co Burzio (1) en 1902. Dans un cas, cet auteur note la sclérose des
cordons
postérieurs, principalement du faisceau de Burd
ésions corti- cales peuvent expliquer la rigidité ; les lésions des
cordons
postérieurs, les troubles de la sensibilité et
ique ou intel- lectuel. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE ANATOMIQUE * DES
CORDONS
POSTÉRIEURS UN CAS DE LÉSION DE LA QUEUE DE CHE
t des points de repère précis, nécessaires à l'étude anatomique des
cordons
postérieurs ; la carte de la région est d'autan
re de Flechsig. Dans la moelle foetale on aperçoit, au centre des
cordons
postérieurs à la région lombaire, à cheval sur
fois presque décapiter. Ils sont d'autant plus ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSIÉRIEURS ' . 19 développés que les racines d
artie antérieure de la subs- tance gélatineuse. Tout le reste des
cordons
postérieurs est rempli par des fibres radiculaire
cales fines, saines, uniformément réparties sur toute l'étendue des
cordons
postérieurs ; ces fibres sont probablement en r
MIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS (1. Nageotte.) ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 21 me calibre qui sortent de la sub
s faisceaux de fibres conservées qui occupent l'angle antérieur des
cordons
postérieurs, et qui envahissent même la commiss
n le septum s'élargit beaucoup, de sorte que les bords internes des
cordons
postérieurs s'écartent l'un' de l'autre à angle
es de gros calibre se répandent d'ailleurs dans toute l'étendue des
cordons
postérieurs, d'autant plus nombreuses qu'on s'app
venue très pâle. Les grosses fibres conservées disséminées dans les
cordons
sclérosés ont encore augmenté de nombre; elles
part de la zone commissurale, oc- cupe la région moyenne de chaque
cordon
et se perd lorsqu'elle arrive a la hau- teur de
mal. La zone cornu-radiculaire dont la portion ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 23 médiane'est ici seule découverte
ar des fibres saines éparses. 8e Dorsale. La région sclérosée, déjà
cordon
de Goll, se rétrécit beau- coup en avant; elle
t à parties égales avec les fibres dégénérées. A la 5e dorsale le
cordon
de Goll touche à peine en avant la commissure ;
oter que dans tout ce trajet il existe dans la moitié autérieure du
cordon
de Golf une sorte d'encoche par où pénètre une in
clérosée et se terminant insensiblement vers le tiers postérieur du
cordon
de Gol I Par contre, la moitié postérieure du cor
rs postérieur du cordon de Gol I Par contre, la moitié postérieure du
cordon
de Goll est nettement délimitée. Si l'on compar
en avant la direction de la partie posté- rieure du bord externe du
cordon
de Goll. Dans le reste des cordons de Goll- à l
osté- rieure du bord externe du cordon de Goll. Dans le reste des
cordons
de Goll- à la région cervicale il existe un semis
acrée manque. 3e Sacrée. La sclérose forme un triangle au centre du
cordon
postérieur ; l'angle externe de ce triangle se
S (J. Nageotte.) - Masson et Cie, Editeurs ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 25 relativement à la bandelette ext
la sclérose de la bandelette externe s'accompagne de rétraction ; les
cordons
postérieurs sont en effet notablement plus peti
re que l'on remonte le long de la moelle et finit par constituer le
cordon
de Goll à la région cervicale Ses deux bords ex
externes va d'ailleurs aussi en décroissant. ' fil, Cervicale. Le
cordon
de Goll reprend une forme plus allongée d'avant
a sclérose s'atténue et finit par disparaître au point où cessent les
cordons
postérieurs eux-mêmes. Telles sont les lésion
TTE ' un premier chapitre j'étudierai : 1° les fibres endogènes des
cordons
posté- rieurs ; 2° celles de la corne postérieu
aucoup mieux aux influences nocives chez les . ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 29 animaux bien portants que chez l
ent au nombre des fibres radiculaires, très peu abondantes dans les
cordons
pos- térieurs à la région lombo-sacrée, et enco
os- térieurs à la région lombo-sacrée, et encore plus rares dans le
cordon
de Goll. Néanmoins leur nombre absolu est encor
niveau de la troi- sième sacrée, par exemple, les fibres fines des
cordons
postérieurs sont si nombreuses qu'il est imposs
ur se recourber ou se bifurquer lorsqu'elles sont arrivées dans les
cordons
; il se peut aussi que les fibres horizontales r
re ; bientôt ils s'éparpillent en éventail dans toute l'étendue des
cordons
postérieurs (fig. 1), se divisent et s'épanouis
formes du bulbe divisent les fibres du ruban de Reil ; mais dans le
cordon
postérieur, cette disposi- tion est infiniment
l. Les fasci- Fie. 1. Obs. I. Fibres endogènes grosses et fines des
cordons
postérieurs au ni- veau de la II8 sacrée (dessi
ment un semis très régulier et assez serré dans toute l'étendue des
cordons
posté- rieurs à la région sacrée (fig. 2). Elle
fig. 2). Elles deviennent plus rares dans la portion antérieure des
cordons
lorsqu'on remonte dans la région lombaire. A la
. A la région cervicale il en existe encore, mais fort peu, dans le
cordon
de Goll (fig. 3). c) Zones de Lissauer ou fib
ines horizontales et verticales disséminées à la région moyenne des
cordons
postérieurs, au niveau de la IIe sacrée. Ces fibr
Gebiete der Neruenpalhologie, Iéna, 1900. ' ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS (l. Vn,=onr.) ÉTUDE ANATOMIQUE DE
lle existe ou si elle n'existe pas ; dans un cas où la sclérose des
cordons
postérieurs et des racines était « aussi avancé
a part, j'ai toujours observé une disproportion entre la lésion des
cordons
postérieurs et celle des zones de Lissauer dans l
anchaient par leur inté- grité relative sur la sclérose intense des
cordons
postérieurs ; la diminu- tion des fibres variai
decescas est représenté pl, VII, 4, 7 et 8 : avec une sclérose des
cordons
et des racines postérieurs portée à son maximum
r leur pâleur, se trouvent être ici beau- coup plus foncées que les
cordons
postérieurs. Enfin dans deux cas in- termédiair
e Lissauer n'est pas proportionnelle à l'intensité de la lésion des
cordons
postérieurs; par contre, elle m'a paru être en
ilieu des fibres radiculaires comme elles le sont dans le reste des
cordons
postérieurs ; dans les dé- générescences radicu
NAGBOTTE et ETTLINGER, Etude sur les fibres endogènes descendants des
cordons
postérieurs de la moelle â la région lombo-sacr
iologie et de Patho- logie générales, 1899. ÉTUDE ANATOMIQUE DES.
CORDONS
POSTÉRIEURS 37 client du septum médian, y pénèt
irgule de Schultze, deux taches de dégénération traumatique dans le
cordon
postérieur droit. FiG. 5. ive lombaire. Il ne r
e reste qu'une très légère dégénération de la région ven- trale des
cordons
postérieurs. ' Fio. 6. Va lombaire. Apparition
rposent exactement à celles que révèle l'étude du développement des
cordons
postérieurs. Voici ce que dit Guizé dans sa thè
la substance blanche de la moelle épinière de ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 39 renflement lombaire le champ ova
e circonstance qu'à une période plus tardive du dé- veloppement des
cordons
postérieurs les fibres à myéline sont plus denses
oelle ; en effet, ces auteurs décrivent une dégénérescence dans les
cordons
anléro-latéraux jusqu'à la 4° sacrée, qu'ils tent
ouvrant la partie médiane de la commissure. Ses limites du côté des
cordons
postérieurs sont tout à fait indécises ; dans l
ne et SPILLER, Soc. de biol., 21 juillet 1895. ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 41 s'éparpiller dans la région anté
S CORDONS POSTÉRIEURS 41 s'éparpiller dans la région antérieure des
cordons
postérieurs de la moelle, il est impossible de
qui for- ment une traînée de plus en plus dense au centre de chaque
cordon
il partir de la 1e sacrée. En tout cas les fi
sont les faits que j'ai pu recueillir sur les fibres endogènes des
cordons
postérieurs à la région lombo-sacrée, au cours de
Voici en effet ce que M. Ramon y Cajal dit des fibres endogènes des
cordons
postérieurs dans son magnifique ouvrage sur l'a
basai interne et de la sub- - stance de Rolando, pénètrent dans le
cordon
postérieur pour y constituer des voies courtes
c'est que ces fibres sont fines et que, au lieu de former dans les
cordons
postérieurs un groupe bien délimité, elles se m
interne de la sub- stance de Rolando,et dans la portion profonde du
cordon
postérieur (champ ventral, zone cornu-commissur
es plus haut sous le nom de fibres endogènes fines horizontales des
cordons
postérieurs. Du côté de la substance grise les
ines malades et ceux qui reçoivent des racines ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 43 saines. Ce fait peut être vérifi
passage à travers la région dorsale.sur les variations de forme du
cordon
de Goll aux différents niveaux de la région cervi
aux différents niveaux de la région cervicale, sur l'encoche que ce
cordon
porte en avant et qui semble être due au passag
erne de Pierret, ou zone radicu- laire moyenne de Flechsig dans les
cordons
postérieurs ; les collatérales réflexes, les fa
de Clarke dans la substance grise. Les territoires radiculaires des
cordons
postérieurs autres que la bandelette externe (z
re antérieure, champs postéro-externes, centre ovale de Flechsig et
cordon
de Goll) ne présentent d'autre lésion qu'une légè
ne moelle saine. Mais il n'existe aucune tache sclé- reuse dans les
cordons
postérieurs en dehors de celle de la bandelette
région de transition en hauteur, un tabes dans lequel la lésion des
cordons
postérieurs est restée limitée à la bandelette
System-Erkrankung » ? Neurol. Centralbl. 1890. ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 45 entre le renflement lombaire et
peu plus compliquéeet forme en réalité 2 M 'accolés, un dans chaque
cordon
. Le volume de la bandelette varie, suivant les
vent entre leur entrée dans la moelle et leur incorporation dans le
cordon
de Goll. Suivant Dejerine et Thomas (Traité de
ettes externes occupent plus haut une situation différente dans les
cordons
postérieurs, elles sont refoulées de plus en pl
postérieurs, elles sont refoulées de plus en plus en dedans vers le
cordon
de Goll et le septum médian (loi de Kahler) de
cale [lombo-sacrée ? ] les bande- lettes externes sont malades, les
cordons
de Goll le sont également, puis- qu'ils contien
mes élémentaires (1) (1) Flechsig, loc. cit. ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 47 de fibres, appartenant aux racin
st dans ce cas ; dans la région cervicale c'est un tabes incipiens,
cordon
de Goll mis à part, dans la région sacrée c'est
crée c'est un tabes avancé. , Le fait que dans l'observation II, le
cordon
de Goll est indemne, malgré une altération inte
constater qu'en effet il y ci un rapport très exact entre l'état du
cordon
de Goll à la région cervicale et celui des cham
lombo-sacrée ; lorsque ces champs sont presque intacts, comme ici, le
cordon
de Goll est aussi presque intact ; si les champ
ntact ; si les champs postéro-externes sont moyennement touchés, le
cordon
de Goll est moyennement touché; si enfin les fi
les fibres des champs postéro-externes ont complètement disparu, le
cordon
de Goll est complètement démyélinisé. J'ai reprod
ue j'indique est rigoureusement exact. D'où je conclus que dans les
cordons
postérieurs les fibres longues des racines passen
p s'arrêtent en " route, comme le montre la diminution de volume du
cordon
de Goll dans son passage à travers la région do
echsig, le développement des zones radiculaires postérieures et des
cordons
de Goll est sensiblement synchrone. Aussi Flechsi
le de Westphal. Dans chaque bande radiculaire .ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 49 les fibres longues et certaines
hange de direction et devient à son tour antéro-postérieure dans le
cordon
de Goll. Il est probable que le centre ovale de F
hsig l'avait supposé, l'origine ou plutôt l'extrémité inférieure du
cordon
de Goll. Toutefois il ne faut pas oublier qu'il
ublier qu'il y a, à la région dorsale inférieure un remaniement des
cordons
postérieurs et que le trajet des fibres n'est p
'est pas rectiligne entre le faisceau cunéiforme périphérique et le
cordon
de Goll. Telle est, je crois, l'idée générale
ntes espèces de fibres radiculaires pendant leur trajet le long des
cordons
postérieurs de la moelle. xvii 4 FIG. 16. Sch
stérieure. 50 NAGEOTTE Conclusions. A. Les fibres endogènes des
cordons
postérieurs à la région lombo- sacrée doivent ê
des cor- dons de Burdach ; il en existe aussi quelques-unes dans le
cordon
de Goll à la région cervicale. E. Les zones d
dullaire et celles de la région lombo-sacrée n'a- boutissent pas au
cordon
de Goll. J. Les fibres radiculaires longues pas
ogènes, que des fibres radiculaires courtes. ÉTUDE ANATOMIQUE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS 51 LÉGENDE DES PLANCHES Pl. V. Ob
éseau des fibres à myéline fines dans la corne postérieure. Dans le
cordon
postérieur les dé- bris de myéline altérée empê
e intensité des champs postéro-externes à la région lombaire et des
cordons
de Goll à la région cervicale. 7 et 8. Moelle D
tion intense des champs postéro-externes à la région lombaire et des
cordons
de Goll à la région cervicale. Conservation des
psie la lésion caractéristique de cette affection : la sclérose des
cordons
postérieurs. Une fois sur dix ou une fois sur q
sur dix ou une fois sur quinze, on trouve en outre de la lésion des
cordons
postérieurs, une lésion des cordons latéraux : c'
rouve en outre de la lésion des cordons postérieurs, une lésion des
cordons
latéraux : c'est une sclé- rose combinée tabéti
BINÉES TABÉTIQUES 5B de Pal, on voit la coexistence des lésions des
cordons
postérieurs et des cordons latéraux. Ces lési
, on voit la coexistence des lésions des cordons postérieurs et des
cordons
latéraux. Ces lésions peuvent être limitées à u
ombinées du tabes les lé- sions primitives du système de fibres des
cordons
postérieurs et latéraux n'ont jamais été observ
s systématiques secondaires à des lésions de la moelle. ' Dans le
cordon
postérieur les lésions systématisées peuvent être
peuvent être sous la dépendance des lésions radiculaires ; dans les
cordons
latéraux le faisceau cérébelleux direct peut dé
la moelle sacrée, on constate la sclérose des parties latérales des
cordons
postérieurs. La partie médiane au contraire est r
s- pectée. On constate dès ce niveau quelques traces de sclérose du
cordon
latéral. Dans la moelle lombaire, la partie pos
u cordon latéral. Dans la moelle lombaire, la partie postérieure du
cordon
postérieur est com- plètement sclérosée. Seule
ostérieur est com- plètement sclérosée. Seule la partie ventrale du
cordon
est respectée. Au niveau du cordon latéral, on
sée. Seule la partie ventrale du cordon est respectée. Au niveau du
cordon
latéral, on constate un triangle de sclérose dont
u de la moelle dorsale, de la 8e à la 4` ? dorsale, la sclérose des
cordons
postérieurs est encore plus accentuée. La scléros
e des cordons postérieurs est encore plus accentuée. La sclérose du
cordon
latéral occupe la région du faisceau cérébelleu
est toujours atteinte. ' Au niveau de la moelle cervicale : dans le
cordon
postérieur, les lésions se sont limitées au cor
vicale : dans le cordon postérieur, les lésions se sont limitées au
cordon
de Goll surtout dans sa partie postérieure ; 'dan
es au cordon de Goll surtout dans sa partie postérieure ; 'dans les
cordons
latéraux, la sclérose occupe une bande étroite ré
été fait par Kattwinkel ; il a pu poursui- vre la dégénérescence du
cordon
de Goll jusqu'au niveau des noyaux. La lésion d
E, F). En résumé, il s'agit, dans ce cas, de lésions combinées des
cordons
postérieurs qui semblent être systématiques, li
'aspect losangique ; son calibre est diminué ; sclérose annulaire des
cordons
latéraux. D,E,F. Sal.... Sclérose combinée tabé
s par la méthode de Marchi. 1" cervicale. On constate au niveau des
cordons
postérieurs une zone de sclérose affectant la f
e un léger épaississement sur toute la périphérie de la moelle. Les
cordons
latéraux sont presqne entière- ment respectés ;
gère bande marginale de sclérose. 2° et 3e cervicales. La lésion du
cordon
postérieur affecte la même forme triangulaire,
eur affecte la même forme triangulaire, mais semble plus limitée au
cordon
de Goll. Sur la ligne médiane, au milieu de ce
ce faisceau, on constate une fente vasculaire dilatée. La lésion du
cordon
latéral est un peu plus étendue, gagne davantage
latéral de la moelle ; elle l'est, à un moindre degré, au niveau du
cordon
an- térieur. Il n'existe pas de lésion du cordo
egré, au niveau du cordon an- térieur. Il n'existe pas de lésion du
cordon
antérieur. 5" et 6e cervicales.- La lésion des
de lésion du cordon antérieur. 5" et 6e cervicales.- La lésion des
cordons
postérieurs est toujours trian- gulaire ; son s
rian- gulaire ; son sommet ne répond plus à la partie antérieure du
cordon
mais à l'union du tiers antérieur et des deux t
'union du tiers antérieur et des deux tiers postérieurs. La lésion du
cordon
'.latéral est très minime et n'est qu'une légèr
postérieure et se poursuivant dans la partie postérieure du bord du
cordon
latéral. 7e cervicale. - Lésions à peu près sem
l. 7e cervicale. - Lésions à peu près semblables, sauf au niveau du
cordon
postérieur où la sclérose est plus largement ét
ure. 80 cervicale. Même aspect des lésions. ire dorsale. Dans les
cordons
postérieurs, la sclérose affecte toujours la fo
t à gauche en arrière de la com- missure postérieure. Au niveau des
cordons
latéraux, la sclérose est toujours marginale et
oujours marginale et occupe la partie la plus externe du bord de ce
cordon
. 2" dorsale. Il existe un épaississement consid
aississement considérable de la méninge postérieure. La sclérose du
cordon
postérieur affecte la même forme dans sa partie
s du triangle, la sclérose se diffuse dans la partie postérieure du
cordon
postérieur entre le faisceau de Goll et la subs
e faisceau de Goll et la substance gélatineuse de Rolando. Dans les
cordons
latéraux, la sclé- rose s'accentue, elle est to
elle est toujours marginale, prédominant à la partie postérienre du
cordon
; elle occupe la zone du faisceau cérébelleux dir
nvahir la zone pyramidale. La méningite y est moins nette que dans le
cordon
postérieur mais plus accentuée que dans le cord
nette que dans le cordon postérieur mais plus accentuée que dans le
cordon
antérieur. a 3e dorsale. La moelle est considér
rt, aux extrémités externes des cor- dons latéraux d'autre part. Le
cordon
latéral a la forme d'un triangle avec un Fig. 1
. 1. La sclérose occupe la zone avoisinant le sillon postérieur et le
cordon
de Goll. La sclérose latérale est très légère e
u cérébelleux direct et la zone pyramidale. Fig. 4. La sclérose des
cordons
postérieurs est surtout marginale. SCLÉROSES CO
, un bord postérieur et une base qui répond à la substance grise.Le
cordon
postérieur est moins étendu dans le sens antéro-
t moins étendu dans le sens antéro- postérieur. La sclérose dans le
cordon
postérieur est toujours plus marquée sur une zo
, en particulier, existe au niveau de toute la portion marginale du
cordon
postérieur. Les cel- lules de la colonne de Cla
don latéral la sclérose est intense, dans la partie postérieure de ce
cordon
, entre la zone marginale de Lissauer et l'angle
me quadrangulaire à la forme triangulaire. La partie postérieure du
cordon
latéral et le bord postérieur du cordon postéri
e. La partie postérieure du cordon latéral et le bord postérieur du
cordon
postérieur se placent sur le même plan et const
onstituent le bord postérieur du triangle. Les bords antérieurs des
cordons
latéraux en constituent les bords latéraux. Les
gles latéraux de ce triangle sont constitués par l'effile- ment des
cordons
latéraux. Le cordon postérieur est sclérosé dans
riangle sont constitués par l'effile- ment des cordons latéraux. Le
cordon
postérieur est sclérosé dans tôute sa partie po
faisceau cérébelleux direct et s'étend jusqu'au delà de l'angle du
cordon
latéral qu'elle contourne. La méninge est épaissi
sie dans toute cette zone ; elle l'est, à un moindre degré, dans le
cordon
antérieur. 5° et 6e dorsales.- Même forme trian
rès marquée. La sclérose est très accentuée eu niveau de l'angle du
cordon
postérieur en dedans de la zone marginale de Li
de Lissauer ; elle occupe la même étendue que précédemment dans le
cordon
laté- ral, cependant ses limites sont plus nett
ions de la moelle sont un peu plus considéra- bles. Les lésions des
cordons
latéraux sont'plus étendues sur le bord du cordon
s. Les lésions des cordons latéraux sont'plus étendues sur le bord du
cordon
. 2° lombaire. - La moelle cesse d'avoir un aspe
' triangulaire. Elle a une forme nettement aplatie. La sclérose des
cordons
postérieurs occupe surtout la région marginale.
as, dans la région lombaire, on [retrouve les lésions combinées des
cordons
postérieurs et des cordons latéraux. Dans les cor
, on [retrouve les lésions combinées des cordons postérieurs et des
cordons
latéraux. Dans les cordons postérieurs les lési
combinées des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Dans les
cordons
postérieurs les lésions sont très marquées et m
postérieurs les lésions sont très marquées et marginales ; dans le
cordon
latéral la sclérose oc- cupe une zone peu étend
peu étendue, d'aspect triangulaire, dont la base répond au bord du
cordon
et dont le sommet s'enfonce vers la substance gri
révélé de corps granuleux. Bulbe. On poursuit la sclérose jusqu'aux
cordons
de Goll et dans les pyramides. Cervelet. Pas
Sui- vant Dejerine, on constate avec des lésions systématiques des
cordons
pos- térieurs, des lésions diffuses des cordons
s systématiques des cordons pos- térieurs, des lésions diffuses des
cordons
latéraux et ces altérations des faisceaux latér
s dans un certain nom- bre de cas pour expliquer la propagation aux
cordons
latéraux, mais il manque un processus intermédi
lymphatiques et des septa. Ces voies lymphatiques forment dans les
cordons
postérieurs un système qui communique avec la mén
t donc se- condairement par histo-lymphite les lésions diffuses des
cordons
posté- rieurs. Cependant, d'après Marie et Guil
s du système lymphati- que postérieur et dans ce cas, la portion du
cordon
latéral qui confine à l'apex de la corne postér
moelle. Au niveau de la moelle lombaire : dégénérations diffuses du
cordon
postérieur avec intégrité de la zone cornu comm
n postérieur avec intégrité de la zone cornu commissurale. Dans les
cordons
latéraux, la sclérose a une forme triangulaire
re. La pie-mère est épaissie. Au niveau de la région dorsale : le
cordon
postérieur présente les mêmes altérations que p
rdon postérieur présente les mêmes altérations que précédemment. Le
cordon
latéral présente les mêmes lésions de sclérose.
Clarke siègent du côté où existent les lésions les plus marquées du
cordon
latéral. A la partie supérieure de la région do
e supérieure de la région dorsale, on retrouve les mêmes lésions du
cordon
latéral, des lésions moindres du cordon postéri
trouve les mêmes lésions du cordon latéral, des lésions moindres du
cordon
postérieur ; les colonnes de Clarke ont des fibre
u plus petites que normalement. La sclérose se confine au niveau du
cordon
de Goll, dans les coupes situées au-dessus. Au
du cordon de Goll, dans les coupes situées au-dessus. Au niveau du
cordon
latéral, la sclérose est encore plus accentuée qu
eur. Au niveau de la région cervicale, la sclérose reste limitée au
cordon
de Goll, et dans le cordon latéral, la sclérose
cervicale, la sclérose reste limitée au cordon de Goll, et dans le
cordon
latéral, la sclérose se prolonge en avant parallè
men du bulbe a été fait par Kattwinkel qui a retrouvé les ésions du
cordon
postérieur, du faisceau cérébelleux et du faiscea
'à gauche. Examen microscopique. Au niveau de la moelle sacrée, les
cordons
posté- rieurs sont sclérosés dans toute la part
posté- rieurs sont sclérosés dans toute la partie postérieure ; le
cordon
latéral pré-- sente un triangle de sclérose à b
once vers la substance grise. Au niveau de la moelle lombaire, le
cordon
postérieur est complètement sclérosé; au niveau
baire, le cordon postérieur est complètement sclérosé; au niveau du
cordon
latéral, la sclérose revêt le môme type, s'étend
ment diminué et sa forme rappelle celle des moelles précédentes. Le
cordon
posté- rieur est sclérosé presque en totalité ;
cordon posté- rieur est sclérosé presque en totalité ; au niveau du
cordon
latéral, la sclérose occupe la même disposition
Ab ... Sclérose combinée tabétique : la sclérose est diffuse dans les
cordons
postérieurs SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 61
eau un volume normal, la sclérose est moins étendue et au niveau du
cordon
latéral, la sclérose est surtout marginale, s'é
en avant et fait une bordure à presque tout ce cor- don latéral. Le
cordon
de Goll est très nettement sclérosé dans le cordo
don latéral. Le cordon de Goll est très nettement sclérosé dans le
cordon
posté- rieur. Les lésions ont une apparence sys
eau de la région sacrée, la moelle présente une sclérose diffuse du
cordon
postérieur respectant relativement le cordon de
une sclérose diffuse du cordon postérieur respectant relativement le
cordon
de Goll et la zone cornue-commissurale. Le cord
t relativement le cordon de Goll et la zone cornue-commissurale. Le
cordon
latéral est dégénéré suivant une zone triangula
uivant une zone triangulaire. Au niveau de la région lombaire, le
cordon
de Goll est sclérosé ; la zone cor- nue-commiss
sé ; la zone cor- nue-commissurale est respectée ; mêmes lésions du
cordon
latéral (Voir fig. 7). Au niveau de la région d
e sommet répond à la com- missure postérieure. Ce triangle prend le
cordon
de Goll. Au niveau du cordon latéral, même form
issure postérieure. Ce triangle prend le cordon de Goll. Au niveau du
cordon
latéral, même forme triangulaire de la zone scl
rke est normale (Voir fig. 6). Au niveau de la région cervicale, le
cordon
de Goll est dégénéré seulement dans sa partie p
oll est dégénéré seulement dans sa partie postérieure. Au niveau du
cordon
latéral, la sclérose affecte toujours la forme
teurs, il existe une-bande marginale dégénérée qui s'étend jusqu'au
cordon
antérieur (Voir fig. 5). Kattwinkel qui a pu ex
kel qui a pu examiner le bulbe a pu poursuivre la dégénérescence du
cordon
de Goll jusqu'à la décussation des pyramides. Les
int de vue topographique, il s'agit là d'une sclérose com- binée du
cordon
postérieur, des faisceaux pyramidaux croisés et d
ceaux pyramidaux croisés et du faisceau cérébelleux direct dans les
cordons
latéraux. Histologiquement, les colonnes de Cla
or... Sclérose combinée tabétique (Coloration de Weigert). Dans les
cordons
latéraux, la sclérose occupe surtout la zone pyra
normale. On constate l'existence d'altérations scléreuses dans les
cordons
postérieurs, dans les cordons latéraux et dans l'
nce d'altérations scléreuses dans les cordons postérieurs, dans les
cordons
latéraux et dans l'un des deux cor- dons antéri
ons latéraux et dans l'un des deux cor- dons antérieurs. Dans les
cordons
postérieurs, la sclérose est surtout intense dans
dans celle qui avoisine le sillon postérieur, c'est-à-dire dans le
cordon
de Goll. Elle est moins accentuée dans la partie
la commis- sure postérieure et les cornes postérieures. Dans les
cordons
latéraux, elle occupe la zone des faisceaux pyram
midaux et des faisceaux cérébelleux directs. On peut sur l'un des
cordons
latéraux constater que les territoires des deux
ur l'un des cordons latéraux constater que les territoires des deux
cordons
pyramidal et cérébelleux direct sont séparés par
sont séparés par une très légère bande de fibres saines. Dans le
cordon
antérieur, d'un seul côté, ou note la présence de
s de myéline conservées (Voir fig. 8). 3e Cervicale. La sclérose du
cordon
postérieur présente la même distri- bution ; on
érieur présente la même distri- bution ; on constate aussi dans les
cordons
latéraux la sclérose du faisceau py- ramidal cr
ct séparées par le zone de fibres normales ou moins atteintes. Le
cordon
antérieur présente la même sclérose du faisceau e
pyramidal croisé et cérébelleux direct s'est accentuée dans un des
cordons
latéraux. -- 5e Cervicale. La bande de sclérose
isceau cérébelleux direct s'étale en bordure plus en avant vers les
cordons
latéraux. 6e Cervicale. Même aspect des lésions
es cordons latéraux. 6e Cervicale. Même aspect des lésions dans les
cordons
postérieurs et antérieurs ; dans les cordons la
t des lésions dans les cordons postérieurs et antérieurs ; dans les
cordons
latéraux, la sclérose occupe une zone triangulair
faisceau cérébelleux direct, mais se pro- longeant peu en avant, le
cordon
latéral est moins large à ce niveau. 7e et 8- C
niveau. 7e et 8- Cervicales. La sclérose est plus étendue, dans les
cordons
posté- rieurs : elle envahit davantage les zone
t se prolonge en avant jusqu'à a commissure postérieure. Dans les
cordons
latéraux, la zone de sclérose u'est pas triangula
e prolonge en avant en suivant la bordure. Le faisceau pyramidal du
cordon
antérieur n'est que très peu sclérosé dans le f
aisceau sulcomarginal droit. scléroses combinées tabétiques 65 Le
cordon
latéral est sclérosé suivant une zone triangulair
fais- ceau pyramidal direct et le faisceau cérébelleux direct. Le
cordon
postérieur est complètement sclérosé, sauf dans l
arties laté- rales de la zone ventrale dans la portion marginale du
cordon
de Burdacli. 2. Dorsale. Présente sensiblement
Dorsale. Présente sensiblement le même aspect. 3° Dorsale. Dans le
cordon
postérieur, même disposition de la sclérose, pe
e et dans la por- tion marginale du faisceau de Burdach. Dans les
cordons
latéraux, sclérose de forme triangulaire occupant
yramidal ; très légère sclérose en bordure de la partie moyenne des
cordons
latéraux. Dans le cordon antérieur, sclérose em
ose en bordure de la partie moyenne des cordons latéraux. Dans le
cordon
antérieur, sclérose empiétant à la fois sur les d
yramidal antérieur. 4° et 5- Dorsales. Même aspect : la sclérose du
cordon
postérieur est com- plète en général. - - 6"
u cordon postérieur est com- plète en général. - - 6" Dorsale. Le
cordon
postérieur prend une forme triangulaire : la part
a commissure postérieure. ' 7e et 88 Dorsales.- Même aspect dans le
cordon
postérieur, quelques fibres sont conservées dan
uées de chaque côté de la com- missure dans la moitié antérieure du
cordon
. 9° et 40e Dorsales. Dans les cordons postérieu
e dans la moitié antérieure du cordon. 9° et 40e Dorsales. Dans les
cordons
postérieurs, les deux zones moins atteintes son
sont plus étendues, elles se prolongent jusqu'au bord postérieur du
cordon
et occupent le territoire du cordon de Goll. Le
ent jusqu'au bord postérieur du cordon et occupent le territoire du
cordon
de Goll. Le faisceau pyramidal antérieur est mo
grand nombre de fibres est conservé. 11° Dorsale. La sclérose du
cordon
postérieur est à peu près diffuse, uu peu plus
rdon postérieur est à peu près diffuse, uu peu plus marquée dans le
cordon
de Goll et dans la région ventrale. La sclérose
s est toujours très nette et beau- coup plus accentuée que cclle du
cordon
postérieur. Région dorso-lonzbaire. Il n'y a pl
dorso-lonzbaire. Il n'y a plus de sclérose du faisceau pyramidal du
cordon
antérieur. La sclérose des faisceaux pyramidaux
aisceaux pyramidaux croisés est toujours très nette. La sclérose du
cordon
postérieur est diffuse, un peu moins accentuée da
e a été examinée à trois hauteurs différentes de cette région. Le
cordon
postérieur est sclérosé, sauf dans les régions ve
ns ventrales où les fibres sont presque complètement respectées. Le
cordon
antérieur est indemne de toute lésion. Les cord
nt respectées. Le cordon antérieur est indemne de toute lésion. Les
cordons
latéraux présentent la même sclérose des extrémit
es pyramides, on constate la sclé- rose des faisceaux pyramidaux du
cordon
latéral et de l'une des deux pyra- mides. Le
pyramidaux du cordon latéral et de l'une des deux pyra- mides. Le
cordon
postérieur est sclérosé. Un peu au-dessus, la s
la sclérose diminue ; il persiste encore une sclérose mar- quée des
cordons
postérieurs, mais la sclérose pyramidale est très
s, mais la sclérose pyramidale est très diminuée aussi bien dans le
cordon
antérieur que dans les cordons latéraux., Enfin
est très diminuée aussi bien dans le cordon antérieur que dans les
cordons
latéraux., Enfin les lésions disparaissent au-d
la même lésion, c'est-à-dire une atrophie blanche très visible des
cordons
de Goll ; le sillon pos- térieur paraît' plus v
- que 3 noyaux de sclérose grise moins faciles à voir que celle des
cordons
pos- térieurs, et, qui semblent répondre à peu
mbre est considérablement diminué. Par contre intégrité absolue des
cordons
antérieurs, du faisceau de Gowers, des cornes a
clé- rose du faisceau de Burdach est plus accentuée et dans tout le
cordon
posté- rieur, on ne retrouve que quelques rares
IIe paires. Dans toute la hauteur du bulbe et de la moelle dans les
cordons
postérieurs, sclérose des cordons de Goll plus ac
du bulbe et de la moelle dans les cordons postérieurs, sclérose des
cordons
de Goll plus accen- tuée au niveau de la moelle
plus accen- tuée au niveau de la moelle cervicale, et sclérose des
cordons
de Burdach, plus marquée dans la moelle dorsale
sissement des méninges, oblitération du canal central, sclérose des
cordons
postérieurs et surtout des cordons de Goll, sclér
n du canal central, sclérose des cordons postérieurs et surtout des
cordons
de Goll, sclérose du faisceau pyramidal croisé
hées, ont trouvées. Nous ferons remar- quer l'intégrité absolue des
cordons
antérieurs, des racines et des cornes antérieur
es pour expliquer la dégé- nération des racines postérieures et des
cordons
postérieurs de la moelle; alors même qu'elles e
e peuvent expliquer la dégénération des racines postérieures et des
cordons
posté- rieurs ; sans émettre déjà une opinion s
ce blanche deux foyers d'hématomyélie en forme de coins touchent le
cordon
an- téro-latéral gauche. De plus, un examen,
'aspect d'une tache médiane et radiée dans la partie antérieure des
cordons
postérieurs. Par contre, au-dessus du siège de
foyer hémorrhagique nette- ment limité dans la moitié antérieure du
cordon
postérieur droit et deux autres petits foyers d
ure du cordon postérieur droit et deux autres petits foyers dans le
cordon
postérieur gauche. Fie. b. Coupe passant par le
oute la substance grise, deux foyers d'hématomyélie en coin dans le
cordon
antéro-latéral gauche. Fic. h. Coupe passant pa
'hémorrhagie infiltre la substance grise gauche. Le bord antérieur du
cordon
antéro-latéral gauche est déchiré et sanglant.
l'aspect d'une tache médiane et radiée dans la partie antérieure des
cordons
postérieurs. ' HÉMATOMYÉLIE TRUMATIQUE 245
. L'autre, qui occupe, dans le Ile segment, la moitié antérieure du
cordon
postérieur droit, est intéressant par son volum
llGIIA'CO\IYCL1E TRAUMATIQUE 247 matisée avec dégénérescence des
cordons
latéraux, mais la survie avait été de 10 jours.
érieure. Elargissement de la couche sons-pie-mérienne de névroglie.
Cordons
postérieurs : une diminution des fibres dans la
baire et sacrée, qui augmente et se localise exclusivement dans les
cordons
de Goll au niveau de la région supérieure dorsale
égion supérieure dorsale et de la région cervicale. Une sclérose du
cordon
de Gowers et du faisceau cérébelleux direct, qu
loin de former une saillie pénétrante dans la substance blanche des
cordons
postérieurs, est aplati, de sorte que les colonne
même que les fibres longeantes, les cornes postérieures du côté du
cordon
de Burdach. Le canal central est oblitéré dans
calibre des fibres. UNE FORME U'1lÉHIsDW A'CAX1E cÉnÉBELLEUSE 9Q5
Cordons
postérieurs. La zone de Lissauer présente dans la
raréfaction se rapproche du sillon postérieur et disparaît dans le
cordon
de Burdach. Ainsi dans le segment L3, on trouve u
egment L3, on trouve une raréfaction occu- pant toute l'étendue des
cordons
postérieurs, sauf les parties avoisinantes, la
ubstance grise. - La région D5 ne présente aucune lésion du côté du
cordon
de Burdach, tandis que celui de Goll montre une
téristique, et surtout marquée dans les deux tiers postérieurs de ce
cordon
. Cette lésion, tout en devenant plus intense, n
nse, de sorte que dans C,$on trouve outre la dégénération banale du
cordon
de Goll, une autre dans le domaine du faisceau de
parties rapprochées de la substance grise, et une bande longeant le
cordon
de Goll sont moins dégénérés. Dans les segments
ncontrées dans la région dorsale moyenne indemne de toute lésion.
Cordons
antéro-laidi-aux. - Région sacrée supérieure : on
e la corne postérieure jusqu'à la substance géla- tineuse. Dans les
cordons
antérieurs la dégénération forme une courbe dont
ans le faisceau cérébelleux direct. En outre la raréfaction dans le
cordon
antérieur se rapproche de plus en plus de la su
que dans les régions dorsales les plus élevées elle occupe tout le
cordon
anté- rieur, sauf la partie périphérique. Rég
urs raréfiée et en connexion avec l'élargissement de la sclérose du
cordon
de Gowers. Dans les parties plus élevées de la
es plus élevées de la moelle les lésions restent les mêmes dans les
cordons
antérieurs et dans le faisseau de Gowers. Le fais
ituée immédiatement en arrière de l'élargissement de la sclérose du
cordon
de Gowers et laissant libre le reste de la péri
e sclérose tout à fait prononcée de la périphérie pos- térieure des
cordons
latéraux, mais qui est richement parsemée d'amas
NE FORME D'nÉRÉnO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 299 accentuée de la lésion du
cordon
de Gowers, ni enfin de la réapparition du premi
Dans les segments les plus élevés de la moelle la dégénération des
cordons
antérieurs forme une bande-occupant plus que la
s cordons antérieurs forme une bande-occupant plus que la moitié du
cordon
. Elle touche immédiatement à la corne antérieur
'entrecroisement des pyramides, la dégénération dans le domaine des
cordons
antérieurs, qui est ici très nettement limitée, v
de Goll beaucoup plus que dans celui de Burdach), mais le reste des
cordons
postérieurs ne présente pas de lésions appréciabl
ent les mêmes que dans les coupes précédentes. La dégénération du
cordon
de Gowers peut être suivie jusqu'à l'extrémité
lleux direct et celui de Gowers y sont dégé- nérés, de même que les
cordons
postérieurs, dans lesquels la lésion porte prin
s postérieurs, dans lesquels la lésion porte principalement sur les
cordons
de Goll. Les colonnes de Clarke sont pres- que
es sont très peu considérables : nous avons trouvé une lé- sion des
cordons
antérieurs chez Louis Hand... et une raréfaction
rf présente beau- coup d'analogie avec le processus de sclérose des
cordons
postérieurs, qu'il débute dans les parties péri
ris, idiopathique des nerfs périphériques, du nerf opti- que et des
cordons
de la moelle, qui n'a pas plus de rapport avec un
inage de l'épendyme. Au niveau de la 4° dorsale elle envoie dans le
cordon
postérieur du même côté un prolongement qui un pe
chéma de la page 380 (lig. b). se porte d'arrière en avant dans les
cordons
posténcurs. La bande conjonctive est formée de
oite ayant pris une direction presque transversale et une partie du
cordon
latéral se trouvant reportée derrière elle. A l
ersale et symétrique détrui- sant les deux cornes postérieures, les
cordons
latéraux et la base des cornes antérieures et t
rieure, une partie de la substance grise antérieure, une partie des
cordons
blancs ont disparu et le tassement des éléments s
ion avec l'émergence d'une artériole, Dans la substance blanche des
cordons
postérieurs, elle suit manifestement en certain
sont remarquablement conservées. Par contre, autour de la fente du
cordon
postérieur, il existe une zone assez étendue de
un point où se note un peloton vasculaire. - En revanche, la fente du
cordon
postérieur a acquis ici un énorme développement
t, une autre fente de même nature se montre à la partie moyenne des
cordons
postérieurs au niveau du sillon médian postérieur
nage que déterminent les anévrysmes artériels. Quant à la cavité du
cordon
postérieur, elle aurait, d'après ces auteurs, une
voisinage du rebord de la moelle, mais non jusqu'à ce rebord. Les
cordons
de Goll sont plus clairs que ceux de Burdach, mai
Concrétions calcaires dans le cerveau, (1 pi.), par CATOLA, 355.
Cordons
postérieurs (Contribution à l'étude anatomique
anche), 496. Nageotte. Contribution à l'étude anato- '. mique des
cordons
postérieurs (Un cas de lésion de la queue de ch
), LXV. Concrétions calcaires dans le cerveau (CA- TOLA), XLIV.
Cordons
postérieurs, étude anatomique (J. NAGEOTTE), V,
siers, avait suffi cependant pour mettre hors de doute que, dans ce
cordon
mince qu'on appelle la moelle épinière, il n'ex
ramidal croisé. U. Zone marginale externe, ou faisceau profond du
cordon
latéral. V. Zone externe de LissallC1', W. Zo
zone radiculaire du faisceau postérieur. Z. Faisceau de Goll, ou
cordon
grèle. Z'. Centre ovale de Flechsig. PLANCHE
méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C.
Cordon
antérieur. D. Faisceau latéral. E. Faisceau p
-J. Zones enflammées des cor- dons antérieurs. K. Zone altérée du
cordon
posté- rieur. L. Zone altérée du cordon laté-
urs. K. Zone altérée du cordon posté- rieur. L. Zone altérée du
cordon
laté- ral gauche. M. Coupe longitudinale d'un
. Coupe transversale d'un vais- seau altéré. 0. Zone peu lésée du
cordon
la- téral droit. Figure 14. MYÉLITE DIFFUSE
FFUSE. Zone moyennement enflammée. La figure représente un point du
cordon
latéral droit de la préparation de la figure pr
ésions sont disséminées et atteignent leur summum d'intensité dans le
cordon
postérieur gauche. Les altérations vasculaires
lon antérieur. G. Sillon postérieur. JI, Racine postérieure. 1.
Cordon
antérieur sain. /. Faisceau latéral altéré. K
ure postérieure. G. Sillon antérieur. Il. Sillon postérieur. 7.
Cordon
postérieur. J. Racine antérieure. K. Cavité p
ncée dans la zone radiculaire posté- rieure droite. Presque tout le
cordon
latéral gauche est envahi également, mais les l
s y sont moins accentuées, elles existent plus faibles encore dans le
cordon
latéral droit. A. Corne antérieure. B. Corn
. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Partie saine du
cordon
anté- ro-latéral. D. Commissure antérieure.
lon antérieur. G. Sillon postérieur. II. Racine postérieure. I.
Cordon
postérieur. J. Partie sclérosée du cordon la-
Racine postérieure. I. Cordon postérieur. J. Partie sclérosée du
cordon
la- téral droit. K. Partie sclérosée du cordo
artie sclérosée du cordon la- téral droit. K. Partie sclérosée du
cordon
antéro-latéral gauche. L. Plaque de sclérose
lérosée du cordon antéro-latéral gauche. L. Plaque de sclérose du
cordon
latéral gauche. M. Plaque de sclérose de la z
vicale. La figure représente un point delà région peu sclérosée, du
cordon
latéral droit de la préparation précédente colo
s des cor- dons antéro-latéraux. 1-I. Zones slérosées des mêmes
cordons
. J. Cordons postérieurs sclérosés. Figure 22.
ution très irrégulière des plaques de sclérose disséminées dans les
cordons
postérieurs, la substance grise, et la plus grand
cordons postérieurs, la substance grise, et la plus grande partie du
cordon
antéco-laléral gauche. A. Partie indemne de l
illon antérieur. G. Cordon antérieur normal. H. Partie indemne du
cordon
postérieur. 1. Cordon latéral droit indemne.
on antérieur normal. H. Partie indemne du cordon postérieur. 1.
Cordon
latéral droit indemne. J. Zone altérée du cordo
postérieur. 1. Cordon latéral droit indemne. J. Zone altérée du
cordon
anté- rieur gauche. K. Sclérose latérale gauc
icale. La figure représente un point de la région très sclérosée du
cordon
latéral gauche de la préparation précédente, co
qu'elles affectent avec une intensité variable plus marquée dans les
cordons
postérieurs. A. Corne antérieure altérée. A'.
G. Sillon antérieur. fl. Racine antérieure. I. Partie saine du
cordon
antéro- latéral. J. Partie saine du cordon po
. I. Partie saine du cordon antéro- latéral. J. Partie saine du
cordon
posté- rieur. K. Zone saine du cordon antéro-
téral. J. Partie saine du cordon posté- rieur. K. Zone saine du
cordon
antéro- latéral droit. L. Zone altérée du mêm
ne saine du cordon antéro- latéral droit. L. Zone altérée du même
cordon
. il/. Zone sclérosée du cordon pos- térieur d
ral droit. L. Zone altérée du même cordon. il/. Zone sclérosée du
cordon
pos- térieur droit. N. - Zone sclérosée du co
ne sclérosée du cordon pos- térieur droit. N. - Zone sclérosée du
cordon
postérieur gauche. 0. Zone sclérosée du cordo
Zone sclérosée du cordon postérieur gauche. 0. Zone sclérosée du
cordon
an- térieur gauche. P. Zone sclérosée du cord
Zone sclérosée du cordon an- térieur gauche. P. Zone sclérosée du
cordon
latéral gauche. FIGURE 26. SCLÉROSE EN PLAQ
les zones marginales et une partie de la substance fondamenlale des
cordons
antéro-latéraux sont respectés par la lésion qu
postérieure. F. Sillon antérieur. G. Cordon antérieur sain. II.
Cordon
postérieur peu altéré. I. Cordon latéral sain.
G. Cordon antérieur sain. II. Cordon postérieur peu altéré. I.
Cordon
latéral sain. J. Zone très altérée du cordon
rieur peu altéré. I. Cordon latéral sain. J. Zone très altérée du
cordon
postérieur. IC. Faisceau latéral gauche sclé-
'agit d'une lésion des cornes antérieures combinée à une sclérose des
cordons
postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne
e antérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon antéro-latéral. I.
Cordon
antérieur. J. Zone marginale peu altérée du c
-latéral. I. Cordon antérieur. J. Zone marginale peu altérée du
cordon
postérieur. A'. Zone sclérosée des cordons po
arginale peu altérée du cordon postérieur. A'. Zone sclérosée des
cordons
postérieurs. FIGURE 28. LESION COMBINÉE. Co
lon postérieur. G. Sillon antérieur. Il. Racine postérieure. 1.
Cordon
latéral. E-Z. Cordons postérieurs sclé- rosés
Z. Cordons postérieurs sclé- rosés. FIGURE 30. LÉSION COMBINÉE.
Cordons
postérieurs. La figure représente un point des
ON COMBINÉE. Cordons postérieurs. La figure représente un point des
cordons
postérieurs sclérosés de la préparation pré- cé
n dorsale et colorée par la méthode de Pall. La sclérose occupe les
cordons
postérieurs et la presque totalité des faisceaux
G. Sillon antérieur. H. Sillon postérieur. l. Zone de Westphal du
cordon
postérieur indemne. J. Partie saine du cordon
Zone de Westphal du cordon postérieur indemne. J. Partie saine du
cordon
latéral. K. Partie saine du cordon anté- rieu
ur indemne. J. Partie saine du cordon latéral. K. Partie saine du
cordon
anté- rieur. L. Faisceau de Gowers sclérosé.
ert. On voit la dégénération ascendante extrêmement intense sur les
cordons
de Goll, et à peine marquée sur les faisceaux c
missure postérieure. G. Sillon antérieur. ? Racine antérieure. /.
Cordon
postérieur indemne. .1-J. Faisceaux pyramidaux
t colorée par la méthode de Weigert. La dégénération siège dans les
cordons
de Goll, les faisceaux cérébelleux directs et d
NALE. - Région dorsale supérieure. La figure représente un point du
cordon
de Goll dégénéré de la préparation précédente c
antérieure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. II.
Cordon
postérieur. 1. Partie indemne du faisceau ant
missure postérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon latéral. 1.
Cordon
postérieur. FIGURE 48. PARALYSIE INFANTILE (P
ure grise. H. Sillon antérieur. G. Faisceau antéro-latéral. II.
Cordon
de Goll respecté. I. Zone de Lissauer et zone p
Les lésions occupent, d'une façon classique, la presque totalité des
cordons
pos- térieurs. - A. Corne antérieure. Il. C
stérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau antéro-latéral. I.
Cordon
postérieur sclérosé. PLANCHE XXVII FIGURE 53.
ar la méthode de Pall. La lésion occupe son siège habituel dans les
cordons
postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne po
PROGRESSIVE. - Corne postérieure. La figure représente un point des
cordons
postérieurs sclérosés de la pièce précédente, m
ures 51-52-53 ont trait au tabès classique, avec lésions typiques des
cordons
postérieurs et proviennent d'un sujet ayant pré
cette préparation montre-t-elle surtout les lésions secondaires du
cordon
de Goll, les faisceaux de Burdach étant relativem
. K. Cordon de Goll. Figure 56. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE.
Cordons
postérieurs. Coupe longitudinale pratiquée sur
RESSIVE. Cordons postérieurs. Coupe longitudinale pratiquée sur les
cordons
postérieurs sclérosés et colorée au picro-carmin.
y voit la lésion particulièrement intense à la partie postérieure des
cordons
posté- rieurs, et ayant envahi les zones de Lis
rieure des faisceaux de Burdach, et les zones de Lissauer. Seul le
cordon
de Goll est altéré dans toute son étendue. A.
. J. Zone de L.issaüer. K. Zone postérieure de West- phal. L.
Cordon
de Goll. Les figures 55, 57 et 58 représentent
eur. H.1'artie fondamentale des fais- ceaux antéro-latéraux. I.
Cordons
postérieurs. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé-
ur. Il. Partie fondamentale des fais- ceaux antéro-latéraux. 1.
Cordon
postérieur. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- r
rieur. II. Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1.
Cordon
postérieur. J-J. Faisceaux pyramidaux al- tér
La distribution de la sclérose est beaucoup plus accentuée dans les
cordons
postérieurs que dans les faisceaux latéraux où
J. Colonne de Clarke altérée. K. Faisceau pyramidal altéré. L.
Cordon
postérieur altéré. M. Faisceau cérébelleux dire
gliomateuse solide se voit sous forme de tumeur proéminente dans le
cordon
postérieur. Il existe de plus une sclérose des co
minente dans le cordon postérieur. Il existe de plus une sclérose des
cordons
de Goll. : 1. Corne antérieure. B. Corne post
faisceaux blancs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C.
Cordon
postérieur. D. Faisceau antérieur. E. Faiscea
rnes antérieures, celle de droite est déca- pitée par le passage du
cordon
latéral 1 qui gagne la région antérieure gauche
ure gauche. B-B. Cornes postérieures décapitées en partie par les
cordons
antérieurs. C. Sillon antérieur. D. Substauce
et procède à l'autopsie. Moelle. Des coupes transverses montrent au
cordon
latéral de la moitié gauche du tiers moyen de l
-dessous de cette région, on voit une dégénérescence descendante du
cordon
pyramidal gauche nettement se dessiner par sa c
allait jusqu'au milieu de la région dorsale et un peu au delà. Les
cordons
latéraux surtout sont décolorés.irrégulière- me
s endroits de la région 54 CLINIQUE NERVEUSE. dégénérée, dans les
cordons
postérieurs et dans les parties posté- rieures,
on montrent des foyers de dégénérescence décolorés, tantôt dans les
cordons
postérieurs seulement et tantôt aussi, dans l'u
ons postérieurs seulement et tantôt aussi, dans l'un ou l'autre des
cordons
laté- raux en diverses combinaisons et de forme
donc essentiellement le tableau d'une dégénérescence disséminée des
cordons
blancs de la région dorsale de la moelle ou d'u
u du renflement lombaire se dessinait la dégénérescence typique des
cordons
pyramidaux ; en haut, vers la région cervicale,
a région cervicale, il y avait une dégénérescence descendante des
cordons
de Goll et des faisceaux cérébelleux des cordons
ce descendante des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux des
cordons
latéraux. Au microscope, la pie-mère et l'arach
il n'y a pas de myélite transverse dans le sens étroit du mot; les
cordons
antérieurs, aussi bien que la plus grande parti
t; les cordons antérieurs, aussi bien que la plus grande partie des
cordons
latéraux, et les cordons postérieurs portent de
, aussi bien que la plus grande partie des cordons latéraux, et les
cordons
postérieurs portent des fibres nerveuses qui ne
t sur un fond gris foncé. Ces points jaunes se trouvent surtout aux
cordons
postérieurs et à la partie postérieure des cord
nt surtout aux cordons postérieurs et à la partie postérieure des
cordons
latéraux, de sorte que la coupe transversale prés
e brisaient à la section et tombaient de la masse fondamentale. Les
cordons
pos- térieurs a un petit endroit offraient dans
es cellules, étaient pour ainsi dire enfoncés dans la substance des
cordons
postérieurs et avaient séparé le tissu nerveux;
presque tou- jours irrégulièrement ovale. Le tissu çircpnvQisin des
cordons
60 - ' CLINIQUE NERVEUSE. postérieurs offrait
nt plus loin dans la substance blanche, de façon à altérer tous les
cordons
postérieurs. Les parties postérieures des cordo
altérer tous les cordons postérieurs. Les parties postérieures des
cordons
latéraux participent aussi de cette altération. O
e étendue cette myélite réactionnelle vésiculeuse. On voit dans les
cordons
antéro-latéraux et antérieurs çà et là des peti
d'alté- ration se trouve au milieu du domaine de la lésion. Ici les
cordons
postérieurs sont en quelque sorte dilacérés et
rèsfacilement saillie à la coupe. Le reste de leur substance et les
cordons
latéraux montrent une myélite parenchymateuse r
es lésions épinales siègent ou au moins domi- nent au centre et aux
cordons
latéraux de la moelle, nous avons la forme cent
vons la forme centrale spinale latérale; quand c'est au centre, aux
cordons
latéraux et postérieurs que les lésions se loca
régions lésées de la moelle. Le siège des lésions au centre et aux
cordons
postérieurs, donne naissance à la forme central
rale spinale postérieure. La localisation exclusive des lésions aux
cordons
postérieurs, produit la forme spinale postérieu
épilepsie spinale et une amélioration très grande des symptômes des
cordons
postérieurs. C'est surtout au traitement par l'
e le faisceau direct, et, en outre, quelques fais- ceaux isolés des
cordons
antérieurs et des cordons de Burdach. Dans la s
en outre, quelques fais- ceaux isolés des cordons antérieurs et des
cordons
de Burdach. Dans la seconde série, hémiparésie
eau pyramidal croisé, la dégé- nérescence avait surtout atteint les
cordons
de Burdach. Enfin, dans la troisième série de c
mblyo- pie bilatérale, le côté croisé étant le plus affecté ; les
cordons
de Burdach étaient presque complètement dégénér
es cordons de Burdach étaient presque complètement dégénérés; des
cordons
de Goll et d'autres cordons postérieurs, quelqu
ent presque complètement dégénérés; des cordons de Goll et d'autres
cordons
postérieurs, quelques faisceaux seulement l'éta
tion bilatérale des lobes occipitaux), qui survécut deux ans, les
cordons
de Goll et de Burdach étaient dégé- nérés. De c
de trans- mission de ce centre nerveux sont, suivant Lussana, les
cordons
postérieurs de la moelle épinière. Ces con- duc
la cuisse gauche onze ans aupa- ravant, une atrophie ascendante du
cordon
postérieur, de la corne pos- térieure, de la co
isceau cunéi- forme de Burdach et segment postérieur du rejeton des
cordons
latéraux), remontent immédiatement sur une long
se en dehors, s'enfoncent dans le segment postérieur du rejeton des
cordons
latéraux, s'infléchissent en arrière et en haut
culairement le faisceau latéropyramidal et fournir les matériaux du
cordon
latérocérébelleux. Les cordons de Goll et les f
pyramidal et fournir les matériaux du cordon latérocérébelleux. Les
cordons
de Goll et les faisceaux latérocérébelleux, son
érieures après leur passage par les cornes grises postérieures. Les
cordons
de Burdach et le segment postérieur du rejeton du
ures. Les cordons de Burdach et le segment postérieur du rejeton du
cordon
110 REVUE D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSIOLOG
es faisceaux de Burdach avec les segments postérieurs du rejeton de
cordon
latéral, constituent des voies sensibles médiat
nce hyaline; cette dégénérescence vas- culaire occupait surtout les
cordons
postérieurs; la substance blanche et grise ne p
T a branches inégales : la branche verticale des- cend au milieu du
cordon
postérieur du côté gauche. La moitié droite de
ale se porte dans la région de la commissure grise, au-devant des
cordons
postérieurs. Elle déplace l'extrémité anté- rie
es cordons postérieurs. Elle déplace l'extrémité anté- rieure des
cordons
de Goll et le sillon médian posté- rieur qui s'
ore plus ou moins la forme d'un T; il. est situé à l'extrémité du
cordon
postérieur du côté gauche, se trouvant séparé d
r et Fit. 20. 164 CLINIQUE NERVEUSE. l'extrémité antérieure des
cordons
de Goll subissent une inflexion vers le côté op
lle constitue un espace arrondi, occupant l'extrémité antérieure du
cordon
postérieur gauche. Sur des coupes soumises au p
NIÈRE 165 Leyden1, Ii lechsi Z, ont observé la dégénérescence des
cordons
de Goll et des faisceaux cérébelleux : Schultze
rminaison inférieure (V. Aq. 21). Ils occupent presque toujours les
cordons
postérieurs et spéciale- ment la partie antérie
s cordons postérieurs et spéciale- ment la partie antérieure de ces
cordons
: ils sont isolés ou réunis par groupes. On les
le prouve le déplacement des parties voisines, c'est-à- dire des
cordons
de Goll, il s'agit d'une néoplasie : il il y a
rte en arrière et finit par se trouver à l'extrémité antérieure des
cordons
postérieurs, n'ayant plus aucun rapport avec le
caui démontrent que, après.la section des cornes antérieures et des
cordons
anté- rieurs et latéraux de la moelle, on obser
es auteurs, que « des fibres motrices de la vessie passent dans les
cordons
postérieurs ou dans l'extrême partie postérieur
ns les cordons postérieurs ou dans l'extrême partie postérieure des
cordons
latéraux'. » Il est inutile d'insister sur ce q
sculaire sont abolis, et où la lésion intéresse le plus souvent les
cordons
postérieurs de la moelle épinière, ainsi que le
e myélite périphérique de la moelle; dégénérescence commençante des
cordons
de Goll et, à partir de la moelle lom- baire, h
entre la dégénérescence des nerfs périphériques et les lésions des
cordons
postéeieurs. Eu ce qui regarde la pathogénie de
émaner bien plus de l'altération des nerfs sensitissquede celle des
cordons
postérieurs; les troubles laryngés se rattachent
évèle la dégénéres- cence des faisceaux pyramidaux tout le long des
cordons
latéraux, de presque tous les cordons postérieu
x pyramidaux tout le long des cordons latéraux, de presque tous les
cordons
postérieurs (les zones les plus anté- rieures s
d'une partie de la substance grise (zone latérale intermédiaire aux
cordons
antérieurs et postérieurs). REVUE DE PATHOLOGIE
L'intégrité de la sensibilité tactile et douloureuse alors que les
cordons
postérieurs sont presque complètement détruits mé
ez les paralytiques. Quand cette maladie se complique de lésion des
cordons
latéraux, on constate de l'atruphie extrême des
mblable des racines antérieures et postérieures. Dégénérescence des
cordons
postérieurs dans la moelle lombaire qui n'attei
le (Rosenstein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des
cordons
postérieurs. Mais qu'est-ce alors ? Doit-on fai
cisif, car on peut supposer : 1° un tabes, vrai avec sclérose des
cordons
postérieurs, développé pendant le cours du diab
de lésion spinale gros- sière, en particulier pas d'altération des
cordons
pos- térieurs de la moelle, mais qu'il s'agit p
es termes, les analogies avec le tabes, l'ataxie par sclérose des
cordons
postérieurs, semblent perdre de leur impor- tan
a semblé utile de décrire schématiquement l'ana- tomie normale des
cordons
de la moelle, en mention- nant ce que nous ont
visée par les racines postérieures, en cor- dons antéro-latéraux et
cordons
postérieurs. Les cordons autéro-iatéraux compre
rieures, en cor- dons antéro-latéraux et cordons postérieurs. Les
cordons
autéro-iatéraux comprennent : le fais- Aaciwcs,
nce descendante. La zone marginale externe ou faisceau profond du
cordon
latéral (Z M, 6) qui se trouve entre le faisceau
de Bechterew, situé à la périphérie de la moitié anté- rieure du
cordon
latéral et se prolongeant en avant jusqu'à l'ex
téro-la.téra 1. Les cor- dons postérieurs sont ainsi constitués; le
cordon
de Goll (F G, 11) situé à la partie postérieure
uxtaposé à son symé- trique (dans la région lombaire inférieure, le
cordon
de Goll n'est plus représenté que par ce seul f
ordon de Goll n'est plus représenté que par ce seul faisceau); le
cordon
de Goll subit la dégénération ascendante. Le fa
dégénération ascendante. Le faisceau de Ijccz'clcccla (F 13, 10) ou
cordon
externe, situé à la partie périphérique du préc
La moelle elle- même est très diminuée de volume ; à la coupe, les
cordons
posté- rieurs tranchent par leur coloration sur
objectif n° 3, Reichert), on constate une sclérose régu- lière des
cordons
postérieurs qui laisse cependant presque in- ta
tacte la zone antéro-externe. La sclérose est aussi intense dans le
cordon
de Goll que dans le cordon de Burdach, quoiqu'ell
e. La sclérose est aussi intense dans le cordon de Goll que dans le
cordon
de Burdach, quoiqu'elle soit plus accentuée dan
dans le cordon de Burdach, quoiqu'elle soit plus accentuée dans le
cordon
de Goll. Les fibres des racines postérieures, a
bserve enfin la disparition presque complète des fibres radiées des
cordons
postérieurs. Les racines postérieures extra-méd
la région sacrée, là même où n'existent pas encore de lésions du
cordon
postérieur : elle est beaucoup plus prononcée dan
Le faisceau de Turck est intact. Entre la corne postérieure et le
cordon
latéral, il existe une bande mince tout à fait sa
de mème une augmen- tation des fibres nerveuses dans les parties du
cordon
de Bur- dach qui côtoient les cornes postérieur
de Flechsig. Les colonnes de Clarke sont également atteintes. Les
cordons
de Goll sont plus pauvres en fibres nerveuses que
es en fibres nerveuses que dans la région lombaire. La partie des
cordons
de Burdach qui avoisine les cornes postérieures
vées. La bande saine qui existe entre la corne postérieure et le
cordon
latéral est plus mince que dans la région lombair
le cordon latéral est plus mince que dans la région lombaire. Le
cordon
pyramidal et le cordon de Flechsig sont sclérosés
t plus mince que dans la région lombaire. Le cordon pyramidal et le
cordon
de Flechsig sont sclérosés et forment ainsi un
RIEDREICH. 343 partie la plus altérée est l'extrémité antérieure du
cordon
céré- belleux. La lésion est partout symétriq
hall présente une diminution considérable des fibres nerveuses. Les
cordons
de Goll sont surtout altérés dans leur partie m
et les cornes postérieures sont très peu sclérosées. La lésion du
cordon
de Flechsig dépasse un peu la limite qu'on voit d
tion triangulaire fortement dégénérée partant de la péri- phérie du
cordon
latéral et pénétrant dans ce cordon à la ma- ni
e partant de la péri- phérie du cordon latéral et pénétrant dans ce
cordon
à la ma- nière d'un coin. (PI. I, fig. 1 - a.)
le. La dégénérescence persiste avec les mêmes caractères dans les
cordons
de Goll. Même dans son tiers postérieur, le nombr
ostérieur, le nombre des fibres nerveuses n'est pas accru. Quant au
cordon
de Burdach. on peut constater que toute la régi
es limite de chaque côté est normale. Dans la région postérieure du
cordon
de Burdach on trouve une grande abondance de fi
ramidal est moins atteint que dans la région dorsale supérieure. Le
cordon
de Flechsig, séparé du faisceau précédent par u
oins altéré. La lésion empiète en avant sur la limite normale de ce
cordon
. Région cervicale moyenne. - Il n'y a pas grand
st surtout lésée, arrive jusqu'au niveau de la corne antérieure. Le
cordon
de Goll est un peu plus riche en fibres nerveus
le supérieure . - On peut dire en général qu'ici, à l'exception des
cordons
de Goll qui, eux, présentent toujours une altér
ntent toujours une altération assez considérable, tous les autres
cordons
sont très peu atteints. La sclérose disparaît pre
ent dans le faisceau pyramidal. La lésion est moins marquée dans le
cordon
de Burdach, sauf dans sa partie moyenne, et ce
s prononcée des fais- ceaux de Flechsig. Cependant la lésion de ces
cordons
et de ceux de Burdach persiste encore, quoique
quoique très atténuée à la partie moyenne de l'entre-croisement des
cordons
latéraux. Dans les cordons de Goll, la sclérose
partie moyenne de l'entre-croisement des cordons latéraux. Dans les
cordons
de Goll, la sclérose persiste régulière et sans
prononcée immédia- tement au-dessus du renflement lombaire, où les
cordons
pos- térieurs sont manifestement amincis et apl
examen microscopique a démontré l'atrophie des fibres nerveuses des
cordons
postérieurs à la place desquels on trouve du ti
e de corpuscules amylacés. Autopsie III. (Friedreich). Sclérose des
cordons
postérieurs dans leur'totalité plus accentuée a
dans leur'totalité plus accentuée an niveau de la région lombaire.
Cordons
latéraux altérés en grande partie. Racines postér
dans la moelle allongée. Autopsie IV. (Friedreich.) Sclérose des
cordons
postérieurs et des cordons latéraux. Atrophie d
Autopsie IV. (Friedreich.) Sclérose des cordons postérieurs et des
cordons
latéraux. Atrophie des racines postérieures. Dans
titielle chronique. Du côté de la moelle : dégénérescence grise des
cordons
postérieurs et de la partie pos- térieure des c
nce grise des cordons postérieurs et de la partie pos- térieure des
cordons
latéraux. Aplatissement antéro-potérieur de la
te surtout dans la région postérieure et porte spécialement sur les
cordons
postérieurs. Néanmoins, la région antérieure et l
ubstance grise sont également amoindries. La sclérose porte sur les
cordons
de Goll, le cordon cunéiforme, la partie postér
également amoindries. La sclérose porte sur les cordons de Goll, le
cordon
cunéiforme, la partie postérieure des cordons l
es cordons de Goll, le cordon cunéiforme, la partie postérieure des
cordons
latéraux elles cordons antérieurs droit et gauc
cordon cunéiforme, la partie postérieure des cordons latéraux elles
cordons
antérieurs droit et gauche. Ce dernier est atte
Le nombre des fibres nerveuses est considérablement réduit dans les
cordons
postérieurs de la moelle dorsale et lombaire.
des curJOJ1S latéraux et les DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 341, Î
cordons
postérieur ? , il existe encore une substance pre
processus morbide se soit propagé des régions postérieures vers les
cordons
latéraux ; d'ailleurs, on trouve plus de fibres
la pointe du calamus scriplorius, on observe la dégénérescence des
cordons
postérieurs. Les cellules ganglionnaires de ces
ques d'après l'auteur semblent avoir consisté dans une sclérose des
cordons
postérieurs et des faisceaux pyramidaux avec de
des faisceaux pyramidaux avec destruction des fibres nerveuses des
cordons
postérieurs s'étendant un peu aussi aux cordons
res nerveuses des cordons postérieurs s'étendant un peu aussi aux
cordons
antérieurs, quoique cependant beaucoup de fibres
x cordons antérieurs, quoique cependant beaucoup de fibres de ces
cordons
fussent relativement saines. L'augmentation du
dissé- minée, mais elle se continuait sur toute la longueur de ces
cordons
; elle n'était en aucune façon confinée aux colo
acu6us et dans un amas de fibres du fasciculus 1'otwulllS. Dans les
cordons
de* Burdach, une étroite bande limitant la corn
la moelle. Sclérose diffuse (et beaucoup plus étendue que dans les
cordons
postérieurs) des cordons pyramidaux croisés ne
use (et beaucoup plus étendue que dans les cordons postérieurs) des
cordons
pyramidaux croisés ne variant pas beau- coup po
a moelle épinière est mince, surtout à cause de l'aplatissement des
cordons
postérieurs. Ce qui frappe surtout, c'est la dé
dons postérieurs. Ce qui frappe surtout, c'est la dégénérescence du
cordon
de Goll, plus marquée dans la périphérie et dan
érie et dans les parlies mé- dianes. La région antéro-externe des
cordons
prismatiques est intacte. Dans les cordons laté
égion antéro-externe des cordons prismatiques est intacte. Dans les
cordons
latéraux on constate aussi la dégénérescence qu
ate aussi la dégénérescence quoique à un degré moindre que dans les
cordons
de Goll. La substance grise est intacte. Racine
intense. Les parties limitant la corne postérieure et le reste des
cordons
latéraux sont intacts. Dans la moelle cervica
nérescence des cor- dons postérieurs est surtout augmentée dans les
cordons
de Goll. Dans son tiers postérieur, et moyen on
nerveuses dans une substance conjonctive fibril- laire. Dans les
cordons
prismatiques, il y a la même augmentation de la
ar la commissure postérieure et les cornes postérieures. Dans les
cordons
prismatiques il y a, à part la substance blanche
acte qui correspond au numéro 6 du schéma de Strum- pell. Dans le
cordon
latéral, la lésion est plus avancée que dans la
ts anatomiques de Clarke atteint son maximum. La dégénérescence des
cordons
postérieurs diminue un peu. Les racines postéri
inale des cornes postérieures paraît normale. La dégénérescence des
cordons
postérieurs di- minue surtout dans les parties
ut à fait dégénérées. Région sacrée. Aux deux tiers postérieurs des
cordons
posté- 350 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' rieurs et
une diminu- tion assez considérable de libres, tandis que dans les
cordons
latéraux aussi bien que dans la substance grise
cas précédent. Le maximum de la dégénérescence est toujours dans le
cordon
de Goll. Après ceux-c vient le cordon de Burdac
rescence est toujours dans le cordon de Goll. Après ceux-c vient le
cordon
de Burdach. Bord mince de substance blanche con
e conservé le long des cornes postérieures. La dégénérescence des
cordons
latéraux est plus prononcée dans la région cerv
rvicale, elle atteint les faisceaux pyramidaux, cérébelleux, et les
cordons
de Goll et de Burdach g. 34, 35, 3G). Dans le b
, 3G). Dans le bulbe, enfin, on note une sclérose peu prononcée des
cordons
grêles du faisceau cérébelleux et presque négli
es cordons grêles du faisceau cérébelleux et presque négligeable du
cordon
cunéiforme ( ? 37). Si nous considérons maint
remarquons que la lésion affecte les caractères sui- vants. Le
cordon
de Goll est atteint d'une sclérose uni- forme à
ne de Westphal est indemne, tandis que la partie posté- rieure du
cordon
de Burdach est altérée. Dans la région dorsale,
stri- bution de celle-ci. A cet égard, on peut considérer que les
cordons
postérieurs et les faisceaux pyrami- daux se dé
pyramidal moyennement dégénéré; c, faisceau cérébelleux direct ; d,
cordon
de de Burdach dégénéré ; e, cordon de Goll fort
faisceau cérébelleux direct ; d, cordon de de Burdach dégénéré ; e,
cordon
de Goll fortement dégénéré ; /, colonnes de Clm
té du Liège. II. SCLÉROSE combinée des coudons postérieurs et DES
cordons
latéraux. On a reconnu dans ces derniers temps,
L'examen de la moelle à l'état frais permet de reconnaître que les
cordons
postérieurs sont atteints de dégénérescence grise
e permet de constater que la pic-mère n'est nullement épaissie. Les
cordons
de Goll pré- sentent une sclérose bien nette. C
uses y sont relati- vement bien conservées. La moitié interne des
cordons
de Burdach est également atteinte de dégénéresc
cervical, les deux bandes intactes situées à la région externe des
cordons
de Goll ont disparu et la zone dégénérée des fa
tendue. A la région dorsale supérieure, la partie postérieure des
cordons
médians postérieurs ne présente qu'une légère déc
rieurs ne présente qu'une légère déco- loration'. Des deux côtés du
cordon
de Goll, le faisceau de Burdach offre une légèr
one décolorée qui n'arrive pas jus : qu'à la périphérie. Dans les
cordons
latéraux, on observe à lapartie postérieure, un
tie supérieure du renflement lombaire (g. z1) la dégénérescence des
cordons
de Goll se présente sous la forme de deux bande
à une certaine distance du bord postérieur de la moelle. Dans les
cordons
latéraux, on observe à la partie postérieure, l
rtie inférieure de la moelle lombaire, on ne remarque plus dans les
cordons
de Goll qu'une légère décoloration qui occupe l
anifeste, des fibres nerveuses. Le foyer de dégénérescence dans les
cordons
laté- raux apparaît encore très nettement, mais
a été en diminuant de haut en bas. Quant à la dégénérescence des
cordons
latéraux, limitée dans la partie supérieure au
lution s'est accomplie sous la forme de l'ataxie héréditaire, les
cordons
postérieurs étaient sclérosés dans toute leur é
su normal. Dans le cas d'Erliky et Rybaliu' la dégénérescence des
cordons
latéraux était limitée aux faisceaux pyra- mida
t également sur toute la longueur de la moelle une dégéuération des
cordons
postérieurs, plus marquée dans les cordons de G
lle une dégéuération des cordons postérieurs, plus marquée dans les
cordons
de Goll que dans les cordons de Burdach. Babi
s postérieurs, plus marquée dans les cordons de Goll que dans les
cordons
de Burdach. Babinsky et Charrin= ont fait conna
it connaître un cas dans lequel il y avait une sclérose avancée des
cordons
pos- térieurs (cordons de Goll et cordons de Bu
lequel il y avait une sclérose avancée des cordons pos- térieurs (
cordons
de Goll et cordons de Burdach) et des faisceaux
une sclérose avancée des cordons pos- térieurs (cordons de Goll et
cordons
de Burdach) et des faisceaux cérébelleux ; en o
vations, c'est la forme et la distribution de la dégénérescence des
cordons
laté- raux telle que nous l'avons nous-même obs
mince et très délicate et que d'ailleurs, la dégénéres- cence des
cordons
latéraux n'arrivait point partout jusqu'à la pé
périphérie, à savoir de chaque côté, la zone superfï- cielle des
cordons
de Burdach et la partie tout à fait postérieure
lle des cordons de Burdach et la partie tout à fait postérieure des
cordons
latéraux, aient échappé à l'inflammation. Au su
tre manière de voir a été émise par Frie- dl'eich 1 la sclérose des
cordons
postérieurs constitue- rait la lésion primitive
ésion primitive et serait de même nature que l'ataxieordinaire; des
cordons
postérieurs, le processus sclérosique se propag
es cordons postérieurs, le processus sclérosique se propagerait aux
cordons
latéraux. Mais, suivant la remarque de Westphal
tion est inad- missible, attendu qu'entre les parties malades des
cordons
postérieurs et celles des cordons latéraux, il
qu'entre les parties malades des cordons postérieurs et celles des
cordons
latéraux, il se trouve une zone de tissu sain.
sée dans notre observation. En outre, il arrive que la lésion des
cordons
posté- rieurs et celle des cordons latéraux se
tre, il arrive que la lésion des cordons posté- rieurs et celle des
cordons
latéraux se développent d'une façon tout à fait
la région cervicale à la région dorsale; à la région lombaire, les
cordons
postérieurs étaient sains. Au contraire, la lés
es cordons postérieurs étaient sains. Au contraire, la lésion des
cordons
latéraux s'étendait à toute la longueur de la m
ion cervicale supé- rieure. , Nous constatons qu'à ce niveau, les
cordons
de Goll sont lésés d'une façon symétrique, dans
u-né ou chez le foetus de huit mois, on constate que les fibres des
cordons
postérieurs sont enveloppées de myéline. Trai
le procédé de Weigert, ces coupes montrent une coloration noire des
cordons
postérieurs ; mais, déjà à l'oeil nu, on voit q
iforme. De chaque côté de la ligne médiane, à la partie externe des
cordons
de Goll, on distingue une zone (Voir fig. 42'),
r peu à peu, puis disparaître. L'existence de cette subdivision des
cordons
posté Flg, 42. Coupe à la partie supérieure de
ff'. Cet auteur a reconnu que les fibres des parties internes des
cordons
de Goll possèdent déjà une couche de myéline co
tandis que les fibres de leurs parties externes qui confinent aux
cordons
de Burdach en sont encore presque dénués. Or, c
Burdach en sont encore presque dénués. Or, cette région externe des
cordons
de Goll dont les fibres n'acquièrent que tardiv
de leur indépendance en qualité de système. En ce qui concerne les
cordons
de Burdach, on pourrait aussi invoquer les donn
niques pour expliquer l'intégrité de la partie postérieure de ces
cordons
. En effet, Bechterew2 a distingué deux segments
cordons. En effet, Bechterew2 a distingué deux segments dans les
cordons
de Burdach : une zone antérieure et une zone po
eut s'entre- prendre isolément. ' Recherches sur la structure des
cordons
postérieurs de la moelle épi- nière de l'homme.
es de Neurologie, mars 1889. Pol)off a pu suivre la subdivision des
cordons
de fioll jusqu'il la région dorsale supérieure
1884, p. 31. 390 ANATOMIE PATHOLOGIQUE La zone périphérique des
cordons
de Burdach que nous avons trouvée intacte dans
e postérieure de Bechterew. Mais, la dégénération n'atteint pas les
cordons
de Burdach dans toute leur largeur et, en somme
ervicale supérieure, il nous reste à signaler la dégénérescence des
cordons
latéraux : elle porte sur une partie strictemen
r une certaine étendue de la moelle. Or, si la dégénérescence des
cordons
de Goll se rencontre sur toute la hauteur de la
de Goll se rencontre sur toute la hauteur de la moelle, celle des
cordons
de Burdach ne peut être poursuivie que jus- qu'
nce d'une zone en forme de coin, occupant la partie postérieure des
cordons
latéraux. Cette zone répond à peu près au faisc
complètement à jour, les autres traversés par des fibrilles ou des
cordons
de fibrilles; ces pertuis permettent une communic
au. Sur une coupe transverse, on voit la capsule sous la forme d'un
cordon
brillant, et, entie deux cellules, une étroite li
yramidal moyennement dégénéré ; c, faisceau cérébelleux direct ; d,
cordon
de de Burdach dégénéré ; e, cordon de Goll fort
faisceau cérébelleux direct ; d, cordon de de Burdach dégénéré ; e,
cordon
de Goll fortement dégénéré ; /, colonnes de Cla
ns de l'encéphale et forme le névrilème des racines et des troncs des
cordons
nerveux. La structure très délicate et les fonc
ntérieure, ces deux bandelettes se séparent, se roulent chacune en un
cordon
cylindrique [piliers antérieurs de la voûte), qui
nvergentes de Fhippocampe envoient des fibres au septum lucidum et un
cordon
blanc très grêle ou conarium. Ce dernier fascicul
us la forme d'un petit faisceau, dans la substance grise du noyau des
cordons
grêles (Pl. XXXVII). Les fibres des pédoncules
-gulaires, distingués, suivant leur situation, par la dénomination de
cordons
antérieurs, cordons latéraux, cordons postérieurs
s, suivant leur situation, par la dénomination de cordons antérieurs,
cordons
latéraux, cordons postérieurs et séparés les uns
tuation, par la dénomination de cordons antérieurs, cordons latéraux,
cordons
postérieurs et séparés les uns des autres par des
elle. Ces prolongements lamellaires se ramifient dans l'épaisseur des
cordons
et les subdivisent en fascicules de différentes d
n fascicules de différentes dimensions. La substance grise, que ces
cordons
entourent comme une coque, occupe la région centr
'à la base du ventricule moyen. Les faisceaux blancs, qui forment les
cordons
de la moelle, présentent, à partir du col-let du
leurs éléments morphologiques. En arrivant au collet du bulbe, les
cordons
antérieurs s'infléchissent en arrière et en haut;
be, les cordons antérieurs s'infléchissent en arrière et en haut; les
cordons
latéraux se portent en partie en avant et en deda
m de portion super-ficielle ou motrice des pyramides antérieures. Les
cordons
postérieurs s'inclinent à leur tour en avant, en
nne centrale médullaire a donc été subdivisée, par la décussation des
cordons
de la moelle, en quatre colonnettes formées de ch
a base de la corne postérieure envoie un prolongement nommé noyau des
cordons
grêles, et plus haut un second prolongement, ap
inférieure du trijumeau commence au-dessus de l'entre-croi-sement des
cordons
postérieurs de la moelle, par des fibrilles qui p
, qui est demeurée contiguë au canal central après la décussation des
cordons
de la moelle, forme à la partie supérieure de l'a
les racines motrices et d'autre part avec les racines sensitives des
cordons
nerveux. Le plan morphologique des portions rac
tive, un déplacement progressif et total. § 1. Entre-croisement des
cordons
de la moelle. — Les cordons latéraux de la moelle
sif et total. § 1. Entre-croisement des cordons de la moelle. — Les
cordons
latéraux de la moelle s'entre-croisent sur la lig
ect fascicule très caractéristique (Pl. IV, 22; XL, 27, XLIII). Les
cordons
postérieurs de la moelle s'inclinent en avant, s'
ures (Pl. IV, 25 ; XL, 28; XLII, 25) (Microph., Pl. D, fig. I). Les
cordons
antérieurs, entre-croisés sur toute la longueur d
l'un de l'autre au niveau du collet du bulbe pour livrer passage aux
cordons
latéraux. Ils se dirigent en arrière et en haut,
e de fibres transversales s'entremêlent avec ces faisceaux. Ces trois
cordons
se groupent par conséquent dans le bulbe, en avan
en avant du canal central, contre le raphé médian. Une portion des
cordons
antéro-latéraux n'a pas suivi le mouvement de fle
la corne antérieure de la corne pos-térieure (Pl. XXXVIII, 25). Les
cordons
postérieurs de la moelle sont prolongés dans le b
eurs de la moelle sont prolongés dans le bulbe par un faisceau appelé
cordon
grêle par Burdach et cordon cunéiforme de Gollpar
ngés dans le bulbe par un faisceau appelé cordon grêle par Burdach et
cordon
cunéiforme de Gollpar Kôlliker. Ce faisceau const
atérales internes du pédoncule cérébelleux inférieur. Burdach appelle
cordon
cunéiforme la portion externe seulement de ce fai
2. Passage des fibres spinales à travers la protubérance. — Les trois
cordons
de la moelle, arrivés au delà du bulbe, se prolon
nce à se séparer des pyramides antérieures. L'intervalle que ces deux
cordons
laissent entre eux est occupé par un amas de subs
ée de fibres transversales, qui s'entre-croisent au raphé médian. Les
cordons
antérieurs, dissociés par les fibres trans-versal
quatrième ventricule. En s'élevant dans la protubérance, ces trois
cordons
subissent quelques modifi-cations respectives.
oncavité interne dirigée vers l'extrémité postérieure du raphé. Les
cordons
antérieurs se logent dans la concavité de la port
ette, un réseau abondant de grosses fibres transversales. Ces trois
cordons
atteignent le bord supérieur de la protubérance ;
ge supérieur [tegmentum, calotte de Haube, coiffe de Gratiolet). Le
cordon
antérieur occupe la concavité de la portion sensi
s. — Arrivé à l'extrémité supérieure des pédoncules cérébraux, chaque
cordon
de la moelle se dirige vers les éléments cellulai
e se dirige vers les éléments cellulaires qui lui sont propres. Les
cordons
latéraux de la moelle, portion motrice des pyrami
des faisceaux de la moelle que M. Charcot (1) désigne sous le nom de
cordons
de Türck. Ce faisceau mettrait par conséquent dir
sceau longitudinal postérieur de la calotte, et se terminer alors aux
cordons
antéro-latéraux de la moelle. La totalité de l'
IV). (1) Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux. Les
cordons
postérieurs de la moelle, portion sensitive des p
ns postérieures et inférieures du lobe occipital (Pl. XXVI, 5). Les
cordons
antérieurs de la moelle se portent progressivemen
leur situation devient postéro-supérieure par rapport aux deux autres
cordons
du bulbe. Ils cons-tituent alors le faisceau long
ué au-dessous du noyau lenticulaire, et pour point de terminaison les
cordons
antéro-latéraux de la moelle. Ils le considèrent
aire aux cellules du corps rhomboïdal, et en une portion interne, les
cordons
de Goll (funiculus cuneatus et gracilis), qui rel
ct fascicule. i. Sillon médian antérieur. /. Raphé médian. t k.
Cordon
antérieur de la moelle; formation de la portion s
arition du grand noyau pyramidal de Stilling. /. Entre-croisement des
cordons
latéraux. m. Formation réticulée de Deiters, due
rdons latéraux. m. Formation réticulée de Deiters, due au passage des
cordons
posté-rieurs à travers la substance grise des cor
ice des pyramides. g. Raphé médian formé par l'entre-croisement des
cordons
postérieurs. h. Sillon médian antérieur. i. P
n sensitive des pyramides. n. Grand noyau pyramidal de Stilling. o.
Cordons
antérieurs, placés de chaque côté du raphé et en
cérébelleux inférieurs, en continuité par leur bord interne avec les
cordons
postérieurs intermédiaires du bulbe, ou cordons d
bord interne avec les cordons postérieurs intermédiaires du bulbe, ou
cordons
de Go II. VI. — Coupe verticale antéro-postèrie
ure la substance blanche. Le bord supérieur et interne porte un épais
cordon
blanc désigné sous le nom de bandelette ou tœnia
s fibres superficielles. Winslow a appelé ces saillies longitudinales
cordons
médul-laires; on les connaît plus généralement so
tum lucidum, puis elle s'arrondit, s'infléchit en bas sous forme d'un
cordon
, nommé pilier antérieur du trigone, pénètre dans
siiîuce grise. Les bords latéraux dutrigone sont en rapport avec un
cordon
vasculaire rougeâtre, d'aspect granuleux, appelé
16. — Section des piliers antérieurs du trigone, ayant l'aspect de
cordons
arrondis. 17. — Section des lamelles de substan
nt à la région inférieure du ventricule de la cloison ; en arrière un
cordon
grisâtre, la commissure blanche antérieure limite
énoïdaux en un gros faisceau arrondi, qui pénètre, sous l'aspect d'un
cordon
blanc, dans l'angle postéro-externe du noyau lent
ées par un petit renflement situé au niveau du bec du calamus sur les
cordons
médians postérieurs du bulbe. Ces cordons se cont
u du bec du calamus sur les cordons médians postérieurs du bulbe. Ces
cordons
se continuent ensuite en haut et se fusionnent av
ur bord externe par un petit sillon peu apparent ; on les nomme aussi
cordons
grêles (Burdach), cordons cunéiformes ou cordons
it sillon peu apparent ; on les nomme aussi cordons grêles (Burdach),
cordons
cunéiformes ou cordons de Goll (Kolliker) ; ils s
; on les nomme aussi cordons grêles (Burdach), cordons cunéiformes ou
cordons
de Goll (Kolliker) ; ils se perdent dans les cord
s cunéiformes ou cordons de Goll (Kolliker) ; ils se perdent dans les
cordons
postérieures de la moelle vers la portion inférie
re-croi-sement des faisceaux des fibres nerveuses qui constituent les
cordons
de la moelle. XXXV. — Encéphale dont on a détac
se des pyramides postérieures (16, Pl. XXXIV) appelée aussi noyau des
cordons
grêles ou noyau post-pyramidal, les fibres nerveu
des cordons grêles ou noyau post-pyramidal, les fibres nerveuses des
cordons
médians postérieurs ou cordons de Goll, le sillon
st-pyramidal, les fibres nerveuses des cordons médians postérieurs ou
cordons
de Goll, le sillon médian postérieur du bulbe qui
xterne, est un sillon très délié et au delà les fibres ner-veuses des
cordons
postérieurs proprement dits. XXXVI.— Coupe vert
s précédents ; ils envoyent, de leur partie externe et supérieure, un
cordon
qui se dirige en dehors et en avant jusqu'au corp
ullaire qu'occupait le corps rhômboïdal, d'où elles émergent en trois
cordons
divergents : les pédoncules cérébelleux supérieur
canal central du bulbe rachidien (14). 16. — Fibres médullaires des
cordons
médians postérieurs, limités sur les côtés par la
te, dessinant un V dans Ja substance grise centrale. Les fibres des
cordons
médians postérieurs se perdent, au delà du noyau
capsule interne. 23. —Faisceaux postérieurs du bulbe continuant les
cordons
antérieurs delà moelle qui se sont inclinés en ar
nclinés en arrière et séparés l'un de l'autre pour laisser passer les
cordons
latéraux de la moelle. 24. — Canal central du b
oelle. 24. — Canal central du bulbe. 25. — Portion antérieure des
cordons
latéraux de la moelle continuant dans le bulbe le
eure et le noyau du corps restiforme. 26. — Portion postérieure des
cordons
latéraux de la moelle s'inclinant en avant et e
x de la moelle s'inclinant en avant et en dedans. Les fibres de ces
cordons
s'entre-croisent sur la ligne médiane et vont for
former la portion motrice des pyramides antérieures du bulbe. 27. —
Cordons
postérieurs de la moelle. Les fibres de ces cordo
du bulbe. 27. — Cordons postérieurs de la moelle. Les fibres de ces
cordons
s'entre-croisent au-dessus des précédentes et con
pyramides. Ces faisceaux, entre-croisés plus bas, sont formés par les
cordons
latéraux de la moelle ; ils sont séparés par un n
rtion sensitive des pyramides antérieures formant le prolongement des
cordons
postérieurs de la moelle, après leur entre-croise
cale qui entoure les corps olivaires. 27. — Portion postérieure des
cordons
latéraux de la moelle qui s'entre-croisent au rap
s latéraux de la moelle qui s'entre-croisent au raphé médian. 28. —
Cordons
postérieurs de la moelle s'inclinant en avant pou
callosi. Les fibres convergentes du lobe sphénoïdal se groupent en un
cordon
arrondi, que l'on aperçoit au-dessus du corps gen
ue l'on aperçoit au-dessus du corps genouillé externe (8; Pl. XL); ce
cordon
constitue la branche latérale de la commissure bl
igne médiane du bulbe, mais elles ne sont plus en continuité avec les
cordons
postérieurs enlevés en partie par la coupe. Sur l
rieures. 23. — Portion sensitive des pyramides antérieures. 24. —
Cordons
antéro-latéraux de la moelle. 25. — Mode d'entr
latéraux de la moelle. 25. — Mode d'entre-croisement des fibres des
cordons
antérieurs et des cordons postérieurs de la moell
5. — Mode d'entre-croisement des fibres des cordons antérieurs et des
cordons
postérieurs de la moelle. 26. — Substance grise
x. — Les fibres commissurantes du lobe sphénoïdal sont groupées en un
cordon
à l'angle postérieur du segment externe du noyau
XLII) et se continuent, du côté opposé dans la moelle, sous le nom du
cordons
latéraux. En dessous du lieu d'entre-croisement
dessous du lieu d'entre-croisement de ces faisceaux est la coupe des
cordons
antérieurs de la moelle, qui se sont écartés pour
s les nerfs optiques, qui se dirigent en avant, sous l'aspect de deux
cordons
grisâtres. XLVIII. — Coupe verticale transverse
ce blanche du névraxe................. 40 § 1. Entre-croisement des
cordons
de la moelle......... ..... 40 § 2. Passages de
e des dégénérescences ascendantes qui portent de chaque côté sur le
cordon
de Goll, le faisceau cérébelleux direct et le fai
mière rétrécie. Ces lésions se retrouvent même dans les parties des
cordons
latéraux qui ne sont pas atteintes par les dégéné
tie supérieure du 5° segment dorsal. Ici on voit reparaître dans le
cordon
de Goll droit un grand nombre de fibres a myéline
ll droit un grand nombre de fibres a myéline (fig. 6) tandis que le
cordon
de Goll gauche reste aussi fortement dégénéré que
légèrement épaissie. Partie inférieure du, 5e segment dorsal. - Le
cordon
de Goll droit contient encore plus de fibres sa
us de fibres saines que dans la partie supérieure de ce segment. Le
cordon
de Goll gauche reste au contraire presque entière
reste au contraire presque entièrement dégénéré (fig. 7). Dans les
cordons
latéraux c'est à gauche qu'on trouve le maximum d
ons vasculaires deviennent très manifestes, en particulier dans les
cordons
laté- Fig. 3. - 2° segment dorsal. Fig. 4. -
eaux se montrent par places en état de dégénérescence hya- line. Le
cordon
de Goll droit est presque intact ; dans le cordon
nce hya- line. Le cordon de Goll droit est presque intact ; dans le
cordon
de Goll gau- che les fibres normales reparaisse
rand nombre, surtout dans la région sulco-marginale. Par contre les
cordons
antéro-latéraux présentent à ce niveau (fig. 9)
ig. 10). Les lésions en foyer commencent il disparaî- tre. Les deux
cordons
de Goll ont repris leur aspect normal sauf à la p
is leur aspect normal sauf à la périphé- rie. La zone marginale des
cordons
antéro-latéraux montre encore un léger degré de
ire, et il est d'ailleurs fa- cile de constater que les lésions des
cordons
postérieurs ne sont pas d'origine radiculaire.
ts différents de la moelle dorsale moyenne. C'est ainsi que pour le
cordon
de Goll droit, on trouve le maximum des lésions
tie la dégénérescence secondaire de ce faisceau, tandis que pour le
cordon
de Goll gauche le point de départ est placé plus
s et on voit en particulier que les dégénérescences secondaires des
cordons
de Goll et des faisceaux pyramidaux croisés ne
és suivantes : le faisceau pyra- midal se trouve seulement dans les
cordons
antérieurs, des deux côtés de la fissure longit
érieure, ayant l'aspect de deux pâles bandes assez larges. Dans les
cordons
latéraux plus près en arrière existe une fissure
ibres myéliniques très nettement marquées (le faisceau cérébelleux du
cordon
Nouvelle Iconographie de la SA[,YI : rRII : RF,
DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA 1SIFIDA 121 latéral). Les
cordons
postérieurs sont bien développés. La configuratio
ant et se dirige dans les parties latérales, entourant en avant les
cordons
latéraux. Les cordons posté- rieurs diminuent d
les parties latérales, entourant en avant les cordons latéraux. Les
cordons
posté- rieurs diminuent dans la direction d'ava
imée encore davantage d'avant en arrière et diminuée de volume. Les
cordons
postérieurs diminuent dans la direction d'avant
elle épinière. La moelle épinière s'aplatit d'avant en arrière. Les
cordons
postérieurs dans leur partie dorsale sont mal d
ceau de Turck, disposé à la périphérie du faisceau fonda- mental du
cordon
antéro-latéral. Le faisceau cérébello-spinal, grâ
fiée seulement en ce sens, qu'une partie des fibres myéliniques des
cordons
postérieurs est passée dans la moelle allongée.
e allongée est placée à quelque distance de la moelle épinière, les
cordons
postérieurs passant dans la moelle allongée const
inière est augmenté. Les fibres verticales sont conservées dans les
cordons
postérieurs, seulement dans la partie anté- rie
elles prennent la direction verticale. Dans la moelle épinière les
cordons
postérieurs ont passé dans l'isthme ; en conséque
istance entre la commissure antérieure et la surface antérieure des
cordons
posté- rieurs est augmentée. La substance gélat
emps plus large. Déjà dans les coupes précédentes nous avons vu les
cordons
postérieurs déplacés de la commissure antérieure,
la coupe précédente, a passé en partie dans l'isthme, déplaçant les
cordons
postérieurs en dedans. En outre, la substance gél
parties antérieures et latérales sont restées sans changements, les
cordons
postérieurs sont restés en arrière et situés dans
la moelle allongée. Toute la substance entre la partie antérieure des
cordons
postérieurs et entre les faisceaux fondamentaux
eure des cordons postérieurs et entre les faisceaux fondamentaux du
cordon
antéro-latéral con- tient un réseau assez bien
érieure et le sommet l'extrémité antérieure de la fissure entre les
cordons
postérieurs. En dedans de la sub- stance gélati
des lamelles semi-lunaires de libres myéliniques, correspondant aux
cordons
postérieurs et prenant la direc- tion verticale
le en forme d'une demi-lune de fibres verticales, con- tinuation de
cordons
postérieurs, en avant la substance gélatineuse de
es fibres myéliniques, qu'on voit partir du faisceau cérébelleux du
cordon
latéral de la moelle épinière et se 124 SOLOVTZ
moelle épinière et se 124 SOLOVTZOFF diriger en arrière jusqu'aux
cordons
postérieurs. Un peu en dedans de la substance g
ner- veuses qui traversent horizontalement la substance blanche du
cordon
latéral de la moelle épinière sous forme d'un a
ouvons les fibres myélini- ques qui constituent la continuation des
cordons
postérieurs et le commence- ment du pédoncule c
limitée à la périphérie par les fibres myéliniques qui, quittant le
cordon
latéral, se diri- gent en arrière et en dehors
épinière présente de grandes modifica- tions dans sa structure. Les
cordons
latéraux ont diminué de volume. Les fibres du f
téraux ont diminué de volume. Les fibres du faisceau fondamental du
cordon
antérieur dans sa partie postérieure se sont ra
n peu en avant et disposées plus en dedans du faisceau fondamental du
cordon
latéral. Le canal central de la moelle épinière
que la moelle épinière a perdu tout à fait sa configuration. Les
cordons
latéraux ont presque disparu et en conséquence l'
argeur égale presque la moelle épinière. Le faisceau fondamental du
cordon
antérieur a considérablement reculé, le 4" vent
X CENTRAL DANS LE SPINA B1FIDA 125 entre le faisceau fondamental du
cordon
antérieur, lequel est considérablement déplacé
ux lames blanches, sont placées devant le fais- ceau fondamental du
cordon
latéral, n'allant pas jusqu'à la fissure médiane
où elles étaient partagées au-devant des faisceaux fondamentaux du
cordon
antérieur et au- devant des faisceaux fondament
aux du cordon antérieur et au- devant des faisceaux fondamentaux du
cordon
latéral ; de cette manière elles avaient ou bie
s à angle droit. Les autres changements consistent en ceci, que les
cordons
latéraux de la moelle épinière disparaissent co
ses fibres viennent se placer devant les faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs, qui ont formé la substance réticula
erne et à la place de la corne latérale et du faisceau fondamental du
cordon
latéral, l'olive inférieure. Planche XIV PI
rtie suspendue dans sa région inférieure possède la struc- ture des
cordons
postérieurs de la moelle allongée ; à son bord po
mais après cela se joignent de manière à former l'isthme entre les
cordons
postérieurs de la moelle allongée et ceux de Pépi
ord est assez étroit ; là passe seulement la partie postérieure des
cordons
de Goll ; mais après il devient de plus en plus
devient de plus en plus large, et bientôt passent en lui aussi les
cordons
de Burdach et la partie antérieure des cordons
ent en lui aussi les cordons de Burdach et la partie antérieure des
cordons
postérieurs de la moelle épinière (Phot. 9, 10)
ière (Phot. 9, 10). Comme dans la moelle épinière, les fibres des
cordons
postérieurs ont une direction verticale et comm
dorsale de la moelle allongée est placée dans ce cas en arrière des
cordons
postérieurs de la moelle épinière, il est logiq
ostérieurs de la moelle épinière, il est logique que les fibres des
cordons
postérieurs de la moelle épinière, pour passer
à la coupe transversale de la moelle dans l'isthme, les fibres des
cordons
postérieurs sont coupées dans une direc- tion l
hot. 9-12). Grâce à la dislocation en bas de la moelle allongée les
cordons
postérieurs de la moelle épinière ont dû sortir
oelle épinière reste longtemps sans aucun changement; cependant les
cordons
postérieurs passant par l'isthme dans la moelle
omplète de la moelle épinière avec la moelle allongée. Des noyaux des
cordons
postérieurs doivent partir les fibres sensitive
, lesquelles se placent entre les fibres du faisceau fondamental du
cordon
antérieur. De cette manière la configu- ration
nière change : en effet (Phot. 15) les faisceaux fondamen- taux des
cordons
antérieurs, déplacés en arrière, s'approchent du
ventricule ; avec eux viennent les libres du faisceau fondamental du
cordon
latéral, grâce à quoi la moelle épinière diminu
, comment passent dans la moelle allongée et comment se forment les
cordons
postérieurs, la sub- stance gélatineuse de Rola
e antérieure de la moelle épinière, les faisceaux fonda- mentaux du
cordon
antéro-latéral. Oulre cela, il faut remarquer que
mettre ses boutons quand les boutonnières sont étroites, nouer les
cordons
de ses souliers, faire le noeud de sa cravate ;
u coeur manque. Anomalies des artères. - Les poumons manquent. - Le
cordon
ombilical manque ; vaisseaux ombilicaux très cour
du corps de l'embryon soit dans les annexes (amnios, allan- toïde,
cordon
ombilical), soit plus extérieurement encore (orga
ar exemple, à des com- pressions ou à des constrictions soit par le
cordon
ombilical soit par des brides ou des adhérences
ouvert d'une épaisse couche de fibres myé- liniques qui forment les
cordons
postérieurs. Les cordons antérieurs d'un côté s
he de fibres myé- liniques qui forment les cordons postérieurs. Les
cordons
antérieurs d'un côté sont pâles à périphérie,du
âles à périphérie,du côté opposé ils sont colorés uniformément. Les
cordons
latéraux ont une couche de fibres myéliniques seu
t moins dilaté et la moelle a déjà une confi- guration normale. Les
cordons
postérieurs sont bien développés et on voit leur
de Rolando. Encore plus en avant se trouve le faisceau pyramidal du
cordon
latéral, limité en dehors et en dedans par les
édian longitudinal anté- rieur se trouve le faisceau fondamental du
cordon
antéro-latéral, en dedans de ce faisceau un pâl
olume, quoique sa structure diffère peu des coupes precédentes. Les
cordons
postérieurs ont augmenté encore plus dans la di
irection transversale et antéro-postérieure (Phot. 20). En avant du
cordon
postérieur est placée la substance gélatineuse de
gélatineuse de Rolando et dans l'es- pace compris entre elle et le
cordon
postérieur passent les cordons postérieurs. Enc
s l'es- pace compris entre elle et le cordon postérieur passent les
cordons
postérieurs. Encore plus en avant est placé le
le faisceau cérébello-spinal. En dedans du faisceau fondamental du
cordon
an- térieur se trouve le faisceau de Turck, abs
ant en arrière, et dans cette direction sont diminués de volume les
cordons
pos- térieur, qui dans leur centre, des deux cô
ela la structure de la moelle reste sans changements. Au devant des
cordons
postérieurs on trouve : la substance gélatineus
trouve : la substance gélatineuse de Rolando, entre laquelle et les
cordons
postérieurs passent les racines postérieures. D
antérieure de la moelle épiniere existe le faisceau fondamental du
cordon
antérieur, limité à la périphérie par une lame
iphérie par une lame pâle, correspondant au faisceau pyramidal. Les
cordons
latéraux sont couverts sur le bord d'une couche
épais- seur en arrière ; en dedans existe le faisceau pyramidal du
cordon
latéral, privé de myéline. La pie-mère, à la pl
ral, privé de myéline. La pie-mère, à la place où elle recouvre les
cordons
pos- térieurs, est épaissie et elle présente un
e de vaisseaux. Les changements ultérieurs consistent en ce que les
cordons
postérieurs diminuent peu à peu ; puis à une pe
au moment où les deux parties s'unissent entre elles. PHOT. 22. Les
cordons
postérieurs sont encore diminués davantage. Des
e il y en a cependant davantage que dans la partie postérieure. Les
cordons
postérieurs sont diminués surtout dans la directi
ubitement et passent en formant un isthme étroit, dans le reste des
cordons
postérieurs de la moelle épinière ; en comparai
coupe précédente il reste encore moins de libres myélini- ques des
cordons
postérieurs. A part cela la moelle épinière est r
ssant a encore augmenté, l'isthme est devenu un peu plus large. Les
cordons
postérieurs de la moelle épinière ont passé dans
rière. Le canal central est dilaté dans la di- rection arrière. Les
cordons
postérieurs de la moelle épinière ont complètemen
ière en grandeur. Les fibres myéli- niques horizontales, venant des
cordons
postérieurs de la moelle épinière ont déjà disp
ière a diminué subitement dans la direction d'avant en arrière. Les
cordons
latéraux ont diminué. Le canal central est cons
sale de la moelle allongée est restée sans grands changements : les
cordons
postérieurs, la racine spinale du nerf trijumeau,
lle épinière est beaucoup modifiée : les faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs se dirigent en arrière et entre eux, d
ement sur la ligne médiane des fibres du ruban de Reil, partant des
cordons
postérieurs et au devant l'entrecroisement des py
croisement des py- ramides. En dehors des faisceaux fondamentaux du
cordon
antérieur, des deux côtés on trouve des cellule
es racines antérieures. La quan- tité de fibres myéliniques dans le
cordon
latéral a diminué. Sur les côtés, à la xiv ' 18
son ouverture complète. La quantité de fibres myéliniques dans les
cordons
posté- rieurs a quelque peu diminué. La racine
u cérébelleux qui est placé en dehors. Le faisceau fonda- mental du
cordon
antérieur passe dans le faisceau longitudinal pos
iane en forme de croissant ; ce sont surtout ceux qui ont passé des
cordons
postérieurs. En avant d'eux nous trouvons les p
ngements se produisent à côté d'eux (Phot. 23). Au commencement les
cordons
postérieurs se séparent de la moelle épinière p
pinière par un petit faisceau ; après cela la partie antérieure des
cordons
postérieurs passe dans la partie abaissée de la m
ant des fibres horizontales. Après cela les fibres horizontales des
cordons
postérieurs commencent à disparaître et à la fin
e et à la fin nous avons la moelle épinière complètement privée des
cordons
postérieurs (Phot. 24 et 23) ; les fibres horiz
S LE SPINA BIFIDA 255 placent dans sa partie médiane. Avant que les
cordons
postérieurs de la moelle épinière ne se termine
ieures et postérieures de la moelle commencent se fusionner, et les
cordons
antérieurs se placent plus en arrière, suivis p
t les cordons antérieurs se placent plus en arrière, suivis par les
cordons
latéraux (Phot. 27) ; en arrière, entre les cor
suivis par les cordons latéraux (Phot. 27) ; en arrière, entre les
cordons
antérieurs et les latéraux se forme la coupe du r
, par la raison que les pyramides sont disposées seulement dans les
cordons
antérieurs, les pyramides cheminent en formant de
remarque les particularités suivantes dans la moelle épinière : Les
cordons
antérieurs sont encore cou- verts de myéline en
sont encore cou- verts de myéline en forme d'une étroite lame. Les
cordons
latéraux sont visi- blement plus larges d'un cô
ers la profondeur. En avant du faisceau cérébelleux, du côté où les
cordons
latéraux sont plus larges, on remarque à la périp
ant aux pyramides. Au côté opposé les pyramides n'existent pas. Les
cordons
postérieurs sont mal développés, pressés un peu s
sont mal développés, pressés un peu sur uu côté, celui où dans les
cordons
latéraux sont placées les pyramides ; dans leur p
dans leur par- tie dorsale ils sont pâles ; sur le côté opposé les
cordons
postérieurs sont bien développés. En avant des
é opposé les cordons postérieurs sont bien développés. En avant des
cordons
postérieurs se trouve la substance gélati- neus
A la distance de 1 millimètre de la moelle épinière, du côté où les
cordons
pos- térieurs sont mal développés, se trouve un
uverte aux extrémités de minces fibres myéliniques. Phot. 29. Les
cordons
postérieurs de la moelle épinière d'un côté sonl
dans la partie dorsale complètement pâles ; de l'autre côté aussi les
cordons
de Goll sont colorés un peu plus faiblement que
la coupe précédente. A par ! 25G SOLOVTZOFF cela, en général les
cordons
postérieurs sont diminués dans la direction anté-
ont diminués dans la direction anté- ro-postérieure. Du côté où les
cordons
postérieurs sont plus mal développés, 'la subst
élatineuse de Rolando, in- diquée très faiblement. Phot. 30. -Les
cordons
postérieurs sont encore plus diminués dans la di-
ués dans la di- rection antéro-postérieure ; celle 'des moitiés des
cordons
postérieurs, qui dans la coupe précédente était
se de Rolando, sous forme d'un corps allongé touchant d'un côté aux
cordons
postérieurs. En même temps que la diminution de
rs. En même temps que la diminution des fibres myéliniques dans les
cordons
postérieurs, il faut encore remarquer dans la m
ouve la substance gélatineuse de Rolando, limitée d'un côté par les
cordons
postérieurs et la périphérie par un faisceau ét
nettement coloré de fibres myéliniques, les- quelles vont jusqu'aux
cordons
postérieurs. En dedans de ces fibres arciformes
ve la racine spinale du nerf trijumeau. Dans la moelle épinière les
cordons
postérieurs ne sont pas développés à un plus ha
est restée sans changements, présente : le faisceau fondamental du
cordon
antérieur, le faisceau de Gowers, le cordon lat
faisceau fondamental du cordon antérieur, le faisceau de Gowers, le
cordon
latéral, élargi outre mesure d'un côté parce que
le canal central quelque peu élargi dans la direction arrière. Les
cordons
postérieurs d'un côté, notamment du côté où se tr
les pyramides et où la partie abaissée du bulbe est suspendue sur les
cordons
latéraux, passent dans la moelle allongée, par
direction horizontale la verticale. Là où les fibres verticales des
cordons
pos- térieurs finissent, à leur extrémité posté
lon médian longitudinal postérieur, ayant une position penchée, les
cordons
pos- térieurs se séparent de la moitié voisine.
ordons pos- térieurs se séparent de la moitié voisine. En avant des
cordons
postérieurs, dans cette dernière moitié de la m
e la moelle épinière et fusionnée déjà avec elle, était séparée des
cordons
postérieurs du côté voisin par le sillon médian l
dinal posté- rieur. Cette coupe nous montre, que du côté opposé les
cordons
postérieurs ont considérablement augmenté de vo
s. Du côté opposé, les fibres myéliniques horizontales, passant des
cordons
postérieurs de la moelle épinière dans l'allongée
âce à l'accumulation de masses grises, correspondant aux noyaux des
cordons
postérieurs. En avant des fibres myéliniques, c
ons postérieurs. En avant des fibres myéliniques, correspondant aux
cordons
postérieurs et à leurs noyaux au bord de la moe
mièrement formée se trouvent des fibres myéliniques verticales, des
cordons
postérieurs. Dans la périphérie elles sont entour
l se réunissent des fibres myéliniques, commen- çant aux noyaux des
cordons
postérieurs et s'entrecroisant sur la ligne mé-
mé- diane. Elles se réunissent entre les faisceaux fondamentaux des
cordons
anté- rieurs, lesquels ont en grande partie pas
s anté- rieurs, lesquels ont en grande partie passé en arrière. Les
cordons
latéraux sont amincis. Comme dans les coupes pr
pondant aux pyramides. A l'extérieur des faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs, des deux côtés passent des fibres m
ace de la corne antérieure et latérale apparaissent les olives. Les
cordons
latéraux disparaissent et à leur place apparaît l
ngée nous trouvons les fibres myéliniques, appartenant au reste des
cordons
postérieurs ; ils n'ont pas la même structure,
aractère en soit analogue, comme dans les deux cas pré- cédents.Les
cordons
postérieurs de la moelle épinière passent dans la
elle est suspendue la moelle allongée (Phot. 32). Ensemble avec les
cordons
postérieurs dans la partie abaissée du bulbe ra
x- ternes ; du côté opposé nous rencontrons toutes ces parties (les
cordons
postérieurs, la substance gélatineuse de Roland
ormale. Ensuite, plus haut et dans la moitié opposée (Phot. 33) les
cordons
postérieurs sont un peu déplacés en arrière et
dons postérieurs et se placent entre les faisceaux fondamentaux du
cordon
antérieur. Ce cas est encore intéressant parce
éressant parce que les pyramides sont placées seulement dans un des
cordons
latéraux. Cas IV (PI. XXX). Contrairement il
la moelle cervicale avant le commence- ment du bulbe rachidien. Les
cordons
antérieurs et latéraux sont bien déve- loppés.
t latéraux sont bien déve- loppés. Le canal central est élargi. Les
cordons
postérieurs dans leur partie dor- sale sont mal
les et ne contiennent pas de fibres myéliniques. Des deux côtés des
cordons
postérieurs nous trouvons la substance gélatineus
latineuse de Rolando, qui est limitée en arrière par une partie des
cordons
postérieurs et par les racines postérieures.
e sans changements, seulement le canal central est plus étroit, les
cordons
postérieurs sont déplacés en arrière, et en rai
ns postérieurs sont déplacés en arrière, et en raison de ce que les
cordons
latéraux avancent latéralement des Nouvelle Ico
NTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 261 deux côtés, par suite en arrière des
cordons
latéraux, il s'est formé des fis- sures, dans l
es, dans lesquelles nous trouvons les racines postérieures ; avec les
cordons
postérieurs est reculée la substance gélatineus
eurs est reculée la substance gélatineuse de Rolando. Les côtés des
cordons
postérieurs forment la lettre S dont le bord anté
ent la lettre S dont le bord antérieur limite la partie dorsale des
cordons
latéraux. Ainsi, comme dans les cas précédents,
partagée en deux moi- tiés : 1° antérieure, où nous retrouvons les
cordons
antérieurs et latéraux avec les cornes antérieu
antérieures et postérieures, et 2° postérieure, où nous voyons les
cordons
postérieurs, limités aux côtés par la substance g
t avec la coupe précédente. Les fibres myéliniques, appartenant aux
cordons
postérieurs, sont disposées aux deux côtés de la
ux de Goll et de Burdach, placés en avant d'eux. Des deux côtés des
cordons
postérieurs on aperçoit nettement la substance
s sensitives, et ici nous voyons que les faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs sont reculés, entre eux est placée la
és des faisceaux fondamentaux marchent les racines antérieures, les
cordons
latéraux sont diminués de volume et à leur plac
e est située la substance réticulaire. A cause de la diminution des
cordons
latéraux, les fissures, placées sur les côtés de
avec les cas précédents, et comme là les principaux concernent les
cordons
postérieurs. Au commencement la quantité défibr
a quantité défibres myéliniques a dimi- nué (Phot. 37), ensuite les
cordons
postérieurs reculent (Phot. 38) et en- tre la p
le canal central de la moelle épinière, sont frappés avant tout les
cordons
postérieurs et que le canal central se déplace da
us remarquons son élargissement. Par la dislocation mécanique des
cordons
postérieurs de la moelle al- longée à cause de
e que sa partie dorsale est placée derrière la moelle épinière, les
cordons
postérieurs de la moelle épinière ont dû complète
n. Au lieu d'aller dans la direction verticale jusqu'aux noyaux des
cordons
postérieurs,- ils doivent prendre la direction ho
rendre la direction horizontale ; nous voyons dans tous les cas les
cordons
postérieurs dans la moelle épi- nière disparaît
ée s'abaisse sur un côté de la moelle épinière, nous voyons que les
cordons
postérieurs d'une moitié seulement de la moelle
bientôt après cela. et de l'autre moitié de la moelle épinière les
cordons
postérieurs passent dans la moelle allongée. La
f, jusqu'au moment où apparaît entre les faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs la couche du ruban de Reil.L'apparit
lle épinière et placées dans l'isthme,finissent dans les noyaux des
cordons
postérieurs et disparaissent ; sur le plancher du
elle donnent le résultat suivant : 378 SWITALSKI rieurs. Dans les
cordons
antéro-latéraux on voit une sclérose du faisceau
ans celui de Gowers. Région dorsale moyenne. La zone de sclérose du
cordon
postérieur est plus petite, mais la disparition
ig. 1). Région dorsale supérieure et cervicale inférieure. Dans les
cordons
pos- térieurs,les faisceaux de Goll sont le siè
l sont le siège d'une sclérose. Dans les parties pos- térieures des
cordons
antéro-latéraux à la périphérie de la moelle il e
régions cervicales supérieures la zone de sclérose occupe dans les
cordons
postérieurs seulement les 2/3 de la partie postér
cordons postérieurs seulement les 2/3 de la partie postérieure des
cordons
de Goll, elle est large à la périphérie de la m
, présentent toujours une dégénérescence ainsi que tout le reste du
cordon
antéro-Iatéral, comme nous l'avons signalé plus h
s coupes du bulbe une dégénérescence des fibres dans les noyaux des
cordons
de Goll. Le nombre des cellules est dimi- nué ;
ions suivantes : Dans la moelle, dégénérescence des fibres dans les
cordons
de Goll, dans les faisceaux cérébelleux directs
tres. Au microscope on constatait une dégénérescence des fibres des
cordons
postérieurs des faisceaux pyramidaux croisés et
ce grais- seuse. Dans le bulbe existait une atrophie des noyaux des
cordons
de Goll, de Burdach et des noyaux des cordons l
rophie des noyaux des cordons de Goll, de Burdach et des noyaux des
cordons
latéraux, atrophie du faisceau cérébelleux, des
constatait des altérations desnoyaux de sfaisceaux de Burdach, des
cordons
latéraux, celle des noyaux des nerfs glossopharyn
en certains endroits à des dimensions remarquablement petites. Les
cordons
postérieurs et les cordons antérieurs peuvent ê
dimensions remarquablement petites. Les cordons postérieurs et les
cordons
antérieurs peuvent être considérés comme à peu pr
être considérés comme à peu près normale- ment développés, mais les
cordons
latéraux sont réduits à une mince bande- lette
proche des cornes pos- térieures. Si nous reprenons chacun de ces
cordons
en particulier, voici ce que nous Fig. 4. - Rég
s. V. Racine antérieure. 394 VASCHIDE ET VURPAS observons : Les
cordons
postérieurs ont un volume inégal en raison d'une
ostérieure, sur- tout postéro-interne. Sur une certaine étendue des
cordons
de Goll et de Bur- dach la dégénérescence s'éte
ll et de Bur- dach la dégénérescence s'étend davantage au niveau du
cordon
de Goll. Le faisceau antérieur qui correspond a
le. La cinquième coupe intéresse la région dorsale. A ce niveau les
cordons
postérieurs semblent normalement développés. On
s çà et là, surtout à la partie postérieure et postéro-interne. Les
cordons
antérieurs sont à peu près normalement dévelop-
es cordons antérieurs sont à peu près normalement dévelop- pés, les
cordons
latéraux sont plus développés et mieux conservés
395 La sixième coupe porte au niveau de la région lombaire. Ici les
cordons
postérieurs sont de volume égal et normalement
n remarque que beaucoup de fibres n'ont pas de myéline (Fig. 6). Le
cordon
antérieur semble normalement développé; cependant
certain nombre de fibres ne sont pas myélinisées à ce niveau. Le
cordon
latéral est réduit à une courte bandelette qui pr
e çà et là quelques gaines étouffées par la sclérose sur le bord du
cordon
latéral et dans le cordon postérieur. A la régi
étouffées par la sclérose sur le bord du cordon latéral et dans le
cordon
postérieur. A la région lombaire, on retrouve e
ction des fibres de la zone de Lissauer, entre le bord ex- terne du
cordon
postérieur, la zone spongieuse de la substance gé
e spongieuse de la substance gélatineuse la corne postérieure et le
cordon
latéral. Cette raréfaction se prolonge légère-
faction se prolonge légère- ment dans l'angle postéro-interne de ce
cordon
latéral. Au carmin, on peut constater une sclér
ut constater une sclérose plus marquée à ce point que dans les deux
cordons
voi- sins. Cette zone, on le sait, formée de fi
la maladie de Paget, avaient décrit comme telle les altérations des
cordons
postérieurs qu'ils avaient rencontrées dans deu
aréfaction notable des fibres nerveuses, dans la partie moyenne des
cordons
postérieurs et dans la zone radiculaire postérieu
la localisation des lésions vasculaires. Prédominent-elles sur les
cordons
latéraux, les réflexes seront exagérés, sur les
les sur les cordons latéraux, les réflexes seront exagérés, sur les
cordons
postérieurs, ils seront abolis. Récemment, Curc
ie locomotrice. — Insuf-fisance des procédés employés. — Sclérose des
cordons
postérieurs; sa signification. — Examen à l'œil n
n à l'œil nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des
cordons
postérieurs. Examen macroscopique. — Induration
» il ne faudrait pas croire, toutefois, qu'en appelant sclé-rose des
cordons
postérieurs l'ataxie locomotrice, vous vous trouv
antes que je me borne pour le moment à énoncer sommairement: 1° Les
cordons
postérieurs sont quelquefois atteints de sclé-ros
rtaines lésions de la moelle, primitivement développées en dehors des
cordons
postérieurs, peuvent, à un moment, les envahir da
La lésion à laquelle sont liés les symptômes occupe, en réalité, les
cordons
postérieurs, mais elle occupe systématiquement, d
t à ce mode d'examen que nous devons la découverte de la sclérose des
cordons
postérieurs. Et si je relève ce fait, en pas-sant
Société anatomique un spécimen de la dégéné-ration gélaliniforme des
cordons
postérieurs. Puis, vinrent Monod et Ollivier (d'A
u-chenne (de Boulogne), on parvint à rattacher l'induration grise des
cordons
postérieurs et montrer que la maladie, considérée
tionnelle, est, en réalité, très commune. Outre les altérations des
cordons
postérieurs, l'anatomie macroscopique a décelé :
n du processus morbide. C'est ainsi qu'on a reconnu que la lésion des
cordons
postérieurs, dans l'ataxie locomotrice progressiv
t dans les membres inférieurs. Ajoutons enfin que l'envahissement des
cordons
latéraux par l'induration grise n'avait pas échap
le est dans la sclérose en plaques ou dans la sclérose symétrique des
cordons
latéraux, par exemple. La question paraît aujourd
ossiers, avait suffi cependant pour mettre hors de doute que, dans ce
cordon
mince qu'on appelle la moelle épinière, il existe
'ataxie locomotrice progressive. Les résultats Sclérose limitée aux
cordons
médians ou cordons de Goll. Fig. 1. Région cervic
progressive. Les résultats Sclérose limitée aux cordons médians ou
cordons
de Goll. Fig. 1. Région cervicale. — Fig. 2. Régi
r un point de la région dor- 1 Pierret. — Notes sur la sclérose des
cordons
postérieurs dans l'ataxie loco-motrice progressiv
364.) — Notes sur un cas de sclérose primitive du faisceau médian des
cordons
postérieurs. {Ibid., 1873, p. 74.) acquis, bien
i ont été éluci-dés. Je vous ai laissé pressentir que la lésion des
cordons
postérieurs de la moelle, à laquelle se rattachen
cette sclérose consécutive affecte exclusivement, en pareil cas, les
cordons
médians ou cor-dons de Goll. Il était déjà rendu
oll. Il était déjà rendu vraisemblable par là que, dans l'ataxie, les
cordons
de Goll doivent être exclus de toute participatio
en attentif des lésions que présente la région Sclérose limitée aux
cordons
de Goll. Fig- 3. Coupe au niveau de la 12e vertèb
ue, dans les cas de ce genre, on observe en dehors de la sclérose des
cordons
de Goll — laquelle est à peu près tou-jours prése
arrière et un peu de dehors en dedans ; ces tractus sont séparés des
cordons
de Goll, en dedans, et des cornes grises postérie
it encore à la démonstration de reconnaître un cas où la sclérose des
cordons
de Goll fût absente au ren-flement brachial, bien
écède que, pour ce qui concerne les membres supérieurs, la lésion des
cordons
de Goll ne saurait réclamer aucun rôle dans la pr
nte, à la suite des myélites partielles ; d'après cela, la lésion des
cordons
de Goll ne se produirait à la région cervicale, c
res inférieurs que les membres supérieurs, et cependant la lésion des
cordons
médians faisait défaut ici à la région lombaire,
ique essentiel dans l'ataxie locomotrice progressive. La sclérose des
cordons
mé-dians n'est, au contraire, qu'un fait accessoi
le nom de sclérose fasciculée systématique médiane ou sclé-rosée des
cordons
de Goll; elle existe tantôt à titre d'affection c
érose postérieure. L'autre forme, la sclérose fasciculée latérale des
cordons
postérieurs, ou sclérose des bandelettes externes
sions sclé-reuses, chez les ataxiques, dans une région déterminée des
cordons
postérieurs, qu'on pourrait appeler région des ba
r ce qui est de l'extension si habituelle de la sclérose latérale aux
cordons
médians, nous n'avons pas remarqué jusqu'ici qu'e
a substance grise et les fais-ceaux latéraux, soit en dedans vers les
cordons
médians. Dans le sens vertical, elle s'étend prog
servant la disposition de bandelettes latérales, en même temps que le
cordon
médian devient habi-tuellement le siège d'une scl
re des faisceaux radiculaires internes, il existe en cette région des
cordons
postérieurs, des faisceaux de fibres, éta-blissan
ation, tandis que la lésion des faisceaux de fibres qui composent les
cordons
mé-dians ne paraît pas avoir cet effet. La rela
hie relevait, dans ce cas, de l'extension de la lésion sclé-reuse des
cordons
postérieurs à la corne antérieure grise du côté d
nerveux que le processus irritàtif, primitivement développé dans les
cordons
postérieurs, se sera propagé jusqu'aux extrémités
ades dans les maladies spinales ; leurs rapports avec la sclérose des
cordons
posté-rieurs. — Des douleurs fulgurantes et des c
ostérieurs ; propagation de la sclérose aux bandelettes latérales des
cordons
postérieurs. Type classique de l'ataxie locomot
is, à l'anatomie et à la physiologie pathologiques de la sclérose des
cordons
pos-térieurs, que le manque de temps m'a forcé de
ve ou liée au mal de Pott, tumeurs comprimant la moelle dorsale), les
cordons
pos-térieurs sont affectés de sclérose dans toute
retentir, par une action à distance sur les régions supérieures de ce
cordon
nerveux. C'est ce que met bien en lumière une exp
partielles de la moelle dor-sale reste strictement limitée, dans les
cordons
postérieurs, aux faisceaux médians ; telle est du
n que je propose à leur sujet. En outre de la sclérose fasciculée des
cordons
médians postérieurs, il existe presque toujours,
le, une sclérose plus ou moins prononcée de la région postérieure des
cordons
latéraux. Cette sclérose latérale ascendante rest
nte de-meure, comme c'est la règle, limitée aux faisceaux médians des
cordons
postérieurs, on n'observe dans les membres su-pér
essaire. Vous n'avez pas oublié, en effet, que les faisceaux médians (
cordons
de Goll) peuvent être sclérosés sans que les doul
pareille circonstance, que les pla-ques scléreuses avaient envahi les
cordons
postérieurs qu'el-les occupaient dans une grande
is, mais devant être rattachée tou-jours,, cependant, aune lésion des
cordons
postérieurs, lésion que l'anatomie pathologique f
s cas, j'ai reconnu à l'au-topsie une lésion fasciculée extensive des
cordons
postérieurs, pouvant rendre compte de la présence
ique — ils permettraient de diagnostiquer l'ataxie ou la sclérose des
cordons
postérieurs, si déjà elle existe, ou d'en prévoir
uer, pour s'en rendre compte, quelque complication tabétique, car les
cordons
pos-térieurs, examinés avec soin lors de l'autops
pathie ne pouvait être rattachée à la lé-lésion commune et banale des
cordons
postérieurs. Il fallait chercher ailleurs. Par
l'espèce et qui, en réa-lité, domine la situation, — la sclérose des
cordons
posté-rieurs ! J'en ai fini, Messieurs, avec le
ue présente la moelle au milieu du canal rachidien. Vous savez que ce
cordon
nerveux, recouvert de son enveloppe propre, la pi
dure-mère et la moelle, occasionnent prompte-ment l'aplatissement du
cordon
nerveux et les phénomènes qui en sont la conséque
e certains fais-ceaux de la moelle : au-dessus, elles intéressent les
cordons
postérieurs et au-dessous les cordons latéraux. E
u-dessus, elles intéressent les cordons postérieurs et au-dessous les
cordons
latéraux. Enfin, la lésion ne porte que sur une m
ue, à un moment donné, les lésions en question se présentent dans les
cordons
envahis avec tous les caractères de la sclérose i
moelle paraît jusqu'à un cer-tain degré douée de sensibilité dans les
cordons
postérieurs, si l'on en juge tout au moins par le
e, elles amènent un résultat analogue, en produisant l'irritation des
cordons
nerveux après leur sortie du rachis (anévrysme ao
moelle en travers ou ne portent que sur une des moitiés latérales du
cordon
nerveux. Premier cas: Succession des symptômes.
iées. Second cas : Lésions portant sur une des moitiés latérales du
cordon
nerveux. — Circonscription de la lésion. — Hémipa
travers ; tantôt elle ne porte que sur une des moi-tiés latérales du
cordon
nerveux. C'est le premier cas, — de beaucoup le p
condaire, laquelle occupe, dans le premier cas, la partie médiane des
cordons
postérieurs et, dans le second cas, la partie la
postérieurs et, dans le second cas, la partie la plus postérieure des
cordons
latéraux. Depuis quelques semaines, quelquefois
gidité musculaire. Ce phénomène, en rapport avec l'interruption des
cordons
blancs, et plus spécialement des cordons latéraux
port avec l'interruption des cordons blancs, et plus spécialement des
cordons
latéraux, est con-forme, vous le voyez, aux donné
usculaires, autant de sym-ptômes qui relèvent encore de la lésion des
cordons
latéraux mais qui indiquent déjà qu'une cause d'e
remiers symptômes qu'on puisse rapporter à la myélite descendante des
cordons
latéraux. C. Enfin survient la contracture perm
être rattachée, elle aussi, à la lésion scléreuse que présentent les
cordons
laté-raux dans le segment inférieur de la moelle.
s restiformes, ils pourraient être suivis expérimenta-lement dans les
cordons
antérieurs de la moelle jusqu'à l'issue des 3°-5e
lésion doit avoir, par conséquent, interrompu le cours des fibres des
cordons
postérieurs et antéro-latéraux d'un côté et simul
rienter, que la compression porte, par exemple, sur le côté gauche du
cordon
nerveux, ainsi que cela avait lieu dans un fait d
paraissent accolés l'un à l'autre ; au contraire, la moitié droite du
cordon
médullaire présente encore dans les points les pl
ions motrices volontaires des membres thoraciques occu-pent, dans les
cordons
antérieurs de la moelle cervicale, un plan plus s
es dor-sales et ayant déterminé par compression un ramollissement des
cordons
antérieurs dans la région correspondante de la mo
se de la névroglie; foyers de désinté-gration; sclérose partielle des
cordons
antéro-latéraux ; atrophie des racines antérieure
importante du centre spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce
cordon
central de substance grise est un lieu de passage
— et qui constitue aussi un des symptômes des maladies scléreuses des
cordons
blancs antéro-latéraux parvenues à un certain deg
ce d'une atrophie des cornes antérieures de la substance grise et des
cordons
blancs antéro-latéraux, dans la région de la moel
ns, dans notre observation, une atro-phie avec sclérose partielle des
cordons
antéro-latéraux et une atrophie très prononcée de
nes spéciaux, et s'étendent même parfois aux parties adjacentes des
cordons
antéro-latéraux, il n'en est pas moins vrai que,
e j'adhère complète-ment, les scléroses systématiquement limitées aux
cordons
postérieurs doivent être rattachées à une irritat
Même recueil, 1874, p. 603.) hir une grande partie de la hauteur du
cordon
nerveux, de telle sorte que, par exemple, la régi
faisceaux latéraux de la moelle épinière, dans toute la hauteur de ce
cordon
nerveux. Cette sclérose fasciculée peut même être
e latérale amyotrophique ; localisation de la lésion spinale dans les
cordons
latéraux — Raisons de cette localisation fournies
s par l'étude du développement de la moelle épinière. — Formation des
cordons
latéraux, des faisceaux de Col] et des faisceaux
e se sépare par aucune li-gne de démarcation appréciable du reste des
cordons
antéro-latéraux. Mais la surprise cesse bientôt
lle épinière. En effet, on reconnaît alors aisément que la partie des
cordons
antéro-latéraux dans laquelle le processus inflam
formeront ultérieurement ce qu'on dési-gne d'ordinaire sous le nom de
cordons
postérieurs. Les faisceaux latéraux n'existent
âgé d'un mois et demi. — a, b, c, etc., comme dans la figure 14. — /,
cordon
latéral. Fig. 14. — C. de la moelle d'un embryo
moins étendue encore. Elle n'occupe guère que le quart postérieur des
cordons
latéraux. Il est à remarquer que, en dehors, elle
e, dans la sclé-rose latérale amyotrophique, la lésion symétrique des
cordons
latéraux, d'où résultent la paralysie et la contr
aissies, sont seules la cause de l'augmentation du volume apparent du
cordon
nerveux. La pie-mère est affeclée, elle aussi,
eu lieu dans l'observation de m. Barth, — la sclérose symétrique des
cordons
latéraux se combine avec l'atrophie pro-gressive
a-tion anatomique dont nous disposons aujourd'hui. Fig. 29. — A, A,
cordons
latéraux; — A', faisceaux de liirck. — B, B, zone
s. — D, D, cornes antérieures. — F, zone radiculaire antérieure. — E,
cordons
de Goll. si perfectionnées ; c'est, toutefois u
ovisoire ; sa justification ; — sclérose symé-trique et primitive des
cordons
latéraux. — Tabes dorsal spasmodique et tabès dor
es disséminées, des paraplégies par compres-siO'i, de la sclérose des
cordons
antéro-latéraux, de la myélite chronique, etc. «
lésion, quelle qu'elle soit, restait limitée à une moilié latérale du
cordon
nerveux, la symptomatologie s'accuserait, suivant
nêvrysme de l'aorte. — La moelle épinière présentait une sclérose des
cordons
postérieurs, caracté-ristique de l'ataxie locomot
antôt arrondis, tantôt ovalaires; ces foyers siègent surtout dans les
cordons
blancs lalé-raux ou postérieurs ; mais on les ren
de la sub-stance grise. Il se prolonge en avant, clans l'épaisseur du
cordon
antéro-latéral du même côté, suivant la direction
s des parois du foyer sanguin, dans la partie la plus postérieure des
cordons
postérieurs par exemple, on trouve des espaces à
voisinage immédiat, mais encore bien au-dessous de ce foyer, dans les
cordons
latéraux (Myélite descendante consécutive), à peu
antérieures et l'absence complète de toute teinte grise au niveau des
cordons
latéraux. Muscles D'une façon générale, les mus
nt épaissies. Des portions de substance blanche prise au centre des
cordons
latéraux à la région cervicale et à la région lom
scularisées que d'habi-tude. Dans toute l'étendue de la moelle, les
cordons
latéraux propre-ment dits, les faisceaux de Tiirc
des faisceaux radicu-laires antérieurs, allant en s'atténuant sur les
cordons
posté-rieurs. — A la région lombaire, ces diverse
ines de l'hypoglosse et du facial. — Sclérose rubarne, symétrique des
cordons
laté-raux. Catherine Aubel est entrée à la Salp
es mômes dans toute l'étendue de la région. Sur tous les points des
cordons
antéro-latéraux, les cloisons de tissu conjonctif
ssissement, les points où pré-domine ainsi l'altération scléreuse des
cordons
latéraux se mon-trent sous forme de deux petites
ies, placées symétriquement vers la partie la plus postérieure de ces
cordons
, immédiatement en dehors des cornes grises postér
etit nombre. Région lombaire. L'altération scléreuse symétrique des
cordons
latéraux est encore ici très nettement accusée, m
ractères de l'état normal. Observation IL Sclérose symétrique des
cordons
latéraux de la moelle et des pyra-mides antérieur
tance ferme ; il n'y a pas d'atrophie évidente portant sur les divers
cordons
blancs de l'organe. — Les filets d'origine des ne
nt du côté opposé, la formation réticulée et la partie supérieure des
cordons
latéraux. Les cornes antérieures qui, à ce niveau
à la fois sur les cornes antérieures de la substance grise et sur les
cordons
antéro-latéraux. Il est de plus à remarquer, que,
l'organe, qui est par suite devenu asymétrique. (Planches IV et V.)
Cordons
antéro-latéraux. Ils présentent, sur des coupes t
ute la région cervicale, elle occupe, à la partie la plus interne des
cordons
antérieurs, une sorte de triangle dont la base s'
e, cesse d'exister vers la partie inférieure de la région. Dans les
cordons
latéraux, commençant en avant au niveau de l'angl
rs les régions dorsale et lombaire, on voit la sclérose abandonner le
cordon
antérieur et diminuer pro-gressivement d'étendue
er le cordon antérieur et diminuer pro-gressivement d'étendue dans le
cordon
latéral. Dans la région dorsale le cercle de tiss
érieure et forme une sorte d'îlot situé dans la partie postérieure du
cordon
, et entouré de toutes parts par le tissu normal e
ieures. Tout le reste de la sub-stance blanche, et en particulier des
cordons
postérieurs, est exempt d'altérations. Il en est
ration porterait non plus sur les noyaux originels, mais bien sur les
cordons
nerveux après leur issue du bulbe, devraient form
it lieu dans l'observation de M. Barth, — la sclé-rose symétrique des
cordons
latéraux se combine avec l'atro-phie progressive
ion. PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I SCLÉROSE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS Pig. 1 (à gauche). — Coupe transver
a, a, Petits noyaux de sclérose situés dans les rubans externes des
cordons
postérieurs. b, Sclérose du cordon intermédiair
és dans les rubans externes des cordons postérieurs. b, Sclérose du
cordon
intermédiaire. Fig. 1 (à droite). — Coupe trans
Coupe transversale de la région cervicale. «, a, Rubans externes des
cordons
postérieurs ne présentant aucune trace de scléros
ale de la moelle à la région cervicale. Les rubans externes, a, a, le
cordon
médian, b, les cornes postérieures, y compris le
rsale. — a, a, Ilots de sclérose, situés dans les rubans externes des
cordons
postérieurs et rejoignant le point d'émergence de
gion cervicale. a, a, Rubans externes envahis par la sclérose. — b,
Cordon
médian resté intact. Charcot,Syst.nerv., t.II.
t postérieure. — h, Région cervicale inférieure. Sclérose limitée aux
cordons
de Goll. — a, Renflement cervical, id. — e, Régio
nt cervical, id. — e, Région dorsale inférieure. Sclérose diffuse des
cordons
latéraux. — f, Région lombaire. Sclérose latérale
nflement lombaire. Sclérose bien limitée à la partie posté-rieure des
cordons
latéraux. Fjg. 2. — Coupe de la moelle ëpinière
3. ram . ~B ecquet a Paris . PLANCHE IV SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES
CORDONS
ANTÉRO-LATÉRAUX Fig. 1. — Coupe transversale du
e-croisement des pyramides. a, a, Formation réticulée de Deiters et
cordons
latéraux. b, Pyramides antérieures. c, c, Cor
oelle épinière à la partie supérieure du renflement cervical. a, a,
Cordons
latéraux. b, b, Cordons antérieurs. c, c, Cor
supérieure du renflement cervical. a, a, Cordons latéraux. b, b,
Cordons
antérieurs. c, c, Cornes antérieures, p, p, Cor
mplètes. PL. IV. Kg 2. O' PLANCHE V SCLÉROSE SYMÉTRIQUE DES
CORDONS
ANTÉRO-LATÉRAUX Fig. 1 . — Coupe transversale d
de la moelle épinière à la partie moyenne de la région dorsale, a, a,
Cordons
latéraux, c, c, Cornes antérieures. p, p, Cornes
la moelle épinière à la partie moyenne du renflement lombaire, a, «,
Cordons
latéraux, c, c, Cornes antérieures. p,p, Cornes p
ux vaisseaux, les cellules nerveuses y ont complètement disparu. — L,
Cordon
latéral. — P, Cordon postérieur. — T, Faisceau de
lules nerveuses y ont complètement disparu. — L, Cordon latéral. — P,
Cordon
postérieur. — T, Faisceau de Tiirck. — Ces trois
xie locomotrice. — Insuffisance des procédés employés. — Sclérose des
cordons
postérieurs, sa signification. — Examen à l'œil n
n à l'œil nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des
cordons
postérieurs. Examen macroscopique. — Induration
Anatomie topographique microscopique. — Circonscriptions spinales. —
Cordon
de Goll. — Bandelettes externes des faisceaux pos
ades dans les maladies spinales,' leurs rapports avec la sclérose des
cordons
postérieurs.— des douleurs fulgurantes et des cri
moelle en travers ou ne portent que sur une des moitiés latérales du
cordon
nerveux. Premier cas : Succession des symptômes
sociées Second cas : Lésions portant sur une des moitiés latérales du
cordon
ner- veux. — Circonscription de la lésion. — Hé
de la névroglie ; foyers de désingréta-tion ; sclérose partielle des
cordons
antéro-latéraux ; atrophie des racines antérieure
, latérale amyotrophique ; localisation de la lésion spinale dans les
cordons
latéraux. — Raisons de cette localisation fournie
s par l'étude du développement de la moelle épinière. — Formation des
cordons
latéraux, des faisceaux de Göll et des faisceaux
ovisoire ; sa justification ; — sclérose symé-trique et primitive des
cordons
latéraux. — Tabes dorsal spasmodique ; — tabes do
dans la sclérose latérale, 241 ; — dans le tabes spasmodique, 305.
Cordons
, latéraux (Développement des), 237, 238. Cornes
cosurie avec lésion des nerfs optiques, 51. Goll (Développement des
cordons
de), 237. (V. Scléroses.) Goutte et vertige lar
ryonnaire de la), 236. — Ana-tomie topographique de la —, 7, 294. (V.
Cordons
, Goll, Turck). — Affections élémentaires de la
s, 6 0. Sclérose, 6, 483. — Des bandelettes externes, 10, 14. — Des
cordons
de Goll, 13, 14, 24, 32. — Des cordons latéraux,!
lettes externes, 10, 14. — Des cordons de Goll, 13, 14, 24, 32. — Des
cordons
latéraux,!, 25,182,240. —Latérale amyotropkique,
,!, 25,182,240. —Latérale amyotropkique, 217, 241,249. — Lé-sions des
cordons
latéraux, 24(1. — De la substance grise, 214, 451
mulation, 258, 362. — Dia-gnostic avec letabès spasmodique. 320. —Des
cordons
postérieurs, 3, 4. — Par extension de la sclérose
rticulièrement importants : l'un occupe la bandelette externe des
cordons
postérieurs (cordon de Burdach), sert à la cond
rtants : l'un occupe la bandelette externe des cordons postérieurs (
cordon
de Burdach), sert à la conduite des impressions
'ataxie locomotrice progressive; l'autre s'approprie une partie des
cordons
latéraux, celle qu'on désigne aujourd'hui sous
ttes externes des FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE L1 MOELLE. si 5
cordons
postérieurs et sclérose latérale amyotrophique,
lusieurs malades, le développement simultané de la sclérose sur les
cordons
postérieurs et sur les cordons latéraux. La lés
t simultané de la sclérose sur les cordons postérieurs et sur les
cordons
latéraux. La lésion du cordon latéral ne reprod
r les cordons postérieurs et sur les cordons latéraux. La lésion du
cordon
latéral ne reproduisait pas, il est vrai, dans
ce des premières de ces altérations avec une dégénérescence du seul
cordon
latéral, sans partici- pation de la substance g
embres inférieurs. Atrophie grise des nerfs optiques. -Sclérose des
cordons
pos- térieurs et latéraux. - Atrophie des tubes
ue côté un faisceau grisâtre comprenant la moitié postérieure des
cordons
latéraux. Sur la partie moyenne, en arrière, un f
voit plus à l'oeil nu que l'altération de la moitié postérieure des
cordons
latéraux ; 3° il en est de mème sur une coupe f
à des degrés d'intensité divers, suivant les régions, à la fois les
cordons
postérieurs et les cordons la- téraux, où nous
vers, suivant les régions, à la fois les cordons postérieurs et les
cordons
la- téraux, où nous allons successivement les é
cordons la- téraux, où nous allons successivement les étudier. a)
Cordons
postérieurs. - Ils sont indemnes dans la plus g
s intacts, se dessinent plus nettement, immédiatement en dedans des
cordons
sclérosés de Burdach. Les figures 6, 7, 8 et 9
ssi bien sur la bandelette interne que sur l'externe. Toutefois les
cordons
de Goll sont moins altérés que ceux de Burdach
est le plus accusée. Elle intéresse en effet toute l'épaisseur des
cordons
postérieurs. Plus baut(PL. II, fig. 11 et 12) l
arrête au niveau de l'extrémité inférieure du bulbe rachidien. b)
Cordons
latéraux. Bien qu'il soit plus conforme aux don
s de l'anatomie et de la physiologie de suivre les lé- sions de ces
cordons
de haut en bas, nous décrirons cependant ces lé
supérieure de la moelle, comme nous l'avons fait pour celles des
cordons
postérieurs. La disposition des figures sur les
es exige que nous procédions de la sorte. La sclérose intéresse les
cordons
latéraux dans toute la hauteur de la moelle. No
union de la moelle et du bulbe, elle intéresse toute l'épaisseur du
cordon
latéral (faisceau cérébelleux direct, et faisce
r être complet, l'intégrité absolue des fais- ceaux de Turck et des
cordons
antérieurs dans toute la hau- teur de la moelle
ndue à toute la hauteur de la moelle, intéressant simultanément les
cordons
postérieurs et les cordons latéraux. Cette sclé
la moelle, intéressant simultanément les cordons postérieurs et les
cordons
latéraux. Cette sclérose est surtout accusée au
ns- versale qui recouvre tout le segment postérieur de la moelle (
cordons
latéraux, cornes et cordons postérieurs); au-dess
out le segment postérieur de la moelle (cordons latéraux, cornes et
cordons
postérieurs); au-dessus elle se localise aux co
aux, cornes et cordons postérieurs); au-dessus elle se localise aux
cordons
de Goll et aux cordons latéraux, au-dessous, à
postérieurs); au-dessus elle se localise aux cordons de Goll et aux
cordons
latéraux, au-dessous, à ces mêmes cordons latér
ux cordons de Goll et aux cordons latéraux, au-dessous, à ces mêmes
cordons
latéraux et aux bandelettes de Burdach. II. E
oins dense, en général, dans la partie sclérosée qui correspond aux
cordons
postérieurs que dans celle qui correspond aux c
orrespond aux cordons postérieurs que dans celle qui correspond aux
cordons
latéraux. On voit en effet (PL. III, fig. 14) q
n b, au moins sur les limites de la figure (partie périphérique des
cordons
latéraux), ces gaines et ces cylindraxes font c
ncore détruits. Ces cellules sont en plus grande abondance dans les
cordons
latéraux que dans les postérieurs. f) Ce qui fr
la fois et dans la plus grande partie de la moelle, le système des
cordons
postérieurs et celui des cordons latéraux. Mais
artie de la moelle, le système des cordons postérieurs et celui des
cordons
latéraux. Mais en y regardant de plus près, on
usivement la localisation des lésions. A n'envisager que celles des
cordons
posté- rieurs, il serait bien difficile, il est
est envahi dans les parties basses de la moelle, tan- dis que le
cordon
de Goll est seul intéressé dans les régions éle
férence la région lom- baire. En ce qui concerne l'altération des
cordons
laté- raux, il suffit d'un examen même sommaire
duquel on a été amené à tenir pour synonymes les deux expressions
cordon
latéral et faisceau pyramidal. Or, rien n'est p
a- vaux de MM. Charcot, Bouchard, Flechsig nous ont appris que le
cordon
latéral est un organe complexe constitué par la
'in- diquer avec netteté quelle est la partie ou le système de ce
cordon
qui est altéré. Il est regrettable que quelques
observations. Or, que voyons-nous dans notre cas ? La sclérose du
cordon
latéral affecte-t-elle la même topographie que
nous semble difficile de concevoir une sclérose systémati- que du
cordon
latéral, c'est-à-dire du système pyra- midal, q
obser- vations de sclérose prétendue systématique et limitée aux
cordons
latéraux sans participation des faisceaux de Tü
ystématique ou non des lésions scléreuses intéressant à la fois les
cordons
latéraux et les postérieurs. Mais revenons à no
ème. Cependant, à la région cervicale supé- rieure, la sclérose des
cordons
postérieurs est assez nettement limitée aux fai
IQUE DE LA MOELLE. 59 de la voir coïncider ici avec des lésions des
cordons
postérieurs, qui nous paraissent cependant s'êt
diffuse simulant grossièrement une double sclérose systématique des
cordons
posté- rieurs et latéraux, en un mot à une faus
cor- dons postérieurs, compliquée d'une sclérose symé- trique des
cordons
latéraux)', Westphal (dégénéres- cences combiné
que de la moelle), Babesiu (dégénérescence combinée primitive des
cordons
latéraux et postérieurs) et quelques autres. 60
que de la bandelette externe. Mais cette lésion ne se limite pas au
cordon
de Burdach, elle intéresse en même temps et les
elleux di- rects. Ces derniers faisceaux sont seuls lésés dans le
cordon
latéral. Dans les faits de ce genre, qui ne pa-
celles que nous venons d'indiquer. La sclé- rose, notamment dans le
cordon
latéral, paraissait très exactement limitée au
es conditions géné- ratrices du tabes, les bandelettes externes des
cordons
postérieurs se prennent, voilà la lésion systém
chro- nique qui envahit dans une étendue plus ou moins grande les
cordons
latéraux : voilà la lésion diffuse. Le cas de M
son maximum d'intensité 1 Prévost. Ataxie locomotrice. Sclérose des
cordons
postérieurs, com- pliquée d'une sclérose symétr
des cordons postérieurs, com- pliquée d'une sclérose symétrique des
cordons
latéraux; in Arch. de phys. nornz. et patlaol.,
sclérose de la partie la plus pé- riphérique et la plus reculée des
cordons
latéraux. Or, en examinant attentivement la top
r de la moelle, entre la corne postérieure et la zone scléreuse des
cordons
latéraux, un espace plus ou moins étendu selon
de la pie-mère enflammée que le processus inflammatoire a gagné le
cordon
latéral. Nous aurions quelque tendance à rapp
ous demandons aussi si l'Observation III du 1 Haymond. Sclérose des
cordons
postérieurs et des cordons latéraux, coexistant
servation III du 1 Haymond. Sclérose des cordons postérieurs et des
cordons
latéraux, coexistant chez le même malade. - Pré
ominance ptcsque exclusive des symptômes spéciaux à la sclérose des
cordons
latéraux, in Archiv. de phys. norl1l. etpath.,
s une sorte de sclérose corticale qui in- téresse la périphérie des
cordons
latéraux et s'étend plus ou moins loin en avant
e transverse. Au-dessus de ce foyer, on aura une dégénérescence des
cordons
de Goll, associée ou non à celle des faisceaux
intensité vers la partie supérieure de la région dorsale et dans le
cordon
latéral. Ce qui frappe, au premier abord, c'est
dante, manifeste portant, à la région cervicale, sur la totalité du
cordon
de Goll. En second lieu, de la première à la tr
troisième dorsale, il existe une lésion qui intéresse également les
cordons
latéraux, lésion que prouve une dégénérescence
des régions dorsale et lombaire. Quant aux lésions qui occupent les
cordons
latéraux et postérieurs, leur maxi- mum est sit
gion dorsale supérieure et cervicale inférieure que la sclérose des
cordons
postérieurs et latéraux était le plus accusée.
irrégulièrement de chaque côté, sur les fais- ceaux de Burdach. Les
cordons
latéraux sont intéres- sés dans une grande part
s de avec une dégénérescence d'une partie plus ou moins étendue des
cordons
antéro-latéraux, dégénérescence caractérisée, cla
Vil. 5 66 PATHOLOGIE NERVEUSE. elle est assez bien localisée aux
cordons
de Goll et aux faisceaux cérébelleux, tandis qu
le inférieure et lombaire, à la hauteur desquelles l'altération des
cordons
postérieurs s'atté- nue et n'est plus représent
résentée que par quelques îlots scléreux disposés sans méthode, les
cordons
laté- raux sont dégénérés dans une partie qui c
stème cen- trifuge (faisceau pyramidal) et du système centripète (
cordons
de Burdach, de Goll et cérébelleux); ou bien qu
soulève plusieurs objections. Relevons tout d'abord l'intégrité des
cordons
de Tûrck et des cornes antérieures qui nous sem
dal. Westphal observe, à la vérité, que l'ab- sence d'altération du
cordon
de Tùrck peut s'expli- quer par un entrecroisem
sclé- rose systématique limitée aux seules fibres centrifuges du
cordon
latéral. Ce qui nous semble militer surtout en
idaux. De plus, fait important, aux régions cervicale et dorsale le
cordon
de Tùrck était lésé du côté droit. Corrélativem
e-rendu, 1882). En résumé, parmi les cas de sclérose combinée des
cordons
postérieurs et latéraux qui figurent dans la li
le corps était insuffisamment développé, si bien que la lésion des
cordons
, d'après les auteurs de l'observation, pourrait
yeux sur la figure 16 (PL. III). En A est représentée la coupe d'un
cordon
FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 71 t
al dégénéré consécutivement à une lésion céré- brale, en B celle du
cordon
latéral de la moelle de Sarrazin, aux confins d
des artérioles dilatées et comme variqueuses, aussi bien dans les
cordons
latéraux que dans les posté- rieurs. D'autre
tions de la plupart des cas de tabes. Qu'il y ait des scléroses des
cordons
postérieurs, développées pri- mitivement autour
mment en d'autres sièges ? Pourquoi vouloir qu'elle fasse, dans les
cordons
postérieurs médullaires, autre chose que ce qu'
sidérations cliniques. SJnahtomalologie des lé- sions combinées des
cordons
postérieurs et latéraux. - Après avoir étudié l
EUSE. tomatologie qui résulte de l'association d'une sclérose des
cordons
latéraux à une sclérose des faisceaux postérieu
dent du siège de la lésion, non de sa nature. Peu importe que les
cordons
latéraux et postérieurs soient touchés par tel
n des premiers et de celle des seconds. Or, les lésions isolées des
cordons
postérieurs se traduisent par les douleurs (ful
de troubles sensitifs (hyperes- thésies et anesthésies); celles des
cordons
latéraux, du moins du faisceau pyramidal, par d
AUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 81 saut simultanément les
cordons
postérieurs et laté- raux, quelles sont les man
antes, celles qui ressortissent aux premiers ou aux derniers de ces
cordons
? Les faits vont nous ré- pondre. Chez notre
symptômes, placés évidemment sous la dépendance de la sclérose des
cordons
de Burdach, nous faisons allusion aux douleurs
nomènes prédominants ont été ceux qui dé- pendaient de la lésion du
cordon
latéral, à savoir : la paralysie avec contractu
édo- minance presque exclusive des symptômes de la sclé- rose des
cordons
latéraux, bien que les postérieurs fussent lésé
rale a maintenu ses droits en dépit de la lésion coïnci- dente des
cordons
postérieurs, et a pu faire prédominer sa sympto
es derniers, en effet, on constate, que tandis que la sclérose du
cordon
latéral s'étend dans la plus grande partie de l
ir, il est des scléroses combinées, intéressant simultanément les
cordons
latéraux et postérieurs, dans lesquels, la FAUS
lus franche. Mais, dans ces cas en général, la lésion propagée au
cordon
latéral est, nous l'avons vu, toute périphé- ri
la sclérose est aussi prononcée que possible sur les deux ordres de
cordons
(posté- rieurs et latéraux), et, bien que la sy
PATHOLOGIE NERVEUSE. qu'il existàt une dégénérescence scléreuse du
cordon
latéral dans toute l'étendue de la moelle, il y
du tableau clinique que présentent des scléroses diffusées aux deux
cordons
de la moelle. L'antagonisme qui existe entre ce
i, au contraire, cette sclérose laisse intacte une bonne partie des
cordons
postérieurs, la sclérose latérale reconquiert t
« Lorsqu'il existe, dit cet auteur, une affection com- binée des
cordons
postérieurs et latéraux, il ne sur- vient ni ri
vient ni rigidité musculaire ni contracture, si l'affec- tion des
cordons
postérieurs s'étend jusqu'au renfle- ment lomba
moelle aux parties moyennes. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du
cordon
de Goll. PLANCHE 111 . Fig. 13. Moitié droite
passant par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des
cordons
postérieurs. G, Sclérose du cordon latéral. c
de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieurs. G, Sclérose du
cordon
latéral. c, Corne postérieurr. Fig. 13. -Tube
urune coupe IoniVulinale. Tulie variqueux. Frr. 1G. - A, coupe d'un
cordon
latéral atteint de dégénérescence secondaire.
cordon latéral atteint de dégénérescence secondaire. Il, Coupe du
cordon
latéral dans notre cas. a, Tube nerveux avec cy
nerveux; - 2° une fille, mort-née par strangulation (circulaires du
cordon
) ; - 3° une fille, morte de convulsions à treiz
, ni avec le segment interne du pédoncule cérébe]leux; - 20, que le
cordon
cunéiforme passe en partie dans le corps restif
on cunéiforme passe en partie dans le corps restiforme; 3° que le
cordon
latéral dans le cervelet se termine dans le vermi
nérescence descendante à travers le pont, la moelle allongée et les
cordons
pyramidaux de la moelle. La localisation de la
a langue, dans le cours d'une ataxie locomotrice. « La sclérose des
cordons
pos- térieurs de la moelle paraît avoir débuté,
psie a, d'ailleurs, révélé chez elle l'existence de la sclérose des
cordons
postérieurs. Or, cette malade présentait, entre
s établissent la limitation de la dégénéres- t- cence scléreuse aux
cordons
postérieurs chez des indi- vidus qui, durant le
trouvées à l'autopsie ne mentionne, dans ce cas, aucune lésion des
cordons
antéro-Iatéraux de la moelle, ni de la substanc
contre, il y avait une dégénérescence scléreuse très étendue des
cordons
postérieurs, avec épaississement très pro- nonc
forme de bande, ne s'étendant pas beaucoup au delà des limites des
cordons
postérieurs; l'arachnoïde s'amincit rapidement
ons aient dépassé les limites du système sensitif, je veux dire des
cordons
postérieurs. Eh bien ! si les paralysies qui se
part, que le processus d'irritation chronique paraît se propager du
cordon
de Burdach à ces cornes par l'intermédiaire de
rdre : il n'en existe point dans les dégénérations descendantes des
cordons
latéraux, ni dans la sclérose latérale amyotrop
de cette nature, soient bien celles de la sclérose systématique des
cordons
postérieurs. Ces lésions semblent en effet être p
lement les altérations aiguës qui frappent presque exclusivement le
cordon
moteur cérébro-spinal. La terminaison fatale qu
rescence secondaire du faisceau py- ramidal croisé, à droite, et du
cordon
de Türck, à gauche. Observation IV. Embarras de
que côté du sillon postérieur. A un degré avancé de la maladie, les
cordons
postérieurs sont affectés dans toute la hauteur
vant le sillon médian postérieur. Quant à la zone antérieure des
cordons
postérieurs, elle demeure presque toujours indemn
ieur. La moelle cervicale est d'assez bonne heure atteinte dans les
cordons
de Goll dont le seg- ment postérieur se trouve
it ensuite, en cette région, l'impression anatomo-pathologique. Les
cordons
postérieurs de la moelle cervicale présentent d
l'altération ; ainsi, à la périphérie postérieure et en dehors des
cordons
de Goll (aire postéro-externe) la dégénéres- ce
s postérieures (identité des fibres de ces racines et de celles des
cordons
postérieurs). Les cordons latéraux demeurent no
fibres de ces racines et de celles des cordons postérieurs). Les
cordons
latéraux demeurent normaux dans tout leur par-
ité des groupes de fibres qu'il est permis de distin- guer dans les
cordons
postérieurs , rapprochée de ceux des faisceaux
nomie est bien réelle, car du moment où les lésions portent sur les
cordons
latéraux (pyramides, cer- velet), ainsi que sur
tade initial du tabes, mais peut-être une anomalie innée dans les
cordons
postérieurs de la moelle. P. K. XXIX. CONTRIBUT
d'oedème et de gangrène, rapprochée de la per- ception évidente des
cordons
artériels en question ainsi que de l'intégrité
bes nerveux en dehors des foyers. Suprà : faible dégénérescence des
cordons
de Goll ; infrà : foyer myélitiqne dans la part
Goll ; infrà : foyer myélitiqne dans la partie postéro-médiane des
cordons
latéraux, tuméfaction de la névroglie des cordons
stéro-médiane des cordons latéraux, tuméfaction de la névroglie des
cordons
postérieurs jusque dans la moelle lombaire infé
la forme de myélite disséminée. Les dégénérescences secondaires des
cordons
postérieurs expliquent et l'absence de réflexes t
dineux et celle des raideurs et contractures malgré la lésion des
cordons
latéraux. La double sensation d'une seule pointe
les caractères de la myélite parenchymateuse ordonnée soit dans les
cordons
, soit sur toute la coupe transversale de l'orga
; l'autopsie de ce dernier pa- tient révélait la dégénérescence des
cordons
postérieurs et laté- raux, l'atrophie des nerfs
s noyaux de ces nerfs; la lésion spinale est une dégénérescence des
cordons
postérieurs et latéraux de lamoelle. Le lien an
e conjonctive, dégénérescence graisseuse), dégénérescence grise des
cordons
postérieurs, dégénérescence vi- treuse cérébro-
l'espèce, était en même temps atteint de sclérose et d'atrophie des
cordons
postérieurs excessivement accusées. Laissant de c
genou, et, 378 SOCIÉTÉS SAVANTES. qu'elle indique une lésion des
cordons
postérieurs'. Il pense qu'il n'existe aucun rap
oelle aux pai ties moyennes. a, Sclérose latérale. b, Sclérose du
cordon
de Goll. Archives de Neurologie. T VII PL. II
passant par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des
cordons
postérieurs. b, Sclérose du cordon latéral. c
de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieurs. b, Sclérose du
cordon
latéral. c, Corne postérieure. Fig. 15. Tube
sur une coupe longitudinale. Tube variqueux. Fig. 16. A, coupe d'un
cordon
latéral atteint de dégénérescence secondaire.
cordon latéral atteint de dégénérescence secondaire. B, Coupe du
cordon
latéral dans notre cas. a, Tube nerveux avec cy
sitive des pyramides et reliait, par l'intermédiaire des noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach, les cordons postérieurs
r l'intermédiaire des noyaux des cordons de Goll et de Burdach, les
cordons
postérieurs de la moelle au lobe occipital (Fig
, dégénérescence qui peut être suivie-dans la partie postérieure du
cordon
latéral du côté opposé de la moelle. admit, en
elle des fibres.si tuées le long du sillon médian antérieur dans le
cordon
antérieur de la moelle du même côté. Tiirck établ
stinction entre la partie des voies pyramidales qui se rend dans le
cordon
latéral du côté opposé et la partie non croisée q
cordon latéral du côté opposé et la partie non croisée qui aboutit au
cordon
anté- rieur de la moelle; 2° Que dans les lés
ulaire); il occupe la partie interne de la pyramide (coupe 5) et le
cordon
antérieur homolatéral. - Cbr, région moyenne du
connexion 'avec une cellule de l'olive bulbaire et pénètre dans le
cordon
postérieur droit. - fb', fibre des couches profon
n connexion avec une cellule de l'olive droite et se continue avec le
cordon
postérieur gauche. - fat, cordon antéro-latéral
live droite et se continue avec le cordon postérieur gauche. - fat,
cordon
antéro-latéral de la moelle cervicale. - flp, cor
r gauche. - fat, cordon antéro-latéral de la moelle cervicale. - flp,
cordon
postéro- latéral de la moelle cervicale. - fl (
rdon postéro- latéral de la moelle cervicale. - fl (coupes G et 1),
cordon
latéral de la moelle et du bulbe. - Fp, cordon
fl (coupes G et 1), cordon latéral de la moelle et du bulbe. - Fp,
cordon
postérieur. - g, substance gélatineuse de Rolando
et sa continuation avec le faisceau latéral du [bulbe (coupe 5) et le
cordon
latéral de la moelle (coupe Cf. Lp, la partie p
ulbe (coupes 3 et 4); sa continuation avec la partie postérieure du
cordon
latéral de la moelle (coupes 5, 6, 1). - Lg, li
roisement moteur des pyramides ; elles occupaient dans la moelle le
cordon
antérieur, le long du sillon médian antérieur.
ent inférieur ou moteur des pyramides, puis se continuaient dans le
cordon
latéral du côté opposé de la moelle épinière (Fig
des pyramides (Fig. 51, coupe 5), puis se rendaient aux noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach et se continuaient indire
s de Goll et de Burdach et se continuaient indirectement avec les
cordons
postérieurs de la moelle. Meynert, eu égard aux
otale de la pyramide, atrophie qui peut être suivie (jusque dans le
cordon
latéral du côté opposé de la moelle. Carville et
bres arciformes inter- réticulaires gauches (firfa), des noyaux des
cordons
de Burdach et de Goll gauches (\G, \B), du côté
bras de ce tubercule; sur le ruban de Reil médian et les noyaux des
cordons
de Z3ztrdacJt et de Goll; sur les pédoncules cé
arcifor- mes inLerréLiculaires gauches (fai a), des noyaux des
cordons
de Goll (NCG a), et de l3ur- dach (NCl3 a) ga
roisement de la pyramide gauche hypeitrophiée : elle envoie dans le
cordon
latéral droit un volumineux faisceau pyramidal
al droit un volumineux faisceau pyramidal croisé (FPyc), et dans le
cordon
latéral gauche un fascicule compact de fibres p
se (xPy) sur la Fig. 155 et envoie des travées névrogliques dans le
cordon
latéral gauche. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 gra
très rapidement, se perd (Fig. 158) dans la masse des fibres du
cordon
latéral gauche et met à nu une petite zone de s
ite s'entre-croise incomplètement; une petite partie se porte dans le
cordon
latéral du côté croisé (faisceau pyramidal croi
trouve aucun vestige des faisceaux pyramidaux croisé ou direct; le
cordon
latéral croisé est simple- ment plus petit que
r le carmin ou la méthode de Rosin (lng. ta9) que l'on trouve dans le
cordon
latéral croisé et dans le cordon antérieur dire
(lng. ta9) que l'on trouve dans le cordon latéral croisé et dans le
cordon
antérieur direct une légère tache de sclérose név
par le renllement cervical. 11 n existe à la partie postérieure du
cordon
antérieur droit et du cordon latéral gauche, que
11 n existe à la partie postérieure du cordon antérieur droit et du
cordon
latéral gauche, que deux petites taches de sclé
atrophie de toute la moitié gauche de la moelle (substance grise et
cordons
blancs). Méthode de Itosin. 6/1 grandeur nature
du bulbe, de Y entre-croisement sensitif du bulbe et des noyaux des
cordons
de Goll (NCG) et de Burdach (\C13) du côté oppo
al croisé (F'yc),un faisceau pyramidal direct et des fibres pour le
cordon
latéral du même côté -fibres pyramidales- homol
la corne antérieure du même côté (Fig. 151, 156, 162) et se rend au
cordon
latéral de la moelle du même côté, où il se pla
ramides. La pyramide gauche saine, mais hypertrophiée, abandonne au
cordon
latéral gauche un faisceau compact de fibres pyra
faisceau compact de fibres pyramidales homo-latërales (fPyh), et au
cordon
latéral droit un volumineux faisceau pyramidal cr
des libres arci- formes internes gauches et du feutrage du noyau du
cordon
de Burdach gauche (.NI». Cas Cogery. Hémi- pl
on de volume des fibres arciformes internes croisées et du noyau du
cordon
de Burdach croisé, ainsi qu'une disparition parti
dire le long du sillon médian antérieur et à la partie postérieure du
cordon
latéral. La partie périphérique du cordon antér
la partie postérieure du cordon latéral. La partie périphérique du
cordon
antéro-latéral paraît également moins riche en
tiel (Fig. 32), bulbaire (Fig. 233) et médullaire; la périphérie du
cordon
anléro-latéral présente la même pauvreté en fib
rétrograde et diminuant de haut en bas, du thalamus aux noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach. Mais cette diminution de
an de Reil mé- dian, et relient le thala- mus. aux noyaux des
cordons
postérieurs croisés par l'inter- médiaire du
ssure ainsi les connexions de la couche optique avec les noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach du côlé opposé, et par le
ll et de Burdach du côlé opposé, et par leur intermédiaire avec les
cordons
postérieurs croisés de la moelle épinière. Le
a fixité de la glande pinéale, fixité qui est encore assurée par un
cordon
fibreux qui relie le sommet de la glande à la p
les connexions admises : 1 Entre le corps de Luys et les noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach par l'intermédiaire du ru
ait, assurant ainsi les connexions entre ce corps et les noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach; la plus grande partie cont
oit avec la commissure de Meynert et relierait ainsi les noyaux des
cordons
postérieurs de la moelle avec le globus pallidu
ndraient du ganglion ciliairc, du ganglion cervical supérieur et du
cordon
sympathique, se diviseraient en abordant le nerf
érieur. - fai, fibres arciformes internes du bulbe. - NCB, noyau du
cordon
de Burdach. - NCG, noyau du cordon de Goll. - N
ternes du bulbe. - NCB, noyau du cordon de Burdach. - NCG, noyau du
cordon
de Goll. - Nci, noyau central inférieur. - Nfl, n
fibres de la pyramide d'un côté se rend après décus- sation dans le
cordon
latéral du côté opposé de la moelle et constitue
Il se porte très obliquement en bas et en dedans, et se rend dans le
cordon
antérieur du même côté de la moelle dont il lon
. Enfin la pyramide envoie encore quelques fibres directes, dans le
cordon
latéral du même côté de la moelle. Ce sont les
sation fait totalement défaut, toutes les fibres se rendant dans le
cordon
antérieur homolatéral de la moelle (Voy. IVe pa
edans et limiter en dehors la pyramide ' antérieure qu'il sépare du
cordon
antérieur de la moelle. Plus rarement, il se po
on supérieure du faisceau de Gowers. En bas, il se fusionne avec le
cordon
latéral de la moelle épinière; en haut, il attein
s parties exler- nes de cette région et forment deux gros et courts
cordons
aplatis qui con- ' 1 vergent en haut et sont re
e, ci une partie supérieure, évasée, formée de chaque côté par deux
cordons
divergents, les corps restiformes (Crst), et su
partie cylindrique comme la moelle épinière, par l'apposition des
cordons
postérieurs; il l'est dans sa partie supérieu
el se réduit à la moelle à une légère dépression. La séparation des
cordons
postérieurs de la moelle est établie, F ! G. 3
ossette inférieure, ou noyau de terminaison des nerfs mixtes. CB.
cordon
de Burdach. - CG. cordon de Goll. -Crsl, corps
noyau de terminaison des nerfs mixtes. CB. cordon de Burdach. - CG.
cordon
de Goll. -Crsl, corps restiforme. - et, eminenl
les et se continuent sur un grêle et étroit cor- don médullaire, le
cordon
de Goll (CG) (cordon grêle, funiculus gracilis).
sur un grêle et étroit cor- don médullaire, le cordon de Goll (CG) (
cordon
grêle, funiculus gracilis). La partie renflée,
du bulbe (Cruveilhier), renferme un amas ganglionnaire, le noyau du
cordon
de Goll. Les corps restiformes (Crst) (corpora
s restiformes (Crst) (corpora restiformia, processus resli- formes,
cordons
cunéiformes, pyramides latérales, crura cerebclli
ral du bulbe et qui se continuent sans ligne de démarcation avec le
cordon
de Burdach (CB) de la moelle épinière. Verticau
trijumeau. Chez l'enfant nouveau- né, on remarque en outre, dans le
cordon
latéral de la moelle, un faisceau myélinisé qui
sont unis au-devant cle la substance blanche du nodule par un petit
cordon
transversal qui se prolonge de chaque côté en d
Le sillon longitudinal médian est bor- dé de chaque côté par deux
cordons
lon- gitudinaux cylindriques el saillants, les
'aile grise extrême à la face interne, ventriculaire des noyaux des
cordons
postérieurs (Ncp); que le funiculus séparons co
de Stilling et à la couche optique du côté opposé. Ils forment deux
cordons
compacts et aplatis, obliques en haut et en ded
protubérance et la pyramide anté- du bulbe, et se prolonge dans les
cordons
antéro-latéraux de la moelle épinière : c'est l
description de cette coupe, p. 679, coupe H 16, Fig. lui46.) Cil,
cordon
de Burdach CG, cordon de Goll. - Crsl, corps rest
oupe, p. 679, coupe H 16, Fig. lui46.) Cil, cordon de Burdach CG,
cordon
de Goll. - Crsl, corps restiforme. - PU, faisceau
(Voy. description de cette coupe, p. G8G, coupe H21, Fig. 41.) Ca,
cordon
antérieur de la moelle. - CII, cordon de ]3urdach
G8G, coupe H21, Fig. 41.) Ca, cordon antérieur de la moelle. - CII,
cordon
de ]3urdach. - CG, cordon de Goll. - Cl, cordon
Ca, cordon antérieur de la moelle. - CII, cordon de ]3urdach. - CG,
cordon
de Goll. - Cl, cordon latéral de la moelle. - C
e la moelle. - CII, cordon de ]3urdach. - CG, cordon de Goll. - Cl,
cordon
latéral de la moelle. - Coa, corne antérieure. Co
ES CENTRES NERVEUX Avec le noyau juxta-olivaire in- terne et le
cordon
antérieur de la moelle. 1\Iode de décussa-
e fibres qui recouvre la corne antérieure et qui appartient déjà au
cordon
antérieur de la moelle épinière. La décussation
qu'ils refoulent en arrière, et forment à la partie postérieure du
cordon
latéral de la moelle le faisceau pyramidal croi
rticipent pas à la décussation, mais descendent directement dans le
cordon
antérieur homolatéral de la moelle épinière, le
e faisceau pyramidal direct. Le faisceau pyramidal fournit enfin au
cordon
latéral du même côté un très petit nombre de fi
térieure homola- térale et descendenl dans la partie postérieure du
cordon
latéral de la moelle. Elles présentent dans leu
ect au delà de sa décussation jusque dans la partie supé- rieure du
cordon
latéral de la moelle, où les fascicules sont en o
lions ganglionnaires avoisinantes; d'autres enfin descendent dans le
cordon
latéral homolatéral de la moelle épinière. Dans
icielles (fPyhs) contournant l'olive bulbaire et descendant dans le
cordon
latéral homolatéral de la moelle. Elles sont pa
iphérie antéro-externe du bulbe (Fig. 387), puis descendent dans le
cordon
latéral homolatéral (Fig. 388 et 389) en avant
re moyenne et inférieure, la voie pédonculaire abandonne parfois au
cordon
latéral homolatéral de la moelle un petit Fibre
flé- chissent au-dessous de l'olive, toutes deux descendent dans le
cordon
latéral de la moelle, soit en arrière de l'oliv
ains faisceaux auxquels ils appartiennent; tels sont les noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach qui servent d'origine à la
entral inférieur (Nci, coupes H7,H8, Fig. 397, 398), et le noyau du
cordon
antérieur (Nr, coupe H 11, Fig. 399) et plus en
ntérieur (Nr, coupe H 11, Fig. 399) et plus en dehors les noyaux du
cordon
latéral (NI ta, Nltp, coupes H 16, H17,H18,Fig.
s gris, étroit, le noyau respiratoire de Mislawsky (Nr) ou noyau du
cordon
antérieur (nucleus funiculi anlerioris d'Oberslei
. Son aspect dans la région bulhalro moyenne. Les noyaux du
cordon
latéial. Son aspect au niveau de l'entre- c
gris plus ou moins bien délimités, connus sous le nom de noyaux du
cordon
latéral ou de noyaux latéraux du bulbe (N1L) (c
e la formation réticulée grise, on trouve, en arrière des noyaux du
cordon
latéral et dans toute la hauteur de l'émergence
e, et s'étend de la substance gélatineuse de Rolando et du noyau du
cordon
de Burdach au noyau juata-olivaire externe (cou
stituent les fibres arciformes, puis se rendent dans les noyaux des
cordons
de Goll (NG) et de Burdach (NB). La formation
jusqu'à la substance gélatineuse de Rolando (SRg) et aux noyaux des
cordons
de Goll (NG) et de Burdach (NB). Les trabécules
(Voy. description de cette coupe, p. 681, coupe H17, Fig. 4ri.) CB,
cordon
de Burdach. - CG, cordon de Goll. - Cl, cordon an
e coupe, p. 681, coupe H17, Fig. 4ri.) CB, cordon de Burdach. - CG,
cordon
de Goll. - Cl, cordon antéro-latéral de LUI moe
H17, Fig. 4ri.) CB, cordon de Burdach. - CG, cordon de Goll. - Cl,
cordon
antéro-latéral de LUI moelle. - Crst, corps res
, fibres interré- üculées. - Fs, faisceau solitaire. - YB, noyau du
cordon
de Burdach. - VG, noyau du cordon de Goll. - No
aisceau solitaire. - YB, noyau du cordon de Burdach. - VG, noyau du
cordon
de Goll. - Nom, noyau de v. Monakow, ou partie ex
de plus en plus à la périphérie du bulbe et se continuent L avec le
cordon
antéro-latéral de la moelle. Au niveau du colle
iculée blanche longent la corne antérieure et se continuent avec le
cordon
antérieur (Ca) de la moelle. Quant à la formation
iculée grise (SRg), ses fibres longitudinales se continuent avec le
cordon
antéro-- latéral (CI) de la moelle, tandis que
grise centrale par le faisceau pyramidal croisé qui se rend dans le
cordon
latéral de la moelle et elle se présente alors so
. description doucette. coupe, p. G8G, coupe H 20, Fig. 450.) Ca,
cordon
antérieur de la moelle. - CB, cordon de Burdach.
8G, coupe H 20, Fig. 450.) Ca, cordon antérieur de la moelle. - CB,
cordon
de Burdach. CG, cordon de Goll. - Cl, cordon an
0.) Ca, cordon antérieur de la moelle. - CB, cordon de Burdach. CG,
cordon
de Goll. - Cl, cordon antéro-latéral. - Col, co
ur de la moelle. - CB, cordon de Burdach. CG, cordon de Goll. - Cl,
cordon
antéro-latéral. - Col, corne latérale ou processu
eticulares de [Lenhossek. - Cop, corne postérieure. - NI3, noyau du
cordon
de [Burdach. - NG, noyau du cordon de Goll. - P
corne postérieure. - NI3, noyau du cordon de [Burdach. - NG, noyau du
cordon
de Goll. - Py, pyramide antérieure du bulbe au
ide antérieure du bulbe et sa continuation en grande partie avec le
cordon
latéral croisé de la moelle, et en petite partie
le cordon latéral croisé de la moelle, et en petite partie avec le
cordon
antérieur du même côté; mais ils croyaient que
té; mais ils croyaient que le corps restiforme se prolongeait dans le
cordon
postérieur de la moelle, et admettaient que le
, que l'entre-croisement supérieur du bulbe provient des noyaux des
cordons
postérieurs, et on l'appela entre-croisement se
our les uns (Iluguenin, Roller, Flechsig) les fibres des noyaux des
cordons
postérieurs se rendaient après entre-croisement d
de des coupes microscopiques sériées, que les fibres des noyaux des
cordons
postérieurs et de l'entre-croisement supérieur
hypothèse de Meynert sur la participation des fibres des noyaux des
cordons
postérieurs à la constitution de la partie extern
le mieux différencié. Il tire son origine principale des noyaux des
cordons
postérieurs de la moelle épinière, contribue à
ésignée sous le nom de région du ruban de Reil médian. Noyaux des
cordons
postérieurs (Ncp). -Les noyaux des cordons post
Reil médian. Noyaux des cordons postérieurs (Ncp). -Les noyaux des
cordons
postérieurs (NCp) ou noyaux de Goll (\`G) et de
s en dedans, a la substance gélalinenes f ic. 402. - Les noyaux des
cordons
postérieurs aux confins des corps restiforme et
e coupe, p. 6î3, coupe H13, Fig. 443.) Cp, extrémité supérieure des
cordons
postérieurs. NCp, masse commune aux noyaux des
périeure des cordons postérieurs. NCp, masse commune aux noyaux des
cordons
postérieurs. - Crsl, corps restiforme. - fas, fib
. )-, fibres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des
cordons
postérieurs et s'entre-croisant à la partie pos
te rapidement d'épaisseur (coupe H7,Fig. 400), se continue avec les
cordons
postérieurs de la moelle et segmente la masse g
etit noyau irrégulièrement déchiqueté, plongé au sein des fibres du
cordon
postérieur el uui à la masse principale par des t
oy. description de cette coupe, p. 683, coupe H18, Fig. 448.) Ca,
cordon
antérieur de la moelle faisant suite à la formati
ur de la moelle faisant suite à la formation réticulée blanche. C13
cordon
de Burdach. cn, cordon de Goll. - Cl, cordon laté
suite à la formation réticulée blanche. C13 cordon de Burdach. cn,
cordon
de Goll. - Cl, cordon latéral. - Coa, corne antér
réticulée blanche. C13 cordon de Burdach. cn, cordon de Goll. - Cl,
cordon
latéral. - Coa, corne antérieure. fil', fibres
n; elle est. entourée en cupule par une épaisse couche de fibres du
cordon
posté- rieur qui la sépare, en dedans, du noyau
1, p. 685 à 687) d'épais fascicules de fibres qui rayonnent dans le
cordon
de Burdach (coupes H18, H20, Fig. 403, 101). To
par une extrémité libre, aplatie latéralement et plongée au sein du
cordon
postérieur de la moelle (Fig. 426, p. 630). Les
e et externe) représentent les noyaux de terminaison des libres des
cordons
postérieurs de la moelle ; ils sont situés sur
yramide antérieure, entre cette dernière, la partie fondamentale du
cordon
antérieur et le noyau juxta-olivaire interne (c
nt à for- mer les fibres arciformes interréticulécs (fil'). - Ca.
cordon
antérieur. Coa, corne antérieure. - noyau du sp
et avec des fibres d'origines variées dont les unes proviennent des
cordons
antéro-latéraux de la moelle, les autres du cor
udinal postérieur (Flp). S".\O : '\YJIlE : partie posté- rieure des
cordons
antérieurs de Gratiolet et de Stilling; faisceau
s postérieures de ce faisceau jusque dans la partie postérieure des
cordons
antérieurs do la moelle dont il procède. Faisce
. Arch. f. Psych., XXI, 1890, p. 897. - Sappey et DUVAL. Trajet des
cordons
nerveux qui relient le cerveau à la moelle épiniè
e verticale de l'arbre de vie du vermis. Bt, bourgeon terminal. ça,
cordon
antérieur. - Cp, cordon postérieur de la moelle
de vie du vermis. Bt, bourgeon terminal. ça, cordon antérieur. - Cp,
cordon
postérieur de la moelle. - fai, fibres arciform
u bulbe. Ilp, faisceau longitudinal posté- rieur. - V CI3, noyau du
cordon
de Hurdach. NCG, noyau du cordon de Goll.- Vci, n
al posté- rieur. - V CI3, noyau du cordon de Hurdach. NCG, noyau du
cordon
de Goll.- Vci, noyau central inférieur. - Nft,
noijau de Goll (NCG) terminé par une extrémité effilée, et par le
cordon
postérieur (Cp) de la moelle épinière; l'autre,
. 400. - Les fibres du raphé, les stries acoustiques et le noyau du
cordon
de Goll. Coupe sagittale médiane SI bis du tron
de la fig. 407. 2/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. Cp,
cordons
postérieurs.- j'ai, fibres arciformes internes
térieur de la protubérance. - iVct,c, noyau arqué. - NCG, noyau du
cordon
de Goll.- Np, noyaux pontiques. - Nxn, noyau de
sceau longitudinal postérieur (Flp) peut être suivi jusque .dans le
cordon
antérieur (Ca) de la moelle ; il sépare, à la lim
rieure et inférieure du bulbe, on aperçoit la section des noyaux du
cordon
postérieur : le noyau du cordon de Burdach (NCB)
n aperçoit la section des noyaux du cordon postérieur : le noyau du
cordon
de Burdach (NCB) adossé à la substance grise, e
e détachent un grand nombre de fibres arciformes (fai), le noyau du
cordon
de Goll (NCG), avec son extrémité effilée, entour
e Goll (NCG), avec son extrémité effilée, entouré par les fibres du
cordon
postérieur de la moelle (Cp). Le noyau du cordo
ar les fibres du cordon postérieur de la moelle (Cp). Le noyau du
cordon
de Goll est en réalité plus long qu'il ne le para
médian. - bru, bran- che verticale de l'arbre de vie médian. - CI,
cordon
latéral. - Cp, cordon postérieur. ' 1 cEp, crêt
che verticale de l'arbre de vie médian. - CI, cordon latéral. - Cp,
cordon
postérieur. ' 1 cEp, crête épendymaire tapissan
ubérantielles antérieures, moyenne» et postérieures. NCI3, noyau du
cordon
de Burdach. - Nit, noyau latéral du bulbe. - Noe,
gris allongé de la partie inférieure de la coupe, compris entre le
cordon
postérieur (Cp) et le cordon latéral (CI) de la m
férieure de la coupe, compris entre le cordon postérieur (Cp) et le
cordon
latéral (CI) de la moelle, appartient à la substa
du cervelet. - Fcc, faisceau central de la calotte. - NCB, noyau du
cordon
de Burdach. - ND, noyau de Deiters. - Nt, noyau
a coupe est le noyau de Monakow situé dans la partie supérieure des
cordons
postérieurs, aux confins du corps restiforme. La
de Reil médian (Rm) dans son trajet protubérantiel, les noyaux des
cordons
de Goll (NCG) et de Burdach (\C13) et la substanc
moelle cervicale. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cp,
cordons
postérieurs de la moelle. - Cusl, corps restiform
ux de Monakow (N.11) et de Burdach (\'13) et sa continuation avec les
cordons
postérieurs de la moelle. - Fcc, faisceau centr
bulbe. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - NB, NCB, noyaux du
cordon
de Burdacli.- NCG, noyau du cordon de Goll. - NII
postérieur. - NB, NCB, noyaux du cordon de Burdacli.- NCG, noyau du
cordon
de Goll. - NII, noyau externe de Burdach ou noy
aisceau de Gowers (FG) et quelques fibres originaires des noyaux du
cordon
postérieur du côlé opposé; ces dernières sont h
substance grise de la moelle épinière du côté opposé, monte dans le
cordon
antéro-latéral de la moelle, en avant du fais-
onné, et qu'elle contient en outre des fibres en connexion avec les
cordons
antéro- latéraux de la moelle; que la couche inte
du faisceau longitudinal postérieur (Flp) qui se prolongent dans le
cordon
antérieur de la moelle ou qui en dérivent; la p
nle1'1'éticlllée con- tient surtout des fibres en connexion avec le
cordon
latéral de la moelle, fibres qui se terminent d
n et leur si- tuation, qui ont été désignés sous le nom de noyau du
cordon
antérieur (Bechte- rew), de noyau respiratoire
descendante sensitive du t1'ijumeau (Vsd) et appartiennent déjà aux
cordons
postérieurs du bulbe el tie la moelle épinière.
nature. Cj, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Cp,
cordons
postérieurs de la moelle. - Fcd, faisceau céréb
ore et sa substance grise se transforme petit à petit en noyaux des
cordons
postérieurs de la moelle. Quant aux fibres du cor
orps restiforme (ou en proviennent) et dans une partie des noyaux des
cordons
postérieurs qui leur sont homologues. Sur les c
omologues. Sur les coupes suivantes elles font place aux fibres des
cordons
postérieurs. La grosse racine sensitive descend
mal sur cette coupe, en arrière des fascicules qui vont former les
cordons
postérieurs, et en avant des fibres de la forma
ieure de l'olive bulbaire (Oi), la partie supérieure des noyaux des
cordons
postérieurs (NCp) et les fibres radiculaires des
e de Rolando (SgR) qui lui est annexée, sont apparus les noyaux des
cordons
postérieurs (\Cp), amas gris diffus, contenant un
sse racine sensitive descendante du trijumeau et qui apparlient aux
cordons
postérieurs (Cp). Les parties externe et anlérieu
ties externe et anlérieure de ces fibres peuvent être rattachées au
cordon
de Burdach, bien qu'il n'existe encore il TOME
ette hauteur aucune indication permettant d'établir une séparation en
cordon
de Goll et cordon de Burdach. Les fibres des
indication permettant d'établir une séparation en cordon de Goll et
cordon
de Burdach. Les fibres des cordons postérieurs
séparation en cordon de Goll et cordon de Burdach. Les fibres des
cordons
postérieurs (Cp) n'atteignent pas la périphérie p
disposées en une couche mince, étroite et curviligne qui contourne le
cordon
postérieur (Cp) et la grosse racine sensitive d
re et les noyaux juxta-olivaires, le corps restiforme, les noyaux des
cordons
pos- térieurs de la moelle, la formation réticu
. ·'r18, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nalure. Cp,
cordons
postérieurs. - Crst, corps restiforme. - fcb, fib
Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué des pyramides. NCp, noyaux des
cordons
pos- térieurs. - Nlt, noyau latéral du bulbe. -
1'éticulaÏ1'es (fir), naissent du feutrage de fibres des noyaux des
cordons
postérieurs (NCp), traversent en fascicules ondul
nsitives qui, prenant leur origine dans les cellules des noyaux des
cordons
postérieurs (NCp), montent dans la couche inter
quatrième ventricule recouvre ensuite la face interne du noyau des
cordons
postérieurs. Coupe H 14 (Fig. 44t.). - Cette co
rs inférieur de l'olive (Oi) et la partie supérieure des noyaux des
cordons
postérieurs (NCp). La surface de section du bul
faisceau horizontal qui occupe la périphérie du bulbe, entoure les
cordons
postérieurs (Cp), la racine descendante du trij
ar la laque hématoxylinique et leurs connexions avec les noyaux des
cordons
postérieurs (Ncp). Elles s'en- tre-croisent dan
ue hématoxylinique; elle se continue plus bas avec la périphérie du
cordon
latéral de la moelle, com- FIG. 44 - La région
aire inférieure. L'obex et le ventricule d'Arentius. Les noyaux des
cordons
postérieurs etl'entre-croisement piniforme du bul
hode Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, extrémité supérieure des
cordons
postérieurs de la moelle. - Crst, corps restiform
fir, fibres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des
cordons
postérieurs et concourant il l'en- (re-croiseme
Fs. faisceau solitaire. Narc, noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noyaux des
cordons
postérieurs. Nil, noyau latéral du bulbe. - non
e fente sagittale et s'insinue en arrière entre les deux noyaux des
cordons
postérieurs. - Cette disposition, ainsi que la di
iformes intel'1'éticull : es (fir), et se portent vers le noyau des
cordons
postérieurs (NCp). Elle est adossée en outre au
u nerf spinal ou accessoire de Willis (XIe paire). Les noyaux des
cordons
postérieurs (NCp) présentent un aspect spécial, i
tement défaut dans les amas gris qui occupent la partie externe des
cordons
postérieurs, et qui d'aspect plus homogène, rel
ALE. 079 leurs fibres en connexion 'avec le corps restiforme et les
cordons
postérieurs de la moelle, ne participent à la f
ment sensitif, enfin par une délimitation plus nette des noyaux des
cordons
postérieurs en noyau de Goll (NG) et noyau de l
c (NB). FIG. \,4,5. - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des
cordons
postérieurs, les fibres arciformes interréticul
la Fig. 418, p. 615. Méthode Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp,
cordons
postérieurs de la moelle. Crst, corps restiforme.
be - Fs, faisceau solitaire. - Varc, noyau arqué. - sCp, noyaux des
cordons
postérieurs. Alla, noyau latéral antérieur du b
une simple encoche et ne sépare pas profondément les deux noyaux du
cordon
de Goll (NG). Entre ces noyaux, on trouve un pr
e l'olive bulbaire. Le noyau juxta-olivaire interne. Les noyaux des
cordons
postérieurs; les fibres arciformes interréticul
Fig. 418, p. 015. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. CI3,
cordon
de Burdach. CG. cordon de Goll. Crst, corps resti
de de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. CI3, cordon de Burdach. CG.
cordon
de Goll. Crst, corps restiforme. - fil', fibres
ulées. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. NI3, noyau du
cordon
de Burdach. NG, noyau du cordon de Gull. - Alla,
- Narc, noyau arqué. NI3, noyau du cordon de Burdach. NG, noyau du
cordon
de Gull. - Alla, noyau latéral antérieur du bul
(Crst), réduit à un volumineux faisceau lioi i- zontal, étendu des
cordons
postérieurs (CG, CB) au noyau arqué (Narc) et aux
jusqu'à l'épais faisceau de fibres qui longe la base des noyaux des
cordons
postérieurs (NB, NG). Ces fibres appartiennent
ticulées ou leznniscales, prennent leur origine dans les noyaux des
cordons
postérieurs et entrent dans la constitution de la
et qui, sur les coupes suivantes, se continuent avec les fibres des
cordons
antero-latéraux de la moelle. La formation réti
ise mal délimités, et que l'on rat- tache en général aux noyaux des
cordons
latéraux (Nlt). A la périphérie latérale du bul
ig, forme le faisceau latéral du bulbe (Fit) et se continue avec le
cordon
luléral de la moelle épinière. Un autre conglom
égulière. Fir. il ? - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des
cordons
postérieurs et l'en- tre-croisement piniforme.
Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. GIS,
cordon
de Burdach. - CG. cordon de Goll. - Cl, cordon an
de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. GIS, cordon de Burdach. - CG.
cordon
de Goll. - Cl, cordon anlero-latéral de la moelle
randeur nature. GIS, cordon de Burdach. - CG. cordon de Goll. - Cl,
cordon
anlero-latéral de la moelle. - Crst, corps rest
bulbe. - fil', fibres arciformes interre- ticulees. - NB, noyau du
cordon
de Burdach. - NG, noyau du cordon de Goll.-Nll,no
interre- ticulees. - NB, noyau du cordon de Burdach. - NG, noyau du
cordon
de Goll.-Nll,noyau latéral du bulbe. - NM, noya
laque héma- toxylinique : le faisceau latéral du bulbe en avant, le
cordon
postérieur de la moelle en arrière. Ce dernier
subdivise ainsi nettement la masse auparavant unique des noyaux des
cordons
postérieurs. Noyaux de Goll et de Burdach ne so
tés parun feu- trage de fibres et par l'épaisse couche de fibres du
cordon
postérieur qui le recouvre. Son bord postérieur
rmation réticulée blanche a laquelle fait suite dans cette région, le
cordon
antérieur de la moelle (Ca). Toute la moitié
core mal la formation réticulée grise, mais qui déjà appartiennent au
cordon
681 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. antéro-la
ne, la substance spongieuse de la corne postérieure. Les noyaux des
cordons
postérieurs sont moins proéminents et moins volu-
et duquel se détachent de nombreuses fibres qui s'irradient dans le
cordon
de Burdach ou cordon cunéiforme (CB) considérable
t de nombreuses fibres qui s'irradient dans le cordon de Burdach ou
cordon
cunéiforme (CB) considérablement accru ; -, cel
h d'une sorte de cupule. Sur la coupe H 19 (Fig. 449) les fibres du
cordon
de Burdach sont si denses et nombreuses, qu'elles
g. 418, p. 015. Méthode [de Weigert-Pal. 0/1 grandeur nature. Ca,
cordon
antérieur de la moelle. - CIS, cordon de Burdach.
Pal. 0/1 grandeur nature. Ca, cordon antérieur de la moelle. - CIS,
cordon
de Burdach. - CG, cordon de Goll. - - Ci, cordo
Ca, cordon antérieur de la moelle. - CIS, cordon de Burdach. - CG,
cordon
de Goll. - - Ci, cordon latéral du bulbe. - Coa
la moelle. - CIS, cordon de Burdach. - CG, cordon de Goll. - - Ci,
cordon
latéral du bulbe. - Coa, corne antérieure de la m
if du bulbe (xpin). - FU, faisceau latéral du bulbe. - NB, noyau du
cordon
de I ! urdarh. SI;, noyau du cordon de Goll. - Nw
atéral du bulbe. - NB, noyau du cordon de I ! urdarh. SI;, noyau du
cordon
de Goll. - Nw, noyau du spinal. - ils, pyramide
e-croisement moteur et la région du collet du bulbe. Les noyaux des
cordons
postérieurs et la formation réticulée grise. Coup
Fig.18, p. 615. Méthode de Weigert- Pal. 6/1 grandeur nature. Ca,
cordon
antérieur de la moelle. Cil. cordon de Burdach. C
Pal. 6/1 grandeur nature. Ca, cordon antérieur de la moelle. Cil.
cordon
de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl. cordon anté
ure. Ca, cordon antérieur de la moelle. Cil. cordon de Burdach. CG.
cordon
de Goll. Cl. cordon antéro-latéral de la moelle
rieur de la moelle. Cil. cordon de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl.
cordon
antéro-latéral de la moelle. Coo, corne antérieur
H20 (Fig. 450). La couche de fibres qui le revêt et qui constitue le
cordon
de Goll (CG) est relativement faible, surtout c
ent faible, surtout comparée à la misse considérable e de fibres du
cordon
de Burdach, mais elle s'accroît rapidement de hau
hors la base des cornes antérieures et la mince couche de fibres du
cordon
antérieur (Ca) qui la recouvre, de telle sorte
e dans la partie externe de la formation réticulée, puis occuper le
cordon
latéral (Cl) de la moelle épinière. Dans ce tra
ement et la translation du faisceau pyramidal croisé (FPyc) dans le
cordon
latéral (Cl) de la moelle, s'effectue par gros fa
le faisceau pyramidal (FPyc) n'a pas encore atteint complètement le
cordon
latéral (Cl) de la moelle, et la corne antérieu
g ? r18, p. 013. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Ca,
cordon
antérieur de la moelle. - C13, cordon de Burdach.
Pal. 6/1 grandeur nature. Ca, cordon antérieur de la moelle. - C13,
cordon
de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl, cordon anté
e. Ca, cordon antérieur de la moelle. - C13, cordon de Burdach. CG.
cordon
de Goll. Cl, cordon antéro-latéral du bulbe. Co
eur de la moelle. - C13, cordon de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl,
cordon
antéro-latéral du bulbe. Coa, corne antérieure dé
l, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyramidal croire. NB, noyau du
cordon
de Burdach. NG. noyau du cordon de Goll. - I's&
ceau pyramidal croire. NB, noyau du cordon de Burdach. NG. noyau du
cordon
de Goll. - I's<7. grosse racine sensitive desc
, grâce il son aspect grossièrement fasciculé, du reste des fibres du
cordon
11nté¡'o-laléral de la moelle. Sur la coupe H
itu- dinale et ne se distinguent des autres libres constitutives du
cordon
latéral de la moelle, que par les travées névro
x la base d'insertion delà corne antérieure et la partie moyenne du
cordon
latéral (CI). Il ne faut pas, en effet, considé
Fig. 118, p. 015. Méthode Weigert-Pal. G /1 grandeur nature. Ca,
cordon
antérieur de la moelle. C13, cordon de Burdach. C
al. G /1 grandeur nature. Ca, cordon antérieur de la moelle. C13,
cordon
de Burdach. CG, cordon de Goli. Cl, cordon anté
ure. Ca, cordon antérieur de la moelle. C13, cordon de Burdach. CG,
cordon
de Goli. Cl, cordon antéro-latéral. Coa, corne
rieur de la moelle. C13, cordon de Burdach. CG, cordon de Goli. Cl,
cordon
antéro-latéral. Coa, corne antérieure décapitée.
orne postérieure. Fl' ! fc, faisceau pyramidal croisé. NG, noyau du
cordon
de Goll. l'sl, grosse racine des- cendante sens
aspect triangulaire, à sommet antérieur; sa large base s'adosse aux
cordons
postérieurs (Cop). Elle contient les petites sa
de la substance grise. Le faisceau pyramidal croisé en occupant le
cordon
latéral refoule en arrière la corne postérieure e
a substance grise centrale s'excave sur la ligne médiane et que les
cordons
postérieurs s'étendent dans le sens sagittal, g
de [la Fig. 418. Méthode de Weigert-Pal. 6/i grandeur nature. Ca,
cordon
antérieur. CB, cordon de Burdach. CG. cordon de G
hode de Weigert-Pal. 6/i grandeur nature. Ca, cordon antérieur. CB,
cordon
de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl, cordon anté
i grandeur nature. Ca, cordon antérieur. CB, cordon de Burdach. CG.
cordon
de Goll. Cl, cordon antéro-latéral. CI. racine
Ca, cordon antérieur. CB, cordon de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl,
cordon
antéro-latéral. CI. racine postérieure de la pr
dedans, a corne pos- térieure augmente ainsi d'autant la surface du
cordon
Latéral (CI). Les cordons de la moelle ainsi co
eure augmente ainsi d'autant la surface du cordon Latéral (CI). Les
cordons
de la moelle ainsi constitués paraissent homogène
mulations centrifuges et d'excitations organiques. Ces nerfs sont des
cordons
composés de faisceaux plus grêles, formés de fils
distance, si bien que, suivant l'expression de Dugès, « c'est « un
cordon
noueux plutôt qu'une chaîne. » Un rapprochement p
ment tracé qui divise chacune des moitiés de la tige nerveuse en deux
cordons
. L'un, l'antérieur, est le plus considérable, on
, l'antérieur, est le plus considérable, on le désigne sous le nom de
cordon
antérieur ; l'autre est beaucoup moins épais , c'
nom de cordon antérieur ; l'autre est beaucoup moins épais , c'est le
cordon
postérieur. Voilà une première division. Le gra
, c'est le cordon postérieur. Voilà une première division. Le grand
cordon
antérieur paraît à son tour subdivisé en deux fai
aires. Ces faisceaux sont d'ailleurs peu distincts. L'un d'eux est le
cordon
antérieur proprement dit. L'autre est le cordon l
ts. L'un d'eux est le cordon antérieur proprement dit. L'autre est le
cordon
latéral ou intermédiaire. Un petit fascicule bien
n latéral ou intermédiaire. Un petit fascicule bien distinct borde ce
cordon
à son côté postérieur. Il a reçu le nom de funicu
don à son côté postérieur. Il a reçu le nom de funicule accessoire du
cordon
latéral. Il y a donc dans chaque moelle trois c
accessoire du cordon latéral. Il y a donc dans chaque moelle trois
cordons
principaux. L'antérieur, le moyen, le postérieur;
, le moyen, le postérieur; deux sillons longitudinaux distinguent ces
cordons
. L'un d'eux, assez mal défini, est le sillon laté
postérieures des nerfs spinaux y sont régulièrement implantés. Les
cordons
postérieurs présentent une particularité remarqua
. Cruveilhier, dans son excellent ouvrage, les désigne sous le nom de
cordons
médians postérieurs. Peut-être serait-il mieux de
ian postérieur. Que sont ces funicules? sont-ils une dépendance des
cordons
postérieurs? doit-on les considérer comme formant
nt quatre funicules distincts. Deux de ces funicules représentent les
cordons
antérieurs, les deux autres sont les cordons post
nicules représentent les cordons antérieurs, les deux autres sont les
cordons
postérieurs. Ces cordons postérieurs sont remar
rdons antérieurs, les deux autres sont les cordons postérieurs. Ces
cordons
postérieurs sont remarquables. Plus ils s'avancen
ur leurs côtés, et constituent au niveau de la région lombaire, des
cordons
postérieurs nouveaux. Ces cordons, séparés d'abor
niveau de la région lombaire, des cordons postérieurs nouveaux. Ces
cordons
, séparés d'abord l'un de l'autre par l'extrémité
aux. Ces cordons, séparés d'abord l'un de l'autre par l'extrémité des
cordons
postérieurs de la région caudale, se rapprochent
e, sur les côtés de laquelle se constituent graduellement de nouveaux
cordons
postérieurs par l'adjonction de fibres nouvelles,
nsi dans cette succession de fibres qui se remplacent, l'ensemble des
cordons
postérieurs dans le rachis comprend trois système
et de la région lombaire où les funicules ont reçu le nom impropre de
cordons
médians postérieurs. 2° Le système lombo-dorsal q
gion cervicale où ses extrémités atténuées reçoivent encore le nom de
cordons
médians postérieurs. 3° Enfin, le système cervica
t les deux autres systèmes. En conséquence de ces observations, les
cordons
médians postérieurs sont évidemment dans chaque r
stérieurs sont évidemment dans chaque région, Vextrémité atténuée des
cordons
postérieurs gui viennent des régions situées en a
. Mais cet épuisement successif, et cette reproduction incessante des
cordons
postérieurs dans toute la longueur de la moelle e
illons, qui dans chacune des moitiés de l'axe médullaire séparent les
cordons
composants, doivent être considérés avec beaucoup
sent les racines postérieures des nerfs se continuent avec celles des
cordons
postérieurs. Il n'est pas moins évident que les r
t que les racines antérieures sont annexées au système des fibres des
cordons
antérieurs. Il n'est donc pas étonnant que certai
onnant que certaines propriétés de ces racines se retrouvent dans les
cordons
auxquels elles sont attachées ; aussi, jusqu'à ce
rs temps, avait-on cru à une assimilation parfaite des racines et des
cordons
qui leur correspondent, du moins au point de vue
ences récentes ont fait connaître. Il n'en est pas moins vrai que les
cordons
postérieurs sont exclusivement sensitifs, et les
vrai que les cordons postérieurs sont exclusivement sensitifs, et les
cordons
antérieurs exclusivement moteurs ; ceci demeure a
mportants. La lamelle antérieure est blanche, elle unit entre eux les
cordons
antérieurs. La lamelle postérieure est grise, ell
tudinaux, qui se confondent le plus souvent avec l'arête centrale des
cordons
antérieurs ; mais qui, dans certains animaux tels
els que les ruminants, forment de chaque côté du plan médian un petit
cordon
arrondi. Je donne à ces cordons le nom de cordons
de chaque côté du plan médian un petit cordon arrondi. Je donne à ces
cordons
le nom de cordons longitudinaux de la commissure.
plan médian un petit cordon arrondi. Je donne à ces cordons le nom de
cordons
longitudinaux de la commissure. On doit attacher
paux : l'un qui occupe la limite de la corne antérieure en regard des
cordons
antérieurs; l'autre, qui touche au cordon moyen d
e antérieure en regard des cordons antérieurs; l'autre, qui touche au
cordon
moyen dans le voisinage des faisceaux disséminés.
'intermédiaire entre le système des 'cordons postérieurs et celui des
cordons
antérieurs, bien qu'il semble appartenir plus par
montrés. Outre ces ramifications qui se portent dans le système des
cordons
antérieurs, d'autres prolongements se dirigent en
'autre à la fois, et je serais porté à croire qu'après la section des
cordons
postérieurs, c'est par ces prolongements que les
ensitives. Ces communications des ramifications des cellules avec les
cordons
postérieurs m'avaient longtemps échappé malgré d'
r (1) ; cette double connexion des réseaux cellulaires, soit avec les
cordons
antérieurs, soit avec les cordons postérieurs, so
réseaux cellulaires, soit avec les cordons antérieurs, soit avec les
cordons
postérieurs, soit avec les racines sensitives, so
rieurs de l'axe gris est traversée par des fibres nombreuses qui, des
cordons
moyens d'un côté, passent aux cordons antérieurs
des fibres nombreuses qui, des cordons moyens d'un côté, passent aux
cordons
antérieurs du côté opposé par l'intermédiaire de
t dans les intervalles de ces fibres entrecroisées que sont logés les
cordons
longitudinaux de la commissure (1). La substanc
ombre de loges distinctes par des lames qui, de la face antérieure du
cordon
postérieur, s'avancent dans l'intérieur de l'axe
. Toutes les fibres des cloisons sont longitudinales comme celles des
cordons
postérieurs ; mais on voit dans leur intervalle c
voit dans leur intervalle certaines fibres transversales cheminer des
cordons
postérieurs vers le centre des axes gris. Quelque
coupes transversales de la moelle, démontrent que la limite réelle du
cordon
postérieur du côté de Taxe gris n'est point aussi
de la moelle; car en réalité elle se prolonge au delà sous forme d'un
cordon
grêle enveloppé d'un tube fibreux qu'on peut suiv
us préférerons celui de méat de Sylvius. Dans ce méat sont logés deux
cordons
terminés en deux bandelettes qui, de la base du n
de pyramides antérieures. Ces bandes ne se continuent point avec les
cordons
antérieurs de la moelle proprement dits, ou du mo
oins elles n'émanent point de leurs couches superficielles. Ainsi ces
cordons
antérieurs écartés par elles ne bordent plus le s
oit les deux pyramides se décomposer dans ce lieu en plusieurs petits
cordons
qui s'entrecroisent, ceux de la pyramide droite p
rons ailleurs, caractérise la limite inférieure du bulbe. Quant aux
cordons
antérieurs proprement dits, écartés l'un de l'aut
côtés du bulbe où ils sont toujours plus ou moins confondus avec les
cordons
latéraux. Toutefois les funicules accessoires de
cordons latéraux. Toutefois les funicules accessoires de ces derniers
cordons
demeurent très-distincts, et émettent par leur bo
, et dont nous parlerons ailleurs. Dans la plupart des animaux, les
cordons
antérieurs et latéraux du bulbe sont très-renflés
s-rapprochée de la pyramide dont la sépare seulement une languette du
cordon
antérieur, désignée sous le nom de faisceau inter
e faisceau interne de la silique. Quant à la plus grande partie de ce
cordon
, elle passe au côté externe de l'olive, et consti
de leur inclinaison. Ces faces sont en grande partie occupées par les
cordons
latéraux et par leurs funicules accessoires. En a
est compris dans l'intervalle qui sépare le faisceau moyen d'avec les
cordons
postérieurs, et par conséquent il occupe un espac
ar une expansion de fibres blanches émanées du funicule accessoire du
cordon
latéral; ces fibres se portent vers les cordons p
funicule accessoire du cordon latéral; ces fibres se portent vers les
cordons
postérieurs du bulbe. Ceux-ci, fortement écarté
es les fibres de la protubérance fasciculées et condensées en un gros
cordon
arrondi. Au moment où les fibres antérieures s'
lle cachait aux yeux, apparaissent de nouveau sous forme de deux gros
cordons
divergents. Ces deux cordons sont les pédoncules
ssent de nouveau sous forme de deux gros cordons divergents. Ces deux
cordons
sont les pédoncules du cerveau. Leur description,
erons ici, mais sommairement, de structure. Qu'on se figure deux gros
cordons
fascicules diver géant et s'élargissant légèrem
de se condensent en un faisceau distinct; en ce lieu elles forment un
cordon
arrondi, qui semble émerger de la protubérance el
iron au delà de la protubérance, le pédoncule, d'abord semblable à un
cordon
fascicule, subit une modification remarquable. Se
cornet 5 ce faisceau , composé de fibres d'un blanc nacré, émane d'un
cordon
fibreux logé dans la profondeur du noyau, et que
intervalle angulaire. Dans le point précis de leur écartement, les
cordons
postérieurs font à la surface du bulbe une grande
l'extrémité plonge dans le cervelet 5 d'ailleurs la composition de ce
cordon
diffère ici très-peu de ce qu'elle était dans la
par leurs renflements à une chaîne moniliforme, et, d'autre part, les
cordons
postérieurs proprement dits, qui se dirigent pres
urs dans le bulbe seront faciles à prévoir. En effet, en écartant les
cordons
postérieurs, on doit mettre à découvert le ventri
insi réduite à deux petites lames triangulaires qui s'élèvent sur les
cordons
moniliformes 5 ces lames sont connues sous le nom
l'acoustique vont bien au delà. Or quelle est la signification des
cordons
ou plutôt des tractus gris du quatrième ventricul
résenteraient les tranchants gélatineux. Supposons, en effet, que les
cordons
postérieurs soient très-écartés l'un de l'autre d
rieur du ventricule intermédiaire, se porte, sous la forme d'un petit
cordon
nacré, vers les tubercules quadrijumeaux antérieu
adrijumeaux antérieurs, et s'unit en arcade au-devant d'eux, au petit
cordon
symétrique qui est au côté opposé de l'axe. Cet a
néale et s'unit avec elle ; de là le nom de Rênes, donné à ces petits
cordons
(habenœ). On supposait, en effet, avec Descartes,
très-adhérente au noyau, elle s'en distingue bientôt sous forme d'un
cordon
où la substance blanche l'emporte de plus en plus
on où la substance blanche l'emporte de plus en plus sur la grise. Ce
cordon
continue le mouvement d'enroulement des couches,
rs de la couche optique, s'atténue peu à peu, descend sous forme d'un
cordon
grêle à la face inférieure de l'encéphale, se ren
rons, pour abréger, voûte tout simplement. Elle a pour origine deux
cordons
qui émanent de la base du cerveau, du centre des
de la base du cerveau, du centre des eminences mamillaires. Ces deux
cordons
s'élèvent entre les couches optiques à droite et
que celui-ci se dilate en un vestibule triangulaire, de même ces deux
cordons
s'écartent l'un de l'autre pour longer les deux c
our longer les deux côtés du triangle. Au-delà du vestibule, les deux
cordons
, aplatis en deux bandelettes, s'écartent de plus
sous des cornes frontales des ventricules latéraux, l'œil aperçoit un
cordon
horizontal qui passe d'un corps strié à l'autre.
rçoit un cordon horizontal qui passe d'un corps strié à l'autre. — Ce
cordon
, logé dans un canal particulier et parfaitement d
ompris dans l'épaisseur de la commissure, il a au-devant de lui les
cordons
longitudinaux de cette commissure, puis sa lame b
encéphalique. Ce ventricule enroulé est le troisième ventricule. Les
cordons
longitudinaux sont les piliers de la voûte, la co
'axe rachidien. En effet, nous avons vu l'épanouissement terminal des
cordons
longitudinaux se recourber en un cornet qui envel
naturellement isoler. Ces faisceaux ne sont point un prolongement des
cordons
antérieurs proprement dits, et naissent dans la p
l'anatomie du bulbe. 67. Un autre fait est l'écurtement extrême des
cordons
postérieurs qui laissent complètement à découvert
issure augmente-t-elle d'épaisseur? le ventricule se dilate-t-il? les
cordons
postérieurs sont-ils écartés l'un de l'autre? il
fforcé d'aller plus loin. Pour cela, je sépare de dehors en dedans le
cordon
postérieur de chaque moitié du bulbe, c'est-à-dir
ent, à son intérieur, des cloisons irrégulières. (b) . Le groupe du
cordon
antérieur que composent des fascicules très-petit
un raphe médian parcouru par les fibres antéro-postérieures sépare le
cordon
de droite d'avec celui de gauche. La tranche de c
sépare le cordon de droite d'avec celui de gauche. La tranche de ces
cordons
est un triangle dont la base touche à la pyramide
édian. Ce groupe représente, par sa structure, l'arête centrale des
cordons
antérieurs tels qu'ils sont constitués dans la mo
e ce faisceau. (d). Le groupe du funicule accessoire du faisceau ou
cordon
latéral, qui forme, à la surface du groupe précéd
gion distincte par l'épaisseur de ses fascicules. (é). Le groupe du
cordon
postérieur situé en dehors du système des fibres
situé en dehors du système des fibres transversales. (/). Celui des
cordons
mamelonnés. (g). Et enfin de petits cordons gri
sales. (/). Celui des cordons mamelonnés. (g). Et enfin de petits
cordons
gris qui cheminent au-dessous du quatrième ventri
manière des racines antérieures des nerfs spinaux entre le groupe des
cordons
antérieurs et celui des cordons moyens. Les unes
des nerfs spinaux entre le groupe des cordons antérieurs et celui des
cordons
moyens. Les unes pénètrent dans la bourse de l'ol
u raphé médian, et le même aspect des faisceaux qui correspondent aux
cordons
latéraux. Mais déjà la hauteur de la commissure q
vait offert aucun exemple. Dans la moelle, en effet, les fibres des
cordons
postérieurs s'épuisent au centre de ses axes gris
e les corps restiformes, je veux dire cette partie bien distincte des
cordons
postérieurs brachiaux et des funicules grêles sup
de nos lecteurs. Maintenant quel sera le trajet des fibres qui, du
cordon
postérieur de la moelle, se portent vers les pédo
s les pédoncules cérébraux? Il semble que la partie superficielle des
cordons
postérieurs s'arrête aux corps restiformes, et qu
difficile, en effet, que de suivre avec certitude la continuation des
cordons
postérieurs vers le cerveau, au delà du calamus.
n voûte à celui du côté opposé. Dans cette partie de son trajet, le
cordon
postérieur a plusieurs satellites. Nous signalero
t le pédoncule supérieur du cervelet; situé en dehors et au-dessus du
cordon
postérieur, il se divise de la même manière et se
ommissure postérieure. Cette voûte, formée par le rapprochement des
cordons
postérieurs et des pédoncules cérébelleux d'un cô
'étage supérieur que composent essentiellement des fibres émanées des
cordons
postérieurs de la moelle, du nerf acoustique et d
qui colore leurs parois. Cet amas compris entre les prolongements des
cordons
antérieurs et ceux qui émanent des cordons postér
ntre les prolongements des cordons antérieurs et ceux qui émanent des
cordons
postérieurs de l'axe, représente assez bien les c
dans Encyclopédie anatomique, Paris 1843, t. IV, p. 222. gements du
cordon
postérieur, du nerf acoustique et du pédoncule su
pédoncules cérébraux proprement dits, et des fibres émanées soit des
cordons
postérieurs, soit des pédoncules supérieurs du ce
s, d'ailleurs, que ces faisceaux comprennent à la fois des fibres des
cordons
postérieurs et des cordons latéraux du bulbe. I
ceaux comprennent à la fois des fibres des cordons postérieurs et des
cordons
latéraux du bulbe. Il nous reste à dire de quel
i nous comparons l'hémisphère à une bourse, ce sera, si l'on veut, le
cordon
de la bourse. Je me sers de cette comparaison gro
ces faisceaux que je croyais en connexion avec les prolongements des
cordons
postérieurs de l'axe dans le cerveau. Mieux prépa
et s'y termine. Quant au reste de ses fibres, elles forment un petit
cordon
très-grêle, qui s'engage sous le corps strié inte
luleuses divisent, de la surface aux axes gris, toute l'épaisseur des
cordons
antérieurs; c'est dans l'épaisseur de ces lames c
ibreuses qui divisent, de la surface au centre, toute l'épaisseur des
cordons
latéro-antérieurs. B. Racines postérieures ou g
me paire de Willis, onzième paire de Sœmmerring. Ce nerf émerge des
cordons
moyens du bulbe, dans le voisinage du sillon laté
funicules accessoires. Elle est par conséquent presque limitrophe des
cordons
postérieurs. x. Troisième paire, paire ethmoïda
et faire triompher les sceptiques. Charles Bell (1) supposa que les
cordons
antérieurs partageaient les propriétés des racine
al et sur deux chevreaux, émit une nouvelle opinion. Suivant lui, les
cordons
antérieurs et les racines antérieures président a
s et les racines antérieures président aux mouvements de flexion. Les
cordons
postérieurs et les racines (1) An idea of a new
persister dans les parties postérieures du corps après la section des
cordons
postérieurs, en conclut que la substance grise tr
de ceux qu'avait obtenus Bellingeri (1). Il divisa sur un lapin le
cordon
postérieur droit, vers la première vertèbre lomba
L'inverse eut lieu dans le côté opposé. La section transversale des
cordons
postérieurs à la région dorsale donna lieu à des
ction de la moelle, pratiquée de manière à ne laisser entiers que les
cordons
postérieurs, la sensibilité des membres abdominau
uée. La sixième expérience mérite d'être particulièrement notée. Le
cordon
postérieur gauche de la moelle fut divisé dans la
utres résultats se mêlent à ceux-ci. Ainsi, après la section des deux
cordons
postérieurs dans cette région, la sensibilité des
ibilité des extrémités antérieures est détruite, tandis que celle des
cordons
postérieurs se conserve. L'inverse arrive pour le
mouvement affaibli. Il coupe enfin vers la région dorsale l'un des
cordons
postérieurs, la sensibilité des membres postérieu
le premier l'hypéresthésie que suit dans certains cas la section des
cordons
postérieurs, et dans le cas de la section d'un se
es cordons postérieurs, et dans le cas de la section d'un seul de ces
cordons
pratiquée dans la région dorsale ou cervicale, l'
xagérer dans les pattes de derrière après la section transversale des
cordons
postérieurs, mais il n'aperçut point les effets c
observa que le mouvement, affaibli pour un temps après la section des
cordons
postérieurs, finit par se rétablir complètement,
ences médicales. T. XXX, gp. 129. paralysie qui suit la section des
cordons
antérieurs persiste. Il en conclut que cette dern
tte dernière section épuise bien plus la force nerveuse que celle des
cordons
postérieurs. Rolando coupa les cordons postérie
force nerveuse que celle des cordons postérieurs. Rolando coupa les
cordons
postérieurs. Le mouvement fut anéanti dans les pa
ction, mais le sentiment persista. Même résultat après la section des
cordons
antérieurs. Il n'en conclut pas que la substance
t le sentiment, loin de là, il combat cette opinion. Suivant lui, les
cordons
postérieurs et les cordons antérieurs conduisent
il combat cette opinion. Suivant lui, les cordons postérieurs et les
cordons
antérieurs conduisent également la sensibilité. M
quelques-unes offrent des faits d'hypéresthésie après la section des
cordons
postérieurs. Un canard, sur lequel celte section
eurs peu de découvertes absolument originales (3). D'après lui, les
cordons
antérieurs sont exclusivement moteurs, et les pos
ur du côté où la moelle avait été tranchée. Après la section des deux
cordons
postérieurs, le sentiment persistait encore dans
nion, quant au premier fait, sur les mouvements musculaires, dont les
cordons
antérieurs, séparés à la fois des cordons postéri
ments musculaires, dont les cordons antérieurs, séparés à la fois des
cordons
postérieurs et du cerveau, sont le principe, pour
teur à la substance grise de la moelle, Van Deen ne déshérite pas les
cordons
postérieurs de leur fonction sensitive. Il admet,
est vrai, qu'aucune fibre nerveuse ne se rend immédiatement dans les
cordons
postérieurs, et que toutes pénètrent d'abord dans
substance grise ; mais il pense que cette substance les transmet aux
cordons
postérieurs, qui les conduisent jusqu'au cerveau,
ux, remontent en réalité jusqu'à l'encéphale, par l'intermédiaire des
cordons
. Les observations anatomiques que nous avons résu
s'exagérait même dans le train de derrière, après la section des deux
cordons
postérieurs à la région cervicale, l'hypothèse la
ranchant antérieur pour la transmission des ordres de la volonté. Les
cordons
blancs, séparés de la substance grise, perdent to
accorde aujourd'hui d'une manière à peu près unanime à considérer les
cordons
antérieurs et postérieurs comme servant exclusive
emier, par des expériences rigoureuses faites sur des chiens, que les
cordons
antérieurs sont exclusivement moteurs, et les pos
itive. Mais s'il fut heureux quant aux résultats qu'il obtint sur les
cordons
, il ne le fut pas au même degré dans l'opinion qu
veau. Il admet, comme M. Longet l'avait démontré avant lui, que les
cordons
postérieurs ne sont que sensibles. Il fait remarq
toute la substance grise de manière à découvrir la face profonde des
cordons
latéraux, la sensibilité est perdue pour toujours
it le premier connaître un fait singulier. Si, après avoir divisé les
cordons
postérieurs, on détache ces cordons dans la longu
ulier. Si, après avoir divisé les cordons postérieurs, on détache ces
cordons
dans la longueur d'un centimètre environ, le bout
ltats. Personne aujourd'hui ne doute que les fibres qui composent les
cordons
postérieurs ne soient exclusivement en rapport av
cherches propres. Il est bien certain que les faisceaux lombaires des
cordons
postérieurs s'atténuent de plus en plus en passan
s que des fibres excitables dans les nerfs le soient de même dans les
cordons
postérieurs ; tous les expérimentateurs du moins
s ; tous les expérimentateurs du moins s'accordent-ils à dire que ces
cordons
sont beaucoup moins sensibles que les troncs nerv
u recul après la section de la face postérieure du bulbe ; si un seul
cordon
restiforme a été tranché, l'animal, dit M. Longet
. La théorie de M. Longet, quant aux effets directs de la section des
cordons
restiformes sur la sensibilité, n'est point confo
arets, m'a communiqué l'observation, tirait, pour se faire ouvrir, le
cordon
d'une sonnette. M. Dureau de la Malle a raconté u
ur. - 3. Cor- don antérieur droit. 4. Corne antérieure droite. - 5.
Cordon
latéral droit. - 6. Racine. - 7. Cordon postéri
rne antérieure droite. - 5. Cordon latéral droit. - 6. Racine. - 7.
Cordon
postérieu droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
e la corne postérieure, il ne reste plus rien à décrire. . Dans les
cordons
antéro-latéraux on voit des faisceaux de libres d
ssi bien la région des faisceaux pyramidaux et celle de Gowers ; le
cordon
postérieur est encore plus lésé; ses parties anté
ent bien ; elles pénètrent comme des festons dans la profondeur des
cordons
postérieurs. Il faut encore remarquer que les fib
grand nombre de fibres coupées transversalement se trouve dans les
cordons
postérieurs et par place a la périphérie des cord
trouve dans les cordons postérieurs et par place a la périphérie des
cordons
antéro-latéraux. La fibre myélinique porte le c
nce grise excepté un petit reste dans la corue antérieure. Dans les
cordons
antéro-latéraux se voient par place des faisceaux
par place des faisceaux irréguliers de subs- tance blanche; dans le
cordon
latéral la moitié antérieure ne conserve presque
ie postérieure ; enfin on voit les restes des libres dégénérées. Le
cordon
postérieur droit est ^analogue par ses modifica
les uns pénètrent sous forme de fes- tons étroits vers le centre de
cordon
, d'autres finissent sur place. Les racines anté
des fibres myéliniques peu serré). Les mieux conservés restent les
cordons
postérieurs,surtout les faisceaux de Goll ; les f
démontrent une démyélinisation diffuse surtout du côté gauche. Les
cordons
an- téro-latéraux sont également lésés, on y vo
moelle. Le réseau myélinique de la substance grise est normal. Les
cordons
postérieurs de la substance blanche sont scléro
et à côté de la partie antérieure des cornes postérieures. Dans les
cordons
latéraux : on voit une dégénérescence notable s
latéraux : on voit une dégénérescence notable sur la périphérie du
cordon
droit et bien moins nette du côté gauche. Dans
phérie du cordon droit et bien moins nette du côté gauche. Dans les
cordons
antérieurs il y a une démyélinisation diffuse s
73 Quant à la nature de ces lésions, nous les considérons dans les
cordons
posté- térieurs et latéraux comme une dégénéres
atéraux et antérieurs (fig. 3), mais pas de dégénérescence dans les
cordons
postérieurs. A côté de ces lésions (dégénéresce
aussi bien que dans la grise, les plus nombreux correspon- dant aux
cordons
postérieurs. L'augmentation du nombre des vaiss
petits foyers. Les changements les plus notables ont lieu dans les
cordons
postéro-laléraux. On peut souvent reconnaître une
e triangulaire à base orientée vers la périphérie, siégeait dans le
cordon
latéral droit et présen- tait une démyélinisati
llée (quantité de petits foyers, les moins nombreux sont dans les
cordons
antérieurs et dans la subs- tance blanche autou
correspondant à la tumeurprésente une dégénérescence diffuse des
cordons
pos- térieurs (plus notable autour des cor- n
a 0 o t0 ca 1 M E 146 6 FLATAU considérable, des
cordons
antéro-latéraux. En outre, on constate une dégéné
es faisceaux de Goll et de Burdach et dans la zone périphérique des
cordons
antéro-latéraux). Au-dessous de la tumeur jusqu
es noires sont plutôt accumulées dans le fascicule dorso-médian des
cordons
postérieurs et dans les voies pyramidales latér
nes antérieures. Ils se ren- contrent en plus grand nombre dans les
cordons
postérieurs et dans la partie pos- térieure des
re dans les cordons postérieurs et dans la partie pos- térieure des
cordons
latéraux.Ils sontaussi assez nombreux dans la zon
ellules rondes. 1. Racines postérieures. 4. Foyer de lésion dans le
cordon
latéral 2. Dure-mère. droit. 3. Racine antéri
s'estforméun foyer considérable, occupant la moitié postérieure du
cordon
latéral droit, et caractérisé par une dégénéresce
la méthode de Weigert,on voit des foyers de lésion surtout dans les
cordons
latéraux et dans les postérieurs. Les cordons a
sion surtout dans les cordons latéraux et dans les postérieurs. Les
cordons
antérieurs par contre sont presque tout à fait in
ar contre sont presque tout à fait in- tacts (fig. 6). - Dans les
cordons
latéraux il y a des raies claires qui vont radial
à un faible grossissement, l'aspect alvéolaire de ces foyers. Les
cordons
postérieurs sont aussi lésés, mais beaucoup moins
périphérie. Çà et là sont disper- sés de petits foyers au sein des
cordons
et dans le voisinage de la commissure grise.
es cordons et dans le voisinage de la commissure grise. Quant aux
cordons
antérieurs les lésions s'y voient dans la zone pé
ne la structure histo-patholo- gique ; leur volume est moindre. Les
cordons
antérieurs sont normaux ; les postérieurs, très
és (seulement à la périphérie et vers la commissure grise). Dans le
cordon
latéral gauche, une zone périphérique claire et u
riphérique claire et un foyer allongé dans la partie postérieure du
cordon
. Les lésions du côté droit res- sortent d'autan
aies s'y retrouve. Deux grands foyers dans la partie postérieure du
cordon
sont surtout à noter. Comme il est dit plus hau
n foyers peu nettement limités, en forme de taches et de raies. Les
cordons
latéraux sont surtout lésés. Les postérieurs sont
On {constate alors un aspect aréolaire des zones périphériques des
cordons
antéro-latéraux, les cloisons élargies dans tou
es des cordons antéro-latéraux, les cloisons élargies dans tous les
cordons
et les vaisseaux des méninges dilatés et gorgés
c un fort grossissement on constate dans la zone péri- phérique des
cordons
antéro-latéraux des mailles vides et des fibres d
en foyer prend place (fig. S). Ui ? s. 1. Foyer de lésion dans le
cordon
latéral gauche. 2. Foyer de lésion dans le cord
de lésion dans le cordon latéral gauche. 2. Foyer de lésion dans le
cordon
latéral droit. 3. Foyer de lésion dans le cordo
de lésion dans le cordon latéral droit. 3. Foyer de lésion dans le
cordon
postérieur droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
yers de grandes dimensions il y ena de plus petits, ovales, dans le
cordon
postérieur droit, près de la zone périphérique, n
hangements on voit une certaine démyélinisation à la périphérie des
cordons
antéro-latéraux et des alvéoles vides dans les co
riphérie des cordons antéro-latéraux et des alvéoles vides dans les
cordons
postérieurs. Les cloisons élargies dans toute l
péricellulaires on voit des corpuscules amyloïdes (surtout dans les
cordons
postérieurs non loin de la périphérie). Le réseau
gent de place. Déjà dans le premier segment lombaire les foyers des
cordons
latéraux disparaissent presque complètement (da
ilots d'alvéoles vides et de myéline dégénérée. Par contre dans les
cordons
postérieurs apparaissent de grands foyers irrégu-
ds foyers» 160 FLATAU Par contre il y en a de petits : 1) dans le
cordon
antérieur gauche, 2) dans le latéral gauche et
t encore des lésions diffuses dans les parties antérieures des deux
cordons
postérieurs. Alvéoles vides isolés dans les cordo
ieures des deux cordons postérieurs. Alvéoles vides isolés dans les
cordons
latéraux et postérieurs. Légère démyélinisation
postérieurs. Légère démyélinisation dans les zones périphériques des
cordons
latéraux et antéro-latéraux. La configuration i
de grands foyers. Ils sont dispersés dans toute l'étendue des deux
cordons
postérieurs et dans la partie postéro-médiane d
des deux cordons postérieurs et dans la partie postéro-médiane des
cordons
latéraux (fig.30). Ils sont ovalaires,allongés,
dure-mère de dehors (dans la partie dorsale) est minime. Dans les
cordons
antérieurs, pas de lésion (seulement dans la zone
ffuse). Dans le IIIe segment lombaire il n'y a pas de foyer dans le
cordon
latéral Fig. 10. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈR
oit un grand foyer nettement limité sous forme d'un oeuf ; dans les
cordons
postérieurs,des foyers irréguliers, étoilés. Nu
n peut en voir un nombre considérable dans la zone périphérique des
cordons
postérieurs. De là ils pénètrent dans la profon
un endroit seulement,dans la région d'un petit foyer situé dans le
cordon
anté- rieur (XIIe segment dorsai@fr8 lombaire)
lisation de la tumeur dé- montrèrent des lésions notables. Dans les
cordons
latéraux et postérieurs il y avait des foyers p
même n'ait aucun rapport immé- diat avec la moelle. Le fait que les
cordons
postérieurs et latéraux sont principalement le
en contradiction avec la sup- position ci-dessus émise, puisque ces
cordons
comme lieux de moindre ré- sistance sont les pr
la corne postérieure, et une légère raréfaction des fibres dans les
cordons
postérieurs. Dans le II" segment cervical on no
aisceau pyramidal croisé, et à la périphérie de la moelle à côté du
cordon
droit an- térieur et postérieur. La moelle est
ela ne dépend pas de la faute de fixation dans le chrome). Dans les
cordons
postérieurs la partie moyenne est le moins intens
ire on voit deux foyers de dégénération irréguliers et petits dans le
cordon
droit antérieur. Les racines postérieures et
lle-ci est aplatie des deux côtés. La substance grise est pâle. Les
cordons
sont eu général pâles, et les postérieurs sont un
moelle qu'il droite, cette différence est surtout marquée dans les
cordons
latéraux. En approchant de la substance grise on
ce blanche il y a deux foyers minuscules asymétriques dans les deux
cordons
postérieurs, non loin du sillon longitudinal po
rieur et un foyer en forme allongée allant de la périphérie vers le
cordon
droit antérieur. La différence entre les cordons
périphérie vers le cordon droit antérieur. La différence entre les
cordons
latéraux droit et gauche est moins prononcée (l
et gauche est moins prononcée (le droit est mieux coloré). Dans les
cordons
pos- térieurs les faisceaux de Goll sont plus f
dans la substance grise est normal. Dans la substance blanche, les
cordons
antéro-latéraux droits montrent une coloration
xcepté 1 ou 2 foyers plus clairs dans le faisceau latéral). Dans le
cordon
antéro-latéral gauche, une légère démyélinisati
cor- don antérieur, non loin du sillon longitudinal antérieur. Les
cordons
postérieurs sont plus clairs que les antéro-lat
(dans le faisceau gauche de Burdach, dans la partie postérieure du
cordon
latéral gauche), il y a des foyers irréguliers,
is la subs- tance grise contient un réseau myélinique normal et les
cordons
dans la substance blanche sont tout à fait bien
s notables. Un certain épais- sissement de la dure-mère du côté des
cordons
postéro-latéraux. Les coupes colorées par l'hém
it dans la moelle dorsale. Ce trait était le plus prononcé dans les
cordons
antéro-latéraux et du côté gauche c'est-à-dire
, on notait des foyers petits et irréguliers au sein des différents
cordons
. Dans ces foyers l'aspect tamisé du tissu était
était le plus prononcé dans la moitié gauche de la moelle, dans le
cordon
antéro-latéral, point où la compression atteign
ou plusieurs segments médullaires. On les constate surtout dans les
cordons
latéraux et postérieurs (quelquefois dans les ant
. Il y a des cas où les foyers se disposent symétriquement dans les
cordons
latéraux et' postérieurs et alors ils simulent
espondant aux dégénérescences « radiculaires » secondaires dans les
cordons
postérieurs (le cas de Pfeiffer, notre observatio
ées dispersées dans toute la coupe transver- sale (surtout dans les
cordons
latéraux pyramidaux, et dans le fais- ceau de H
ont été réunies davantage dans le fascicule dorso-médian et dans le
cordon
latéral pyramidal, tandis que dans les segments
endroits comprimés des dégénérescences dans la zone radiculaire des
cordons
postérieurs (compression des racines par distan
sidérable. Les lésions nerveuses (dégénérations et léger oedème des
cordons
latéraux au niveau des lésions tuberculeuses) s
as' distinguer la substance blanche de la grise ni les diffé- rents
cordons
. Il s'est formé un mélange de la substance blanch
ion à la périphérie des cordona latéraux et de plus petits dans les
cordons
postérieurs. Ces foyers vont de la périphérie ver
dorsaux supérieurs une dégénérescence secondaire peu accentuée des
cordons
postérieurs des (faisceaux de Goll principaleme
lement) et une dégénérescence dif- fuse des zones périphériques des
cordons
antéro-latéraux. Au-dessous de la tumeur,dans l
pes on constate des foyers clairs, irréguliers, à la périphérie des
cordons
latéraux. Ces foyers correspondaient (au point
(hémorragies multiples, infiltration des méninges surtout du côté des
cordons
postérieurs). Dans la moelle lombaire, la subst
molles et les cloisons médullaires sont infiltrées surtout dans les
cordons
postéro-latéraux (Ilots de noyaux nombreux). Des
, très éloignée du niveau du néoplasme, des foyers surtout dans les
cordons
latéraux - disposés à la périphérie, d'un aspec
trent une légére dégénérescence secondaire récente surtout dans les
cordons
postérieurs (dégénérescence ascendante) et dans
nflement des cylindraxes). Ces lésions sont plus prononcées dans le
cordon
latéral droit et moins visibles dans les cordon
prononcées dans le cordon latéral droit et moins visibles dans les
cordons
postérieurs et le cordon latéral gauche. Les cord
latéral droit et moins visibles dans les cordons postérieurs et le
cordon
latéral gauche. Les cordons antérieurs sont par
ibles dans les cordons postérieurs et le cordon latéral gauche. Les
cordons
antérieurs sont par contre presque intacts. Dan
une tumeur ronde (fig. 15). La partie postérieure de ce ruban (les
cordons
postérieurs) est plus large que l'antérieure qu
ace antérieure de la tumeur sous forme d'une languette étroite. Les
cordons
postérieurs sont le mieux conservés quoique là
n antéro-postérieure (à la suite de compression bien sûr). Dans les
cordons
antéro-latéraux on trouve de la dégénérescence et
). On y constate une raréfaction de la subs- tance blanche dans les
cordons
postérieurs. Les foyers clairs affectent la- fo
e que dans le VIe seg- ment dorsal on ne trouve qu'un foyer dans le
cordon
postérieur gauche et, par place, des endroits c
ur gauche et, par place, des endroits clairsemés à la périphérie du
cordon
latéral gauche. Le foyer occupant le cordon pos
emés à la périphérie du cordon latéral gauche. Le foyer occupant le
cordon
postérieur se trouve dans la proximité de la zone
a proximité de la zone périphérique postérieure, aussi bien dans le
cordon
de Goll que dans le cor- don de Burdach. Il pré
de la moelle on constate des endroits faiblement dégénérés dans le
cordon
postérieur gauche,- surtout dans le cordon de Gol
lement dégénérés dans le cordon postérieur gauche,- surtout dans le
cordon
de Goll. Un constate des lésions presque analog
come psammeux de la moelle épinière. 1. Tissu nerveux provenant des
cordons
antéro-latéraux. - 2. liacine antérieure droite
brosarcome psammeux de la moelle épinière. 1. Racine antérieure. 2.
Cordon
latéral gauche raréfié.' - 3. Tumeur. 4. Cor- d
it raréfié. - 5. Racine postérieure. - 6. Foyer de lésions dans le-
cordon
postérieur droit. 7. Tumeur. FiG. 17. Fibrosarc
osarcome psammeux de la moelle épinière. 1. Foyer de lésion dans le,
cordon
antérieur gauche. -2. Racine antérieure. 3. Foy
antérieur gauche. -2. Racine antérieure. 3. Foyer de lésion dans le
cordon
latéral droit. - 4. Dure-mère. - 5. Foyer de lé
cordon latéral droit. - 4. Dure-mère. - 5. Foyer de lésion dans le
cordon
postérieur droit. 6. Tumeur. 7. Racine postérieur
moelle (fig. 17) où se trouve aussi une dégénérescence accentuée du
cordon
latéral et antérieur, un peu moindre dans le co
ce accentuée du cordon latéral et antérieur, un peu moindre dans le
cordon
postérieur. Dans la moitié droite de la moelle le
presque normal. La substance grise est sans modification. Dans les
cordons
postérieurs on constate un épaississement bien év
voit qu'une raréfaction insignifiante des fibres nerveuses dans le
cordon
latéral gauche, surtout au sein du faisceau pyram
une sorte d'auréole plus claire que le reste du tissu ; de même les
cordons
antérieurs montrent dans la zone postérieure un
s par la méthode de Marchi montrent des masses dégé- nérées dans le
cordon
postérieur gauche qui ont été déjà décrites à pro
u considérable de masses dégé- nérées se trouvent également dans le
cordon
postérieur droit non loin de la cloison longitu
d'une inflammation purulente des méninges. Ces lésions touchent les
cordons
antéro-latéraux aussi bien que les postérieurs. E
ines cervicales postérieures la moelle épinière, dans la région des
cordons
postérieurs, présente un enfoncement (est-ce arti
persistent encore en nombre suffisant (les zones périphériques des
cordons
antéro-latéraux, la région de faisceau pyramida
'examen plus attentif, on constate une certaine démyélinisation des
cordons
postérieurs surtout autour de la cloison longitud
deux côtés diminuées en nombre et à l'état de dégénérescence). Les
cordons
anté- rieur et latéral sont très amincis et pré
s amincis et présentent une dégénération leur péri- phérie (dans le
cordon
antérieur une raréfaction ; dans le latéral, une
ée est la substance blanche autour de la corne postérieure. Dans le
cordon
postérieur gauche les lésions sont analogues à ce
certain degré d'aplatissement et la déviation de l'axe sagittal des
cordons
postérieurs.-Une légère dégénérescence des cordon
l'axe sagittal des cordons postérieurs.-Une légère dégénérescence des
cordons
postérieurs le long de la cloison longitudinale
, on constate une dégé- nérescence diffuse peu accentuée de tout le
cordon
latéral gauche et plus pro- fonde (scléreuse) d
ro- fonde (scléreuse) de la zone périphérique bien étroite. Tout le
cordon
latéral gauche est plus mince que le droit. Les
a moitié droite de la moelle on voit une légère dé- générescence du
cordon
de Goll et de la partie externe du cordon latéral
égère dé- générescence du cordon de Goll et de la partie externe du
cordon
latéral. La moitié gauche, à côté des lésions d
externe du cordon latéral. La moitié gauche, à côté des lésions du
cordon
de Goll, présente encore une sclé- rose considé
érable de la voie pyramidale latérale et d'une zone assez large des
cordons
latéraux et antérieurs, tandis que la substance b
me de la moelle épinière 7= 1. Tumeur. - 2. Racine antérieure. - 3.
Cordon
latéral gauche dégénéré. - 4. Ra- cine postérie
qui, sous forme de languette, se dirige en avant (fig. 21). Tout le
cordon
gauche est plus mince que le droit. Ces mêmes l
aisceau des fibres nerveuses qui couronnent la face postérieure des
cordons
postérieurs. Des lésions pareilles, mais moins
endant on voit une légère dégénéres- cence secondaire dans les deux
cordons
de Goll au niveau du IIe segment cep' vical. Il
ies longues ? ). En outre, légère dégénérescence a la périphérie du
cordon
latéral gauche. En descendant, légère dégénéresce
amidaux latéraux de deux côtés. De plus, des masses noires dans les
cordons
antéro-latéraux plus nombreuses le long de la clo
ous forme d'un corps allongé fusiforme à la moitié pos- térieure du
cordon
latéral gauche et au cordon postérieur. La moelle
fusiforme à la moitié pos- térieure du cordon latéral gauche et au
cordon
postérieur. La moelle y est aplatie obliquement
niques abondant. La substance blanche est dégéné- rée dans tous ses
cordons
, mais la moitié gauche de la moelle est plus clai
é gauche dans le sens obli- que. La tumeur adhère principalement au
cordon
postérieur et au latéral gauche. Toute la périp
anche dispersées çà et là en petits îlots. Le mieux conservé est le
cordon
antérieur. La tumeur par sa structure rappelle
bas. Elle y est aplatie aussi du côté gauche (une petite partie du
cordon
droit postérieur adhère à la tumeur). Les cordo
e petite partie du cordon droit postérieur adhère à la tumeur). Les
cordons
antérieurs sont presque normaux. Les postérieurs
stérieure (dégénérée). 10. Dure-mère. FIG. 26. - Dégénérescence des
cordons
postérieurs et une faible dégénérescence de la
la partie proximale on voit une dégénérescence secondaire dans les
cordons
postérieurs (surtout dans le gauche) et dans les
érieurs (surtout dans le gauche) et dans les zones périphériques du
cordon
latéral gauche. Dans la moelle cervicale la dégén
sées. Cette dégénérescence est moins prononcée que l'asceudante des
cordons
pos- térieurs Le faisceau pyramidal gauche est
la méthode de Marchi montrent des masses rondes dégénérées dans les
cordons
(de Goll) postérieurs et dans la partie postérieu
n y constate une dégéné- rescence localisée principalement dans les
cordons
postérieurs et dans le latéral gauche. A côté d
ncore que la des- cendante. La dégénérescence ascendante frappe les
cordons
postérieurs (surtout celui du côté gauche) et l
s'y trouventà droite en dehors de la dure-mère et correspondent au
cordon
latéral et postérieur. La configuration extérieur
re de la moelle est normale. La figure de la substance grise et des
cordons
de la blanche est bien conservée. Les coupes co
part çà on remarque deux petits foyers ronds nécrobiotiques dans le
cordon
latéral droit près de la subs- tance grise. On
droit près de la subs- tance grise. On voit un foyer pareil dans le
cordon
latéral gauche. Çà et là sont dispersées les pe
ue aussi une légère dégénérescence dans la zone radiculaire de deux
cordons
postérieurs. Le méninges molles ne sont pas mod
bres myéliniques (gonflées ? ), surtout distinctes dans la région des
cordons
latéraux. Bien évidente est la dégénérescence d
évidente est la dégénérescence des zones radiculaires dans les deux
cordons
postérieurs, surtout dans le gauche. A mesure qu'
gauche. A mesure qu'on monte. FIG. 28. 1. Foyer de lésion dans le
cordon
latéral gauche. - 2. Petit foyer nécrotique. 3.
cence de la zone radiculaire gauche. 3, 6. Foyer nécrotique dans le
cordon
latéral droit. 1. Foyer dans le cordon latéral
6. Foyer nécrotique dans le cordon latéral droit. 1. Foyer dans le
cordon
latéral droit. 352 , ' . 1. ' FLATAU la dégén
y voit deux foyers du type,alvéolaire à peine distincts, un dans le
cordon
laté- ral gauche, l'autre, dans les cordons pos
ne distincts, un dans le cordon laté- ral gauche, l'autre, dans les
cordons
postérieurs près de la partie antérieure de la
. A côté de ces foyers du type alvéolaire on remarque aussi dans le
cordon
atéral gauche deux ou trois foyers qui s'enfonc
ées par la méthode de Weigert démontrent à côté des foyers dans les
cordons
latéraux d'autres situés dans les cordons posté
côté des foyers dans les cordons latéraux d'autres situés dans les
cordons
postérieurs (la région de commissure et des zones
méthode V. Gieson) sont défor- FIG. 29. 1. Foyer en coin dans le
cordon
latéral gauche. - 2. Foyer alvéolaire. 3. Foyer
alvéolaire avec des masses dégénérées. 9. Foyer alvéolaire dans le
cordon
latéral droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET
grands foyers du type alvéolaire dans la zone périphérique des deux
cordons
latéraux et d'autres petits nécrobiotiques dans
des deux cordons latéraux et d'autres petits nécrobiotiques dans le
cordon
latéral droit. A part cela, une faible dégénére
art cela, une faible dégénérescence des zones radiculaires dans les
cordons
postérieurs. En sens ascendant, la dégénérescen
foyers excepté auIIIesegment; on voyait un foyer alvéolaire dans le
cordon
latéral gauche et un second dans les cordons po
oyer alvéolaire dans le cordon latéral gauche et un second dans les
cordons
postérieurs,près de la commissure. A part ces foy
la commissure. A part ces foyers on en cons- tataitd'autres dans le
cordon
latéral gauche sous forme des coins allant de l
t grise était normale. Mé- ninges et racines intactes.Dans les deux
cordons
latéraux, étaient des foyers alvéolaires qui pa
escence secondaire ascendante (une légère dé- générescence dans les
cordons
postérieurs dépendait de la lésion des zones ra
rdons postérieurs dépendait de la lésion des zones radiculaires des
cordons
postérieurs et non de ces foyers). La moelle au
ble d'expliquer la paralysie par les deux foyers localisés dans les
cordons
latéraux; de même l'anesthésie et les troubles pr
it seulement une certaine raréfaction dans la zone périphérique des
cordons
antérieurs est un petit foyer en forme de coin.
térieurement, on y cons- tate des enfoncements sur la périphérie du
cordon
latéral gauche et des cordons postérieurs. En o
te des enfoncements sur la périphérie du cordon latéral gauche et des
cordons
postérieurs. En outre une raréfaction des fibre
cences secondaires. Les cloisons sont épaissies, surtout celles des
cordons
postérieurs. Vaisseaux en nombre augmenté. Ils
à la moelle et s'enfonce en coin dans la moelle (à la périphérie du
cordon
latéral droit). Dégénérescences peu profon- des
latéral droit). Dégénérescences peu profon- des à la périphérie des
cordons
antéro-latéraux. Légère dégénérescence des part
antéro-latéraux. Légère dégénérescence des parties antérieures des
cordons
postérieurs (dans le voisinage de la commis- su
gomme partant de la face interne de la dure-mère dans la région du
cordon
latéral droit. Cette gomme ne change en rien la
la moelle. La dure-mère est notablement épaissie dans la région des
cordons
antéro-latéraux (par place elle est soudée avec
avec les méninges molles). La pie-mère épaissie dans la région des
cordons
postérieurs et par place ses cloisons très larg
a partie antérieure de la face interne de la dure-mère (du côté des
cordons
antérieurs). Les ra, cines antérieures sont dég
ux strictement dit) sur la face interne de la dure-mère du côté des
cordons
postérieurs. La con- figuration de ces cordons
ure-mère du côté des cordons postérieurs. La con- figuration de ces
cordons
est normale. La dure-mère est notablement épaissi
nt épaissie sur toute la périphérie de la coupe, surtout en face du
cordon
latéral droit. La moelle est ici aplatie et on
spécifiques. L'arachnoïde est franchement plus épaisse du côté des
cordons
postérieurs. Les racines sont en partie dégénér
moelle, un peu épaissie peut-être ; arachnoïde épaissie du côté des
cordons
postérieurs ; quelques racines dégé- nérées en
des cloisons qui de la périphérie se rendent dans la profondeur des
cordons
postérieurs. Les coupes coloriées par Vhématoxy
e et pénètrent dans la moitié droite de la moelle dans la région du
cordon
latéral (fig. 30). A un fort grossis- sement on
molles, située du côté des cor- dons postérieurs et d'une partie du
cordon
latéral. Cette infiltration pénétrait dans la p
nt que des lésions voisines, tandis que de la dure-mère en face des
cordons
postérieurs, pousse une gomme, et dans une racine
venaient de la face interne de la dure-mère aussi bien du côté des
cordons
antérieurs que du côté des cordons latéraux et
dure-mère aussi bien du côté des cordons antérieurs que du côté des
cordons
latéraux et postérieurs. A l'exception du VIe s
manifeste à droite. On voit également une légère dégénérescence des
cordons
postérieurs. Avec Nissl on constate une diminut
au-dessous de la compression et la dégénérescence ascen- dante des
cordons
postérieurs, du faisceau cérébelleux direct et du
nt d'une part leurs pro- longements cylindraxiles allant former les
cordons
postérieurs et en partie les racines postérieur
nnaire, de l'amas gan- glionnaire partie de la crête de Sagemehl ou
cordon
ganglionnaire deHis, quelques ganglioblastes s'
phé- rique large de il ? millimètre entourant la moelle du côté des
cordons
anté- rieurs et latéraux. Au niveau du VIIIe se
te, avec cette différence que la zone périphérique saine autour des
cordons
autéro-latéraux est plus large. . Au niveau du
reste de la masse spongieuse molle décrite plus haut. En arrière des
cordons
postérieurs, immédiatement au-dessous de l'arac
este, permet de reconnaître la figure des cornes antérieures et des
cordons
antéro-latéraux. Les cordons postérieurs se pré
a figure des cornes antérieures et des cordons antéro-latéraux. Les
cordons
postérieurs se présentent sous forme d'une mass
in de la tumeur même il y a une fente étroite qui s'étend jusqu'aux
cordons
posté- rieurs. Une figure analogue se voit au-d
aréfaction des fibres. Ces foyers se rencontraient surtout dans les
cordons
postéro-latéraux. Les cordons antérieurs étaient
ers se rencontraient surtout dans les cordons postéro-latéraux. Les
cordons
antérieurs étaient très peu lésés ou même pas d
ait au niveau du 1111, segment cervical un foyer alvéolaire dans le
cordon
latéral gauche et dans les cordons postérieurs
vical un foyer alvéolaire dans le cordon latéral gauche et dans les
cordons
postérieurs non loin de la commissure ; en plus
ieure) on pouvait constater une dégénérescence descendante dans les
cordons
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE
jeune, de la poitrine. A l'autopsie il existait une sclérose des
cordons
postérieurs extrême- ment prononcée ; l'examen
ont confirmé le diagnostic de tabes : les lésions sont limitées aux
cordons
postérieurs, et sur presque toute la hauteur el
et Eisendrath ont enlevé un sarcome intramédullaire situé dans les
cordons
postérieurs. Ils ont fait une incision longitud
la région sacrée, elles sont moins étendues et occupent surtout les
cordons
postérieurs. Sur toutes les coupes le canal épe
ire que dans la paralysie générale, la localisation des lésions des
cordons
postérieurs simule par- fois la sclérose ataxiq
ni l'ensemble symptomatique, ni l'étude minutieuse des lésions des
cordons
et des racines postérieures, ne permettent de s
de Weigert-Pal, sont entièrement conservés dans toute l'étendue des
cordons
antérieurs et latéraux. Les fibres y sont ser-
atéraux. Les fibres y sont ser- rées, leur myéline bien colorée. Le
cordon
postérieur, au contraire est atteint dans son e
tingue que de très rares fibres éparses; la dégénérescence gagne le
cordon
postérieur vers la zone cornu-radiculaire. L'en
tum médian. La seconde zone des lésions occupe une grande partie du
cordon
postérieur, suivant l'aire d'un triangle rectan
ie de disparition. La lésion se détache avec netteté sur le fond du
cordon
postérieur. Trois zones sont beaucoup moins att
Flechsig ; les fibres ascendantes occupent la partie antérieure du
cordon
et affectent chacune la forme d'un triangle con
ieure et moyenne. - Les lésions sont plus limitées et l'ensemble du
cordon
postérieur possède un plus grand nombre de libr
st intacte ou à peu près. Pour ce qui est de la dégé- nérescence du
cordon
postérieur proprement dit, elle occupe de pari
se trouve, en effet, situé au niveau du quart inférieur environ du
cordon
postérieur. Dans cette région dégénérée, il exi
. A l'étage supérieur de la moelle dorsale, lorsque se constitue le
cordon
de Goll, la lésion reste encore circonscrite av
ndelelte externe de Pierret occupe par conséquent tout ou partie du
cordon
de Burdach. Elle possède très peu de fibres saine
alles. La zone de Lissauer est légèrement lésée. Tout le reste du
cordon
postérieur est sain, dans tous les cas très peu
diquer un début de sclérose interstitielle. Cependant l'ensemble du
cordon
postérieur est moins coloré que les cordons anl
Cependant l'ensemble du cordon postérieur est moins coloré que les
cordons
anléro-latéraux ; un certain nombre de libres m
t entre les deux moitiés de la moelle qu'aux étages précédents. Les
cordons
autéro- laléraux sont sains. Cornes grises. I
nifeste. Ses deux portions se détachent nettement sur l'ensemble du
cordon
postérieur sous forme d'un triangle isocèle ; s
commissure grise, occupe les deux tiers au moins de l'épaisseur du
cordon
postérieur. Sont également sains les faisceaux
Goll ; leur absence est plus marquée d'un côté que de l'autre. Les
cordons
antéro-latéraux sont sains. - Substance grise.
ALE JUVÉNILE. Il 1; b) Etage supérieur (ftj. 7). L'en<emIJle des
cordons
postérieurs est plus pâle que les cordons ;it)L
j. 7). L'en<emIJle des cordons postérieurs est plus pâle que les
cordons
;it)Léto-IaLériux. Il est cependant facile de d
ui exilent encore, il s'en trouve fort peu d'absolument saines. Les
cordons
antéro-laté- raux sont sains. Substance grise
e, donnent franchement l'illu- sion d'une sclérose systématisée des
cordons
postérieurs. Cependant, par divers côtés, ces c
question de degré. Tels sont les faits : dégénérescence diffuse des
cordons
pos- térieurs atteignant à la fois les zones ex
es racines, aurait pro- voqué en premier lieu la dégénérescence des
cordons
de Goll et, de proche en proche, celle des zone
ique, avec sclérose diffuse annulaire et dégénération partielle des
cordons
pyramidaux et postérieurs, hypertrophie du tiss
ntral, et des lésions systématiques des racines postérieures et des
cordons
postérieurs de la moelle. Les altérations des c
rieures on trouve une dégénération secondaire ascendante. Dans les
cordons
de Goll, la dégénération est surtout prononcée au
Nous disons le plus souvent; car, quelquefois, elle empiète sur les
cordons
antéro-Iatéraux où elle n'acquiert jamais, il f
nsité. Dans le segment postérieur de la moelle, elle intéresse le
cordon
latéral et le cordon postérieur à des' degrés div
ent postérieur de la moelle, elle intéresse le cordon latéral et le
cordon
postérieur à des' degrés divers, selon la forme
selon la forme et la durée de la maladie. L'un et l'autre de ces
cordons
sont atteints simultanément; quelquefois ils sont
e la lésion de l'un et de l'autre une disproportion très grande. Le
cordon
latéral présentera, par exemple, des lésions pe
présentera, par exemple, des lésions peu accusées, tandis que le
cordon
postérieur est parvenu au dernier terme de la d
dernier terme de la dégénération. Il semble d'ailleurs que seul, le
cordon
posté- rieur soit capable de dégénérer aussi co
rappellerons ailleurs. C'est surtout la topographie des lésions du
cordon
postérieur qui varie dans les différents étages
libres dans l'angle postérieur et interne du triangle que figure le
cordon
postérieur. Plus haut, dans la région dorsale,
sine à la partie interne du faisceau de Burdach, au centre même du
cordon
postérieur. Cette bandelette ne dépasse pas, en
e, à une petite distance de la circonférence. En sorte que, dans le
cordon
postérieur, à la région dor- sale, nous rencont
d'une deuxième bandelette de fibres saines située au centre même du
cordon
postérieur. Elle se réunit ainsi à une nouvelle
génération du faisceau pyramidal est plus marquée et les lésions du
cordon
posté- rieur se localisent exactement dans le f
oigne de la région dorsale. Et cela est vrai, non seulement pour le
cordon
pos- térieur, mais encore et surtout pour le co
ulement pour le cordon pos- térieur, mais encore et surtout pour le
cordon
latéral. Rare- ment nous avons pu suivre jusqu'
faisceau cérébelleux direct. La dégénération atteint quelquefois le
cordon
antérieur. Elle y intéresse exclusivement les f
. Nous l'avons vue remplacer presque toutes les fibres nerveuses du
cordon
postérieur dans deux cas. Les cylindres-axes eu
on des cellules du faisceau intermedio-lateralis, des cel- lules de
cordon
, des cellules de la corne postérieure. Disons s
érale épargné les premières d'une façon à peu près absolue. Daus'le
cordon
antéro-la- téral, les fibres de cordon qui ento
à peu près absolue. Daus'le cordon antéro-la- téral, les fibres de
cordon
qui entourent la corne antérieure, sont presque
rent la corne antérieure, sont presque toujours saines, et, dans le
cordon
postérieur, les fibres cornu-commissurales, les
le cordon postérieur, les fibres cornu-commissurales, les fibres de
cordon
, le centre ovale de Flechsig et le triangle de
bres qui proviennent des racines postérieures. Les territoires du
cordon
postérieur qui correspondent au trajet de ces f
e voit dans les coupes, nous ont paru d'autant plus altérées que le
cordon
postérieur était lui-même plus dégénéré. Les
pathologique des cellules de la corne postérieure, des cellules de
cordon
. Il n'est point facile d'apercevoir une lésion
ière : « une dégénération systématisée, combinée et pri- mitive des
cordons
latéraux et postérieurs. La lésion du fais- cea
is- ceau pyramidal a son maximum dans la région dorsale, celle du
cordon
postérieur, à la région cervicale. Dans la subs-
x, s'étendant jusqu'à la région cervicale, une dégénérescence des
cordons
de Goll et de Burdach, laquelle diminue à mesure
e la région cervicale où elle est can- tonnée dans le territoire du
cordon
de Goll ». De même, dans l'intoxication expérim
mment, par Ballet, dans la névrite expérimentale 1. Les lésions des
cordons
postérieurs sont notées dans un grand nombre d'
m- mun avec des paralytiques généraux que de présenter dans leurs
cordons
postérieurs des lésions analogues. Y. Des lésio
étaient en même temps des tuberculeux, présentaient des lésions des
cordons
postérieurs. Nous l'avons dit au Congrès de Tou
iénés, mais non tuberculeux. Elles sont le plus souvent limitées au
cordon
postérieur, mais on les voit quelquefois s'éten
malades. En effet, puisqu'ils pré- sentent toujours des lésions des
cordons
postérieur et latéral, que l'un est le conducte
la motilité, l'une et l'autre pourront être troublées. La lésion du
cordon
postérieur est parfois assez- intense pour ressem
éré, tantôt aboli, sans doute selon la prédominance de la lésion du
cordon
latéral ou du cordon postérieur. En étudiant le
ns doute selon la prédominance de la lésion du cordon latéral ou du
cordon
postérieur. En étudiant les lésions de la moell
nce blanche, les fibres endogènes, c'est-à-dire celles qui, dans le
cordon
antéro-latéral, entourent la corne anté- rieure
ns le cordon antéro-latéral, entourent la corne anté- rieure et, du
cordon
postérieur, les fibres cornu-commissu- rales, l
cordon postérieur, les fibres cornu-commissu- rales, les fibres de
cordon
, le triangle de Gombault et Phi- lippe, le cent
diculaires moyennes, les fibres longues, les fibres courtes dans le
cordon
postérieur; le faisceau pyramidal croisé, le fa
u pyramidal direct, plus rarement encore le faisceau de Gowers du
cordon
antéro-latéral.' La substance grise est modifié
ssent le même sort. Il en est apparem- ment de même des cellules de
cordon
, des cellules de la corne postérieure. La dure-
part la lésion de la cellule pyramidale de l'écorce. Les lésions du
cordon
postérieur s'expliqueraient par une dégé nérati
ui trans- forme anormalement l'excitation électrique, altération du
cordon
nerveux en aval du point excité; altération du
ique (réaction de Duchenne) se produit soit dans les altérations du
cordon
nerveux moteur, le muscle res- tant sain ; soit
en aval de celui-ci. Aucune alté- ration des centres nerveux ou du
cordon
nerveux en amont de ce point ne peut la produir
nombreuses. La réaction d'Erb est symptomatique d'une altération du
cordon
nerveux au point même de l'explora- tion. Cette
s racines postérieures et des 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
cordons
postérieurs de la moelle : 1° La dégénérescence d
l'inflammation mixte parenchymato-interstitielle constatée dans les
cordons
pos- térieurs, surtout dans les faisceaux cunéi
naux) du faisceau longitudinal postérieur et des courtes fibres des
cordons
antérieurs et latéraux; altérations des fibres ra
dégénérescence du ruban de Reil, du faisceau de Gowers et même des
cordons
postérieurs (Brissaud) ; le bilan anatomique de
e du cerveau, dans le faisceau longitudinal postérieur, et dans les
cordons
antéro-latéraux de la moelle. P. KERAVAL. XXX.
ux centres supérieurs par l'intermédiaire des libres longues et des
cordons
de Goll : c'est la voie maîtresse ; mais que ce
écoulant des enveloppes. Après l'ouverture du canal rachidien, le
cordon
médullaire parait remarquablement déformé; sur
ntient presque point d'éléments nerveux. Dans la moitié gauche, les
cordons
latéral et antérieur ainsi que la corne antérie
nerveuses; la substance blanche n'est que comprimée, la myéline des
cordons
latéraux et antérieurs se colorant très bien ;
qu'une dégénéres- cence périphérique d'intensité moyenne; dans les
cordons
posté- rieurs, dégénération ascendante très mar
lle un amas d'éléments sarcomateux formant une petite tache dans le
cordon
postérieur gauche. A côté de cette tache on ape
mière centrale, les autres complètement oblitérés, ne formant qu'un
cordon
fibreux; par places amas de pigment sanguin. Les
vivement à l'hématoxy- line par le procédé de Weigert, excepté les
cordons
de Goll (dégénération ascendante). A la haute
glie. Cette lésion a particulièrement atteint la partie centrale du
cordon
postérieur gauche : on y voit une gliose bien d
ns le sillon antérieur distendu, et infiltrent abondamment les deux
cordons
antérieurs ; grâce à sa répartition symétrique
voisine du sillon antérieur est détruite par la néoforma- tion, les
cordons
de Goll et les faisceaux cérébelleux directs pré-
ation ascendante des plus marquées, enfin les parties centrales des
cordons
postérieurs et latéraux ne se teintent pas suff
veux résultant d'une prolifération diffuse de la névroglie. Dans le
cordon
de Burdach du côté gauche on trouve une gliose
ons du tissu médullaire atteignent une grande intensité, celles des
cordons
postérieurs en particulier. L'attention y est a
ention y est attirée par une fente étroite formée dans la gliose du
cordon
de Burdach gauche; cette fente, très sinueuse, à
nce amorphe. Pareil aspect présente la plus grande partie de deux
cordons
postérieurs (sans compter les cordons de Goll dég
la plus grande partie de deux cordons postérieurs (sans compter les
cordons
de Goll dégénérés). Le canal central est sur le
; conserve sa place physiologique bien éloignée de la fente dans le
cordon
postérieur. Les dimensions de cette fente augme
l, une cavité qui modifie bien l'aspect de la moelle (fig. 11); les
cordons
de Goll (dégénérés) se trouvent refoulés adroit
claires; l'hyperémie de ce territoire est aussi très accentuée. Le
cordon
de Burdach droit présente une structure analogu
e substance artificiels, localisés exclusivement dans la région des
cordons
postérieurs. La tumeur méningée n'est guère pro
toute la hauteur de la moelle cervicale sous forme de tâche dans le
cordon
postérieur. Les deux cavités ne sont point revê
des. La prédominance de lanéoformation à la partie postérieure du
cordon
médullaire, notée par la plupart des auteurs (Oll
pour les colorants; bientôt la lumière disparaît, il ne reste qu'un
cordon
plein qui s'émiette ensuite en des blocs amorph
. Ainsi dans la partie inférieure de la tumeur les vaisseaux et les
cordons
hyalins -sont limités presque exclusivement au
arco- matose des méninges seules ; la néoformation enveloppait le
cordon
médullaire sans pénétrer dans sa substance (cas d
H ! 3 croire que la névroglie qui forme la couche périphérique du
cordon
médullaire soit une barrière insurmontable pour l
omplètement oblitérée ; par places on voit ces vaisseaux changés en
cordons
fibreux, par- ticiper à la formation des parois
e il y aurait une corrélation constante entre la dégénérescence des
cordons
latéraux de la moelle et la paralysie avec cont
evéritable section de la moelle, au-des- sus, la dégénérescence des
cordons
de Goll, des faisceaux cérébel- leux et des fai
usement le type si longtemps cherché de la sclérose pri- mitive des
cordons
latéraux sans atrophie musculaire. Je l'ai décrit
présente un intérêt tout particulier : il y avait une sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle, avec prédomi- nance a
ille névro- pathique D. R. CHARON. XI. La GROSSE localisation DES
CORDONS
MOTEURS DE la MOELLE destinés A DIVERSES partie
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ties du corps éloignées occupent le
cordon
latéral beaucoup plus en arrière et à la périph
CHRONIQUE avec LÉSION concomitante DES racines postérieures ET DES
cordons
DE BURDACH ; par P. SCHUS- TER. (Neurolog. Cent
. Dégénérescence systématique incertaine très faible, dans les deux
cordons
de Bur- dach à la hauteur intermédiaire aux six
t visible que parle procédé de Marchi. Dégénéres- cence certaine du
cordon
de Burdach (surtout à droite), depuis la deuxiè
le jusqu'au noyau de Burdach. Lésions récentes, insignifiantes, des
cordons
antérieurs et latéraux s'accroîs- sant de bas e
sions des racines antérieures et postérieures et d'une par- tie des
cordons
postérieures (Figures). C'est un cas qui ne rentr
combinée des cornes anté- rieures, des racines postérieures et des
cordons
postérieurs. Il se rapproche le plus de la poli
equel on constate l'association d'altérations dans les racines, les
cordons
et les noyaux sensitifs à une atrophie chroniqu
t passe en la moelle épinière. Celle-ci ne con- tient alors que les
cordons
postérieurs et les faisceaux fondamen- taux des
ors que les cordons postérieurs et les faisceaux fondamen- taux des
cordons
antérieur et latéral. Dans le cas où l'hydrocépha
n distingue des cellules nerveuses, les faisceaux fondâmes taux des
cordons
antérieur et latéral, et les racines antérieures.
on constate : urocystite gangreneuse etpyélo-néphrite. Sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle dans toute sou éten- d
occupe presque toute la commissure grise et le tiers antérieur des
cordons
postérieurs. Dans les régions dorsale et lomb
inière occupe sa place habituelle, reçoit, au niveau des noyaux des
cordons
de Goll dans le bulbe, de petits faisceaux-de f
inaire jusqu'à l'écorce du vermis ; 2° Le faisceau fondamental du
cordon
antéro-latéral, en haut, jusqu'au niveau du bou
moelle, derrière la commissure grise, dans la moitié antérieure des
cordons
postérieurs; sa forme et son volume sont variab
uide, et si elle suffit pour interrompre la conductibilité dans les
cordons
latéraux, elle ne suffit pas pour entraîner la
atéraux, elle ne suffit pas pour entraîner la dégénérescence de ces
cordons
ou la désintégration de la substance grise ; vo
DES dégénérescences propagées ET EN particulier DES altérations des
cordons
postérieurs CONSÎ3CU- tives aux lésions EN foye
systématisées des voies sensitives hulbo-protubéran- tielles et des
cordons
postérieurs coïncidant avec des lésions en foye
ns sa partie externe n'autorisent guère à interpréter la lésion des
cordons
postérieurs comme secondaire, soit à une affectio
cylindraxes. De par ces caractères histologiques, cette lésion des
cordons
pos- térieurs s'éloigne des dégénérescences sec
le ou descendre jusque dans la région lombaire, intéresser tous les
cordons
postérieurs ou se limiter à tout ou partie des
ser tous les cordons postérieurs ou se limiter à tout ou partie des
cordons
de Burdach ou de Goll ; enfin, généra- lement b
r ce qui est de l'écorce, plus le foyer siège en 'arrière, plus les
cordons
postérieurs sont fortement atteints. Ce sont su
e sensitif, on tient de voir qu'une dégénérescence systématisée des
cordons
postérieurs peut se montrer consécutive- ment à
les fibres mêmes des racines et qui d'abord disséminée dans tout le
cordon
postérieur du même côté se cantonne progressiveme
té se cantonne progressivement dans la partie postéro-interne de ce
cordon
jusqu'au noyau de Goll à partir duquel elle ces
les fibres directes des racines postérieures sont parquées dans le
cordon
postérieur et la zone de Lissauer du même côté.
lombo-sacrée ne reste pas intacte, mais que toutes les cellules des
cordons
dont le cylindraxe a été sectionné, sont envahi
E Bechterew. (1 ! 'eierolog. Cenl1'alúl., XVI, 1897.) La partie des
cordons
latéraux blancs contigué à la substance grise,
, mais,-dans son segment postérieur existe le - trousseau médian du
cordon
latéral décrit par moi en 189 et en 1896. Ainsi
étant un trousseau spécial est précisément mon trousseau médian des
cordons
latéraux. » P. K. LVIII. UNE NOUVELLE méthode D
nt les longues voies qui gagnent la substance grise du bulbe par le
cordon
postérieur jusqu'au noyau de Goll. De là de nou
niveau ordinaire, mais une partie des fibres s'infléchit dans le
cordon
antérieur du coté opposé et. s'y place dans le vo
le voisinage immédiat de la corne antérieure droite. Ce faisceau du
cordon
aiitéiietir croisé s'en va tout le long de la m
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 808 faisceau du
cordon
latéral dans la pyramide du même côté que la lé
Donc, un )réllaisyhène cérébral est en communication avec les deux
cordons
latéraux et avec les deux cordons anléiieurs. L'i
st en communication avec les deux cordons latéraux et avec les deux
cordons
anléiieurs. L'intégrité de la pyramide droite d
antérieurs croisés n'ont pas d'autre origine. La dégénérescence du
cordon
latéral dépasse le territoire ordinaire du fais
bres centripètes. Les fibres du ruban de Reil, issus des noyaux des
cordons
postérieurs vont à ces deux organes. Aux tuber-
elles courent des deux côtés de la ligne médiane pour atteindre les
cordons
antérieurs (Iield). Boyce en a observé la dégén
de ce dernier dans la portion interne du faisceau la- diculaire des
cordons
antérieurs. Chez l'homme ce système de fibres f
nstituante du faisceau longitudinal postérieur et atteint ainsi les
cordons
antérieurs. Il envoie dans son parcours des ram
s ce sont les faisceaux directs cérébelleux et antéro- latéraux des
cordons
latéraux; enfin ce sont les faisceaux latéraux
teint dans les faisceaux directs cérébelleux et autéro-latëraux des
cordons
latéraux son maximum dans le cours de la troisi
a loi de Kahler sur la disposition des fibres radiculaires dans les
cordons
poste- rieurs est certaine; '7° De bas en haut
mais dans les faisceanx de Burdacli ; 8° Le système descendant des
cordons
pos- térieurs se compose de préférence de fibre
e de fibres myetogènes. Les trous- seaux de fibres descendantes des
cordons
postérieurs, décrits- par les auteurs sous diné
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 509 dans les
cordons
antérieurs; 11° Les faisceaux de Gowers et de F
faisceaux; 13° L'existence d'un système descendant séparé dans les
cordons
antéro-latéraux, chez l'homme, peut être consid
de fibres des faisceaux directs cérébelleux et antéro-lateraux des
cordons
latéraux ; 16° La dégé- nérescence traumatique,
anesthésique avec autopsie, par Samguine, 72. Locai.isatioxs des
cordons
moteurs de la moelle, par Gad et Flatau, 309.
ogressa e. Sur un cas de juvénile avec les sons tabétiformes ries
cordons
posté- rieurs, par Joflroy et Rabaud, 1. . Tr
ntérieure chronique avec lésions des racines posté- rtenreset les
cordons
<ie l3urdacll, par Schiister, 310. Lésions f
ne légère teinte grisâtre sié- geant par plaques soit au niveau des
cordons
latéraux, soit au niveau des cordons postérieur
par plaques soit au niveau des cordons latéraux, soit au niveau des
cordons
postérieurs, d'une façon d'ailleurs très irrégu
es fibres radiculaires postérieures étaient très belles. Dans les
cordons
de Goll, le tissu conjonctif est plus abon- dan
de la ligne médiane, et s'étendant un peu dans l'intérieur de ces
cordons
. Aucune apparence anormale dans les faisceaux d
rs, ils dépassaient un peu le territoire généralement assigné à ces
cordons
, surtout vers leur partie antérieure. Mais ces
assant par l'angle externe de la corne antérieure. Dans le reste du
cordon
antéro-latéral, ces corps granuleux n'existent
QUE. 27 Türck; on en trouve quelques-uns encore dans la partie du
cordon
antéro-latéral située en avant de la corne antéri
sont même assez nombreux dans les faisceaux cérébelleux. Dans les
cordons
postérieurs, et notamment dans la partie scléro
rès petit nombre dans l'interstice entre la corne postérieure et le
cordon
postérieur, mais toujours ils siègent dans les
tres parties du faisceau antéro-latéral. Sclérose assez nette des
cordons
postérieurs formant dans chacun de ceux-ci une
ême et constitue ainsi une ligne antéro- postérieure située dans le
cordon
de Goll, et aboutissant par sa partie antérieur
rise, au niveau de laquelle il se confond avec le jamhage analogue (
cordon
de Goll) du côté opposé; les autres branches de
. Pas de corps granuleux dans les cornes posté- rieures ni dans les
cordons
postérieurs. Moelle lombaire. La sclérose occup
peu remarqué. CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 29 Dans les
cordons
de Goll, le long du sillon postérieur, légère t
e de sclérose ; il y a aussi quelques vestiges de sclérose dans les
cordons
de Burdach, suivant une trainée dirigée de deda
en microscopique, on trouve une dégé- nérescence grise occupant les
cordons
postérieurs dans toute l'étendue de la moelle.
HOLOGIE EXPÉRIMENTALE. constata une dégénérescence très accusée des
cordons
postérieurs de la moelle. Nicoladoni élongea le
gion dorsale jusqu'à la région lombaire. Dégénérescence grise des
cordons
postérieurs. Sclérose des parois des vais- seau
sie faite par le professeur Klebs montra une sclérose typique des
cordons
postérieurs de la moelle, une hémorragie sous l
n de forme triangulaire, de coloration gris jaunâtre occupant les
cordons
postérieurs. Ces derniers étaient un peu atroph
ire un léger épaississement des méninges ; une dégénérescence des
cordons
postérieurs, principalement près des cornes pos
autour du canal central. Développement du tissu conjonctif dans les
cordons
la- téraux. La dégénérescence des cordons pos
ssu conjonctif dans les cordons la- téraux. La dégénérescence des
cordons
postérieurs et la- téraux était symétrique des
postérieures et antérieures est normale. Dégénérescence diffuse des
cordons
pos- térieurs ; sclérose des vaisseaux, corpusc
a dans le renflement lombaire de deux lapins de l'atrophie'dans les
cordons
postérieurs (p. 577), et la disparition des cel
ronc du nerf sciatique, à l'endroit qui pré- cède la bifurcation du
cordon
nerveux. A ce moment, le lapin est chloroformé.
pins mou- rurent spontanément. Groupe second. On glissait sous le
cordon
nerveux un ruban dont le bout supportait un poi
ied (nerfs tibial et plantaire). On constata une forte injection du
cordon
nerveux, toutes les fois que l'animal fut sacri
les éléments nerveux. Le processus morbide débute toujours dans le
cordon
postérieur de la région lombaire du côté de la
tement, comme le témoignent les coupes transversales passant par le
cordon
postérieur et la partie intra-médullaire des ra
à gagner du terrain, le tissu conjonctif envahit toute l'étendue du
cordon
postérieur, ne laissant qu'un filet de tissu pl
e sentir, et se tra- duisent par un rétrécissement, une atrophie du
cordon
postérieur. Du côté correspondant à la traction
hie du cordon postérieur. Du côté correspondant à la traction, le
cordon
postérieur s'atrophie manifestement en compa- r
compa- raison de son congénère du côté sain. Cette inégalité des
cordons
postérieurs est évidente dans les figure 2, 5 e
térieurs est évidente dans les figure 2, 5 et 6 de la Planche I. Le
cordon
postérieur droit de la fig. 2, par exemple, pré
gure 6, mais elle est surtout pronon- cée dans la figure 5, dont le
cordon
postérieur gauche excède de 4 millimètres le co
gure 5, dont le cordon postérieur gauche excède de 4 millimètres le
cordon
postérieur droit (côté opéré). Avec le temps, l
é, et l'on se trouve en face d'une sclérose diffuse rétrécissant le
cordon
postérieur, comme le dé- montre la figure. Il P
va sans dire que les altérations de la moelle ne s'arrêtent pas aux
cordons
postérieurs seulement; nous constatons de grave
on constate dans la moelle de ces derniers, à côté de l'atrophie du
cordon
postérieur un rétrécisse- ment notable de la co
ELLE ÉPINIÈRE. 59 4° Un accroissement du tissu conjonctif dans le
cordon
postérieur du côté opéré, qui forme un réseau f
t des cellules étoilées. Ce réseau en- vahissant de plus en plus le
cordon
postérieur empiète sur les tubes nerveux de ce
- siner dès le septième jour après l'opération ; 5° Le volume des
cordons
postérieurs est inégal chez les lapins sacrifié
l chez les lapins sacrifiés un mois et plus après la traction. Le
cordon
postérieur du côté opéré est atrophié et en mêm
altéra- tions qui se résument en de l'atrophie de la corne et du
cordon
postérieurs du côté opéré; en un amoin- drissem
de la moelle, se localisent principale- ment dans les cornes et les
cordons
postérieurs du côté opéré. Ces lésions comme no
s dit, con- sistent pour la plupart en atrophie des cornes et des
cordons
postérieurs, dont les éléments nerveux sont rem
En d'autres termes, nous nous trouvions en face d'une sclérose des
cordons
postérieurs du côté correspondant à la traction
tre semaines après de fortes tractions, on constate l'inégalité des
cordons
posté- rieurs, entièrement envahis par du tissu
is mois et davantage à l'opération ; les éléments morphologiques du
cordon
postérieur lésé prennent un aspect plus uniform
ot, nous avons sous les yeux le tableau d'une sclérose diffuse du
cordon
postérieur. En faisant un retour vers l'ataxie
it produire dans une maladie qui porte elle-même son action sur les
cordons
postérieurs de la moelle ? L'élongation des ner
apin produit de la sclérose et de l'atrophie dans les cornes et les
cordons
postérieurs de la moelle. Mais, nous répondra
n nerveuse produit de la sclérose et de l'atrophie des cornes et du
cordon
postérieurs, lésions qui sont très analogues à
e des faisceaux de Burdach, c'est-à-dire d'une partie intégrante du
cordon
postérieur, qui se trouve précisément lésé en p
ar plus ou moins de sclé- rose et d'atrophie dans les cornes et les
cordons
pos- térieurs de la moelle, ce qui ne saurait c
r* sciatique droit pratiquée avec une force de 4 kilos. Sclérose ou
cordon
postérieur droit, côté de la traction. - Les él
on postérieur droit, côté de la traction. - Les éléments nerveux du
cordon
ALTÉRATIONS DE LA MOELLE EPINIERE. 68 postéri
re droite mesure 1"'m, 05; la corne postérieure gauche, 4mm, 35; le
cordon
postérieur droit, 1mm, 95; le cordon postérieur
ostérieure gauche, 4mm, 35; le cordon postérieur droit, 1mm, 95; le
cordon
postérieur gauche, 2mm, 40. Fig. 2. Coupe trans
du nerf sciaiique droit, avec une force de 5 kilos. L'inégalité des
cordons
pos- térieurs est moins marquée que dans la fig
ment du tissu conjonctif qui remplace les éléments nerveux dans le
cordon
postérieur atrophié de la traction A. La corne po
postérieure mesure 1 ? 50; la corne postérieure gauche, 1mm, 80; le
cordon
postérieur droit, tmm, 05; le cordon postérieur
ostérieure gauche, 1mm, 80; le cordon postérieur droit, tmm, 05; le
cordon
postérieur gauche, 1 ? 20. Fig. 3. Cellule nerv
n de volume de la cornée postérieure droite B, atrophiée marquée du
cordon
postérieur croit A. Les éléments nerveux sont r
au de Goll et dans la plus grande partie du faisceau de Burdach. Le
cordon
postérieur droit mesure 3"'m, 05; le cordon pos
faisceau de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 3"'m, 05; le
cordon
postérieur gauche, 1mm, 50; la corne postérieur
able de la partie intra-médul- laire des racines postérieures et du
cordon
postérieur du côté de la trac- tion A. Envahiss
e dernier par le tissu conjonctif comme dans les figures 2 et 5. Le
cordon
postérieur droit mesure Ohm, 09 ; le cordon pos
les figures 2 et 5. Le cordon postérieur droit mesure Ohm, 09 ; le
cordon
postérieur gauche, ohm, 20; la corne postérieur
olongements dans le réseau nerveux de la substance grise. Quant aux
cordons
de Goll et autres, l'inconstance à tous égards
er méningitique. Dégénérescence secondaire de certains segments des
cordons
postérieurs tout le long de la moelle, dégénére
flement cervical; on la trouvait généralement à la péri- phérie des
cordons
latéraux. Cette tuméfaction ne porte d'or- dina
à un degré extrême, sur toute l'étendue de la moelle, dans tous les
cordons
, à toutes les hauteurs de l'organe ; chaque cou
es optiques. On trouve dans la moelle la dégénéres- cence grise des
cordons
postérieurs (de la région cervicale à la région
cervicale à la région lombaire) ; ce sont les parties externes des
cordons
posté- rieurs, parallèles aux cornes postérieur
te, des épluchures, des morceaux d'os, des allumettes, des bouts de
cordon
et de fil, des vieilles plumes, etc. Il ne veut
lement ; mais, chose plus importante, dans la partie antérieure des
cordons
antéro-latérâux, la disposition des corps granu
de la dégénération ponctiforme et des corps granu- leux dans les
cordons
antérieurs et dans les cordons latéraux sur tou
me et des corps granu- leux dans les cordons antérieurs et dans les
cordons
latéraux sur toute la hauteur de la moelle dors
région presque toutes situées dans des territoires bien localisés (
cordon
de Tùrck, faisceau pyramidal croisé) et qu'il n
s générale que dans le premier.. )'r >> c Enfin du côté des
cordons
de Goll, nous. avons dans nos autopsies, signal
elle n'est vraisemblablement pas la même que celle des lésions des
cordons
latéraux, car dans aucune de nos préparations n
as une maladie surajoutée plutôt qu'une propagation des lésions des
cordons
postérieurs. P. M. XXXVII. Monoplégie brachia
ais, on remarqua une nuance grisâtre dans la partie postérieure des
cordons
latéraux de la partie inférieure de la moelle.
la région de l'origine apparente de la première paire cervicale les
cordons
antérieurs n'offrent pas de changements visible
cordons antérieurs n'offrent pas de changements visibles. Dans les
cordons
latéraux, il y a légère prolifération du tissu
rolifération du tissu conjonctif sur leur bord postérieur. Dans les
cordons
postérieurs on remarque une sclérose dans la sp
changements décrits, avec cette différence seulement que dans les
cordons
postérieurs la sclérose atteint plus les parties
ême tableau, seulement dans les parties inférieures la sclérose des
cordons
postérieurs atteint un plus grand développement
ans le renflement cervical. - Prolifération du tissu conjonctif des
cordons
postérieurs et du bord antéro-postérieur des co
conjonctif des cordons postérieurs et du bord antéro-postérieur des
cordons
latéraux. Fig. 6. Coupe transversale 3 la limit
ortions cervicale et dorsale. Prolifération du tissu conjonctif des
cordons
postérieurs et du bord externe des cordons laté
du tissu conjonctif des cordons postérieurs et du bord externe des
cordons
latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉP
s intense dans les cor- dons postérieurs ne touchant qu'à peine les
cordons
posté- rieurs où elle se distribue avec la même
e, on remarque la prolifération du tissu conjonctif, aussi dans les
cordons
antérieurs, ici elle forme une bandelette étroi
étroite le long de la fente longitudinale et au bord antérieur des
cordons
jusqu'à la sortie des racines antérieures, puis
nes antérieures, puis s'étend sans interruption à la périphérie des
cordons
latéraux, où elle s'étend graduellement à une r
e région plus large; de sorte que dans la moitié postérieure de ces
cordons
elle remplit tout l'espace qui répond aux faisc
ond aux faisceaux du cervelet et aux faisceaux pyramidaux. Dans les
cordons
postérieurs la sclérose embrasse comme auparava
paires, la propagation de la sclérose reste la même ; mais dans les
cordons
postérieurs elle s'affaiblit tout en res- tant
la région de la sortie des racines de la sixième paire dorsale les
cordons
postérieurs sont encore moins atteints. On rema
On remarque surtout la sclérose dans les parties postérieures de
cordons
latéraux, où elle atteint la substance grise. La
upérieure de la portion dorsale de la moelle épinière. Sclérose des
cordons
latéraux et postérieurs et du bord externe des
Sclérose des cordons latéraux et postérieurs et du bord externe des
cordons
antérieurs. Fig. S. - Coupe dans la partie infé
oupe dans la partie inférieure de la portion dorsale.- Sclérose des
cordons
latéraux et antérieurs. 312 PATHOLOGIE NERVEUSE
s. 312 PATHOLOGIE NERVEUSE. tion dans la moitié antérieure de ces
cordons
, ainsi que dans les cordons antérieurs conserve
tion dans la moitié antérieure de ces cordons, ainsi que dans les
cordons
antérieurs conserve le caractère décrit plus haut
, seulement à mesure que la proliféra- tion du tissu conjonctif des
cordons
latéraux augmente, les faisceaux de Goll sont a
loppement assez marqué de cellules-araignées, tandis que dans les
cordons
antérieurs nous trouvons l'augmentation de la s
ie des racines de la onzième et de la douzième paires dorsales, les
cordons
postérieurs restent sans changement. Dans les c
dorsales, les cordons postérieurs restent sans changement. Dans les
cordons
antérieurs et dans les parties antérieures des
nt. Dans les cordons antérieurs et dans les parties antérieures des
cordons
latéraux la prolifération du tissu con- jonctif
s la direction de haut en bas; c'est sur- tout a remarquer dans les
cordons
antérieurs et dans les parties antérieures des
uer dans les cordons antérieurs et dans les parties antérieures des
cordons
latéraux; dans les parties postérieures on la r
postérieures. Fig. 9.- Coupe dans la portion lombaire. Sclérose des
cordons
latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉI
dande et embrasse les faisceaux descendants (pyrami- daux) dans les
cordons
antérieurs et latéraux presque dans toute leur
'extrémité du dernier, il se continue sans interruption jusqu'aux
cordons
antérieurs touchant aussi la périphérie. En d'a
t franchi les limites anatomiques des faisceaux et surtout dans les
cordons
latéraux, il prenait le caractère net de la scl
vicale, on remarqua la sclérose dans la partie posté- rieure des
cordons
latéraux où la dégénérescence vers l'intérieur
ints et que la sclérose s'avança jusqu'à la moitié antérieure des
cordons
latéraux. Dans beaucoup d'eux les cor- dons lat
amen); Dans deux cas on trouva la dégénérescence secon- daire des
cordons
pyramidaux latéraux; Dans deux cas, sclérose en
Particularités nécroscopiques : dégénérescence presque complète des
cordons
postérieurs, atrophie prononcée des racines pos
uche. Dégénérescence descendante des faisceaux pyramidaux, dans les
cordons
latéraux. Il s'agit d'un lipôme pur ayant pris
de la paralysie générale, comme vis-à-vis de la dégénérescence des
cordons
pos- térieurs et du tabes; il peut intervenir u
inq d'entre eux, il existait en même temps une sclérose avancée des
cordons
postérieurs (avec lésion simultanée des cor- do
st accouchée à huit mois. Sa mère, qui l'assistait, n'a pas noué le
cordon
. L'enfant est mort. Le père et la mère de l'idi
sciatique droit, pratiquée avec une force de 4 kilogr. Sclérose ou
cordon
postérieur droit, côté de la traction. - Les él
on postérieur droit, côté de la traction. - Les éléments nerveux du
cordon
postérieur, A, sont remplacés par du tissu conj
ure droite mesure 1 ? 05; la corne postérieure gauche, 1 mm, 35; le
cordon
postérieur droit, Im», 95; le cordon postérieur
stérieure gauche, 1 mm, 35; le cordon postérieur droit, Im», 95; le
cordon
postérieur gauche, 2mm, 40. Fig. 2. Coupe trans
du nerf sciaiique droit, avec une force de 5 kilos. L'inégalité des
cordons
pos- térieurs est moins marquée que dans la lig
ment du tissu conjonctif qui remplace les éléments nerveux dans le
cordon
postélieur atrophié de la traction A. La corne po
térieure mesure lmm, 50; la corne postérieure gauche, 1 ? T, s0; le
cordon
postérieur droit, L ? t, 05; le cordon postérie
rieure gauche, 1 ? T, s0; le cordon postérieur droit, L ? t, 05; le
cordon
postérieur gauche, 1"n", 20. Fig. 3. Cellule ne
ion de volume de la corne postérieure droite B, atrophie marquée du
cordon
postérieur droit A. Les éléments nerveux sont r
au de Goll et dans la plus grande partie du faisceau de Burdach. Le
cordon
postérieur droit mesure 1 ? 05; le cordon posté
u faisceau de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 1 ? 05; le
cordon
postérieur gauche, Imm, 50; la corne postérieur
able de la partie lntra-médul- laire des racines postérieures et du
cordon
postérieur du côté de la trac- tion A. Envahiss
e dernier par le tissu conjonctif comme dans les figures i et 5. Le
cordon
postérieur droit mesure 0 ? 09; le cordon posté
ns les figures i et 5. Le cordon postérieur droit mesure 0 ? 09; le
cordon
postérieur gauche, 0 ? 20 ; la corne postérieur
partiments, de départements, d'organes secondaires. Fi;/. 7.— A, A,
cordons
latéraux; — A' faisceaux de Tiirck : —B, B, zones
s ; — D,D, cornes antérieures; — F, zone radiculaire antérieure; — E,
cordons
de Goll. Aux lésions systématiques de ces diver
faisceaux les plus internes de la pyramide, lesquels passent dans les
cordons
latéraux de la moelle, — elles iraient, après s'ê
pathologiques, vous allez le voir, a démontré que la constitution du
cordon
spinal est réellement plus compliquée. Un grand
C'est ainsi que la partie voisine du sillon postérieur, à savoir les
cordons
de Goll, peuvent être seuls lésés. — D'autres foi
e seuls lésés. — D'autres fois, les lésions intéressent la région des
cordons
postérieurs la plus voisine des cornes postérieur
space correspond à la surface de section transver- Fi/7.46. — A, A,
cordons
latéraux. — A, faisceaux de Tûrck. —B, C, zones r
s. —D, D, cornes anté-rieures. — P, zone radiculaire antérieure. — E,
cordons
de Goll. sale du faisceau cérébelleux direct (F
motrices. Ainsi, voilà, de par l'anatomie pathologique, les anciens
cordons
postérieurs décomposés en deux faisceaux secondai
s postérieurs décomposés en deux faisceaux secondaires et les anciens
cordons
latéraux divisés en trois faisceaux se-condaires.
oïncidence qui ne saurait être fortuite, ce sont juste-ment, dans les
cordons
antéro-latéraux, les mêmes faisceaux pyramidaux c
ématiques, ou, en d'autres termes, anatomiquement distribuées dans le
cordon
nerveux d'une façon diffuse et inégale. L'analy
rent. Faisceaux pyramidaux croisés. — Faisceaux pyramidaux directs (
cordons
de Tûrck). —Leur trajet dans les diverses régions
nne, pour ainsi dire, dans de certaines régions bien circonscrites du
cordon
nerveux ; que ces maladies constituent, en quelqu
crée. Sur cette grande étendue, ils occupent la moitié postérieure du
cordon
latéral où ils sont représentés par un faisceau c
directs. Mais cette disposi-tion n'occupeque la moitié supérieure du
cordon
médullaire; au-dessous de la région dorsale, les
aux pyramidaux antérieurs ou directs, dé-signés aussi sous le nom Tle
cordons
de Tûrck, ils siègent à la face interne des cordo
i sous le nom Tle cordons de Tûrck, ils siègent à la face interne des
cordons
antérieurs, et présentent là une forme ellipsoïde
un direct, un croisé. Le faisceau direct descend dans l'intérieur du
cordon
antérieur correspondant; l'autre, ou faisceau cro
au-delà de l'entrecroisement, nous avons re-trouvé dans le bulbe ces
cordons
pyramidaux réunis en deux faisceaux bien distinct
transversales de la moelle, pratiquées dans les diverses ré-gions du
cordon
nerveux, nous reconnaissons aussitôt le cor-don a
dres axes recouverts de myéline formant le faisceau pyramidal dans le
cordon
latéral de la moelle épinière. — D, D, D, Cellule
substance grise où s'épuisent successivement les fibres nerveuses du
cordon
latéral. - F, F, F, Racines antérieures représent
la partic antéro-interne. — C, sclérose du faisceau pyramidal dans le
cordon
latéral. (D'après Pitres). très importants. 11
eures. Dans la règle, lorsqu'il existe une dégénération secondaire du
cordon
laté-ral, la cellule résiste, en raison de sonana
nière déterminant, à la longue, une al-tération degenerative des deux
cordons
latéraux. ¦— Ce fait constitue une ex-ception des
lle épinière, il ne peut guère s'établir une lésion destructive de ce
cordon
nerveux, sans que la dégénération secondaire, à u
lésion dégénérative; ces deux bandelettes ne sont autre chose que les
cordons
de Tûrck. Dans la portion latérale proprement d
ération n'occupe que les deux fais-ceaux pyramidaux croisés. Mais les
cordons
de Tilrck disparais-sent rapidement, à moins d'an
Faisceau cérébelleux dégénéré au-dessus de la lé-sion spinale. — G c,
Cordon
de Goll. sensiblement d'épaisseur de bas en hau
quelque sorte obligatoire ; si la lésion primitive est du domaine du
cordon
antéro-latéral et si elle respecte le faisceau py
e dorsale. Toute la moitié droite de la moelle et toute l'étendue des
cordons
postérieurs sont détruites.— 2, Coupe de la moell
moelle au niveau de la troisième vertèbre dorsale (sclérose des deux
cordons
postérieurs et des deux faisceaux cérébelleux). —
ébelleux). — 3, Au-dessus, la dégenération n'occupe plus que les deux
cordons
de Coll. — 4, Moelle au niveau de la sixième dors
— 4, Moelle au niveau de la sixième dorsale (dé-génération de tout le
cordon
antéro-latéral). — 5, Plus bas, à la hauteur de l
s deux faisceaux de Goll ; et au-dessous on distingue, dans l'aire du
cordon
antéro-latéral, le triangle de dégénération du fa
elle épiniôre, à ce niveau, fut interrompue dans le trajet de tout le
cordon
antéro-latéral droit et des cordons postérieurs (
errompue dans le trajet de tout le cordon antéro-latéral droit et des
cordons
postérieurs (voy. Fi g. 64). Cet homme présenta l
n cons-tata que la dégénération descendante occupait non seulement le
cordon
antéro-latéral droit dans sa totalité, mais aussi
ales de cause périphérique. Sommaire. — Dégénération secondaire des
cordons
postérieurs. —Ces cordons * sont decomposable*, c
. Sommaire. — Dégénération secondaire des cordons postérieurs. —Ces
cordons
* sont decomposable*, chacun en deux systèmes ana
atomie de structure et à l'anatomie pathologique. Développement des
cordons
postérieurs. — Travaux de Pierret, de Kolliker ,—
ement épithé-lial de ce canal. — G, Substance grise postérieure. — V,
Cordon
antérieur. H, Gordon postérieur. — CA, Commissure
acine antérieure. — S, Racine postérieure. — V, Partie postérieure du
cordon
antérieur (ou cordon latéral). — E, Portion aminc
, Racine postérieure. — V, Partie postérieure du cordon antérieur (ou
cordon
latéral). — E, Portion amincie de substance nerve
eçons de M. le professeur Charcot, sur les scléroses symé-triques des
cordons
latéraux, d'après les préparations de M. Pierret(
mois et demi. — a, b,c, etc., comme dans la figure précédente. — l,
Cordon
latéral. Fig. 68. — Coupe de la moelle d'un emb
embryon de huit semaines (Grosslss» 50). — H, H, Partie saillante des
cordons
postérieurs. — H, H, qui plus tard for-meront les
illante des cordons postérieurs. — H, H, qui plus tard for-meront les
cordons
de Goll. — C A, Commissure antérieure. — V, Cordo
rd for-meront les cordons de Goll. — C A, Commissure antérieure. — V,
Cordon
antérieur. — G, Substance grise antérieure. — G,
, Substance grise antérieure. — G, Substance grise posté-rieure. — H,
Cordon
postérieur. Entre les deux saillies, H. H, des co
té-rieure. — H, Cordon postérieur. Entre les deux saillies, H. H, des
cordons
postérieurs, C, représente l'épithélium du canal
ntral. — E, Obli-tération de ce canal, sa partie postérieure. — V, V,
Cordons
antérieurs. — H', H'. Cordons postérieurs. — H, H
e canal, sa partie postérieure. — V, V, Cordons antérieurs. — H', H'.
Cordons
postérieurs. — H, H, Cordons de Goll. — V, W, Rac
e. — V, V, Cordons antérieurs. — H', H'. Cordons postérieurs. — H, H,
Cordons
de Goll. — V, W, Racines antérieures — H, W, Raci
fibres nerveuses, la constitution particulière des deux faisceaux du
cordon
postérieur. C) Vous venez devoir, Messieurs, qu
du quatrième ventricule. Fig. 71. — A, Sclérose de la totalité des
cordons
postérieurs (faisceaux de Goll et zones radicuîai
t pas compact chez le chien. —Diffusion des fibres dégénérées dans le
cordon
antéro-latéral. Expériences de Franck et Pitres
ésion. — On voit en A la diffusion de la sclérose descendante dans le
cordon
antéro-latéral sauf à la partie antérieure où la
st bien circonscrite aux faisceaux de Tùrck. En 13, dégénéra-tion des
cordons
de Goll et du faisceau cérébelleux direct. comp
x pyramidaux directs font cependant exception); et, dans le reste des
cordons
an-téro-latéraux, des fibres capables de dégénére
e à former un groupe un peuplus compact dans la région pyra-midale du
cordon
latéral, et, sur ce point, les fibres dégénè-rent
Faisceaux à fibres longues. — Faisceaux a fibres courtes. — Schéma.
Cordons
postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceau
ux du Goll. —Faisceaux extrinsèques. — Faisceau cérébelleux direct.
Cordons
antéro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Fais
res. — F, faisceau pyramidal. — Fc, fibres intrinsèques centri-fuges (
cordons
antérieurs).— K, fibres extrinsèques centripètes
centripètes (faisceau de Burdach). - G, fibres longues postérieures (
cordon
de Goll). tes. De ce nombre sont : a) les faisc
ommencerons par ces derniers. Parmi les faisceaux qui composent les
cordons
postérieurs, les uns peuvent être dits intrinsèqu
e fonctionnement des fais-ceaux médullaires. Nous commencerons parles
cordons
antéro-latéraux. L'idéal serait que la physiolo
nté-rieures. Mais il était surtout intéressant de rechercher si les
cordons
pyramidaux sont plus ou moins excitables que les
t complète dans les deux membres. C'est donc nécessairement par les
cordons
antéro-latéraux, et par eux seulement, que passen
t de l'interruption des conducteurs des incitations motrices dans les
cordons
antéro-latéraux et plus particulièrement dans les
e l'affection dont il s'agit se rattache à une sclérose primitive des
cordons
latéraux. J'ai partagé et je par-tage encore l'op
cas dans les-quels la lésion occupe sur un point toute l'épaisseur du
cordon
spinal. Je dois vous dire quelques mots relativem
oint essentiel que je tiens à relever, c'est la lésion consécutive du
cordon
latéral, lésion descendante, et nous savons que c
t-elles dans la substance grise? Passent-elles au con-traire, dans le
cordon
latéral opposé? Cela n'est pas démon-tré ; toutef
complexes, non systématisées, ou, autrement dit, distribuées dans le
cordon
nerveux, d'une façon diffuse et inégale, c'est-à-
es aies distinguer de toutes les affections spinales occupant dans le
cordon
médullaire un siège différent. B. En quelques m
'une lésion médul-laire, caractérisée par une sclérose symétrique des
cordons
latéraux, combinée avec une altération dégénérati
est toujours d'une infime im-portance, relativement à la sclérose du
cordon
latéral (pyra-midal) ; il suffit, pour s'en conva
son mémoire (1). On peut ainsi s'assurer que la coloration morbide du
cordon
antérieur est très pâle, très diffuse, tandis que
orbide du cordon antérieur est très pâle, très diffuse, tandis que le
cordon
latéral est vivement teint par le carmin. Cela ve
antérieure des cornes de substance grise, cette altération légère du
cordon
antérieur, désignée dans l'obser-vation, sous le
rent. Faisceaux pyramidaux croisés. — Faisceaux pyramidaux directs (
cordons
de Tûrck). —Leur trajet dans les diverses régions
nière déterminant, à la longue, une al-tération degenerative des deux
cordons
latéraux.— Ce l'ail constitue une ex-ception des
les de cause péri-phérique. Sommaire. — Degeneration secondaire des
cordons
postérieurs. — Ces cordons sont décomposables, ch
Sommaire. — Degeneration secondaire des cordons postérieurs. — Ces
cordons
sont décomposables, chacun en deux systèmes anato
analomie de structure et à l'anatomie pathologique. Développement des
cordons
postérieurs. — Travaux de Pierret, de Kolliker
t pas compact chez le chien. —Diffusion des fibres dégénérées dans le
cordon
antéro-latéral. Expériences de Franck et Pitres
Faisceaux à fibres longues. — Faisceaux à fibres courtes. — Schéma.
Cordons
postérieurs. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceau
x du Goll. — Faisceaux extrinsèques. — Faisceau cérébelleux direct.
Cordons
antéro-latéraux. — Faisceaux intrinsèques. — Fais
places elle empiétait sur la substance blanche. Voire que dans les
cordons
posté- rieurs, elle se présentait sous forme d'
s récemment, il a mentionné un cas de syringomyélie dans lequel les
cordons
postérieurs ont été trouvés dégénérés. Or, du viv
indépendante du canal central et ne communiquait pas avec lui. Les
cordons
antérieurs étaient intacts; les cordons latéraux
muniquait pas avec lui. Les cordons antérieurs étaient intacts; les
cordons
latéraux étaient sclérosés depuis l'émergence d
cervicale, jusqu'à l'extrémité supérieure du segment lombaire. Les
cordons
postérieurs étaient dégénérés dans la moitié su
truire en totalité. En étendant ses ravages, elle peut détruire les
cordons
blancs, en arrière, sur les côtés et en avant.
ures, aux faisceaux antero-laléraux, aux cornes postérieures et aux
cordons
postérieurs ; ces diverses localisations du pro
eur, au chaud et au froid, rend vraisem- blable l'envahissement des
cordons
postérieurs par le processus cavitaire. Ainsi,
s dans les deux cor- nes postérieures, une destruction complète des
cordons
postérieurs dans le segment cervical, au point
a montré que la corne postérieure droite était détruite, et que le
cordon
postérieur droit était sclérosé et en partie dé
était sclérosé et en partie désorganisé. Dans le cas d'IIomen, les
cordons
postérieurs étaient envahis par des îlots de gl
nheim dont je vous parlais tout il l'heure, le dernier en date, les
cordons
postérieurs étaient comprimés et, déplus, envahis
lez que dans le cas de Schuppel, la substance grise centrale et les
cordons
postérieurs manquaient totalement sur une cer-
taine étendue. L'auteur qui a le mieux étudié -la participation des
cordons
postérieurs au processus de la syringomyélie, S
ocessus de la syringomyélie, Schlesinger (1), a montré que dans ces
cordons
, trois régions surtout étaient envahies par la gl
tie contiguë à la commissure grise postérieure ; 2° Les portions du
cordon
de Goll adjacentes à la scissure médiane pos- t
la scissure médiane pos- térieure ; 3° La zone comprise entre le
cordon
de Goll et le cordon de Burdach. Que conclure d
pos- térieure ; 3° La zone comprise entre le cordon de Goll et le
cordon
de Burdach. Que conclure de l'ensemble des fait
ase de la région cervicale, a sectionné à peu près complètement les
cordons
postérieurs. ' La lésion est-elle limitée à la
lable, comme je viens de vous le dire, que la substance blanche des
cordons
pos- térieurs el même des cordons latéraux part
ire, que la substance blanche des cordons pos- térieurs el même des
cordons
latéraux participe dans une certaine mesure au
s une certaine mesure au processus gliomateux. La participation des
cordons
latéraux nous ren- drait compte de cette paraly
alade, et qui a précédé l'atrophie musculaire; la participation des
cordons
postérieurs nous expliquerait de même les caractè
nstatée du vivant du malade, car de ce côté une partie seulement du
cordon
de Goll était désorganisée par la néoplasie. Pa
Goll était désorganisée par la néoplasie. Par places, la lésion du
cordon
postérieur était plus prononcée à gauche qu'à d
impossible de reconnaître sur la surface de section, les cornes des
cordons
blancs : tout est infiltré par la sérosité qui es
dorsale moyenne, la moelle présente, à la coupe, des cornes et des
cordons
qui paraissent absolument normaux à l'oeil nu ; o
seraient-elles susceptibles d'entraîner après elles la sclérose des
cordons
postérieurs. D'après un travail récent inspiré
pyramidal croisé est presque complètement détruit ; il ne reste du
cordon
latéral qu'une zone fatciforme périphérique, qu
rect et croisé, refoulant l'extrémité de la corne postérieure et le
cordon
de Burdach, adhérant enfin par un gros bourgeon
s points l'apparence trabé- culaire de la sclérose conjonctive. Les
cordons
de Goll, au moins dans leur portion postérieure
simplifient en ce qui con- cerne la paralysie : l'envabissementdes
cordons
antéro-latéraux, l'épanouis- sement de l'infilt
raxe, à une véritable section de la moitié antérieure de la moelle,
cordons
blancs antéro-latéraux et cornes antérieures.
r sa diffusion vers les cornes postérieures et l'angle antérieur du
cordon
postérieur, l'anesthésie du côté opposé, au-desso
fions avec la colonne grise antérieure (col. motrice) mais aussi le
cordon
sensitif, que nous avons simplifié sous les trait
colonne des cornes postérieures, faisceaux commissuraux variés des
cordons
posté- rieurs. Ce schéma d'ailleurs, dans son a
croisement sensitif des fibres émanées des racines se fait dans les
cordons
postérieurs et la commissure grise, au-dessus d
croisement (et les coupes nous montrent en effet qu'à ce niveau, le
cordon
postérieur était à peine atteint), mais nous rema
'étage de notre lésion, les portions médianes et pos- térieures des
cordons
postérieurs sont relativement respectées; ce sont
mbres inférieurs; cette sensibilité spéciale franchissait, grâce au
cordon
de Goll, l'étage des tumeurs; en revanche, si on
s interstitielles de la moelle, particulièrement dans la région des
cordons
et des racines postérieurs. Près du sillon longit
es, nombreuses cellules à noyau, multiplication des noyaux dans les
cordons
qui bordent des 2 côtés le sil- lon postérieur.
ILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 85 tenu et siégeant dans les
cordons
postérieurs et dans les commissures blanche et
petit ne dépassant pas la substance de la commissure blanche. Les
cordons
de Burdach et de Goll sont dégénérés ; ce dernier
lite à foyers- multiples, endartérite oblitérante, dégénération des
cordons
postérieurs, hydromyélie, dégénération des cell
ommissure blanche antérieure, s'étend jusqu'au tiers postérieur des
cordons
de Goll. Le canal est revêtu de l'épithélium pr
ules de la névroglie. On ne trouve pas de fibres nerveuses dans les
cordons
de Goll. Celles-ci com- LA SYPHILIS, HÉRÉDITAIR
apparaître, peu abondantes, dans la partie la plus périphérique des
cordons
de Burdach. La substance grise est diminuée de
nstituée par de la névroglie avec très peu de fibres nerveuses. Les
cordons
postérieurs sont sclérosés. La substance grise de
ères de la substance cartilagineuse. En résumé « Dégénérescence des
cordons
postérieurs, hydromyélie, 88 NOUVELLE ICONOGRAP
trois cas,entre les altérations vasculaires, la dégénérescence des
cordons
postérieurs et celle des cellules des cornes gr
pique montre, clans la région cervicale, une coloration diffuse des
cordons
postérieurs de la moelle. Dans la région thoraciq
urs de la moelle. Dans la région thoracique, seuls sont envahis les
cordons
cunéiformes. Dans la région lombaire, les cordo
sont envahis les cordons cunéiformes. Dans la région lombaire, les
cordons
postérieurs sont sains. De plus, on note dans la
grosseur d'un grain de millet, occupant la moitié de la surface du
cordon
latéral droit et empiétant [sur les racines posté
Nancy, 1895. (2) Gardié. Non-développement hérédo-syphililique des
cordons
anléro-latéraux delà moelle. Th. Paris, 1889.
directe, en partie par la compression secondaire. Ainsi pour les
cordons
postérieurs qui étaient,de la même façon, intéres
in- téressant, de ce fait, secondairement la substance blanche, les
cordons
pos- térieurs en particulier. Le cas queBoett
ace de division entre les substances et tout à fait .semblable à un
cordon
fibreux, sauf la coloration qui était d'un gris r
s interstitielles de la moelle, particulièrement dans la région des
cordons
et des racines postérieures. Près du sillon longi
s, nombreuses cellules il noyau, multiplication des noyaux dans les
cordons
qui bordent des deux côtés le sillon postérieur.
, on constate dans la région cervicale une colo- ration diffuse dos
cordons
postérieurs ; dans la région thoracique, les cord
tion diffuse dos cordons postérieurs ; dans la région thoracique, les
cordons
cunéiformes seuls sont pris. A la région lombai
les cordons cunéiformes seuls sont pris. A la région lombaire, les
cordons
postérieurs sont intacts. Il existe de plus dan
renflé ; la néoplasie intéresse environ la moitié du territoire du
cordon
latéral droit. l. ' « Gomme du rein gauche. P
oupe l'arachnoïde est épaisse de un millimètre. La moelle montre le
cordon
droit antérieur épais, vitreux, gris blanc; dans
eur épais, vitreux, gris blanc; dans la partie inférieure- c'est le
cordon
postérieur également du côté droit qui pré- sen
a pie-mère est très élargie, son épaisseur surtout au voisinage des
cordons
postérieurs est de 3 il 4 millimètres. En certain
its septa chargés de cellules rondes. C'est surtout au niveau des
cordons
postérieurs clans les parties moyenne et inféri
ci ne dépasse pas la substance blanche. Il faut remarquer que les
cordons
postérieurs sont, dans toute l'étendue de la mo
toute l'étendue de la moelle, le siège du maximum des lésions. Les
cordons
latéraux sont surtout affectés au niveau de la
ques de dimensions variées, privées de contenu et siégeant dans les
cordons
postérieurs et dans les commissures blan- che e
petit ne dépassant pas la substance de la commissure blanche. Les
cordons
de Burdach et de Goll sont dégénérés ; ce dernier
ommissure blanche antérieure, s'étend jusqu'au tiers postérieur des
cordons
de Goll. Le canal est revêtu de l'épithélium pr
HILIS HÉRÉDITAIRE 289 On ne trouve pas de fibres nerveuses dans les
cordons
de Goll, elles com- mencent à apparaître, peu a
apparaître, peu abondantes, dans la partie la plus périphérique des
cordons
de Burdach. Le substance grise est diminuée de
constituée par de la névroglie ou très peu de fibres nerveuses. Les
cordons
postérieurs sont sclérosés. La substance grise de
RE Le 20, a de plus avec les mêmes caractères la dégénérescence des
cordons
postérieurs; le 3e le dédoublement partiel de l
oublement partiel de la moelle et également la dé- générescence des
cordons
postérieurs. La même année lloeltigel'('l) publ
onsidérablement à la hauteur du renflement lombaire surtout sur les
cordons
postérieurs pour atteindre à la portion supérieur
substance blanche sont considérablement agrandis, surtout dans les
cordons
postérieurs et la moitié postérieure des cordon
, surtout dans les cordons postérieurs et la moitié postérieure des
cordons
latéraux. A part les exceptions que nous citerons
de soutien le caractère oedé- mateux. En de nombreux endroits des
cordons
postérieurs et latéraux, l'infiltration nucléai
ace qu'elle avait. Nous trou- vons le premier de ces cônes dans les
cordons
postérieurs de la partie inférieure de la moell
utres sont épars dans toute la hauteur de la moelle, tantôt dans un
cordon
postérieur seulement, tantôt dans l'autre, tant
eure de la substance grise centrale ; d'autres encore pénètrent les
cordons
latéraux. A une différence de hauteur de 1 cm. 1/
t avec ceux de la périphérie, en particulier dans les cornes et les
cordons
postérieurs. Un des plus gros se trouve dans le
rnes et les cordons postérieurs. Un des plus gros se trouve dans le
cordon
postérieur gauche, à 9 centimètres au-dessus du
ées sur la coupe transversale qu ne peut trouver de dégénération de
cordons
, systémati- que. On trouve seulement éparses da
euses plus ou moins malades. Les parties les plus altérées sont les
cordons
postérieurs, et dans les cordons latéraux les zon
parties les plus altérées sont les cordons postérieurs, et dans les
cordons
latéraux les zones périphériques et celles qui
périphériques et celles qui avoisinent les cornes postérieures. Le
cordon
postérieur droit est beaucoup plus malade que l
coup de détails concernant le tissu conjonctif, le sang, etc. ` Les
cordons
blancs ont été étudiés par la méthode de Pal, qui
es tubes nerveux abondant et bien mis en évi- dence par le Pal. Les
cordons
blancs sont remarquables en ce sens que dans le
une dégénérescence descendante. De même dans toutes les moelles le
cordon
de Goll est très distinct du cordon de Burdach, i
même dans toutes les moelles le cordon de Goll est très distinct du
cordon
de Burdach, il se co- lore moins par le Pal, c'
que la moelle conservait sa myéline dans les différents systèmes de
cordons
, qu'il n'y avai pas de dégénération systématiqu
disparait grâce il l'accollement sur le double feuillet méningé des
cordons
médullai- res voisins; tantôt au contraire, sép
les lésions y sont-elles considérables, la corne postérieure, et un
cordon
la- étant complètement dégénérés, et plus bas l
exsudat sous-pie-mérien, l'adhérence du septum médian antérieur aux
cordons
nerveux voisins, tous phénomènes qui indiquent un
aine ainsi que ses enveloppes. Au microscope : Région cervicale :
cordons
blancs, cellules de l'axe gris, canal épendymaire
es et par la distension de tous les vaisseaux gorgés de sang. Les
cordons
blancs, les cellules de cornes grises, l'épendyme
canal rachidien. ' Au microscope on note difficilement l'état des
cordons
blancs puisqu'on ne peut les colorer à part, à
ucture, au contraire le septum médian antérieur est accolé aux deux
cordons
blancs voisins qu'il unit. L'arachnoïde mince s
impossible de reconnaître quoi que ce soit des cornes grises ou des
cordons
blancs, seulesles cellules de l'épendyme limita
vasculaires marquées par l'infiltration embryonnaire. A gauche les
cordons
antérieurs sont légèrement déchiquetés à la périp
t déchiquetés à la périphérie, envahis par les cellules rondes, les
cordons
postérieurs sont normaux et sains, mais les cor
les rondes, les cordons postérieurs sont normaux et sains, mais les
cordons
latéraux sont absolument détruits, la tête de la
édian antérieur épaissi emplit complètement le sillon et adhère aux
cordons
blancs qui le bordent. La dure-mère très épaiss
dans la substance grise où les cellules sont normales que dans les
cordons
blancs. Les lésions des autres parties du név
s vasculaires ou mé- ningées. On l'a vu transformée complètement en
cordon
fibreux. Les cel- lules de ses cornes grises on
rsque la lésion anato- mique du tabes, la lésion des racines et des
cordons
sensitifs de la moelle épinière, n'était pas en
natrices spéciales situées à proximité des bandelettes externes des
cordons
postérieurs. Todd avait admis que par ces cordons
ttes externes des cordons postérieurs. Todd avait admis que par ces
cordons
devaient passer des fibres à direction centrifu
VUE CRITIQUE. ment, on doit songer, dans l'ataxie, à une lésion des
cordons
postérieurs et surtout, à en juger d'après les
s les dernières recherches de Charcot, des parties latérales de ces
cordons
, région des ban- delettes externes du faisceau
dons, région des ban- delettes externes du faisceau fondamental des
cordons
postérieurs de Flechsig. » En un autre endroit,
Leyden n'apercevait point pourquoi, en outre de la voie motrice des
cordons
latéraux des pyramides, allant des centres de c
l'existence d'autres fibres à direction centrifuge passant parles
cordons
postérieurs. Aussi bien, la clinique et l'expérim
mentation établissaient que, dans les dégénérations secondaires des
cordons
postérieurs, on ne découvre que des fibres à di
tteintes par le processus pathologique du tabes, les racines et les
cordons
postérieurs, président aux fonctions de la sensib
lgi, de Ramon y Cajal et de Kulliker avaient fait connaître que les
cordons
pos- térieurs sont les prolongements des fibres
ganglions spinaux pénètre dans la moelle épinière. Les fibres des
cordons
postérieurs dérivent donc anatomiquement des cell
lle épinière des tabétiques on trouve toujours une dégénération des
cordons
postérieurs, et des parties de ces cor- ' Cf. A
constate ici, sont bien plus petites que celles des racines et des
cordons
postérieurs. Obersteiner déclare insuffisantes le
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 9 radiculaires postérieures des
cordons
postérieurs de la moelle épinière, ou, en d'aut
eut-être même aussi une fonction spéciale ? La lésion tabétique des
cordons
postérieurs serait alors une dégénération systé
t enseignent i. Avec une dégénération fort avancée d'une moitié des
cordons
postérieurs de la moelle, l'autre moitié doit t
rarement être intacte ; très souvent la dégénération locale de ces
cordons
, présente, des deux côtés, de notables différen
tabes, n'est donc pas toujours systématique; les deux moitiés des
cordons
postérieurs peuvent présenter à cet égard des dif
, ce qui a lieu parles collatérales réflexes ; celles-ci partent du
cordon
postérieur au niveau du territoire indiqué par
tte lésion entraîne celle des fibres radiculaires montant dans le
cordon
postérieur, une dégénérescence des libres se rend
exes n'existent plus du tout du fait des dégénérations étendues des
cordons
postérieurs; si, d'un seul mot, la plus grande pa
s lésions destructives, la dégénérescence des fibres ascendantes du
cordon
postérieur qui s'arborisent dans les noyaux de
nouveau faisceau afférent, physiologiquement identique à celui des
cordons
posté- rieurs, qui, sous le nom de ruban de Rei
s pouvons chercher avec sûreté, je le crois, écrit Redlich, dans le
cordon
postérieur, les fibres qui servent à la fonctio
s vraisemblable qu'une portion de la voie ascendante passant par le
cordon
postérieur n'arrive que jusqu'à l'écorce du cer
-corticaux, en d'autres termes, que tous les faisceaux afférents du
cordon
postérieur ne servent point a des sensations co
uve, dans le tabès de Friedreich, une dégénération très intense des
cordons
postérieurs entraînant la disparition des colla
serait de l'autre côté de la moelle. épinière et monterait dans les
cordons
autéro-latéraux : aucune preuve démonstrative d
r d'autant. Les collatérales réflexes, les faisceaux ascendants des
cordons
postérieurs, etc., représentent les prolongemen
sec- tion des racines postérieures, la dégénération consécutive du
cordon
postérieur et de la corne postérieure n'a lieu
a lieu que du côté de la lésion; il n'existe pas de dégénération du
cordon
postérieur du côté opposé' ni d'autres cordons
as de dégénération du cordon postérieur du côté opposé' ni d'autres
cordons
blancs de la moelle épinière (p. 34). Relativem
p. 34). Relativement aux dégénérations secondaires descendantes des
cordons
postérieurs, dans des cas de compression et de
ime, de par l'anatomo-pathologie du tabes, qu'il se trouve dans les
cordons
postérieurs des fibres endogènes dont les cellule
ue ces fibres sont - surtout rassemblées dans la région ventrale du
cordon
postérieur (zone cornu-commissurale de P. Marie
ec Marie, Redlich admet que des fibres endogènes se mêlent aussi au
cordon
de Goll, particu- lièrement dans sa région vent
affectent une direction descendante. (^1 suivre.) les parties des
cordons
postérieurs qui dégénèrent alors, dans ce sens,
lausible, si l'on prend garde smtout que ces fibies descendantes du
cordon
postérieur existent réellement, qu'elles doivent
autres seraient donc de nature endogène. La gravité des lésions -du
cordon
de Goll dans la lèpre ne semble pas aux auteurs
ut les fibres endogènes (et elles se trouvent en bon nombre dans le
cordon
de Goll à côté des fibres exogènes) qui auraien
ainsi : « 1- Dans certains cas de lèpre, il existe des lésions des
cordons
postérieurs occu- pant, avec une prédilection p
ons postérieurs occu- pant, avec une prédilection particulière, les
cordons
de Goll, les fais- ceaux en virgule, les triang
rès vraisemblablement d'origine endogène. » ' Sur les lésions des
cordons
postérieurs dans la moelle des lépreux. Revue neu
DE M. Magnan. Résumé du rapport sur Les lésions non tabétiques des
cordons
posté- rieurs de la moelle épinière; par le pro
S SAVANTES. 65 Résumé du rapport sur Les lésions non tabétiques des
cordons
pos- térieurs de la moelle épinière; par E.-A.
ées -d'une altération sinon exclusive, du moins prépondérante-, des
cordons
postérieurs, étant très nom- breuses, je ne me
. Sibelius assistant à l'Institut) à considérer les altérations des
cordons
pos- térieurs propres à la paralysie générale c
iome sans pression. Par rapport à leur origine, les altérations des
cordons
posté- rieurs, dans les groupes de cas où il y
et dans la partie supérieure de la moelle altération distincte des
cordons
de Goll. Dans tous les cas épaississement des s
ces foyers) plus ou moins limité de la neuroglie, surtout dans les
cordons
postérieurs.- Les rapports de ces foyers et scl
s les anémies graves, les lésions sont les plus prononcées dans les
cordons
postérieurs, et en rapport avec les septa et les
la péri- phérie, mais à une certaine distance, dans l'intérieur des
cordons
, et communément autour des vaisseaux. Par le fa
isseaux plus ou moins épaissis, et toujours principalement dans les
cordons
postérieurs. On rencontre cependant quelquefois
ans les infections aiguës, ne prédominent pas spécialement dans les
cordons
postérieures. 68 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. Quant a
ceux-ci, elles ne montrent aucune prédilection nette à affecter les
cordons
pos- - térieurs. Enfin, quand aux dégénératio
st nettement constatable deux ou trois jours avant celle des autres
cordons
et trois ou quatre jours après la section. Qu
du l'ait, que dans un nombre considérable d'affections diverses les
cordons
postérieurs sont ou bien seuls attaqués, ou bie
lations avec les fibres voisines, soit dans les relations entre ces
cordons
el les nerfs périphériques. Cet état de choses
nerfs périphériques. Cet état de choses tend d'un côté à rendre ces
cordons
plus vulnérables que d'autres, et de l'autre cô
de Clarke sont intactes même dans les cas avancés. La sclérose du
cordon
antéro-Iatéral est d'emblée généralisée, dépass
nique des altérations des cellules cordonales dans la sclérose des
cordons
. ' De l'étude des faits et de cette considérati
eau de la moelle les auteurs ont constaté une sclé- rose légère des
cordons
antéro-latéraux empiétant dans un cas très légè
ques distincts : le proloneurone moteur ; les cellules et fibres de
cordon
. Sans comp- ter qu'assez souvent les lésions in
atrophie musculaire progressive, dans un cas où, à l'autopsie, les
cordons
latéraux ont été trouvés en état de parfaite inté
glique et les altérations vascu- laires étaient minimes. Du côté du
cordon
antéro-latéral, on a constaté une sclérose légè
par J. Babinski (de Paris). L'association de lésions tabétiques des
cordons
postérieurs et d'altérations scléreuses des cor
tabétiques des cordons postérieurs et d'altérations scléreuses des
cordons
latéraux me parait beaucoup plus commune qu'on
se pour la première fois par M. Marie, à savoir que les lésions des
cordons
postérieurs dans le tabes, dépendent d'une affe
refuse à admettre qu'elles soient la cause de la dégénérescence des
cordons
postérieurs. D'autre part, elles ne sont pas du
n Gehurthen la douleur se trans- met par le faisceau fondamental du
cordon
antéro-latéral et par le faisceau deGawert. D
générescence des faisceaux de fibres de gros calibre qui partent du
cordon
posté- rieur pour se rendre dans la substantiva
e considérer le tabes comme une affection primaire dégénérative des
cordons
postérieurs de la-moelle épi- nièré, et relativ
racines postérieures, fit.observer que la lésion des racines et des
cordons
postérieurs impliquait une affection cellulaire
labes dorsalis, l'état des cellules d'ori- gine des racines et des
cordons
postérieurs de lamoelle, c'est-à-dire des cellu
ion de ces cellules devrait amener la dégénéra- tion des fibres des
cordons
postérieurs. Stroebe a trouvé, dans trois cas d
dans les cellules des ganglions spinaux, et que la dégénération des
cordons
postérieurs doit être regardée comme secondaire
s lésions ne suffisent pas pour expliquer celles des racines et des
cordons
postérieurs dans le tabes. Erb admet d'ailleurs q
en seraient pas moins capables de provoquer les dégé- nérations des
cordons
postérieurs. ' ' Emil Hedich. Die hinleren 11'e
dégénération des collatérales réflexes déterminée par la lésion des
cordons
postérieurs. Cette dégénération entraîne la per
auraient bien peu d'importance au regard des lésions si graves des
cordons
postérieurs. Si, sur ce point de fait, ces aute
ue dirige Schaffer contre la théorie d'après laquelle la lésion des
cordons
postérieurs dériverait, dans le tabes, d'une lé
des malades décédés tout à fait au commencement de l'affection des
cordons
postérieurs ; même en ces cas, il est bien vrai
strict du mot. Du moment qu'il existe des lésions appréciables des
cordons
, on peut affirmer que celles-ci ne sont que l'e
e stimulus qui leur arrive de la périphérie en une exci- tation des
cordons
postérieurs ; cette activité des cellules est a
transformation anormale a lieu, qui agit d'une façon nocive sur les
cordons
postérieurs. » Comme une altération de l'activi
des ganglions spinaux chez les tabétiques : la lésion initiale des
cordons
posté- rieurs serait bien localisée dans les ce
des vaisseaux, etc.), lésion dans laquelle se trouvaient compiis le
cordon
antérieure ! le cordon latéral. Un plus petit f
ésion dans laquelle se trouvaient compiis le cordon antérieure ! le
cordon
latéral. Un plus petit foyer existait à la même h
teur dans la corne antérieure gauche. La dégénération typique des
cordons
postérieurs dans le labes coexistait avec ces lés
dans le cas de Redlich, et, par conséquent, une dégéné- ration des
cordons
postérieurs semblable à celle que réalise le '
comment, si la lésion de la voie des pyramides est secondaire, les
cordons
antérieurs de cette voie demeurent-ils presque
s presque sans exception complètement indemnes ? Pourquoi, dans les
cordons
latéraux de la moelle, la dégénération n'affect
is seulement les lésions caractéristiques du tabès, les lésions des
cordons
posté- rieurs seuls ; 17 fois les cordons latér
du tabès, les lésions des cordons posté- rieurs seuls ; 17 fois les
cordons
latéraux seuls étaient lésés; 73 fois les cordo
uls ; 17 fois les cordons latéraux seuls étaient lésés; 73 fois les
cordons
latéraux et postérieurs=; il en résulte que la
dons latéraux et postérieurs=; il en résulte que la lésion pure des
cordons
postérieurs n'est pas beaucoup plus fréquente d
as beaucoup plus fréquente dans la paralysie générale que celle des
cordons
laté- raux. Dans la plupart des cas, écrit Fiir
it Fiirstner lui-même, le pro- cessus pathologique commence par les
cordons
latéraux ; un côté est plus gravement atteint q
dons latéraux ; un côté est plus gravement atteint que l'autre. Les
cordons
latéraux des pyramides sont plus atteints dans
s les cas de lésion pure que dans les cas de lésion combinée de ces
cordons
. Les cordons anté- ' rieurs des pyramides n'éta
lésion pure que dans les cas de lésion combinée de ces cordons. Les
cordons
anté- ' rieurs des pyramides n'étaient que très
affectés, et toujours leurs lésions étaient associées à celles des
cordons
laté- raux et postérieurs. « Dans les cas où la
raux et postérieurs. « Dans les cas où la lésion siégeait sur les
cordons
postérieurs, il faut distinguer ceux où la dégéné
avait précédé l'affection cérébrale d'avec ceux, plus rares, où ces
cordons
avaient dégénéré au cours de l'affection cérébr
re, dans les cas d'amputation, de dégénération, de « sclérose», des
cordons
postérieurs. Flatau, trois mois après une amput
utation, a trouvé, avec la coloration de Marchi, les racines et les
cordons
postérieurs correspondant aux membres amputés d
r la lésion caractéristique de cette affection, la dégénération des
cordons
pos- térieurs. Mais tout l'intérêt de ce prob
mier, semble-t-il, les rapports de la dégéné- ration secondaire des
cordons
postérieurs avec la méningite des méninges de l
s méninges la dégénération des racines postérieures; l'atrophie des
cordons
' Il n'est pas exact de compter Redlich au nomb
s les racines postérieures sont le point de départ de la lésion des
cordons
postérieurs; tel serait, par exemple, le point
t'Sachs (1894) ont montré ensuite comment l'affection tabétique des
cordons
postérieurs pouvait être l'effet d'une méningit
est à tout le moins un phénomène en corrélation avec la lésion des
cordons
postérieurs dans le tabes; ce point de vue est
e du poison syphilitique ou de ses produits sur la dégénération des
cordons
postérieurs peut être non seulement indirecte,
roduc-; lion de la lésion spécifique du tabes, la dégénératiol1 des
cordons
postérieurs, on doit reconnaître que les causes
lésions du cerveau, la dégénération secondaire peut s'étendre aux^
cordons
postérieurs, et qu'après des lésions du cervelet
gine du processus et de rattacher à ces lésions la dégénération des
cordons
postérieurs. Il faut également renoncer à inter
inière, mais du cerveau. Il est vraisem- blable que la sclérose des
cordons
postérieurs est une dégénération consécutive en
de l'identité des deux affections. Ajoutez que la dégénération des
cordons
postérieurs dans la paralysie générale n'est pa
e du tabès : - Le mode de distribution de l'affection tabétique des
cordons
postérieurs est-il systématique au sens de Stru
égénérescence tabétique parait véritable. L'affection tabétique des
cordons
postérieurs de la moelle n'est pas une affectio
n systématique des racines postérieures, une 'affection exogène des
cordons
postérieurs (Marie), ou, comme on peut 's'expri
aires. Les méninges étaient sclérosées. Pas de dégénéres- cence des
cordons
antéro-latéraux. G. D. XXII. Note sur l'imprégn
s les faisceaux pyramidaux, surtout dans les faisceaux croisés : le
cordon
latéral dans le reste de son étendue, le faisce
e de Romberg. Mais du reste aucun signe absolu de dégénérescence du
cordon
pyramidal. Pas de clonus du pied, pas de réflex
rébelleuse, on y voit une dégéné- rescence de la partie interne des
cordons
de Goll et des faisceaux cérébelleux avec agéné
l direct à gauche et du croisé à droite dans la moelle; atrophie du
cordon
autérolatéral gauche; atrophie de la moitié dro
cond cas une sclérose diffuse delà moelle por- tant surtout sur les
cordons
antéro-latéraux, mais intéressant aussi les cor
surtout sur les cordons antéro-latéraux, mais intéressant aussi les
cordons
postérieurs (faisceaux de Goll et de Burdach),
entièrement, l'origine fréquemment syphilitique de la sclérose des
cordons
postérieurs. R. de Musgrave Clay. .L11. Quelq
tumeur analogue dans le reste de l'organisme; 3° la disposition en
cordons
cellulaires des tissus qui entourent les vaisse
génération secon- daire. Ce symptôme révèle évidemment la lésion du
cordon
pyramidal, quoiqu'il ne soit pas possible d'aff
auatomo-pathologistes, pendant la vie intra-utérine, avaient leurs
cordons
pyramidaux correspon- dants franchement dégénér
central manquait, tandis que,dans d'autres cas, la dégénération du
cordon
pyra- midal ne s'est pas produite malgré l'exis
ruire la circonvolution frontale ascen- dante. Aucune altération du
cordon
pyramidal. La plus grande partie des cellules p
tes sont lésées; il en est de même des cellules de la moelle. Les
cordons
postérieurs de la moelle sont sclérosés ainsi que
thologie nerveuse, par 110. Moelle Lésions non tabé- tiques des
cordons
postérieurs de la -, par Uana, fil; par Homen,
ausal. L'habile observateur Schnltze (5)trouva une dégénération des
cordons
de Goll dans l'autopsie d'un acromégale, mais i
OLLATERALE DE FIBRES NERVEUSES 219 une tendance à produire dans les
cordons
postérieurs une lésion radiculaire discrète mai
daux et une lésion à peine perceptible d'une zone très étroite d'un
cordon
postérieur, répon- dant, par sa situation, au t
ent saines ; la moelle n'est pas atrophiée dans son ensemble et les
cordons
postérieurs ne sont pas diminués de volume. Les
s par la présence de fibres régénérées, avant que la . sclérose des
cordons
postérieurs soit appréciable. OBs. V. Névrite r
r- vés présentent la même lésion, on peut la suivre jusque dans les
cordons
postérieurs. Il semble donc que les éléments ne
terminales dans ces cas ; en tout cas je n'en ai vu aucune dans les
cordons
postérieurs ; je ne prétends pas, bien entendu, q
le très nette, les rétractions occupent surtout les extrémités, les
cordons
fibreux immobi- lisant et déformant les jointur
e qu'on la rencontre fréquemment chez le vieillard. Dans un cas les
cordons
de Goll étaient un peu sclérosés à la ré- gion
s fulgurantes et hislologiquement par une sclérose systématique des
cordons
postérieurs. Le professeur Joffroy (3) a rappor
s. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTERIEURES 305 Examens des
cordons
et des ganglions sympathiques. L'influence de l
également de date récente. Bonne, dans sa thèse de 1897, dissocia le
cordon
sympathique chez un seul des 6 animaux qui cons
faite de l'intégrité des racines antérieures,il fut trouvé dans le
cordon
sympathique du même côté, au-dessous des racines
sont originaires des cellules de ce ganglion (J.-Ch. Roux) (2). Le
cordon
sympathique du côté opposé reste toujours com-
s faits. Cet auteur avait toujours trouvé des dégénérescences dans le
cordon
sympathique après section des racines postérieu
g. Chez le chat I {ayant survécu 247 jours), nous avons examiné les
cordons
sympathiques thoraciques au-dessous de la 3e ra
s. La figure 7 (planche XLVIII) représente une coupe trans- sale du
cordon
gauche (côté opéré). On y distingue nettement une
stribution de ces fibres sur les coupes de sympathiques normaux. Le
cordon
sympathique droit était d'apparence normale.
la numération des fibres des deux variétés sur les coupes des deux
cordons
, il des niveaux correspondants. Le cordon sympa
ur les coupes des deux cordons, il des niveaux correspondants. Le
cordon
sympathique droit (côté sain) contenait 2880 fibr
té sain) contenait 2880 fibres fines et 382 grosses fibres.. . Le
cordon
gauche (côté opéré) contient 2202 fibres fines et
s après l'opération (obs. XII)'. Sur les dissociations de ces mêmes
cordons
thoraciques (chat I), nous avons pu retrouver q
ez lechat V (survie 338 jours), nous avons trouvé sur les coupes du
cordon
sympathique côté opéré, au-dessus des racines sec
e chat V, au-dessous des racines sectionnées, il n'existait dans le
cordon
du côté opéré qu'une très petite zone dépeuplée,
érations comparatives n'ont pas montré de différence entre les deux
cordons
. Ce fait est intéressant à rapprocher de cette
section des paires thoraci- ques inférieures, il n'existait dans le
cordon
thoracique au-dessous des racines sectionnées q
(même technique, même grossissement). FiG. 7. Coupe transversale du
cordon
sympathique thoracique gauche au-dessous de la
nérées dans les racines postérieures après ablation expérimentale des
cordons
thoraciques. (2) RALLER, Gaz. médicale. 1856.
(J.-C. Roux et J. Heil.) - PLANCHE XLIX FiG. 1. Dissociation du
cordon
sympathique thoracique gauche au-dessous de la 5,
mique au 1/100 ; obj. 5, ocul. 1). Fic. 2. - Dissociation du même
cordon
à plus fort grossissement. Dégénérescence de tr
h. Roux) (3). Il est en effet à peu près certain que les lésions du
cordon
cervical, par exemple, sont proportionnelles au
nflement cer- vical (J.-Ch. Roux (4), Jean Heitz) (5). L'aspect des
cordons
sympathiques, 8 mois après la section expérimen
s la section expérimentale, rappelle tout à fait celui de ces mêmes
cordons
dans le tabes. Il faut ajouter cependant qu'au
n des fibres fines à myéline est beaucoup plus accusée que dans les
cordons
(72 0/0 de diminution en moyenne au lieu de 40
rtante du nombre des grosses fibres à myéli- ne, alors que dans les
cordons
ces fibres étaient encore en nombre normal. No-,
es fibres centrifuges passe par les rameaux com- municants dans les
cordons
sympathiques, où les dissociations les montrent
mblent dans les deux ordres de faits, tout au moins dans les grands
cordons
, mais nous ignorons si l'expéri- mentation repr
té des cellules des ganglions spinaux ; dégénérescence partielle du
cordon
sympathique gau- che descendant ; fibres de gro
correspondant aux trois racines section- nées des deux côtés ; les
cordons
sympathiques au-dessus de la dernière racine se
ne puisse les considérer comme accidentelles et négligeables. Les
cordons
sympathiques ont été examinés sur dissociations e
examinées à 1 cm. au- dessous de la dernière racine sectionnée : le
cordon
droit avait son aspect nor- mal et comprenait (
382 fibres à myé- line de gros calibre et 2.880 fibres fines. Le
cordon
gauche montrait une zone en trapèze dont le côté
it et gauche, les rami-communicantes 10e et 11" des deux côtés, les
cordons
sympathiques au-dessous de la section et au-dessu
le picro-carmin, des coupes ont été faites des splanchniques et du
cordon
sympathique thoracique au-dessous et au-dessus
acique au-dessous et au-dessus du niveau opéré. Malheureusement, le
cordon
sympathique gauche au-dessus de ce niveau avait
lesquelles n'avaient pas été touchées par l'acte opératoire. Les
cordons
thoraciques, au-dessous du niveau opéré, ont été
u-dessous du niveau opéré, ont été examinés par le même procédé. Le
cordon
droit comprenait 337 fibres grosses et 4.155 fibr
1 grosses fibres), il est bon d'ajouter que le diamètre total de ce
cordon
était sensiblement plus petit que du côté droit.
au il n'y a plus que quelques fibres dans la partie périphérique du
cordon
antérieur. Les racines antérieures et postérieu-
fig. 5). 350 GIUNIO CATOLA Au niveau de la lié racine dorsale, le
cordon
latéral gauche est presque complètement normal
auche est presque complètement normal ainsi qu'une grande partie du
cordon
de Burdach des deux côtés : tout le reste de la
en très bon état (fig. 7). Au niveau de la 2e racine lombaire, les
cordons
postérieurs sont pres- que normaux. A gauche es
pres- que normaux. A gauche est bien conservée aussi une partie du
cordon
antéro- latéral, tandis qu'à droite il n'en res
nt invertis (fig. 8). Au niveau des 4° el 5" racines lombaires, les
cordons
antéro-latéraux et les cordons postérieurs sont
des 4° el 5" racines lombaires, les cordons antéro-latéraux et les
cordons
postérieurs sont à peu près normaux, sauf una lég
de raréfaction périphérique, persistant (fig. 2). A la 5° racine le
cordon
latéral droit est remplacé par une zone de sclé
antérieure. La sclérose occupe en même temps la commissure grise,le
cordon
de Goll, la zone cornu-commissurale et la corne
e dorsale toute la moitié droite de la moelle, la com- missure, les
cordons
de Goll et de Burdach et la partie médiane du cor
missure, les cordons de Goll et de Burdach et la partie médiane du
cordon
antérieur du côté gauche sont atteints par la s
s on observe seulement une très légère raréfaction périphérique des
cordons
antéro-latéraux (fig. 5). Au-dessous de ce niveau
deux semaines, la formation de fibres fines à myéline provenant des
cordons
latéraux et antérieurs. Ces fibres s'infiltrent
fibres de la substance blanche et grise. Les bouts traumatisés des
cordons
de la moelle présentent beaucoup d'axones altér
e la cavité kystique. Les fibres ramifiées appartiennent à tous les
cordons
, mais elles sont plus abondan- tes dans les fai
nt plus abondan- tes dans les faisceaux de la région antérieure des
cordons
postérieurs. Il s'agit la pluparL du temps d'ax
umatisme. Du reste, dans l'épaisseur de la cicatrice comme dans les
cordons
, les massues de croissance, à ce qu'il semble s
prouverait que la branche ascendante ou descendante des axones des
cordons
coupés par la section, concernent seulement le
bien à l'extrémité des fibres du faiscean latéral qu'au niveau des
cordons
postérieurs, leur direction est tantôt ascendante
ges. La partie moyenne de la cicatrice contient un grand nombre des
cordons
de fibres de nouvelle formation qu'on peut suivre
s postérieures sectionnées par la compression. On retrouve dans ces
cordons
de jeunes axones il tous les degrés de développ
de jeunes axones il tous les degrés de développement (Fig. 9). Ces
cordons
sont bien visibles à un faible grossisse- ment
erveux les corps granuleux sont en grande abondance. Les fibres des
cordons
sont amyéliniques traversant des bandes protopl
e. Dans cette région de la cicatrice, comme dans la précédente, les
cordons
de fibres nerveuses sont séparés par des tractus
serve pas de fibres de nouvelle formation. Quelle est l'origine des
cordons
cellulaires et des fibres de nouvelle forma- ti
e la continuité entre les faisceaux de la racine et certains de ces
cordons
cellulaires dont nous venons de parler, Au ni
sous de la pie-mère, où les racines sont comprimées, on constate un
cordon
de fibres fines qui s'entremêlent de toutes fio
faisceaux de fibres de nouvelle formation, il est à supposer que le
cordon
pie-mérien que nous venons de décrire est de pr
. RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 439 La région des
cordons
postérieurs, au-dessus de la compression, est par
nstatées portent sur la substance grise, tandis que l'intégrité des
cordons
blancs est absolue, toutes les gaines se colorent
e 2" segment t cervical, montre également une intégrité absolue des
cordons
blancs, il n'y existe aucun grain noir. Les a
ires, existence de dégénérations variables et peu marquées dans les
cordons
antéro-latéraux, dégénérations des racines antéri
elques dégénérations sans importance et de peu d'éten- due dans les
cordons
antéro-latéraux, mais les voies sensitives étaien
lète chez lequel il n'y a pas eu infection ascendante pro- pagée du
cordon
aux vésicules. On s'explique, selon la théorie d'
iminuée, ni augmentée de volume ; on ne constate que l'atrophie des
cordons
postérieurs qui sont moins larges et ont une tein
Il exsste également un léger degré de leptoméningite au niveau des
cordons
postérieurs : la dure-mère ne présente aucune a
, par l'hématoxyline-éosine. Sur toute la hauteur de la moelle, les
cordons
antéro-latéraux sont absolu- ment sains. Dans
la circonférence de la moelle et le diamètre antéro- postérieur des
cordons
antéro-latéraux à ce niveau est augmenté ; en tou
gence, où plupart ont perdu leur gaîne de myéline. L'altération des
cordons
postérieurs, déjà des plus manifestes à l'oeil nu
rée, par exemple, sur les coupes colorées par la méthode de Pal, le
cordon
postérieur est décoloré sur toute sa surface, c
pes colorées au Pal, par leur teinte plus foncée : tout le reste du
cordon
postérieur est au contraire pâle, il en est de
ngle à l'extrémité postérieure du septum. Dans la partie externe du
cordon
postérieur la raréfaction est beaucoup moins con-
dans les zones cornu-commissurales et dans l'angle postéro-externe du
cordon
postérieur. 1 Les diamètres de la corne posté
s modifications sont à peine appréciables. VIe el Ve dorsales. Le
cordon
postérieur est sensiblement réduit dans son dia
rapprochent sensiblement de la normale. Le tassement qu'a subi le
cordon
postérieur rend certainement les dégéné- rescen
- Aucune modification notable. La même différence subsiste entre le
cordon
de Burdach et le cordon de Goll, celui-ci est rel
table. La même différence subsiste entre le cordon de Burdach et le
cordon
de Goll, celui-ci est relative- ment moins dégé
fuse. Ire dorsale. - La même dégénération diffuse subsiste dans les
cordons
pos- térieurs, la zone cornu-commissurale est s
e il existe une dégénération diffuse atteignant son maximum dans le
cordon
de Goll où les fibres sont très rares ; la même d
où les fibres sont très rares ; la même différence existe entre le
cordon
de Goll et le cordon de Burdach que dans les nive
rès rares ; la même différence existe entre le cordon de Goll et le
cordon
de Burdach que dans les niveaux sous-jacents de
ences se cantonnent de plus en plus dans la partie pos- térieure du
cordon
de Goll ; dans les cordons de Burdach, elles préd
s en plus dans la partie pos- térieure du cordon de Goll ; dans les
cordons
de Burdach, elles prédominent toujours dans la
ieurs de la région cervicale (Ve, IVe, IIIe) la dégéné- rescence du
cordon
de Goll se limite de plus en plus vers le tiers p
te de plus en plus vers le tiers postérieur, de même les limites du
cordon
de Goll et du cordon de Burdach sont plus in- t
rs le tiers postérieur, de même les limites du cordon de Goll et du
cordon
de Burdach sont plus in- tensivement colorées :
one radiculaire moyenne est toujours la zone la plus prise dans les
cordons
de Burdach : l'aspect de la corne postérieure et
hode de Weigert pour la névroglie. Elle permet de constater dans le
cordon
postérieur une très riche prolifération névrogliq
les et au milieu de laquelle, du moins dans la partie cen- trale du
cordon
postérieur, on ne trouve qu'un nombre très restre
racines postérieures, elles ne diffèrent en rien de la sclérose des
cordons
postérieurs qu'on observe dans le tabes ; nous ne
semblable des nerfs sensitifs avec dégénération ascendante dans les
cordons
(1) V. Bedaschi, Le forme fruste della neurite
racines postérieures sans état hypertrophi- que, et des lésions des
cordons
postérieurs analogues à celles que l'on ren- co
es postérieures, ont été suivis, dans certains cas, jusque dans les
cordons
postérieurs. Fréquemment, les auteurs signalent
nales : elles prédominent, d'ordinaire, dans la région centrale des
cordons
latéraux et postérieurs. A leur niveau, la névr
des faisceaux pyramidaux direct et croisé, avec pâleur diffuse des
cordons
antéro-latéraux. Quelques cel- lules nerveuses
er- veuses, diffuse avec prédominance dans la partie antérieure des
cordons
an- téro-latéraux, et dans la partie centrale d
n léger épaississement de la névroglie, dans la partie profonde des
cordons
latéraux et postérieurs, avec début de nécrose,et
et 2 ou 3 petits foyers d'hémorragie capillaire, notamment dans les
cordons
postérieurs. Intégrité complète des autres vais
romatolyse discrète, sans pigmentation. Dans la partie centrale des
cordons
latéraux et postérieurs, grosse dilatation de nom
épaississement de la névroglie. Ces lésions sont au maximum dans le
cordon
latéral gauche, où elles s'accompagnent de phén
petits foyers de myélomalacie, limités à la substance blan- che du
cordon
latéral. Les vaisseaux sanguins largement permé
uelques granulations noires par le Marchi de la région centrale des
cordons
postérieurs ; cellules nerveuses intactes : obl
scendantes et descendantes des fibres longues des faisceaux blancs (
cordons
de Goll, cérébelleux direct, py- ramidal). A
sable. Les lésions dégénératives des faisceaux blancs pyramidaux (
cordons
de Golf) semblent en rapport, plutôt avec les a
parfois d'une manière intense avec des lésions dégénéra- tives des
cordons
postérieurs présentant leur maximum au niveau des
- les ; lésions banales des cellules nerveuses , dégénérescence des
cordons
pos- térieurs correspondant aux racines malades
a pie-mère et de la névroglie, celle-ci surtout marquée au niveau des
cordons
de Goll ; pas de gaînes dilatées ni de cylindre
, on trouve, au-dessus,une pâleur diffuse de la partie centrale des
cordons
postérieurs, disparaissant presque complètement v
sa moitié gauche, présente un début de myé- lomalacie dans les deux
cordons
latéraux et dans la zone de Lissauer droite, im
t épaissie. Au-dessous de la compression (7° segment), au niveau du
cordon
antéro-latéral droit, la super- ficie delà moel
évroglie. Au-dessus du foyer tuberculeux, légère dégénérescence des
cordons
de Goll ; au-dessous, dégénérescence très légèr
récent, aient encore détermi- né des dégénérations ascendantes des
cordons
postérieurs. Dans la moelle (Obs. X),les lésion
foyer épidural et à, l'englobement des racines. Quelques fibres des
cordons
postérieurs dans la région sacrée prennent le M
avec pigmentation. Dans la région sacrée, lésions dégénératives des
cordons
postérieurs,diffuses, mais avec prédominance po
érose névroglique dif- fuse,prédominante à la partie antérieure des
cordons
antérieurs et postérieurs. Dans les cordons lat
a partie antérieure des cordons antérieurs et postérieurs. Dans les
cordons
latéraux, un certain nombre de gaînes myéliniques
. Mêmes lésions, mais plus légères,dans la partie superficielle des
cordons
postérieurs. Canal central oblitéré, cellules n
génératives au Pal et au Marchi des racines postérieures ; dans les
cordons
postérieurs, dégénération nette, respectant la
n nette, respectant la zone commissurale et la partie marginale des
cordons
postérieurs. Dans la région cervicale supérieur
eurs. Dans la région cervicale supérieure, on trouve, au niveau des
cordons
pos- térieurs, deux zones dégénérées : 1° l'une
térieurs, deux zones dégénérées : 1° l'une à la partie interne des
cordons
de Bnr- dach, semble correspondre aux lésions m
gard du foyer tuberculeux ; 2° l'autre occupe la partie médiane des
cordons
de Goll ; séparée par une bande de tissu sain d
omalacie étendu sur une hauteur de plusieurs segments au niveau des
cordons
postérieurs à la région dorsale moyenne. ' Te
res, trois fois seulement (obs. 1, VIII, XIII) nous voyons dans les
cordons
postérieurs, des lésions de dégénération ascend
illeurs insi- gnifiantes. Dans l'observation XV, existait, dans les
cordons
postérieurs, un foyer étendu de myélomalacie, p
engorgement de la circulation veineuse, et aussi la raréfaction des
cordons
et les atrophies cellulaires dépendent de l'art
r l'enchevêtrement des fibres pyramidales avec les autres fibres du
cordon
atitéro-litéral. Bref, il faut revenir au point d
apport à l'ensemble des libres qui se terminent dans les noyaux des
cordons
postérieurs. Cependant le faisceau optique cent
uite après sa nais- sance, Joseph failli mourir d'une hémorragie du
cordon
ombilical et la mère nous raconte : « Joseph vi
Je criai et la sage-femme le remit à nu et constata que le noeud du
cordon
n'avait pas tenu et que l'enfant perdait tout son
l'axe nerveux on ne trouve de plaques de sclérose. Le sys- tème des
cordons
postérieurs est indemne de dégénération ; même au
rs noyaux. Le système pyramidal lui aussi est intact. Seul dans les
cordons
de la moelle le faisceau cérébelleux direct par
n générale, on peut dire que dans toute l'étendue de la moelle, les
cordons
autéro-tatéraux, les cornes et les racines antéri
Les lésions essentielles portent sur les racines postérieures et les
cordons
postérieurs ; elles varient, d'ailleurs, d'une
re (6°, 5e, 4° sacrées). Les lésions manquent ab- solument dans les
cordons
postérieurs. Parmi les nerfs de la queue de che
est des plus nettes. 2° Région sacrée supérieure (Ve sacrée). - Les
cordons
postérieurs ne por- tent aucune lésion apparent
te seulement un épaississement notable de la pie-mère au niveau des
cordons
postérieurs, et toujours la présence, parmi les n
sversale de l'H, a une forme irrégulière ; elle occupe le milieu du
cordon
postérieur, dans son tiers postérieur. En somme
aspect tranche fortement, comparé il celui des parties voisines du
cordon
postérieur droit et des régions similaires du cor
es voisines du cordon postérieur droit et des régions similaires du
cordon
posté- rieur gauche où les tubes nerveux sont s
ce niveau ont un aspect normal ; il n'y en a plus de sclérosées. Le
cordon
postérieur droit, dans sa partie moyenne et int
moyen, a seulement une teinte un pen plus claire, comparée à celle du
cordon
postérieur gauche, comme si les fibres il myéli
zone radicu- laire moyenne. Les autres territoires radiculaires des
cordons
postérieurs, savoir la zone radiculaire antérie
hamps postéro externes, sont (I) Cf. Naoeotte, Etude anatomique des
cordons
l,osféJ'iell1'S. Nouvelle Iconogra- phie de la
ère, 1904, p. 49. - NI) CIIAL1ER ET N0VÉ-.I0SSEI1AND intacts ; le
cordon
de Goll est respecté. D'autre part, la zone de Li
ne et de- vrait être compris parmi les territoires radiculaires des
cordons
posté- rieurs ; il contiendrait les fibres long
ans les bandelettes externes occupent,plus ha ut dans la moelle, le
cordon
de Goll, de sorte que si ces bandelettes sont mal
le cordon de Goll, de sorte que si ces bandelettes sont malades, les
cordons
de Goll le sont aussi. Au contraire, Nageotte (
du compte que c'est avec l'état des champs postéro-externès que les
cordons
de Goll sont t en rapport étroit, au point que
es champs se répercutent d'une manière absolument parallèle dans le
cordon
de Goll. Chez notre malade le cordon de Goll ét
e absolument parallèle dans le cordon de Goll. Chez notre malade le
cordon
de Goll était intact ainsi que les champs postéro
s la région lombaire, ce qui semble bien établir l'indépendance des
cordons
de Goll (1) NAGEOTTE, Etude anatomique des cord
indépendance des cordons de Goll (1) NAGEOTTE, Etude anatomique des
cordons
postérieurs. Nouvelle Iconographie de la Salpêt
n- delette externe, en se basant, pour le dire, sur l'intégrité des
cordons
de Goll quancrtla bandelette est lésée, car dan
ions suivantes : 1 Il y a des tabes, avec lésions très étendues des
cordons
posté* rieurs, qui ne présentent pas le signe d
iquer la rélrocession des symptômes et l'arrêt dans la sclérose des
cordons
postérieurs, sous l'influence de la cécité. » A
ez le tabétique à crise gastrique ou viscéralgidue, la sclérose des
cordons
postérieurs n'est pas tout, mais coexiste, sans d
onnus. En ne considérant d'abord que les lésions des racines et des
cordons
postérieurs dans leurs rapports présumés avec l
Autopsie; ulcère ancien gastrique, pas de lésions histologiques des
cordons
postérieurs ; les quelques fragments de racines
d'une polynévrite ; tabès absolument a rejeter, vu l'intégrité des
cordons
postérieurs. Ces observations sont extraites de
ués sur le sympathique d'un' sujet atteint de sclérose combinée des
cordons
postérieurs et latéraux; ils ont montré l'intégri
d'un évanouissement prolongé de la mère, d'un double circulaire du
cordon
et de cyanose prolongée de l'enfant. Il pesait
ses ; la substance blanche est indemne de tonte dégénérescence, les
cordons
postérieurs en particulier sont intacts. Les ra
ogression vers le tronc. A l'examen anatomique, dans la moelle, les
cordons
postérieurs seuls étaient dégénérés, avec un tiss
est accompa- gnée de contractions fibrillaires et de douleurs. Les
cordons
postérieurs de la moelle sont sclérosés (fibres
ses incluses dans une substance granuleuse à noyaux multiples), les
cordons
anléro-latératix et la substance grise sont int
La moelle ne présentait qu'un peu de sclérose névroglique dans les
cordons
de Goll, diminuant de bas en liant; les cornes an
oelle, et le noyau de l'hypoglosse ; diminution des fibres dans les
cordons
postérieurs et latéraux ; dans les nerfs périph
u'à la RD. A l'examen histo- logique : dans la moelle, sclérose des
cordons
postérieurs, raréfaction du réseau de la colonn
aque dépressive ; mort à 20 ans. Examen histologique : sclérose des
cordons
postérieurs dimi- nuant de bas en haut ; diminu
postérieurs dimi- nuant de bas en haut ; diminution des fibres des
cordons
latéraux ; diminution des fibres et des cellule
ux. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose très étendue des
cordons
postérieurs et sclérose plus faible des cordons l
se très étendue des cordons postérieurs et sclérose plus faible des
cordons
laté- raux ; altération de la colonne de Clarke
. Mort à 80 ans. Examen histologique : Dégénérescence scléreuse des
cordons
postérieurs plus marquée dans la région cervico-d
Mort à 42 ans. - Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des
cordons
postérieurs; sclérose moins marquée dans les co
, sclérose des cordons postérieurs; sclérose moins marquée dans les
cordons
antéro-latéraux; raré- faction des éléments cel
vulsifs ; mort à 45 ans. Examen histologique : Dé- générescence des
cordons
postérieurs ; atrophie des cellules des cornes an
ornes antérieures sacrées ; hétérotopie de substance grise dans les
cordons
postérieurs à la région lombaire ; racines antéri
Examen histologique : Dans la moelle, dégénérescence partielle des
cordons
postérieurs ; éclaircissement des fibres dans les
rtielle des cordons postérieurs ; éclaircissement des fibres dans les
cordons
antéro-latéraux, sans systématisation nette; di
; mort à 25 ans. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des
cordons
postérieurs et des faisceaux cérébelleux, dimin
rgyll-Robertson. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des
cordons
postérieurs, diminution du réseau de la colonne d
nu- laire, engainant les fibres. Dans la moelle, dégénérescence des
cordons
pos- térieurs ; diminution des fibres à myéline
flexes lumineux. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des
cordons
postérieurs, raréfaction des fibres dans les cord
, sclérose des cordons postérieurs, raréfaction des fibres dans les
cordons
antéro-iatéraux. Les racines rachidiennes sont
ns cette dernière, la lésion la plus fréquente est une sclérose des
cordons
postérieurs, non consécutive à une dégénérescence
nérescences primitives médullaires. On a vu aussi des scléroses des
cordons
antéro-latéraux, parfois systématisées et siége
t à ce niveau, la substance grise paraît intacte, les faisceaux des
cordons
antéro-latéraux ne présentent aucurfe trace de
antéro-latéraux ne présentent aucurfe trace de dégénérescence, les
cordons
postérieurs par contre sont très réduits, leur
(fig. 7et 8), la corne postérieure est considérablement réduite et le
cordon
postérieur a à peu près complètement disparu :
reconstitution delà moitié gauche de la moelle qui commence par les
cordons
postérieurs : on voit en effet en arrière les r
grossissante qui sur la fig. 11 (c. o. p.) donne déjà l'image d'un
cordon
postérieur. Sur les coupes plus supé- rieures (
rne postérieure gauche. La substance blanche est moins touchée, les
cordons
postérieurs semblent t relativement peu dégénér
les cordons postérieurs semblent t relativement peu dégénérés, les
cordons
antéro-latéraux sont au contraire forte- ment d
la il. dor- sale ils sont redevenus normaux. La partie interne du
cordon
postérieur est notablement éclaircie : mais il ne
; les fibres sont plus grêles, plus rares, et l'éclaircissement au
cordon
de Goll porte non seulement sur la zone margina
uantité de fibres dégénérées le long du septum. Cette atropgiedes
cordons
de Goll,manifeste à la région dorsale, devient pl
res à myéline provenant des racines postérieures ou appartenant aux
cordons
: ces dernières formations rappellent tout à fait
lle, leurs fibres sont dissociées, éparpillées. La dégénération des
cordons
postérieurs est la conséquence de l'interruption
e Si. Reconstitution de la moitié gauche de la moelle, formation du
cordon
postérieur par les fibres radiculaires postérie
solées, destruction des cornes antérieures c. a., reconstitution du
cordon
postérieur gauche c. o. p. et de la substance gel
e L5. Ces cornes antérieures c. a. sont complètement détruites, les
cordons
antérieur c.o. a. et latéraux c. o. 1. sont en
ntérieur c.o. a. et latéraux c. o. 1. sont en partie dégénérés. les
cordons
postérieurs c. o. p. peu couchés. ' Fig. 14.
apport à la droite, on constate des dégénérescences ascendantes des
cordons
antéro-latéraux c. a. l. et de la partie intern
es des cordons antéro-latéraux c. a. l. et de la partie interne des
cordons
postérieurs, faisceau de Goll c. G. qui est net
G. qui est nettement plus clair que le faisceau de Burdach c. B. le
cordon
de Goll gauche est du reste plus petit que le d
ité relative des cornes postérieures, intégrité presque absolue des
cordons
blancs. Au premier abord, la corne poslérieure
rs parois très épaissies et sont presque vides de sang. Quant aux
cordons
blancs, leur intégrité parait absolue. Dans l'ens
m- ble cependant, leur volume est quelque peu inférieur à celui des
cordons
blancs du côté sain, mais en même temps ils par
n outre, il existait dans ces deux mêmes cas un peu de sclérose des
cordons
postérieurs. Cette sclérose, très légère dans l'u
nts, conservation relative de la corne postérieure. Inté- grité des
cordons
blancs. Lésions artérielles associées, d'origine
endant l'atteinte élective de la subs- tance grise, l'intégrité des
cordons
blancs avoisinant montre qu'il ne s'a- gU pas d
rapial. qui fournissent l'irrigation de la corne postérieure et des
cordons
blancs. Parmi ces branches perforantes, quelque
es au niveau de leur base ; en arrière, elles sont limitées par les
cordons
postérieurs, dont les plans les plus antérieurs
lésions ont enfin entraîné des déformations considérables dans les
cordons
postérieurs et latéraux, des déviations des sillo
la région cervicale, elles tendent à déborder latéralement sur les
cordons
latéraux, ce qui explique la dégénéra lion des fa
eau une fente transversale, qui à droite se pour- suit à travers le
cordon
latéral jusqu'à la pie-mère. Elle est à peu près
-mère. Elle est à peu près transversale et laisse derrière elle les
cordons
et les cornes postérieures. En DVIll, l'aspect
continuer en arrière jusqu'à la périphérie de la moelle, à travers le
cordon
postérieur. . 3G8 ANDRÉ-THOMAS ET QUI,ITCY
, qui segmentent la substance grise, les cornes postérieures ou les
cordons
latéraux ; les uns se terminent en culs-de-sac,
s, surtout en arrière, où il.envoie quelques prolongements dans les
cordons
postérieurs. Elles sont plus indécises au nivea
ns les cordons postérieurs. Elles sont plus indécises au niveau des
cordons
latéraux, où la ligne de démarcation entre le g
trophiée se rencontrent encore assez loin du gliome jusque dans les
cordons
latéraux. Dans plusieurs régions, les petits va
pla ; ils s'infiltrent ainsi dans les racines, il la périphérie des
cordons
latéraux. Au milieu des infil- trations conjonc
nctives. Ce fait est particulièrement net : 1° dans les sillons des
cordons
posté ? rieurs et latéraux, vis-à-vis des culs-
he un diverticule situé en dedans de la corne postérieure, en plein
cordon
postérieur. A ce diverticule fait suite une tra
circonférence de la moelle. A ce niveau la pie-mère qui recouvre le
cordon
postérieur est très mince, tandis qu'elle s'épa
dissociés par places, par des traînées conjonctives ; au-delà sur le
cordon
latéral ou le cordon postérieur de l'autre côté
par des traînées conjonctives ; au-delà sur le cordon latéral ou le
cordon
postérieur de l'autre côté, la pie-mère reparaît,
épais- seur de la pie-mère, dans la partie la plus superficielle du
cordon
posté- rieur, et dans la traînée névroglique qu
iomateuse est traversée par une fissure assez large ouverte dans le
cordon
de Burdach ; celle-ci est occupée par des amas de
fibres myélinisées, orientées en divers sens, en continuité avec le
cordon
de Burdach ; il s'agit sans doute d'une hétérot
se voit surtout au niveau de la paroi antérieure. En outre dans les
cordons
latéraux on voit des membranes conjonctives se dé
spéciale de la fissure et l'absence de pie- mère à la périphérie du
cordon
postérieur, sur le même étage médullaire (Dvm).
bstance blanche est sensiblement indemne sauf en un point limité du
cordon
antérieur où elle présente un élat réticulé spé
un élat réticulé spécial et sauf une paieur modéree el diffuse des
cordons
postérieurs. Du côté gauche la substance grise
de la face antérieure. Dans la substance blanche, il reste dans le
cordon
antérieur quelque trace de l'état réticulé de la
ur quelque trace de l'état réticulé de la coupe précédente, dans le
cordon
postérieur toujours une pâleur diffuse par scléro
2-3. La moelle a repris son aspect normal sauf un peu de pâleur du
cordon
postérieur.Ce cas a été débité en coupes sériée
rne postérieure, côté sain. CP' corne postérieure, côté malade. CdA
cordon
antérieur. CdP cordon posté- rieur. V vaisseau,
sain. CP' corne postérieure, côté malade. CdA cordon antérieur. CdP
cordon
posté- rieur. V vaisseau, côté sain. V' vaissea
é sain. V' vaisseau, côté malade. Z aspect réticulé d'une partie du
cordon
antérieur. L'on voit sur cette coupe : 1° La mé
le dorsale, lombaire et sacrée, sauf un certain degré de pâleur des
cordons
postérieurs. Grosse méningite syphilitique avec
ance blanche parait intacte sauf l'existence d'une dégénération des
cordons
postérieurs à type radiculaire avec dégénératio
ec dégénération des bandelettes de Charcot-Pierret. Cette lésion du
cordon
posté- xxv 29 434 P. MARIE ET FOIX rieur s'
. La substance blanche présente une sclérose modérée, mais nette du
cordon
postérieur, et au niveau de l'angle inferieur d
is nette du cordon postérieur, et au niveau de l'angle inferieur du
cordon
antérieur, le même état réticulé que dans l'obser
à droite. Du même côté, état réticulé de l'angle supéro-interne du
cordon
antérieur. Cordons postérieurs et latéraux sensib
côté, état réticulé de l'angle supéro-interne du cordon antérieur.
Cordons
postérieurs et latéraux sensiblement indemnes.
vascularisées. La substance blanche est indemne. Pas de lésions des
cordons
postérieurs. Les lésions d'endartérite sont ici
simple- ment d'artério-sclérose sénile. L'absence des lésions des
cordons
postérieurs qui existaient dans nos deux autres
de téphromalacie et il existait en outre une lésion peu marquée des
cordons
postérieurs. c) Qu'ils étaient abolis uniquemen
blé, allongée, roulant sous le doigt et réunie à la première par un
cordon
dur, un peu irrégulier, qui se prolonge au-dessus
perdu plus de sang que d'eau. A la naissance pas d'asphyxie, pas de
cordon
autour du cou, l'enfant a crié de suite. Elevée
va se produire la sclérose, c'est-à-dire plus spécialement dans les
cordons
posté- rieurs chez les paralytiques généraux, e
s cordons posté- rieurs chez les paralytiques généraux, et dans les
cordons
40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. . latéraux dans les
oses, elle est à l'ori- o-ine du tabes où elle se poursuit dans les
cordons
postérieurs; à l'origine des dégénérescences wa
94.) Les altérations anatomiques affectaient particulièrement les
cordons
postérieurs dans le voisinage,de la commissure la
e interne droite; une dégénérescence disséminée sans ordre dans les
cordons
postérieurs, qui n'a par REVUE DE PATHOLOGIE NE
ones médianes, ni les zones latérales, confinant au bord médian des
cordons
postérieurs, et elle continue à être asymétriqu
ièrement. Seule la moelle cervicale présente une dégénérescence des
cordons
de Goll et des cordons de Burdach à leur voisin
cervicale présente une dégénérescence des cordons de Goll et des
cordons
de Burdach à leur voisinage des cordons de Goll;
des cordons de Goll et des cordons de Burdach à leur voisinage des
cordons
de Goll; ce sont des plaques d'une grande nette
re de la dissémination lointaine de la maladie, de l'altération des
cordons
médullaires qui n'ont pas de relations physiolo
rveux, dans la multiplication du tissu conjonctif (surtout dans les
cordons
postérieurs et latéraux de la moelle épinière).
racines postérieures, une multi- plication du tissu conjonctif des
cordons
latéraux et la leptoméningite spinale. Sharke
alcoolique une atrophie des cellules des cornes antérieures et des
cordons
de Clarke et une altération de la substance bla
Clarke et une altération de la substance blanche, surtout dans les
cordons
postérieurs, en forme des corps amylacés. Payne
s la vacuolisation des cellules (observ. III) et dans la lésion des
cordons
postérieurs (observ. II et IV), laté- raux (obs
- nographie de Pal2, se jette aux yeux l'altération fréquente des
cordons
postérieurs et de la zone marginale de Lissauer e
plus grande quantité dans la zone marginale de Lissauer et dans les
cordons
et les racines postérieures. Dans le troisième
les cordons et les racines postérieures. Dans le troisième cas les
cordons
de Goll, la zone marginale de Lissauer, la voie
entation des cellules des cornes antérieures et postérieures et des
cordons
de Clarke et souvent l'oblitéra- tion du canal
e avec la lésion spéciale de la zone radiculaire de Lissauer et des
cordons
postérieurs. Et dans tous ces cas, dans les rac
ns microscopiques, traitées par la méthode de Marchi, la lésion des
cordons
postérieurs est évidente, elle est distribuée d
dans ces derniers très inégalement. La portion postéro-externe des
cordons
postérieurs a souffert le plus. Il faut dire qu
ec les fibres saines. Ce qui concerne la portion antéro-interne des
cordons
postérieurs, nous y trouvons beaucoup moins de fi
nous venons de décrire, avec la seule différence que la lésion des
cordons
posté- rieurs est ici distribuée plus également
ée plus également, et c'est difficile de dire quelle portion de ces
cordons
contient plus de fibres dégénérées. Ce qui conc
dons contient plus de fibres dégénérées. Ce qui concerne les autres
cordons
de la moelle, c'est-à-dire les cor- dons antéri
re ; surtout on voit la multiplication des fibres altérées dans les
cordons
latéraux en général, bien que la lésion de ces
PATHOLOGIQUE. déjà à l'oeil nu la lésion de la portion interne des
cordons
posté- rieurs qui se nomme le faisceau de Goll.
des préparations microscopiques de Marchi on voit que la lésion des
cordons
de Goll est très grave et la quantité des fibre
domine la quantité des fibres saines. La netteté des esquisses des
cordons
de Goll dépend encore de ce que les faisceaux d
armi les saines, que la dégénérescence envahit principalement les
cordons
postérieurs et les racines antérieures et postéri
ire le procès morbide a plus attaqué la portion postéro-externe des
cordons
postérieurs que la portion antéro-interne ; dan
raitées parla méthode de Marchi, il faut supposer que la lésion des
cordons
postérieurs est une continuation du procès morb
racines correspondantes ; la distribution inégale de la lésion des
cordons
postérieurs sur les différentes hauteurs de la
partie des racines postérieures continue sans interruption dans les
cordons
postérieurs; les fibres radiculaires, après leur
rs la ligne médiane et elles se placent dans la portion externe des
cordons
postérieurs ; et puis, en se rendant de plus en
rendant de plus en plus vers la ligne médiane elles atteignent les
cordons
de Goll et font partie de ces derniers. Le degr
réflexes inférieurs. La dégénérescence primitive ou secondaire des
cordons
latéraux s'accompagne ordinairement d'une exagé
iode de début de la démence para- lytique, sauf dans les cas où les
cordons
postérieurs ont été les pre- miers intéressés;
nt un aspect homogène et les noyaux cellulaires disparaissent; le
cordon
vasculaire prend l'aspect d'un chapelet. Des vais
te perturbation disparaît au bout de quelques jours. La section des
cordons
postérieurs et de la substance grise avec les c
a section des cordons postérieurs et de la substance grise avec les
cordons
antérieurs ne donne pas d'anal- gésie, pas plus
e la partie antérieure de la moelle, c'est-à-dire de l'ensemble des
cordons
antérieurs, de la partie anté- rieure des cordo
de l'ensemble des cordons antérieurs, de la partie anté- rieure des
cordons
latéraux et d'une partie des cornes antérieures.
Pour qu'il se produise de l'analgésie, il faut sectionner les deux
cordons
latéraux ou la moitié postérieure de la moelle, e
aux; si la destruction de la partie postérieure de la moelle ou des
cordons
latéraux est peu profonde, il n'y a pas de pert
rte du sens mus- culaire surviennent quand il y a codestruction des
cordons
posté- rieurs. La section des cordons postérieu
uand il y a codestruction des cordons posté- rieurs. La section des
cordons
postérieurs, au niveau indiqué, pro- duit de l'
rect ;c). Sclérose du faisceau de Lissauer ; d). Légère sclérose du
cordon
de Goll dans la région cervicale; e). Dispariti
l'ordre chronologique, à des symptômes indiquant une sclérose des
cordons
latéraux. Il estime en outre que les altérations
usions : (0 La plupart des fibres myélogènes se rassemblent dans le
cordon
antérieur et dans le cordon latéral de la moelle
ibres myélogènes se rassemblent dans le cordon antérieur et dans le
cordon
latéral de la moelle dor- sale, en une couche i
ces longues fibres (faisceau de Gowers, faisceau intermé- diaire du
cordon
latéral de Loewenthal, faisceau sulcomarginal a
s occupent de préférence la zone interne; 5° le champ antérieur des
cordons
postérieurs se compose, dans la moelle lombaire
lle. La crosse masse gagne l'entre-croisement; elle fournit : a) au
cordon
latéral du côté opposé ; b) pour une petite par
a) au cordon latéral du côté opposé ; b) pour une petite partie au
cordon
latéral du même côté ; c) quelques fibres, restan
rmin) qu'une seule et même pyramide envoie des fibres dans les deux
cordons
latéraux (Pitres). L'expérimentation montre le
eures de la moelle ainsi qu'aux prolongements de celles-ci dans les
cordons
postérieurs de la moelle jusqu'au noyau grêle.
ochléaire. Les racines postéiieures et leurs prolongements dans les
cordons
pos- télieursde la moelle sont l'homologue des
échelons SÉAIAIAES DE la dégénérescence SECONDAIRE DANS CHACUN DES
CORDONS
DE LA MOELLE; pal' K. SCIIAF- FER. 1,Nezirolog.
le a déterminé : tout d'abord, une dégéné-' rescence secondaire des
cordons
de Goll, puis des faisceaux pyra- midaux, final
isceaux pyra- midaux, finalement une dégénérescence descendante des
cordons
postérieurs et ascendante des faisceaux cérébel
jours après l'opération, commence une dégénérescence ascendante des
cordons
de Goll et descendante des faisceaux marginaux
de Goll et descendante des faisceaux marginaux etintermédiaires du
cordon
latéral (Loewenthall, qu'il se produit en outre
e quatorzième jour, il y a dégénérescence très nette des pyramides (
cordons
laté- raux). L'auteur insiste sur le parallélis
un processus dégénératif de ce vaste système de libres qui, par les
cordons
grêles de la moelle, les olives, les corps resl
moelle est plus petite, ce qui tient à une diminution .de volume du
cordon
de Burdach et de la substance grise dans sa tot
de Burdach et de la substance grise dans sa totalité. Le rapport du
cordon
cunéiforme du côté sain à celui du aûté malade
cunéiforme du côté sain à celui du aûté malade est comme 3 : 2. Le
cordon
de Goll est intact. Les autres cordons ne parai
té malade est comme 3 : 2. Le cordon de Goll est intact. Les autres
cordons
ne paraissent pas diminués. Dans le cordon de B
est intact. Les autres cordons ne paraissent pas diminués. Dans le
cordon
de Burdach : zone de dégéuération de forme tria
on pre- mière, c'est la dégénération bien localisée d'un segment du
cordon
de Burdach et l'atrophie ne vient que consécuti
première racine dorsale. Au-dessus de la lésion, dégénérescence des
cordons
et dissociation de la substance grise. A la par
Immédiatement au- dessous de la lésion, sclérose de l'ensemble des
cordons
. Au niveau de la deuxième racine dorsale, la mo
la moelle a sa configuration nor- male. Sclérose dans la région des
cordons
postérieurs jusqu'au niveau de la dixième racin
'au-dessous du renflement lom- baire et des segments antérieurs des
cordons
latéraux dans la région dorsale. Diminution du
étique; on voit nettement à l'oeil nu, les parties blanches, et les
cordons
postérieurs sont d'un transparent gris brun. Au
çon plus solide la multiplicité, la variété des dégénérescences des
cordons
postérieurs, la doctrine des tabès exogène et e
quelquefois il remonte jusqu'au au bulbe au niveau des noyaux des
cordons
de Coll et de Burdach. Toutes ces collatérales,
ns. On peut voir une dégénérescence limitée à certaines zones des
cordons
postérieurs, au faisceau virgule de Schultze, au
sons d'abord la lésion primitive d'un neurone du noyau bulbaire des
cordons
postérieurs. Ce neurone qui fait 436 ANATOMIE P
ganglion intervertébral qui par- vient jusqu'au bulbe en suivant le
cordon
postérieur de la moelle. D'après la loi de dégé
on se propage jusqu'à son extré- mité. De là une dégénérescence des
cordons
postérieurs d'une forme toute spéciale, une dég
e spéciale, une dégénérescence descendante de la partie interne des
cordons
postérieurs, tandis que ni les racines postérie
aux a démontré la possi- bilité de ces lésions descendantes dans le
cordon
postérieur de la moelle. 1 A l'époque où nous a
nt, quand la pathologie nous montre à la fois la dégénérescence des
cordons
pyrami- daux et postérieurs, que la lésion prim
le prolongement direct et supérieur des faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs et latéraux de la moelle; il y a par
s originelles des systèmes descendants (noyaux des nerfs de l'oeil,
cordons
antérieurs de la inoelle). Les libres optiques
AL. LXXVII. DE la I'L1CE occupée dans LE BULBE par LES fibres DES
cordons
antérieurs des pyramides ; par L. JACOBSOHN. (,Ne
générescences secondaires du cor- don antérieur des pyramides et du
cordon
latéral des pyramides dans un cas de ramollisse
'auteur les réflexions suivantes : Très probablement, des fibres du
cordon
antérieur des pyra- mides ne se mélangent point
ides ne se mélangent point dans le tronc du cerveau, avec celles du
cordon
latéral. Si elles sont conglomérées en un seul co
vec celles du cordon latéral. Si elles sont conglomérées en un seul
cordon
, elles marchent à côté les unes des autres. Ce
que toutes atteintes par un même processus pathologique, celles du
cordon
latéral étaient plus atteintes que celles, vois
s du cordon latéral étaient plus atteintes que celles, voisines, du
cordon
antérieur; par suite, la. dégénérescence descen
que la lésion ait exactement et toujours plus atteint les fibres du
cordon
latéral que celles du cordon antérieur. Ayant p
et toujours plus atteint les fibres du cordon latéral que celles du
cordon
antérieur. Ayant procédé à de nouvelles dissect
ge entre le cer- veau et la moelle, descendent du même côté dans le
cordon
anté- rieur de la moelle tout contre le sillon
côté, descendent tout droit dans le sillon longitudinal à l'état de
cordon
antérieur des pyramides. Ces fibres-là, dans la m
ifération; les fibres nerveuses sont atro- phiées, surtout dans les
cordons
antéro-latéraux, et les gaines myé- liniques se
verses successive- ment étagées du bulbe, sous le nom de vestige du
cordon
antéro- latéral. Or, s'il y a là un surcroît de
ng de la moelle et forment l'aire de dégénérescence décrite dans le
cordon
antéro-latéral. La dégénérescence des fibres ra
es, soit dans les faisceaux longitudinaux postérieurs, soit dans le
cordon
antéro-latéral. Ces deux dernières dégénérescen
du corps restiforme. Un second système est formé par le vestige du
cordon
latéral ; les fibres arciformes externes y appo
corps resti- forme. Peut-être même celui-ci donne-t-il au noyau du
cordon
latéral ? Il est impossible de se prononcer enc
erminent pro- bablement et ne vont pas, après l'avoir traversée, au
cordon
latéral de la moelle, car il n'y a de dégénéres
cordon latéral de la moelle, car il n'y a de dégénérescence que du
cordon
latéral du côté vivisecté. Par conséquent, la
trifuges. Le corps restiforme joint, dans le bulbe, le ves- tige du
cordon
latéral; de là partent des fibres centrifuges qui
latérale du corps res- tiforme, se rendent à la région du noyau du
cordon
latéral. Et la section du corps restiforme entr
on du corps restiforme entraine une dégénérescence descen- dante du
cordon
latéral qui n'a aucun rapport avec la pyramide,
dante du cordon latéral qui n'a aucun rapport avec la pyramide, Le
cordon
latéral des pyramides n'appartient donc pas exclu
me fournit des fibres arciformes internes et externes au vestige du
cordon
antéro-laléral du bulbe. Les fibres cérébelleus
heveaux. Celui du faisceau longitudinal postérieur et le vestige du
cordon
antéro-latéral. Le premier est exclusive- ment
tiennent quelques fibres originaires du cervelet. Par le vestige du
cordon
antéro-latéral dans le bulbe, les activités céréb
us retrouvons, le trousseau cérébelleux cen- trifuge, qui occupe le
cordon
antéro-latéral, et, plus bas, dans la moelle lo
le cordon antéro-latéral, et, plus bas, dans la moelle lombaire, le
cordon
antérieur. Les racines antérieures émer- gentes
uses cen- trifuges. Entre le faisceau longitudinal postérieur et le
cordon
antéro-latéral il y a, par passage dans le seco
l postérieur joue vis-à-vis des nerfs crâniens, le rôle que joue le
cordon
artéro- latéral pour les nerfs spinaux. P. KERA
mber a lieu par suite de la lésion du faisceau cérébelleux dans les
cordons
latéraux de la moelle. L'excitation de ce faisc
e regarde l'épaule correspondante. Donc le faisceau cérébelleux des
cordons
latéraux est un système de fibres qui joue un rôl
une analyse de la thèse du Dr Guibert sur la sclérose primitive des
cordons
latéraux de la moelle; une observation d'ataxie
, par Boetti- ger, 386. Dégénérescence secon- d'ure de chacun des
cordons
de la . par Schaffer, 388. Altérations de la
des deux chez le chien, par Starlinger, 388. Place des libres des
cordons
antérieurs des - dans le bulbe, par Jacob- so
e, M. de Blainville ^ vu, dans le bord même de la lèvre, une sorte de
cordon
gris, pulpeux, qu'il croit pouvoir regarder comme
rfs dont je viens de parler, il sort de chaque ganglion céphalique un
cordon
qui unit ce ganglion au ganglion viscéral, et qui
n au ganglion viscéral, et qui complète ainsi l'anneau œsophagien. Le
cordon
dont il s'agit est formé à droite et à gauche, pa
ournissant aucune branche ou ramification nerveuse. L'apparence de ce
cordon
est la même que celle des nerfs, la somme des dia
été dit tout-à-l'heure, de...... 7,00 Et la somme des diamètres des
cordons
de Vanneau de................... 1,48 Le rapp
e Vanneau de................... 1,48 Le rapport du ganglion à ces
cordons
est celui de.................... th. o,2ll A
cope, j'ai compté à ces ganglions, trente-deux nerfs outre les quatre
cordons
qui, formant l'anneau, se porlent aux ganglions c
produite. cules labiales externes, les nerfs infundibulaires, et un
cordon
de communication avec le ganglion labial ; pour l
rties fondamentales du système nerveux du poulpe, il faut ajouter les
cordons
qui forment ou plutôt qui complètent le collier,
'œsophage, le ganglion céphalique et le ganglion en patte d'oie. Ce
cordon
a cela de particulier qu'il est uniquement destin
système nerveux des mollusques consiste en ganglions, en nerfs et en
cordons
de communication. 2. Un même ganglion peut four
ne qui réunit les ganglions de l'anneau œsophagien se compose de deux
cordons
nerveux adossés mais non confondus, et il ne s'en
rieur du ganglion, aucune communication directe, pas plus qu'avec les
cordons
du collier. Ainsi, pour ce qui concerne le gangli
me on aurait pu le supposer, du ganglion pédieux ou moteur; le double
cordon
formant de chaque côté le collier œsophagien, va
structure analogue à celle du ganglion céphalique. Les nerfs et les
cordons
de communication sont tous formés de fibres recti
tème nerveux des invertébrés, est donc tout-à-fait inadmissible. Le
cordon
œsophagien double de chaque côté, et les ganglion
nt à la réunion en une seule masse des ganglions placés en dehors des
cordons
œsophagiens, se trouve réalisée dans les crustacé
d'ailleurs occasion d'y revenir encore en parlant de la structure du
cordon
médullaire des articulés. Treviranus (2) compar
e semblable à des tubes articulés, ni dans les ganglions, ni dans les
cordons
, ni dans les fdets nerveux des invertébrés, concl
paratif. La moelle rachidienne est représentée par les deux doubles
cordons
qui ferment l'anneau œsophagien et les ganglions
eau œsophagien et les ganglions qui interrompent la continuité de ces
cordons
ou qui les terminent rappellent la chaîne ganglio
l'audition, peut-être en existe-t-il aussi pour l'olfaction. 7. Le
cordon
œsophagien et les ganglions que ces cordons réuni
pour l'olfaction. 7. Le cordon œsophagien et les ganglions que ces
cordons
réunissent, sont les analogues de la moelle rachi
s'enlacent les uns dans les autres de telle façon qu'ils forment des
cordons
procréateurs, dont on peut lire la description da
e en dislance par des ganglions. A la simple vue, on reconnaît que le
cordon
médullaire de ces animaux se rapproche de la moel
donné une description détaillée, s'exprime ainsi : « J'ai examiné le
cordon
dorsal et le cordon abdominal de l'ascaride lombr
on détaillée, s'exprime ainsi : « J'ai examiné le cordon dorsal et le
cordon
abdominal de l'ascaride lombricoïde sur plus de d
icoïde sur plus de deux cents individus : vus sous le microscope, ces
cordons
ne présentent pas une structure fibreuse, mais se
rès fin ^ comme médullaire, qui offre quelque analogie avec celui des
cordons
latéraux.La disposition des cordons dorsal et abd
e quelque analogie avec celui des cordons latéraux.La disposition des
cordons
dorsal et abdominal, les renflemens successifs qu
glions. » Malgré l'autorité de M. J. Cloquet, je n'admets pas que les
cordons
supérieur et inférieur de l'ascaride lombricoïde
s cordons supérieur et inférieur de l'ascaride lombricoïde soient des
cordons
nerveux. « Vus sous le microscope, ils ne pré-Ci;
un tissu granulé très fin, qui offre quelque analogie avec celui des
cordons
latéraux. » A de semblables caractères on ne saur
son faite par M. Jules Cloquet qui leur trouve de l'analogie avec les
cordons
latéraux, cordons bien évidemment vasculaires, ex
ules Cloquet qui leur trouve de l'analogie avec les cordons latéraux,
cordons
bien évidemment vasculaires, explique suffisammen
système nerveux est au-dessous du tube digestif. J'ai parlé de deux
cordons
latéraux qui se rencontrent sur les côtés de l'as
les côtés de l'ascaride lombricoïde; on convient généralement que ces
cordons
sont de nature vasculaire, et après l'inspection
nion. M. Serres est d'un avis opposé , il ne met pas en doute que ces
cordons
ne soient des nerfs, et comme ces prétendus nerfs
ces deux ganglions qui communiquent avec la moelle ventrale par deux
cordons
constituant l'anneau œsophagien. Du point de réun
deux cordons constituant l'anneau œsophagien. Du point de réunion du
cordon
de l'anneau avec le ganglion céphalique, naissent
e nerf partant de ce ganglion. L'anneau n'est pas formé par un double
cordon
comme chez les mollusques , mais par un cordon un
as formé par un double cordon comme chez les mollusques , mais par un
cordon
unique ; il offre en outre (i) V. pl, ire le sy
m'en assurer, à la ventouse orale. Au-dessous de l'œsophage ces deux
cordons
se réunissent, et de leur adossement résulte la m
semble à celui du lombric terrestre, il se continue également en deux
cordons
, l'un à droite et l'autre à gauche, pour se réuni
igne médiane règne tout le long de la moelle, qu'elle partage en deux
cordons
complètement séparables l'un de l'autre dans to u
7), a omis de dire que la moelle de la sangsue se compose d'un double
cordon
nerveux, et M. Joseph Swan qui a publié la figure
, n'a pas même indiqué la trace de la séparation qui existe entre ces
cordons
. Y. l'ouvrage de ce savant anatomiste , intitulé
nerveux, semblables entre eux, disposés par paires et réunis par des
cordons
de communication, de manière à former deux cordon
et réunis par des cordons de communication, de manière à former deux
cordons
ou chaînes ganglionaires, distantes l'une de l'au
sur la ligne médiane en une seule masse ganglionaire ; mais les deux
cordons
nerveux qui lient ces ganglions entre eux restent
s sont devenus impairs par l'union des deux noyaux latéraux, mais les
cordons
inter-ganglionaires eux-mêmes présentent dans l'a
présentent plus de traces de division sur la ligne médiane et que les
cordons
de communication ne sont restés distincts que dan
es sont également espacés comme dans le talitre. Dans le cimothoé les
cordons
inter-ganglionaires de l'abdomen se raccourcissen
agglomèrent entre elles; il en est de même des deux premières, et les
cordons
qui unissent la troisième à ces deux masses médul
La chaîne ganglionaire n'est autre chose que la continuation des deux
cordons
de l'anneau,réunis à la région thoracique par cin
eule masse qui elle-même est soudée au ganglion céphalique; un double
cordon
part de la masse nerveuse thoraci- (i) V. Quoy
arachnides pulmonaires, on rencontre un système nerveux formé de deux
cordons
parallèles, réunis de distance en distance , par
ganglions sont séparés, à l'exception des deux derniers, par de longs
cordons
nerveux? (i) F. Pl. (a) F. Cuvier, 'Règne ani
plus considérable et donne naissance à un grand nombre de nerfs. Deux
cordons
nerveux longitudinaux, l'un à droite et l'autre à
intermédiaires aux ganglions et qui paraissent tirer leur origine des
cordons
inter-ganglionaires. (i) V. pl. ile. (a) Tome
'un de l'autre (1). La nèpe cendrée a trois ganglions réunis par deux
cordons
nerveux distincts et séparés; le pentatome gris,
eux distincts et séparés; le pentatome gris, au contraire, a ses deux
cordons
réunis et comme soudés l'un à l'autre, dans toute
ennent non-seulement des ganglions, chez les sangsues, mais aussi des
cordons
inter-ganglionaires, chez le lombric terrestre.
des, les nerfs ne sortent pas seulement des ganglions, mais aussi des
cordons
inter-ganglionaires. 8. Chez les arachnides le
crustacés et dans plusieurs annelides, des nerfs simples naissent des
cordons
inter-ganglionaires. 13. Quelques insectes prés
missure, et se joignent à la chaîne gangiionalre par l'entremise d'un
cordon
. Examiné au microscope, on voit que ce ganglion e
tre et forment la commissure, ceux qui sont en dehors entrent dans le
cordon
œsophagien ou vont former les nerfs destinés au p
ntouse orale* Toutes les fibres , tant celles des nerfs que celles du
cordon
œsophagien, ont une extrémité qui s'épanouit dans
globuleuse d'un ganglion à la même substance du ganglion opposé. Le
cordon
œsophagien du ver de terre est simple de chaque c
paration correspondante à celle que j'ai signalée dans l'escargot. Ce
cordon
, contrairement encore à ce qai a lieu chez l'esca
fs, mais ces nerfs ont tous leur point de départ ailleurs que dans le
cordon
; on peut les suivre jusque dans le ganglion céph
ique. Arrivés l'un près de l'autre au-dessous de l'œsophage, les deux
cordons
œsophagiens s'accolent, sans se confondre, et leu
anglion céphalique ; 2° les fibres longitudinales composant le double
cordon
médullaire ou moelle ventrale, fibres qui se cont
ale diffère beaucoup. Chez la sangsue cette moelle est formée de deux
cordons
seulement adossés et parfaitement séparabies, tan
cordons seulement adossés et parfaitement séparabies, tandis que les
cordons
du ver de terre sont très intimement unis. La moe
véritables ganglions placés de distance en distance sur le trajet des
cordons
. Ces ganglions sont de forme lenticulaire, et en
croscope, on y distingue des fibres Ion -giludinales qui viennent des
cordons
, des fibres transverses qui sont, pour les nerfs
bien isolées l'une de l'autre ; dans le ganglion lui-même on suit ces
cordons
, on les voit s'y étaler et fournir des fibres aux
éralement. Les nerfs ne reçoivent pas seulement des fibres venant des
cordons
longitudinaux, ils reçoivent aussi des fibres tra
tres que ceux qui partent directement des ganglions. Les fibres des
cordons
médullaires ventraux composant la chaîne ganglion
arables. Réunis trois à trois, comme je l'ai dit, ils constituent les
cordons
latéraux de la moelle, cordons qui, dans certains
comme je l'ai dit, ils constituent les cordons latéraux de la moelle,
cordons
qui, dans certains endroits, sont naturellement s
on : deux en sortent directement, la troisième suit quelque temps les
cordons
longitudinaux qu'elle abandonne dans l'espace int
, comme dans l'écrevisse, dans le ver de terre, des nerfs sortant des
cordons
médullaires dans les espaces inter-ganglio-naires
le grillon domestique et chez l'abeille, la moelle est formée de deux
cordons
, l'un à droite et l'autre à gauche ; ces cordons
e est formée de deux cordons, l'un à droite et l'autre à gauche ; ces
cordons
sont réunis par l'intermédiaire des ganglions et
es ganglions de ces animaux sont opa- (i) Voyez pl, i*\ lins, les
cordons
médullaires sont transparens ainsi que les nerfs.
ons de quelques insectes , on aperçoit aussi, quoique faiblement, les
cordons
médullaires ; mais pour en bien connaître la form
ont formés de substance globuleuse et de substance fibreuse. 6° Les
cordons
nerveux sont formés de substance fibreuse seuleme
plupart une double origine, l'une dans les fibres longitudinales des
cordons
médullaires, l'autre dans les fibres transverses
rapport, dans le même cas que les articulés. En effet, rapprochez les
cordons
qui entourent l'œsophage des mollusques, de maniè
dons qui entourent l'œsophage des mollusques, de manière à ce que ces
cordons
soient en contact l'un avec l'autre, vous aurez d
u d'être agglomérée, se répand plus ou moins uniformément le long des
cordons
fibreux : c'est ce qui a lieu déjà chez le lombri
. Leur chaîne ganglionaire représente la moelle rachidienne. 3. Les
cordons
formant l'anneau œsophagien, et qui s'étendent du
ite des différences qu'elle présente. Elle est constituée par un long
cordon
médullaire qui s'étend depuis l'encéphale jusqu'à
aire, puisque le sillon spinal est formé par le simple adossement des
cordons
spinaux. Ainsi, [dans la moelle épinière de l'ang
t mieux pourvus que les poissons, car au niveau des nerfs latéraux du
cordon
ganglio-naire, on voit, outre les fibres longitud
du cordon ganglio-naire, on voit, outre les fibres longitudinales du
cordon
, des fibres transverses qui les croisent à angle
ient isolées; toutes les autres, au nombre de quatre, sont réunies en
cordon
. Au centre de l'aqueduc de Sylvius, en avant des
nglions cérébraux. Le mode d'origine de ces commissures en forme de
cordon
est partout le même : au centre de tous les gangl
ez les poissons, d'une lame très niince qui est ùn épanouissement des
cordons
fulcraux de la moelle, lequel épanouissement form
elle on voit la racine du nerf pathétique qui la traverse à l'état de
cordon
et sans éprouver aucun aplatissement. Les lobes o
nerf pathétique qui forme là une autre commissure ayant la forme d'un
cordon
arrondi, placé au travers de la moelle allongée.
s fibres de la moelle et celles du cerveau. Par l'intermédiaire des
cordons
antérieurs, la sensation arrive au cerveau, et
ns le dos et les membres inférieurs, la sensibilité douloureuse des
cordons
nerveux, qui avaient accompagné le développemen
istence d'une lésion limi- tée de la corne antérieure gauche et des
cordons
laté- raux. L'affection non systématique et lar
la persistance DU phénomène DU GENOU dans la DÉGÉN13RES- CENCE DES
cordons
postérieurs ' ; CONTRIBUTION A LA lésion PRI31f-
postérieurs ' ; CONTRIBUTION A LA lésion PRI31f- TIVE combinée DES
CORDONS
DELA MOELLE ; pat' C. `VESTPII : 1L. (Ai-ch. f.
arrière paral- lèlement à la ligne médiane, la zone radiculaire des
cordons
postérieurs se trouve en dehors de cette ligne.
t il suffit que la lésion dépassant en dehors la partie externe des
cordons
postérieurs, envahisse la zone radiculaire, de
ns concomitantes des colonnes de Clarke et de certaines parties des
cordons
latéraux. Il croit que ces combinaisons sont, d
, dans la moelle lombaire, celle de la portion correspon- dante des
cordons
antérieurs. A l'association des lésions des cor
on- dante des cordons antérieurs. A l'association des lésions des
cordons
postérieurs et des cordons antéro-latéraux, il fa
érieurs. A l'association des lésions des cordons postérieurs et des
cordons
antéro-latéraux, il faut imputer la faiblesse d
faiblement sur les faisceaux latéraux qui vont au cervelet, et les
cordons
de Goll, d'où les phéno- mènes spasmodiques, la
lésion non des fibres motices, mais de certaines fibres d'arrêt des
cordons
laté- raux des pyramides. De l'étude critique d
rs et latéraux des pyramides, mais atteignant plus facile- ment les
cordons
latéraux qui relèvent du cervelet. Dans les cas q
ici témoignent d'une affection systématique combinée, la lésion des
cordons
postérieure prédomine toujours dans la moelle cer
ure prédomine toujours dans la moelle cervicale, où elle occupe les
cordons
de Goll ; on trouve aussi des fibres dégénérées
trouve aussi des fibres dégénérées dans les segments infériems des
cordons
postérieurs, ces fibres corres- pondant probabl
stérieurs, ces fibres corres- pondant probablement aux origines des
cordons
de Goll ; assez souvent il y a altération du ch
Goll ; assez souvent il y a altération du champ postéro-cxterne des
cordons
postérieurs. Les dégénérescences secondaires qu
ivent la lésion primitive des faisceaux latéraux cérébelleux et des
cordons
de Goll sont ascendantes. Le diagnostic de la f
l un type spas- modico-tabétique (lésions tabétiques et lésions des
cordons
latéraux des pyramides). P. K. XIII. Myélite
rtie moyenne de la moelle lombaire. Dégéné- rescence secondaire des
cordons
postérieurs dans les parties supé- rieures de l
dons postérieurs dans les parties supé- rieures de la moelle et des
cordons
latéraux, dans les parties inférieures du même
s de démence paralytique, on ne rencontre pas de dégénérescence des
cordons
postérieurs. Les lésions cérébrales du labes so
arations de moelle témoignant d'une dégénérescence marquée dans les
cordons
postérieurs, dégénérescence limitée, dans la mo
ésie générale, dans lequel on trouva à l'autopsie les cornes et les
cordons
posté- rieurs complètement détruits, tandis qu'
même par une série de symptômes de lésion diffuse ou en foyer des
cordons
blancs de la moelle épinière, on peut observer
rère mort de convulsions. Accoit- cément laborieux ; circulaires du
cordon
. A deux ans convul- sions limitées au côté gauc
KRVEUSE. au passage et, de plus, l'enfant avait, des circulaires du
cordon
autour du cou (ce qui était déjà arrivé pour la
sont dilatés. La moitié gauche de la moelle paraît atrophiée et le
cordon
latéral de ce côté est un peu grisâtre sur tout
ures sont petites mais avec leurs cellules bien nettes, de même les
cordons
anté- rieurs. Ilots de tissu scléreux de dégéné
lecture du trajet des faisceaux blancs dans le cerveau et dans les
cordons
de la moelle. 1° Faisceau INTELLECTUEL (viole
age supérieur du pédoncule qui, dans la moelle, constitue- ront les
cordons
antérieurs. Dans la protubérance, la dissociati
ceau pyramidal que nous retrouverons, entrant dans la formation des
cordons
latéraux de la moelle (PI,. II, fig. 2, bleu 1)
1); 2° dans l'étage supérieur, le fascicule, qui réprésen- tera les
cordons
antérieurs de la moelle (PL. II, fg. 2, bleu 3)
le sous le nom de portion directe du faisceau moteur, dépendance du
cordon
antérieur et de portion croisée, dépendance du
dépendance du cordon antérieur et de portion croisée, dépendance du
cordon
latéral; la portion directe d'un côté s'unit à
avec le fascicule correspondant du côté opposé, ou il passe dans le
cordon
latéral de la moelle (faisceau pyra- midal croi
re-croise pas, et suit un trajet verticale- ment descendant dans le
cordon
antérieur de la moelle (fais- ceau pyramidal di
1884. 262 "2 REVUE CRITIQUE. occupent le fascicule postérieur ou
cordon
latéral delà moelle. Ils répondent en dedans au
occupe une étroite portion de la région périphérique postérieure du
cordon
latéral et s'étend du pédoncule cérébelleux inf
cts (PL. II, fig. 3 ; 1, bleu), constituent le fascicule interne du
cordon
antérieur de la moelle. On les appelle encore,
supérieurs, puis les membres inférieurs dans la suite, que, dans le
cordon
antéro- latéral de la moelle, le tractus moteur
dégénérescence se portent en arrière et en dehors vers la partie du
cordon
latéral de la moelle contiguë à la corne postér
suit une marche verticalement descendante dans la partie interne du
cordon
antérieur de la moelle (faisceau de Turk)3. '
e, Dans la moelle, le faisceau sensitif forme dans sa totalité le
cordon
postérieur (PL. II, fig. 3, rose). Le cordon post
me dans sa totalité le cordon postérieur (PL. II, fig. 3, rose). Le
cordon
postérieur de la moelle est à peu près entièrem
connu parlesphy- siologistes, et les pathologistes, contrairementau
cordon
antéro- latéral où l'on peut voir une large zon
ict. Dech. DE l'axe cérébro-spinal. 269 faisceau sensitif dans le
cordon
postérieur de la moelle doit être divisé en deu
mo-clinique spéciale : un fascicule externe (PL.II, fig. 3 ; 7), ou
cordon
de Burdach re- présenté dans sa portion contigu
des racines rachidiennes posté- rieures ou bandelettes externes des
cordons
postérieurs (zone de l'ataxie), un fascicule in
eurs (zone de l'ataxie), un fascicule interne (PL. II, fig. 3 ; 5),
cordon
ou faisceau de Goll. Ces deux fascicules du fai
es deux fascicules du faisceau sensitif sont très distincts dans le
cordon
postérieur, chez le foetus où ils sont séparés
sillon intermédiaire postérieur. Les bandelettes externes, et le
cordon
de Burdach, la colonne de Glarke et la corne po
rect, que nous avons trouvé à la par- tie externe et postérieure du
cordon
latéral, paraissent se réu- nir en anatomie pat
représenteraient les divers éléments. Ces différentes régions du
cordon
postérieur sont en effet généralement toutes atte
» 1° la sclérose fasciculée systématique médiane ou sclé- rose des
cordons
de Goll, consécutive (sclérose ascendante) ou pri
déterminée; 2o la sclérose fasciculée systénaa- tique latérale des
cordons
postérieurs ou sclérose des bandelettes extei,-
ion du faisceau pyramidal qui représente dans la protu- bérance les
cordons
latéraux de la moelle, en arrière de la portion
en arrière de la portion du faisceau pyramidal, qui représente les
cordons
an- térieurs. Dans le pédoncule (PL. II, fig.
sitif répond à cette partie du faisceau pyramidal correspondant aux
cordons
antérieurs prolongés de la moelle, traversés à
e dans l'aspect général de la maladie quand la sclérose envahit les
cordons
de Goll. ' Nous avons pu voir dans l'exposé du
çons, t. I, 1883. 272 REVUE CRITIQUE. secondaires ascendantes des
cordons
médullaires lors d'hémia- nesthésie de cause sp
nsibilité, par ce fait même qu'elles se limitent toujours aux mêmes
cordons
de la moelle avons-nous dit, conduisent à pense
es cordons de la moelle avons-nous dit, conduisent à penser que ces
cordons
repré- sentent un système médullaire sensitif s
2, 2 ; locus niger. 3, 3; portion sensitive des pyramides. 4, 't ;
cordons
antérieurs traversés parles libres des pédon- c
nf.) 2, 2 ; leur portion sensitive (étage moyen). -3, 3 ; coupe des
cordons
antérieurs prolongés de la moelle (étage sup.).
la moelle immédiatement au-dessous du renfle- ment brachial. 1, 1 ;
cordon
de Turk ou faisc. pyramidal direct (Flechsig).
ire antérieure (Pierrot) ou partie fonda- mentale (Flechsig). 5, 5;
cordon
de Goll. 6, G; bandelette externe du cordon pos
ntale (Flechsig). 5, 5; cordon de Goll. 6, G; bandelette externe du
cordon
postérieur ou zone radiculaire interne des racine
radiculaire interne des racines rachidien- nes postérieures. 7, 7 ;
cordon
de BLii,(Iacli. - 8, 8; corne posté- rieure. 9,
yraumle antérieure et postérieure du bulbe. - 9; olive. 11, 12, 13;
cordons
antérieurs, latéraux et postérieurs. 14, 15 ;si
t brachial, 17; commissure blanche formée par rentre-croisement des
cordons
ant3rieurs.=1S; lieu d'entre- croisement des co
croisement des cordons ant3rieurs.=1S; lieu d'entre- croisement des
cordons
latéraux et des cordons postérieurs. REVUE DE M
nt3rieurs.=1S; lieu d'entre- croisement des cordons latéraux et des
cordons
postérieurs. REVUE DE MEDECINE LEGALE I. UN c
ontient donc, entre autres systèmes de fibres, des fibres issues du
cordon
postérieur du côté opposé; il peut donc, par su
nommer négatifs. Ils sont de trois espèces : a). Symp- tômes des
cordons
postérieurs b). Symptômes mya- trophiques etc).
hiques etc). Symptômes céphaliques. a). Symptômes tabetoïdes ou des
cordons
postérieurs. Les symptômes qui résultent de la
ft l'épilepsie spinale. Amélioration très grande des symptômes des
cordons
postérieurs. Histoire. l.e nommé DéineLrés Zann
qui sont restées de la période embryonnaire emprisonnées dans les
cordons
postérieurs de la substance blanche, peuvent, p
roglie s'hyperplasiant envoie parfois des prolonge- ments dans les
cordons
antérieurs et atteint aussi DE LA GLIOMATOSE MÉ
diffuse ou par voie d'hyper- lllasie néoplastique, les parties des
cordons
latéraux adjacents à la substance grise. Toutes
ion de la myéline dans les cornes postérieures, ainsi que celle des
cordons
postérieurs, tandis que les cylindres axes avai
de cas étudiés par nous. D'autres phénomènes tenant à la lésion des
cordons
postérieurs et latéraux de la moelle épinière,
nous pouvons tomber sur des cas, où la sensibilité douloureuse des
cordons
nerveux et des muscles nous induira en erreur.
milieu de l'orbite seulement. Dégénérescence et sclérose grise des
cordons
postérieurs depuis la région cervicale jusqu'en
soixantaine de cylindraxes tuméfiés ; dégénérescence secondaire des
cordons
de Go ! t et des faisceaux latéro-pyrami- daux
gien, une partie de la racine ascendante du trijumeau, le noyau des
cordons
latéraux, dans le domaine de l'acous- tique, un
u- topsie montra qu'il existait, en effet, une dégénérescence des
cordons
postérieurs avec névrite optique, mais que les sy
. 2, 3; locus niger. 3, 3 ; portion sensitive des pyramides. t, t ;
cordons
antérieurs traversés par les fibres des pédon-
inf.) 2, 2 ; leur portion sensitive (étage moyen).-3, 3 ; coupe des
cordons
antérieurs prolongés de la moelle (étage sup.).
la moelle immédiatement au-dessous du renfle- ment brachial. 1, 1 ;
cordon
de Turk ou faisc. pyramidal direct (Flechsig).
re antérieure (Pierret) ou partie fonda- mentale (Flechsig). 5, 5 ;
cordon
de Goll. 6, 6 ; bandelette externe du cordon po
ale (Flechsig). 5, 5 ; cordon de Goll. 6, 6 ; bandelette externe du
cordon
postérieur ou zone radiculaire interne des racine
radiculaire interne des racines rachidien- nes postérieures. 7, 7 ;
cordon
de Burdach.S, 8 ; corne posté- rieure. 9, 9 ; c
amide antérieure et postérieure du bulbe. - 9 ; olive. 11, 12, 13 ;
cordons
antérieurs, latéraux et postérieurs. - 11, 15 ;
brachial, 17; commissure blanche formée par l'entre-croisement des
cordons
antéreurs.-1S; lieu d'entre- croisement des cor
-croisement des cordons antéreurs.-1S; lieu d'entre- croisement des
cordons
latéraux et des cordons postérieurs. Etieui. Ch
antéreurs.-1S; lieu d'entre- croisement des cordons latéraux et des
cordons
postérieurs. Etieui. Ch. lial,issuv, imp. - 118
rosse dégénération du faisceau de Goll et de la bandelette externe du
cordon
postérieur. Dégé- nération peu accusée des raci
VIlle paire cervicale. Lésions plus étendues que plus haut dans les
cordons
postérieurs. MALADIE DE FRIEDREICH (F. Raymon
n mémoire publié sous le titre de « Dégénéres- cence atrophique des
cordons
postérieurs de la moelle », et où sont rela- té
l'existence d'une sclérose qu'il crut être strictement limitée aux
cordons
postérieurs. Reportez-vous, messieurs, à cette
omotrice progressive, et vous vous expliquerez comment sclérose des
cordons
postérieurs et tabès dor- salis étaient devenus
peler que les lésions du tabès sont loin d'intéresser seulement les
cordons
postérieurs de la moelle, mais qu'elles s'étend
hidien et, dans la moelle même, ne sont nullement circonscrites aux
cordons
postérieurs. Sclmltze avait en effet, remarqué
postérieurs. Sclmltze avait en effet, remarqué la participation des
cordons
latéraux et des cornes posté- rieures au proces
tléin3élinis.ition des colonnes de Clarke. Sclérose très intense des
cordons
postérieurs. FIG. i. - IV- paire lombaire. As
s. FIG. i. - IV- paire lombaire. Aspect tabétiquo des lésions des
cordons
postérieurs. Atrophie des racines. Sclérose très
croisée. FIG. 6. - 111° paire sacrée. Conservation nette dans les
cordons
postérieurs des libres endogènes. MALADIE DE FR
ÉnÉDO-ATAXTE CÉRÉBELLEUSE 13 1° Une dégénération très prononcée des
cordons
postérieurs, intéressant surtout les faisceaux
posèrent une interprétation différente de la nature des lésions des
cordons
postérieurs. Ils interprétèrent d'une façon tou
la conjonctifs périvascu- laires, au moins pour ce qui concerne les
cordons
postérieurs. Ils crurent à la possibilité d'une
érents : l'un primitif, véritable gliose, restant localisé dans les
cordons
postérieurs ; l'autre secondaire, sclérose d'orig
. FlG. 1. - VIle racine cervicale. Lésions très accusées dans les
cordons
postérieurs, les racines postérieures et les cord
ccusées dans les cordons postérieurs, les racines postérieures et les
cordons
antéru latéraux. A remarquer la dégénérescence
pouvez vous rendre compte sur les dessins. Comparée à celles des
cordons
postérieurs, la sclérose des cordons an- téro-l
dessins. Comparée à celles des cordons postérieurs, la sclérose des
cordons
an- téro-latéraux leur a paru plus jeune, moins
dance à penser que la maladie de Friedreich évo- lue d'abord sur le
cordon
postérieur pour atteindre, plus tardivement, et
rieur pour atteindre, plus tardivement, et d'une façon variable, le
cordon
antéro-latéral et ses divers faisceaux. En 1896
ns, en particulier dans l'at- teinte plus ou moins grave portée aux
cordons
antéro-latéraux, aux cellu- les des cornes anté
rs qui ont donné le traumatisme comme pouvant créer la sclérose des
cordons
postérieurs. Dans ce cas, la lésion se propage
dons postérieurs. Dans ce cas, la lésion se propage de bas en haut (
cordons
de Goll et de Burdach). Mais d'autres fois elle
es analogues à celles de la maladie de Friedreich : altérations des
cordons
postérieurs, des faisceaux pyramidaux,des faisc
ate,en outre ? a dégénères- 130 RAYMOND cence des fibres dans les
cordons
de Goll, dans les faisceaux cérébelleux directs
t des lésions de la substance blan- che (dégénération partielle des
cordons
postérieurs, localisée dans les faisceaux de Bu
isceau cérébelleux direct). Au bulbe, il existe une dégénération du
cordon
laté- ral et l'atrophie du noyau correspondant
égénération plus complète des faisceaux pyramidaux croi- sés et des
cordons
postérieurs ; mais vous n'êtes pas sans savoir qu
sont très peu considé- « râbles : nous avons trouvé une lésion des
cordons
antérieurs chez Louis Haud... et « une raréfact
slucides. A la coupe, on voit, à la région dorsale et cervicale, un
cordon
postérieur translucide résistant à la section,
lésions dégénératives du noyau dorsal du vague. ' , E. Moelle. a)
Cordons
postérieurs. - Ils sont atteints dans toute leur
ns les plus démyélinisées sont surtout les portions centrales des '
cordons
postérieurs ; les régions cornu-commissurales et
gélatineuse de Rolando. e) Méninges et vaisseaux. Les vaisseaux des
cordons
postérieurs et les septa conjonctifs qui les en
la distinguer de la maladie de Frie- dreich, sclérose primitive des
cordons
médullaires. Or, l'étude de faits récents, vien
oses pseudo-systématisées, à Cagnetto des lésions dégénératives des
cordons
postérieurs (3), à Bonardi (4) une hypertrophie
Tout le monde s'entend sur la fréquence des scléroses combinées des
cordons
postérieurs et latéraux, mais les divergences com
sionnels fondamentaux : l'un constitué par la sclérose combinée des
cordons
antéro-latéraux et posté- rieurs (myélite à cor
granuleux) ; l'autre formé par une sclérose spé- ciale, limitée aux
cordons
postérieurs (dégénérescence grise). « La scléro
s (dégénérescence grise). « La sclérose combinée envahit surtout le
cordon
latéral, sans rester strictement limitée à l'ai
du faisceau pyramidal croisé, car elle peut même atteindre tout le
cordon
antéro-latéral et une petite portion des cordon
e atteindre tout le cordon antéro-latéral et une petite portion des
cordons
postérieurs. Toujours elle prédomine dans la régi
roglique est assez dense. « La dégénérescence grise se limite aux
cordons
postérieurs, qu'elle peut envahir depuis la rég
froy, Stojanowitch et Rabaud, sauf excep- tion (5), les lésions des
cordons
postérieurs dans la paralysie générale (i) Hist
rales. Les 4 cas suivants n'ont de lésions médullaires que dans les
cordons
antéro-latéraux. OBS. I. P. G. Pémence, parap
6. Obs. XII. Moelle dorsale. Sclérose des faisceaux fondamentaux des
cordons
la- téraux, de la partie médiane du bord intern
ux des cordons la- téraux, de la partie médiane du bord interne des
cordons
de Goll et des bandelettes externes de Pierret.
ernes de Pierret. 1. Obs. V. Moelle dorsale. Sclérose tabétique des
cordons
postérieurs. 8. Obs. VII. - Moelle dorsale. Scl
es cordons postérieurs. 8. Obs. VII. - Moelle dorsale. Sclérose des
cordons
postérieurs dite du tabès in- cipiens. 9. Obs
s in- cipiens. 9. Obs. VI. Moelle dorsale. Sclérose tabétique des
cordons
postérieurs. 10. Obs. XI. Moelle cervicale. Rar
s les aires pyra- midales croisées, les bandelettes externes et les
cordons
de Goll. 11. Obs. XI. Moelle dorsale. Taches de
. Taches de décoloration dans les aires pyramidales croisées et les
cordons
postérieurs. 12. Obs. XI. Moelle lombaire. Raré
n des fibres à myéline dans les aires pyra- midales croisées et les
cordons
postérieurs et disparition des fibres des zones
tié postérieure de la moelle dans l'aire du faisceau fondamental du
cordon
latéral des deux faisceaux pyramidaux croisés e
210 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE La sclérose persiste ; des deux
cordons
pyramidaux, l'un est toujours plus dense et plu
quer la dégénérescence des fibres à myéline à la limite moyenne des
cordons
de Goll et de Burdach de la moelle cervicale. C
s. Les trois cas suivants n'ont de lésions médullaires que dans les
cordons
postérieurs. ' OBS. V. P. G. apparue 6 ans ap
confirmé; démence ; mégalo- manie ; sclérose tabétique ancienne des
cordons
potérieurs ; méningo-myé- lite surajoutée (1).
ons corticales. La moelle présente à l'oeil nu une teinte grise des
cordons
postérieurs. Le ventricule gauche du coeur est
arations par la méthode de Weigert montrent l'intégrité absolue des
cordons
antéro-latéraux. Les cordons posté- rieurs sont
igert montrent l'intégrité absolue des cordons antéro-latéraux. Les
cordons
posté- rieurs sont sclérosés sur la plus grande
noyau périphérique. Les cor- dons antéro-Iatéraux sont normaux. Les
cordons
postérieurs sont sclérosés dans la plus grande
. Quelques cellules des cornes antérieures sont pigmen- tées. Les
cordons
antéro-latéraux sont absolument intacts. Quant au
ées. Les cordons antéro-latéraux sont absolument intacts. Quant aux
cordons
postérieurs, ils présentent une sclérose très m
e l'en- trecroisement des pyramides montre une sclérose limitée aux
cordons
posté- rieurs. Seules quelques fibres confinant
mettent de se rendre compte de l'état de la substance blanche. Les
cordons
antéro-latéraux sont absolument sains. En revanch
antéro-latéraux sont absolument sains. En revanche, les fibres des
cordons
postérieurs sont fortement altérées. Leur lésion
sont fortement altérées. Leur lésion porte sur une grande partie du
cordon
, respectant deux zones : 1° La partie tout anté
e petite zone quelques rares fibres dégénérées. Quant au reste du
cordon
postérieur (portion à peu près complètement dé-
ppréciables, sauf peut-être au niveau des colonnes de Clarke. Les
cordons
antéro-latéraux sont indemnes de toute lésion. Qu
ngueur et le long de la commissure grise. Elles frappent surtout le
cordon
de Goll en tota- lité, et le cordon de Burdach
rise. Elles frappent surtout le cordon de Goll en tota- lité, et le
cordon
de Burdach dans sa partie interue (pi. XXXIII, fi
ar la méthode de Nissl. ' Le Weigert montre l'intégrité absolue des
cordons
antéro-laléraiix. Au niveau des cordons postéri
tre l'intégrité absolue des cordons antéro-laléraiix. Au niveau des
cordons
postérieurs un très grand nombre de fibres sont
e la zone cornu-commissu- rale et la partie externe et marginale du
cordon
de Burdach. Son maximum d'intensité se trouve a
u cordon de Burdach. Son maximum d'intensité se trouve au niveau du
cordon
de Goll et de la bandelette externe de Pierret.
e avec idées absurdes de grandeur ; sclérose tabétique ancienne des
cordons
postérieurs ; méningo-myélite surajoutée. Serv.
tiques. Les artères de la base sont athéromateuses. La sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle est visible à t'oei) n
vascularite au niveau du sillon médian postérieur. Weigert-Pal. Les
cordons
postérieurs sont détruits, sauf au niveau des ban
iste une inflammation très marquée des méninges, des racines et des
cordons
postérieurs, périvascularite dans la substance
cornes antérieures. Weigert-Pal. Il existe une dégénérescence des
cordons
de Goll et de Bur- dach, prédominant à la limit
rquée au niveau de l'émergence des racines postérieures et dans les
cordons
postérieurs ; elle déborde dans la partie postéro
flammation certaine avec sclérose de la partie postérieure d'un des
cordons
latéraux. Aussi ce dernier cas peut servir de t
s. Les six cas suivants présentent des lésions médullaires dans les
cordons
postérieurs et les cordons antéro-Iatéraux. 0
sentent des lésions médullaires dans les cordons postérieurs et les
cordons
antéro-Iatéraux. 08S. VIII. Tabès et P.G. Escha
G. Eschares sacrées. - Pachyméningite hémorrha- gigue. Sclérose des
cordons
postérieurs du tabès incipiens,méningo- myélite
-mère et une dilatation des ventricules. La moelle est molle, ses
cordons
postérieurs'sont gris. Le foie est gras et étal
pas trace d'inflammation. Au Weigert, on constate la sclérose des
cordons
de Goll (pl. XXXIV, fig. 9). Au Nissl, les cell
elettes externes, des zones de Lissauer et de la partie interne des
cordons
de Goll. Raréfaction des fibres dans les deux a
lérose des bandelettes externes et de la partie postéro-interne des
cordons
de Goll. Raréfaction des fibres dans les deux a
deux aires pyramidales. 1. Obs. X. Moelle lombaire. Sclérose des
cordons
postérieurs, à l'exception de la zone de Westph
périphérie. 8. Obs. VIII. Partie inférieure du bulbe. Sclérose des
cordons
de Goll et des faisceaux cérébelleux directs.
x cérébelleux directs. 9. Obs. VIII. Moelle cervicale. Sclérose des
cordons
de Goll du tabes incipiens. 10. Obs. VIII. Moel
l sont collés les uns aux autres, atrophiés dans leur ensemble. Les
cordons
postérieurs paraissent gris et translucides.
r- dons postérieurs, le long du sillon postérieur (face interne des
cordons
de Goll), apparaît une sclérose constituée par
gné par un petit nombre de cellules rondes. Remarquons que dans ces
cordons
antéro-latéraux, entre la zone périphé- rique s
ceaux pyramidaux qu'elle déborde peut-être un peu en avant; dans le
cordon
postérieur, une transparence plus grande au niv
radiculaires (zone radiculaire moyenne) et de la partie interne du
cordon
de Goll ; la zone de Wesphall est intacte. Au
nt d'un volume moindre,comme dans les pyramides bulbaires; dans les
cordons
postérieurs, la raréfaction est beaucoup plus gra
moyennes, dans les zones de Pierret, et dans la partie moyenne des
cordons
de Goll. Les zones radiculaires postérieures et
chées très largement ainsi que la partie postérieure et interne des
cordons
de Goll (pl. XXXIV, fig. 6). Au Nissl, dans la
aire. Raréfaction des aires pyramidales atteignant la périphé- rie.
Cordons
postérieurs sclérosés à l'exception de la zone de
ret), mais, en plus, on voit des lésions dans la partie interne des
cordons
de Goll, dans la zone de Lissauer et dans les rac
ndelettes externes de Pierret et de la partie médiane antérieure du
cordon
de Goll. A la région sacrée et lombaire, les ra
voit une raréfaction des fibres dans les aires pyrami- dales et les
cordons
postérieurs. Au niveau de la zone de Lissauer, el
ALYTIQUES GÉNÉRAUX 227 Weigert-Pal. - Sont décolorés par places les
cordons
de Goll et de Burdach et les aires pyramidales
s les aires pyrami- dales croisées, les bandelettes externes et les
cordons
de Goll. Les racines antérieures sont plus grêl
combinée consistant en décoloration des faisceaux fondamentaux des
cordons
latéraux, de la partie médiane du bord interne
taux des cordons latéraux, de la partie médiane du bord interne des
cordons
de Goll et des bandelettes exter- nes de Pierre
fasciculaire. Dans la moelle sont décolorées la moitié interne des
cordons
postérieurs et les faisceaux fondamentaux des c
é interne des cordons postérieurs et les faisceaux fondamentaux des
cordons
latéraux, ceux-ci sur une surface moins étendue q
riées suffit à éclaircir. Dans les deuxpremiers cas, l'examen des
cordons
postérieurs aux diffé- rents étages de la'moell
tion sur les bandelettes externes, leur régularité, des lésions des
cordons
postérieurs décrites par Joffroy et Rabaud. Si
cordons postérieurs décrites par Joffroy et Rabaud. Si l'aspect des
cordons
postérieurs est identique, il n'en est pas de m
cordons postérieurs est identique, il n'en est pas de même pour les
cordons
latéraux. : Dans le 1er cas, ces lésions sont d
ingo- myélite en évolution. Il explique que la sclérose diffuse des
cordons
laté- raux, constatée dans la moelle lombaire,
lbe au faisceau cérébelleux direct. Dans le 2° cas, les lésions des
cordons
antéro-latéraux sont plus com- 230 VIGOUROUX ET
masque et confond dans ses dégénérescences propres ce qui dans les
cordons
laléraux et postérieurs dérivait déjà peut- êtr
les expliquer la disposition de la dégéné- rescence des fibres. des
cordons
postérieurs, comme la méningite, qui accompagne
égé- nérescence de voisinage des fibres nerveuses périphériques des
cordons
latéraux. ' Dans l'autre, au contraire, la pr
a localisation nette de la sclérose dans le faisceau fondamental du
cordon
latéral, et d'autre part dans les zones de Liss
s zones de Lissauer, les bandelettes externes et le bord interne du
cordon
de Goll dans les régions lombaires, dorsale et
lexes, avec méningite et inflammation de la par- tie postérieure du
cordon
latéral, comme dans les cas de P. Marie, Guil-
e pouvoir s'exprimer au niveau de la moelle et particulièrement des
cordons
postérieurs que par des lésions pseudo-systématiq
e même processus entraîner la sclérose du fais- ceau fondamental du
cordon
latéral par poliomyélite, comme dans certains c
lite, comme dans certains cas de Klippel, la sclérose tabétique des
cordons
postérieurs par radicu- lite comme dans certain
lé- rose des faisceaux pyramidaux croisés. Pas d'autres lésions des
cordons
. Les vaisseaux, et principalement ceux qui sont
ticulation sternale il s'arrête brus- quement et se continue par un
cordon
fibreux souple et élastique. Le frag- ment exte
05 mais peu ou pas mobile sur lui. De son extrémité interne part un
cordon
fibreux qui se perd en dedans et ne peut être s
lus appréciables que chez la fille. Il ne semble pas qu'il y ait de
cordon
fibr eu reliant les deux fragments externe et int
t n'a qu'un centimètre ; les faisceaux occipitaux s'insérant sur le
cordon
fibreux et les rudiments sont suffisants, le fa
es travaux se sont surtout préoccupés de rechercher la destinée des
cordons
médullaires en l'absence du cerveau ou l'état des
es qui en devaient découler ; au fond, c'est encore la destinée des
cordons
blancs qui a principalement attiré leur attenti
u me convaincre qu'il était illu- soire de s'attarder à l'étude des
cordons
blancs de la moelle. La pseudencépha- lie, en e
rtie moyenne, la progression ne dépasse pas cependant l'étendue des
cordons
postérieurs. 1 Un autre processus intervient, q
i- que d'Erb-Charcot avec sa sclérose systématisée et primitive des
cordons
latéraux se présente à l'esprit ; M. Raymond a
la moelle montra une sclérose latérale combinée à une sclérose des
cordons
de Goll dans la région cervicale. Les lésions n
es du faisceau pyramidal et il s'y ajoutait encore une sclérose des
cordons
de Goll. Il est donc probable que chez notre ma
formes de maladies fami- liales spastiques. Touchant surtout les
cordons
postérieurs et accessoirement le cervelet, elle
iques, par com- pression intra-utérine (oligoamnios, enroulement du
cordon
, etc.) les déforma- tions qu'ils occasionnent p
i présentait une atrophie dans la partie inférieure du corps due au
cordon
ombilical qui l'entourait étroitement au niveau
ement moteur et le piriforme, les noyaux de Goll et de Burdacli, le
cordon
postérieur sont normaux. Toutes ces formations
-5e racines cervicales on remarque : raréfaction très accentuée des
cordons
latéraux surtout au niveau des faisceaux pyrami-
x pyramidaux directs sont légèrement raréfiés et la raréfaction des
cordons
de Goll est limitée à leur moitié antérieure. L
u'à droite. De même qu'au niveau des lao-88 racines cervicales, les
cordons
de Goll NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière
in. Le bord inférieur du grand dentelé se per- çoit sous forme d'un
cordon
dur et résistant fortement tendu au-dessous de
ahissement conjonctif et vasculaire) s'ajoute la dégénérescence des
cordons
blancs consé- cutive à la disparition du cervea
aits suivants qui sont du reste très inté- ressants : intégrité des
cordons
latéraux et antérieurs, lésion des cordons post
ressants : intégrité des cordons latéraux et antérieurs, lésion des
cordons
postérieurs exclusivement au niveau des faisceaux
secondaire des hémiplégiques sous la dépendance de la sclérose des
cordons
latéraux, sclérose deutéropathique consécutive
abès spasmodique, de paralysie spinale spastique et la sclérose des
cordons
latéraux, puisqu'on peut le rencontrer indépend
squ'on peut le rencontrer indépendamment de toute altération de ces
cordons
et que d'autre part lorsqu'on la constate elle es
sclérose latérale étaient imputables justement à la sclérose des
cordons
latéraux qui donnait son nom à la maladie ; or Le
ie de Charcot; il n'y avait pas la moindre trace de sclérose de ses
cordons
latéraux. Nous savons du reste que normalement
t revêtu d'une peau ridée, flasque et pâle, soulevée par quelques
cordons
tendineux. A la face palmaire, l'éminence thénar
lusivement l'autopsie (obser- vation III, p. 408) : 1° sclérose des
cordons
postérieurs; 2° atrophie du nerf optique gauche
tabes est dans le protoneurone sensitif ou centripète de la moelle (
cordons
postérieurs, racines postérieures, ganglions sp
con- jonctif. Il trouve doublement inexact le mot de sclérose des
cordons
postérieurs pour le tabes, car, dit-il, « il est
'est que la consé- quence lointaine de la désorganisation lente des
cordons
postérieurs, et, d'autre part, que le tissu néo
USGRAVE CUY. X. D'un système de fibres intermédiaires, occupant le'
cordon
la- TÉRAL DANS LES PYRAMIDES; par W. DE BECFITE
nfirmé, dit-il, par Biedl, d'après lequel le faisceau pyramidal des
cordons
latéraux n'appartient pas exclu- sivement au gr
ie NERVEUSE. · de la région 'sensitive de la moelle, comprenant les
cordons
postérieurs, les cornes grises adjacentes, et l
bres ou de cel- lules nerveuses évoluent ces lésions, au niveau des
cordons
postérieurs, des cornes grises adjacentes ou de
pour donner les termes généraux du problème à résoudre.- . . Les
cordons
postérieurs de la moelle apparaissent, d'après
res qui, parties des cellules des ganglions rachidiens, abordent le
cordon
postérieur au niveau du sillon collatéral ; ell
a moelle. DES LOCALISATIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 179 le
cordon
postérieur. Ce second système (de découverte pl
accomplissent un trajet plus ou moins long dans la masse blanche du
cordon
postérieur. Ces fibres s'appellent : fibres int
, mais insuffisante, qui déclare : que le Tabès est la sclérose des
cordons
et des racines postérieurs. Un grand nombre de
vrites périphériques, atro- phies musculaires), retentissent sur le
cordon
postérieur et y déterminent une sclérose qui pe
a mis sur le compte de la sclérose tabétique, certaines lésions des
cordons
postérieurs qui doivent en être soigneusement d
ttra de distinguer la sclérose tabé- tique des autres scléroses des
cordons
postérieurs, dont les travaux récents nous démo
laires tabétiques par rapport aux faisceaux de fibres nerveuses des
cordons
postérieurs et aux cellules de la portion sensi
e plusieurs travaux tout récents ; ces travaux ont montré que les
cordons
postérieurs se composent de faisceaux distincts e
adie tabétique. Mais les notions nouvelles sur la fasciculation des
cordons
-postérieurs ont insuffisamment pénétré dans le
médullaires du tabes d'un exposé de la nouvelle fas- ciculation des
cordons
postérieurs. A. FASCICULATION des cordons posté
lle fas- ciculation des cordons postérieurs. A. FASCICULATION des
cordons
postérieurs. Cette fascicu- lation des cordons
A. FASCICULATION des cordons postérieurs. Cette fascicu- lation des
cordons
postérieurs a été étudiée par plusieurs méthode
LISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 183 ceaux constitutifs des
cordons
postérieurs : supposons une lésion destructive
re, nous le suivions, dans son long trajet ascendant, à travers les
cordons
postérieurs et les zones adja- centes. De mêm
supposons un foyer de myélite transverse : cer- tains faisceaux des
cordons
postérieurs vont être remplacés par des taches
maine, quand on veut étudier l'architecture ou la fasciculation des
cordons
posté- rieurs. - Voyons les résultats qu'elle a
sensitif), les faisceaux endogènes (libres intrinsèques, fibres de
cordons
). 1° Faisceaux exogènes des cordons postérieurs
ibres intrinsèques, fibres de cordons). 1° Faisceaux exogènes des
cordons
postérieurs de la moelle humaine. - Ces faiscea
urons ainsi les faisceaux exo- gènes ou les champs radiculaires des
cordons
postérieurs. Comme il sera facile de s'en rendr
es successivement ascendantes, au sur et à me- sure qu'elle suit le
cordon
postérieur. Au niveau du sillon collatéral, son
e portion renllée qui avance plus ou moins loin dans l'intérieur du
cordon
. Plus haut, les mêmes grosses fibres, quoique d
e externe. Fit. 3. - La bandelette externe est rejetéc tout près du
cordon
de Goll. DES LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES
lte un ensemble que l'on peut appeler le c champ radiculaire » du
cordon
postérieur. La topographie et les limites de ce c
ieure, le champ dit radiculaire occupe la plus grande éten- due des
cordons
postérieurs (zones pointillées). Toutefois, il
a', a") ; les triangles postérieurs (a'"). B, zone de Lissauer ; D,
cordons
latéraux ; E, région périépen- dymaire. Les c
tes les fibres longues, celles qui consti- tueront les triangles du
cordon
de Goll. Dans la moelle dorsale et cervicale, l
. Nous terminerons cette topographie des champs radicu- laires du
cordon
postérieur par l'exposé de la nouvelle con- cep
es du cordon postérieur par l'exposé de la nouvelle con- ception du
cordon
de Goll de la moelle cervicale. Les anciens aut
des dégénérations secondaires, ont montré la constitution exacte du
cordon
de Goll cervical : les triangles postérieurs à
oi de Kahler), ils remplissent en longueur le tiers posté- rieur du
cordon
de Goll, sans atteindre en largeur le septum in
oll, sans atteindre en largeur le septum intermedium; le restant du
cordon
, de forme irrégulière (Tg. 8, G") est occupé pa
libre par les triangles lombo-sacrés. 2° Faisceaux endogènes des
cordons
postérieurs de la moelle humaine. - Les champs
umaine. - Les champs radiculaires forment la plus grosse portion du
cordon
postérieur, mais ne le constituent DES LOCALISA
faisceaux endogènes. Dans cette étude des faisceaux endogènes des
cordons
postérieurs de la moelle humaine, nous utiliser
xposé détaillé. Nous croyons qu'il est permis de distinguer dans le
cordon
postérieur, deux faisceaux endogènes : l'un des
us important, l'autre ascendant. Le faisceau endogène descendant du
cordon
postérieur existe dans toute la hauteur de la m
« virgule de Schulze ». Ce faisceau apparaît, dans chaque moitié du
cordon
postérieur, sous forme d'une bande décolorée au
que ne commence le centre ovale. Le faisceau endogène descendant du
cordon
postérieur existe donc dans toute la hauteur de
u moins pour les régions cervicale et dorsale, dans les cellules de
cordons
situées à la base de la corne 1%u. 10 (cône ter
à tous les étages de la moelle. Le faisceau endogène ascendant des
cordons
postérieurs paraît moins nettement topographié
L'étude anatomique de la fasciculation, exogène et endo- gène, des
cordons
postérieurs nous a paru nécessaire pour appuyer
usqu'où peut aller l'affection dans l'envahisse- ment successif des
cordons
postérieurs. Comme technique, nous avons surtou
e. La moitié postérieure est seule représentée. Les régions noires (
cordons
latéraux) sont saines ; les- régions décolorées
on (procédé de Weigert-Pal). Il faut remarquer, toutefois, 'que les
cordons
latéraux, dessines eu masse, apparaissent plus no
ssines eu masse, apparaissent plus noirs que les parties saines des
cordons
postérieurs, représentées en pointillé distinct.
ns postérieurs, représentées en pointillé distinct. Les régions des
cordons
et des. cornes postérieures ont été soigneusement
(faisceau grêle) ; C, corne postérieure et son réseau plexiforme ; D,
cordons
latéraux : E, commissure grise ; F, colonnes de
seules à l'exclusion de tout autre tissu; en consé- quence, par les
cordons
postérieurs, les régions saines appa- raissent
veau du système radiculaire, à la fois dans les racines et dans les
cordons
postérieurs; mais celte constatation, qui n'est
us avons dû abandonner le problème de ce côté. Par contre, dans les
cordons
postérieurs, la localisation initiale est bien
s radiculaires moyennes sont prises dès le début du tabès, dans les
cordons
postérieurs. Mais si ces fibres se détruisent d
logiques sont donc les mêmes au niveau des racines et au niveau des
cordons
. Nous ne pouvons nous empêcher de faire remarqu
die. Une dernière question reste à résoudre : Comment se prend le
cordon
de Goll dans le tabes ? Son étude à part est su
es et à leur formule histologique gé- nérale. Le plus souvent, le
cordon
de Goll (moelle cervicale) se prend suivant un
clérosent sur les coupes colorées par le procédé de Weigert-Pal, le
cordon
de Goll cervical est alors représenté par une t
DULLAIRES DU TABES DORSALIS. 197 cervicale. De par ce mécanisme, le
cordon
de Goll tabétique est le fait d'une dégénératio
de tabes cervico-dorsal (Eichhorst, Mar- tius) nous pensons que le
cordon
de Goll peut être détruit par un processus prim
spectait la moelle lombaire, par conséquent les fibres longues du
cordon
de Goll au niveau de leur point de pénétration, e
n de Goll au niveau de leur point de pénétration, et, cependant, ce
cordon
était sclérosé dans la région cervicale. La seu
hologique actuelle, est que le tabes peut détruire primitivement le
cordon
de Goll. Il nous sera per- mis de souligner, dè
d'autres faits pour démontrer que le tabes frappe primitivement les
cordons
postérieurs. Deuxième partie. - Caractères IIIS
parenchymateuses a été faite sur les racines postérieures, sur les
cordons
de la moelle, enfin sur les ganglions rachidien
adiculaires par l'acide osmique (solution aqueuse au centième). Les
cordons
postérieurs ont été examinés après coloration p
ail inaugural est justifiée par les faits suivants. Au niveau des
cordons
postérieurs, nous avons bien ren- contré une lé
ormal n'est pas capable d'expli- quer l'aspect pseudo-scléreux d'un
cordon
postérieur tabé- tique ; en ce cas il n'y aurai
e et souvent hors de proportion avec l'intensité de la lésion des
cordons
sensitifs. D'ailleurs, il ne suffit pas de consta
catrice tabétique. Nous avons examiné les racines postérieures, les
cordons
correspondants et les cellules des ganglions ra
ercle parfaitement net, sur une coupe transversale. Au niveau des
cordons
postérieurs, le procédé de Marchi nous a permis
DORSALIS. 201 rencontré souvent des corps granuleux, soit en plein
cordon
de Burdach, soit au niveau du faisceau de Goll,
racines postérieures) ou au niveau de leur trajet intra-médullaire (
cordons
blancs). Ce problème avait déjà été abordé par
te lésion entraîne très vite la destruction des zones endogènes des
cordons
postérieurs, ascendantes ou descen- dantes. Le
ubstance ner- veuse blanche ou grise (sclérose amyotropbiqne ou des
cordons
latéraux, tabès ou sclérose des cordons postéri
lérose amyotropbiqne ou des cordons latéraux, tabès ou sclérose des
cordons
postérieurs, etc.). La maladie commençant par u
ente des accidents, doivent faire écarter l'idée d'une sclérose des
cordons
latéraux et permettent de considérer ce malade
trouvé des lésions de la moelle épinière, princi- palement dans les
cordons
dorsaux et dans les fibres radiculaires. De par
rieurs on peut voir aussi une dégénérescence disséminée dans les
cordons
autéro-latéraux, exprimée de même principalement
sphère droit on constata un long îlot scléreux, ayant l'aspect d'un
cordon
. On trouva des plaques disséminées de sclérose
nière ; la moitié droite de la moelle épinière, principalement les
cordons
latéraux en étaient surtout atteints. Les plaqu
la moelle épinière on a trouvé une dégénérescence secon- daire des
cordons
pyramidaux latéraux et de ceux de Furk. Ayant c
sparaissait sous de magnifiques couronnes de fleurs naturelles. Les
cordons
du poêle étaient tenus par MM. Isambert, député,
imite interne de la colonne de Clarke. L'irruption du sang dans les
cordons
latéraux doit être considérée comme un phénomèn
as, l'auteur n'a jamais vu l'exten- sion de l'hématomyélie dans les
cordons
pyramidaux. Le tableau histologique de ces foye
a successivement empiété sur la substance grise et sur les divers
cordons
. Autour de ce kyste d'origine hématiquo évoluait
ntribution ci l'étude des dégénérescences propagées. Altération des
cordons
postérieurs secondaire ci une lésion cérébrale en
le D'' G. DURANTE (Paris). Nouvelle observation d'altération des
cordons
postérieurs con- sécutive à une altération en f
iées anté- rieurement en 1894 et 1895, où Jes mêmes altérations des
cordons
postérieurs se retrouvaient à la suite de foyer
observation que nons apportons est un nouveau fait d'altération des
cordons
postérieurs secondaire à une lésion cérébrale,
otin, etc., on connaît aussi l'action spéciale de cet agent sur les
cordons
postérieurs de la moelle. On comprend dès lors
Mais à quelle intervention doit-on s'arrêter ? La section simple du
cordon
(opération de Jaboulay) est inutile, car le nerf
se montrer. La résection partielle étendue aux deux ganglions et au
cordon
intermédiaire, allant jusqu'au-dessous du plexu
artielle et limitée au ganglion supérieur et à une petite partie du
cordon
qui lui fait suite ne peut donner de résultats
section totale et bilatérale comprenant les trois ganglions et leur
cordon
intermédiaire est l'intervention de choix, et voi
ale du sympathique cervical, comprenant les trois ganglions et leur
cordon
intermédiaire. L'excellent résultat que j'ai ob
venable à faire sur le mâle; enlèvement des testicules, ligature du
cordon
ou ligature du- Archives, 2e série, t. IV. 35
x de la langue dans la paralysie géné- rale, par Mouratoff, 80.
Cordon
latéral. Fibres intermé- diaires du dans les py
t marquée au niveau des renflements. Atrophie et dégénérescence des
cordons
latéraux. C'est, pour M. Bechterevv, à l'anesth
à ce niveau il existe aussi quelques rares boules noirâtres dans le
cordon
antero-latéral. Dans les cordons postérieurs, i
ques rares boules noirâtres dans le cordon antero-latéral. Dans les
cordons
postérieurs, il existe des lésions (lui, tlans la
iculaire est plus forte, marquent le pas- sage de libres malades du
cordon
postérieur à la base delacorne postérieure. L
dessus du 5U segment lombaire et que, d'autre part, les lésions des
cordons
postérieurs dans la moelle sacrée se sont montr
rmis défaire l'étude intéressante des dégénérations secondaires des
cordons
postérieurs par lésion de la queue de cheval. D
et plus nettement encore au ni veau du 3e et 2° segments sacrés,les
cordons
poster ieurssont partout envahis parties granul
e, les granulations noirâtres, qui se trouvent dans presque tout le
cordon
postérieur, sont ce- pendant beaucoup plus nomb
n postérieur, sont ce- pendant beaucoup plus nombreuses dans chaque
cordon
, dans deux bandes disposées perpendiculairement
aux racines postérieures. Nous avons en outre c constaté, dans les
cordons
postérieurs, une dégénéra- tion secondaire, enc
entation des cloisons névrogliques dans les segments supérieurs des
cordons
de Coll, particularité trop fré- quente pour qu
», choisie par par Kelliker, est donc impropre.- 2. Parfois dans le
cordon
la- téral cluhulbe on rencontre, à la périphéri
sion de la moelle, dans l'hemaiomyelie centrale et l'apo- pleaie du
cordon
latéral de la moelle, dans le tabès, dans la pa
e postérieure, corne postérieure, commissure de la substance grise,
cordon
anLéro-laLral et finalement péri- phérie latéra
ise, cordon anLéro-laLral et finalement péri- phérie latérale de ce
cordon
, suivant toute probabilité le faisceau de GoN%e
ment au segment de la moelle lésé correspondant. 9. Toute lésion du
cordon
latéral y compris sa périphérie latérale où le
tale croisée, produite par une lésion de la substance blanche ou du
cordon
latéral y compris le faisceau de 126 REVUE D'AN
otale croisée, produite par une lésion de la périphérie latérale du
cordon
latéral ou du faisceau de Go- wers est environ
IGRADSKI, le biceps, et quelques secondes après vous constaterez un
cordon
ou une arête dure qui dispa- raît rapidement. L
l'opération. Dans presque tous ces cas.il existait des lésions des
cordons
postérieurs, les unes homolatérales, les autres
ont permis de constater l'extrême variabilité de ces lé- sions des
cordons
postérieurs, aussi bien du côté correspon- dant
or, ces boules siégeaient non seulement au niveau de la lésion des
cordons
postérieurs, du côté amputé et du côté opposé,
ond lieu, nous avons noté dans ? cas, en plus des al- térations des
cordons
postérieurs, des lésions do méningite syphiliti
es dans 196 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. les
cordons
postérieurs ; elle rend compte aussi de ladistrib
ingite tient vraisemblablement sous sa dépendance les lésions des
cordons
postérieurs. Cette méningite est due, sans cloute
vent être soit contin- ? entes, soit secondaires à la lésion même des
cordons
posté- rieurs par suite peut-être d'altérations
ement et. régulièrement peu- dant vingt minutes après la coupure du
cordon
, mais il ne respira pas ». Rapporté par II. de
I.1 11) il] iis une présence constante du fais- ceau fondamental du
cordon
anlérolalél'al et des cordons posté- rieurs.
constante du fais- ceau fondamental du cordon anlérolalél'al et des
cordons
posté- rieurs. 29G PSYCHOLOGIE. line à une
de l'excitation, dans le tronc inférieur de la moelle au niveau des
cordons
anté- rieurs et delà région ventrale des cordon
elle au niveau des cordons anté- rieurs et delà région ventrale des
cordons
latéraux, c'est- à-dire, en somme, dans le fais
dégénérescence des faisceaux cérébelleux direct et de Gov ers, des
cordons
de Goll ; les colonnes de Clarke sont presque c
erritoire de la commissure postérieure et de certaines portions des
cordons
postérieurs, sur la hauteurde la région cer- vi
laire, très ténu, qui a envahi la substance blanche des différents,
cordons
. Les altérations parenchymafeuses existent il t
és. Les fibres saines sont rares, cependant certaines régions des
cordon
» latéraux en contiennent une grande majorité. I
s. Examinés au niveau de la 10e' dorsale eL de la le lombaire, ai
Cordons
antérieurs : Zone de dégénérescence occupant les
iminuer brusquement au niveau de la sortie des dernières racines 1»
Cordons
latémllE; Zone de dégénérafion correspondant au
fion correspondant au territoire, du faisceau pyramidal croisé, c).
Cordons
postérieurs : Quelques libres dégénérées il la
rvicale supérieure il la limite supérieure du foyer de my('WI'. a).
Cordons
postérieurs : Dégénération du cordon de (;011 ni
eure du foyer de my('WI'. a). Cordons postérieurs : Dégénération du
cordon
de (;011 ni dr la portion la plus et la plus po
de La dégénération allailjusf[u'à la commissure postérieure. 11'.
Cordons
ccztd>'o-latérav.r. 10 Au dessus de la lésion.
Au dessus de la lésion. Dégéné- rcscence occupant toute l'aire des
cordons
mais particulièrement autour et au contact (le
périeure : dégénérescence surtout marquée il la la péri- phérie des
cordons
suivant une répartition paraissant systémali- q
; il s'agissait ici d'un foyer de ramollissement typique dans les
cordons
et cornes postérieures secondaires àl'embolie d
s multiples, disséminés sans ordre, mais avec prédominance dans les
cordons
postérieurs et localisés dans la partie dorso-l
e : la plus grande perte en fibres nerveuses se trouve ici dans les
cordons
antero-tateraux sur toute l'étendue desquels la
mment saines ont une gaine myélinique pale. > <- . Dans les
cordons
postérieurs, la perte en libres nerveuses esl m
s mailles de la névroglie et des libres nerveuses décrit dans les
cordons
antéro-tatéraux. Des coupes au Marchi montrent la
sence de très nombreux corps. granuleux, surtout abondants dans le
cordon
antéro-latéral, et de nombreuses fibres nerveuses
cile de la limiter, antérieurement, car on trouve, en plus, dans le
cordon
antéro-latéral. une dégénération difluse, moins
al croisé et le faisceau Uo '1·url : . 'r r '1" ·.. , .1 Dans les
cordons
postérieurs on retrouve.de chaque côté une minc
, il existe encore un éclaircissement dans la moitié postérieure du
cordon
latéral. ... La dégénération dans le faisceau d
elle disparaît complètement. Quant à la partie dégénérée Uilfuse du
cordon
antéro-latéral,ellediminue,elle aussi, d'intens
lombaires supérieurs et disparaît dans les inférieurs où tout le
cordon
anféro-latéral ne nous montre d'autres zones dégé
existe. 'en outre, une légère dégénérescence dif- l'- fuse dans le
cordon
anlérolatéral qui, dans les segments supé- rieu
ts C 7, C t ? il n'en existe plus trace. La dégénérescence dans les
cordons
postérieurs tend aussi il se réduire de plus en p
irect et dans le faisceau de Go,vers. La dégéliéi,itiou diffuse des
cordons
anléro-latéraux, soit au-dessous ou au-.dessus
la section, mais avec prédo- minance dans la moitié antérieure des
cordons
postérieurs et SUR LA PATHOGÉNIE DES ALTÉRATION
rs et SUR LA PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MEDULLAIRES. 140 dans les
cordons
latéraux) A un fort grossissement,ce qui frappe
la moelle sont cependant plus abondants ¡'¡ la partie externe du
cordon
latéral, dans la moitié postérieure des cordons p
la partie externe du cordon latéral, dans la moitié postérieure des
cordons
postérieurs el dans le cordon antérieur ; dans
éral, dans la moitié postérieure des cordons postérieurs el dans le
cordon
antérieur ; dans ces régions, la névroglie ne p
évroglie ne paraît pas lvrolilér(·e : dans la partie antérieure des
cordons
pos- térieure el dans la partie interne des cor
antérieure des cordons pos- térieure el dans la partie interne des
cordons
latéraux où la perte en libres nerveuses est au
t intactes. Dan-, la moelle sacrée el lombaiiv, il existe, dans les
cordons
A nCntvr.s, 2° scric. t. l\. 2a 4.GU ' PATHOL
elle sacrée supérieure, existe une illculu- ration diffuse dans les
cordons
postérieurs, oui toutefois épargne le triangle
el Philippe. Au niveau des segments LÔ-L4, la dégéné- rescence des
cordons
postérieurs, tout en respectant la zone d'en- t
une légère prolilération névroglique pa- rait évidente. Dans les
cordons
antt;ru-IaLraw.nu-Ileuumle la pachyménill- gite
on observe des grains noirs peu nombreux existant seulement dans le
cordon
latéral et. dans ceiui-ci, seulementdans le clt
ulier, parles lésoins ta- bétilormes que nous rencontrâmes dans les
cordons
pos- térieurs, dans la moelle lombo-sacrée. : l
aveur d'un tabès lombo-sacré incipiens. Cependant ces lésions des
cordons
postérieures, qu'on les interprète comme vrai-
e distribution vasculaire. Ces lésions diffuses atteignent dans les
cordons
antéro-laléraux les 2/3 superficiels, respectan
de : le bord du sillon antérieur est complètement épargné. Dans les
cordons
postérieurs, même lé- sion diffuse occupant l'e
cordons postérieurs, même lé- sion diffuse occupant l'ensemble des
cordons
postérieurs avecune bande plus ou moins large d
m : cesontsurtouttes2/ante ! 'ie ! u'settespa ! 'ties centrales des
cordons
postérieurs qui sont lésés. A un plus fort gros
. Dans les segments L ? L4, Il'- It ? icJ1)s d¡"gén("l'al h es dl's
cordons
antéro-laléraux sontll1Uill llilruses'; elles p
dans le segment L ,i, dans le faisceau pyramidal croisé ; dans les
cordons
postérieurs, dégénération (li[ruse épargnant la x
ni\caudes ? Py(;ouladege ! ie ! 'c. cence est très nette ; dans les
cordons
postérieurs, les mêmes lé- sions que dans le se
ment L'). Au niveau du 3e segment sacré rien d'autre noter dans les
cordons
antéro-laléraux que les ves- tiges de dégénéres
éraux que les ves- tiges de dégénérescence dans le FP (; ; dans les
cordons
posté- rieurs pei'siste une légère dégénération
lombaire. Au niveau des segments i)ll,i))0,D8,Iaxone dégénérée des
cordons
postérieurs tend tou- jours d'avantage se limit
urs tend tou- jours d'avantage se limiterait faisceau de Goll : les
cordons
antéro-laléraux sont de plus en plus foncés, si
s, si bien que dans le segment I) S il existe peine trace, dans ce-
cordons
, de tade- I"lll'l'l'cellce l'l'ill'Ollll ? p pr
dant remarquer la persistance de la dégénérescence diffuse dans les
cordons
postérieurs, au-dessous de la région aplatie de
isinage : on n'en peut dire autant de la dégénérescence dilfuse des
cordons
postérieurs qui continue en bas, jusqu'à la rég
'IITOGÉVIr DES ALTÉRATIONS vll : Dl't.T.41RS. 41 voisinage dans les
cordons
antéro-lateraux ont presque complètement dispar
, Lu), déco- loration dilrue qui toutefois est plus l'orle dans les
cordons
pos- lnimm· eL à la périphérie de.- cordon- anl
hypertrophié. Ces \ides sont plus rares vers la partie in- terne du
cordon
antérii-laléral, où on voit, l'Onlllle'¡'l la 1)i
anu- l,llions plus fines, disposées souvent en' série. z Dans les
cordons
antéro-laléraux, il existe un i·Ilai..iasen«;nL
-laléraux, il existe un i·Ilai..iasen«;nL léger des septa. dans les
cordons
postérieurs il v a une vraie pro- lifération ii
segm. lombaire la décoloration de la substance blanche est, dans le
cordon
anl¡"ro-Iatéral. limitée la périphé- rie ; dans
dans le cordon anl¡"ro-Iatéral. limitée la périphé- rie ; dans les
cordons
postérieurs, elle est aussi plus limitée, es le
ns le segment Ll,en effet, la dégénérescence se limite, dans chaque
cordon
postérieur, à une bande adjacente au septum qui
artant de la commissure postérieure, occupe la moitié en largeur du
cordon
postérieur, et dans le quart postérieur du ·c1L
m· et v Ila·e périphérique ; il n'occupe pas plus que la moitié des
cordons
pos- lérieurs en largeur. Dans la région dorsal
rée louche eulelllentia 1l1Oii il' clu eplulJ1 posléril'ur, Dans le
cordon
ant{'ro-Iatéml, au-dessus du segm. LL' ou note
nte à la périphérie de celle-ci et dans les parties antérieures des
cordons
pos- térieur s;d'autr e part sous la forme d'oe
nts du tissu nerveux qui frappe surtout les parties centrales des
cordons
antéro-latéraux et des cordons postérieurs. Les
pe surtout les parties centrales des cordons antéro-latéraux et des
cordons
postérieurs. Les lésions marginales sont très v
on motrice, douleurs fulgurantes, anesthésies) veut dire lésion des
cordons
postérieurs et surtout de leur partie externe (
ptômes (paralysies et sur- tout contractures) veut dire lésions des
cordons
laté- raux et surtout des faisceaux pyramidaux.
ttre que la contracture permanente est le symptôme de la lésion des
cordons
latéraux ». Que sont donc ces faits qui infirme
elles il y a eu des contractures permanentes malgré l'intégrité des
cordons
latéraux. , - 00 ' " Or, le principe que Raym
né, si les symptômes du premier groupe font penser à une lésion des
cordons
postérieurs, ceux du second font supposer une l
cordons postérieurs, ceux du second font supposer une lésion des
cordons
latéraux. 11 est donc probable, d'après la seul
exception. Dans toutes les autopsies, la lésion intéres- sait les
cordons
postérieurs et les cordons latéraux. Jusque-là,
s autopsies, la lésion intéres- sait les cordons postérieurs et les
cordons
latéraux. Jusque-là, du reste, aucune difficult
dach, mais aussi les faisceaux cérébelleux, qui, quoique dans les
cordons
latéraux, fout partie du système cen- tripète ;
stérieurs se diffuse ensuite (par l'intermédiaire des méninges) aux
cordons
latéraux; le quatrième, des faits.inverses dans
ux des Allemands est la non-systématisation de la lésion dans les
cordons
latéraux : cela est très juste : la sclé- rose,
ns latéraux : cela est très juste : la sclé- rose, systématisée aux
cordons
postérieurs, est diffusée dans les cordons laté
rose, systématisée aux cordons postérieurs, est diffusée dans les
cordons
latéraux. Mais cela n'empêche nullement son uni
la lésion commence par les nerfs crâniens; chez l'autre, par les
cordons
postérieurs; chez certains, les méninges spinal
ives, t. XLI. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE. les lésions combinées des
cordons
postérieurs et laté- raux, la rigidité musculai
et la contracture spastique ne surviennent pas quand la lésion des
cordons
posté- rieurs s'étend en bas jusqu'à la région
en bas jusqu'à la région lombaire et que les zones radiculaires des
cordons
postérieurs sont atteintes par la dégénérescenc
pas dans les membres supérieurs ou inférieurs, quand la lésion des
cordons
postérieurs a atteint les zones radiculaires po
chronique à siège spécial et constant. Cette sclérose occupe les
cordons
postérieurs et les cordons latéraux. On ne peut
l et constant. Cette sclérose occupe les cordons postérieurs et les
cordons
latéraux. On ne peut considérer cette lésion ni
atisée ni comme entièrement diffuse. Elle est systématisée dans les
cordons
postérieurs et diffuse dans les cordons latérau
est systématisée dans les cordons postérieurs et diffuse dans les
cordons
latéraux. Cette association constitue donc une
lit0. Dégénérescence secon- daire des faisceaux pyramidaux dans les
cordons
anléro-latéraw et des cordons postérieurs. Plan
ire des faisceaux pyramidaux dans les cordons anléro-latéraw et des
cordons
postérieurs. Planche à l'appui. 1 Voy. Arch. de
ns la substance grise de la moelle. Dégéné- rescence secondaire des
cordons
latéraux et postérieurs. Observations 111. Cyst
ie générale s'accompagnant chez de jeunes su- jets, de sclérose des
cordons
latéraux. A l'autopsie, on trouvait chez ces su
descordons laté- raux et quelquefois de la colonne de Turck dans le
cordon
anté- rieur. Il serait très intéressant de savo
anté- rieur. Il serait très intéressant de savoir si l'atrophie des
cordons
latéraux est primitive ou secondaire, ascendant
l'S de l'étage supérieur; un troisième enfin (faisceau aberrant du
cordon
latéral) se dirige dans les par- ties marginale
rrant du cordon latéral) se dirige dans les par- ties marginales du
cordon
latéral du même côté, contiguës à la corne post
rieure du bulbe, à l'état de fibres arci- formes, dans le noyau des
cordons
de Goll du côté opposé, ainsi que dans le segme
upérieur des pyramides en rapport de continuité avec les noyaux des
cordons
postérieurs : peut- être y a-t-il dans son sein
tion réticulaire : mais, dans le bulbe, à la hauteur des noyaux des
cordons
postérieurs, le fais- ceau de Burdach envoie de
rique, du glossopharygien , et d'une zone interne, origi- naire des
cordons
antérieurs, limitée dans le bulbe, en dedans pa
teur externe. Dans la zone externe, on rencontre : 1° les noyaux du
cordon
latéral du bulbe ; 2° les olives supérieures ; 3°
a substance blanche spinale il n'y a que le faisceau radiculaire du
cordon
antérieur et ce qui reste du cordon latéral qui
que le faisceau radiculaire du cordon antérieur et ce qui reste du
cordon
latéral qui passe immédiatement dans la formati
(fibres issues de la partie postérieure du faisceau radiculaire' du
cordon
latéral), au noyau central de Roller (fibres du r
noyau central de Roller (fibres du reste du faisceau radiculaire du
cordon
latéral et du faisceau radiculaire du cordon an
aisceau radiculaire du cordon latéral et du faisceau radiculaire du
cordon
antérieur), au noyau réticulaire (les deux espèce
e (les deux espèces de faisceaux radiculaires mais surtout celui du
cordon
antérieur), au noyau central supérieur (faiscea
don antérieur), au noyau central supérieur (faisceau radiculaire du
cordon
anté- rolatéral). Le système latéral des débris
ulaire du cordon anté- rolatéral). Le système latéral des débris du
cordon
latéral se rendent à son noyau. Quantau système
ise spinale et peut-être également du système latéral des restes du
cordon
antérieur, les autres de la moelle allongée (tr
llongée (trijumeau) glosso-pliaryngien, pneumo-gastrique ? noyau du
cordon
latéral ? ), qui gagnent, avec l'épanouissement
ormation réticulaire qui renferme des fibres émanées des débris des
cordons
latéraux et se rendant au cerveau moyen et au c
chemin des al- térations descendantes du faisceau pyramidal dans le
cordon
latéral au niveau du segment supérieur de la mo
périeur des pyramides de Meynert, et, finalement, dans le noyau des
cordons
grêles du côté opposé. Donc le lobe pariétal, a
u ruban de Reil, se rattache aux fibres circulaires et au noyau des
cordons
grêles du côté opposé. Spitzka, de New-York, a
testicule droit. A droite, au-dessus du testicule, sur le trajet du
cordon
, on sent une tumeur du volume d'un oeuf de pige
la hauteur de la moelle. Intégrité des faisceaux cérébelleux et des
cordons
latéraux limitant le faisceau pyramidal. Absence
ant le faisceau pyramidal. Absence complète de toute altération des
cordons
de Türk. Sclérose des cordons postérieurs et de
ce complète de toute altération des cordons de Türk. Sclérose des
cordons
postérieurs et de la substance grise des cornes p
la colonne vésiculaire de Clarke. Epaississement de la pie-mère des
cordons
postérieurs. D'après ces auteurs la sclérose py
e de la sensibilité et avec une dégénérescence presque complète des
cordons
et faisceaux postérieurs et la perle du sens mu
assez sédui- sante, car on trouve une lésion adéquate dans les deux
cordons
21 si REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. postérieu
ERVEUSE. postérieurs, la dégénérescence de chacun des districts des
cordons
postérieurs se succède assez régulièrement, et
it justifier physiologiquement l'existence de ces systèmes dans les
cordons
postérieurs. M. Krauss a cons- tamment enregist
nérescence évidente des colonnes de Clarke ; altération modérée des
cordons
postérieurs; la substance grise ne présente pas
où elles s'étalent dans la corne postérieure; la partie externe des
cordons
postérieurs, ou mieux la zone radiculaire moyen
che et descendant dans la capsule interne; le faisceau pyramidal du
cordon
latéral droit présente la dégénérescence second
de la moelle cervicale, juste à l'entrecroisement des pyramides, le
cordon
latéral gauche est dégénéré. Cette lésion, qui ne
e est dégénéré. Cette lésion, qui ne se rattache en rien à celle du
cordon
latéral droit, qui n'a rien à faire avec l'hémi
nd vers la moelle dorsale et s'accompagne alors de l'altération des
cordons
de Goll et bientôt des faisceaux cunéiformes. I
hauteur de l'or- gane ; intégrité des faisceaux blancs, quoique le
cordon
latéral droit paraisse atrophié au niveau de la
n paraissant se REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 21q diriger vers le
cordon
latéral, mais bientôt, s'infléchissant vertica-
couche propre située à la pointe de la corne postérieure, entre le
cordon
postérieur et le cordon latéral : ils montent a
la pointe de la corne postérieure, entre le cordon postérieur et le
cordon
latéral : ils montent ainsi et pénètrent dans l
e ces fibres fines sous forme d'une petite plaque intermédiaire aux
cordons
latéraux et postérieurs, qu'il s'agit d'une ata
. Dans toutes les lésions combinées, dit Déjerine, l'atteinte des
cordons
latéraux a lieu par la propagation d'un processus
n processus in- flammatoire de la pie-mère (leptoméningite) sur ces
cordons
; de l'altération primitive, autonome, des cordo
éningite) sur ces cordons; de l'altération primitive, autonome, des
cordons
postérieurs du tabétique part un processus d'ir
ant le loug de laméninge, se développe et frappe secondairement les
cordons
latéraux. Telle est l'interprétation de M. Westph
entre 27° et 6u° présentait à l'autopsie une myélite transverse des
cordons
postérieurs et de la moitié dorsale des cordons
lite transverse des cordons postérieurs et de la moitié dorsale des
cordons
latéraux surtout des faisceaux latéraux qui se re
aux surtout des faisceaux latéraux qui se rendent au cervelet ; les
cordons
latéraux et la substance grise étaient de- meur
mière troublent aussi la dernière; telles la sectiou transverse des
cordons
posté- SOCIÉTÉS SAVANTES. 409 rieurs et l'ext
gorifiques ou des conducteurs qui les apportent à ce centre; 2° les
cordons
postérieurs de la moelle trans- mettent deux es
tumeurs, mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des
cordons
blancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e
phases de fa dégénération granulo-graisseuse, et, en conséquence, le
cordon
nerveux a acquis une consistance qui lui permet d
e surajoutent quelquefois aux symptômes classiques de la sclérose des
cordons
latéraux, etc. Tout récemment encore, nous avons
oupes durcies de la moelle, que la sclérose fasciculée descendante du
cordon
latérafgauche s'était Flg. 1. — Cette ligure es
térieures. — B, faisceaux radiculaires internes traversant l'aire des
cordons
postérieurs. On voit la sclérose limitée dans les
l'aire des cordons postérieurs. On voit la sclérose limitée dans les
cordons
postérieurs au parcours de ces faisceaux. A droit
le cas, d'ailleurs assez rare, où la lésion bien que circonscrite aux
cordons
blancs, occuperait la partie de ces cordons que t
bien que circonscrite aux cordons blancs, occuperait la partie de ces
cordons
que traversent les faisceaux de tubes nerveux d'o
ira cependant de rap-peler que, malgré l'analogie de composition, les
cordons
blancs ne sont nullement assimilables aux nerfs :
rveau (suite). Sommaire. — Affections cutanées dans la sclérose des
cordons
postérieurs ; Éruptions papuleuses ou lichénoïdes
les, en quelque sorte pathognomo-niques de la sclérose fasciculée des
cordons
postérieurs, et que l'onacoutumede désigner sous
ence des douleurs fulgu-rantes parmi les symptômes de la sclérose des
cordons
posté-rieurs ? Je ne veux pas entrer aujourd'hui
re de Kolli-ker (1 ), traversent dans une certaine étendue l'aire des
cordons
postérieurs, avant de pénétrer dans les cornes po
t, de temps à autre, d'une façon pério-dique, à l'irritation dont les
cordons
eux-mêmes sont le siège 1. Douleurs fulgurantes
ataxie, sans incoordination des mouvements, sclérose commençante ,des
cordons
postérieurs de la moelle épinière. In Comptes ren
e complication, dans les cas de lésions irritatives limitées soit aux
cordons
antéro-latéraux, soit aux cornes antérieures de l
t trouvé, à l'autopsie, obstrué par un caillot sanguin, et formant un
cordon
relativement volumineux, accolé 1. Journal of e
t recouverte d'une mince couche purulente. Au-dessous de la plaie, le
cordon
la-téral gauche, dans toute sa hauteur, offrait l
n proche, par propagation des-cendante soit par la voie indirecte des
cordons
latéraux. Cette lésion de la corne antérieure, no
clérose 1. Cannstatt's Jahresbericht, 1868-1869. 3e Bd., 391. des
cordons
postérieurs, etalors que l'incoordination motrice
altérations banales de l'ataxie locomotrice progressive: sclérose des
cordons
posté-rieurs, méningite spinale postérieure, atro
genou. Au-dessus et au-dessous de ces points, la substance grise des
cordons
antérieurs parais-sait exempte d'altérations. O
agit du ramollis-sement cérébral, la sclérose descendante de l'un des
cordons
latéraux de la moelle pourrait être considérée co
sale, et lombaire) ; elles envahissent indistinctement les différents
cordons
, sans respecter les sillons et porlent aussi bien
ue exclusive ; tels sont, par exemple, les bords du canal central, le
cordon
de l'épendyme. Elle est prédominante aussi dans c
ive aux lésions du cerveau, ou de celle qui, occupant primivement les
cordons
postérieurs, est considérée à juste titre comme \
tent de la désagrégation de la myéline dans le cas de la section d'un
cordon
nerveux. Poursuivons les analogies: sur les cou
ulaire. Lorsque, dans Valaxie locomotrice progressive (sclérose des
cordons
postérieurs), les membres supérieurs sont affecté
rtaines régions de lamoelle, une assezgrande étendue, en hauteur, des
cordons
postérieurs. Un fait, dont l'histoire se trouve c
après la mort, des plaques de sclérose occupant toute l'épaisseur du
cordon
nerveux ont été trouvées sur les nerfs optiques,
convulsivement comme cela a lieu si ordinairementdans la sclérose des
cordons
postérieurs. Les sphincters ne prennent part que
laques scléreuses qui, dans la règle, siègent principale-ment sur les
cordons
antéro-latéraux, franchissent les sillons postéro
éraux, franchissent les sillons postéro-latéraux et empiètent sur les
cordons
postérieurs. Quelquefois même, je les ai vues, de
de\Tenuesconfluentes, occuper une bonne partie de l'épaisseur de ces
cordons
, clans toute l'étendue d'une des régions de la mo
sont 1. Les observations de sclérose en plaques dans lesquelles les
cordons
posté-rieurs sont intéressés de manière à occasio
ans le service de M. Charcot Sclérose en plaques occupant surtout les
cordons
postérieurs) : les deux autres peut-être plus car
uvé: 1° une plaque de sclérose longue de dix centimètres, occupant le
cordon
postérieur gauche ; — 2° une autre, mais moins ét
; — 2° une autre, mais moins étendue en largeur et en hauteur, sur le
cordon
postérieur cdroit ; —3° au-dessous, une autre pla
soit, — à part ce cas exceptionnel où la lésion prédominerait sur les
cordons
postérieurs,— efle ne s'accom-pagne d'aucun troub
rtie la plus élevée de la région ' ' ' , lombaire : on voit que les
cordons
postérieurs sont de la face. — Etourdissements pr
ées ici. Il y avait des plaques de scléros* dans toute la hauteur des
cordons
latéraux. Quant aux cordons postérieurs, ils sont
ues de scléros* dans toute la hauteur des cordons latéraux. Quant aux
cordons
postérieurs, ils sont pris un peu partout, mais p
à la partie la plus élevée de la région lombaire. A ce niveau, les
cordons
postérieurs sont pris dans toute leur étendue 'Fi
oute leur étendue 'Fig 15, c), mais sur-tout à la partie moyenne. Les
cordons
latéraux sont relativement moins lésés. II. — B
lérose en plaques disséminées, avec prédominance des lésions dans les
cordons
postérieurs, la maladie a duré onze, vingt-un et
la prédominance habituelle des plaques de sclérose sur le trajet des
cordons
anléro-laléraux rend compte, ainsi que je vous le
ement la moelle allongée — la sclérose occupe, en première ligne, les
cordons
postérieurs, puis les cor-dons latéraux, enfin le
ligne, les cordons postérieurs, puis les cor-dons latéraux, enfin les
cordons
antérieurs (B.), 2. Il est, toutefois, une cond
Moelle épinière : amas de corps granuleux;, assez abondants dan;, le
cordon
latéral gauche, rares dans le cordon antérieur.
uleux;, assez abondants dan;, le cordon latéral gauche, rares dans le
cordon
antérieur. Cas II. — S. Jean, 55 ans. Attaque s
légère agglomération de noyaux dans la partie la plus postérieure du
cordon
latéral. Cas IV. — Anne B..., femme âgée, morte
Moelle: accumulation de corps granuleux dans la partie postérieure du
cordon
latéral droit. En résumé, les foyers siègeaienL
mbre d'hystériques. — Exemples. — Lésions anatomiques. — Sclérose des
cordons
latéraux. — Variétés que présente la 'contracture
cture, liée à une lésion organique spinale, lorsque, par exemple, les
cordons
latéraux sont sclérosés ; mais je l'ai observée é
au pied, soit généralisée, s'observe dans la sclérosesy-métrique des
cordons
latéraux, dans la sclérose enplaques, toutes les
les symptômes ne s'observentpas dans la progression delà sclérose des
cordons
latéraux... III. Ainsi, Messieurs, rien déplu
mme, il s'est produit, aune certaine époque, une lésion scléreuse des
cordons
latéraux, lésion que lanécros-copie permettrait a
symétriquement, et à peu près dans toute la hauteur de la moelle, les
cordons
latéraux. A diverses reprises, cette femme avait
ure hystérique. D'après les considérations que nous avons émises, les
cordons
latéraux, ou tout au moins la par-tie postérieure
nesthésie complète ; 2° de l'hyperesthésie de l'ovaire. culée — ces
cordons
, dis-je, sont désignés comme étant le siège de mo
exemple si la sclérose a définitivement ou non élu domicile dans les
cordons
latéraux ? Je ne crois pas, Messieurs, que l'on p
contractilité faradique, devrait faire supposer non seulement que les
cordons
latéraux sont profondément lésés, mais que, en ou
ues de sclérose dissé-minées et sans ordre: elles occupent, j^ici, le
cordon
antérieur, là le cordon latéral ; ailleurs, le co
nées et sans ordre: elles occupent, j^ici, le cordon antérieur, là le
cordon
latéral ; ailleurs, le cordon de Goll ; en d'autr
pent, j^ici, le cordon antérieur, là le cordon latéral ; ailleurs, le
cordon
de Goll ; en d'autres endroits, elles intéressent
s endroits, elles intéressent une partie de l'un et de l'autre de ces
cordons
, Ces lésions semblent avoir une hauteur en généra
a moelle allongée (pyramides antérieures, surtout la droite) ; olive,
cordon
antéro-latéral. e', Parties restées saines sur
îlots scléreux, leur répartition inégale, irrégulière, soit dans les
cordons
de la substance blanche où elles dominent, soit d
s îlots scléreux, lew ré-partition inégale, irrégulière soit dans les
cordons
de la substance blanche où elles dominent, soit d
tumeurs, mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des
cordons
blancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e
rveau (suite). Sommaire. — Affections cutanées dans la sclérose des
cordons
postérieurs ; Éruptions papuleuses ou lichénoïd
mbre d'hystériques. — Exemples. — Lésions anatomiques. — Sclérose des
cordons
latéraux. — Variétés que présente la contracture.
de la sclérose en plaques dis-séminées, 62 , 244 ; de la sclérose des
cordons
latéraux, 61 ; — de la sclérose des cordons posté
244 ; de la sclérose des cordons latéraux, 61 ; — de la sclérose des
cordons
posté-rieurs, 61. Analgésie, 303, 308, 355. A
tion provoquée" du pied dans l'hystérie, 350 ; — dans la sclérose des
cordons
latéraux, la sclérose en plaques, la sclérose des
en foyer, toutes les fois qu'il y a dégénérescence descendante des
cordons
latéraux. Mais il y a des cas où le clonus podali
ne supé- rieure, l'autre inférieure. La branche inférieure furme le
cordon
de Schultz qui, entre le faisceau de Goll et le
olonnes de Clarke, après être sorties de la substance grise par les
cordons
latéraux et antérieurs de la moelle, sont parallè
e si l'on voit çà et là de petites raies étroites, noires, qui, des
cordons
postérieurs, pénè- trent dans la substance gris
bout de quatre jours une dégénérescence secondaire ascendante d'un
cordon
de fibres nerveuses blanches occupant la substa
s occupant la substance grise entre les terminaisons antérieures du
cordon
pos- térieur et la paroi postérieure du canal c
cavité exactement localisée, et dans les mêmes limites, un point du
cordon
en question ; de nombreuses coupes trahissent l
pes trahissent la présence de nombreuses fibres dégénérées qui, des
cordons
postérieurs, à côté de la ligne mé- diane, entr
grise juste à la place qui cor- respond à la localisation de notre
cordon
. Il doit y avoir un rap- port entre ce cordon e
localisation de notre cordon. Il doit y avoir un rap- port entre ce
cordon
et les fibres sensitives de la moelle. Il est p
s acquis de la clinique, et de la physiologie expérimentale, que le
cordon
de fibres blanches qui passe par la substance g
bstance grise de la moelle entre les terminaisons anté- rieures des
cordons
postérieurs et le canal central appartient au g
es cordons postérieurs et le canal central appartient au groupe des
cordons
sensitifs et sert ci conduire la-sensation doulou
tuation correspondante à celle de la coloune de Clarke. Atrophie du
cordon
postérieur droit : la zone postérieure est la p
ostérieure est la plus altérée. Il existe une lésion bilatérale des
cordons
de Goll sans doute due à la cachexie et à l'autox
et à l'autoxication cancéreuses auxquelles a succombé la malade. Le
cordon
latéral est peu atrophié. Ces lésions sont sa
l'autre : celle-là apparait comme une tache bien distincte dans le
cordon
de Burdach du côté droit; celle-ci (c'est-à-dir
), entourée du tissu névro- glique hyperplasié, se cantonne dans le
cordon
postérieur du côté gauche. On découvre en outre
roglie), laquelle s'étend même plus bas sous forme de tache dans le
cordon
postérieur. Les deux cavités n'ont pas de revêt
à la subs- tance grise, des lésions diffuses envahissent aussi les
cordons
de la moelle et plus particulièrement les cordo
hissent aussi les cordons de la moelle et plus particulièrement les
cordons
antérieurs. L'association de l'atrophie muscula
rfaite. Les glandes dont nous venons de parler se continuent par un
cordon
contenant des vaisseaux et un cordon cylindriqu
parler se continuent par un cordon contenant des vaisseaux et un
cordon
cylindrique rappelant le canal déférent. Ce cordo
vaisseaux et un cordon cylindrique rappelant le canal déférent. Ce
cordon
traverse le canal inguinal et à l'orifice inter
vessie et le rectum; - 5, Vessie; - 6, Anneau inguinal interne ; 7,
Cordon
comllet;-8,Anneau inguinal externe ; 9, Lobes g
lésions médullaires consistaient en une dégénérescence complète des
cordons
postérieurs dans toute leur longueur et au nive
t dorsale en un foyer de dégénérescence de la partie postérieure du
cordon
latéral gauche. Dans le second cas, la substa
escence granuleuse des voies pyramidales qui se continuait dans les
cordons
postérieurs jusqu'au niveau de la région dorsal
érale secondaire (tabétique) avec DÉGÉNÉRESCENCE ASCENDANTE DANS LE
CORDON
.4\Ti : ItOLTI`R : 1L (FAIS- CEAU DE Gowrits) ;
ammation chro- nique atrophique du cerveau, avec dégénérescence des
cordons
postérieurs, une altération du noyau de l'hypog
u'elle a le plus d'ana- logie dans les deux maladies, en effet, les
cordons
, postérieurs de la moelle sont sclérosés, dans
trice la moelle est de volume normal et la sclérose est limitée aux
cordons
postérieurs et aux racines pos- térieures. Dans
ach la colonne vésiculaire de Clark, la colonne cérébelleuse et les
cordons
pyramidaux croisés ; dans quelques cas mêmes, l
ses postérieures sont touchées. La sclérose peut même s'étendre aux
cordons
de Gowers et Turck, et un certain degré de méni
ure de la moelle. La lésion primitive est cependant la sclérose des
cordons
posté- rieurs et de la colonne vézielilaire de
t Letulle; et comme ces derniers l'ont aussi montré la sclérose des
cordons
postérieurs est très différente de celle que l'
veloppée. Celle sclérose particulière ne se reiiconlie que dans les
cordons
postérieurs. Oe ne sait pas encore si les faisc
t normal. Pas d'asphyxie à la naissance malgré trois circulaires du
cordon
. -Alleeitement maternel. Première dent à ' Comp
bien por- tante, non asphyxiée, malgré deux ou trois circulaires du
cordon
autour du cou. Elle pesait onze livres, affirme
oelle dans toute sa hauteur : dans la région lombaire et dorsale le
cordon
de Goll est presque complètement détruit; le co
e et dorsale le cordon de Goll est presque complètement détruit; le
cordon
de Burdach est aussi envahi, ainsi que la zone
s fibres à direction ascendante et descendante qui passent dans les
cordons
postérieurs, un grand nombre de fins ramuscules
, durant son long pat cours des racines postérieures aux noyaux des
cordons
postérieurs. Le pro- longement nerveux des cell
ontré après coloration par la méthode de Wei,ert-Pal, dans les deux
cordons
postérieurs, une zone pâle à forme triangulaire
me forme : dans la région cervicale, elle parait double dans chaque
cordon
postérieur. Cette dégénérescence des cordons po
it double dans chaque cordon postérieur. Cette dégénérescence des
cordons
postérieurs rappelle, dans son aspect général,
Les lésions médullaires portent isolément ou simultanément sur les
cordons
blancs, particulièrement sur les cordons postér
ou simultanément sur les cordons blancs, particulièrement sur les
cordons
postérieurs, et sur la substance grise, spécialem
Il n'y a de déérescetice ni dans la zone radiculaire antérieure du
cordon
postérieur, ni du côté opposé, ni en d'autres poi
sous de la lésion. Au-dessus, elles se rencontrent surtout dans les
cordons
postérieurs et dans la partie des cordons antér
contrent surtout dans les cordons postérieurs et dans la partie des
cordons
antéro-latéraux qui sont dégénérés en direction
nte. Au- dessous de la lésion, la dégénérescence prédomine dans les
cordons
antéro-latéraux. L'existence d'une quantité plu
La disposition des diverses fibres dégénérées aussi bien dans les
cordons
postérieurs que dans les cordons antéro-latéraux,
res dégénérées aussi bien dans les cordons postérieurs que dans les
cordons
antéro-latéraux, semble indiquer que les fibres
de la substance grise et les fibres longues à la périphérie de ces
cordons
. G. DENY. LXVII. QUELQUES remarques sur l'anthr
e latérale DE la moelle épinière; par le D1' Alexandre BRUCE. Les
cordons
latéraux de la moelle se divisent en faisceau fon
dons latéraux de la moelle se divisent en faisceau fonda- mental du
cordon
latéral, faisceau de Gowers, faisceau pyramidal
tante latérale, aussi appelée zone marginale ou faisceau profond du
cordon
latéral. Dans un cas de sclérose latérale amyot
orne antérieure, les racines antérieures la plus grande. partie des
cordons
latéraux, à l'excep- tion des faisceaux ascenda
résultats très intéressants. En effet, tandis que les cellules des
cordons
postérieurs et des ganglions interverté- braux
cornes antérieures et latérales et les faisceaux fondamen- taux des
cordons
antérieurs et latéraux; les lésions diminuent ver
s jusqu'au vermis, les prolongements des faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs et latéraux jusqu'aux couches optiqu
es de la moelle, entre autres une dégénération descendante dans les
cordons
supé- rieurs sur une étendue de un demi -centim
aux habituels, on trouve dégénérés les fais- ceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs et latéraux, les fibres situées entr
es postérieures ; 4° la prolongation des faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs et latéraux passe dans le bulbe entr
rquer que la dégénération ascendante des faisceaux fondamentaux des
cordons
antérieurs et latéraux, décrite par M. Werzilof
de incertaine; 3° en sectionnant, par l'opé- ration de Jaboulay, le
cordon
cervical où passent les plus nom- breuses fibre
hi, nous a montré des fibres dégénérées dans tout Le territoire des
cordons
postérieurs et assez uniformément, sans prédomi
et de presque toutes les racines et à toutes les hauteurs. Dans les
cordons
antéro-latéraux, le cérébelleux direct et le fa
our les troubles de la sensibilité. b). Dans la méningo-myélite les
cordons
postérieurs sont atteints d'une façon précoce,
e de l'hyperesthésie par de l'anesthésie. b). La simple piqûre d'un
cordon
postérieur peut produire le syndrome de Brown-S
mais elles suivent les fibres radiculaires moyennes et longues des
cordons
postérieurs : la section de ceux-ci amène entre
éparent des sensi- bilités profondes dans la moelle. La section des
cordons
pos- térieurs nous montre que ces dernières sui
des cordons pos- térieurs nous montre que ces dernières suivent ces
cordons
postérieurs=. Notre observation vient pleinemen
ondes avec l'intégrité relative, V excitation probablement même des
cordons
postérieurs. Dans notre observation ceux-ci par
uses et thermiques restant dans l'axe gris ou son voisinage dans le
cordon
antéro-latéial (syringomyéhe, liématoinyélie, myé
yélie, myélite cen- trale, etc..) ; les sensations tactiles vont au
cordon
postérieur (sections de ceux-ci (Sciiiir) tout
lésion agis- sant d'avant en arrière, respectant plus ou moins les
cordons
postérieurs, dans notre cas par exemple. La sec
le. La seconde indique au contraire une lésion prédominante sur les
cordons
posté- rieurs (le tabès par exemple). Notre o
on des vaisseaux thyroïdien ? lorsque l'excitation est faite sur le
cordon
cervical; elle détermine au contraire une dilat
pargnées. Dans la partie intermédiaire à la moelle et au bulbe, les
cordons
49C REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE patholog
Goll sont dégénérés dans toute leur étendue ; on constate dans les
cordons
de Burdacb, des deux côtés, une large raie contig
les cordons de Burdacb, des deux côtés, une large raie contigue au
cordon
de Goll, qui, à la périphérie postérieure, s'infl
roite, une zone indemne, étroite, occupe la limite intermédiaire au
cordon
de Goll et au' cordon de I)tirdacli et forme la
e, étroite, occupe la limite intermédiaire au cordon de Goll et au'
cordon
de I)tirdacli et forme la lisière dorsale la pl
cordon de I)tirdacli et forme la lisière dorsale la plus externe du
cordon
de 13urdacli; au niveau du quart antérieur des
us externe du cordon de 13urdacli; au niveau du quart antérieur des
cordons
postérieurs, cette zone disparaît. Le faisceau
rieur des cordons postérieurs, cette zone disparaît. Le faisceau du
cordon
latéro-cérébelleux est fortement dégénéré, si c
nce assez mar- quée du faisceau de Gowers. Faisceau radiculaire des
cordons
antéro-latéraux faiblement dégénéré. En monta
t directement dans le cervelet (Hoche); qu'il existe un faisceau du
cordon
postérieurcérébelleux direct qui tient ses fibres
du cordon postérieurcérébelleux direct qui tient ses fibres et des
cordons
de Burdacli et des cordons de Goll ; mais ces deu
lleux direct qui tient ses fibres et des cordons de Burdacli et des
cordons
de Goll ; mais ces deux derniers ne fusionnent
e fusionnent pas au-dessus du quatrième segment cer- vical. - Les
cordons
latéraux donnent naissance à quatre longs trous-
tie qui correspond à leur segment éloigné, les fibres dégénérées du
cordon
latéral, triangulaire, sur une coupe trans- ver
rt de voie de communication directe entre les parties marginales du
cordon
latéral de la moelle cervicale et probablement
du bord externe des cornes antérieures, du faisceau radiculaire des
cordons
laté- raux, gagnerait la substance réticulaire
cation sulfo-carbonée. Arié (Joachim). Étude sur la compression des
cordons
nerveux des membres par du tissu fibreux cicatr
pour l'oral, étaient au nombre de trois : 1° Nerfs phréaétiques; 2°
Cordon
postérieur de la moelle; 3° Rétine (anatomie et
tières. 537 ( - secondaire avec dégénérescence ascendante dans le
cordon
antéro- latéral, par Lnlce, 218. - aiaue par
un anneau formé de fibres tendineuses. i serait le ganglion. i le
cordon
de communication entre chaque ganglion. 3 le ne
ommissure médiane ; il est placé au-dessus de l'œsophage. i. Double
cordon
de communication entourant l'œsophage. 3. Gangl
terre, un peu grossi. i. Ganglions céphaliques ou œsophagiens. 1.
Cordon
formant le collier ou anneau œsophagien. 3. Ner
erf unique. Sangsue. Fig. 1. Chaîne ganglionaire. i. Ganglion. 2;
Cordon
inter-ganglionaire. 3. Nerf. Fig. 2. Un ganglio
tudinales, défibres transversales et d'une substance granulée. 2.
Cordon
inter-ganglionaire formé de deux fais- ceaux qu
Anatife (d'après Cuvier et M. Martin Saint-Ange). 1. Ganglion. 2.
Cordon
de communication. 3. Nerfs. . 4- Ganglion sup
(d'après MM. Audouin et Milne Edwards). i. Ganglion céphalique. 1.
Cordon
. 3. Nerf. Maïa (d'après les mêmes auteurs). i
5. Nerf récurrent tégumentaire. 6. Nerf de l'antenne externe. 7.
Cordon
embrassant l'œsophage. 8. Masse ganglionaire th
. 1 o. Nerfs supérieurs thoraciques. ] 1. Nerfs des pattes. 12.
Cordon
nerveux de l'abdomen. Chenille du papillon nu c
e M. Carus, pl. VII, fig. 2,5 et 26. ) 1. Ganglion céphalique. 2.
Cordon
inter-ganglionaire. 3. Ganglion et nerfs. Chr
Ganglion et nerfs. Chrysalide du même papillon. 1. Ganglion. 2.
Cordon
. 3. Nerf. Papillon. 1. Ganglion. 2. Cordo
1. Ganglion. 2. Cordon. 3. Nerf. Papillon. 1. Ganglion. 2.
Cordon
. 3. Nerf. On voit la chaîne ganglionaire se r
u œsophagien. 5. Première paire de ganglions sous-œsophagiens. 6.
Cordon
de la chaîne ganglionaire. 7. Seconde paire de
e cendré de Rolande l. Faisceau moyen dans la région du buîbe. m.
Cordons
médians postérieurs, ou funicules grêles, dans la
ion du renflement cervical, limitant le sillon médian antérieur. n.
Cordons
médians postérieurs, dans la région du renflement
e mieux comprendre la véritable signification des funicules grêles ou
cordons
médians postérieurs. A. Portion du ronflement c
ion du renfle- ment lombaire séparés l'un de l'autre par deux petit
cordons
médians postérieurs. á. Cordons médians postéri
arés l'un de l'autre par deux petit cordons médians postérieurs. á.
Cordons
médians postérieurs, qui résultent d'un prolong
á. Cordons médians postérieurs, qui résultent d'un prolongement des
cordons
postérieurs de la région funiculaire. c. Cordon
prolongement des cordons postérieurs de la région funiculaire. c.
Cordons
postérieurs, s'atténuant dans la région dorsale
ons postérieurs, s'atténuant dans la région dorsale. d. Les mêmes
cordons
atténués encore davantage dans la région cervic
la région cervicale, où ils jouent le rôle de funicules grêles. e.
Cordons
postérieurs de la région cervicale. Fig. 5. Cou
eures des nerfs spinaux. e. Ventricule central de la moelle. /.
Cordons
disséminés sur la tête centrale du faisceau latér
le, parcourues d'arrière en avant par des faisceaux blancs émanés des
cordons
postérieurs, et des racines postérieures des nerf
s entrecroisées qui constituent la commissure antérieure. f. Petits
cordons
formant l'arête centrale des fais-ceaux antérieur
ple, en deux petits funicules arrondis et symétriques. Ce sont là les
cordons
longitudinaux de la commissure. g. Canal centra
à découvert l'ensemble des corps striés et des couches optiques. a.
Cordons
médians postérieurs. //. Renflements mamelonnés
coup d'examens hislologiques, consacrés à la voie pyramidale et aux
cordons
postérieurs ne dépassent pas les limites de la mo
de la moelle et ne poursuivent pas au-delà les dégénérescences des
cordons
autéro-laléraux. Pour l'étude des connexions av
9. A) dans la partie moyenne du segment C , où il occupe le fond du
cordon
latéral droit et empiète sur la substance grise a
caséeuse. La moi- tié gauche est déformée, en partie comprimée ; le
cordon
postérieur, dans (1) On trouve dans Schauer, Ho
ie centrale, est criblé de vacuoles; on observe, à la périphérie du
cordon
latéral gauche, une petite zone marginale nécrosé
nérescences secon- daires descendantes intéressent : '1) dans les
cordons
antero-lall1'aux, les faisceaux pyramidaux direct
idale, le faisceau antérolatéral descendant, et quelques fibres des
cordons
;i plus court trajet, disséminées autour de la
urt trajet, disséminées autour de la corne antérieure ; 2) dans les
cordons
postérieurs : a; une bande placée dans le cordon
ure ; 2) dans les cordons postérieurs : a; une bande placée dans le
cordon
de Burdach (virgule de Schulze) dont la partie
sion, nécrose). Au départ (fig. 7) elles occupent : 10 dans les
cordons
postérieurs, les zones moyennes et externes des
x des fais- ceaux de Goll ; la zone marginale esl indemne ; 2° le
cordon
antéro-lalérral droit, à l'exception de la partie
on antéro-lalérral droit, à l'exception de la partie postérieure du
cordon
latéral et de la zone marginale du cordon antérie
la partie postérieure du cordon latéral et de la zone marginale du
cordon
antérieur. 3° dans le cordon anté1'o-laléral ga
don latéral et de la zone marginale du cordon antérieur. 3° dans le
cordon
anté1'o-laléral gauche, le faisceau fondamental n
on des fibres ascendantes est surtout évidente dans l'intérieur des
cordons
antéro-iatéraux ; celles qui occupent la zone du
use. Le déplacement des fibres qui occupent la partie marginale des
cordons
latéraux (zone des faisceaux cérébelleux) se fa
Le fibres dégéérées qui s'arrêtent dans le bulbe y arrivent par les
cordons
postérieurs, par la voie pyrami- dale et par le
nt par les cordons postérieurs, par la voie pyrami- dale et par les
cordons
latéraux. a) Terminaison bulbaire des fibres de
et par les cordons latéraux. a) Terminaison bulbaire des fibres des
cordons
postérieurs (fi. 11-13). Elle se fait suivant l
isceau de Goll, ; elles se terminent plus haut, dans les noyaux des
cordons
de Burdach et vont jusqu'à la substance grise p
sposition semblable et la con- sidèrent comme un passage direct des
cordons
postérieurs aux voies cé- 1 . DÉGÉNÉRESCENCES
e des coupes, que ces fascicules se détachent très bas, non pas des
cordons
postérieurs, mais des cordons latéraux, et qu'ils
es se détachent très bas, non pas des cordons postérieurs, mais des
cordons
latéraux, et qu'ils se diri- gent d'avant en ar
iforme. Nous n'avons pas non plus trouvé de connexions direcles des
cordons
postérieurs avec les voies cérébelleuses par de
isé. Parmi le gros paquet de fibres dégénérées qui prend la voie du
cordon
latéral pour aller au bulbe, il faut isoler un
olu jusqu'à présent. c) Connexions spino-hzelbaires par la voie des
cordons
latéraux. La masse commune aux faisceaux cérébe
on de ce groupe de fibres et celle des fibres les plus extrêmes des
cordons
postérieurs. On peut cependant considérer comme
e latérale ont leur plus grand développement lorsque les fibres des
cordons
posté- rieurs sont presque épuisées. La méthode
jumeau, représentent une connexion directe, profonde, reliant t les
cordons
postérieurs au corps restiforme, au cervelet, com
oche.A leur avis, les 'fascicules posté- rieurs ne viennent pas des
cordons
postérieurs de la moelle; ils se détachent de l
r de l'olive bulbaire en continuité avec le faisceau fondamental du
cordon
antérieur de la moelle ; ils les suivent dans l
ne notable partie des fibres qui constituent la voie ascendante des
cordons
antéro-latéraux. Pour le resle de nouveaux examen
tinuité entre ces groupes de fibres et les expansions terminales des
cordons
(1) Ces connexions avec l'olive bulbaire sont d
écrit par Dydinski, Bechterew, Goldstein, faisceau qui remonterait le
cordon
anté- rieur de la moelle cervicale en passant p
lexus dorsal aboutit à la substance grise, au-dessus des noyaux des
cordons
postérieurs ; ses terminaisons précises ne nous
ébelleux. Nous n'avons pas observé de fibres venant directement des
cordons
pos- térieurs de la moelle. La masse commune
une aux faisceaux cérébelleux et au reste de la voie ascendante des
cordons
antéro-latéraux abandonne un grand nombre de li
ement qui a des points de contact avec la terminaison delà voie des
cordons
postérieurs, celle-ci étant surtout médiane et
celle-ci étant surtout médiane et postérieure, tandis que celle des
cordons
latéraux aborde le bulbe par sa face externe.
u antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. Ca,
cordon
antérieur. CB, cordon de Burdach. Cge, Cgi, cor
ras du tubercule quadrijumeau postérieur. Ca, cordon antérieur. CB,
cordon
de Burdach. Cge, Cgi, corps genouillés externe et
et interne. - Cj, corps juxtarestiforme. CP. corne postérieure. Cp,
cordon
postérieur. Crst, corps restiforme. Fcc, faisce
Le, locus caeruleus. - Lig, ligula. LII, locus niger. NB, noyau du
cordon
de Burdach. Ncp, noyau des cor- dons postérieur
du corps restiforme. NFt, noyau du funi- culus teres. NG. noyau du
cordon
de Goll. NR, noyau rouge. NRt, noyau réticulé.
u de la partie antéro - latérale de la moitié gauche. Les fibres du
cordon
antéro-latéral, en particulier celles qui const
s faisceaux pyramidaux direct et croisé ont un aspect normal. Les
cordons
postérieurs présentent des altérations légères ;
l. Les cordons postérieurs présentent des altérations légères ; les
cordons
de e Goll, aussi bien le droit que le gauche, s
que cette augmentation de la névroglie peut s'observer au niveau du
cordon
postérieur de l'adulte indépendamment de tout é
de tout état pathologique. ' La partie la plus superficielle des
cordons
de Goll et surtout celle qui est directement si
du sillon médian postérieur est à peu près intacte. Au niveau des
cordons
de Burdach qui sont presque normaux, on note se
plètement dégénérée ; la racine droite l'est très légèrement. Les
cordons
postérieurs présentent à peu près les mêmes altér
leur état des fibres rétro-commissurales. 86 COYON ET BARRÉ , Les
cordons
antéro-latéraux sont normaux, la corne antérieure
sous DE la COMPRESSION (pal. XXIV). 4° dorsale. Les altérations des
cordons
postérieurs, les seules qui soient notables sur
s endogènes sont normales ; les deux tiers antérieurs seulement des
cordons
de Goll présentent une certaine diminution du n
au l'état histologique de la moelle change assez brusquement. Les
cordons
antérolatéraux conservent l'état normal qu'ils av
ent l'état normal qu'ils avaient aux éta- ges supérieurs ; mais les
cordons
postérieurs, dont nous venons de noter les alté
t qui étaient en D3 et D'' par exemple, seules normales au sein des
cordons
postérieurs, sont maintenant les moins foncées.
billons disposés sans ordre dans les deux tiers internes surtout des
cordons
postérieurs se rencontrent exceptionnellement a
urs ; « c'est à peine si l'on peut en trouver quelques-uns dans les
cordons
latéraux, généralement tout près du flanc de la
sous.jacents (PI. XXV) on re- trouve les mêmes tourbillons dans les
cordons
postérieurs ; la corne anté- rieure et la colon
quelques alté- rations. Sur CI il existe une dégénération légère du
cordon
de Goll mais le reste de la substance blanche e
x directs' et croisés (1). 4° La dégénération ascendante légère des
cordons
postérieurs portant presque exclusivement sur f
ramidales. Ajoutons à ces conclusions principales que la lésion des
cordons
pos- térieurs de la moelle rendent compte des t
itifs à type tabéti- que que présentait la malade ; les lésions des
cordons
postérieurs ont été déjà plusieurs fois notées
flexion. Dans ces cas et dans d'aulres semblables où la sclérose du
cordon
latéral n'est pas néces- sairement primitive, l
QUER dant des centres, la même systématisation doit exister dans un
cordon
nerveux susceptible d'être envahi sélectivement
tés parla dégénération, soit commune, soit élective, des fibres des
cordons
nerveux. DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCUL,\IRE CH.\nC
ntérieures dont un certain nombre de cellules sont altérées, et les
cordons
postérieurs où elles rappellent les firure ? du
e font ressortir, déjà ;'1 zip nu, la dégénérescence ascendante des
cordons
postérieurs dans les parties situées au-dessus du
té alors dans la moelle cervicale une dégénérescence ascendante des
cordons
de Goll, moins prononcée aux faisceaux cérébell
l, moins prononcée aux faisceaux cérébelleux et de Gowers. Dans les
cordons
posté- rieurs, la dégénérescence est presque co
malie qui nous occupe. Une bride, tout d'abord, est généralement un
cordon
relativement mince; s'il entoure la jambe il do
s trouvons ici ce qui suit (PI. VIII, H) : le faisceau pyramidal du
cordon
latéral manque ; à la place du faisceau cérébelle
al du cordon latéral manque ; à la place du faisceau cérébelleux du
cordon
la- téral il y a une grande fissure s'enfonçant
or- don antérieur. S'observent seulement le faisceau fondamental du
cordon
antéro-latéral, mais mal développé, et le faisc
s très nettement. Ainsi nous avons ici : le faisceau fondamental du
cordon
antéro-latéral, le nerf hypoglosse, le cor- don
celle d'un enfant nouveau-né (Pl. IX, N). Le faisceau pyramidal du
cordon
antérieur est très bien dé- veloppé et n'a pas
e libres myéliniques, le faisceau cérébro-spinal latéral manque. Le
cordon
postérieur est bien développé. En arrière, est si
haut la moelle épinière est comprimée encore pl us (Pl. IX, 0); les
cordons
postérieurs sont mal formés. La formation, situ
les, avec cela la partie antérieure reste sans changement, mais les
cordons
postérieurs se portent dans la formation située
n passe plus loin. La partie antérieure n'est pas changée, mais les
cordons
postérieurs n'apparaissent pas comme for- matio
racine descendante du glosso-pharyngien, le faisceau cérébelleux du
cordon
latéral, les fibres arciformes internes et l'entr
bulbe rachidien s'atténuait ; elle se déplaçait et en- traînait les
cordons
postérieurs de la moelle, s'unissant avec eux et
ua l'ouverture de la colonne vertébrale et aussi la disparition des
cordons
posté- rieurs ; de la moelle restait seulement
rieurs ; de la moelle restait seulement le faisceau fondamental du
cordon
antéro-latéral (tableau ordinaire dans les cas
aidait l'hy- dromyélie qui provoqua non seulement la disparition du
cordon
posté- rieur, mais aussi l'ouverture de la part
ramides et de la couche du ruban de Reil qui provient des noyaux du
cordon
postérieur et se termine dans les couches optiq
action qui n'apparlient qu'à un centre nerveux : moelle épinière ou
cordon
sympathique. Nous examinerons d'ailleurs, dans un
méthodes de coloration décèlent dans la substance grise et dans les
cordons
blancs. * Ces restrictions étant faites, voici
par une mince couche de tubes nerveux conservés. Tous les autres
cordons
blancs, et particulièrement les cordons inté- r
conservés. Tous les autres cordons blancs, et particulièrement les
cordons
inté- rieurs, se colorent très bien et ne prése
des tubes à myéline tuméfiée. Ils sont, ici, peu nombreux dans les
cordons
postérieurs que dans les autres faisceaux blancs,
aisceaux de Gowers. Les autres faisceaux blancs, en particulier les
cordons
postérieurs, ne présentent pas de lésions appré
d'autres ne sont représentés que par un cylindre-axe nu. Dans les
cordons
postérieurs on rencontre des tubes à myéline atro
e de l'augmentation de nombre de tubes à myéline atrophiée dans les
cordons
postérieurs, ceux-ci se co- lorent plus forteme
E. Région cervicale inférieure. 1) Colorations myéliniques. Dans le
cordon
latéral droit le faisceau pyramidal présente un
eux voisin présente aussi une légère dégénérescence. Ace niveau les
cordons
postérieurs sont nettement intéressés. A gauche
en dessinant la virgule de Sclaacltze. Dans le tiers postérieur du
cordon
, cette virgule vient se confondre avec une zone
tiers postérieur du faisceau de Burdach. Les portions intactes des
cordons
postérieurs sont donc : les deux tiers antérieu
u marquée en comparaison de celle du côté opposé. Les lésions des
cordons
postérieurs étant au maximum à gauche, sont don
dans le fais- ceau pyramidal droit et dans la partie postérieure du
cordon
postérieur gauche. Par contre, dans la portio
plus fortement altérés que dans la région sous-jacente. Dans les
cordons
postérieurs, la dégénérescence affecte la même to
nt peu marquée, est un peu plus étendue à gauche qu'ai droite. 4)
Cordons
postérieurs absolument sains dans les régions lom
IS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 103 Les zones radiculaires des
cordons
postérieurs sont partout parfaite- ment intacte
hauteur de la moelle, on ne peut leur attribuer les altérations des
cordons
postérieurs limitées à la région cervicale seulem
mme nous le faisons remarquer plus haut, la zone radiculaire de ces
cordons
postérieurs est partout bien conservée. 9) Sur
gommes, intéresse aussi bien les vais- seaux méningés que ceux des
cordons
; 10) Le Bulbe et la Protubérance paraissent sa
ait pas davantage être mise en cause pour expliquer les lésions des
cordons
postérieurs. La zone cornu- radiculaire étant e
au- teur de la moelle et ne cadrent pas avec une dégénérescence des
cordons
postérieurs limitée à la région cervicale seule
de nous a, il est vrai, montré l'existence d'une dégénérescence des
cordons
postérieurs consécutives à des lésions encéphal
veux. Bull. de la Soc. de Biologie, 1894. - Les dégénérescences des
cordons
postérieurs conséculives aux lésions en foyer d
Au-dessus on retrouve une dégénérescence descendante classique des
cordons
posté- rieurs. La dégénérescence des faisceaux
creux axillaire, au niveau du pli du coude. Le long du bras pas de
cordon
induré appréciable au niveau du paquet vasculo-ne
ues points de départ ultérieurs de phénomènes de dégénérescence des
cordons
, des plaques de sclérose et même de cavités simul
les fibres qui en émanent vers les centres plus élevés, formant les
cordons
postérieurs. Quelle que soit la théorie, elle s'a
la lésion systématique atteindra, dans les racines postérieures des
cordons
qui en émanent aussi bien que dans le nerf laby
s que les fibres qui en émanent n'ont aucune raison de se former en
cordons
pour cheminer de conserve, et qu'ils se dispers
, et qu'ils se dispersent immédiatement en tous sens sans former de
cordons
homologues aux cordons postérieurs de la moelle.
nt immédiatement en tous sens sans former de cordons homologues aux
cordons
postérieurs de la moelle. Ceci est im portant à
eures cheminent de conserve le long de la moelle et se forment en .
cordons
systématisés qui rendent très manifestes les lési
- breux entrecroisements au niveau duraphé. Il n'existe plus ici de
cordons
systématisés, ni de faisceaux de fibres parallè
e sont pas éloignés. Ces mêmes lésions, si apparentes au niveau des
cordons
ascendants et parallèles de la moelle, ne se mo
se dessiner. . En revanche s'il n'y a pas ou guère de sclérose des
cordons
, z faute de cordons - l'atrophie des fibres lab
evanche s'il n'y a pas ou guère de sclérose des cordons, z faute de
cordons
- l'atrophie des fibres labyrinthiques a été depu
ande l'oscillation, et l'insuffisance du sens pédieux (sclérose des
cordons
postérieurs, etc.) qui compromet l'appropriation
dans le faisceau pyra- midal direct du côté gauche. Au niveau des
cordons
postérieurs, même dans les parties sclérosées, il
é à un simple examen des altérations étendues qui existent dans les
cordons
postérieurs. La sclérose a envahi les cordons d
qui existent dans les cordons postérieurs. La sclérose a envahi les
cordons
de Goll et de Burdach. Elle prédomine au niveau
ahi les cordons de Goll et de Burdach. Elle prédomine au niveau des
cordons
de Burdach. Cette sclérose n'atteint pas la commi
X, fig. 0,P). - Les racines postérieures sont intactes. Outre les
cordons
postérieurs, les cordons antéro-latéraux présente
ines postérieures sont intactes. Outre les cordons postérieurs, les
cordons
antéro-latéraux présentent quelques lésions; ma
ésions; mais celles-ci sont beaucoup moins profondes que celles des
cordons
postérieurs. Il y a une très légère dégénération
la cinquième et la sixième cervicale (Pl. XXIX, fig. M). Dans les
cordons
postérieurs il existe toujours de la dégénération
s les cordons postérieurs il existe toujours de la dégénération des
cordons
de Goll et de Burdach, mais prédominant d'une faç
n retrouve a peu près les mêmes lésions (PI. XXVIII, lig. I). Les
cordons
de Burdach sont profondément altérés et sur la co
sentent forme un contraste frappant avec la colora- tion des autres
cordons
. La dégénération se présente sous la forme d'une
rée en arrière de la périphérie par la zone cornu-commissurale. Les
cordons
de Goll sont altérés, mais beaucoup moins que l
rale. Les cordons de Goll sont altérés, mais beaucoup moins que les
cordons
de Burdach, le nombre de fibres colorées est be
r une coupe passant par la région dorsale inférieure, la lésion des
cordons
postérieurs est toujours marquée ; la région la p
est toujours marquée ; la région la plus atteinte cor- respond aux
cordons
de Burdach, elle est constituée par une longue ba
st la suivante : Le maximum des altérations correspond toujours aux
cordons
de Burdach : la dégénération est très marquée a
on est très marquée a leur niveau ; elle est moins intense dans les
cordons
de Goll. La zone voisine des racines est intact
trées sont : 1° Des altérations de la moelle : .' a) Sclérose des
cordons
postérieurs prédominante dans le cordon de Burd
oelle : .' a) Sclérose des cordons postérieurs prédominante dans le
cordon
de Burdach. b) Une dégénération légère des fa
e 1 m. 55. Les testicules sont extrême- ment petits, appendus à des
cordons
très minces et très allongés. Pénis long et fia
oelle était le siège d'une sclérose des plus marquées au niveau des
cordons
de Goll et de Burdach, la zone cornu- commissur
n- tre des altérations de la substance grise et des altérations des
cordons
. 1° Lésions de la substance grise. - Il existe
ogique. IL - Les lésions vraiment capitales se rencontrent dans les
cordons
postérieurs. Elles acquièrent à peu près la mêm
mbaire. Elles consistent en une dégénératiou extrêmement intense du
cordon
de 320 PAUL SAINTON Burdach, s'accompagnant d
SAINTON Burdach, s'accompagnant d'une dégénération moins marquée du
cordon
de Goll avec intégrité à peu près complète de l
cot et Marie reconnaît pour subs- tra tum : - 10 Une sclérose des
cordons
de Goll et Burdach ; 2° Des lésions atrophiques
MYÉLOPATHIQUE 369 droite 16, 5 ; biceps réduit à l'état d'un petit
cordon
de 1 cm. 1/2 d'épaisseur ; atrophie en masse du
de d'Erlich. Altération de la myéline; sclérose disséminée dans les
cordons
postérieurs ; disparition dans un certain nombre
uscles sont sectionnées ou détruites. L'absence physiologi- que des
cordons
latéraux chez les animaux nouveau-nés, leur destr
tant plus haut et en cherchant la cause véritable dans la lésion des
cordons
médullaires et de la substance grise de la moel
mie pathologique montre que les lésions de la substance blanche des
cordons
postérieurs se tradui- sent surtout par de l'an
ion intra- spinale qui intéresse à la fois la substance blanche des
cordons
postérieurs et la substance grise centrale. E
débris de moelle contenait encore un peu de substance blanche. Les
cordons
postérieurs médians du bulbe rachidien étaient co
les veines du voisinage, j'ai trouvé (fig. 2) ces veines remplies de
cordons
fibreux extrêmement denses, adhérens aux parois,
i s'est présenté. Le fœtus est sorti sans secours : il était mort. Le
cordon
a été lié par suite de l'habitude qu'ont les sage
une base large, celluleuse, sur laquelle on distinguait trois petits
cordons
bientôt réduits à deux qui entouraient l'intestin
rte qu'il est plus que probable que sa mort était toute récente. Un
cordon
ombilical très volumineux, et dont les vaisseaux
te d'un adulte, qui occupait la fosse iliaque droite. L'origine de ce
cordon
avait lieu à la surface de la tumeur par des rami
oulé sur lui-même et enveloppé d'une fausse membrane, formait un gros
cordon
cylindrique qui ressemblait à une anse intestinal
peut d'ailleurs s'expliquer qu'à l'aide d'une traction exercée par le
cordon
ombilical sur son point d'insertion. Que si on me
me énorme du placenta, l'intégrité de ce placenta, la perméabilité du
cordon
, venaient encore à l'appui de cette manière de vo
naturellement les parties molles. L'ombilic est très visible, mais le
cordon
a disparu. A deux lignes au-dessous on voit s'ins
dessous on voit s'insérer une bride que j'avais d'abord prise pour le
cordon
ombilical, mais qui n'était qu'un débris membrane
ire, derrière lequel étaient éparpillées les parties constituantes du
cordon
spermatique. Poitrine. Poumons, cœur sains.— Tê
nt situés hors de la cavité abdominale dans l'épaisseur de la base du
cordon
ombilical, et qui entrent successivement dans l'a
aux qui le traversent , à la peau qui s'est séparée circulairement du
cordon
; mais non à l'égard de l'anneau qui revient sur
ormée par l'anneau ombilical; car la veine ombilicale VO ou plutôt le
cordon
ligamenteux, qui la remplace chez l'adulte, venai
ait s'engager dans la partie supérieure de l'anneau. Quant aux petits
cordons
ligamenteux qui représentent l'ouraque et les art
s artères ombilicales, je n'en ai trouvé de vestige autre qu'un petit
cordon
qui pénètre par la partie inférieure du même anne
chercherait à les rapporter exactement aux couches qui recouvrent le
cordon
testiculaire dans l'état naturel. Ces couches aug
ence in-« térieure de l'ouverture abdominale, et d'autre part avec le
cordon
lui-même, qui semblait naître et se « détacher du
iens. « Le 29, la surface de la tumeur est en partie noire comme le
cordon
ombilical. La hernie n'a pas di-« minué de volume
au 9, la tumeur s'est de plus en plus affaissée et réduite. Le 9, le
cordon
ombilical tombe, a et avec lui disparaît tout ce
ntestins. De même que dans le cas représenté fig. 1, l'insertion du
cordon
ombilical n'a pas lieu au centre de la tumeur, ma
tumeur, et quand on l'examine avec attention, on voit les élémens du
cordon
se dissocier et marcher isolément dans l'épaisseu
ne d'enveloppe de la tumeur, laquelle se continue avec l'enveloppe du
cordon
ombilical. Du reste, la tumeur contient un liqu
oie contenue dans la tumeur arrivait de suite au point d'insertion du
cordon
. Les artères ombilicales parcouraient un trajet p
t, avec la peau, et de l'autre avec l'enveloppe la plus extérieure du
cordon
. La membrane interne faisait suite aux muscles
out le paquet intestinal a été contenu dans l'épaisseur de la base du
cordon
; en un mot, s'il y a eu déplacement ou défaut de
moins apparente de la peau, faite comme avec un emporte-pièce. i° Le
cordon
ombilical ne naît pas du centre de la tumeur, mai
deux membranes, dont l'une externe se continue avec les enveloppes du
cordon
(chorion et amnios), dont l'autre interne se cont
ion, les parties déplacées sont logées dans l'épaisseur de la base du
cordon
ombilical, et c'est là ce qui établit une différe
e paquet renfermé dans la gaine alors extrêmement ample et étendue du
cordon
ombi-« lical, gaine qui, à cette époque aussi, ti
e la presque totalité de ce canal serait contenue dans l'épaisseur du
cordon
« ombilical, qui présenterait alors un renflement
miné,il y a quelques jours,un embryon de cinq à six semaines, dont le
cordon
ombilical offrait, au voisinage de l'ombilic, un
ais ce renflement, qui constituait plus de la moitié delà longueur du
cordon
et qui présentait à son centre les vaisseaux ombi
scissures médianes de M. Serres et les intestins dans l'épaisseur du
cordon
ombilical. Est-ce avant la cinquième, la quatrièm
s l'anneau ombilical et de la distension des membranes d'enveloppe du
cordon
, qui constituent le sac herniaire. M. le docteur
ntestins dans une cavité creusée en quelque sorte dans l'épaisseur du
cordon
« ombilical ne me paraît pas démontrée d'une mani
'autres cas, il n'y avait qu'une anse intestinale dans l'épaisseur du
cordon
ombilical; que les cas « dans lesquels elle a été
face interne du sac dans dix à douze points différens, par autant de
cordons
dont le sommet s'enfonçait dans autant de cellule
uméfier, la douleur disparaître, et la veine fémorale se réduire à un
cordon
de moins en moins volumineux, que plus tard le do
hlébite s'oblitèrent, le caillot sanguin se décolore, se réduit en un
cordon
de moitié moins volumineux; bientôt c'est un simp
s veines désormais impropres à la circulation se convertissent en des
cordons
imperméables, sensibles à travers la peau,pendant
La veine iliaque externe et la veine fémorale étaient remplies par un
cordon
blanc , fibreux , extrêmement dense, tellement ad
es vaisseaux, qu'il a été impossible de l'en séparer. Au milieu de ce
cordon
fibreux, j'ai trouvé une aiguille osseuse de coul
aiguille osseuse de couleur jaunâtre FRO. Dans la veine fémorale, le
cordon
fibreux était rejeté sur un des côtés de la veine
tés de la veine, si bien que la circulation s'était rétablie entre ce
cordon
et la paroi opposée du vaisseau. Il était manifes
bite ancienne guérie. La formation d'aiguilles osseuses, au milieu du
cordon
fibreux qui remplissait la veine oblitérée, ne do
n si fréquente des phlébolithes. Nous avons vu que l'adhérence de ces
cordons
aux parois veineuses avait été vaincue dans quelq
lques points, et que le sang, qui était parvenu à s'insinuer entre le
cordon
et les parois du vaisseau, parcourait un trajet e
t à deux pouces au-dessous : plus bas, l'artère est transformée en un
cordon
dur et douloureux. Jusqu'au dernier moment, les
divisés au bord libre et à la face ventriculaire des deux valves. Les
cordons
tendineux de chaque valve sont disposés en deux g
embranes; de même, et à plus forte raison , beaucoup d'altérations du
cordon
rachidien échappent, lorsqu'on ne le dépouille pa
n de la moelle n'était donc interceptée qu'en partie, et cependant le
cordon
médullaire était comprimé au point que, au premie
ntérieure de la moelle et par conséquent comprimait immédiatement les
cordons
antérieurs de la moelle et les racines antérieu
'opinion de MM. Charles Bell, Schaw et Magendie sur les usages de ces
cordons
et de ces racines. La moelle et les racines des
ces nerfs. M. Monod a présenté à la Société anatomique un segment de
cordon
rachidien appartenant à un individu affecté depui
postérieures à la sensibilité. Les tumeurs sous-arachnoïdiennes du
cordon
rachidien ne sont qu'une des causes nombreuses de
uite de douleurs excessivement vives qu'elle a ressenties le long des
cordons
nerveux. Mieux bien prononcé. Les jours suivans
remplace une cellulosité infiltrée. — Dégénération gris jaunâtre des
cordons
médians postérieurs. — Tumeur encéphaloïde autour
une poche contenant un liquide. Du reste, à partir de ce point, les
cordons
médians postérieurs sont transformés en une subst
e cette tumeur et l'altération de la moelle. Quant à la conversion du
cordon
médian postérieur en substance gris jaunâtre, j'a
ler au sujet de la planche 1. Paraplégie par dégénération grise des
cordons
de la moelle. (PLANCHE 11, XXXIIe LIVRAISON.)
mouvement. — Danse de Saint-Guy chronique. — Dégénération grise des
cordons
postérieurs de la moelle (fig. 3). Mademoiselle
et présentait à-peu-près les deux tiers de son volume ordinaire. Les
cordons
médians et postérieurs de la moelle ont été trans
e toute la longueur de la moelle (fig. 3, pl. 2). Supérieurement, les
cordons
transformés s'enfoncent dans l'épaisseur des corp
rmation gris jaunâtre se prolonge et cesse au niveau du cervelet. Les
cordons
antérieurs et latéraux sont parfaitement sains. L
de la moelle établit que l'altération et très exactement limitée aux
cordons
médians postérieurs : elle établit, en outre, que
ablit, en outre, que cette altération occupe toute l'épaisseur de ces
cordons
. Les racines postérieures des nerfs spinaux son
égion cervicale qu'aux régions dorsale et lombaire. Réflexions. Les
cordons
médians et postérieurs, les racines postérieures
ment reçues de nos jours sur le siège respectif du sentiment dans les
cordons
postérieurs de la moelle et dans les racines post
ostérieures des nerfs spinaux et sur le siège du mouvement dans les
cordons
antérieurs et dans les racines antérieures. Ici p
être affecté, les autres restant intacts. Ce fait de l'influence des
cordons
médians postérieurs de la moelle sur le mouvement
que avec cette altération , sauf la consistance des parties. Les deux
cordons
médians et postérieurs de la moelle sont converti
ommencé à envahir la portion des faisceaux latéraux, qui avoisine les
cordons
médians postérieurs. Les racines postérieures des
n'infirme pas la conséquence fondamentale de ce fait, savoir que les
cordons
médians postérieurs et les racines postérieures^d
suivant la circonférence. L'indépendance réciproque des faisceaux ou
cordons
de la moelle est établie par l'état morbide aussi
ulement, et la transformation ou dégénération grise était limitée aux
cordons
médians postérieurs. Amaurose.—Paraplégie du mo
Amaurose.—Paraplégie du mouvement seulement.—Dégénération grise des
cordons
médians postérieurs. Une jeune fille amaurotiqu
et dans toute sa longueur une grande colonne gris rosé, formée parles
cordons
médians postérieurs. Cette colonne était traversé
plète du sentiment et incomplète du mouvement.—Dégénération grise des
cordons
postérieurs de la moelle. Meurice,42 ans, mar
nche sous-arachnoïdienne, engainant la moelle; dégénération grise des
cordons
postérieurs de la moelle; atrophie des racines po
eulement incomplète du mouvement. —Transformation gris-jaunâtre des
cordons
postérieurs de la moelle. Femme Cherpin, 52 ans
ment sain. Moelle épinière. L'altération est exactement limitée aux
cordons
postérieurs de la moelle et consiste dans une tra
s postérieurs de la moelle et consiste dans une transformation de ces
cordons
en une substance gris jaunâtre, demi transparente
parente. Cette dégénération gris jaunâtre occupe toute la largeur des
cordons
aux régions lombaire et dorsale ; elle se rétréci
résulte de cette disposition qu'aux régions lombaire et dorsale, les
cordons
postérieurs et les petits cordons du sillon média
ux régions lombaire et dorsale, les cordons postérieurs et les petits
cordons
du sillon médian postérieur de la moelle étaient
eur de la moelle étaient affectés, mais qu'à la région cervicale, les
cordons
postérieurs étaient sains, et l'altération limité
e, les cordons postérieurs étaient sains, et l'altération limitée aux
cordons
du sillon médian. Du reste la dégénération a des
la dégénération a des limites parfaitement déterminées par celles des
cordons
ou faisceaux, et j'ai pu m'assu-rer de l'indépend
même que, dans d'autres cas, nous avons vu la dégénération grise des
cordons
médians postérieurs affecter bien plus le mouveme
ion des facultés sensible et motrice, on ne peut pas conclure que les
cordons
médians postérieurs président exclusivement au se
a myotilité. — Dégénération grise beaucoup plus considérable dans les
cordons
postérieurs que dans les cordons antérieurs de la
beaucoup plus considérable dans les cordons postérieurs que dans les
cordons
antérieurs de la moelle épinière. — Suppuration d
oelle, m'a toujours paru s'accompagner des phénomènes d'irritation du
cordon
rachidien. Pendant que j'avisais aux moyens, hé
bre d'îles grises, qui n'interceptent qu'une partie des fibres de ces
cordons
. Les colonnes postérieures et latérales de la moe
ligne médiane n'est pas une limite, que les sillons de séparation des
cordons
médullaires ne sont pas non plus une limite, et q
up plus profondément lésé que le mouvement (i) ; or, l'altération des
cordons
postérieurs et latéraux de la moelle était beauco
lle était beaucoup plus étendue et plus profonde que l'altération des
cordons
antérieurs. Je rapprocherai des faits précédens
oitiés de la moelle dépouillée de son névrilème, j'ai reconnu que les
cordons
médullaires qui occupent le sillon médian postéri
hale qui avait causé la mort ; 20 la péritonite deux fois vaincue. Le
cordon
rachidien , mis à découvert dans toute sa longueu
ue l'atrophie des nerfs ne se juge pas par la dimension du volume des
cordons
nerveux, mais par celle du tissu propre des nerfs
sont point disséqués. Or,la dissection d'un nerf comprend l'étude des
cordons
nerveux et des filets qui le constituent et dans
, qu'on rencontre en assez grande quantité dans l'épaisseur de chaque
cordon
nerveux ; que le tissu propre n'est susceptible q
formes bien distinctes. L'atrophie se juge, non d'après le volume du
cordon
nerveux , mais d'après le volume et la couleur du
t nullement à ce qu'il soit considéré comme le type de l'atrophie des
cordons
nerveux. Or, cette atrophie débute tantôt par l'e
atrophie peut être portée jusqu'à la disparition complète du nerf. Le
cordon
nerveux s'aplatit, devient rubané; ses filets s'é
eloppent le plus habituellement sur le trajet et dans l'épaisseur des
cordons
nerveux. Les nerfs soumis à des pressions considé
éposée tout autour de cette origine. La dégénération cancéreuse des
cordons
nerveux est excessivement rare. Enveloppés de tou
t du malade. A ce niveau, le canal de l'urètre était transformé en un
cordon
fibreux extrêmement dense. Par suite de la rétent
volumineux, adhérens les uns aux autres, de manière à former un gros
cordon
non interrompu, au centre duquel se voyait l'aort
inférieure qu'ils comprimaient, mais sans nuire à la circulation. Ce
cordon
lobu-leux s'étendait en bas , le long des veines
cision verticale. De chacun des angles supérieurs de l'utérus part un
cordon
. A ce cordon est appendu, d'un côté , un corps ov
ale. De chacun des angles supérieurs de l'utérus part un cordon. A ce
cordon
est appendu, d'un côté , un corps ovoïde, qui a e
cun vestige d'ovaire. Je me suis évertué pour trouver dans chacun des
cordons
, et de leurs renflemens terminaux un vestige de
ige de trompe et d'ovaire ; mais cela n'a pas été possible : les deux
cordons
étaient pleins. LVun des renflemens ne pouvait êt
matrice, les ovaires, les trompes utérines, une partie du vagin, deux
cordons
distincts de l'épiploon , enfin deux kystes ou pe
ns intimes de ces annexes qui agissent sur l'Litérus, à la manière de
cordons
, et par une disposition anatomique, qui ne me par
aux dépens de l'ovaire droit; car il tenait à l'utérus à l'aide d'un
cordon
fibreux long et grêle, lequel naissait du bord co
tonéale au milieu d'une grande quantité de pus, il tenait à l'aide du
cordon
ombilical à une tumeur sphéroïdale, volumineuse,
la femme réclama les soins de M. Jolly : — La face était en avant; le
cordon
qui entourait le col de l'enfant était flasque et
de la sortie de la tête. Il n'y avait qu'un seul placenta : les deux
cordons
, séparés dans toute leur longueur, se réunissaien
2 ; in-4 et atlas de 20 planches in-fol. de sus-omphalo-didymes. Un
cordon
unique aboutit à l'ombilic commun, qui présente u
ombilicale. La veine ombilicale du foie postérieur se détachait du
cordon
au moment où ce cordon pénétrait par l'ombilic da
ombilicale du foie postérieur se détachait du cordon au moment où ce
cordon
pénétrait par l'ombilic dans la cavité abdominale
ure après la naissance. = Enfant à terme mort par suite de l'issue du
cordon
. — Hydrocéphale mort-né. Accouchement naturel. Ap
u rectum. 33e liv., pl. 1, p. g. — Sur la dégénération cancéreuse des
cordons
nerveux. 35e liv., pl. n, p. 3. — Cancer de la gl
articipant à des mouve-mens convulsifs. 8e liv., pl. i, n, m, p. 6.
CORDON
. Enfant à terme, mort par suite de 1 issue du cor
i, n, m, p. 6. CORDON. Enfant à terme, mort par suite de 1 issue du
cordon
. 35e liv., pl. i, p. 3. CORNES. Théorie de la f
ue remplace une cellulosilé infiltrée. Degeneration gris-jaunâtre des
cordons
médians postérieurs. Tumeur encéphaloïde autour d
e. 32e liv., pl« i, n, p- 18. — Paraplégie par dégénération grise des
cordons
de la moelle. Observations. Paraplégie incomplète
et du mouvement. Danse de Saint-Guy chronique. Degeneration grise des
cordons
postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1, 11, p.
= Amaurose. Paraplégie du mouvement seulement. Degeneration grise des
cordons
médians postérieurs. = Paraplégie complète du sen
plète du sentiment et incomplète du mouvement. Dégénération grise des
cordons
postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1,11, p.
et seulement incomplètedu mouvement. Transformation gris-jaunâtre des
cordons
postérieurs de la moelle. 32e liv., pl, 1, n, p.
la myotililé. Degeneration grise beaucoup plus considérable dans les
cordons
postérieurs que dans les cordons antérieurs de la
beaucoup plus considérable dans les cordons postérieurs que dans les
cordons
antérieurs de la'moelle épinière. Suppuration de
plégie incomplète du mouvement et du sentiment. Dégénération grise du^
cordon
postérieur de la moelle. 32nliv., pl. i, u, p. ig
entiment. — Paraplégie du mouvement seulement. Degeneration grise des
cordons
médians postérieurs. = Paraplégie incomplète du m
omplète du mouvement et complète du sentiment. Degeneration grise des
cordons
postérieurs de la moelle. = Erreur des idées reçu
t seulement incomplète du mouvement. Transformation gris-jaunâtre des
cordons
postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. i, n, p.
s nerfs? 35e liv., pl. 11, p. a. — Sur la dégénéralion cancéreuse des
cordons
nerveux. 35e liv., pl. n,p. 3. NÉVRALGIE. Diffé
ure après la naissance. =:Enfant à terme, mort par suite de lésion du
cordon
. — Hydrocéphale mort-né. Accouchement naturel. Ap
e remplace une cellulosité infiltrée. Dé-génération gris jaunâtre des
cordons
médians postérieurs. Tumeur encéphaloïde autour d
l. 32e liv., pl. 1,11, p. iy, — Paraplégie par dégénération grise des
cordons
de la moelle. = Observation. Paraplégie incomplèt
et du mouvement. Danse de Saint-Guy chronique. Dégénération grise des
cordons
postérieurs de la [moelle. 32» liv., pi. i, ii,
— Amaurose. Paraplégie du mouvement seulement. Dégénération grise des
cordons
médians postérieurs. = Paraplégie complète du sen
plète du sentiment et incomplète du mouvement. Dégénération grise des
cordons
postérieurs de la moelle. 32" liv., pl. i, n', p.
t seulement incomplète du mouvement. Transformation gris jaunâtre des
cordons
posté -rieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1, 11,
légie incomplète du sentiment et du mouvement. Dégénération grise des
cordons
postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1,11, p.
ète du sentiment et incomplète du mouvement. Degeneration grise des .
cordons
postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1, n, p.
t seulement incomplète du mouvement. Transformation gris jaunâtre des
cordons
postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1, n , p.
la safranine. Il est enfin des gaines qui ne constituent plus qu'un
cordon
fibreux dans lequel on ne trouve aucun vestige
ive des membres supérieurs et inférieurs) il trouve des lésions des
cordons
postérieurs,des racines rachidiennes antérieures
on de la névroglie qui en certaines régions envahit la totalité des
cordons
postérieurs. , ' Dans la suite, et surtout aprè
des cel- lules radiculaires des cornes antérieures et sclérose des
cordons
postérieurs avec tourbillons névrogliques ; dan
et Marie ; mais les lésions médullaires concomitantes (sclérose des
cordons
postérieurs, atrophie partielle des cornes anté
pagnée de douleurs, trouve à l'examen histologique.une sclérose des
cordons
latéraux et postérieurs, une atrophie des cornes
s supé- rieurs et inférieurs) les lésions portent à la fois sur les
cordons
posté- rieurs de la moelle, sur les racines rac
partielle des cel- lules des cornes antérieures, dégénérescence des
cordons
postérieurs avec sclérose névroglique en tourbi
e est nettement apparent. Rien à noter non plus dans les noyaux des
cordons
postérieurs. Le corps restiforme, de volume nor
de segments les altérations constatées sont les suivantes. Dans les
cordons
postérieurs, sur toute leur hauteur, il existe
e, qui cependant est plus accusée dans les parties centrales de ces
cordons
. A un fort grossisse- ment on voit que cette ra
terstitiel. Dans aucun segment la légère raréfaction des fibres des
cordons
postérieurs ne présente trace de systématisation.
e de Lissauer et les fibres collatérales, très abondantes. Dans les
cordons
latéraux, surtout vers la périphérie de la moelle
de la moelle, il existe la même raréfaction des fibres que dans les
cordons
postérieurs, mais elle est ici encore plus légè
à la moelle lombo-sacrée ; dans la moelle dorsale et cervicale les
cordons
latéraux ont un aspect tout à fait normal. Au
e co- lonne est aussi bien développé qu'à l'état normal. Dans les
cordons
postérieurs et dans les latéraux il existe une gr
nifiantes ; celles-ci consistent en une très légère raréfaction des
cordons
postérieurs, diffuse, nullement systématisée, u
aréfaction, encore plus légère, à peine perceptible, des fibres des
cordons
latéraux et enfin, dans une abondance anormale
emander si les très légères lésions des racines postérieures et des
cordons
postérieurs de la moelle ne pourraient pas expl
ait également se demander si la raréfaction à peine perceptible des
cordons
latéraux suffit à expliquer la légère spasmodic
ble trophi- que placé sous la dépendance de lésions médullaires des
cordons
posté- rieurs. Les conclusions précédentes no
Nüller, noter la forte atrophie de la corne antérieure gauche et du
cordon
antéro-latéral gauche.Cette atrophie estsurtout
te suivant les divers segments, de la corne antérieure gau- che, du
cordon
antéro-latéral du même côté, et, en petite partie
é, et, en petite partie aussi, à une légère diminution de volume du
cordon
postérieur et de la base de la corne postérieur
e ici encore une très forte atro- phie de la corne antérieure et du
cordon
antéro-latéral gauches, le foyer po- liomyéliti
e largeur, mais pas de raréfaction de ses fibres ni de sclérose. Le
cordon
antéro-latéral gauche est, comme nous l'avons dit
-latéral gauche est, comme nous l'avons dit, fortement atrophié; le
cordon
latéral présente eu outre une légère décoloration
tion des fibres avec légère hyperplasie névroglique. Les sillons du
cordon
antéro-latéral par lesquels passent, en riches fa
et occu- pés presque exclusivement par du tissu interstitiel. Le
cordon
postérieur gauche est un peu moins volumineux que
une légère asymétrie de la moelle par l'atrophie de la corne et du
cordon
antéro-latéral gauche.Bien qu'il n'existe pas d
e du tissu interstitiel. Dans les segments dorsaux et cervicaux les
cordons
antéro-latéraux sont bien colorés, ne présenten
ien colorés, ne présentent ni dégénération ni sclérose. L'atrophie du
cordon
latéral gauche, nette dans la moelle sacro-lomb
e sacro-lombaire, est ici beaucoup moins appréciable. L'atrophie du
cordon
antérieur gauche persiste au contraire très net
de l'autre. Rien à noter dans les racines postérieures, ni dans les
cordons
postérieurs à part la légère atrophie, sans dég
diversement interprétée. Pour les uns il serait dû à l'invasion du
cordon
latéral par le processus poliomyéliti- que,pour
énomène de Babinski puisse relèver de la très légère raréfaction du
cordon
latéral observée au niveau du foyer poliomyélitiq
nerfs sensoriels, se formant aux dépens de la crête de Sagemehl ou
cordon
ganglionnaire de Ilis, quelques ganglioblastes s'
ts segments de la moelle enfin, on constate une atrophie de tout le
cordon
antéro-latéral du côté droit. ETUDE microscopiq
ériées de la partie inférieure du bulbe, passant par les noyaux des
cordons
postérieurs et intéressant l'entrecroisement sens
sacré inclusivement, on observe : une atrophie en masse de tout le
cordon
antéro- Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière
NOPSIE DATANT DE 28 ANS 195 latéral droit, prédominant au niveau du
cordon
latéral (fig. 13, 14, 15, 16); une dégénération
s dégénéré mais qu'il existe simplement une diminution de volume du
cordon
antérieur gauche par rapport à celui du côté op
l direct et un tassement des fibres saines persistantes du reste du
cordon
antérieur aboutissant en fin de compte à une atro
ntérieur aboutissant en fin de compte à une atrophie en masse de ce
cordon
antérieur. Les coupes de la moelle colorées au
suit dans la protubéi dans le bulbe jusqu'au niveau des noyaux des
cordons
postérieurs. * . .. Le cas que nous venons
Le siège de prédi- lection des nécroses est, en première ligne, les
cordons
postérieurs et puis les cordons latéraux. Il pa
écroses est, en première ligne, les cordons postérieurs et puis les
cordons
latéraux. Il paraît que les artères nourricières
éraux. Il paraît que les artères nourricières (Van Ge- huchten) des
cordons
postérotatéraux que Colmheim nomme artères termi-
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 211 sillon. On sait bien que les artères des
cordons
postéro-tatéraux qui nais- sent du réseau périp
re juxlabulbaire on voit une bandelette de nécrose située entre les
cordons
de Goll et de Burdach à la place du faisceau en
de Burdach à la place du faisceau en virgule de Schultze. Dans les
cordons
postérieurs une raréfaction légère des fibres n
amp ventral (zone cornicommissurale de P. Marie) et les parties des
cordons
posté- rieurs adjacentes aux cornes postérieure
osté- rieurs adjacentes aux cornes postérieures sont respectés. Les
cordons
pos- térieurs ne sont qu'incomplètement atteint
faces des membres supérieurs innervés par la 6e et la 7e. Dans les
cordons
latéraux la nécrose est nettement circonscrite ;
yramidaux croisés et de Gowers, et laisse plus ou moins intacts les
cordons
fondamentaux postérolatéraux. Dans les cordons
ou moins intacts les cordons fondamentaux postérolatéraux. Dans les
cordons
postérieurs les parties qui sont plus ou moins re
à sa partie inférieure on voit une destruction presque complète des
cordons
et des cornes postérieures, des faisceaux céréb
e postérieure du faisceau de Gowers, elde la plus grande partie des
cordons
fondamen- taux latéraux. Dans la partie antérie
des cordons fondamen- taux latéraux. Dans la partie antérieure des
cordons
fondamentaux antéro- latéraux,'on voit d'un côt
térieure de la moelle semble être aplatie et comprimée. Dans chaque
cordon
postérieur on constate aussi un espace vide, pl
rieures à l'excepton des commissures et d'une petite bandelette des
cordons
fondamentaux antéro- latéraux qui sont respecté
mentaux antéro- latéraux qui sont respectés. Vers la périphérie des
cordons
postérieurs atteints on voit de larges espaces
. D'ailleurs la deslrui tion et la grande nécrose qui a atteint les
cordons
et les cornes posteriez res aussi bien que les
atteint les cordons et les cornes posteriez res aussi bien que les
cordons
latéraux (cérébelleux, pyramidaux, un pe les fo
truction générale du tissu. Une bandelette de substance blanche des
cordons
fondamentaux antéro- latéraux autour des cornes
continence vési- cale). J'ai trouvé ces plaques scléreuses dans les
cordons
latéraux (surtout LÉSIONS ANA'l'OMO-PATliOLOGIQ
ut LÉSIONS ANA'l'OMO-PATliOLOGIQUES DE LA MOELLE ÉP1N1ÈRE 215 aux
cordons
pyramidaux croisés) et aux cordons postérieurs. E
ES DE LA MOELLE ÉP1N1ÈRE 215 aux cordons pyramidaux croisés) et aux
cordons
postérieurs. Elles rappel- lent un peu la topog
e ne présentent pas d'altération. La glande pituitaire normale. Les
cordons
de cellules épithéliales polyé- driques du lobe
bles des sensibilités superficielles, troubles trophiques), mais le
cordon
postérieur ne paraît pas indemne (sensibilités pr
sa partie tendineuse (fig. 6) : un faisceau solide, en forme de gros
cordon
, s'attache à la partie inférieure de la face ex
ant par compression sur les parties foetales, brides amniotiques ou
cordon
(Montgomerry, Schoeffer, Zagowski, A. Moreau, M
tané. Les principaux nerfs de l'avant-bras sont représentés par des
cordons
ner- veux bien développés et se terminent par d
etit que celui du côté opposé, avait pour origine le même nombre de
cordons
nerveux, mais il ne partait de ce plexus que tr
ombre de cordons nerveux, mais il ne partait de ce plexus que trois
cordons
nerveux assez distincts. Le ter se portait vers l
terne, pour se perdre ensuite sur la région externe du tronçon. Le 3e
cordon
, peu après sa séparation se portait vers la par
orne antérieure et la corne postérieure du côté de l'hémimélie. Les
cordons
blancs sont symétriques des deux côtés de la mo
aisceaux pyramidaux croisés, mais aussi de la partie cen- trale des
cordons
postérieurs. Ces lésions concordent bien avec l
Burdach, seule est respectée la partie la plus externe de ce dernier
cordon
. Au niveau de C. VII, le faisceau de Gowers, le
E 379 faisceau fondamental latéral sont intéressés, les lésions des
cordons
postérieurs affectent la même topographie que d
e haut en bas, et à la région dorsale, il ne persiste au niveau des
cordons
latéraux que quelques fibres périphériques colo
congénitales ; les unes ont pour causes les ligatures faites par le
cordon
ombilical, les autres sont dues à des brides am
on à « un étranglement du membre par une bride amniotique ou par le
cordon
ombilical. L'amputation n'a pas été tout à fait
puisqu'il existe un rudiment du membre constitué par la main et le
cordon
fibreux qui en part. Il est probable que ces ve
er à des constrictions soit par des brides amniotiques, soit par le
cordon
, d'où un obstacle à la circula- 398 KLIPPEL ET
rs du corps de l'embryon soit dans les annexes (amnios, allantoïde,
cordon
ombilical), soit plus extérieurement encore (orga
r Duchesneau et par Cagnetto, lesquels remarquèrent les lésions des
cordons
postérieurs ou antéro-latéraux, celle des racines
t en communication avec le siège de la volonté les extré- mités des
cordons
nerveux, dirige ou établit dans ceux-ci le couran
tou- LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS 111ETAL 505 jours souples des
cordons
en caoutchouc n'aurait pas une influence favorabl
e il n'y a pas d'atrophie, il y a lieu d'admettre une affection des
cordons
postérieurs et laté- 1 aux de la moitié droite
ermine sur le corps cal- - leux par un bord tranchant, se trouve un
cordon
blan- châtre [stria longitudinatis, seu tecta n
dans le processus vermiforme supérieur du cer- velvet. En avant du
cordon
cérébelleux direct, mais plus ou moins distinct
belleux direct, mais plus ou moins distinct de lui, il y a un autre
cordon
dans lequel on remarque souventla dégénérescenc
ntla dégénérescence ascendante, comme l'a le premier montré Gowers,
cordon
qui, comme Bechterew' l'a vu, diffère dans sa p
hterew' l'a vu, diffère dans sa période de développement des autres
cordons
delà moelle. Celui-ci constitue le cordon antér
développement des autres cordons delà moelle. Celui-ci constitue le
cordon
antéro-latéral. Aucun de ces cordons n'a cepen-
à moelle. Celui-ci constitue le cordon antéro-latéral. Aucun de ces
cordons
n'a cepen- dant été démontré d'une façon décisi
ol. Centmlblatt, 1885. LES LÙCALIsATloNS CÉRÉBRALES. 289 Comme le
cordon
cérébelleux airect finit sans aucun doute dans
ons l'éliminer des chemins parcourus par les sensations propres. Le
cordon
autéro-latéral où Gowers placerait volontiers le
ervicale, aussi appelée corne viscérale. Le trajet plus élevé de ce
cordon
est incertain quoique la majorité des fibres atte
tionné la plus grande portion d'une moitié de la moelle (excepté le
cordon
postérieur), une partie du cordon antérieur, et
e moitié de la moelle (excepté le cordon postérieur), une partie du
cordon
antérieur, et celte portion du cordon latéral s
postérieur), une partie du cordon antérieur, et celte portion du
cordon
latéral situé dans l'angle formé par les deux cor
onservée. Les expé- riences sont donc opposées à l'hypothèse que le
cordon
antéro- latéral est la voie de la sensibilité t
urs3, j'ai coupé tout le côté gauche de la moelle, à l'exception du
cordon
médian antérieur et postérieur. Quoique la plus
n médian antérieur et postérieur. Quoique la plus grande portion du
cordon
médian postérieur gauche et tout le cordon médi
a plus grande portion du cordon médian postérieur gauche et tout le
cordon
médian postérieur droit, de même que la substan
osé du corps. Cette expérience donc infirme celle hypothèse que les
cordons
postérieurs sont la voie de conductibilité de l
. Dans une autre expérience, j'ai essayé de diviser avec soin les
cordons
postérieurs dans le milieu de la région dorsale;
ais calculée, par des expériences répétées sur des moelles, que les
cordons
mé dians postérieurs soient divisés jusqu'à la
jusqu'à la commissure postérieure. Quoiqu'il me sembla que tous les
cordons
postérieurs étaient divi- sés, je n'ai pu après
aussitôt son attention. Bechterew a aussi trouvé que la section des
cordons
postérieurs 4 Neurolog. Cealral6lalt, février I
es de Bechterew sont donc opposées à la théorie qui fait suivre les
cordons
postérieurs à toutes de la sensibilité propre.
'est pas contenu ni dans la colonne postérieure médiane, ni dans le
cordon
cérébelleux direct, ni dans le cordon antéro-la
stérieure médiane, ni dans le cordon cérébelleux direct, ni dans le
cordon
antéro-latéral, et comme le cordon pyramidal pe
n cérébelleux direct, ni dans le cordon antéro-latéral, et comme le
cordon
pyramidal peut être entière- ment sclérosé sans
endrait compte de la non dégénéfescence ascendante comme les autres
cordons
afférents de la moelle. (La fin au prochain num
e la formation réticulaire, entie l'olive et le noyau originaire du
cordon
latéral, innerve les muscles du larynx. - 6° Le f
ux du pneumogastrique. - 8° Les cellulesdes faisceaux originels des
cordons
grêles ne donnent pas de fibres au pneumogastriqu
plus inférieur de l'olive (fig. 124) l'existence a d'un ou de deux
cordons
cylindriques nervi- formes, nettement circonscr
ant de Omm,25 à omm,50, et composés de fibres fines et fortes ; ces
cordons
unilatéraux occu- paient la limite postérieure
de l'entre-croisement des pyramides, se sépare de ce qui reste des
cordons
latéraux, pour se perdre, au niveau de l'extrém
u respi- ratoire de Krause, établit une connexion anormale entre le
cordon
latéral et le corps restiforme, peut-être aussi
t la substance nerveuse jusques et y compris le tiers antérieur des
cordons
postérieurs et des cordons antérieurs. Infiltra
ques et y compris le tiers antérieur des cordons postérieurs et des
cordons
antérieurs. Infiltration des parois des vaissea
paississement des cylindres-axes dans les trousseaux pyramidaux des
cordons
latéraux. Conclusion. Atrophie névrotique const
at nouveau né un trousseau, qui représente les derniers vestiges du
cordon
latéral, passer dans le ruban de Reil inférieur
nication la moelle avec le cervelet sont centripètes; ce sont : les
cordons
latéro-cérébelleux qui vont au cervelet - le co
ce sont : les cordons latéro-cérébelleux qui vont au cervelet - le
cordon
postérieur qui se termine dans la substance gri
e sclérose en plaques. Les foyers scléreux siègent surtout dans les
cordons
latéraux et postérieurs; il en existe aussi dan
rnes grises paraît très régulière; de même, rien d'anormal dans les
cordons
blancs et on ne constate aucun signe de scléros
trajet jusqu'au cerveau à travers la moelle et la protubérance, les
cordons
sensitifs passent par la formation réti- culair
les cordons sensitifs passent par la formation réti- culaire. - Ces
cordons
, c'est-à-dire le postérieur externe et le posté
destruction du gyrus fornicatus, une dégénérescence secondaire des
cordons
pyramidaux dans le pédoncule et la moelle. On d
endant, croit que la dégénérescence occupe une région différente du
cordon
pyramidal de celle résultant de la région de la
ence dans ce dernier cas occupe la partie postérieure et externe du
cordon
pyramidal croisé et dans le premier cas toute l
leur intégrité n'entraînent à leur suite aucune dégénérescence du
cordon
pyramidal. La question demande encore de nouvelle
entièrement détaché du reste (fig. 35). En produisant la lésion, le
cordon
optique fut désorganisé et également une légère
st toujours intacte quoiqu'il soit presque entièrement détruit. Les
cordons
olfactifs étaient absolument normaux ainsi que
des cicatrices de l'ablation des lobes occipitaux, le cerveau, les
cordons
olfactifs et les bulles olfactives étaient norm
lysie est permanente et entraîne une dégénérescence descendante des
cordons
pyramidaux de la moelle avec contracture second
nt aussi démontré l'existence de dégénérescence secondaire dans les
cordons
pyramidaux du côté droit de la moelle jusqu'à la
ve une dégénérescence secondaire de la couronne rayonnante et des
cordons
pyramidaux du côté opposé de la moelle, jusqu'à l
t la cir- convolution marginale. La dégénérescence est confinée aux
cordons
pyramidaux du même côté jusqu'à la décussation
une perte du sens musculaire dans le bras gauche. Dans ce cas, les
cordons
sensitifs pour tout le côté opposé du corps éta
aient soit les centres sensitifs dans le gyrus fornicatus, soit les
cordons
sensitifs dans la capsule interne. Même dans les
et ne put l'enle- ver sans danger. C'était un cas où sans doute les
cordons
sensi- tifs de la capsule interne étaients atte
réelle de ces symptômes est, je crois, l'extension de la lésion aux
cordons
sensitifs de la capsule interne qui est située
l moteur n'est révélé à la conscience que par le fonctionnement des
cordons
et des centres sensitifs correspondants. L'idée
i excitent les vrais centres de la ^ moelle par l'intermédiaire des
cordons
pyramidaux qui les unit. Je ne puis, avec Basti
si qu'ils conservent leur excrtdbi- lité et leurs rapports avec les
cordons
pyramidaux. Ces expériences indiquent donc que
onctions sont encore douteuses. Analomiquement, elle est reliée aux
cordons
moteurs de la capsule interne. Ces cordons, sui
ent, elle est reliée aux cordons moteurs de la capsule interne. Ces
cordons
, suivant les recher- ches de Flechsig, sont sit
expérimentalement, produisent une dégénérescence descendante de ces
cordons
', qu'on ne peut suivre au delà de la partie supé
pu suivre la dégénérescence dans les pyramides, et conclut que les
cordons
internes du pied du pédoncule réunissent ' Voir
lin, on constate, dans un cinquième de cas, une lésion certaine des
cordons
postérieurs; dans un tiers des cas, une lésion
cordons postérieurs; dans un tiers des cas, une lésion probable des
cordons
latéraux. Sur 104 de ces malades, sur lesquels
vé des symptômes tabétiques; 25 p. 100 présentaient des lésions des
cordons
latéraux; 9 p. 100 étaient indemnes de lésions
: Ce nombre se décompose lui-même en : lésions conco- mitantes des
cordons
postérieurs, 70 p. 100; lésions concomi- tantes
tes des cordons postérieurs, 70 p. 100; lésions concomi- tantes des
cordons
latéraux, 20 p. 100; les paralytiques généraux
la syphilis sûrement; 50 p. 100 des para- lytiques avec lésions des
cordons
latéraux ou à moelle saine étaient des syphilit
mais étudier à part la paralysie genérale compliquée de lésions des
cordons
la- téraux et la paralysie générale compliquée
rdons la- téraux et la paralysie générale compliquée de lésions des
cordons
postérieurs. Quoi qu'il en soit, le traitemen
'il n'y ait que des symptômes témoignant de la dégénéres- cence des
cordons
latéraux. L'asile est indispensable lorsqu'il y a
si, d'aspect terne et mat, ayant perdu l'apparence translucide d'un
cordon
nerveux normal, enfin impossible à isoler de sa
ringomyélique de la sensibilité. Quand la lésion gagne en outre les
cordons
postérieurs de la moelle, la sensibilité est com-
deux renflements sont réséqués, ainsi qu'une tranche suffisante de
cordon
nerveux, de manière à suturer des tissus sains ;
versale comme de vérita- bles nodules embryonnaires. Dans tout le
cordon
latéral, et spécialement dans sa partie postérieu
olés dans les deux cor- dons latéraux (surtout le droit) et dans le
cordon
postérieur : les premiers sont de beaucoup les
ignalée. Les uns sont situés sous la pie-mère; les autres, en plein
cordon
latéral, sont généralement allongés dans le sen
ervons dans les méninges. Dans un point limité, à la périphérie des
cordons
postérieurs, au niveau de la 2e racine dorsale,
el l'infiltration redouble d'intensité. Tms. Tissu médullaire sain (
cordon
postérieur). , Vp. Véinule de la pie-mère oblit
séparent les éléments nerveux eux-mêmes. Mais nulle part, dans les
cordons
blancs, elle ne forme sur les .coupes transversal
erstitielle et paren- chymateuse quil'a finalement transformé en un
cordon
fibreux. Nousn'avons pas trouvé de cellules géa
articulaires. Examiné de côté, le malade offre un peu l'attitude en
cordon
de la pa- ralysie pseudo-hypertrophique. 11 s
ingée; elles sont évidentes dans la substance blanche au niveau des
cordons
postérieurs, à la hauteur de la 1 ? racine dors
hauteur de 5 à G racines, et d'autre part la substance blanche des
cordons
latéraux sur une étendue un peu moindre. La s
istribution et à leur carac- tère tout à fait initial. Limitées aux
cordons
latéraux, et plus spécialement à la partie post
rdons latéraux, et plus spécialement à la partie postérieure de ces
cordons
, elles se sont présentées sous la forme de peti
la hau- teur des 4 ou 5 premières racines dorsales surtout clans le
cordon
latéral droit; mais en examinant une série de c
t plus abondantes qu'on se rapproche plus de la périphérie. Dans le
cordon
latéral tous ont un calibre extrêmement réduit
truit les tubes ner- veux. Restent à expliquer les altérations du
cordon
latéral et de la substance grise, en apparence
tout à fait en harmonie avec la distri- bu l ion vasculaire dans le
cordon
latéral. L'existence deces petits foyers nous p
nt. N'est-il pas tout naturel d'admettre qu'un faisceau de tubes du
cordon
latéral ainsi détruit sur un point dégénère au-de
s'avançant en forme de coin dans la moelle détruisait une partie du
cordon
antérieur et la corne antérieure correspondante
montrent une dégénération ascendante, parfaitement systématisée des
cordons
de Goll. L'examen microscopique a porté sur ce
par la méthode de Veigert. a) Grand foyer de sclérose occupant les
cordons
postérieurs et les cornes postérieures ; il pré
e sillon mé- dian a disparu. b) Petit foyer de sclérose occupant le
cordon
latéral gauche. c) Région des cordons antérieur
foyer de sclérose occupant le cordon latéral gauche. c) Région des
cordons
antérieurs restée saine (colorée en noir. d) Corn
e une sclérose diffuse, mais moins intense. Une petite ré- gion des
cordons
antérieurs, seule a conservé sa configuration nor
a substance grise : ceux-ci apparaissent seulement au voisinage des
cordons
blancs. La névroglie de la substance grise pr
A gau- che, la corne envahie par la zone de sclérose qui occupe les
cordons
postérieurs est méconnaissable. A droite, on en
bondamment; les cellules nerveuses sont atrophiées. Les lésions des
cordons
blancs ne le cèdent pas en intensité à celles de
aide de l'objectif 2 Vérick la large bande scléreuse qui occupe les
cordons
postérieurs, on peut voir que les lésions les p
léments nerveux est complète, surtout dans la partie cen- trale des
cordons
postérieurs. Il ne persiste pas un seul tube nerv
clérose est moins avaucée, c'est-à-dire vers la région profonde des
cordons
postérieurs, au voisinage de la commissure gris
grouper en tourbillons, comme nous l'avons vu plus haut. Dans les
cordons
latéraux et antérieurs, ce sont encore des lési
ns scléreuses que l'on cons- tate, mais moins avancées que dans les
cordons
postérieurs. L'origine périvasculaire de la scl
e périvasculaire de la sclé- rose est parfaitement indiquée dans le
cordon
autéro-latérrll druit : on peut voir la lésion
les petits vaisseaux sont altérés suivant le même mode que dans les
cordons
postérieurs, mais à un degré beaucoup moindre.
z Une partie périphéri- que du petit foyer gommeux qui occupe le
cordon
latéral gauche dans la moelle dorsale supérieur
dorsale. Au- dessous, dans la même région, c'est-à- dire dans le
cordon
latéral gauche, la moelle offre une cavité en f
qu'un petit territoire ir- régulier, de forme triangulaire, dans le
cordon
postérieur droit. La base de ce petit triangle
on cervicale, la lésion importante est la sclérose systématisée des
cordons
de Goll.. Mais il existe en outre un léger degré
léger degré de sclérose marginale, qui intéresse principalement les
cordons
latéraux. Les méninges sont saines, les vaissea
rite sous la forme d'un foyer gommeux- microscopique, situé dans le
cordon
latéral gauche. Ajoutons que ici, comme dans le
'autopsie mon- tra une induration de la moelle dorsale au niveau du
cordon
latéral gau- che. Au microscope, on constate qu
moelle à ce niveau, englobant les racines nerveuses atrophiées. Le
cordon
latéral correspondant était le siège d'une sclé
upport à des vaisseaux couverls de noyaux nombreux, traversaient ce
cordon
sclérosé. Au môme niveau d'ailleurs existait un
p. 143. 1/6 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. le; dans le
cordon
latéral du côté opposé, l'épaississement névrogli
nt conservée : la substance grise a sa configura- tion normale. Les
cordons
postérieurs seuls paraissent avoir souffert : ils
dées entre elles et unies intimement à la moelle dans l'étendue des
cordons
postérieurs. Les racines postérieures il leur ori
e correspondant à la symphyse méningée, c'est-à-dire comprenant les
cordons
postérieurs, les cor- nes postérieures et la pa
érieurs, les cor- nes postérieures et la partie la plus reculée des
cordons
latéraux. Cette dégé- nération non systématisée
: symphyse méningo-médullaire. - Envahissement par propagation des
cordons
postérieurs et de la partie la plus reculée des
agation des cordons postérieurs et de la partie la plus reculée des
cordons
latéraux. (Moelle cervicale). 210 NOUVELLE ICON
alement dépourvu. Dans le reste de la moelle (cornes antérieures,
cordons
antéro-latéraw, sauf leur partie postérieure),
rophie qu'elles présentent dans la région postérieure. Au niveau du
cordon
antéro-latéral droit, quelques petits vaisseaux
oupes qu'un grand nombre de filets radiculaires sont transformés en
cordons
fibreux compacts, traversés par des vaisseaux à
ns la région postérieure, mais sans envahissement de la moelle. Les
cordons
postérieurs sont absolument sains. Sur les pr
éninges sont soudées entre elles et fort épaissies il la surface du
cordon
latéral droit ; mais le tissu médullaire sous-j
érée, et l'on y constate il peu près les mêmes lésions que dans les
cordons
postérieurs au niveau de la moelle cervicale. S
a eu pour conséquence la destruction des fibres a la périphérie des
cordons
nerveux en question (voir fig. 26). Une autre
la moitié postérieure de celle-ci, envahis- sant symétriquement les
cordons
postérieurs, les cornes postérieures et la moit
s postérieurs, les cornes postérieures et la moitié postérieure des
cordons
latéraux. L'auteur a eu le mérite incontestable
nnent à la localisation fortuite des lésions syphilitiques dans les
cordons
posté- (1) 13oxrnsncx (Archiv. f. Psychiatrie,
les prin- cipales sont : une sclérose irrégulièrement disposée des
cordons
latéraux et l'atrophie des cellules des cornes
dans 14 cas sur 20 malades. Elle paraît propre . à la sclérose des
cordons
postérieurs. Etudes comparatives à ce point de
t musculaire. « C'est un anesthésique aussi bien des centres et des
cordons
nerveux que des surfaces muqueuses et tégumenta
ui suit dans l'es- pèce. C'était dans la moelle, surtout dans les
cordons
postérieurs et latéraux, une sclérose périvascu
forme d'ilôts petits. La lésion, d'une netteté très grande dans les
cordons
posté- rieurs, était constituée par de nombreux
servent leur aspect normal. Les parties internes et antérieures des
cordons
postérieurs sont la plupart du temps le plus gra-
rs sont la plupart du temps le plus gra- vement atteintes; dans les
cordons
latéraux, les altérations ont leur maximum de n
cérébrales avec absences partielles de réflexes, lésion récente des
cordons
postérieurs qui paraît plutôt purement fortuite
racines de l'acoustique. Pas de dégénérescence dans les noyaux des
cordons
grêles et cunéiformes. La moelle présente une a
sente une altération douteuse au niveau du cinquième postérieur des
cordons
postérieurs. Dégéné- rescence très accentuée da
rosse olive. Le segment inférieur de ce faisceau se trouve entre le
cordon
antérieur et le cordon latéral, au point d'émer
inférieur de ce faisceau se trouve entre le cordon antérieur et le
cordon
latéral, au point d'émergence des racines antér
ux des nerfs ampullaires, le sens des attitudes dépend de celle des
cordons
pos- térieurs de la moelle et des noyaux corres
a moelle dans les régions cervicale et dorsale. Légère sclérose des
cordons
pyramidaux croi- sés. Les conclusions de ce tra
: la maladie de Lillle ne frappe-t-elle pas les individus dont les
cordons
pyramidaux sont primitivement faibles ? M. Joff
le liquide de Müller. Sur la coupe, à l'oeil nu, on trouve dans les
cordons
latéraux de toute l'étendue de la moelle dorsal
aux cérébelleux et dans ceux de Gôwers. Elle se trouve même dans le
cordon
antérieur et surtout dans le faisceau pyramidal
ées que nous mentionnons ci-dessus. Ainsi, elle est visible dans le
cordon
postérieur et dans le cordon latéral. La commis
essus. Ainsi, elle est visible dans le cordon postérieur et dans le
cordon
latéral. La commissure postérieure devient plus
r cas le tubercule a été posé sur la paroi d'un vaisseau. Dans le
cordon
latéral, on voit six agglomérations de leucocytes
ore dans celte partie de la moelle que l'on voit à la périphérie du
cordon
latéral, dans le voisinage des racines pos- tér
la prolifération de la névroglie s'accentue encore surtout dans le
cordon
latéral droil. Nous apercevons sur quelques cou
al droil. Nous apercevons sur quelques coupes la surface entière du
cordon
latéral droit parsemée de petites 188 CLINIQUE
le faisceau droit. La dégénérescence des fibres nerveuses dans les
cordons
laté- raux marche parallèlement avec la propaga
es infiltra- tions isolées et conflueutes, qui se trouvent dans les
cordons
laté- raux et dans le cordon gauche en particul
conflueutes, qui se trouvent dans les cordons laté- raux et dans le
cordon
gauche en particulier. Sur quelques coupes, nou
remplie d'un grand nombre de leucocytes. A la périphérie des deux
cordons
de Goll commencent à appa- raître de petits îlo
seau (fig. 8). Dans une coupe, on a pu observer, au côté externe du
cordon
postérieur droit, un nodule tuberculeux périphé-
eux, dont nous avons parlé plus haut, se rencontrent aussi dans les
cordons
laté- raux de la moelle dorsale. Ils y atteigne
considérables et se trouvent même dans les faisceaux pyramidaux des
cordons
extérieurs. Ils se présentent sous le même aspect
dans cette partie même de fines hémorragies capil- laires dans les
cordons
latéraux. Dans les faisceaux de Goll et dans ce
ubercule composé de leucocytes. Les infiltrations trouvées dans les
cordons
latéraux, forment des agglomérations nodulaires
y sont beaucoup moins intenses. Ces lésions envahissent surtout le
cordon
laléral et le cordon antérieur. Dans les cordons
s intenses. Ces lésions envahissent surtout le cordon laléral et le
cordon
antérieur. Dans les cordons latéraux, on trouve
ahissent surtout le cordon laléral et le cordon antérieur. Dans les
cordons
latéraux, on trouve de nouveau des infiltration
vons remarqué les mêmes lésions que dans la partie supé- rieure. Le
cordon
postérieur, sauf une légère infiltration le long
si légèrement infiltrées et le canal central est oblitéré. Dans les
cordons
latéraux la dégénérescence corticale des tubes ne
trouvées dans les deux commissures grises, ont existé avant que les
cordons
posté- rieurs et les racines postérieures aient
secondaires causées par les lésions provenant de l'interruption des
cordons
... En considérant les troubles trophiques, il f
partie, la dégénérescence com- . mence à disparaitre, sauf dans les
cordons
pyramidaux, et même on n'y trouve point de nodu
te sur l'importance des altérations médullaires (tabès, lésions des
cordons
pyramidaux). Dans l'encé- phalite sous-cortical
anatomique de la paralysie générale, et l'absence de lésions des
cordons
postérieurs donnent au cas actuel une ressem- b
ansversale de la moelle on constate une atrophie considé- rable des
cordons
postérieurs qui sont gris et s'affaissent. Le pla
n histologique. - La moelle présente une dégénérescence avancée des
cordons
postérieurs ; cette dégénérescence, qui est par
de Lissauer sont fortement sclérosées. Dans la région cervicale le
cordon
de Goll est complètement privé de fibres dans ses
istingue assez nettement du reste de la moelle; elle est séparée du
cordon
de Goll par une traînée de fibres relativement
se mêle à ces cellules embryonnaires. La pie- mère qui tapisse les
cordons
postérieurs n'est pas plus altérée que le reste
bstance médullaire. Cette disposition ne s'observe qu'au niveau des
cordons
postérieurs. · Outre ces lésions irritatives,
ontrent avec la dernière évidence que les lésions systématisées des
cordons
postérieurs n'ont aucune influence directe sur
rement tombants. La moelle présente une dégénération intense de ses
cordons
et de ses racines postérieures. Les racines du
rables à celles du cas précédent, quoiqu'un peu moins intenses. Les
cordons
postérieurs sont le siège d'une dégénérescence ét
e est absolue dans la moitié postérieure 292 CLINIQUE NERVEUSE du
cordon
de Goll; la moitié antérieure contient encore des
ère vue J'impression que la pie-mère est plus altérée au niveau des
cordons
postérieurs; mais un examen plus attentif montr
ltrés que dans le cas précédent; cette lésion n'est pas limitée aux
cordons
postérieurs, où les vaisseaux offrent en outre un
I. - ,COUPE au niveau DE la III;(,I0 dorsale; méninge au ! \[VEAU DES
cordons
postérieurs vers LES racines. , Méningite; phlé
destruction des élé- ments nobles, prédomine sur les vaisseaux des
cordons
dégé- ÉTUDE SUR LA. IBNINGO-NY&LITE. 299
t cherché à rattacher à des lésions vasculaires les altérations des
cordons
postérieurs chez tous les tabétiques ou chez qu
amener leur destruction et consécutivement la dégéné- rescence.des
cordons
postérieurs. Obersteiner et Redlich ont cherché
ute dégénérescence ; de telle sorte que les lésions vasculaires des
cordons
postérieurs sont constituées par deux éléments
cas; de plus, elle est susceptible de détruire certaines fibres des
cordons
postérieurs indépendantes des racines, d'altére
de leur trajet que ce soit (filets articulaires, troncs ner- veux,
cordons
postérieurs); 2° ce sont les fibres centripètes
Friedreich, des lésions dégénératives très étendues intéressant le
cordon
de Burdach, le cordon de Goll, le faisceau cérébe
ns dégénératives très étendues intéressant le cordon de Burdach, le
cordon
de Goll, le faisceau cérébelleux direct, le fai
la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 moelle, complète sclérose du
cordon
latéro-pyramidal gauche et des cordons antérieu
moelle, complète sclérose du cordon latéro-pyramidal gauche et des
cordons
antérieurs et postérieurs. En résumé, lésions dif
é- rieure du quatrième segment dorsal où il avait envahi aussi le
cordon
latéral gauche presque tout entier et le cordon l
ait envahi aussi le cordon latéral gauche presque tout entier et le
cordon
latéral droit. (Revue neurologique, février 189
amidaux, soit isolée, soit plutôt combinée avec la dégénération des
cordons
de Goll et des faisceaux cérébelleux décrits :
ession ana- tomique de la dégénérescence des fibres des cellules de
cordon
déjà décrites en 1866, par Charcot et son élève
une contribution importante à l'étude des lésions dégénératives des
cordons
blancs de la moelle épinière, nées sous l'influ
fibres de transmis- sion motrices, des faisceaux pyramidaux ou des
cordons
latéraux. En d'autres termes, fonds de syphilis
f, régénération des cylindraxes, surtout dans les pyramides ,et les
cordons
de Goll. P. KÉRAVAL. XXXIII. Relevé statistique
s pupilles. P. K. XLVII. Contribution A l'anatomie pathologique DES
cordons
posté- rieurs DE la MOELLE; par C. MAYER. (J'i/
n considérable. Dans la paralysie générale, l'étude des lésions des
cordons
posté- rieurs confirme les vues de Flechsig (di
ire postéro-médiane. Dans la moelle dorsale, le segment externe des
cordons
postérieurs contient une aire striée composée d
ent pas à pénétrer dans la substance grise. Or, les altérations des
cordons
postérieurs chez les paralytiques généraux sont
n- chymateuse), atrophie dégénérative des muscles, altérations du
cordon
de Goll, vacuolisation des cellules ganglionnaire
ions et fonctions des cellules de la cervicale, par Collins, 391.
Cordons
postérieurs de la-, par C. illayer, 398. Etat d
rsque en faisant l'hémisec- tion, la plus ou moins grande partie du
cordon
antérieur reste intacte et en même temps, les m
vert que celle-ci n'était pas complète : une partie triangulaire du
cordon
antérieur adhérent à la fissure antérieure du c
, et une hémisection incomplète du côté droit, précisé- ment de son
cordon
antérieur. En nous appuyant sur ces faits, nous
nre, la conservation des mouvements dépend d'un groupe de fibres du
cordon
antérieur qui est resté intact. \ Dans les de
ois ou quatre semaines. Les cobayes, qui avaient gardé la partie du
cordon
antérieur intacte pendant l'opéra- tion, acquér
inière et se localisent, d'un côlé, dans la partie posté- rieure du
cordon
de Goll, en forme triangulaire nettement mar- q
moelle; d'un autre côté, elles se localisent dans la périphérie du
cordon
gauche latéral, en forme d'une bande semi-lunai
e du « apex cornu posterioris », vers la partie antérieure jusqu'au
cordon
antérieur, au bout postérieur plus marqué que le.
u. L'examen de ces parties montre que dans la partie dégénérée du
cordon
de Goll toutes les fibres ont disparu; dans la pa
Goll toutes les fibres ont disparu; dans la partie exté- rieure du
cordon
latéral, qu'on appelle faisceau direct du cerve-
u à peu vers la direction extérieure. Quant aux altérations dans le
cordon
latéral, je dois remarquer que je n'ai pu jamai
en forme d'un petit îlot triangulaire dans la région postérieure du
cordon
latéral du côté gauche et présente une perte in
correspondante du côté droit (florneu, l. c.), et de même les deux
cordons
antérieurs n'offrent aucun changement. Dans le
veloppa une dégéné- ration ascendante dans la région postérieure du
cordon
de Goll et dans le faisceau direct du cervelet
ns de N. Weiss 1 d'hémisectioii de la moelle et en gardant aussi un
cordon
latéral chez les chiens, donnèrent des résultat
tre, la moelle se prolongeait entre les pé- doncules en deux petits
cordons
blancs qui se terminaient dans les gouttières e
ns une partie de ce faisceau. Il décrit un faisceau qui partant des
cordons
antérieurs de la moelle va se jeter danp la tub
dans le pédoncule cérébral, dans la pyra- mide bulbaire et dans le
cordon
latéral gauche de la moelle épinière. Les gangl
grises antérieures de la moelle cervi- cale sont détruites, que les
cordons
latéraux sont scléreux, qu'il y a syringomyélie
altérations DE la substance GRISE DE la MOELLE dans LES lésions DES
cordons
latéraux; par FUEIiSTNEB. (Neurol. Cen- tralbl.
Cen- tralbl., 1889.) Quand les faisceaux pyramidaux sont dans les
cordons
latéraux plus ou moins altérés, quelle qu'ait é
aisceaux latéropyrami- daux, six observations de dégénérescence des
cordons
postérieurs, quatre faits de dégénérescense des
I. LES CIRCONVOLUTIONS ASCENDANTES CONSTITUANT L'ORGANE CENTRAL des
cordons
POSTÉRIEURS ; par P. FLECHSIG et 0. II3EL. (Neu-
les cinq sixièmes au moins des fibres qui, des noyaux d'origine des
cordons
postérieurs gagnent, en traver- sant la couche
eau est donc également un centre sensitif (centre de réflexions des
cordons
postérieurs). L'alaxie qui se montre dans le ca
ariétaux est donc identique à celle qui se rattache aux lésions des
cordons
postérieurs. Cette dernière se complique de phé
e se complique de phénomènes tenant à l'interruption des fibres des
cordons
latéraux qui ne sont pas reliées aux ascendantes
Chez un paralytique général affecté de dégénérescence mar- quée des
cordons
latéraux, moindre des cordons postérieurs, la m
fecté de dégénérescence mar- quée des cordons latéraux, moindre des
cordons
postérieurs, la moelle cervicale présente l'ano
èmes de faisceaux ascendants de la moelle au cervelet. D'abord, les
cordons
postérieurs se composent de plusieurs pièces. P
velet (notamment le vermis supé- rieur) sont reliées aux noyaux des
cordons
latéraux qui reçoivent d'en bas une paitie des
s cordons latéraux qui reçoivent d'en bas une paitie des fibres des
cordons
latéraux. Il. Il existe des systèmes de faiscea
es foyers symétriques séparés. Ces foyers occupent souvent dans les
cordons
latéraux une très petite éten- due le long de l
près, peuvent être prises pour des scléroses primi- tives. Dans les
cordons
postérieurs, ces foyers forment quelquefois des
ent dans la syringomyélie; ils, indiquent que la lésion atteint les
cordons
latéraux. Il s'agirait dans - le cas présent d'
are les deux moitiés de la section de là la diminution du volume du
cordon
postérieur et du cordon inférieur et une déform
la section de là la diminution du volume du cordon postérieur et du
cordon
inférieur et une déformation marquée de la mati
peut remarquer une hyperplasie du tissu conjonctif dans la masse du
cordon
latéral du même côté. Par des grossissements pl
rveux; 2). du côté droit unediminution prononcée de fibres dans les
cordons
antérieur et postérieur, une diminution de cell
emps on y remarque le développement dans cette substance et dans le
cordon
latéral voisin des bandes de tissu conjonctif.
a moelle épinière est tout à fait annulée, dans la moitié droite le
cordon
latéral est le mieux conservé. Dans les régions
s' dégénérations secondaires, dont l'ascendante se localise dans le
cordon
de Goll et dans le faisceau direct du cer- vele
énération descendante s'était développée dans le bout postérieur du
cordon
latéral du même côté. En ce qui concerne le car
n particulier du pied. M. Oppenheim ? Un cas de lésion combinée des
cordons
de la moelle épinière dans l'enfance. Fillette
haletante. Autopsie. Légère hydro- céphafe avec lésion combinée des
cordons
postérieurs latéraux et antérieurs de la moelle
de faible intensité. La lésion des fais- ceaux pyramidaux dans les
cordons
latéraux se continue à travers l'entrecroisemen
pie de la substance grise. En outre, dégéné- rescence partielle des
cordons
postérieurs de la moelle cervicale et de la par
évropathique), se localise sur l'axe spinal et déve- loppe dans les
cordons
postérieurs les scléroses que, dans d'autres ca
aire, ce qui semble indiquer que chez le pigeon, il n'existe pas de
cordon
pyramidal ou bien que les filets psycho-moleurs s
midal ou bien que les filets psycho-moleurs sont dispersés dans les
cordons
médullaires. Au point de vue clinique, ce pigeo
ant à l'origine. Son faisceau vient non des derniers ves- tiges des
cordons
latéraux, mais de ceux des cordons postérieurs.
non des derniers ves- tiges des cordons latéraux, mais de ceux des
cordons
postérieurs. Il fait communiquer le corps resti
érieurs. Il fait communiquer le corps restiforme avec les débris du
cordon
postérieur ou noyau de Burdach (figures à l'app
l'appui). Le contingent des fibres du corps restiforme émanées des
cordons
pos- térieurs est considérable. Il reçoit à l'e
e. Plus haut, ces deux faisceaux se rapprochent et fusionnent en un
cordon
dont la situation correspond à celle du plus peli
s pelit ren- forcé ; un groupe de cellules occupe l'épaisseur de ce
cordon
, leur place correspond au noyau central inférie
latéral. - il. De grosses libres myéténiques allant au vestige du
cordon
autéro-latéral. H. La face supérieure (dorsale)
a partie supérieure de ce dernier organe et passent ensuite dans le
cordon
latéral. , , P. K. XXXIX. UN cerveau lourd; par
des fibres) du corps restiforme du côté gauche. De là : atrophie du
cordon
latéral du même côté et du noyau d'origine de c
atrophie du cordon latéral du même côté et du noyau d'origine de ce
cordon
. Disparition notable du système des fibres arci
à droite ou à gauche. Atrophie partielle des noyaux d'ori- gine des
cordons
postérieurs des deux côtés. Atrophie excessive du
olive de l'autre côté. Par conséquent, le corps restiforme joint le
cordon
latéral et le noyau d'origine du cordon latéral
e corps restiforme joint le cordon latéral et le noyau d'origine du
cordon
latéral du même côté; il est en connexion avec
est en connexion avec les noyaux d'origine (homonyme et croisé) du
cordon
postérieur (fibres arciformes externes, couche
uche intermédiaire des olives, fibres arciformes internes, noyau du
cordon
grêle) il est en relation avec la grosse olive
province du Rhin, 413. Contagion psychique, par Kuhnen, 283.
Cordons
postérieurs, émanant des circonvolutions centra
189; - lésions de la substance grise de la - dans les lésions des
cordons
latéraux, par Fuerstner, 128 ; - altérations
lysé et l'arc de cercle s'ac- cuse d'avantage comme s'il y avait un
cordon
qui tire sur la moitié gauche saine. Le malade
cielle des tubercules quadrijumeaux antérieurs, dans les noyaux des
cordons
postérieurs et dans le noyau de la couche rétic
déterminer de dégénérescence ascendante, ! la dégénéres- cence des
cordons
postérieurs doit être mise sur le compte de l'al-
fibres dégénérées sont disséminées à travers tout le territoire des
cordons
postérieurs altérés sur toute l'étendue REVUE D
V. Trajet ET MODE de terminaison DES fibres DU « champ ovale » DES
CORDONS
POSTÉRIEURS DE LA MOELLE LOMBAIRE ; par À. HoCHE.
s après le début de la compression. Les fibres du champ ovale des
cordons
postérieurs ont dans l'espèce subi la dégénéresce
endroit lésé, dans les portions postérieures les plus latérales des
cordons
cunéiformes, puis, elles gagnent la périphérie
parceque, les unes le long de la cloison, les autres à travers les
cordons
postérieurs, pénètrent obliquement en avant dans
la corne postérieure (des racines postérieures ? ) et vont dans les
cordons
postérieurs. Il est également probable qu'elles
de quarante-cinq ans, mort de démence para- lytique. Rien dans les
cordons
postérieurs. On constate à droite au niveau de
dont la branche verticale atteint à peu près le tiers antérieur du
cordon
cunéiforme, tandisque sa branche hori- zontale
éiforme, tandisque sa branche hori- zontale côtoie la périphérie du
cordon
postérieur, et lui est même contiguë à son extr
mmet occupe l'extrémité la plus postérieure de la limite externe du
cordon
de Goll ; un des côtés en est parallèle à la cl
diane dorsale, à peu près par le tiers postérieur de la longueur du
cordon
postérieur ; l'autre côté est immédiatement con
étroite qui, exactement adaptée à la forme de la limite externe du
cordon
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologique
giques 137 de GolJ, est contiguë à la périphérie la plus interne du
cordon
de Burdach. En arrière, elle débute à la périph
ire depuis ia 8° paire dorsale, aspect normal sauf une affection du
cordon
latéral typique, manifeste à toutes les hauteurs.
'un côté détermine une dégénérescence très marquée des faisceaux du
cordon
latéral dans les pyramides du côté opposé à la
cervean d'un côté, il se produit réelle- ment une dégénérescence du
cordon
latéral dans les pyramides des deux côtés ; - 2
es centres des mem- bres entraîne une dégénérescence bilatérale des
cordons
latéraux dans les pyramides. 2° Celle-ci a lieu
semaines au moins après l'opération, bien que la dégénérescence du
cordon
latéral des pyramides du même côté ne soit souv
du même côté ne soit souvent qu'indiquée. - 3° La dégénérescence du
cordon
latéral dans les pyramides du même côté que la
ème et le quatrième mois qui suit l'opération, la dégénérescence du
cordon
latéral dans les pyra- mides du même côté rétro
7° Il n'y a pas à l'intérieur de la moelle d'entre- croisement d'un
cordon
latéro-pyramidal avec celui de l'autre côté. P.
qu'un enfant de trois mois »; il était cyanosé et on dut saigner le
cordon
. Sa mère l'a nourri jusqu'à quinze mois; c'est
ptômes bulbaires et de salivation abondante. Notons d'abord que les
cordons
postérieurs et les racines spinales présentaien
71', I, I. THÉORIE DES NEURONES. 283 longues voies nerveuses des
cordons
postérieurs qui montent jus- qu'au niveau de la
ollatérales du bulbe olfactif, de la corne d'Am- mon, des fibres du
cordon
du grand sympathique. Dans la subs- tance blanc
les cylindraxes constituent la racine antérieure; les cellules des
cordons
, dont les prolongements nerveux constituent les
t les prolongements nerveux constituent les fibres des faisceaux ou
cordons
antérieur, latéral et postérieur du même côté. Le
s antérieur, latéral et postérieur du même côté. Les cel- lules des
cordons
donnent naissance d'ordinaire aux voies courtes
s de la substance blanche. D'après la situation topographique des
cordons
auxquels ces cel- lules donnent naissance, on d
ces cel- lules donnent naissance, on distingue : a, les cellules du
cordon
antéro-latéral du même côté; b, les cellules du
cellules du cordon antéro-latéral du même côté; b, les cellules du
cordon
postérieur du même côté; c, les cellules du cor
les cellules du cordon postérieur du même côté; c, les cellules du
cordon
antérieur du côté opposé (cel- lules commissura
ont le cylindraxe forme la commissure anté- rieure en se rendant au
cordon
antéro-latéral de l'autre côté). Les cylindraxe
t à une branche descendante, qui montent et descendent le long du
cordon
postérieur : ce sont les collatérales de ces bran
é- rieures envoient leurs cylindraxes presque entièrement dans le
cordon
latéral. L'existence d'une voie sensitive centr
grave (sclérose systéma- tique combinée : lésions prédominantes des
cordons
latéraux et postérieurs). Entre ces deux formes
e on a trouvé une dégénéralion de la moelle portant surtout sur les
cordons
postérieurs. Le venin de serpent, en injections
hus, les toxalbumines du choléra- La lésion intéressait surtout les
cordons
postérieurs et latéraux; sa répartition variait
ion des artères thyroïdiennes inférieures dont les rapports avec le
cordon
cervical sont parfois très intimes. Conclusions
XXXVIII. Dégénérescence descendante dans la partie lombo-sacrée DES
cordons
postérieurs DE la MOELLE; par A. BANCE et R. MUNI
écrire et localiser le faisceau GO en virgule » qui s'étend dans le
cordon
postérieur tout le long des régions cervicale et
t la dégénérescence est descendante. Il est situé vers le milieu du
cordon
postéro-externe, est parallèle au bord interne de
laient deux cas de tabès où la dégénérescence ascendante totale des
cordons
postérieurs dans la région lombo-sacrée avait l
rouva au-dessous de la lésion d'abord une dégénérescence totale des
cordons
antéro-latéraux et dans les cordons postérieurs :
d une dégénérescence totale des cordons antéro-latéraux et dans les
cordons
postérieurs : une ban- delette dégénérée qui oc
d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. bacci qui montrèrent le
cordon
postérieur entièrement dégénéré de bas en haut
onc un faisceau descendant autre que le faisceau en virgule dans le
cordon
postérieur. Conclusions : 1° Il y a un faisceau
. Conclusions : 1° Il y a un faisceau descendant distinct dans le
cordon
postérieur à la région lombo-sacrée; 2° ce faisce
e de la moelle d'un chien , survient une dégénération ascendante du
cordon
de Goll, qui se présente cependant fort peu acc
manière plus nette, vient se joindre la dégénération descendante du
cordon
de Lôwen- thal, autrement dit du faisceau margi
us dégénératif est atteint, après la section de la moelle, dans les
cordons
de Goll et de Lowenthal vers le huitième ou diz
ente aucune perte de substance. A noter une teinte grisâtre de deux
cordons
posté- rieurs et du faisceau pyramidal droit. A
s, tandis que les conducteurs des sensations tac- tiles suivent les
cordons
postérieurs en dehors de la substance grise.
fférencier. Dans le tabès, ces désordres résultent d'une lésion des
cordons
postérieurs interceptant le cours des arcs re-
spasmodique résulte d'une lésion bien différente intéressant les
cordons
moteurs. - L'étude des réflexes est d'un précie
ie névroglique, se dirigent du canal central vers les cornes et les
cordons
postérieurs. D'après les auteurs il s'agit ici
1861), la maladie est regardée comme la sclérose des racines et des
cordons
postérieurs. Plus tard, en 1870-72, l'Ecole de la
de Flechsig : le tabès commence par les bande- lettes externes des
cordons
postérieurs. En 1879, Vulpian ouvre la troisièm
es années, est bientôt rajeunie par les progrès de l'anatomie des
cordons
postérieurs qui apparaissent surtout formés par l
lace, la direct : nn, le volume des fais- ceaux qui constituent les
cordons
postérieurs. Cette étude d'ana- tomie normale,
dégénérations secon- daires de la moelle humaine, démontre que les
cordons
postérieurs possèdent deux systèmes de faisceau
tème renferme les fibres intrinsèques : fibres endogènes, fibres de
cordon
. Chaque système occupe une place définie et for
, l'autre ascendant; le système endogène descendant occupe, dans le
cordon
postérieur, une place variable suivant la haute
anatomique complète, de la fasciculalion, endogène et exogène, des
cordons
postérieurs. Puis, l'auteur passe à la topograp
aire postérieur; 2° au niveau des zones endogènes ; 3° au niveau du
cordon
de Goll. De nom- breuses figures, dessinées d'a
abord, le système radiculaire postérieur, depuis la racine jusqu'au
cordon
correspondant de la moelle. Les fibres moyennes
nes constitue le deuxième étage anatomique du tabes. La sclérose du
cordon
de Goll, si elle est, dans certains cas, le rés
nte, endogène ou exogène, au niveau des racines comme au niveau des
cordons
postérieurs. Le chapitre iv traite des conclusi
Convulsifs. Pathologie de certains accès -, par Furstner, 394.
Cordons
postérieurs. Dégénéres- cence de la partie lomb
de la- chez les chiens, par Gad et Flateau, 134. Champ ovale des
cordons
posténeurs de la - lombaire, par Hoche, 135.
Or, chez OS p. 400 des aliénés, on trouve dans la moelle, entre les
cordons
antérieurs et latéraux, un triangle caractérisé
- blement mise sur le compte de l'atrophie du noyau originaire du
cordon
cunéiforme du côté opposé. Le segment médian du r
ectique circonscrit; de véritables pertes de substance criblent les
cordons
postérieurs, et les cor- dons antéro-latéraux a
ombinée, caractérisée par la dégénérescence de diverses parties des
cordons
postérieurs et la perte de fibres dans les fais
is l'hémiplégie unique du malade, la locali- sation des lésions des
cordons
postérieurs à la moitié supérieure de la moelle
périeure de la moelle, au contraire la généralisation de celles des
cordons
latéraux à toute la longueur de l'organe, l'ana
- tion avec celles du pédoncule cérébral , leur forme au sein des
cordons
postérieurs , l'absence d'ataxie et de lésions tr
on écrite a eu lieu lundi 10 dé- cembre. La question donnée a été :
Cordon
postérieur de la moelle {anatomie et physiologi
ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE RECHERCHES SUR LA STRUCTURE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS ' DE LA MOELLE ÉP1NIÈRE DE L'HOMME
1NIÈRE DE L'HOMME ; Par le Professeur N. POPOFF, de Varsovie. Les
cordons
postérieurs de la moelle épinière de l'homme, p
le faisceau externe, dit faisceau de Bur- dach, occupe le reste des
cordons
antérieurs, touchant au bord interne de la corn
des foetus, à différentes époques d'évolution, il a trouvé que les
cordons
de Burdach (Grundbündel der Hinterstrange d'apr
ctionnée de coloration de Veigert, a constaté que la division des
cordons
postérieurs sus-mentionnée manquait d'exac- tit
Il se base sur le fait que les foetus de cinq à six mois, dont les
cordons
postérieurs commencent à peine à se recouvrir d
(au commencement du septième mois de la vie intra-uterine) dans les
cordons
postérieurs, où les faisceaux de Goll étaient e
Unlersachrtng. Neurol. ihrer Enlwicldung Centralb., 1885, n" 2. DES
CORDONS
POSTERIEURS' DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 1 î ) fibre
tereff, à ce qu'il me paraît, rapporte le dépôt de myéline dans les
cordons
de Goll à une époque plus éloignée, que ne le f
formée, tandis que ceux de leurs parties externes, qui limitent les
cordons
de Burdach, en étaient encore presque dénués. D
n posléio- penphen<)neduYaisseandcUtud.n'h.E,J.apic-mi;re. DES
CORDONS
POSTÉRIEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 181 mentionn
ème mois de la vie utérine, mais la limite externe des faisceaux de
cordons
de Goll, privés de myéline, ne tranchait pas as
e d'avant et de dehors en arrière et au dedans et 182 ANATOMIE. DES
CORDONS
POSTÉRIEURS DE LA MOELLE. atteint ainsi la régi
res émergent des cornes postérieures, le long du bord antérieur des
cordons
postérieurs, elles pénètrent dans la commissure
LOGIE DU TARES. 183 venant, comme celles de la première partie, des
cordons
de Clark. J'ai pu constater sur mes préparation
éline, ou n'en avaient qu'une faible quantité, quand les fibres des
cordons
de Clark se dis- tinguaient déjà par une envelo
t au côté opposé. Le deuxième faisceau, constitué par les fibres du
cordon
grêle, se sépare du précédent, se dévie un peu
s unes, plus nombreuses pas- sent dans la région antéro-interne des
cordons
de Burdach et, après un court trajet vertical,
aissance. Les unes pénètrent dans la partie la plus postérieure des
cordons
latéraux et se terminent dans les cellules de l
rnière partie de fibres grêles occupe la région la plus externe des
cordons
de Burdach. De la colonne de Clarke, où aboutis
fibres, partent trois ordres de fibres : 1° Les unes traversent le
cordon
latéral vers sa périphérie pour constituer le f
érébelleux direct; 2° d'autres vont à la partie postéro-interne des
cordons
de Burdach ; quelques-unes de ces fibres prenne
nt part à la cons- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 279 titution des
cordons
de Goll; 3° enfin les dernières se dirigent en
traversent la commissure grise et forment le faisceau limitant du
cordon
antéro-latéral. D'autres fibres partant de ces ce
es fibres partant de ces cellules forment le plus grande partie des
cordons
de Goll. En résumé, il y a deux systèmes de fib
ses fibres internes, donnant naissance à la partie périphérique des
cordons
de Burdach, et au faisceau cérébel- leux direct
; 2° les minces fibres externes formant un système' particulier du
cordon
antéro-latéral du côté opposé et les cordons de
stème' particulier du cordon antéro-latéral du côté opposé et les
cordons
de Goll. Ces deux systèmes anatomiques, se déve-'
isceau cérébelleux direct; il reste donc la région périphérique des
cordons
de Burdach pour des-' servir cette fonction. Qu
rnes, celles de, leurs fibres qui participent à la constitution des
cordons
de Goll, elles ne servent pas à la conduction d
est croisée. C'est donc le faisceau formant la région limitante du
cordon
antéro-latéral qui doit être considérée comme c
me conducteur de ce mode de sen- sibilité. On peut admettre que les
cordons
de Goll servent à des réflexes cutanés nécessai
par M. Rosso- limo ; cet auteur affirme que le centre trophique des
cordons
postérieurs ne siège pas dans les ganglions int
- vertes suivantes : A la naissance, la région antéro-interne des
cordons
de Burdach est seule pourvue de myéline, dans les
ines postérieures donne le même résultat. Au cinquième jour tout le
cordon
postérieur contient des fibres à myéline, et le
jour tout le cordon postérieur contient des fibres à myéline, et le
cordon
de Goll excité donne naissance à des contractio
contractions musculaires généralisées, sans douleur. Le fait que le
cordon
de Goll ne devient excitable qu'à ce moment, al
a constaté les dégénérescences classiques du faisceau pyramidal des
cordons
de Goll et du faisceau cérébelleux direct. Il n
Au neuvième mois de la vie embryonnaire, les fibres internes des
cordons
de Goll contiennent déjà de la myéline, tandis
tes chroniques, scléroses multiloculaires, affections combinées des
cordons
); dans les lésions hémilatérales de la moelle (
(d'où paralysie avec exagération des phénomènes tendineux), et des
cordons
postérieurs (douleurs névralgiques podaliques)
: dégénérescence funiforme de la moelle soit exclusivement dans les
cordons
postérieurs (deux cas), soit con- curremment da
s les cordons postérieurs (deux cas), soit con- curremment dans les
cordons
postérieurs et les parties postérieures des cor
emment dans les cordons postérieurs et les parties postérieures des
cordons
latéraux (lésion symétrique bilatérale associée).
- ralement les zones d'entrée des faisceaux radiculaires dans les
cordons
postérieurs sont épargnées, ou la lésion n'y est
icieuse, des expériences rotatives de Fuerstiier (vulnérabilité des
cordons
postérieurs et postéro-latératix) ; ressemblanc
pathologie nerveuse. vait des altérations très caractéristiques des
cordons
postérieurs de la moelle épinière. Par la com
uis pas ne pas' indiquer la grande part qu'y prennent justement les
cordons
postérieurs de la moelle épinière; ainsi Fuczek
ration des nerfs périphéri- ques), il y avait des troubles dans les
cordons
posté- rieurs de la moelle épinière sans foyers
moelle épinière d'un gnr- çon mort du diabète et là aussi, dans les
cordons
pos- térieurs, j'ai trouvé (la moelle était dur
font ressortir d'une manière toute spéciale, le rôle des fibres des
cordons
postérieurs de la moelle épinière; elles semble
rovenant d'un cas de maladie de 't'eat. Outre la dégénérescence des
cordons
postérieurs et d'une zone périphérique du cordo
égénérescence des cordons postérieurs et d'une zone périphérique du
cordon
latéral, le faisceau pyra- midal avait été touc
rnaient la striation du cylindre-axe des nerfs périphériques et des
cordons
nerveux centraux. Tous les nerfs présentent cet
rieure du cerveau. -Le Médecin, n° 38, 1886. De la constitution des
cordons
postérieurs de la moelle chez l'homme. Revue de
men- tale, 118; des médecins et chi- rurgiens américains, 489.
Cordons
postérieurs (structure des de la moelle chez l'
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE I. SUR LES parties constituantes DES
cordons
postérieurs DE la MOELLE. ÉTUDE BASÉE SUR L'EXA
tion de la myéline. Le revêtement myélinique des fibres a, dans les
cordons
postérieurs, à peu près terminé son évolution p
. P. K.. II. CONTRIBUTION A la connaissance DU trajet DES fibres DU
CORDON
postérieur dans la moelle allongée ET LE pédonc
e de Weigert, dans le but d'élucider cette question. Les fibres des
cordons
postérieurs traversent-elles les olives pour ga
partie supérieure de 'entrecroisement des pyramides, qui émane des
cordons
postérieurs est, embryogéniquement. pourvue de
ban de Reil monte et se continue jusqu'à ce que tous les libies des
cordons
postérieurs soient parvenus à la couche intermé
et d'un nombre croissant de fibres réticulaires, les faisceaux des
cordons
postérieurs tracent ils travers la substance gr
des fibres qui leur appartiennent, d'où l'erreur que les fibres des
cordons
postérieurs viennent se rendre aux olives mêmes.
es. La vérité .est qu'il ne demeure dans les olives aucune fibre du
cordon
postérieur; toutes les fibres de ce dernier se
que cette couche augmente suprà, le taux des fibres des noyaux des
cordons
postérieurs diminue; il en est peu parmi elles
e des olives ou ruban de Reil du côté opposé des fibres issues du
cordon
postérieur (exclusivement du faisceau de Burdach
ivement du faisceau de Burdach ? ) une .petite partie des fibres du
cordon
postérieur (exclusivement em- pruntées au faisc
estiforme n'a, en fait de myéline, que l'appoint que lui donnent le
cordon
postérieur, le nerf auditif, le nerf trijumeau.
ons latéraux qui se rendent au cervelet; b, des fibres émanées . du
cordon
postérieur du même côté, et peut-être de celui du
envoiedès son origine un tractus qui s'annexe aux fibres émanées du
cordon
cunéiforme pour gagner, en traversant la grosse o
ruban de Reil. Les grosses olives ne sont directement unies ni aux
cordons
postérieurs, ni au ruban de Reil; un tractus de f
yra- mides ou des noyaux des faisceaux grêles et cunéiformes. Les
cordons
postérieurs poussent donc principalement leurs ra
sses olives représentent des relais intercalés non entre la moelle (
cordons
postérieurs) et le cervelet (opinion de 1 Voy.
rance-et des pédoncules cérébraux, dans la région de la calotte, un
cordon
volumineux, bien limité, nettement tranché, de
iderait à former la capsule blanche. Il faut éviter de confondre ce
cordon
central de la calotte avec un petit faisceau visi
ais contre lui; ce faisceau, pourvu de myéline bien plus tôt que le
cordon
en question, semble, chez le nouveau-né d'un mois
6 82 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. se confondre avec notre
cordon
; chez le foetus de sept mois, il se sépare trè
des autres parties de la formation réti- culaire, par conséquent du
cordon
central ; et se compose de fibres issues de la
isceau longitudinal postérieur, s'en- chevêtrent avec une partie du
cordon
central, mais on reconnaît chez les foetus de s
les premiers sont munis de forts manchons de myéline tandis que le
cordon
central est encore amyélinique. Le cordon centr
de myéline tandis que le cordon central est encore amyélinique. Le
cordon
central gagne le cerveau en s'infléchis- sant e
u cervelet, les giosses olives font presque complètement défaut, le
cordon
central de la calotte manque absolument, les no
re le plus interne, et la partie postérieure du groupe externe. Les
cordons
latéraux envoient de puissants trousseaux de fi
ruban de Reil, les fibresarciformes correspondantes, les noyaux des
cordons
grêles et cunéiformes, tandis que, lorsqu'on en
COMPLEXES symptomatique TOUT particulier dans UN CAS DE LÉSION DES
CORDONS
POSTÉRIEURS DE LA MOELLE; par C. Westphal. (Ai-
es entrefaites, le malade meurt et l'autopsie révèle une lésion des
cordons
postérieurs à disposition spéciale, entreles fa
a moelle dorsale. En même temps, la partie la plus anté- rieure des
cordons
latéraux est, sur une hauteur de 1 c. 5 dans la
les. Hyperplasie interstitielle avec atrophie des tubes nerveux des
cordons
grêles et cunéiformes dans le bulbe; cette lési
es racines ascendantes des triju- meaux sans toucher aux noyaux des
cordons
en question. Névrite parenchymateuse des nerfs
phérique (intégrité des racines postérieures, légère altération des
cordons
posté- rieurs) ; que la paralysie du membre doi
erveux moteurs des nerfs et non à la dégé- nérescence minuscule des
cordons
antéro-latéraux, bien que les muscles correspon
r de la corne postérieure gauche, dans les faisceaux pyramidaux des
cordons
latéraux et dans les faisceaux cunéiformes exte
s indiquent l'atteinte des tractus moteurs qui vont de l'écorce aux
cordons
latéraux; l'hyperesthésie, rapprochée d'un cert
'un certain degré d'ataxie, remonte peut-être à une affection des
cordons
postérieurs ; quant à l'incomplet développement d
; intégrité des couches profondes. Nous passons sur les lésions des
cordons
postérieurs, des nerfs opti- ques, des nerfs ol
oint de vue histologique, et par com- paraison, un cas de lésiondes
cordons
postérieurs, n'apasvu que la névroglie,au début
nt de la disparition des gaines myéli- niques. Dans la sclérose des
cordons
postérieurs, il s'agit aussi d'un processus .hi
dans la sclérose en plaques. P. KÉR4VaL. XVII. DÉGÉNÉRESCENCE DES
CORDONS
DE GOLL CHEZ UN BUVEUR J par OSW. VIERORI)T. (A
Phthsiie pulmonaire à marche rapide. Autopsie. Dégé- nérescence des
cordons
de Goll ayant atteint le bulbe, la moelle cervi
oelle dorsale. Faible dégénérescence dans les parties latérales des
cordons
postérieurs, au niveau de l'ex- trémité inférie
elle dorsale et de la moelle lombaire. Dans le bulbe, la lésion des
cordons
de Goll est totale. Dans la moelle cervicale su
ale. Dans la moelle cervicale supérieure, la partie postérieure des
cordons
de Goll est 4) I si REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
cles et des fibres. L'auteur admet une dégénérescence primitive des
cordons
de Goll avec exten- sion consécutive, selon les
fibres issues des racines postérieures et des parties externes des
cordons
postérieurs, et des si lires si nés qui constitue
a corne postérieure); un segment de cette dernière monte le long du
cordon
latéral; un autre se perd en partie dans la sub
tie dans la substance gélatineuse, en partie dans l'in- térieur des
cordons
postérieurs. Douze cas de tabes dont six ob- se
a corne postérieure; 4o les irradiations (fibres fines) du noyau du
cordon
postérieur (zones radiculaires de Struempell);
t tard, et leur lésion fait des progrès lents. Les irradiations des
cordons
postérieurs se comportent comme les parties cor
stérieurs se comportent comme les parties correspondantes des mêmes
cordons
dont elles émanent; elles viennent des zones ra
e sont d'abord les fibres fines mé- dianes, celles qui viennent des
cordons
postérieurs de la région lombaire, qui dégénère
reçoit des trousseaux de fibres émanées de parties très diverses du
cordon
postérieur et provenant de hauteurs très différ
membranes et de la substance grise, des points de sclérose dans les
cordons
de substance blanche et des varia- tions de la
lent. L'examen microscopique a révélé des lésions symétriques des
cordons
latéraux dans quatre cas de paralysie générale. D
atéraux dans quatre cas de paralysie générale. Dans au- cun cas les
cordons
antérieurs n'étaient altérés : une seule fois les
taient altérés : une seule fois les zones radiculaires externes des
cordons
postérieurs étaient affectés et du reste on ava
observé des symptômes d'ataxie pendant la vie. Dans quatre cas, les
cordons
de Golf étaient plus ou moins lésés. 0-ii-a con
n intesti- nale due à des matières lé- cales, par Squires, 316.
Cordons
postérieurs (complexus symptomatiques tout part
rmis de localiser ces voies centripètes du sens musculaire dans les
cordons
postérieurs. Aussi bien n'y a-t-il de ce côté a
oiqu'en petit nombre, on peut suivre jusque dans la moelle jusqu'au
cordon
latéral du côté opposé. La lésion isolée du centr
des fibres nerveuses les plus fines dans les parties scléreuses des
cordons
de la moelle, peut être le produit d'une dégéné
loi de succes- sion formulée. P. Keraval. XVII. La phylogénèse du
cordon
antérieur des pyramides; par G. l3¡KELE.S. (Neu
feinere Bail £ le)' ilrerureasystems (1895) de Lenhossek dit que le
cordon
antérieur des pyramides se substitue aux fibres
des pyramides qui ne s'entrecroisent pas et occupent d'ordinaire le
cordon
latéral, et que dans la moelle des mammifères o
ivores, toutes les fibres, entrecroisées ou non, peuvent occuper le
cordon
latéral, chez l'homme, les fibres, qui ne s'ent
es qui s'entrecroisent, descendent, indépendantes, sous la forme du
cordon
antérieur des pyramides, en continuant directem
ectement leur trajet cérébral. Dans les cas donc où il n'y a pas de
cordon
antérieur des pyramides, on doit admettre que les
des pyramides, on doit admettre que les fibres qui eussent formé ce
cordon
se sont jointes non au cordon REVUE D'ANATOMIE
e que les fibres qui eussent formé ce cordon se sont jointes non au
cordon
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 153 latéral croisé des pyramides, mais au
cordon
latéral des pyramides du même côté. D'après l
édente de Lenhossek, on devrait penser que quand il n'existe pas de
cordon
antérieur des pyra- mides, une lésion de la cap
misphère cérébra ira, dans la moelle produire une dégénérescence du
cordon
latéral du côté opposé ainsi qu'une dégénéresce
nce du cordon latéral du côté opposé ainsi qu'une dégénérescence du
cordon
latéral du même côté notablement plus considéra
la capsule interne. On constate une dégénérescence considérable du
cordon
latéral du côte opposé ; dans le cordon antérie
énérescence considérable du cordon latéral du côte opposé ; dans le
cordon
antérieur du même côté, près du sillon antérieu
près du sillon antérieur, quatre à six mottes noires esquissent un
cordon
antérieur des pyramides réduit au minimum, le c
esquissent un cordon antérieur des pyramides réduit au minimum, le
cordon
latéral du même côté contient simple- ment, dan
nt le nombre n'est point du tout plus grand que dans des cas où les
cordons
antérieurs des pyramides sont bien développés (
antérieur des pyramides ne se substi- tue pas du tout aux fibres du
cordon
latéral des pyramides qui ne s'entrecroisent pa
roduire, dans le point où chez l'homme existe une dégénérescence du
cordon
antérieur des pyramides, une très intense dégén
et quelques mammifères, se transforment au moins en partie en longs
cordons
. P. Keraval. XVIII. Du trajet central du faisce
rieures une dégénérescence ascendante du faisceau fondamental du
cordon
antérolatéral. Figures. La description détaillé
ns le territoire des faisceaux latéro-cérébel- leux ; des noyaux du
cordon
de Goll, du même côté, quelques libres dégénéré
, en bas, des fibres infléchies au corps restiforme; des noyaux des
cordons
de Goll partent encore des fibres dégénérées qu
anes et territoires sus-indi- qués, fournissent quelques fibres aux
cordons
latéro-cérébelleux sur toute l'étendue du corps
r toute l'étendue du corps restiforme, reçoivent quelques fibres du
cordon
de Goll du même côté, s'entre-croisent partiellem
ne dans les circonvolutions du vermis supérieur. Quelques fibres du
cordon
de Goll non-entre-croisées passent sans subir d
I. Contribution à la technique histologique des dégénérescences des
cordons
tout à fait au début ; par K. SCHAFFER. (Neurolog
es deux stades caractéristiques de la dégénérescence secondaire des
cordons
. C'est pour le premier stade (résolution des ga
racines posté- rieures dans la région dorsale moyenne seulement. Le
cordon
de Goll est sain sur la plus grande partie de l
tend à démontrer : 1° que les lésions dégénératives ascendantes des
cordons
postérieurs de la moelle, de quelque ori- gine
en a un de chaque côté, en avant du segment de cercle antérieur des
cordons
postérieurs, d'égal volume, mais celui de droit
te ? Et ces trousseaux proviennent-ils exclusivement des noyaux des
cordons
postérieurs ? Figures. Chez un chat de six jour
jonction des trousseaux de la formation réticulaire ou restes du
cordon
latéral. A la partie la plus inférieure du pédo
t, au nom du corps médical de l'Asile clinique (Sainte-Anne). Les
cordons
du poêle pendant le trajet de l'Asile clinique à
cace des injections'sous-cu- tanées de spermine sur la sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle épinière peut être nom
e regarder ces malades comme complètement guéris de la sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle épinière. Prof. D' S
e Tschermak a, chez le chat, trouvé des fibres communes au noyau du
cordon
postérieur et au noyau lenticulaire. Il y a don
P. Keraval. LXIV. Contribution à la dégénérescence descendante du
cordon
postérieur; par J. ZAPPERT. (Nearolog. Centrulb
pas à apparaitre saines dans la région des contingents latéraux du
cordon
postérieur. Il demeure en revanche un reste de
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 423 d'autant plus apparente que les
cordons
postérieurs sont ailleurs indemnes de fibres dé
e plus, au niveau de la moelle dorsale, que la partie antérieure du
cordon
postérieur, vers la substance grise de la corne
l faut une grande attention pour voir quelques grains noirs dans le
cordon
postérieur droit et il n'y a plus rien du tout
n réelle, quoique faible, d'une zone postéro- médiane. En outre, le
cordon
postérieur, dans toute la moelle dorsale. prése
nérescence médiane, toujours située dans les parties antérieures du
cordon
postérieur; de cette dégénérescence-là on ne co
de la ligne médiane et s'éparpille dans les parties antérieures du
cordon
postérieur. La plu- part des fibres de la zone
iveau de la moelle dorsale supérieure, dans la partie antérieure du
cordon
postérieur. P. KERAVAL. LXV. Contribution à l'é
. On ne les a pas laissé sortir de la maison, qui est cernée par un
cordon
de gardes champêtres. Un détail : le cadavre avai
. P. KERAVAL. LXXII. Note relative au champ cortical des fibres des
cordons
pos- térieurs ; par A. TSCIfCR61AH. (Neurolog.
l., XVII, 1898.) Chez le chat on détruit les noyaux médullaires des
cordons
pos- térieurs ; les gaines myéliniques disparai
face postérieure du noyau lenticulaire. Les cellules des noyaux du
cordon
postérieur envoient donc des fibres directes du
tème de fibres croisées qui vont de l'écorce du cerveau au noyau du
cordon
postérieur, et passent par la masse de la couche
meaux latéraux. Il est surtout formé des fibres longues du noyau du
cordon
postérieur qui se terminent dans la couche nucl
e la couche optique. C'est le système thalamique croisé du noyau du
cordon
postérieur. Quelle partie de l'écorce gagnent l
l'écorce située autour du sillon de Rolando que part le système du
cordon
latéral des pyramides, autrement dit une partie
près le début, quelquefois trois ans. Anatomie pathologique : Les
cordons
postérieurs sont pris les premiers et plus fort
parties postérieures et médianes. Plus tard et à moindre degré, les
cordons
latéraux sont atteints surtout au niveau des fa
belleux directs et des faisceaux de Gowers, l'intégrité absolue des
cordons
postérieurs et des zones radiculaires postérieure
s difficile. Deux faits de chirurgie testiculaire : 10 Névralgie du
cordon
trai- tée avec succès par la résection de ses n
ction de ses nerfs;2° Epilepsie avec aura au niveau d'un névrome du
cordon
; ablation. - 1\1. CHIPAIILT. Les deux faits sui
u reste de consistance et de forme normales. Résection des nerfs du
cordon
. Hypoesthésie transitoire de la bourse. Amélior
ra douloureux et crémasté- rien dans la bourse gauche. Le palper du
cordon
détermine des crises. Opothérapie testiculaire
at passager. Sous mes yeux, en six mois, se développe une tumeur du
cordon
dont le palper provoque l'aura caractéristique.
t traumatiques avec énilepsie essentielle. par 1111rallir, 226.
Cordons
postérieurs. Dégénéres- ceuces descendantes des
oculau et - par Capps, 527. - avec aura au niveau d'un névrôme du
cordon
. par Chipault, 132. EPIL¡;PTIQU¡;. Les songes
158. Neurologie CHIRURGICALE, par Chi- pault, 455. Névralgie du
cordon
, résection des nerfs, par Chipault, 532. Névr
Phobies tactiles et visuelles, par Fal'r'z, 151. Phylogénese du
cordon
antérieur des pyramides, par Bikeles, 152, Pi
crit, par Westphal, 313 ; par l'eltz, 313, Pwmues. Philogenèse du
cordon
antérieur des -, par Bilcebs, 152. Radial.
lots sont absolument décolorés (voir fig. 7). Ils siègent dans les
cordons
antérieurs, dans les cordons latéraux au niveau
és (voir fig. 7). Ils siègent dans les cordons antérieurs, dans les
cordons
latéraux au niveau de l'extrémité antérieure de
u niveau de l'extrémité antérieure des cornes antérieures, dans les
cordons
postérieurs, sur les deux bords du sillon médian
entourées d'une couche de myéline. Au voisinage des deux foyers des
cordons
latéraux, vers la périphérie et en arrière au n
rieure du renflement lombaire, on constate encore, surtout dans les
cordons
latéraux, quelques cylindres-axes luméfiés :
l'oeil nu, on remarque que la substance blanche, surtout celle des
cordons
latéraux et plus d'un côté que de l'autre, est po
morbides, offrant une distribution asymétrique, siégeant dans les
cordons
postérieurs, dans les cordons antérieurs, dans le
bution asymétrique, siégeant dans les cordons postérieurs, dans les
cordons
antérieurs, dans les cordons latéraux, affectan
dans les cordons postérieurs, dans les cordons antérieurs, dans les
cordons
latéraux, affectant, par conséquent, à peu près
mide du côté opposé d'où elle descend dans le faisceau pyramidal du
cordon
latéral de la moelle : cet entre-croisement est
nde, de fibres qui se prolongent sans inter- ruplion avec celles du
cordon
de Goll du même côté ou du côté opposé. - 3° Le
cordon de Goll du même côté ou du côté opposé. - 3° Les fibres des
cordons
de Goll ont leur centre tro- phique non dans le
- - 4° Impossible d'expliquer encore la valeur physiologique des
cordons
de Goll. P. K. III. Contribution A la QUESTION
ence du faisceau pyramidal qui, après s'être entre-croisé, gague le
cordon
latéral ; le faisceau pyramidal non entre-croisé
sceau pyramidal non entre-croisé est demeuré intact, de même que le
cordon
antérieur. - Conclusions : 1° Il n'existe pas d
e corticale motrice, au moins des deux régions sus- énoncées, et le
cordon
latéral homonyme. Il est probable qu'il n'en ex
rendent, en décrivant une inflexion presque anguleuse, à travers le
cordon
latéral (ou à travers la substance de la corne
I. Remarques sur la DÉGÉNÉRESCENCE ascendante ANTÉRO-LATÉRALE ET LE
cordon
aNl'GItO-L.1TI : ftaL ascendant de la MOELLE; par
l. Centralbl., 1886.) Dégénérescence secondaire ascendante dans les
cordons
laté- raux en avant du faisceau pyramidal. Il s
du renflement lombaire, la dégénérescence est des plus nettes, le
cordon
lésé est des plus épais en avant du point de cont
le faisceau antéru-latéral ascendant est en entier contenu dans le
cordon
latéral en avant du faisceau pyramidal. Il form
nt il est le pro- longement, car, dans un cas de dégénérescence des
cordons
de Goll par lésion de la queue de cheval, l'aut
e cérébrale. P. K. XV. SUR LES rapports DU CORPS HESTIFORME avec LE
CORDON
POSTÉRIEUR ET SUR LE NOYAU DU CORDON POSTÉRIEUR
ts DU CORPS HESTIFORME avec LE CORDON POSTÉRIEUR ET SUR LE NOYAU DU
CORDON
POSTÉRIEUR ; EN OUTRE, REMARQUES SUR deux ZONES
oduire les connexions que Meynert prélendait très fournies entre le
cordon
postérieur et le cervelet. Il s'agit particuliè
de la myéline. Enfin il insiste sur le schéma géné- ral du noyau du
cordon
postérieur avec les systèmes de fibres qui en p
postérieur avec les systèmes de fibres qui en partent. Le noyau du
cordon
postérieur d'un côté est en rapport avec les lo
don postérieur d'un côté est en rapport avec les longues fibres des
cordons
postérieurs, avec la tête du corps restiforme d
le segment interne du bulbe du côté opposé; il est possible que les
cordons
postérieurs soient en con- nexion avec les fibr
ibres correspondantes. Une subs- tance grise plus externe (noyau du
cordon
postérieur) est indubi- tablement un noyau seno
s olives proprement dites, le systèmearcué inférieur l' du noyau du
cordon
postérieur, à la partie la plus inférieure du c
g des fibres pyramidales, gagnant le faisceau de Turck gauche et le
cordon
latéral droit. L'intérêt principal de l'observa
leur résistance aux mouvements' passifs annonçait une affection des
cordons
latéraux, landis que d'autre part, l'abolition
ervation du malade entraînait au delà du diagnostic de sclérose des
cordons
posté- rieurs et latéraux; les symptômes ne man
chenschrcf't 1888, n° 5). Voici la confirmation du diagnostic. Les
cordons
de Goll et les faisceaux pyramidaux témoignent d'
ne et de quelques cylindraxes dans la moelle, notamment le long des
cordons
postérieurs. AI. OTTO (de Dalldorf). De la para
miques et chez les indi- vidus en état de misère physiologique, les
cordons
postérieurs de la moelle sont dégénérés. C'est
ralysie géné- rale tabétique, la paralysie générale avec lésion des
cordons
posté- rieurs de Thomsen. 111. OLnH.RL. Chez vi
la irophicité médullaire. En s'étendant du centre de la moelle aux
cordons
antérieurs, elle détermine la parésie et l'alro-
termine la parésie et l'alro- phie musculaire, et en s'étendant aux
cordons
postérieurs, l'anal- gésie et les autres espèce
e Charcot chez laquelle on trouva, à l'au- topsie, une sclérose des
cordons
latéraux. Vous entrevoyez de la sorte les diffi
deux frontales supérieures gauches, et la dégénérescence grise des
cordons
postérieurs. Névrite optique du côté droit. P.
vulsions épileptiformes, affaiblis- sement intellectuel, lésion des
cordons
postérieurs avec disparition du phénomène du ge
- respondant au membre amputé et la dégénérescence secondaire des
cordons
postérieurs en relalion avec les racines. Ces mut
ement des pyramides, il semble continuer les derniers éléments du
cordon
latéral; on le suit dans la région de l'entrecroi
rousseau distinct et dense pour se diviser un peu au-dessus en deux
cordons
accolés ; puis, à mi-hauteur du bulbe il se per
un trait d'union anormal entre le cervelet, le corps restiforme, le
cordon
latéral. M. EDEL (de Charlottembourg). De la th
aux pieds et aux jambes. On voyait parfois comme des empreintes de
cordons
qui auraient serré avec force ses jambes dans l
r leur côté .interne et médian, au point où elles pénètrent dans le
cordon
postérieur. Si la section a porté sur les racin
acré, le prolon- gement dégénératif des fibres radiculaires dans le
cordon
posté- rieur gagne sur la ligne médiane le fais
ale des racines en question, entraîne l'exclusive dégénérescence du
cordon
postérieur du côté de la racine sectionnée. P.
r développement. On est de cette manière certain de l'autonomie des
cordons
antéro-latéraux, et de celle du cordon grêle de
certain de l'autonomie des cordons antéro-latéraux, et de celle du
cordon
grêle de Goll. Les premiers ont une action excito
s inféro-latéraux du losange en question, depuis le ren- nement des
cordons
grêles jusqu'aux angles antéro-latéraux. Leur exc
9. Coqueluche, hémiplégie consécutive à la -, par Moebius, 257.
Cordon
antéro-laléral, par Gowers, 89; -rapport du cor
fibres radi- cuiaires postérieures de la-, par ltossolimo, 83; -
cordon
antéro- latéral de la -, par Gowers, 89 ; hét
et un rameau descen- dant, qui circulent eu haut et en bas sur les
cordons
posté- rieurs, et qui s'anastomosent avec des r
racines postérieures et circulent sur la partie la plus reculée des
cordons
latéraux : elles sont fournies par les branches
ssi longitudi- nalement, et ainsi se trouvent formées, derrière les
cordons
postérieurs, les anastomoses postérieures (anas
es que la veine médiane. Elles cheminent sur la face antérieure des
cordons
latéraux au milieu des faisceaux des racines, t
dans la com- missure grise, dans les cornes postérieures, entre les
cordons
postérieurs. Au point de vue topographique, ces
es postérieures, les diver- ticules sont à la partie antérieure des
cordons
postérieurs ou dans l'intervalle qui les sépare
qu'il y a moins d'obstacle à l'extension d'un diverticule dans les
cordons
postérieurs qu'à la simple dilatation du canal
s la substance grise et la commissure, jamais dans les cavernes des
cordons
postérieurs. La paroi résulte de l'épaississeme
e. On rencontre une dégénérescence diffuse de moyenne intensité des
cordons
postérieurs à la région lombaire ; les segments
; les segments les plus externes des faisceaux cunéiformes, et les
cordons
postérieurs à la ré- gion dorsale, sont partiel
ue à mesure qu'elle atteint le segment cervical ; à ce ni- veau les
cordons
de Goll participent faiblement au processus. L'
approche l'absence de réflexe patel- laire de la dégénérescence des
cordons
postérieurs dans la ré- gion lombaires (intégri
e des cordons postérieurs dans la ré- gion lombaires (intégrité des
cordons
latéraux). Il appelle l'at- tention : sur la no
s ou paresthésies en rapport avec le degré moyen d'altération des
cordons
postérieurs en la région lombaire, sur les parest
De combien de sys- tèmes de second ordre se compose le domaine des
cordons
pos- térieurs ? L'atrophie générale de la régio
onc- tif périnévritique. P. K. VIII. Cas d'affection combinée des
cordons
DE la moelle AVEC ALTÉRATION DE LA SUBSTANCE GR
879 de pneumonie. -L'autopsie décèle une dé- générescence grise des
cordons
latéraux de la moelle cervicale ; de la pachymé
ue du lobe inférieur droit. On trouve au microscope des lésions des
cordons
de Goll, depuis leur origine jusqu'en bas, avec
puis leur origine jusqu'en bas, avec empiétement irrégulicr sur les
cordons
de Burdach ; les cordons latéraux sont pris, de
bas, avec empiétement irrégulicr sur les cordons de Burdach ; les
cordons
latéraux sont pris, depuis la moelle lombaire jus
deuxième paire cervicale ; diffusion de ces altérations aux autres
cordons
dans la moelle dorsale supérieure. Disparition
de la substance grise des cornes antérieures à l'envahissement des
cordons
latéraux et du faisceau pyramidal, l'une étant
mes altérations existaient à la région cervicale, mais limitées aux
cordons
de 1·ürcl : . Dans un second mémoire, M. Gibney
s ; à l'autopsie, les lésions intéressaient sur- tout la partie des
cordons
latéraux qui aoisine les cornes posté- rieures
e la lésion est toujours périphé- rique, qu'elle n'intéresse que le
cordon
nerveux ou tout au moins un noyau qui lui est e
olumineuse; la dure-mère est injectée; sa partie correspondante aux
cordons
antérieurs est tapissée par une fausse membrane
force nerveuse qui lui donne naissance est due à l'interruption des
cordons
nerveux. R. BL. etJ. P. REVUE DE PATHOLOGIE N
e cervicale inférieure, il existe une dégénérescence ascendante des
cordons
postérieurs qui atteint une partie bien plus ét
organes que les faisceaux de Goll.Par suite, laportion interne des
cordons
posté- rieurs représente, dans l'ensemble de la
ôme. Il existe aussi une dégé- nérescence descendante régulière des
cordons
postérieurs qui occupe une étendue d'environ si
moelle, s'infléchissent en bas. La dégé- nérescence ascendante des
cordons
latéraux occupe généralement non pas seulement
e en tout cas des faisceaux mixtes. Quelques fibres disséminées des
cordons
latéraux dégénèrent aussi en bas en dehors des
f et l'appareil vasculaire, commentcomprendre qu'elle se limite aux
cordons
postérieurs, surtout quand on remarque qu'à l'é
us cons- tatons l'existence sur le trajet de la veine fémorale d'un
cordon
dur, roulant sous le doigt, peu douloureux. 1
auche. Arthronalhie du genou gauche. Mort. A ulopsie : Sclérose des
cordons
1,1 poster ieurs^ dè''la(,moelk'épinière ;' alt
transversales,- on constate -une teinte grisâtre translu- cide, des
cordons
de Golf, depuis le' milieu de la région dorsale
la même teinte grisâtre translucide, existe, dans toute l'aire des
cordons
postérieurs (zone radiculaire interne et cordon
s toute l'aire des cordons postérieurs (zone radiculaire interne et
cordons
de Goll). Elle occupe par, conséquent unejSurfa
T Les lés io n s i ordipaire,s,de,l;ataxie étaient évidentes ; les
cordons
pots- ; terieurstaient Cjsiège'ujie,sç)érQse,ma
sç)érQse,manifeste ? ma is) i cette,,sçlérose,;restait limitée, aux
cordons
; postérieurs} et les cornes antérieures^étaient
, Certains troncs nerveux sont bien nettement constitués part des
cordons
secondaires qui ne sont qu'accolés -et. facilemen
en deux de ces faits, l'atteinte'des'faisceaux'pyramidaux" dans les
cordons
latéraux, en même temps que les cordons posté-
sceaux'pyramidaux" dans les cordons latéraux, en même temps que les
cordons
posté- rieurs participent partiellement aux alt
té du segment cervical) ; bien que, dans l'observation II, les deux
cordons
de Türclc, le faisceau pyramidal dans les cordo
tion II, les deux cordons de Türclc, le faisceau pyramidal dans les
cordons
latéraux, la portion interne des faisceaux cuné
à la région cervicale supérieure, le faisceau pyramidal et les deux
cordons
posté- rieurs à la région dorsale eussent été e
'examen microscopique de la moelle ail décelé d'altération dans les
cordons
latéraux. Intégrité du faisceau pyramidal jusqu
pitotehipôra)eou ! %rtts Icrifjttales yùèhè est réduitè'ï1 un étroit'
cordon
selui-eux, 'mais renfermant^1 encore dcs''cct)u
e »' .... t » K. . '" 1>, ...I , si i , ,, ? T XIV. LÉSION.DES
cordons
postérieurs dans la PARALYSIE GÉNÉRALE ? , par
émontre, au reste, que très fréquemment il y a dégénérescence , des
cordons
postérieurs, même de leurs segments, externes,
st pourquoi, chez eux, l'ataxie est rare malgré la localisation des
cordons
postérieurs. Il n'en est pas de même chez les t
tion. » Quoi qu'il en soit des phénomènes cliniques, la 'lésion des
cordons
postérieurs,' palpable, est en soi généralement
de, li aiit 1 en. b i s d, u n e 1 dé-éiiéresceidee - --ri se-i des
cordons
^ postérieur.^ et ,des, faisceaux- pyramidaux dans
DE pathologie mentale. ticulièrement localisée à la périphérie des
cordons
antéro-laté- raux dans la région-cervicaleet,tl
aux du cerveau. Myélite éhrônique"dû faisçëâu, pyra- midal dans les
cordons
latéraux (cellules granuleuses) ? ? Ainsi, malg
e,de ,rétlee,patellaire (rotulien,; par exemple), il existerait des
cordons
, pos téri eurs de la moelle,, des- c,e,nd,a,yji
sur toute,lalllau- primitive et.franclmmtent,caraj^ u ? " tour,du
cordon
. 11, semble que sa, systématisation minutieuse et
n, 9mèlip du genou à,Jl'altération,des,p,Qrtios,;éx,ll - ternes des
cordons
postérieurs, de la moelle, lombaire. ,. La dege
nguine), 1111' IWI1n113115, t17 ; - (Cas d'affection combinée des
cordons
de la - avec altéra- tion de la substance grise
fs. Ces deux derniers sont formés par des fibres qui proviennent du
cordon
postérieur, du fioaiculos gracilis et etineaiti
t moteur est terminé. Il est formé de fibres qui, prove- nant des
cordons
postérieurs, s'accolent à la portion motrice (d
rophique, c'est-à-dire qui présentait à l'autopsie une sclérose des
cordons
pyramidaux et une altération profonde des cellu
pas à constater dans le triangle susclaviculaire la présence d'un
cordon
dur et douloureux à la pression. C'est sur ce c
résence d'un cordon dur et douloureux à la pression. C'est sur ce
cordon
, réséqué par M. le professeur Vernèuil, que not
alades atteints d'incoordination mo- `trice liée à une sclérose des
cordons
postérieurs. Les plus malades d'entre eux sont
à terme; il a été naturel; mais l'enfant ayant deux circulaires du
cordon
autour du cou est venue au monde asphyxiée. Le
toute probabilité, par l'asphyxie pro- duite par la constriction du
cordon
autour du cou. Une telle interprétation nous pa
bulbe et à son extrémité inférieure passent en se croisant dans le
cordon
latéral du côté opposé d'où elles descendent au
e manière à ne laisser intacts que le faisceau latéral gauche et le
cordon
antérieur gauche, tandis que la moi- tié latéra
cordon antérieur gauche, tandis que la moi- tié latérale droite, le
cordon
postérieur gauche et toute la subs- tance grise
ncore que, dans ces phéno- mènes de réapparition de la motilité, le
cordon
antérieur n'entre pour aucune part; et l'auteur
r n'entre pour aucune part; et l'auteur en conclut que chacun des
cordons
latéraux renferme des fibres sensitives et motric
; enfin que les fibres motrices sont inégalement réparties dans ces
cordons
, puisque la paralysie est presque unilatérale l
tative ou quantitative des fibres desti- nées au côté opposé : « Un
cordon
latéral, dit-il, renferme des conducteurs de la
postérieurs. Sur un autre jeune chien, M. Weiss sectionne encore le
cordon
latéral droit, les deux cordons postérieurs, la
chien, M. Weiss sectionne encore le cordon latéral droit, les deux
cordons
postérieurs, la plus grande par- tie du cordon
ral droit, les deux cordons postérieurs, la plus grande par- tie du
cordon
latéral gauche. Le lendemain, il constate l'aboli
'eu, il divise la moelle sur 3 points différents : t° section des 2
cordons
postérieurs; 2° section du cordon laté- ral gau
ts différents : t° section des 2 cordons postérieurs; 2° section du
cordon
laté- ral gauche ; 3° section du cordon latéral
postérieurs; 2° section du cordon laté- ral gauche ; 3° section du
cordon
latéral droit. Cette section des deux cordons l
gauche ; 3° section du cordon latéral droit. Cette section des deux
cordons
latéraux n'est t que pl'esque complète. Le lendem
aucun rôle dans la conduction centripète ou centrifuge; et que les
cordons
anté- rieurs ne servent aucunement à la transmi
lorsque la section avait laissé intacte une très faible portion du
cordon
latéral.-E. BRISSAUD. , V. Analyse qualitativ
e, protubérance, pédoncules), n'est pas ter- miné. En tous cas, les
cordons
pyramidaux extérieurs et les cordons latéraux q
ter- miné. En tous cas, les cordons pyramidaux extérieurs et les
cordons
latéraux qui, d'après Flechsig, vont sans interru
tachés d'erreur à cause de l'irritation produite par la section des
cordons
nerveux. La nouvelle série do recherches a été
rcie, se trouve une plaque de sclérose dans la portion cervicale du
cordon
latéral. Sa plus grande largeur est au niveau d
a plus grande largeur est au niveau de la troisième paire. Là, le
cordon
postéro-latéral droit est sensiblement plus petit
on au carmin. En avant, elle n'atteint pas tout à fait le milieu du
cordon
latéral. La moitié antérieure de celui-ci est c
ement. Au niveau du quatrième nerf cervical parait encore dans le
cordon
postéro-latéral droit, une tache triangulaire qui
d'une plaque de sclérose dans la portion cer- vicale supérieure du
cordon
latéral gauche, chez un enfant de vingt mois qu
es ? optiquesj,aux ? lobes ^occipitaux' eJ4aeJà séténdënt jusqu'aux
cordons
postérieursde,lajmoelle,l fibres, et g2-}g ! i9
ronc pulmonaire, au niveau de sa bi- furcation, se détache un petit
cordon
arrondi qui va en s'amin- cissant de plus en pl
emblable qu'il no s'agis- sait pas purement d'une lésion isolée des
cordons
postérieurs. Pour d'autres cas, le diagnostic v
baire est un peu accru de consistance; on y rencontre en outre le
cordon
latéral gauche jaunâtre, ferme et atrophié postér
iep ; dans ces cas comme ici, une cause irritative agissait sur les
cordons
moteurs longitudinaux, que ceux-ci appartinssent
eux-ci appartinssent à la capsule interne, à la protubérance ou aux
cordons
pyrami- daux. P. K. Unlersuchungen ubel' die
Charcot admettent qu'il s'agit vraisemblablement d'une sclérose des
cordons
latéraux. M. Russell ne croit pas que cette opi
Dr Gowers (L1led. Times and Gaz., vol. II, 1879.) L'altération des
cordons
latéraux pourrait aussi se produire secondairem
, de découvrir par quelle voie cette lésion se rattache à celle des
cordons
postérieurs, M. Dickinson est néanmoins convain
phie musculaire consécutive à la propagation de l'inflammation du
cordon
latéral aux grandes cellules des cornes antérieur
u processus irritatif communiqué à la moelle par l'inflammation des
cordons
postérieurs qu'il faut attribuer les contractur
iologie. Les questions restéesdans l'urne étaient t ainsi conçues :
Cordons
postérieurs de la moelle, anatomie et phy- MOte
sont évidemment liées au travail irritatif dont les racines et les
cordons
postérieurs de la moelle (et la pie-mère corres
s du travail inflammatoire qui s'effectuent probablement vers les
cordons
et les racines postérieures de la moelle pen- d
la dégénérescence névro-musculaire consécutive à l'interruption du
cordon
nerveux depuis le début jusqu'à la' fin de la p
eure du côté gauche. D'ailleurs le processus a également touché les
cordons
antéro-latéraux (dégénérescence secondaire ? )
SALIS ET D'UNE FORME particulière d'affection parenchymateuse DES
CORDONS
POSTÉRIEURS DE LA MOELLE ; par C. WESTPHAL. (Ar
es (productions gommeuses dans les organes internes et sclérose des
cordons
postérieurs) doit, au sens de M. W..., trancher
- tionet même l'hypertrophie par places des cylindraxes, dans les
cordons
postérieurs; malgré l'atteinte des cordons deGoll
es cylindraxes, dans les cordons postérieurs; malgré l'atteinte des
cordons
deGoll, il n'y eut pas d'ataxie; intégrité de l
vroglie. D'où la déno- mination de p2,ocessus pa2,enchy71zateux des
cordons
postérieurs : t .. P. K. ' . r XVI. Étude m
rieurs : t .. P. K. ' . r XVI. Étude minutieuse DES lésions DES
CORDONS
postérieurs dans UNE moelle d'ataxique; par Alb
eur décrit avec détails une moelle d'ataxique avec alté- ration des
cordons
postérieurs et arrive par le seul examen aria-'
irradient, et ces centres sont : 1 A. Le bord postérieur libre du
cordon
postérieur; B. La ligne de séparation moyenne d
r libre du cordon postérieur; B. La ligne de séparation moyenne des
cordons
postérieurs ; C. Le point d'entrée des racines
érieures, et en convergeant en arrière traversent le territoire des
cordons
postérieurs ; E. Les limites entre les cordon
le territoire des cordons postérieurs ; E. Les limites entre les
cordons
de Goll et de Burdach. Or, tous ces points sont
, tous ces points sont ceux où le tissu cellulaire pénètre dans les
cordons
postérieurs et autour desquels il se subdivise
hose hépatique vulgaire, et non une affection parenchyma- teuse des
cordons
postérieurs ; ce n'est pas non plus, par conséq
pas spécialement aux deux systèmes que nous connais- sons dans les
cordons
postérieurs, mais suit sa .marche propre tantôt
oscopique de la moelle montre une dégéné- ration de la totalité des
cordons
postérieurs dans la région lombaire et dans la
ultiloculaire en foyer de M. Charcot, ni la sclérose cervicale, les
cordons
de Goll étaient seuls malades : Dans les région
gliosarcomes : il cite le fait' d'une moelle^ cervicale, dont' les.
cordons
postérieurs.se trou- REVUE d'anatomie pathologi
pathologique se résume en la dégénérescence grise ou atrophique des
cordons
blancs postérieurs constituée dans le premier cas
ou pas de tendance à envahirla substance grise de la moelle ou les
cordons
latéraux, mais elles se propageraient promp- te
ée des faisceaux pyramidaux et de certains systèmes de fibres des
cordons
postérieurs, faible atteinte des cordons latéraux
ins systèmes de fibres des cordons postérieurs, faible atteinte des
cordons
latéraux dans le cervelet intégrité des cornes
rsale inférieure et lombaire, accompagnée de lésions identiques des
cordons
latéraux dans le cervelet, des cordons de Goll,
de lésions identiques des cordons latéraux dans le cervelet, des
cordons
de Goll, et du champ postéro-externe des cordons
s le cervelet, des cordons de Goll, et du champ postéro-externe des
cordons
postérieurs ; symptomatologie : paralysie et co
es et du tronc. Cécité, surdité, dégénérescence presque absolue des
cordons
et des racines postérieurs, de l'ensemble des c
e absolue des cordons et des racines postérieurs, de l'ensemble des
cordons
latéraux dans le cervelet et des faisceaux pyra
cas, l'autopsie a montré récemment une sclérose très prononcée des
cordons
postérieurs. Mais cette restauration de la sens
3 iG, 50S, 509, 10. Asiles, par Curwen, 612. Ataxie (lésions des
cordons
posté- rieurs dans l',)par Adamkiewicz, 582;
le est diminuée de volume. On constate à l'oeil nu une sclérose des
cordons
postérieurs dans toute leur étendue et une atroph
es dissociations extemporanées de la moelle fraî- che au niveau des
cordons
postérieurs n'ont pas révélé de corps granuleux.
re que toute l'étendue de la moelle, les raci- nes antérieures, les
cordons
antéro-latéraux, les cornes antérieures sont abso
e (6°, 5e, 4e sacrées). Les lésions sont très accen- tuées dans les
cordons
postérieurs. Les altérations portent sur les zone
zones de Lissaucr, et d'un tctritorre situé il la partie interne du
cordon
de Burdach qui n'atteint ni la périphérie de la m
ontre la pénétration de racines postérieures conservées au niveau des
cordons
postérieurs. Peu de fibres sillonnent les corne
er. Un plus grand nombre de racines postérieures pénètrent dans les
cordons
postérieurs. La coupe des cornes postérieures m
postérieure. Entre ces différentes . zones, à la partie interne du
cordon
de Burdach, limité en arrière par la péri- phér
. On est réellement frappé du peu d'inten- sité des altérations des
cordons
postérieurs. La zone de Lissauer est légèrement
on dorsale inférieure. On note un léger aplatissement au niveau des
cordons
postérieurs. Ce sont toujours les mêmes lésions :
mp postéro-interne. (PI. XII, A.) g° ° dorsale. L'aplatissement des
cordons
postérieurs est notable. La zone de pénétration
us manifestes portent sur la zone de Lissauer, le 1/5 postérieur du
cordon
de Goll, la bandelette externe, mais la lésion
rtaines fibres des racines postérieures pénétrer d'emblée dans les,
cordons
postérieurs et se continuer avec la zone limitant
ont restés conservés. L'examen histologique montre une sclérose des
cordons
postérieurs gé- néralisée à tout l'axe médullai
cale iiifèrieuie. Sclérose des zones de Lissauer, du 5' postérieur du
cordon
de Goll, des bandelettes externes. Mêmes région
nt : à la région cervi- cale, une teinte grise de sclérose dans les
cordons
postérieurs surtout au ni- veau du cordon de Go
ise de sclérose dans les cordons postérieurs surtout au ni- veau du
cordon
de Goll et dans les cordons antérieurs, au niveau
rdons postérieurs surtout au ni- veau du cordon de Goll et dans les
cordons
antérieurs, au niveau du faisceau de Turck. '
181 A la région dorsale, la même teinte grisâtre se montre dans les
cordons
pos- térieurs qui paraissent plus atteints. A
s. A la région lombaire, la teinte grise translucide occupe tout le
cordon
pos- térieur d'une façon à peu près symétrique
inal est sain. Région sacrée. Il y a une sclérose assez marquée des
cordons
postérieurs ; la lésion est plus accusée au niv
touchée. La zone de Lissauer est altérée. (PI. XXII, E.) Dans les
cordons
latéraux existe une légère sclérose au niveau de
z grande quantité de fibres saines. Région lombaire. Sclérose des
cordons
postérieurs, symétrique, prenant la totalité de
postérieure et moyenne) il y a un semis de fibres saines. Dans les
cordons
latéraux il existe une sclérose du faisceau pyr
cupe la topographie précédente, bien que plus accusée au niveau des
cordons
postérieurs où les zones radiculaires antérieur
e Lissauer est relativement peu atteinte. (PI. XXII, C.) Dans les
cordons
latéraux, la lésion est plus diffuse ; elle occup
ébelleux direct, mais moins marquée dans ce dernier. ' - Dans les
cordons
antérieurs, on constate une sclérose nette du fai
hiées. ' Région cervicale. - Même topographie des lésions. Dans les
cordons
posté- rieurs, la zone radiculaire antérieure p
us ont paru normaux. En résumé, il règne sur toute la hauteur des
cordons
postérieurs une sclérose très accentuée qui sem
au de la troisième sacrée et se ter- miner aux noyaux bulbaires des
cordons
. On peut dire que, d'une manière gé- nérale, le
urale sont relati- vement, sinon complètement respectés. Dans les
cordons
latéraux, la sclérose s'étend de la région sacrée
ée de la peau avéc nuance ictérique. La conjonctive était jaune. Le
cordon
ombilical n'était pas encore tombé, était sec e
d'un côté une seule découpure et de l'autre deux et même plus. Les
cordons
de Turk étaient plus fins que chez l'en- fant n
s manquent (Fig. 2) et comme les fibres qui d'ordinaire viennent du
cordon
latéral, à travers la corne antérieure manquent,
n expliquer les anomalies en question, à savoir la fissure dans les
cordons
latéraux de la moelle épinière et plus haut dans
entre les cellules de la corne antérieure et entre les cellules des
cordons
de Clarke et des ganglions intervertébraux. Ces
rices qui ont un aspect si sin- gulier, tandis que les cellules des
cordons
de Clarke et des ganglions in- tervertébraux se
l est fortement accentué, il s'accuse non pas seulement par de gros
cordons
veineux de coloration bleuâtre ou d'un bleu rosé,
e seulement par du tissu osseux, elle surplombe les autres côtes.
Cordon
osseux sur le bord inférieur de la 9° côte, il se
é et s'insère au fémur; de son point d'in- sertion au fémur part un
cordon
osseux, qui suit la direction du psoas iliaque.
ires durs des deux côtés. Dans la musculature abdominale droite, un
cordon
osseux gros comme le doigt s'étendant du rebord
larités pathologiques sui- vantes sautent'aux yeux (P).XLIII,0).Les
cordons
antérieurs sont diminués dans leurs dimensions
Ce faisceau offre l'aspect d'une bande claire située au milieu des
cordons
antérieurs. Dans notre cas, chez l'enfant qui a
ttement, manquait complètement. A la place du faisceau pyramidal du
cordon
latéral, nous trouvons de deux côtés une grande
rofondeur et limitée exté- rieurementpar le faisceau cérébelleux du
cordon
latéral. Nous reviendrons plus tard sur la caus
téral. Nous reviendrons plus tard sur la cause de la diminution des
cordons
antérieurs et de l'apparition de cette fissure
des cordons antérieurs et de l'apparition de cette fissure dans les
cordons
latéraux. Si l'on examine la moelle allongée au
de Burdach, la racine spinale du trijumeau, la voie cérébelleuse du
cordon
latéral, le nerf hypo5losse,leruhandeReil; les
ff) O. - Cas ? Coupe de la moelle ; région cervicale ; atrophie des
cordons
latéraux des deux côtés. P. - Cas II. Coupe de
NERVEUX CENTRAL 377 Goll, celui de Burdach, la voie cérébelleuse du
cordon
latéral, la racine spinale du trijumeau, le ner
de la région lombaire par le procédé de Pal, nous avons trouvé les
cordons
postérieurs bien dévelop- Fig. 2. Cellule pyram
l'écorce cérébrale (Cas I). 380 NICOLAS SOLOVTZOFF pés; quant aux
cordons
antérieurs et latéraux, ils n'avaient de myéline
n'avaient de myéline que sur leurs bords ; le faisceau pyramidal du
cordon
latéral n'était pas développé. Dans la région c
ct est presque le même que dans la région lombaire ; seulement, les
cordons
postérieurs sont plus accusés, on voit ici les
use directe et la racine du trijumeau, le faisceau fon- damental du
cordon
antérieur et du cordon latéral, qui entourent la
e du trijumeau, le faisceau fon- damental du cordon antérieur et du
cordon
latéral, qui entourent la moelle épinière par l
Pal, on pouvait voir nette- ment, comme dans le cas précédent, les
cordons
postérieurs; quant aux cordons antérieurs et la
nt, comme dans le cas précédent, les cordons postérieurs; quant aux
cordons
antérieurs et latéraux, ils étaient, il la périph
he inter-olivaire, le nerf trijumeau, les voies cérébel- leuses des
cordons
latéraux. Le faisceau de Burdach et le faisceau f
ns latéraux. Le faisceau de Burdach et le faisceau fonda- mental du
cordon
latéral et antérieur persistent ainsi que les lib
ersistent ainsi que les libres arcifor- mes internes qui partent du
cordon
de Burdach, s'entrecroisent et se terminent dan
oies cérébelleuses directes s'expliquepar l'absence du cervelet. Le
cordon
de Goll a été détruit L par l'hydrocéphalie int
nous ne trouvons dans celle dernière que le faisceau fondamental du
cordon
antéro-latéral et les cor- dons postérieurs.
erait au niveau du mamelon et la ligne axillaire, part un véritable
cordon
dur, de l'é- paisseur d'un cathéter anglais n°
et va rejoindre la crête iliaque avec laquelle il se nivelle. Ce
cordon
est plus marqué à droite. Ils sont peu mobiles et
alade a eu la scarlatine. La maladie a très peu progressé. Les deux
cordons
latéraux ont disparu. Les masses osseuses parai
Moelle. Plusieurs coupes n'ont pas fait découvrir de sclérose des
cordons
postérieurs. Thorax. Quelques adhérences pleura
mesure indifférente (expérience de M. Vulpian) ; 2° les fibres des
cordons
postérieurs jouent le rôle de commis- sures ; l
lets sympathiques cardiaques et des vaso-dilatateurs provenant du
cordon
cervical (Vulpian), ou au contraire d'une paralys
s adjuvantes qui déterminent la localisation de la syphilis sur les
cordons
postérieurs de la moelle épinière, sont personnel
à issue insolite, avec pièces à l'appui. Il s'agit d'une lésion des
cordons
latéraux (faisceau latéral dans les pyramides e
ébraux (ramollissement) entraînait des mani- festations aiguës. Les
cordons
postérieurs de la moelle n'avaient participé au
de Clarke, et son opinion relative à l'indépendance des lésions des
cordons
postérieurs et du ' On en trouvera le résumé au
, plus tard compliquée de dégénérescence secondaire dans les deux
cordons
postérieurs. Aujourd'hui, on est évidemment en pr
it, éblouissant de blancheur, il approche, s'en empare, serre les
cordons
autour de sa taille et s'éloigne pour aller se ma
temps souffert de cette réduction. De la substance blanche c'est le
cordon
latéral qui avait le plus souffert. 11 paraissa
é entre la tumeur et la corne postérieure (PL. V, fig. 4 et 5). Les
cordons
anté- rieur et postérieur avaient aussi subi un
les résultats de la mensuration micrométrique com- parative de ces
cordons
des deux côtés de la moelle épinière. Substance
s de la moelle épinière. Substance blanche. (PL. V, i,g. 5.) * 1°
Cordons
antérieurs des pyramides. SARCOME DE LA MOELLE
t de ses fibres et surtout celles qui composaient ce qui restait du
cordon
latéral considérablement diminué, étaient deve-
issent quelques rameaux collatéraux à la partie la plus interne des
cordons
antérieurs et se terminent en pinceaux dans les
la présence constante d'une petite arté- riolo postérieure entre le
cordon
de Goll et le cordon de Burdach, qu'il appelle
d'une petite arté- riolo postérieure entre le cordon de Goll et le
cordon
de Burdach, qu'il appelle artère 121te2,11111é'
gnaler deux groupes d'artérioles coexistantes qui passent entre les
cordons
de Goll et le faisceau externe des cordons post
es qui passent entre les cordons de Goll et le faisceau externe des
cordons
postérieurs. c Parmi les artères périphériques
réseau vasculaire dans la substance blanche : « Les capillaires des
cordons
blancs forment des réseaux beaucoup plus larges
suivent dans leur développement le champ de vasculir-isa- tion des
cordons
postérieurs. Ce fait ne nous avait pas échappé,
tion de la sensation tactile, parce que là partie posté- rieure des
cordons
latéraux a été sans doute seule atteinte, tan-
s cordons latéraux a été sans doute seule atteinte, tan- dis que le
cordon
postérieur qui transmet les sensations tactiles,
es prétendus faits d'ataxie guérie, il n'existait pas de lésion des
cordons
posté- rieurs. Il rapporte quatorze observati
la région dorsale inférieure et lombaire de la moelle. Lésions des
cordons
de Goll dans la moelle dorsale et cervicale; lé
purement spinale. P. K. XXXIII. Dégénérescence I'UNIb'OR : 11E DES
CORDONS
postérieurs DE LA MOELLE ACCOMPAGNÉE DE 91LNIGO
. 1)'ei,veizk, XII, 1.) Le processus de la dégénérescence grise des
cordons
posté- rieurs (tabès dorsal) est-il primitiveme
ningite médullaire avec épaississement de la pie-mère au niveau des
cordons
posté- rieurs, la dégénérescence grise des cord
re au niveau des cordons posté- rieurs, la dégénérescence grise des
cordons
postérieurs et celle des cordons antérieurs imm
ieurs, la dégénérescence grise des cordons postérieurs et celle des
cordons
antérieurs immédiatement au-dessous du renfle-
microscope localise ces lésions dans les cor- dons postérieurs, les
cordons
antérieurs, une partie des cordons latéraux et
s les cor- dons postérieurs, les cordons antérieurs, une partie des
cordons
latéraux et les cornes antérieures entre le poi
ue (dorsale). Foyer circonscrit gagnant de la périphérie à l'un des
cordons
latéraux à la hauteur de la troisième paire cer
latéraux à la hauteur de la troisième paire cervicale. Atteinte des
cordons
de Goll dans la moelle allon- gée. Faible lésio
moitié postérieure de la moelle allongée, et çà et là, le long des
cordons
postérieurs de lamoelle. Lésions des racines po
a pie-mère et au sein des lésions. En somme, lésion luzi'lbi-me des
cordons
postérieurs avec un gros foyer au-deisous du re
us conjonctif depuis les racines pos- térieures jusqu'au milieu des
cordons
de Goll. L'apparition tardive de la raideur et
state au-dessous du renflement cervical, la forte participation des
cordons
antéro-latéraux expliquant en même temps le tre
ul- laires, l'inflammation gagnant en profondeur d'abord dans les
cordons
postérieurs delà moelle lombaire, puis dans la ré
méningo-myélite dans la région thoracique supérieure comprenant les
cordons
antéro-latéraux de la moelle cervicale et d'un
téraux de la moelle cervicale et d'un loyer parenchymateux dans les
cordons
postérieurs. , Sur le chapitre de la systématis
bres inférieurs dépend de la dégénérescence des rubans externes des
cordons
postérieurs, comme l'absence de réflexes patell
ion transverse, à cette. hauteur, des lésions de la moelle aux deux
cordons
antérieurs, (expériences de Brown-Séquard), à u
rdons antérieurs, (expériences de Brown-Séquard), à une portion des
cordons
latéraux et des cornes antérieures, est plus qu
t exagérés, il existait une dégénération secondaire, symétrique des
cordons
latéraux. Dans quelques cas d'abolition complèt
la), localisa- tion, 395. Moelle (dégénérescence funiforme des
cordons
postérieurs de la) accompagnée de méningo-myé-
res, ainsi que la constatation nécroscopique d'une dégénération des
cordons
postérieurs et latéraux de la moelle. Plus tard
notait chez des aliénés la coexistence d'une dégénération grise des
cordons
pos- térieurs et de lésions de péri-encéphalite
ans la paralysie géné- rale, entre autres la dégénération grise des
cordons
postérieurs et latéraux, et les rattache, non à
ayant débuté par la moelle avec prédomi- nance des lésions dans les
cordons
postérieurs. Dans le courant de l'année 1893, j
la substance grise, mais on ne note pas de dégénérescence grise des
cordons
latéraux ou postérieurs, si ce n'est un peu pour
ait niveau du tiers moyen de la région cervicale (l'l. IV, 1). Les
cordons
de Goll sont altérés et se colorent vivement en r
altérations analogues mais en général moins prononcées que dans les
cordons
de Goll. . ' La sclérose est constituée dans le
e dans les cordons de Goll. . ' La sclérose est constituée dans les
cordons
de Goll par l'épaississement des tractus inlert
L'épaississement des gros vaisseaux est très peu marqué. Dans les
cordons
latéraux on trouve au contraire l'épaississement
aite au niveau de la région cervicale inférieure (PI. IV, 2). - Les
cordons
de Goll présentent la même sclérose que dans la c
IV, 3 et 3 biS). 38 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les
cordons
de Goll présentent une sclérose générale qui s'ar
faisceau de Goll et dans la zone radiculaire postérieure. Dans le
cordon
antéro-latéral on constate un épaississement géné
midaux présentent à peine un léger degré de sclérose diffuse. Les
cordons
postérieurs sont encore le siège d'une sclérose o
sure postérieure on voit un large ruban de substance saine. " Les
cordons
antéro-latéraux, ainsi que toute la substance gri
s ces lésions se distinguent nettement du tabès : d'abord, dans les
cordons
postérieurs, ce n'est pas la systématisation ré-
ertains points, celles des colonnes de Clarke sont atrophiées ; les
cordons
laté- raux sont largement sclérosés; enfin les
jeté et pourra jeter encore sur les dégénérescences secondaires des
cordons
postérieurs, et sur la cons- titution anatomiqu
erminal se prolonge jusqu'au sommet du coc- cyx, sous la forme d'un
cordon
mince, le filament terminal (lilum termi- nale
chronique de la queue de cheval, avec dégénérescence secondaire des
cordons
postérieurs. Il est à prévoir que lorsque des l
altérées, prin- cipalement les postérieures. A ce même niveau, les
cordons
postérieurs, 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE les cornes postérieures et une partie des
cordons
latéraux étaient désor- ganisés. 3° Enfin la
e d'une dégé- nérescence ascendante occupant une grande étendue des
cordons
posté- rieurs, à moins toutefois que l'interven
'ai laissé volontairement de côté l'histoire des dégénérescences du
cordon
postérieur, consécutives aux af- fections de la
lanchâtre duc à des 'oyers d'endarlérile chronique déformante. Le
cordon
latéral droit semble par contre être plus mince q
te pas de différence de couleur, ni de consis- tance entre ces deux
cordons
. Péricarde normal. Coe1l1' petit, flasque. A sa
croscopiquement sur la coupe une différence de coloration entre le
cordon
laté- ral droit et le reste de la substance méd
PE D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE 185 ment reconnaître à l'oeil nu du côté du
cordon
latéral droit et du faisceau de Turk du côté ga
ns fait après durcissement nous a révélé l'existence de lésions des
cordons
postérieurs qu'aucun trouble pendant la vie n'a
ller). Une fois durcie, on constate il l'oeil nu dans la région des
cordons
postérieurs, une coloration jaune pâle qui tranch
uement. En effet, le picro-carmin ne fait voir'dans la partie . des
cordons
postérieurs que nous avons trouvé altérée macrosc
du tissu de soutènement. On ne constate pas de véTit sclé- rose des
cordons
postérieurs. Il est vrai que les fibres à il]3,Cl
ue les fibres à il]3,Cli4 soi plus clairsemées dans les régions des
cordons
postérieurs qui avoisinent l"sil- lon postérieu
icroscopiquement, on trouve également dans la partie postérieure du
cordon
latéral, une diminution des libres il myéline qui
ssure posté- rieure sont normales, tandis que la partie médiane des
cordons
postérieurs et la zone radiculaire postérieure
sur les régions précédentes. Ces différences de coloration dans les
cordons
postérieurs existent sur toute l'étendue de la
que l'alté- ration avait un caractère systématique, intéressant les
cordons
portérieurs, surtout dans la région dorsale. Il
es sont intactes. Cette lésion cantonnée dans certaines parties des
cordons
postérieurs n'est pas une véritable sclérose, b
à un fort grossissement nous a fait voir dans la partie médiane du
cordon
postérieur qui avoisine le sillon postérieur un t
ssion sur les membres affec- tés, soit sur le trajet des principaux
cordons
nerveux qui s'y rendent, soit sur les vaisseaux
e postérieure des cornes anté- rieures, se prolonge un peu dans les
cordons
antérieurs le long de la scissure, empiète légè
rdons antérieurs le long de la scissure, empiète légèrement sur les
cordons
postérieurs et envoie un prolongement le long d
re antérieure ; dans DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 329 les
cordons
antéro-latéraux, tout au pourtour des cornes anté
ue toute sa surface de section ; il ne reste plus qu'une partie des
cordons
postérieurs, surtout du cordon postérieur gauch
il ne reste plus qu'une partie des cordons postérieurs, surtout du
cordon
postérieur gauche, et une mince bordure irréguliè
rapport aux différents faisceaux de la moelle, on constate que les
cordons
antérieurs ont été à un certain niveau à peu près
ion ; il en est de même pour le faisceau pyramidal droit et pour le
cordon
postérieur du même côté (à part de très légères b
ntre le faisceau pyramidal gauche et toute la moitié postérieure du
cordon
postérieur gauche ont été à peu près respectés.
ifférence en constatant qu'il est resté un tout petit territoire de
cordons
postérieurs intact sur toute l'étendue du foyer m
comprend la commissure postérieure et une petite zone adjointe des
cordons
postérieurs; elle s'arrête latéralement/aux cols
me c'est l'habitude, se cantonnait presque exclu- sivement dans les
cordons
postérieurs, lieu de moindre résis- tance de pa
ngo-encéphalite vascu- laire diffuse. Myélite à corps granuleux des
cordons
postérieurs, résultant de la superposition d'un
res sont un peu grisâtres dans la région lombaire. Sur la coupe les
cordons
postérieurs paraissent très légèrement grisâtre*;
ais. On trouve à peine quelques très rares corps granuleux dans les
cordons
antéro-latéraux; mais dans les cordons postérie
res corps granuleux dans les cordons antéro-latéraux; mais dans les
cordons
postérieurs, du haut en bas, on en trouve une q
postérieurs, du haut en bas, on en trouve une quantité énorme; ces
cordons
contiennent aussi quelques corps amyloïdes. D
ssement parfaitement nettes. Examen après durcissement. Moelle. Les
cordons
postérieurs sont du haut en bas le siège d'une
ne sclérose fort intense, à en juger par la teinte que prennent les
cordons
postérieurs sur les coupes colorées par la méthod
mieux que plus bas sur la zone malade. Dans la région dorsale les
cordons
postérieurs sont pris d'une façon uniforme dans
on de Pal. 28 PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans la région cervicale les
cordons
de Goll sont pâles, surtout dans leur partie po
eurs bords une mince zone légèrement plus foncée. , En dehors des
cordons
de Goll on trouve une bande rectiligne plus mal
uche qu'à droite. Enfin dans le bulbe, on voit la dégénérescence de
cordon
de Goll s'épuiser dans le noyau grêle et celle
me un croissant qui finit 1,'ig. J3. Moelle cervicale; sclérose des
cordons
de Goll, des faisceaux de Burdach et d'une band
avoir un rapport exact entre les lésions des racines et celles des
cordons
postérieurs, les unes étant beaucoup plus avanc
l'acide osmique n'a pas été employé. A un fort grossissement les
cordons
postérieurs présentent encore un grand nombre d
s granuleux, encore visibles dans la glycérine. Les vaisseaux des
cordons
postérieurs sont entourés d'un man- chon de cor
tandis Fig. 14. Coupe de la région inférieure du bulbe; sclérose du
cordon
de Goll, qui, ici, aboutit à son noyau; scléros
qui suivent le- sillon postérieur, celles qui pénètrent dans z les
cordons
postérieurs et leurs - premières ramifications; d
réseau à larges mailles de vaisseaux malades, limité exactement aux
cordons
postérieurs. Cette lésion diffère tout à fait d
bien qu'au premier abord la lésion vasculaire semble limi- tée aux
cordons
postérieurs, en examinant plus attentivement on
n examinant plus attentivement on voit que les vaisseaux des autres
cordons
sont altérés également : les uns sont un peu sc
tion embryonnaire, qui est une ébauche de ce que l'on voit dans les
cordons
postérieurs. Il n'y a pas de lésion appréciable
- ? t ? 7 " gauche et n occupait qu un.segment très circonscrit du
cordon
. ( ° m»- . ,is>i, -jit->».i jn <-.v,x
t contribueraient à atté- nuer la brusquerie des'chocs'auxquels les
cordons
nerveux des membres sont continuellement exposé
cale, on dis- tingue fort bien, à' la teinte grise, une sclérose du
cordon
de Goll peu étendue,' et une sclérose annulaire
de Pal, la`moelle est marbrée de tachés, qui prédominent" dans les
cordons
postérieurs et la partie posté- rieure des fais
use, avec prédominance au niveau des ., faisceaux pyramidaux et des
cordons
de Goll."Codo·aliozz de~Pal ? " (Obj.O',oc.IVf;
eau de la quatrième racine cervicale; dégénérescence ascendante des
cordons
de Goll, des faisceaux céré- belleux'directs et
de'la deuxième' racine ceivicale;1^1 dégénérescence' ascendante des
cordons
de Goli,"des'faiscpaux céré ? belleux directs e
'créance à cette interprétation, c'est la présence) dans les autres
cordons
' de la moelle, de quelques capillaires qui'pre
ulière- . ' D'ailleurs, peut-on supposer l'existence de cellules de
cordons
pour r les voies pyramidales ? Dans la théorie
tologie (1S93), dit formellement qu'il n'existe pas de cellules de
cordons
pour les voies pyramidales. 2 Une dégénéresce
ans l'observa- tion 11, il y avait de plus une lésion tabétique des
cordons
pos- térieurs. Enfin, de ces trois malades, les
n V. Atrophie ayant atteint la substance grise pos- térieure et les
cordons
de Bunduch. Pendant la vie rien n'indiquait une
s cordons de Bunduch. Pendant la vie rien n'indiquait une lésion de
cordons
postérieurs; aucun trouble de la sensibilité. P
'cérébelleux'1 efiiégèant 'surtout dans"ta région' cervicale ? Les
cordons
cpostérieurs'étaiènt un peu congestionnés, mais
culièrement atteints lès cornes^ntérièurVs^la^^ommissâfe1 et' les
cordons
! latéraux ' : 'plus ' tàrd'dégénérati6n''cèuu !
en octobre) 1890. Aulop- sie. Lésions avancées caractéristiques des
cordons
postérieurs, tumé- faction delà névroglie centr
ixième paire dorsale, la tumeur touche par sa partie inférieure les
cordons
, postérieurs .lésés ; elle provient probablemen
rophie de la névroglie dans le canal central, la dégénérescence des
cordons
postérieurs, une myélite, une affection systémati
diane par celles qui montent. En somme,.chaque coupe transverse des
cordons
posté- rieurs, a f part quelques portions dont
l : XIV. LES circonvolutions ascendantes comme organe central DES
cordons
POSTÉRIEURS' ET DUTR ! JUMEAU;'pai'0. 1SEL (Archi
secondaires. = 3° Les fibres qui viennent' du noyau' d'origine des
cordons
postérieurs'et qui'passent ainsi qu'il est : indi
veau). 5° Les ascendantes sont le centre cortical non seulement des
cordons
, antérieurs et latéraux [(fais- ceau pyramidal
ns ce noyau, vont, de concert avec les libres'du noyaud'origine'des
cordons
postérieurs, danslle ruban de Reil, et, 1 delà, à
e dans la moelle' dorsale et'cervicale),' lésiôns alternes dans les
cordons
pos- térieurs et latéraux ainsi' que dans les r
v93JB'1 ja'jq' , « La plupart des fibres' provenant des noyaux dès'
cordons
posté- - rieurs, qui se réunissent après entre-
rouge de Stilling et plonge en arrière et en bas dans les noyaux du
cordon
postérieur du côté opposé. En somme, dans le ti
spéciale de la syringomyélie qui, prolongée dans le 'territoire des
cordons
postérieurs, produit les symptômes tabétiques ?
qui, proviennent directement$des, cellules nerveuses-originelles du
cordon
postérieur du, côté opposé et·notamment;de,la par
quelques symptômes* s'y joignent qui appartiennent à la' lésion des
cordons
latéraux : ,L'auiopsie explique ces ' particula
es'cordons' antérieurs et latérauxratteints.;En ce qui concerne les
cordons
pôstérieurs,ily a intégrité des zones de Lissauen
énibles. ! En, revanche,, de petits^ foyers parenchymateux dans les
cordons
latéraux ou antérieurs expliquent les quelques
rme. - Les ascendants sont un^entre cortical non seulement pour les
cordons
antérieurs'jet latéraux' (faisceau pyramidal '
jet latéraux' (faisceau pyramidal ' de Flechsi- mais aussi pour les
cordons
postérieurs,' puisque' les fibres de ceux-ci vont
ce, .noyau vont, de concert avec les fibres du noyau d'origine des
cordons
^ postérieurs, dans le ruban de Reif, et de la,
ocive du tabès (quelle qu'elle soit), agit principa- lement sur les
cordons
postérieurs de la, moelle et, par continuité, p
ersant la 9cornepostérieure;'rva'au'lsegmenttle plus postérieur du'
cordon
latéral.' Leur-portionl'moyènnèsse rend'dans la
aduellementinrrles'c8tésdu°èordon antérieur et se termine * dans le
cordon
latéral. M'ns fiq -ti711rtugei,m <-.t>-.p-
hal qui montre la régularité avec laquelle l'ergotisme- atteint les
cordons
postérieurs de la moelle, mais sans caractère p
total de ces centres au degré^convenable ide,J, tension. ^ Dans les
cordons
nerveux le même processus s'accomplit, en soi'té
l'influence ^de" la combustion qui se passe dans les centres, les
cordons
nerveux, cérébraux et spinaux sont amenés à l'éta
e comme une lésion de système, ^'comparable à la dégénérescence des,
cordons
latéraux^et, des : dons postérieurs de la moelle.
Brie, 452. Circonvolutions ascendantes comme origine centrale des
cordons
pos- térieui@s et du trijumeau, par Hoe- sel,
Fig. I. 90 THÉRAPEUTIQUE. aisément et soigneusement huilée et un
cordon
de laine très souple ; un frottement de résista
un cordon de laine très souple ; un frottement de résistance ou un
cordon
trop dur amènent des irrégularités dans le jeu
ments actifs. Je ferai observer qu'il faut, petit à petit, tenir le
cordon
de la main malade plus court que celui de la ma
s légitime. A l'autop- sie on constate des lésions tabétiformes des
cordons
posté- rieurs et une méningite médullaire prono
soit créé par la syphilis en dehors de toute lésion tabétiforme des
cordons
postérieurs, par un mécanisme encore inconnu, d
de myélite transverse, le signe d'Argyll dénonçant l'altération des
cordons
postérieurs, la trépidation spinale et le signe
elle et des méninges, méningite légère, infiltra- tion gommeuse des
cordons
antcro-tatéraux dans la région dor-ale supérieu
dor-ale supérieure. Sclérose de la périphérie de la moelle dans les
cordons
latéraux dans toute la région dorsale. Sclérose
ans les cordons latéraux dans toute la région dorsale. Sclérose des
cordons
posté- rieurs médians dans la région dorsale. Z
la moelle, le nombre des corps amyloïdes de Redlich est énorme. Les
cordons
de Goll sont dégénérés uniquement dans la régio
la cloison et former une couche appliquée à la face postérieure du
cordon
. Le cornu commissural à ce niveau est toujours
isceaux tendent à se diffuser en fibres isolées semées dans tout le
cordon
postérieur. à Bruce croit que le « champ ovale
qui réagit au pôle négatif ? Si les fibres nerveuses composées d'un
cordon
de fibrilles primitives, se comportent, de même
(lCUI-010g. Cezzt,rabl., XVIII, 1899.) Dégénérescence tabétique des
cordons
postérieurs ; rétrécisse- ment et insuffisance
e Moscou), Ferrier (de Londres) ; 5° Des lésions non tabétiques des
cordons
postérieurs de la moelle. Rapporteurs : Bruce (d'
de Londres), et W. Roth (de Moscou). Les lésions non tabétiques des
cordons
postérieurs de la moelle. Rap- porteurs : MM. C
s ensuite aux scléroses, Tùrck décrivait une sclérose primitive des
cordons
latéraux; on a prétendu en faire le substratum
n peu plus tard, Tùrck nous révélait l'existence d'une sclérose des
cordons
postérieurs dans les cas de tabes dorsalis ; la s
alité entre le symptôme contracture et la sclérose d'une partie des
cordons
laté- raux, de celle qui est devenue le faiscea
usculaire, et elle a pour substratum fondamental une sclé- rose des
cordons
latéraux, associée à une atrophie des cellules
us-arachnoïdien et les ventri- cules, et atrophie du cervelet et du
cordon
spinal du côté opposé. Sous le troisième chef,
lexes rotuliens manquent ; il l'autopsie on trouve une lésion des
cordons
postérieurs ; Deuxième type. Paralysie avec scl
: les réflexes sont exagérés; Troisième type. Forme cérébrale : les
cordons
de la moelle sont intacts, les réflexes rotulie
spinale et la voie rubro-spinale. Ces deux voies descendent dans le
cordon
latéral de la moelle épinière où elles sont for
t être suivie dans les fibres arciformes internes et les noyaux des
cordons
de (;011 et de Burdach du côté croisé. Cette di
landique, s'entrecroisent au collet du bulbe et descendent dans les
cordons
antéro-latéraux de la moelle. Ces libres présen
dans les libres arciformes internes croisées et dans les noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach. Elle n'existe que dans l
sans l'eltti ganglionnaire la corlicalité rolandique aux noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach. Quant à la diminution de
- latérale et descendent dans la partie postérieure et moyenne du
cordon
latéral homolatéral de la moelle, c'est-à-dire da
e New-York). Résumé du rapport sur Les lésions 1lOn-tabélirlues des
cordons
i)os- térieurs de la moelle ; par M. BRUCE (Edi
1. Anatomilj1 ! cmcnt. II. Palhologiquement. I. La structure des
cordons
postérieurs est montrée par les dégénérescences
s lésions de la moelle elle-même qui interrompent la continuité des
cordons
, 3" les lésions de la substance grise. Faisceau
de la substance grise. Faisceaux exogènes. La distinction entre les
cordons
de Goll et de Burdach dépend de la terminaison
dans le nucleus gracilis et le nucleus cuneatus respectivement. Le
cordon
de Burdach commence à la cinquième dorsale. Le co
ctivement. Le cordon de Burdach commence à la cinquième dorsale. Le
cordon
de Goll montre une forme caractéristique et déf
a loi de Kahler concernant la position des fibres exogènes dans les
cordons
est généralement vraie, mais demande certaines
S INTERNATIONAL DE MÉDECINE.- II. Les changements pathologiques des
cordons
postérieurs con- sidérés en rapport avec les lé
'atrophie musculaire progressive (type Charcot-Marie). Sclérose des
cordons
postérieurs dans toute leur longueur à l'exceptio
te leur longueur à l'exception de la région sacrée, qui implique le
cordon
de Burdach et, au degré moindre, le cordon deGo
sacrée, qui implique le cordon de Burdach et, au degré moindre, le
cordon
deGoll, et qui laisse intacte une zone nor- mal
Les tumeurs cérébrales produisent fréquemment des lésions dans les
cordons
postérieurs, qui sont parfois attribuées aux dé
attribuées aux dégénérescences rétrogrades à partir des noyaux des
cordons
. Ces lésions sont dues probablement il des dégé
2° le long du septum médian, 3° comme une bande étroite, entre les
cordons
de Goll et de 1,>ui-- dach. Ces lésions sont
taxie de Friedreich. La lésipn principale est une sclérose dans les
cordons
postérieurs et anLéro-IaLéraux. Eu ce qui con-
es cordons postérieurs et anLéro-IaLéraux. Eu ce qui con- cerne les
cordons
postérieurs, la sclérose est développée le plus
ns la région sacrée, et cesse complètement au niveau des noyaux des
cordons
. La sclérose présente un développement exubéran
s et en faisceaux entrelacés. Elle envahit la plus grande partie du
cordon
, à l'exception par- tielle des zones dites endo
une prolifération de névroglie secondaire. e) Sclérose combinée des
cordons
postérieurs et antéro-latéraax. SECTION DE NEUR
aladies, qui tous démontrent une dégénérescence simultanée dans ces
cordons
suivie d'une sclérose, qui cependant ne se limi
la pellagre, la sclérose, d'après Tuczek, affecte principalement le
cordon
de Goll et la zone centrale radiculaire et lais
la région lombaire, et dans la région cervicale princi- palement le
cordon
de Goll. Les zones près de la commissure et la
il existe une lésion organique ou une atteinte fonctionnelle des
cordons
latéraux, les orteils s'étendent mais il est impo
ire de celte extension un signe i Ltliognomoniclue d'altération des
cordons
latéraux. M. Schuler a trouvé la flexion réflexe
le faisceau pyramidal apportent l'excitation ; le cervelet et les
cordons
postérieurs sont des modérateurs. Le travail acti
ection du cerveau et des pyramides, d'autre part du cervelet ou des
cordons
postérieurs, fait cesser l'harmonie physiologiq
ension des muscles est sous l'influence non seulement des nerfs des
cordons
postérieurs tonificateurs qui l'incitent directe-
ésion céré- belleuse et surtout par la dégénérescence tabétique des
cordons
postérieurs dont les éléments nerveux sont atte
décroissance progressive de la force du système cérébelleux et des
cordons
postérieurs (tabes) amoindrit de plus en plus l
celui-ci devient égal à zéro, ci l'instant où la dégénérescence des
cordons
postérieurs est égale à une décroissance de ten
es, c'est-à-dire malgré la dégénérescence tabétique (partielle) des
cordons
postérieurs. 11 en sera de même dans la syphili
ées du cervelet et du cerveau (parésies temporaires) et surtout des
cordons
postérieurs et des faisceaux pyramidaux (la moe
ente, 78. Supplice de lloriu, 77. Tabétiques. Lésions non - des
cordons
postérieurs, par Bruce, 509. Tabès, avec para
urs renflements ganglionnaires, et donne nais- de chaque côté, à un
cordon
moniliforme situé du côté ventral de al, et don
es commissures verti- t transversales de fibres nerveuses. Ces deux
cordons
ganglionnaires omosent en outre au-dessus et au
ou à la suite de lésions médullaires, et nous savons aussi que les
cordons
posté- rieurs de la moelle dégénèrent à la suit
nstaté chez les nouveau-nés, au niveau de la partie postérieure des
cordons
latéraux de la moelle et en dehors des faisceaux
n'entré pas dans la constitution de l'axe cérébro-spinal. ' Le
cordon
inter- médiaire donne nais- sance aux ganglio
e pièce de transition légèrement concave, désignée sous le nom de
cordon
tinter ? médiaire ou de cordon gan- glionnair
t concave, désignée sous le nom de cordon tinter ? médiaire ou de
cordon
gan- glionnaire de His (Zwischen- strang, Gan
g, Ganglienstrang), de crête neurale de Balfour (fig. 12, GS). Ce
cordon
donne naissance, ainsi que M. Duval ` l'a mon
1'o-1'achidiens et secondai-. rementaux ganglions sympa- thiques (
cordon
ganglionnaire etplexusmyentérique d'Auer- bac
intermédiaire. CM, cerveau moyen.- CN, courbure de la nuque. - Co,
cordon
ombilical. - CP, cerveau postérieur. - Cav, courb
commissure blanche antérieure (ca). à la comze aztéierc°e (CA), aux
cordons
antérieurs (Ca), à la partie antérieure des cor
erc°e (CA), aux cordons antérieurs (Ca), à la partie antérieure des
cordons
latéraux (Cal) et à la moitié anté- rieure de l
cor- don antérieur. - ca, commissure blanche anté- rieure. - Cal,
cordon
antéro-latéral. - Ce. ca- nal central.- CL, cor
le épinière, un petit faisceau longitudinal, à section ovalaire, le
cordon
postérieur primitif ou cordon ovalaire de His (Fo
longitudinal, à section ovalaire, le cordon postérieur primitif ou
cordon
ovalaire de His (Fo), pre- mier vestige des cor
ieur primitif ou cordon ovalaire de His (Fo), pre- mier vestige des
cordons
de Burdach. La nièce intermédiaire (Pi) est los
e Clarke, au pro- cessus eticulai.s et à la partie postérieure du
cordon
latéral (IIinterseitenstrang). Dans celte régio
nom de corne latérale (CL), envoie de nombreuses fibres dans les
cordons
an- téro-latéraux. Les cordons antérieurs et
voie de nombreuses fibres dans les cordons an- téro-latéraux. Les
cordons
antérieurs et antéro-latéraux, se développent a
et à mesure que la substance grise em- bryonnaire s'accroît. Les
cordons
anté- rieurs font à peine saillie au début de
antérieur, d'autant plus accentué et d'autant plus profond, que les
cordons
antérieurs sont plus volumineux (fig. 28, °3 ! ),
ieurs sont plus volumineux (fig. 28, °3 ! ), 30). Les cornes et les
cordons
antérieurs précèdent toujours dans leur évo- lu
érieurs précèdent toujours dans leur évo- lution, les cornes et les
cordons
postérieurs. Les cornes postérieures sont , enc
torsion tel, que sa face dorsale ou postérieure devient interne; le
cordon
ovalaire ou postérieur, qui repré- sente le fut
nterne; le cordon ovalaire ou postérieur, qui repré- sente le futur
cordon
de Burdach, l'entoure alors complètement (fig. 29
is.) Aspa, artère spinale antérieure. CA, corne antérieure. - Ca,
cordon
ante- rieur. - ca. commissure antérieure. - C
re. - Ca, cordon ante- rieur. - ca. commissure antérieure. - Cal,
cordon
antéro-latéral. Ce, canal cen- tral. CL, corne
don antéro-latéral. Ce, canal cen- tral. CL, corne latérale. - Cpl,
cordon
postéro-latéral. Fa, formation arquée. Fo, fa
insinue entre les cor- Ions postérieurs et donne inser- tion à un
cordon
névroglique le septum postérieur (fig. 30), leq
nts des deux parois juxta- posées du canal central; les fibres du
cordon
de Goll n'apparaissent que fort tardivement. L'
ces de la moelle lombaire de l'enfant, tandis que les cornes et les
cordons
sont à peine ébauchés dans les régions médullaire
au premier u Septum postérieur. Sillon médian pos- térieur.
Cordon
de Goll. Commissure gl'isG postérieure. j
- Aspa, artère spinale anté- rieure. - CA, corne antérieure. - Ca,
cordon
anté- rieur. - ca, commissure antérieure. - Cal
eure. - Ca, cordon anté- rieur. - ca, commissure antérieure. - Cal,
cordon
antéro-latéral. - Ce, canal central. - CL, corn
n. - Aspa, artère spinale antérieure. - CA, corne antérieure. - Ca,
cordon
autéricur ? ca, com- missure antérieure. Cal, c
érieure. - Ca, cordon autéricur ? ca, com- missure antérieure. Cal,
cordon
antéro-latéral. - Ce, ca- nal central. - CL, co
on. - Aspa, artère 'spinale antérieure. CA, corne antérieure. - Ca,
cordon
antérieur. - ca, com- missuro antérieure. Cal,
rieure. - Ca, cordon antérieur. - ca, com- missuro antérieure. Cal,
cordon
antéro-latéral. Cc, ca- nal central. - CL, corn
al central. - CL, corne latérale. - CP, corne posté- ricuro. - Cpl,
cordon
postéro-latéral. - FG, faisceau de Goll. - Fo (
res forment, après en- . trecroisement au niveau duraphe,un petit
cordon
blanc, longitudinal, le cordon antérieur primit
roisement au niveau duraphe,un petit cordon blanc, longitudinal, le
cordon
antérieur primitif de His (primâre Vorderstrangfe
utur faisceau longitudinal postérieur de la calotte, l'homologue du
cordon
antérieur de là moelle. Au sur et à mesure que
esure que la couche grise de la substance réti- culée s'accroît, le
cordon
antérieur primitif de Mis s'étend d'avant en ar
e : a) Dans la région bulbaire du quatrième ventricule, au noyau du
cordon
de Goll, à l'aile grise et au tubercule acousti
ale. - LF, lame fondamentale. Le. lame élnendymaire. - llCL restes du
cordon
latéral. - sa, sillon antérieur du -te ventricu
re, ou olive inférieure, aux noyaux juxta-olivai2,es, aux noyaux du
cordon
de Burdach, aux noyaux des cordons latéraux, au
x juxta-olivai2,es, aux noyaux du cordon de Burdach, aux noyaux des
cordons
latéraux, aux noyaux arqués des para- mides et
ale. - D9oV4, membrane obturatrice du 4e ventricule. - RCL, restes du
cordon
latéral. si, sillon latéral du 4e ventricule. s
ale. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - r, raphé. - RCL, restes du
cordon
latéral. - SR, substance ré- ticulée. - Vs, rac
lions crâniens se développent aux dépens de la partie supérieure du
cordon
ganglion- naire, lequel donne de chaque côté du
du côté opposé. Le faisceau direct, le plus petit, se rend dans le
cordon
anté- rieur de la moelle du même côté, et const
ue le faisceau pyramidal direct; le faisceau croisé se rend dans le
cordon
latéral du côté opposé de la moelle, où il form
les trouve non seulement dans la lame neurale, mais encore dans le
cordon
ganglionnaire, et dans la partie adjacente de l
donnent naissance aux cellu- les nerveuses et né- vrogliques.
Cordon
ganglion- naire. Fusion des cordons ganglio
rveuses et né- vrogliques. Cordon ganglion- naire. Fusion des
cordons
ganglionnaires. pendant longtemps la plus lar
dites, et aux cellules de la névroglie (Cajal, v. Lenhossek). Le
cordon
ganglionnaire, intermédiaire entre la lame neural
ince pédicule aplati d'avant en arrière, et formé par la fusion des
cordons
ganglionnaires droit et gauche. Ce pédicule s'ami
itié droite sur la moitié gau- che de l'embryon, tandis que les
cordons
ganglion- naires pénètrent à la façon d'un co
qu'ils contribuent iL fermer (fig.7 ! J.). Cette situa- tion des
cordons
ganglion- naires n'est que passagère : bientô
lusion des la- mes neurales est dès ce moment définitive et les
cordons
ganglionnaires, re- jetés de chaque côté du c
er en revue les diverses transfor- mations que subiront les Les
cordons
gan glionnairos donncm naissance aux gan- g
âge d'environ qua- torze à seize jours. (D'après v. Lenhossek.) Le
cordon
ganglionnaire est coloré en rouge. a) Coupo p
espondant aux u-, 8° et 3° Irotovertvhres. Cc, canal central. - CG,
cordon
ganglionnaire. - LC, lame corubo.- LN, lame neu
lus lâches,mais même lors- qu'il existe déjà un certain nombre de
cordons
médul- laires longitudinaux, on re- FiG. 78.
ure forment les fi- bres arquées et les libres postérieures des
cordons
latéraux cylindre-axe dans les régions antérieu
opposé et entrent dans la constitution des fibres longitudinales du
cordon
antérieur. Les neuroblastes de la corne antérie
nt u'er ? lérTh gence comifauikeb ssiff faisant à l'.l'1qtl du'
cordon
antériéu du cordon latéral, le long d'un sill
ce comifauikeb ssiff faisant à l'.l'1qtl du' cordon antériéu du
cordon
latéral, le long d'un sillon irré- gulier, le
où la plupart se bifurquent et forment un faisceau longitudinal, le
cordon
postérieur primitif; sur des Chaîne ganglion- z
os vertébrés supérieurs. Fibres centrales des ganglioblastes.
Cordon
postérieur primitif. Fi(;. 86. - Celltiles et
et xa pai- res. coupes transversales de la moelle embryonnaire ce
cordon
, situé à la péri- phérie, présente une surface
ne gardent pas pendant longtemps leur position superficielle : les
cordons
antéro-latéraux prennent en effet un développem
longements extrêmement ramifiés, qui se rendent dans le segment des
cordons
antérieurs qui répond au sillon médian antérieur.
gion fusionnée, région qui correspond à celle des futures cornes et
cordons
postérieurs, perdent nécessairement leurs conne
ostéro-latérale de la moelle, celle qui correspond à la corne et au
cordon
postérieurs, est dépourvue de filaments épendymai
es araignées géantes postérieures s'irradient profondément dans les
cordons
postérieurs. p. - Les cellules araignées de la
à peu près parallèles à la ligne qui sépare la corne postérieure du
cordon
postérieur, et se terminent à la superficie de
nerveuse, qui se réunit aux fibres voisines et se dirige vers le
cordon
ganglionnaire abdo- minal, où elle se bifurque
rce cérébrale et cérébelleuse, ainsi que sur les cylindres-axes des
cordons
blancs de la moelle , que ces cylindres-axes ap
à-dire aux cellules des ganglions rachidiens) ou aux « cellules des
cordons
» de la moelle de Ramon y Cajal (Voy. t. II, moel
x branches qui en proviennent de- viennent fibres constitutives des
cordons
postérieurs. La fibre a, avant de se bifurquer,
observe un certain degré d'atrophie des racines postérieures et du
cordon
postérieur correspondant, ainsi qu'une diminution
; le nel/I'one IJ1lLbo-p7'oll/l)Ùanliel par la cellule des noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach dont le cylindre-axe entr
line sur les Fia. 123. - l, B, C, D et. E, divers tubes nerveux des
cordons
antérieurs de la moelle opinièro du chien, isol
ne sorte de nid péri-cellulaire. Le ganglion sympathique, comme les
cordons
sympathiques et les branches périphériques, est
se divisent et se subdivisent avant de pénétrer dans l'épaisseur du
cordon
nerveux. Les vaisseaux du plus gros calibre se
igone (Tgp) qui la recouvre. Elle apparaît alors sous la forme d'un
cordon
grisâtre, qui suit exactement la courbure du subi
s, court, ramassé sur lui-même, donne naissance en z arrière à deux
cordons
blancs volumineux, les circonvolutions olfactives
du troisième ventricule (fib. 188), se présente sous la forme d'un
cordon
rougeàtre de 4 millimétrés de long, obliquement
tion un peu grisâtre. De leur extrémité externe se détache un petit
cordon
blanchâtre, qui se porte transversalement en de
ors vers le corps genouillé externe (Cge) de la couche optique : ce
cordon
est connu sous le nom de bras du tubercule quadri
s, et donnent naissance au niveau de leur partie externe à un petit
cordon
, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (
mmédia- tement en avant du trou de Monro, et donne naissance à deux
cordons
arrondis, les piliers antérieurs du trigone (Tg
gent le bord interne de la corne d'Ammon (fig. 208); ils forment un
cordon
vasculaire rouge et granuleux, étendu du trou d
e ventricule. antérieur de l'aqueduc de Sylvius, et qui sépare deux
cordons
latéraux appartenant à la partie intra-ventricu
la glande pinéale, de chaque côté par le tænia thalami (tth), petit
cordon
très blanc, situé à la limite de la face intern
éphale, est uni au tubercule quadrijumeau pos- térieur par un petit
cordon
, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (
pédoncule cérébral (SR) et de la protubé- rance puis dans celle du
cordon
latéral de la moelle. - Les fibres de Ventre-cr
ubstance réticulée de la calotte et entrent dans la constitution du
cordon
antIYro-lall'l'at de la moelle. Toute la régi
les racines de tous ces nerfs, à l'exclusion des si nombreux autres
cordons
ner- veux qui constituent la queue de cheval. I
racines posté- rieures et dégénérescence ascendante consécutive des
cordons
pos- térieurs. Inflammation dégénérative des mu
u plusieurs processus anatomiques distincts, telle une sclérose des
cordons
postérieurs tabétique type avec de l'endartérit
1N, Briche, SfKGER. Le sujet de l'épreuve écrite était le suivant :
Cordon
postérieur de la moelle.- Les questions restées
, par ordre de mérite : MM. Toy, Roux, DoDERO. La question écrite :
Cordon
postérieur de la moelle. Question orale : Signe
1 SUR LE GROUPEMENT DES FIBRES ENDOGÈIIti4 DE LA MOELLE DANS LES
CORDONS
POSTERIEURS; Par )1. le D' lll.wu f)UOUI;, An
, il la Salpêtrière. I. L'existence des fibres endogènes dans les
cordons
pos- térieurs de la moelle est une notion qui n
de fibres com- missurales entrant dans la constitution de ces mêmes
cordons
. Mais c'est seulement dans ces dernières années
série, t. IL 6 82 ANATOMIE. de la moelle, dénommées cellules des
cordons
, que ces fibres sont les prolongements de neuro
nes dont l'élément noble ne serait autre que ces mêmes cellules des
cordons
. Mais si l'on se reporte aux descriptions des a
suite de cette étude sur le trajet des faisceaux endogènes dans les
cordons
postérieurs à fournir une interprétation, pas a
sion des racines postérieures lombo-sacrées par un carci- nome, les
cordons
postérieurs sont représentés dégénérés dans tou
u moins chez l'adulte de filets radiculaires descen- dants dans les
cordons
postérieurs. Existent-ils réellement ? et si le
à fait inférieure, nous n'avons représenté en pointillé dans les
cordons
postérieurs que les parties qui sont restées sa
e ces mêmes cor- dons sont atteintes par ]a dégénéres- cence. Les
cordons
antéro-Iatéraux sont normaux. On voit sur cette
non schématique que la dé1Óéné, rescence envahit tout le reste des
cordons
postérieurs. Coupes entre la cinquième paire sa
Au moment où la zone postérieure atteint l'angle postéro-iulerne du
cordon
postérieur, elle le contourne et borde sa branche
s sains, qui viennent remplir les portions externes et moyennes des
cordons
postérieurs. Coupe au niveau de la troisième ra
es'coupes supé- rieures la zone dégénérée occupe exactement dans le
cordon
Fifl. 11. DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE.
représente sur 'ses figures une dégénérescence descendante dans les
cordons
pos- térieurs. Cette dégénérescence est topog
ence de fibres à dégénération descendante ou à long trajet dans les
cordons
postérieurs. V. Dans ces observations nous ét
llons parler de fibres endo- gènes et de faisceaux commissuraux des
cordons
postérieurs, il 1 Hoche. - Loc. cil. DES FIBR
le second que microsco- piquement. 1° Les faisceaux endogènes des
cordons
postérieure ne doi- vent pas être confondus ave
tort d'opposer à Tooth, s'exprime ainsi : « La partie interne du
cordon
postérieur n'est pas uniquement formée par des fi
s rachidiennes en commençant par la 3e sacrée, la partie interne du
cordon
pos- térieur n'est pas uniquement formée par de
es descendants, mais ceux-ci se trouvent dans la région moyenne dos
cordons
posté- rieurs. De plus, de l'avis de tous les a
de la moelle située au-dessous de la troisième racine lombaire le
cordon
postérieur était complètement dégénéré sauf dans
ns pour le postérieur. ' 2° Les faisceaux dits endogènes dans les
cordons
postérieurs ne représentent pas le trajet intra
- tions descendantes de tous ces cas que par la présence dans les
cordons
postérieurs de fibres descendantes à long trajet.
fibres des racines antérieures et d'un grand nom- bre de fibres du
cordon
antéro-latéral... une zone de fibres en dégénér
antéro-latéral... une zone de fibres en dégénérescence au sommet du
cordon
postérieur tout près de la commissure grise, p
et de .Goll ; à la région sacrée à la partie tout à fait interne du
cordon
postérieur. Il y a peut-être là au point de vue
arcours, mais quel que soit le niveau il est toujours en bordure du
cordon
postérieur soit de la périphérie postérieure, s
on cervicale et dorsale supérieure il se trouve à la périphérie des
cordons
postérieurs presque au voisinage de l'angle pos
groupe de fibres et représente la voie endogène à long trajet des
cordons
postérieurs. Le déplacement de ce faisceau ne s
g et, à la région cervicale seulement, la zone postéro- externe des
cordons
postérieurs, ainsi que l'ont signalé Strum- pel
ntes : 1° La présence de filets radiculaires descendants dans les
cordons
postérieurs n'est pas encore absolument démontrée
tence de fibres endogènes à dégénération descendante dans ces mêmes
cordons
postérieurs; 2° On peut considérer deux système
2° On peut considérer deux systèmes de fibres descendantes dans le
cordon
postérieur dites fibres endogènes ou commis- su
e d'une façon permanente, il faut penser à une lésion organique des
cordons
postérieurs ou des nerfs qui sont en rapport av
u de soutène- ment avec diminution du nombre des vaisseaux dans les
cordons
postérieurs. Mais ces lésions sont banales chez
espond d'une façon presque absolument con- stante à la sclérose des
cordons
latéraux. , M. Delmas communique une observatio
ement la substance grise, mais empiète par place sur les différents
cordons
. Dans ce foyer les vaisseaux sont très conges-
es cellules em- bryonnaires pressées les unes contre les autre. Les
cordons
médul- laires ont subi une certaine dégénéresce
es sur un point limité, respectant les faisceaux pyrami- daux et le
cordon
postérieur. L'ictus s'explique par un arrêt bru
onstatait le plus souvent que le processus cavitaire s'étendait aux
cordons
postérieurs et latéraux. Le cas actuel est, dit
moteurs superposés au bulbe, à la protubérance et à la moelle. Les
cordons
médul- laires sont indemnes puisqu'il n'y a ni
ope à l'état frais. Après l'avoir durcie, on trouve des lésions des
cordons
postérieurs qu'aucun trouble, pen- dant la vie,
pu faire prévoir. En effet, sur toutes les coupes on voit dans les
cordons
postérieurs, avec raréfaction légère des fibres
ndant une certaine raréfaction encore des fibres à myéline dans les
cordons
latéraux. 2e autopsie. - Les nerfs périphérique
ubles sont-ils plus directement en rapport avec les altérations des
cordons
pos- térieurs. Dans l'observation relatée par
rl'incontinence comme on traite le somnambulisme, par le procédé du
cordon
antisom- ? M[M6 ! <H</M6 (Fiorani). Ce méde
nuit il urine au lit. Le lendemain soir, couché, on lui applique le
cordon
antisomnambulique. C'est un lacet de 2 mètres de
e succès thérapeutique n'est pas dû à l'autosuggestion plutôt qu'au
cordon
antisolnnambulique. C. LI. Dissertation sur u
us haut apparition d'une masse de substance nerveuse qui adhère aux
cordons
postérieurs et qui est, on le comprend, la coup
lifération de la névroglie. Dans la moelle, légère dégénération des
cordons
latéraux et pos- térieurs. Le second cas conc
parallèlement à la sur- face de l'écorce. Moelle : dégénération des
cordons
de Goll et des cordons antéro-fatéraux. La pa
face de l'écorce. Moelle : dégénération des cordons de Goll et des
cordons
antéro-fatéraux. La particularité intéressante,
u cellulaire extérieur au péritoine pour donner entrée aux élémens du
cordon
spermatique. \J orifice inférieur externe et so
ne, est bornée en dehors par l'artère épigas-trique, en dedans par le
cordon
de l'artère ombilicale; elle donne entrée aux vis
l'homme , contient à son intérieur di-verses parties. On y trouve le
cordon
testiculaire avec ses élé-mens, c'est-à-dire le c
muscle crémaster, la tunique fibreuse commune et la tunique propre au
cordon
. En outre, le même canal contient encore un ramea
e canal contient encore un rameau envoyé par l'artère épigastrique au
cordon
, un autre fourni par 1 liypogastnque , et un ram
t alors le canal inguinal renferme comme chez l'adulte les élémens du
cordon
, et de plus un prolongement cylindroïde de la mem
ont été décrits sous le nom de hernies graisseuses. Les rapports du
cordon
avec la hernie ne méritent pas moins d'attirer l'
ention du chirurgien. En général, dans la hernie inguinale externe le
cordon
est placé en dedans et en arrière de la tumeur, m
in-terne , celle qui s'échappe par la fossette inguinale moyenne, le
cordon
, communément situé en arrière et en dehors , peut
autre part, dans l'une ou l'autre de ces deux variétés de hernies, le
cordon
ne reste pas toujours plein et entier. Comprimé e
ale, et comment, dans une circonstance bien plus curieuse encore , le
cordon
a pu se laisser traverser par la hernie qui se tr
lequel le péritoine est légèrement enfoncé, et si l'on tire un peu le
cordon
au dehors, ce cul-de-sac devient plus pro-fond et
érieur du ventre, tandis que son sommet s'engage dans l'épais-seur du
cordon
. Du côté du ventre, le péritoine qui entoure l'an
rtera , en venant au monde, une hernie qui sera logée dans la base du
cordon
: c'est là la véritable omplialocèle congeniale.
tervalle, l'adhé-rence n'est point encore intime entre les élémens du
cordon
, le pourtour aponévrotique et la peau, et conséqu
hez Xadulte, l'anneau ombilical est complètement fermé. Les débris du
cordon
se sont condensés en un petit noyau fibreux qui,
gamens fibreux qui résultent de l'oblitération des trois vaisseaux du
cordon
, adhèrent fortement tant au péritoine qu'à la fac
'abord, se fai-sant une fausse idée des rapports du péritoine avec le
cordon
om-bilical, on avait pensé que les viscères, pour
ical, on avait pensé que les viscères, pour s'engager dans la base du
cordon
, chez l'enfant, passaient par une ouverture natu-
es vaisseaux ombi-licaux, à leur sortie du ventre pour entrer dans le
cordon
, sont situés en dehors du péritoine, et celui-ci
toujours la séreuse au-devant de lui pour s'engager clans la base du
cordon
, ou pour franchir l'ombilic après la formation de
ommet de la tumeur, où elle est remplacée par la mem-brane externe du
cordon
. Les vaisseaux ombilicaux sont ordinairement ét
elles et l'anneau, et surtout, dans la hernie inguinale, préserver le
cordon
testiculaire de la compression ; il est quelquefo
cela il y a deux inconvénient : d'abord il est impossible qu'alors le
cordon
tesliculaire ne soit pas com-primé en même temps
ernie qu' il sera nécessaire d'échan-crer la pelote, afin de loger le
cordon
spermatique, sans le com-primer, recommandation q
itéré et épaissi ou plein de liquide, ou encore les divers élémens du
cordon
spermatique et le canal déférent séparés. 3e Te
tenir en garde contre la présence du canal déférent ou des élémens du
cordon
qui se trouvent quelquefois placés au-devant du s
couper cette artère. Néanmoins A. Cooper croit possible d'écarter le
cordon
avec une sonde cannelée, après avoir fait une pet
on peut toujours diriger le bistouri en haut à cause de l'absence du
cordon
testiculaire. Or, chez l'homme, soit que l'on déb
exerçait une constriction qui le plus sou- vent comprimait aussi le
cordon
testiculaire, et par conséquent entraînait la per
'un peu plus tard qu'on isola le sac de manière à l'étreindre sans le
cordon
, et la méthode prit le nom de suture royale, bien
ans cette opération de léser l'artère épigastrique , de comprendre le
cordon
dans l'anse de fil, et de traverser le péritoine.
ces accidens sont, au reste, faciles à éviter, puisque d'une part le
cordon
est situé derrière le doigt indicateur placée dan
racine des bourses aussi près cpie possible de l'anneau, et tient le
cordon
isolé entre l'indi-cateur et le pouce cle la main
re, en observant les mêmes précau-tions , et faisant en sorte cpie le
cordon
se trouve placé entre les deux. Ordinairement deu
rquables à notre époque, les chirurgiens sont parvenus à respecter le
cordon
, le testicule, les vaisseaux et même le péri-toin
alliait les caustiques à la ligature en se servant pour la faire d'un
cordon
enduit, de substances escharotiques; mais en outr
on difficile s'il était trop large en travers ; enfin rouler les deux
cordons
de chaque ligature en un seul, de manière à n'a
ique vaginale, qui peut être acquise ou congéniale; 2° l'hydrocèle du
cordon
; 3" enfin, l'hydrocèle des grandes lèvres. A. L
plus grave que celle qu'il avait pour objet de guérir. Hydrocèle du
cordon
. L'liydrocèle par infiltration nécessite seulemen
e chose qu'un véritable kyste, étendu quelquefois depuis le sommet du
cordon
jusqu'à l'épidi-dyme, doit être traitée de préfér
onne lieu à des douleurs ex-trêmement vives qui suivent le trajet des
cordons
spermatiques et vont retentir dans les fosses ili
commune de varicocèle , la dilatation variqueuse des veines, soit du
cordon
, soit du testicule, soit enfin du scrotum. Bien q
cèle désignait les varices du scrotum, et le cirsocèle les varices du
cordon
testiculaire et du testicule. Le varicocèle n'e
chirurgien procède aussitôt à la recherche des principales veines du
cordon
qu'il saisit, en masse entre le pouce et l'index
nté. Le malade étant placé comme nous l'avons dit, et les veines du
cordon
ramenées dans un pli extérieur de la peau, le can
à la pince de Sanson, elle ne comprime que médiate-ment les veines du
cordon
, qui sont étroitement serrées dans le pli antéri
t de l'altération des veines. Au reste, malgré l'état du scrotum, les
cordons
spermatiques sont, sains , mais seulement un peu
xtirpation du testicule, car l'anatomie pathologique a prouvé que les
cordons
spermatiques et les testicules étaient sains: ain
es sur la face interne des cuisses. Il s'oc-cupa ensuite d'isoler les
cordons
et les testicules, en enlevant toute la masse qui
verge pour lui en former un étui, et enveloppa les tes-ticules et les
cordons
dans les lambeaux latéraux; le tout fut ar-rêté e
s. Une circonstance, quia paru embarrassante, a été la longueur des
cordons
; mais Delpech assure qu'on doit peu s'en inquiét
en pure perte. Toutefois , comme il est possible d'aller chercher le
cordon
jusque dans la fosse iliaque, ainsi que l'ont fai
canal déférent. Ainsi M. Mau-noir, de Genève, pense qu'en mettant le
cordon
spermatique à nu par une incision de quatre centi
ssection de la tu-meur, et le troisième, la section et la ligature du
cordon
. Premier temps. Section de la peau. Le malade é
qu'il offre en outre ce grave inconvénient, quant à la dissection du
cordon
, de ne pas permettre de l'isoler aussi bien jusq
cule (fig. 3). L'incision étant faite, il faut isoler la tumeur et le
cordon
. Lorsque la couche sous-cutanée est libre d'ad hé
tre, les corps caverneux et la cloison. Troisième temps. Section du
cordon
. Lorsque le cordon est isolé jusqu'au-dessus du m
rneux et la cloison. Troisième temps. Section du cordon. Lorsque le
cordon
est isolé jusqu'au-dessus du mal, il faut en opér
la même façon. Quelques-uns, suivant le procédé ordinaire, coupent le
cordon
en totalité avant de lier aucun de ses vaisseaux;
nt. Dans le procédé ordinaire, on recommande à un aide de saisir le
cordon
près de l'anneau entre le pouce et l'index; on so
a préfèrent donner la tumeur à tenir à l'aide, et saisir eux-mêmes le
cordon
près de sa racine. Parfois le pédicule du cordon
saisir eux-mêmes le cordon près de sa racine. Parfois le pédicule du
cordon
glisse des doigts, et se retire clans l'anneau. O
ir au dehors. On reproche à ce procédé d'exposer à la rétraction du
cordon
et à l'hémorrhagie par suite de la difficulté qu'
ques-unes de ses artérioles. Modifications au procédé de section du
cordon
. Anciennement on pratiquait, et de nos jours enco
ours encore un grand nombre de chi-rurgiens pratiquent la ligature du
cordon
en masse avant d'en opérer la section. Celse est
Sous-procédé dA. Paré. Il passait un fil double dans l'épaisseur du
cordon
, et liait séparément les deux fils qui en résulta
compresse graduée sur l'anneau. Pouteau se bornait à tenir le bout du
cordon
renversé sur le pubis ; enfin Runge tordait plusi
coupe à petits coups, et n'achève la section de la dernière partie du
cordon
qu'après s'être assuré que cette portion, qui lui
Sous-procédé de M.Blandin. Ce chirurgien, attribuantla rétrac-tion du
cordon
à ce qu'on n'a pas la précaution de le dépouiller
e en dédolant. Lors-qu'il a pénétré dans son intérieur, il soulève le
cordon
sur une sonde cannelée, et divise, derrière ce fa
ste delà gaîne. Après cette opération préliminaire, on peut couper le
cordon
sans appliquer sur lui de ligature préalable et s
écutive. Quelques personnes redoutent aussi beaucoup la rétraction du
cordon
; enfin , on dit que les tâtonnemens auxquels on e
il rarement préjudiciable. La rétraction des parties constituantes du
cordon
peut arriver lorsque la tu-meur est très volumine
M. Blandin, à la rétraction de ses enveloppes qu'est dû le retrait du
cordon
; et puisque cet acci-dent ne peut arriver que da
nt, dit Boyer, comme il est certain que la ligature de la totalité du
cordon
spermatiquea donné lieu quelquefois à des acciden
et d'un autre côté comme la liga-ture immédiate de chacpie artère du
cordon
n'a jamais eu de suites fâcheuses, nous concluons
tre faite de cette manière , et qu'on ne doit se déterminer à lier le
cordon
en totalité qu'autant que les artères qu'il renfe
t. Il saisit entre le pouce et les quatre doigts de la main gauche le
cordon
à travers un pli de la peau du scrotum et de l'ai
s le pli delà peau scrotale qu'il tient entre ses doigts, derrière le
cordon
, un peu au-dessus du point où son intention est
r et de tirer un peu la tu-meur recouverte de tégumens, il reprend le
cordon
, le pouce en dedans et les doigts en dehors , rep
ui le recouvre. Le plus souvent aussitôt que la section est faite, le
cordon
glisse des doigts de l'o-pérateur et se retire un
res les uns des autres; l'un d'eux, plié en quatre, est placé sous le
cordon
, au-dessus des parties malades, pour le lier d'av
x malades traités de la sorte ont parfaitement guéri. Sarcocííle du
cordon
et du can au inguinal. Certains sarco-cèles début
du cordon et du can au inguinal. Certains sarco-cèles débutent par le
cordon
, soit par la partie qui est au dehors du canal in
complet ; Rossi, dans un cas semblable, fut obligé d'aller couper le
cordon
à plus de 8 centimètres au-dessus de l'anneau, ai
trois cas toute la paroi antérieure du canal inguinal, et d'isoler le
cordon
jusque dans la fosse iliaque pour en faire la lig
it quelquefois survenir, une inflammation très intense du scrotum, du
cordon
spermatique et des parties contiguës. On oppose à
remarque de chaque côté du pavillon un anneau destiné à recevoir les
cordons
nécessaires pour la fixer; au voisinage du bec so
pour toutes les sondes. iCIProcédépourfixer la sonde. On prend deux
cordons
de coton à mèchelongs d'un mètre (3 pieds) enviro
sonde à i1 ou 15 centim. (4 à 5 pouces) du gland ; puis on prend ces
cordons
deux à deux , on les conduit sur les côtés de la
er passer la verge, ou bien un suspensoir, puis à attacher les quatre
cordons
à des œil-lets pratiqués de chaque côté de l'ouve
toute autre matière, bien matelassé, au suspensoir, et d'y fixer les
cordons
de la sonde. Le premier procédé est généralemen
erge. Assez souvent, quels que soient les moyens qu'on emploie, les
cordons
glissent sur la sonde et celle-ci sort de la vess
côtés, près du pavillon, deux petites anses de fil pour y passer les
cordons
; on peut aussi placer à cet effet, à l'extrémité
urvenir un accès de fièvre, ou bien un engorgement du testicule ou du
cordon
qu'il faut attri-buer à ce qu'on avait l'habitude
ta et d'Angeli, de même qu'à la blessure des vésicules séminales, des
cordons
déférens , et du plexus veineux prostatique. Somm
puis il fixait le tout à l'aide d'un T double auquel il attachait les
cordons
passés dans les anneaux de la canule. Cet appar
ployer une sonde en gomme élastique, et l'assujettir en attachant les
cordons
aux sous-cuisses d'un bandage en T double. TUME
pèces , la queue est percée à son extrémité externe pour recevoir des
cordons
destinés à le soutenir et à le fixer, qui viennen
n a pensé qu'on assujettirait mieux la tige en y plaçant un troisième
cordon
cpii irait s'attacher en arrière. D'autres enfin
e-voir la tige, et quatre autres trous à ses angles pour recevoir des
cordons
ou des courrois qui vont s'attacher devant et der
e, ou bien dans le point où il prend insertion à la matrice, comme le
cordon
ombilical de l'enfant après la naissance; à cet
de voir, prétendant qu'il n'y a au-cune comparaison à faire entre le
cordon
ombilical et le pédicule d'un polype sous le rapp
in , comme le voulait Planchon. Les uns ont conseillé de tirer sur le
cordon
; mais il vaut mieux aller saisir le placenta par
plusieurs muscles rétractés, pour éviter de diviser mal-à-propos les
cordons
qui auraient pu être ménagés, il faut com-mencer
à sa position normale. L'arrêt, s'il s'en présente, et la saillie des
cordons
qui empêchent le retour complet de la partie à sa
a plaie après l'opération de la trachéotomie. Elle est fixée par deux
cordons
noués derrière le cou et maintenus appliqués eux-
u canal inguinal, (b) Orifice externe ou anneau inguinal externe, (c)
Cordon
spermatique dans le canal inguinal dont l'aponévr
ou anneau inguinal ex-terne encore plus dilaté que le précédent, (c)
Cordon
spermatique qui rampe, aplati, dans la gouttière
vrotique (c) distingue à l'œil la cavité du sac herniaire (h) dans le
cordon
dilaté d'avec celle du canal inguinal au-dessus.
(i,i), dans l'intervalle desquels se voient les vaisseaux éraillés du
cordon
spermatique aplati. Les vaisseaux épigastriques (
c une portion de péri-toine est enlevée pour montrer les vaisseaux du
cordon
spermatique disséminés en arrière et un peu en de
respectif de la ligne blanche. A. Hernie inguinale externe. Ici le
cordon
des vaisseaux sperma-tiques, situé en bas et en d
uprès de l'anneau inguinal interne, dans lequel on voit s'insinuer le
cordon
des vaisseaux sperina-tiques (c). Ce pilier, au b
que, que l'on voit naître sous le péritoine de l'iliaque externe; (d)
cordon
des vaisseaux sperma-tiques, (f ) artère et veine
uits. FIGURE I. A. Procédé de M. Bonnet. Il consiste à renfermer le
cordon
entre deux épingles fixées chacune à travrs deux
au-dessous de l'an- neau inguinal externe, entre les tégumens et le
cordon
. B. Procédé de M. Gerdy. La peau conduite parle
ences de la tunique vaginale pour isoler l'organe avant la section du
cordon
. Figure 4. Ligature en masse du cordon dénudé q
l'organe avant la section du cordon. Figure 4. Ligature en masse du
cordon
dénudé qui sera immé-diatement suivie de la secti
u-dessous. Figure 5. Procédé de M. Maunoir. Ligature des artères du
cordon
comme moyen d'atrophie du sarcocèle commençant.
commissure. La zone postérieure et médiane et ce qui représente le
cordon
postérieur est absolument sclérosée. Les corn
e est pâle (fais- ceau cérébelleux direct, faisceau de Gowers). Les
cordons
de Burdach sont fortement teintés ; les cordons
eau de Gowers). Les cordons de Burdach sont fortement teintés ; les
cordons
de Goll renferment quelques fibres saines. Les
ales, la dégénération des faisceaux pyramidaux tend à s'effacer, le
cordon
de Goll est dégénéré jusqu'à la commissure post
ns sombre sur les préparations traitées par la méthode de Pal. Le
cordon
de Goll est décoloré jusqu'à la commissure. Un
ération descendante des faisceaux de Gowers et de la totalité des
cordons
postérieurs). La compression spinale était produi
ous nous servons de bandes, bourrées d'ouate et terminées par des
cordons
pour attacher les poids. Lorsque nous voulons u
partisans du tabes à début endogène, c'est-à-dire d'emblée par les
cordons
postérieurs, devient de jour en jour plus rare.
ue également un rôle. P. 11ERA'AL. X. Le trajet sacro-lombaire du
cordon
latéro-cérébelleux. Elimi- nation de la substan
secondaire dans la - portion la plus postérieure, périphérique, du
cordon
latéral : elle commence au niveau de la partie
rsale supérieure, à gauche, jusqu'à la moelle cervicale moyenne. Le
cordon
latéral 136 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
faisceau latéro-cérébelleux, et que, si une partie considérable du
cordon
latéral sacro-lombaire cesse, en apparence, à l
dorsale supérieure et de la molle cervicale, d'autres libres de ce
cordon
se continuent avec le faisceau latéro-cérébelle
aisceau sulco-marginal ascendant (Marie), et des fibres éparses des
cordons
antéro-latvruux ; 5° les cordons postérieurs re
(Marie), et des fibres éparses des cordons antéro-latvruux ; 5° les
cordons
postérieurs restent indemnes, probablement parc
essous du foyer : 1° une dégénérescence descendante, en virgule, du
cordon
postérieur ; 2° une forte dégénérescence du cor
, en virgule, du cordon postérieur ; 2° une forte dégénérescence du
cordon
latéral des pyramides, qui diminue d'étendue et
scendant. B. Au-dessus du foyer : 1° uné dégénérescence évidente du
cordon
latéral du cer- velet; 2° une dégénérescence du
évidente du cordon latéral du cer- velet; 2° une dégénérescence du
cordon
postérieur; celle-ci, diffu- sée à travers tout
scence du cordon postérieur; celle-ci, diffu- sée à travers tout le
cordon
, immédiatement au-dessus du foyer. décroît en m
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 137 baire, la dégénérescence descendante du
cordon
latéral des pyra- mides est à peine visible; el
plus élevée de la moelle dorsale, la dégéné- rescence ascendante du
cordon
postérieur.se manifeste par une décoloration du
tte physionomie laisse supposer l'ascension de la dégénérescence du
cordon
latéral des pyramides, et la descente de la dég
ordon latéral des pyramides, et la descente de la dégénérescence du
cordon
postérieur, attri- buées par Struempell à une a
elui d'une myélite ayant à peine duré un mois, la dégénérescence du
cordon
latéral des pyramides est-elle plus nette en de
latéral des pyramides est-elle plus nette en descendant et celle du
cordon
poslérieur plus nette en montant ? A la suite d
t la dégénérescence exclusive des fibres très longues, tant daus le
cordon
pyramidal que dans le cordon posté- rieur. Comm
des fibres très longues, tant daus le cordon pyramidal que dans le
cordon
posté- rieur. Comme dans la moelle les fibres l
plus drues et plus épaisses. C'est ce qui a lieu pour les fibres du
cordon
latéral des pyramides au niveau du segment le p
du segment le plus inférieur de la moelle, et, pour les libres ' du
cordon
postérieur au niveau du segment le plus élevé. Pe
aintenant un homme de quarante-cinq ans atteint d'une affection des
cordons
-postérieurs relativement récente. A la hau- te
rouge-brun : c'est un signe que les petits cylindraxes et les fins
cordons
conjonctifs se sont défaits de la coloration pr
ent d'un seul côté de ceux-ci comme pour leur former un bonnet. Les
cordons
de cellules qui forment la couche supérieure se
ons de cellules qui forment la couche supérieure se transforment en
cordons
de fibres, dont chacune pénètre dans les couche
s'être entrecroisés dans la com- missure antérieure, se rendent aux
cordons
antérieurs et latéraux. pour monter au cerveau.
ation fournissent des argu- ments en faveur de l'existence dans les
cordons
latéraux de fibres sensorielles croisées. La pr
ique qui se développe en arrière paral- lèlement à la périphérie du
cordon
antéro-latéral (faisceau antéro- latéral descen
antéro- latéral ascendant, toute la masse des libres ascendantes du
cordon
antéro-latéral qui n'appartiennent pas au faisc
isceau latéral du cer- velet postérieur, ni au système intérieur du
cordon
latéral de Ziehen : ce dernier monte dans la co
ues cirzé7éôrzyes, qui de la substance grise d'un côté s'en vont au
cordon
antérieur de l'autre, libres obliques de la com
ongements des racines postérieures se terminent dans les noyaux des
cordons
postérieurs, dont les axones, abstraction faite
vingt-cinq ans montra à l'autopsie des lésions radiculaires et des
cordons
postérieurs très caractérisés. En somme un long t
der communique un cas' de syringomyélie avec lésion isolée d'un des
cordons
de Goll. La sensibilité était abolie du côté de
brale et la moelle épinière, où elles sont plus prononcées dans les
cordons
antéro-latéraux que dans les cordons postérieurs.
sont plus prononcées dans les cordons antéro-latéraux que dans les
cordons
postérieurs. L'auteur qualifie les lésions du c
pernicieuse avec symptômes médullaires. Dégéné- ration de tous les
cordons
de la moelle ; par le même. Trois cas de tumeur
e dégénérescence pro- gressant de haut en bas une dégénérescence du
cordon
posté- rieur qui décroît en descendant ? (myéli
ie supérieure. On constate une diminution de volume des segments du
cordon
postérieur, qui* tient ou peut être rattachée à
. La méthode de Weigert el Pal montre une décoloration manifeste du
cordon
postérieur droit, mais seulement au niveau de l
colorées. La décoloration reparait dans les régions élevées, où le
cordon
de Goll contient de longues fibres pressées les
es avait à droite presque disparu : les trousseaux qui rayonnent du
cordon
postérieur dans la substance' grise avaient de
de ces animaux qui avait subi la section de la moelle lombaire, le-
cordon
postérieur avait dégénéré au-dessus du lieu d'int
gitudinale à travers la substance grise qui provenaient, non pas du
cordon
postérieur, mais du cordon latéral exclusivemen
stance grise qui provenaient, non pas du cordon postérieur, mais du
cordon
latéral exclusivement. P. Keraval. XXXII. Contr
rine produite, soit par un pli membraneux amnio- tique, soit par le
cordon
et il nous semble que les bourgeons digitaux, r
les paralysies agitantes prolongées, par suite d'altérations des
cordons
postérieurs ; les douleurs rhumatismales si fréqu
Koller, Kettscher, Saas et Dana ont trouvé la moitié médiane des
cordons
de Goll occupée par une dégénérescence diffuse av
de petits ilôts de tissu scléreux. Même état, quoique moindre, des
cordons
latéraux. Substance grise très peu , altérée. P
elle cervi- cale et dorsale. Dans la moelle lombaire, la lésion des
cordons
postérieurs était encore plus accentuée. Ce son
pation opiniâtre et sugges- tion hypnotique, par P. Farez, 245.
Cordon
latéro-cérébelleux. Trajet sacro-lombaire du -,
aire, de l'iliaque externe, dessinent une série d'anses entre les
cordons
nerveux, s'insinuent dans leurs interstices et
inaison, elles se recourbent, elles aussi, avant de plonger dans le
cordon
nerveux. Au cou, la direction des vasa nervorum
; " b. Une artère ne plonge jamais d'emblée dans l'épaisseur d'un
cordon
nerveux; elle se divise avant ÉTUDE SUR LES VAI
rons dans un instant les terminaisons; plus bas, le long des deux
cordons
nerveux, ce sont de longues arcades, souvent do
, chacun d'eux émet un ou deux ra- meaux, qui s'insinuent entre les
cordons
voisins, devant ou derrière l'artère, et plus l
atérales que se rendent, pour la plus grande part, les veinules des
cordons
du plexus. Or, elles s'anastomosent, en bas, av
ses, et cela surtout au niveau des articulations, aux points où les
cordons
nerveux sont soumis à des alternatives fréquent
érioles qui s'échelonnent à courte distance sur chaque segment d'un
cordon
nerveux, leur volume relatif, leurs origines mu
', et je ne l'ai 1 L'un de nous a observé l'altération des nerfs du
cordon
sur un paquet de veines variqueuses, il en fera
du nerf optique et de sa valeur pro-, nostique dans la sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle épiniére (Th. de Paris
tion foetale et non la marche de la dégénérescence secon- daire des
cordons
postérieurs. Voici d'après l'auteur, suivant l'
uestion s'infléchissent après un trajet plus ou moins long dans les
cordons
postérieurs et gagnent les cordes postérieures
es plus antérieures paraissent avoir-leur plus long trajet dans les
cordons
postérieurs. - 2. Les fibres du premier sys- tè
iane, impossible d'en savoir plus long. - 4. En ce qui concerne les
cordons
de Goll chez le foetus, on n'a pas de preuve qu'i
ne. Mais il est impossible de savoir par quelle voie les fibres des
cordons
de Goll arrivent dans la zone radiculaire moyen
Je n'ai pu constater l'assertion de Bechterew d'après laquelle les
cordons
de Goll rayonnent de la substance grise ou des co
rayonnent de la substance grise ou des colonnes de Clarke dans les
cordons
postérieurs. 5. Les fibres de la zone radi- cul
ures qui passent directement dans cette zone. Elles abandonnent les
cordons
postérieurs par trois chemins. Les fibres média
nes de la zone radiculaire postéro-médiane sortent latéralement des
cordons
postérieurs, s'y entre-croisent à angle aigu avec
de la zone radiculaire postéro-médiane ne montent donc pas dans les
cordons
postérieurs jusqu'aux bulbes et pré- sentent un
x bulbes et pré- sentent une tout autre allure que les éléments des
cordons
de Goll quoique le développcment de ces deux es
stérieure; à la couche limitante latérale de la substance grise des
cordons
latéraux, elles se confondent directement avec
éralese perdent dans le réseau défibres des cornes postérieurs; les
cordons
de Goll s'unissent aux noyaux des cordons grêle
s cornes postérieurs; les cordons de Goll s'unissent aux noyaux des
cordons
grêles. Les zones foetales contiennent chacune le
emières : les zones radiculaires moyennes - les zones, médianes des
cordons
postérieurs (dont l'évolution est parallèle).'
es antérieurs. Au sur et à mesure de la dégénérescence de zones des
cordons
postérieurs marche la lésion des fibres radicul
ec sen- sation d'oppression. L'autopsie décèle : dégénérescence des
cordons
postérieurs et de la zone d'entrée des faisceau
lles siègent dans les organes des nerfs sensibles, surtout dans les
cordons
postérieurs (intégrité du reste de ces organes
nce. Le prestidigitateur le fit entrer sous une tente, lui passa un
cordon
rouge autour du cou et lui maquilla la figure a
tertiaire) atteint simultanément de lésion syslématique typique des
cordons
posté- rieurs, leptoméningite spinalepostérieur
lique la pathogénie de la syringomyélie. La lésion systématique des
cordons
postérieurs tient naturellement à une proliféra
rt de réci- procité entre le faisceau direct des pyramides dans les
cordons
antérieurs de la moelle et le faisceau croisé d
s dans les cordons antérieurs de la moelle et le faisceau croisé du
cordon
latéral ; de sorte que, quand le faisceau pyram
du cordon latéral ; de sorte que, quand le faisceau pyramidal d'un
cordon
latéral est très développé, le même faisceau py
un cordon latéral est très développé, le même faisceau pyramidal du
cordon
antérieur de l'autre côté est moins développé e
e- ment des variations de position quant au faisceau pyramidal du
cordon
latéral, mais elles ne dépassent pas certaines li
ide droite; ce volume s'explique par celui du faisceau qui gagne le
cordon
laté- ral du côté opposé et par celui du faisce
- ral du côté opposé et par celui du faisceau direct qui gagne le
cordon
antérieur homonyme; tous deux correspondant à la
xiste pas de pyra- mides antérieures; on ne les trouve que dans les
cordons
latéraux. Chez le lapin, toute la pyramide, ché
la pyramide, chétive, occupe exclusivement le segment postérieur du
cordon
latéral. Chez quelques nègres, la pyra- mide oc
cordon latéral. Chez quelques nègres, la pyra- mide occupe non les
cordons
antérieurs ou latéraux, mais seulement t le seg
s antérieurs ou latéraux, mais seulement t le segment antérieur des
cordons
postérieurs de la moelle; elle est à l'état de
ons d'Inde, l'entre-croi· sement des pyramides se fait non dans les
cordons
antérieurs et latéraux, mais entre les cordons
se fait non dans les cordons antérieurs et latéraux, mais entre les
cordons
antérieurs et postérieurs. Chez les cobayes, le
mides, après s'être entre-croisées dans le bulbe, forment, dans les
cordons
postérieurs, principalement au voisinage de la
ence systématique des cornes anté- rieures avec atteinte légère des
cordons
antéro-latéraux, dégéné- rescence des racines a
égénérescence corticale engendre la dégénérescence en plaques et en
cordons
de la couche blanche des hémisphères, décrite p
secondaires. EXPLICATION DE LA PLANCHE I Coupe A. NCG, noyau du
cordon
de Goll. CG, cordon de Goll. NCB, noyau du co
TION DE LA PLANCHE I Coupe A. NCG, noyau du cordon de Goll. CG,
cordon
de Goll. NCB, noyau du cordon de Burdach. CB,
NCG, noyau du cordon de Goll. CG, cordon de Goll. NCB, noyau du
cordon
de Burdach. CB, cordon de Burdach. Sgc, subst
Goll. CG, cordon de Goll. NCB, noyau du cordon de Burdach. CB,
cordon
de Burdach. Sgc, substance grise centrale, péri
e gélatineuse de Rolando. cop, reste de la corne postérieure. cl,
cordon
latéral de la moelle épinière. Coa, reste de la
d, faisceau cérébelleux direct. i\amb, noyau ambigu. NU, noyau du
cordon
latéral. FG, faisceau de Gouers. Fee, faiscea
Fcca, faisceau central de la calotte atro- phié. Nlld, noyau du
cordon
latéral dégénéré. (ebo. faisceaux cérébello-oli
ndis qu'à droite le noyau correspondant est parfaitement normal. Le
cordon
cunéiforme de Burdach est aussi plus petit à ga
ADAME ET C. MONAKOW inférieur de Meynert, Hinterstrangende [fin des
cordons
postérieurs] de Wer- nicke) est si complètement
elleux direct de droite, et de celles qui le réunissent au noyau du
cordon
latéral, tandis que le contingent des fibres ol
s venons de le dire, on constate que la portion dorsale du noyau du
cordon
laté- ral gauche est remarquablement dégénérée,
partie atro- phié par la compression de l'anévrysme. Le noyau du
cordon
latéral gauche n'atteint guère que la moitié de c
ade, on rencontrait le long de la face interne de chaque cuisse, un
cordon
saillant, dur, sinueux et bosselé qui suivait un
masse inguinale descend, le long de la face interne des cuisses, un
cordon
induré (tronc lymphatique très probablement). D
-jaunutre. La caractéristique en était 74 P. PIOLLET une série de
cordons
blancs, durs, très irréguliers qu'une coupe secti
rs qu'une coupe section- nait suivant les sens les plus divers. Ces
cordons
, moniliformes, semhlent nettement isolables des
a) Une partie prise en pleine tumeur. b) Une portion portant sur un
cordon
moniliforme presque isolable. c) De la peau et
Organes splanchniqucs sains. Encéphale sain. Moelle : sclérose des
cordons
postérieurs . Thrombus fibroides oblitérant les a
rieurs dans les deux tiers inférieurs de la moelle et seulement les
cordons
de Goll dans le tiers supérieur. Les racines de l
ation grise du poumon gauche. Encéphale sain. Moelle : sclérose des
cordons
postérieurs. Examen du squelette après macérati
e sain. Moelle. - La coupe permet de constater une teinte grise des
cordons
posté- rieurs en totalité dans la moitié inféri
la moitié inférieure de la moelle. Dans la région cervi- cale, les
cordons
de Goll sont seuls sclérosés. Les racines rachi
rale, ictus, mort dans le coma. Autopsie. - Moelle : sclérose des
cordons
postérieurs sur toute la hauteur. Crâne d'épais
sance aortique. Congestion pulmonaire double. Moelle : sclérose des
cordons
postérieurs étendue sur toute la hauteur de la
corne antérieure d'un côté envoie en effet un prolongement dans le
cordon
antérieur au niveau de la cinquième et de la si
e l'exis- tence d'une petite zone de dégénérescence il la limite du
cordon
antérieur et du 'cordon latéral, et à la périph
; au-dessous de l'olive elle est difficile à suivre. Les noyaux des
cordons
postérieurs (noyau de Goll et de Burdach, noyau
ibres du noyau de Monakow et peut- être quelques fibres du noyau du
cordon
latéral du bulbe : elles occupent le cen- tre d
à-dire le fais- ceaux cérébelleux direct, les fibres des noyaux des
cordons
postérieurs et du noyau de Monakow, les fibres
cordons postérieurs et du noyau de Monakow, les fibres du noyau du
cordon
latéral entrent toutes en rapport avec le vermi
cervicale, la moelle ne présente aucune autre lésion manifeste, les
cordons
latéraux sont seulement un peu plus pâles à la pé
la dégénérescence, les faisceaux pyramidaux sont plus pâles et les
cordons
postérieurs partiellement dégénérés (Menzel, Ar
es de coupe on constate que la moelle est comme affaissée entre les
cordons
anté- rieurs et latéraux et les cornes antérieu
art il n'existe d'altérations des cellules ni de dégénérescence des
cordons
. Le nombre des fibres fines dans les racines n'es
use que celle du tabès dans la maladie de Friedreich, en effet, les
cordons
postérieurs et surtout les racines postérieures s
ors des signes d'une myé- lite par compression et à la sclérose des
cordons
postérieurs peut s'ajou- ter l'altération des c
l'oeil nu on voit une dégénérescence très marquée dans la région du
cordon
pyramidal du faisceau latéral ; l'endroit t de
on voit aussi une raie noire étroite ; dans le faisceau pyramidal du
cordon
latéral gauche on remarque un léger noircisseme
yez PI. LXXI, D). La dégénérescence dans le fais- ceau pyramidal du
cordon
latéral droit devient visiblement disséminée. La
- vient bien moins grande; au contraire, la dégénérescence dans les
cordons
postérieurs et dans les racines postérieures a
- Même à l'oeil on aperçoit déjà la région dégénéra- tive dans les
cordons
postérieurs de préférence auprès de la périphérie
égéné- rescence des fibres nerveuses est accentuée le plus dans les
cordons
postérieurs, principalement sur la périphérie e
lus loin, il y aune dégénérescence disséminée assez marquée dans le
cordon
pyramidal latéral du côté droit. Les fibres dég
lle épinière dans le cas donné la lé- sion du faisceau pyramidal du
cordon
latéral droit, dont nous avons parlé plus haut,
ement du procès morbide dans les enveloppes spinales. La lésion des
cordons
postérieurs dans les régions infé- rieures de l
dorsale (coloration par le bleu de polychrome). - Les cellules des
cordons
de Clarke sont colorées tantôt intensément, tantô
daux latéraux, des deux faisceaux de Türck et par la périphérie des
cordons
de Goll. A l'exa- men microscopique la plus gra
uée dans le faisceau pyramidal latéral gauche, par la périphérie de
cordons
de Goll, des cordons de Burdaéh et dans les rac
pyramidal latéral gauche, par la périphérie de cordons de Goll, des
cordons
de Burdaéh et dans les racines postérieures (da
, des cordons de Burdaéh et dans les racines postérieures (dans les
cordons
de Burdach et dans les racines postérieures du
oit aussi à l'oeil nu la dégénérescence dans la région antérieure des
cordons
postérieurs. A l'examen microscopique la dégéné
la dégénérescence dans les faisceaux pyramidaux latéraux, dans les
cordons
de Türck et dans les autres régions de' la subs
a région cervicale. La dégénérescence dans la région antérieure des
cordons
postérieurs se trouve, à ce qu'il paraît, en liai
er de désagrégation locale de la substance nerveuse. Les cellules des
cordons
de Clarke contiennent aussi beaucoup de globule
rve une dégénérescence assez accusée dans la région postérieure des
cordons
postérieurs, dans les racines postérieures et d
; et ce fait à son tour donne une dégénérescence plus mar- quée des
cordons
postérieurs des régions inférieures de la moelle
iniques et une lésion plus accentuée des fibres radiculaires et des
cordons
postérieurs dans les régions inférieures de la
mécanisme possible d'un développement de la dégénérescence dans les
cordons
postérieurs de la moelle épinière. La dégénéresce
sion radiculo-médullaire bien différents de ceux de la sclérose des
cordons
postérieurs. L'ostéo-arthropathie tabétique gar
. RENÉ MARTIAL corne avait certainement atteint la moelle épinière,
cordon
postérieur droit et antérieur gauche et ce, pen
née dans un cas de paralysie ascendante accompagnée d'oreillons. Le
cordon
postérieur, dans sa-partie médiane, contient un
sous celui de Lnckenfeld. Cette lésion qui siège aussi bien dans le
cordon
postérieur que dans le cordon FiG. 6. - Cellule
e lésion qui siège aussi bien dans le cordon postérieur que dans le
cordon
FiG. 6. - Cellules névrogliques de nouvelle for
e canal rachidien ; il existe en outre un foyer inflammatoire dans le
cordon
posté- rieur gauche et une réaction vasculaire
la diphtérie, a produit parfois un véritable abcès localisé dans le
cordon
postérieur. Dans mes expériences on voit de la ma
ansmission des microbes à l'aide des lymphatiques, des méninges aux
cordons
postérieurs (fig. 20). On sait que l'abcès de l
le posté- rieure, de manière qu'on les voit dans les capillaires du
cordon
et de la corne postérieure, ainsi que dans la p
ce d'une turgescence, dans la disposition des blocs chromatiques en
cordon
péricellulaire, qui laisse une tache claire au
anteau de taffetas par dessus, une épée pendue au côté droit, et un
cordon
de chapeau fait avec des dents enfilées ensembl
u dans une poche énorme : de l'un des bords de l'incision naissait un
cordon
auquel était appendu un petit corps recourbé sur
e tubercules, deux de chaque côté; c'était évidemment un fœtus et son
cordon
ombilical. La fig. ire est destinée à donner une
TA. Planche II. J. G. Martin del. et lith. Lith. de Langlumé.
cordons
blancs renflés en manière de fuseau, souvent inte
st d'une dureté cartilagineuse; elle se prolonge supérieurement en un
cordon
très-gros , intimement uni à la face inférieure d
aison. i 3°. De l'extrémité inférieure de la tumeur IG naît un gros
cordon
qui, après un court trajet, se renfle pour former
senter le ganglion cervical moyen. Cette tumeur 2G se continue par un
cordon
presque aussi volumineux que son cordon d'origine
tumeur 2G se continue par un cordon presque aussi volumineux que son
cordon
d'origine pour aller communiquer avec la tumeur 3
tère vertébrale. Cette disposition n'a pu être figurée ici. Le gros
cordon
de communication du ganglion cervical moyen au ga
guleuse, sa continuation avec le premier ganglion thoracique, un gros
cordon
de communication avec le deuxième ganglion thorac
al supérieur accessoire IG' avait seul une dureté cartilagineuse. Les
cordons
de communication des ganglions entre eux avaient
es ganglions entre eux avaient le même aspect que les ganglions ; les
cordons
de communication avec les paires cervicales, plus
nière de voir, c'est que la transformation fibreuse existe le long du
cordon
du grand sympathique, qui contient de la substanc
onsidérable. Les deux épines scia-tiques ES , continues au moyen d'un
cordon
fibreux très-court et très-fort, séparaient ces d
t été remplacée par du sang concret qui occupait toute la longueur du
cordon
rachi-dieu depuis le collet du bulbe d'origine MO
ences. L'opinion des anciens, qui regardaient la moelle comme un gros
cordon
nerveux destiné à répondre lui seul à tous les ne
thoraciques et abdominaux étaient parfaitement sains. La cicatrice du
cordon
testiculaire n'a présenté rien de particulier; le
t-il la peau du tronc. Dans d'autres cas, cette cause se fixe sur les
cordons
nerveux : j'ai vu un malade qui m'indiquait parfa
uite en pulpe. Tous les autres organes étaient sains. La cicatrice du
cordon
testiculaire n'a présenté rien de particulier. Le
, le long de la région lombaire, un engorgement suspect. Néanmoins le
cordon
testiculaire était sain. L'extirpation, seul moye
n remarquable, au-delà du chiasma, c'était le nerf optique gauche. Un
cordon
grisâtre très-dense remplaçait la commissure moll
nâtre. Au niveau de la tumeur, la moelle épinière est divisée en deux
cordons
latéraux parfaitement distincts ; chaque cordon d
est divisée en deux cordons latéraux parfaitement distincts ; chaque
cordon
donne naissance aux nerfs de son côté par une dou
établissait la ligne de démarcation. Au-dessus de la tumeur, les deux
cordons
étaient réunis ; mais ils étaient remarquables pa
ables par l'absence complète de substance grise \ en sorte que chaque
cordon
latéral était converti en un canal médullaire, di
a cavité glénoïde; VA la veine axiilaire qui vient se terminer par un
cordon
fibreux dans le renflement considérable GN. AA es
est l'artère axiilaire qui se termine dans le même renflement par un
cordon
fibreux plus court que celui de la veine. PB est
divisé en deux portions bien distinctes, l'une saine PS qui répond au
cordon
ombilical du fœtus sain, l'autre malade PM qui ré
nd au cordon ombilical du fœtus sain, l'autre malade PM qui répond au
cordon
ombilical du fœtus mort depuis long-temps. Mais q
grossesse double avec placenta unique, l'hémorrhagie mortelle par le
cordon
après la sortie d'un des jumeaux, hémorrhagie don
tus mort-né de sept mois et demi, qui m'a été remis par M. Deneux. Le
cordon
ombilical CO est situé à gauche de l'intestin grê
on, les intestins ne sont pas contenus dans l'épaisseur de la base du
cordon
ombilical, d'où ils rentreraient peu-à-peu dans l
gitudinal supérieur sont pleines de pus concret qui formait de petits
cordons
blancs jaunâtres séparés par des caillots. Quelqu
grité du sens, intégrité de l'influence nerveuse locale, intégrité du
cordon
nerveux, intégrité de la partie de l'axe cérébro-
connue, frisson suivi de chaleur; douleur très-vive au testicule , au
cordon
et jusque dans la région des reins; le testicule
fièvre et la douleur augmentent les jours suivans. Le testicule et le
cordon
sont énormes; la région des reins, l'articulation
sueurs abondantes, commencement de détente. Le 20, le testicule et le
cordon
ont, à peu de chose près, le volume qu'ils avaien
sives que l'on observe après une forte compression. L'épididyme et le
cordon
des vaisseaux spermatiques sont dans l'état le pl
n me prouvait assez que j'avais affaire à un cancer encéphaloïde : le
cordon
était sain ; point d'engorgement manifeste des ga
ais davantage de la cicatrice. J'ai pu m'assurer que la rétraction du
cordon
immédiatement après sa section était tout-à-fait
nes superficielles de la glande mammaire; cette veine formait un gros
cordon
dur et très-douloureux, étendu transversalement d
du mamelon : un point fluctuant se manifesta à l'extrémité interne du
cordon
; je l'ouvris, et je vis avec étonnement la veine
on trouve les veines superficielles soulevant la peau à la manière de
cordons
très-durs. Le malade mourut, et on trouva dans le
des parois opposées de la vésicule , qui est alors réduite à un petit
cordon
celluleux; sa fossette s'efface en partie, et c'e
quelques-unes de ses divisions. J'appellerai l'attention sur un petit
cordon
CL étendu verticalement du foie à la partie du du
calement du foie à la partie du duodénum qui avoisine le pylore P; ce
cordon
dilaté et bosselé dans sa partie supérieure se co
alculs dans l'épaisseur de son tiers supérieur. J'ai dû penser que ce
cordon
n'était autre chose qu'un de ces canaux hépatique
seur, je n'ai pu y parvenir; je n'en reste pas moins convaincu que ce
cordon
n'était autre chose qu'un canal hépatique oblitér
l'existence de deux concrétions biliaires dans le tiers supérieur du
cordon
, et de la continuité de ce cordon avec les condui
iliaires dans le tiers supérieur du cordon, et de la continuité de ce
cordon
avec les conduits hépatiques. A la vue de concrét
néal. Les vaisseaux lymphatiques superficiels de l'utérus forment des
cordons
noueux le long des faces et des bords de cet orga
emplissent sa cavité, tantôt resserré sur lui-même, à la manière d'un
cordon
coupé (1) Voyez Livraison sur l'Entérite follic
ion incomparablement supérieure aux grandes villes. Ainsi, malgré les
cordons
sanitaires qui cernaient l'Autriche du côté de la
que le choléra a commence ses ravages dans l'empire. L'inutilité des
cordons
sanitaires, de l'isolement des villes, des maison
bon port. La constriction exercée sur le col de l'enfant, soit par le
cordon
ombilical, soit par le col utérin et par les part
s un certain nombre de cas , une cause d'apoplexie. La compression du
cordon
ombilical, dans le cas de présentation de ce cord
La compression du cordon ombilical, dans le cas de présentation de ce
cordon
, a quelquefois causé l'apoplexie de la manière la
actions utérines continues exerçassent une compression funeste sur le
cordon
ombilical encore contenu dans la cavité utérine.
tion funeste dans l'emploi des moyens artificiels. La rétropulsion du
cordon
que j'ai vu pratiquer plusieurs fois avec tant de
Maternité, pourra prévenir l'apoplexie qui tient à la compression du
cordon
. Dans le cas de présentation par les pieds, l'app
ins foncée dans le rachis. Aucune cause appréciable de compression du
cordon
. Deuxième fait. Enfant mort-né -venupar le somm
cerveau. Sixième fait. Enfant ci terme mort par suite de l'issue du
cordon
. Présentation du cordon qui s'échappe au moment d
Enfant ci terme mort par suite de l'issue du cordon. Présentation du
cordon
qui s'échappe au moment de l'écoulement des eaux.
don qui s'échappe au moment de l'écoulement des eaux. Rétropulsion du
cordon
. La femme accoucha naturellement vingt heures apr
filtration séreuse, analogue à celle qu'on observe si souvent dans le
cordon
ombilical. Cet état coïncidait avec une infiltrat
dominale par la même ouverture : là elle se plaçait au côté gauche du
cordon
fibreux, qui est le vestige de la veine ombilical
eux, qui est le vestige de la veine ombilicale, s'identifiait avec le
cordon
dans le sillon horizontal du foie, pour s'ouvrir
anière la plus explicite, que la veine était située au côté gauche du
cordon
fibreux qui est le vestige de la veine ombilicale
même ordre. Le siège de la douleur paraît être, soit dans les gros
cordons
nerveux libres (névralgie rhumatismale proprement
érine; le sexe n'a pas pu être déterminé. Il n'y avait pas vestige du
cordon
ombilical : toute la surface du corps, dont les d
toine, au milieu d'une grande quantité de pus; il tenait, à l'aide du
cordon
ombilical, à une tumeur sphéroïdale, volumineuse,
livres. Il ne restait rien du placenta ; on reconnaissait 6 pouces du
cordon
ombilical. L'auteur se demande aux dépens de quel
une ouverture dans l'arrière-faix » semblait désigner l'insertion du
cordon
ombilical, qui était desséché à un travers de doi
bouche; cette dépression semblerait le résultat de l'application d'un
cordon
qui ayant porté transversalement sur la bouche, a
des narines postérieures, ne sera-t-on pas porté à se demander si le
cordon
ombilical, reçu dans la bouche à la manière d'une
e dorsale'inl'é- rieure un foyer de méningo-myélite intéressant les
cordons
postérieurs et les cordons latéraux. Ce foyer a
foyer de méningo-myélite intéressant les cordons postérieurs et les
cordons
latéraux. Ce foyer a déterminé les dégénéralions
siques des deux faisceaux pyramidaux au-dessous de la lésion et des
cordons
postérieurs au-dessus. Sur les coupes de la moell
s de la moelle cervicale on voit en effet une dégénération des deux
cordons
de Goll. Nous avons reproduit (Planche XX) les
leurs parois et non en- tourés par des cellules jeunes. Dans les
cordons
postérieurs, on remarque des pertes de substance
e long desquelles elles s'infiltrent en les dissociant, et dans les
cordons
antérieurs et latéral, où, sur les coupes de mê
la surface méningée pénètre par de légères tra- vées cellulaires le
cordon
antérieur sans le refouler, mais en se substituan
fond du sillon antérieur, écartant et comprimant plus ou moins les
cordons
antérieurs. Les racines, dispersées sur toute l
antérieures, aux- quelles elles forment une courte auréole. Dans le
cordon
latéral, les fibres colorées se groupent encore
nt complètement dans la partie postérieure de ce cor- don. Enfin le
cordon
postérieur semble en général plus épargné, surtou
on des Cij extrêmes, ou mé- ninges et moelle sont remplacées par un
cordon
fibreux, laissant subsister à peine quelques il
ées par Boettiaer à la destruc- tion des fibres blanches. Dans le
cordon
postérieur existent, nous l'avons vu, de petits f
moins par Hoffmann, cet auteur a montré des lésions de sclérose des
cordons
postérieurs et de ce fait a mis en relief l'origi
MYOPATHIE TROPHIQUE PROGRESSIVE 117 7 elle pas supposable pour les
cordons
ou les racines postérieurs ? On ex- pliquerait
ans autre particularité que l'existence de plusieurs circulaires du
cordon
autour du cou de l'enfant. Dès la naissance o
rique, de 5 centimètres de dia- mètre, occupant l'intérieur même du
cordon
. A son large pédicule, on passe de la peau à l'
du cordon. A son large pédicule, on passe de la peau à l'amnios du
cordon
, sous lequel on trouve une abon- dante gélatine
n- dante gélatine de Warthon, disposée en lobules. Au pôle libre le
cordon
devient normal, il n'a qu'une artère ombilicale
cun vestige apparent sur la coupe, le tissu néoplasique a gagné les
cordons
blancs environnants,' les envahissant et les re
es cordons blancs environnants,' les envahissant et les remplaçant (
cordons
antéro-latéraux) ou les refoulant (cordons anté
ssant et les remplaçant (cordons antéro-latéraux) ou les refoulant (
cordons
antérieurs) et les cordons postérieurs et postéro
rdons antéro-latéraux) ou les refoulant (cordons antérieurs) et les
cordons
postérieurs et postéro-latéraux. On distin- gue
dans une autre masse plus homogène qui fait saillie, refoulant les
cordons
blancs périphériques. Au niveau de cette masse
une cavité très petite située au milieu de la substance blanche du
cordon
postérieur gauche, au centre géométrique de la co
es pointes de la tumeur, plus longue que l'autre, s'enfonce dans le
cordon
blanc postérieur gauche où elle se termine vers
nt modifié. On note seulement une densification de la névroglie des
cordons
pos- térieurs, plus particulièrement marquée da
articulièrement marquée dans la zone post-commissurale, et dans les
cordons
de Goll. Cette sclérose névroglique accompagne un
cavité pseudo-kystique qui siège vers la partie la plus antérieure du
cordon
de Goll, et qui est le prolongement de la zone
de fibrilles névrogliques très épaisse. Les fibres nerveuses des
cordons
antérieurs et latéraux sont presque toutes dégé
cordons antérieurs et latéraux sont presque toutes dégénérées ; les
cordons
postérieurs présentent leurs caractères normaux.
. Sensibilité normale. paraplégie cervicale incomplète 161 (Les
cordons
postérieurs sont en grande partie respectés.) M
pituitaire. On voit des tubes épithéliaux plus ou moins nets ; ces
cordons
sont délimités par des parois conjonctives non hy
décelée au centre du prolongement intraventriculaire), un aspect de
cordons
épithéliaux séparés par des vaisseaux sinueux ass
triculaire.) A, Grossissement faible : B, Grossissement moyen. c,
cordons
(pith(ll'\I" complètement remaniés par Lu I) roi
it, en outre, dans l'intérieur du pé- dicule et formant son axe, un
cordon
tendineux qui ne paraît s'insérer sur aucun os
la première phalange du pouce dont le squelette est remplacé par un
cordon
fibreux aboutissant à un nodule osseux, seul re
ns avec la partie supérieure du squelette, il existe, néanmoins, un
cordon
fibreux occupant l'axe du doigt, cordon fibreux t
e, il existe, néanmoins, un cordon fibreux occupant l'axe du doigt,
cordon
fibreux très comparable à celui qui existait da
la nature avait été contrôlée au moyen de coupes anatomiques. Si ce
cordon
fibreux représentait, comme on l'a dit, le reste
nt seuls à la formation qui nous occupe. Or, le mode d'insertion du
cordon
fibreux ne semble pas être celui des tendons exte
NTERCALAIRE 247 chisseurs, car, autant que l'on puisse en juger, ce
cordon
s'attache directe- ment à l'extrémité supérieur
equel prennent insertion quelques faisceaux des muscles tibiaux. Le
cordon
fibreux dont il s'agit doit être assimilé, croy
nios étroit ou adhérent, des 250 KLIPPEL ET RABAUD circulaires du
cordon
. Explication d'une extrême simplicité, mais d'une
ue. Nageotte, d'après ses observations, conclut que les lésions des
cordons
postérieurs chez les paralytiques généraux sont
ilité que provoque l'altération corticale. Le processus morbide des
cordons
postérieurs peut en certains cas attaquer les v
(PI. LV, D). Dans la substance blanche on constate une sclérose des
cordons
posté- rieurs spécialement dans la partie centr
ons cervicale et lombaire : dans ces mêmes 278 CURIONI points les
cordons
postérieurs se présentent presque complètement sa
, Bordeaux, 1895). Des dégénérescences propagées. Altérations des
cordons
postérieurs consécutifs aux lésions cérébrales
lésions systématisées au même titre que les myélites primitives des
cordons
latéraux ou des faisceaux de Tiirck) ; 5° Qu'
hement sanguin de 3 cen- timètres de long; dégénérescence grise des
cordons
postérieurs. REVUE DE pathologie nerveuse. 77
nerveuse. 77 Atteinte indiscutable des vaisseaux qui irriguent les
cordons
postérieurs, soit dans les segments scléreux, s
eau ou de l'écorce; 3° Quand il existe en même temps une lésion des
cordons
postérieurs, et en particulier des zones radicu
iées. Elle est exclusivement comprise dans la partie antérieure des
cordons
postérieurs et la commissure grise ; sa configu
iguë, et, qu'en d'autres endroits, la cavité pénètre entre les deux
cordons
postérieurs. On y trouve en plusieurs points un
e 26 centimètres au-dessus du cône spinal, la substance blanche des
cordons
latéraux et postérieurs est parsemée de taches
le même point de la coupe que la cavité, c'est-à-dire la pointe des
cordons
postérieurs. L'auteur fait passer sous les yeux
très prononcée, le développement des faisceaux pyra- midaux et des
cordons
de Goll souffre un certain arrêt dans la quanti
rtain arrêt dans la quantité de la substance; il en est de même des
cordons
antérieurs bien qu'à un moindre degré. Des lacu
cette question), en montrant que la lésion, systématisée dans les
cordons
postérieurs, ne l'est pas dans les cordons laté
systématisée dans les cordons postérieurs, ne l'est pas dans les
cordons
latéraux et que, par suite, ce n'est pas là une
Nous devrions encore par- ler, dit-il, de la sclérose combinée des
cordons
posté- 1 Friedreich. Ueber dégénérai. Air. d. s
t Viry, 603, gan et 687. , 160 PATHOLOGIE NERVEUSE. rieurs et des
cordons
latéraux, mais les observations de cette coïnci
tre le plus probablement dans ces cas une sclérose simultanée des
cordons
latéraux et des cordons postérieurs. Cela a été
nt dans ces cas une sclérose simultanée des cordons latéraux et des
cordons
postérieurs. Cela a été observé (notamment dans
, 1877, V111, 251 et IX, 413. DU TABES COMBINÉ. 163 de la moelle (
cordons
pyramidaux, cérébelleux, de Goll et zones radic
ncinantes et abolition des réflexes tendineux) avec des lésions des
cordons
de Burdach; mais la plupart des cas sont unique
res inférieurs. Il sent lui-même dans l'aine et au jarret comme des
cordons
DU TABES COMBINÉ. 173 tendus qui lui retienne
icyclol3., 3e série, XV. DU TABES COMBINÉ. 175 jarret, comme des
cordons
tendus qui le retiennent; en fait, dans la marc
e que l'anatomie pathologique confirmera) une lésion simultanée des
cordons
postérieurs et des cordons latéraux. (A suivre)
confirmera) une lésion simultanée des cordons postérieurs et des
cordons
latéraux. (A suivre). 176 PATHOLOGIE NERVEUSE.
fo lapin n, tué le soixante-quatorzième jour après l'extraction du
cordon
grêle droit et du faisceau cunéiforme du même côt
A. Voies d'union du cervelet. a. Le corps restiforme se compose du
cordon
latéral du cervelet de Dédise, du puissant trouss
d'un trousseau de fibres qui doit être en rapport avec le noyau du
cordon
latéral (atrophie de ce noyau). Où se termine l
cule. B. Trajet du faisceau grêle. Il prend part à la formation des
cordons
postérieurs d'une façon plus saillante que le f
aurait plutôt lieu d'admettre que ce noyau est en relation avec le
cordon
latéral. il est très probable que le faisceau c
paires sacrées; une coupe transverse montre en particulier que les
cordons
antérieurs et postérieurs droits sont excessive
ns antérieurs et postérieurs droits sont excessivement réduits ; du
cordon
latéral il ne reste qu'une petite portion entre
droite de ce nerf atteinte par propagation de la dégénérescence du
cordon
postérieur du même côté. Pas d'autopsie. P. K.
ique. Atrophie simple, mais générale des nerfs optiques. Lésion des
cordons
postérieurs sous forme d'une étroite bande long
rsale inférieure, l'altération s'étend à presque toute la coupe des
cordons
en question, pour épargner, dans la région lomb
e interstitielle du tissu conjonctif qui accompagne les artères des
cordons
postérieurs. L'autre ré- sulte d'une lésion pri
mitive des fibres nerveuses : elle commence principalement dans les
cordons
de Goll ainsi que dans les zones des cordons cu
rincipalement dans les cordons de Goll ainsi que dans les zones des
cordons
cunéiformes qui ont la forme d'un F; de cette for
ite cliniquement, des dégénérescences extrêmement diffuses dans les
cordons
postérieurs. On peut regarder comme les cas les
es quatre cas, atro- phie du nerf optique, dégénérescence grise des
cordons
pos- térieurs' à divers degrés d'intensité , ma
alors l'atrophie des nerfs optiques etjla dégénérescence grise des
cordons
postérieurs. Il faut principalement tenir compte
de la maladie : neuf mois environ. Diagnostic clinique. Lésion des
cordons
postérieurs consécutive à la diphthérie ; dégé-
ganisée constitue une sorte de manchon au centre duquel persiste un
cordon
de myéline encore intact et dont l'épaisseur va
en une matière granuleuse d'un gris cendré. Au centre, persiste un
cordon
, 4, de myéline homogène, encore intacte; s, seg
ur. Seul, le malade du n° 23 n'a eu aucun trouble se rapportant aux
cordons
latéraux; et encore nous trouvons dans le table
biné ». III. Dans tout ce que nous venons de dire, le domaine des
cordons
latéraux et le domaine des cor- dons postérieur
graisseuse; ailleurs, elle est criblée de cavités sises au sein des
cordons
de Gott avec vascularisation anormale, petites hé
en une matière granuleuse d'un gris cendré. Au centre, persiste un
cordon
, b, de myéline homogène, encore intacte; s, seg
. 2S HENRI MEUNIER 1° Au point de vue des dimensions générales du
cordon
médullaire, la différence entre les deux moelle
grossissement, on reconnaît des lésions prédominantes au niveau des
cordons
postérieurs et des faisceaux latéraux. D'une
e on note que les lésions des faisceaux blancs laissent intacts les
cordons
antérieurs et une partie des cordons laté- raux
ux blancs laissent intacts les cordons antérieurs et une partie des
cordons
laté- raux. Elles sont prédominantes dans les f
rvicale, les lésions sont diffuses, à peine accentuées au niveau du
cordon
antérieur (sauf dans la zone limitante) et du fai
midal direct n'est pas atteint. Elles sont accentuées au niveau des
cordons
de Golf. La lésion plus étroite contre la commiss
one radiculaire postéro-interne est ou non inté- ressée. Dans les
cordons
latéraux, la lésion est prédominante au niveau de
ents normaux. Dans la région dorsale, les lésions sont diffuses aux
cordons
postérieurs mais avec prédominance sur les cord
ont diffuses aux cordons postérieurs mais avec prédominance sur les
cordons
de Goll, elles sont accentuées dans les fais- c
utre de la zone médiane que les lésions sont prédominantes dans les
cordons
postérieurs, plus marquées dans les ! i/4 posté
ns microscopiques. A propos du premier cas il est noté à propos des
cordons
postérieurs : « Le picrocarmin ne fait voir dan
dons postérieurs : « Le picrocarmin ne fait voir dans la partie des
cordons
postérieurs que nous avons trouvée altérée macr
tissu de soutènement. On ne constate pas de véritable sclérose des
cordons
pos- térieurs. Pour les cordons latéraux, micro
state pas de véritable sclérose des cordons pos- térieurs. Pour les
cordons
latéraux, microscopiquement on trouve dans la p
latéraux, microscopiquement on trouve dans la partie postérieure du
cordon
latéral une diminution des fibres à myéline. »
plus accentuées. Elles portent sur- tout sur la partie médiane des
cordons
postérieurs et la zone radiculaire postérieure.
é à la pé- riphérie et se transformant en des résidus informes. Les
cordons
antérieurs et latéraux sont intéressés. La névr
cornes antérieures et par conséquent un bon nombre des cellules de
cordon
ont exactement les caractères décrits. Dans l
ucléaire peut se rencontrer aussi dans quelques cel- lules dites de
cordon
. Après avoir montré comment se présentent les c
d'une hé- misection gauche qui intéressait la presque totalité des
cordons
antérieur et postérieur ; le cordon latéral éta
essait la presque totalité des cordons antérieur et postérieur ; le
cordon
latéral était à peine touché. N'allez pas croir
mas a conclu que l'hémiseclion médullaire intéressait uniquement le
cordon
latéral du côté gauche. Voici deux observations
a moitié gauche de la moelle, à l'exception de la moitié interne du
cordon
antérieur ; elle empiétait sur la moitié gauche
du cordon antérieur ; elle empiétait sur la moitié gauche, dont le
cordon
postérieur et une moitié du cordon latéral étai
it sur la moitié gauche, dont le cordon postérieur et une moitié du
cordon
latéral étaient divisés. . (A suivre.) DÉVIAT
cupe. Il est noté que « l'apo- névrose palmaire est rétractée ; des
cordons
durs vont du poignet à la ra- cine des doigts »
1. : 206 G. MARINESCO s'établit par l'intermédiaire de septum des
cordons
postérieurs el alors la gliose envahit ces cord
re de septum des cordons postérieurs el alors la gliose envahit ces
cordons
et donne naissance à des phénomènes tabé- tique
la gliose péri-épendymaire. Il arrive même qu'il se forme dans les
cordons
postérieurs de véritables cavités tapissées d'un
ra sur les faisceaux blancs les plus proches, c'est- à-dire sur les
cordons
latéraux, de même que si, au contraire, la région
région spinale radiale est prise, la substance blanche voisine des
cordons
posté- rieurs sera sclérosée secondairement. Ai
s conceptions qu'on se faisait du rôle des fibres constituantes des
cordons
postérieurs. Voilà qui méfait dire que dans l'é
à la réalité des choses, il fin-- drait que les fibres longues des
cordons
postérieurs ne prissent qu'une part négligeable
ance. En tout état de cause, les fibres tant soit peu longues des
cordons
postérieurs ne joueraient qu'un rôle absolume
y aurait lieu aussi de s'enquérir des conséquences de la section du
cordon
de Goll qui, lui, ne renferme que des fibres lon-
ntradictoires. On a' constaté, par exemple, qu'une simple piqûre du
cordon
postérieur d'un côté pouvait donner lieu au syn-
Préparations par la méthode de Marchi. Région lombaire. - Dans les
cordons
antérieurs et latéraux de la subs- tance blanch
acte, des fibres ner- veuses (Fig. 1). Mais, en général, dans les
cordons
postérieurs la quantité des fibres sai- nes pré
n cervicale. On s'aperçoit, même à l'oeil nu, que la coloration des
cordons
de Goll est plus foncée que celle des cordons de
que la coloration des cordons de Goll est plus foncée que celle des
cordons
de Burdach. A l'examen microscopique la dégénér
cordons de Burdach. A l'examen microscopique la dégénérescence des
cordons
de Goll saute aux yeux, mais ici encore le nomb
s est plus grand que celui des libres altérées (Fig. 2). Dans les
cordons
de Hllrdacn, on rencontre seulement, des amas dis
on rencontre seulement, des amas dissémi- nés de myéline. Dans les
cordons
antérieurs et latéraux, il n'y a qu'un petit no
ut admettre que,peul-être,les mo- difications sus-décrites dans les
cordons
postérieurs de la moelle épinière chez notre ma
on trophique des cellules en question a été atteinte. La lésion des
cordons
postérieurs dans ce cas porte surtout sur les v
s important à relever. Il peut donner à penser que l'altération des
cordons
postérieurs chez notre malade dépend peut-être
à la paralysie générale, il existait concurremment une sclérose des
cordons
postérieurs : il s'agissait de paralytiques génér
qu'il s'agit de ramilicalions de nouvelle formation des fibres des
cordons
latéraux des pyramides séparées de la station t
le : ces libres régénérées rétabliraient la communication entre ces
cordons
et les cellules motrices au-dessous de l'endroit
s il est impossible de décider s'il s'agit d'un faisceau détaché du
cordon
des pyramides ou d'un long trousseau commissura
ce à la périphérie de la substance grise là où celle-ci confine aux
cordons
latéraux ou à leurs vestiges : il est rai qu'on
ou à leurs vestiges : il est rai qu'on ne peut les suivre dans les
cordons
, parce que dès qu'elles s'éloignent de la paroi
est, d'après 31. Fickler, en faveur de l'idée que la substance des
cordons
latéraux a projeté des libres dans la substance
la compression de la moelle chez le chat, et il a conslalé dans les
cordons
latéraux des gaines de myéline néoformées autou
la corne antérieure du côté opposé, se dessinent les trousseaux- du
cordon
entrecroisé anté- rieur de Hoche, il existe une
ATHOLOGIQUES. ment cervical : les fibres sont en dehors du champ du
cordon
an- térieur des pyramides. Après l'entrecrois
térieur des pyramides. Après l'entrecroisement, les libres de ce
cordon
qui correspon- dent au côté lésé s'éloignent de
moelle sacrée, il est aussi marqué par quelques débris isolés. Le
cordon
latéral des pyramides du même côté est atteint ju
dégénérescence est «les plus accusées dans la moelle dorsale. Le
cordon
latéral entrecroisé conserve, dans la région de l
(le faisceaux jusqu'à la périphérie, envahissant ainsi le champ du
cordon
latéral du cervelet. Dans le renflement cervica
plus grande partie. Les zones limites externes et la zone mixte des
cordons
latéraux sont envahies par des trous- seaux dis
térale est entourée de débris de dégénérescence ; ici le domaine du
cordon
latéral du cervelet est en une zone étroite ass
s calleux. Moelle plus dure que normalement : substance blanche des
cordons
postérieurs de la moelle dorsale inférieure un
constate une dégénérescence descendante des pyramides, surtout des
cordons
latéraux, moindre des faisceaux de Gowers et de
, moindre des faisceaux de Gowers et des faisceaux cérébelleux. Les
cordons
postérieurs, notamment les cordons de Goll, son
des faisceaux cérébelleux. Les cordons postérieurs, notamment les
cordons
de Goll, sont dégénérés dès la moelle cervicale j
cessus est descendu par les cornes antérieures, puis remonte parles
cordons
postérieurs (dégénéres- cence ascendante). P. K
x élections prochaines ! Alors on n'est pas de bronze, on serre les
cordons
de la bourse, on a toujours au contraire des te
raient ensuite par le faisceau longitudinal postérieur, à gagner le
cordon
antérieur de la moelle du côté opposé. En ef- f
égénérescence descendante des faisceaux py- ramidaux, tant dans les
cordons
latéraux que dans les cordons antérieurs. En
faisceaux py- ramidaux, tant dans les cordons latéraux que dans les
cordons
antérieurs. En outre, au-dessus de la lésion,
réparties, sauf qu'elles sont un peu plus rares dans les fibres des
cordons
antérieurs que dans celles des cordons latéraux
us rares dans les fibres des cordons antérieurs que dans celles des
cordons
latéraux; leur quantité demeure constante sur-
e s'étend toujours plus loin aux fibres connexes el voisines. Les
cordons
postérieurs peuvent dégénérer, tandis que les rac
ostérieures demeurent intactes et les racines(·lant dégénérées, les
cordons
postérieurs pcuvenl demeurer indemne ? La lésion
les cordons postérieurs pcuvenl demeurer indemne ? La lésion des
cordons
postérieurs peut doncêtre indépendante de celle d
érieures qui occa- sionne le (abcs, mais inversement, la lésion des
cordons
posté- rieurs s'étend aux racines. Le tabès e
e,enclogène,clui com- merce par la zone de Charcot ctPil'l'I'ct des
cordons
postérieurs de la moelle (zone intermédiaire, b
apparence, provient d'une intoxication syphilitique chroni- que des
cordons
postérieurs. Cette zone est sans exception, dans
les (roubles des échanges nutritifs, la partie la plus sensible des
cordons
postérieurs ; c'est pour cela que les dégénéresce
agner, comme dans le tabès, les autres parties les plus voisines du
cordon
postérieur et aussi les racines posté- la lésio
riphérie du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 295
cordon
antérieur et d'une partie du cordon latéral de la
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 295 cordon antérieur et d'une partie du
cordon
latéral de la moelle cervicale. Ce territoire c
difficile. P. KERAVAL LXXVI. Contribution à l'étude anatomique des
cordons
postérieurs ; par N.\GEOTTE.(XOliV. Iconogr, de
al et de tabès incipiens. Conclusions : 1. Les fibres endogènes des
cordons
postérieurs, à la région lom- hu-sacrée. doiven
es cordons'de 13lll'llach, Il en existe aussi quelques-unes dans le
cordon
de Goll à la région cervicale. V. Les zones de
édullaire et celles de la région lombo-sacrée n'a- boutissent pasau
cordon
de Goll. -- X.Les fibres radiculaires lon- 302
'du tabès, on trouve dans cer- tains cas des lésions porLantsur les
cordons
latéraux, les cordons de Goll, les faisceaux cé
ans cer- tains cas des lésions porLantsur les cordons latéraux, les
cordons
de Goll, les faisceaux cérébelleux directs qui
es qui les accompagnent, l'auteur a constaté que les sclé- roses du
cordon
peuvent être le plus souvent considérées comme
arfois de fièvre. Ces douleurs-types-là indiquent la sclé- rose des
cordons
postérieurs et tiennent à la dégénérescence des
e et asymétrie lIes PY1'll- mides, la (froide étant plus petite, le
cordon
anterolaLeral droit est aussi plus étroit. F. B
ormes toniques et clo- niques, par Samaja, 141.- Voir Phimosis.
Cordons
postérieurs.. Contri- bution à l'étude anatomiq
tération matérielle du système nerveux cen- tral ; ; 2° Lésion du
cordon
cervical du grand sympa- thique ; 3° Lésion d
ie générale avec dégénérescence des faisceaux pyrami- daux dans les
cordons
latéraux depuis la moelle lombairejusqu'à la dé
érale démontre que l'altération des fais- ceaux pyramidaux dans les
cordons
latéraux a été la première en date; d'où une pr
pinal, puisqu'on ne constate pas de lésions inflammatoires dans les
cordons
latéraux, la substance grise, les fibres nerveu
tractus latéraux cérébelleux, en laissant absolument indemnes, les
cordons
postérieurs. M. luerstnereu communique deux obs
ion des tractus latéraux cérébelleux, des faisceaux pyramidaux, des
cordons
postérieurs. - Septième groupe : lésion combinée
- Septième groupe : lésion combinée des faisceaux pyramidaux et des
cordons
postérieurs, etc. En exa- minant tous ces diver
cence descendante bi-latérale; dégénérescence grise bi-latérale des
cordons
postérieurs et en particulier des zones radicul
ralyptique général eu question a eu antérieurement la syphilis, les
cordons
poslé- lieurs sont-ils prédisposés à la dégénér
vélaient la syphilis; ce furent les faisceaux pyramidaux et non les
cordons
postérieurs qui furent affectés. M. le Dr Edi
n avant jusqu'au trijumeau. Une troisième même gagne en arrière les
cordons
postérieurs; comme on constate dans cette direc
érébelleux sensoriel direct; on s'explique comment la résection des
cordons
postérieurs entraine la dégénérescence de ce no
elle avait déterminé une dégénérescence ascendante secon- daire des
cordons
postérieurs. On trouva encore un tubercule du v
oubles intellectuels, des convulsions épileptiformes, la lésion des
cordons
postérieurs (quatre autopsies déjà communi- qué
à constater de progression ni dans la démence ni dans la lésion des
cordons
postérieurs (analogie avec des lésions semblables
presque disparu et se fait sentir au palper sous forme d'un mince
cordon
; en général, tout l'avant-bras dans sa partie sup
fibrillaires s'observent dans les muscles du bras et du thorax. Les
cordons
nerveux et les muscles ne sont pas douloureux à
mbre et ne coïn- cident pas avec la région de la distribution des
cordons
nerveux séparés ; 3) on ne saurait admettre l'a
uscles, de même que leur hyperé- mie associée peut-être à celle des
cordons
nerveux, ce qui explique leur sensibilité doulo
ulpian et F. Raymond les reprirent alors et ils constatèrent que le
cordon
cervical ne contenait que 214 lë pathologie NER
o-dilatatrices (suivant on le sait, le 216 6 PATHOLOGIE NERVEUSE.
cordon
sympathique) et les fibres excito-sudorales et
s qui occupent le cervix cornu posterions et la partie profonde des
cordons
la- téraux, région éminemment mixte qui renferm
vec diapédèse; pas d'autre altération, sauf une légère sclérose des
cordons
blancs de la moelle. Il trouve une grande analo
e persistant pendant dix ANS. A l'autopsie, absence DE sclérose DES
cordons
postérieurs DE la moelle épinière; intégrité co
elle, toujours semblable à elle-même : la sclérose systématique des
cordons
pos- térieurs de la moelle, avec atrophie des r
fféremment pour désigner la même affection les mots de sclérose des
cordons
posté- rieurs ou d'ataxie locomotrice progressi
es symptômes caractéristiques du tabes, des scléroses évidentes des
cordons
postérieurs. D'autres 'Duchenne (de Boulogne).
ptômes plus ou moins analogues à ceux du tabes, des altérations des
cordons
postérieurs autres que la sclérose sys- tématiq
enre n'ont pas d'importance théorique. Si on accepte l'idée que les
cordons
postérieurs de la moelle sont les organes de l'
e vue des réactions patho- logiques il fallait distinguer, dans les
cordons
posté- rieurs de la moelle, deux régions tout à
de la moelle, deux régions tout à fait distinctes : l'une centrale (
cordons
de Goll), qui peut être sclérosée dans toute so
res symp- tômes. Et voilà comment des scléroses non douteuses des
cordons
postérieurs peuvent être rencontrées à l'autops
Lôwenfeld3, Bernhardt', Pribram', etc., etc. Mais les scléroses des
cordons
de Goll et les névrites périphériques ne parais
upes transversales on ne distingue de teinte grisâtre au niveau des
cordons
postérieurs. Les substances blanche et grise so
lle part de taches scléreuses. Les cornes dé substance grise et les
cordons
blancs ont les apparences de l'état normal : ce
s. Le tissu conjonctif inter- tubulaire n'est pas épaissi. Dans les
cordons
de Goll et les zones radiculaires externes, en
être un peu plus manifeste dans le segment postérieur de la moelle (
cordons
et cornes), mais qu'il existe aussi dans les co
de la moelle (cordons et cornes), mais qu'il existe aussi dans les
cordons
latéraux et dans les cornes antérieures. 2° Rac
observation suivante, nous verrons encore figurer la sclérose des
cordons
postérieurs, mais ce n'est plus chez les ascen-
épi- nière n'y figurent que très rarement, seule la sclérose des
cordons
postérieurs fait exception à cette règle, mais
ien a disparu. Une autre plaque lèse les fibres sciatiques dans les
cordons
latéraux (clonus podalique). M. SIEMERLING. D
itue la limite entre les régions dorsale et lombaire, la lésion des
cordons
postérieurs avait atteint la zone d'entrée radi
externe). Le même malade était atteint de dégénérescence grise des
cordons
postérieurs. M. KOENIG. Deux cas de lésion de l
F', couverture du quatrième ventricule. G, moelle épinière. G s,
cordon
supérieur de la moelle. ' G i, cordon inférieur
G, moelle épinière. G s, cordon supérieur de la moelle. ' G i,
cordon
inférieur. 11, lobe impair du quatrième ventric
lobes cérébraux. Y. corps génieulé, externe. Z, prolongements des
cordons
inférieure de la moelle au-devant de la protubé
devant de la protubérance. a, pédoncule du lobe olfactif. a', son
cordon
externe ou d'hippocampe, a", son cordon interne
du lobe olfactif. a', son cordon externe ou d'hippocampe, a", son
cordon
interne allant au corps calleux. a ? soncord. m
is transverses. n, stries médullaires du quatrième ventricule, o,
cordon
transversal gris de la moelle, p, feuilles lané
ganglion du grand sympathique.-7r,. G. nerfs latéraux.-c. d. leurs
cordons
dorsaux.-f. s. faisceau stomacal dugraud sym- p
urs.-o. 1. éminences olivaires. - f. a. filaments arciformes. c. a.
cordons
antérieurs ou abdominaux de la moelle épinière.
la structure des olives et delà protubérance.a ? , y. faisceaux du
cordon
inférieur de la moelle, qui se croisent devant et
-y.. feuilles cendrées du quatrième ventricule. c. g. extrémité des
cordons
gris. " 1 i. ]5. Moelle allongée, protubérance,
en-dessous. e. lige de la glande pituitaire. - ¡ : a. faisceaux des
cordons
antérieurs de la moelle épinière. ? S. étage supé
son existence et plus difficile dans sa théorie que le chapitre du
cordon
latéral et de ses rapports avec les contractures.
ehors, pour se loger au bord interne de la pyra- mide et le long du
cordon
antéro-latéral de la moelle. On peut le suivre
nt à travers la partie externe du corps restiforme vers lé noyau du
cordon
latéral du même côté et en partie à travers les f
x. Le réflexe se produirait alors, qui, par les voies descendantes (
cordons
anléro-laté- raux) viendrait modifier la tonici
un corps allongé qui leur est intimement uni et se continue avec un
cordon
s'en- gageant dans le canal inguinal. 11 s'agit
jeune idiot qui n'avait présenté aucun symptôme spinal et dont les
cordons
postérieurs étaient normaux. Rien non plus dans l
une excitation qu'elles transforment de la manière qui convient aux
cordons
postérieurs. Dès que les phénomènes d'exci- tat
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. résie gauche persistante. Lésions des
cordons
postérieurs sem- blables à celles du tabes sous
les des ascendantes. Ce l'ait permet d'admettre que la lésion des
cordons
postérieurs émanait d'un trouble primitif des cel
veloppent des lésions dégénératives des racines postérieures et des
cordons
postérieurs de la moelle. La communication de L
l comprend d'abord des fibres ascendantes réunissant les noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach à la couche optique et de
(compression des fibres du faisceau cérébelleux ou des fibres des
cordons
postérieurs ? ). La sensibilité tactile (fibres d
res des cordons postérieurs ? ). La sensibilité tactile (fibres des
cordons
postérieurs ou fibres du faisceau cérébelleux ?
résis- tance, tandis que, dans la syphilis, ce sont les fibres des
cordons
postérieurs qui paraissent les plus vulnérables
des faisceaux dans les deux sens. Mais c'est moins accusé dans les
cordons
postérieurs ; ils envoient en bas de courtes dé
plus pauvre, ce qui permet de penser qu'une très faible partie des
cordons
postérieurs arrive au petit cordon postérieur d
r qu'une très faible partie des cordons postérieurs arrive au petit
cordon
postérieur du bulbe. Dans la moelle lombaire, l
ve au petit cordon postérieur du bulbe. Dans la moelle lombaire, le
cordon
postérieur se colle sur le côté du sillon posté
postérieur se colle sur le côté du sillon postérieur sous forme de
cordon
postérieur médian. Les fibres qui sortent des r
se placent à côté des fibres déjà incorporées : ainsi se forment un
cordon
postérieur médian et un cordon postérieur latéral
jà incorporées : ainsi se forment un cordon postérieur médian et un
cordon
postérieur latéral ; 2° le faisceau cérébelleux
an et un cordon postérieur latéral ; 2° le faisceau cérébelleux des
cordons
latéraux dégénère toujours dans toute son étend
ère toujours dans toute son étendue en haut et en bas ; 3° dans les
cordons
an- térieurs et aussi dans les cordons latémux
haut et en bas ; 3° dans les cordons an- térieurs et aussi dans les
cordons
latémux on trouve des fibres dégénérées en haut
lque distance de cet endroit, elles se limitent essentiellement aux
cordons
antérieurs et encore à leur zone médiane. Ces f
faisceaux endogènes (intraspinaux) un long faisceau qui occupe les
cordons
antérieurs et ne peut être suivi jusque dans le
ongent que les faisceaux de la moelle qui occupent la périphérie du
cordon
laté- ral. Une coupe antéropostérieure montre q
espond probablement au segment antérieur du faisceau cérébelleux du
cordon
latéral (lî-(icizis cérébellospinul antérieur).
a, par le pédoncule cérébelleux inférieur, dans le bulbe et dans le
cordon
latéral. Ce long faisceau correspond au tractus
de fibres antérieures et posté- rieures du faisceau cérébelleux du
cordon
latéral. Les libres posté- rieures de celui-ci
uestion des rapports des racines postérieures avec la structure des
cordons
postérieurs. Figures. On sait que les lésions d
e (Schultze) ou se traduire par la dégénérescence du champ ovale du
cordon
postérieur. Ces deux observations mettent en lu
comment il faut les comprendre. La dégénérescence des- cendante des
cordons
postérieurs survient dans le cas de lésion tran
omiques sont en faveur des fibres radiculaires descendantes dans le
cordon
pos- térieur, et l'on constate la dégénérescenc
ement radiculaires Par conséquent la dégénérescence descendante des
cordons
postérieurs est explicable par une lésion des f
uelle la substance grise donne naissance à des fibres destinées aux
cordons
postérieurs, car les recherches rela- tives à l
aorte, qui lèse principalement la substance grise, prouvent que les
cordons
postérieurs sont altérés surtout REVUE D'ANATOM
le trajet de la branche ascendante des racines postérieures ; 2° le
cordon
de Goll parait simplement, dans la moelle cervi
tandis qu'en avant il n'y a pas de ligne limitante visible. Ici le
cordon
de Goll contient, outre les racines sacrées et lo
t immédia- tement accolée à la cloison paramédiane; 3° les raies du
cordon
postérieur qui correspondent au trajet de quelq
pp, très certainement suivies de dégénérescence descendante dans le
cordon
postérieur ; c'est la dégénérescence en virgule d
qu'une fraction de l'ensemble de la dégénérescence descendante du
cordon
postérieur. P. KERAVAL. 408 REVUE D'ANATOMIE ET
re de la frontale ascendante. Sclérose des bandelettes externes des
cordons
postérieurs de la moelle. Eugène X..., chauff
ons sur le toit et sur le plancher. -Moelle. Dégénération grise des
cordons
posté- rieurs au niveau des bandelettes externe
ine iliaque anté- rieure et supérieure provoque des élancements; le
cordon
nerveux y est perçu. Il se rappelle, trois mois
rps sont atteints par les progrès de l'irritation inllammatoire des
cordons
nerveux, mais l'affection n'a point passé à dro
a moelle. La circulation lymphatique serait indépendante dans les
cordons
postérieurs et les cordons antéro-latéraux. Le
lymphatique serait indépendante dans les cordons postérieurs et les
cordons
antéro-latéraux. Le canal de l'épendyme serait
rdu beaucoup d'eau ; présentation du sommet. Pas d'asphyxie, pas de
cordon
. Nourrie au sein par sa mère jusqu'à dix-sept m
sions des faisceaux de Bur- dach dans la région dorsolombaire et du
cordon
de Goll dans la SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 région
nsi que sont successivement passés en revue : , 1° Le 'syndrome des
cordons
postérieurs : troubles sensitifs et ataxie ; 2°
ons postérieurs : troubles sensitifs et ataxie ; 2° le syndrome des
cordons
antéro-latéraux : état paréto- spasmodique, con
ractures et tremblement intentionnel ; 3° le syn- drome associé des
cordons
postérieurs et latéraux : état ataxospa- smodiq
ornes antérieures : atrophie musculaire; 5° le syndrome associé des
cordons
latéraux et des cornes antérieures : atrophie m
tentionnel a été reproduit par Pasternotsky au moyen de lésions des
cordons
antérieurs de la moelle et de la partie antérie
des cordons antérieurs de la moelle et de la partie antérieure des
cordons
latéraux. « Chez l'homme, ajoute M. Achard, l'a
ses vertèbres et déterminé une compression de la moelle surtout des
cordons
antéro-latéraux et de la substance grise centra
nd si on admet que la lésion de la substance grise s'est étendue au
cordon
latéral. La diminution ou l'abolition de tous l
7 Î au lieu de la dissociation syringomyélique, indiquent que les
cordons
postérieurs ont été envahis. Enfin, la diminution
l vertébral. Le contact successif de la région droite et gauche des
cordons
antéro-laléraux engendre, par le courant minimu
es, entre la moelle et la dure-mère. Le faisceau pyramidal, dans le
cordon
latéral, n'offre rien de spécial. Augmente-t-on l
cervicale. A 7 h. 18 minutes, un courant minimum sur la région des
cordons
antél'o-[rÛé1'aux fait contracter les muscles d
ieures ; il est moindre quand on excite les parties postérieures du
cordon
latéral. Le territoire du faisceau pyramidal ne
cularité. Un courant de force identique appliqué sur n'importe quel
cordon
postérieur et sur n'importe quel faisceau de ce c
importe quel cordon postérieur et sur n'importe quel faisceau de ce
cordon
, engendre un mouvement bilatéral symétrique des
sculaires placés sur des plans plus profonds; 3° l'exci- tation des
cordons
postérieurs par un courant faible engendre un e
croisement des pyramides avec lésion des faisceaux constitutifs des
cordons
antérieurs. Inté- grité de la marche et de l'ex
94 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Des fibres des
cordons
postérieurs qui vont au cervelet, et de leur im
, XIX, 1900.) - Il est admis que les longues fibres ascendantes des
cordons
pos- térieurs de la moelle semblent les prolong
du cerveau et produisent les sensations; une certaine par- tie· des
cordons
postérieurs se rend au corps restiforme et au cer
ue par des cellules. Donc toutes les fibres ascendantes longues des
cordons
postérieurs ne sont pas sensitives, ne sont pas
ion centripète du cervelet. Dans les longues fibres ascendantes des
cordons
postérieurs de la- moelle, il existe au» moins
-des fibres des racines postérieures. - La voie cérébelleuse des
cordons
postérieurs est construite sur le plan de la vo
eurs est construite sur le plan de la voie cérébelleuse directe des
cordons
latéraux. Dans celle-ci les fibres des racines
nnes de Clarke, comme elles le sont par'les cellules des noyaux des
cordons
de Goll et de Burdach dans la pre- mière. Ces d
res cérébraux coordinateurs par la voie céré- 'belleuse directe des
cordons
latéraux et par une partie des fibres du trouss
par une lésion de la zone d'entrée des racines postérieures et des
cordons
postérieurs : c'est une dégénérescence du premi
par la dégénérescence de toutes les fibres longues ascendantes des
cordons
postérieurs La partici- pation du système céréb
et. La maladie de Friedreich n'est pas une affection combinée des
cordons
postérieurs et des cordons latéraux. C'est une af
ich n'est pas une affection combinée des cordons postérieurs et des
cordons
latéraux. C'est une affection systématique des
cervelet. On y trouve la dégénérescence du faisceau cérébelleux des
cordons
postérieurs, chargé d'expédier les excitations
d'expédier les excitations venues des parties profondes, celle des
cordons
latéraux du cervelet et d'une portion du faisce
forme de dégé- nérescence disséminée dans la région du reliquat des
cordons
antérolatéraux et du faisceau intermédiaire du
reliquat des cordons antérolatéraux et du faisceau intermédiaire du
cordon
latéral des pyramides. La maladie de Friedrei
tes lésions s'ajoute : la dégénéres- cence des voies sensitives des
cordons
postérieurs ou celle des py- ramides dans les c
ensitives des cordons postérieurs ou celle des py- ramides dans les
cordons
antérieurs et latéraux, ou encore une affection
ence des fibres radiculaires gagne, par les colonnes de Clarke, les
cordons
latéraux cérébelleux; en outre, il existe assez
emment une dégénérescence disséminée dans la région du reliquat des
cordons
antérolatéraux. La constante et précoce parti-
pour les cellules des colon- nes de Clarlce, certaines cellules des
cordons
de la moelle épinière, les cellules du sympathi
pinière une voie ascendante. 2q La circulation de la lymphe dans le
cordon
postérieur est indépendante de la circula- tion
nts à ifada- gascar, nous extrayons le passage suivant : « Quand le
cordon
desséché tombe, on l'enveloppe dans des herbes
Syndrome du - par Raymond et Cesian, 179. Voir Queue de cheval.
Cordons
postérieurs Voir Fibres. Cortex cérébral. Local
éflexe. Fausse - grossesse, Voir Paralysie générale. Fibres des
cordons
postérieurs qui 'vont au cervelet et de leur im
ntense des cornes antérieures au niveau du renflement lombaire. Les
cordons
latéraux depuis le renflement cervical jusque d
erveux des cornes anté- rieures est altéré, ainsi que les tubes des
cordons
latéraux; on y re- marque lafragmentation de la
autres parties de la substance grise de la moelle, de même que les
cordons
blancs sont indemnes. Les racines antérieures s
e grossissement : a, cornes antérieures; b, cornes postérieures; c,
cordon
latéral; d, cordon postérieur. Fig. 2. - Coupe
, cornes antérieures; b, cornes postérieures; c, cordon latéral; d,
cordon
postérieur. Fig. 2. - Coupe de la moelle cervic
ltérées; b, cornes postérieures; c, faisceau pyramidal dégénéré; d,
cordon
postérieur sain; e, racine postérieure; /, aspect
limitée à la région qui correspond à Kys du schéma de Flechsig. Les
cordons
postérieurs sont indemnes. Les racines antérieu
lésions du tabes ? Herzen ayant observé, dans un cas de myélite des
cordons
postérieurs avec intégrité des 1. Ilerzen, J>
ique TABES ET DISSOCIATION SYHINGOMYELIQUE DE LA SENSIBILITÉ. °31
cordons
antéro-latéraux et de la substance grise, l'insen
ses par la substance grise et celles de froid et de contact par les
cordons
postérieurs. Goldscheider s'éleva contre cette
ute l'anatomie pathologique du tabes résidait dans l'altération des
cordons
postérieurs et si les racines postérieures et l
me un effet de la propagation à la substance grise de.la lésion des
cordons
postérieurs ? C'est là une troisième hypothèse
ulation a été lésée était accélérée par l'absence physiologique des
cordons
latéraux chez les animaux nou- veau-nés, et par
thies traumatiques n'est dans une certaine dépendance de l'état des
cordons
latéraux, que parce que ceux-ci desservent les
POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 279 accélératrice que la section des
cordons
latéraux exerce sur la marche de l'atrophie d'o
et lent à dis- paraître. Pas de réseauveineux superficiel, pas de
cordons
lymphatiques. Pas de trouble trophique ni de la
noncée dans la zone radiculaire postérieure droite. Presque tout le
cordon
latéral gauche est envahi également, mais les l
ont moins accentuées : elles existent, plus faibles encore, dans le
cordon
latéral droit. La planche XLV montre une partie d
s zones margi- nales et une partie de la substance fondamentale des
cordons
antéro- latéraux sont respectées par la lésion,
perpendiculaire aux sil- lons antéro-postérieurs de la moelle; les
cordons
latéraux présentent un léger degré de dégénéres
ément recon- naissables : on y remarque la sclérose descendante des
cordons
laté- raux. Dans la région lombaire enfin, la c
re normale ; b, Corne antérieure altérée ; c, Foyer vasculaire ; d,
Cordon
antérieur; e, Cordon latéral; f, Cordon postéri
ne antérieure altérée ; c, Foyer vasculaire ; d, Cordon antérieur; e,
Cordon
latéral; f, Cordon postérieur. Planche 1 LIV.
; c, Foyer vasculaire ; d, Cordon antérieur; e, Cordon latéral; f,
Cordon
postérieur. Planche 1 LIV. - Sclérose en plaque
ieur. Planche 1 LIV. - Sclérose en plaques. Région pou altérée ; a,
Cordon
antérieur sain; b, Cordon latéral peu lésé; c,
érose en plaques. Région pou altérée ; a, Cordon antérieur sain; b,
Cordon
latéral peu lésé; c, Cordon latéral assez scléros
altérée ; a, Cordon antérieur sain; b, Cordon latéral peu lésé; c,
Cordon
latéral assez sclérosé; d, Plaque très altérée de
d, Région du faisceau de Turck sclérosée; e, Partie postérieure du
cordon
de Gull très altérée; ? Cloison postérieure très
ers seul le considère comme un relai entre les fibres de la moelle (
cordons
aiitéro-latéraux) et les pédoncules cérébelleux
let. Les conclusionstiréesparl'expérimentalionsontlessuivanle : Les
cordons
latéraux de la moelle participent à la formation
ans l'écorce du vermis supérieur du même côté. Une petite partie du
cordon
latéral constitue un faisceau compact qui, affe
res issues du faisceau cunéi- forme ; une couche moyenne formée des
cordons
latéraux céré- belleux ; une zone externe presq
du tissu sous-arachnoïdien qui enveloppe normalement le bulbe et le
cordon
olfactifs, ce qui n'a pu être vérifié. D. B.
rescence graisseuse des cellules nerveuses dans leur voisinage. Les
cordons
postérieurs de la moelle offrent la dégénéresce
copique exacte de l'écorce du cerveau, et si, dans la moelle , les
cordons
postérieurs étaient seuls altérés. v-, ·.9h ... (
elle; cel- lules granuleuses et corpuscules amyloïdes dans les deux
cordons
postéro-latéraux; petits foyers scléreux dans l
ux cordons postéro-latéraux; petits foyers scléreux dans les divers
cordons
. Un homme de quarante-neuf ans en proie à la sy
iffuse de la moelle ; foyers de sclérose disséminés dans les divers
cordons
. P. K. 328 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXVI
dorsale. De ces faits, l'auteur déduit que la partie des fibres des
cordons
postérieurs qui est en connexion avec le nerf sci
lement cervical. D'après les réflexions terminales de l'auteur, les
cordons
de Goil, a la région cervicale, se composeraien
s aux extrémités intérieures (faisceaux longs). A côté de cela, les
cordons
posté- rieurs renfermeraient de courtes fibres
u de la pa- thologie, de tracer l'aire topographique définitive des
cordons
de Coll. La dégénérescence descendante atteint,
. La dégénérescence descendante atteint, bien que fai- hlement, les
cordons
latéraux et les faisceaux radiculaires des cord
- hlement, les cordons latéraux et les faisceaux radiculaires des
cordons
antéueurs. Elle semble épargner les départements
éueurs. Elle semble épargner les départements les plus internes des
cordons
latéraux et la substance blanche con- ligué des
ute la couche latérale limitrophe. La dégénérescence ascendante des
cordons
latéraux dans le cervelet s'étend plus en avant
ui, dans leur trajet, sont situés parmi les fibres radiculaires des
cordons
postérieurs. Il. K. X\X. CovrwDUTtor1 a la dégé
, prolifération interstitielle modérée) du faisceau pyramidal des
cordons
latéraux depuis la portion lombaire jusqu'à la dé
empiétement sur les fibres longitudinales, un peu de compression du
cordon
cunéiforme et du faisceau grêle. Pour l'auteur,
M. Sebulz ajoute que les variétés d'aspect de la névroglie dans les
cordons
blancs de la moelle ré- sultent des diversités
des dimensions des diverses régions de la moelle et des différents
cordons
dans les endroits où ils présentent le plus grand
cérébral, la protubérance, la pyramide de la moelle allongée, et le
cordon
latéro-postérieur du côté opposé; intégrité con
le cordon latéro-postérieur du côté opposé; intégrité constante du
cordon
antérieur. La section de la capsule interne, à
e ou à une lésion cérébelleuse avec dégénérescence secondaire des
cordons
postérieurs. Les modifications histologiques mont
'action de l'acide chromique, elle offrait une coloration jaune des
cordons
postéro- latéraux et non des cordons postérieur
frait une coloration jaune des cordons postéro- latéraux et non des
cordons
postérieurs. On en fera plus tard des coupes. D
s qu'ils constituent le symptôme somatique principal, alors que les
cordons
postérieurs demeuraient indemnes, et tandis que
fibres centripètes conductrices des réflexes monte- raient avec les
cordons
postérieurs de la moelle, glisseraient sous l'é
voisinage de l'écorce, et non plus loin, gagneraient finalement les
cordons
pos- téro-latéraux. Outre que ce rendez-vous so
omotrice; leur origine et, dans la portion lombaire, le domaine des
cordons
postérieurs, a subi la dégénérescence dans son en
la région dorsale (moins les fibres limitrophes externes des mêmes
cordons
) et se retrouvent enfin dans la moelle cervical
eli, 33G. Dégénérescence combinée des cor- nes antérieures et des
cordons
latéraux, par Yierordt, 331. Délire aigu, 104
de l'âme ne dépendent point du cervelet, de ses penduncules, de ses
cordons
, des nates, des testes, de la glande pinéale, des
erche par laquelle il était arrivé à s'éclairer à son temps sur les
cordons
de la moelle, à établir le plan général de cons-
les voies qui propagent le sentiment de la douleur commencent comme
cordons
indépendants seulement dans la moelle épinière, c
us permanent des muscles, par l'exci- tation du tissu conjonctif du
cordon
latéral sur les cornes antérieures de la moelle
rimitivement ou comme conséquence des lésions autres que celles des
cordons
latéraux. Il en résulte que la cause fondamenta
érescence descendante du FPyC. Quant à la raréfaction des fibres du
cordon
de Goll dans la partie supérieure de la moelle,
re. B et C. - V° et VI" segments dorsaux. E. Substance blanche du
cordon
latéral de la moelle au point comprimé. SOCIÉTÉ
ne séparent les fibres radiculaires des systèmes endogènes dans les
cordons
postérieurs. Ces raisons nous font abstraire de l
n ascendante des fibres radiculaires posté- rieures remplir tout le
cordon
postérieur, à l'exception des formations endogène
antéro- latéral gauche (PI. XXIII). La dégénérescence massive du
cordon
postérieur droit, marquée par de gros- ses gran
e cheval. Les deux petits croissants de granulations noires dans le
cordon
postérieur gauche, l'un contre la racine postér
Pal, deux aires de décoloration : dans la partie postéro-interne du
cordon
postérieur droit et dans un croissant parallèle
ne postérieure et occupent le 1/3 moyen de la moitié postérieure du
cordon
de Burdach gauche. La première est due à la dég
lombaires, offrent, au Pal, une seule aire de décoloration dans le
cordon
postérieur droit. Cette aire l'occupe tout enti
énérescence radiculaire ascen- dante. Dans Lv elle occupe, dans les
cordons
postérieurs droits, la moitié postéro-interne d
, dans les cordons postérieurs droits, la moitié postéro-interne du
cordon
de Burdach et tout le cordon de Goll sauf le fais
s droits, la moitié postéro-interne du cordon de Burdach et tout le
cordon
de Goll sauf le faisceau de Hoche continué en a
ne bande assez étroite. Dans Si, la dégénérescence n'occupe que les
cordons
postérieurs droits. Elle y est massive, ne lais
qui devient le triangle de Gombault et Philippe. Dans le reste des
cordons
postérieurs droits la dégénérescence est massive
firme l'opinion classique (2) sur les dégénérations ascendantes des
cordons
postérieurs, consécutives aux lésions des racin
fibres très fines réparties 1 égulièrement sur toute'.l'étendue des
cordons
postérieurs. Les grosses libres de la substance
oelle lombaire inférieure, sur une coupe longitudinale, longeant le
cordon
postérieur. Dans cette racine on observe seulem
la zone du faisceau pyramidal croisé et la partie plus antérieure du
cordon
la- téral ainsi qu'il résulte d'une façon très
cines médullaires et aussi dans la substance blanche des différents
cordons
de la moelle, semblerait constituer un argument d
d'une façon uniforme et avec la même intensité dans ses différents
cordons
. Ce qui nous frappe c'est uniquement ceci que l
la coloration noire que la presque totalité des tubes ner- veux;des
cordons
blancs ont prise en appliquant la méthode de Marc
mon (1868-70), qui décrivit l'existence de corps granuleux dans les
cordons
postérieurs de ces malades. Après lui, on trouv
localisées particulièrement aux voies longues. Les altérations des
cordons
postérieurs étaient plus accentuées dans la moe
eure droite et de la racine correspon- dante avec gliose légère des
cordons
postérieurs. Il considéra les deux pro- cessus
e genre,observa unique- ment un certain degré de dégénérescence des
cordons
postérieurs et, plus exactement, l'atrophie des
térieurs et, plus exactement, l'atrophie des fibres ascendantes des
cordons
postérieurs, sur- tout dans le cordon de Goll d
e des fibres ascendantes des cordons postérieurs, sur- tout dans le
cordon
de Goll de la moelle cervicale avec épaississemen
s plus fréquem- ment et les plus intensément frappés en étaient les
cordons
postérieurs et les racines postérieures, mais d
use à presque tous les tubes nerveux qui constituent les différents
cordons
de la substance blan- che. Il s'agit, évidemmen
l'avons déjà vu plus haut, où les gaines myéliniques des différents
cordons
blancs ne nous offrent que des modifi- cations
la même affinité que pour les fibres des nerfs périphériques et les
cordons
blancs de la moelle épinière. En d'autres termes,
elle lombaire coupée transversalement. - Racine postérieure (Rp) et
cordon
postérieur (Cp). - Méthode de Marchi. Même grossi
3. Moelle lombaire, coupe longitudinale.- Rp, racine postérieure Cp,
cordon
postérieur. Méthode de Marchi. Même grossisseme
d. Fia. 9. Coupe longitudinale de la moelle cervicale à travers les
cordons
posté- , rieurs.- Méthode de Marchi. Grossissem
Il se trouve que ce coup de crayon affecte la forme serpentine d'un
cordon
qui enlace, sans la bles- ser, M... tout entièr
caressant ces flatteuses chimères, s'entoure de tous les chiffons,
cordons
, bandes d'étoffes, ficelles, qu'il peut trouver,
Bechterew (2) a rencontré dans une autopsie une dégénérescence du
cordon
postérieur, des lésions disséminées des cordons a
ne dégénérescence du cordon postérieur, des lésions disséminées des
cordons
antéro-latéraux ; les cellules des ganglions sp
spon- dylotique ou rhumatismale peut avoir, sur les racines et les
cordons
pos- térieurs une action discrète et limitée. E
andelette externe à ce niveau. Il y a une sclérose peu accentuée du
cordon
de Goll à la moelle cervico- dorsale, no OSPE
r les cor- dons latéraux et postérieurs - puis, viennent celles des
cordons
postérieurs seuls- enfin la troisième catégorie
érieurs seuls- enfin la troisième catégorie a trait aux lésions des
cordons
latéraux seuls. Il est imposible d'établir si, ch
néraux syphilitiques, il y a lésion exclusive ou pré- dominante des
cordons
postérieurs. Le processus primitif est cons- ti
arrondie et qui occupe presque entière- ment la place réservée aux
cordons
postérieurs; au centre de ce tissu néoplasique,
is qui en reste parfaitement distinct ; elle envahit en arrière les
cordons
postérieurs, surtout à gauche. Vers le milieu d
a commis- sure grise, et se perd insensiblement en arrière dans les
cordons
postérieurs. A ce niveau, il ne reste plus aucu
n peu plus haut, vers la dixième dorsale, la tumeur qui, partie des
cordons
postérieurs, était passée entièrement en dehors d
ant, revient en dehors d'elle, en repassant par conséquent dans les
cordons
postérieurs Fig. 2. Coupe pratiquée au niveau d
s amas de granulations pigmentaires. La portion diffuse envahit les
cordons
postérieurs ; un petit nodule néoplasique isolé e
ne dorsale. La portion circonscrite de la tumeur a repassé dans les
cordons
postérieurs; en dehors d'elle, on aperçoit quel
complètement disparu a gauche. La portion diffuse rayonne dans les
cordons
postérieurs. Dégénérescence des faisceaux pyram
es cornes antérieures et postérieures s'étalent à la périphérie; le
cordon
postérieur gauche est fortement entamé; le droi
ne d'infiltration diffuse, qui envahit dé,à presque la totalité des
cordons
posté- rieurs. Le canal central est dilaté sur
E NERVEUSE. fait de tels progrès qu'elle a détruit complètement les
cordons
pos- térieurs, dont il n'existe plus que de rar
quable par sa disposition : elle envahit, en effet, la totalité des
cordons
grêle et cunéiforme. Sur la figure \.1 on voit
é des cordons grêle et cunéiforme. Sur la figure \.1 on voit que le
cordon
grêle a déjà presque dis- paru dans son noyau,
aucune trace de dégénérescence. Il faut ajouter qu'en arrière des
cordons
grêle et cunéiforme dégénérés on aperçoit une min
la disposition qu'ils ont dans les nerfs périphériques que dans les
cordons
blancs de la moelle. Jusqu'à quel point ces ner
ète de la co- lonne de Clarke gauche et à la destruction totale des
cordons
postérieurs à la partie supérieure de la moelle
nt dans la suite 'et formant un système continu, -surtout' dans les
cordons
postérieurs ? Les lésions spinales seules sont,
et périphérique, mais plus particulièrement dans l'encéphale et les
cordons
pos- térieurs, pour déterminer' secondairement
8). J.-M. CHARCOT. 181 moelle épinière, la sclérose primitive des
cordons
laté- raux, etc. Dans son cours de 1869, il t
ès du catafalque étaient assis les personnages chargés de tenir les
cordons
du poêle : MM. Joseph Bertrand, secrétaire perp
Vers la fin de la maladie disparut le réflexe patellaire. Les trois
cordons
sont lésés. On y voit : foyers dissémi- nés, lé
nale spasmodique. Mais cela n'empêche que la lésion de tels et tels
cordons
ne se tra- duise par des symptômes déterminés e
aires disparais- sent, on est autorisé à admettre que la lésion des
cordons
latéraux s'est compliquée d'une altération des
a lésion des cordons latéraux s'est compliquée d'une altération des
cordons
postérieurs. L'évolu- tion de la maladie permet
e que différents faisceaux sont atteints. Ce n'est qu'à l'égard des
cordons
antérieurs ou antéro-latéraux que l'on n'est pa
mptomatologie. Ce qui revient à dire qu'il y a lésions combinées de
cordons
médullaires. J'insiste sur cette expression qui
s parce qu'elle ne préjuge point de la fonction physiologique des
cordons
en question. On est cependant autorisé à formuler
nostic d'affection systématique combinée dans les cas de lésion des
cordons
postérieurs et latéraux, à la condition qu'on n'a
rs, sans paralysie générale, et que maints cas d'affection pure des
cordons
latéraux sont au -point de vue anatomique dûs à d
u tabes il y a lieu de le tenir-pour une,affection systématique des
cordons
postérieurs tant au-point de vue de leur foncti
la rejeter ? S'i est certain que des lésions combinées de certains
cordons
de la moelle produisent un tableau clinique con
eau clinique constant, qu'il y a par exemple affection combinée des
cordons
postérieurs et latéraux, faut-il le passer sous
l est impossible de juger le tabes d'après cet étalon, et quand aux
cordons
latéraux dans les pyramides, que dire de leur dég
ale. Dimi- nution des cellules de la colonne de Clarke, atrophie du
cordon
pos- térieur gauche, mais limitée au faisceau d
Tel est le mécanisme des altérations des fibres sensitives dans les
cordons
de la moelle. Séance du 14 mars 1892. Présidenc
bstance grise, les fibres qui se rendent des corps restiformes, aux
cordons
postérieurs. Edinger n'ad- met comme prouvées q
mes, restant sur la réserve pour les préten- dues fibres allant des
cordons
postérieurs à l'olive : elles ne feraient que l
isait du cervelet le siège du sensorium commun et l'aboutissant des
cordons
postérieurs n'est plus soutenable depuis longte
de la moelle avec les symptômes cliniques. Relation des parties des
cordons
postérieurs lésés avec chacun des symptômes cli
trophie' des racines posté- rieures, des cornes postérieures et des
cordons
postérieurs. Atrophié modérée des colonnes'de C
cifique moindre que les cellules des ganglions spinaux; 10" dans le
cordon
postérieur, il y a atrophie de groupes de fibres
giques anciens dans. les .deux noyaux lenticulaires; - sclérose des
cordons
postérieurs dans la moelle cervicale; dégé- nér
u s'échappe après la rupture des mem- branes; pas de circulaires du
cordon
. - A la naissance pas d'asphyxie. Nourrie au se
essus de la compression on trouve une dégénérescence ascendante des
cordons
de Goll jusque dans le bulbe. Cette dégé- néres
s montre des granulations noires au llarchi.La dégénérescence des
cordons
postérieurs n'est pas systématisée. Les libres en
publié encore un en 1933, dans lequel la moelle n'était plus qu'un
cordon
fibreux confondu avec les mé- ninges sans qu'il
PATHOLOGIQUES X. Du déplacement des fibres des pyramides dans les
cordons
postérieurs chez l'homme ; par Cuhtsr.. (Neurolog
qui plus tard se réaccolent aux libres pyramidales entrées dans le
cordon
latéral. Ces fibres dispersées sont-elles totalem
du faisceau cunéiforme (figure). Le petit faisceau dispersé dans le
cordon
postérieur se divise en descendant, tout en se
ment en avant de la commissure postérieure. Constamment séparés des
cordons
postérieurs par un pont ténu de substance grise
ent, traversant des deux côtés la corne postérieure, entrer dans le
cordon
latéral des py- ramides. " 1'. -KERAVAI.. 1.-
s plus petites que celles du côté droit. La portion postérieure des
cordons
latéraux, l'aire du cordon latéral des pyramide
côté droit. La portion postérieure des cordons latéraux, l'aire du
cordon
latéral des pyramides particulièrement affectée
e. Elle est autochtone et semble en rapport avec l'hypopla- sie des
cordons
latéraux des pyramides. L'ensemble du processus
) P. 11ERA'AL. i'1.- Contribution à l'étude du trajet de quelques
cordons
de la moelle, par L. de Dydynski. [Neurolog. Ce
ascendantes. Il est admis que la plupart des fibres qui forment les
cordons
postérieurs sont le pro- longement des racines
des noyaux de Goll et de Curllach que se ter- minent les libres des
cordons
postérieurs en ramuscules arbori- l'ormes. Mais
isceaux en question se groupent en longs trousseau prés du bord des
cordons
latéraux : la partie postérieure, la plus étroite
ns le bulbe, ce las- cicule s'allonge,s'étend dans la direction des
cordons
postérieurs et finalement les atteint : il se p
ébelleux, avoisinenl, dans les régions supérieures de la moelle les
cordons
postérieurs, pour se terminer avec ces derniers d
à peu près celle de Solder. Faisceau olivaire. - Petit faisceau des
cordons
antérieurs par- lant du foyer el longeant la mo
e supérieure. B. Examen des dégénérescences descendantes. Celle des
cordons
postérieurs s'est manifestée ici sous les 3 for
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, moelle sacrée. Si l'on admet que les
cordons
postérieurs renfer- ment deux espèces de libres
s ce n'a pas encore été démontré. La dégénérescence descendante des
cordons
antérieurs et latéraux des pyramides était part
bles nutritifs dans les racines postérieures, une grande partie des
cordons
postérieurs, les fibres radiculaires irradiées
es les autours ajoutent la possibilité de lésions systématisées des
cordons
postérieurs asso- cilies ou non à celles des co
tématisées des cordons postérieurs asso- cilies ou non à celles des
cordons
latéraux. Syndrome 21seudo-bltlbairc d'origine
, qui ne peut être attribué qu'à l'existence d'une latérocidonce du
cordon
qui passait en sautoir sur l'épaule postérieure
par un syndrome tahetiforme, indice d'une lésion des racines et des
cordons
posté- rieurs. Sclérose en plaques. M. LEJO
o-glosso-laryngée. Enfin, au point de vue anatomo-pathologique, les
cordons
pos- térieurs ont toujours été trouvés sains. L
rdons pos- térieurs ont toujours été trouvés sains. La sclérose des
cordons
antéro-latéraux a toujours affecté la topograph
s affecté la topographie classique; c'est- à-dire étendue à tout le
cordon
antéro-latéral, épargnant, d'une part, une zone
, surcharge pigmen- taire. Dans le type spasmodique la lésion des
cordons
prédominait ; dans le type amyotrophique c'étai
out le monde s'ontendsur la fréquence des scléroses combi- nées des
cordons
postérieurs et latéraux dans la paralysie géné-
tain soir au préau, on l'a surprise cherchant à s'étrangler avec le
cordon
de sa chemise. Elle procédait mal à ses soins d
achilléenqui est la manifestation la plus certaine des lésions des
cordons
postérieurs. Les auteurs, rejetant les cas dout
édisposition. On sait,en effet, d'une part, que la dégénération des
cordons
latéraux, dans la Archives, 2. série, 1906, t.
veuses ; par G. Marinesco. D'après Walter, lorsqu'on sectionne un
cordon
nerveux, de manière à empêcher la réparation, le
utre des symptômes habituels, présentent des signes d'al- teinte du
cordon
postérieur. L'hérédité vient du côté maternel s
nnaires. Examens des - au xviii0 siècle, par de Coy- nard, 228.
Cordons
. Voir Moelle. Corne d'Ammon. Anatomie com- pa
Trêves, 205. Fibres. Du déplacement des - des pyramides dans les
cordons
postérieurs chez l'homme, par Bumke, 121. F
Voir Processus. - Con- tribution à l'étude du trajet de quelques
cordons
de la , par Dydynski, 124. Lésions de la dans
importante du centre spinal. Qu'il me suffise de vous rappeler que ce
cordon
central de substance grise est un lieu de passage
e et qui constitue aussi un des symptômes des maladies scléreuses des
cordons
blancs antéro-laté-raux parvenues à un certain de
e d'une atrophie des cor-dons antérieurs de la substance grise et des
cordons
blancs antéro-latéraux, dans la région de la moel
rons dans notre observation, une atrophie avec sclérose partielle des
cordons
antéro-latéraux et une atrophie très-prononcèe de
ubstance, grise et s'étendent même parfois aux parties adjacentes des
cordons
antéro-latéraux, il n'en est pas moins vrai que s
e j'adhère complè-tement, les scléroses systématiquement limitées aux
cordons
postérieurs doivent être rattachées à une irritat
ubes nerveux avaient dis-paru, et le nerf ne formait plus guère qu'un
cordon
fibreux. THÉRAPEUTIQUE DE L'EMPLOI THÉRAPEUTI
mbattre le tétanos des enfants nouveau-nés. Chez l'un des enfants, le
cordon
était tombé et la cicatrice complète avant le déb
avec les cornes occipitales, formant au-dessous d'elles une sorte de
cordon
plus résistant que la masse encéphalique. Puis la
rons l'analyse dans l'ordre de leur apparition. I. Tissu muqueux du
cordon
ombilical, par Renault. — Nous signa-lerons d'abo
enault. — Nous signa-lerons d'abord une étude sur le tissu muqueux du
cordon
ombilical communiquée en juillet 1870 à la Sociét
onséquent les diverses opinions émises relativement à la structure du
cordon
, M. Renault arrive à ses recherches personnelles
es recherches personnelles et conclut ainsi : « Le tissu muqueux du
cordon
est, dans les parties riches en mucine, formé par
elà mucine qui distend ses mailles. Quant au tissu péri-vasculaire du
cordon
, il n'est pas sans présenter quelque analogie ave
issu delà cornée transparente; dans tous les cas, il n'existe dans le
cordon
ni réseau plasma tique constitué, comme le préten
et, je le répète, la tunique glissait facile-ment sur la tumeur. —Le
cordon
paraissait sain, les ganglions voisins n'étaient
allon utérin sur l'orifice du col, il résulte : que tout prolapsus du
cordon
est empêché; que la fuite des eaux en masse est a
nveloppes aucune lésion visible à l'œil nu. Vexamen micro-scopique du
cordon
médullaire y a démontré Vabsence de toute lésion,
ulaires, à l'auriculaire est également rétractée et rem-placée par un
cordon
fibrineux dur. L'artère temporale est volumineu
resque immédiatement après son émergence par un caillot ancien, et le
cordon
fibroïde qui rem-place cette branche artérielle c
avérique, est sil-lonnée d'une multitude de veines sous forme de gros
cordons
, noueux, violacés. Pendant les neuf mois qu'ell
es mêmes sujets, quelle que fût la position de l'enfant (prolapsus du
cordon
, eclampsie, rétrécissement du bassin etc.). Le
que la lésion est générale, cest-à-dire qu'elle occupe aussi bien les
cordons
posté-rieurs et la substance grise que les cordon
upe aussi bien les cordons posté-rieurs et la substance grise que les
cordons
antérieurs. Lorsque le malade meurt avec une pa
e remontait à une grande hauteur en l'absence de toute altération des
cordons
postérieurs. Lorsque le malade meurt guéri de s
ux ou trois minutes, sans autre cause apparente que sa faiblesse. Son
cordon
était de longueur et de grosseur normales. Dix mi
ssitôt après sa naissance, et ne donna ensuite aucun signe de vie. Le
cordon
était gros, mou, bosselé, d'une longueur d'enviro
centimètres, contrastant ainsi par son volume et sa longueur avec le
cordon
de. l'autre pro-duit. Il paraissait d'ailleurs si
t si les jumeaux étaient contenus dans une seule poche ; car les deux
cordons
furent brisés par la sage-femme, et il y eut rétr
portion sous-ombilicale paraît normale en tous points. Au-dessus du
cordon
, nous trouvons une vaste poche bilobée, plus gros
gu au niveau de l'ombilic, de sorte qu'il n'y a qu'une artère dans le
cordon
. Les deux testicules, longs de-2 à 3 millimètre
. — musculaire, 235. — hystéri-que, traitée par l'électricité, 538.
Cordon
ombilical (Tissu muqueux du), par Renault, 114.
Clarke dans la moelle dorsale. En ce qui concerne les relations des
cordons
postérieurs avec le corps restiforme, c'est le
ons postérieurs avec le corps restiforme, c'est le noyau externe du
cordon
cunéiforme qui les établit avec le pédoncule cé
es colonnes de Clarke. Le premier sert de lien entre les fibres des
cordons
pos- térieurs et le pédoncule cérébelleux du co
corps restiforme ; les colonnes de Clarke réunissent les fibres des
cordons
postérieurs au faisceau REVUE D'ANATOMIE ET DE
dire vers le corps restiforme et les fibres arci- formes émanées du
cordon
cérébelleux. On en peut suivre quelques- uns ju
en foyer, de constater une dégénérescence secondaire bilatérale des
cordons
latéraux; la dégénérescence unilatérale apparente
que toujours, à l'examen microsco- pique, d'altération identique du
cordon
du même côté. Chez le chien auquel on enlève le
même côté. Chez le chien auquel on enlève le gyrussigmoïde, seul le
cordon
latéral du côté opposé dégénère, tandis que tou
demeurent intacts, ce qui prouve qu'il n'y a pas chez cet animal de
cordon
antérieur. La dégénérescence a lieu par l'évoluti
rsque les lésions occupent les régions privilégiées (périphérie des
cordons
postérieurs, des faisceaux de Goll, etc.). P. K.
ie générale typique. On constate dans le premier cas une lésion des
cordons
latéraux, dans le second, une altération des co
une lésion des cordons latéraux, dans le second, une altération des
cordons
postérieurs. Dans le premier cas, il existait u
ondai- rement sur les faisceaux blancs, et en particulier sur les
cordons
latéraux. Lorsque cette éventualité se réalise
, et son extension de dedans en dehors ou de dehors en dedans aux
cordons
blancs de la moelle. G. D. XVII. SYNDROME DE Fr
à la connaissance du développement des manchons de myéline dans les
cordons
postérieurs de la moelle, avec présentation de
ue les pre- mières fibres nerveuses à myéline apparaissent dans les
cordons
postérieurs de foetus ayant atteint 24 centimèt
, on n'en trouve pas une seule dans une zone postéro-latérale de ce
cordon
; mais on les rencontre assez uniformément dissé
ite avoisinant la cloison postérieure et les zones externes du même
cordon
et encore, pas jusqu'à la périphérie postérieur
ces fibres internes et externes, des deux côtés, il existe, dans le
cordon
postérieur, une partie veuve de fibres myéliniq
foetus de 28 centimètres de long, les segmeuts·postéro- latéraux du
cordon
postérieur de la moelle lombaire sont égale- me
- ment occupés par des fibres myéliniques. Mais déjà. le reste du
cordon
est pourvu de nouvelles fibres ou du moins leurs
nd, les zones glabres ont diminué de volume, quoique l'ensemble, du
cordon
postérieur ait considérablement augmenté. Dans le
fibres myéli- niques, aussi pressées dans les segments internes du
cordon
posté- rieur que dans ses segments externes, no
nstitue la limite entre le regment interne et le segment externe du
cordon
. En s'élevant dans la partie supérieure de la m
st étendue. Chez les foetus de 35 centimètres, la partie moyenne du
cordon
postérieur se développe, c'est-à-dire qu'entre
elle que soit la région de la moelle. A cette époque, les fibres du
cordon
postérieur ont toutes reçu leurs gaines de myél
re des espaces clairs assez étendus. Par conséquent, les fibres des
cordons
postérieurs sont pourvues de leurs manchons de
e (faisceau de Goll) et du segment externe (faisceau de Burdach) du
cordon
postérieur dans la moelle dorsale et cervi- cal
léments constitutifs. - Que montre maintenant la dégénérescence des
cordons
postérieurs dans le tabès ? En quelques cas (st
quelques cas (stades de début du labes), c'est la partie moyenne du
cordon
postérieur qui est surtout lésée ; or, cette pa
s que celles du premier et du deuxième stade demeurent intactes. Le
cordon
postérieur affecté de cette façon a le même asp
Le cordon postérieur affecté de cette façon a le même aspect que le
cordon
postérieur arrivé au deuxième stade de son déve
ment. La lésion est alors surtout accusée dans la partie moyenne du
cordon
postérieur; déchéance des fibres des deuxième e
t du premier stade; dégénérescence moyenne du segment postérieur du
cordon
, dans lequel les fibres du quatrième stade deme
uement à ce dernier ordre de causes. L'hypothèse d'une lésion des
cordons
latéraux doit être écartée d'emblée, car on n'a c
ues de la-, par Minor, 131 ; développement de la myéline dans les
cordons
postérieurs de la par Trepinslu, 289. Monoplé
ode de durcis- sement : 1° Région cervicale. -Légère sclérose des
cordons
latéraux (faisceau pyramidal croisé). La coupe,
nt une partie jaune, granu- leuse. 2° Région dorsale. Sclérose du
cordon
latéral, présentant les mêmes caractères que da
omme en voie de disparition. 3° Région lombaire. Légère sclérose du
cordon
latéral ; les cellules nerveuses grosses, nombr
lusinterne. Intégrité du segment externe du pédoncule. Atrophie des
cordons
antéro-latéraux de la région cervicale de la mo
tue l'opéré en quatre semaines. Autopsie. Dégénérescence grise des
cordons
postérieurs, phlegmon fémoral double, thrombose
x). Une dégénérescence descendante modérée, unelésion partielle des
cordons
postérieurs, une dégénérescence grise des nerf
onsistent en un foyer circonscrit occupant le segment antérieur des
cordons
postérieurs, à une distance assez éloignée du lie
rès l'accident. Lockhart Clarke cons- tata une sclérose limitée aux
cordons
postérieurs et un épaississement des membranes
ion suivie de quelques remarques relatives à la lésion primitive du
cordon
latéral des pyramides; par C. WESTPHAL. (Arch.
cence multiloculaire de la moelle en lésion associée de certains
cordons
, en réservant la possibilité d'une dégénérescence
ordons, en réservant la possibilité d'une dégénérescence isolée des
cordons
latéraux ou des faisceaux pyramidaux ; plus tard
al gauche. Au microscope, la moelle présente une dégénérescence des
cordons
latéraux pyramidaux et cérébelleux; affection c
ons latéraux pyramidaux et cérébelleux; affection commençante des
cordons
postérieurs; pyélonéphrite; hypertrophie et dilat
l, une paralysie spinale spasmodique, en rapport avec la lésion des
cordons
latéraux; t'atteinte concomitante des cordons p
rt avec la lésion des cordons latéraux; t'atteinte concomitante des
cordons
postérieurs ne descend jamais, dans les cas de
science, de fait relatif à une dégénérescence isolée primitive des
cordons
latéraux; pareille altération est, d'ordinaire,
. Cette lésion, de même que les formes associées de destruction des
cordons
qu'on observe chez les aliénés paralytiques, pr
lus tardivement les manchons de myéline (faisceaux pyramidaux, puis
cordons
postérieurs et faisceaux laté- raux cérébelleux
e que les cellules granuio-graisseuses précèdent l'organisation des
cordons
de substance blanche ou de leur myéline, de mêm
Les manifestations cliniques qui émanent de la lésion combinée des
cordons
postérieurs et latéraux diffèrent chez le paral
lexus symptomatique repose d'une part sur l'at- teinte continue des
cordons
latéraux de haut en bas et en même temps sur l'
ordons latéraux de haut en bas et en même temps sur l'intégrité des
cordons
postérieurs, à partir de la portion inférieure
férieure de la moelle dorsale et dans toute la moelle lombaire; les
cordons
postérieurs sont-ils lésés plus bas ou dans leu
- mènes du genou, parce que, jamais, dans l'espèce, la lésion des
cordons
latéraux n'atteint le même degré que chez les suj
sies); 2° des paralysies générales avec sclérose funiforme des deux
cordons
latéraux (nécropsies); 3° des paralysies générale
° des paralysies générales avec sclérose également systématique des
cordons
latéraux et des cordons postérieurs (nécropsies
avec sclérose également systématique des cordons latéraux et des
cordons
postérieurs (nécropsies) ; 4" des paralysies géné
une s mptomalolo;ie différente, avaient tous deux delà sclérose des
cordons
latéraux. V. Dans la revue d'ensemble terminale
ériode sont ici bien po- sitives, ce sont celles de la sclérose des
cordons
laté- raux et la dégenération des cellules nerv
he, l'altération a dû empiéter sur les cornes antérieures. Rien aux
cordons
antéro-latéraux. Le complexus clinique rappelle
a qu'il ne s'agissait nullement d'une dégénérescence grise pure des
cordons
postérieurs. Un exemple d'affection tabétique s
- i. arthropathies qui s'observent dans le cours de l\ sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle (suite) . Les deux obs
re pendant les deux derniers jours. Autopsie le 25 mars 1871 *. Les
cordons
postérieurs de la moelle sont atteints de scléros
pinière offre une atrophie avec dégénération grise très-prononcée des
cordons
postérieurs dans les régions dorsale et lombaire.
esse droite ; la jambe droite descend dans l'excavation pelvienne. Le
cordon
ombilical vient apparaître entre les deux membres
- 1. arthropathies qui s'observent dans le cours de la sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle. (Fin.) Nous aurions p
tion de M. Voisin sur une méningo-myélite surai-guë avec sclérose des
cordons
latéraux ; — 4° des communications nombreuses et
'après les symptômes, la blessure avait dû intéresser la tota-lité du
cordon
postérieur et du cordon latéral de la moelle du c
blessure avait dû intéresser la tota-lité du cordon postérieur et du
cordon
latéral de la moelle du côté gauche, et la presqu
e seule ; elle a cependant besoin d'aide pour se peigner e* nouer les
cordons
de ses souliers.— Elle travaille à la couture,
Rétrécissement de 8 centimètres. — Grossesse à terme. — Procidence du
cordon
. —Application du for-ceps. — Déchirure du périnée
ésenta-tion du sommet. — Dans l'après-midi survient une procidence du
cordon
, que l'on parvient à réduire.— A neuf heures du s
a même influence se fera sentir sur les racines antérieu-res, sur les
cordons
de la moelle, dans son centre, sur les racines po
ie avec contracture, liée à une lésion organique spinale, lorsque les
cordons
latéraux sont sclérosés; mais je l'ai observée ég
sym-ptômes ne s'observent pas dans la progression de la sclérose des
cordons
latéraux.... § II. Ainsi, Messieurs, rien de
me, il s'est produit, à une certaine époque, une lésion scléreuse des
cordons
latéraux, lésion que la nécroscopie permettrait a
symétriquement, et à peu près dans toute la hauteur de la moelle, les
cordons
latéraux. A diverses reprises, cette femme avait,
re hystérique. D'après les considérations que nous avons émi-ses, les
cordons
latéraux, ou tout au moins leur partie postérieur
permanente dans les cas de scléroses en plaques ou fasciculées — ces
cordons
, dis-je, sont désignés comme étant le siège de mo
exemple si la sclérose a défini-tivement ou non élu domicile dans les
cordons
latéraux? Je ne crois pas, Messieurs, que l'on pu
tractilité faradique devraient faire supposer que, non-seule-ment les
cordons
latéraux sont profondément lésés, mais que, en ou
e vous dire, que les cornes antérieures situées dans le voisinage des
cordons
moteurs président, je ne dirai pas à la nutrition
Sarcome ganglionnaire primitif, par J Cornillon, 257. Sclérose des
cordons
postérieurs {voy. Ataxie locomotrice). Splénite
rès. avancé de cet organe à la région du renflement lombaire. Les
cordons
antéro-latéraux et postérieurs, surtout les droit
Inégalité d'âge d'un an. Impression maternelle. - Iléntorrhagie du
cordon
. - Parole et marche vers dix-huit mois. - Incon
ticulier à la naissance si ce n'est unehémor1'lwgie te abondante du
cordon
qui avait été mal lié, et qui s'est produite un
otons ensuite une 12't RECUEIL DE FAITS. hémorrhagie abondante du
cordon
, l'incontinence d'urine jus- qu'à quatre ans et
spen- sion déchire les adhérences méningitiques qui entourent les
cordons
postérieurs, ce qui rend aux tubes nerveux une co
enflement lombaire témoi- gnait d'une dégénérescence ascendante des
cordons
de Goll. M. REMAK rappelle l'histoire d'une mén
, désormais sans crainte de s'égarer, méthodique- ment, l'étude des
cordons
médullaires, des nerfs craniens, des ganglions,
ses bien dirigées, bien localisées aux vaisseaux qui se rendent aux
cordons
latéraux et au centre de la moelle, ont pu prod
nerveuses en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les
cordons
blancs de la moelle lombaire et les cornes anté-
midales, évoluantparallèle- ment. c). Moelle cervico-dorsale. Les
cordons
blancs sont, symétri- ques ; dans la substance
paces étoilés dépourvus de tubes nerveux, assez nom- breux dans les
cordons
postérieurs. Les cellules des cornes posté- rie
ant pourtant des tubes par endroits, ces plaques occupent tout le
cordon
postérieur et toute la partie des cordons antéro-
s plaques occupent tout le cordon postérieur et toute la partie des
cordons
antéro-latéraux comprise dans les concavités an
ymphoïde marquée de la gaine des vaisseaux, chacun est entouré d'un
cordon
de cellules à gros noyaux, fortement colorés en v
ures sont petites mais avec leurs cellules bien nettes, de même les
cordons
antérieurs. Ilots de tissu scléreux de dégé- né
sur certains points les cils des cellules. La trame conjonctive des
cordons
blancs est notable- ment épaissie, le nombre de
e nombre des tubes diminué, mais la lésion est la même sur tous les
cordons
. Il n'y a pas de systématisation. Les vaisseaux
rtical de perceptions tactiles (Tastcentl'll7n), où monteraient les
cordons
postérieurs de la moelle épinière, et d'où dece
fussent que les prolongements cérébraux des faisceaux sensitifs des
cordons
postérieurs de la moelle, et qu'après l'extirpa
CERVEAU. 391 identité entre les mouvements dus à l'irritation des
cordons
postérieurs de la moelle, et ceux qui résultent
la moelle; mais il ajoutait que, cinq jours après la section de ces
cordons
, l'excitation de la zone motrice demeurait sans
chiff, .la zone motrice ne serait qu'un centre trophique pour les
cordons
latéraux : ils n'auraient pas de rapport 'fonct
r la perte des sensations du tact et du froid ^après la section des
cordons
postérieurs, c'est que la ' ' Selon Herzen, la
s du tact et du froid ; ces deux sensations sont transmises par les
cordons
postéiietirs de la moelle épinière. Ueber die S
i cette zone n'est plus excitable cinq jours après la section des
cordons
postérieurs, la cause n'en est point dans une p
la raison suffisante de ce fait, c'est que, en même temps que les
cordons
postérieurs, Schiff a lésé la voie motrice des
urs en particulier, relèvent directement d'une sclérose diffuse des
cordons
latéraux de la moelle. Cette sclérose est essen
ue compliquée de para- lysie bulbaire supérieure et de sclérose des
cordons
postérieurs. Cas semblable à ceux de Struempell
ogénique qui préside à l'établissement des lésions des racines et
cordons
postérieurs de la moelle au cours des tumeurs cér
miers observateurs l'avaient bien expressément noté. Mais, dans les
cordons
postérieurs, elles sont d'emblée diffuses, n'ob
manifestations symptômatiques des tumeurs cérébrales, au niveau des
cordons
et racines postérieurs. Quoi qu'il en soit, le
directement imputables, semble-t-il, aux lésions des racines et des
cordons
posté- rieurs. Ainsi, les patients peuvent accu
u moins du côté paralysé étant la règle -; cela voudra dire que les
cordons
postérieurs sont altérés vraisemblablement par
por- tante aussi au point de vue de la pathogénie des lésions des
cordons
postérieurs, mais c'est là une question qui ne pe
: il est donc en communication avec le cervelet, et par là, avec le
cordon
latéral de la moelle. Le cervelet recevant pres
ns les ra- cines postérieures et jusque dans la moelle. 4. Dans les
cordons
postérieurs, la dégénérescence des longs systèm
u niveau de l'entrecroisement des pyramides. Le faisceau interne du
cordon
latéral est partout intact. 9. Des régions corti-
en série de la moelle ont montré une dégénération systématique du
cordon
de Goll dans ses deux tiers antérieurs et du cord
systématique du cordon de Goll dans ses deux tiers antérieurs et du
cordon
de Burdach. Ces lésions étaient surtout intense
gion lombaire ; les racines postérieures sont partout indemnes. Les
cordons
antérieurs pré- sentent simplement quelques alt
ablement dimi- nuée dans sa durée, dans tous les états morbides des
cordons
pos- térieurs : tabès, maladie de Friedreisch e
e moyen d'investigation lui a permis de reconnaître l'intégrité des
cordons
postérieurs dans un cas de mal de Pott où toute
agnostiquer la maladie et à l'autopsie une dégénération typique des
cordons
postérieurs vérifia la chose. L'examen microsco
éléments doivent être assimilés aux cellules qui pullulent dans les
cordons
postérieurs et y sont appelées par la dégénéres
s et y sont appelées par la dégénérescence brutale et rapide de ces
cordons
. Or la méthode de marche montre que ces cellule
de ces cordons. Or la méthode de marche montre que ces cellules des
cordons
ne sont autres que des corps granuleux : un cer
nglée. Questions orales : Nerf glosso-pharingien, Nerfs du coew',
Cordons
antérieurs de la moelle. Questions de garde : De
s fibres à myéline dans cette partie de la pie- mère qui couvre les
cordons
postérieurs de la moelle épinière. Ces fibres é
ettement quelques fibres sortir de la pie-mère pour entrer dans les
cordons
postérieurs. 11 est très probable que les fibres
aut dans cette membrane vasculaire, avant qu'elles entrent dans les
cordons
postérieurs (Revue neurologique, mars 1901). .
ien la substance blan- che que la substance grise. C'est surtout le
cordon
latéral et le c'Ordon postérieur qui sont attei
-membre a été sacrifiée. Enfin, l'existence d'une sclérose dans les
cordons
posté- rieurs des deux 'côtés, parait démontrer
avancée on voit survenir la disparition des systèmes endogènes des
cordons
postérieurs. Mais ces libres endogènes ne sont pa
appui des faits de M. Egger. Le faisceau pyramidal direct dans le
cordon
antérieur de la moelle. 11 ? DÉJERINE, au moy
us pouvons alors imaginer une disposition et une force élastique du
cordon
telles que le vase puisse se vider un peu quand
ait été évacué. Supposons en outre que l'extré- mité supérieure du
cordon
soit fixée à un bras de levier capable de se ra
orticaux de l'état normal. Supposons maintenant que 1 élasticité du
cordon
s'affaiblisse, il pourra très bien se faire alo
moelle lombaire est identique, sclérose des aires pyrami- dales des
cordons
latéraux et sclérose à topographie tabétique des
dales des cordons latéraux et sclérose à topographie tabétique des
cordons
postérieurs. ' L'examen du névraxe en coupes sé
ions du tabes incipiens. De plus, dans l'un la sclérose diffuse des
cordons
latéraux constatée dans la moelle lombaire se r
o-myélite de la région dorsale. Dans l'autre cas, les lésions des
cordons
antéro-latéraux sont plus complexes, dépendant
, a pour destination, en anatomie physiologique, de donner passage au
cordon
des vaisseaux spermatiques clans l'homme, et au l
ombilicales fœtales, tous trois convertis, après la naissance, en des
cordons
ligamenteux. 1 Planche 1, n° 28 ; et planches 4
ino-cutanée, l'iléo-scrotale et la génito-crurale, qui font partie du
cordon
des vaisseaux spermatiques. La région inguino-a
en chirurgie par les organes qu'il renferme, les testicules et leurs
cordons
, et parles maladies graves qui s'y rencontrent. V
e sac, formé par l'enveloppe commune, élargi en haut, à la sortie des
cordons
, est divisé inférieurcment, sur le plan moyen, pa
Fixé en haut., au contour du pubis, et continu avec les enveloppes du
cordon
, on l'a considéré , en théorie, comme un prolonge
inguinal externe, elle constitue une enveloppe cylindroïde propre au
cordon
; c'est elle qui, dans les hernies anciennes, en a
ction musculaire, (e) Tunique fibro-celluleuse. Enveloppe spéciale du
cordon
et du testicule, ce n'est qu'en théorie qu'on a p
i-loculaires ou en chapelet, qui constituent l'hydropisie enkystée du
cordon
, (f) Membrane séreuse testiculaire, ou tunique va
olongement péritonéal oblitéré. Dans des cas rares, la persistance du
cordon
péritonéal, entraînant la libre communication ave
saillie formée par ses vaisseaux sanguins et son canal excréteur. Le
cordon
des vaisseaux spermatiques se compose de la juxta
utres réunis par un tissu cellulaire délié sous l'enveloppe propre du
cordon
. Le testicule est le siège de nombreuses maladi
ège de nombreuses maladies, dont la plus commune est le sarcocèle. Le
cordon
, outre les affections de ses vaisseaux ou de ses
par phlogose. Le Dran, ayant réfléchi sur les effets de la mâchure du
cordon
ombilical, par les femelles d'animaux, conçut l'i
ondyle de la mâchoire et l'apophyse mastoïde; une fois en présence du
cordon
nerveux, il le suit et le dénude avec lenteur dan
vie de long-temps. D'un autre côté Ruysch, en conseillant l'emploi de
cordons
de cuir au lieu de fil, pour ne pas couper le vai
veine et le nerf saphènes; mais il est inévitable de diviser les gros
cordons
lymphatiques. Après la section de la peau et de l
et, parallèlement à leur côté externe, le nerf radial. C'est ce gros
cordon
nerveux qu'il s'agit d'abord de reconnaître ; en
ns, le sillon vasculaire que déborde le biceps , et en particulier le
cordon
sous-cutané formé par le nerf médian. Si le sujet
l refoulé en dehors, et qui forme le bord externe, se présentent : le
cordon
du nerf médian, puis la veine humérale, soit le t
ombinées avec la direction de l'incision parallèle ou transversale au
cordon
vasculaire constituent les divers procédés. i°
ehors, ramener, avec ce doigt faisant office de crochet, la masse des
cordons
vasculaircs en avant et en dedans : toutefois cet
ur pour se jeter clans la veine axillaire. La position respective des
cordons
vasculaires étant reconnue, isoler la veine avec
de avec un crochet mousse ; puis dénuder l'artère elle-même entre les
cordons
qui l'embrassent, insinuer dessous obliquement de
ut, vu la difficulté de ne pas embrasser ou au moins contondre un des
cordons
nerveux externes, mais mieux de dehors en dedans,
distinction très vague: enfin, pour peu que la disposition des divers
cordons
du faisceau vasculaire et nerveux n'ait pas été r
aître pouvant en imposer parle choc qu'ils déterminent sur les autres
cordons
cylindriques et cesser, en tirant sur un nerf emb
r alternativement dénudé et amené à la surface soit l'artère, soit un
cordon
nerveux, qu'enfin l'artère elle-même put être rec
lexus brachial reconnaissables à leur couleur et à la dureté de leurs
cordons
cylindriques. Enfin parvenu sur l'artère, la dénu
vant d'elle sont placés la peau , l'aponévrose du grand oblique et le
cordon
sper-matique. Manuel opératoire. Procédé de B
l inguinal, écarter en haut et en dedans, avec le bec de la sonde, le
cordon
des vaisseaux spermatiques. On se trouve alors su
l'homme , le canal déférent croise la direction des vaisseaux, et le
cordon
spermatique s'applique à leur côté externe. Man
rfîcialis et l'aponévrose du grand oblique étant divisés, soulever le
cordon
spermatique derrière lequel se trouve l'anneau in
iliaque externe, et , parvenu dans le canal inguinal en soulevaut le
cordon
des vaisseaux spermatiques, de remonter vers l'or
on intérieur sont résorbées peu à peu et le kyste se transforme en un
cordon
ligamenteux plus ou moins épais. La circulation d
nseille, après la dissection du lambeau cutané, d'isoler avec soin le
cordon
nerveux des tissus fibreux qui le fixent en dedan
écrane et le condyle interne de l'humérus : faire sur le trajet de ce
cordon
nerveux une incision longitudinale de cinq à sept
etit oblique, légèrement airignée en haut. 5,5. Enveloppe propre du
cordon
spermatique, dont le segment antérieur est enlevé
segment antérieur est enlevé pour montrer l'intérieur du canal. 6.
Cordon
des vaisseaux spermatiques renfermé dans le cylin
nneau inguinal externe. 8. Anneau inguinal externe donnant issue au
cordon
. 9. Pilier interne de l'anneau. 10. Portion l
9. Pilier interne de l'anneau. 10. Portion libre sous-cutanée du
cordon
des vaisseaux spermatiques enveloppée par le dart
ure, pour dégager la loge du sterno-pubien. 5. Pilier externe. 6.
Cordon
des vaisseaux spermatiques, coupé à sa sortie de
ale à un ou deux tours, par un bâtonnet (c), maintenu fixement par un
cordon
(cl) ; une plaque (e) ordinairement en écaille ou
veine formant sur la tumeur, avec interposition du muscle biceps, un
cordon
d'étranglement. Au point (a, fig. 5), un stylet,
cles abdominaux. 3. Péritoine, revêtu de son feuillet fibreux. 4.
Cordon
des vaisseaux spennaliques, déprimé en bas. 5.
orteils extrêmes. E. Tendon du long fléchisseur commun. Les quatre
cordons
(e, e), entre- croisés avec ceux du court fléch
sance, enfant bien développé, pas d'as- phyxie, nide circulaires du
cordon
. Nourri au sein par sa mère. Premières convul
ir mauvais (ozène). 1V... s'habille seule, sait lacer, attacher les
cordons
de ses souliers et faire du crochet. Elle a un
naissance pas d'asphyxie, bien que l'enfant eut deux circulaires du
cordon
autour du cou; elle a crié de suite. La tête ét
lle part l'aspect du tissu muqueux vrai tel qu'il se trouve dans le
cordon
ombilical ; il n'existe que des petits îlots pé
nerveuses en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les
cordons
blancs de la moelle lombaire et les cornes anté-
es, évoluant parallèle- ment. c). Moelle cC1'Vico-dol'sale. - Les
cordons
blancs sont symétri- ques ; dans la substance g
paces étoilés dépourvus de tubes nerveux, assez nom- breux dans les
cordons
postérieurs. Les cellules des cornes posté- rie
ant pourtant des tubes par endroits, ces plaques occupent tout le
cordon
postérieur et toute la partie des cordons anléro-
s plaques occupent tout le cordon postérieur et toute la partie des
cordons
anléro-latéraux comprise dans les concavités an
ymphoïde marquée de la gaine des vaisseaux, chacun est entouré d'un
cordon
de cellules à gros noyaux, fortement colorés en v
ures sont petites mais avec leurs cellules bien nettes. de même les
cordons
antérieurs. Ilots de tissu scléreux de dégé- né
sur certains points les cils des cellules. La trame conjonctive des
cordons
blancs est notable- ment épaissie, le nombre de
e nombre des tubes diminué, mais la lésion est la même sur tous les
cordons
. Il n'y a pas de systématisation. Les vaisseaux
e lésé, on trouve un petit foyer de tissu gliomateux situé dans les
cordons
postérieurs à droite, à peu près là où siègent
ôt dans la formation d'un gliome déterminant une dégénérescence des
cordons
postérieurs. Toutes ces altérations auraient po
tabétique, elle ne paraît point liée de préférence à une lésion des
cordons
postérieurs. Les lésions des paralytiques portant
cubital, M. Cramer trouva une lésion bilatérale et symétrique des
cordons
latéraux, de la zone d'entrée des racines postéri
ence ou un arrêt de développement des faisceaux pyrami- daux et des
cordons
de Goll. M. Bruns présente un malade atteint d'
tacarpiens (Journal de chirurgie de Mal- gaigne, l8rG); Anomalie du
cordon
ombilical (Bulletin de la Société anatomique, 1
iverses coupes de la moelle, on relève de suite, dans la lésion des
cordons
postérieurs, deux maxima absolus d'intensité, l
e de l'olive pour se disséminer dans les trousseaux fondamentaux du
cordon
latéral et du cordon antérieur, que l'on peut s
disséminer dans les trousseaux fondamentaux du cordon latéral et du
cordon
antérieur, que l'on peut suivre jusque dans la
oque des foyers dégénératifs dans les cornes Ipos- térieures et les
cordons
postérieurs. Ces derniers foyers émaillent tout
scendante intéresse , les faisceaux pyramidaux croisés, le bord des
cordons
antéro-latéraux, les faisceaux latéro-cérébelle
cence porte sur les faisceaux pyrami- daux croisés et les bords des
cordons
anléro-latéraux, ainsi que snr certaines partie
ds des cordons anléro-latéraux, ainsi que snr certaines parties des
cordons
postérieurs; elle peut être suivie jusqu'à la c
elle peut être suivie jusqu'à la cinquième vertèbre dorsale pour le
cordon
postérieur et jusqu'à la moelle sacrée pour les
es fibres nerveuses affectées de myélite, notamment sur le bord des
cordons
postérieurs, plutôt que de véritables foyers, et
s de lésion des faisceaux pyramidaux (observation I) tandis que les
cordons
postérieurs présentaient (dans l'observation II
pédoncule cérébral et de la pyramide du côté gauche. Petitesse des
cordons
latéraux droits. Dans les couches corticales, p
vaisseaux gonflés de sang, entourés de magmas de cellules rondes.
Cordon
antérieur droit un peu plus épais que le gauche ;
es rondes. Cordon antérieur droit un peu plus épais que le gauche ;
cordon
latéral droit et corne antérieure droite de moi
droit et corne antérieure droite de moindre dimension qu'à gauche.
Cordons
postérieurs normaux. ,P Dans la moelle cervical
étant mort subitement, l'examen microscopique révéla une lésion des
cordons
postérieurs, sans atteinte des cornes antérieur
identité entre le tabès et la paralysie générale, car la lésion des
cordons
latéraux est secondaire et ne dépend point du t
dans la moelle lombaire, explique pourquoi la lésion simultanée des
cordons
postérieurs n'em- pêchait point l'exagération d
t à l'interruption des faisceaux conducteurs. C'est à la lésion des
cordons
postérieurs qu'il faut avant tout faire remonte
a formation des cavités (syringomyélie) et de la dégénérescence des
cordons
de l'organe. M. Nissl. Sur une nouvelle méthode
teurs, consi- dérant cette maladie comme une affection spéciale des
cordons
postérieurs de la moelle épinière, les rapporte
riphérique; d'autre -part on sait que dans la lésion simultanée des
cordons
postérieurs -et latéraux, les contractions invo
ésion de l'appareil moteur. Eu cas de modifications simultanées des
cordons
latéraux, c'est le caractère tonique qui doit d
elvienne, l'état de mort apparente, l'asphyxie par cir- culaires du
cordon
, l'application de forceps, sont considérés comm
ts, savoir : deux petits serpents de cire entrelacés avec de petits
cordons
de cheveux, des coquilles, des papiers, des mor
ême temps, de sorte que le nerf est à peu 1 près réduit à'un simple
cordon
conjonctif. * ? 0, "' ^ ? i-y Quelque tempsapîè
s, etc. Puis viennent les altérations 'systématiques des différents
cordons
médullaires, ; enfin les désordres consécutifs
ticales des centres moteurs du. cerveau, 'anatomie et physiologie ;
Cordons
postérieurs de' la moelle j origine, trajet, term
t naissance à des fibres qui vont se mêler à celles qui forment les
cordons
latéraux ou postérieurs de la moelle ; nous avo
crite ; 7 seulement ont subi toutes les épreuves. Question écrite :
Cordons
postérieurs de la moelle (anatomie et 160 FAITS
filament de Deiters initial), on peut, on doit même admettre qu'un
cordon
nerveux est tout à fait disposé pour effectuer
a variation subie par le filament de Deiters alors qu'il devient un
cordon
nerveux chez les animaux, supérieurs, on choisi
ne suis donc pas de ceux qui, pour expliquer la réaction locale des
cordons
nerveux à l'encontre des actions pathogènes, se c
sur un nerf dans tout son par- cours, j'estime qu'au point lésé le
cordon
nerveux peut et doit réa- gir. Il possède un di
ritiques celles de la gaine lamelleuse et de la cavité vaginale des
cordons
nerveux. Déjà, M. Vanlair', dans un travail trè
ues. Il rappelle les lésions de l'ataxie locomotrice : sclérose des
cordons
postérieurs, dégénérescence des racines postéri
s lésions des racines posté- rieures sont secondaires et celles des
cordons
postérieurs primitives. Toutefois certains aute
imitives. Toutefois certains auteurs prétendent que la sclérose des
cordons
postérieurs résulte d'une dégénérescence second
ion secondaire, et, d'autre part, il est établi que la sclérose des
cordons
postérieurs peut exister sans que les racines p
nettement altérées. Ce que l'on peut dire, c'est que les fibres des
cordons
postérieurs qui dégénèrent dans le tabes appart
l a une marche directe, ininterrompue depuis les noyaux opposés des
cordons
postérieurs jusqu'aux ascen- dants en traversan
êt de formation local ou excès de substance grise; 5° asymétrie des
cordons
antéro-laté- raux par entre-croisement pyramida
ère, on trouve les racines saines; les méninges sont épaissies. Les
cordons
de Goll sont pris dans leur totalité et leur lé
odifications sont profondes. Il existe de la méningite, et dans les
cordons
de Goll et la zone voisine de la commissure pos
légères. De plus, on trouve ici la lésion dans la zone latérale dés
cordons
postérieurs. Sur une coupe de la région dorsale
voit : l'épaissis- sement des méninges avec périartérite, dans les
cordons
posté- rieurs les mêmes lésions que sur la coup
e profondes, le sont plus que sur la coupe précédente. - Dans les
cordons
latéraux (faisceau pyramidal croisé) on n'a plu
des mé- ninges et de leurs vaisseaux, la sclérose de l'ensemble des
cordons
postérieurs, l'atrophie des cellules de la corn
on lombaire il y a de la méningite spinale, pas de lésions dans les
cordons
antéro-latéraux, et une lésion totale des cordo
lésions dans les cordons antéro-latéraux, et une lésion totale des
cordons
postérieurs s'avançant jusqu'à environ un quart
ait saine. Dans les limites de l'injection interstitielle, tous les
cordons
nerveux sont fixés et imprégnés par l'osmium et
demi- circonférence postérieure de la moelle. L'envahissement des
cordons
postérieurs rend compte des phénomènes pseudo-
le confirma l'examen microscopique. A. Marie. XXIII. Altération des
cordons
postérieurs D\NS LE diabète; par Williamson. (B
préparation microscopique montrent l'altération systé- matique des
cordons
de Goll. (Perte correspondante des réflexes pat
le bout tendineux qui lui correspond, empêcherait la réunion par un
cordon
fibreux inter- médiaire. Mais il est encore u
ect demi translucide. Sur des coupes transversales, la sclérose des
cordons
postérieurs affecte à la région lombaire toute
ons postérieurs affecte à la région lombaire toute l'étendue de ces
cordons
: aux régions dorsale et cervicale, les cordons
te l'étendue de ces cordons : aux régions dorsale et cervicale, les
cordons
de Goll semblent seuls el incomplètement affectés
dlt 'e11- flement lombaire, la sclérose a/l'cetc partiellement les
cordons
de Goll et de 3urdacll. surtout fit gauche; tou
ésées. Région dorsale. - L'altération est il peu près localisée aux
cordons
de Goll, et n'affecte qu'une partie des tubes d
ée aux cordons de Goll, et n'affecte qu'une partie des tubes de ces
cordons
, sous forme d'un triangle dont la pointe ne lou
nons de décrire dans la moelle dorsale; toutefois la sclé- rose des
cordons
de Goll est moins prononcée que dans cette derniè
ransversale do la moelle lom- baire, lire : coupe longitudinale des
cordons
de Goll, à la région dorsale. Le gérant : Emile
ites et si concluantes de Rütimeyer. Il paraît bien probable que le
cordon
latéral est touché dans cette maladie, à peu pr
elles ne présentent rien qui semble spécial; c'est la sclérose des
cordons
postérieurs, avec ses caractères habituels. N
et du pied gauches : dans ces deux faits, à la région lombaire, les
cordons
de Goll et de Burdach étaient simultanément et
vement affectés; quelques tubes nerveux, çà et là altérés, dans les
cordons
de Burdach, indiquaient toutefois qu'il s'agiss
sions tabétiques et non pas seulement d'une sclérose ascendante des
cordons
de Goll, en rapport avec l'altération de la moe
constatation ma- nifeste des symptômes généraux de la sclérose des
cordons
posté- rieurs. Dans les cas douteux, il sera
ique l'atrophie étendue à toutle membre inférieur droit; 2° sur les
cordons
postérieurs, qui paraissent avoir été le siège
lombaire, 27, 29,30; de la moelle dorsale, 28; longitudinale des
cordons
de Goll, 31, dans un cas d'arthropathie du pied
eures et entraîner à sa suite une dégénéres- cence systématisée des
cordons
postérieurs et une névrite périphé- rique motri
es sacro-lombaires d'où il résulte : 1° Une lésion systématisée des
cordons
postérieurs au-dessous du foyer de myélite tran
e, système constitué par la racine pos- térieure, la pie-mère et le
cordon
postérieur. En somme, la lésion initiale du tab
ture de la colonne vertébrale ayant altéré profondément un étage du
cordon
spinal, mais limitée exclusivement à un étage d
ogique d'un cas de myélite aiguë diffuse avec maximum au niveau des
cordons
postérieurs et formation d'une cavité centrale.
ieurs et formation d'une cavité centrale. Présence au niveau de'ces
cordons
postérieurs, dans l'intérieur de la cavité ou s
- mentés de volume ; il est aisé de les sentir sous forme de gros
cordons
roulant sous le doigt, mais loin que leur volum
atrophies musculaires, des troubles sensitifs, l'hy- pertrophie des
cordons
nerveux et par ces caractères elle se rapproche
s par quelle voie se fait l'arrivée du bacille dans l'épaisseur des
cordons
nerveux ? On peut bien admettre, pour certains
du tissu conjonctif au niveau des nerfs, l'épinèvre qui entoure le
cordon
tout entier, le périnèvre ou tissu périfascicul
, MM. Jeanselme, Marie ont décrit chez des lépreux une sclérose des
cordons
postérieurs dans la région dite endo- gène. Mai
ections. En outre, les lésions de sclé- rose décrites au niveau des
cordons
postérieurs sont trop analogues à celles que l'
tels que la sclérose en plaques, les dégénérescences primitives des
cordons
de la moelle, les altérations corticales de la
vr'olog, Centrcclbl, XXI, 1902.) On connaît jusqu'ici le noyau du
cordon
antérieur ou respi- ratoire de ulisslawsl;y, le
es qui représen- tent les prolongements des faisceaux essentiels du
cordon
latéral de la moelle. Aussi peut-on le nommer n
tion comme la vision et par quel mécanisme ? 2 Les dégél1émtions du
cordon
antérieur de la moelle. MM. P. Marie et GUILLAI
e mye Déjerine leurs conclusions premières sur les dégénérations du
cordon
antérieur. Consécutivement aux lésious cérébral
u pyramidal direct, non seulement n'occupe pas la moitié interne du
cordon
antérieur; mais il est souvent très minime et f
ent très minime et fait quelquefois défaut. Les dégénérations de ce
cordon
par lésions cérébrales sont l'exception. Ces dé
- céphale, du métencéphale, du myélencéphale, déterminent dans le
cordon
antérieur une dégénérescence plus volumineuse et
étendue pouvant prendre la forme d'un croissant. En effet, dans ce
cordon
descendent des fibres « parapyramidales » qui n'a
st fréquente que dans le tabes avec symptômes minimes de lésion des
cordons
pos- térieurs ; 2° quand la cécité doit surveni
s par- ties dégénérées tranchent, même macroscopiquement, sur les
cordons
intacts. II. Coloration éleétive des manchons d
ne de Babinsky témoi- gnent de la participation de la substance des
cordons
latéraux des pyramides, et, par conséquent de l
s bien syetérna- tisées ; elles sont plutôt un peu diffuses dans le
cordon
latéral et même dans les faisceaux postérieurs.
ntes : une dégénérescence myélinique disséminée dans les différents
cordons
. Ils pensent que cette alté- ration évidente pe
côté de la moelle, lésions des méninges du canal épendymaire et des
cordons
posté- rieurs qui peuvent être considérés comme
du tabes, par Marie (P.) et Guil- lain, 62. Les dégénérations du
cordon
antérieur de la -, par P. Marie et Guillain, 16
cor- don dont la coupe est en forme de coeur de carte à jouer; ce
cordon
(C B) est le corps bordant; son angle supérieur
e, une coloration gri- 90 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sàtre des
cordons
postérieurs dans la région cervicale, une dilat
alors de la prolifération de la substance gélatineuse centrale. Les
cordons
sont peu atteints, mais les cornes devien- nent
protubérance. La pyramide antérieure droite est représentée par un
cordon
aplati de teinte grisâtre et sur le même niveau
stence de la sclérose fasci- 186 RECUEIL DE faits. culée dans les
cordons
latéraux, elle était rendue évidente, pen- dant
a moelle, prolifération cel- lulo-granuleuse localisée, surtout aux
cordons
postérieurs, à l'exclusion des faisceaux de Gol
hemidactylus verrucosus , cons- titué presque de toute la masse des
cordons
postérieurs de la moelle dont il formerait en m
olfactive au travers d'un nombre correspondant d'ouvertures. Chaque
cordon
garde d'ailleurs son individualité en cet organe.
lymphe ; 3° L'interruption partielle, qui ne porte que sur certains
cordons
, met en évidence la suppléance fonctionnelle te
tante des autres systèmes ; 4° La conjonction de la moelle avec les
cordons
moteurs suffit pour en conserver l'intégrité, d
es accès, on procède à une première élongation avec déchirure de ce
cordon
qui'détermine une amélio- ration passagère. Une
ndividus morts. Il a trouvé et montre aux assistants une lésion des
cordons
postérieurs, le processus était essentiellement
cordons postérieurs, le processus était essentiellement limité aux
cordons
de Burdach. Mais il était facile de le suivre d
re dans toute la hauteur de la moelle jusque parmi les vestiges des
cordons
cunéiformes à la région du bulbe. Prolifération
sains; on n'y aperçoit pas de corps granuleux. Les commissures, les
cordons
de substance blanche, les cornes postérieures n
se, 1879.) 3t6 revue d'anatomie. très seraient contenues dans les
cordons
latéraux de la moelle. D'après ces notions, c'e
couche optique, puis une hémi-section de la moelle ou seulement du
cordon
antérn-latéral, tantôt du côté correspondant, t
ur extrémité inférieure, subissent la décussation pour rejoindre le
cordon
latéral du côté opposé, dans lequel elles conti
t de Jean : dans la première, il y avait une dégénération grise des
cordons
postérieurs et des corps restiformes ; dans le
neumo-gastrique et spi- nal, dégénération grise des pyramides etdes
cordons
postérieurs et un petit foyer de ramollissement
e, l'enfant était cyanose sans cause appréciable : ni circulaire du
cordon
, ni séjour prolongé au passage; cet état se pro
SCLÉROSE TUBÉREUSE DU CERVEAU. 11 céda que grâce à la saignée du
cordon
et à la flagellation. Jusqu'à 17 mois, le petit
Moelle. Plusieurs coupes n'ont pas fait découvrir de sclérose des
cordons
postérieurs. l'I1.01'a : \ ? C,,luclclues adhér
Coeur : 370 grammes. Le péricarde ne renferme pas de SCLÉROSE DES
CORDONS
POSTÉRIEURS. 71 liquide. Les cavités cardiaques
anormal. L'adhérence des méninges est moins prononcée au niveau des
cordons
postérieurs que sur le reste de l'axe nerveux.
n. A l'aide de sections espacées d'un centimè- tre, la sclérose des
cordons
postérieurs se montre évidente au simple regard
aissance vers la première vertèbre lombaire, occupe la totalité des
cordons
posté- rieurs jusque vers la première dorsale,
les arthropathies qui s'observent dans le cours de la sclérose des
cordons
postérieurs (Revue photographique des hôpitavx,
ons articulaires qui survenaient dans le cours de la sclé- rose des
cordons
postérieurs. Toutefois, les divergences d'ordre
il..1 la naissance, l'enfant ne respirait pas; on laissa saigner le
cordon
; des frictions avec du rhum fu- rent faites sur
e consanguinité. - Rapports sexuels pendant l'ivresse. Rupture du
cordon
au moment de la naissance; chute sur le sol. Pr
l'expulsion du foetus eut lieu alors que la mère était debout; le
cordon
s'est cassé à quelque distance de l'ombilic, et
nous avons affaire, ici comme 1-li à une sclérose systématique des
cordons
postérieurs. Or ceci nous conduit à l'étude pat
variablement la même : vous avez nommé la sclérose systématique des
cordons
postérieurs. Est-il vrai de dire que cette alté-
xiste des névrites segmentai- res périaxiles dans la continuité des
cordons
médullaires comme il y en aune dans les nerfs p
acine spinale postérieure. I Signification morphogénique. Trois
cordons
neurodermiques dorsaux, le médullaire, qui est im
mpullaires ; le sens des attitudes segmentaires dépend de celle des
cordons
postérieurs de la moelle et des noyaux correspond
e de Romberg prend des caractères différents. L'ataxique dont les
cordons
postérieurs sont atteints et dont le nerf ves-
céphalique. Bechterewy fait aboutir les fibres issues du noyau des
cordons
grêles, provenant du cordon de Goll, véhicu- la
aboutir les fibres issues du noyau des cordons grêles, provenant du
cordon
de Goll, véhicu- lant les notions d'attitudes s
d'attitudes segmentaires, véhiculées par le nerf ampullaire et les
cordons
postérieurs, pénètre comme un coin .dans la que
délicats ; et d'au- tre part vers les centres leur entrée dans les
cordons
postérieurs, d'abord en branches ascendantes et
érieure étant surtout composée de ces prolongements des cellules du
cordon
neural segmenté, celles-ci sont des centres tro
a été séparée de la base par l'inclinaison en avant des libres des
cordons
postérieurs qui après leur entrecroisement vont s
oyaux trapézoïdes.- NG. Noyau des cor- dons grêles. - NC. Noyau des
cordons
cunéiformes. NI. Noyau du toit. G. Noyau globul
aire de la couche optique. - C. G. I. Corps genouillé interne. - C.
Cordon
de Burdach. G Cordon de Goll. - W. Racines du n
ique. - C. G. I. Corps genouillé interne. - C. Cordon de Burdach. G
Cordon
de Goll. - W. Racines du nerf intermédiaire de Wr
base, et en particulier de la colonne de Clarke, s'élèvent, dans le
cordon
de Burdach, passent du côté opposé jusqu'au noy
ans le cordon de Burdach, passent du côté opposé jusqu'au noyau des
cordons
cunéiformes (n C) et se dirigent ensuite (Bechter
ornes médullaires et qui par le faisceau de Burdach et le noyau des
cordons
cunéiformes d'une part, par la commissure antér
longitudinal postérieur, jusqu'au ni- veau de l'entrecroisement des
cordons
postérieurs. C'est la racine de Rol- ler ou rac
vestibulaire, qui par l'intermédiaire du noyau de Deiters unit les
cordons
postérieurs au cervelet. Ce n'est donc pas une
s originaires du faisceau de Goll, par l'intermédiaire du noyau des
cordons
grêles (I3ecIIterew) et il est aisé de remarque
du pédoncule cérébral gauche, de la pyramide antérieure gauche et du
cordon
latéral droit de la moelle. On découvre sur une c
he, une dégénération secondaire très manifeste qui se produit dans le
cordon
latéral droit de la moelle. Symétriquement à ce g
e du pédoncule cérébral droit, de la pyramide antérieure droite et du
cordon
latéral gauche de la moelle. Les artères de la ba
ogressive, présentait à l'autopsie, en même temps que la sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle, d'assez nombreux anévry
cutanées (zonaj se voient à la suite d'altérations des racines ou des
cordons
postérieurs de la moelle. On sait aussi que les
si que les fibres nerveuses sensitives qui forment les racines et les
cordons
postérieurs de la moelle ont une terminaison à la
: qui surviennent quelquefois dans les parties où se distribuent des
cordons
nerveux, lorsque ceux-ci ont subi en un point de
irconstances, chez d'autres sujets atteints de myélite sclé-reuse des
cordons
postérieurs. Cette prévison devait se réaliser, a
es(4). J'ai vu les brusques exacerbations de la myélite scléreuse des
cordons
antéro-latéraux, l'irruption soudaine dans la cav
d'après les symptômes, la blessure avait dû intéresser la totalité du
cordon
postérieur et du cordon latéral de la moelle du c
a blessure avait dû intéresser la totalité du cordon postérieur et du
cordon
latéral de la moelle du côté gauche et la presque
laxic locomotrice progressive. En effet, raJférafion particulière des
cordons
postérieurs à laquelle se railachenf les symptôme
l'ataxie sans incoordination des mouvements, sclérose commençante des
cordons
fn slcrieurs tU lu moelle. 'Comptes rendus de la
e-ci comme celles-là relèvent directement de la m\élite scléreuse des
cordons
postérieurs. Cette conclusion toutefois, ne saura
au contraire, qu'elles relèvent le plus souvent, d'une altération des
cordons
nerveux que nous avons lait connaître ailleurs
du membre et s'exaspéraient par la pression exercée sur le trajet des
cordons
nerveux. Les muscles des membres paralysés ne pré
ta substance blanche sous-jacente. La partie la plus antérieure du
cordon
latéral droit de la moelle présente, sur une coup
gue amorphe, qui se colorent par le carmin et des corps amyloïdes. Le
cordon
latéral du côté opposé ne présente aucune altérat
n qui a été fait de coupes minces pratiquées sur les fragments de ces
cordons
nerveux, après macération dans l'acide chromique,
le des racines postérieures, il n'y a ja- mais dégénération dans le
cordon
postérieur du côté opposé.On observe, par contr
e cordon postérieur du côté opposé.On observe, par contre, dans les
cordons
antérieurs.des dégénérations disséminées dues à
oires de la périphérie de la substance blan- che. La division des
cordons
postérieurs en cordon de Goll et cor. don de Bu
de la substance blan- che. La division des cordons postérieurs en
cordon
de Goll et cor. don de Burdach ne s'applique ex
ur, le septum paramédian ne représente pas la limite entre les deux
cordons
: il décrit en effet un S, tandis que le bord int
souvent rectiligne. Dans cer- tains cas, une partie des fibres des
cordons
postérieurs passe par les noyaux de ces cordons
rtie des fibres des cordons postérieurs passe par les noyaux de ces
cordons
, s'engage directement dans le ruban de Reil du
e : D à à D 7j dégénération symétrique, en vir- gule, dans les deux
cordons
postérieurs. Moelle lombaire : hémor- rhagies d
orne postérieure gauche ; dégénération diffuse très légère des deux
cordons
postérieurs. 3° Homme de 38 ans; les réflexes p
és à droite et nul à gauche.- Autopsie : Dé- génération diffuse des
cordons
postérieurs, légère, dans la moelle cervico-dor
égénération récente très légère, qui échappe au Pal, tandis que les
cordons
postérieurs paraissent sains. L'auteur remarque
: tabes, conser- vation des réflexes patellaires ; dégénération des
cordons
posté- rieurs bien accusée mais respectant la z
Pick et de Nonne et pense avec ces auteurs que la dégénération des
cordons
postérieurs peut être quelquefois assez légère
jets les plus hétéroclites qu'elle réussil à dissimuler : licelles,
cordons
de vêtements, fils de fer, lacets de bottines,
ma- tologie ne peut être uniquement conditionné par la lésion des
cordons
postérieurs ou par celle des nerfs périphériques.
médullaire ou névritique. Tubes ataxo-spasmodique sans lésions des
cordons
latéraux ; ta- bes dorsalis avec faibles altéra
qu'à la fin de la maladie, j'ai constaté l'absence de sclérose des
cordons
laté- raux, mais la moelle, atrophiée dans les
s de façon constatable par les colorations Weiget-Pal et carmin.Les
cordons
postérieurs ne sont pas sclérosés. A la cauda e
301 rèrent comme la cause de ce symptôme (zône intermédiaire aux
cordons
de Goll etde Burdach, dans la moelle cervicale su
ux périodes avancées de la pégé de l'im'm. réfl. et des lésions des
cordons
posté- rieurs et l'on sait que dans la partie s
plusieurs dizaines d'années. L'infiltration n'était pas limitée aux
cordons
postérieurs mais s'étendait sur toute l'épaisse
dans un cas de pseudo-tabes alcoolique et dans la dégénération des
cordons
posté- rieurs secondaire à la compression. ·
lésions qu'il constata dans la pio- duction de la dégénération des
cordons
postérieurs. Ch. B. XXXVII. - Ueber Hemiplegie
dullaire, qui recon- naît pour cause des lésions des racines et des
cordons
postérieurs. Le signe principal est la diminuti
du -, par Berntieim, p. 160. ataxo-spasmodique sans lésions des
cordons
latéraux. dorsalis avec faibles altéra- tions
et des membres. Le trajet des libres motrices est indiqué par les
cordons
blancs m,1 ? )Il, ils III. Nerf M. 0. C. déjà e
postérieures, les plus lon- gues autour des cellules des noyaux des
cordons
postérieurs (noyaux de; Goll et de Burdach), co
la moelle épinière les impres- sions tactiles suivent le trajet des
cordons
blancs postérieurs, alors que les impressions d
soire qu'il appelle le faisceau sensitif croisé. Celui-ci occupe le
cordon
antéro-tatérat : partant des cornes grises du cot
de Reil dans la couche inter-olivaire bulbaire. Pour hülliker les
cordons
postérieurs conduisent le sens musculaire seule
re seulement; la sensibilité cutanée suit la substance grise et les
cordons
antéro-latéraux. De cette diversité d'opinion
onde (Marinesco) ; sa transmission dans la moelle se ferait par les
cordons
postérieurs. En opposition avec la dissociation s
ouvelle forme de dissociation de la sensibilité, dite du « type des
cordons
postérieurs » : perte de la sensibilité au tact
ue, soit le type radiculairc. suivant que la substance grise et les
cordons
blancs sont pris séparément ou simultanément, o
! HI. [ROUSSY.] ] 520 - " ' ' SENSIBILITE.... ' gomyélie), aux
cordons
postérieurs (tabès), et dans les compressions de
ections limitées de l'axe gris, aussi bien que dans les lésions des
cordons
postérieurs, la distribution périphérique des t
baire, des douleurs existent au niveau de l'an- neau inguinal et du
cordon
, mais le testicule lui-lèmu n'est pas doulou- r
exagération à une participation plus marquée qu'il l'ordinaire des
cordons
latéraux au processus morbide ? Pour moi, c'est
ômes tabétiques : ces phénomènes sont l'expres- sion de lésions des
cordons
postérieurs. Bruhl a pu chez un malade observer
n sait que ces affections sont caractéri- sées par une sclérose des
cordons
postérieurs et par une sclérose des cor- dons l
ans le tabes quand il existe ' des lésions de sclérose combinée des
cordons
postérieurs et des cordons latéraux : c'est là
e ' des lésions de sclérose combinée des cordons postérieurs et des
cordons
latéraux : c'est là un des éléments de la triade
1° Le tendon rotulien; 2° Le nerf périphérique centrifuge : 5° Le
cordon
postérieur de la moelle; 4" La substance muse m
linmn- Ipux rotulien, par névrite périphérique, par lésion des
cordons
postérieurs de la moelle comme dans le tabès,
tation de la réflectivité et phénomène de Strmnpeu. La sclérose des
cordons
postérieurs détermine une certaine titubation,
ome de Brown-Séquard. Une lésion localisée au faisceau pyramidal du
cordon
latéral se traduit par une hémiplégie spinale.
à l'état de contraction ou de relâchement identique; il faut que le
cordon
métrique soit bien perpendiculaire à la longueu
res et d'une altération des nerfs, une dégé- nération prononcée des
cordons
postérieurs. L'atrophie des nerfs optiques a ét
riques (névrite interstitielle et parenchymateuse) et de la moelle (
cordons
postérieurs, cellules radiculaires antérieures)
d'autres parties de la moelle et de ses enveloppes sont, atteintes (
cordons
latéraux, cordons postérieurs, méninges, etc.)
e la moelle et de ses enveloppes sont, atteintes (cordons latéraux,
cordons
postérieurs, méninges, etc.) : l'amyotrophie Aran
lie, dans quelques mb11ngo-myélites syphilitiques avec sclérose des
cordons
latéraux, ils sont exagérés, soit précocement,
serait l'origine du tabès par sa localisation sur la méninge et le
cordon
postérieurs (P. Marie et Guillain), de l'atrophie
urs même cause que les troubles sensitifs, à savoir la sclérose des
cordons
postérieurs; elle peut être aussi expérimentaleme
mitante du faisceau pyramidal, un signe de la sclérose combinée des
cordons
postérieurs et latéraux, comme le sont les para
raît reconnaître pour cause principale la lésion des racines et des
cordons
postérieurs. Mais l'ataxie, incoordination d'or
es; on observera ainsi des ataxies par lésions non tabéti- ques des
cordons
postérieurs, des ataxies par lésions des nerfs pé
mple. Sa cause ne réside pas toujours uniquement dans la lésion des
cordons
postérieurs; dans le tabes, maladie générale du
ltérations les plus diverses peuvent résulter soit de la lésion des
cordons
postérieurs mêmes (lésion des faisceaux cérébel
action nocive sur le premier neurone sensitif, c'est-à-dire sur les
cordons
postérieurs et sur les nerfs sensitifs périphér
imultanément les nerfs périphériques, les racines postérieures, les
cordons
postérieurs et en même temps d'autres faisceaux
, le lathyrisme. paraissent frapper surtout dans la moelle soit les
cordons
latéraux soit, dans les cordons postérieurs, le
per surtout dans la moelle soit les cordons latéraux soit, dans les
cordons
postérieurs, les faisceaux endogènes à l'exclusio
e, déterminent de préférence une lésion des fibres radiculaires des
cordons
postérieurs : ce sont celles qui provoquent les
e autres l'ataxie, plutôt à une polynévrite qu'à une altération des
cordons
posté- rieurs, des névrites périphériques ayant
t de beaucoup la cause la plus fréquente de l'ataxie par lésion des
cordons
postérieurs, car elle est la cause, déterminante
un rôle prépondé- rant dans la genèse de la sclérose tabétique des
cordons
postérieurs); dans ce cas, les symptômes oculai
emment d'incoordina- tions et de quelques symptômes de sclérose des
cordons
postérieurs : il s'agit dans ce cas, pour certa
des nerfs périphériques sensitifs, mais une lésion plus durable des
cordons
postérieurs. N 4. Ataxie dans les lésions bul
laquelle prennent part il la fois les cor- dons postérieurs et les
cordons
latéraux, et. notamment dans ceux-ci les faisce
le, l'atrophie de la substance grise, la dégénération partielle des
cordons
postérieurs, des colonnes de Clarke, des faisce
n des voies sensitives (nerfs périphériques, racines médullaires et
cordons
postérieurs) ; aussi elle présente les earacteres
ion des voies sensifivesousen- sorielles) : a) Moelle (racines et
cordons
postérieurs) : " INCOORDINATIONS. 785 d) Cerv
ssentiel- lement il la lésion des conducteurs sensitifs, racines et
cordons
posté- rieurs, est avant tout un trouble sensit
u'ils exercent sur les filets nerveux qu'ils contiennent et sur les
cordons
nerveux qui les avoisinent. Peut-être aussi l'e
d'une douleur et surtout d'une sensation de brll- ture au niveau du
cordon
, des testicules. Ailleurs des phénomènes bizarr
nce de godet et la sensation plus ou moins nette il la palpation de
cordons
durs enchevêtrés, la rugosité, la pigmentation
rragies. Membranes : hydramnios, rupture prématurée, non-rupture.
Cordon
: insertion Yl'Iamenteusc, brièveté, allongement.
ne portent que sur les cornes postérieures et sur les faisceaux des
cordons
blancs, telles le tabès (*), l'ataxie cérébelleus
gions en appliquant sur chacune d'elles une électrode reliée par un
cordon
bifurqué au même pôle de la source galvanique.
principalement sur les parties latérales, en suivant le trajet des
cordons
nerveux profonds, grand sym- pathique, pneumo-g
ia- mètre, en rapport avec le pôle négatif, sur le périnée, sur les
cordons
inguinaux au-dessous du canal inguinal, sur le
t des méninges importantes, mais où malgré l'intégrité relative des
cordons
de Goll la sensi- bilité était abolie, les aute
e tout entière. Mais à côté des autres régions fortement prises, le
cordon
postérieur, peu intéressé,, jouissait d'uue imm
ement très dégénérée. Les lésions portent plus spécialement sur les
cordons
antéro-latéraux ; par consé- quent les faisceau
Gowers, des deux côtés, sont profondément atteints. Par contre les
cordons
postérieurs sont intacts et les faisceaux pyram
peu altérés. Au-dessous de la région cervicale, on trouve dans les
cordons
post érieurs une sclérose légère et très limité
côté des lésions constatées dans le reste de la moelle, celles des
cordons
postérieurs sont insignifiantes. Discussion. La
ceaux cérébelleux directs et des faisceaux de Gowers tandis que les
cordons
postérieurs sont relativement intacts. Cette in
cordons postérieurs sont relativement intacts. Cette intégrité des
cordons
postérieurs est probablement suffisante pour ex
tandis que, la sensibilité tactile est transmise par les fibres des
cordons
postérieurs.Il n'y a aucune cavité dans la moelle
connaissances, sur ce point, de la façon suivante : Les fibres des
cordons
postérieurs, provenant des neurones des gauglio
tes c'est-à-dire non croi- sées et se terminent dans les noyaux des
cordons
postérieurs, autrement dit les noyaux grêles et
sent la ligne médiane -et remontent vers l'encéphale en suivant les
cordons
de Gowers. Van Gehuchten regarde les lésions de
ve du moins que ces modes de sensation ne sont pas transmis par les
cordons
postérieurs. Van Gehuchten, tend à adopter les
des expériences de Langendorff, lesquelles semblent prouver que les
cordons
posté- rieurs ne transmettent pas les impressio
ar les expériences de Lagendorff. Il vaut mieux encore regarder les
cordons
postérieurs comme la voie des sensations tactil
u nombre de la ou 20, ils signalent la constance de la sclérose des
cordons
et racines postérieurs et surtout l'inten- sité
rdonales, colonnes de Clarl : e); la variabilité de la sclérose des
cordons
anlé1'o-laléruux., depuis l'atteinte légère du fa
ns secondaires (lésions des racines postérieures avec intégrité des
cordons
posté- rieurs), parce que ces derniers n'auraie
rvicale inférieure ; il s'agit d'une dégénération peu accentuée des
cordons
de Goll. Dans l'encéphale, aucune modification,
Mais que de divisions et de subdivisions, depuis les affections des
cordons
nerveux et de l'axe médullaire, jusqu'à celles de
cas, le froissement du testicule restait douloureux, alors que le
cordon
spermatique avait perdu toute sensibilité au pinc
cris de douleur. Mais l'enfant ayant crié elle l'étrangla avec les
cordons
de son tablier et déposa le cadavre dans un pla
bable que les lésions diffuses que l'on trouve disséminées dans les
cordons
postérieurs ont la même source. A ces lésions pri
é le siège d'altérations dégénératives diffuses prédominant sur les
cordons
postérieurs et pyramidaux. G. D. LXX. Réflexe a
e nous a permis de constater l'absence de lésions systématisées des
cordons
postérieurs. Les yeux ont été fixés quatre heur
ère s'étendant plus ou moins aux faisceaux cérébelleux directs, aux
cordons
de Goll, de Burdach ou de Gowers. Pour explique
la dégénérescence ascendante de quelques fibres nerveuses dans les
cordons
posté- rieurs. Il peut aussi se produire des fo
ue que le signe d'Argyll-Robertson. Il n'existe pas de sclérose des
cordons
postérieurs; mais à la région dorsale moyenne o
nce du 12 décembre : Nerf spinal. Ques- tions restées dans l'urne :
Cordons
postérieurs; Région rolandi- que. MM. Audan, 13
ans des cas de tabès récent des corps granuleux disséminés dans les
cordons
postérieurs, plus encore que dans les racines.
econdaire des racines anté- rieures, fascicules par fascicules. Les
cordons
postérieurs, le restant de la moelle sont intac
lle du lubes dorsal, constituée par la dégénérescence primitive des
cordons
postérieurs, d'origine, le plus habituellement
pas la forme de la moelle. Racines postérieures, région externe des
cordons
postérieurs, envahissement des faisceaux de Goit(
es pupillaires et la constatation à l'autopsie de la sclé- rose des
cordons
postérieurs permirent seuls de poser nettement
e vue anatomo-pathologique : altérations de la moelle (sclérose des
cordons
postérieurs, prédominante dans le cordon de Bur-
e la moelle (sclérose des cordons postérieurs, prédominante dans le
cordon
de Bur- dach, dégénération légère des faisceaux
re de l'olive bul- baire pout descendre ensuite directement dans le
cordon
antérieur de la moelle ; ainsi donc une lésion
de la moelle ; ainsi donc une lésion pédonculaire entraine dans le
cordon
antérieur de la moelle d'une dégénérescence d'un
de ces racines dans la moelle, on les constatait également dans les
cordons
de lturdach. Dans les gan- glions correspondant
cérébelleuse. L'autopsie du premier malade a montré des lésions des
cordons
postérieurs combinées à des lésions du faisceau
allé se baigner à la rivière, il oublia de l'ôter de son col, et le
cordon
s'étant rompu, il le perdit dans l'eau et ne s'
igé de cette perte, il fut étonné de voir sur l'eau d'assez loin le
cordon
qui s'approchoit peu à peu de lui. Il s'avança
rvention obstétricale avec du sous-chloroforme, constriction par le
cordon
, asphyxie à la naissance, gémellarité. Parmi
se ectopique, toutes les anomalies du placenta, des membranes et du
cordon
, toutes les pré- sentations anormales, etc. On
f entier, mâle hydati- forme, hvdramnios) ; toutes les anomalies du
cordon
(insertion vélamenteuse, brièveté, allongement,
t les cas où les positions droites de l'occiput, les circulaires du
cordon
, etc., et autres anomalies de peu d'importance
ère du septum médian postérieur et de celles qui pénètrent dans les
cordons
blancs postérieurs, sont des indices de la part
llaire grise et blanche, l'origine et la terminaison des racines et
cordons
, avec les voies de conduction. Enfin il expose
de Govers, mais probablement s'élevant du faisceau fondamental du
cordon
antéro-latéral et destinées pour conduire les sen
inférieure de la moelle cervicale. Il n'existe pas de sclérose des
cordons
latéraux ou des cordons postérieurs, pas de lésio
cervicale. Il n'existe pas de sclérose des cordons latéraux ou des
cordons
postérieurs, pas de lésion des cornes antérieur
la moelle. D'autre part, la pie-mère empiète notablement sur les
cordons
blancs, au point d'émergence des racines posté-
é, en arrière, et surtout en avant de ces racines. Là, le tissu des
cordons
est envahi sur une bande BOURNEVILLE, Bicêtre,
m- ment par MM. Raymond et Arthaud [Revue de Médecine 1S80) - Les
cordons
blancs présentent dos traces d'inflammation int
des petits noyaux sphériques des cellules interstitielles. Mais les
cordons
de Goll sont, de plus, entièrement dégénérés. A
nd toute l'épaisseur des commissures. Dans la substance blanche, le
cordon
latéral est en partie dégénéré sans participati
he on constate du premier coup d'oeil la dégénérescence avancée des
cordons
latéraux; mais cette dégénérescence est beaucou
ent le parallélisme entre l'atrophie de la corne antérieure et du
cordon
latéral du même côté. Réflexions. I. Cette obse
ynx. - Cette môme sensation est déter- minée par la pression sur le
cordon
spermatique gauche ; la pression du testicule n
ai un coup de couteau dans le ventre.» Il a voulu se pendre avec un
cordon
qu'il tournait autour de son cou; puis voyant q
s voyant qu'on ne s'occupait pas de ce qu'il faisait, il a jeté son
cordon
en disant « M.... pour ma ficelle ». Le len- de
cible. Il s'habille assez bien, mais ses chaussures n'ont jamais de
cordons
. Il est devenu très vorace, il dévore les anima
ramidaux directs et croisés, les faisceaux cérébelleux directs, les
cordons
postérieurs, la zone de Lis- sauer ; le triangl
plus marquées à un examen macroscopique (coloration jaune-pâle des
cordons
postérieurs tranchant d'une façon très nette su
ississement du tissu de soutènement ; pas de véritable sclérose des
cordons
postérieurs). Mais il est difficile d'af- ' , f
méninges encéphaliques, ni à l'examen de l'encéphale. Sclérose des
cordons
postérieurs de la moelle. Lésions de méningite po
minces, effilées. Des deux côtés de la nuque l'on peut suivre deux
cordons
re- levés sous la peau, qui vont se terminer à
brale, quelques grains noirs, de signification douteuse, et, dans les
cordons
blancs de la moelle, quelques corps granuleux,
a droite pour au moins toucher le faisceau sensitif respectif et le
cordon
moteur du pédoncule cérébral droit. Nous n'in
ils occupent, sur toute la hauteur que nous venons d'indiquer, les
cordons
postérieurs qui sont atteints dans toute leur l
région lombaire et sacrée supérieure, la partie centrale de chaque
cordon
est seule prise, les parties périphériques étant
haque côté du septum mé- dian postérieur. La moitié postérieure des
cordons
latéraux montre des lésions analogues, qui, bie
ons, etde leur diffusion. A divers niveaux de la région dorsale, le
cordon
anté- rieur présente, de chaque côté du sillon
yélinisation marginale localisée, et d'un peu de pâleur diffuse des
cordons
postérieurs dans sa partie tout inférieure. Cet
ieures, puis s'entrecroisent sur la ligne médiane, passent dans les
cordons
latéraux et montent dans la région des faisceau
avec les voies des sensibilités douloureuses et thermiques, par le
cordon
latéral croisé, et l'autre est celle du cordon
t thermiques, par le cordon latéral croisé, et l'autre est celle du
cordon
postérieur, j'entends le faisceau long, non cro
du cordon postérieur, j'entends le faisceau long, non croisé, de ce
cordon
. C'est là que passe aussi le sens muscu- laire,
es, parce que la sensibilité tactile possède encore une voie par le
cordon
postérieur. Par conséquent, si le sens musculai
et de la sensibilité tactile) est dû à une lésion qui a atteint les
cordons
postérieurs à la partie supé- rieure de la moel
quer l'hématomyplie à son extrémité supérieure et qui a atteint les
cordons
postérieurs. En conséquence, le passage de la par
'est-à- dire l'analgésie et la thermoanesthésie, par une lésion des
cordons
laté- raux des deux côtés. La sensibilité tacti
ile est alors restée normale, ce qui s'explique par le fait que les
cordons
postérieurs où nous avons, d'après l'opinion pr
ullement de lésion transversale complète, mais au contraire que les
cordons
postérieurs étaient intacts. Plus tard, la lési
intacts. Plus tard, la lésion transversale s'est étendue aussi aux
cordons
posté- rieurs, comme nous l'a montré l'appariti
ilité de la moelle), il faudrait admettre une lésion symétrique des
cordons
latéraux, en même temps que les cordons postéri
e une lésion symétrique des cordons latéraux, en même temps que les
cordons
postérieurs resteraient intacts. Cela cons- tit
ouvent trouvé dans la moelle des acromégaliques la dégénération des
cordons
postérieurs, dégénération que Strumpell a compa
ifférentes reprises il casse des carreaux ; un jour il s'enroule un
cordon
autour de la verge et tente de la sectionner.
-dessous de la décussation on ne note aucune dé- génération dans le
cordon
antérieur gauche,c'est-à-dire dans le champ attri
Weber ; faisons simplement remar- quer l'absence de dégénération du
cordon
antérieur cle la moelle à ses 1 a il * Hd ! n
ion de M. Ilolmes; il ne resterait donc plus, au fond, que deux (1)
CORDON
HOLMES, A forme o/ familiale dégénération of the
Tantôt les capillaires, au lieu de cheminer isolément, se groupent en
cordons
comprenant de cinq à dix vaisseaux et plus, s'e
f (fig. 3, cI), Les capillaires entrant dans la constitution de ces
cordons
vasculaires sont le siège de différents phénomè
nnaissaient à cause de ses méfaits. Le soir, s'amusait il tirer les
cordons
de sonnette des mai- sons. Un jour il attacha u
onnette des mai- sons. Un jour il attacha un chat par la queue à un
cordon
de sonnette, le concierge l'attrapa et le corri
limitée au fais- ceau pypamidal croisé. Dans les autres parties des
cordons
blancs, postérieurs et antéro-iatéraux, on renc
rtout la moelle dorsale et la moelle lombaire, notam- ment dans les
cordons
postérieurs de chaque côté du sillon médian, et
s de chaque côté du sillon médian, et à la périphérie môme dans les
cordons
latéraux. Dans toute la hauteur de la moelle,
aurait duré environ une demi- heure, sans laisser de traces. Pas de
cordon
autour du cou. L'enfant était bien portant ; le
Elle se baisse jusqu'à terre, ramasse avec sa bouche des fils, des
cordons
, des cailloux, les garde long- temps dans sa bo
diverses substances et on les retrouve dans les selles, surtout les
cordons
et les fils. Ses dents sont usées à force de ro
normal. - Pas d'asphyxie à la naissance malgré trois circulaires du
cordon
. Allaite- ment maternel. Première dent à 14 moi
bien portante, non asphyxiée, malgré deux ou trois cir- culaires du
cordon
autour du' cou. Elle pesait onze livres, affirm
té considérable. - A la -naissance, très fort, non asphyxié, pas de
cordon
autour du cou. Nourri au sein par sa mère jusqu
-dessous du bulbe, une plaque de sclérose considerable occupe tout le
cordon
latéral et le cordon postérieur du même côté gauc
e plaque de sclérose considerable occupe tout le cordon latéral et le
cordon
postérieur du même côté gauche. L'extrémité de la
vahie. Enfin, la lèvre droite du sillon postérieur (partie interne du
cordon
de Goll droit) est manifestement atteinte de sclé
us petite que la droite, et la différence est surtout marquée pour le
cordon
postérieur, le sillon postérieur étant courbe, à
r étant courbe, à convexité gauche. Un peu plus bas, la sclérose du
cordon
latéral persiste, mais celle du cordon postérieur
n peu plus bas, la sclérose du cordon latéral persiste, mais celle du
cordon
postérieur disparaît, sauf sur les bords du sillo
ale, la tache est beaucoup plus diffuse: elle est moins dense dans le
cordon
latéral, mais elle englobe toute la substance gri
se de ce côté, se condense autour de l'épendymc, et apparaît dans les
cordons
antérieurs droit et g3uchc, à la partie profonde
dorsal. la tache de scié-rose, déjà étudiée, est nettement limitée au
cordon
antéro-latéral, qu'elle Occupe en entier. En ou
ches se montrent, l'une à droite du sillon antérieur, l'autre dans le
cordon
latéral droit, le long des faisceaux radîcu-laire
rtout la substance grise a gauche. la région périépendymaire, le fond
cordon
de Turck droit, et la substance gélatineuse de Ro
s deux Côtés. Plus bas, elle siège, mais à un faible degré, dans le
cordon
latéral gauche, et, d'une manière plus marqué
la substance grise gauche, et, en outre, une nouvelle plaque dans le
cordon
latéral droit. Au renflement lombaire, sclérose
it. Au renflement lombaire, sclérose de la partie profonde des deux
cordons
postérieurs; puis, presque aussitôt, sclérose du
nde des deux cordons postérieurs; puis, presque aussitôt, sclérose du
cordon
antérieur droit. Enfin, à partir de ce point, les
et lombaire apparaissent de plus petites taches disséminées dans les
cordons
antérieur, latéral ou postérieur et presque toujo
ruste était absolument justifié. La prédominance des lésions dans les
cordons
antéro-latéraux est on fait habituel de cette mal
onstitue pas une sclérose fasciculéc, car elle atteint tour à tour le
cordon
antéro-latéral. la zone radiculairc, et la substa
ires et la substance grise à gauche. Les plaques disséminées dans les
cordons
'droits sont partout plus circonscrites et la sub
référable aux anciennes chemises dont le col était attaché avec des
cordons
et surtout aux chemises de femmes que, faute de
ilement, sans chloroforme. A la nais- sance, pas d'asphyxie, pas de
cordon
autour du cou. - Elevé au sein par sa mère jusq
en un cylindre terminé par un talon et qu'il maintient à l'aide de
cordons
attachés au-dessus du pli lormé par la jonction
chloroforme. - l la naissance, pas d'asphyxie, pas de circulaire du
cordon
. L'enfant a crié tout de suite. Il était bel en
ion durant la grossesse. Accouchement prématuré. - - Circulaires du
cordon
, mais pas d'asphyxie. - Acci- dents nerveux de
e, l'enfant n'était pas cyanosé, bien qu'il eut deux circulaires du
cordon
autour du cou. Elevé au sein jusqu'à. quinze mo
au, paraissait régulièrement conformé, n'avait pas de circulaire du
cordon
, n'était pas asphyxié. Allaité au sein maternel
naissance, l'enfant cria de suite, mais il avait un circu- laire du
cordon
autour du cou ; il paraissait bien portant. Nou
ns anesthésie. A la naissance, pas d'asphyxie, pas de circulaire du
cordon
; la tête a passé facilement, quoiqu'un peu vol
tion du sommet. Pas d'asphyxie à la naissance, pas de circulaire du
cordon
. Enfant un peu petit, mais bien con- formé. Il
taient trop grands. Deux faits anormaux à signaler : 1° la chute du
cordon
ombilical la nuit même de l'accouchement, ce qu
adénopathie. - Conception probable durant l'ivresse. Circulaire du
cordon
.- Allaitement maternel.- Parole : 3 ans.-Prop1'
plégie spismodique des plus accentuées, aucune dégénérescence des
cordons
tant antérieurs que pos- térieurs. Le faisceau
ut cornu posterions de Clarke); le glosso-pha- ryngien émanerait du
cordon
cunéiforme (faisceau grêle in- terne) ; l'acous
erf optique aboutirait, par le ruban de lieu, au faisceau propre du
cordon
antérieur qui doit être distingué du faisceau p
dehors, et'.va constituer un-large faisceau, 'qui se porte dans le
cordon
latéral; =rrJrlnu·- J9 ' : Im ! )f1\.iu[ 4 ? Au
re ;r, b) directement en avant.aux racines,antérieures ;,c);dans le^
cordon
latéral ;tid) dansée cordon postérieur; e),à,tr
nt.aux racines,antérieures ;,c);dans le^cordon latéral ;tid) dansée
cordon
postérieur; e),à,travers la ligne ]nédiane,,ef,
ronc de la douzième paire. Ces nerfs étaient» réduits' i\ dé minces,
cordons
, fibreux;fI le1. musc ! es n g2]s 9,amtn,aln ? q
urcissement de la moelle accusent une dégénérescence symétrique des
cordons
postérieurs a la limite des, faisceaux de, Goll
'" l ? )'' "" ? .uni. 1 - "'l' ot\'J')O'l'l °"1 'J' '1 '1 0(>
cordons
postérieurs, sans psvchose. a h " J 1 .lIi. ci
met qu'elle puisse être le premier s'yJJ1ptôlnede, l'altération des
cordons
postérieurs r et' pensel que : Je phénomène u,
llxJ pyr.aIpj,çlu jusque la t hauteur de l'entrecroisement dans les
cordons
antéro-latéraux as la région dorsale inférieure
gion dorsale inférieure et sur la limite,,des zones, latérales des,
cordons
postérieurs, à lairégion; dorsale f supérieure ;M
ures au môme niveau. Teinte grise translucide de toute l'aire des
cordons
postérieurs. très appréciable sur les coupes de
coupes de la région dorsale de la moelle; teinte grise limitée aux
cordons
de Goll dans la région cervicale; bulbe, protub
s parties supérieures de la moelle, une sclérose très apparente des
cordons
de Goll. Sur les sec- tions pratiquées dans le
e; foyers récents dans là,s'ul)s'- tance blanche principalement des
cordons
antéro-Ialéraux; pas d'autre altération. L'aute
mêmes manifestations se voient quand le processus, dépassant les
cordons
postérieurs, empiète sur les cordons latéraux. Tr
nd le processus, dépassant les cordons postérieurs, empiète sur les
cordons
latéraux. Trois éven- tualités sont donc admiss
; -, même genèse vasculaire; 2° celle du passage de la lésion aux
cordons
latéraux ; 30 celle d'une affection encéphalique
l'oculo-moteur commun, de la dégénérescence des pyramides dans les
cordons
latéraux (préparations il l'appui). L'ora- teur
t abolir la motilité, tandis que la sensibilité persiste tant qu'un
cordon
nerveux, si petit qu'il soit, peut en assurer l
la sclérose ne doit pas porter, dans ce cas, exclusivement sur les
cordons
antéro-laléraux, comme dans le type premier, cl
ype premier, classique, de l'unité morbide décrite sous ce nom; les
cordons
postérieurs doivent être affectés, comme dans l'a
e. Histologiquement, lésions spinales très-prononcées, sclérose des
cordons
postérieurs sur toute leur étendue; altérations
gion cervicale, très peu dans la région lombaire. Sclérose dans les
cordons
de Goll à la région cervicale. ' Dans la substa
rface du noyau cunéiforme et qui est le prolongement su- périeur du
cordon
de Goll, ainsi que celle qui est contiguë au noya
ventricules con- tenaient plus de sérosité qu'à l'état normal. Les
cordons
de Goll étaient sclé- rosés dans toute leur éte
bulbe. Au niveau des 4° et 5° nerfs sacrés, la lésion débordait les
cordons
de Goll et paraissait derrière les cordons post
la lésion débordait les cordons de Goll et paraissait derrière les
cordons
postérieurs jusqu'au niveau de la zonc radicu-
partir de la région dorsale la lésion était strictement limitée aux
cordons
de Goll. Dans le bulbe, le faisceau rond était
ophie. Sur la moelle on découvrait à l'oeil nu une teinte grise des
cordons
postérieurs qui commençait au segment dorsal.
traces d'une prolifération interstitielle. Dégénérescence grise des
cordons
postérieurs allant du segment, cervical à la part
intermédiaire de substance saine ; elle occupait celte portion des
cordons
postérioursdont l'altération, suivant Westphal, e
tic et admet définitivement l'existence d'une myélite à frigore des
cordons
latéraux. Il ne soulève nullement l'hypothèse d
C'est la un phénomène qu'on ne concevrait pas dans la sclérose des
cordons
postérieurs sans lésions pupillaires. Il est vrai
les oculaires, etc., pouvaient bien faire songer à une sclérose des
cordons
postérieurs, mais la conserva- tion des réflexe
fait qu'il s'agissait d'un homme. Il ne vit là qu'une sclérose des
cordons
postérieurs ayant franchi ses limites spinales
sidérant comme formé exclusivement par la sclérose systématique des
cordons
posté- rieurs ; il résulte de celte observation
éflexion suivante : « C'est un exemple bien évident de sclérose des
cordons
postérieurs chez un saturnin. » Or, le 28 juin
es un rôle qu'on accorde à d'autres maladies et que la sclérose des
cordons
postérieurs peut être un agent provocateur de l
s bien portants et qui est en outre inconstant dans la sclérose des
cordons
postérieurs. Fié. 70. Fig. 71. Anesthésie e
suffisamment pour détruire les adhérences entre la pie- mère et les
cordons
postérieurs de la moelle. Sans entrer dans le fon
fant était petite, bien constituée, sans asphyxie, ni circulaire du
cordon
. Elle a crié « énormément » les dix premiers jo
ilis. Les portions périphériques, immédiatement sous-méningées, des
cordons
blancs sont en partie altérées aussi et les cor
-méningées, des cordons blancs sont en partie altérées aussi et les
cordons
de Goll sont légèrement dégénérés dans la région
ent en avant de ces derniers, puis, continuant leur chemin jusqu'au
cordon
antérieur et à la corne antérieure de la moelle
de leur trajet, comme les fibres des tubeicules quadri- jumeaux au
cordon
antérieur qui viennent de l'entrecroisement de
est l'origine thalamique de la substance blanche profonde qui va au
cordon
antérieur, ou voie thalamique dit cordon (intér
blanche profonde qui va au cordon antérieur, ou voie thalamique dit
cordon
(intérieur de lioyce et Ltechterew. 21 Quelques
nt anténeur de la calotte de Forel, et arrivent avec ce faisceau au
cordon
latéral de la moelle. C'est l'origine thalamiqu
ées : à ce niveau on voit de puissants faisceaux arqués pénétrer du
cordon
postérieur dans la corne postérieure. Par contr
ormale. Donc, ce territoire, de même que le territoire antérieur du
cordon
postérieur, a une origine surtout endogène. - P
ste plua HÉ\IISEC1'ION TRAUMATISME DE 1,A MOEf.LK. po qu'un petit
cordon
fibreux, engainé dans un fourreau de'nie- ninge
ne permettent aucunement de reconnaître la SUBSL tance grise ou les
cordons
de la substance blaticlie. 1. ! i.. Les deux ti
a périphérie de la moelle, et quelques-uns vont assez avant dans le
cordon
anléro-latéral. Toutefois, la presque totalité
le. Les caractères de la lésion changent complètement. D'abord, les
cordons
postérieurs et les racines adjacentes se rempli
ésentées que par quelques éléments cellulaires assez alté- rés. Les
cordons
latéraux sont scléreux, surtout à droite ; d'aill
ment nombreuses, ont un aspect normal à tous les points de vue. Les
cordons
postérieurs sont bien garnis de libres nerveuse
. Les cordons postérieurs sont bien garnis de libres nerveuses. Les
cordons
antéro-iatéraux continuent à être dégénéré;- de
ne- ment aucune lésion primitive. A signaler simplement : dans le
cordon
postérieur, la dégénéiescence secondaire ascendan
le cordon postérieur, la dégénéiescence secondaire ascendante du
cordon
de Goll : dans le cordon antéro-latéral, la dégén
la dégénéiescence secondaire ascendante du cordon de Goll : dans le
cordon
antéro-latéral, la dégénérescence également sec
plus de temps qu'il n'en faut pour que les lésions descendantes des
cordons
laté- raux, soit en supprimant l'action inlnbil
elle ses principaux travaux : ses belles études sur le tabès et les
cordons
postérieurs, sur les amyotrophies en général, s
les contractures et les raideurs articulaires à une sclérose des
cordons
latéraux, les altérations plus ou moins grandes
ultiplication du tissu conjonctif dans les faisceaux de Goll et les
cordons
latéraux, du côté droit. Dégénérescenc colloide
nche : atrophie très nette des fibres de la partie fondamentale des
cordons
antéro- latéraux (zones radiculaires antérieure
de la corne antérieure; une certaine raré- fication des fibres des
cordons
latéraux et postérieurs ; les cordons de Turck
raré- fication des fibres des cordons latéraux et postérieurs ; les
cordons
de Turck sont intacts. Les racines antérieures
e de la sclérose amyotrophique. L'atrophie partielle des fibres des
cordons
latéraux ne suffit pas pour invalider le dia- g
térations des noyaux ; 3° dégénérescence du faisceau fondamental du
cordon
antérieur ; 4° dégénérescence des fibres du rap
avec dégénérescence très prononcée du système pyramidal, légère des
cordons
alltéro- latéraux presque totale des racines an
eau pyramidal chez les ron- geurs, dans les segments antérieurs des
cordons
postérieurs, par la méthode embryogénique. P. K
ntricule, dégénérescence des cellules nerveuses dans les noyaux des
cordons
postérieurs, du pneumogastrique, de l'acous- ti
onclusion s'impose d'autant plus que dans l'observation annexée les
cordons
latéraux sont restés absolument sains et qu'on
llaires : dégénération du faisceau en virgule de Schültze, dans les
cordons
postérieurs, dégé- nération du faisceau intermé
es cordons postérieurs, dégé- nération du faisceau intermédiaire du
cordon
latéral, et d'un fas- cicule auquel M. Marie pr
arie propose le nom de faisceau sulco-murginal descendant, dans les
cordons
antéro-latéraux. Les dégénérations ascendantes
i survient dans l'enfance, en raison d'un vice de développement des
cordons
pyramidaux, et il en donne une description comp
es. « Dans le cas des accès migraineux, l'irritation partirait du
cordon
cervical du grand sympathique ou du centre cilio-
est-elle primitive ou secondaire ? c'est-à- dire, nait-elle dans le
cordon
sympathique lui-même, ou dans le centre cilio-s
tinique ou alcoolique. Dans la moelle, l'altération portait sur les
cordons
postérieurs surtout dans les régions dorsale et
modiques dans toutes les extrémités, on constatait une sclérose des
cordons
laté- raux, des pyramides jusqu'à la moelle dor
spécial à la pathologie de la moelle, c'est la dégéné- rescence en
cordons
, en bandes. Le processus anatomique du tabes se
e 24 heures. - Pas d'asphyxie à la naissance, pas de circulaires du
cordon
, etc. C'était une belle enfant, très forte. Ele
que l'enfant eut, comme tous ses frères et soeurs, un circulaire du
cordon
autour du cou. Elevé au sein par sa mère, il fu
rois heures. - l'as d'asphyxie à la naissance; pas de circulaire du
cordon
: il était robuste Antécédents personnels. 135
ement atrophiées. La syl- vienne gauche surtout, réduite à un mince
cordon
, contraste avec la droite qui parait normalemen
Antécédents personnels : Craniectomie. . femme « laissa saigner le
cordon
«jusqu'à ce que la respiration s'établit. Cet é
18°, 5. 168 Etat DU crâne ; méningite. térieur sous la forme de
cordons
rouges, saillants, sinueux ayant environ 3 à 4
lésion curieuse des sutures qui se présentaient sous la forme de
cordons
rouges, saillants, sinueux, ayant environ 3 ou
s d'asphyxie. On a attendu l'arrivée de la sage femme, qui a lié le
cordon
. - L'enfant n'avait pas d'ongles. - Elevée d'a-
erses repri- ses, les sutures étaient distendues par une sorte de
cordon
rouge, saillant, constitué par une congestion i
. - Accouchement à terme. Asphyxie à la naissance; circulaires du
cordon
autour du cou. - Conuttl.,zio71s à 2 jours, rev
. Enfant bien portant à la naissance, ni asphyxie, ni circulaire du
cordon
. - Nourri jusqu'à 10 mois au sein maternel, pui
t frais, les sutures sc présentent à l'extérieur sous la forme de
cordons
rouges, saillants, sinueux ayant 3 à 4 millimètre
it gonflée au point de former, au niveau des sutures, de véritables
cordons
qui avaient écarté les dentelures des sutures c
testicule droit. A droite, au-dessus du testicule, sur le trajet du
cordon
, on sent une tumeur du volume d'un oeuf de pige
substance blanche, on remarque une lésion descendante des divers
cordons
latéraux, les faisceaux cérébelleux étant respect
um conservé. La moelle dorsale présente les mêmes altérations des
cordons
, mais plus diffuses. La zone de démarcation entre
rcher, est, à ce niveau, le seul signe de la lésion descendante des
cordons
. Tout le long de la moelle, on trouve des cellu
mi- dales, évoluant parallèlement. c) Moelle cervico-dorsale. Les
cordons
blancs sont symé- triques ; dans la substance g
rveu- ses en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les
cordons
blancs ne présentent qu'une lésion diffuse, un ép
min. Cet aspect de sclérose diffuse est bien plus accentué Y,ur les
cordons
blancs de la moelle lombaire; de plus, les corn
sur certains points les cils des cellules. La trame conjonctive des
cordons
blancs est notablement épaissie, le nombre des
le nombre des tubes diminué, mais lalésion est la même sur tous les
cordons
. Il n'y a pas de systématisation. Les vaisseaux
al du placenta, des membranes, de la situation également normale du
cordon
ne permet guère de faire jouer un rôle à ces or
utation spontanée du bras par suite sans doute d'un circu- laire du
cordon
(présentation du siège) ; l'avant-bras détaché fu
par la méthode de Marchi, une dégénérescence très prononcée et des
cordons
posté- rieurs et des racines postérieures sacré
des sphincters. Pour Erb et Charcot, la lésion siégeait t dans les
cordons
latéraux de la moelle frappés de sclérose. SYND
le cerveau postérieur. Les voies pyramidales sont normales et les
cordons
de la moelle assez bien développés. Dans le 2
oglie sonthy- perplasiées et les vaisseaux sanguins augmentés. -Les
cordons
de la moelle sont moins développés que dans le
édent, mais le sujet était plus jeune. Ici, rien encore du côté des
cordons
pyramidaux. Ces deux cas ne sont pas à propreme
en s'épaississant un peu à sa partie inférieure, se fondre avec un
cordon
de substance nerveuse qui représente la plus impo
e fait qu'en une région plus antérieure que d'ordinaire, et le gros
cordon
de tissu nerveux que nous mar- quions (3) sur l
ortion évasée ou base serait dirigée en haut ? » (Testut). Non. Les
cordons
nerveux qui sont figurés sur le schéma en 1 et
s bien plutôt par pénurie de formations interhémisphériques. Si ces
cordons
pouvaient rappeler de très loin les commis- sur
o- tum est petit comme celui d'un enfant de 8 à 10 ans ; on sent un
cordon
ter- miné par un petit moignon du côté gauche;
la lé- sion primitive du tabes comme une sclérose systématique des
cordons
pos- térieurs, un nombre considérable de recher
t là une formule trop exclusive, car ce ne sont pas seu- lement les
cordons
postérieurs de la moelle et les racines postérieu
t normal chez l'adulte ; et Marinesco con- clut que la sclérose des
cordons
postérieurs n'est pas sous la dépendance de ces
Ol'ens de l'atrophie des racines postérieures et de la sclérose des
cordons
postérieurs ? C'est là une hypothèse qui soulève
r les portions de la fibre les plus éloignées du centre du neurone (
cordons
, postérieurs d'une part, nerfs cutanés de l'aut
cun parallélisme entre la névrite transverse et la dégénération des
cordons
postérieurs. (1) Obersteiner et RGDLICIi, Arbei
racine postérieure que la méningite spinale : dans la sclérose des
cordons
posté- rieurs, elle ne nous paraît pas davantag
tion lombaire, avec sclérose commençante de la partie médiane des
cordons
de Goll et de la partie inférieure des cordons
partie médiane des cordons de Goll et de la partie inférieure des
cordons
latéraux. Nerfs périphériques. Sur les coupes d
it faite vers les cornes antérieures gauches, sans avoir touché les
cordons
postérieurs ni les cordons latéraux ; il ne che
térieures gauches, sans avoir touché les cordons postérieurs ni les
cordons
latéraux ; il ne cherche pas à s'ex- pliquer co
rel, sans chloroforme. A la naissance, l'enfant avait trois fois le
cordon
autour du cou; cependant on croit qu'il n'était
; on ne l'a pas frotté. (Son second enfant avait un cir- culaire du
cordon
autour du cou et était cyanosé.) - Elevé au sein
la substance blanche et, en particulier, sur les pyramides et les
cordons
de Goll, un moindre degré sur les cordons anté-
sur les pyramides et les cordons de Goll, un moindre degré sur les
cordons
anté- rieurs, et sur les faisceaux latéraux cér
sur les faisceaux latéraux cérébelleux. Il semble que la région des
cordons
cunéiformes soit restée indemne. Une des prépar
res nerveuses de la moelle qui correspondent aux pyramides dans les
cordons
latéraux est défectueuse dans les cas de destru
ines parties du cerveau ; 2° dans la région des pyramides, dans les
cordons
latéraux d'individus microcéphales, il existe e
dent de portions centrales situées plus bas que le cerveau ; 3" les
cordons
de Goll sont aussi en relation avec le développem
le développement normal du cerveau ; 40 les fibres radiculaircs des
cordons
anté- rieurs paraissent chez les individus micr
moins absolue qu'en ce qui concerne les faisceaux pyramidaux et les
cordons
de Goll; 50 les cellules nerveuses des cornes a
rousseau puissant qui s'entre- croise avec un autre du côté opposé (
cordon
latéral des primates, des chéiroptères, des car
manieres : la plus grande partie des fibres des pyramides gagne le
cordon
latéral entre-croisé (primates, carnivores, que
e et les rats une grande partie des fibres des pyra- mides gagne le
cordon
postérieur entre-croisé; -chez les chauves- sou
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