/ 174
1 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
rd'hui de par l'anatomie pathologique, que ce sont les cellules des cornes antérieures est le centre trophique du nerf mot
e brusquement le tranchant du scalpel en bas et on pénètre dans les cornes frontales des ventricules latéraux. 2" temps.
me fondamentale : elle est donc morphologiquement, l'analogue de la corne antérieure de la moelle et des noyaux moteurs d
,1<, artère du sillon. - Aspa, artère spinale antérieure. - Cal, corne antérieure. - Ca, cor- don antérieur. - ca, com
ntérieurs. Apparition du sillon médian antérieur. Torsion de la corne postérieure. La lame alaire est prismatique ;
rieure. La lame alaire est prismatique ; elle donne naissance il la corne postérieure et reçoit les terminaisons des raci
on cylindrique de la moelle (se). Elle donne naissance au col de la corne pos- térieure, à la colonne de Clarke, au pro-
midal croisé et le fais- ceau cérébelleux direct de Flechsig. Les cornes antérieures prennent bien- tôt un développement
rs, mais en avant; leur partie postérieure, connue sous le nom de corne latérale (CL), envoie de nombreuses fibres dans
cordons antérieurs sont plus volumineux (fig. 28, °3 ! ), 30). Les cornes et les cordons antérieurs précèdent toujours dans
es cordons antérieurs précèdent toujours dans leur évo- lution, les cornes et les cordons postérieurs. Les cornes postérieur
s dans leur évo- lution, les cornes et les cordons postérieurs. Les cornes postérieures sont , encore informes (fig. 26, 2
ostérieures sont , encore informes (fig. 26, 27, 28), alors que les cornes antérieures et laté- rales sont déjà nettement
es sont déjà nettement accentuées. Vers la fin du deuxième mois, la corne postérieure subit un mouvement de torsion tel, qu
ongueur. (D'après W. His.) Aspa, artère spinale antérieure. CA, corne antérieure. - Ca, cordon ante- rieur. - ca. com
ntérieure. - Cal, cordon antéro-latéral. Ce, canal cen- tral. CL, corne latérale. - Cpl, cordon postéro-latéral. Fa, fo
S111, sillon marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 81 et la corne postérieure commence a se délimiter de sa portion
déjà les apparences de la moelle lombaire de l'enfant, tandis que les cornes et les cordons sont à peine ébauchés dans les r
As, Artère du sillon. - Aspa, artère spinale anté- rieure. - CA, corne antérieure. - Ca, cordon anté- rieur. - ca, com
ntérieure. - Cal, cordon antéro-latéral. - Ce, canal central. - CL, corne late- rale. - CP, corne postérieure. - Fo, fais
antéro-latéral. - Ce, canal central. - CL, corne late- rale. - CP, corne postérieure. - Fo, faisceau ova- laire postérie
.) As, artère du sillon. - Aspa, artère spinale antérieure. - CA, corne antérieure. - Ca, cordon autéricur ? ca, com- m
ntérieure. Cal, cordon antéro-latéral. - Ce, ca- nal central. - CL, corne latérale. -CI', corne postérieure. - 1·G, faisc
antéro-latéral. - Ce, ca- nal central. - CL, corne latérale. -CI', corne postérieure. - 1·G, faisceau de Goll. - Fo, fai
rtent de chaque côté de la commissure antérieure, en dedans de la corne anté- rieure, à laquelle elles aban- donnent
s.) As, artère du sillon. - Aspa, artère 'spinale antérieure. CA, corne antérieure. - Ca, cordon antérieur. - ca, com-
antérieure. Cal, cordon antéro-latéral. Cc, ca- nal central. - CL, corne latérale. - CP, corne posté- ricuro. - Cpl, cor
on antéro-latéral. Cc, ca- nal central. - CL, corne latérale. - CP, corne posté- ricuro. - Cpl, cordon postéro-latéral. -
poglosse, est situé sur le prolonge- ment de la colonne grise de la corne antérieure de la moelle. Cette colonne fournit
Au nerf pathétique. Sur le prolongement de la colonne grise de la corne latérale de la moelle, on voit naître dans la r
donne naissance, sur le prolongement de la colonne nucléaire de la corne antérieure de la moelle, au noyau d'origine du mo
yenne ou étage supérieur (cella média), une partie anté- rieure, la corne frontale, et une partie inférieure, la corne temp
artie anté- rieure, la corne frontale, et une partie inférieure, la corne temporale ou sphénoïdale ou étage inférieur. La
nférieure, la corne temporale ou sphénoïdale ou étage inférieur. La corne occipitale ne se développe que beaucoup plus ta
lobe postérieur ou occi- pital, et représente un diverticule de la corne sphénoïdale. Chaque vésicule hémisphérique prés
gion anté- rieure. Sa région posté- rieure. Naissance de la corne il'Anirnon. 46, 47). Ces plis comprennent toute
Le supérieur ou pli ammonique, s'épaissit et donnera naissance à la corne d'Ammon; l'in- férieur ou pli choroïdien, se ré
térieur, sont creux au début et leur cavité forme le plancher de la corne frontale du ventricule latéral. Au sur et à mes
tangentielles de l'écorce et représente le faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. (Voy. structure de l'écor
vité du lobe olfactif postérieur s'ouvre largement au début dans la corne frontale du ventricule latéral; elle est peu à pe
dus, à la lame cornée et au noyau amygdalien : il en résulte que la corne frontale du ventricule latéral ne communique av
e que la corne frontale du ventricule latéral ne communique avec la corne sphénoïdale, que par l'intermédiaire de l'étage s
ale opto-striée secondaire, et atteint l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. A ce niveau el
, avant-mur. - BU, bandelette optique. - CA, cerveau antérieur. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Ce, capsule exter
, voûte du cerveau intermédiaire. - VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Vsl, ventric
, avant-mur. - AqS, aqueduc de Sylvius. - CA, cerveau antérieur - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Ce, capsule exter
u. Vil, vésicule des hémisphères. - l'l, ventricule latéral. - Foc, corne occipitale du ventricule latéral. - 1 ? troisième
térieurs du trigone, dont les fibres entrent en connexion avec . la corne d'Ammon. Les piliers postérieurs limitent le lobe
mince lamelle de libres transversales qui réunit entre elles les deux cornes d'Ammon. Cette lamelle horizontale, est l'analo
la lèvre supérieure ou dorsale; son bord externe, qui porte dans la corne sphénoïdale du ventricule latéral le nom de corps
e trou de Monro en avant, et ne plongent pas par conséquent dans la corne frontale du ventricule latéral. Ils n'atteignent
l. Ils n'atteignent pas, d'autre part, l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, où la paroi interne des hé- misphè
réduit à une mince lamelle, le voile terminal d'Aeby, qui ferme la corne sphénoïdale en dedans, et qui s'étend du bord int
entriculaire et forme dans la cavité ventriculaire la saillie de la corne d'Ammon. Celle-ci s'étend, au début de la vie e
sillon anuno- nique déprime fortement la paroi ventriculaire de la corne sphénoïdale, en formant la corne d'Ammon défini
ement la paroi ventriculaire de la corne sphénoïdale, en formant la corne d'Ammon définitive, qui présente de très bonne he
pocampe, désignée encore sous le nom de lit ou de cubiculll1n de la corne d'Ammon, de deuxième circonvolution limbique. C
mp01'ale (ot), qui déprime la paroi ventriculaire, et forme dans la corne occipitale l'éoai- nence collatérale de Meckel.
à la scissure pariéto-occipitale, en bas, par le subi- culum de la corne d'Ammon (circonvolution de l'hippocampe) et la ci
geur de la lame neurale, et représente les premiers rudiments de la corne antérieure; la partie postérieure, don- nera na
partie postérieure, don- nera naissance à la substance grise de la corne postérieure, et la mince pièce intermédiaire, a
la corne postérieure, et la mince pièce intermédiaire, au col de la corne postérieure. Les neuroblastes de la corne posté
termédiaire, au col de la corne postérieure. Les neuroblastes de la corne postérieure, envoient pour la plupart leur Sou
e et la voûte de la moelle. La couche grise externe forme les cornes de la 'moelle. Fio. 83. - Trois neuroblastes mo
t en avant, les autres en arrière, d'autres encore au travers de la corne antérieure; puis elles atteignent la ligne médi
s fibres longitudinales du cordon antérieur. Les neuroblastes de la corne antérieure, extrêmement nombreux, se disposent
ette colonne de noyaux une partie médio- ventrale, la. zone de la corne antérieure,, ,. et une partie latéro- darsale
ne antérieure,, ,. et une partie latéro- darsale, la zone de la corne latérale. Dans toute la hauteur de la moelle
le cervicale, les racines motrices qui naissent des zones de la corne antérieure et de la corne lat £ ïakr présente
motrices qui naissent des zones de la corne antérieure et de la corne lat £ ïakr présentent u'er ? lérTh gence comi
, se rendent dans les muscles striés, ceux des cel- lules de la corne la- térale dans le systè- me des muscles du
au de la constitution du tronc mixte. Les fibres des cellules de la corne antérieure s'unissent aux fibres sensitives, pour
x fibres sensitives, pour former les nerfs mixtes; les fibres de la corne latérale se jettent, d'après Gaskell, dans le g
re, les points d'émergence des deux ' 10 Les neuroblastes de la corne anté- rieure donnent nais- sance aux fibres d
te. 146 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le nerf spinal naît do la corne latérale. Nerfs naissant de la colonne nucléa
tes. ordres de racines sont distincts. Les racines de la zone de la corne latérale forment le nerf spinal ; leur émergenc
uent, en arrière de celle des racines qui naissent de la zone de la corne antérieure. Les racines antérieures de la moelle
e la moelle; il leur manque en effet le contingent des fibres de la corne latérale qui forme le spinal. La division de la
la protubérance; au groupe nucléaire médio-ventral qui continue la corne antérieure, se rattache la longue série des racin
acines de l'hypoglosse; au groupe latéro-dorsal, continuation de la corne latérale, se rattachent le spinal, les racines
s refoule sur les côtés, où ils forment par. leur agglomération les cornes antérieures ; il ne laisse passer que les cylindr
q, cellules névrogliques. La ligne pointillée indique les limites des cornes antérieures. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
s de la région fusionnée, région qui correspond à celle des futures cornes et cordons postérieurs, perdent nécessairement
la partie postéro-latérale de la moelle, celle qui correspond à la corne et au cordon postérieurs, est dépourvue de fila
t dans les cordons postérieurs. p. - Les cellules araignées de la corne antérieure. Elles répondent au type normal; leu
géantes. Commissure névro- glique. Cellules araignées de la corne anté- rieure. Cellules araignées du voisina
ent tous des courbes à peu près parallèles à la ligne qui sépare la corne postérieure du cordon postérieur, et se termine
de l'écorce cérébrale, les cellules motrices mul- tipolai1'es des cornes antérieures ; d'autres sont de dimensions grand
a situation superficielle et inler" FIG. 97. - Cellule nerveuse des cornes antérieures do la moelle d'un enfant né il term
traversent la commissure anté- rieure et s'étendent jusque dans la corne antérieure du côté opposé. Ceux de la cellule b n
atérales sont rares sur le cylindre-axe des cellules motrices des · cornes antérieures, mais se rencontrent fréquemment sur
res moussues que l'on rencontre dans l'écorce cérébelleuse, dans la corne d'Ammon et la circonvolution godronnée, présenten
le croyait Golgi, dans la sub- stance gélatineuse de Rolando et la corne postérieure, mais se trouvent disséminées dans
terminaux. FIG. 108. - Cellule nerveuse cylindre- axe court de la corne postérieure de la moelle lombaire d'un embryon
fet, étoilées et mul- i tipolaires, comme les cellules motrices des cornes antérieures ou fusi formes et bipolaires, comme
ostérieures, et recevait les dendrites rami- iiées des cellules des cornes postérieures d'une part et des cellules des corne
s des cellules des cornes postérieures d'une part et des cellules des cornes antérieures d'autre part ; ces dernières envoya
ve naissait duréseati de Gerlach, la fibre motrice des cellules des cornes antérieures, et le courant nerveux ou l'arc réf
la libre radiculaire an- térieure avec la cellule ganglionnaire des cornes antérieures, soupçonnée, et émise pour la premi
r correspondant, ainsi qu'une diminution du nombre des cellules des cornes antérieure et postérieure du même côté, tous phén
s, se termine par des arborisations libres autour d'une cellule de la corne antérieure (CA). Le cylindre-axe de cette derni
écorce céré- brale, cellules de Purkinje, cellules radiculaires des cornes antérieures). Les aspérités des arborisations d
ainsi qu'au niveau des extrémités antérieure et postérieure de ses cornes frontale et occipitale. La substance grise péri
c'est-à-dire par la névroglie, les vais- Fi(;. 122. - Cellule de la corne antérieure do la moelle épinière de l'homme, co
qu'elles ne peuvent être comparées aux cellules multipolaires des cornes antérieures, par exemple, ou aux cellules multi
? Or ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres nerveuses partant de la corne antérieure de la moel- luépilnëreetscren- r
uième jour de l'incubation, des cellules nerveuses, situées dans la corne antérieure, dont le prolongement cylindre-axile
uses centrifuges, qui prennent leur origine dans les cellules de la corne latérale de la moelle (Gaskell), et qui se termin
ns le prolongement sphé- noïdal du ventricule latéral la saillie de corne d'Ammon ou grand lippu- campe, comme elle déter
eur du trigone.- Th, thalamus.- U, circonvolution du crochet. - Vsph, corne sphj- noïdale du ventricule latéral. - vl, vélu
orsqu'elle existe, elle occupe la paroi externe et inférieure de la corne sphénoïdale (fig. 204 et Coupes vertigo- transv
onvolution du crochet. Ses limites. Ii si Subiculum de la corne d'Animon. leux il relie la première circonvolut
ement sphénoïdal du ventricule latéral, et produit la saillie de la corne d'Ammon. Celle-ci repose donc sur la circonvolu
rapport a valu à cette dernière le nom de lit ou de subiculum de la corne cl'Azzzzzzozx. Lorsque, sur un cerveau frais, o
olutions, qui toutes occupent la partie profonde du subiculum de la corne d'Ammon ; elles sont formées d'une mince écorce
éprime fortement la paroi ventriculaire en formant la saillie de la corne d'Ammon, le sillon de ? <6'cae présente en gén
sures qui forment dans la cavité ventriculaire les digilations de la corne d'Ammon (dg CA) (fig. 204). Compris à son origi
rigine entre la circonvolution du crochet (U) et le subiculum de la corne ri' Ammon (L2 [H]), le sillon de l'lzip- 7JOcam
poro-limbiquc. - R, scissure de Rolande. H, substance blanche de la corne d'Ammon. - sec, [sinus du corps calleux. ? Af, si
er la bandelette diagonale de Broca (bd) ou faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl, et se terminer au niveau
, la bandelette diagonale de Broca (bd), ou faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuc1ccrkandl (Riechbündel des Ammons
Les bandelettes diagonales de Broca (bd) ou faisceaux olfactifs des cornes d'Ammon de Zuckerkandl, se détachent de chaque
andelette diagonale de Broca. - Bol. bandelette olfactive. - C : 1, corne d'Ammon. (C), cap de la troisième circonvolution
cincrcum. Tm, tubercule mamillaire. Toi, trigone olfactif. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - xPcs, entrec
e la forme d'un croissant à concavité postéro-interne dont les deux cornes effilées atteignent : l'externe, le sillon latéra
ransversale du tubercules mamillaires et la partie antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. (Pièce durcie
romate.) Alv, alveus. - Arc, faisceau arqué. - AM, avant-mur. - CA, corne d'Ammon. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule ext
VI, ventricule latéral. - 1 ? ventricule du septum lucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - : ;7,, zone
s du trigone (Tgp), en divergeant en arrière pour se porter dans la corne sphénoïdale, Sinus du corps calleux. Nerfs
isphérique. - l ? l ? branches verticales du sillon parallèle. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. MORPHOLOGIE C
Monro. V (cu), vcrmis (culmen). - V(dc), vermis (declivum). - vif, corne frontal du ventricule latéral. - l'oc, corne oc
mis (declivum). - vif, corne frontal du ventricule latéral. - l'oc, corne occipitale du ventricule latéral. - VSl, ventricu
très obliquement en dehors et en bas et s'unissent intimement à la corne d'Ammon, qu'ils accompagnent + jusqu'à la parti
le fornix transverse de Forel, ou wmi faisceau commissural des deux cornes d'Ammon. La lyre et l'origine des piliers posté
au forceps major du corps calleux et à la partie postérieure de la corne d'Ammon (fig. 204) et se divise ensuite en deux
orme la couche blanche intraventriculaire ou l'cclveu.s (ais) de la corne d'Ammon (fig. 204, 205, 206); la partie interne
a partie externe du corps du trigone, et suit le bord concave de la corne d'Ammon jusqu'au vélum terminale d'Aeby sous le
latéral ; elle ne dépasse guère les digitations postérieures de la corne d'Ammon. Le bord externe de la fimbria est convex
terne de la fimbria est convexe et adhé- rent au bord concave de la corne d'Ammon; son bord interne et sa face inférieure
c, 204. -Prolongements sphénoïdal et occipital du ventricule latéral. Corne d'Ammon, Ergot de Morand. Eminence collatérale
photographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) ' C, cuncus. CA, corne d'Ammon. Cç(Spl), bourrelet du corps calleux (Spl
-àccipital. de, diverticule du cuneus. d,gCA, digi- ' tations de la corne d'Ammon. dq, diverticule du lobule lingual ? ds,
p, pilier postérieur du trigone. TgV, carrefour ventriculaire. Voc, corne occipitale. Vsph, corne sphénoïdale. 350 ANATOM
trigone. TgV, carrefour ventriculaire. Voc, corne occipitale. Vsph, corne sphénoïdale. 350 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
rée anté- rieure. Ces fibres constituent le faisceau olfactif de la corne d'Ammon qui Fin. 20 : i· Coupe vertico-transver
la corne d'Ammon qui Fin. 20 : i· Coupe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la région sous- ' optique, passan
dessinés à un grossissement de douze diamètres.) Alv, a)vcus. CA, corne d'Ammon. C,g, circonvolution godronnée. - Cge, co
- Il, circon- volution de l'hippocampe, s'enroulant pour former la corne d'Ammon. Lins, lame médul- laire superficielle
ormer la corne d'Ammon. Lins, lame médul- laire superficielle de la corne d'Ammon (substance réticulée d'Arnold). NC', lueu
réticulée. T,gp, pilier postérieur du trigone. Th, thalamus. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Il, bandelette
du rhi- nencéphalon. FiG. ? ou. Coupe vertico-transversale de la corne d'Ammon et de la région sous optique passant en
s dessinés à un grossissement de douze diamètres). Alv, alvéus. CA, corne d'Ammon. C,g, circonvolution godronnée. - Cge, co
e. - Il, circonvolution de l'hippocampe, s'enroulant pour former la corne d'Ammon. Lnxi, Lmm, lames médullaires interne et
orne d'Ammon. Lnxi, Lmm, lames médullaires interne et moyenne de la corne d'Ammon. Lms, lame médullaire superficielle de la
yenne de la corne d'Ammon. Lms, lame médullaire superficielle de la corne d'Ammon (substance réticulée d'Arnold). Ln, loc
e de Forel représente un faisceau commis- sural jeté entre les deux cornes d'Ammon. 3° Septum lucidum. Le septum lucidum
ongitudinales du trigone qui constituent le faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl ; ces fibres s'irra- die
VI) commencent dans le lobe frontal par une extrémité recourbée, la corne frontale ou antérieure (Vf), située derrière le
he optique, ils divergent, changent de direction, et sous le nom de corne ou prolongement sphénoïdal (Vsph) se portent d'ar
occipitale du cerveau un prolongement horizontal et curviligne, la corne occipitale (Voc), connue encore sous les noms de
trou de Monro le divise en deux moitiés : la moitié antérieure, la corne frontale proprement dite, embrasse dans sa conc
es à lobe olfactif très déve- loppé (cheval, chien, etc., etc.), la corne frontale du ventricule latéral s'étend par un c
orifice postérieur de ce canal est situé très près de la base de la corne frontale, en avant de la partie recourbée de la t
le (le '1;) millimètres de largeur; elle se continue en avant avec la corne frontale (Vf), en arrière avec les cornes occip
continue en avant avec la corne frontale (Vf), en arrière avec les cornes occipitale (Voc) et sphénoïdale (Vsph) et corre
l, et fait suite à la volumineuse tête du noyau caudé logée dans la corne frontale ; la queue se recourbe en bas et en av
ventriculaire, et prend part à la constitu- tion de la voûte de la corne sphénoïdale (fig. 209). 2° En dedans du noyau c
optique, compris entre Étac npérip,l1rllll ventricule latéral. Corne frontale ; ses limites. Chez le fcctus 1111-
Chez le fcctus 1111- main et chez les ani- maux osmatiuucs, la corne frontale du ventricule latéral se prolonge da
u de Monro. V(cu), vermis (culmen). - V(dc), vermis (declivum). V ? corne frontale du ven- tricule latéral. - Voc, corne
rmis (declivum). V ? corne frontale du ven- tricule latéral. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. VSl, ventricule
la bandelette demi-circulaire qu'elle recouvre, sur la voûte de la corne sphénoïdale dont elle atteint l'extrémité antér
s'épanouit en un faisceau de libres qui parcourant, la voûte de la corne sphénoïdale, peuvent être suivies jusqu'au noya
Sa voûte. . 1 .. Portion moyenne ou réfléchie; étage inférieur. Corne sphénoïdale. -Aplatie de haut en bas, la corne sp
ie; étage inférieur. Corne sphénoïdale. -Aplatie de haut en bas, la corne sphénoïdale ( Vsph) contourne le pédoncule céré
nférieure et se continue directement avec la paroi supérieure de la corne occipitale (Voc). Elle présente en dedans les e
sillon opto-strié. TgV, trigone ventriculaire. Th, thalamus. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. MORPHOLOGIE
fontccl de Forel et Onufrowicz (OF). La paroi, ou le plancher de la corne occipitale (fig. 210) présente en dedans la sai
tale (fig. 210) présente en dedans la saillie connue sous le nom de corne d'Ammon, de grand hippocampe ou de pied de l'hi
ne d'Ammon, de grand hippocampe ou de pied de l'hippocampe (CA). La corne d'Ammon se présente sous l'aspect d'un relief c
e libre de ce pilier, s'insère en effet le long du bord concave de la corne d'Ammon, tandis que la partie adhérente ou exte
, tandis que la partie adhérente ou externe du pilier recouvre la I corne d'Ammon d'une couche blanche connue sous le nom d
le nom d'alvéus (Alv) (fig. 205 et 206). La partie antérieure de la corne d'Ammon est plus courte, mais plus large et plu
ocampe (H), qui doit à ce rapport son nom de lit ou subiculum de la corne d'Ammon. Elle présente en général trois à quatre
sente en général trois à quatre bos- selures, les digitations de la corne d'Anznzozz (dg CA, fig. 210) ; l'interne est la
une incisure profonde du sillon de l'hippocampe. En dehors^ ! ? la corne d'Ammon, le plancher de la corne sphénoïdale es
de l'hippocampe. En dehors^ ! ? la corne d'Ammon, le plancher de la corne sphénoïdale est plan, et correspond au sillon c
quefois une véritable saillie longitudinale, située en dehors de la corne d'Ammon, connue sous le nom d'éozinerrce collat
(Ec) ou de cuissard de Malacarne, et qui s'étend en arrière dans la corne occipitale. Un sillon intraventriculaire profon
profond et très étroit, le diverticule du subiculum (ds), sépare la corne d'Ammon de la partie plane du plancher de la co
(ds), sépare la corne d'Ammon de la partie plane du plancher de la corne sphénoïdale et de l'éminence collatérale de Mecke
de la corne sphénoïdale et de l'éminence collatérale de Meckel. La corne postérieure ou occipitale (Voc), cavité digitale
de l'accroissement en arrière de la vésicule hémisphérique ; cette corne fait en elfet défaut toutes les fois que le lob
minence collaté- rale do Meckel. Diverticule du su- ¡¡c\11mu. Corne occipitale du ;entriculc lat6ral. 360 ANATOMI
gement sphé- noïdal, sans émettre de diverticule postérieur. . La corne occipitale (Voc), située à cheval sur la scissure
ologiques, mais encore d'un hémisphère à l'autre; d'après Engel, la corne postérieure gauche serait la plus développée dans
. 21U. -Prolongements sptIènoÚlal et occipital du ventricule latéral. Corne d'Ammon. Ergot de Morand. Eminence collatérale
photographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) C, cunéus. - CA, corne d'Ammon. Cc(Spl), bourrelet du corps calleux (Spi
ipital. - de, diverticule du cunéus. - d ! 7CA, digi- tations de la corne d'Ammon. dlg, diverticule du lobule lingual. ds,
pilier postérieur du trigone. - TgV, trigone ventriculaire. - Voc, corne occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale.' MORPHOL
igone. - TgV, trigone ventriculaire. - Voc, corne occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale.' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 361 la f
ajor du corps calleux (Fm); il est connu sous le nom de bulbe de la corne postérieure; au-dessous et en dehors, on trouve
n choroïdien de la couche optique, et longent le bord interne de la corne d'Ammon (fig. 208); ils forment un cordon vascula
anuleux, étendu du trou de Monro aux digitations postérieures de la corne d'Ammon, ils n'occupent donc que la corne sphénoï
ations postérieures de la corne d'Ammon, ils n'occupent donc que la corne sphénoïdale et la partie postérieure de l'étage
partie postérieure de l'étage supérieur du ventricule latéral : les cornes frontale et occipitale en sont en effet dépourv
us choroïdes du troisième ventricule; ils sont plus larges (Jans la corne sphénoïdale, et présentent au niveau du carrefo
bule liogual. Plexus choroïdes du ventricule latéral. ,. Les cornes fron- tale et occipitale sont dépourvues de p
rd externe du ventricule latéral (VI), l'extrémité antérieure de la corne fron- &Mk taie Vf), l'extrémité postérieure
e de la corne fron- &Mk taie Vf), l'extrémité postérieure de la corne occipitale (Voc), et le fond des diverticules d
culaire. Ils n'atteignent pas non plus l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph), de telle sorte que la paroi
ne sphénoïdale (Vsph), de telle sorte que la paroi interne de cette corne se trouve réduite, en arrière de la circonvolut
ssant par les tubercules mamillaires et la partit; antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. (Pièce durcie
rouge. Alv, alvéus. - Arc, faisceau arqué. - AJl, avant,-mur. - CA, corne d'Ammon, - Ce, corps calleux. - Ce, capsule ext
l, ventricule latéral. - VSl, ventricule du septum lucidum. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - zr, zone '
trou de Monro. tth, toenia thalami. - Va, troisième ventricule. Vf, corne frontale du ventricule latéral. VG, veines de Gal
onc mesure, du trou de Monro jusqu'à son point de réflexion dans la corne sphénoïdale, 30 à 35 millimètres; la longueur d
la voûte, jusque dans le voisinage de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale. La tête atteint dans sa plus gra
ige obliquement en bas et en dedans, et plonge profondément dans la corne frontale du ventricule latéral qui la sépare du
e latéral qui la sépare du genou du corps calleux. Au-dessous de la corne frontale, elle est en rapport avec les radiations
opto-strié. - Tg V, trigone ventriculaire. - Th, thalamus. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - \' ' MOR
ue (II) (fig. 249 à 251). Au niveau de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, la face inférieure du noyau lentic
u (le Monro. - ttit, Lenia thalami. V3, troisième ventricule. - Vf, corne frontale du ventricule latéral. -- vu, veine de G
orne frontale du ventricule latéral. -- vu, veine de Galion. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. VSI, ventricule
inus du corps calleux. - Sc/e, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sgé, substance grise sous-épendymai
de la corne frontale. - Sgé, substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale. - sp, sillon sous- pariétal. t ? pa
s choroïdes du ventricule latéral. - Plehslzh, plexus choroïdes de la corne sphé- noïdalc. po, scissure pariéto-occipitale.
1nail'e (Sge) n'est apparente qu'au microscope dans le fond de la \ corne occipitale, mais au niveau de la corne frontale,
roscope dans le fond de la \ corne occipitale, mais au niveau de la corne frontale, elle coiffe, comme précé- demment le
tricule. V, ruban de Vicq d'Ary·r. - VI, ventricule latéral. - Voc, corne occipitale. - T'Sl, ventri- cule du septum luci
ation courtes entre ces dernières et le tapetum (Tap), qui tapisse la corne occi- pitale se trouve la couche sagittale du l
e (Tgp), en dehors desquels on trouve l'extrémité postérieure de la corne d'Ammon (C : 1). Le pilier postérieur du trigone
par le forceps major du corps calleux (Fm) et par la saillie de la corne d'Ammon (CA), en dehors par le /lIp1 ! /llIn (T
ecouvert par la couche sagittale du lobe occipital. Au niveau de la corne frontale, on trouve comme précédemment la substan
7 et 218. (Grandeur naturelle.) AU, nvant-mur. - C, cunéus. - CA, corne d'Ammon. Cc, corps calleux. - Cc (Sp), bour- re
de la couche optique. S,ge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. SI, septum lucidum. sp, scissure sous
cule. Vcst, veine du corps strié. - l'l, ventricule latéral. - Voc, corne occipitale. - Vsl, ventricule du septum lucidum
de la couche optique. -Sye, substance grise sous-épendçntaire de la corne frontale. - SI, septum lucidum. - sp, scissure so
cule. - Vcst, veine du corps strié. VI, ventricule latéral. - porc, corne occipitale du ventricule latéral. J'sl, ventricul
au de sa partie antérieure ; la scissure est ici très voisine de la corne occipitale du ventricule latéral (Voc), dont el
parée que par une lame de substance blanche qui double en dedans la corne occipitale. L'écorce qui limite la scissure calca
mpe et détermine dans le ventricule la production de la saillie de la corne d'Ammorr. Dans lagrande majorité des cas, la fa
formel* l'alvéus ou la substance blanche intra-ventriculaire de la corne < ? txtt)t0)). Cavités ventriculaires. - L'é
trigone (Tga) et l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). La corne occipitale (Voc) est limitée en dedans par le f
ppartenant au faisceau postérieur du cingulum (Cing); en dehors, la corne occipitale est recouverte par le tapetum (Tap)
217 et 218. (Gran- deur naturelle.) AM, avant-mur. C, cunéus. CA, corne d'Ammon. Cc(g), genou du corps calleux. - Ce, c
uxième circonvolution temporale (T2). -, Cavités ventriculaires. La corne frontale et la corne occipitale forment deux di
temporale (T2). -, Cavités ventriculaires. La corne frontale et la corne occipitale forment deux diverticules qui ne com
par l'intermédiaire de l'étage supérieur du ventricule latéral. La corne frontale (Vf), aplatie latéralement, sépare le
du septum lucidum (Vsl) et le pilier antérieur du trigone (1'ga), La corne occipitale (Voc) est large à son origine au niv
s par la substance grise sous-épendymaire, qui double le fond de la corne occipitale (Voy. Coupes vcrtico-Uau.sveosales).
fond de la corne occipitale (Voy. Coupes vcrtico-Uau.sveosales). La corne occipitale n'est séparée du fond de la scissure c
tricule. - V, ruban de Vicq d'Azyr. VA, faisccanlécjq q d'Azyr. Vf, corne frontale du ventricule latéral. - Vsl, ventricule
7 et 2)8- z (Grandeur naturelle.) , AM, avant-mur. C, cunéus. CA, corne d'Ammon. Ce (g), genou du corps calleux : - Ce,
re nettement délimité. La face profonde du genou limite en avant la corne frontale (Vf), elle est en rapport au niveau de l
nro, et le troisième ventricule (V.,) est complètement séparé de la corne frontale (Vf). La subs- tance grise centrale (S
qui limite le troisième ventricule en avant. La paroi interne de la corne occipitale (Voc) est limitée au niveau du carre-
limitée au niveau du carre- four ventriculaire par la saillie de la corne d ? blt1non (CA) et le faisceau inférieur du fo
ricule. ? ruban de Vicq d'Azyr. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventricule latéral. - Zr, zone réticu
7 et 218. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur. - C, cunéus. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Ce, cap- COUPES M
obe occipital. La paroi externe du carrefour ventriculaire et de la corne occipitale (Voc) pré- sente en avant la partie
ule. V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicqd'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Voc, corne occipitale du ventric
Azyr. - VA, faisceau de Vicqd'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. W , 1.. 0) 'v
l'hippocampe (h), on trouve la circonvolution godronnée (Cg) et la corne d'Ammon (CA) surmontée du pilier postérieur du tr
masse blanche du lobe frontal, il forme la limite antérieure de la corne frontale, et conserve, en dehors, ses rapports
culzczn (ds). Ce diverticule se poursuit dans toute l'étendue de la corne sphénoïdale, il est coiffé du faisceau postérieur
ngulum). En arrière, le carrefour ventriculaire se continue avec la corne occipitale (Voc) qui se prolonge dans l'épaisseur
et 218). Cette coupe passe au-dessous de la couche optique et de la corne frontale du ventricule latéral. Elle sectionne
- BrQa, bras du tubercule qua- drijumeau antérieur. C, cunéus.- CA, corne d'Ammon.- CR, carrefour olfactif de Broca. Ce,
le. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphenoïdale du ventricule latéral. partie inter
partie externe la paroi ventriculaire , et produit la saillie de la corne d =4vanzon (CA) , saillie d'autant plus prononc
'on considère des coupes plus inférieures. La substance grise de la corne d'.41/1.11lon se continue avec celle de la circon
bule lingual et qui refoule légèrement la paroi ventriculaire de la corne sphénoïdale, pour former l'éminence collatérale
core, quoique très réduite, la couche sagittale du lobe occipital. La corne sphé- noïdale (Vsph) est aplatie latéralement e
La corne sphé- noïdale (Vsph) est aplatie latéralement et sépare la corne d'A 1111non (CA) du ta- petuzn (Tap) et de la q
e la circonvolution de l'hippocampe (H). Dans le lobe frontal, la corne frontale a disparu, mais on retrouve toujours,
ipilo-temporal est encore nette au niveau de la paroi externe de la corne sphénoïdale (Vsph), mais elle ne dépasse guère la
. Il n'est nettement circonscrit qu'à la partie posté- rieure de la corne sphénoïdale. Le tapetum (Tap) très réduit de volu
réduit de volume tapisse d'une mince couche la paroi externe de la corne sphénoïdale. Le corps strié est réduit il la tè
tète du noyau caudé (NC), fusionnée avec le putamen (NL.,). Dans la corne sphénoïdale, la queue du noyau caudé (NC) fait
le. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zone de Wernicke. 424 ANATOM
anse lenticulaire. - AM, avant-mur. - Ag, aqueduc de Sylvius. ,- CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Cg, circonvolutio
le. V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - II, bandelet
deur naturelle.) AM, avant-mur. - Ay, aqueduc de Sylvius. - Cif, corne d'Ammon. - Cc, corps calleux. - Cg, circonvolut
partie orbitaire de la troisième circonvolution frontale (os.,). La corne sphénoïdale (Vsph) est sectionnée presque parallè
- noïdal et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). En dedans, la corne sphénoïdale se prolonge dans la circonvolution
au fond du diver- ticule du subiculum (ds). La paroi interne de la corne sphénoïdale est formée en arrière par la corne
paroi interne de la corne sphénoïdale est formée en arrière par la corne d'Ammon (CA) et la circonvolution godronnée (Cg),
olution godronnée (Cg), en avant par une mince lamelle qui ferme la corne sphénoïdale en avant, appartient à la paroi int
ire. - 1 ? troisième ventricule. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - st, velum terminale d'.Eby. Il, ]¡
émisphère. Lignes 78 des fig. 217 et 218. (Grandeur naturelle.) CA, corne d'Ammon. Cg, circonvolution godronnée. - Il, gyru
n, immédiatement en arrière de la circonvolution du crochet (U). La corne sphénoïdale (Vsph) est intéressée comme sur la co
e comme sur la coupe précédente. Sa paroi interne est formée par la corne d'A ? it ? io)i (CA) et l'extrémité antérieure du
ue c'est la circonvolution du crochet (U) qui concourt à limiter la corne sphénoïdale en avant. La paroi externe de celte d
- U, circonvolution du crochet. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 432 ANATOMIE
irconvolution du crochet (U) et l'extrémité antéro-inférieure de la corne sphénoïdale. Fic.. 234. - Coupe horizontale de
sphère. Lignes 82 des fig. 217 et 218. (Gran- dur naturelle.) CA, corne d'Ammon. Cg, circonvolution godronnée. - D, gyrus
n sillon profond, le sillon de l'hippocampe (h) qui produit dans la corne sphénoï- dale (Vsph) la saillie de la corne d'=
(h) qui produit dans la corne sphénoï- dale (Vsph) la saillie de la corne d'=lrz7)coJl (CA). Dans le fond du sillon de l'hi
onnée (Cg) et des incisures qui correspondent aux digitalions de la corne d'Ammon. En arrière du sillon de l'hippocampe o
ale (0.,). Cette coupe n'intéresse que l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph) qui décrit un arc autour du
l'écorce temporale. La partie postérieure de la paroi externe de la corne sphé- noïdale est limitée par le tapetum (Tap),
an dP- : 1 ? 4t1(t1 : : lC ? "^r1» ? T'.s, vallée de Sylvius. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral., 1 "ç'\\ v \ .
tème du faisceau longitudinal inférieur (Fli). La paroi interne de la corne sphénoïdale, est formée par la partie la plus l
dale, est formée par la partie la plus large et la plus épaisse de la corne d'Ammon (CA) qui embrasse l'extrémité antérieur
genou (Cc[g]). Les coupes nOS 37 à 46 (lig. 239-242) intéressent la corne frontale du ventricule latéral (Vf), les coupes n
l. La coupe n° 33 (fig. 238) passe immé- diatement en avant de la corne frontale, et sectionne la sub- stance grise s
onne la sub- stance grise sous-éperrd ? taire (Sge) qui double la corne à ce niveau. Les coupes nos 37 à 46 (fig. ? 3
. ? 39-°3 r3) intéressent il un degré plus ou moins pro- noncé la corne frontale (Vf), dont la section vertico-transver
ssant autour de la tète du noyau caudé (NC). La paroi interne de la corne frontale est toujours formée par le genou du co
eux (Ce'), c'est-à- dire au niveau de la limite postérieure de la corne (l'on- tale. Les coupes nls 40, 43 et 46 (f
res- sent la tète du noyau caudé (NC), qui fait saillie dans la corne frontale dont elle forme en grande partie la
nterne (Cia). Le système de projection forme la paroi externe de la corne frontale du ventri- cule latéral (VL) coupes nO
8-239), de la substance grise sous-épendynwil'e (Sge) qui double la corne frontale. Sur la coupe n040 (fig. 240) apparaît
equel occupe l'ex- trémité antérieure du lobe temporal et limite la corne sphénoïdale en avant. Dans toute cette série de
iennent en partie du segment du lobe temporal, situé en avant de la corne sphénoïdale, constituent le pédoncule inférieur
l (P), le tubercule mamillaire (Tm) et l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph). La coupe n° 71, intéresse l
e tubercule mamillaÍi'e (Tm), le faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et la corne d'Ammon (CA). Écorce. - Le bord supérieur de l'
téressé dans son étage supérieur et dans la partie antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph). L'étage supérieur du ventri
du noyau lenticulaire. - AM, avant-inur. - Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Cc, corps calleux. - Ce, capsule exter
, branche postérieure de COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 453 La corne sphénoïdale (Vsph) est encore ici très réduite de
n dehors par la--commissure antérieure (coa) elle tapetum (Tap). La corne sphénoïdale donne en dedans deux petits diverti
its diverticules, qui circonscrivent les diuitations antérieures delà corne d'Am- mon (CA) ; le diverticule supérieur sépar
ures delà corne d'Am- mon (CA) ; le diverticule supérieur sépare la corne du noyau amygdlliien (NA), l'inférieur incise p
L2 (H), il est connu sous le nom de diverticule du subiculum de la corne d4vatzott. (ds) (coupe 69, fig. 247). La coupe
e de la corne'4 ? it ? )t0) ! (CA) au niveau de ses digitations. La corne d'Ammon (ÇA) se présente ici sous l'aspect d'un
languette étroite, aplatie de haut en bas, qui fait saillie dans la corne sphénoïdale (Vsph`, et qui est reliée en dedans i
envoie de petits prolongements blancs dans la substance grise de la corne d' : trzmmon. Entre ces prolongements, la corne
bstance grise de la corne d' : trzmmon. Entre ces prolongements, la corne ? 4 ? ? )t0) ! présente des saillies ou digitatio
du noyau caudé (NC). Ce dernier ne fait pas encore saillie dans la corne sphénoïdale (Vsph), il en est en efiet séparé p
e. - l'est, veine du corps strié. - VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphéno'idale du ventricule latéral. - Zi, zona
ur nature.) Alv, alvéus.-Adl, avant-mur. Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Cip, segment post
e. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Il, bandelet
iaire décrit quelques festons qui correspondent aux digilations de la corne d ? I11wlOn (CA), elle est au contraire unie, s
riculaire, le sillon de l'hippocampe (h) détermine la formation de la corne d'. \ 1/Iliton (CA), qui repose sur la circonvo
tte der- nière porte de ce fait le nom de lit ou de subiculum de la corne d'cll1 ! /1wn, Les deux lèvres du sillon de l'h
) est intéressé au niveau de son étage supérieur et au niveau de la corne sphénoïdale (Vsph). Les limites de l'étage supé
e l'étage supérieur sont les mêmes que sur les coupes précédentes. La corne sphénoïdale (Vsph) s'est agrandie, mais sauf da
imbique. R, scissure COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 461 par la corne d'Ammon (CA) que le diL'I'I'/iwle du subiculum (d
che optique; une seconde fois, au niveau de sa queue (NC'), dans la corne sphénoïdale (Vsph) dont il concourt à former la p
t sépa- rées en effet que par le sillon opto-strié. Au niveau de la corne sphénoïdale, le noyau caudé et le thalamus dive
et en dedans. La queue du noyau caudé se porte au contraire dans la corne sphénoïdale en avant et en dehors, le sillon op
carrefour ventriculaire, s'élargit considérablement au niveau de la corne sphénoïdale, et le tienia semi- circularis dont
t les fibres se sont accrues, s'étale sur la paroi supérieure de la corne sphénoïdale et masque souvent la queue du noyau c
aturelle.) Aln, alvéus - ADf, avant-mur. Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Cg, circonvolutio
ochet. - V3, troisième ventricule. - VI, ventricule latéral. l'sph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Zi, zona inc
e qui a été ditprécédem- ment pour le ventricule latéral (VI) et la corne sphénoïdale (Vsph). Quant au lroi- sième ventri
étage supérieur du ventricule latéral (VI), et sa queue (NC') dans la corne plu;- nodale (Vsph). Le troisième segment du no
236. (Grau deur naturelle. .V, avant-mur. Arc, faisceau arqué. CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Ce, capsule externe
ur naturelle.) Aq, aqueduc de Sylvius. - Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps cal- - leux. Cg, circonvolut
irconvolution temporale pro- fonde. - VI, ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale. - IV, zone de Wcrnickc. Z1', zone
DU CERVEAU. 467 aux fibres de projection qui limitent en dehors la corne sphénoïdale (Vsph). Elles Fil : . 25. - Coupe v
r naturelle.) ils, aqueduc de Sylvius. - Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps cal- leux. -Cg, circonvoluti
circonvolution temporale profonde. - T'l, ventricule latéral.- Vsph, corne sphé- noïdale du ventricule latéral. IV, zone d
eur naturelle. Aq, aqueduc de Sylvius. - Arc, faisceau arqué. - CA, corne d' : lnunon. - Cc, corps calleux. - Cgi, corps
couche optique. - Tg, trigone. - 1'l, ventricule latéral. - Vsylh, corne sphénoïdale. - IV, zone de Weruicke. - Zr, zone r
s fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc, faisceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Cg, circonvolution
e.-1'p, pilier postérieur du trigone. VI, ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale. 472 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVE
e frontal. Lignes 93 des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) CA, corne d'Ammon. Cc(Spl), bourrelet du corps calleux. Cg,
ier et deuxième sillons temporaux. 1'l, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. tec, ténia tec
immédiatement au-dessus du pulvinar (Pul), une seconde fois dans la corne sphénoïdale (Vsph) au niveau du pilier postérieur
artie qui recouvre le pulvinar (Pul) et qui se porte ensuite sur la corne d'19>zzrzorz (CA). Les coupes nos 95 et 97 (fi
veau de son étage- supérieur (VI), une seconde fois au niveau de la corne sphénoïdale (Vsph). La coupe n° 93 (fig. 257) i
latéral au niveau du point où il se recourbe pour se porter dans la corne sphénoïdale , c'est-à-dire au niveau du carrefo
ssent le carrefour ventriculaire, c'est-il-dire la partie commune aux cornes occipitale et sphénoïdale et il l'étage supérie
apotum. tec, tcenia tecta.- Tgp, pilier postérieur du trigone. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. 47G ANATOMIE
r de l'étage supérieur du ventricule latéral (V1) il la voûte de la corne sphénoïdale (Vsph). La coupe n° 95 (fig. 258), en
es 99 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) /t), : )lveus. Ci, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Cg, circonvolution go
deuxième et troisième sillons temporaux. <ee, tænia tecta. l'oc, corne occipitale du ventricule latéral. COUPES MACROS
e dernier constitue la plus interne des trois couches qui limitent la corne sphéno-occipitale en dehors. Les libres du tape
e (CO). En bas, elle se rétrécit, contourne le bord inférieur de la corne sphénoïdale, se place entre le tapetum (Tap) et l
Tap, tapetum. tec, ttenia tecta. V, ruban de Vicq d' : lzyr.- l'oc, corne occipitale du ventricule latéral. 480 ANATOMI
sillons temporaux. Tap, tapetum. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Voc, corne occipitale du ventricule littéral. COUPES- MACR
he verticale du sillon parallèle. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - Voc, corne occipitale du ventricule latéral. 482 ANATOMIE
e calcarine extrême - ment profonde, dé- prime la paroi de la corne occipitale du ventricule latéral (Voc) et y d
e nom d'ergot de J11ol'al1d (EII). Cavités ventri- culaires. La corne e occipitale (Voc) est irrégulièrement quadrang
nche verticale du sillon parallèle. - V, ruban de Vicq d'Azyr. Voc, corne occi- pitale. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEA
- carim : (IC). Les extré- mités supérieure et inférieure de la corne occipitale se recour- benten dedans;l'extré-
ventricule en arrière et qui s'étend quelquefois assez loin dans la corne occipilale (Voc) (voy. Coupes horizontales macr
anche verticale du sillon parallèle. V, ruban de Vicq d'Azyr. l'oc, corne occi- pitale du ventricule latéral. 484 ANATO
esplendissantes, qui tapissent la paroi externe et inférieure de la corne occipitale (Voc) et forment le tapetum (Tap). E
arrefour ventriculaire, c'est-à-dire avec le point de réunion de la corne sphénoïdale, de la corne occi- pitale et de l'é
c'est-à-dire avec le point de réunion de la corne sphénoïdale, de la corne occi- pitale et de l'étage supérieur du ventric
oyau amygdalien (NA), dont la face postérieure fait saillie dans la corne sphénoïdale, et dont la face antérieure se fusi
ricule latéral (VI) est intéressé dans toute sa longueur, depuis la corne frontale (Vf) jusqu'à la nais- sance de la corn
ongueur, depuis la corne frontale (Vf) jusqu'à la nais- sance de la corne occipitale. La corne sphénoïdale (Vsph) est secti
rne frontale (Vf) jusqu'à la nais- sance de la corne occipitale. La corne sphénoïdale (Vsph) est sectionnée il son extrém
trigone. U, circonvolution du crochet. V, ruban de Vicq d'Azyr. V{, corne frontale du ventricule latéral. 17. ventricule
corne frontale du ventricule latéral. 17. ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr, zone rétic
ceps major du corps calleux (Fm), une seconde fois au-dessous de la corne occipitale (Voc) ; COUPES MACROSCOPIQUES DU CER
ce de la circonvolution du crochet (U) se continue avec celle de la corne d'.4ml/wl/ (CA). Cette dernière est intéressée
produisent du côté de la cavité ventriculaire les digitalions de la corne d ? lncneuir. (inca). Sur cette coupe on se ren
coupe on se rend très bien compte de la manière dont est formée la corne 64.HM)M« au niveau du ventricule sphénoklal (Vsph
érieure de la circonvolution godronnée (Cg). L'écorce grise de la corne d'lznznorz (CA) se continue avec celle de la face
naissance il quelques petits s plissements, analogues il ceux de la corne ? b;ttti,M, mais beaucoup plus petits que ces d
lier postérieur du trigone (Tgp), une seconde fois en arrière de la corne 6.iM ? Mf (CA). Substance blanche. - Le ventric
s-épcndymaire (Sge), qui s'épais- sit en avant et au-dessous de. la corne frontale et qui sépare la paroi externe de la c
intéresse le carrefour ventriculaire (TgVl) qui se continue avec la corne occipi- tale (Yoc) et qui est limité en avant,
du ventricule latéral et le pilier postérieur du trigone (Tgp). La corne sphénoïdale (Vsph) se présente sous la forme d'
mince fente verticale, aplatie d'avant en arrière, située entre la corne (1'tîiti)ioii (CA) et le noyau amygdalien (NA.)
rne, qui commence déjà sur la coupe n° 10 D,gCca, digitations de la corne d'Ammon. EM, ergot de Morand. F,, 7 ? première et
Th, thala- mus (couche optique). U, circonvolution du crochet. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. V8, vallée de
orne occipitale du ventricule latéral. V8, vallée de Sylvius. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. W, zone de W
ris entre le pied du pédoncule cérébral (P) et l'écorce grise de la corne d'A 11 ? iIOn (CA); son sommet se dirige du côté
r-hémisphérique. Le lobule lusijimne (Fus) a augmenté de volume; la corne d'Ammon (CA) dimi- nue, son écorce se continue
e l'hippocampe (h) avec celle de la circonvolution godronnée (Cg). La corne sphénoïdale (Vsph) a augmenté de volume, elle s
en arrière, elle n'est plus limitée par l'écorce grise qui unit la corne (Llmll/1111 à l'écorce de la circonvolution du
terminale d'A eby, sur lequel s'insèrent les plexus choroïdes de la corne sphénoïdale (Pchsl'h). Noyaux gris centraux. Le
ntraux. Le noyau amygdalien (NA) limite la paroi anté- rieure de la corne sphénoïdale et se fusionne avec le segment intern
aire (TgVl) a augmenté de hauteur, com- mence mieui circonscrire la corne d'Ammon (CA) et il se prolonger en avant et en
ne d'Ammon (CA) et il se prolonger en avant et en bas du côté de la corne sphénoïdale. La branche commune aux scissures c
cissures calcarine et pw'iéto-occipitale (K + po) détermine dans la corne occipitale (Voc) la saillie de V ergot de Jlora
67. (Grandeur na- turelle.) , B, fente cérébrale de Bichat. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. C7, circon- volutio
sure de- Sylvius (S) et la disposition particulière que présente la corne d'Ammon, section née parallèlement à son grand
nte la corne d'Ammon, section née parallèlement à son grand axe. La corne d'Ammon (CA) repose sur la sub- stance blanche
de la circonvolution de l'hippocampe (H); elle fait saillie dans la corne , sphénoïdale (Vsph) en avant et dans le carrefour
ec le pilier postérieur du. trigone (Tgp). La substance grise de la corne d'Ammon est subdivisée en deux lames, l'une infér
latéral est encore formé par deux parties complètement séparées, la corne sphénoïdale (Vsph) en bas et en avant, le carrefo
oïdale (Vsph) en bas et en avant, le carrefour ventriculaire et. la corne occipitale (Voc) en arrière. La corne sphénoïdale
arrefour ventriculaire et. la corne occipitale (Voc) en arrière. La corne sphénoïdale (Vsph) s'est élargie et étendue d'a
Sa paroi inférieure est formée comme nous venons de le voir par la corne d'Ammon (CA), tapissée par l'altétts (Alv); sa pa
ascendante. Pchl, plexus choroïdes. - Pchvsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale. por, sillon post-rolandique. Pul.
Í<I. ! C du ventricule latéral. - VS, vallée de Sylvius. - Vsph, corne sphén6t,\<'t¡,\Q.lrv : c\U¡li ? u latéral. -
. Alv, alvéus. AU, avant-mur. B, fente- cérébrale de Bichat. - CA, corne d'Ammon.- Ce, capsule externe. Cc, corps calleu
et COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 50î L'angle postérieur de la corne sphénoïdale est fermé par l'insertion des plexus
e sphénoïdale est fermé par l'insertion des plexus choroïdes de la. corne sphénoïdale (Pch, sph). Le carrefour ventricula
nsertion des plexus, cltoroïdes(Pchl); une seconde fois (NC") dans la corne sphé- ? wïdale(Vsph), où elle envoie au putamen (
le (CO). L'aspect des fibres blanches est différent au niveau de la corne occipitale (Voc) ; ici nous commençons à voir a
çons à voir apparaître les trois couches- de fibres qui doublent la corne occipitale, à savoir : le tapetum (Tap), la couch
effet sous l'aspect d'une lamelle blanche qui coiffe le fond de la corne occipitale (Voc). semi-circularis. - L'g, lobul
circularis. - L'g, lobule lingual. Lmm, lame médullaire moyenne de la corne d'Am- mon. NA, noyau amygdalien. 1VC', queue du
nante. - Pchl, plexus choroïdes. - Pchsph, plexus cho- roïdes de la corne sphénoïdale. por, sillon post-rolandique. prs, si
téral. Th, thalamus (couche optique). v, orifices vasculaires. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. Vsph, corne sph
ces vasculaires. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 2 ? ', zone
de la figure 267. (Grandeur na- turelle.) . AM,'avant-mur. - CA, corne d'Ammon. Cc, corps calleux. Ce, capsule externe.
), le fond du sillon marginal supérieur de l'inslila (ms) et par la corne sphé- noïdale (Vsph) du ventricule latéral. Ell
fusiforme (Fus) s'est fusionnée avec celle du lobule lingual (Lg); la corne d'Arevmon (CA) fait saillie dans l'étage inféri
gone et de l'insertion des plexus choroïdes du ventricule latéral. La corne occi- pitale (Voc) communique directement avec
latéral. La corne occi- pitale (Voc) communique directement avec la corne sphénoïdale (Vsph), et l'étage inférieur du ven
la queue du noyau caudé (NC') au niveau de sa réflexion. Quant à la corne occipitale (Voc), elle est limitée en haut par
halamiques (RTh). Au niveau du fond et de la paroi inférieure de la corne occipitale, on retrouve ces deux couches superpos
r (Fli). Très accentuées et très distinctes au niveau du fond de la corne occipitale, ces trois couches se réduisent au niv
étroit et mince, qui se dirige vers l'ex- trémité antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph), où il se fusionne avec l'extr
(thalamus). - t'l, partie verti- cale du sillon parallèle. - T'oc, corne occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale. ; ! )0 A
verti- cale du sillon parallèle. - T'oc, corne occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale. ; ! )0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
artie externe du putamen, au niveau de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, et ne se rencontre par conséquent
tie verticale du sillon parallèle ? deuxième sillon temporal. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. at2 ANATOM
s des noyaux gris centraux, elle est tangente au bord externe de la corne sphénoïdale (Vsph) et intéresse les circonvo- l
issure de Sylvius. Sg Vsph, substance grise sous- épendymaire de la corne sphénoïdale. - 1'1, 1'" 1'" première, deuxième et
lemp°l'O-pa1'iélO-occipital, la coupe intéresse la face externe de la corne sphénoïdale (Vsph), qui apparaît sur la figure,
particulièrement accentué au niveau de la partie postérieure de la corne sphénoïdale. Coupe n° 43 (fig. 277), passant à
rayonnante, soit au-dessus du ventricule latéral, soit au niveau des cornes frontale, occipitale ou sphénoïdale; la façon d
nante et du faisceau occipito-frontal, en avant et au-dessous de la corne frontale. La coupe C montre l'irradiation des f
237). Cette coupe passe en avant du genou du corps calleux et de la corne frontale du ventricule latéral. Elle intéresse
ise OM ? CM<7y- maire (Sge) les fibres calleuses qui doublent la corne frontale en avant (Ce) et le cingulum (Cizg) au
leuses, au niveau du point où elles se réfléchissent en avant de la corne frontale du ventri- cule latéral, pour atteindr
réfléchies qui, après avoir contourné l'extrémité antérieure de la corne frontale, se portent d'avant en arrière le long
se portent d'avant en arrière le long de la paroi externe de cette corne , avant de s'irradier dans les circonvolutions d
eure du genou du corps calleux (Ce) et l'extrémité antérieure de la corne frontale du ventricule latéral (Vf). Elle intér
s'arrêtent assez brusquement; les libres supérieures contournent la corne frontale (Vf) comme sur la coupe précédente, et s
ile comme le faisceau supérieur, et entoure la paroi externe de la. corne frontale d'une couche de fibres continues. Mais
s, la couche de fibres calleuses qui entoure la paroi externe de la corne frontale est formée de fibres sectionnées perpe
', substance grise sous-épen- dymaire. lec, tec', ténia tecta.- Vf, corne frontale du ventricule latéral. 526 ANATOMIE DE
NATOMIE DES CENTRES NERVEUX. contourné l'extrémité antérieure de la corne frontale (Voy. Coupe horizontale microscopique
paisse au niveau des parois externe, supérieure et inférieure de la corne frontale; au niveau de la paroi interne, l'épendy
s couches se dédoublent au niveau de la partie supéro-externe de la corne frontale, les fibres deviennent plus obliques,
résente rien de particulier il noter; la coupe passe en avant de la corne sphénoïdale du ventricule latéral et n'intéresse
nent il la bandelette diagonale de Broca ou faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zucl : erkandl, faisceau qui prend son
e d'Ammon de Zucl : erkandl, faisceau qui prend son origine dans la corne d ? xxtnort et dans la paroi inférieure de la cor
origine dans la corne d ? xxtnort et dans la paroi inférieure de la corne sphénoïdale. Ses libres Fu, faisceau uncinatus.
e genou de la capsule interne (Cig) et l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule latéral (Vsph). Le co
du putamen (PNL.,). Le noyau amygdalien. (NA) fait saillie dans la corne sphénoïdale (Vsph) et forme la lèvre supérieure
iculum. Tapissée par la substance .grise SI1tls ? pendYlllllire, la corne sphénoïdale est entourée des couches sagittales d
longitudinal inférieur (Fli). Au niveau de la paroi inférieure de la corne sphénoïdale (Vsph), ce dernier faisceau est for
tique;. U, circonvolution du cruche). VI, ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. J/, bandelette
ts, ainsi que cela a lieu toutes les fois que la section intéresse la corne sphénoïdale du ventricule latéral (Vsph). Le tr
lamus). - Ilh, hcnia thalami. - U, circonvolution du crochet. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. ZI', zone ré
un grossissement de 12 diamètres. Ala, alvéus. AM, avant-mur. CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Ce, cap- COUPES MIC
'c/c s'irradier dans le pied du pédoncule. A la paroi externe de la corne sphénoïdale (Vsph), au-dessous de la couche du ta
prise entre le sillon choroïdien et le lænia thalami (tth). Dans la corne sphénoïdale, le mode d'occlusion est analogue : l
la partie recourbée de la queue du noyau caudé (NC') située dans la corne sphénoïdale, partent de même des fibres qui se
macroscopique de la figure 23-I. Aie, alvéus. AM, avant-mur. CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Ce, capsule COUPES
horoïdes du troisième ventricule. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale. - ]JI'S, sillon prérolandique supéri
cérébral. Ces fibres apparaissent au niveau de la paroi externe de la corne sphénoïdale, où elles se présentent sous la for
par les fibres protubérenlielles et postérieures (FPoa). Dans la corne sphénoïdale on trouve, en dedans de la couche for
'7'x/6 ! cef/ ? 's'<;.<oM.<-<''n< ? )tf/M))t)/v' de la corne sphé- noïdale : ce sont les fibres du tapetum (
t il mesure que l'on s'approche du carrefour ventriculaire et de la corne occipitale. Au niveau des parois inféro-externe
t de la corne occipitale. Au niveau des parois inféro-externe de la corne sphénoïdale il existe une couche de libres fonc
appartiennent aux radiations thalamiques. La paroi interne de la corne sphénoïdale est tapissée par les fibres de Yalvéu
pique de la figure 2b 3. Alv,alvétis. Aq, aqueduc de Sylvius. CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Ce, capsule ext,e]'
le faisceau postérieur du cingulum. Quant il la paroi interne de la corne sphénoïdale (Vsph), elle est tapissée par les lib
. - T/a, thalamus (couche optique). VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr, zone rétic
. Sur celle coupe on voit très nettement le mode de fermeture de la corne sphénoïdale, les plexus choroïdes (Plch sph), s
ventricule latéral (Plch) au moment où ils se réfléchissent dans la corne sphénoïdale ; ils sont libres dans le carrefour
part, dans la circonvolution de l'hi ppocampe (H) ou subiculum de la corne d ? 1lll1non où elles se confondent avec le fai
ms) au niveau du sinus du corps calleux (sec) et du subiculum de la corne d'Ammon (H). Coupe n° XI (fig. 289), passant pa
au niveau de la scissure calcarine (ka et du lobule lingual (Lg).La corne occipitale (Voc) présente une surface de section
ar le fond de la scissure calcarine qui forme l'ergot de Morand. La corne occipitale est entourée par trois couches con-
lleux (Fm) ; ce dernier forme, au niveau de l'angle supérieur de la corne occipitale, un faisceau volumineux et très épais,
rallèlement à leur axe, au niveau des parois interne et externe de la corne occi-. pitale. Au niveau de la paroi inférieure
nnées très obliquement. Le tapetum et le forceps major entourent la corne occipitale d'une couche continue, très analogue
une couche continue, très analogue à celle que forment autour de la corne frontale les fibres du genou du corps calleux e
tachent des fibres qui traversent les deux couches sagittales de la corne occipitale, pour se rendre dans la masse blanche
écunéus. RTh, radiations optiques' de Gratiolot. Tap, tapetum. Voc, corne occipitale- du ventricule latéral. COUPES MICRO
ues(RTh). Epaisse au niveau de la paroi externe et inférieure de la corne ocicpitule, cette couche est très mince au nive
r et â devenir parallèles qu'au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc). Ces fibres renferment presque t
ux couches précédentes, cette couche entoure d'un anneau complet la corne occipitale. Très épaisse au niveau de la partie i
couche se réduit au niveau de la partie supérieure et interne de la corne occipitale, la largeur de deux ou trois fascicule
Elles se portent en avant, le long de la paroi inféro-externe de la corne sphénoïdale et se bifurquent au niveau du sillo
isceaux : Le fais- ceau inférieur suit l'angle inféro-externe de la corne sphénoïdale jusqu'au niveau de son extrémité an
tique cunéo-lingual (1tC+ Lg) et passe en arrière du p1'écunéus. La corne occipitale (Voc) présente ici encore une forme tr
de Gratiolet. strK, stratum calcarinum de Sachs.-Tap,tapetuin.- Voe, corne occipitale du ventricule latéral. COUPES MICR
supéro-externe du ventricule, il tapisse la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc) d'une très épaisse couche de lib
de la convexité de Sachs). Sur les coupes passant en arrière de la corne occipitale (Voc), les trois couches de fibres d
), qui ne forment une couche distincte qu'au voisinage immédiat de la corne , occipitale; nuis les radiations thalamiques (I
lTh) disparaissent à leur tour et, à un centimètre en arrière de la corne occipitale, le faisceau longitudinal inférieur (F
Morand et la scissure calcarine (K) au niveau du diverticule de la corne occipitale. Elle passe par la partie infé- rieu
re du corps calleux (Ce), l'extrémité supérieure et postérieure de la corne d'Ammon (CA), le tiers supérieur de la couche o
t au niveau du lobe limbique (L,). Le carrefour ventriculaire et la corne occipitale (Voc) ne se prolongent guère sur cet
que dans la capsule externe (Ce). Le long de la paroi interne de la corne occipitale et de l'ergot de on trouve en dehors
longitudinal inférieur, on trouve le long de la paroi externe de la corne occipitale une couche caracté- risée par la fin
un grossissement de 12 diamètres. AM, avant-mur.- C, cunéus. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Ce, capsule exter
choroïdes du ventricule latéral. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. 7tcl, pli cuné
de la couche optique. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sgé, sulmtance grise sous-epcndymai
de la corne frontale. - Sgé, sulmtance grise sous-epcndymaire de la corne occipitale. strz, stratum xonale ? 7 ? première e
alami. - V, ruban de Vicq d'A/.yr. - VI, ventricule latéral. - Voc, corne occipitale. - Zr, zone réticulée ou grillagée.
elet du corps calleux le trigone entoure la partie supérieure de la corne d'Azmon (CA) dont il forme l'alvéus, puis il se
il se continue avec la fimbria du corps du trigone, située entre la corne d' si m11 ! on (CA) et la couche optique (Th).
occipitalc.-ot,sillon collatéral. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale. - Qa, tubercule quadrijumeau anté-
ance grise centrale. Sge, sub- stance grise sous-épendymaire de 'la corne frontale. 81'.1, substance réticulée d'Arnold ou
. - V,, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Voe, corne occipitale du ventricule latéral. - W, zone de We
prolonge plus dans le lobe occipital, mais donne, en arrière de la corne d'Ammon (CA) le diverticule du subiculum. Au- t
Ce[-]) et les fibres de la couronne rayonnante (CR), en avant de la corne frontale du ventricule latéral. Ces deux ordres
es, fig. z80 à 287). Les fibres calleuses contournent en crochet la corne frontale et donnent naissance à un grand nombre d
putamen (NL3), faisceau que l'on peut suivre jusqu'au niveau de la corne sphénoïdale. Ces fibres appartiennent au faisceau
marginal postérieur de l'insula (mp). Entre le putamen (NL3) et la corne sphénoïdale, on trouve : 1° une couche épaisse
n'intéresse que le lobe tem-, pond, le noyau amygdalien (NA) et la corne sphénoïdale (Vsph). Le noyau amygdalien (NA), q
énoïdale (Vsph). Le noyau amygdalien (NA), qui fait saillie dans la corne sphénoïdale (Vsph), se présente sous l'aspect d
au longitudinal inférieur (Fli) intéressé au niveau du plancher de la corne splté- noïdale (Vsph), est bifurqué en arrière;
grossissement de 12 diamètres. Alv, alvéus. - AM, avant-mur. - CA, corne d'Ammon. Cg, circonvolution godronnée. ds, dive
parallèle. - Tap, tapetum. - U, circonvolution du crochet. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. COUPES MICRO
des fibres d'association et de projection. La paroi interne de la corne sphénoïdale (Vsph) est formée par la corne d'A nc
. La paroi interne de la corne sphénoïdale (Vsph) est formée par la corne d'A nc- mon (CA) doublée de la circonvolution g
rne d'A nc- mon (CA) doublée de la circonvolution godronné (Cg). La corne d'Ammon (CA) est intéressée au niveau de trois
pe (h), elles se dédoublent en deux couches, la lamina involuta de la corne ,l'c11nllwn et le stratum lacunosmn (Sll). Cett
fibres tangentielles appar- tiennent à la couche moléculaire de la corne d'Ammon (CAi et suivent toutes les digilalions
ette dernière. Séparées l'une de l'autre dans toute l'étendue de la corne lLlmnlOn, elles se réunissent en avant (1(,, la c
odronnée (Cg) est donc, sur cette coupe, complètement séparée de la corne cLllll1ll011 (CA) ; elle est intéressée en effet
e macroscopique de la figure 224. Alv, alvéus. AM, avant-mur. CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. -- Cex, capsule e
ns sa concavité; sa forme a été comparée par Wernicke à celle d'une corne d'abon- dance. ' Sur les coupes t)e/'<ico
opique de la figure 225. ' \ ... Alv, alvéus. AM, avant-mur.. - CA, corne d'Animon-. Ce, capsule externe. - Cex, capsule
r du trigone (Tgp) qui recouvre la face intra-ventricu- laire de la corne d'Ammon (CA). Les plexus choroïdes ferment ainsi
interne se prolonge sur la face profonde de la circonvolution de la corne d'Ammon (CA), et constitue la couche de substance
entricule latéral (Vsph) est donc formée par l'alvézc.e (Alv) et la corne d'Ammon (CA); sa paroi externe présente quatre
éricurc,(11». BrQa, bras du tubercule quadriju- meau antérieur. CA, corne d'Ammon. ,' Ce, corps calleux. GeC ? ), genou du
AM, avant-mur. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. CA, corne d'Ammon. Cc(g), genou du corps calleux. Ce, capsu
lamus. Va, troisième ventricule. VA. faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph. corne sphénoïdale du ventricule latéral. W, zone de Wer
eau antérieur. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. CA, corne d'Ammon. - Cc(g), genou. du corps calleux. Ce,
tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon. - Cc(g)', genou du corps calleux, Ce, ca
gone. V3, troisième ven- tricule. VA, faisceau de Vicq d'A/yr. Vif, corne frontale du ventricule latéral. 171, ven- tricu
au antérieur. Bi,Qp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. CA, corne d rlmmon. - CB, carrefour olfactif de Broca. Cc
nce grise, la substance grise sous-épcndymaire (Sge), qui double la corne frontale du ventricule latéral (Vf) et qui sépare
trigone. V3, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vf, corne frontale du ventri- cule latéral. Vsph, corne s
u de Vicq d'Azyr. Vf, corne frontale du ventri- cule latéral. Vsph, corne splrénoïdale du ventricule latéral. ? bandelette
térieure par la bandelette optique (II) bifide en arrière, et dont la corne externe présente les derniers vestiges du corps
au amygdalien(NA), qui fait saillie dans la partie antérieure de la corne splereoïdale (Vsph). Sa face venlriculaire est re
t des radsatic ? « r,s (RTIt), qui longent la paroi ex- terne de la corne splténoïdalr¡fYpli). Elles se Crirjgent obliqueme
antérieur. BrQp, bras , . du tubercule quadrijumeau postérieur. CA, corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de Broca. Cg, c
rochet. 171, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphé- noïdalc. Il, bandelette optique. 628 AN
l'insula. La circonvolution de l'hippocampe (H) ou subiculum de la corne d'Ammon s'élargit, au sur et à mesure que l'on
la circonvolution de l'hippocampe (II). La face ventriculaire de la corne d'Ammon (CA) est recouverte d'une couche de lib
t An pilier postérieur du trigone et forment la paroi interne de la corne sphénoïdale (Vsph). La paroi externe est tapiss
ce réticulée d'1r>rold, ou lame mÚlul- luire superficielle de la corne d'Ammon (Lms). Elle est formée par des fibres tan
de Giacomini.- BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. CA, Corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de Broca. Cg, cir
ochet. V3, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Il, bandelette
dans cette région (Voy. Ecorce du )'/«HeHcj/<a/0)), p. 703). La corne d'Ammon (CA) décrit un crochet autour du sillon d
ur la coupe précédente, n° 14 (fig. 313) les plexus choroïdes de la corne sphénoïdale ont disparu, les fibres du pilier p
r du trigone sont moins nombreuses, et établissent un pont entre la corne d'Ammon (CA) et la circonvolution du crochet (U),
corne d'Ammon (CA) et la circonvolution du crochet (U), qui ferme la corne sphénoïdale en dedans. Sur la coupe actuelle n°
ugmenté de volume, son écorce grise se continue avec l'écorce de la corne d'Ammon (CA). La circonvolution godronnée (Cg), j
le à celle qui sépare la circonvolution godronnée de l'écorce de la corne d'Ammon. La partie étalée de la circonvolution
e également, est intéressée au-dessous de la paroi inférieure de la corne , frontale du ventricule latéral. Les noyaux in-
ami (tth), sectionné transversalement, et la limite postérieure de la corne sphénoïdale (Vlj est indiquée par l'insertion d
volume, et dont la forme correspond assez exactement il celle d'une corne d'abondance. On constate très nettement sur cet
tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. Cg, circonvolution
et le noyau rouye (NR), le ruban de Reil présente déjà la forme en corne d'abondance ou en croissant, caractéristique de
quadrijumeau. - BrQp,bras du tubercule quadrijumeau postérieur. CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. C,g, circonvoluti
l, trigone ou tubercule olfactif. U, circonvolution du crochet. Vsph, corne sphénoï- dale du ventricule latéral. W, champ d
niveau de sa partie postérieure, on trouve : un petit segment de la corne d'Ammon (CA) recouvert de la lame médullaire supe
de Sylvius. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau pos- térieur. CA, corne d'Ammon. Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps
gp, pilier postérieur du trigone. U, circonvolution du crochet. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. vt, vélum te
ologue de la couche l1uf- douaire moyenne (stratwn lacunosum) de la corne d'Ammon ; d'après Kaes ces fibres de fort calib
ogie spéciale, s'éloi- gnant du type normal, tel est le cas pour la corne d'Ammon, la circonvolu- tion godronnée et le bu
ue (H [L2]) et atteint son plus haut degré de développement dans la corne d'Ammon. La quatrième couche enfin, ou couche d
la partie de la circonvolution qui appar- tient au subiculum de la corne d'Ammon, ou celle qui fait saillie dans la corn
au subiculum de la corne d'Ammon, ou celle qui fait saillie dans la corne sphénoïdalc du ventricule latéral pour former la
llie dans la corne sphénoïdalc du ventricule latéral pour former la corne d'Ammon proprement dite. ,in Subiculum de la
pour former la corne d'Ammon proprement dite. ,in Subiculum de la corne d'Ammon. La partie de l'écorce de la circonvolu
couche moléculaire; Inc. : 150. - Coupe vertico-transversale de la corne d'Ammon passant par les corps genouillés. Métho
12 diamètres. La circonvolution godronnée est colorée en rouge. Ci, corne d'Ammon et ses couches. - Alv, alvéus. - l', couc
l'hippo- campe, c'est-à-dire au niveau du subiculum ou du lit de la corne d'Ammon, apparaissent des modifications qui s'a
s'accentuent de plus en plus, à mesure que l'on se rapproche de la corne d'Ammon. Ces modifications portent surtout sur
ubstance blancho du subiculum. Travaux de Ma- thias Duval. La corne d'Ammon et la circonvolution godronnée adhère
nt entre elles par leurs couches moléculai- res. Aspect de la corne d'Ammon sur une coupe vertico-trans- versal
couche profonde celle qui entoure le diverticule du subiculum de la corne sphénoïdale se compose de fines fibres entou- r
s cellules pyramidales du subiculum et de la région adjacente de la corne d'Ammon; par la voie du trigone cérébral, ces f
l'alvéus, représentent le cylindre-axe des cellules pyramidales de la corne d'Ammon et du subiculum, et appartiennent au sy
eau postérieur du cingulum, dont les fibres mettent en connexion la corne d'Ammon avec la circonvolution de l'hip- pocamp
et avec des régions plus ou moins éloignées du manteau cérébral. 2° Corne d'Ammon. -La corne d'Ammon constitue un relief co
plus ou moins éloignées du manteau cérébral. 2° Corne d'Ammon. -La corne d'Ammon constitue un relief conoïde situé dans
nche qui tapissent le fond du sillon de l'hippocampe (fig. 350). La corne d'Ammon et la circonvolution godronnée, qui lui
vertico-t.ransversale de cette région, la couche moléculaire de la corne d'Ammon et la couche moléculaire de la circonvolu
es tangentielles (Ii ? 3â0). Sur une coupe vertico-transversale, la corne d'Ammon et le subiculum affectent la forme d'un
ond il la circonvolution de l'hippocampe, la courbe supérieure à la corne d'Am- mon proprement dite. C'est dans la conc
la corne d'Am- mon proprement dite. C'est dans la concavité de la corne d'Ammon que se loge la circonvolu- tion godronn
plique encore l'étude de cette région. L'extrémité supérieure de la corne d'Ammon pénètre en effet dans le hile de la cir
ution godronnée forme la paroi de la bourse et 1 que l'écorce de la corne d'Ammon en constitue le centre (fig. 351). La s
moléculaires respectives de la circonvolution 1 godronnée et de la corne d'Ammon au niveau du sillon de l'hippocampe ; 2
sont obligées de traverser, dans la région du hile, l'écorce de la corne d'Ammon avant d'arriver à leur destination (fig
). On considère généralement comme limite, entre le subiculum et la corne d'Ammon, une ligne passant par le point où la c
culum que par un seul feuillet pie-mérien et, comme limite entre la corne d'Ammon et la circonvolution godronnée, le hile d
nvolution godronnée, le hile de cette circonvolution (fig. 351). La corne d'Ammon comprend par conséquent deux régions qu
rconvolutiongodronnée,l'autre avec le subiculum. Cajal, étudiant la corne d'Ammon chez de petits mammifères lissencéphales,
st très développée, désigne, sous le nom de région supérieure de la corne d'Ammon, la région en relation avec le subiculum,
ale de l'hémisphère (fig. 3â9 ), pour constater que la partie de la corne d'Ammon adjacente à la circonvolution godronnée
ermes supérieur et inférieur, nous décrirons ces deux ? régions de la corne d'Ammon sous le nom de : région godronnée (région
jal). C'est l'extrémité supéro-interne de la région godronnée de la corne d'Am- mon, qui pénètre dans le hile de la circo
ronnée proprement dite. Les différentes couches constituantes de la corne d'Ammon ont été décrites il y a déjà longtemps
par l'imprégnation d'argent. Les différences de structure, entre la corne d'Ammon et l'écorce céré- brale, portent princi
e la circon- volution godronnée. L'extrémité su- périeure de la corne d'Ammon pénètre dans le hile de la cir- con
une sllpelposi- tion de deux écorces cérébrales. Limites de la corne d'Ammon. i Région godronnée et région hip
d'Ammon. i Région godronnée et région hippocam- pique de la corne d'.\mmon. Structure de la corne d'Ammou.
région hippocam- pique de la corne d'.\mmon. Structure de la corne d'Ammou. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 707
érieur du trigone (Fimbria). - tsc, trenia semi-circularis. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. ' . dales, l
Schaiffer, presque les mêmes ici que dans le reste de l'écorce. La corne d'Ammon ne diffère en effet de l'écorce typique,
r la simplicité relative de ses couches profondes. En abordant la corne d'Ammon, l'épaisse couche de fibres tangentielles
, une zone pauvre en cellule, le stratum radiatum. On a décrit à la corne d'Ammon sept et même huit couches distinctes :
s. Sa richesse en li- bres tangentielles. Les 8 couches de la corne d'Ammon de Meynert. 708 .ANATOMIE DES CENTRES
.ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Parallèle entre les couches de la corne d'Ammon et celles de l'écorce du man- teau
celles de l'écorce du man- teau cérébral. Les 5 couches de la corne d'Ammon de Cajal. Couche molécu- laire de l
ches de la corne d'Ammon de Cajal. Couche molécu- laire de la corne d'Ammon. Cette cou- . che. comprend le stra-
des auteurs allemands (Muldenblatt). 8° La couche épithéliale de la corne sphénoïdale. Si l'on veut- ramener les 8 couche
de la corne sphénoïdale. Si l'on veut- ramener les 8 couches de la corne d'Ammon aux quatre couches de l'écorce du mante
tant la structure de .l'écorce dans la région hippo- campique de la corne d'Ammon et dans la région du hile de la circonvol
ma de la struc- ture de l'écorce de la région hippocampique de la corne d'Ammon. 1, couche moléculaire compre- nant
ouche des cellules polymor- plies(Pnx)dela;régiongodronnéedé . la corne d'Ammon (CA). Les cylin- dres-axes des cellules
tion godronnée, sont obligés de traverser les trois couches de la corne d'Ammon (CA) ' avant d'arriver àl'alvéus (Alv).
de la circon- volution godronnée et la couche - moléculaire de la corne d'Ammon. Ils se coudent au voisinage du corps
et les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne . d'Ammon. , 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
aut par le stratum lacunosum, et en bas par FiG. 354. - Coupe de la corne d'Ammon d'un cobaye de dix jours. Méthode double
propres Cellules du sira- tum radiatum. Fie. 355. - Coupe de la corne d'Ammon du cobaye d'un mois. Méthode de Cox. (D'a
ent les cellules pyramidales de la région hippocampi- que de la corne d'Am- mon. Leurs ilendritcs. au stratum rad
amidales de l'écorce typique. , - ' Les cellules pyramidales de la' corne d'\nimdn; bien décrites par Golgi, dont les rec
iale dans la région hippocampique et dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 311). Dans la région hippocampiqu
de la corne d'Ammon (fig. 311). Dans la région hippocampique de la corne d'Ammon (fig. 356, CA), ces cellules possèdent
épaisseur de cette couche (fig 356). Dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 365, RCg), les cel- Leur cylindrc
CA, petites cellules pyramidales de la région hippo- campique delà corne cl' : lmmon. -RCg, cellules pyra- midales géant
n. -RCg, cellules pyra- midales géantes de la région godronnée dela corne d'Am- mon.-a, épaisses collatérales ascendantes
avec les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon. : 1, alvéus. B, stratum ariens. - C, c
FiG. 3li7. - Cellule pyramidale géante de la région godronnée de la corne d'Ammon, - provenant de la partie superficielle
age du hile de la circonvolution godronnée. Dans la portion de la corne d'Am- mon incluse dans la circonvolution go-
l). Les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon sont en effet intimement associées au
tinguent les cellules pyramidales do la région godronnée de la corne d'Ammon. Ce sont des cellu- les géantes pourv
Fie.. 338. - Cellule pyramidale géante de la région godronnée de la corne d'Am- mon et appartenant à la partie superfi-
dres- axes. Les cellules pyramidales de la région godronnée de là corne d'Ammon envoient leur cylindre-axe dans la fimb
ction qui, par la voie du corps du trigone, mettent en connexion la corne d'Ammon avec les tubercules mamillaires (cerveau
naches dendri- tiques des cellules de la région hippocampique de la corne d'Ammon. 1"IG. 3 : ! 0. Schéma de la corne d'Am
gion hippocampique de la corne d'Ammon. 1"IG. 3 : ! 0. Schéma de la corne d'Ammon et de la circonvolution godronnée montran
les cellules pyramidales géantes de la « région inférieure » de la corne d'Ammon et les fibres moussues provenant, des gra
e des grains. - C, couche moléculaire de la portion terminale de la corne d'Ammon. L, faisceau longitu- dinal des fibres
les pyra- midales du subiculum dont le cylindre-axe pénètre dans la corne d'Ammon. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 717 1
tratum oriens et sont nombreuses dans la région hippocampique de la corne d'Ammon. i Les cellules à cylindre-axe Tzori.zo
s à cylindre-axe arqué, décrites par Cajal, FiG. 360. - Coupe de la corne d'Ammon du cobaye d'un mois. Méthodes de Cox et d
u stratum radiatum. On trouve en outre dans toute l'épaisseur de la corne d'Ammon de nombreuses cellules de la névroglie,
épendymaires, qui limitent l'alvéus en dehors et le séparent de la corne sphénoïdale, elles forment une rangée de courtes
, on ne les suit guère au delà de l'alvéus (Cajal). 2. Fibres de la corne d'Ammon.-Lcs fibres de la corne d'Ammon compren
e l'alvéus (Cajal). 2. Fibres de la corne d'Ammon.-Lcs fibres de la corne d'Ammon comprennent : 1° la substance blanche o
de l'épen- d3nue de la cornc sphénoïdale. i' j Fibres do la corne d'Ammon. 1 d2o ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
atérales cylin- drC'-axilcs. "' Fibres intra-eorti- cales de la corne d'Ammon. intra-cortlcales qui occupent les di
'Ammon. intra-cortlcales qui occupent les différentes couches de la corne d'Ammon. 1° Alvéus (Substance blanche de la cor
tes couches de la corne d'Ammon. 1° Alvéus (Substance blanche de la corne d'Ammon. Couche des fibres blanches du pilier p
he est formée par les cylindres-axes des cellules pyramidales de la corne d'Ammon et qu'elle renferme quelques cellules pol
quelle elles appartiennent. Les fibres de la région godronnée de la corne d'Ammon pénètrent dans la fimbria et le pilier po
eur du trigone (Cajal). Les fibres de la région hippocampique de la corne d'Ammon contournent la corne sphénoïdale, et en
ibres de la région hippocampique de la corne d'Ammon contournent la corne sphénoïdale, et entrent dans la constitution de l
bres fines, nombreuses sur- tout dans la région hippocampique de la corne d'Ammon, sont situées sous l'épendyme ventricul
et se voient avec beaucoup de netteté dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 359). La plupart de ces collaté
it dans le stratum lacunosum, soit dans la couche moléculaire de la corne d'Ammon. Le cylindre-axe des cellules pyramidal
collatérales des fibres de l'alvéus, qui traversent l'écorce de la corne d'Am- mon. Les cylindres-axes du riche feutrage
aire dépourvus de gaine de myéline. Fibres intra-corticales. - La corne d'Ammon est remarquable par sa richesse en fibr
s cellules pyramidales des régions godronnée et hippocampique de la corne d'Ammon. 1° La couche moléculaire possède il el
e superficielle ou lamina medullare involuta s. circozvolzcta de la corne d'Ammon est riche en fibres nerveuses à myéline.
fascicules parallèles, qui s'étendent de la région godronnée de la corne d'Ammon au subiculum, où elles s'unissent à la la
iculum, où elles s'unissent à la la- mina medullaris involuta de la corne d'Ammon, pour former la substance réticulée d'A
nt une couche indépendante que dans la région hip- pocampique de la corne d'Ammon. Dans la région godronnée de la corne d
hip- pocampique de la corne d'Ammon. Dans la région godronnée de la corne d'Ammon et dans sa portion incluse dans le hile
e-axe des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon ; ces collatérales traversent la couche
lvéus, particulièrement nom- breuses dans la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 359). 4. Les collatérales des épa
elet, représente une parti- cularité structurale intéressante de la corne d'Ammon. Il est alimenté par trois ordres de ra
dales dans leur trajet vertical, et par les fibres de l'alvéus. La corne d'Ammon représente donc en résumé, d'après Cajal,
e de Cajal et du type II de Golgi, dans la couche moléculaire de la corne d'Ammon, les arborisations des cellules de Golgi
, adossée par sa couche moléculaire à la couche moléculaire É de la corne d'Ammon, et disposée de telle sorte, que son hile
reçoit l'ex- . trémité supéro-interne de la région godronnée de la corne d'Ammon (Voy. fig. 351). La substance blanche
s poly- morphes, écorce qui appartient à la. région godronnée de la corne d'Ammon. Il résulte de la superposition de ces
irconvolution godronnée sont obligées de traverser la portion de la corne d'Ammon incluse dans la circonvolution godronnée,
é ou bouil- lonné, qui borde et entoure l'extrémité godronnée de la corne d'Ammon. Arrivé au niveau de l'extrémité antéri
orce est su- prpo,rée : l·dconn· de la région go- dronnée de la corne d'Ammon. '1 1 i 724 ANATOMIE DES CENTRES
pe à la couche mo- ... léculaire de la région hippocampique de la corne (l'Am\l1on. 2° Couche granuleuse (ou couche des
Hégion godronnee de la 3° Couche des cellules pyramidales géantes. corne d'Ammon. f 6° Couche des cellules polymorphes.
15) les caractères spéciaux à l'écorce de la région godronnée de la corne d'Ammon, caractérisée surtout par l'irrégu- lar
- tales que l'on rencontre dans la corticalité cérébrale et dans la corne d'Ammon, à savoir : la couche moléculaire, la c
ntant la structure de l'écorce dans la région hippocam- pique de la corne d'Ammon et dans la région du hile de la circonvol
ma de la struc- ture de l'écorce de la région hippocampique de la corne d'Ammon. T, couche moléculaire compre- nant
uche des cellules polymor- phes (Pm) de la région godronnée de la corne d'Ammon (CA). Les cylindres-axes des-cellules p
ution godronnée sont obligés de traverser les trois couches de la corne d'Ammon ( CA) . avant d'arriver à l'alvéus (Alv
s de la cir- convolution godronnée et la couche moléculaire de la corne d'Ammon. Ils se coudent au voisinage du corps
et les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon. 1 726 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
lution godronnée, qu'après avoir traversé la région godronnée de la corne d'Ammon. 2° Stratum granulosum (Couche des grai
nt l'analogue des cellules pyramidales de l'écorce typique ou de la corne d'Ammon. Golgi a montré en outre, et ses recher
s pénètre dans la couche des cellules pyramidales géantes de la corne d'Ammon et s'y trans- forme en fibre mous-
eau du hile de cette circonvolution, dans la région godronnée de la corne d'Ammon dont ils traversent la couche moléculai
63. Coupe de la circonvolution godronnée dans la région du hile de la corne d'Ammon. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Caj
de la couche des cellules polymorphes. D, couche moléculaire de la corne d'Ammon. E, couche des petites cellules pyramid
la corne d'Ammon. E, couche des petites cellules pyramidales de la corne d'Ammon. a, grain égaré. - G, libre moussue. d,
aires des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 356 RCg, p. 713), et forment un p
ala et Scbaiffer, et qui traverse toute la région godron- née de la corne d'Ammon. D'après Sala, ce faisceau, arrivé au niv
ala, ce faisceau, arrivé au niveau de la région hippocampique de la corne d'Ammon, se bifurque en deux fascicules seconda
lniffer, ce faisceau traverse toute la région hip- pocampique de la corne d'Ammon au-dessus des grandes cellules pyrami-
aisceau de fibres moussues ne dépasse pas la région godronnée de la corne d'Ammon (fig. 366) et représente une véritable
-axes des Rosaces des fibres moussues. rH ? jOO. - Cl1èma de la corne a-Ammon et de la circonvolution goaronnce montran
ntre les grandes cellules pyramidales de la région inférieure de la corne d'Ammon et les fibres moussues provenant des grai
e des grains. - C, couche moléculaire de la portion terminale de la corne d'Ammon. - D, faisceau longitu dinal des fibres
de la circonvolution godronnée dont le cylindre-axe pénètre dans la corne d'Ammon. ! ' - 730 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
avec les celtîiles pyramidales géantes de la région- godronnée de la corne d'Ammon. -' - - 3° Couche ! des cellules poly
bas par la couche molécu- laire de la région godron- née de la corne d'Am- mon. Cajal distingue dans cette couche
es à cylindre-axe arqué de la couche des cellules polymorphes de la corne d'Ammon, dontle cylindre-axe entoure les cellul
t la couche des cellules pyrami- dales de la région godronnée de la corne d'Ammon, et se continue avec une fibre à myélin
a couche des cellules polymorphes et dans la région godronnée de la corne d'Ammon, on trouve en général tous les intermé-
que la substance perforée antérieure, est en relation intime avec la corne d'Ammon et le crochet de la circonvolution de l
Rudimentaire chez le dauphin (Zuckerhandl), petite chez l'homme, la corne d'Ammon est très développée chez les animaux os
aire. Ces libres a myéline appartiennent au faisceau olfactif de la corne d'Am- mon de Zucl : erl : andl. Elles arrivent
distinguent que par l'absence de stratification. AZOULAY (L.). La corne d'Ammon chez l'homme (Société anatomique et Socié
ier- vouscs. Sa substance Man- che. Faisceau olfactif de la corne d'Ammon. Septum lucidum des mammifères. 740
olfatoria del ce1'ebro. Thèse de Madrid, 1849. -DuvAL (Mathias). La corne d'Ammon. Arch. de Neurologie, 1881 et 1882. t. II
cérébral (fornix transversus de Forel, faisceau commis- sural de la corne d'Ammon). Le fornix transversus et la commissure
ns de la pointe temporale; aucune libre ne se porte en haut vers la corne d'Ammon, ou vers le noyau amygdalien, aucune ne
, c'est-à-dire la couche de fibres qui tapisse la paroi externe des cornes sphénoïdale et occipitale est nor- malement dév
à la coupe nor- male n° 88, fig. 234, p. 467. Alv, alvéus. - CA, corne d'Ammon. Cg, circonvolution godronnée. - Cge, c
postérieur du trigone (lim- bria). VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISS
neren Kapsel) ; elles provien- draient de la paroi antérieure de la corne frontale, c'est-à-dire du genou du corps calleu
de ses libres n'entre dans la constitution de la paroi externe des cornes occipitale et sphénoïdale. Nous décrirons donc,
ccipito- frontal de Forel et Onufrowicz, formant le tapetum de la corne occipitale. - po, scissure pariéto- occipital
re pariéto- occipitale. - 7î77t, radiations tha- lamiques. - Voc, corne occipitale. 762 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
rieure de l'étage supérieur du ven- tricule latéral et la voûte des cornes occipitale et sphénoïdale. D'après la dissection
ses fibres s'étalent en éventail sur la paroi inféro-externe de la corne sphénoïdale, en formant le tapetum des anciens
bstance grise sous-épendymaire, ', s'entre-croisent, en avant de la corne frontale, avec les fibres du corps calleux et d
niveau du carrefour ventriculaire et en particulier au niveau de la corne occipitale, avec les fibres du forceps major du c
bres se détacher du forceps major, et longer la paroi externe de la corne occipitale. Dans les lésions limitées du lobe occ
nd une certaine part dans la constitution de la paroi externe de la corne occipitale, et cela est d'autant plus probable, q
ales, de projection et d'association, qui tapissent le plancher des cornes occipitale et sphénoïdale, et qui sont comprises
rrière, où il entoure d'un anneau complet l'extrémité effilée de la corne occipitale, il s'épaissit considérablement le lon
Pour la description de cette coupe, voy, p. 5.i., coupe n° X. CA, corne d'Ammon. - Ce, corps calleux. Cg, circonvolution
néus. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Tap, tapetum. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. FAISCEAUX D'A
et le bord inférieur du putamen (NL3) (fig. 385), puis contourne la corne sphénoïdale (Vsph) et atteint la partie externe
coupe, page ;iG1 et suiv. Coupe A). AM, avant-mur. C, cunéus. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Ce, cap- sule ext
choroïdes du ventricule latéral. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. - ncl, pli c
nus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sge', substance grise sous-épendyma
e la corne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale. - Sexv, surface extra-ventriculaire d
halami. - V, ruban de Vicq d'Azyr. VI, ven- tricule latéral. - Voc, corne occipitale. Zr, zone réticulée ou grillagée. lo
ou grillagée. lobe, et se groupent de bonne heure en arrière de la corne occipitale, en un mince faisceau annulaire, fac
l se portent d'arrière en avant, le long du bord inféro-externe des cornes occipitale et sphénoïdale, les fibres qui naissen
me obli- quement en bas et en avant, longent la paroi interne de la corne occipitale en dehors du stratum calcarinum, pui
rs du stratum calcarinum, puis passent au-dessous du plancher de la corne occipitale. Toutes ces fibres se rapprochent donc
p. 516 et suiv. Coupe F). - - Alri, alvéus. - AM, avant-mur. - CA, corne d'Ammon. C; circonvolution godronnée. - ds, div
sillon parallèle. Tap, tapetum. U, circonvolution du crochet. rsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - - FAISCEAU
on, p. 47 et suiv., coupe n° VIII). Alv, alvéus. AM, avant-mur. CA, corne d'Ammon. - Ce, corps calleux. - Ce, capsule FAI
roïdes du troisième ven- tricule. - Plchsph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale. - pl'S, sillon pré-rolandiduo supr
ontingent de fibres de l'ergot de Morand, entourent complètement la corne occipitale, se réunissent le long de la paroi e
e. - V, ruban de Vicq d'Azyr. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vif, corne frontale du ventricule latéral. - VV, zone de Wer
Burdach, une seconde fois au niveau de l'angle inféro-externe de la corne occipitale, puis elles traversent le fais- ceau
ratum proprium cunei. - Tap, tapetum. V, ruban de Vicq d'Azyr. - Fac, corne occipitale du ventricule latéral. 78t ANATOMI
propres est beaucoup moins développé que dans le lobe occipital. La corne occipitale, autour de laquelle se groupent les
e prolonge en effet très loin dans le lobe occipital, tandis que la corne frontale ne dépasse guère l'extrémité antérieur
MISSURAUX. 785 substance grise sous-épendymaire (Sge) qui double la corne frontale (Vf) en avant, une disposition en couc
spect, quoique beaucoup plus réduite, à ce que l'on observe dans la corne occipitale (fig. 390). L'anneau interne se trou
misphère droit, passant en avant du genou du corps calleux et de la corne frontale du ventricule latéral. Méthode de f. W
s libres de la couronne rayonnante, puis se coudent au-devant de la corne frontale et se réunissent en un faisceau compact,
re du lobe pariétal, ces dernières entourent d'un anneau complet la corne occipitale. Grâce à la saillie de l'ergot de Mora
V faisceaux sont reliés l'un à l'autre, dans toute l'étendue de la corne occipi- ? tale, par une couche continue de libr
(Fm). Ce dernier faisceau détermine à la partie supéro-interne de la corne occipitale la production d'un relief conoïde, s
au-dessus de l'ergot de Morand et connu sous le nom de bulbe de la corne posté- rieure. Etudions maintenant en détail
érieure) convergent vers l'extrémité effilée et pos- térieure de la corne occipitale. Confondues en arrière avec les fibres
isinage immédiat de la cavité ventri- ' culaire. Elles entourent la corne occipitale d'une couche mince et régulière . (T
en dedans, et plus ou moins parallèlement il la paroi interne de la corne occipitale (fig. 384, p. 768). Il en est de même
ipitale IO,) convergent, en rayonnant, vers l'angle supérieur de la corne occipitale, traversent les couches des faisceaux
ale (fig. 384). Renforcé par les libres de la paroi . externe de la corne occipitale et surtout par le fort contingent, qui
nte donc, en d'autres termes, une sorte de cône creux qui coiffe la corne occipitale et qui est recouvert par deux cônes
bres d'aspect triangulaire, qui tapisse la paroi supéro-externe des cornes sphénoïdale et occipitale; cette couche se cont
et s'unis- sait en arrière, au forceps, au niveau de la voûte de la corne occipitale. Burdach, au contraire, ne désigne s
m que la couche de fibres qui tapisse la paroi supéro-externe de la corne sphénoïdale. Les cas d'agénésie du corps calleu
ur une certaine part dans la constitution de la paroi externe de la corne occipitale (voy. Faisceau occipito-frontal et f
it, en effet, un certain nombre de fibres de la paroi externe de la corne occipitale aborder le faisceau principal ou major
pitale et de la base du cunéus revêtent la partie postérieure de la corne occipitale d'un anneau dégénéré complet et sous-é
a zone dégénérée se cantonne aux parois inférieure et externe de la corne occipitale, puis remonte le long de la paroi ex
nt à la zone de dégénérescence qui occupe la paroi inférieure de la corne occipitale, elle doit être rapportée à la lésion
es dégénérées du tapetum et des radiations thalamiques entourent la corne occipitale d'un anneau dégénéré complet. Sur
rbe. Elle intéresse en outre au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc), à la base du lobule fusiforme (
ctuelle on voit ces fibres dégénérées longer la paroi interne de la corne occipitale, se rassembler pour former le faisce
troisième sillons temporaux. Tap, tapetum. lec, ttenia tecta. T'oc, corne occipitale du ventricule latéral. Ce cas a trai
u tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon. Ce ( ! ), genou du corps calleux. Ce,
trigone. 1, troisième ventricule. VA, faisceau de Vicq-d'A/.yr. 1"(, corne frontale du ventricule latéral. VI, ventricule
2 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
Meynert décrit cette couche sous le nom de formation corticale de la corne dAmmon, parce que la substance corticale de la co
corticale de la corne dAmmon, parce que la substance corticale de la corne d'Ammon ne renferme que ces mêmes éléments nerveu
eurs fonctions et leurs connexions, aux grandes cellules motrices des cornes antérieures de la moelle (Microphotographie, Pl.
ndrique, analogue à celui que Deiters a signalé dans les cellules des cornes antérieures, qui se dirige vers la substance médu
eures présentent une direction inverse. Les premières constituent les cornes antérieures (forceps anterior), et les secondes f
es cornes antérieures (forceps anterior), et les secondes forment les cornes postérieures (forceps posterior). Toutes ces fi
erceptent un espace désigné sous les noms de ventricules latéraux, de corne occipitale, as corne sphénoïdale. Le lieu où s'ef
ésigné sous les noms de ventricules latéraux, de corne occipitale, as corne sphénoïdale. Le lieu où s'effectue cette séparati
be occipital, se juxtaposent, se condensent sur le côté externe de la corne pos- (1) Charcot, De V hémianesthésie cérébrale
qui s'accroît dans son trajet des fibres issues du bord interne de la corne d'Ammon, et constitue un fascicule grêle décrit s
umineuse, irrégulièrement arrondie et dentelée ; elle porte le nom de corne antérieure ; l'arête postérieure s'allonge jusqu'
onge jusqu'à la périphérie, elle est plus étroite et a reçu le nom de corne postérieure. Son extrémité est revêtue d'une sort
roupes de cellules particulières (Microph., Pl. C,fig. I). Dans les cornes antérieures, on distingue trois groupes de cellul
rophotographie, Pl. C, fig. II et III). La région intermédiaire aux cornes antérieures et postérieures renferme un groupe de
s sont moins volumineuses que celles des groupes renfermés dans les cornes antérieures; elles ont 60 de diamètre en moyenne,
atre prolongements seulement. Sur les côtés externes de la base des cornes postérieures, on distingue un amas de cellules qu
bowitsch considère comme analogues aux cellules ganglionnaires. Les cornes postérieures sont coiffées en arrière par la subs
x par deux séries de racines, qui prennent leur origine l'une dans la corne antérieure, et l'autre dans la corne postérieure.
nnent leur origine l'une dans la corne antérieure, et l'autre dans la corne postérieure. Les racines antérieures émergent des
stérieure. Les racines antérieures émergent des cellules motrices des cornes antérieures ; elles sont désignées pour ce motif
Les réseaux de la substance gélatineuse de Rolando qui terminent les cornes postérieures donnent naissance aux racines postér
ns. Dans ce mou-vement ils pénétrent à travers la substance grise des cornes antérieures [formation réticulée de Deiters) qu'i
r tour en avant, en haut et en dedans ; ils sectionnent également les cornes postérieures en deux parties, s'entre-croisent su
olonnettes formées de chaque côté de la ligne médiane par la tête des cornes antérieure et postérieure décapitées. Une grosse
ure décapitées. Une grosse colonne grise, cons-tituée par la base des cornes antérieures et celle des cornes postérieures, occ
ne grise, cons-tituée par la base des cornes antérieures et celle des cornes postérieures, occupe le centre et entoure le cana
entral s'étale largement sur le plancher de cette cavité; la base des cornes an-térieures se place de chaque côté de la ligne
an-térieures se place de chaque côté de la ligne médiane, la base des cornes postérieures vient se ranger sur le côté externe
s vient se ranger sur le côté externe de la précédente. La tête de la corne antérieure est portée en avant et en dehors, la t
e la corne antérieure est portée en avant et en dehors, la tête de la corne postérieure est fortement rejetée en dehors, atte
ssives, on retrouve ces mêmes amas «de substance grise. La base de la corne antérieure se prolonge sur la ligne médiane; la b
e la corne antérieure se prolonge sur la ligne médiane; la base de la corne postérieure envoie un prolongement nommé noyau de
ngement, appelé noyau des corps restiformes (PL. XXXV). La tête de la corne antérieure se porte en avant, la tête de la corne
XXV). La tête de la corne antérieure se porte en avant, la tête de la corne postérieure devient de plus en plus antérieure. C
fragments, pénètre dans le bulbe et la protu-bérance. La base de la corne antérieure se prolonge de chaque côté de la ligne
ole; ces cellules sont semblables à celles que l'on rencontre dans la corne antérieure de la moelle ; leurs dimensions varien
s fibres radiculaires du nerf moteur oculaire commun. La tête de la corne antérieure, située sur un plan plus antérieur et
ont il est séparé par le passage de fibres nerveuses. La base de la corne postérieure s'étale en colonne allongée de bas en
e forme, de chaque côté des masses grises appar-tenant à la base delà corne antérieure, de petites saillies qui contiennent l
u plusieurs nucléoles et ont un prolongement ramifié. La tête de la corne postérieure constitue le tubercule cendré de Rola
e Rolando; elle est formée parla substance gélatineuse qui coiffe les cornes postérieures. Dans son trajet ascendant, elle don
naissance dans le tubercule cendré de Rolando, formé par la tête des cornes postérieures décapitées. La substance gélatineu
ce grise, située en arrière et en dehors de l'olive et en avant de la corne antérieure (Pl. XL, 31) (Microph., PL D, fig. III
restée en avant et en contact avec l'extrémité libre de la tête de la corne postérieure. Elle continue son trajet ascendant e
ure juxtaposée au tubercule cendré de Rolando, et sépare plus haut la corne antérieure de la corne pos-térieure (Pl. XXXVIII,
cule cendré de Rolando, et sépare plus haut la corne antérieure de la corne pos-térieure (Pl. XXXVIII, 25). Les cordons pos
désigné aussi sous le nom de faisceau sous-olivaire, chemine entre la corne postérieure et les débris de la corne antérieure
sous-olivaire, chemine entre la corne postérieure et les débris de la corne antérieure qui le séparent de l'olive bulbaire co
Substance grise centrale de la moelle épinière (région dorsale). a. Corne postérieure. b. Canal central de la moelle. c
dullaire. d. Racines antérieures des nerfs moteurs, émergeant de la corne antérieure. Fig. II. — Corne antérieure de la
s des nerfs moteurs, émergeant de la corne antérieure. Fig. II. — Corne antérieure de la moelle épinière (agrandissement
épinière. c. Racines antérieures des nerfs moteurs émergeant de la corne an- térieure. d. Section transversale des fib
ig. III. — Cellules multipolaires isolées de la substance grise de la corne antérieure. Ces cellules présentent des aspects
yau des corps restiformes. d. Racine du nerf grand hypoglosse. e. Corne postérieure, séparée de sa base et déjetée latéra
sa base et déjetée latéralement. f. Faisceau latéral du bulbe. g. Corne antérieure séparée de sa base. h. Portion motri
au passage des cordons posté-rieurs à travers la substance grise des cornes antérieures. Planche D. Fig. I. — Répartition
f grand hypoglosse. d. Noyau des corps restiformes. e. Tête de la corne antérieure. f. Portion motrice des pyramides.
substance grise de l'olive bulbaire. k. Substance gélatineuse de la corne postérieure. Fig. II. — Répartition de la subst
s. c. Noyau des corps restiformes. d. Substance gélatineuse de la corne postérieure. e. Vestiges de la tête de la corne
e gélatineuse de la corne postérieure. e. Vestiges de la tête de la corne antérieure. f. Olive bulbaire. g. Grand noyau
. VI). Dans son angle supérieur apparaît l'extrémité antérieure de la corne d'Ammon ou grand hippo-campe, et la substance gri
obe occipital. La partie anté-rieure du ventricule latéral est nommée corne frontale; le diverticulum postérieur porte le nom
est nommée corne frontale; le diverticulum postérieur porte le nom de corne occipitale, de cavité digitale ou ancyroïde (3);
cavité digitale ou ancyroïde (3); le prolonge-ment inférieur forme la corne sphénoïdale, dans laquelle s'engage le pilier pos
é sphénoïdale offre également une saillie sur sa paroi inférieure, la corne d'Ammon ou grand hippocampe (6), due au dédoublem
pée par la substance grise. En avant de l'ex-trémité antérieure de la corne d'Ammon est la substance grise du ganglion olfact
la termine en avant renferme la coupe de l'extrémité antérieure delà corne d'Ammon ou hippocampe, séparée, par un petit sill
s. La cavité des ventricules latéraux a atteint sa limite externe; la corne occipitale s'étend moins loin vers la région post
bstance grise de l'hippocampe et du pi-lier postérieur du trigone. La corne frontale descend moins bas et est presque effacée
substance grise du noyau lenticulaire. 12. — Dernier vestige de la corne occipitale. A l'entrée du diverticulum est la sec
de l'hippocampe et du pilier du trigone. L'extrémité antérieure de la corne d'Ammon, qui occupe le pli unciforme, présente sa
ongement sphénoïdal de la cavité des ventricules latéraux contient la corne d'Ammon ou grand hippocampe. C'est une circonvolu
ilier postérieur du trigone; il s'applique sur l'écorce blanche de la corne d'Ammon, s'effile et se perd dans le crochet term
crochet terminal de cette circonvolution (13, Pl. X). En avant de la corne d'Ammon, séparée par un sillon, est la substance
éraux présente la coupe longitu-dinale de la portion antérieure de la corne d'Ammon. La substance grise de l'hippo-campe est
ection de la partie antérieure et interne de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe. La substance grise du co
angles du corps calleux un fascicule divergent désigné sous le nom de corne frontale (6) et de coime occipitale (7) ou forcep
e qui se pro-longe dans l'intérieur du lobe sphénoïdal pórtele nom de corne sphénoïdale, ou tapetum. La substance grise cor
de fibres commissurantes des régions postérieures, appartenante la corne occipitale du corps calleux ; il est en rapport a
onge dans la cavité sphénoïdale, s'applique sur'Pecoree blanche de la corne d'Ammon et prend le nom de corps bordé ou corps b
le qui forme la paroi de la cavité. 15. — Prolongement occipital ou corne occipitale de la cavité des ventricules laté-raux
paraît entre les faces internes des couches optiques; en avant est la corne frontale de la cavité des ventricules latéraux, e
corne frontale de la cavité des ventricules latéraux, en arrière, la corne occipitale. Les bords internes des lobes postér
nsversales de la Lyre, mettant en connexion les circonvolutions de la corne d'Ammon ou grand hippocampe (3). En arrière, à l'
. — Vestige de la portion terminale du noyau caudé. En avant, dans la corne frontale de la cavité des ventricules latéraux, e
r les piliers postérieurs du trigone, jusqu'à la circonvolution de la corne d'Ammon ou hippo-campe (3, Pl. XX). Cette circonv
missurantes pos-térieures. 3. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe, et des piliers postérieurs
lvinar. Gavoy.— Encéphale. ^ La coupe de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe montre le mode d'enroulemen
bserve dans le corps genouillé externe. 19. — Substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe dans la cavité sphé-noïdale
ccupe seul la région centrale des hémisphères. Sa tête plonge dans la corne frontale des ventricules latéraux qui l'isole du
terne et interne. Au-dessous est la coupe de la substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pilier postérieur du t
— Noyau intra-ventriculaire du corps strié. Sa face interne occupe la corne frontale des ventricules latéraux. 7. — Segment
é externe est encore assez volumineuse. 22. — Substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pilier postérieur du t
nné sur le bord externe de la bandelette optique (11, Pl. XXVI). La corne frontale de la cavité des ventricules latéraux a
cavité des ventricules latéraux a disparu par la coupe précédente. La corne sphénoïdale se continue et présente la section de
oïdale se continue et présente la section de la substance grise de la corne d'Ammon ou grand hippocampe et du pilier postérie
dans la substance grise. 19. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe dans l'intérieur de la cavi
n connexion le lobe frontal avec le lobe sphénoïdal. En avant de la corne d'Ammon, est la section de la bandelette optique
dans lequel il se loge. 10. — Section de la portion terminale delà corne d'Ammon ou hippocampe dans la cavité sphénoïdale.
rouve plus que la substance grise du ganglion olfactif et celle de la corne d'Ammon (hippocampe), situées dans la portion arr
des pédoncules cérébraux. 11. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) à l'extré-mité la plus antér
l. L'ouverture qui en résulte permet de voir la circon-volution de la corne d'Ammon ou hippocampe, les plexus choroïdes se di
les), 6. — Section de la substance grise de la circonvolution de la corne d'Ammon ou hippocampe, recouverte d'une écorce de
sur les bords de la cavité ventriculaire. La substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe est sectionnée dans la cavi
eure de la couche optique. 5. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon et du pilier postérieur du trigone dans l
oint de dissociation. La substance grise de la circonvolution de la corne d'Ammon ou hippocampe est sectionnée dans la cavi
— Fibres arciformes occipito-frontales. 6. — Substance grise de la corne d'Amnion ou hippocampe dans le diverticulum sphen
rajet direct ascendant. Ce faisceau est en rapport avec la tête de la corne postérieure et le noyau du corps restiforme. 26
ction dans le diverticulum sphénoïdal de l'extrémité antérieure de la corne d'Ammon ou hippocampe. 10. — Section du noyau c
pour s'entre-croiser sur un plan plus antérieur et supérieur. 29. — Cornes postérieures de la substance grise centrale de la
e et la lèvre infé-rieure de cette scissure. La substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe est sectionnée à son extrém
rieurs enlevés en partie par la coupe. Sur les côtés, apparaissent la corne postérieure et les faisceaux antéro-latéraux de
es et commissurantes du lobe sphénoïdal. 4. — Dernier vestige de la corne d'Ammon ou hippocampe, dans le cul-de-sac qui clô
térieurs de la moelle. 26. — Substance grise centrale de la moelle ( cornes postérieures). 27. — Olive bulbaire. Elle est s
la substance grise des noyaux opto-striés. La substance grise de la corne d'Ammon est épuisée par les coupes successives ;
ntriculaire, ou tête du corps strié, est en rapport en dedans avec la corne frontale de la cavité des ven-tricules latéraux e
x noyaux. Le noyau inlra-ventriculaire occupe toute la cavité de la corne frontale des a^entri-cules latéraux ; sa masse es
7. — Noyau intra-ventriculaire, ou tête du corps strié ; occupant la corne frontale de la cavité des ventricules latéraux.
portion réfléchie du corps calleux. 2. — Extrémité antérieure de la corne frontale des ventricules latéraux. Les fibres com
3 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
n ou troisième ventricule; Inf, infundibulum; trm, trou de Monro; VF, corne frontale du ventricule latéral; VO, corne occipit
um; trm, trou de Monro; VF, corne frontale du ventricule latéral; VO, corne occipitale; VS, corne sphenoidale; CO, centre ova
; VF, corne frontale du ventricule latéral; VO, corne occipitale; VS, corne sphenoidale; CO, centre ovale de Vieussens; m, m'
, s'avançant à une faible distance dans la région frontale : c'est la corne frontale du ventricule latéral. Elle se continue,
gulaire, terminée en pointe au voisinage du pôle occipital : c'est la corne occipitale du ventricule latéral (VO). Enfin la c
ital : c'est la corne occipitale du ventricule latéral (VO). Enfin la corne occipitale elle-même communique largement en avan
le milieu de la portion sphénoïdale de l'hémisphère : celle-ci est la corne temporale ou sphénoïdale du ventricule (VS). La r
e temporale ou sphénoïdale du ventricule (VS). La région où ces trois cornes du ventricule latéral se confondent a été appelée
s du ventricule latéral ; les fibres du genou passent au-devant de la corne frontale; les fibres du rostrum passent au-dessou
de la corne frontale; les fibres du rostrum passent au-dessous de la corne frontale; les fibres du splenium passent au-dessu
frontale; les fibres du splenium passent au-dessus et en dehors de la corne occipitale. Uniformément convexe à sa face supé
est un espace vide qui appartient à la cavité du ventricule latéral ( corne frontale). Le trigone s'avance beaucoup moins l
SP, splenium ; TRI, trigone cérébral ; Bf, fente de Bichat; VF, corne frontale (hi ventricule latéral ; YO, corne occ
fente de Bichat; VF, corne frontale (hi ventricule latéral ; YO, corne occipitale : VS, corne sphénoï-dale; CV, carr
orne frontale (hi ventricule latéral ; YO, corne occipitale : VS, corne sphénoï-dale; CV, carrefour ventriculaire. Sc
n de la Ugne médiane, on constate que toute la paroi inférieure de la corne frontale du ventricule latéral est tapissée par u
noyau caudé se réfléchit même derrière le thalamus, passe ainsi de la corne frontale du ventricule dans le carrefour ventri
ventricule dans le carrefour ventriculaire, puis du carrefour dans la corne sphénoïdale ; elle arrive ainsi à l'extrémité ant
corne sphénoïdale ; elle arrive ainsi à l'extrémité antérieure de la corne sphônoï— dale, où elle se termine, au contact d'u
les utiles à faire pour se rendre compte de la forme intérieure de la corne sphénoïdale. Mais on ne saurait donner exactement
ces coupes. La première est destinée à montrer la paroi interne de la corne sphénoïdale : on attaque l'hémisphère par sa face
; ALV, alvcus ; SL'B, subiculuin. Schéma il. — Face inlei'ne de la corne occij)itale du ventricule latéral droit. succes
à la face interne de l'hémisphère. Lorsqu'on est arrivé ainsi dans la corne occipitale du ventricule, on a sous les yeux la f
e interne de la cavité. Le schéma 47 représente la face interne de la corne occipitale du ventricule latéral droit. Le corps
décrit l'ergot de Morand comme appartenant à la face inférieure de la corne occipitale. UU1SSAUD. f et on dehors; il est
première ou la plus interne des circonvolutions sous-calleuses de la corne d'Aninion, étudiées par M. Mathias Duval. imméd
t très importante à connaître pour bien comprendre les rapports de la corne occipitale du ventricule latéral avec la fente de
immédiatement en dehors du triangle sous-calleux, on pénètre dans la corne occipitale du ventricule latéral, et le stylet va
ne bonne partie de la surface corticale. Cavité ventriculaire. La corne antérieure du ventricule latéral s'enfonce obliqu
loin que la tète du noyau caudé (NC) qui forme sa paroi externe. La corne postérieure du ventricule latéral est ouverte, su
ipital, le corps calleux, après avoir formé la paroi supérieure de la corne postérieure du ventricule, se porte brusquement
al qu'il sépare du lobule fusiforme. Cavité ventriculaire. Ici la corne occipitale est seule entamée par la coupe. La cor
culaire. Ici la corne occipitale est seule entamée par la coupe. La corne est au-dessus du plan horizontal de section. Ce
coupe. La corne est au-dessus du plan horizontal de section. Cette corne occipitale a pour paroi interne la corne d'Ammon,
rizontal de section. Cette corne occipitale a pour paroi interne la corne d'Ammon, constituée par un repli de l'écorce de l
étudierons plus loin. Enfin il n'existe pas de paroi antérieure; la corne occipitale se continue avec la corne sphénoïdale,
iste pas de paroi antérieure; la corne occipitale se continue avec la corne sphénoïdale, sous le pulvinar (Pul), en dedans de
se. NC. Le noyau caudé, convexe en dedans, n'est plus libre dans la corne frontale. Il est adjacent à la substance blanche
l est adjacent à la substance blanche qui est située au-dessous de la corne frontale, et qui est constituée par la couronne r
a queue du noyau caudé est sectionnée au moment où elle passe dans la corne sphénoïdale du ventricule. QA. Le tubercule qua
en deux lames, .',unc externe, une interne, s'étend, en dehors de la corne occipitale du ventricule, dont il est séparé par
s s'être recourbés de dehors en dedans sous la paroi inférieure de la corne occipitale. FLI. Le faisceau longitudinal infér
au. TAP. Le tapetum, lame fibreuse adossée à la paroi externe de la corne occipitale, est toujours sectionnée perpendiculai
e); le crochet ferme, en dedans, l'extrémité la plus antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. Là, cependant,
sément l'espace lacunaire qui sépare la pointe du crochet (Une) et la corne d'Ammon, désignée ici par une de ses parties cons
nt avec la cavité ventriculaire, entre l'uncus (Une) ou crochet et la corne d'Ammon (Fd). On sait que cette communication n'e
rande évidence par M. Mathias Duval, dans un travail définitif sur la corne d'Ammon. En arrière de la fente de Bichat, la f
présente une surface bombée qui correspond à la face supérieure de la corne d'Ammon. Dans sa partie postérieure, on ne voit q
ace externe de l'uncus (Une), et en arrière par la face externe de la corne d'Ammon (Fd). Substance grise. La couche opti
), au voisinage de la fente de Bichat, et auquel on a donné le nom de corne d'Ammon. — Le fascia dentata est d'ailleurs sépar
x coupes précédentes, s'étendait, d'avant en arrière, en dehors de la corne occipitale du ventricule, se reconnaît, malgré la
e occipitale du ventricule, se reconnaît, malgré la disparition de la corne occipitale, à la partie externe du sillon occipit
appartenir aux hémisphères peu plissés, consiste dans le fait que la corne occipitale du ventricule latéral s'étend en arriè
les faisceaux qui suivent d'avant en arrière les quatre parois de la corne occipitale se confondent en un seul. On conçoit l
ond de la scissure calcarine (/t). Cette cavité est l'extrémité de la corne postérieure du ventricule latéral. Écorce. Le
e diamètre. Dès maintenant on peut remarquer que les dimensions de la corne sphénoïdale du ventricule latéral n'ont rien de r
de partie les faisceaux longitudinaux qui entourent la cavité de ; la corne occipitale du ventricule : en haut, le faisceau i
ches horizontales (FLI), toujours interposées entre le plancher de la corne ventriculaire et la substance grise du grand sill
eps arrive et se termine dans une région plus antérieure, celle de la corne d'Ammon. Les figures suivantes le démontrent. L
elle reste toujours quadrilatérale. Le bord supérieur ou voûte de la corne occipitale correspond au faisceau moyen du forcep
moyen du forceps, formant toujours la paroi supérieure ou voûte de la corne sphénoïdale, est à sa partie interne étroitement
en arrière, se porte en dehors; c'est l'annonce de l'apparition de la corne d'Ammon, dont ce faisceau enveloppe toute la conv
sphère. C'est encore une conséquence de l'aplatissement latéral de la corne sphénoïdale dont nous avons déjà parlé. Substan
d'un faisceau compact, sont repoussées en arrière et en dehors par la corne d'Ammon, située immédiatement en avant. Ce fais
ment, et juste au contact de la paroi interne du ventricule. C'est la corne d'Ammon qui, refoulant la substance blanche contr
ion. Plus loin, en arrière, c'est-à-dire au niveau de la coupe 14, la corne d'Ammon n'existe plus; le faisceau, devenu compac
icule, il se, réfléchit franchement en dedans, à angle droit, sous la corne sphénoïdale, participant ainsi à la formation du
nt de largeur, commence à s'amincir, ce qui est dû au voisinage de la corne d'Ammon, dont la partie postérieure repousse vers
sse vers la partie externe tous les faisceaux attenant à l'écorce. La corne d'Ammon n'a pas encore fait son apparition sur ce
onvexité dirigée en dehors. C'est le commencement de la saillie de la corne d'Ammon dans le ventricule. Substance blanche.
ement. Elles s'étalent ainsi en voûte sur la partie postérieure de la corne d'Ammon, que nous allons voir apparaître sur une
aisceau inférieur du forceps, étalé sur l'extrémité postérieure de la corne d'Ainmon, n'est plus représenté que par des fibre
logie adoptée depuis longtemps, est connue sous le nom de bulbe de la corne postérieure (BCP), bulbus cornu poster'ioris (voy
e la saillie formée par cette paroi dans la cavité est le bulbe de la corne postérieure (BCP). Elle répond exclusivement aux
forceps major dans la cavité ventriculaire correspond au bulbe de la corne postérieure (BGP). Très souvent — et c'est le cas
remarquable, auquel on devra toujours recourir lorsqu'on étudiera la corne d'Ammon, M. Mathias Duval a décrit ces replis du
mais elle peut aussi provenir de la lame médullaire, qui recouvre la corne d'Ammon et qui souvent dépasse le sillon de l'hip
e présente toujours les mômes rapports médiats avec le plancher de la corne occipitale. La face externe des coupes ne diffè
forme d'une ligne sinueuse (BCP), marquant la section du bulbe de la corne postérieure. Le faisceau moyen du forceps s'épuis
. On voit donc diminuer peu à peu la saillie que forme le bulbe de la corne postérieure. En même temps, la face supérieure du
c'est le refoulement qu'exerce de dedans en dehors la convexité de la corne d'Ammon. On peut même dire que la convexité de la
mmon. On peut même dire que la convexité de la paroi interne est la corne d'Ammon elle-même; ou, si Ton veut, que la corne
roi interne est la corne d'Ammon elle-même; ou, si Ton veut, que la corne d'Ammon est la paroi ventriculairc, refoulée en d
aisceau inférieur du forceps (FOi) passe en totalité au-dessous de la corne d'Ammon. Là, en effet, finit la continuité du cor
fîg. 42, TRp). Substance grise. Quoique la substance grise de la corne d'Ammon ne soit pas assimilable à celle des noyau
e, vu sa situation profonde dans la masse des fibres blanches. CAM. Corne d'Ammon. Sur la figure 25, on voit apparaître tro
ance grise sur elle-même. 24 s'aplatir davantage, à mesure que la corne d'Ammon augmentera d'importance; mais on le voit
, quand on casse des fragments de cerveau durci, au voisinage de la corne postérieure. Presque toujours, la cassure se fait
) de cette dernière. Et comme cette circonvolution est occupée par la corne d'Àmmon, les fibres des couches inférieure et moy
t moyenne du faisceau longitudinal inférieur passent au-dessous de la corne d'Ammon et du faisceau inférieur du forceps (FOi)
us lingual ou cinquième temporale (T5); le cingulum s'insinue sous la corne d'Ammon, entre la circonvolution godronnée et la
la face supérieure du corps calleux jusqu'à la face inférieure de la corne d'Ammon, les rapports du faisceau compact du forn
açon à former une cupule concave en avant et en dehors, où se loge la corne d'Ammon. Lorsque ses fibres deviennent verticales
érieures sur tout leur trajet, sont celles de la partie externe de la corne d'Ammon. Quant à celles qui enveloppent la circon
re, sans changement appréciable, jusqu'à l'extrémité antérieure de la corne d'Ammon. FOm. Le faisceau moyen du forceps dimi
e faisceau de fibres flottantes qui, juste au-dessus de la base de la corne d'Ammon, portent le nom de bulbe de la corne post
-dessus de la base de la corne d'Ammon, portent le nom de bulbe de la corne postérieure. Le bulbe de la corne postérieure est
mmon, portent le nom de bulbe de la corne postérieure. Le bulbe de la corne postérieure est, disons-nous, toujours au-dessus
rne postérieure est, disons-nous, toujours au-dessus de la base de la corne d'Ammon; il occupe donc la région interne de la c
(FOm), celui des trois faisceaux du splenium qui forme la voûte de la corne occipitale. Les fibres ainsi sectionnées se porte
pli de communication, situé immédiatement au-dessous de la base de la corne d'Ammon, réunit la partie antérieure du lobule li
esure que le faisceau moyen du forceps (représenté par le bulbe de la corne postérieure (BCP), diminue d'importance (fig. 25,
us en plus proéminente, car l'enroulement de la substance grise de la corne d'Ammon (fig. 25, 27, 50, Fci) devient de plus en
uvert en dehors et qui s'enfonce en bas et en dedans au-dessous de la corne d'Ammon. Cet angle rentrant est l'angle inféro-in
mentanément (fîg. 13, 14 et suiv.), à la partie la plus reculée de la corne d'Ammon. Il régnera dorénavant sans interruption
eure du ventricule latéral, c'est-à-dire jusqu'à la terminaison de la corne d'Ammon; toujours situé au-dessous de la corne d'
à la terminaison de la corne d'Ammon; toujours situé au-dessous de la corne d'Ammon, il s'enfonce dans la substance blanche à
istincts : un étage supérieur dans lequel nous trouverons toujours la corne d'Ammon (Fci), le faisceau inférieur du forceps (
ficielle du corps calleux. Sur toutes les figures qui vont suivre, la corne d'Ammon ne sera plus désignée par le signe CAM, q
et sus-jacente au sinus (sC) se rapproche de la substance grise de la corne d'Ammon. Sur la figure 50, ces deux portions de s
(fig. 28, Fci) ne fait que se prolonger dans la substance grise de la corne d'Ammon (fig. 50, Fci). En d'autres termes, la su
d'Ammon (fig. 50, Fci). En d'autres termes, la substance grise de la corne d'Ammon n'est rien de plus que la bandelette cend
-dessous du corps calleux, à la rencontre de la substance grise de la corne d'Ammon. Les ondulations de cette bandelette dans
hère (pl. XXXVIII, fig. 1 et 2). Les rapports de la masse grise de la corne d'Ammon avec la substance blanche centrale (LMA)
eut déjà comprendre que la substance blanche ou lame médullaire de la corne d?Ammon, ou substance réticulée d'Arnold, ne rest
. Bref, on en arrive aisément à se représenter la masse grise de la corne d'Ammon comme un groupement de circonvolutions se
t plus loin (fig. 30) ces fibres s'insinuer au-dessous du bulbe de la corne postérieure, au-dessus et en dedans de la corne d
essous du bulbe de la corne postérieure, au-dessus et en dedans de la corne d'Aminon. Ce sont les premières fibres nettement
trigone, qui vont se placer en dedans, en arrière et en dehors de la corne d'Aminon. FS. Le faisceau sensitif, toujours ne
grise de la circonvolution limbique (C). Et comme celle-ci devient la corne d'Ammon elle-même au-dessous du sple-nium, il la
la dégradation insensible de sa teinte, au-dessus et en dedans de la corne d'Ammon ; ses fibres antéro-postérieures sont fon
es, et s'insinuent entre le faisceau inférieur du forceps (FOi) et la corne d'Ammon. FOi. Le faisceau inférieur du forceps
bres, les unes situées au-dessus, les autres situées au-dessous de la corne d'Ammon. Celles qui sont situées au-dessous nous
eux ; elles se portent en arrière et en dehors, pour enve lopper la corne d'Àmmon de la façon qui a été déjà indiquée (fig.
e la façon qui a été déjà indiquée (fig. 22, 23). Seulement, comme la corne d'Ainmon leur ferme le passage en arrière, elles
ceau moyen du forceps est représenté (fig. 27, 28) par le bulbe de la corne postérieure, à la partie supérieure et interne du
partie d'entre elles se réfléchissent sous la paroi inférieure de la corne occipitale. CO. Faisceau du centre ovale. Sur l
tion que plus loin, à propos des rapports de la substance grise de la corne d'Ammon (32 Hip). Cavité ,ventriculaire. Dès
e d'Ammon (32 Hip). Cavité ,ventriculaire. Dès l'apparition de la corne d'Ammon sur les coupes verticales (fig. 25, 24) l
dentata. La bandelette grise de la circonvolution limbique devient la corne d'Ammon. L'apparence très compliquée de chacune
examine dans leur ensemble. Nous avons déjà étudié séparément dans la corne d'Ammon deux parties, une grise, prolongement de
riculaire interne et se confond avec la masse grise déjà connue de la corne d'Ammon. Il s'agit toujours, en somme, de la band
(ce) et le sillon de l'hippocampe (sh, fig. 52). — La structure de la corne d'Ammon rappelle ici exactement ce que nous avons
et même chose. Sur les figures 51 et 52 la substance blanche de la corne d'Ammon, avons-nous dit, correspond à l'interstic
inérea se continue avec une portion grise (Fd) située au centre de la corne d'Ammon et qui est le fascia dentata. Ce fascia d
t plus séparé du tubercule (Tf). Donc toutes les parties grises de la corne d'Ammon sont en continuité ininterrompue les unes
sse de substance blanche est tout simplement la lame médullaire de la corne d'Ammon sectionnée dans son plan vertical, au poi
représentent la partie la plus antérieure de la substance grise de la corne d'Ammon, tout à fait au voisinage de sa surface.
ser les rapports du sillon de l'hippocampe (sh) avec les replis de la corne d'Ammon. sh. Nous savons que le sillon de l'hip
a cinerea (Tf). Cette lente est revêtue de la substance blanche de la corne d'Ammon (substance réticulaire d'Arnold) (LMA). D
eur de cette circonvolution. Pour ce qui a trait aux rapports de la corne d'Ammon avec la paroi interne du ventricule, nous
férieures et les plus antérieures du splenium, qui vont envelopper la corne d'Ammon, s'isolent assez nettement des fibres dir
ent précis, d'abord au-dessus du corps calleux, puis au-dessous de la corne d'Ammon. Comme il décrit un trajet arqué à concav
xtrémité du corps calleux à l'autre. — Au contraire, au-dessous de la corne d'Ammon (fig. 52, 55, 56), il est exclusivement r
nt (FOs, fig. 54), et puis ensuite en dedans sous le plancher de la corne occipitale, au-dessus du faisceau longitudinal in
qu'on reconnaît encore l'extrémité la plus antérieure du bulbe de la corne postérieure. Substance grise. Les figures de
urvenus dans les rapports réciproques des parties constituantes de la corne d'Ammon (fig. 37). Fci. La substance grise du f
es 41 et 42, et il en sera ainsi jusqu'à l'extrémité antérieure de la corne d'Ammon. Mais, sur la coupe 42, apparaît au-dessu
celle-ci est la section d'un autre repli de la substance grise de la corne d'Ammon, situé sur une région antérieure. Par con
odron Fd et le go-dron suivant Fd'. LMA. La substance blanche de la corne d'Ammon (fig. 57), étalée au devant du fasciola c
ie la plus antérieure. En bas, c'est l'ensemble des replis gris de la corne d'Ammon. La fimbria (FI), sur toutes les figure
as, à la partie inférieure, avec la substance blanche qui recouvre la corne d'Ammon. Entre celle-ci et la fimbria il y a une
elette arquée, convexe en haut, qui recouvre la substance grise de la corne d'Ammon et qui fait suite à la lame médullaire du
ieur du trigone ou fimbria s'épuise, en effet, progressivement sur la corne d'Ammon, à sa partie interne. Mais un grand nombr
nservent leur groupement compact jusqu'à la partie antérieure de la corne d'Ammon. Nous allons, également y revenir dans un
ieures du faisceau inférieur du forceps (FOi) à la face externe de la corne d'Ammon. Il est bien évident que ces fibres provi
rajet oblique en bas et en dehors, jusqu'à la parlie inférieure de la corne d'Ammon, qu'elles se portent ensuite en dedans et
diverticule du subiculum (Dm), Elles vont ainsi se continuer sous la corne d'Ammon, comme ont fait déjà toutes les fibres du
généralement comme une couche blanche tapissant la face externe de la corne d'Ammon dans le ventricule, n'est que la continua
; les fibres inférieures sont des fibres longues. Au-dessous de la corne d'Ammon (fig. 39,40, 42), elles se portent en deh
rceps que nous avons vu constituer l'alveus, passe, en effet, sous la corne d'Ammon et va, au-dessus du sillon du subiculum (
ondre dans la paroi interne du ventricule). Mais, au voisinage delà corne d'Ammon (fig. 40, 41), ses fibres (FI) changent d
t progressivement foncées. Elles se portent en avant, au-dessus de la corne d'Ammon. Elles sont désormais séparées du hile du
sversale, qui continue, de dedans en dehors, la lame médullaire de la corne d'Ammon (LMA, fig. 42). La continuité de celle-ci
aisceau, à son insertion sur le corps calleux, vestige du bulbe de la corne postérieure. CO. Le faisceau sensitif du centre
Les particularités relevées déjà à l'occasion de la formation de la corne d'Ammon se retrouvent ici sans modifications prof
rme en bas, au-dessus du fascia dentata (Fd) la lame médullaire de la corne d'Am-mon, ou substance réticulaire d'Arnold. En h
segment inférieur de cette couche grise à la partie supérieure de la corne d'Ammon. Elle y forme en effet (fig. 45, 46) un r
tico-transversale de la circonvolution de l'hippocampe (Hip) et de la corne d'Ammon (Fd). Fd, fascia dentata de la corne d'
ippocampe (Hip) et de la corne d'Ammon (Fd). Fd, fascia dentata de la corne d'Ammon. LC, lamina convoluta. LMA, substance r
ia (FI). Fd. Le fascia dentata est la partie la plus profonde de la corne d'Ammon. Toutes les figures de la planche XVIII d
rs déjà — le hile du fascia dentata (hFd). La substance grise de la corne d'Ammon n'est donc qu'une sorte d'enroulement de
lte disposition. 11 nous reste à examiner les portions blanches de la corne d'Ammon. FI. La fimbria (fig. 44, 45, 46, 48) o
qui, un peu plus en arrière, se continuait avec la face externe de la corne d'Ammon dans le ventricule. Elle forme la paroi i
culairc n'est pas celui qui correspond à 1 arête supéro-externe de la corne occipitale. Ici il n'y a plus d'angle supéro-exte
essous de l'angle supéro-interne du ventricule ; elle descend vers la corne d'Ammon et forme l'alveus (ALY) ; une externe (FI
située en dedans de la précédente et qui, elle aussi, descend vers la corne d'Ammon, mais pour changer de direction au-dessus
la fente de Bichat (Bf) pénétrer de dedans en dehors, au-dessus de la corne d'Ammon, se prolonger entre la fimbria (FI) et la
'antérieur et le postérieur du même côté). Substance grise Fd. La corne d'Ammon, essentiellement constituée par le fascia
une couche spéciale, surajoutée à la constitution déjà décrite de la corne d'Ammon. Sur la coupe 54 on remarquera également
t cela, malgré la simplicité réelle et l'unité de configuration de la corne d'Ammon dans toute son étendue antéro-postérieurc
rière, alors qu'elles s'épanouissaient en tous sens au pourtour de la corne d'Ammon. T/AP. Le tapetum (fig. 50, 51, 52) pro
ente qu'une partie des fibres du faisceau sensitif, réfléchie sous la corne occipitale. FDF. Le faisceau diffus du fornix d
isceau inférieur du forceps, devenu l'alveus (fig. 52), passe sous la corne d'Ammon, de dehors en dedans, et va se terminer,
l n'y a donc plus désormais aucune continuité reconnaissable entre la corne d'Ammon et le corps cal-, leux. Le tronçon inféri
eps a complètement disparu. 11 ne reste plus trace ici du bulbe de la corne postérieure. Non seulement on ne reconnaît plus a
'isolement), puis sa portion inférieure qui est le prolongement de la corne occipitale. La séparation est due ici à ce fait q
t à ce sillon. Aq. Aqueduc de Sylvius. Substance grise. CAM. La corne d'Ammon ne présente rien de particulier. Tout ce
es fibres de la couronne rayonnante de la couche optique (Rth). VF, corne frontale du ventricule latéral; VS, corne sphén
uche optique (Rth). VF, corne frontale du ventricule latéral; VS, corne sphénoïdale de ce ventricule. Schéma 87. çons
uivre (fig. 59) la continuité de la lame blanche en question, sous la corne d'Àmmon, jusqu'à la paroi interne du ventricule.
icule latéral ne présente rien de spécial dans sa partie frontale. La corne sphénoïdale s'ouvre dans la fente de Bichat (Bf);
g. 66). Aq. Aqueduc de Sylvius (fig. 61). Substance grise. CAM. Corne d'Ammon (Voy. pl. XVII et XVIII). SG. La substa
I, fig. 64) réfléchies et dirigées d'arrière en avant au-dessus de la corne d'Ammon (CAM). Les fibres du pilier postérieur, a
e la cavité ventriculaire latérale, c'est-à-dire depuis la base de la corne sphénoïdale jusqu'à la voûte de la corne frontale
-à-dire depuis la base de la corne sphénoïdale jusqu'à la voûte de la corne frontale. 11 est limité en dedans par le faisceau
ronne rayonnante du pulvinar. Arrivées à l'angle inféro-externe de la corne ventricu laire sphénoïdale, elles se réfléchiss
relativement à l'écorce (voy. pl. XXI). Cavité ventriculaire. La corne frontale du ventricule latéral s'aplatit de plus
atit de plus en plus. Elle conserve toutefois sa forme générale. La corne sphénoïdale diminue de hauteur, mais elle tend à
argir et son angle inféro-interne s'enfonce plus profondément sous la corne d'Ammon. Le ventricule moyen semble fermé en de
ment en avant de la commissure postérieure. Substance grise. CAM. Corne d'Ammon (voy. pl. XYII et XVIII). FI. La fimbri
e certaine distance de la ligne médiane. Substance grise. CAM. La corne d'Ammon ne diffère ici, en rien, de ce qui en a é
eus (ALV) limite en dehors la saillie grise intra-ventriculaire de la corne d'Ammon. Mais cette saillie, au lieu d'être repré
tte schématique 108 donne l'explication de cette transformation de la corne d'Ammon dans ses régions antérieures. 11 va sans
signalé (pl. VII et VIII) le commencement de cette modification de la corne d'Ammon sur des coupes plus postérieures. NC. L
s postérieures. NC. Le noyau caudé (fig. 74, 76, 77), libre dans la corne frontale du ventricule latéral, où il forme une p
e à la portion réfléchie du tsenia (Tœ), occupe le bord interne de la corne sphénoïdale du ventricule. NIC. Le noyau intern
reviendrons sur ce fait ultérieurement. Cavité ventriculaire. La corne frontale du ventricule latéral continue de s'apla
rébral, de telle sorte que ce dernier commence à se pédiculiscr. La corne sphénoïdale (fig. 84) communique plus largement a
ppocampe (Une). Le corps genouillé externe (GE) est à la limite de la corne sphénoïdale et de la fente de Bichat. Il est touj
espond au sillon médian du corps genouillé. Substance grise. CAM. Corne d'Ammon. Nous retrouverons sur cette planche la s
u longitudinal inférieur (FLI, fig. 86). Cavité ventriculaire. La corne frontale, réduite à une fissure horizontale, n'a
réduite à une fissure horizontale, n'a plus de parois latérales. La corne sphénoïdale s'allonge transversalement et se conf
ment et se confond avec la fente de Bichat. La paroi inférieure de la corne sphénoïdale se rétrécit, et l'angle inféro-inte
). La paroi interne, presque liorizontalc, est convexe et répond à la corne d'Ammon tapissée par l'alveus (ALV, fig. 88). S
mon tapissée par l'alveus (ALV, fig. 88). Substance blanche. CAM. Corne d'Ammon. Des modifications importantes se font vo
question sont les dernières ramifications du stratum lacunosum de la corne d'Ammon (LST fig. 89). Le crochet ou uncus, en ef
e crochet ou uncus, en effet, n'est pas autre chose qu'un repli de la corne d'Ammon d'avant en arrière, à la surface de la ci
progressivement de volume. Elle arrive à l'angle inféro-externe de la corne sphénoïdale, toujours accompagnée par le tsenia (
nd au trou borgne ou foramen cœcum (TB). Cavité ventriculaire. La corne sphénoïdale du ventricule latéral présente seule
e (BO) et la face supérieure de l'uncus. Substance grise. CAM. La corne d'Ammon (fig. 91) présente, snr cette pLanche, un
anche précé-derde. On voit toutefois se rapprocher progressivement la corne d'Ammon proprement dite, constituée par la lamina
ater que le crochet lui-môme (Une) présente la môme contexture que la corne d'Ammon ; c'est la môme superposition des lames g
s, ainsi qu'on le voit sur la vignette schématique ci-dessous, est la corne d'Ammon elle-même Projection horizontale de l'e
l'hippocampe {RAII}. Sur la coupe 94 on distingue encore, entre la corne d'Ammon (représentée par la lamina convoluta LC)
caudé (fig. 94), arrivée au voisinage de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, augmente un peu d'épaisseur. Th. L
centes, s'étale transversalement, au fur et à mesure que s'élargit la corne sphénoïdale du ventricule latéral (fig. 92, 93, 9
dant à occuper un plus grand espace dans l'angle inféro-externe de la corne ventriculaire, la bandelette sous-optique est ref
toujours de beaucoup les plus simples. . Cavité ventriculaire. La corne frontale est linéaire; elle ne présente d'autre p
e tubercule antérieur de la couche optique (NaC, tig. 101, 102). La corne sphénoïdale, transversale et môme légèrement obli
te optique sus-jacente à l'un-cus (Une). Substance grise. GAM. La corne d'Ammon (CAM) et Viincus ou crochet (Une) se méla
élangent intimement. La substance grise et la substance blanche de la corne d'Ammon se continuent, sans aucune démarcation, a
utefois suffisamment isolée au-dessus de l'extrémité antérieure de la corne d'Ammon, qu'on reconnaît encore ici à la substanc
s du pilier descendant de la voûte (DF). Cavité ventriculaire. La corne sphénoïdale seule est intéressante. Limitée en ha
e envoie deux prolongements internes, au-dessus et au-dessous de la corne d'Ammon. Le prolongement supérieur est à l'extrém
e recessus sub snbiculo (Dsu, fig. 108). Substance grise. CAM. La corne d'Ammon (CAM, fig. 104) ne diffère de ce qu'elle
orte de voûte à paroi épaisse au-dessus du cul-de-sac antérieur de la corne sphénoïdale. Nous venons de signaler ses étroites
masse grise à peine reconnaissable dans l'angle inféro-externe de la corne sphénoïdale, est immédiatement sous-jacente à la
es passent à travers le corpus album sub-rotundum (NaC, fig. 109), la corne frontale du ventricule latéral s'étale transversa
r. Lorsqu'elles passent au-devant de ce tubercule (fig. 113, 114), la corne ventriculaire redevient plus vaste. La moitié ext
amus que recouvre l'expansion antérieure du tœnia (Tae). Quant à la corne sphénoïdalc, elle se réduit progressivement à une
cs de cette région (voy. BSO, pl. XXIX). Substance grise. CAM. La corne d'Ammon n'est plus représentée ici que par une pe
ygdalien (NA). VS, le ventricule sphenoidal limité en dehors par la corne d'Ammon (CAM). plus claire et plus diffuse. Ell
. L'augmentation de largeur tient à l'accroissement transversal de la corne frontale du ventricule latéral; l'augmentation d'
erforantes de l'artère lenticulo-striée. Cavité ventriculaire. La corne frontale du ventricule latéral, après que le tube
space perforé antérieur (EPA, fig. 123). Cavité ventriculaire. La corne frontale aplatie au-dessus du noyau caudé (NC, fi
outes les coupes précédentes, c'est-à-dire qu'il forme la voûte de la corne frontale du ventricule et qu'il se divise en deho
la forme générale et la cour- comme la siibslancc réticulairc de la corne d'Ammon, n'est autre chose que la couche la plus
u devant de la tête du corps strié, formant la paroi antérieure de la corne frontale du ventricule. Comme il est dirigé d'ava
yau lenticulaire (ANL) et de la commissure antérieure (CA). CAM. La corne d'Ammon (fig. 2 et 3) se présente comme un enroul
En arrière il adhère à l'écorce grise du subiculum, en dedans de la corne d'Ammon (CAM). A ce niveau, ses fibres sont divis
onséquent foncées, formant une cloison continue depuis le bulbe de la corne postérieure (BCP, fig. 2) jusq^u'au pôle occipita
uestion à propos des coupes verticales (voy. pl. XXII, NpC) CAM. La corne d'Ammon semble n'être qu'un simple enroulement de
plus petite et la plus antérieure, enveloppe la substance grise de la corne d'Amnmn : c'est l'alveus (ALV); elle se continue
u thalamus (NeC). NC. Le noyau caudé (fig. 7 et 8) proémine dans la corne frontale du ventricule latéral {VF, fig. 7), et s
le fascia dentata (Fd). C'est ici la partie la plus supérieure de la corne d'Ammon. Ce n'est déjà presque plus la corne d'Am
la plus supérieure de la corne d'Ammon. Ce n'est déjà presque plus la corne d'Ammon, puisque sur la coupe 9 on ne distingue p
e (Cl). Elle s'étend du carrefour (G F) à la partie postérieure de la corne frontale (VF); elle est presque tout entière dans
eure de la corne frontale (VF); elle est presque tout entière dans la corne frontale : c'est, en résumé, l'extrémité postérie
pl. XXXVl, fig. 9), répondaient encore à l'extrémité supérieure de la corne d'Ammon. ce. Le corps calleux, divisé en deux t
ceau supérieur du forceps (FOs) réfléchie dans la paroi externe de la corne occipitale du ventricule. — Le faisceau supérieur
) forment donc, l'un la paroi externe, l'autre la paroi interne de la corne occipitale du ventricule. Tous les deux ont une c
auche ; la figure 2 représente l'hémisphère droit. Sur ce dernier, la corne occipitale du ventricule latéral (VO) est largeme
moment où celui-ci s'enfonce de la surface du lobe carré (CQ) vers la corne d'Ammon (CAM). Elle est située au devant d'un pet
fasciola cinerea (Fci). Celui-ci s'étend de dedans en dehors vers la corne d'Ammon (CAM) en décrivant des sinuosités comme u
chat, pour former, à son extrémité externe, la lamina convoluta de la corne d'Ammon*. Les replis sinueux du fasciola cinerea
oy. pl. XLII, fig. 1. Leur continuité avec la substance grise de la corne d'Ammon, bien mise en évidence chez le fœtus par
que le fasciola cinerea est rectiligne. Cavité ventriculaire. La corne occipitale du ventricule latéral est seule divisé
vité communique avec la fente de Bichat entre le pulvinar (Pul) et la corne d'Ammon. Quant à la corne frontale du ventricul
e de Bichat entre le pulvinar (Pul) et la corne d'Ammon. Quant à la corne frontale du ventricule latéral, elle est située a
u contact de la lame terminale (LAT). Cavité ventriculaire VF. La corne frontale du ventricule latéral est divisée par la
u corps calleux la convexité de la téte du noyau caudé (NC). VO. La corne occipitale du ventricule, largement béante, prése
(TAP) ; une interne, fortement convexe, qui répond à la saillie de la corne d'Ammon (Fl, Fd) ; une inférieure, également conv
t au faisceau inférieur du forceps ; elles représentent la base de la corne d'Ammon, dont la saillie blanche dans la cavité v
la cavité ventriculaire n'est autre chose que l'alveus. La base de la corne d'ximmon (BAM) correspond toujours à l'enfoncemen
te deux prolongements : le postérieur et le plus externe va former la corne occipitale; l'interne est une fissure arquée qui
corne occipitale; l'interne est une fissure arquée qui passe sous la corne d'Ammon et qui représente ici la section oblique
su). Cette figure est destinée à montrer les rapports médiats de la corne d'Ammon avec le noyau amygdalien, au-dessous de l
en, au-dessous de la bandelette optique. La section horizontale de la corne d'Ammon au-dessous de la bandelette présente l'as
Giacomini. Tous les détails relatifs à la forme et aux rapports de la corne d'Ammon sur les coupes horizontales au-dessous de
entata, d'abord au moment où il contourne le recessus antérieur de la corne d'Ammon (RAII), puis lorsqu'il remonte sur le cro
t le trigone (TRI) et la fimbria (FI). Ici toutes les parties de la corne d'Ammon sont constituées de la façon que nous avo
a protubérance et les pédoncules, enfin si l'on a largement ouvert la corne frontale du ventricule latéral, on peut trouver q
s du faisceau arqué destinées à la capsule interne. BAM. Base de la corne d'Ammon. BCP. Bidbus cornu posterioris, saillie
frontale. CAL. Calcar, calcar avis, colliculum, ergot de Morand. CAM. Corne d'Anmion. CAO. Fibres de la couche optique alla
e de Reil, lamina ad, pedunculum. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. LMA'.
splenium. Stg. Stratum granulosum cornu Ammonis. SUR. Subiculum de la corne d'Ammon. SUF. Subiculum de la fasciola cinerea.
ure du trijumeau et noyau de la branche descendante du trijumeau. VF. Corne frontale du ventricule latéral. VL. Fibres du p
re au lemniscus. VM. VcnliicLilc nioyeii, troisième ventricule. VO. Corne occipitale du ventricule latéral. VS. Corne sphén
troisième ventricule. VO. Corne occipitale du ventricule latéral. VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral. YV. Valvule de
95 Bandelette sous-optique (BSO)............. 195, 301 Base de la corne d'Ammon (BAM).............. . 45(5 Base du cerv
...........xxii, 218, 250 Conarium (G)....................... xxn Corne d'Ammon (CAM). ............ . 134,150, 458 Corp
rus vestibuli (GYE)................ lvu, 415 L Lame blanche de la corne d'Ammon (LMA)...... . . . . . 445 Lame des fais
î'sc/iic/ii des Allemands) (CG)..... 532, 453 Lame médullaire de la corne d'Ammon (LMA).......... 145 Lame médullaire du
4 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
de la sclérose. — Faisceaux radiculaires internes.— Envahissement des cornes antérieures de substance grise : amyotrophie cons
petit département de la substance grise de la moelle : la région des cornes antérieures. On sait encore que la majorité des c
ans ; ces tractus sont séparés des cordons de Goll, en dedans, et des cornes grises postérieures, en dehors, par des bandes mi
n des ban- celle-ci. S'il a existé une anesthésie très accusée, les cornes postérieures de la substance grise sont à leur to
ment, dans le sens transversal, elle se fait, soit en dehors vers les cornes postérieures de la substance grise et les fais-ce
ilets radiculaires internes et sclérose limitée à leur parcours. — C, Corne antérieure droite atrophiée. (Cette figure est ti
, de l'extension de la lésion sclé-reuse des cordons postérieurs à la corne antérieure grise du côté droit (Fig. 5). La malad
ns. A la région dorsale, comme à la région cervicale de la moelle, la corne grise du côté droit était manifeste-ment atrophié
ui composent les faisceaux radiculaires internes se dirigent vers les cornes antérieures de substance grise, et peuvent être s
laires internes et le groupe des cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrog
ieures et le groupe externe des cellules nerveuses multipo-laires des cornes antérieures. Je suis amené à répondre que, d'un
qui partent, en nombre variable, des grandes cellules ner-veuses des cornes antérieures, il en est un, vous le savez, qui, da
Gerlach, se dirigent manifestement vers l'extrémité anté-rieure de la corne antérieure, où ils paraissent entrer en connexion
postérieurs entreraient en connexion avec les cellules nerveuses des cornes antérieures l. Il y a loin de ces données, un peu
anisme de la production de l'arthropathie des ataxiques. — Lésion des cornes antérieures de la substance grise. — Desi-deratum
lésion trophique musculaire est évidemment liée à une altération des cornes antérieures de la substance grise, j'avais suppos
e l'arthropathie, nouvelle circonstance qui semble désigner aussi les cornes antérieures comme siège particulier de la lésion
rthropathie tabélique, malgré de patientes recherches, l'atrophie des cornes antérieures du côté correspondant à l'affection a
substance grise n'était plus représentée en ce point que par une des cornes de substance grise où l'on ne retrouvait qu'un pe
e, également au-dessous de la lésion en foyer et du même côté dans la corne antérieure de la substance grise. Alors, les memb
la paraplégie cervicale s'ob-serve lorsque la lésion systématique des cornes antérieures de la substance grise est limitée, da
alement en avant de manière à affecter surtout la substance grise des cornes anté-rieures. Seulement, dans ce dernier cas, en
— Caractères géné-raux. — Localisation des lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise. Paralysie sp
t Johnson, Damaschino et Roger). — Localisai ion des lésions dans les cornes antérieures de la substmee grise. — Altérations s
s dites motrices, lesquelles, comme vous le savez, ont pour siège les cornes antérieures de la substance grise de la moelle ép
açon très nette, ce qu'il appelle la substance grise cen-trale et les cornes de substance grise. La première aurait seule (a
t les cornes de substance grise. La première aurait seule (avec les cornes postérieures, du moins pour une part), un rôle sé
e sérieux dans la transmission des impressions sensi-tives. Quant aux cornes antérieures, elles seraient destinées surtout à l
par une lésion qui peut siéger exclusivement, ou à peu près, sur les cornes antérieures et, en conséquence, tandis que la tra
portante. Ainsi, nous avions constaté l'exis-tence d'une atrophie des cornes antérieures de la substance grise et des cordons
logie par M. Prévost, la plupart des cellules avaient disparu dans la corne antérieure du segment de la moelle correspondant
cas encore, l'examen microscopique a fait reconnaître l'atrophie des cornes antérieures, la disparition ou l'atrophie granule
aralysie générale à l'âge de cinquante ans. — Atrophie fibroïde de la corne antérieure du côté droit, émaciation consé-cutive
nt, partout principalement, et sur certains points exclusivement, les cornes antérieures de la substance grise (Fig. 8). Dans
87i.) Fig. 9. — Coupe de la moelle faite à la région lombaire. — A, corne anté-rieure gauche, saine. — a, noyau ganglionnai
corne anté-rieure gauche, saine. — a, noyau ganglionnaire sain. — B, corne antérieure droite — b, noyau ganglionnaire médian
s moins vrai que, sur d'autres, elles restent exactement limitées aux cornes antérieures, qu'elles n'occupent même pas toujour
la névroglie et s'étend de proche en proche aux diverses régions des cornes antérieures, mais cela n'est nullement nécessaire
pas, comme dans la paralysie infantile, systématiquement limitées aux cornes antérieures de la substance grise. — Myélite aigu
mptoma-tique reconnaît chez l'adulte la localisation étroite dans les cornes antérieures et tous les autres caractères qui dis
uscles frappés d'atrophie ; mais on ne rencontre nulle part, dans les cornes antérieures, les foyers limités ayant fait dispar
c'est la localisation étroite, systématique, des altérations dans les cornes antérieures de la substance grise et, plus précis
res de la substance grise et, plus précisément, dans la région de ces cornes qu'occupent les grandes cellules ganglionnaires,
ré de l'altération et seulement çà et là, sur quelques points, que la corne grise est envahie dans toute son étendue transver
es vues, relatives au rôle de l'altération des cellules nerveuses des cornes antérieures dans la pathogénie de la paralysie in
harcot a faite a la Salpêtrière, en juin 1868. dans la région où la corne grise est aussi profondément at-teinte, une sorte
ieux ait été, jusqu'ici, opposé à cette hypothèse. 2° La lésion des cornes antérieures, dans les cas de date ancienne, tels
lésions localisées, d'ailleurs, comme c'est la règle, dans l'une des cornes grises antérieures, con-sistaient en un ramolliss
ésions trophiques musculaires les Fiq, 10. — Cellules nerveuses des cornes antérieures de la moelle épinière. — A, état norm
ler les principaux modes d'altération dont les cellules nerveuses des cornes grises antérieures de la moelle épinière se mon-t
en passant, l'altération dite vacuolaire des cellules ner-veuses des cornes antérieures. Je l'ai maintes fois rencontrée dans
su coujonctif voisin, sans dépasser toutefois la limite de l'aire des cornes antérieures. Tandis que, sous l'influence de cett
rt avec la localisation étroite de la lé-sion spinale dans l'aire des cornes antérieures de la substance grise. Il se produitl
nière, une expérience délicate et toujours réussie qui montre que les cornes grises antérieures ne sont pas nécessaires à la t
même de la circonscription systématique de l'altération à l'aire des cornes antérieures, ces phénomè-nes, dis-je, devront, au
ans toute leur lon-gueur. Dans la substance grise, elle intéresse les cornes grises antérieures et, par conséquent, les cellul
trices, mais elle ne s'y limite point, et elle attaque aussi bien les cornes grises postérieures et les commissures. Enfin, el
développée. La théorie in-dique qu'ils dépendent de l'altération des cornes grises anté-rieures. Par contre, les symptômes no
is que, dans la substance grise, ce sont les colonnes formées par les cornes antérieures qui sont envahies. Celte extension de
elte extension descendante des lésions spinales transverses, dans les cornes grises antérieures, n'est pas une simple vue de l
s). — Unifor-mité dans ces cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l'a
Anatomie pathologique. — Lésions de la moelle: altération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules nerveuse
, le caractère anatomique fondamental du groupe : c'est la lésion des cornes antérieures de substance grise et plus expli-cite
infantile où les lésions spinales sont systématiquement limitées aux cornes antérieures de substance grise. Un type du même g
enté: Io dans la moelle, par une lésion systé-matiquement limitée aux cornes grises antérieures ; l'alté-ration des grandes ce
ignerai sous le nom de deuléropathiques. Ici, en effet, la lésion des cornes antérieures et des cellules nerveuses est nécessa
ie se composera ici des phéno-mènes liés à l'atrophie consécutive des cornes antérieures, — atrophie lente des muscles, — et d
élite chronique cen-trale. Quoi qu'il en soit, la substance grise des cornes anté-rieures peut, en pareille circonstance, être
gion dorsale. Dans lapins grande partie de son trajet, il occupait la corne grise postérieure du còlè gauche où, pour mieux d
eure du còlè gauche où, pour mieux dire, il s'était substitué à cette corne grise dont les divers éléments avaii nt disparu.
fois les deux faisceaux blancs postérieurs, l'autre en partie dans la corne postérieure droite, en partie dans le faisceau po
lésion de l'axe gris ; mais, très fréquemment, elle retentit sur les cornes anté- 1. Voir entre autres le cas de M. 0. Schu
s 2. cas, l'altération reste systématiquement circonscrite dans les cornes grises antérieures : les faisceaux blancs sont ab
égion cervicale dans un cas d'atrophie musculaire protopathique. — A, Corne antérieure gauche. ('Les cellules nerveuses ont p
ses ont persisté, mais présentent des altérations qualicatives.) — B, Corne antérieure droite. (Atrophie presque complète des
is. Lorsque ces altérations de la névroglie sont très accen-tuées, la corne grise peut offrir une réduction dans tous ses dia
ser, comme dans ce dernier cas, que la limitation des altérations aux cornes antérieures de la substance grise a sa raison dan
s corps granuleux existent en abondance exclusivement dans l'aire des cornes antérieures. Les cellules nerveuses motrices prés
gment. —• Nombreux îlots de désintégration granuleuse dans l'aire des cornes antérieures. — Les faisceaux blancs, et en partic
tout ù la région cervicale, un grand nombre de cellules nerveuses des cornes antérieures ont disparu, à l'exception d'un seul
ne circonscription aussi étroite, occupe dans la moelle, en outre des cornes antérieu-res, soit la substance grise postérieure
, Fig. 12. — Coupe de la moelle d'un embryon humain d'un mois. — a, cornes antérieures. — ù, cornes pos-térieures. — c, cana
a moelle d'un embryon humain d'un mois. — a, cornes antérieures. — ù, cornes pos-térieures. — c, canal central. — r/, racines
oelle. Ainsi se trouvent ébauchés, en premier lieu, les rudiments des cornes antérieures [Fig. 12, a), et des cornes postérieu
emier lieu, les rudiments des cornes antérieures [Fig. 12, a), et des cornes postérieures (Fig. 12, b) de substance grise. A c
d en avant jusqu'au niveau, et même au delà, de l'angle externe de la corne anté-rieure. En arrière, elle confine presque à l
arer qu'elles sont, ici encore, systéma-tiquement localisées dans les cornes antérieures grises. Là, comme dans le premier cas
e que l'altération de la substance grise ne dé-passe point l'aire des cornes antérieures: cette particularité est mise en évid
noyaux de substance grise que l'on considère comme les ana-logues des cornes antérieures de la moelle et, par conséquent, comm
nt normalement une communication entre les faisceaux la-téraux et les cornes antérieures. Le système des faisceaux latéraux
nt-elles pas, à l'instar de la sclérose symétrique primitive, sur les cornes antérieures de manière à entraîner, elles aussi,
outre, sur plusieurs points des ren-flements cervical et lombaire, la corne grise antérieure du même côté offrait les marqu
symétrique latérale de la moelle peut exister sans participation des cornes grises et conséquem-ment sans accompagnement d'at
inale, en tant qu'elle porte sur les trajets radicu-laires et sur les cornes antérieures, et aussi dans leur passage à travers
aux, et, comme dans les cas de sclérose des-cendante consécutive, les cornes grises antérieures restant dans la règle, absolum
ie muscidaire. — A, sclérose de la zone radiculaire postérieure. — C, corne antérieure gauche saine. — D, corne anté-rieure d
one radiculaire postérieure. — C, corne antérieure gauche saine. — D, corne anté-rieure droite atrophiée. des cornes antéri
térieure gauche saine. — D, corne anté-rieure droite atrophiée. des cornes antérieures. L'irritation se propage par la voie
ulte une inflammation qui se propage le long de ces racines jusqu'aux cornes grises antérieures, où les groupes de cellules ne
règle, prédominent sur les faisceaux antéro-latéraux, envahissent les cornes grises et y produisent des altérations profondes.
céder à l'envie de tout expliquer physiologiquement par la lésion des cornes grises spinales antérieures. Cette lésion a son d
ischen Gesellschats. Berlin, 1866. H. 2, p. 191. et la sclérose des cornes antérieures de la substance grise, — auraient pu
de nos in-vestigations, ne présentait aucune trace d'altération. Les cornes antérieures n'étaient ni atrophiées ni déformées.
e cas ne rele-vaient point de l'altération des cellules nerveuses des cornes antérieures ou des racines nerveuses, il importai
soire, pour ainsi dire accidentelle, cell s des régions de la moelle ( cornes grisés antérieures et faisceaux radiculaires anté
cervical, jusqu'à l'extrémité inférieure de la région lombaire. Les cornes antérieures de la substance grise étaient manifes
ux se combine avec l'atrophie pro-gressive des cellules nerveuses des cornes antérieures. Sans doute, les lésions musculaire
de ces cas, la non-existence d'une lésion des cellules nerveuses des cornes antérieures ait jamais été régulièrement établie.
faisceaux de liirck. — B, B, zones radiculaires postérieures. — G, C, cornes postérieures. — D, D, cornes antérieures. — F, zo
zones radiculaires postérieures. — G, C, cornes postérieures. — D, D, cornes antérieures. — F, zone radiculaire antérieure. —
e saine. G, Les méninges à ce niveau sont épaissies et enflammées. La corne antérieure corres-pondante, au contraire, est exe
ffets d'une lésion isolée des commissures, et en ce qui con-cerne les cornes postérieures (Fig. 29, C), on sait seulement que,
onnaissances sont plus avancées relativement au rôle pathologique des cornes grises antérieures. Il est, en effet, bien étab
e amyotrophique, etc.), si elle évolue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices)
où la sclérose latérale symétrique primitive, sans participation des cornes grises antérieures i, a été anatomiquement consta
Medicin"). 1 La sclérose latérale symétrique avec participation des cornes antérieures est le substratum anatomique de l'aff
cas au moins, j'ai observé une tuméfaction de cel-lules nerveuses des cornes antérieures, laquelle, si je ne me trompe, n'a pa
ë, 0033. nombre, dans la substance grise et en particulier dans les cornes postérieures. Dans le voisinage de ces foyers, co
e la septième. Ce foyer occupe la moitié interne et postérieure de la corne antérieure gauche de la sub-stance grise. Il se p
, ce sont les dimen-sions vraiment colossales que présentent, dans la corne antérieure gauche de la substance grise, au voisi
uses multipolaires. Ainsi, tandis que les plus grosses cellules de la corne droite mesurent en moyenne, dans leur plus grand
en moyenne, dans leur plus grand diamètre, 0ram-, 0495, celles de la corne droite peuvent atteindre jusqu'à 0 m?l•, 0825. Le
pratiquée à la région cervicale, on remarque l'aspect gélatineux des cornes antérieures et l'absence complète de toute teinte
— La disseclion de petits fragments de substance, prise au niveau des cornes anté-rieures, permet de constater l'existence d'a
tion des cellules nerveuses. A la région lombaire, la substance des cornes antérieures est relativement saine ; les cellules
s après durcissement dans l'acide chromique. — La substance grise des cornes antérieures est pro-fondément altérée dans les ré
éline qui, à l'état normal traversent dans tous les sens l'aire de la corne an-térieure. Il en résulte que la substance grise
al. Malgré la dispa-rition des éléments nerveux, les dimensions de la corne antérieure n'ont pas notablement diminué, ce qu'o
région cervicale. Cet état des vaisseaux se retrouve de l'étendue des cornes postérieures qui sont plus vascularisées que d'ha
manifestement en rapport avec l'intensité de la lésion qui occupe la corne antérieure, elle augmente, diminue, cesse en même
la partie inférieure du renflement cervical, elle forme autour de la corne antérieure une ceinture presque com-plète qui env
este, que la lésion n'était pas exactement limitée à la substance des cornes antérieures ; elle avait, en passant parles faisc
eux; elle affecte enfin la forme de bandes scléreuses, étendues de la corne an-térieure à la phériphérie de la moelle et rapp
lle prend une extension plus considérable, où elle forme autour de la corne antérieure une zone d'une certaine largeur, sont
culaire par l'intermédiaire des fibres nerveuses qu'elle reçoit de la corne antérieure. Enfin, et cette dernière raison a u
bres inférieurs. — Atrophie ou disparition des cellules nerveuses des cornes anté-rieures aux régions cervicale et dorsale. —
la moelle, les autres sur la substance grise, en particulier sur les cornes antérieures et qui se montrent à peu près les môm
eaux et dans toute l'étendue d'une région qui, en dedans, confine aux cornes postérieures tandis qu'en dehors, elle s'étend pr
artie la plus postérieure de ces cordons, immédiatement en dehors des cornes grises postérieures. Les faisceaux blancs postéri
de la substance grise, le haut degré d'atrophie qu'ont subi, dans les cornes antérieures, la plupart des cellules nerveuses, f
ons à l'obligeance de M. Lockhart-Glarke. La gangue conjonctive des cornes antérieures se présentait sous l'aspect d'une mas
les épithéliales. Dans l'épaisseur de la commissure, comme dans les cornes an-térieures, les vaisseaux présentaient des paro
manifestement épaissies, couvertes parfois de nombreux noyaux. — Les cornes postérieures de la substance grise nous ont par
e : comme dans celle-ci, bien qu'à un degré moindre, les cellules des cornes antérieures étaient atrophiées, réduites à un pet
de la moelle ; elle occupe d'ailleurs le même siège. Les cellules des cornes antérieures sont presque en nombre normal ; elles
ppelait exactement celle qui a été signalée à propos des cellules des cornes antérieures de la moelle, aux régions cervicale e
formation réticulée et la partie supérieure des cordons latéraux. Les cornes antérieures qui, à ce niveau, sont re-présentées
t le siège d'altérations fort étendues, qui portent à la fois sur les cornes antérieures de la substance grise et sur les cord
dons latéraux, commençant en avant au niveau de l'angle externe de la corne antérieure, elle suit en dedans et en arrière le
du bulbe, s'éloigne un peu de cette description. Ici, en effet, la corne antérieure est entourée de tous côtés par une sor
largit notablement, tandis que la sclérose abandonne le contour de la corne anté-rieure. A la région lombaire, elle s'est élo
la corne anté-rieure. A la région lombaire, elle s'est éloignée de la corne pos-térieure et forme une sorte d'îlot situé dans
bstance grise. — Nous trouverons ici, exactement limitée à l'aire des cornes delà substance grise et symétriquement disposée d
ement, et comme au hasard, les éléments des différents groupes de ces cornes , elle diminue graduellement d'étendue, à mesure q
née ; la dégénération a respecté, au contraire, tous les éléments des cornes postérieures. La névroglie n'a pas, ici plus qu
Allongés dans le sens vertical, ils oc-cupent symétriquement les deux cornes antérieures, dont ils ne dépassent pas les limite
C'est dans la substance grise et plus spécialement dans l'aire des cornes antérieures que toutes les altérations sont conce
les ganglionnaires est uniformément répan-due sur toute l'étendue des cornes antérieures ; elle ne s'attache pas spécialement
s à divers degrés, sont partout entremêlées. Les petites cellules des cornes posté-rieures n'ont paru présenter aucune trace d
sont altérées au même degré que celles qui composent les groupes des cornes antérieures. 2° Région bulbaire. — a) Coupe fai
moelle épinière, elle est limitée aux grandes cellules nerveu-ses des cornes antérieures, cellules dites motrices ; les cellul
es des cornes antérieures, cellules dites motrices ; les cellules des cornes postérieures ne paraissent pas être affectées. On
ue sont l'atrophie des cellules nerveuses motrices et la sclérose des cornes antérieures de la substance 1 Verhhandlungen de
l de nos investi-gations ne présentait aucune trace d'altération. Les cornes antérieures n'étaient ni atrophiées ni déformées
cervical jusqu'à l'extré-mité inférieure de la région lombaire ; les cornes antérieures de la substance grise étaient manifes
ux se combine avec l'atro-phie progressive des cellules nerveuses des cornes antérieures1 Sans doute, les lésions musculaires
ertrophique ne relèvent pas de l'atro-phie des cellules nerveuses des cornes antérieures, il y a lieu 1 Mantegazza, Gazetta
région cervicale. Les rubans externes, a, a, le cordon médian, b, les cornes postérieures, y compris le point d'émergence des
a, a, Substance blanche du côté gauche, atrophiée et scie-rosée. — b, Corne antérieure gauche singulièrement atrophiée; la co
scie-rosée. — b, Corne antérieure gauche singulièrement atrophiée; la corne pos-térieure n'existe plus. — c, Vestiges delà pa
e de Deiters et cordons latéraux. b, Pyramides antérieures. c, c, Cornes antérieures de substance grise. e, Entre-croise
ieures de substance grise. e, Entre-croisement des pyramides. p, p, Cornes postérieures. Fig. 2.— Coupe transversale de la
rvical. a, a, Cordons latéraux. b, b, Cordons antérieurs. c, c, Cornes antérieures, p, p, Cornes postérieures. Fig. 3.
téraux. b, b, Cordons antérieurs. c, c, Cornes antérieures, p, p, Cornes postérieures. Fig. 3. — Coupe transversale de l
la partie moyenne de la région dorsale, a, a, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p, p, Cornes postérieures. Fig. 2.
gion dorsale, a, a, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p, p, Cornes postérieures. Fig. 2.-— Coupe transversale de l
partie moyenne du renflement lombaire, a, «, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p,p, Cornes postérieures. Charcot,
ment lombaire, a, «, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p,p, Cornes postérieures. Charcot, Syst .nerv., t. II Oeuvr
la région cervicale. — A, Zone radiculaire antérieure sclérosée. — C, Corne antérieure remplie de nombreux vaisseaux, les cel
e. — Les lettres ont la même signification que dans la figure 1. La corne antérieure, C, est parfaitement normale et contie
la région dorsale. — A, Zone radiculaire anté-rieure sclérosée. — C, Corne antérieure beaucoup moins vasculaire qu'à la ré-g
nctifs. Fig 6. — Petit vaisseau pris dtans la substance grise de la corne antérieure. —? a, Cellule tuméfiée. — b, Cellules
de la sclérose.— Faisceaux radiculaires internes.— Envahissement des cornes antérieures de substance grise : amyotrophic cons
laires internes et le groupe des cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrog
nisme de la production de l'arthropathie des ataxiques. — Lésions des cornes antérieures de la substance grise. — Desi-deratum
— Caractères géné-raux. — Localisation des lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise. Paralysie sp
et Johnson, Damaschino tt Roger). — Localisation des lésions dans les cornes antérieures de la substance grise. — Altérations
pas, comme dans la paralysie infantile, systématiquement limitées aux cornes antérieures de la substance grise. — Myélite aigu
s). — Unifor-mité dans ces cas de la lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l'a
natomie pathologique. — Lésions de la moelle : altération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules nerveuse
dans les myélites, 414 ; — 164, 245. (V. Atrophie musculaire, Bulbe, Cornes , Moelle.) Centre génito-spinal, 328. Céphalal
pasmodique, 305. Cordons, latéraux (Développement des), 237, 238. Cornes antérieures de la moelle; rap-ports avec les file
ie pseudo-hypertrophique 484. (V. Ataxie, Atrophie, Bulbe-, Cellules, Cornes , Paralysies glosso-laryngée et infantile, Scl
5 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
bstance grise. B'. Substance gélatineuse de Rolando. C. Col de la corne postérieure. D. Cellules de la colonne de Clark
antérieure. G. Groupe antérieur des cellules ganglionnaires de la corne antérieure. H. Groupe antéro-externe des cellul
ure. H. Groupe antéro-externe des cellules ganglion- naires de la corne antérieure. I. Canal central. J. Racines anté
MOELLE NORMALE. Cellules ganglionnaires de la substance grise de la corne antérieure. Coupe pratiquée dans la région cerv
ceau latéral. J. Faisceau postérieur. Figure 8. MOELLE NORMALE. Corne postérieure. Coupe pratiquée dans la région lom
iquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La corne postérieure est vue au grossissement de l'obj. 2,
térieure est vue au grossissement de l'obj. 2, Vérick. A. Col de la corne . B. Réseau fibrillaire. C. Substance gélatine
colonne de Clarke. E. Entrée directe de fibres nerveuses dans la corne . F. Racine postérieure. G. Coupe transversale
. Commissure antérieure. J. Racine postérieure. Jt. Cellule de la corne antérieure. Figure 10. MOELLE NORMALE. Cellul
érick). En comparant à la figure 2, qui représente les cellules des cornes antérieures de la même moelle, préparées par le
gment droit étant plus petit que le gauche, et la déformation de la corne antérieure droite par rapport il sa symétrique.
ite par rapport il sa symétrique. A. Corne antérieure droite. A'. Corne antérieure gauche. B. Corne postérieure droite.
. A'. Corne antérieure gauche. B. Corne postérieure droite. B'. Corne postérieure gauche. C. Commissure blanche. D.
J. Faisceau latéral. Figure 12. MOELLE D'AMPUTÉ. - CELLULES de la corne antérieure de substance grise atrophiée. Coupe
culaires se voient également, même à ce faible grossissement. =1. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Commissu
. Coupe de vaisseau altéré. L'. Faisceau postérieur sclérosé. CI. Corne postérieure gauche altérée. Figure 16. - MY
de Pall. Les lésions sont presque exclusivement cantonnées dans les cornes antérieures en des zones presque symétriques.
térieures en des zones presque symétriques. A-A. Zones saines des cornes antérieures. B-B. Régions altérées. C. Cavi
ons sont localisées dans la partie centrale de la substance grise des cornes antérieures, et consistent en une inflammation
et formation d'une petite cavité. ri. Région non altérée de la corne antérieure. B. Groupe de cellules ganglion- n
térieure. B. Groupe de cellules ganglion- naires respectées. C. Corne postérieure. D. Racine postérieure. E. Commis
postérieur. J. Racine antérieure. K. Cavité pathologique de la corne antérieure gauche. L. Cavité pathologique de la
que de la corne antérieure gauche. L. Cavité pathologique de la corne antérieure droite. ,Il. Faisceau latéral. Fig
- Région lombaire supérieure. La figure représente une partie de la corne antérieure gauche d'une préparation analogue à
e partie du cordon antéco-laléral gauche. A. Partie indemne de la corne antérieure. B. Corne postérieure altérée. C
tout entière, et deux zones irrégulières dans la moitié gauche. .iL Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine p
J. Plaque sclérosée du faisceau antérieur gauche. K. Partie de la corne gauche en- vahie par la plaque de sclérose. L
ée dans les cordons postérieurs. A. Corne antérieure altérée. A'. Corne antérieure indemne. B. Corne postérieure altéré
icale et colorée par la méthode de Pall. Il s'agit d'une lésion des cornes antérieures combinée à une sclérose des cordons
sclérosée des cordons postérieurs. FIGURE 28. LESION COMBINÉE. Corne antérieure. La figure représente à un plus fort
La figure représente à un plus fort grossissement (obj. 2, Vérick) la corne antérieure d'une préparation analogue à la préc
existe de la sclérose postérieure et des altérations des cellules des cornes anté- rieures. A. Corne antérieure droite moi
mais y est plus limitée. A. Corne antérieure. A'. Cellules de la corne . B. Corne postérieure. C. Racine postérieure.
à peine marquée sur le seul faisceau pyramidal croisé droit. .ri. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine p
-dorsale et colorée par la méthode de Pall. On y voit la lésion des cornes antérieures, et la légère dégénération correspond
gère dégénération correspondante des faisceaux pyramidaux. A-.4'. Cornes antérieures alté- rées et asymétriques. B. Co
co-dorsale. La figure représente l'un des foyers inflammatoires des cornes antérieures de la préparation précédente, color
ervicale et colorée par la méthode de Pall. On voit les lésions des cornes antérieures et la dégénéralion secondaire des fai
pyramidaux. A. Région peu altérée. A'. Région peu altérée de la corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon p
ert. On voit aisément la différence considérable du volume des deux cornes antérieures, la droite est presque double de la
che. On remarque de même l'homogénéité du tissu (cicatriciel) de la corne altérée alors que la symétrique présente son rése
glionnaires normales. Le manteau blanc de la moelle est sain : zut. Corne antérieure saine. A'. Corne antérieure altérée.
au blanc de la moelle est sain : zut. Corne antérieure saine. A'. Corne antérieure altérée. B. Corne postérieure. C.
des deux moitiés tout entières de la moelle, et notamment des deux cornes antérieures, dont la droite est beaucoup plus vol
uche. De plus il existe un contraste frappant entre l'aspect des deux cornes , la gauche étant formée d'un tissu amorphe, cic
es. A. Corne saine. a-a-a. Ses cellules ganglion- naires. A'. Corne altérée. B. Corne postérieure. C. Racine post
Cordon postérieur. FIGURE 48. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE). Corne antérieure. La figure montre à un fort grossiss
La figure montre à un fort grossissement un point de la lésion de la corne antérieure de la préparation précédente. On rec
la présence de deux foyers inflammatoires, l'un plus intense dans la corne antérieure droite, l'autre dans la corne antéri
l'un plus intense dans la corne antérieure droite, l'autre dans la corne antérieure gauche. » A. Partie non altérée de l
utre dans la corne antérieure gauche. » A. Partie non altérée de la corne droite. B. Corne postérieure. C. Foyer myél
totalité des cordons pos- térieurs. - A. Corne antérieure. Il. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur sclérosé. Figure 54. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. - Corne postérieure. La figure représente un point des
rdons posté- rieurs, et ayant envahi les zones de Lissaüer. - A . Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine p
de la figure précédente, pour montrer le détail des lésions. .4. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon p
lésion est strictement cantonnée dans les faisceaux pyramidaux et les cornes anté- rieures. A. Corne antérieure. B. Corn
FIGURE 64. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Corne antérieure. La figure montre un point de la rég
OT). Corne antérieure. La figure montre un point de la région de la corne antérieure colorée au picrocarmin et vue à un g
Vérick). On y distingue les lésions des cellules ganglionnaires des cornes antérieures. A. Tissu fibrillaire. B-B. Cellu
des faisceaux pyramidaux, elle se remarque aussi dans la région des cornes antérieures de la substance grise. A. Corne ant
lorée au carmin. Ici la cavité néoplasique s'est développée dans la corne postérieure droite qu'elle a complètement détru
ostérieur. Il existe de plus une sclérose des cordons de Goll. : 1. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine p
ce grise gauche au niveau de la partie intermédiaire entre les deux cornes . La sclérose des faisceaux pyramidaux est égale
La sclérose des faisceaux pyramidaux est également manifeste. .1. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine p
un aspect cordiforme, gagnant la substance grise centrale. A -.1. Cornes antérieures, celle de droite est déca- pitée pa
e toute la substance grise, dont il ne reste que les extrémités des cornes antérieures et postérieures. A-A. Cornes anté
6 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
aterina, les corpuscules de Nissl des cellules trophomo- trices des cornes antérieures étaient fragmentés en amas irrégulier
ose. Lésions dégénératives intenses des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la moelle, consistant en pigment
palement du faisceau de Burdach, avec pigmentation des cellules des cornes antérieures, corps amyloïdes nombreux, occlusion
yés. La zone des fibres qui borde immédiatement la substance grise, cornes et commissure, a reçu les noms de zone marginal
t confondu. Nous appellerons faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure des faisceaux arrondis, séparés par
dis, séparés par un réticulum de substance grise, qui oc- cupent la corne postérieure dans sa moitié ou ses deux tiers inte
s volumineux et plus serrés que l'on approche du bord interne de la corne , qu'ils semblent parfois presque décapiter. Ils s
es-mêmes plus volumi- neuses. Ce sont les faisceaux verticaux de la corne postérieure de Kôllikei. Enfin la zone d'entrée
esoin d'être définie; dans le renflement lombaire, où la tête de la corne est presque superficielle, cette zone est très co
for- me un long trajet rectiligne dans les régions où la tête de la corne posté- rieure est située dans la profondeur de
ou y rentrent, par toute la moitié antérieure du bord interne de la corne et forment dans toute l'épaisseur des cor- dons
its, mais les zones de Lissauer et le réseau des fibres fines de la corne postérieure sont intactes. Il en sera de même à
dogènes de la zone cornu-commissurale ne s'étendent pas le long des cornes postérieures. ' te Sacrée. L'aspect est semblab
enté de volume ; ce dernier avance maintenant le long du bord de la corne sans atteindre toutefois la sub- stance gélatin
ormer un faisceau dense dans qui sépare la commissure du bord de la corne postérieure ; de là elles envoient vers le trian-
ur tendance à se grouper dans l'angle formé par la commissure et la corne , si bien que la région commissurale moyenne est d
ordon et se perd lorsqu'elle arrive a la hau- teur de la tête de la corne postérieure. 4° Lombaire.- Les coupes de ce seg
ient déjà un certain nombre de fibres fines intactes, le bord de la corne postérieure commence à se regarnir de fibres. I
ctangle dont l'hypothétiuse ex- terne, curviligne, est adossée à la corne sur ses deux tiers postérieurs ; les côtés inte
appuie en avant à la commissure et au tiers antérieur du bord de la corne , et dont la branche transversale effilée touche p
réflexes sont normales ainsi que les gros- ses fibres du réseau des cornes postérieures; les faisceaux radiculaires ver- t
s cornes postérieures; les faisceaux radiculaires ver- ticaux de la corne postérieure reparaissent. Les zones de Lissauer e
ure reparaissent. Les zones de Lissauer et le réticu- lum fin de la corne postérieure ne changent pas d'aspect à ce niveau.
clérosée. En avant les fibres radiculaires recouvrent le bord de la corne an niveau de la colonne de Clarke qui apparaît
éressante : au-dessous de la 3e lombaire, toutes les cellules de la corne antérieure ont subi la réaction à distance, c'est
tement en dehors du triangle sacré médian ; elle s'étend du col de la corne pos- térieure à la périphérie ; elle est un peu
e eu avant de cette bande et qui contourne à distance la tête de la corne postérieure ; cette tache est très mal délimité
e. Ont également disparu les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure. Sont conservés : 1° le triangle sacr
e en bordure, épaisse le long de la commissure et mince le long de la corne postérieure qu'elle accompagne en arrière jusqu
squ'à la pointe; 3° les zones de Lissauer et le réticulum fin de la corne postérieure. Tous ces systèmes de fibres ont la
rme d'un triangle curviligne très mince, qui embrasse à distance la corne postérieure et touche à l'entrée des racines pa
téro-externe. Le grand côté antérieur est maintenu à distance de la corne par une zone margi- 26 NAGEOTTE nale qui n'ex
art de son extrémité postérieure pour se diriger vers la tête de la corne postérieure qu'elle contourne à distance. L'ens
arrière et de dedans en dehors, parallèlement à la direction de la corne postérieure. Son bord interne est rectiligne et l
et pas tout à fait la périphérie en arrière ; elle est séparée de la corne postérieure par une bande saine très mince et d
dehors ses limites sont un peu indécises ; elle est sépa- rée de la corne sur toute son étendue par une zone marginale de f
arrière. Les deux bandelettes s'effacent et s'éloignent beaucoup des cornes postérieures ; elles forment chacune une L bran
1° les fibres endogènes des cordons posté- rieurs ; 2° celles de la corne postérieure, je me servirai pour cela de l'ob-
une dégénérescence des zones de Lissauer et des fibres fines de la corne postérieure ; dans mon observation, au contrair
opinion est fondée précisément sur l'intégrité du réticulum fin de la corne postérieure ; cette intégrité ne se comprendrai
Nissl, ne présentent pas non plus de lésions apprécia- bles dans la corne postérieure. Je crois donc pouvoir admettre : l
rise, ou y rentrent, par la moitié antérieure du bord interne de la corne postérieure. A leur origine ces fasci- cules so
p, zones antérieure et postérieure de la substance spongieuse de la corne postérieure. On remarquera les ponts formés ent
, Lissauer (1) décrivit très minutieusement la structure fine de la corne postérieure et donna de la petite région qui port
ésion du réticulum formé par les fibres fines de la 36 NAGEOTTE . corne postérieure. Les cas de tabes anciens où les zone
ceux où les fibres fines à myéline sont le plus raré- fiées dans la corne postérieure ; dans la moelle D, représentée pi. V
4 de la pl. VII et l'on constate qu'elle est limitée, du côté de la corne antérieure, par une ligne courbe assez nettement
tion II, où les zones de Lissauer sont intactes, le réticulum de la corne postérieure est lui-même tout à fait conservé.
générescence éga- lement tertiaire du réseau des fibres fines de la corne postérieure. 2° Fibres ENDOGÈNES GROSSES. Ces f
e chaque côté dans l'angle formé par la commissure et le bord de la corne postérieure, en découvrant la partie médiane de
cantonnées à la moitié ou au tiers antérieur du bord interne de la corne . Elles sont infiniment moins nombreuses que dan
n il y a toute une zone conservée entre la bandelette externe et la corne ; cette zone, zone radicu- laire antérieure de
nerveux (1). « Nous avons déjà dit, en traitant des cellules de la corne postérieure, que quelques cylindraxes de ce ter
CORNE POSTÉRIEURE Le réseau myélinique de la substance grise de la corne postérieure a été décrit avec beaucoup de soin
nce gélatineuse ou qui abor- dent obliquement le bord interne de la corne pour pénétrer dans la subs- tance grise et se d
corne pour pénétrer dans la subs- tance grise et se diriger vers la corne antérieure; d'autres fascicules, traversent dir
més de fibres grosses, qui semblent à certains niveaux décapiter la corne à moitié ou aux deux tiers, de dedans en dehors.
rieure et la substance spongieuse antérieure. Du bord interne de la corne s'échappent vers la substance blanche les fibre
s collatérales réflexes, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure et le réticulum de la colonne de Cl
triangle médian sacré, zone marginale de Westphal, réseau fin de la corne postérieure). Un simple coup d'oeil jeté sur la
stématisation du tabes. En aucun point la bandelette ne touche à la corne postérieure, elle envoie seulement un petit pro
légère modification » à sa délimitation, pour la pousser contre la corne postérieure, comme le proposait Pierre Marie dans
n bout l'autre de la moelle ; elle ne se rapproche nulle part de la corne postérieure, comme le vou- drait PierreMarie ;
- reuse très localisée affecter un trajet radiculaire, toucher à la corne posté- rieure par son extrémité inférieure, s'e
s courtes en avant. A mesure que la racine monte et s'éloigne de la corne , cette disposition se modifie par le départ progr
lechsig (fibres radiculaires). A droite sont re- présentés, dans la corne postérieure, les faisceaux radiculaires verticaux
dans la corne postérieure, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure. 50 NAGEOTTE Conclusions. A.
nt tardivement dans le tabes. F. Le réseau des fibres fines de la corne postérieure est de nature endogène. G. Les co
a 3° lombaire. H. La bandelette externe ne touche en aucun point la corne posté- rieure ; elle prend à la région dorsale
Ie sacrée (jeune fille de 18 ans). Méthode de Weigert Pal modifiée. Corne postérieure droite. Zone de Lissauer. Grossisseme
la zone de Lissauer et du réseau des fibres à myéline fines dans la corne postérieure. Dans le cordon postérieur les dé-
u bleu de Hochst et à l'éosine.. , '. 58 CROUZON Les cellules des cornes antérieures et des cornes postérieures sont norma
sine.. , '. 58 CROUZON Les cellules des cornes antérieures et des cornes postérieures sont norma- les. La méthode de Mar
ans ce cas, la portion du cordon latéral qui confine à l'apex de la corne postérieure peut présenter aussi des corps granul
tuée dans la partie qui avoisine la commis- sure postérieure et les cornes postérieures. Dans les cordons latéraux, elle o
rdons posté- rieurs : elle envahit davantage les zones voisines des cornes postérieures et se prolonge en avant jusqu'à a
ande ressemblance entre l'aspect des den- drites des cellules de la corne antérieure de la moelle épinière et les den- dr
urs d'un côté ; et entre les dendrites des cellules nerveuses de la corne postérieure de la moelle épinière et les dendrite
ubercules quadrijumeaux anté- rieurs d'un autre côté. Comme dans la corne antérieure de la moelle épi- nière, dans la par
t, peut-on dire, presque privées d'appendices collatéraux ; dans la corne postérieure de la moelle épinière et dans la pa
7). Moelle. - Semble avoir souffert dans tous ses éléments, mais la corne an- xvu 8 Fig. 7. - Coupe du bulbe au niveau
x pyramidaux croisés, et du faisceau cérébelleux latéral. Enfin les cornes postérieures sont nette ment altérées, elles so
ntégrité absolue des cordons antérieurs, du faisceau de Gowers, des cornes antérieures ainsi que des racines antérieures.
- ral a disparu. Mais on retrouve encore nettement l'atrophie de la corne posté- rieure et la sclérose de zones de Lissau
altérés. Enfin, sur toute la hauteur de la moelle, les cellules des cornes postérieures 132 PIC ET BONNAMOUR sont nettem
et la partie supérieure de la moelle dorsale ; enfin atro- phie des cornes postérieures, sclérose de la zone de Lissauer et
au pyramidal croisé et du faisceau cérébelleux direct, atrophie des cornes postérieures. Nous avons constaté, en outre, un
quer l'intégrité absolue des cordons antérieurs, des racines et des cornes antérieures, de même que du faisceau de Gowers,
s, une coloration aussi tranchées que dans les grandes cellules des cornes antérieures de la moelle par exemple ; et d'une
re, les cellules névrogliques sont très nombreuses; enlin, dans les cornes antérieures, les rares cellules nerveuses qui sub
posté- rieure, les deux autres à direction sagittale dans les deux cornes postérieures. Dans la substance blanche n'exist
L'hémorrhagie, en multiples foyers, a presque complètement détruit la corne posté- rieure gauche, et la colonne de Clarke,
té- rieure gauche, et la colonne de Clarke, profondément atteint la corne et la commis- sure antérieures, à peine touché
atteint la corne et la commis- sure antérieures, à peine touché la corne postérieure droite et respecté relativement le
s les transitions de l'une à l'autre de ces lésions. Ainsi, dans la corne antérieure droite sans hémorrhagie du IVe segme
avec début, dans quelques-unes, de déformation globuleuse; dans la corne gauche du même segment atteinte par l'hémorrhagie
s lésions de chromatolyse très accentuée des cellules nerveuses des cornes antérieures de la région trau- (1) V. la remarq
du Nucl. XII. Une diminution énorme des cellules nerveuses dans les cornes anté- rieures ; celles qui restent indemnes son
ment. - '. Diminution.du nombre des cellules et des fibres dans les cornes antérieures, atropine des cellules persistante.
nt seulement légè- rement marquées. Les cellules dans la base des cornes antérieures ne présentent pas de lésions.* Les
es cornes antérieures ne présentent pas de lésions.* Les fibres des cornes postérieures apparaissent raréfiées, de même que
ures apparaissent raréfiées, de même que les fibres longeantes, les cornes postérieures du côté du cordon de Burdach. Le c
, tandis que l'autre moitié de ce fais- ceau, celle qui avoisine la corne postérieure, de même que la zone commissu- rale
e. Cette raréfac- tion s'élargit vis-à-vis de l'angle formé par les cornes antérieures et postérieures et prend ici la for
DO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 297 respecté entre le sillon antérieur et la corne antérieure : ici cette dégénération s'approche
cette dégénération s'approche immédiatement de l'angle médian de la corne antérieure et paraît sortir de cet angle. L'éla
ons précédentes, de sorte que son sommet vise l'angle latéral de la corne antérieure. La partie postérieure de la dégénérat
d au faisceau cérébelleux direct, longe de sa partie postérieure la corne postérieure jusqu'à la substance géla- tineuse.
. - Coupes de la moelle de Luis Hand. 298 RYDEL tie moyenne de la corne antérieure ; une zone de fibres intactes sépare c
commissure antérieure de l'autre côté de la moitié antérieure de la corne . La partie postérieure du faisceau de Gowers, l
st devenue plus intense ; elle occupe toute la zone avoisinante des cornes antérieures et gagne par un trajet oblique de d
ne mince bande de fibres saines. Vis-à-vis de l'angle latéral de la corne antérieure elle augmente rapidement d'intensité
hérie une bande très mince et tout à fait périphérique. Arrivée aux cornes postérieures cette bande se recourbe en dedans de
courbe en dedans de la moelle, et occupe la partie juxtaposée de la corne postérieure. La partie située en avant et en de
cupant plus que la moitié du cordon. Elle touche immédiatement à la corne antérieure, en plus elle atteint la commissure bl
e par les fibres pyramidales vers la face interne et antérieure des cornes antérieures. Elle communique avec la dégénération
ire limité par le sillon antérieur, les pyramides et les restes des cornes antérieures, l'espace dans laquelle on est habitu
ont pres- que complètement dépourvues de cellules et de fibres. Les cornes anté- rieures présentent dans les trois cas une
e de Friedreich. - -- Nous pensons aussi que les lésions dans les cornes antérieures plaident plus tôt dans le sens de c
l (3). Nous voudrions enfin attirer l'attention sur les lésions des cornes anté- rieures et par excellence des cellules mo
région dorsale est la plus touchée. Une atrophie des cellu- les des cornes antérieures put aussi être constatée par M. l3urr
plus haut, on est obligé de voir une relation entre les lésions des cornes antérieures et les troubles de la motilité et d
les cellules fussent particulièrement ma- lades. Les cellules des cornes antérieures de la moelle ne présentent pas de lés
e hémorragie assez grosse de l'hémisphère droit t occupant toute la corne occipitale du ventricule latéral et semblant part
le. Cette lésion se limite dans la région lombaire et dorsale, a la corne postérieure du côté gauche qu'elle détruit presqu
rement. A partir de la région cervicale, elle atteint la base de la corne antérieure gauche, puis envahit rapidement le c
r une bandelette de nature conjonctive suivant exactement l'axe de la corne postérieure. Mais bientôt elle apparaît sous fo
férieure (10e dorsale), on la voit oc- cuper à peu près l'axe de la corne postérieure, depuis la pie-mère sur laquelle el
e-mère sur laquelle elle semble s'implanter jusqu ? ) la base de la corne antérieure. Un peu plus haut la lésion, tout en
peu plus haut ap- paraît isolé et comme détaché de la lésion de la corne . Les coupes du 2e seg- ment dorsal montrent la
u 2e seg- ment dorsal montrent la lésion atteignant et pénétrant la corne antérieure , (1) Cette observation clinique a é
ss. : 200 D). Coloration au picro-carmin. Cette coupe représente la corne antérieure droite envahie par la lésion. Les fe
culaires circonscrivent une cavité, libre en avant. A la base de la corne , remarquer les faisceaux de tissu conjonctif qu
ent déformée et bouleversée dans sa topographie, ce qui reste de la corne postérieure droite ayant pris une direction presq
e prolongement de celle du côté gauche et ne tarde pas à envahir la corne postérieure d'avant en arrière et jusqu'à son ext
celle d'une fente transversale et symétrique détrui- sant les deux cornes postérieures, les cordons latéraux et la base des
ant les deux cornes postérieures, les cordons latéraux et la base des cornes antérieures et traversant la partie médiane der
yramidaux croisés sont dé- générés ; quant à la substance grise des cornes antérieures elle est en grande partie respectée
peu d'atrophie musculaire se justifie par l'intégrité relative des cornes antérieures. Quant aux troubles de la sensibili
la sensibilité ils s'expliquent par les lésions correspondantes des cornes posté- rieures et même des racines postérieures
ines postérieures. A gauche, en effet, outre la destruc- tion de la corne postérieure dans la région cervicale, dorsale et
dans les régions correspondantes aux seg- ments de la moelle où la corne postérieure est lésée. Ce sont les territoires ra
oelle sous-jacents à la lésion, démontre que la destruc- tion de la corne postérieure à un niveau donné n'affecte en rien l
u 106 seg- ment dorsal on voit la bande conjonctive qui parcourt la corne postérieure se continuer à la périphérie de la
aissance à ces prolongements qui pénètrent la moelle en suivant les cornes postérieures et s'y développent ? Nous ne le pe
x branches de l'artère du sillon médian antérieur, se portant vers la corne antérieure semble en un point se continuer dire
x néofurmés sont nombreux. A signaler la présence de cellules de la corne antérieure au voisinage immédiat de la fente. .
GIE PATHOLOGIQUE ET PATHOGÉNIE DE LA SYRINGOMYÉLIE 385 que toute la corne postérieure, une partie de la substance grise ant
ce à ce phénomène encore que des éléments tels que les cellules des cornes antérieures se trouvent déplacés et reportés loin
isseaux. C'est ainsi que sur des coupes de la 2e lombaire l'une des cornes antérieures offre un foyer bémorrhagique sur le
trajet de l'artère centrale ; sur les coupes de la 6e dor- sale la corne postérieure saine est creusée d'une perte de subs
e grise elle affecte le trajet et la direction des artérioles de la corne postérieure et de l'artère centrale ; son point
une bande conjonctive linéaire. (b) Végétations conjonctives de la corne postérieure gauche. Ces tractus onduleux contourn
on remarque un petit vaisseau à paroi hyperplasiée. (c) Base de la corne antérieure droite. Ici, c'est la néoformation vas
u trajet des gros vaisseaux de la moelle et notamment des artères des cornes postérieures ? 2 Il faut bien dire ici que no
occupant presque toute la substance grise se continue au niveau de la corne pos- térieure gauche avec une fente étroite, li
sparu, il subsiste cependant une partie de son prolongement dans la corne postérieure gauche sous forme d'une mince tente à
te cavité occupant la substance grise dont elle détruit la base des cornes postérieures et la majeure partie des cornes an
le détruit la base des cornes postérieures et la majeure partie des cornes antérieures. Cette cavité est arrondie, mais au
res. Cette cavité est arrondie, mais au niveau de la base l'une des cornes postérieures se poursuit par un prolonge- ment
un prolonge- ment allongé et étroit dans toute la longueur de cette corne jusqu'à la péri- phérie (PI. LVI, fig. A). Or
fait défaut, et seule per- siste la fente allongée qui traverse la corne postérieure et s'élargit légèrement en avant où
que l'épanouissement d'une fente primitivement développée dans une corne postérieure. 1 D'autre part, une autre fente de
siège et la direc- tion des fentes (art. du sillon postér. et de la corne postérieure) et la grande cavité centrale sembl
sans réserves à la syringomyélie. Rappelons qu'il existait dans les cornes postérieures des fentes ou des ban- des scléreu
re, il n'en est plus de même partout ailleurs, où les vaisseaux des cornes postérieures semblent commander le.processus. D
tion directe. 'Le début des cavités paraît plutôt se faire dans une corne postérieure et les considérations que nous avons
les se développent surtout dans la substance grise (commissure grise, corne postérieure) et déjà Joffroy et Achard, chercha
our des artérioles qui pénètrent dans la moelle (arté- rioles de la corne postérieure, artérioles qui entourent le canal ce
le canal central, artère du sillon antérieur qui se ramifie dans la corne antérieure, artère du sillon médian postérieur,
t que l'épanouissement et la continuation directe d'une fente de la corne ou du cor- don postérieur ; fentes et cavités s
segment dorsal il exis- tait en outre le long du bord interne de la corne postérieure une petite cavité entou- rée d'un t
scopique on voit dès le premier abord une atrophie considérable des cornes antérieures, surtout dans la région cervicale, un
ombaires, tranchant par une teinte jaune plus claire que le reste des cornes , les foyers de dégénérescence que nous a révélé
frappe surtout, c'est que toute la partie antéro-externe de chaque corne antérieure est remplacée par un tissu ne prenan
de presque tous ces foyers, on voit encore un petit vaisseau. Les cornes antérieures dans leur ensemble sont extrêmement a
unies encore d'un ou deux prolongements. Grosse vascularisation des cornes postérieures. Le canal épendymaire n'est représ
, mais moins étendue, limitée à la partie tout à fait externe de la corne antérieure. A gauche la lésion de la partie ant
ne antérieure. A gauche la lésion de la partie antéro-externe de la corne antérieure est aussi moins étendue, mais on con
oyaux épars, il y a un vrai trou traversé par des trabécules. Les cornes antérieures se terminent moins en pointe en dehor
sont moins longues transversalement ; d'ailleurs à l'état normal la corne de CI est moins large que celle-ci de C0. NOU
lissement presque symétrique dans la partie antéro-externe des deux cornes antérieures ; à gauche un gros vaisseau au centre
yers. A gauche du foyer qui occupait la partie antéro-externe de la corne antérieure s'est surajouté un gros foyer antéro-i
surajouté un gros foyer antéro-interne ; les deux foyers de la même corne sont complètement séparés. Masson et Ci, Editcu
Léri et S. A. K. 11,71lsoii.) C. 6-7 cervicale. Foyer dans les deux cornes annrieuies. Aplatissement de la partie antérieu
u de la zone radi- culaire antérieure. On ne trouve plus dans les cornes antérieures de foyers semblables à ceux des cou
eures de foyers semblables à ceux des coupes sus-jacentes, mais ces cornes sont très aplaties d'avant en arrière, la corne
jacentes, mais ces cornes sont très aplaties d'avant en arrière, la corne droite est réduite à une mince languette transver
mètres, presque complètement privée de fibres. Il n'y a plus dans la corne droite qu'une ou deux cellules à la partie post
ions paraissent rejetées en cou- ronne.à leur pourtour. - Dans la corne gauche un groupe externe de 5 ou 6 cellules subsi
La substance grise a une forme plus proche de la normale, mais les cornes antérieures sont très diminuées de volume. A dr
nte aux zones radiculaires .intérieures. 440 LÉRI ET IvILSOtY Les cornes antérieures, qui sont normalement beaucoup plus m
ulaire antérieure, plus de sclérose périphérique. Le volume de la corne antérieure gauche est normal, la corne droite est
ériphérique. Le volume de la corne antérieure gauche est normal, la corne droite est un peu plus petite. Mêmes remarque
i- que légère au niveau de la zone radiculaire antérieure gauche. Cornes antérieures sensiblement plus petites que normale
gauche. 4e-5e dorsale. Mêmes remarques ; aplatissement latéral des cornes anté- rieures, surtout de la droite ; mêmes cel
e dépression sur le pourtour de la zone radiculaire antérieure. Les cornes antérieures sont aplaties d'avant en arrière et i
on du rebord, surtout il droite. Grosse diminution transversale des cornes anté- rieures, surtout de la droite. Belles cel
volumineu- ses, à gauche. A droite presque pas de cellules dans la corne antérieure. Les cellules de Clarke sont très be
la moelle avec dépression antérieure, aplatissement transversal des cornes . Même distribution des cellules que sur la coup
ons semblent un peu moindres. Quel- ques cellules déformées dans la corne antérieure gauche, pour ainsi dire pas de cellu
x conservées. Pourtant légère diminution de volume de la moelle des cornes antérieures, légère dépression de la zone d'entré
ns, à l'oeil nu, sont encore bien moins accusées ; la moelle et ses cornes ont presque leur volume et leur forme habi- tue
s il n'y a qu'une ou deux cellules petites et arrondies dans chaque corne antérieure. Seuls les groupes intermédio-latéraux
stes et il semble y avoir au ni- veau de la partie antérieure de la corne antérieure droite un très petit foyer semblable
ceux, beaucoup plus vastes, des portions cervicale et lombaire. Les cornes antérieures sont encore un peu effilées ; les cel
e encore un très léger aplatissement de la moitié antérieure et des cornes antérieures. Le réseau fibrillaire des cornes a
tié antérieure et des cornes antérieures. Le réseau fibrillaire des cornes antérieures est très peu fourni, surtout à gauche
fourni, surtout à gauche. Il n'y a presque pas de cellules dans les cornes antérieures, sauf quelques-unes très petites, r
e L1X bis, F). Volume normal. Léger aplatisse- ment transversal des cornes antérieures. Cellules très belles dans la corne
ment transversal des cornes antérieures. Cellules très belles dans la corne antérieure droite, très petites, effilées, rata
corne antérieure droite, très petites, effilées, ratatinées dans la corne antérieure gauche. Larges zones claires au pour
n foyers, semblables à celles de la région cervicale, dans les deux cornes antérieures, surtout dans la gauche. Le foyer o
Le foyer occupe toute la partie antéro-externe et moyenne de chaque corne ; à droite on y voit encore d'assez nombreux débr
he est largement vacuolaire à son centre. A cause de ces foyers les cornes antérieures sont fortement aplaties transversal
ors. 5° lombaire (flanche LIX bis, II). - Mêmes grosses lésions des cornes antérieures, surtout à gauche. Moelle très peti
carrée au lieu de triangu- laire par aplatissement transversal des cornes antérieures. Légère dégénéres- cence de la zone
nette à presque tous les niveaux. z 3° La diminution de volume des cornes antérieures diminutions considéra- ble à presqu
lésion générale de la moelle, prédominante partout au ni- veau des cornes antérieures, s'affirme nettement au simple vu de'
symétriquement, quoique inégalement, la plus grande partie des deux cornes antérieures, d'une part au niveau du ren- fleme
t pas les seules ; dans toute la hauteur de la moelle en effet, les cornes antérieures étaient atrophiées, leurs cellules
eu éclairci, et cela à peu près proportionnellement à la lésion des cornes antérieures au même niveau. Les zones radiculai
. Les zones radiculaires antérieures étaient amincies ainsi que les cornes et le pourtour de la moelle déprimé à leur niveau
yélite antérieure n'est étroitement systémati- sée aux cellules des cornes antérieures; elle est au contraire pseudo- syst
ite syphilitique à prédominance au niveau de la substance grise des cornes antérieures, mais d'une polio- myélite, peut-êt
de deux mois. Dans la moelle, destruction complète bilatérale deila corne grise antérieure depuis la moelle cervicale sup
, 1891. w» 31 474 RUDLER ET CIiO`iEL I étant masquées par les cornes , par les sinus frontaux et pariétaux... » (1) O
7 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
re grise ; — 0, 0, couches optiques — V, ventricule latéral ; — V, sa corne sphé_ noïdale ; — P, P, capsule interne ou pied d
apsule externe ; — M, M, avant-mur ; — R, troisième ventricule ; — A, corne d'Ammon; — B, centre ovale. saillant dans la di
rieur du lobe occipital. Dans les parties de ce lobe qui entourent la corne postérieure des ventricules latéraux, la substanc
ui le ruban de Vicq d'Azyr. Encore à l'œil nu, la circonvolution delà corne d'Am-mon, celle deTinsula de Reil, se distinguent
es ; — cellules pyramidales. Notions Sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle ép
nue à l'heure qu'il est: je fais allusion aux cellules ner-veuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle ép
0.040 jx à 0.050 p., c'est-à-dire qu'il égale celui des cellules des cornes antérieures de la moelle, Quoi qu'il en soit de
et les cellules géantes — et d'autre part, les cellules motrices des cornes antérieures et ces analogies, déjà pres-senties d
aits permettent de les rapprocher des cellules nerveuses motrices des cornes antérieures de la moelle épinière. Les régions
ipital; Cil, Circonvolution de l'Hippocampe; CA, Circonvolution de la corne d'Ammon ; CC, Circonvolution du corps calleux ; C
le lobulede l'hippocampe, le crochet qui fait partie du système de la corne d'Ammon (C A). Nous aurons assurément dans le c
. Il est, vous ne l'avez pas oublié, des lésions qui se bornent aux cornes antérieures de substance grise (Fig. 7, D, D). Ce
faisceaux de Tiirck : —B, B, zonesradi„ culaircspostéricures ; — G,G, cornes postérieures ; — D,D, cornes antérieures; — F, zo
zonesradi„ culaircspostéricures ; — G,G, cornes postérieures ; — D,D, cornes antérieures; — F, zone radiculaire antérieure; —
ule externe. — G I, capsule interne. — P P, pied du pédoncule. — C A, corne d'Amman. — N I, insula de ReiL — F L, fibres du p
e grise ; — 0, 0, couches optiques ; — V, ventricule latéral; — V, sa corne sphé-noïdale ; — P, P, capsule interne ou pied de
K, capsule externe; —M, M, avant-mur; — R, troisième ventricule;— A, corne d'Ammon. Territoires vasculaires. — I, artère c
nterne. — F, capsule externe. — GG, avant-mur. — HII, insula. — I, I, corne d'Ammon et corne sphénoïdale du ventricule latéra
ule externe. — GG, avant-mur. — HII, insula. — I, I, corne d'Ammon et corne sphénoïdale du ventricule latéral. —ff, foyer hém
la substance blanche du lobe occipital, immédiatement en dehors de la corne postérieure du ventricule latéral. Elles se termi
, capsule interne, région postérieure ou lenticulo-optique. — A, A, cornes d'Ammon, — x, section de la partie postérieure ou
nomolgus. F, Extrémité frontale. — O, extrémité occipitale. — H, la corne d'Ammon. — RR, la substance grise corticale. — S
iculus longifudinalis inferior. — C a, commissure anté-rieure. — inf, corne postérieure des ventricules latéraux. (Meynert
ntriculaires. Vous remarquerez par-ticulièrement l'étage inférieur ou corne postérieure du ven-tricule (f) qui joue ici, dans
psule externe. -G I, capsule interne. — P P, pied du pédoncule. — CA, corne d'Ammon. — N I, insula de Reil. — P L, libres du
strié. — c, voûte à 3 piliers. — d, tubercule^ quadrijumeaux. — f, corne postérieure du ventricule latéral. — g , corne
quadrijumeaux. — f, corne postérieure du ventricule latéral. — g , corne d'Ammon. —h,h, racine antérieure du thalamus. —
'objet particulier de notre étude, ne sont séparés de la cavité de la corne postérieure que par l'épendyme et le tapis (tape-
r. — T, corps calleux. — S, septum. — Ca, commissure antérieure. A, corne d'Ammon. — V, corne antérieure du ventricule laté
x. — S, septum. — Ca, commissure antérieure. A, corne d'Ammon. — V, corne antérieure du ventricule latéral. — Vp, corne pos
A, corne d'Ammon. — V, corne antérieure du ventricule latéral. — Vp, corne postérieure. — Vm, Vm, ventricule moyen. — Cm, co
phie musculaire produite par l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de substance grise. Sclérose descendante conséc
, capsule interne, région postérieure ou lcnticulo-oplique. — A, A, cornes d'Ammon. — x, section de la partie postérieure ou
de co-loration grise, situé immédiatement en dehors et en avant de la corne grise postérieure correspondante et dont l'étendu
à l'aire des fais-ceaux latéraux. Les autres faisceaux blancs, et les cornes grises, restent parfaitement indemnes. On constat
u-delà de ses limites habi-tuelles, l'envahissement, par exemple, des cornes grises antérieures dont il sera question plus loi
égions spinales voisines, soit les faisceaux blancs, soit surtout les cornes antérieures de substance grise, ce que ne fait pa
tés, dont le sommet est di-rigé en dedans vers l'angle qui sépare les cornes grises antérieures des pos-térieures et dont la b
e et, de plus, n intéresse pas davantage le bord antéro-externe de la corne postérieure. (Fig. 39.) Dans la région dorsale, l
ux latéraiix et envahisse dans la moelle des territoires voisins, les cornes de substance grise, par exemple : on comprend qu'
et moi, en outre de la sclérose latérale classique, une lésion de la corne grise antérieure du même côté, ayant amené la des
ion des grandes cellules nerveuses de la région. L'en-vahissement des cornes grises postérieures pourrait expliquer de la même
anteau médullaire. Dans la subs-tance grise, vous distinguez : 1° les cornes antérieures avec les cellules dites motrices et l
lules dites motrices et l'origine des racines antérieures; — puis les cornes postérieures où se rendent les racines pos-térieu
res où se rendent les racines pos-térieures. Vous voyez enfin que les cornes sont rattachées l'une à l'autre par une commissur
ieur ; 2° les faisceaux postérieurs, limités par la commissure et les cornes postérieu-res. A peine prend-on en considération
ons intéressent la région des cordons postérieurs la plus voisine des cornes postérieures, c'est-à-dire les faisceaux radicula
A, faisceaux de Tûrck. —B, C, zones ra culaires postérieures. —G, C, cornes postérieures. —D, D, cornes anté-rieures. — P, zo
C, zones ra culaires postérieures. —G, C, cornes postérieures. —D, D, cornes anté-rieures. — P, zone radiculaire antérieure. —
usqu'ici, d'exemples de lésions portant sur la région qui entoure les cornes antérieures et qui seule Fie/. 47. (D'après Fle
nes qui ont pour caractère de se localiser systématique ment dans les cornes antérieures de substance grise, où elles intéress
non plus, d'atteindre isolément, dans la profondeur de la moelle, les cornes antérieures pour y dé-truire les amas de cellules
ur les faisceaux pyramidaux, sur les faisceaux cunéiformes, sur les cornes antérieures de substance grise, et aussi suivant
nerveuses qui les composent s'arrêtent successivement en chemin. Les cornes antérieures de subs-tance grise paraissent nature
spondant au faisceau cérébelleux. — D, région intermé-diaire entre la corne postérieure et le faisceau pyramidal ; cette régi
le diamètre des grandes cellules ganglionnaires dites motri-ces, des cornes grises antérieures de la moelle épinière (1), M
ions qu'il y a lieu d'établir un rapprochement entre les cellules des cornes antérieures de la moelle et les grosses cellules
ales de l'écorce cérébrale et d'autre part les cellules mo-trices des cornes antérieures, Ces analogies avaient d'ailleurs été
es trophiques qui sont la conséquence de la dégénération propagée aux cornes antérieures. Il existe donc autre chose que des
semblent établir une connexion entre les fais-ceaux pyramidaux et les cornes antérieures de substance grise. Relativement au
cte-ment dans les racines antérieures ; ou elles se terminent dans la corne grise sans aller au-delà; enfin, il est possible
ux pyramidaux est encore à peine esquissé, celui des cel- lules des cornes antérieures et des racines antérieures est Fig,
dans le cordon latéral de la moelle épinière. — D, D, D, Cellules des cornes antérieures de la moelle.— E, E, F, Kéticulum de
prononcées, il est de règle que les racines antérieures émanant de la corne grise du côté correspondant neprésentent aucune m
, aucune diminution de volume appréciable. La substance grise de la corne antérieure elle-même, au voisinage du faisceau py
aussi les grandes cellules nerveuses sont parfaitement intactes et la corne elle-même n'offre aucune di-minution dans son vol
e épinière qu'en outre de la sclérose fasciculée, il existait dans la corne antérieure du côté correspondant une altération d
e e'pinière entre la septième et la neuvième paires rachidiennes.— A, corne antérieure du côté droit contenant dos cellules m
t dos cellules mo-trices parfaitement saines et en nombre normal.— B, corne antérieure gauche ? les cellules motrices ont dis
it son explication dans une destruction partielle des cel-lules de la corne antérieure gauche, au niveau de la région cervieo
iennes, dans une hauteur de 2 à 3 centi-mètres, on constatait dans la corne de la région antérieure une disparition complète
st en relation d'une façon quelconque avec les cellules nerveuses des cornes antérieures. Dans la règle, lorsqu'il existe une
ne présentait au-cune anomalie dans sa disposition au voisinage de la corne altérée. L'îlot de dégénération était, comme touj
nulle part d'extension directe de la lésion du faisceau latéral à la corne antérieure correspon-dante. Cette observation v
des fibres nerveu-ses qui, partant du faisceau pyramidal, gagnent les cornes antérieures de substance grise. L'anatomie indiqu
elette mince qui commence au niveau de l'extrémité pos-térieure de la corne grise postérieure correspondante, et s'é-tend en
e d'une ligne transverse qui passerait par l'extrémité antérieure des cornes antérieures et quelquefois même au-delà, C'est
nce grise. Je disais que la plupart de ces fibres s'arrêtent dans les cornes antérieures où elles se mettent en rapport avec l
présentés que par deux bande-lettes qui coiffent en quelque sorte les cornes postérieures (1). (1) Nous reproduisons ici, pa
moelle d'un embryon humain d'un mois. — a, Cor-nes antérieures. — 6, Cornes postérieures. — c, Canal central. — d, Raci-• nos
abordent la moelle, plongent directement dans la substance grise des cornes postérieures ; les autres n'atteignent la substan
artie suivant les tractus conjonctifs, et gagne ainsi, d'un côté, les cornes postérieures, de l'autre, les faisceaux de Goll.
ue, on peut dire, avec beaucoup plus de précision, qu'il est dans les cornes anté-rieures, et plus précisément encore, dans le
cines antérieures qui sont en connexion directe avec les cellules des cornes antérieures, par l'intermédiaire du prolongement
porte ici de beaucoup sur l'excitation artificielle. Les cellules des cornes antérieures sont sans doute un obstacle qui entra
-la suppression de l'influence modératrice cérébrale. La lésion des cornes antérieures dans l'hémiplégie permanente est une
fibres nerveuses du faisceau pyramidal et les cellules motrices de la corne correspondante. Ces connexions sont telles que, d
extrémités périphériques du faisceau pyramidal avec les cellules des cornes antérieures. -- Lésions de ces cellules. — Elles
fibres nerveuses du faisceau pyra-midal et les cellules motrices des cornes antérieures, dans toute la hauteur de la moelle é
voie des commissures, Pirrita-tion ganglionnaire s'est répandue d'une corne grise à l'autre, on comprendra comment les mouvem
Berlin, klin. Woûhenseh., 1875. ébranlent la substance grise de la corne gauche, par exemple, retentissent sur la corne dr
substance grise de la corne gauche, par exemple, retentissent sur la corne droite, et déterminent là soit un mou-vement homo
de bas en haut (1). L'altération retentit sur la substance grise des cornes antérieures de la moelle et sur les parties grise
Mais tous s'accordent à reconnaître que ces fibres, venues d'une des cornes de la substance grise, franchissent la ligne médi
toutes les observations de sclérose symétrique sans participation des cornes grises antérieures sont de date ancienne. « Ce so
tiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la région des cornes antérieures. — Elles sont presque toutes de natur
e point de vue, la substance grise centrale doit être distin-guée des cornes ou colonnes de substance grise. La première seule
es cornes ou colonnes de substance grise. La première seule, avec les cornes postérieures pour une certaine part, jouent un rô
rôle dans la transmission des impressions sensitives, tandis que les cornes antérieures paraissent destinées exclu-sivement à
onner dans une région toujours la même, et cette région est celle des cornes anté-rieures. Les affections dont il s'agit ont
verses affections de la moelle épiniôre dans lesquelles la lésion des cornes antérieures n'est que secondaire, accidentelle, e
Cruveilhier, se rat-tachait à une lésion systématique irritative des cornes grises antérieures. La maladie en question a été
n instant di-verses affections spinales dans lesquelles la lésion des cornes antérieures peut exister sans doute, mais ne cons
en dehors de la substance grise, en dehors du moins de la région des cornes antérieures qui ne se trouvent affectées que cons
tion trophique se produit cependant en raison de la participation des cornes antérieures. On voit donc que le symp-tôme est, e
le, aiguë ou chro-nique qui ne puisse, à un moment donné, envahir les cornes antérieures et y déterminer la lésion des élément
-pathologiques : une lé-sion des faisceaux latéraux et une lésion des cornes antérieu-res. Et celle-ci n'est pas accidentelle,
les noyaux d'origine de l'hypoglosse, du facial, qui représentent les cornes antérieures de la moelle allongée,sont souvent le
t il est probable que leur lésion a amené, à la partie antérieure des cornes de substance grise, cette altération légère du co
es ; — cellules pyramidales. Notions sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle ép
phie musculaire produite par l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de substance grise. Sclérose descendante conséc
es trophiques qui sont la conséquence de la dégénération propagée aux cornes antérieures. Il existe donc antre chose que des
es la suppression de l'influence modératrice cérébrale. La lésion des cornes antérieures dans l'hémiplégie permanente est une
extrémités périphériques du faisceau pyramidal avec les cellules des cornes antérieures. — Lésions de ces cellules. — Elles s
tiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la région des cornes antérieures. — Elles sont presque toutes de natur
yramidaux, etc. (V. Faisceaux); — postérieurs (dé-génération), 261. Cornes antérieures (Lésions des), 340 ; — lésion irritat
ire, 327 ; — Théories d'Onimus, 328 ; — Irritation phy-siologique des cornes antérieures 341, 350. Topographie spinale, 177,
8 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
fuges. Leurs aractères communs. Leur trajet. (fascia dentala, corne d'Ammon, subiculum), donne naissance à un groupe
ne courbe autour de l'angle externe du ventricule latéral ou de ses cornes , et présentent un certain nombre de rapports co
(faces externe, interne, orbitaire, extrémité frontale). Grâce à la corne frontale et au faisceau occipito-frontal qui la d
substance grise sous-épendymaire. - tec, lee', taenia tecta. - Vf, corne frontale du ventricule latéral. FIBRES DE PROJE
e T. leur, Fig. 286, p. o48). Alv, alveus. - Aile, avant-mur. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Ce, cap- sule ext
oroïdes du troisième ventricule. - 7'c/Mp/t, plexus choroïdes de la corne sphénoldale. - p1'S, sillon prérolandique supérie
a région occipitale (Fig. 8), il forme un cône creux qui emboîte la corne occipitale et qui n'est séparé de l'épendyme ve
a scissure calcarine, en déprimant fortement la paroi interne de la corne occipitale, pour produire l'ergot de Morand, re
la queue du noyau caudé. - Méthode de Weigert. Alv, alveus. - CA, corne d'lmmon. - Ce, corps calleux. - Cc (Spi), bourrel
orte de gouttière qui entoure le plancher et la paroi externe de la corne sphénoïdale (Vsph) (Fig. 7). Elles font suite aux
tion sagittale et décrivent, autour de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, une courbe à convexité antérieure, s
coupe, t. If", Fig. 292 p. 56'r.) A3[, avant-mur. C, cunéus. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Ce, cap- sule ext
horoïdes du ventricule latéral. - l'leh.sph, plexus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. - ncl, pli cun
s du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire de la corne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymair
de la corne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymaire de la corne occi- pitale. - Sexv, surface extra-ventriculai
lialami. - l', ruban de Vicq d'Alyr. - 17, ventricule latéral. Yoe, corne occipitale. - Zr, zone réticulée ou criiiaeëe.
coupe, t. I ? rig. 298, 1. 57.) Alv, alvéus. AU, avant-mur. C.I, corne d'Ammon. Cg, circonvolution godronn ée TOME 11.
parallèle. - Tap. tapetum. - U, circonvolution du crochet, - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Fic. 12. - L
oupe horizontale oblique pas- sant par l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale et sectionnant le noyau amygdalien
e Sylvius. JJ¡'Qp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - CA, corne d'Ammon. Gue, corps genouillé externe. - Cgi, cor
pilier postérieur du trigone. - U, circonvolution du crochet. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - vt, vélum te
ticulaire. bd, bandelette diagonale de Broca. - C, cuneus. - CA corne d'Ammon. Cge, corps genouillé externe. - Cgi,
T. leur, Fig. 306, p. 59 i). dlu, alveus. - AU, avant-mur. - CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. - Cex, capsule ex
e. - coa, commissure antérieure. - fi, épendyme ventriculaire de la corne frontale. - L,, première circonvolution limbiqu
ue). - U, circonvolution du crochet. - l'l, ventricule latéral. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Il, bandel
térieur. -BrQp, bras du tuber- cule quadrijumeau postérieur. - C"1. corne d'Ammon. Ce('/), genou du corps calleux. Ce, ca
e. - VA, faisceau de Vicq d'.\zyr.- VI, ventricule latéral.- T'sph,, corne sphénoïdale du ventricule latéral.- TI', zone d
ercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Iteil médian. - CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. C,'7, circonvolutio
abenula et le noyau rouge. (Méthode de Weigert.) Alv, alveus.- Crf, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. Cg, circonvolution go
- Ise, tienia semi-circularis. - VI, ventricule latéral. - Vsph, sa corne sphénoïdale. II, bandelette optique. - III, nerf
le sépare de l'épendyme qui tapisse le carrefour et la voûte de la corne sphénoïdale (Vsph). Sur les coupes qui passent pa
ame plus ou moins triangulaire qui concourt à former la voûte de la corne sphénoïdale (Fig. 281, p. 309) : son sommet att
(J'Tth) s'élale sur la voûte et l'ex- trémité antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph). Ses si b res 1 es plus exte
t rétrolenticulaire de la capsule interne le long de la voûte de la corne sphé- noidale et s'irradie dans le pulvinar (Pu
tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Heit médian. - CA, corne d'Ammon. - Ce (g), genou du corps calleux.- Ce,
e. - 1-3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr, - 1'(, corne frontale du ventricule latéral. - T'l, ventricu
ransversale passant en avant des corps genouillés et intéressant la corne d'Ammon, le faisceau externe du pied du pédoncu
alvéus intra-ventriculaire. - Alvx, alvéus extra-ventriculaire de la corne d'Ammon (CA). - Cg, circonvolution godronnée. f
u faisceau longitudinal inférieur le long de la paroi externe de la corne spliénoidale. - F.11, faiscerlU rétroflexe de Mey
amus. lsc, tmnia semi-circularis.- l'Il, voie pédonculaire. z Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr, zone rétic
alvéus intra-ventriculaire. - Ilvx, alvéus extra-ventriculaire de la corne d'Ammon (Cet). - Cg, circonvolution godronnée;
s. - lse, tamia semi-circularis. - l'l', voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Zrp, segment
ire de la capsule interne au niveau de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale et sa continuation avec les couches
nert. - cop, commissure postérieure. - Ep, épendyme de la voûte de la corne sphénoldale. - h'li, faisceau longitudinal post
, pédoncule inféro-interne du thalamus. -Plch, plexus choroïdes de la corne spliénoidalc. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule
couronne rayonnante. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne spénoidale. - Slrz, stratum zonale du pulvinar.
érieur du trigone cérébral. - U, circonvolution du crochet. - VSph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - II, bandelet
ntérieur. - BrQp. bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cal, corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de Broca. Cc(g)
. - Il,, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vf, corne frontale du ventricule latéral. - Vsph, corne sph
de Vicq d'Azyr. - Vf, corne frontale du ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. If, bandelet
acomini. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau pos- térieur. - CA, corne d'Ammon. Cil, carrefour olfactif de Broca. - Crl,
- V3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - II, bandelet
e, T. 1er, Fig. 307, p. 601.) Alv, alvéus. - AU, avant-mur. - CI, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. - Cea;, capsule e
ntérieur. - l3rQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cl, corne d'Ammon. C13, carrefour olfactif de Broca. - Cg
. - 1'3, troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. - Vsph, corne sphénoïdale. - Il, bandelette optique. moitié
ula (Ip). - BrQa, bras du tubercule quadriju- meau antérieur. - C1, corne d'Ammon. Cc, corps calleux. Cc(g), genou du corps
pto-striés, tubercules quadrijumeaux) et la substance grise centrale ( cornes médullaires et noyaux des nerfs crâniens). L'éc
é à Charcot, Localisations ceiebî,ales,p.8.) AU, avant-mur. - CA, corne (d'Am- mon. CC, corps calleux. - CE, capsule
ivaud, p. 151, Pradel, p. 100), soit une diminution de volume de la corne antérieure de la moelle épinière (Fig. 77 et 159)
ris centraux. Il existait en outre dans ce cas une dilatation de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire, et un
dal direct gauche et croisé droit. Di- minution de volume de la corne antérieure droite, atrophie en masse de la mo
. 80) s'étendant en profondeur jusqu'à l'épendyme du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau les couches
la paroi inférieure et la moitié inférieure de la paroi externe de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire (Fig.
uronne rayonnante, le long de la paroi externe et du plancher de la corne sphénoïdale jusqu'au noyau amygdalien (NA) (Fig.
uses qui entourent le plancher, les parois externe et interne de la corne occipitale, forment le tapetum (Tap) et le fais
m se continue surtout à la partie inférieure de la face externe de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire; sur l
eur du forceps du corps calleux occupe toute la paroi interne de la corne occipitale. Dans la région du bourrelet ces fib
rbe. Elle intéresse en outre au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc), la base du lobule fusiforme (Fu
transformée en un tissu scléreux, jaunâtre, mollasse, formant à la corne occipitale une paroi de quelques millimètres se
détruit les trois couches de fibres qui doublent le plancher de la corne occipitale, que l'écorce du fond de la scissure c
égénérées des couches sagittales qui longent la paroi externe de la corne occipitale, il existe un petit nombre de fibres
gère dégénérescence du tapetum qui double la paroi inférieure de la corne occipitale. La dégénérescence si intense du force
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. n9 qui doublent la paroi inférieure de la corne occipitale (Fig. 92) ; les fibres dégénérées se
tout le long de l'angle inféro-externe et de la paroi externe de la corne occipitale à la hauteur de la deuxième circonvolu
de la base du cas Schweigoffer (Fig. 116) passe par la voûte de la corne sphénoïdale et sectionne les quatre segments de l
ant par la partie supérieure de la couche optique et la voûte de la corne sphénoidale, intéressant les quatre segments de l
t la suivre d'arrière en avant jusqu'à l'extrémité antérieure de la corne frontale (Vf), mais on constate, en outre, sur un
dans le lobe tempo- ral, la couche épendymaire du plancher de la corne sphénoïdale (Fig. 127). Cette vaste lésion a en
che et met à nu une petite zone de sclé- rose (FPyc) qui longe la corne postérieure. La substance grise centrale cont
n latéral croisé est simple- ment plus petit que du côté opposé, la corne antérieure elle-même est diminuée de volume; ma
faisceau compact qui se porte en arrière et en dehors, décapite la corne antérieure du même côté (Fig. 151, 156, 162) et s
ral de la moelle du même côté, où il se place en avant du col de la corne postérieure (Fig. lî). FIG. 162. - Cas Rivaud.
e du ventricule latéral jusque dans la substance grise qui borde la corne frontale (Fig. 192 et 193). Le tapetum paraît int
, et à droite, par la partie postérieure du corps strié (NL3) et la corne d'Ammon (C1). Les fibres thalamo-corticales, tr
campe, partie postérieure de la première circonvolution limbique, corne d'Ammon, circonvolution go- dronnée), est par c
ique avec l'espace sous-arachnoidien. - PT, pôle temporal. - Vf, la corne frontale du ventricule latéral. Cas Richard.
re l'angle interne et la face inférieure du ventricule. Lorsque les cornes occipitales s'ouvrent dans la cavité ventricula
la couronne rayon- nante normale qui longent la paroi externe de la corne sphénoïdale avant de se con- tinuer avec les se
in. A l'état normal, les fibres calleuses entourent complètement la corne occipitale d'une couche épaisse, surtout le lon
) et le pro- fond sillon de sa face inférieure. Plus en arrière, la corne d'Ammon (CA), la circon- volution godronnée (Cg
à l'olfaction et à la gustation. Les fibres olfactives venues de la corne d'Ammon et du fascia dentata arrivent par le pili
entata et slrie de Lancisi) et les deux circonvolutions IÚnbiques : corne d'Ammon, circonvolution de l'hippocampe et gyru
; les fibres do pro- jection de la circonvolution godronnée, de la corne d'Ammon et de la circonvolution de l'hippocampe
e la sub- stance grise sous-épendymaire des parties latérales de la corne frontale et correspond assez exactement, dans c
carrefour ventriculaire. A ce niveau et dans toute l'étendue de la corne sphénoïdale, il s'éloigne de la partie recourbé
ssez exac- tement à la ligne d'insertion des plexus choroïdes de la corne sphénoïdale, et il est séparé du noyau caudé pa
fibres par la laque héma- toxylinique. Le long de la voûte de la corne sphénoïdale, le taenia semicircularis se subdiv
aire, le noyau amygdalien. et la substance grise de la pointe de la corne sphénoïdale. Il ne recevrait du noyau caudé et
alamus aucun contingent de fibres et se terminerait au niveau de la corne frontale en abandonnant des fibres soit à la comm
lion et d'association, les fibres commissurales et terminales de la corne d'Ammon, de la circonvolution godronnée et des
x circonvolutions de l'hippocampe et plus particulièrement les deux cornes d'Ammon. Les fibres d' association relienlla co
rement les deux cornes d'Ammon. Les fibres d' association relienlla corne d'Ammon, la circonvolution godronnée, la circon
calotte protubérantielle). Étant donné son long trajet étendu de la corne d'Ammon au tubercule mamillaire, ses connexions
viser le trigone cérébral en quatre parties : la première occupe la corne sphénoïdale, s'étend des digitations de la corn
première occupe la corne sphénoïdale, s'étend des digitations de la corne d'Ammon à l'isthme de l'hippocampe et constitue Y
ps calleux : c'est lepitiel'j1oslél'ieul' proprement FIG. 256. - La corne d'Ammon, la fimbria, l'alveus intraventriculaire
Alv, alveus intraventriculaire. Ilvx, aveus extra ventriculaire. CA, corne d'Ammun. - Cg, circonvolution godronnée. - fCg,
capsule interne et se dédoublent le long de la paroi externe de la corne sphénoïdale en couche sagittale interne (Sgi) ou
halamus. - /se, tænia semi- circularis.- voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. Zr. zone rét
I 7, 256.) Le trigone cérébral prend son origine principale dans la corne d'Ammon et dans la circonvolution godronnée don
campe, limbus coî-iiii Aï ? îî2îojiis) longe le bord interne de la corne d'Ammon (Fig. 256), puis se prolonge sur le bor
-axes des cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon et par les cylindres-axes des cellules po
(Alvx). L'alveus (Alv) revêt toute la face intraventriculaire de la corne d'Am- mon (CA), depuis les digitations (Fig. 11
dres-axes des cellules pyramidales de la région hippocampique de la corne d'Ammon et du subiculum. Parallèles ou plus ou
. 26, p. 39, Fig. I 1, p. 17) qui sectionnent les digilalions de la corne d'Ammon et les revêt d'une mince couche de fibres
ent que sur les coupes qui passent en arrière des digitations de la corne d'Ammon et du voile terminal. La fimbria n'est
la crête épendymaire qui donne insertion aux plexus choroïdes de la corne sphénoïdale (Fig. 26). Elle augmente rapidemenl
l'ancien bord interne) donne inser- tion aux plexus choroïdes de la corne sphénoïdale, tandis que son épais angle inférie
t en dedans de l'isthme de la circonvolution de l'hippocampe, où la corne d'Ammon cesse d'exister, vers les parties latéral
forceps postérieur du corps calleux cl relient entre elles les deux cornes d'Ammon en constituant la commissure des cornes
ntre elles les deux cornes d'Ammon en constituant la commissure des cornes d'Ammon, le fornix transvers us de Forel. Les
du trigone (Fol) qui porte encore le nom de faiseau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. Le faisceau olfactif (F
igone constitue donc un grand faisceau d'as- sociation qui relie la corne d'Ammon, la circonvolution godronnée (y com- pr
le limitée à l'écorce de la circonvolution de l'hippocampe et de la corne d'Ammon sans participation de la masse blanche so
destruction partielle de la couche des cellules pyramidales de la corne d'Ammon et du hile de la circon- volution godro
odronnée qui était remplacé jus- qu'au niveau des digitations de la corne d'Ammon par un tissu lacunaire riche en granu
n du rhinencéphale. La destruction des cellules pyramidales de ia corne u Aininoii CL UU nue ue la circonvolution godronn
pilier postérieur reçoit en effet le faisceau commissural sain de la corne Fisc. 267. - Cas Chab Lésion du pli rétrolimbiq
ution de l'hippocampe. Destruction des cellules pyrami- dales de la corne d'Ammon et du hile de la circonvolution godronnée
il existe une dégé- nérescence : Il des fibres commissurales de la corne d'Ammon (psalterium dorsale), qui passent par l
rieur, du tape- tum, des couches sa- gittales du plancher de la corne sphc- noïdale, du segment sous-lenticulaire d
érieur, du tape- tum,des couches sa- gittales du plancher de Ja corne sphé- noidale du segment sous-lenticulaire de
érieur, du tape- tum,dos couches sa- gittales du plancher de la corne sphé- noidale. du segment sous-lenticulaire d
les parois inférieure et externe du canefour ventriculaire et de la corne sphénoïdale (Fig. 207 et 268). Celles de la cou
CÉRÉBRALE. 293 puis la partie inférieure de la paroi externe de la corne sphénoïdale, et occupent une région d'autant pl
nt une région d'autant plus supérieure et voisine de la voûte de la corne sphénoïdale que l'on considère des coupes verti
Les autres continuent leur trajet sagittal le long de la voûte de la corne sphé- noidale jusqu'à la partie moyenne du noya
es dégénérées. Elles peuvent être suivies : lez dans le tapetum de la corne sphénoïdale jusqu'au niveau des digitations de
petum de la corne sphénoïdale jusqu'au niveau des digitations de la corne d'Ammon; 2° dans l'étage supérieur et la corne
es digitations de la corne d'Ammon; 2° dans l'étage supérieur et la corne frontale du ventricule latéral, le long de la que
ES CENTRES NERVEUX. Les segmonts in- térieur et supérieur de la corne d'Ammon des mammifères ma- crosmatiques. La
erne du lobe temporal, longe les parois externe et inférieure de la corne sphénoïdale et s'irradie dans la circonvolution
mammifères macrosma- tiques le rhinencéphale est très développé; la corne d'Ammon, en particulier, affecte e une disposit
On y distingue un petit sè- ment inférieur ou ventral qui occupe la corne sphénoïdale du ventricule latéral et ne diffère
le du ventricule latéral et ne diffère que par ses dimensions de la corne d'Ammon de l'homme et un segment supc- rieur ou
interne dn ventricule latéral et se soude sur la ligne médiane à la corne d'Ammon du côté opposé. De celte disposition, i
rigone proprement dit par toute l'épaisseur du segment dorsal de la corne d'Ammon. Le trigone comprend donc en réalité ch
segment ven- tral et à la partie inférieure du segment dorsal de la corne d'Ammon. Elle ne recouvre pas le fascia dentata
ersale du psalterium (Pslv, Fig.274) qui relie entre elles les deux cornes d'Ammon. Le faisceau longitudinal passe en avant
indique, la face ventriculaire des segments ventral et dorsal de la corne d'Ammon et forme la paroi interne du ventricule
par toute la longueur antéro-posté- rieure du segment dorsal de la corne d'Ammon. Le feuillet antérieur ou ventral, insi-
thode de Weigert-Pal.) C. calotte pédonculo-protubérantielle. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - CG, commissure de
es fibres am- moniques fournies par r le e segment dorsal de la corne d'Ammon. gnifiant chez l'homme, atteint chez
, feuillet ventral du psalterium (Ganser), de commissure ventrale des cornes d'Ammon (Kôlliker). Le psalterium ventral (Ps
ibres de l'alveus intraventriculaire longent la paroi interne de la corne sphénoïdale, au voisinage du bourrelet du corps c
(paroi interne), soit en longeant le tapetum (paroi externe) de la corne sphénoïdale. Un certain nombre de ces fibres ap
fibres après avoir traversé le psalterium dorsal se rendent dans la corne d'Ammon du côté opposé et représentent de simples
simples fibres com- missurales reliant deux régions symétriques des cornes d'Ammon. D'autres deviennent longitudinales et
équent, par l'intermédiaire du psalterium dorsal et du cingulum, la corne d'Ammon d'un : 'côté au gyrus fornicatus du côté
icatus du côté opposé, et, par l'intermédiaire du fornix longus, la corne d'Ammon d'un côté aux régions antérieures du rhin
onge ensuite la face inférieure du corps calleux qu'il sépare de la corne d'Ammon, puis du psalterium venlral, et se contin
traammoniques, ce qui tient évidemment au petit développement de la corne d'Ammon' Bibliothèque des Internes en Médecin
RÉBRALE. 297 et à l'absence de son segment dorsal. Chez l'homme, la corne d'Ammon envoie toutes ses fibres dans le corps
longus est bordé en une longue étendue par le segment dorsal de la corne d'Ammon, dont ses libres le renforcent. Que par
nt. Que par la pensée, sur la coupe sagittale du lapin on ramène la corne d'Ammon en arrière de façon à placer le psalteriu
Meyer, Edinger). Ces dernières établiraient une connexion entre la corne d'Ammon et le ganglion de l'habenula (fibres cort
en faveur de l'existence des fibres cortico-habenularis reliant la corne d'Ammon à l'habenula par l'intermédiaire du trigo
misphère cérébral, sans lésion concomitante du corps strié et de la corne d'Ammon, alors que le pilier antérieur du trigone
act dans les cas de lésions expérimen- tales ou pathologiques de la corne d'Ammon ou de section de la fimbria qui entraîn
consécutives aux lésions de la circonvolution de l'hippocampe, de la corne d'Ammon, de la circonvolution godronnée et du p
lveus intraventriculaire. - A,11, avant-mur. Arc, faisceau arqué. CA, corne .d'Ammon. Ce, capsule externe. Cex, capsule ext
circonvolution du crochet. - l'oc, -carrefour ventriculaire.- Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 310 ANATOM
nature. Alv, alveus intraventriculaire. .1101, aire olfactive. CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Cg, circonvolutio
u noyau lenticulaire. - Lins, lame mé- dullaire superficielle de la corne d'Ammon. NC, queue du noyau caulé. - Ne, noyau
1-l, carrefour ventriculaire. - tsc, )j' ! na semicircularis. Vsph, corne sphénoïdale. - vt, voile terminale. - Il', zone d
ces cas toute la moitié correspondante du tronc encé- phalique, la corne antérieure croisée de la moelle et l'hémisphère c
mammifères; elle correspond au rhin- encéphale, en particulier à la corne d'Ammon et donne naissance à un groupe de fibres
erne.- coa, commissure antérieure. Ep, épendyme ventriculaire de la corne frontale. L,, pre- mière circonvolution limbiqu
es ou fusi- formes, et ressemblent par leur aspect aux cellules des cornes antérieures de la moelle épinière. Les plus vol
antes du corps calleux. - ft, fibres tangentielles du subiculum de la corne d'Ammon- - f'r sillon olfactif. - la, sillon de
avant-mur. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - CA, corne d'Ammon. Cc(,9), genou du corps calleux. - Ce, ca
lamus. - troisième ventricule. - VA, faisceau de Vicq d'Azyr. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. W, zone de 1
ent triangulaire à base infé- rieure, que Wernicke a comparée à une corne d'abondance (Fig. 313). En haut, il s'effile et
térieur. - BrQp, bras du tubercule quadri- jumeau postérieur. - CA, corne d'Ammon. Ce, bourrelet du corps calleux. - Cg, ci
u pilier postérieur. - Tgp, le pilier postérieur du trigone dans la corne sphénoidale. - tsc. toenia semi-circularis. - 17,
is. - 17, ventricule latéral. - 171>, voie pédonculaire. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - 1 ? zone de
es auteurs admettent avec Ganser que le taenia lhalami reçoit de la corne d'Ammon, par l'intermédiaire du pilier postérieur
ne, pour se rendre dans le taenia thalami, ne proviennent pas de la corne d'Ammon, mais sont simplement accolées au pilie
o-trausversale passant en avant des tubercules mamillaires et de la corne sphénoïdale du ventricule latéral, par le tiers a
enticulaire de la capsule interne et l'extrémité anté- rieure de la corne d'Ammon. La région sous-optique comprend le cor
incerta. alla, alveus intraventriculaire. - t.11, avant-nur. - CA, corne d'Ammon. Ce, cap- sule externe. - Cip, segment
d'Azyr. Vcsl, veine du corps strié. t7, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoldale. - V3, troisième ventricule. - Zi, zo
na incerta. Alv, alveus intraventriculaire. - AJI, avant-mur. - CA, corne d'Ammon. Ce, cap- sule externe. - Cg, circonvol
i. - 1 est, veine du corps strié. - VI, ventricule latéral. - Vsph, corne sphénoïdale. - l'a, troisième ventricule. - U, ci
ctifs secondaires ou corticaux sont repré- sentés (Fig. 327) par la corne d'Ammon (CA), le fascia dentata (Cg), le noyau
ellules pyramidales géantes du hile et de la région godronnée de la corne d'Ammon et les cellules polymorphes de la circonv
es, telles sont les fibres d'association de l'alveus qui relient la corne d'Ammon au subiculum et au reste de la circonvolu
s de la circon- volution godronnée, qui relient cette dernière à la corne d'Ammon, les fibres du stratum lacunosum qui un
ssent les cellules pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon aux cellules du stratum lacunosum et à
ux cellules du stratum lacunosum et à la région hippocampique de la corne d'Ammon. Les centres olfactifs corticaux sont e
Rolando (TR), qui n'est autre que la sub- stance gélatineuse de la corne postérieure, faisant en quelque sorte hernie, e
veloppée, le diverticule présente l'aspect d'un petit cornet, d'une corne d'abondance ou d'une corbeille de fleurs (Bochdal
Fig. 399, FiG. 371. - Décussation des pyramides et décapitation des cornes antérieures. - Coupe transversale passant par l
ch. - CG, cordon de Goll. - Cl, cordon latéral de la moelle. - Coa, corne antérieure. Col, corne latérale. - Cop, corne p
l. - Cl, cordon latéral de la moelle. - Coa, corne antérieure. Col, corne latérale. - Cop, corne postérieure. - FPyc, fai
de la moelle. - Coa, corne antérieure. Col, corne latérale. - Cop, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyramidal croisé. -
lâchement fasciculées de la dense couche de fibres qui recouvre la corne antérieure et qui appartient déjà au cordon ant
se croisant, écartent violemment l'une de l'autre la base des deux cornes antérieures (coupes H,19, H20,Fig.4n9, 150, p.
et en dehors du canal central (coupe H 21, Fig. 371), décapitent la corne antérieure, se placent en avant et en dedans de
apitent la corne antérieure, se placent en avant et en dedans de la corne postérieure et de la sub- stance gélatineuse de
omas), ces fibres se portent en arrière et en dehors, décapitent la corne antérieure homola- térale et descendenl dans la
dans le cordon latéral homolatéral (Fig. 388 et 389) en avant de la corne postérieure. Au niveau du collet du bulbe, elles
olatérales profondes (f l'yli) (Fig. 390 et 3991) qui décapitent la corne antérieure homolatérale et qui sont particulièrem
arrière de l'olive bulbaire (Fig. 383, 384), soit , en avant de la corne postérieure (Fig. 387 à 389). Leur présence au de
aux fibres pyramidales homo- latérales profondes qui décapitent la corne antérieure homolatérale (voy. Fig. 372, p. 5f.1
dent dans la substance grise centrale de la moelle, à la base de la corne postérieure, puis réintègrent le faisceau pyram
prolonge jusque dans la moelle cervicale où il se fusionne avec la corne latérale. La colonne externe occupe toute la haut
rvicale, se continue avec la substance gélatineuse de Rolando de la corne postérieure, et con- tient le noyau de terminai
du bulbe el de la moelle cervicale supérieure, ils constituent les cornes antérieure et latérale de la moelle (coupes H 1
entre- croisement moteur. 568 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU-X. La corne anté- rieure décapitée. la future corne antér
ES CENTRES NERVEU-X. La corne anté- rieure décapitée. la future corne antérieure de la moelle cervicale. Les fibres lon
res non entre-croisées de la formation réticulée blanche longent la corne antérieure et se continuent avec le cordon anté
pect d'un amas allongé, déchiqueté en arrière, connu sous le nom de corne antérieure décapitée (coupes H21, H22, H23, Fig.
, p. 687 à 689). L'entre-croisement pyramidal une fois effectué, la corne antérieure est reliée au reste de la substance gr
de Burdach. CG, cordon de Goll. - Cl, cordon antéro-latéral. - Col, corne latérale ou processus reticulares de [Lenhossek.
Col, corne latérale ou processus reticulares de [Lenhossek. - Cop, corne postérieure. - NI3, noyau du cordon de [Burdach.
CÉPHALE. 509 faisceau pyramidal croisé el porte le nom de troisième corne de Stilling, de corne latérale de Goll, de proc
pyramidal croisé el porte le nom de troisième corne de Stilling, de corne latérale de Goll, de processus reticulares de Len
cordon de Burdach. cn, cordon de Goll. - Cl, cordon latéral. - Coa, corne antérieure. fil', fibres arc[formes interréticu
se de Rolando (coupes H16 à H20, Fig. 370, 400, 401, 403), et de la corne postérieure. Le noyau interne de Burdach diminue
res arciformes interréticulécs (fil'). - Ca. cordon antérieur. Coa, corne antérieure. - noyau du spinal. - XXII, noyau de
ace inter-pédonculaire et change d'aspect ; il revêt la forme d'une corne d'abondance, dont le pavillon coiffe la partie
umeau et qui se fusionne en bas avec la substance gélatineuse de la corne postérieure de la moelle épinière. La coupe H 3
t, nettement circonscrite en dedans, où elle correspond à la future corne antérieure (Coa) de la moelle épinière. Fusionnée
re. Fusionnée en dehors avec le reste de la foimalion réticulée, la corne antérieure est séparée en dedans de l'enlre- cr
La substance gélatineuse de Rolando revêt tous les caractères de la corne postérieure, mais d'une corne très volumineuse re
lando revêt tous les caractères de la corne postérieure, mais d'une corne très volumineuse reliée au reste de la substanc
et fin feutrage de fibres à myéline, la substance spongieuse de la corne postérieure. Les noyaux des cordons postérieurs
dach. - CG, cordon de Goll. - - Ci, cordon latéral du bulbe. - Coa, corne antérieure de la moelle. - fir, libres iWcrréli-
h. CG. cordon de Goll. Cl. cordon antéro-latéral de la moelle. Coo, corne antérieure. Col, corne lalérale. - Col, corne p
Cl. cordon antéro-latéral de la moelle. Coo, corne antérieure. Col, corne lalérale. - Col, corne postérieure. - fil', fib
al de la moelle. Coo, corne antérieure. Col, corne lalérale. - Col, corne postérieure. - fil', fibres inlcrréliculécs du bu
e quel' entre-croisement piniforme, refoulent en dehors la base des cornes antérieures et la mince couche de fibres du cor
orte que la ligne oblique, qui limite sur la coupe H 18 (Fig. 448) la corne anté- rieure (Coa), devient presque parallèle a
bstance grise, sur les noyaux de Goll (NG) et de Burdach (NB) et la corne postérieure (Cop). La partie ansé- rieure perme
postérieure (Cop). La partie ansé- rieure permet de reconnaître la corne antérieure (Coa) encore mal délimitée en dehors
pe H 19 (Fig.449) et une région intermédiaire (SRg), adjacente à la corne postérieure (Cop) et qui présente sur les deux co
précédentes et constitue les ]J/'Ocessus reticulares de Lenhossek, la corne la- térale de Clarke, et se perdra sur les coup
les coupes H19 et H20, elles traversent la partie postérieure de la corne latérale (Col) en avant de la base de la corne
ie postérieure de la corne latérale (Col) en avant de la base de la corne postérieure. Coupe H21,H22,H23 (Fig. 4.'il, i.
moelle, s'effectue par gros fascicules; entre ces fasci- cules, la corne antérieure décapitée se relie sur une étendue plu
452 et 453. La coupe H21 (Fig. 451) montre la décapitation des deux cornes antérieures (Coa) et intéresse les deux faiscea
sceaux pyramidaux croisés (FPyc). A gauche, la déca- pitation de la corne antérieure est complète. A droite, le faisceau py
ore atteint complètement le cordon latéral (Cl) de la moelle, et la corne antérieure est reliée il la corne postérieure par
latéral (Cl) de la moelle, et la corne antérieure est reliée il la corne postérieure par une travée grise plus ou moins
rise plus ou moins déchiquetée, correspondant au bord externe de la corne latérale (Col) de la figure H20 (Fig. 4.0). L
rdach. CG. cordon de Goll. Cl, cordon antéro-latéral du bulbe. Coa, corne antérieure décapitée.- Col, corne latérale. - C
ordon antéro-latéral du bulbe. Coa, corne antérieure décapitée.- Col, corne latérale. - Col, corne postérieure. - FPyc, fai
ulbe. Coa, corne antérieure décapitée.- Col, corne latérale. - Col, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyramidal croire. N
ERVEUX. voit, à droite comme à gauche, des travées grises relier la corne antérieure (Coa) à la partie antérieure de la s
ravées sont plus épaisses à droite qu'à gauche. Sur cette coupe, la corne latérale (processus reticulares) presque dispar
isé (FPyc). Celui-ci occupe une profonde excavation comprise entre la corne postérieure (Cop) et la corne antérieure (Coa),
profonde excavation comprise entre la corne postérieure (Cop) et la corne antérieure (Coa), mais se distingue toujours faci
ique propre à la moelle cer- vicale supérieure ; on y distingue une corne antérieure reliée par une large base à la subst
eure reliée par une large base à la substance grise centrale et une corne postérieure unie cette même sub- stance grise c
ales qui traversent en fascicules onduleux la base d'insertion delà corne antérieure et la partie moyenne du cordon latéral
yramidal croisé les fibres horizontales qui traversent le col et la corne postérieure (Cop), et qui représentent les fibr
don de Burdach. CG, cordon de Goli. Cl, cordon antéro-latéral. Coa, corne antérieure décapitée. Cop, corne postérieure. F
i. Cl, cordon antéro-latéral. Coa, corne antérieure décapitée. Cop, corne postérieure. Fl' ! fc, faisceau pyramidal crois
pyramidal à son entre-croisement. Celui-ci décapite complètement la corne antérieure gauche et présente l'aspect fasciculé
entrale de la coupe H 21 présente, grâce à la décapitation des deux cornes antérieures, un aspect triangulaire, à sommet ant
ransversalement. Les angles latéraux du triangle sont coiffés par les cornes pos- térieures (Cop) auxquelles ils sont reliés
yramidal croisé en occupant le cordon latéral refoule en arrière la corne postérieure et son col. - Les cornes postérieur
n latéral refoule en arrière la corne postérieure et son col. - Les cornes postérieures, qui étaient situées (coupe H 21, Fi
-latéral. CI. racine postérieure de la première paire cervicale. Coa, corne anté- rieure décapitée. COl', corne postérieure
première paire cervicale. Coa, corne anté- rieure décapitée. COl', corne postérieure. - eCoy, col de la corne postérieure.
anté- rieure décapitée. COl', corne postérieure. - eCoy, col de la corne postérieure. Cp, cor- don postérieur. f ? c, fa
écussation pyramidale. 690 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les deux cornes postérieures diminuera; en se portant en dedans,
les deux cornes postérieures diminuera; en se portant en dedans, a corne pos- térieure augmente ainsi d'autant la surfac
9 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
exemple, des névrites périphériques, du diabète, des ma- ladies des cornes ou des racines antérieures et des muscles, toutes
dans toute l'étendue de la moelle, les cordons autéro-tatéraux, les cornes et les racines antérieures sont intacts. (1) V.
er sous forme de groupes de fibres serrées et bien colorées dans la corne postérieure et la région adjacente des cor- don
'avant en arrière et de dedans en dehors, est située assez près de la corne postérieure dont elle reste séparée cependant p
son tiers postérieur. En somme, la zone de sclérose n'atteint ni la corne postérieure ni la péri- phérie de la moelle, sa
e médian sacré, la zone marginale de Wesiplial, le réseau fin de la corne postérieure, toutes régions considérées comme end
port avec les lésions du réticulum formé par les fibres fines de la corne postérieure ; il croit la zone/le Lis- sauer oc
, la substance médullaire a dû être détruite jusqu'aux abords de la corne du ventricule. Dans les limites de la lésion cr
hémisphère, et à son point le plus profond il n'a pas pu toucher la corne du ventricule dont l'ouverture n'aurait pas manqu
Il en est de même du réseau fibrillaire de la substance grise. Les cornes antérieures ne sont pas déformées, et les groupes
évroglique dans les cordons de Goll, diminuant de bas en liant; les cornes antérieures étaient normales, les racines antér
. A l'examen histolo- gmue : atrophie cellulaire partielle dans les cornes antérieures de la moelle, et le noyau de l'hypo
ns postérieurs, raréfaction du réseau de la colonne de Clarke ; les cornes antérieures, presque intactes dans les régions
s cordons latéraux ; diminution des fibres et des cellules dans les cornes antérieures et la colonne de Clarke ; atrophie
raux ; altération de la colonne de Clarke; atrophie des cellules des cornes anté- rieures à divers degrés. Dans les nerfs p
v 20 298 LONG che intacte, légère dégénérescence des cellules des cornes antérieures. Dans les nerfs périphériques : aug
région cervico-dorsale ; altérations d'une partie des cellules des cornes antérieures, sans diminution numérique (surchar
é- générescence des cordons postérieurs ; atrophie des cellules des cornes anté- rieures, des colonnes de Clarke et du noy
noyau de l'hypoglosse ; foyer cicatriciel de poliomyélite dans les cornes antérieures sacrées ; hétérotopie de substance
ion nette; diminution des fibres de la colonne de Clarke ; dans les cornes antérieures, diminution du réseau myélinisé et
des racines antérieures et postérieures; atrophie des cellules des cornes antérieures et des colonnes de Clarke. Dans le bu
érieurs, diminution du réseau de la colonne dé Clarke; cellules des cornes antérieures, les unes normales, les autres pâles,
; diminution des fibres à myéline et des cellules multipolaires des cornes antérieures. Dans les muscles, atrophie simple, p
érieur. Dans l'examen histologique on remarque que chez Brandi, les cornes antérieures de la moelle ne sont pas indemnes c
sions des nerfs périphériques sont primitives ; les altérations des cornes antérieures, quand elles existent, sont atténué
est tassée, son diamètre transversal considérablement augmenté, les cornes antérieure (c.a.) et postérieure (c.p.) gauches
le (11 d.) est fortement comprimée au niveau de S2 (fig. 7et 8), la corne postérieure est considérablement réduite et le co
upes plus supé- rieures (fig. 12), on voit apparaître la tête de la corne postérieure et en par- ticulier la masse volumi
ainsi la partie postérieure de la moelle, la substance grise de la corne antérieure droite, jusque-là intacte, se raréfie,
lobu- leuses, puis disparaissent et bientôt la moitié interne de la corne antérieure' est détruite (fig. 11) ; ces lésion
disparu et où la moelle reconstituée a repris sa forme normale, les cornes antérieures sont presque totalement détruites.
les lésions de, myélomalacie ayant désagrégé la substance grise des cornes antérieures (fig. 13) et même un peu de la corne
bstance grise des cornes antérieures (fig. 13) et même un peu de la corne postérieure gauche. La substance blanche est mo
du 1er segment sacré, elles n'atteignent que la substance grise des cornes antérieures. Elles se localisent plus bas (2e sac
ment de la moelle il la face antérieure de la masse adipeuse. c. a. corne antérieure. c. p. corne postérieure. p. m. pi
ce antérieure de la masse adipeuse. c. a. corne antérieure. c. p. corne postérieure. p. m. pie-mère. t. G, p, triangl
ellules g. forment encore quelques niasses isolées, destruction des cornes antérieures c. a., reconstitution du cordon pos
sont très atrophiées r. a. Fio. 13. - Coupe au niveau de L5. Ces cornes antérieures c. a. sont complètement détruites, le
e-Medin, ou un processus destructeur (syringomyélite), affectant la corne antérieure, ou un processus chroni- que de dégé
spino- musculaires, qui s'étendent des cellules trophomotrices des cornes anté- rieures de la moelle aux muscles du squel
arrêter ; parfois elle commence par les cellules trophomotrices des cornes antérieures, et alors elle amènera une dégénére
entualité, qui a son origine dans les cel- lules trophomotrices des cornes antérieures, est celle qui se réalise régu- liè
d'un seul côté, une certaine faiblesse originelle des cellules des cornes antérieures (abio- trophie), ou des racines ant
out, en considération des rapports qu'il y a entre les cellules des cornes antérieures et les ramifications du sympathique.
î- « mes... Il y avait des taureaux ; je recevais tous les coups de cornes . Je pas- « sais dans la mer polaire, dans les m
ce qu'il nous ra- conte : « Je voyais Mo'orys, le sorcier, avec des cornes . Le mot Mo'orys « était scié : Mo...oo...o...ry
upérieurs, observé une raréfaction et une atrophie des cellules des cornes antérieurs des segments correspondants. Telles
ive, qu'il existe soit une destruction localisée des cellules de la corne antérieure, soit une névrite interstitielle ou
présente la moelle cervicale de trois de nos malades au niveau des cornes antérieures. Il s'agit dans ces trois cas d'une
(6à l'axe gris, et, à son maximum, entraîne la fonte complète de la corne antérieure, la postérieure étant rela- ti vemen
ntivement, une différence nette dans le volume et l'aspect des deux cornes . Dans l'un de nos cas, on pouvait même apercevo
u du maximum de la lésion, il y a, en quelque sorte, ahrasion de la corne antérieure remplacée par une cicatrice de tissu
éphro-maiacie antérieure proprement dite; L'intégrité relativede la corne postérieure ellïnlégl ilé presque absolue des f
artent sont également très épaisses et, dans l'intérieur même de la corne malade, se voient sous forme de petits cylindres
l. Toutes ces lésions sont d'ailleurs bilatérales,mais il y a de la corne ma- lade à la corne saine (ou relativement sain
s sont d'ailleurs bilatérales,mais il y a de la corne ma- lade à la corne saine (ou relativement saine) une différence cons
té de Partériolile. La différence n'est d'ailleurs pas limitée à la corne antérieure, et l'on voit très nettement, même sur
tée à la corne antérieure, et l'on voit très nettement, même sur la corne pos- térieure, les vaisseaux à paroi peu épaiss
dite. Elle porte sur les cellules et sur le tissu de soutien de la corne . Les cellules motrices ont disparu complètement
n un point une minuscule cavité due à ce que l'effon- drement de la corne n'a pas été suivi de l'accolement parfait des bor
e qui cause la diminution de volume de la moelle. L'épaisseur de la corne est en effet remplacée par une ligne de tissu cic
ir même macroscopiquement sur la face antérieure de la moelle. La corne du côté opposé n'est d'ailleurs pas complètement
effet à ce niveau une abrasion complète de la partie interne de la corne avec disparition de lotîtes les cellules du gro
arrivons au troisième élément de la lésion : intégrité relative des cornes postérieures, intégrité presque absolue des cordo
intégrité presque absolue des cordons blancs. Au premier abord, la corne poslérieure paraît saine. A un examen un peu pl
de Rolando fait particulièrement défaut. Le réseau myélinique de la corne postérieure est presque complètement dis- paru.
lement à une sorte de tassement, conséquence de la rétraction de la corne anté- rieure cicatrisée. On peut voir en outre
lésion prédomine au niveau de la 8e cervicale, où l'abrasion de la corne est totale. La moitié inférieure du 7e segment ce
mnes ainsi'que les 2°, 3° et 4° segments dorsaux. Pas de lésion des cornes antérieures dans la partie supérieure de la moell
ontraire de ce qui se passe dans les deux premiers cas, et les deux cornes sont abrasées La 3e cervicale et la 2c dorsale so
1rB dorsale est modérément touchée. En résumé : effondrement de la corne antérieure sur une bailleur de un il deux segme
ur une bailleur de un il deux segments, conservation relative de la corne postérieure. Inté- grité des cordons blancs. Lé
bifurquent ou obliquent à droite ou à gauche pour pénétrer dans la corne antérieure correspondante ; de l'autre par les
réseau anastomotique intrapial. qui fournissent l'irrigation de la corne postérieure et des cordons blancs. Parmi ces br
icte de la lésion est plus apparente que réelle. Du côté malade, la corne postérieure est touchée ; autour de cha- que pe
pénétration des radiculaires antérieures. De même, du côté sain, la corne antérieure n'est pas complètement indemne, elle e
llaire que dépend cette lésion. Pourquoi y a-t-il destruction de la corne antérieure et lésion légère de tout le reste de l
e relative des racines correspondantes. Des lésions cellulaires des cornes prédominant sur le côté atteint. Les altération
hode de Nissl (di- minution de nombre et de volume des cellules des cornes antérieures, \ chromatolyse, hyperpigmentation
ulement ont été cliniquement observés. Le 4e (lésion bilatérale des cornes antérieures) constitue une surprise d'autopsie.
ions occupent constamment la région périépendymaire, en arrière des cornes antérieures qui ont été sectionnées au niveau de
ieurs, dont les plans les plus antérieurs ont été intéressés. Les cornes postérieures ont complètement disparu au niveau d
de Dv les deux SYRINGOMYÈLIE, HYPERPLAS1E DU TISSU CONJONCTIF 367 cornes postérieures sont visibles et elles ne disparaiss
s jusqu'à l'ex- trémité inférieure de la moelle : seule la base des cornes postérieures, ou mieux la partie intermédiaire
base des cornes postérieures, ou mieux la partie intermédiaire aux cornes antérieures et postérieures est détruite par la
cornes antérieures et postérieures est détruite par la lésion. Les cornes latérales sont comprimées et refoulées, ou bien
concavité postérieure et détruisant la région centrale, la base des cornes , les zones adjacentes du faisceau pyramidal et la
la base des cornes, les zones adjacentes du faisceau pyramidal et la corne postérieure. Elle peut atteindre aussi la pie-m
ert son maximum ; latéralement elle s'enfonce profondément dans les cornes postérieures sous forme de fentes, uniques à droi
à peu près transversale et laisse derrière elle les cordons et les cornes postérieures. En DVIll, l'aspect est très parti
iane et transversale avec un cliver- ticule postéro-latéral dans la corne postérieure. En Dx elle reste centrale. Elle de
atéraux ou postéro-latér3ux, qui segmentent la substance grise, les cornes postérieures ou les cordons latéraux ; les uns
er- veux ; cela se voit surtout à la région cervicale au niveau des cornes an- térieures, et encore à un examen minutieux
r profondément de chaque côté, entre la commissure antérieure et la corne antérieure qu'ils décollent. Au niveau de Dvi, la
envoie en arrière et à gauche un diverticule situé en dedans de la corne postérieure, en plein cordon postérieur. A ce div
ais dévient légèrement vers la droite. La même chose a lieu pour la corne antérieure droite qui n'est plus sur le même nive
la corne antérieure droite qui n'est plus sur le même niveau que la corne gauche. Dans le sens descendant les sillons ant
tit de plus en plus visiblement dans le sens antéro-postérieur. Les cornes antérieures s'étendent dans le sens laté- ral ;
ieur. Les cornes antérieures s'étendent dans le sens laté- ral ; la corne droite antérieure et surtout la corne latérale s'
t dans le sens laté- ral ; la corne droite antérieure et surtout la corne latérale s'écartent encore davantage vers la dr
es espaces périvasculaires sont dilatés. Les cellules nerveuses des cornes antérieure et postérieure sont normales, pour la
t cervical, les lésions sont encore plus visibles au microscope. La corne antérieure droite est aplatie, la commissure an
nes antérieures est raréfié. Le nombre des cellules dans toutes les cornes est quelque peu diminué, quelques-unes s'atrophie
il y a augmentation des tissus névrogliques. La substance grise des cornes a une teinte très pâle et le réseau des fibres
altérations de dégénérescence et d'atrophie dans les cellules de la corne antérieure gauche au niveau du 7e et du 8° segmen
diminution du volume de la substance grise, portant à la fois sur les cornes anté- rieure et postérieure, la dépression du b
anté- rieure et postérieure, la dépression du bord antérieur de la corne antérieure du même côté. Fie. 3. Obs. n° I. T
acie unilatérale droite. La lésion est ici maxima. Du côté droit la corne antérieure est complètement disparue et remplacée
isparue et remplacée par une cica- trice linéaire transversale : la corne postérieure est diminuée de volume et comme étr
e par rapport à la normale. Noter le sillon du bord antérieur de la corne antérieure. Fic.. le. - obs. n° 1. Téphromalaci
dant l'hémiatrophie est beaucoup moins marquée L'effondrement de la corne anlérieure droite laisse subsister à sa partie
1 (moitié inférieure). La moelle est presque redevenue normale. La corne du côté droit est cependant plus grêle que cell
tes. Les cellules disséminées sont rejetées à l'angle externe de la corne . FiG. 6. Obs. no I. - Téphromalacie unilatérale
le montre les détails de la lésion, idenliques d'un cas à l'autre. CA corne antérieure, côté sain. CA' corne antérieure, cô
idenliques d'un cas à l'autre. CA corne antérieure, côté sain. CA' corne antérieure, côté malade CP corne postérieure, côt
A corne antérieure, côté sain. CA' corne antérieure, côté malade CP corne postérieure, côté sain. CP' corne postérieure,
corne antérieure, côté malade CP corne postérieure, côté sain. CP' corne postérieure, côté malade. CdA cordon antérieur. C
En outre les vaisseaux ont leur paroi épaissie ; 2° l'absence de la corne antérieure remplacée par une cica- trice presqu
(du côté sain l'on reconnaît aisé- ment les cellules normales de la corne ) ; 3" la corne postérieure du côté' malade est
'on reconnaît aisé- ment les cellules normales de la corne) ; 3" la corne postérieure du côté' malade est étriquée et ne
/2 environ. Histologiquement téphromalacie unilatérale limitée à la corne antérieure droite. La lésion est limitée au 8e
sur le 7e, en bas sur le leur segment dorsal. Au même niveau, la corne postérieure est plus grêle, les vaisseaux moins
té droit, la substance blanche paraît intacte. La destruction de la corne antérieure est complète au niveau de la moitié
avité sans gliome à l'angle interne de la cicatrice rempla- çant la corne abrasée. Destruction du même type au niveau du
un sillon profond. Histologiquement téphomalacie unilatérale de la corne antérieure gauche. La lésion frappe le 8e segme
lle prédomine de beaucoup au niveau du 8e segment. Au même niveau : Corne postérieure plus grêle. Vaisseaux moins abondants
pas de gros si- gnes de la série tabétique.) La destruction de la corne antérieure est totale au niveau du 8e segment,
dessin). Téphromalacie antérieure, avec effondrement complet de la corne antérieure qui est remplacée par une cicatrice li
la corne antérieure qui est remplacée par une cicatrice linéaire. La corne postérieure est étriquée et grêle. Il existe un
le il prédominance droite. Abrasion complète et bilatérale des deux cornes antérieures. Aspect grêle des cornes posté- rie
complète et bilatérale des deux cornes antérieures. Aspect grêle des cornes posté- rieures. Atrophie de la moelle avec apla
es avoisinantes du 7- segment cervical et du 1" segment dorsal. Les cornes postérieures sont grêles et mal vascularisées.
ents colorés au Marchi. 3° Au niveau de la moelle, les cellules des cornes antérieures du segment cervical et un peu du 7e
s des lésions analogues, c'est-à-dire une atrophie des cellules des cornes antérieures. l'atrophie ISOLÉE 1\0l'\ PROGRESSI
t reconnaître comme cause une lésion destructive et localisée de la corne antérieure, véritable téphromalacie limitée à u
yon, 1905. CUARCOT et Pierrei'. Tabes avec amyotrophie. Lésions des cornes antérieures. C. Il . Soc. Biol., 1871. Chréti
Revue de Médecine, 1906, p. 561. LAPIIiSIC, - Sur les lésions des cornes antérieures dans le labes. Archiv sur Psychiatrie
10 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
ies qui le composent : le corps calleux, la voûte à trois piliers, la corne d'Am-mon, l'ergot de Morand, le cuissard de Malac
u de pratiquer les coupes vertico-transversales, on s'aperçoit que la corne occipitale du ventricule latéral n'existe plus; c
e Reil (Sclileife des Allemands). LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. M. Gou
5. LFE. Lame festonnée, 72, 78. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, 82. LML. Lame médullaire externe ou laté
lbus cornu posterions, 155. C. Circonvolution limbique, 157. CAM. Corne d'Ammon, 154, 159. ce. Corps calleux, 152, 157.
e, 151. LFE. Lame festonnée, 140. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold. olh.
rieur. L. Scissure limbique, 141. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold, 144, 14
rieur. L. Scissure limbique, 156. LMÀ. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulairc d'Arnold, 151, 1
nférieur. L. Scissure limbique. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti-culaire d'Arnold, 165.
oyen de la lamina convoluta, 178. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti- culaire d'Arnold, 171,
quadrijumeau postérieur, 197. BSO. Bandelette sous-optique, 201. CAM. Corne d'Ammon, 196. ce. Corps calleux, 198. Cin. Cingul
re du trijumeau et noyau de la branche des-cendante du trijumeau. VF. Corne frontale du ventricule latéral. VS. Corne sphénoï
-cendante du trijumeau. VF. Corne frontale du ventricule latéral. VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral, 195. E. BRIS
ndelette sous-optique, 235. C. Circonvolution limbique, 238. CAM. Corne d'Ammon. ce. Corps calleux, 236. CI. Capsule
a, 255. Lm. Lamina medialis, 251. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti- culaire d'Arnold. Lmd.
5, 245. TRI. Trigone cérébral, 252. TRO. Tractus opticus zonalis. VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral, 252. ZGE. Stra
drijumeau antérieur. BSO. Bandelette sous-optique, 259, 269. CAM. Corne d'Ammon, 257. ce. Corps calleux, 269. CEO. Fa
nouillé externe, 290, 294. RSO. Randelette sous-optique, 50 I. CAM. Corne d'Ammon, 291. CAO.. Faisceau tegmento-thalamiqu
BO. Bandelette optique. RSO. Bandelette sous-optique, 520. CAM. Corne d'Ammon, 507. CAO. Faisceau tegmento-thalamique
couche horizontale de Reil, 516. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. LMl.
C. Circonvolution limbique. CA. Commissure antérieure, 547. CAM. Corne d'Ammon, 528. CAO. Faisceau tegmento-thalamique
C. Circonvolution limbique. CA. Commissure antérieure, 571. CAM. Corne d'Ammon, 556. ce. Corps calleux, 571. CE. Cap
e transverse, pli de passage temporo- pariétal profond (Broca). VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral. ZS. Stratum zo
irconvolution limbique. CA. Commissure antérieure, 450, 455. CAM. Corne d'Ammon, 451. ce. Corps calleux. CE. Capsule
cule mamillaire, 429, 455. TRO. Tractus opticus zonalis, 429. VF. Corne frontale du ventricule latéral. VO. Corne occip
ticus zonalis, 429. VF. Corne frontale du ventricule latéral. VO. Corne occipitale du ventricule latéral. ZGi. Stratum
C. Circonvolution limbique. GA. Commissure antérieure, 439. CAM. Corne d'Ammon, 458. CAO. Faisceau tegmento-thalamique
térieur du thalamus,440. ThI. Racine inférieure du thalamus, 459. VF. Corne frontale du ventricule latéral. E. BRISSAUD _ L
rieure du thalamus, 445. Thl. Racine inférieure du thalamus, 443. VF. Corne frontale du ventricule latéral, 441. E. BRISSAU
ntérieur du thalamus. TRp. Pilier postérieur du trigone, 446. VF. Corne frontale du ventricule latéral, 446. ZS. Stratu
isceau arqué, faisceau longitudinal supérieur, 454. RAM. Rase de la corne d'Ammon, 456. RP. Bras du pulvinar. RQ. Bourr
mmissure antérieure, 452. CAL. Calcar, ergot de Morand, 454. CAM. Corne d'Ammon. CAO. Faisceau tegmento-thalamique, 452
ieur du thalamus, 456. Tt. Circonvolution temporale transverse. VF. Corne frontale du ventricule latéral, 454. VO. Corne oc
porale transverse. VF. Corne frontale du ventricule latéral, 454. VO. Corne occipitale du ventricule latéral, 454. ZS. Stratu
festonnée. LFS. Capsula exlrema. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. LML La
nt externe de la lamina convoluta LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réti- culaire d'Arnold. LST.
Racine inférieure du thalamus, 465. Une. Crochet, uncus, 462. VS. Corne sphénoïdale du ventricule latéral. E. BRISSAUD
Lemniscus. LFS. Capsula extrema. LMA. Lame blanche corlicale de la corne d'Ammon, substance réti- culaire d'Arnold, 464,
LCf. Fibres lenticulo-caudées. LMA. Lame blanche corticale de la corne d'Ammon, substance réticulaire d'Arnold. LML. L
11 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
f Vol. III Janvier 1882. ? 7 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE LA CORNE D'AMMON (Morphologie ET Eàll3RY,)LOGIL) (Suite);
rphologie ET Eàll3RY,)LOGIL) (Suite); Par Mvtiiias DUVAL'. 1. Il. Corne d'Ammon chez l'homme et chez quelques singes (f
aroi interne (par rapport au plan médian), la saillie blanche de la corne d'Ammon (en H) ; pour plus de clarté, et afin d
(en H) ; pour plus de clarté, et afin de ne pas affecter le nom de corne d'Ammon à cette saillie qui, en somme est ce qu
ne circonvolution, très nette (a, b, c, cl, fig. S) et non une LA CORNE D'AMMON. 3 demi-circonvolution comme on l'a dit
us profon- des. 4° Aux cellules pyramidales les plus profondes LA CORNE D'AMMON. 5 succède une couche de cellules nerve
autour d'un lacis de capillaires qui pénètrent par en bas dans la corne inférieure du ventricule latéral ». (Hu- guenin
reconnu la nature nerveuse (cellules) de ses éléments, Meynert LA CORNE D'AMMON. 7 lui a donné le nom de stratum corpor
à résumer leur manière de comprendre la formation ammonique. « La corne d'Ammon, ainsi que l'ont démontré les frères We
lle était, est devenue enveloppante. La bandelette de l'hippo- LA CORNE D'AMMON. 9 campe est attachée par son bord adhé
n a désignées sous le nom de corps godronné, et qui fait, avec la corne d'Ammon et le corps bordant, saillie dans la ca
III, le corps godronné, et il verra ce qui peut rester alors de la corne d'Ammon. Plus heureuses sont les descriptions d
core des conceptions classiques - (p. 194 de l'article cité) : « La corne d'Ammon dans son entier représente non point un
lies : en bas c'est la circonvolu- tion de l'hippocampe, en haut la corne d'Ammon, ou, si on le préfère, la demi-circonvo
mporte la substance grise. « Au niveau de la circonvolution de la corne d'Ammon, dit-il, la substance grise corti- cale
leur particulière de ce repli..., puis elle vient mourir. dans la corne d'Ammon. » «... Mais avant de dis- LA CORNE D'A
vient mourir. dans la corne d'Ammon. » «... Mais avant de dis- LA CORNE D'AMMON. 11 paraître elle se met en rapport ave
table dépendance ; cette lame, située entre le bord supérieur de la corne d'Ammon et le subiculum, par conséquent dans le
rd dans la circonvolution de l'hippocampe, devient profonde dans la corne d'Ammon où se trouve son véritable bord libre;
son bord postérieur très mince se continue avec la convexité de la corne d'Ammon. » (Art. Cerveau, p. 169.) Quant à l'
couche (stratum radiatum) est composée en dehors par les pro- LA CORNE D'AMMON. 13 longements périphériques des pyrami
osée entre la couche nerveuse profonde et ce qui représente dans la corne d'Ammon la subs- tance médullaire. » Nous avo
sont disposées exactement comme chez l'homme : l'en- semble de la corne d'Ammon est seulement un peu aplati de haut en
enir évident chez les autres mammifères. Quant à l'ensemble de la corne d'Ammon (partie inférieure de la fig. 4) chez l
loppement dans tous les sens de la circonvolution godronnée. III. Corne d'Ammon chez divers mammifères. 1° Mouton. Les
divers mammifères. 1° Mouton. Les figures 5 et 6 représentent une corne d'Ammon chez le mouton.- Pour ce qui est de la
aquelle ont été employées les mêmes lettres de renvoi, suffira LA CORNE D'AMMON. - 15 à la démonstration des deux circo
iétant des connexions des diverses parties 2 18 ANAT0M1E. de la corne d'Ammon, exprime d'une façon on ne peut plus ne
onvolutions sous-calleuses ne sont autre chose que l'ensemble de la corne d'Ammon, c'est-à-dire la circonvolution godronn
repré- senté par le gyrus fornicatus (circonvolution du corps LA CORNE D'AMMON. 19 calleux), mais bien par ce qui rest
ire qui portent sur la partie moyenne du fer à cheval décrit par la corne d'Ammon ; quant aux coupes verticales, elles so
nne rayonnante, on trouve les diverses 20 ANATOMIE. parties de la corne d'Ammon, se présentant , d'avant en arrière, da
couronne rayonnante). Si dans' une coupe horizontale (fig. 7) la corne d'Ammon d'un côté est séparée de celle du côté
la corne d'Ammon d'un côté est séparée de celle du côté opposé LA CORNE D'AMMON. 21 par toute l'épaisseur des couches o
verticale, pour les parties supérieures ou sous-calleuses des deux cornes d'Ammon (fig. 8). Ici les deux formations ammo-
corps bordant en CB et la cavité du ventricule en V. C'est sur la corne d'Ammon du lapin qu'a été publiée la première e
0. - Wolk- mann, Aztalonzia anizuali2cm. Leipzig, 1831, p. 53. LA CORNE D'AMMON. 23 ce sujet des vues fort justes, sur
a conservé ce nom. Kôlliker avait déjà signalé cette couche : « La corne d'Ammon et l'ergot de Morand, disait-il dès 135
tres circonvolutions, si ce n'est que dans la substance grise de la corne d'Ammon on trouve une couche particulière de ce
er das centrale Neî,veiilstea der Wirbelthiere. Leipzig, 1870. LA CORNE D'AMMON. 25 15 jusqu'au lobe olfactif, 01. On t
les mammifères une par- tie cérébrale qui reproduise la forme de la corne d'Ammon, car l'anatomie descriptive comparée de
uche b, il serait impossible de ne pas reconnaître l'existence LA CORNE D'AMMON. 27 de l'organe cortical correspondant
de circonvolution limbique ? 28 ANATOMIE. IV. Développement de la corne d'Ammon. Le développement de la corne d'Ammon a
IE. IV. Développement de la corne d'Ammon. Le développement de la corne d'Ammon a été, dans ses principaux détails, trè
a embrya c primis evolutionis périodis in promptu non habni. » LA CORNE D'AMMON. 9 c'est pourquoi les premiers stades s
ui renferme le plexus cho- roïde, que nous allons voir se former la corne d'Am- mon, par un procédé très simple, par l'ap
aux em- bryons de lapins). Mais dans la figure 15 le sillon en LA CORNE D'AMMON. 31 question est très nettement indiqué
I111BILC Binde gcbildet wirtl, kommt ers spâter ziim Vorsclcm. » LA CORNE D AMMON. " 33 Nous terminerons en faisant remar
du ventricule latéral; H, saillie blanche intra-ventriculaire de la corne d'Ammon; CH, circonvolution de l'hip- pocampe (
(2e circonvolution temporo-occipitale). Grossis. 3 fois. Fig. 2. La corne d'Ammon de la figure précédente grossie 10 fois.
e précédente grossie 10 fois. II, saillie intra-ventriculaire de la corne ; CB, corps bordant; PC, plexus choroïdes ; X, e
blanche médullaire. PLANCHE Il. l'ig. 3. Coupe transversale de la corne d'Ammon d'un singe cynocé- phale (Grossiss. 12
Fig. 4. Idem chez un singe cébien (Grossiss. 6 fois). Lettres LA CORNE D'AMMON. 35 comme précédemment; de plus : Cp, c
, et figure 6 coupe de la moi- tié supérieure (sous-calleuse) de la corne d'Ammon du mouton. - Let- tres comme ci-dessus.
e. Grossiss. 5 fois et demi. Les por- tions sous-calleuses des deux cornes d'Ammon sont soudées sur la ligne médiane; V, c
fois. Lettres comme ci-dessus. planche ZV. Développement de la corne d'Ammon et des plexus choroïdes. Fig. 12. Coupe
imètres ; lettres comme ci-dessus; A", lieu de la forma- tion de la corne d'Ammon. Fig. 13. Embryon de lapin, long de 36
pare deux plis, lesquels vont former les deux circonvolutions de la corne d'Ammon. Fig. 16. Lapin presque à terme, et Fig
ramollissement de la 3° frontale, du £ lobule de l'insula et de la corne sphénoîdak. (Observation de Le- double et Violl
iétale inférieure. Lobe sphénoïdal : ramollissement du sommet de la corne du lobe sphénoidal : 1 ro, 2° et 3° temporales
tance gélatineuse centrale. Les cordons sont peu atteints, mais les cornes devien- nent le siège des modifications vascula
joint l'hydro ou syringomyélie ; en outre ici l'in- flammation des cornes antérieures, préparée par la sclérose périépend
la partie in- férieure'de la moelle dorsale, on constatait que les cornes an- térieures étaient gonflées et élargies, sur
Broch. 111-8- de 8 pages, Milan. COUL61ULT (L.). Des lésions de la corne d'Ammon dans l'epmlepsie. Une broch. in-8" de 7
ndi décrit une courbe inféro-antérieure, donnant la sensation d'une corne d'Ammon absente. Cette opinion est d'autant plu
tion de volume très appréciable de la moitié gauche de la coupe. La corne antérieure de substance grise est d'un bon tier
ise est d'un bon tiers moins volumineuse à gauche qu'à droite. La corne postérieure gauche parait également un peu moins
nada par les procédés ordinaires, il est facile de constater que la corne antérieure gauche est profondément alté- rée da
nuleux. Enfin les cellules nerveuses y font absolument défaut. La corne antérieure du côté droit présente au contraire to
s granuleux. Les commissures, les cordons de substance blanche, les cornes postérieures ne paraissent pas altérées. La cor
nce blanche, les cornes postérieures ne paraissent pas altérées. La corne postérieure gauche est un peu plus grêle que la
régions dorsale et cervicale, ou ne trouve aucune altéra- tion. Les cornes antérieures ont le même développement à droite
cas cepen- dant, les altérations sont plus exactement limitées à la corne antérieure de substance grise. Il ne s'agit pas
il faudrait en conclure qu'une lésion nettement systématisée de la corne antérieure peut se produire pendant la vie foet
ents de substance grise et non la totalité comme du côté opposé. La corne d'Ammon est aussi indurée, le ventricule latéra
ence ait sanctionné la valeur. D. Bernard. XIV. Des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie ; par Georges Coulraul
8't. Y a-t-il une relation de cause à effet entre les lésions de la corne d'Ammon et l'épilepsie ? Tel est le problème qu
1`fIIE. de nos connaissances sur l'anatomie et la physiologie de la corne d'Ammon, il groupe par l'exposé concis de qu tr
que beaucoup d'entre ceux qui ont été considères cornnu ayant leurs cornes d'Ammon saines en eussent peut-être présenté des
mmer, en r111emagne, admette un rayonne- ment de l'excitation de la corne sur le centre épiieptogéne vaso- moteur, M. Cou
stes de l'Allemagne du sud-ouest, 23'). i. Contractures, 361. Corne d'Anunoii (chez 1'lioiiiiiie et quelques singes
cidents reflètes ala suite de l'), 2115. Epilepsie (lésions de la corne (l ? 111111pn ClallS l'), 373 ;-(mnl ifi- cat
dal du vennicule latéral H, saillie blanche mtra-ventriculaue de la corne I'-lmmon; - CH, circonvolution de l'hip- pocamp
circonvolution temporu-occipitale). Crossisc. 3 fois. Fig. 2. - La corne d'Ammon de la ligure précédente grossie 10 foi3.-
CATION' DES rLNC11r ? PLANCHE Il Fil. 3. Coupe transversale de la corne d'Ammon d'un singe cynocé- pltale (Grossiss. 12
et figure 6 coupe (le la moi- lit, supérieure (sous-calleuse) de la corne (lit mouton. Let- tres connue ci-dessus. EXPL
le. Gi-osmss 5 fois et demi. Les por- tions sous-calleuses des deux cornes d'Ammon sont «ondées sur la ligne médiane; 1',
. 392 EXPLICATION DES PLANCHES. 'LANGUE 1\' Développement de la corne d' luuuon et des plerus rhorniiles. Fig. 12. -
imètres; lettres comme ci-dessus, A', licti de la forma- tion de la corne d'Ammon. Fiq. 13. - rmlyon de lapin, long de 36
pare deux plis, lesquels vont former les deux circonvolutions de la corne d'Aimnon. Fig. 16. - Lapin presque à terme, et
12 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
rijumeau. Elle envahit d'abord la substance grise centrale, puis la corne postérieure qu'elle peut détruire en totalité.
us, on peut prévoir l'extension rapide du pro- cessus cavitaire aux cornes antérieures, aux faisceaux antero-laléraux, aux
avitaire aux cornes antérieures, aux faisceaux antero-laléraux, aux cornes postérieures et aux cordons postérieurs ; ces div
servation publiée par les mêmes auteurs, l'autopsie a montré que la corne postérieure droite était détruite, et que le cord
ais il est impossible de reconnaître sur la surface de section, les cornes des cordons blancs : tout est infiltré par la sér
tir de la région dorsale moyenne, la moelle présente, à la coupe, des cornes et des cordons qui paraissent absolument normau
odifie de la façon suivante les parties normales de l'axe gris : la corne antérieure gauche a complètement dis- paru ; so
is- paru ; son siège correspondrait au centre même de la tumeur; la corne postérieure gauche est refoulée très notablemen
arrière de la tumeur en la contour- nant avec ce qui subsiste de la corne postérieure gauche. 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
ieure gauche. 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les deux cornes droites; au lieu de former un V à angle obtus, ou
t leur axe est exacte- ment antéro-poslérieur. Ainsi disposées, les cornes droites sont contiguës à la tumeur, au niveau d
e d'adhérer aux en- veloppes, puis se concentre dans la région delà corne antérieure (P1.1,8, ' coupe 119) pour se contin
issu néoplasique est peu à peu remplacé par le tissu nor- mal de la corne antérieure. - La description de la seconde tume
toute la portion antéro-latérale de la moelle droite, détruisant la corne anté-' rieure, une partie de la corne postérieu
moelle droite, détruisant la corne anté-' rieure, une partie de la corne postérieure, les .faisceaux pyramidaux di- rect
aisceaux pyramidaux di- rect et croisé, refoulant l'extrémité de la corne postérieure et le cordon de Burdach, adhérant e
isloque t'architectonique des tissus et gagne de là par le pied de la corne antérieure la totalité de cette corne, à laquel
gagne de là par le pied de la corne antérieure la totalité de cette corne , à laquelle elle se substitue complète- ment. L
u'une zone pâle symétriquement disposée sur les flancs internes des cornes postérieures et en arrière de la commissure. A
moelle et qu'elles s'étaient substituées en quelque sorte aux deux cornes antérieures, en débordant du reste l'emplacemen
ans le voisinage des gommes ; à quelque distance de ces foyers, les cornes antérieures ne présentent que des lésions en rapp
points, laissant à leur place une logelte vide dans la coupe. Les cornes postérieures sont les parties de l'axe gris qui o
moins altérés : il est des points cependant où le refoulement de la corne est tel, qu'il doit sans doute équivaloir à une
me type, atteignant son maximum au niveau de la substance grise des cornes antérieures. Cette localisation élective, démon
ectif. , La lésion, dans ses débuts, a donc pu n'intéresser que les cornes anté- rieures sur un point limité, respectant l
a moitié antérieure de la moelle, cordons blancs antéro-latéraux et cornes antérieures. Chacune des tumeurs est la cause
de la moitié correspon- dante du corps et par sa diffusion vers les cornes postérieures et l'angle antérieur du cordon pos
s différents conducteurs sensitifs : colonne de Clarke, colonne des cornes postérieures, faisceaux commissuraux variés des c
IX, C), détruit l'origine des racines motrices de la Ire paire, la corne antérieure tout en- tière, les faisceaux pyrami
gauche et droite. Cl, CM, colonne motrice (faisceaux pyramidaux et corne antérieure), dont les portions sous-jacentes aux
raxe. Nous voyons ainsi que l'in- terruption de la colonne motrice ( cornes antérieures et faisceaux pyrami- daux droits) a
e faisceau latéral gauche, immédiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Cette plaque
he, immédiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Cette plaque sclé- reuse s'étendai
s la moelle consistaient surtout dans l'a- trophie des cellules des cornes antérieures et de la colonne de Clarke. Leur pr
triangulaire très développée. Quelques cellules ganglionnaires des cornes grises antérieures présentent de la dégénéresce
escence vitreuse. Latéralement au canal central, dans le centre des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies o
côté droit jusqu'à envahir, par un court tractus, la substance de la corne grise antérieure dans sa partie la plus interne
de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance des cornes grises est irrégulièrement disposée et atrophiée.
la dégénérescence des cordons postérieurs et celle des cellules des cornes grises., - La syphilis héréditaire serait donc
pes (non microscopiques) montrèrent une altération, par places, des cornes antérieures qui étaient «packered and indented ».
s cérébrales. La substance grise était saine, surtout au niveau des cornes antérieures; il y avait une légère infiltration
veau des cornes antérieures; il y avait une légère infiltration des cornes postérieures. Malgré l'énorme épaississement de
- tique à paroi mince et ridée, de substance conjonctive ; c'est la corne in- férieure dilatée où'l'on trouve encore les
rvations suivantes : 1° La partie postérieure de la formation de la corne d'Ammon est restée intacte. , 2° La moitié an
partie de ces fibres, la partie centrale, s'accole aux cellules des cornes antérieures de la moelle épinière, tandis que les
la méninge voisine. L'atteinte primitive, directe des cellules des cornes grises par le poison syphilitique, signalée à p
normal, on reconnaissait très bien sur la coupe les sillons et les cornes grises. Le mi- croscope y montra des tubes nerv
u faisceau latéral gauche, immédiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Cette plaque
he, immédiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Cette plaque scléreuse s'étendait
s la moelle consistaient surtout dans l'atro- phie des cellules des cornes antérieures et de la colonne de Clarke, leur prot
gion cervicale. Des coupes montrèrent une altération par places des cornes antérieures. Il existai tune sclérose diffuse s'é
été déjetée de côté et a ainsi subi des déplacements variables. Les cornes postérieures sont rejetées en haut, le sillon l
nal postérieur est déplacé vers la droite ; en d'autres points, les cornes postérieures sont très écartées par une énorme tu
nique qui se place entre elles. Cependant en quelques endroits les cornes sont atteintes, ainsi à la partie moyenne de la
de la moelle dorsale et du rendement lom- baire, l'extrémité de la corne droite est comprise au milieu des végétations et
rt les petites portions mentionnées plus haut à la périphérie de la corne postérieure droite dans la région dorsale moyenne
triangulaire très développée. Quelques cellules ganglionnaires des cornes grises antérieures présentent de 'la dégénéresc
escence vitreuse. Latéralement au canal central, dans le centre des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies o
côté droit jusqu'à envahir par un court tractus la substance de la corne grise (1) Gangitano, Contribulo allô studio dél
de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance des cornes grises est irrégulièrement disposée et atrophiée.
s, sans contact avec ceux de la périphérie, en particulier dans les cornes et les cordons postérieurs. Un des plus gros se
rdons latéraux les zones périphériques et celles qui avoisinent les cornes postérieures. Le cordon postérieur droit est be
ls se contournent et paraissent se désagréger. Certaines places des cornes anté- rieures et des colonnes deCIarke sont tot
bres. Les cellules ganglionnaires, surtout les grandes cellules des cornes antérieu- res et des colonnes deCIarke sont for
r d'autres, nous ne rencontrons que des cellules altérées. Dans les cornes antérieures de la moelle dorsale, surtout dans
olongements apparents. Sou- vent sur une coupe, on trouve l'une des cornes antérieures plus atteinte que l'autre, c'est ta
ils sont assez marqués. Signalons enfin dans la substance grise des cornes antérieures de petites hé- morrhagies récentes,
lutôt une sorte de croissant dont le plein serait en arrière et les cornes iraient se perdre et se réunir en avant. z Tant
de l'axe spinal, encore les lésions y sont-elles considérables, la corne postérieure, et un cordon la- étant complètemen
s les vaisseaux gorgés de sang. Les cordons blancs, les cellules de cornes grises, l'épendyme sont normaux. Les racines ne
un exsudat grenu et beaucoup de globules à noyaux. Les cellules des cornes grises sont encore distinctes. Les racines prés
rrondie. La moelle cervicale présente une double fente occupant les cornes postérieu- res. Cette fente allongée va du cana
zone de Lissauer, ovalaire, il grand axe dirigé dans le sens de la corne postérieure elle-même, elle est plus étroite dans
n pleine substance grise, tandis que du côté opposé elle déborde la corne et est directement bordée par les faisceaux blanc
uite à l'une de ses moitiés où se distingue encore assez nettement la corne grise. La moitié de la moelle qui occupe le c
e saine dans ses parties centrales, on distingue les cellules de la corne antérieure, la colonne de Clarke, la corne post
ingue les cellules de la corne antérieure, la colonne de Clarke, la corne postérieure ; la substance blanche est réduite à
bleutée où l'hématoxyline ne colore plus un seul noyau ; et dans la corne grise les cellu- les ont les unes conservé leur
rofonde par une déchirure oblique à droite qui coupant le col de la corne postérieure vient mourir dans la substance blan
els on distingue encore les cellules du groupe antéro-interne de la corne antérieure et quelques parcelles de la corne po
e antéro-interne de la corne antérieure et quelques parcelles de la corne postérieure. r Des noyaux très abondants réunis
où il est absolument impossible de reconnaître quoi que ce soit des cornes grises ou des cordons blancs, seulesles cellules
e saurait y reconnaître les cellules nerveuses. Du côté gau- che la corne antérieure persiste, elle est en rapport avec le
e est en rapport avec le tissu dégénéré dont nous allons parler, la corne postérieure est presque totalement dégénérée elle
même, envahie par le processus pathologique ; du côté droit les deux cornes sont bien formées. Substance blanche. A droit
, mais les cordons latéraux sont absolument détruits, la tête de la corne anté- rieure vient en effet au contact de la pi
effet au contact de la pie-mère et l'espace compris entre les deux cornes n'a plus aucun caractère du tissu nerveux, on y v
la région postérieure, elle ne dépasse pas en avant les limites des cornes postérieures. On reconnaît seulement la pie-mèr
ment la substance grise de la subs- tance blanche, les cellules des cornes antérieures sont assez visibles mais le protopl
on cervicale. La moelle proprement dite est saine, les cellules des cornes grises se colorent bien et tous leurs éléments so
à peu près normal, la substance grise laisse voir ses cellules des cornes antérieures, mais elle est craquelée, quant à la
u transformée complètement en cordon fibreux. Les cel- lules de ses cornes grises ont été notées souvent altérées, la dégéné
13 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
x cel- lules mêmes, elles ne présentent pas de changements dans les cornes anté- rieures. Quelques-unes se colorent faible
scopiques. Les méninges, excepté la plaque de pachyrné- Fm. 2. - 1. Corne antérieure gauche. -- 2. Sillon longitudinal anté
2. Sillon longitudinal antérieur. - 3. Cor- don antérieur droit. 4. Corne antérieure droite. - 5. Cordon latéral droit. -
ervée que la droite. Dans la moitié gauche on dis- tingue encore la corne antérieure bien pauvre en fibres myéliniques et c
auvre en fibres myéliniques et cellules nerveuses, tandis que de la corne postérieure, il ne reste plus rien à décrire. .
la périphérie et une toute mince zonule de fibre communique avec la corne antérieure dans sa partie postérieure ; enfin o
e long de la commissure grise et à côté de la partie antérieure des cornes postérieures. Dans les cordons latéraux : on vo
un nombre'de cellules nerveuses diminuées et toutes les cellules des cornes antérieures plus ou moins dégénérées. Cette dég
», disait le vieil Aristote. Selon saint Ambroise, il porterait une corne ; le Bestiaire de Pierre le Picard, publié par
verso. Conformément au texte, l'oiseau est « tos blanc et si a deux cornes droites com de chièvre ». A la la Bibliothèque
les cordons antérieurs et dans la subs- tance blanche autour des cornes anté- rieures). Ces foyers ne se colorent pas
moins nombreux et se localisent principalement il la périphérie des cornes antérieures. Ils se ren- contrent en plus grand
de de Nissl montrent des changements considérables des cellules des cornes antérieures (dans le voisinage du foyer de lési
ng. Parois non épaissies. ^Dans la substance grise le» cellules des cornes antérieures sont entourées des espaces péri-cellu
e la moelle et surtout dans la substance gélatineuse de Rolando des cornes postérieures. A côté de cette localisation ils so
sation dans le fais- ceau de Burdacli du côté gauche, le long de la corne postérieure, et une légère raréfaction des fibr
rée et l'on remarque une raie distincte de dégénération le long de la corne gauche postérieure. A côté de l'aspect un peu c
lus pâles que dans la zone périphérique de la moelle. Le long de la corne postérieure gauche, une zone très pâle. La racine
que de semblables lésions se trouvaient presque uniquement dans la corne .gauche, c'est-à-dire du côté du plus grand dével
t des masses néoplasiques et de la plus grande compression. Dans la corne droite au contraire les corpuscules de Nissl ét
de Nissl démontrèrent des lésions dans les cellules nerveuses de la corne antérieure gauche, là où les grandes masses néo
point important à noter est que les cellules étaient lésées dans la corne gauche, tandis qu'à droite elles étaient presque
auche, tandis qu'à droite elles étaient presque nor- males. Dans la corne gauche les cellules nerveuses lésées rappelaient
use mécanique agissant à la périphérie les cellules nerveuses de la corne gauche antérieure ont subi une dégénérescence. Si
pliquer pourquoi ces toxines n'ont pas agi sur les cel- lules de la corne droite mais uniquement sur la corne gauche. Il
as agi sur les cel- lules de la corne droite mais uniquement sur la corne gauche. Il faut également invoquer la cause méc
eurs (le cas de Pfeiffer, notre observation XIII). Les cellules des cornes antérieures montraient des signes de lésions qui
On peut déjà distinguer la substance grise de la blanche, mais les cornes antérieures et postérieures sont déformées et asy
îlots au centre de la coupe. Il y a des foyers nécrosiques dans la corne droite posté- rieure. ' Les coupes colorées p
thode de Weigert. On voit ici également le foyer nécrotique dans la corne droite postérieure. Peu après l'autopsie on a f
dilatés, mais non épaissis. En ascendant, on voit dans la moelle la corne , tantôt antérieure, tantôt posté- rieure, disti
s antéro-latéraux. - 2. liacine antérieure droite. 3. Dure-mère. 4. Corne antérieure gauche. S. Cordon latéral droit. 6.
la moelle (dégénérée et atrophiée). - 4. Racine antérieure droite, corne . - 5. Racine antérieure. TUMEURS DE LA MOELLE
loison longitudinale postérieure et une raréfaction au milieu de la corne antérieure droite. Du côté gauche comprimé par
gauche comprimé par la tumeur en avant et de côté, la figure de la corne antérieure est presque normale avec le réseau b
seulement. La mieux conservée est la substance blanche autour de la corne postérieure. Dans le cordon postérieur gauche l
e la moelle est plus clair- semée que la droite. La zone autour des cornes antér;eures est relativement la mieux conservée
dure-mère et de la moelle. 1. Mince liseré en haut correspond à la corne antérieure. - 2. Dure-mère. 3. Racine postérieu
a maladie 5 ans. Examen microscopique. Altérations des cellules des cornes antérieures de la moelle cervicale sans partici
ue, nous voyons que la simple disparition des cellules motrices des cornes anté- 396 MARINESCO rieures, quoique le proce
ue des cellules médullaires. Lorsque, par exemple, les cellules des cornes antérieures sont lésées, ou lorsque leur état d
ives. (1) G. ETlEJ\ ! OE et Cu. Champv, Les lésions cellulaires des cornes antérieures de la moelle dans les arthropathies
rouble trophique peut se produire par transmission aux cellules des cornes antérieures de l'influx sensitivo-trophique adult
e. La coupe, déformée du reste, permet de reconnaître la figure des cornes antérieures et des cordons antéro-latéraux. Les c
une masse brunâtre molle que l'on trouve aussi dans la région de la corne antérieure droite. Au niveau du VIle segment do
sal on voit seulement la fente syringomyélique dans la région de la corne postérieure gauche. Il n'y a plus de masse brunât
descend le long des segments lombaires, elle envahit peu il peu la corne antérieure gauche et les droites : .antérieure
prononcés (excepté les cas où la tumeur siège dans le voisinage des cornes postérieures), assez souvent bilatéraux dès le
défécation normales. · Examen DU langage. ' - Demandes Réponses Corne li chiami ? (Comment t'appelles-tu ? ) Dubno. D
la plus grande partie des ordres élémentai- res qu'on lui donne. Corne ti chiami ? (Comment t'appelles-tu ? ) Pascole.
dans leur tota- lité, mais un degré moindre cependant au niveau des cornes occipitales. Le tapétum des cornes temporo-sphé
moindre cependant au niveau des cornes occipitales. Le tapétum des cornes temporo-sphénoïdales et occipitales est intact et
i forme cette partie du tapétum située au-dessus et en dehors de la corne occipitale. Il existait également le long de la p
ipitale. Il existait également le long de la paroi interne de cette corne , un certain nombre de fibres calleuses dégénérées
ses fibres s'étalent en éventail sur la paroi inféro-externe de la corne sphénoïdale, en formant le tapétum des anciens
umineux que l'hémisphère droit, et au niveau de sa face interne, la corne sphénoïdale et la corne occipitale se trouvent
droit, et au niveau de sa face interne, la corne sphénoïdale et la corne occipitale se trouvent presque complètement exp
ique, au fond de laquelle les ganglions de la base font saillie. La corne occipitale est limitéeen bas par un bourrelet c
en arrière, puis remonte en dedans de l'extrémité postérieure de la corne occipitale pour se recourber ensuite en avant e
ipitale pour se recourber ensuite en avant et former la voûte de la corne sphénoïdale. La paroi interne de la corne front
et former la voûte de la corne sphénoïdale. La paroi interne de la corne frontale est entièrement respectée. Du corps ca
ivées du genou du corps calleux entourent presque com- plètement la corne frontale du ventricule latéral. Au niveau de la'p
'étaler au-dessus de la voûte et le long de la paroi latérale de la corne temporo-occipitale. Ces fibres, poursuit l'aute
de ce faisceau peuvent être suivies et en dedans et en dehors de la corne postérieure, où elles occupent, au-dessous de l
on trajet temporo-sphénoïdal pour former également le tapétum de la corne temporale. Ce dernier est formé par des fascicule
nent de la substance profonde de ce lobe ainsi que du tapétum de la corne frontale. Il en résulte un faisceau assez volu-
volumineux se rend plus en arrière pour constituer le tapétum de la corne occipitale. Cette corne est très dilatée des deux
en arrière pour constituer le tapétum de la corne occipitale. Cette corne est très dilatée des deux côtés. Dans la profon
onstitue néanmoins et le tapétum latéral et le tapétum médian de la corne temporo-occipitale. Le faisceau sous-calleux de
ntime relation de ce faisceau au noyau caudé qu'il accompagne de la corne frontale à la corne sphénoïdale et dont il subit
faisceau au noyau caudé qu'il accompagne de la corne frontale à la corne sphénoïdale et dont il subit les mêmes variations
n deux feuillets; l'un, très mince, recouvre la paroi interne de la corne temporo-occipitale et forme le tapëtulllll1édian,
es fibres fournies par ces deux feuillets entourent complètement la corne occipitale. Les fibres du trigone pénètrent en av
l. Comme ce dernier, le faisceau calleux longitudinal contourne les cornes frontale et occipitale du ventricule latéral et
ont extrêmement dilatés et le revêtement épen- dymaire, surtout des cornes frontales et occipitales, est notablement épaissi
ui suit : Hémisphère gauche. Rien d'anormal pour les méninges. La corne occipitale du ventricule latéral est entourée d'u
pa- thologique, mais il en existe aussi sur la paroi interne et la corne occipitale est xxm 41 614 MERLE ET PASTINE
NE entourée dans son entier par une véritable coiffe. En arrière la corne occipitale ventriculaire est légèrement symphys
es noyaux gris. En bas la sclérose se continue également autour des cornes sphénoïdales à peu près jusqu'à la même distanc
e est la sclérose périventriculaire du ventricule latéral. Toute la corne occipitale est englobée dans une coiffe de sclé
en est aussi plus considérable, la sclérose s'avance jusque dans la corne frontale,sans aller cependant jusqu'à son extrémi
ue de 1.x sclérose périventriculaire formant une coiHe qui entoure la corne occipitale. (Iréll11sphére droit. Il eu était :
égè- rement saillantes, particulièrement nombreuses au niveau de la corne d'Ammon et de la paroi ventriculaire externe. D
e. Dans l'hémisphère gauche, en raison d'une symphyse absolue de la corne frontale, on ne put consta- ter que l'état de l
ci, il y a fusion absolue des parois supérieure et inférieure de la corne frontale, en sorte que la tête du noyau caudé s
ement oblitérée et restaurée sur une étendue assez considérable. La corne frontale (PI. LXXIII-B) affecte donc la forme d
et du noyau dorsal de la couche optique. Dans le lobe temporal, la corne sphénoïdale est extrêmement petite, ne constitu
qu'à l'ordinaire et se déploie plutôt à la façon de l'alveus de la corne d'Ammon. Le ganglion de l'habénula fait une sai
rne présente encore eu divers endroits une décoloration notable. La corne sphénoïdale a acquis ses dimen- sions normales
lum pariétal. Lobe occipital. Dans la partie moyenne de ce lobe, la corne postérieure 644 ARCHAMBAULT présente à peu pr
ment suivi les fibres du cingulum jusque dans la paroi interne de la corne occi- pitale. A l'angle supéro-exterue du ventr
de son seg- ment ventral ou inférieur.Elle entoure complètement la corne occipitale, et ses fibres peuvent être suivies
scissure étant peu profonde ne déprime guère la paroi interne de la corne postérieure et il en résulte que l'ergot de Mor
ibres du faisceau sagittal médian entourent presque complètement la corne ventriculaire et qu'elles constituent la totali
nt la commissure antérieure sur la presque totalité de son trajet, la corne temporo-occipitale du ventricule et les couches
a paroi originale qu'un bord irrégulier et déchiqueté. En outre, la corne occipitale est le siège en deux points différents
se colore relativement bien. ,. Surles coupes suivantes(PI.LXXV) la corne temporo-occipitale présente deux saillies consi
est située au niveau de la paroi in- terne, un peu en arrière de la corne d'Ammon, l'autre siège à l'endroit corres- pond
t du revêtement épendymaire. Cette symphyse ventriculaire divise la corne temporo-occipitale en deux com- partiments inég
capsule externe est presque totalement dégénérée. L'épendyme de la corne temporo-occipitale présente encore des altération
rieure, une fente apparaît en dedans du noyau caudé et représente la corne frontale du ventricule latéral qui est il ce ni
'étend et s'élargit progressivement jusqu'à ce que la lumière de la corne frontale se trouve entièrement restaurée. La pa
frontale se trouve entièrement restaurée. La paroi interne de cette corne est formée en partie par les circonvolutions mé
ajet horizontal antéro-postérieur le long de la paroi interne de la corne frontale. Nous attribuons la majeure partie de
ère gauche, sous le nom de faisceau sagittal médian. En avant de la corne frontale, les fibres de ce faisceau se confonde
in nombre de fibres qui se rendent à la zone sous-épendymaire de la corne frontale en passant au-dessous du faisceau sa-
invaginé de la cloison transparente. La symphyse très étendue de la corne frontale est peut-être responsable de cette dis
bondent au pourtour du trou de Monro et s'étendent et du côté de la corne frontale et du côté du troisième ventricule. Le
ème ventricule. Le revêtement ependymaire de la paroi interne de la corne frontale présente toute une suite de nodosités
sure postérieure sont bien développées et parfaitement saines. La corne temporo-occipitale est légèrement dilatée et prés
sinage du pôle frontal. La couche sous- épendymaire qui recouvre la corne frontale reçoit de tous les points de la convex
t présente une désintégration considérable de sa zone marginale. La corne frontale est très aplatie dans le sens transversa
dirigée d'avant en arrière. ' Au niveau delà paroi interne de la corne temporo-sphénoïdale et en dedans de la fimbria
visible et se prolonge sous la forme de plexus choroïdiens dans la corne frontale et dans la corne temporale. En dedans
us la forme de plexus choroïdiens dans la corne frontale et dans la corne temporale. En dedans de cette toile, les pilier
Les fascicules fortement colorés qui longent la paroi interne de la corne temporo-occipitale ont pris un développement extr
sur toute la longueur comprise entre la zone sous-épendymaire de la corne frontale et l'ergot de Morand. Le faisceau sagi
rolonge en avant et en arrière, dans la zone sous-épendymaire de la corne frontale d'une part, et de la corne temporo-sphén
la zone sous-épendymaire de la corne frontale d'une part, et de la corne temporo-sphénoïdale d'autre part. Il reçoit en
es que l'on retrouve également au niveau de la paroi latérale de la corne temporo-occipitale où elles atteignent leur max
et détermine plus loin une symphyse ventriculaire circonscrite. La corne occipitale est particulièrement atteinte et est e
e le siège d'une symphyse plus étendue. Dans toute cette région, la corne AGÉNÉRIE DU CORPS CALLEUX 653 temporo-occip
l ou supérieur du ventricule latéral. En arrière,là où il aborde la corne occipitale, le faisceau sagittal médian se renfle
entique. Sur toute la longueur de chaque hémisphère, à partir de la corne frontale jusqu'à la corne occipitale, la zone s
ueur de chaque hémisphère, à partir de la corne frontale jusqu'à la corne occipitale, la zone sous-épendymaire est alimen
développement du corps calleux, à plus forte raison la soudure des cornes frontales constitue-t-elle un obs- tacle invici
nserve toute son importance à condition qu'elle siège au niveau des cornes frontales. L'em- bryologie nous dit que vers le
t défaut au niveau du lobe occi- pital et de la paroi interne de la corne sphénoïdale dans la moitié infé- rieure de l'hé
eau de Sachs manque là où le cingulum occupe la paroi médiane de la corne postérieure, et revient dans son domaine classiqu
14 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ande cellule pyramidale de l'écorce jusqu'à la grande cellule des cornes antérieures de la moelle, d'où elle s'étend fin
encore dans la substance blanche, au niveau de l'angle externe des cornes antérieures, une sclérose qui forme une zone tr
bstance blanche qui s'étend au-devant de la partie antérieure de la corne anté- rieure, la sclérose est beaucoup moins ma
quelques-unes, on voit à peine deux au trois cellules dans cha- que corne antérieure, souvent leurs prolongements ont même
i- phérie de la moelle au niveau de l'extrémité antérieure, de la corne antérieure; en dedans; elle se confond avec la su
tion plus foncée des faisceaux de Goll. Les cellules motrices des cornes antérieures ont beaucoup diminué de nombre,, surt
u pyramidal dans ce segment de la moelle. Les cellules motrices des cornes antérieures sont abondantes et semblent saines,
es ont presque entièrement dis- paru. Dans la substance grise des cornes antérieures, le nombre des fibres nerveuses est
ur celui-ci. Moelle cervicale. Le nombre des grandes cellules des cornes antérieures est très diminué. Celles qui persiste
hode de Weigert, diminution du nombre des fibres nerveuses dans les cornes antérieures. Dans la substance blanche : scléro
ne façon bien marquée jusqu'au niveau de la partie antérieure de la corne antérieure. Quant à la portion de subs- tance b
au niveau d'une ligne horizontale passant par l'angle externe de la corne antérieure. Dans le reste du cordon antéro-laté
ncore dans la partie du cordon antéro-latéral située en avant de la corne antérieure, mais ils siègent dans les travées c
ct, depuis une ligne frontale pas- sant par les angles externes des cornes antérieures jusqu'au point de sortie de la corn
gles externes des cornes antérieures jusqu'au point de sortie de la corne postérieure; au niveau du faisceau pyramidal cr
observe quelquefois en très petit nombre dans l'interstice entre la corne postérieure et le cordon postérieur, mais toujour
vers la droite, un peu avant d'arriver sur la commissure grise, la corne antérieure droite est plus petite que la gauche
N dont l'extrémité libre du jambage externe aboutit au coude de la corne postérieure, tandis que le jambage interne se p
téral jusqu'à une ligne frontale passant par la face antérieure des cornes antérieures, mais ils sont à l'état isolé ou pa
e la substance grise qu'à la périphérie de la moelle. Au devant des cornes antérieures, ces corps granuleux deviennent bea
spaces périvasculaires. Un certain nombre de cellules nerveuses des cornes anté- rieures présentent aussi des granulations
bleues plus ou moins volumineuses. Pas de corps granuleux dans les cornes posté- rieures ni dans les cordons postérieurs.
e plus, un très léger épaississement de la névroglie à l'entour des cornes anté- rieures, mais cela est extrêmement peu re
avec les deux tiers antérieurs de ces faisceaux. Les cellules des cornes antérieures existent en assez grand nombre, mai
la moelle; un très petit nombre seulement de cellules nerveuses des cornes antérieures ont pris la coloration bleue et peu
une dégénérescence des cordons postérieurs, principalement près des cornes postérieures; peu de fibres nerveuses normales.
lombaire, on trouvait du pigment dans les cellules nerveuses des cornes antérieures. Pas de vacuoles. Région dorsale :
n dorsale : Au niveau du dixième nerf dorsal la substance grise des cornes postérieures et antérieures est normale. Dégéné
était moins altéré. L'altération se retrouvait au voisinage de la corne postérieure. Cette dernière contenait par place
s racines postérieures. Le faisceau de Goll fut trouvé atrophié, la corne anté- rieure étroite et aplatie. La corne posté
l fut trouvé atrophié, la corne anté- rieure étroite et aplatie. La corne postérieure était devenue conique, et ses faisc
), et la disparition des cellules nerveuses du groupe latéral de la corne antérieure (voir p. 582). Aaenfeld', dans la
filet de tissu plus ou moins indemne le long du bord interne de la corne posté- rieure du côté opéré (Voy. PL. I, fig. 5
térieurs seulement; nous constatons de graves modifications dans la corne pos- térieure, dans la partie intramédullaire d
ullaire des racines postérieures et dans les cellules nerveuses des cornes antérieures. Après une traction de force moyenn
crifié quelques jours après l'opération, dans toute l'étendue de la corne postérieure, des traces d'irritation traumatiqu
e l'atrophie du cordon postérieur un rétrécisse- ment notable de la corne postérieure correspondante. La différence de gr
orne postérieure correspondante. La différence de grandeur des deux cornes posté- rieures, dans une coupe transversale, me
t à 4mm 5, et même 5 millimètres. Un semblable rétrécissement de la corne postérieure du côté opéré est accompagné le* pl
que nous attribuons les altérations dans les cellules nerveuses des cornes antérieures, altérations d'un ordre dégénératif
e nous avons constaté la vacuolisation des cellules nerveuses des cornes antérieures chez des lapins sacrifiés un mois s
hagies capillaires dans la substance grise, principalement dans les cornes postérieures ; 3° De la prolifération des noy
don postérieur du côté opéré est atrophié et en même temps; 6° La corne postérieure du même côté présente éga- lement d
côté correspondant à la traction ; 8° Les cellules nerveuses de la corne antérieure sont bien moins nombreuses du côté o
cervicale des hémorrhagies capillaires dans la substance grise, des cornes postérieures et antérieures, ainsi qu'une atrop
eures, ainsi qu'une atrophie prononcée des cellules nerveuses des cornes antérieures. En nous basant sur ce qui précède,
moelle à différents niveaux, ce qui con- tribue à l'atrophie de la corne postérieure ; à l'amoin- drissement de la parti
enfin à la vacuolisation et à l'atrophie des cellules nerveuses des cornes antérieures. Ces deux causes nous paraissent su
la traction ; altéra- tions qui se résument en de l'atrophie de la corne et du cordon postérieurs du côté opéré; en un a
de la vascularisation et de l'atrophie consécutive des cellules des cornes antérieures. Ces modifications constantes dans
de l'atrophie et de la disparition des cellules nerveuses dans les cornes antérieures, les altérations, que nous avons co
gion lombaire de la moelle, se localisent principale- ment dans les cornes et les cordons postérieurs du côté opéré. Ces l
omme nous l'avons dit, con- sistent pour la plupart en atrophie des cornes et des cordons postérieurs, dont les éléments n
ique chez le lapin produit de la sclérose et de l'atrophie dans les cornes et les cordons postérieurs de la moelle. Mais
ue la traction nerveuse produit de la sclérose et de l'atrophie des cornes et du cordon postérieurs, lésions qui sont très
e l'insulte, par plus ou moins de sclé- rose et d'atrophie dans les cornes et les cordons pos- térieurs de la moelle, ce q
NIERE. 68 postérieur, A, sont remplacés par du tissu conjonctif. La corne posté- rieure, B, est atrophiée. La corne posté
r du tissu conjonctif. La corne posté- rieure, B, est atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1"'m, 05; la corne po
, B, est atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1"'m, 05; la corne postérieure gauche, 4mm, 35; le cordon postérieur
nts nerveux dans le cordon postérieur atrophié de la traction A. La corne postérieure droite est diminuée de volume autan
de volume autant que dans la moelle précédente. Vau- coles dans la corne antérieure B. La corne droite postérieure mesure
ans la moelle précédente. Vau- coles dans la corne antérieure B. La corne droite postérieure mesure 1 ? 50; la corne post
a corne antérieure B. La corne droite postérieure mesure 1 ? 50; la corne postérieure gauche, 1mm, 80; le cordon postérieur
Fig. 3. Cellule nerveuse en voie de vacuolisation provenant de la corne antérieure droite du renflement lombaire d'un lap
eur droit mesure 3"'m, 05; le cordon postérieur gauche, 1mm, 50; la corne postérieure droite, Omm, 90; la corne postérieure
ostérieur gauche, 1mm, 50; la corne postérieure droite, Omm, 90; la corne postérieure gauche, imm, 20. Fig. 6. Coupe tran
eur droit mesure Ohm, 09 ; le cordon postérieur gauche, ohm, 20; la corne postérieure droite, tmm, 50 la corne postérieur
postérieur gauche, ohm, 20; la corne postérieure droite, tmm, 50 la corne postérieure gauche, 1"'m, 55. Fig. 7. Tubes n
de la sub- stance grise (dégénérescence des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures) rapprochée de l'ab
u protoplasma dans les grandes cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures sacro-lombaires ; même altération d
périphériques, la moelle étant restée indemne, notam- ment dans les cornes antérieures, Erb invoque l'hypothèse d'après la
sont les parties externes des cordons posté- rieurs, parallèles aux cornes postérieures, qui se trouvent le plus prises. M
nent principalement les cellules. Extrêmement vives dans la moelle ( cornes antérieures) elles se résument en : disparition
immédiatement à la périphérie de la substance grise et surtout des cornes antérieures; d'autre part on trouve dans les zo
cines de la première paire dorsale, quelques cellules nerveuses des cornes antérieures semblent un peu troubles et gonflée
tteint la substance grise. Vers le devant elle n'atteignait pas les cornes antérieures, vers l'exté- rieur non plus la pér
ion d'épilepsie chez un jeune homme de dix-huit ans. Sclérose de la corne d'Ammon ', dégénérescence grais- seuse étendue
du cordon postérieur, A, sont remplacés par du tissu conjonctif. La corne posté- fleure, B, est atrophiée. La corne posté
r du tissu conjonctif. La corne posté- fleure, B, est atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1 ? 05; la corne post
re, B, est atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1 ? 05; la corne postérieure gauche, 1 mm, 35; le cordon postérieu
nts nerveux dans le cordon postélieur atrophié de la traction A. La corne postérieure droite est diminuée de volume autan
e de volume autant que dans la moelle précédente. Va- coles dans la corne antérieure B. La corne droite postérieure mesure
dans la moelle précédente. Va- coles dans la corne antérieure B. La corne droite postérieure mesure lmm, 50; la corne pos
corne antérieure B. La corne droite postérieure mesure lmm, 50; la corne postérieure gauche, 1 ? T, s0; le cordon postérie
Fig. 3. Cellule nerveuse en voie de vacuolisation provenant de la . corne antérieure droite du lenllement lombaire d'un lap
roit avec une force de 4 kilos. - Légère diminution de volume de la corne postérieure droite B, atrophie marquée du cordo
rieur droit mesure 1 ? 05; le cordon postérieur gauche, Imm, 50; la corne postérieure droite, I)im, 9G; la corne postérieur
stérieur gauche, Imm, 50; la corne postérieure droite, I)im, 9G; la corne postérieure gauche, Imm, 20. Fig. G. Coupe tran
rieur droit mesure 0 ? 09; le cordon postérieur gauche, 0 ? 20 ; la corne postérieure droite, 1mm, 50 ; la corne postérie
postérieur gauche, 0 ? 20 ; la corne postérieure droite, 1mm, 50 ; la corne postérieure gauche, 1 ? 55 Fig. 7. Tubes nerv
15 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
halange manque et avec elle l'ongle, qui est réduit à un morceau de corne coiffant à plat le sommet du moignon. La peau a
ou cheval ; leur tète est ornée d'oreilles en conque et souvent de cornes ; ils ont une queue qui fait suite au sacrum et
sous la dépendance d'une altération des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la moelle; les névrites multiple
reil repré- senté par ces trois organes : cellule ganglionnaire des cornes anté- rieures, fibre motrice, fibre musculaire
ance normale; à la coupe on note une colo- ration rouge intense des cornes antérieures au niveau du renflement lombaire. L
l s'agit d'une dégénérescence aiguë des cellules ganglionnaires des cornes antérieures. Celles-ci présentent un proto- pla
-cellulaires sont envahis par des leucocytes. Le réseau nerveux des cornes anté- rieures est altéré, ainsi que les tubes d
sie. - Dlacroscopihcemerai. - Au niveau du renflement cer- vical la corne antérieure gauche est plus petite que la droite e
endroit parsemée de points rougeâtres se distinguant du reste de la corne . Au niveau de la moitié du renflement lombaire
lombaire il existe un foyer tout à fait semblable siégeant dans les cornes antérieures de la substance grise. Les racines
voit : à la région lombaire, une alté- ration considérable des deux cornes antérieures. Les cellules ganglion- naires ont
des altérations vasculaires au même niveau. La substance grise des cornes posté- rieures et la substance blanche sont int
ervicale, il existe des lésions analogues de la substance grise des cornes antérieures plus prononcées à gauche qu'à droit
l existait une sclérose très prononcée avec atrophie cellulaire des cornes antérieures de la substance grise de la moelle
ion sont ratatinés et privés de leurs prolongements. Dans les mêmes cornes antérieures, la névroglie est envahie par un gr
ité, proportionnelle il l'atrophie des cellules glanglionnaires des cornes antérieures. Les nerfs périphériques sont indem
dépendre d'une lésion atrophique des cellules ganglion- naires des cornes antérieures. » L'observation qu'on va lire, est
rations spinales sont des plus intenses, et limitées exactement aux cornes antérieures. Cas. IV (notes communiquées oblige
sous le nom de poliomyélite antérieure l'affection systématique des cornes antérieures de la moelle, Wernicke propose par
ure subaiguë, qui anatomiquement est représentée par une lésion des cornes antérieures de la substance grise spinale. Déjà
ire du type Duchenne-Aran, l'altération porte exclusivement sur les cornes antérieures. « Je fais allusion ici, dit M. le
rappé tout d'abord de l'apparence spéciale que présente la zone des cornes anté- rieures correspondantau groupe cellulaire
utour des vaisseaux (PL XXXII, fig. 5, a). Les fibres nerveuses des cornes antérieures, très raréfiées dans le reste de la
lorée par la méthode de Weigcrt, vue à un faible grossissement : a, cornes antérieures; b, cornes postérieures; c, cordon
Weigcrt, vue à un faible grossissement : a, cornes antérieures; b, cornes postérieures; c, cordon latéral; d, cordon post
colorée par la méthode de Pall, vue à un faible grossissement : a, cornes antérieures altérées; b, cornes postérieures; c
l, vue à un faible grossissement : a, cornes antérieures altérées; b, cornes postérieures; c, faisceau pyramidal dégénéré; d
stérieur sain; e, racine postérieure; /, aspect spécial pris par la corne antérieure à la suite de la lésion du groupe des
a gaine lamelleuse ; i, artériole. Fig. 5. - Région dégénérée de la corne antérieure de la moelle de poliomyélite, colorée
t les parois des artères sont épaissies. Cette' lésion capitale des cornes antérieures s'accompagne d'une atrophie notable
ération porte comme nous l'avons dit, sur le groupe antérieur de la corne exclusivement : aussi semble-t-il que le groupe
le-t-il que le groupe externe et la zone qui lui correspond dans la corne antérieure sont plus développés. Il résulte de
i permet de constater quelques nouveaux détails. Presque toute la corne est altérée, à peine reste-t-il une bande péri-
s de tubes nerveux, soit de la fibrine. z La région externe de la corne présente un petit foyer hémorrha- gique qui a d
as aussi accusée que dans les régions supérieures. Les cellules des cornes antérieures n'ont pas diminué de nombre, mais ell
clérose naissante symé- trique, et en rapport avec l'altération des cornes antérieures. Les fais- ceaux et les racines pos
re à une lésion intéressant systématiquement la substance grise des cornes antérieures de la moelle. Le maximum d'altération
bres d'association, dépendant des éléments cellulaires détruits des cornes . Ces dernières altérations présentent dans les
ues de l'adulte liées à des altérations de la sub- stance grise des cornes antérieures de la moelle. Notre observation mon
ites dégénératives peuvent coexister avec des lésions profondes des cornes antérieures. III La connaissance des polynévr
e l'intégrité des fais- ceaux blancs. Dans la substance grise des cornes antérieures, principalement dans la région du r
on peu marquée du réseau fibrillaire, et du nombre des cellules des cornes antérieures, ainsi qu'à de légères déformations,
ordinairement dans les moelles séniles. D'autre part, la région des cornes ne présentait en aucun point de sclérose en foyer
vateur, la conséquence d'une lésion des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la moelle. De même il est permis
areil représenté par ses trois organes; cellules ganglionnaires des cornes antérieures, fibre nerveuse motrice, fibre musc
compose en réa- lité, non seulement des cellules ganglionnaires des cornes antérieures, de la fibre nerveuse motrice et de
analogue sur les centres tro- phiques (cellules ganglionnaires des cornes antérieures) de la moelle. Que ces centres trop
lon les prévisions de cet auteur, sous la dépendance de lésions des cornes antérieures de la moelle. 2° On observe, d'autr
ltération des noyaux moteurs du bulbe supérieur et des cellules des cornes antérieures de la moelle. La lésion de la colonne
ert. On voit aisément la différence considérable du volume des deux cornes antérieures : la droite est presque double de la
e. On remarquera de même l'homogénéité du tissu (cicatriciel) de la corne altérée, alors que sa symétrique présente son r
ANCHES Planche .lGlll. - Paralysie infantile ; Région cervicale, a, Corne antérieure normale ; b, Corne antérieure altéré
ysie infantile ; Région cervicale, a, Corne antérieure normale ; b, Corne antérieure altérée ; c, Foyer vasculaire ; d, Cor
épaissie. Plarlclae 1G1'll. - Sringomélie. Région cervicale : », Corne antérieure; b, Cavité du gliome; c, Paroi de la
Cavité du gliome; c, Paroi de la cavité; d, Substance du gliome; e, Corne postérieure; ? Faisceau pyramidal dégénéré. ,
. , Planche \G1'lll. - Syringomijélie. Région CI'41C0-dUl'SaIC : a, Corne antérieure; b, Ca- v ité du gliome ; c, Paroi d
vité ; d, Substance du gliome; e, Faisceau pyramidal dégé- néré ; ? Corne postérieure; g, Racines postérieures. Planche 1
res. Planche 1Gl1. - Syringomijélie. Région dorsale inférieure : a, Corne antérieure; b, Ca- vité du gliome; c, Paroi de
vité du gliome; c, Paroi de la cavité; ti, Substance du gliome; e, Corne postérieure; (, Faisceau pyramidal dégénéré.
midal dégénéré. Planche G.- Syringomyélie. Renflement lombaire : a, Corne antérieure; b, Cavité du gliome; c, Paroi de la
la cavité; et. Substance du gliome; e, Faisceau pyramidal dégénéré; ? Corne postérieure. Planche LI. - Myélite (fort grossi
16 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
un côté, un endroit bien limité se trouve dégénéré. Aux limites des cornes antérieures et postérieures, au niveau de la co
le cas d'épilepsie chronique, où la sclérose et l'atrophie de la corne d'Ammon constituent une trouvaille nécrosco- pi
s aupa- ravant, une atrophie ascendante du cordon postérieur, de la corne pos- térieure, de la corne antérieure, de la co
e ascendante du cordon postérieur, de la corne pos- térieure, de la corne antérieure, de la colonne de Clarke, d'une moitié
uparavant, en dedans et en dehors, la substance blanche, autour des cornes grises postérieures. Celles qui pénètrent d'emb
cornes grises postérieures. Celles qui pénètrent d'emblée dans les cornes grises postérieures, tra- versent la substance
ent se terminer. Celles qui longent la substance blanche autour des cornes grises postérieures (faisceau cunéi- forme de B
ois racines et ne s'in- troduisent qu'après dans la substance de la corne . Des cellules de Clarke partent deux sortes de
nt des fibresradicu- laires postérieures après leur passage par les cornes grises postérieures. Les cordons de Burdach et
moins distantes de cette entrée, pénètrent, la substance grise des cornes postérieures. - De là les propositions de physiol
ostérieures qui ont préalablement passé par les cellules grises des cornes postérieures, ce sont eux qui forment le trajet l
des de l'écorce, les cellules de Purkinje, les grandes cellules des cornes antérieures) ; 6. des cellules dont le prolonge
pe la partie postérieure de la commissure grise, allant d'une des cornes antérieures à celle de l'autre côté. A l'oeil n
yéline, sont issues de cellules nerveuses qui rappellent celles des cornes anté- rieures de la moelle épinière. Les fibres
gorie sortent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cellules des cornes postérieures et de la substance de Rolulldo. De
ut à l'heure Golgi, en se référant aux différences de structure des cornes antérieures et postérieures de la moelle épiniè
rendre les rapports directs des nerfs moteurs avec les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière \ Où fallai
ore. Dans la moelle épinière ? Mais, même pour les cel- lules des cornes antérieures, le moyen d'affirmer qu'on a affair
ali... p. 209-14. 180 PHYSIOLOGIE. découvrit que les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière sont bien en
motrices et sensitives de la moelle épinière, que les cellules des cornes antérieures et postérieures, sont rigoureusemen
ces de Mosso et de Pellacaui démontrent que, après.la section des cornes antérieures et des cordons anté- rieurs et laté
es myxines, des tubes nerveux sor- tir directement des cellules des cornes antérieures; ceux des racines postérieures sera
à 60 p. et présentent de nombreuses analogies avec les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière. Toutes ces c
eich, à l'excitabilité exagérée de certains groupes de cellules des cornes antérieures. Commé la face était prise aussi, i
poison agit à l'état chronique simultanément sur les cel- lules des cornes antérieures, les fibres nerveuses, motrices périp
érie au centre, de sorte que, si le malade survit, la cellule de la corne antérieure peut être atteinte. Mais l'atteinte
stement le reliquat du corps calleux et du tri- - goule. Absence de corne d'Ammon des deux côtés. Intégrité des tubercule
xiste aussi une atrophie des cellules nerveuses multipo- laires des cornes antérieures; il est même probable que les colon
colonnes de Clarke participent, ainsi que la substance grise des cornes postérieures, à l'altération. Quant aux lésions m
bres atéro-postéi-ietires du centre ovale. Dilatation extrême de la corne postérieure du ventricule la- téral. Intégrité
de Lissauer (Z L e, 8) qui forme un revête- ment triangulaire à la corne postérieure. Le faisceau de Gotvers (F G, 3), z
ngle analogue à la zone externe, et appliqué contre le sommet de la corne pos- térieure, entre le lieu d'émergence des ra
acines postérieures, au niveau du point où elles pénètrent dans les cornes sont en grande partie scléro- sées. On remarque
ion notable du nombre des grosses fibres transversales de ces mêmes cornes postérieures, tandis que les grosses fibres asc
S du schéma de Flechsig. Le faisceau de Turck est intact. Entre la corne postérieure et le cordon latéral, il existe une
inférieure. -Beaucoup de fibres transversales qui pénètrent dans la corne postérieure ont disparu. La zone qui limite de
nerveuses dans les parties du cordon de Bur- dach qui côtoient les cornes postérieures. (Zone de Westphal.) Les fibres fi
région lombaire. La partie des cordons de Burdach qui avoisine les cornes postérieures (zone antéro-externe de Westphall)
eures sont mieux conser- vées. La bande saine qui existe entre la corne postérieure et le cordon latéral est plus mince
phérie et dont le sommet s'avance vers la région intermédiaire des cornes antérieures et postérieures (zone limitante). - L
lques grosses fibres disséminées. Les racines postérieures et les cornes postérieures sont très peu sclérosées. La lésion
ant au cordon de Burdach. on peut constater que toute la région des cornes postérieures est limitée par une bande de tissu
a partie antérieure est surtout lésée, arrive jusqu'au niveau de la corne antérieure. Le cordon de Goll est un peu plus r
rtie dans l'épaisseur de la substance grise au point de réunion des cornes antérieures et postérieures qui contiennent une
; d'ailleurs, on trouve plus de fibres saines dans le voisinage des cornes posté- rieures que du côté du sillon ou de la p
- tance grise, elle est atrophiée considérablement, môme dans les cornes antérieures surtout au renflement cervical. Les c
oute leur hauteur une diminution des cellules ganglionnaires. Les cornes postérieures contiennent beaucoup de corps amy-
lllS. Dans les cordons de* Burdach, une étroite bande limitant la corne postérieure et les racines a échappé à la dégénér
bres des racines nerveuses postérieures et dans d'autres coupes des cornes postérieures. Friabilité et rétrécissement des
ntes, mais la sclérose y est peu intense. Les parties limitant la corne postérieure et le reste des cordons latéraux so
tend jusque dans l'angle formé par la commissure postérieure et les cornes postérieures. Dans les cordons prismatiques il
y a, à part la substance blanche en forme de bandelette bordant la corne postérieure, encore une partie intacte qui corr
s suivantes : la subs- tance grise et surtout la zone marginale des cornes postérieures paraît normale. La dégénérescence
on de Burdach. Bord mince de substance blanche conservé le long des cornes postérieures. La dégénérescence des cordons lat
uf une bande relative- ment saine, très étroite, qui borde toute la corne pos- térieure (iiq. 30, 31, 32, 33). Dans la
ter est celle des cellules des colonnes de Clarke. Les cellules des cornes antérieures, nous ont paru saines, à rencontre
onnes de Clmke dégénérées ; g, bande de tissu sain qui contourne la corne postfrieur; li, canal (·hendymaire; i, zune ext
racine postérieme sclérosée ; A, racine postérieure sclérosée ; c, cornes antérieures saines ; d, racines antérieures norma
381 vers le centre est à peu près en face du point d'union de la corne antérieure et de la corne postérieure. Ces même
à peu près en face du point d'union de la corne antérieure et de la corne postérieure. Ces mêmes caractères se retrouvent
lombaire, il existait une zone intacte, située au voisi- nage des cornes postérieures. La dégénérescence était la moins
res. Au-dessus et au-dessous de cette région, il restait, entre les cornes postérieures et la lésion atrophique, une bande
aux faisceaux pyra- midaux : une zone de tissu sain la séparait des cornes postérieures, une autre de la périphérie : cett
vers la périphérie et laissant intacte une petite zone contiguë aux cornes postérieures. On retrouvera ces caractères nota
efois, la portion dégénérée n'arrive nulle part en contact avec les cornes postérieures, tandis que le faisceau cérébelleu
faisceau cérébelleux et le faisceau pyramidal sont continus à ces cornes . La partie sclérosée du faisceau pyramidal ne c
elle est, notamment dans les cellules nerveuses de la rétine et des cornes antérieures, perforée de pertuis plus ou moins gr
léaire. La membrane en question manque sur beaucoup de cellules des cornes antérieures. L'intérieur du noyau est occupé pa
ent quelques vacuoles plus ou moins volumineuses. Quelques cellules( cornes antérieures- rétine) révèlent une structure rét
nnes de Clarke dégénérées ; g, bande de tissu sain qui contourne la corne postérieure; h, canal épendymaire; ? ', i, zone
racine postérieure sclérosée ; b, racine postérieure sclérosée ; c, cornes antérieures saines ; d, racines antérieures norma
17 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
angle rectangle qui, par le sommet de son angle droit, confine à la corne postérieure, au niveau de la substance de Rolan
côtés se dirige en avant et légèrement en dedans, s'écartant de la corne postérieure pour aboutir au septum médian, un p
nt chacune la forme d'un triangle confinant par l'un des côtés à la corne postérieure, et s'insinuant entre celle-ci et l
existe une diminution légère du nombre des cellules dans l'une des cornes antérieures ; de ces cellules elles-mêmes, quelqu
ngé dont la base la plus courte est en haut où elle confine avec la corne grise et va en s'effilant Fifj. 2. Moelle dorso
- A l'étage tout à fait inférieur de la moelle 1 dorsale, l'une des cornes antérieures est très nettement atrophiée ; les
nt plus allongée qu'aux étages sous-jacents, elle est parallèle* la corne postérieure. Elle se rapproche d'assez près de la
u'aux étages précédents. Les cordons autéro- laléraux sont sains. Cornes grises. Il existe une asymétrie marquée des corne
raux sont sains. Cornes grises. Il existe une asymétrie marquée des cornes antérieures ; l'une d'elles est très amincie, p
e trouve qu'une ou deux cellules d'aspect granuleux et jaunâtre. La corne postérieure n'a de lésions appré- ciables en au
une bande large, constituée par des fibres saines, qui confine aux cornes postérieures et en suit très exactement la direc-
dons antéro-latéraux sont sains. - Substance grise. L'asymétrie des cornes antérieures est peu marquée ; le nombre etl'éta
aines préparations les cellules motrices sont peu nom- breuses. Les cornes postérieures sont également saines. Racines. -
he ovalaire, à grand diamètre anléro-postérieur, qui empiète sur la corne posté- rieure au niveau de la substance de liol
s. Les cordons antéro-laté- raux sont sains. Substance grise. Les cornes antérieures sont saines. Les cornes postérieure
ont sains. Substance grise. Les cornes antérieures sont saines. Les cornes postérieures présentent une démyélinisation man
les du champ radiculaire antérieur. Cette bande est séparée de la corne grise par une épaisseur notable de fibres saines,
ait en concor- dance avec les lésions qui frappent les éléments des cornes . En effet, les cellules de la colonne de Clarke
de la moelle. Suivant les étages examinés, les éléments nobles des cornes postérieures sont ou ne sont pas atteints. Les
ts nobles des cornes postérieures sont ou ne sont pas atteints. Les cornes antérieures subissent à leur tour une action an
nombre ; sur d'autres coupes, au contraire, l'atrophie de l'une des cornes est très marquée et à cette atrophie, visible à
feste d'un très grand nombre d'éléments cel- lulaires tant dans les cornes antérieures que dans les colonnes de Clarke ; n
nt concorder avec la dégénérescence de certaines des cellules de la corne grise. Est-ce à dire que la lésion observée tie
endogènes s'explique sans dif- ficulté par l'état des cellules des cornes : Le centre trophique se trouvant atteint, les
te tout d'abord des lésions graves dans les cel- lules motrices des cornes antérieures de la moelle : les cellules se tumé
du streptocoque sur la fibre nerveuse. Les lésions des cellules des cornes antérieures ne sont pas caractéristiques : on r
voir les cas analogues de Rossolimo et de Korb, où à l'autopsie les cornes antérieures ont été trouvées nor- males). Une a
partie cervicale de la moelle. Les cellules des gan- glions et des cornes présentent une pigmentation plus prononcee qu'à
ibres échappent à l'altération. Celles qui longent immédiatement la corne postérieure jusqu'à la substance gélatineuse qu
région dor- sale, nous rencontrons successivement, en allant de la corne postérieure au sillon médian postérieur, une ba
ne bandelette de fibres saines adossée le long du tiers moyen de la corne pos- térieure, une zone de fibres dégénérées, l
oujours vue altérée, à des degrés divers, dans toutes ses parties : corne antérieure, corne postérieure, commissure et da
à des degrés divers, dans toutes ses parties : corne antérieure, corne postérieure, commissure et dans ses deux principa
- déformation à peu près constante de cette substance grise. Les cornes sont atrophiées et leurs contours sont irrégulier
le et cervicale inférieure, la substance grise, située en avant des cornes postérieures, forme un bloc, dans lequel on dis
res, forme un bloc, dans lequel on distingue à peine la saillie des cornes antérieures. La lésion microscopique se carac
rophie est souvent plus marquée d'un côté de la moelle. On voit des cornes antérieures, dans lesquelles il n'existe plus q
intermedio-lateralis, des cel- lules de cordon, des cellules de la corne postérieure. Disons seulement que par comparais
ir avec la substance grise, notons une sclérose active autour de la corne postérieure, au point où les fibres radiculaire
gment posté- rieur. Elles sont très accusées dans les vaisseaux des cornes antérieures, de la colonne de Clarke, et surtou
s'le cordon antéro-la- téral, les fibres de cordon qui entourent la corne antérieure, sont presque toujours saines, et, d
nnes et longues. Les fibres courtes pénètrent immédiatement dans la corne postérieure. A ce niveau de la substance grise,
nnaissons mal l'anatomie normale et pathologique des cellules de la corne postérieure, des cellules de cordon. Il n'est p
'est-à-dire celles qui, dans le cordon antéro-latéral, entourent la corne anté- rieure et, du cordon postérieur, les fibr
apparem- ment de même des cellules de cordon, des cellules de la corne postérieure. La dure-mère est habituellement nor-
nt leur courant nerveux qui, par les pyramides, va aux cellules des cornes antérieures ; mais ce courant rencontre l'obsta
ance grise, le neurone sensitif indi- rect siégeant surtout dans la corne postérieure; 5° C'est de l'intégrité anatomique
oignet ont leur siège principal dans le groupe antéro-externe de la corne antérieure; 11° Il existe chez beaucoup de syri
ans la moitié gauche, les cordons latéral et antérieur ainsi que la corne antérieure semblent relativement bien conser- v
é supérieure de la cavité centrale), très étroite, paral- lèle à la corne postérieure ; elle est bordée d'un tissu névrogli
hyperplasie névroglique en forme d'un ruban sinueux, parallèle à la corne postérieure gauche; dans sa partie centrale le
génération périphérique et une hypérémie générale; les cellules des cornes antérieures sont presque saines. La néoformat
ostérieure; en outre la tumeur a pénétré dans sa sub- stance par la corne postérieure en forme d'un large coin détruisant
très sinueuse, à plusieurs ramifications, prend la direction de la corne postérieure sur la moitié de son parcours. Les
; les cordons de Goll (dégénérés) se trouvent refoulés adroite, les cornes postérieures sont très écartées. La cavité a l'
estigations plus loin, et ayant examiné avec le plus grand soin les cornes antérieures de la moelle, les nerfs périphériqu
on a vu une véritable atrophie détruire peu à peu les cellules des cornes antérieures et réaliser une sclérose latérale a
la sorte des lésions plus ou moins accentuées dans les cellules des cornes antérieures de la moelle. Le malade a guéri dan
omvélique qui a été l'objet de ses études : una stimulazione legera corne intensita è percepita come una stunu- lazione f
Kakler et Pick) d'une même - affection portant sur les neurones des cornes antérieures (neurone moteur périphérique et neu
t des amyotrophies passagères, tantôt il y a lésion organique des cornes antérieures de la moelle provoquant des paralysie
arties du corps voisines ne sont pas loin de la substance grise des cornes antérieures, tandis que les fibres des pyramide
ées à droite et à gauche. Atrophies insignifiantes des cellules des cornes REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
le inférieure. Depuis la sixième racine cervicale jusqu'en haut, la corne antérieure gauche est tres peu atteinte, tandis
nique pure, ni une polynévrite accompagnée de lésion simultanée des cornes anté- rieures, ni une affection systématique co
es cornes anté- rieures, ni une affection systématique combinée des cornes anté- rieures, des racines postérieures et des
s, les cordons et les noyaux sensitifs à une atrophie chronique des cornes anté- 312 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
férieure de l'olive supérieure. G. D. XX. La chromatolyse O'INS LES cornes antérieures DE la moelle, APRES DÉSARTICULATION
d'un grand nombre de cellules situées à la partie postérieure de la corne antérieure droite. De la situation et de la dis
s muscles de la jambe et du pied occupent la partie postérieure des cornes antérieures de la moelle et s'étendent de la pa
'on constate l'absence des faisceaux pyrami- daux, les cellules des cornes antérieures, examinées d'après Nissl, se trouve
es cordons postérieurs; sa forme et son volume sont variables ; les cornes postérieures sont dans certains endroits compri
dans certains endroits comprimées et écartées; la commissure et les cornes antérieures sont fortement comprimées et refoul
t comprimées et refoulées en avant (au niveau d'un seul segment, la corne antérieure est même entièrement détruite 346
maladie de Parkinson. Les auteurs ont trouvé dans les cellules des cornes antérieures de la moelle d'un malade atteint de
erveux des cobayes. En effet : 1° c'est avant tout les cellules des cornes antérieures de la moelle qu'attaque, et d'une m
bsolue des fais- ceaux pyramidaux dans la moelle, avec atrophie des cornes anté- rieures. Microscopiquement, les cellules
cornes anté- rieures. Microscopiquement, les cellules motrices des cornes antérieures de la muselle sont défigurées, d'as
du faisceau pyramidal consécutive à une affection des cellules des cornes antérieures; quant au tabès spasmodique, lorsque
eau consécutive une altération légère ou passagère des cellules des cornes antérieures. Dans le domaine sensitif, on tient
s cellules des ganglions spinaux et les cellules radiculaires de la corne antérieure ont toujours été trouvées intactes.
grité de sa partie postérieure en con- nexion avec les cellules des cornes postérieures. Cette partie posté- rieure que M.
océdé de Nissl au bleu de méthyle (1894 et 1893), de la cellule des cornes antérieures à type somatostichochrome, chez le
ssaires. P. Keraval. LXIII. De l'aspect des cellules motrices DE la corne antérieure DE la MOELLE A la suite DU repos ET
rieur du coté opposé et. s'y place dans le voisinage immédiat de la corne antérieure droite. Ce faisceau du cordon aiitéi
emière racine dorsale Il semble que ses fibres se terminent dans la corne anté- rieure voisine. 11 existe encore une faib
la zone limitée par une ligne tirée de dehors en avant au droit des cornes latérales; or, au niveau de l'entrecroisement,
Trousseau médian des - de la moelle, par de Becti- tercez,'498. Cornes .1\TLIiILLf7ES. Chromatolyse dans les - après l
18 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
xe gris de la moelle dans la poliomyélite antérieure chronique. Les cornes antérieures de la substance grise ont leur form
ces n'ont pas eu un retentissement appréciable sur les cellules des cornes antérieures de la moelle. En passant à l'examen
dans la moelle diminution numérique des cel- lules radiculaires des cornes antérieures et sclérose des cordons postérieurs
omitantes (sclérose des cordons postérieurs, atrophie partielle des cornes antérieures) semblent à cet auteur devoir être
.une sclérose des cordons latéraux et postérieurs, une atrophie des cornes antérieures. des racines postérieures intactes
re des lésions multiples : disparition partielle des cel- lules des cornes antérieures, dégénérescence des cordons postérieu
eaux encore dans le liquide de iNüller, noter la forte atrophie de la corne antérieure gauche et du cordon antéro-latéral g
une atrophie plus ou moins forte suivant les divers segments, de la corne antérieure gau- che, du cordon antéro-latéral d
légère diminution de volume du cordon postérieur et de la base de la corne postérieure gauche. Sur des préparations au W
postérieure gauche. Sur des préparations au Weigert et au Pal la corne antérieure gauche paraît en totalité plus faibl
e que la droite ; mais la décoloration frappe surtout la tête de la corne , qui sur des coupes au Gieson et à l'éosine tranc
sur des coupes au Gieson et à l'éosine tranche avec le reste de la corne par la coloration plus foncée qu'elle prend. Mi
egments précités il existe, dans la moitié externe de la tête de la corne antérieure gauche, un gros foyer ty- pique de p
4,L 5, L 4, L 3 et s'accompagne d'uue forte atrophie massive de la corne antérieure, réduite à la moitié de son volume (PI
ent dit les fibres nerveuses constituant le réseau myélinique de la corne sont extrêmement raréfiées ; celles qui persis-
tits vaisseaux situés tant au sein du foyer que dans le reste de la corne antérieure ont des parois épaissies et sont très
s et sont très apparents. Les grosses cellules ganglionnaires de la corne antérieure ont presque com- plètement disparu ;
rieur, bien qu'il existe ici encore une très forte atro- phie de la corne antérieure et du cordon antéro-latéral gauches, l
me du foyer et à la périphérie, surtout à l'angle antéro-internede la corne , quelques cellules encore assez bien conservées
ments dont il est question (S 2, S 1 ; L 5, L 4, L 3) la base de la corne antérieure, où il n'existe pas de foyer poliomyél
s réflexes qui la traversent sont moins nom- breuses. La base de la corne postérieure gauche présente une légère diminution
l y a encore une légère asymétrie de la moelle par l'atrophie de la corne et du cordon antéro-latéral gauche.Bien qu'il n'e
et du cordon antéro-latéral gauche.Bien qu'il n'existe pas dans la corne antérieure de foyer proprement dit,on y retrouve
E ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE 129 tout à la partie médiale de la corne on observe quelques cellules d'aspect nor- mal.
- nières contiennent de nombreuses fibres saines. A noter dans la corne droite, au niveau de L 4, deux petits foyers occu
occupant respectivement les angles antéro et postéro-externes de la corne ,avec raréfaction forte du réseau myélinique, hy
au- che, font qu'à ce niveau la différence de volume entre les deux cornes n'est pas aussi frappante qu'elle l'est dans L
ornes n'est pas aussi frappante qu'elle l'est dans L 5 et L 3 où la corne droite est indemme d'al- térations. La racine a
Dans la région dorso-cervicale de la moelle il n'existe ni dans la corne gau- che, ni dans la droite, de foyers de polio
che, ni dans la droite, de foyers de poliomyélite (PI. XXVIII). La corne gauche cependant semble, dans la région dorsale
nsignifiante. De même il semble qu'à ce ni- veau les cellules de la corne gauche soient un peu moins nombreuses que dans
lules de la corne gauche soient un peu moins nombreuses que dans la corne droite. Le réseau myélinique de la corne gauche n
ins nombreuses que dans la corne droite. Le réseau myélinique de la corne gauche n'est cependant pas raréfié, n'existe pa
e poliomyélite ancienne occupant la moitié externe de la tète de la corne antérieure gauche et s'é- tendant du 2e segment
l s'agissait d'une inflammation primitive des cellules motrices des cornes antérieures, - d'un processus inflammatoire aig
et primitive de la substance grise de la corticalité motrice ou des cornes antérieures de la moelle, comme le croyait Strü
tématisée et localisée à la subs- tance grise motrice, mais que les cornes postérieures, la colonne de Clarhe, la substanc
yers. Si cette myélite atteint de préférence la substance grise des cornes antérieures, elle peut aussi porter sur les cor
stance grise des cornes antérieures, elle peut aussi porter sur les cornes postérieures, sur la substance blanche de la moel
lutions frontales et l'insula. Foyer ancien de poliomyélite dans la corne antérieure gauche du 3e segment lombaire. On vo
hiques osseux, musculaires et conjonctifs à la suite de lésions des cornes antérieures ou de leur voisinage immédiat,plaide
Aucune lésion interstitielle dans le pyramidal direct gauche. Les cornes antérieures de la rnoelle ne présentent pas de di
myélinique est également riche en fibres. Les cellules enfin des cornes antérieures, sur des coupes colorées au van Gie
nales de l'artère cérébrale postérieure (un foyer à l'extrémité de la corne sphénoïdale,un deuxième au sommet du lobe occip
e P. Marie) et les parties des cordons posté- rieurs adjacentes aux cornes postérieures sont respectés. Les cordons pos- t
etits foyers hémorragiques dans la substance même. Les cellules des cornes antérieures présentent les altérations suivante
érieure on voit une destruction presque complète des cordons et des cornes postérieures, des faisceaux cérébelleux et pyra
les territoires nécrosés, causa ces nécroses cunéiformes. Dans les cornes postérieures on voit une déformation due au ram
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 213 3 la coupe des altérations profondes, des cornes antérieures à l'excepton des commissures et d'u
cocytes, des petits foyers d'hémorragie. Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont troubles, leurs noyaux sont pâle
deslrui tion et la grande nécrose qui a atteint les cordons et les cornes posteriez res aussi bien que les cordons latéra
stance blanche des cordons fondamentaux antéro- latéraux autour des cornes antérieures est seulement respectée. Les lésions
ue, etc.). Dans la moelle, la lésion paraît atteindre avant tout la corne postérieure (troubles des sensibilités superfic
irrités (paraplégie spasmodique avec signe de Babinski), enfin, la corne antérieure à la ré- gion cervicale paraît légèr
de, car elle garantit la nu- trition de l'organe. Ventricules. La corne occipitale droite après avoir formé un petit dive
sphérique. Comme je l'ai toujours constaté en pareil cas, ce sont les cornes occipitales et frontales qui sont le plus dilat
droite qu'à gauche ; on a pu faire le dénombrement des cellules des cornes antérieures et, sur toutes les pré- parations,
ions, il y a une diminution notable du nombre de ces éléments de la corne du côté droit : ainsi, dès le quart inférieur du
ourdon montrent une atrophie por- tant à peu près uniquement sur la corne antérieure et la corne postérieure du côté de l
ophie por- tant à peu près uniquement sur la corne antérieure et la corne postérieure du côté de l'hémimélie. Les cordons
ante, surtout quand on considère à un faible grossissement les deux cornes antérieures. La corne antérieure du côté amputé
considère à un faible grossissement les deux cornes antérieures. La corne antérieure du côté amputé est d'un quart plus p
a corne antérieure du côté amputé est d'un quart plus petite que la corne du côté sain. Peut-être les cellules sont-elles
fente mince, plus large en avant qu'en arrière, et contenue dans la corne postérieure droite. Sa paroi paraît être consti
nt plus développée prend la forme d'un croissant qui suit l'axe des cornes postérieures en passant derrière l'épen- dyme ;
ostérieures en passant derrière l'épen- dyme ; elle occupe toute la corne postérieure gauche et la corne postérieure droi
l'épen- dyme ; elle occupe toute la corne postérieure gauche et la corne postérieure droite jusqu'à l'union du tiers pos
e est dans son ensemble aplatie dans le sens antéro-postérieur, les cornes antérieu- res sont étalées. Plus bas, la cavi
la même forme et les mêmes rap- ports occupe toute la longueur des cornes postérieures qu'en s'élargissant, elle envahit
male à la moelle cervicale jus- qu'au niveau du IVe segment. Là, la corne postérieure droite a en partie disparu; plus ba
la corne postérieure droite a en partie disparu; plus bas, les deux cornes sont atteintes par le processus cavitaire; à ce n
permet de constater quelques altérations minimes des cel- lules des cornes antérieures et la méthode de Weigert fait voir qu
llules. Dans les segments cervicaux inférieurs (VI,VII et VIII), la corne antérieure droite a presque complètement dispar
antérieure droite a presque complètement disparu, plus bas les deux cornes sont indis- tinctes, envahies qu'elles sont par
r la gliose juxta-cavitaire. Dans la moelle dorsale inférieure, les cornes postérieures réapparaissent normales ; à ce niv
les cornes postérieures réapparaissent normales ; à ce niveau, les cornes antérieures sont reconstituées, mais elles res-
sions nerveuses périphériques et de la destruction des cellules des cornes antérieures ; il serait facile également de super
ement la thermo-anesthésie du membre supérieur à la destruction des cornes postérieures par la gliose ; mais nous ne voulo
sous forme d'une fente au niveau de la III" cervicale, occupant la corne postérieure gauche. Dans les régions sous-jacente
eure gauche. Dans les régions sous-jacentes la cavité dé- truit les cornes postérieures et en partie les cornes antérieures.
centes la cavité dé- truit les cornes postérieures et en partie les cornes antérieures. La cavité disparaît au niveau de l
e poursuivent jusque dans la région dor- sale. Les cellules de la corne du côté de l'hémimélie sont de dimensions et de
19 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
moelle, les raci- nes antérieures, les cordons antéro-latéraux, les cornes antérieures sont abso- lument intacts. La pie-m
Gombault et Philippe est conservé, ainsi que la zone qui limite la corne posté- Nouv. Iconographie DE la S,LPÉrRIÈRE, T.
cornu-commissural, le champ postéro-externe, la zone limitante de la corne postérieure sont conservés. MASSON & Cie,
mps postérieurs conservés : zone cornu-commissurale, zone limitante corne postérieure, champ postéro-externe. B. (Méthode
es racines (Westphal) comptise entre la substance gélatineuse de la corne postérieure, la périphérie de la moelle, et une l
ées au niveau des cordons postérieurs. Peu de fibres sillonnent les cornes postérieures. (Pl. X, A.) 2° Région sacrée supé
s postérieures pénètrent dans les cordons postérieurs. La coupe des cornes postérieures montre également plus de fibres dans
ation habituelle, le champ postéro-externe, la zone limitante de la corne postérieure. Entre ces différentes . zones, à l
térieurs conservés : zone cornu-commis- surale,zone limitante de la corne postérieure, champ postéro-externe. Le ter- rit
on les voit se conti- nuer manifestement sur la zone qui limite la corne postérieure. Les mêmes champs sont conservés. L
ionnée jus- que-là est à la fois plus discrète et plus éloignée des cornes . Restent conservés : la zone cornu-commissurale
ent conservés : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure qu'on voit encore se continuer avec
sont faiblement sclérosées. Dans la 90 o CE. ACIIARD ET L. LÉ VI corne postérieure, les fibres du faisceau réfléxo-moteu
isceau réfléxo-moteur, ainsi que les collaté- rales du centre de la corne sont à peu près intactes. (Pl. XI, C.) 7° Régio
rouve intacts : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure, le champ postéro-interne. (PI. XII,
érie de la moelle ; elle en est séparée par la zone limitante de la corne postérieure. Restent intactes encore la zone corn
les, cordons postérieurs et se continuer avec la zone limitante de la corne postérieure. (Pl. XII, C.) , En. résumé, il s
nt conservées : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure, le champ postéro-externe. li. (Mét
sclérose nette du faisceau py- ramidal direct. Les cellules de la corne antérieure sont normales. Les cellules de la co
les fibres qui d'ordinaire viennent du cordon latéral, à travers la corne antérieure manquent, le canal cen- tral n'est p
tout il existe une différence très marquée entre les cellules de la corne antérieure et entre les cellules des cordons de
grandeur normale et à contours réguliers. Quant aux cellules de la corne antérieure, elle diffèrent de beaucoup des celull
a cellule n'apparaît pas toute noire et Fie. 3 et 4. Cellules de la corne antérieure (cas 111). Le noyau est entouré d'un
ppement que leur donnait le cerveau,se sont FiG. 5. - Cellule de la corne antérieure (cas II). Grandes vacuoles sur la péri
cée la substance chromatique commence aussi Fig. 6. - Cellule de la corne antérieure d'un embryon de 12 centimètres de lo
duquel on ne distingue pas de protoplasma. Fia. 7. Cellule de la corne antérieure d'un embryon de 16 centimètres de lo
qui se développe d'un seul côté du noyau. FiG. 8. - Cellule de la corne antérieure d'un embryon de 16 centimètres delon
e l'autre. Pourtant vers la fin de Fio. 9, 10 et 11. Cellules de la corne antérieure d'un embryon de 4 à 5 mois ; grandes
grandes vacuoles, aspect spongieux. Fm. 12 et 13. - Cellules de la corne antérieure d'un embryon de 6 mois, avec grandes
assez bien développé, il n'a pas encore influé sur les cellules des cornes antérieures; le contact n'a pas encore eu lieu
la moelle, qui a entraîné l'atrophie des cellules trophiques de la corne correspondant au membre frappé. D'autre part, l
ysie infantile (région cervic.ile). Foyer de sclérose au niveau de la corne gauche. 2. Moelle dans le cas J'atrophie simple
t l'objet de ce mémoire (région lombaire). Diminution notable de la corne droite par rapport à sa congénère. L'apparence
baire inférieure). On voit un loyer de sclérose très étendu dans la corne gauche, plus discret d-uu la corne droite. MASS
de sclérose très étendu dans la corne gauche, plus discret d-uu la corne droite. MASSON & C'e, Editeurs. ATROPHIE
nifeste, comme les autres méthodes, la di- minution de volume de la corne antérieure du côté correspondant au membre atro
o-carmin en masse. La différence entre le nombre des cellules d'une corne à l'autre est suffisamment marquée pour qu'elle f
des cellules d'un côté à l'autre sont visibles. 3° lombaire. - La corne gauche est plus étalée et plus renflée surtout da
partie externe. Au lieu que du côté droit la limite antérieure de la corne se traduit par une ligne sensiblement horizonta
e considérable de tout le côté droit de la moelle, mais surtout de la corne antérieure. Il y a, à ce niveau, une différence
érieure. Il y a, à ce niveau, une différence de 24 cellules entre les cornes . Réduction de 1/2. 268 ACHARD ET LÉOPOLD-LÉVI
fait¡compter 23 cellules à gauche, 14 à droite. 4° lombaire. Les cornes ont subi un accroissement considérable, sont de-
ues très volumineuses. On note une différence très accentuée entre la corne droite et la corne gauche. On compte 41 cellu
. On note une différence très accentuée entre la corne droite et la corne gauche. On compte 41 cellules du côté sain cont
1 cellules du côté sain contre 26 du côté atrophié. 5e lombaire. La corne gauche est plus renflée, absolument arrondie. L
a forme arrondie est conservée il droite, mais les dimensions de la corne sont moindres. On peut d'une façon approximative
çon approximative apprécier à un quart la différence entre les deux cornes . La corne gauche renferme 89 cellules, la corne
mative apprécier à un quart la différence entre les deux cornes. La corne gauche renferme 89 cellules, la corne droite 75
nce entre les deux cornes. La corne gauche renferme 89 cellules, la corne droite 75. 9e sacrée. Diminution de tous les gr
nterne. A gauche 92 cellules, 72 cellules à droite. 2° sacrée. La corne gauche est arrondie, la corne droite est quadrila
, 72 cellules à droite. 2° sacrée. La corne gauche est arrondie, la corne droite est quadrilatère, aplatie. La limite ant
à droite. 38 sacrée. - La moelle est beaucoup moins volumineuse. La corne saine est renflée, globuleuse. La corne atrophi
ucoup moins volumineuse. La corne saine est renflée, globuleuse. La corne atrophiée est moins développée, surtout dans sa
trophiée est moins développée, surtout dans sa partie externe. La corne gauche renferme 83 cellules, la corne droite 52.
dans sa partie externe. La corne gauche renferme 83 cellules, la corne droite 52. Pour le groupe antéro-externe, on co
Mais il est il remarquer que, du côté droit, la limite externe de la corne est représentée par une ligne droite qui unit l
xterne de la corne est représentée par une ligne droite qui unit la corne antérieure la postérieure. Il y a donc aplatiss
ostérieure. Il y a donc aplatissement manifeste. Du côté opposé, la corne antérieure limitée par une ligne courbe fait sa
, elles ne montrent point de différence appréciable au niveau de la corne atrophiée et de la corne saine, ni dans le vo-
de différence appréciable au niveau de la corne atrophiée et de la corne saine, ni dans le vo- lume, ni dans la forme de
du renflement lombaire, ne constata pas de diminution de l'une des cornes antérieures, pas-de sclérose : Il faut, dit-il,
pouvons rappeler que l'atrophie peut porter essentiellement sur la corne antérieure, comme dans les cas d'IIayem et Gilb
xiste un foyerdesclé- rose comprenant toute la partie externe de la corne antérieure. La corne antérieure, considérée en
rose comprenant toute la partie externe de la corne antérieure. La corne antérieure, considérée en totalité, est plus gr
foyer arrondi de sclérose comprenant toute la parlie externe de la corne antérieure. Du côté opposé existe un foyer de scl
on périphérique ou par para- lysie infantile. Atrophie simple de la corne antérieure d'un côté, foyer de sclérose de l'au
faite 33 ans après l'accident. L'auteur signale' une atrophie de la corne antérieure de la moelle et du centre cérébral cor
pliqué sur le squelette. Tous les ans, il lui venait aux talons des cornes comme les éperons du coq ; les incrustations et l
e l'apophyse orbitaire externe ; elle est ronde et a l'aspect d'une corne émoussée; l'autre continue en haut l'apophyse orb
la voie motrice allant de l'écorce cérébrale vers les cellules des cornes antérieures), l'absence du système frontal et t
us les cas précédents, à l'exception du premier, les cellules de la corne antérieure examinées par la méthode de Nissl, pré
oetus humain passent par certains stades de Fig. 3. - Cellule de la corne antérieure de forme irrégulière contenant des v
érine. C'est ainsi que chez un foetus de-'2 mois les cellules de la corne antérieure sont constituées presque uui- quemen
se de vacuoles ; mais si le cerveau est fixé Py. 4. - Cellule de la corne antérieure (Cas V, le cyclope). Fig. 5.- Cellul
de la corne antérieure (Cas V, le cyclope). Fig. 5.- Cellule de la corne antérieure (Cas IL). DES DIFFORMITÉS CONGÉNITAL
leur aspect ordinaire. Selon nous, un tel aspect des cellules de la corne antérieure résulte de l'absence des cellules py
des voies pyramidales ont arrêté le développement des cellules des cornes antérieures. Selon l'é- poque à laquelle commen
'de l'écorce cérébrale et les dendrites des cellules motrices de la corne antérieure. Voilà pourquoi, dans- ce cas, on ne p
on ne peut noter qu'une diminution de la quantité des cellules des cornes antérieures sans modification de leur aspect ex
ement, à savoir que le développe- ment des cellules nerveuses de la corne antérieure de la moelle épinière dépend de l'in
fois la cyclopie. V. Dans toutes ces difformités les cellules des cornes antérieures restent à un stade de développement
20 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pariéto-occipitale. La pièce enlevée comprenait l'ex- trémité de la corne postérieure du ventricule latéral qui se trou-
tétteure (giandeur naturelle). 'te' commi"sul'c antérieure. - c.-1, corne ul'.lmmon - cl. avant-mur. - cq, coips q,1(ii-i
mblable à celui qu'a décrit DrescIlfeld ; atrophie des cellules des cornes antérieures ; concrétions amyloides disséminées
, Hallopeau, J. Renaut publièrent des observations où la lésion des cornes antérieures semblait assez caractéristique (quo
Dans un cas d'OEttinger 1, la lésion vacuolaire des cellules de la corne antérieure était très prononcée. Dans deux obse
t l'action trophique permanente des grandes cellules motrices des cornes antérieures sur les fibres nerveuses, auxquelles
tain nombre de cas, 180 1 CLINIQUE NERVEUSE. que les cellules des cornes antérieures ont subi des altérations profondes.
et il a constaté l'existence de lésions très caractérisées dans les cornes antérieures. J'ai aussi, pour ma part, étudié d
où quelques sujets sont porteurs de lésions bien caractérisées des cornes anté- rieures, les autres sont également porteu
r l'un ou l'autre des nom- breux histologistes qui ont écrit sur la corne d'Am- mon, le corps godronné et la circonvoluti
upe transversale de la région, au niveau de la partie moyenne de la corne d'Am- mon, et intéressant le corps bordant, le
a lame grise du lobule de l'hippocampe se continue avec celle de la corne d'Ammon de façon à former une gouttière concave
ochet donne naissance à une lame qui va s'étaler sur l'écorce de la corne d'Ammon, après avoir fourni le corps bordant. F
es en sens contraire, l'une en dehors dans la substance grise de la corne d'Ammon; l'autre en dedans sur la face supérieu
e mentionne une lamelle triangulaire, située dans l'épaisseur de la corne d'Ammon, à base dirigée en DE L'APPAREIL NERVEU
r le tissu gris de la circonvolution, sé- pare, peut-être ? dans la corne d'Ammon, ce qui ap- partient à la formation god
ap- partient à la formation godronnée de ce qui appar- tient à la corne d'Ammon. Cette description ne concordera probab
lle des histologistes. Nous avons donc dans le sillon qui sépare la corne d'Ammon du lobule hippocampique, une circonvolu
x qui vont se mêler à ceux émanés du prolongement de l'écorce de la corne d'Ammon et dont je viens de parler, pour former
onnée constitue à elle seule le centre cortical de l'olfaction ? La corne d'Ammon et le lobule de l'hippo- campe, la circ
a circonvolution godronnée empiétant un peu dans la 196 ANATOMIE. corne d'Ammon par sa couche granulée me semble suffire
istes ont une grande tendance à localiser l'olfaction du côté de la corne d'Ammon, dans la région de cette circonvolution
es. Centre olfactif cortical. TREVI- RANUS, d'après Pressât '. « La corne d'Ammon est en relation intime avec les corps o
et de l'absence ou d'un développement incomplet de la voûte et des cornes d'Ammon. Ce fait est donc favorable à l'opinion
favorable à l'opinion de Treviranus, qui pense que la voûte et les cornes d'Ammon sont en rapport immédiat avec les nerfs
S. « Proportionnellement aux parties voi- sines des hémisphères, la corne d'Ammon est beaucoup plus grosse chez les marsu
les rongeurs, la portion réfléchie de l'hémisphère qui constitue la corne d'Ammon est presque aussi considérable que l'hé
, et l'on voit de la manière la plus manifeste les connexions de la corne d'Am- mon avec la voûte à trois pilliers. Il es
vec la voûte à trois pilliers. Il est bien évident que la voûte, la corne d'Ammon et le corps bordé ne forment qu'un seul
expé- riences de Fermer, que le centre de l'olfaction est dans la corne d'Ammon ou dans une région avoisinante. FERRÉ.
tte tendance qu'ont de nombreux auteurs à voir dans la région de la corne d'Ammon un centre olfactif, rien n'est encore p
roca; et l'on revient à tourner les yeux du côté de la région de la corne d'Ammon. MATHIAS DUVAL (Al'chiveg de Neul'ologi
e XVI « l'origine de la portion grise et interne ou godronnée de la corne d'Am- mon... Cette disposition est très importa
es en général, dans lesquels cette portion grise ou corticale de la corne d'Ammon est d'un grand volume et se montre sous
szibstantia reticularis alba) et entrer en connexion intime avec la corne d'Ammon ». MEYNERT, d'après F. Frank. « Les ner
entre l'extrémité antérieure de la circonvolution de l'ourlet et la corne d'Ammon, ce qui revient à dire que les nerfs de
points d'implantation cérébraux des deux racines olfactive externe ( corne d'Ammon) et olfactive interne (partie frontale
r l'intermédiaire de ceux-ci, la met- tent en communication avec la corne d'Ammon. D'après un passage de Huguenin, il sem
ntale, en arrière vers la région de l'hippocampe, en dedans vers la corne d'Ammon. » Il comprend ainsi dans sa sphère aud
monte jusqu'au noyau latéral qui est en haut la continuation de la corne latérale de la moelle cervicale, aussi appelée
inuation de la corne latérale de la moelle cervicale, aussi appelée corne viscérale. Le trajet plus élevé de ce cordon es
lte portion du cordon latéral situé dans l'angle formé par les deux cornes anté- rieure et postérieure (fig. 25), il y ava
iquement groupées. Puis, les cellules qui constituent le résidu des cornes grises antérieures deviennent de plus en plus r
. Il n'y a du reste pas d'interruption entre la substance grise des cornes antérieures représentée par les cel- lules et c
oglosse, de sorte qu'on est en droit d'affirmer la continuité de la corne antérieure avec le spinal tout au voisinage de
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. antérieure de la tête des cornes postérieures, au milieu de la région moins tass
dante) due à la dégénérescence primitive des cellules nerveuses des cornes antérieures. La dégéné- rescence des cellules d
s gros troncs nerveux et des racines spinales antérieures. Dans les cornes antérieures de la moelle thoracique moyenne et
ellules de petite dimension dont le nombre était égal dans les deux cornes ; quelques-unes de ces petites cellules étaient
ification morphologique des cellules que l'on observe dans les deux cornes antérieures; du reste, tout le monde sait qu'on
pyramidal seulement. Dans la moelle épinière, la configuration des cornes grises paraît très régulière; de même, rien d'a
scléroses descendantes, était toujours provoquée par l'atrophie des cornes antérieures. Cette manière de voir a perdu sa s
que l'atrophie musculaire de cause cérébrale est possible avec des cornes antérieures intactes. Dans une observation de B
tique, la théorie de la modification fonctionnelle des cellules des cornes antérieures (Vulpian), celle des centres trophiqu
soigneuse a montré que dans tous les cas la région de l'hippocampe ( corne d'Ammon et circonvolution de l'hippo- campe) ét
le lobe occipital et dirigé en bas et en avant suivant le trajet de corne descendante du ventricule latéral. De cette maniè
térieure - Fcl, colonne du trigone. - Fer, croit du trigone. - CAm, corne d'Ammon. - z Tf. tubercule du fascia denlata. -
développement des sens de l'odorat et largeur de l'hippocampe ou la corne d'Ainmon. Il soutient que chez le dauphin la co
hippocampe ou la corne d'Ainmon. Il soutient que chez le dauphin la corne d'Ammon est réduite à une portion insignifiante
pas du tout l'hippocampe, mais simplement une proéminence, dans la corne descendante du ventricule latéral, correspondan
e qui suit : « Je vous décrirai une dissection que j'ai faite de la corne des- cendante du ventricule latéral d'un cervea
s- cendante du ventricule latéral d'un cerveau de marsouiu. Cette corne se continue avec l'extrémité postérieure des corp
me le toenia de l'hippocampe. Le plcnus choroïde se plaçait dans la corne descendante immédiate- ment à la partie interne
irconvolutions de l'hippocampe ainsi que l'ablation partielle de la corne dAmmon produisent des troubles de l'olfaction,
parties terminales. Cette irritation se transmet aux cellules de la corne antérieure de la moelle et détermine ainsi un c
VANTES. de la modification anatomique ou dynamique des cellules des cornes antérieures n'expliquent pas complètement la pa
21 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
sie ou atrophie musculaire, produits par une lésion localisée de la corne antérieure, affectent-ils une disposition segme
la suite de la section de son cylindraxe,la cellule nerveuse de la corne antérieure peut présenter pendant quelques jours
chaque muscle doit avoir son noyau d'innerva- tion distinct dans la corne antérieure (Sano, Les localisations des fonctions
ition des troubles moteurs consécutifs à une lésion localisée de la corne antérieure. En réalité, le problème à résoudre se
ion des troubles moteurs consécutifs à des lésions pri- mitives des cornes antérieures et essayer de leur superposer les alt
musculaires; enfin, à leur période initiale, les altérations de la corne antérieure sont difficiles à constater, de telle
ns les cas de troubles moteurs relevant des lésions cellulaires des cornes antérieures à processus lent et chronique ; dan
it s'appliquer aux troubles de la motilité : la substance grise de la corne antérieure est loin de la périphérie de la moel
ettre cette disposition uniquement sur le compte de la lésion de la corne antérieure. Nous croyons utile de résumer ici l
est caractérisée par des foyers de myélite destructive de la seule corne antérieure. Au point de vue histologique, ils p
tribution également segmentaire de la motilité par altération de la corne antérieure. Dès lors apparaît l'intérêt de l'ét
ve dans le type radiculaire supérieur. Une lésion loca- lisée de la corne antérieure, un foyer de poliomyélite infantile, a
ition des troubles moteurs périphériques causés par les lésions des cornes an- térieures ? Nous avons dit nos réserves sur
re, car les racines antérieures paraissent sortir directement de la corne antérieure. Cependant il était intéressant de mon
l et physiolo- gique, cette étude des groupements cellulaires de la corne antérieure ne 26 , CESTAN ET HUET soit pas de
mentaire. Nous avons montré que deux lésions très différentes de la corne antérieure, syringomyélie et po- liomyélite inf
'ancienne conception des zones motricesde l'écorce, motrice comme les cornes antérieures de la moelle, a aujourd'hui vécu. E
araissent provenir par un trajet direct des cellules motrices de la corne antérieure; la clinique a montré à M. Dejerine
qui contient ce récit a pour titre : C'est la branche de Renart si corne ilfu mires (médecin). Venez vite à mon aide, di
nifique miniature du Livre d'heures d'Anne de Bretagne, consacrée à saint Corne et à saint Damien (PI. XX). Nous avons vu Bicci d
ec leurs costumes et les accessoires véridiques de la profession. Saint Corne coiffé d'une calotte rouge est vêtu d'une longue
sure calcarine. Quant aux fibres blanches qui limitent en dehors la corne occipitale du ventricule (celles qu'on appelle
calcarine, en plein foyer de ramollissement. En dehors du foyer, la corne postérieure du ventricule latéral se prolonge sou
ttales de l'hémisphère droit pratiquées en dehors des précédentes. La corne occipitale du ventricule latéral a été largemen
iser le siège du processus pathologique dans la substance grise des cornes antérieures de la moelle. C'est là, en effet, d'a
nous porteraient plutôt à mettre en cause les cellules motrices des cornes antérieures. Quant aux relations possibles de n
es postérieures et les nerfs cuta- nés ; toutefois les cellules des cornes antérieures restent saines alors que les nerfs
Reil 1 parle corps juxtaolivaire interne; elles s'appliquent sur la corne anté- rieure qu'elles coiffent. Plus bas elles
sparaît; elles descendent dans la moelle en s'écartant un peu de la corne antérieure et forment une virgule dont la tête s'
PECT DES PROLONGEMENTS PROTOPLASMIQUES DES CELLULES NERVEUSES DES CORNES ANTÉRIEURE ET POSTÉRIEURE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
elle épinière, mais encore des coupes longitudinales, détachant les cornes postérieures des cornes antérieures à l'aide d'un
re des coupes longitudinales, détachant les cornes postérieures des cornes antérieures à l'aide d'une coupe, passant appro
ct des prolonge- ments protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure et de la corne antérieure de la moe
oplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure et de la corne antérieure de la moelle épinière chez des enfants
orceau de la moelle épinière a été pris six heures après la mort. Cornes antérieures. - Dans la région de la corne antérie
heures après la mort. Cornes antérieures. - Dans la région de la corne antérieure a été ob- tenue l'imprégnation d'une
nts, apparaissent moins réguliers. Les dendrites des cellules de la corne antérieure ont peu d'appendices collatéraux. Ces
ir sur le trajet des dendrites des saillies en formes de verrues. Cornes postérieures. - Les prolongements protoplasmiques
ifférentd'une manièreassez sensibledes dendrites des cellules de la corne antérieure ; tout d'abord ici les dendrites de
collatéraux et les rejetons, certaines dendrites des cellules de la corne antérieure laissent échapper des ramifications
la substance blanche. Les contours des dendrites des cellules de la corne postérieure sont moins réguliers (voy. fig. 4).
ariables. Il faut encore noter que les dendrites des cellules de la corne postérieure sont plus courtes et se rami- fient
2 jours. Poids 2.900 gram- mes. Autopsie 32 heures après la mort. Cornes antérieures. --Sur nos préparations on rencontre
on rencontre un nombre insignifiant de cellules multipolaires de la corne antérieure avec un corps cellulaire imprégné ;
ès fins et tortueux. Les contours des dendri tes des cellules de la corne antérieure en commun seprésentent, commeil est di
ôt pl uscourt, tantôt plus long et ordinairement épaissi au bout. Cornes postérieures. - Les prolongements protoplasmiques
s. - Les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure, outre qu'ils sont comparativement pl
bservé une cellule nerveuse, située dans la sub- stance grise de la corne postérieure, avec des dendrites courtes, ayant de
24 heures après la mort. Fig. 7. 536 SOUIOEANOFI' ET CZARNIECK Cornes antérieures. La quantité des corps cellulaires im
ncule fin avec un épaississement sphérique au bout (voy. fig. 8). Cornes postérieures. - Ici on rencontre assez souvent de
pect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne antérieure et de la corne postérieure ; dans les
toplasmiques des cellules nerveuses de la corne antérieure et de la corne postérieure ; dans les cornes anté- rieures, da
veuses de la corne antérieure et de la corne postérieure ; dans les cornes anté- rieures, dans tous nos cas les dendrites
nes, plus longs et très pauvres en appendices collatéraux; dans les cornes postérieures, les den- drites sont courtes, plu
eux qu'une seule dendrite permet de dire si l'on est en présence de cornes antérieures ou de cornes postérieures. Pourtant,
permet de dire si l'on est en présence de cornes antérieures ou de cornes postérieures. Pourtant, il nous faut dire que d
ou de cornes postérieures. Pourtant, il nous faut dire que dans les cornes postérieures on rencontre parfois des dendrites
ollatéraux, appartiennent aux cellules menues, peu nombreuses de la corne postérieure, avec des prolongements courts; mai
d'une fois que le prolon- gement protoplasmique de la cellule de la corne postérieure, richement couvert d'appendices col
onné dans l'un de nos ouvrages précédents. L'une des cellules de la corne postérieure, dont les dendrites étaient tout à fa
pendices collatéraux. Ensuite, sur les dendrites des cellules de la corne postérieure, outre les appendices collatéraux,
xv 35 538 SOUKLIANOFF ET CZARNIECK des cellules nerveuses de la corne postérieure ; on n'en voit pas sur les prolonge
olongements protoplasmiques spinaux, il faut remarquer que dans les cornes antérieures on rencontre parfois des ramificati
ez rarement aussi, on observe sur quelques-unes des dendrites de la corne postérieure un état monili(01'1ne. Bien plus souv
des ramifications protoplasmiques terminales, par exemple dans les cornes antérieures, des épaississements à forme irréguli
rvé une dif- férence très marquée dans l'aspect des dendrites de la corne antérieure et de la corne postérieure; là il y
marquée dans l'aspect des dendrites de la corne antérieure et de la corne postérieure; là il y avait aussi approximativemen
es cellules de Pur- kinje, du cervelet, la plupart des cellules des cornes postérieures de la moelle épinière; quant aux c
s cornes postérieures de la moelle épinière; quant aux cellules des cornes antérieures de la moelle épinières, elles possè
, de Martinet ti, de Cajal. Il est intéressant que les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière, possédant de
rone sensitif. Des prolongements protoplasmiques des cellules de la corne postérieure de la moelle épinière sont, en somm
entricules latéraux apparurent quelque peu dilatés, le sommet de la corne antérieure étant élargi et arrondi et la cavité d
pl. en pliotocollogr.), par Brissaud, 281. Cellule* nerveuses des cornes de la moelle épinière chez les nouveau nés (Les
Les prolonge- ments protoplasmiques des cellules ner- veuses des cornes de la moelle épinière chez les nouveau-nés (8 f
KHAXOKF et Czpnwccx. Prolongements protoplasmiques des cellules des cornes de la moelle chez les nouveau-nés (8 tig.), 5
22 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
tré- mité postérieure et le bord inférieur du putamen, contourne la corne sphénoï- dale et atteint la partie externe du n
t de la couche optique et desti- nées à la sphère olfactive et à la corne d'Ammon, ainsi que de fibres ayant leur origine
e fusiforme et dans la circonvolution de l'hippocampe, même dans la corne d'Ammon. Au niveau du pôle temporal d'autres fi
suite d'une lésion occipitale située à l'angle inféro-interne de la corne occipitale et sectionnant les couches sagittale
façon et cela jusque dans les centres nerveux, par exemple dans la corne antérieure de la moelle, où les cellules, parfait
rnière coupe (Planche XXXII, 13), prise au niveau de la pointe delà corne occipitale, est privée elle aussi de couches sagi
AISCEAU OPTIQUE CENTRAL 203 externe de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, où elles se Confondent plus ou moi
é de cela, nous admettons parfaitement qu'il y ait au-dessous de la corne occipitale, de nombreuses fibres d'association pl
t au faisceau de Wernicke, contournent l'angle inféro-externe de la corne occipitale et s'irradient dans le lobule fusifo
du carrefour ventriculaire, de cette partie du lobe temporal où la corne sphénoïdale atteint ses plus grandes dimensions,
prennent ses fibres avant de se réunir au-dessous et en dehors delà corne sphènoïdale du ventricule latéral, nous ne revi
occipital se complique plus que jamais. Dans le lobe occipital, la corne ventriculaire est petite, il n'existe pas de com-
rmé dès qu'il existe de la dilatation ventriculaire au niveau de la corne occipitale. Les faisceaux de Sachs et de Vialet
nvolution de l'hippocampe et la cloison ventriculaire qui sépare la corne d'Ammon de cette même circonvolution. Les fibre
n de Rolando),de l'existence de circonvolutions d'ordre particulier( corne d'Ammon et insula de Reil), l'aspect de l'hémis
ique, s'est opéré le rétrécissement de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, la substance profonde occupe un te
récédemment t sont de nature pathologique. D'autre part, dans les cornes de la moelle, j'ai décrit des massues qui ont m
qui terminent des fibres fines ou moyennes du réticulum nerveux des cornes antérieures et postérieures. Leur volume est in
ent particulièrement le long du bord antérieur de la 230 NAGEOTTE corne antérieure, ou elles se rassemblent en amas de 20
semblent en amas de 20 à 30, et aussi le long du bord interne de la corne postérieure. Dans l'observation IV ces formatio
tendent à prouver qu'il s'agit de fibres qui cherchent à sortir des cornes , plutôt que de fibres qui y ont pénétré. Ce son
dans la substance grise de la moelle, et particulièrement' dans les cornes antérieures, au cours de la paralysie gé- néral
cente qui souvent en efface et en dépasse les limites (PI. LX). Les cornes frontales des ventricules sont aplaties, ressembl
n aiguë exercée par la grande hémorrhagie. 5. L'aplatissement des cornes frontales des ventricules latéraux fait entrevo
cation. (t) Coupant actuellement une gomme pariéto-temporale où les cornes occipitales sont en partie soudées, je me réser
cale une sclérose légère touchant le faisceau pyramidal croisé. Les cornes antérieures étaient bien conservées ; on y rema
l nous nous sommes assurés de l'intégrité des cellules motrices des cornes antérieures, chargées seulement de granula- tio
f- fret pour les médicaments plus précieux, poudre de vipères ou de corne . de cerf L'opérateur et l'opéré ne sont pas
naient pour la plupart leur origine dans les petites cellules de la corne latérale. Nous pouvons ajouter aux faits que l'
im- prégnation au chromate d'argent, des fibres qui sortaient de la corne latérale, s'engageaient dans les racines postér
le fibre colorable avec le Weigert ou Weigert-Pal. Les cellules des cornes de la moelle sont présentes. ' Moelle cervicale
e myélinique colorée avec la méthode de Weigert et Weigert-Pal. Les cornes de la substance grise sont encore bien reconnaiss
commissure grise,le cordon de Goll, la zone cornu-commissurale et la corne latérale droite (fig. 3). Au niveau de la, 6°
plaque de sclérose du 6e segment dorsal (fig. 5), les cellules des cornes antérieures sont conservées seulement d'une façon
b. DD. Zeiss. FIG. 12. Augmentation des noyaux de névroglie dans la corne antérieure d'une zone médullaire non transformé
r. Les altérations de la substance grise portent uniquement sur les cornes an- térieures. On constate, sur toute la haut
e, un degré marqué de sclérose névroglique dans toute l'étendue des cornes antérieures (PI. LXIII). Par la méthode de Niss
est absolument intacte. Il n'existe pas de lésions appréciables des cornes postérieures, les collatérales courtes et longues
existait une atrophie numérique, nous avons compté les cellules des cornes antérieures dans chaque étage de la moelle, après
a XII" dorsale, montrant l'atrophie des cellules radiculaires de la corne antérieure en contraste avec l'intégrité des cell
n symétrique et systématique de la moelle épinière, portant sur les cornes antérieures, et caractérisée par l'atrophie à dif
rophie ou disparition de la plupart des cellu- les radiculaires des cornes antérieures dans toute la hauteur de la moelie,
s, avec atrophie des nerfs périphériques, atrophie des cellules des cornes antérieures de la moelle cervicale, dorsale et lo
ns ces cas à marche rapide,il'n'y a aucune lésion inflammatoire des cornes antérieures de la moelle, et qu'il s'agit bien là
postérieurs qui sont moins larges et ont une teinte gris rosé. Les cornes postérieures sont très rapprochées l'une de l'aut
s paraissent plus volumineuses dans leur trajet médullaire entre la corne antérieure et la circonférence de la moelle et le
septum médian. Les zones de Lissauer sont également plus pâles. Les cornes postérieures sont petites et les fibres à myé-
e pâle, il en est de même de la zone de Lissauer (PI. LXXIX A'). La corne postérieure est très réduite et pauvre en fibres
culaire postéro-externe et dans la zone de Lissauer. L'atrophie des cornes postérieures est la même : les fibres collatérale
es fibres sont également mieux conservées sur le bord interne de la corne posté- rieure. Les collatérales réflexes sont r
angle postéro-externe du cordon postérieur. 1 Les diamètres de la corne postérieure sont à peu près revenus à la normale
stérieur est sensiblement réduit dans son diamètre transversal, les cornes postérieures sont rapprochées." Le fais- ceau d
nt beaucoup plus nombreuses que dans les régions sous-jacentes. Les cornes pos- térieures et leur réseau, les colonnes de
rsale ; la zone radiculaire moyenne est toujours la plus prise. Les cornes postérieures sont à peine plus petites qu'à l'éta
ent pâle au niveau de la VIIe racine cervicale (PI. LXXIV A). Les cornes postérieures ont à peu près leurs dimensions habi
la zone la plus prise dans les cordons de Burdach : l'aspect de la corne postérieure et de son réseau, de la zone de Lis
rmées, aplaties, mais c'est à peine si quelques-unes, soit dans les cornes antérieures, soit dans la colonne de Clarke, pr
de la moelle est évident; dans la région cervicale inférieure, les cornes , absolument aplaties d'avant en arrière, surtout
on des gaî- nes de myéline et des cylindres-axes ; les cellules des cornes antérieures, glo- buleuses, sont en état de chr
sis gauche. Histologiquement,dans l'observation IX les cellules des cornes antérieu- res et les racines sont altérées ; da
r repoussé les parties voisines et refoulé l'une contre l'autre les cornes postérieures. Mêmes lésions, mais plus légères,
ssure gauche. La même cavité vue il un plus fort grossissement. Corne antérieure gauche (VII' cerv.). Sclérose; dispa
isparition des groupes cellulaires sauf le groupe antéro-externe. Corne antérieure droite (VII* cerv.). Les groupes cel
t représenté par un petit amas de cellules épendy- maires. Dans les cornes grises antérieures on voit des cavités périvasale
que est la disparition des cellules radiculaires et la sclérose des cornes antérieures. La formation des lacunes dans la m
le, s'étendant en profon- deur jusqu'à l'épendyme du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau, les couc
paroi inférieure et la moitié inférieure de la paroi externe de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire. Cette
uronne rayonnante, le long de la paroi externe et du plancher de la corne sphénoïdale jusqu'au noyau amygda- lien ; une p
udinal) qui tapissent la paroi inférieure et inféro- latérale de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire, répond
uement, mais au.point de vue de notre comparaison) aux cellules des cornes antérieures de la moelle qu'entourent les ramific
neurone moteur périphérique comprend la cellule multipolaire de la corne antérieure, sa racine, le nerf périphérique et se
re pyramidal inférieur, à l'ensemble des cellules multipolaires des cornes antérieures destinées à recevoir les ramifica-
éphaliques rappellent les fibres que l'on a décrites comme venant des cornes antérieures de la moelle et qui se rendent aux
raison des faisceaux pyramidal et optique central, aux cellules des cornes antérieures (cellules multipolaires). Mais, le
neurone physiologi- que », entre les divers groupes cellulaires des cornes antérieures de la moe ! le, qu'existe toute une
e se déploient lentement et forment un anneau complet qui cercle la corne occipitale, mais, ainsi que nous l'avons dit, ce
ngent plus considérable qui est situé au-dessous et en dehors de la corne occipitale LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR E
ogue détruisant les couches sagittales à l'angle supéro-interne de la corne occipitale, c'est-à-dire dans la substance blan
se fait que lorsque les fibres du segment latéral ont contourné la corne ventricu- laire et viennent côtoyer sa paroi mé
ires de la voie pyramidale. Une fois que l'on dépasse en arrière la corne occipitale, on cons- tate la disparition du fai
géniculo-calcariniennes, surtout le long de la paroi interne de la corne ventriculaire. Nous devons ajouter que le strat
ouche sagittale externe du lobe occipital, entourent d'un anneau la corne ventriculaire de ce lobe, occupent en avant le se
23 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ordinaire, pour son sac durai. Au niveau de 2e racine cervicale, la corne antérieure gauche est atro- phiée et rejetée en
me côté est remplacée par une lacune qui atteint la pointe de cette corne . Dans cette lacune,'quelques vaisseaux à parois
est plus petite que la droite, surtout à sa partie postérieure. La corne anté- rieure gauche est normale ; la postérieur
ente oblique postérieure gauche qui suit exactement le trajet de la corne postérieure (PI. XIV, A). Au centre elle naît e
s'ouvrant presque dans le grand sillon postérieur. A la pointe de la corne postérieure, on voit la pie-mère épaissie pénét
e conti- nuer avec les parois à éléments condensés de la cavité. La corne antérieure est aplatie d'avant en arrière de ce
ans la racine postérieure et la divise par plusieurs prolongements. Corne antérieure gauche atrophiée et aplatie d'avant en
sée par des cellules épendymaires se continuant jusqu'à la base des cornes grises à droite et à gauche. Là bande névrogliq
ostérieure de la cavité. La lésion fend dans leur longueur les deux cornes postérieures ; la cavité est un peu plus large, à
droit ; la dislocation est un peu plus marquée de ce côté. Les deux cornes antérieures sont très atrophiées, rejetées en d
ures sont détruites par la fente, la droite presque totalement. Les cornes antérieures sont déjetées en dehors, grêles, fi
dimensions de la fente diminuent; elle n'atteint plus la pointe des cornes sensitives. L'épendyme toujours en continuité a
ndes néoformées, elles se réunissent à gauche dans la base des deux cornes ; elles forment là un petit noyau gliomateux. ,
lle n'est pas régulière et ne peut être rapportée à aucun type. Les cornes antérieures sont inégales, plus ou moins étirées
. Les cornes antérieures sont inégales, plus ou moins étirées ; les cornes postérieures plus malmenées encore, déjetées la
et D). Le canal central -est très incliné en général sur l'une des cornes ou même redressé au point de lui être parallèle
ns la région périépendymaire, sans former d'amas. Sur le trajet des cornes posté- rieures, surtout de celles qui ont subi
la périphérie de la moelle, excepté en trois points : au niveau des cornes postérieures, le long desquelles elles s'infilt
s les plus épaisses de la gaine pie-mérienne : c'est le point où la corne postérieure vient aflleurer la surface de la mo
t dissocient en pénétrant dans la moelle elle-même les éléments des cornes postérieures. Dans cette zone fibreuse sont cre
vec les méninges malades. Les fibres colorées persistent autour des cornes antérieures, aux- quelles elles forment une cou
phérique, à sommet dirigé vers le centre. Elles pénétraient par les cornes postérieures, laissant intact le sillon pos- té
tion est due au peu d'épaisseur que présente la paroi interne de la corne occipitale du ventricule latéral. Cette paroi m
le. Examen micrographique. -- L'examen a porté sur les parois de la corne occipitale des ventricules latéraux, les deux p
cro-carmin et à l'hématoxyline de Delalield. La paroi interne des cornes occipitales des ventricules latéraux, réduite à
veau de la partie antérieure du précunéus. La paroi externe de la corne occipitale des ventricules latéraux est également
inion générale place le siège causal des amyotrophies au niveau des cornes antérieures de la moelle, à quelque catégorie qu'
. Peut-être même sera-t-on appelé bien- tôt à l'étendre au delà des cornes antérieures. Les constatations anatomi- quesdeS
le du type en question. L'altération fonctionnelle, admise pour les cornes antérieures, ne serait- (1) Losc, Nouv. Icon. S
es racines posté- rieures droite et gauche, ou à la terminaison des cornes postérieures. En se basant sur ces points de re
aut le sillon anté- rieur, et dans la profondeur de chaque côté les cornes antérieures. Entre les deux, un espace clair tr
s deux, un espace clair transversal est le canal de l'épendyme. Les cornes posté- rieures apparaissent comme deux traînées
n-postérieur. La tumeur, ici, semble divisée en deux parties par la corne postérieure droite. On constate entre les deux
rée à la périphérie ; en outre dans la partie droite de la moelle, la corne antérieure et la corne latérale paraissent conf
outre dans la partie droite de la moelle, la corne antérieure et la corne latérale paraissent confondues dans une autre mas
tingue nettement le sillon antérieur, les points de terminaison des cornes postérieures, et entre eux, le sillon postérieur.
la limiter, pendant que la substance grise de la commissure, de la corne gauche, l'entoure en avant et il gauche. La tum
uche de la moelle, en ar- rière de la commissure et en dedans de la corne gauche. Le reste de la moelle ne paraît pas con
que sorte à une molaire bicuspidée. Elle est située à cheval sur la corne postérieure droite au niveau de D. IL Une des poi
côté du sillon médian antérieur, dans les régions correspondant aux cornes antérieures ; en arrière également dans celles
es antérieures ; en arrière également dans celles correspondant aux cornes postérieures. La majeure partie des cellules de
raissent graduellement ; il ne reste plus que quelques cellules des cornes antérieures perdues au milieu du tissu de nouvell
' le tissu de la tumeur. En certains points même, vis-à-vis de la corne antérieure droite, et, au fond du sillon antéri
II, intéresse deux portions distinctes de la tumeur,séparées par la corne postérieure droite.- La portion qui se trouve à d
est moindre ; il existe encore quelques cellules nerveuses dans les cornes antérieures, qui ne sont pas touchées par le proc
ce, ne set-aientqu'uii petit gliome, déve- loppé vers la hase de la corne postérieure; dans la première, son déve- loppem
ul- laire de l'innervation de la main, en particulier du côté de la corne pos- térieure droite que la tumeur a débuté. C'
dante à l'origine des nerfs du bras. A ce niveau, non seulement les cornes antérieures et postérieures étaient altérées, m
tableau symp- tomatique d'une syringomyélie, - ou encore quand les cornes antérieu- res seules sont détruites (tubercule
épithélium de l'épendyme, une diminution numérique des cellules des cornes antérieures : ces dernières, normales d'aspect et
s à cette région on voit dans la substance blanche, en dehors de la corne postérieure, quelques grosses cellules isolées,
lement de la dilatation des vaisseaux situés à la jonction des deux cornes , avec épaississement, comme cela se ren- contre
s se servaient du hanaps en métal ciselé, ou bien d'un vase fait de corne d'auroch, ou de boeuf(3). Les banquets faisaien
d'hui le verre grossier a remplacé le hanaps de métal ou le vase de corne , et chacun a le sien, mais l'usage de boire à la
grise se présentent atrophiques et dégénérées surtout au niveau des cornes postérieures (PI. LV, D). Dans la substance bla
uels, il une altération intense, à une destruction des cellules des cornes antérieures avec dégénérescence plus ou moins m
tres. Sur la régén. des nerfs periph. après destruction des cell. des cornes an- térieures de la moelle dans certains cas de
t. Réflexes normaux. Hyperesthésie du nez. Mauvaise sécrétion de la corne aux pieds de devant. Abaissement de l'oeil dr
pirations fréquentes et abondantes pour des causes insignifiantes ; corne normale. Phénomènes d'asymétrie légers : abaiss
hors des circonstances signalées ci-dessus; sécrétion normale de la corne . Pas d'asymétrie du crâne ni de la face ; abais
sueurs abondantes sans causes réelles ; sécrétion irrégulière de la corne . Pas d'asymétrie faciale ni corporelle. Cicatri
les routes. Sueurs abondantes et fréquentes ; bonne sécrétion de la corne . Asymétrie faciale légère, abaissement de l'oei
24 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rps strié, la région capsulaire ne présentent aucune altération. La corne sphénoidale du venlricule latéral contientde la s
énoidale du venlricule latéral contientde la sérosité sanglante; la corne d'Ammon, l'ergot de Morand, sont sains. Le tube
ventricule de la cloison transparente. C 0, Couche optique. Anz, corne d'Ammon. SI ? , sillon de Rolanclo. 7, foyer
Sylvius et lobule de l'insula. C. bit., capsule interne. Spi. r/, corne spliénoidale du ventricule latéral. RECUEIL DE
ic : poliomyélite antérieure subaiguë avec quelques altérations des cornes postérieures ou des faisceaux radiculaires post
e qui en part. Mais l'ablation d'unhémisphère cérébral, comprisla corne d'Ammon, sans le corps strié, n'entraîne jamais l
ise ; sa configuration est irrégulière, si bien que l'extrémité des cornes postérieures lui est, par places, contiguë, et, q
Ainsi, à peu prés à 20 centimètres au-dessus du cône médullaire, la corne postérieure envoie immédiatement après son orig
he n'était que peu lésée. Il n'y avait pas de communication avec la corne postérieure du ventricule. La hauteur de ce foy
, dans la capsule interne, est situé en haut et sur les côtés de la corne postérieure du ventricule latéral et au-dessous
- F. 0. faisceau optique de Gratiolet dans la capsule interne. C.P., Corne postérieure. CI- A - région du gyrns ziiigtil.i
its ; du cordon latéral il ne reste qu'une petite portion entre les cornes antérieure et postérieure; dans la corne antéri
petite portion entre les cornes antérieure et postérieure; dans la corne antérieure droite, les cellules nerveuses ont p
des cordons postérieurs sous forme d'une étroite bande longeant les cornes postérieures, depuis la moelle cervicale jusqu'
ées : intégrité des ascendantes, delà protubé- rance, du bulbe, des cornes d'Ainmon, des vaisseaux, le micros- cope révèle
titution normale ainsi que l'ensemble delà substance blanche et les cornes posté- rieures, mais les cornes antérieures gri
emble delà substance blanche et les cornes posté- rieures, mais les cornes antérieures grises sontsemées de macules rouge-
égion inférieure de la moelle cervicale, on les trouve limitées aux cornes antérieures, la moelle cervicale supérieure dem
ière de la com- missure postérieure, d'un territoire parallèle à la corne pos- térieure. d'une bande adjacente à la périp
dons postérieurs consécutive à la diphthérie ; dégé- nérescence des cornes antérieures de la moelle ainsi que des noyaux d
de ces deux pavillons, plus d'un bâtiment pour l'élable (24 bêtes à cornes ) et l'écurie (4 chevaux), d'une belle grange, d
ovenant de l'extrémité supérieure du renflement lombaire, l'une des cornes antérieures semble diminuée de volume, mais cet
u tissu. Les cellules sont notamment aussi bien développées dans la corne atrophiée que dans la corne homologue; les paro
otamment aussi bien développées dans la corne atrophiée que dans la corne homologue; les parois vasculaires, les gaines l
'auteur). En raison de la modification subie par les cellules des cornes antérieures, cl le. tube nerveux, dit-il, n'étant
e trans- mise par les fibres fines de la substance grise dans les cornes antérieures et de là dans les racines anté- rie
pabilité disparaît derrière l'état pathologique, RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 405 et nous sommes d'avis que la c
édiatement mise en liberté. i RECUEIL DE FAITS RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES DANS L'ÉPILEPSIE ; Par M. G. ZOHR
ssement du canal vertébral (Soelbrig, de Munich) de l'inégalité des cornes d'Ammon et de leur atrophie ou sclérose (Meyner
s, incontinence d'urine dès l'enfance, asymétrie RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 407 faciale, folie épileptique, ma
ramollissement de la substance blanche nerveuse entourant les deux, cornes occipitales des deux ventricules latéraux. Anté
res réflexes tendineux et cutanés sont abolis. RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 409 Le 28 décembre au soir, crises
substance blanche entourant dans une étendue de 3 centim. les deux cornes occipitales des ventricules latéraux. A l'exa
ris et des 410 RECUEIL DE FAITS. ventricules. Pas d'inégalité des cornes d'Ammon, ni atrophie ni ramollissement. Cerve
s n'avons trouvé d'autre lésion que le ramollissement entourant les cornes occipitales des deux ventricules latéraux. Tout
uche. Surdité absolue du même côté. Autopsie : ramollissement de la corne occipitale gauche. Tumeur du cervelet. Antécé
ans, menstrues régulières. Le. plus souvent les RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 411 i crises apparaissent au momen
ème et congestion généralisée, surtout du poumon RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 413 droit. t. Coeur : poids 255 gr
coupe. Pas de ramollissement, ni d'induration, ni d'atrophie de la corne d'Ammon. Hémisphère gauche : poids 580 gr. Les
e 414 RECUEIL DE FAITS. la substance périépendymaire limitée à la corne occipitale du ventricule latéral gauche (à droi
icule latéral gauche (à droite, la substance blanche qui entoure la corne occipitale paraît saine à l'oeil nu, sauf à con-
un certain rap- port de cause à effet entre le ramollissement de la corne occipitale et les convulsions épileptiques. A
. Pas de troubles de sensibilité ni de motilité. RAMOLLISSEMENT DES CORNES OCCIPITALES. 415 5 L'état général est bon. Les
al. Hémisphère gauche : poids; 596 gr.; sain. Pas d'inégalité des cornes d'Ammon. -Pas de ramollissement, ni d'induratio
puriforme, ditfluent delà substance blanche ner- veuse entourant la corne occipitale. Le foyer hémorrhagique se prolonge
es corps opto-striés sont également envahis par l'hémorrhagle,. DES CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES. 417 de même que la ca
S POSTÉRIEURES OCCIPITALES. 417 de même que la capsule interne. Les cornes d'Ammon gauche et droite paraissent saines. Epa
tion dans les nouvelles Archives, t. XI. 27 418 RECUEIL DE FAITS. CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES. autopsies de sujets m
ser- vent guore'à nous éclairer. -Elles se rapportent plutôt à la corne d'Ammon et ses connexions et aux ventricules laté
nous venons de rapportera " " 4 Du reste, dans nos nécropsies, la corne d'Ammon a été trouvée constamment saine, du moi
e accompagnés d'un ramollissement de la partie sous-épendymaire des cornes occipitales des ventri- cules latéraux; 2° Qu
bulbaire, 84. Epilepsie et rhumatisme, 2t6 ; (ramollissement des cornes occi- 11ltles dans 1'), par Zohrab, 405. Epil
ventricule de la cloison transparente. C 0, Couche optique. A m, corne (I'Aininoii SR, sillon de Rolando. F, foyer d
lvius et lobule de l'insula. C. iiit., capsule interne. Sph. V l, corne sphënoidaie du ventricule latéral. 472 EXPLICAT
25 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
hode. Gui de Chauliac donnait le conseil suivant pour détruire la « corne qui est aux pieds » : « Rase-là, tant qu'il ser
de fer ou de cuir, à laquelle y est un trou selon la grandeur de la corne , et lors, en ce trou soit mise une goutte de so
paillé, pendu par une ficelle au plafond, un crâne de cerf avec ses cornes , flanqué de deux crânes de chiens, viennent rom
n cas de syringomyélie qui avait envahi surtout la commissure de la corne postérieure. Dans le travail de Roth, publié dans
faveur del'opinion quenous soutenons, à savoir qu'il existe dans les cornes postérieures, des centres vaso-moteurs el des c
o-iatéraux. Pour ce qui est de la substance grise, les cellules des cornes antérieures sont intactes au niveau des rendeme
ux direct est éga- lement le siège d'altération. Les cellules des cornes antérieures semblent présenter leur nombre, leur
postérieurs, plus marquées dans les ! i/4 postérieurs et contre la corne postérieure. Les faisceaux pyramidaux sont alté
eau achromatique ou spongioplasma. Dans les cellules motrices de la corne antérieure, la substance chromatique est disposée
. Tels sont les caractères des cellules motrices radiculaires de la corne an- térieure à l'état normal. La plupart des ce
la corne an- térieure à l'état normal. La plupart des cellules des cornes antérieures et par conséquent un bon nombre des
cor- nes postérieures, les groupes cellulaires postéro-internes des cornes anté- rieures sont altérés au premier chef. Les
r chef. Les cellules postéro-externes et an- térieures de ces mêmes cornes présentent aussi des altérations évidentes (1)
tuées. La plupart des cellules de la subs-' tance de Rolando et des cornes postérieures etdes cellules situées à l'union d
ndo et des cornes postérieures etdes cellules situées à l'union des cornes antérieures et postérieures sont non seulement dé
'est plus qu'un globe anhiste; tandis que, plus en avant, dans; les cornes antérieures, on aperçoit des degrés divers d'alté
le noyau est reporté vers la périphérie (partie posté- rieure de la corne antérieure). B - Cellules nerveuses transformée
rieure). B - Cellules nerveuses transformées en globes réfringents ( corne postérieure). C. Chromatolysc périphérique et c
ents (corne postérieure). C. Chromatolysc périphérique et centrale ( corne antérieure). Disparition du noyau. D Cellule ne
ingence anormale (Fig. 17 et 18, planche XIX, B).Dans la tête de la corne antérieure, on note 2 ou 3 cellules à ce degré de
ures nucléaires sont relativement très nombreuses, surtout dans les cornes antérieures ; leur volume, leur situa- tion, le
leurs grandes lignes, surtout en ce qui concerne les cellules de la corne antérieure; il semble cependant que les lésions
dans celle des animaux. Dans notre cas, la plupart des cellules des cornes pos- térieures et de la région intermédiaire au
es des cornes pos- térieures et de la région intermédiaire aux deux cornes sont pour ainsi dire cadavérisées. Les dépôts
n Y Ca- jal (2) que dans les cellules nerveuses, et dans celles des cornes antérieu- res en particulier, la concentration
tout d'abord la commissure postérieure et se dirige ensuite vers la corne pos- térieure parce que la résistance mécanique
térieure parce que la résistance mécanique qu'elle rencontre dans la corne et dans la commissure est peu considérable. En
ns la corne et dans la commissure est peu considérable. En effet la corne postérieure possède peu de névroglie et surtout
et un peu de parésie de la main. Ce n'est qu'en seconde ligne que la corne antérieure est touchée et comme dans la plupart
amètre transversal, ce seront surtout les cellules de la base de la corne antérieure et celles du groupe moyen qui seront
sus de gliose laisse relativement intactes certaines cellules de la corne antérieure. Des tentatives de localisation médu
re et dorsale supérieure. Or, comme dans sa marche, elle détruit la corne antérieure, il est facile de comprendre qu'il e
avons trouvé une pachy- méningite très nette avec cavités dans les cornes postérieure et antérieure, sans qu'on ait obser
ire qui a produit le geste de prédicateur relève de la lésion de la corne antérieure concomitante ou succédant à la pach)
stance grise, le neurone sensitif indirect siégeant surtout dans la corne postérieure. V. C'est de l'intégrité anatomique
oignet ont leur siège principal dans le groupe antéro-exlerne de la corne antérieure. XI. Il existe chez beaucoup de syri
premier âge les altérations de quelques cellules médul- laires, des cornes antérieures par exemple, sont fréquentes, la para
é une origine médullaire de navi, les attri- buant à une lésion des cornes postérieures de la moelle. Restent les nfovi cr
en 1891 (Arch. de méd. expériment.), sous trois chefs : lésions des cornes antérieures de la moelle (Charcot, Hallopeau, L
s périphériques (Dejerine) ; absence de toutes lésions visibles des cornes antérieuresetdesnerfs (Babinski, Quincke, Eisen
ls vont se mettre en rapport avec les grosses cellules motrices des cornes antérieures de la moelle. De chacune de ces cellu
amidale, s'entrecroise au niveau du bulbe, pour se terminer dans la corne antérieure du côté opposé, sous forme d'une a
la ligne médiane, elles se ramifient dans le foyer ou centre de la corne postérieure du côté opposé. Je les appellerai,
isées. Viennent ensuite : b) Les collatérales pour le foyer de la corne postérieure du même côté ; ce sont probablement
t par des arborisations péri-cellulaires dans le foyer moteur de la corne antérieure. d) Enfin d'abondantes collatérales
substance grise centrale et dans la partie interne de la base de la corne postérieure du même côté. * w * Que si no
roisées, qui se rendent à travers la commissure postérieure dans la corne postérieure du côté opposé. Là, elles se résolv
stion etont constaté en particulier une altération des cellules des cornes antérieures ; M. Klip- pel nous semble en effet
, que dans leur partie extramédullaire. La substance grise des deux cornes est pénétrée dans toutes les direc- Fig. l. - C
SOUKHANOFF tionspar des fibres dégénérées. Dans les cellules de la corne postérieure, ainsi que de la corne antérieure,
énérées. Dans les cellules de la corne postérieure, ainsi que de la corne antérieure, on voit un pigment noir ayant l'aspec
petit nombre de fibres dégénérées. La substance grise surtout de la corne antérieure est traversée par des fibres dégénér
Préparations par la méthode de Nissl. -Beaucoup des cellules de la corne antérieure apparaissent modifiées; le processus m
ines cellules nerveuses, ainsi que dans les cellules motrices de la corne an- térieure, une dissolution centrale de la su
très accentuée. Pour ces recherches ont été Fig. 3. - Cellule de la corne antérieure de la moelle épinière. Fig. 4. - Cel
la corne antérieure de la moelle épinière. Fig. 4. - Cellule de la corne antérieure de la moelle épinière. 352 SERGE SOU
rmi les plus robustes pour terrasser l'animal en le prenant par les cornes , comme il est d'usage en Portugal. Son père est
26 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e résultat d'une polyomyélite ou d'une destruc- tion cellulaire des cornes antérieures par un néo- plasme. Les troubles tr
s alté- rations peu considérables produites dans les cellules des cornes antérieures, était-ce sous la dépendance de la
e la moelle mais une lésion segmentaire de la substance grise des cornes postérieures et du renflement cer- vicale à un
outre, il faut supposer l'existence d'une lésion limi- tée de la corne antérieure gauche et des cordons laté- raux. L'
consiste en un mor- ceau assez gros sur lequel repose un bout de la corne d'Ammon du même côté. Tel est l'état de ces res
la continuation directe des fibres radiculaires qui entrent dans la corne postérieure.' M. Laquer (à Francfort). Contribu
n cas d'anesthésie générale, dans lequel on trouva à l'autopsie les cornes et les cordons posté- rieurs complètement détru
orme vers son pôle frontal ; il en est de même du corps calleux. La corne antérieure du ventricule latéral est dilatée. L
e du volume des noyaux. Du même côté, dans la moelle cervicale, les cornes antérieures sont petites mais avec leurs cellul
ts de tissu scléreux de dégénérescence descendante, en dehors de la corne supérieure du côté gauche. Cette corne paraît u
descendante, en dehors de la corne supérieure du côté gauche. Cette corne paraît un peu plus volumineuse que celle du côt
nt représentés par deux colonnes grises, dépendances de la base des cornes antérieures de la moelle et sous-jacentes aux a
es motrices de l'écorce cérébrale aux grandes cellules motrices des cornes antérieures de la moelle et à leurs représentan
stérieur ou cordon latéral delà moelle. Ils répondent en dedans aux cornes postérieures ; en dehors, ils sont séparés de l
nt individualisés les faisceaux pyra- midaux ainsi du reste que les cornes grises antérieures de la moelle. Leur lésion ex
d toujours à des troubles moteurs ; les faisceaux pyramidaux et les cornes grises antérieures représentent donc les élémen
nalogue à celle que l'on attribue aux grandes cellules motrices des cornes antérieures. Quant au mécanisme de la dégénérat
dehors vers la partie du cordon latéral de la moelle contiguë à la corne postérieure. Ordinairement un fascicule dégénér
générescence secondaire descendante, provoquant la contracture', la corne antérieure de la moelle, second élément du même
ayant toujours pour conséquence la paralysie progres- sive. Car les cornes antérieures de la moelle paraissent être avec l
nutrition des muscles. La lésion des grandes cellules motrices des cornes antérieures est-elle p2,i- naitive ? Elle donne
7), ou cordon de Burdach re- présenté dans sa portion contiguë à la corne postérieure par la zone radiculaire interne des
ettes externes, et le cordon de Burdach, la colonne de Glarke et la corne poslérietcre, le cnrdon de Goll, ainsi que le f
moteur que nous avons vu formé par les faisceaux pyramidaux et les cornes antérieures et dont ils représenteraient les di
r les fibres du pédoncule cérébelleux supérieur. : l'atrophie des cornes et des libres radiculaires postérieures; la parés
direct (Flechsig). 2, 2; faisc. pyramidal croisé (Flechsig). 3, 3 ; corne an- térieure. 4, -1 ; zone radiculaire antérieu
rachidien- nes postérieures. 7, 7 ; cordon de BLii,(Iacli. - 8, 8; corne posté- rieure. 9, 9; colonne de Cliti-lie. 10,
de la moelle, près du canal central, ainsi que dans le domaine des cornes postérieures et des cor- dons blancs latéraux,
s cellules de ce type se ren- contrent principalement au niveau des cornes grises posté- rieures. Un phénomène plus rare e
s cellules de ce type se rencontrent seulement dans les groupes des cornes antérieures ; parfois, on peut observer dans le
de la patho- logie dés plongeurs à scaphandre. b). Symptômes des cornes antérieures ou myairoplii- ques. Les symptômes
ou myairoplii- ques. Les symptômes qui résultent de la lésion des cornes antérieures et plus spécialement des grandes ce
bloc d'une certaine partie sans altérations de ses fonctions, des cornes postérieures, par exemple; j'ai pu m'en con- va
de de Weigert, avait constaté la destruction de la myéline dans les cornes postérieures, ainsi que celle des cordons posté
s trop peu sur le caractère de l'altération pathologique dans les cornes postérieures et la substance grise pour trouver
stance gélatineuse, qui se trouve autour du canal central, dans les cornes postérieures, et leur prolongation dans le bulb
ques nous obligent aussi de rattacher l'anesthésie à une lésion des cornes postérieures : la répartition segmentaire de l'
te d'entrée des racines postérieures dans la moelle épinière et les cornes postérieures. Nous avons vu que les autopsies c
ns vu que les autopsies confirment cette supposition, en ce que les cornes postérieures et la racine ascendante du trijume
404 PATHOLOGIE NERVEUSE. parence complète avec substitution de la corne posté- rieure, soit par la lacune, soit par le
logues que par des troubles nutritifs des éléments nerveux dans les cornes postérieures, consécutifs à l'hyperplasie avec
lés de ces espèces de sensibilité ne s'avancent pas loin dans les cornes postérieures, mais tournent dans les cor- dons
intes isolément ; que le processus diffus, se répandant le long des cornes postérieures de la moelle épinière dam chacun d
pathologiqne, en imbibant pour ainsi dire \ le segment donné de la corne postérieure, y inter- rompt d'une certaine mani
e des éléments nerveux, mais limitée par un très petit espace de la corne postérieure dans la partie inférieure du renfle
iie d'apparence normale s'hyperplasient dans la commissure et les cornes postérieures. Mais comme la maladie se déclare
re au même processus morbide fondamental (n'ayant atteint que les cornes antérieures) qui existe dans les cas à paralysi
cas récents, dans lesquels des altérations anatomiques limitées des cornes postérieures de la moelle épinière ou de la rac
opsie. Etat trouble de la pie-mère de la convexité. Adhérence de la corne droite postérieure. Sclérose et atro- phie de l
ose ati-ophi(jte de hémisphère cérébelleux droit, l'adhérence de la corne postérieure du ventricule latéral droit à l'erg
e induration des deux olives. L'hémisphère cérébelleux gauche et la corne posté- rieure du ventricule latéral gauche ne p
trois ans après le début de la maladie par suub- cation. Lésion des cornes antérieures absolument pure; atrophie, disparit
prolongent jusqu'à l'entre-croisement des pyramides. Intégrité des cornes postérieures, des colonnes de Clarhe, de la sub
nts sont : le tubercule de Rolando, la substance gélatineuse delà corne postérieure, les racines de l'accessoiré de \1'il
direct (Flechsig). 2, 2; faisc. pyramidal croisé (Flechsig). 3, 3 ; corne an- térieure. 4, 4 ; zone radiculaire antérieur
acines rachidien- nes postérieures. 7, 7 ; cordon de Burdach.S, 8 ; corne posté- rieure. 9, 9 ; colonne de Clarke. 10, 10
27 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
ignalé les différences d'aspect qui distinguent la substance de leurs cornes antérieures de celle de leurs cornes postérieures
istinguent la substance de leurs cornes antérieures de celle de leurs cornes postérieures. A ces différences correspondent des
en distinguer deux amas principaux : l'un qui occupe la limite de la corne antérieure en regard des cordons antérieurs; l'au
forme un plexus ganglionnaire qui s'étend jusque dans le domaine des cornes gélatineuses, et dont les prolonge ments vont e
n connexion avec les cellules multipolaires qui sont situées dans les cornes antérieures des axes gris et que celles-ci comnun
moyens ; mais le plus souvent les petites cellules multipolaires des cornes postérieures de l'axe communiquent entre elles pa
ompare aux globules du sang de la grenouille ; elle forme la base des cornes postérieures qui ont d'ailleurs une organisation
ansions sont les ventricules latéraux. Leurs extrémités s'appellent cornes . La corne qui est (1) L'idée de cet enroulement
t les ventricules latéraux. Leurs extrémités s'appellent cornes. La corne qui est (1) L'idée de cet enroulement est en ge
é assez heureux pour avoir fait éclore ce germe. en avant s'appelle corne frontale. La corne postérieure, s'enroulant autou
r avoir fait éclore ce germe. en avant s'appelle corne frontale. La corne postérieure, s'enroulant autour du corps strié, f
autour du corps strié, fait saillie au-dessous -de lui sous le nom de corne sphenoidale. Enfin, dans l'homme et dans les sing
sous le nom de cavité digitale ou ancyroïde. Nous préférons celui de corne occipitale. Les cornes frontales des ventricule
igitale ou ancyroïde. Nous préférons celui de corne occipitale. Les cornes frontales des ventricules latéraux sont si rappro
ue côté, du milieu du bord postérieur du vestibule, à l'extrémité des cornes sphénoïdales des ventricules latéraux. Cette gran
la courbure des corps restiformes, de manière à donner l'idée de deux cornes latérales du quatrième ventricule. Ces cornes don
à donner l'idée de deux cornes latérales du quatrième ventricule. Ces cornes dont la paroi postérieure manque absolument, du m
constituent les ventricules latéraux du cervelet. Les autres sont les cornes latérales dont nous avons parlé. Les parties qu
extrémités, qui répond à la massue antérieure du corps strié, est la corne antérieure ou frontale du ventricule latéral. L'a
corps strié lui-même, répond à sa massue inférieure. Nous la nommons corne inférieure ou sphenoidale du ventricule latéral.
latéral se détache un prolongement un peu recourbé en dedans comme la corne d'un rhinocéros, ou comme une griffe. Ce prolonge
(R. Vieussens, Pfevr. univers., lib. I, de cercbro, cap, xi). la corne postérieure ou occipitale du ventricule latéral.
rie des hémisphères. J'insiste, à dessein, sur ces dénominations de cornes frontales, sphénoïdales, occipitales. M. Foville
ngle vestibulaire. Cette fente se prolonge de chaque côté le long des cornes sphénoïdales des ventricules latéraux. De là une
ture en fer à cheval qiu divise la paroi du ventricule cérébral d'une corne sphenoidale à l'autre, en passant par le bord pos
l'autre au-devant de lui, et, placés dans l'intervalle qui sépare les cornes frontales des deux ventricules latéraux, s'enroul
roulent avec le ventricule et se continuent jusqu'à l'extrémité de sa corne sphenoidale. Ils limitent ainsi la paroi propre d
stérieurs, disons-nous, peuvent être suivis jusqu'à l'extrémité de la corne sphenoidale du ventricule latéral. Au-dessus du
Au-devant des piliers de la voûte et de Yinfundibulum, au-dessous des cornes frontales des ventricules latéraux, l'œil aperçoi
elles sont inférieures à la massue antérieure du corps strié, et à la corne antérieure du ventricule latéral ; mais peu à peu
abord visible à la face inférieure du cerveau, se recourbe autour des cornes antérieures des ventricules latéraux, puis se dév
loppent l'étage supérieur des ventricules latéraux, à partir de leurs cornes frontales. Ces choses sont connues et si bien déc
ues antérieures des corps striés, ou, ce qui revient au même, que les cornes antérieures des ventricules latéraux, que, d'une
'est rien autre chose qu'un intervalle médian, compris entre les deux cornes frontales des ventricules latéraux. Aussi l'exist
x saillies antérieures du noyau répondent les bosses frontales, à ses cornes inférieures lesbosses temporo-sphénoïdales, aux c
ontales, à ses cornes inférieures lesbosses temporo-sphénoïdales, aux cornes postérieures la saillie des bosses occipitales. V
corps calleux dans toute son étendue, suit jusqu'à l'extrémité de la corne sphenoidale du ventricule latéral le bord libre d
t les parties qu'il embrasse. La région de la poche qui recouvre la corne antérieure du ventricule latéral est la région fr
erons en deux lobes, le frontal et le pariétal. Celle qui répond à la corne inférieure est le lobe sphenoidal; enfin, à la co
qui répond à la corne inférieure est le lobe sphenoidal; enfin, à la corne postérieure du ventricule correspond le lobe occi
suivi le bord libre de la fente en fer à cheval, s'appliquent sur la corne sphenoidale, et passant de là sur le champ olfact
pond à la scissure dont nous parlons fait saillie à l'intérieur de la corne postérieure du ventricule latéral, et suit sous l
it sous la forme d'un rouleau un peu recourbé toute la longueur de sa corne sphenoidale, c'est-à-dire que sa longueur et sa d
e. Cette saillie intérieure, plus ou moins enroulée, a reçu le nom de corne d'Ammon ou de pied d'Hippocampe; en tant qu'elle
-, ils contiennent chez le fœtus un ventricule qui communique avec la corne frontale du ventricule latéral, et dans un grand
i émanent des cordons postérieurs de l'axe, représente assez bien les cornes spongieuses des axes gris de la moelle (1). Les
sition fort élégante ; son tronc, qui est excavé par la saillie de la corne moyenne du quatrième ventricule, est très-court e
age inférieur du ventricule latéral, et n'est rien autre chose que la corne d'Ammon, ou le pied d'Hippocampe. De cette bran
nnantes qui s'en détache dans l'homme, revêtent le côté interne de la corne postérieure du ventricule latéral ; si donc, nous
découvert l'étage inférieur du ventricule latéral, et la cavité de sa corne postérieure. 3° Cette préparation fort simple p
En outre, on aperçoit, dans toute son étendue, la paroi externe de la corne ancyroïde ou occipitale du ventricule latéral.
ux qui vont aux plis de la face interne ; 4° La paroi interne de la corne occipitale du ventricule latéral ; 5° La paroi
. Ainsi, les fibres qui des racines antérieures vont aux cellules des cornes antérieures des axes gris, cheminent dans un syst
tranchants postérieurs des axes gris et pénètrent dans le domaine des cornes spongieuses. Parmi ces fibres, quelques-unes se d
laires qui occupent l'intervalle des cloisons qui divisent l'aire des cornes gélatineuses. Ainsi, parmi les fibres des racines
qui sépare la couche optique du corps strié jusqu'à l'extrémité de la corne sphenoidale du ventricule. Ce repli est la toile
ne « était, dit-il, habillé en ermite avec une longue barbe et deux « cornes sur la tête, ayant d'ailleurs une figure horrible
dans l'exercice de ses fonctions. Au même instant, une forte odeur de corne brûlée se répandit dans le voisinage. J'étais pré
n ! au moment où mon ami vint me rejoindre, l'idée que cette odeur de corne venait du pied du cheval de la gravure, s'était,
28 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
onscrites qui intéres- Charcot. Œuvres complètes, t. i H sent les cornes antérieures de la substance grise dans une certai
yélie, etc. 6) Lésions irritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise avec ou sans pa
et si, parfois, l'axe gris est envahi, elles respectent la région des cornes antérieures, ou épargnent tout au moins les grand
, le processus irritatif ve-nait à s'étendre des faisceaux blancs aux cornes antérieures de la substance grise; alors on pourr
est étendu en suivant le trajet des faisceaux radiculaires jusqu'à la corne antérieure droite. — C, Cetle corne a subi, dans
faisceaux radiculaires jusqu'à la corne antérieure droite. — C, Cetle corne a subi, dans tous ses diamètres, une réduction tr
apparence fibroïde et parsemé de nombreux myélocytes. propagée à la corne antérieure de la substance grise du côté correspo
e, dans une certaine étendue en hauteur, et plus particulièrement les cornes antérieures. Les cellules nerveuses présentaient
ve ou par suite de l'extension concentrique du processus morbide, les cornes antérieures de la substance grise se trouvent int
ulaires qui pourraient survenir consécutivement à l'envahissement des cornes antérieures de la subs-tance grise, siégeraient a
ées d'une façon pour ainsi dire systématique à la substance grise des cornes antérieures dont elles envahissent rarement foute
ée de Fig. 2, — Coupe de la moelle faite à la région lombaire. — G, corne anté-rieure gauche, saine, avec son noyau ganglio
ne anté-rieure gauche, saine, avec son noyau ganglionnaire sain. — D, corne anté-rieure droite, malade, sans le noyau ganglio
truites et qui est représenté par un petit foyer de sclérose. — A, A, cornes postérieures. nombreux myélocytes et porte, par
t, lanévroglie et s'étend deproche en proche aux diverses régions des cornes antérieures; mais cela n'est nullement né-cessair
morbide aux faisceaux antéro-laté-raux dans le voisinage immédiat des cornes antérieures de la substance grise (1 ). La para
re côté, l'absence de toute participation des faisceaux blancs et des cornes posté-rieures de la substance grise dans le dével
t dépendre, comme les amyotrophies de cause spinale, d'une lésion des cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans l
ne étendue l'aire des cordons postérieurs, avant de pénétrer dans les cornes postérieures de la substance grisé. Il ne paraî
moelle épinière ; 2° méningite spinale postérieure ; 3° sclérose des cornes postérieures de la substance grise ; 4° lésions i
pu reconnaître l'existence d'altérations quel-conques, soit dans les cornes grises postérieures, soit dans les nerfs périphér
sions irritatives limitées soit aux cordons antéro-latéraux, soit aux cornes antérieures de la substance grise ; et quant au r
bstance grise ; et quant au rôle que pourraient jouer à cet égard les cornes grises postérieures, nous sommes, sur ce sujet, d
s paralysés, notés dans le cas de M. Millier, à l'envahissement de la corne antérieure delà sub-stance grise du côté correspo
e soit par la voie indirecte des cordons latéraux. Cette lésion de la corne antérieure, nous l'invoquerons encore, dans un in
graves sans que le décubitus aigu s'en suive jamais. Telles sont les cornes antérieures, dont les lésions, par contre, ont, v
lésions inflammatoires aiguës, systématiquement limitées à l'air des cornes antérieures, tandis que les autres, celles qui af
neme trompe, dans aucune autre affection articulaire. Fig. 6. — A, Corne antérieure du côté droit. — A', corne antérieure
ion articulaire. Fig. 6. — A, Corne antérieure du côté droit. — A', corne antérieure du côté gau-che. — B, Commissure grise
e lésion des nerfs périphériques; c'est dans la substance grise des cornes antérieures de la moelle que nous croyons avoir t
ie locomotrice ; mais, le plus souvent, la lésion porte alors sur les cornes postérieures. Or, il en était tout autrement dans
hie où l'examen microscopique de la moelle a été fait avec soin , les cornes antérieures de substance grise étaient, dans ces
es. L'altération se montrait d'ailleurs exclusivement {Fig. 6) sur la corne anté-rieure correspondant au côté du corps où sié
'altérations. On pourrait se demander si cette altération d'une des cornes antérieures de la substance grise spinale, révélé
ue, en s'étendant de proche en proche, jusqu'à cer-taines régions des cornes antérieures de la substance grise, le processus i
les irritations pathologiques, portant sur les cellules nerveuses des cornes antérieures, seront transmises quelquefois jusqu'
rdon de l'épendyme. Elle est prédominante aussi dans cette partie des cornes postérieures connue sous le nom de substance géla
uniqué, en certaines régions de la moelle, aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise et ces cellules
tion des impressions tactiles: elle répondrait, en quelque sorte, aux cornes postérieures de la 1. Borsieri. — lust. pract.,
vec l'exécution des mouvements volontaires : il serait l'analogue des cornes anté-rieures de la moelle. Cette théorie, dont
les cordons latéraux sont profondément lésés, mais que, en outre, les cornes anté-rieures de la substance grise ont été envahi
et, sur quelques-unes, un pointillé très fin. La circonvolution de la corne d'Ammon présente une indura-tion très évidente. C
édomine à son extrémité. —Hémisphère gauche. La circon-volution de la corne d'Ammon offre une induration bien moins marquée e
uscles : a) Lésions fasciculées ou circonscrites qui intéres-sent les cornes antérieures de la substance grise dans une certai
lle, etc. — b) Lésions irritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise avec ou sans pa
t dépendre, comme les amyotrophies de cause spinale, d'une lésion des cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans l
113, 119 ; lésions des jointures, 120 ; — altération des cellules des cornes antérieures, 122 ; — dans Vatrophie musculaire pr
29 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
il droite. La dilatation s'est effectuée sur- tout aux dépens de la corne temporale. Les corps opto-striés sont volumineu
circonvolutions voisines. Circon- volulion de l'hippocampe (CIL) et Corne d'Ammon (C'A.), saines (l'L. lII), Face infér
és. - Corps calleux et noyaux gris centraux, rien de particulier. - Corne d'Am- mon, large mais courte. . La descriptio
Le pli parièto-limbique postérieur (p.pjp.jest très développé. - La corne d'Ammon (C.tl.) est grosse, bien déli- mitée, s
oro-occipitales 14 ? 2" et 3") n'offrent aucune parti- cularité. La corne d'Ammon est large, assez saillante. Des deux co
pas être cherchée plutôt du côté de la cellule ganglion- naire des cornes antérieures de la moelle, comme Charcot l'avait
est très dilaté, surtout dans sa par- tie inférieure au niveau des cornes sphénoïdale et occipi- tale qui sont largement
argement réunies, formant en quelque sorte une loge distincte de la corne frontale et séparée d'elle par les noyaux gris.
terminé l'aplatissement de la circonvolution du corps calleux. La corne frontale du ventricule est, relativement à celle
, relativement à celle du côté droit, fort peu dilatée. Ce sont les cornes occipitale et surtout sphénoïdalc qui offrent l
notre attention. Cette dilatation porte ici principalement, sur les cornes odvi- pi tales et sphénoïdales des ventricules.
sur les cornes odvi- pi tales et sphénoïdales des ventricules. Les cornes fron- tales sont beaucoup moins dilatées, toute
. Les cornes fron- tales sont beaucoup moins dilatées, toutefois la corne frontale droite est notablement plus distendue
avec les circonvolutions voisin nes : un d'abord avec P'z, vers la corne frontale, puis cinq avec F2. Au niveau de son q
autonomie. Un peu grêle vers la 136 Épidémie DE FIÉVRE typhoïde. corne ( ? ), un seul passage l'unit à son quart antérie
agriné des circonvolutions. - Le corps strié, la couche optique, la corne d'Ammon, ne présentent rien de particulier. L
Hémisphère droit. - Dilatation considérable et uniforme des trois cornes du ventricule latéral. - Le corps strié paraît
n maximum au niveau de la région rolandique et du lobe pariétal. La corne sphénoïdale est aussi dilatée, mais dans des pr
ïdale est aussi dilatée, mais dans des proportions moindres que les cornes frontale et occipitale. Cou et thorax. -- Pas
rigine vers le pli fronto- limbique, puis il deux centimètres de la corne frontale où est un noyau d'un centimètre carré
accntrat il sa partie postérieure, la région antérieure du coin, la corne occipitale et la seconde circonvolution temporo
le. Le lobe occipital est sclérosé au niveau de l'extrémité de la corne occipitale et ce foyer, qui semble la continuatio
n de T3 avec le lobe occipital. · Le lobe temporal présente vers la corne sphénoïdale un' gros noyau comprenant l'origine
le 1/3 antérieur forme une grande partie de la zone scléreuse de la corne sphénoïdale, subit la même altération dans son
érieur. Face inlerne. 1 ? à deux centimètres de l'extrémité de la corne frontale, offre une zone scléreuse de 2 cm., cont
ise, dans la substance blan- che. môme dans la région voisine de la corne occipitale du ventricule latéral ; toujours, no
. l'(;pilepsie, Thèse de Paris. COULI3AUT (G.). Des Lésions de la corne d'Ammon dans l'èpilepsie. Thèse de Paris. . '"
que antérieur. Il Il 1>, pli pariéto-limbique postérieur. C A, corne d' : \mmon. BOORNEVILLE;Bicêt ? 'e, 1898. PL, I
c a, scissure calcarine. ' [',pédoncule. 0, nerf opti([ue. C A, corne d'Ammon. 1'. coin. T°I' '1'°2. '1 ? 1' circon
30 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ontrerait, d'après l'auteur, l'existence d'une forme de myélite des cornes antérieures, intermédiaire au point de vue de s
r- ties marginales du cordon latéral du même côté, contiguës à la corne postérieure, pour se terminer dans la substance g
i, dans la moelle spinale, est située en arrière et en dehors de la corne antérieure et dont le bulbe occupe par rapport
l'entrecroisement de ces organes jusqu'à la moelle cervi- cale, les cornes grises antérieures se montrent intactes. Dégéné
uable des cellules nerveuses qui occupent l'angle compris entre les cornes postérieures et les cornes anté- rieures (trous
s qui occupent l'angle compris entre les cornes postérieures et les cornes anté- rieures (trousseaux gris des processus ré
es cellules en ques. tion, les pyramides soient en rapport avec les cornes antérieures grises; mais il est extrêmement pro
t probable que les pyramides ne sont pas en rapport direct avec ces cornes . En ce qui concerne le ruban de Reil et ses ori
mbre de nerfs des membres inférieurs, une lésion circonscrite de la corne antérieure droite, de la moelle lombaire supérieu
upons ici avec l'amyotrophie qui résulte d'une lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou des nerfs moteurs,
lexe et résultant d'une modification dans l'état des cellules des cornes antérieures de la moelle; il est vrai que ce n'
ration descendante, et qui était indépen- dante de toute lésion des cornes antérieures de la moelle et des nerfs moteurs'.
certain qu'elle dépend du système nerveux central; or, puisque les cornes antérieures de la moelle cons- tituent le centr
érique est que, dans le premier cas la modification dynamique des cornes antérieures est consécutive à une altération or
oelle dans la partie lombaire est d'une couleur rouge foncé, et les cornes antérieures sont bien conservées, tandis que ce
oelle épinière la substance grise est d'une couleur jaunâtre et les cornes anté- rieures sont plus prononcées que celles d
'examen des préparats microscopiques, c'est la grosseur inégale des cornes antérieures de la substance grise. La corne ant
a grosseur inégale des cornes antérieures de la substance grise. La corne antérieure gauche est plus petite que la droite
lus petite que la droite ; il y a moins d'éléments cellulaires à la corne gauche qu'à la droite et les cellules, dans l'u
phique; mais celle altération est cepen- dant pius sensible dans la corne gauche. Les cellules ont perdu leur forme arach
n coin de la cellule écartaut ainsi le nucléole. Les cellules des cornes postérieures sont arrondies ou de forme triangu
ications et contiennent aussi une grande quantité de pigment. Les cornes postérieures elles-mêmes de la substance grise on
sale de la moëlle (région lombaire). Fig. i. Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dé
on pigmentaire. Fig. 4. Les vaisseaux et les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise. a, Corne g
llules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise. a, Corne gauche. b, Corne droite. MONOPLÉGIE HYSTÉRIQUE
des cornes antérieures de la substance grise. a, Corne gauche. b, Corne droite. MONOPLÉGIE HYSTÉRIQUE AVEC CONTRACTURE
Türk. Sclérose des cordons postérieurs et de la substance grise des cornes posté- rieures envahissant une partie de la col
ion de la substance grise serait due à la sclérose des faisceaux et cornes posté- rieures. Dans le tableau clinique nous
ps optostriés, des commissures, des tubercules qua- drijumeaux, des cornes d'Ammon, des pédoncules cérébraux, de la protub
ble raie entre le sillon médian postérieur et le bord interne de la corne postérieure); dégénérescence de la marge extern
rtielle des fibres radiculaires au point où elles s'étalent dans la corne postérieure; la partie externe des cordons post
t de la troisième paire) occupant le côté droit. Les cellules de la corne antérieure droite présentent les altérations co
nt, ils se condensent en vne couche propre située à la pointe de la corne postérieure, entre le cordon postérieur et le cor
t dans la substance gélatineuse et dans les régions profondes de la corne postérieure. Dès qu'ilsont adopté la direction
moins avancée qu'on examine les couches les plus antérieures de la corne posté- rieure, ce qui montre que le processus m
corne posté- rieure, ce qui montre que le processus marche, dans la corne postérieure, de la périphérie il la base de l'o
eurologie de 43, n° 18). Naturellement les cellules ner- veuses des cornes antérieures sont aussi atteintes. Intégrité abso-
paralysie se généralise que l'on rencontre une lésion centrale des cornes antérieures. Mais il est impossible de for- mul
spect gélatiniforme. Pas de lésion en foyer; pas d'induration de la corne d'Ammon; pas de dilatation des ventricules. Rie
ulaire et de ses plis de passage et un exposé facile à suivre de la corne d'Ammon. Un article spécial sur la topographie
la - dans la folie simple), par lioller, 83. Myélite subaigue des cornes an- térieures, pur Dufourt, 57. Myélite (chro
e de la moelle (région lombaire). Fig. 3. - Cellules nerveuses îles cornes antérieures de la substance grise pu voie de dé
pynen ! ;rire. Fig. 4. Les vaisseaux et les cellules nerveuses îles cornes antérieures de là substance grise. a, Corne g
lules nerveuses îles cornes antérieures de là substance grise. a, Corne gauche, - b, Corne droite. 432 EXPLICATION DES
s cornes antérieures de là substance grise. a, Corne gauche, - b, Corne droite. 432 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE
31 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
epté une petite partie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne postérieure. La lèvre supérieure de la scissure
ramollissement. La lésion s'étend jusqu'à la paroi interne de la corne postérieure. Les fibres de la couche sagittale,
bres de la couche sagittale, qui entourent la paroi externe de la corne postérieure, sont sclérosées dans leur partie s
et dans la par- tie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne postérieure près de la lésion. Dans la partie i
JOUKOWSKY couche de la substance nerveuse de la paroi interne de la corne postérieure. Une partie de la couche sagittale
vent près de la lésion immédiatement sous la paroi inférieure de la corne postérieure, sont sclérosés. Dans l'autre parti
'hippocampe est principalement détruite dans sa partie interne : la corne d'Ammon est aussi détruite. Dans la couche des ra
uche des radiations de Gratiolet,qui entoure la paroi externe de la corne postérieure, on voit sous le microscope une pet
e l'hippocampe est détruite par le ramol- lissement, de même que la corne d'Ammon. Dans la couche des radiations de Grati
t qui traversent la partie postérieure du noyau lenticulaire : La corne d'Ammon est détruite presque complètement par le
ns la substance blanche sous-jacente jusqu'à la paroi interne de la corne posté- rieure. Cette lésion était suivie de la
e se sépare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure. L'écorce de la partie intéro-supér
ance blanche, qui se trouve plus haut que la paroi supérieure de la corne postérieure, des lacunes, autour desquelles on
e. Le foyer du ramollissement arrive jusqu'à la paroi interne de la corne pos- térieure, de laquelle il se sépare par une
ps calleux, qui se trouve près de la paroi intéro- supérieure de la corne postérieure, est aussi détruite par le ramollisse
occupe toute la partie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne postérieure, la circonvolution de l'hippocampe, l
se sépare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure. Une partie de l'écorce du lobe fus
de la couche sagittale, qui passe près de la paroi externe de la corne postérieure. La partie de la couche sagittale,
la couche sagittale, qui se trouve dans la paroi inférieure de la corne postérieure est détruite. 5° Sur les coupes sit
it la destruction de la cir- convolution de l'hippocampe et de la corne d'Ammon (Fig. 7). Sur les coupes, qui passent p
tion pénètre dans la profondeur et atteint la paroi ex- terne de la corne postérieure, en détruisant les fibres des radiati
tiolet qui se trouve immédiatement sous la pa- roi inférieure de la corne postérieure est sclérosée. Une partie du faisceau
Le foyer de ramollissement pénètre jusqu'à la paroi externe de la corne postérieure, en détruisant le faisceau de Grati
nétrait dans la profondeur, arrivant jusqu'à la paroi externe de la corne postérieure et déterminait l'interruption de la c
lésions qui viennent d'être mentionnées on trouve il la hase de la corne antérieure droite un foyer scléreux qui se tra-
droite, comme dans le 4" segment dorsal, on voit dans la base de la corne postérieure gauche un éclaircissement du réseau f
ig. 9) le maximum des lésions. Dans la substance grise, la base de la corne postérieure gauche est altérée et la colonne de
déformée dans sa moitié droite, les cellules ganglion- naires de la corne antérieure et de la colonne de Clarke s'y montren
odification s'accentue dans le 4° segment dorsal. Ici la tête de la corne antérieure droite paraît comme décapi- tée (fig
Sur les côtés de la substance réticulaire blanche, à la place de la corne antérieure, apparaît l'olive accessoire interne
antérieure, apparaît l'olive accessoire interne et à la place de la corne latérale et du faisceau fondamental du cordon l
partie du système nerveux qui comprend la cellule multipolaire des cornes antérieures de la moelle, le nerf moteur et sa te
logie et ne pas localiser la lésion dans les cellules motrices delà corne anté- rieure, qui, en somme, jouent vis-à-vis d
, des deux côtés on trouve des cellules appartenant aux groupes des corne ^ antérieures ; ici prennent naissance une grand
ehors passent les fibres radiculaires de l'hypoglosse. A la place des cornes latérales se montrent les olives et entre elles
lle normale et dépend du niveau de la coupe. Ainsi à la place de la corne antérieure et latérale apparaissent les olives. L
ure, où nous retrouvons les cordons antérieurs et latéraux avec les cornes antérieures et postérieures, et 2° postérieure, o
un tronçon informe épais de 2 à 3 millimètres, ayant l'aspect d'une corne ; il y a cepen- dant une ébauche de repli sous-
. Ce qui frappe déjà à l'oeil nu sur les préparations c'est que les cornes anté- rieures ont subi une modification de leur
is que dans une moelle normale, le diamètre antéro-postérieur de la corne antérieure est plus grand que le diamètre trans-
rans- versal, ici c'est le contraire. La forme la moins altérée des cornes antérieures est encore celle des régions sacrée
ondément lé- sées. Elles ne se détachent presque pas du reste de la corne postérieure. Les fibres y ont en grande partie
daux croisés et des faisceaux cérébelleux directs. Les cellules des cornes antérieures de la moelle étaient atrophiées, ce
nde- lette qui diminue de volume à mesure que l'on se rapproche des cornes pos- térieures. Si nous reprenons chacun de c
serve un entrecroisement très manifeste de fibres qui passent d'une corne antérieure à l'autre. L'émergence des racines a
myélinisation d'autant moindre qu'on se rap- proche davantage de la corne postérieure. Ici encore on voit que non seuleme
s. Cet aspect est d'autant plus accusé que l'on est plus près de la corne postérieure. Comme au niveau de la coupe précéd
n antérieur, on observe un entrecroisement de fibres qui vont d'une corne antérieure à l'autre. Dans leur court trajet in
amédullaire ainsi que dans leurs arborisations médullaires dans les cornes , les racines antérieures et postérieures semblent
u sillon an- térieur des fibres qui s'entrecroisaient passant d'une corne antérieure à l'autre. Ces fibres nettement obse
été compa- rables aux deux régions. Les cellules radiculaires des cornes antérieures apparaissent en nombre nor- mal, sa
ordon postérieur, la zone spongieuse de la substance gélatineuse la corne postérieure et le cordon latéral. Cette raréfacti
iques osseux, musculaires et conjonctifs, à la suite de lésions des cornes antérieures ou de leur voisinage immédiat, plaide
érée comme une paralysie essentielle, l'aspect seul des lésions des cornes antérieures ne nous permet pas de préjuger d'une
ardés comme l'indice de la réunion de fonctions di- verses dans les cornes antérieures. En attendant les révélations que nou
32 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ence de leurs centres trophiques, au- trement dit à l'influence des cornes antérieures de la moelle. Par consé- quent la c
LE DU DELTOIDE 21 Or, la première hypothèse, celle d'une lésion des cornes antérieures, doit être rejetée dans le cas actu
. D'ailleurs, il est malaisé de concevoir une lésion bilatérale des cornes , limitée aux centres trophiques des deltoïdes.
d'une amyotrophie véri- table, impliquant une lésion du système des cornes antérieures, car la dimi- nution comparative de
direct, le faisceau fondamental, le faisceau pyramidal direct, les cornes antérieures et posté- rieures de la substance g
bordant le septum médian, pour se diriger de là vers la tôle de la corne postérieure sur la- quelle va s'insérer son ext
il y a une bande étroite plus sclé- reuse sur le bord externe de la corne postérieure. D'une façon générale les tractus p
te. La substance grise est- saine, sauf peut-être l'extrémité de la corne pos- térieure. Les racines, antérieures sont
dont la bande scléreuse vient se terminer en pointe sur tête de la corne postérieure. ` Les faisceaux antéro-latéraux ne
Cet épaississement est encore plus marqué sur le bord externe de la corne postérieure. La substance grise est le siège d'
ltérations importantes ; les cellules nerveuses sont rares dans les cornes antérieures et parmi celles qui per- sistent on
ONROCO a iarm s DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 39 des cornes postérieures et de la commissure postérieure on v
e où l'on voit un anneau de sclérose. Dans la partie restante de la corne anté- rieure gauche les cellules nerveuses ont
celles qui per- sistent présentent des lésions d'atrophie. Dans la corne antérieure droite, au contraire, les cellules n
is dans son ensemble et aux divers étages; de plus les cellules des cornes antérieures à la région dorso-lombaire, et à la
ence de monoplé- gies crurales, en rapport avec une lésion spinale ( cornes antérieures) ou avec une névrite, ou avec l'hys
dons postérieurs, 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE les cornes postérieures et une partie des cordons latéraux é
ont situés, avec les centres trophiques des nerfs moteurs, dans les cornes antérieures de la moelle épinière et, plus enco
ope, on ne constata rien d'anormal dans la substance ner- veuse des cornes antérieures et postérieures, ainsi que dans la su
ant pas d'une façon intensive ia laque chromo-hénialoxylique. Les cornes antérieures sont intactes. Les colonnes de Clarke
aire moyenne et toute la bande de substance blanche qui avoisine la corne postérieure et qui se dirige vers la commissure p
légèrement épaissi. Le triangle de substance saine qui avoisine la corne postérieure affecte une topographie variable da
bres nerveuses. De même semble intacte la zone de Lissauer. m Les cornes antérieures et postérieures, les racines antérieu
ges de ses prouesses antérieures. A la ceinture, il porte' dans une corne tout un arsenal de scalpels, pinces, curettes, ci
t protubérantiels ne sont, en définitive, que la prolon- gation des cornes antérieures de la moelle. Cela étant, je vous l
début elle envahit les deux commissures, la partie postérieure des cornes anté- rieures, se prolonge un peu dans les cord
les cordons postérieurs et envoie un prolongement le long de chaque corne postérieure, prolongement plus large à droite q
NSVERSE AIGUË 329 les cordons antéro-latéraux, tout au pourtour des cornes antérieures, il en part des pointes irrégulière
ste toujours un secteur intact dont la pointe est vers le col de la corne postérieure gau- che et dont la base embrasse l
myélite diminue beaucoup moins vite par en bas que par en haut. La corne postérieure droite reste toujours plus malade que
pour la substance grise est évidente, mais au niveau de la tête des cornes antérieures l'ex- tension par en haut et par en
gouttelettes de sang noir d'une multitude de vaisseaux dilatés; les cornes antérieures sont ramollies et s'enfoncent au-de
te des cordons postérieurs; elle s'arrête latéralement/aux cols des cornes postérieures; en arrière elle envoie un petit pro
stérieure. Un peu au-dessous elle s'étend rapidement, envahit les 2 cornes an- térieures dans leur moitié postérieure et e
ière deux prolon- gements qui' gagnent la périphérie en suivant les cornes postérieures et en empiétant un peu sur la subs
reste un dou- ble secteur comprenant la moitié antérieure des deux cornes antérieures. Encore ces territoires sont-ils co
périphérie, quelques tubes épars et le réticulum d'une partie de la corne antérieure droite. En employant un plus fort gr
és. La lésion reste à peu près la même, sauf que le réticulum de la corne 340 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE a
stance blanche ; par contre elle laisse sortir en avant la tète des cornes antérieures. Enfin au niveau de la 9e dorsale i
dans la commissure grise et un autre en dedans de l'extrémité de la corne postérieure droite : Celte dernière petite tach
e ses deux extré- mités, enfin l'immunité relative de la tête de la corne antérieure, qui se dégage la première en hau co
; cette dégénérescence, qui existe dans des points où la basé de la corne posté- rieure est altérée et qui ne remonte pas
33 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tion du tonus. Le centre du réflexe tonus est dans les cellules des cornes antérieures de la substance grise. Les voies ce
scopique on trouve des altérations manifestes dans les cellules des cornes antérieures. Le corps des cellules parait homog
t défavorables à cette opération. (13.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 159 corne postérieure droite; cette lésion persistait dans
bstance blanche sous forme d'une bande étroite qui n'atteint pas la corne antérieure du ventricule. Coupe passant par le
avant à travers le pied de la couronne rayonnante pour aboutir à la corne antérieure du ven- tricule, sans la perforer.
remarquer que lorsque le sang a envahi les ventricules latéraux, la corne descendante du côté lésé est toujours vide, le
er hémorragique. Dans certains cas cependant on a observé que cette corne pouvait aussi être envahie par le sang (obs. II
pied de la couronne rayonnante en s'incurvant rapidement vers la corne antérieure du ventricule, et formant un gros fo
dans l'extré- mité postérieure de la capsule interne comprimant la corne descendante du ventricule et rejoignant une hém
oyau lenticulaire et avait envahi, à travers la capsule interne, la corne occipitale du ventricule. Dans nos cas, nous vo
sule interne (partie postérieure) et fait par là irruption dans les cornes descendante et occipitale du ventricule. L'ob-
il envoie deux prolongements, l'un en avant jusqu'au niveau de la corne antérieure du ventricule qu'il effleure sans l'ou
sé est empêchée par la proximité de la scissure de Sylvius et de la corne descen- dante du ventricule latéral. Le coma do
culaire et se fait, on peut dire tout entière, entre ce noyau et la corne occipitale du ventricule ; c'est sans doute pou
es terminales en pleine substance blanche et au voisinage d'une des cornes ventriculaires. Comme nous trou- vons ces diver
cipressure. Anatomie pathologique. Les altérations des cellules des cornes antérieures de la moelle sacrée et lombaire son
otrice; l'un qui va de l'écorce des zones motrices aux cellules des cornes antérieurs, l'autre de ces cellules aux muscles
\venthal ; les fibres de ce faisceau se mettent en rapport avec les cornes antérieures de la moelle du même côté et en par
aires de la substance blanche et grise médullaire. Les cellules des cornes antérieures et des colonnes de Clarke présenten
la gaine externe de ramifications vasculaires irriguant surtout la corne latérale et le groupe postéro-externe de la sub
lésions des cellules nerveuses, loca- lisées principalement dans la corne latérale, étaient plus ou moins prononcées ; el
sé principalement les groupes antérieur et interne des cellules des cornes antérieures ; les cornes postérieures ne sont p
upes antérieur et interne des cellules des cornes antérieures ; les cornes postérieures ne sont presque pas intéressées, pui
s d'intoxication aiguë, intéressent principalement les cellules des cornes antérieures : chromatolyse partielle ou général
CLINIQUE NERVEUSE. SYNDROME DE LANDRY PAU LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES (MYÉLITE ASCENDANTE A ? TLRIEURE-AI
ectuelles sont intactes ; le malade comprend LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 355 tout ce qu'on lui dit et s'eff
lombaire, les lésions sont très avancées, particulièrement dans la corne antérieure, et semblables dans les deux moitiés
ins frappantes par les déformations concomi- LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 357 tanles du corps cellulaire. No
caractères ces cellules se rapprochent ainsi le plus de celles des cornes antérieures que tous les processus myélitiques ai
s plus voisines de l'axe gris ; quelques boules de myéline dans les cornes antérieures et le long du trajet intramédullaire
- tômes paralytiques et la mort du malade. LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 359 Considérations histologiques.
de \'iasl. (.luclr. de Physiologie, 1898.) LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 361 courants tels que le Millier e
s de prise à l'action de l'alcool, la défor- LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 363 mation ne portant pas égalemen
as de pigment jaune brun qu'on peut observer dans toute cellule des cornes antérieures nous fournissent des termes de comp
eilli, la veille de la mort, dans une veine- LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 365 du pli du coude avec toutes le
. Picciniuo..111111. di Nevrologia, fasc. 1. LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 367 I défaut d'autre argument, de
de la moelle; mais ces vaisseaux n'irriguent pas exclusivement les cornes anté- rieures, et l'on sait que dans la paralys
le par la tension du liquide puisse favoriser cet envahissement des cornes antérieures au sur et à mesure que ce liquide p
'admettrait-on pas que, dans ce cas, l'agent pathogène a envahi les cornes antérieures par la voie du canal rachidien en i
tze. liùiieli. oaecl. \Voch., 1898, n" 38. 1 LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 369 cornes antérieures de la moell
h., 1898, n" 38. 1 LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 369 cornes antérieures de la moelle et des noyaux moteurs
lancs de la moelle sont atteints en même temps que les cellules des cornes antérieures ; les altérations des vaisseaux (in
ion, une élection des lésions pour les seules cellules motrices des cornes antérieures, se rencontre aussi parfaite que da
rifl sur lilitz. Dleclicin., 1897, p. 11j. LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 3-il 1 sont notées une description
3-il 1 sont notées une description minutieuse des altérations des cornes antérieures et une absence complète de lésions de
u'il y ait aussi des fibres provenaut des cellules funiformes de la corne postérieure (Lenhossek, Marie), mais cela n'est p
citateur de l'influx nerveux, est généralement répandue. Dans les cornes postérieures, et plus particulièrement dans la su
cellules des ganglions du grand sympathique. En ce qui concerne les cornes antérieures, la chroma- tolyse commence par les
ules de la protubé- rance, du bulbe, du tronc, des hémisphères, des cornes posté- rieures, ces dernières étant les moins a
ont donc d'origine centrale, de là leur diffusion. Aux cellules des cornes antérieures, il faut rattacher l'hyperexcitabil
doit y avoir eu (le malade est artério-scléreux) une hémorragie des cornes anté- rieures qui a fusé dans toute la région c
4 SOCIÉTÉS SAVANTES. canal central, et des espaces lymphatiques des cornes postérieures simulant la syringomyélie. L'aut
ringomyélie avancée, il existait une lésion bulbaire placée dans la corne postérieure et dans la substance grise située en
ssement du bulbe par la syringomyélie et qui continue la gliose des cornes postérieures de la moelle, comme il est facile
par Robent, 306. Syndrome de LARDR)' par lésions exclusives des cornes antérieures (myélite ascendante antérieure ai-
34 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'albl., XV, 1896.) Etude spéciale des granulations des cellules des cornes anté- rieures prises chez deux malades tués par
NERVEUSE. sont les granulations qui, dans le corps des cellules des cornes antérieures de la moelle de l'homme ou des anim
r), prolongement déjà assimilé par Gerlach à celui des cellules des cornes antérieures de la moelle, Meynert mentionne exp
yéline, sont issues de cellules nerveuses qui rappellent celles des cornes antérieures de la moelle épinière. Les fibres de
orie sortent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cel- lules des cornes postérieures et de la substance de Holando. Delà
t àl'heure Golgi, en se référant aux différen- ces de structure des cornes antérieures et postérieures de la moelle épiniè
rendre les rapports directs des nerfs moteurs avec les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière. Où fallait-i
encore. Dans la moelle épinière ? Mais, même pour les cellules des cornes antérieures, le moyen d'affirmer qu'on a bien a
t plus jeunes. Voilà com- ment Golgi découvrit que les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière sont bien en
et sensitives de la moelle épinière, que les cellules nerveuses des cornes anté- rieures et postérieures sont rigoureuseme
es myxines, des tubes nerveux sortir directement des cellules des cornes antérieures; ceux des racines postérieures seraie
n und peripherisclten, Neruensyslems. léna, 1891." 2 Cf. Tirelli. Corne si comporta lo slroma nectro-chemclinico délie fi
échir en haut : c'est un coude à angle aigu qui embrasse d'abord la corne inférieure. Dans la couche optique, elles entrent
es qui viennent d'entrer dans la moelle occupent le voisinage de la corne postérieure au côté interne de la- quelle elles
et endroit. Il est donc probable que ces fibres pro- viennent de la corne postérieure (des racines postérieures ? ) et vont
rie. On voit très nettement un bactus de fibres dégénérées, dans la corne postérieure, qui représente évidemment les cont
inué parce que un certain nombre de fibres ont été abandonnées à la corne postérieure ; elle est rejetée en dedans par le
iennent à la suite. Il n'y en a plus qu'un petit vestige près de la corne postérieure. La zone dégénérative forme mainten
yant la commissure grise, pousse une pointe dans la direction de la corne postérieure. Au-dessous, c'est- à-dire depuis i
es veines cérébrales dans la première enfance. Une lésion aiguë des cornes doit également être mise hors de cause, puisqu'il
existent à cet égard dans l'écorce cérébrale, le bulbe olfactif, la corne d'Ammon, la moelle épinière, la rétine. Les bra
manteau. Il en est ainsi des collatérales du bulbe olfactif, de la corne d'Am- mon, des fibres du cordon du grand sympat
sensitives, on distingue des collatérales longues desti- nées à la corne antérieure, des collatérales courtes destinées à
nées à la corne antérieure, des collatérales courtes destinées à la corne postérieure : celles-ci, après avoir traversé la
corps ou avec les ramifications protoplasmiques des cellules de la corne antérieure : elles constituent la voie ordinaire
triees (Kël- liker) ou sensitivo-motrices (Cajal). Les cellules des cornes posté- rieures envoient leurs cylindraxes presq
ropriétés physiques, la même composition chimique. Les cellules des cornes antérieures de la moelle, les cellules ganglion
u la soudure de ces surfaces, autrefois libres, par exemple dans la corne d'Ammon. Peut-être pourra-t-on se servir de ces
igidité spas- modique, sans atrophie marquée). Dans quelques cas la corne anté- rieure demeure indemne, mais comme on sai
es artères centrales qui, du sillon antérieur, pénètrent dans les cornes antérieures et aussi dans la base des cornes post
ur, pénètrent dans les cornes antérieures et aussi dans la base des cornes postérieures et dans la substance blanche limit
e des cornes postérieures et dans la substance blanche limitant les cornes antérieures ; 1° les artères périphériques, plu
oison quelconque intéresse par les artères centrales une partie des cornes antérieures (poliomyélite antérieure) que pour qu
oelle par les petites artères périphériques, et cela sans léser les cornes antérieures (scléroses systématiques combinées)
le dans laquelle, à l'inverse de Mikuliez, il ne laisserait que les cornes supérieures du corps thyroïde pour éviter le my
e la zone motrice de l'écorce cérébrale et la substance grise de la corne antérieure de la moelle épinière. Cet état spas
de paralysie générale comme dans ceux de tabès, les cellules de la corne antérieure n'étaient pas tout à fait intactes :
x. L'existence de ces modifications de structure des cellules de la corne antérieure pourrait expliquer certains phéno- R
eu du cordon postéro-externe, est parallèle au bord interne de la corne postérieure et n'atteint ni la commissure postéri
rminent en passant en avant dans la substance grise à la base de la corne postérieure du même côté. Il est probable que
e la substance habituellement non colorée des cellules motrices des cornes antérieures et des noyaux des nerfs crâniens, d
8 grammes de trional, on a trouvé des altérations des cellules des cornes antérieures et des cellules de Purkinje, analog
urtout sur la subs- tance grise du cerveau et delamoelle, etsur les cornes antérieures. La lésion avait les caractères d'u
explique l'intégrité des sphincters; et l'état à peu prèsnormal des cornes postérieures, des tractus sensoriaux et des rac
er, comme dans cette dernière mala- die, l'existence de lésions des cornes antérieures. R. DE l\IUSGRAVE-CLAY. LVII. Fra
myélie, hématomyélie), pourvu que la lésion ne soit pas limitée aux cornes antérieures, et que par contre la plus grande par
uvent atteints que sa portion dorsale. Si la lésion est limitée aux cornes anté- rieures, on observe de la paralysie motri
sie motrice et de l'atrophie muscu- laire, tandis que la lésion des cornes postérieures produit des troubles sensitifs div
ns la sclérose latérale amyotrophique indique l'envahisse- ment des cornes antérieures. Il en est de même dans la syrll1go-
cieux secours. L'absence du réflexe rotulien indique une lésion des cornes postérieures (tabès). ou des cornes antérieures
rotulien indique une lésion des cornes postérieures (tabès). ou des cornes antérieures (polyomyélite). Les troubles trophiqu
une hyperplasie névroglique, se dirigent du canal central vers les cornes et les cordons postérieurs. D'après les auteurs i
35 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
C. A. H. Corne d'Ammon ou pied d'hippocampe. E. C. A. Ergot de la corne d'Ammon. c. s., c s., Corps strié. t. s. Tami
/. Cordons disséminés sur la tête centrale du faisceau latéral. g. Cornes postérieures des axes gris de la moelle, parcouru
d. d. Amas gris symétriques que j'ai observés dans le domaine des cornes antérieures des axes gris, mais dont la significa
, mais dont la signification m'est inconnue. g. Stries blanches des cornes postérieures des axes gris. Cette coupe est rem
is que d'autres fibres se portent dans les cellules multipolaires des cornes postérieures. d. Racines antérieures des nerfs
certaines fibres sont en rapport avec les cellules multipolaires des cornes antérieures des axes gris. c. Cellules multipol
ris. c. Cellules multipolaires de la substance grise spongieuse des cornes antérieures des axes gris, unies en un réseau com
a. Cordons médians postérieurs. //. Renflements mamelonnés. c. Corne latérale du quatrième ventricule constituant une
ement supérieur du corps strié interne. r. Extrémité antérieure des cornes frontales des ventricules latéraux séparées Lune
extern e. b.b. Extrémité antérieure du corps calleux recouvrant les cornes frontales des ventricules latéraux. c.c. Cornes
leux recouvrant les cornes frontales des ventricules latéraux. c.c. Cornes occipitales des ventricules latéraux recouvertes
e en arrière dans le bord supérieur de l'hémisphère au-dessus de la corne occipitale du ventricule latéral, ce'. Division d
te en arrière dans le bord inférieur de l'hémisphère au-dessous de la corne occipitale du ventricule latéral Entre cette bran
icule latéral, cette figure permet d'apprécier l'énorme étendue de la corne occipitale du ventricule latéral dans les singes.
et renversée. cIv. Saillie que forme à l'intérieur, sous le nom de corne d'Ammon ou de pied d'hippocampe, la saillie inter
36 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ie. Elle est, de plus, une preuve que les nerfs et les cellules des cornes antérieures sont indemnes ; ce qui nous permet
cavités syringomyéliques. Le nombre des cellules nerveuses dans les cornes antérieures est sensiblement le même que dans les
les mêmes que dans la moelle du myopathique, mais les cellules des cornes antérieures sont moins rapetissées et plus abonda
circonférence de la moelle, mais ne tranche pas le bord externe des cornes postérieures qui est recouvert par une mince co
hesse de son chevelu de fines fibres myéline. Aussi bien dans ses cornes antérieures que dans ses cornes postérieures. 2
fibres myéline. Aussi bien dans ses cornes antérieures que dans ses cornes postérieures. 2) Par les colorants nucléaires l
ne de Clarke sont moins nombreuses à gauche qu'à droite. Celles des cornes antérieures sont normales et égales des deux cô
du faisceau pyramidal semble plus dense à droite qu'à gauche. La corne antérieure gauche est un peu plus étroite que la
yéline tuméfiée mais ne se colorant pas par le picro-car- min. La corne antérieure gauche est plus courte que la droite.
males des deux côtés. On ne trouve pas de cellules altérées dans la corne droite. Si quelques-unes ont été lésées à un mome
grise présente dans la région dorsale, une légère atro- phie de la corne antérieure gauche, mais là comme ailleurs, les ce
nt normales. 7) Le chevelu de la substance grise est, tant dans les cornes antérieures, que dans les cornes postérieures e
substance grise est, tant dans les cornes antérieures, que dans les cornes postérieures et dans les colonnes de Clarke, bien
e et nota- blement moins accusée. Quant à l'atrophie légère de la corne antérieure gauche dans la région dorsale elle p
ce dans les endroits les moins touchés qu'une atrophie légère de la corne anté- rieure gauche dorsale, mais occasionnant
iliter en faveur d'un processus irritatif non seulement étendu à la corne antérieure gauche qui donne naissance aux racines
e naissance aux racines mo- trices lésées, mais encore irradié à la corne antérieure droite. Quoi qu'il en soit, ce fait
on radiculaire chroni- que, suivie sans doute, d'une altération des cornes antérieures du même côté. Le membre droit a été
érée des segments intra-médullaires des racines. Les cellules des cornes antérieures de la moelle ont surtout subi le con-
ces qui progressivement se raréfient et disparaissent tandis que la corne an- térieure, dans le territoire intéressé, s'a
radiculaires traumatiques entraînent, elles aussi, l'atrophie de la corne antérieure et du centre cérébral correspondant
fibres efférentes du protoneurone centripète, sur les éléments des cornes postérieures ou enfin sur les fibres qui en éma
t efférent qui va s'épanouir au niveau des éléments médullaires des cornes postérieures. C'est ce prolongement efférent qui
tres primaires, bulbo-protubéran- tiels, ceux qui correspondent aux cornes postérieures de la moelle, sont si haut placés
s, à engainement myélinique plus tardif, aboutis sanl à la tête des cornes postérieures, d'où les impressions s'élèvent vers
BONNIER que, et olives), qui sont les prolongements de la tète des cornes postérieu- res de la moelle. De ces noyaux part
ternes, à engainement myélinique précoce, aboutissant à la'base des cornes postérieures, et particulièrement à la co- lonn
ant la colonne de Clarke) qui sont les prolongements de la base des cornes postérieures . De ces noyaux partent les impressi
t de vue physiologique. Il existe dans la moelle des fibres qui des cornes postérieures vont direc- tement vers les centre
nes postérieures vont direc- tement vers les centres nucléaires des cornes antérieures, formant un arc réflexe d'une extrê
nissant cer- tains noyaux labyrinthiques primaires, prolongeant les cornes postérieu- res,à des centres nucléaires prolong
les cornes postérieu- res,à des centres nucléaires prolongeant les cornes antérieures de la moelle. LE TABES LABYRINTHIQU
tance grise, éprouve une raréfac- tion notable au niveau du col des cornes postérieures. Sur une coupe au niveau de la 7°
altérations de la colonne de Clarke. d) Des lésions cellulaires des cornes antérieures consistant en atrophie de la cellul
zone cornu- commissurale était à peu près intacte. Les cellules des cornes antérieures et des ganglions spinaux étaient ma
es cellules et des lésions des fibres. Le nombre des cellules des cornes antérieures n'est pas très inférieur à (1) Uebe
otoplasma. Le noyau et le nucléole sont absents. Les cellules des cornes postérieures sont diminuées de nombre et atro-
phiées. Le réseau de fibrilles nerveuses qui se trouvent dans les cornes posté- rieures est notablement raréfié, aussi b
ait compara- bles à celles qui sont signalées dans les cellules des cornes antérieures. Les lésions du cytoplasme sont trè
et Burdach ; 2° Des lésions atrophiques probables des cellules des cornes antérieures; 3° Des altérations des nerfs périp
s étages de la moelle épi- nière une atrophie très considérable des cornes antérieures avec disparition presque complète d
res avec disparition presque complète des cellules nerveuses de ces cornes , atrophie et sclérose des racines qui en émerge
ur gliomateuse, ni cavité. Examen histologique. Sur les coupes, les cornes antérieures sont légè- rement diminuées de volu
aires venant atteindre secondairement les grou- pes cellulaires des cornes antérieures, lui empruntent son aspect clinique,
omo-palhologique bien connue, l'altération des grosses cellules des cornes antérieures essentiellement atteintes (observatio
d'une arthrite du genou, a trouvé des altéra- tions manifestes des cornes antérieures du côté de l'arthrite. Mais, comme
CAI'UW-llG1>1ÉRAL 397 d'une lésion des cellules radiculaires des cornes antérieures de la moelle, mais fonction d'un tr
elà substance grise. Les corps cellulaires des parties médianes de la corne antérieure ont des dentrites traversant la comm
e 8. - Cette coupe ne laisse en arrière qu'une faible portion de la corne ventriculaire. Le manteau blanc de la face extern
'a-t-elle sur la tête ? Ça comme ça. (Elit ! fait signe qu'elle a des cornes .) La malade est incapable de dénommer quelqu'ob
37 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
onséquence d'une propagation du processus myelitique à la colonne des cornes antérieurs de la substance grise du côté de la lé
rise spinale, et plus précisément aux grandes cellules nerveuses •des cornes antérieures : d'où l'amyotrophie consécutive (Voi
e, novembre 1887 et janvier 1888) la lésion supposée des cellules des cornes antérieures a pu se trouver réalisée et -démontré
chez notre homme, même aujourd'hui, ce qui appartient à la lésion des cornes antérieures spinales, et ce qui est la conséquenc
fets que produisent les lésions destructives limitées étroitement aux cornes antérieures de la substance grise centrale de la
plus, il faut l'avouer, d'aller détruire chez les animaux, ces seules cornes antérieures, sans Fig. 32.— Croupe de la moelle
substance grise centrale, mais encore plus explicitement, aux seules cornes antérieures de substance grise, tantôt aux deux,
ntôt seulement à l'une d'entre elles ; j'ajouterai, que même dans les cornes antérieures, ainsi que Cela se voit bien lorsqu'i
eut ne pas se montrer uniformément répandue sur toute l'étendue de la corne ; et affecter au contraire exclusivement, tantôt l
bide concentre son action dans le voisinage des cellules motrices des cornes antérieures et peut-être primitivement clans ces
gie pathologique le nœud de la situation. Voici en effet dans une des cornes antérieures de substance grise un ou plusieurs gr
moins accentué, envahit la région des cellules nerveuses motrices des cornes antérieures et en détruit un certain nombre, répo
tifs soit subjectifs clans les membres affectés ; la seule lésion des cornes antérieures ne les comportant pas: fait clu reste
creux poplité. l'extension du foyer, originellement limité dans la corne antérieure, aux régions postérieures delà substan
bstance grise n'était plus représentée sur les coupes que par une des cornes de la substance grise où l'on ne retrouvait qu'un
me d'un tissu cicatriciel plus ou moins étroitement localisé dans les cornes antérieures de substance grise, constituant, on p
ie dégénérative des troncs nerveux émanant des parties altérées des cornes antérieures, l'atrophie des muscles auxquels ces
guë ne puisse plus se reproduire jamais, au moins sur ces régions des cornes antérieures où les cellules motrices ont été irré
mode chronique et occupant principalement, du moins à l'origine, les cornes antérieures. Cesontlàdes questions qui se présent
e, le caractère anatomique fondamental du groupe. C'est la lésion des cornes antérieures de substance grise et, plus explicite
senté : 1° dans la moelle par une lésion systématiquement limitée aux cornes grises antérieures; l'altération des grandes cell
par des lésions trophiques également consécutives à l'altération des cornes antérieures et d'où procède à proprement parler t
ignerai sous le nom de deutéropathiques. Ici, en effet, la lésion des cornes antérieures etdescellules nerveusesestnécessairem
ut se garder de céder à l'envie de tout expliquer par la « lésion des cornes spinales antérieures.Cette lésion a son domaine p
ppelions il n'y a qu'un instant, peuvent accidentellement envahir les cornes antérieures de substance grise et produire en con
s antérieures de substance grise, sans participation aucune, soit des cornes postérieures ou des commissures, soitdes faisceau
particulièrement de la forme chronique de la lésion systématique des cornes antérieures de substance grise. Ce sont, vous l'a
anatomique consiste en une lésion systématiquement localisée dans les cornes antérieures de la substance grise. Il y y a cette
mis le premier peut-être l'opinion que les lésions cicatricielles des cornes antérieures que laisse après elle la tephro-myéli
, et suppose, par conséquent, une lésion systématiquement limitée aux cornes antérieures spinales. Or, il serait impossible, d
nce de « l'irritation » qu'ils lui transmettent, que la névroglie des cornes antérieures vient à son tour, secondairement, pre
erses régions de la substance grise spinale, principalement celle des cornes postérieures. Il consiste essentiellement dans l'
ocalise avec prédilection. De là il tend à s'étendre d'abord vers les cornes postérieures, puis vers les cornes antérieures de
tend à s'étendre d'abord vers les cornes postérieures, puis vers les cornes antérieures de substance grise, à titre de lésion
A' faisceaux de Tùrck. — B,B, zones radiculaires postérieures. — G,C, cornes postérieures. — D,D, cornes antérieures. — F, zon
, zones radiculaires postérieures. — G,C, cornes postérieures. — D,D, cornes antérieures. — F, zones radiculaires antérieures.
ale, nos connaissances, en ce qui concerne les effets des lésions des cornes antérieures, paraissent à peu près définitivement
myo trophique, etc.), si elle évolue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices,)
rose latérale amyotrophique, que les lésions limitées à la région des cornes antérieures de substance grise ne sont pas accomp
ents de la sensibilité. Relativement aux effets des altérations des cornes grises postérieures (CC) nous étions par contre,
être alors affectés à l'exclusion des autres, que les lésions de .ces cornes quand elles sont profondes, déterminent une « ane
la transmission des impressions douloureuses se fait par la voie des cornes postérieures de substance grise, tandis que celle
ions tactiles appartiennent aux faisceaux postérieurs, tandis que les cornes grises postérieures transmettent les impressions
ouloureuses : elles montrent en outre que, dans cette même région des cornes postérieures, siègent encore les conducteurs, que
sent parfaitement authentiques, que les éléments nerveux qui dans les cornes postérieures servent à la transmission des divers
savons des eflets produits par les altérations qui occupent soit les cornes antérieures, soit les cornes postérieures, il ne
ar les altérations qui occupent soit les cornes antérieures, soit les cornes postérieures, il ne paraît pas qu'on doive les y
lésion plus ou moins profonde que subissent les éléments nerveux des cornes antérieures et postérieures en présence des produ
— Réactions électriques, 411. — Réflexes, 411.—Rôle des cellules des cornes antérieures, 418. — Sensibilité, 411. — Symptômes
e, etc.) Coprolalie, 15, 468. — et Echolalie, 15. Cordier, 146. Cornes postérieures (Rôle des), 494. Cotugno, 24. Cris
38 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; il met en relation la zone motrice du cerveau et les cellules des cornes anté- rieures de la moelle; il dégénère parfois
hérant par sa base à la pie-mère. Ce triangle scléreux confine à la corne postérieure sur la fig. 1 qui représente une co
et faisceau pyramidal croisé). En dedans, elle est limitée par la corne grise postérieure; en avant, elle s'étend jusqu'à
rne grise postérieure; en avant, elle s'étend jusqu'à la base de la corne antérieure. Telles sont les lésions qu'on const
oute la hau- teur de la moelle. , c) Substance grise. L'étude des cornes antérieures et pos- térieures à un grossissemen
-8kt7- Ver.) ne nous a décelé aucune altération des cellules de ces cornes . Toutefois il im- porte de relever que sur les
t inférieure de la région cervicale), la partie la plus reculée des cornes postérieures était comprise dans le foyer d'inf
recouvre tout le segment postérieur de la moelle (cordons latéraux, cornes et cordons postérieurs); au-dessus elle se loca
es antérieures et postérieures sont normales. Ce- pendant, là où la corne postérieure est envahie par la sclérose, on con
sceau pyra- midal, sans participation du faisceau de Tùrck et des cornes antérieures, on n'a pour étayer son opinion d'a
uer, il existe dans presque toute la hauteur de la moelle, entre la corne postérieure et la zone scléreuse des cordons la
ions. Relevons tout d'abord l'intégrité des cordons de Tûrck et des cornes antérieures qui nous semble difficilement compa
anesthésie, elle serait surtout sous la dépendance de la lésion des cornes postérieures de la substance grise. Or, comme c
lésion des cornes postérieures de la substance grise. Or, comme ces cornes n'étaient pas lésées, il est naturel qu'on n'ai
lérose des cordons postérieurs. G, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieurr. Fig. 13. -Tube nerveux surune coup
gélatiniforme. Pas de lésions à première vue : pas d'atrophie de la corne d'Ammon. Les ventricules latéraux et les masses
con- fondues. La circonvolution de l'hippocampe est très petite; la corne d'Ammon ne présente rien de particulier. La f
la face profonde d'une des circonvolutions les plus reculées de la corne postérieure. Enfin, il existe un autre petit fo
hie des muscles des membres résulte d'une atrophie des cellules des cornes antérieures de la moelle, et d'autre part, que
'irritation chronique paraît se propager du cordon de Burdach à ces cornes par l'intermédiaire de certains filets commissu
ue la lésion des noyaux bulbaires est secondaire, comme celle des cornes antérieures de l'axe spinal, et consécutive au
e forment dans la moelle les zones radiculaires postérieures et les cornes antérieures. Or, il est très vraisemblable, pou
n scléreuse a eu une remarquable tendance à gagner le système des cornes 'antérieures que nous voyons, intéressées sur u
s émettions plus haut, à savoir que la lésion du système antérieur ( cornes anté- rieures) suppose au bulbe comme à la- moe
s faisceaux latéraux sur toute l'étendue de la moelle, sclérose des cornes antérieures très prononcée, surtout dans le ren-
s, dans lesquelles pénètrent de préfé- rence des fibres émanées des cornes postérieures. On trouve égale- ment de très bon
s cas fort avancés, tandis qu'à la limite antérieure et interne des cornes postérieures (aire antéro- latérale) l'intégrit
urs parfaite. Constance des altérations dans la substance grise des cornes postérieures, ainsi que de l'atrophie des racin
plati les circonvolutions du côté gauche; la région corticale de la corne d'Ammon (ergot de Morand) est, dé- truite ou at
Les affections de la moelle dont les lésions sont localisées aux cornes grises antérieures, la paralysie infantile, la pa
t mal définie à la hauteur du premier nerf cervical au centre de la corne antérieure droite. 2° Un long foyer allant du
septième nerf cervical dans la partie externe et postérieure de la corne antérieure droite consistant en un feutrage de
é gauche. 4° A la hauteur du huitième nerf dorsal on trouve dans la corne antérieure gauche des lésions analogues. Dans
régions il y a disparition des grandes cellules multipolaires de la corne antérieure malade; celte disparition porte suit
est très accusée dans le grand foyer n° 2. Dans les points où les cornes antérieures sont atteintes, on voit une diminut
teintes, on voit une diminution des fibres nerveuses partant de ces cornes et se dirigeant vers les racines antérieures.
térieures. Le réseau conjonctif situé entre la pointe externe de la corne antérieure et le faisceau latéral est plus acce
aison. Elle présente deux stades. Dans le premier, les cellules des cornes de la moelle sont milles. Dans le second, elles
lérose des cordons postérieurs. b, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieure. Fig. 15. Tube nerveux sur une coup
39 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
courbe dans le même sens,est limitée en dedans par le tapetum et la corne postérieure du corps calleux, en dehors par les
ol. II. Septembre 1881. N° 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE LA CORNE D'AMMON (Morphologie ET embryologie) ; Par MATI
la région de l'hippocampe, c'est-à-dire de l'ensemble formé par la corne d'Ammon et le corps godronné (avec le corps bor
ution en haut et en dehors, vers le ventricule, de sorte que, de la corne d'Am- mon, la partie la plus insignifiante trou
une idée exacte des rapports morphologiques entre l'ensemble de la corne d'Ammon et le reste des cir- convolutions céréb
ant du haut en bas, puis, par ouverture, dans les mêmes sens, de la corne sphénoïde de ces ventricules, on découvre sur l
de de ces ventricules, on découvre sur la paroi inférieure de cette corne une saillie blanche, antéro-postérieure, dite c
rieure de cette corne une saillie blanche, antéro-postérieure, dite corne d'Ammon 1 G. Huguenin. Anatomie des centres ner
nin. Anatomie des centres nerveux. Traduc. franc. Paris, 1879. LA CORNE D'AMMON. 163 (Cornu Ammonis; Hippocampus; Corne
Paris, 1879. LA CORNE D'AMMON. 163 (Cornu Ammonis; Hippocampus; Corne de bélier; Protubérance cylindroïde, de Chaussi
ieure du cerveau pénètre , sous le nom de plexus choroïdes, dans la corne sphénoïdale des ventricules latéraux. 2° En l
mplète- ment dans la cavité ventriculaire, comme la saillie de la corne d'Ammon elle-même, et ne font commencer la régi
pitale), les auteurs sont amenés à décrire la substance grise de la corne d'Ammon, en partie, comme une circonvolution re
ise pénètre dans l'intérieur de l'hémisphère (substance grise de la corne d'Ammon), et en partie comme une formation nouv
rte de repli mésentérique et ferme les ventri- cules latéraux. LA CORNE D'AMMON. 165 2° Les plexus choroïdes ne sont do
est situé dans l'intérieur du ventricule ; la saillie blanche, dite corne d'Ammon, est donc la seule partie, dans l'ensem
e traduit dans l'intérieur du ventricule par une saillie blanche ( corne d'Ammon des auteurs). 5° De ces deux circonvolu
- pocampe). Nous avons tenu à formuler d'avance ces conclu-. LA CORNE D'AMMON. 167 sions, qui ne sont qu'une partie d
ion, nous allons du reste la donner explicitement par l'étude de la corne d'Ammon : 1° chez l'homme et quelques singes, c
'alcool et l'éther, sans ricin ni aucune autre substance); son LA CORNE D'AMMON. 169 séjour dans ce collodion bien liqu
llodion en technique histologique (Société de biologie, 1880). LA CORNE D'AMMON. 171 peut dès lors faire tourner la vis
er '. » P. K. V. DES relations étiologiques ENTRE LES lésions DE la CORNE D'AMMON ET l'épilepsie ; par Wilhelm Sommer. (A
onne les sources bibliographiques. La fréquence des lésions de la corne d'Ammon chez les épi- leptiques n'est, au dire
'on tenait compte dès altérations microscopiques présentées par des cornes d'Ammon, en apparence normales. Soixante-seize
es altérations, prononcées au maximum dans le fasciaden- tata de la corne , peuvent exister non seulement dans le lieu ind
issante a violenté le centre vaso-moteur du cerveau. Considérant la corne d'Ammon comme le centre de la sensibilité pour
à la période prodromique chez les épileptiques dont on constata la corne d'Ammon malade, sans que jamais on pût, admettr
e que Ferrier réussit à déterminer du côté opposé en détruisant une corne d'Ammon, et la démonstration que cet expériment
e; il se base sur le trajet des fibres nerveuses. L'arrivée dans la corne d'Aminon' oïl'dàiïs 1 l'écordé du lobe occipital'
ologie du nerf de la), par H.-B. 'll BigelOV,` 126. yUi "u · . Il Corne d'Ammon ' (morphologie et -ai embryologie)' par
Epilepsie (relations étiologiques ? n entre tles i lésions f de - la corne sl. d'Ammon 1 et, l'), ? parr, Sommer, 246 ;
40 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
ingo- myélie) signifiant moelle en roseau. Dans certains cas, les cornes antérieures peuvent être atteintes, et alors s'
avec atrophie et paralysie des muscles; d'autres fois c'est sur les cornes postérieures que s'étendra le pro- cessus gliom
ontées dans la glycérine. Dans la substance grise, les cellules des cornes antérieures se colorent mal par le carmin ; ell
pace périvasculaire des capillaires de la substance grise, dans les cornes antérieures et la commissure principale- ment :
ment : on en voit également quelques-unes au niveau de la base des cornes pos- térieures. Nous ne faisons que signaler ic
cit., fig. 1, A, A'). Ces taches occupent la commissure et les deux cornes , surtout les antérieures : elles paraissent const
centre des taches de ce genre qui occupent la commissure. Dans les cornes antérieures au contraire, la ma- tière colloïde
ivement par le carmin et l'hématoxyline. Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont toutes dans un état de dégénér
: on n'en voit pas de semblable dans les gaînes vasculaires. Les cornes postérieures ne présentent rien d'anormal autre q
eux-ci se trouvent non seulement au milieu de la substance même des cornes , mais aussi disséminés dans les filets radicula
est creusée de cavités nombreuses qui occupent la commissure et les cornes antérieures principalement (La présence de ces
mer de cavités comparables aux précédentes. Les éléments nobles des cornes antérieures, les grandes cellules ont beaucoup
la substance grise est à peine altéré : le tissu fon- damental des cornes antérieures parait raréfié, dissocié par l'exsuda
st l'o- rigine de l'exsudat colloïde infiltré dans la substance des cornes antérieu- res et de la commissure grise. Mais n
une matière amorphe qui s'est colorée par le carmin. A l'union des cornes an- térieure et postérieure du côlé gauche se v
coin dans la moelle détruisait une partie du cordon antérieur et la corne antérieure correspondante. Il existait à ce niv
herche attentive pour en re- connaître les différentes parties. Les cornes antérieures et postérieures du côté droit sont
et postérieures du côté droit sont à peu près conservées ; mais la corne antérieure gauche est rétractée, atrophiée. Il
a) Grand foyer de sclérose occupant les cordons postérieurs et les cornes postérieures ; il présente la coupe de vaisseaux
c) Région des cordons antérieurs restée saine (colorée en noir. d) Corne antérieure gauche atro- phiée. e) Artère spinal
ert. Le plus vaste comprend les cor- dons postérieurs et envahit la corne postérieure gauche. Tous deux ont uneforme tria
du canal de l'épendyme. On le retrouve cependant au voisinage de la corne antérieure gauche, oblitéré et présentant une lég
présentant une légère infiltration cellu- laire à son pourtour. La corne antérieure droite est le siège d'une bcmorrbagie
jet, de telle sorte qu'une longue fissure hémorrhagique parcourt la corne d'un bout à l'autre. Avec l'objectif 7 on voit
ourt la corne d'un bout à l'autre. Avec l'objectif 7 on voit que la corne est parsemée d'une quantité considérable de glo
sidérable de globules rouges, disséminés dans toute son étendue. La corne antérieure du côté opposé est atrophiée, mais n
s importan- tes du côlé de la névroglie et des grandes cellules. La corne droite antérieure ne présente pas une seule gra
noyau reste visible ainsi que son nucléole. .Mêmes lésions dans la corne antérieure gauche. Il existe dans les deux cornes
êmes lésions dans la corne antérieure gauche. Il existe dans les deux cornes des stades plus avancés d'atrophie des grandes
ceci en particulier au voisinage du foyer hémorrhagique qui occupe la corne an- térieure droite. Le tissu fondamental est f
- uns atteignent le double. Ils se rencontrent également dans les 2 cornes . Nulle part, dans la substance blanche, on ne r
ns la substance blanche, on ne rencontre d'éléments semblables. Les cornes postérieures sont également très intéressées des
ures sont également très intéressées des deux côtés. A gau- che, la corne envahie par la zone de sclérose qui occupe les co
es que nous avons rencontrées dans la région dorsale (surtout dans la corne antérieure gauche). Ce sont des extravasations
riangulaire à base tournée en dehors, lesom- met étant contigu à la corne antérieure. On conçoit sans peine qu'il l'aille
gion qui en soit totalement dépourvu. Dans le reste de la moelle ( cornes antérieures, cordons antéro-latéraw, sauf leur
n ne constate pas de lésions appréciables. Les grandes cellules des cornes antérieures se montrent normales comme nombre et
celle-ci, envahis- sant symétriquement les cordons postérieurs, les cornes postérieures et la moitié postérieure des cordo
41 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
itoire du premier segment cervical, les deux tiers antérieurs de la corne postérieure et sa calotte témoignent de très co
transverse de la racine. Go Les parties postérieures du noyau et la corne dorsale de la demi-lune radiculaire sont en relat
petites irrégularités de structure ainsi des différences entre les cornes antérieures et postérieures 4ti.91fes et gauche
n tiels ». M. Marinesco prend pour type la cellule nerveuse de la corne antérieure, qui est composée de trois parties d
sences ou d'atrophies des centres spinaux trophiques (lésions des cornes antérieures) ? On ne sait. Enfin sont-elles bien
grise. Là, elles affectent quatre directions. Les unes tendent aux cornes postérieures et enlacent la substance de Roland
rendent aux colonnes de Clarke. Les troi- sièmes, aux cellules des cornes antérieures (collatérales réflexes). Les quatri
es se dirigent en deux sens. Celles qui vien- nent des cellules des cornes antérieures et rayonnent dans les cor- dons ant
trent dans la substance grise ; aussi peu en remarque-t-on dans les cornes postérieures ou aux points où elles sortent des c
-on dans les cornes postérieures ou aux points où elles sortent des cornes antérieures. Voici des expériencee qui semble
du côté sain. Réduction de nombre des collatérales du centre de la corne posté- rieure. Atrophie de la substance gélalin
prolifération interstitielle comme pour les racines postérieures). Corne antérieure diminuée du tiers envi- ron ; le gro
x tiers du lobe occipital droit, qui s'étendait jusqu'au fond de la corne occipitale du ventricule latéral et envahissait
rrha- gie dans la substance grise de la moelle, ayant intéressé les cornes 'antérieures et postérieures d'une façon inégal
n de ces deux cas montre une atrophie dégénérative des muscles, les cornes antérieures et les racines des nerfs étant sain
consécutive à l'atro- phie des cellules motrices et sensitives des cornes antérieures de la moelle, ou bien à la névrite
i fut pas tendu. Enfin au mois de janvier 1896, il reçut un coup de corne de boeuf à l'eeil gauche; la blessure mit très
aient dans la partie centrale de la substance grise, en arrière des cornes antérieures au voisinage de la commissure. Auto
teurs ont trouvé dans certaines cellules nerveuses, surtout dans la corne antérieure gauche de la moelle à la région lombai
nsibilité. M. de Buck diagnos- tiqua une hématomyélie spontanée des cornes antérieures de la moelle lombo-sacrée, mais le
tance blanche et de la substance grise médullaire, surtout dans les cornes antérieures ; la gaine périvascu- laire contena
es. Pas de dégénéres- cence de la substance blanche, Cellules de la corne postérieure intactes. Les cellules de la corne
nche, Cellules de la corne postérieure intactes. Les cellules de la corne antérieure étaient altérées ; beau- coup d'entr
s adhérente. Cerveau. Hémisphère gauche. La partie antérieure de la corne frontale est fort altérée par l'arrachement de
ut aussi lésée. F', le lobe paracentral, l'avant- coin, le coin, la corne occipitale sont déprimés. La circonvolution de
énorme, développée tant en avant qu'en arrière aux dépens des trois cornes du ventricule. Un léger relief indique le corps
i courbe et la région qui, horizonta- lement, va du pli courbe à la corne occipitale offre une zone atrophiée de 3 centim
on de Burdach est aussi envahi, ainsi que la zone de Lissauer et la corne postérieure. A la région cervicale, le processu
égard, et en calculant que les dendrites des cellules nerveuses des cornes antérieures ou de celles de Purkinje centuplent
sées par des lésions du cerveau, on voit sou- vent les cellules des cornes antérieures persister longtemps en bon état. Da
du neurone moteur direct, c'est-à-dire de la cellule motrice de la corne antérieure et de son prolongement ner- veux, se
e courant d'excitation va du protoplasma de la cellule nerveuse des cornes antérieures au protoplasma de la cel- lule musc
e des racines posté- rieures : un peu d'atrophie des cellules de la corne antérieure. C'est vraisemblablement dans une in
ieurs, et sur la substance grise, spécialement sur les cellules des cornes antérieures. Ces lésions paraissent détermi- né
ment les faisceaux pyramidaux, les cellules des nerfs moteurs de la corne antérieure, les racines antérieures la plus gra
postérieure et s'étend de sa base presque jusqu'à l'extrémité de la corne . La forme eL celle d'une poire dont la tête rep
poire dont la tête repose antérieurement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Il parait
se antérieurement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Il parait donc que la zone limitan
rté- braux ne présentaient pas d'anomalies apparentes, celles des cornes antérieures étaient formées principalement d'un g
l'analogie parfaite qui existe dans la struc- ture des cellules des cornes antérieures dans les deux cas : les granulation
la vie intra-utérine. On peut donc en conclure que les cellules des cornes antérieures, dans tous les trois cas pré- cités
ules pyrami- dales de l'écorce atteignent les cellules motrices des cornes anté- rieures de la moelle vers le septième moi
inent dans la moitié antérieure de la moelle, c'est-à-dire dans les cornes antérieures et latérales et les faisceaux fondame
atéraux; les lésions diminuent vers la périphérie. Les cellules des cornes antérieures et latérales montrent une dégénérat
bles à tous les autres colorants, des altérations cellulaires de la corne antérieure qui consistent en la transformation
es coupes où la tumeur a une portion centrale, c'est la place de la corne gauche qui est occupée par le néoplasme, la petit
ée par le néoplasme, la petite masse cellulaire de l'épendyme et la corne droite sont déformées toujours bien visibles et
droite sont déformées toujours bien visibles et bien séparées, les cornes antérieure et postérieure de droite s'enroulant
ions histologiques constatées par eux dans les grandes cellules des cornes antérieures de la moelle à la suite de l'inocul
n autre trousseau tbalamospinal partirait, près du bord externe des cornes antérieures, du faisceau radiculaire des cordons
42 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ement les fibres nerveuses qui se distribuent à la substance grise ( cornes postérieures, colonnes de Clarke, collatérales
(cornes postérieures, colonnes de Clarke, collatérales réflexes des cornes antérieures) et qui représentent soit les prolo
courant nerveux, apporté par les racines postérieures, arrive à la corne antérieure, ce qui a lieu parles collatérales réf
érieures, la dégénération consécutive du cordon postérieur et de la corne postérieure n'a lieu que du côté de la lésion;
s des cellules radiculaires occupant la partie antéro-externe de la corne antérieure, zone des cellules cor- donales ou r
ésion prin- cipale consiste en une atrophie simple des cellules des cornes antérieures, cellules motrices et cellules cord
te affection consisterait en une atrophie simple des cellules de la corne antérieure, en une véri- table cellulite. Elle
et de l'adulte, qui est une myélite SOCIÉTÉS SAVANTES. - 73 de la corne antérieure. Au contraire, elle a, avec l'atrophie
une parenté étroite au point de vue des altérations cellulaires des cornes antérieures qui, dans ces trois affections, ne
ions sont atteintes et le foyer de polio-myélite intéresse alors la corne antérieure dans sa presque totalité. D'autres f
une dégénérescence du proto- neurone centripète, les cellules de la corne postérieure ne doi- vent pas demeurer intactes.
eur pour se rendre dans la substantiva spongiosa et surtout dans la corne antérieure, la dégénérescence des collatérales ré
fonctions, et partant de la nutrition, des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle épinière, dans le tubes,
ue, ici tropllo-moleur, puisqu'il s'agit des cellules nerveuses des cornes antérieures de la moelle '. Le prolongement ner
te, maladie aiguë, détruisant tous les éléments histolôgiques de la corne antérieure. La cause de l'affection cellulaire
de leurs fines arborisations terminales, les cellules motrices des cornes antérieures, privant ainsi ces cellules d'une par
ophie tabétique est une affection des cellules trophomo- trices des cornes antérieures, affection due à la dégénérescence
de l'amyotrophie tabétique : celle d'une affection des cellules des cornes antérieures, celle d'une névrite dégénérative d
érieurs. Cette dégénération entraîne la perte dans les cellules des cornes antérieures d'une somme immense de stimuli nerv
ons- pas pouvoir mettre une altération des granula des cellules des cornes antérieures dans un rapport simple, direct', AN
'expliqueraient par une combinaison du tabes avec une affection des cornes antérieu- res ou une dégéuération des nerfs pér
autopsie le démontra, 'd'une lésion'poliomyé- litique étendue de la corne antérieure droite à la partie supérieure du ren
don latéral. Un plus petit foyer existait à la même hauteur dans la corne antérieure gauche. La dégénération typique des
uscles étaient frappés d'atro- phie dégénérative avec intégrité des cornes antérieures et des nerfs périphériques Le tab
ibuée soit à des altérations anatomiques des cellules nerveuses des cornes antérieures, soit à une névrite des arborisatio
lésions manifestes dans les racines postérieures, les cellules des cornes postérieures, les colonnes de Clarke. Malgré to
ique d'un fragment de la moelle cervicale a montré une atrophie des cornes antérieures, une dégénérescence hyaline de tous
sensitivo-motrice, on ne constate en d'autres régions telles que la corne d'Ammon que des fibres primitives sans trace au
s racines antérieures des nerfs proloquent du côté des cellules des cornes antérieures correspondantes une réaction second
es nerveuses radiculaires étend son action jusqu'aux cellules des cornes antérieures et a sur ces cellules une influence d
érent, par exemple, du type des grandes cellules radiculaires de la corne antérieure de la moelle épinière. Traitement
s du tabes, nous trouvons une intégrité complète des cellules des cornes antérieures, des racines antérieures; par contre,
réduit. et le côté sain, mais encore sclérose dans la région de la corne postérieure. li. Marie. - Ces préparations étab
CLINIQUE NERVEUSE. et même. une altération légère des cellules des cornes anlé- rieures (Luce)'. Avec M. Lorrain, on est
que, l'auteur déclare qu'il ne peut s'agir ici que d'une lésion des cornes antérieures de la moelle cer- vico-dorsale inté
ésions évidentes de dégénérescence dans les cellules motrices de la corne grise antérieure de la moelle. Dans aucune des
vité pathologique (soit dans la portion moyenne, soit dans ses deux cornes frontales ou sphéno-occipitales) se reconnaît grâ
ommuniquant avec un orifice arrondi, semblant être le restant de la corne frontale agrandie. Sous l'épendyme ventricu- la
ventriculaire ; l'examen du ventricule moyen, communiquant avec la corne frontale; l'examen de la masse blanche sous- ép
eux hémisphères, la substance blanche et la substance grise de la corne d'Ammon ont exactement le même poids spécifique.
le minimum dans les circonvolutions occipitales, tandis que dans la corne d'Ammon la substance blanche de chaque hémisphè
doncule cérébel- leux supérieur droit; raréfaction des cellules des cornes anté- rieures affectant les groupes latéral et
é de la bandelette et du cervelet. Haié- faction des cellules de la corne antérieure. 3° Femme, hémiplégie droite (de nai
tte dernière correspond la raréfaction numérique des cellules de la corne antérieure dans les régions cervicale et lombai
cale et lombaire, et des fibres constituant le réseau de cette même corne . A remarquer l'inté- grité constante de la'colo
la région cervicale de la moelle, abon- dance des cellules dans les cornes antérieures, notamment en leurs portions extern
ornes antérieures, notamment en leurs portions externes, et dans la corne latérale. Le cerveau du nou- veau-né devant pes
ala- die infectieuse du système nerveux, elle intéresse surtout les cornes grises antérieures, ou du moins les cellules ga
ie de Landry n'atteint que les nerfs spinaux moteurs efférents, les cornes grises antérieures de la moelle et le tissu méd
d'aliénés de Lierzzeux. In-8- de 61 pages. D'OxoEa (A.). L'edoiiale corne ipnolico xzegli alienati. In-8» de 13 pages, av
43 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
uctrices, le premier qui va de la périphérie jusqu'aux cellules des cornes antérieures dans la moelle, et le second qui va
t pour entrer en relation au niveau des cellules dites motrices des cornes antérieures. » La différence essentielle de ces
sions inflam- matoires frappantes dans la substance grise d'une des cornes antérieures du renflement lombaire, dégénéresce
u renflement lombaire, dégénérescence des grandes cellules dans les cornes antérieures (vacuolisation), des racines antérieu
toutes dimensions dans l'encéphale. Atrophie très accusée d'une des cornes antérieures de la moelle cervicale; atrophie des
périphériques. Chez ces douze animaux il y avait vacuolisation des cornes antérieures. Pathogénie. Le plomb trouble d'abo
(Riv. sp. di fren., fasc. III-IV, 1892.) Le réseau nerveux de la corne antérieure (excepté dans sa por- tion médiane)
laire des trajets pyramidaux. Tous les groupes des cellules de la corne antérieure (et latérale) ont la signification d'é
ui s'étendent par leurs extrémités terminales jusqu'à la base de la corne antérieure.- La commissure antérieure est cons-
ormée, en partie au moins, par les prolongements des cellules de la corne antérieure et des fibres radiculaires anté- rie
lle; myélite transvez se consécutive ayant détruit une partie des cornes antérieures. Dégénérescence descendante des faisc
nuant t beaucoup de volume et en se cantonnant dans la région de la corne postérieure gauche. A partir de la région dorsa
de tubes à myéline au centre de la tumeur, qui s'étend du col de la corne postérieure gauche au col de la corne postérieu
eur, qui s'étend du col de la corne postérieure gauche au col de la corne postérieure droite; de plus une mince fusée de
entrelacées. Cette tumeur, véritablement circonscrite, décapite la corne postérieure gauche, sans beaucoup comprimer la
décapite la corne postérieure gauche, sans beaucoup comprimer la corne antérieure. Les fibres de la racine postérieure c
e en arrière de la substance grise centrale, au ni\eau du col de la corne postérieure gauche. 108 PATHOLOGIE NERVEUSE.
'une zone d'infiltration néoplasique diffuse qui gagne le col de la corne postérieure droite en ]ongl'ant la commis- sure
. A mesure que l'on remonte, la tumeur envahit de plus en plus la corne antérieure et elle se dirige en dehors. Au niveau
ouzième dorsale (fig. 2), elle a passé complètement en dehors de la corne postérieure; en dedans et en arrière de la tumeur
re; en dedans et en arrière de la tumeur, on aperçoit la tète de la corne refoulée, ainsi que les fibres radicu- laires p
des cordons postérieurs, était passée entièrement en dehors de la corne postérieure gauche, en la décapitant, revient en
racine dorsale. La portion circonscrite de la tumeur a décapité la corne postérieure gauche; elle contient de gros amas
néoplasme l'atteint ou en reste écarté. Vers la sixième dorsale, la corne antérieure gauche disparait presque complètemen
étalées à la périphérie de la tumeur. Vers la quatrième dorsale, la corne antérieure se reforme, tout en restant plus com
a moelle à la hauteur de la huitième cervicale; on voit comment les cornes antérieures et postérieures s'étalent à la péri
ion de forme irrégulièrement étoiléc. Aplatissement etètirement des cornes à son pourtour. Dégénérescence intense des faisce
de des faisceaux laté- raux est même envahie, surtout à droite ; la corne antérieure droite est également la plus comprim
sub- siste encore quelques fibres, surtout à droite, qui gagnent la corne antérieure en s'étirant sur la périphérie du né
. Il est difficile de se rendre compte exactement des lésions des cornes antérieures, car si elles sont déformées par comp
ntacts en apparence, sauf vers le milieu de la région dorsale où la corne gauche disparait presque. Néanmoins, il est proba
la température a persisté dans la région thoracique à gauche, où la corne postérieure et les fais- ceaux blancs environna
ant la vie et les lésions constatées après la mort. Les lésions des cornes antérieures dans le renflement cervi- cal vont
xité gauche concorde fort bien avec l'altération très marquée de la corne antérieure gauche à, la partie moyenne delà rég
Leyden n'ont-ils pas, dans cette affection, décrit des lésions des cornes antérieures ? Le système nerveux périphérique s
s les régions sacrées et lombaires, le groupe postéro-latéral de la corne antérieure droite est très atrophié. Dans la ré
de Clarke droite. Dans le renflement cervical il y a atrophie de la corne latérale droite surtout au niveau du groupe lat
nde observation concerne l'amputation du bras gauche, Atrophie à la corne latérale gauche dans le renflement cervical, el
a topographie des lésions dans les cor- dons postérieurs et dans la corne postérieure. Puis étude histolo- gique des part
elle est abandonnée de Dieu, qu'elle s'est métamorphosée en diable ( cornes sur le front), que ses organes internes sont dé
ions 'caractérisées par l'atrophie' des racines posté- rieures, des cornes postérieures et des cordons postérieurs. Atrophié
ux premiers faits permet-, tent aussi de constater une atrophie des cornes antérieures portant principalement sur let grou
crois avoir montré que les cellules du groupe postéro- latéral des cornes antérieures sont de nature motrice. L'atrophie de
nf ? y, r., ,rtlo3 Enfin, malgré, l'absence tptaie des cellules des cornes antérieures,, et des raciries'aritérieures de l
493 ? 1 r - ,1'i'M. - · .t.-t oedème qui .dépend d'une lésion de la corne postérieure^du même ' c6té,(voir Rôssôr.inô, Co
ée de lai moelle dorsale, cervicale'et lombaire; dégénérescence des cornes ) antérieures dans la moelle cervicale; atrophie
renflement olfactif est relié à l'écorce du lobe olfactif et de la corne d'Ammon parles bandelettes olfactives [latérale
du lobe olfactif et delà1 région- olfactive, .gagne, l'écorce de la corne en question.- Les deux lobes : olfactifs sont'rel
s, commissurales. La lyre n'est qu'une commissure de l'écorce de la corne d'Ammon. ? , v ' * ,. La. substance blanche de
eqm viéniientde la Archives, t. XXVI. 32 498 SOCIÉTÉS SAVANTES. corne d'Ammon. Or, celle-ci appartient à coup sûr à l'a
44 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le ventricule latéral est petit dans toutes ses parties; rien à la corne d'Ammon, ni à la coupe des corps opto-triés.
es circonvolutions. Pas de sillon au lobule paracentral ; rien à la corne d'Ammon. Moelle. Plusieurs coupes n'ont pas f
l'axe conduc- teur ; 3° certaines parties de cette substance grise ( cornes posté- rieures, surtout la base de ces cornes)
ette substance grise (cornes posté- rieures, surtout la base de ces cornes ) paraissent spécialement affectées à la conduct
u spasme des vaisseaux cérébraux, s'accompagne d'une atrophie de la corne d'Ammon, et l'observateur est en droit de 1 Le
tié droite de la' moelle, conservait sa configuration naturelle, la corne antérieure de celle du côté gauche grossissait ra
1.1 1 . épâissie une tachè foncée'(Fig. ) On voyait au milieu de la corne épaissie une taché foncée'(Iï7(/. 2) qui se dis
cellules de tissu conjonctif, un fibrome à l'état jeune bà'tin'Sdi- corne vrai. , Il.. , ' i 11·W 1 y 1- : , il., ,En div
t. 11 paraissait réduit à un mince filet logé entre la tumeur et la corne postérieure (PL. V, fig. 4 et 5). Les cordons ant
onctionnelle, et pourtant la plus grande partie des ganglions do la corne antérieure, qui innervent le bras, avaient subi
umeur. Fig. 1. Augmentation du volume de la moelle antérieure de la corne antérieure gauche sans altération de structure.
ité plus grande et une moindre transparence. Fig. 3. Tumeur de la corne antérieure, entourée d'une fine capsule de tiss
laire peuvent être plus sûrement encore rattachés à des lésions des cornes antérieures, de la nature de celles qui ont été
stent des groupes de cellules nerveuses (yaaylia), au niveau, des cornes antérieures/c'est-à-dire selon le langage de l'au
aire (voy. Fi ig. VII vue avec un grossissement de 1 45). - Dans la corne postérieure, on'voit un réseau, allongé de sa p
rès fines et quadrangulaires dessine très exactement la forme de la corne antérieure suivant les régions. Les cellules di
iques ; et en arrière par les artères radiculaires postérieures. La corne postérieure offre au niveau de sa substance gél
grise. Sur des coupes sagittales passant par la substance grise des cornes postérieures on voit facilement la série des ar
rieures on voit facilement la série des artères qui entrent dans la corne pos- térieure ; elles se rencontrent au nombre
ntimètre. Ces pinceaux vasculaires se ter- minent dans le col de la corne postérieure en un réseau capillaire qui occupe
V). A la région lombaire, le réseau capillaire s'élargit comme la corne postérieure. Après cette description de l'aspec
dans les commissures antérieures et dans les parties voisines de la corne antérieure. » L'autour allemand suit dans leur
en avant, récurrente pour ainsi dire, vers la substance grise des cornes antérieures, où elle se distribue ; une autre se
nd dans un point diamétralement opposé, dans la substance grise des cornes postérieures ; la troisième branche est inter-
ux des racines anté- rieures, et se portent en droite ligne dans la corne antérieure où elles se résolvent en mailles cap
térieure où elles se résolvent en mailles capillaires. » Et pour la corne postérieure : « Les artères radiculaires postér
n peu plus haut jusque dans. la partie postérieure et externe de la corne antérieure. Les artères internes, plus importan
» C'est à ces trois artères (moyenne, interne et externe A.) de la corne posté- rieure, queM. Adamkiewicz donneles noms
ceaux nerveux. Les plus externes atteignent la partie externe des cornes antérieures, elles sont en général de huit à dix.
urs, les cordons antérieurs, une partie des cordons latéraux et les cornes antérieures entre le point d'émergence de la hu
ieurs de lamoelle. Lésions des racines postérieures,'par places des cornes postérieures. L'épais- sissement de la pie-mère
iences de Brown-Séquard), à une portion des cordons latéraux et des cornes antérieures, est plus que nécessaire pour rendr
cendante très peu marquée, tandis qu'il existait une atrophie de la corne grise postérieure correspondante. Il est possib
umeur. Fig. 1. Augmentation du volume de la moelle antérieure de la corne antérieure gauche sans altération de structure.
ité plus grande et une moindre transparence. Fig. 3. Tumeur de la corne antérieure, entourée d'une fine capsule de tiss
45 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntéresse ou non le neurone inférieur, qui comprend les cellules des cornes antérieures de la moelle et les nerfs périphé-
ire que la lésion siège en un point du trajet du neurone inférieur ( cornes antérieures ou nerfs périphériques). Après avoi
ubstratum exclusif une alté- ration des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la moelle sans participation des
Duchenne. En effet pour Charcot la lésion de la substance grise des cornes antérieures rendant compte de l'atrophie muscul
t-être aussi ailleurs, car si ni la dégénération des cellules de la corne antérieure, ni la sclé- rose latérale n'expliqu
rale amyotrophique. Qu'est-ce ? Son siège est dans les cellules des cornes anté- rieures et dans les faisceaux pyramidaux.
e localisation de la maladie, sclérose multiple disséminée, sur les cornes antérieures de la subs- tance grise. DU SYSTÈ
égénérescence atro- phique chronique des cellules et des fibres des cornes anté- rieures grises de la moelle dans toute sa
e : tumeurs gliomateuses symétriques des deux côtés intéressant les cornes et les colonnes postérieures avec cavités au RE
utopsie : neuroâlyome ganglionnaire intéressant les colonnes et les cornes postérieures des deux côtés dans la partie supé
ire dans la moelle intéressant les deux colonnes postérieures et la corne postérieure gauche. Dégénérescence mar- quée du
la substance gélatineuse de Rolando avec les parties voisines de la corne postérieure. (Voir les expériences sur le tuber
nte sur les cellules ganglionnaires, les racines postérieures et la corne antérieure. C'est aux altérations des ganglions
on 'sensitive de la moelle, comprenant les cordons postérieurs, les cornes grises adjacentes, et les ganglions rachidiens.
veuses évoluent ces lésions, au niveau des cordons postérieurs, des cornes grises adjacentes ou des ganglions rachidiens.
erminent, dès leur entrée dans la moelle, autour des cellules de la corne posté- rieure ; les autres (fibres moyennes) su
t aux cellules de la colonne de Clarke ou à celles de la base de la corne antérieure; enfin, un dernier groupe (fibres lo
Clarke - celui des cellules qui se ren- contrent nombreuses dans la corne postérieure et à la base- de la corne antérieur
contrent nombreuses dans la corne postérieure et à la base- de la corne antérieure. Ces cellules forment autant de sys-'
s endogènes ? Les cellules (ganglion rachidien, colonnes de Clarke, corne postérieure), participent- elles à la lésion, e
aisceau à grosses fibres se place tout contre le bord interne de la corne postérieure : c'est là une première étape, peu
e Lissauer, sa pointe antérieure arrive au bord correspondant de la corne , à peu près au niveau du réseau plexiforme de l
t, forme un ruban étroit, situé parallèlement au bord interne de la corne postérieure qu'il côtoie, mais à une cer- taine
zone cornu-radiculaire ; elles s'épuisent autour des cellules de la corne postérieure adja- cente. Les fibres moyennes pa
re aux cellules des colonnes de Clarke et à celles de la base de la corne antérieure. Quant aux fibres longues, elles occ
fibres, de la même racine, se dispose contre le bord interne de la corne posté- rieure, suivant le dispositif signalé pl
u'à la périphérie de la moelle, parallèlement au bord interne de la corne , dont elle est séparée par d'autres fibres ; so
le et dorsale, dans les cellules de cordons situées à la base de la corne 1%u. 10 (cône terminal). - Cette figure est des
issurale, occupe l'angle formé par la réunion du bord interne de la corne et de la partie adjacente de la com- missure gr
représentées en pointillé distinct. Les régions des cordons et des. cornes postérieures ont été soigneusement repérées sur
pénétrer dans ia moelle ; B, zone de Lissauer (faisceau grêle) ; C, corne postérieure et son réseau plexiforme ; D, cordons
s). La zone cornu-radicu- laire (a) attenant au boi d interne de la corne ; les champs postérieurs (a"') sont moins décol
s du processus tabétique. De même, les autres systèmes cellulaires ( corne postérieure, colonnes de Clarke) nous ont paru
e les modifications primitives n'ont lieu que dans les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière (Crocq fils,
es dans les cellules de la moelle épinière, principalement dans les cornes antérieures, à savoir : gonflement, contours pe
insignifiants. M. ROSSOLIMO suppose que la lésion particulière des cornes anté- rieures de la moelle épinière est en liai
WSKY remarqua que les modifications analogues dans les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière ont été obser
avec l'explication du rapporteur, que la lésion des cellules des cornes antérieures doit être regardée comme un phénomène
matophiles dans la presque lotalité des cellules ganglionnaires des cornes antérieures du renflement lomhaire. Ces cellule
dans le corps nucléaire. Il y a là, dans les éléments ner- veux des cornes antérieure et postérieure dont la confusion n'est
ême ; le plus souvent elle occupe la substance grise centrale de la corne anté- rieure et postérieure; plus rarement elle
érieure; plus rarement elle occupe un. territoire bien défini de la corne postérieure, notamment l'angle formé par la com
tonne le plus souvent dans la région du processus réticulaire de la corne antérieure. En tout cas, l'auteur n'a jamais vu l
bante tenait la première place. Dans le système nerveux central, la corne antérieure de la moelle et le cervelet, j'ai tr
dans les cellules ganglionnaires antérieures, dans la névroglie des cornes antérieures et dans le système vasculaire; mais
rophie simple et correspondent aux modifi- cations des cellules des cornes antérieures, qu'on rencontre dans la dégénéresc
scence rétrograde des faisceaux moteurs. L'atropie des cellules des cornes antérieures résulte de la mor- bidité des faisc
veuses des gan- glions, sur les racines posté- rieures et sur les cornes anté- rieures de la moelle, par Flaming, 151.
46 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
on grise s'étend dans toute la longueur de la bandelette qui borde la corne d'Ammon. Ici comme partout ailleurs, la ligne de
te probable de ramollissement. — Destruction presque complète de la corne occipitale gauche. Femme Gambier, 73 ans, salle
sphèregauche, les circonvolutions occipitales, celles qui occupent la corne occipitale postérieure comme celles qui répondent
éduit à une lame mince, transparente. La voûte à trois piliers et les cornes d'Ammon étaient également atrophiés. La protubéra
au-dessous du grand tro-chanter. L'aïeul de cet individu portait une corne tout-à-fait semblable au niveau de l'omoplate du
es jours. Les figures 1 et 2 représentent la surface externe de ces cornes , qui offrent l'aspect contourné de la corne du bé
a surface externe de ces cornes, qui offrent l'aspect contourné de la corne du bélier. Cette surface externe est striée suiva
n'offre nullement les anneaux, les stries circulaires que présente la corne des animaux et qui attestent sa formation par cor
formation par cornets emboîtés à la manière d'oubliés. La base de ces cornes est creusée d'une cavité peu régulière que rempli
ons que constituent évidemment des fibres juxtaposées. L'une de ces cornes a été soumise à l'analyse chimique par M. Dublanc
productions, que je crois devoir la reproduire ici en entier : « La corne analysée avait 5 pouces de longueur sur 1 de diam
û être la sécrétion d'une e liqueur morbifique. La substance de cette corne était dense, compacte et presque transparente. L'
ifférence dans la consistance à la dessiccation. ce Les deux autres cornes sont plus longues que la précédente ; elles sont
comme «e celles qu'on voit sur le front des béliers. En laissant ces cornes exposées dans un lieu humide, elles e donnent lie
yse. —• Une macération prolongée dans l'eau ramollit la substance des cornes , elle sépare les c fibres longitudinales qui les
elle tire son origine. L'acide nitrique agit sur la substance de ces cornes comme sur la plupart c des matières animales, not
de l'épiderme, des ongles, des écailles, des tuyaux de plumes et des cornes de bœuf et de « mouton qu'ils ont analysés. Parmi
blissent de grandes probabilités pour faire regarder la substance des cornes humaines comme de Falce bumine qui a été modifiée
oi. Au bout de 5 ans, cette végétation avait l'aspect d'une véritable corne , et défigurait tellement la malade que, depuis ce
que, depuis cette époque, elle ne quitta plus son appartement. Cette corne , qui naissait au niveau de l'articulation de l'os
ommet, la malade fut souvent vue coupant l'extrémité inférieure de sa corne avec les dents ou avec un canif. Aucune autre par
a végétation. Des topiques émolliens et opiacés furent prescrits : la corne parut ébranlée et mobile sur la peau, et le lende
ce cornée présente identiquement la même composition chimique que les cornes des animaux, en exceptant toutefois le bois du ce
rès s'être assuré qu'il était privé de vie. A cet effet, il apposa sa corne sur un billot, et donna ainsi à son fils la facil
dégénérescence cancéreuse de la peau qui sont à ma connaissance , la corne avait perdu presque toutes ses adhérences avec la
aurait, comme toutes les productions cornées, affecté la forme d'une corne à base adhérente et aurait été plus ou moins cont
our envelopper l'oreille, et qu'on ne pouvait mieux comparer qu'à une corne de bélier. Sa base, dit M. Faget, était circonscr
s du crâne ne sont pas des faits aussi positifs que la bifidité de la corne , qui est un fait remarquable, mais d'ailleurs fac
bien difficile de les réduire à leur juste valeur, (i) Que dire des cornes congeniales dont parle le bon Paré lui-même, qui
n d'Amatus, lequel raconte qu'un enfant vint au monde avec une petite corne sur la tète. Elle devint plus considérable à mesu
sa protubérance. (1) On sait que chez les anciens, la présence des cornes était l'emblème de la force et de la puissance (J
hangement d'acception bien singulier, dans les sociétés modernes, les cornes sont devenues le symbole de l'infidélité des épou
raordinaire, et sur la face convexe de laquelle il remarqua plusieurs cornes saillantes et tellement dures qu'à peine pouvait-
qu'on ne doit pas être étonné de ce fâcheux accident, car, dit-il, la corne prenait naissance dans le crâne et se continuait
ée. Telle est l'observation du nommé François Trouillu, qui avait une corne placée au côté droit du front, et que le maréchal
ésident de Thou qu'il n'avait apporté en naissant aucune apparence de corne ; que vers l'âge de sept ans, son front commença à
'âge qu'il avait au moment où il était soumis à l'observation), cette corne avait pris un accroissement de plus en plus consi
te corne avait pris un accroissement de plus en plus considérable. Sa corne était aussi grosse et aussi dure que celle d'un b
uelques touffes de poils qui le rendaient semblable aux satyres. La corne ne se dirigeait pas en avant comme celle des béli
. La gêne qui en résultait, et peut-être aussi la honte de porter une corne (car ce fut ainsi que cette excroissance fut nomm
èrent des fragmens cornés très (1) La forme et la disposition de la corne de François Trouillu ont été conservées dans une
avec succès, sur une femme de Tournay, laquelle portait une espèce de corne à la partie postérieure de la cuisse gauche. La
postérieure et interne de la cuisse droite, une production cornée. La corne heurtait la cuisse gauche dans la progression et
i lui servait de support. Cette pauvre femme avait coupé elle-même sa corne à diverses reprises, mais la douleur de la résect
gea à y renoncer. En 1756, après un mois de souffrances horribles, la corne tomba spontanément; mais, à sa place, on vit un u
suppuration abondante : elle n'avait d'ailleurs que la couleur de la corne , sans en présenter les caractères anato-miques, e
s de la science (1) m'a confirmé dans cette idée, car les exemples de cornes à la partie interne des cuisses ont été fournies
se déterminante des productions cornées. Ainsi M. Alibert possède une corne qui s'est développée sur la tubérosité de l'ischi
istorien de PAeadémie, Vicq-d'Azir, ait pu craindre que la base de la corne ne fût adhérente au périoste et à l'os. Le fait
n'est-elle pas au fond la même que celle de Malpighi, qui dit que les cornes accidentelles proviennent du prolongement des pap
papilles nerveuses cutanées, soudées ensemble et disposées comme une corne très dure. Quant à l'opinion élevée dans le sein
inion élevée dans le sein de la Société anatomique à l'occasion d'une corne présentée par M. Mercier, et qui tendrait à consi
breux; elle est évidemment erronée. Il n'y a rien d'organisé dans les cornes accidentelles, qui ne sont autre chose qu'un prod
avoir vu à la partie interne du genou, par suite d'une blessure, une corne tout-à-fait semblable à celle d'une chèvre. La th
erne (1612), dont les bras, le dos et. les jambes étaient couverts de cornes , parmi lesquelles il y en avait de recourbées, ma
urbées, mais dont la plupart étaient droites et de couleur noire. Les cornes tombèrent à la suite de l'usage des eaux thermale
sur le front, des tumeurs recourbées, aiguës, qui ressemblaient à des cornes de veau. La description qu'il donne de ces tumeur
ais particulièrement au voisinage des articulations, une multitude de cornes qui naissaient de la peau à la manière de verrues
t en outre sur les autres articulations des doigts et des orteils des cornes plus petites qui tombaient quelqtiefois pour être
taient (1) De Tumor. prœter naturam, tom. I, p. 336. couvertes de cornes ; il y en avait deux à chaque coude, qui étaient r
remarquables en ce quelles avaient une ressemblance parfaite avec les cornes du bélier. On en voyait une grande quantité sur l
it figurer des excroissances tuberculeuses ayant la consistance de la corne molle, et occupant la paume de la main et la plan
d'un véritable pus au lieu de matière cornée; dans ce cas, tantôt la corne repullule lorsque sa matrice n'a pas été détruite
a fétidité se rapporte bien évidemment à la sécrétion du pus entre la corne et la matrice ou organe formateur, sécrétion qui
formateur, sécrétion qui est le résultat du décollement partiel de la corne , et qui peut persister pendant un temps plus ou m
les tiraillemens douloureux exercés sur la peau par le contact de la corne ou même par le poids de cette production. Ainsi
duction. Ainsi Cabrol scia au front d'un cardeur de Montpellier une corne qui avait un demi-pouce de longueur et un pouce d
longueur et un pouce de largeur et d'épaissetir. « La figure de cette corne , dit Cabrol, « était inégale, grosse à sa base, s
néanmoins, vaincu par les prières du malade, il se décida à scier la corne le plus bas possible, et il en sortit une très gr
ien avec suppuration, (i) Bien qu'il n'y ait eu que résection de la corne dans le fait qui précède, cependant la guérison a
ie a été appliquée le plus près possible de la peau, la matrice de la corne entamée, la cautérisation de cette matrice a été
re et simple avait été pratiquée plusieurs fois chez le nègre dont la corne est représentée fig. 4 et 4, xxxiv6 livraison.
n cornée; c'est le traitement qui a été employé chez le nègre dont la corne est représentée fig. 4 et 4 • Un autre traitement
t représentée fig. 4 et 4 • Un autre traitement consiste à enlever la corne à l'aide d'un bistouri porté à la base de cette p
atrices anciennes des circonvolutions inférieures avec atrophie de la corne d'Ammon et de la voûte à trois piliers du même cô
suite probable de ramollissement. Destruction presque complète de la corne occipiiale gauche. 33e liv., pl. 11, p. 4. — Apop
atrices anciennes des circonvolutions inférieures avec atrophie de la corne d'Ammon et de la voûte à trois piliers du même cô
suite probable de ramollissement. Destruction presque complète de la corne occipitale gauche. 33e liv.Kpl. 11, p. 4. — Cicat
terme, mort par suite de 1 issue du cordon. 35e liv., pl. i, p. 3. CORNES . Théorie de la formation des productions cornées.
uctions cornées. 7e liv., pl. vi, p. / ; 24e liv., pl. m, p. / (Voyez Cornes et Peau ). — Productions graisseuses dans les rei
atrices anciennes des circonvolutions inférieures avec atrophie de la corne d'Am-mon et de la voûte à trois piliers du même c
47 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ale par exemple où la cellule nerveuse s'altère, on trouve dans les cornes de la moelle épinière, des lésions de ces cellu
substance grise des para- lytiques généraux, principalement dans la corne postérieure où elle apparaît nettement sur les
t là une preuve de plus, disons- le en passant, de l'altération des cornes de la moelle dans cette maladie; altération sur
ules lingual et fusiforme. Il y avait aussi des modifications de la corne d'Am- mon et de la circonvolution de l'hippocam
lobe occipital est indemne, même au point de vue microscopique. La corne d'Ammon n'est 'Jll4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
. Anatomie pathologique : disparition par atrophie des cellules des cornes antérieures dans toute la hauteur de la moelle;
la polynévrite une vacuo- lisation très distincte des cellules des cornes antérieures de la substance grise. ' C'est M.
général et la disparition des pro- longements cellulaires dans les cornes antérieures en partie. Schaffer aussi rencontra
contra dans la polynévrite alcoolique une atrophie des cellules des cornes antérieures et des cordons de Clarke et une alt
mpbell rencontra des va- cuoles et la pigmentation des cellules des cornes antérieures et postérieures et des cordons de C
es ainsi que des racines postérieures vers la substance grise des cornes correspondantes et traversent visiblement cette d
dernière dans diverses directions ; surtout on le remarque dans les cornes postérieures. Cela dépend de ce que la lésion d
ais- ceaux des fibres dégénérées se tendent vers les cellules de la corne antérieure correspondante. Nous rencontrons aus
pigmentation exagérée des cellules ganglionnaires, situées dans les cornes antérieures et postérieures, et dans les colonn
nent de l'existence d'atrophies musculaires, malgré l'intégrité des cornes antérieures et des nerfs périphériques. Ces atrop
de la partie anté- rieure des cordons latéraux et d'une partie des cornes antérieures. La section isolée, à l'aide du cou
e ; f). Lésions légères du groupe antéro-interne des cellules de la corne anté- rieure ; g). Atrophie du noyau de la douz
t pas moins, pour juger de la question, examiner avec précision les cornes anté- rieures des nombreuses moelles de paralyt
rillaire d'un prolongement de cellule nerveuse; 5° les cellules des cornes anté- rieures de la moelle et toutes les cellul
abord le tapetum ou couche de fibres occupant la paroi latérale des cornes inférieure et postérieure, entre l'épendyme et
l'arc d'inflexion du noyau caudé. La couche interne s'étend dans la corne postérieure, depuis son toit jusqu'à l'extré- m
jus- qu'au voisinage des fibres longitudinales de la saillie de la corne d'Ammon dans la ventricule (Alveus). On constat
; une couche interne correspondante visite la .paroi médiane de la corne cérébrale antérieure jusqu'à l'écorce, ainsi qu
s nerveuses), passent directement des racines postérieures dans les cornes antérieures de la moelle où, en rayon- nant, el
cellules principalement placées il la périphérie anté- rieure de la corne postérieure. L'atrophie de la rétine et du nerf
tique. Le noyau grêle et les cellules nerveuses de la base de la corne postérieure, suivant toute la hauteur de la moell
x centres optiques et auditifs primaires. La cellule nerveuse de la corne antérieure, de laquelle partent les cytin- drax
e postérieure que par une mince bandelette de substance normale. La corne postérieure est plus étroite ; la corne antérie
te de substance normale. La corne postérieure est plus étroite ; la corne antérieure est déformée, son bord antérieur est
x dans la région dorsale. Diminution du nombre de cellules dans les cornes antérieures du renflement lombaire. Atrophie mu
ées seulement. La substance gélatineuse et la partie contiguë de la corne posté- rieure sont affectées à la transmission
orisation. 450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. exemple d'une cellule de la corne antérieure de la moelle et passer par la commis
a moelle et passer par la commissure pour aller se ramifier dans la corne -du côté opposé. 11 y a même bien plus : il est
ter un exemple le prolongement de Deiters dans le neurone qui de la corne antérieure de la LES NEURONES. 42] moelle va
gement cylindraxe jusqu'au point où il se termine librement dans la corne antérieure de la moelle. En ce;point ,le couran
d dans la capsule interne, le pédoncule, le bulbe et arrive dans la corne antérieure de la moelle où il se termine au con
2° Les dégénérescences isolées du téléneurone, celui qui va de la corne antérieure au muscle, donnent lieu, de leur côté,
e du faisceau pyramidal à la suite des atrophies des neurones de la corne antérieure. C'est le cas qui nous occupe. Les a
depuis les récentes acquisitions des neurones, qu'il existe dans la corne antérieure des neurones dont le cylindraxe remont
elle par les branches directes ou collaté- rales des neurones de la corne antérieure, de la colonne de Clarke, des différ
ne antérieure, de la colonne de Clarke, des différentes zones de la corne postérieure, des noyaux bulbaires. De ces point
- belleux ventral de Loewenthal et de Mott. Ce n'est pas tout. La corne postérieure contient en outre de nombreux neurone
es dont les prolongements des deux ordres se terminent dans cette corne même à peu de distance de leur centre cellulaire.
nt alors, par la commissure antérieure, aux cellules motrices de la corne antérieure de l'autre côté. P. Keraval. LXXVI
la désagrégation a été com- plète, des cellules ont disparu, et les cornes de la moelle sont remplacées par un tissu formé
48 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
rien de particulier. Il en est de même de la circonvolution de la corne d'Ammon et de l'hippocampe. - Le ventricule latér
large que d'habitude à son extrémité centrale. L'hippocampe et la corne d'Ammon n'offrent rien de spécial. - Le ventri-
pyramidales; visibles surtout dans les régions motrices et dans la corne d'Ammon où elles sont énormes, mais existant da
- rition il peu près complète des cellules motrices dans les deux cornes antérieures. Il existe encore des cellules nerveu
existe encore des cellules nerveuses en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les cordons blancs de la moelle l
ornes postérieures. Les cordons blancs de la moelle lombaire et les cornes anté- rieures, qui sont symétriques, contiennen
orant mal par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore dans les cornes postérieures. Sur des fragments du biceps gauch
rise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales; le canal d
e assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales; le canal de l'épendyme est intact.
résente pas d'asymétrie ni de sclérose de la substance blanche, les cornes prises sont régulières, leurs colonnes cellulai
130 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. plète des deux groupes latéraux de la corne antérieure. Le groupe antérieur de cette corne
oupes latéraux de la corne antérieure. Le groupe antérieur de cette corne ainsi que la colonne de Clarke sont conservés.
riquc. La partie du faisceau latéral comprise dans la concavité des cornes est légèrement sclérosée, il n'y a rien de plus
ux, assez nom- breux dans les cordons postérieurs. Les cellules des cornes posté- rieures sont très rares. Le canal de l'é
e-ci, les îlots cellulaires sont isolés, peu nombreux en avant, les cornes postérieures n'offrent qu'une très faible quant
du volume des noyaux. Du même côté, dans la moelle cervicale, les cornes antérieures sont petites mais avec leurs cellules
de tissu scléreux de dégé- nérescence descendante, en dehors de la corne supérieure du côté gauche. Cette corne parait u
descendante, en dehors de la corne supérieure du côté gauche. Cette corne parait un peu plus volumineuse que celle du côt
tance grise à des altérations cellu- laires importantes. Dans les cornes antérieures, le tissu interstitiel forme des fa
leur réfringence apparait beaucoup plus nettement. Même aspect des cornes postérieures. Le canal de l'épendyme est conservé
49 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, dans les cordons latéraux au niveau de l'extrémité antérieure des cornes antérieures, dans les cordons postérieurs, sur
aux, vers la périphérie et en arrière au niveau du bord externe des cornes pos- térieures, on trouve des zones dont le tis
aires ayant subit la dégénérescence vitreuse. On ne trouve dans les cornes antérieures aucune cellule nerveuse ayant conse
dres-axes, infiltration cellu- laire. La plupart des cellules des cornes antérieures conservent leur configuration norma
n des vaisseaux, ni l'infiltration cellu- laire et les cellules des cornes aiitérieuresparaisseiitlout àfait nor- males.
s : à la hauteur de la septième paire cervicale, on trouve dans les cornes antérieures des cavités de forme irrégulière, c
éfiées et les travées conjonctives sont épaissies. Les cellules des cornes antérieures présentent toutes une dégé- Fig. 10
érieures présentent toutes une dégé- Fig. 10. à, 0, c, cellules des cornes antérieures, au niveau de la qua- trième paire
me que le tissu conjonclif, paraissent épaissis. Les cellules des cornes antérieures présentent la plupart une dégénére-
nterstitiel ont acquis une épaisseur considérable. Les cellules des cornes antérieures ont subi la dégénérescence vitreuse
complètement défaut dans le premier cas. Du côté des cellules des cornes antérieures, on constate également de la dégéné
probable que c'est le pouvoir excito-moteur même des cellules des cornes antérieures qui est exagéré, mais certains pensen
a périphérie. Quoi qu'il en soit, dans le tétanos, les cellules des cornes antérieures de la moelle envoient aux muscles u
la moelle cessent, chez le cochon d'Inde, après leur entrée dans la corne postérieure, en se terminant probablement dans
remière paire cervicale, c'est-à-dire dans le bulbe au milieu de la corne antérieure (territoire d'origine supérieur) ; i
seconde jusqu'à la quatrième paire cervicale, le bord latéral de la corne antérieure (territoire d'origine moyen). Au mom
antérieure (territoire d'origine moyen). Au moment où se forme la corne latérale, c'est-à-dire un peu au-dessus de la qua
as partout le même. Une partie d'entre elles, après avoir quitté la corne antérieure, se rendent, en décrivant une inflex
leuse, à travers le cordon latéral (ou à travers la substance de la corne postérieure), en de- hors (région de la premièr
toire inférieur). D'autres s'infléchissent après être sorties de la corne antérieure, dont elles traversent la tête, et g
ent, en affectant une direc- tion verticale, l'angle situé entre la corne antérieure et la corne postérieure, pour pénétr
irec- tion verticale, l'angle situé entre la corne antérieure et la corne postérieure, pour pénétrer, après s'être encore
laire. Or, l'autopsie révèle que le point du segment externe des cornes postérieures où les fibres radiculaires viennent
rnes postérieures où les fibres radiculaires viennent pénétrer dans corne postérieure (zone d'entrée mdiculllÍ1'e de Westph
de la moelle à son sujpt. En ce qui concerne la dégénérescence des cornes postérieures dans le labes, M. Krauss signale l'a
ieures dans le labes, M. Krauss signale l'atrophie de la base de la corne postérieure cervicale (faisceaux d'irradiation et
grosses fibres myélirziques du renflement cervical à la base de la corne postérieure (probablement ce sont des fibres radi
iquaient une affection tropho-irritative des cellules nerveuses des cornes antérieures, et les nécroses cutanées indiquaie
rédité est ici le seul élément étiologique. Il est possible que les cornes antérieures soient atteintes; mais il existe au
ndemne. Il s'agit d'un ouvrier employé au dépolissage de boutons de corne soumis dans une caisse hermétiquement close à u
, atrophie partielle de la substance ferrugineuse, alro- phie de la corne antérieure en un point correspondant, au radial.
autre modification dans la structure histologique, des cellules des cornes antérieures cor- respondantes ; cette atrophie
sen- sitif en avant et en dedans de la substance gélatineuse de la corne postérieure. Il forme en cet endroit un trousse
'est l'arc direct. En résumé, les renflements de substance grise ( cornes à la moelle), les corps opto-striés (cornes inter
nts de substance grise (cornes à la moelle), les corps opto-striés ( cornes inter- médiaires) et la substance grise des cir
tance grise des circonvolutions au niveau des vertèbres crâniennes ( cornes cérébrales) ' 1 représentent des centres d'ordr
s la moelle, un tri- angle, immédiatement contigu à la pointe de la corne postérieure, qui occupe la partie laplus extern
50 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ont les parties atteintes ? C'est tout d'abord la substance grise des cornes antérieures et aussi les faisceaux latéraux, car
s faisceaux latéraux, car il existe une paralysie avec atrophie ; les cornes postérieures et les faisceaux postérieurs, puisqu
trophiques de la moelle, à savoir, la partie médiane et peut-être la corne moyenne. Quoi qu'il en soit de la réalité et de
. la note p. 17). Il s'agissait seulement d'une myélite scléreuse des cornes et des faisceaux postérieurs et des parties centr
nge manque, et avec elle l'ongle qui est réduit à un petit morceau de corne coiffant à plat le sommet du moignon. La peau a p
ontiguïté, sur les tubes moteurs et faut-il voir, dans le système des cornes postérieures et antérieures de l'âge gris, le tra
me semble toutefois relever d'une lésion de la substance grise des cornes antérieures de la moelle épinière (1). Il s'agi
ent affectés, comme sont atteintes systématiquement, par exemple, les cornes antérieures de la substance grise de la moelle da
glosse, du facial inférieur, etc., qui représentent dans le bulbe les cornes antérieures de la moelle. Les cas d'ophthalmopl
re du type Duchenne-Aran, où l'altération porte exclusivement sur les cornes antérieures. Ce rapprochement entre les deux pa
i relèvent de la lésion des noyaux moteurs du bulbe correspondant aux cornes antérieures. La lésion s'étend en pareil cas, en
du bulbe, et, quand il s'agit de la moelle, sur leurs analogues, les cornes antérieures de la substance grise. Il arrive as
nous faire penser à une lésion des noyaux bulbaires et des noyaux des cornes antérieures. On ne peut pas dire que la lésion ai
t voir M. Oppenheim, est représentée par une lésion inflammatoire des cornes antérieures de la substance grise de la moelle av
t encore à une lésion, subaiguë cette fois, des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle qu'il faut rapporter l'a
re progressive due à l'altération portant sur le système analogue des cornes antérieures de la moelle épinière. Dans le prem
tendu aux portions similaires de la moelle épinière, c'est-à-dire aux cornes antérieures de substance grise (polioencéphalomyé
qui se trouve souvent respecté, envahissant ensuite de préférence les cornes (i)4Voir les Leçons du Mardi, t. II. postérie
II. postérieures, tantôt des deux côtés, tantôt d'un seul, puis les cornes antérieures, soit par propagation histo-logique,
liomyéliques antérieurs sont ceux qui proviennent de l'altération des cornes antérieures. A cet égard nous savons, par l'histo
e les symptômes poliomyéliques postérieurs, on n'ignorait pas que les cornes postérieures servent de conducteurs aux sensibili
égions commis-surales, les colonnes de Clarke ou encore peut-être les cornes moyennes ? Mais sur ce dernier point tout reste e
ont présidé à la production des phénomènes cliniques : lésions de la corne grise postérieure gauche dans une certaine étendu
n hauteur à la région cervicale ; lésion légère et très limitée de la corne antérieure correspondante ; lésions enfin des rég
s en vain les secousses fibrillaires; il n'en est pas ainsi quand les cornes antérieures sont lésées. Tout s'éclaire ; ce qui
sur le trajet du faisceau pyramidal du côté gauche, sans toucher à la corne antérieure, s'est étendue ultérieurement dans la
on du faisceau pyramidal a produit la contracture ; l'intégrité de la corne antérieure a préservé la nutrition et le fonction
normales. Les îlots de sclérose peuvent dans quelques cas frapper les cornes antérieures de la moelle. Les cellules de ces cor
cas frapper les cornes antérieures de la moelle. Les cellules de ces cornes , à l'instar des cylindraxes, pourront bien contin
pas là aussi des signes de sclérose latérale ? Enfin les cellules des cornes antérieures, comme je vous l'ai déjà dit, peuvent
51 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
maire. SgR, substance gélatineuse de Rolando. cop, reste de la corne postérieure. cl, cordon latéral de la moelle ép
ieure. cl, cordon latéral de la moelle épinière. Coa, reste de la corne antérieure. l'y, pyramide. xPy, entrecroiseme
rieure. l'y, pyramide. xPy, entrecroisement des pyramides. col, corne latérale. Vds, racine descendante du trijumeau.
iane ayant l'aspect d'un croissant à concavité supérieure, dont les cornes se perdent vers les an- gles de la mâchoire. A
hyse ostéophytique en forme de croissant, adhérent par l'une de ses cornes , limitant en haut la nouvelle cavité articulair
es, limitant en haut la nouvelle cavité articulaire et dont l'autre corne vient en regard de l'épine iliaque antéro-supé-
ce d'une polynévrite avec état vacuolaire des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle. 08S. Xi KAHLEH, De
cularités à relever : 1° Une hétérotopie de la substance grise : la corne antérieure d'un côté envoie en effet un prolong
taine hauteur ce prolongement est complètement isolé du reste de la corne antérieure. 2° A partir de la troisième racine
à une ligne transversale réunissant les bords anté- rieurs des deux cornes antérieures. Cette dégénérescence augmente au n
t de vue anatomique par l'existence d'une atrophie des cellules des cornes antérieures en rapport avec l'atrophie musculaire
à celles de notre nouvelle observation; en dehors de la lésion des cornes antérieures localisée au niveau de la huitième ra
t comme affaissée entre les cordons anté- rieurs et latéraux et les cornes antérieures, particulièrement dans la moelle do
phies cellulaires primitives telles que l'atrophie des cellules des cornes antérieures dans la maladie de Duchenne-Aran. E
bandelette optique est embrochée àsa sortie qui la substance de la corne sphénoïdale et que le pédoncule est tratvej' ? de
hiasma, le pédoncule à son entrée dans le cerveau ou au-dessous, la corne sphé- noïdale, la capsule interne, la couche op
92 RENÉ MARTIAL sous-jacentes il la pulpe cérébrale au uiveau de la corne sphénoïdale gauche. Cette membrane adhère aussi
présente une augmen- tation de volume considérable au niveau de la corne sphénoïdale. A la face ex- terne de cette régio
sclérose des cordons postérieurs peut s'ajou- ter l'altération des cornes antérieures et des faisceaux blancs qui y pren-
nous voyons que la dégénérescence approche la région externe de la corne postérieure où la limite interne de la dégénére
générescence est très accentuée et occupe aussi l'échancrure entre la corne postérieure et la corne latérale. Parmi une mas
ntuée et occupe aussi l'échancrure entre la corne postérieure et la corne latérale. Parmi une masse de fibres dégénérées on
s noirs menus en dedans des cellules épendymaires. Les cellules de la corne antérieure sont très marquées grâce à la colora
rencontre aussi ces derniers dans les cellu- les plus menues de la corne antérieure ainsi que de la corne postérieure. b
s les cellu- les plus menues de la corne antérieure ainsi que de la corne postérieure. b) Inlumiscence cervicale. - La ré
imativement la même forme, en occupant l'échancrure droite entre la corne postérieure et la corne antérieure ; l'angle post
e, en occupant l'échancrure droite entre la corne postérieure et la corne antérieure ; l'angle postérieur du champ de dég
aspect d'un triangle, dont le sommet se trouve auprès du bout de la corne postérieure et la base au niveau du canal centr
rs, quoiqu'elles en sont moins rem- bourrées que les cellules de la corne antérieure. III. Région lombaire. - Plus bas qu
as très nettement la région dégénérative, située ventralement de la corne postérieure droite (Voyez PI. LXXI, D). La dégéné
ucoup, surtout dans leur région intramédullaire. Les cellules de la corne antérieure sont rem- 486 SOUKHANOFF ET GEIER
GEIER bourrées de globules noirs; les petites cellules moyennes des cornes antérieure et postérieure contiennent aussi bea
quer, que son bord interne est contigu avec la région externe de la corne postérieure presque sur toute son étendue. La qua
plus altérée, que leur région extra-médullaire. Les cellules de la corne antérieure et en général les cellules nerveuses d
par le bleu de méthylène et par la thionine). - Lés cellules de la corne antérieure présentent en général beaucoup de vari
luidine,le bleu de polychrome et la thionine). - Les cellules de la corne antérieure présentent une grande variation conc
rès marquée dans la grandeur des nucléoles. Dans les cellules de la corne antérieure sur les préparations colorées par les
rativement avec les racines postérieures et avec les cellules de la corne antérieure, qui se trouvent en liaison avec elles
nce blanche et çà et là dans la substance grise. Les cellules de la corne antérieure contiennent en général une quantité co
acroscopiquement la dégénérescence seulement anté- rieurement de la corne postérieure des deux côtés. A l'examen microscopi
gions de la substance blanche. La dégénérescence des cellules de la corne antérieure est bien plus accusée. Une accumulat
général. Charcot, depuis longtemps, a incriminé une altération des cornes antérieures; d'autres, plus précis, pensent à des
une profondeur de 4 centimètres. La pointe en 5314 . RENÉ MARTIAL corne avait certainement atteint la moelle épinière, co
s le domaine des artérioles oblitérées. Les infarctus limités il la corne an- térieure ressemblent jusqu'à un certain poi
vécu 4 jours à l'expérience) vue à un faible grossissement. Dans la corne antérieure gauche on voit un foyer de nécrose a
itération de l'artériole centrale par des grains de lycopodium ; la corne postérieure est également le siège d'un foyer s
ec formation d'abcès autour du canal épendymaire et à la pointe des cornes postérieures. 588 MARINESCO ' microbes et le
, de manière qu'on les voit dans les capillaires du cordon et de la corne postérieure, ainsi que dans la paroi de la spinal
suo rovescio contro alla luce, como so m'intendi senz'altro dica, e corne sa il nostro Leonardo da Vinci, lume della pittur
e sa il nostro Leonardo da Vinci, lume della pittura, qual'mancino, corne piu volte e detto. » Dans l'ouvrage de M. Muntz c
différence profonde entre la manière dont une cellule motrice de la corne antérieure de la moelle et une cellule d'un gan
ns doute, ils conseillaient parfois d'étranges remèdes, tels que la corne de cerf brûlée, le lait de chienne, la cervelle d
ans oublier toutes les métamorphoses du fameux pélican, en bois, en corne , en os, en ivoire, en bronze, avec un ou deux c
sur une chaise, un singe est assis, jouant avec le chapeau à trois cornes du Dentiste. A côté, une affiche représente ce de
52 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
es cordons pyramidaux et une altération profonde des cellules des cornes antérieures de la moelle. Nous laissons de côté
- La cavité ventriculaire est également dilatée, principalement la corne antérieure ; la paroi offre des saillies et des
ssez régulière. Les sillons sont géné- ralement peu profonds. Les cornes d'Ammon sont normales. Le cervelet et l'isthme
hippo- campe est très irrégulière ainsi que la circonvolution de la corne d'Ammon,. la face interne de la première circon
re saillie à la face interne de l'hémisphère. Des deux côtés, les cornes d'Ammon semblent normales. Thorax. - Hépatisati
sur lequel on démontrera en particulier les propriétés motrices des cornes et des racines antérieures. II. de BOXER REVU
éraux qui, d'après Flechsig, vont sans interruption de l'écorce aux cornes antérieures de la moelle, sont intacts dans tou
harcot, la lésion dominante' est celle des cellules nerveuses de la corne antérieure spinale. La question estdesavoirparq
g. 4, que plus on s'avancera vers la Fig. 4.-Schéma représentant la corne antérieure de la moelle épinière A, de laquelle
; elles sont exclusivement localisées aux cellules nerveuses des cornes antérieures qui sont en grand nombre creusées d
la\base, ne; présentaient rien de particulier. Encéphale, H20 gr. , Cornes d'Ammon, saines,' non indurées. L'abla- tion de
de la pie-mère se fait sans difficulté et, après son ablation, les cornes d'Ammon ne présentent pas davantage d'altération.
les cornes d'Ammon ne présentent pas davantage d'altération. - Les cornes frontntes..des ventricules latéraux sont dilatées
ication facile. Circonvolutions bien dévelop- pées. Extrémité de la corne d'Ammon1 indurée.1 Vasculari- sation, de la pie
es latéraux très dilatés des deux côtés, principale- ment à droite. Cornes d'Ammon saines. Cervelet et isthme. - Poids 130
et ne présentent pas d'anomalies. Les masses grises centrales et la corne d'Ammon paraissent également nor- males. Sur
ormales; pas de dilata- tion1 des ventricules ni d'induration de la corne d'Ammon. \L' hémisphère droit présente des alté
gauche; immédiatement contiguë à la base et au bord latéral de la corne postérieure, existe une partie fortement colorée
s qui s'entrecroisent- avec ceux de la pie-mère. Les racines et les cornes postérieures et tout le reste de la coupe sont
postéro-latéral droit, une tache triangulaire qui est séparée de la corne postérieure par les processus réticulaires rest
ll'tT/2ubX : t.t¡¡;rIIIHlfl ! fc 1 uo Jzft01 1 ab 44tisrtti VII : ' Corne D'A,11MON· dans L'ÉPILEPSIE; par PFLEGER ! (Allge
U'ilf '1 J>I mp-'11m, , t " ...J ? troubles circulatoires-sur la corne 4>'J ! \.,m ? cela tiendrait à, la dispositi
une fois la dure-mère en- levée, le regard pénétrait jusque dans la corne posté- rieure du ventricule latéral, que recouv
noyau caudé du corps strié, la couche optique, et une partie de la corne postérieure du ventricule. Un liquide séreux, d
nte du faisceau pyramidal détermine une irritation perma- nente des cornes antérieures et que cette irritation se traduit
s du côté paralysé réside dans l'excitation corticale transmise aux cornes antérieures, de ce côté, par le faisceau pyrami
symptômes apparaissent, par suite' de l'extension de la lésion aux cornes antérieures (sclérose latérale amyotrophique de
it aussi se produire secondairement, ou concurremment à celle des cornes antérieures. Suivent les trois intéressantes ob
DES quatre extrémités ET DES MUSCLES DU TORSE, DÛ A UNE MYÉLITE DES CORNES ANTÉ- RIEURES DE la MOELLE; par L.-C. Gray, (Pl
ibue cet état à une maladie des cellules à grand prolongement de la corne antérieure de la substance grise et de la moell
yau de prune ; il a à peu près la dureté du cartilage. En outre, la corne postérieure du ventricule latéral droit du cerv
mordiale et est arrivée à la constater jusque dans les cellules des cornes antérieures de la moelle. Le travail de M. Br
gation de l'inflammation du cordon latéral aux grandes cellules des cornes antérieures ; la lésion est alors identique à c
rophie porterait surtout sur les cellules du groupe antérieur de la corne antérieure et sur le petit groupe cellulaire co
nrp- ï e vuu ,DtiHfK) ! );U ? ) aT)nr;fQt ntp9 t'rr ? r ,-r f " z cornes .ataviques se sont mamfesties. sous formede doule
e;-un nombre considérable de leucocytes étaient disséminés dans les cornes antérieures, et d'une ma- nière générale par to
plus nombreuses qu'à l'état normal; quelques-uns des vaisseaux des cornes antérieu- res semblaient anormalement dilatés;
drich, Schultze ; elles démontrent en outre que les altérations des cornes antérieures sont au début moins lo- cales, qu'e
é les cordons antéro-latéraux (dégénérescence secondaire ? ) et Ips cornes postérieures, du moins dans les segments les pl
qui, dans la moelle lombaire, abandonnent les bords postérieurs des cornes postérieures, et en convergeant en arrière trav
ns dorsale et lombaire, les cellules nerveuses, aussi bien dans les cornes postérieures, que dans les cornes 'antérieures-,
es nerveuses, aussi bien dans les cornes postérieures, que dans les cornes 'antérieures-, étaient graisseuses d'une manièr
faible atteinte des cordons latéraux dans le cervelet intégrité des cornes antérieures atrophie des cellules dans les pyra
alisation anatomique des processus d'atro- phie musculaire dans les cornes antérieures de la moelle que la question a pu ê
mpan (anatomie et phy- siologie de la), par Il. Bigelow, 125. 0 Corne d'Ammon (état de la), dans l'épilepsie, par Pfl
ma- ladies de l'oreille, par Bride et .lames, -574. Epilepsie ( corne d'Ammon dans l'), Plleger, 290. Epilepsie ( d
la névrite optique et de la), par E. C. Seguin, 313. Myélite des cornes antérieures, par Gray,454. Myophone. (Voyez A
53 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
spect gélatiniforme. Pas de lésion en foyer; pas d'induration de la corne d'Ammon ; pas de dilatation des ventricules. -
temporo-occipitale. Le ventricule latéral, les masses centrales, la corne d'Ammon ne présentent rien de particulier. Hé
rse. Le ventricule latéral, la couche optique, le corps strié, la corne d'Ammon, le corps calleux ne présentent pas de
grise, on trouve une grande diminution de nombre des cellules des cornes postérieures.- Les cellules des cornes antérieure
n de nombre des cellules des cornes postérieures.- Les cellules des cornes antérieures sont plus nombreuses, mais beaucoup
ongestion méningée, foyer hémorrhagique, gros comme un pois vers la corne d'Ammon. Un tubercule dans l'épaisseur de la pr
us-indiqués, sont en général assez profonds. Les masses grises, les cornes d'A mmon ainsi que les lo- bes orbitaires sont
irconvolution de l'hippocampe est régulière, mais non plissée. - La corne d'Ammon, le ventricule latéral, le corps calleu
upérieure du lobe quadrilatère, et un peu sur le bord du coin. La corne d'Azzzmon, le ventricule latéral, la couche opt
rise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales; le canal d
e assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales; le canal de l'épendyme est intact.
s deux hémisphères ; atrophie prononcée des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle épinière. Reb..., Emil
- mineuse en avant, un peu moins en arrière, à peu près lisse. La corne d'Ammon, le corps calleux, la couche optique, l
disparition à peu près complète des cellules motrices dans les deux cornes antérieures. Il existe encore des cellules nerveu
iste encore des cellules nerveu- ses en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les cordons blancs ne présentent
entué Y,ur les cordons blancs de la moelle lombaire; de plus, les cornes antérieures, symétriques, contiennent un certain
olorant mal par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore dans les cornes postérieures. Sur des fragments du biceps gauch
n- volution de l'hippocampe est courte. Le ventricule latéral, la corne d'Ammon, les corps opto-striés n'offrent rien à
bstance grise a des altérations cellulaires importantes. Dans les cornes antérieures^, le tissu interstitiel forme des f
eur réfringence apparaît beaucoup plus nette- ment. Même aspect des cornes postérieures. Le canal de l'épen- dyme est cons
s hémisphères cérébraux sont égaux. Les ventricules latéraux et. la corne d'Ammoo n'offrent rien de particulier. Les artè
x, le corps strié et la couche optique, le ven- tricule latéral, la corne d'Ammon (des deux côtés), le bulbe, la protubér
ique antérieur. p. p. p., Pli pariéto-limbique postérieur. C. A., Corne d'Ammon. N. B. - Les deux lettres O. C. placées
54 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u cerveau développé primitivement dans la substance blanche de la corne antérieure de l'hémisphère gauche. Ce sarcome, à
pariétale est rejeté en arrière, et situé beaucoup plus près de la corne occipitale que de la corne frontale. En outre l
rière, et situé beaucoup plus près de la corne occipitale que de la corne frontale. En outre les circonvolutions de ce lobe
istance l'une de l'autre, une série de huit coupes allant depuis la corne frontale jusqu'au sillon de Rolando et parallèl
e (fig. 2). La cinquième coupe est faite à 6 ou 7 centimètres de la corne frontale, et n'atteint pas encore le point où p
1% i,g. 2. Quatrième coupe passant à 5 centimètres environ de la corne frontale gauche. UN CAS DE SARCOME DU CERVEAU.
Fig. 3. Sixième coupe passant à 7 à 8 centimètres environ de . la corne frontale gauche. 10 . PATHOLOGIE NERVEUSE. ma
. Cette localisation de la tumeur dans la subs- tance blanche de la corne frontale, nous rend compte de l'ap- parition pr
e Rolando, qui le limite en arrière, était beaucoup plus près de la corne occipitale que de la corne frontale ; elle consis
arrière, était beaucoup plus près de la corne occipitale que de la corne frontale ; elle consistait, en outre, en un apl
rement disposée des cordons latéraux et l'atrophie des cellules des cornes antérieures à la région dorsale. M. Joifroy pos
écialement localiser l'altération, et bien que, d'après Schiff, les cornes grises postérieures soient le territoire par lequ
décrite par Charcot. La lésion doit être localisée plutôt vers les cornes postérieures puis- qu'il n'y a qu'à peine un pe
terne de celle-ci. Ses fibres, fines, prennent leur origine dans la corne antérieure. Les rapports avec les grosses olive
eur du nerf vague et du -losso-pharyn-ien), du noyau facial, et des cornes antérieures de la moelle dans les régions cervi
oteur oculaire commun. Le groupe de cellules postéro- latéral de la corne antérieure de la moelle est le moins affecté et l
de Burdach, du côté droit, à la périphérie, dans le voisinage de la corne postérieure, LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈ
se trouvent à la périphérie du tubercule. Dans le voisinage de la corne postérieure gauche, on trouve, au côté interne pr
se continuent dans les LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 191 cornes antérieures. Dans les coupes provenant de la même
ures. Dans les coupes provenant de la même partie de la moelle, les cornes postérieures et surtout la corne postérieure ga
la même partie de la moelle, les cornes postérieures et surtout la corne postérieure gauche, sont parsemées d'un plus gr
ux nodules confluents placés tous deux sur les vaisseaux. Dans la corne postérieure gauche, vers la périphérie se rencon-
la périphérie se rencon- trent de petits nodules embryonnaires. La corne antérieure droite renferme un très petit amas d
sure grise, il y a également un petit groupe de leucocytes. Dans la corne postérieure droite, le long d'un vaisseau, on r
phie de la substance blanche du lobe occipilal avec atrophie de la corne ventriculaire correspondante); 2° la dégénérescen
quelques fibres, d'autant plus nombreuses qu'on se rapproche de la corne , se distingue assez nettement du reste de la moel
cervicale elles sont moins malades. 286 CLINIQUE NERVEUSE. Les cornes postérieures, bien que privées en grande partie d
ent le tractus moteur dans sa totalité, écorce, faisceau pyramidal, cornes anté- rieures et fibres motrices avec état spas
cas dans les- quels on n'observe que de la gliose, sans cavité, des cornes posté- rieures, et également des cas très nombr
matose, ce sont les fibres radiculaires qui sont atteintes dans les cornes postérieures et les zones d'anesthésie se trouven
sait que dans l'alro- phie musculaire progressive, les cellules des cornes antérieures et les racines de même nom particip
ajouter la notion d'une zone de sclérose occupant le pourtour de la corne antérieure dans la région du faisceau fondament
qui innervent les muscles du dos est situé à la partie interne des cornes antérieures; 7° La fonction motrice d'une parti
cellules nerveuses motrices ; . 2. Type des grandes cellules de la corne d'Ammon ; 3. Type des cellules de l'écorce ;
du cordon de Goll, vacuolisation des cellules ganglionnaires de la corne antérieure de la moelle, ramollissement superfi
sur la méthode de Nissl, appliquée à la coloration des cellules des cornes antérieures de la moelle et des cellules de Pur
qui avait présenté des symptômes de névrite multiple, l'examen des cornes antérieures a montré, à côté d'un grand nombre
55 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rniers ainsi qu'à un petit groupe voisin de celui-ci situé entre la corne antérieure et la corne posté- rieure. De ces
tit groupe voisin de celui-ci situé entre la corne antérieure et la corne posté- rieure. De ces constatations MM. Irime
re de la vessie. Enfin le groupe plus différencié, placé entre la corne anté- rieure et la corne postérieure, à côté du
le groupe plus différencié, placé entre la corne anté- rieure et la corne postérieure, à côté du groupe intermedio- latér
on complète du groupe postero-laté- ral et post-postero-latéral des cornes antérieures droites au niveau des derniers segm
ndant. A l'autopsie on ne trouva pas d'altérations des cellules des cornes antérieures ; par contre les cellules de la cor
des cellules des cornes antérieures ; par contre les cellules de la corne postérieure droite et de la zone intermédiaire
le chat et la chèvre. Une chèvre était capable de tourner avec une corne la clé d'une porte de jardin laissée sur la ser
elles qui, au moment de l'entrecroisement, passent par le col de la corne postérieure (figure) soient identiques à celles
t, tout en se portant en arrière et en dehors derrière la tète delà corne postérieure. Ses fibres qui immédiatement au- d
uteur de la première racine cervicale, à s'éparpiller le long de la corne pos- térieure dans laquelle elles pénètrent peu
nent des deux côtés, pour, finalement, traversant des deux côtés la corne postérieure, entrer dans le cordon latéral des py
o- phie du cerveau. Asymétrie de la moelle ; substance blanche el corne antérieure gauches plus petites que celles du côt
x et une très notable exagération de la névroglie. Par con- tre, la corne postérieure gauche est hypertrophiée, surtout dan
gion dorsale ; cette hypertrophie porte sur tous les éléments de la corne . Elle est autochtone et semble en rapport avec l'
'époque oùles phénomènes de développement, voire de formation de la corne postérieure, n'étaient pas encore achevés (figu
XIV. Contribution à l'anatomie comparée et à la phy- siologie de la corne d'Ammon (hippocampe) ; par E. M. 1\ASTANAI1NN.
e) ; par E. M. 1\ASTANAI1NN. (Obo;;¡'éniè 2Jsichiatrii, VIII), La corne , d'Ammon représente, bien comme le reste du cerve
. ' L'expérimentateur les ! , habituellement en même temps que la corne d'Ammon le cenll'i cortical de l'odorat ou l'un d
hallucinations de l'odorat. Quant à la fréquence des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie, Féré, Catigne et, Ouv
eurs, les fibres radiculaires irradiées dans la substance grise des cornes postérieures, avec atteinte particulièrement pr
homme de 3lî ans, évoluant en 3 ans.Mort soudaine. Les cellules des cornes an- térieures de la moelle el du bulbe trahisse
niques et expérimentales, l'auteur conclut que, dans le cerveau, la corne d'Ammon présente des lésions très nettes et trè
si elles constituent un mode spécial de réaction des cellules de la corne d'Ammon..1. S. LIV. -L'importance du voltage in
s. M. LEJONNE montre les préparations de lésions des cellules des cornes antérieures dans la sclérose en plaques. Phénom
haut des fortifications et s'estbrisé la jambe droite ; 2° coup de corne d'un taureau lui ayant ouvert les téguments, du
les groupes cellulaires si- tués dans l'angle postéro-externe de la corne antérieure, et cor- respondent au centre de Mar
escence atteint son plus grand volume. Toute laparlie externe de la corne anté- rieure gauche est peuplée de cellules dég
ent dorsal, le groupe disparaît, et avec lui, les altérations de la corne antérieure gauche. Lescentres du membre supér
lésions sont limitées à la région lombosacrée et n'occupent que sa corne antérieure droite, qui 32G REVUE D'ANATOMIE E
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, est plus petite que la corne antérieure gauche et présente un nombre plus re
xamen histologique n'a pas confirmé ce diagnostic. L'atrophie de la corne antérieure a joué sans doute un Tôle im- portan
ion quelconque du faisceau pyramidal,; d'ailleurs, l'atrophie de la corne antérieure ne s'est pas faite exclusivement aux d
ceaux pyramidaires directs et croisés. Les lésions des cellules des cornes antérieures ont montré les altérations classiques
au xviii0 siècle, par de Coy- nard, 228. Cordons. Voir Moelle. Corne d'Ammon. Anatomie com- parée et physiologie de
56 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ariétal, le lobe frontal, la cir- convolution de l'hippocampe et la corne d'Ammon. Comme, suivant Luciani, il est extrême
partie postérieure de la circonvolution de l'hippo- campe, dans la corne d'Ammon. Par exemple, chez un chien auquel il a
enlevé, dans une première opération, une portion considérable de la corne d'Am- mon gauche, il observa des phénomènes trè
nes eurent progressivement disparu, on fit la même opération sur la corne d'Ammon du côté droit (l'extirpation fut moins
e AI. Duval, entre autres, sur l'anatomie et la physiologie de la corne d'Ammon, l'auteur tire les conclusions suivante
totale ou partielle, uni ou bilatérale du grand hippocampe : 1° la corne d'Ammon prend une part importante aux fonctions
lier dans la circonvolution de l'hippocampe et le subiculum de la corne d'Ammon, s'accordent du reste avec les-obser- v
avie, de 1887, Frigerio a rapporté une observation d'atrophie de la corne d'Ammon gauche dans un cas d'hallucination de l
TIONS DU CERVEAU. Í9 brale, auraient pu trouver dans Golgi, pour la corne d'Ammon aussi, une confirmation de leurs vues s
roisement des pyramides, de cellu- les qui avoisinent la base de la corne postérieure. Elles s'en vont transversalement o
pyramidales; visibles surtout dans les régions motrices et dans la corne d'Ammon où elles sont énormes, mais existant da
évelopper, parallèlement aux lésions des cellules multipolaires des cornes antérieures de la moelle, une atrophie des fibr
a- rition à peu près complète des cellules motrices dans les deux cornes antérieures. Il existe encore des cellules nerveu
existe encore des cellules nerveuses en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les cordons blancs de la moelle l
ornes postérieures. Les cordons blancs de la moelle lombaire et les cornes anté- rieures, qui sont symétriques, contiennen
orant mal par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore dans les cornes postérieures. Sur des fragments du biceps gauch
rise, tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales; le canal d
e assez peu accentuée dans les cellules des cornes antérieures; les cornes sont égales; le canal de l'épendyme est intact.
résente pas d'asymétrie ni de sclérose de la substance blanche, les cornes prises sont régulières, leurs colonnes cellulai
e disparition à peu près com- plète des deux groupes latéraux de la corne antérieure. Le ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSION
QUES : LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 341 groupe antérieur de celte corne ainsi que la colonne de Clarhe sont conservés.
rique. La partie du faisceau latéral comprise dans la concavité des cornes est légèrement sclérosée, il n'y a rien de plus
ux, assez nom- breux dans les cordons postérieurs. Les cellules des cornes posté- rieures sont très rares. Le canal de l'é
e-ci, les îlots cellulaires sont isolés, peu nombreux en avant, les cornes postérieures n'offrent qu'une très faible quant
du volume des noyaux. Du même côté, dans la moelle cemicalu, les cornes antérieures sont petites mais avec leurs cellules
de tissu scléreux de dégé- nérescence descendante, en dehors de la corne supérieure du côté gauche. Cette corne parait u
descendante, en dehors de la corne supérieure du côté gauche. Cette corne parait un peu plus volumineuse que celle du côt
tance grise à des altérations cellu- laires importantes. Dans les cornes antérieures, le tissu interstitiel forme des fa
leur refringence apparaît beaucoup plus nettement. Même aspect des cornes postérieures. Le canal de l'épendyme est conservé
ns doute ni le lobe occipital, ni le lohe temporo-sphénoïdal, ni la corne d'Ammon, ainsi qu'en témoignent les expériences
hez les animaux supérieurs, est occupée par la circonvolution de la corne d'Ammon, se révèle, chez les amphibies, par une c
57 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
deux tiers antérieurs. Corps calleux, couche optique, corps strié, corne d'Am- mon, ventricules latéraux, rien de partic
u nombre de quatre. Les masses centrales, le ventricule latéral, la corne d' : lmtnot2, etc. sont normaux. Cervelet. Le
phalique sur le plan de la table, les hémisphères s'étalent et les cornes sphénoïdales se dépriment. La pie-mère a un aspec
des cordons latéraux ou des cordons postérieurs, pas de lésion des cornes antérieures ou postérieures. Les racines r;lcla i
ce grise, il y a raréfaction notable des cellules, surtout dans les cornes antérieures. Une grande partie des cel- les qui
; mais la lcptomyélite est encore plus accusée que plus haut. Les cornes antérieures sont très atrophiées, la gauche plus
ées, la gauche plus que la droite; il y a asymétrie évidente. Les cornes postérieures sont envahies et sclérosées, surtout
cette dégénérescence est beaucoup plus marquée à gauche, côté où la corne antérieure est plus atrophiée qu'elle ne l'est
méningite externe, décrite dès 1871 par Michaux avec l'atrophie des cornes et les lésions ascendantes et descendantes. bie
en connues. Notons seulement le parallélisme entre l'atrophie de la corne antérieure et du cordon latéral du même côté.
rginalc, nette, peu profonde, est composée de bords rectilignes. La corne d'Ammon ne présente aucun pli. Le lobe quadrila
d'arrière en avant, et 1 cent, de largeur. Cette cavité répond à la corne temporale du ventricule latéral. La 1,,e fron
érieure. En arrière existe une cavité qui parait faire partie de la corne occipitale du ventricule latéral. Face intern
ns vu, avec la 1° temporale. La partie anté- rieure, répondant à la corne d'Ammon, forme une masse arron- die, uniforme.
91. 12 178 Description DU malade. ration qui répond en avant à la corne temporale du ventricule latéral. ' Il est trè
obe fron- tal et le lobe occipital à peu près intacts, ainsi que la corne sphénoïdale ; la partie moyenne de l'hémisphère
. 183 La circonvolution de l'hippocampe est assez volumineuse. La corne d'Ammon est régulière. La lime temporale est as
ement profonds. - La circonvolution de l'hippocampe est lisse. La corne cZ ? 1 11l- mon est un peu déformée et un sillo
ant en arrière avec le cuneus. Corps opto-strié normal ainsi que la corne LL ? 1a72)t20at. - Fentricule latéral non dilaté.
e temporale. Lobe orbitaire et ggrus reclus. Rien de particulier. Corne d'Ammon petite, non sclérosée. Corps opto-strié,
58 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des dilatations fusiformes vacubtiseës. Les cellules nerveuses des cornes antérieures, grandes et petites, t'sont'-Uésées
s présentent une endartérite trôs'mar-'1' ' ` Fig. 23. Cellules des cornes antérieures/dont, deux présentent des altératio
bres pyramidales pourraient être sous la dépendance de cellules des cornes de la moelle. Kôlliker, dans la dernière édition
e dégénératrice des muscles, vacuoles dans les grandes cellules des cornes antérieures, multiplication des noyaux dans la
oelle, au niveau des deuxième et troisième paires dorsales, dans la corne gauche postérieure et les racines posté- rieure
. Autopsie. Dégénérescence partielle et atrophie des cellules des cornes antérieures, surtout dans le renflement cervical;
ction délétère primitive de l'alcool sur les centres trophiques des cornes antérieures, puis, secondairement atteinte des
'diffûse' ënvâhssànt surtout `lës'éordon's latéraux. Congestion des cornes antérieures et de^ia commissure - avec légères
aisseaux'sànguinsëta''pie-mère.Sont'parti- culièrement atteints lès cornes ^ntérièurVs^la^^ommissâfe1 et' les cordons ! lat
ord atteintes lés extrémités du reticulum fibrillaire entourant les cornes antérieures, ce qui, cause plus tard la dégénérat
é'si'o'n"s ? qù radial sur la moelle. Plus tard, il ' sembla que la corne antérieure 'de l'autre cô.tefût à'son tour atfec-
uta également tenir compte de la syringomyélie qui occupe toute une corne postérieure sur toute la, hauteur de la moelle et
res précoces chez des hémiplé- giques dépendant d'ulcérations de la corne grise antérieure du côté paralysé. Dans le cas
phique corticale, mais cependant celle-ci devait s'exer- cer sur la corne grise antérieure et non directement sur les muscl
laire tardive chez les hémiplé- giques dépendant d'une'lésion de'la corne grise' antérieure, dans laquelle les altération
dans le segment de moelle 'déterminé ;' survie bord' médian de la' corne postérieure, entré les'deux autres zones, celle
ale), parce'que'Ià au faisceau de Goll s'ajoutent des' fibres de la corne postérieure ? 1 '2,"Imf; -JisJa ? 9j i^ ,, Le
s prennent naissance dans la région des cellules ,de, la base de la corne postérieure et très pro- bablement^ aussi dans,
orne postérieure et très pro- bablement^ aussi dans, la tête de la, corne postérieure ; 2° les fibres provenant du, noyau
n, dysar- thrie.'àlort."Azttopi,ë ? Moelle lésioÏÏ dë, cellules des cornes anté- rieures (moindre'dâns`laFmôelle lombaire
e la`moelle dorsale d'un"côté sur une1 longue étendue, ou une seule corne postérieure de la moelle dorsale ; 3° cas parti
umeur, fuse dans la moelle dorsale inférieure et monte ensuivant la corne postérieure jusqu'en haut''(observation); 4°' loc
ures et,l'étroite2lésion,i qi ? caresse' le< bord' interne,( des cornes posté- rieuresrrestent indemnès;i·indemnes,auss
ne,( des cornes posté- rieuresrrestent indemnès;i·indemnes,aussiles cornes grises.-A l'inversé de equialieuidansi,le tabès
,tubes nerveux (conservation de la conductibilité). L'intégrité des cornes grises, postérieures et des racines -postérieur
ibres naissent 'dans' la '- région des cellules de la base1 de = la corne 'postérieure et^très pro- bablement "aussi, "'d
esseml)lér'leTôné terminât'à'la moelle foetale. Les''cellulês9de'la corne 'postérieure y sont peu développées ; celles4dé
osé ; '='r 2° un* trousseau plus fin contourné le bord médian de la corne postérieure et le, - t , bord I... 1 p-ôstéiê-ù d
ffer-(ne 2) va'en partie, chez'le'coq; au-' bord médian t. de 'la ( corne postérieure Le trousseau - pbstéro-vehtral (Schaf
stérieur du' cordon latéral.' Leur-portionl'moyènnèsse rend'dans la corne 'antérieure. -Leur portion médiane (interne) va
des rapports'entrë les ëéllules dë'l'écoï·ëé et lés'cellulès'des - cornes antérieures ? En'tout'cas'il'y'a trouble de la" c
ricot ; ontretrouve aussi ces 'néoformations sur le' plancher de la corne antérieure,,dont les ? parois sont, extrêmement
aux, le long des piliers antérieurs du trigone. En arrière, dans la corne postérieure, se trouvent deux tumeurs mamillaires
me d'une lentille. , - . .. Du côté droit, il existe aussi, dans la corne antérieure, de ces .néo- formations réuniésieli
airesen'formet'de'grappe de'raisin nageant dans le liquide. Dans la corne gauche, quelques petites granulations et un noyau
5, faie., qion a-,veu,leurr-arriver souvent et auquel elles, sont,, corne façonnée, ,1'oni ne wit rien -de plus -remarqua
arole en grec.et luy con- tinua la suitte des même interrogats, et. corne t coin- mené, la fille se,prit, à hurler- plus
,Lcoste en,lui.criant ? lace pater Joseph, et , - ? 'bmm Il , ? ? corne il continuait, tousjours elle le.menaça.du doigt.
59 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e se distinguent d'autres cas -de cette maladie que. parce, que les cornes antérieures de la substance grise ont été plus
lite subaiguë habituel le en ce que dans ces cas de Duchenne, les cornes antérieures paraissent être plus altérées que d
te spinale, la parésie, la paralysie à un travail inflammatoire des cornes antérieures, les contractures et les raideurs a
ltérations plus ou moins grandes de la sensibilité à une lésion des cornes posté- rieures, les troubles fonctionnels de la
GIE mentale/' J « Il consisterait dans l'extension du processus des cornes antérieures à d'autres parties de la moelle.' V
ent qu'on a affaire à des altérations can-. tonnées dans l'aire des cornes antérieures de la subs- DE LA PARALYSIE GÉNÉRAL
diffuse »sùbaiguë vraie, en indiquant par ce dernier terme que les cornes antérieures de la moelle et le reste de la subs
e myélite diffuse centrale avec prédominance d'altérations dans les cornes anté- rieures, mais dont le processus serait pl
ondeur de ces lésions. Enfin, après un temps d'arrêt, la lésion des cornes antérieures reparaît et devient z pour ainsi di
rité de Vulpian, non par pré- dominance des lésions dans l'aire des cornes antérieures, mais par extension, par propagatio
mé- lange, que cette combinaison des lésions systéma- tiques des cornes antérieures avec les altérations dif- fuses de
ion . des lésions sur les noyaux du quatrième ventricule et sur les cornes grises antérieures de la moelle (observations d
parois du prolongement inférieur du ventricule latéral, ycompris la corne . ' Voyez Archives de Neurologie, t. XI, p. 116.
ce grise : diminution et atrophie des cellules gan- glionnaires des cornes antérieures des parties cervicale et thora- ciq
es antérieures d'après M. Charcot) dans le voisinage immédiat de la corne antérieure; une certaine raré- fication des fib
dérable relativement à celui des cellules restées intactes dans les cornes antérieures. Le rapporteur considère son observ
rophie des fibres des racines antérieures et celle des cellules des cornes antérieures, il faut en conclure que les racine
ire qu'en second lieu, ce sont encore les cellules de la base de la corne postérieure qui leur donnent naissance. Discu
psie révéla : dans la moelle une atrophie complète des cellules des cornes antérieures avec dégénérescence très prononcée
tégrité des nerfs spinaux périphériques, alors que les cellules des cornes anté- rieures sont totalement dégénérées. Ce qu
otalement dégénérées. Ce qui prouve que, si la dégéné- rescence des cornes antérieures peut s'accompagner de dégénéres- ce
ce des nerfs périphériques de la moelle consécutive à la lésion des cornes antérieures, tient à d'autres conditions que la
e; grosses, ovales, par- fois plus grosses que les plus grosses des cornes antérieures, à noyau excentrique, pourvu d'un n
de la pie-mère et des vaisseaux cérébraux; épendymite. Atrophie des cornes antérieures de la moelle, du plexus brachial, des
e et des ganglions lymphatiques. Au microscope, atrophie simple des cornes grises antérieures de la moelle; légère scléros
u pyramidal laté- ral sur toute son étendue. Intégrité complète des cornes antérieures et des racines de la moelle. Intégr
e des cornes antérieures et des racines de la moelle. Intégrité des cornes antérieures et des nerfs périphériques. Dans le
sion de la substance grise du cerveau et de la moelle (cellules des cornes an- térieures, noyaux du bulbe et du cerveau mo
primi- tive des grandes cellules motrices de la substance grise des cornes antérieures comme dans la paralysie infantile,
ésion atrophique était prédo- minante à la région cervicale dans la corne antérieure gauche de la substance grise, on la
grise, on la rencontrait aussi, quoiqu'à un moindre degré, dans la corne antérieure droite ainsi que dans les cornes pos
n moindre degré, dans la corne antérieure droite ainsi que dans les cornes postérieures. De sorte que dans la moelle ainsi
re tous les. jours à voir du feu, à crier au secours, à entendre la corne des. pompiers, à se débattre en les appelant; c
à cause de la guerre. M. NISSL. Des altérations expérimentales des cornes antérieures de la moelle chez le lapin avec pré
rés et, en particulier, le lapin, le chien, le chat, sont, dans les cornes antérieures de la moelle, préposées à leurs fon
analytiques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 499 lysés. M. Jolly pense que les cornes antérieures ne sontpas en cause; l'atrophie dép
s de la -, par Ja- cobson, 261 ; altérations expé- rimentales des cornes antérieures de la chez le lapin, par Nissl, 4
60 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
nt à la fois, dans la moitié droite de la moelle, la substance grise ( cornes antérieure et postérieure) et la substance blan
e du seg- ment C7 où il occupe la substance grise intermédiaire aux cornes anté- rieure et postérieure (PI. XV fig. C).
points noirs plus ou moins nom- breux. Dans toutes les figures, les cornes antérieures de la moelle ou l'étage anté- rieur
s fibres des cordons ;i plus court trajet, disséminées autour de la corne antérieure ; 2) dans les cordons postérieurs :
fondamental vont la périphérie. Les faces ventrale et interne de la corne antérieure se dégarnissent progressivement, tan
après les autres, les plus longues pas- sant au côté externe de la corne antérieure, et ne rejoignant pas la voie cérébe
Gowers (fig.7) atteint par un déplacement progressif la tête de la corne postérieure, si bien que sur la figure 10 (segmen
nérés; les fibres margi- nales postérieures d'abord distantes de la corne postérieure (fig. 7) arri- vent en contact avec
la partie inférieure du bulbe, cheminent isolément à la surface des cornes postérieures et de la racine descendante du triju
suivi sur une grande hauteur, esl d'a- bord visible en avant de la corne postérieure (fig. 12) puis devant le noyau sens
rps genouillés externe et interne. - Cj, corps juxtarestiforme. CP. corne postérieure. Cp, cordon postérieur. Crst, corps
nt presque normaux, on note seulement le long du bord interne de la corne postérieure droite quelque raré- faction des fi
La racine postérieure droite est presque absolument normale. Les cornes antérieures n'ont pas la même forme et le même vo
res des~racines antérieures (de la gauche surtout) font défaut. Les cornes postérieures ne présentent pas d'altération mar
86 COYON ET BARRÉ , Les cordons antéro-latéraux sont normaux, la corne antérieure gauche est t nettement moins volumin
gèrement altérées. Les racines postérieures semblent normales. La corne antérieure et le cor- don antéro-latéral gauche
ns dans les cordons latéraux, généralement tout près du flanc de la corne intermédiaire. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
La moitié droite de la moelle est plus volumineuse que la gauche ; la corne antérieure de la colonne de Clarke droite parti
re- trouve les mêmes tourbillons dans les cordons postérieurs ; la corne anté- rieure et la colonne de Clarke restent pl
e la zone d'entrée des fibres de la racine postérieure gauche. La corne antérieure gauche est nettement diminuée de volum
ésions du système nerveux. Les lésions de la moelle frappent et les cornes antérieures dont un certain nombre de cellules
du noyau lenticulaire. On constate une dilatation très marquée de la corne frontale et du corps du ventricule latéral ains
ontournent avec celles-ci. la voûte de l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale pour se recourber ensuite vers la p
cte des rapports d'une part avec les noyaux moteurs du bulbe et les cornes anté- rieures de la moelle épinière (voie rubro
vroglie et la dégénérescence pigmentaire des cellules nerveuses des cornes antérieures et surtout des colonnes de Clarke s
lexiforme, on remarque, en bon nombre, les cellules étoilées. Les cornes d'Ammon montrent une couche de cellules pyramidal
part, dans ces mêmes faits, l'anatomie pathologique montre que les cornes antérieures ne sont pas seules prises, mais qu'il
bétiques ; mais, à côté de ces dernières, on trouve des lésions des cornes antérieures, des méninges et de la substance blan
tiques, de méningo- myélite diffuse où dominent les altérations des cornes antérieures. Nous avons eu l'occasion d'observe
61 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ait en effet, remarqué la participation des cordons latéraux et des cornes posté- rieures au processus de dégénération.
moins grave portée aux cordons antéro-latéraux, aux cellu- les des cornes antérieures, aux racines rachidiennes et aux nerf
es par le Dr Long(l). La partie saine de ce segment comprendrait la corne antérieure gauche (absence d'atrophie musculair
uche (absence d'atrophie musculaire) et toute la demi-moelle droite( corne postérieure exceptée). Toute la partie sous-j
la région pariéto-occipitale (PI. V, A) (1). Le foyer partant de la corne occipitale à deux centimètres environ en avant de
re, 2e, 3 circonvolutions temporales.- V, Ventricule latéral.- Voc, corne occipitale du ventricule latéral. APHASIE AMNÉS
ent la lésion dessine une vaste perte de substance approchant de la corne occipitale du ventricule latéral, mais sans l'at-
ection du faisceau longitudinal supérieur). 7° Coupe portant sur la corne occipitale à 2 centimètres 1/2 en avant du pôle
le et s'enfonçant profondément dans la substance blanche jusqu'à la corne postérieure du ventricule latéral. Rappelons au
as de leur vertu curative, c'est ce qui lui permet de la nier. Leur corne passait pour un excellent contre-poison, aussi
a vendaient beaucoup plus chèrement que l'or. On gardait une de ces cornes à Saint-Denis et le roi en avait refusé cent mi
bstance grise (atrophie partielle ou disparition des cellules de la corne postérieure, atrophie des colonnes de Clarke et a
celle que l'on observe, par exemple, dans les grandes cellules des cornes antérieures de la moelle, au cours de la poliom
ce possible, assez fréquente peut-être, de lésions des cellules des cornes antérieures et d'un certain degré d'atrophie mu
he est du reste dilaté inégalement : il l'est beaucoup plus dans sa corne frontale que dans l'occipitale (fig. 2). Comme il
un peu plus qu'à droite ; la différence est surtout visible dans la corne frontale. Nous rap- pelons ce qui a été dit pou
y a le plus de fibres associatives (lobe frontal). A mesure que la corne frontale se dilate, la pression à supporter par l
ique que le gauche (pl. XXXIII, fig. 1). Au Nissl, les cellules des cornes antérieures paraissent altérées. Elles sont peu
sé (pl. XXXIII, fig. 2). Au Nissl, même altération des cellules des cornes antérieures. Les cellules de la colonne de Clar
égion lombaire, une leptoméningite manifeste. Quelques cellules des cornes antérieures et des colonnes de Clarke présentent
nt épaissies et entourées de nombreux noyaux. Quelques cellules des cornes antérieures sont pigmen- tées. Les cordons an
ibres dégénérées se prolonge en arrière en s'effilant le long de la corne postérieure. 20 Un petit territoire juxta-sulci
topographie suivante : elles respectent une mince bande le long des cornes postérieures dans presque toute leur longueur et
'épendyme est obstrué par un amas cellulaire. Quelques cellules des cornes antérieures présentent. des altérations évidentes
la substance grise moyenne et postérieure et légère infiltration des cornes antérieures. Weigert-Pal. Il existe une dégén
des cordons de Goll (pl. XXXIV, fig. 9). Au Nissl, les cellules des cornes sont normales. Dans la partie moyenne de la moe
rchi dans toute la moitié posté- rieure de la moelle en arrière des cornes latérales. Dans les mômes régions, PLANCHE XXXI
trouve une zone de tissu nerveux sain. Au Nissl, les cellules des cornes antérieures paraissent normales. A l'inspection
interne des cordons de Goll (pl. XXXIV, fig. 6). Au Nissl, dans la corne antérieure les cellules sont globuleuses, en chro
nerveuse prédomine dans la substance grise et surtout au niveau des cornes antérieures. Dans une de ces cornes on trouve u
grise et surtout au niveau des cornes antérieures. Dans une de ces cornes on trouve un petit foyer lacunaire autour d'une
colorées quoiqu'en état de neuronophagie intense, les cellules des cornes antérieures ont presque totalement disparu. Nis
ssl. Cette méthode confirme les constatations précédentes. Dans les cornes antérieures, les cellules nerveuses sont rares ;
altérées, en chromatolyse,en voie de dégénérescence; les cellules des cornes laté- rales ont conservé leur forme; on voit en
minance d'un côté. Marchi. Il existe quelques granulations dans les cornes antérieures. Bulbe. - Légère infiltration ménin
OMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 229 Les cellules des cornes antérieures sont en neuronophagie, chromatolyse e
myélite aiguë parenchymateuse généralisée avec prédominance sur les cornes antérieures qui ne contiennent presque plus de
le siège d'une prolifération active de cellu- les. Les cellules des cornes antérieures renferment des granulations chromo-
endymaire disloqué, ainsi que quelques cellules corres- pondant aux cornes antérieures. Quant à la démarcation entre la subs
nvolution cérébrale. B Névroglie a la périphérie de la moelle. C. Corne antérieure de la moelle. Cellule avec granulation
ec granulations et réseau de névroglie. D. Partie postérieure d'une corne postérieure de la moelle. E. Racine rachidienne
erminé une atrophie nette de la moelle. Celle-ci est aplatie et les cornes antérieures sont très lé- sées. Nous nous propo
xiste un lien entre elles, il doit être cherché dans l'atteinte de la corne antérieure médullaire : en même temps que le tr
existe-t-il encore des formes liées à l'altération primitive de la corne antérieure et bon nombre de cas ressortissent m
e. 20/1. PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE 653 La corne ventriculaire postérieure contient une grande qua
manchon leucocytaire, pas très accentué d'ailleurs. Au niveau de la corne oc- cipitale, dans le fond de la calcarine par
l ne pénètre presque pas dans la profondeur ; il dépasse à peine la corne occi- pitale où pourtant il y a un fort amas de
62 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sque sur le prolongement'du corps calleux, qui forme la voûte de la corne antérieure du ventricule latéral. Un peu plus e
nce saine, il en existe une autre qui surplombe en quelque sorte la corne occipitale du même ventricule. Sur la face inte
nsistance rela- tivement dure, qui s'échelonnent sur les parois des cornes occipitale et spliénoïdale, En résumé dans le
erait de contrôler les expériences de Ferrier sur le subiculum delà corne d'Ammon, auxquellesmunk parait opposé. La théra
térieurement au canal central, dans la com- missure grise, dans les cornes postérieures, entre les cordons postérieurs. Au
mes ; les replis se trouvent plutôt dans la commissure grise et les cornes postérieures, les diver- ticules sont à la part
lle dorsale supérieure. Disparition du groupe moyen de cellules des cornes antérieures, depuis la quatrième paire cervical
u'au bas de la moelle sacrée ; l'ensemble de la substance grise des cornes antérieures est lésé dans la partie moyenne de
dégénérescence des colonnes de Clarke et de la substance grise des cornes antérieures à l'envahissement des cordons latérau
'examen microscopique montra que la lésion occupait le centre de la corne antérieure dans toute sa hauteur; mais qu'en pl
auteur; mais qu'en plusieurs points l'inflammation avait dépassé la corne et s'était propagée aux parties voisines. Séa
est impossible entre la paralysie saturnine et l'inflam- mation des cornes grises; mais contrairement au Dr Weber, il loca-
et Mierzejewski, membres correspondants. Observation de myélite des cornes grises (paralysie spinale), par M. GinEY.Après
lement brachial et à la région lombaire ; dans le premier point, la corne antérieure gauche était notablement atro- phiée
les groupes de cellules étaient sains. A la région lom- baire, les cornes antérieures des deux côtés étaient atrophiées ; l
éressaient sur- tout la partie des cordons latéraux qui aoisine les cornes posté- rieures de la moelle, mais atteignaient
le long des vaisseaux, sur les circonvolutions frontales, sur les cornes sphénoïdales, et des granulations tuberculeuses s
de mépris se dessine sur son visage, elle tend la main et fait les cornes . Ce geste s'adresse à un personnage qu'elle a r
inférieures du renflement cervical et de la portion inférieure des cornes grises antérieures. P. K. XIV. Note sur un cas
rer constants. D'autres éléments (noyaux du cerveau, cellules de la corne antérieure de la moelle) présentent assez souvent
sur- face-postérieure de la moelle et latéralement par les deux, cornes postérieures. ,, 11J 1 ? , , t .') ruz ,Les deu
cette,,sçlérose,;restait limitée, aux cordons; postérieurs} et les cornes antérieures^étaient, pu du moinsvont parti être
taient réellement sous la dépendance d'altérations des cellules des cornes ai bilé, F-- e eti 1 tk 1 J 1 M < > 1 1 «
ressive, dont les, lésions initiales siègent précisément dans,, les cornes iJ u).' HK'iivinPi <r "Hht.' / 1 itioliolà
rveuxilui-mêiiie "qui' est 'atteint.'1 Les 'cellules motrices, des- cornes anté- 'rieures'so'nt'détruites et, eartàiit,, a
émergence médullaire, ou encoré dansrun. g.roupe,cellu ;, laire des cornes antérieures de la moelle ? Plusieurs cas de par
ralsie, il parait pluslégitime d'admettre une lésion symétrique des cornes , antérieures de lamoelle qu'une double altérat
loppement cons- dérabies'avec atropine de plusieurs racines etjdes. cornes grises, , ., ,t,1 pm, . 11 . j ^.11 u 11) "iJll
50. Myélite centrale, 117, Myélite arsenicale, 117. Myélite des cornes grises, 120. .Myélite centrale iiiiitise chroni
63 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
omalie des circonvo- lutions, corps opto-strié, ventricule latéral, corne d'Ammon, normaux. Hémisphère cérébral droit.
frontal. Rien à noter sur le corps opto-s : rié, le ventricule, la corne d'Ammon. Cervelet, isthme, protubérance, bulbe,
ne parvient pas à les décortiquer. - Masses centrales, ventricules, corne commun., rien à l'oeil nu. Liquide cé- phalo-ra
écortiquer, vu l'adhérence de la pie-mère. Les masses centrales, la corne d'Ammon sont normales; les ventricules ne sont
lutions de la face externe, s'ouvre à l'extrémité postérieure de la corne frontale dans le ventricule latéral correspondant
ions manifeste- ment plus grandes qu'à l'état normal dans ses trois cornes ; il y a évidemment un certain degré d'hydrocép
y a évidemment un certain degré d'hydrocéphalie. A la jonction des cornes frontale et occipitale nous trouvons le porus d
férieur et du pli courbe mais principalement du lobe temporal. - La corne d'Ammon, le corps strié, la couche optique n'of
utions et des sillons, mais il n'existe pas d'aspect chagriné. - La corne d'Ammon, le corps strié, la couche optique sont
sont normaux. Le ventricule latéral est 'notablement dilaté dans sa corne occi- pitale. La décortication du cervelet, q
rente. Cerveau. - Hémisphère gauche. - La partie antérieure de la corne frontale est fort altérée par l'arrachement de la
ut aussi lésée. Fez, le lobe paracentral, l'avant coin, le coin, la corne occipitale sont déprimés. La circonvolution de
énorme, développée tant en avant qu'en arrière aux dépens des trois cornes du ventricule. Un léger relief indique le corps
i courbe et la région qui, horizontalement, va du pli courbe à la corne occipitale offre une zone atrophiée de 3 cent. de
e l'épilepsie. Thèse de Paris. COULBAUT (G.). - Des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie. Thèse de Paris. 188
64 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
de réparation. Ce tissu conjonctif irrite les cellules motrices des cornes antérieures de la moelle du côté correspondant,
u'il existe de la contracture il faut que les cellules motrices des cornes anté- rieures soient excilées. La dégénérescenc
s, par l'exci- tation du tissu conjonctif du cordon latéral sur les cornes antérieures de la moelle. Ce qui conduit M. Bri
ntracture spasmodique serait l'excitation des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle, irritation analogue à
ontané, comme Charcot caractérise l'état tétanique des cellules des cornes antérieures dans ces cas de contracture. En som
stian-Jackson : à l'état normal le cervelet excite les cellules des cornes antérieures et le cerveau inhibe ces excitation
ance blanche immédiatement en contact avec le bord postérieur de la corne postérieure (zones radiculaires anté- rieure et
rieur droit et dans un croissant parallèle au bord postérieur de la corne postérieure et occupent le 1/3 moyen de la moit
zones de Lissauer droites sont décolorées et le réticulum fin de la corne postérieure droite est diminué. La surcoloratio
rès peu de fibres, mais peu de grains noirs. Le réticulum fin de la corne postérieure droite est à peine raréfié, mais de g
s de grosses fibres sont dégé- nérées surtout à leur entrée dans la corne . La dégénérescence existe aussi à gauche dans l
petit triangle touchant la périphérie de la moelle et séparé de la corne postérieure par une bande assez étroite. Dans S
brusque et l'atrophie rapide, dénotant plus une lésion directe des cornes antérieures que seu- lement de leur cylindre-ax
ppe, par une bordure mince le long de la commissure et du col de la corne postérieure (zone marginale de Westphal) et enf
Les grosses libres de la substance grise (faisceaux verticaux de la corne postérieure de Ki1- liker, collatérales réflexe
L'HÉMI-QUEUE DE CHEVAL 127 rescence tertiaire, le réticulum fin des cornes postérieures et les zones de Lissauer restent i
génération tertiaire, car au Pal est diminué le réticulum fin de la corne postérieure droite. Il n'est d'ailleurs peut-êt
oir parle liquide de Marchi. Cela se voit princi- palement dans les cornes postérieures qui se montrent parcourues par de
édiaires. , Méthode de Cajal. - Moelle cervicale : Des cellules des cornes antérieures aucune ne présente la structure fib
che Zeller- krankung). Convenablement décolorées les cellules des cornes antérieures montrent dans leur plus grand nombr
ctes. Leurs nucléo- les apparaissent normaux. Dans les cellules des cornes antérieures on observe les mêmes altérations qu
serva un foyer limité à la moelle lombaire avec participation de la corne antérieure droite et de la racine correspon- da
a d'ailleurs un autre fait très important. Beaucoup des cellules de cornes antérieures, outre la chromatolyse totale, présen
Grossissement : Oc.4 Cornp.,Ob.DD,Zeiss. Fio. 10. Moelle cervicale, corne antérieure. Coloration avec le bleu de toluidine,
, part. vi, f. 31. 262 BRISSAUD ET GY ressé chez notre malade les cornes antérieures de la moelle dans toute leur étendu
rieure de la moelle des fibres qui réunissent les cellules des deux cornes antérieures, et qui peuvent permettre à l'influ
e de la moelle, les grandes cellules radiculaires antérieures de la corne du côté opposé, et l'orteil, qui tout à l'heure
cavités médullaires, d'origine hémorragique, et une raréfaction des cornes de la moelle, consécutives aux altérations vertéb
: « les eunuques sont bien souvent comme les boeufs privés de leurs cornes et susceptibles de donner de temps à autre quelqu
grands vaisseaux, n'a pas été fortement gênée. Ventricules. - Les cornes occipitale, frontale et temporale sont un peu dil
C'est sans doute à droite que l'on rencontrera le néoplasme, car la corne occipitale gauche est plus ouverte que la droit
de Nissl nousontpermis de constater l'intégrité des cellules de la corne antérieure. Il y a méningite chronique, avec le
haut de la moelle nous la trouvons séparée par une zone saine de la corne postérieure et envoyant une mince expansion ver
65 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aire. En la comprimant on fait pénétrer le contenu du kyste dans la corne postérieure du ventricule latéral gauche. L'int
rgane, qui correspondent en forme et en grandeur aux cel- lules des cornes antérieures de la moelle. 4. Une couche de petite
, par voie de contact, il est transmis aux cellules nerveuses de la corne antérieure, et de là, au moyen des racines anté
s'affaiblit dans les premiers temps, s'améliore très rapidement. La corne d'Ammon parait peu participera l'olfac- lion.-V
gion radiculaire antéro-externe est intacte. 5. Les cellules des cornes antérieures, manifestement moins nombreuses, ont
aspect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures de la moelle épiniè
pect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne antérieure était très différent de celui de la co
erveuses de la corne antérieure était très différent de celui de la corne posté- rieure. Dans la corne antérieure : dendr
re était très différent de celui de la corne posté- rieure. Dans la corne antérieure : dendrites à contours plus régu- li
s, rectilignes, longs et pauvres en appendices collatéraux. Dans la corne postérieure : dendrites courtes, plus ramiliées,
seule dendrite permet de dire si l'on se trouve en présence d'une corne antérieure ou d'une corne postérieure. La compara
dire si l'on se trouve en présence d'une corne antérieure ou d'une corne postérieure. La comparaison de ces dernières re
au contraire ont cons- taté des lésions cellulaires très nettes des cornes ventrales du renflement lombaire chez de jeunes
ue ces cellules se placent à la partie postérieure et externe de la corne les cellules qui correspondent aux muscles de l
epsie : faire un anneau de pur argent, y enchâsser un morceau de la corne du pied d'un élan : puis un lundi de printemps
et une excessive pigmentation. Mêmes lésions cellu- laires dans les cornes antérieures de la moelle, avec un maximum au ni
le taureau se retourne furieux et lui enlève la tête au bout de ses cornes . Hippolyte, cinquante-trois ans..... Une colonn
res postérieurs ne présentèrent aucune rigidité. Les cel- lules des cornes antérieures de la moelle ne semblent donc pas a
l, le gonflement et la chromatolyse du noyau dans les cel1nlacr des cornes antérieures et du cortex, analogues aux dégéi c
n est^en réalité dentéropalhi- ' que et qu'il doit exister dans les cornes antérieures de la moelle une altération anatomi
e' grise est, in loto', le siège d'une- atrophie; cepen; dant,' les cornes postérieures semblent plus atrophiées que les c
; dant,' les cornes postérieures semblent plus atrophiées que les cornes antérieures. Dans quatre des cas, c'étaient les c
F. Cramiecki, a trouvé que les dendrites des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures se diffè- rent les
des autres; tandis que les dendrites des cellules ner- veuses de la corne antérieure ont des contours rectilignes, donnent
on et sont pauvres en ap- pendices collatéraux, les dendrites de la corne postérieure ont des contours raboteux, sont sou
ques sont évidents dans un certain nombre de noyaux cellulaires des cornes antérieures de la moelle, en rapport avec les r
le droite était d'une largeur insuffisante en face de la base de la corne antérieure. Il y avait aussi une dimi- nution d
corne antérieure. Il y avait aussi une dimi- nution de volume de la corne antérieure droite. Il y a encore deux points su
en même temps que des altérations chromo- lytiques des cellules des cornes antérieures. Edinger soutient que cette dégénér
ue un peu inégale des deux côtés, de la plus grande partie des deux cornes antérieures, d'une part dans le ren- flement ce
é, jusqu'ici contestée, de l'existence de lésions en foyer dans les Cornes antérieures de l'adulte absolument semblables à
nt des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses des cornes antérieures. A. BEnNSTEIN, M. nlOLTCnAN01·P, S.
ct des prolongements protoplasmiques des cellules ner- veuses des cornes antérieures et postérieures de. la - épimère
66 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'avons jamais observé les symptômes qui dérivent de la lésion des cornes antérieures, à savoir : l'absence des réflexes
, cette base mesure 4 mill. 7 ; son sommet arrive à mi-chemin de la corne antérieure; il parait projeté par compression d
tance grise ; on en trouve partout, autour des vaisseaux ou dans la corne antérieure, en grappes encadrant ~les groupes d
teur. Infiltration pigmentaire des grandes cel- lules nerveuses des cornes antérieures, avec atrophie de quelques- uns de
ugmentés ; les petites fibres de cette région ont disparu. Dans les cornes posté- rieures, il n'y a plus que quelques cell
rdons postérieurs, et les cor- dons antéro-latéraux au pourtour des cornes grises. Hyperplasie par places de la névroglie.
uches cérébrales du système nerveux et non les grosses cellules des cornes antérieures qui sont le plus capables de ces mo
upe le reste des cordons antérieurs, touchant au bord interne de la corne antérieure et des racines postérieures. Flecl
rien qu'à leur bord externe, le long de toute la limite interne des cornes postérieures jusqu'à la commissure postérieure.
intégrante de la commissure posté- rieure ; ces fibres émergent des cornes postérieures, le long du bord antérieur des cor
ette dégénérescence est plus avan- cée dans la circonvolution de la corne d'Ammon que dans les lobes antérieurs; elle est
ce de deux ordres de fibres qui se séparent à leur entrée dans la corne postérieure et forment deux faisceaux : un faisce
de la région moyenne de la substance grise; d'autres arrivent à la corne antérieure; enfin quelques- unes traversent la
quelques- unes traversent la commissure antérieure et vont dans la corne antérieure du côté opposé, soit directement, so
rieure des cordons latéraux et se terminent dans les cellules de la corne postérieure, quelques-unes seule- ment se prolo
uelques-unes seule- ment se prolongent jusqu'au noyau latéral de la corne anté- rieure ; les autres vont directement dans
vant : une partie se continue dans la région correspond dante de la corne antérieure, l'autre traverse la commissure anté
eure, l'autre traverse la commissure antérieure pour passer dans la corne antérieure du côté opposé. Des petites cellules
dans la corne antérieure du côté opposé. Des petites cellules de la corne postérieure, où aboutissent principalement les
ne remplit des fonctions réflexes (par les fibres qui réunissent la corne postérieure-à la corne antérieure). Ce dernier
s réflexes (par les fibres qui réunissent la corne postérieure-à la corne antérieure). Ce dernier faisceau servirait auss
ar une bande étroiteimmédiatement cpntiguë au côté interne des deux cornes postérieures (zone d'en- tréeradiculnire de Wes
ommet de la moelle dorsale, unit le milieu de l'arête interne de la corne postérieure à la cloison de la pie-mère intermé
othéliale de l'épendyme; des cellules nerveuses, surtout celles des cornes antérieures, très pigmentées; un cas témoigna (
ux constitué par des cellules-araignées occupant le centre des deux cornes antérieures de la moelle cervicale. D'ordinaire,
s globules sanguins avaient pris une teinte noire. Les cellules des cornes anté- rieures offraient les mêmes lésions que c
l s'agissait comme semble le soutenir M. Platonoff d'une lésion des cornes antérieures de la moelle et des noyaux mo- teur
s ont souvent pour cause des lésions atrophiques des cellules de la corne antérieure. Sous peu, M. Erlitsky va également
67 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
— A, faisceau de Tiïrck. — BB, zones radiculaires postérieures. — CC, cornes postérieures. — DD, cornes antérieures. — F, zone
BB, zones radiculaires postérieures. — CC, cornes postérieures. — DD, cornes antérieures. — F, zone radiculaire antérieure. —
aux membres, les ordres de la volonté ; que les cellules motrices des cornes antérieures tiennent sous leur dépendance la nutr
endance la nutrition des muscles correspondants; que cette région des cornes antérieures n'a rien à faire avec la transmission
médullaire? Ce n'est pas une modification profonde de la cellule des cornes antérieures : car nous connaissons les effets de
ité de la substance grise et en particulier des cellules motrices des cornes antérieures, un état spécial que j'ai proposé, fa
ar la voie des racines postérieures, et s'étend jusqu'aux cellulesdes cornes antérieures correspondantes, qui consécutivement
ntérieurs ou postérieurs soient envahis. Dans la substance grise, les cornes postérieures ne sont pas affectées profondé men
ment, car il n'y a aucune modification de la sensibilité ; mais les cornes antérieures le sont certainement dans la région q
'agit d'une lésion peu profonde, peut-être dynamique des cellules des cornes antérieures ; celles-ci sont dans cet état d'hype
rieurs, elle n'est pas due, en effet, à une lésion des racines ou des cornes antérieures, mais seulement à l'altération dégéné
rmes, d'une lésion de la moelle épinière et plus particulièrement des cornes antérieures de la substance grise. Cependant il y
eaux pyramidaux qui sont pris les premiers, puis, en second lieu, les cornes antérieures, dont la participation est un fait né
aire progressive caractérisée anatomiquement par la lésion isolée des cornes antérieures de la substance grise de la moelle et
live étroitement localisée dans une certaine étendue en hauteur de la corne antérieure grise, au renflement brachial du côté
musculaire ferait défaut. Il est vrai qu'une lésion concomitante des cornes postérieures de substance grise, dans les régions
bilité. Mais une telle altération portant exclusivement sur l'une des cornes antérieures et sur une région très limitée de la
et sur une région très limitée de la partie la plus postérieure de la corne postérieure du même côlé, n'a pas encore été obse
ccupons ici avec l'amyotrophie qui résulte d'une lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou des nerfs moteurs et
réflexe et résultant d'une modification dans l'état des cellules des cornes antérieures de la moelle ; il est vrai que ce n'e
génération descendante, et qui était indépendante de toute lésion des cornes antérieures de la moelle et des nerfs moteurs. Da
t certain qu'elle dépend du système nerveux central ; or, puisque les cornes antérieures de la moelle constituent le centre tr
ystérique est que, dans le premier cas, la modification dynamique des cornes antérieures est consécutive à une altération orga
68 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es végétations fibro-cartilagineuses) et de la moelle (atrophie des cornes anté- rieures, foyers lacunaires des deux côtés
e quelques millimètres d'épaisseur. La destruction des cellules des cornes antérieures sur une étendue très limitée avait
ns : dans l'un de ces cas on a constaté de plus l'existence dans la corne occipitale du ventricule de fausses membranes r
ent normaux. L'examen microsco- pique démontra dans la région de la corne antérieure droite, au. niveau des segments cerv
s de lyssa avec localisa- tion du processus, entre autres, dans les cornes antérieures aussi. A.-A. Korniloff est d'avis
ouvé des bacilles dans la gaîne de Schwann et dans les cellules des cornes antérieures ; ne peut-on dès lors émettre l'hyp
ntes, les frontales de la convexité, le lobe occipital, le coin. la corne d'Ammon, une partie de l'insula sont indemnes de
l'oeil nu, souvent plus volumineuses que les cellules motrices des cornes antérieures de la moelle. 11 occupe les mêmes p
yokymie peuvent dépendre de l'irritation des cellules nerveuses des cornes anté- rieures. H2 Z . SOCIÉTÉS SAVANTES. Un
pe qu'une petite portion dans le centre de la substance grise et la corne postérieure droite, et en tel aspect elle va ju
ombaire elle va en aspect d'une assez petite raie par le long de la corne posté- rieure droite, où elle disparait progres
e et recherche, après une quinzaine de jours, dans les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière, la « réac- t
aussi démontré que chaque nerf rachidien possède en général dans la corne antérieure de la moelle épinière, un noyau prin
s, maxima dans Du', sont comprises entre Uvti et Cvti. Dans D'I, la corne latérale gauche ne fait plus de saillie; elle ne
tient plus que trois cellules en voie de destruction, tandis que la corne latérale droite contient douze cellules normales.
s normales. Dans Dv, on compte pour dix cellules normales dans GLU ( corne latérale droite), seulement cinq cellules altér
cellules altérées dans C L G. Même aspect dans 1 ? Dans CVIII la corne antérieure G, beaucoup moins volumineuse que le
haîne sympathique thoracique ont leurs cen- tres trophiques dans la corne latérale de la moelle dorsale et dans un noyau
latérale de la moelle dorsale et dans un noyau latéro-exteme de la corne antérieure de la moelle cervicale inférieure ;
ervicale inférieure ; 1° Ce noyau laléro-externe de la base de la corne antérieure de la moelle cervicale est distinct
e la moelle cervicale est distinct du noyau postél'O-exte1'ne de la corne antérieure, dont les cellules sont étoilées '.
itudinales (antéropostérieures ou trans- versales) des cellules des cornes antérieures de la moelle du boeuf traité par la
rative de l'extrémité supérieure gauche indique u] des cellules des cornes antérieures. Le myosis gauche p< croire qu'e
somme un foyer de la substance grise de la moelle cervicale, de la corne antérieure, a occupé l'étendue comprise entre le
et Unverriclit imputent le paramyoclonus aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la- moelle. Unverritch attribue
niveau à' peu près du corps genouillé externe ; il circonscrit la corne postérieure du ventricule latéral en laissant ent
arrière, enfin, à sa partie inférieure, de dehors en dedans vers la corne d'Ammon qu'il n'atteint pas; il s'en rappro- ch
faisceau rayonnant qui s'épa- nouit dans le noyau amygdalien ou la corne d'Amlllon, dans les parties les plus antérieure
de lésion du noyau bulbaire du spinal. Atrophie très marquée de la corne antérieure de la moelle cervicale supérieure. (No
dullaire « collatérale » du torticolis congénital, l'atrophie de la corne antérieure de la moelle cervicale supérieure c'
s, vraisemblablement à la base et à la partie la plus externe de la corne antérieure. G. Carriep. .LXIII. Ostéomalacie sé
69 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
l'exis- tence d'une atrophie musculaire consécutive aux lésions des cornes anté- rieures. D'autres amyotrophies d'origin
e son auriculaire un petit fragment pointu assez semblable il de la corne et qu'elle arracha à Page de 12 ans parce que «
prononcées, le processus morbide est donc localisé plutôt vers les cornes postérieures. Il s'agirait ici du type médian p
midal continue d'exercer son influence motrice sur les cellules des cornes antérieures de la moelle, ces dernières conserven
avant les au- tres, se dirigent pour la plupart vers la base de la corne postérieure et particulièrement vers une format
la plupart vers les noyaux postérieurs, prolongement de la base des cornes postérieures, et particulièrement vers une format
ntérieur Ci le tu- bercule acoustique, prolongements de la tête des cornes postérieures. C'est le nerf cochléaire ou audit
racines postérieures), et les cellules du noyau antérieur (tête des cornes postérieures), avec lesquelles elle se continue
la moelle à la protubérance, les colonnes grises qui for- ment les cornes postérieures ont subi dans le bulbe d'importantes
e lit du quatrième ventricule. Sous cette double action la base des cornes postérieures, adjointe au canal épendymaire, es
ébelleuse s'unissent pour former le corps restiforme. La base des cornes postérieures donne successivement les noyaux sen-
usque sous les tuber- cules quadrijumeaux antérieurs. La tête des cornes postérieures, après avoir fourni les noyaux de la
de lui. Il est formé de cellules analogues à celles de la base des cornes postérieures, petites (20 f'-) et de forme variée
e cette masse nucléaire complexe qui est l'homologue de la base des cornes postérieures ; ils établissent de plus la corre
en réalité un noyau terminal, homologue selon nous de la tête d'une corne postérieure; il n'appartient d'ailleurs qu'à la
tient des cellules à type moteur, mais moins grandes que celles des cornes posté- rieures. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
es cinq noyaux primaires du nerf labyrinlhique, correspon- dant aux cornes postérieures de la moelle. Le noyau interne, le n
w et le noyau de Deiters, qui sont les prolongements de la base des cornes postérieures, reçoivent les grosses fibres du ner
u antérieur et le tubercule acoustique, prolongement de la tète des cornes postérieures, reçoivent les fibres grêles du nerf
ew). Ces fibres ontpour homologues les fibres issues de la base des cornes médullaires et qui par le faisceau de Burdach e
aux moteurs ont pour homologues les fibres médullaires unissant les cornes postérieures aux cellules motrices antérieures.
acines postérieures qui traversent sans s'y arrêter (Bechterew) les cornes postérieures, s'engagent dans la commissure posté
Ces libres ont pour homologue le faisceau qui part de la tête de la corne postérieure, traverse la commissure postérieure
LE NERF LABYRINTHIQUE 355 des fibres qui partent de la tête de la corne postérieure, s'entrecroisent t dans la commissu
70 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
'hémisphère gauche se fait avec facilité. Le ventricule latéral, la corne d'Ammon, les masses grises centrales, n'offrent
it nurmal ainsi que le, coin, la face interne du lobe occipital, la corne cl'.I 11111[1)11, la circonvolution de {hippocamp
il prétend voir des choses bizarres : un diable avec des ailes, des cornes , une fourche, tel qu'on le voit sur les images,
elette optique droite, le pédoncule cérébral qu'il contourne, et la corne tempo- rale du ventricule latéral. En arrière d
lution de l'hippocampe. Lobule lingual, lo- bule de l'hippocampe et corne d'Ammon normaux. - Corps calleux, pédoncule cér
lingual et toute la circonvolu- tion de l'hippocampe, y compris la corne d'Ammon. Comme on le voit, la lésion forme une
circonvolutions temporales, la circonvo- lution de l'hippocampe, la corne d'Ammon, etc., ont tout à fait disparu. La pie-
ventricule latéral communique largement avec la poche kystique (la corne sphénoïdale se confondant ici avec le kyste). (
circonvolutions sont peu distinctes. CH est volumineux et lisse. La corne d'Amanoz, CA, ne présente rien de particulier.
uvert à l'autopsie ni tumeurs, ni foyers anciens, ni sclérose de la corne d'Ammon, ni rétrécissement du trou occipital, e
olution de l'hippocampe est courte, lisse, terminée en massue. La corne d'tl2nnzo2z n'est pas indurée. - Le ventricule
ampe et au lobule lingual.- Les circonvolutions de l'hippocampe, la corne d'Ammon, le corps strié, la couche optique et l
férieur. LQ, Coupe du lobe carré. - VL, Ventricule laté- ral. - CS, Corne sphénoïdale. - TA, TA, Tissu aréolaire. PM, Cou
l'extrémité é du pseudo-kyste. LO, Lobe occipital. LC, Coin. CO, Corne occipitale. TA, TA, tissu aréolaire. Hémisphè
Capsule interne. LI, Coupe du lobule de l'insula. - CS, Coupe de la corne sphé- noidale du ventricule latéral. - FI, prem
TT, Circonvolutions temporales. Fig. 6. - LO, Lobe occipital. - CO, Corne occipitale. PARIS. - IIIP. V. GOUKÏ ET JOURDAN,
71 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oitié gauche de la moelle - la substance blanche ainsi que les deux cornes grises du côté gauche se trouve une cica- trice
l'espèce de loge qui est destinée à contenir l'élargissement de la corne d'Ammon ou grand hypocampe. » Dans une autre pl
es fibres peuvent t être suivies jusqu'à la partie inférieure de la corne d'Ammon ». LoNCET affirme qu'elle se bifurque p
noyau amygdalien. Cruveilhier suit l'origine du taenia jusqu'à la corne d'Ammon, et enfin, Sappey l'implante « sur la par
la voûte, vont en arrière se jeter, d'une part, sur l'écorce de la corne d'Ammon et se continuer, ' d'une autre part, au
Ces faisceaux émanent, comme je l'ai déjà dit, de l'écorce de la corne d'Ammon, de la lame bordante ammonique et de la
C'est un faisceau fibreux qui part de l'extrémité antérieure de la corne d'Ammon, au-dessus et en dehors de l'origine du
trant et partant de l'écorce de la tubérosité du renflement de la corne d'Ammon. Le faisceau, né de cette muraille, se
même temps que le trigone, lequel se développe en même temps que la corne d'Ammon (les embriologistes ne parlent pas du c
e inférieure du tapetum, se termine dans la substance blanche de la corne d'Ammon et du crochet. Je ferai remarquer l'i
s rapports proportionnels de développement t entre le trigone et la corne d'Ammon. du l'appareil nerveux central de l'olf
? Chiasma. HUGUENIN « .. il existe de cette façon entre les deux cornes d'Ammon une commissure tranversale, qui à pro-
ntérieur. » Lyre. Foville estime que ce sont les émanations de la corne d'Ammon qui forment les cordes transversales de l
ues. M. Rumpf en conclut que les grandes cellules multipolaires des cornes grises antérieures de la moelle cervi- cale son
cale (indépendamment de la pro- pagation du processus primitif), la corne latérale correspondant au côté malade s'atrophi
a la physiologie du ruban DE REIL. (Observation de gliomatose d'une corne postérieure de la moelle); par G. Rosso- LIMO.
e occupant, dans le renflement lombaire, l'angle intermédiaire à la corne antérieure et à la corne postérieure droite; la
ement lombaire, l'angle intermédiaire à la corne antérieure et à la corne postérieure droite; la tumeur est accolée à la
a moelle cervicale présente l'anomalie morphologique suivante. La corne antérieure droite est successivement (de haut en
me, effilée en un arc de cercle dont la convexité est tangente à la corne postérieure (Buchholz) ; enfin elle reprend sa
vain les secousses fibrillaires; il n'en est pas ainsi quand les cornes antérieures sont lésées. Tout s'éclaire; ce qui
elle envoie des fibres à la substance réticulée, autrement dit à la corne d'Ammon ». Quant à la racine interne, elle « su
par l'intermédiaire de ceux-ci la mettent en communication avec la corne d'Ammon. Luys mène la racine olfactive jusqu'à
de M. W. SANDER.. M. Kronthal. Histologie des grandes cellules des cornes antérieures. Voyez le l eurol. Centralbl : de 1
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 399 XXXI. HISTOLOGIE DES grandes CELLULES des cornes antérieures par P. KEONTH.,L. (Neurol. Centnnlb
e baume. Par ce procédé, on voit que : 1 les cellules nerveuses des cornes anlérieures n'ont pas de granulations ; 2° elle
72 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
males. — Moelle : Un peu conges-tionnée à la surface. A la coupe, les cornes présentent, d'un côté, une coloration brunâtre tr
thie, dans lesquels l'examen microsco-pique a été fait avec soin, les cornes antérieures étaient remarqua-blement atrophiées;
isser de traces. L'altération portait d'ailleurs exclusivement sur la corne antérieure du côté correspondant à la lésion arti
genou. Au-dessus et au-dessous de ces points, la substance grise des cornes antérieures était indemne. Cette altération de
des cornes antérieures était indemne. Cette altération de l'une des cornes antérieures de la substance grise n'est pas un ré
n membre ou de la section des nerfs qui s'y rendent1. La lésion des cornes antérieures si elle vient à s'étendre pourra fort
progressive. On sait, en effet, que, dans cette dernière affectionnes cornes anté-rieures de la substance grise présentent, en
verts de plaques grisâ-tres ayant la consistance et l'apparence de la corne , d'aspect v r- nissé ; ces plaques sont crevass
sur ces diverses questions. 11 semble toutefois que les cellules des cornes antérieures soient toujours affectées, tandis que
toujours affectées, tandis que l'intégrité absolue des cellules cles cornes postérieures a été plusieurs fois expressément si
i-palement par la voie du réticulun conjonctif, jusqu'à la région des cornes antérieures. Quant à la nature même de l'altérati
rait pas croire que l'atrophie en question des cellules nerveuses des cornes antérieures n'ait été observée jusqu'ici que dans
t difficile de ne pas pressentir que les altérations des cellules des cornes antérieures de la moelle épinière devront jouer u
les cordons latéraux sont profondément lésés, mais que, en outre, les cornes antérieures de la substance grise ont été envahie
dans les cas de cette espèce, il existe une atrophie prononcée de la corne anté-rieure de la moelle épinière du côté corresp
ré tout à l'heure la tête numérale atrophiée. Comme vous le voyez, la corne antérieure du côté ma-lade a subi une diminution
. Il semblerait donc, d'après ce que je viens de vous dire, que les cornes antérieures situées dans le voisinage des cordons
à des degrés divers, le contre-coup des altérations situées dans les cornes antérieures de la moelle : mais la peau, organe d
73 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, des points noirs plus nombreux dessinent vaguement le contour de cornes anté- rieures réduites, puis la coloration s'at
rtie antérieure de la moelle tend à reprendre un aspect normal. Les cornes antérieures sont bien nettes, les fibres qui le
ur médian. La périphérie de la moelle est toujours pâle, depuis les cornes anté- rieures jusqu'aux postérieures. Les faisc
bande noire souligne, dans la moitié postérieure de la moelle, les cornes de la commissure. La zone postérieure et médian
qui représente le cordon postérieur est absolument sclérosée. Les cornes antérieures (toujours au-dessous de la onzième pa
re sensible- ment normal. On voit des cellules rondes à la base des cornes pos- térieures (colonne de Clarke). Les racines
e d'un segment de moelle dorsale, où les 14 il CLTNIQUE-NERYEUSE. cornes antérieures, les cellules des colonnes de Clat·Ir
bservation et nous venons d'y insister l'intégrité des cellules des cornes antérieures, des cellules de la colonne de Clar
pothèses restent ouvertes entre ceux qui incriminent une lésion des cornes antérieures de la moelle (Charcot), où la névri
ité cutanée des mains. ' Evidemment il s'agit d'une apoplexie des cornes antérieures de la moelle. Est-ce une embolie d'
cles frap- pés : il a respecté les groupes externes de cellules des cornes anté- rieures, puisque les fléchisseurs de la m
Son petit volume et son cantonnement aux segments antérieurs des cornes antérieures rend compte des troubles peu accusés
su nerveux, fibres et cellules des colonnes de Clarke, cellules des cornes postérieures et antérieures, nerfs spinaux, nerfs
les manifestations de lésions intéressant les cellules motrices des cornes antérieures, lésions qui elles-mêmes pourraient
n certain degré de névrite quel que soit l'état de la cellule de la corne anté- rieure ; 3° L'absence de signe permetta
s l'épididyme même, autour et entre les cellules ganglionnaires des cornes antérieures et postérieures, l'épi- didyme étan
stance; elle avait épargné notam- ment invariablement les zones des cornes antérieures et posté- rieures, ainsi que les pa
rées de la moelle sacrée et de la moelle lombaire, les cellules des cornes antérieures présentent une raréfaction du proto
orme et pénétré la substance blanche jusqu'à la paroi interne de la corne postérieure de l'hémisphère droit. 2° cas : hém
ennes et antérieures de la substance grise, ainsi que la base de la corne postérieure. La méthode de Nissl ne trahit aucu
ues sur la moelle seulement, dont une à la région lom- baire sur la corne antérieure et une volumineuse à la région cer-
ent la ligne médiane. Quant aux fibres à trajet longitudinal de, la corne postérieure, elles étaient en l'espècé peu rédu
pas non plus de dégénéres- ' cence des fibres longitudinales de la corne postérieure : chez un' de ces animaux qui avait
u lieu d'intervention, tandis que les trousseaux transverses de- la corne postérieure ne décelaient que quelques traces d
ndant six à huit années, indiquent un processus anatomique dans les cornes antérieures grises, et rappellent l'observation d
lite antérieure : si les altérations syphilitiques portent sur les cornes antérieures, le diagnostic peut être difficile :
endent souvent par plaques et sont surtout communes au niveau de la corne celte sclérose de la névroglie atteint aussi la
éléments chromatophiles, varie dans les différentes cellules de la corne antérieure. F. Hoi=sOEn. 424 BIBLIOGRAPHIE. S
te et myélite ; souvent une atrophie du cerveau et des cellules des cornes antérieures. Il n'y a pas de centre choréigène
74 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lus, sagement}, du mérycisme,. en.le séparant, de, l'existence des, cornes ,dans les deux' cas cités pi1 : f¡jP.eyr. ,V91Y¡
'entrecroise- ment des pyramides, dans.le. renflement latéral de la corne postérieure (caput cornu posterions de Clarke);
.Gl Il ,·U`ll· .uJ'r') ltt, 1 1t1.tffiwÍ1f1l la Les cellules de la corne , antérieure'- envoient'-leurs-prolonge- ments c
points de la 'corne antérieure; 6)'desfdif- ? férents points de la corne postérieure; , , 1 Il .41 , .1 J . 1`itI Il ? 3
,cordpn,tatera[ arriventjdesnbres : a) des différents' points de la corne antérieure ;,6),des différents points det la, cor
s' points de la corne antérieure ;,6),des différents points det la, corne posté- rieure ; , z ... - - ·trwJ . y5°, Les
corne posté- rieure ; , z ... - - ·trwJ . y5°, Les cellules de.la corne postérieure. sont munies-de prolonge- ments cyl
,travers la ligne ]nédiane,,ef,cn arrière du canal central, dans la corne opposée ? » . c 11";1,1 rI 1 : J,IaI'l'( -1 3 ? J
» . ! t n, fn I» -)LiH ? utj ? LesS'érôn§ medullwes occbupatent les cornes antérieures dans q·i V[I · [ 9 ' 9tt r, v .nt'b
iqùës' chroniques^ d'une sclérosé, très prononcée, au pourtour delà corne A.i11 PW et de la circonvolution de l'hippocamp
ux moyens de 1 écorce ainsi que, de la a' substance homologue de la corne d'Anrmon. Les expériences en- treprises avec l'
s' environ'avant la mort.' L'autopsie révéla 'une'encéphalite-de la corne d'Ammon du côté gauche. L'atrophie de- la corne
e'encéphalite-de la corne d'Ammon du côté gauche. L'atrophie de- la corne d'Ammon dans l'épilepsie laisse à entendre 'qu'il
ilepsie laisse à entendre 'qu'il existe un rapport spécial entre la corne d'Ammon et le système vasculaire. L'hystérie, c
qu'à s'évanouir. Dans, le cas qui nous occupe, l'encéphalite' de la corne d'Ammon pourrait être invoquée comme facteur, vil
oll. Sur les sec- tions pratiquées dans le renflement lombaire, 4es cornes grises sont peu distinctes de la substance blan
a décrites pour la première fois, en 18721, ', sur les cellules des cornes antérieures de la moelle dans la téphro-myélite
gion corticale, cellule qui ressemble morphologiquement à celle des cornes antérieures, réagisse anatomiquement d'une faço
ant l'iden- tité comme affection du mérycisme et de la présence des cornes , pensaient que les mérycoles étaient fils ou pè
ffocation. On rencontre une destruc- tion complète, par places, des cornes antérieures, entre la qua- trième et la sixième
côté postérieur de ce triangle confinait par sa partie externe à la corne postérieure ; sa par- tie interne était un peu
oloration diminuait graduellement, atteignait l'angle externe de la corne antérieure, et la dépassait même un peu. Dans la
sociation de petits morceaux de la moelle encore fraîche ; dans les cornes antérieures de la partie cervicale, quelques- u
e temporal. A. m., Avant-mur. N. 1., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt., Couche optique. C. in., Cap
rs bipartie antérieure de la couche optique, entrant un peu dans la corne frontale), il n'y a jamais eu hémiplégie, strabis
oral. A. 1/t., Avant-mur. , . N. I., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt., Couche optique. C. in., Cap
75 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
alleux, la partie inférieure du gyrus fornicatus des deux côtés, la corne antérieure du ventricule latéral gauche, la clo
rente. A droite, la transformation porte sur la paroi interne de la corne antérieure du ventricule, la bandelette optique,
mène devrait être attribué à l'état d'irritation où se trouvent les cornes postérieures, et serait assez analogue au tic c
. Elle est, en effet, collatérale par rapport au renflement delà corne inférieure du ventricule latéral (éminence 'de Me
mince capsule, et séparée de la couche optique et, en partie, de la corne descendante du ventricule latéral, par de la su
ué à peu de distance du canal central et se trouve enfermé dans les cornes latérales; plus haut,, il est rejeté un peu en
o-pharv ngien. Au bord in- terne de la substance gélatineuse de la' corne postérieure, on ren- contre sur des coupes vert
l; la seconde (de couleur brun-rouge) occupe la paroi externe de la corne postérieure du ventricule latéral droit, sans a
'hémisphère gauche se fait avec facilité. Le ventricule latéral, la corne d'Ammon, les masses grises centrales, n'offrent
ait normal ainsi que le coin, la face interne du lobe occipital, la corne (I'Aminoz, la circonvolution de l'hippocampe. H
irconvolution à crochet (Vicq d'Azyr). Cette circonvolution bordela corne d'Ammon. Elle nemérite le nom de pli unciforme
318 REVUE CRITIQUE. dronné de Petit, c'est-à-dire un annexe de la corne d'Am- mon. A côté de cela, nous ne devons pas
stituant tous ensemble une branche supérieure; le corps bordé de la corne d'Ammon, le corps go- dronné de Petit, formant
fermeraient de courtes fibres qui s'arrêtent ailleurs (cellules des cornes postérieures ? ); toutefois, l'importance physio-
nternes des cordons latéraux et la substance blanche con- ligué des cornes antérieures, ainsi que toute la couche latérale
rt par une affection respiratoire intercurrente. Durée six ans. Les cornes antérieures grises offrent un degré d'altération
moelle allongée, ni dans le pédoncule cérébral et que la lésion des cornes antérieures est la plus âgée. Le plus, l'attein
icale. La destruction n'a porté que sur le segment de la tête de la corne postérieure situé entre le bord postérieur de l'o
intégrité. En ce qui a trait à la moelle, ce sont les cellules des cornes an- térieures qui souffrent le plus. On disting
ulaire. Faut-il donc imputer la myosite ossifiante à une lésion des cornes antérieures de la moelle ou plutôt, si l'on con
mme dans les maladies précédentes, une atrophie des cellules de ces cornes , serait-il juste de considérer cette atrophie com
76 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
Ventricule latéral un peu dilaté. - Couche optique, corps strié, corne d'A9)721110on , rien. - Les lésions scléreuses et
chair de saumon très prononcée sur les mêmes régions qu'à gauche. Corne d'Ammon, ventricule latéral, masses centrales, ri
tation est à peu près la même des deux côtés et porte sur les trois cornes . On recueille encore 240 gr. de liquide ; en to
ces de la dure-mère. Dilatation ventriculaire, prédominant dans les cornes frontales, sphé- noïdales, plus prononcée à dro
es latéraux, dilatés, forment de véritables poches surtout dans les cornes frontale et sphénoïdale droites. Les cornes occ
poches surtout dans les cornes frontale et sphénoïdale droites. Les cornes occipitales sont peu dilatées et, à leur niveau
il a environ 2 centimètres à 2 centimètres 5 de hauteur moyenne. La corne frontale a' environ 3 centimètres de profondeur
yenne. La corne frontale a' environ 3 centimètres de profondeur, la corne occipitale, la plus dilatée, a environ 5 centim
occipitale, la plus dilatée, a environ 5 centimètres, tandis que la corne tem- porale n'est que moyennement distendue. La
our le ventricule gauche, la dilatation porte principalemnet sur la corne occi- pitale. L'épaisseur du corps calleux va
le ascendante, fort aplatie, a environ 3 centimètres de largeur. La corne du lobe temporal est aussi fortement aplatie et
ventricules latéraux sont très dilatées, surtout au niveau do leurs cornes . La dilatation porte principalement sur la corne
u niveau do leurs cornes. La dilatation porte principalement sur la corne temporale. Thorax. Poumon gauche (480 gr.), t
cule latéral gauche est notablement dilaté, surtout au niveau de sa corne occipitale et à sa partie moyenne. La couche op
t. - La prédominance de la dilatation ventriculaire au niveau de la corne occipitale explique la disposition particulière
encéphalique sur le plan de table, les hémisphères s'étalent et les cornes sphénoïdales se dépriment. La pie-mère a un asp
77 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
els. Le ventricule latéral, la couche optique, le corps strié et la corne d'Ammon n'offrent rien de particulier. D'une fa
u ventricule latéral gauche (le v. I,. droit est normal), et de ses cornes , la face interne de l'hémisphère cérébral gauch
issent contre les capillaires et les petits vaisseaux à la base des cornes postérieures ainsi que dans la ré- gion intermé
es cornes postérieures ainsi que dans la ré- gion intermédiaire aux cornes postérieures et antérieures. 11 en est qui sont
ux dans les curnc anlricurm ; il 1·n c·L lui traversent la base des cornes postérieures pour s'y répandre. La majeure part
é, plus que dans les zones sus et sous-jacentes. Les fissures de la corne antérieure droite, au point où le canal central
s de la névroglie, la tuméfaction des cellules- multipolaires des cornes antérieures en ce point affectées de chromatolyse
rritoire. Au même niveau altérations identiques mais moindres de la corne antérieure gauche. Ces lésions peuvent ne s'êtr
e de l'entrecroisement, en un point où contre le bord interne de la corne antérieure du côté opposé, se dessinent les tro
éraux sont envahies par des trous- seaux dispersés, de sorte que la corne latérale est entourée de débris de dégénérescen
la moelle dorsale, le faisceau pyramidal se colle étroite- ment aux cornes postérieures et dépasse en avant la corne laté-
colle étroite- ment aux cornes postérieures et dépasse en avant la corne laté- rale, de sorte que la limiLe latérale n'e
squ'à leurs noyaux bulbaires. La substance grise, celle surtout des cornes antérieures de la moelle cervicale, contient de
cervelet, bulbe, et de la moelle. Ce processus est descendu par les cornes antérieures, puis remonte parles cordons postér
syndrome de celte substance grise, comme on décrit le syndrome des cornes antérieures et le syndrome de la substance gris
du lobé occipital est en partie compensé par une dilata- tion de la corne ventriculaire. Le ramollissement ne se borne po
é de substances amorphe (dégénérescence graisseuse des cellules des cornes anté- rieures). Le diagnostic anatol1lo-patholo
est séparé par un certain intervalle, et se lixe à la- pointe de la corne latérale. P. KERAVAL. ' LXVll. Du réflexe acrom
nt tardivement dans le tabès. \'l. Le réseau des fibres fines de la corne postérieure est de nature endogène. Vil. Les co
lomhaire. \'lll. La bandelette externe ne louche en aucun point la corne postérieure; elle prend à la région dorsale inf
au tronc ont leurcentre dans le voisinage du bord anté- rieur de la corne antérieure, tandis que des cellules chargées d'
es plus éloignés occupent les environs du bord postérieur delà même corne . Pour le plan transversal de.la coupe, quand le
avité du volume d'un petit oeuf de poule siégeant en ar- rière delà corne postérieure du ventricule, séparée de celui-ci pa
imitée aux fléchisseurs indiquent un loyer localisé à la base de la corne postérieure droite détruisant le faisceau pyram
78 (1911) La pratique neurologique
uel aboutit la racine fondamentale, le lobule de l'hippocampe et la corne d'Ammon (Zucker- kandl) ; il a seul actuellemen
s plus courtes (fibres courtes et moyennes) autour des cellules des cornes postérieures, les plus lon- gues autour des cel
courtes), pour la plus grande partie dans la substance grise de la corne postérieure et dans celle de la colonne de Clar
e la colonne de Clarke du même côté, pouf une petite partie dans la corne postérieure du côté opposé. 1. Th. de Paris,
I';NSIT11LS. 277 7 2" Neurone 77%édu'Ilo-cé ? ,ébelleztx.' - =De la corne postérieure ou de la colonne de Clarke, les fib
itif croisé. Celui-ci occupe le cordon antéro-tatérat : partant des cornes grises du cote opposé, il va rejoindre le ruban
externes de Char- col et Pierre ! . Celte zone est limitée par les cornes postérieures en dehors et en dedans par une lig
igne parallèle au sillon médian postérieur et amenée du coude de la corne postérieure vers le bord postérieur de la moelle.
moelle. Là, elle est transmise à une ou plusieurs des cellules des cornes postérieures par les fibres unissant ces cellules
ieures par les fibres unissant ces cellules avec les cet- )u)cs des cornes antérieures, elle passe dans ces dernières qui ré
es temps mesurés par Brissaud chez des sujets normaux Fig. 1°1. CA, corne antérieure; Cl', corne posté- rieure ; )[, musc
issaud chez des sujets normaux Fig. 1°1. CA, corne antérieure; Cl', corne posté- rieure ; )[, muscle; 1'\)[( : , nerf cen
ations secondaires du neurone moteur périphé- rique : cellule de la corne antérieure, racine, nerf, muscle. Seront spas-
En haut il s'insère sur le bord inférieur du corps et de la grande corne de l'os hyoïde. Innervation. Hameau de l'hypogl
face anté- rieure du corps de l'os hyoïde au voisinage de la grande corne . Innervation. Hameau issu du facial. Il reçoit
r, Raymond et Guillain l'ont constaté. Les lésions des cellules des cornes antérieures de la moelle ont pour conséquence l
la topographie dés atrophies musculaires dans le cas de lésions des cornes antérieures. Certains auteurs admettent l'exis-
la parole fait souvent revenir l'accès. La pression vers la grande corne de l'os hyoïde, ou au-dessous de cet os au poin
lésion, traumatique dans la plupart des cas (il s'agit de coups de cornes de taureau), porte alors il la l'ois sur l'hypo
; c'était l'expression clinique de l'inflammation systématique des cornes antérieures de la moelle, de la poliomyélite anté
()1 ont jusqu'ici révélé, en dehors d'une atrophie des cellules des cornes antérieures et d'une altération des nerfs, une dé
il existe dans quelques cas rares une inflammation systématique des cornes antérieures de la moelle, une poliomyélite anté
t systématiquement et exclusivement les cellules radi- culaires des cornes antérieures de la moelle. Dans la sclérose laté
, 15, 20 ans) sont des cas de myélite avec atteinte progressive des cornes antérieures et des faisceaux latéraux. La paral
et Guillain), de l'atrophie musculaire par sa localisation sur les cornes antérieures, peut-être aussi sur la mé- ninge a
tion progressive primitive, systématique et isolée des cellules des cornes antérieures ? De très rares observations (Dreschf
vent à la suite de toutes les affections aiguës de la moelle où les cornes antérieures se trouvent rapidement détruites so
urrait y ajouter toutes les maladies chroniques de la moelle où ces cornes antérieures sont ou peuvent être progressivement
soit par une prédisposition spéciale, héréditaire, des cellules des cornes antérieures (Bernheim, Brissaud), soit par le f
'amyotrophie des hémiplégiques était toujours liée à une lésion des cornes antérieures de la moelle. Babinski, dont les ob
de Quincke, Borgherini, etc., a montré que, dans certains cas, les cornes antérieures et les nerfs périphériques ne prése
s, où les nerfs, à la périphérie, étaient dégénérés, tandis que les cornes antérieures étaient normales. Selon Babinski, d
d'observations l'amyotrophie a pour origine une pertur- bation des cornes antérieures de la moelle, mais celle-ci se manife
veux d'origine cérébrale agissant sur les grandes cellules de la corne an- térieure et sur les centres vaso- moteurs
un certain nombre de formations grises con- tinuant à ce niveau les cornes médullaires : noyaux moteurs de l'hypo- glosse,
ys- tique des douleurs spontanées ou provoquées par la pression des cornes de l'hyoïde ou des parois latérales du cou. L
s trophiques intenses (amyotrophies, chute des poils et des ongles, cornes cutanées, etc.). Elle n'est pas mutilante. Nous
e et le 5e doigts, et pendant un certain temps le malade « fait les cornes » ; le long- abducteur du pouce restant très lo
ort vraisemblable qu'elle est due plus souvent à la propagation aux cornes antérieures du processus de rnéningo-myélitc
minuée. Dans les atrophies musculaires qui dépendent de lésions des cornes anté- rieures de la moelle, l'excitabilité élec
ires encore peu atteintes. Dans les processus aigus portant sur les cornes antérieures de la moelle, la poliomyélite antér
para- lysie faciale) et dans des affections aiguës portant sur les cornes antérieures de la moelle. Les modifications de
i les lésions ont pour origine les cellules des neu- rones moteurs ( cornes antérieures de la moelle, noyaux du bulbe et de
phie radiculaire : il est rare, toutefois, que dans les lésions des cornes antérieures, la DR soit exclusivement localisée
. DR se rencontre dans les maladies de la moelle qui atteignent les cornes antérieures, soit directement, poliomyélite antér
t;y vertébrale. La DR, au contraire, fait déf ? St m s cas où les cornes antérieures et les racines antérieures se trouven
aques et dans les myélites systématisées qui ne portent que sur les cornes postérieures et sur les faisceaux des cordons b
apport dans ces cas soit avec des lésions étendues aux cellules des cornes antérieures, soit avec des lésions de racines ner
encore dans des lésions des racines nerveuses et dans des lésions des cornes antérieures; elle comporte une signification pr
représentée par une électrode en forme de croissant, dont les deux cornes sont arrondies; elle a une longueur de 25 à 50
le, sa concavité regardant d'abord en bas et en. dehors et les deux cornes descendant l'une en avant sur le deltoïde et la
e du bord concave correspondant à la pointe de l'acromion, les deux cornes . embrassant le deltoïde en avant et en arrière
limitées aux neurones centraux, elles s'étendent parfois aussi aux cornes de la substance grise, aux fibres radiculaires
s affections, qui en suivant un processus aigu, atteignent soit les cornes antérieures de la moelle comme les poliomyélites
es peuvent aussi dépendre de lésions concomitantes des cellules des cornes antérieures. Qu'elles aient l'une ou l'autre de c
ntraîné consécuti- vement des altérations des cellules motrices des cornes antérieures. Dans certaines polynévrites, les t
îne souvent des atrophies musculaires par extension des lésions aux cornes antérieures ou par compression de voi- sinage.
électrode pour arriver à ce résultat. est. celle d'un croissant il cornes émoussées auquel on donne, suivant les dimensio
79 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
ons trouvé une hydrocé- phalie remarquable par sa localisation à la corne occipitale des deux ventricules latéraux et par
r. 0-1. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. aux dépens de la corne occipitale du ventricule latéral; elle mesure 0
a saillie formée par l'ergot de Morand a complètement disparu. La corne frontale a conservé ses dimensions normales. Il e
rontale a conservé ses dimensions normales. Il en est de même de la corne sphénoïdale et de la corne d'Ammon. L'épendyme
nsions normales. Il en est de même de la corne sphénoïdale et de la corne d'Ammon. L'épendyme qui tapisse la cavité ventr
percevoir l'ampliation de la cavité ventriculaire qui s'étend de la corne frontale il la corne occipitale et de la circonfé
n de la cavité ventriculaire qui s'étend de la corne frontale il la corne occipitale et de la circonférence externe au bord
istent ici, aussi bien que leur revêtement interne qui constitue la corne d'Ammon. L'ergot de. Morand est indiqué dans le
n outre, la presque tolalilé des fibres blanches qui traversent les cornes postérieures a disparu : si peint' en tru1l\"c-
eures a disparu : cependant la sclérose est plus accentuée dans les cornes postérieures qu'elle ne l'est aux racines postéri
re, intégrité absolue des régions antéro-latérales et notamment des cornes antérieures; les racines antérieures ne sont pas
intéressées par le pro- cessus destructif, non plus que celles des cornes antérieures; intégrité absolue des faisceaux an
ire en ce moment. » M. Charcot crut tout d'abord à une lésion des cornes antérieures. Une autopsie faite par Pierret, en
aymond (1875) ne laissèrent voir aucune altération des cellules des cornes antérieures. En 1880, M. Charcot abandonna sa p
inon exclusivement, du côté droit. Elles semblent porter 1° sur les cornes antérieures de la substance grise, ce qui expliqu
80 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
donné à ce rocher de Chalcédoine, pour eux si profitable , le nom de corne d'or. On sait que généralement les poissons se di
hémisphères cérébraux, de corps calleux, de voûte à trois piliers, de corne d'Ammon, de corps bordés, de bandelette demi circ
les quadrupèdes. La partie antérieure de ce ventricule a été appelée corne antérieure ; la partie qui se recourbe derrière e
partie qui se recourbe derrière el en dessous du pédoncule cérébral, corne inférieure, et la troisième, corne postérieure. L
en dessous du pédoncule cérébral, corne inférieure, et la troisième, corne postérieure. Les deux premières sont communes à l
es, aux phoques et aux marsouins (1). La partie la plus avancée de la corne antérieure s'ouvre dans une cavité qui règne tout
a partie supérieure de la substance cérébrale. Corps strié. Dans la corne antérieure du ventricule, on voit un corps volumi
ommissure antérieure, et par l'autre, avec le lobe d'hippocampe. La corne inférieure descend presque dans cette éminence du
oidal; on trouve dans sa cavité deux saillies et une bandelette. La corne d'Ammon, ou d'hippocampe, ou de bélier, protubéra
ïhippocampe, orps bordé, corps frangé, tœnia cerebri, appartient à la corne d'Ammon par une de ses extrémités seulement; elle
te. La saillie collatérale de Meckel est située à l'extrémité de la corne inférieure du ventricule, vis-à-vis des digitatio
de la corne inférieure du ventricule, vis-à-vis des digitations de la corne d'Ammon. La corne postérieure du ventricule, ap
re du ventricule, vis-à-vis des digitations de la corne d'Ammon. La corne postérieure du ventricule, appelée aussi cavité d
ppocampe, ongle, éminence unciforme, ergot de Morand, qui vient de la corne d'Ammon : l'ergot de Morand est de même que le pi
t tel qu'à chaque lobe correspond un de leur prolongement; savoir, la corne antérieure au lobe antérieur, la corne descendant
leur prolongement; savoir, la corne antérieure au lobe antérieur, la corne descendante au lobe d'hippocampe, et la corne pos
e au lobe antérieur, la corne descendante au lobe d'hippocampe, et la corne postérieure, au lobe qui recouvre le cervelet. »
anus, plus grand chez les rongeurs que chez les autres animaux, et la corne d'Ammon qui n'est autre chose que la saillie inté
e des organes les plus imporlans de l'encéphale des mammifères. Cette corne est en relation intime d'un côté avec les nerfs o
a voûte à trois piliers. On voit déjà, par celte disposition, que les cornes d'Ammon doivent être plus que de simples circonvo
i intime avec tout 1'inlérieur et tout l'extérieur de ce viscère. Les cornes d'Ammon sont très grosses chez la taupe et la cha
es placent leurs petits au milieu d'un cercle dont leur tête et leurs cornes forment la circonférence; les castors lorsqu'ils
81 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
s; - un autre sur la 2e temporo-sphénoï- dale : - un dernier sur la corne occipitale. b) Face interne : un petit noyau su
nvolutions dépouillées. Le ventricule latéral est un peu dilaté, la corne d'Ammon est indurée (Planche I). Hémisphère g
ts de substance grise et non la totalité comme du côté opposé. La corne d'A mmon est aussi indurée; le ventricule latéral
le ventricule latéral est petit dans toutes ses cavités ; rien à la corne d'Ammon, ni à la coupe des corps opto-striés.
s circonvolutions. Pas de sillon au lo- bule paracentral; rien à la corne d'Ammon. Moelle. Plusieurs coupes n'ont pas fai
hémisphères, soigneusement dénudés, pèsent chacun 475 gr. Les deux cornes d'Am- mon sont légèrement indurées, si on les c
ère gauche. Les circonvolutions sont normales, sauf au niveau de la corne occipitale où il existe un grand nombre de plis
paissie et s'enlève difficilement au niveau du lobe occipi- tal. La corne d'Ammon est indurée, le ventricule latéral est
de cette traînée. Le ventricule latéral est uniformément dilaté, la corne d'Ammon indurée ; le gyrus fornicatus est atrop
Hémisphère gauche. La pie-mère est très adhérente, surtout vers les cornes occipitales, et au niveau du gyrus fornicat'us.
AVAUX PUBLIÉS EN 1881 * Thèses. COULBAULT (G.). Des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie. Brochure in-8° de 65
82 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la région dorsale, la coupe présente une dépression au niveau de la corne antérieure droite. Les poumons sont sains ; le
on du faisceau pyramidal croisé. Fi(;. 4.- Celliles nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dé
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 61 rations consécutives, notamment des cornes antérieures et posté- rieures, résultent des sy
La substance grise, surtout à la région cer- vicale, est, dans les cornes antérieures et postérieures, interrompue dans s
r ensuite spécialement la cir- convolution de l'hippocampe et de la corne d'Ammon, le lobe olfactif et l'origine des nerf
ous la dépendance de la myélite affectant les cellules motrices des cornes anté- rieures. Tous ces cas appartiennent à l
il prétend voir des choses bizarres : un diable avec des ailes, des cornes , une fourche, tel qu'on le voit sur les images,
tacher d'importance à une dépression signalée sur une coupe de la corne antérieure droite. Comme aucune lésion particul
elette optique droite, le pédoncule cérébral qu'il contourne, et la corne tempo- rale du ventricule latéral. En arrière d
ution de l'hippocampe. Lobule lizzgunl, lo- bule de l'hippocampe et corne d'Ammon normaux. Corps calleux, pédoncule céréb
lingual et toute la circonvolu- tion de l'hippocampe, y compris la corne d'Aiimoiz. Comme on le voit, la lésion forme un
circonvolutions temporales, la circonvo- lution de l'hippocampe, la corne d'Ammon, etc., ont tout à fait disparu. La pie-
ventricule latéral communique largement avec la poche kystique (la corne sphénoidale se confondant ici avec le kyste).
s l'espèce, d'un état d'excitation chronique des noyaux moteurs des cornes antérieures grises. Présentation de malade par
érieurs sont atteints; à gauche, l'altération a dû empiéter sur les cornes antérieures. Rien aux cordons antéro-latéraux.
ion du faisceau pyramidal croisé. FtG. 4.- Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dé
nférieur. - L Q, coupe du lube carré. 17L, ventricule latéral. C S, corne sphénoïdale. TA, TA, tissu aréolaire. PM, coupe
xtrémité du pseudo-kllsle. L 0, lobe occipital. - L C, coin. Ç 0, corne occipitale. TA, TA, tissu aréolaire. Hémisphè
CI, capsule interne. I, coupe du lobule de l'insula. CS, coupe delà corne sphénoïdale du ventricule latéral. F, , première
. T l', circonvolutions temporales. Fie. 6. 0, lobe occipital. C 0, corne occipitale. F.rrm. ( : h. imp. - 585.
83 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns la partie antéro-externe des faisceaux de Burdach, qui limite la corne postérieure et constitue une émanation des fibres
et se placent en dehors des fais- ceaux pyramidaux, entre eux et la corne antérieure rompue, ou mieux entre eux et l'oliv
u mieux entre eux et l'olive appliquée sur la face antérieure de la corne anté- rieure. Leur entrecroisement s'appelle en
tié de celle de la moelle cervicale. On rencontre néanmoins dans la corne antéro-latérale les mêmes groupes-de cellules q
comparative à l'égard du groupe des cellules antérieures de la même corne . A la partie supérieure du renflement lom- bair
'une excitabilité exagérée de certains groupes de cellules dans les cornes antérieures de la moelle ; mais dans notre cas
timètres, les ectasies vasculaires, pro- fuses surtout autour de la corne postérieure gauche, dans les faisceaux pyramida
l des muscles. P. K. RV111. Contribution au trajet des fibres DE la corne postérieure DE LA MOELLE HCSMAINE ET A LEUR MAN
2'.) Etude, à l'aide des plus récentes méthodes de Weigert, de la corne postérieure à l'état normal et dans le tabes dors
de la corne postérieure à l'état normal et dans le tabes dorsal. La corne postérieure se composerait de trois segments :
stance spongieuse qui va de la substance gélatineuse à la base delà corne postérieure, et se décompose à son tour en une zo
en une zone postérieure et une zone antérieure; cette partie de la corne pos- térieure est, elle aussi, traversée par de
e par des fibres radiculaires pos- térieures (grosses et fines). La corne postérieure reçoit donc des fibres radiculaires
hors et se forment en une pyramide ascendante (zone marginale de la corne postérieure); un segment de cette dernière mont
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 1 5 5 fibres fines de l'intérieur de la corne postérieure ; 30 les grosses fibres radiculaire
de la corne postérieure ; 30 les grosses fibres radiculaires de la corne postérieure; 4o les irradiations (fibres fines)
ment affectée de bonne heure. Les fibres fines de l'intérieur ce la corne postérieure sont moins souvent affectées, et to
ste certaines relations entre cette der- nière et les réseaux de la corne postérieure, mais il faut qu'il s'écoule un cer
e se soit propagé de la zone marginale aux fibres intérieures de la corne en question. Les grosses fibres radiculaires so
culaires, et manquent de bonne heure, tandis que la substance de la corne postérieure qu'elles traversent est encore norm
est très tardivement que la substance spongieuse environnante de la corne postérieure participe à l'atrophie. La colonne
84 (1913) Exposé des travaux scientifiques
omyélite antérieure aiguë peuvent ne pas rester cantonnées dans les cornes antérieures de la moelle et envahir les cordons l
. 08 SÉMIOLOGIE Elle paraît due à une irritation des cellules des cornes antérieures de la moelle produite par la néofor
rs précédée d'une altération organique des cellules ner- veuses des cornes antérieures de la moelle. J'ai montré (i4) qu'u
sculaire consécutive à la section des nerfs ou à la destruction des cornes antérieures de la moelle, sans que les cellules d
tion des cornes antérieures de la moelle, sans que les cellules des cornes antérieures soient détruites ou atrophiées, san
des observations d'amyotrophie dans l'hémiplégie avec intégrité des cornes antérieures et altération des nerfs moteurs à l
all, a5, 26. Coupes du Bulbe. 27. Coupe de la Protubérance. CAn. Corne antérieure. - FCC. Faisceau central de la calotte
inférieures de la moelle ; elles forment un faisceau qui coiffe la corne antérieure et qui, à un certain niveau, est net
de myélite chronique diffuse avec prédominance des lésions dans les cornes antérieures de la moelle (Revue de Médecine, 1884
n). Il¡. Atrophie musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des cornes anté- rieures de la moelle ci des nerfs moteurs
, janvier-février igi3). igg. Contracture liée à une irritation des cornes antérieures de la moelle dans un cas de syringo
85 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
c la croissance de l'animal, ressemblant en cela aux cellules de la corne antérieure de la moelle (Geier). Donc toutes le
des cellules en corbeilles, des cellules de Golgi, des cellules des cornes antérieures il me- sure que croît l'organisme,
à droite elle est très riche en libres intactes qui vont border la corne postérieure : au niveau du 3e segment lombaire et
t forme de vir- gule, à concavité correspondant au bord interne des cornes pos- térieures, plus neLLe à droite, rejoignant
mois, de 15 centim., il existait, dans les cellules mo- trices des cornes antérieures, des neuro-fibrilles formant dans le
les impressions thermiques et dou- loureuses : racine postérieure, corne postérieure, commissure de la substance grise,
même côté (ho- mologue) pourvue que cette lésion soit limitée à la corne pos- lérieure du même côté, par laquelle passe
d cette lésion a détruit la substance grise dans le voisinage de la corne antérieure, par laquelle passe le deutoneurone
molaterale, produite par une lésion de la substance grise (ou de la corne postérieure) débute en général immédiatement au-
oduite par une lésion de la substance grise (ou du voisinage) de la corne antérieure, débute à peu près à 4 ver- tèbres a
s sus-indiques; elle n'entraîne pas de mouvements. Evi- demment les cornes antérieures de la moelle sont hyperexcitées. Ca
ux venu des centres supérieurs et agissant sur les cellules de la corne antérieure. La suppression de cet influx produit,
t, des modifications structurales-évidentes dans les cellules de la corne anté- rieure et, dans de pareilles circonstance
nt dépour- vues de cellules et de fibres ; diminution de volume des cornes antérieures, dont les cellules sont atrophiées,
extrémité inférieure ; 2° des altérations chroniques occu- pant les cornes antérieures, sur toute la hauteur de la moelle ;
: il y a atrophie des racines antérieures, du réseau des fibres des cornes antérieures, ainsi qu'une luxuriante prolifératio
entrale af- fecté laforme dcsyringomyélio gliomateuse, et, dans les cornes antérieures, celle de poliomyélite. Il s'agit p
yers de ramollissement de la paralysie infantile et intéressant les cornes antérieures au niveau des ren- flements cervica
e : asymétrie manifeste ; déformation de l'axe gris au ni- veau des cornes postérieures surfout. Les grandes divisions ré-
l'aire des cordons mais particulièrement autour et au contact (le ? cornes antérieures. 2o Dans la région cervicale supéri
issait ici d'un foyer de ramollissement typique dans les cordons et cornes postérieures secondaires àl'embolie d'une artèr
mince bande de faible degeneration qui court.parallèlement iL la corne postérieure, plus proche de celle-ci que du septu
e avec for- mation probable des petits foyers hémorragiques dans la corne antérieure. Hypntrophie d'origine hérédo-b('t
86 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e ; 3° du trigone ; 4° de la partie supérieure de la commissure des cornes d'Ammon; 5° de la lamelle de la corne d'Ammon,
érieure de la commissure des cornes d'Ammon; 5° de la lamelle de la corne d'Ammon, située dans le gyrus hippocampi, qui c
campi, qui constitue une partie de la saillie ventricu- laire de la corne d'Ammon (alveus). Du dixième au onzième jour se
dont le sommet vient de la ligne médiane et qui est en dehors de la corne antérieure; ce triangle est plus étendu que ne
seaux de l'encéphale, surlout pro- noncée dans les ascendantes etla corne d'Ammon du côté gauche. Cette calcification qui
Klippel. Cette moelle présente des lésions sur toute la hauteur des cornes antérieures, et des lésions des racines posté-
tent constamment une action excitatrice aux cellules motrices de la corne antérieure de la moelle par l'intermédiaire des f
que spéciale du gyrus forni- catus, le faisceau d'association de la corne d'Ammon et de la fascia dentata. Il cite l'exem
otre cas la main prend souvent l'attitude d'une main qui fait les « cornes ». L'état des réflexes diffère dans l'athétose
GIE PATHOLOGIQUES. 3U1 XXXII. Les tumeurs du corps calleux et de la corne d'Ammon; par le D'' ScuuurFn. (Riv. sp. di fieu
nts anatomiques. Ces grains sont gros dans les grosses cellules des cornes antérieures, petits dans les granulations de la
es prolongements cellulaires de l'écorce du cerveau de l'homme, les cornes antérieures et la substance blanche de la moell
le bord postérieur un peu échancré. Cette dépression, voisine de la corne postérieure, dont elle est séparée par une large
e est constituée par des cellules nerveuses semblables à celles des cornes postérieures, des noyaux névrogliques, quelques
lequel est une continuation de la colonne cellulaire motrice de la corne antérieure, tandis que le douzième nerf est res
commissurales par l'intermédiaire desquelles elles irriguent les cornes antérieures de la substance grise. Ainsi s'expliq
otique antérieure avec la première artère du sillon qui irrigue les cornes grises antérieures de la première paire cer- vi
rtie antérieure du cordon postérieur, vers la substance grise de la corne postérieure; elle disparaît plus bas, de sorte
aune ocreuse plus foncée par places, principalement au niveau de la corne d'Ammon et de ce qui reste de la circonvolution
nt moins prononcées que du côté droit ; un foyer ocreux occupant la corne d'Ammon, le tiers antérieur de la circon- IDIOT
les différents amas cellulaires qui existent à la périphérie de la corne antérieure dans le renfle- ment cervical et dan
nt atteints surtout au niveau des faisceaux pyramidaux croisés. Les cornes antérieures sont atteintes très sérieusement, m
fronto limbique; -P. P. P., pli pariéto limbique postérieur; C. A., corne d'Ammon; G. R., gyrus rectus. PLANCHE VI. Fac
s, par Wiener, 78, par Wenhardt, 139. du corps calleux et de la corne d'Aumon , par Schupfer. 307. - de l'hypophyse s
87 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
erf circonflexe. Au niveau du 4° segment cervical, le contour de la corne anté- rieure est arrondi ; les groupes cellulai
ons de la substance grise semblent à peu près locali- sées dans les cornes antérieures. Elles consistent en une dégéné- ra
e dernier vestige de la cellule motrice. ' 7° Ces altérations de la corne antérieure n'intéressent pas en général la tota
intéressent pas en général la totalité des éléments. Il y a dans la corne malade, un' certain nombre d'éléments presque n
rappro- chés de l'état normal sont ceux de la partie interne de la corne . Les éléments les plus gravement atteints sont
11. i. - Ueb .. en 1901 '. 104 RECUEIL DE FAITS. Face interne. La corne d'Ammon, les circonvolutions CH et TO sont un p
latéralis de Clarke ainsi que des petites cellules de la base de la corne postérieure. Celles qui persistent présentent l'a
démontré l'exis- tence d'une destruction complète bilatérale de la corne grise anté- rieure depuis la moelle cervicale s
tellement intense qu'elle a entraîné un affaissement complet de la corne et un plissement de la substance blanche envelo
ansversalement la moelle jusqu'au niveau de la partie externe de la corne grise postérieure. Là, les fibres se SOCIÉTÉS S
rieure pouvant se poursuivre, les supérieurs, jusqu'au centre de la corne grise anté- rieure, les inférieurs, jusque dans
rieure, les inférieurs, jusque dans la partie externe de cette même corne grise. Nerf hypoglosse. Les libres radiculaires
e nombreuses fibres radiculaires en dégé- nérescence provenir de la corne grise antérieure du côté corres- pondant. Aucun
ers, puis, continuant leur chemin jusqu'au cordon antérieur et à la corne antérieure de la moelle, elles se comportent ex
de puissants faisceaux arqués pénétrer du cordon postérieur dans la corne postérieure. Par contre, il y a dégénérescence
au de la moelle cervicale, absence partout des fibres arquées de la corne postérieure. Et, malgré cela, tout le territoir
as. Nulle trace de bulbe olfactif, de baiidelette dic1 àcl tive. de corne d'Ammon, etc. La région olfactive du nez est ce
ance grise n'est représentée que par une toute petite portion de la corne antérieme gauche, dans laquelle s'aperçoivent q
e de la moelle ; conservation d'un peu de subs- tance grise dans la corne antérieure gauche) permettent bien de penser qu
ellules radiculaires, disséminées çà et ta à travers le tissu de la corne antérieure : à ce niveau, les tubes nerveux son
es 474 r PATHOLOGIE NERVEUSE disséminés çà et là ; par contre les cornes de la substance grise ne sont représentées que
ris sa configuration et sa structure habituelles ; les cellules des cornes antérieures, suffisamment nombreuses, ont un as
lnbilriee du cerveau, soit en exallant le pouvoir excito-muteur de^ cornes antérieures, déter- minent l'état spasmodique d
. CC, corps calleux. CS, corps strie. CO, couche optique. CA, Corne d'Ammon. CH, Circonvolution de l'hippocampe.
88 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ions matérielles, dans les centres trophiques correspondants, de la corne antérieure de la moelle. » Les plaques de ménin
présence d'une lésion systéma- tisée qui a envahi les cellules des cornes antérieures de la moelle cervi- cale, et en plu
d à cette colonne cellulaire qui occupe la zone postéro-externe des cornes antérieures et qui va du premier au cinquième n
i s'étend en bas jusque au cin- quième nerf cervical, fait part des cornes latérales et est parfaitement analogue à la sub
nes latérales et est parfaitement analogue à la substance grise des cornes antérieures : de telle façon que la plupart des
s les ganglions rachidiens. Le Marchi montre, dans les cellules des cornes antérieures et de l'écorce céré- brale, quelque
al. Au voisinage des foyers les plus importants, notamment dans les cornes antérieures, quelques cylindraxes sont gonflés. E
plus im- portantes dépassent à peine le diamètre d'une cellule des cornes antérieu- res : 2 à 3 seulement ont des dimensi
ies. Méthode de Ramon y Cajal. E - Exp. 3. Cellules nerveuses de la corne antérieure, niveau très voisin de celui de la Fig
on- nées physiologiques et pathologiques, les cellules motrices des cornes anté- rieures de la moelle sont aussi les centr
arter l'hypothèse de lé- sions localisées aux cellules motrices des cornes antérieures. L'autopsie, et surtout l'examen mi
ents stades de la dégénérescence vacuolaire des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle lombo-sacrée. p : pigm
cellules formant les colonnes centrales et postério- latérales des cornes antérieures. Nous verrons plus loin la signific
uniformément réparties dans les différents groupes cellulaires des cornes antérieures. La plupart des cellules des colonnes
u'à ce niveau, l'existence de ces cpllules dans certains noyaux des cornes antérieures, à côté de cellules tout à fait indem
cours de la rage (1) ; nous l'avons retrouvée dans les cellules des cornes antérieures de la moelle épinière du chien au v
rachidiens, les ganglions du pneumogastrique ou les cellules de la corne d'Ammon ? En résumé, nous croyons avoir montré
'exception d'une mince bande de tissu sain, qui, partout, longe les cornes et racines posté- rieures. D'avant en arrière,
stématique de la moelle, détruisant une partie bien délimitée de la corne antérieure (ou des deux cornes), qu'on trouve r
isant une partie bien délimitée de la corne antérieure (ou des deux cornes ), qu'on trouve remplacée par un tissu cicatriciel
s ces derniers cas, en effet, il semble qu'on trouve en général les cornes antérieures plus ou moins atteintes sur une trè
segments supérieurs de la moelle dorsale, et qui aurait atteint les cornes postérieures et les cornes antérieures dans toute
oelle dorsale, et qui aurait atteint les cornes postérieures et les cornes antérieures dans toute cette étendue. La parési
ons expliquée en supposant que l'hémorragie avait atteint aussi les cornes antérieures du renflement cervical, mais sans y
aurait dû trouver en même temps des symptômes dus à une lésion des cornes postérieures du renflement cervical, mais un exam
ur et les sensibilités thermiques passent ensemble, d'abord par les cornes postérieures, puis s'entrecroisent sur la ligne
la protubérance, et par la méthode de Weigert-Pal. Les cellules des cornes antérieures étaient normales sur toutes les coupe
supporte des fleurs et une ligurine dont le front est orné de deux cornes . « Un pauvre cocu de mes amis, » m'explique S..
yélite consiste en une inflammation aiguë de la moelle, surtout des cornes antérieures, due à une maladie infectieuse d'une
, en général complète et toujours per- sistante dans une partie des cornes antérieures. La polynévrite, au con- traire, es
. L'autre caractère remarquable du processus morbide, c'est que les cornes antérieures (et, dans le bulbe, au moins la sub
89 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
arler plus sagement du mérycisme, en le séparant de l'existence des cornes dans les deux cas cités par Peyer. Voici d'aill
causes de mérycisme admises jusque-là et surtout de la présence des cornes chez les mérycoles. Il distingue aussi le vomis
tant l'iden- tité comme affection du mérycisme et delà présence des cornes , pensaient que les mérycoles étaient fils ou pè
rs bipartie antérieure de la couche optique, entrant un peu dans la corne frontale), il n'y a jamais eu hémiplégie, strabis
atiniforme. Pas de lésions à pre- mière vue. Pas d'induration de la corne d'Ammon. Les ventricules latéraux et les masses
confondues. La circonvolution de l'hippocampe est très petite; la corne d'Ammon ne présente rien de particulier. La fat
inégale puisqu'elle intéressait, à un degré bien plus prononcé, la corne frontale que les cornes temporale et occipitale
téressait, à un degré bien plus prononcé, la corne frontale que les cornes temporale et occipitale, c'est cette inégalité
e d'un côté du cerveau ou surtout si elle n'intéresse que l'une des cornes ventriculaires. Alors on s'appuiera sur les dif
ution du corps calleux, le corps calleux, le ventricule latéral, la corne d'Ammon sont normaux. La couche optique et le c
90 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lésées. Dégénérescence ascendante des nerfs jusqu'aux cellules des cornes antérieures. Dégénérescence des racines posté-
ures lombaires et sacrées; intégrité des racines antérieures et des cornes antérieures. Comme dans tous ces cas, on a cons
ils ont limité leurs recherches aux grandes cellules motrices de la corne antérieure et décrit les altérations de ces élé
r la substance chromophile et sur le noyau. D'autres cellules de la corne antérieure étaient également intéressées. Les lés
llules des ganglions spinaux étaient normales, de même celles de la corne postérieure. Les noyaux des cellules du bulbe é
surale, mérite par son siège au voisinage du septum plus que des cornes postérieures et pour la différencier de sa dispos
n habituelle du champ cornu- commissural. Elle répond bien ici à la corne postérieure et à la commissnre. Au moment où
s latérales franchement adjacentes à la commissure et à la base des cornes postérieures et laissant entre elles et le sept
commissure grise et se pro- longeant en pointe le long du col de la corne postérieure. Il existait de plus une petite ban
se déplace en quelque sorte de dedans en dehors, du septum vers les cornes postérieures. C'est pour cette raison qu'à la
it du sillon postérieur, soit de la commissure, soit de la base des cornes postérieures. Ils forment un groupe de fibres
ans l'aspect des cellules ganglionnaires, particulièrement dans les cornes antérieures étaient peu accentuées. En résumé,
e anomalie s'explique, la lésion au début a pu n'intéresser que les cornes antérieures sur un point limité, respectant les
otrophie tabétique dans l'affection des cellules (rophomotrices des cornes antérieures. 320 REVUE d'anatomie ET DE physi
. Schaffer propose de distinguer deux catégories d'affections de la corne antérieure : 1° la vulgaire poliomyélite, maladie
es cellules mais aussi tous les autres éléments histologiques de la corne antérieure : c'est une affection du centre trophi
ires et la réaction de dégénéres- cence ; 2° Des affections de la corne antérieure débutant par des altéra- tions très
re très difficile. Il était obligé de porter à l'index un anneau en corne . Cet anneau remplissant l'espace laissé libre e
r admet l'existence hypothétique de fibres reliant le cer- veau aux cornes antérieures de la moelle et expliquant l'action d
la gliomatose plutôt qu'à l'existence d'une cavité réelle dans une corne postérieure. P. K. LXVI. Communications casuist
91 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
a scissure de Sylvius. H, plexus choroïde. Q , grosse extrémité de la corne d'Ammon. A B B B. surfaces des sections prati-qué
e. J, face ven-triculaire du corps calleux. Q, grosse extrémité de la corne d'Ammon. a\ pointe postérieure du ventricule. O.
rconvolution de l'ourlet. R , partie du noyau cérébral répondant à la corne temporale du ventricule. Q Q, fibres prolongées d
nte du cône postérieur du noyau. 6, région de ce noyau répondant à la corne temporale du ventricule. B', tubérosité temporale
emporale de la même circonvolution. R, corps godronné. Q, coupe de la corne d'Ammon. dddd, surface sur laquelle a été excisée
92 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fibres sont électivement celles qui vont aux cellules motrices des cornes antérieures. C'est là une loi qui lui paraît irré
névrogliques. A un moment donné, le champ dégénératif est relié aux cornes postérieures à l'aide de cloisons de névroglie
ltérées de même façon ; cette transfor- mation se poursuit dans les cornes antérieures du même côté, et gagne, par la comm
térieures du même côté, et gagne, par la commissure postérieure, la corne postérieure du côté opposé. La constatation de
turellement, en admettant l'existence dans la substance grise de la corne anté- rieure de la moelle, de groupements cellu
tabes. Il y avait en outre une altération notable des cellules des cornes antérieures. M. H. LV. Un cas de migraine ophta
ations de la colonne de Clarke, lésions cellulaires atrophiques des cornes antérieures) : altérations des nerfs périphériq
ée, retombait sur ses épaules. La plante des pieds est formée d'une corne épaisse, et la malheureuse, retournée presque à
ous la langue, je pris des goûtes d'Angleterre2, j'usai d'esprit de corne de cerf3, d'essence de poudre de vipère*, de te
e. Les fentes présentent une disposition remarquable, parcourent la corne postérieure suivant une ligne droite, souvent a
, jusque dans la couche sous-épen- dymairede la paroi interne de la corne postérieure droiteet gauche. S'ils ne peuvent à
LOGIE PATHOLOGIQUES. avoir son noyau d'innervation distinct dans la corne antérieure,' d'autres (Van Gehuchten, de Neef)
rachial; ils en concluent que « deux lésions très différentes de la corne antérieure (syringomyélie et polyomyélite infan
gine musculaire des groupes cellu- laires qui correspondent dans la corne antérieure aux muscles de la main : la situatio
e aux muscles de la main : la situation, à la partie supérieure des cornes grises, de ces groupes cellulaires explique que
ngementsprotopiasmatiques,appar- tenant aux cellules motrices de la corne antérieure, étaient pauvres en appendices colla
ne différence très marquée entre l'aspect externe des dendrites des cornes antérieures et des cornes postérieures; les conto
entre l'aspect externe des dendrites des cornes antérieures et des cornes postérieures; les contours des prolongements pr
motrices et sur un grand nombre de ramifications des cellules de la corne postérieure. Pour conclu- sion, les rapporteurs
orps 58Ë SOCIÉTÉS SAVANTES. cellulaire des éléments nerveux de la corne postérieure des appen- dices, rappelant, par le
93 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
pe, au fond duquel se trouve la circonvolution go-dronnée, formant la corne d'Ammon immédiatement en rapport avec le prolonge
elleux inférieur et s'épanouit autour des cellules du même côte de la corne antérieure de la moelle cervicale. e) Le faisce
leux moyen et rejoignent la voie pyramidale pour se terminer dans les cornes antérieures de la moelle. f) Le faisceau en cro
u cérébelleux descendant qui, sans relais, irait du noyau dentelé aux cornes antérieures de la moelle. Selon Bechterew (commun
uditif externe. La coupe intéresse : i" le troisième ventricule, la corne spbénoïdale du ventricule latéral, le tronc et la
Wrisberg et facial. La coupe intéresse : i" l'étage supérieur et la corne sphénoïdale du ventricule latéral, la glande piné
ues millimètres en arrière de ce coude. La scie a sectionné : i° la corne occipitale du ventricule latéral, le corps dentel
terne, le sinus occipital, l'avant-mur, la queue du noyau eau dé, les cornes sphénoïdale et occipitale du ventricule latéral;
94 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
usieurs nodosités scléreuses. La couche optique, le corps strié, la corne d'A 1111/10n et le ventricule lui-même n'offrent
Des deux côtés le ventiicule, la couche optique, le corps strié, la corne d'Ammon, le corps calleux n'offrent rien de par
acré, le cornu commissural peu marqué, n'atteint pas tout à fait la corne postérieure, borde assez épais la cloison et se
nt aussi de moins en moins étendus, tandis que ses rapports avec la corne prennent plus d'importance. Enfin r.u-dessus du
ct. G. Deny. XX Des modifications morphologiques des cellules des cornes antérieures de la moelle en action; par J. LUXE
il siégeait au niveau du renflement lombaire et qu'il a atteint les cornes antérieures, car tous les phénomènes se sont born
- miner d'emblée une lésion du groupe externe des cellules, de la corne antérieure, l'auteur croit plutôt que c'est le dé
fut plus affirmatif. Il avança que la dégénération des cellules des cornes antérieures de- la moelle constituait la lésion
ssive, en rapport avec une lésion des cellules tropho- motrices des cornes antérieures de la moelle. Au cours de cette mêm
ur substra- tum une atrophie aiguë des cellules tropho-motrices des cornes antérieures. Dans l'intervalle, l'étude des d
latéraux, associée à une atrophie des cellules tropho-motrices des cornes antérieures. Cette succession de découvertes em
ntres nerveux supérieurs réagissent sur les cellules motrices de la corne antérieure de la moelle par deux voies nettement
r les fibres pyramidales homolatét'ales profondes qui décapitent la corne antérieure homo- latérale et descendent dans la
palement le cordon de Goll. Les zones près de la commissure et la corne postérieure, et dans la région lombaire celle prè
partie médiane de cet organe, s'en va assez loin en arrière dans la corne postérieure et dans la corne inférieure du vent
s'en va assez loin en arrière dans la corne postérieure et dans la corne inférieure du ventricule. Bien qu'elle ait exer
physiologique ; c'est la transmission aux racines postérieures, aux cornes posté- rieures, de là aux centres des muscles c
aux centres des muscles contractiles (triceps crural) sis dans les cornes antérieures, de l'excitation que le choc du ten
brés et les vertébrés, par Ilavet, 133. Mo- difications des - des cornes antérieures en action, par Luxem- burg, 133.
95 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne, étant donné qu'elle est pré- coce, que Jes grandes cellules des cornes antérieures sont indemnes, qu'il existe des cen
IE PATHOLOGIQUES. de Lawdowski et Owsjannikow (1887) à propos de la corne d'Am- mon. P. K. IV. CONTRIBUTION 9 la QUESTI
nt atteintes les fibres des racines antérieures et les cellules des cornes antérieures des parties correspondantes de la moe
uchenne-Aran, ont pour caractères communs une lésion nécessaire des cornes antérieures de substance grise, évoluant suivan
isceaux blancs ou les régions de la substance grise, autres que les cornes antérieures, ne puisse retentir sur cette parti
dans le renflement cervical et intéressant la substance grise des cornes antérieures de cette région de la moelle peuven
s bulbaires peut en imposer un instant. 3° La même altération des cornes antérieures, se tra- duisant par une atrophie s
d'abord dans le voisinage du canal épen- dymaire ou dans l'aire des cornes postérieures, envahit à la longue les cornes an
ire ou dans l'aire des cornes postérieures, envahit à la longue les cornes antérieures, retentit secondai- rement sur les
Serait-ce une de ces myélites diffuses, mais prédominant dans les cornes antérieures de substance grise et dont je vous
traduiraient un trouble dyna- mique des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de substance grise de la moelle épi
ques disséminées. Dans ces derniers cas, il dénote l'altération des cornes grises antérieures de la moelle. L'ordre de son
namique ou d'une altération dans le fonctionnement des cellules des cornes antérieures et plus généralement des cellules m
érescence des racines antérieures de la moelle, et des cellules des cornes antérieures. L'examen complet n'a pas été achev
ncéphalite, à cause de sa ressemblance avec la polio- myélite de la corne antérieure de la moelle. Si un tel diagnostic p
à ce point de vue, beaucoup à la paralysie spinale par lésion de la corne antérieure; mais dans notre cas les réflexes te
96 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Puis cette altération aurait fini par gagner secondairement les cornes antérieures de la moelle lombaire gauche ou les
ne lésion des racines postérieures droites se soit faite vers les cornes antérieures gauches, sans avoir touché les cordon
lus élevée de la scissure de Sylvius, Insula, gan- glions centraux, corne d'Ammon,rien. Sur le ventricule latéral non dil
ésions en foyer. Ventricule laté- ral, couche optique, corps strié, corne d'Ammon, etc., rien de particulier. Hémisphèr
ceau pyramidal avec atrophie des cellules de la substance grise des cornes antérieures. La sclé- rose succède à un travail
ulbe, jusque dans la substance blanche des faisceaux latéraux et la corne antérieure de la moelle. La partie intéressante
ourait, occupait exclusivement la substance grise dans laquelle les cornes postérieures avaient été atteintes 372 PATHOLOG
grise de la moelle épinière, sur toute la lon- gueur de laquelle la corne postérieure droite avait été le plus altérée, t
t altération un peu moindre de la commissure postérieure et de la corne antérieure gauche. Le processus s'étendait éga-
aient caractérisés par la glioma- tose avec lésion prédominante des cornes postérieures ; dans la deuxième observation, le
diamètre de près de cinq centi- mètres. Une atrophie excessive des cornes antérieures saute im- médiatement aux yeux, tan
s cornes antérieures saute im- médiatement aux yeux, tandis que les cornes postérieures ne sont pas atrophiées, mais refou
cette partie, elle commence à diminuer, de même que l'atrophie des cornes anté- rieures ; mais ce n'est qu'au commencemen
ux pyramidaux et les cordons de Goll; 50 les cellules nerveuses des cornes antérieures sont en moins grand nombre chez les
bétique reconnait pour origine une lésion des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle, comme MM. Charcot et
97 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
dites motrices, lesquelles , comme vous le savez, ont pour siège les cornes antérieures de la substance grise de la moelle ép
façon très-nette, ce qu'il appelle la substance grise centrale et les cornes de substance grise. La première aurait seule, ave
et les cornes de substance grise. La première aurait seule, avec les cornes postérieures, du moins pour une part, un rôle sé-
e sé-rieux dans la transmission des impressions sensitives. Quant aux cornes antérieures, elles seraient destinées surtout à l
minées par une lésion qui siège exclusivement, ou à peu près, sur les cornes antérieures et, en conséquence, tandis que la tra
logie par M. Prévost, la plupart des cellules avaient disparu dans la corne antérieure du segment de la moelle correspondant
cas encore, l'examen microscopique a fait reconnaître l'atrophie des cornes antérieures, la disparition ou l'atrophie granule
nt, partout principalement, et sur certains points exclusivement, les cornes antérieures delà substance grise. Dans loutes les
s moins vrai que sur d'autres, elles restent exactement limi-tées aux cornes antérieures, qu'elles n'occupent même pas toujour
la névroglie et s'étend de proche en proche, aux diverses régions des cornes antérieures. Mais cela n'est nullement néces-sair
ort avec la face inférieure du cervelet, ils sont en contact avec les cornes occipitales, formant au-dessous d'elles une sorte
sur la ligne médiane, qu'elle correspond toujours à l'extrémité d'une corne ventriculaire remplie de liquide. Il invo-que don
e. Il peut y avoir plaie pénétrante ; ainsi, à la suite de coups de cornes , ou à la suite de coups de fourche, ou bien encor
ables tourbillons de sclérose, lésions de la substance grise dont les cornes sont atrophiées, refoulées, coupées en deux, etc.
98 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
llette que chez le petit garçon '. P. KERAVAL. XV. Des lésions delà corne d'Ammon dans l'épilepsie; parl\IIl1C P. 1. BOI\
appréciable. Les observations IX et X mon- trent des lésions de la corne d'Ammon, dans la paralysie progrès sive des ali
mence secondaire, sans attaques d'épilep- sie. Dans la dernière, la corne faisait une grosse saillie dans le ventricule.
s toutes les observations il y avait altérations microscopiques des cornes d'Ammon, qui, généralement avaient ' marché de
filtration des parois des vaisseaux par des cellules ron- des : Les cornes antérieures étaient très- nettement affectées,
urs. L'autopsie montra la dégénération des cellules nerveuses des cornes antérieures, la dégénération des racines nerveuse
étendue. La substance grise est plus particulièrement atteinte. Les cornes pos- térieures le sont moins cependant que les
ordre de neurones, dont les corps cellulaires sont situés dans les cornes postérieures et dont les névraxes croisent la l
urs et surtout l'inten- sité des altérations de la substance grise ( corne postérieure, cellules cordonales, colonnes de C
es avec la même constance que les grandes cellules radiculaires des cornes antérieures de la moëlle épinière. Cela parait
hode de Nissl, Dana tronva des altérations des grandes cellules des cornes antérieures : « pigmentation marquée du corps c
méthode de Marchi. il découvrit une dégénération des cel- lules des cornes antérieures. Les vaisseaux sanguins de la moelle
corticales, au point où elles atteignent les cellules motrices des cornes antérieures et en même temps une lésion fonctionn
tenl*les mêmes lésions quélê-cortexcÚé- bral. Dans les cellules des cornes postérieures on observe seule- 2o2 ri SOCIÉTÉS
e, qui possède une épaisseur, de 2 à 3 millimètres et plus, vers la corne postérieure du ventricule, et se confond avec l
k, 1901. ZuccARELU (Angelo). Per la stei-iliz;za-.ioiie délia donna corne mezzo per limitare o izzxpedire la riproduzione
le, par Lhote, 74. cor- ticale, par Vassilieff, 64. Lésions de la corne d'Ammon dans l ? par Borozdine et Lioubimow, 12
99 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
onvolutions du corps calleux et du lobe carré. Des deux côtés, la corne d'Ammon, les masses centrales, les ventricules
vité pathologique (soit dans la portion moyenne, soit dans ses deux cornes frontales ou sphéno-occipitales) se reconnaît grâ
ommuniquant avec un orifice arrondi, semblant être le restant de la corne frontale agrandie. Sous l'épendyme ventricu- la
ventriculaire ; l'examen du ventricule moyen, communiquant avec la corne frontale; l'examen de la masse blanche sous- ép
-mère. Le ventricule latéral, la couche optique, le corps strié, la corne d'Ammon n'offrent rien de particulier. Toutes l
l'épilepsie. Thèse de Paris. COULIJAU'l' (G.). Des lésions de la corne d'Ammon dans l'épilepsie. Thèse de Paris. , T
, première et deuxième circonvolution temporo- occipitales. C.A., Corne d'Ammon. Sc. to2., Deuxième scissure tempo-occi
p. p. , pli pairéto-limbique postérieur. P. , pédoncule. 0..\. , corne d'Ammon. p. f. 1. , pli frontal limbique. G.
100 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de fibres qui entrent directement des racines postérieures dans les cornes postérieures et, après avoir traversé ces dernièr
ers la commissure postérieure et s'infléchissent en dedans dans les cornes postérieures. Les libres externes de la zone ra
sent à angle aigu avec les racines postérieures qui entrent dans la corne postérieure d'où elles se dirigent t en avant.
ane court à travers la. zone radiculaire moyenne et arrive dans les cornes postérieures à peu près au milieu (entre la com
usseaux pénètrent dans la substance grise jusqu'à la périphérie des cornes antérieures et se perdent là entre les racines
larke; les fibres de. la zone postéromédiane s'unissent surtout aux cornes antérieures; REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. '103
es de la zonepostéro-latéralese perdent dans le réseau défibres des cornes postérieurs; les cordons de Goll s'unissent aux n
fibres radiculaires postérieures correspondantes et des fibres des cornes postérieures (le réseau des colonnes de Clarke es
ellules granulo- graisseuses accumulées; les cellules nerveuses des cornes antérieures contenaient des granulations noires
a poussé une pointe dans la substance grise postérieure et dans les cornes postérieures; c'est alors qu'il s'est formé une
e alla neuropatologia del diabète. La clau- dicazione intermittente corne mezzo diagnostico nei casi di diabète deci- pio
(autopsie du pre- mier enfant) une dégénérescence systématique des cornes anté- rieures avec atteinte légère des cordons
grosseur d'une prune, communiquant par une ouverture ronde avec la corne postérieure du ventricule latéral gauche dilaté
, 443. BULLETIN bibliographique, 288, 457. CELLULES nerveuses des cornes an- térieures de la moelle, par Hoche, 242.
/ 174