'ont pas encore été comme les cellules correspondantes de la même couche du cer- velet divisées en deux espèces, c'est l
de la même couche du cer- velet divisées en deux espèces, c'est la couche grau- .leuse ; à sa partie inférieure des éléme
se DE LA SUBSTANCE GRISE. 183 divisent, au niveau de la cinquième couche , comme ceux d'un goupillon d'église, et montent
upillon d'église, et montent en s'amincis- sant jusqu'à la deuxième couche . Ils forment autant de colonnes fibrillaires qu
rangées les unes au-dessus des autres et se continuant jusqu'à la couche des petites cellules pyramidales. Dans les couc
uant jusqu'à la couche des petites cellules pyramidales. Dans les couches superficielles, les capillaires pénétrant per-
t une diminution des faisceaux blancs, soit un morcel- lement des couches , par un développement exagéré des capillaires p
ur forme pyramidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas des lésio
rise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq couches ; la vascularisation est exa- gérée ;. les capil
des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la
veuses, surtout dans la couche' de petites cellules pyramidales (2° couche de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les
montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses couches reconnaissables. Il existe un certain nombre de
la substance blanche, comprennent en général les trois premières couches de l'écorce. On les trouve dans la plupart des ce
u côté gauche, on trouve une raréfaction des éléments nerveux de la couche des myélocytes, et un certain degré de fibrilla
es de faire la distinction entre les deux espèces de cellules de la couche granuleuse. (A suivre.) PATHOLOGIE MENTALE
imaux. Lorsque la réaction est terminée, l'alcool se sépare en deux couches ; la couche inférieure se prend le plus souvent
la réaction est terminée, l'alcool se sépare en deux couches; la couche inférieure se prend le plus souvent en masse par
sés, et que la lésion centrale avait probablement son siège dans la couche optique et dans d'autres parties des ganglions
XVII, p. 92. 300 SOCIÉTÉS SAVANTES. pèce, ni la multiplicité des couches , ni leur gravité, ni les irré- gularités de la
trois enfants bien constitués, sa femme n'a pas fait de fausses- couches . En juillet 1881, sans prodromes, il est pris b
bout de quinze mois. Elle fait ensuite successivement cinq fausses couches , de deux, trois, trois et demi et quatre mois.
ois et demi et quatre mois. C'est ci la suite de la dernière fausse couche , il y a un an à peu près, qu'a débuté l'affection
épressive, physique autant que morale, d'une succes- sion rapide de couches malheureuses, dont la mort du dernier enfant a
nt visibles,, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la couche superficielle de névroglie a son épaisseur norm
peu plus abondants que chez un enfant sain du mime âge. La seconde couche , celle des petites cellules pyramidales, présente
n ne retrouve pas à un faible grossissement l'aspect connu de celte couche , et qu'il en faut chercher les élé- ments. Dans
lte couche, et qu'il en faut chercher les élé- ments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales mo
l en faut chercher les élé- ments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales moyennes et couche d
ux couches suivantes, couche des cellules pyra- midales moyennes et couche des grosses cellules, on observe vu la grosseur
de cellules de cartilage. Les cellules situées à la limite des deux couches intermédiaires, aux grandes cellules pyramidale
une altération dont on retrouve des états différents sur toutes les couches . Elles sont d'abord gonflées, hyalines, avec une
des groupes de cellules à autre état. Les capillaires dans ces deux couches sont ramifiés et dilatés, mais leur développe-
et dilatés, mais leur développe- ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la subs-
u centre à la périphérie. En effet, si nous reprenons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substance
présentant les figures connues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermédiaire, couche des fibres arquées, et la
connues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermédiaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes ce
raignées. La couche intermédiaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes cellules pyramidales ne se com- pos
dants avec de nombreuses cellules interstitielles, et c'est dans la couche des cellules pyramidales moyennes que l'on retr
uer. Au-dessus, la sérialion des cellules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a é
ce de l'hémisphère; quelques foyers opaques, peu abondants dans les couches superficielles. Dans les inférieures, rareté de
uver une cellule nettement triangulaire dans n'importe laquelle des couches de la substance grise. - Coupe au niveau du lob
on est plus marquée et morcelle le tissu. La première et la seconde couche ne se peu- vent distinguer, il n'y a pas de tra
r les élé- ments sphériques est nettement accusée. Les cellules des couches profondes sont groupées par petits îlots, comme
aux essences et montées au baume de Canada. Dans le cervelet, la couche névroglique est très aplatie, son- réseau se vo
être assez abondant, à en juger par les vacuoles que présente cette couche . Les cellules de Purkinje sont rares et très es
unes des autres. Les myélocites sont aussi très peu serrés dans la couche suivante. Il existe quelques corps granuleux da
c. Examen IIISTOLOGIQUE. -Coupes du lobe paracentral droit. - Les couches de la substance grise ne sont pas distinctes les
opaques, plus abon- dants en noyaux, dans la première et la seconde couche . Sur quelques-uns on voit nettement un vaisseau
s de cellules rondes sont abondants entre la première et la seconde couche , constituant le premier degré de l'altération e
araissant plus épaisse que celle qui l'entoure dans l'épaisseur des couches , on peut voir ça et là quelques rares cel- lule
ls éléments. caractéristiques que l'on retrouve dans la hauteur des couches . La substance blanche présente une grande quant
comparer les deux états, la limite 'entre la première et la seconde couche de l'écorce est - toujours très marquée, celle-
éléments - vont seulement diminuant de nombre vers la qua- trième couche de cellules de l'écorce grise : Observation VI.
- tale droite. Vascularisation rameuse très développée dans les . couches superficielles de la substance grise; beaucoup de
xamen IIISTOLOGIQLE. - Coiipes du lobe frontal droit. La pre- mière couche est très réduite, composée d'un réticulum fin où
un réticulum fin où les ^noyaux de cellules sont rares. Entre cette couche et la seconde existe une bande sombre, régnant
, visibles à l'oeil nu par transparence. Cette bande empiète sur la couche des petites cel- lules pyramidales qu'elle remp
'elle remplace par endroits entièrement, débordant sur la troisième couche de l'écorce. C'est une nappe uniforme composée
ment des circonvolutions. La limite entre la première et la seconde couche de l'écorce n'est pas nette; il existe là une ban
st pas nette; il existe là une bande diffuse intermédiaire aux deux couches et riche en noyaux. Mais elle est beaucoup moin
petites cellules rondes dans les colonnettes cellulaires, entre la couche des cellules moyennes et la couche des grandes
olonnettes cellulaires, entre la couche des cellules moyennes et la couche des grandes cellules, se voit nettement. Les ce
t que le tissu pathologique siège entre la première et la troisième couche de l'écorce, LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE.. 34
tion des éléments parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie des couches et les atrophie d'une façon inégale, puisque se
ise en nappe, toujours au même point, au niveau des trois premières couches et présente à ce niveau trois ordres de lésions
oyers d'inégal volume, ayant ce même aspect plus accusé encore. Les couches suivantes sont infiltrées d'un grand nombre de
e vascularisation ; l'espace comprenant la deuxième et la troisième couche des cellules de la substance grise présente de
che sont parsemées de corps amyloïdes. L'infiltration de toutes les couches par de petites cellules est assez marquée. Les
vé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première couche de la .substance grise est confondue avec la se
s sclé- reuses larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellul
es et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par des bandes conjonctives q
t un bord dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première couche de subs- tance grise est épaissie, fibrillaire
rise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. La troi- sième couche , celle des grandes cellules, ne présente que des
trame névroglique granuleuse. Mais la vascularisation exagérée des couches corticales moyennes et la formation de bandes d
u grand épiploon réticulé de certains ron- geurs. En même temps, la couche corticale qui recouvre ce tissu aréolaire s'ami
ions expliquent l'état chagriné qui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l'état kystique
eu d'être disposées en séries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance
rtance est conservée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle
d'indiquer. Cervelet droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 349 externe et
nombreuses. Couche LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 349 externe et couche des myélocytes normales. On retrouve un certain
lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer
ie tardive. Coupes du para, central gauche. - Les trois premières couches de l'écorce sont partout envahies et modifiées, l
aspect finement vacuolaire du tissu, c'est au niveau de la seconde couche que cet aspect est le plus marqué. Les trois co
u de la seconde couche que cet aspect est le plus marqué. Les trois couches ainsi envahies sont parsemées de noyaux petits.
superficielle, ne se distingue plus. Au-dessous de cette bande, la couche des grandes cellules pyramidales se retrouve, mai
circonvolutions frontales du côté gauche. Les lésions des premières couches de l'écorce sont comparables, mais beaucoup moi
ordonnance des séries longitudinales et prenant les trois premières couches . Elles ne sont pas au contact les unes des autr
and nombre de petits foyers de couleur ocreuse, recouverts par la couche la plus superficielle du cerveau, sous la forme d
sque et for- mant une vaste bande entre la première et la troisième couches de la substance grise, et comprenant ainsi la m
pas disposées en séries, mais dispersées et globuleuses. Celles des couches profondes sont allongées, gra- nuleuses et fort
se restante. Cette paroi est composée de dehors en dedans, de trois couches : la plus superficielle, mince et homogène, for
ts, s'amincit aux points extrêmes de la lésion et disparaît dans la couche superfi- cielle de la substance grise normale.
i- cielle de la substance grise normale. Au-dessous, apparaît une couche de deux à trois fois plus épaisse. Cette couche e
ssous, apparaît une couche de deux à trois fois plus épaisse. Cette couche est compo- sée surtout de cellules rondes assez
brilles convergent en bas par des faisceaux distincts. La troisième couche est occupée par ces faisceaux et un certain nom
paroi, ainsi constituée sur les parties latérales, on voit que les couches se perdent successive- ment dans la couche exte
érales, on voit que les couches se perdent successive- ment dans la couche externe névroglique de la substance grise; c'es
e externe névroglique de la substance grise; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième couche de Meynert que s'
bstance grise; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième couche de Meynert que s'est opérée la scissure qui a d
ce grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouverte par une couche fibrillaire névroglique. Au-dessous, elle se mo
u foyer sont moins avancées, quoi- que très étendues. La première couche , couche névroglique de Meynert, est très mince,
sont moins avancées, quoi- que très étendues. La première couche, couche névroglique de Meynert, est très mince, avec de
t raréfiée, qui forment autant d'espaces clairs. Dans la deuxième couche , celle des petites cellules pyramidales, on voi
rts normaux sont détruits et leur nombre diminué. Dans la troisième couche , celle des cellules moyennes, on voit les colon-
la cellule. Le prolongement inférieur est le plus distinct. Dans la couche suivante des grandes cellules, les altérations
s qui vont former la substance grise, on voit, de plus que dans les couches précédentes, un assez grand nombre de noyaux de
ut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise, la couche de névroglie est fibrillaire dans le sens longi
peut pourtant suivre très loin les prolongements de la plupart. La couche des cellules névrogliques n'offre rien de particu
ent en un point de celles que nous venons de voir; c'est dans les couches les plus profondes de la substance grise, et mê
- sions des fibres conductrices. Les fibres fines à myéline de la couche superficielle des circonvolutions, les fibres a
en passant sous le vallon intermédiaire, le réseau qui occupe la couche la plus profonde de la substance grise, enfin l
anastomosés, et remanient complètement le plan des trois premières couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissables (B)
n (B). La limite 360 PHYSIOLOGIE. entre la première et la seconde couche de l'écorce, très nette d'ordinaire, ' est ici
foyer sclereux, irrégulier, comprenant la seconde et la troi- sième couche de la substance grise (A) et donnant il la surfac
nhaute). Tout autour les vaisseaux sont dilatés et la sériation des couches est troublée et méconnaissable (picro- carmin,
ction (A) et la vascularisation déve- loppée jusqu'au niveau de ces couches (hématoxyline, baume de Canada). PHYSIOLOGIE
entre ovale dans le noyau leiitieu- 1 Pour Lussana et Lemoigne, les couches optiques seraient des centres d'innervation mot
t au contraire en rapport avec le corps strie. Le développement des couches optiques chez l'homme correspondrait au degré e
us parlerons, sur la structure histologique des corps striés et des couches optiques, il résulte que les corps striés aurai
téressé en même temps la capsule interne, le noyau lenticulaire, la couche op- tique. Il n'y aurait donc pas lieu d'attrib
ses grises situées profondément dans le cerveau, probablement les couches optiques'. » ' ' Bechtft'ew. P ? 0 ? <' de s
dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf des accidents suite de fausses couches . [Père, disparu en 1870, boulanger; nombreux ex
son passage. Il paraît qu'il voyait un chien rouge. 21 août. -Il se couche à 6 heures et demie ou 7 heures. Le plus souven
attaque. 11 n'a pas poussé de cris. Tout le corps est rigide. On le couche sur le parquet et presque aussitôt, sans avoir
ieur, d'une structure extraordinairement simple, des amphibies; une couche interne composée de cellules, une couche extern
simple, des amphibies; une couche interne composée de cellules, une couche externe constituée par des fibres et de la névr
olution de la corne d'Ammon, se révèle, chez les amphibies, par une couche - externe comprenautdeux groupes distincts de c
orce du manteau n'a pas progressé. C'est chez les mammifères que la couche corticale, en- score si incomplète chez les rep
réséqué les hémisphères, le corps strié, le noyau lenticulaire, la couche optique, les tuber- cules quadrijumeaux. L'aute
r la capsule interne. 2° L'excitation mécanique superficielle de la couche optique reste inaclive, de même que l'excitatio
rieure - patte postérieure. Faisons passer une section à travers la couche optique dans le plan antérieur nous obtenons un
qui figurent la marche et la course. Par conséquent, la région des couches optiques et des tubercules quadrijumeaux antéri
ide, au moins comme station de renforcement. La région qn'occupe la couche inférieure du noyau de Deilers (iéseau de fibre
anastomosés, et remanient complètement le plan des tiois premières couches de l'écorce, qui ne sont plus reconnaissables (B)
he de désintégration (B). La limite entre la première et la seconde couche de l'écorce, très nette d'ordinaire, est ici co
foyer scléreux, irrégulier, comprenant la seconde et la troi- sième couche de la substance grise (A) et donnant à la surface
baute). Tout autour, les vaisseaux sont dilatés et la sériation des couches est troublée et méconnaissable (picro- carmin,
tion (A) et la vascularisation déve- loppée jusqu'au 111\eau de ces couches (ltbmatuyliue, baume de Canada). KvrCUl, Ch.
13 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
ont en rapport avec la peau, mais seulement par l'intermédiaire d'une couche de tissu cellulaire fibreux à larges mailles, qui
l, les radiales, basilique et cépha-lique au membre thoracique. Cette couche fibro-celluleuse sous-cutanée, renferme dans ses
qu'une exsudation du sang que renferment ces vaisseaux , C'est cette couche qui a reçu le nom impropre de jacia superficialis
s supportent les vaisseaux. Ainsi, dans la profondeur des membres, la couche cellulo-vasculaire commune se trouve reproduite,
vasculaire commune se trouve reproduite, en dégradant d'épaisseur par couches successives. De fortes cloisons tendues en rayonn
ampent les gros vaisseaux. A leur surface elles sont tapissées par la couche celluleuse des vaisseaux secondaires, dont la dis
faite plus haut, qu'elles sont tapissées à leur surface libre par la couche cellulo-vasculaire, qui n'est que la répétition d
enveloppe des os, est en rapport, par sa surface extérieure, avec les couches musculaires profondes; dans beaucoup de lieux il
isseaux sanguins destinés «à la nutrition de l'os dont ils forment la couche vasculaire extérieure, sorte d'intermédiaire de l
ement définie M. de Blainville, représente la peau extérieure dans sa couche dermique amincie, avec un réseau vas-culaire beau
rface profonde, les membranes muqueuses, comme la peau, adhèrent à la couche musculaire qui leur est propre par un tissu cellu
au. Au-delà se présente comme à la peau, mais beaucoup plus mince, la couche musculaire revêtue, comme dernière enveloppe, de
ités : la bouche, le pharynx, et l'œsophage, elle est protégée par la couche épidermique, très mince, dite épithé-lium. Dans s
es ou du rectum, cette membrane est molle, onctueuse, n'adhérant à la couche musculaire que par un tissu cellulaire très lâche
exes, quant à sa portion vésicale. Elle est molle, peu adhérente à la couche musculaire, et forme, à l'état de demi-réplétion,
surface. Elle est composée d'un tissu fibreux, le derme, revêtu d'une couche celluleuse garnie d'un grand nombre de vaisseaux
s et de papilles nerveuses, et imprégnée d'un pigmentum coloré. Cette couche perspirable et sensible, dite le réseau muqueux,
it sécrété, [épi-derme. Par sa face interne la peau est séparée de la couche musculaire ou aponévrotique sous-jacente, parle t
habituelles qu'elle subit : c'est ainsi que, par la superposition des couches épidermiques, elle prend une consistance cornée a
ouches épidermiques, elle prend une consistance cornée au talon, à la couche sous-métatarsienne, et à la main, dans certaines
de la superficie vers la profondeur, donne pour élément la peau , la couche cellulo-vas-culaire sous-cutanée, et l'aponévrose
e de nutrition, le troisième de contention. Au-dessous se présente la couche musculaire, dont le degré de complication est en
en raison directe de la multiplicité des mouvemens. Dans l'homme, la couche musculaire n'est simple que dans un petit nombre
s, les régions dorsales de la main et du pied. Partout ailleurs cette couche est multiple et composée de deux ou trois plans d
s, qui font de plus l'office d'un squelette flexible. Au thorax, la couche osseuse profonde est représentée par les côtes do
ar les aponévroses et le feuillet sous-péritonéal. Enfin au crâne, la couche musculaire mince est immédiatement appliquée sur
crâne, la couche musculaire mince est immédiatement appliquée sur la couche osseuse, elle-même étalée en membrane pour circon
cialités fonctionnelles , les mêmes parties composantes : ainsi, à la couche dermique, correspond la membrane muqueuse, à la c
: ainsi, à la couche dermique, correspond la membrane muqueuse, à la couche cellulo-vasculaire sous-cutanée, le tissu analogu
anée, le tissu analogue sous-muqueux ; puis viennent l'une et l'autre couches musculaires revêtues de chaque côté par le feuill
de la face. Crâne. La grande cavité encéphalique est formée par la couche osseuse, étalée en membrane, et circonscrivant un
xtérieurement le crâne, outre son périoste, est doublé par la mince couche musculaire de l'occipito-frontal, la couche cellu
est doublé par la mince couche musculaire de l'occipito-frontal, la couche cellulo-vasculaire sous-cutanée et la peau. Fac
et en dedans par la racine du nez. Au devant elle est protégée par la couche musculaire et cutanée des paupières et de leurs c
es fosses nasales, protégées latéralement par les os eux-mêmes et les couches musculaires et dermiques ; elles sont isolées par
c osseux du maxillaire inférieur, elle est fermée latéralement par la couche der-niomusculaire des joues, et communique au-deh
halo-pharyngienne. Au-dessous de l'os hyoïde se présentent, par trois couches superposées, les loges des muscles abaisseurs de
olongement rachidien, environnée, latéralement et en arrière, par les couches musculaires qui s'insèrent à ses tubercules apoph
eux axillaires, épaisse sur les épaules et à la région dorsale. 2° La couche vasculaire et adipeuse sous-cutanée, ou le fascia
réquemment d'une énorme quantité de graisse; à la région inguinale la couche cellulo-vasculaire sous-cutanée est remarquable p
aux sanguins sous-cutanés, les lymphatiques et leurs ganglions. 3° La couche musculaire est formée,dans la circonférence de l'
une épaisseur et une densité considérables, et se revêt de nombreuses couches épider-miques. (Ex : le talon et le coussinet sou
e mêle avec le périoste , qu'elle recouvre néanmoins par une première couche de fibres entre croisées. Dans la profondeur du m
des extenseurs du talon, d'un volume considérable, est formé de deux couches superposées : sous l'aponévrose, et dans la moiti
par la voûte osseuse du taise et du métatarse, interposée entre deux couches musculaires. A la face dorsale , une seule loge e
neuses divergentes qui s'épanouissent sur la face dorsale du pied. La couche musculaire sous-plantaire est beaucoup plus compl
sous-osseux, le vaste ligament calcanéo-cuboïdien et métatarsien. La couche musculaire ne se compose, à la portion tarsienne,
ine, la résistance de la cage ostéo-eartilagiiieuse, augmentée par la couche musculaire et cutanée, isole également les mala
un moyen très efficace d'isolement. C'est par la superposition de ses couches que se forment les kvstes celluleux ou les envelo
, etc., limitées dans leur tissu et devenant elles-mêmes une nouvelle couche isolante, comparées au squirrhe, aux divers sarco
s réitérés par l'extension de la cuisse, la gaine est doublée par une couche d'un tissu jaune élastique, qui augmente la résis
ière, et supérieurement à la portion qui commence le cuir chevelu. 2° Couche cellulo-graisseuse. Formée d'un tissu cellulaire
e. Formée d'un tissu cellulaire dense et serré, renfermant une légère couche de tissu adipeux, qui constitue l'ad-hérence inti
t du crâne où les cheveux se conservent jusque dans un âge avancé. 2° Couche cellulo-graisseuse. Dense, serrée, garnie d'un gr
d'une petite quantité de tissu adipeux. 3° Muscles et aponévrose. La couche musculaire est formée par le peaucier occipital,
t à blanchir, d'où le nom de tempe (tempora), qui lui a été donné. 2° Couche cellulo-graisseuse. Mince, peu adhérente à la pea
gère avec l'aponévrose sous-jacente. 3° Muscles et aponévroses. Cette couche se compose de deux plans: (A) Le premier plan est
r l'apophyse zygomatique. Entre elle et l'aponévrose profonde est une couche adipeuse ou fascia superficialis, dans laquelle r
santes, i °Lapeau. Elle appartient en totalité au cuir chevelu. 2° La couche cellulo-adipeuse, et au-dessous [aponévrose épicr
La peau. Lisse et dépourvue de cheveux au contour de l'oreille. i° La couche cellulo-adipeuse et [aponévrose épicrânienne, int
ATOMICO-PATHOLOGIQUES sur le crane en général. i° Cuir chevelu et couche cellulo-vasculnre. La densité de la peau du crâne
ulnre. La densité de la peau du crâne et son adhérence intime avec la couche sous-ja-cente, expliquent la promptitude et l'éte
verses tumeurs qui prennent suivant leur forme des noms différens. 1° Couche cellulo-vasculaire.Lâche à la racine du nez, sur
Mince, garnie de bulbes pileux dans l'homme, fortement adhérente à la couche musculaire sous-jacente; elle présente au milieu,
de Meibomius, qui versent leurs produits sur les bords lacrymaux. 3° Couche musculaire. Elle se compose de l'or-biculaire pal
ulaire palpébral et de l'élévateur de la paupière supérieure. A cette couche appartiennent les cartilages tarses, point d'appu
d'âge, de sexe, et un signe pathognomonique de certaines maladies. 2° Couche cellulo-vasculaire. Adhérente sur la pommette, ga
le. La peau, fine et très adhérente, revêt, par l'intermédiaire d'une couche celluleuse, dense et très vasculaire, les replis
vieillards, et produites par la saillie des faisceaux du peaucier. 2° Couche cellulo-grais-seuse. Assez mince dans la jeunesse
une ou deux saillies vulgairement nommées double et triple menton. 3° Couche musculaire sous-cutanée. Formée par le peaucier,
nstituantes. i° Peau. Mince, lisse, et glabre dans les deux sexes. 2° Couche sous-cutanée. Composée de trois feuillets : le pr
et unie, peu adhérente en regard de la fossette sus-claviculaire. 2° Couche sous-cutanée. Elle se compose de trois feuillets
es cheveux à la partie supérieure, elle est glabre inférieurement. 20 Couche celluleuse sous-cutanée. Dense et très adhérente
, vu la résistance de la peau. 3° Aponévrose. Elle ne forme point une couche isolée, et ne se compose en fait que de la réunio
nombreux, émanés du sous-occipital et du plexus cervical, forment une couche entre le complexus et les muscles profonds. 70 Sq
constituantes. Peau. Lisse, glabre, et fortement adhérente au milieu. Couche sous-cutanée. Trèsvasculaire, et doublée par un t
able; elle est, comme partout, mince en avant, épaisse en arrière. La couche sous-cutanée, comme dans toute l'enveloppe du tro
ce ; il renferme dans sa portion aréolaire des follicules sébacés. 20 Couche sous-cutanée. Elle est remarquable dans les deux
laire assez lâche, et qui permet une grande mobilité aux tégumens. La couche musculaire, après le grand dentelé et le grand do
piques dans les congestions des organes thoraciques et abdominaux. 20 Couche sous-cutanée. D'une texture assez dense, elle s'i
elle s'imprègne néanmoins d'une grande quantité de tissu adipeux. 3° Couche musculaire. Elle est formée seulement par les deu
st garnie de follicules sébacés au pourtour de l'anneau ombilical. La couche sous-cutanée se charge, dans les sujets obèses, d
e, dans les sujets obèses, d'une quantité considérable de graisse. La couche musculaire est formée, comme à la région épigastr
nneau ombilical lui-même présente une texture différente, suivant les couches des tissus superposés. A la peau, la cicatrice a
is, qui augmente graduellement en descendant vers le pli inguinal, ha couche musculaire est constituée en arrière par le grand
rties molles en ce point, où la cavité abdominale n'est séparée de la couche sous-cutanée que par des aponévroses, a fait prop
ieu de cette région, correspondant au pli de l'extension du tronc. La couche celluleuse sous-cutanée, de texture fibreuse et t
de graisse, à mesure qu'elle s'approche de la région ilio-costale. La couche musculaire et aponévrotique est très épaisse. On
milieu de poils dont l'abondance augmente en Rapprochant du pénil. 20 Couche sous-cutanée. Elle est formée par le fascia su-pe
s la texture aréolaire du fascia superficialis est plus apparente. 3° Couche musculaire. D'avant en arrière, on y trouve : (
es transversales et de vergetures chez celle cpii a eu des enfans. 2° Couche sous-cutanée : ses caractères sont les mêmes et e
c, augmente graduellement d'épaisseur jusque vers le pli inguinal. 3° Couche musculaire. On y trouve d'arrière en avant : (a)
re une arcade de passage au-dessus du canal inguinal, (c) Derrière la couche musculaire se présente le fascia transversalis, d
l'épaisseur est de cinq à six lignes. En second plan se présente une couche fibreuse à plusieurs feuillets superposés, formée
anches verticales des pubis réunis par leur symphyse médiane. Dans la couche sous-cutanée rampent des artérioles et des veinul
e de follicules qui sécrètent un fluide sébacé très abondant. Dans la couche sous-cutanée du pénis rampent de chaque côté les
ucosités, tapissé en dedans par une membrane muqueuse, doublé par une couche ccllulo-fibreuse et un tissu spongieux qui prend
y rencontrent. Voici de dehors en dedans l'ordre de superposition des couches : (a) Peau. Épaisse, de couleur brune, rétractile
raphé, eu deux prolongemcns latéraux remplis par les testicules, (h) Couche sous-cutanée. Formée par une membrane fibreuse à
rcation bien sensible, avec l'aponévrose superficielle du périnée. La couche de tissu cellulaire séreux qui unit les dartos au
se. Elle est formée par l'épanouissement du crémaster, constituant la couche musculeuse, dite tunique érythroïde, dont l'épais
les sujets gras, cette membrane offre parfois à sa surface une légère couche graisseuse, dont l'accumulation dans les cas de h
l'opérateur, en masquant l'aspect des tissus. C'est aussi dans cette couche que se développent les pèches de tissu séreux acc
des enveloppes testiculaires. Les vaisseaux sanguins rampent dans la couche sous-cutanée, épanouis en nombreuses ramification
z certains sujets malpropres, pour donner lieu à des excoriations. 2° Couche sous-cutanée. Elle est formé par un fascia superf
et veines sont des branches des honteuses internes, disposées en deux couches , sous-cutanée et musculaire, séparées par l'aponé
prostate, clans la portion formant le bas-fond de la vessie. Dans la couche celluleuse, très lâche, intermédiaire aux deux pa
acés dont le nombre augmente en approchant du pli fémoro-périnéal. La couche cellulo-adipeuse sous-cutanée est formée par le f
disposés sur deux plans : superficiellement clans l'épaisseur cle la couche sous-aponévrotique, les artères et veines inguino
e adhérence intime de la peau avec les tissus fibreux sous-jacens. La couche aponévrotique très forte se compose de deux feuil
ace d'insertion de la masse du sacro-spinal. Les muscles forment deux couches , en arrière l'extrémité inférieure du sacro-spina
ique la fréquence des furoncles et des anthrax que l'on y observe. 2° Couche cellulo-adipeuse. Formée d'un tissu cellulaire se
e. Parties composantes. i° Peau : Fine, souple et peu adhérente. 2° Couche cellulo-adipeuse. D'un tissu lache, médiocrement
ent fournie de graisse, elle n'offre du reste rien de remarquable. 3° Couche fibro-musculaire. Disposée en trois plans, superf
me pileux est rouge, coïncide avec l'énergie des organes génitaux. 2° Couche cellulo-adipeuse. Elle est formée par un fascia s
des fardeaux. Dans le reste de son étendue elle est lisse et unie. 2° Couche cellulo-adipeuse. Elle forme sous la peau un pann
des os et des muscles que cette région emprunte tout son intérêt. La couche superficielle est formée par le deltoïde qui enve
Épaisse et dense comme en général à la face postérieure du tronc. 20 Couche sous-cutanée. Elle ferme un pannicule adipeux ass
le ferme un pannicule adipeux assez abondant chez les sujets gras. 3° Couche ostéo-musculaire. En premier plan, le trapèze don
en dedans, doublée par un pannicule adipeux de médiocre épaisseur. 2° Couche fibro-musculaire.En premier plan, l'aponévrose br
parsemée de petites rides de flexion seulement dans le vieillard. i° Couche sous-cutanée. Formée en premier plan par un panni
l'aponévrose, montent les veines radiale et cubitale antérieures. 3° Couche profonde: muscles, vaisseaux et nerfs. L'aponévro
s cutanés externe et interne. Les muscles sont superposés en quatre couches : la première formée par le rond pronatcur , le r
ieure de l'avant-bras, par le groupe des extenseurs disposés sur deux couches : en plan superficiel de dehors en dedans, l'exte
t correspondant à la flexion médiane de la main dans son ensemble. La couche sous-culanée est garnie d'un coussin adipeux déve
dhérer très intimement la peau à l'aponévrose palmaire. Au dessous la couche tiponévrotique se compose pour le creux palmaire
ice de l'ongle qui revêt lui-même l'extrémité du doigt en ce sens. La couche sous-cutanée dépourvue de graisse, est formée par
ules sébacés, dont le nombre diminue graduellement de haut en bas. 2° Couche sous-cutanée. Formée par une double aponévrose ,
, qui leur fournit des gaines protectrices à diverses profondeurs. 3° Couche musculaire. Formée en dehors par la partie supéri
de follicules sébacés et de poils abondans chez les sujets bruns. La couche sous-cutanée est formée par un tissu cellulaire a
s verticales de renforcement fixées au pubis et à l'épine iliaque. La couche musculaire est constituée par le droit antérieur
paration des muscles biceps en dehors et demi-tendineux en dedans. La couche musculaire se compose superficiellement des deux
ncles et d'anthrax dans son enveloppe cutanée et de phlegmons dans sa couche profonde. Vu sa structure et ses maladies, on n'y
lques poils à la partie supérieure, sur-tout dans le pli périnéal. 2° Couche sous-cutanée. Formée par le fascia-superfîcialis,
, pour les muscles adducteurs, une sorte de capsule de contention. 4° Couche musculaire. Elle se compose d'un plan superficiel
ons. La peau est fréquemment affectée d'érysipèle et de dartres. A la couche sous-cutanée se rapportent les phlegmons, les phl
a, tendon membraneux des muscles fessier supérieur et fascia-lata. La couche musculaire est formée uniquement par le vaste ext
st exposée sont la cause de maladies assez nombreuses en ce point. 2° Couche sous-cutanée. Adhérente aux aponévroses par un ti
nt affectée d'œdème; sur la rotule existe une bourse synoviale. Cette couche sous-cutanée est parcourue par un grand nombre de
onier, après la ligature ou l'oblitération de l'artère principale. 3° Couche aponéurolique et tendineuse. Elle se compose de p
des transversales dans le sillon de flexion au-dessus des jumeaux. 2° Couche sous-cutanée. Formée par un pannicule adipeux ass
externe postérieure, accompagnée de quelques rameaux lymphatiques. 4° Couche musculaire. Elle se compose, en haut, des fléchis
ion l'expose à des frottemens variés, cause fréquente d'érysipèle. i° Couche sous-cutanée. Pourvue d'un pannicule adipeux de m
elle subit dans la marche l'exposent à de nombreuses phleg-masies. i° Couche sous-cutanée. Formée par un pannicule adipeux de
s avec les aponévroses du pied par le ligament annulaire du tarse. 4° Couche musculaire. Elle est constituée par deux groupes
cale, fermée à l'extérieur par l'aponévrose jambière, et isolée de la couche profonde par son aponévrose d'enveloppe. Le plan
breux de solutions de continuité auxquelles l'expose sa situation. 2° Couche sous-cutanée. Peu fournie en graisse, en raison d
douleurs qui accompagnent les contusions si fréquentes de cet os. 3° Couche fibreuse. Elle est formée, en haut, par l'épanoui
ar la pression des chaussures en regard de la saillie des tendons. i° Couche aponévrotique. Formée par la ceinture d epaississ
xquelles participent fréquemment le périoste et l'os sous-ja-cent. 2° Couche sous-cutanée. Formée d'un tissu serré, qui établi
glement, dans la gaine fibreuse, causé par la congestion première. 3° Couche fibro-musculaire. Elle se compose de l'épanouisse
ns toute l'étendue, doublée au-dessous et en arrière du talon par une couche épaisse de feuillets épidermiques superposés, ent
ides transversales correspondant au mouvement d'extension du pied. 2° Couche sous-cutanée. Disposée en vue d'une forte pressio
seaux fournis par les branches tibiales, péronières et plantaires. 3° Couche fibro-musculaire. Sur le calcanéum, le tissu fibr
ues, sur les saillies tendineuses, par la pression des chaussures. 2° Couche sous-cutanée. Formée par un tissu cellulaire sére
ère profondément, par un tissu très lâche, aux gaines des tendons. 4° Couche fibro-musculaire. En plan superficiel se présente
lcanien et sous-métatarsien , où elle est renforcée par de nombreuses couches épiderrniques, qui, chez les sujets qui marchent
hez les sujets qui marchent beaucoup, lui donnent un aspect corné. 2° Couche sous-cutanée. Formée par un tissu 1 Planche i,
d'enveloppe de protection pour les parties molles sous-plantaires. 4° Couche musculaire. Elle est disposée sur quatre plans. E
uatrième plan, les inter-osseux plantaires. 5° Vaisseaux et nerfs. La couche sous-cutanée, au point de vue anatomique, est, so
ion de l'ongle connue sous le nom d'ongle rentré clans les chairs. 2° Couche sous-cutanée. Elle est constituée par un tissu ce
u cellulaire fibreux qui unit l'aponévrose aux gaines des tendons. 3° Couche tendineuse. Elle est constituée sur la face dorsa
re de circonstances cependant, la prudence conseille de n'inciser que couche par couche ; mais, clans ces cas mêmes, la peau,
nstances cependant, la prudence conseille de n'inciser que couche par couche ; mais, clans ces cas mêmes, la peau, du premier
, de manière à n'inciser cette membrane et les tissus sous-jacens que couche par couche. Ce procédé est long et douloureux, ma
e à n'inciser cette membrane et les tissus sous-jacens que couche par couche . Ce procédé est long et douloureux, mais il offre
issection en dédolant. Ce n'est que l'application réitérée à diverses couches superposées de l'incision de môme nature, dont le
est le cas des séquestres. 3° Rugination. Elle consiste à détruire couche par couche, par l'amincissement du tissu, la surf
des séquestres. 3° Rugination. Elle consiste à détruire couche par couche , par l'amincissement du tissu, la surface d'un os
e la plaie et dans chacune des petites cavités qui s'y ouvrent. Si la couche des parties molles à cautériser est considérable,
par celle de la surface sur laquelle on veut agir, et en formant une couche d'une demi-ligne d'épaisseur. On applique ce ling
t, il est souvent nécessaire de renouveler dans ce laps de temps la couche de pommade, la première étant promptement affaibl
on l'applique et on l'étalé sur l'ulcération ; on en étend ainsi une couche , qui est proportionnée à la profondeur de l'escha
portionnée à la profondeur de l'escharre que l'on veut obtenir. Cette couche doit avoir une à deux lignes d'épaisseur, et dépa
caustique se dessèche, et lorsqu'il a épuisé son action il forme une couche noirâtre qui devient très consistante. Cette croû
rigoureusement ses effets pour détruire en une seule application une couche de tissus très épaisse, comme une plus superficie
de doubler la surface du caustique sans augmenter son épaisseur ; une couche de deux millimètres suffit dans tous les cas pour
res caustiques en pâte dont l'action est très vive, on l'applique par couches dont on circonscrit exactement la forme, suivant
contour de la pâte, indique (pue son effet est produit : on enlève la couche cautérisante, et, pour en neutraliser les molécul
s charnus exubérans à la surface des plaies. Etendu en poudre, en une couche de peu d'épaisseur, il forme, avec les tissus qu'
oins; l'aiguille, présentée trop parallèlement, n'embrasserait qu'une couche trop mince, et, outre la déchirure plus facile, n
'imbibe après un bain. En apparence inorganique et formé seulement de couches de mucus concret superposé à la longue, par la pr
lame courte, enlever en dédolant ou en pressant avec les ciseaux les couches supérieures centrales et le bourrelet de circonfé
aire et fendillée à sa surface ; en profondeur on la trouve formée de couches épidermiques inégales , revêtant le chorion épais
la pratique avec le bistouri, le grattoir ou les ciseaux, en enlevant couche par couche; ce procédé se combine avec le suivant
avec le bistouri, le grattoir ou les ciseaux, en enlevant couche par couche ; ce procédé se combine avec le suivant. 4° Cautér
ction purulente développée sous un ongle, on l'amincit en raclant par couches successives avec un grattoir ou un éclat de verre
ésente dégarnie d'émail ou amollie dans son tissu, laisser une légère couche tartreuse qui préserve le tissu du contact de l'a
es plus profondes» Dès que la surface est recouverte par Une première couche inégale, avec le fouloir mousse on repousse une n
mière couche inégale, avec le fouloir mousse on repousse une nouvelle couche métallique et on remplit ainsi exactement toute l
proportionnellement considérable, qui peut en déterminer l'altération couche par couche, et augmente inutilement le volume de
ellement considérable, qui peut en déterminer l'altération couche par couche , et augmente inutilement le volume de l'appareil.
affetas vésicans. — Procédé d!application. L'emplâtre étant étendu en couche mince sur de la peau ou du linge, dans l'étendue
l'étendue convenable, et saupoudré à sa surfice libre d'une nouvelle couche de cantharides, on rase la peau et on la friction
lus de parties qu'un peu moins , mais surtout conserver au lambeau sa couche vasculaire sous-cutanée, et bien se garder, dans
ppuration abondante et de gangrènes superficielles qui ont détruit la couche vasculaire sous-cutanée. Tel est le fait des brûl
ux points en regard, à chaque bord, dans l'angle de sa gaîne; puis il couche la sonde et la glisse sur la face postérieure du
à plat, la lame d'un bistouri droit qu'il plonge directement dans la couche celluleuse qui sépare le tendon de l'aponévrose t
plaie, afin de découvrir successivement les parties par plans ou par couches superposés et prévus à l'avance: seul moyen de pr
sur l'un ou sur les deux côtés suivant le besoin, (c) Parvenu sur la couche musculaire, en général on dépose le bistouri et l
ose d'un seul trait ou en deux fois suivant le lieu de la piqûre. Une couche mince de tissu adipeux se présente et au-dessous
vrose, et continuer avec la sonde cannelée. D'abord se présentent une couche de tissu adipeux d'environ un centi mètre, puis
viser ensuite l'aponévrose fémorale superficielle: au-dessous est une couche de tissu cellulaire fibreux entremêlé de ganglion
diviser l'aponévrose antibrachiale sur la sonde cannelée. La première couche musculaire mise à nu, décoller et couper de bas e
n humerai du grand pectoral ; illusion produite par l'épaisseur de la couche tégumentaire, tandis qu'en réalité la distance es
t du grand pectoral. Après la section de la peau, inciser à plat, par couches successives, dans toute la longueur de la plaie,
hors la branche de communication que lui envoie la céphalique; 3° une couche de tissu cellulaire remplie par les ganglions et
lis en ménageant les artères, puis à petits coups les trois premières couches , aponé-vrotiques et musculaires. Entrouvrir avec
tumeur était située à l'aîné. 3° L'induration. Dans ce cas, ou les couches fibrineuses, s'accu-mulantdans le sac, parviennen
dans une dilatation en masse, par un canal accidentel au travers des couches fibrineuses, comme dans les cas de Guattani et si
lée de la circulation se vide d'abord des liquides et s'affaisse; les couches fibrineuses contenues dans son intérieur sont rés
u par une grande épaisseur de tissus, la division ou l'écar-tementdes couches qu'il faut traverser nécessite certaines manœuvre
lélisme et s'opposeraient à l'issue du liquide. 2° Inflammation des couches intermédiaires. Après l'incision cle la peau et d
relativement superficiel, s'ouvre de lui-même par l'inflammation des couches intermédiaires. Au besoin, si ce résultat se fais
etite portion de peau non altérée, et glisser sous la tumeur, dans la couche celluleuse sous-cutanée, en enlevant toute l'épai
ts, ne sont environnés que par un tissu cellulaire lâche, formant une couche mince et facile à déchirer. C'est cette considéra
sous-aponévrotiques. Les lipomes sous-cutanés qui appartiennent à la couche adipeuse la plus épaisse, et qui éprouvent moins
on irrite le naevus par des frictions et l'on étend à sa surface une couche de couleur imitant le ton de la peau voisine. L'a
étruire la carie ne font que hâter son envahissement sur de nouvelles couches d'os. Les substances qui détruisent l'organisatio
veau dans sa rainure; et lorsque l'opérateur sent qu'il a traversé la couche diploïque, il ralentit graduellement les mouvemen
temps, et, dans un second, coupait, au niveau de leur rétraction, la couche profonde. Valentin voulait que les muscles fuss
Considérés en eux-mêmes, les muscles se présentent groupes en deux couches séparées par clu tissu cellulaire qui entraîne la
se qu'en considération secondaire. L'épaisseur des fascias et de la couche graisseuse permet d'intéresser seulement, au cont
s muscles groupés en deux séries superposées. La première comprend la couche des muscles superficiels, qui parcourent la cuiss
tive a la même force et la même valeur dans leur totalité. La seconde couche est for niée par les muscles profonds : adhéren
x procédés. Tailler deux lambeaux, interne et externe, aux dépens des couches musculaires superficielles, les relever, et, à le
e la face dorsale à la face palmaire, la pointe du bistouri, que l'on couche ensuite, le tranchant en haut, en rasant le bord
ale, et le faire relever. 20 Inciser alors circulairement la première couche de muscles, faire remonter les chairs, puis incis
ver au contour, en ayant soin de faire conserver à sa face interne la couche ccllulo-graisseusc qui la double : faisant remont
UR NATURELLE. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIFFRES. FIGURE 1. COUCHE PROFONDE DE LA PARTIE LATERALE DU COU, ET DE l/EX
DISPOSITION GÉNÉRALE DES FIGURES. Figure i. Plan superficiel à deux couches : côté droit, aponévrose sous-cutanée; côté gauch
inférieur du muscle sterno-pubien. Les deux côtés représentent des couches et des détails difféiens. Du côté droit, toutes l
. ADUT-iTE, DEMI-NATURE. LES DEUX COTÉS DE LA FIGURE MONTRENT DES COUCHES DIFFÉRENTES. INDICATION DES LETTRES ET DES CHIF
. Nerf radial. 19. Vaisseaux radiaux. Main. La figure montre la couche superficielle de la main, l'aponévrose palmaire é
14 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
continue avec le lobe d'hippocampe. c. c. Corps calleux. c. o. Couche optique. c. a. Commissure antérieure. o. Nerf
partie moyenne. g. p. Glande pinéale, dont la racine s'étend sur la couche optique. t. q. Tubercules quadrijumeaux qui se
issure antérieure. o. a. Ouverture antérieure située en avant de la couche optique et par laquelle le troisième ventricule c
commissure molle, commissure moyenne qui unit entre elles les deux couches optiques. 3me v. Cavité du troisième ventricule
enlevé ; on voit en relief le cervelet qui est resté intact, et la couche optique appartenant au lobe gauche. AA. Partie
circonvolution supérieure (S', '*? S', S?, %. 4). . ' •' J c. o. Couche optique gauche contournée par la racine du nerf o
moelle allongée, les tubercules quadriju-meaux,la glande pinéale, la couche et la commissure optiques sont plus considérables
ne qui va s'unir à la circonvolution supérieure. CC. Cervelet, c.o. Couche optique. pv'. Pilier droit de la voûte à trois
mmon. c. s., c s., Corps strié. t. s. Tamia semicircularis. co. Couche optique. gp. Glande pinéale. h. Sa rêne droit
on postérieure, ce. Corps calleux, c. a. Commissure antérieure, c. o. Couche optique, c. m. Commissure molle, g. p. Glande pin
ral ou ventricule de la moelle épinière, revêtu à l'intérieur d'une couche de cellules épithéliales. g\ Petits canaux vasc
de fibres blanches provenant du novau blanc du cervelet. t/ b. Couche de cellules grises, c. Couche de cellules multi
du novau blanc du cervelet. t/ b. Couche de cellules grises, c. Couche de cellules multipolaires pâles et trans- paren
es pâles et trans- parentes, qui envoient des prolongements dans la couche superficielle. d. Couche superficielle, formée
es, qui envoient des prolongements dans la couche superficielle. d. Couche superficielle, formée d'éléments prisma- tiques
ques semblables aux bâtonnets de la rétine. Fig. 5. Structure de la couche corticale du cerveau (d'après M. Baillarger). a
cerveau (d'après M. Baillarger). a. Premier système, formé de deux couches , l'une blanche superficielle, l'autre grise. a.
cielle, l'autre grise. a. Deuxième système, également formé de deux couches , l'une blanche, l'autre grise. c. Troisième sys
nt ies racines du lobe olfactif, et que nous désignons sous le nom de couche du lobe olfactif. m. Prolongement de la masse d
té enlevés pour mettre à découvert l'ensemble des corps striés et des couches optiques. a. Cordons médians postérieurs. //.
le jusque dans la base du lobe olfactif. k. Anse du pédoncule. /. Couche optique dans la région de la commissure molle.
d'où la bandelette optique a été détachée. s. Êcorce blanche de la couche optique. t. Corps strié interne. u. Commissure an
plan médian. n. Rêne gauche des habena? de la glande pinéale. o. Couche optique. p. Tsenia semicircularis. q. Corps s
é. b\ Prolongement de ce faisceau qui se porte vers le centre de la couche optique. 6". Dilatation en forme de cupule de c
ion en forme de cupule de ce prolongement qui embrasse le noyau de la couche optique. c. Fibres qui de l'étage moyen du pédo
des anses qui embrassent en avant les pyramides pédoncu-laires. d. Couche optique. e. Faisceau formé par certaines racine
s racines de la troi- sième paire qui remontent vers l'écorce de la couche optique et vers les tubercules qua-drijumeaux ant
rcules qua-drijumeaux antérieurs. f. Bord de l'écorce blanche de la couche optique formant par une fasciculation plus serr
roite des habense de la glande pinéale. g. Noyau gris central de la couche optique. k. Pilier droit de la voûte. I. Commis
tte planche représente l'hémisphère cérébral droit d'un Fig. \. Les couches corticales seules ont été enlevées pour mettre à
ndiquées en a de celles désignées en a"', et que ferme au-dessous des couches corticales la membrane propre de la cavité ancyro
du pédoncule. /. Faisceau perforant du pédoncule. Papion disséqué couche par couche, à partir de sa face interne. m.m. B
e. /. Faisceau perforant du pédoncule. Papion disséqué couche par couche , à partir de sa face interne. m.m. Bandelette e
le. E.O. Extrémité occipitale. E.S. Extrémité sphénoïdale. C.C.j CC Couches corticales. CCI Fig. 2. Le plan des fibres de l
voûte. cIv. Cavité de la gouttière destinée à contenir un repli des couches corticales doublées par un plan très-mince de leu
pus fimbriatum. e. — Septum lucidum. /'.— Corps strié externe. i. — Couche optique. k.k. Étage perforé du pédoncule. I.
ème précédent. k.k.k. Commissures propres doublant immédia-ment les couches corticales. /. Décussation des fibres du corps
cinereum et éminences mamillaires. h. Chiasma du nerf optique. i. Couches du nerf olfactif ou Insu la. j. Commissure entr
du nerf optique et corps ge-nouillé externe. t. Écorce propre de la couche optique. u. Corps genouillé interne. v. Lobul
al que remplissait un plexus choroïde énorme. Des plis rayonnants des couches corticales font saillie dans son intérieur, que r
des couches corticales font saillie dans son intérieur, que revêt une couche grise très-épaisse. Fig. 6. Face interne de l'u
. Lobes optiques. C. M. Commissure molle au-dessus de laquelle la couche optique fait une grande saillie. C. S. Corps stri
undibulum. N. 0. Nerf optique. C. A. Commissure antérieure. C. 0. Couche optique. S. L. Septum lucidum. G. P. Glande pinéa
xtrémité occipitale. L. SPH. Lobe sphénoïdal. CC, CC, CC, CC, CC. Couches corticales. C, C. Corps calleux. Jr _|_ _j_ A
frontale de l'hémisphère. E. 0. Son extrémité occipitale. C C; C. C, Couches corticales. C, C Corps calleux. G. Gouttière de
ie. L. OP. Lobes optiques. H. Habense de la glande pinéale. C. 0. Couche optique. C. M. Commissure molle. V. L, V. L T
15 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
foyers de ramollissement occasionnés par elles, notamment en pleine couche optique où les cellules sont délruites, ainsi q
sser concentriquement de dedans en dehors et finit par atteindre la couche granuleuse périphérique. Il est des cas où cett
aucoup plus souvent qu'on est tenté de le croire. M. A. Voisin ne couche ses paralytiques qu'à la dernière période et ce
s 1867, Meynert, indiquait l'existence, dans l'écorce cérébrale, de couches d'éléments nerveux, à morphologie différente, rég
s, les coupes transparentes de l'écorce laissent voir, dit-il, cinq couches 1 Cf. Golgi. Unlersucliungez üLer den feineren
TOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 97 à partir de la pie-mère : 1° couche de névroglie; 2° couche des petites cellules py
EMPORAINES. 97 à partir de la pie-mère : 1° couche de névroglie; 2° couche des petites cellules pyramidales; 3° couche des
couche de névroglie; 2° couche des petites cellules pyramidales; 3° couche des grandes cellules pyramidales ; 4° couche de
llules pyramidales; 3° couche des grandes cellules pyramidales ; 4° couche des cellules granulées ou des granulations (couch
pyramidales ; 4° couche des cellules granulées ou des granulations ( couche grccnu- leuse); 5° couche des cellules fusiform
s cellules granulées ou des granulations (couche grccnu- leuse); 5° couche des cellules fusiformes, où d'assez grandes pyram
une finesse extrême, véritable disposition épithéliale, qu'il nomme couche de la névroglie (cellules en pinceau de Boll, cel
we), qui descendait en rayonnant dans l'écorce. Dans la troisième couche , les fibres nerveuses issues de la base des petit
amifiés du sommet de ces pyramides, dont le faite peut atteindre la couche des petites pyramides, elles émettent un prolon
ascendant des grandes cellules pyramidales montant jusque dans les couches externes de l'écorce '. Outre ces ramifi- catio
nsions relatives des pyramides, étudiées dans le type commun à cinq couches ou dans le type à huit couches de la scissure c
étudiées dans le type commun à cinq couches ou dans le type à huit couches de la scissure calcarine, etc. Meynert les expl
ion ascendante vers la surface de l'écorce, au delà de la troisième couche de son schéma; Berlin les avait suivis plus loi
) ; Remak, dès 1841, avait découvert, à la surface de l'écorce, une couche de fibres nerveuses à myéline. Exner, avec sa m
eau amoniaquée), put constater l'existence, dans toute la première couche de Meynert, au-dessous de la couche de névro- g
istence, dans toute la première couche de Meynert, au-dessous de la couche de névro- glie (dont il compare les fibres à de
vro- glie (dont il compare les fibres à des fils de chanvre), d'une couche de fibres nerveuses myélilliques, d'épaisseur e
u cerveau, fibres taneentieiles, Exner en vit d'autres s'élever des couches inférieures de l'écorce qui, après s'être recou
de l'écorce. Chez l'enfant nou- veau-né, Exner ne trouva dans cette couche aucune fibre nerveuse à myéline, mais de très g
les cellules de l'url : iuje du cervelet. Au niveau de la deuxième couche , les fibres myéliniques, très nombreuses, appa-
ès nombreuses, appa- raissent plus minces que celles d'aucune autre couche de l'écorce. Dans la troisième couche, ces fibr
ces que celles d'aucune autre couche de l'écorce. Dans la troisième couche , ces fibres commencent à se grouper en faisceau
'Azyr du lobe occipital, beaucoup plus large que les stries des six couches de Baillarger, est constitué par des fibres nerve
es fibres d'association (fi6)' (t ? 'cM6[<oe.) Dans la quatrième couche , les fibres myéliniques deviennent si nombreuse
type générai de structure de l'écorce, c'est-à-dire au type à cinq couches de Meynert. En réalité, Golgi ne trouva dans cett
es distinctes de cellules : u, des cellules pyramidales (1 ? 2°, 3° couches de Meynert); b, des cellules fusi- formes (5° c
s (1 ? 2°, 3° couches de Meynert); b, des cellules fusi- formes (5° couche de Meynert); c, des cellules globuleuses ou poly-
c, des cellules globuleuses ou poly- gonales, à angles émoussés (4° couche de Meynert). Il ne put recon- naître l'existenc
ssés (4° couche de Meynert). Il ne put recon- naître l'existence de couches stratifiées nettement isolées. Toute- fois, si
orce. Golgi propose de diviser l'écorce cérébrale, non plus en cinq couches , mais en trois : 10 en une couche superficielle
orce cérébrale, non plus en cinq couches, mais en trois : 10 en une couche superficielle comprenant le tiers supé- rieur d
ée presque exclusivement de petites cellules pyramidales; 2° en une couche moyenne, occupant le tiers moyen de l'écorce, e
dales moyennes et grandes, ces dernières surtout au voisinage de la couche sui- vante ; 3° en une couche profonde, ou du d
dernières surtout au voisinage de la couche sui- vante ; 3° en une couche profonde, ou du dernier tiers de l'écorce, où,
la 0,, Golgi nie que les divisions de cette région en sept ou huit couches (Clarke, Meynert, Huguenin) aient aucun fondeme
ns où n'existent pas de fibres nerveuses ». Ces régions étaient les couches supérieures de l'écorce du cerveau et surtout la
cornu Ammonis. Or Iiülliher rappelait qu'il avait démontré dans les couches superficielles de l'écorce cérébrale l'existence
t de nature neurokéra- tinique, ayant la forme d'un réseau ou d'une couche continue », s'étendant non seulement sur le cor
ntales ET : 1VAT0)IOP.1TIIOLOGIQUES sur la RÉGION DE LA CALOTTE, LA COUCHE OPTIQUK ET LA RÉGION SOUS- OPTIQUE AVEC CONTRIB
La première partie commence par une description anatomique de la couche optique et de ses dépendances chez le chat et le
a couche optique et de ses dépendances chez le chat et le chien. La couche optique est divisée par des lames et lamelles.méd
a, vent ? b. et vent ? antérieur ; i;° groupe postérieur, et G° la couche grillagée avec ses îlots cellulaires. ' La su
La substance grise du corps genouillé externe est divisée par une couche de fibres venant de la capsule interne en deux no
sions bien tranchées. Dans la région sous-thalamique se trouvent la couche dorsale de Forel, la zona incerta qui contient
Cette description est vraie, à quelques variations près, pour la couche optique de l'homme. Chez ce dernier, les fibres d
u ruban 120 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de Reil supérieur et sa couche principale se dissocient et pénètrent dans les
couche principale se dissocient et pénètrent dans les noyaux de la couche optique; de nouvelles fibres, prove- nant du vo
res qu'il considère comme autonomes et les désigne sous les noms de couche dorsale, couche latérale, couche inférieure et
e comme autonomes et les désigne sous les noms de couche dorsale, couche latérale, couche inférieure et couche antérieure
es et les désigne sous les noms de couche dorsale, couche latérale, couche inférieure et couche antérieure du noyau rouge,
s les noms de couche dorsale, couche latérale, couche inférieure et couche antérieure du noyau rouge, d'après leurs rappor
le pédoncule antérieur et pénètre dans les noyaux antérieurs de la couche optique en se confondant avec les fibres des fais
t entier, on observe : une dégénérescence complète des noyaux de la couche optique, y com- pris la couche grillagée et la
nérescence complète des noyaux de la couche optique, y com- pris la couche grillagée et la zona incerta du corps de Luys et
us atrophiques dans la substance grise de la protubérance dans la couche grise superficielle des tubercules quadrijumeaux
s, dans les noyaux des cordons postérieurs et dans le noyau de la couche réticulaire de la moelle cervicale ; une atrophie
cence secondaire des diverses c dépendances du cerveau ». Dans la couche optique, chaque noyau possède comme chez les an
iques et physiolo- giques nous devons noter que d'après l'auteur la couche optique Fig. 1. Hémisphère d'un chat. '122 )
rôle ; mais le plus souvent indirectement en s'interrompant dans la couche optique. La transmission des impressions sensib
es ne possèdent qu'un seul prolongement cylindraxile ou nerveux. La couche externe de l'écorce du cerveau de ces animaux e
t il n'est pas rare de voir quelques-uns des cylindraxes qui, de la couche granuleuse profonde, vont, entre les cellules de
e granuleuse profonde, vont, entre les cellules de Purkinje dans la couche moléculaire, entrelacés avec les plus fins ramusc
uscules des cylindraxes qui proviennent des cellules étoilées de la couche moléculaire (de Bechterew). De ces constatati
visuel; mais, en avant, elles aboutissent non à l'écorce, mais à la couche optique. Elles font donc un coude énorme, car,
oude à angle aigu qui embrasse d'abord la corne inférieure. Dans la couche optique, elles entrent en contact avec les segm
e; quelques-unes montent à la face postérieure du pulvinar, dans la couche des fibres arciformes pour atteindre Je noyau p
ied du pédoncule cérébral du segment situé en avant du milieu de la couche optique, côtoient le noyau caudé, viennent en p
poraux ; il ne s'y mêle qu'un très petit nombre de faisceaux de la couche des fibres arciformes. Il n'y a donc, d'après l
nérées qui vont de la pyramide affectée, par l'intermédiaire de la couche interolivaire, à l'olive de l'autre côté; leur si
est tout à fait lisse. Le ventricule latéral est un peu dilaté, la couche optique et le corps strié très atrophiés. Les s
après avoir eu un ictus apoplectique à soixante ans; mère morte en couches ; deux soeurs normales. Pas de déformation crâni
léments nerveux et de substance névroglique. Les kystes avaient une couche unique d'un épithélium cubique. L'auteur rappel
agiques capillaires de la grosseur d'une lentille (gyrus angulaire, couche optique, noyau lenticulaire, centre ovale). Il
s, mais bien d'autres élé- ments cellulaires encoie des différentes couches de l'écorce grise et des territoires les plus d
au fond chez tous les mammi- fères, Ramon y Cajal distingue quatre couches : : 1° zone moléculaire; 2° couche des petites
Ramon y Cajal distingue quatre couches : : 1° zone moléculaire; 2° couche des petites pyramides; 3° couche des grandes pyra
ouches : : 1° zone moléculaire; 2° couche des petites pyramides; 3° couche des grandes pyramides; 4° couche des cellules p
° couche des petites pyramides; 3° couche des grandes pyramides; 4° couche des cellules polymorphes . 1. Zone moléculaire.
IQUE. d'aspérités, grêles, dont quelques-unes descendent jusqu'à la couche inférieure des petites pyramides, à cylindraxe
; 4° cellules fusiformes unipolaires. Ces cellules fusiformes de la couche moléculaire doivent être, comme le pense Cajal,
de toutes ces fibres autochtones, jointes à celles qui montent des couches inférieures et aux arborisations terminales cyl
ignore le lieu des cellules d'origine, forment dans cette première couche de l'écorce un plexus très serré, entre les mai
use aux cellules pyramidales. Toute cellule pyramidale, à quelque couche de l'écorce qu'elle appartienne, présente, comm
distingue : a, une tige ascendante, épaisse, se ramifiant dans la couche moléculaire en ramures, souvent très étendues, qu
st d'ailleurs qu'une des conditions anatomiques de la pensée. II. Couche des petites cellules pyramidales (10 à 12 p.).
e. II. Couche des petites cellules pyramidales (10 à 12 p.). III. Couche des grandes cellules pyramidales (20 à 30 p.). Le
se collatérale qui semble destinée à former le corps calleux. IV. Couche des cellules polymorphes. Les cellules de cette c
calleux. IV. Couche des cellules polymorphes. Les cellules de cette couche , où l'on rencontre encore quelques cellules pyr
fibres nerveuses de la substance blanche. On distingue dans cette couche des cellules à cylindraxe court; Cajal en compte
d'association. Les secondes, qu'on trouve d'ailleurs dans les trois couches infé- rieures de l'écorce, mais surtout dans la
s les trois couches infé- rieures de l'écorce, mais surtout dans la couche des cellules poly- morphes, fusiformes ou trian
Les collatérales des fibres d'association montent dans les diverses couches de l'écorce cérébrale et atteignent même la zone
rizontalement, toute l'épais- seur de la substance grise jusqu'à la couche moléculaire. Cajal signale l'extension énorme d
rielles se terminent toujours, par de libres arborisations, dans la couche moléculaire du cerveau, en se mettant en rappor
s sans doute aussi ceux des fibres sensitives, se terminent dans la couche moléculaire du cer- veau. L'incitation du mouve
smiques des cellules pyramidales et polymorphes des trois dernières couches de l'écorce grise des vertébrés sont plus énorm
en nombre infini, émanées des cylindraxes des cellules de ces trois couches profondes pendant leur trajet intracortical. Le
corps de la cellule est en rapport avec les cellules étoilées de la couche molé- culaire ; la lige maîtresse et les princi
: 1° des cellules de Golgi ou à cylindraxe court, situées dans les couches de ces cellules ; 2° des cellules d'association
uins, ni cellules de névroglie. 11 n'en existe pas non plus dans la couche plexiforme interne de la rétine, où les ramificat
it permis de comparer ces éléments aux corpuscules fusiformes des couches du sarcoplasma des fibres musculaires striées, do
endant de Martinotti et les cellules pluripo- laires de la première couche corticale y jouent-elles un rôle impor- tant. L
out là où. se rencontrent les courants nerveux, par exemple dans la couche moléculaire de l'écorce cérébrable, où les pana
l'épithélium des ventricules et du canal central git toujours une couche épaisse de fibres de névroglie d'un tissu très se
ourage des petits; on l'y rencontre pourtant toujours même dans les couches profondes de l'écorce cérébrale, où les fibrill
aces externes du cerveau et de la moelle. Il est remarquable que la couche pie- mérienne de névroglie du cerveau manque au
ne de névroglie du cerveau manque au cervelet. L'épaisseur de cette couche varie entre 0,003 et 0,03 selon la région du cerv
vieillesse, la névroglie de l'écorce cérébrale (Golgi) et de cette couche en particulier est plus épaisse et ses fibres s
isse et ses fibres sont plus grosses. La direction des fibres de la couche pie-mérienne de névroglie varie beaucoup, quoiq
varie beaucoup, quoiqu'elle soit en général tangentielle. De cette couche rayonnent, dans la profon- deur de [l'écorce, d
qu'elles descendent jusqu'au milieu des grandes pyramides. Dans les couches profondes de l'écorce du cerveau, même dans cel
es gaines de myéline ; à quoi servirait, demande Weigert, une autre couche isolante de névroglie ? Dans la substance grise
rer en dehors des voies prescrites et de faire fausse route. Aucune couche isolatrice de substance de névroglie ne doit do
nt les auteurs espa- gnols ne saurait, à coup sûr, exister dans les couches profondes de l'écorce cérébrale, puisqu'il ne s
amais été bien : elle souffrait de la tête et du dos ; le retour de couches sur- vint au bout de neuf mois, et les règles r
ce point de vue, c'est la structure fine du cerveau, surtout de sa couche corticale, qui nous présente pour le moment le
rphologiques ; elles occupent la seconde et la troisième des quatre couches de l'écorce cérébrale. Les petites cellules pyra-
utres se dirigent vers le bord extérieur de l'écorce, atteignent sa couche supérieure et y forment une quantité de dendrit
et se terminent librement. Dans cette région, c'est- à-dire dans la couche supérieure de l'écorce cérébrale, dans ce résea
au bord de l'écorce cérébrale ; ce sont elles qui constituent la couche des fibres tangentielles. Ces dernières servent à
tantôt s'étendant, tantôt se contractant. Ainsi, dans la première couche de l'écorce cérébrale siège un mécanisme extrêmem
ique. Quel est donc le rôle des cellules situées dans la première couche de l'écorce cérébrale ? Sont-elles destinées à re
u du mécanisme de l'écorce cérébrale, notons, que dans sa quatrième couche sont situées des cellules de différentes dimens
une grande cellule pyramidale, à d'autres cellules, situées dans la couche sous- jacente. L'écorce cérébrale garde presq
gentielles; ces dernières en occupent deux zones délimitées par une couche de cellules fusiformes verticales. Les couches
es délimitées par une couche de cellules fusiformes verticales. Les couches inférieures ont plus de cellules, dont le cylin
le cylindraxe prend la direction ascen- dante et se dirige vers la couche moléculaire supérieure. En ce qui concerne le m
sont les cellules de Purkinje et celles qui se développent dans la couche profonde de la zone granuleuse externe pour pre
ôle dans la vision. Dans les tubercules quadrijumeaux antérieurs la couche grise superficielle et les fibres blanches de la
eurs. Dans l'écorce, l'auteur constate une atrophie de la quatrième couche (couche des noyaux) dans la circonvolution calc
ns l'écorce, l'auteur constate une atrophie de la quatrième couche ( couche des noyaux) dans la circonvolution calcarine et
calcarine et une diminution assez marquée des cellules des autres couches de la même circonvolution. On ne trouve pas de
ons cérébrales, et il est évident que l'existence de la qua- trième couche de la circonvolution calcarine est subordonnée à
carine est subordonnée à l'intégrité du globe oculaire et que cette couche joue un rôle con- sidérable dans la vision. L
s occipitales et particulièrement dans la circonvolution calcarine ( couche des noyaux). Ln-OFF. XXVIII. Lésion du plexus b
té à la périphérie. Les élé- ments chromatophiles n'occupent qu'une couche mince qui borde le contour de la cellule nerveu
cellule plus riche en éléments chromatophiles disposés en plusieurs couches . En somme la conclusion temporaire de l'importa
ssaire à l'exécution de ces mouve- ments est autre part que dans la couche corticale, probablement surtout dans les centre
12 décembre 1881. C'est le second de neuf frères. Sa mère à eu sept couches sur lesquelles, deux fois, elle a eu des jumeau
r exemple les excès sexuels et le surmenage du corps, ainsi que des couches réitérées des femmes comme une cause fréquente
ité interne. Il est inégal, bosselé, le périoste est vasculaire, la couche sous périostique éburnée. Le col du fémur fait un
te, offrant les carac- tères d'une paralysie par névrite. Suites de couches fébriles avec REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 473
sera vraisemblablement bénigne et de courte durée si les suites de couches sont simples, alors qu'au cas contraire elle aura
ntourées d'une membrane pareille à celle de Schwann; puis vient une couche d'une substance homogène ou granuleuse, avec un
lindres-axes; la lamelle elle-même se divise en deux cou- ches : la couche antérieure et la couche postérieure qui, se confo
elle-même se divise en deux cou- ches : la couche antérieure et la couche postérieure qui, se confou- dant à leurs bouts,
ant à leurs bouts, se composent d'un protoplasme granuleux. Dans la couche inférieure pénètre une substance homogène de fi
rieure pénètre une substance homogène de fibres avec ses noyaux. La couche moyenne est composée d'une couche très mince de
e de fibres avec ses noyaux. La couche moyenne est composée d'une couche très mince de fibres musculaires striées. La colo
r la méthode de Golgi permettent de suivre les fibrilles jusqu'à la couche moyenne, où le fin fascicule de fibrilles se ter-
16 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ro-occipitale) et suivre cette subs- tance grise corticale, avec la couche blanche sous-ja- cente, vers la formation ammon
convolution godronnée, le manteau de l'hémisphère est réduit à sa couche de substance blanche, formant ici un gros cor-
circonvolution : 4 ANATOMIE. Si nous examinons la disposition des couches que forment ces parties, c'est-à-dire la struct
sente, en allant de la superficie à la profondeur : 1° D'abord une couche de substance blanche (0, /%'. ,8,) formée de fi
dans la profondeur de ce sillon. 2° Au-dessous du subiculum est une couche formée de substance d'ap- parence amorphe, pars
st-à-dire parallèlement à la surface. 3° Au-dessous est une épaisse couche de cellules pyramidales, qu'on ne voit pas dist
es pyramidales les plus profondes LA CORNE D'AMMON. 5 succède une couche de cellules nerveuses étoilées ou fusiformes. 5
che de cellules nerveuses étoilées ou fusiformes. 5° Enfin vient la couche médullaire de substance blanche. B. -Au nivea
ulum ou revêtement blanc super- ficiel disparaît (a, lîq. 2). 2° La couche sous-jacente (substance amorphe avec cellules i
est assez prononcée pour faire croire à la présence d'une nouvelle couche (fzg. 2 entre cet a) ; c'est ce que Meynert a a
orce, c'est-à-dire de la distri- bution des éléments nerveux. 3" La couche des cellules pyramidales est formée d'éléments
presque complète- ment (c. feg. 2). 4° Rien de particulier pour la couche de cellules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non
de cellules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non plus que pour la couche de substance médullaire blanche (f, fig. 2) qui
ofondeur (de gauche à droite ou de bas en haut, dans la fig. 2) les couches qui composent la circonvo- lution godronnée , n
que nous venons de décrire, mais avec interposition d'une nouvelle couche au-dessous de la première. En effet : 1° La pre
ouvelle couche au-dessous de la première. En effet : 1° La première couche (substance amorphe avec cellules irrégulièremen
fig. 2). Nous verrons plus loin que, chez divers mammifères, cette couche amorphe devient de plus en plus caractéristique
irconvolution go- dronnée. 2° Au-dessous apparaît, comme nouvelle couche , une mince nappe contournée (b, fig. 2), d'un a
ement le carmin, de sorte que, sur les coupes ainsi colorées, cette couche se distingue, même à l'eeil nu, comme un ruban
us ou moins nombreuses. (Voy. les figures des PL. II et III.) Cette couche est caractéristique de la circonvolution godron
lorzinî. (Voy. Huguenin, page 297.) 3° Vient ensuite (c, fig. 2) la couche des grandes pyramides, qui, vu la dimension réd
de la partie profonde vers la partie superficielle ; aussi cette couche mérite-t-elle plus spécialement ici le nom de s
dans l'ensemble de la formation ammonique. 4° Au- dessous est la couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin, 5° la
ssous est la couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin, 5° la couche médullaire de substance blanche, laquelle se co
convolutions. En même temps, comme ses vaisseaux pénètrent dans les couches superficielles de la circonvolution de l'hippoc
(sera- tum lacunosunz), et comme, à mesure qu'il se rétrécit les couches superficielles des deux circonvolutions arriven
nique, on trouve en allant de la superficie à la pro- fondeur : une couche de substance amorphe, une couche de cellules py
perficie à la pro- fondeur : une couche de substance amorphe, une couche de cellules pyramidales (stratum racliaitim), une
phe, une couche de cellules pyramidales (stratum racliaitim), une couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin la subs-
ce blanche; seulement dans la circonvolution godronnée une nouvelle couche vient s'interposer entre la première et la seco
première et la seconde, c'est le siraliimqi,aîîzi- losum, entre la couche amorphe et le stratum radiatum. Mais cette adjo
cavité ventriculaire, soit une trop grande importance attachée à la couche blanche superficielle dite szcbiczc- lîim, et d
'hémisphère pour devenir profonde... elle se recouvre d'une mince couche de substance blanche à laquelle est due la cou-
e posté- rieure du corps godronné et répond très médiatement à la couche optique, son bord postérieur très mince se cont
Quant à l'étude de la structure, c'est-à-dire de la disposition des couches dans la circonvolution de l'hip- pocampe, elle
emands que 12 ANATOMIE. l'auteur résume, il nie la présence d'une couche de cellules étoilées entre la couche des grande
sume, il nie la présence d'une couche de cellules étoilées entre la couche des grandes pyra- mides et la substance médulla
lle qu'est due la couleur blanche de cette der- nière. La prenzière couche , appartenant en propre à l'écorce, la couche ex
nière. La prenzière couche, appartenant en propre à l'écorce, la couche externe, est formée de petites cel- lules trans
à reconnaître et appar- tiennent au tissu interstitiel. La deuxième couche est caractérisée par l'absence des petites pyra
lacunosum de Meynert (stratum reticulare de Kuppfer). La troisième couche (stratum radiatum) est composée en dehors par l
MMON. 13 longements périphériques des pyramides qui en forment la couche la plus profonde... Les dimensions de ces pyram
mensions de ces pyramides sont considérables et l'épaisseur de la couche qu'elles forment a déterminé Meynert à donner,
s les autres régions de l'écorce, le nom d'am- nzons formation à la couche plus particulièrement com- posée de ces élément
e substance conjonctive ou de matière unissante interposée entre la couche nerveuse profonde et ce qui représente dans la
onvolution de l'hippocampe ; mais en même temps la continuité de la couche des grandes pyramides d'une circonvolution dans
que nous l'avons dit, de les com- prendre dans la nomenclature des couches de cette il k ANATOMIE. région corticale. Enf
u trigone (Ia). Cette bandelette est, avec la face supérieure de la couche optique et avec les plexus choroïdes, dans les
rts que le corps bordant est avec la face inférieure de ces mêmes couches et de ces mêmes plexus. On voit que sous le cor
ou bandelette du trigone) et d'autre part à la limite externe de la couche optique (contre le noyau caudé du corps strié)
u rat; coupe passant par les tuber- cules quadrijumeaux (TQ) et les couches optiques : en arrière de la couronne rayonnante
es plexus choroïdes et venir se rattacher à la limite externe de la couche optique, contre le noyau caudé du corps strié (
lle du côté opposé LA CORNE D'AMMON. 21 par toute l'épaisseur des couches optiques (ou pour mieux dire des tubercules qua
calleux est occupé sur toute sa face inférieure par deux épaisses couches grises qui sont pour le moins aussi volumineuse
es que les masses corticales dévelop- pées au-dessus de lui. De ces couches , l'une est supérieure (C H) et continue d'un cô
phases de cette soudure; l'autre est inférieure et ne forme pas une couche continue, quoique ses moi- 22 ANATOMIE. tiés
pe, l'autre godron- née), il énumère de haut en bas les différentes couches ; il en compte sept qu'il décrit laborieusement,
écrit laborieusement, sans même tenir bien compte de ce qu'une même couche , par le fait de la courbe qu'elle décrit ( par
ant son étude est très complète, surtout lorsqu'il s'at- tache à la couche qu'il nomme stratum granulosum et qui depuis a
t qui depuis a conservé ce nom. Kôlliker avait déjà signalé cette couche : « La corne d'Ammon et l'ergot de Morand, disa
est que dans la substance grise de la corne d'Ammon on trouve une couche particulière de cellules rondes, dépourvues de
ressées les unes contre les autres. » Kupffer indique combien cette couche se teint énergiquement par le carminé et il déc
nt se terminer dans la circonvolution de l'hippocampe en formant la couche blanche superficielle de cette circonvolution,
écorce cérébrale uniforme en surface, on trouve, en une région, une couche interposée, reproduisant la dis- position du st
nvolution godronnée; et cependant, par le fait de la présence de la couche b, il serait impossible de ne pas reconnaître l
circon- volution godronnée est due surtout à l'augmentation de sa couche superficielle (a) dans laquelle va appa- raître
peut-être pas tenu assez compte de ce fait lorsqu'il a classé les couches qu'on trouve dans la formation ammonique (voy.
ale de l'encéphale de l'homme au niveau des corps genouillés; - CO, couche optique; CC, corps genouillés ; V, ca- vité du
irconvolu- tion de l'hippocampe de la circonvolution godronnée ; a, couche de subs- tance amorphe; A, stratum granulosum ;
s- tance amorphe; A, stratum granulosum ; c, stratum tadiatum; d, couches des cellules nerveuses étoilées ; couette de subs
cavité des hémisphères (ventricules laté- téraux) ; 2, cavité de la couche optique (3- ventricule); 3, cavité des tubercul
érieur, un interne et un externe. Le noyau antérieur siège dans les couches superfi- cielles de la protubérance et du corps
ATOMIE. De notre côté, voici ce que nous avons pu constater : les couches transversales du nerf auditif, préalable- ment
naissent guère que sous l'aspect de points noirs, au centre de la couche jaunâtre et mince de myéline qui les en- toure.
récé- dente. Ce sont des (ils assez déliés et fins, revêtus d'une couche circulaire de myéline très mince, qui ne pré- s
4) dus probablement aux cylindres d'axe ainsi qu'à leurs gaines. La couche cir- culaire de myéline conserve la même épaiss
n'est qu'exceptionnellement que je trouvai des tubes uniformes, à couche circulaire de myéline. Mais je n'eus jamais l'o
e doigt, comme infil- trée ; il semble qu'elle recouvre une épaisse couche de tissu cellulaire lâche. En divers points du
tholomew's Ilospital. Elle a eu neuf enfants et plu- sieurs fausses couches et ne présente aucun antécédent syphilitique. A
ves, atrophie des cellules nerveuses un travail identique dans la couche sous-épithéliale de l'épendyme, dans la pie-mère
il y avait eu un nombre consi- dérable de grossesses ou de fausses couches . La mala- die peut survenir chez des personnes
dement. Elle se met à genoux sur son lit, arrange ses oreillers, se couche sur le côté droit et s'endort bientôt. Les at
e : Destruction du lobule de l'insula du colé droit; Atrophie de la couche optique et du corps strié correspondants; Dégén
6 millimètres sans déterminer de dou- leur ; tout autour existe la couche de squames épidermiques habituelle, au-dessus d
rte que, entre Fig, 9. C , corps calleux. C. S., corps strié. 0., couche optique. RECUEIL DE FAITS. 183 l'extérieur et
'extérieur et la paroi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince couche de substance blanche. Les circonvolutions du vois
ue sous forme de deux petits noyaux du volume d'un gros haricot. La couche optique est diminuée d'au moins les deux tiers
pariétale ascendantes), et produit une atrophie considérable de la couche optique et du corps strié (Faj. 9 et 10), s'est
gent les organes supérieurs qui pré- sident à la vie psychique; les couches grises ont été sacrifiées à l'élément blanc, la
la zone corticale. Tandis que dans trois cer- veaux quelconques, la couche corticale est de 2,57 millim., que sur trois id
DR P1TH()IO.IIs MENTALE. ruban de substance blanche qui précède la couche optique surle plancher ventriculaire. Nulle tra
adjacents. Un bourrelet caudiforme, paraissant bien distinctde la couche optique soudée inférieurement, tient lieu de corp
d'hypérémie et des ecchymoses dans les noyaux lenticulaires et les couches optiques; tout le long de la moelle, prolifératio
s l'auteur n'a pu les poursuivre jusque sur le tectum opticum de la couche optique. La racine descendante se divise en deu
céphalopathie rhumatismale, le choléra, l'insolation, les suites de couches , l'ataxie locomotrice, etc., etc. ; dans certaine
ssais, et malgré le plus grand soin, on constate que c'est toute la couche de substance grise qui suit la pie-mère, laissa
ion pédon- culaire, sur une ligne verticale passant en dehors de la couche optique, a coupe irrégulièrement triangulaire d
océdés, que l'expansion du nerf optique est indépendante des autres couches de la rétine, y compris celle des cellules nerv
chauve-souris, la taupe et le lapin, entraine la conviction que la couche moyenne des fibres de ces or- ganes contient le
par des travaux antérieurs au présent mémoire à admettre, dans les couches optiques, des centres inhibiloires empêchant le
la section d'un hémisphère cérébral immédiatement eu arrière de la couche optique, puis une hémi-section de la moelle ou
tractions rhythmiques des sphinc- ters, prennent naissance dans les couches optiques, puis des- cendent dans l'axe gris, et
u noyau lenticulaire du corps strié; 3° d'autres se jettent dans la couche revue d'anatomie. 34Î optique et les corps ge
l'autre. En dé- finitive, il localise les émotions tristes dans les couches optiques droites, et les gaies dans les couches
ns tristes dans les couches optiques droites, et les gaies dans les couches optiques gauches. Le tra- ducteur admet les opi
in 1882, à l'auteur du meilleur mémoire relatif aux fonctions de la couche optique chez l'homme. Les conditions du concour
ite de l'encéphale de l'homme au nireau des corps genouillés; - C0, couche optique; CC, corps genouiIIGs; - V, ca- N lié d
tance amorphe; - b, stratum yanulosum ; - c, stratum radiatum; - z couches des cellules nerveuses étoilées; ? couche de subs
c, stratum radiatum; - z couches des cellules nerveuses étoilées; ? couche de substance blanche médullaire. 390 EXPLICAT
- cavité des hémisphùies (ventricules laté- iau\) ; 2, cavité de la couche optique (3e ventricule); 3, cavité des tubercul
17 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
t né à Strasbourg le 13 avril 1858 où sa mère était allée faire ses couches , bien qu'habitant Paris de- puis son mariage ;
is, il commença à mar- 'Elle s'esl mariée à 19 ans, fait une fausse couche ; en 1883, elle était bien portante. 22 IDIOTI
ante sous le doigt, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaisse couche de tissu cellulaire lâche; au devant du thorax
hritique est comme oedématié. Le rein gauche, entouré d'une épaisse couche de graisse, se décortique facilement (quelques
à l'oeil nu de lésions de néphrite interstitielle (épaisseur de la couche corticale : 4 millim.). - Le rein droit se déco
be à con- vexité supérieure. Le corps calleux, le corps strié, la couche optique, ne présentent rien de particulier. H
signalées, est assez profonde. Le corps calleux, le corps strié, la couche optique, sont normaux. Cervelet. - Les hémisphè
-jacents qui sont mous et flasques. On sent qu'il existe une légère couche de graisse sur toute la surface du corps. Les m
es. Des incisions faites à la peau niellent à découvert une épaisse couche de tissu cellulo-graisseux. Nulle part on ne tr
sie ni sérosité, ni substance colloïde, mais simplement une épaisse couche de graisse sous- cutanée. Il esta noter, du res
elle est comme paralysée des extrémités, surtout depuis sa dernière couche ; en 1881, sa santé n'a fait que décliner. » 9°
s de con- sanguinité - antécédents personnels. 107 Deux fausses couches et deux enfants : 1° Un fils, né avant le maria
se trouva mal et qu'on dut aller chercher un médecin ; 2° fausse couche de deux mois, sans cause connue;-3° no- tre mal
he de deux mois, sans cause connue;-3° no- tre malade ; - 4° fausse couche de cinq mois et demi. Notre malade. Conception
plus antérieure par un sillon transverse. Le ventricule latéral, la couche optique, le corps strié, la corne d'Ammon, le c
t étalé. Vers la protubérance, la tumeur est recouverte d'une mince couche de tissu nerveux, en avant, elle arrive au cont
umeur occupe tout le pédoncule, qu'elle s'étend en avant jusqu'à la couche optique et s'enfonce un peu en arrière dans la
u lobe olfactif ne peut se faire qu'en entraînant une assez forte couche de substance grise. -Autant qu'on peut le voir pa
rticipation du tissu cérébral. A leur périphérie, on voit une mince couche de cellules embryonnaires, dont les plus intern
ide calcifié. Quelques cellules géantes sont répandues dans cette couche . La zone centraleest composée de tissu calci- f
zone de tissu de granulations richement vascula- risées, enfin une couche de cellules embryonnaires, sans vaisseaux, pars
llules géantes développées. Les cellules les plus internes de cette couche subissent la transformation granulo-graisseuse,
ée. - La corne d'Ammon, le ventricule latéral, le corps calleux, la couche optique, le corps strié, n'offrent rien de part
xterne est tomen- teuse, comme déchiquetée, car presque partout une couche assez épaisse de la substance grise a été entra
ur le bord du coin. La corne d'Azzzmon, le ventricule latéral, la couche optique, le corps calleux sont normaux. Exame
ent visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise, la couche superficielle de né- vroglie a son épaisseur no
peu plus abondants que chez un enfant sain du même âge. La seconde couche , celle des petites cellules pyramidales, présen
n ne retrouve pas à un faible grossissement l'aspect connu de cette couche , et qu'il en faut chercher les éléments. Dans l
cette couche, et qu'il en faut chercher les éléments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyramidales moye
l en faut chercher les éléments. Dans les deux couches suivantes, couche des cellules pyramidales moyennes et couche des
deux couches suivantes, couche des cellules pyramidales moyennes et couche des grosses cellules, on observe, vu la grosseu
s de cellules de cartilage. Les cellules situées àlalimite des deux couches intermédiaires aux grandes cellules pyramidales
e altération dont on retrouve des états différents sur toutes les couches . Elles sont d'abord gonflées, hyalines, avec une
s groupes de cel- lules à autre état. Les capillaires dans ces deux couches sont ramifiés et dilatés, mais leur développeme
iés et dilatés, mais leur développement n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la subst
du centre à la périphérie. En effet, si nous reprenons l'étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substan
présentant les figures connues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermé- diaire, couche des fibres arquées, et
onnues sous le nom d'éléments araignées. La couche intermé- diaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes ce
ignées. La couche intermé- diaire, couche des fibres arquées, et la couche des grandes cellules pyramidales ne se composen
nts avec de nombreuses cellules intersti- tielles, et c'est dans la couche des cellules pyramidales moyen- nes que l'on re
uer. Au-dessus, la sériation des cellules a tout à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a é
Une soeur, 26 ans, n'a pas eu de convulsions, a fait des fausses couches et a eu des enfants morts jeunes. Pas d'idiots,
rieure (bourrelet) est comprise dans le kyste. Le corps strié, la couche optique, n'offrent rien de particulier. Le ventri
dans le kyste temporal. Le corps strié paraît normal, ainsi que la couche optique. Le ventricule latéral ne paraît pas en
n arrière, à peu près lisse. La corne d'Ammon, le corps calleux, la couche optique, le corps strié ne présentent rien de p
ssée. La circonvolution du corps calleux, le ventricule latéral, la couche optique, n'offrent rien de particulier.-Les sci
leur forme pyramidale et des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas de lési
rise. Du côté de celle-ci, les lésions sont les mêmes pour les cinq couches ; la vasculari- sation est exagérée; les capilla
l des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans
dans les couches moyennes; les cellules nerveuses, surtout dans la couche des petites cellules pyramidales 1,2° couche de
euses, surtout dans la couche des petites cellules pyramidales 1,2° couche de Meynert), sont devenues rares ; pourtant les
montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses couches reconnaissables. Il existe un certain nombre de
- che des cellules de Purkinjo ; une diminution d'épaisseur de la couche des myélocytes, et un certain degré de sclérose d
rieure de la circonvolution frontale. - Le ven- tricule latéral, la couche optique, le corps strié et la conie d'Ammon par
resque et formant une vaste bande entre la première et la troisième couche de la substance grise, et comprenant ainsi la m
pas disposées en séries, mais dispersées et globuleuses. Celles des couches profondes sont allongées, granuleuses et très f
es- tante. Cette paroi est composée, de dehors en dedans, detrois couches : la plus superficielle, mince et homogène, formé
ts, s'amincit aux points extrêmes do la lésion et disparait dans la couche superficielle de la subs- tance grise normale.
erficielle de la subs- tance grise normale. Au-dessous apparaît une couche deux à trois fois plus épaisse. Cette couche es
u-dessous apparaît une couche deux à trois fois plus épaisse. Cette couche est composée surtout de cellules rondes assez v
s fibrilles convergent en bas par faisceaux distincts. La troisième couche est occupée parces faisceaux et un certain nomb
paroi, ainsi constituée sur les parties latérales, on voit que les couches se perdent successivement dans la couche extern
atérales, on voit que les couches se perdent successivement dans la couche externe névroglique de la subs- tance grise ; c
xterne névroglique de la subs- tance grise ; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième couche de Meynert que s'
tance grise ; c'est donc entre cette couche externe et la deuxième couche de Meynert que s'est opérée la scissure qui a don
ce grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouverte par une couche fibril- laire névroglique. Au-dessous, elle se
du foyer sont moins avancées, quoique très étendues. La première couche , couche névroglique de Meynert, est très mince,
r sont moins avancées, quoique très étendues. La première couche, couche névroglique de Meynert, est très mince, avec de
est raréfiée, qui forment autant d'espaces clairs. Dans la deuxième couche , celle des petites cellules pyrami- dales, on v
s normaux sont détruits et leur nom- bre diminué. Dans la troisième couche , celle des cellules moyennes, on voit les colon
ellule. Le prolonge- ment inférieur est le plus distinct. Dans la couche suivante des grandes cellules, les altérations
es qui vont former la substance grise, on voit de plus que dans les couches précédentes un assez grand nombre de noyaux de
ut dans la substance grise. Cervelet, - Dans la substance grise, la couche de névroglie est fibrillairo dans le sens longi
les prolonge- RÉFLEXIONS : HÉRÉDITÉ. 191 ments de la plupart. La couche des cellules névrogliques n'offre rien de parti
dont l'origine est évidemment sanguine. Elle est constituée par la couche la plus superficielle de la substance grise, ép
nt bien développés et normaux. Le corps calleux, le corps strié, la couche optique et le ventri- cule latéral ne présenten
à gauche. il en est de même du corps calleux, du corps strié, de la couche optique et du ventricule latéral. BOURNEVILLE
- ret.) 1° Une fausse-couche; 2° notre malade; - 3° une fausse- couche (cette dernière grossesse provient d'un second mi
sure calcarine sont normaux. Le corps calleux, le corps strié et la couche optique, le ven- tricule latéral, la corne d'Am
18 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
is enfants vivants, deux sont morts (tuberculose ? ), trois fausses couches . La maladie actuelle date de septembre 1911.A c
de Nissl ce pigment est coloré en vert jaune. Ecorce (Nissl). Les couches différentes sont partout bien reconnaissa- bles
de ces foyers est très restreinte. Souvent ils ne dépassent pas la couche dans la- quelle ils sont situés ; les couches s
ls ne dépassent pas la couche dans la- quelle ils sont situés ; les couches sous-et sus-jacentes ont les caractères ordi- n
t coloré. Ces noyaux sont distribués entrés grand nom- bre dans les couches profondes où l'on trouve les plus beaux spécimens
couches profondes où l'on trouve les plus beaux spécimens, dans les couches supérieures ils deviennent plus petits. Ils sont
sous-piemérien est épaissi. Entre les cel- lules névrogliques de la couche moléculaire nous en remarquons qui ont un proto
s araignées donnant naissance à des fibres névrogli- ques. Dans les couches sous-jacentes ce sont les cellules à noyaux grand
s ré- duites), la richesse en fibres à myéline n'a pas diminué. Les couches optiques et les autres amas de substance grise,
ut, pour trouver les foyers perforés, les chercher attentivement. Couches optiques. Cellules nerveuses en forte dégénératio
, se différencie bien du type clair. Ecorce du cervelet. Ni dans la couche plexiforme, ni dans la couche des grains le typ
clair. Ecorce du cervelet. Ni dans la couche plexiforme, ni dans la couche des grains le type du noyau névroglique sus-déc
ces processus de dégénération bien connus nous remarquons dans les couches profondes quelques noyaux se distinguant par le
en nucléïne, parfois il y a deux amas chromatiques ou plus. Dans la couche des cellules fusiformes ces noyaux ont des dime
ux cas surtout, c'est la présence des grands noyaux clairs dans les couches profondes de l'écorce ; dans le casKr... ils s'
s s'y limitent, dans le premier cas ils se présentent déjà dans les couches supérieures. CONCLUSIONS. Chez des gens à un
tra- vers la moelle cervicale et l'isthme de l'encéphale jusqu'à la couche opti- que. La série des figures 7-22 nous dispe
par la formation réticulée pédoncl1lo- protubérantielle jusqu'à la couche optique (1). Trajet cervical et connexions intr
s indiqué sur nos dessins, que des fibres plus ténues arrivent à la couche interolivaire et la traversent pour aller à l'oli
ey, Bumke, Blume- nau,Goldslein qui ont suivi jusqu'à la base de la couche optique,des con- nexions spino-thalamiques, trè
psule qui les entoure est très épaisse, et constituée par plusieurs couches de fibres cellules a noyau allongé et disposées
lui, afin d'être au chaud pen- dant son sommeil, ce qui donne à sa couche une allure fantomatique, dont s'épouvante chaqu
rme de la gaine de Schwann qui apparaît formée d'un grand nombre de couches concentriques, en bulbe d'oignon, com- primant
segment rétro lenticulaire de la capsule interne. Elles abordent la couche optique au-dessus des radiations du corps genou
ariétal, la lésion atteint l'épendyme ventriculaire et sectionne la couche sagittale et que c'est par cette couche que pas
ntriculaire et sectionne la couche sagittale et que c'est par cette couche que passent les fihres de projection de la région
te plaque jaune a atteint l'épendyme ventriculaire et sectionné les couches sagittales du segment postérieur de la couronne
onvolution postérieure de l'insula. La plaque jaune a sectionné les couches sagittales au voisinage du segment rétrolen- ti
trolen- ticulaire de la capsule interne ». Ainsi, en atteignant les couches sagit- tales très en avant, et tout près des ga
très marquées au ni- veau de la capsule interne et des noyaux de la couche optique, von Mona- kow considère que l'intégrit
ait sur la voie cortico-protubérantielle frontale, ainsi que sur la couche opti- que (noyau antérieur, noyau ventral antér
Alors qu'on constatait une intégrité parfaite du noyau médian de la couche optique et de la zone capsulaire frontale du noya
oyau antérieur, le noyau ventral antérieur et le noyau médian de la couche optique, puis, après avoir traversé la région s
interne, porte sur les noyaux du segment inférieur on ventral de la couche optique, et, gagnant alors la partie latérale de
nt du noyau interne, du centre médian et de la zone réticulée de la couche optique et peut-être même de la zona incerla..
t de fibres fourni par les masses grises du segment inférieur de la couche optique, y compris la zone réticulée, . et peut
le noyau rouge à la lame médullaire externe (partie médiane), ai la couche optique (centre médian en particulier), et à la
Ces mêmes fibres forment la majeure partie du tiers antérieur de la couche péri-capsulaire dorsale ou supérieure et entrent
et entrent également dans la constitution du tiers antérieur de la couche péri-cap- sulaire médiane. Pour ce qui en est d
qui proviennent de la région operculaire et du noyau ventral de la couche optique, ces fibres concourent à former cette p
n dehors les deux tiers antérieurs du noyau rouge, c'est-à- dire la couche péri -rubrique ventro-latérale. - Nos travaux p
circonvolution tem- porale etdu lobule fusiforme, ne sectionnait la couche sagittale externe que sur une très faible étend
par un foyer rectangulaire lequel sectionne largement toutefois les couches sagittales sous-ventriculaires. La lésion de l'hi
t dans le lobe pariétal, soit dans le lobe frontal. Au niveau de la couche optique, cependant, on remarque quel- ques foye
ésente également une pâleur manifeste. Près du bord supérieur de la couche optique, on voit un petit foyer lacunaire lequel
duaire affecte particulièrement le domaine du cingulum ainsi que la couche marginale de l'alvéus et la fimbria. La couche sa
ingulum ainsi que la couche marginale de l'alvéus et la fimbria. La couche sagittale externe temporale se colore fortement
E ARCHAMBAULT du noyau rouge, traverse le tubercule antérieur de la couche optique, le corps de Luys et la bandelette opti
foyer lacunaire est encore visible dans la partie supérieure de la couche optique et semble avoir déterminé une dégénéresce
miné une dégénérescence partielle du stratum zonale ainsi que de la couche sagittale interne de la cou- ronne rayonnante p
ne de la cou- ronne rayonnante pariétale. Dans le lobe temporal les couches sagittales re- prennent un aspect relativement
obe temporal, dans le domaine du cingulum en particulier. Quant aux couches sagittales profondes, elles pré- sentent une dé
t, c'est l'atrophie rétrograde énorme, la résorption presque, de la couche sagittale externe. Le tapetum par contre n'est gu
ne. Le tapetum par contre n'est guère touché- La dégénérescence des couches sagittales temporales se poursuit directement dan
générescence rii ! ru1\ du noyau latéral et du stratum zonale de la couche optique, ainsi que l'affaissement du bord supérie
ue le stratum zonale, le noyau latéral et le bord su- périeur de la couche optique, et, d'autre part, la couronne rayonnante
etits foyers lacunaires nu niveau de la partie supéro-interne de la couche optique, lesquels contribuent LES CONNEXIONS CO
dégénérescence s'épuise dans la partie externe du noyau latéral de la couche optique ; en bas elle abandonne un prolongement
end directement dans le pied du pédoncule cérébral. Au niveau de la couche optique, on remarque outre la dé- générescence
a substance profonde du lobe pariétal, lequel siège au niveau de la couche sagittale externe de la couronne rayonnante un pe
st ainsi que dans le lobe temporal, la déco- loration partielle des couches sagittales et de la substance profonde est diffi.
e une dégénérescence assez légère et diffuse du noyau latéral de la couche optique. Sur les coupes passant par l'extrémité p
corps quadrijumeau antérieur, du pulvinar et du noyau interne de la couche optique, ainsi que de la partie pos- térieure d
existe aucune autre lésion dans ce cas, sauf quelques lacunes de la couche optique et du noyau lenticulaire. On constate u
rescence très marquée de la partie laté- rale du corps calleux, des couches sagittales de la couronne rayonnante et de tout
de la convexité pariétale-et de la capsule externe. Au niveau de la couche optique, on remarque une atrophie notable du bord
s relèvent en partie de la grosse lacune sié- geant au centre de la couche optique. On note une raréfaction très considérabl
te, de la capsule interne et de la capsule externe. Au niveau de la couche optique, la réaction dégénérative semble plus acc
ante, et contribue sans doute à intensifier la dégénérescence de la couche sagittale externe et de la capsule externe. La
externe et de la capsule externe. La dégénérescence rétrograde de la couche sagittale interne de la couronne rayonnante est
vie directement dans le pied du pédoncule cérébral. Au niveau de la couche optique, on constate la dégénéres- cence de la
égénérescence. Il est vrai qu'à cet endroit le bord supérieur de la couche optique semble être intéressé par des altérations
nt une légère dégénérescence du bord externe du noyau latéral de la couche optique ainsi que de la lame médullaire externe.
nce capsulaire ienticuio-tha'amique est encore très marquée mais la couche optique reprend un aspect relative- ment normal
rale, et sectionne à peu [très complètement le segment vertical des couches sagittales profondes du lobe temporal. Cette vast
andique. Malgré le voisinage si intime de la lésion, on voit que la couche sagittale externe temporale est relativement inta
la couche sagittale externe temporale est relativement intacte ; la couche sagittale interne et le tapétum, au contraire, so
I immédiatement au-dessus du corps genouillé externe. Au niveau de, couche optique, on remarque une atrophie déformante pl
ée des deux tiers supérieurs de la capsule interne. Au niveau de la couche optique, on remarque encore une atrophie très not
génératifs au niveau du noyau rouge que lorsqu'elles impliquent les couches sagittales profondes sur une étendue considérab
téro-inférieure, c'est-à-dire au cours de leur passage à travers la couche sagittale interne temporale. Ce qui paraît être
erne. La dégénérescence s'étend ensuite d'une part aux noyaux de la couche optique, et d'autre part au noyau rouge. Au niv
la couche optique, et d'autre part au noyau rouge. Au niveau de la couche optique, elle atteint la lame médul- laire exte
pied du pédoncule cérébral. Ces lésions entraînent, au niveau de la couche optique, la dégénérescence surlout de la lame méd
culaire, au niveau du bord externe de la moi- tié postérieure de la couche optique (Charroi et Raymond), ou même à l'intér
ire de la capsule interne et par la parlie posléro-In Férieui de la couche optique Tout récemment, J11. Pierre llarieelJ.
la preuve de l'existence d'un centre de la mimique au niveau de la couche optique. Pour nous, ce phénomène peut tout auss
vation du facial inférieur que l'on a décrit dans les lésions de la couche optique est ordinairement transitoire, ce qui 2
teignant tan- tôt la partie médiane du noyau lenticulaire tantôt la couche optique ou la calotte pédonculo'pl'otubél'antie
Le malade est marié ; sa femme est bien portante ; après une fausse couche de trois mois, elle eut uu garçon actuellement
montra des altéra- tions soit dans les noyaux rouges, soit dans les couches optiques, a per- mis de formuler la théorie, ma
s inferior thalami. Coupe V (intéressant la partie antérieure de la couche optique). Le noyau caudé, le putamen et le glob
Leur nombre apparaît très faible. L'affaissement très évident de la couche optique est expliqué par l'atrophie de la régio
une prolifération de la névroglie bien appréciable à la base de la couche optique, aux confins de la région sous- thalami
sous- thalamique En étudiant le réseau de fibres à myéline dans la couche optique, des réductions ne sont pas constatées.
aisceau volumineux, qui aboutit dans la base du noyau externe de la couche optique. Comme dans la coupe précédente, nous rem
s l'affaissement de cet organe. Microscopiquement, les noyaux de la couche opti- que ne montrent pas une diminution du rés
rquons les faisceaux fibrillaires entourant le. noyau externe de la couche optique ; la zone reticularis et la lamina medull
la névroglie, surtout autour 286 VAN WOERKOM - des vaisseaux. La couche optique ne montre ni des réductions cellulaires
noyau rouge). Nous remarquons l'intégrité de la capsule interne. La couche optique montre la défor-, Série normale Série o
mes altérations qui attirent notre attention : la déformation de la couche optique, la coupe d'après Weigert-Pal sans altéra
an Gieson montrant l'augmen- tation de la névroglie à la base de la couche optique. Du reste rien d'anormal n'est constaté
ent ce que l'on trouve d'ordinaire chez les vieillards. Partout les couches sont bien différenciées. Les cellules pyramidal
importantes. Les cellules de Purkinje ont l'aspect normal. Dans la couche des grains, on reconnaît les cellules de Gol-i
la couche des grains, on reconnaît les cellules de Gol-i ; dans la couche plexiforme, on remarque, en bon nombre, les cel
bon nombre, les cellules étoilées. Les cornes d'Ammon montrent une couche de cellules pyramidales normales ; à certaines
névroglie est en prolifération. D'après Weigert-Pal, l'alveus el la couche fibrillaire superficielle du subiculum sont bie
Les corps de Luys ont perdu la moitié de leur volume. A la base des couches optiques (les places pointillées) , la névroglie
llées) , la névroglie est enproliféra- tion accentuée. Du reste les couches optiques sont sans altérations appréciables.
les pyramidales ont conservé leur disposition normale et toutes les couches sont bien reconnaissables. Dans l'écorce, la né
aru. Les altérations y sont peu prononcées. Le noyau lenticulaire, la couche optique et le noyau rouge ont, dans ces coupes,
t morte 11. 56 ans de bronchite chronique, elle u'eut pas de fausse couche et lui a laissé deux fils actuellement bien porta
centrique. Quant à la dure-mère elle-même, cette memhrane forme une couche solide autour de la tumeur qui en est net- teme
ussi secondaires : Cpaslin a mis en évidence la fréquence, dans les couches superficielles de l'écorce, de faisceaux de fib
19 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
. Pas d'autres maladies. Elle a 7 enfants bien portants. Une fausse couche au troisième mois. Elle était déjà à l'hôpital (a
d'autres maladies, pas de syphilis. Sa femme n'a pas eu de fausses couches . Il y a quelques années il a été traité par des i
e la pariétale ascendantes ; cette lésion ne devait occuper que les couches superficielles du cortex et consister très vrai
s en bonne santé. Elle a eu 6 enfants dont 3 sont morts. Une fausse couche . La famille est bien por- tante. Etat actuel.
syphilis ; 4 enfants bien portants. Sa femme n'a pas eu de fausses couches . ' Etat actuel. Bonne conformation, bon état gé
miée avec de nombreuses extra - vasations sanguines, couverte d'une couche épaisse de mucosités et de pus. Intestins norma
néoplasiques sur la face externe de la dure-mère. 170 FLATAU les couches de la dure-mère. Dans certains segments de la moe
l'on sera a même de déterminer dans quelles régions et dans quelles couches évoluent les processus pathologi; dues qui cara
oir la lésion par symptôme ? Il est évident que la lésion delà même couche dans la même région doit L constamment produire
ple que les altérations étaient plus marquées dans telles ou telles couches corticales ; qu'elles étaient uniquement locali
hes corticales ; qu'elles étaient uniquement localisées dans telles couches de l'écorce ! D'autres savants même, ont déjà
e ! D'autres savants même, ont déjà notéque dans certains cas telle couche de l'écorce ne s'était pas développée du tout.
s'agis- sait là de la persistance partielle du type infantile de la couche intéres- sée. Janet, dans son dernier volume
0 U I)N E \' produite par l'anémie et la manie par l'hyperémie des couches corticales du cerveau. Ceci nous montre de quel
me est violent et impulsif comme son père ; il n'y a pas de fausses couches . Notre garçon fut conçu au grand déplaisir des
e sujet a eu d'autres frères ou soeurs, si sa mère a eu des fausses couches , car dès son enfance il a vécu hors de sa famil
la substance osseuse même est altérée, car en certains endroits la couche corticale est fort épaisse et abondante ; en d'au
gieuse est très abondante et sur plusieurs on peut même dire que la couche corticale a presque disparu. Le raccourcissemen
morts et le treizième est notre malade. Elle n'eut jamais de fausses couches . Deux des enfants moururent tout de suite après
pouvons rien affirmer, d'autant plus qu'il n'y a pas eu de fausses couches . Certainement chez les parents il n'y avait ni
n regard de la lésion osseuse, s'étale, sur la dure-mère, une mince couche de fongosités englobant légèrement les raci- ne
ernier est né il y a 18 ans, et dont 6 sont vivants. Pas de fausses couches . La-syphilis ne se retrouve pas. Le malade ne b
inférieurs manquent complètement. La malade affirme que si elle se couche sur le côté droit,son membre droit se fléchit dan
. 30). A un fort grossis- sement on peut voir comme les différentes couches de la dure-mère se sépa- rent et sous forme d'u
les cellules ne gardaient plus la disposition caracté- ristique en couches ,mais elles étaient séparées par des bandes cicatr
ractérisé par la présence des cel- lules géantes et l'absence d'une couche granuleuse, l'autre postérieur, (1) W. BETZ. An
ENTS VOLONTAIRES 371 caractérisé au contraire par la présence d'une couche granuleuse évidente et par l'absence des pyrami
de sorte qu'il n'y a pas de limite distincte entre les différentes couches et les cellules sont moins denses que dans la p
frontate. Tandis que dans la frontale ascendante, les diffé- rentes couches , et particulièrement la troisième, la quatrième e
en -opère d'autres d'ordre histologique. C'est ainsi que la seconde couche de la frontale ascendante contientpeu de cellules
les granu- leuses et beaucoup de petites pyramides. D'autre part la couche granu- leuse interne fait défaut à peu près com
fait défaut à peu près complètement et la troisième et la cinquième couche se continuent directement. La dernière contient l
et la substance blanche, car les cellules fusiformes de la sixième couche des- cendent profondément dans cette dernière (
trouvons sur toute l'étendue de la circonvolution la présence d'une couche granuleuse interne très bien indiquée qui sépar
1. Structure de l'écorce correspondant au type 4 de Brodmann. j I, Couche zonale. II, Couche de petites pyramides. III, Cou
écorce correspondant au type 4 de Brodmann. j I, Couche zonale. II, Couche de petites pyramides. III, Couche de moyennes et
Brodmann. j I, Couche zonale. II, Couche de petites pyramides. III, Couche de moyennes et grandes pyf3R]id V, Couche des c
e petites pyramides. III, Couche de moyennes et grandes pyf3R]id V, Couche des cellules géantes. VI, Couche des cellules mul
de moyennes et grandes pyf3R]id V, Couche des cellules géantes. VI, Couche des cellules multiformes. 1 DES CELLULES DE BET
la pariétale ascendante correspondant au type 1 ae tsroan : ann. I, Couche zonale. - Il, Couche des petites pyramides. III.
te correspondant au type 1 ae tsroan : ann. I, Couche zonale. - Il, Couche des petites pyramides. III. Couche des moyennes
n : ann. I, Couche zonale. - Il, Couche des petites pyramides. III. Couche des moyennes et grandes pyramides. IV, Couche g
tites pyramides. III. Couche des moyennes et grandes pyramides. IV, Couche granulaire. V, Couche des grandes pyrami- des p
Couche des moyennes et grandes pyramides. IV, Couche granulaire. V, Couche des grandes pyrami- des profondes. VI, Couche d
Couche granulaire. V, Couche des grandes pyrami- des profondes. VI, Couche des cellules multiformes. 374 MAU1NESC0 1 pla
qui se fait assez brusquement se caractérise par l'apparition de la couche granuleuse interne dans la partie postérieure et
grosses cellules pyramidales profon- des, situées au-dessous de la couche granuleuse interne nous avons pour le corps cel
. Gesellschaft, février 1883. (2) VoN Monakow. Du râle des diverses couches des cellules ganglionnaires du gyrus sigmoideus
qui avait détruit la capsule in- terne, le noyau lenticulaire et la couche optique, les réactions cellulaires ne se limite
es, mais elles se produisent encore dans les grandes pyramides delà couche sous-granulaire et également dans un certain no
BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 381 avait pas de lésion dans les couches superficielles ni dans la couche polymorphe. Pu
381 avait pas de lésion dans les couches superficielles ni dans la couche polymorphe. Puis les lésions ne se limitent pas
trale, dans une disparition partielle des grandes pyramidales de la couche sous-granulaire de la frontale et pa- riétale a
. Ils remarquent en outre.qu'il est possible que des cellules de la couche supraranulaire aient disparu, mais qu'il leur e
leur origine exclusivement des cel- lules pyramidales géantes de la couche sous-granulaire de cette zone et ces cellules n
l. Vol. XVI, no (-2, 1910. 384 MARINESCO de la base détruisant la couche optique, les deux tiers du noyau lenticu.aire et
les cellules de Betz sont en réaction ; les grandes cellules de la couche sous-granulaire de la pariétale ascendante sont é
u jusqu'au voisinage du pli courbe. Un foyer plus récent détruit la couche optique gauche et la capsule interne. Examen mi
s de réaction et d'atrophie dans quelques grandes pyramidales de la couche sous-granulaire. 6° Jean P... Notes cliniques.
externe. Un autre foyer, petit, siège à la partie supérieure de la couche optique droite. Examen microscopique. Dans le
cellules pigmentées et atrophiées dans la par- tie supérieure de la couche granuleuse.La différence est nette quand on compa
xamen macroscopique. Foyer hémorragique récent qui détruit toute la couche optique gauche et le segment postérieur de la cap
r plus grand et plus récent qui détruit la plus grande partie de la couche optique et tout le segment postérieur de la capsu
ement ; un autre foyer dé- truit la tête du noyau caudé gauche ; la couche optique droite est détruite par un foyer hémorr
s les noyaux delà base, un peu plus nombreux et plus grands dans la couche optique et dans le noyau lenticulaire gauche. Des
rface limitante du chorion et de l'épidémie s'étendent à toutes les couches sus-jacentes. Mais s'il existe un trouble de l'or
it n'a marché qu'à cinq ans, et, ma- riée, a fait plusieurs fausses couches . Cinq enfants sont plus jeunes; deux moururent
éticulée de la couronne rayonnante décrite par Sachs, ou encore, la couche sagittale interne fronto-pariétale de Anton et
tal. Pour lui, le faisceau d'Onufrowicz doit être identifié avec la couche sagittale interne du lobe fronto-pariétal et co
frontal de celui-ci existe bien qu'il ne soit représenté que par une couche de fibres commissurales très mince, limitée à l
ide séreux clair et tapissés par un épendyme épaissi et velouté. La couche optique gauche est extrêmement saillante, d'aut
ci-dessus décrit et se continue plus loin sous la forme d'une mince couche de fibres qui engaine plus ou moins complètemen
de la'partie moyenne de ce ventricule, nous dit Zingerle, la mince couche de radia- tions calleuses qui n'est que la cont
maire, mais aussi des' troubles circulatoires dans le domaine de la couche périventriculaire, auxquels il faut encore ajoute
née par l'augmentation de la pression intraventriculaire. Or, cette couche étant en grande partie constituée par l'épanouiss
La continuation intra-hémisphérique du corps calleux neforme qu'une couche très mince au-dessus de la voûte du ventricule,
Dejerine, dans lesquels on ne retrouve pas au niveau du tapétum, la couche pour- tant bien caractéristique que forment les
bris cellulaires et filamenteux, et siè- gent de préférence dans la couche des cellules pyramidales. On note égale- ment u
t pas contracté la syphilis. La mère n'avait jamais fait de fausses couches et avait mis au monde, en dehors de notre sujet,
absolument normale ; elle fut bientôt enceinte mais fit une fausse couche de 5 mois ; à la seconde grossesse elle accouch
coupes les bandelettes optiques paraissent normales ; les diverses couches myéliniques du tubercule quadrijumeau antérieur p
cune lésion importante. Peut-être les libres à myéline des diverses couches y sont-elles moins nombreuses ? On ne peut rien a
les à peu près jusqu'à la même distance. 1 , L'épaisseur de cette couche de tissu pathologique est variable ; elle atteint
ts on s'aperçoit souvent que ces petites plaques se rejoignent à la couche péri- ventriculaire et qu'elles n'en sont qu'un
'une dépendance. La membrane épendymaire elle-même, qui recouvre la couche de sclérose, paraît par endroits comme détachée
rrent inflammatoire bouleverse naturellement toute l'ordonnance des couches . Il se forme des foyers d'infiltration, très ri
udé des circonvolutions de la face médiane. Elle est entourée d'une couche de fibres assez épaisse, mais qui se colore fort
orent mal, étant plutôt jaunâtres, et se dégagent directement de la couche sous-épendy- maire. Ces fibres, nous les attrib
maire. Ces fibres, nous les attribuons au système calleux, puisque la couche LA SOI-DISANT AGÉKËStH DU CORPS CALLEUX (La5t
lexe de la paroi interne renferme des libres qui se détachent de la couche sagittale interne de la cou- ronne rayonnante,
trop considérable. On distingue très nettement à ce niveau les deux couches sagittales de la couronne rayonnante bien qu'el
ps du trigone. Au-dessus de ce champ, on voit très nettement que la couche sagittale interne de la couronne rayonnante fro
e dans la région sous-corticale de la circonvo- lution limbique. La couche sagittale externe est encore partiellement dissoc
ieure de cette région et correspondant à la moitié antérieure de la couche optique (PI. LXXIV-D), le ventricule latéral es
estant attaché par son extrémité inférieure à la face dorsale de la couche optique, le corps du trigone, qui à l'état norm
pourtour de la circonvolution limbique et de la face médiane de la couche optique on trouve une abondance de débris pie-mér
laquelle repose le faisceau sagittal médian. La configuration de la couche optique (PI.LXXIV-D,et fig.3) est quelque peu m
t repoussé en dehors. La strie médul- . laire passe au-dessus de la couche optique au lieu de côtoyer son bord supéro- int
laire, très remonté, s'applique directement à la face interne de la couche optique et tombe presque dans le même plan horizo
ches sagittales, mais quand on y regarde de plus près, on voit que la couche la plus interne est formée de fascicules pâles
LLEUX ( 9 l'insula et de la face externe du lobe temporal. Des deux couches sagittales de la couronne rayonnante proprement
te proprement dite, à l'inverse de la disposition normale, c'est la couche interne qui est la plus forte ; la couche externe
osition normale, c'est la couche interne qui est la plus forte ; la couche externe ne formant qu'une mince lame arquée qui
tes). A travers toute l'étendue du lobe pariétal se détachent de la couche sagittale interne des fascicules assez considérab
en grande partie du tuber- cule antérieur et du noyau dorsal de la couche optique. Dans le lobe temporal, la corne sphéno
e rien d'anormal du côté du plexus choroïdien ou de l'épendyme. Les couches sagittales pro- fondes paraissent indemnes, sau
t sur les coupes qui intéressent le corps de Luys, le tapétum et la couche sagittale interne présentent une légère dégénér
pariéto-temporal (PI. LXXIV-E) et corres- pondant au pulvinar de la couche optique et au corps genouillé externe, le ventr
tre le bord inférieur de l'écorce limbique et la face dorsale de la couche optique. A ce niveau, l'ensemble des fibres sit
egment médian, nettement dégénéré, s'accole à la face dorsale de la couche optique où il est retenu par le plexus choroïdi
de pinéale. Cette memhraue adhère fortement au bord supérieur de la couche optique et au bord inférieur de la circonvoluti
en effet, dans le voi- sinage du noyau caudé, du noyau dorsal de la couche optique et le long de la face médiane de ce gan
partie profondément enclavé dans la substance du noyau médian de la couche optique. Ses rapports avec le segment dorsal de l
Meynert et avec la strie médullaire et le tubercule antérieur de la couche optique, sont des plus faciles à constater. Le
petit foyer de ramollissement siège au niveau du noyau médian de la couche optique et a probablement déterminé la légère d
e ne présente à cet endroit aucune particu- larité intéressante. La couche interne se rend toujours avec la même régula- r
AGÉNÉS1E DU CORPS CALLEUX 641 vée dans le segment vertical de la couche sagittale externe. Ce segment reçoit également
im et Dejerine. Le segment sous-ventri- culaire du tapétum et de la couche sagittale interne présente encore eu divers end
porale. Dans la région comprise entre l'extrémité postérieure de la couche optique (pl. LXXIV-Fj et le plein développement
ent à la paroi ventriculaire un contour irrégulièrement bosselé. La couche sagittale interne de la couronne rayonnante parié
avec une singulière netteté. Le segment sous-ventri- culaire de la couche sagittale interne temporale est passablement dégé
leuses du bord supérieur et de la convexité du lobe occipital. La couche sagittale interne est très dégénérée surtout le l
l'est à un moindre degré au-dessus et au-dessous du ventricule. La couche sagittale externe est remarquablement bien délimi
ement la dégénérescence très intense du segment correspondant de la couche sagittale interne. La couche sagittale externe se
intense du segment correspondant de la couche sagittale interne. La couche sagittale externe se colore parfaitement aussi
ité de son trajet, la corne temporo-occipitale du ventricule et les couches de fibres qui l'entourent pré- sentent un bon n
ur de la paroi interne. En raison de cette anomalie du tapétum, les couches sagittales péri-ventriculaires des régions corr
résentent un aspect assez curieux et plutôt intrigant. Alors que la couche sagittale externe paraît bien développée et norma
agittale externe paraît bien développée et normalement disposée, la couche sagittale interne, au contraire, semble notableme
démontre qu'il ne s'agit là que d'une appa- rence. Les fibres de la couche sagittale interne, qui à l'état normal sont d'un
considérable que le leur propre. II en résulte que le domaine de la couche sagittale interne est extrêmement décoloré et q
mement décoloré et que la zone sous-épendymaire est occupée par une couche de fibres relativement bien conservée. Cette disp
ère nous a d'abord conduit à considérer le tapétum comme sain et la couche sagit- tale interne comme presque totalement dé
ude absolue que ces fibres saines se continuent directement avec la couche sagittale interne et non avec le tapétum, au ni
s de cette commissure avec la forma- tion rétro-lenticulaire et les couches sagittales profondes du lobe temporal. On voit
rieure du corps genouillé externe, les rapports de celui-ci avec la couche sagittale externe temporale, le trajet ininterr
x et dévie notablement l'axe antéro-postérieur du ventricule et des couches sagittales voisines. Il est difficile d'être bien
lvinar recouvre en arrière le corps genouillé externe et reçoit des couches sagittales profondes du lobe temporal, de nombreu
utions de la face médiane de l'hémisphère, on ne distingue que deux couches sagitta- les prôfondes. Toutefois, on voit très
iane un bon nombre de fibres courtes qui traversent obliquement les couches sagit- tales pour disparaître dans la zone sous
eau se confondent plus ou moins avec les fibres constituantes de la couche interne de la couronne rayonnante fronto-pariétal
- sieurs endroits une désorganisation épendymaire considérable. Les couches sagittales péri-ventriculaires n'ont guère chan
nettement dégénérée. Dans le lobe frontal, on parvient à suivre la couche interne de la couronne rayonnante, malgré son e
a plus postérieure (circonvolution limbique) de la face médiane. La couche externe peut être suivie sans difficulté jusqu'
être suivies en avant jusque dans le voisinage du pôle frontal. La couche sous- épendymaire qui recouvre la corne frontal
lore. , Les coupes prises un peu au-dessous du bord supérieur de la couche opti- que nous font voir une membrane assez épa
rme, ainsi que la déformation considérable de la face interne de la couche optique suffisent à démontrer que toute cette rég
s la forme d'un croissant qui recouvre le tuhercule antérieur de la couche opti- ( ! 50 ARCHAMBAULT que sur lequel il se
olution limbique s'étend en arrière jusqu'à la face in- terne de la couche optique et dépasse nettement le pilier du trigone
l) s'étend en arrière bien au delà de l'extrémité postérieure de la couche optique, mais toujours en côtoyant la face inte
t en dedans de la fimbria du trigone qui constitue à cet endroit la couche périventriculaire la plus profonde, on voit app
et qui représentent sans doute le contin- gent calleux restauré des couches sagittales médianes. En arrière, ces fasci- cul
ue et se confondent près de l'ergot de Morand avec les fibres de la couche sagittale interne. On voit encore se détacher de
rne du lobe temporo-occipital, de courtes fihres qui traversent les couches sagittales profondes pour se rendre au tapétum.
u tapétum. Sur les coupes qui passent immédiatement au-dessus de la couche optique (fig. 5), le ventricule latéral se trou
Ballcenlangsbündel de Probst) forme à ce niveau la plus interne des couches sagittales médianes de l'hémi- sphère, recouvre
a lon- gueur de la paroi ventriculaire interne la plus profonde des couches sagittales médianes et se trouve ainsi à consti
irige horizontalement en arrière au-dessus de la face dorsale de la couche optique et présente le long de son bord externe
ment périventriculaire considérable, qui sectionne complètement les couches sagittales profondes et qui, s'étendant en deho
reuses lésions, l'entoure complètement. Dans le lobe frontal, les couches sagittales interne et externe se détachent avec
les interne et externe se détachent avec la plus grande netteté. La couche externe se rend en partie au pôle frontal, en p
Fig. 6 au ARCHAMBAULT chevêtrent plus ou moins avec ceux de la couche sagittale interne, dont le trajet vers la régio
ssure calleuse constitue, sur toute la longueur de l'hémisphère, la couche immédiatement péri-ventriculaire, nous comprenons
ventriculaire est plus ou moins respectée en divers endroits, et la couche calleuse péri- ventriculaire correspondante l'e
eux les ra- diations de l'insula et de la convexité temporale. La couche sagittale interne de la couronne rayonnante front
ent sur toute la longueur du lobe fronto-pariétal gauche, que celle couche de fibres se rend tout d'une pièce dans la zone s
e que nous croyons avoir été le premier à soutenir, à savoir que la couche sagittale interne fronlo-pariétale, la zone rétic
ie ; cette lésion agit soit en détrui- sant une grande partie de la couche calleuse périventriculaire, soit en provoquant
imbique qui lui parviennent en traversant le corps calleux. 5° La couche sagittale interne du lobe fi,onto-pai-i étal, la
20 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ses, etc., etc. Le tissu cel- lulaire sous-cutané forme partout une couche épaisse de plusieurs centimètres. La plupart de
e intimement au vaisseau, tandis que sa face externe , répond à une couche de tissu cellulo-graisseux, épaisse de quelques m
ques millimè- tres, partout continue, et anormalement dense ; cette couche est elle-même limitée, en dehors, par une nouve
, il existe une lame membraneuse, doublée à sa face externe par une couche cellulo-graisseuse dense, que limite une nouvelle
s. La paroi des principaux vaisseaux est épaissie, surtout dans ses couches externes ; les capillaires sont fortement dilat
La plèvre est irrégulièrement épaissie et, sur certains points, les couches qui i constituent son feuillet viscéral ont sub
qui prend l'aspect d'une volumineuse gaine de Schwann est formé de couches concentriques ; les cellules conjonctives qui le
rmin. Ce- pendant, même à l'oeil nu, la distinction entre les trois couches (moléculaire, des grains et médullaire) est con
ration atrophique de l'écorce cérébelleuse qui porte surtout sur la couche moléculaire, sur la couche des grains et sur ce
orce cérébelleuse qui porte surtout sur la couche moléculaire, sur la couche des grains et sur celle des cellules de Purkinj
ent pris il existe un parallélisme entre le degré de lésion des trois couches citées de la corticalité et si dans les mêmes l
e de constater en plus que la lésion épargne l'une ou l'autre des 3 couches citées, ou qu'elle se cantonne dans la seule co
l'autre des 3 couches citées, ou qu'elle se cantonne dans la seule couche de Purkinje dans des lamelles présentant alors un
lésions atrophiques sont plus fortes et atteignent dans leurs trois couches , avec une intensité à peu près égale, toutes les
ité à peu près égale, toutes les lamelles qui leur correspondent. Couche moléculaire. - Elle est manifestement atrophiée.
t manifestement atrophiée. Dans les lamelles où l'atrophie de cette couche atteintson maximum, elle est réduite d'un tiers e
rotoplasmiques des cellules de Purkinje qui sont assez nets dans la couche moléculaire des lamelles non atrophiées de la mêm
rares et peu nets. Il n'existe aucune trace de sclérose dans cette couche ; il n'y a pas de mul- tiplication nucléaire. L
hémorragie. Sur toutes les coupes nous avons pu observer dans cette couche un grand nombre de corps amyloides. Cellules de
ceux-ci sont peu nets et ne se laissent suivre que très peu dans la couche moléculaire. On ne trouve que rarement des lamell
es lamelles avec une ou deux cellules de Purkinje non atrophiées. Couche des grains. Elle présente des altérations nettes,
utôt mal avec l'hématéine et le carmin ; dans certains points de la couche la raréfaction des grains est si forte qu'il en
prolifération de tissu interstitiel nulle part. Ici, comme dans la couche moléculaire les vaisseaux ne présentent pas de
, d'hémorragies. La raréfaction des grains et la réduction de cette couche sont plus accusées à la crête des lamelles qu'a
à la crête des lamelles qu'au fond des sillons interlamellaires. Couche médullaire. L'état de cette couche contraste avec
nd des sillons interlamellaires. Couche médullaire. L'état de cette couche contraste avec les altérations des autres couch
e. L'état de cette couche contraste avec les altérations des autres couches de l'écorce. En effet, la substance blanche qui s
les. De même le réseau des fibres myéliniques qui se trouve dans la couche des grains paraît être dans les mêmes points un p
réfié. Il est à noter cependant que sur les coupes transversales la couche des fibres transver- sales sous-purkiniennes es
lle. En effet, côté de nombreuses lamelles avec forte réduction de la couche moléculaire, avec raréfaction et réduction d'ép
moléculaire, avec raréfaction et réduction d'épaisseur marquée de la couche des grains et une perte complète ou presque des
melles l'atrophie se limite presque aux cellules de Pur- kinje ; la couche des grains présente une raréfaction, mais pas une
présente une raréfaction, mais pas une diminu- tion d'épaisseur, la couche moléculaire ne paraît pas atrophiée. Enfin on t
sont aussi bien colorés et tassés que ceux d'un cervelet normal, la couche moléculaire ne paraît présenter, pas plus que c
presque toutes les cellules de Purkinje étaient disparues, et où la couche des grains et la couche moléculaire avaient un as
les de Purkinje étaient disparues, et où la couche des grains et la couche moléculaire avaient un aspect normal. Dans le
'écorce ; en outre, elle ne s'accompagne pas ni d'altérations de la couche des grains ni de la molécu- laire. C'est tout a
e la molécu- laire. C'est tout au plus si dans quelques lamelles la couche de grains présente une légère raréfaction et dé
ouche de grains présente une légère raréfaction et décoloration. La couche médullaire est intacte. Comme dans les lobes le
selon les diverses lamelles, intéressent généralement aussi bien la couche moléculaire que 78 ITALO ROSSI la couche des
néralement aussi bien la couche moléculaire que 78 ITALO ROSSI la couche des cellules de Purkinje et celle des grains : el
lle des grains : elles consistent en une réduction de largeur de la couche moléculaire et de la couche des grains, en une
stent en une réduction de largeur de la couche moléculaire et de la couche des grains, en une raréfaction de cette dernièr
e Purkinje. Dans d'autres lamelles les lésions sont cantonnées à la couche des grains et aux cellules de Purkinje. Ailleur
ies dans lesquelles « les cel- lules de Purkinje et des différentes couches de l'écorce s'atrophient et disparaissent, par
s, vermis supérieur) l'atrophie frappe avec une intensité égale les couches moléculaires, des grains et les cellules de Pur
me ordre de lésions, d'autres lamelles où l'atrophie se limite à la couche des grains et aux cellules de Purkinje. On en obs
e Purkinje, auxquelles succèdent la raréfaction et l'atrophie de la couche des grains, et, en dernier lieu, l'atrophie de
phie de la couche des grains, et, en dernier lieu, l'atrophie de la couche moléculaire. Pourrait-on conclure que parmi les
a Salpêtrière, 1900, p. 330. 80 ITALO ROSSI l'atrophie des autres couches (moléculaire et des grains) dépend en grande pa
(moléculaire et des grains) dépend en grande partie de l'état de la couche des cellules de Purkinje ? Si quelques observat
certain nombre de cellules de Pur- kinje, et des altérations de la couche des grains consistant dans leur diminution de n
trairement au cas de Thomas, il n'y avait aucune altération dans la couche moléculaire ou des grains ; ici non plus, il n'
inje (2), qui cependant manquent presque complètement à droite, où la couche moléculaire (1) est légèrement réduite en large
, où la couche moléculaire (1) est légèrement réduite en largeur. - Couche des grains d'aspect normal (3). B (id.) - Lam
phiées (2). D (id.). - Type de lamelles atrophiées : atrophie de la couche moléculaire (1), dispa- rition presque complète
sque complète des cellules de Purkinje, atrophie et raréfaction de la couche des grains (2). LÉGENDES DE LA PLANCHE IX F
arition pres- que complète des cellules de Purkinje. Atrophie de la couche moléculaire (1), raré- faction et atrophie de l
ophie de la couche moléculaire (1), raré- faction et atrophie de la couche des grains (3). G (object. 2). - Groupe de lame
. 2). - Groupe de lamelles montrant un certain degré d'atrophie de la couche moléculaire (1) et de la raréfaction de la couc
d'atrophie de la couche moléculaire (1) et de la raréfaction de la couche des grains (2). H (object. 6). 2. Couche des gr
et de la raréfaction de la couche des grains (2). H (object. 6). 2. Couche des grains d'une lamelle non atrophiée (l'éclairc
qu'on observe à droite est dû à un défaut de photographie). 1. - Couche moléculaire. 3. - Une cellule de Purkinje. /
1. - Couche moléculaire. 3. - Une cellule de Purkinje. / (id.). - Couche des grains raréfiée d'une lamelle atrophiée. SO
à 23 ans. A 16 ans elle se marie. Elle n'eut ni enfants ni fausses couches . Son mari eut trois ictus apoplectiques en l'es
ant de ce fait en avant,des productions périostiques dis- posées en couches successives, os parsemé d'orifices ou de points r
ien qui permette d'affirmer la syphilis. Ni érup- tions, ni fausses couches (pas de grossesse). Cependant la malade dit avoir
ecro- quevillé par suite du durcissement dans le formol) ; 2° Une couche de tissu conjonctif fibreux dense, d'une épaisseu
e la peau ; on y trouve des noyaux en assez grand nombre ; 3° Une couche de tissu adipeux qui est l'élément essentiel de c
ar d'étroites fentes où le tissu conjonctif est réticulé ; 4° Une couche de 3 millimètres environ constituée par du tissu
s autres ; chacun d'eux est entouré d'une gaine lamelleuse dont les couches sont concentriques et de dimensions normales. L
par la présence, dans le tissu cellulaire sous-cutané,d'une épaisse couche adipeuse sanglée par un derme fibreux dense. Le
le pulvinar, délruit le corps genouillé externe en s'arrêtant à la couche grillagée et au champ de Wernicke dont il secti
es rares fibres saines, et une diminution de largeur évidente de la couche des fibres représentant les radiations optiques.
es représentant les radiations optiques. Il n'existe pas dans cette couche de fibres, de dégénération proprement dite, bie
optique est aussi nette que sur les coupes précédentes ! et que la couche de fibres représentant les radiations optiques
e nette du champ de Wernicke et du corps de Luys du côté gauche. La couche des fibres représentant les radiations optiques
ppo- sé et qu'il existe une légère prolifération interstitielle. La couche sagittale ex- terne (faisceau longitudinal infé
on note : une atrophie très marquée du ruban de Reil médian dont la couche des fibres est réduite au moins des deux tiers
mon- trent qu'il existe une diminution de largeur très notable des couches sagittales de ce lobe, surtout accusée pour la
notable des couches sagittales de ce lobe, surtout accusée pour la couche sagittale interne (radiations optiques), mais é
agittale interne (radiations optiques), mais évidente aussi pour la couche sagittale externe (faisceau longitudinal infé-
énération proprement dite. A noter cepen- dant que, surtout dans la couche sagittale interne, il existe une certaine raré-
e interne, il existe une certaine raré- faction des fibres de cette couche , ce qui lui donne un aspect plus pâle que celle
ment au côté sain, une diminution de largeur évidente des différentes couches cellulaires, surtout accusée pour les couches p
dente des différentes couches cellulaires, surtout accusée pour les couches profondes (3°, 4e, 5e couches). 196 ROSSI ET RO
cellulaires, surtout accusée pour les couches profondes (3°, 4e, 5e couches ). 196 ROSSI ET ROUSSY Résumé. 1° Clinique.
bandelette optique gauche; une atrophie du champ de Wernicke et des couches sagittales interne et externe du lobe temporo-occ
an- ces ; la face interne est par endroit adhérente au cortex. La couche moléculaire du cerveau est scléreuse : les cellul
llules épithéliales cubi- ques à gros noyaux rangés sur une ou deux couches . Ces cellules épithélia- les ne sont pas différ
t a eu deux enfants bien portants ; sa femme u'a pas fait de fausse couche . Il n'a eu d'autre affection oculaire qu'un org
trouve sous la peau dont l'aspect et l'épaisseur sont normaux, une couche de graisse très abondante, du côté de la flexio
ubital antérieur). Ces muscles une fois sectionnés, c'est-à-dire la couche superficielle élimi- née, on constate que la co
c'est-à-dire la couche superficielle élimi- née, on constate que la couche musculaire profonde est très réduite et très inti
iphyse inférieure. Ces deux faisceaux représentent une partie de la couche profonde du pronato-flexormass. Il n'existe pas
on inférieur ; l, m, Faisceaux musculaires anormaux représentant la couche profonde. HÉMIMÉL1E AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
hisseurs ne pouvant se faire sur des doigts absents se font sur des couches aponévrotiques intermédiaires aux deux branches
halange, ce qui est normal, tandis que l'autre va se perdre dans la couche profonde de la peau interdigitale. Comme le ten
très grêle, finit en bas par un tendon aplati, qui se perd dans les couches fibreuses recouvrant le 5e méta- carpien. A n
dieux représenté par quelques faisceaux musculaires qui partent des couches aponévrotiques recouvrant l'extrémité inférieur
deux hémisphères. Dissection. L'enlèvement de la peau met à nu une couche de tissu cellulo- adipeux un peu plus épaisse d
neuses des muscles de l'avant-bras, surtout des extenseurs ; 3° une couche celluleuse ; 4° le massif osseux représentant le
e, du métacarpe et des os non développés, le tout recouvert par une couche pé- riostique, sur laquelle viennent prendre at
ien être des rudiments de doigts; car on constate à la coupe que la couche cornée de l'épiderme s'invagine à ce niveau, cons
ïde radiale. Les tubercules du bord inférieur sont recouverts d'une couche de cartilage d'apparence hyaline et formant un
elle adhère à la peau. Sa face profonde est séparée de l'os par une couche celluleuse, qui est tellement lâche qu'elle aff
s. Chaque fois la présentation était celle du sommet. Les suites de couches ont été physiologiques. La 2" grossesse cependa
cérébelleuse. Pour ne parler que de la dlarpente névrogl ique de la couche moléculaire, Cajal, Oberstei- ner, Van Gehuchte
use- ment électives pour la névroglie, le réseau de soutien dans la couche moléculaire aussi bien d'ailleurs qu'autour des
aussi bien d'ailleurs qu'autour des cellules de Purkinje et dans la couche des grains est excessivement discret. Par ces deu
e, dira-t-on : sans doute, mais il faut savoir que, normalement, la couche moléculaire ne possède que quelques fibres radi
rkinje, les corbeilles fibrillaires sont fort discrètes et, dans la couche des grains, il faut parcourir plusieurs champs
pèce d'éponge dans les trous de laquelle se logent les éléments de la couche plexi- forme ». - 08r.RSTEIiri, loc. cit., p. 5
déjà très denses ; on distingue pourtant celles qui appartiennent Il couche moléculaire ; on reconnaît des îlots de grains
ravail de sclérose peut s'opérer dans la substance blanche, dans la couche des grains, dans la couche moléculaire. C'est dan
pérer dans la substance blanche, dans la couche des grains, dans la couche moléculaire. C'est dans celle-ci que l'ont surp
ise les figures 1 et 2 de la planche LXI. Dans la figure 1 toute la couche moléculaire, y compris la zone des cel- lules d
rait plutôt mamelonnée. Le fait est retenir. Dans cette figure 1 la couche moléculaire est uniformément scléreuse et il se
; on re- marquera le changement brusque et profond survenu dans la couche molé- culaire. La membrane basale, si on peut a
près toutes parallèles, réalisant un contraste avec le réseau de la couche des cellules de Purkinje disposé en nids, en pe
t le cas ici, autour des vaisseaux. Dans la Usure 2 au contraire la couche moléculaire étant aussi très scié- 362 ANGLADE
ons pas rencon- trée ailleurs que dans le cerveau sénile. Dans la couche des grains, on voit aussi s'organiser ,habiluelle
ui est dessinée dans la figure 1 de la planche LXII se substitue la couche des grains dans toute son épaisseur et s'étend
et des plaques identiques à celles qui s'observent dans les autres couches . Des îlots de sclérose peuvent s'observer partout
e distinguer de la plaque véritablement sénile : la névroglie de la couche moléculaire est trop tourmentée ; le réseau fib
entée ; le réseau fibrillaire n'est pas assez dense au niveau de la couche des cellules de Purkinje. Celle vieille femme n
une des nom- breuses formations lacunaires qui se réalisent dans la couche moléculaire au fond des sillons ; et la figure
ue située plus profondément. La lacune qui se forme au niveau de la couche des grains et de la substance blanche n'est que l
beaucoup de noyaux et peu de fibrilles (voir pl. LXII, fig. 2) ; la couche des grains et la subs- tance blanche sonl indiv
ns et qu'elle va en diminuant de la périphérie vers le centre de la couche moléculaire. Cette méningo-corticalite suffirai
des ni ulcérations. Au point de vue histologique,on constate que la couche cornée est très épaissie et a au moins quadrupl
sseur. L'hypertrophie porte surtout sur le stra- tum lucidum, et la couche de Malpighi est intacte. Le derme est augmenté
voir que l'hypertrophie de la peau était due à l'augmentation de la couche épidermique ainsi que du derme, sans que les gl
échisseur du pouce, carré pronateur. Le médian passe entre ces deux couches . le) Extenseurs. 1er groupe, superficiel, s'é
chacun d'eux. Humérus, radius et cubitus ont à leurs extrémités une couche de car- tilage hyalin. Carpe : Tissu condensé
stinguent nette- ment les différents muscles qui composent les deux couches du pronato flexor mass d'Uumphry ; qu'apparaiss
laire lâche qui unit la mamelle au grand pectoral : cependant cette couche celluleuse était traversée, de distance en dist
nt à la diaphyse, ont été refoulées loin de la tête de l'os par les couches osseuses de formation plus récente. D'autres exos
voici com- ment mon état m'oblige à procéder : Si, lorsque je me couche , je me trouve en un moment de décontraction rel
mon départ de Paris. Les contractions sont violentes dès que je me couche , mais elles diminuent peu à peu à mesure que vi
21 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
père est bien portant, très sobre ; la mère n'a pas fait de fausse couche ; elle a trois enfants bien portants dont notre
capsule interne et se termine à la partie externe et antérieure delà couche optique. - . Enfin l'artère cérébrale postéri
che optique. - . Enfin l'artère cérébrale postérieure envoie à la couche optique plusieurs branches : ' Les artères op
oyaux centraux, c'est-à-dire les segments du noyau lenticulaire, la couche optique ou le noyau caudé. Elles se limitent pa
il en existait certainement dans les points d'élection. C'est la couche optique qui est ensuite préférée par les lacunes,
és d'une lacune qui a pris naissance dans le noyau lenticulaire, la couche optique on le noyau caudé. Elle est alors attei
lysie. Donc que la lacune siège dans le noyau lenticulaire, dans la couche optique ou dans la capsule interne, même réacti
nie formellement avoir eu la syphilis. Sa première femme mourut en couches ; l'enfant, bien conformé et né à terme, mourut
la cir- convolution du corps calleux on note l'épaississement de la couche corticale qui présente un aspect translucide to
trêmement nombreuses dans les régions les plus superficielles de la couche corticale, mais elles pénètrent en travées péri-v
'elles encastrent complètement en se disposant sur une ou plusieurs couches ; cette disposition est visible aussi bien sur
i ne tarde pas à s'épaissir, les éléments se disposent en plusieurs couches concentriques dont l'accumulation étouffe peu à p
rois ans après la naissance, sans avoir eu d'autre enfant ni fausse couche . Le père jouit d'une bonne santé et selon les a
leuse à 25 ans. Dix-sept ans après elle, sans grossesses ni fausses couches ' nouvelles dans l'intervalle, naissait notre m
ns, elle se maria à 19. Elle eut deux grossesses, terminées par des couches faciles, assez courtes, bien que les enfants euss
p; Cie. Éditeurs UN CAS D'HÉMIMÉLIE DU MEMBRE ABDOMINAL DROIT 267 couche de graisse sous-cutanée que coupent des plis prof
ux côtés. 11 a été malheureusement impossible, vu l'épaisseur de la couche adi- peuse, d'obtenir une épreuve radiographiqu
. Cellule réduite à un amas de pigment H)perplasie de la capsule en couches concentriques. - En haut, droite : Il n'existe pl
rennent des noyaux bien arrondis, assez gros, vési- culeux avec une couche fort mince de protoplasma. En certains points ils
séparé de l'anneau fibreux que par des noyaux disposés en plusieurs couches , les uns arrondis et réguliers, les autres allo
périphérie sont gonflées, pren- nent un aspect hyalin et, comme les couches les plus centrales de la gaine fibreuse ont un
pe la racine postérieure ; il est fibreux à sa périphérie, mais ses couches centrales sont constituées d'a- mas conjonctifs
int de pénétration des racines. La structure est fibreuse pour la couche périphérique ; au contraire la zone interne app
e jeune fille de quinze ans,merveilleusementbelle, s'approcha de sa couche , l'éveilla et lui dit : « Seigneur, vous êtes ici
'adjonction de fibres conjonc- tives nouvelles qui s'agglomèrent en couches concentriques et tendent à rétrécir l'aire du f
spéciale ; ces fibres consti- tueraient la partie postérieure de la couche interolivaire et se myélinise- raient à une épo
du noyau cunéi- forme, qui occuperaient la partie antérieure de la couche interolivaire. Comme le noyau grêle répond' aux
L on remarquera que, dans notre cas, où la région postérieure de la couche interolivaire était plus atteinte que la région
aisseur. Pourtant Bechterew admet que les fibres postérieures de la couche interolivaire occupent plus haut la région intern
roisant à angle droit les fascicules des fibres rayon- nantes de la couche optique. Ces amas dépendent de la portion antérie
endent de la portion antérieure (inférieure) du noyau externe de la couche optique, dans laquelle une partie des fibres dé
e ramollissement, on observe une dégénéres- cence descendante de la couche interolivaire, qui est notablement moins dense
tement de la même taille que ces fibres, indice d'un calibre égal. La couche interolivaire ne contiendrait ainsi que des fib
bres supérieurs), du trijumeau (face) et destinées aux noyaux de la couche optique (PI. LVI, LV, fig. I, J, K, L, M). Le r
uban de Reil sont surtout intenses dans la partie postérieure de la couche interolivaire où siègent les fibres nerveuses p
cervelet on pouvait voir disparaître les cellules de Purkinje et la couche des grains, tandis que se montrait une couche n
les de Purkinje et la couche des grains, tandis que se montrait une couche nouvelle n'ayant pas encore attiré l'attention
tiré l'attention des histologistes. Quelle était la nature de cette couche nouvelle, ou plutôt non encore décrite, de cell
cellules apparaissent déjà sur un cervelet normal, à la limite des couches moléculaire et granuleuse, autour des cellules
en évidence, par l'atrophie dite parenchymalevse, du cervelet d'une couche cellulaire innommée de la corlicalilé cérébelleus
l). Les circonvolutions sont grêles d'une façon très apparente : la couche molé- culaire comparée à celle d'un cervelet no
ormal est réduite au moins de moitié. A un faible grossissement, la couche des grains présente une diminution nota- ble du
stituent une large bande bleue granuleuse, on ne trouve plus qu'une couche de grains, encore confluents, il est vrai, mais
qui donne normalement l'aspect d'un gros ren- flement en massue; la couche granuleuse se continue sous forme d'un ruban be
lace qu'elles devraient occuper, c'est- à-dire bordant en dehors la couche des grains, mais très nettement séparée d'elle,
ouche des grains, mais très nettement séparée d'elle, on trouve une couche régulière de cellules ovales, pâles, dont le noya
axe dirigé perpendiculairement à l'axe de la circonvolution. Cette couche particulière ou du moins particulièrement visible
totale et absolue des cellules de Pur- kinje ; même réduction de la couche moléculaire ; même raréfaction de la LÉSIONS 1J
ion de la LÉSIONS 1JISTOLOGIQU¡';S DE l'ÉCORCE DU CERVELET 517 "à couche des grains ; enfin même isolement, en dehors de l
ET 517 "à couche des grains ; enfin même isolement, en dehors de la couche des grains, de cette couche de cellules ovales
; enfin même isolement, en dehors de la couche des grains, de cette couche de cellules ovales à noyau pâle et à 1 ou 2 nuclé
cellules nerveuses du cortex, au Nissl, elles se montrent en leurs couches superposées classiques et non déformées, sans alt
ragment a été prélevé. Toutefois, petites et grandes pyra- midales, couche des polymorphes profondes sont parfaitement recon
es histologiques d'une inflammation subaiguë de la pie- mère et des couches superficielles du cortex sont évidents. 518 LAN
es normaux. De plus, cette infiltration est surtout marquée dans la couche des fibres transversales du pont et dans les il
fibrillaire peu épais immédiatement appliqué en dehors de la double couche musculaire lisse de l'artériole. Nous eûmes a
agment apparaissent considérablement décolo- rées. Au microscope la couche moléculaire est diminuée des deux tiers de son
ers de son épaisseur et notablement pauvre en cellules. « Pour la couche des grains, elle n'est plus marquée que par une l
densation des cellules qui y sout à peine plus nombreuses que dans la couche moléculaire. Quelle que soit la coupe de ce fra
rquée, moins totale que sur le fragment précédent. L'atrophie de la couche moléculaire, la raréfaction de la cou- che des
iphériques sont encore intactes. « On constate alors que dès que la couche des grains a subi la plus légère réduction dans
: ce que nous avions considéré comme une simple condensation de la couche des grains, c'était t en réalité la disparition
la couche des grains, c'était t en réalité la disparition de cette couche , en même temps que des cellu- (1) Nous renvoyon
'ÉCORCE DU CERVELET 521 les de Purkinje, qui mettait en évidence la couche nouvelle des gran- des cellules étoilées. C'e
t, comme nous l'avons dit, les cellules de Purkinje disparaître, la couche des grains s'amoindrir pour disparaître à son t
moindrir pour disparaître à son tour, ne laissant plus que la mince couche de cellules à caractères si tranchés que nous avo
ité d'une dentelure ou un peu avant que la modification se fait. La couche se continue dès lors avec les mômes caractères le
axe orienté du côté de la surface des lamelles cérébel- leuses. La couche moléculaire est très réduite d'épaisseur et la co
l- leuses. La couche moléculaire est très réduite d'épaisseur et la couche des grains n'est plus représentée que par de ra
n générale d'être réduite dans toutes ses parties constitutives. La couche molé- culaire est diminuée de hauteur ; la zone
and on parcourt la surface de la circonvo- lution, il semble que la couche des petites cellules nerveuses polygonales la p
s polygonales la plus superficielle est comme isolée, séparée de la couche des grandes cellules pyramidales ; il y a entre
la couche des grandes cellules pyramidales ; il y a entre ces deux couches un espace où les cellules petites pyramidales m
ent. Puis si l'on va plus loin, quelquefois même à côté, toutes les couches de cellules nerveuses, raréfiées il est vrai, s
ernières parties, on voit quelques petites cellules pigmentaires en couche assez homogène, sous la zone moléculaire et plu
enfin immédiatement au-dessous. Au contraire, dans les points où la couche de cellules corticales parait au complet comme
el- lule est bien constituée. En somme, dans cette atrophie de la couche cellulaire corticale, on remarque surtout une g
dre qui montre sur une de ses faces l'atrophie intense de ses trois couches quand l'autre face lui offre les trois couches
intense de ses trois couches quand l'autre face lui offre les trois couches intactes. Ou bien encore on peut voir une arboris
é de plus, quand les grains sont devenus très rares, on voit que la couche moléculaire a beaucoup diminué de hauteur et qu
ue la couche moléculaire a beaucoup diminué de hauteur et que notre couche de cellules innommée, à l'union de la couche mo
de hauteur et que notre couche de cellules innommée, à l'union de la couche moléculaire et de la couche des grains, s'isole
e de cellules innommée, à l'union de la couche moléculaire et de la couche des grains, s'isole et persiste seule. Même sur
et persiste seule. Même sur les lamelles les plus atrophiées, cette couche de cellules persiste quand même. Les cellules q
quand même. Les cellules qui la composent se dégagent et s'isolent en couche continue au sur et mesure que les grains se rar
grains, quelques-unes débordant même dans la partie profonde de la couche moléculaire. Nous retrouvons à ces cellules d
de de la couche moléculaire. Nous retrouvons à ces cellules de la couche innommée les mêmes caractères. Leurs noyaux son
x. Ils sont aussi plus volumineux que les noyaux des cellules de la couche moléculaire, bien que comme constitution ils s'
laire, bien que comme constitution ils s'en rapprochent assez. La couche moléculaire, quand on passe d'un point normal à u
des grains, atteignent leur 526 LANNOIS ET PAVIOT maximum que la couche innominée des cellules atteint son plein développ
ion : on les voit normales ou on n'en voit aucune. En même temps la couche des grains s'atténue; elle devient moins épaiss
ints bleus disséminés. Concurremment à cette double disparition des couches de cellules nor- males du cervelet, on voit app
cellules nor- males du cervelet, on voit apparaître en dehors de la couche des grains et nettement séparée d'elle, une cou
en dehors de la couche des grains et nettement séparée d'elle, une couche innominée de cellules ovales, pâles, à noyau fo
lus gros atteignant trois ou quatre fois ce volume. Ils forment une couche continue, assez dense à son centre, qui contourne
tiers à la ligne de galets laissée par le flot qui se retire. Cette couche nouvellement apparue ne donne pas l'impression d'
ent en même temps une diminution très évidente de l'épaisseur de la couche moléculaire et de la couche médullaire. Nous ne
tion très évidente de l'épaisseur de la couche moléculaire et de la couche médullaire. Nous ne saurions trop insister en t
dine, soit à la paraffine. Ce n'est pas' qu'on ne puisse voir cette couche de cellules sur les fragments conservés dans le
hié considérablement. Les lamelles sont étroites et mollasses... La couche granuleuse de l'écorce est étroite et pau- vre
anuleuse de l'écorce est étroite et pau- vre en corps granuleux. La couche moléculaire est étroite... Le déficit des gross
et nous sommes persuadés que beaucoup retrouveraient dans '< la couche granuleuse étroite » la nouvelle couche à la de
etrouveraient dans '< la couche granuleuse étroite » la nouvelle couche à la description de laquelle nous nous som- mes
ous som- mes attachés. Quelle est la nature des cellules de cette couche ? Leur volume, les ca- ractères et l'aspect du
déjà distinguer quelques-unes de ces cellules, soit éparses dans la couche moléculaire, soit plutôt à la limite de la couche
t éparses dans la couche moléculaire, soit plutôt à la limite de la couche moléculaire et de la couche des grains, autour
éculaire, soit plutôt à la limite de la couche moléculaire et de la couche des grains, autour des cellules de Purkinje, ce q
rtie superficielle de l'écorce pour gagner la partie profonde de la couche des grains. Ce sont ces grandes cellules étoilé
a cou- che moléculaire et dans l'espace primitivement occupé par la couche des grains, existent-elles normalement à l'état
pé par la couche des grains, existent-elles normalement à l'état de couche condensée rendue invisible par l'épaisseur des
des grains ? Faut-il penser, au contraire, que c'est l'atrophiedes couches moléculaire et médullaire qui amène leur tassemen
Quoi qu'il en soit, d'ailleurs, le fait important est de voir cette couche de cellules de relation persister, intacte et c
eux autres, cellules de Purkinge et petites cellules étoilées de la couche des grains, peuvent disparaître d'une façon aus
ment; 1 2° Dans ce processus d'atrophie, il s'isole constamment une couche qui répond probablement à la persistance et à l
à la persistance et à la condensation des cellules de relation des couches granuleuse et moléculaire (cellules du type Il de
ouches granuleuse et moléculaire (cellules du type Il de Golgi), la couche moléculaire s'atrophiant en même temps que dispar
22 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
vrysme est rouge brun, ocreux ou même noirâtre ; et, généralement, la couche contiguë du tissu cérébral présente, à un moindre
rmément répandus partout : ils ont leurs organes de prédilection. Les couches optiques, les corps striés, les circonvolutions,
'épanchement s'était opéré primitivement dans les corps striés ou les couches optiques, 50 fois ; dans le centre ovale, ou au v
a substance grise, soit à la réunion de la substance blanche a\Tec la couche corticale. Cette position plus superficielle des
A Yautopsie, on trouve un vaste foyer hémorhagique qui a détruit la couche optique gauche, la partie postérieure du noyau in
contre plusieurs anévrysmes miliaires dans la protubérance et dans la couche optique droite. Les artères de la base de l'encép
yers hémorrhagiques occupant les deux hémisphères, ayant dilacéré les couches optiques et envahi tous les ventricules. On trouv
près l'attaque. A Yautopsie, on trouve un foyer anfractueux dans ta couche optique gauche, empiétant sur la partie postérieu
autopsie, un vaste épanchement sanguin qui, ayant sou origine dans la couche optique gauche, a fait irruption dans les ventric
les ventricules, qui sont complètement injectés. On rencontre dans la couche optique dilacérée plusieurs anévrysmes miliaires.
es clans la protubérance, les circonvolutions, le centre ovale et fes couches optiques. Les artères de la base sont très athéro
Avril 1867. A Vaufopsie, on trouve une hémorrhagie qui a labouré la couche optique et le corps strié du côté gauche et qui a
il 1867. A Yautopsie, on trouve un foyer hémorrhagique récent de la couche optique du côté droit, ouvert dans le troisième v
°,0. Al'autopsie, on trouve un foyer hémorrhagique qui a détruit la couche optique gauche et intéressé le noyau extraventric
ve une vaste hérnorrhagie récente qui, ayant pris son origine dans la couche optique, est venue se faire jour clans le ventric
aque, le 31 juillet 1866. A Y autopsie, vaste foyer récent entre la couche optique et le corps strié de l'hémisphère droit.
e un caillot sanguin du volume d'une noisette, dans l'épaisseur de la couche optique droite. Ce caillot, qui intéresse l'étage
rieur du pédoncule cérébral droit, a déchiré la face supérieure de fa couche optique, ce qui a permis au sang de s'épancher da
it et jusque dans le ventricule moyen. Dans un point symétrique de la couche optique gauche, on trouve un très petit foyer ocr
issable à une cicatrice linéaire brunâtre, entre le corps strié et la couche optique du côté droit. Du côté de l'hémorrhagie r
A Vautopsie, on trouve une vaste hémorrhagie du corps strié et de la couche optique du côté droit ayant fait irruption dans l
la du côté gauche, pénétrant dans l'intérieur du corps strié et de la couche optique. On rencontre des anévrysmes miliaires da
juillet 1857. A Vautopsie, on trouve une hémorrhagie récente cle la couche optique droite avec pénétration dans les ventricu
sans pénétrer dans le quatrième ventricule. Une autre déchirure de la couche corticale à la face inférieure du lobe gauche a a
es qu'à l'ordinaire. A Vautopsie, on trouve un foyer ocreux dans la couche optique droite, un autre à la partie antérieure d
lutions frontales droites; on en trouve également un en arrière de la couche optique gauche, et un autre enfin dans la substan
dehors du corps strié du côté droit, et un autre foyer ocreux dans la couche optique du même côté. — On trouve de plus deux fo
18 mai 1868. On trouve un foyer ocreux d'hémorrhagie ancienne dans la couche optique gauche. — On découvre dans la couche opti
rrhagie ancienne dans la couche optique gauche. — On découvre dans la couche optique droite un très petit foyer. On trouve que
s deux, hémisphères, et un vaste foyer d'hémorrhagie ancienne dans la couche optique droite. Dégénération secondaire descendan
gros dans les circonvolutions; on en rencontre cle nombreux dans les couches optiques et clans les corps striés, il y en a aus
miliaires des circonvolutions, mais quelques anévrysmes dans les deux couches optiques et dans la protubérance. Les artères de
miliaires des circonvolutions et quelques autres disséminés dans les couches optiques et clans la protubérance. Les reins pr
sphère droit, une cicatrice jaune ocre use, divisant verticalement la couche optique et le corps strié, à l'union cle son tier
cien foyer d'hémorrhagie au niveau de l'union du corps strié et de la couche optique du côté droit. Autre ancien foyer à la pa
Ancien foyer d'hémorrhagie, celluleux, de coloration ocreuse, dans la couche optique du côté droit. Quantité considérable d'an
contenu liquide, jaunâtre occupant le noyau intraventriculaire et la couche optique de l'hémisphère droit. Ce foyer s'ouvre d
oi externe du ventricule latéral droit, en arrière et en dehors de la couche optique. On trouve de plus un ramollissement réce
r 1868. A Vautopsie, on trouve un ancien foyer d'hémorrhagie sur la couche optique gauche et sur le corps strié du même côté
rouve à Vautopsie, une large cicatrice d'hémorrhagie ancienne, sur la couche optique et le corps strié de l'hémisphère droit.
ve de plus une vaste cicatrice d'hémorrhagie ancienne, intéressant la couche optique et le corps strié du côté droit. Deux ané
gauche, et une autre cicatrice ocreuse cle la partie supérieure de la couche optique et du corps strié de l'hémisphère droit.
dans son épaisseur un foyer sanguin récent du volume d'une amande. La couche optique droite contient un foyer ocreux. On trouv
découvre plusieurs anévrysmes miliaires dans les corps striés et les couches optiques. On en a compté en tout quarante dans le
janvier 1868. A Vautopsie, on trouve une hémorrhagie récente de la couche optique et du corps strié du côté droit. Plusieur
s un certain nombre d'anévrysmes ampullaires des circonvolutions, des couches optiques et de la protubérance. Coloration feui
) dans les lobes frontaux. — Nombreux anévrysmes des petites artères ( couches corticales et noyaux blancs des hémisphères, corp
trième jour.T. R. 39°. Obs. XL Baudois, 91 ans. — Hémorrhagie de la couche optique avec perforation du ventricule. Début a
mollissement. Obs. XVII.Eméry, 75 ans. — Ramollissement rouge de la couche optique gauche et du pédoncule cérébral correspon
intra-encéphalique. Obs. XIX. Lecrique, 73 ans. — Hémorragie de la couche optique et du corps strié droits. — Perforation v
our. TR. 39°, 1/5. Obs. XXVII. Rarthélémi, 09 ans. — Corps strié et couche optique sans perforation ventriculaire. — Début a
me jour. TR. 10°, 0. Obs. XXVIII. Hénon, 58 ans. — Hémorragie de la couche optique avec perforation ventriculaire. — Analgés
ensi-tives, cette irritation retentira à la périphérie jusque dans la couche muqueuse de Malpighi, et pourra se traduire là pa
rachnoïde ; le sang épanché, soit par suite d'une modification de ces couches superficielles, soit par suite de la formation d'
res très tenues. La lamelle la plus interne se confond avec une mince couche de fibrine renfermant, en certaines proportions,
s jaunâtres et grisâtres d'une couleur boueuse. La face interne de la couche membraneuse a, sur presque toute son étendue, un
celle du vermillon. L'examen microscopique fait reconnaître que ces couches membraneuses sont réellement organisées. On y tro
al constituées par deux tuniques seulement; il y a, profondément, une couche caractérisée par la présence de noyaux larges, el
grand axe dirigé suivant l'axe du vaisseau, et extérieurement, cette couche est recouverte par une autre couche contenant des
aisseau, et extérieurement, cette couche est recouverte par une autre couche contenant des noyaux très allongés et très étroit
ns cependant trouvé des noyaux transversaux intermédiaires aux deux couches précédemment indiquées, dans plusieurs vaisseaux,
analogues, la membrane se serait développée par une modification des couches superficielles de l'épanchement, modification qui
e l'arachnoïde; ce tissu acquiert bientôt des vaisseaux, et plusieurs couches peuvent se former successivement, de manière à co
chronique et exsudative. Dès les premières périodes se développe une couche mince d'un exsudât comme fibrineux, couche souven
périodes se développe une couche mince d'un exsudât comme fibrineux, couche souvent difficile à apercevoir et qu'on ne parvie
e parvient à mettre en évidence que par le grattage. Peu à peu, cette couche augmente d'épaisseur, et, en même temps, elle s'o
noyaux, des corps fusiformes, des vaisseaux. Plus tard, de nouvelles couches d'exsudat se déposent et se changent à leur tour
elquefois de cinq à vingt de ces lamelles superposées : ee sont les couches les plus rapprochées de la dure-mère qui sont les
dans la très grande majorité des cas. Il n'est représenté que par une couche d'épithélium. M. Brunet pense que les néomembrane
néo-membranes se développent et s'accroissent par la superposition de couches nouvelles, et déjà, par le seul fait de cet accro
nt que le siège véritable se trouve en dedans de ce feuillet ou de la couche épithéliale qui le représente, l'hypothèse bien c
chée à sa périphérie. Cette production membraneuse est couverte d'une couche du liquide purulent signalé plus haut. On peut, p
nu; le pus couvre tout l'hémisphère gauche et forme à sa surface une couche qui au milieu peut avoir près de 1 centimètre d'é
a scissure médiane, tout le long de cette scissure, mais non point en couche continue, comme du côté gauche; de plus, le pus s
oitié postérieure seulement étaient envahis par le ramollissement. La couche optique était restée intacte. Les circonvolutions
e dans l'épaisseur de la substance blanche, et est recouverte par une couche ex.trôme-ment mince de la substance grise de la c
e altération appréciable à l'œil nu. Leur surface est réouverte d'une couche mince d'une substance glaireuse, transparente, qu
Les muscles sont superficiels, disposés le plus souvent en une seule couche , et, par là même, facilement accessibles à l'exci
prolongements, chargés d'électricité contraires, sont séparée par la couche d'air qui se trouve entre le sol et le tabouret.
au se dilate. Fig. 2. — Artère cérébrale moyenne. B, Artère de la couche optique. C, Un anévrysme miliaire dans la couch
B, Artère de la couche optique. C, Un anévrysme miliaire dans la couche optique. Fig. 3. — Artérioles atteintes de péri
23 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
pe d'une bronche de 6 millim. de diamètre. — Homme, grossissement; a, Couche fibreuse externe. — b, Couche musculaire. — c, Co
de diamètre. — Homme, grossissement; a, Couche fibreuse externe. — b, Couche musculaire. — c, Couche fibreuse interne, avec la
ossissement; a, Couche fibreuse externe. — b, Couche musculaire. — c, Couche fibreuse interne, avec la membran fondamentale. —
aire. — c, Couche fibreuse interne, avec la membran fondamentale. —d, Couche epitheliale. (D'après F.-E. Schultze.) dinaux,
faisceaux circulaires (Fig. 6, b). Chez l'homme, l'épaisseur de celte couche sur une bronche de 4 ^ est de 0,1 p., et, sur une
4 ^ est de 0,1 p., et, sur une bronche de 2 ^ elle est de 0,05 Cette couche , envisagée sous le rapport pa- thologique, offr
offre un intérêt incontestable. La transformation embryonnaire de la couche , décrite tout d'abord, et la des-truction concomi
résultats expérimentaux. 3° Plus en dedans encore, on rencontre la couche fibreuse interne, ainsi que l'appelle M. Schultze
aisseur des plis longitudinaux. i Biermer, p. 753. 4o La dernière couche , que nous devons étudier, est remar-quable en ce
es à cils vibrátiles (Fig. 6, d). Le revêtement, ici, est formé d'une couche unique de grandes cellules dont les extrémités ef
à la vérité plus ou moins pro-fondément altérées — former encore une couche distincte entre la membrane fondamentale et la fa
stance, à la surface de la membrane muqueuse. Cette persistance de la couche d'épi-thélium cylindrique se voit aussi, d'après
aires dont le diamètre, vous le savez, est au-dessous de 1 u. 2° La couche musculaire (Fig. 1,, b) est, ici encore, très acc
bronchiole terminale s'ouvre dans les conduits alvéolai-res2. 3° La couche interne ou muqueuse (Fig. 7, c), conserve Fig.
une bronche de 0,4 millim. d'épaisseur (porc). — Grosseur, 24 0/1.-a, Couche externe. — b, Couche musculaire — c, Cou ho fibre
llim. d'épaisseur (porc). — Grosseur, 24 0/1.-a, Couche externe. — b, Couche musculaire — c, Cou ho fibreuse interne. — d, Epi
ME LEÇON De l'épithélium pulmonaire. Sommaire. — Importance de la couche èpithéliale. — Réalité de son exis-tence. — Sa di
in. Messieurs, Je me propose de vous entretenir aujourd'hui de la couche èpithéliale — ou endothéliale ainsi qu'on l'appel
uré en litige jusque dans ces derniers temps, c'est la présence de la couche épithéliale, dont il s'agit, à toutes les époques
lus simples : une bordure régulière de cel-lules, composant une seule couche , plus haute que large, se rapportant, par conséqu
el je veux appeler votre attention estle suivant: Composé d'une seule couche de cellules plates, soudées entre elles par un ci
terne donnent naissance h des revêtements cellulaires ayant plusieurs couches — tels sont les revêtements épidermiques, — ou en
ments épidermiques, — ou encore à des revête-ments d'une ou plusieurs couches constituées par des cellules molles et épaisses :
ine, je vous faisais remarquer que ce revêtement, composé d'une seule couche de cellules plates, juxtaposées et soudées entre
se composent essentiellement de deux parties bien distinctes: 1° une couche de cellules hypoblastiques qui pren-nent bientôt
ntôt le caractère d'un revêtement épithélial cylindri-que ; et 2° une couche épaisse de tissu mêsoblastique. Par la suite, les
de l'œsophage, sont com-posés de deux parties bien distinctes: i° une couche de cel-lules hypoblastiques, bientôt représentée
drique, régnant sur toute l'étendue des canaux respiratoires ; 2° une couche épaisse de tissu mésoblastique au sein de laquell
e, diminue de diamètre et, du même pas, il se forme autour d'elle une couche conjonctive embryonnaire plus ou moins épaisse qu
a-bord, rempli qu'il est de cellules hypoblasliques et qu'entoure une couche épaisse de tissu mésoblaslique. Vers la fin du
verdin. Le lambeau transplanté doit comprendre dans son épaisseur, la couche vraiment vivante de l'épiderme c'est-à-dire une p
scemet. — ,E, epithélium de la cornée. — E', epithélium nouveau. — F, couche fibrineuse. peler, à part la multiciplité des c
nouveau. — F, couche fibrineuse. peler, à part la multiciplité des couches , le revêtement endo-thelial d'une membrane séreus
cancer épithélial de la partie externe du nez. (Can-cer corné). — a, Couche cornée. — b, Couche de Malpighi. — c, c, Racine d
e la partie externe du nez. (Can-cer corné). — a, Couche cornée. — b, Couche de Malpighi. — c, c, Racine des poils, disposés i
ighi. — c, c, Racine des poils, disposés irrégulièrement et formes de couches concentriques de cellules épithéliales. — d, Stro
sou-vent visible que sur un petit nombre de ces corps fusiformes. La couche èpithéliale, qui dans l'état normal sépare le con
néral peu étendue, et, le plus communément, disposée sous forme d'une couche qui n'a guère que quelques lignes d'épaisseur. M.
rès un cas observé par M. Olivier, chez une femme de 20 ans, morte en couches , un an après le début des accidents pulmonaires.
paré que par l'épaisseur de sa propre paroi, composée elle-même d'une couche endothéliale. En certains points, des orifices ré
dans la composi-tion d'un liquide qui tantôt se concrète en une mince couche grisâtre, sous laquelle on trouve la surface gran
rs du bord limi-tant de la région centrale. Cette zone offre, sur les couches traitées par le carmin, une coloration rosée, qui
Les parois de ces ventricules sont ramollies et comme tapissées d'une couche blanche, pultacée. La substance cérébrale blanche
rès abondant, mais on n'y rencontre pas de véritables ecchymoses. Les couches optiques et les corps striés ne présentent pas d'
x, en assez grand nombre. Le thrombus était dense, décoloré, formé de couches fibri-neuses stratifiées. Il se prolongeait dans
tement fibrillaire et nettement granuleuse, et une partie composée de couches homo-gènes simplement striées, sans distinction a
e corpuscules de pigment; elle peut se montrer non-seule-ment dans la couche corticale, mais encore, bien qu'à un de-gré moins
fait surtout dans la région tout à fait inférieure des cellules de la couche muqueuse. C'est au voisinage des noyaux que le dé
l'artère pulmonaire et dans ses branches principales, entourées d'une couche de sang noir à peine coagulé : nulle part elles n
entôt en pointe dans ces deux derniers points, il est enveloppé d'une couche de sang noir à peine coagulé. — La section du cai
ns isolée au centre du ventricule droit ; mais, dans ces deux cas, la couche membraniforme qui contient le liquide, est bien d
es, compactes, homogènes, formées de fibrine coagulée et disposée par couches concentriques. On peut voir des figures représent
tissu fibreux blanc, légèrement nacré, très résistant : en tout deux couches . Plus haut, et dans toute l'étendue supérieure du
e sorte de trame fibreuse de nouvelle formation se continuant avec la couche nacrée dont il a été question plus haut et présen
question plus haut et présentant le même aspect ; 3° une troisième couche formée de fibres musculaires, pâles, décolorées e
ins de formation récente; elle est formée d'une enveloppe composée de couches fibrineuses concentriques, très minces (environ 2
raît constituée par un tissu fibrineux, résis-tant, nacré, composé de couches superposées. (La pointe du cœur déployée présente
nsi qu'on s'en assure en les divisant transversalement, de nombreuses couches concentriques. Ils sont d'une consistance ferme,
emment du môme âge que ceux-ci; il en diffère seulement en ce que les couches externes sont évidemment de formation plus récent
n lorsqu'il dit que, dans les cas de gonflement de la jambe, suite de couches , l'imprudence des malades a causé quelquefois une
primipare, âgée de vingt et un ans, éprouve, le troisième jour de ses couches , un frisson suivi de douleurs vives sur le trajet
» ou le point de départ de la phlegmatia alba dolens des » femmes en couches . » Si maintenant on est conduit à admet-tre que,
re pulmonaire, on sera naturellement porté à penser que les femmes en couches sont tout particulièrement expo-sées à ce dernier
couleur gris-brun à l'extérieur, rouge-foncé à l'intérieur, formé de couches concentriques, plusieurs fois replié sur lui-même
en partie décoloré, ridé à l'extérieur, mou à l'intérieur, composé de couches concentriques, avec une sorte de bouillie rougeât
couches concentriques, avec une sorte de bouillie rougeâtre entre les couches . Ce caillot n'adhère nullement aux parois du vais
ulmonaires sont saines ; les caillots qu'elle renferme sont formés de couches superposées comme ceux qu'on rencontre clans les
anévrysmales ; mais ils n'adhé-raient pas aux parois du vaisseau. Les couches extérieures étaient d'une consistance plus ferme
outre qu'ils étaient décolorés, de texture grenue, friable, formés de couches superposées, imprégnées d'une substance demi-liqu
le nom de caillot prolongé, s'accroît par l'opposition successive de couches fîbrineuses nouvelles. En même temps qu'il s'allo
on complète du caillot prolongé. Par le fait de la désagrégation, les couches périphériques sont détruites en premier lieu, pui
circulation pouvait s'y faire tant bien que mal. Alors, de nouvelles couches fibrineuses se sont déposées, tant en avant et en
environ le volume du petit doigt, long de 5 pouces et demi, formé de couches concentriques et plusieurs fois replié sur lui-mê
ure homogène ; il se compose d'un noyau central et, à l'extérieur, de couches fibrineuses cencentrique-ment disposées. Les plus
brineuses cencentrique-ment disposées. Les plus superficielles de ces couches sont de formation très récente, tandis que les pl
e-ment le calibre du vaisseau. C'est seulement alors que de nouvelles couches fîbrineuses se seront déposées, en se strali-lian
t pas solidement enclavé et qu'il ne s'est pas enveloppé de nouvelles couches fîbrineuses, peuvent rendre compte, ce nous sembl
s troncs principaux de lartère pulmonaire, observés chez une femme en couches et terminés par la guérison. — Madame G..., 3, pl
quinze mois des suites d'une hydrocéphalie chronique. Les suites de couches suivaient régulièrement leur cours, exemptes de t
it quelquefois pendant des journées en-tières. Le douzième jour des couches , à cinq heures de l'après-midi, étant assise dans
exsudats ou des collections purulentes, ne peut exister que dans les couches externes ou moyennes du vaisseau; c'est ce qu'il
urface. D'abord hyaline et transparente, cette substance, formée de couches stratifiées, ne larde pas à s'épaissir et à prend
habituellement des caillots fibrineux ; ordinairement stratifiés par couches d'inégale densité, ils prennent, au voisi-nage de
exture fibroïde. Leur consistance s'accroît de dedans en dehors ; les couches les plus anciennes sont naturellement les plus ex
rineuses, qui remplissent presque tout le sac, sont recouvertes d'une couche de même nature, qui se pro-longe sur la paroi art
gétations des valvules du cœur. On trouve quelquefois du pus dans les couches du caillot les plus voisines des parois de la poc
ndonner tout espoir. On sait depuis longtemps que l'accumulation de couches fîbrineuses à l'intérieur du sac est le mécanisme
er des autres, d'autant plus aisément que l'adhérence de ces diverses couches entre elles est dimi-nuée en raison même de leur
la membrane moyenne est presque toujours consécutif aux lésions de la couche èpithéliale, et s'accompagne d'une friabilité et
caillot fibrineux décoloré, jaunâ-tre, résistant, élastique, formé de couches concentriques, en un mot, de formation ancienne.
celle des fîbro-carti-lages. Elle est tapissée à l'intérieur par une couche épaisse de lamelles fibrineuses superposées, et s
une balle de fusil de fort calibre, enveloppée de tous côtés par une couche épaisse de tissu cellulaire dense qui la fixe aux
et distendus par un caillot tibrineux, décoloré, consistant, formé de couches concen-triques. De ce caillot part une sorte d'ap
enlevé cette production, on trouve le tissu cérébral qui avoisine les couches optiques et le corps strié, ramolli et d'une tein
externe du ventricule cérébral lui-même; mais, chose remarquable, la couche optique et le corps strié sont restés sains au mi
agiques, un ramollissement de la substance cérébrale au voisinage des couches optiques et du corps strié du côté droit, et dans
ME LEÇON de l'épithélium pulmonaire. Sommaire. — Importance de la couche épithéliale. — Réalité de son exis-tence. — Sa di
cartilagineuses des — ,30 ; 33, — tunique musculeuse des — 30, 33; — couche fibreuse in-terne des —, 31 ; — altérations des
24 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
que hémisphère). La face interne de l'hémisphère doit reposer sur une couche uniforme de coton hydro-phile, étendue au fond du
n hydro-phile, étendue au fond du cristallisoir. L'épaisseur de cette couche n'a guère d'importance; mais il y a ici une préca
e relativement sec. On enveloppe alors celui-ci complètement dans une couche épaisse d'ouate hydrophile, imprégnée d'eau pure
lte des variations de l'angle d'incidence des rayons solaires sur les couches de clivage de l'alumine. Il en est ainsi du cha
se compose de fibrilles comme le velours; elle aussi est répartie en couches de stratification comme le corindon nacré., La ma
des coupes, c'est la déformation du profil de l'hémisphère, c'est la couche de celloïdine qui subsiste dans les espaces ventr
du pédoncule, 16, 17. Tf. Tubercule du fascia dentata. Th. Thalamus, couche optique. TJ. Tubercule de jonction, 27, 29. TM. T
mbryon-naire. Lem. Lemniscus, feuillet horizontal du ruban de Reil, couche de Reil (Sclileife des Allemands). LMA. Lame bl
occipitale interne. Rlh. Radiatio thalami, couronne rayonnante de la couche optique, 77. S'. Rranche postérieure de la scis
is, stria terminalis, 80. TAP. Tapelum, 71, 75, 78. Th. Thalamus, couche optique, 76. Une. Crochet, uncus, 79, 80. E.
101, 102, 104, 108. FLi, FL2, FLô. Première, deuxième et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 102. FOi. F
, 119, 122, 125, 128. FLi. FLr2, FLs. Première, deuxième, troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 112, 116, 1
isceau longitudinal inférieur, 156. FLs, Fis. Deuxième et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 156. FOi. F
ceau longitudinal inférieur, 145, 146. FIA FLo. Deuxième et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 146. FOi. F
l inférieur, 154. FLr , FLi, FLo. Troisième, quatrième et cinquième couches du faisceau longitudinal inférieur, 155. FOi. F
, 165, 164, 169. FLr , FLï, FI.5. Troisième, quatrième et cinquième couches du fais-ceau longitudinal inférieur. FOi. Fibres
apelum, 166, 168. Tf. Tubercule du fascia dentata, 165. TH. Thalamus, couche optique, 165. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU PL. 17
l inférieur, 182. FLô, FL.4, FLs. Troisième, quatrième et cinquième couches du fais-ceau longitudinal inférieur, 185. FOi.
e, 219. RR. Ruban de Reil, 206, 215. Rth. Couronne rayonnante de la couche optique, 219, 221, 222. S'. Rranche postérieure d
228, 252. Lm. Lamina medialis, portion interne et inférieure de la couche horizontale de Reil. Lmd. Lamina lateralis de R
tale de Reil. Lmd. Lamina lateralis de Reil, ou fibres directes de la couche latérale de Reil, 224, 251. NC. Noyau caudé, 22
de Reil, 227, 252. Rth. Radialio thalami, couronne rayonnante de la couche opti-que, 224, 257. S'. Branche postérieure de la
. Tsenia tecta, 224. TEG. Tegmentum, 227, 228, 229. Th. Thalamus, couche optique, 224. TRI. Trigone cérébral, 257. TRO
onnante du noyau caudé, 241, 252, 255. Rth. Couronne rayonnante de la couche optique, 255. Tee. Tsenia semi-circularis, 252. T
onvolution de l'hippocampe, 272, 275. SMT. Stries médullaires de la couche optique, 275. T1. Première circonvolution tempora
on temporale. TB. Trou borgne, forameu csecum, 290, 296 Th. Thalamus, couche optique, 292. TP. Tractus transvers us pedunculi,
éma, 526. Lui. Lamina medialis, portion interne et inférieure de la couche horizontale de Reil, 516. LMA. Lame blanche cor
e externe, 551. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 554, 541. CC. Couche grillagée, 532. CI. Capsule interne, 549. GIF
te du noyau caudé. Rth, Radiatio thalami, couronne rayonnante de la couche optique, 456. sC. Sinus du corps calleux. sh.
e passage externe. Rth. Radiatio thalami, couronne rayonnante de la couche optique, 440, 445. sC. Sinus du corps calleux.
circularis, 445. TAP. Tapetum. tec. Tsenia tecta. Th. Thalamus, couche optique, 445. ThÀ. Racine antérieure ou pédoncu
udé. ROS. Roslrum. Rth. Radiatio thalami, couronne rayonnante de la couche op-tique, 452. S'". Rranche verticale de Sylvius.
-circularis. TAP. Tapelum, 454. tec. Tsenia tecta, 450. Th. Thalamus, couche optique, 456. ThA. Racine antérieure ou pédoncu
25 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'acquisitions, ou, comme dit Sergi, de stratifica- tions ; que la couche la plus récente et la plus parfaite s'al- tère,
; que la couche la plus récente et la plus parfaite s'al- tère, les couches sous-jacentes reparaissent et l'homme ainsi dim
aud est tenté de la conserver. A. Fenayrou. XII. Tubercules de la couche optique; par MM. Démange et Spillmann. (Presse
le, et une tumeur du volume d'une noisette siégeant au milieu de la couche optique droite et touchant par sa péri- phérie
complices. Elvire P..., qui fait des bâtards dans l'asile (pour ses couches , elle s'alite), habite avec un interne dans le bâ
a femme, il l'autorisa à se retirer dans sa famille jusqu'après ses couches , ignorant qu'il existait aussi des relations en
a revit quatre mois plus tard sur son lit de mort à la suite de ses couches . Une pièce qne sa femme croyait avoir près d'elle
ême courbe : les deux pro- fils sont superposables. C'est que les couches superficielles sont un peu plus flasques et p
actères morphologiques et fonctionnels des éléments constituant les couches de l'écorce du cuneus et de la scissure calcari
res mor- phologiques tout à fait particuliers. Tandis que, des huit couches stratifiées de cette écorce, les trois première
s huit couches stratifiées de cette écorce, les trois premières, la couche moléculaire, ou couche des panaches des pyramid
ées de cette écorce, les trois premières, la couche moléculaire, ou couche des panaches des pyramides, la couche des petites
es, la couche moléculaire, ou couche des panaches des pyramides, la couche des petites pyramides et la couche des pyramide
e des panaches des pyramides, la couche des petites pyramides et la couche des pyramides moyennes n'offrent rien de spécia
uche des pyramides moyennes n'offrent rien de spécial, la quatrième couche , celle des cellules étoilées ou strie de 126 RE
blanche ; 3° des ramifications d'axones ascendants de cellules des couches infé- rieures (zone des grains, zone des pyrami
ifications collatérales d'axones de cellules des zones supérieures ( couches des pyramides petites et moyennes). Des élément
tout étoilée, constituent donc en fort grand nombre cette quatrième couche , cellules dont les dendrites se ramifient exclu
die de cette zone a déjà per- mis à Cajal de la subdiviser en deux ( couches des grandes et des petites cellules étoilées),e
à épaisses collatérales ascendantes et à collatérales destinées aux couches inférieures ; 3° des cellules petites à courts
stance blanche pour se rami- fier horizontalement dans la quatrième couche . Comme ces fibres conservent leur gaine de myél
dendrites des cellules indigènes de cette zone, c'est-à-dire de la couche des cellules étoilées, comme elles ont fait d'a
nt fait d'ailleurs pour les tiges des pyramides et des cellules des couches inférieures. Souvent ces longues fibres myéli-
calement la strie de GE;>¡1\AIII et vont au delà, jusque dans la couche des pyramides moyennes (troisième couche), puis
nt au delà, jusque dans la couche des pyramides moyennes (troisième couche ), puis se recourbent brusquement en bas ou s'in
échissent sur de grands espaces pour se résoudre finalement dans la couche des cellules étoilées en collatérales et en pro
sorte le facteur spécifique de la sphère visuelle. » Enfin, de la couche sous-jacente, cinquième couche de cette aire co
la sphère visuelle. » Enfin, de la couche sous-jacente, cinquième couche de cette aire corticale, couche des petites cel
e la couche sous-jacente, cinquième couche de cette aire corticale, couche des petites cellules sphéroïdales {couche des gra
de cette aire corticale, couche des petites cellules sphéroïdales { couche des grains) ou couche des petites cellules ri a
le, couche des petites cellules sphéroïdales {couche des grains) ou couche des petites cellules ri axone ascendant, comme la
axone ascendant, comme la dé- nomme CAJAL, ainsi que de la septième couche des cellules 'polo- morphes, montent d'innombra
innombrables axones qui, après avoir émis des collatérales dans les couches inférieures se ramifient dans le plexus optique
qu'en traversant cette région, les axones ascendants destinés à la couche moléculaire y abandonnent des collatérales, en
que nombre d'autres prolonge- ments axiles de neurones des diverses couches stratifiées, et que, à travers cette strie, pas
cette strie, passent les tiges des pyramides géantes de la sixième couche et celles des corpuscule polymorphes, les dendrit
cendant des petites et moyennes pyramides des deuxième et troisième couches . Les cellules de la couche des grains (cinquièm
nes pyramides des deuxième et troisième couches. Les cellules de la couche des grains (cinquième couche ou couche de petit
troisième couches. Les cellules de la couche des grains (cinquième couche ou couche de petites cellules il axone ascendan
ouches. Les cellules de la couche des grains (cinquième couche ou couche de petites cellules il axone ascendant) sont des
la strie de Gennaiu où il s'arborise. 128 . REVUE CRITIQUE. La couche cles cellules pyramidales géantes, ou sixième zon
tance blanche après avoir envoyé deux ou trois collatérales dans la couche des cellules polymorphes. La couche des cellule
x ou trois collatérales dans la couche des cellules polymorphes. La couche des cellules polymorphes, ou septième zone, renfe
térales sortent aussi de cet axone au cours de son trajet dans la couche des grains, destinées aux couches inférieures. La
one au cours de son trajet dans la couche des grains, destinées aux couches inférieures. La tige pro- toplasmique s'épuise
ntesque, dont l'axe traverse toute l'écorce et monte jusque dans la couche molé- culaire, non sans abandonner des collatér
s sont fort rares et gisent souvent en pleine substance blanche (8° couche ). Dans le travail in caeM qu'il prépare, l'émin
il prépare, l'éminent histologiste espagnol divise ainsi en deux la couche des cellules polymorphes : 1° couche des grandes
pagnol divise ainsi en deux la couche des cellules polymorphes : 1° couche des grandes cellules à axones ascendants ; 2° c
lymorphes : 1° couche des grandes cellules à axones ascendants ; 2° couches des cellules polymorplies propre- ment dites ou
ndants ; 2° couches des cellules polymorplies propre- ment dites ou couche des éléments fusiformes de IEYNEllT; la plu- pa
morphologie comparée des éléments nerveux constituant les diverses couches stratifiées d'une aire fonctionnelle de l'écorc
éments seraient, dans l'épaisseur de l'écorce, ce que sont, dans la couche moléculaire, les cellules de CAJAL et de lii,,r
. Or là aussi aussi ces fibres se terminent électivement dans une couche de l'écorce grise où abondent, quoiqu'en moins gr
lixiisig demeurant en dehors il serait légitime de considérer cette couche comme le facteur anatomique spécifique de l'éco
mais les actifs provoquent les crises. La première fois l'enfant se couche sur le dos. A l'injection du troisième flacon l
eurent lieu trois mois et demi et un mois respectivement après des couches normales (les grossesses furent également norma
noyau lenticulaire, et plus en avant la partie supéro-interne de la couche optique. « Sur le pli de passage du lobule pari
xiste en même temps un foyer ancien du volume d'un haricot, dans la couche optique, à sa sur- face externe, contre la caps
s plus étendues. Au niveau de la pédiculo-pariétale, le foyer de la couche optique a creusé presque toute la partie ventri
e immédiatement sur le foyer hémorragique, à travers une très mince couche de substance cérébrale ramollie. Dans certains
ventricule et rejoignant une hémorragie de la partie externe de la couche optique. Dans un cas, l'hémor- ragie était limi
rés sur une table spéciale faite de deux planches sur lesquelles ou couche les opérés pendant deux heures et deux fois par
tes bizarres qui paraissent dépourvus de toute signification; il se couche dans les positions les plus anormales, et, parf
mène dans le dortoir; puis, incapable de reconnaître son lit, il se couche à la place d'un autre malade. En un mot, il a abs
ns en dehors, il l'union du tiers supérieur et du tiers moyen de la couche optique. C'est la surface de section du fragmen
yant détruit le tiers postérieur au noyau lenticulaire et de la couche optique et les deux tiers postérieurs de l'av
x cen- traux : le quart postérieur du noyau lenticulaire et de la couche optique, les deux tiers postérieurs de l'avant-mu
rizontale qui est ici représentée (flg. 6) a sectionné en dedans la couche optique à l'union de son tiers supérieur avec s
au niveau d'une coupe passant par la partie la plus inférieme de la couche optique. L'extension vers l'écorce cérébrale en
ce n'est quelques-uns à la partie anté¡ o-extel'1le des cuisses. La couche adipeuse sous-cutanée est relativement épaisse.
7 heures du matin. V. Autopsie 1. Amaigrissement considérable ; la couche adipeuse sous-cutanée est moins développée qu'à
e d'âge moyen. L'auteur estime qu'il y a une lésion au niveau de la couche optique, tout en admettant la possibilité d'alt
ésion de la partie posté- rieure de la capsule interne affectant la couche optique, pourrait tendre à chercher de ce côté
du côté opposé à la lésion thalamique) laisserait supposer que la couche optique est indemne. Faut-il rechercher dans l'éc
jonctif à la face interne de laquelle existe un endothé- lium à une couche . Cette capsule est en rapport immédiat avec le
e corps de la cellule res- tant, comme à l'état normal contigu à la couche endothéliale. Il n'y a qu'a confirmer les détai
évrite parenchymatellse subaiguë (troisième attaque, à la suite des couches ) greffée sur le terrain d'une polynévrite inter
puberté, ca- ractère hystérique. En 1896, trois semaines avant ses couches , éruption généralisée et rhinite persistante (s
alisée et rhinite persistante (syphilis ? ). Quinze jours après les couches , première attaque hystérique Dix-huit mois plus
dantes réunissant les noyaux des cordons de Goll et de Burdach à la couche optique et des fibres moins longues s'arrêtant
tance grise et les voies courtes de la formation réticulée ; 6° La couche optique constitue un relai pour les voies ascen-
l médian s'arrête dans le noyau externe et le centre médian de la couche optique ; -, 7° Les connexions de la couche opt
e centre médian de la couche optique ; -, 7° Les connexions de la couche optique avec l'écorce cérébrale se font par le
re du système nerveux central et périphérique, p. 249 et 250). La couche granuleuse du cervelet et ses fibres mousseuses c
i portent les réseaux de fibres nerveuses se déploient à travers la couche granuleuse formant un système continu. 11 est f
si à suivre de ces fibres jusqu'aux cellules du noyau externe de la couche optique ; -elles subissent donc, dans l'espèce, u
eure du pulvinar, les parties postérieures du noyau antérieur de la couche optique, notre faisceau était presque seul cons
la lumière du conduit. Pour la membrane, c'est un épithélium à une couche ; pour le ligament, c'est quantité de petites ce
membrane basilaire, de sa cou- che de revêtement lympanique, de sa couche épithéliale, mais elles sont incomplètement dév
nt dans toutes les parties du cerveau, mais surtout dans celles des couches corticales externes d'animaux morts-de bonne he
mme, explicables par les dégénérescences cellulaires des di- verses couches corticales, dont les lésions permettent de déchif
anglion de l'isthme, il fournit, à travers le cer- veau moyen et la couche optique, des libres à l'écorce du lobe optique,
oblique de haut en bas et de de- hors en dedans sous la forme d'une couche grêle qui reste cepen- dant à égale distance de
optiques, dans la rétine où il se termine entre les cellules de la couche ganglionnaire. Quelques fibres isolées semblent p
che ganglionnaire. Quelques fibres isolées semblent pénétrer par la couche moléculaire interne jusqu'au voisinage de la couc
pénétrer par la couche moléculaire interne jusqu'au voisinage de la couche 41G REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
rs de la papille et va jusqu'au voisinage de la macula, où cesse la couche des fibres nerveuses. En dedans de la papille,
de l'isthme et se termine dans la rétine autour des cellules de la couche ganglionnaire. Dans ce trajet, il fournit aux p
es cellules). D'autre part, l'écorce du lobe optique contient une couche de cellules profondes qui fournissent des fibre
e 0,50 à 0,80 on l'ad- ministre en trois fois ; à partir de 0,70 on couche le malade, on l'alite aussi quand on passe de l
tonus nerveux, amélioreront sa stabilité nerveuse surtout dans les couches psy- chomotrices du cerveau, et favoriseront so
ement la rapidité avec laquelle le sang dépose spontanément en deux couches : celle du plasma et celle du sédiment rouge (d
26 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
riée à vingt-sept ans, a eu en dix ans sept enfants et deux fausses couches . Un fils est alcoolique; un autre, faible d'esp
lle sent du vent sur la tête. Le soir elle est maigre quand elle se couche , le matin elle est grasse et bouffie. 11 lui se
'antisepsie les plus scrupuleuses; enfin on couvrait la plaie d'une couche de collodion iodoformé. Ordinairement la plaie
e épinière, sans bémorrhagie. La plaie est cousue et couverte d'une couche de collodion iodoformé. Etat aussitôt après l
ui a pénétré à travers les téguments, les os du crâne et atteint la couche supérieure du cerveau. Aux bords de la plaie, d
s avoir enlevé la bandelette optique, on le voyait constituer une couche de tissu blanc, se dirigeant en dehors ; il ven
ntérieur le bord posté- rieur de la bande diagonale, constituant la couche profonde de celle-ci et pouvait être suivie à s
fascicules, passent sous la bandelette optique et vont former la couche inférieure et postérieure de la bande diago- na
les du cerveau terminés par des éminences qui paraissaient être les couches optiques et les corps striés. En outre, la moel
queduc de Sylvius. » IV. CONNEXIONS DU CARREFOUR OLFACTIF AVEC la couche optique. (Arc intermédiaire.) Dans quelques cas
ge, et par suite moins épais, il contourne le bord postérieur de la couche optique, s'étale sur la face supérieure de ce r
cs que je décris comme une production à part ne sont-ils que « la couche fenêtrée » dont parlent quelques auteurs et qui
appareil optique. Ceux-là, en eflet, pénètrent profondément dans la couche optique et vont DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL D
de- ment de ce tubercule avec la partie antérieure et externe de la couche optique. Ces deux faisceaux réunis constituerai
que j'ai indiqué pour aller coiffer le tubercule anté- rieur de la couche optique. Filet du sillon opto-strié. Toenia. La
ndiquent les auteurs, mais encore dans le tubercule antérieur de la couche optique. De plus, quand il con- tourne en dehor
L DE L'OLFACTION. 79 où ce pilier contourne le bord postérieur delà couche optique, revêtue du ruban. J'appelle aussi l'at
e large voie sont établies les connexions entre le carrefour e la couche optique. Je me demande, à ce sujet, si les anci
le carrefour olfactif se trouve relié au tubercule antérieur de la couche optique par le ruban péri-optique et par la ban
ication évidente entre le carrefour et le tubercule antérieur de la couche optique.' Notes bibliographiques. -Ruban péri-o
s ventricules latéraux et qui sont placés à la partie externe des couches optiques. Dans ces lames, des filets blancs sont
titué par les Itabenæ) s'étale en une membrane mince au- tour de la couche optique. Les fibres clairsemées se recourbent t
entail pédonculaire. Elles composent essentiellement l'écorce de la couche optique. » « ... Un troisième faisceau, mieux d
sième faisceau, mieux distinct, s'enroule sur le bord externe de la couche optique, dans un sillon qui la sépare de la cou
L DE L'OLFACTION. 81 dit : « Nous avons distingué plus haut dans la couche optique trois éléments distincts, savoir : 1° s
insi un faisceau « qui s'enroule en une membrane mince autour de la couche optique ». Bandellette demi- circulaire. - FOVI
faisceau postérieur se porte dans l'intervalle du corps strié et la couche optique en décrivant une belle courbe connue so
istes. En avant, on la voit se perdre dans la substance grise de la couche optique. Son extrémité postérieure s'épanouit e
s, dans le pilier antérieur, et par l'autre, dans l'épaisseur de la couche optique. ' La bandelette étant admise avec Vicq
ir jusqu'à plus ample recueil d'observations. V. CONNEXIONS DE LA COUCHE OPTIQUE (DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OP
V. CONNEXIONS DE LA COUCHE OPTIQUE (DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE) AVEC l'ÉCORCE cérébrale. (Arc cérébral
au lieu de les faire se terminer dans le tubercule antérieur de la couche optique, je les fais y ( prendre leur origine,
ue et les piliers, au moment où ceux-ci contournent en arrière la couche optique. Je dirai aussi qu'une seule fois, il est
ne de la voûte et aller se jeter sur le tubercule antérieur de la couche optique, en dedans de la terminaison du ruban p
important. En effet, ces filaments sont en très grand nombre et la couche médullaire de chacune des parois du ventricule
lement de ces filaments et de ceux du taenia. Le restant de cette couche blanche est formée par des fibres émanant d'une
re-croi- sés, mettent en communication directe le tubercule de la couche optique dans laquelle ils prennent naissance, a
ssance, avec la formation godronnée. Le tubercule antérieur de la couche optique est-il une station olfactive ? Cela ne
ns des piliers antérieurs avec celles de la bande diagonale dans la couche blanche du septum et, comme on le verra plus lo
un seul nerf olfac- tif, qui semblait naître du centre de l'une des couches optiques. » Ce fait me paraît très intéressant
autrement. Une bifur- cation profonde du tænia « s'enfonce dans la couche optique, se porte d'arrière en avant, gagne le
mplique des rapports intimes avec l'olfaction. » Cruveilhier : « La couche médullaire (du septum) est composée de fibres r
mécanique ou faradique du noyau caudé et du noyau lenticulaire, des couches optiques et des tubercules quadrijumeaux antéri
tion isolée directe; 2° l'excitation mécanique et fara- dique de la couche optique produit soit une, soit plusieurs convulsi
s à l'excitation. La section transverse du segment postérieur de la couche optique et du tubercule quadrijumeau antérieur,
oyaux d'origine des cordons postérieurs gagnent, en traver- sant la couche intermédiaire des olives, l'organe central, abou-
u noyau rouge de Stilling qui, de son côté, envoie des fibres il la couche optique, au noyau lenticulaire, à l'écorce du cer
. S. Kiriltsef. Contribution ci la casuistique des affections de la couche optique . Les symptômes suivants ont été remarqué
ments spontanés. Exitus letalis. A l'autopsie, on a trouvé, dans la couche optique gauche, une tumeur (gliosarcoma) de la
puisées dans la littérature médicale, le rapporteur conclut que les couches optiques ont un rapport intime avec l'origine d
laire. M. Kornilof dit qu'il a pu observer un cas de tumeur de la couche optique, dans lequel il n'y avait pas de paralysi
nveloppe de myéline est constituée, d'après l'auteur, de cinq à six couches concentriques absolument égales. Jusqu'àprésent,
iques absolument égales. Jusqu'àprésent, onvoyait cette division en couches de la myéline, mais on la con- sidérait comme é
tion de l'a- cide osmique : il est très probable que la division en couches n'était pas très nette, car les méthodes employ
s l'auteur, dans un état gélatineux. La dis- position régulière des couches dans l'enveloppe de myéline permet de supposer
sensation de suffocation qui l'opprésse pendant dix minutes. Il se couche , la douleur devient moins aiguë, et le lendemai
foyer purulent et son trajet fistuleux. C S, corps strié. - C 0, couche optique. C C, corps calleux. Y, quatrième ventr
ousue d'après toutes les règles de l'antiseptique et couverte d'une couche de collodium iodoformé. Aussitôt après l'opérat
lante du pied de la patte droite postérieure se détache par grandes couches . 20 juin. - Les mouvements volontaires de l'ext
a moelle épinière (fig. 23) ; la plaie est pansée et couverte d'une couche de collodion iodoformé. Etat aussitôt après l'o
gauche de la moelle épinière. La plaie est pansée et couverte d'une couche de Ô ANATOMIE. collodion iodoformé. Après l'o
ire par des conducteurs qui n'ont pas à passer par le noyau de la couche optique. L'intermédiaire est le septum lucidum.
x modes diffé- rents. On a vu, dans le chapitre précédent, que la couche médullaire de la cloison transparente était en
forme déterminée » qui me paraît avoir beaucoup de parenté avec la couche granuleuse caractéristique du corps godronné.
? Les connexions par les habence avec le tubercule antérieur de la couche optique sont tellement évidentes qu'il ne saura
PAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 11 tubercule antérieur de la couche optique. Le carrefour est donc mis en communica
et celle-ci est mise en rapport avec le tu- bercule antérieur de la couche optique. Ces faits admis, il ne restait plus qu
IL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 213 le tubercule antérieur de la couche optique. La bande diagonale par son angle posté
avoir fourni le filet du sillon opto-strié (taenia), contourne la couche optique et va aboutir au tubercule antérieur :
térieur : c'est l'arc intermédiaire. Du tubercule antérieur de la couche optique, part une voie de conduction reliant le
n'en sont pas moins indiquées d'une façon générale. Le rôle de la couche optique et du corps strié, bien qu'encore conte
in du tissu nerveux. Leur structure révélait la stratifi- cation eu couches concentriques. Le segment externe du noyau lent
de l'hémisphère droit entraîne une dégénérescence secondaire de la couche optique et du faisceau latéral du pédoncule céréb
psychiatrie : Dr 1\Ionak'l>w : dégénéra- tion secondaire dans la couche optique chez l'homme ; professeur Flechsig : an
' ou deux oignons, les étendre dans un saladier en les couvrant par couches de poudre de sucre candi, et laisser macérer tr
ns de Francfort; tous deux Juifs). Douze enfants et trois fausses couches : 1° Garçon, vingt-sept ans, bien portant, pas
nsi que les membres. Puis il se tortille, se retourne très vile, se couche sur le ventre, se remet sur le dos. - Nouveau r
e a des secousses, 368 RECUEIL DE FAITS. s'agite dans son lit, se couche tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Le malade
ordre. Repos. Cris prolongés et plaintifs. Il demande à boire et se couche sur le côté droit. Il est 11 h. 30. 12 octobr
du couvre-objet et l'on comprime de façon à l'étaler en une mince couche . On instille sur le bord du couvre-objet une gout
On trouve, au microscope, une atrophie des cellules de la deuxième couche (ascendants et troisième frontale), un léger de
de leurs parois), une diminution médiocre des fibres tangentielles ( couche externe) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 411 et
ement scléreuses, il n'y a plus du tout de cellules de Purkinje; la couche granuleuse s'est' aussi considéra- blement écla
otte du côté opposé; atrophie également prononcée du pulvinar de la couche optique du côté opposé. Comme il n'y a pas d'al
monyme et croisé) du cordon postérieur (fibres arciformes externes, couche intermédiaire des olives, fibres arciformes int
ner- veuses. Les fibres intra-corticales sont bien développées; la couche des grandes cellules pyramidales est au contrai
401. Connes antérieures, histologie des - , par Kronthal, 399. Couche optique, affections de la -, par Kiriltseff, 13
27 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
tissu spongieux, mais encore dans les canaux de Havers et dans cette couche sous-périostique dite ostéoïde par M. Robin, et q
eux et tissu élastique y concourent, ce dernier peu abondant dans les couches superficielles est très-répandu dans la profond
ineux y aboutis-sent, mais la plupart ne font que se ramifier dans la couche externe, se préparer en quelque sorte pour pénétr
u'il n'a jamais pu remplir. — Voisin par sa lace interne d'une petite couche très-active, très-productive, très-irritable, il
solument ces rôles emprun-tés. M. Robin, à notre époque, montre cette couche ostéoïde aux dépens de laquelle le périoste usurp
ne, a montré que, réduit à lui-même, privé parle raclage de la petite couche ostéoïde qu'il rete. nait à lui, le périoste n'ét
st au point de vuepathologique d'une importance secondaire. Sur cette couche interne... est superposée une couche de tissu c
portance secondaire. Sur cette couche interne... est superposée une couche de tissu cellulaire lâche, qui également doit êtr
t doit être consi-déré comme faisant encore partie du périoste. Celte couche externe est le siège le plus fréquent des process
externe; c'est un petit phlegmon qui peut, à la rigueur, agir sur la couche ostéoïde, ou moelle externe, à travers la partie
u siège, application du for-ceps) ; le quatrième à 25 ans; une fausse couche (six mois) à 24 ans; le sixième enfant, à 26 ans;
11 et le 12 octobre, semblables à celles qu'elle avait ressenties aux couches précédentes. Elles ont cessé tout à fait le 13. D
HIE Traité clinique et pratique des maladies puerpérales, suites de couches , par le docteur E. Hlrvieux, médecin de la Mate
ouvelles accouchées, l'oc-cupation permanente des salles de femmes en couches et l'encom-brement, telles sont les circonstances
; elles jouent un rôle considérable dans la pathologie de la femme en couche , et on ne peut les méconnaître sans s'exposer à t
ler, pour ainsi dire, tous les recoins de la pathologie des femmes en couches , trancher bien des questions restées jusqu'à ce j
tel est le cadre dans lequel sont entrées les maladies des femmes en couches . Toujours les descr plions sont faites avec beauc
de sels cal-caires et c'est autour de ces noyaux que se déposent, par couches concentriques, les poils végétaux ou les poils an
ur duquel les poils se sont tassés avec ordre. Quelquefois il y a des couches alternatives de substances calculeuses et de poil
tant le long de la face postérieure du fémur, entre le périoste et la couche musculaire profonde. Les cartilages articu-laires
lite. A la coupe, marbrures couleur hortensia des corps striés et des couches optiques, s'observant aussi bien dans la substanc
ont, dans un mouvement forcé, tiraillé ce périoste, et, par suite, la couche sous-jacente. Un garçon de 21 ans, forgeron : l
la médullite aiguë reconnaît pour cause une irri-tation directe de la couche sous-périestique; que cette irritation provienne
ée chez noire malade? Tout en reconnaissant que la multiplicité des couches faites par cette femme ava t pu amener un affaibl
un très-grand rôle dans la production des accidents qui succèdent aux couches Pour s'en convaincre, il suffit de se rappeler co
-à-dire inté-ressant seulement, soit la tunique péritonéale, soit les couches musculaires, sont plus rares.— Les bords de la dé
s deux côtés, lorsqu'on la détache, entraîne en beaucoup de points la couche superficielle des circonvolutions, principalement
entricule latéral est très-ramollie ; le corps strié est séparé de la couche optique. La partie antérieure de ce veniricule es
est assez ferme. A gauche, le cor| s strié est également séparé de la couche optique. A part les bords qui répondent à ctlte d
couche optique. A part les bords qui répondent à ctlte dissection, la couche optique et le corps strié sont assez résistants.
r la cause morbide, fourniront des produits viables, et de nou-velles couches osseuses se formeront, engainant la diaphyse. Ces
s couches osseuses se formeront, engainant la diaphyse. Ces nouvelles couches pourront même se produire dans le tissu osseux,
i, avec la péri-phérie de l'os, sont essentiellement vivantes. Si les couches médul-laires sous-pêriostiques accroissent l'os e
hes médul-laires sous-pêriostiques accroissent l'os en épaisseur, les couches dia-épiphysaires l'accroissent en longueur. Il y
iphysaire de la diaphyse ou de l'épiphyse, et occupe en même temps la couche sous-périostique, d'où l'existence d'un vaste foy
mme celles des os longs. L'inflammation débute le plus souvent par la couche sous-périostique externe et, par les canalicules
nt observé aux crânes et aux fosses iliaques, de décollement des deux couches périostales dans une étendue égale sur chaque fac
ment complet; d'autre part, la formation constante aussi de nouvelles couches osseuses dans la moelle sous-périostique, nouvell
nouvelles couches osseuses dans la moelle sous-périostique, nouvelles couches qui trop gêné-* ralement englobent en partie le s
droit, tumeur dure, indolente à la pression, mobile en masse sur les couches profondes, du volume d'un sein de femme pubère. P
ieux, Traité clinique et pratique des maladies puerpérales, suites de couches , article Vulvitediphthéritique, p. 439. REVUE P
umeurs à l'aide d'un serre-nœud et j'appliquai sur la plaie une forte couche de caustique de Vienne, que j'y maintins pendant
lente d'ailleurs, n'arrête pas la médullite, qui continue à gagner la couche sous-périostique. Je citerai à l'appui l'observat
ugès comme l'apanage à peu près exclusif de l'état de grossesse ou de couches , a été étudiée dans ces dernières années par un a
au 20 avril, jour où N... passe dans le service spécial des femmes en couches . C'est là où nous l'avons observée. 20 avril, m
cas d'anémie profonde, dans les hémorrhagies abon-dantes par suite de couches ou par causes traumaliques, dans l'asphyxie des n
ondants aux vertèbres malades, était enveloppée à l'extérieur par une couche épaisse de pus caséeux, laquelle se prolongeait s
était trouble et d'un jaune vineux ; au bout de quelques minutes, les couches supé-rieures se clarifièrent, les inférieures dev
après son évacuation, elle était faiblement alcaline dans toutes ses couches ; après quelques minutes de repos, elle était ne
ouches; après quelques minutes de repos, elle était neutre dans les couches supérieures, alcaline dans les inférieures; au bo
du pus ; les graviers phosphatiques nageaient d'abord dans toutes les couches de l'urine et lui donnaient l'aspect de petit-lai
ules miliaires ; la coupe démontre qu'ils pren-nent naissance dans la couche supérieure du péricarde. A l'ouverture du ventr
19 octobre. — Apparition au fond de la solution de continuité d'une couche blanc grisâtre, qu'on cautérise avec une solution
de tissu malade,incomplètement sphacélé,nécessita l'application d'une couche depâtedeCanquoin. A partir du 9 juin,la cicatrisa
gnement fourni par le malade nous indique en outre que c'est dans les couches superficielles de la glande qu'on doit localiser
ux dans la majeure partie de la tumeur et qui est plus molle dans les couches superficielles et dans les lobes mamelonnés de la
éments sont les mêmes sur les coupes pratiquées au centre ou dans les couches superficielles de la tumeur. À un fort grossiss
signalée par M. Vigla. 11 semble que le tissu soit constitué par deux couches superposées, l'une superficielle, réduite en boui
e dernier cas, d'une femme atteinte de choléra peu de jours après ses couches , à l'hôpital. Elle présentait des symptômes très-
hie. Traité clinique et prati-que des maladies puerpérales, suites de couches , par E. Hervieux (analyse G. Peltier), 28. — Co
28 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
objet quelconque. Ces opérations sont : i° L'impressionnement de la couche sensible; 2° Le développement de l'image latente,
considérables réalisés depuis quelques années dans la fabrication des couches sensibles, il est encore bien des journées, dans
plus, on élimine les bulles d'air qui peuvent rester adhérentes à la couche et occasionner autant de points non développés, c
ditions, parce que la plaque n'est pas toujours en présence des mêmes couches du révélateur et qu'elle est mise fréquemment au
de soins. La plaque photographique a deux faces, celle qui porte la couche sensible et l'autre qui est à nu; il faut toujour
a couche sensible et l'autre qui est à nu; il faut toujours mettre la couche du côté du volet du châssis. On distingue la couc
oujours mettre la couche du côté du volet du châssis. On distingue la couche qui est mate à ce qu'elle réfléchit moins la lumi
ière on enlève toutes les poussières qui pourraient se trouver sur la couche et qui feraient autant de taches. Bien souvent, l
ite, en général, les bulles, d'air qui peuvent rester adhérentes à la couche , et former autant de taches transparentes. Si mal
il permet, pendant que la plaque y séjourne, le ramollissement de la couche , son imbibition égale et l'enlèvement des bulles
i,2,3 secondes donnent, par exemple, des réductions croissantes de la couche , il arrive un moment où cette progression cesse d
t de dissoudre le bromure d'argent non impressionné qui reste dans la couche . Le fixage est complet lorsque toute apparence la
ain de bichlorure en ayant soin de l'agiter constamment. Peu à peu la couche blanchit; il faut prolonger l'action du bain d'au
ant l'écriture, le côté enfumé par-dessus. L'image à reproduire et la couche sensible sont séparées par l'épaisseur de la lame
très intenses pour notre œil, n'ont qu'une action très faible sur la couche sensible, alors que d'autres, au contraire, sont
i° Emploi des plaques isochromatiques. — Si l'on incorpore dans la couche sensible des substances chimiques capables d'abso
ion de certaines substances telles que l'éosine, par exemple, dans la couche sensible, on augmente sa sensibilité pour certain
ervé à l'abri de l'humidité; ceci est indispensable, surtout avec les couches actuellement employées qui sont à base de gélatin
aches produites par une combinaison du sel d'argent du papier avec la couche de gélatine. Or ces taches sont irrémédiables e
mède radical, pour éviter ces inconvénients, consistera à protéger la couche au moyen d'un enduit spécial qui l'isolera du pap
réalable d'en bien essuyer le dos et de passer un blaireau fin sur la couche pour enlever la poussière. On met alors le papier
ans un livre, ou bien si on les roule, il faut toujours les rouler la couche en dehors. Comme elles ont tendance naturellement
achète dans le commerce du papier dit au charbon qui est formé d'une couche de gélatine additionnée d'une matière colorante f
hotocollographie consiste à imprimer directement des épreuves sur une couche de gélatine bichromatée préalablement exposée à l
procédé a été découvert en 1855 par notre compatriote, Poitevin. Une couche de gélatine bichromatée étant exposée au jour (c'
s. Lorsque l'on passera un rouleau chargé d'encre d'imprimerie sur la couche de gélatine, l'encre ne prendra pas dans les part
rie nouvelle. L'étuve qui est destinée à faire sécher rapidement la couche de gélatine bichromatée coulée sur la plaque de v
e doivent être doucies d'un côté, afin de faciliter l'adhérence de la couche , et biseautées, afin de pouvoir être montées sur
de cuir demande à être fait : on devra Fig. 77 Préparation de la couche sensible. — Voici la formule que nous employons :
re subir une préparation préliminaire, pour assurer l'adhérence de la couche de gélatine : on frotte d'abord les plaques avec
sur chaque plaque la quantité reconnue nécessaire. L'épaisseur de la couche n'est pas indifférente; pour un cliché normal il
se. Cette opération a pour but d'insoler complètement la partie de la couche qui est en contact avec le verre et d'en augmente
sur le marbre et avec le rouleau de cuir on l'étend jusqu'à ce que la couche soit bien égale. On passe alors le rouleau sur la
trouve que dans quelques rares ateliers. En voici le principe. Une couche épaisse de gélatine bichro-matée est insolée sous
eau distillée. Lorsqu'elle est distendue, on l'applique sur le cliché couche contre couche et avec la main à plat on enlève le
Lorsqu'elle est distendue, on l'applique sur le cliché couche contre couche et avec la main à plat on enlève les bulles d'air
nt recouvertes d'un verre mince de même format de façon à protéger la couche . Ces deux verres seront réunis par des bandes étr
ous les modes de tirage d'avoir une adhérence parfaite entre les deux couches ; or, ce n'est pas le cas ici. Nous obtenons néanm
ge. On ne saurait, en effet, mettre dans la lanterne à projection une couche qui n'est pas parfaitement sèche, car, à cause de
-VILLARS ET FILS, quai des (irands-Augustins, 55. Préparation de la couche sensible............................ ig5 Insola
29 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
'HOMME ET DES PRIMÂTES. PREMIÈRE PARTIE. § Ier L'importance des couches corticales du cerveau et de leurs plis est depuis
-unes de ces grandes hypothèses. Suivant cet illustre anatomiste, les couches corticales sont composées de petites glandes dont
importance on a attachée, dès le XYU*" siècle, à la considération des couches corticales, de leur structure et de leurs plis. T
lï, 1840.) M. le docteur Baillarger admet, dans toute l'étendue des couches corticales, l'existence de six couches distinctes
dmet, dans toute l'étendue des couches corticales, l'existence de six couches distinctes. Ces couches, alternativement grises
des couches corticales, l'existence de six couches distinctes. Ces couches , alternativement grises et blanches, se succèdent
Toutefois, je me suis assuré, par des préparations nombreuses, qu'aux couches qu'il a signalées il faut en ajouter une septième
ux couches qu'il a signalées il faut en ajouter une septième. Cette couche , formée de fibres blanches, double dans toute son
rmée de fibres blanches, double dans toute son étendue le système des couches corticales. Ses fibres ne paraissent avoir aucun
rigine avec les faisceaux rayonnants de l'axe. La vraie structure des couches stratifiées au-dessus d'elle est moins facile à d
le est moins facile à découvrir. En effet, si la distinction de ces couches est nettement exprimée quand on observe à l'oeil
essive ténuité. M. Baillarger a essayé d'expliquer la formation des couches stratifiées, en supposant que les fibres rayonnan
te propose encore une autre hypothèse. Suivant cette hypothèse, les couches opaques sont formées de fibres propres constituan
s de fibres propres constituant des plans parallèles que séparent des couches de substance grise. Ces couches de fibres horizon
des plans parallèles que séparent des couches de substance grise. Ces couches de fibres horizontales sont coupées à angle droit
es rayonnantes. Les unes et les autres sont surtout visibles dans les couches corticales du lapin. Toutes les probabilités me
ins une haute importance. Ces faits permettent de démontrer que les couches corticales constituent un système indépendant des
tuent un système indépendant des fibres rayonnantes. 11 y a entre ces couches et ces fibres un rapport d'harmonie. Il n'y a poi
le dire ainsi, les fibres rayonnantes de l'axe se comportent avec les couches corticales, comme les nerfs cutanés avec la peau.
outes les fibrilles nerveuses, qu'où peut suivre dans l'épaisseur des couches corticales. La disposition de ces plans foliacé
lles pénètrent, immédiatement et tout entières , dans l'épaisseur des couches corticales. Ces couches, appliquées sur le noyau
ement et tout entières , dans l'épaisseur des couches corticales. Ces couches , appliquées sur le noyau cérébral et moulées, en
es. Mais, si les feuilles sont plus élevées, leur limbe soulève les couches corticales, et ainsi se forment dans ces couches
ur limbe soulève les couches corticales, et ainsi se forment dans ces couches des plis plus ou moins apparents, dont la disposi
ntervalles des feuillets. 2 Dans les points rentrants des plis, les couches corticales n'ont aucune adhérence avec les fibres
ral ; au sommet des plis, au contraire, les fibres pénètrent dans les couches , et l'adhérence est intime. % Ainsi les plis
externe de l'hémisphère et ceux qui en occupent la face interne. La couche corticale de l'hémisphère étant un tout partout c
ar la bandelette de la voûte à trois piliers; il forme le limbe de la couche corticale, dans toute l'étendue du bord inférieur
tres termes, c'est l'ouverture de la bourse à laquelle l'ensemble des couches corticales de l'hémisphère est comparé. Les lob
s qui lient au cerveau un appareil organique spécial occupent, sur la couche des hémisphères, une grande surface, l'intelligen
r. Ainsi, de la grandeur totale des hémisphères et de l'étendue des couches corticales naus un groupe défini d'animaux, on po
le cerveau, quelque chose de semblable? Suivant que les relations des couches corticales avec les organes des fonctions inférie
30 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
je viens de citer, il n'y avait aucune adhérence des membranes à la couche corticale et l'explosion du délire datait de qu
inges. Vaisseaux. La pie-mère est notablement épaissie ainsi que la couche sous pie-mérienne sur tout son pourtour ; la pa
occupant le lerritoil e du pli courbe. Hémorrhagies encore dans les couches optiques, en foyers lenticulaires, mouchetés, pun
cellules cylindriques assez hautes, disposées sur une ou plusieurs couches . Dans la lumière de ces vésicules, la subs- tan
\Ime Br..., vingtans. Entrée le 26 juin 1896. Manie aiguë, suite de couches ; loquacité exagérée, insomnie, idées rapides, so
ée sur ses bords au moyeu d'une bande de caoutchouc et garnie d'une couche de 1 cent. 1/2 d'épaisseur de gaze hydrophile.
tes hémorragies et inflammation des tubercules quadriju- meaux, des couches optiques des corps genouillés. La névrite op- t
e et de la sta. tion debout, elles cessent dès qu'il s'assied ou se couche . Rien à la peau ; la pression n'est pas doulour
sans qu'on puisse, comme le dit Eiehhorst, exclure l'atteinte de la couche optique ou du corps strié. Même remarque à l'égar
s graves, il est bien rare de voir une atrophie aussi avancée de la couche optique. Il n'est guère admis- sible de rattach
t expliquer que dans ces faits-là il n'y ait pas eu d'athétose ? La couche optique a été génératrice de l'athétose. Tel ét
conséquent, moins del'affection cor- ticale que de l'atrophie de la couche optique. Pathogénie. La lésion des conducteurs
- mètre et demi à 2 millimètres d'épaisseur, garnie d'une épaisse couche de gaze hydrophile et isolée sur ses bords au moy
e ronde, d'un centimètre de diamètre; elle ne paraît envahir que la couche superficielle de l'écorce. Des taches analogues
au de névroglie très dense, infiltrée et riche en vaisseaux ; cette couche contient aussi le canal central tapissé de gran
le cervelet. Les éléments cellulaires forment dans les méninges des couches plus ou moins épaisses, n'infiltrant point ou t
ARCOMATOSE DE LA MOELLE. H ! 3 croire que la névroglie qui forme la couche périphérique du cordon médullaire soit une barr
ériel n'est représenté que par l'endothélium vasculaire et la mince couche sous-endothéliale. D'ailleurs ces maladies infe
n'y a quelquefois qu'une seule pièce habitable et où tout le monde couche en hiver); le renvoi pour cause de mau- vais tr
du côté hémiplégique 12 fois sur 15 '. R. C. VI. STRUCTURE DE la couche superficielle DE l'écorce cérébrale; par BEWAN
e technique de Golgi et Ramon y Cajal. On décrivait jusqu'ici cette couche corticale comme formée uniquement de faisceaux
que les pro- longements des cellules pyramidales traversaient cette couche , mais c'est seulement par les méthodes de color
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. D'une façon générale, l'épaisseur de cette couche diminue sur chaque hémisphère en allant de la s
relation étroite entre les]cellules nerveuses et les éléments de la couche péri- phérique. La couche en question comprend
]cellules nerveuses et les éléments de la couche péri- phérique. La couche en question comprend : » 1° Des éléments névrog
des cellules pyramidales qui constituent les troisième etquatrième couches , les autres des cellules de laseconde couche. A
troisième etquatrième couches, les autres des cellules de laseconde couche . A mesure qu'ils s'approchent dé la périphérie, i
ites elles connexions qui existent entre les éléments de la seconde couche corticale avec la couche superficielle, cherche
existent entre les éléments de la seconde couche corticale avec la couche superficielle, cherche à établir dans des consi
ès répétés d'épilepsie; adhérences des membranes viscé- rales ci la couche corticale du cerveau. P.... quarante-trois ans,
dhérences généralisées des membranes viscérales entre elles et à la couche corticale ramollie. C..., célibataire, sans pro
out on constate des adhérences entre les membranes viscérales et la couche corticale qui est ramollie. La consistance de l
e long de la fente inte7'-hémisphérique, etc., sans adhérences à la couche corticale. F..., quarante-six ans, marié, culti
alescentes (ohs. 9, 10 et 11); il y a adhérence de la pie-mère à la couche corticale du cerveau dans trois cas (obs. 6, 8
oportions d'une pellicule ; à la base du cerveau il ne reste que la couche optique et le noyau len- ticulaire. Quant au ce
x pyramidaux et la disparition presque complète des faisceaux de la couche réticulaire et de la couche supplémentaire inte
on presque complète des faisceaux de la couche réticulaire et de la couche supplémentaire interne. Dans un cas de ce genre
peu dilaté et revêtu entièrement d'épithélium disposé en plusieurs couches irrégulières. Sur des coupes transversales de l
le prolongement est parallèle au vaisseau, il se con- fond avec les couches externes de l'advenlice et il est le plus sou-
n des cellules de la paroi vasculaire, et c'est par la formation de couches assez régu- lièrement concentriques que cette p
lules névrogliques répondent avec plus de vivacité que celles de la couche cor- ticale aux mêmes irritations. La plupart d
- sivement à travers les cellules à cônes et à bâtonnets (B) - la couche plexiforme externe (G), les cellulaires bipolaire
couche plexiforme externe (G), les cellulaires bipolaires (D), la couche plexiforme interne (E), les cellules ganglionnair
s probable l'hypothèse suivante : au niveau des noyaux gris de la couche optique, réflexion de l'influx nerveux vers le no
ces filets n'ont pas pu être sui- vis dans la rétine au delà de la couche des grains internes. - MÉCANISME ANATOMIQUE D
allons étudier le rôle pro- bable. 1 Cellules horizontales de la couche granuleuse interne. Ce sont de petites cellules
leuse interne. Ce sont de petites cellules situées au-dessous de la couche plexiforme externe et envoyant leur prolongemen
ngioblastes. Le corps de ces cellules est égale- ment situé dans la couche granuleuse interne (/ ? . 28). Mais leurs prolo
28). Mais leurs prolongements se dirigent du côté opposé vers la couche plexiforme interne, au niveau du point où les cel
rones intercalaires des noyaux gris centraux. Les noyaux gris de la couche optique sont des stations où passe l'impression
rajet la communication de neurone à neurone se fait au niveau de la couche des fibres tangentielles, où les cylindraxes ce
laire. MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTENTION. 465. \ Dans cette couche des fibres tangenlielles sont trois espèces de
'être tout en- tières situées avec tous leurs prolongements dans la couche des fibres tangentielles Elles ne peuvent que r
ue : le perfection- nement des contacts qui se fait au niveau de Ld couche des fibres tangentielles du cerveau. L'influx
Archives, 2e série, t. VI. 30 fit. 30. Structure schématique de la couche des libres tangentielles du cotte. Les flèches
la rue, toujours par l'intermédiaire des cellules de Cajal de la couche des fibres tangentielles. Le mécanisme de l'att
accès mélan- coliques, sans délire, dont deux pendant les suites de couches (accouchements normaux). Etat de dépression ave
elle allongée, un pont de varole, des tubercules quadrijumeaux, des couches optiques défigurées ; absence presque absolue des
artie des cordons latéraux blancs contigué à la substance grise, ou couche limitante de Flechsig, ne contient pas de filtres
, entre autres dégénérescences, celle de la partie antérieure de la couche limitante et l'intégrité de sa partie postérieure
lanche de la moelle tranche sur la substance grise plus claire ; la couche blanche du cerveau devient noire, la couche gri
grise plus claire ; la couche blanche du cerveau devient noire, la couche grise, plus claire. Déjà souvent, dans les quelqu
es ganglions sous-corticaux. Les dégénérescences constatées dans la couche optique et ses organes antéro-mférieurs-(couche
constatées dans la couche optique et ses organes antéro-mférieurs-( couche grillée) prouvent qu'en outre des fibres qui de
férieurs-(couche grillée) prouvent qu'en outre des fibres qui de la couche optique vont à l'écorce (Monakow) il y en a qui
en a qui prennent naissance dans l'écorce et se terminent dans la couche optique (IiolUher). Quelques animaux présentent
régu- lière mi-partie dans le faisceau de Gowres, mi-partie dans la couche limitante; la dégénérescence dépasse encore les
.) E. B. ). LXVI. DES fibres spinales centrifuges originaires DE la couche optique ET DES tubercules quadrijumeaux ; par W
ar W. de BECIl'l'E12E\V (uczvrolog. Ce ? ! hYf/6 ? XVI, 1897.) La couche optique et la paire antérieure des tubercules qua
La démonstration pour les tubercules quadrijumeaux est ancienne. La couche optique sert aux réflexes psychiques qui exprim
partie des fibres du ruban de Reil va à la partie postérieure de la couche optique, où elles s'éparpillent entre les cellu
e. Les excitations des racines postérieures arlivent donc bien à la couche optique et aux tubercules quadrijumeaux. Fibres
de fibres qui du tuber- cule quad1'ijll1neau antérieur en gagne la couche profonde et con- tribue à l'entrecroisement fon
pathétique et de l'oculo-moteur externe du coté opposé. Et de la couche optique à la moelle ? Quand on enlève un hémisphè
l'oculo-moteur commun, c'est-à-dire immédiatement en arrière de la couche optique, on produit la dégénérescence des fibre
moelle lombaire. Tel est le système de Boyce qui relève bien de la couche optique, car la destruction isolée de la couche
i relève bien de la couche optique, car la destruction isolée de la couche optique (de Bechtercw et Souko- witsch) entraîn
ace importante qui lui revient dans la pratique thé- rapeutique. La couche motrice des bras et des jambes renferme un , no
l et nleine, 407. Spinales. Fibres centrifuges originaires (le la couche optique et ries tubercules quadrijumeaux, par
31 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
an transversal et vertical passant par l'extrémité antérieure de la couche optique. Nous rappelons que, dans notre étude s
t remar- quer que la coupe porte sur l'extrémité antérieure de la couche optique, point limite pour nous entre le lobe f
u-dessus de la scissure de Sylvius, à 5 millimètres au-dessus de la couche corticale, juste en dehors du corps strié auque
olution du corps calleux. planche V C i, Capsule interne. C op. Couche optique. F S, Ligne fornicato-sylvienue. Ne,
au caudé. N 4, Noyau lenticulaire. fi. 1, Racine inférieure de la couche optique. S l, Septum lucidum. C. c, a, Commis
quence de l'albuminurie chez les scarla- tineux, chez les femmes en couches offrant des con- vulsions éclamptiques, le cour
que; autre crise deux mois plus tard. 18 octobre 188 ? . - hausse couche de deux mois; le cin- quième jour, trois attaqu
ix. Traité clinique et pratique des maladies puerpérales; suites de couches . 1870, p. 1036. ECLAMPSIE ET ÉPILEPSIE. 47 ac
lsifs paraissent avoir cessé après la délivrance; et les suites des couches ont été des plus simples. Il était né un enfant m
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. en outre, un début d'atrophie des couches de fibres des moitiés homonymes des deux rétine
tubercule bigéminé antérieur comprendrait, d'après M. Ganser, sept couches : REVUE D ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 79 néra
à fait en dedans, des fibres issues du faisceau cunéi- forme ; une couche moyenne formée des cordons latéraux céré- belle
elette optique, l'origine de l'olfactif, la partie antérieure de la couche optique et sa région moyenne, la partie inféro-
s l'acide osmique a conduit M. Tuczek '. A l'état normal toutes les couches de l'écorce sont extrêmement riches en fibres d
'écorce sont extrêmement riches en fibres de ce genre : la première couche con- tient surtout des fibres arcifomes qui rej
ociation : mais il existe aussi des fibres de toutes directions; la couche des grandes cellules pyramidales renferme des f
ipital. Passons aux particularités : les fibres d'association de la couche externe sont très fines et très nombreuses dans
fines et très nombreuses dans le lobe frontal et l'insula. La même couche est très riche en libres intermédiaires d'épais
considérable de toutes les fibres à myéline à tra- vers toutes les couches corticales des lobes frontaux,'y compris l'in-
u corps ? [ ? tf,' ? R ? ? 1 ? ! d -; -'i < " I z strie et de la couche optique. , ™ , rr S : )Tt ? G, r·r'T . î.Ja a*,
fait partie des trois premières zones mésolobaires, tandis que la couche optique leur est étrangère. L'aphasie n'exister
, au contraire, dans la destruction de l'extrémité antérieure de la couche optique, parce que, dans ce dernier cas, elle a
ier, un peu rejeté en dedans, il est séparé du foyer par une légère couche de substance blanche; hémiplégie gauche; membre
lièrement abondant à l'état nor- mal, c'est-à-dire dans la-première couche corticale, et dans la couche de cellules fusifo
- mal, c'est-à-dire dans la-première couche corticale, et dans la couche de cellules fusiformes située au-dessous de la ci
a couche de cellules fusiformes située au-dessous de la cinquième couche . · En comparant une série de douze coupes de la
amètre; elle était enveloppée d'une mince capsule, et séparée de la couche optique et, en partie, de la corne descendante
de la troisième circonvolution frontale gauche; ils occupaient les couches les plus profondes de la substance grise et la
I,']' fi'llll.l : i9+1llir; iii ,1,1 -J.IJw pour soi-même. On ne le couche ni mieux nt plus s 1 t -1,-n >« '] ? y ri ri
x troisième'et'cinquiÈme" eoucbes,cortieaies, tandis que les autres couches demeuraient assez intactes. Il faut avant tout
ème couctie de l'éçrce, et,düne9, petite p"oi-ti611de la cinquièine couche ; les autres couches.restent' i- z en outré ûne
rce, et,düne9, petite p"oi-ti611de la cinquièine couche; les autres couches .restent' i- z en outré ûne réductioà géiiéi'âlé
'écorce grise contient un grand nombre de ces fibres, même dans les couches les plus externes. Mais ces fibres ;ne sont pas
émités et du facial de côté, a la destruction des libres qui, de la couche optique, gagnent le lobule occipital. Lapathog-
Fore... a été atteinte de paralysie des membres ( ? ) à la suite de couches . Son père est d'un caractère très violent. La mal
s,,e [Cb eii-- convolutions ainsi qu'une partie du centre ovale. La couche optique et le corps strié sont un peu moins vol
elle 2. Elles aboutissent aux éléments des troisième et cinquième couches . Deuxième expérience. La destruction, dans le f
nx à sectionner le bras antérieur entre le segment postérieur de la couche optique et le tubercule quadri- jumeau antérieu
par la physiologie expéri- mentale. P. K. XIII. LA FONCTION DI.S COUCHES OPTIQUES. RECHERCHES EXPERIMENTALES; par W. BEC
ainsi.-La destruction, chez le chien, du segment antérieur de la couche optique produit des troubles de la vue tout à fai
dans l'espèce par l'auteur déri- vent, non de la destruction de la couche optique, mais de la lésion simultanée de la sub
lité ne subissent aucune atteinte quand on limite l'altération à la couche optique seule. En revanche, la couche optique e
d on limite l'altération à la couche optique seule. En revanche, la couche optique est le lieu de concentration des voies
ux nettement caractérisé ; de plus entre la substance blanche et la couche corticale, on rencontre des rayures vitreuses à
tance blanche con- ligué des cornes antérieures, ainsi que toute la couche latérale limitrophe. La dégénérescence ascendan
nce blanche des lobes antérieur et moyen est réduite à gauche à une couche linéaire. Malheureusement le corps strié et la
gauche à une couche linéaire. Malheureusement le corps strié et la couche optique n'ont pas été étudiés au point de vue d'u
tricules, et atrophie d'un hémisphère, y compris le corps strié, la couche optique et laprotubérance du côté atteint. Su
se immédiate de la mort. Cerveau petit; circonvolutions normales; couche corticale pâle, d'épaisseur ordinaire, ne parai
tissu sain en même temps que du tissu altéré. Dans les différentes couches , mais seulement sur la portion de la coupe qui
disparaître à mesure qu'on passe du tissu sain au tissu malade. La couche dite granuleuse, située REVUE DE PATHOLOGIE MEN
lules. Mais bien que le nombre des éléments consti- tuants de cette couche soit très réduit, ces éléments eux-mêmes,- qui
peu altérés. Les fibres nerveuses qui succèdent ordinairement à la couche granuleuse sous la forme d'un petit centre blan
dire, fusionné, dans les régions malades, par une sorte d'union des couches adjacentes de substance grise pure. Cet état, q
quatre fois d'aibumine, on la bronze, et l'on passe finalement une couche de vernisdes peintres. Mais, ajoute M. Stark, il
édominance des phé- nomènes paralytiques du côté droit, ce sont les couches corticales gauches qui devraient réceler la lés
générescence secondaire, qui succède constamment à l'extirpation de couches corticales dans la zone motrice, et qui se renc
PLICATION DES PLANCHES. PLANCHE V C i, Capsnle interne. ' C op, Couche optique. F S, Ligne fornicato-sylvienne. Ne,
yau caudé. N 4, Noyau lenticulaire. i. l, Racine inférieure de la couche optique. S l, Septum lucidum. C. c, a, Commis
tion du corps calleux. C, Corps calleux. C S, Corps strié. C 0, Couche optique. C 11, circonvolution de l'hippocampe.
e carré L C, Coin. L 0, Lobe occipital C S, Corps strié. C 0. Couche optique. C H, Circonvolution de l'hyppucampe.
strié du côté, droit est notablement plus petit que le gauche. Les couches optiques pa- raissent à peu près d'égale dimens
32 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des méninges, mais dans le premier il n'y a qu'une irritation des couches corticales sous-jacentes, dans le second il y a
r chez notre malade à une hyper- hémie active des méninges et de la couche corticale sous-jacente. Il y avait vraisemblabl
Marie Per..., vingt- six ans, mariée, trois enfants, pas de fausses couches , bonne santé habituelle d'un caractère un peu e
ramollissement cérébral occupant la zone rolundique du côté gauche ( couches corticales motrices, couche optique, corps stri
ant la zone rolundique du côté gauche (couches corticales motrices, couche optique, corps strié); dégénération secondaire
contiennent pas de liquide et ne présentent aucune altération. La couche optique gauche et le bord antéro-interne du noyau
et à la frontale ascen- dante, laissant intact tout le reste de la couche corticale à partir de la pariétale ascendante,
ral a gauche ; 2° sur une portion de noyau lenticulaire et sur la couche optique du même hémisphère,- c'est-à-dire sur les
t sur la couche optique du même hémisphère,- c'est-à-dire sur les couches profondes de la zone grise : couches situées au s
isphère,- c'est-à-dire sur les couches profondes de la zone grise : couches situées au som- met de cette région pyramidale
her du canal circumpédoncutaire. Le trigone cérébral est intact. La couche optique, le noyau lenticulaire du corps strié,
ur terminaison dans les noyaux ganglionnaires delà base du cerveau ( couche optique, corps strié); ainsi en est-il surtout
ursuivi jusque dans l'épaisseur du centre ovale, et même jusqu'à la couche corticale »(Charcot)2; qu'enfin la thèse de Pit
isceaux pyramidaux. Important donc est le fait de l'intégrité de la couche optique et de la capsule interne, car il faut e
à retirer de nos observations : 1- Que des lésions destructives des couches corticales de la troisième circonvolution front
Ce, corps calleux. ventricule de la cloison transparente. C 0, Couche optique. Anz, corne d'Ammon. SI ? , sillon de
Un frère mort en venant au monde; Un frère venu avant terme (fausse couche de quatre mois); Enfin, une soeur âgée de trent
bservé que le sang, après la mort, se séparait par le repos en deux couches , l'une inférieure rouge, formée par les globule
s facile et plus nette la séparation de ces matières grasses en une couche surnageant au-dessous du caillot cruo- rique, c
rance et un petit foyer nécrobiotique, probablement ancien, dans la couche optique gauche. En raison de l'intégrité complè
dant (fais- ceau de Vicq d'Azyr), issu du tubercule antérieur de la couche op- tique se dirige intérieurement d'avant en a
u faisceau de l'hémisphère qui se rend au tubercule antérieur de la couche optique, faisceau dont le trajet n'est pas enco
ral, le corps strié, avec le corps strié la partie antérieure de la couche optique, y compris son tu- bercule antérieur; m
et au-dessus du point où la commissure postérieure pénètre dans la couche optique) au ganglion interpédonculaire découvert
vec ou sans le corps strié, avec ou sans la partie antérieure de la couche optique, détermine l'atrophie des tractus du fa
trict du mot, c'est-à- dire des masses grises situées au delà de la couche optique, cette opinion aurait en apparence un é
emble pour constituer les lames médullaires (laminas medullares) en couches épaisses de tractus qui, en descendant, forment
a folie éclater, à la suite d'une émotion morale, chez une femme en couches , ou encore pendant le cours ou à la fin d'une m
177 7 d'une lésion dans quelque partie du cerveau, y compris les couches optiques. Depuis, l'important travail du D' Starr
ianopsie était due à une lésion du corps genouillé latéral ou de la couche optique, ou des deux ensemble. 4. Les cas où
vait été : embolie de l'artère irriguant la partie postérieure delà couche optique droite. Observation 29. (Huguenin). F
est physiologique. Il y a quelques altérations punctiformes dans la couche de pigment des deux rétines, principalement à g
ntérieur de la substance blanche. L'état de la capsule interne, des couches optiques, etc., reste donc inconnu, par le fait
ns du corps genouillé latéral ou des parties postéro-latérales delà couche optique peuvent causer l'hémia- nopsie, en géné
r une même feuille de papier, par des applications successives de couches d'encre de Chine. Les couches se superposant ains
, par des applications successives de couches d'encre de Chine. Les couches se superposant ainsi les unes sur les autres, j
sité de coloration due à la superposition du plus grand nombre de couches , correspondait au coin et à la portion voisine de
et Wernicke, dans son trajet depuis la face postéro latérale delà couche optique, passant au dehors, dans la capsule inter
st probablement due à la lésion de la partie postéro-latérale de la couche optique ou du faisceau postérieur de division d
sceau cunéiforme. 11 prend une part importante à la formation de la couche olivaire intermédiaire du côté opposé sans qu'i
fibres arciformes du faisceau grêle et leurs prolongements dans la couche intermédiaire des olives s'atrophient, et après l
t impossible de dire pourquoi l'on ne perçoit plus d'atrophie de la couche intermédiaire des olives dès qu'on a dépassé le c
s portions antérieures et latérales du corps genouillé externe, des couches supérieures du tubercule bijumeau antérieur, la
qui ne se voyait pas chez le lapin, les cellules ner- veuses de la couche grise superficielle qui commandent à l'atrophie.
orde, siffle, est moins impression- nable, n'a plus peur la nuit et couche seul. Il peut maintenir les mains- appuyées sur
nombreux retraits. La coupe décèle une expansion considérable de la couche corticale externe; il en part des orga- nites n
erstner rattache le point de départ et le terrain du processus à la couche externe; c'est d'elle (émigration de leucocytes
sion exclusivement limitée aux parties superficielles de la seconde couche : intégrité complète des troisièmes et qua- tri
a seconde couche : intégrité complète des troisièmes et qua- trième couches dans lesquelles on ne trouve aucune trace d'hype-
es altérations vasculaires se présentent en bien des points dans la couche externe. On distinguera cette maladie de la scl
ne fixe pas uniformément ni complètement les fibres dans toutes les couches de l'écorce indistinctement ; sur bien des prép
u manquer presque abso- lument la coloration des fibres fines de la couche des petites cel- lules nerveuses. H n'est d'ail
ernier a vu disparaitre non-seulement les fibres pa- rallèles de la couche la plus externe (fibres tangentielles de Tuc- z
ngentielles de Tuc- zek, zonales de Zacher), mais encore celles des couches successives y compris les couches profondes. Si
e Zacher), mais encore celles des couches successives y compris les couches profondes. Si Zacher prétend que ce sont des fi
s couches profondes. Si Zacher prétend que ce sont des fibres de la couche n" Il qui font le plus défaut=, cela tient à l'
titude toute particulière, fort complète, les fibres de chacune des couches de l'écorce; sans doute, elle ne représente pas
scendante qui est entrecroisée; très mince, elle se dirige dans les couches les plus postérieures et les plus supérieures d
hérie vers le centre de la gaîne de myéline, alté- rant d'abord les couches externes, avant d'atteindre les parties profond
périphérie du cylindre de myéline est seule atteinte (fig. 1). Les couches les plus excentriques, celles qui sont immédiat
n de l'activité plus ou moins grande du processus qui a détruit les couches excentriques. A un degré plus avancé, le cylind
a moelle épinière et sont transmis, selon les lois de Pflûger, de couche en couche; ceux du deuxième ordre s'étendent mo
épinière et sont transmis, selon les lois de Pflûger, de couche en couche ; ceux du deuxième ordre s'étendent moins de cet
ue une tumeur de la grosseur d'une noix et recouverte par une mince couche de substance cérébrale. Cette tumeur forme l'un
Schôoder van *der Kolk l'hypo- thèse d'une excitation constante des couches corticales du cer- veau (du lobe occipital surt
, corps calleux. VSI, ventricule de la cloison transparente. C 0, Couche optique. A m, corne (I'Aininoii SR, sillon de
33 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
jusqu'à la paroi interne de la corne postérieure. Les fibres de la couche sagittale, qui entourent la paroi externe de
e postérieure près de la lésion. Dans la partie intermédiaire de la couche sagittale, les fibres sont atrophiées. Le ram
La partie blanche indique le siège de la sclérose.) 4 JOUKOWSKY couche de la substance nerveuse de la paroi interne de l
veuse de la paroi interne de la corne postérieure. Une partie de la couche sagittale et des fibres du tapetum, qui se trouve
de la corne postérieure, sont sclérosés. Dans l'autre partie de la couche sagittale interne les fibres sont atrophiées.
ns sa partie interne : la corne d'Ammon est aussi détruite. Dans la couche des radiations de Gratiolet,qui entoure la paro
te par le ramol- lissement, de même que la corne d'Ammon. Dans la couche des radiations de Gratiolet on remarque une petit
uleux. A l'entour de cette lésion, ainsi que dans le reste de cette couche , on voit la sclérose des libres. Cette scléro
interne ré- trolenticulaire et sur la partie inféro-postérieure des couches systiques (Fig. 4). Fig. 3 et 4. - Cas I. - P,
Fus, fusiforme. - L, linguale. - K, calcarine, - T, temporale. Th, couche optique. (La partie en blanc indique le siège d
uve vis-à-vis l'insula de Reil. Dans la capsule interne et dans les couches optiques on ne voit aucune lésion. Sur les coup
interne rétro- lenticulaire et de la partie inféro-postérieure des couches optiques. Cette sclérose ne présentait pas la d
ent détruite par le ramollissement ; il reste seulement une mince couche de l'écorce cérébrale, qui limite l'endroit du
mc uu 'il uutiic puoLCifcutc uc fctuucnc Il se sépare par une mince couche de substance nerveuse. L'écorce du coin, u se s
de substance nerveuse. L'écorce du coin, u se sépare par une mince couche de substance nerveuse. L'écorce du coin, qui bo
ssement ; le foyer de la destruction ne se sépare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure.
tie interne et inférieure de ce lobe, il ne reste qu'une très mince couche de l'é- corce cérébrale, qui limite la lésion.
volution limbique et du lobe lingual est con- servée avec une mince couche de substance blanche. Dans le lobe fusiforme re
he de substance blanche. Dans le lobe fusiforme reste seulement une couche très mince de l'écorce cérébrale. Le foyer du
e de la corne pos- térieure, de laquelle il se sépare par une mince couche de la substance ner- veuse. La partie interne
rale. Le foyer du ramol- lissement ne se sépare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieur
outre on voit un ramollisse- ment dans la région des fibres de la couche sagittale, qui passe près de la paroi externe d
près de la paroi externe de la corne postérieure. La partie de la couche sagittale, qui se trouve dans la paroi inférieu
ituées plus en avant, qui passent par la partie posté- rieure des couches optiques, on voit de nombreuses lacunes dans la
ans la région de la capsule interne rétro-lenticulaire et dans la couche des radiations de Gratiolet. Autour de ces lacu
sceau longitudinal inférieur, ainsi que la sclérose du pulvinar des couches optiques. En outre, on remarque que la partie
externe de la corne postérieure et déterminait l'interruption de la couche des radiations deGratiolet et des fibresdu fais
xterne. Cette lésion était accompagnée de sclérose des fibres de la couche sagittale, du pulvinar et de la partie postérieur
re droit, tant dans le putamen qu'au niveau du noyau caudé et de la couche optique. Il en existe trois dans la protubéranc
erge qui soit toujours auprès du vieux Monarque, qui le chérisse et couche dans son sein pour qu'il puisse acquérir de la
se sont rapprochées et contiennent entre elles le commencement de la couche des fibres sensitives. Grâce à ce rapprochement
plus en avant, apparaît une partie triangulaire, correspondant à la couche des fibres sensitives. Sur le plancher du 4° vent
arents. Il n'a jamais entendu dire que sa mère ait fait des fausses couches . Souvent on a interrogé celle-ci pour savoir si e
nous avons observé un semis extrêmement riche, dans les différentes couches de l'écorce, d'éléments cellulaires ronds, pren
tte variété de cancroïdes sous-dermiques qui se développent dans la couche sous-épithélialè en soulevant l'épilhélinm sus-
ses arrondies, quelquefois sans structure, d'autres fois formées de couches stratifiées concentriquement emboîtées. Virch
crétions. Ils augmentent ultérieurement par les dépôts de nouvelles couches molles, et par la juxtaposition et la conglomérat
la conglomération, sous une enveloppe commune, de plusieurs de ces couches . On ne trouve nulle part de noyaux cellulaires,
lle se montre Soit à la surface de la dure-mère, soit sous forme de couches concentriques, (1) Rokitansky, Anatomie patholo
ut d'enfaut qu'il y a 3 mois ; peut-être eut-elle plusieurs fausses couches . L'accouchement fut difficile, nécessita l'em-
coordination du rire et du pleurer spasmo- dique est situé dans la couche optique, les neuro-diélectriques qui déter- min
e perte de sang abondante qu'elle avait considérée comme une fausse couche . Son mari mourut de phtisie galopante à 29 ans, s
e eu ar- rière. Dans sa partie dorsale il est couvert d'une épaisse couche de fibres myé- liniques qui forment les cordons
opposé ils sont colorés uniformément. Les cordons latéraux ont une couche de fibres myéliniques seulement aux bords . P
eau pyramidal. Les cordons latéraux sont couverts sur le bord d'une couche très fine de fibres myéliniques, qui diminue en é
nes latérales se montrent les olives et entre elles est disposée la couche interoli- vaire. ' Là où les olives inférieur
rs. En avant d'eux nous trouvons les pyramides et derrière elles la couche du ruban de Reil. Comparant ce cas avec le pr
ue la parlie antérieure reste sans changement jusqu'au moment où la couche inter-olivaire paraîtra. Les cordonspostérieurs s
itié antérieure reste sans changements jusqu'à l'ap- parition de la couche des fibres sensitives, qui portent des noyaux des
entaux des cordons antérieurs sont reculés, entre eux est placée la couche du ruban de Reil. Des deux côtés des faisceaux fo
sthme, se lissent ; ceci se produit au niveau de la formation de la couche du ruban de Reil (Phot. 40). Cas V. Ici nou
e la moelle. En avant les pyramides, en arrière d'elles de suite la couche du ruban de Reil. Les fibres ponta-cérébelleuse
apparaît entre les faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs la couche du ruban de Reil.L'apparitiondecesfibres sensit
, que 1V... ne peut définir autrement. Elle n'a pas fait de fausses couches ; W... est venu au monde sans incidents après un
déniable intérêt, parce qu'elle témoigne d'une réaction diffuse des couches corticales à des influences in- flammatoires ou
ques et quelques plaques de tissus osseux. En dedans de ces diverses couches , la masse de la tumeur est formée par deux espè
issie sur toutes les circonvolutions, elle est constituée par trois couches ; l'une, mince et dense, renferme des fibres à di
ourés par un manchon de cellules rondes. Circonvolutions.- Dans les couches superficielles de l'écorce grise, le réseau de
elles sont peut-être raréfiées. Les cellules nerveuses des diverses couches sont normales comme nombre, comme volume et com
n très marquée dans la substance grise atteint son maximum dans les couches ,de cellules moyennes. Dans les couches superfici
tteint son maximum dans les couches ,de cellules moyennes. Dans les couches superficielles les vaisseaux sont peut-être moi
ons inférieures de la moelle, ses parois sont revêtues de plusieurs couches des cellules rondes. Dans ses par- ties supérie
parues. Cette disparition des fibres est surtout prononcée dans les couches superficielles et moyennes de la protubérance. Ce
épendyme du plancher du Il ventricule et de l'aqueduc on trouve une couche épaisse formée par les fibres névrogliques. Dans
lus larges et plus profonds. On voit une zone non colorée entre les couches granuleuse et moléculaire. Les méninges sont ép
ès larges. Dans l'écorce, existence d'une zone non colorée entre la couche granuleuse et la couche moléculaire. Réduction de
, existence d'une zone non colorée entre la couche granuleuse et la couche moléculaire. Réduction de volume de la substanc
ses. Les cellules du noyau dentelé étaient en partie ratatinées. La couche de substance blanche entourant le corps dentelé
tance blanche entourant le corps dentelé était pauvre en fibres. La couche gra- nuleuse de l'écorce étaitétroite etpauvre
a- nuleuse de l'écorce étaitétroite etpauvre en corps granuleux, la couche mo- léculaire étroite, le nombre des cellules d
ies, l'espace sous-méningé est large- ment distendu par une épaisse couche d'éléments embryonnaires. Ces mêmes éléments fo
bord interne est mousse dans sa partie supérieure. A ce niveau des couches d'os néoformé le recouvrent, au niveau des insert
es 2/3 supérieurs', l'ombre opaque du bord externe correspond à une couche compacte épaisse de plus de 15 millimètres, tandi
intéressant toute l'épaisseur de la diaphyse. Il ne se fait pas de couches super- UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 423
enfants, tous bien portants, qu'elle a nour- ris, et quatre fausses couches Elle n'a connu personne dans sa famille avec sem-
toujours été bonne. Réglée à 15 ans, mariée à 23 ans, elle a eu une couche à terme. L'enfant qu'elle a nourri 6 mois, est un
a cuisse, vers le tiers supérieur. Cependant, dès qu'on atteint les couches musculaires profondes, la malade accuse une réa
crurale. L'aînée est âgée de 18 ans. Il y a eu en outre une fausse couche de six semaines. Sans accidents particuliers, l
34 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ondant aux vertèbres malades, était en-veloppée à l'extérieur par une couche épaisse de puscaséeux, laquelle se prolongeait ju
y montrent accumulés en grand nombre. A une période plus avancée, une couche plus ou moins épaisse de tissu fibreux se trouv
de beaucoup plus étendu qu'à droite dans toutes les directions. — Les couches optiques et les corps striés sont parfaitement in
fiées, d'une coloration rouge brun; elle était recouverte d'une mince couche purulente. Au-dessous de la plaie, le cordon la-t
taines altérations de l'encéphale, celles surtout qui portent sur les couches optiques, les corps striés, et en par-ticulier le
éri-tables ecchymoses, consécutivement à l'irritation traumatique des couches optiques, des corps striés, de la protubérance, d
la moelle épinière. — Tubes nerveux. — Névroglie : sa distribution. — Couche cor-ticale du réticulum. — Caractère de la névrog
leux (Pl. VII) et enfin dans certaines régions de la substance grise ( Couches optiques, corps striés. Pl. IV et VII, Fig. 1 et
ite avec soin par Bidder etparFrommann, quiladésignent sous le nom de couche corticale du réticulum (Rindenschicht) ; nous ver
que, un intérêt incontestable (1). Du bord interne de cette zone ou couche corticale, on voit naître et se détacher, de dist
(Ch. Robin) (1) ou de noyaux de la névroglie (Virchow) (2). Une mince couche de protoplasma, sans apparence cellulaire distinc
t pas distincte, les noyaux, nus ou recouverts seule-ment d'une mince couche de protoplasma, apparaissent comme des centres d'
ties des faisceaux blancs où n'existent pas de tubes nerveux, dans la couche cor-ticale (Rindenschicht),parexemple et dans les
e et, déplus, la tunique adven-tice se trouve remplacée par plusieurs couches de fibrilles en tout semblables à celles qui se s
l en est de même du corps de cellule qui, en outre, semble composé de couches concentriques. Enfin, une atrophie, capable d'ame
er-curielle,dans la méningite chronique cervicale avec sclérose de la couche corticale de la moelle, dans la sclérose primitiv
à droite, disséminée à gauche. Le cerveau et le cervelet, dans leurs couches corticales, sont le siège d'une double dégérescen
céphaliques capables de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique : théorie anglaise et théorie française.
ément la motilité—en particulier quand elles occupent la région de la couche optique et du corps strié—restent à peuprès sans
qu'il s'agisse de lésions intéressant spécialement le corps strié, la couche optique, ou encore l'avant-mur. Tout d'abord, l
oujours, lorsque l'hémianesthésie se présente avec ces caractères, la couche optique est lésée d'une manière-sinon exclusive d
* Faut-il, Messieurs, induire de ce qui précède que la lésion de la couche optique est la véritable cause organique de l'hém
les premiers, je crois, émise et soutenue. D'après cette théorie, la couche op-tique serait le centre de perception des impre
veau proprement dit, puisqu'un animal auquel le cerveau, y compris la couche optique et le corps strié, a été enlevé, continue
ns le domaine pathologique, les faits bien avérés où une lésion de la couche optique coïncide avec la diminution ou l'abolitio
lissement, ou bien encore de tumeurs, lésions par suite desquelles la couche optique se trouve distendue à l'ex-trême et qui p
ple. Il est bien établi, d'un autre côté, que, dans nombre de cas, la couche optique peut être lésée, même profondément et dan
n me paraît forcée, du moment surtout où l'on pose en principe que la couche op-tique doit être considérée comme un centre; ca
te masse de substance grise ; — au-dessous de lui, et en dedans, la couche optique, offrant ici un grand développement ; — e
ouche optique, offrant ici un grand développement ; — en dehors de la couche optique, la capsule interne, formée princi-paleme
férieur du pédoncule Fig. 18. — Coupe transversale du cerveau. — a, couche optique: — b, corps strié, noyau lenticulaire: —
ions avaient envahi à la fois la partie supérieure et externe de la couche optique, le troisième noyau de la partie extra-ve
té de même dans le fait observé parM. Luys(2): le centre médian de la couche optique étaitlésé, mais l'altération avait envahi
personne n'est en droit de dire si c'est, dans la région indiquée, la couche optique qui doit être incriminée plutôt que la ca
lacune siège à deux lignes en arrière de l'extrémité antérieure de la couche optique. A deux ou trois lignes plus loin, on voi
coupe optique, de telle sorte que, comme la longeur habituelle de la couche optique est de 18 lignes, la portion de la couron
d'une sorte de con- tleuxlignes en arrière du bord antérieur de la couche optique et finit a quatre li-gnes environ de l'ex
ue et finit a quatre li-gnes environ de l'extrémité postérieure de la couche optique. Dans son long trajet d'un pouce,il occup
toute la couronne radiée était sé-parée delà capsule interne et delà couche optique. — Moelle épinière : amas de corps granul
rgeur et 8 de longeur, située à la partie supérieure et externe de la couche optique droite. La cicatrice commence à quatre li
le commence à deux lignes en arrière de l'extrémité an-térieure de la couche optique et se termine à peu près trois lignes en
mine à peu près trois lignes en avant de l'extrémité postérieure delà couche optique (Fig. 18, 2') ; Il y avait, en outre, une
de la grosseur d'une tête d'épingle dans la partie anté-rieure de la couche optique droite ; deux dans le pont de Varole ; en
le à celle d'un floiùn, jaunes, ramollies et dé-primées (Fig. 18, 3). Couche optique, saine. Peut-être un petit fragment de la
ue ancien, pigmenté de brun, situé le long de la partie externe de la couche optique gauche et tout près de la queue du corps
. Il commence à six lignes en arrière de l'extrémité antérieure de la couche optique et s'étend jusqu'à deux ou trois lignes e
usqu'à deux ou trois lignes en avant de l'extrémité postérieure de la couche optique. En avant, il est à une demi-ligne et en
n arrière à deux ou trois lignes au-dessus de la face supérieurede la couche optique qui est considé- d'une tumeur; dans tou
ecueillis dans les auteurs, elle occupait la région postérieure de la couche optique et les parties adjacentes de l'hémisphère
droit. En résumé, les foyers siègeaienL à la périphérie externe des couches optiques, s'étendaient d'avant en arrière suivant
tudinal du cerveau sans atteindre le plus souvent les extrémités delà couche optique. Ils avaient de huit lignes à un pouce de
s. Les régions lésées étaient : la partie supérieure et extrême de la couche optique : la 3e partie du nucléole lenticulaire ;
laire ; la partie postérieure de la capsule interne comprise entre la couche optique et le noyau lenticulaire: la portion corr
de la substance blanche de l'hémisphère dans la partie externe de la couche optique étaient constamment lésées. 1. Voyez, d
ans. Mariée à 28 ans, elle a eu cinq enfants. Ses grossesses et ses couches , en général, ont été bonnes. De ses cinq enfants,
e grandes plaques grises, dures, qui empiètent sur le corps strié, la couche optique, le corps calleux. Les coupes faites au n
a., a, a,____Plaques de sclérose occupant le corps calleux, CC : — la couche optique, CO, la circonvolution de l'hippocampe,
moelle épinière. — Tubes nerveux. — Névroglie : sa distribution. — Couche cor-ticale du réticulum. — Caractères de la névro
éphaliques, capables de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique : théorie anglaise et théorie française.
35 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
de Mnyor, d'Oyon, de Ley- den. 1C A. JOFFROY . cérébral, de la couche optique, du lobe occipital et de la plus grande p
ètre et six dans le sens du plus grand. Elle était recouverte d'une couche de cortex épaisse d'un millimètre. - L'examen m
siste en ce que celle-ci et celle-là ne correspondent pas à la même couche de l'écorce » (1). Suivant Lino, la sensibili
es plus superficielles, la sensibilité musculaire les cellules des' couches moyennes, et la motilité les grandes cellules p
de la scissure calcarine, de là des neurones centrifuges vont à la couche optique correspondante puis aux masses grises i
rne, la partie moyenne et interne du faisceau de Burdach, enfin une couche de fibres limitant la périphérie de la moelle,
s les dernières phases de celle maladie on observe l'atrophie de la couche papillaire de la peau. Plusieurs dermatologisle
ur la paume de la main présente sur ses parties pé- riphériques une couche abondante de masses cornées, tandis que leurs r
spect et la consistance du fibrome; sa surface est couverte par une couche musculaire plus ou moins épaisse suivant que le
ouve : 1° Au centre un noyau osseux ; 2° Plus en dehors se voit une couche plus ou moins épaisse de tissu fibreux dense, q
ulaire normal se montre avec tousses attributs. Pour Munchmeyer, la couche de tissu conjonctif qui avoisine ce noyau se tr
arcs de la colonne vertébrale, par exem- ple, sont réunis par deux couches de tissu compact qui recouvrent leurs surfaces
re faites pour la succion ? Tout son corps dodu est enveloppé d'une couche graisseuse qui masque les reliefs des muscles e
urvues à leurs extrémités d'une épiphyse, c'est-à-dire, d'une mince couche de cartilage hyalin, gar- nie d'une zone d'ossi
nt les nouvelles localisations du mal, l'infiltration séreuse de la couche sous-cutanée, qui s'étend même à la périphérie de
stilefï.) B. - Cas I. Encéphale vu de face, réduit au cervelet, aux couches optiques et a une faible portion des hémi- sphè
il. (Ph. l3crcstmtF.) D. Ou Il. Encéphale réduit au cervelet et aux couches optiques avec plexus vasculaires. (Ph. Wlaciewsky
reste des hémisphères, et sur la base inférieure se trouvaient deux couches de la grosseur d'un oeuf de pigeon, la couche gau
e se trouvaient deux couches de la grosseur d'un oeuf de pigeon, la couche gauche plus saillante que la couche droite. (Pl
rosseur d'un oeuf de pigeon, la couche gauche plus saillante que la couche droite. (Pl. XXIII, B.) Dans l'enfoncement, entre
que la couche droite. (Pl. XXIII, B.) Dans l'enfoncement, entre les couches optiques se trouvait un plexus choroïdien. Derriè
a 4 centimètres de longueur et est situé directement der- rière les couches optiques; du côté droit il est moins grand, sa lo
res et large de 4 centimètres. (Pl. XX)1J, D.) Il consistait en une couche de la grandeur d'une noisette, située près de l
d'une noisette, située près de l'extrémité ventrale. Derrière cette couche se trouvait un reste de subs- tance cérébrale,
avec la tente du cervelet. Au-dessous du cervelet se trouvent deux couches : la longueur de la couche droite est de li. cent
Au-dessous du cervelet se trouvent deux couches : la longueur de la couche droite est de li. centimètres et de la gauche d
droite est de li. centimètres et de la gauche de 3 centimètres. La couche droite a la forme d'un fer à cheval, l, sa part
s qua- drijumeaux défigurés, il est vrai, dans les trois cas et les couches optiques également défigurées. Il n'est presque
Cnc 1 Coupe faite au niveau du cerveau rudimentaire. 3me ventricule. Couches optiques défigurées ; capsule interne. (Ph. Sal
degré, la qualité et la durée delà douleur. Enfin l'épaisseur de la couche indolore et son rapport avec la profondeur de l
re. La mère a eu trois grossesses : . Première grossesse : fausse couche . Deuxième grossesse : fausse couche, à la suite
. Première grossesse : fausse couche. Deuxième grossesse : fausse couche , à la suite de laquelle phlegmon et sal- pingo-
ues-unes seulement sont à l'état d'ébauche. Cerveau lisse. Seuls, les couches optiques et les corps striés présentent un cert
erminées de la façon suivante : les trois premières par des fausses couches et la dernière par la naissance d'un enfant hydro
l Tenon. Antécédents héréditaires. - Sa mère est morte de suites de couches . Son père de maladie inconnue. Sur 9 enfants qu
dense, d'une couleur plus claire et le scalpel traverse d'abord une couche dense, puis pénètre avec une grande facilité. A
ption du muscle homo-hyoïdien dont les contrac- tions persistent. Couche profonde de la fesse droite ossifiée de façon à i
t par une lamelle épaisse, très compacte, et intérieurement par une couche de tissu osseux friable et cassant. Friabilité se
éunion des vertèbres n'en est pas moins solidement réalisée par des couches de tractus osseux qui, très nettement, sont le ré
a surtout consisté dans une transformation osseuse des différentes couches fibreuses péri-vertébrales ; les articulations de
qué sur un fragment cunéiforme de la lèvre supérieure. Les diverses couches de l'épiderme et du derme sont nor- males comme
rtie du cerveau attenante à ces derniers est déviée sur le côté; la couche optique, recouverte du plexus choroïdien, et le
ux, atrophie de l'écorce du corps calleux et du septum lucidum. Les couches optiques apparaissent très net- tement. 370 N
iane qu'on aperçoit un restant de substance cérébrale, formant deux couches et ressemblant à des oeufs de pigeon ; elles sont
n aspect exté- rieur. Lorsqu'on enleva le cerveau, on trouva deux couches , desquelles par- tait une membrane très fine; o
transparente (reste du cerveau). Dans la fosse médiane on voit les couches optiques ; dans la fosse postérieure, un reste de
ent. Sur la base crânienne (la voûte étant retirée) on observe deux couches , derrière lesquelles on voit la face du cerveau
cumulé déjà par-dessus la membrane, refoule cette dernière vers les couches optiques; ceci peul encore provenir de ce fait,
t la membrane vers le bas; elle se fusionne alors avec le reste des couches optiques. Et quand on enlève le cerveau on ne t
iane que l'on découvre un reste de cerveau ayant l'as- pect de deux couches , recouverles de grosses membranes fibreuses d'où
voit la preuve dans ces faisceaux fibreux épais qui recouvrent les couches optiques. En somme, dans les cas où l'écorce cé
tL,l)), on distingue le bulbe, le pont de Varole, et plus loin les couches optiques défigurées. Au-dessus se trouve le cer
défigurées. Au-dessus se trouve le cervelet tout à fait normal. Des couches optiques part un fais- ceau du tissu conjonctif
l. Coupe au niveau des olives. Absence de pyramides. Diminution de la couche interolivaire. S. Cas 1. Même coupe, un peu plu
aire. S. Cas 1. Même coupe, un peu plus haut. Absence de pyramides. Couche interolivaire normale. MASSON & cie, Editeu
totalement (PI. XLIII, R). (La coupe appar- tient au cas II, où les couches optiques manquaient presque tout à fait. L'enfa
rien d'anormal à ce niveau (PI. XLIII, S). (La coupe du cas où les couches opti- ques sont bien développées. L'enfant étai
ans le cas Il, chez l'enfant qui a vécu 4 jours, et chez lequel les couches optiques étaient très peu développées, outre qu
faisceaux accessoires disséminés, le ruban de Reil principal et la couche inter- olivaire étaient mal développés, comme n
l'avons vu plus haut. Chez lenfant qui a vécu 2 ans et chez qui les couches optiques étaient plus dé- veloppées (Cas I), le
mais les faisceaux disséminés manquaient; le faisceau interne de la couche du ruban de Reil, manquait aussi totalement (l'
nt (PI. XLV, X). Enfin, en examinant les coupes qui passent par les couches qui sont v isi- bles dans la cavité crânienne,
voit le troisième ventricule dont la paroi externe est formée de la couche optique : en outre on distingue la lamina medul
e : en outre on distingue la lamina medullaris medialis divisant la couche optique en deux noyaux : le noyau médian et le
ténia du : 3e ventricule ; sur cette pièce le noyau antérieur de la couche optique est mal développé, la capsule interne ne
le noyau lenticu- laire, le corps sous-thalamique, les fibres de la couche optique qui vont vers le corps lenticulaire son
aux disséminés et accessoires, du faisceau interne accessoire de la couche du ruban de Keil. U. Coupe faite un peu plus ha
nce du 30 ventricule ; mêmes constatations. Y. Coupe passant par la couche optique. Absence des voies pyramidales et protubé
u développé, ouplus exactement, l'absence du faisceau interne de la couche du ruban de Reil et de ses faisceaux acces- soi
ans était bien développé, et chez celui qui n'avait presque pas de couches optiques, le ruban de Reil était très peu dével
t très peu développé) ; GO développement incomplet des noyaux de la couche optique; 7° le pulvinar et le corps genouillé m
t de Varole au cerveau) et l'absence des faisceaux disséminés de la couche du ruban de Reil et des faisceaux internes access
rieurs et latéraux, ils étaient, il la périphérie, enveloppés d'une couche très fine des fibres myéliniques. Plus haut, dans
idales et ruban de Reil). Les olives manquent aussi, de même que la couche inter-olivaire, le nerf trijumeau, les voies céré
hypoglosse et pneumo-gastrique. L'absence des pyra- mides et de la couche du ruban de Reil s'explique par l'absence presque
ystème temporal du pont de Varole, des faisceaux dissémi- nés de la couche du ruhan de Reil et des faisceaux internes access
étaient pourvus à leur extrémité d'une épiphyse, c'est-à-dire d'une couche mince de cartilage hyalin. Cette couche présent
épiphyse, c'est-à-dire d'une couche mince de cartilage hyalin. Cette couche présentait une zone d'ossification et était con
36 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
ternelle de la mère, épileptique. Sur dix grossesses, trois fausses couches , cinq enfants bien portants et nos deux malades
les deux époux. (Père plus âgé.) .. Sept enfants et trois fausses couches : 1° Une fausse couche à deux mois, sans cause
us âgé.) .. Sept enfants et trois fausses couches : 1° Une fausse couche à deux mois, sans cause connue; - 2° Hene; 3° f
s; - 7° un garçon, intelligent, pas de convulsions; 8° une fausse couche ; 9° une fausse couche; 10- garçon, se porte bie
ntelligent, pas de convulsions; 8° une fausse couche; 9° une fausse couche ; 10- garçon, se porte bien, pas de convulsions.
ien portante jusqu'au mariage, moins bien depuis, fatiguée par sept couches . Elle est assez grande, cheveux châtains, nez a
mais est turbulent, plutôt désobéissant et entêté; 4° une fausse couche de six semaines avec pertes abondantes; 5° une
ans très intelligent, n'a jamais eu de convulsions ; 7° une fausse couche de 4 mois 1/2. Notre malade. A la conception qu
n seau plein d'eau ; 80 fille, 5 ans, n'a jamais rien eu; 9° fausse couche au 3e mois. Notre malade. - Au moment de la con
nfants : 1er Garçon, mort de convulsions à 5 semaines ; - 2° fausse couche à 6 mois 1/2, survenue un mois après une scarla
mois (mars 1901) bien venue, pas de convulsions. - Jamais de fausse couche . Notre malade. Au moment de la conception, la m
s non transparentes paraissent être formées par la pie- mère et une couche de tissu cellulaire; elles ont une coloration l
té par une masse scléreuse, qui, à la pression, n'est qu'une petite couche de substance corticale. Les deux hémisphères so
our des vaisseaux émanés de la pie-mère qu'au voisinage de ceux des couches inférieures de la substance grise, mécanisme qu
; abon- dantes en certains points, presque absentes ailleurs, leurs couches sont tassées et disposées très irrégulièrement.
iation de l'écorce ont presque totalement dis- paru. Les diverses couches cellulaires ne sont plus reconnais- sablés, leu
les araignées il. protoplasma granuleux. , ? '" ' u, : Les diverses couches cellulaires ne sont pas reconnaisse- : blés, le
e de la névroglie ; leurs bords ne tardent pas à s'envelopper d'une couche de libres denses qui forme il la perte de subst
e presque plus. La plus grosse lésion s'observe dans les diverses couches de libres tangentielles ; il n'y a, pour ainsi di
mbre des éléments. Il est impossible de diffé- rencier les diverses couches ; les cellules sont toutes de dimensions sensib
s possédant des fibres névrotiques, à noyaux allongés, disposées en couches parallèles. Si l'on examine à un faible gross
ritables angiomes, des blocs déchiquetés de substance nerveuse. Les couches les plus externes de l'écorce sont moins altéré
ques épithéliales sont nombreuses, souvent disposées en plusieurs couches ; on aperçoit au dessus de la paroi et dans son ép
lles. Ces dernières apparaissent généralement formées par plusieurs couches d'aspect et de structure très différentes. La c
par plusieurs couches d'aspect et de structure très différentes. La couche la plus externe est surtout constituée par une
e au sur et à mesure que l'on s'approchede l'écorce, si bien que la couche la plus interne des méninges contient surtout d
s. Les grosses lésions destructives se limitent généralement à la couche sous-pie-iW riennect aux deux autres couches de
itent généralement à la couche sous-pie-iW riennect aux deux autres couches de l'écorce. Néanmoins, dans toute la substance
nts surtout dans la région correspondant aux Histologie. 1. in. 1 couches inférieures de la substance grise. A ce niveau, l
étudié, il existait une méningite chronique, avec destruction de la couche sous-piemérienne, comme dans les méningo-en- cé
ement malgré la minceur de la pie-mère. Le ventricule latéral, la couche optique, le corps strié, la corne d'Ammon n'offre
us scléreux, les vais- seaux ne sont pas augmentés de nombre. Les couches des fibres tangentielles superficielles et pro-
ère maternelle morte à 42 ans d'une péritonite à la suite de sa 14° couche . Cousine au deu- xième degré, cauchemars à 14 a
eux hémisphères ouverts, la substance cérébrale réduite à une mince couche , les ventricules latéraux très dilatés et les m
? p. 107.) Pie-mère de l'hémisphère droit. Elle est doublée de la couche de substance grise et montre le moule de toutes
37 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
la comparaison avec les vertébrés, le ganglion céphalique devient la couche optique, ou l'un des tubercules quadrijumeaux.
endré, dans une boîte vitrée dont le fond était couvert d'une épaisse couche de terre , et il versa un peu de miel dans un coi
3° Ganglions optiques. Haller, Vicq-d'Azyr, M. Cams, les ont appelés couches optiques; Camper, hémisphères cérébraux; Scarpa,
issent dans cet endroit, et se recourbent pour monter ensuite dans la couche optique où ils se divisent en plusieurs filamens,
l; l'analogue du ganglion de renforcement, c'est le corps strié et la couche optique ; l'analogue de la commissure, c'est le c
commissures antérieure, postérieure et inférieure, le corps strié, la couche optique, Yinfundibulum, l'aqueduc de Syl-vius, la
en d'une commissure analogue pour l'aspect, à la commissure molle des couches optiques du cerveau de l'homme. La surface en est
re en ouvrant le ventricule cérébral dont j'ai parlé plus haut. 11° Couche optique. M. Carus décrit comme telle une petite p
ehors de Yinfundibulum, chez la tortue d'Europe , est un indice de la couche optique. Quant aux autres parties secondaires d
de substance blanche que Bojanus et M. Carus désignent sous le nom de couche optique, saillie que l'on remarque sur les pro-lo
tous les animaux de cette classe, un corps strié, un commencement de couche optique, un corps calleux, une commissure antérie
ai conservés vivans pendant plusieurs mois. A travers les pores de la couche calcaire qui les enveloppait de tous côtés, il pé
ié. C'est un petit tubercule gris qui est un véritable rudiment de la couche optique des mammifères. Le même auteur signale le
velet comparé au cerveau, et il explique ce fait par la situation des couches optiques, qui dans l'homme et les quadrupèdes fon
des oiseaux comme l'analogue des corps striés. Sœmmering (5) appelle couches optiques les lobes optiques, ainsi que Har-wood (
ié comme formant à lui seul presque tout l'hémisphère. Cuvier appelle couches optiques les lobes optiques; il dit que, entre le
er appelle couches optiques les lobes optiques; il dit que, entre les couches optiques et les corps cannelés, sont des éminence
t par leur adossement le troisième ventricule. Ce sont en réalité les couches optiques, ou plutôt un rudiment des couches optiq
e. Ce sont en réalité les couches optiques, ou plutôt un rudiment des couches optiques. Le corps calleux, refusé aux oiseaux pa
dont il s'agit, au genou du corps calleux des mammifères. Il appelle couches optiques les petits ganglions placés en avant des
nce, savoir, les deux tubercules quadrijumeaux i) Op. cit. et les couches optiques. Si la détermination de ces tubercules e
dire, dans le cas où un seul de ces tubercules existera, si c'est la couche optique, le tubercule testes ou le tubercule nate
s optiques ; il a également prouvé que ces tubercules ne sont pas les couches optiques. Mais il a été moins heureux quand il a
emple : il y a seulement analogie, et cette analogie n'exclut pas les couches optiques de toute participation à la production d
eaux , développé chez les mammifères et considérable chez l'homme, la couche optique, ne concourt-elle pas aussi à donner nais
ubercules quadrijumeaux, et le nouvel organe surajouté aux autres, la couche optique a un autre usage , c'est d'être un gangli
nerf optique vont en partie s'épanouir à la surface postérieure delà couche optique, et que les raisonnemens ne peuvent rien
e dirai ensuite que celte insertion ne s'oppose nullement à ce que la couche optique ne soit en même temps, pour les pédoncule
temps, pour les pédoncules cérébraux, un organe de renforcement. Les couches optiques ont une double destination, et se montre
et qui, chez les oiseaux où on le rencontre, est placé en avant de la couche optique. 1° Cerveau. Cet organe est formé de de
la commissure antérieure. La troisième est située un peu en avant des couches optiques. La première de ces commissures est rega
résente un petit tubercule qui donne naissance au nerf olfactif. 2. Couche optique. C'est un petit tubercule grisâtre, pair,
nalogue à celle que l'on voit chez les mammifères. L'adossement de la couche optique gauche avec la droite donne lieu à une pe
eurs de l'encéphale des poissons. 3. Lobes optiques. En arrière des couches optiques et sur les côtés de l'encéphale, sont de
elief, une partie des faisceaux fulcraux, l'aqueduc de Sylvius et les couches optiques; sur les côtés, l'implantation du cervel
es optiques par les lobes cérébraux, la formation bien déterminée des couches optiques, enfin le volume et la lamellation du ce
ptiques très volumineux viennent seulement des lobes optiques, et les couches optiques paraissent être complètement étrangères
, le cervelet, les lobes optiques et d'un ganglion supplémentaire, la couche optique : des commissures réunissent entre elles
cavité, les substances grises et blanches n'y sont pas disposées par couches distinctes. 5. Les couches optiques existent à
s et blanches n'y sont pas disposées par couches distinctes. 5. Les couches optiques existent à l'état rudimentaire. 6. Les
orme d'un cordon arrondi, placé au travers de la moelle allongée. Les couches optiques sont striées comme chez l'homme par les
. Seulement, quoique située à l'extérieur, elle n'est pas disposée en couche , comme chez les mammifères. Chaque lobe cérébral
le reste du système nerveux, ses parties accessoires, telles que les couches optiques et les corps striés l'emportent de beauc
le corps calleux, la commissure antérieure, la commissure moyenne des couches optiques, et la commissure postérieure. La commis
Keil appelait couronne rayonnée. C'est à tort que l'on a décrit la couche optique comme faisant partie du ventricule latéra
icule. C'est une sorte de fenle qui résulte du rapprochement des deux couches optiques, ce ventricule s'ouvre en haut; la voûte
, appelée commissure moyenne ou molle, qui réunit l'une à l'autre les couches optiques dans une grande partie de leur étendue
partie de leur étendue (on voit la section de celte commissure de la couche optique c. o. pl. iv, fig. 3 du cerveau du renard
bstance blanche qui, de la glande pinéale, se portent en avant sur la couche optique. Le plancher du troisième ventricule es
rès mince, demi transparente, c'est la pars pellu-eida de Tarin. La couche optique est un gros tubercule, placé sur les cuis
or, dont il vient d'être parlé. Deux commissures appartiennent à la couche optique, savoir la commissure molle, dont l'exist
ns des directions différentes; les plus nombreuses s'avancent sur les couches optiques et constituent ce qu'on appelle les rêne
e de deux piliers latéraux longs et flexueux qui s'étendent depuis la couche optique jusqu'à l'extrémité du pied d'hippocampe.
trémité du pied d'hippocampe. A la partie inférieure et interne de la couche optique se trouvent, dans l'épaisseur même de l'o
es,, et remontent pour se placer entre la commissure antérieure et la couche optique. Jusque au-dessus de la couche optique, l
la commissure antérieure et la couche optique. Jusque au-dessus de la couche optique, les fibres du côté droit et celles du cô
) Arc'iit'. dup'ns., 1. n: , [ . iofi. Y. aussi LauUi, op. cit. la couche optique, qu'il s'oppose à toute communication ent
nt et au-dessus du pont de varole, elles sont soudées, en avant, à la couche optique, en dehors elles sont en rapport avec les
antérieur, elle établit la communication entre les hippocampes et les couches optiques; par le septum lucidum, les rapports qu'
calleux est petit. Les corps frangés se prolongent en avant dans les couches optiques, dans les lobes antérieurs des hémisphèr
lasse, et plus la moelle allongée est volumineuse comparativement aux couches optiques et aux corps striés, organes qui apparti
pes éléphans au-dessus des autres quadrupèdes. D'après Perrault, les couches optiques et les corps striés sont très gros, tand
aires de ces organes, telle que les commissures,les corps striés, les couches optiques, etc. diamètre des fibres nerveuses de
ges, d'ceufs. La femelle nourrit ses petits avec grand soin, elle les couche au fond de son terrier sur un lit d'herbes qu'ell
eur, elle est enduite d'une glaise bien détrempée et recouverte d'une couche de joncs secs. (c Us se creusent des puits pour
ecourbent, convergent en arrière, en dedans et en bas, traversent les couches optiques, vont aux tubercules quadrijumeaux, au c
38 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
est constituée par les tables interne et externe de l'écaillé et une couche intermédiaire spongieuse, pneumatique ou compacte
u'au bord antéro-externe de l'apophyse, où elle forme quelquefois une couche sensible à travers les téguments. Cette face pr
eloppée, qui comprend l'ensemble des cellules mastoïdiennes, et d'une couche corticale qu'on peut diviser topo-graphiquement e
structure. A la naissance, en dehors de l'antre, on ne trouve qu'une couche finement spongieuse, au sein de laquelle les cell
limètres, répond à la fosse cérébelleuse. Elle est constituée par une couche de tissu spongieux qui, en avant, appartient à la
petite noix. Une trépanation au lieu d'élection ouvrit, à travers une couche osseuse compacte, un petit antre à muqueuse conge
nne un peu en dedans de l'hiatus de Fallope: il en est séparé par une couche osseuse épaisse de 3-,'$ millimètres. En bas et e
r, en dedans au conduit auditif interne dont elle est séparée par une couche diploïque épaisse de G millimètres. Le coude semb
ières, renforcées à la périphérie, forment l'anneau de Gerlach. Cette couche fibreuse, qui fait défaut au niveau de la membran
est tapissée en dedans par la muqueuse tympanique et en dehors par la couche épidermique du conduit. Les artères de la membr
ec les ampoules des canaux demi-circulaires externe et supérieur. Une couche osseuse, dont l'épaisseur atteint 2-3 millimètres
re, Je nerf se dirige obliquement en avant et en bas, enfoui dans une couche de tissu cellulaire, en passant au-dessus du vent
us la forme d'un cordon de i millimètres d'épaisseur, enfoui dans une couche de tissu cellullaire et recouvert de quelques gan
parois de ces veinules, extrêmement ténues, sont formées d'une seule couche de cellules endothéliaies et présentent un trajet
eckel et le sac endolymphatique. Sa face interne est recouverte d'une couche endothéliale, constituée par le feuillet pariétal
n démontrée par Ghipault et Berezouski, provoquent la formation d'une couche osseuse qui double le lambeau cutané et protège e
au cutané et protège efficacement l'encéphale. L'inflammation de la couche interne de la dure-mère, ou pachyméningite intern
'encéphale comprend le cerveau, le cervelet et le tronc encéphalique ( couche optique, tubercules quadriju-meaux antérieurs et
ale. — D'après Ramon y Cajal, l'écorce cérébrale est formée de quatre couches de cellules, disposées dans l'ordre suivant : i
u du lobe temporal, on constate, dans la troisième zone de Cajal, une couche de très petites cellules pyramidales (grains cort
mière circonvolution temporale. Dans l'épaisseur de ces différentes couches , on trouve des fibres radiées et transversales qu
interne, etc.) ; leurs ramifications terminales parcourent les quatre couches de Cajal. Les fibres d'association relient un p
x fibres de la radiation thalamique et au tapetum pour constituer les couches sagittales du lobe occipito-temporal. Il établit
d) Le faisceau occipital vertical de Wernicke, placé en dehors des couches sagittales entre la première et la troisième occi
, sphérique et les bouchons. Ecorce. — Elle est constituée par deux couches : 1 " La couche moléculaire, qui contient les c
bouchons. Ecorce. — Elle est constituée par deux couches : 1 " La couche moléculaire, qui contient les cellules de Purkinj
lle des minuscules collatéraux descendants des cylindre-axes. 2" La couche granuleuse, formée de grandes cellules étoilées e
ire de Soemmering, le globidus pallidus et la partie inférieure de la couche optique. Là, un dernier neurone centripète, thala
oïdale du ventricule latéral, le tronc et la queue du noyau caudé, la couche optique, le noyau lenticulaire, l'avant-mur, le n
latéral, la glande pinéale, l'aqueduc de Sylvius, le pulvi-nar de la couche optique, la queue du noyau caudé, le patamen, les
39 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ouve également des taches semblables, très exactement limitées à la couche moléculaire de l'écorce du cervelet et disposées
érieures. Les ventricules sont dilatés ; l'épendyme qui recouvre la couche optique est légèrement dépoli; celui du quatriè
sé pour^ objet de montrer la relation intime', qui existe entre les couches et'les troubles psychiques qui survien- nent fr
: 1° causes;prédisposantes; 2° causes déterminantes. En dehors' des couches elles-mêmes, on trouve, .dans la première catég
b, l'influence compliquée de la première'grossesse et des premières couches ? '-^'C6mparéeJ à' celle des couches ' suivantes,
ère'grossesse et des premières couches ? '-^'C6mparéeJ à' celle des couches ' suivantes, l'influence des premières'' couche
aréeJ à' celle des couches ' suivantes, l'influence des premières'' couches s'ob'séivë dans 45 p. 1(l0"des cas de psy- chos
néologisme en question se trouvait tout indiqué,' attendu que la couche de Renaut occupe en 'réalité une position intermé
de' ce'tissutubroïde et' disséminés *. dans toute l'épaisseur deda couche reposent des noyaux tantôt z rares, tantôtnombr
ampleur inusitée des capillaires,' une turgescence excessive de la couche endothéliale des artérioles et éaucoupplus rareme
nstate pour ainsi dire jamais l'existence d'un méso réticulaire. La couche profonde du' foyer confine immédiatement à la m
énéralement 'plus accentuée ; enfin l'espace compris entre ces deux couches est occupé par des lamelles à peu près rectilig
ction des lames. D'habitude ces lacunes sont très étroites dans les couches périphériques ; on les~voit au contraire s'élar
mières, on doit signaler tout d'abord des foyers- noduleux où lest) couches ? broïdes, s'épaississent -, déjà en lamelles p
ire et qui.se trouvent en, outre reliés-au faisceau nerveux par une couche du même tissu. " ' . Quant aux productions comp
es éléments endothéliaux tend sans cesse à développer sur place des couches nouvelles et que, d'autre part, la structure pr
se poursuit alors dans les régions moyennes et superficielles, les couches profondes rangées autour d'un centre virtuel su
es foyers noduleux : il s'agit en effet, d'une simple apposition de couches nouvelles sur la face interne du périnèvre. En
e de l'adventice des vaisseaux, la condensation sclérotique de la couche corticale de'l'endonèvre, la richesse nucléaire t
ndonèvre, la richesse nucléaire tout à fait exceptionnelle de cette couche , enfini l'hypertrophie 'qui souvent atteint la
- z ·1 ' taire, par une masse conjonctive sphéroïdale, nucléée, à couches concentriques pressées les unes contre les autres
du segment affecté.' Tous deux offrent déjà en plusieurs points une couche mésoneuriale (m, m, m) bien distincte, laquelle
diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellules entourées déjà de couches condensées et formant avec celles-ci des petits
celles-ci des petits nodules rudimentaires. La démarcation entre la couche foculaire etl'endonèvre est ici presque partout
ule mésoneuritique à noyau claviforme cen- tral (n) enveloppé d'une couche vitreuse (u). En m, reticulum mésoneu- rial. '
ion très nette (d, d), due à la condensation de l'endonèvre dans la couche superficielle du faisceau. En b deux cellules i
ig. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (f) pris entre deux couches mésoneuriales. Les fibres renfermées dans ce fais
s épaissie. t . d, cloison de partage bordée des deux côtes par une couche mésoneu- riale dense. - `Fig. 17. 1/300. Un p
tendance manifeste à la nodulisation du loyer etauconcehtrisme des couches . En guise.de corps central, un'groupe de trois al
r leurs bo'rds'et les noyaux paraissent en sortir, enveloppés d'une couche de protoplasma peu coloré. Sur les coupes longi
les noyaux,multiples s'isoler, de cette masse, puis sortiravec une couche de protoplasma clair, comme feraient des .cellu
semblent dégé- nérer et expulser leurs noyaux, entourés d'une mince couche de pro- toplasma clair. f .... . ' ` t t 12
res de moyen volume qui sont les plus atteints sur- l tout. dans la couche des cellules;pyramidales ; : les;ros capillaires-
STIC DE TROUBLES PSYCHIQUES QUI SE PRODUISENT PENDANT LES SUITES DE COUCHES POUR SERVIR A L'ÉTUDE DE-LA CONFUSION MENTALE '
rbations intellectuelles qui se présentent pendant les suites de. , couches (63 p. 100). C'est d'ailleurs le type de la folie
normales mais les espaces péricellulaires des deuxième et troisième couches sont augmentés et dilatés. En un point seulemen
uites ? he nraves, avée hémorra-ies ment convenable . Les suites de couches graves, avec hémorragies profuses paraissent jo
suite^d'un foyer ayant détruit le segment le plus postérieur de la couche optique et le'segment le plus antérieur 1 de la
ncule cérébral; le ruban de Reil cortical entre directement dans la couche optique. L'irradiation optique reste donc, infr
se dans' la substance blanche ordinaire a la même structure que 'la couche profonde de l'écorce. Confor- mément aux- trava
mpris le faisceau pyramidal, les fibres qui vont de l'écorce à à la couche optique et les cellules nerveuses des divers noya
la couche optique et les cellules nerveuses des divers noyaux de la couche optique et' de la région sous-thalamique en rela-
Parties restées normales. Ce sont : le tubercule antérieur de la couche ,optique; lèafàisèëau'de,Vicq-d'Âzÿr; les tubercu
optique; le corps genouillé externe : les faisceaux irradiant de la couche optique; le pulvinar. Toutefois, la bandelette
corps genouillé ,, externe, le pulvinar, et les, irradiations de(la couche optique sont* peut-être un peu moins développés
leinement de- l'écorce ? Bien > plus, 1 chaque jsegmentj de la - couche optique est en .rapport avec, une- région détermi
ion, corticale entraîne unei destruction de tel ou tel; noyau de la couche optique, les autres restant normaux; 10°(le cor
'ééôre·é, côlriâie'lé coi·ps ieiiouillé ztèrile et les noyaux de la couche , optique. Il y a longtemps que de Gudden a démo
l'entrecroisement supérieur des pyramides deMeynertne vont pas à ta couche intermédiaire' dés o ives, ni au ruban de Reil;
pressions profondes dans la substance grise du noyau caudé ou de la couche optique, il y aura avantage à pratiquer la coup
'-A'gauche,'sur l'extrémité ""externe de la face supérieure de la couche optique, on voit une de ces tumeurs dus volume d'
9; 1 autre, du ^volume d une grosse, noisette, y, réunit lés deux, couches opftiques 4Lequatrlëme,ventriculenest complète-
par la même cause, où par une irritation'directe du sarcome sur les; couches . optiques; à'-la superficie' desquelles ,Ies,no
-- ? il, hJr"-rtr n' , ., H . r · - ` Ayant examine au mierose3e la couche interne de la dure- mère'dans uncasde pach'ymén
probable) que pendant'que. l'on -énucléait la tumeur d'entre -les-y couches du liament'tlar·e,rlerrectum a été -mis' nu, et''
, très^ intéressant ? intitirlé : Un cas de lésion secondaire de la couche optique et de la région sotts-thalanzi- que, dû
actes de violence sur sa femme. Mère : migraineuse; pas de fausses couches . Tous deux sont morts à un âge avancé. Ils ont
lës~n5vrogliques;^i sont légèrement \ multipliées dans les diverses couches de la"u7staiicd>,-i,ise,< 1\ ^Les cellule
nerveuse* pàr'des-phagocytes. Cette lésion intéresse la plupart des couches de Meynert; elle est très rare dans les grandes
u ? noyaml cell ulaire ; entre v chaque ! nodule.comme entre chaque couche .de'noduiesihy a la substance» incolore. Le noya
noyau lui-même possède- une; fine; membrane (sous laf formeid'une, couche ,co 1 orée', p épipliéri que; dans cette, membrane
ment £ , de vingt et un, dix-neuf et dix-sept ans; jamais de fà71se couche Deux ans après la dernière grossesse,^ bouton a
ssauer, il serait du reste à souhaiter ? u*e l'on examinât aussi-la couche optique par la méthode de Marchi. ,i ,« ? ? M.
segment affecté.' Tous' deux-5 offrent déjà en plusieurs points une couche mésoneuriale (m,i7z,'m)bieii distincte, laquelle
diffuses du tissu mésoneurial. En f, des cellules entourées déjà de couches condensées et formant avec celles-ci des petits
celles-ci des petits nodules rudimentaires. La démarcation entre la couche foculaire etl'endonèvre est ici presque partout
ule mésoneuritique à noyau claviforme cen- tral (n) enveloppé d'une couche vitreuse (v). En m, reticulum mésoneu- rial , ,
ion très nette (d, d), due à la condensation de l'endonèvre dans la couche superficielle du faisceau. En b deux cellules i
ig. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (y) pris entre deux couches xnésoneuriales. Les fibres renfermées dans ce fai
très épaissie. d, cloison de partage bordée des deux côtés par une couche mésoneu- riale dense. Fig. 17. 1/300. Un peti
tendance manifeste àlanodulisation du foyer et au concentrisme des couches . En guise de corps 'central, un'groupe'de trois a
annuel des médecins aliénis- tes et neurologistes de France, 77, Couche optique, un cas de lésions se- condaires de la-
optique, un cas de lésions se- condaires de la-, par Ncehanu,210. Couches , symptomatologie et pro- nostic de troubles psy
40 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
motrice (déjà entrecroisée) des pyramides et en cons- tituent la couche profonde. D'après les auteurs que nous venons d
extré- mités du segment interannulaire, n'a dégénéré que dans ses couches externes à la partie moyenne de celui-ci. Or, c
ectue bien comme nous venons de le dire de dehors en dedans, de ses couches superficielles vers ses couches profondes. On c
le dire de dehors en dedans, de ses couches superficielles vers ses couches profondes. On comprend s'il en est réellement a
qu'en c, à la partie moyenne, la dégénération n'a en- vahi que les couches externes de cette gaine. Le plus souvent, toute
ment de la puberté. - Pas de consanguinité. 6 enfants et une fausse couche . L'ainé est mort de convulsions à 5 mois ; notr
onnant, du corps strié à la partie supérieure des ventricules. - La couche optique est moins longue de 6 millimètres que l
cules. - La couche optique est moins longue de 6 millimètres que la couche optique gauche. La tête du corps strié est sépa
oyers d'induration. La cavité du ventricule latéral est normale. La couche optique est saine ; mais le corps strié est par
eurs aux recherches anatomiques. Après une étude histologique des couches qui les constituent, il décrit des faisceaux bl
. Ott (Journal of physiology., vol. II, n° 1) avait trouvé dans les couches optiques des centres d'arrêt des con- tractions
trépanation. On fait ensuite une hémisection du cerveau derrière la couche optique, à l'aide d'une lame recourbée. La moel
s contractions rythmiques des sphincters prennent naissance dans la couche optique de chaque côté, descendent le long des
s sinus pétreux étaient sains. Le nerf facial était entouré d'une couche de pus qui remplissait le conduit auditif interne
La dure-mère à la partie supérieure du rocher était couverte d'une couche épaisse de matière purulente ; il n'y avait pas
tout le corps strié, l'insula de Reil et la partie antérieure de la couche optique. - L'endocarde de l'oreil- lette gauche
du processus dans ce cas. Gonflée et rendue plus claire dans ses couches externes, là gaîne a subi une modification très
ureau. d'un érysi- pèle de la face; non alcoolique. 'Mère, morte en couches ; 8 en- fants dont 4 sont morts 'de la poitrine
deuxième de 18 ans, n'ont jamais eu d'accidents nerveux. Une fausse couche . ' Notre malade est née à terme, a été élevée e
. - ftlète, morte après quatre jours de maladie à'la suite* d'une couche . - Un'/)'<M'e et une soeii2, bien portants. Pa
e névropathies chez les ascen- dants. La malade a fait cinq fausses couches sur six grossesses; le seul enfant survivant es
nvolution frontale de chaque côté est ainsi entièrement dépouillée. Couches optiques violacées et comme oedémateuses. En ré
ez grand nombre de fibres élastiques qui semblent englobées dans la couche la 16 242 ? CLINIQUE MENTALE. T ' plus supe
es caractères normaux'. Pourtant le carmin colore plus vivement les couches superficielles; mais il'est aisé de reconnaître
de reconnaître, dans la région frontale par exemple, le type à cinq couches décrit par M. Meynert. Avec un plus fort grossi
- 211O'J ? .GfI21TOJG Balr(jl n,ll 1 Jm.n r Irtjl' : h b' 9t .. les couches moyennes de la substance grise; et ensuite julo
1 t', F avons signalé l'existence des cellules araignées dans la couche superficielle de la substance grise; mais ici,
uçhe,profonde ,deI la ,subs- tance, grise , et), intéresserait ? la^ couche , contiguë^de ;substance, blanche, qui , ;à t.'o
a^si| lesj fibres i .et ganglions, sénsitifs,"qui X< ? tJdE ! s. couches ? optiquesj,aux ? lobes ^occipitaux' eJ4aeJà sé
être dus à des con- formations particulières, ' individuelles, des couches corticales du cerveau. Les anomalies des sillon
es arrêts de développement, des anomalies dans la disposition des couches corticales, qui s'accompagnaient, durant )a vie
cule latéral, grâce à un orifice large et béant. Le corps strié, la couche optique étaient d'un volume moindre à droite qu
ifice per- mettait d'apercevoir le noyau caudé du corps strié, la couche optique, et une partie de la corne postérieure
e latéral était dilaté : déprimés sur ses parois, on distinguait la couche optique et le noyau caudé. Sur l'hémisphère cér
PINALE AIGUË. 383 canal rachidien. La moelle est enveloppée d'une couche fibrino- purulente. Les parois du canal rachidi
cellulaires, mais on sait la difficulté de cette constatation. Les couches corticales étaient très congestionnées et sillonn
comme l'indique cet auteur, une simple commissure entre les deux couches optiques et les deux corps genouillés internes, e
va pour sa plus grande partie composer la portion inférieure de la couche blanc-cendrée superficielle ; 5° La périphérie
e de la couche blanc-cendrée superficielle ; 5° La périphérie de la couche optique ne reçoit pas de fibres de la bandelett
couche optique ne reçoit pas de fibres de la bandelette optique; la couche optique n'est pas un organe central de la visio
able de nuit. Croisant les bras sur la tablette de celle-ci, elle y couche sa tête, tandis qu'elle engage ses jambes dans
t déprimée transversalement, son tissu est mou et très pâle ; les couches grises en sont jaunâtres; cervelet anémié, anémie
grand nombre de femmes, sous l'influence des excès de travail, des couches répétées, de la lactation, etc. La plus grand
tion presque impos- sible. A l'autopsie, adhérences nombreuses à la couche corticale des deux hémisphères, point d'altérat
de réunion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la couche op- tique ; d'après M. Brissaud, la capsule int
m - en tisé, rendre ,sdnsle,srégŸonsméréhrales so 9-jacentes.1 Laç, couche « optique, ou, thalamus, To^lS capsule'1 int'er
..... -"» i- Fr ao-nBjyn 0 ' -Iloti 11,2 le noyau lenticulaire, la couche , optique. Il convient , , , J ? bllV,'l-< ?
8-U 9oon>a 92 ? n tA qirrufr) nez par - le .commencement de la' couche optique (corpus ï» «JQto 1JJ ! ' S>" h-l'^B
IWlf'l ftl Tq ')nf0 ri(, n. ! >F(" -r i -t tum zonale de. cette, couche , avec sa racine intérieure 1.)1),U. 'ti '> '
^r^crî'V.to^'.o™* , ,en dehors et en, bas, du noyau caude, et.de la couche bi.,ji : nj jlii9.'01 9'0ftif'7O 1,1 9'«JJoar,,
ar '0 i.i y ? M jÀt)Mi) : \\ie ? (r^ . f>\ ip<- sépare de la, couche optique, ce grillage qui aboutit en-haut au tae
entreÿle,enou duq corpsjccalleuxo et't 1°extrémitéLantéieurel;dela couche . optique7o envhaut et enîdehors-,scelteq bandel
'V1 yatBffti super- tière èolorante's etaîfr diffusée a travers les couches plus super- 1·rCÇHYSIOSE gBEIpUES. 55 CS ? s,
: sa nature ne peut être déterminée. Les tumeurs trouvées entre la couche optique et le corps strié symétriquement de cha
entant une pénétra- tion identique de la substance blanche dans les couches grises (moelle dorso-lombaire). Au même ordre d
mmond pense que le siège anatomique de ce type épilep- tique est la couche optique. Pour lui, la couche optique est 588 RE
omique de ce type épilep- tique est la couche optique. Pour lui, la couche optique est 588 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. un centre de perception, sensorielle. Si la couche optique est lésée, l'impression sensorielle tra
cevant aucune impression, cette impression peut se , former dans la couche optique ; nous avons alors une hallucination. L
n sera appréciée à sa juste valeur par un cerveau sain ; mais si la couche corti- cale est dans un état anormal, l'halluci
cale, et que la maladie est limitée entièrement, ou à peu près, aux couches optiques. 1«, Je dis à peu près, ajoute-t-il, p
terait pour les folies de grossesse 3,1 ; pour celles des suites de couches , 8,6; pour celles de l'allaitement, 5,6 0/0 sur
hmidt aurait trouvé 17,6 vésanies pendant la grossesse, pendant les couches 49,3 et pendant la lacta- REVUE DE PATHOLOGIE M
a 20° et la inox année, tandis qu'après 35 ans, celles de suites de couches dimi- nuent rapidement de nombre, à l'inverse d
la grossesse, tandis que la manie appartient plutôt aux folies des couches , la proportion des deux entités morbides en que
de la grossesse coïncideraient avec sa seconde moitié ; celles des couches se montreraient immédiatement après l'accouchem
antité des guérisons est la plus grande pour celles des suites de couches , la moindre pour celles de l'allaitement : la man
mps pour guérir que l'autre, de même que . l'aliénation mentale des couches est plus lente à disparaître que celle de la gr
consécutives aux lésions des différentes parties du système nerveux( couche optique, pédoncule, bulbe, etc.) Pour M. Schiff,
épétés. Personne, dans l'hôtel, n'entend excepté elle, bien qu'elle couche au deuxième étage. Rapportant ce bruit à l'idée
itot,524. Corps quadrijumeaux (anatomie des), par Spitzka, 127. Couches optiques (épilepsie liée aux lésions des), par
r Cle\eland, 326. Epilepsie (rapports de l') et des lé- sions des couches optiques, par Hammond, 587. Etalagistes, par
ure antérieure. N C, noyau caudé. - N L, noyau lenticulaire. - T o, couche optique, (thalamus opticus). C n, capsule int
chiasma des nerfs optiques. ( C'est la face posté- rieure.) T o, couche optique (thalamus ojdicus). - N L, noyau lenticul
illante de l'insula. U, Cavité du ventricule latéral gauche. T o, couche optique (thalamus opticus). EXPLICATION DES PLA
LICATION DES PLANCHES. PLANCHE XVIII Ci, capsule interne. C oy, couche optique. Fs, ligne forilicitc-sylvieillie. Ne
noyau caudé. N L, noyau lenticulaire. R 1, racine inférieure delà couche optique. S l, septum lucidum. cca, commissure
ATION DES PLANCHES. 687 PLANCHE XIX C i, capsule interne. C op, couche optique. Ne, noyau caudé. NI, noyau lenticula
nal inférieur. f Al., faisceau de Meynert. gr. c. op., gril de la couche optique. ()88 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANC
Ce, capsule externe. C i, capsule interne. C. op. gr., gril de la couche optique. F, fasciculus uncinatus. F 111, fais
41 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
a cellule. Si la coupe est épaisse, de manière à contenir une ou deux couches cellulaires, vous voyez, comme sur la figure 5 du
phérie des cellules, une sorte d'empreinte effectuée aux dépens de la couche la plus superficielle du protoplasma, rappelant l
uel-ques gouttes de la solution dans l'acide, il se produit plusieurs couches successives offrant les colorations susdites dans
Klebs fait remarquer avec raison que si ce mécanisme était exact, les couches intérieures qui composent l'écorce devraient être
ce devraient être interrompues par places. Or, ceci n'a pas lieu. Les couches lamelleuses sont généralement complètes. Il sembl
calculs biliaires n'est pas constamment aussi simple. En outre de la couche formée par les aiguilles rayonnantes, il convient
. b. Il me reste peu de chose à exposer touchant la structure de la couche moyenne après ce qui en a été dit plus haut. Cett
dié. Quelquefois, les ra-diations sont interrompues par des stries ou couches concen-triques qui coupent les pyramides cristall
les pyramides cristallines perpendiculai-rement à leur grand axe. La couche moyenne est tout à fait blanche, transparente, ou
a cholestérine qui en est exempte dans le premier. Il est rare que la couche moyenne, cependant com-posée aussi de cholestérin
sa consistance. Elle est composée tantôt de cholestérine, disposée en couches minces paraissant séparées, sur une coupe du calc
combinaison de pigment biliaire et de chaux formant une ou plusieurs couches plus ou moins épaisses, de couleur brune ou verte
rune ou verte. Enfin, il est possible que, dans l'écorce, on voie des couches de carbonate de chaux séparées par des dépôts de
ité relativement considérable (surtout chez les ruminants), forme des couches blanchâtres, paraissant, en dehors de toute prépa
, forme quelquefois des calculs entiers ou plus fréquemment certaines couches de l'écorce de quelques calculs. D. La matière
oc. cit., p. 199. calcul dans l'intestin est nécessaire pour qu'une couche de ces substances puisse se déposer à sa périphér
à autre, apporte de nouveaux matériaux nécessaires à la formation de couches successives. Des modifications, survenant à diffé
1) Diseases of the Liuer. Lettson. Lect^p. 70. L'épaisseur de cette couche varie selon les sujets ; néanmoins, elle est en g
munications faites à la Société anatomique, en 1850 (1). La seconde couche , ou couche conjonctive, ne doit pas nous arrêter.
faites à la Société anatomique, en 1850 (1). La seconde couche, ou couche conjonctive, ne doit pas nous arrêter. Je noterai
t faits sur le même modèle que la vésicule du fiel. On y observe deux couches de tissu fibroïde, com-posées principalement de f
en outre, l'existence d'une sorte de corro-sion, grâce à laquelle les couches externes des concrétions peuvent disparaître en c
pris naissance. Jamais ces concrétions n'ont la structure radiée, les couches concentriques, ni les facettes qui distinguent le
tissu de jeunes cellules ou déjà adultes et limités seulement par une couche endothéliale. 11 est certain que ces vaisseaux
Structure des canalicules urinifères. — Paroi propre des canaux. — Couche endotheliale. — Epithelium à bâtonnets des tubes
es, prend naissance dans une dilatation ampullaire, qui siège dans la couche corticale et vient finalement s'ouvrir dans la ca
tubuli con- torti, sont tous situés, comme les glomérules, dans la couche corticale du rein. A un moment donné, les tubuli
; cette pièce, qui occupe les parties les plus superfi-cielles de la couche corticale du rein, présente un calibre comparativ
laquelle on distingue, sur-tout après les imprégnations d'argent, une couche endothéliale complète. Cet endothélium se continu
ein, offre des caractères particuliers (1) Debove. — Mémoire sur la couche endothéliale sous-épithéliale de mem-branes muque
ig. 138, Edit. angl.) p, région papillaire. — g, zone limitante. — r, couche cor-ticale. Les stries foncées de la substance mé
e de cavités ou espaces lymphatiques ; 2° au-dessous de celle-ci, une couche mince formée de canaux sinueux qui sont, surtout
es. — b, Une des branches principales de l'artère rénale séparant les couches mé-dullaire et corticale, et envoyant dans la sub
eprésentent des figures étoilées. quées plug ^ yerg ]e milieu de la couche corticale, par exemple, vous montrent le lobule r
atiquées dans la zone li-mitante ou intermédiaire, au voisinage de la couche corti-cale, on constate une disposition bien repr
oc. cit.), et qui rappelle la distribution lobulaire observée dans la couche corticale : à la périphérie se trouvent des group
one limitante, communique d'ailleurs avec le système capillaire de la couche corticale. Ainsi, d'après l'opinion de Ludwig,
ux que ceux qu'on trouve dans les canaux contournés et présentent des couches concentriques, qui se sont stratifiées, chemin fa
ui se présente sous forme de petits blocs amorphes, à la fois dans la couche corti-cale et les pyramides , on trouve toujours
e Malpighi enveloppés d'une capsule épaissie et composée de plusieurs couches ; le glomérule lui-même a subi diverses altération
plement épaississement de la capsule qui parait composée de plusieurs couches concentriques ; le glomérule qui occupe le centre
t une altération spé-ciale et constante : c'est un épaississement par couches con-centriques, résultant d'une hyperplasie de la
t, en particulier, l'infiltration de petites cellules rondes. Dans la couche corti-cale, les tubes urinifères étaient dissocié
on existe, non pas seulement dans un point limité, mais dans toute la couche corticale. — L'épilhélium des tubuli est à peine
t colorées, mais la coloration acajou spéciale est localisée, dans la couche corticale, sur les glomérules; et dans la substan
itrique redeviennent claires ; mais, dans celle de l'œuf, surnage une couche d'albumine coagulée, colorée enjaune. Un autre ca
Structure des canalicules urinifères. — Paroi propre des canaux. — Couche endotheliale. — Epithelium à bâtonnets des tubes
42 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
dérablement plus larges, leurs pro- longements plus volumineux, les couches de l'écorce plus épaisses. REVUE D'ANATOMIE ET
avancé par Tuczek que le processus morbide commence toujours par la couche superficielle de l'écorce pour atteindre succes
couche superficielle de l'écorce pour atteindre successivement les couches plus profondément situées ; il a trouvé, au con
cas (observations 3 et 6) que tandis que les fibres à myéline des couches profondes avaient totalement disparu, celles des
yéline des couches profondes avaient totalement disparu, celles des couches superficielles n'étaient souvent qu'à peine alt
ce : parce qu'un mouvement suit l'excitation d'un point donné de la couche corticale, il ne s'en suit pas que cette aire c
moelle et qui n'était séparé de la surface que par une très faible couche de tissu nerveux, mesurant de 1 à 2 millimètres
GL1QUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 111 une petite lacune tapissée d'une couche très régulière d'épithé- lium cubique cilié.
périeure; cette tige est isolée du reste de la moelle par une mince couche fibrillaire, lâche, très visible en certains po
reste donc que la périphérie du tractus, sous la forme d'une mince couche hyaline, qui est du tissu conjonctif modifié, e
e des cordons grêle et cunéiforme dégénérés on aperçoit une mince couche de fibres arciformes exlernes (fig. 12). On remar
a description d'une de ses attaques de léthargie. Un soir, Jack se, couche après son dîner et ne se réveille plus; son som
nglions et l'absence des cellules de ces der-, niers dans certaines couches , et le manque de fibres nerveuses. L'embryologi
si à pénétrer dans toutes les communes du canton et dans toutes les couches de la population. La Société appenzelloise de s
(1, 1', fig. 16), autour desquels on aperçoit à peine une très fine couche de protoplasma ; ce sont là des formes purement
fin de fibrilles fines, qui doivent un aspect grenu au dépôt d'une couche de substance interstitielle (fig. 17) ; traitée
t été décrits plus haut ; - 2° des noyaux analogues, entourés d'uue couche assez épaisse d'un prbtoplasma un peu trouble, tr
s bran- ches d'un lierre qui grimpe le long d'un mur, et former une couche feutrée plus ou moins épaisse, plus ou moins ir
es qui sont faites sur le même type et qui sont toutes munies d'une couche , simple ou double, formée par un pareil feutrag
fig. : 21). Ces noyaux, dont quelques- uns sont entourés déjà d'une couche de protoplasma visible, déri- vent évidemment d
stance blanche. Il nous faut étudier les lésions de ces différentes couches dans les diverses régions de l'écorce céré- bra
antérieure ne con- tient plus de fibres à myéline dans la deuxième couche ; elles sont fortement diminuées dans la troisi
les fibres restent bien moins nombreuses, surtout dans la deuxième couche . Il en est de même au niveau du cap de Broca. ,
le à celle du gauche, mais moius intense; les fibres de la deuxième couche qui sont complètement détruites vers la pointe,
sillons elles sont absolument normales; à la périphérie la deuxième couche est assez fortement lésée et la première n'est pl
es, sauf encore une certaine diminution des fibres de la deuxième couche dans la partie superficielle des circonvolutions;
re de ce lobe, on ne trouve presque plus de fibres dans la première couche , à la face supérieure des circonvo- lutions ; c
à la face supérieure des circonvo- lutions ; celles de la deuxième couche ont complètement disparu. Sur les faces latéral
lètement disparu. Sur les faces latérales, les première et deuxième couches sont encore Fig. 22. Coupe de la circonvolution
oloration de Pal. (Obj. 2, Vérick, oc. 1.) NOTA. Sur ce dessin la couche superficielle des libres à myéline horizontales
sin la couche superficielle des libres à myéline horizontales et la couche profonde ne tranchent pas aussi nettement sur
les et la couche profonde ne tranchent pas aussi nettement sur la couche moyenne que dans la réalité. Fig. 23. - Même co
lle de la circonvolution. Atro- phie des fibres tangentielles des couches superficielle et moyenne. 292 CLINIQUE NERVEUSE
, on retrouve encore une atrophie très marquée des deux premières couches à la face su- périeure des circonvolutions tan-
gauche, plus direc- tement comprimé; elle débute par la deuxième couche , qui répond aux petites cellules pyramidales,
lon. Atrophie considérable des fibres tangentielles dans toutes les couches de l'écorce. UN CAS DE GLIOME l'OEUH.O-FOlOIA
sciatique contenait de très nombreuses fibres fines entourées d'une couche de myéline. mortifiée; faible prolifération du ti
s, les riches amas cellulaires qui existent habituellement dans les couches antérieures des protu- bérances normales. Le ti
pour se terminer dans les cellules ner- veuses qui remplissent les couches antérieures de la protubé- rance. Dans son prem
ncore discuté. Nous affirmons seulement la parfaite intégrité de la couche interolivaire postérieure du raphé. Or, précisé
cerveaux. 1° Le nouveau-né n'a pas de fibres myéliniques dans les couches spéciales de son écorce ni dans la substance bl
ce blanche de la frontale ascendante. 2° Il existe réellement trois couches (interne, externe, moyenne), de fibres tangenti
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 montrent dans les couches externe et interne à l'àge de quatre mois, dans
dans les couches externe et interne à l'àge de quatre mois, dans la couche moyenne à t'âge de huit mois. 4° Le déve- loppe
est très différent suivant les diverses régions du cer- veau et les couches envisagées. 5° Les troubles de la nutrition gén
des sillons dans lesquels s'épandent les trousseaux radiaires à la couche externe. 9° Le nombre des fibres tangentielles
e occipitale) commande au corps genouillé externe, au pulvinar, aux couches superficielles des tubercules quadrijumeaux ant
maux, les cellules nerveuses qui occupent l'extrémité caudale de la couche opti- que sont en relation avec les parties cor
scope : nombreux foyers dans le corps strié, la capsule interne, la couche optique, de diamètres variés, surtout à gauche.
e mouvement et la sensation. P. SOLLIER. XXXIX. Description DE la couche motrice DE l'écorce cérébrale d'un enfant; par
ur et du tiers moyen de la circonvolution frontale ascendante. La couche la plus externe de l'écorce est bien délimitée. A
f ronds ou ovales ont de 4 à 10 la de diamètre. Au-dessous de cette couche externe est une bande de tissu nerveux de 150 d
élimitée vers la périphé- rie, mais se confondant peu à peu avec la couche sous-jacente : elle se compose tout d'abord de
ont comparativement plus larges que ceux des cellules de la seconde couche chez l'adulte; comme la première, cette seconde
e la seconde couche chez l'adulte; comme la première, cette seconde couche est très riche en capillaires sanguins. Entre c
couche est très riche en capillaires sanguins. Entre celte seconde couche etla substance blanche, en existe une troisième
e développeront chez l'adulte les troisième, quatrième et cinquième couche , mais ici il n'existe pas encore de différencia
as encore de différenciation suffisante pour y déterminer plusieurs couches . On y distingue 1° des noyaux du tissu conjonctif
nerveuses à forme pyramidale constituées par un noyau entouré d'une couche de protoplasma légèrement coloré. Aucun prolong
s cellules fusiformes. Les capillaires sanguins, ici comme dans les couches superficielles, sont très développés; les sacs
les a constatés dans l'écorce cérébrale du chat. En résumé, trois couches de l'écorce ont pu seulement être dif- férencié
rale motrice d'un enfant de deux ans. La différenciation des cinq couches de l'écorce était complète et l'aspect des couc
ciation des cinq couches de l'écorce était complète et l'aspect des couches élait à peu de chose près celui de l'écorce cér
nt en ce qui touche le siège de ces lésions (ganglions delà base ou couches superficielles) : on peut noter seulement que d
ue dans la mélancolie, les trois quarts des foyers siègent dans les couches optiques, les- quelles sont demeurées absolumen
vent que dans les diverses autres catégories, l'amincissement des couches corticales. Enfin il y a deux autres altérations
el on trouva une lésion au foyer de la partie la plus externe de la couche optique et du segment le plus postérieur de la
" 31 ,. ? LV. De. l'abondance DES fibres INTRA-CORTICALES D.1NS LES couches II ET de Meynert ;^ études 'de'1 proportion DE'
- a.ri fl- a'lt, x1 ri) < ' '' Ce sont les deuxième et troisième couches de Meynert qui; sont le plus faciles à analyser
marne ! onde là circonvolution montre que les deuxième et troisième couches de'Meynert mesu- rent ensemble 1 millimètre 58
eur origine dans les cellules de,.Ia,nevrogt[e placées entre ;les,, couches ^ les., plus, profondes ,,du tissu, conjonctif de
Fritsch, 265 ; de l'abondance des fibres mtra-corticates dans les couches Il et III de, par Kaes, 485. MICROCÉPHALIE, r
43 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ers le milieu de l'année 1869. Ce fut presque immédiatement après ses couches que commença son affection. — Le mal débuta par u
r que ces tumeurs formaient des masses sphériques qui naissaient delà couche profonde du chorion. Elles étaient composées d'un
su fibreux, plus ou moins développé. Elles étaient recouvertes par la couche papil-laire de la peau et par l'épiderme dont la
vertes par la couche papil-laire de la peau et par l'épiderme dont la couche muqueuse (mu-couse layer) contenait plus de pigme
s. Une coupe prati-quée de la périphérie au centre fait voir : Io une couche épidermi-que; 2° une couche dermique; 5° un centr
a périphérie au centre fait voir : Io une couche épidermi-que; 2° une couche dermique; 5° un centre de tissu cellulaire lâch
s graisseux dans la grosse tumeur. Au mi-croscope, on constate que la couche épideimique est moins épaisse que celle de la pea
ellules épithô-liales qui se divisent, comme à l'état normal, en deux couches : le tissu de la couche dermique est de nature co
se divisent, comme à l'état normal, en deux couches : le tissu de la couche dermique est de nature conjonctive. Il est formé
-sique de la peau ; on pourrait même préciser davantage et dire : des couches superficielles de cette peau et d'une partie très
ches superficielles de cette peau et d'une partie très-limitée de ces couches . » L'auteur termine son intéressante communicat
e est fixée à 2 centimètres. — La pierre est facilement retirée ; les couches superficielles molles se brisent, mais les morcea
s habitudes. La pierre (fig. 3) a la forme générale d'un galet; les couches superficielles que montre la coupe, sont composée
épithélium, prolongement de celui qui recouvre l'amnios, est formé de couches , l'une superficielle, l'autre profonde. Au-des-so
utre profonde. Au-des-sous de ces deux lames épithéliales, existe une couche de cellules plates qui les sépare des tissus muqu
roprement dits. « Ces cellules plates sont analogues à celles de la couche con-jonctive qui revêt la surface des tendons. »
sus de la prostate, et les deux viscères ne sont séparées que par une couche en général assez mince de tissu cellulaire, mais
n dissèque alors la peau et le tissu cellulaire sous-cutané. Ces deux couches ne, nous offrent rien de remarquable, si ce n'est
neuses précédemment décrites. Il n'en est pas de même de la troisième couche constituée par l'aponévrose fémorale et les muscl
s sur la tumeur absolument comme s'il s'agis-sait du fémur. Ces trois couches une fois enlevées, on arrive sur la surface exter
aroi, surtout vers la partie moyenne. Ces caillots ne forment pas une couche continue, mais sont irréguliè-rement disposés et
utres, on peut s'assurer que le tissu morbide, après avoir détruit la couche calcifiée qui sépare le cartilage de l'épiphyse o
tion des péritonites puerpérales et autres accidents consécu-tifs aux couches , la péritonite par rétention du placenta, etc., e
ie du développement des accidents périto-niques pendant les suites de couches . L'auteur y réfute, l'une après l'autre, les diff
e ; il ajouta même qu'on devait attendre au moins deux mois après les couches pour tenter une opération sanglante. — MM. Blot e
n, au point de jonction, se continue sans tran-sition appréciable; la couche corticale, la couche de Malpigbi, ne présentent a
on, se continue sans tran-sition appréciable; la couche corticale, la couche de Malpigbi, ne présentent aucun intervalle de sé
se termina très-naturellement, du moins en apparence. Les suit .s de couche furent d'abord régulières, bien que la malade se
rtie de la fesse du côté opposé. (Voy. Planche XIX.) Si la femme se couche sur le ventre, la tumeur se détache en saillie su
qui se transportent d'un pôle à l'autre sont obligés de traverser une couche de liquide plus épaisse. Quelle est l'influence
passer deux courants fournis chacun par quatre éléments à travers une couche d'eau de trois centimètres. Les conditions étai
les; seu-lement, pour l'une, nous faisions en même temps traverser la couche d'eau par un courant fourni par 20 éléments. Vo
ont été durcies dans facide chromique, on reconnaît facilement que la couche d'épithélium épidermique augmente de volume petit
tumeur, elle devint enceinte pour la deuxième fois; et fit une fausse couche à six semaines. Il lui est resté, depuis cette ép
qui n'ont point vécu ; d'autre part, elle a en outre fait une fausse couche . Il y a 23 ans que madame X. est mariée, et depui
t que par devoir. Madame X. fait remonter à l'époque de sa dernière couche l'origine de ce qu'elle appelle sa descente de ma
e injection solidifiable, n'offrait rien d'anormal, au moins dans des couches excentriques. La couche moyenne, considérableme
'offrait rien d'anormal, au moins dans des couches excentriques. La couche moyenne, considérablement épaisse, 0mm,l, se comp
xpliquer le processus morbide, par une hypertro-phie irritative de la couche moyenne à laquelle succéderait une dégénérescence
fungiformes atteignent les dimensions des papilles caliciformes : la couche épithéliale est également épaissie. La surface
alement la muqueuse des parties sous-jacentes, sous forme d'une mince couche grisâtre. Ce tissu spongieux existe principalem
plaie en train de bour-geonner et se recouvrant peu à peu d'une mince couche épider- mique? Cotte question délicate a déjà é
ide) ne jouent qu'un rôle insignifiant; le corps muqueux de Malpighi, couche essentiellement vivante, présente, au contraire,
sposés autour de la jointure malade s'atrophient en même temps que la couche de tissu celfulo-adipeux qui double la peau devie
aires primitives. Quant au tissu cellulaire sous-cutané, il forme une couche plus épaisse, que M. Gubler mesure avec un com-pa
transversale, allant du hile au bord convexe, ce tissu, soit dans sa couche corticale, soit dans sa couche médullaire, est vé
u bord convexe, ce tissu, soit dans sa couche corticale, soit dans sa couche médullaire, est véritablement criblé de ces mêmes
véritables bourgeons qui tapissent sa face externe; mais bientôt, les couches périphériques de ces bourgeons trop éloignées des
à l'œil nu, la face externe de la dure-mére paraît recouverte par une couche de pus concret ou de matière tubercu-leuse. Des c
coupes de la membrane ainsi altérée y montrent l'exis-tence de trois couches : 1° une couche profonde de tissu demeuré sain ;
brane ainsi altérée y montrent l'exis-tence de trois couches : 1° une couche profonde de tissu demeuré sain ; 2° une couche mo
trois couches : 1° une couche profonde de tissu demeuré sain ; 2° une couche moyenne constituée par le tissu normal infiltré d
tituée par le tissu normal infiltré d'éléments embryonnaires ; 3° une couche périphérique formée principalement de noyaux et d
la tête manque et que nous avons affaire à un acéphalien. Quand on le couche , sa longueur totale est de 25 centimètres, dont 1
44 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
rieure de la capsule est en rapport en arrière et en haut avec la couche optique. A son pied, elle se continue avec les
lui-même aurait été intéressé. Les fibres fines, qui traversent la couche optique et se jettent dans la capsule interne,
la ligne médiane. Ces faisceaux extrinsèques, qui passent par les couches du centre ovale les plus rapprochées du ventric
hauteur sur quatre points inégalement distants, dont deux sur les couches les plus déclives, le troisième sur le milieu de
lement par les fibres qui viennent de la partie postérieure de la couche optique (pulvinar et corps genouillés) et secon-
atement au-dessus des tuber- 8 ANATOMIE. cules quadrijumeaux ; la couche optique et la capsule interne sont coupées dans
nte de la commissure cérébrale antérieure, et en est séparé par une couche de substance grise de quelques millimètres d'ép
rvant à unir celles du septum luci- dum et de la face interne de la couche optique. e) Les bords ou segments de la capsule
ce cornet ou genou de Flechsig répond à la partie antérieure de la couche optique, et le bord de la base se recroqueville
e plus en avant, passe égale- ment sur l'extrémité antérieure de la couche optique. Or, la coupe sagittale faite à 2 centi
te réellement que dans les coupes qui intéressent le mésolobe et la couche optique. Dans ces dernières, l'aspect lisse de
st en rapport d'avant en arrière : 24 ANATOMIE. En haut, avec les couches inférieures de la troisiè- me frontale, avec la
tale ascendante, et le lobule pariétal inférieur; En bas, avec les couches supérieures de la circon- volution externe du l
ux fibres de la commissure cérébrale antérieure et venir former les couches les plus élevées de la première temporale. (Voi
de réunion du tiers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la couche optique (Brissaud, loc. cit., p. 25). En procéd
, noyau lenticulaire. l'L1\CtIE C. i., capsule interne. C. op., couche optique. F. op., fibres optiques. , N. c., no
noyau caudé. V. l., noyau lenticulaire. P, c. oy., Pulvinar de la couche optique. PLANCHE IV C, claustrum ou avant-mur
fibres optiques de Gratiolet. N. L., noyau de Luys; pulvinar de la couche optique. N. c., noyau caudé. V, v·. St., noya
faction est due à un épanchement de synovie qui s'infiltre dans les couches celluleuses profondes et amène de la sorte la t
s qui avaient été recon- nues pour agir chez certaines malades ; la couche isolante ne recouvrait que la partie du métal q
ordinaires. La plaque de métal actif, au lieu d'être enduite d'une couche isolante, fut simplement recouverte d'une plaqu
até en effet que des plaques de zinc, par exemple, encrassées d'une couche épaisse d'oxyde, n'avaient, pour cela, rien per
écrivons, sir Wil- liam Thomson a trouvé que l'interposition d'une couche d'oxyde ne modifie pas la tension résultant du
e scie spirale, a pu enlever chez le chien de fortes éten- dues des couches corticales dans les lobes cérébraux sans dé- te
pure du cerveau M. Major dit que l'étude comparée des différentes couches corticales dans l'état sain et dans l'état d'im
égard, et a trouvé dans les espèces supé- rieures le même nombre de couches que chez l'homme. Le De HACK TuiiE demande au D
e. - 2° Il a trouvé certaines différences assez marquées dans les couches corticales des imbéciles et des personnes saines
s personnes saines d'es- prit : les seconde, troisième et quatrième couches avaient des cellules rondes et d'autres pyramid
in 1882, à l'auteur du meilleur travail relatif aux fonctions de la couche optique chez l'homme. Les conditions du concour
re, au contraire, ou circonvolution godronnée, présente de plus une couche toute spéciale, caractéristique de cette circon
enferme, lesquels sont très serrés, empiètent dans la substance des couches les plus super- ficielles des deux circonvoluti
lorsque le photographe prépare une plaque, s'y étale en une mince couche adhérente : on laisse alors (quel- ques fractio
placée sur la lame de verre, où on la fait baigner dans une mince couche de glycérine colorée au picrocarmin (moitié gly
e à se condenser sur la plaque de verre, au contact des bords de la couche ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 173
muscles sont superfi- ciels, disposés le plus souvent en une seule couche , et, par là même, facilement accessibles à l'ex
cipitales avoisinantes. La destruc- tion de la série alternante des couches médullaires et corticales qui composent la'corn
un cas d'hémorrhagie cérébrale syphilitique dans l'épaisseur déjà ? couche optique, et,, quant aux dans le cervelet, elles
pas dans la tunique externe, .'au niveau de l'endothélium ou de la couche immédia- tement sous-jacente,1 mais dans les tu
anglions, cérébraux qu'est son siège de prédilection, c'est dans la couche corticale' (42;56 p ! 100). Les'récidivës'd'hém
seuse de' la névroglie, 1 dés cellules' et dêâ' vais~seaux dans les couches corticales'etf la 'moelle allongée,"pouvant se
expéri- mentalement démontré les irradiations corticales dans les couches superficielles du manteau cérébral. H. DE BOYER.
PLANCHES. p l'anche' Il -1 C. i., capsule interne ? '" C. op., couche optique. j ''T ' F. op., fibres optiques.' ? '
noyau caudé. N, I., noyau lenticulaire. P. c. op., Pulvinar de la couche optique. 324 EXPLICATION ' DES ' PLANCHES. PL
45 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
d'un foyer ancien du côté de la partie interne et postérieure de la couche optique droite. Examen histologique de la moell
mmun, allant vers la dendrite. - Assez souvent on rencontre dans la couche périphérique des dendrites sur lesquelles les a
ou 2 appendices collatéraux. - Il faut encore remarquer que dans la couche périphé- rique, les dendrites de certaines cell
régulièrement. Mariée à 30 ans ; n'a jamais eu ni enfant ni fausse couche . On ne trouve pas de trace de syphilis dans son h
'au niveau de la frontale. Il y a prolifération névroglique dans la couche moléculaire. Les cel- lules corticales sont vis
pportée à un des étages supérieurs de l'encéphale (au- dessus de la couche optique considérée comme centre de coordination
croisée du cervelet et ces lésions n'ont pas besoin d'intéresser la couche optique, comme le déclare Mingazzini, mais l'écor
Une coupe hori- zontale montre un second ramollissement occupant la couche optique et qui paraît n'empiéter que très peu à
cellule réduite à un amas de pigment. Hyperplasie de la capsule en couches concentriques. - En haut à droite : il n'existe p
é, a un enfant sain de corps, et sa femme n'a jamais fait de fausse couche . Reste l'hypothèse d'une syphilis héréditaire.
ans, et 2 garçons. Entre la 2° et la 3e enfant, elle fit une fausse couche . Quand on recherche chez notre malade les tares
moelle épaissies, surtout à la face postérieure. Elargissement de la couche sons-pie-mérienne de névroglie. Cordons postéri
qu'il devient perméable, et alors il paraît élargi et entouré d'une couche formée de plusieurs rangs de cellules. Les ra
sans prolifération conjonc- tive, ayant son point de départ dans la couche ganglionnaire de la rétine ; cependant les alté
atrophie optique. Rappelons rapidement quelles sont les différentes couches qui consti- tuent une rétine normale ; on compr
réduction progressive du nombre des éléments conducteurs depuis la couche la plus externe, couche des cellules sensorielles
u nombre des éléments conducteurs depuis la couche la plus externe, couche des cellules sensorielles, jusqu'à la couche la
ouche la plus externe, couche des cellules sensorielles, jusqu'à la couche la plus interne, celle d'où partent les fibres mê
, celle d'où partent les fibres mêmes du nerf opti- que ; les trois couches qui répondent aux corps des trois neurones sont d
urones sont donc de moins en moins épaisses de dehors en dedans. La couche des neurones la plus externe est dite couche de
e dehors en dedans. La couche des neurones la plus externe est dite couche de grains externes ou couche granuleuse externe
des neurones la plus externe est dite couche de grains externes ou couche granuleuse externe, ou encore couche des grains
e couche de grains externes ou couche granuleuse externe, ou encore couche des grains de cônes et des bâtonnets : le prolon-
olongements restent parallèles les uns aux autres et constituent la couche dite des fibres de Henle,Kus, ils s'articulent
ent avec les prolongements périphériques et panaches de la deuxième couche de neurones ; la zone d'articulation est la cou
s de la deuxième couche de neurones ; la zone d'articulation est la couche plexiforme externe, la zone qui contient les co
terne, la zone qui contient les corps des seconds neurones est dite couche des grains internes ou des cellules bipolaires
dite couche des grains internes ou des cellules bipolaires : cette couche est beaucoup moins épaisse que celle des grains
s. Le prolongement central de ces grains se met en rapport dans une couche dite plexiforme interne avec les pana- ches pér
les nerveuses d'où partent directe- ment les fibres optiques. Cette couche est très peu épaisse, formée seule- ment de que
307 au sur et à mesure qu'on approche de la papille et une épaisse couche de fibres constitue seule la papille avec les v
e fibres constitue seule la papille avec les vaisseaux. Entre ces couches .de neurones sont quelques éléments de soutien
rs en dedans, en suivant le sens de la conduc- tion visuelle, les 9 couches suivantes : 308 LORI pas uniquement ; sur une
alors qu'il en contient t encore un bon nombre. L'importance de la couche des fibres optiques est certainement moins enco
la re- cherche de la pathogénie de l'atrophie optique. Les autres couches de la rétine ne sont nullement indemnes ; les deu
nés, revenus sur eux-mê- mes, moins longs qu'à l'état normal ; leur couche est fréquemment plissée. Parfois ils semblent d
les arron- dies et qui sont sans doute dus a la prolifération de la couche des grains externes ; mais la rétine est trop f
u- vent les cônes et les bâtonnets persistent, altérés ou non. La couche intergranuleuse est presque toujours diminuée d'é
courtes qu'à l'état normal, mais souvent aussi plus espacées, et la couche prend un aspect vacuolaire ; parfois enfin, l'asp
is enfin, l'aspect en fibrilles parallèles caractéristique de cette couche disparaît, la couche de Henle se confond avec l
fibrilles parallèles caractéristique de cette couche disparaît, la couche de Henle se confond avec la couche plexiforme e
ue de cette couche disparaît, la couche de Henle se confond avec la couche plexiforme externe. . Les grains internes sont
inution parait bien plus sensible que pour les grains externes ; la couche est parfois nettement subdivisée en deux cou- c
conte- nant que des fibrilles (oeil de Melin... par exemple). La couche plexiforme interne subsiste nettement dans tous l
cas ; elle ne subit pas une diminution relative aussi grande que la couche intergra- nuleuse. Les vaisseaux de la rétine
HE XL1U' 1. - Rétine normale (Migne). On voit distinctement les 9 couches avec leur importance respective. On remarquera
leur importance respective. On remarquera ta faible épaisseur de la couche des cellules ganglionnaires à l'état normal, alor
des cellules ganglionnaires à l'état normal, alors même (7) que la couche des fibres optiques (8) est très épaisse. 1 . C
3. Grains externes, corps des lors neurones, cellules visuelles. 4. Couche intergranuleuse. a) Fibres de Henle. b) Couch
es visuelles. 4. Couche intergranuleuse. a) Fibres de Henle. b) Couche plexiforme externe. 5. Grains internes, corps d
rains internes, corps des 20. neurones, cellules intermédiaires. 6. Couche plexiforme interne. 7. Cellules ganglionnaires
s ganglionnaires (7) sont encore re- lativement très nombreuses. La couche des fibres optiques (8) est très diminuée, mais
et le nerf optique contenait encore un petit nombre de fibres. Or, la couche des cellules ganglionnaires est presque aussi é
ules ganglionnaires est presque aussi épaisse qu'à l'état normal ; la couche des fibres optiques a au contraire presque disp
isparu. Il exisle d'ailleurs une diminution manifeste de toutes les couches et notamment les couches des grains internes sont
urs une diminution manifeste de toutes les couches et notamment les couches des grains internes sont éclaircies et dédoublé
le temps de la gestation son état avait été déséquilibré ; après les couches exaltation, loquacité puis la malade commença à
véritables anneaux fermés. Chaque cercle est constitué par plusieurs couches d'éléments calcaires : les couches les plus int
rcle est constitué par plusieurs couches d'éléments calcaires : les couches les plus internes sont représentées par des pet
re de fascicules secondaires bien li- mités, on ne voit plus qu'une couche à peu près uniforme de tissu fine- ment granule
un fort grossissement montre que chacun de ces nodules est formé de couches fibreuses concentriques; de leur périphérie parte
parfois un ou deux globules rouges, complètement enserrés dans les couches fibreuses. Quant au tissu granuleux qui forme
86 ans. Elle n'a eu qu'un frère, mort jeune. Elle a eu une fausse couche et cinq enfants dont trois sont morts en bas âge
cavité centrale, nulle part tapissée d'épithélium, est bordée d'une couche assez étroite de fibres conjonctives agglomérées
montre des fentes diverticulaires du canal central tapissées d'une couche continue d'épithélium cylindrique ; à côté, il
l ne reste donc que la périphérie du tractus sous forme d'une mince couche hyaline, qui est du tissu conjonctif modifié, et
mou, apathique, a l'oreille tombante ; le cheval méfiant, hargneux, couche souvent les oreilles ; celui qui est peureux, c
46 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
smale dont lui-même fut atteint. Elle s'est terminée par une fausse couche . Jusqu'en 1901. la santé de K... fut généraleme
des cellules épithéliales, l'hyperplasie de la névro- glie et de la couche sous-épithéliale, la dilatation des vaisseaux,
émisphère, et même dans le cas de Zingerle il y a compression de la couche optique. Un symptôme seul, relevé par la majori
nt soutenu Goltz et son école ; 3° Il existe dans l'épaisseur de la couche corticale des centres moteurs et des centres se
urs, et il est probable par conséquent qu'elle est une fonction des couches corticales, des ganglions de la base, et du sys
er. La mentalisation consciente est pro- bablement une fonction des couches corticales seules. L'importance relative des di
issl dans l'écorce et la substance blanche de la circonvolution, la couche moléculaire du manteau gris étant respectée.
. Subitement il devient violacé. Aussitôt on le déshabille et on le couche . Il se jette en arrière, les membres supérieurs
le coin, C, est petit. Le corps calleux, CC, le corps strié, CS, la couche optique, C0,'et le ventricule latéral n'ont rie
int ni les végétations volumineuses, ni les 122 RECUEIL DE FAITS. couches denses de tissu fibreux, qui se voient toujours d
ifférenciées, à tel point qu'il devient difficile de distinguer les couches qui apparaissent si nettement à l'état normal,
ramidales, grandes et moyennes, sont très peu nom- breuses dan- les couches dites profondes, là où ces éléments sont d'ordi
note nue diminution de nombie des tubes nerveux, qu'il s'agisse des couches tangentielles ou des fascicules radiaires. Mais c
e n'a pas subi des modifications bien considérables. Sans doute, la couche névrogtique immédiatement sous-pie-mérienne est
. 129 décrites à ce niveau, et les fibres et cellules nerveuses des couches correspondantes ont disparu pour faire place au
njonctives et névrogli- ques qui aux abords de la papille occupe la couche des fibres ner- veuses, devient moins dense, ma
roïde au niveau du décollement. Voyons succes- sivement chacune des couches et étudions les modifications qu'elle a pu subi
izontalement puis s'infléchir pour descendre verticalement vers les couches externes delà rétine,' La couche des fibres ner
descendre verticalement vers les couches externes delà rétine,' La couche des fibres nerveuses, ne semble plus contenir de
r exemple présentent une notable hypertrophie de leurs parois. La couche ganglionnaire présente des altérations extrêmemen
d'une cellule nerveuse irri- tée. Les éléments fibrillaires de la couche moléculaire sont diminués en nombre et les mail
Archives, 2« série, t. XVI. 9 130 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. La couche granuleuse interne, épaisse de ;i0 li. a quelques
édominent dans la partie externe. Les altérations présentées par la couche intergranuleuse sont des LE FOND DE L'(EIL CHEZ
r des intervalles de S à 7 p. remplis par un liquide incolore. La couche granuleuse externe, épaisse d'environ HO 1-t ne p
e la figure 19 (en 9), elle ne semble pas exister en d'autres. La couche des cônes et des bâtonnets, est le siège d'altéra
désagrégés et leur extrémité libre a disparu. Avant d'étudier la couche pigmentaire. nous devons dire quel- ques mots d
l'exsudat, ce dernier se trouvant épanché entre la rétine et cette couche . 1,'exstitlai, contient en assez grand nombre d
lumineux enfin on rencontre surtout en abondance des cellules de la couche pigmentaire encore bien reconnaissables en Il mai
u libre, leurs granulations dispersées comme en 1 par exemple. La couche pigmentaire (16, fig. 19) complètement séparée de
dans notre figure 19. Les cellules épilhéhales qui composent cette couche , sont plus ou moins altérées, quel- ques unes p
ésintégration des tissus 5, petit vaisseau Ci paroi hypertrophiée; 6, couche granuleuse interne; 7, fibres de Muller formant
et; 14, cello coucllcpi,-mciitaire; 13, débris de cellules de la même couche ; 16, couche pigmentaire; 17, cellules dépourvue
o coucllcpi,-mciitaire; 13, débris de cellules de la même couche; 16, couche pigmentaire; 17, cellules dépourvues de pigment
s d'éclairer la pathogénie du décollement. La membrane vitrée et la couche des capillaires ne semblent pas très altérées m
es ne semblent pas très altérées mais il n'en est pas de même de la couche des gros vais- seaux; les artères ont leurs par
nés, nous trouvons toujours les mêmes altérations des différentes couches ; toutefois la sclérose en arcades diminue peu à p
ue peu à peu, et bientôt, à environ un centimètre de la papille, la couche intergranuleuse présente un aspect à peu près n
qu'ailleurs et chacun d'entre eux paraît gonflé. Les éléments de la couche des cônes et des bâton- nets, sont peu nets, on
. A une plus grande distance encore de la papille, nous voyons ia couche intergranuleuse disparaitie; les couches granul
la papille, nous voyons ia couche intergranuleuse disparaitie; les couches granuleuses interne et'externe dont les élément
ble. Enfin dans les parties les plus éloignées, toute division en couches est impossible, la rétine diminuée de volume, inf
s et représentées figure 2 mais bientôt l'atrophie si marquée de la couche intergranuleuse disparaît et l'on n'observe plu
sente jusque dans ses par- ties les plus éloignées de lapapille des couches bien distinctes quoique plus ou moins altérées
' n'observait pas comme du côté décollé l'aspect en arcades de la couche intergranuleuse de la rétine ni les lésions d'im-
ce sont réalisées par des brides névrogliques de néoformation. La couche névroglique qui recouvre la zone moléculaire entr
s étaient prépondérantes, ou tout au moins plus apparentes, dans la couche des cellules de Purkinje, qui étaient modifiées
SAVANTES. 241 la disparition quasi totale de l'élément. Dans cette couche ainsi altérée apparaissent des noyaux plus ou m
es vaisseaux san- guins dilatés à parois épaissies, entourées d'une couche épaisse de petites cellules. Ces lésions vascul
M. de VRirs (d'Amsterdam). La simple mémoire se développe dans la couche optique et dans le corps strié. La vue d'un obj
ues dans leur voie vers le centre par des cellules des noyaux de la couche optique; de même les fibrilles du nerf acoustiq
ale; jusqu'ici la même chose qui a eu lieu dans un des noyaux de la couche optique; mais ensuite nous tâtons l'objet, nous
enfantins, le visage un peu bouffi, le corps enveloppé d'une forte couche adipeuse et presque dépourvu de poils ; elle réal
rouve dans nos infirmières des hôpitaux parisiens, mais issue d'une couche sociale plus élevée, fille de pasteur, de march
ses grossesses furent toutes normales, normales aussi les suites de couches . L'aîné de ses enfants eut des convulsions infa
P. 11E11.1VdL. XVII. Y a-t-il des voies centrifuges qui vont de la couche optique à la moelle ? par A. V.1LLE\I3ERG (Neur
i permettent d'affirmer ce qui suit : 1° Les zones spinales de la couche optique, contiguës en dehors et en avant à la c
e Elle est siinpleiiierit un peu iiioitis éteii- due en surface. La couche etiticulaire, bien dessinée, a subi les altérat
nomalies; en arrivant au tissu conjonctif, elle est arrêtée par une couche de noyaux couchés ovoïdes. On ne voit nulle fib
yau lenticulaire, la partie postérieure de la capsule interne et la couche optique, a constaté la dégénérescence d'un trac
onsidérablement souffert. De plus. tandis que le noyau médian de la couche optique est intact, le noyau latéral contient u
malade reste au lit étendu sur le dos comme » s'il était rivé à sa couche . Les membres inférieurs allongés ont leurs orte
orps striés exercent une influence vasomotrice sur l'organe. 9° Les couches optiques exercent sur la rate une double influe
purement motrice.- 10° Dans la profondeur du tiers antérieurde la couche optique se trouve un centre sous-cortical de la r
on à la période clonique. l'. KEMAVAL. XXSV11. Dégénérescence des couches optiques (noie préliminaire , par J.-B. IIL1CII
vérifié à l'autopsie, il existait une dégénérescence manifeste des couches optiques et des tubercules quadiijumeaux antéri
acile et se trouve probablement dans la différence de fonctions des couches optiques et des tubercules quadrijumeaux antéri
ans, des coliques néphrétiques il y a cinq ans. Elle a fait lausses couches , a perdu une fille de t4 mois du choléra infantil
LP, Lobule paracentral. CC, corps calleux. CS, corps strie. CO, couche optique. CA, Corne d'Ammon. CH, Circonvolutio
, pal Wijnaenrits SI Le mécanisme de la -, par de Viies, 371. Couche optique. Voir Voies centre- fuges Dégénérescenc
Chardon, o34 Voies CE\TI11FUG1 : 1. l'-a-tnl des - qui vont de la couche optique a la inoelle ? par Wallenberg, 123. V
47 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ail organique. Depuis plusieurs nuits, la malade ne dort pas, ne se couche même pas, et ne cesse de parler à très haute vo
sont plus généralisées, la pie-mère entraîne avec elle une mince couche de substance grise, moins épaisse à la vérité que
ce que tous les libies des cordons postérieurs soient parvenus à la couche intermédiaire des olives. Plus haut, au point où
us le nom de fibres ara formes, des cercles allongés pour gagner la couche olivâtre du côte oppose; beaucoup d'entre eux tra
rdon postérieur; toutes les fibres de ce dernier se rendent dans la couche intermédiaire des olives; à mesure que cette co
rendent dans la couche intermédiaire des olives; à mesure que cette couche augmente suprà, le taux des fibres des noyaux d
rps restiforme... etc..» En résumé, la moelle épinière fournit à la couche intermédiaire des olives ou ruban de Reil du cô
se trouve pas, dans le bulbe, en dedans des grosses olives; dans la couche intermé- diaire des olives, il est conligu aux
dons postérieurs poussent donc principalement leurs rameaux vers la couche intermédiaire des olives et dans le ruban de Reil
Centralbl., 1885.) . Voici un chat de trois jours. On lui lèse la couche optique et probablement aussi les parties conti
cérébelleux droit est un peu plus petit que celui de'gauche ; 8° la couche optique est absente. Pour tirer parti de ce cas
he, les cellules ganglionnaires disséminées ou groupées au sein des couches profondes des fibres immédiatement adjacentes 8
la portion latérale du pédoncule cérébral ; le noyau latéral de la couche optique est en connexion avec l'avant-coin et l
trophie dégénérative du pulvinar, du corps penouillé externe, de la couche optique, du tubercule quadri- jumeau antérieur
de dehors en dedans et d'arrière en avant pour disparaitre dans la couche intermédiaire des olives. Les trousseaux de fib
s deviennent impossi- bles. N. SKWORTZOFF. X. SUR la FONCTION DES COUCHES OPTIQUES CHEZ LES animaux ET chez l'homme; par
analyse de certains faits cliniques, pense devoir affirmer que les couches optiques ont une fonction motrice, qu'elles ser
ses expériences : I. En enlevant les hémisphères sans toucher aux couches optiques, on prive l'animal de la faculté des m
tement normal. II. La destruction simultanée des hémisphères et des couches optiques prive l'animal non seulement de tous l
cris et de l'inquiétude. III. Une irritation électrique directe des couches optiques (les hémisphères enlevés ou non indiff
ession des sentiments. IV. Enfin, les animaux dont on a détruit les couches opti- ques, mais sans enlever les hémisphères,
nant a la suite d'irritations modérées. V. L'irritation directe des couches optiques produit parfois des mouvements choréif
vir à confirmer la théorie de la localisation de la chorée dans les couches optiques. A la fin de son ouvrage, l'auteur rap
r- vations dans lesquelles les malades, à la suite de lésions des couches optiques, avaient perdu la faculté des expression
ne diminution des cellules nerveuses ganglionnaires dans les deux couches optiques, les quatre tubercules quadrijumeaux, le
illé externe droit. Intégrité des tuber- cules quadrijumeaux et des couches optiques. Si la malade en question eût vécu, il
ux tubercules quadrijumeaux supérieurs et infé- rieurs ainsi qu'aux couches optiques et consécutivement les éléments nerveu
pulvinar, et dans la partie postérieure et ' postéro-interno de la couche optique. Quant à la sphère visuelle de Munck, l
ien dans la salle de jour. M. de Gudden. A Munich aussi, un gardien couche également dans le quartier de surveillance pour
s, mais accolé à la saillie latéro-dorsale la plus antérieure de la couche optique, saillie qui est probablement l'analogu
ement l'analogue du pulvinar. On ren- contre enfin l'atrophie de la couche la plus supérieure du tubercule quadrijumeau an
a- duit par rien sur l'écorce. Nerf olfactif. Le centre en est la couche glomérulaire, tandis que toutes les autres part
dhérences dans la plaie, vous aurez une atrophie très modérée de la couche glomérulaire et de la bandelette olfactive. Che
que du tubercule quadrijumeau antérieur et l'écorce. Sans doute les couches supérieures de fibres nerveuses du tuber- cule
re centre du tubercule quadrijumeau antérieur, celui de la deuxième couche grise de sa coiffe grise. Le centre de la vue l
ième couche grise de sa coiffe grise. Le centre de la vue lui-même ( couche grise la plus supérieure) ne saurait être tenu
ien, du chat. Quant au centre primaire du nerf olfactif, quant à la couche glomérulaire du renflement olfactif, la section
eint la partie externe de la capsule interne ou l'irradiation de la couche optique. Si les animaux ainsi mutilés vivent en
umérés disparaître, du moins pour la plupart. 50 Les noyaux de la couche optique sont en partie indépendants de l'écorce e
autres cellules. On peut, par suite, se demander si les différentes couches de cellules ne se relient pas à diverses foncti
n est obligé de reconnaître, en ce qui les concerne, le type à cinq couches par toute l'écorce. Sans doute sa composition p
re les diverses parties de l'écorce, que partout on trouve les cinq couches , mais que cependant tantôt l'une tantôt l'autre
cinq couches, mais que cependant tantôt l'une tantôt l'autre de ces couches manque; donc la composition n'est pas uniforme;
vient se buter contre la cloison de la ga- lerie de l'école ; il se couche alors sur un banc. La physiono- mie est hébétée
. , DE l'épilepsie PROCURSIVE. 345 Douze enfants et trois fausses couches . 4° Garçon, mort à trois mois, en nourrice, « d
née qui auraient corrigé la malformation des pieds ( ? ). 5° fausse couche à quatre mois, attribuée à un effort; 6° fille
up ; 8° fille, morte à vingt-six jours, du croup ( ? ); - 9° fausse couche de deux mois ; -10° garçon, onze ans, intellige
eluche ; 12° fille morte à dix mois, on ne sait de quoi; 13° fausse couche de deux mois ; 14° et 15° grossesse double : au
rveuse est pâle dans tout son ensemble mais surtout au niveau de la couche optique et du noyau extra- ventriculaire. Pou
ants, l'un d'eux, un peu nerveux ; sa femme n'a pas fait de fausses couches . Aucun traumatisme important. 388 RECUEIL DE
iju- meau antérieur pour gagner la bandelette optique. Les autres couches de ce tubercule n'ont directement que peu de rela
avec les fibres optiques. Y a-t-il dans le segment inférieur de la couche optique des cellules nerveuses ganglionnaires q
us rectus et uncinatus, des frontales et pariétales ascendantes. La couche corticale externe est, en ces régions, surtout
econdairement se sont altérées des cellules nerveuses de la seconde couche corticale; intégrité des couches profondes. Nous
es cellules nerveuses de la seconde couche corticale; intégrité des couches profondes. Nous passons sur les lésions des cor
des choses extérieures, lésions limitées aux première et deuxième couches corticales, et n'affectant pas les mêmes régions
lires si nés qui constituent des pro- longements du treillis de la couche spongieuse postérieure; 3° la substance spongie
sses - avec ]ecerveau),parBechterewet L leclisir, 81. Optiques ( couches ), fonction chez les animaux et chez l'homme,
48 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
4° garçon mort à 1 mois, de diarrhée, sans convulsions ; 5° fausse couche à 4 mois et 1/2, duo à des émotions; 6° fausse
s ; 5° fausse couche à 4 mois et 1/2, duo à des émotions; 6° fausse couche due à l'anémie; 7° fausse couche à 4 mois et 1/
1/2, duo à des émotions; 6° fausse couche due à l'anémie; 7° fausse couche à 4 mois et 1/2; 8° quatrième fausse couche à i
e à l'anémie; 7° fausse couche à 4 mois et 1/2; 8° quatrième fausse couche à i mois 1/2; 9° garçon, âgé de 7 ans. intellig
e 7 ans. intelligent et bien portant; 10° notre malade ; 11° fausse couche à 4 mois 1/2, alors qu'elle était atteinte de l
volume moyen d'un grain de chêne vis et disséminés dans les deux couches du parenchyme, qui se montre anémié. Le 14 IDIO
s sont particuliè- rement ramollies; à la périphérie, il existe une couche encore résistante, d'aspect lardacé.Les deux au
ir toute la largeur du noyau caudé et le sillon qui le sépare de la couche optique. Au fond du ven- tricule, sur laparoi e
noyau caudé. Il n'en existe ni sur la queue de ce noyau, ni sur la couche optique. Réflexions. Cette observation nous par
les deux cas, même disposition des îlots, même localisation à la couche corticale des circonvolutions et au corps strié,
ier et les dé- truire, les éléments cellulaires et tubulaires de la couche corticale et secondairement une partiede ceux d
s, de telle sorte que l'ablation des méninges en- traînait toute la couche de substance grise et mettait à nu la substance
ssais, et malgré le plus grand soin, on constate que c'est toute la couche de substance grise qui suit la pie-mère, laissa
s accidents à la « force du sang » ; ils cessèrent à la suite d'une couche . Très active, prompte à se mettre en colère, el
e bien portante, mère de 7 enfants en bonne santé; l'autre morte en couches à 47 ans. Un frère mort de fièvre typhoïde].
cris de fureur ; il montre le poing, fait le geste de frapper et se couche sur le ventre en insultant quiconque le touche.
'extérieur et la paroi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince couche de substance blanche. Les circonvo- lutions du
ue sous forme de deux petits noyaux du volume d'un gros haricot. La couche optique est diminuée d'au moins des deux tiers
et déformée. La ; Fig. 2. C, Corps calleux. - CS, Corps strié. z 0, Couche optique. LÉSIONS CONSÉCUTIVES. 83 paroi du ve
ariétale ascendantes), et produit une atro- phie considérable de la couche optique et du corps strié (Fia- 2 et 3), s'est
, on ne sait de quoi. Deux de ses soeurs ont succombé à la suite de couches , la cadette était très nerveuse et avait des at
e fut, en outre, prise de tremblement. Malgré des menaces de fausse couche , l'ac- couchement se fit à terme, facile. L'enf
ans la famille.] -Pas de consanguinité. Trois enfants et une fausse couche : 1° fausse couche à 4 mois, à la suite d'un ef
as de consanguinité. Trois enfants et une fausse couche : 1° fausse couche à 4 mois, à la suite d'un effort ; 2° fille mor
s la famille.] . Pas de consanguinité. Deux enfants et une fausse couche : 1° Fausse couche à 3 mois, al occasion de con
Pas de consanguinité. Deux enfants et une fausse couche : 1° Fausse couche à 3 mois, al occasion de contra- riétés ; - 2
ur l'hémisphère précédent, elle entraîne avec elle, par places, les couches superficielles de la substance grise. Les circo
tre, les circonvolutions et la substance blanche forment encore une couche épaisse entre le ventricule et la surface des h
ans, intelligente, pas de convulsions ; 3° notre malade; 4° fausse couche à 4 ou 5 mois; 5° garçon, 8 ans, bien portant;
49 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e (Flechsig) et ceux de l'interruption du faisceau sensitif dans la couche optique (Von Monakow et 11anhaim) n'est pas encor
es sensitives elles ont un relai au moins partiel au niveau de la couche optique. La clinique montre en tout cas que dans
gaire due à des lésions. capsulaires empiétant plus ou moins sur la couche , optique et les noyaux du corps strié, les trou
raissait envahi, et à la région frontale la tumeur empiétait sur la couche corticale. A la partie inférieure de l'hémisphè
s tangentielles de l'écorce, et atrophie des cellules de la seconde couche . Je me réserve de discuter cette question dans
s en question, on constate une structure fibrillaire évi- dente des couches marginales, une disposition réticulaire de la s
faisceaux centraux du même étage; de presque toute la région de la couche intermé- diaire des olives et du ruban de Reil
en arrière du genou et se continue jusqu'à la partie moyenne de la couche optique. Les symptômes ont été de la dysarthrie
maman, parce qu'elle n'aurait pas voulu que j'aille à la mer+ Je me couche , je dors, je me réveille + Je travaille, je fai
pro- toplaslique des cellules pyramidales et les dendrites de la couche superficielle de l'écorce cérébrale, qui sont ric
s des dendrites terminales, préalablement celles qui traversent les couches superficielles de l'écorce cérébrale, se trouve
ent le plus facilement et préalablement celles qui passent dans les couches superfi- cielles de l'écorce cérébrale; le proc
enfant qui a vécu. Pas d'autre grossesse. A la suite des dernières couches , prolapsus utérin qu'il a fallu contenir par un p
t sur la ligne mé. diane, brûlure profonde ayant atteint toutes les couches de l'épi- crane, et allant jusqu'à l'os ; d'une
cellules des cornes antérieures, petits dans les granulations de la couche granuleuse du cervelet, très petits dans les fibr
à l'appui, de grandes cellules pyramidales de l'écorce (lapin), la couche externe de la substance corticale grise du cerv
chsig), montrent la forme du corps des cellules, la disposition des couches de celles-ci, le rapport quantitatif entre les
Figures. Chez un chat de six jours et chez le lapin nouveau-né, la couche ' intermédiaire des olives, qui ne contient que
tubérance). Chez un chat de trois jours ou de six jours, cette même couche intermédiaire des olives s'avance au-dessus de l'
ule quadrijumeau antérieur. Chez des lapins de cinq à huit jours la couche intermédiaire des olives se termine à peu près
cercle à conca- vité antérieure, passe dans le centre médian de la couche optique et dans les parties mitoyennes du noyau
eloppé chez le chat, le chien, les rongeurs, le centre médian de la couche optique n'est pas tout à fait médian (Détails d
et interne de la substance noire et un peu en dehors, au hile de la couche optique ; c'est un trousseau peu compact entre
dans la partie postérieure du groupe nucléaire antéro-latéral de la couche optique. Le ruban de Reil traverse en assez bon
optique. Le ruban de Reil traverse en assez bon ordre le hile de la couche optique, fournit un certain trajet antéro-posté
ment aux segments antérieurs du groupe nucléaire antérieur de la couche optique. Voici maintenant un cerveau de chat an
à quatre jours et demi un trousseau de fibres blanches allant de la couche optique à la capsule interne. D'ordinaire c'est
onne rayonnante. Il n'existe pas de fibres myéliniques allant de la couche optique à la cou- ronne rayonnante. Mais, plus
inique qui, du globus pallidus, par-dessus la face antérieure de la couche optique, va au pédoncule antérieur de la glande
s (Bechterew et Tschermak). Les faisceaux de Reil corticaux de la couche optique n'appa- raissent point avant le neuvièm
e neuvième jour; à ce moment apparaissent des fibres qui vont de la couche optique à la capsule interne. Nous avons vu l'e
la même époque une invin- cible somnolence, elle se lève à midi, se couche de bonne heure et souvent encore elle est prise
s la sphère- de tel ou tel sens, phénomène dû à l'hyperesthésie des couches grises du cerveau. Ce sont ces phénomènes que
st à ce moment qu'on peut se rendre compte de l'hyper- esthésie des couches corticales du cerveau. Dans deux ser- vices seu
as une réaction aussi marquée, et il semble que ce soit surtout une couche superficielle de la peau qui soit hyperesthésié
e générale avec trouble du sens musculaire à forme hémiplégique, la couche superficielle seule des fibres tan- gentielles
partie postérieure de ce ganglion, dont il n'est séparé que par une couche étroite ; à partir de là il forme le segment an
femme, on ne relève pas d'autres traces de sypliilis qu'une fausse couche de septmois. Une autre malade eut, en 1884, une p
vait paru mani- fester son action chez la femme que par des fausses couches , des accouchements d'enfants morts-nés, et enfi
. Les sujets jeunes per- çoivent mieux que les personnes âgées. Une couche épaisse de tissus mous affaiblit quelque peu ce
. L'alcool est venu, l'excitant par excellence; l'éréthisme de la couche grise s'est encore développé et a produit les hal
entricule latéral et il existe, entre le foyer et le ventricule une couche de substance nerveuse ayant encore une certaine
issent non pas seulement jusque dans la partie antérolatérale de la couche optique c'est-à- dire dans la couche nucléaire
la partie antérolatérale de la couche optique c'est-à- dire dans la couche nucléaire antérieure de la masse de la couche o
c'est-à- dire dans la couche nucléaire antérieure de la masse de la couche optique, dans l'écorce de la couche optique et
re antérieure de la masse de la couche optique, dans l'écorce de la couche optique et dans la couche grillée ainsi qu'au c
de la couche optique, dans l'écorce de la couche optique et dans la couche grillée ainsi qu'au centre médian (Singer et Mu
(Singer et Munzer, Ferrier et Tur- ner, W. Mott), mais à travers la couche optique même, c'est-à-dire qu'un nombre assez c
considérable de fibres sont atteintes dans leur trajet à travers la couche optique, entre l'écorce de celle-ci et sa masse
couche optique, entre l'écorce de celle-ci et sa masse (hile de la couche optique) et à leur point de sortie, dans leur e
libres qui antérieurement et antéro- latéralement ressortent de la couche optique et traversent le pédoncule cérébral, ar
vant surtout de la lame médullaire médiane et latérale ainsi que la couche blanche inter- médiaire au putamen et à l'écorc
catégorie de fibres, dites directés, s'échappent latéralement de la couche optique, par la coque de celle-ci, pénètrent da
erveau au noyau du cordon postérieur, et passent par la masse de la couche optique, et, en partie, par le noyau lenticulai
tie, par le noyau lenticulaire. Ce système entre en rapport avec la couche optique par des rameaux latéraux. Il est surtou
bres longues du noyau du cordon postérieur qui se terminent dans la couche nucléaire de la couche optique. C'est le systèm
u cordon postérieur qui se terminent dans la couche nucléaire de la couche optique. C'est le système thalamique croisé du
riches en fibres qui subissent une interruption momentanée dans la couche optique, du système thalnmocortical (Monakow).
93. On trouve un kyste hémorragique dans le segment occipital de la couche optique et du pulvinsr, qui a pénétré jusqu'à l
modifiée par Kaes (Neicrolog. Centralbl., 1891). Nomencla- ture des couches d'Edinger (Nervoese CcntmIOr;¡al1e, Leipzig, 1896
nte droite. - De bloc en bloc, les fibres tangentielles forment des couches de plus en plus four- nies et de plus en plus l
es superradiaires, vers la base de la circonvolution, constitue des couches de plus en plus et uniformément touffues du bloc
cette richesse de fibres s'accompagne du rétrécissement de toute la couche ; dans les deux derniers blocs, la couche est d
étrécissement de toute la couche ; dans les deux derniers blocs, la couche est de nouveau large mais presque complètement
au niveau de la partie antérieure de la portion ventriculaire de la couche optique gauche; ce foyer dépassait en bas lacouch
rolandique. Après avoir fait remarquer que les altérations de la couche optique n'ont aucun rapport avec la motilité du
50 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
s ininterrompues et colorées par la solution aqueuse de carmin. Les couches optiques et leurs annexes, ainsi que certaines
tats très satisfaisants dans le tronc cérébral, moins bons pour les couches optiques, le cerveau ayant été conservé pendant p
eure. XII, fibres radiculaires de l'hypoglosse. ? J pyramide. io, couche interolivaire. Noi, noyau jnxta-olivaire intern
l'ds, racine descendante de la Ve paire. Namb, noyau ambigu. io, couche interolivaire (diminuée à gau- che). Pli, pyr
t affirmer qu'il y a une réduction de ces fibres des deux côtés. La couche interolivaire est plus mince à gauche. Le ruban
eurs. Et même dans le voisinage du centre médian de Luys et dans la couche optique les fascicules du ruban de Reil sont en
dans les faisceaux de fibres du noyau ventral, de même que dans la couche grillagée. La différence entre les deux côtés n
de modifications saillantes dans la structure de cette partie de la couche opti- que. L'anse lenticulaire est normale et
Il en est de même du noyau latéral et du tubercule antérieur de la couche optique. * Le corps genouillé externe il gauche
ssi partie de ce foyer de ramollissement. Le noyau postérieur de la couche optique (v. Monakow) e généré de même et atroph
halamus. Le foyer de ramollis- sement s'étend comme un coin dans la couche ventrale du côté interne. Dans les noyaux inter
ns la couche ventrale du côté interne. Dans les noyaux internes des couches optiques les artères sont dilatées et les capil
ogues à celles que nous avons décrites dans les noyaux internes des couches optiques. ANÉ'iRYSME DE ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCH
un léger degré-d'atrophie. . La substance grise des noyaux de la couche optique à droite, dans notre cas, n'offrait pas
ger n'a constaté aucune différence appréciable entre les noyaux des couches optiques à droite et à gauche. Il ne paraît don
laire au niveau d'nn fibrome der- mique ; 1 et 2, épiderme : 3, couche superficielle du derme; 4, fibrome dermique ric
rès peu proéminentes. Par sa base la petite tu- meur repose sur les couches les plus superficielles de l'hypoderme. Le tiss
meur. En revanche il est moins grossier et plus tassé que celui de la couche profonde du derme. A ces éléments fibrillaires
ons constaté la présence de fibres ner- veuses. Les tumeurs de la couche profonde du derme et de 1'liyl)odci,me sont de de
trera qu'une ou deux coupes de tubes séparés non plus par une mince couche conjonctive mais par une très large bande de ti
tour des poils et des glandes. Il s'agit là d'un fibrome diffus des couches profondes du derme. Les tumeurs nodulaires et e
3, 4 nodules juxtaposés. L'ensemble a toujours son siège en pleine couche musculaire. La tumeur fait saillie sous la muqueu
sa croyance en cette origine sur le siège de ces tumeurs en pleine couche musculaire et sur l'existence dans ces . noyaux
ue nous pouvons dire c'est que ces tumeurs sont développées dans la couche musculaire et que vraisem- blablement ce sont d
- pares et sébacées, autrement dit on trouve du fibrome diffus des couches profondes du derme. Ne sont-ce pas là des fig
Le stroma de la tumeur est conjonctif et infiltré de sérosité, les couches sous-cutanées notamment sonl très oedematiées.
ette. Elle a eu neuf grossesses, dont cinq normales et quatre fausses couches Tous ses enfants sont morts en très bas âge ; u
avait de terribles crises de tenesme rectal et vésical. Après ses couches , elle ressent comme une ceinture de fer qui l'étr
e assez bien à la surface; on perçoit une certaine mobilité sur les couches profondes, mais on ne trouve pas cette sensation
grossesses doubles et même triples est morte à 35 ans de suites de couches ; elle avait eu successivement six grossesses gé-
gémellaire d'un garçon et d'une fille bien portants avec suites de couches excellentes.Le garçon est mort à l'âge de dix-h
maturé, à six mois et demi d'une grossesse gémellaire. Cette fausse couche se fit brusquement au moment où la malade revenai
reils splanchniques est à peu près nor- mal. Musculature flasque, couche cellulo-graisseuse très réduite. Peau sèche par-
Obs. \1 (Kroenig). Fig. 3. - Obs. VI (Kroenig). 266 JEAN ABADIE couche que par un effort de toute son énergie et réussit
le au-dessus de la moyenne; squelette vigoureux, forte musculature, couche adipeuse épaisse. Les pupilles réagissent à la
e et sont tous bien portants ; elle fit à la suite une seule fausse couche . A la suite de son deuxième accouchement, c'est
i et qui est en parfaite santé. Sa femme n'a jamais fait de fausses couches . Il jouit lui-même d'une très bonne santé jusqu
ortante. Elle n'a pas eu d'enfants, mais n'a jamais fait de fausses couches . LES OSTÉO-ARTIIROPATIIIES VERTÉBRALES DANS LE
est si abondante en ce point que le malade est obligé d'enlever les couches successives avec un canif au moins tous les huit
ns le décubitus dorsal, il est mal il son aise ainsi, dit-il, il se couche d'habitude sur un côté. En raison de sa cyphose d
aucune modification no- table de la colonne lombaire. Le malade se couche difficilement sur le ventre; il repose alors un
ssède encore un noyau sphérique, vésiculeux, volumi- neux, dont les couches périphériques sont condensées en une membrane n
ns toutes les régions du cervelet et l'atrophie porte sur les trois couches : la couche molé- culaire, la couche des grains
régions du cervelet et l'atrophie porte sur les trois couches : la couche molé- culaire, la couche des grains, la substan
'atrophie porte sur les trois couches : la couche molé- culaire, la couche des grains, la substance blanche. Sur les coupes
eau des lobes semi-lunaires et colorés par le carmin en masse. 1° Couche médullaire. - Cette couche est constituée par un
es et colorés par le carmin en masse. 1° Couche médullaire. - Cette couche est constituée par un réticulum né- vroglique à
t des parois, ni hémorrhagie. Si on considère qu'à l'état normal la couche médullaire est constituée par des fibres à myél
ges et très ténues, on peut imaginer que, dans le cas actuel, cette couche , dé- pouillée de la plupart de ses fibres nerve
l n'existe ni lésions vasculaires, ni prolifération névroglique. 3° Couche des grains. - Les grains sont moins intensivement
ylindres-axes. Les vaisseaux ne sont ni proliférés ni malades. 4" Couche moléculaire. - Cette couche comprend normalement
ne sont ni proliférés ni malades. 4" Couche moléculaire. - Cette couche comprend normalement : 1° des prolongements pro
amyloïdes existent en assez grand nombre, en certains points de la couche moléculaire. En présence de telles lésions, la
émisphères ; on peut en suivre quelques-unes jusqu'aux limitesde la couche granuleuse et de la couche moléculaire. 2° No
uivre quelques-unes jusqu'aux limitesde la couche granuleuse et de la couche moléculaire. 2° Noyaux gris centraux. - Il a
s rapprochés de la ligne médiane ; on peut les reconnaître dans les couches passant au-dessous du corps restiforme, à leur
d'un côté; le hile est presque totalement décoloré de .même que la couche la plus interne de la substance mé- dullaire pé
central de la calotte contribuent à former en dehors de l'olive la couche externe de la subs- tance blanche périolivaire.
. Les noyaux rouges sont plus petits, leurs cellules conservées. La couche optique est un peu moins développée dans toutes
lement se tenir en équilibre sur une seule jambe. Il s'assied et se couche seul par terre, mais lentement et maladroitement
nécrobiotique des éléments constituant le manteau gris cérébelleux couche des grains et cellules de Purkinje. C'est une a
antes ? c/m«te<M<M : les cellules dePurkiujeetdes différentes couches de l'écorce s'atrophient et disparais- sent, pa
ie sera simple (lésion de la capsule interne, du corps strié, de la couche optique, dupédoncule) oucompliquée : de trouble
rveau ou au-dessous, la corne sphé- noïdale, la capsule interne, la couche optique, le corps strié c'est-à-dire qu'on déte
dehors et c'est la face externe de la coupe qui est représentée. La couche optique FiG. 11. CO, Couche optique. SR, Sillon
rne de la coupe qui est représentée. La couche optique FiG. 11. CO, Couche optique. SR, Sillon de Rolando. - VL, Ventricule
es enlevant, elles ont entraîné dans toute l'étendue de l'abcès une couche épaisse de tissu nerveux. Le pus évacué est ver
de taille moyenne ; sa santé est bonne; elle n'a pas fait de fausse couche et n'a pas eu d'enfant mort en bas âge ; la syp
ême après cha- que accouchement. Pour finir, elle a eu deux fausses couches . Il n'est pas étonnant que le système utérin se
e ses gros- sesses : trois avortements avant trois mois, une fausse couche à huit mois ; le cinquième enfant est notre mal
rfois- de douleurs rhumatismales; la mère n'a jamais fait de fausse couche , ses accouchements ont toujours été réguliers. En
des cellules nerveuses est rembourrée par des globules noirs; dans couches plus superficielles on peut s'assurer dans le pér
tiennent une grande quantité de pigment ; on peut les voir dans les couches su- perficielles de l'écorce cérébrale. Point d
en portant, actuellement soldat. Sa femme a fait ensuite une fausse couche de trois mois, sans cause appréciable. Début
t sur la vacuole ; la vésicule n'est plus alors limitée que par une couche d'une minceur extrême (Pl. LXXVII, n). Le proce
hromatiques, le noyau encore normal et englobé dans une très petite couche protoplasmique baignant dans le liquide vacuola
parole augmentent beau- coup. Il faut alors qu'il sorte ou qu'il se couche . Quand il se réveille, il est abattu comme s'il
F et dont il sera question tout à l'heure, n'a jamais eu de fausses couches . Voici les renseignements que nous avons obtenu
lle s'est toujours bien portée et attribue son oedème à sa première couche à l'âge de 1 ans. Cet oedème avait débuté d'une
51 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
après 6 mois 1/2 de gestation. Un an après, elle a fait une fausse couche de 4 mois. Elle a un deuxième enfant, actuellem
croup en mars 1891 ; quelque temps après la mère a fait une fausse couche de 5 mois 1/2). Le père de Louis X..., âgé de 3
it sain et est mort à 2 ans, du croup ; puis elle a fait une fausse couche de 5 mois 1/2. L'enfant, atteint de la maladie de
es racines nerveuses. Les méninges sont toujours épaissies, mais la couche sous-pie-mérienne est moins épaissie. Coupe f
es de l'écorce ainsi que des fibres perpendiculaires de la première couche , presque au môme degré dans le lobe occipital q
rents endroits agit sur l'impressionnabilité à la douleur : plus la couche sous-jacente est ferme, plus vive sera la douleur
ous-jacente est ferme, plus vive sera la douleur. L'épaisseur de la couche épidermique a une grande influence sur la sen-
on épidermique est un fait constant dans la maladie : elle se fait- couche par couche, et sur les mains par larges lambeaux)
que est un fait constant dans la maladie : elle se fait- couche par couche , et sur les mains par larges lambeaux). L'érupt
1 Elle est probablement secondaire à la lésion épidermique, car les couches profondes sont moins altérées que les superfici
bénins où la peau a été le siège d'une inflammation moins vive. Les couches profondes de l'épidémie se montrent très foncées,
, parce que les cellules n'y sont pas aussi grosses et que dans les couches superficielles le protoplasma très abondant pre
ndant prend mal la couleur, tandis que les noyaux agrandis dans les couches profondes la fixent davantage. L'exfoliation de
r également l'épaississement anormal de l'épidémie, surtout dans la couche de Malpighi. La coupe B à un plus fort grossiss
t plu- . sieurs de ces modifications. On y remarque l'absence de la couche gra- nuleuse (moyenne ou kératohyaline) (Pl. V)
ai observer l'abondance du protoplasma des cellules à pointes de la couche de Mal- pighi, surtout visible à la partie supé
ue. Dans 1' « epidemic skin disease », les cellules à pointes de la couche profonde ne sont pas notablement augmentées de
rofonde ne sont pas notablement augmentées de volume, tandis que la couche superficielle contient un grand nombre de gross
l'exté- rieur à l'intérieur, envahissant successivement toutes les couches de la peau. Dans un autre cas plus bénin j'ai t
les couches de la peau. Dans un autre cas plus bénin j'ai trouvé la couche la plus superfi- cielle seule atteinte. A un
lé- sions sont limitées aux cellules les plus superficielles de la couche de Mal- pighi. Le cas de Georges Cockson dont
ésentent rien d'intéressant à noter. Sa mère est morte de suites de couches . Son père est bien portant. Il a neuf frères ou
ctuelle. Le samedi soir, 13 octobre 1894, son ser- vice fini, il se couche vers onze heures, comme d'habitude, sans avoir ri
r la ligure. Les membres inférieurs sont enveloppés par une épaisse couche grais- seuse, sans saillies musculaires. Les fe
e qui remonte sur les faces postérieure et latérale du tronc. Cette couche graisseuse fait disparaître les sillons supérieur
nt, qui mourut quelques heures après la naissance. Jamais de fausse couche . Deux mois avant son accouchement, elle avait f
put néanmoins conduire sa grossesse jus- qu'à terme. Les suites de couches furent des plus simples. 1 t 70 NOUVELLE ICON
ce fait que l'hyperes- thésie réside tout particulièrement dans les couches superficielles de la peau. Le mémoire de Fowl
été divisées au bistouri de chaque côté de la crête apophysaire, la couche musculaire fut, à la sonde cannelée et à la rugin
ui est mort à 13 mois d'accidents méningitiques ; à la suite de ses couches elle aurait eu une péritonite et une phtegmatia
douleurs » de l'entre-côte et du fiel » augmentant, il augmente les couches isolantes en se fabriquant d'abord une première
lanc verre, le papier blanc verre servant à la fois à renforcer les couches isolantes et à former avec le caoutchouc et la
é dans du papier collé, au-devant des bronches ; ' . 4° Plusieurs couches de papier collé, au-devant de la poitrine ;' 5°
es causes extérieures ont plus de prise sur vous », il renforce les couches isolantes de sa fameuse cuirasse en caoutchouc,
fameuse cuirasse en caoutchouc, pesant 8 kilogrammes passés, et se couche par terre sur un matelas, dans la position assi
r le corps, à l'exception du pubis et des ais- selles ; une épaisse couche adipeuse continue d'envelopper les reliefs mus-
MME 221 Membres potelés, effilés de la racine aux extrémités. Une couche adipeuse assez épaisse enveloppe tout le corps, e
érieur latéral. 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRIÈRE de la couche optique; que les centres du nerf moteur oculaire
cidée. D'aucuns ont prétendu qu'elle indique la participation de la couche optique au foyer morbide. Je ne voudrais pas me
té, le siège du foyer supposé, dans notre cas, au voisi- nage de la couche optique, pourrait légitimer pareille hypothèse; m
n'a jamais eu de vraie crise.nerveuse. La malade eut son retour de couches au bout de six semaines et les règles se montrè
deuxième accouchement arrêt des règles pendant 3 mois, puis fausse couche . Pas de retour de couches. Deux mois et demi ap
rêt des règles pendant 3 mois, puis fausse couche. Pas de retour de couches . Deux mois et demi après, nouvelle fausse couch
Pas de retour de couches. Deux mois et demi après, nouvelle fausse couche . Puis la malade est ensuite réglée régulièremen
emaines, la malade se trouve de nouveau enceinte et fait une fausse couche de 3 mois 1/2 sans avoir eu de crises. Peu de tem
3 mois 1/2 sans avoir eu de crises. Peu de temps après cette fausse couche arrive une nouvelle grossesse. Cette fois, les cr
mme enceinte de 7 mois ayant déjà eu 5 accouche- ments et 4 fausses couches . La malade est admise dans notre service et on pr
rantes; au lieu des noyaux ronds, petits, réguliers, entourés d'une couche à peu près invisible de protoplasma, qui consti
musculaire. Celle-ci est seulement rendue moins appa- rente par la couche adipeuse sous-cutanée plus épaisse chez 011... qu
52 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
dans la pyèle du liquide trouble, de mauvaise couleur et purulent. Couches épaisses de pus dans la vessie. La moelle dur
t comprimée de la périphérie au centre. Dans les troncules nerveux, couches d'un tissu formé par de grands noyaux fusiforme
jeunes cellules du tissu conjonctif et qui en sont réellement; ces couches concentriques comme les couches corticales de l'o
ctif et qui en sont réellement; ces couches concentriques comme les couches corticales de l'oignon, ne se distinguent pas d
le chez les paralytiques généraux en question, que les fibres de la couche limitante aient diminué ; chez les fous systéma
es, la paroi pos- térieure de la même région semble altérée dans sa couche con- jonctive. Cependant, il serait prématuré d
s l'écorce du cerveau. 11 y avait dans l'espèce prolifération de la couche externe et production d'une tumeur; au sein de
nt en vain, selon Golgi, à découvrir soit dans la disposition des couches stratifiées de l'écorce, soit dans celle de pré-
type général de structure de l'éçorce, c'est-à-dire au type à cinq couches (Meynert), En réalité, Golgi ne trouve dans cet
distinctes de cellules : «, des cellules py- ramidales (ll°, 2e, 3e couche de Meynert); b, des cel- lules fusiformes (5e c
s (ll°, 2e, 3e couche de Meynert); b, des cel- lules fusiformes (5e couche de Meynert); c, des cel- lules globuleuses ou p
des cel- lules globuleuses ou polygonades, à angles émoussés (4e couche de Meynert). Mais il n'a pu reconnaître l'exist
(4e couche de Meynert). Mais il n'a pu reconnaître l'existence de couches stratifiées nettement isolées. Toutefois, si le
les- quelles ne se trouvent presque exclusivement que « dans les couches les plus profondes de l'écorce ». Quant aux cel
ropose de diviser l'écorce cérébrale non plus, il est vrai, en cinq couches , mais en trois : 1° en une couche superficielle
non plus, il est vrai, en cinq couches, mais en trois : 1° en une couche superficielle (slrulo slflJeJjicia'e) comprenant
resque exclu- sivement de petites cellules pyramidales; 2° en une couche moyenne, occupant le tiers moyen de l'écorce, e
les moyennes et grandes, ces dernières surtout au voisinage de la couche suivante; 3° en une couche profonde, ou du dern
ces dernières surtout au voisinage de la couche suivante; 3° en une couche profonde, ou du dernier tiers de l'écorce, où,
ne correspondent-ils pas aux trois premiers strates du type à cinq couches ? La seule réforme valable, et qui est bien dan
l, Golgi, qui nie que les divisions de cette région en sept ou huit couches (Clarke, Meynert, Huguenin) aient aucun fondeme
ence de cellules pyramidales des trois dimensions, surtout dans les couches superficielles et moyennes, de cellules géantes
lules géantes, de grandes cellules solitaires. Ici encore, les huit couches du schéma classique me pa- raissent assez bien
pa- raissent assez bien correspondre aux vagues confins des trois couches stratifiées de Golgi. Voilà pour les faits d'ob
193 remarquer que par toute l'écorce, on retrouve le type à cinq couches , quoique avec quelques variantes dans la dispos
uelques variantes dans la disposition topographique des différentes couches de cellules, Mendel répondait que ce sont préci
scularisation plus abondante des deuxième, troisième et quatrième couches de l'écorce soit en rapport avec le nombre et l
hi, a publié, sur la structure histologique des corps striés et des couches optiques, toute une série d'études bien faites
mie fine du système nerveux '. Dans les corps striés comme dans les couches optiques, Marchi a rencontré les deux sortes de
valent dans les corps striés, surtout dans le noyau caudé. Dans les couches optiques, où coexistent éga- lement les deux ty
ellules nerveuses coexistent dans les corps striés comme dans les couches optiques, Marchi conclut d'abord que des foncti
ire, les cellules du premier type l'emportent décidément dans les couches optiques; il y a donc apparence que les fonctio
iniciens savent aujour- d'hui des fonctions des corps striés et des couches optiques est trop peu de chose, nous l'avons di
, etc., sont rapportés à l'activité normale ou patholo- gique des couches optiques. Les études de Marchi fournissent déjà
elle est à son minimum dans cette région où existe le type à huit couches de Meynert. Cette diminution est si rapide qu'e
l'écorce cérébrale : il faudrait déterminer quelle est celle des couches de cellules nerveuses stratifiées, ou, si l'on
orce, et dans quelle proportion. Il faudrait étudier chacune de ces couches dans leurs éléments cons- titutifs, en noter le
es, du chiasma, des bandelettes optiques, des corps genouillés, des couches optiques et des tubercules quadrijumeaux. Il est
déchéance fort accusée et un ramollissement de la face latérale des couches optiques. Les ban- delettes optiques sont divis
ptiques sont divisées. La face supérieure révèle que les débris des couches optiques sont recouverts d'une traînée informe
ort à huit mois et demi. On constate : une rétraction extrême de la couche optique, du corps genouillé externe et du corps
al. Atrophie secondaire de la pyramide gauche, du noyau moyen de la couche optique et du tubercule quadrijumeau anté- rieu
montre un foyer exclusivement limité à la partie postérieure de la couche optique. - Il est certain que la capsule intern
coupe, on enduit le bloc de la prépa- ration paraffinée d'une mince couche de celloïdine; cette couche sèche très rapideme
la prépa- ration paraffinée d'une mince couche de celloïdine; cette couche sèche très rapidement; on dissout la paraffine
olution concentrée de dextrine, ou de n'en mettre qu'uneUrès petite couche et détacher le surplus avec un morceau de papie
es. Le caur présente de l'épaississement du péricarde, et dans la couche située immédiatement au-dessous, on observe des t
ibres des parties internes des cordons de Goll possèdent déjà une couche de myéline complètement formée, tandis que les
z les reptiles, les oiseaux, et les mammi- fères, incluses dans une couche de substance finement grenue. Les nerfs sensiti
53 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
, notre malade. La mère est enceinte actuellement. - Pas de fausses couches . Notre malade. - Au moment de la conception, ri
al ainsi que ses parois constituantes : corps calleux, noyau caudé, couche optique. Face inférieure. La scissure de Sylv
arde par le ventricule, on constate une atrophie considérable de la couche optique et du noyau caudê. A part cette lésion,
seule fois des convulsions très fortes. Après avoir fait 10 fausses couches , elle aurait eu un enfant sur lequel on manque
nsanguinité ; inégalité d'âge de 10 ans. Deux enfants et une fausse couche : 1° une fille, morte à l'âge de 6 mois, du car
pas de convulsions ; 2° notre malade, et, il y a 2 ans, une fausse couche de 6 mois, par rupture de la poche des eaux dan
nes frontale et occipitale nous trouvons le porus déjà étudié. - La couche optique, CO, et le noyau caudé, NC, sont sans l
es et en vaisseaux. Ce tissu conjonctif existe abondamment dans les couches externes ou superficielles des méninges ; il es
sont, çà et là, en voie de dégénérescence hyaline. . L'examen des couches plus profondes de la méninge révèle un autre as
l'énorme infiltration cellulaire que présentent leurs prin- cipales couches constituantes. Il est, d'abord, facile de const
constater que le maximum des lésions commence au-des- sous de la couche moléculaire externe (couche de fibres tangentie
des lésions commence au-des- sous de la couche moléculaire externe ( couche de fibres tangentielles). Au niveau de la couch
léculaire externe (couche de fibres tangentielles). Au niveau de la couche des petites et des grandes cellules pyramidales
onvolutions moyennement atteintes. Dans d'autres, au contraire, les couches ne sont plus reconnaissables; la destruction a
évolution, semble-t-il. Le feutrage néoformé occupe surtout -les couches superficielles de la substance grise, tout en p
ect très-particulier : le feutrage .névroglique ne forme plus une couche continue ; il s'est creusé çà et là, de lacunes
manquent. Une soeur avait épousé un sourd-muet ; elle est morte en couches à l'âge de 10 ans. - Un oncle paternel, bègue.
cipalement du lobe temporal. - La corne d'Ammon, le corps strié, la couche optique n'offrent rien de particulier, ainsi qu
xiste pas d'aspect chagriné. - La corne d'Ammon, le corps strié, la couche optique sont normaux. Le ventricule latéral est
t demi et beaucoup plus fort. Pas d'oedème. Accouchement à terme, couche sèche. - L'enfant a crié de suite ; elle était as
euse, ainsi que la quatrième temporale. Le ven- tricule latéral, la couche optique (CO) et le corps strié n'ont rien de pa
ds, les plis de passages rares ou nuls. - Le ventricule latéral, la couche optique (CO) et le corps strié n'offrent aucune
it violent, mais ne buvait pas. z Sa mère, vigoureuse, est morte en couches 11. 33 ans. Grand-père paternel, en bonne santé
idents nerveux ni de migraines, ainsi que sa mère, qui est morte en couches . - Il en serait de môme de ses oncles et tantes
conjonctives et les lèvres sont colorées. Sous la peau on sent une couche de graisse assez abondante, sans qu'il y ait ré
, circonvolutions temporales. P, coupe du pédoncule cérébral. CO, couche optique. NC, noyau coudé. VL, ventricule laté
e. CCC, circonvolutions du corps calleux. CC'corps calleux. CO, couche optique. CH, circonvolution de l'hippocampe.
l. CCC, circonvolution du corps calleux. CC, corps calleux. CO, couche optique. CI-I, circonvolution de l'hippocampe.
fronto-limbique. NC, noyau caudé. Tr, trigone. Th, thalamus ou couche optique. ; 'l'm, tubercule mamillaire. ' P, p
54 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e foyer de centres combinés pour l'expression des senti- ments ; la couche optique, en particulier, participe à la réalisati
n des mouvements affectifs ou de l'expression. Quand on excite la couche optique, on accélère la respiration en faisant en
ablement les hémisphères ou qu'on les ait auparavant résé- qués. La couche optique influence aussi les vaso-moteurs et la sé
cré- tion des larmes. Le rire a donc lieu par l'intermédiaire de la couche optique. Le système des fibres, qui relève de c
errom- pant les voies de conjonction entre les zones motrices et la couche optique, a empêché l'arrêt volontaire du rire q
s de la sécrétion lacrymale et des vaso-moteurs. Ce sont encore les couches optiques et les systèmes de fibres qui servent
ents plans cellulaires de la substance grise corticale, dont chaque couche , ainsi que le pensent Horsley et plusieurs autr
oduite dans différentes' directions ne donne ni liquide, ni pus. La couche corticale, mise à nu par le détachement des mem
émoire est constituée par une stratification d'impressions dont les couches les plus profondes sont les plus anciennes, et
our employer la terminologie de Jackson, un état de dissolution des couches les plus supérieures des centres les plus élevés,
e malade est le cadet de la famille. Il est né à ternie, mais les couches étaient longues et pénibles. Un jour, étant enfan
uis on la divise en petites masses que l'on enrobe ensuite dans une couche de gélatine. Chacune des capsules ainsi obtenue
faire comme les autres, mauvaise tenue en classe, à table où il se couche à moitié près de son assiette. Siffle continuel
autres segments de ce même noyau, puis le noyau caudé, et enfin la couche op- tique. Les ventricules sont toujours consid
ouvent des corpuscules dits amyloides. La profondeur de la première couche cellulaire corticale est ordinairement diminuée
ire corticale est ordinairement diminuée, et la présence dans cette couche de nombreuses cellules étoilées, est, comme l'a
nation des mouvements nécessaires à l'opération de manger serait la couche optique (Réthi). M. de Bechterew trouve dans le
r serait la couche optique (Réthi). M. de Bechterew trouve dans les couches optiques un centre pour les mouvements de l'est
rieures. La section isolée, à l'aide du couteau de de Groefe, de la couche REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologique
s souvent le foyer de ramollissement occupe soit le centre, soit la couche cor- ticale d'un hémisphère ; rarement, dans ce
as : ; ? ' débarrassé des caillots adhérents apparaît couvert d'une couche épaisse de tissu adipeux. Les ventricules sont de
l'on rencontre dans cette affection, portant principalement sur les couches corticales superficielles, auront pour effet, s
e, soit d'affaiblir, soit de détruire le pouvoir d'inhibition de la couche sensorielle. laissant les cellules motrices lib
nt, ou encore dans les mouvements intentionnels. - Si la lésion des couches motrices n'est pas assez profonde pour rompre l
avabo (avec une bai- gnoire) et des cabinets d'aisance. L'infirmier couche dans le dor- toir des malades, mais il dispose
re est gonflé, décollé par place de la 326 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. couche sous-jacente; la tunique moyenne devient homogène
des hémorragies interstitielles. Les cellules épi- théliales de la couche de 111alpiâhi au niveau de l'oedème sont très p
e la cou- ronne rayonnante émanés du corps genouillé externe, de la couche optique, du tubercule quadrijumeau antérieur. C
olution en crochet dans le point où elle touche l'insula, etc. La couche optique a des connexions directes, mais exclusive
antérieur et dans le cordon latéral de la moelle dor- sale, en une couche ininterrompue qui entoure la substance grise (z
tendre aux résultats généraux suivants. Voici d'abord le tapetum ou couche de fibres occupant la paroi latérale des cornes
que de fibres du corps calleux lui-même, et se compo- serait d'une couche interne de fibres fines d'un jaune clair, et d'
ait d'une couche interne de fibres fines d'un jaune clair, et d'une couche externe, bien plus large, surtout en arrière, de
res épaisses sont commissurales. Plusieurs des premières gagnent la couche externe, mais elles sont complètement recouvert
égrité du tapetum dans les cas d'absence du corps calleux. Les deux couches passent dans le lobe occipital (Sachs); à la pa
dans le lobe occipital (Sachs); à la partie moyenne de celui-ci, la couche interne a une direction antéro-poslérieure, la
celui-ci, la couche interne a une direction antéro-poslérieure, la couche externe une direction verticale. Cela vient de
d'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 381 transversalement la couche externe du tapetum. Aussi la diffé- rence d'ori
erne du tapetum. Aussi la diffé- rence d'orientation entre les deux couches est-elle bien moins frap- pante dans le lobe te
eux systèmes de fibres suivent l'arc d'inflexion du noyau caudé. La couche interne s'étend dans la corne postérieure, depu
le lobe tem- poral, elles arrivent, du reste comme les fibres de la couche externe, aux parties homologues du segment infé
sales s'entrelacent avec celles du corps calleux. Sur les côtes, la couche des fibres s'étale en s'amm- cissant jusqu'au n
du noyau caudé à la base duquel il se termine gra- duellement ; une couche interne correspondante visite la .paroi médiane
aroi médiane du lobe occipital présente, du côté du ventricule, une couche ininterrompue de fibres du corps calleux ; en a
antéro-iatératement pour former en cet endroit l'ancienne quatrième couche de Meynert dans la substance innominée. Et l'on
oduit pas de dégénérescence du ruban de Reil quand on a épargné les couches optiques. Le ruban de Reil ne va donc pas direc
ban de Reil ne va donc pas directement à l'écorce, il passe dans la couche optique (théorie de Mahaim). P. K. XLVII. DES p
ns de la région sublhalamique, et peut-être les zones basales de la couche optique notamment le globule pallidus du noyau
érie, à travers les neurones de la moelle, du bulbe, etc., dans les couches corticales. Nous nous sommes efforcé d'accu- mu
s points d'autres neurones conduisent l'impression sensible dans la couche optique, de la couche optique par un nouveau ne
ones conduisent l'impression sensible dans la couche optique, de la couche optique par un nouveau neurone dans le cerveau,
dans les noyaux grêles, cunéiformes, etc., dans les neurones de la couche optique dont l'extrémité cylindraxe vient se mett
récédents, dans les neurones de l'écorce qui unissent à celle-ci la couche optique, etc. Mais si la dégénérescence primiti
une cellule dont le prolongement cylindraxe va se terminer dans la couche optique, et dont les dendrites se mettent en co
substratum est dur, plus violente est la douleur.-L'épaisseur de la couche épidermoïde exerce une grande influence sur la
opposé, mais c'est parce qu'alors il y a lésion concomitante de la couche optique du même côté qui est la voie de communi
façon d'un globe creux, ils sont en continuité au moyen d'une large couche optique intermédiaire. Chacun d'eux est aussi a
opposé. La bandelette optique correspondante est recouverte d'une couche de fibres bien conservées assez uniformément disp
s la substance grise de la paroi latérale du cerveau intermédiaire ( couches optiques) qui, en dedans du corps genouillé tha
osité donnât naissance aux fibres optiques qui se terminent dans la couche granuleuse interne de la rétine à l'état de ram
a respi- ration, par de Bechterew et Os- tankow, 226. La - et les couches optiques, par de Bechterew, 226. Délirante. E
55 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dire ainsi, en ce sens que sur une hauteur déterminée toutes les couches du vaisseau se sont transformées en un maigre tis
ibres élastiques et cellules musculaires des membranes extérieures, couche lamellaire de la membrane interne, tout est dis
cellule, il y a des alté- rations profondes des fibres fines de la couche superficielle de l'écorce, des fibres myéliniqu
ue réduits à leur cylindraxe ». Cette prolifération nucléaire des couches corticales dans les lésions avancées se propage
ues. Elle est mariée, mère d'une fille bien portante. Pas de fausse couche . Le commencement de la maladie remonte à l'été
N'a jamais eu de maladie vénérienne. Pas d'enfant, pas de fausse couche . Son mari est chez un marchand de vins, mais ni
pupillaire. a Mariée à 35 ans, n'a jamais eu d'enfant ni de fausse couche . Pas 'de maladie vénérienne. En 1887, elle buva
ent ? Une partie du ruban de Reil se termine probablement dans la couche optique ; après avoir traversé transversalement l
irectement en dendrites finales. Les cellules de cette région de la couche optique sont indubitable- ment reliées à la par
es des trous- seaux latéraux du ruban de Reil principal) va, par la couche optique, directement à la capsule interne. P. K
ule est le noyau avec son nucléole ; autour du noyau, se trouve une couche concentrique d'éléments chromatophiles qui, à l
e dans les noyaux lenticulaire et coudé du côté droit, et dans la couche optique du même côté. Deuxième cas. - Un homme,
res; - f. III. l'anyemenls; - 'I'. IV.' Soins adonner aux femmes en couches . Soins à donner aux aliénés. Petite pharmacie. Pe
ndre l'action irritative de la méningite sur la corticalité, que la couche la plus superfi- cielle de l'écorce, la couche
corticalité, que la couche la plus superfi- cielle de l'écorce, la couche des fibres tangentielles, celle qui est immédia
ans, l'autre sept ans après Son mariage. Il n'y a pas eu de fausses couches . Aucun signe pouvant faire songer à la syphilis s
au toucher, sèche, légèrement par- cheminée et couverte d'une mince couche de fines lamelles épider- miques argentées. Les
eu très probablement la syphilis donnée par son mari. Pas de fausse couche . Cinq mois avant son entrée D... Cécile perdait
détruites. Au milieu, comme en un tronc d'arbre coupé, on voit une couche jaune, la pulpe, entourée d'un tissu blanc gris
ur son début. Les ongles des doigts présentent une stratification à couches friables, ils sont jaunes. Dents légèrement usé
imaux (macaques, chiens, chats, lapins, cobayes, boeufs, poules) la couche granuleuse superficielle fait souvent défaut; l
poules) la couche granuleuse superficielle fait souvent défaut; la couche granuleuse profonde n'existe pas, sauf chez le
ant centre vaso-moteur des vaisseaux cérébraux existe sous forme de couche diffuse placée entre le thalamus et la région s
deux lobes. Noyau rouge droit légèrement plus petit que le gauche. Couche optique gauche beaucoup plus petite que la droi
rement les grosses cellules pyramidales de la deuxième et troisième couche . Un neurone sur 5 environ était flétri avec ami
tion artificielle, etc., etc.); T. IV. Soins à donner aux femmes en couches . Soins à donner aux aliénés. Petite phar- macie
pf m'enveloppait, je la voyais, je la sen- tais ; c'était comme une couche de quelque chose de mauvais* conducteur qui m'i
re des polyaxones dans les ganglions viscéraux du sympathique, la couche moléculaire du cerveau (cellules de Cajal). Mais
sans se bifurquer (corpuscules de Vater, fibres paral- lèles de la couche moléculaire du cervelet, etc.), soit en se rami-
ondamentale aurait une structure alvéolaire. En particulier dans la couche marginale, libre de granules, de fines granulatio
et van Gehuchten ont en effet trouvé ces éléments : ils occupent la couche moyenne de ces ganglions; ce sont de petites ce
l y Cajal conjecture que ces fibres agissent sur les cellules de la couche ganglionnaire de la rétine, non pas directement
ngements proto- plasmiques des spongioblastes, si abondants dans la couche molé- culaire interne de la rétine : « On peut
s fonctions de ces fibres centri- fuges, à quelque influence sur la couche du pigment ou sur la nu- trition de la rétine.
fibres de ce nerf se terminent, au moins en grande partie, dans la couche moléculaire ou superficielle de l'écorce. Or, p
t, ces fibres émettent nombre de collatérales qui pénètrent dans la couche moléculaire et qui s'y arborisent tout à fait d
tivité des excitations nerveuses ». THÉORIE DES NEURONES. 385 Les couches superficielles de l'écorce du cerveau et du cerve
prolongements nerveux souvent multiples, qui appartiennent à cette couche , etc. De même, dans l'écorce du cervelet, la co
iennent à cette couche, etc. De même, dans l'écorce du cervelet, la couche moléculaire est jusqu'à sa surface traversée pa
au moins ceux de la racine olfactive externe, s'arborisent dans les couches superficielles des territoires corticaux, là où
la peau environnante, dans une assez grande étendue, d'une épaisse couche de coton bien arrosée de liniment oléo-calcaire
âgée de trente et un ans. Hérédité psychopathique. Les dernières couches eurent lieu le 25 mars 1896 ; la ma- lade allai
t que le cervelet et la tige cérébrale, avec corps quadrijumeaux et couches optiques difformes et couverts de méninges; qua
isceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux jusqu'aux couches optiques, les faisceaux de Gowers jusqu'à la prot
de connexion entre le cervelet et les noyaux de la tige cérébrale ( couche optique et noyau lenticulaire), l'auteur considèr
comme un trouble d'équilibre dans les fonctions établies entre les couches optiques et le cervelet. La soustraction du sys
braux; on peut suivre de la dégénération de ces faisceaux jusqu'aux couches optiques. De ces observations, l'auteur tire le
femme n'a jamais UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 435 eu de fausse couche . Il n'est pas rhumatisant, n'a jamais eu de fiè
hnomorplie ; telle autre est pâle, surtout à la paroi externe de la couche olivaire; dans certains cas le cylindraxe est d
es fibres qui vont de la région frontale supérieure ou moyenne à la couche optique. Donc, toute dégéné- rescence secondair
consécutive à des lésions frontales, dans la racine antérieure delà couche optique, indique que la région pré- fontale est
optique, indique que la région pré- fontale est en rapport avec la couche optique, aec plzc>w; il n'y a que des lésion
ation dans toute leur étendue s'unissent avec le noyau médian de la couche optique, par quelques fibres de projection isol
ères seusorio-corticales, tant que le rapport du noyau médian de la couche optique avec les conducteurs senso- riels ne se
rieure de cette masse grise, montent en haut et en arrière dans la couche optique, passent par la capsule interne, et le se
t par le tronc du cerveau entier, et peuvent être suivis jusqu'à la couche optique. Le trajet du faisceau de Gowers est,
ginales du cordon latéral de la moelle cervicale et probablement la couche optique. Un autre trousseau tbalamospinal parti
tête des coussins remplis de paille et en les recouvrant d'uneléère couche demousse. Toutefois, on fera bien d'économiser
lorsque le lit est rempli uniquement de mousse. Le lit préparé, on couche le malade en plaçant la tête sur un oreiller or
s immédiatement sur la mousse. Trois fois par jour, en enlève les couches salies de mousse et on les remplace par des cou
, en enlève les couches salies de mousse et on les remplace par des couches propres. Pendant ce temps on met le malade sur
t que pendant toutes les manipulations nécessaires pour enlever les couches salies de mousse, aucune mauvaise odeur ne se rép
uccèdent au rap- pel de la vie chez les pendus, par Kompe, 498. Couche optique. Anatomie de la racine antérieure (le l
56 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
cette dernière maladie, elle n'a jamais été alitée que pour quatre couches qui se sont passées sans incident. Ses règles éta
f, sur le vivant, peut s'accuser encore très nettement à travers la couche musculaire mince et étalée que représente le gran
fois telle qu'en enlevant l'os, il est arrivé de le fracturer. La couche compacte de la diaphyse est parfois nettement dim
ent parfois très accusé des canaux de Havers, la di- minution de la couche compacte de l'os, et la raréfaction du tissu spon
rimitif de la Personnalité, mis au jour par le bouleverse- ment des couches supérieures de notre stratification psychique.
et bien fournis, mais les fibres sont d'une ex- trême minceur, les couches cellulaires sont tassées ; les éléments en sont n
a pas de surcharge pigmentaire. 90 Autres cellules nerveuses. - a) Couche moléculaire, très diminuée de hauteur, sans dou
prolongements des cellules de Pur- kinje qui se perdent dans cette couche . De plus, les cellules nerveuses de cette même
nt dans cette couche. De plus, les cellules nerveuses de cette même couche sont petites, souvent étoilées, moins nombreuse
égulières en stries ou en colonnes, qu'on observe normalement. b) Couche des grains. Qu'on examine ces grains un à un, ou
et riches en fibres myéliniques) portant sur les fibres fines de la couche des grains, sur le faisceau axial de chaque lam
111 : ftÉDO-ATAlIE CÉRÉBELLEUSE 137 de Purkinje et ses différentes couches de l'écorce s'atrophient et dispa- raissent, sa
larges espaces. Les filaments qui relient la paroi du vaisseau à la couche sclérosée qui borde l'espace périvas- culaire,
eau de la calotte protubéran- tielle immédiatement en arrière de la couche des fibres sensitives, au-des- sous de l'entrec
aissé (fig. 1). · Le tuberculome dans sa hauteur, sans atteindre la couche optique, faisait lé- gèrement saillie dans le p
existence des lésions destructives dans le ruban de Reil et dans la couche optique gauche. Dans les derniers jours de la v
ouva à l'examen microscopique un petit tubercule sié- geant dans la couche optique du même côté. Or dans le cas en question,
che optique du même côté. Or dans le cas en question, c'est bien la couche optique qui doit être incriminée; Edinger, Mann,
tres montrent leurs cellules proliférées et disposées sur plusieurs couches . A mesure qu'on approche du centre cette prolif
immédiatement frappé par le grand nombre de corpuscules calcaires à couches concentriques. Ces cor- puscules très brillants
e, moins long, mais plus large, occupe le quart antéro-externede la couche optique. Tubercules mamillaires et glande pinéale
mie avec palpitations à la puberté. Elle n'a jamais fait de fausses couches , et ses enfants sont nés à terme et bien constitu
infiltrée de globules de sang et de pus ; elle est recouverte d'une couche de pus. Les vaisseaux et surtout les veines ont
e MÉNINGO-ENCÉPHALITE DIFFUSE ET HÉMIATROPHIE CÉRÉBELLEUSE 235 se couche en sphinx, le corps légèrement incliné à droite.
tie la plus su- perficielle du cortex une bordure épaisse; toute la couche moléculaire est en- vahie par de grosses cellul
autour du noyau. La névroglie est hy- perplasiée par places dans la couche moléculaire. 2° Lobe gauche. Les lésions inflam
'un tissu de sclérose névroglique avec conservation partielle de la couche de grains. Partout, les vaisseaux sont atteints
strués par des cellules embryonnaires. Fig. 2. Lobe frontal gauche, couche moléculaire. Prolifération névroglique (méthode
e il s'agit d'un épanchement liquide plus ou moins profond dans les couches anatomiques de la peau, lequel liquide se résor
s rapporter les observations et entre les deux premiers, une fausse couche de 3 mois. Actuellement c'est une femme de peti
nner en nous basant sur les crises convulsives du père, les fausses couches et les tibias de la mère, l'état du fond d'ocil
surtout à la partie postérieure. Là, les vaisseaux constituent une couche sur plusieurs assises, couche com- pacte qui re
re. Là, les vaisseaux constituent une couche sur plusieurs assises, couche com- pacte qui remplit presque tout l'espace in
plit presque tout l'espace inter-méningé. Mais l'épaisseur de cette couche vasculaire ne provient pas seulement de la format
portantes. Elle ne renferme plus, sauf excep- tion, les différentes couches habituellement décrites : une assise génératrice
381 les assises du corps de Malpighi ; ce qui existe seul, c'est la couche cornée, disposée en assises, plus ou moins nomb
examine des champs de plus en plus voisins de la tumeur, on voit la couche génératrice perdre peu à peu ces caractères : ell
nct, le plus souvent, de la tumeur sous- jacente. L'existence de la couche cornée a été vue et nettement mentionnée par Zi
cohérent, dans lequel prédominent nettement les vaisseaux. Cette couche vasculaire se retrouve sur toute la périphérie de
V-E). L'interprétation de ces dispositions s'impose à l'esprit : la couche vasculaire correspond nettement à la gaîne péri
gion superficielle correspondant à la pie-mère; au-dessous de cette couche , est disposée une masse assez compacte où prédo-
e ou deux, puis mises dans un cristallisoir et baignées d'une haute couche (2 travers de doigt) de collodion non riciné et
oncentre peu à peu. Quand il commence à durcir on le recouvre d'une couche d'alcool à 90°. Le collodion. durcit en quelque
emier coup. D'autres fois il faut le chercher au-dessous d'une légère couche de myéline qui le recouvre. Il apparaît comme
raxes et de nombreux prolongements protoplasmiques. Enfin dans la couche toute superficielle les fibres de névroglie forme
bles. Depuis que le malade s'est alité, il n'a jamais pu quitter sa couche . Lorsqu'il avait des douleurs, il avait l'habit
tent nettement et, vers le bas, commencent à se calcifier. Ces deux couches forment ensemble une mince zone bleuâ- tre tran
mince zone bleuâ- tre translucide de 1 à 2 millimètres d'épaisseur ( couche chondroide). c) Ligne d'ossification (Couche os
llimètres d'épaisseur (couche chondroide). c) Ligne d'ossification ( Couche ossiforme). Elle se présente comme une mince zone
stitueront l'os définitif. 2° OM ? ca<K) ? ët' : os<<e. La couche ostéotçène est constituée par une substance fon
persistantes (d) qui, mêlées aux travées os- seuses, constituent la couche ostéoide. Fio. 12. Dysplasie périostale. b) z
t calcifiée. Fio. 15.- Achondroplasie. Ossification périoslale p) couche fibreuse du périoste. o) couche régulière des ost
oplasie. Ossification périoslale p) couche fibreuse du périoste. o) couche régulière des ostéoblastes tapissant les travée
éralement épais et riche en cellules, mais ne recouvre qu'une mince couche de tissu compact. De sa face profonde partent d
régulière- ment disposées sous le périoste et ne constituent qu'une couche discontinue (voy. pl. LVI, fig. 19). Dans le
et formés par une masse de cellules indifférentes entourées par une couche ectodermiquecomplète.Pendantla semaine suivante
Dejerine (fig. 407, anatomie des centres nerveux), on voit que les couches superficielle et profonde de l'étage antérieur de
'y a pas la plus petite lésion. Corticalité cérébelleuse. Les trois couches de la corticalité cérébelleuse sont atrophiées
e les cellules de Purkinje conservées sont en plus grand nombre. La couche intermédiaire se fait remarquer non seulement p
ique ; les noyaux de glia y sont très nombreux et y constituent une couche à épaisseur irrégulière presque ininterrompue :
ncore existantes ou en voie de disparition. La partie interne de la couche moléculaire contient encore un nombre dis- cret
t encore un nombre dis- cret de fibres nerveuses. Le feutrage de la couche granuleuse et le feutrage sous-purkinjien sont
x entourés d'un large anneau de glia et les septa qui partent de la couche sous- pie-mérienne beaucoup plus épais que d'or
ussi une paroi plus épaisse et plus homogène qu'à l'état normal. La couche névroglique sous-pie-mérienne forme une lisière a
ules de Purkinje et augmentation de la nevroglia au niveau de cette couche ; dégénérescence de différents fais- ceaux dans
fférents fais- ceaux dans la moelle; lésion de la pie-mère et de la couche névroglique sous-pie-mérienne ; lésions vascula
nt bien portants et bien conformés. Sa mère est morte des suites de couches au moment de sa naissance ; son père, très vigour
Les cellules cartilagineuses sont beaucoup plus nombreuses dans les couches profondes de la lamelle que dans la zone superf
dans la zone superficielle. Au-dessous de ce cette bande existe une couche , six à huit fois plus épaisse, qui est composée
encore des groupes de cellules cartilagineuses qu'entoure une mince couche de substance hyaline. Toute la surface du massi
rquer par son abondante vascularisation. En résumé, il existe une couche de cartilage hyalin comparable par sa struc- 63
la tumeur, dans le reste de sa superficie était revêtue d'une mince couche d'os compact, précisément comme dans s les cas
tance assez relative. La superficie des exostoses est revêtue d'une couche mince d'os (1) \Ve.Tnan, loc. cit. 644 SlhioN
épendymaires sont conservées en majeure partie et recouvertes d'une couche de détritus protoplasmatiques contenant des mic
otoplasmatiques contenant des microbes divers. L'épendyme forme une couche d'un millimètre et demi d'épaisseur, formée de fi
tal les cel- lules épendymaires ont disparu en quelques points ; la couche superficielle se compose de cellules rondes et
. 5) de quelques millimètres d'épaisseur. Séparés de ce pus par une couche de tissu très infiltrée on voit tous les vaisseau
Les plexus cho- roïdes sont à ce niveau recouverts par places d'une couche épaisse de pus, mais eux-mêmes ne participent p
une série d'altérations similaires mais plus accentuées encore. La couche des grains est entourée de vacuoles très volume-
aladie au cours de sa vie, a mené à bien sept grossesses, sans fausse couche intercurrente ; elle a été mariée à un homme de
parties de la peau, à l'exception des assises superficielles de la couche cornée qui persistent et constituent autour de la
57 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue : une période d'acmé, et une période de régénération osseuse. La couche corticale externe de l'os trahit une résistance
grands parents. Sa mère est morte à trente-quatre ans, de suite de couches . Le père est mort d'accident. Rien à signaler c
ans, est atteinte du tabes dorsalis depuis six ans. Eut une fausse couche . ^Marche bien et n'a jamais présenté de. l'inco
ée. Mue Lem..., ménagère, âgée de trente-neuf ans, mariée, fausse couche il y a dix-sept ans. Pas d'enfants. Fut prise au
nts de vingt-quatre, vingt et un et quatorze ans. Eut trois fausses couches . Au commencement du mois d'octobre 1898 la mala
ont les fibrilles sont transverses ou obliques, tantôt groupées par couches , au nombre de deux ou trois, dont la plus inter
grossesse, le ptyalisme s'est prolongé neuf à dix jours pendant les couches . Il y a quelques années, elle est atteinte sans m
o-glandulaire du suc gastrique est exclusivement nerveuse. D. - Les couches optiques et les tubercules quadri junteatcx ant
en évidence par l'atrophie dite parenchymateuse du cervelet, d'une couche cellulaire innommée de la corticalité cérébelle
d'Unna, montre que la disparition des cellules de Purkinje et de la couche des grains met en vue une couche cellulaire jusqu
des cellules de Purkinje et de la couche des grains met en vue une couche cellulaire jusque-là non décrite. Dans les phot
ns les photomicrographies présentées par les auteurs, on voit cette couche de cellules apparaître au sur et à mesure que l
les grains se raréfient. Elle apparaît à la partie extérieure de la couche des grains, formée par des cellules dont les noya
s-unes de ces cellules sur un cervelet normal, à la limite des deux couches moléculaire et granuleuse autour des cellules de
Purkinje, pensent qu'il s'agit de grandes cellules étoilées de la couche des grains, cellules qui s'étendent jusqu'à la pa
grains, cellules qui s'étendent jusqu'à la partie pro- fonde de la couche moléculaire, comme l'ont démontré Golgi, Ra- z
t déjà pu voir qu'elles sont décélables par le carmin sous forme de couche continue ; mais c'est la méthode de Nissl qui l
especterait seulement les cellules de relation, si toutefois, cette couche innommée est celle des cellules de relation de
nnelle secondaire pour les grains et les cellules de Pur- kinje, la couche innommée, probablement de cellules de relation,
e l'écorce d'un foetus de chien presque à terme, on distingue trois couches : une couche supérieure super- ficielle, très é
n foetus de chien presque à terme, on distingue trois couches : une couche supérieure super- ficielle, très épaisse, compo
en rangs serrés per-. pendiculaires à la surface de l'écorce ; une couche très mince inférieure ou profonde, à la limite
nce blanche; qui se compose d'éléments fort semblables à ceux de la couche supé- rieure ; une couche moyenne, qui prend de
e d'éléments fort semblables à ceux de la couche supé- rieure ; une couche moyenne, qui prend de l'ampleur aux dépens 150
des deux autres, et comprend des éléments plus développés. Cette couche est la plus colorée, les éléments y sont moins no
ulbe et de la protubérance, tandis que les éléments des deux autres couches sont plus semblables aux noyaux secondaires. On
emblables aux noyaux secondaires. On trouve cependant aussi dans la couche moyenne des noyaux secon- daires qui s'applique
pour leur former un bonnet. Les cordons de cellules qui forment la couche supérieure se transforment en cordons de fibres
transforment en cordons de fibres, dont chacune pénètre dans les couches profondes, atteint un noyau primitif, et se parta
en décrivant des arcs de cercles à concavité postéro-externe, à la couche médiane de l'aire du faisceau de REVUE D'ANATOM
antes, dans la partie supérieure de la moelle cervicale, forment la couche médiane du faisceau de Gowers. 11 est aussi pro
res des régions de l'autre côté éloignées du centre, tandis que les couches médianes du même faisceau sont en grande partie
me intérieur du cordon latéral de Ziehen : ce dernier monte dans la couche limitrophe externe de la substance grise et dan
ATHOLOGIQUES. plus nette au niveau du bulbe, qui tient à ce que ses couches mé- dianes émanent des neurones voisins du cent
es couches mé- dianes émanent des neurones voisins du centre et ses couches externes, des neurones éloignés. D'après les po
ble, ne vont que jusqu'au toit des tubercules quadrijumeaux et à la couche optique. La même distance est parcourue par les
sement des travées osseuses et irrégularité dans la disposition des couches des cellules cartilagineuses du cartilage d'enc
tamment sur le trajet des sillons. Légère hydrocéphalie externe. La couche corticale est quelque peu amincie, surtout dans
e). Prolifération des noyaux de la substance névroglique dans les couches corticales profondes, avec tuméfaction des cellul
ndes, avec tuméfaction des cellules névro- gliques en plus dans les couches superficielles et dans la subs- 164 ' SOCIÉTÉS
uis me dit spontanément que depuis la mort de sa mère, dès qu'il se couche le soir et ferme les yeux, il se sent étouffé,
. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec dégénération des couches cellulaires profondes de l'écorce, et diagnostiqu
traverse la joue en trois minutes. Elle semble ne pas traverser une couche musculaire de un centimètre d'épaisseur, ou plutô
tre d'épaisseur, ou plutôt on peut penser qu'après avoir pénétré la couche en question, elle a perdu son action sur les pe
de la diallièse syphilitique laquelle se manifesta par une fausse couche de sa femme non contaminée. Du délire de Grosse
al. Peu après cet examen, la malade se sent mal à son aise; elle se couche et, à peine au lit, elle est prise de convulsio
de se plaint toute la'matinée de vertiges et de ma- laise ; elle se couche vers midi, sans vouloir rien manger. A 2 h. 1/2
pres- crit de se mettre au lit, elle se déshabille toute seule, se couche et se tient tranquille, sans cesser de répondre
us forme de filaments, plus ou moins oblongs, disposés en plusieurs couches autour du noyau. En dehors de cette zone centra
lis. Cependant, neuf mois après son mariage, elle a fait une fausse couche , à la suite d'une chute, assure-t-elle. Il y a
irconstances signalées pré- cédemment : la malade a fait une fausse couche ; son mari est affecté du tabes, et, dans la trè
nd naissance dans la cou- che la plus interne de la rétine, dans la couche dite des cel- lules nerveuses. Les prolongement
à l'écorce du pulvinar, c'est-à-dire à la partie postérieure de la; couche optique. De ces trois territoires d'aboutisseme
és : Des neurones périphériques, leur origine est dans la rétine ( couche des cellules nerveuses), et leur aboutissement da
e. Le neurone central ne serait autre que la cellule nerveuse de la couche ganglionnaire, rétinienne et son prolongement l
rnes, tubercules quadrijumeaux antérieurs, partie postérieure des couches optiques. ' Les autres pénétrant directement da
Cal, scissure calcarine. 454 CLINIQUE NERVEUSE. .postérieur de la couche optique, de faisceau optique intra- cérébral (T
icule latéral. Il est séparé de ce ventricule par le tapetum, mince couche de substance blanche, formée par des fibres qui
, par le corps genouillé externe et par la partie postérieure de la couche optique (pulvinar), sont de véritables postes d
contraire, les lésions qui inté- ressent la partie postérieure des couches optiques donnent incontestablement lieu à de l'
n du corps genouillé externe Cge, ou de la partie postérieure de la couche optique, du pulvinar P, est toujours homonyme.
qui bientôt doit rentrer, ne pourrait pénétrer dans le logis. Il se couche habillé, après avoir écrit quelques mots sur un
58 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s accidents à la « force du sang » ; ils cessèrent à la suite d'une couche . Très active, prompte à se mettre en colère, el
ien portante, mère de sept enfants en bonne santé; l'autre morte en couches à quarante-sept ans. Un frère mort de fièvre ty
symptomatiques . Paris, 1876. Lafforgue, Rapports des lésions de la couche optique avec l'hémianesthésie d'origine cérébra
ions de sensibilité, la protubérance (Gordy, Longet, Vulpian) ou la couche optique (Carpenter, Luys, Broadbent), ne saurai
au- dessus de la protubérance par conséquent, et en dehors de la couche optique, peut en interrompant la conductibilité c
onge plus à y placer le siège des sensations conscientes. Quanta la couche optique, pas plus la pathologie (Luys) que l'ex
leur avait départi. Cette ques- tion des fonctions sensitives de la couche optique a d'ailleurs été très longuement et for
es nerfs opti- ques et peut-être olfactifs, paraissent traverser la couche optique avant de gagner la couronne rayonnante.
e donc établi que les impressions sensitives sont per- çues par les couches corticales du cerveau. De la périphérie à l'éco
s optiques et dont les fibres émanées des corps genouillés et de la couche optique côtoieraient celles du premier faisceau
7 . REVUE CRITIQUE. postérieur et des deux tiers antérieurs de la couche optique; en examinant un hémisphère, on se conv
çoit bientôt un certain nombre de fibres, qui lui viennent de la couche optique et des corps genouillés, et qui sont la c
qui s.ont comme l'épa- nouissement de la couronne ; 3° enfin de la couche grise des circonvolutions, aboutissant ultime d
difficilement à tout le système sensitif cortical, en revanche les couches grises peuvent être le siège de troubles passager
s certaines influences (nerveuses et peut-être aussi toxiques), les couches corticales sont momenta- nément troublées dans
y a simplement compression du faisceau par une lésion de voisinage ( couche optique, noyau lenticulaire), et, comme une com
ernier groupe qu'on doit ranger les observa- tions de lésions de la couche optique, considérées à tort par quelques auteur
elles des fibres de la sensi- bilité spéciale qui proviennent de la couche optique et des corps genouillés. Et nous avons
ue du système sexuel (vierge ou non, nombre découches et de fausses couches ); 4° forme de la'mala- 180 PATHOLOGIE MENTALE.
, se divisaient comme suit : vierges, trente-une; n'ayant pas eu de couches , quarante-une; ayant eu des couches, soixante-h
, trente-une; n'ayant pas eu de couches, quarante-une; ayant eu des couches , soixante-huit (dans ce nombre trente-huit étai
s après la ménopause, il y avait : vierges, deux; n'ayant pas eu de couches , quatre; ayant eu plusieurs couches, quarante-q
ierges, deux; n'ayant pas eu de couches, quatre; ayant eu plusieurs couches , quarante-quatre (dans celles-ci, neuf avaient
s, quarante-quatre (dans celles-ci, neuf avaient eu de huit à douze couches ). Les formes des maladies mentales dans le grou
es (trente-trois vierges, cinquante-cinq femmes qui n'ont pas eu de couches et cent douze qui en ont eu (de une jusqu'à dou
aginite, etc. Au contraire, dansée groupe des femmes qui ont eu des couches , les formes gynécologiques deviennent beaucoup
effet, sur seize aliénées de la même catégorie qui n'ont pas eu de couches , on rencontre les affections génitales dans tro
t constatées quinze fois, et c'est chez celles qui ont eu plusieurs couches (de huit à douze) qu'on voit les lésions sexuel
d'une provenance évidemment puerpérale. Il en résulte donc que les couches et leurs consé- quences, de même que les autres
ette complication de- vient beaucoup plus rare. La grossesse et les couches influent considérablement sur le. degré de fréq
s, très faibles, augmentent considé- rablement l'excitabilité de la couche corticale du cerveau, on sera nécessairement co
ignon qui était en contact avec l'os iliaque est recouverte d'une couche de tissu fibreux rappelant le fibro- carhlage.
d'un jaune terne, constituée par un exsu- datfibrineux organisé en couches mesurant par place plusieurs millimètres, qui p
s indurées. Au microscope, on sociétés savantes. 2t7 constate une couche de tissu conjonctif dont les libres résistantes
s blancs pour se masturber ; rêves de tabliers blancs ; quelquefois couche avec le tablier blanc ; trois condamnations pou
présentait à l'oeil comme une projection en fuseau de la moelle; la couche superficielle était composée de substance médul
i^ç'é bjan'che a tel j point '.qu'il n'en restait plus qu'une mince couche .. ,1 ? ? Pins bas la tumeur prenait une forme c
328 RECUEIL DE FAITS. et 5) qu'il n'en restait plus qu'une mince couche qui recouvrait, à peu près, les deux tiers inte
rait, à peu près, les deux tiers internes de sa périphérie. Cette couche avait la forme d'une faux, étroite au milieu, lar
sissement de la tumeur (fig. 4). Fig. 7. Concrétions cristallines v couches concentriques (de la fiq. 5). Fig. 8.- Représen
ce occipito-tem- porale gauche, ainsi que la lésion partielle de la couche op- tique gauche (pour ne rien dire de la lésio
ingées REVUE DE PATHOLOGE MENTALE. 397 et des modifications de la couche corticale qui accompagnent les adhérences. Dans
sement de la tumeur (fig. 4). . Fig.7. - Concrétions cristallines à couches concentriques (de la fig. 5). Fig. 8.-Représent
59 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
ention. L'enfant vit encore, comme tous les autres. Les suites de couches étant régulières, le onzième ou douzième jour la
u; c'est seulement à la périphérie que l'on voyait des vestiges des couches les plus profondes de la cornée; cette membrane é
amelons fongueux, ulcérés, enduits d'une sanie sanguinolente ou d'une couche de pus concret. — Elles sont humides et sécrètent
s variétés : Tantôt les cellules de l'épithéliôme sont disposées en couches stratifiées, comme cela a lieu dans la muqueuse b
antôt elles sont cylindriques et généralement ne forment qu'une seule couche . Dans le premier cas, on a Y épithéliôme paviment
iers dans lesquels, de la périphérie au centre, on reconnaît dans les couches stratifiées de l'épithélium une évolution semblab
c. Les parois abdominales très amincies sont successivement incisées, couche par couche, jusqu'au péritoine, sur lequel on pra
is abdominales très amincies sont successivement incisées, couche par couche , jusqu'au péritoine, sur lequel on pratique une b
manœuvre, la face antérieure de l'utérus étant accessible fut incisée couche par couche jusqu'au moment où apparurent les memb
a face antérieure de l'utérus étant accessible fut incisée couche par couche jusqu'au moment où apparurent les membranes. La p
mité de la canule qui les engaînait. Le contact fut immédiat pour les couches musculaires les plus rapprochées de la cavité uté
uches musculaires les plus rapprochées de la cavité utérine, mais les couches les plus rapprochées de la séreuse restèrent sépa
s parties voisines. Les os même peuvent être atteints et de nouvelles couches osseuses se développent sous le périoste; il y a
r, et se termine au pli de l'aine. L'épaississement de la peau et des couches sous-cutanées empêche de constater l'état des gan
ue, en arrière, avec la sous-cloison du nez. Il est recouvert par une couche muqueuse sans revêtement cutané; il n'y a en ce p
pour l'étude histologique à M. Ranvier. A la surface, on trouve une couche d'épithélium à cellules cylindro-coniques ; cette
n trouve une couche d'épithélium à cellules cylindro-coniques ; cette couche est régulière; les cellules les plus superficiell
ie encore plus précieuse des hommes : elle multiplie les blessures et couche sur le sol une foule de combattants braves et vig
iles, partout séparées l'une de l'autre, et qui livrent passage à une couche d'air sans cesse renouvelée, qui contribue puissa
de petits trous, qui le divise au moment où il pénètre et s'étend en couches vers le plafond. La fenêtre anglaise à guillotine
au poids de l'hémisphère droit. Dans les parties correspondantes, la couche comprise entre la péri- (1) Voir page 15 3. p
ent une particularité curieuse : quand on incise avec précaution leur couche superficielle, on voit sortir de la sérosité cont
Le ventricule latéral est un peu dilaté. La queue du corps strié, la couche optique, dans une largeur de trois millimètres en
antiasis débutant par les téguments et envahissant successivement les couches les plus profondes des membres. Déformation du
he antérieure; accouchement naturel, délivrance facile. Les suites de couches ne présentent rien à noter. La malade allait bien
aires. La langue est très sèche et cornée ; les dents couvertes d'une couche épaisse et adhérente. Le ventre n'est pas ballo
60 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fille, 7 ans, 11° fille, 5 ans, bien portantes. - Pas de fausses- couches . Notre malade. Au moment de la conception, rien
alité d'âge de 3 ans. (Père pi us âgé). Deux enfants (pas de fausse couche ) : 1° notre malade ; 2° un garçon âgé de 12 ans
une péri-artérite légère, un pro- cessus fibreux dans les diverses couches de la méninge, mais il n'y a pas, comme dans le
lettres de l'alphabet. Elle s'habille seule, mais sans soins, et se couche tout habillée, ne se gâte pas, mais ne prend au
ifs el de faisceaux fibreux, se groupant de façon à constituer deux couches d'inégale importance : une plut; externe, formé
tplus dense, à fibres perpendiculaires aux premières. Dans ces deux couches cheminent des vaisseaux san- guins. La tumeur e
à la membrane, perikys- fique, formée primitivemuntaux dépens de la couche profonde de la dure-mère, qui s'est peu il peu
ir la propriété osteogenique de la dure- mère. (;'est, en effet, la couche la plus externe de la dure-mère qui joue vis-à-
âge. Dans notre observation, l'ossification s'est produite dans la couche durale la plus profonde, il en est du reste ainsi
de masses caséeuses, grumeleuses, d'un blanc jaunâtre, disposées en couches stratifiées contre la paroi avec, au centre, un
corps ; ils ne s'en sontpas moins nécrosés. On a revêtu d'une mince couche de collocliomlepetifo morceaux de nerfs avant l
de sang, avec issue d'un cail- lot, que l'on pensa être une fausse couche . A partir du mois de décembre 1903, jusqu'au mo
cesse de se lamenter et prend immédiatement dans le lit où on la couche une attitude absolument semblable à celle qu'elle
ancien et de nodosités disséminées dans les cotylédons. Suites de couches : physiologiques au point de vue obstétrical. P
ent). Un trouve une diminution numérique des éléments nerveux de la couche corti- cale cérébrale, siégeant surtout au nive
commissions dans la mai- son, continue à frotter le pavillon où il couche . Déc. - Maz ? reste le même, toujours docile, a
e de la « ltamliculaLio spasmodica », tend à faire admettre pour la couche optique une fonction active automatique dans l'
ur la pierre, sans autre paillasse que leurs ordures et une épaisse couche de poussière, sont les malheureux privés de leur
est obtus et sourd. Il y a sept ans, trois mois après ses dernières couches elle fut prise d'une sorte de parésie de tout l
orts histologiques de la capsule-enveloppe, Bincl- fleisch dit : la couche superficielle, la plus interne est lisse et re-
he superficielle, la plus interne est lisse et re- couverte par une couche de cellules en dégénérescence grais- seuse qui
seuse qui lui donnent un aspect opaque, jaunâtre.En dehors suit une couche de tissu embryonnaire, d'épaisseur variable ; en
lle aboutit à un tissu lâche de cellules fusiformes, enfin vient la couche propre des faisceaux de la capsule. A l'extérieur
ques dans le voisinage. Klippel (2) reconnaît à l'abcès cérébral' 4 couches : (1) Oppenheim. - Speciele Pathologie u. Théra
UE Au niveau de la membrane en contact avec le pus, on trouve une couche irrégulière, granuleuse, formée de cellules ron
u- che pauvre en noyaux,colorée en jaune rouge par le Van Gieson, couche de tissu névroglique nettement dilféren- ciéede
Gieson, couche de tissu névroglique nettement dilféren- ciéedela couche externe conjonctive, il n'ose se pronon- cer su
suivant les vaisseaux. Friedmann (1) décrit à la paroi de l'abcès 3 couches : La couche interne, mal différenciée de la cav
sseaux. Friedmann (1) décrit à la paroi de l'abcès 3 couches : La couche interne, mal différenciée de la cavité de l'ab-
les et peunombreux, des cellules nucléées et des éléments morts. La couche moyenne nettement limi- tée est la plus large.
ellules fusiformes, irrégulièrement entrecroisées ou disposées en couches plus ou moins parallèles, ébauche d'une pre- mi
le contient en outre des éléments fusiformes analogues à ceux de la couche précédente.Des éléments nerveux préexistants, i
ant tous les types de transition avec les cellules fusiformes de la couche précédente et ayant par suite la même origine.
les éléments névrogliques ne participent pas à la for- mation des couches d'organisation fasciculaire ; celles-ci sont co
semblablement aussi par les nombreuses cellu- les épithélioïdes des couches externes. Enfin Kelpin (1), à propos d'un cas p
ucléaires fortement tassés; 2° la zone de la capsule formée de deux couches : l'une interne, composée de tissu lâche très r
liques gon- flées, enfin des lymphocytes et des plasmazellen ; la couche externe est constituée par des fibroblastes ensé-
la paroi de l'abcès céré- bral les auteurs différencient plusieurs couches : La couche la plus interne, caractérisée surto
abcès céré- bral les auteurs différencient plusieurs couches : La couche la plus interne, caractérisée surtoutpar la pré-
aractérisée surtoutpar la pré- sence des cellules granuleuses ; les couches les plus ex- ternes où s'organise progressiveme
riables suivant les points examinés, suivant que l'abcès atteint la couche grise du cerveau ou qu'il ne dépasse pas la sub
d'organisa- tion défensive, une zone externe d'irritation. I. La couche interne, grisaille et claire sur les coupes col
contiennent à peine de-ci de-là quelques rares noyaux épars. Cette couche ne con- tient pas de vaisseaux ou seulement que
r la richesse vasculaire. Avec Kôlpin on peut lui distinguer deux couches . La couche interne, placée au voisinage même de
vasculaire. Avec Kôlpin on peut lui distinguer deux couches. La couche interne, placée au voisinage même de l'ab- cès,
st infiltrée de cellules poly- nucléaires, analogues à celles de la couche précédente, mais de moins en moins nombreuses à
névrogliques gonflées et déformées; enfin des leucocytes.Dans cette couche ,les vaisseaux sont très nombreux, largement dil
nant malles colorants, extrê- mement pauvres en noyau. La seconde couche de cette zone est caractérisée,com- me l'a bien
s cellules conjonctives. Ala place des mailles irrégu- lières de la couche précédente, progressivement, les cel- lules s'o
a couche précédente, progressivement, les cel- lules s'orientent en couches parallèles entre elles et con- centriques àla c
eur noyau unique est plus volumi- neux,. régulier, et entouré d'une couche relativement abondante et nettement appréciable
tivement abondante et nettement appréciable de protoplasma. Cette couche contient des vaisseaux en abondance, très varia
es auteurs et en particulier celle de Kolpin ; la division en trois couches nous a semblé nettement correspondre à la réali
he et ténu à la partie interne de cette zone, puis- se tassent en couches parallèles à mesure que l'on se rapproche de la
orien- tation différente des fibrilles névrogliques dans les deux couches de la zone moyenne, son parallélisme avec la di
61 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
. ORGANES PROTECTEURS DE L'OEIL. Les paupières, dans les diverses couches qui les composent, la peau, les cartilages tarses
ure anormale et faire glisser la lame à plat entre la mu-queuse et la couche musculaire jusqu'au point où l'on doit transporte
nds traits, parallèlement au bord alvéolaire, toute l'épaisseur de la couche indurée. 3° Incision de la joue. Pour éviter le
rs l'os hyoïde. Pour éviter toute erreur, diviser successivement, par couches régu-lières, dans toute l'étendue delà plaie, la
rs les tissus sains dont, par prudence, il faut tou-jours enlever une couche . Si la tumeur est d'un grand volume, quelques c
immédiatement suivie de l'application du fer rouge (Scultet) ou d'une couche épaisse des caustiques les plus énergiques. Aujou
, comme jadis pour l'empyème, de manière à cecpie le parallélisme des couches , dans le trajet nouveau, se détruise de lui-même
les points déclives, 23 et, suivant la loi de gravité, forme une couche horizontale, à la circonférence abdominale, entre
e et dense au toucher, comme il devient assuré qu'elle est doublée de couches pseudo-membraneuses qui peu-vent avoir une épaiss
, il faut continuer d'inciser, mais avec beaucoup de pré-caution, par couches très minces, en touchant à chaque fois pour tâche
ponction opérée, ce trajet s'efface avec la perte du parallélisme des couches divisées. Mais un précepte très important, pendan
M. Graves. La première proposition en remonte à 1827. L'auteur incise couche par couche les tissus avec le bis-touri, jusqu'à
La première proposition en remonte à 1827. L'auteur incise couche par couche les tissus avec le bis-touri, jusqu'à 2 ou 3 mill
couche les tissus avec le bis-touri, jusqu'à 2 ou 3 millimètres de la couche d'adhérences ou au moins du feuillet péritonéal d
première eschare superficielle pour mettre à décou-vert une nouvelle couche de tissus, au centre de laquelle il ap-plique de
esoin il continue ainsi par une série de cautérisations à entamer des couches de plus en plus profondes, dont la dernière, au v
à 9 centimètres, une incision à plat que l'on continue régulièrement couche par couche, d'un angle à l'autre de la division,
ètres, une incision à plat que l'on continue régulièrement couche par couche , d'un angle à l'autre de la division, dans l'épai
at sur le doigt la pointe d'un bistouri, et incise successivement par couches la peau et les muscles jusqu'au voisinage du péri
ies superposées sont : i° à l'intérieur, la longue virole; en seconde couche , les deux bords renversés de l'intestin, situés e
ollet et la face externe de l'intestin ; quelquefois même une lé-gère couche de lymphe plastique recouvre les deux bouts de l'
nous venons de consigner, avait pensé que c'était 1 é-lasticité de la couche celluleuse placée entre le col du sac her- niai
ous trouvons : i" que ce canal est recouvert en avant par la peau, la couche graisseuse et les deux lames du fascia superficia
superficialis; i° qu'il est séparé du péritoine, en arrière, par une couche celluleuse interposée entre le péri-toine et le f
uve qu'elle est recouverte dans le canal inguinal même par toutes les couches qui constituent la paroi abdominale anté-rieure.
ine et que quelques anatomistes nomment fascia pro-pria. Ces diverses couches sont loin de se présenter toujours d'une manière
entent d'épaisseur par l'interposition de graisse entre la peau et la couche musculaire, au pourtour de la cicatrice, il se fo
t, parce qu'alors l'anneau est enfoncé comme un entonnoir derrière la couche de graisse. Ceci nous montre qu'on devra toujours
ntrer l'intestin, qui n'est quelquefois séparé de la peau que par des couches très minces. Ce précepte est si important qu'il n
qu'à ce que l'on reconnaisse le sac au fond de la plaie. Le nombre de couches à diviser, varie suivant le siège de la hernie
er à l'avance, d'autant plus que parfois des pelotons de graisse, des couches anormales de tissu cellulaire ou des kystes séreu
ment abandonnées. Ainsi, au lieu d'in-ciser successivement toutes les couches qui sont comprises entre le sac et la peau, Louis
e curseur qui pousse l'aiguille, celle-ci traverse les parties, de la couche profonde à la surface, d'abord la lame antérieure
nt parallèlement au ligament de Fallope. On divise successivement, et couche par couche, sur la sonde can-nelée, toutes les pa
ement au ligament de Fallope. On divise successivement, et couche par couche , sur la sonde can-nelée, toutes les parties qui c
ine et avec la paroi abdominale correspondante. Après avoir détaché couche par couche tous les tissus qui re-couvrent le col
la paroi abdominale correspondante. Après avoir détaché couche par couche tous les tissus qui re-couvrent le colon lombaire
s de doigts de son point d'origine. Après avoir divisé la peau et les couches sous-cutanées, on coupe d'a-bord dans la même dir
transverse et son aponévrose. Ensuite on incise verticalement, cette couche profonde. L'incision cruciale des couches profond
incise verticalement, cette couche profonde. L'incision cruciale des couches profondes donne la facilité de mieux découvrir l'
i le sujet avait beaucoup d'embonpoint. Lorsqu'on a divisé toutes les couches précédentes, on est arrivé sur le tissu cellulair
rgien n'a pas trouvé qu'il fût nécessaire de diviser crucialement les couches musculeuses , qui se rétrac-tèrent assez pour lai
perforation superficielle formée par la peau , doublée ou non par une couche celluleuse et aussi par la membrane mu-queuse for
gueur de 2 centi-mètres (8 lignes). Puis il divise successivement, et couche par couche, les tissus qui se présentent, mais pl
centi-mètres (8 lignes). Puis il divise successivement, et couche par couche , les tissus qui se présentent, mais plutôt en déc
ale une double incision elliptique qui doit comprendre la peau et les couches superficielles de la poche testiculaire. Au lie
cision étant faite, il faut isoler la tumeur et le cordon. Lorsque la couche sous-cutanée est libre d'ad hérences, en saisissa
est coupée, et l'on incise toutes les parties de la paroi du ventre, couche par couche, sur une sonde cannelée. Lorsqu'on arr
, et l'on incise toutes les parties de la paroi du ventre, couche par couche , sur une sonde cannelée. Lorsqu'on arrive près du
uire tout le pénis et même le scrotum, le pubis et le périnée , d'une couche de pommade, composée de parties égales d'extrait
ainsi que le conseillait Sabatier, inciser d'abord circulairement la couche tégumentaire. 2" Amputation avec Tinstrument tr
que la verge. Procédé de Schrœger. Il consiste à trancher la verge couche par couche du haut en bas , afin de lier les vais
ge. Procédé de Schrœger. Il consiste à trancher la verge couche par couche du haut en bas , afin de lier les vaisseaux à mes
t aller en décroissant depuis son origine jusqu'à sa terminaison : la couche de tissu érectile qui l'entoure est d'au-tant plu
u-tant plus épaisse qu'on l'examine plus près du bulbe. La peau et la couche sous-cutanée qui se continue avec l'aponévrose su
ntournait en spirale de la soie non torse qu'on couvrait d'une légère couche de cire amol-lie au feu ; alors on l'unissait en
, une toile résistante ou du drap solide, qu'on enduisait ensuite de couches successives d'huile de lin, destinées adonner aux
en olive est un peu plus épais. Enfin le tout est enduit de plusieurs couches d'une dissolution de caoutchouc qui pénètre le ca
e caoutchouc qui pénètre le canevas et s'incorpore avec lui. A chaque couche qu'on applique, on place les sondes dans une étuv
ement en fil de fer simple ou en fil de fer revêtu à la filière d'une couche d'argent, ne sera pas assez volumineux pour rempl
en d'un fil qui entoure « cette extrémité et la lanière elle-même. On couche ces lanières « sur la verge, on place circulairem
astique, comme du diachylum gommé, roulé sur lui-même et enduit d'une couche de cire. Quelques fa-bricans aiment mieux employe
écrue ou bien un canevas plein et solide, qu'on enduit de même d'une couche de cire. M. Guillon en a fait fabriquer en balein
la fistule d'un côté, puis enlevé un petit lambeau quadrilatère de sa couche tégumentaire, il circonscrivit du côté opposé, en
ntenant la canule en place, on trouve qu'elle a traversé la peau, une couche épaisse de tissu cellulaire graisseux, le muscle
re une incision lon-gitudinale sur la ligne blanche, diviser toute la couche graisseuse, et ponctionner ensuite. Cette opérati
où l'on croyait être, d'em-ployer, suivant le nombre et la nature des couches composantes:, un ou plusieurs agens de dissolutio
ne la disgrégation de la masse quelle que soit la nature chimique des couches qui la composent. C'est à ce mode d'action que ré
lades, qui avaient fait usage de boissons alcalines, présentaient des couches très épaisses de carbonate de chaux dont M. Leroy
Or, qu'est-il résulté de cette enquête? Suivant M. C. Petit (i), les couches épaisses de carbonate de chaux, déposées par l'ac
plus considé-rable que les sujets ont plus d'embonpoint. Les diverses couches qui la constituent sont très essentielles à conna
le tissu cellulaire sous-jacent; 3° l'aponévrose superficielle; 4° Ia couche musculeuse, le bulbe de l'urètre et les principau
'on n'a pas le soin de la fixer préalablement avec les doigts ; i" La couche du tissu cel-lulaire adipeux qui la double est au
ur la surface externe des ischions, et de l'autre se confond avec les couches sous-cutanées des cuisses; 4° La couche musculair
l'autre se confond avec les couches sous-cutanées des cuisses; 4° La couche musculaire du périnée ren-ferme l'ischio-caverneu
e dans la plupart des tailles périnéales. 5° Plus profondément que la couche mus-culaire, existe sur la ligne médiane le bulbe
rme triangulaire, s'insère à son pourtour en se confondant avec les couches fibreuses qui tapissent sa surface interne, et va
ercevoir. Ultérieurement elle gagne l'excavation ischio-rectale ou la couche cellulo-graisseuse du périnée et des bourses; aus
ège d'un gonflement con-sidérable, comme si le mal avait débuté parla couche cellulo-graisseuse; 6° au-dessus de l'aponévrose
et caverneuse de la verge. Ainsi placée immédiatement au-dessus de la couche musculaire, et derrière les os, l'artère hon-teus
se à 14 millimètres en arrière du muscle transverse, se porte dans la couche sous-cutanée, et sous ce mus-cle , qu'elle croise
bourses jusqu'à un travers de doigt de l'anus; il coupait ensuite la couche musculaire, constituée seulement par le muscle bu
au lithotome, avec lequel il divisait tous les tissus intermédiaires couche par couche. Lorsqu'il y était arrivé, il re-comma
me, avec lequel il divisait tous les tissus intermédiaires couche par couche . Lorsqu'il y était arrivé, il re-commandait à l'a
lure était bien placée, il continuait à inciser les parties profondes couche par couche, en ayant le soin de sentir constammen
bien placée, il continuait à inciser les parties profondes couche par couche , en ayant le soin de sentir constamment le cathét
udrait beaucoup mieux commen-cer par inciser les parties extérieures, couche par couche, et arriver à la vessie en se servant
coup mieux commen-cer par inciser les parties extérieures, couche par couche , et arriver à la vessie en se servant de la canne
orrespondant, en passant à 11 millim. au devant de l'anus. Toutes les couches si-tuées entre la peau et l'urètre, le tissu cell
: « Si le sang s'échappe de « l'angle supérieur de la plaie, ou de la couche sous-cutanée, a ce sont les branches superficiell
arallèle ou non à celle de l'urètre ou du col de la vessie, et que la couche de tissu cellulaire qui se trouve entre ces parti
du clitoris. Pour cette incision, il divise les parties profondes par couches dans la même direction, en ayant le soin d'introd
on était complète, on ferait tendre les parties, et on les diviserait couche par couche, avec un bistouri convexe ; on s'oppos
mplète, on ferait tendre les parties, et on les diviserait couche par couche , avec un bistouri convexe ; on s'opposerait ensui
estion. Toutefois M. Dieffenbach a opéré dans un cas le lendemain des couches ; il s'agissait d'une demoiselle de trente-six ans
oursouflées, et que lafemmeest parfaitement rétablie de ses suites de couches , c'est-à-dire un mois ou deux après l'accident, q
là on avait maintenue à son pavillon, fut abandonnée à elle-même. Une couche épaisse de charpie placée au devant du méat urina
eur. Outre la peau il doit encore comprendre, dans son épaisseur, les couches adi-peuse et cellulo-vaseulaire qui le soutiennen
ortent des observations. On tenta d'y remédier en le recouvrant d'une couche de cire vierge ; mais celle-ci, bien-tôt détruite
ésentent enchaton-nées dans l'épaisseur de l'utérus, revêtues par une couche plus ou moins épaisse du tissu de cet organe, con
puisse donner à l'incision une cer-taine étendue, et diviser toute la couche de tissu naturel qui en-veloppe la production mor
e le péritoine, peut-être à nu, ou, du moins, recouvert à peine d'une couche très mince du tissu de l'utérus. Pendant les ma-n
ive. La tumeur constituée par une niasse fibreuse, molle, formée de couches concentriques, pesait 338 grammes ( 11 onces). Sa
plète du coït, les accouchemens trop fréquemment répétés, les fausses couches , et une foule d'autres que nous ne pouvons ni énu
, servirent de guide à un long couteau courbe, avec lequel on divisa, couche par couche, tout le collet de l'organe, de manièr
de guide à un long couteau courbe, avec lequel on divisa, couche par couche , tout le collet de l'organe, de manière à n'en la
essous, sur le collet de la tumeur, M. Malgaigne conseille d'inciser, couche par couche, le tissu du vagin ou de l'utérus, jus
le collet de la tumeur, M. Malgaigne conseille d'inciser, couche par couche , le tissu du vagin ou de l'utérus, jusqu'à la mem
enues d ans son intérieur, s'il y en a; puis diviser, circulairement, couche par couche, et avec une minutieuse attention, jus
son intérieur, s'il y en a; puis diviser, circulairement, couche par couche , et avec une minutieuse attention, jusqu'au périt
d depuis l'ombilic jusqu'à 2 centimètres et demi du pubis, et divise, couche par couche, tous les tissus, jusqu'au péritoine.
ombilic jusqu'à 2 centimètres et demi du pubis, et divise, couche par couche , tous les tissus, jusqu'au péritoine. Arrivé à la
èrent, avec raison, agir d'avant en arrière. En incisant le cartilage couche par couche et avec précaution, on voit les pubis
raison, agir d'avant en arrière. En incisant le cartilage couche par couche et avec précaution, on voit les pubis se séparer
des pubis jusqu'à l'extrémité antérieure de lácrete iliaque; diviser couche par couche tous les tissus jusqu'au péritoine, et
jusqu'à l'extrémité antérieure de lácrete iliaque; diviser couche par couche tous les tissus jusqu'au péritoine, et le décol-l
aides de ramener le fond de l'utérus en avant , le chi-rurgien incise couche par couche le tissu de l'organe dans toute son ép
mener le fond de l'utérus en avant , le chi-rurgien incise couche par couche le tissu de l'organe dans toute son épaisseur, en
passé par la plaie supérieure, soulève légèrement la conjonctive, la couche cellulaire, et il suffît (pour les diviser) d'un
de précau-tion et d'habileté dans la manœuvre. Reste donc la première couche de muscles, les deux palmaires et cubital antérie
entral d'oxalate de chaux qui existait depuis dix-huit ans; l'épaisse couche extérieure de phosphate cal-caire s'est aggloméré
62 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique. Oncle aliéné. Une soeur a eu un accès de mélancolie, suite de couches . Observation LV. M. G..., ataxique. Oncle mater
nute environ, lorsque se produit une véritable détente. L'enfaut se couche sur le côté gauche, puis se relève aussitôt et
; pas de strabisme. Elle a eu pendant deux mois, après sa quatrième couche , des idées tristes et de sui- cide. Elle souffr
stomac et celle de l'oesophage, ainsi que la presque totalité de la couche sous-muqueuse, ontdisparu. La. couche musculair
que la presque totalité de la couche sous-muqueuse, ontdisparu. La. couche musculaire (fibres circulaires et longitudinale
ficiels sur la face interne, surtout eu avant. Les corps striés, la couche optique n'ont rien de particulier. Hémisphère d
e occi- pital offrent la même disposition. Les corps striés et la couche optique, le ventricule latéral, etc., n'ont rie
miné le cerveau, l'auteur a retrouvé les deux types à cinq et à six couches ; chez tous, la struc- ture fondamentale des cou
à cinq et à six couches; chez tous, la struc- ture fondamentale des couches s'est montrée la même. Les dilfé- rences dans c
es éléments anatomiques constituent des groupes, et se disposent en couches . L'aire motrice relève du type à cinq couches e
s, et se disposent en couches. L'aire motrice relève du type à cinq couches et se caractérise, en outre, par les éléments q
uches et se caractérise, en outre, par les éléments qui forment ces couches . La première de celles-ci, chez le porc, est pl
tre les cellules qui constituent, chez le même animal, la troisième couche de l'écorce. Le type à six couches résulte de l
chez le même animal, la troisième couche de l'écorce. Le type à six couches résulte de l'interposition d'un plan de petites
ement celle d'une pyramide allongée. Chez le porc, le type à cinq couches se retrouve au niveau du grand lobe limbique, d
e, constitue la délimita- tion entre les deux types à cinq et à six couches . Chez le chat, les cel- lules de la troisième c
cinq et à six couches. Chez le chat, les cel- lules de la troisième couche augmententde volume àmesurequ'elles sont plus p
n. La différence d'aspect et d'épaisseur que présente la premiere couche dans les diverses espèces animales démontre l'acc
cinq noyaux ou tubercules (antérieur, moyen, externe, postérieur et couche grillée) de la couche optique, ainsi que des co
les (antérieur, moyen, externe, postérieur et couche grillée) de la couche optique, ainsi que des corps genouillés externe
l'arrêt de développement de portions du tubercule externe et de la couche des fibres en grille, de la bandelette optique,
la capsule interne. - Celle qui préside au tubercule externe de la couche optique se trouve en avant du centre visuel; cell
e optique se trouve en avant du centre visuel; celle dont relève la couche grillée, tout à côté, commande en outre à la nu
à laquelle ressorlissent les tuber- cules antérieur et moyen de la couche optique en avant des deux précédentes et compre
i que dans les muscles de la langue, du côté gauche : abcès de la couche corticale à droite, siégeant dans le 1/3 inférieu
e par ces deux foyers. De plus, foyer récent dans l'intérieur de la couche optique, complètement dilacérée; c'est lui qui
d'une noisette, et empiète un peu sur la substance blanche; mais la couche optique est intacte. Indépendamment de ces foye
e quelques points sains. La substance grise est réduite à une mince couche qui est sous-jacente à l'épendyme épaissi ; plu
ond de ceux des gâteux est taillé en pente, et percé au 'éentre. La couche se compose d'un matelas et d'un oreiller en' vare
et le segment postérieur compris entre le noyau lenticulaire et la couche optique, tous deux ve- nant se réunir par leur
breuses formations rondes de différentes dimensions consistant en couches concentriques, très faiblement colorées parle car
iutenses, les éclaircissent après un traitement plus prolongé; ces couches con- centriques se laissent dissocier et se dis
rapport avec la démence de l'individu, procédant non du foyer de la couche optique, mars des altérations vasculaires patho
er qu'un trousseau de fibres d'ordre moteur joint le pulvinar et la couche optique au cervelet. Peut-être le pulvinar est-
deux circonvolutions ascen- dantes, mais l'atteinte simultanée des couches blanches nuit à la détermination fonctionnelle
e tumeur de la grosseur d'un oeuf de pigeon a détruit l'ecorce, les couches supé- rieures de substance blanche dans le doma
ticaux. Leur dispa- rition est toujours des plus frappantes dans la couche laplusexterne où, à l'état normal, on rencontre
bules granuleux et disparition absolue des libres myéli- niques. La couche la plus externe de l'écorce contient une grande
s la mort, on observe une excessive abondance de ces fibres dans la couche externe. On en voit au contraire très peu dans
ffec- tion, en expliquant l'mertie du cerveau et en particulier des couches corlicales. L'observateur attentif arrivera tou
psychique est le facteur premier des symptômes ; c'est donc sur les couches corticales des hémis- phères, toute théorie phy
HrrziG disserte sur la dégénérescence parfaite de l'olive et de la couche intermédiaire de cet organe, consécutive aux foye
c le temps. En certains endroits, elles affectent la disposition en couches concentriques, à peu près comme pour les corpus
este des tissus est normal. Ces lésions s'observent dans toutes les couches de l'écorce, mais leur maximum de développement
ches de l'écorce, mais leur maximum de développement appartient aux couches qui renferment des SOCIÉTÉS SAVANTES. 381 cel
63 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
vient se buter contre la cloison de la ga- lerie de l'école; il se couche alors sur un banc. La physiono- mie est hébétée
é. DE l'épilepsie PROCURSIVE. : 49 Douze enfants et trois fausses couches . ' - ' . 1° Garçon, mort à trois mois, en nourr
née qui auraient corrigé la malformation des pieds ( ? ). 5° fausse couche à quatre mois, attribuée à un effort; - 6° fille
up ; 8° fille, morte à vingt-six jours, du croup ( ? ); - 9° fausse couche de deux mois ; -10° garçon, onze ans, intellige
he ; - 120 fille morte à dix mois, on ne sait de quoi; - 13e fausse couche de deux mois; z- 140 e.t 15° grossesse double :
ariétal supérieur. Pas de lésions en foyer. - Ventricule laté- ral, couche optique, corps strié, corne d'Ammon, etc., rien d
la famille.] - Pas de consanguinité. Cinq enfants, quatre fausses couches (à 6, 4, et 3 mois) : 1° fille, modiste, bien p
sur la circonvolution du corps calleux immédiatement en avant de la couche optique; - sur le pli qui va de la cir- convolu
- Pas d'aliénés, etc., dans la famille.] Deux enfants etune fausse couche : 1° notre malade ; 20 fausse couche à deux moi
.] Deux enfants etune fausse couche : 1° notre malade ; 20 fausse couche à deux mois et demi ; 3° garçon, cinq ans, intell
présentent aucune anomalie. - Le corps calleux, le corps strié, la couche optique paraissent nor- maux. Il en est de môme
présentent pas d'anomalies. - Le corps calleux, le corps strié, la couche optique n'offrent rien de particulier. - Il en
ssaie de l'ouvrir parle pied, finit enfin par relever le drap et se couche sous la couverture. Il répond à peine aux questio
Le coin, la fissure calcarone, le corps calleux, le corps strié, la couche optique, paraissent normaux. ,Hémisphère gauc
être un peu moins développé que normalement. Le coin, la fissure la couche optique, le corps strié ne présentent rien de p
particulier ; tous ces enfants sont bien conformés. - Deux fausses couches à cinq et à trois mois. Notre malade. - Rien
. peu grêle dans sa partie supérieure. - La fissure calcarine, la couche optique, le lobule de l'insula n'offrent rien à n
la fissure calcarone est normale. Le corps strié est atrophié ; la couche optique semble à peu près normale, elle a cepen
vé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première couche de la substance grise est confondue avec la sec
des scléreuses larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellul
uses et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par des bandes conjonctives q
un bord dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première couche de substance grise est épaissie, fibrillaire et c
grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. La troisième couche , celle des grandes cellules, ne pré- sente que
trame névroglique granuleuse. Mais la vascularisation exagérée des couches corticales moyennes et la formation de bandes d
i du grand épiploon réticulé de certains rongeurs. En même temps la couche corti- cale qui recouvre ce tissu aréolaire s'a
ions expliquent l'état cha- griné qui résulte de l'effondrement des couches moyennes de la substance grise et l'état kystiq
eu d'être disposées en séries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance
rtance est conservée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle
r. Cervelet du calé droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche externe et couche des myélocytes normales. On ret
alé droit. Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche externe et couche des myélocytes normales. On retrouve un certain
lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer
se, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. - Mère, morte en couches à vingt-sept ans, pas de détails. - Un frère bien
ments propres très peu étendus. L'abdomen est très volumineux; sa couche adipeuse est très épaisse; l'ombilic est très p
rit son paletot. « Où vas-tu ? lui demanda son père ? » « Moi je ne couche pas ici, répondit- il, donne-moi deux francs. »
64 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nombre, contiennent des fibres nerveuses nor- males entourées d'une couche de myéline. Au voisinage des deux foyers des co
ments parfaitement semblables et formant, comme dans notre cas, des couches assez régulièrement stratifiées. D'après eux, i
es deux côtés, louchant le corps strié et le noyau lenticulaire. la couche optique du même côté, gagnant la capsule interne,
ibres sous-corticales, on détermine, par l'atteinle exclusive de la couche corticale motrice, une dégénérescence d'un syst
e dégénérescence d'un système de fibres sous la dépendance de cette couche ; le corps strié est au moyen de la couronne ra
s ; il n'y a pas davantage de règle à établir au sujet des diverses couches de l'écorce atteintes par l'atrophie des fibres
nt privé de myéline, en même temps que la substance blanche de la couche intermédiaire des olives cessait à la hauteur du
en- trule obscure, à peine visible chez les foetus jeunes, et d'une couche limitante plus claire qui seule appartient aux
e primitif (virgule à tête épaisse se terminant par une queue) : la couche limitante, pauvre en myéline, est le corps rest
ou champ externe du côté opposé; dans l'espèce se distingue, comme couche intermédiaire des olives proprement dites, le s
rveux, vie dissipée, infection syphilitique il y a huit ans, fausse couche de sa femme accès récent de delirium tremens. c
dis- sipée. infection syphilitique il y a dix-huit mois. fausses- couches multiples de sa femme ; tremblement des mains ; c
e, de la troisième froulale, du coin, de la temporale moyenne de la couche optique du côté gauche. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES
lisière de la substance blanche, vont en se ramifiant à travers la couche des granulations et des cellules jusque dans le
es fibres itî les ont disparu irrégulièrement en n'importe quelle couche ; aucune cireoiivol u Lion, n'est épargnée à des d
Lion, n'est épargnée à des degrés divers. Ce sont surtout les deux couches externes qui ont souffert; les circonvolutions
. Le cervelet est atteint de la même façon que le cerveau, c'est la couche granu- leuse de l'écorce qui en témoigne; le co
te. Pas d'atrophie de la cuisse ni de la jambe. L'épaisseur de la couche adipeuse sous-cutanée est égale des deux côtés. P
ICS ET TREMBLEMENT. 193 anatomiques doit être cherché du côté de la couche corticale des circonvolutions. » Huet assimil
ative sans'lésion organique. P. K. XLV. UN cas DE CYSTICERQUE DE la couche OPTIQUE; par W. MANASSE. (Newol. Centralbl., 18
duré 3 jours. On trouve un cysticerque unique en plein milieu de la couche optique gauche ; la tumeur a le volume d'un gra
erveaux normaux. Hyperplasie des cellules-araignées dans toutes les couches de la substance grise. Hyperplasie du tissu con-
ctif en question occupe la profondeur de la partie antérieure de la couche optique, son étendue ne dépasserait pas quelques
faisceau de fibres au centre de la moelle. Ce centre vésical de la couche optique a en même temps une fonction réflexe ;
uenza avait débuté cinq semaines après la délivrance, les suites de couches s'étant d'ailleurs montrées normales. Dans les
ndantes des faisceaux ascen- dants de la substance blanche dans les couches interne et moyenne; on en trouve également une
rne et moyenne; on en trouve également une grande abondance dans la couche ex- terne. Tangentielles et transversales à la
emier arc rachidien s'en ajoute un second, dont une branche va à la couche optique et dont l'autre vient du corps strié. L
isceaux provenant de la moelle ne s'arrêtent pas à la station de la couche optique et vont directement aux centres cortica
s élevé et sont mis en communication les uns avec les autres ' La couche grise de l'intellect serait surajoutée aux centre
z Fig.28. c, ? Corps calleux. - C. g., Corps godraniié. - C. o., Couche optique. - r, 111. 'fuberrule nutnyillairc. - l
e tubercule mamillaire, forme le pilier réfléchi P. r., qui va à la couche optique. Ces éléments constituent l'arc cérébral.
constituent l'arc cérébral. H. p. o. Ruban péri-optique, reliant la couche optique à la bande diagonale : arc intermédiair
edans autour d'une ligne pas- sant par le tubercule antérieur de la couche optique. C'est ce qui explique certaines dispro
et, se rapproche beaucoup de celle de la rétine : le nom- bre des couches y est moins nombreux, il est vrai; mais il faut
s nombreux, il est vrai; mais il faut ne pas perdre de vue que ces. couches se continuent sur la tache olfactive de la muqu
ce lamelle le plus souvent; d'autres fois, elle est au contraire en couche assez épaisse. Sa couleur varie aussi : elle es
assée dans une partie seulement du quadrilatère, qu'elle s'étale en couches plus ou moins minces sur toute la surface de ce
on côté interne, la surface du quadrilatère est traversée par une couche blanchâtre plus large au dehors qu'en dedans. » P
urel que toutes ces parties soient reliées entre elles par une même couche corticale. Il ne s'agit point ici de cette cont
s. Son mari est mort au bout de six- mois, la laissant enceinte. Sa couche fut des plus laborieuses, mais ne fut suivie d'
clut que la cathode virtuelle produit une excitation réelle sur les couches profondes de l'écorce ou sur la terminaison des f
e que la substance grise de l'écorce ne se com- porte pas comme une couche inerte qui transmet simplement le courant élect
ente au prolongement des pyramides. Atrophie presque complète de la couche profonde et des couches supérieures des noyaux
s pyramides. Atrophie presque complète de la couche profonde et des couches supérieures des noyaux centraux dupont de Varol
ianopsie d'origine occipitale. La perception des couleurs occupe la couche la plus externe de l'écorce du lobe occipital ;
SE hémilatérale de la face, par Rosenbach, 247. Cysticerque de la couche optique, par Manasse, 242. CYTISINE contre la
65 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
er l'existence des lésions suivantes : OEil droit. - 10 Rétine : La couche des fibres nerveuses est en certains points trè
côté temporal; ces lésions sont surtout apparentes aux points où la couche des cellules nerveuses présente des altérations
ente des altérations plus intenses. De nombreuses cellules de cette couche présentent en effet, à divers degrés, les altérat
'mil droit du malade 13... Grossissement 'r10 diamèlres. Seules les couches des fibres et des cellules non ruses ont été repr
rtout cantonnées aux cellules nerveuses de la rétine, et les autres couches ne présentent pas de lésions manifestes. Toutef
eure à celle que leur assigne Testut dans son Traité d'anatonaie. Couche granuleuse interne : 24 au lieu de 35. Couche i
Traité d'anatonaie. Couche granuleuse interne : 24 au lieu de 35. Couche intergranuleuse : épaisseur normale. Fig. o C
éterminant la production tl un coude. - 12 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Couche granuleuse externe : 3o (Jt au lieu de 60. Couc
E PATHOLOGIQUE. Couche granuleuse externe : 3o (Jt au lieu de 60. Couche des cônes et des bâtonnets : 30 x au lieu de 80.
ets : 30 x au lieu de 80. 2° Papille : Nous avons rencontré dans la couche des fibres ner- veuses de la rétine un certain
, v, fig. 3), qui apparaissent sectionnées transversalement, ont la couche externe de leur paroi très épaissie. Elle est c
e de leur paroi très épaissie. Elle est constituée par de multiples couches concentriques de fibres conjonctives, autour 'd
'oeil, telle qu'elle est représentée, figure 2, nous voyons que les couches de cellules névrogliques qui, normalement, se t
étine présente des altérations multiples, diffuses, cantonnées à la couche des fibres et surtout à celle des cellules nerv
est moniliforme, leur minceur extrême en certains points. Dans la couche des cellules nerveuses, de nombreux éléments so
uronophages existent également. Pas de lésions évidentes des autres couches delà rétine. 2° Papille : Bien qu'infiltrée par
acranienne. OEil droit. 1° Rétine : Pas de lésions apparentes de la couche des fibres nerveuses. La couche des cellules ne
e : Pas de lésions apparentes de la couche des fibres nerveuses. La couche des cellules nerveuses présente quelques élémen
aible partie des éléments. Pas d'alté- rations sensibles des autres couches de la rétine dont l'épaisseur est normale. 2°
ance grise. Les circonvolutions cérébrales étaient atrophiées et la couche de substance grise amincie, friable, couverte d
tte membrane se montre très altérée dans toute son étendue. a) La couche des fibres nerveuses présente de notables altérat
s diminué et en quelques points ils ont totalement disparu, b) La couche des cellules nerveuses est celle qui présente le
4 à 8 de dia- mètre. La figure 6 montre bien l'envahissement de la couche des cellules nerveuses par ces éléments tous po
viter toute sur- charge, n'ont pas été représentés. c) Les autres couches de la rétine ne présentent pas d'altération bie
u iii%,catl du I)oiLI de la macula. Seules sont représentées ici la couche des fibres et des cellules nerveuses et une pai
la couche des fibres et des cellules nerveuses et une paitie (le la couche granuleuse interne. Les cellules nerveuses ont di
plètement la partie voi- sine de la rétine où en M, par exemple, la couche des cellules nerveuses qui ne contient plus un
de nombreux éléments conjonctifs; 7, rétine avec ses diffé- rentes couches ; 7), couche de cellules nerveuses de la rétine au
éléments conjonctifs; 7, rétine avec ses diffé- rentes couches; 7), couche de cellules nerveuses de la rétine au niveau de l
° le nerf optique ; 10 La rétine présentait des altérations de la couche des cellules nerveuses caractérisées par une sé
la valeur de ses confessions, etc., vient à tomber à la suite d'une couche , de la mort de sa mère, d'embarras d'argent sur
très normales cependant, ma- nifeste l'idée qu'elle fait une fausse couche , suivie rapidement d'une série d'idées, de tein
ncolique. Mariée à dix-neuf ans, elle eut 6 enfants et deux fausses couches : la première de deux mois et l'autre de six se
altée mais gaie et active; elle a eu quatre enfants et deux fausses couches , la dernière survenue à la suite d'une chute ét
te était de deux mois, il y a six mois de cela. Depuis cette fausse couche , elle a eu des métrorrhagies très abondantes et
idées de culpabi- lité se surajoutent; elle est cause de sa fausse couche , elle est indigne de vivre. Comme le Dieu des
étain, ce métal étant extrêmement malléable, recouvert d'une double couche de feutre, le tout enveloppé dans une peau de c
ctrode excellente au moyen d'une lame d'étain entourée de plusieurs couches de coton hydrophile le tout enveloppé dans une
le laiton, l'étain, le plomb, le nickel, parce qu'il se produit une couche de carbo- nate et d'oxyde par suite des actions
in de l'eau retenue par imbibition dans l'élec- trode, et que cette couche de composés métalliques offre une grande résist
253 quelques séances il se produise une légère desquamation de la couche la plus superficielle de l'épiderme. Cette éventu
uf en certains cas légers et chroniques où l'irritation caresse les couches périphériques des fibres nerveuses, fouette la
s le cours des grossesses et se manifestait quelque temps après les couches . E. B. Archives, 2» série, t. XV. 18 274 RE
re incriminée bien que la malade ait eu sur 8 grossesses, 4 fausses couches de deux, trois et quatre mois. La malade présen
tite fille âgée actuellement de cinq ans et n'a jamais eu de fausse couche , ni constaté de retard dans ses règles. Mais, s
Étiolroqie. Rien de particulier dans les antécédents. Pas de fausse couche ; la malade a eu 3 enfants dont l'un est mort de
rois jours de route en automobile, le malade dîne de bon appétit et couche à Avignon. Vers onze heures, il est brusquement
e ici la même alternance des présentations anor- males que dans les couches de sa mère. Observation 112. Femme normale. Mar
mère. Observation 112. Femme normale. Mari dégénéré. Après trois couches parfaitement normales, la femme devient enceinte
ces de laboratoire. Il s'agit de femmes qui, après une ou plusieurs couches nor- males, contractent des crises d'épilepsie,
a femme prend ensuite un amant parfaitement normal; trois nouvelles couches , toutes normales, en OIGA, et sans éclampsie pu
loration brunâtre se poursuivant, dans l'un des cas, jusque dans la couche sous-épen- dymairede la paroi interne de la cor
oyaux gris du cerveau, par ordre de fréquence : noyau lenticulaire, couche optique, noyau caudé, capsule interne, c'est-à-
s une masse homogène dure de la surface au fond sans distinction de couche . M. Pierre Marie présente un homme de soixante
périphérique. MM. DÉ.1ER1NE ET M. Eggeu. - Deux cas de lésion de la couche optique, dont un confirmé par l'autopsie. Hémia
itive et le faisceau de '1·ïrrl : , pour la racine antérieure de la couche optique et le faisceau d'Arnold. L'étude approfon
d'assistance. Dans l'asile que dirige l'auteur, aucun serviteur ne couche dans les dortoirs : leur présence serait une de
s nos efforts depuis 25 ans, confié aux débutants. Aucun agent ne couche dans les dortoirs; c'est la thèse que nous avon
66 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
halamique, M. Marie n'a trouvé à l'autopsie aucune altération de la couche optique. 1 , M. Déjerine a cependant depuis cet
des autres le nombre des fibres restantes ait été très minime. La couche des fibres optiques'de la rétine était dans tous
ns le nerf, ni au nombre des cellules multipolaires. - Les autres couches de neurones de la rétine nous ont paru présente
ésion corticale et seulement une petite lésion linéaire séparant la couche sous-épendymaire de la substance blanche d'une
u bacille de la tuberculose. Comme ce dernier, il est entouré d'une couche de matière grasse qui lui constitue une envelop
mais depuis, il ne s'est touché. La première fois qu'il partagea la couche de la jeune servante, il désirait surtout ses p
côté de la lésion. Encore plus en dedans, les diverses parties des couches optiques ne présentent pas de dégénérescence du
t à croire qu'il s'est agi d'une toxine qui a lésé les cellules des couches nucléaires du nerf optique et leur parenchyme;
ptembre.) PHYSIOLOGIE. Contribution à l'étude des fonctions de la couche optique. Par LE D' BENAKY Médecin de l'hôpi
les mouvements mimiques de la face sont sous la dépen- dance de la couche optique. C'est à ce titre que nous publions l'o
qu'il serait impossible de ne pas les attribuer à une lésion de la couche optique. A... L..., âgée de cinquante-cinq ans,
postérieurs et a envahi le corps strié, la partie postérieure de la couche optique, toute la capsule interne, le noyau len
de la mimique. Or, il résulte des travaux ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA COUCHE OPTIQUE. 387 -j de plusieurs observateurs que l
eurs que les mouvements de la mimique sont sous la dépendance de la couche optique. Romberg cite une observation de Strome
ontractaient pas chez lui. L'autopsie avait montré une tumeur de la couche optique droite avec destruction de celle-ci'.
et auteur montraient l'existence d'altérations dans la région de la couche optique. Il y avait en même temps tendance irré
r3 expliquent ce phénomène comme une conséquence d'irritation de la couche optique, l3echterew6 a également publié un cas
clue que la lésion devait siéger vers la partie postérieure de la couche optique. A côté de ces observations où l'autopsie
tions où l'autopsie avait démontré des altérations limitées dans la couche optique. La première de ces observations est du
les mouvements volontaires. Voici ce que démontrait l'autopsie : la couche optique gauche présente à sa surface en avant d
plein d'un contenu jaune ocreux ; il occupe presque le milieu de la couche optique s'éten- dant en dedans et en arrière ju
jumeau antérieur ; en dehors il ne va pas au delà des limites de la couche optique. La deuxième observation est due à Yi
l dans la Grèce médicale, 1-15 oct. 1903. ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA COUCHE OPTIQUE. 389 communiquant avec le ventricule la
OPTIQUE. 389 communiquant avec le ventricule latéral droit. Dans la couche optique gauche, tumeur de la grosseur d'une ave
ituée dans l'angle formé par la surface supérieure et interne de la couche optique. Cette tumeur faisait une légère sailli
es mimiques de la face à la suite d'altérations pathologiques de la couche optique. Cette contradiction, cependant ne sera
est le siège ou bien des symptômes d'irritation. « La tumeur de la couche optique (dit Yimoucopoulo) décrite par Nothnage
ant davantage, aurait occasionné des symptômes de destruction de la couche optique. » Il en fut de même de notre malade. L
l en fut de même de notre malade. La tumeur tout en ayant envahi la couche optique n'en avait détruit que la partie postér
raient fait place à des symptômes d'abolition des fonc- tions de la couche optique par l'envahissement total de celle-ci p
parla tumeur. Ces faits prouvent que des processus irritatifs de la couche optique, quelle qu'en soit la nature, peuvent d
rvir de contribution à l'étude de la physiologie pathologique de la couche optique. RECUEIL DE FAITS. Deux cas de méryci
tre d'un hémisphère est indépendante de celle de l'autre.. II. La couche optique est utéromotrice, mais il faut que les él
squ'on excite l'écorce. Si l'on tient compte que l'excitation de la couche optique a tou- jours lieu après celle de l'écor
les contractions obtenues sont plus énergiques, il s'ensuit que la couche optique renferme un centre plus puissant que l'
ques expériences semblent démontrer dans la partie antérieure de la couche optique l'existence d'un centre d'arrêt des con
ux postérieurs a donné des contractions moins vives que celle de la couche optique. Celle du noyau caudé et du cervelet es
ltérations consécutives en deux directions : atrophie marquée de la couche optique, dégénérescence descen- dante des pyram
ubérance, le bulbe et le côté opposé de la moelle. L'atrophie de la couche optique porte principalement sur son noyau exte
l'interruption de la communication entre l'écorce et cet organe. La couche optique n'est pas directement lésée, car le ra-
irectement lésée, car le ra- mollissement ne s'étend que jusqu'à la couche réticulée ou grilla- gée d'Arnold. Comme il app
quadrijumeaux, ce que peut faire aussi une tumeur originaire de la couche opti- que. ' P. KKHAYAL. LXXV. Des relations
n, mais au cervean moyen. Fleclisig d'ailleurs le fait partir de la couche optique. De recherches par 1\1. Schülz sur des
de Bechterew, pour qui le symptôme est réalisé par une lésion de la couche optique. Dans l'observation de l'auteur la loca
ation de ces deux syndromes juxtaposés exige même l'intégrité de la couche optique dont la lésion détermine un syndrome fa
ombé elle-même ces jours derniers, probable- ment aux suites de ses couches , et son enterrement a eu lieu aujour- d'hui jeu
ion allant de la chromatolyse ordinaire à la destruction totale. La couche des grains est touchée, mais sa lésion est moins
he des grains est touchée, mais sa lésion est moins appa- rente. La couche moléculaire est également atteinte. La méninge
sont disséminés sur une certaine épaisseur. On en reconnaît dans la couche des grains, dans la zone moléculaire. La plupar
intense que dans le cerveau et se montre surtout au voisinage de la couche dp Purkinje. 11 leur a semblé que les formes du
ux cellules de Purkinje, mais plus petits et doublant en dessous la couche normale de ces cellules ; enfin dans une démence
du noyau, plissement de la mem- brane nucléaire; endo-nucléole. Les couches profondes sont les plus atteintes. Mêmes altéra
corps strié, dont l'autre partie est cachée par le trigone Tg. CO, couche optique. NO, nerf optique. - PC, pédoncule céré
rps calleux. CC, corps calleux très réduit. -, CS, corps strié. f0, couche optique. PC, pédoncule cérébral. Planche XI.
Tics. Cornée. Voir Sensibilité. Corps étranger. Voir Mydriase. Couche optique. Contribution à l'étude des fonctions d
67 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
me que sur la face externe, le lobe occipital est petit. V L., C C, couche optique, corps ttrié, rien de particulier. D'un
aracentral ; circonv. Examen IIISTOLOGIQUE. 21 temporales), cette couche névroglique a doublé d'épaisseur. De plus, elle
e. Les fibres tangentielles sont altérées surtout au niveau de la couche d'Exner. Bien que ce feutrage n'ait nulle part
u môme perpendiculaires cette surface. A mesure qu'on examine les couches corticales situées plus profondément, les fibre
s qui, à l'état nor- mal, se distinguent aisément d'avec les autres couches faiblement teintées. Cette même diminution de
quand ils abordent le centre ovale de chaque circonvolution. Les couches cellulaires sont certainement bien moins- attei
ralement bien orientées; c'est ainsi qu'on retrouve les différentes couches bien connues (Meynert), et, dans chacune de ces
différentes couches bien connues (Meynert), et, dans chacune de ces couches , les cléments cellulaires sont nets, possédant
hie, nous ont paru suffisamment nombreuses, au niveau de toutes les couches de l'écorce cérébrale. La processus pathologiqu
[Père, mort d'un coup d'apoplexie, à 65 ans, sobre. Mère, morte en couches , d'une hémorrhagie. Grand-père paternel, mort d
les aucun cas semblable à Mar- celle. Trois enfants et une fausse couche : -10 garçon, mort de méningite avec convulsion
méningite avec convulsions à (i mois ; 2° noire malade; 3° fausse couche à G semaines, à la suite d'une émotion pro- voq
ien nourries avec de nombreux plis de passage. Des deux côtés, la couche optique, le corps strié, le ven- tricule latéra
é dans sa partie moyenne. Le ventricule latéral, le corps strié, la couche optique, la corne d'Ammon parais- sent sains. L
mporale, T sont assez bien développées. - Le ventricule latéral, la couche optique, CO, le corps strie, CS, la corne d'Amm
. Subitement il devient violacé. Aussitôt on le déshabille et on le couche . Il se jette en arrière, les membres supérieurs
e coin, C, est petit. Le corps calleux, C C, le corps strié, CS, la couche optique, CO,;et le ventricule latéral n'ont rie
végétations volumineuses, ni les 128 8 Idiotie lIlYXOEDÉMATEUSE. couches dpn<ps de lis=u fibreux, qui se voient toujour
ifférenciées, à tel point qu'il devient difficile de distinguer les couches qui apparaissent si nettement à l'état normal,
amidales, grandes et. moyennes, sont très peu nom- breuses dans les couches dites profondes, là où ces éléments sont d'ordi
note une diminution de nombre des tubes nerveux, qu'il s'agisse des couches tangentielles ou des fascicules radiaires. Mais c
e n'a pas subi des modifications bien considérables. Sans doute, la couche névroglique immédiatement sous-pie-mérienne est
obes du corps thyroïde. Elle a eu 13 enfants et a fait deux fausses couches . Grand- père paternel ? . Grand'mère paternelle
couloirs et l'on voit beaucoup de lits vides. Dans le dortoir où je couche il y en a des petites des grandes et l'on fait
ternelle de la mère, épileptique. Sur dix grossesses, trois fausses couches , cinq enfants bien portants et nos deux malades
re les deux époux. (Père plus âgé.) Sept enfants et trois fausses couches : 1° Une fausse cou- che à deux.mois, sans caus
ns ; - 7° un garçon, intelligent, pas de convulsions; 8° une fausse couche ; 9" une fausse couche; 10° garçon, se porte bie
ntelligent, pas de convulsions; 8° une fausse couche; 9" une fausse couche ; 10° garçon, se porte bien, pas de convulsions;
ution du corps calleux. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO, Couche optique. LQ, Lobule quadrilatère. C, Coin.
ution du corps calleux. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO, Couche optique. LQ, Lobule quadrilatère. P, Pédoncul
LP, Lobule paracentral. CC, Corps calleux. CS, Corps strié. CO, Couche optique. CA, Corne d'Ammon. CH, Circonvolutio
68 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e montrent pas à la phase ultime où par suite des altérations de la couche cen- trale psychique le désir ne saurait se man
droit. Odorat très ob- tus, Pommettes assez saillantes, régulières. Couche petite, lèvre SCLÉROSE TUBÉREUSE. 33 inférieu
du sillon opto-strié, il existe plusieurs nodosités scléreuses. La couche optique, le corps strié, la corne d'A 1111/10n
e de petites tumeurs blanches et dures, sur le sillon qui sépare la couche optique du corps strié ; elle envahit la partie
ité du gyrus rectus et deux sur Te Des deux côtés le ventiicule, la couche optique, le corps strié, la corne d'Ammon, le c
8 mois après, iritis de l'oeil gauche et dans la suite deux fausses couches de sa femme. Le malade nie tout excès alcooliqu
la malade aurait eu 9 grossesses, et nous y avons relevé 2 fausses couches ; 4 enfants morts dans les premiers mois avec de
ale. Famille nerveuse. Pas d'antécé- dents personnels, Deux fausses couches dont la première suivie d'une céphalée intense
r du septo-marginal qui ne fusionne plus avec lui que par une mince couche appliquée contre la cloison ; dès le cinquième
phérie, jusqu'à s'éloigner complètement de la cloison et former une couche appliquée à la face postérieure du cordon. Le cor
laissent généralement le noyau de la cellule libre, et préfèrent la couche externe de celle-ci; il y en a aussi un grand n
ne. Aussi, peu à près l'action du courant voit-on déjà d'épaisses couches de cette matière colorante à la cathode. Le neuro
et nombreux corps amyloides. Ramollissement de la surface des deux couches optiques, vascularisation excessive de la surfa
lissement cortical des deux premières frontales. s'étendant dans la couche blanche à une profondeur de 3,2 cent. il 3. cen
la capsule interne. Les corps transverses et perpendiculaires de la couche optique décèlent tout 11 fait en avant, au-dess
es du même côté, dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 169 le cingulum, dans la couche des fibres tangentielles de la substance grise
ons -symétriques du côté opposé, dans la capsule interne et dans la couche optique du même côté, dans la lame médullaire e
vers le tubercule quadrijumeau antérieur. Ces fibres arrivent à la couche grise superficielle, la plupart cependant se re
couche grise superficielle, la plupart cependant se rendent dans la couche blanche profonde du tubercule quadrijumeau anté
genouillé interne et la calotte d'autre part pour se perdre dans la couche grise superficielle et dans la couche blanche s
e part pour se perdre dans la couche grise superficielle et dans la couche blanche superficielle (oberflaechliches Mark de
égé- 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. nérescences du côté opposé et dans la couche optique, la capsule interne, le corps genouillé
le segment antérieur de la capsule interne du côté opposé, dans la couche optique (autour des noyaux antérieur et externe
que (autour des noyaux antérieur et externe), dans une partie de la couche optique, située au-dessus du faisceau de Vicq d
ne légère dégénérescence dans le corps genouillé externe et dans la couche des fibres superficielles du tubercule quadriju
est due à certaines manières de voir normales propres à certaines couches sociales. C'est ainsi que chez certains alcooliqu
lit, je crois que le milieu doit contribuer à ce que le malade se couche volontairement. Pour cela, il faut d'abord une or
e des circonvolutions se présente dans certains cas avec toutes ses couches caractéristiques bien distinctes et leurs élément
misphères de pareils cerveaux, c'est l'existence entre la quatrième couche de la subs- tance grise de l'écorce et le centr
de la subs- tance grise de l'écorce et le centre semi-ovale, d'une couche inter- médiaire large et puissante de neuroblas
ter- médiaire large et puissante de neuroblastes (mon cas) ou une couche d'éléments ganglionnaires ressemblant à la quatri
u une couche d'éléments ganglionnaires ressemblant à la quatrième couche de la substance grise des circonvolutions (cas de
e la subs- tance blanche sépare, dans le cas de Meine, la quatrième couche de la couche intercalée. Quant à cette couche i
nce blanche sépare, dans le cas de Meine, la quatrième couche de la couche intercalée. Quant à cette couche intermédiaire,
e Meine, la quatrième couche de la couche intercalée. Quant à cette couche intermédiaire, elle est composée d'éléments gan
ns la substance blanche. Chez les microcéphales avec microgyrie, la couche intercalaire est formée de neuroblastes chez le
phales d'éléments plus dé- veloppés, qui ressemblent à la quatrième couche de la substance grise de l'écorce (cellules pol
présence des éléments ressemblant aux cellules ganglionnaires de la couche profonde de l'écorce). Sur les préparations m
rg, nous avons pu démontrer : SECTION DE PSYCHIATRIE. 317 Sur une couche faite du lobe temporal droit : 318 CONGRÈS INTE
érées en forme d'ilots dans la substance blanche. En outre, dans la couche zonale de l'écorce paraissaient parfois descell
ension rappelant les grandes cellules pyramidales de la troi- sième couche de l'écorce. Ainsi on constate dans ce cerveau la
corticale et l'hétérotopie des grandes cellules pyramidales dans la couche zonale. L'examen des cerveaux d'idiots dont nou
u- mulent et se combinent les forces nerveuses. L'abondance de la couche de neuroblastes dans les hémisphères des idiots
ents d'ordre supérieur, c'est-à-dire en cellules nerveuses. Dans la couche des neuroblastes se rencontrent quelquefois des
de l'atrophie, des contractures, de l'oedème et de l'épaisseur des couches adipeuses, qui couvrent souvent les muscles atr
s portes; l'une d'elles est munie d'une porte massive. Un infirmier couche à proximité de ces chambres. Le parquet des deu
es ont des grilles. Deux infirmiers assurent le service. L'un d'eux couche dans la chambre d'observation, l'autre dans cet
tance noircide Sümmeriug, du noyau rouge, de maintes- régions des couches optiques (pulvinar), etc., dont les zones de rayo
secondaire, qu'il existe des fibres d'association dans toutes les couches du centre ovale, entre l'écorce elle-même et l'ép
açon, car ce qui domine chez elles, c'est la fréquence de la fausse couche et de la morte-naissance. Elles le sont moins, pa
ce des lésions suivantes : 1° Distension des grandes cellules de la couche pyramidale dont la forme est devenue arrondie ;
ssement en masse de ses fibres, particulièrement manifestes dans la couche interolivaire du bulbe. Dans la région protubéran
nt pro- tubérantiel du ruban de lteil et plus ou moins loin dans la couche interolivaire, puis réintègrent la voie pédoncu
orragies de la capsule externe, des lésions du noyau lenticu- de la couche optique, etc.) intéressaient toutes le segment
des muscles, de la physio- nomie, on trouve une grosse tumeur de la couche optique gauche qui, plantée dans la partie médi
l'expression qui occupent la même place dans l'écorce et dans la couche optique. Chez les deux malades en question cette
69 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
che est réduit à une 88 SOCIÉTÉS SAVANTES. bandelette étroite, la couche optique gauche consiste en un mor- ceau assez g
plus compétents doutent que, pendant la vie, le corps strié ou la couche optique aient pu agir. Il n'est donc pas forcé
e bulbe. L'autre, à fibres grossières, gagne le gros ganglion de le couche optique où il se termine. Ce ganglion donne nai
donne naissance à un nouveau faisceau. Immédiatement en avant de la couche optique, on trouve une commissure qui unit les
ans le cabanon n° 4. Lorsqu'il y a un cabanon libre, un infirmier y couche , dit-on, qu'il y ait ou non des femmes. Si les
de particulier; tous ces enfants sont bien conformés. Deux fausses couches à cinq et à trois mois. Notre malade. Rien de
3 peu grêle' dans sa partie supérieure. La fissure calcarine, la couche optique, le lobule de l'insula n'offrent rien à n
; la fissure calcarine est normale. Le corps strié est atrophié; la couche optique semble à peu près normale,. elle a cepe
vé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première couche de la substance grise est confondue avec la sec
des scléreuses larges et plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise, celle des petites cellul
ses et pigmentées ; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par des bandes conjonctives q
un bord dentelé et festonné. Au niveau de ces points, la première couche de substance grise est épaissie, fibrillaire et c
grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. La troisième couche , celle des grandes cellules, ne pré- sente que
trame névrogtique granuleuse. Mais la vascularisation exagérée des couches corticales moyennes et la formation de bandes d
i du grand épiploon réticulé de certains rongeurs. En même temps la couche corti- cale qui recouvre ce tissu aréolaire s'a
ions expliquent l'état cha- griné qui résulte de l'effondrement des couches moyennes de la substance grise et l'état kystiq
, d'être disposées en, séries verticales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance
rtance est conservée sur la plupart des points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle
. Cervelet du côté droit ? Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche externe et couche des myélocytes normales. On ret
té droit ? Cellules de Purkinje assez nombreuses. Couche externe et couche des myélocytes normales. On retrouve un certain
lésions de l'écorce sont surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer
aire cette coupe, on passe le cou- teau par la partie moyenne de la couche optique 1. La coupe du pédoncule, celle de la p
oncule aux noyaux du corps strié en suivant l'étage inférieur; à la couche optique, en suivant l'étage supérieur; 2° les aut
d'un côté s'unit à la portion croisée du côté opposé pour former la couche superficielle Ou motrice des pyra- mides antéri
croisé. Le faisceau croisé cons- titue alors presque à lui seul la couche motrice de la pyramide, d'où l'interprétation f
le faisceau direct prime le faisceau croise dans la formation de la couche motrice de la pyramide et l'explication anato-
complète se produit ; la section portant plus en arrière « entre la couche optique et le noyau lenticulaire » c'est de l'h
moteurs . dégénérés; au bulbe, elle suit les pyramides antérieures ( couche superficielle) et subissent au collet du bulbe
s avons vues distinctes du fais- ceau de Meynert se rendent dans la couche optique où elles aboutissent, se terminant dans
être de deux ordres : une partie du faisceau sensitif atteignant la couche optique ou fibres indirectes sensitives de la c
ettre toutefois que les fibres sensitives- qui doivent aboutir à la couche optique occupent aussi le segment postérieur de
optique occupent aussi le segment postérieur de la capsule, que la couche optique précisément limite en de- dans. Enfin
ux. 9; njyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure). 10; couche optique. 11 ; capsule interne (genou). 12; noya
; estr. postérieure du noyau caiulé. - 2 ; noyau lenticulaire. 1 ; couche optique 5 ; capsule ex- terne, G; avant mur. 7
on tissu est compacte. Les deux reins sont d'un volume moyen ; leur couche corti- cale est hypérémiéo; la capsule s'enlève
oucher son mari après lui avoir fait absorber du rhum. Elle-même se couche auprès de lui, après avoir été chercher sa fill
plégiques se jugent généralement par une alté- ration qui englobe : couche optique, pied de la couronne rayon- nante, part
imitrophe de la capsule interne, qui, quelquefois ne dépasse pas la couche optique, qui même peut se limiter au segment po
ostérieur de la capsule interne, qui, quelquefois ne dépasse pas la couche optique, qui même peut se limiter au seg- ment
se limiter au seg- ment postérieur de la capsule interne (entre la couche optique et le noyau lenticulaire) ; somme toute
ique des cas et des opinions des auteurs. M. Stephan penche pour la couche optique. P. K. XXII. Contribution A l'étude cli
seconde circonvolution frontales. Cette lésion, tout en irritant la couche corticale qu'on en suspendant le fonctionnement,
agitée, est actuelle- ment calme dans la journée ; le soir elle se couche tranquillement dort d'un sommeil paisible duran
eur a pris des moyennes. Il a trouvé que : Sur un cerveau normal la couche des grandes pyramides présente dans la 111 temp
sente dans la même temporale 1,8 pour 1. Sur un cerveau normal la couche des grandes pyramides présente dans la 2, front
ux. 9; noyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure). 10; couche optique. 11 ; capsule interne (genou). 12; noya
3 ; CXLR. postérieure du noyau caudé. 2 ; noyau lenticulaire. - f ; couche optique 5 ; capsule ex- terne, 0; avant mur. 7
70 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
r,80 à 1 gram. Emplâtre de diachylum......4 gram. Il applique une couche de cet emplâtre sur la tumeur, de ma¬nière à la r
lacée par une membrane mince, cellulo-fibreuse, ferme, adhérente à la couche profonde. Le toucher dénote la présence, au-desso
s, et occupant son tiers postérieur ; la déchirure se continue sur la couche optique et toute la paroi externe du ventricule,
nt plongés dans un amas considérable de granulations élémentaires. La couche extérieure au nucléus, semi-transparente, privée
ajoute un peu de sel. Le soir, le malade prend un verre de vin et se couche . Le second jour on lui administre en une fois cin
face antérieure du rectum, dont elle n'est séparée que par une mince couche de tissu cellulaire. Le cordon fibreux qui occu
la poitrine » à 31 ans ; sa maladie serait survenue à la suite d'une couche ; elle toussait beaucoup, mais ne paraît pas avoi
ne pbthi-sie pulmonaire qui serait survenue à la suite de sa dernière couche ; par conséquent, elle aurait été malade environ
¬vation des femmes qui ont présenté des accidents à la suite de leurs couches . En rassemblant aujourd'hui ces différents matéri
auteurs qui ont étudié la marche de la température chez les femmes en couches sont assez nombreux. Tout récemment dans sa thèse
bientôt trois ans, un enfant qui est vivant et elle a fait une fausse couche il y a dix mois. Sans cause connue, les dou¬leurs
cette nuit, et elle est entrée à l'hôpital où elle a fait une fausse couche (5 mois) à 7 heures, le 26 décembre. A dix heures
température la plus basse se montrerait vingt-quatre heures après les couches . Sur ce point, nos observations, ainsi que le lec
rités : l°Les lochies n'ont coulé qu'un seul jour et, aux cinq autres couches , il en aurait été de même ; 2° la température n'a
ement. Cette femme dit qu'elle n'a jamais eu de lait après ses autres couches . Lochies naturelles. — Soir: P. 78; T. V. 37°,8.
à l'âge de vingt ans, et sa grossesse s'est ter¬minée par une fausse couche . — Il y a trois ans, sans cause appré¬ciable, ell
a se¬conde fois. Elle n'aurait pas eu de fièvre de lait à sa première couche . 20 décembre, 10 heures du matin. Petites doule
ain point, de la comparer au type rémit¬tent. Observation X. Fausse couche . — Frisson : fièvre intense. — Herpès labialis. —
le 20 décembre au n° 15 de la salle Ferdinand. — Multipare. — Fausse couche de 6 mois, sans cause connue, le 21 décembre à 5
s, elle a eu deux enfants qui sont morts de convulsions et une fausse couche à la suite d'une chute. Le premier accouchement a
observer dans un même calcul, surtout s'il est volumineux, plusieurs couches de composition différente. CHIRURGIE KYSTE DE
— — 57° — 38° — II... Pauline, 52 ans, cinquième grossesse, fausse couche à six mois. (Obs. LXII.) 2*' jour matin 57°,4 s
aussi bien chez les primipares que chez les multipares. Le nombre des couches antérieures ne jouerait donc pas un rôle importan
ont et des joues, aussi bien que celle du corps, est recouverte d'une couche épaisse de poussière qui suffirait pour donner à
vieux (Traité clinique et pratique des maladies puerpérales suites de couches , Pa¬ris, 1870), distinguent la péritonite général
mptômes qui la ca¬ractérisent y figurent. Observation XII. — Fausse couche de quatre mois.-— Péritonite puerpérale légère et
, elle a été prise de douleurs très-fortes, et elle a fait une fausse couche à 2 heures de l'après-midi. A 5 heures : pouls à
quelque temps, une femme qui, sortie d'un hôpital dix jours après ses couches , fut prise à l'Asile du Vésinet, où elle avait ét
, la loi suivante : " La température la plus basse chez les femmes en couches se montre le matin jusqu'à neuf heures, puis une
71 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
oujours en continuité avec cette lacune tend à se reconstituer. Une couche de cellules épithéliales,bien que discontinue,m
caractère le plus remarquable de la lésion est la pénétration de la couche moléculaire par des travées cellulaires très régu
s à celle-ci, quelquefois sur une assez grande longueur. Les autres couches sont pénétrées plus irrégulièrement ; les cellule
èrement ; les cellules de Purkinje restent longtemps distinctes, la couche granuleuse contient parfois ainsi que la suGs-
e de dureté. L'examen macroscopique ne révèle aucune atrophie des couches optiques, des tubercules quadrijumeaux,des corp
s cornes occipitales des ventricules latéraux, réduite à une milice couche de quelques millimètres, est constituée par un ti
trouve plus aucune trace du ruban 104 MARCHAND de Vicq d'Azir. La couche épendymaire qui tapisse le ventricule est en voie
rolifération. La pie-mère très vascularisée est formée de plusieurs couches . Elle est le siège d'une inflammation ; on trou
. La descendance comprend deux garçons bien portants ; deux fausses couches successives ; un garçon atteint depuis la pre-
x d'antécédents syphilitiques; jamais la femme n'a l'ai t de fausse couche . Les deux soeurs de notre malade, âgées de 23 e
vésicules oculaires ont évolué normalement ; la rétine présente ses couches normales (Fig. 2) ; une couche répond à celle du
ormalement ; la rétine présente ses couches normales (Fig. 2) ; une couche répond à celle du pourpre rétinien, puis une co
(Fig. 2) ; une couche répond à celle du pourpre rétinien, puis une couche de cellules aux cônes et aux bâtonnets, viennen
uche de cellules aux cônes et aux bâtonnets, viennent ensuite : une couche de cellules ganglionnaires, une couche de cellu
nets, viennent ensuite : une couche de cellules ganglionnaires, une couche de cellules homologues à celles de l'écorce cér
ules homologues à celles de l'écorce cérébrale, enfin au centre une couche de fibres nerveuses. Un nerf optique se constitue
système des ganglions spinaux sensitissest Fig. 2. Les différentes couches de la rétine. En bas celle qui est adjacente à la
la cavité arachnoïdienne, et se caractérise par la formation d'une couche épaisse de tissu en tous points analogue à la n
s sont constituées de dedaus endehors, pour les artérioles, par une couche endothéliale formée de cellules gonflées, à gros
de cellules gonflées, à gros noyau, et revêtue extérieurement d'une couche de cellules musculaires, lisses, et de quelques
its différents sous forme de fentes irrégulières, tapissées par une couche incomplète de cellules cylin- driques, ou mieux
née de son épithélium. On voit cet épithé- lium, formé de plusieurs couches dans sa portion la mieux conservée, se dis- soc
d'oedème. Le canal épendymaire est très apparent, entouré par une couche épaisse, feutrée, de fibrilles névrogliques. L'
trée, de fibrilles névrogliques. L'épithélium est formé par plusieurs couches de cellules cylindriques pressées les unes cont
maire est plus régulier, toujours légèrement dilaté, avec plusieurs couches d'épithélium et une gaine de fibrilles névrogli
sclé, mais cependant considérablement amaigri. La disparition de la couche graisseuse sous-cutanée rend plus appa- rentes
ter au lit pendant la plus grande partie de la journée, bien que sa couche soit, par son exiguïté, peu en rapport avec les
e des travées entourant les capillaires à l'état normal. Il y a une couche interne d'élément fib¡'o-plas- tiques absolumen
les aliments à la bouche de main gauche. Pour écrire, le malade se couche en quelque sorte sur l'avant-bras droit, le mem
izarreries qui se relèvent dans la morphologie de la surface et des couches musculaires superficielles de la langue de notre
masse musculaire de la langue, et il arrive enfin et finit dans les couches inférieures (longitudi- 254 BIANCUINI nales)
plus contiguës et voisines s'entrelacent et s'entrecroisent avec les couches proximales des fibres transversoe (Sappey, Quai
'àge de 26 ans. Sa femme est bien portante, n'a jamais eu de fausse couche ; deux enfants, l'un est bien portant; l'autre es
V, B). Lobe frontal gauche. - Diminution du nombre des cellules des couches superficielles : pigmentation hématique éparpil
couches superficielles : pigmentation hématique éparpillée dans les couches super- ficielles et profondes de l'écorce. Dans
ans les couches super- ficielles et profondes de l'écorce. Dans les couches profondes encore on observe les différentes alt
oints la méninge est comme séparée de l'écorce de la moelle par des couches de fibrine. On ren- contre par ci par là plusie
s muscles soit difficile à apprécier en raison de l'épaisseur de la couche de graisse qui les recouvre, on peut les consi
e la ponction lombaire n'a pu être pratiquée en raison de l'épaisse couche de graisse recouvrant la région des lombes et de
Salpêtrière qui a eu lieu à 50 ans. Elle n'a jamais fait de fausse couche et a eu trois enfants encore vivants actuellement
araissent formées d'une bande protoplasmique recouverte d'une mince couche irrégulière de myéline. D'autres ont une myéline
es étroites non différenciées. Quelques-unes présentaient une mince couche de myéline et un cylin- draxe segmentaire. On p
ides, tantôt occupés par un grêle cylindraxe entouré d'une délicate couche protoplasmique incolore. Planche LXIV. Fis. I.
t ; intégrité du sys- tème pileux. Pas de courbature de fatigue, se couche rarement. Asymétries faciales et corporelles :
euse ; mange et boit lentement, courbature de fatigue fréquente, se couche souvent, très fatigué par les écoles à feu. Tra
etien, se fati- gue beaucoup en trottinant à côté des attelages, se couche assez fréquemment; sueurs abondantes sans cause
72 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
peinture générale des boiseries, murs et plafonds a. l'huile, trois couches . Les appareils des water-closets seraient à eff
tique. Ajoutons qu'en maints endroits sa minceur était telle que la couche cérébrale n'avait même pas un millimètre. OBS
'enfance; très nerveuse, migraineuse, caractère irritable, morte en couches ; paralysée du côté gauche. Grand-père maternel
AC, lwant-eoin. C, coili. LTS, lobe temporo-sphéiioïdal/ co, couche optique. V, ventricule. spe, scissure perpend
C, coin. LTS, lobe temporo-spnénolual. ce, corps calleux, co, couche optique, sr, sillon de Rolamio. .0 idiotie.
nvolution tem- porale. ce, corps calleux. cs, corps strie, eu, couche optique. P. pédoncule. SPH, scissure perpendi
. AC, avant-coin. C, coin, LTS, lobe temporo-sphénoïdal. 00,' couche optique. v, ventricule. ce, corps calleux.
circonvolution du corps calleux. Ventricule latéral un peu dilaté. Couche optique et corps, striés normaux. Au niveau des
nts de Il mais pas de sclérose. Ventricule latéral un peu dilaté. - Couche optique, corps strié, corne d'A9)721110on , rie
le malade s'incline en arrière. On le soutient dans sa chute. Il se couche sur le côté gauche, le bras droit est étendu ve
nombreuses sur le lobe oceipital. Ventricule latéral non dilaté. Couche optique et corps strié sains. D'une façon génér
cès épileptique (1) ont rapporté les cas suivants : « Boull... se couche un soir bien portant. Le len- demain matin, on
yant l'aspect et la forme des cellules qu'on trouve dans la seconde couche de Meynert. Ces cellules sont contenues dans de
luse dans la substance blanche ordinaire a la même structure que la couche profonde de l'écorce. Confor- mément aux travau
un peu aminci à son sommet. À la partie moyenne des ventricules, la couche optique et le corps strié forment une légère ém
eune, des crises de nerfs, mourut à 25 ans il la suite de mauvaises couches . Elle resta à leur suite, 18 mois paraplégique.
este de la base, il offre un aspect membraneux, recouvert de minces couches de substance cérébrale. On peut constater sur l
Mère, 56 ans, d'une bonne santé, conserve cepen- dant depuis ses couches un « gonflement du genou ». - Grand-père patern
est recouverte de nombreuses arborisations. Les corps striés et les couches optiques n'offrent rien d'anor- mal. Hémisphè
leur. Parmi ceux qui n'ont pas vécu, quatre répondent à des fausses couches et deux sont morts en nourrice, on ne sait de q
anspasente. C R, cir- convolution retournée. C S, corps strié. C 0, couche optique. V M, ventricule moyen. T Q, tubercules
moment de la puberté. Pas de consanguinité. 6 enfants et une fausse couche . L'aîné est mort de convul- sions à 5 mois ; no
ormée de deux lames de tissu compact entre lesquelles est une large couche d'un tissu spongoïde qui permettrait de compare
des pédoncules et de la protubérance, est infiltrée d'une épaisse couche purulente (méningite purulente). 282 « Hydrocép
surtout au niveau de sa corne occipitale et à sa partie moyenne. La couche optique est un peu aplatie et le corps calleux am
s de colère. - Mère un peu nerveuse, céphalalgies. Deux faus- ses couches à 6 mois. - Grand-père maternel aliéné et alcoo
age sont nés 4 enfants et la mère est enceinte de 5 mois. 1° fausse couche à 5 mois, attribuée à la fatigue ; 2° autre fau
1° fausse couche à 5 mois, attribuée à la fatigue ; 2° autre fausse couche de 6 mois sans cause appréciable ; - 30 notre m
, les gencives sont saignantes, le tout est recouvert d'une épaisse couche de muguet. Les ganglions submaxillaires sont tr
tent une teinte vitreuse. Les bandelettes sont réduites à une mince couche . Les tubercules mamillaires sont tout-à-fait ap
e ; 2" le second, 28 ans, est sobre. - Une sur, morte à la suite de couches d'une affection aiguë, avait eu trois enfants d
73 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
es ; elle a aujourd lmi le monde entier pour domaine; le soleil ne se couche ja-mais sur son territoire. Les individus se repo
, M. Gallois a quelquefois constaté que les calculs étaient formés de couches concentriques, dans lesquelles l'acide urique et
vider à la surface libre du cartilage. aboutit à la formation d'une couche osseuse nouvelle. Les capsules mères s'infiltrent
odial, comme on sait, est recouvert à Fia. 13. — Rhumatisme noueux. Couche profonde du cartilage d'une phalange (d'après M.
actérise essentiel-lement cette arthropathie, c'est l'existence d'une couche de tissu conjonctif qui recouvre le cartilage dia
peut devenir le siège. L'endocarde se compose essentiellement d'une couche très mince de tissu conjonctif, renfermant un cer
— Lamelle supérieure de l'endocarde. a". — Lamelle inférieure. b. — Couche moyenne dont les vaisseaux présentent un degré ma
de l'inflammation des tissus eux-mêmes, et du dépôt consé-cutif d'une couche fibrineuse. Mais pendant que ce travail s'accom
me de ces tubercules s'est considérablement accru par l'apposition de couches osseuses nouvelles. Il n'existe pas trace de dépô
pathies purulentes multiples peuvent se développer chez les femmes en couches . C'est à tort, suivant nous, que ces faits ont ét
sa-tion d'une fausse fluctuation, et qui est due à l'hypertrophie des couches celluleuses qui doublent la synovialeà l'extérieu
e fait à terme sans accident ; la malade n'allaite pas, les suites de couches n'ontrien d'anormal ; l'enfantmeurtunanaprès sa n
ossesse, elle quitte Paris, et va habiter une maison de laboureur, et couche dans une cham-bre parfaitement saine. Vers le six
'en outre, la face externe de la membrane synoviale est doublée d'une couche fibreuse, très résistante, qui la sépare des liga
ante, qui la sépare des ligaments articulaires proprement dits. Cette couche nouvelle, qui semble due au tissu cellulaire sous
ulaires que nous enle- vàmes avec précaution, nous rencontrâmes une couche épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synovia
he épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synoviale. Quand cette couche eut été coupée et qu'il ne resta plus que la sére
que gisait la cause de cette contracture apparente, mais bien dans la couche intermédiaire à la synoviale et aux ligaments pér
culations pré-sentaient, en outre, en dehors de la synoviale, dans la couche même dont l'épaississement avait causé au coude u
tière d'aspect crayeux est à nu ou recouverte seulement par une mince couche épidermique. Extraite à l'aide d'une légère inc
-sant faire corps avec la peau, et recouverte seulement par une mince couche d'épiderme, siégeait depuis plusieurs mois sur l'
ge des jointures ; le tissu cellulaire sous-cutané, le névrilemme,les couches profondes du derme pré-sentaient de semblables dé
e sorte qu'il est bien certain que ledépôt d'urate de soude, dans les couches superficielles des cartilages, se fait à la fois
des nerfs des doigts, dans le tissus conjonctif sous-cutané, dans les couches profondes du derme, en un mot, dans tous les tiss
ous venons d'analyser. A la surface des cartilages, se trouvait une couche assez épaisse, opaque à la lumière directe, blanc
. Examinée à un faible grossissement sur des coupes verticales, cette couche était limitée d'un côté, par la surface du cartil
ns. Il s'enrhume très facilement et tousse presque tous les hivers. couche cellulaire de la séreuse, dans les tendons et les
intures précédentes, le dépôt de sels uriques était constitué par une couche très mince. La surface de ces dépôts était rugu
n outre, la face externe de la membrane synoviale est doublée par une couche fibreuse très résistante qui la sépare des ligame
tante qui la sépare des ligaments articulaires proprement dits. Cette couche nou-velle, qui semble due au tissu cellulaire sou
ticulaires que nous enlevâmes avec précaution, nous ren-contrâmes une couche épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synovia
uche épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synoviale. Quand cette couche eût été coupée, et qu'il ne resta plus que la sér
ue gisait la cause de cette contracture appa-rente, mais bien dans la couche intermédiaire à la synoviale et aux ligaments pér
iculations pré-sentaient en outre, en dehors de la synoviale, dans la couche même dont l'épaississement avait causé au coude u
tiguës, soit à l'épaississement avec production détiens fibreux de la couche celluleuse, sous-synoviale. C'est à cette dernièr
de jointures, les surfaces articulaires paraissent recouvertes d'une couche d'un blanc mat, semblable à du plâtre ; cette mat
és arti-culaires et la surface rotulienne sont revêtues de cette même couche blanche qui se retrouve aussi par plaques aux fac
. — Des deux côtés, les articulations tibio-tarsiennes présentent une couche d'un blanc laiteux, uniformément répandue sur tou
rfaces articulaires étaient recouvertes dans toute leur étendue d'une couche d'une matière blanche qui, examinée chimiquement
ge des jointures, le tissu cellu-laire sous-cutané, le névriième, les couches profondes du derme présentaient de semblables dép
on velvétique, puis ils disparaissent et l'on trouve à leur place une couche éburnée. Les surfaces articulaires s'élargissent
e de ces tubercules s'est considérablement accru, par l'apposition de couches osseuses nouvelles. Il n'existe pas de traces de
74 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
hêne, ainsi que les portes et croisées ; les peintures a l'huile, 3 couches ; vitrerie ordinaire, calorifère de puissance s
vint à si mois non viable; une frayeur avait provoqué cette fausse couche . Parmi les 5 enfants vivants, signalons un jeun
es d'adhérences assez nombreuses au niveau du lobe orbitaire. Les couches optiques paraissent un peu rétrécies. RÉFLEXION
utions occipitales, qui est détruite sauf au niveau de la 5e. Les couches optiques, les corps striés, les ventricules laté-
toute sa vie. Sa première femme serait morte subitement durant ses couches . D'après sa seconde femme, il aurait un caractè
'une frayeur que lui aurait faite son mari au troisième jour de ses couches . «Il s'est lové la nuit ayant il la main deux p
des adhé- rences. Le corps calleux, le trigone, le ventricule, la couche optique, le corps strié et le pédoncule ne prés
éjour de 1-2 ans dans un asile d'Odessa. La folie la prit après ses couches . File ne pouvait plus voir son mari et se croya
d-père maternel mort tout jeune. - Grand' mère maternelle, morte en couches . Rieii comme maladies nerveuses ou mentales. -
tes et contiguës, assez bien rangées'. Langue enduite d'une épaisse couche saburrale, rouge à la pointe. Palais absolument
ofondeur, et dont les parois montrent la disposition stratifiée des couches qui ont été intéressées. Nous ne nous occuperon
cclo-pore7tréhlzalie, et qui dénote la destruc- tion successive des couches constituantes de l'hémis- phère. Sur nos quatre
ne fille, morte un quart d'heure après la nais- sance ; - 2° fausse couche de 3 mois; 3° fille, 21 ans, domes- tietfie, pa
conservé et vigoureux. Grand'mère mater- nelle, morte à 28 ans, en couches , « de chagrin,' dit-on. » Un oncle paternel est
ur toute son étendue. - Ventricule latéral dilaté. - Corps strié et couche optique peu volumineux mais ne paraissant pas a
t 1(i ventricule latéral n'ont rien d'anormal. - Le corps strié, la couche optique et le pédoncule cérébral sont très déve
Il n'y a, à la suite, ni nausées ni vomissements. La patiente ne se couche pas. Ce qui domine ce sont surtout des scotomes
ien de particulier dans le ventricule latéral, la corne d'Ammon, la couche optique, le corps strié. ' * Hémisphère cérébra
âge de 57 ans. - Mère morte des suites d'accès d'épilepsie après la couche de son second enfant. Pendant la grossesse de s
SomfAmE. - Père, caractère emporté. Mère, caractère vif, morte en couches . Grand'mère maternelle morte en cou- ches. - Pa
phoïde. [Père, mort à 50 ans, on ne sa' de quoi. - Mère, morte en couches : 1 36 ans. Le reste de la famille est totalement
blement atrophiée. Le ventricule latéral est notablement dilaté, la couche optique, le corps strié ainsi que la corne d'Am
dosités atrophiques..Le ventricule latéral ne parait pas dilaté. La couche optique, le corps strié et la corne dam- mon pa
e : 5 ans, la mère était la plus âgée. Quatre enfants : 1° fausse couche de 5 mois 1/2; 2° un garçon, mort en naissant ;
tent une teinte vitreuse. Les bandelettes sont réduites à une mince couche . Les tuber- cules mamillaires sont tout-à-fait
i déprimés par cette dilatation ventriculaire. Le corps strié et la couche optique sont aplatis surtout à leur partie post
-quatre ans d'une affec- tion pulmonaire à la suite de sa quatrième couche . Dans le reste de la famille du père, aucune af
ses positons (fig. 18, 19, 20,21), se lève en se contorsionnant, se couche à terre (fig. 22, 23. 2h, 2;i 26), se relève sa
ernet mort phtisique. - Mère morte d'une péritonite un an après une couche . Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 7 a
C, coin. LTS, lobe temporo-sphénoïdal. ce, corps calleux. co, couche optique. sr, sillon de Rolando. BOURNEVILLE,
in. C, coin. Lo, lobe occipital. T3, troisième temporale. CO, couche optique. P, pédoncule. SL, septum lucidum.
rconvolution temporale. ce, corps calleux. es, corps strié. co, couche optique. P, pédoncule. SPE, scissure perpendi
. AC, avant-coin. C, coin. LTS, lobe temporo-spliénoïdal. co, couche optique. V, ventricule. ope, scissure perpend
l. AC, avant-coin. C, coin. LTS, lobe temporo-sphénoïdal. co, couche optique. v, ventricule. ce, corps calleux.
75 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de toutes façons pendantle siège de Metz. Prisonnier en Prusse, il couche sur la terre nue et se réveille un matin avec t
Observation IL Glio-sarcome cérébral. Epilepsie. Tumeur occupant la couche optique et le corps strié d'un côté. Homme de q
le segment postérieur de la capsule interne, avec propagation à la couche optique : mais il faut remarquer qu'ici, le spa
ont fibro-plastiques; c'est d'elles qu'émane le tissu scléreux; les couches de fibres conjonctives de nouvelle formation proc
sis au-dessous du tubercule bijumeau inférieur, un second gagne les couches trans- verses et inférieures de l'S de l'étage
qui s'y trouvent. P.K. III. Contribution A La connaissance DE la couche intermédiaire DES olives; par S. FREUD. (Neurol
trapézoïde, sont venus du ganglion de l'acous- tique (Flechsig). La couche intermédiaire des olives avoisine le point d'en
r le raphé, en dehors par les racines de l'hypoglosse, ou, dans des couches inférieures de la protubérance, par les racines d
rencontre aussi des fibres longitudinales issues, les unes de la couche limitantelatérale de substance grise spinale et p
s grises qui environnent le troisième' ventricule (peut-être à la couche optique ? ), à la partie médian du ruban de Reil
situation systématique. A cet âge de la vie en effet il existe une couche dépourvue de myé- 108 revue d'anatomie le,'[' d
ation corticale jusqu'à la partie infé- rieure et postérieure de la couche optique partiellement atro- 1 Voy. AI'Clt. de N
SAVANTES. lit 1 phiée et de là dans la même direction à travers la couche tÏn te 1'- médiaire des olives (Flechsig), à tr
t né à Strasbourg le 13 avril 1858 où sa mère était allée faire ses couches , bien qu'habitant Paris 1 Les autopsies de cas
ènes inflammatoires qui aboutissent à une hyperplasie d'abord des couches nerveuses, immédiatement soumises à l'agent com-
lange d'air ne contenant que 1/2 p. 100 de Co) l'excitabilité de la couche cor- ticale augmente d'abord; puis cela s'amoin
ugmente d'abord; puis cela s'amoindrit pour aboutir à l'inertie. La couche blanche résiste plus longtemps de sorte qu'en l
oque des contractions musculaires alors même que l'excitation de la couche corticale reste silencieuse. Les nerfs hériphér
bientôt, s'infléchissant vertica- lement, ils se condensent en vne couche propre située à la pointe de la corne postérieu
ès, et que la lésion y est d'autant moins avancée qu'on examine les couches les plus antérieures de la corne posté- rieure,
anté- rieure du tubercule quadrijumeau antérieur, empiète sur les couches optiques au milieu de la commissure postérieure e
ale. Intégri té des cellules nerveuses et des éléments des diverses couches cor- ticales ; artérite syphilitique demème nat
ictus apoplectiforme avec perturbations du côté droit. Autopsie La couche optique gauche renferme le plus vieux foyer ; ra-
sula du côté gauche ; de date plus récente que l'altération de la couche optique, ces lésions expliquent l'aphasie (très l
ement mouvoir ses jambes dans son lit, il peut marcher à côté de sa couche , mais les contrac- tures des jambes, quand il b
ynx, de la conjonctive); 15, 20 minutes avant l'accès, le malade se couche , tombe en état de stupeur, 288 CLINIQUE NERVEUS
nvenablement, tenu par 'Elle s'est mariée à 19 ans, fait une fausse couche ; en 1883, elle était bien portante. Fig. 95.
ante sous le doigt, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaisse couche de tissu cellulaire lâche; au devant du thorax
hritique est comme oedématié. Le rein gauche, entouré d'une épaisse couche de graisse, se décortique facilement (quelques
à l'oeil nu de lésions de néphrite interstitielle (épaisseur de la couche corticale : 4 millim.). Le rein droit se décort
be à con- vexité supérieure. Le corps calleux, le corps strié, la couche optique, ne présentent rien de particulier. H
signalées, est assez profonde. Le corps calleux, le corps strié, la couche optique, sont normaux. Cervelet. ' Les hémisphè
-jacents qui sont mous et flasques. On sent qu'il existe une légère couche de graisse sur toute la surface du corps. Les m
ues. Des incisions faites à la peau mettent à découvert une épaisse couche de tissu cellulo-graisseux. Nulle part on ne tr
sie ni sérosité, ni substance colloïde, mais simplement une épaisse couche de graisse sous- cutanée. Il est noter, dureste
elle est comme paralysée des extrémités, surtout depuis sa dernière couche ; en 1881, sa santé n'a fmt que décliner. » 9° K
tous ces individus, les grandes cellules nerveuses de la troisième couche de l'écorce, dans les parties comprises entre l
e utérine consécutive à des maladies rapidement consomptives, à des couches et à des lactations se succédant à des interval
taire), par Tippel, 92. Nominations et promotions, 262. Olives ( couche intermédiaire des), 103. OphLhalmoplégie (et
76 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nd nombre de petits sillons superficiels. Le ventricule latéral, la couche optique, le corps strié et la corne d'Ammon n'o
tuhercule mamillaire, du pédoncule cérébral, du corps strié, de la couche optique et de la moitié de la protubérance. D'a
la base frontale du cerveau antérieur, sans l'intermédiaire de la couche optique (ligure^). ' > P. lvra.w.ar. II. Con
e interne, des lames médullaires internes du globus pallidus, de la couche intermédiaire de la région de la calotte, de la
eux, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 49 dans la couche tangentielle de la substance grise sous-épcndy-
l'autre hémis- phère, dans la capsule interne du même côté, dans la couche optique, dans la lame médullaire externe de la
côté, dans la couche optique, dans la lame médullaire externe de la couche optique de Forel, dans le corps de Luys, dans l
le pied du pédoncule : elles se dirigent en dedans, franchissent la couche grillagée, la zone de Wcrnicke, et arrivent à l
/ avant et vers la gauche. Le couteau long et étroit a perforé la couche musculaire et la membrane obturatrice postérieure
atiqnes, les cellules en bâtonnet, la dis- position irrégulière des couches cellulaires, les cellules nerveu- ses sclérosée
lrophie des libres des nerfs optiques, un lé- ger (J'dl'IIIl' de la couche des cellules nerveuses, un épaissis-c- 11ll'111
de la couche des cellules nerveuses, un épaissis-c- 11ll'111 dl' la couche moléculaire externe et des libres de Renie dans
.t/'oMftcc))'t(<t6'<'unUent une substance grenue accolée à la couche granuleuse externe; ce;'(, pour Jlnlm, un débri
gler. Par moments, il a des périodes de calme avec demi-stupeur, se couche et gémit : « Je suis perdu ! j'ai commis un cri
2' série 1905, l. XIX. 7 08 CLINIQUE MENTALE z gancs superposés, couches optiques, bulbe, moelle, dans lesquels existent
rs dont l'activité peut être réveillée d'une façon automatique. Les couches optiques, en particulier, contiennent des noyau
fants tous morts en bas-âge, el sa femme a fait en outre une fausse couche ; mai, peut-être, il est- vrai, faut-il tenir c
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XVIII. Des fibres d'association de la couche finement grenue de l'écorce du cervelet ; par L
(Weurol. Ceatrolbl., ttlll, 1904.) llamon y Cajalasignafettans la couche finement grenue en question des libres qui, pro
ment grenue en question des libres qui, provenant de cellules de la couche sou* jacente arrivent en se divisant a la surfa
ivent en se divisant a la surface de l'écorce. Les cel- lules de la couche grenue, petites, ont un gros noyau ainsi que tr
· lJn oulre, lil Cecl- terew, chaque cellule granuleuse envoie à la couche finement grenue un neurile dépourvu de collatér
dans son trajet, vertical jusqu'à la région superficielle de celle couche ». ;\1. Poussèpe, après avoir détruit le lobule
la substance blanche ; leurs prolongements arrivent ensuite dans la couche grenue, finalement, la dégéné- rescence atteint
rescence atteint les prolongements cylindrwilus des cellules de la couche grenue. Ces prolongements c limlravilus,luni·In.n
a couche grenue. Ces prolongements c limlravilus,luni·In.nl dans la couche finement grenue, en formant une rangée de fihl'l'
ne dans l'é- corce du cerveau des épileptiques, notamment dans la couche d'association externe (zonale) ; par Th. liar s.(
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la portion la plus superficielle de la couche , tandis qu'elles sont extrêmement abondantes im
tion gagnent le corps genouillé externe, les deux pulvinars de la couche optique, les corps quadrijumeaux antérieurs. 9. L
ant, il y a prédominance des lésions du côté sur lequel l'animal se couche . L. W. XL1V. Nouvelles études sur le cervelet ;
la méthode de \Iarclii-Busch. L'excitation du noyau après ablation couche par couche de l'hémisphère cérébral du chien dé
e \Iarclii-Busch. L'excitation du noyau après ablation couche par couche de l'hémisphère cérébral du chien détermine : la
étendu de l'hémisphère droit (circonvolution lenlhoro-occipilale el couche optique), lé- sions multiples du bulbe. it. CHA
it laver avec une infusion de camomille. Elle dine à 7 heu- res, se couche à 9 heures comme à l'habitude et s'endort parfait
a vue à tel point qu'elle ne peut se guider dans la chambre où elle couche qu'en utilisant ses lunettes. Elle ne se trouve
achine, ils ont tous la même valeur : L'excentrique vaut l'arbre de couche . Il y aurait pour mon ami Franc-Nohain, qui prê
° les foyers de ramollissement unilatéraux du corps strié et (le'la couche optique déterminent une inconti- nence d'urine
priver des trois semaines de repos dont elles onthesoin après leurs couches : on conviendra que c'est pure fantasmagorie et
e, de chiens non curarises. A partir du 3s mois, l'excitation dp la couche optique et du noyau caudé produit des phénomènes
trent chez le chien de deux semaines la pleine diffé- renciation de couches isolées de cellules; les cellules pyramida- les
s cellules pyramida- les sont bien développées. Donc, à cet âge, la couche corticale delà région sigmoide possède ses élém
; il en est, à cette époque, de même, des libres myéljniques de la couche optique dont l'aspect est celui des animaux plus
dent, comprise entre les deux pyramides, les olives inférieures, la couche interolivaire et la substance arti- culée grise
agressifs, le gardien va encore passer la nuit au milieu d'eux. Il couche le plus souvent dans le même dortoir, côte à côte
w,390. Fibres nerveuses. Voir Sclérose. Des d'association de la couche finement grenue de l'écorce du cervelet, par Po
ine dans l'écorce du cerveau 'des épileptiques, notamment dans la couche d'association externe (zonale), par Kaes, 125
77 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ience claire de n'avoir plus été la même à-partir dé ses. dernières couches ..Depuis lors,- avoué-telle,, elle n'a ira- mais
Elle se'sa- vait hallucinée, et pourtant, la nuit, elle quittait la couche conjugale et, tremblante, se cachait pour se dé
us olfaolorius. T¥.I¡\ somme, les ; cellules ganglionnaires ;de lai couche , grise' des lqr ¡2 ! Ca.çt,ifs. &g.nt¡.tnll
e la plus grande attention : ' "^ ' " ? " 111"'1 1 n i ',rt " 10 La couche grise corticale n'est pas excitable"l'ar elle1mfi
. intense,ll'atrophie des,cellules de Purkinjeet des cellules de la couche externe, l'épaississement strié des pa-, rois v
)t 'V)r.'I 'LI XVII. Contribution A L'ÉTUDE DE la. PHYSIOLOGIE des. COUCHES "Utf ? -* ' ? 't- t "" ' /"r)r.0''j7r'"< ? i
leurs, d'une manière très incomplète paril'auteur. On 1 trouva' les couches optiques- envahies -par lune tumeur fougueuse «
lésions : 1° des nerfs, 2° de la capsule'interne,' 3° ou J de" la' couche optique leile-iiièàie ? Là est toute la questio
ux de ses camarades placent son lit entre les leurs; mais il n'en couche pas moins avec son sabre-baïonnette. Le 8 octob
pousse des sanglots. Le soir, il se plaint beaucoup de la tête, se couche , et, d'après le rapport du veilleur, il n'a pas
oit, mais il lui semble souvent que le pied gauche repose sur une couche d'ouate. Le sens musculaire est assez bien conser
M. Charcot, des mensura- tions exactes de la partie épaissie de la couche de la substance grise qui tapisse le sillon ent
resque pas de différence notable, quant à la largeur relative de la couche de substance grise. (Fig. 1 et 2.) Dans la dire
nes. Dans la direction occipitale, la différence de lar- geur de la couche de substance grise, dans des endroits iden- tiq
de cette région. Remarquons, cependant, que les cellules des autres couches présentaient les mômes ? altérations. Le corps
uméfaction très prononcée. Les mensurations des cellules des autres couches nous ont donné des résultats analogues. Le méth
ules nerveuses, qui les atteint indifféremment dans toutes les cinq couches de la substance grise. Les cellules - tuméfiées
Dans la partie horizontale de la région corticale, les cellules des couches superficielles de la substance grise sont encore
ellulaire diffuse et qui se propage indifféremment, dans toutes les couches , est accompagnée de leur vacuolisation, 'mais s
t pas de différence sen- sible, elle devient presque nulle dans les couches superficielles de la partie horizontale de la s
de départ de l'altération. Quant à la tuméfaction des cellules des couches superficielles et des parties excentriques, leu
présentaient pas d'altération, il remarque que leur disposition en couches ré- gulières est infirmée et qu'il y a là une i
els dans la famille.] -Pas de consanguinité. Dix enfants et fausses couches : 1° garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas d
, bien portant, a eu des convulsions jusqu'à trois ans; 6° fausse couche à six mois, sans motifs ; -io fille, morte à deux
s et demi de méningite, avait déjà eu des convulsions ; - 8° fausse couche ; 9° notre malade; - 10° fille, de sept mois, pa
3° circonvolutions; mais, au niveau de la 2, on enlève avec elle la couche superficielle de la substance grise dans la moiti
TS. Le ventricule latéral offre une dilatation uniforme; mais une couche encore assez épaisse le sépare du foyer. Hémisp
ortiquant la pie-mère, on enlève en un certain nombre de points une couche plus ou moins épaisse de substance grise, notam
ion émane de ce double jeu, en même temps qu'elle dépose dans les couches grises des hémisphères, l'image de l'impression p
Au bout d'un mois, il se produisit une solution de continuité de la couche cornée de la plante du pied droit, et il se fit
six mois de gestation, deux foetus mort-nés. A la suite de cette couche , on a constaté l'existence d'une éruption mal dét
être attribué à la syphilis'. 1. Un an environ après ses premières couches , elle en eut une seconde, l'enfant vint bien à
quelle maladie il succomba. L'année suivante elle eut une nouvelle couche , l'enfant vint mort à huit mois. Elle avait vin
ie de la moelle, mais ne l'atteignait pas, en étant séparée par une couche de fibres nerveuses normales (directe kleinhirn
écisément dans la moitié postérieure de la capsule interne entre la couche optique et le noyau lenticulaire ; en divisant
rieure de la cap- sule en comptant du genou et se trouvent entre la couche optique d'un côté et le deuxième et en partie l
atéral. N. c.. Noyau caudé. N. I., Noyau lenticulaire. C. opt., Couche optique. Sp. c. c., Coupe du corps calleux. C
-mur. N. 1., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt., Couche optique. C. in., Capsule interne. C. c., Corp
cinq il sept centimètres acco- lées vers bipartie antérieure de la couche optique, entrant un peu dans la corne frontale)
olli, déformé; le septum lucidum a disparu; les corps striés et les couches optiques ramollies. Les reins sont durs, volumi
ment dévolu l'hémianopsie croisée (obs. VI et VII), seulement les couches optiques, les tubercules mamillaires et le lobe p
la paralysie générale. Le début de la lésion est manifesté dans la couche névrotique épaississement; cellules-araignées; ép
substance grise; elle n'occupe qu'une profondeur de 2 mil. dans la couche blanche sous-jacente. Pour M. Richter, les dest
ticulaire, 146. Olfactif (tractus), 96. Optiques (physiologie des couches ), 115 Ouïe (psychoses dans les affections d
atéral. N. c., Noyau caudé. N. t., Noyau lenticulaire. C. opt., Couche optique. Sp. c. c., Coupe du corps calleux. C
. , . N. I., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt., Couche optique. C. in., Capsule interne. ( : . c., C
78 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
sante. Une soeur est morte d'une péritonite à la suite d'une fausse couche ; elle a laissé quatre enfants dont l'un, âgé d
écu que 3 jours; il n'a jamais pu avaler aucun liquide. - 60 Fausse couche à deux mois. Notre malade. Rien de spécial, lor
e, est très-étroit dans ses deux tiers antérieurs. Corps calleux, couche optique, corps strié, corne d'Am- mon, ventricu
e un aplatissement de ce bord à la face interne. On constate que la couche opti- que du côté gauche est sensiblement moins
à 75 ans de vieillesse. Mère morte à 35 ans des suites d'une fausse couche . Pas d'antécé- dents nerveux dans la famille]-.
nfant s'est mariée deux fois. D'un premier mari elle a eu 6 fausses couches et 2 enfants; l'un, de ceux-ci est mort à 5 moi
me mari, le père de notre malade, elle a eu 5 enfants et une fausse couche grossesse môlaire ; - Notre malade ; Une fille
t très peu abon- dants et présentent une paroi formée par une seule couche de cellules. (Fig. 2). Fig. 2.-Coupe de la tu
state aussi de petits ilôts de corps granuleux. Les vaisseaux de la couche interne de la pic-mère sont for- tement dilatés
ons déjà signalé l'existence de petits foyers hémorragiques dans la couche moyenne de la substance grise, apparaissant à l
éments nerveux proprement dits, voici en quoi elles consistent : la couche superfi- cielle des fibres parallèles est atrop
rétracté. Le corps strié, jaunâtre, parait également atrophié : la couche optique, le ventricule latéral, etc, n'ont rien
ulier; elle est plus développée qu'à gauche. Le corps calleux, la couche optique sont semblables à ceux de gauche. - Le
rdeaux dont il était le valet de chambre). Mère morte à la suite de couches , n'aurait pas été nerveuse.- Deux frères, dont
re le père et la mère, quatorze ans. Un seul enfant et deux fausses couches . Notre malade. A la conception tous deux étaien
Inégalité d'àge de huit ans. Un enfant, notre malade, et une fausse couche à deux mois. Notre malade. Au moment de la conc
tricule latéral n'est nulle- ment dilaté ; il est plutôt étroit. La couche optique et le corps strié paraissent réguliers.
dant à la corne d'Ammon, forme une masse arron- die, uniforme. La couche optique semble assez régulière. La cloison cache
té de la membrane se trouve une autre par- tie du corps strié et la couche optique. Celte membrane laisse entre elle et le
ligne. Un pli de passage l'empêche de communiquer, en arrière de la couche optique, avec le sillon qui sépare la circonvol
vu, de la lit temporale qui est irrégulière. z Le corps strié et la couche optique paraissent sains, normaux. - Le ventric
ance blanche sous-jacente. Le fond du kyste est formé par une mince couche de substance blanche recouverte d'une mem- bran
brane cclluleuse, très résistante, qui lui adhère intimement. Cette couche de substance cérébrale est continue et, en aucun
1870, une autre des suites d'une chute, une autre des suites d'une couche , une autre poitrinaire, le reste on ne sait de
demi ( ? ) ; 30, 4°, 5° des garçons morts en naissant à la suite de couches Antécédents. 193 laborieuses; 6° un garçon, v
la poche est formé par cette membrane lisse, et doublée d'une mince couche de la substance blanche qui la sépare du ventri
79 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
ns de Francfort; tous deux Juifs). Douze enfants et trois fausses couches : 1° Garçon, vingt-sept ans, bien portant, pas
nsi que les membres. Puis il se tortille, se retourne très vite, se couche sur le ventre, se remet sur le dos. Nouveau rep
NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 9 s'agite dans son lit, se couche tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Le malade
ordre. Repos. Cris prolongés et plaintifs. Il demande à boire et se couche sur le côté droit. Il est 11 h. 30. 12 octobr
Après dessèchement à l'air, ces parties se séparent sous forme de couches concentriques plus ou moins épaisses. Par contr
blanche. La substance grise est diminuée d'épais- seur ; lapremière couche de Deiters est étroite, elle offre beau- coup p
e suivante avec laquelle elle se confond. En effet, cette deuxième, couche , ou des petites cellules pyramidales, est la pe
es petites cellules pyramidales, est la peu distincte. La troisième couche des cellules pyramidales moyennes n'a plus les
sphériques, appartenant à de petites cellules. La 4.111. et la 5 ? couches , celles des cellules volumineuses, n'en ont à p
ation est évidente. Il y a pourtant peu de corps granuleux dans les couches profondes de la substance grise. Les vais- seau
certain nombre d'îlots, ou foyers com- prenant les trois premières couches . Sur ces points, la disposition des fibres se d
r ainsi : sclérosé prolifératine, au point de vue des cellules, des couches superficielles de la substance grise, sclérose
rologie, p.. 113 - go, 18J0.j Examen iiistologique DU cerveau. r9 couches profondes, reprise du processus irritatif dans la
lie ssont confondues. Seules, quelques cellules pyramida- les de la couche clos petites cellules ou de celles des cellules
s ont conservé leur forme spéciale. Le cervelet présente ses quatre couches de la substance grise normales en apparence ; l
e de plus, sur la partie latérale, une encoche qui arrive jusqu'aux couches optiques et qui occupe le tiers de la péri- phé
jours ivre; on le ramassait souvent dans les rues. Mère, morte en couches du père de la malade. Grands- pas de renseignem
tremblement sénile. Ce tremblement aurait commencé à la suite d'une couche , du reste normale. Elle est assez nerveuse, mai
s circonvolutions sont fermes. La corne d'Ammon, le corps strié, la couche optique, n'offrent aucune lésion. Le ventricule
l'ouverture du thorax, immédiatement sous le sternum, on trouve une couche abondante de graisse au milieu de laquelle les
veau et face interne de l'hémisphère gauche. (Voir p. 9b.) C. 0., couche optique. V. L., ventricule latéral. FI, F2, F
éphale (Voir p. 96). L. Or., lobe orbitaire. Po ? porus. C. O., couche optique. Péd., pédoncule cérébral droit. Pr.,
80 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
lequel nous n'avons pas de détails. Depuis, elle a fait une fausse couche à la suite de laquelle elle aurait été très mal
a peau du thorax et des membres est également doublée d'une épaisse couche graisseuse. Le facies du sujet est jouf- flu, c
ge de dix mois. Quatre e22faztsdont trois vivants; pas de fausses couches : 10 Une fille, 20 ans, bien portante, intellig
sent mal le corps thyroïde. Thorax normal, mais recouvert d'une- couche de graisse abondante qui masque complètement les
ité d'âge de cinq ans, en faveur du mari. 7 enfants et une fausse couche il quatre mois et demi à la suite de chute : 1°
melons légèrement saillants. Pénil saillant, doublé d'une épaisse couche de graisse. Le pli sus-pubien est très profond, t
marqués. Dans toutes ces régions la peau est doublée d'une épaisse couche de graisse très ferme. -Les arcades sourcil- li
renversé en avant. Le palper du bassin est impossible vu l'épaisse couche de graisse. Organes génitaux et puberlé. Aiss
ans avoir repris connaissance. - 2 des soeurs sont mortes, l'une en couches à 311 ans, l'autre à 56 ans on ne sait de quoi
és : le père il 27 ans, la mère à. 20. Neuf enfants, pas de fausses couches . Aucun des enfants n'a eu de convulsions ni de
lobe frontal est absolument intact. - Corps calleux, corps strié, couche optique et corne d'Ammon, n'offrant rien de par
ns présentent un épaississement nota- ])le, sans infiltration de la couche sous-pic-mérienne, une diminution du reste de l
entrée de celles- ci, on voit la pie mère se souder intimement à la couche nerveuse sous-jacente, en envoyant des prolonge
ns frontales inférieures, temporales et occipitales. Agencement des couches cellulaires. Celles-ci, dans leur ensemble, son
Nulle part on ne peut constater d'adhérences, d'ulcérations de la couche sous-pie-mèrienne ; à peine peut-on dire qu'il y
orce, ce qui frap- pe, à première vue, c'est l'extrême pauvreté des couches . Leur épaisseur est normale; en aucun point les
nt plus souffert, et cette raréfac- tion est plus sensible pour les couches profondes cle l'é- corce que pour le réseau d'E
qui s'altère facilement, dans un ilacon bien bouché, contenant une couche d'acide borique cristallisé ou de sel marin.
it. Le tissu osseux du crâne est formé, sur la coupe, d'une large couche spongieuse entre deux minces lames compactes. L
nombre de petits sillons superficiels. - Le ventricule latéral, la couche optique, le Sclérose atrophique ; méningite. 21
tubercule mamillaire, du pédoncule cérébral, du corps strié, de la couche optique et de la moitié de la protubérance. D'a
us, on voit le bord droit du corps calleux CC. Le corps strié et la couche optique, à gauche, ont leur volume et leur conf
mon, lésion fréquente dans l'état de mal. Le ventricule latéral, la couche optique., le corps strié, la corne d'Ammon n'of
ntal relativement un peu grêles. Corps calleux, ventricule latéral, couche optique, corps strié bien développés. Plusieu
riangle 1 centi- mètres 1 2. Cette fosse est recouverte d'une mince couche membraneuse qui la sépare du ventricule. On dir
ine laformation d'une dépression dont le fond consiste en une mince couche membraneuse qui la sépare du ventricule. La res
orps calleux. C C, corps calleux. V L, ventricule latéral. C C, couche optique. C A, corne d'Ammon. C H, circonvolut
ps strié, dont l'autre partie est cachée par le trigone Tg. - CO, couche optique. - NO, nerf optique. - PC, pédoncule céré
calleux. - CC, corps calleux très réduit. - CS, corps strié. - CO, couche optique. - PC, pédoncule cérébral. Planche XVII
81 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n lit, 20 CLINIQUE MENTALE. , r mais durant la journée il ne se couche pas au lit, mais passe tout le temps dans son c
e ; on les observe d'aboi d sur les rameaux protoplasmiques de la couche des petites cellules pyramidales, où elles affect
OLOGIQUES. grise de cet organe. Il y a distingué néanmoins : 1. Une couche névroglique, constituée par une énorme quantité
lobes mats de Popow, mais sans noyau (surtout chez l'homme). 2. Une couche de petites cellules nerveuses multipolaires de
e petites cellules nerveuses multipolaires de toutes formes. 3. Une couche de grandes cellules nerveuses, surtout dans la
grandeur aux cel- lules des cornes antérieures de la moelle. 4. Une couche de petites cellules ganglionnaires, au delà des
, en allant de la péri- phérie à la profondeur de l'organe : 1. Une couche de névroglie, ayant l'aspect d'un épais réseau
étroites embras- sent les éléments cellulaires sus-indiqués. 2. Une couche de fibres nerveuses minces qui correspond à la
s. 2. Une couche de fibres nerveuses minces qui correspond à la jre couche de petites cel- lules nerveuses : elle est plus
erveau. 3. La carra cinerea de Tartuferi. Correspond également à la couche des petites cellules, et n'est en réalité pas u
ement à la couche des petites cellules, et n'est en réalité pas une couche distincte. Elle est de part en part en abondanc
ns toutes les directions. 4. Strato bianco cineFPO, correspond à la couche des grandes cellules nerveuses. 5. Cin- quième
rrespond à la couche des grandes cellules nerveuses. 5. Cin- quième couche . Strato bianco et cinereo profundo. Elle correspo
. Strato bianco et cinereo profundo. Elle correspond à la troisième couche de petites cellules nerveuses. Elle forme la li
ubercule quadrijumeau et la substance grise cavitaire. Toutes ces couches sont traversées par une énorme quantité de fibr
es radiaires allant de la substance grise centrale à la troi- sième couche de Tartuferi inclusivement : c'est à ces fibres q
u'il n'existe pas de systèmes de fibres pre- nant naissance dans la couche optique et se terminant dans le tubercule quadr
radiaires de l'écorce du cer- velet ; c) les grandes cellules de la couche à gros grains et les cel- lules de Purkinje; d)
anté- rieur ; f) le noyau rouge; c)le faisceau qui pénètre dans la couche optique, et notamment dans son article externe
ment ; 2" dans ce processus d'atrophie, il s'isole constamment une couche qui répond probablement à la persistance et à la
la persistance et à la conden- sation des cellules de relation des couches granuleuses et molécu- laires, la couche molécu
cellules de relation des couches granuleuses et molécu- laires, la couche moléculaire s'atrophiant en même temps que disp
étant les plus superficiels par von Frey et Thunberg ; la deuxième couche de nerfs serait constituée par tes nerfs du fro
de nerfs serait constituée par tes nerfs du froid, et la troisième couche par les » nerfs du chaud. Cette localisation tr
a fait trois grossesses, toutes les trois terminées par des fausses couches ou la naissance d'en- fants morts. De nombreuse
le a dû être contemporaine des premiers rapports sexuels (fausses couches successives). En 1890, au Congrès de Rouen, j'a
s pour nous : - Marie, trente-cinq ans. C'est le soir; le soleil se couche , illu- minant en rouge la campagne et le ciel.
ie dépendait d'une 'altération anatomique du cerveau et surtout des couches corticales ? - Chaque spécialiste pourrait cite
ut à fait lisses. C'est bien l'aspect du kyste de l'échinocoque. La couche optique et le corps strié sont comprimés; le 3e
s parois des [ ventricules latéraux; la surface ventriculaire de la couche optique } et le corps strié en étaient couverts
ur, de- vient intraitable ; dans l'espoir de moins souffrir elle se couche sur bibliographie. 347 le côté, en chien de f
s suivants : lésions prédominantes dans le cerveau et au niveau des couches de cellules du manteau gris, lésions analogues, m
it altéré; 2" Les noyaux caudé et lenticulaire étaient sains; 3- La couche optique gauche était atrophiée, et l'atrophie i
acts. La radiation optique gauche était atrophiée, L'atrophie de la couche optique était entièrement sous la dépendance de
dégénérescence des fibres provenant de l'écorce cérébrale et de la couche optique est survenue avant que la myélination fût
on considère que l'opi, : ion de Mott sur l'auto-intoxi- cation des couches corticales par la choline et d'autres produits
formes diverses. Elles s'accompagnent d'une légère infiltration des couches profondes de l'écorce par de petits éléments rond
t et l'en- nuient : ici il n'a à s'occuper de rien, il mange, il se couche à une heure fixe sans qu'intervienne aucune déc
le de savoir s'il l'avait contractée, mais sa femme a eu une fausse couche de deux mois, et deux de ses petites filles se
résentent une malade qu'ils crurent atteinte de lésion isolée de la couche oplique. Ils pensent qu'à l'heure actuelle on p
peu sur le cours de la grossesse ; au contraire la grossesse et les couches ne sont pas sans influence sur le cours de la par
e démence paraly- tique. La grossesse avait un cours normal, et les couches étaient faciles- et rapides ; l'enfant né un pe
nfant né un peu avant terme, vécut pen- dant un an. La facilité des couches indique probablement l'exis- tence des anesthés
ablement l'exis- tence des anesthésies profondes. Bientôt après les couches com- mencèrent chez la malade des accès épilept
z la malade en question. G.-J. PII.IBYTKOFF se souvient d'un cas de couches , observées dans la Clinique des maladies nerveu
e, troubles uri- naires et constipation opiniâtre. Un peu avant les couches se déve- loppa chez elle le décubitus sacré pro
es couches se déve- loppa chez elle le décubitus sacré profond. Les couches survinrent avant terme, et vu l'insuffisance de
igé d'appliquer l'mtewention instrumentale. Deux semaines après les couches la malade mourut, et à l'autopsie on constata u
82 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
occipilczle et creuses.-LO bien plissé. - Le ventricule latéral, la couche optique, le corps strié n'offrent rien iL signa
aucun ren- seignement. Grand'mère paternelle morte à la suite de couches . - Six oncles paternels ; cinq sont morts, un seu
avril 1893, le père de l'enfant nous dit que sa femme est morte en couches de son quatrième enfant, un garçon, qui a maint
sur aucun point enlever une parcelle de pie-mère sans entraîner une couche plus ou moins épaisse de substance grise. Les
econnu d'autre accident syphilitique. Elle eut cependant une fausse couche de sept mois, provoquée, dit-elle, par une peur
nté, au moment de sa naissance, de lésions cutanées. Cette fausse couche précéda la naissance de l'enfant que nous avons d
ication se fait avec une facilité remarquable. La corne d'Ammon, la couche optique, le corps strié, les plexus choroïdes n
dont l'étendue est du reste fort restreinte. Au-dessous de cette couche se trouve une nappe de tissu fibrillaire d'appa
vraie, mais plutôt une lésion du foyer de la pre- mière enfance. La couche de myélocytes qui constitue à elle seule la sub
sanguinité. - Différence d'âge de 10 ans. Six enfants et une fausse couche : 1° Une fille morte à 4 mois d'athrepsie ; 2°
né les résultats sui- vants : 1° Lobe frontal. On constate que la couche superficielle de la substance grise est intacte
stance grise est intacte. Il n'y avait donc pas d'adhé- rences. Les couches sous-jacentes, des petites cellules, des cellul
s de consanguinité. Inégalité d'âge de 8 ans. - - 1°-G" Six fausses couches en trois ans, la première à 6 mois de grossesse
. seml)le-t-il, étaient en puissance de syphilis, les six fausses couches précédentes en témoignent. La gros- sesse a été
es mêmes dans les différents points examinés. 1° Lobe frontal. La couche superficielle, sous pie-mérienne, a son épaisse
a son épaisseur normale, mais elle est fort peu vascularisée. Les couches sous-jacentes sont tout à fait confondues, par-
obe occipital. Ici l'atrophie est très prononcée. Les dif- férentes couches delà substance grise, sauf la première, sont ab
ace convexe de l'hémisphère ; son enlèvement entraine avec elle une couche plus ou moins profonde de substance grise sur l
te. A son mariage, nous dit-elle, elle était très blonde, iL chaque couche , ses cheveux tombaient en abondance et repoussa
anguinité; inégalité d'âge de six mois. Six enfants et deux fausses couches : 1" et 2° jumeaux (gar- çon qui mourut à trois
sage; nés à sept mois ou sept mois et demi) ; 3" et 4" deux fausses couches ; - 5° une fille qui a dix-sept ans, pas de con
si... Bien que le cerveau ait macéré depuis 3 ans dans l'alcool, la couche ortique et le corps strié des deux côtés, surto
83 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
ision verticale qui ne comprend que la muqueuse du vagin et un peu la couche sous-jacente ; cette incision est longue de lo à
vagin, et non obliquement, sans cela on ne compren-drait qu'une mince couche de tissu; il ne faut pas oublier que toutes les s
la majorité des chirurgiens craindraient soit de provoquer une fausse couche , soit d'agir sur des tissus gorgés de sang veineu
renant non-seulement la nouvelle membrane orga-nisée, mais encore une couche du tissu utérin. Rapprochez les surfaces avivées
r aviver, il se sert d'un bistouri qui n'enlève des deux côtés qu'une couche très-mince, soit de la peau, soit de tissu cicatr
agin de celle du rectum. De cette façon, il évite de pénétrer dans la couche de tissu cellulaire lâche qui sépare la muqueuse
fondes de la cautérisation au col de l'utérus. On peut l'appliquer en couches plus ou moins épaisses à la surface du col, en cy
à l'aide du bistouri. On a même étendu ce caustique sur une toile en couches d'épaisseur variable, ce spa-radrap se taille com
ès profonde; l'abaissement rapide de la tempéra-ture des cautères; la couche isolante que produit la surface atteinte la premi
auses les plus com-munes sont un accouchement laborieux, une suite de couche ou défausse couche, ayant produit la gangrène,la
munes sont un accouchement laborieux, une suite de couche ou défausse couche , ayant produit la gangrène,la suppuration, des dé
dévelop-per; il ne faut admettre qu'avec réserve les récits de fausse couche faits par les femmes atteintes de cette anomalie
l'écraseur porte d'abord sur les fibres centrales et ensuite sur les couches périphéri-ques. Accidents observés dans Vamputa
i l'est le plus. Si l'hypertrophie s'est surtout dévelop-pée dans les couches externes du col les bords de l'orifice sont incli
fice sont inclinés vers la cavité du col; si au contraire ce sont les couches internes qui se sont le plus développées, les lèv
c un pédicule assez long, un polype fibreux est toujours revêtu d'une couche de tissu utérin, qui se continue avec celui de la
s tumeurs expose à des dangers qui leur sont particuliers; souvent la couche de tissu qui les sépare du péritoine est extrêmem
s facilement constater la limite de la tumeur et du tissu utérin. Une couche de tissu cellulaire séparait le corps fibreux (hi
su cellulaire sous-cutané, tissu fibreux de la ligne blanche, seconde couche de tissu cellulaire dite sous-péritonéale ; au mi
couche de tissu cellulaire dite sous-péritonéale ; au milieu de cette couche on trouve l'ouraque, et si l'on n'est pas exactem
rface fisse du péritoine ; il serait même utile d'y laisser une mince couche de sang afin d'agglutiner les anses intestinales
ur la peau après les avoir rendus plus adhérents à l'aide de quelques couches de collodion. Puis, lorsque ces fils commencent à
ue généralement que leur consistance diminue un peu, surtout dans les couches les plus extérieures. « Ces deux phénomènes, au
r les signes caractéristiques des deux maladies, et pour déplacer une couche du liquide ascitique de manière à percevoir plus
cution de cette incision, il faut procéder comme pour la herniotomie, couches par couches, et avoir soin de lier les vaisseaux
tte incision, il faut procéder comme pour la herniotomie, couches par couches , et avoir soin de lier les vaisseaux de la paroi
long peignoir de flanelle bien chauffé, on lui couvre le ventre d'une couche de ouate arrosée de laudanum ou d'un cata-plasme
nale, entre les anses d'intestin grêle, M. Kœberlé étendit une légère couche de perchlorure de fer sur les bords de la cicatri
ablement écartées et fixées sur la peau en BB, à l'aide de plu-sieurs couches de collodion. Pour donner plus de consistance, on
e 5 millimètres d'épais-seur, et qui paraissait avoir été déposée par couches successives ; dans le centre de sa partie supérie
84 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
st allé jusqu'à dire que les convulsions éclamptiques des femmes en couches méritaient le nom d'épi- DE L'INTOXICATION DANS
on D. Pendant un congé une femme a pu accoucher ou faire une fausse couche ; elle était d'ailleurs enceinte au moment de so
ire le pulvinar gauche. Intégrité des deux tiers anté- rieurs de la couche optique. On voit qu'il ne s'agit pas d'une lésion
liénées, et l'on apprendra qu'à plusieurs, sinon à chacune de leurs couches , elles ont déliré bruyamment pendant quelques h
me par des moyens très prémédités, se livrant le lendemain de ses couches à ses travaux habituels, soignant son bétail, cha
ctions. On recouvre ensuite le point piqué et toute la région d'une couche de collodion élastique. Lorsqu'on arrive aux do
ns la paralysie agitante; chez le vieillard, on ne rencontre pas la couche grenue externe des vaisseaux, ni la sclérose pé
Observation I. Gliôme du volume d'un oeuf de poule implanté dans la couche blanche sous-corticale correspondant au rameau
it encore nette en bas sur le côté droit dans le terri- toire de la couche intermédiaire des olives. Au niveau du champ mo
couche intermédiaire des olives. Au niveau du champ moyen de celte couche , il y a une légère déchéance des fibres transve
ur des cordons postérieurs. Dégéné- rescence très accentuée dans la couche optique et dans les deux nerfs optiques sans lé
ement, il se fasse une pause dans le développement; à ce moment les couches II et III atteignent la largeur du ruban des fi
vingt-trois ans. Elle n'a pas eu d'enfants, n'a pas fait de fausses couches Elle est veuve depuis dix mois. Son mari est mort
vaisseaux est particulièrement abondante et elle pénètre toutes les couches de ces mêmes parois. Dans l'artère spinale anté
1894, elle fait cadeau sans rai- son de sa robe à une amie, puis se couche comme à l'ordinaire sans présenter aucun symptô
relient sont doublés d'une néoformation conjonctive ^ mince, d'une couche de cellules plates endothéliformes qu'on ne ret
x pour la plupart; au-dessous d'eux on reconnaît très bien les deux couches normales de la mé- linge. Ces faisceauxsont dis
jonctifs prennent un aspect réfringent spécial. Au-dessous de cette couche adventice la pie-mère proprement dite est pauvr
ent plus pour la plupart. En outre, chaque veine est entourée d'une couche plus ou moins épaisse de fibres conjonctives long
uniques externes décrit plus haut. Sur quelques-unes on voit que la couche fibreuse, développée aux dépens de l'endartère,
altération appréciable. La névroglie est épaissie, surtout dans les couches superficielles des circonvolutions frontales, o
e; les faisceaux fibreux qui la forment, par- ticulièrement dan, la couche longitudinale externe, sunt manifes- tement plu
bien portante; sa femme, morte de la poitrine, n'a pas eu de fausse couche . Il nie toute maladie véné- rienne, ne porte au
s presque toute son 296 CLINIQUE NERVEUSE. étendue, par une mince couche de fibres saines. Toute sa partie supérieure a
us nom- breux.. R. M. C. XXIII. GLIO-SARCOME intéressant LES deux couches OPTIQUES; par Charles-E. NAMMACK. (The New-York
educ de Sylvius et qui fait corps, de chaque côté, avec chacune des couches optiques de façon à jeter entre elles un pont q
'insula du côté gauche; l'autre, dans le segment pos- térieur de la couche optique du même côté. z Conclusion. 1. Le ruban
e des fibres du ruban de Reil de la calotte, qui se termine dans la couche optique (ruban de Reilthala- mique). ' P. Tli.
es par des cellules est plus dissymétrique que dans la seconde, les couches des parois sont plus lâches, le nombre des leuc
ordinaires des leucocytes, exemple ceux que l'on rencontre dans la couche des noyaux du cervelet : Type CI. , Cellules de
dans la couche des noyaux du cervelet : Type CI. , Cellules de la couche nucléaire. Cellules périphériques de la couche
CI. , Cellules de la couche nucléaire. Cellules périphériques de la couche nucléaire, presque au niveau des cellules de Pu
e les cellules de la substance gélatineuse de Rolando : : Type a. Couche de Rolando. Cellules du ganglion de l'habenula.
yonnante composés de fibres sensitives, motrices et de fibres de la couche optique, et qui paraissent avoir leur appareil
orticales du lobe frontal. On sait que ces fibres constituent trois couches : l'une externe, située sous la pie-mère, compo
la troisième, corres- pondant aux cellules ganglionnaires. C'est la couche moyenne qui parait atteinte la première; puis v
s viennent les fibres tangentielles et enfin celles de la troisième couche . Parfois, surtout chez les paralytiques générau
a constaté dans un cas de paranoïa une atrophie des fibres dans les couches externe et moyenne (méthode de Weigert). Il est
oups ; il entretient des relations avec sa domes- tique pendant les couches de sa femme. Il enferme celle-ci et la soumet à
e doit être laissé seul ; c'est pourquoi il est indispensable qu'il couche en commun au milieu d'autres malades qui n'ont
nte. A son mariage, nous dit-elle, elle était très blonde, à chaque couche , ses cheveux tombaient en abondance et repoussa
nguinité ; inégalité d'âge de six mois. Six enfants et deux fausses couches : 1° et 2° jumeaux (garçon qui mourut à trois m
ssage; nés à sept mois ou sept mois et demi); 3° et 4° deux fausses couches ; 5° une fille qui a dix- sept ans, pas de convu
85 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
e dans l'en- fance ; mariée à 16 ans, elle ne fit jamais de fausses couches et eut trois en- fants dont deux sont morts de
morts de méningite en bas âge ; à 28 ans à la suite de sa dernière couche elle eut une métrite; à 3S ans elle souffrit dura
rotubérance, le cervelet et les pédon- cules cérébraux, formant une couche blanchâtre qui englobe les vaisseaux et les ner
important que celui de l'arachnoïde ; elle est composée de nombreuses couches concentriques de tissu conjonctif. Les éléments
noyau allongé accolé à une fibre.En certains points les différentes couches de cet anneau fibreux s'écartent et font place
s aucune préparation, on. était déjà très frappé de l'aspect de cette couche moyenne formée de deux feuillets également volu
tère des lésions syphilitiques. C'est du reste l'intérieur de cette couche , qu'existait la tumeur gommeuse que nous avons si
compte de la façon dont s'opère la coalescence de ces différen- tes couches , d'abord sur la face postérieure de la moelle, pu
de. Py. droite au voisinage de la pie-mère fortement irritée ; Cio, couche interolivaire ; XII. noyau de l'hypoglosse. FAC
ne s'étend pas au delà d'une ligne rasant le bord postérieur de la couche optique. Elle respecte entièrement, à ce niveau,
r de la couche optique. Elle respecte entièrement, à ce niveau, les couches sagittales profondes, et se cantonne étroitemen
chements de sang. Enfants bien portants, sa femme n'a eu ni fausses couches , ni vérole, pas d'abus de boissons alcooliques.
ue-là assez bien portante ; elle a 3 enfants. n'a pas eu de fausses couches , ni la vérole. Etat actuel. Nerfs crâniens, ext
ez libres. La malade a deux enfants bien portants ; a eu une fausse couche , n'a pas connaissance de la vérole. Elle se plain
Pendant le sommeil elle n'a pas de contractions, mais quand elle se couche elles sont violentes et au réveil elles recomme
vroglique, tantôt enveloppées sur une partie de leur trajet par une couche plus ou moins épaisse de cytoplasme. Un coup d'oe
qui est si ennuyeux aux autres. « Sa Majesté, peu avant sa dernière couche , brodait avec soin et plaisir un parement d'aut
nombre n'est pas trop grand. Les capsules surrénales présentent la couche corticale assez riche en gra- nulations lipoïde
ponsabilité, et jamais d'autre part il n'y eut ni enfant, ni fausse couche . L'examen du sperme a pu être pratiqué. Il est
régulières. Mariée a 20 ans,' elle n'a pas eu d'enfant ni de fausse couche . Son mari n'au- rait pas eu de maladies vénérie
mbre 1893. Elle eut une perte de connaissance trois jours après une couche (c'était son troisième enfant, qui était à terme,
avait eu auparavant un premier enfant venu à 8 mois, et une fausse couche de cinq mois. On ne trouve pas chez elle de spé
ns. Avez-vous des enfants ? - J'en ai un garçon, et puis une fausse couche , et ma fille. Trois enfants en trois ans. Qua
corps fait complètement défaut. 340 DEJERINE ET ANDRE-THOMAS ' La couche optique est extrêmement réduite dans les plans su
'atrophie extrême du thalamus dans sa partie la plus supérieure. La couche optique est non seulement réduite dans tous ses d
a destruction totale du noyau lenticulaire. - Tout le reste de la couche optique est normal, on n'y observe qu'un cer- t
s thalamiques (PI. LI, a). Il eu résulte une dégénéres- cence de la couche sagittale qui peut être poursuivie en arrière jus
le fond de la cavité (PI. L, B). Au niveau'du tiers supérieur de la couche optique et du noyau lenticulaire, le faisceau l
ation du segment postérieur de la capsule interne. - Atrophie de la couche optique. le,(;. B. - Coupe horizontale de l'hém
elle se marie, devient enceinte trois mois après et fait une fausse couche de quatre mois environ ; depuis elle n'a jamais p
oujours été sobre. La mère est morte à Page de 2S ans à la suite de couches . Deux frères et une soeur, qui sont tous trois
onne santé. On ne note ni éthylisme ni spécificité ; pas de fausses couches , de maux de gorge. D'ailleurs le Wassermann fai
S DU CERVEAU ET DES MÉNINGES Hémisphère droit. t, tuherculome de la couche optique. ? tuberculomes des lobes occipitaux. (
corce ; en faisant une pression un peu plus forte, on énuclée de la couche optique, dans laquelle elle était logée, une ma
ns (deux ou trois dont un aussi volumineux que celui trouvé dans la couche optique) au niveau de la fron- tale ascendante,
n'y a jamais eu de suppuration quel- conque. L'absence de fausses couches , le Wassermann négatif font éliminer la sy- phi
ification dans la lésion des lobes occipitaux et à la rigueur de la couche optique, il n'en reste pas moins que nous n'avi
et occupant tout l'espace compris entre celte circonvolution et la couche optique. En avant cepen- dant de celle-ci'se vo
rale, véritable cartilage de conjugaison du squelette crânien, de la couche externe de la dure-mère, et des cellules inters
ésés du cerveau nous irons petit à petit depuis le tissu normal des couches profondes du cerveau jusqu'à sa périphérie. Nou
LXI11 Fie 5. - Un vaisseau de la pie-mère. Stroma reticulaire de la couche musculaire. L. lumen. FiG. 6. -- A la partie
aliques (pli. LXIII, fig. 5) en formant un stroma reticulaire de la couche musculaire des gros vaisseaux et une 440 SNESSA
86 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
syringomyélitique était formée par la pie-mère doublée d'une mince couche de névroglie. Dans la seconde observation publi
n suspecte. Elle n'a pas eu d'enfants, elle n'a pas fait de fausses couches . Elle ne présente pas de symptômes d'éthylisme.
éningite à 1 an 1/2 ; 2° garçon mort en nourrice à 1 an ; 3° fausse couche de 5 mois ; lio garçon mort de péritonite subaigu
mois ; lio garçon mort de péritonite subaiguë à 12 ans ; 5° fausse couche de 6 mois ; 6° fille vivante âgée de 9 ans, très
nes et paraissent régulièrement conformées, toute- fois une épaisse couche de(tartre ne permet pas de juger de leur exacte c
lir, car elle contient des particularités très saillantes : fausses couches répétées de la mère, amélioration à la suite de
rius R... il ignorait complètement que sa mère eût fait des fausses couches . « Ce ne fut véritablement que la seconde fois
mille, qui ne manquent pas d'intérêt. Sa mère aurait fait 5 fausses couches ainsi qu'il nous l'avait déjà dit ; il existe e
t 18 mois avec suppression du flux menstruel. Ni enfants ni fausses couches . En 1884, à l'âge de 28 ans, après avoir éprouv
de mariage ; elle n'eut pas d'autres enfants et ne fit pas de fausses couches . Son père est mort il 5 ans d'une affection chr
actuellement âge de 13 ans ; pas d'autres enfants : pas de fausses couches . Au mois de janvier 1895, ses membres inférieur
re fonctionnelle. Comme nous le savons, le uoyeau rouge s'unit à la couche optique et aux circonvolutions centrales par de
des radiations de fibres blanches (Flech- sig et 7e/) (1). Sur la couche optique nous ne pouvons dire que peu de chose. No
lsions... en bas âge. Nous devons signaler cependant quatre fausses couches , mais celles-ci se rapportent à son troisième m
lade, elle n'a rien présenté d'anormal et n'a jamais fait de fausse couche . Les premiers symptômes de la maladie actuelle,
e petites tumeurs implantées sur la moelle. Elle est formée par des couches stratifiées de tissu conjonctif il larges mailles
tration de cellules rondes, infiltration des plus marquées dans Jes couches externes mais qui diminue au sur et a mesure qu
idé- rable que normalement, on ne trouve plus trace de myéline, une couche uni- forme colorée faiblement en rose par le pi
e ces parois épaisses le ca- libre est plutôt rétréci, cependant la couche musculaire reste il peu près intacte formant su
figure très nette représentant une sorte de bourgeon formé par des couches stratifiées concentriques à la tunique élastiqu
ut le canal rachidien, on ne peut plus distinguer ce qui dans cette couche fibreuse appartient il la méninge et ce qui dépen
impossibilité de retrouver l'accident primitif, c'est la 3e fausse couche . Foetus macéré pèse 750 grammes. Organes ^viscé
ril 1896 (Broca). Foetus de 6 mois. Mère spécifique : trois fausses couches antérieures. L'enfant naît vivant, mort au bout
e antérieure est transparente et elle doit sa coloration noire à la couche sous-jacente adhérente au derme sous-unguéal. Nou
face dorsale, mais par son bord anté- rieur, s'est dédoublé en deux couches , surperficielle et profonde. Nous connaissons l
lé en deux couches, surperficielle et profonde. Nous connaissons la couche superficielle que limite en avant le bord libre.
superficielle que limite en avant le bord libre. Avant d'étudier la couche profonde, disons qu'il est difficile de savoir da
la ligne médiane, environ la moitié de la hauteur de l'ongle. La couche profonde, noirâtre ou brunâtre, irrégulière, fine
blement apparent ou réel de ces ongles, et sur l'aspect grenu de la couche profonde. Nous verrons ultérieurement l'intérêt
nous notons un caractère fondamental commun : l'aspect grenu de la couche profonde adhérente de l'ongle. TROUBLES TROPHIQ
rd libre, irrégulièrement dentelé, est séparé de la matrice par une couche grise et grenue. Celte couche qui relie la face p
elé, est séparé de la matrice par une couche grise et grenue. Celte couche qui relie la face profonde de l'ongle au derme
87 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, très maigre, est accusée de vols multiples. ' Depuis une fausse couche faite il y a trois ans, elle est prise à chaque
un pseudo-oedème plus ou moins abondant, selon les régions.' Cette couche sous-cutanée est très épaisse à la face, au-des
s les mamelons. La partie antérieure du thorax est recouverte d'une couche pseudo-oedémateuse épaisse. Viscères. Autant qu
istincts, la commissure postérieure qu'elle forme exclusivement, la couche optique et le lobe frontal (terminaison probabl
ijumeaux. 11 en existe une autre qui occupe le segment médian de la couche du ruban de Reil et se prolonge dans la portion
ce qui prouve que le segment en question ne se termine pas dans la couche intermédiaire des olives. L'atrophie de la port
. Quoi qu'il en soit, ce sont surtout les granulations normales des couches cérébrales du système nerveux et non les grosse
Multiplication des éléments granuleux et expansion de la première couche (ou des granulations corticales de Meynert); trans
ou des granulations corticales de Meynert); transformation de cette couche en un fin réseau de fibrilles dans lequel s'enche
ostéro-périphériques, contigus à ceux de Goll, offraient encore une couche de myéline mince et délicate. Bechtereff, à ce
tant généralement très fragile, il est très difficile d'obtenir des couches minces, d'après la méthode adoptée de plonger des
res des parties internes des faisceaux de Goll possédaient déjà une couche de myéline complètement formée, tandis que ceux
faisceaux de Goll avoisinant la scissure postérieure, possèdent une couche de myéline infini- ment plus développée que les
it pas assez sur les parties adjacentes de ceux de Burdach, dont la couche de myéline est en- core plus mince que celle de
près une guérison apparente, elle devint enceinte et fit une fausse couche . Depuis lors, pas dérègles; la malade nie tout
lle parut guérie, mais dans la suite fit, semble-t-il, deux fausses couches . Depuis ce moment jusqu'à la maladie actuelle, ri
s de la grossesse. Enfin, elle fit une quatrième et dernière fausse couche , au sixième mois également. Depuis ce moment, e
elles et des bains sulfureux. Depuis l'époque de sa dernière fausse couche environ, la malade commença à souffrir de const
n obstacle au passage des impulsions de l'appareil auriculaire à la couche corticale du cerveau. Dans le fait, la sensatio
s pfus ou moins probables. Ainsi, quoique la région motrice de la couche corticale ait été dessinée avec une précision e
ogique de Lon- dres. Comme on pouvait cependant objecter que la couche corticale du pli courbe ayant été détruite jus-
loides, très fortement colorés par le carmin. Les corps striés, les couches optiques, l'avant-mur présentent le même proces
du tractus optique qui- passent par le corps géniculé latéral et la couche optique, traversent la commis- sure postérieure
ent sur le singe, que le centre expressif de la face siège dans les couches optiques. 278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I
t les cônes se forment aux dépens du protoplasma des cellules de la couche granuleuse externe, au cinquième mois de la vie
he granuleuse externe, au cinquième mois de la vie foetale. Dans la couche granuleuse externe se trouvent des éléments non
oie en sens inverse). SCHÉMA Ecorce cérébrale. Capsula interne. Couche optique. Capsule interne. Noyau rouge. Pied du
autre centre sous-cortical (tuber- cule quadrijumeau postérieur, - couche optique ? ) expliquant la surdité. Intégrité ps
qui appar- tiennent aux ganglions sous-corticaux (corps striés et couches optiques). D'après les faits acquis jusqu'ici à
; la langue est 378 8 PATHOLOGIE XERVEUSE. couverte d'une épaisse couche . Le 2 janvier, température, au matin, 39°8, au
immédiatement l'attention de ses proches sur cela, en ordonnant des couches convenables, des changements fréquents de posit
position, ni les moyens pour avoir la pro- preté nécessaire dans sa couche , etc., par conséquent au mois de mars se présen
nce blanche, l'exsudat avait l'aspect de masses amor- phes. Dans la couche des cellules pyramidales s'étaient pro- duites
oute l'écorce; elles sont moins avancées dans les corps striés, les couches opti- ques, les tubercules quadrijumeaux, le bu
ercules quadrijumeaux, le bulbe et la moelle ; dans le cervelet, la couche des cellules de Purkinje est la plus atteinte.
résultent d'une part des propriétés excitantes de la cocaine sur la couche corticale des hémisphères cérébraux, d'autre pa
88 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
e cinq à sept centimètres acco- lées vers bipartie antérieure de la couche optique, entrant un peu dans la corne frontale)
lli, déformé; le septum lucidunz a disparu; les corps striés et les couches optiques sont ramollies. Les J'eins sontdurs, v
; pas de strabisme. Elle a eu pendant deux mois, après sa quatrième couche , des idées tristes et de sui- cide. Elle souffr
ficiels sur la face interne, surtout en avant. Les corps striés, la couche optique n'ont rien de parti- culier. Hémisphè
e occi- pital offrent la même disposition. Les corps striés et la couche optique, le ventricule latéral, etc., n'ont rie
nute environ, lorsque se produit une véritable détente. L'enfaut se couche sur le côté gauche, puis se relève aussitôt et
atorze ans et demi, n'ont pas reparu jusque deux semaines après ses couches (dix-huit ans).Un soir, son mari, qui est ivrogne
s dans la famille.] -Pas de consanguinité. , Dix enfants et fausses couches : 1° garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas d
, bien portant, a eu des convulsions jusqu'à trois ans; 6° fausse couche à six mois, sans motifs ; - 7° fille, morte à deu
ns et demi de méningite, avait déjà eu des convulsions; - 8° fausse couche : 9° notre malade; - 10° fille, de sept mois, p
ges ont eu la marche ci-après : 110 IDIOTIE ET EPILEPSIE. elle la couche superficielle de la substance grise dans la moiti
ut. Le ventricule latéral offre une dilatation uniforme; mais une couche encore assez épaisse le sépare du foyer. Hémisp
ortiquant la pie-mère, on enlève en un certain nombre de points une couche plus ou moins épaisse de substance grise, notam
est entré pour un rhumatisme chronique. - Mère- morte à 31 ans, en couches .- Grand'mère paternelle morte en 1878, à la Sal
otre malade. La conception s'est produite aussitôt après une fausse couche de six mois. A cette époque, le ménage était tr
s grande mollesse, la plus légère pression suffit pour entraîner la couche superficielle. Ce défaut de consistance établit
parente. - C R, cir- convolution retournée. - CS, corps strié. C 0, couche optique.- Vil, ven- tricule moyen. - T Q, tuber
s calleux, le ventricule latéral, la corne d'Ammon sont normaux. La couche optique et le corps strié sont assez développés
89 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
sels calcaires. On trouve entre cette substance et les cartilages des couches d'une matière de nature intermédiaire, propre à c
des points parfaitement correspondants. Chez l'enfant, qui offre une couche épaisse de tissu adipeux sous-cutané et des émine
'épaisseur des os larges. Le tissu compacte forme sur tous ces os une couche plus mince ; mais il offre une disposition partic
ieurs transformations successives, démontrées par la présence de deux couches de nature différente entre la diaphyse et le cart
rtilages, et dans quelques autres points du squelette. L'une de ces couches est du côté du cartilage; M. Broca la nomme tissu
ut-être mieux l'appeler tissu ossiforme ou ostéoïde. Entre ces deux couches , il en est une troisième, intermédiaire, formée p
troisième, intermédiaire, formée par des prolongements de la première couche qui pénètrent dans la deuxième : aussi cette couc
ts de la première couche qui pénètrent dans la deuxième : aussi cette couche intermédiaire a-t-elle été nommée chondro-spongoï
52. (2) Gazette médicale, 1839. (3) Gazette médicale, 1834. Les couches chondroïde et spongoïde sont très-minces et se vo
itisme, leur épaisseur devient très-sensible, parce que les nouvelles couches se produisent plus vite que les anciennes ne s'os
pièce, en voici de 2 à 3 centimètres d'épaisseur. La texture de ces couches est très-curieuse à observer au microscope. Je ne
dans des cellules particulières, au milieu d'une gangue amorphe. 2° Couche chondroïde : les cellules précédentes, ainsi que
mmencent à devenir fibreuses : ce sont les rivières de M. Broca. 3° Couche spongoïde : Élargissement des boyaux de la couche
s de M. Broca. 3° Couche spongoïde : Élargissement des boyaux de la couche précédente, effacement des rivières par le contac
sités. Notons encore que, dans le rachitisme, les granules des deux couches ont des formes bizarres et beaucoup plus irréguli
les os courts. Sur la diaphyse des os longs, on voit se former des couches qui ne contiennent plus de matières salines, soit
des couches qui ne contiennent plus de matières salines, soit que ces couches en aient été privées dès leur formation, soit qu'
s calcaires par l'action directe du rachitisme. On a prétendu que ces couches étaient surajoutées à l'ancien os. Il est très-vr
s on doit plutôt les considérer comme le produit d'une altération des couches osseuses normales, que comme une production patho
ise, se courbe vers son milieu. Quelquefois, il ne reste même plus de couches intérieures du vieil os, qui est transformé tout
s courbures, c'est surtout du côté de la concavité que s'amassent les couches de matière organique fibroïde ; elles refoulent l
cartilage épiphysaire et le périoste, produisant l'un et l'autre des couches qui, au lieu de s'ossifier, restent molles dans l
du tissu spongieux, enfin d'achever l'ossification suspendue dans les couches chondroïde et spongoïde accumulées au voisinage d
st très-différent de l'ancien. Le travail de réparation se fait par couches successives. Dans les os longs, on voit ces couch
ation se fait par couches successives. Dans les os longs, on voit ces couches s'incruster de matière calcaire, des parties prof
voyez sur la coupe de ce péroné, du côté concave de la courbure, des couches dont l'organisation osseuse est d'autant plus ava
ique. Il existe déjà, à ce moment, entre la côte et le cartilage, une couche de tissus chondroïde et ostéoïde un peu plus épai
tiques principales des os des membres, savoir : 1° l'accumulation des couches chondroïde et ostéoïde; 2° les nœuds des extrémit
amollies. D'après les observations de M. Broca $ l'accumulation des couches chondroïde et spongoïde se fait simultanément dan
le sens opposé. Enfin, c'est à une époque encore plus avancée que ces couches chondroïde et ostéoïde s'accumulent à l'extrémité
e long de la ligne âpre, dans la courbure du fémur; des muscles de la couche profonde de la jambe, dans les diverses courbures
e membre le plus élevé. Cette courbure disparaît dès que le malade se couche , s'assied, ou si l'on rétablit par quelque autre
s que la colonne postérieure, dont les os ne sont pas séparés par des couches flexibles et compressibles. De là l'inclinaison d
ur sera prescrite dans les derniers mois de la grossesse et après les couches , jusqu'à ce que l'on suppose que les ligaments on
cette jeune personne, mariée peu de temps après, mourut à sa seconde couche . IIe cas. — Ces deux moules appartiennent encor
90 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
a forme de deux traînées étendues entre le noyau lenticulaire et la couche optique. Quoique tout à fait voisines l'une de
t dont la coupe affecte une forme ovalaire à grand axe dirigé de la couche optique vers le noyau lenticulaire ; l'autre (l
aque coupe qu'envi- ron une trentaine de ces corpuscules. Dans la couche optique, non plus que dans le noyau lenticu- la
s de lésions apparentes ; les faisceaux de fibres qui traversent la couche optique sont notamment très bien développés.
cupent presque tout l'espace qui sépare le noyau lenticulaire de la couche optique; de plus, non seulement les corps granu
à la dégéné- ration de fibres se portant du noyau lenticulaire à la couche optique. Quant à la région de la capsule inte
il peut arriver que, soit dans les circonvolu- tions, soit dans la couche optique des cellules ner- veuses un peu granule
bres de la capsule interne à la hauteur de la face supérieure de la couche optique, immédiatement en dehors de la zone où
er occipital, la surdité complète à celui du lobe temporal droit ( couche blanche); l'intégrité de la parole résultait, pou
rt fou ; une soeur avait été prise d'accès maniaque à la suite de couches et une seconde soeur, délirante chronique, est en
'insuccès de ses recherches. Sur les instances de sa famille, il se couche quelques heures vers le matin après avoir conse
après une nouvelle déjection. 11 se calme alors, prend un bain, se couche et passe une bonne nuit. Il pousse, par momen
de fer et rentre 164 PATHOLOGIE MENTALE. chez lui; le soir il se couche comme d'habitude, sans le moindre incident. Au
capsule interne et semblent se diriger du noyau lenti- culaire à la couche optique. Enfin, comme nous l'avons dit dans l'a
omme nous l'avons dit dans l'autopsie, les cellules nerveuses de la couche optique quoique très nombreuses et très belles,
upes. Fie. 3. - Capsule interne, Observation II, côté gauche.; A, couche optique. - B, noyau lenticulaire. C, corps granul
Notre malade Philippe ; 4° Notre autre malade Julien ; 5° Fausse couche à sept mois et demi; 6° Enfant mort-né. Ces deu
moment de la puberté pour revenir plus violents après les premières couches . Enfin se montre le tableau complet observé à l
gauche plus petit que le droit; diltérencecorrespondante dans la couche optique, le pédoncule cérébral, le faisceau pyram
s ''encore aux corps genouiiiés/aux tubercules quadrijumeaux et'aux couches optiques, soit du même côté, soit du côté oppos
morrhagiques des bandelettes optiques, des corps genouillés, et des couches optiques (cas de Gudden), de tumeurs 268 SOCIÉT
es tubercules quia-j drijumeaux supérieurs ! et inférieurs dans les couches , optiques ;,des; cellules épargnées prennent ma
ouvaient très larges dans les orgues en question, notamment dans la couche oplique; uniformité' des lésions partout, môme
és, des tubercules quadrijumeaux supé- rieurs et inférieurs et à'ia couche optique d'une manière égale; toute atrophie uni
pe, la surface d'un millimètre carré sur la partie intérieure de la couche optique, un peu au-dessus du plancher du troisi
théorie de cécité cérébrale émise par M. Munk, que la lésion de la couche superficielle du lobe occipi- tal, tout en prod
n 1866, l'autre tué en z1 ? - Deux soeU1'S, dont l'une est morte en couches ; leurs enfants sont bien portants. Il n'y a dan
Saint-Antoine, et qui est morte à trois mois. Après cette troisième couche , elle a mené une vie plus régulière et a connu so
en somme dix enfants : 1° un garçon, Des... (Ons. V); -°2° fausse couche de sept mois ; - 3° fille morte à sept mois de co
s. VI); 5° un garçon mort de convulsions à treize mois; - 6° fausse couche de trois mois 7° Horn..., Stéphane (Oss. VU); 8
convulsions, pendant une grossesse. En 1883. à propos d'une fausse couche , les accidents nerveux redoublent, syncopes, atta
les fonctions motrices, deux petits foyers hémorrhagiques dans la couche optique droite. C'est à l'un de ces derniers que
ff attribue l'hémichorée, parce que dans le segment inférieur de la couche optique, il occupe entre elle et le milieu du p
e sa volonté. Si nous remontons de la moelle et du mésocéphale à la couche corticale postérieure, nous allons trouver enco
groupes. Fig. 3. Capsule interne, Observation II, côté gauche. A, couche optique. B, noyau lenticulaire. C, corps granuleu
91 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rt à vingt-deux ans d'une méningite qui a duré onze mois; 4° fausse couche de trois mois, suite d'une peur; 5°`garçon, fiè
e, Avril 1901). ` ' ' e L'auteur conclut : 1° que l'épaisseur de la couche pyramidale i REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
s parois du kyste étaient couverts d'épithélium pavimenteux sur une couche de tissu conjonctif sclé- reux, qui contenait ç
ité supé- Fin. 7. 88 CLINIQUE NERVEUSE. rieure n'atteint pas la couche optique, son extrémité supérieure se trouve à l
mineux. Dans ce dernier cas, la paroi est formée soit par une seule couche de cellules cylindriques, soit par plusieurs co
t par une seule couche de cellules cylindriques, soit par plusieurs couches de cellules CAS DE PAPILLOME ÉPITHÉLIOIDE DU NO
e véritable papille. Cette papille, qu'un léger espace sépare de la couche des cellules néoplasiques, présente au centre u
ux vasculo-conjonctifs s'anastomoser, de même on peut apercevoir la couche de cellules épithéliales, pousser des prolongem
ssent une multiplication active, revêtent le tube, de deux ou trois couches de cellules qui deviennent alors plus petites e
pie- mère est recouverte sur sa face interne, pédozzculuire, d'une couche de cellules cylindriques néoplasiques ; or ces
très peu de tissu conjonctif et un double revêtement épithélial. La couche cel- luleuse externe était formée de cellules c
lles vasculaires nées de la pie-mère et revêtues d'une ou plusieurs couches de cellules cubiques ou cylindriques. Mais il e
âgée de trois mois le 18 avril 1901. L'enfant est née à terme, les couches ont été bonnes : l'accouche- ment avait duré tr
te dans le lobe occipital, d'autres fois c'était le corps strié, la couche optique, enfin le cervelet et ' Etude sur le Ny
ir à l'instruction des nouvelles 126 L'HYSTLRIE DE SAINTE THLRÈSE couches de savants; les volumes coûteux achetés par le pè
même et pour les autres. Trois enfants bien portants. Pas de fausse couche . Bien réglée. Pas d'antécédents héréditaires de
houc; ce résultat est encore obtenu si, sur le vivant, on place une couche semblable entre le diapason et la peau. Alignez
en se projetant dans l'espace; non, cette image est restée dans les couches du cerveau où elle a pris naissance et le trois
le son remplaçant l'image, le nerf auditif, le nerf optique, les couches auditives, les couches optiques. Ce sont ces ha
image, le nerf auditif, le nerf optique, les couches auditives, les couches optiques. Ce sont ces hallucinations que Bailla
t depuis quelques jours en traitement à l'hôpital à la suite de ses couches . Hier soir Minodier, alla chercher sa femme à l
ès l'examen des yeux. 1° La rétine présentait des altérations de la couche des cellules nerveuses, caractérisées par une s
cellules de Purkinje disparaissent brusquement en même temps que la couche des grains se raréfie, s'amincit peu à peu et d
e, s'amincit peu à peu et disparait à son tour en même temps que la couche moléculaire diminue considérable- ment de.volum
lules de Purkinje et les grains disparaissent, on voit s'isoler une couche de cellules ovales, pâles, à noyau formé de chr
Les noyaux, beaucoup plus volu- mineux que les grains, forment une couche continue, assez dense à son centre, qui contour
les dentelures cérébelleuses comme un feston ininterrompu. Cette couche , nouvellement apparue, est constituée par les g
ent apparue, est constituée par les grandes cellules étoilées de la couche des grains, cellules de rela- tion ou du type I
type II de Golgi/et est mise en évidence par la dispa- rition de la couche des grains. Il n'y a pas de différence histolog
tout différent.. - - Les vaisseaux sont souvent formés d'une seule couche d'appa- rence endothéliale, sertis de quelques
ont plus épais, plus abondants, leurs parois formées de plusieurs couches de cellules arrondies qui peuvent subir des dégén
lésions inté- ressant un certain nombre d'éléments isolés dans les couches des grandes et pelites cellules, excentricité d
mon y Cajal, etc., etc., que les cellules de Ramon, situées dans la couche moléculaire, immédiatement sous la pie-mère, donn
admettre que les cellules polyaxoniques., de Ramon, situées dans la couche la plus superficielle de l'écorce cérébrale, so
liers, où elle entend dire, entre autres choses, qu'une apprentie « couche » avec son père; enfin par l'intervention de ce
e leur étendue, d'une épaisse Fig. 36. 4t\6 - RECUEIL DE FAITS. couche de fausses membranes villeuses. La cavité pcricar
se porte au cervelet, sans prendre aucune part à la formation de la couche intermédiaire des olives, ni du ruban de Reil pri
e, il est probable que la faculté de comparer est localisée dans la couche moléculaire de l'écorce cérébrale et qu'elle es
bolies fines, et Letschenow avance que la lésion se trouve dans les couches optiques. Clouston a publié deux cas de folie c
92 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
écificité héréditaire ou acquise. Elle a eu 8 enfants et une fausse couche (entre le 4' et le 5° enfant). Tous ses enfants s
ndensation ou d'une raréfaction parfois extrêmement accentuée de la couche compacte périphérique (1) un aspect en écheveau
coque de tissu compact consti tuait cet épaississement, for- mée de couches concentriques de néoformation osseuse; rien dans
resque aussi caractéristique que celle de la maladie de Paget. La couche compacte est conservée au moins en partie sur une
u moins conservée, on voit surtout un épaississement mar- qué de la couche compacte du côté concave et au centre une légère
gulièrement. Mariée à 24 ans, elle a eu 7 en- fants. Pas de fausses couches . Dans ses antécédents pathologiques, on ne relè
térieure, aucun signe ni d'éthylisme ni de syphilis, pas de fausses couches . Mariée à 17 ans, après deux ans elle accouche
ue. Pas d'in- toxication d'aucune sorte. Sa femme a eu cinq fausses couches et. le seul enfant qui ait vu le jour est un po
r des neurones, l'étage basilaire, avec les noyaux opto- striés, la couche optique, la capsule interne. D'autres enfin, se r
ET, ROSCNBACI1, etc. Actuellement aussi, on s'accorde à regarder la couche optique comme jouant le rôle important dans la
nt certainement les mê- mes, et qu'il y a toujours intervention des couches optiques et de leurs fibres nerveuses (2). BE
re et le pleurer. Ces fibres traversent le putamen pour porter à la couche optique leur influence régulatrice, elles passent
ucun cas analogue. La mère de notre patient n'a pas fait de fausses couches . Antécédents personnels. - Notre nain est né à
silisés et quelques empreintes ; la seconde n'a devant elle que des couches de terrain diversement superposées et les trans
que transparents, ce qui. indique la dimi- nution de la densité des couches osseuses aussi bien du tissu compact que du tis
homogène, d'une teinte grise uniforme, extrêmement transparent; la couche compacte, d'une minceur extrême, est pour ainsi d
ères fibres du deltoïde; c'est aussi la région où l'épaisseur de la couche musculaire autour de l'os est le plus faible. C
st le plus faible. Cette diaphyse, malgré sa gracilité, possède une couche de tissu compact assez épaisse et n'a pas l'asp
ants qui sont venus à terme et déclare n'avoir jamais eu de fausses couches . ' Le premier enfant serait mort 15 jours après
âcheuse. Il se maria à l'âge de 34 ans et sa femme eut deux fausses couches , après quoi elle fut soumise au curettagede l'u
rtement érodés et détruits partiellement par le noyau cancéreux. La couche optique est saine. En dedans, la tumeur est sép
estionnés surtout à leur base. Le coeur est recouvert d'une épaisse couche de graisse; le myocarde n'est pas hypertrophié;
ctement en haut, atteignant les noyaux gros centraux et surtout les couches optiques, se propageant à la partie inférieure
t l'envahissement néoplasique des noyaux gris centraux, surtout des couches optiques, les masses néoplasiques intra-ventric
é de deux zones, comprimant la protubérance en bas, se soudant à la couche op- tique et se continuant avec la substance cé
orte- ment cyanosée ; elle se plaint d'étouffer et demande qu'on la couche sur le côté, mouvement qu'elle ne peut exécuter
imètres seulement. A la coupe, cette tumeur apparaît entourée d'une couche de tissu conjonctif épaissi. Sa couleur est uni
coloré occupe presque tout le corps, entouré seulement d'une mince couche de protoplasma : ces cel- lules sont donc des l
(fig. 4) : certaines vésicules volumineuses, entourées d'une mince couche de tissu conjonctif, présentent sur un point de
a été le seul fruit de cette union et la mère n'eutjamais de fausse couche . Les aïeuls paternels et maternels moururent à
rface limitante du chorion et de t'épiderme s'étendent à toutes les couches sus-jacentes. Si pour une cause ou une autre il
ellules gan- glionnaires. Ce foyer osseux est entouré par une mince couche de tissu con- jonctif fibreux. Il résulte de
on n'observe pas de pigmentation. En beaucoup d'endroits, entre la couche des grains et la couche moléculaire, il existe
mentation. En beaucoup d'endroits, entre la couche des grains et la couche moléculaire, il existe un espace clair répondant
un espace clair répondant aux cellules de Purkinje disparues. La couche moléculaire présente une atrophie prononcée ; ell
elle est constituée par des fibres névrogliques qui rayonnent de la couche des grains vers la surface des circonvolutions
ne sont pas plus nombreuses qu'ailleurs autour des vaisseaux. La couche des grains est également atrophiée ; on observe u
; on observe une diminution considérable du nombre des grains et la couche elle-même est transformée en un tissu réticulé
rélicu- lum très dense ; elles se continuent avec le feutrage de la couche moléculaire d'une part et d'autre part avec le
ins sont très rares, un peu plus nombreux à la limite externe de la couche . Ceux qui persistent sont irréguliers, se coloren
olorations au Weigert ou au Pal, on se rend bien compte que dans la couche moléculaire profonde il n'y a plus trace de ces f
ui se terminent en corbeille autour des cellules de Purkinje. Dans la couche des grains, les fibres sont rares, irrégulières
chez les vieillards. Les vaisseaux du cervelet tant au niveau des couches superficielles que des couches profondes, ne pr
seaux du cervelet tant au niveau des couches superficielles que des couches profondes, ne présentent aucune altération vraime
(Lejonne et Hermille) ATROPHIE OLtVO-RUI3R0-CERL.BELLEIJSE 613 La couche optique est semblable des deux côtés et ne parait
utes les cellules de Purkinje, d'un grand nombre des cellules de la couche des grains remplacée par un feutrage névroglique
minée, par places, les cel- lules de Purkinje ou les éléments de la couche des grains, sans qu'on puisse reconnaître une s
ites sont également assez bien conservées, de même que les 5e et 6e couches qui ont un aspect normal. L'hypophyse présent
Cer- tains acini sont constitués par des cellules entourées par une couche très mince de protoplasme coloré en rouge. Quan
es. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 635 pés, la couche des cellules épithéliales qui les tapisse est rég
efois également dans la substance médul- laire l'infiltration de la couche glomérulaire est évidemment plus prononcée que
93 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fibres intrci corticales sont excessive- ment fines surtout dans la couche zonulaire, et que, des deux côtés, les faisceau
l'autopsie, on constata une adhérence généralisée des méninges à la couche corticale et une atrophie du cerveau avec accom
les reptiles et chez les oiseaux, notamment en ce qui concerne les couches optiques et leurs relations avec le cer- veau a
ehors des fibres commissurales, on trouve des fibres blanches de la couche nndul- laire profonde. Ces dernières proviennen
l'époque dans lesquels M. Baillarger a traité de la structuie de la couche corticale des circonvolutions cérébrales, avec
cale des circonvolutions cérébrales, avec leur superposition de six couches alternativement blanches et grises, rappelant l
onnée empiétant un peu dans la 196 ANATOMIE. corne d'Ammon par sa couche granulée me semble suffire au sens de l'olfacti
x)... - Plus loin, il dit : « Il (le centre) va se perdre dans la couche de la substance grise qui revêt l'origine du co
n- dissement ou tête située entre la voûte à trois piliers et les couches optiques. Les singes sont les seuls dans lesque
pour aller à sa face supérieure et se continuer'avec cette petite couche de substance grise qui la recouvre ou avec les
avoir ainsi constaté la terminaison ou mieux la continuation de la couche granuleuse, qui, comme nous l'avons dit, représ
de circonvolution de l'ourlet ou d'ourlet cortical au re- pli de couche corticale qui l'enveloppe. » L'ourlet de Fovill
rise des régions atro- phiées avait entièrement disparu, laisant la couche externe adhérer à la pie-mère avec une cavité a
d'associa- tion qui joignent plusieurs centres sensoriels, dans la couche blanche sous-corticale. P. K. XVI. Remarques
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES T. EFFET DES lésions DU CORPS strié ET DES couches OPTIQUES SUR la température du corps (The effec
ahrenheit) qui dure jusqu'à soixante-deux heures. Les lésions de la couche optique ont moins d'influence à cet égard. Il e
es cellules nerveuses de la 2' catégorie et lesfibies nerveuses des couches granuleuses et moléculaires du cervelet ; REVUE
TOmE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 279 i° Les cylindres-axes des couches zonulaire et mierocelltilaire de l'é- corce ; .
et cinquième cou- ches de l'écorce du lobe occipital. La troisième couche corticale du même lobe contient de grosses cell
né, le tubercule acoustique est médiocre, il n'est pas divisé en couches . Les stries acoustiques de Monakow (fibres allant
l'acoustique, à l'aide des fibres arciformes, et, par suite, de la couche intermé- diaire des olives, et que, de là, il s
, et que, de là, il se rattache à la substance fonda- mentale de la couche de Reil dans la protubérance. Impossible de con
vont agir directement ou indirectement sur la substance grise de la couche optique ou du corps strié sont connus. De sorte
, le bulbe, les pédoncules cérébraux, les segments supérieurs des couches optiques (centres d'arrêt). L'excitation du gyrus
es indiscutables du maître. Les recherches sur la structure de la couche corticale des circonvo- lutions du cerveau (184
ties de l'encé- phale : non seulement le pédoncule mais encore la couche optique, le lobe temporal et le lobe occipital
ns DE l'attaque hystérique. 333 Après ces expériences, le malade se couche - Son pouls est fré- quent et il a quelques bat
nt la décussation dans les nucléi graciles et dans les noyaux de la couche intéro livaire et de là dans la formation rétic
i, glomérule olfactif. - hl, fascicule postérieur tonptudinal. - k, couche granuleuse du bulbe olfactif. - mp, pédoncule moy
if est indirectement en rap- port avec le tubercule antérieur de la couche optique, mais il n'y a pas de rapport entre la
e l'écorce motrice sont sensitives, ils ont detruit dans un cas les couches superficielles de la substance grise au moyen du
laire, incomplète comme résultat de l'opération : mais, quoique les couches superficielles de l'écorce fus- sent détruites,
chiat., XLVI, 5.) Manie consécutive à une fièvre typhoïde, suite de couches , guérie à son tour par une pleurésie, L'anémie
94 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r sur ce point. Le 9 août, B... soulève de terre un malade et il le couche sur le lit; cet effort musculaire ne donne lieu
Neurolog ? revues analyti- ques) distinguait dans l'écorce : 1° une couche tangentielle, la plus externe; -20 une couche i
ans l'écorce : 1° une couche tangentielle, la plus externe; -20 une couche intermédiaire ; - 3° une couche externe des fib
gentielle, la plus externe; -20 une couche intermédiaire ; - 3° une couche externe des fibrespropres de Meynert sous-corti
dans l'écorce crise, qui se détache nettement et n'est autre que la couche d'association la plus externe de Meynert. P. K.
stance grise centrale des cavités, se terminent dans les noyaux des couches optiques, dans le ganglion de l'habenula, dans
érébral et un autre faisceau, plus gros, qui va directement dans la couche optique et les ganglions nerveux adjacents ; dans
avancée du corps genouillé interne et des segments latéraux de la couche optique, qui est probablement consécutive à l'atr
us l'écorce, zones gris clair, parfois séparées de l'écorce par une couche blanche étroite. 1 P. K. XVI. Contribution A l'
e osmique, ni à la lessive de potasse ; la concentri- cité de leurs couches n'est pas mieux dessinée 'par l'acide acétique.
tinguer un noyau central et une écorce périphérique, mais jamais de couches concentriques. La solution sulfurique d'iode le
ve dans la moelle et le bulbe, disséminés parmi les noyaux, dans la couche corticale au sein des gaines des vais- seaux et
e générale entée sur la syphilis. P. K. XX. DES altérations DE la COUCHE OPTIQUE dans la paralysie PROGRESSIVE; par G. Z
GIE PATHOLOGIQUES. 115 à l'autopsie des lésions circonscrites de la couche optique, tandis que cet organe est indemne dans
à rapprocher des rapports établis par Monakow entre l'écorce et la couche optique (dégéné- rescence de celle-ci à la suit
ler cette assertion à l'aide de cinq observations. Conclusions. Les couches optiques sont, dans la paralysie générale, souv
e revient aux antécédents héréditaires (56 p. 100) et aux premières couches (45 p. 100). Quant aux causes déterminantes, il
orteur sur les modifications du chymisme du sang chez les femmes en couches et enceintes. Il est vraisemblable que dans ces
et cependant elle ne les fait pas; la nuit elle reste comme elle se couche ; une fois la lumière éteinte, si elle est jetée
la même affection. La mère de Léonie a eu six enfants et une fausse couche ; deux sont morts d'affections non nerveuses. Pa
altérés, soit que leur tunique externe soit épaissie, soit que leur couche interne soit hypertrophiée et rétrécisse la lu-
eux par une formation lamelleuse qui résulte de l'hyperplasie de la couche profonde du périnèvre, et, du côté central, par
quatre ans, d'une affection pul- monaire à la suite de sa quatrième couche . Dans le reste de la famille du père, aucune au
. IDIOTIE CONGÉNITALE : 'l'ICS. 24o lève en se contorsionnant, se couche à terre (fig. 32, 33, 34 35, 36), se relève, sa
sylvienne droite; plusieurs petits foyers de ramollissement dans la couche optique droite, le noyau lenticulaire du même c
lésions histolo- giques : 1° Dans les deux caisses tympaniques, les couches épider- miques du bord du manche du marteau dét
froidis- sement ( ? ), l'autre à quarante-quatre ans, des suites de couches ; les quatre survivants ont soixante-quatorze,
. Enfin, il franchit le seuil de la ' porte, monte à sa chambre, se couche . Il était au lit depuis un moment, lorsqu'il se
uffit d'étendre sur toute la surface interne de l'oreille plusieurs couches de collo- dion élastique. Après dix ou quinze j
n'épar* gnait qu'une faible portion de la partie postérieure de la couche optique droite. Ce qu'il y a surtout de remarqu
e préférence sur le bord médian de l'hémisphère cé- rébral dans ses couches superficielles; des paralysies flasques mais su
nés de troubles visuels, la lésion n'avait pas seulement détruit la couche corticale de ce lobe, mais avait pénétré si pro
- tomie pathologique, par Binswan- ger, 114 ; altérations de la couche optique, par Zagari, 114; névrite périphérique
95 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
ndue sur laquelle on constate à sa partie inférieure une très mince couche de Description DU cerveau. 23 substance céréb
corps calleux et l'avant-coin sont dis- tendus et forment une mince couche de substance cérébrale recouvrant la poche memb
éduite à une mince membrane. Le corps calleux est épaissi, toute la couche optique droite est atrophiée et remplacée par u
corne temporale. Les corps opto-striés sont volumineux, surtout la couche optique qui est saillante et contraste beaucoup
nante au niveau de la zone motrice de l'hémisphère droit et de la couche optique du même côté. V. La tuberculose général
es (l'L. lII), Face inférieure du lobe frontal, ventricule latéral, couche optique, corps strié, rien de particulier. Hé
s, répète vingt fois la même chose. - Elle a quitté l'infir- merie, couche on dortoir et dort, sans potion. - Elle a reçu
e rien -Il dîner, il est sombre et ne desserre pas les dents. Il se couche sans rien dire. La nuit a été bonne. 17. René n
a suite d'une invitation à écrire une lettre à ses parents. René se couche par terre, fait semblant de dor- mir ; au bout
al et du lobe temporal. - Ces deux lobes se composent d'une mince couche de substance grise recouvrant la membrane ventri-
be frontal et du lobule P. S. ; elle forme seule, avec une légère couche de substance nerveuse, la plus grande partie de
e, convulsions clans l'en- fance, dix grossesses dont trois fausses couches . Grand- père maternel asthmatique. Un frère /¡q
se ni d'aspect chagriné des circonvolutions. - Le corps strié, la couche optique, la corne d'Ammon, ne présentent rien de
ans (père, plus âgé). (i enfants dont 5 vivants ; pas de fausses couches : 10 garçon, 22 ans, très bien portant, intelli
puis n'a pas eu d'autres enfants que notre malade ; pas de fausse couche . Notre malade. - État satisfaisant du père et d
icule latéral. - Le corps strié paraît avoir son volume normal ; la couche optidne est un peu plus petite. Poids : 550 gr.
existe dans le ventricule latéral, le long du sillon qui sépare la couche optique du corps strié, une trai- née de petits
al, calotte. P F L, pli fronto-limbique. G R, gyrus reotus. Ta, couche optique. P, Pédoncule. - .' ' C, coin. L G,
96 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
écillité, épilepsie boisson. I g. mort on ne sait de quoi. 1 fausse couche à 5 mois. Hor.............Ouvrier chapelier. »
N. m., imb. et épileptique. » Môzié........... Peintre » 4 2fausses couches . Un g., né à 7 mois.idiot. Père excès de en bât
e, la rougeole. I garçon mort à 3 ans 1/2 de la gangrène. 5 fausses couches . Arb............. Marbrier. Chapelière. 1 | gar
ne Fille très Père et Mère sions. nerveux. alcooliques. 3 fausses couches . 2 autres Filles bien portan- tes. JV. m., Dé
oolique JV. m., épilepsie. Blav............ Tourneur » 2 1 fausse couche . N. m., imbécillité. » sur cuivre Lanf.......
e alcoolique N. m., idiot. Bidoi ........... Plombier. » 5 Hausse couche . 1 fille bien portante. » Igarçon mort du croup
tie. I garçon mort à 1 jour. Jean............ Tourneur » 4 i fausse couche à 4 mois. 1 garçon bien portant. » sur cuivre.
aitmcnts. 11. mort de diarrhée. ar. m., imbécile, épilepti- Jfausse couche à 3 mois 1/2. que. ïjumeaux morts à 4 mois. Riv
que. ïjumeaux morts à 4 mois. Riviè........... Tourneur » 8 Hausses couches , 2ct3 mois 1 garçon[bicn portant. » sur cuivre.
mort de tuberculose à 6 ans. Baill............ Peintre » 2 i fausse couche à 3 mois. at. m., idiot. Mère syphilis. en bâti
morte de coqueluche à ¡1 ans. March.......... Plombier- » 4 Hausses couches . N. m., idiot épileptique. Père alcoolique. fer
N. m., idiot. » en bâtiments. Pet............. Peintre » 3 Ihusse couche . N. m., idiot. » en bâtiments. ( mort de convul
grossesses. décédés. vivants. Sud............. Peintre « 2 Ifausse couche à 5 mois. JV. m., imbécile. » en bâtiments. L
bécile. » en bâtiments. Lherm.......... Tabac. Tabac. 10 2fausses couches . 1 fille bien portante. » I g. mort-né. N. m.,
1). Des deux côtés, les ventricules latéraux, les cornes d'Ammon, les couches optiques, les corps striés n'offrent rien de nota
galité d'âge de 3 ans. (Père plus âgé). Deux enfanta (pas de fausse couche ) : 1° notre malade ; — 2° un garçon âgé de 12 ans
e; G0 une fille de 14 ans en bonne santé, pas nerveuse; 7° une fausse couche de 6 mois occasionnée par une chute. Antécédent
e de la corne occipitale de l'hémisphère gauche. — Le corps strié, la couche optique ainsi que la corne d'Ammon paraissent nor
97 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t un peu nerveuse et très impressionnable, elle a fait une fausse couche et a un autre garçon et une fille plus jeunes que
peu intense. Effectivement, dans cette éventualité, la malade ne se couche pas, reste sur une chaise et, après avoir eu une
glions de la base manquent; il ne resle que quelques vestiges de la couche optique. Le pédoncule cérébral est libre au mil
phie de l'étage supé- rieur du pédoncule, du ruhan de Reil et de la couche intermédiaire des olives. Intégrité du faisceau
dans les membranes, ou d'une dégénérescence affectant peut- être la couche optique droite, c'est-là un problème que M. Savag
rgence; c'est pourquoi l'aphasie partielle mo- trice réside dans la couche blanche sous-jacente à la zone de Broca, l'apha
e à la zone de Broca, l'aphasie partielle sensorielle relevant delà couche blanche située au-dessous de la première tempor
microscope décèle un développement remarquablement étendu Li de la couche externe de névroglie de l'écorce qui ne tranche p
Id., t. V, p. 94. 100 SOCIÉTÉS SAVANTES. nettement sur les autres couches sous-jacontes. En partant de la première sans q
Le terrain du processus est la né- vroglie; habituellement c'est la couche externe où il commence pour marcher soit vers l
ne façon très complète les fibres nerveuses à myéline de toutes les couches corticales; 2° des coupes à travers l'écorce du
: a dans le lobe occipital (fibres très abondantes dans toutes les couches ), b dans le lobe frontal (absence presque compl
le lobe frontal (absence presque complète de fibres dans toutes les couches ; seule la couche des grandes cellules présente
bsence presque complète de fibres dans toutes les couches; seule la couche des grandes cellules présente quelques libres i
hopathique. Le 1 avril, elle signale trois métrorrbagies, suites de couches , après lesquelles la menstruation ne s'est pas
e de telle sorte que les tours secs recouvrent partout de plusieurs couches les tours humides; on peut encore lier par dess
angera les compresses toutes les trois à quatre heures, dès que les couches internes seront sèches. Les résultats favorable
t aucune relation avec la maladie actuelle, car jusqu'à sa dernière couche , qui eut lieu l'an dernier au mois de février,
cette dame a eu trois grossesses heureuses, terminées par de bonnes couches ... » « En face de ces renseignements, et en l'a
ue présentent les faits pathologiques. M. Wilbrand admet dans les couches corticales du cerveau, trois centres distincts
infra-corticaux, en rapport étroit avec les troisième et cinquième couches de l'é- corce occipitale. Il en est de même che
s mois plus tard il arrive morose et taciturne, se désha- bille, se couche , subit la flagellation, s'excite, prononce des pa
arrive au secours, il se jette sur elle et se livre au coït. Il se couche après ne se réveille qu'au bout de douze heures
s d'une fièvre typhoïde, d'un traumatisme crânien ou d'une dernière couche chez des sujets de cet âge; dans tous ces cas,
ocampe et corne d'Ammon normaux. Corps calleux, pédoncule cérébral, couche optique, corps strié, bien développés, normaux.
sovie, et une autre tante maternelle est devenue maniaque après ses couches . Un oncle maternel a été atteint de manie, et le
aria à vingt-cinq ans, et eut quatre enfants. Les grossesses et les couches furent normales et sans influence sur l'état ment
ue était niée, mais on notait l'existence d'avortements, de fausses couches ,' et la mort précoce d'enfants. Dans neuf obser
ariétale ascendante. C C, cops calleux. V,vrntricu)elaté- ral. C 0, couche optique. N l', noyau intra-ventriculaire du corps
ule latéral. -N V, noyau intra-ventriculaire du corps strié. - C 0, couche optique. NE, noyau extra ventriculaire du corps s
98 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
cissement des hémisphères, le pulvinar, les corps genouillés et les couches optiques ne sont pas déve- loppés. Dans ce cas
ézoïde est très bien développé ainsi que les olives supérieures. La couche des fibres sensitives manque, ainsi que dans la
eau. Nous trouvons encore les olives supérieures et l'origine de la couche latérale du ruban de Reil. La couche médiane de
supérieures et l'origine de la couche latérale du ruban de Reil. La couche médiane des fibres sensitives n'est pas dévelop
arciformes internes de la formation réticulaire mal développées, la couche latérale des fibres sensitives. Mais les pédoncul
s fibres sensitives. Mais les pédoncules cérébelleux supérieurs, la couche médiane des fibres sensitives manquent; manquent
erveuses qui forment le pied du pédoncule manquent; manque aussi la couche des fibres sensitives. Plus haut, au niveau du 3e
aut, au niveau du 3e ventricule,' nous voyons tous les noyaux de la couche optique et le noyau lenticulaire pres- que non
aux centraux (le pulvinar, les corps genouillés et les noyaux de la couche optique man- quent de même que les noyaux lenti
ulaires) ; 4° l'absence de voies pyramidales ; 50 l'absence de la couche du ruban de Reil ; 6° l'absence du faisceau cér
idales s'explique par l'atrophie des hémi- sphères. L'absence de la couche du ruban de Reil résulte de l'absence de la cou
L'absence de la couche du ruban de Reil résulte de l'absence de la couche optique . Toutes les modifications indiquées en 6
F traversé par l'aqueduc de Sylvius ; 5° le diencéphale produit les couches optiques. La partie du canal neural primitif qu
éphale provoquant l'absence du pulvinar, de corps genouillés et des couches optiques. L'hydrocéphalie de la vésicule cérébr
nt,avec leurs noyaux. Par exemple, le manque des hémisphères et des couches optiques produit une absence des pyramides et d
et des couches optiques produit une absence des pyramides et de la couche du ruban de Reil qui provient des noyaux du cor
qui provient des noyaux du cordon postérieur et se termine dans les couches optiques. Nous observons la même chose,sisousl'
ord externe des cornes postérieures qui est recouvert par une mince couche de tubes nerveux conservés. Tous les autres cor
e et prolongements. Fibres tangentielles conservées. Fibres de la couche moyenne légèrement diminuées de nombre. Fibres
le traitement. Mme D... a été hypothyroïdique depuis ses premières couches et peut- être bien dès avant son mariage. Les m
laire du corps thyroïde. Elle ne combat les ménorrhagies, la fausse couche récidivante, la dégénérescence fibromateuse de
le mis au monde. vivants et à terme ? A-t elle présenté des fausses couches ? Les couches ont-elles été suivies d'accidents
e. vivants et à terme ? A-t elle présenté des fausses couches ? Les couches ont-elles été suivies d'accidents hémorrhagique
ade et perd beaucoup de sang. La seconde présenta plusieurs fausses couches avant de porter à terme des jumeaux dont l'un m
termittente et dut se réfugier fina- lement en ville pour faire ses couches . On a vu l'influence néfaste de la ma- laria su
s au monde deux enfants vivants et à terme. Elle a eu trois fausses couches dont l'une accom- pagnée d'accès éclamptiques.
ans, d'une maladie de coeur, la mère est morte à 30 ans de suite de couches . Une soeur est morte à 35 ans, il en reste une
e au cours duquel elle a perdu les cheveux ; elle a fait une fausse couche de trois mois. 336 ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD
luxion de poi- trine, l'autre a été enlevée à la suite d'une fausse couche . Il n'y a pas de maladies nerveuses dans la fam
de la jambe droite. Elle a deux enfants, et n'a pas fait de fausses couches . Début de la maladie. - Il y a trois ans, elle
que c'est. Je ne peux pas. (Et effec- tivement elle y monte et s'y couche .) La répétition d'une phrase est impossible : «
erne du ventricule n'est pas lésé ; on en distingue les différentes couches . Dans la substance blanche de la partie supérie
la substance grise est séparée du foyer hémorrhagique par une mince couche cle substance blanche. La lésion a complètement d
re do Sylvius. - sp. Scissure sous-pariétale. - SP. Splenium. - Th. Couche optique. - TRI. Trigone. 446 TRÉNEL A ce prop
nel se porte bien, la grand'mère paternelle est morte a la suite de couches , les grands-parents maternels sont morts de vie
99 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ande; il se nourrit surtout de lait et de pain. Été comme hiver, il couche la fenêtre ouverte; je n'en finirais pas 44 CLI
marié à vingt-neuf ans. Sa femme a eu neuf grossesses (cinq fausses couches , quatre grossesses à terme; il reste aujour- d'
partent les fibres qui se rendent à la commissure postérieure; à la couche limitante latérale de la substance grise des cord
secousses morales, de suractivité intellectuelle, -anémie, fièvre, couches . Le début est aigu : de nombreuses idées délirant
vid, à qui les médecins de l'époque conseillèrent de mettre dans sa couche une «jeunesse» » pour réconforter ses forces dé
1° adhérence de la pie-mère à la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 223 couche corticale, au' niveau de la région frontale gauch
sement occupant la partie la plus supérieure du noyau externe de la couche optique gauche; il s'était étendu en arrière ju
ables, les autres thromboses. L'atrophie de la rétine se limite aux couches profondes de la membrane; les cellules y sont n
très petit nombre; il en est de même des granulations internes; la couche des fibres du nerf optique est très amincie; né
aspect sénil et plissé, peau amincie, disparition complète de la couche graisseuse sous-cutanée, tous les os apparents de
st désa- gréable,.elle se lève pour tout remettre en place, puis se couche à 294 CLINIQUE MENTALE. , côté de sa mère, et
nse, on sait aujourd'hui que cet état correspond à une lésion de la couche corticale située sur la première temporale et q
gmate de syphilis héré- ditaire et sa femme n'a jamais eu de fausse couche . On peut donc 372 MÉDECINE LÉGALE. supposer q
ncidents de cette nuit, et il les raconte volontiers. D'abord il se couche et s'endort, mais il ne tarde pas à se réveille
la ou de la base du noyau lenticulaire qui vont se terminer dans la couche supérieure de la protubérance. Le corps genouil
stérieures de l'insula pour aller au corps genouillé interne et aux couches inférieures du pulvinar ; on trouve aussi des t
quer la forme de la surface externe du cerveau par la texture de la couche blanche immédiatement sous-jacente à l'écorce c
he blanche immédiatement sous-jacente à l'écorce c'est-à-dire de la couche blanche, intermédiaire à l'écorce et aux gangli
e la basilaire/remplies d'échinocoques. Foyer hémorrhagique dans la couche optique droite avec irruption dans le ventricul
ais leur mère, avant cette grossesse normale, avait fait une fausse couche . Enfin, tous trois avaient, sans aucun doute, p
ses cellules ont dégénéré, principalement au niveau de la troisième couche ; pas de lésions notables sur les vaisseaux, ni
upes épaisses de préparations à l'acide chromique, on rencontre des couches d'une transparence insolite; cette transparence
alcool, d'une atrophie plus prononcée des cellules nerveuses en des couches déterminées, notamment dans les seconde et troi
en des couches déterminées, notamment dans les seconde et troisième couches de Meynert. Celles-ci peuvent même presque tota
atteint aussi les autres éléments cellulaires, à l'exception de la couche granuleuse (externe) très résistante, par place
ésistante, par places tout à fait indemne. Cette dégénérescence par couches occupe le coin, le lobe occi- pital et le lobe
corticale engendre la dégénérescence en plaques et en cordons de la couche blanche des hémisphères, décrite par Friedmann,
he des hémisphères, décrite par Friedmann, et les altérations de la couche optique consécutives aux attaques congestives (
e de recherches pathologique', de la Salpêtrière, où s'entassent en couches pressées les maladies chroniques incurables, le
100 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
Partout ailleurs la dure-mère est séparée des parois osseuses par une couche de tissu adipeux qui livre passage à des artè-res
t d'analogies, car les parties qu'il a envahies (dans le cerveau, les couches optiques par exemple) se tuméfient d'une manière
tout à fait indemnes. Les produits de l'inflammation dissocient ces couches super-ficielles et, conservant une certaine cohér
, dans l'état pathologique, le siège de douleurs vives. Puis vient la couche cellulo-grais-seuse (périméninge) où pénètrent pa
ostérieure. En dehors, toutefois, elle est séparée constam-ment de la couche corticéile de la moelle par un tractus de substan
re. Celle-ci, examinée de plus près, se montre composée de nombreuses couches concentriques (elle peut atteindre six à sept mil
Quelquefois la pachy méninge hypertrophiée semble com-posée de deux couches : l'une externe, l'autre interne. Cette dernière,
s auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité postérieure de la couche optique; — partie postérieure du noyau caudé ; —
t, c'est-à-dire dans tous les cas : 1° l'extrémité pos-térieure de la couche optique ; — 2° La partie la plus posté-rieure du
la couronne rayon-nante. L'altération de l'extrémité postérieur de la couche op-tique, celle de la queue du corps strié rester
es quadrijumeaux. Mais, d'un côté, on a vu maintes et maintes fois la couche optique et le noyau lenticulaire, atteints dans l
cot. Œuvres complètes, ?.?. 24 dait, dans sa moitié postérieure, la couche optique. La malade avait succombé trois semaines
plus haut, ce n'est évidemment pas en désor-ganisant une partie de la couche optique que l'hémorragie a produit ici, soit l'hé
et 15 mois. Une autre a succombé à l'âge de 3-4 ans, des suites d'une couche . Il n'y a rien à noter dans les antécédents de la
qu'à l'état normal. Beaucoup d'entre eux sont enveloppés d'une mince couche tantôt globuleuse, tantôt légèrement allongée, de
ée à proportion et elle forme autour des cy-lindres hypertrophiés une couche circulaire mince. On trouve çà et là quelques tub
contours irréguliers où les cylindres d'axe entourés seulement d'une couche de myéline ont acquis pour la plupart des dimensi
, Schweigger 4 et Nagel % dans le cerveau (ramollissement jaune de la couche corticale et encé-phalite congénitale interstitie
ile ( Hauptaxencylinder Forsatz) des grandes cellules nerveuses de la couche cor-ticale du cervelet, chez un sujet atteint d'h
ent également normaux. La langue a son volume normal, ses différentes couches musculaires sont rouges ; il n'y a pas trace de s
ur tous les points de la périphérie de la moelle. Il a retenti sur la couche qui lui est immédiatement sous-jacente et il en e
rieurs. — A la région lombaire, ces diverses lésions disparaissent la couche corticale et la zone radiculaire antérieure se re
es postérieures tandis qu'en dehors, elle s'étend presque jus-qu'à la couche corticale : la gangue conjonctive est devenue tou
lules et corps fusiformes. — g, Capillaires en anse ou fiexueux. — h, Couche privée de vaisseaux et formés d'éléments caséeux.
auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité postérieure de la couche optique; —partie posté-rieure du noyau caudé : —
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